2, rue des Sept-Hommes
Rue des Sept-Hommes n° 2 – IV 390 (Blondel), N 894 puis section 60 parcelle 43 (cadastre)
Maître d’ouvrage, Jean Jacques Reussner, vers 1760 – Démolie en 1912, sol réuni à la voie publique
Coin de la rue des Sept-Hommes (à gauche) et de la rue Saint-Barbe (à droite), photographie prise en 1912 lors de la démolition. Le n° 2 est la maison la plus haute au milieu de l’image (AMS, fonds Schimpf, cote 112 Z 7)
Les maisons sont dans l’état représenté sur les élévations de 1830 pour le plan-relief, à l’exception de deux maisons surhaussées d’un étage
Rue des pelletiers à gauche, rue des Sept-Hommes à droite.
Le n° 2 est la maison à l’extrême droite format angle, à rez-de-chaussée et deux étages,
Plan-relief de 1725 (© Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Chargée d’une rente emphytéotique et laudémiale au profit de l’université, la maison se trouve d’après les actes anciens derrière le poêle des Pelletiers, face à l’auberge des compagnons tailleurs ou près la rue du Pilot. Elle appartient de 1611 au milieu du siècle au fabricant de pâtés Jean Michel Cellarius puis au cordonnier Mathieu Schlachtmann qui rachète son droit de bourgeoisie perdu par mariage en 1646. Le tailleur Jean Philippe Reussner l’achète en 1700 peu après son mariage et en transmet la propriété à son fils Jean Jacques Reussner qui la reconstruit vers 1760 comme le mentionne son inventaire après décès dressé en 1775. Une de ses petites-filles héritières se marie avec le tisserand en laine Jean Michel Wittmann qui obtient l’autorisation de vendre sur un même étal du tissu et du fil de laine puis fait faillite en abandonnant sa femme. La maison appartient ensuite aux cordonniers Jean Michel Nees puis Jean Georges Nees.
Cour (α) des dessins préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 188
L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue se trouve à gauche du repère (q) : grande fenêtre et porte d’entrée au rez-de-chaussée, trois étages à trois fenêtres chacun, toiture à deux niveaux de lucarnes. La petite cour (α) représente l’arrière (4-5-6-1) du bâtiment sur rue, le bâtiment latéral (1-2) à gauche de la cour, celui (2-3) au fond de la cour puis les murs de la propriété voisine rue Sainte-Barbe.
La maison porte d’abord le n° 8 (1784-1857) puis le n° 2.
Le propriétaire rachète le 29 août 1836 la rente laudémiale de 2,40 francs assise sur la maison au profit de la fondation de la Haute Ecole. La maison appartient successivement au fabricant de cire André Auffinger (1841-1845), à l’aubergiste Jean Christophe Schorong (1845-1846), au compositeur d’imprimerie Jean Schott (1846-1867) puis à l’employé au chemin de fer Charles Jean Dusch.
La maison figure dans le rapport sur les maisons anciennes qui se trouvent sur le tracé de la Grande Percée. Les enquêteurs notent que la maison de style Louis XV comprend une porte d’entrée surmontée d’un jour garni d’une grille et une balustrade sculptée au troisième étage. La maison est achetée par la Ville qui la fait démolir en 1912. Le sol réuni à la voie publique forme l’entrée de l’actuelle rue Sainte-Barbe rue des Francs-Bourgeois.
Plan cadastral de 1897, mis à jour en 1910 (AMS, cote 907 W 161)
mars 2018
Sommaire
Cadastre – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1620 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
1611 | v | Jean Michel Cellarius, fabricant de pâtés, et (1609) Anne Hey puis (1630) Dorothée Knopff – luthériens |
v. 1650 | (adj) | Jean Goll, marchand, assesseur au Sénat, et (1627) Dorothée Falck puis (1635) Félicité Ingold – luthériens |
1653 | v | Mathieu Schlachtmann, cordonnier, et (v. 1642) Marie Eve Hagdorn – luthériens |
1700 | v | Jean Philippe Reussner, tailleur, et (1697) Anne Marie Ensel – luthériens |
1751 | h | Jean Jacques Reussner, tailleur, et (1731) Anne Marie Westermann – luthériens puis les héritiers Anne Marie Lang et (1778) Jean Michel Wittmann, tisserand en laine, veuf de Susanne Marie Reeb (1766) Charles Frédéric Schultz, tondeur de drap, et Catherine Dorothée Lang |
1785 | v | Jean Michel Nees, cordonnier, et (1781) Marie Salomé Bollinger, (1784) Marguerite Barbe Ziegler puis (1807) Marguerite Marie Salomé Brennenmann veuve du farinier Jean Sigefroi Moser – luthériens |
1811 | adj | Jean Georges Nees, cordonnier, et (1790) Sophie Dorothée Fischbach, veuve du cordonnier Jean Léonard Kœssig (1786) – luthériens |
1841 | v | André Auffinger, fabricant de cire, (1830) Marie Steinmetz |
1845 | v | Jean Christophe Schorong, aubergiste puis sergent de police, et (1835) Joséphine Schmitt |
1846 | v | Jean Schott, compositeur d’imprimerie, et (1834) Dorothée Bastian |
1867 | v | Georges Mutzig, propriétaire, et Marie Catherine Schneider puis (1866) Catherine Wiesner veuve de Jean Conrad Hüttner |
1868 | v | Charles Jean Dusch, employé au chemin de fer |
1897* | h | Auguste Dusch |
v | Samuel Ledermann, boulanger, et Babette Cahn | |
v | Ville de Strasbourg |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 450 livres en 1735, 570 livres en 1779 (après reconstruction)
(1765, Liste Blondel) IV 390, Jean Jacques Reissner
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 894, Noess, Jean Georges, veuve – maison, sol – 0,65 are / Auffinger rue des Orfèvres
Locations
1718, Jean Christophe Geissler, rellieur, et Marie Salomé Tscherning
1772, Jean Jacques Clauss, tailleur
Voir aussi les comptes de tutelle
Description de la maison
- 1735 (billet d’estimation traduit) La maison chargée d’une rente emphytéotique et laudémiale comprend un poêle, petite cuisine, vestibule, chambres, chambre à soldat, petit passage sous lequel se trouve le bûcher fermé de lattes, petite cave voûtée, le tout estimé avec la cour, appartenances et dépendances à la somme de 450 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
2° arrondissement ou Canton Nord – Rue des sept hommes et rue Ste Barbe vers la place d’armes
N° / ancien N° : 16 / 8
Nus
Rez de chaussée et 3 étages bons en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 21 f° 259 case 4
Auffinger, r. des orfèvres à Strasbourg
Schorong, Jean Christophe, rue des 7 hommes 8 / de l’épine 13
Schott, Jean, rue des cordonniers 5 (1849)
N 894, maison, sol, cour, R. des 7 hommes 8
Contenance : 0,65
Revenu total : 122,34 (122 et 0,34)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 23 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus : 13 / 10
Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1000 case 2
Schott, Jean, rue des Cordonniers 6
1868 Mutzig, Georges
1870, Dusch Charles Jean
1897/98, Dusch August
Ledermann, Samuel, Bäcker in Güter getrennte Ehefrau Babette geb. Cahn
(ancien f° 748)
N 894, maison, sol, cour, rue des Sept hommes 2
Contenance : 0,65
Revenu total : 122,34 (122 et 0,34)
Folio de provenance : (259)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 23 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus : 13 / 10
Cadastre allemand, registre 30 p. 391 case 2
Le terrain du 1, rue Sainte-Barbe (case 1, F° 391) et celui du 4, rue des Sept Hommes (case 1, F° 391) est réuni à celui du n° 3 en 1913. Le tout est réuni en 1927 avec d’autres terrains à l’ancienne parcelle 23 et annexé à la voie publique
Parcelle, section 60, n° 43, (269 / 13) 236 – autrefois N 894
Canton : Siebenmannsgasse Hs Nr 2
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,72 / 1,71 (269 / 13)
Revenu : 1100 – 1900 (Reinertrag 8,55 / 3,60)
Remarques : 1912, Abbruch – 1913 Zug. S. 391 F 1, 3 – 1927 porté p. 387 c. 3
(Propriétaire), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IV, Rue 113 Des Sept Hommes (p. 194)
8
pr. Nees, Jean Michel, Cordonnier – Cordonniers
loc. Chambroz, Employé – privilégié
loc. Klinger, François, tailleur – Tailleurs
loc. Pauli, veuve Couturière – Manante
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Siebenmannsgasse (Seite 161)
(Haus Nr.) 2
Ledermann, Bäckermstr. 01
Schwartz, Handelsmann, 2
Zink, Schlosser, 3
Rehm, Schreiner, 4
Enquête sur les maisons du tracé de la Grande percée, 1907 (cote 133 MW 999), n° 75
Fragebogen
zur Feststellung der Altertümer in den für den Straßendurchbruch zum Abbruch bestimmten Häusern in Straßburg i. E. 1907
Questionnaire destiné à répertorier les antiquités dans les maisons vouées à la démolition pour réaliser la percée, Strasbourg, 1907]
Anmerkung. Den aufzuführenden Gegenständen ist ein Vermerk der Erhaltung hinzuzufügen und zwar bedeutet
+ sofort zu entfernen, * dringend zu erhalten, o an Ort und Stelle zu erhalten.
Diejenige Gegenstände die sofort zu entfernen sind, sind umgehend dem Kaiserlichen Denkmal-Archiv mitzuteilen.
[Remarque. On joindra aux éléments à répertorier une mention relative à la conservation, à savoir : (+) à démonter immédiatement, (*) à conserver absolument, (o) à conserver sur place. Il faudra signaler au Service impérial des monuments historiques les éléments à démonter immédiatement]
Haus : Siebenmannsgasse N° 2 [Maison : 2, rue des Sept-Hommes]
a) Geschichtliches : Melchior Fosse und Johann Egmont Reysseissen 1587 [Historique]
b) Zeitbestimmung Louis XV: [Epoque]
c) Zeicheriche Aufnahmen : Portal [Relevés sous forme de dessin]
d) Photographische Aufnahmen : [Relevé photographique]
I. Das Äussere [Extérieur]
II. Im Inneren [Intérieur]
- 8. Treppengeländer, Aus Bretten geschnittene Balluster [Balustrades d’escalier] en lattes ciselées
- 10. Eiserne Gitter, vergl. Bem. A [Grilles en fer] voir remarque A
- 25. Türbeschläge, 2 reichere Thürbänder III. St. [Ferrures de porte] pentures décorées au troisième étage
Bemerkungen :
A. Portal, mit Oberlichtgitter, zwei füllungs (*), Thürknopf
[Remarques –] Portail surmonté d’un jour garni d’une grille, deux panneaux, bouton de porte
Relevé d’actes
La maison appartient depuis 1611 au fabricant de pâtés Jean Michel Cellarius qui épouse en 1609 Anne Hey, fille d’un tonnelier d’Offenbourg.
Mariage, cathédrale (luth. p. 235)
1609. Dominica 23. Trinitatis. Hans Michael Cellarius der Bastdecken Beck und Anna David Hu des Kieffers von offenburck n.g. dochter (i 121)
L’inventaire après la mort d’Anne Hey est dressé en 1630 dans sa maison sise rue Sainte-Barbe face à l’auberge des compagnons tailleurs. La défunte laisse dix enfants. L’actif de la succession s’élève à 228 livres, le passif à 86 livres.
1630 (18.8.), Not. Oesinger (David, 37 Not 2) n° 7
Inventarium und Beschreibung Aller und Jeder ligender vnd vahrender haab Nahrung und güettere, So weÿlandt die Tugendsame Fraw Anna Heÿin, Mr Hans Michel Cellarÿ burgers und Pastetenbeckhen alhie gewesene haußfraw selig nach Ihrem absterben hinderlaßen, vnd vff erfordern, ansuchen vnd begehren des Erbaren vnd bescheidenen Mr Geörg Esel des Hoßenstrickers vnd burgers alhier Alß geschwornen Vogts Hannß Michels, Philipßen, Elisabethæ, Annæ, Mariæ, Caroli, Johannis, Apoloniæ, Magdalenæ vnd Daniels aller Zehen geschwisterden vnd obgedachter beeder Ehegemächt Ehelich erziehter Khinder fleißig Inuentirt – Actum Straßburg den 18. Augusti A° 1630.
Inn Einer Behaußung Alhie In der Statt Straßburg In St. Barbel gaßen beÿ der Schneider Knecht Herrberg gelegen, So In diße Verlaßenschafft gehörig vnd hernach sppecificirt würdt Ist befunden worden wie volgt
Auff der Obersten Büenen, Auff der 2. büenen, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In dem Obern Stüblin, Auff dem Gang, Auff dem boden In der Andern Stuben, Im haußöhren vor der Stuben, In der Obern Schubladen, In der Küch. In dem Sommerhaüßlin, Auff dem Gang, Vnd. In d. Werckhstatt, Im Keller
Eigenthumb Ane Einer behaußung. It. ein behaußung hoffstatt und höfflin mit allen andern Ihren gebewen, begriffen, weith. rechten vndt gerechtigkeiten, geleg. In der Statt Straßburg In St. Barbaræ gaßen geg. d. Schneiderknecht Herrberg über, i. seit neb. Martin Murben dem Schneider, 2. seit neben Christian Marckart dem Schneid. hind. vff die becken knecht Herrberg stoßendt, dauon gehen 12 ß geldt bod. Zinß vf d. H. Weÿhenacht tag etwan dem Bahrfüeßer Closter Jetzo d. Schulen alhie Zu Straßb., Mehr 10. fl. geldt Str. wr. vff h Mathistag ablösig mit 200. fl. ermelter wehr. Jr. hans Christoph Wormbßers Erben, Item wid. 10. fl. Zünßes Str. Wr. vff Johanns Baptæ fallendt Widerkäuffig mit 200. fl. berüerter Wr. herrn Philips Jacob Reiseisen, It. j lb gelts vff gedachten Johannis Baptæ lößig mit 20. lb d Capital H. Georg Dotzmann eines Ers: großen rhats beÿsitzern alhie, Ferner j lb 10. ß d Zinßes vff den 15. Augusti Jährlichen fallendt abzulößen mit 25. lb d besagt. H. Dotzman Zuständig, So dann 2 lb 10 ß gelts widerlößig mit 50. lb hauptg. H. Johann Däffnern dem weinhändlern sonst ledig und eigen. Und ist diße behauß. über jetzgehörte beschwerd. æstimirt und geschätzt word. für vnd vmb 160. lb. Darüber besagt ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff mit der statt Straßburg Contract anhangend. Insigel verwahrt datirt den 5. Maÿ Im Jahr des herrn alßman Zahlt 1611.
Sa. haußraths 65 lb, Sa. Werckzeugs 3, Sa. Eigenthums ane Einer Behaußung 160, Summa summarum 228 lb – Schulden 86 lb, Nach deren Abzug 131 lb – Conclusio 141 lb
Jean Michel Cellarius se remarie en 1630 avec Dorothée Knopff, fille d’un maçon de Haguenau
Mariage, cathédrale (luth. p. 287)
1630. Doîca 13 Trin. 22. Aug. Hans Michael Cellarius pastetenbeck vnd J. Dorothea David Knopf des maurers Zu Hagenaw e. tochter, eingesegnet Zinstag 31 ? Aug. (i 148)
Jean Michel Cellarius et Dorothée Knopf hypothèquent la maison au profit de Jean Goll, ancien assesseur au Grand Sénat
1640 (ut supra [18. Martÿ]), Chambre des Contrats, vol. 485 f° 222-v
(Lect. et confirm. vor E. E. Kleinen Rhat den 23. huius). Erschienen hannß Michael Cellarius Pastetenbeck alhie und Dorothea Knöpffin sein eheliche haußfr. mit beÿstand H Hannß Jacob Füeßingers und Philipp Elberts alß vß E. E. Kleinen Rhats mitel insonderheit stoßend gelegen
in gegensein H hannß Gollen Alten groß. Rhats Verwanth. – schuldig seÿen 100. fl.
dafür in spê. Und.pfand sein soll hauß und hoffstatt mit Allen And.en ihren gebäwen & Alhie beÿ der Schneider Knechtstuben, neben Martin Murpen Schreiner & Christian Marckert den Schreiner, hind. vf die Beckenknechtsstub stoßend, dauon gehen Jährlich 12. ß d Bodenzinß d. Schulen alhie, So seind sie auch noch verhafftet umb 200 fl. wehr. H Philipps Jacob Reißeisen
D’après l’acte de vente de 1653, la maison est attribuée aux héritiers de Jean Goll, sans doute par défaut de paiement de l’obligation ci-dessus. L’inventaire après décès de Jean Goll est dressé en 1644 dans sa maison Grand rue près de la rue des Fribourgeois. Il laisse une fille issue de son premier mariage avec Dorothée Falck et trois enfants issus de la veuve Félicité Ingold. La masse propre au veuf s’élève à 2250 livres, celle des héritiers à 18 215 livres. L’actif de la communauté s’élève à 11 963 livres, le passif à 18 399 livres
1644 (25.3.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 13) n° 7
Inventarium über Weÿland des Ehrenuesten Wohlfürgeachten vndt weÿßen herrn Johann Gollen, deß Eltern E. Ehrs. Großen Raths alhie altten Beÿsitzers seel. Verlaßenschafft auffgerichtet 1644. – Welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Edlen Ehrenvesten Fromm Fürsichtig weÿßen Hoch Ansehnlichen Hochgelehrten und Wohl fürgeachten herren Philips Jonas Reißeÿsen, des beständigen Regiments d. herren fünffzehen alhie, als Mariæ Dorotheæ deß ietz abgeleibten Herren mit weÿl. der Ehrn: vndt viel tugendreichen frawen Dorothea Falckin seiner ersten hfrauen seel. in voriger Ehe ehelich erzielter döchterlins erbettene herr vogt, wie auch herrn Mathæi Gollen handelßmanns burgers alhie Zu Straßburg, Alß Johannßen, Johannis Eliæ vndt Foelicitæ aller dreÿ auch deß ietzt abgeleibten herrn seel. mit der Wohl Ehren: vnd viel tugendreichen fraun Foelicitas Gollin gebohrner Ingoldin seiner ietz hinderlaßenen fraw wittwen ehelich erzielter Kinder geschwornen vogts vnd Herrn /Comitis Palatini und deß h Römisch. Reichs verschiedener ständt wohlbestelten Raths als beed. Ehe Kind. erbettenen General H. Theilvogts/ Georg Golts ane dem hochlöbl. Kaÿß. Cammeraths Zu Speÿr senioris procuratoris auch Advocaten, vnd also aller 4 geschwüsterdt und wohlermeldeter deß ietz erziehlter Kind. vnd ab intestato hinderlaßene nechster erben, durch obwohl ehrenernandte fraw foelicitas Gollin gebohrne Ingoldin sein hind.laßene fraw wittib mit rathshülff vnd beÿstandt des Ehrenuesten vndt wohl fürgeachten herrn Joh: Friderich von Gottesheim Schaffners Zu St. Nicolai in Undis Ihres erbettenen und geschwornen H. Tutoris geaügt und gezeigt – So beschehen und angefangen in beÿsein der auch Ehrenuesten fromm fürsichtig weißen hochachtbarhen vnd wohl fürgeachten herrn Jonæ Stöhren, auch des beständigen Regimens H. Fünffzehen allhier, Herrn Johann Philipp Ingoldts d. Statt Straßb. Kornmeisters vnd herrn Augustin Falcken Juris Candidati aller 3. necher Verwanther vnd hierzu dieß. Inventation erbettenen herren beÿstenderer, Montags den 25. Ipsa Annunciationis Mariæ den 25.t Martÿ A° 1644.
In einer alhiein der Statt Straßburg in der Straßen beÿ der Freÿburger gassen gelegenen undt hernach beschriebenen in dieße Erbschafft gehöriger Behaußung ist befunden worden wie folgt
Im vordern Großen Stock, Auf dem Obersten Kasten, Auff den Andern Kasten, Inn der Cammer A, Inn d. Obern Vordern Stuben, Inn dießer Stubkammer, Vor dießer Kammer, Inn der Speÿßkammer, Vor dießer Kammer, Im hindern Kleinen Stüblein, Vor dießer Stuben, Inn der Wohnstuben, Inn der Kuchen, Inn d. Speÿßkammer, Auff dem Andern Vordern Stockh, Inn der Kammer B, Inn der Cammer C (Inn dem Einen fußentrögl.), In der Obern Stuben in dießem Stockh, vor dießen Gemachen, Inn dem Gewölb, Inn der Bauch Kuchen, Im Sommer hauß,
Inn dem Mittlern stock, auff dem Obern Kasten, Auff dem 3. Kasten, Inn der Stuben in dießem stock, Inn dießer Stubkammer, Inn der Kuchen, Vor dießen gemachen, Vor dem Stall, Inn der Kammer vber d. Stall
Inn dem Vord.hauß, Im Hoff, Inm apffel Keller, Im hinter Keller vnd dem Mittlern stockh,
Inn dem Hauß in der Küffergaßen
Eÿgenthumb vnd Besserung Ane Heüßern so d. Erben ohnverändert. Item Eine Behaußung an der Obern Straßen (…)
Item hauß vndt Hoffstatt in der Küeffergaßen, so Zum Meÿenberg genandt (…)
Eigenthumb vnd Beßerung ane Heüßern so d. fr. wittwen unverändert. Item eine behaußung ane d. Ketten gaßen (…)
Ergäntzung der Fraw Wittwen unverändert Gutts, Auß dem vber weÿl. der Ehren vnd tugendreichen fraw Annæ gebohrner von Hohenburg weÿl. deß Edlen Ehrenvesten fromm fürsichtig vnd weÿßen H. Eliä Habacuc Ingoldt deß bestendigen Regiments der H. fünffzehen geheimen beÿsitzers hsfrw. d. fr. Wittwen Mutter seel. Verlaßenschafft auffgerichtetem Gemeinem Theil buch
Eigenthümlich gehörig der Erben unverändert Guth, Auß dem vber weÿl. der Ehren vndt tugendreichen frn Dorotheæ Falckin deß ietz abgeleibten herrn voriger hfraw nunmehr beed. seel. Verlaßenschafft auffgerichteten Inventario
Beschluß in dießen Inventari. Der Fraw Wittwen unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 138, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 172, Sa. Guldener ring Ketten Armbandt und geschmeids 257, Sa. Baarschafft 27, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1319, Sa. Güetter Zinnß 4, Sa. Gültten 45, Sa. Ergäntzung 185, Summa summarum 2250 lb
Der Erben Unverändert Gutt, Sa. haußraths 261, Sa. Lehrer Vaß 52, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 218, Sa. Guldener Ring 63, Sa. Baarschafft 21, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 25, Sa. häußer 2700, Sa. Ergäntzung 15 874, Summa summarum 19 216 – Schulden 1000, Nach solchem abzug 18 215 lb
die Theilbare Verlaßenschafft, Sa. haußraths 143, Sa. Früchten 59, Sa. Weins 196, Sa. Viehs wie auch Schiff und geschirr Zum Ackerbauw gehörig 64, Sa. Silber geschmeids 97, Sa. Guldenen rings und Geschmeids 7, Sa. Bahrschafft 523, Sa. Wahren 405, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 7058, Sa. liegende güther 1059, Sa. Schulden 2348, Summa summarum 11 963 lb – Schulden 18 399 lb, Nachstand 6435 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 15 131 lb
Eheberedung (…) auff Montag den 24. Novembris Ano 1634.
Le tuteur des enfants issus du deuxième mariage de Jean Goll vend la maison au cordonnier Mathias Schlachtmann. En marge quittance remise à Philippe Reussner en 1712
1653 (10. martÿ), Chambre des Contrats, vol. 514 f° 142-v
(Protocoll. fol. 21.) Erschienen H Johann Philipß Kast V.I.D. und E.E. Kleinen Rhats Advocatus & Procurator alß Vogt weÿl. H hannß Gollen EE groß. Rhats geweßenen Beÿsitzers nunmehr seel: Kinder letzter Ehe, benantlich Johannis, Johann Eliæ und Felicitatis mit beÿstand H Johann Wolffgang Heßlers und H. Hannß Peter Schmidts beed. alß uß E.E. großen Rhats mittel hierzu insonderheit Deputirter,
hatt in gegensein Matheß Schlachtmanns deß Schuhmachers
hauß, hoffstatt, höfflin, mit allen deren Gebäwen alhie hinder der kürschner Zunfftstuben, beÿ der Schneider Knechtstuben einseit Zum theil ein Eckh geg. dem Pfahlgäßlin theils neben weÿl. Christian Marquarts deß Kappenmachers seel. Erben, anderseit neben Martin Murben dem Schreinern hind. vff weÿl. H M. Johann Ulrich Pflegers gewesenen Diaconi zu St Wilhelm nunmehr seel. nachgelaßener wittibin stoßend gelegen, davon gehnd iahrs 12. ß etwann dem barfüßer Closter ietzt der Schulen alhie, welch. Zinnß Er seÿe erblehnung, erschätzig, fürbietig, bodenzinß od. gemein ewig. od. lößig wie es denen der Schulen darüber habende Documenten außweiß. wed. (…) so gehnd davon auch iahrs vff Mathiæ Apostoli 10. fl. wehr. lößig mit 200. fl. berührter wehr. dem Stifft Allheÿlig, stehen auß 4. Zinnß, (übernohmen) – umb 324 fl. à 15. batz.
[in margine :] erschienen /:tit:/ Herr Friderich Spielmann dreÿ Zehner alß Curator Frauen Barbaræ Gollin wittib gebohrner Braunin dero hiebeÿ gegebenen bericht nach die hierinn am Kauffschilling ein rest verbiebene 210 fl. gehörig seÿen, hatt in gegensein H. Philipp Reußners, deß Schneiders alß nunmahligen proprietarÿ hierinn beschriebenen hind. d. Kürßner Zunfft stueb liegend. Haußes (quittung) act. den 23.ten Julÿ 1712.
Mathieu Schlachtmann rachète le 30 mai 1646 le droit de bourgeoisie qu’il a perdu, pour lui et pour sa femme Marie Eve Hagdorn originaire de Sindelfingen en Wurtemberg. Ils apportent deux enfants.
1646, 3° Livre de bourgeoisie p. 912
Mattheus Schlachmann der Schumacher erkhaufft d. burgerrecht Widerub so er vorhero gehabt auß sonderbarer Gn. bewilligung vor sich v. sein haußfr. Mariam Evam Hagdornin von Sintelfingen vmb 10. Goldt fl. bringen 2. Kind. mit sich wird zu E. E. Zunfft der Schumacher dienen. Jur. den 30. Maÿ 1646.
Marie Salomé, l’un des deux enfants apportés lors de l’accession à la bourgeoisie, devient bourgeoise en 1678 après d’être mariée avec le pelletier Melchior Wœhrle
1678, 4° Livre de bourgeoisie p. 447
Maria Salome Schlachtmännin, von hier, empfangt das burgerrecht Von Melchior Wörlen dem Kürschner ihrem Ehemann p. 8. goldfl. welche beÿ der Cantzleÿ erlegt worden seind, ist ledig. standts gewesen. p.misit 9. martÿ 1678.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 267-v)
1676. Sonnt. XXIV Trinitatis. Melchior Wöhrle der Kürschner vnd burger allhier und Jfr. Maria Salome Matthiß Schlachtmann deß Schuhmachers vnd burgers allhier eheliche Tochter. Copulirt Donnerst. 16. 9.bruid (i 281)
L’inventaire après décès de Mathieu Schlachtmann figure dans le répertoire du notaire mais n’est pas conservé
1694, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45) f° 6-v
Inv. über weÿl. H. Mathei Schlachtmanns gewes. Schumach. alhier Verlassensch.
La veuve Marie Eve Hagdorn assistée de son fils Jacques Schlachtmann hypothèque la maison au profit du tailleur et peseur de farine Jean Melchior Linck. En marge, quittance remise en 1704 à Philippe Reussner.
1696 (18.6.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 324-v
Maria Eva geb. Hagdornin, weil. Matthäi Schlachtmanns, gewesenen Schuhmachers sel. nachgelaßene Wittib, so ohnbevögtiget, mit beÿstand Jacob Schlachtmanns auch Schuhmachers ihres leiblich. Sohns
in gegensein Johann Melchior Lincken, deß Schneiders und Mehlwägers, schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, der Schuldnerin dritter theil für ohnvertheilt an Hauß, hoffstatt, höfflein mit lallen deren Gebaüen, recht. und zugehördten allhier hinder der Kirschner Zunnftstuben beÿ der Schneider Knecht Herberg, so einseit Zum theil ein eck gegen dem Pfahlgäßlein, theilß neben hans Ulrich Frießen dem Schneider, anderseit neb. H. Johann Zieglern dem Schneider und Kaüffler auch E.E. großen Raths beÿsitzern hind. auff Philipp Zeittler dem Schreiner stoßend geleg., von welcher behaußung gehend jahrs termino Martini 12 ß d ewig od. lösig der hoh. schul allhier
[in margine :] (in gegensein) Johann Philipp Reußners des Schneiders, alß ietzigen proprietarÿ hierinn bemeldten hind. d. Kirßner Zunfft stuben beÿ der Schneider Knecht Herberg gelegenen Haußes (…) den 4. aug. 1704
Les huit enfants de Mathieu Schlachtmann, dont trois établis en Angleterre, vendent la maison 470 livres au tailleur Jean Philippe Reussner et à sa femme Anne Marie Ensel. C’est la première fois que la rente de 12 sols est présentée comme emphytéose de la Haute Ecole (université)
1700 (11.2.), Chambre des Contrats, vol. 573 f° 97
Weÿland Matthiß Schlachtmanns deß Schuhmachers seel. nachgelaßene Kinder und Erben Maria Salome geb. Schachtmännin, Melchior Wehrle, deß Kirßners haußfrau, Anna Margaretha geb. Lindauerin, Jacob Schlachtmanns des Schuhmachers haußfrau, im nahmen deßelben, Maria Sibÿlla geb. Schlachtmännin, hans Melchior Lincken, deß Schneiders und Mehlwägers Haußfrau, H. Christoph Wehrle, der Kirßner und E: E: kleinen Raths alten beÿsitzer alß theÿl vogt weÿl. H. M. David Schlachtmanns gewesenen Pfarrherrn zu Rödern sel. nachgelaßenen töchterleins Mariæ Dorotheæ, deß. vogt obged. Jacob Schlachtmann ist, und Maria Cleophe geb. Schlachtmännin, Christian Hahnen, deß Schreiners haußfrau, So dann Endlich H. Isaac Bitto der handelsmann, und E. E. Kleinen Raths beÿsitzer alß auß deßen mittel, weg. deß zu London in Engelland verstorbenen Isaac Schlachtmann gewesten Schuhmachers sel. Söhnleins, wie auch weg. Johann Philipp Schlachtmanns, auch Schuhmachers zu London, hierzu in sonderheit deputiret, So dann Die alle Geschwistrige ins gesambt auch weg. Mariæ Evæ geb. Schlachtmännin NN. Apotheckers zu Canderbürÿ in Engelland Haußfrau, welche einig. brieff. nach gestorb. sein solle, deren Verlaßenschafft aber Sie die übrige beÿ E. E. Kleinen Rath auß gebürgt hab., wie E. C Bitto hierbeÿ anzeigte
in gegensein Johann Philipp Reußners deß Schneiders und Annæ Mariæ geb. Enselin deßen haußfrau – mit Consens der hohen Schul verkaufft
die Erblehen Gerechtigkeit od. das Dominum utile an hauß, hoffstatt, höfflein mit allen deren Gebaüden, Begriffen, Weithen, Recht. Zugehördt. und gerechtigkeiten allhier hinder der Kirßner Zunfftstuben beÿ der Schneider Knechtstuben, so einseit zum theil ein Eck geg. dem Pfahlgäßlein theÿls neben H. Johann Ziegler den Schneid. und E. E. großen Raths alten beÿsitzer, anderseit neben Johann Ulrich Frieß dem Schneider, hind. auff Philipp Zeitler den Schreiner stoßend geleg., deß. Ober herrschafft od. dominum directum der obged. hohen Schul gehörig und dahin jährlich termino Martini 12 ß d ane erschätzig Erblehenzinß erträgt – um 200, 105, 50 pfund Capitalien verhafftet und geschehen umb 115 pfund
Fils de pelletier, Jean Philippe Reussner épouse en 1697 Anne Marie Ensel, fille de cordonnier : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire (original non conservé), célébration
1697, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Joh: Philipp Reißners Schneiders, vnd Jfr Annæ Mariæ Enßelin
Copia der Eheberedung – Zwischen dem Ehrenhafften Johann Philipp Reißnern dem ledig. Schneid. weÿl. Meister Johann Jacob reißners geweßenen Kürschners v. burgers alhier seel. hind.laßenem ehelichen Sohn, alß bräuttigamb ane einem, So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrauen Annæ Mariæ Enselin des auch Ehrenhafften Meister Johann Georg Ensels Schumachers v. burgers alhier ehelich erzeugter dochtern alß der Hochzeiterin andern theils – So beschehen vnd verhandelt in Straßburg den 14. Julÿ Anno 1697.
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 79, n° 420)
1697. Mittw. d. 14. Aug. wurd. nach Zweÿ mahl. außruffung copulirt Johann Philipp Reußner der ledige schneider v. B. allhier weil. Joh: Jacob Reußners geweßenen Kürßners v. B. allhier nachgel. ehl. sohn, vnd Jfr. Anna Maria, Johann Georg Enßels des schuhmachers v. B. allhier ehel. tochter [unterzeichnet] hanß Philipp reußner als hochzeiter, Anna Maria Enßelin als hochzeiterin (i 78)
Inventaire après décès d’une locataire, Marie Salomé Tscherning femme du rellieur Jean Christophe Geissler
1718 (2.4.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 43) n° 1420
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab Undt Nahrung so Weÿl. die Ehren und Tugendsahme fraw Maria Salome Geißerin gebohrne Tscherningin des Ehrbaren Johann Christoph Geißler buchbinder Undt burgers allhier Zu Straßburg geweßene eheliche haußfraw nunmehr seel., nach ihrem den 26. Februarÿ dießes lauffenden 1718.ten Jahrs beschehenen tödlichen ableiben, zeitlichen verlaßen, welche verlaßenschafft auf Ansuchen Johann Tscherning ebenmäßig, buchbinder und burgers allhier der abgeleibten seel. leiblichen Vatters und ab intestato nachgelaßenen Erbens fleißig inventirt – So beschehen in dießer Königlichen freÿen Statt Straßburg in fernerem gegenseÿn H. Anthoni Bitton buchbinder v. burgers alhier der abgeleibten seel. geschwistrigen geordneten Curatoris wie auch Zweÿen von deßen Vogts Töchtern, Sambstags den 2. Aprilis Anno 1718
Copia heuraths Verschreibung
In einer allhier zu Straßburg ane St. Barbaræ gaß gelegenen Philipp Reißner dem Schneider eÿgenthümlich Zuständigen behaußung sich Volgender maßen befunden
Installation des Erbens abgegangenen unveränderten Guths, Vermög Inventarÿ Concept über beede gewesenen Eheleuth in die Ehe gebrachte Nahrungen den 17. Xbris A° 1716. durch mich Eingangs gemelten Notarium Vergriffen
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Wittibers Vermögen, Sa. Werckzeugs 7, Sa. Silbers 16 ß, Sa. Ergäntzung 19, Summa summarum 27 lb – Schulden 12 lb
Silchem nach wird auch des Erbens anerstorbenen Veränderte Nahrung consignirt und beschrieben, Sa. haußrath 30, Sa. Silbers 1, Sa. goldener Ring 2, Sa. der Activ Schulden 15, Ergäntzung o, Summa summarum 49 lb – Schulden 3 lb, Detrahendo verbleiben 10 lb
Endlichen kombt auch die beschehen der gemein und theilbare Verlaßenschafft, Sa. der bücher v. werckzeugs Zum buchbinder handwerck gehörig 22, Sa. der Activ Schulden 3, Summa summarum 32 lb – Schulden 37, In Compensatione Theilbar Passiv onus 2 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 18 lb
Jean Philippe Reussner hypothèque la maison au profit de son fils Jean Jacques Reussner pour garantir la donation de 250 livres qu’il lui a faite lors de son mariage
1735 (22.2.), Chambre des Contrats, vol. 609 f° 118
Johann Philipp Reußner der Schneider
in gegensein seines sohns Johann Jacob Reußner des Schneiders
seinem sohn beÿ deßen anni 1731 vollzogener verhelichung (…) 250 pfund ahne elterlicher ehesteur gleich wie seine schwester Anna Maria geb. Reißnerin H. M. Jacob Schweickhard Evangelischen Pfarrers zu Meißenheim eheliebste bereits erhalten erhalten, mitzugeben versprochen (…) annoch schuldig sein
verlegt, die Erblehens gerechtigkeit oder das das dominium utile einer behausung höffleins und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten hinder der Kürßner zunfft stuben beÿ der ehemaligen Schneider knecht herrberg, einseit zum theil ist ein eck gegen dem Pfalgäßlein über theils neben Frantz Michael Göbel dem Musicus, anderseit neben Johann Carl Heiß dem Umbgeldsbotten hinten auff. Johann Groß den Schreinern, die Becken: knecht herrberg und Sporische kinder – auff Martini der hiesigen hohen schuel als domino directo bedütenen haußes 12 ß ane ewigen ehrschätzigen erblehenzinß
Anne Marie Ensel meurt en 1735 en délaissant deux enfants. Les experts estiment 450 livres la maison derrière la poêle des Pelletiers près la rue du Pilot. La masse propre aux héritiers s’élève à 216 livres. L’actif de la communauté s’élève à 297 livres, le passif à 222 livres
1735 (13.6.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 67)
Inventarium und beschreibung aller Haab und Nahrung, so weÿl. die Ehren und tugendsahme frau Anna Maria Reißnerin gebohrne Enselin, des Ehrenhafften herrn Johann Philipp Reißners Schneiders und burgers allhier, geweßene haußfrau nunmehr seel. nach ihrem den 12. febr. Jüngsthien aus dießem mühesamen Leben genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Viel Ehren und tugendreichen frawen Annæ Mariæ Schweickerdin gebohrner Reißnerin des Ehrwürdig und wohlgelehrten herr M: Johann Jacob Schweickards Pfarrers Zu Meÿßenheim haußfrauen, in deren nahmen weilen sie bekandter Läuffen halber nicht gegenwärtig seÿn Können der Ehrenhaffte und vorachtbahre H. Joh: Daniel Arnold, Glaßer und burger allhier alß Stieff vatter und Constituirter mandatarius, dießem Geschäfft beÿgewohnt, so dann des Ehrenhafften Meister Johann Jacob Reißners, Schneiders und burgers allhier beeder der abgeleibten frawen seeligen mit obernandem Ihrem hinterbliebenen Wittwer Ehelich erzeugter dochter und Sohns und ab intestato verlaßener Erben ersucht – So beschehen in Straßburg Montags den 13. Junÿ 1735.
Kurtzer Vorbericht gegenwärtigen Inventarÿ. Es haben des Wittwers bericht nach Sie eingangs gemelte beede Eheleuth auß verschiedenen Ihnen vorgefallenen hindernußen, nicht in die Ehe inventiren laßen, Weilen Sie von Mobilien und anderer fahrend. haab /:außer beederseits Kleÿdungen v. weißenzeugs an den leib gehörig:/ nichts im Geringsten zusammen gebracht, und waß sie folgendt Zu führung der Haußhaltung nach vollbezogener Hochzeit benöthighet waren, auß der Frauen see. zugebrachten und abgelößeten Capitalien, dis sich in Circa laut H. Johann Äckerlin dero vogts seel. abgelegte rechnung de Anno 1697. folio 10.b ane 408. lb pro tertia parte auff 136. lb beloffen, erkaufft und angeschafft
In einer allhier Zu Straßburg ohnfern dem Pfahl Gäßlein gelegener: und in dieße Verlaßenschafft gehöriger behaußung hat sich befunden wie folgt
(f° 8-v) Eigenthumb ane häußern. (T.) Erstlich. Hauß und Hoffstatt mit allen deßen Gebäuen, begriffen weithen Rechten Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg hinter der Kirschner Stuben, einseith neben Johann Carol Heußen dem ohm Geldts botten, anderseit neben Michel Göbel dem Statt Musicanten hinten auff Johann Groß den Schreiner stoßend, davon gibt man Jährlichen 12. ß ewigen Ehrschätzigen Erblehen Zinß der hohen Schuhlen alhier Zu Straßburg, so Zu doppeltem Capital gerechnet 24. lb. Item 10. lb Zinnß Johann Jacob Reißnern dem Sohn Jahrs auff den 22. Febr. ablößig in Capital so man demselben ratione der Ehesteur wie deßen verheurathete Schwester auch empfangen laut der in allhießiger Cantzleÿ Contract Stuben den 22.ten Febr.1735. auffgerichteten verschreibung rechtsmäßigen Zu erfordern hat benantlich 250. lb sonsten freÿ ledig und eigen. Dargegen haben die Geschwohrne Werckmeister obbeschriebene behaußung vermög überschickten Schatz Zeduls vom. 4. Martÿ 1735. allein angeschlagen per 225. lb. Solchemnach befindet sich das vorstehende behausung höher onerirt alß æstimirt benantlichen 49. lb. Darüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff mit der Contract Stuben anhangenden Insiegel verahrt dadirt d. 11. feb. Anno 1700.
Item hauß hoffstatt und höfflein mit allen deßen Gebäuen in St: Barbaræ Gaß (…)
(f° 10) Ordo Rubricar. Der Erben unveränderte Nahrung belangend. Sa. Kleÿder vnd weißen gezeugs 20, Sa. Gulden Ring. 2. Sa. Schulden 35, Sa. Ergäntzung 158, Summa summarum 216 lb
die Theilbare Verlaßenschafft belangend, Sa. Haußraths 35, Sa. lähren faß 2, Sa. Silbers 9, Sa. Eigenthums ane häußern 250, Summa summarum 297 lb – Schuld 222 lb, Nach deren Abzug 75 lb
Wann nun nechst vorstehende beede mit N° 1 et 2. notirte außwürff darinnen des wittwers Eigenthumb und wÿdemb bestehet, so er hin fürters Zu verstallen haben würdt zusammen gerechnet werden, so ist die beschluß summa Gegenwärtigen Inventarÿ benantlich, Conclusio finalis Inventarÿ 256 lb
Abschatzung dem: 4. Martÿ 1735. Auff begehren deß wohll Achtbahren und bescheitenen Meister Pflip reüßner, deß schneiters, ist eine behaußung alhier in der Statt Straßburg, hinder der Kurschner Stuben gelegen, ein seits Neben Johann Carell heiß ander seits Michell göbell statt Musicanten, hinden auff Johannes großen dem schreiner Stoßent, welche behaußung, stuben, Küchell, hauß Ehren, Camren soltaten Cammer gängelein, worunder holtz Cammer so mit latten zu geschlagen höfflein Kleiner gewölbter Keller, dieße behaußung ist Vor Kaufig und Ehrschätzig, sambt aller gerechtig Keidt wie solche turch der Statt Straßburg geschworne werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wierdt Vor und Umb Vier hundert und Vünffzig Gulten
Der 2.t: begriff ist auch alhier in der Statt Straßburg in der Babra gaßen gelegen (…)
Bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Copia der Eheberedung (…) Straßburg den 14. Julÿ Anno 1697.
(Copia codicilli) in dem Jahr alß man nach Christi unßers einigen Erlößers Gnadenreicher geburth Zalte 1735 (…) auff Freÿtag den 11. Monatstag Februarÿ Nachmittag zwischen Zweÿ und dreÿ uhren der Ehrengeachte H. Johann Philipp Reißner der Schneider und die Ehren: undt tugendsame Fraw Anna Maria gebohrne Enselin beede Eheleuthe und burgere zu Straßburg mich offenbaren geschwornen Notarium und hernachbenante glaubwitiburdige Gezeüg zu sich erfordern laßen, da wir dann Ihne den Ehemann gesunden: gehend und stehenden: Sie die Fraw aber unpäßlichen Krancken leibes auff einem bette liegend (…) Jacob Christoph Pantrion
L’inventaire après décès de Jean Philippe Reussner est dressé en 1751. La maison revient à son fils Jean Jacques Reussner
1751, Not. Brackenhoffer (Jean, répert. 65 Not 2) n° 894
Inventarium über H. Johann Philipp Reißners gew. Schneiders seel. Verl.
Jean Philippe Reussner déclare en novembre 1718 que (son fils) Jean Jacques a terminé son apprentissage de tailleur. Il inscrit en avril 1723 son fils au chef d’œuvre. Jean Jacques Reussner présente son travail le 20 août 1727, il est aussitôt reçu maître et devient tributaire en septembre 1731.
1723, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 344 et 345
Tailleurs XI 344 (1710-1723) (f° 138) Mittwoch den 2. Novembris 1718
Johann Philipp Reüßner spricht Johann Jacob Reüßner der lehr Jahr freÿ und ledig (dt. 5 ß d)
(f° 225-v) Dienstags den 6.ten Aprilis 1723
Johann Philipp Reüßner Vormahliger Meisters sohn alhier, laßet Johann Jacob Reüßner seinen sohn zum Meisterstück einschreiben (dt. 2 lb.)
Tailleurs XI 345 (1724-1735) (p. 169) Dienstag den 20.ten Aug. 1727 Erschienen Unter H. Jacob Reichert seinem Informatore Johann Jacob Reußner, bittet ihne seinem vorhabenden Meisterstück beliebigte Rieß auff zulegen, ist ihn deßwegen mit folgenden stücken bekant und will fahrt Worden
N° 1 Ein Manns Kleÿdt mit offenen Ermlen, N° 12 Ein Weiber Schoppen, N° 11 Ein Thurn hüter Rock.
Factâ relatione der Hh. geschwohrnen daß sie die hievorstehende Rieß gantz Wohl und löblich verfertiget befunden hätten, ist der Implorant inn deß allhießige meisterrecht auff und ahngenommen Worden
(p. 351) Donnerstags den 6.ten Septembris 1731
Johann Jacob Reußner, der schneider, des Johann Philipp Reüßners hießigen burgers u. schneiders Ehelicher sohn, Erhaltet auff producirten stall schein vom 5.ten hujus das Zunfft und stuben recht (dt. 12 ß)
Jean Jacques Reussner épouse en juillet 1731 Anne Marie Westermann, fille de cordonnier ; contrat de mariage non conservé, célébration
1731, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45, Eheberedungs Concepta, welche noch Zu expediren, f° 259 sqq)
Eheberedung – Joh: Jacob Reißners Schneiders vnd Jgf Annæ Mariæ Westermännin (Exp.)
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 92-v, n° 339)
1731. Mittw. d. 11. Jul. sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet word. Joh: Jacob Reußner der ledige schneider v. b. alhier Joh: Philipp Reußner b. v. schneiders ehl. Sohn v. Jfr.. Anna Maria weÿl. Christian Wester Manns geweß. b. v. schuhmachers Nachgel. ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Reißners als hochzeiter, Anna Maria Wästermänin als hoch Zeiterin, M. Jacob Schweikard p. t. pfarrer in meißenh. als schwager (i 97)
L’inventaire des apports n’est pas non plus conservé
1731, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Inv: über H. Joh: Jacob Reißners, des Schneiders und fr: annæ Mar: Westermännin, beed: Ehel: einander inden Ehestandt zugebr: Nahr:
Jean Jacques Reussner et Anne Marie Westermann passent un codicille alors que la femme malade est alitée
1745 (15.5.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 30) n° 737
Codicill – persönlich kommen und erschienen seint, der Ehrsame und bescheidene Meister Joh: Jacob Reißner d. Schneider vndt benebst ihme die ehr vnd tugendsame fraw Anna Maria gebohrne Westermännin beede Eheleuthe undt burgere alhier, Er der Ehemann aufrecht gesunden gehend vnd stehenden leibß auch darbeÿ guter richtiger Sinnen vnd vernunfft, wie wohlen die Fr. etwas schwach zu bette liegend
beschehen alhier Zu Straßb. in deß Ehemanns Elterlich. behauß. hinter der Kürschner Stuben beÿm Pfahl gäßl. gelegen dero obern Stuben mit denen festern auf die gaß außsehend – Sambstags den 15.te Maÿ Anno 1745. [unterzeichnet] Johann Jacob Reißner, Anna Maria Reißnerin
Anne Marie Westermann meurt en 1745 en délaissant quatre enfants dont l’un meurt aussitôt après sa mère. L’inventaire est dressé dans une maison derrière le poêle des Pelletiers face l’auberge à la Licorne dont ils ne sont pas propriétaires (la maison de Jean Philippe Reussner comme le porte le testament ci-dessus). La masse propre au veuf s’élève à 79 livres, celle des héritiers à 1 102 livres. L’actif de la communauté s’élève à 281 livres, le passif à 429 livres
1745 (9. Xbris), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 20) n° 737
Inventarium über Weÿl. der Ehren und tugendbegabten fr. Annä Mariä Reißnerin Geb. Westermännin H. Joh: Jacob Reißners des Schneiders und burgers allhier Geweß : ehelichen Haußfr. seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1745. – nach ihrem d. 11.ten Junÿ hujus Anni aus dießer Zeith vndt welt genommenen tödlichen hintritt hier zeitlichen verlaßen, welche Nahrungs Verlaßenschafft dato Zu Endt stehend auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des hinterbliebenen Wittibers, wie auch Mstr. Benjamin Westermann des Schumachers und burgers allhier als Geordnet und geschworenen Vogts Mariæ Salome, Annæ Mariæ und Johann Philippß der Reißnern, aller dreÿ der Verstorbenen seel. mit vorbesagtem hinterbliebenem wittiber ehelich erzeugter Kinder und nebst einem nach der Mutter Absterben und von dem hinterl. Wittiber ererbten Söhnlein nahmentlich Jacob Reißners Zu 4. Gleichen Stammtheilen Verlaßener Erben – Actum Straßburg d. 9.ten Xbris 1745.
In einer alhier Zu Straßburg hinter der Kirschner Stub gegen dem Würtz hauß Zur Einhörnel über Gelegenen hiehero nicht gehörig. behaußung hat sich befund. wie folgt
Ergäntzung des Wittibers Wehrender Ehe abgegang: ohnv: Guthß. Vermög Invent. über sein deß Wb. vnd seiner verstorb. ehefr. seel. einander in den Ehestand Zugeb. Nahr. durch nunmehr weÿl. Not. Jacob Christoph Pantrionn seel. d. 24. Julÿ 1731. auffgerichtet, von mir dem Notario aber d. 15. octob. 1740. ausgefertiget,
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung vide mein des Notarÿ Extens. Prot.
Copia Codicilly vide etiam mein des Notarÿ Extens. Prot.
des hinterblieb: Wittibers eigenthümliches Vermögen, Sa. haußraths 2, Sa. Silbers 3, Sa. baarschafft 44, Sa. Ergäntzung 78, Summa summarum 129 lb – Schulden 50, Nach deren Abgang 79 lb
Dießemnach wird auch der Erben ohnverändert Mütterlich Guth beschrieben, Sa. haußraths 56, Sa. leerer Faß. 1, Sa. Silbers 13, Sa. Goldener Ring 6, Sa. der baarschafft 81, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 725, Sa. Schuld 50, Sa. Ergäntzung (167, Abgang 10 ß rest) 167, Summa summarum 1102 lb
Endlichen wird auch das gemei, verändert und theilbar Guth beschrieben, Sa. haußraths 47, Sa. Weins vnd bütten 30, Sa. Silbers 7, Sa. goldenen Rings 18 ß, Sa. der baarschafft 194, Summa summarum 281 lb – Schulden 429 lb, In Compensatione 148 lb
Verstallungs Summa 1033 lb
Jean Jacques Reussner hypothèque la maison au profit de l’orfèvre Georges Frédéric Imlin
1757 (12.3.), Chambre des Contrats, vol. 631 f° 76
Johann Jacob Reußner der schneider
in gegensein H. Georg Friedrich Immlin des goldarbeiters – schuldig seÿe 500 pfund
unterpfand, eine behausung mit allen deren begriffen und rechten ane der Siebenmannsgaß, einseit ist ein eck, anderseit neben Lorentz Landgraff dem schuhmacher, hinten auff H. Not. Kolb erben
Jean Jacques Reussner loue la maison au tailleur Jean Jacques Clauss en s’y réservant le logement
1772 (12.6.), Not. Laquiante (6 E 41, 1043) n° 26
est comparu en personne le Sieur Jean Jacques Reißner tailleur d’habits dud. Strasbourg (avoir) donné à bail et loyer d’argent pour 6 années consécutives qui commenceront a la St Jean prochaine et finiront a pareil jour icelles expirées
au Sieur Jean Jacob Claus Bourgeois maitre tailleur dud. Strasbourg
la maison et dépendances a lui appartenante dans Cette ville rue ditte des Sept hommes sans exception autre que celle qui sera Cy après mentionné, le bail ainsy fait pour et moyennant le loyer annuel de 300 livres tournois
les parties sont aussy Convenu des Clauses suivants savoir (…) 2. le Sieur bailleur se réserve pour lui la Chambre donnant sur la Cour du troisième étage et la petite place pres de la chambre sur la Galerie
Un accord passé avec le locataire Jean Jacques Claus est joint à l’inventaire qui suit. Le loyer est réduit et la location étendue aux parties que le bailleur s’était réservées
1775, Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 820) joint au n° 728 du 7 août 1775
Zuwißen seÿe hiemit daß ane heut Zu ende gesetztem dato vor mir unterschriebenen Zu weiland Mr Johann Jacob Reißner, des geweßenen Schneiders und burgers allhier Zu Straßburg Verlaßenschafft Inventur, Abtheil und Erörterung in Anno 1775. in specie adhibirt geweßenen Notario persönlich erschienen H. Johann David Anthoni der Knöpffmacher, Seidenhändler und burger allhier Zu Straßburgn als geordnet und geschworenen Vogts weiland Fr. Annä Mariæ gebohrner Reißnerin, mit nun auch weiland Hn. Johann Friderich Lang, dem gewesenen Knöpffmacher, Seidenhändler auch burgern allhier Ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlter Vier Kinder als Jgfr. Annä Mariæ, Mariæ Salome, Catharinæ Dorotheä und Johannis der Langen,
der hat in gegensein H. Johann Jacob Claus, des Schneiders und burgers allhier angezeigt,
daß da in dießer Verlaßenschafft eine behaußung, hoffstatt und höfflein cum appertinentiis allhier zu Straßburg hinter der Kürschner Zunfftstub, so einseit theils ein Eck gegen dem Pfahlgäßlein und theils neben weil. Hn Notarii Abraham Kolb seeligen Wittib und Erben, 2. s. neben Mr Lorentz Landgraff dem Schuhmacher, hinten auf die Becker herberg stosend, gelegen, begriffen ist, so nunmehr dießen seinen Vogts Kindern theils als ererbt Groß Vätterlich Guth und theils als Von Weil. Hn Johann Philipp Reißner dem geweßenen leedigen Goldarbeiter in Paris Ihnen ohnlängst Verstorbenen Oncle ab intestato Zugefallenes Vermögen gehörig ist, welche behaußung aber dero Groß Vatter Ihme Hn Johann Jacob Clauß vermög der mit einander Vor Hn. Notario regio Laquiante dahier den 12.ten Junÿ 1772. getroffener lehnung unter gewißen bedingnußen auf Sechs Jahr angehend auf Johannis Baptistæ 1772. und sich endigend auf gemeltem Termino 1778. allein mit außnahm einer Kammer auf dem dritten Stock in den hoff außsehend und einem Kleinen Platz darneben auf dem Gang umb einen jährlichen Zinß von 150 gulden Verlehnt, welche Lehnung Er Claus nach des Verlehners tod aus denen beeden theilen bewußten ursachen nicht hat aushalten wollen, auch deßfalß würcklichen Ihne Hn Anthoni und Hn Johann Huck dem Schuhmacher und burgern allhier, als auch ohnentledigten geweßenen Vogt nun weil. Johann Philipp Reißners des damaligen Mit participanten Vor E. E. Kleinen Rath citiren laßen als habe Er sich mit denenselben umb abschneidung fernerer Verdrußlicher Weitläuffig Keit dießer lehnung wegen folgender aßen verglichen,
1.mo daß Er Hr. Claus nach dem tenor der mit dem Verstorbenen Reißner getroffener Lehrbrieff selbige ohnunterbrochen aushalten sollen jedoch alßo daß derselbe statt jährlichen Zu lüffern versprochener 150. fl. von Johannis Baptistæ Anni 1765 angerechnet, biß Zu den der Lehrbrieff mehr nicht dann 126 Gulden, das ist quartaliter Zu quart 31. fl. 5. ß ane Zinß abrichte als in wie lang Ihme auch ohne Entgeld überlaßen sein solle, die Von dem Verstorbenen Reißner sich vorbehalten geweßene Cammer auf dem dritten Stock und Platz auf dem Gang darneben. 2.do (…)
Actum allhier Zu Straßburg auf [non daté, non signé]
[Joint copie du bail]
Jean Jacques Reussner meurt en 1775 en délaissant un fils établi à Paris et ses petits-enfants issus de sa fille Anne Marie et du boutonnier Jean Frédéric Lang. Les experts estiment 570 livres la maison que le défunt a reconstruite depuis qu’il en est propriétaire. L’actif de la succession s’élève à 1 176 livres, le passif à 1 018 livres
1775 (7.8.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 820) n° 728
Inventarium über Weiland Meister Johann Jacob Reißners des geweßenen Schneiders und burgers dahier Zu Straßburg Verlaßenschafft errichtet in Anno 1775. – nach seinem Freÿtags den 7.ten Aprilis dießes lauffenden 1775.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Verstorbenen ab intestato Verlaßener Erben Vögte – So beschehen allhier Zu Straßburg aus Donnerstag den 7.ten Augusti 1775.
Der Verstorbene ab intestato Verlaßene Erben sind. 1.mo Weiland frauen Annæ Mariæ geb. Reißnerin nun auch weil. H,. Johann Friderich Lang, des gewesenen Knöpffmachers Seidenhändlers auch burgers allhier Zu Straßburg geweßener ehelicher haußfrawen seel. nachgelaßene Vier Kinder dießorths Enckel als a) Jgfr. Anna Maria, b) Maria Salome, c) Catharina Dorothea und d) Johannes die Langen, deren geordnerter Vogt ist h. Johann David Anthoni des Knöpffmachers Seidenhändlers und b. welcher in selbst eigener Persohn bei dießer Verlaßenschafft Inventur erschienen und dero Interesse besorgte, In den Ersten Zweÿten Stammtheil, und dann 2.do H. Johann Philipp Reißner der leedige Goldarbeiter welcher sich schon beÿ 12. Jahr in Paris aufhaltet, deßen auch ohnentledigter Vogt ist H. Johannes Huck der Schuhmacher und burger alhier, welcher Nahmens deßelben bei dießem Verlaßenschafft Geschäfft zugegen vor und sein Interesse besorgt hat, In den Zweÿten und letzten Stammtheil. Alle des Verstorbenen mit Weil. Frn. Anna Maria geb. Westermännin, deßen schon längstens verstorbenen Ehefrauen seel. ehel. erziehlter Sohn, Enckel und ab intestato Zu Zweÿen gleichlingen portionen und Antheilern verlaßene Erben.
In einer alhier Zu Straßburg ane der Siebenmanns gaß gelegenen und in dieße Verlaßenschaft gehörigen behaußung befunden worden, als volgt
Erblehens Gerechtigkeit von und ane einer behausung. Neml. die Erblehens Gerechtigkeit oder das Dominium utile von und ane einer behausung, hoffstatt, höflein mit allen deren Gebäuen, begrifen, Weithen, Rechten, Zugehörden u. Gerechtigkeiten, gelegen alh. Zu Straßb. hinter der Kürschner Zunft Stube so einseit theils I Eck gegen dem Pfahlgäßl. v. theils neben weil. Hn Notarii Abraham Kolb seel. Wittib und Erben, 2. s. neben Mr Lorentz Landgraff dem Schuhmacher, hinten auf der Becker herrberg stosend, davon ist das Dominium directum dem Stift hoher Schul gehörig und dahien jährl. auf Martini 12. ß ewig Ehrschätzigen Erblehen zins erträgt, sonsten aber auser hernach eingetragenen Passiv Capital gegen männiglich freÿ leedig eigen, und über dem jährl. zu bezahle habend. Erblehen Zinß durch der Stadt Straßburg geschwornen werckleuthe vermög des Zum Concept geliefertem Abschatzungs Zedul vom 30. Augusti hujus anni gewürdiget pro 570 lb. Dieße behausung hat der verstorbene von weiland Mr Joh: Phil. Reißner dem geweßenen Schneider seinem Vater seel. geerbt, seit disem aber neu gebauen. Und ist darüber vorhanden, 1. in alh. C. C. Stub gefertigter pergamentener Kauffbrieff mit dero abhangenden Insiegel versehen sub dato 11.ten Febr. 1700.
Wÿdemb So der Verstorbene Von Weil. Fr. Anna Maria geb. Westermännin seiner Ehefrauen seeligen ad dies vitæ genißen hat, nunmehro aber deßen nachgelaßenem Sohn und Enckel Zu Zwen gleichen theilen eigenthümlichen anheim fällt. Es hat nembl. die Verstorbene Fr. seelige in Ihrem Vor längst weil. H. Not. Johann Brackenhoffer d. 15.ten Maÿ 1745. errichteteù Codicillo reciproco §.pho 2.do (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 22, Sa. Silbergeschmeids 2 ß, Sa. baarschafft 80, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 450, Sa. Erblehens Gerechtigkeit Von und ane einer behaußung 570, Sa. Schulden 54, Summa summarum 1176 lb – Schulden 1018 lb, In Vergleichung 158 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 511 lb – Stall Summ 286 lb
Une part de la maison revient à Anne Marie Lang qui épouse en 1779 le tisserand en laine Jean Michel Wittmann. Originaire de Gertwiller, il épouse en 1766 Susanne Marie Reeb, fille de tisserand en laine, et devient bourgeois en avril 1767
1766 (24. 9.bris), Not. Haering (6 E 41, 1377) n° 451
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehrsam und bescheidene Johann Michael Wittmann leediger Wollenweber, weiland Johann Michael Wittmann geweßenen Nagelschmids Zu Gertweiler und Frau Catharina geb. Müllerin seiner hertzgeliebten Wittib ehelich erzeugter Sohn, als bräutigam, beÿständlich H. Joh: Rothhaan Wollenwebers und burgers alhier Zu Straßburg an einem,
So dann Jungfrau Susanna Maria Reebin, weiland Mr Johann Friderich Reeb geweßenen Wollenwebers und auch weiland frau Catharinä Elisabethä geb. Oeßingerin beeder geweßenter Eheleuthe und bürger alhier Zu Straßburg seeligen ehelich erzeugte ohnbevögtigte tochter ihrer eigenen Rechten genießend mit gutem Rath S.. T. H. Johann Heinrich Faust J. U. Lti und Proc: et Advocati ord. beÿ E. E. Kleinen Rath alhier am andern theil – So beschehen Straßburg Montags den 24. 9.bris A° 1766. [unterzeichnet] Joh: Michael Wittmann als hochzeiter, Susanna Maria Reebin als Hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 61-v)
Im Jahr Christi 1767 Mittwochs den 25. Martius (…) ehel. copulirt und christlich eingesegnet worden Johann Michael Wittmann, lediger Wollenweber Von Gertweiler weÿl. Johann Michael Wittmanns gewesenen Nagelschmidts und burgers daselbst mit Catharina geb. Müllerin, und Jgf. Susanna Maria Reebin, weÿl. Mstr. Johann Friderich Reeben, gewesenen Wollenwebers und burgers allhier mit Fr. Catharina Elisabetha geb. Oesingerin ehl. erzeugte hinterlaßene Tochter [unterzeichnet] Johann Michael Wittmann als hochzeiter, Susanna Maria Rebinn als Hochzeiterin (i 67)
1767, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) p. 115
Joh: Michel Wittmann, wollenweber von Gertweiler geb. erhalt das burgerrecht ab uxore Anna Maria weÿl. Joh. Fried. Reb. gew. wollenwebers und burgers allhier hinterl. ehel. tochter, um den alten burger schilling, will dienen beÿ E E Zunfft der Tucher. Jurav. eodem. [2. April. 1767]
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 35 livres, ceux de la femme à 155 livres
1772 (7. 7.bris), Not. Haering (6 E 41, 1373) n° 460
Inventarium über des Ehrsam und bescheidenen Mr Johann Michael Wittmann Wollenwebers und der Ehren und tugendsamen Frau Susannä Mariä Wittmännin geb. Reebin, beeder Eheleuthe u. br. alhier zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1772 – einander in ihren den 25.ten Martÿ 1767. angetrettenen Ehestand Zugebracht und sich in deren vor mir Notario am 24. 9.bris 1766. gepflogenen Eheberedung 3.ten Puncten freÿ und eigen Vorbehalten haben, Welche Habseeligkeiten auf Ansuchen ihr beeder Eheleuthe und Zwar die Ehefrau unter Ermächtigung ihres obged. Ehemanns, beÿständl. ihres bruders H. Johann Friedrich Reeben tuchscherer Ms. und hießigen burgers inventirt – So beschehen Straßburg Montags den 7.den 7.bris 1772.
In einer alhier Zu Straßburg an der grossen Gewerbs laub gelegenen den Delles Jardani Zuständigen, dießorts Zum theil Lehnungs weiß bewohnenden behaußung befunden worden wie folgt
Abzug gegenwärtigen Inventarÿ. Des Ehemanns eingebrachter Vermögenschafft, Sa. Silbers 10, Sa. baarschafft 25, Summa summarum 35 lb
Dießemnach wird auch der Ehefraun in die Ehe gebrachtes Guth beschrieben, Sa. hausraths 48, Sa. Silb. und Geschmeids 7, Sa. baarschafft 100, Summa summarum 155 lb
Haußsteuren 61 lb, jeedem 30 lb
Jean Michel Wittmann s’adresse aux Quinze le 20 février 1773. L’affaire est jugée en 13 avril suivant. Les contrôleurs de la tribu entendent lui interdire de vendre sur un même étal à la fois du tissu et du fil, il devra choisir de vendre sur l’étal une marchandise et l’autre à son domicile. Interviennent également les tisserands en laine Jean Richard Specht et Jean Specht au nom des huit plus pauvres du corps de métier qui n’ont pas de stock comme les dix plus riches et qui n’auraient pas non plus de revenus suffisants s’il leur était interdit de vendre sur un même étal à la fois le fil et le tissu. Les représentants du corps de métier objectent que l’interdiction a été décidée en 1746 pour que les plus riches ne prennent pas les clients des plus pauvres, ce qui ne manquerait pas d’arriver si l’autorisation était accordée. La commission estime qu’il y a lieu d’abroger l’interdiction décidée en 1746 puisque les bénéficiaires supposés le demandent. Les Quinze ratifient les conclusions de la commission en décidant que les frais seront partagés entre les parties.
1773, Protocole des Quinze (2 R 184)
Johann Michael Wittmann Ca E E. Meisterschafft der Wollenweber
(p. 75) Sambstags den 20.ten Februarÿ 1773
Osterrieth nôe Johann Michael Wittmann in actis Ca. E E. Meisterschafft der Wollenweber H. Ober mr. auch in actis erholt appellationis Klage vom 13. hujus. Claus bitt Cop. et T O Obt.
(p. 103) Sambstags d. 6. Martii 1773
Osterrieth nôe Johann Michael Wittmann in actis Ca. E E. Meisterschafft der Wollenweber H. Ober mr. auch in actis erholt appellationis Klage vom 13. Februarÿ jüngst und bitt Depul. Claus producirt unterth. Exceptiones juncto petito, bitt sententia. Deput. Erkandt Deputatio.
(p. 117) Sambstags d. 13. Martii 1773
Osterrieth Ca. E E. Meisterschafft der Wollenweber Obermeister in aîs, nomine Johann Richard und Johannes der[-] Johann Daniel Conrad, Ge[örg] Goll und Georg Hei[-] samtliche burger und wollenweber meister C. gedachter H. Obermeister, diese wollen des appellanten conclusionen adhæriren, bitt umb ihre media gehörig Vortragen Zu können copiam gegenrische Exceptiones Vom 6. hujus und interventionis Verzeichnus, T. O. Claus pucto adhæsionis et respectivé Interventonis setzt Zu Ew. Gn: im übrigen aber bittet H. plis samtliche gegner ane die bereits erkante Deputation zu Verweißen, woselbst sie sich des näheren erklären mögen. Osterrieth priora.
Erkand, Declarationis et respective Interventionis Verzeichnus übrigens Copia Zugelaßen und puncto näherer erklärung die Intervention ane die bereits erkannte Deputation [-].
(p. 172) Sambstags d. 13. Aprilis 1773. Iidem [Obere Handwercks Hh.] laßen per eundem [secretarium] referiren, es habe Johann Michael Wittmann der Wollenweber C. E. E. Meisterschafft der Wollenweber, Wie auch Johann Reichard Specht et consorten, als intervenienten d. 13. Februarÿ einen widrigen handels bescheid prod. Vermög deßen Ihme untersagt worden seinem Stand zugleich Tuch und Garn Zu Ver[kauffen] anbeÿ angewiesen worden das eine oder [das andere] zu erwählen, in seinem hauß aber Zu verkauffen, Was er am stand nicht haltet.
Von dießem bescheid habe derselbe in tempora legali appellirt, und nach gebetten underhaltener Verzeichnus Zugleich in seiner deßfalls übergebenen appellations Klage gebetten Zu erkennen und aus Zu sprechen, daß in erster Instantz übel gesprochen und wohl appellit worden, infloglichen daß die sententia à quâ ihres völligen inhalts zu entkräfften und Zu annulliren und anderwärtig zu erkennen seÿ, daß appellant von der angestellten Klag Zu entladen anbeÿ ihme unverwahrt seÿe und bleiben solle an seinem Stand so wohl gesponnen Garn als auch gesponnene Wolle und Wollen tuch Zu verkaufen, refusis tam primæ quam secundæ instantiæ expensis.
Dießem entgegen habe appellatischer Obermt in Exceptionibus vom 6. Martii gebetten Zu erkennen, daß in erster Instantz wohl gesprochen übel aber appellirt worden einfolglichen die sententia à quâ vom 17. Xbre gäntzlich zu confirmiren seÿe refusis expensis.
Von seiten des Intervenirenden Meister aber seÿe in ihrer deßfalls übergebenen Intenventions Klage gebetten worden zu erkennen, wie von dem appellanten in der appellations Klage gebetten worden, daß refusis hujus interventions expensis.
Auf gehaltene Weißung habe der appellant præsens sich auf seine appellations Klage bezogen.
Nôe des Intervenienten seÿn erschienen Johann Reichard Specht und Johannes Specht, beede Wollenweber, welche ihrem producto annoch beÿgesetzt, daß die in der Interventions Klag unterschriebene acht meister und Meisters Wittiben eben die ärmste unter der Meisterschafft seÿen, dahingegen die Zehen übrige Meister reich und Wohlhabend seÿen, welche tuch von andern orten herkommen laßen und en gros und en detail auch in ihren häußern rein Wollengarn Verkauffen, dahingegen die armen aus mangel des Vermögens keinen Vorrath von tuch machen könnten, sondern allein mit dem tuchhandel ehlenweiß sich begnügen müßen, Wordurch allein aber sie ohnmöglich ihre nothwendige unterhaltung sich anschaffen könten, wann ihnen der Verkauf der gesponnenen woll und garns an ihren ständlein Verbotten wäre.
Noe appellatischer Meisterschafft seÿen erschienen H. Ludwig Jacob Strohmeÿer Exsenator, als obermr. und Johann Heinrich Huck als untermr. welche ihren Exceptionen noch beÿgesetzt, der in anno 1746. beÿ versamml[ung der Mei]sterschafft unter dem Vorsitz der obern handwercks Hh. ertheilte beschied habe das beste der armen meister und wittfrauen zum augenmerckt gehabt, umb zu Verhindern, daß die wohlhäbige Meister denen armen durch Verkauffung der gesponnenen Woll und garns an ihren läden oder Standen ihre nahrung nicht benehmen, Welches gewis geschehen wird, Wan jedem Meister solches Zu thun erlaubt würde.
Auf dieße der beeden Ober: und untermeister gethane declaration, Vermög welcher das Verbott Von A° 1746. so allein durch das handwerck ertheilt worden, und aus mangel Mghh. confirmation keine vim legis erhalten, Zu gunsten der armen soll ergangen seÿn, die arme aber wie die Interventions Klage maaß gibt, das gegentheil begehren, mithin auf das prætendirte beneficium freÿ willig renunciren, auch ehender Zu glauben, daß die reiche ihren nutzen darunter gesucht, als hätten die Hn Depp. der meinung seÿn wollen, daß die d. 5.ten Octobris 1746. beÿ appellatischer Meisterschafft ergangene Verordnung und der in conformitæt derselben wieder den appellanten ertheilte bescheid aufzuheben, mthin dem appellanten und Intervenienten so wohl als allen andern Wollen Webermeistern und Meisters Wittiben erlaubt seÿn solle, an ihren Ständen so wohl gesponnennen garn, als auch gesponnenen wollen und wollentuch Zu Verkauffen, die uncosten aber unter den Parthen zu compensiren seÿen. Erkandt, bedacht gefolgt.
(p. 178) Sambstags den 10.ten Aprilis 1773. Osterrieth nôe Johann Michael Wittmann in actis Ca. E E. Meisterschafft der Wollenweber H. Ober mr. auch in actis bitt communication Sententiæ. Erkanndt Willfahrt.
(p. 214) Montags den 3. Maÿ 1773. Folgende bescheid sind auf gebetten, underhaltene communication ausgefertigt worden.
Sambstags d. 13. Aprilis 1773. In Sachen Johann Michael Wittmann, des Wollenwebers appellanten ane einem, entgegen und wider E. E. Meisterschafft der Wollenweber Obermeister appellaten am andern theil, so dann Johann Reichard Specht et consorten, als intervenienten wider erstgedachte Meisterschafft am dritten theil, Auf producirten bescheid, Vermög deßen dem appellanten untersagt worden an seinem Stand zugleich Tuch und Garn Zu Verkauffen anbeÿ angewiesen worden, das eine oder das andere zu erwählen, in seinem hauß aber Zu verkauffen, Was er am stand nicht haltet, interponirte und verzeichnete appellation, übergebene unterthänige appellations Klage juncto petito, Wir gereheten zu erkennen und auszusprechen, daß in erster Instantz übel gesprochen und wohl appellit worden, infloglich daß die Sententia à quâ ihres völligen inhalts zu entkräfften und Zu annulliren und anderwärtig zu erkennen seÿe, daß appellant von der angestellten Klag Zu entladen, anbeÿ ihme ohnverwahrt seÿe und bleiben solle, an seinem Stand so wohl gesponnen Garn als auch gesponnene Wolle und Wollen tuch Zu verkaufen, ref. tam primæ quam secundæ instantiæ expensis. Vorgelegte Exceptiones mit beÿgefügtem bitten Zu erkennen, daß in erster Instantz wohl gesprochen, übel aber appellirt worden, einfolglichen die sententia à quâ gäntzlich zu confirmiren seÿe, idq ref. exp. Eingegebene Intenventions Klag junctâ conclusione, Wir geruheten Zu erkennen, wie von dem appellanten in der appellations Klage gebetten worden, ref. exp.
Gebettene, bewilligte und besessene Deputation, auch all übrig der Parthen angehörtes vor und anbringen, ist der Hh. Depp. abgelegten relation nach Erkandt, daß denen Intervenienten ihrer gethanen Intervention acte Zu ertheilen, sofort daß die den 5.ten Octobris 1746. beÿ appellatischer Meisterschafft ergangene Verordnung und der in conformitæt derselben wieder den appellanten ertheilte bescheid aufzuheben, mthin dem appellanten und Intervenienten so wohl als allen andern Wollen webermeistern und Meisters Wittiben erlaubt seÿe, an ihren ständen so wohl gesponnennen garn, als auch gesponnenen Wollen und Wollentuch Zu Verkauffen, als wir hiemit erkennen, die uncosten aber unter den Parthen zu compensiren.
La tribu du Miroir autorise Jean Michel Wittmann à vendre aussi du coton en se référant aux textes réglementaires
1775 (14.8.), Protocole de la tribu du Miroir (XI 279)
(f° 144) Montags, den 14. Augusti 1775 – Verkauf gesponnener Baumwoll erlaubt
Joh: Michael Wittmann, der hiesige burger und Wollenweber, wegen Von ihm gekaufften Pfunds gesponnener Baumwol ex officio angeklagt, Concludirt, denselben wegen getanem Eingriff in der Handlung gebührend abzustrafen.
Der Beklagte legt Zum Beweis seines angeblichen Rechts Ghh. der XV. bescheide vor vom 5. Martii 1586. und 3. Aprilis 1773. in deren jenem nichts just baumwoll, sondern anderer dergleichen Waar Zu verkaufen der Tucher Zünftigen gestattet, in diesem aber insonderheit den Wollenweber erlaubet worden, an ihren Ständen gesponnen Garn, gespinnene Woll und wollen Tuch Zu verkaufen. Der Beklagte meldet anbei, daß er die Baumwoll auf seinem Werckzeug zurichte spinne und spinnen laße. Bittet derohalben um Losschlagung von der Annklag, hingegen um die ruhige Fortsetzung dieses Theils seines Gewerbs.
Nach eingesehenen Schriften, angehörtem Vorbringen und darüber gahalteener Umfrag,
Erkannt, daß der Beklagte den Erlös mit Zween Gulden drei Schilling gegen Zurücknahm der Baumwoll war heraus Zu geben schuldig seÿn soll. Er aber aus bewegenden Ursachen fernerhin gesponnene Baumwoll ungehindert verkaufen Zu dörfen hiedurch befüg seÿn soll
L’inventaire après décès de Susanne Marie Reeb dont la minute n’est pas conservée est dressé en 1778
1778 (19.3.), Not. Becker (6 E 41, 1312/5, répertoire)
Inventarium über Weÿl. Fr. Susannæ Mariæ geb. Reeb Mr Michael Wittmann bgrs. u. Wwbrs Ehefr. Verl.
Jean Michel Wittmann se remarie en janvier 1779 avec Anne Marie Lang, petit-fille de Jean Jacques Reussner : contrat de mariage, célébration
1778 (9. Xbris), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 450
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehren und wohlvorachtbare Herr Johann Michael Wittmann, der tuchmacher, Wittiber und burger allhier Zu Straßburg als Herr hochzeiter Ane einem,
und die Viel Ehren und Viel tugendgezierte Jfr Anna Maria Langin Weil. H. Johann Friderich Lang des gewesenen Knöpffmacher und b. allhier mit auch weil. Frn. Anna Maria geb.. Reißnerin seiner geweßenen Ehefrauen seel. ehelich erziehlte tochter, beiständlich Hn Johann David Anthoni des Knöpffmachers, Seidenhändlers und b. allhier dero geordneten Vogts, als hochzeiterin ane dem andern theil
auf Mittwoch den 9. Decembris Anno 1778 [unterzeichnet] Johann Michael Wittmann als hochzeiter, Anna Maria Langin als Hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 212, f° 212)
Im Jahr Christi 1779 Montags den 11. Jenner abends nach Vier Uhr seind nch geschehenen gewöhnlichen proclamationnen (…) offenlich copulirt und ehelich eingesegnet worden Johann Michael Wittmann tuchmacher und burger allhier wittwer, der Vorher Zu Ehe gehabt weÿland Frau Susanna Maria geborne Reebin und Jungfer Anna Maria Langin weÿland herrn Johann Friderich Lang geweßenen Seidenhändler Knöpffmachers und burgers allhier und weÿland Fraun Annæ Mariæ gebohrner Reißnerin nachgelaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] Joh: Michael Wittmann als hochzeiter, Anna Maria Langin als hochzeitterin (i 24)
Le boutonnier Jean David Antoni, tuteur des trois enfants de Jean Frédéric Lang et d’Anne Marie Reussner rend début 1779 son premier compte dans lequel figurent les loyers de la maison : le rez-de-chaussée est occupé par un tourneur, le premier par le tailleur Jean Jacques Claus et le deuxième par un précepteur. L’année suivante deux des locataires ont changé, un relieur occupe le rez-de-chaussée et une demoiselle le deuxième
1779 (5.3.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 841) n° 32
Rechnung Mein Johann David Anthoni Seiden Knöpffmachers und burgers allhier Zu Straßburg, als geordnet: und geschworenen Vogts Fr. Annä Mariæ, so sich seit Kurtzem mit H. Johann Michael Wittmann, dem tuchschehrer u. burger allhier Verehelichet, Jgfr. Mariæ Salome, Jgfr. Catharinæ Dorotheä und Johannis der Langen, weil. H. Johann Friderich Lang, des geweßenen Seiden Knöpffmachers und burgers allhier und auch weil. Frn. Annä Mariæ geb. Reißnerin, beeder Eheleuthen seel. nachgelaßener Vier Kinder, inhaltend und außweißend alles dasjenige was Ich vom Januarÿ 1768 angerechnet als da ich zu dießer Vogteÿ gekommen biß d. 15. Martÿ 1779 ihrentwegen eingenommen und außgegeben auch sonsten Vögtlicher weiße Verrichtet und Verhandelt habe – Erste Rechnung dießer Vogteÿ
Bericht dieser Rechnung. Es ist Fr. Anna Maria Langin geb. Reißnerin meiner im titul benambster Vier Vogts Kinder eheleibl. Mutter den 23.ten Aprilis 1767. seelig verschieden und hat dieselbe, beneben Jacob Friderich Lang, so aber seith dießem gestorben, als Ihre mit H. Johann Friderich Lang dem Seiden Knöpffmacher und b. allh. Ihrem Ehemann ehel. erziehlte Kinder ab intestato Zu erben verlaßen (…)
Corpus meiner Vier Vogts Kinder jährl. fallenhabenden Haus Zinnßes. Erstlich 15. lb d: jährlichen Zinnßes gibt N. Marcan der dräher u. b. alhier Von der in meiner Vogts Kinder Zuständigen gegen dem Pfal Gäßlein über gelegenen behaußung innen habenden Wohnung auf dem boden so in Capitali Zu 5. pro Cento gerechnet antrift 300 lb
It. 34. lb. d. jährl. Zinßes reicht Mstr Joh: Jacob Claus d. Schneider u. b. alhier und deßen Ehefrau von der in Lehnung habenden Wohnung des erstern Stocks solcher behausung so in Capital den Zinß nach zu 5. p. Cento gerechnet antrift 680 lb,
It. 20. lb jährl. Zinnßes gibt nunmehro N. Lager der Informator alhier Von der in Lehnung habenden Wohnung des Zweiten Stocks so gleichfals in Cap. Zu 5. p. Cto gerechnet antrifft 400 lb
Rechnung Mein Johann David Anthoni Seiden Knöpffmachers und b. allhier Zu Straßburg, als geordnet: und geschworenen Vogts Fr. Annä Mariæ, Johann Michael Wittmann, des von hier ausgetrettenen tuchmachers und burgers Verlaßener Ehefrauen, Jgfr. Mariæ Salome, Jgfr. Catharinæ Dorotheä und Johannis des ledigen sich dermalen in der Fremdbe befindlichen Knöpffmachers gesellen, der Langen, weil. H. Joh. Friderich Lang, des geweßenen Seiden Knöpffmachers und burgers allhier zu Straßburg und auch weil. Frn. Annä Mariä geb. Reißnerin, beeder Eheleuthen seel. nachgelaßener Vier Kinder, inhaltend und außweißend alles dasjenige was Ich seit den 15.ten Martÿ 1779. als dem Schluß meiner erstern abgelegten Vogteÿ Rechnung Ihrentwegen eingenommen und dagegen wieder außgegeben auch sonsten Vögtlicher weiße Verrichtet und Verhandelt habe – Zweÿte Rechnung dießer Vogteÿ.
Corpus meiner Vier Vogts Kinder jährl. fallenhabenden Haus Zinnßes. Erstllich 12. lb d: jährlichen Zinnßes reicht nunmehro Mr N. Jung der buchbinder und b. alhier Von der in meiner Vogts Kinder Zuständigen gegen dem Pfahlgäßlein über gelegenen behaußung in lehnung habenden Wohnung auf dem boden so in hauptgut Zu 5. pro Cento gerechnet trägt 240 lb
It. 34. lb. ebenmäßigen Zinßes reicht Mr Joh: Jacob Claus d. Schneider u. b. alhier v. deßen Ehefrau alle Jahr von der in Lehnung habenden Wohnung des erstern Stocks solcher behausung so in Capitalj den Zinß nach zu 5. p. Cento gerechnet antrift 680 lb,
It. 20. lb jährl. Zinnß gibt Mad. Dubuer*, die ledige Von der in Lehnung habenden Wohnung des 2.ten Stocks so gleichfals in hauptgut Zu 5. p. Cto gerechnet antrifft 400 lb
Rechnung Mein Johann David Anthoni Seidenknöpffmachers und b. alh. Zu Straßburg, als geordnet: und geschworenen Vogts Johann Lang des ledigen alhier in arbeit sich befindl. Knöpffmachers gesellen weil. H. Joh. Frid. Lang, des geweßenen Seiden Knöpffmachers und b. alh .zu Straßburg und auch weil. Frn. Annä Mariæ geb. Reißnerin, beeder Eheleuthe seel. nachgelaßenen jüngern Sohns, inhaltend und ausweisend alles dasjenige was ich seit d. 4. 7.bris 1782 bis den 4. 7.bris 1786. meines Curandi wegen seit meiner Zweÿ abgelegten Rechnung eingenommen und dagegen wieder außgegeben auch sonsten Vögtlicher weiße Verrichtet und Verhandelt habe – Drite Rechnung dießer Vogteÿ.
Ane bezahlten Haußzinßen. Item ist von der Wohnung des zweiten Stocks ane Zinß eingegangen, von Johannis Baptistæ 1782 bis Michaelis 1785 für 3 ¼ Jahr à 5 lb d Zu meines Curandi Antheil des Jahrs macht 16. 5.
Item Zahlte auch Mr Claus der Schneider und b. alh. ane Hauß Zinß von Joh. Baptistæ 1782. bis Michaelis 1785 für 3 ¼ Jahr à 5 lb d Zu dißortigem 4.ten theil à 8. lb 10 ß des Jahres, 27. 12.
It. habe auch von Mr Jung dem buchbinder und b. alh. ane Hauß Zinß für das Quartal Michaelis 1782. eingenommen für meines Curandi 4.t theil 15 ß
Item ane weiteren Zinßen davon von Michaelis 1782. bis Michaelis 1785. für 3. Jahr Zu meines Vogts Sohns participirenden 4. theil à 3 lb 5 ß des Jahrs, 9. 15.
Anne Marie Lang fait dresser dans sa maison aus Petites Arcades l’inventaire de ses biens et de ceux de son mari qui, poursuivi par ses créanciers, a quitté la ville. La maison derrière le poêle des Pelletiers appartient entièrement aux enfants Lang depuis que leur oncle Jean Philippe Reussner est mort à Paris sans avoir testé. Les biens de la femme s’élèvent à 808 livres, l’actif du mari et de la communauté à 4 638 livres, le passif à 10 045 livres
1779 (15.6.), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 772) n° 709
Inventarium über Johann Michael Wittmann, des Wollenwebers und Fraun Annæ Mariæ gebohrner Langin, beeder Eheleuthe und burgere alhier zu Strasburg dermalen eigenthümlich besizende Vermögenschaft, und dagegen passive zu bezahlen stehende Schulden, auffgerichtet im Jahr 1779 – Welches beides ohn ausnämlich, heutigen Zu End gesetztem dato, in Abwesenheit des Ehemanns auf Veranstalten und begehren erstermelter der Ehefrauen, die wegen des obhandenen Schulden Lasts mit beistand H. Joh: David Antoni, des Knöpffmachers und Seidenhändlers auch burgers alhier ihres geordnet: und annoch ohnentledigten Vogts unter fernerer behülfe S: T: H: Samuel Reinhard Weber, J: V. Lti et Cancellariæ substituti, zu beschütz und möglicher Aberkommung ihres unveränderten Vermögens um das beneficium Cessionis geziemend angerufen und selbiges zu erlangen anhoffet – So Beschehen Straßburg den 15.ten Junii et sequenti anno 1779.
Bericht. Es haben zwar die beeden Eheleute ihr eingebracht Vermögen, nach sonstiger Ordnung nicht inventiren laßen, in deme der Ehemann so oft der Ehefraun H. Vogt, deshalb Erinnerung gethan, Vorschützungen Zum Aufschub angebracht. Da aber diese Ehe erst ein halb jahr angedauert hatte, und ihr der Ehefrau Vermögen, durch H: Antoni ihres geordneten Vogts Verwaltung, klärlich zu tage liegt, und genau constatirt werden ka, Er hat die Zuschreibung ihrer natural Posten, und die Ergäntzung des Zum heuraths Gut empfangenen baaren gelds ihren guten Grund Zur wahren Richtigkeit nehmen können.
In einer alhier Zu Straßburg unter der kleinen Gewerbs laub gelegenen hieher eigenthümlich gehörigen behaußung hat sich befunden
(f° 10) Eigenthum an einer behaußung (T.) Näml. ein vierter Theil vor unvertheilt, von und ane der Erblehens: Gerechtigkeit, oder dem dominio utili an einer behausung, hoffstatt, und höflein mit allen deren gebäuwen, begriffen, Weiten, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen alh. Zu Strasb. hinder der kürschner Zunft Stuben Zwischen der St. Barbaræ und Seiebenmanns Gaß, einseit theils ein Eck, neben weil. Hn Notarii Abraham Kolb seel. Erben, anderseit neben Mr Lorentz Landgraff dem Schuhmacher, hinten auf die Becker: herrberg stoßend, davon ist das dominium directum dem Stift hoher Schul zugehörig und wird davon jährl. auf Martini 12. ß ewig ehrschätziger Erblehen Zinns abgericht, sonsten aber ist solche Erblehens: gerechtigkeit ermelter behaußung ohnverpfändet, sondern gegenwärtig. freÿ leedig eigen: und solcher Art ohnpræjudicirlich, doch nach Abzug des Erblehens Zinnses, dem rechten Werth nach zu achten pro 1050. lb. Woran dann solcher der Ehefrauen vor unverändert gehörige 4.te Theil, in auswurf antrift 262. lb. Die übrige dreÿ 4.te theil sind der Ehefrau geschwisterden in Gemeinschafft gehörig.
Solche behausung hat der Ehefr. Großvater Joh: Jacob Reußner, der gewesene Schneider und burger alh. vor längst weil. Mr. Joh: Phil. Reußner, dem auch gewesenen Schneider und burgern dahier seinem leibl. Vater ererbt, seit disem aber neu auferbauet. Nach sein des Großvaters Absterben, ist von solcher Erblehens Gerechtigkeit, Ihro der Ehefrau und ihren dreÿ Geschwisteren, die eine helfte, und hrn. Joh: Phil.. Reußner dem leedigen Goldarbeiter, ihrer Frauen Mutter seel. leibl. bruder, die andere helfte erbl. angefallen. Da nun dieser herr Reußner, ihr oncle, seithero zu Paris, ohntestirirt verstorben, so ist Ihre der Ehefr. und ihren dreÿ Geschwisterden auch solche andere helfte erbl. anfällig worden. Ansonsten ist darüher vorhanden, eine in alhiesiger C. C. Stube errichtete und auf Pergament ausgefertigte Kauffverschreibung datirt den 11.ten Februarii 1700.
(M.) Näml. eine behaußung an der kleinen Gewerbslaub (…)
(f° 20-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Ehefraun unveränderten Vermögens, Sa. haußraths 168, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 21, Sa. goldenen Rings und dergleichen Geschmeids 17, Sa. Eigenthums an einer behausung 262, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 42, Sa. Schulden 100, Sa. der Ergäntzung 196, Summa summarum 808 lb
Diesemnach so wird auch des Manns unverändert und die theilbare Vermögens haabschaft, unter einer Maß in beschreibung gesetzt, Sa. haußraths 103, Sa. Werckzeug Zur Wollenweber Prof. gehörig 33 Sa. der Waaren und Woll Zur Wollenweber Prof. und handlung gehörig 765, Sa. Silb. und dergleichen Geschmeids 5, Sa. Eigenthums ane einer behausung 3500, Sa. Schulden 231, Summa summarum 4638 lb – Schulden 10 045 lb, In Vergleichung, des Manns passiv onus 5406. lb
Zweiffelhaffte Schulden in die dem Mann gehörige Mass zugeltend 79 lb
Deuxième inventaire de faillite dressé après que Jean Michel Wittmann est revenu à Strasbourg, a rentré des créances puis est reparti, à la requête des créanciers qui estiment qu’une simple révision n’est pas suffisante. Les biens de la femme s’élèvent à 808 livres, l’actif du mari et de la communauté à 4 210 livres, le passif à 9 822 livres
1779 (22.10.), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 772) n° 718
Inventarium über Johann Michael Wittmann, des Wollenwebers und Fraun Annæ Mariæ gebohrner Langin, beeder Eheleuthe und burgere alhier zu Strasburg dermalen eigenthümlich besizende Vermögenschaft, und dagegen passive zu bezahlen stehende Schulden, auffgerichtet im Jahr 1779 – Welches beides ohn ausnämlich, heutigen Zu End gesetztem dato, in Abwesenheit des Zum Zweÿtenmal ausgetrettenen Ehemanns auf abermalig Veranstalten und begehren erstermelter der Ehefrauen die wegen des obhandenen Schulden Lasts mit beistand H. Joh: David Antoni, des Knöpffmachers und Seidenhändlers auch burgers alhier ihres geordnet: und annoch ohnentledigten Vogts unter fernerer behülfe S: T: H: Samuel Reinhard Weber, J: V. Lti et Cancellariæ substituti, zu beschütz und möglicher Aberkommung ihres unveränderten Vermögens um das beneficium Cessionis geziemend angerufen und selbiges zu erlangen anhoffet – So Beschehen Straßburg den 22.ten Octobris A° 1779.
Bericht Zu disem Inventario. Es ist der hierortige Ehemann schon zu Anfang des Monats Junii, durch die Poursuitten einiger seiner herren Creditoren, genöthiget worden sich von hier erstenmals zu absentiren. Die Ehefr. machte also auch schon damals die Vorsehung, bei E: E: Kleinen Rath, um den Gesuch des Beneficii Cessionis, und lies durch mich Notarium am 15.ten Junii, die vorhandene Mass, mit der beladung ihrer passiv Schulden, behörig inventiren. Beÿ eben solcher Inventur, geschahe auch die hier zu repetirende Anzeige und berichts Anmerckung, daß zwar die beeden Eheleute ihr eingebracht und vor unverändert bedungen Vermögen, nach sonstiger Ordnung nicht inventiren laßen, in deme der Ehemann so oft hr. Antoni, der Ehefraun Vogt, deshalb Erinnerung gethan, Vorschützung, Zum Aufschub angebracht. Da aber diese Ehe nur erst ein halb jahr angedauert hatte, und ihr der Ehefrau Vermögen, durch ermelten ihres hrn Vogts Verwaltung, so klärl. zu tage gelegen, daß die Zuschreibung ihrer natural Posten, und die Ergäntzung des Zum heuraths Gut empfangenen baaren gelds in Richtigkeit gesetzt werden konte, so ist dadurch der Abgang eines Inventarii illatorum ersetzt, somit ihr der Ehefrau Vermögen, dermalen wieder holtermasen, richtig constatiret worden. In der Zwischenzeit, daß jenes falliments Inventarium vollständig ausgemacht und expedirt wurde, erhielt der Maritus von seinen herren Creditoren einen auf vier Wochen determinirten Salvum Conductum, und endlich wurde zwischen der Mehrheit hierortiger Herren Creditoren und Ihme Ehemann ein contract d’attermoyement abgeschloßen, auch bei E. E. großen Rath confimirt, vermög deßen, der debitirende Ehemann, zur bezalung einer Quart seiner chirographarischen Schulden, gewiße Jahres Termin accordirt erlangt, und somit, Zu Forttreibung seines Gewerbs, in die Mass wieder eingesetzt worden. Vor kurtzem hingegen, hat er der Ehemann sich Zu Sinne kommen laßen, durch schleunigster Absatz verschiedener Waaren und Eintreibung einiger activ: Schulden, etliche hundert Gulden Zu sammlen, sofort nebst seine Kleidung, mancheleÿ haußräthlicher Effecten, etwas von Waaren und dasjenige, was er an Silber gehabt, einzupacken, und damit zum zweitenmal auszuweichen.
Auf den Fleiß einiger Hh. Creditoren aber, ist derselbe Zu Kehl arrétirt, und die bei und mit sich gehabte Effecten, Zu Neumühl, in dem Amt Korck, mit arrest beschlagen, auch gleichbalden, wie reclamirt, Zur Mass, so aus geliefert worden, wie jeder hiernach unter seiner Rubric besonders inventirt, erfindlich ist.
Da nun in dem Zwischenraum, durch die erzählte sonderbare begebenheiten, mit des Ehemanns unverändert und theilbaren Vermögenschaft in Rücksicht auf das 1.te am 15.ten Junii errichtete Invent: durch alle Rubriquen, so große Veränderungen vorgegangen, daß nicht wohl mögl. waren den Abgang und Zuwachs, vermittelst einer weitläufigen Revision, in deutlichkeit zu bringen, in deme der Ehemann von dem hausrath und Wer(ck)zeug verschiedenes verkauft, die Waaren durch den Handel, in gäntzl. Verkehrung gebracht, seine Kleidung u. Silb. ab: so er auch bei seinem I.ten Austritt mit sich genommen gehabt, damals nicht Zur Inventur gekommen, so daß diese objecta, mit der ihm zugl. abgenommenen baarschafft, neue Rubricen ausweisen, nicht weniger von den activ Schulden viele eingezogen, und dagegen mancherl. passiv Schulden bezalt, auf deren neue contrahirt worden, so haben die Hh. Creditores vor gut und nöthig befunden, den Zustand der activ Massæ mit dem Statu Passivorum, so wie sich beides heutigen tags befinden und veroffenbaret, neuerdings inventiren Zu laßen. Somit ist dann durch die nöthig gewordene Errichtung dieses Zweiten Inventarii, das erste in soweit Zu Unkräften gesetzt und gleichsam vernichtiget anzusehen.
In einer alhier Zu Straßburg unter der kleinen Gewerbs laub gelegenen hieher eigenthümlich gehörigen behaußung hat sich befunden
(f° 10) Eigenthum an einer behaußung (T.) Näml. ein vierter Theil vor unvertheilt, von und ane der Erblehens: Gerechtigkeit, oder dem dominio utili an einer behausung, hoffstatt, und höflein mit allen deren gebäuwen, begriffen, Weiten, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen alh. Zu Strasb. hinder der kürschner Zunft Stuben Zwischen der St. Barbaræ und Seiebenmanns Gaß, einseit theils ein Eck, neben weil. Hn Notarii Abraham Kolb seel. Erben, anderseit neben Mr Lorentz Landgraff dem Schuhmacher, hinten auf die Becker: herrberg stoßend, davon ist das dominium directum dem Stift hoher Schul zugehörig und wird davon jährl. auf Martini 12. ß ewig ehrschätziger Erblehen Zinns abgericht, sonsten aber ist solche Erblehens: gerechtigkeit ermelter behaußung ohnverpfändet, sondern gegenwärtig. freÿ leedig eigen: und solcher Art ohnpræjudicirlich, doch nach Abzug des Erblehens Zinnses, dem rechten Werth nach zu achten pro 1050. lb. Woran dann solcher der Ehefrauen vor unverändert gehörige 4.te Theil, in auswurf antrift 262. lb. Die übrige dreÿ 4.te theil sind der Ehefrau geschwisterden in Gemeinschafft gehörig.
Solche behausung hat der Ehefr. Großvater Joh: Jacob Reußner, der gewesene Schneider und burger alh. vor längst weil. Mr. Joh: Phil. Reußner, dem auch gewesenen Schneider und burgern dahier seinem leibl. Vater ererbt, seit disem aber neu auferbauet. Nach sein des Großvaters Absterben, ist von solcher Erblehens Gerechtigkeit, Ihro der Ehefrau und ihren dreÿ Geschwisteren, die eine helfte, und hrn. Joh: Phil.. Reußner dem leedigen Goldarbeiter, ihrer Frauen Mutter seel. leibl. bruder, die andere helfte erbl. angefallen. Da nun dieser herr Reußner, ihr oncle, seithero zu Paris, ohntestirirt verstorben, so ist Ihre der Ehefr. und ihren dreÿ Geschwisterden auch solche andere helfte erbl. anfällig worden. Ansonsten ist darüber vorhanden, eine in alhiesiger C. C. Stube errichtete und auf Pergament ausgefertigte Kauffverschreibung datirt den 11.ten Februarii 1700.
(M.) Näml. eine behaußung an der kleinen Gewerbslaub (…)
(f° 20-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Ehefraun unveränderten Vermögens, Sa. haußraths 168, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 21, Sa. goldenen Rings und dergleichen Geschmeids 17, Sa. Eigenthums an einer behausung 262, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 42, Sa. Schulden 100, Sa. der Ergäntzung 196, Summa summarum 808 lb
Diesemnach so wird auch des Manns unverändert und die theilbare Vermögens haabschaft, unter einer Maß in beschreibung gesetzt, Sa. haußraths 151, Sa. Werckzeug Zur Wollenweber Prof. gehörig 13 Sa. der Waaren und Woll Zur Wollenweber Prof. und handlung gehörig 283, Sa. Silb. und dergleichen Geschmeids 9, Sa. baarschafft 113, Sa. Eigenthums ane einer behausung 3500, Sa. Schulden 139, Summa summarum 4210 lb – Schulden 9822 lb, In Vergleichung, des Manns passiv onus 5611. lb
Copia der Eheberedung (…)
Compte que Jean Weber rend des biens de sa pupille Catherine Elisabeth, fille de Jean Michel Wittmann qui a quitté la ville et de sa première femme Susanne Marguerite Reeb
1782 (20.8.), Not. Übersaal (6 E 41, 653) n° 50
Rechnung mein Johannes Weber, des Schneidermeisters u. burgers alhier zu Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts Catharinä Elisabethä Wittmännin, weil. Fraun Susannä Margarethä geb. Reebin mit Joh: Michael Wittmann, dem ausgetrettenen hiesigen burger u. Wollenweber ehelich erzeugt und hinterlaßenen töchterleins, Inhaltend alles dasjenige, was ich vom Jahr 1777. bis den 20. Augusti 1782 vor diese meine Curandin eingenommen u. hingegen wieder ausgegeben, auch sonsten vögtlicherweise verhandelt habe – Erste Rechnung dieser Vogtei
Vorbericht. Nachdeme der Curandin in dem Titul benamste Mutter in dem Jahr 1777. das Zeitliche mit dem Ewigen verwechselt, hat dieselbe 2. Kinder u. Erben mit Nahmen Catharina Elisabetha u Susanna Maria Wittmännin hinterlaßen, welchen ich von Em Löbl. Vogtei Gericht Zum Vogt ernennet auch bei Em En Grosen Rath in dieser Eigenschaft bestätiget und in Pflichten genommen worden.
Ich ware auch daraufhin besorgt die mütterl. Verl. Ordnungsmäsig inventiren Zu laßen, das darüber errichtete Inv.m aber habe nicht bey handen. also auch hier nicht beilegen können, indeme solches nach geschehenem Ausbruch des Väterl. falliment bei verschiedenen Gerichtsstellen dieser Löbl.. Stadt hat vorgelegt werden müsen u. daher mir unbewußt, wo es sich dermalen befindet, es übrigens auch von keiner Nothwendigkeit ist, da das mütterlich Gut durch den hernach allegiten extracten hinlänglich constatirt u. erwiesen wird.
Compte que rend Jean David Anthoni à Anne Marie Lang, femme abandonnée du drapier Jean Michel Wittmann
1782 (6.12.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 841) n° 25
Abrechnung mit H. Joh: David Antoni, dem Seiden Knöpffmacher und b. alh. Zu Straßburg als gewesenen Vogt Fr. Annä Mariä geb. Langin, Joh: Michael Wittmanns des von hier ausgetrettenen tuchmachers und b. Verlaßener Ehefrauen ane einem
Und Ihro Fr. Anna Maria Wittmännin geb. Langin beÿständl. Mr Johann Jacob Claus des Schneiders u. b. alhier ane dem andern Theil gepflogen
Déclaration tenant lieu d’inventaire après la mort de Jean Michel Wittmann dans une maison ocupée par un boulanger rue du Foulon (actuelle rue Hannong)
1785 (11.2.), Not. Lauth (6 E 41, 650) n° 144
auf Ansuchen und begehren des Ehrsam u: bescheidenen M Johannes Weber des Schneiders in die am Stampfgäßlein gelegene becken: behausung begeben, um allda weÿl. Johann Michael Wittmann gewesenen Wollenwebers welcher den 9.ten h:m: et a: das zeitliche mit dem Ewigen verwechselt hat Nachlassenschafft zu verzeichnen, Nach deme ich Notarius requisitus die Verzeichnus davon wollte vormehmen und mich daher ein Stieg hoch in des Verstorbenen seel. bewohnende Stub begab so habe ich nichts anders als deßen abgetragenen wenige Kleidung und weis Gezeug auf einem nicht hiehero gehörigen sondern entlehnten bett gelegen, Woraufhin mich ged. Mr Joh. Weber als geordneter und geschworener vogt des verstorbenen seel. mi weÿl. Fr. Susanna Maria Wittmännin geb. Reebin seel. als seiner erstern Ehefrau einzigen und dermalen das 15. jährigen alter gehenden tochter Namens Cathar: Elisabethä Wittmännin versichert, daß darinnen einzig und allein deßen Verl. bestehe und dieses aus Ursachen in deme derselbe vor 5 u. einem halben Jahr als ein halb Jahr vorher mit der diesorts gegenwärtigen Fr. Anna Maria Wittmännin geb. Langin seiner dermaligen hinterbliebenen Wittib in zweÿter Ehe gelebt hat wegen einem Concurso Creditorum wie er gegangen und gestanden flüchtig werden mußte und seine Fr. ihr weiblich recht durch E.E. Kl: rath unter verbeÿstandung Hn. David Antoni des Knopffmachers erhielte dahero ihr zugebrachtes Salvirte in deßen aber bis an sein Lebens Ende separirt lebte
Le tondeur de drap Charles Frédéric Schultz et Catherine Dorothée Lang hypothèquent leur part de maison au profit de la mineure Marie Barbe Braun
1785 (25.7.), Chambre des Contrats, vol. 659 f° 323
Carl Friedrich Schultz der tuchscherer und Catharina Dorothea geb. Langin unter assistentz H. Friedrich Samuel Fröereißen des drehers und H. Johann David Antoni des seidenhändlers
hatt in gegensein H. Johann Georg Braun des gastgebers als geordneter vogt Mariæ Barbaræ Braunin dieße letztere als universal erbin weÿl. Fr. Mariæ Magdalenæ verwittibte Faberin geb. Goldbachin – schuldig seÿen 1000 gulden
unterpfand, die ihme zuständig ane der Siebenmanns gaß hinter der kürschner stub gelegenen behausung
sie die Ehefrau aber ¼ theil vor unvertheilt ane dem sogenanten Reißnerichen in erstgememlten gaß gelegenen behausung
Compte que rend Jean David Anthoni à Catherine Dorothée Lang, où figurent les loyers de la maison toujours ocupée par le relieur Jung et le tailleur Claus
1785 (10. 7.br), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 841) n° 31
Abrechnung Mit H. Johann David Anthoni dem Seiden Knöpffmacher und burgern allhier Zu Straßburg als geweßenen Vogt Frn. Catharinä Dorotheä geb. Langin, Hn Carl Friderich Schultz des Tuchscherers und b. alhier Ehefrauen an einem,
Und Vorgedachter Fr. Catharinæ Dorotheæ Schultzin geb. Langin ane dem andern theil gepflogen
Ane bezahlten hauß zinßen. It. Von der Wohnung des 2.ten Stocks ane Zinß eingegangen Von Joh. Baptistæ 1782. biß Annunciationis Mariæ 1785. für 2 ¾. Jahr à 20. lb d des Jahrs 55 lb
It. Zahlte auch Mr Claus der Schneider und b. alhier ane hauß Zinß von Joh: Baptistæ 1782. biß Frauen tag 1785. für 2 ¾. Jahr à 34 lb d des Jahrs, 93. lb 10 ß
It. entrichtete auch Mr Jung der buchbinder und b. allhier ane hauß Zinß für d. quartal Michaelis 1782. 3 ln
It. ane Weiteren Zinßen Von Michaelis 1782. boß Annunciationis Mariæ 1785. für 2 ¾. Jahr à 13. lb des Jahrs 32 lb 10 ß
Héritiers de Jean Jacques Reussner, les quatre enfants Lang vendent la maison 1890 livres au cordonnier Jean Michel Nees et à sa femme Marguerite Barbe Ziegler
1785 (22.9.), Chambre des Contrats, vol. 659 f° 390-v
Fr. Anna Maria Wittmännin geb. Langin weÿl. Johann Michael Wittmann des wollenwebers wittib beÿständlich H. Johann David Antoni des seidenknopffmachers, Fr. Catharina Dorothea Langin, Carl Friedrich Schultz des tuchscherers hausfrau, vorbesagter H. Antoni vor und innahmen Jfer Maria Salome Langin großjährig in Baßel sich auffhaltend, mehr besagter H. Antoni als geordneter vogt Johannes Lang, samtliche als erben weÿl. Johann Jacob Reißner des schneiders
in gegensein Johann Michael Nees des schumachers und Margarethæ Barbaræ geb. Zieglerin unter assistentz Georg Friedrich Albrecht des älteren kürschners und H. Johann Philipp Röederer des glaßers
die nutzliche herrschafft respective erblehens gerechtigkeit einer behausung, höfflein, hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten hinter der kürschner zunfft stub in der sogenannten sieben manns gaß, einseit neben Mr Landgraff, anderseit neben Mr Heinemann beede schuhmacher meister, hinten auff die becken herberg – davon gibt man dem löbl. Stifft hoher Schuhl 12 ß ane erblehens zinß – um 2780 gulden meistgebotten
Originaire de Russheim en margraviat de Durlach, Jean Michel Nees épouse en 1781 Marie Salomé Bollinger, fille de cordonnier, après avoir passé avec elle un contrat de mariage en octobre 1779. Jean Michel Nees est porté sur la liste récapitulative des nouveaux bourgeois en 1781.
1779 (14.10.) Not. Schatz (6 E 41, 1302) n° 73
Eheberedung – persönlich erschienen seÿen, Johann Michael Neeß, der ledige Schuhmacher, Weÿland Johann Adam Neeß geweßenen Ackersmanns und burgers Zu Rußheim Marggräfflich Durlachischer Herrschafft, mit auch Weÿland Catharina gebohrner Weberin ehelich erzeugter Sohn, so Majorennis als Hochzeiter ane einem,
So dann Jungfer Maria Salome Bollingerin, Meister Johann Friderich Bollinger Schuhmachers und burgers allhuer mit Fraun Maria Elisabetha gebohrnee Müllerin ehelich erziehlte tochter, als braut, ane dem andern theil
auf Donnerstag den 14. Octobris Anno 1779 [unterzeichnet] Johann Michael Neeß, Maria Saloma Bollingerin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 48-v, n° 27)
Im Jahr Christi 1781 Mittwoch den 16. Maÿ Vormittag um Zehen Uhr sind (…) ehelich eingesegnet worden Johann Michael Neeß ledigen Schuhmacher meister und burger allhier Von Rußheim im Durlachischen gebürtig, Weÿl. Adam Neeß geweßten Ackersmanns und Burgers daselbst, mit auch Weÿl. Frau Maria Catharina gebohrner Hackerin ehelich erzeugter Sohn Und Jungfer Maria Salome Bollingerin Johann Friderich Bollinger Schuhmacher meisters und burgers allhier mit Fru Maria Elisabetha gebohrner Müllerin ehelich erzeugte Tochter, bezeugen Johann Michael Neeß als hochzeiter, Maria Salome Bollingerin als hochzeiterin (i 50)
1781, VI 370, 12 (Nouveaux bourgeois, 1781-1783) [p. 6]
Michael Neeß
Marie Salomé Bollinger meurt sans postérité en 1784. L’inventaire est dressé dans une maison rue des Drapiers. Les biens du mari s’élèvent à 262 livres, ceux des héritiers à 138 livres
1784 (10.5.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 884) n° 224
Inventarium über Weiland Fraun Mariä Salome gebohrner Bollingerin, Johann Michael Neeß des Schuhmacher Meisters und burgers alhier Zu Straßburg gewesener Ehefrauen Verlaßenschafft, errichtet Anno 1784. – nach ihrem den 19.ten Aprilis dieses laufenden 1784. Jahrs erfolgten absterben hinterlaßen hat, welche Verlaßenschafft auf Ansuchen erstbemahmbsten des hinterbliebenen Wittibers, wie auch auf requisitionem herrn Johann Friedrich Bollinger, des Schuhmachers und Fraun Mariä Elisabethä gebohrner Müllerin, beider Eheleuth und burgere alhier und Zwar die Ehefrau unter authorisation ihres Mariti als der Defunctæ leiblicher Eltern und ab intestato nachgelaßener Erben inventirt – Actim alhier Zu Straßburg in einer an der Tucherstubgaß gelegenen hiehero nicht gehörigen behausung, Montags den 10. Maÿ Anno 1784.
Bericht in dieses Inventarium gehörig. Es haben Zwar beide disortige nun Zertrennten Eheleuth in ihrem mit einander errichteten Vorher eingetragenen Ehe Contract §° 2° ohnverändert Guth und wegen dem wehrender Ehe abgehenden Ergäntzung stipulirt, diesem Zufolg hätten dero beidenseitige Illata inventirt werden sollen, welches aber nicht geschehen ist, man hat dahero in Ansehung der defunctæ in die Ehe gebrachten Vermögens sich einig und allein auf dero Eltern und des Wittibrs bei gegebener Handtreu gethane declaration Verlaßen müßen (…)
Series rubricarum hujus Inventarii. Der Erben unverändertes Vermögen, Sa. hausraths 55, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 5, Sa. Goldenen Ring 12, Sa. der Schuld 50, Sa. der Ergäntzung 15, Summa summarum 138 lb
Diesemnach wird auch des Wittibers unverändert und die theilbare Massa unter einem Titul beschrieben, Sa. Hausraths 14, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 7, Sa. der Schulden 315, Summa summarum 337 lb – Schulden 75 lb, Detrahendo 262 lb – Beschluß und Stall summ 400 lb
Copia des Ehecontracts (…) den 14. Octobris 1779, Johann Friedrich Schatz
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 300 florins (150 livres) sur un total de 800 florins
1784, Livres de la Taille (VII 1180) f° 349
Schuhmacher N° 193 – Weÿland Fr. Mariä Salome, gebohrner Bollingerin, Johann Michael Neeß des Schuhmachers und burgers alhier gewesener Ehefrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Greiß
Concl. fin: Invent: ist fol. 60., 400 lb 10 ß 3 d, die machen 800 fl. verstallte 500 fl. also Ziwenig 300 fl.
Weilen der hinterbliebene Wittiber erst in Anno 1781. ist burger worden, so wird kein Nachtrag angesetzt, sondern allein das Zu wenig verstallte vor 3 Jahr nachgeholt, thut à 9 ß des Jahrs, 1 lb 7 ß
Ext. Stallgeld pro 1783. et 1784. à 2 lb 2 ß d, 4 lb 4 ß
Gebott, 2 ß,
Abhandlung 14 ß 3 d – Summa 6 lb 7 ß 6 d
dt. 12.t Junii 1784.
Jean Michel Nees se remarie avec Marguerite Barbe Ziegler, fille de pêcheur : contrat de mariage, célébration
1784 (16.11.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 894) n° 113
Eheberedung – persönlich erschienen Johann Michael Neeß, Schuhmacher Meister Wittiber und burger allhier als bräutigam an einem,
So dann Jungfrau Margaretha Barbara Zieglerin weiland Johann Philipp Zieglers geweßenen Fischers und burgers alhier ehelich erzeugte tochter so majorennis und ohnbevögtigt Zu seÿn declarirte beÿständlich Herrn Johann Martin Hosch des ältern Windenmachers und burgers allhier als braut an dem andern theil
Actum allhier Zu Straßburg Dienstag den 16. Novembris Anno 1784 [unterzeichnet] Johann Michael Neeß als brautigam, Margaretha Barbara Zieglerin als Braut
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 165-v)
Im Jahr Christi 1784 Montags den 29. Novembris nach mittag um zweÿ Uhr sind (…) offentlich copulirt und ehelich eingesegnet worden Johann Michael Neeß, Schuhmacher Mstr. Wittwer und burger allhier, der in der Ersten Ehe gelebet hat mit weÿl. Frau Maria Salome geborner Bollingerin, und Jgfr. Margaretha Barbara Zieglerin weÿl. Johann Philipp Zieglers gewesenen Fischers und burgers allhier und Fr. Elisabetha gebohrner Rödererin ehl. erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Michael Neeß als hochzeiter, Margaretha Barbara Zieglerin als Hochzeiterin (i 167)
Anne Marie Lang veuve de Michel Wittmann meurt sans postérité dans la maison dont elle a été en partie propriétaire. L’actif de la succession s’élève à 354 livres, le passif à 35 livres
1786 (6.4.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 832) n° 1052
Inventarium über Weil. Fraun Annä Mariä Wittmännin gebohrner Langin, weil. Mr Michael Wittmann des geweßenen Ehemaligen Wollenwebers und burgers alhier Zu Straßburg nachgelaßener Wittib nun seeligen Verlaßenschafft, errichtet in Anno 1786. – nach ihrem Sonntag den 26. martÿ anno 1786 aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen – So beschehen allhier Zu Straßburg auf Donnerstag den 6. Aprilis anno 1786.
Der verstorbenen Fraun seel. ab intestato verlaßene Erben seÿend. 1° Jgf. Maria Salome Langin, so mehrjährig und seit einiger Zeit ohnbevögtigt vnd sich dermalen in Baßel in diensten befindet, dahero in dero Nahmen beÿ dieser Verlaßenschafft Zugegen war H. Johann David Antoni, der Seiden Knöpffmacher und burger allhier, dero ehemaliger Vogt, welcher in dero Nahmen und ex propriis cavirte für alles dasjenige gut zu seÿn was desfalls vorgenommen und approbirt werden wird (…) In den ersten dritten Stammtheil
2.do Frau Catharina Dorothea gebohrner Langin H. Carl Friderich Schultz des Tuchscherers und burgers alhier eheliche Haußfrau, welche mit Zuziehung dieses ihres Ehemann beÿ diesem Verlaßenschafft Geschäfft erschienen und als majorennis ihr interesse selbsten besorgt habe, In den Zweÿten dritten Stammtheil, und dann
3.tio Johannes Lang, leediger Seiden Knöpffmachers Gesell so sich dermalen Zu Bern in der Schweitz in condition befindet, und annoch minderjährig deßen geordneter vogt ist vorgedachter H. Johann David Anthoni der Seiden Knöpffmacher und burger allhier, welcher dann in deßen Nahmen beÿ diesem Verlaßenschafft Geschäfft erschienen und sein Interesse besorget hae, In den dritten und letzten Stammtheil, Alle dreÿ seÿn weiland H. Johann Friderich Lang des geweßenen Knöpffmachers und Seidenhändlers auch burgers alhier mit auch weil. Fraun Anna Maria gebohrner Reißnerin, seiner vor Ihme verstorbenen Ehefraun seel. ehelich erziehlte nach tod verlaßheer und dermalen annoch lebende Kinder, der verstorbenenn Fraun seel. vollbändige geschwüsterte und ab intestato zu dreÿen gleichlingen portionen und Antheilen Verlaßene Erben
In einer allhier Zu Straßburg ane der Siebenmanns Gaß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft nicht gehöriger Behaußung befunden worden als volgt
Schulden aus dieser Verlaßenschafft Zu bezahlen. It. Mr Jacob Claus dem Schneider und b. alh. ist man sampt für hauß Zinß, Kostgeld als gelieffertes x laut Verzeichnus schuldig 7 lb 1
Series rubricarum hujus Inventarÿ Sa. haußraths 92, Sa. Silbers 6, Sa. goldenen Ring 6, Sa. baarschafft 223, Sa. Schulden 24, Summa summarum 354 lb – Schulden 35, In Vergleichung, Stall Summ 318 lb
Marguerite Barbe Ziegler meurt sans postérité en 1806. L’inventaire mentionne les différents loyers.
1806 (15.7.), Strasbourg 13 (24), Not. Bremsinger n° 3227
Inventaire de la succession de Marguerite Barbe Ziegler épouse de Michel Neess cordonnier, domicilié en cette ville dans la maison détaillée ci après, décédée le 20 avril dernier – à défaut d’enfants ou petits enfants la défunte a délaissé pour uniques héritier ab intestat ses héritiers collatéraux savoir du côté paternel, 1. Jean Daniel Stauffer poisonnier, 2. Barbe née Stauffer veuve de Michel Klughertz Poissonier, 3. Jean Geofroi Stauffer Poisonnier pour ses enfants procréés d’Anne Barbe née Pfeiffer savoir a) Jean Geofroi, b) Anne Barbe, c) Marie Salomé et d) Elisabeth les Stauffer ladite mère, dont il est tuteur naturel et Jean Daniel Stauffer tuteur subrogé, 4. les enfants délaissés par Anne Catherine Stauffer procréés avec feu Daniel Busch Poisonnier savoir a) Daniel, b) Michel, c) Marie, et d) Barbe les Busch pour lesquels Jean Balthasar Reisser en qualité de tuteur établi par la justice, 5. Marie Salomé née Stauffer épouse du susdit Sr Reisser, 6. Jean Léonard Stauffer Poissonier, 7. Marguerite née Stauffer épouse d’André Riebel Poisonier, 8. Elisabeth Flohr fille majeure assitée de Jean Daniel Stauffer, les huit cousins germains et représentant les cousins germains,
Du côté maternel, 1. Sr Jean Geofroi Roederer pasteur à Sundhausen absent représenté par le Sr Gerhard, 2. Marie Madeleine née Roederer épouse de Georges Frédéric Albrecht pelletier présentement en Amérique, 3. Jean David Roederer Pasteur a Scharrachbergheim absent représenté par le Sr Gerhard, 4. Catherine Dorothée née Roederer épouse de Georges Frédéric Gerhard pasteur à Ittenheim, 5. Marie Salomé née Roederer veuve de Jean Jacques Fischer Negociant à Strasbourg, 6. Catherine Barbe née Roederer épouse de Jean Georges Zier boulanger, 7. les enfants délaissés par Jean Philippe Roederer vitrier procréés avec Anne Dorothée née Scholl la veuve savoir a) Geofroi Frédéric Philippe, b) Jean Daniel les Roederer, 8. Sabine née Roederer veuve de Jean Frédéric Bruder Parcheminier assitée du Sr Gerhard son beau frère, 9. Marguerite Madeleine née Roederer veuve de Jean Daniel Krafft orfèvre, les neuf cousins germains
Contrat de mariage dressé par le notaire Jean Frédéric Greiss le 16 novembre 1784, pas d’inventaire des apports – convention par le veuf, partageable par moitié et la moitié en jouissance
succession, meubles 555 fr, dettes payables a ladite succession 1036 fr, préciput au veuf 600 fr, reste 436 fr
Propriété d’une maison appartenante a ladite succession. Savoir une Maison petite Cour avec ses autres appartenances droits et dépendances le tout situé en cette ville de Strasbourg Rue des Sept hommes derrière la ci devant Tribu des Pelletiers sous le n° 8, d’un côté le Sr Beck Bottier d’autre Abraham juif incarcéré, derrière l’auberge des Boulangers et les héritiers Kolb notaire en cette ville, chargée d’une rente emphythéotique de 2,40 francs payable a la recette de la ci devant université de cette ville dite hohe Schuhl – acquise par acte passé à la Chambre des Contrats le 22 septembre 1785 et autres actes à la même Chambre les 12 juillet 1790, 19 janvier 1791, 18 juillet 1792 et 2 octobre 1792. Les loyers de ladite maison et dépendances attendu qu’elles sont louées verbalement aux personnes dénommées ci après, savoir le Raiz d Chaussée au Sr Boeckler gantier pour 55 fr, le premier étage au veuf pour 57 fr, le second étage au Sr Elsen Maçon pour 55 fr, le troisième étage a la De Heber veuve Gendarme pour 30 fr, total 200 fr de revenu, en capital 4000 francs
total de l’actif 4991 fr, passif 477 fr, reste 2256 fr
propriété du veuf 2856 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 100 F° 61-v du 16.7.
Jean Michel Nees se marie en troisièmes noces avec Marguerite Marie Salomé Brennenmann veuve du farinier Jean Sigefroi Moser
1807 (5.5.), Strasbourg 13 (26), Not. Bremsinger n° 3772
Contrat de mariage – Jean Michel Neess cordonnier domicilié rue des Sept Hommes sous n° 8 veuf de Marguerite Barbe née Ziegler
Marie Salomé née Brennenmann veuve de Jean Sigefroi Moser marchand de farine domicilié Place d’Armes n° 17
Enregistrement de Strasbourg, acp 102 F° 130 du 5.5.
Jean Michel Nees et les héritiers de sa deuxième femme vendent la maison par adjudication. L’acquéreur est le cordonnier Jean Georges Nees
1811 (7.1.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 58, n° 65
par devant M Jean Samuel Silberrad juge au Tribunal de Première Instance commissaire en cette partie nommé par jugement du 31 août 1810, il a été procédé à la vente et adjudication dont la teneur suit. Cahier des charges de la vente de la maison avec ses appartenances et dépendances située à Strasbourg rue des Sept Hommes n° 8 (…) Ladite maison appartient par indivis aux individus ci après désignés, 1. Jean Michel Neess, cordonnier qui participe pour la moitié, 2. Jean Daniel Stauffert poissonnier pour 1/32, 3. Barbe Stauffert veuve de Michel Klughertz poissonnier pour 1/32, 4. aux enfants de Jean Geoffroi Stauffert poissonnier savoir Jean Geoffroi Stauffert poissonnier, Anne Barbe Stauffert femme de Philippe Jacques Docker cordonnier, Marie Salomé Stauffert majeure et Elisabeth Stauffert cette dernière mineure ayant pour tutrice naturelle sa mère Anne Barbe née Pfeiffer et subrogé tuteur Jean Daniel Stauffert pour 1/32,
5. aux enfants d’Anne Catherine née Stauffert procréés avec Daniel Busch poissonnier savoir Daniel Busch, Michel Busch et Marie Busch cette dernière mineure ayant pour tuteur Jean Balthasar Reiser menuisier et subrogé tuteur ledit Jean Daniel Stauffert pour 1/32,
6. Marie Salomé Stauffert épouse dudit Reiser pour 1/32,
7. Jean Leonard Stauffert poissonnier, pour 1/32,
8. Marguerite Stauffert épouse d’André Reibel poissonnier pour 1/32,
9. Elisabeth Flohr majeure pour 1/32,
10. Jean Georges Roederer pasteur à Mundolsheim pour 1/36,
11. Marie Madeleine Roederer épouse de Georges Frédéric Albrecht pelletier pour 1/36,
12. aux enfants de Jean David Roederer pasteur à Scharrachbergheim savoir Marguerite Salomé Roederer épouse de Jean Georges Reiss boulanger, Henri Geofroi Roederer tonnelier, Jean David Roederer, Marie Salomé Roederer et Wilhelmine Roederer les quatre mineurs ayant pour tutrice leur mère Catherine Salomé Roederer née Leicht et subrogé tuteur Jean Frédéric Gerhard pasteur à Ittenheim pour 1/36,
13. Catherine Dorothée Roederer épouse de du Sr Gerhard pour 1/36,
14. Marie Salomé Roederer veuve de Jean Jacques Fischer négociant pour 1/36,
15. Catherine Barbe Roederer épouse de Jean Georges Zier boulanger pour 1/36,
16. aux enfants de Jean Philippe Roederer vitrier savoir Geofroi Frédéric Philippe Roederer majeur, Jean Daniel Roederer mineur ayant pour tutrice sa mère Anne Dorothée née Scholl et subrogé tuteur Jean Philippe Scholl pellier pour 1/36,
17. Sabine Roederer veuve de Jean Frédéric Bruder parcheminier pour 1/36,
18. Marguerite Madeleine Roederer veuve de Jean Daniel Krafft orfèvre pour 1/36 ; en qualité d’héritiers de Barbe Ziegler épouse dudit Jean Michel Ness
la maison avec ses appartenances et dépendances située à Strasbourg rue des Sept Hommes n° 8 d’un côté le Sr Buck bottier, d’autre Abraham Isaac, derrière ci devant tribu des boulangers – grevée d’une rente emphythéotique et laudémiale de 2 fr 40 au profit de la haute école – acquis suivant acte passé à la Chambre des Contrats le 22 septembre 1785 et autres actes à la même chambre les 12 juillet 1790, 19 janvier 1791, 18 juillet 1792 et 2 octobre 1792, inventaire dressé part le notaire Bremsinger le 15 juillet 1805 – estimée 7500 fr par procès verbal d’experts du 18 août 1810 homologué le 30 du même mos – Fait le 12 septembre 1810
Adjudication préparatoire le 5 octobre – Adjudication définitive le 7 décembre
à Me Klauhold pour 8710 francs – Déclaration de command du 8 décembre au nom de Jean Georges Neess cordonnier
Jean Georges Nees se marie en 1790 avec Sophie Dorothée Fischbach, originaire d’Ingwiller, qui avait épousé en 1786 le cordonnier Jean Léonard Kœssig. Contrat de mariage et célébration entre Jean Léonard Kœssig et Sophie Dorothée Fischbach
1786 (6. Hornung), Not. Stoeber (6 E 41, 1260) n° 237
Eheberedung – persönlich erschienen Mr Johann Leonhard Kößig der jüngere led. Schumacher u. b. allhier Mr Johann Leonhard Kößig des ältern Schumachers u. bs alhier mit weil. frauen Margaretha gebohrner Fuchßin ehelich erzeugten Sohn, als hochzeiter unter authorisation solchen seines Vaters an einem
und Jgf. Sophia Dorothea Fischbachin weil. Joh: Friderich Fischbach gew. brs. u. Schloßers Zu Ingweiler mit Fr. Anna Sibilla geb. Ehrhardin ehelich erzeugte tochter (…) als braut
Straßburg Montags den 6. hornung A° 1786 [unterzeichnet] Johann Leonhardt Kößig als Hochzeiter, der hochzeiterin handzeichen +
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 206)
Im Jahr Christi 1786 Montags nach Quasimodo den 24 Aprilis Nach mittags um fünff Uhr sind (…) offentlich copulirt und ehelich eingesegnet worden Johann Leonhardt Kössig, ledigen Schuhmacher Meister und burger allhier, Johann Leonhardt Kössigs, Schuhmacher Meisters und burgers alhier und weÿland Frau Margaretha gebohrne Fuchsin ehelicher Sohn und Jngfer Sophia Dorothea Fischbachin von Ingweiler gebürtig weÿland Johann Friderich Fischbachs geweßenen Schloßers und burgers daselbst und Frau Annä Sibillä geborner Erhardtin eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Leonhardt Kößig als Hochzeiter, + handzichen der Hochzeiterin (i 207)
Sophie Dorothée Fischbach devient bourgeoise par son mari quelques semaines après son mariage
1786, Livre de bourgeoisie 1783-1787 (VII 1559) f° 109-v
sophia Dorothea fischbachin von jngweiller gebürtig weÿland Johann Friderich fischbach gewesenen burgers und schloßer daselbst mit sibilla gebohrner Ehrhardin ehl. erzeugt hinterlassene tochter verheurathet mit Joh: leonhard Kößig dem burger vnd schuhmacher Mstr allhier, erhalt das burgerrecht gratis, will dienen Zur E. E. Zunfft der schuhmacher promisit d. 3.ten May 1786.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au père du marié rue de la Fontaine Glock aux Grandes Arcades. Les apports du mari s’élèvent à 49 livres, ceux de la femme à 187 livres
1786 (15.5.), Not. Stoeber (6 E 41, 1252) n° 524
Inventarium über Mr Johann Leonhard Kößig den jüngern Schuemacher und Frau Sophia Dorothea Kößigin geb. Fischbachin beede Eheleuthe u. br. allhier einander in ihrem Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1786. – in ihrem d. 24.ten Aprilis jüngst angetrettenen Ehestand zugebracht haben. Welche Inventur auf ihr beeder Eheleuth selbstiges Ansuchen u. begehren deswegen fürgenommen wurde weil dieselbe vor mir Notario in ihrer den 6.ten Hornung jüngst errichteten Eheberedung §° II.do ihres einbringens halbe, ein unverändert und vorbehaltenes Guth stipulirt haben
So geschehen in der allh. Zu Straßburg an der Pickergaß gel. in des Ehemanns Vatter Zuständigen behausung Montags den 15. May A° 1786. In beÿseÿn Mr. Joh. Leonhard Kößig des ältern Schuemachers u. b. allhier des Ehemanns Vaters so dann Mr Johann Friderich Simon des Strumpfstrickers u. b. allhier der Ehefrauen erbettenen beÿstandts
Norma hujus inventarii. Des Ehemanns eingebrachtes Vermögen, Sa. Werckzeugs u. Waars 9 lb, Sa. silbers 4 lb, Sa. activ schuld 7 lb, Summa summarum 20 lb – Wird nun dazu gerechnet die helffte an denen haussteuren anlangend 27 lb, des Ehemanns vermögen 49 lb
Diesemnach wird auch der F. unverändert Vermögen, Sa. hausraths 80 lb, Sa. silbers 7 lb, Sa. baarschafft 72 lb, Summa summarum 160 lb – Wird nun dazu gerechnet dero helffte an denen haussteuren 27 lb, der Ehefraun Guth 187 lb
Erschienen bey gegenwärtigen Concept Fr. Sophia Dorothea Kößigin geb. Fischbachin (…) freÿwillig anzeigend, daß sie von ihrer den 30. Martÿ diesen Jahrs Zu Ingweiler verstorbenen Mutter weiland Fr. Anna Sibilla Fischbachin geb. Ehrhardin an baarem Geld 50 Gulden geerbt (…) Straßburg d. 23. Aprilis 1788.
Jean Léonard Kœssig meurt sans postérité en 1789 dans la maison A la Mouche au Finckwiller. La masse propre à la veuve est de 161 livres. L’actif des héritiers et de la communauté est de 117 livres, le passif de 183 livres.
1789 (27.5.), Not. Faller (6 E 41, 976)
Inventarium über Mstr Johann Leonhard Kößig des geweßenen Schuhmachers und burgers allhier Zu Straßburg Seel. hinterlaßene Vermögenschaft, auffgerichtet Anno 1789 – nach seinem den 25. Maÿ dieses 1789.sten Jahres genommenen tödlichen hintritt verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehr und tugensamen Fraun Sophiä Dorotheä gebohrner Fischbachin des defuncti Seel. Zurückgelaßener Frau Wittib beÿständ. H. Joh: Conrad Stüttge des Mahlers und burgers allhier – Also geschehen Straßburg den 27.ten Maÿ 1789.
Denominatio hæredis. Der Verstorbene hat Zu seinem einigen Erben ab intestato hinterlaßen Margaretham Magdalenam Kleinin gebohrne Kößigin, Mstr. Johannes Klein des Schuhmachers und burgers allhier Ehegattin, des verstorbenen leibliche Schwester
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Finckweiler gelegenen, und zur Muck genannter aber in dieße Verlaßenschafft nicht gehörige behaußung gefunden worden wie folgt
Ergäntzung der Hinterbliebenen Wittib währender Ehe abgegangenen ohnveränderten guths. Vermög des über beeder im leben geweßter Ehegattin einander in den Ehestand Zugebrachtes und besag vorher eingetragener Eheberedung §° 3° vor ohnverändert Stipulirtes Vermögen durch Hn Notarium Joh: Daniel Stöber den 15.ten Maÿ 1786. auffgerichteten Inventarÿ in ihro der hinterbliebenen Wittib währen dieser Ehe abgegangenen guth
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Hinterbliebenen Wittib ohnverändert guths, Sa. haußraths 21, Sa. Silbers 1, Sa. Schuld 15, Sa. Ergäntzungs 123, Summa summarum 161 lb
Dießem nach wird auch der Erbin ohnverändert und theilbar guth, weil solches von den passiv: Schulden um ein märgliches übertrofen wird, unter einer Maß beschrieben, Sa. haussteur 2, Sa. Hausrath 20, Sa. Werckzeug 1, Sa. Silber 3, Sa. Schulden 91, Summa summarum 117 lb – Schulden 183 lb, In Vergleichung 65 lb
Zweiffelhaffte Schulden in der Erbin ohnverändert und theilbaren Nahrung 6 lb
Dorothée Fischbach se remarie en 1790 avec le cordonnier Jean Georges Nees, originaire de Gerach en margraviat de Bade : contrat de mariage, célébration
1789 (14.12.), Not. Faller (6 E 41, 976) n° 22
Eheberedung – zwischen dem Ehren und gerechten Herrn Johann Georg Neeß, dem ledigen Schuhknecht von Gerach Herrschafft Baaden durlach gebürtig, Herrn Johannes Neeß des burgers und ackersmanns mit Weÿland Elisabetha gebohrner Meÿerin allda ehelich erzeugtem Sohn, so großjährig zu seÿn declarirtn, als Hochzeiter ane Einem
So dann der Ehr und tugendsamen Fraun Dorothea Kößigin gebohrner Fischbachin, Weÿl. Mstr. Leonhard Kößig, des geweßenen Schuhmachers und burgers allhier nachgelaßener Wittib als Hochzeiterin am andern theil
So geschehen in Straßburg auf Montag den 14. Decembris anno 1789 [unterzeichnet] Johann Georg Neeß als Hochzeiter, Fraun Dorotheä Kößigun der Hochzeiterin Handzeichen +
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 76, n° 24)
Im Jahr 1790 (…) den 1. Junÿ Abends nach sechs Uhr in der Prediger-Kirche allhier copulirt und eingesegnet worden Johann Georg Neeß der ledige Schuhmacher meister u. burger allgier gebürtig von Görach im Durlachischen, des Georg Neeß leinenwebers u. Kirchenvorstehers daselbst mit weiland Frau Elisabetha einer gebohrnen Majerin ehelich erzeugter Sohn, dreÿ und dreÿßig Jahr alt, und Frau Sophia Dorothea Kössigin weil Johann Friderich Fischbachs geweßenen Schloßers u. burgers zu Ingweiler ehelicher Tochter, weiland Johann Leonhard Kössig geweßten Schuemacher Meisters und burgers allhier hinterlaßener Wittib alt vier und dreÿßig Jahr [unterzeichnet] Johann Georg Neeß als hochzeiter,+ der Hochzeiterin Handzeichen (i 65)
Jean Georges Nees meurt en 1826 après avoir institué sa femme légataire universelle
1827 (31.1.), Strasbourg 4 (64), Me Hatt n° 3273
Inventaire de la succession de Jean Georges Neess, cordonnier décédé le 25 octobre dernier – à la requête de Dorothée Fischbach la veuve en secondes noces, héritière universelle suivant contrat de mariage dressé par Faller le 14 décembre 1789
une maison sise à Strasbourg rue des Sept Hommes n° 8, d’un côté Abraham Trappler, d’autre le Sr Beck ancien notaire à Wasselonne, derrière le Sr Grucker – acquis par adjudication au tribunal civil de première instance le 7 décembre 1810, grevée d’une rente emphythéotique et laudémiale de 2,40 fr au profit de la fondation de la Haute Ecole, estimée 4000 fr
mobilier 337 fr, créances 12 653 fr, ensemble 17 090 fr – garde robe 76 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 182 F° 99-v du 6.2.
Dorothée Fischbach meurt en 1841 en délaissant des héritiers collatéraux. Elle a racheté le 29 août 1836 la rente laudémiale de 2,40 francs assise sur la maison au profit de la fondation de la Haute Ecole
1841 (24.3.), Strasbourg 6 (68), Not. Striffler n° 722
Inventaire après le décès de Dorothée Fischbach veuve en premières noces du Sr Jean Léonard Koesig et en secondes noces du Sr Georges Ness, les deux cordonniers
A la requête 1° du Sr André Fischbach le jeune serrurier demeurant à Ingwiller (canton de Bouxwiller), 2. de De Madeleine Fischbach épouse autorisée à l’effet des présentes du Sr Louis Bloch, vitrier avec lequel elle demeure au dit lieu, 3. de De Salomé Fischbach épouse autorisée et assistée du Sr Geoffroi Bernhardt tailleur d’habits demeurant audit Ingwiller, 4. de De Elisabeth Fischbach femme autorisée et assistée du Sr Nicolas Clauss, maçon demeurant à Ingwiller, 5. du Sr Jacques Fischbach tailleur d’habits domicilié à Paris, 6. de De Madeleine Fischbach femme autorisée du Sr Louis Martzloff, instituteur demeurant à Goxwiller, agissant au nom et comme mandataire de sa femme qu’il a autorisée, demeurant avec lui aud. Goxwiller (…)
en qualité d’héritiers institués par portions égales et légataires universels chacun pour un 6° de De Dorothée Fischbach veuve en premières noces du Sr Jean Léonard Koesig et en secondes noces du Sr Georges Ness, les deux cordonniers à Strasbourg où elle était domiciliée, leur tante, aux termes de son testament authentique reçu par Me Küss notaire à Ingwiler en présence de quatre témoins le 28 août 1835 enregistré à Ingwiller le 15 mars dernier
(mobilier) se trouvant en son domicile à Strasbourg rue des sept hommes N° 8 et sur la déclaration des requérans que les autres effets et titres de cette succession se trouvent à Ingwiller où la défunte est décédée le 12 mars dernier, tout déjà inventorié par Me Rinck notaire audit lieu
Titres et papiers.. Trente pièces (…) concernant une maison située à Strasbourg rue di vieux seigle à l’enseigne de l’Ecrevisse N° 23 qui appartenait autrefois à la défunte et à son mari mais qui depuis longtemps a été revendue (…)
Treize pièces. La première esy la grosse d’un jugement d’adjudication rendu par le tribunal ed Strasbourg le 30 décembre 1810 par lequel le Sr Ness, époux de la défunte a acquis la maison rue des sept hommes N° 8 à Strasbourg qui se trouve aujourd’hui faite partie de lla succession de la défunte, la deuxième est une quittance prouvant qu’une rente de 2 francs 40 centimes qui était assise sur cette maison au profit de la fondation de la haute école de Strasbourg a été racheté le 29 août 1836 par ladite Dorothée Fischbach. Les autres sont d’anciens titres, comptes, certificats et quittances concernant la même maison.
Trois pièces qui sont la police d’assurances (…)
Deux pièces. La première est une expédition du contrat de mariage de la défunte avec ledit Sr Ness passé devant Me Faller notaire à Strasbourg le 14 décembre 1789 qui porte notamment qu’en cas de prédécès du mari sans postérité la veuve survivante aura en toute propriété tout ce qui lui appartient sous la condition qu’il sera remis 395 francs aux héritiers du mari mais après la mort de la défunte seulement. La deuxième est l’inventaire dressé après le décès qu Sr Nees par Me Hatt et son confrère notaires à Strasbourg le 31 janvier 1827.
Trois pièces. La première est l’expédition du contrat de mariage de la défunte avec Jean Léonard Koesig son premier mari passé devant Me Jean Daniel Stöber notaire à Strasbourg le 6 février 1786. La deuxième est un inventaire des apports dressé par le même notaire le 15 mai de la même année, Enfin la troisième est l’inventaire de la succession dud. Sr. Koesig dressé par Me Faller notaire à Strasbourg le 27 mai 1789
Déclarations actives (…) 2° Les loyers courants des logements loués dans la maison de la défunte savoir a) Celui de Louis Müller à raison de 40 francs par an, b) celui de Lazare Jacob loué à raison de 294 francs par an, c) celui de la veuve Schumetrer à raison de 80 francs par an
acp 286 (3 Q 30 001) f° 28 – objets mobiliers 748, description des titres et papiers, la succession comprend en outre des créances pour 1000 francs
Les héritiers de Dorothée Fischbach vendent la maison 5 000 francs au fabricant de cire André Auffinger
1841 (15.4.), Strasbourg 6 (68), Not. Striffler n° 738
Ont comparu 1. le Sr André Fischbach le jeune serrurier demeurant à Ingwiller canton de Bouxwiller, 2. Madeleine Fischbach épouse du Sr Louis Bloch, vitrier avec lequel elle demeure au dit lieu (…) 3. Le Sr Geoffroi Bernhardt tailleur d’habits demeurant à Ingwiller, agissant au nom et comme mandataire de Salomé Fischbach sa femme qu’il a autorisée, demeurant avec lui au dit Ingwiller, 4. Nicolas Clauss, maçon demeurant à Ingwiller, agissant au nom et comme mandataire d’Elisabeth Fischbach son épouse qu’il a autorisée, demeurant avec lui au dit Ingwiller (…), 5. ledit Geoffroi Bernhardt sus nommé & qualifé agissant encore au nom et comme mandataire de Jacques Fischbach tailleur d’habits demeurant à Paris rue de la paix n° 7 (…), 6. le Sr Louis Martzloff, instituteur demeurant à Goxwiller, agissant au nom et comme mandataire de Madeleine Fischbach sa femme qu’il a autorisée, demeurant avec lui aud. Goxwiller (…, avoir vendu)
à M. André Auffinger, fabricant de cire, demeurant à Strasbourg
Une maison à rez de chaussée & trois étages, petite cour, sise à Strasbourg rue des sept hommes N° 8, formant le coin de la rue Ste Barbe, appartenances & dépendances, notamment le droit au septième indivis existant au profit de cette maison du puits placé rue Sainte Barbe vis à vis la maison, tenant d’un côté à Joseph Trappler, de l’autre au Sr Becker de la Robertsau, donnant par derrière sur le Sr Staehlé. Ensemble quatre fourneaux en fonte, les doubles fenêtres et en général tout ce qui est immeuble par destination (…) moyennant le prix et somme de 5000 francs
Propriété. Les vendeurs déclarent être propriétaires de la maison susdésignée en leur qualité d’héritiers institués et légataires universels de De Dorothée Fischbach leur tante veuve du Sr Georges Ness cordonnier à Strasbourg décédée à Ingwiller, et de la succession de laquelle inventaire a été dressé quant aux objets trouvés en son domicile à Strasbourg le 24 mars dernier. Cette qualité de légataires résulte au profit des vendeurs du testament authentique de la défunte reçu par Me Küss alors notaire à Ingwiller en présence de témoins le 28 août 1835 enregistré le 15 mars 1841. La Dame veuve Ness était propriétaire de cette maison qui avait fait partie de la communauté d’entre elle et son mari tant en sa qualité de commune qu’en vertu de son contrat de mariage passé devant Me Faller notaire à Strasbourg le 14 décembre 1789 qui porte qu’en cas de prédécès du mari sans postérité la veuve survivante aura en toute propriété toute sa fortune sous la condition qu’il sera remis 395 francs aux héritiers du mari mais après la mort de la défunte seulement. (…) La communauté des conjoints Ness était devenue propriétaire de l’immeuble présentement vendu par suite de l’acquisition que le Sr Ness en a faite de Jean Michel Ness de Strasbourg et consorts aux termes d’un procès verbal d’adjudication définitive sur licitation dressé au greffe du tribunal de Strasbourg le 13 décembre 1810 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 7 janvier 1811.
acp 286 (3 Q 30 001) f° 58-v
André Auffinger et Marie Steinmetz, domiciliés rue des Orfèvres d’après le cadastre vendent la maison 9 000 francs à l’aubergiste Jean Christophe Schorong et à sa femme Joséphine Schmitt
1845 (4. 9.br), Strasbourg 10 (106), Not. Zimmer n° 5945
Ont comparu M. André Auffinger, fabricant de cire, et Dame Marie Steinmetz son épouse qu’il autorise dûment à l’effet des présentes demeurant et domiciliés à Strasbourg (vendent)
au Sieur Jean Christophe Schorong, aubergiste, et De Joséphine Schmitt, sa femme de lui dûment autorisée, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg, acquéreurs solidaires
Une maison à rez-de-chaussée et trois étages, petite cour, sise à Strasbourg rue des sept hommes N° 8 formant le coin de la rue Ste Barbe, appartenances et dépendances, notamment le droit au septième indivis existant au profit de cette maison du puits placé rue Sainte Barbe, vis à vis la maison, tenant d’un côté à Joseph Trappler, de l’autre au Sieur Becker de la Robertsau, donnant par derrière sur le Sr Staehlé. (…)
Les conjoints Auffinger sont devenus propriétaires de l’immeuble vendu pour en avoir fait l’acquisition sur 1. André Fischbach le jeune serrurier demeurant à Ingwiller canton de Bouxwiller, 2. Madeleine Fischbach épouse du Sr Louis Bloch, vitrier au dit lieu, 3. Salomé Fischbach épouse du Sr Geoffroi Bernhardt tailleur d’habits demeurant audit Ingwiller, 4. Elisabeth Fischbach épouse du Sr Nicolas Clauss, maçon demeurant au même endroit, 5. Jacques Fischbach tailleur d’habits demeurant à Paris, 6. Madeleine Fischbach femme du Sr Louis Martzloff, instituteur demeurant à Goxwiller, suivant contrat reçu pat M° Striffler notaire à Strasbourg le 15 avril 1841, renfermant quittance du prix et transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 24 du même mois volume 368 n° 95. Lesdits André et Jacques Fischbach et lesdites Dames Bloch, Bernhard, Clauss et Martzolff étaient propriétaires de la maison ci-dessus désignée comme héritiers institués et légataires universels de Dame Dorothée Fischbach leur tante veuve du Sr Georges Ness cordonnier à Strasbourg, décédée à Ingwiller, d’une partie de la succession de laquelle il a été dressé inventaire par ledit M° Striffler le 24 mars 1841. Cette qualité de légataires résulte au profit des dits vendeurs du testament authentique de la défunte Dame Ness reçu par Me Küss alors notaire à Ingwiller en présence de témoins le 28 août 1835 enregistré le 15 mars 1841. Quant à l’établissement de la propriété antérieure, les parties se réfèrent au contrat de vente reçu par M° Striffler le 15 avril 1841 susrelaté – moyennant le prix de 9000 francs
acp 341 (3 Q 30 056) f° 82-v (payés des deniers de Charles Lamey père propriétaire à Strasbourg. Obligation par les mêmes conjoints Schorong au profit du dit Sr Lamey de la somme de 3000 francs)
Fils de l’ancien maire de Remering, Jean Christophe Schorong épouse en 1835 Joséphine Schmid native de la Chaussée près de Saint-Louis
Mariage, Strasbourg (n° 72) Du 2° jour du mois de mars 1835, Acte de mariage de Jean Christophe Schorong majeur d’an né en légitime mariage le 5 mars 1806 à Remering (Moselle), domicilié à Remering, propriétaire, fils de feu Jean Schorong, ancien maire de Remering y décédé le 3 juin 1831 et de feu Marguerite Thiry décédée à Remering le 22 décembre 1812.
et de Joséphine Schmid, majeure d’ans, née en légitime mariage le 24 juillet 1809 à la Chaussée (haut Rhin), domiciliée à Strasbourg, fille de Martin Schmid, ancien préposé des douanes, et de Jacobé Schmezer, conjoints domiciliés en cette ville ci présents en consentants (signé) Schoron Jean christof, josepin Schmitt (i 1)
Registres de pupulation, 600 MW 196 (1846-1856) Rue des 7 hommes n° 8 (p. 84.)
Schorong, Jn Christophe, né en 1806 à Rischling (Moselle), Garde de police, entré dans la commune en 1834, ensuite 25 juin 47 place grand boucherie 29
Schorong née Schmitt, Joséphine, née en 1809 à Neuweg
Schorong Jn Victor, né en 1835 à Strasbourg
Schorong, Jn Auguste, 1836
Schorong, Joséphine, 1867
Schorong, Ch. Théodore, 1839
Schorong, Edouard, 1840
Schorong, Louis-Emile, 1842
Schorong, Jules-Eugène, 1843
Jean Christophe Schorong et Joséphine Schmitt qui habitent alors au 13, rue de l’Epine selon le cadastre vendent la maison 12 500 francs au compositeur d’imprimerie Jean Schott et à sa femme Dorothée Bastian
1846 (8. 8.br), Strasbourg 2 (92), Not. Roessel n° 1115
sont comparus Monsr. Jean Christophe Schorong, sergent de police autrefois aubergiste, et De Joséphine Schmitt, son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes demeurant ensemble à Strasbourg (vendent)
A Monsieur Jean Schott, compositeur d’imprimerie, et à De Dorothée Bastian son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes demeurant ensemble à Strasbourg, acquéreurs solidaires
Désignation de la maison. Une maison à rez de chaussée et trois étages ainsi qu’une petite cour, sise à Strasbourg rue des sept hommes N° 8 et autres appartenances et dépendances, formant le coin de la rue Ste Barbe vers la Grand’rue place d’Armes, tenant d’un côté à Joseph Trappler, de l’autre au Sieur Becker de la Robertsau, donnant par derrière sur le Sr Staehlé. (…) avec le droit à la propriété du septième indivis existant au profit de cette maison du puits placé rue Sainte Barbe, vis à vis la maison & devant celle du St Edel. Sont compris dans la présente vente cinq poêles en fonte avec les tuyaux & pierre, les doubles fenêtres et le chaudron à lessive et en général tout ce qui étant placé dans ladite maison à perpétuelle demeure est réputé immeuble par destination.
Etablissement de la propriété. Les époux Schorong ont acquis cette maison du Sr André Auffinger, fabricant de cire, et de De Marie Steinmetz sa femme demeurant ensemble à Strasbourg suivant contrat reçu par Me Zimmer Notaire en cette ville le 4 novembre 1845 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 22 du même mois volume 438 n° 119 et inscrit d’office le même jour Volume 436 n° 11. Le prix de cette acquisition était de 9000 francs (…) Et le Sr Auffnger a acquis ladite maison pendant la communauté qui a existé entre lui & son épouse du Sr André Fischbach le jeune serrurier demeurant à Ingwiller canton de Bouxwiller, de Dame Madeleine Fischbach épouse du Sr Louis Bloch, vitrier avec lequell elle demeure à Ingwiller, de dame Salomé Fischbach épouse du Sr Geoffroi Bernhardt tailleur d’habits demeurant à Ingwiller, de dame Elisabeth Fischbach épouse du Sr Nicolas Klauss, maçon demeurant audit Ingwiller, du Sr Jacques Fischbach tailleur d’habits demeurant à Paris, de dame Madeleine Fischbach femme du Sr Louis Martzloff, instituteur demeurant à Goxwiller, suivant contrat de vente reçu pat M° Striffler notaire à Strasbourg le 15 avril 1841, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 24 du même mois volume 368 n° 95. Le prix de cette acquisition était de 5000 francs. Les dits Sr André Fischbach et les autres vendeurs de Mr Auffinger étaient propriétaires de la maison susdésignée en leurs qualités de seuls légataires universels de leur tante Dame Dorothée Fischbach veuve du Sr Georges Ness cordonnier demeurant à Strasbourg, décédée à Ingwiller, ainsi que cette qualité héréditaire est constatée par un inventaire dresse par ledit M° Striffler le 24 mars 1841 et qui résulte du testament reçu en présence de quatre témoins par Me Küss notaire à Ingwiller le 28 août 1835 enregistré le 15 mars 1841. La dame veuve Ness était propriétaire de cette maison qui avait fait partie de la communauté d’entre elle et son mari tant en sa qualité de commune qu’en vertu de son contrat de mariage passé devant Me Faller Notaire à Strasbourg le 14 décembre 1789, qui porte qu’en cas de prédécès du mari sans postérité la veuve survivante aura en toute propriété toute sa fortune sous la condition qu’il sera remis 395 francs aux héritiers du mari mais après la mort de la défunte seulement. (…). La communauté des conjoints Ness était devenue propriétaire de l’immeuble présentement vendu par suite de l’acquisition que le Sr Ness en a faite de Jean Michel Ness, cordonnier demeurant à Strasbourg, et consorts aux termes d’un procès verbal d’adjudication définitive sur licitation dressé au greffe du tribunal de Strasbourg le 7 décembre 1810 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 7 janvier 1811 volume 58 n° 65. (…) Le Sr Jean Michel Ness susnommé et Marguerite Barbe Ziegler sa femme domiciliés à Strasbourg avaient acquis cette maison d’Anne Marie Lang veuve de Mr Jean Michel Wittmann, tissier et consorts à Strasbourg suivant contrat passé à la cidevant Chambre des Contrats de la Ville de Strasbourg le 22 septembre 1785 – Prix, 12.500 francs
acp 353 (3 Q 30 068) f° 27
Jean Schott épouse en 1834 Dorothée Bastian, fille de tisserand
1834 (11.7.), Strasbourg 3 (85), Me Kratz n° 284
Contrat de mariage, communauté réduite aux acquets – Jean Schott, compositeur d’imprimerie, né le 7 février 1795 (19 pluviose 3) fils de Jean Schott, farinier, et de Marie Salomé Schott
Dorothée Bastian, majeure née le 29 mars 1799 (9 germinal 7) fille de Valentin Bastian, tisserand, et Marie Salomé Kurtz
Enregistrement de Strasbourg, acp 226 F° 14-v du 11.7.
Jean Schott et Dorothée Bastian hypothèquent la maison au profit d’André Mühl
1847 (11.1.), Strasbourg 2 (92), Not. Roessel n° 1216
Obligation – Furent présens Monsieur Jean Schott, compositeur d’imprimerie, & Dame Dorothée Bastian sa femme qu’il autorise pour tout ce qui suit demeurant et domiciliés à Strasbourg (devoir)
A Monsieur André Mühl propriétaire demeurant & domicilié à Strasbourg, la somme de 13.000 francs
hypothèque, I. Une Maison à rez de chaussée & trois étages, avec petite cour, puits commun, autres droits, appartenances & dépendances, le tout sis à Strasbourg rue des sept hommes N° 8 formant le coin de la rue Ste Barbe vers la place Kléber, tenant d’un côté à Joseph Trappler, de l’autre au Sieur Becker de la Robertsau, donnant par derrière sur le Sr Staehlé.
II. Une maison à rez de chaussée, deux étages & mansardes, droits, appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue des cordonniers N° 5 tenant d’un côté à M. Müller, négociant, de l’autre aux Sr Durvaux & Lichtenberger pardevant la rue & par derrière la maison Cunrath.
Etablissement de la propriété. Déclarent les époux Schott qu’ils ont acquis la première maison susdésignée du Sr Jean Christophe Schorong, sergent de police autrefois aubergiste, & de De Joséphine Schmitt, sa femme demeurant à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente reçu par Me Roessel l’un des Notaires soussignés et son collègue le 8 octobre 1846 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 17 du même mois volume 455 n° 108 et inscrit d’office le même jour volume 455 n° 108. Le prix de cette vete s’élevait à la somme de 12.500 francs (…). Les époux Schorong avaient eux-mêmes acquis ladite maison du Sr André Auffinger, fabricant de cire & de De Marie Steinmetz sa femme demeurant à Strasbourg en vertu d’un devant reçu par Me Zimmer Notaire en cette ville le 4 novembre 1845 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 22 du même mois volume 438 n° 1 et inscrit d’office le même jour Volume 436 n° 11. Le prix de cette acquisition était de 9000 francs (…) Quant à l’établissement de propriété antérieure le cette maison les épouse Schott déclarent se référer aux Contrats de vente sus allégués.
La maison sus désignée sous le numéro deux a été acquise par les débiteurs (…)
Jean Schott meurt sans postérité en 1853 après avoir institué sa femme légataire universelle de ses biens. Il habite au 5, rue des cordonniers d’après le cadastre
1853 (29.10.), Me Roessel Jeune
Dépôt du testament olographe de Jean Schott Imprimeur à Strasbourg
acp 423 (3 Q 30 138) f° 61 du 8.10.
1854 (18.1.), Strasbourg 6 (83), Not. Roessel le jeune (Henri Eugène) n° 1592
Notoriété – (…) Qu’ils ont parfaitement connu M. Jean Schott en son vivant Imprimeur demeurant et domicilié à Strasbourg et savoir qu’il est décédé en cette ville le 22 septembre 1853.
Qu’après son décès il n’a pas été dressé d’inventaire Que feu ledit Sr Schott était marié sous le régime de la communauté légale de biens à défaut de contrat de mariage, dame Dorothée Bastian aujourd’hui sa veuve et sa légataire universel aux termes de son testament fait en la forme olographe le 3 mai 1847, enregistré à Strasbourg le 8 octobre 1843 folio 61 (…) se trouve déposé en l’étude du dit Me Roessel conformément à l’ordonnance de M. le Président du tribunal civil de Strasbourg (…) constaté par acte de dépôt dressé par ledit Me Roessel le jeune le même jour 29 septembre dernier.
Qu’il n’a laissé aucun ascendant ni descendant ni aucun autre héritier ayant droit à une réserve dans sa succession. Qu’en conséquence le legs par lui fait à Mme Bastian sa veuve doit recevoir son entière exécution
acp 426 (3 Q 30 141) f° 55 du 19.1.
Dorothée Bastian vend la maison 16 000 francs à Georges Mutzig et à Catherine Wessner
1867 (28.1.), Me Roessel
Dorothée Bastian veuve de Jean Schott vivant imprimeur à Strasbourg
à Georges Mutzig, propriétaire & Catherine Wessner sa femme à Strasbourg
une maison sise à Strasbourg rue des Sept hommes N° 2
moyennant 16.000 francs, dont 2500 payés, 8000 entre les mains de Désiré Eugène Mühl propriétaire à Strasbourg créancier suivant acte reçu Roessel Nre le 11 janvier 1847, et le surplus avec 5500 francs entre les mains de Henri Schoop serrurier à Strasbourg ainsi qu’il en est fait cession
acp 560 (3 Q 30 275) f° 77-v du 1.2.
Originaire de Waltenheim près de Hochfelden, Georges Mutzig est veuf de Marie Catherine Schneider morte dans l’état d’Iowa aux États-Unis d’Amérique quand il épouse en 1866 Catherine Wiesner, native de Niederrœdern et veuve de Jean Conrad Hüttner de la Robertsau
1866 (16.11.), Me Holtzapffel subst. Zimmer
Contrat de mariage – Georges Mutzig, rentier à Strasbourg, veuf de Marie Catherine Schneider d’une part
Catherine Wiesner veuve Jean Conrad Hüttner à la Robertsau d’autre part
stipulation du régime de communauté de biens réduite aux acquets, partageable par moteur, réserve d’apports et d’héritages
Le survivant aura l’usufruit des biens de la communauté
Les apports du futur époux consistent 1) en une somme de 1900 francs 2) en une maison sise à Iowa City, Iowa (Amérique)
Les apports de la future épouse consistent en mobilier 520, argent 5100
Donation par le futur à la future de l’usufruit de la moitié de sa succession & par la future au futur de l’usufruit de toute sa succession
acp 559 (3 Q 30 274) f° 11 du 19.11.
Mariage, Strasbourg (n° 562) Du 17° jour du mois de novembre 1866. Acte de mariage de Georges Mutzig, majeur né en légitime mariage le 12 mai 1820 à Waltenheim (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg, Rentier veuf de Marie Catherine Schneider décédée à Iowa (États-Unis d’Amérique) le 16 juin 1861 ainsi qu’il est constaté par son acte de décès qui a été transcrit le 9 de ce mois dans les registres de l’Etat civil de la Ville de Strasbourg, fils de feu Laurent Mutzig, cultivateur décédé à la Robertsau banlieue de Strasbourg le 6 janvier 1851 et de feue Anne Catherine Schwebel décédée à Waltenheim le 21 mars 1837
et de Catherine Woesner, majeure d’ans née en légitime mariage le 26 octobre 1822 à Niederroedern (Bas Rhin) domiciliée à la Robertsau sans profession veuve de Jean Conrad Hüttner cultivateur décédé à la Robertsau le 25 novembre 1855, fille de feu André Woesner tisserand décédé à Hatten (Bas Rhin) le 13 avril 1837 et de feu Eve Troesch décédée à Niederroedern le 6 janvier 1861
Georges Mutzig et Catherine Wesner vendent la maison 22 300 francs à Charles Jean Dusch, employé au chemin de fer. L’acquéreur natif de Strasbourg est fils de Laurent Dusch et de Jeanne Fischer.
1868 (3.9.), Me Auguste Weiss
Georges Mutzig, propriétaire & Catherine Wesner sa femme à Strasbourg
à Charles Jean Dusch, employé au chemin de fer de l’Est à Strasbourg
une maison sise à Strasbourg rue des Sept hommes N° 2
moyennant 22.300 francs dont 8800 payés, 8000 francs payables à Désiré Eugène Mühm ancien notaire à Strasbourg créancier suivant obligation reçue Roessel Nre le 11 janvier 1847, et le 5500 francs payables à Henri Schoop serrurier à Strasbourg créancier suivant acte reçu Roessel Nre le 28 janvier 1867 – Jouissance du 25 7.bre 1868, impôts du 1 octobre 1868
Origine, vente Roessel le 28 janvier 1867
acp 575 (3 Q 30 290) f° 75 du 5.9.