6, rue des Sept-Hommes
Rue des Sept-Hommes n° 6 – IV 388 (Blondel), N 896 puis section 60 parcelle 45 (cadastre)
Refaite par le cordonnier Jean Georges Karch (1748), surélevée en 1866, démolie en 1913 lors de la Grande Percée
Coin de la rue des Sept-Hommes (à gauche) et de la rue Saint-Barbe (à droite), photographie prise en 1912 lors de la démolition. Le n° 6 est la deuxième maison à gauche de la plus haute au milieu de l’image (AMS, fonds Schimpf, cote 112 Z 7)
Galerie à l’est de la cour et bâtiment arrière – Vue sur les cours des n° 4 et 6 (AMS, cote 118 MW n° 78 et 62)
La maison fait face à la rue du Pilot, l’arrière donne sur l’auberge des compagnons boulangers. Elle appartient au début du XVII° siècle au relieur Jacques Schentz puis à son fils Christophe Schentz, ensuite à Melchior Linck, tailleur et peseur de farine au Faubourg Blanc. Le ramoneur David Bœttiger l’acquiert en 1691. Elle comprend en 1699 un bâtiment avant et un bâtiment arrière reliés par un bâtiment latéral. Le cordonnier Jean Georges Karch achète en 1736 la maison qui est estimée à 400 livres à sa mort en 1748. Le bâtiment sur rue a alors un rez-de-chaussée, deux étages et un comble aménagé, le bâtiment dans la cour comprend un petit logement et les dépendances. Les héritiers de Jean Georges Karch hypothèquent la maison en 1748 et en 1750 pour en régler les frais de construction. L’estimation passe de 400 livres en 1748 à 1 050 livres en 1757. Elle est vendue par adjudication judiciaire en 1755 au tonnelier Christophe Seyler puis revient en 1805 à son gendre le tourneur Jean Daniel Hœltzel.
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 188 – Cour Y (© Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade est la troisième à droite du repère (p) : fenêtre de boutique en arcade et porte d’entrée au rez-de-chaussée, deux étages à trois fenêtres chacun, toiture à un niveau de lucarnes. La cour Y montre l’arrière (1-4) de la façade sur rue, la galerie (1-2) à l’est de la cour, le bâtiment arrière (2-3) et la propriété voisine (3-4).
La maison porte le n° 6, aussi bien selon l’ancienne numérotation (1784-1857) que selon la nouvelle.
Le commerçant Salomon Blum achète la maison en 1866 et la transforme la même année. Son revenu passe de 90 à 121 francs. Les élévations et la photographie montrent qu’un étage à deux fenêtres a été ajouté comme l’indique le cadastre. Les enquêteurs qui visitent les maisons sur le tracé de la Grande percée relèvent en 1907 un encadrement de porte Renaissance au rez-de-chaussée et une galerie à balustrades sur trois étages dans la cour. La Ville acquiert la maison et la fait démolir en 1913 lors de la Grande Percée.
Plan cadastral de 1897, mis à jour en 1910 (AMS, cote 907 W 161). La maison se trouve sur le tracé de l’actuelle rue des Francs-Bourgeois.
avril 2020
Sommaire
Cadastre – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1609 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
Jacques Schentz, relieur, et (1597) Marguerite Beck – luthériens | ||
1630* | h | Christophe Schentz, relieur, et (1623) Anne Gruber puis (1645) Marie Geiger – luthériens |
1676* | adj | Elie Kolb, pasteur, et (1648) Susanne Edel puis (1673) Agathe Ursule Schœnenmarck – luthériens |
1677 | v | Melchior Linck, tailleur et peseur de farine, et (1663) Marie Kirsch, (1667) Dorothée Lederer puis (1681) Susanne Renninger – luthériens |
1691 | v | David Bœttiger, ramoneur, et (1679) Judith Hæffelin, veuve du ramoneur Thomas Ammann d’Esslingen, (1695) Anne Scheer puis (1700) Barbe Heyer remariée (1708) avec Jean Jacques Kiesel, trompette municipal – luthériens |
1708 | h | Philippe Bœttiger, jardinier, et (1683) Catherine Knecht – luthériens |
1736 | v | Jean Georges Karch, cordonnier, et (1722) Marie Elisabeth Hœlbé – luthériens |
1755 | adj | Christophe Seyler, tonnelier, et (1756) Susanne Madeleine Brucker – luthériens |
1805 | h | Jean Daniel Hœltzel, tourneur, et (1794) Susanne Madeleine Seyler |
1839 | v | Pierre Antoine Zottner, tailleur et appariteur, et (1826) Marie Salomé Bauer |
1849 | v | Jonas Netter, négociant, et (1827) Jeannette Levy puis Sophie (Sibylle) Levy |
1860 | h | Nathan Netter, négociant, et (1855) Minette Weill et Léon (dit Lazare) Netter, négociant, et (1856) Julie Weil (copropriétaires) |
1866 | v | Salomon Blum, commerçant, et (1847) Julie Weill |
1907* | h | Philémon Sautet-Lafaye, banquier, et Sophie Blum |
1909* | v | Ville de Strasbourg |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 237 livres en 1699, 305 livres en 1708, 400 livres en 1748, 1 050 livres en 1757
(1765, Liste Blondel) IV 388, Christophe Seiler
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Seÿler, 2 toises, 3 pieds et 2 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 896, Hoeltzel, Daniel, tourneur – maison, sol – 0,95 are / Zottner Pierre Antoine
Locations
1788, Antoine Hunsinger, journalier manant, et Odile Hoffstetter
1804, Jean Kettner, cordonnier, et Marie Salomé Eberlin
1826, Jean André Dahl, ciseleur, et Catherine Marthe Kraus
Description de la maison
- 1699 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un passage latéral et un bâtiment arrière, estimée avec la cour et autres appartenances et dépendances à la somme de 475 florins
- 1748 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un petit poêle, au premier étage un poêle, un vestibule et une cuisine, au deuxième étage deux chambres, le comble couvert en partie de tuiles ceuses et en partie de tuiles plates renferme trois petites chambres, les deux pignons sont en bois, le bâtiment arrière à demi-toit dans la cour comprend un petit poêle et une petite chambre, une remise, une chambre à soldats et une cave voûtée, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 800 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
2° arrondissement ou Canton Nord – Rue des sept hommes et rue Ste Barbe vers la place d’armes
nouveau N° / ancien N° : 20 / 6
Hoelzel
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages médiocres en bois
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 21 f° 259 case 2
Zottner, Pierre Antoine à Strasbourg
Netter Jonas à Strasbourg, substitution de 1851
N 896, maison, sol, R. der 7 hommes 6
Contenance : 0,95
Revenu total : 90,50 (90 et 0,50)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 29
fenêtres du 3° et au-dessus : 9
Cadastre napoléonien, registre 23 f° 999 case 2
Netter Jonas
1862, Netter Nathan et Lazare, négociants
1867 Blum Salomon, commerçant
1907 (2694) Sautet-Lafaye Philimÿ, gewesener Bankier, u. Ehefrau Sofie geb. Blum in Gtg.
(ancien f° 747)
N 896, Maison, sol, Rue des sept hommes 6
Contenance : 0,95
Revenu total : 90,50 (90 et 0,50)
Folio de provenance : (259)
Folio de destination : 747, Gb
Année d’entrée :
Année de sortie : 1869
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 29 / 23
fenêtres du 3° et au-dessus : 9 / 7
N 896, Maison, Rue des 7 hommes 6
Revenu total : 121,50 (121 et 0,50)
Folio de provenance : 747, add°
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1869
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 30 / 24
fenêtres du 3° et au-dessus : 11 / 9
1869, Augmentations – Blum Salomon f° 747, N 896, maison, revenu 121, addition de construction, achevée en 1866, imposable en 1869, imposée en 1869
1869, Diminutions – Blum Salomon f° 747, N 896, maison, revenu 90, addition de construction en 1866, supp. en 1868, voir les augmentations
Cadastre allemand, registre 30 p. 391 case 4
Parcelle, section 60, n° 45 – autrefois N 896
Canton : Siebenmannsgasse Hs N° 6
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 4,55
Revenu : 1000
Remarques : 1913 Abbruch. 1927 porté p. 387 c. 3
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1932), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IV, Rue 113 Des Sept Hommes p. 194
6
pr. Seiler, Christophe, Baquetier – Tonneliers
loc. Broistett, J. Daniel, Boutonnier – Miroir
loc. Henninger, Joseph, Cordonnier – Cordonniers
loc. Huth, veuve d’un Relieur – Echasses
loc. Hunzinger, veuve Journaliere – Manante
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Siebenmannsgasse (Seite 161)
(Haus Nr.) 6
Levy, Pfeifendreher. 0
Blum, Rentnerin. E 1
Greilsammer, Handlgh. 2
Benin, Tagner H 2
Guth, Tagner. H 3
Spieldock, Handelsm. 02
Grille d’enquête, n° 77 (AMS cote 113 MW 999)
Fragebogen
zur Feststellung der Altertümer in den für den Straßendurchbruch zum Abbruch bestimmten Häusern in Straßburg i. E. 1907
Questionnaire destiné à répertorier les antiquités dans les maisons vouées à la démolition pour réaliser la percée, Strasbourg, 1907]
Anmerkung. Den aufzuführenden Gegenständen ist ein Vermerk der Erhaltung hinzuzufügen und zwar bedeutet
+ sofort zu entfernen, * dringend zu erhalten, o an Ort und Stelle zu erhalten.
Diejenige Gegenstände die sofort zu entfernen sind, sind umgehend dem Kaiserlichen Denkmal-Archiv mitzuteilen.
[Remarque. On joindra aux éléments à répertorier une mention relative à la conservation, à savoir : (+) à démonter immédiatement, (*) à conserver absolument, (o) à conserver sur place. Il faudra signaler au Service impérial des monuments historiques les éléments à démonter immédiatement]
Haus : Siebenmannsgasse N° 6 [Maison : 6, rue des Sept-Hommes]
I. Das Äussere [Extérieur]
- 11. Türeinfassungen – 1. Renaiss. (Erdgesch.)
[Encadrement de porte, 1, Renaissance au rez-de-chaussée]
II. Im Inneren [Intérieur]
- 5. Galerie auf dem Hofe – in 3 Stockwerken Ballusterbrüstung (auch Bretten geschnitten)
[Galerie sur cour, aux trois étages, balustrade (planches coupées)]
Bemerkungen : 1) Fensterverschlüsse mit Messingknöpf (Bascül) I. Stw.
[Remarques – Fermetures de fenêtre à poignées en laiton (bascule, premier étage]
Relevé d’actes
D’après les tenants et aboutissants des propriétés voisines, la maison appartient en 1609 au relieur Jacques Schentz. Originaire d’Auenheim en Wurtemberg, il épouse Marguerite Beck en 1597 et devient bourgeois en s’inscrivant à la tribu de l’Echasse
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 102, n° 15)
1597. Jacob Schentz von Awen im Würtenberger land ein buchbinder Vnd Margaretha Heinrich Becken hinderlaßene tochter Eingesegnet Zinstag post * den 26. Aprilis (i 55)
1597, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 607
Jacob Schenntz d. Buchbind. von Owenheim auß dem Württenberg Landt Khaufft d. Burg: Mit beÿstandt Hanß Huober des Ohmans vnd Hans Bauwmeisters des Beck. vnd will Zur Steltz. dienen. Act. den 28.t Aprilis 97.
Le relieur Michel Kleinlogel, tuteur du fils infirme de Jacques Schentz, demande qu’il devienne pensionnaire de l’hôpital contre un capital de 2 100 livres déposé à la Tour aux deniers. Son frère Christophe Schentz s’oppose à cet arrangement. Les Conseillers et les Vingt-et-Un demandent aux administrateurs de l’hôpital d’examiner l’affaire.
1627, Conseillers et XXI (1 R 109)
Jacob Schentzen Vogt contra Christoph Schentzen. 20.
(f° 20) Mittwochs 7. Febr. – Michel Kleinlogel buchbind. als vogt Jacob Schentzen breßhafften Sohns bericht Supplicando, wie das Er diser seinem Vogts sohn weg. leibs gebrechligkeit in Spital cum bonis, so 2100 fl. vff dem d.thurn vff gute condition das Er sein vnd.halt ad dies vitæ auch Zum nott pfenning Jährlichs 30 fl. haben solte, Vnd gepracht. Dieweil Er sich biß dah. wohl befund. deßen brud. aber Christoph gipt auß es geschehe Ihme nicht genug. Dra*et dem vogt, wolle sich ahn Ihne Künfftig erholen. durch welches geschwetz die H. pfleger v.ursacht word. den Knaben sampt dem seinig. auß den Spital Zuweÿsen. Pitt Ihne als einen arbeitseelig. mensch Zubehalt. Auch Christoph Schentzen deßen brudern stillschweÿg. auff Zuleg. Christoph Schentz p. Dr. Knaffel. bitt H. Zuordnen beÿ denen wolle er bericht. St. von Kageneck nôe d. H. Pfleg. bericht Es hette d. Spital schad. beÿ disem geding v. da mans nicht wolle für ein gutthat v. allmosen annehmen wolle man deß Jung. lieber ledig sein. Erk. vor die H Pfleg. v.wisen, die sollen des bub. brud. hören, v. es nach befindung ausmach od. wid. für M. h. pring.
H. Drausch, H. Silberad
La maison revient ensuite au fils de Jacques Schentz, le relieur Christophe Schentz qui épouse en 1623 Anne Gruber, fille du message de la Taille puis en 1645 Marie Geiger, fille d’un tisseur de futaine
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 1, n° 3)
1623. Dominica post Circumcisionis: Christoff Schentz der Buchbinder, Jacob Schentzen deß buchbinders hinderlaßener Sohn, J. Anna Hanß Grubers deß Stallbotten Eheliche Tochter. Eingesegnet Montag den 20. feb. (i 2)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 162-v) 1623. Dominica à Circumcis: Cristoff Schentz der buchbinder Jacob Schentzen deß buchbinders allhie nachgelaßener Sohn, J. Anna Hanß Grubers deß Stallbotten allhie eheliche tochter (i 166)
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 25)
1645. Eadem [Dominica Quadragesima 23. Febr.] Christophorus Schentz der buchbinder Vndt burger allhie v. Maria Johann Geiger des barchet Webers V. burgers nachgel. Wittib, Copulirt Dienst. S.J. S. Peter 4. Martÿ (i 33)
Christophe Schentz demande une contribution de l’aumône Saint-Marc pour sa fille infirme de naissance parce qu’il est trop âgé pour pouvoir l’entretenir
1669, Conseillers et XXI (1 R 152)
Christoph Schentzen tochter. 473.
(p. 473) Sambst. d. 11. Decembrisaô 1669. – Christoph Schentz der buchbinder Vndt burger alhier vberreicht p. Dr. Bitschen unterth. supplic. bitt seiner von Jugend. auffehlenden tochter, Welche Er beÿ deßen hohen alter mit seinem handwerckh nach nothurfft nicht mehr völlig versorgen könne, eine Wochentliche beÿstewer Widerfahren Zu laßen. Erk. Ahn die Hh. Pfleger Zu St Marx gewiesen.
Le relieur Christophe Schentz hypothèque la maison au profit de Georges Claus, employé à la halle
1671 (11. mart.), Chambre des Contrats, vol. 538 f° 256-v
Erschienen Christoph Schentz der Buchbinder
in gegensein H Niclaus Claußen alten Policeÿ Gerichts Beÿsitzers, im Nahmen Georg Claußen deß Kauffhauß Beampten seines eheleiblichen Vatters – schuldig seÿe 25. lb
Unterpfand sein soll hauß hoffstatt und höfflin mit allen deren Gebäwen alhier in der hellen Gaß einseit neben Georg Mergen den Kürßnern, anderseit neben Philipß Voltzen dem Schneidern, hind. vff der Beckhen Knecht herberg stoßend gelegen, davon gehen iährlichen 12. ß bodenzinß der hohen Schulen, so seÿe solche Behaußung auch noch umb 200 fl. dem Blaterhauß und umb 200 fl. H. Johann Schmiden im Schaffners weiß verhafftet
Christophe Schentz hypothèque la maison au profit d’Elie Kolb, pasteur de Saint-Pierre-le-Jeune. En marge, quittance accordée en 1677 au tailleur Melchior Linck par le pasteur Kolb qui s’est rendu adjudicataire de la maison
1674 (2. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 395
Christoph Schentz der Buchbinder
in gegensein deß Wohl Ehrwürdigen Wohlgelehrten herrn M. Eliæ Kolben Pfarrers Zum Jungen St. Peter – schuldig seÿe 25 Pfund pfenning
unterpfand, hauß hoffstatt mit allen deren Gebäwen alhie in der h. Liechtergaßen gegen dem Pfalgäßlein und der Schneider Knecht stuben hinüber, einseit neben Georg Mergen dem Kürschner, anderseit neben Philipp Voltzen dem Schneider, hinden uff der Beckhen Knechthoff stoßend gelegen, welche behaußung annoch umb 100. lb. d. Capital und 10. lb. d. davon Verfallene Zinß dem blatterhauß, so dann umb 105. lb d. haubtgut und 5. lb 5 ß davon Vertagte Zinnß er rothen Kirch Verhafftet
[in margine :] Erschienen der hierinngemelte H. Creditor, hatt in gegensein hannß Melchior Linckhen des Schneiders, bekant, demnach Er der herr Schuldgläuber alß Jüngster Creditor der hierinn hÿpothecirte behaußung Ziehen müßen, Alß habe Er diselbe ahn Ihne Linckh. vermög der heut dato in der Cancelleÿ Contractstub. uffgerichteter Verschreibung Verkaufft und Er Linck Ihme H. Pfarrer Kolben die hierin Verschriebene Schuldt richtig gemacht, derwegen demit vorstehende obligation cassirt worden ist. Act. 18. Aug. A° 1677.
Christophe Schentz meurt en décembre 1676 en délaissant deux filles issues de son premier mariage avec Anne Gruber, l’aînée étant célibataire et la cadette morte en délaissant un fils naturel reconnu, Nicolas Linenburger. La maison face à la rue du Pilot fait partie de la rue des Chandelles. Le titre est conservé parmi les archives de la Maison des vérolés. L’actif de la succession s’élève à 97 livres, le passif à 196 livres.
1677 (2.2.), Not. Reeb (Nicolas, 44 Not 3) n° 384
Inventarium über Weÿland des Achtbar: vnnd bescheidenen Meister Christoph Schentzen, geweßenen Buchbinders Und Burgers Alhie Zu Straßburg Seeligen Verlaßenschafft, Vffgerichtet in Anno 1677. – nach seinem dinstags den 26. Decembris nächst Abgewichenen 1676. Jahr aus dießem müheseeligen Leben genommenen tödlichen hientritt hinderlaßen (…) Ersucht durch die Erben selbsten, Vnd Margaretham Schwartzin, weÿland Meister Hanß Jacob Schentzen auch geweßenen buchbinders Vnd burgers Alhier des Verstorbenen in Erster Ehe erzeugten Sohns, seeligen hinderpliebene Wüttib (…).Actum in des Heÿligen Reichs freÿen Statt Straßburg, Freÿtags den Andern Monats tag Februarÿ Anno 1677.
Der Abgeleibte Seelig Hatt Eingangs gemeltermaßen Zu Erben Verlaßen, wie nachsteth. Erstlichen Jungfrauw Annam Elisabetham Schentzin, sein in Erster Ehe mit auch weÿland frauwen Anna Gruberin seeligen erzeügte dochter, So der Inventation beÿständlich herrn Johann Georg Schentzen; buchbinders vnd burgers Alhier ihres geschwornen Vogts, selbsten beÿ gewohnt. fürs Ander, Vff Künfftig obrigkeitlichen Consens, Nicolaum Linenburgern, des Tabacmachers Vnd Schirms Verwanthen Alhie, weÿland Margarethæ Schentzin, des Verstorbenen in Erster Ehe erzeugten dochter, seeligen mit Niclauß Linenburgern dem Wullenwebern Von Cöln Außer der Ehe erzeugten Aber legitimirten Sohn, so dem geschäfft Ebenmäßig selbsten beÿgewohnt, vnd Abgewartet, sich aber nach dero hieunden fol. gedachten, beÿ E. E. Kleinen Raht oder in deßen schreibstuben beschehenen wÿdembs Ersuchung widerumb samptlichen dahin Erclärt, Vnd Außtrucklichen Protestirt, daß Sie Vmb befundenen Wÿdembs Vnnd bereiths Angebenen Vieler Schulden halben, die Erbschafft keines wegs anderer gestalt Alß Cum beneficio Inventarÿ et Legis adirt vnd angetretten haben wollen.
Inn Einer in der Statt Straßburg in der Heÿligen Liechtergaß gegen dem sogenandten Pfahlgäßel Vnd den Schneider Knecht Stuben gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen vnd hieunden beschriebener behaußung befunden worden wie folgt
Inn der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, Vff den gang, In der oberen Stuben (bücher), Im Stub Camerlein, Im Haußohren, Inn d. Kuch, Im Hoff, Im Keller
Werckzeug Zum Buchbinder Handwerck gehörig mit auch gebundene schreib vnd andere gebett vnd gesang Bücher
Eÿgenthumb Ahne Einer Behaußung. Item ein forder: vnd hinder hauß, sampt einer hoffstatt vnd höfflein, auch allen Andern deßen gebeüwen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeithen, gelegen in der Statt Straßburg nahe beÿ der Schneider Knecht stuben gegen dem so genandten Pfahlgäßlein über, Einseit neben Georg Mergen, Anderseith Philipps Voltzen dem Schneider hinden vff die Beckerknechtstub stoßend, daruon gehndt Jährlichen vff weÿhenachten Zwölff schilling pfenning bodenzinß dem Baarfüßer Closter Alhier ferner 5 Pfund pfenning gelts dem Alhiesigen Blaterhauß, Jährlichen vff Johannis Baptistæ wider kaüffig mit 100. lb d. Vnd dann 10 gulden Straßburger wehrung herrn Philipp Jacob Erharden Schaffnern Zur Rothen Kirchen in Schaffners weiß Jährlichen vff Matthiæ Apostoli Lößig in hauptguth mit 105. lb ([biffé] weiter Ein pfund 5 schilling pfenning gelts dem Ehrwürdig und wohlgelehrten herren M. Elia Kolben, wohlverdientem Pfarrherren in der Pfarr: oder Stiffts Kirchen Zum Jungen St. Peter alhie Jährlichen Vff den 2. Julÿ Vnd A° 1675. Zum Ersten mahl So in hauptguth Abzulösen mit 25. lb) Sonsten freÿ ledig Eÿgen Vnnd über erwehnts beschwerden hiehero Angeschlagen für 58. lb. Die über dieße behaußung sagende Kauffverschreibung solle in dem Alhiesigen Blaterhauß im Gewölb Zubefinden sein, so Zue nachricht Alhero Vermeldet
Sa. Haußraths 34, Sa. Werckzeugs 5, Sa. behaußung 58, Summa summarum 97 lb – Schulden 196 lb, Mehr Schulden alß Guth 98 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 60 lb
(…) Darzu würd gelegt der Jenige Wÿdemb, so der verstorbene seelig von weÿland frauwen Maria Kleÿberin seiner Zweÿten haußwürthin seeligen Zugenießen gehabt (…)
Weÿland Meister Hans Jacob Schentzen geweßenen buchbinders Vnd burgers Alhie, des Abgeleibten in Erster Ehe erzeugten, Vnd Von erwehnter Frauwen Mariæ Kleÿberin für einen drittel Zum Erben gesetzten Sohns seeligen Wüttib Margarethæ Schwartzin (…)
Adjudicataire de la maison (voir ci-dessus, 1674), Elie Kolb est le fils du pasteur de la cathédrale. Il épouse en 1648 Susanne Edel, fille d’enseignant, alors qu’il est pasteur à Heiligenstein. Les nouveau mariés rédigent quelques mois plus tard leur testament
Mariage, cathédrale (luth. f° 515-v)
1648. Domin: Misericord. Herr M. Elias Kolb, Pfarrer Zu Heiligenstein, H. M. Eberhard Kolben geweßenen Pfarrers im Münster allhier ehelicher Sohn, Vnd Jungfr. Susanna H. M. Magni Edels geweßenen Præceptoris Classici eheliche tochter. Im Münster, Zinst. 25. Apr: (i 264)
1648 (28. Julÿ), Not. Strintz (Daniel, 58 not 63)
Persönlich erschienen seind der Ehrwürdig vnd Wohlgelehrte H. M. Elias Kolbius Pfarrer Jetziger Zeit Zu heÿligenstein vnd die Vÿl Ehren und tugendreiche fraw Susanna Öttelin beede ehegemächt burger Zu Straßburg, Von der gnaden Gottes gesund gehend Vnd Stehenden leibs (…)
Freÿtags den 28. Julÿ Anno 1648
Elie Kolb est pasteur à Lingolsheim de 1643 à 1648 puis à Heiligenstein, Les Conseillers et les Vingt-et-Un le nomment en 1657 diacre à Saint-Pierre-le-Jeune
1647 Chambre des Contrats, vol. 498 f° 564-v – H M. Elias Kolb Pfarrer Zu Lingolßheim (RP. Lingolsheim, liste des pasteurs, 12. M. Elias Kolb 1643 à 1648)
1650 Chambre des Contrats f° 611 – H M. Elias Kolb Pfarrer Zu Heiligenstein
1657 Conseillers et XXI (1 R 140) – H. Elias Kolb Würdt Zu einem Helffer Zu dem Jungen St. Peter erwöhlt. 47.
Pasteur de Saint-Pierre-le-Jeune, Elie Kolb se remarie en 1673 avec Agathe Ursule Schœnenmarck, fille d’un assistant de l’université de Heidelberg.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 237-v n° 11)
1673. Dom. Reminiscere 23. Martÿ. M. Elias Kolb Pfarrer Zum Jungen St Peter Vndt Jfr. Agatha Ursula Hrn Joachimi Friderici Schönenmarck Universität Verwandten Zu Heÿdelberg ehl. Tochter, Eingesegnet Donnerst. 6. Aprilis. J.S. P. (i 250)
Elie Kolb revend la maison au tailleur Melchior Linck, assisté de son beau frère le pelletier Jean Philippe Fleckhammer
1677 (18. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 600-v
der Wohl Ehrwürdig- Wohlgelehrte Herr M. Elias Kolb Pfarrer Zum Jungen St. Peter
in gegensein hannß Melchior Linckhen deß Schneiders mit assistentz hannß Philipp Fleckhammers deß Kürschners seines Schwagers
Eine behaußung mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten alhier beÿ der Schneider Knechtstub gegen dem Pfalgäßlein hinüber, einseit neben Georg Mergen dem Kürschner anderseit neben Philipp Voltzen dem Schneider, hinden uff die Beckher Knecht stub stoßend gelegen, davon gehend iährlichen. 12. ß boden oder sonsten Vielleicht ohnablößigen Zinnßes der Hohen Schulen alhier, so seÿe solche behaußung auch noch umb 100. lb Capital und 25. lb davon Verfallene Zinnße biß nechst Joh. Bapt: Verwichen gerechnet, dem Blatter hauß alhier, Item umb 105. lb haubtgut und umb 15. lb Zinß, Marzal und Vncosten der Rothen Kirch Verhafftet, So hatt auch Er Herr M. Kolb uff erwehnter behaußung 50. lb zu erfordern, welche derselbe bahr hergeschoßen, und damit Annam Elisabetham Schentzin, Nicolaum Linnenbergern den Tabacbereiter, und Margaretham Schwartzin, weÿl. hannß Jacob Schentzin Wittib als anteriores Credd. uff obgedachter behaußung außgewießen hatt, und in dero gerechtigkeit beÿ der Von E.E. Kleine Rhats beschehenen Außweißung gestanden ist – umb 57. fl
Fils de tailleur, Melchior Linck épouse en 1663 Marie Kirsch, fille de tailleur
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 133, n° 32)
1663. Eâdem Dominicâ [17. Augusti] Hanß Melchior Linck der Schneÿder, Melchior Linck deß Schneÿders Vndt Burgers allhie ehelicher Sohn, Vndt Jfr. Maria weÿl. Geörg Kirsch deß Schneÿders V. Burgers allhie nachgel. ehel. Tochter. Copulavi Eod. Die [18 Augusti] (i 145)
Il se remarie en 1667 avec Dorothée Lederer, fils du garde à la Montagne Verte : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwüschen dem Ehrsamen undt bescheidene Meister Johann Melchior Linckhen, Schneidern und burger, alhie Zu Straßburg, alß Brauttigamb, Eines: Ander, theils Dorothea weÿland des Ehrenhafften Leonhard Lederers, geweßenen Wartmans auff der grünen Warth seeligen nachgelaßener ehelichen dochter, alß der Jungfrauw hochzeiterin, sich erhoben und begeben, Darbeÿ dann Inn Beÿsein der Ehrenhafften Meister Melchior Linckhen des Hochzeiters Vatter, alß vff deßelben, auff der Jungfrauw hochzeittin seithen aber Julÿ Friedrich Sturmkorb, alhießig Soldtners deroselben geordnet und ohnentledigten Vogts (…) So beschehen undt Zugangen Inn des heÿligen Reichs freÿen Statt Straßburg Sonntags den 24. Novembris Anno 1667, Johann Jacob Stich Nots. publ. civis argentinensis
Mariage, cathédrale (luth. f° 96, n° 55)
1667. Dom: 8. Adventus. Zur 2. mahl Hanß Melchior Linck der (ledige [barré] Schneider Melchior Linck des Schneiders v. V* u. Burger alhier, Fr. Dorothea Weiland Leonhard Lederers gewesenen Wachtmanns auff d. Grünen Warth alhier nachgelaß. ehel: T. Montag den 9. 10.bris, Münster (i 98)
Jean Melchior Linck est nommé peseur de farine au Faubourg Blanc
1678, Conseillers et XXI (1 R 161)
Hannß Melchior Linck wirdt Mehlwieger am Weißenthurn. 107. schwöhrt. 109.
(p. 107) Montag d. 8. April. – Hannß Melchior Linck ist p. majora zu einem Meel wäger am Weißenthurn erwöhlt worden.
(p. 109) Sambstag d. 13. April. – Hannß Melchior schwört auf die meelwäger ordnung.
Dorothée Lederer meurt en 1680 en délaissant quatre enfants. La masse propre au veuf s’élève à 45 livres, celle des héritiers à 36 livres. L’actif de la communauté s’élève à 54 livres, le passif à 95 livres
1680 (29. 8.bris), Not. Stoeffel (Jean Christophe, 57 Not 4) n° 31
Inventarium und beschreibung Aller Haab undt Nahrung, Keinerleÿ außgenommen, so weÿlandt die Ehren und tugendsahme fraw Dorothea Linckin, gebohrne Ledderin, deß Ehrenhafften Mr hannß Melchior Lincken, Schneiders und Meelwägers burgers Zu Straßburg haußfraw nunmehr seelig, nach ihrem Montags den 12. Augusti Jüngsthin aus dießem Zergänglichen Leben genommenen tödlichen hientritt hinder Ihro Verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehrenhafften Mr Friderich Krämers, auch Schneiders vnd burgers alhie, alß Dorotheæ, Mariæ Magdalenæ, Philipßen vnd Mariæ Barbaræ, aller Vier Geschwüsterd. der ietz abgeleibten seel. mit ihrem hinterbliebenen Wittwern ehelich erzeugter hinderlaßener vier Kinder vnd ab intestato nachgelaßener nechster Erben geschwornen Vogts
So beschehen in fernerem beÿsein deß Ehrenhafften Mr Samuel Christoph Flechtners ebenmäßig Schneids. v. burgers alhie, deß wittwers in voriger ehe ehelich erzeugter Kind. geschwornen vogts, auff Freÿtag den 29.t 8.bris Anno 1680.
Inn einer alhie inn der Statt Straßburg Vorstatt inn der Weÿßenthurn straß Gelegener, inn der Meel Wag ist befunden worden, wie volgt
Auff der Obern bühnen, Auff der Undern bühnen, Inn der obern Stueben, Inn der obern Stub Cammer, Im mittlern haußöhren, Inn der Cammer A, Inn der wohnstuben, Inn der Kuchen, Im undern haußöhren, Im Keller
Eÿgenthumb vndt beßerung ane einer behaußung. Item eine behaußung mit allen d.en Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeithen gelegen alhie in der Statt Straßburg beÿ der Schneid. Knechtstuben gegen dem Pfahlgäßlein hinüber, i.seit neben hanß Georg Mergen dem Kürschner, 2.s. neben Philipp Voltzen dem Schneid. hinden auff die Becken Knechtstub stoßend, Davon gehen Jährlichen 12. ß d. auff Joh: vnd weÿh. boden: od. sonst vielleicht ohnablößigen Zinßes der hohen Schuelen alhier, ferner 5 lb d Jährl. auff Joh: dem Blaterhauß alhier in hguth ablößig mit 100. lb d, Mehr 5 lb 5 ß d Zinß Jahrs auff Mathiæ d. Rothen Kirchen alhier in hguth lößig mit 105. lb, Vnd dann 2 lb d gelts à 5 pro Cento weÿl.H. M. Eliæ Kolben Pfarrers Zum J. St. Peter seel. hind.laßener wittib vnd Erben Jährlich auff Joh. Bapt: in Capital ablößig mit 50 lb 4 ß 2 d, Sonsten vber dieße beschwerden freÿ ledig vnd eigen, angeschlagen 30 lb. Darüber sagt j. t. Perg. Kbr. mit der Statt Straßb. Cancelleÿ Contractstuben anhangendem Insigel verwahret de dato 18.t Aug. A° 1677. mit N° 1 signirt Inhaltts welchergestalt H. M. Elias Kolb geweßener Pfarrer Zum Jungen S. Peter dem wittwer dieße behausung Käufflichen cedirt und übergeben habe.
Ergäntzung deß wittwers unveränderten guths. Auß den über weÿl. frawen Mariæ Kirschin deß wittwers voriger haußfr. seel. verkäufer durch H. Johann Jacob Strichen den Notarium in A° 1667. auffgerichtetem Inventario
Deß Wittwers unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 16, Sa. werckzeugs Zum Schneid. handwerck gehörig 15 ß, Sa. Silbers 18 ß, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 10, Sa. Ergäntzung 81, Summa summarum 109 lb – Schulden 64 lb, Nach deren Abzug 45 lb
Der Erben unverändert Vermögen, Sa. haußraths 14, Sa. Silbergeschmeids 4, Sa. guldenen ring 2, Sa. Schulden 15, Summa summarum 36 lb
Die Theilbare Verlaßenschafft, Sa. haußraths 18, Sa. Silbergeschmeids 4, Sa. Gudenen Rings 16 ß, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 30, Summa summarum 54 lb – Schulden 95 lb, Übertreffen also die Schulden die theilbare Nahrung umb 40 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 87 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen undt Zugangen Inn des heÿligen Reichs freÿen Statt Straßburg Sonntags den 24. Novembris Anno 1667, Johann Jacob Stich Nots. publ. civis argentinensis
Jean Melchior Linck se remarie en 1681 avec Susanne Renninger, fille de tisserand
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 189)
1681. Eodem [Donnerst. den 20. Jan: St: Aurel:] Hans Melchior Linck Schneider vnd Mehlwäger alhie vndt Jfr. Susanna, Hans Georg Renningers gewesenen Webers Tochter (i 97)
Jean Melchior Linck est destitué de son poste de peseur de farine en 1692 pour irrégularité. Le messager de la Monnaie Chrétien Leiter se plaint que la farine qu’il a reçue du moulin Reichard n’a pas le poids escompté. L’enquête montre que Jean Melchior Linck a mal pesé la farine, qu’il a établi un faux certificat et qu’il a accepté une rétribution en nature. Il demande quelques jours plus tard à être réintégré dans son poste, ce que les Quinze acceptent en l’avertissant qu’ils ne toléreront plus aucune irrégularité.
1692, Protocole des Quinze (2 R 96)
Christian Leiter d Müntz Bott Ca Hannß Sterle den Müller auff Hn Reichardts Mühl und Hannß Melchior Linck den Meelwäger, 276. Hannß Melchior Linck den Meelwäger wird cassirt, 277. Hannß Melchior Linck umb den Meelwäger dienst. 288.
(f° 275-v) Freÿtags den 14. 9.bris – Obere Müllerherren laßen per Hn Schragen proponiren, daß Christian Leiter, der Müntz Bott, sich beklagt, daß es jüngsthin Nicht richtig mit seinem Meel, so von Hn Reichardts Mühl Kommen, An der Meelwaag am Weißenthurn hergegang. Were, Und, da er sich deßwegen jm Umbgeldhauß angemeldet, die Herren dreÿ daselbsten ihme an die hand gegeben hätten dem Umbgelds Zedul Zur hand Zu bringen, Und d. Meel auff einer Andern waag wiegen Zulaßen, so er gethann Und sich gefunden habe, daß dreÿ säck Umb 44. lb zu leicht gewesen weren, Worauff er den Zedul Zum protocoll gelüfert, daraus Zu ersehen, daß d. Meelwäger, Nahmens Hannß Melchior Linck, d. Gewicht von 526. lb darauff gesetzt, die dreÿ säck aber mehr nicht als 482. lb gewogen, Und also 44 lb gefehlt haben, mit Vermelden, daß er Wider der Müller, weilen er ihme seithero Zweÿ sester Nachgetragen, Nicht mehr Zuklagen hätte, und dahero gebotten haben wolte, die sach auff sich beruhen Zulaßen, Nachdeme er, Herr Schrag, aber es gehörd, so habe er dafür gehalten, daß solches nicht wid. stillschweigen übergang. werden könte, jnn ansehung es eine große Untreu an dießem Meelwäger seÿe, Und jüngst allererst allen Meelwägern d. Statt und der Burgerschafft getreu Zu seÿn beÿ cassation angezeigt worden, dahero Er die Oberen Müllerherren davon Nachricht gegeben, die Für guth angesehen, daß H. Kornmeister d. Gewicht dem Ganthauß und das auff d. Meelwag am Weißenthurn gegen einand. conferiren sollte, so geschehen, und beede just und einschlägig befunden worden seÿe, Als mann solches gesehen, so habe mann den Müntzbotten gehörd, der eben das, was schohn erinnert worden, Nochmahlen beÿgebracht, Auff dießes hin seÿe auch der Meelwäger nze accepent en l’avertissant qu’ils ne toléregehört worden, der beditten, daß er d. Meel gewogen, Und dem Müller gesagt haben daß 8. lb darann Fehlten, Worauff d. Müller, Nahmens Hannß Sterle Von Unter Kröningen geanthworhet, daß derjenige, so ihm die Frucht jnn des Müntz Botten nahmen Zu mahlen auffgetragen, ihme befohlen die ohngenetzte Frucht Zu netzen, und Nicht seÿn Könte, daß die ohngenetzte Frücht d. gewicht in Meel Widergebte, 2. d. Moltzer, so Zu dreÿ säcken 18. lb mache, am Ganthauß Vielleicht Nicht abgezogen worden were, welches der Müntzbott bejahet, und, ware gleich dieße 18. lb Und die Andere 8. lb. zusammen 26. lb, Vor den 44. lb abgezogen würden, so Fehlten dannoch Noch18. lb Und hätte d. Meelwäger auff der Zedul d. gleiche Gewicht mit den Früchten Nicht schreiben, sondern das Was seinem vorgeben Nach er gefunden, daß gefehlet, allein darauff notiren sollen, Wie wohlen er sich damit entschuldigen Wolle, daß d. Müller versprochen habe, den botten deßhalben Zufinden gestellen, dieße sach seÿe Zwar auch vor die Mühlschauer Kommen, die sich aber deßen nicht Underziehen Wollen, da sie gehört, daß es beÿ den Oberen Müllerherren bereits anhängisch seÿe, jedoch, als sie hieoben erschienen, berichteten daß der Meelwäger sehr Kläglich beÿ ihnen gethan, Fast vor ihnen Nidergefallen Und umb barmhertzigkeit gebetten, Und dabeÿ Zu Verstehen gegeben habe, daß er sich gern submittiren wolte, Wann er Nr nicht cassirt würde, deme sie Nach dießes beÿgesetzt, daß die gantze sach von den Verehrungen her Käme, die die Müller den Meelwägern thäten, Wie dann Hannß Georg Staffelsteiner, der acht Räder Müller, so anjetzo einem von den Mühlschauern ist, es nicht leugnen könne, sondern gestanden, daß er ihme etwas ane Kott, Fleisch Und ein halb sester Weiß Meel verehrt habe, Inn Zwischen habe öffters gedachter Meelwäger dreÿ Fach gefehlet, 1. daß er Nicht recht gewogen, 2. daß er einen Falschen Zedul geschrieben und 3. daß er, geschenck /:dann er selbsten einen halben sester Weiß Meel gestanden:/ angenommen, Und Weilen also d. delictum enorm, so habe mann hierinnen Nichts erörteren, sondern es Mghh. decision überlaßen wollen. Hannß Sterle, der Müller, betreffend, so hielte Mann ohnmaßgeblich dafür, daß deßen abstraffung Vor die Mühlschauer gewießen werden könte, allein ebenmäßig Zu Mghh. stünde. Bedacht, wegen des Müllers beliebt, Was aber den Meelwäger belangt, so soll ihme, daß er cassirt seÿe, angezeigt, Und ein Anderer An seine stelle gesetzt werden, etwann 8. tag lang biß er ied. Supplicando einkomme, da als dann mann ihme Wied. genad gedeÿen laßen Könte.
(f° 287-v) Sambstag den 22. 9.bris – Hannß Melchior Linck d. Meelwäger am Weißenthurn, per Künast, prod. Und.thg. Fuß Fälliges Memoriale und Bitten ihm Wider gn: anzusehen, Vnd ihme den Meelwäger dienst gedeÿen Zu laßen.
Erk. Bedacht, anbeÿ aber denen Oberen Müllerherren committirt, ihn Wider anzunehmen, Und ihme dabeneben Künfftig Zu Zusprechen, daß er seinen Ampt Fürderhin beßer abwarthen, Widrigen Falls er ohn einige genad vor allzeit cassirt seÿn sollte.
Le secrétaire Frid rapporte aux Quinze que le peseur de farine Jean Melchior Linck est trop vieux et infirme pour remplir ses fonctions. Le syndic approuve son remplacement et appuie la demande d’aide à l’aumône Saint-Marc
1704, Protocole des Quinze (2 R 108)
Joh: Melchior Linckh Meelwäger ist untüchtig, Soll ein anderer Meelwäger erwöhlet werd. 72
Besetzung des Meelwiegers diensts am weißenthurn betr. 90. Jean Morell in außschuß bringen. 112.
(f° 72-v) Freÿtags den 7. Martÿ 1704. – Herr Secret. Fridt Proponirt daß Joh. Melchior Linckh der Meelwäger am Weißenthurn, wegen alters und blödigkeit, sein Ambt nicht mehr versehen könne, sond. mehrmahlen etwas letz einschreiben, deßwegen gestern die Obere Müllerherren davon geredt vndt Zu Mghherren stellen wollen, Ob Sie nicht vermeinen, daß eine Änderung an gnd. Meelwaag Vorgenommen werden solte, wobeÿ man davor halte, daß ged. Linck auff welchen fall, weilen Er bedürffig, den herren Pflegern Zu St. Marx Zu einer beyhülff recommendirt werden könte.
Herr Syndicus hielte davor, daß weilen periculum in morâ und dem publico daran gelegen, daß dieser Meelwäger dienst wohl versehen werde, auch bereits von den Obern Müllerherren davon geredt worden, eine Änderung Vorgenommen, vndt ged. H. Linck wegen seiner bedörffigkeit, beÿ Herren Rhät vnd XXI. den Stifft St. Marx Zu einer beÿstewr Recommedirt werden könte. Erkandt, gefolgt.
Jean Melchior Linck présente sa démission aux Conseillers et aux Vingt-et-Un. Les préposés le recommandent à la fondation Saint-Marc et ouvrent appel à candidatures.
1704, Conseillers et XXI (1 R 187)
Joh: Melchior Linck der Meelwäger am Weißenthurn resignirt seinen dienst. 94 dieße Meelwägers stell soll wider ersetzt werden. 95.
(p. 94) Sambstags den 22.ten Martÿ 1704. – Idem [H. Secretarius Frid] proponirt Vndt berichtet respectivé wie daß Johann Melchior Linckh dieselbe eines Meelwägers am weißenthurn lange Jahr Versehen, alldieweÿllen derselbe nunmehr aber gedachten dienst wegen hohen alters ferners Zu versehen nicht mehr im standt, als halten die obere Korn Hh. (nebst recommandation des selben ane die Hh Pflegere Zu St Marx) vor* nothig angesehen solche stelle durch ein anderwertiges subjectum fördelichst Verwalthen zu laßen Mghh. geziemendt ersuchende eine rubric beÿ der Cancelleÿ Zu erkennen. Erk. soll eine rubric beÿ der Cancelleÿ gemacht werden vnd werdt die Obere Vndt Rathh. ersucht durch Ihre Zunfftbüttel darzu Vmbkündten zu laßen.
Jean Melchior Linck, tailleur et peseur de farine, vend la maison (le domaine utile de la maison) au ramoneur David Bœttiger. En marge, quittance accordée aux enfants de son frère ses héritiers le jardinier Daniel Bœttiger et Marie Elisabeth Bœttiger, femme du pêcheur André Bock
1691 (30.3.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 286-v
(prot. fol. 64.b) Erschienen Hans Melchior Linck der Schneider und Mehlwäg. mit beÿstand hans Friderich Krämer deß Schneiders seiner Kinder 2. Ehe Vogts
hat in gegensein David Böttigers, deß Caminfegers mit beÿstand H. Andres Widmann deß Kirßners E. E. Kleinen Raths alten beÿsitzers – mit consens d. hohen Schulen allhier, inmaßen er auß der Schaffneÿ ged. hoh. Schul und den 19.ten Zu end gemeldt. Monaths ertheÿlte hierbeÿ vorgewisenen Schein bezeugt
die Erblehen gerechtigkeit od. d. dominium utile Einer behaußung mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, zugehördt. Rechten und Gerechtigkeit. allhier beÿ d. Schneider Knecht Stub geg. dem Pfalgäßlein hinüber, einseit neben weÿl. Georg Mergen geweß. Kirßners sel. Erben, anderseit neben Hn Johann Ziegler dem Kaüffler und E. E Kl. Raths alt. beÿsitzern & Cons. herauß die Beckenknecht Stub stoßend gelegen, welche behausung jure dominii directi obgemelte hehen Schul gehörig, und in recognitionem deß. dahin jährlich 12 ß d Ehrschatzig und fürbietig. Erbleh. zinß gibt, So seÿe solche behaußung auch noch umb 100 lb Capital dem blaterhauß allhier, Item umb 100 Capital. der Roth. Kirch, Item umb 50 lb Capital H. Johann Heinrich Bischoff E. E. großen Rhats alt. beÿsitzer verhafftet, sonst seÿe dieselbe geg. männigl. freÿ ledig vnd eÿg. Vnd ist dießer Verkauff vnd Kauff über die angegebene beschwerd. welche d. Kaüffer übernommen, und deßweg. d. Verkäuffer schadloß Zuhalt. Zugesagt hat fürgang. und geschehen umb 100 pfund
[in margine f° 287 v°] Erschienen Joh: Philipp Reiß der Schneider als creditorobcedirter 50 pfund d. der hat in gegenwartt weÿl. David Böttiger gewesten caminfegers und schuldners hinterlaßener bruders Kinder und Erben, Daniel Böttiger, des Gartenmanns, und Mariæ Elisabethæ geb. Böttigerin, Andreas Bock des Fischers ehefrauen (quittung), den 12. Februarÿ 1735
Fils de précepteur, David Bœttiger épouse en 1679 Judith, veuve du ramoneur Thomas Ammann d’Esslingen
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 183-v n° 60)
1679. Davidt Bötinger lediger caminfeger Cristoph Bötingers beÿsitzer V. præceptoris privati hinterlaßener ehelicher sohn, Fr. Judith Thomas Ammann burgers v. Caminfegers in Eßlingen hinterlaßene witwe (i 185)
Fille du brasseur Gaspard Hæffelin d’Augsbourg, Judith Hæffelin devient bourgeoise par son mari en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
1693, 4° Livre de bourgeoisie p. 629
Judith Häfelin Von Augspurg Weÿl. Caspar Häfelins gewesten biersieders daselbst hinterl. Ehel. tochter, empfangt das burgerrecht Von David Böttiger dem Caminfeger allhie, Ihrem Ehemann p. 2. Gold fl. 16 ß so sie bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt hat, Wird Zu E. E. Zunfft Zur Möhrin dienen. Promis. d. 1. Aprilis. 1693.
David Bœttiger se remarie en 1695 avec Anne Scheer, fille de boucher
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 49)
den 4. Maÿ A. 1695 seind Copulirt Worden dauid Böttiger Caminfeger V. Burger alhie Vnd Jungfr. Anna Johan Scheeren deß burgers v Metzgers alhie ehel. tochter [unterzeichnet] dauit böttiger als hochzeiter, hh dieses hat Jungfrau Hochzeiterin hieher gestetz (i 50)
Originaire de Mittelbergheim près de Barr, Anne Scheer devient bourgeoise par son mari
1695, 4° Livre de bourgeoisie p. 653
Anna Scherrin Von Mittelberckheim, Johann Scherren des Metzgers daselbst Ehl. tochter empfangt das burgerrecht Von David Böttiger, Ihrem jetz. Ehemann p. 2. gold fl. 16. ß so bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt Worden. Promis. d. 8. Junÿ 1695.
Anne Scheer meurt en 1699 en délaissant des héritiers collatéraux. Les experts estiment la maison 237 livres. La masse propre au veuf s’élève à 44 livres, celle des héritiers à 93 livres. L’actif de la communauté s’élève à 174 livres, le passif à 65 livres
1699 (25.5.), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 2)
Inventarium und beschreib: aller der Jenigen Haab und Nahr. so Weÿl. die Ehren und tugendsame Fr. Anna gebohrne Scheerin, deß Ehrenthafften Meister David Böttigers Camminfegers und burgers alhier zu Straßb. haußfr. seel. nach ihrem Mittwochs den 29. Aprilis dießes laufenden 1699. Jahrs genommenen tödlichen ableiben zeitlichen verlaßen (…) So beschehen in der Königl. freÿen Statt Straßburg auff Montag d. 25. Maÿ Anno 1699.
Die Verstorbene Fr. seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. den Ehrenhafften und bescheidenen Johannem Scheeren ledig. Schuemacher von Mittelbergh., so der Inventation in persohn Zugegen gewesen. 2. den auch Ehrenhafften Caspar Scheeren, Kiefern so ebenfals annoch ledig. standt und alhie Zu Straßb. in arbeit stehet, welcher aber dem geschäfft nicht beÿ gewohnet hat, So dann 3. 4. 5. Paul, Margaretham und Elisabethem gebohrne Scheeren, von besagten Mittelbergh. welche dreÿen Nahmen absonderlich weilen derenselben geschwornen Vogt hannß Jacob Rietsch burger alda laut Vorgezeigt schrifftl. gewalts vom 23. Maÿ 1699. der Inventation nicht beÿwohnen können, der Wohl Ehren Veste vnd Rechtsgelehrte H. Elias Winckler Nots: juratus pub. und burger alhie als erbettener assitent dem geschäfft persöhnlich abgewartet, Also alle Fünff geborne Scheeren und der verstorbenenn seel. hinderlaßenen leibliche geschwisterde vnd ab intestato nechste Erben zu gleichen Erbs portionen
Inn einer alhier in der Statt Straßb. in St: Barbara gaßen geg. dem Pfahlgäßl. über gelegener in dieße Verlaßenschafft gehörige vnd hernach beschriebener behaußung ist befund. worden wie volgt.
vff dem obern Kasten, In der Cammer An In der Cammer B, In der Cammer C, Vor dießem gemach, In der Wohn Stuben, Im Contor, Im Hauß öhrin, In der Kuchen, Im hindern Stübel, In der Cammer D, Im Keller (Ane Bücher)
Eigenthumb ahne einer Behaußung so des wittibers unverändert. (W.) It. die Erblehens gerechtigkeit, oder das dominium utime einer behauß. s. nebens gang v. hind. gebew vnd höflein mit allen deren gebeuwen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden vnd gerechtigkeiten gelegen alhier in der Statt Straßb. in St: Barbara Gaßen geg. dem Pfahl gäßl. über einsith neben hannß Martin Mentzer dem Kirßner 2.s. neben Hn Joh: Zieglern Kauflern v. E. E. groß. Raths Verwanth. hind. auf der Becken Knecht herberg stoßend gelegen, So durch der Statt Straßburg geschworne Hh. Werckmeistere d. 29.ten Maÿ 1699. æstimirt und angeschlagen word. pro 237. lb 10 ß d. Davon geh. Jährl. auf weÿhenachten der hohen Schuhlen 12 ß d ane Statt 2. Cappen Erblehens Zinß thun dem Zinß nach in Capital 12. lb d. Ferner 5. lb 5 ß d jährl. auf Matthiæ der Roth. Kirch. modo herrn Philipp Jacob Erharden in Schaffners weiß, ist abzulösen mit 105. lb. Weiters 4. lb d. hanß Melchior Lincken dem Meelwäger am weißenthurn Jährl. auf Mariæ Verkhündung. à 4 pro Cent. seind in hg. abzulößen mit 100. lb. Thun dieße dreÿ beschwerd. Zusammen in Capital 217. lb. Sonsten freÿ ledig vnd Eig. und restirt noch obangezogene beschwerd. hiehero in außwurff Zu bring. 20. lb. Hierüber sagt ein Perg. Kbr. in d. St: St. Cancelleÿ Contractstuben Insiegel Verwahrt datirt den 30. Martÿ 1691. mit altem N° 1 Und Jetzigem N° 2 signirt.
Ergäntz. deß Wittibers Unveränderter Guts. Vermög deß über deß Wittibers in den Ehestand Zugebrachten Nahr. durch weÿl. H. Notarium Joh: Christoph Stöffel seel. in Anno 1695. auffgerichteten Inventarÿ
Norma hujus Inventarÿ. Copia Heuraths Verschreibung. Copia Codicilli
Sa. deß Wittibers unverändert. haußraths 39, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 3, Sa. baarschafft 1, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 20, Summa summarum 65 lb – Schulden 21, Nach deren Abzug 44 lb
Hierauf wird auch der Erben Unveränderte Nahr. beschrieben, Sa. haußraths 18, Sa. Silbers 1, Sa. guldener Ringen 7, Sa. baarschafft 3, Sa. Ergäntzung 62, Summa summarum 93 lb
Endlichen wird auch die Theilbahre Nahr. beschrieben, Sa. haußraths 33, Sa. Silbers 5, Sa. baarschafft 70, Sa. Schulden 27, Sa. Wein und leeren Vaßen 28, Sa. früchten 9, Summa summarum 174 lb – Schulden 65, Nach deren Abzug 108 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 246 lb
Copia der Eheberedung – Zwischen dem Ehrenachtbaren Meister David Böttiger, Camingefern und burger, alhie Zu Straßburg als dem Breäuttigam ane Einem, So dann die Ehren Züchtig und tugendreichen Jungfrauwen Annä Scheerin, deß Ehrenhafften Johann Scheeren Metzigers und burgers zu Mittelbergheim Eheleiblicher dochter als der Jungfer hochzeiterin am Andern Theÿl (…) So geschehen und verhandelt in der königlichen freÿen Statt Straßburg Sonntags den 20. Monatgs tag Martÿ Newen Calenders Anno 1695
Abschatzung freitags d. 29.t Maÿ 1699. Auff begehren deß Ehrbahren vnd beschaidenen H. Dauit Böttiger burger Vnd Kamin fegers behaußung alhier in der Statt Straßburg hinder der Kirschner Stuben gegen dem pfall gäßlein über Ein seitzes Neben herrn Johannes Ziegler Jetzmalliger Rath. vnd Kaiffler anderseitzes Neben Meister hanß Martin Mentzer dem Kirschner hinden auff die beckhen Knecht herberg Stoßent Welche behaußung Sampt Nebengang vnd hinder gebeÿ Vnd höfflein, auch überigen begriff recht Vnd gerechtigkeit wie solches durch die geordnete Werckhleuthe on der besictigung befunden vnd dem Jetzigen preiß Nach angeschlagen Vor Vier hundert Sibentzig Vinff Gulden. bezigens der Statt Straßburg geschwohrner werckhleithe [unterzeichnet] Joseph Lauttenschlager, Werckh Maister deß Münsters, Jacob Staudacher werckh Meister des Maur hofs, Johann Jacob Osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs.
David Bœttiger se remarie en 1700 avec Barbe Heyer, fille d’un tailleur et commissaire priseur : contrat de mariage, célébration. Le futur époux assure à sa femme la jouissance viagère de sa maison derrière le poêle des Pelletiers.
1700 (17.6.), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 14)
Heüraths Verschreibung – zwischen dem Ehrengeachten Herrn David Böttigern Caminfegern und burger, alhier dem brautigamb ane Einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jungfr. Barbaræ gebohrner Heÿgerin, weÿland herrn Johann Michael Heÿgers gewesenen Schneiders und Kauflers auch burgers Zu Straßburg seel. nachgelaßenen ehelich erzeugten dochter der Jfr. Braut andern theils
Vor das Sechßte so verschafft der hochzeiter seiner geliebten Jfr. hochzeiterin den Gantzen vndern stock in seiner eÿgenthümblichen wohnbehaußung alhier gegen dem Pfahlgäßel über hinder der Kürßner thier gelegen also und dergestalten daß Sie Hfr. hochzeiterin solchen wann Er vor ihro versterben würde die tag ihres lebens widumbs weiß und nach hießiger Statt widembs recht genießen, bewohnen und usufruiren solle, ohne hinderung Männiglichs
So beschehen und verhandelt in der Königl. freÿen Statt Straßburg auf Donnerstag den 17. Junÿ Anno 1700. [unterzeichnet] daut böttiger als hochzeiter, barbara Heÿerin Als hochzeiderin, Johann Michel Küchel als der Hochzeiderin Schwager vnd vogdt beÿsandt
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 73-v)
d. 21. Jul. 1700 wird copulirt David Böttiger der burger Vnd Caminfeger alhier vnd Jungfr. Barbara, Herrn hannß Michael heygers burgers und Käufflers allhier hinterlaßene eheliche tochter [unterzeichnet] dauit bottiger alß hochzeiter, Barbara Heüerin als hochzeiderin (i 75)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison « rue Sainte-Barbe » face à la rue du Pilot. Ceux du mari s’élèvent à 306 livres, ceux de la femme à 99 livres.
1700 (4. 8.br), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 2) n° 58
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, so der Ehrenthaffte und bescheidene Mstr. David Böttiger Caminfeger und die Ehren unnd tugendsame fr. Barbara gebohrne Heÿgerin beede burgere und Eheleuthe alhier einander Zusammen in den Ehestand, Vermög vorher aufgerichten Ehepacten gemäß vor unverändert Zugebracht, welches alles umb künfftig etwan eräugnend. streits Zu Verhüetten (…) So bescheh. in Straßb. in beÿsein Hn Joh: Ludwig Kücheln Paßmentirers vnd burgers alhier der Fr. schwagers und erbettenen beÿstands auf Montag d. 4. 8.bris Anno 1700.
Inn einer alhier in der Statt Straßb. in St: Barbara gaßen geg. dem Pfahlgäßl. über gelegener vnd dem Mann Eigenthümlich Zuständig bewohnend. behaußung ist befund. worden wie volgt.
Eigenth. ahne einer Behaußung so der Mann in die Ehe gebracht. It. eine behaußung, oder d. dominium utime vnd Erblehens gerechtigkeit solcher behauß. sambt allen deren gebeuwen, begriffen, weith., Rechten, Zugehörden vnd gerechtigkeiten geleg. alhier in St. Barbara Gaßen geg. dem Pfohl gäßl. über i.s. neben hanß Martin Mentzer dem Kürßnern anderseit neben Hn Johan Zieglern dem Käuflern vnd E. E. großen Raths Verwanth. hind. auf der Becken Knecht herberg stoßend geleg. So durch der Statt Straßburg geschworne Herrn Werckmeistere d. 29. Maÿ 1699. dißorts vnvergreiflich æstimirt und angeschlag. word. pro 237. lb 10 ß d. Davon gehet ab Jährl. auf weÿhenachten der hohen Schuhlen 12 ß d anestatt zween Cappen Erblehens Zinß, thun in Capital 12. lb d. Ferner 5. lb 5 ß d jahrs auf Matthiæ der Roth. Kirchen modo hrn Philipp Jacob Erharden in Schaffners weiß, ist abzulösen mit 105. lb. Weiters 4. lb d. hanß Melchior Lincken dem Meelwäger am weiß. thurn Jährl. auf Ann: Mariæ à 4 pro Cto. seind in hg. abzulößen mitt 100. lb. Sonsten freÿ ledig vnd Eig. und ist dieße behaußung über obangezogene beschwerd. nach vorstehender der Hh. Werckmeistern æstimation annoch in außwurff Zu bring. Jedoch ohne præjuditz vnd v,vergreiflich bewilligt worden 20. lb. Darüber sagt ein Perg. Kbr. in d. St: Straßb. Cancelleÿ Contract stub. Insiegel Verwahrt datirt den 30. Martÿ 1691. mit altem N° 1 Und Newem N° 2 signirt.
Norma hujus Inventarÿ.deß Manns unverändert Zugebrachtes haußraths 170, Sa. Wein und Vaß 72, Sa. Silbers 34, Sa. guldenen Rings 1, Sa. baarschafft 6, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 20, Summa summarum 306 lb
Hierauf wird auch der Fr. Zugebrachter Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 51, Sa. Silbers 5, Sa. guldener Ringen 14, Sa. baarschafft 27, Summa summarum 99 lb
David Bœttiger meurt à l’âge de 56 ans le 20 mai 1708 en délaissant pour héritier son frère jardinier Philippe Bœttiger (voir les actes ultérieurs). Les experts estiment la maison à 350 livres lors de l’inventaire non conservé : cette valeur est reprise en 1734 à l’inventaire de la veuve
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. reg. B 1697-1710, f° 110)
1708. Sontags den 20. maj vormittags vmb 11 Uhr ist gestorben Meÿster Davidt Böttiger burger vndt Caminfeger allhier, vndt dinstags darauff als den 22. ejusd. auff dem gottesacker Zu St Helenæ begraben worden, seines alters 56. jahr vndt 16 wochen [unterzeichnet] Piliphus Böttiger als bruder, Christian Bolster als schwager (i 111)
La veuve se remarie en 1708 avec Jean Jacques Kiesel, trompette municipal : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire de 1735, célébration
Copia der Eheberedung. Zwischen dem Wohl Ehren und Kunsterfahren herrn Johann Jacob Kießeln trompeter und Einspänniger auch burger allhier Zu Straßburg als dem herrn bräutigamb ane Einem, So dann der Ehren und tugendsahmen Frawen Barbaræ Böttingerin gebohrner Heÿerin weÿl. deß Ehrenachtbahr vndt bescheidenen Meister Davidt Böttiger geschehenen Caminfeger und burgers zu ermelten Straßburg nunmehr seel. nachgelaßener Wittib als hochzeiterin (…) Beschehen und Verhandelt allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff Mittwoch den 14. Novembris in dem Jahr als mann nach vnßers einigen Erlößers undt Seeligmachers Jesu Christi gnadenreichen Geburth und Menschwerdung Zalte 1708, [unterzeichnet] Johann Jacob Kießel Als Hochzeiter, brbara böttigerin Als Hochzeiderin
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 119 n° 680)
Anno 1708 den 5.ten Decembr. seind nach geschehener ordentlicher Außruffung, in der Kirch zu St. Thomas eingesegnet worden, H Johann Jacob Kießel der Stadt Trompeter alhier und Fr. Barbara, weÿland David Böttigers deß gewesenen burgers und Caminfegers alhie hinterlaßene wittib geborne Heÿgerin [unterzeichnet] Johann Jacob Kießel alß hochzeiter, barbara böttigerin als hochzeiderin (i 121)
Barbe Heyer femme de Jean Jacques Kiesel fait dresser en 1716 l’inventaire de ses apports (217 livres, outre les présents de mariage) dans la maison de son mari près de l’église Saint-Louis
1716 (9.5.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 39) n° 1323
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so die Ehren und Tugendsame Frau Barbara Kieselin gebohrne Heÿerin, Zu dem Ehrengeachten Herrn Johann Jacob Kiesel, dem Statt Trompeter und Einspänniger auch burgern allhier Zu Straßburg Ihrem Ehemann in die Ehe Zugebracht und sich Vermög auffgerichteter Eheberedung Vor unverändert vorbehalten hat (…) So geschehen in Straßburg den 9. Maÿ A° 1716.
In einer allhier Zu Straßburg ohnfern St Louis gelegenen dem Ehemann v. deßen Kind.rn i.ster Ehe eÿgenthümblich gehörigen behaußung sich Volgender masen befunden
Sa. haußraths 1159, Sa. Silbers 11, Sa. Goldener Ring 20, Sa. baarschafft 26, Summa summarum 217 lb – Haussteuren 34 lb
L’héritier Philippe Bœttiger épouse en 1683 Catherine Knecht, fille de jardinier
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 164, n° 28)
1683. (W.) Dom XVIII et XIX. Tr. Philipp Böthiger der Gartenmann, Hanß Christoph Böttigers deß Schulmeisters Vndt Burgers alhier nachgel. ehel. Sohn, Undt J. Anna Catharina, Michel Knechts deß Gartenmanns vnd Burgers alhie hinterl. ehel. Tochter (i 102)
Philippe Bœttiger hypothèque la maison dont Barbe Heyer a l’usufruit au profit du jardinier Jean Georges Schleiffer
1721 (16.8.), Chambre des Contrats, vol. 595 f° 414
Philipp Bötticher garttenmann
in gegensein hanß Georg Schleifers auch gartenmanns – schuldig seÿen 25 pfund
unterpfand, Eine behausung und hoffstatt cum appertinentÿs allhier beÿ der Schneider Knecht stub gegen dem Pfahlgäßlein über, einseit neben Ziegler dem käuffler anderseit neben N N dem Kieffer gelegen, ihme per successone ab intestato nach seines bruders David Bötticher todt eigenthümlich anerwachßen, aber deßen wittib Barbara geb. Heÿerin mit lebtägigen wÿdumb verhafftet seÿe
Philippe Bœttiger et ses enfants majeurs sont dispensés de faire dresser un inventaire à cause de leur pauvreté
1728 (5. Aprilis), Livres de la Taille (VII 1176) f° 192
Philipp Böttiger der Gartenmann mit beÿstand seiner Kinder so samtlichen majorennes bitt um erlaßung der Inventur, Erkannt Willfahrt wegen bekannter dürfftigkeit.
Le trompette municipal Jean Jacques Kiesel et Barbe Heyer meurent tous deux en novembre 1734 à quelques jours d’intervalle. La femme laisse pour héritiers ses sœurs. La maison face à la rue du Pilot est décrite à la rubrique de l’usufruit de la défunte. La succession du mari s’élève à 101 livres, celle de la femme à 91 livres.
1734 (17. 9.br), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 16) n° 345
Inventarium über Weÿl. Herrn Johann Jacob Kiesel, geweßenen Statt Trompeters und Einspennigers auch burgers allhier Zu Straßburgn deßgleichen Weÿl. Frauen Barbaræ Kieselin gebohrner Heÿerin, beeder seelig verstorbener Eheleuthe Verlaßenschafften, auffgerichtet Anno 1734. – nach deme der Ehemann den 7. Novembris und die Ehefrau den 10. dito Anno 1734. tödtlichen Verblichen, zeitlichen verlaßen (…) So beschehen in Straßburg auff Mittwoch den 17. Novembris Anno 1734.
Der Ehemann seelig hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt. 1. Frau Annam Catharinam Hörderin gebohrne Kieselin Joh: Diebold Hörders, geweßenen haußfeurers und burgers allhier Verlaßene Ehegattin, so mit beÿstand Herrn Johann Daniel Stöbers, Notariatus Candidati diesem Geschäfft abgewartet. 2. Hrn Johann Jacob Kiesel, Paßmentirer und burgern allhier so anwesend war. 3. Hrn Josias Christoph Kiesel, Sattler und burger allhier so præsens war. 4. Hrn Johann Heinrich Kiesel, Bader und burgern allhier, in deßen Nahmen, weilen er Kranck und vor dem Schluß dieses geschäffts verstorben, auch vorgedachter Hn Stöber beÿgewohnt, Vorgemelte Vier Kinder hat der Verstorbene seel. mit weÿland Frauen Anna Margaretha gebohrner Jungin seiner ersten Eheliebstin seel. erzeugt.
5. Frau Margaretham Seitzen gebohrne Kieselin, Joh: Michael Seitzen des nunmahligen Schuldieners Zu Romansweÿler und burgers allhier Eheweib, welche beede Eheleuthe hiebeÿ angefunden. 6. Philipp Leopold Kiesel, Kunstgärtner und burgern allhier, so auch desem geschäfft in Persohn beÿgewohnt, Nahmens solcher Zweÿ letzterer Kinder so der abgeleibte seel. mit weÿl. Frauen Margaretha gebohrner Eberhardin seel. in zweÿter Ehe erzeugt, ist auch H Johannes Brackenhoffer Notarius publicus als ihr erbettener beÿstand gegenwärtig gewesen
Die Ehefrau seel. hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt. 1. Weÿl. Frauen Annæ Catharinæ Küchelin gebohrner Heÿerin seel. nachgelaßene und mit Hrn Johann Michael Küchel Paßmentirer und burgern allhier ehelich erzeugte Kinder, nahmentlich 1. Johann Philipp Küchel, bürstenbinder und burgers allhier, 2. Frau Dorotheam Deßlerin gebohrne Küchelin, hrn Johann Gottfried Deßler, Paßmentirer und burgers allhier Ehegattin 3. Johann Friderich Küchel Paßmentirer und burger allhier,
2. Frau Annam Ursulam Weberin gebohrne Heÿerin weÿl. Johann Geörg Webers, geweßenen burgers allhier nachgelaßene wittib. 3. Frau Susannam Mentelin gebohrner Heÿerinn Niclaus Mentels, Fischers und burgers allhier Ehegattin. 4. weÿl. Frauen Annæ Mariæ Inckelin gebohrner Heÿerin, Daniel Inckels Fischers und burgers allhier geweßener Ehegattin seel. Verlaßene Kinder, nahmentlich Jgfr. Anna Catharina und Johann Jacob, so bevögtigt mit Mr Joh: Jacob Schlund, Kübler und burgern allhier. 5. Frau Elisabetham Bolsterin gebohrne Heÿerin, Christian Bolsters Tabackbereiters und burgers allhier Ehefrau, so nebst Ihrem Ehemann anwesend war, alle fünff der verstorbenenn Frau seel. Geschwüstrige und geschwüstrig Kinder, alßo ab intestato zu gleichen Stammtheilen Verlaßene Erben
Copia der Eheberedung
Hierauff wird nun die Verlaßenschafft wie sich solche in hernach beschriebener dißortigen Kindern erster Ehe gehöriger ohnfern der Kirchen St Louis gelegener behaußung befunden
Höltzen und Schreinwerck, In der undern Wohnstub, in der Cammer iüber d. Stub, In der Cammer A
Eigenthum ane einer Behaußung. (der Kinder erster Ehe Mütterliche behaußung) Ein Haußn Hoff, Hoffstatt ohnfern der Kirchen Zu St. Ludwig und St. Elisabetha Gaß (…)
Eigenthum ane Einem Garthen (M. E.) Nemlichen ein Garthen in Königshoffen bann beÿ St. Gallen (…)
Ergäntzung der Frau seel. Erben abgegangenen unveränderten Vermögens, Innhalt Inventarÿ (…) durch weÿl. herrn Daniel Rohren Notarium publicum seel. in A° 1716. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Frau seel. Erben unverändert Guth, Sa. haußraths 40, Sa. Silbers 5, Sa. goldener Ring 8, Sa. baarschafft 4, Sa. Ergäntzung 33, Sa. Activ schuld 25, Summa summarum 116 lb – Schulden 15 lb, Nach deren Abzug 101 lb
Dießemnach folget auch des verstorbenen seel. hinterlaßene eigenthümliche Nahrung samt der theilbaren Verlaßenschafft, so weilen der Frau seel. Erben nach der Vorgegangenen Untersuchung des unveränderten und theilbaren Guths auch auff den Vorgelegten Summarischen Calculum den 24. Januarÿ A° 1735. auf das theilbare Guth tam active quam passive renuncirt, unter dem Titul alß des Manns seel. Erben gehörig, beschrieben wird. Sa. haußraths 96, Sa. Früchten 24, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 46, Sa. Guldener Ring 19, Sa. baarschafft 31, Sa. Anschlags des Gartens 92, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 406, Sa. Activ schulden 201, Summa summarum 918 lb – Schulden 826 lb, Detrahendo restirt 91 lb
Der Frau sel. genoßene Wÿdum. Die selbige hat von weÿl. Mr David Böttigers geweßenen Caminfegers und burgers allhier Ihres erstern Ehemanns seel. Verkäufer in wÿdumbs genuß gehabt. Nemlichen eine behaußung oder das Dominium utile und Erblehens gerechtigkeit solcher behaußung, samt allen denen Gebäuen, begriffen, weithen, Rechten Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen allier in der Statt Straßburg ane St. Barbaræ Gaßen, gegen dem Pfahlgäßel über, einseith neben hn Joh: Diebold Vogt dem ältern Holtzhändler, 2. Seit lb (-) dem umgelds botten hinden auff die becken herrberg stoßend, davon gehen Jährlichen auff weÿhenachten ane stat zween Kappen Erblehen Zinnß der hohen Schuhl allhier, thun Zu Capital ohnvergreifflich gerechnet 12. lb, Ferner 5 lb 5 ß Zinß Jahrs auff Matthiæ der rothen Kirchen modo in allhiesigen hospithal so abzulösen seind mit 105. lb. Weiters 2 lb d Zinß Jährlichen auff den 24. Junÿ Johann Philipp Reißner dem Schneider und burgern allhier so in hauptguth abzulösen seind mit 50 lb. Sonsten ist diese behaußung nicht beschwehrt und in dem über Mr David Böttigers seel. durch H. Joh: Peter Kolben Notarium seel. in A° 1708. auffgerichtetem Verlaßenschafft Inventario fol. 60.b æstimirt worden vor 350. lb. Abgezogen Vorstehende darauff hafftende onera so antreffen 167. lb, So seind hier ane dem Anschlag annoch in außwurff Zubringen 183. lb. Darüber besagt ein perg. Kbr. mit der St. Str. Cantzleÿ Contract Stub anhang. Inns. verw. datirt den 30. Martÿ A° 1691. mit alten Nis 1. et 2. signirt.
Abhandlung des in des Manns seel. Verlaßenschafft gehörigen eigenthümlichen Gartens (…)
Copia der Eheberedung. Zwischen dem Wohl Ehren und Kunsterfahren herrn Johann Jacob Kießeln trompeter und Einspänniger auch burger allhier Zu Straßburg als dem herrn bräutigamb ane Einem, So dann der Ehren und tugendsahmen Frawen Barbaræ Böttingerin gebohrner Heÿerin weÿl. deß Ehrenachtbahr vndt bescheidenen Meister Davidt Böttiger geschehenen Caminfeger und burgers zu ermelten Straßburg nunmehr seel. nachgelaßener Wittib als hochzeiterin (…) Beschehen und Verhandelt allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff Mittwoch den 14. Novembris in dem Jahr als mann nach vnßers einigen Erlößers undt Seeligmachers Jesu Christi gnadenreichen Geburth und Menschwerdung Zalte 1708, [unterzeichnet] Johann Jacob Kießel Als Hochzeiter, brbara böttigerin Als Hochzeiderin
(Extrait de baptême, enfants Kiessel)
Les préposés de la Taille interdisent aux locataires de la maison de verser les loyers aux héritiers Bœttiger qui sont entrés en possession de la maison après la mort de l’usufruitière jusqu’à ce qu’ils aient réglé leurs impôts
1735 (21.2.), Livres de la Taille (VII 1178) f° 9-v
demnach Weÿl. Philipp Böttiger des gartenmanns hinterlaßenen Kindern Von auch Weÿl. Fr. Kießelin der Einspännigerin genoßenem Wÿdemb eine behaußung gegen dem Pfahlgäßlein zugefallen und aber der Vatter annoch Verschiedene Stallgeltter schuldig, alß ist denen Inwohnern ein arrest auff die Zinnße angelegt worden, biß und solang wegen des Ruckstandtes Völlige richtigkeit getroffen seÿn wird.
Les enfants et héritiers de Philippe Bœttiger vendent le domaine utile de la maison au cordonnier Jean Georges Karch et à sa femme Marie Elisabeth Hœlbé moyennant 525 livres. L’acte mentionne que leur oncle a acquis la maison en 1691.
1736 (26.4.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 418-v
Daniel Böttiger Garttenmann für sich selbst und als mandatarius seines bruders Johann Böttiger Grenadier au régiment Appelgreen und H. Not. Abraham Kolb gleichfalls als gewalthaber erstged. Johann Böttiger bevollmächtigter so dann Maria Elisabetha geb. Böttiger weÿl. Andreas Beck Fischers wittib beÿständlich anfangs benannten Daniel Böttiger ihres bruders und Curatoris
in gegensein Johann Georg Karch des schuhmachers und Mariæ Elisabethæ geb. Höllbein, nach vorhin beÿ H. Pflegern der hohen schuel als domini directi hiernach beschriebener haußes (gesuchter erlaubnus)
das dominium utile oder die Erblehens: gerechtigkeit Einer Behausung bestehend in vorder und hinderhauß höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten hinter der Kürßner Zunfft stub beÿ St Barbara gaß gegen dem Pfalgäßlein über, einseit neben Johann Carl Heuß dem Umbgeldtsbott anderseit neben Diebold Vogt dem holtzhändler, hinden auff die Beckenknecht herrberg stoßend – davon gibt mann in recognitione domini directi 12 schilling ewigen erschätzig: und fürbietigem Erblehen zinnß – als erbens erben weÿl. David Böttiger des Caminfelgers ihres vatters seel. bruders der selbiges am 30. Martÿ 1691 erkaufft und seinen bruder der verkäufern vatter weÿl. Philipp Böttiger den garttenmann Zum universal erben hinterlassen hat – 525 pfund
Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit du fils mineur du boulanger Jean Georges Ensfelder
1736 (26.4.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 421-v
Johann Georg Karch der schuhmacher und Maria Elisabetha geb. Höllbein mit beÿstand ihres bruders Johann Georg Höllbe und ihres schwagers Heinrich Meÿer beede Schuhmachern
in gegensein H. Johannes Dürrbach Choragi und schuelmeisters zu St Aureliä als vogts weÿl. Johann Georg Ennßfeldter des haußfeurers jüngsten sohns Johann Philipp Ennßfeldter ledigen Beckenknechts – schuldig seÿen 400 pfund zu bezalung des kauffschillings hiernach beschriebener behausung
unterpfand, das heutigen tags erkaufft und aus jetzigem Vorschuß grösten theils bezahlte dominium utile oder die Erblehens: gerechtigkeit Einer Behausung bestehend in vorder und hinderhauß höfflein und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und rechten hinter der Kürßner zunfft stub beÿ St Barbara gaß gegen dem Pfalgäßlein über einseit neben Johann Carl Heuß dem Umbgeldtsbott, anderseit neben& Diebold Vogt dem holtzhändler, hinten auff die Beckenknecht herrberg stoßend – davon man in recognitione domini directi 12 schilling ewigen erschätzig: und fürbietigem Erblehen zinnß zu geben pflichtig
Originaire de Schwäbisch Hall, Jean Georges Karch épouse en 1722 Marie Elisabeth Hœlbé, fille de cordonnier : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire (minute non conservée), célébration
1722, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45, Eheberedungs Concepta, welche noch Zu expediren, f° 259 sqq)
Eheberedung – Joh: Georg Karchen Schumach: vnd Mariæ Elisab: Hölbein
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrenhafften Johann Georg Karchen dem ledigen Schuhmacher von Schwäbischen Hall gebürtig, Andreas Karchen des Kieffers und burgers alda ehelichen Sohn, als Hochzeither ane einem, so dann der Tugendsamen Mariæ Elisabethæ Holbein des Ehrenhafften Meisters Lorentz Hölbe Schuhmachers vndt burgers alhier ehelichen dochter alß hochzeitherin andern Theils – Und seind hievor geschiebene ding Zugegangen und beschehen den 16. Junÿ Anno 1723., Jacob Christoph Pantrion Notarius
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 4-v, n° 19)
1722. Mittw. d. 21. 8.br seind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet worden, Joh: Georg Karg der Ledige Schuhmacher Von Schwäbischen Hall, Andreas Karg b. v. Küblers daselbst ehl. Sohn, v. Maria Elisabeth, Lorentz Hellwe B. v. schuhmachers ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Georg Karg als hochzeiter, m² Elisabetha Hölbigin als hochzeiterin (i 8)
Jean Georges Karch devient bourgeois par sa femme en s’inscrivant à la tribu des Cordonniers
1722, 4° Livre de bourgeoisie p. 886
Johann Georg Karch der schuem. Von schwäbisch hall geb. erhalt das burgerrecht Von seiner ehefr. Maria Elisabetha Lorentz Hollwen des burgers und schuem. allhier ehelichen tochter umb die tertz des alten burger schillings, will beÿ E. E. Zunfft der schuemach. dienen. Jur. den 12.ten Xbr. 1722.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison des parents de l’épouse au Fossé des Tailleurs. Ceux du mari s’élèvent à 72 livres, ceux de la femme à 201 livres.
1723 (2.6.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 49) n° 84
Inventarium über des Ehrenhafften und Bescheidenen Meister Johann Georg Karchen, des Schuhmachers und der tugendsahmen Frauen Mariæ Elisabethæ Karchin gebohrner Hölbein, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1723. – Crafft ihrer mit einander auffgerichteter Eheberedung als ein unverändert Guth in den Ehestand Zugebracht (…) die Frau aber mit Assistentz des Ehrengeachten Meister Lorentz Hölbe, ihres leiblichen Vatters – So beschehen in Straßburg Mittwochs den 2. Junÿ Anno 1723.
In einer allhier Zu Straßburg auff dem Schneidergraben gelegener der Ehefrauen Eltern Zuständiger behaußung ist befunden worden, wie Volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachten Vermögens, Sa. haußraths 32, Sa. Silbers 6, Sa. der Baarschafft 34, Summa summarum 72 lb
Dießemnach wird auch des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 142, Sa. Silbergeschiff und gold 12, Sa. der baarschafft 46, Summa summarum 201 lb
Jean Georges Karch meurt en décembre 1747 en délaissant une fille. Les experts estiment 400 livres la maison rue des Sept-Hommes. La masse propre à la veuve est de 189 livres. L’actif de l’héritière et de la communauté est de 61 livres, le passif de 681 livres.
1748 (26.2.), Not. Hess (J. Jacques, 6 E 41, 1272) n° 124
Inventarium über Weÿl. des Ehrsahmen Joh: Georg Karcher geweßenen Schuhemachers und burgers allhier nunmehro seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1748. – nach seinem am 24.sten Decembris jüngst Verfloßenen 1747.ste jahrs genommenen tödlichen hintritt, hie Zeitl. Verlaßen, wie solche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der tugendsamen Frawen Mariæ Magdalenæ, Meister Joseph Dürlang Schuhemachers und burgers allier ehel. haußfrauw, mit assistentz desselben so der Verstorbenene seel. mit nachgemelter seiner hinterbliebenen Wittib ehel. erziehlet und ab intestato Zu Einer tochter und rechtsmäßigen Einzigen Erbin Verlaßen, Heüt dato ordnungsmäßig inventirt und ersucht, durch Fraw Mariam Elisabetham gebohrne Hölbein die hinterbliebene Wittib mit Zuziehung des Ehrbahren Meister Johann Georg Hölbe Schuhmachers und burgers allhier Ihres Leiblichen bruders undt erbettenen beÿsitzers (…) So beschehen Straßburg den 26.sten Februarÿ 1748.
Copia der Eheberedung
So in einer allhier Zu Straßburg ahne der Siebenmanns gaß gegen dem pfahlgäßlein gelegenen in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehöriger behaußung folgendermaßen befunden worden.
Ergäntzung der Wittib abgangen unveränderten Vermögens, besagt Inventarÿ illatorum über beeder geweßener Eheleuthe Zugebrachter Nahrung durch weÿl. H. Notarium Pantrion den 2.yen Junÿ Anno 1723. auffgerichtet dermahlen aber durch Herrn Notarium Brackenhoffern außgefertiget ist der Wittib ahne abgenagenem unverändertem Vermögen Zu ergäntzen als folget (…)
Eÿgenthumb an einer behaußung (T.) Ein hauß, hoff, hoffstatt und hinterhäußlein, mit all deren begriffen, weiten, Zugehörden Recht und gerechtigkeiten allhier in der Sieben Manns gaß gegen dem pfalgäßlein einseith neben Johann Carol Heuß dem Ohmbgeldts botten, ander seith neben Margaretha Mußin wittib und Hinten auff der Beckenknecht Herrberg stoßend gelegen, davon gibt man jahrs hoher Schuhl Straßburg ane erblehen Zinnß 12. ß d. Zu doppeltem Capital gerechnet thut 24 lb, Herr Philipp Reißner hatt in hauptguth darauff Zu erfordern 50. lb, Joh: Georg Klein biersieder Zum weißenbehren ahne hauptguth 250 lb, Joh: Conrad Mohl dem Schuhmacher ane Zinßguth 150 lb, Sammenthafft 474 lb. Alßo über dieße onera freÿ leedig und eigen. Darüber besagt ein teutsche Pergamente Kauffverschreibung auff allhießer Cancleÿ Contractstuben Verfertiget, de dato 26.ten Aprilis 1736. und dero größeren anhangenden Secret Insigel Verwahret. Und ist dieße Behaußung Vermög der Herren Werck Meister der Statt Straßburg überrichter schrifftlich unterschriebener Abschatzung angeschlagen worden Vor 800 gulden oder 400 lb. conferendo übertrifft das passiv onus der Hhn Werckmeistere anschlag benantlichen umb 74 lb
Series rubricarum hujus Inventarÿ der Wittib unverändert Vermögen, Sa. Haußrath 6, Sa. Silber 2, Sa. activ Schuldt 20, Sa. Ergäntzung 160, Summa summarum 189 lb
Und sowohl der Erben wenige unveränderte Vermögen als die übrige Verlaßenschafft unter einem titul als sogenant theÿlbahr beschrieben, Sa. haußrath 45, Sa. Werckzeug und gemachte arbeite 9, Sa. Silber Geschirr und Geschmeids 6, Sa. Behaußung o, Summa summarum 61 lb – Schulden 681 lb, Übertreffen die theÿlbahre passiva die so genante theÿlbahre activ Nahrung benantlich umb 619 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 430. b
Abschatzung d. 28. Februarÿ 1748. Auff begeheren Weÿland deß Ehrenhafften und bescheÿdenen Meister Johann Georg Karchers, deß geweßten Schuemachers und burgers allhier hinterlaßener Wittib und Erben ist dero behaußung allhier in der Statt Straßburg hinter der Sieben Manns gaßen einseit neben der Fraw Moßin Kiefferin, anderseit neben Carl Heiß Umbgelts botten hinten auff der Becken Herberg stoßend, gelegen Von ins unterschriebenen Werckhleüthen beschrieben und angeschlagen worden, solche aber hat unten im Eingang, Ein Stüblein und ein Küchel, auff dem Ersten stock Ein Stub, ein Hauß öhren und ein Küchen, auff dem Zweÿten stockh zwo Kammeren oben darüber unter dem Tach dreÿ Kammerlein so besetzt, darüber ein alter Tachstuhl mit hohl und breitziegeln gedeckt, hat Zu beeden seiten höltzerne Giebel, Es befindet sich auch ein Klein hinter gebäw im höfflein halb mit hohl und halb mit breit Ziegeln gedeckt, hat eion Stüblein und Kämmerlein darunter ein Schopff und Soldaten Kammer, wie auch ein gewölbten Keller, Solche behaußung ist mit alen Ihren begriffen und gerechtigkeiten nach beschehener besichtigung durch der Statt Straßburg geschwornen Werckleuthe dem Jetzigen Preiß nach angeschlagen worden 800 Gulden [unterzeichnet] Johann Jacob Biermeÿer stat Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters.
Copia der Eheberedung (…) den 16. Junÿ Anno 1723., Jacob Christoph Pantrion Notarius
Copia Codicilli – 1746 (…) auff Sonntags den 14. Augusti Nachmittag Zwischen vier und fünff Uhren der Ehrbahre meister Johann Georg Karcher Schuhmacher und die tugendsahme Maria Elisabetha gebohrne Hölbbein beede Eheleuthe und burgere allhier (…) in einer allhier Zu Straßburg dero hinter der Kürschner Stub gegen dem pfahlgäßlein gelegenen gedachten beeden Eheleuthen eigenthümlich zuständigen behaußung beruffen Kommen undt erbetten laßen, welche wie auff unser erscheinen in der obersten mit den fenstern auff gedachtes pfahl gäßlein aussehenden wohnstuben beede Zwahr sehr kranck und unpäßlichen leibes, dahero den Mann Zu bett die Fraw aber in einem sessel liegent (…) Johann Jacob Heß, Notarius juratus
Le cordonnier Joseph Durlang et Marie Madeleine Karch ainsi que Marie Elisabeth Hœlbé hypothèquent la maison au profit de Marie Salomé Wagenmann veuve du pharmacien Philippe Jacques Brackenhoffer et de sa petite-fille Marie Dorothée Obermüller pour en régler les frais de construction
1748 (10.12.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 844-v
Joseph Durlang der schuhmacher und Maria Magdalena geb. Karcherin mit beÿstand ihres vogts ad actum Lorentz Gilg des wirths mit fernern assistentz Gottfried Hölbe des schwerdfegers und Georg Wolffgang Kempff des schuhmachers beede ihrer vettern und erstgedachten Durlang eheleuthe respe. schwieger und mutter Fr. Maria Elisabetha geb. Hölbin weÿl. Johann Georg Karcher des schuhmachers wittib mit beÿstand Johann Adam Schiffmacher des seßelmachers
in gegensein Fr. Mariæ Salome geb. Wagenmännin weÿl. H. Rathh. Philipp Jacob Brackenhoffer des Apotheckers wittib und dero Enckelin Jfr. Mariæ Dorotheæ Obermüllerin vogts Valentin Schneegans des metzgers – schuldig seÿen 150 und 200 pfund zu bauung hiernach beschriebener behausung
unterpfand, eine behausung, hindergebäu, hoff und hoffstatt hinter der Kürßner zunfft gegen dem Pfalgäßlein, einseit neben Carl Heuß dem Umbgeldsbotten, anderseit neben der Maußischen wittib, hinten auff die becken herberg
Les mêmes hypothèquent pour la même raison la maison au profit des mineurs Sinninger
1750 (16.4.), Chambre des Contrats, vol. 624 f° 188-v
Fr. Maria Elisabetha Karcherin geb. Hölbin mit beÿstand Georg Wolffgang Kempff des schuhmacher und ihres tohtermanns und tochter Joseph Durlang des schuhmachers und Maria Magdalena geb. Karcherin mit beÿstand ihres vogts ad actum H. Joseph Friedrich Hölbe des silberarbeiters mit fernern assistentz Samuel Hölbe des schuhmachers und Johann Peter Forschet des sattlers
in gegensein H. Johann Adam Richard des schneiders als vogts Louisæ Catharinæ, Hermanni, Antoni und Tobias Richardi der Sinninger – zu bauung hiernach beschriebener behausung 300 pfund
unterpfand, eine behausung hinder gebäu und hoffstatt hinter der kürßner zunfft gegen dem Pfalgäßlein, einseit neben Carl Heuß dem Umgeldsbotten, anderseit neben der Maußische, wittib, hinten auff die beckenherberg
La maison est vendue le 5 novembre 1755 par enchère judiciaire (voir la référence aux actes ultérieurs) au tonnelier Christophe Seyler qui l’hypothèque quelques jours plus tard au profit de Catherine Elisabeth Helch, veuve du brasseur Jean Georges Klein.
1755 (28.11.), Chambre des Contrats, vol. 629 f° 366-v
Christoph Seÿler der kübler
in gegensein Fr. Catharinæ Elisabethæ geb. Helckin weÿl. Johann Georg Klein des biersieders wittib – schuldig seÿe 250 lb
unterpfand, eine behausung cum appertinentis in der Siebenmanns gaß, einseit neben den Mußischen erben, anderseit neben N Landgraff dem schuhmacher hinten auff die Beckenherberg
Christophe Seyler fait son apprentissage auprès du tonnelier Jean Michel Hügel de 1741 à 1744.
1741, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 421) Dienstags d. 7. Martÿ 1741 – Mstr Joh: Michel Hügel der Kübler nimbt zum Lehrjungen an Christoph Seÿler, weÿl. Balthasar seÿlers geweßenen hießigen burgers Ehl. Sohn umb solchen gegen erlag 50. fl. Lehrgelts und 6 fl. der fr. pro Discretione das Kübler handwerck vom 7.ten Martÿ 1741. biß dahien 1744 also dreÿ jahrlang Zu lehren die helffte von beÿden soll gleich anfangs die andere helffte aber Zu end der Lehrzeit bezahlet werden. dt. ut supra [dt. 15. ß d et pro protoc. 2 ß 6 d]
(f° 457) Dienstags d. 24 Martÿ 1744 – Mstr Joh: Michel Hügel der Kübler undt Hießige burger stellet vor Christoph Seÿler weÿl. Balthasar Seÿler, geweßen burgers undt geschwornen auff dem allhießigen Maurhoff Ehel. Sohn, meldet daß deßen Lehrzeit den 7.ten Martÿ verfloßen, auch beede wohl mit einander Zu frieden und bittet außthuung. Erk. wie gebetten dt. 30. ß pro delis. 3. ß 6 d pro protoc. pro Lehrbrieff 30. ß et pro sigillo 2 ß d
Christophe Seyler s’inscrit en mars 1756 au chef d’œuvre qu’il présente en mai 1756. Les examinateurs relèvent des imperfections mineures et reçoivent le candidat maître à part entière
1752, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 76) Dienstags d. 4. Martÿ 1756 – Christoph Seÿler der leedige von hier gebürtige Kübler stehet, und bittet ihne Zum Meisterstück einzuschreiben. Erkannt Willfahrt, Zahlt Werckstatten Zinnß 3 lb, pro prot. 5 ß, pro Findl. 2 ß
Designatio. Desjenigen Meisterstücken so vom 27. Julÿ 1752. biß den 8. Novembris 1781 verfertiget worden
f° 433) Mittwochs d. 19.t May 1756 ist Christoph Seÿlers des ledigen von hier gebürthigen Küblers meisterstück besichtiget und von den H. Schaueren referirt worden, daß die Wein Gölt ob ein unrand und ein wenig Zu schmahl, Wider den E. Eÿmer aber nichts einzuwenden seÿe, die bütt belangend wolche hätte inwendig i. Kleine einfug und an einem eck ebenfalls der boden seÿe um ½ viertels Zoll Zu schmahl und über ein eck um ½ viertels Zoll Zu lang, und an einem Eck Zu nieder, weilen aber solche fehler von Keiner consequentz, Erkennten sie ihn vor einen vollkommmenen meister, Welches H. Obmann auch confirmirte crafft unterschrifft, Unterschrieben Johann Simon Käuffer, Johann Jacob Brion, Daniel Baldner.
(f° 83-v) Dinstags d. 9. 9.bris 1756 – N. Leibzünfftiger
Mstr Christoph Seÿler der Kübler producirt Stall Schein vom 16. Septembris 1756 vermög weßen er sich daselbsten Ordnungs mäßig angemeldet, bittet ihme Zum leibzünfftigen anzunehmen. Erkannt, wie gebetten, dedit als eines burgers Sohn der sich an eines Zu&nftigen tochter verheurathet 1 lb 10 ß, pro Feüereÿmer 10 ß, pro prot. 5 ß, pro findl. 6 ß
Les héritiers du chirurgien Christophe Stricker rendent compte de la tutelle de ses biens à Christophe Seyler
1752 (1.3.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 60) n° 1504
Rechnung Weÿland Herrn Christoph Stricker geweßenen Chirurgi undt Wundartzten, auch burgers allhier Zu Straßburg, als geschwornen vogten Christoph Seilers leedigen Küblers auf der Wanderschafft sich aufhaltendt, weÿland baltasar Seiler des geschwornen auf dem allhiesigen Maurhoff mit auch weÿl. fraun Annæ Margarethæ gebohrener Langin ehelich erzeugten und nach tod verlaßenen Sohns, Inhaltend alles das Jenige, was derselbe von d. 29. Septembris 1745. Biß dem 1. Martÿ 1752.seinet wegen Eingenommen und wieder außgeben, Von deßen hinterlaßenen Kindern vnd Erben abgelegt. Vierdte vnd Letzte rechnung dießer Vogteÿ
Fils de Balthasar Seyler, employé au chantier des Maçons, Christophe Seyler épouse en 1756 Susanne Madeleine Brucker, fille de tonnelier : contrat de mariage, célébration
1756 (10.7.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 739) n° 110
Eheberedung – zwischen dem Ehren und Vorgeachten herrn Christoph Seÿler dem Leedigen Kübler Meister, weÿl. Hn Balthasar Seÿlers der geweßene geschwohrne bediente auf dem Mauerhoff und burgers allhier längst seel. nachgelaßenem Sohn, als dem Hn Bräutigam ane einem,
So dann der Ehren: und tugendsamen Jungfrauen Susanna Magdalena Bruckerin, weÿl. Hn Lorentz Bruckers des geweßenen Küblers und burgers allhier seel. nachgelaßene tochter, als der Jgfr. hochzeiterin ane dem andern theil
auf Freÿtag den 10.den Julÿ Anno 1756. [unterzeichnet] Christoff Seÿler als hoch Zeitter, Susanna Magdalena bruckerin als hoch Zeitterin
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 212-v, n° 18)
1756. D. X. et XI. post Trin. proclam. Mittw. d. 1. 7.bris copulati Christoph Seyler lediger Kübler u. b. h. l. weÿl. Balthasar Seyler gew. geschwohren auf hiesigem Maurhoff u. b h. l. ehelich Sohn u. Jgfr. Susanna Magdalena weÿl. Lorentz Brucker gew. Küblers u. b. h. l. ehel. tochter [unterzeichnet] Christoff Seÿler als hochzeiter, Susana Magdalena bruckerin als hochzeiterin (i 217)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison que le mari a apportée en mariage, estimée à 1 050 livres. Ceux du mari s’élèvent à 375 livres, ceux de la femme à 436 livres.
1757 (17.6.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 712) n° 240
Inventarium über des Ehren und vorgeachten Herrn Christoph Seÿlers des Küblers und der Ehren und tugendsamen fraun Susanna Magdalena Seÿlerin geb. Bruckerin beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1757. – und sich vermög der Vor mir unterschriebenem Not° den 10.ten Julÿ 1756. auffgerichteten heuraths Verschreibung Vor unverändert Vorbehalten haben (…) So beschehen in Straßburg in præsentia H. Joh: Daniel Hölßel hohldrähers des Ehemanns Stieffbruders und H. Lorentz Bruckers Küblers der Ehefrauen eheleiblichen Bruders beeder burgere allhier, auf Freÿtag den 17.den Junÿ A° 1757.
In einer allhier Zu Straßburg hinter der Kürßner Stub gegen dem Pfahlgäßlein über gelegenen dem Ehemann eigenthümlich zuständigen behaußung befunden worden, wie folgt.
Eigenthum ane einer Behaußung (M.) Eine behaußung hintergebäu, Hoff, Hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen rechten Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg hinter d. Kürschner Zunfftstub gegen dem Pfahlgäßel 1. s. neben Lorentz Landgraff dem Schuhmachern 2.s neben N. Mußen des Kieffers seel. nachgel. Wittib und Erben, hinten auf die becker herrberg stoßend, so über 12. ß d ewig. Ehrschätzig. und Vierbietigen Zinnßes freÿ leedig eigen und wird solches dißorths außgeworffen pro 1050. lb. Hievon gibt man ferner auf Joh. Bapt: 20. lb. d à 4 pro Cento gerechneten Zinnßes Frauen N. Kleinin der ehemahlig. geweßenen Weißbähren biersiederin Wittib, ablößig in Capital mit 500. und ist ferner dißorths abzuziehen das jenige so d. Ehemann von seiner Ehefrauen in bahrem Geld erhalten Thut wie hernach Zusehen 235. 15 4 ½, Macht beedes 736. 15. 4 ½. Nach welchem abzug ane dem ohnvergreifflichen Anschlag solcher behaußung dißorths übrig v.bleibt 314. 4. 7 ½. Über die behaußung sagt i. teutscher pergam. Ganth Kauffbrieff mit d. Statt Straßb. anh. Ins. Verwahrt datirt d. 5. 9.bris A° 1755.
Series rubricarum hujus Inventarÿ Des Manns in die Ehe gebracht Vermögen. Sa. haußraths 8, Sa. Werckzeugs auch holtz Zum Kübler Handwerck gehörig 33, Sa. Silbers 7, Sa. baarschafft 1, Sa. Eigenthums ane einer Behaußung 314, Summa summarum 365 lb – Darzugelegt die Ihme dem Ehemann vermög der Eheberedung gehörige helffte ane denen verherten haussteuren 10 lb, des Manns in die Ehe gebracht Vermögen 375 lb
Dießemnach wird nun auch der Frauen in die Ehe gebracht Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 66, Sa. Silbers 15, Sa. goldener Ring 19, Sa. baarschafft 250, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 75, Summa summarum 426 lb – Hierzu kombt ferner die Ihro der Ehefrauen gebührige helffte ane denen verehrten haussteuren 10 lb, der Frauen samtlich in die Ehe gebracht Vermögen 436 lb
Christophe Seyler et Susanne Madeleine Brucker hypothèquent la maison au profit de Catherine Elisabeth Klein née Helck
1764 (5.1.), Chambre des Contrats, vol. 638 f° 6
Christoph Seÿler der kübler und Susanna Magdalena geb. Bruckerin mit beÿstand Johann Daniel Höltzel des hohldregers und Johann Wilhelm Urspruch des krempen [unterzeichnet] ur spruch)
in gegensein Fr. Catharina Elisabetha Kleinin geb. Helckin – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Siebenmanns gaß, einseit neben den Mußischen erben, anderseit neben Lorentz Landgraff, hinten auff die Beckenherberg
Christophe Seyler et Susanne Madeleine Brucker hypothèquent la maison au profit du marchand Georges Frédéric Rosa
1786 (11.4.), Chambre des Contrats, vol. 660 f° 157-v
Christoph Seiler der küblermeister und Susanna Magdalena geb. Bruckerin unter assistentz Johann Daniel Broistetter des seidenknopffmachers und Lorentz Ziegel des küblermeisters
in gegensein H. Georg Friedrich Roßa des handelsmanns – schuldig seÿen 150 gulden
unterpfand, eine behausung samt Zugehörden in der Siebenmanns gaß, einseit neben Fr. Landgraffin, anderseit neben Philipp von Zabern wittib, hinten auff Beckenherberg
Inventaire après décès d’un locataire, le journalier manant Antoine Hunsinger, dressé à la requête de sa veuve Odile Hoffstetter
1788 (13. 8.br), Not. Stoeber (6 E 41, 1255) n° 667
Inventarium und beschreibung derjenigen Haab und Nahrung, so weiland Antoni Hunßinger der gew: tagner und schirmer alhier, nach seinem den 23. Martÿ diesen Jahrs erfolgten absterben verlassen hat, Welche succession auf gebührendes ansuchen und begehren Fraun Odilia geb. Hoffstettin der hinterbliebenen Wb. beÿständl. Mr Christoph Seiler des Küblers u. brs. allhier wie auch Johannes Rhin des Schirmers und Taglöhners allhier als geschwornen Vogts des abgeleibten mit Ihro der Wb. erzeugter beeder Kinder, benandl. Johann Michael so seit Michaelis diesen Jahrs 16 Jahr alt und Georg so seit Michaelis diesen Jahrs 12 Jahr zurückgelegt hat, inventirt und ersucht worden (…) So geschehen in einer zu Straßburg an der Siebenmanns gaß gegen dem Pfalgäßlein über gelegenen vorbes. Mr Christoph Seiler zuständigen u. dißorts lehnungsweiße bewohnenden behausung, Mittwochs den 13. Novembris Anno 1788
Bericht dießes Inventarÿ. Si declarirte die Wb. beÿständl. wie eingangs erwehner daß Sie Zu Zeit des Verheurathung keine Eheberedung mit dem Verstorbenen errichtet habe
Sa. Haußräthl. Mobilien 15 lb – Schulden 16 lb, In Vergleichung passiv onus 16 ß
Christophe Seyler meurt en 1799 en délaissant trois enfants. La masse propre à la veuve est de 50 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 2 400 livres, le passif à 3 491 livres
1799 (27 brumaire 8), Strasbourg 4 (30), Not. Roessel n° 157
Inventarium und beschreibung allderjenigen haab Nahrung und Güthern so weÿl. Christoph Seÿler der kübler nach seinem den 10. Thermidor 7.t Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen, auff ansuchen der Wittib burgerin Susanna Magdalena Brucker
der Verstorbene hat ab intestato zu Erben verlaßen seine mit der Wittib erzeugte noch lebende zweÿ Söhn und eine Tochter, 1. bürger Johann Christoph Seiler Kübler, 2. bürger Jean Seÿler Verheuratheter Schumacher zu Paris wohnhaft, 3. bürgerin Susanna Magdalena Seÿler bürgers Johann Daniel Hoelzel drehers Ehefrau
Eigenthum ane Einer behausung. Nemlich eine behausung hintergbäud hof und hoffstatt mit all deren Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten in der sieben Manns gaß gegen dem Pfahl gäßel mit N° 6 bezeichnet, einseit neben Lorentz Beck Schumacher, anderseit neben Zabern Schneider hinten auf b. Vierling vormals die beckenherberg, ohnpraejidicirlich und ohne consequenz angeschlagen worden pro 2400, hierüber besagt ein Kaufbrieff sub dato 5. Novembris 1755 mit dem kleinen Raths anhangenden Insiegel versehen vermög dessen der verstorbene Vatter b. Seiler dieses haus von Joseph Dürrlang des Schumachers erstern Ehefrau hinterl: Erben in seinem ledigen Stadt käuflich an sich geb. hat
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der Wittib natural posten 50 fr
die übrige mass, behausung 2400 fr, passiv schulden 3491 fr, Compensando 1091 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 70 F° 96 du 28 brumaire 8
Inventaire après décès d’un locataire, le cordonnier Jean Kettner
1804 (1 nivose 13), Strasbourg 3 (28), Not. Übersaal n° 855, 2659
Inventaire de la succession de Jean Kettner, cordonnier, décédé le 25 brumaire 13 – à la requête de Marie Salomé Eberlin la veuve tutrice naturelle d’Elisabeth née le 21 ventose 8, 2. Georges Théophile Scherer amidonnier, subrogé tuteur, 3. Christophe Seiler baquetier tuteur établi a Jean Michel né le 13 décembre 1783 procréé en premières noces avec Marie Salomé Gold sa femme divorcée, 4. Jean Lang passementier subrogé tuteur de Jean Michel – Contrat de mariage par le soussigné notaire le 17 germinal 10
dans une maison rue des sept hommes n° 6 appartenant aux héritiers Seiler
remploi de la veuve, souss. 26 prairial 11, 400 francs
propre des enfants, mobilier 75 fr, garde robe 24 fr, total 99 fr
communauté,capital 500 fr, passif 615 fr, déficit 115 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 95 F° 71-v du 3 nivôse 13
Jean Christophe Seyler et Jean Seyler cédent leurs parts de maison à leur beau frère et leur sœur le tourneur Jean Daniel Hœltzel et Susanne Madeleine Seyler
1805 (1 compl. 13), Strasbourg 12 (8), Not. Wengler n° 1355 du 1 fruct. 13, Adjudication
Jean Christophe Seyler bacquetier, Jean Louis Roos fondé de pouvoir de Jean Seyler cordonnier à Paris, Susanne Madeleine Seiler femme de Jean Daniel Hoeltzel tourneur comme héritiers de Jean Christophe Seyler bacquetier leur père décédé le 10 thermidor 7 et de Susanne Madeleine Brucker leur mère décédée le 1 germinal dernier
à Jean Daniel Hoeltzel tourneur copropriétaire du chef de sa femme à laquelle appartient le dernier tiers
le Domaine util d’une Maison bâtiment du derrière cour trés fond et dépendances sise a Strasbourg rue des Sept hommes n° 6, d’un côté le Sr Buck cordonnier d’autre le Sr Zabern tailleur devant ladite ruen derrière ci devant auberge des boulangers – dont le défunt père des requérants a fait l’acquisition sur la première femme de Joseph Dürrbach cordonnier de Strasbourg par vente forcée au Petit Sénal de cette ville le 5 novembre 1755
art. 2, grevée envers la fondation appelée hohe-schul de cette ville à laquelle appartient le domaine direct d’une rente emphythéotique et laudémiale de 2 livres 8 sols – criée 4000 francs
le 15 fructidor n° 1377 – le 1 complémentaire 13 n° 1410 dernière mise 4800 fr – 3200 fr la totalité à raison de 4800 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 97 F° 138-v du 2 vd 14
Fils de tourneur, Jean Daniel Hœltzel épouse Susanne Madeleine Seyler en 1794
Mariage, Strasbourg (n° 837)
Ce jourd’hui premier Germinal de l’an second de la République française une et indivisible (…) Jean Daniel Hoeltzel, tourneur, âgé de 33 ans, né et domicilié en cette Commune, fils légitime de feu Jean Daniel Hoeltzel, tourneur, & de Marie Elisabeth Saenger, et Susanne Madeleine Seyler, âgée de 27 ans, née & domiciliée en cette commune, fille légitime de Christophe Seyler, Bacquetier, et de Susanne Madeleine Brucker (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 20 août 1760 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 4 novembre 1766 (signé) Johann Daniel höltzel, Susanna Magdalena Seÿlerin (i 113)
Contrat de mariage de Christophe Seiler qui habite la maison
1813 (12.2.) Strasbourg 5 (37), Not. F. Grimmer n° 8099
Contrat de mariage – Christophe Seiler, baquetier demeurant en cette ville rue des Sept Hommes n° 6, veuf de Catherine née Thomas, fils de Christophe Seiler, baquetier, et de Susanne Madeleine née Brucker
Marie Elisabeth Simon, fille majeure demeurant rue des Sept Hommes n° 3, fille de Jean Frédéric Simon, tricoteur, et de feu Eve Marguerite née Erhard
dans la maison appartenant à la veuve et héritiers Faller notaire place des Moulins n° 18
Enregistrement de Strasbourg, acp 121 F° 145 du 17.2.
Inventaire après décès d’une locataire, Catherine Marthe Kraus femme du ciseleur Jean André Dahl
1826 (8.6.), Strasbourg 8 (41), Me G. Grimmer n° 1170
Inventaire de la succession de Catherine Marthe Kraus femme de Jean André Dahl, ciseleur, décédée le 29 décembre 1825 – à la requête du veuf, commun en bien en vertu du contrat de mariage reçu par Me Roessel le 7 avril 1812, père et tuteur légal d’Edouard Théodore né le 8 février 1815 & Emilie Frédérique née le 23 mars 1816 – en présence de Jean Frédéric Hoff, orfèvre, subrogé tuteur
dans une maison dans la rue des Sept Hommes n° 7 où les conjoints Dahl occupoient un logement
inventaire des apports, Me Roessel le 15 juillet de ladite année, le veuf apporte 1273 fr, en immeubles le huitième d’une maison rue de Schiltigheim n° 19
immeubles propres, le huitième indivis dans la maison rue de Schiltigheim n° 19 estimée 200 fr,
propres, meubles 467 fr, garde robe 73 fr, remploi créance
total 1286 fr, après déduiction 137 fr reste 1148 fr
communauté meubles 115 fr, passif 169 fr
Les enfants et héritiers de Jean Daniel Hœltzel et de Susanne Madeleine Seyler se partagent les biens de leurs parents. Les conjoints Hœltzel ont un fils et deux filles célibataires, la femme a eu en outre une fille naturelle Madeleine Seyler reconnue Kugler, veuve du cordonnier Chrétien Oberst. Jean Daniel Hœltzel meurt de vieillesse à l’âge de 81 ans.
1841 (8.12.), Strasbourg 12 (156), Me Noetinger n° 13.998
(Partage des biens de Jean Daniel Hoeltzel et de Susanne Madeleine Seyler)
Sont comparus Sieur Jean Jacques Hoeltzel tourneur, Melle Madeleine Hoeltzel majeure d’ans & Melle Marguerite Hoeltzel majeure d’ans, tous trois demeurant et domiciliés à Strasbourg, habiles à se dire et porter héritiers de feus Sieur Jean Daniel Hoeltzel, tourneur, & Dame Susanne Madeleine Seyler vivants conjoints à Strasbourg leur père & mère, Lesquels désirant faire constater l’état des succession ses Sieur et Dame Hoeltzel & procéder au partage des biens, droits & affaires qui les composent ont pour plus de clarté de ces opérations observé préliminairement ce qui suit.
Observations préliminaires 1. Jean Daniel Hoeltzel est décédé ab intestat à Strasbourg en son domicile le premier octobre 1841 laissant pour ses trois héritiers légitimes les trois comparans, 2° Susanne Madeleine Seyler est aussi décédée ab intestat en son domicile à Strasbourg le 18 novembre 1841 laissant pour des héritiers légitimes les mêmes trois comparans en conccurrence avec un enfant naturel né hors mariage qui a droit à un 12° de la succession comme représentant le tiers de ce qu’elle auroit eu si elle eut été légitime. Cet enfant naturel est la Dame Madeleine Seyler reconnu Kugler sans exercer d’état demeurant à Strasbourg veuve de M. Chrétien Oberst vivant cordonnier en ladite ville, à ce présente
3° Les époux Hoeltzel se sont mariés à Strasbourg en l’année 1792 sans avoir fait précéder leur union par un contrat qui en régle les conditions civiles donc avant la promulgation du code civil & leur union conjugale quant aux effets civils a donc été régie par les statuts locaux alors en vigueur à Strasbourg aux vœux desquels la communauté est partageable du tiers aux deux tiers, c’est-à-dire un tiers pour la femme et deux tiers pour le mari ou leurs héritiers & les immeubles sont réservés de part et d’autre.
4° après le décès des Sieur & Dame Hoeltzel aucun inventaire ni acte conservatoire n’a été dressé. 5° Aucun des héritiers n’ayant été doté par les auteus communs il n’y a pas lieu à rapport ni égalisation.
acp 293 (3 Q 30 008) f° 53 du 16.12. – Communauté, actif 6546
Succession de la dame Hoeltzel, actif 2182
Succession du sieur Hoeltzel, actif 2/3 de la communauté 4364
une maison à Strasbourg rue St Guillaume N° 2, évaluée 2000
Décès, Strasbourg (n° 2443)
Déclaration faite le premier octobre 1841 du décès de Jean Daniel Hoeltzel, âgé de 81 ans, né à Strasbourg, tourneur, époux de Susanne Madeleine Seyler, domicilié à Strasbourg mort en cette mairie le premier du mois courant à 7 heures du matin dans la maison située N° 2, rue St Guillaume, fils de feu Jean Daniel Hoeltzel, tourneur, et de feu Marie Elisabeth Saenger, Premier déclarant Jean Jacques Hoeltzel agé de 40 ans, tourneur, fils de défunt – [in margine :] marasme sénil (i 50)
Jean Daniel Hœltzel et Susanne Madeleine Seyler délaissent trois enfants
1861 (27.3.), Me Noetinger
Notoriété constatant que Jean Daniel Hoeltzel, vivant tourneur à Strasbourg est décédé le premier octobre 1841 et Suzanne Madeleine Seyler sa femme le 13 novembre 1841 et que Catherine Marguerite Hoeltzel leur fille est décédée le 6 janvier 1856 laissant pour héritiers ses frères et sœurs Jean Jacques et Madeleine Hoeltzel
acp 497 (3 Q 30 212) f° 42 du 1.4.
Catherine Marguerite Hœltzel meurt célibataire en laissant pour héritiers son frère et sa sœur, Susanne Madeleine Hœltzel meurt célibataire en laissant pour héritier son frère
1865 (22.7.), Strasbourg 3 (107), Not. Weiss (Emile) n° 1181
Notoriété (…) I. avoir parfaitement connu M. Jean Daniel Hoeltzel, vivant tourneur en bois à Strasbourg, et savoir qu’il est décédé en ladite ville ab intestat en 1840, qu’après son décès il n’a point été fait d’inventaire, Et qu’il a laissé pour ses seuls et uniques héritiers Jacques Hoeltzel, Catherine Marguerite Hoeltzel, Susanne Madeleine Hoeltzel chacun pour un tiers
II. avoir parfaitement connu Mlle Catherine Marguerite Hoeltzel, vivant sans état à Strasbourg, et savoir qu’elle est décédée en ladite ville ab intestat en état de célibat, qu’après son décès il n’a point été fait d’inventaire, Et qu’elle a laissé pour ses seuls et uniques héritiers ses frères et sœurs Jacques Hoeltzel et Susanne Madeleine Hoeltzel chacun pour moitié.
III. avoir parfaitement connu Mlle Susanne Madeleine Hoeltzel, vivant sans état à Strasbourg, et savoir qu’elle est décédée en cette ville en 1864 ab intestat en état de célibat, qu’il n’a point été fait d’inventaire après son décès, Et qu’elle a laissé pour seul et unique héritier M. Jacques Hoeltzel susnommé.
Jean Daniel Hœltzel et Suzanne Madeleine Seyler vendent la maison à l’appariteur Pierre Antoine Zottner et à sa femme Marie Salomé Bauer
1839 (1.8.), Strasbourg 12 (150), Me Noetinger n° 11.520
Jean Daniel Hoeltzel, tourneur, et Suzanne Madeleine Seyler
à Pierre Antoine Zottner, appariteur du Juge de Paix du canton sud de Strasbourg, et Marie Salomé Bauer
une maison consistant en bâtiment de devant et de derrière avec petite cour, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Sept Hommes n° 6, d’un côté M Beck, d’autre le Sr Münch boucher, devant la rue, derrière M Grucker boulanger – à la venderesse propriétaire pour en avoir recueilli un tiers dans la succession de Jean Christophe Seyler, bacquetier, et de Susanne Madeleine Brucker ses père et mère et d’acquisition de deux tiers sur Jean Seyler de Paris et Jean Christophe Seyler bacquetiers ses deux frères par acte reçu Me Wengler le 1 complémentaire 13 – que la maison n’est louée que par baux verbaux – moyennant 5000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 270 f° 74 du 7.8
Le tailleur d’habits Pierre Antoine Zottner épouse Marie Salomé Bauer en 1826 en reconnaissant une fille née un an plus tôt : contrat de mariage, célébration
1826 (25.3.), Strasbourg 13 (42), Me Bremsinger n° 3783
Contrat de mariage – Pierre Antoine Zottner, tailleur d’habits, fils de feu François Antoine Zottner et de Madeleine Weishaupt
Marie Salomé Bauer fille majeure de Jean Pierre Bauer, tailleur d’habits, et de Salomé Froelich
latéralent un enfant procréé par eux nommé Sophie Fanny née à Eckbolsheim le 12 avril 1825, les autres enfants seront élevés dans la religion évangélique professée par la mère
usufruit de la succession du prédécédé
Enregistrement de Strasbourg, acp 177 F° 158 du 28.3.
Mariage, Strasbourg (n° 93)
Acte de mariage célébré le 27 mars 1826. Pierre Antoine Zottner, majeur d’ans, né en légitime mariage le premier prairial an VIII à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Tailleur, fils de feu François Antoine Zottner, Journalier, décédé en cette ville le 4 février 1825 et de Madeleine Weishaupt, ci présente et consentante, et Marie Salomé Bauer, majeure d’ans, née en légitime mariage le 22 vendémiaire an VIII à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de Jean Pierre Bauer, tailleur, ci présent et consentant et de feu Salomé Froelich, décédée en cette ville le 10 février an XIII. Et aussitôt lesdits époux ont déclaré reconnaître et légitimer Sophie Fanny Bauer né d’eux à Eckbolsheim (BasRhin) le 12 avril 1825 (signé) Piere antoine Zottner, Marie Salomé Bauer (i 12)
Registre de population 600 MW 196, p. 66. Rue des 7 hommes N° 6
Zottner, Pierre Antoine, 1799, Strasbourg, Propriétaire, C.;m. (sorti) 30. 8.bre 1851, rue d’or 10
id. née Bauer, Marie Salomé, 1800 Strasbourg, P, ép
id. Emilie, 1831 Strasbourg, P. Enf.
id. Auguste Charles, 1837 Strasbourg, P. enf.
Pierre Antoine Zottner et Marie Salomé Bauer hypothèquent la maison au profit du rentier Jean Georges Bauer
1843 (26.8.), Strasbourg 12 (161), Me Noetinger n° 16.240
Obligation – Ont comparu Pierre Antoine Zottner, appariteur du juge de paix du canton sud de Strasbourg, et Dame Marie Salomé Bauer son épouse qu’il autorise aux effets ci après demeurant ensemble à Strasbourg (devoir légitimement)
à M Jean Georges Bauer rentier demeurant à Strasbourg, la somme principale de 2000 francs
hypothèque. Une maison d’habitation consistant en bâtiment de devant et bâtiment de derrière, avec petite cour, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg rue des Sept hommes n° 6, tenant d’un côté à M Beck, de l’autre le Sr Münch boucher, devant la rue et derrière M Grucker boulanger. (…) Les époux débiteurs affirment 1° que l’immeuble ci-dessus désigné leur appartient en vraie et incommutable propriété pour en avoir fait l’acquisition du Sr Jean Daniel Hoeltzel, tourneur et Dame Suzanne Madeleine Seyler sa femme, demeurant ensemble à Strasbourg, suivant contrat passé devant led M° Noetinger le premier août 1839, enregistré, moyennant la somme de 5000 francs
Pierre Antoine Zottner et Marie Salomé Bauer hypothèquent la maison au profit du compositeur d’imprimerie Frédéric Daniel Muntz
1847 (6. 8.br), Strasbourg 3 (92), Not. Burtz n° 1011
Obligation – Ont comparu le Sr Pierre Antoine Zottner, appariteur de M. le juge de paix du Canton sud de Strasbourg, et De Marie Salomé Bauer sa femme qu’il autorise aux effets ci après demeurant ensemble à Strasbourg (devoir légitimement)
au Sr Frédéric Daniel Muntz compositeur chez Mad. veuve Berger-Levrault imprimeur libraire demeurant à Strasbourg, la somme principale de 1500 francs
hypothèque. Une maison consistant en bâtiment de devant et de derrière, avec petite cour, droits et dépendances, située à Strasbourg rue des Sept hommes n° 6, tenant d’un côté à M Beck, de l’autre au Sr Münch boucher, devant à la rue et derrière à Mad. Grucker boulanger. Les emprunteurs déclarent que cette maison leur appartient en toute propriété au moyen de la vente qui leur en a été faite par le Sr Jean Daniel Hoeltzel, tourneur et De Susanne Madeleine Seyler conjoints à Strasbourg pour le prix de 5000 francs en vertu d’un contrat passé devant M° Noetinger notaire à Strasbourg le premier août 1839, transcrit le 22 du même mois vol. 350 N° 21, qu’il ddoivent encore la totalité dudit prix, et que la De Hoeltzel avait recueilli un tiers de la même maison dans les successions du Sr Jean Christophe Seyler, baquetier et de De Susanne Madeleine Brucker conjoints à Strasbourg ses père et mère,que les deux autres tiers recueillis dans les mêmes successions par les Sr Jean Seyler cordonnier à Paris et Jean Christophe Seyler baquetier à Strasbourg ses frères lui ont été vendus par ceux-ci suivant un procès verbal d’adjudication dressé par M° Wengler notaire à Strasbourg le premier jour complémentaire de l’an XIII.
Pierre Antoine Zottner et Marie Salomé Bauer vendent la maison au négociant Jonas Netter
1849 (31. 8.br), Strasbourg 12 (177), Not. Noetinger n° 21.557
Ont comparu le Sieur Pierre Antoine Zottner, appariteur du juge de paix du canton sud de Strasbourg & Dame Marie Salomé Bauer son épouse qu’il autorise, demeurant ensemble en cette ville rue des sept hommes N° 6 (ont vendu)
au Sieur Jonas Netter, négociant demeurant à Strasbourg, rue du jeu des enfants N° 14
Une Maison à deux étages sur rez de chaussée avec petite cour & bâtiment de derrière, droits & appartenances, située à Strasbourg rue des Sept Hommes N° 6, tenant d’un côté à M. Beck, d’autre côté au Sr Deuchler, par devant à la rue des sept hommes & par derrière au Sr Jacques Bock boulanger. Ainsi que cet immeuble existe aujourd’hui avec tout ce qui tient à clous & chevilles & tout ce qui est réputé immeuble par la loi, ainsi que le fourneau en fayence & deux en fonte avec leurs tuyaux & pierres, le tout sans réserve ni exception.
Les Epoux Zottner sont propriétaire de l’immeuble présentement vendu au moyen de la vente qui leur en a été faite par le Sieur Jean Daniel Hoeltzel, tourneur & Dame Suzanne Madeleine Seyler, sa femme, demeurant à Strasbourg, aux termes d’un contrat passé devant led M° Noetinger a son collègue le premier août 1839. Cette acquisition a eu lieu moyennant le prix de 5000 francs (…). Le contrat dont elle résulte a été transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 22 août 1839 volume 350 N° 21 (…). Ces derniers possédaient ledit immeuble comme étant avenu à la femme dans les successions de Jean Christophe Seyler, baquetier & Suzanne Madeleine Brucker sa femme décédés à Strasbourg dont elle était héritière conjointement & par tiers avec Jean Seyler cordonnier à Paris & Jean Christophe Seyler baquetier à Strasbourg, dont elle a acquis les deux tiers qui leur appartenait suivant particulier de licitation dressé par M° Wengler notaire à Strasbourg le premier jour complémentaire de l’an XIII. – moyennant 7500 francs
acp 388 (3 Q 30 103) f° 44
Natif de Niedernai, Jonas Netter épouse en 1827 Jeannette Levy de Ribeauvillé
Mariage, Niedernai (n° 10)
Acte de mariage célébré (…) le 28 novembre 1827. Jonas Netter, majeur d’ans, né en légitime mariage le 15 octobre 1796 à Niedernai, domicilié à Niedernai, revendeur, fils de feu Nathan Netter en son vivant Revendeur, domicilié à Niedernai où il est décédé le 2 juillet 1819 et de Bilha Bloch, domiciliée à Niedernai, ladite mère ci présente et consentante, et Jeannette Levy, majeure d’ans, née en légitime mariage le 12 novembre 1806 à Ribeauvillé (Haut-Rhin), domiciliée à Ribeauvillé, fille de Léon Levy, domicilié audit Ribeauvillé et de Sara Hirtz domiciliée audit Ribeauvillé, lesdits Père et mère ci présents et consentants (signé) Jonas Netter, Janette Levy (i 7)
Sociétés auxquelles participe Jonas Netter
1851, Enregistrement de Strasbourg, ssp 110 (3 Q 31 609) f° 73-v du 7.3.
Acte de société du 28 janvier 1851 – Entre Mr Jonas Netter, marchand de literie à Strasbourg Et M. Salomon Levy, marchand de nouveautés à Strasbourg, a été arrêté et convenu ce qui suit.
1° Les susdénommés d’associent en participation pour exploiter un commerce de meubles comprenant l’achat, la vente et la location de meubles
2° Le siège de l’association est fixé à Strasbourg place du marché neuf
3° La durée de l’association est fixée à six années qui commencent à courir le 25 mars 1851 pour expirer à pareille époque de l’année 1857
4° La raison sociale sera J. Netter et L. Salomon (…)
1856 (26.3.), Me Burtz
Acte de société – entre 1) Jonas Netter père, 2) Nathan et Léo Netter fils, les trois commerçants à Strasbourg
La société sans indication de l’espèce de commerce sera en nom collectif, sous la raison Netter père et fils dont le siège sera à Strasbourg et durera au Jour du décès du premier mourant. Le Sr Netter versera à la société toutes les sommes que réclameront les opérations sociales. Le Sr Nathan Netter verse la somme de 7200 francs et Leo Netter celle de 10.000 francs. Après le décès d’un des assoiés la société continuera de plein droit encore pendant une durée de cinq ans.Les autres articles sont purement réglementaires
acp 449 (3 Q 30 164) f° 15-v du 1.4.
Jonas Netter meurt en 1858 en délaissant huit enfants ou leurs représentants. Il lègue un quart de sa succession à sa belle-sœur dite aussi sa femme Sibille Levy ; les trois enfants reconnus qu’il a eu d’elle ne participent pas à la succession
1858 (2. X.br), Me Noetinger
Inventaire de la succession délaissée par Jonas Netter, négociant à Strasbourg où il est décédé le 17 novembre 1858, dressé à la requête de 1) Abraham Netter, négociant, 2) Léo dit Lazare Netter, négociant, 3) Hermann Netter, négociant, 4) Nephtali Netter, commis négociant à Genève, 5) Léopold Netter, commis, 6) Jeannette Netter, 7) Salomon Kossmann, revendeur, comme tuteur de Charles & Joséphine Kosmann enfants de feu Moïse Kossmann etd e feue Henriette Netter, 8) Rachel Netter, célibataire tous à Strasbourg, 9) Sybille Levy, célibataire au dit lieu.
acp 474 (3 Q 30 189) f° 59 du 13. X.br (succession déclarée le 11 mai 1859) Il dépend de ladite succession, Mobilier estimé 1332, marchandises 19.076, autre mobilier 500, créances bonnes 1813, créances douteuses 95, autre mobilier 1338, autres marchandises 9653, bénéfice dans la société Netter fils 19.403, autres créances 2373
deux stalles au temple israélite
une maison rue des sept hommes N° 6, loyer 118
1858 (29. 9.br), Me Noetinger
Dépôt du testament olographe de Jonas Netter Négociant à Strasbourg décédé le 17 novembre 1858, ledit testament en date du 7 mai 1850
acp 474 (3 Q 30 189) f° 24-v du 1. X.br
Enregistrement de Strasbourg, ssp 128 (3 Q 31 627) f° 54-v du 1.12.1859 – Me Noetinger, notaire (succession déclarée le 11 mai 1859) Testament – Je soussigné Jonas Netter lègue à ma belle soeur Sibylle Léwi en toute propriété la quatrième partie de ma future succession. Strasbourg le 7 mars 1853
Registre de population 600 MW 196, Rue des 7 hommes N° 6 (p. 69)
Netter, Jonas, 1797, Nidernay, Md. de litterie – (à Strasbourg depuis) 17 juin 1847, 1209, (auparavant) r. jeu des enfants 14, (entré) 25 janvier 50
id. née Levy, Sophie, 1812 Ribeauvillé, Ep.
id. Nathan 16 avril 1830, Nidernay, Enf. du 1. lit du mari – Négociant, (ensuite) 20. 7.b 1855 rue des Drapiers 9, marié
id. Léo, 1 Xbr 1832, Nidernay – Commerçant – Cert. R. p. Paris le 26 juillet 1855, rentré un mois après
id. Herrmann, 11 juin1833, Nidernay – Commerçant
id. Nephtali, 1 7.br 1834, Nidernay – Commis
id. Rachel 1737, Nidernay
id. Léopold 28 août 1738, Nidernay – Tapissier
id. Jeannette 1840, Nidernay
id. Pauline 1845, Nidernay, Enf. du 2° lit
id. Benjamin, 5 juillet 1848, Strasbourg
id. Jacques 23 8.bre 1849 Strasbourg
Naissance, Strasbourg (n° 1034)
Le 5 juillet 1848, a comparu Jonas Netter, âgé de 50 ans, commerçant domicilié à Strasbourg lequel nous a présenté un enfant du sexe masculin né à Strasbourg le 5 juillet 1848 à 5 heures du matin en la maison N° 14 rue du jeu des enfants, fils de lui déclarant et de Sophie Levy son épouse (i 7)
1860 (18.10.), Me Noetinger
Etat de compte, liquidation et partage 1) de la succession Jeannette Levy décédée épouse Jonas Netter vivant négociant à Strasbourg, décédée le 31 août 1839, 2) Baruch Netter, mineur décédé après sa mère, 3) dusit Sr Netter décédé le 17 novembre 1858. Entre 1) Nathan Netter, négociant, 2) Léo dit Lazare Netter, Négociant, 3) Herrmann Netter, Négociant, 4) Nephtali Netter commis négociant, 5) Rachel Netter célibataire, 6) Léopold Netter, négociant, 7) Jeannette Netter, mineure, 8) Herrmann Netter, marchand de meubles en qualité de curateur de Jeannette Netter interdite, 9) Abraham Gimpel Négociant à Strasbourg comme tuteur de Joséphine & Charles Kossmann enfants mineurs de feus Salomon Kossmann, revendeur mercier, et de Henriette Netter, les deux décédés, 10) Sybille Levy veuve en deuxièmes noces du Sr Netter, légataire pour un quart de feu son mari aux termes de son testament olographe en date à Strasbourg du 7 mars 1859
Le Sr Netter père outre les enfants sus mentionés a délaissé encore trois autres enfants nommés Pauline, Benjamin & Jacques Netter, exhabiles à lui succéder n’ayant aucun autre droit dans sa succession qu’aux aliments
acp 492 (3 Q 30 207) f° 86-v du 25.10. – Première partie. Succession de Mme Netter. Actif, reprises constatées par acte reçu Riss notaire à Nidernai le 4 novembre 1839 et montant à 2144
Succession de Baruch Netter. Elle consiste dans son 9° dans la succession de feu sa mère, ci 238 dont un quart revient à son père, 59 francs, et ¾ aux huit frères et sœurs, 178
Succession de Jonas Netter. Masse active 1) sa part dans la succession de son fils 59, 2) mobilier 1720, 3) marchandises 2500, 4) part dans la société père et fils 16.556, stalles à la synagogue 657, restant du prix de la maison 3509, Rapport des enfants (…), total 37.993
Masse passive 5607, reste 32.385. Il est observé qu’il sera distrait une somme de 5600 francs qui sera remise à Mme Levy pour la nourriture des trois enfants jusqu’à leur 21° année (…)
Mariage de Benjamin Netter, issu de Sophie Levy
Mariage, Strasbourg (n° 729)
Strassburg am 7. Decembre 1880. der Kaufmann Benjamin Netter, israelitischer Religion, geboren den 5. Juli des Jahres 1848 zu Strassburg, wohnhaft zu Paris (Frankreich), Sohn der verstorbenen Eheleute Jonas Netter, Handelsmann und der Sophie gebornen Levy, der Vater zuletzt wohnhaft zu Straßburg und die Mutter zu Paris, Julie Raas, ohne Beruf, israelitischer Religion, geboren den 14. Mai 1860 zu Galweston (Texas) wohnhaft zu Straßburg eheliche Tochter des verstorbenen Rentners Carl Raas zuletzt wohnhaft zu Straßburg und der Sara gebornen Blum Rentnerin zu Straßburg (i 75)
Les héritiers Netter cèdent leurs parts d’immeuble à leurs frères Nathan Netter et Lazare Netter
1860, Me Noetinger
Cahier des charges du 29 juin, déposé le 5 juillet – à la requête de 1) Nathan Netter, négociant à Strasbourg tant en son nom que comme mandataire de Léo dit Lazare Netter, Négociant à Strasbourg, 2) Herrmann Netter, Négociant à Strasbourg agissant tant en son nom que comme mandataire de Nephtali Netter commis négociant à Genève, 3) Rachel Netter célibataire à Strasbourg, agissant tant en son nom que comme mandataire de Léopold Netter, commis négociant à Paris, 4) Jeannette Netter célibataire à Strasbourg, 3) Abraham Gimpel Négociant à Strasbourg comme tuteur de Joséphine & Charles Kossmann enfants mineurs de feus Moïse Kossmann mercier et de Henriette Netter, 6° Sybille Levy veuve dudit Sr Netter en qualité de légataire pour un quart de feu son mari suivant testament olographe du 7 mars 1859
acp 489 (3 Q 30 204) f° 90-v du 5.7.
acp 490 (3 Q 30 205) f° 62 du 2.8. – Le 1 août, Adjudication définitive
1) une maison sise à Strasbourg rue des Sept hommes N° 6
2) deux places à la synagogue de Strasbourg
la maison, à Nathan Netter et ledit Lazare Netter, moyennant 8500 francs
place aux mêmes pour 650 francs avec réserve de nommer command (f° 62-v du 2.8.) Déclaration de command, 2 août – pour Herrmann Netter colicitant
Nathan Netter épouse en 1855 Minette Weill
1855 (18.9.), Flach subst. Noetinger
Contrat de mariage – Nathan Netter, négociant en plumes à Strasbourg, fils de Jonas Netter, négociant, et de feue Jeannette Levy, au dit lieu d’une part
et Minette Weill célibataire à Strasbourg, domiciliée à Mommenheim, fille de Théophile Weill commerçant et de feue Reine Haim d’autre part
stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent dans sa part indivise dans la succession de sa mère.
Donation par le Sr Netter au futur son fils ce acceptant en avancement d’hoirie 1) d’un maison estimé 350, 2) argent comptant 1000 francs
Les apports de la future consistent en une somme de 3000 francs qu’elle a reçue de la succession de sa mère
Donation par le Sr Weill à la future sa fille de acceptant 1) d’un trousseau estimmé 350, 2) argent comptant 2000 francs
acp 443 (3 Q 30 158) f° 52 du 25.9.
Léon (dit Lazare) Netter épouse en 1856 Julie Weil
1856 (26.3.), Strasbourg 3 (99), Not. Burtz n° 3984
Contrat de mariage – Ont comparu M. Léo Netter commerçant demeurant à Strasbourg, fils majeur de M. Jonas Netter aussi commerçant et de De Jeannette Levi son épouse défunte demeurant en la même ville, stipulant en son nom personnel comme futur époux
Madlle. Julie Weil, majeure demeurant également à Strasbourg chez Mad. sa mère, fille de feu M. Mathieu Weil en son vivant commerçant à Haguenau et de De Jeannette Adler sa veuve, rentière, demeurant à Strasbourg, stipulant en son nom personnel comme future épouse
acp 449 (3 Q 30 164) f° 15 du 1.4.
stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent en une valeur de 3532 francs
ceux de la future épouse en une valeur de 8381 francs
Donation par la veuve Weill à la future sa fille d’un mobilier estimé à 536 francs, mobilier dont elle se réserve l’usufruit
Nathan Netter et Minette Weill d’une part, Lazare Netter et Julie Weill d’autre part vendent la maison au commerçant Salomon Blum et à sa femme Julie Weill
1866 (2.3.), Me Noetinger
1) Nathan Netter, négociant, et Minette Weill sa femme à Strasbourg, 2) Julie Weill épouse de Lazare Netter négociant à Strasbourg duquel elle est mandataire
à Salomon Blum, commerçant & Julie Weill sa femme à Strasbourg
une Maison sise à Strasbourg rue des Sept Hommes n° 6, moyennant 10.000 francs – Origine, adjudication reçue Noetinger le premier août 1860
acp 552 (3 Q 30 267) f° 64 du 8.3.
Tous deux natifs de Bischheim, Salomon Blum et Julie Weill se marient en 1847
Mariage, Bischheim (n° 13)
Le 20° jour du mois d’octobre l’an 1847, Acte de mariage de Salomon Blum, âgé de 27 ans, né à Bischheim le 11 juin 1820, barbier domicilié à Bischheim, fils légitime majeur de Marx Blum âgé de 65 ans, *ier domicilié à Bischheim, ci présent et consentant, et de Pauline Levy âgée de 60 ans, sans état, domiciliée à Bischheim, ci présente et consentante, et de Julie Weill âgée de 19 ans, née à Bischheim le 15 août 1828, sans état, domiciliée à Bischheim, fille légitime mineure d’Abraham Weill, âgé de 50 ans, revendeur domicilié à Bischheim, ci présent et consentant, et de Fleurette Nerson âgé de 52 ans, sans état, domiciliée à Bischheim, ci présente et consentante (signé) Blum, Weill (i 8)
Décès, Strasbourg (n° 1341)
Strassburg am 5. Juni 1899 (…) daß der Rentner Salomon Blum, 79 Jahre alt, israelitischer Religion, wohnhaft zu Strassburg, geboren zu Bischheim, Unter Elsass, Ehemann von Julie geborner Weill, Sohn der verstorbenen Eheleute Max Blum, Handelsmann und Pauline Levÿ, zuletzt in Bischheim wohnhaft, zu Strassburg Siebenmannsgasse 7 am vierten Juni des Jahres 1899 Nachmittags um elf Uhr verstorben sei (i 155)