3, quai Saint-Nicolas
Quai Saint-Nicolas n° 3 – VIII 61 (Blondel), P 1356 puis section 10 parcelle 9 (cadastre)
Maison dite zum Schwencken
Surélevée d’un étage en 1860, maître d’ouvrage, Victor Borrer, négociant
Le n° 3 (crépi rose et oriel au-dessus du portail) et ses voisines, avril 2023 – La façade en juillet 2024
Le Livre des communaux (1587) mentionne l’oriel. La maison que Daniel Wencker achète en 1589 partage la destinée de sa voisine (n° 2) jusqu’au partage de 1707. La maison à l’ouest (n° 2, estimée à 1 550 livres) revient alors à Agnès Wencker, femme du syndic Jean Nicolas Kempffer et celle à l’est (estimée à 950 livres) à sa sœur cadette Marguerite Wencker, veuve du syndic royal Christophe Güntzer, qui en transmet la propriété à son fils cadet Jacques Régnard Wormser de Vendenheim. Le marchand Jean Caspari l’achète en 1746, sa veuve la vend à ses trois petites-nièces en 1806.
Plan-relief (1727, Musée historique, cliché Thierry Hatt) La maison est derrière le deuxième arbre à partir de la gauche – Vue de l’arrière.
Plan Blondel (archives départementales, cote 1 L plan 5)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 247 (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à deux étages en maçonnerie et un oriel (lanterne). Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade (f-g) comprend trois fenêtres et une porte au rez-de-chaussée, deux étages à quatre fenêtres chacun. La toiture a deux niveaux de lucarnes. la cour (K’) montre la façade arrière (1-6) du bâtiment sur rue dont la partie (6-5-4) fait l’angle nord-ouest, le bâtiment latéral (4-3, buanderie au rez-de-chaussée, premier étage en saillie et demi-toit dans le rapport d’experts de 1837), celui (2-3) au fond de la cour à rez-de-chaussée, deux étages et toiture à trois niveaux de lucarnes (écurie au rez-de-chaussée, chambres aux étages d’après le rapport d’experts) et la remise (2-1, bûcher au-dessus une galerie couverte dans le rapport d’experts) qui occupe le côté oriental. Les deux dernières fenêtres (2-3) du bâtiment arrière donnent dans la cour M.
La maison porte d’abord le n° 6 (1784-1857) puis le n° 3.
Cour (K’), partie de la cour (M’)
Cuisine aménagée dans le bâtiment latéral est (1899, le plan représente l’escalier en colimaçon) – Façade arrière du bâtiment sur rue (1981, dossier de la Police du Bâtiment)
Propriétaire de la maison de 1858 à 1862, le négociant Victor Borrer agrandit les bâtiments en 1860 : les fenêtres au-dessous du troisième étage passent de 35 à 57, celles au-dessus d’aucune à 15, le revenu passe de 325 à 364 francs.
Le rentier Maurice Ehrmann achète en 1865 la maison que ses héritiers testamentaires, résidant pour la plupart en France, conservent jusqu’en 1921. Le rez-de-chaussée est occupé par le pensionnat Anschlin (école privée de jeunes filles) au début du XX° siècle. La cuisine du troisième étage sous combles est agrandie et rehaussée en 1899. Anja Barsanti fait aménager les combles en 1981.
Bâtiment arrière (crépi jaune) et arrière du bâtiment oriental (mai 2012)
Porte – Ogives curvilignes de l’oriel (juillet 2024)
juillet 2024
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1587 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Henri Zorn, marchand, et (1565) Susanne Dietrich puis (1592) Ursule Stœsser, veuve de Jacques Meyer de Haguenau – luthériens | ||
1600 | v | Daniel Wencker et (1573) Agnès von Türckheim, remariée (1598) avec Christophe Stædel, consul – luthériens |
1630* | h | Jean Wencker, consul, et (1613) Elisabeth Berchtold – luthériens |
1650* | h | Jean Wencker et (1655) Marguerite Kugler, remariée (1667) avec Dominique Dietrich, consul, veuf d’Ursule Wencker – luthériens |
1707 | h | Marguerite Wencker et (1681) Christophe Güntzer, syndic royal, veuf de Marguerite Ursule Saladin, puis (1707), Jean Jacques Wormser de Vendenheim, préteur, veuf de Sophie Elisabeth de Schmidberg – luthériens |
1733 | h | Jacques Régnard Wormser de Vendenheim et (1729) Marie Waldner de Freundstein – luthériens |
1746 | v | Jean Caspari, marchand, et (1741) Marie Marguerite Brand – luthériens |
1767 | h | Jean von Muralt, lieutenant-colonel veuf d’Anne Marie de Brissac, et (1769) Marie Marguerite Brand – réformé et luthérienne |
1806 | v | (copropriétaires) Françoise Caroline Meyer, veuve du banquier Leonard Schulthess de Rechberg à Zurich Octavie Meyer, célibataire à Audincourt Sophie Elisabeth Hélène Meyer, et (1801) Louis (Charles François) de Clérie, sous inspecteur des équipages à Audincourt |
1841 | v | Charles Emmanuel Wichelhausen, rentier, et (1840) Barbe Voltz |
1858 | v | (Georges) Victor Borrer, négociant, célibataire († 1888) |
1862 | v | Charles Daniel Fischer, hôtelier, et (1833) Anne Flore Hummel |
1865 | v | Maurice Ehrmann, rentier, et (1847) Amélie Hortense Œsinger puis (1866) Adélaïde Frédérique Zimmer veuve du négociant Charles Louis Weyher |
1922* | v | (Frédéric) Guillaume Hollænder, tapissier, et (1885) Barbe Mæder |
1947* | h | (Emile) Ernest Hollænder, négociant, et (1912, 1931, 1951) Marie Louise Jeanne Cron |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 950 livres en 1707, 1 250 livres en 1767
(1765, Liste Blondel) VIII 61, au Sr Gasparÿ
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Moralle, 5 toises, 4 pieds et 2 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1356, Klery (de), Louis Charles François à Montbelliard – maison, sol, cour, bâtiment – 3,8 ares / Wickelhausen Charles Emanuel
Locations
1738, Jean Frédéric Corvinus, docteur en médecine
1744, Jean Riquet, ancien directeur de l’hôpital royal, et son gendre Antoine Gering, docteur en médecine
1809, Kolb
Livres des communaux
Voir le n° 2
Description de la maison
- 1767 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant, un bâtiment latéral et un bâtiment arrière où se trouvent plusieurs poêles, chambres et cuisines, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé avec la cour, le puits, appartenances et dépendances à la somme de 2500 florins
- 1837, rapport d’experts
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
3° arrondissement ou Canton Sud – Quai St Nicolas
nouveau N° / ancien N° : nouveau N° / ancien N° : 53 / 6
veuve Muralt
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie et lanterne
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 18 f° 407 case 2
Wickelhausen, Charles Emmanuel
P 1356, sol, Maison, Bat. cour, Quai St Nicolas 6
Contenance : 3,80
Revenu total : 325,98 (324 et 1,98)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 35 / 28
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre napoléonien, registre 26 f° 764 case 1
Wichelhauser, Charles Emmanuel
1860 Borrer Georges Victor (1867)
1867 Ehrmann Maurice
1887/88 Ehrmann, Moritz und de la Panouse Arthur Heinrich Ludwig, Offizier
1888/89 Lelièvre André Moritz Raymund, Marquis de la Grange
1889/90 Ehrmann Moriz, Wittwe & Cons.
P 1356, Maison, sol cour, Quai St Nicolas 3
Contenance : 3,80
Revenu total : 325,98 (324 et 1,98)
Folio de provenance : (407)
Folio de destination : 764, aug. de c.
Année d’entrée :
Année de sortie : 1863
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 35 / 28
fenêtres du 3° et au-dessus :
P 1356, Maison
Revenu total : 364,98 (365 et 1,98)
Folio de provenance : 764, aug. de c.
Folio de destination :
Année d’entrée : 1863
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 57 / 46
fenêtres du 3° et au-dessus : 15 / 12
1863, Augmentations – Borrer Georges f° 764, P 1356, Maison, revenu 354, Aug.on de C.on, achevée en 1860, imposable en 1863, imposée en 1863
Diminutions – Borrer Georges f° 764, P 1356, Maison, revenu 324, Aug.on de C.on de 1860, supp. en 1863
Cadastre allemand, registre 29 page 123 case 7
Parcelle, section 10, n° 9 – autrefois P 1356
Canton : St. Niklausstaden Hs No. 3
Désignation : Hf, 2 Whs u NG
Contenance : 3,35
Revenu : 2500 – 3100 – 2800
Remarques : 1910 Berufung
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1913), compte 796
Mannberger Fréd. la veuve et copropriet.
1912 de Matterville Fréd. et copropriétaires
1925 Weyher Charles Louis et copropriétaire
1925 Seyller Joseph et son épouse
(3849)
(Propriétaire à partir de l’exercice 1913), compte 4030
Lamey Eugen Friedr. Rentner
1922 Hollaender Guillaume et épouse Babette née Maeder
(clos 1947)
(Propriétaire à partir de l’exercice 1947), compte 1235
Trapp Karl Desiderius Ehefr.
1908 Hollaender Berta
1940 Hollaender Ernst Emil
(2058)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton VIII, Rue Quai de St Nicolas dep. l’Eglise de St. Nicolas jusqu’au vieux Gouvernement (p. 444)
6
pr. de Maralde, Marie Marguerite, veuve – Noblesse
loc. de Meyer, Chrétien Daniel – Noblesse
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
St. Nikolausstaden (Seite 127)
(Haus Nr.) 3
Pensionat Anschlin. 0
Anschlin, Pensionats-Schulvorsteherin. 02
Hatt, Rentnerin. 1
Eypper, Lehrerin. 2
Hetzel, Rentnerin. 2.
Schäntzle, Rentnerin. 2
Wickers, Rentnerin. 2
Bettig, Güterverwalter. 3
Riedinger, Bureaubeamt. 3
Kühn, Tagnerin. H 0
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 739 W 47)
3 quai Saint-Nicolas (1894-1982)
Le maître maçon Emile Widmann agrandit et rehausse en 1899 la cuisine du troisième étage sous combles. Le maire notifie en 1900 le gérant Stiegelmann de supprimer les trois volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique, les travaux reportés sous divers prétextes sont terminés en 1909. Anja Barsanti fait aménager les combles en 1981.
Sommaire
- 1894 – Le maire notifie la veuve Ehrmann de Paris, représentée par le sieur Stiegelmann, de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1894.
- 1895 – Le maire demande au rentier Pick de supprimer la trappe dans le bâtiment arrière d’après le règlement du 30 novembre 1891 – Travaux terminés, décembre 1896.
- 1899 – Le maître maçon Emile Widmann (1, rue Saint-Louis) demande l’autorisation d’agrandir et de rehausser la cuisine au troisième étage (sous combles) – Autorisation – Travaux terminés, janvier 1900 – Dessin (plan et coupe)
- 1904 – Le maire notifie le gérant Stiegelmann (demeurant 1, rue du Bouclier), de faire ravaler la façade – Rappel, mai 1905 – Travaux terminés, juin 1905
1905 (mai ) – Les peintres Meyer et Reyhlé (3, ruelle Saint-Nicolas) demandent au commissaire de police l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Le commissaire de police transmet la demande au maire – Autorisation – L’échafaudage est retiré, juillet 1905. - 1900 – Le maire notifie le gérant Stiegelmann de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les trois volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique. – Rappel adressé à Siegelmann, gérant de la veuve Maurice Ehrmann et consorts, avril 1901 – Nouveaux rappels, janvier, juillet et novembre 1902 – Rappels adressés au sieur Manberger à Graffenstaden, décembre 1903, février 1904. La veuve Manberger est morte . Stiegelmann déclare que la succession n’est pas encore réglée, janvier 1905 – Rappel adressé à Stiegelmann, octobre 1905 – Le maire déclare qu’il va engager une procédure judiciaire. Le gérant objecte que les bâtiments de la Ville devraient aussi faire l’objet de poursuites (liste de neuf maisons en annexe) – Nouveaux courriers à Stiegelmann, février et mai 1906 – Note, d’après le cadastre les propriétaires sont 1) Marie Adélaïde Louise Weyher, de Paris, 2) la veuve Frédéric Manberger, 3) Charles Louis Weyher, ingénieur à Paris – Stiegelmann déclare que les travaux seront faits dès que la Ville aura appliqué le règlement à ses propriétés – Le maire décide d’engager une procédure judiciaire, août 1906 – Nouveaux courriers à Stiegelmann, décembre 1906, juillet 1907 – Stiegelmann déclare que la maison va être mise en vente pour 44.000 marks par les héritiers résidant en France, février 1908. La vente est différée, avril 1909 – Les volets ont été supprimés, juin 1909.
- Commission contre les logements insalubres, 1905. Les logements sont bien tenus, les cabinets d’aisance doivent être raccordés aux canalisations – Pension Anschlin (école de filles), 1905 – Les cabinets d’aisance sont raccordés, 1906
Commission des logements militaires, 1915 – Rien à signaler - 1921 – Le peintre Guillaume Hollænder (propriétaire, demeurant 1, rue du Parchemin), demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Décompte des droits
- 1933 – Le maire notifie Guillaume Hollænder de faire ravaler la façade – Travaux terminés, mai 1934. Une même notification aux hospices civils quelques jours auparavant est biffée.
- 1938 – Jules Wennhack (fabrication pour cuivrerie, 9, rue des Dentelles) demande l’autorisation de poser une antenne de T.S.F. – Le maire donne son accord. Jules Wennhack retire sa demande.
- 1961 – Guillaume Hollænder est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique pendant le crépissage – Rapport transmis à l’architecte des Bâtiments de France Guri. L’entreprise Mager (30, rue de Saverne à Molsheim) peint les pierres (grès) de la maison classée au titre des monuments historiques. – Travaux terminés, mai 1961
- 1966 – Le propriétaire Guillaume Hollænder informe la Police du Bâtiment que le locataire du premier étage a posé deux poêles à mazout en contravention au règlement. – La Police du Bâtiment se rend sur place et demande au locataire Henstel de mettre une tôle sous les poêles.
- 1969 – Le maire notifie Ernest Hollænder de faire ravaler la façade – Le propriétaire, âgé de 86 ans, fait état des travaux de réfection récents, il va en outre faire refaire la toiture.
1970 – L’entreprise Barth (35, rue de la Redoute à Gerstheim) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique. – La ravalement est terminé, décembre 1970. - 1970 – Le service des incendies a constaté en enlevant une mitre qu’une partie de la cheminée est tombée dans la cour. – Le propriétaire a chargé une entreprise des réparations
- 1981 – Anja Barsanti dépose une demande de permis de construire pour aménager les combles sous la direction de l’architecte Gaston Valente (7, rue des Serruriers), surface hors œuvre nette, 355 m² – Plan cadastral de situation – L’architecte des Bâtiments de France Chantal Lavillaureix émet un avis favorable – Le maire transmet le dossier avec avis favorable à la direction départementale de l’équipement. – Le préfet accorde le permis de construire le 23 octobre 1981
1982 (janvier) – Les travaux se terminent. Un avenant est nécessaire puisque ni les deux lucarnes prévues sur la façade avant ni la fenêtre sur la façade arrière n’ont été réalisées.
1982 (mars) – L’architecte expose que les modifications ont évité de modifier les façades. – Le préfet accorde l’avenant au permis de construire le 4 juin 1982. La direction départementale de l’équipement accorde le certificat de conformité le 15 octobre suivant.
Autres dossiers
1198 W 2909, mise en conformité (1998)
1573 W 607, ravalement (2003)
Relevé d’actes
Achetée par Daniel Wencker en 1589, la maison partage la destinée de sa voisine (n° 2) jusqu’au partage de 1707.
Marguerite Kugler, veuve du consul Dominique Dietrich, meurt en 1707 en délaissant deux filles de son premier mariage avec Jean Wencker, Agnès mariée avec Jean Nicolas Kempffer et Marguerite veuve du syndic Jean Christophe Güntzer. L’inventaire est dressé dans sa maison quai Saint-Nicolas. La succession s’élève à 13 210 livres.
1707 (4.8.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 76) n° 697
Inventarium undt Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güttere, so Weÿlandt die hoch Edel undt hoch tugendbegabte Fraw Margaretha Dietrichin gebohrne Küglerin, Weÿland des hoch Edel, Gestreng, fürsichtig, hochweiß undt hochgelehrten herrn Dominici Dietrichs, allhießiger Löbl. Statt Straßburg, geweßenen hochverdienten alten Ammeisters undt dreÿzeheners des beständig. Geheimen Regiments, auch Scholarchæ beÿ allhießiger Löbl. Universitæt nunmehr seel. hinterbliebene fraw Wittib, auch sel. welche den 19. ten Junÿ dieses lauffenden 1707 Jahrs sanfft undt seelig. verschieden nach solch ihrem tödlich. hintritt Zeitlich. verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren, erdordern undt begehren der abgeleibten frawen Ammeisterin seel. hinderlaßener beeder mit Weÿlandt dem Wohl Edlen undt hochachtbahren, herrn Johann Wenckern, gewesenen Wohlverdienten dreÿern des allhiesigen Pfenningthurns undt Vornehmen burgern allhier seel. in ersterer Ehe erziehlter frawen töchter benantlichen der hoch Edlen und hoch tugendbegabten Frauwen Agnethæ Kempfferin gebohrener Wenckerin, des hoch Edel, Gestreng undt hochgelehrten herrn Nicolai Kempffers weitberühmten J. Cti auch beÿ E. hochlöbl. königlichen Conseil Souverain d’Alsace hochmeritirten Assessoris fraw Ehegemahlin, undt dann der hoch Edlen undt hoch tugendbegabten Frawen Margarethæ Güntzerin gebohrenrr Wenckerin, Weÿl. des hoch Edlen, Gestreng undt hochgelehrten herrn Christoph Güntzers, gewesenen hocherfahrenen J. C.ti Königlichen und allhießiger Löbl. Statt Straßb. hochverdienten, Raths undt Syndici, auch Directoris beÿ allhießiger Löblichen Cancelleÿ nunmehr seel. nach todt verlaßener Fraw Wittib, inventirt (…) Actum Straßburg den 4. Augusti Anno 1707.
In einer in der Statt Straßburg am obern Stad. nahe des Herrn Gouverneurs hoff, gelegenen undt in diese Verlaßenschafft gehörig. behausung befund. word. wie Volgt
Ane Höltzen: und Schreinerwerck. In d. Cammer A. In d. Cammer B, Vor diesen Cammern, In d. Wohnstuben, In d. Kuchen, Im Stübel neb. d. Kuch. Im hind. haußöhren, Auff der hind.n Bühn: In d. obern hind. Cammer, Vor dieser Cammer, Im Saal
Eigenthumb ane Häußern. Erstl: i. Behaußung mit 3.en und.schiedl. stöcken, als einem vordern, mittlern undt hindern, sambt ihren hoffstätt. Zweÿen höffen, 2. bronnen undt einem Gärtlein daran auch allen and. ihren gebäuen, begriff. weith. recht. Zugehördt. undt Gerechtigkeit. geleg. in d. St. Straßb. obwendig St. Niclaus Bruck. am Obern Stad. beÿm trachenfelß, einseith neb. herrn Magno Theodorico Bosch. dem Handelsmann Zum theil undt Zum theil neben herrn Johann Caspar Hatzel Königlichen undt d. Statt Raht undt Syndico and.seith neben nachstehend. Behaußung Zum theil, theils auff Allmend, da ein Außgang in d. Boxgäßl. und theils auff Herrn Johann Richshoffern, Königlich. Rittmeistern stoßend, so freÿ ledig undt eigen undt dißmahlen wied. wie dießelbige beÿ Weÿl. S.T. H. Dominici dietrichs d. Statt Straßb. alt. hochverdient. Ammeisters und XIII.rs d fr. Ammeisterin seel. geweßenen Eheherrn auch seel. Verlaßenschafft Inventario in anno 1694 dh. herrn Stephan Cornelium Saltzmann Notm publ. et Academicum auffgerichtet fol: 135. fac. 2.da dh. s. t: Straßb: Hhn Werckmeistern den 12.t Maji 1694 angeschlagen, æstimirt worden pro 1550. lb. Über solche behaußung besagt j. teutsch. perg. Kbr mit d. St. Straßb Kl. secret Inns. v.wahrt de dato den 16.t. 8.bris aô 1579. Ferner i. perg. Kbr. m. d. St. Straßb. Kl. Inns. becräfftiget dat. d. 23.t Junÿ pô 1600. Darbeÿ gebund. noch 10. alte perg. Kauff und Urthelbrieffe auch 1. Paquet allerhand schriffticher Sach, alles mit alten Nis 13. 86. et 41 auch Lit . A. und jetzigem N° 7. notirt. [in margine:] vorherbefindl. Documenta seind Fr. Conseillerin Kempfferin gelüffert d. 13. 7.br. 1716.
It. i. Behaußung mit 2. und.schiedlich. als einem Vord.n und hind.n Stock, sambt hoff, hoffstatt undt einem hoff darzwisch. auch allen and.n ihren gebäuen, begriffen, weith. recht. Zugehörd. undt Gerechtigkeit. gelegen in d. Statt Straßb. am Stad. obwendig St: Niclaus bruck. Zum Schwencken genandt, einseith neben vorherig. behaußung, anderseith neben herrn Johann Richshoffern Königlich. Rittemeistern, hinden auff vorstehende behaußung stoßend, so freÿ, ledig und eig., und durch vorernandte herrn, Werckmeistere in vorgesagtem Inventario fol. 136. fac. 2.da taxirt word Vor 950. lb. s Hierüber weiset 1. teutsch perg. Kbr. mit d. St. Staßb. anhang. Contract Inns. v.wahrt dat. d. 17. Aprilis aî 1589. Ferner i. perg. Kbr. mit E. E. Kleinen Rahts allh. anhang. Ins. becräfftiget datirt den 6. Junÿ anno 1581, Darbeÿ noch i. alt. perg Kbrieff mit des bischofflich. Hoffs Zu Straßb. anhang. Inns. corroboriert datirt den 23.ten Februarÿ aô 1572. Weiters i. cassirter Zßbrieff undt allerhand schrifftlicher Bericht gebund. Zubefind. alles mit alt. Nis 8. 14 et 44. auch Lit: B anjetzo aber mit N° 21 bemerkt [in margine:] vorstehende Documenta sambtlich hat Fr. Stättmeisterin Wormbßerin Zuhand. empfang. den 13.7.br 1708.
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Sa. haußraths 717, Sa. de Bibliothec 25, Sa. Gartengewächs 26, Sa. Früchten 81, Sa. Weins und lährer Vaß 252, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 1337, Sa. Goldener Ring, Cleinodien, Kettern Armband, Perlein und dergleichen Geschmeids 936, Sa. Pfenningzinß hauptgüther 3006, Sa. Gülth von liegenden güthern 242, Sa. Korn Wein und häw Zehenden 280, Sa. Liegender Veld Acker 6, Sa. Matten im Korcker Bann 87, Sa. Eigenthumbs ane häußern 2500, Sa. Schulden 2414, Sa. baarschafft 1296, Summa summarum 13.210 lb – Stall Summ 11.675 lb
Marguerite Wencker fait dresser l’inventaire de ses apports qui contient le partage des deux maisons contiguës entre elle et sa sœur Agnès, femme de Jean Nicolas Kempffer, provenant de Marguerite Dietrich.
1707 (2. 7.br), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 77) n° 698
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, so die Wohlgebohrne Fraw Fraw Margaretha Wormbßerin von Vendenheim gebohrne Wenckerin, des hochwohlgebornen Herrn Herrn Johann Jacob Wormbßer allhießiger löblichen Statt Straßburg höchstmeritirten Stättmeisters und des Geheimen beständigen Regiment der Herren Fünffzehen allhier hochansehnlichen beÿsitzers Fraw Ehegemahlin, welche der ursachen alldieweilen in vorherbenanndter beeder Eheleuth mit einander auffgerichteten pactis dotalibus außtrucklichen versehen, daß einem jeeden der beeden hochadelichen Ehepersonen seine in die Ehe gebrachte Nahrung ein freÿ eigen und ohnverändert Guth sein und bleiben (…) angefangen auff Freÿtag den 2.ten Septembris Anno 1707.
In der in Straßb. theils von der Frawen Stättmeisterin angennommenen Mütterlich. behausung am Obern staden gelegen, und Theils in des herrn Stättmeisters Wohnbehausung ane der Brandgaß gelegen sich eräugnet und befunden wie volgt
Eigenthumb ane Schlößern, Häußern, Mühlen, Ziegeloffen und andern Gebäwen. Das Schlößlein Zum Preuscheck (…)
das Schloß Zu Plobßheim (…)
Eigenthumb ane dem dorff Plopßheim (…)
Eigenthumb ane dem dorff Schweickhaußen nahe beÿ hagenaw (…)
Abschatzung der außerhalb der Statt Straßburg beÿ der Carthauß gelegenen und Zum Schnelling genandten Mahl: und dabeÿ befindlichen Walckmühl (…)
(f° 36) Vergleichung der Häuser. Erstlichen die behaußung mit 3.en underschiedlichen stöcken, als einem vordern, mittlern und hindern sambt ihren hoffstätten Zweÿen höffen, Zween bronnen und einem Gärtlein daran auch allen übrigen ihren gebäuwen, begriffen, weithen, rechten, zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen in der Statt Straßburg, obwendig St. Niclaus Brucken am Obern Staden beÿm Drachenfelß, einseith neben hern Magno Theodorico Boschen dem Handelsmann Zum theil und Zum theil neben herrn Johann Caspar Hatzel Königlichen und der Statt Straßburg Raht und Syndico anderseith neben der Frawen Stättmeisterin Wormbßerin der jüngen Fraw Tochter überlaßenen und hernach beschriebenen Behaußung Zum theil, theils auffs Allmend, da ein außgang in das Boxgäßlein und theils auff Herrn Johann Richshoffern, Königlichen Rittmeistern stoßend, so freÿ ledig und eigen welche behaußung, vermög der den 14. 7.bris A° 1707 zwischen beden Frawen Töchteren, mit consens und belieben dero Eheherrren, unter sich selbst getroffenen Vergleichung Frawen Agnethæ Kempfferin gebohrenen Wenckerin der ältisten Fraw Tochter eigenthümlichen und vor freÿ ledig und eigen überlaßen pro 4400 lb. d, daren gebühret Ihro Frawen Conseillerin Kempfferin selbsten die helffte, thut 2200. lb
[in margine :] Alle Documente über solche behausung besagend seind der Fraw Conseillerin in præsentia Ihro G. Herren Stättmeister Wormbßers und der Frau Stättmeisterin gelieffert den 13. Septembris 1708. (…)
(f° 37) Item hat Sie Frau Stättmeisterin Wormbßerin ane denen jenigen baw Costen, welche herr Conseiller Kempffern ane vorherangezogene seiner Fraw Gemahlin überlaßene behaußung in der Zeit, als Er sie lehnungsweiße beseßen, angewendet, und laut übergebener Rechnung sammenthafft sich beloffen auff 956 fl. 3 ß 3 d
(f° 37-v) So dann ist auch die Behaußung mit zween underschiedlichen, als einem vordern und hinderen Stock, sambt hoff, hoffstatt undt einem hoff darzwischen, auch allen andern ihrer gebäuwen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen in der Statt Straßburg am Staden, obwendig St. Niclaus brucken Zum Schwencken genandt einseith neben vorheriger Frawen Conseillerin Kempfferin überlaßener behaußung, anderseith neben herrn Johann Richshoffern Königlichem Rittemeistern hinden auch auff vorher erwehnte Frawen Conseillerin Kempferin cedirte behaußung stoßend vor gantz freÿ ledig und eigen, gleichfalls dem den 14. 7.bris A° 1707 zwischen beeden Frawen Töchtern und dero Eheherren gemachten Vergleich gemäß hievorn mehr hochedelernandter Frawen Stättmeisterin Wormbßerin, der jüngsten Fraw Tochter, eigenthümlichen überlaßen pro 2000 lb. d
Welches vorheriges alles dann allerseiths hochansehnliche Frawen und Herren Interessenten also stäth und vest Zuhalten einander nochmahlen versprochen und Zugelaßen in Straßburg den 27. Aprilis 1707
Abschatzung d. 14. 7.bris aô 1707. Weÿland der Ehr und Tugendsahme, Fr. Margaretha Dieterichin gewesene Ammeisterin seel. hinder laßener Erben ist eine behausung allhier in der statt Straßburg ane dem obern staden gelegen, das hauß zum dachen fels genandtn einseits neben hern Mangus dieterich bosch handelsmann, anderseits neben den Erben selbsten hinden auff das bockgäßel stosendt, im Vorder hauß, befind sich ein Nebens gang, hoff und bronne, im Mittlern gebäw, ein groser gebälckter Keller, wie auch ein Nebens hauß, ist der halbe theil von hauß ein gewölbter Keller, so biß in die first der halbe theil im hinderhoff befinden sich stallungen, frucht Kästen wie auch ein gewächs Keller, bauch Küchen Nebens gebäulein und bronne, welche behausung sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der statt Straßburg geschwornen Werckleuthe sich in der besichtigung bedunden und jetzigem Preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb Neun tausendt Fünff Hundert gulden
die andere behausung ist auch allhier in der Statt Straßburg auch am obern staden gelegen, einseits neben den Erben selbsten, anderseits neben herrn Johann Reichßhoffer Ritt Meister, hinden auch auff die Erben stoßendt, Worinnen sich befinden beÿderseits Nebens gebäw, im hinder stock befindet sich ein gebälckter Keller, und oberhalb dem Keller biß in die first ist es der halbe theil, Welche behausung hoff undt Kellerlein sambt aller gerechtig Keit wie solches durch der statt Straßburg geschworene Weckleuthe sich in der besichtigung befunden undt jetzigem Preiß nach angeschlagen wirdt Vor und Umb Vier tausendt undt dreÿ hundert Gulden. Bezeichnus durch der statt Straßburg geschworne Werckhleuth, [unterzeichnet] Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Johann Jacob Osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs.
Veuf de Sophie Elisabeth de Schmidberg, le préteur Jean Jacques Wurmser épouse en 1707 Marguerite Wencker, veuve du syndic Christophe Güntzer : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration à Kehl
Copia Heuraths Verschreibung – zwischen dem Wohlgebohrnen Herrn Herrn Johann Jacob Wormbßer Von Vendenheim, allhießiger Löbl. Statt Straßburg höchstmeritirten Stättmeistern undt jetzmahligem höchstverordnetem Cancellario beÿ der Universität daselbsten, an einem, So dann der hoch Edelgebohrnen frauen frawen Margarethæ gebohrner Wenckerin, Weÿland des hoch Edelgeborhnen Herrn Herrn Christoph Günthers, Ihro Königlichen Maÿestäth in Franckreich, auch wohlverordneter Statt Straßburg geweßenen hochverdienten Raths undt Syndici, auch Directoris Cancellariæ, nunmehr seeligem hinderbliebener fraw Wittib ane dem anden theil – Und ist dieße Heuraths Abrede ane sich selbsten in allhießiger Löblichen Statt Straßburg den 2. Monaths Tag Decembris im Jahr deß Herrn alß man Zahlte 1706
Mariage le 4 janvier 1707 devant le pasteur de Kehl (voir BCGA n° 103)
Contrat de mariage, non daté, entre Jean Jacques Wormser de Vendenheim, fils d’Othon Régnard et d’Agathe Marie de Dormentz, et Sophie Marguerite, fille du baron Jean Christophe de Schmidburg et d’Anne Madeleine Wechner de Rossdorff (d’autres actes seront présentés dans la notice de leur maison rue Brûlée).
Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 57) f° 684-v
Eheberedung deß Reichs hoch Edel gebornen Herrn Herrn Johann Jacob Wormßers von Vendenheim, deß auch Reichs hoch Edel gebornen Herrn Herrn Otto Reinhard Wormßern von Vendenheim Eheleiblichen Sohns und der Wohlgebohrnen Fräul. Fräul. Sophiæ Margarethæ Freÿen von Schmidburg, weÿl. des auch Wohlgebohrnen H. Herrn Johann Christoph Freÿherrn von Schmidburg seeligen hinderlaßener Fräul. dochter
der Reichs hoch Edel geborne Herr Herr Johann Jacob Wormßer von Vendenheim, deß auch Reichs hoch Edel gebornen Herrn Otto Reinhard Wormßern von Vendenheim vnd deßen Fraw Eheliebste, deren auch Reichts freÿhoch Edelgebohrnen Frawen Agatha Maria Wormßerin von Vendenheim gebohrnen von Dormentz Eheleiblicher Sohn
Sich mit der Wohlgebohrnen Fräulein Sophia Margaretha Freÿen von Schmidburg, & deß auch Weÿl. Wohlgebohrnen Herrn Johann Christoph Freÿherrn von Schmidburg der Röm. Keÿßerl. Maÿtt. würcklich gewesenen Reichshoff Raths vnd Weÿland Frawen Anna Magdalena Freÿ Fraw von Schmidburg gebohrnen Wechner vff Roßdorff & beÿde seel. Gedächtnus hinderlaßener Fräul. dochter
(Futur propriétaire de la maison) leur fils Jacques Régnard est baptisé le 16 septembre 1707
Baptême, Saint-Nicolas (luth. f° 135, n° 79)
Freytags den 16. Sept. 1707 ist von mir (…) Pfarrern zu S. Niclauß in Straßburg dem wohlgebohrnen Herrn H Johann Jacob Wurmssern von Vendenheim, H Stettmeistern und XV. alhier und deßen ehelich Liebsten frawen Margaretha gebohrner Wenckerin, ein junger Sohn mit Nam Jacob Reinhard getaufft worden, daheim im hausse, an aller Hh Pfettern statt, hat es auß der tauffe geheben, der wohlgebohrne Herr Johann Friderich von Dormentz, und anstatt aller göttlen die wohlgebohrne fraw Maria Elisabeth von Bering gebohrne Wombserin von Vendenheim, Wittib, welche auch selbsten unterschrieben -Johann Jacob wormbßer von vendenheim alß vatter, Johann Friderich von dormentz Im Nahmen aller folgend. Pfettern und mich selbsten, Maria Elisabetha von Bering gebohrne Wumbserin Von Vendenheim Im nammen aller folgent Götlen, Leopold Melchior von Rotberg alß Pfetter, Agatha dorothea Von dedtlingen Geborne Wormserin Als Goettel, Eleonora Elisabetha von Berckheim alls gettel
NB von dieser Tauffe siehe am ende dieses Buchs einen sonderbaren Actum Notarii.
[Jointe une copie dressée par le notaire Jean Henri Lang le 28 février 1708]
Jean Jacques Wormser de Vendenheim meurt en 1707 en délaissant deux enfants de son autre mariage et un du deuxième. L’inventaire est dressé dans sa maison rue Brûlée. L’inventaire décrit la maison propre à la veuve quai Saint-Nicolas, dite zum Schwencken, en citant le titre d’acquisition de 1587
1717 (9.3.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 110 et 109) n° 989
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, ligender und vahrender, so Weÿland der hochwohlgeborne herr herr Johann Jacob Wormbßer von Vendenheim allhießiger Löbl. Statt Straßburg geweßener hochmeritirter Stättmeister und des beständigen geheimen Regiments der herren Fünff Zehen hochansehnlicher Beÿsitzer auch hochverderdienter Cancellarius beÿ allhießiger Löbl. Universitæt nunmehr seel. nach deme derselbe den 9. des verwichenen Monats Februarÿ jüngsthin dießes Zeitliche mit dem ewigen verwechßelt und davon den Lieben Gott Zu sich in sein ewiges Glori reich abgefordert worden, Zeitlichen verlaßen (…) durch die hochwohlgebornen Frau Frau Margaretham Wormbserin von Vendenheim gebohrene Wenckerin vor hochedelberührten herren Stättmeisters seel. hinderbliebenen höchstbetrübte hochadeliche Frau Wittib mit beÿstand des hochedelgestreg Fürsichtig und hochweißen herrn Jeremiæ Adam Leiterspergers allhiesiger Statt Straßb. jetzt wohl regierenden herrn Ammeisters deroselben hoch geehrten herrn Beÿstandts auf Zuvorher beschehene genugsam Errinnerung (…) geäugt und gezeigt (…) So beschehen in Straßburg, dienstag den 9. Martÿ Anno 1717.
Der abgeleibte Herr Stättmeister seeliger Hat Zu seinen hochadelichen Erben ab intestato verlaßen wie volgt. 1. den hochwohlgebornen herrn Herrn Johann Ludwig Wormbßer von Vendenheim beÿ mehr löbl. gedachter allhießiger Statt Straßburg beständigen geheimen Collegÿ der Herren XV.en hochansehnlichen Assessorem so in selbst eigener persohn diesem Geschäft abwartete, 2. die hochwohlgeborne Frau, Frau Mariam Jacobe von Glaubitz gebohren Wormbßerin von Vendenheim, des auch hochwohlgebornen Herrn Herrn Augusti Sigismund von Glaubitz, des Königl. Elsäßischen Regiments hochverdienten Majors Fraw Ehegemahlin, welche mit assistentz dießes ihres Eheherrn in person Zugegen war, dieße beede des verstorbenen Herrn Stättmeisters seel: in ersterer Ehe mit Weÿl. der hochwohlgebornen Frawen Frawen Sophie Elisabetha Margaretha Wormbßer von Vendenheim gebohrener Freÿin von Schmidburg, nun längst seeligen erzielten Herrn Sohn und Frau tochter
So dann 3° den hochwohlgebornen Herrn Herrn Jacob Reinhardt Wormbßer von Vendenheim mehr hochseelig erwehnten Herrn Stättmeisters seel: in letzterer Ehe mit eingangs hoch edel erwehnter deßelben hinterbliebenen Frau Wittib ehelich erzeugten Herrn Sohn, deßen geordneter Herr Vogt der hochwohlgeborne Herr, Herr Philipp Jacob von Berstätt, hievorn hochlöbl: gedachten Collegÿ der H: XV. allhier hochansehnlicher Assessor, welcher gleichfalls in eigener persohn hierbeÿ erschienen, Also alle dreÿ des in Gott ruhenden herrn Stättmeisters seel. in 2.en Ehen ehelich erzeugte Hh. Söhn und Frau tochter und ab intestato verlaßene Erben
Copia heuraths verschreibung – Copia Codicilli – Copia des zwischen allerseith hochadelichen Herren und Frawen Interessenten, dießer Verlaßenschafft halben getroffenen Vergleichs
(f° 5) In einer allhier in Straßburg ane der Brandgaß gelegenen eingangs Hoch Edelberührtem herrn Stättmeisters seeligen Zuständig gewesenen und hernach beschriebenen behausung befunden worden
(f° 21) Ane Höltzen: und Schreinwerck, In der Camin Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, Vor dießem Gemachen, In der neuen stub, In der undern oder Wohnstuben, In der Stub Cammer, In dem Stüblein gegen der Wohnstub, Vor dießer Stub, Im Hoff, In der Lacqueÿen Cammer, Im Hindern stock im Stüblein, In der Küchen, Im Keller, Im Stall
(f° 63-v) Eigenthumb ane Gärthen In Königshoffen Bann (W.)
(f° 65) Eigenthumb ane einer Behaußung (W.) Eine behaußung mit 2. underschiedl: als im vordern und hindern stock, sambt hoff, hoffstatt und im hoff darzwischen auch allen andern ihren gebäuwen, begriffen, weit: Recht: Zugehörd. und Gerechtigk. gelegen allh: Zu Straßburg am Staden, obwend: St. Niclaus Bruck: zum Schwenck: genandt, j. seit neben mehr hochedelbesag: Fr. Conseill. Kempfer: gehörige behauß. stoßend, so freÿ, ledig und eigen und hiehero in dem jenigen preiß, wie selbige die Fr. Stättmeisterin beÿ Mütter: Vlaß: Abtheil den 14. 7.bris A° 1707. Kauffl. übernohmen doch Keinem theil Zu præjudiz æstimirt pro 2000 lb. Wie dieße Behauß: der Fr: Stättmst. beÿ Mütterl. Verl. Abtheil. Cedirt und überlaß. worden, ist in dem durch mich Not. Joh: Reinh. Langen darüber den 4.t Aug. A° 1707. et seqq. v.grif. Abtheil Concept fol: 3 & fac 2.da et 39 fac j.ma mit mehrerm Zuersehen. Sonsten aber sagt über obige behaußung j. teut. perg: Kbrief mit der Statt Straßb: anhang: Ctract Inns: bekr. dat. d. 17.ten Aprilis A° 1589. Ferner j perg: Kbrief mit E. E. Kleinen rahts allh: anh: Inns: bekr. deßen datum der 6.te Junii A° 1681. Darbeÿ noch i. alter perg: Kbrief mit des bischoffl. hoff Zu Straßb. anh. Inns. corrobor: de dato 23.t Febr: A° 1572. Weiters j cassirter Z.brief und allerh. schrifft. bericht geb. Zu befinden, alles mit alten Nis 14. 44. 21 et respectivé N. 8. auch Lit. B und jetzigem N° 75. notirt.
(f° 65-v) Eigenthumb ane Schlößern Häußern, Mühlen, Ziegeloffen und anderen Gebäuen, daß Schlößlein Zum Preuscheck (W.) (…)
Das Schloß Zu Plobsheim (…)
(f° 69) Eigenthumb ane dem dorff Plopsheim (…)
(f° 69-v) Eigenthumb ane dem dorff Schweickhaußen (…)
(f° 92) Ergäntzung der Fraw Wittib ohnverändert guths betreffend. Was der Frawen Stättmeisterin ohnveränderten Guths Ergäntzung betrifft hatt mann Zwahr nicht ermangelt dieselbige beÿ gegenwärtiger Inventation Zuersuhen und Zu extrahiren allweilen aber sich allerhand schwährigkeiten deßhalben in ein und andern puncten eräugnen wollen (…)
(f° 104) Eigenthumb ane Häußern auch Liegenden Gütheern Zu Vendenheimb
(f° 107) Eigenthümlicher Antheil ane einer behaußung und garthen allhier Zu Straßburg (E.) Eine adeliche behaußung vor dießem der Bulachische hoff genandt, in der Statt Straßburg ane der Brandgaß (…)
Abzug in Herrn Stätt Meisters von Wormbßer Verlaßenschafft Inventarium gehörig. Der Frawen wittib ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 1427, Sa. Garthen gewachß 32, Sa. Kühe 20, Sa. Früchten 190, Sa. Wein und lährer vaß 272, Sa. Silbergeschirr und Geschmeids 1465, Sa. Goldenen Ketten, Kleinodien, ing, Perlein und dergleichen Geschmeid 3743, Sa. baarschafft 970, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 2951, Sa. Gülth von liegenden güthern 377, Sa. Korn: Wein und Häw: Zehenden 140, Sa. Eigenthums ane Veldackern 3, Sa. Matten im Korcker Bann 43, Sa. Eigenthumbs ane gärthen 1180, Sa. Eigenthumb ane einer behaußung 2000, Sa. Eigenthum ane Schlößern, häußern, Mühlen, Ziegeloffen und andern Gebäuwen 1205, Sa. Eigenthums ane dem dorff Plobßheim Nulla, Sa. Eigenthums ane dem dorff Schweickhaußen 2500, Ergäntzung (-), Summa summarum 18.522 lb – Schulden 8432, Nach deren Abzug 10.090 lb
Des Herrn Stättmeisters seel: Erben ohnverändert Guth, Sa. haußraths 743, Sa. Früchten 178, Sa. Wein und Lährer Vaß 358, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 383, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 893, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 78, Sa. Eigenthumblich antheil ane einer behaußung 1275, Sa. Eigenthums ane häußern auch liegenden güthern zu Vendenheim 500, Sa. Schulden 480, Ergäntzung (-), Summa summarum 4912 lb – Schulden 150, In Vergleichung 4762 lb
Das gemein verändert und theilbare guth, Sa. haußraths 682, Sa. Caletsch und anderen Geschirrs 153, Sa. Gart. gewächß 145, Sa. Wies 18, Sa. Früchten 218, Sa. Wein und Lähr vaß 277, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 652, Sa. baarschafft 340, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 4784, Sa. Zehenden und Gültten 210, Sa. Matt 50, Sa. Eigenthumbs and dem dorff Schweighaußen 6500, Sa. Schulden 6801 lb, Summa summarum 20.944 lb – Schulden 4998 lb, Nach deren Abzug 15.945 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 42.228 lb
Wÿdemb welchen die Fraw Stättmeisterin wegen S.T. Herrn Johann Christoph Güntzers des Geheim beständig Regiments der Herren XV. allhier Zu Straßburg hochverdienten beÿsitzers ihres herrn Stieff Sohns Zeit lebens Wÿdembs weiße Zugenießen, Vermög Special Theilregisters (…)
Ergäntzung des Herrn Stätt meisters seeligen hochadelich Erben ohnveränderten Guths, Crafft Inventarÿ über Weÿland S. T. Frawn Sophiæ Elisabethæ Margarethæ Wormbßerin von Vendenheim gebohren Freÿin von Schmidburg
Copia Heuraths Verschreibung (…) Und ist dieße Heuraths Abrede ane sich selbsten in allhießiger Löblichen Statt Straßburg den 2. Monaths Tag Decembris im Jahr deß Herrn alß man Zahlte 1706
Copia Codicilli. 1717 (…)
Copia Vergleichs (…)
Bericht wegen dießen Inventarÿ (…)
Jean Jacques Wormser de Vendenheim meurt le 9 février à l’âge de 60 ans. Son corps est inhumé à Vendenheim
Sépulture, Temple-Neuf (luth., re. du pasteur f° 200-v, n° 1241)
1717. Dienstag den 9.ten febr. mittags nach 1. Uhr ist gestorben freÿtag darauff nach Vendenheim geführt in die Kirche begraben und Von Mier parentieret worden der freÿ Hochwohlgeborner Herr Herr Johann Jacob Wormbser von Vendenheim Alter Stättmeister Cancellarius & ætat. 60. jahr. Testant Johann Ludwig Wormbßer Von Vendenheim alß älterer sohn, August Sigmund von Glaubitz als tochtermann (i 202)
Sépulture, Vendenheim (luth. p. 147)
Anno 1717. Dienstags d. 9. febr. Nachmittag gegen 2. Uhr ist Zu Straßburg in seinem Erlöser Jesu Christo nach außgestandenem schmertz. lager seelig Verschieden der Weÿl. Wohlgebohrne Herr, Herr Johann Jacob Wormser von Vendenheim, Stättmeister Zu Straßburg und der dasigen hochlöbl. Universitæt Höchstmeritirter Cancellarius Wie auch deß Hochadel. Wormßerischen Stammes Eltister Seines Alters 60. Jahr. der Verblichene Leichnam word. Freÿtags darauff undter Hochadel. Leich Conduct nacher Vendenheim begleitet und nach Gehaltener Leucht Predigt Von Plurim. Rever. Pastore Novæ Ecclesiæ Dno. M. Samuel Silberradio meinem Hoch Gehrten Herrn Schwäher Vatter daselbsten in dem Kirchen Chor in deß Hochadel. Stammes erbegräbnus eingesencket [unterzeichnet] Johann Ludwig Wormbßer Von Vendenheim alß älterer sohn, August Sigmund von Glaubitz obrist Wachtmeister Von Elsaßischen Regiment als tochtermann, Johann David Karcher, Pfarrer (i 77)
Jean Jacques Wormser de Vendenheim est nommé administrateur de l’Œuvre Notre Dame en 1693 et chancelier de l’Université en 1707.
1693 Conseillers et XXI (1 R 176) Hr Str. Johann Jacob Wormbser wird Pfleger auff dem frauen hauß. 58. Idem wird Land pfleger. 58.
1707 Conseillers et XXI (1 R 190) H. St. Johann Jacob Wormbser würdt Zu Einem Cancellario beÿ der Universität erwöhlt. 147.
Marguerite Wencker fait un testament par lequel elle lègue sa maison à son fils Jacques Régnard Wormser de Vendenheim
1729 (22.4.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 97 n° 436
Instrumentum publicum über der Hochwohlgebohrnen Frauen, Frauen Margarethæ Wormbßerin von Vendenheim gebohrener Wenckerin, weÿl. des hochwohlgebornen herrn, herrn Johann Jacob Wormsers von Vendenheim gewesenen hochverdienten Stättmeisters und des geheimen beständigen Regiments derer herren XV. höchstansehnlichen Beÿsitzers, auch Cancellarÿ beÿ Löbl. Universitæt seel. hienderbliebener Wittib auffgerichtetes Testamentum solenne inscriptos vom 22. Aprilis 1729.
mit unterschriebenem Notario Zu sich in dero ane dem Staden ohnfern dem Gouvernement liegende behaußung beruffen und kommen laßen
Demnach ich Margaretha Wormbserin gebohrene Wenckerin, Weÿland des hoch wohl gebohrnen herrn Johann Jacob Wormbßers von Vendenheim gewesenen Stättmeisters seel. nachgelaßene Wittib die hinfälligkeit menschlichen lebens schon öffters betrachtet (…)
Siebendens, prælegire ich besagtem meinem Sohn H Jacob Reinhard meine ane dem Staden nahe beÿ dem Gouvernement allhier ligende Wohnbehausung samt allen dependentien recht und gerechtigkeiten umb 6500 fl. à 15. batz. od. 60 Creutzern gerechnet hießig. Courrent, dergestalten daß Er jeedem seiner beeden geschwistrigen deßwegen 2166. fl. 6 ß 8 s Vor Ihre daran habende Erbs rata herauß Zu geben schuldig seÿn solle (…)
So beschehen in Straßb. auf Freÿtag d. 22. Apr. A° 1729.
Jacques Régnard Wormser de Vendenheim hypothèque la maison qui lui a été attribuée le 5 juin 1733 au profit de Marie Agathe Lamprecht, veuve de l’aubergiste Jean Martin Fritsch
1733 (8.6.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 263
der wohlgebohrne H. Jacob Reinhard Wormßer von Vendenheim
in gegensein Fr. Mariæ Agathæ geb. Lamprechtin weÿl. H. Johann Martin Fritsch des gastgebers zum Tieffen keller hinterlassener wittib beÿständlich ihres Curatoris Johannes Rosset des gastgebers zum Gerttenfisch mit fernerer assistentz ihres tochtermanns H. Johann Friedrich Faust JVLti und Schaffners der Mehrern hospitals – schuldig seÿen 2000 gulden
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß hoff und hoffstatt mit allen derselben zugehörden jenseith St. Nicolaus Bruck am Staden ohnfern dem Gouvernement, einseit neben H. Lt Johann Nicolaus Kämpffer Ambtmann der Pflegd Illkirch anderseit neben H. Rittmeister Johann Richshoffer hinten auff ged. H Ambtmann Kämpffer, zufolg eines vor H. Not. Johann Daniel Lang Notario am 5.to hujus ertheilt als ein in abtheilung seiner Fr: Mutter der wohlgebohrnen Fr Margarethæ geb. Wenckerin weÿl. des auch wohlgebohrnen H. Johann Jacob Wormßer von Vendenheim Stättmeisters und Cancellarÿ Fr. Wittib besitzenden vermögens
Etat des meubles revenant à Jacques Régnard Wormser de Vendenheim dans la succession de son père
1728 (10.5.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 21) n° 215
Lieffer Register über des Hochwohlgebornen Herrn H. Jacob Reinhard Wormßers Von Vendenheim, weÿl. des hochwohlgebornen Herrn H. Johann Jacob Wormßers Von Vendenheim allhiesig löbl. Statt Straßburg gewesenen höchst Verdienten Stättmeisters und XV.rs des beständigen Geheimen Regiments auch höchstmeritirten Cancellarÿ beÿ allhießiger Löbl. Universitæt seeligen Andenckens hinterlaßenen Herrn Sohns letster Ehe ererbten Vätterl. Guths auffgerichtet Anno 1728.
Jacques Régnard Wormser de Vendenheim passe le 13 avril 1729 au château de Schweighouse en Haute-Alsace un contrat de mariage avec Marie Waldner de Freundstein, fille de François Louis Waldner de Freundstein et de Françoise Salomé Wurmser de Vendenheim-Sundhouse (copie dans le partage de 1761, voir plus bas)
13. Aprilis 1729 (Eheberedung) zwischen dem Freÿ hochwohlgebohrnen Herrn, Herrn Jacob Reinhard Wurmser von Vendenheim, des Weÿland Freÿ hochwohlgebohrnen Herrn, Herrn Johann Jacob Wurmser von Vendenheim im Leben gewesten hochansehnlichen Stättmeisters und Assessoris des Geheimen Collegii der Herren XIII. löbl. Statt Straßburg und hochbestelten Cancellarÿ der Universität alda, hochseel. andenckens, und der Freÿ hochwohlgebohrnen Frauen, Frauen Margarethæ Wurmserin von Vendenheim, wittib eheleiblichen H. Sohn, welcher von R. löbl. Ritter Directorio des untern Elsas sui juris erklärt worden, Hochzeitern an einem, So dann der Freÿ hochwohlgebohrnen Fräulein, Fräulein Maria Waldnerin von Freundstein, des Freÿ hochwohlgebohrnen Herrn, Herrn Friderich Ludwig Waldner von Freundstein, Herrn Zu Schweighausen, Berweiler, Beroltzweiler und Sÿrentz, ehemahligen hochfürstl. Pfaltz Birckenfeldischen hochansehnl. Geheimen Raht, Regierungs: und Cammer Directoris, und der auch Freÿ hochwohlgebohrnen Franciscæ Salomeæ Waldnerin von Freundstein gebohrner Wurmserin von Vendenheim Zu Sundhausen Frauen Zu Schmieheim, ehelicher frauen Tochter Hochzeitherin am andern theil (…) So geschehen in dem Schloß Zu Schweighausen den 13. Tag des Monaths Aprilis nach der Gnadenreichen Geburth unsers Erlößers und Selig machers Jesu Christi 1729. (…) attestire ich unterschriebenener Ambtschreiber der Herrschafft Schweighausen den 30. Augusti Anno 1749. Dieterich, Amtschreiber
Leur premier enfant Charles Louis Jacques naît à Strasbourg
Baptême, Saint-Nicolas (luth. f° 339, n° 13)
1730. Donnerstag den 23. Hornung ist Von mir (…) dem Hochwohlgebornen Herrn Herrn Jacob Reinhardt Wurmser Von Vendenheim und der Hochwohlgebornen Frauen Frauen Mariä Waldnerin Von Freundstein ein H. Söhnlein getaufft und Christian Ludwig Jacob benahmet worden, die Tauff Zeug waren (i 344)
Jacques Régnard Wormser de Vendenheim et Marie Waldner de Freundstein hypothèquent la maison au profit de Jean Jacques Sachs, docteur en médecine et chanoine de Saint-Thomas
1735 (10.1.), Chambre des Contrats, vol. 609 f° 17-v
des hochwohlgebornen Herrn Jacob Reinhard Wurmßer von Vendenheim befelchhaber H. Johann Friedrich Faust J.V.Ltus und Schaffner des Mehrern Hospitals und Edelged. H. Wurmßer von Vendenheim Fr. Ehegemahlin die hochwohlgeborne Fr. Maria Wurmßer von Vendenheim geb. Waldnerin von Freundstein mit beÿstand des
in gegensein S.T. H. Johann Jacob Sachs Med. D. et Prof. Publ. auch Capituli Thomani Canonici – schuldig seÿen 1250 pfund
unterpfand, Eine vordere und hintere Behausung, hoff und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, zugehörden und gerechtigkeiten jenseith St Nicolauß bruck nächst dem Gouvernement einseit neben H. Rittmeister Johann Richshoffer anderseit neben H. Lt. Nicolaus Kämpffer ambtmann der Pflegd Illkirch hinten auff eben denselben
Jacques Régnard Wormser de Vendenheim loue la maison au docteur en médecine Jean Frédéric Corvinus en s’y réservant une pièce servant de garde-meubles
1738 (14.10.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 584-v
der hochwohlgeborne H. Jacob Reinhard Wurmßer von Vendenheim
in gegensein H. Johann Friedrich Corvinus Med. Dr. und Practici
entlehnt, Eine dem adelischen H. verlehner eigenthümlich zuständige jenseith St Nicolaus Bruck am Staden ohnfern dem Gouvernement einseit neben H. Rittmeister Johannes Richshoffer anderseit neben H. Lt. Johann Nicolaus Kempffer ambtmann des Ambts dorlisheim hinten auff denselben gelegene Behausung, bestehend in Vorder: und hinderhauß, hoff und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten, nichts davon als eine auff dem zweÿten stock des hindergebäuds befindliche Stueb, so sich der H. verlehner zu Verwahrung seiner Mobilien vorbehaltet ausgenommen – auff 6 nacheinander kommende jahr anfangend von Michaelis fürwährenden jahrs, um einen jährlichen Zinß nemlich 125 pfund
Jacques Régnard Wormser de Vendenheim et Marie Waldner de Freundstein hypothèquent la maison au profit de Jean Jacques Sachs, Jean Frédéric Corvinus, déjà cités, et François Œsinger, greffier de la Chambre des Contrats
1738 (17.10.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 586-v
der hochwohlgeborne H. Jacob Reinhard Wurmßer von Vendenheim und deßen Ehegemahlin die hochwohlgeborne Fr. Maria geb. Waldner von Freundstein mit beÿstand ihres H. Oncle des hochwohlgebornen H. Frantz Jacob Wurmßer von Vendenheim zu Sundhaußen und ihres H. Schwagers des hochwohlgebornen H. Johannes von Güntzer hochfürstl. Baaden durlachischen ehemaligen geheimen hoffrath
in gegensein H. Johann Jacob Sachß Med. D. et Prof. Publ. Ord. auch Capituli Thomani Canonici, H. Franciscus Oesinger J.v.Lti. und C. Contractuum actuarÿ und H. Johann Friedrich Corvinus hies. Md. D. und Practici – schuldig seÿen 1500, 1500 und 625 pfund
unterpfand, Eine Vorder: und hindere behausung, hoff und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten jenseith St Nicolaus Bruck am Staden ohnfern dem Gouvernement, einseit neben H. Rittmr Johannes Richshoffer, anderseit neben H. Johann Nicolaus Kempffer Ambtmann des Amts Dorlisheim, hinten auff eben denselben – als ein von seiner seel. Fr. Mutter weÿl. der wohlgebornen Fr. Margarethæ geb. Wenckerin auch weÿl. des hochwohlgebornen H. Johann Jacob Wurmßer von Vendenheim Stättmeisters und Cancellarÿ hinterlassenen Fr. wittib vermög deren vor H. Not. Lang am 5. Augusti 1732 errichteten Testamenti Nuncupativi §° 5 umb 6500 fl. erhaltenes prælegat
Jacques Régnard Wormser de Vendenheim loue la maison à Jean Riquet, ancien directeur de l’hôpital royal, et à son gendre Antoine Gering, docteur en médecine
1744 (10.7.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 408-v
H. Johann Daniel Barbanes adelische Schaffner als Mandatarius des wohlgebornen H. Jacob Reinhard Wormßer von Vendenheim
in gegensein H. Jean Riquet ancien Directeur de l’hôpital Royal und deßen tochtermann H. Antoni Gering Med. Doc. und Practici
verlühen, eine behausung samt deroselben zugehörden und rechten, nichts davon als ein in des hinderhaußes zweÿtem stock befindliches stüblein, als welches d. H. verlehner um währenden kriegs troublen seine effecten darinnen zu verwahren sich so lang der krieg währt vorbehaltet ausgenommen, welche behausung am staden beÿ dem gouvernemement, einseit neben H. Rittmr. Richßhoffer, anderseit neben H. Ambtmann Kempffer – auf 6 nacheinander folgenden jahren anfangend auff nächst künfftigen Michaelis – um einen jährlichen Zinß nemlich 500 livres
Partage de biens entre les huit enfants de Jacques Régnard Wormser de Vendenheim et de Marie Waldner de Freundstein. Le contrat de mariage date du 13 avril 1729, le testament olographe du 10 avril 1746.
1761 (16.1.), Not. Schumacher (6 E 41, 1389) n° 17
Abtheilung derjenigen Güther und Nahrung, so weiland der Reichs Freÿhochwohlgebohrnen Frauen, Frauen Mariæ, gebohrner Waldner von Freundstein, mit dem Reichs Freÿhochwohlgebohrnen Herrn, Herrn Jacob Reinhard Wurmser von Vendenheim, Herrn zu Mißenheim und anderer Orten, als dero gewesenen Herrn Ehegemahl und hinterbliebenen Herrn Wittiber, erzeugt und nach Tod hinterlaßene Acht nunmehro theils Majorenne und theils annoch minorenne Herren Söhne, Frauen und Fräulein Töchtere, sowohl von gedacht ihrer hochadelichen Fraun Mutter, als auch einem seithero verstorbenen Herrn Oncle und Fräulein Tante, theils zu gleichen und theils Zu ungleichen Antheilern ererbt, bisher aber gemeinschaftlich genoßen haben, vorgenommen Anno 1761, 20. Jan.
Zuwißen seÿe hiemit, daß auf hochseeliges absterben weiland der Reichs Freÿhochwohlgebohrnen Frauen, Frauen Mariæ Wurmser von Vendenheim, gebohrner Waldner von Freundstein, des Reichs Freÿhochwohlgebohrnen Herrn, Herrn Jacob Reinhard Wurmser von Vendenheim, Herrn zu Mißenheim und anderer Orten, gewesenef Frau Ehegemahlin und gleich hach dem Eingang dieses benahmster acht hochadelicher Herren, Frauen und Fräulein Interessenten von Frau Mutter, dero Verlaßenschafft zu Schweighaußen im Obern Elsaß durch Hn. Dietrich, den dasigen Ambtschreiber (…) den 27. Aug. et Seqq. A° 1749. zwar ordentlich inventirt, zu gleicher zeit auch weiland des Reichs: Freÿhochwohlgebohrnen Herrn, Herrn Johann Leopold Waldner von Freundstein, im Leben geweßenen hochmeritirten Rittmeisters unter dem hochlöbl. in Königlich frantzösischen diensten stehenden Cavallerie Regiments von Roßen, als der dißortigen hochadelich von Wurmserischen acht Herren, Frauen und Fräulein Erben Hn Oncle seel. succession, daraen Sie Zum Siebenden Stammtheil participirt, durch erstgedachten Hn Ambtschreiber Dietrich abgetheilt, wie nicht weniger den 1.sten Martÿ A° 1758. hochderoselben Fräulein Tante, Weiland der Reichs Freÿhochwohlgebohrnen Fräulein, Fräulein Fridericæ Eleonoræ Waldner von Freundstein, geweßter Hof Dame beÿ Ihro Durchlaucht der Regirenden Frau Hertzogin Zu Sachßen Gotha und der dasigen durchlauchstigten Printzeßin Gouvernantin seel. Erbschaft, ane welcher mehrhochbesagte acht von Wurmserische respectivé Hhen Söhne, Frauen und Fräulein Töchtere, eine sechsten Stammtheil überkommen (…) So beschehen und angefangen in der Königlichen Stadt Straßburg auf Freÿtag den 16.ten Januarÿ et seqq. Anno 1761.
Der Hochseligen Frauen von Wurmser gebohrener von Waldner eingangs gedacht, mit auch vorbenamsten ihrem hochadelichen Herren Ehe Gemahl und hinterbliebeneen Hn Wittiber ehelich erzeugt und nach Tod hinterlaßene acht hochadeliche Kinder und Erben, so noch alle samt beÿ Leben, sind folgende als 1. der Reichs Freÿ hochwohlgebohrne Herr, Herr Friedrich Ludwig Reinhard Wurmser von Vendenheim, hochverdienter Capitaine en pied unter dem hochlöbl. Elsaßischen Infanterie Regiment in Königlich frantzösischen diensten, wie auch alter Constoffler Es En Raths löbl. Stadt Straßburg, 2. die Reichs Freÿ: hochwohlgebohrne Frau, Frau Carolina Francisca Friderica von Wangenheim, gebohrne Wurmser von Vendenheim, des Reichs Freÿ: Hochwohlgebohrnen Herrn, Herrn Wilhelm von Wangenheim, höchstbetrauten Hochfurst. Sachßen Gothaischen Geheimben Raths, Frau Ehegemahlin, 3. die Reichs Freÿ: Hochwohlgebohrne Fräulein, Fräulein Maria Ludovica Benigna Wurmser von Vendenheim, Hof: Dame beÿ der durchlauchtigsten Heßen darmstädtsichen Frau Erb: Princeßin zu Buchsweiler, 4. die Reichs Freÿ: Hochwohlgebohrne Fräulein Fräulein Johanna Wilhelmina Eleonora Wurmser von Vendenheim Hof: Dame beÿ der Verwittibten hochfürstl. Pfaltz Zweÿbruckischen Frau Hertzogin zu Bergzabern, diese vier abweßnder Majorennen hochadeliche Erben haben (…) zu ihrem Herrn Mandatario constituirt (…) dero Hochadel. H. Schwager, welcher auch in hoch deroselben Namen sowohl als deßen Frau Ehegemahlin beÿ diesem Geschäft erschienen und dero allerseitiges Interesse observirt, 5. die Reichs Freÿ: Hochwohlgebohrne Frau, Frau Francisca Sophia von Dungern, gebohrne Wurmser von Vendenheim, des Reichs Freÿ: Hochwohlgebohrnen Herrn, Herrn Carl Philipp von Dungern, Hochfürstl. Baden Durlachischen hochansehnlichen Cammer Junckers Frau Ehe Gemahlin, welche mit und beneben diesem ihrem hochadelichen Herrn Ehegemahl beÿ gegenwärtiger Abtheilung erschienen und unter deßen authorität deroselben beÿgewohnt, 6. die Reichs Freÿ: Hochwohlgebohrne Fräulein, Fräulein Friderica Cristina Wurmser von Vendenheim, dermalige Pensionnaire in dem hiesigen CKloster zu St Barbara, 7. der Reichs Freÿ: Hochwohlgebohrne Herr, Herr Frantz Otto Wurmser von Vendenheim, hochmeritirter Capitaine en Second unter vorgedachtem Hochlöbl. Elsaßischen Infanterie Regiment, So dann 8. der Reichs Freÿ: Hochwohlgebohrne Herr, Herr Maximilian Constantin Wurmser von Vendenheim, dermalen in dem College de quatre Nations zu Paris sich aufhaltend
13. Aprilis 1729, Eheberedung (…) So geschehen in dem Schloß Zu Schweighausen den 13. Tag des Monaths Aprilis nach der Gnadenreichen Geburth unsers Erlößers und Selig machers Jesu Christi 1729. (…) attestire ich unterschriebenener Ambtschreiber der Herrschafft Schweighausen den 30. Augusti Anno 1749. Dieterich, Amtschreiber
10. Aprilis 1746, Testamentum holographum. Ich Maria Waldnerin von Freundstein
Jacques Régnard Wormser de Vendenheim, demeurant à Schweighouse en Haute-Alsace, vend la maison à Jean Caspari le jeune
1746 (29.10.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 844-v
H. Johann Daniel Barbanes der adelische schaffner als mandatarius wohlgebornen H. Jacob Reinhard Wormßer von Vendenheim von demselben zufolge einer zu Schweighaußen im Obern Elsaß am 24 hujus ausgestellten procuration
in gegensein H. Johann Caspari des jüngern
eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff, bronnen und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten am staden ohnferm St Nicolaus Kirch beÿ dem Gouvernement einseit neben weÿl. H. Johann Richßhoffer Rittmeisters erben, anderseit neben H. Johann Nicolaus Kempffer Amtmann des Amts Dorlißheim, hinten auff denselben, samt denen darin befindlichen dem H. verkäufer gehörigen mobilien – um 1500 und 1500 pfund (verhafftet) auch des H. verkäufers Fr. Gemahlin der hochwohlgebornen Fr. Maria geb. Waldner von Freundstein in pactis dotalibus zu einem lebtägigen wÿdem verschrieben auff deren natural genuß verzug gethan hat – als ein Mütterliches prælegat eigenthümlich zuständig – um 2000 pfund
endlichen haben des H. verkäufers halbbändigen geschwisterde S.T. H. Johann von Güntzer und S.T. Fr. Salome von Rothberg geb. von Güntzer in gegenwärtigen kauff consentirt
Fils du marchand du même nom, le marchand Jean Caspari épouse en 1741 Marie Marguerite Brand, fille de l’assesseur à la Chambre des tutelles Jean Daniel Brand : contrat de mariage, célébration
1741 (21.4.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 106) n° 76
Eheberedung – entzwischen dem Edlen Wohl Ehrenvest und Großachtbarn H. Johann Casparÿ, dem jüngern ledigem Handelsmann, des Wohl Edlen wohl Ehrenvest und hochachtbarn herrn Johann Casparÿ des ältern, vornehmen handelsmanns und burgers allhier auch hoch Fürstlich Naßauischen wohlverordneten Cammer Raths mit weÿl. der Wohl Edlen Viel Ehren und hoch tugendbegabten Frauen Maria Dorothea gebohrener Reuterin deßen geweßter Frauen Eheliebstin längst seel. ehelich erzeugtem Sohn, als dem Hn Bräutigamb, ane einem
So dann der Edlen, Wohl Ehren und mit Vielen tugenden gezieten Jungfrauen Maria Margaretha Brandin des Wohl Edlen Großachtbaren und weißen herrn Johann Daniel Branden vornehmen burgers auch E.E. Großen und Kleinen Raths nicht weniger eines löbl. Vogteÿ Gerichts allhier alten wohlmeritirten assessoris, mit der Wohl Edlen, Viel Ehren und hoch tugend gezierten Frauen Anna Salome Brandin gebohrner Greumin deßen Frauen Eheliebstin ehelich erzeugter jüngern tochter als der Jungfrauen Hochzeiterin ane dem andern theil
Beschehen und verhandelt seind diese ding in der Königlichen Statt Straßburg auff Freÿtag den 21.ten Aprilis im Jahr, als man nach unßers einigen Erlößers, heÿlandt und Seeligmachers Gnadenreichen Geburth und Menschwerdung Zahlte 1741.
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 200)
Mittw. d. 3. Maj seind nach ordent. außruffung Ehl. copul. und eingesegnet worden H. Johannes Caspari jun. der led. Handelsmann u. b. allhier H Johann Caspari vornehm. Handelsmanns u. b. allhier Ehl. Sohn u. Jungfr. Maria Margaretha H Johann Danjel brandten E. E. Gr. Raths alten beÿsitzers u. handelsmanns allhier Ehl. erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Caspary Jungen als Hochzeiter, Maria Margaretha Brandin als hochzeiterin (i 204)
Le marchand Jean Caspari le jeune devient cotisant à la tribu des Boulangers en avril 1743.
1743, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 10)
(f° 18) Mittwochs den 3.t Aprilis 1743 – Neuzünfftiger Zudiener
Herr Johannes Caspari jun Hn Johann Caspari Sen. handelßmanns und burgers allhier Ehelicher Sohn, prod. Stallschein vom 12. Martÿ Letzthin Mit bitt, ihne dahier alß einen Mitzünfftigen auff und anzunehmen. Erkandt, seÿe ihme gegen Erlag der ordinary gebühr so 3. lb. d Zu willfahren.
Jean Caspari meurt en 1767 après avoir institué sa femme légataire universelle de ses biens. Les experts estiment la maison à la somme de 1 250 livres. L’actif de la succession s’élève à 4 611 livres.
1767 (5.11.), Not. Haering (6 E 41, 1368) n° 342
Inventarium über Weÿland des Hoch Edel: Vest, Wohlweiß und Großachtbaren herrn Johannes Caspari im Leben geweßenen hochbetrauten fürstl. Naßau Weilburgischen Commercien Raths ingleichem E: E: grosen Raths allhier, alten wolverdienten beÿsitzers, nunmehr seel. Verlaßenschafft, aufgerichtet Anno 1767 – nach seinem den 16.den Martÿ sinckenden 1767.sten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen Von hinnen Scheiden, hie Zeitlichen verlaßen. Welche Verlaßenschafft auf Ansuchen der hoch Edlen, Viel: Ehr und tugend belobten fraun Mariä Margarethä Caspariin geborener Brandin, dißorts hinterbl. Wb. und alleiniger Testaments Erbin, beÿständlich des Wohl Edlen Hn. Ernst Friedrich Mollinger beamten in allhiesigem Kaufhauß (…) So beschehen Straßburg Donnerstags den 5.ten 9.bris 1767.
Hausrath, Im haußehren des zweÿten Stocks, Im Vorzimmer, Im Camin Zimmer, Zweÿter Stock im hintern hauß In der billard Stub, Im ersten Stock des bedienten Kammer, Im obern haußehren, Im Eß Zimmer, In der Kuchen, In der Mägd Kammer, Erster Stock des Vorderhaußes, Schlaff Zimmer darneben, Im untern Saal, Im haußehren allda, Zimmer im hoff, Im Gewölb, In der bauch Küchen
Eigenthum an einer behaußung. Nemlich eine behaußung, bestehend in Vorder und hinterhauß, hoff bronnen und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, Weithen, Zugehörden und Rechten am Staden, ohnfern St Niclaus Kirch beÿ dem Gouvernement, einseith neben weÿl. H. Johannes Richhoffers geweiß. Rittmeisters Erben anderseith neben H. Johann Niclaus Kempffer Amtmann des Amts Dorrlißheim, hinten wieder auf denselben stoßend gelegen, so freÿ leedig eigen und durch (die Werckmeistere) Zulolg deren Zu mein Not° Concept schrifftlich geliefferter Abschatzung vom 5.ten Novembris 1767 angeschlagen worden pro 2500 fl. oder 1250. Hierüber meldet eun deutscher pergamentener Kaufbrieff, mit alhiesiger C.C. Stb. anhangendem größern Insiegel versehen, datirt den 29. 8.bris 1746. Dabeÿ gebunden ein fasciculus unterschiedl. alter Kaufbrieffe.
Eigenthum an einem Garthen. (…)
Abzug gegenwärtigen Invÿ. In einer alhier Zu Straßburg am Staaden beÿ dem Gouvernement gelegen, in dieße Verl. eigenthümlich gehörig. behaußung befunden word. wie folgt. Sa. hausraths 330, Sa. Gefärths 25, Sa. Pferds sambt deßen Geschirr 15, Sa. Silbers 53, Sa. goldener ring 68, Sa. baarschafft 71, Sa. Eigenthums an einer behaußung 1250, Sa. Garthens und Garthenhaußes 533, Sa. Eigenthums an liegenden Güthern 78, Sa. schulden 2184, Summa summarum 4611 lb – Zweiffelhaffte schulden 4532 lb
– Abschatzung Vom 5.t Xber 1767. Auff begehren Weil: S. t. H. Casparÿ Sel. hiender Lasener Fr: Witib und Erben ist eine behausung alhier in der Statt Strasburg beim alten Corvernem gelegen Einseits Neben Weil. S: t. H Amäister Rieshoffer hiender Lasener Erben anderseits Neben S: t. H. Ambtman Kempffer und hienden Eben Falß auff H Ambtman Kembff Stosent gelegen Solche behausung besteht in Ferder Nebens und hiender Gebey warinnen Ettliche Stuben Kameren und Kichen Dar jber seindt Die Dach Stühl mit breitziglein belegt, hat auch ein getrembten Keller hoff und brunnen, vor und umb Zweÿ Thausent Finff hundert gulden
Der zweÿte Begriff ist Auch alhier Vor dem Spidall thorr jm häinus gelegen (…) [unterzeichnet] Werner, Huber
Testament – Aujourd’hui 6° Juillet 1759 à quatre heures de relevée (…) est comparu Le Sr Jean Caspary Negotiant, Conseiller des finances de Mgr le Prince de Nassau Weilbourg et ancien assesseur au grand Senat de cette ville y demeurant quay du Gouvernement, Lequel, etant sain d’Esprit, memoire, Jugement et Entendement (…) (dépôt du testament clos) le 6 juillet 1759, Humbourg, testament du même jour 1759
Marie Marguerite Brand se remarie en 1769 avec Jean von Muralt, lieutenant-colonel, réformé natif de Zurich et veuf d’Anne Marie de Brissac : contrat de mariage, célébration
1769 (11.4.), Not. Haering (6 E 41, 1378) n° 520
Eheberedung – zwischen dem Freÿwolgebornen Herrn Johann Von Muralt des in Königl. Majestäth Kriegs diensten stehenden Schweitzer Regiments Von Lochmann aus dem Löbl. Canton Zürich auch Ritter des hohen Ordens vom Kriegs Verdienst und
der hoch Edelgebornen Frau Mariä Margarethä Casparjin geb. Brandin weil. des hoch Edelgeb. Herrn Johannes Caspari im Leben geweßten Hochbetrauten hochfürstlich Naßau Weilburgischen Commercien Raths seel. hinterbliebenen Frau Wittib
So beschehen Straßburg Dienstags den 11. Aprilis im Jahr der Gnaden 1769 [unterzeichnet] Johann Von Muralt Als Braütigam, Maria Margaretha Casparyin gebohrne Brandtin als Braut
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 133-v n° 186)
Im Jahr Christi 1769 den 16. Aprill als am Sonntag Jubilate sind nach morgends und an eben diesem Tag geschehener offentlichen Ausrufung und proclamation Zum ersten und andern mahl Zugleich aufg Obrigkeitliche Erlaubnus de dato den 14. Aprill abends um Sechs Uhr in der Frau Braut Haus copuliret und ehelich eingesegnet worden S. T. Herr H. von Muralt von Zürch gebürtig reformirter religion, Brigadier der Königlich-Frantzösischen Arméen und Obrist-Lieutenant des Löblichen Schweitzer-Regiments von Lochmann, wittwer (der in erster Ehe vermählt war mit Madame Anne Marie de Brissac) und Frau Maria Margaretha geborne Brandtin, weÿl. herrn Johannes Casparÿ geweßenen Hochfürstlich-Nassau-weilburgischen Cammer Raths und burgers allhier nachgelaßene Frau wittib [unterzeichnet] Johann Von Muralt als Braütigam, Maria Margaretha Casparÿin gebohrne Brandin als Braut (i 141)
Jean von Muralt est enterré selon le rite réformé en octobre 1782.
Sépulture (réformés, f° 4)
Anno 1782, Mittwochs den 16. Octobris gegen sieben Uhr Abends starb alhier der Hochwohlgeborne Herr Johann von Muralt, Chevalier Commandeur du mérite militaire, feld Marschall in königlich frantzösischen Diensten und Obrist des nach seinem Namen sich nennender hochlöbl Schweitzer regiments, gebürtig aus der Stadt Zürich in der Schweiz, Seines Alters ungefehr Zweÿ und siebenzig Jahr dessen Leichnam ward freÿtags den 18. ejusdem auf Sancti Urbani Gottes Acker beerdiget, Zeugen dessen haben sich unterschrieben, Johann Roudolph Von Hartmannis, Baron von Dietrich Stättmeister, De Capol l’ainé, Baron de Dietrich, Herculle De Capol (i 50)
L’apposition des scellés sur les objets de la succession Muralt est traitée par les Treize. La veuve demande l’année suivante plusieurs exemptions (logements militaires, droits de douane et octroi)
1782, XIII, 3 R 126
wegen anlegung des scellé 1) auf die Verlaßenschaft des verstorbenen Schweitzer general Lieutenant, H. von Muralt, auf welche einige Schweitzer officiere des ihrigen zu legen sich anmeßen, wird beschloßen an hof zu schreiben. 257. confirmation der abzulaßenden Schreiben. 273. H. Prætor regius meldet, das diese sache gemeinschaftlich mit den H. Grafen von Vergennes als Ministre du departement des affaires etrangères tractirt werden müßen, weswegen die vorstellungen auch an ihn abzusenden beschloßen wird. 293. confirmation des Schreibens an den H. Grafen von Vergennes. 297. dieser königlicher Ministre berichtet dem H. Prætore regio daß das unternehmen der Schweitzer officiere als incompetent anzusehen, communicirt zu diesem ende ein in anno 1781 an H. Baron de Travers eingesandtes schreiben, welches diese jurisprudenz festsetzte. 312. H. Vergennes notificirt solche decision löbl. mag. directe. 317.
1784, XIII, 3 R 128
H. Capitaine Schneider und Dame de Muralt geben am königl. hof ein memoire ein und bitten um befreÿung des Losaments gelds, Eingangzolls und des Octroys, solches wird von H. Prætori Regio Mhh. zur beantwortung communicirt. 287. bericht der Hh. deputirten zur Einquartirung mit gutachten daß sie ein personal exemtion auzusprechen befugt seÿen. 298. bericht der Hh. XV daß sie nicht berechtiget ein exemtion des Eingang Zolls zu begehen. 318. endliche beantwortung obigen memoire dahin gehend, daß H. Capitaine Schneider und Dame de Muralt zwar ein personal exemtion ansprechen könnten, aber für die verlehnten theils das Losament geld zu entrichten hätten, vom Eingangs zoll und octroy aber keine exemtion ansprechen könnten. 359.
Marie Marguerite Brand meurt en 1809 dans la maison qui lui a appartenu en délaissant des héritiers collatéraux
1809 (21.1.), Strasbourg 14 (40), Not. Lex n° 3156
Inventaire de la succession de Marie Marguerite née Brand, veuve de Jean Muralt, collonel d’un régiment Suisse Marechal des Camps et armées du Roi, décédée à Strasbourg au quai St Nicolas n° 6 ou elle logeoit le 6 décembre dernier – à la requête de 1. Françoise Marguerite Caroline Meyer, épouse de M Léonard Schulthess du Rehberg, banquier à Zurich représenté par Jean Jacques Görner huissier à Strasbourg, 2. D° Sophie Hélène Elisabeth Meyer, épouse de M Charles François Louis Clery, arpenteur forestier résidant a Montbeliard, et Dlle Octavie Meyer fille majeure (ssp. à Montbeliard), 3. Sr Frédéric Guillaume Funck, notaire à Candel, et Marguerite Elisabeth Funck épouse du Sr Frédéric Guillaume Bartholdy, négociant demeurant à Wissembourg, représentés par François Louis Klauhold, avoué près le Tribunal Civil, héritiers de leur grand tante maternelle, 4. D°e Charlotte née Funck veuve de M Rippenhaussen, propriétaire à Luxbourg pays de Hanovre y demeurante, représentée par M Jean François Corvinus docteur en médecine, 5. M Paul Louis Jean Joseph Meyer, notaire impérial à la résidence de cette ville, curateur de Charlotte née Funck épouse de M Pierre Scherer, Maréchal des logis au service de France à Dusseldorff – en présence de Marie Madeleine Groeff, servante, et Marie Muller veuve de François Buffet gouvernante de la défunte (Tableau généalogique)
dans la maison mortuaire quai St Nicolas n° 6 au logement de la défunte
mobilier 4446 fr, dettes actives 7250 fr, total 11.696 francs
Enregistrement, acp 110 F° 16-v du 30.1.
Marie Marguerite Brand vend la maison à Françoise Caroline Meyer, veuve du banquier Leonard Schulthess de Rechberg à Zurich, Octavie Meyer demeurant à Audincourt, et Sophie Elisabeth Hélène Meyer, femme de Louis Charles François de Clérie, sous inspecteur des équipages à Audincourt (ses petites-nièces, voir ci-dessus)
1806 (28.4.), Strasbourg 10 (47), Not. Zimmer n° 1978, 2752
D° Marie Marguerite née Brand, veuve en premières noces de Jean Caspari, Conseiller de Commerce du Prince de Nassau Weilbourg, et en dernier lieu de Jean Muralt, Maréchal de Camp et Colonel d’un Régiment suisse au service de France, demeurant à Strasbourg quay Nicolas N° 6 assitée de Michel Stumpff greffier de la justice de paix du troisième arrondissement de cette ville
à 1. Françoise Caroline née Meyer veuve de Leonard Schulthess de Rechberg, vivant banquier a Zuric en Hervétie, ladite Dame demeurant ordinairement audit lieu, 2. Octavie Meyer fille majeure demeurant ordinairement à Audincourt, département du Haut Rhin présentement à Montbeliard, 3. Sophie Elisabeth Hélène née Meyer, épouse de Louis Charles François Clerie, sous inspecteur des Equipages d’Artillerie de l’entreprise Kayser demeurant audit Audincourt
Une Maison avec ses bâtiments cour appartenances et dépendances droits servotudes actives et passives scise à Strasbourg quai Nicolas N° 6, entre le Sr Menoth cadet négociant et la D° veuve Kaempfer, derrière ladite veuve Kaempfer – à la veuve Muralt, seule et unique propriétaire comme héritière testamentaire de Jean Caspari, son époux du premier lit par testament mystique du 6 juillet 1759 déposé le même jour M° Humbourg ouvert le 8 mars 1767 – acquis par acte passé à la Chambre des Contrats le 29 octobre 1746, inventaire dressé par M° Haering le 5 novembre 1767 – moyennant 12.000 francs
Enregistrement, acp 99 f° 130-v du 28.4.
Charles François Louis de Clérie épouse Sophie Hélène Elisabeth Meyer en 1801
1801 (24 frimaire 10), Strasbourg 3 (39), Not. Übersaal n° 1159, 387
Contrat de mariage – furent presens le Citoyen Charles François Louis Clerie, fils du Citoyen Georges Louise Frédéric Nicolas Clerie, ancien Capitaine du cidevant Regiment Salis-Grisons, demeurant à Seloncourt, Département du Doubs et de la D° Françoise Marguerite Vehlen, ses père et mère d’une part
Et Dlle Sophie Hélène Elisabeth Meyer, fille du Citoyen Jean Jacques Meyer ancien Major du ci devant Régiment Steiner Suisse, procréée avec feue la D° Sophie Elisabeth Schmidt, assistée de son père, d’autre part
Enregistrement, acp 83 f° 15-v du 24 frimaire 10
Louis Clérie loue la maison au sieur Kolb
1809 (10.8.), Strasbourg, Not. Übersaal
Bail de 6 années – Louis Clerie de Montbeillard
à M- Kolb
une maison quai Nicolas n° 6, moyennant un loyer annuel de 1790 francs
Enregistrement, acp 113 F° 12 du 11.8.
Les sœurs Meyer exposent infructueusement la maison aux enchères. Un rapport d’experts circonstancié est joint à l’acte
1837 (22.3.), Strasbourg 1 (76), M° Rencker n° 12.613
Cahier des Charges, 20 février n° 12.551 – 1. Sophie Meyer, épouse de Charles François Louis de Clérie, propriétaire rentier à Seloncourt canton de Blâmont arrondissement de Montbéliard, en son nom et comme mandataire de Frédéric Schulthess Rechberg, banquier, et Gustave Schultheiss Rechberg, colonel en retraite tous domiciliés à Zurich (Suisse), 2. Sophie Fanny Octavie Lavinie de Clérie épouse séparée de corps et de biens de Samuel Frédéric Bernard, propriétaire à Montbéliard demeurant en ce moment à Colmar, assistée de Frédéric Traut avoué licencié mandataire de mondit Sr Bermard (…) qu’elles sont propriétaires par indivis avec MM Schultheiss Rechberg, que sur la demande en licitation formée par Mde de Clérie l’une d’elles, suivant Jugement rendu au Tribunal Civil le 26 janvier dernier (…)
Désignation de l’immeuble à vendre. Une maison, cour, puits, bâtiment latéral et bâtiment du fond, appartenances et dépendances situé à Strasbourg quai St Nicolas n° 6, d’un côté le Sr Gick, de l’autre M. Maurice Hecht, devant le quai, derrière la propriété du Sr Hecht, estimée 18.000 francs par les experts – Etablissement de la propriété, un tiers à MM Schultheiss Rechberg comme l’ayant recueilli dans la succession de leur mère Françoise Caroline Meyer, décédée femme de Léonard Schultheiss Rechberg vivant banquier à Zurich, un tiers à Mde Bernard et un tiers à Mde de Clérie. Cette dernière, Mde veuve Schultheiss de Rechberg et Mlle Ocatve Meyer, leur sœur depuis décédée à Audincourt, en avaient fait acquisition de Marie Marguerite née Brand, veuve en premières noces de Jean Caspari, vivant conseiller de commerce du Prince de Nassau Weilbourg, et en secondes noces de Jean Muralt, vivant maréchal de camp colonel d’un régiment suisse au service de France, par acte reçu M° Zimmer le 28 avril 1806 transcrit au bureau des hypothèques le premier mai suivant. Par suite du décès d’Octavie Meyer les comparantes déclarent que sa part est avenue en nue propriété à Mde Bernard sa nièce et en usufruit à Mde de Clérie sa sœur – la veuve Muralt avait recueilli ledit immeuble dans la succession du Sr Caspari son premier mari duquel elle était seule et unique héritière suivant testament mystique du 6 juillet 1759 déposé en l’étude de M° Humbourg le même jour publié le 18 mars 1767
Adjudication préparatoire, 8 mars n° 12.575
Dépot du rapport d’experts n° 12.536, 15 février – dans la susdite maison dont le bâtiment principal vers le quai contient au rez de chaussée sous cave un vestibule à gauche, une antichambre avec décharge au fond, une grande chambre à alcove et deux garde robes au fond, la cage d’escalier à vis en pierres. Premier étage, vestibule, deux chambres dont une avec saillie sur le quai l’autre avec une cheminée en pierre de taille, une décharge et un petit bacon galerie vers la cour, Deuxième étage, vestibule, trois chambres et escalier du grenier avec décharge au dessous. Dessus comble à deux greniers et un galetas dans l’inférieur. A droite dans la cour puits et pompe avec bucher au dessus une galerie couverte, au premier étage communiquent du susdit escalier à vis au bâtiment du fond. Aile gauche, Le rez de chaussée renferme une buanderie, une chambre, un cabinet sur une petite cave voutée, un escalier clos en lattes, cabinet et fosse d’aisances. Au premier étage en saillie une chambre, une galerie, cuisine, cabinet, escalier du grenier et cabinet d’aisances. Dessus demi toit avec mansarde dans laquelle une cuisine une chambre, un cabinet et lieux d’aisances. Au fond de la cour une fosse à fumier et un bâtiment contenant au rez de chaussée une écurie et une cave sous solives. Premier étage, vestibule, cage d’escalier, trois chambres et une décharge. Le deuxième étage est semblable sans décharge. Dessus demi toit à trois greniers – en considération de la situation, de la contenance, de l’état actuel des constructions la majeure partie en murs et une partie en galandure, eu égard à la valeur actuelle d’autres immeubles de même nature, estimé à 18.000 francs
Remise indéfinie, aucun amateur ne s’étant présenté
Enregistrement, acp 248 f° 84-v du 24.3.
Consentement à mariage, acte de notoriété Clérie
1840 (10.8.), Strasbourg 4 (91), M° Hatt n° 12 376
Consentement par Charles François Louis de Clérie, capitaine, et Sophie Hélène Elisabeth de Meyer à Séloncourt au mariage d’Alfred Philippe Louis de Clérie, lieutenant au 63° de ligne à Paris
Enregistrement, acp 280 f° 62 du 12.8
1847 (13.12.), M° Ritleng
Notoriété constatant que Alfred de Clérie, capitaine au 63° de ligne en garnison à Lille et Lavinie Sophie Fanny Octavie de Clérie demeurant à Seloncourt, femme séparée de corps de Samuel Frédéric Bernard, négociant à Paris, sont uniques héritiers de Louis de Clérie, propriétaire à Seloncourt, décédé le 12 septembre 1843 (Doubs)
acp 367 (3 Q 30 082) f° 78 du 15.12.
Les sœurs Meyer vendent la maison au rentier Charles Emmanuel Wichelhausen pour 21 700 francs
1841 (10.5.), Strasbourg 1 (87), M° Rencker n° 15.756
10 Mai 1841. Vente p. 21.300 f. – sont comparus 1) Mad. Sophie Meyer Epouse assistée et autorisée de Mr François Charles Louis de Clérie, propriétaire rentier avec lequel elle est domiciliée à Seloncourt, canton de Blamont, arrondissement de Montbéliard, Madame de Clerie agissant tant en son nom personnel qu’au nom & comme mandataire de M. M. Frédéric Schulthess Rechberg banquier & Gustave Schulthess Rechberg Colonel en retraite tous deux domiciliés à Zurich en Suisse (…), 2) Mad° Sophie Fanny Octavie Lavinie de Clerie, demeurant à Strasbourg, épouse séparée de corps et de biens de Mr Samuel Frédéric Bernard, propriétaire domicilié à Montbéliard demeurant en ce moment à Paris, la dite Dame assistée & autorisée à l’effet de ce qui suit par M° Frédéric Traut avoué licencié domicilié à Strasbourg et en qualité de mandataire de mondit Sr Bernard (ont déclaré vendre)
à Monsieur Charles Emmanuel Wichelhausen rentier demeurant à Strasbourg ci présent et acceptant
Une maison avec cour, puits, bâtiment latéral et bâtiment de fond, appartenances & dépendances, située à Strasbourg, quai St Nicolas n° 6, tenant d’un côté au Sr Geck, de l’autre à Mr Maurice Hecht, pardevant le quai et par derrière la propriété du dit Sr Hecht.
Etablissement de la propriété. L’immeuble dont s’agit appartient pour un tiers à M. M. Schulthess Rechberg qui l’ont recueilli dans la succession de leur mère Dame Françoise Caroline Meyer décédée veuve de M. Léonard Schulthess de Rechberg en son vivant banquier à Zurich, pour un tiers à Mad° Bernard & pour un tiers à Mad° de Clérie. Cette dernière, Mad° veuve Schulthess Rechberg & Madlle Octavie Meyer leur sœur, depuis décédée à Audincourt en avaient fait l’acquisition de Dame Marie Marguerite née Brand veuve en premières noces de Mr Jean Caspari vivant conseiller de Commerce du Prince de Nausau Weilbourg & en secondes noces de M° Jean Muralt en son vivant Maréchal de Camp & colonel d’un Régiment suisse au service de France, suivant contrat passé devant M° Zimmer cidevant notaire à Strasbourg le 28 avril 1806, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le premier mai suivant. Par suite du décès de Mlle Octavie Meyer son tiers à ladite Maison est avenu en nue propriété à Mme Bernard sa nièce & en usufruit à Mme de Clérie sa sœur. Mad° veuve Muralt était propriétaire dudit Immeuble pour l’avoir recueilli dans la succession du Sr Caspari son premier mari duquel elle était seule & unique héritière testamentaire en vertu de son testament mystique du 6 juillet 1759 déposé en l’étude de M° Humbourg vivant notaire à Strasbourg ouvert & publié par ce Notaire le 18 mars 1767 suivant procès verbal dudit jour. – Charges, clauses et conditions (…) Dans la vente de la maison sont compris divers objets mobiliers qui s’y trouvent placés en ce moment, savoir une glace pendue du second étage, six poêles en fayence & deux poêles en fonte avec leurs tuyaux et pierres et un chaudron en cuivre. Mr Wichelhaisen entrera en possession & jouissance de l’immeuble vendu le 24 juin prochain (…) – Prix, 21.700 francs
acp 287 (3 Q 30 002) f° 30
Natif de Colmar, Charles Emmanuel Wichelhausen épouse en 1840 Barbe Voltz en légitimant un enfant né six ans plus tôt
1840 (6.5.), Strasbourg 10 (96), Me Zimmer n° 3546
Contrat de mariage – Charles Emanuel Wichelhausen, rentier à Strasbourg, né à Colmar le 28 floréal 8 (18 mai 1800) fils de Pierre Wichelhausen, vivant ancien négociant, et de Marie Salomé Müssel
Barbe Voltz, majeure née à Strasbourg le 29 fructidor 12 (16 septembre 1804), fille de Pierre Voltz, ancien cloutier, et de Barbe Hess
reconnaissance de Albert Camille Voltz né à Strasbourg le 24 novembre 1834
Enregistrement, acp 277 f° 95-v du 6.5. – communauté réduite aux acquets
1840 (21.2.), Strasbourg 10 (96), M° Zimmer n° 3461
Acte respectueux – Charles Emanuel Wichelhausen, rentier âgé de 39 ans, fils de feu Pierre Wichelhausen, ancien négociant à Colmar, à Marie Salomé Müssel veuve de Pierre Wiechelhausen sa mère relativement au mariage qu’il se propose de contracter avec avec Barbe Voltz, majeure à Strasbourg née le 16 septembre 1804 (29 fructidor 12) fille de Pierre Voltz, ancien cloutier, et de feu Barbe Hess
Enregistrement d, acp 276 f° 5-v du 22.2.
Charles Emmanuel Wichelhausen meurt en 1876 dans une maison rue de la Lanterne en délaissant un fils
1876 (2.6.), Strasbourg 10 (180), Frédéric Pierron n° 324
Inventar 1) der Gütergemeinschaft welche zwischen Herrn Carl Emmanuel Wichelhausen im Leben geweßener Rentner und Frau Barbara Voltz dessen überlebende Wittwe bestandet hatte, 2) und der Hinterlassenschaft des Herrn Wichelhausen in Straßburg den ersten Mai 1876 gestorben
Im Jahr 1876 den 2. Juni um neun Uhr Morgens, auf Ansuchen 1) der Frau Barbara Voltz, wohnhaft in Straßburg, Wittwe des Herrn Karl Emmanuel Wichelhausen im Leben gewesenen Rentner, handelnd 1) in ihrem persönlichen Namen a) wegen der Gütergemeinschaft so auf Errungenschaft beschränkt war laut ihrem Ehevertrag durch Herrn Ludwig Friedrich Zimmer damals Notar in Straßburg, mittellbarer Vorgänger des nachgenannten Notars Pierron den 6. Mai 1840 errichtet zwischen ihr und ihrem Mann bestand, b) wegen der Ergäntzungen in Geld so dieselbe auf besagte Gütergemeinschaft zu erhaben hat für ihr gehörige Güter und Werthschaften, welche während der Ehe sind veräußert worden, so wie auch sie Zurücknahme in Natura derjenigen ebenfalls ihr gehörigen Güter und Werthschaften welche wirklich noch vorhanden sind, c) wegen der ehelichen Vortheilen die ihr aus ebenerwähntem Ehevertrag erwachsen sind
II) des Herrn Ferdinand Vix, Eigenthümer in Straßburg wohnhaft, in seiner Eigenschaft als Bevollmächtigter des Herrn Albert Wichelhausen, Angestellter an der Wasser-Bau-Direktion in Straßburg wohnhaft (…) genannter Herr Wichelhausen einziges Kind und Erbe des in Straßburg den ersten Mai laufenden Monats verstorbenen Herrn Karl Emmanuel Wichelhausen im Leben gewesenen Rentner, und dessen Ehe denselbe entsprossen ist, mit Barbara geborener Voltz, seiner überlebende Wittwe. (…)
Ueber welches alles gegenwärtige, Protocoll ist errichtet worden in Straßburg in dem Sterbehause Laternengasse N° (-)
acp 652 (3 Q 30 367) f° 64-v n° 1972 du 6.6. (Nachlass erklärt am 21/10 1876 N° 435 Bd. 121) Gütergemeinschaft. 1° Staatspapiere auf den Inhaber M. 41.651, 2° Hypothekar Forderungen 30.724, 3° Mobiliar Gegenstände beschrieben & angeschlagen zu 1539, inclusive 868 baares Geld welches bei den Möbel inbegriffen ist, Summa 73.915
Passiva 1° Ersatzforderungen der Wittwe laut dem Ehevertrag 2800, 2° dito des Verstorbenen 76.110, 3° anderes Passiv 104, Summa 79.014, Deficit 5094
Nachlass des Verstorbenen, 1° obige Ersatzforderung mit 76.110, 2° Garde robe 73, Summa 76.183
Passiva 1° den Ueberschuß der Errungenschafft mit 5094, 2° andere Schulden 221, Summa 5316, Bleibt Activ Ueberschuß 70.866
Liquidation de la même succession
1876 (24.7.), Strasbourg 10 (180), Frédéric Pierron n° 428
Liquidation mit Theilung der Güter-Gemeinschaft welche zwischen den Eheleuten Karl Emanuel Wichelhausen und Barbara Voltz zu Straßburg bestanden hat
sind erschienen 1) Frau Barbara Voltz, wohnhaft in Straßburg, Wittwe des Herrn Karl Emmanuel Wichelhausen im Leben gewesenen Rentner, in ihrem persönlichen Namen a) wegen der Ergäntzungen in Geld welche dieselbe auf die Hinterlassenschaft ihres verstorbenen Ehegatten zu erheben hat laut Artikel 2 ihres Ehevertrags durch Herrn Ludwig Friedrich Zimmer damals Notar in Straßburg den 6. Mai 1840 errichtet, b) als Schenknehmerin eines vierten Theils in Eigenthum und ebensoviel on lebenslänglichem Genuß der ganzen Hinterlassenschaft ihres verstorbenen Ehegatten laut Artikel 5 ihres Ehevertrags
II) Herr Ferdinand Vix, Eigenthümer in Straßburg wohnhaft, in seiner Eigenschaft als Bevollmächtigter des Herrn Albert Wichelhausen, Angestellter an der Wasser-Bau-Direktion in Straßburg wohnhaft (…) genannter Herr Wichelhausen einziges Kind und Erbe des in Straßburg den ersten Mai gegenwärtigen Jahrs verstorbenen Herrn Karl Emmanuel Wichelhausen im Leben gewesenen Rentner, und dessen Ehe denselbe entsprossen ist, mit Barbara geborener Voltz, seiner überlebende Wittwe, sowie diese Eigenschaft bestätigt ist durch des Inventar des Nachlasses des Verstorbenen durch den unterschriebenen Notar den 2. Juni 1776 errichtet
acp 653 (3 Q 30 368) f° 51-v du 25.7. (Sterbefall B. 62 N° 63) Gütergemeinschaft. 1° Staatspapiere M. 41.651, 2° Hypothekar Schuldforderungen 30.724, 3° Mobilien beschrieben im Inventar 670, 4° baares Geld 868, Gesamtbetrag 73.915
Passiva 1° Ersatzforderungen der Wittwe nach dem Inventar 2800, die 1200 Marl welche die Wittwe von ihrer Tante Magdalena Hess ererbt hat, vor ihrer Ehe erhalten bleiben 1600
2° Unterhalts Kosten der Wittwe 832, 3° Passiv Schulden 104, Summa 2536, bleiben 71.379
Nachlass des Verstorbenen. Activa 1. den Saldo seiner Ersatzforderungen 71.379 2. seine Kleider 73, Summa 71.452 – Passiva Schulden des Nachlasses 301, bleiben 70.161, ½ dem Erben 35.575 (…)
Barbe Voltz institue pour héritier universel Frédéric Auguste Lung, de Graffenstaden, ou à son défaut son fils du même nom, négociant à Strasbourg
1889, M° Allonas
13. Juni 1887 – Testament der Babette Voltz, Rentnerin in Straßburg, Wittwe von Carl Emmanuel Wichelhausen, gestorben am 12. März 1889.
Dieselbe setzt den zu Grafenstaden wohnenden Schreiner Friedrich August Lung und im Fall des Vorabsterben dessen Sohn Friedrich August Lung, Kaufmann in Straßburg, Zum Universalerben ein.
acp 814 (3 Q 30 529) f° 6-v n° du 21.3.1889 (Serbfallerkl. 26/4. 89 Bd. 158 Nr 40
M° Allonas, 1. April 1889 – Offenkunde über das Ableben der am 12. vor. Mrs. dahier verstorbenen Babette Voltz Wittwe von Carl Emanuel Wickelshausen
acp 812 (3 Q 30 527) f° 57-v n° 71 du 3.4.
Charles Emmanuel Wichelhausen et Barbe Voltz vendent par enchère la maison à Victor Borrer pour 17 500 francs
1858 (22.12.), Strasbourg 10 (137), M° Zimmer (Louis Frédéric) n° 12.828
L’an 1858 du 22 décembre à dix heures du matin (…) ont comparu Mr Charles Emmanuel Wichelhausen, propriétaire et Dame Barbe Voltz son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels désirant vendre aux enchères publiques l’immeuble ci après désigné ont requis M° Zimmer notaire soussigné, de dresser sur leurs indications le cahier des charges, clauses et conditions sous lesquelles cette vente doit avoir lieu, à quoi il a été procédé comme suit.
Désignation de l’immeuble à vendre et mise à prix, une maison avec cour, puits, bâtiment latéral et bâtiment de fond contenant une écurie pour quatre chevaux, droits, appartenances et dépendances, située à Strasbourg, quai st Nicolas n° 3 autrefois N° 6, tenant d’un côté à Mr Hecht, de l’autre à M. Geck, pardevant le quai et derrière propriété du dit Sr Hecht. Cet immeuble sera exposé aux enchères sur la mise à prix de 12.000 francs. Sont compris dans la présente vente six poêles en faience avec leurs tuyaux et pierres que les vendeurs indiqueront, une chaudière en cuivre et deux glaces sont l’une au premier et l’autre au second étage, plus les doubles fenêtres existant encore dans le même immeuble.
Etablissement de propriété. Cet immeuble appartient aux conjoints Wichelhausen comparans pour en avoir fait l’acquisition de 1) dame Sophie Elisabeth Hélène Meyer épouse de M. François Charles Louis de Clérie, propriétaire demeurant à Seloncourt, arrondissement de Montbéliard, 2) M. M. Frédéric Schulthess Rechberg, banquier, et Gustave Schulthess Rechberg, colonel en retraite demeurant ensemble à Zurich (Suisse), 3) dame Sophie Fanny Octavie Lavinie de Clerie, demeurant à Strasbourg, épouse séparée de corps et de biens de Mr Samuel Frédéric Bernard, propriétaire, aux termes d’un contrat de vente reçu par M° Rencker alors notaire à Strasbourg le 10 mai 1841, transcrit au bureau des hypothèques à Strasbourg le 15 du même mois volume 371 N° 38, et inscrit d’office volume 345 N° 120. Cette acquisition a eu lieu moyennant le prix de 21.600 francs (…) Cet immeuble appartenait autrefois à 1) Mme de Clérie, susnommée, 2) dame Françoise Caroline Meyer décédée veuve de M. Léonard Schulthess de Rechberg et 3) Mlle Octavie Meyer leur sœur, décédée depuis à Audincourt, à chacune pour un tiers, pour en avoir fait l’acquisition de dame Marie Marguerite Brand veuve en secondes noces de M. Jean Muralt vivant maréchal de camp et colonel d’un régiment suisse en France, aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Georges Frédéric Zimmer alors notaire à Strasbourg le 28 avril 1806, transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le premier mai suivant volume 28 N° 175. Par suite du décès de Mme veuve de Rechberg, son tiers dans le même immeuble est échu à ses deux fils susnommés, et quant au tiers ayant appartenu à Mlle Octavie Meyer il est avenu en nue propriété à Mme Bernard sa nièce susnommée et en usufruit à Mme de Clérie sa sœur, également susnommée, ainsi déclaré dans le contrat de vente du 10 mai 1841 susallégué. – Etat hypothécaire. Les comparans certifient que ledit immeuble leur appartient encore en toute propriété et qu’il n’est grevé d’aucune dette, rente, privilège ni hypothèque. Charges, clauses et conditions (…)
Après plusieurs bougies successivement allumées, plusieurs enchères eurent lieu dont la dernière faite par M. Georges Victor Borrer, ancien négociant demeurant et domicilié à Strasbourg qui en a porté le prix à 17.500 francs
acp 474 (3 Q 30 189) f° 84 du 23. X.br
Le commis négociant Georges Victor Borrer s’associe avec le négociant Gabriel Corajod pour faire commerce de nouveautés. La société est dissoute quatre ans plus tard.
1845 (18.6.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 93 (31 592) f° 38 du 18 juin
15 juin 1845. Acte de Société ainsi conçu. Entre les soussignés Mr Gabriel Corajod Négociant demeurant à Strasbourg d’une part
et Georges Victor Borrer Commis négociant domicilié audit lieu d’autre part, il a été convenu ce qui suit
Art. 1. Il est formé par ces présentes une Société en nom collectif entre Mrs Corajod et Borrer pour le commerce de nouveautés
Art. 2. La raison de commerce sera Gabriel Corajod et Borrer
Art. 3. La durée de cette société sera de 15 années consécutives qui commencent le 25 juin 1845 pour finir le 25 juin 1860.
Art. 4. Le siège de la société sera à Strasbourg rue des Hallebardes N° 45 dans un local formant le rez de chaussée de la susdite Maison loué par Mr Corajod et dont le bail sera en commun pendant toute la durée de la société
Art. 5. Le fonds social est fixé à 40.000 francs fourni de la manière suivante, Mr Corajod 20.000 francs, Mr Borrer 20.000 francs (…)
Noetinger, 5 janvier 1849 – Dissolution de la société qui a existé entre Georges Victor Borrer négociant à Strasbourg et Moïse Gabriel Corajod Négociant en ladite ville, suivant acte s.s.p. en date du 15 juin 1845 enregistré le 18 dudit
acp 378 (3 Q 30 093) f° 59 du 10 janvier 1849
Dissolution de société entre Victor Borrer et Oscar Chas
1850, Enregistrement de Strasbourg, ssp 108 (3 Q 31 607) f° 89-v du 9.4.
6 avril 1850. Dissolution de société ainsi conçue entre les soussignés Victor Borrer négociant demeurant à Strasbourg d’une part
et M. Oscar Chas, négociant demeurant aussi à Strasbourg d’autre part
Il a été convenu que la société qui existait entre lesdits Sr Borrer et Chas est dissoute d’un commun accord à deter du premier avril dernier. Ocar Chas reste seul propriétaire de la maison et liquidateur de la société.
Georges Victor Borrer hypothèque la maison au profit de Sophie Salomé Hurst, veuve du ferblantier Jean Daniel Dürr, et du pasteur Auguste Guillaume Schmidt
1860 (10.7.), Strasbourg 10 (142), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 13.600
Obligation, 10 juillet 1860 – A comparu Mr Georges Victor Borrer, propriétaire, non marié, demeurant et domicilié à Strasbourg, lequel reconnaît par ces présentes,
devoir bien et légitimement 1) à Mad. Sophie Salomé Hurst, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de Mr Jean Daniel Dürr, en son vivant ferblantier en la même ville, créancière ci présent et acceptant, la somme de 10.000 francs, 2) et à Mr Auguste Guillaume Schmidt, pasteur protestant à l’église Sainte Aurélie à Strasbourg, demeurant et domicilié en cette ville, créancier ci présent et acceptant la somme de 5000 francs, Ensemble la somme de 15.000 francs, pour prêt de pareille somme
le débiteur affecte en hypothèque spéciale. Une maison avec cour, puits, bâtiment latéral et bâtiment du fond & autres droits, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg, quai st Nicolas n° 3, tenant d’un côté à Mr Hecht, de l’autre à M. Geck, pardevant au quai et derrière à Mr Hecht. M. Borrer a acquis cet immeuble du Sr Charles Emmanuel Wichelhausen, propriétaire et D° Barbe Voltz sa femme, demeurant à Strasbourg, aux termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Zimmer soussigné le 22 décembre 1858 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 3 janvier 1859 volume 754 N° 79 et inscrit d’office le même jour Volume 725 N° 243. Cette acquisition a eu lieu moyennant le prix de 17.500 francs (…). M. Borrer affirme que ledit immeuble lui appartient encore aujourd’hui en toute propriété & que le même immeuble n’est grevé d’aucune dette, rente, privilège ni hypothèque quelconque
Georges Victor Borrer meurt en octobre 1888 rue de Zurich
Décès, Strasbourg (n° 2652) Strassburg am 22. Oktober 1888. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Zahnarzt Karl Vinet wohnhaft zu Strassburg Kleberstaden 15 und zeigte an, daß der ledige Rentner Viktor Georg Borrer, 74 Jahr alt, katholischer Religion, wohnhaft zu und geboren zu Straßburg, Sohn der hieselbst verstorbenen Eheleute Joseph Borer, Gastwirth, und Viktorine geborene Altherr, zu Strassburg Züricherstraße 6 am 21. Oktober des Jahres 1888 Nachmittag um zehn Uhr verstorben sei (i 201)
Georges Victor Borrer fait différents legs et institue le dentiste Charles Vinet pour héritier du surplus
1888 (26.10.), M° Allonas
Hinterlegung des nachregistrirten Testaments, Georg Viktor Borrer
acp 806 (3 Q 30 521) f° 95-v n° 2888 du 30.10. (Sterbf. Erkl. vom 3. April 1889 Bd. 188 N° 12)
(n° 2889) Testament des dahier am 21. ds. Mts. gestorbenen ehemaligen Kaufmanns Georg Viktor Borrer wodurch derselbe vermacht
der Lucie Barth zu Neudorf 20.000 fr
den Civilhsopizien hier 10.000 fr
dem Frantz Oberthur hier 5000 fr
den Kindern von Viktor Monnet & Valentine Koemerlé 10. 000 fr
der Armenverwaltung 4000 fr
der Johanna Labonne 10. 000 fr
dem Herrn Faller ein Bureau & Pendule
Für den Rest seines Vermögens setzt er H Vinet als Erben ein. P. U. vom 25. April 1888.
Allonas, 3. Januar 1889 – Offenkunde über das Ableben des am 21. Oktober 1883 hier gestorbenen ehemaligen Kaufmanns Georg Viktor Borrer
acp 809 (3 Q 30 524) f° 68 n° 3809 du 8.1.
Georges Victor Borrer vend la maison à l’ancien hôtelier Charles Daniel Fischer et à sa femme Anne Flore Hummel moyennant 45 000 francs
1862 (12.8.), M° Victor Noetinger
Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 912 (3062) n° 3, 21 août 1862
A comparu Mr Georges Victor Borrer, propriétaire demeurant à Strasbourg, lequel a par les présentes vendu (…)
à M. Charles Daniel Fischer, propriétaire ancien maître d’hotel et sous son assistance et autorisation Mad° Anne Flore Hummel son épouse demeurant ensemble à Strasbourg, ci présents et acceptant, l’immeuble dont la désignation suit.
Désignation. Une maison avec cour, puits, bâtiment latéral et bâtiment de fond, droits, appartenances et dépendances située à Strasbourg quai st Nicolas n° 3 nouveau et N° 6 ancien, tenant d’un côté à Mr Hecht, de l’autre à M. Geck, devant au quai et derrière audit Mr Hecht, telle que cette propriété se trouve, poursuit et comporte (…) notamment tous les poêles en faience avec leurs tuyaux et pierres sauf celui de M. Pick, une glace, une armoires, les séparations à la cave et au grenier, sept doubles fenêtres et les jalousies.
Origine de la propriété. La propriété vendue appartient à M. Borrer pour lui avoir été adjugé par Mr Charles Emmanuel Wichelhausen, propriétaire et Madame Barbe Voltz son épouse, demeurant ensemble à Strasbourg, suivant procès verbal dressé par M° Zimmer et son collègue notaires à Strasbourg le 22 décembre 1858. Une grosse dudit procès verbal a été transcrite au bureau des hypothèques à Strasbourg le 3 janvier suivant vol. 754 N° 79 avec inscription d’office au vol. 725 N° 242. (…) L’acquisition eut lieu pour le prix de 17.500 francs (…). M. et Madame Wichelhausen avaient acquis le même immeuble de Madame Sophie Elisabeth Hélène Meyer, épouse de M. François Charles Louis de Clérie, propriétaire demeurant à Seloncourt, de M. Frédéric Schulthess Rechberg, banquier et Gustave Schulthess Rechberg, colonel en retraite demeurant les deux à Zurich (Suisse), de Mde Sophie Fanny Octavie Lavinie de Clerie, demeurant à Strasbourg, épouse séparée de corps et de biens de Mr Samuel Frédéric Bernard, propriétaire, aux termes d’un contrat passé devant M° Rencker alors notaire à Strasbourg le 10 mai 1841, transcrit au bureau des hypothèques à Strasbourg le 15 du même mois volume 371 N° 38, avec inscription d’office volume 345 N° 120. Cette acquisition a eu lieu pour le prix de 21.600 francs (…) Cet immeuble appartenait autrefois à Madame de Clérie, susnommée, Mde Françoise Caroline Meyer décédée veuve de M. Léonard Schulthess de Rechberg et Mlle Octavie Meyer leur sœur, décédée depuis à Audincourt, à chacune pour un tiers, pour en avoir fait l’acquisition de Marie Marguerite Brand veuve en secondes noces de M. Jean Muralt vivant maréchal de camp et colonel d’un régiment suisse en France, aux termes d’un contrat passé devant M° Zimmer le 28 avril 1806, transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le premier mai suivant volume 28 N° 175. Par suite du décès de Madame veuve de Rechberg, son tiers dans le même immeuble est échu à ses deux fils susnommés et quant au tiers ayant appartenu à Mlle Octavie Meyer il est avenu en nue propriété à Mme Bernard sa nièce et en usufruit à Madame de Clérie sa sœur, ainsi qu’il résulte du contrat de vente du 10 mai 1840. (…) Prix, 45.000 francs – Etat-civil. M. Borrer déclare sous les peines de droit être célibataire et n’avoir jamais été chargé de tutelle ou d’autres fonctions emportant hypothèque légale
acp 513 (3 Q 30 228) f° 37 du 13.8.
L’aubergiste Charles Daniel Fischer natif de Colmar épouse Anne Flore Hummel en 1833
1833 (23.4.), Strasbourg 10 (87), M° Zimmer n° 1528
Contrat de mariage – Charles Daniel Fischer, aubergiste à Strasbourg né à Colmar le 30 avril 1803 (10 floréal 11) fils de feu Georges Frédéric Fischer, officier de santé à Colmar, et de Marie Anne Sirli sa veuve
Anne Flore Hummel née le 11 septembre 1806 fille de Jacques Hummel, plâtrier à Strasbourg, et de Marie Anne Andrès
Enregistrement acp 217 (3 Q 29 932) f° 43 du 24.4. – 1. adoptent le régime de la communauté réduite aux acquets et partageable par moitié
2. Les apports du futur époux consistent dans les droits et actions non encore liquidés dans la succession d son père
3. ceux de la future épouse consistent outre la dot dont il sera parlé en objets mobiliers d’une valeur de 2000 francs
4. la future épouse est dotée de 4000 francs par ses père et mère en avancement d’hoirie
5. il est fait donation éventuelle à la future par Mad° Fischer sa belle-mère, pour le cas où le futur époux viendroit à décéder avant la dite veuve Fischer de l’usufruit viager de la moitié d’une maison à Strasbourg grande rue de l’Esprit n° 140
2° de l’usufruit viager de l’autre moitié de ladite maison à partir du jour du décès de la donatrice et toujours pour le cas où elle survivrait à son fils le futur époux
6. le survivant aura l’usufruit viager de tous les biens meubles et immeubles composant la moitié du prédécédé dans la communauté
7. et enfin que les futurs font donation au survivant d’eux, sauf réduction à la moitié en cas d’existence d’enfants, de tous les biens meubles et immeubles propres qui dépendront de la succession du prédécédé.
Anne Flore Hummel meurt en 1873 après avoir institué son mari légataire universel de ses biens
1873 (23.6.), Strasbourg 10 (172), Not. Kœrttgé (Jean Théodore) n° 3492
Notoriété, 23 juin 1873 (…) 1) qu’ils ont parfaitement connu dame Anne Flore Hummel vivant épouse de M. Charles Daniel Fischer, propriétaire,
2) et que ladite dame Fischer est décédée en son domicile à Strasbourg le 26 avril 1873 sans laisser d’héritiers à réserve
acp 614 (3 Q 30 329) f° 90-v du 27.6.
Enregistrement de Strasbourg, ssp 158 (3 Q 31 657) f° 11 n° 1158 du 6.5.1873
10. April 1873, Olographisches Testament von Anna Flora Hummel Ehefrau Karl Daniel Fischern welche ihren Ehegatten zum Universalerben einsetzt.
Charles Daniel Fischer meurt en 1880 après avoir institué pour légataires universels sa nièce Marie Fanny Hummel femme de l’avocat Jean Jules Janet, son neveu capitaine Marie François Léon Hummel et les six enfants de sa nièce Cornélie Hummel et du ferblantier Louis Wittmann
1880 (7.6.), Strasbourg 8 (109), Not. Gustave Edouard Loew n° 12.326
Inventar auf Ableben des Eigenthümers Herrn Carl Daniel Fischer zu Straßburg wohnhaft, wo er den 15. April 1880 verstorben ist
Heute Montag den 7. Juni 1880, Nachmittags drei Uhr Im Sterbehause zu Straßburg Züricherstrasse N° 8. Auf Ansuchen von 1. Herrn August Schorong, Eigenthümer wohnhaft zu Straßburg handelnd A) als bevollmächtigter Vertreter von Herrn Johann Julius Janet, Advocat, und Maria Fanny Hummel, seiner Gattin, wohnhaft zu Paris, rue de l’Abbé de l’Epée, früher zu Bourg-la-Reine (…), B) als Datifvormund der nachgenannten sechs minderjährigen Kinder aus der Ehe der Verstorbenen Klempnereheleute Herrn Ludwig Wittmann und Frau Cornelie Hummel zu Markirch nämlich 1) Peter Wittmann geboren zu Hochfelden am 15. Juli 1863, 2. Paul Wittmann, geboren zu Erstein am 29. August 1864, 3. Frantz Wittmann, geboren daselbst am 9. Juli 1867, 4. Therese Wittmann, geboren zu Markirch am 27. November 1869, 5. Marie Wittmann, geboren daselbst am 4. April 1872 und 6. Maria Ludwig Wittmann geboren zu Heilig Kreuz bei Markirch am 10. December 1873 (…)
2. von Herrn Jacob Klein, Vater, Unternehmer wohnhaft zu Straßburg, handelnd A) als bevollmächtigter Vertreter von Herrn Maria Frantz Leo Hummel, capitaine commandant im 16. Artillerie Regiment in Garnison zu Lyon, wo er wohnhaft ist (…) B) als Nebenvormund der genannten minderjährigen Wittmann (…)
die Eheleute Janet, Herr Hummel und die minderjährigen Wittmann, einzige Universallegataren des Eigenthümers Carl Daniel Fischer zu Straßburg, wo er den 15. April 1880 verstorben ist, zufolge dessen eigenhändigen Testaments mit dem Datum Straßburg den 12. März 1879, hinterlegt bei dem unterzeichneten Notar laut dessen Urkunde von 24. April dieses Jahres (…) welcher Testament zur gäntzlichen Ausführung gelangen konnte, da der Verlebte keine Vorbehaltserben auf oder abstammender Linie hinterlassen hat, ausweislich einer Offenkündigkeits Urkunde des unterzeichneten Notars vom 28. April dieses Jahres (…) Zufolge diesem Testamente wurden gedachten Legatare in dem Besitz seines Nachlasses eingewiesen laut Verfügung des kaiserlichen Landgerichts-Direktors Herrn Mühlinghaus dahier in Vertretung des hiesigen kais. Landgerichtspräsidenten vom 13. vorigen Monats (…) nämlich in folgenden Verhältnisse 1. die Eheleute Janet zu einem Drittel, der Ehemann nicht verwandt, die Ehefrau als Nichte, 2. u Wittmann die Kinder Wittmann zu einem andern Dritten als Großneffen, 3. den Herrn Hummel zum letzten Drittel als Neffe (…)
Testament. Je soussigné Charles Daniel Fischer, propriétaire à Strasbourg (…)
3 septembre 1880. N° 12.577. Fortsetzung.
Liegenschaften. 1) Ein Haus mit Rechten Züricherstraße N° 8 (…)
2) Ein haus mit Erdgeschoß Gutleutgasse N° 14 (…)
3) Ein Wohnhaus mit einem Stockwerken, Hintergebäude (…) gelegen zu Bischweiler Gewand Kirchweg, Hanhofergasse
acp 702 (3 Q 30 417) f° 75 du 15.6. (Sterb Erklg d. 14.1080. Bd 134 N° 638) Hauseinrichtung 1799, Mobilien 288, 75, 80, 25 und 100, Kleider 88
acp 705 (3 Q 30 420) f° 46 du 7.9. (vacation du 3 septembre) Hypothekforderung 800, 2 Obligation der Stadt Paris
ein Haus Züricherstraße 8, ein Haus Gutleutgasse 14, ein Haus mit 19,20 Aren Fläche zu Bischweiler Kirchweg, 11.929
acp 716 (3 Q 30 431) f° 37 du 19.8. (vacation du 10 août) Nachtrag zum Inventar Fischer reg. Bd. 705 Bl. 46. Laut gelegter Vormundschafts Rechnung ist das unter seiner Verwaltung gestandene Vermögen der minderjährigen Wittmann folgendes, Mobilien 362, Schuldiger Rechnungsrest hinterlegt bey Staehling Valentin & Cie 1959, Zinsen 78 – Rechnung des Herrn Klein welcher zum Vormunde über den entmündigten Fischer ernannt worden, nahm ein 1648, gab aus 4211, Ausgabe 2562
Rechnung der Frl. Wabnitz welche des p. Fischer verpflegt hat, Ausgaben 8075, sie empfing 7822 (Rest) 252, dazu ihr Vermächtniß 400 (Summa) 652
für Mobilien laut Protokoll vor dem amtierenden Notar vom 17. Juli 1880 aus dem Nachlasse des Herrn Fischer angesteigert 508
acp 699 (3 Q 30 414) f° 77 n° 322 du 30.4. Loew, 24. April 1880 – Hinterlegung des eigenhändigen Testaments des am 15. April 1880 dahier verstorbenen Eigenthümer Carl Daniel Fischer mit dem Datum Straßburg den 12. Maertz 1879.
acp 699 (3 Q 30 414) f° 75 du 29.4. (Strasbourg 8, 109, Gustave Edouard Loew) 28 April 1880. Offenkunde N° 12.241 – Carl Daniel Fischer
acp 699 (3 Q 30 414) f° 97-v du 24.5. (Strasbourg 8, 109, Gustave Edouard Loew)am 23. Mai 1880, n° 12.295. Hinterlegung der vollstreckbaren Ausfertigung einer Ordnung des kaiserl. Landgerichtsdirektors Mühlinhgaus (…)
Partage de la succession
1881 (10.8.), Strasbourg 8 (113), Not. Gustave Edouard Loew n° 13.408
Theilung des Nachlasses von Karl Daniel Fischer, Eigenthümer
sind erschienen 1) Herrn August Schorong, Eigenthümer wohnend zu Straßburg handelnd a) als bevollmächtigter zu Paris, rue de l’Abbé de l’Epée n° 6 wohnende Ehegatten Herrn Johann Julius Janet, Advocat, und frau Maria Fanny Hummel (…), b) als D(…) Hauptvormund über die sechs minderjährigen Kinder verlebten Ehegatten Herrn Ludwig Wittmann, Klempner, und Frau Kornelie Hummel zu Markirch, Namens 1) Peter Wittmann geboren zu Hochfelden am 15. Juli 1863, 2. Paul Wittmann, geboren zu Erstein am 29. August 1864, 3. Frantz Wittmann, geboren daselbst am 9. Juli 1867, 4. Therese Wittmann, geboren zu Markirch am 27. November 1869, 5. Marie Wittmann, geboren daselbst am 4. April 1872 und 6. Maria Ludwig Wittmann geboren zu Heilig Kreuz bei Markirch am 10. December 1873 (…)
2) Herr Jacob Klein, Vater, Unternehmer, wohnend zu Straßburg, handelnd a) als bevollmächtigter des Herrn Maria Frantz Leo Hummel, capitaine commandant im 16. Artillerie Regiment in Garnison zu Lyon, woselbst er wohnet (…) b) als Nebenvormund der Kinder Wittmann (…)
3) Herr Johann Theodor Koerttgé, ehemaliger Notar, wohnend zu Straßburg, handelnd als durch nachwerwäntes Testament ernannter Testamentsvollstrecker im Nachlasse des Herrn Karl Daniel Fischer, Eigenthümer Zu Straßburg, 4) Herr Karl Heinrich Perrin, Rentner, wohnend zu Straßburg (…) ernannter Spezial vormund der Kinder Wittmann
Vorbemerkungen. Ableben. Inventar, Testament – Häuserverkauf
acp 716 (3 Q 30 431) f° 38 n° 1796 du 19.8. – Die Nachlass mobilien wurden vom amtierenden Notar versteigert am 17. Juni 1880, die Wohnhäuser am 20. Dezember 1880
Rechnung des Notars. Einnahme 17.948, Ausgaben 19.599, (1651)
Activ, Mobilienerlös 2208, Kostenüberschlag 220, Erlös des Hauses Züricherstraße 32.000, Kostenüberschlag 2560
Schuldigkeit von Fräulein Klotz, 112, 723, 400
Erlös des Hauses Gutleutgasse 12.000, Kostenüberschlag 960, bezahlte Zinsen 33
Erlös des Hauses zu Bischweiler 1201, Kostenüberschlag 96, bezahlte Zinsen 14
Forderung an Jakob Datt in Bischweiler 800
2 Obligationen auf en Inhaber der Stadt Paris 639, Zinsen 25 (Zusammen) 54.037
Passiv 25.708, bleibt 28.328
Zutheilung (…)
Charles Daniel Fischer et Anne Flore Hummel vendent la maison à Maurice Ehrmann
1865 (11.7.), Strasbourg 3 (107), Not. Weiss (Emile) n° 1175
Ont comparu M. Charles Daniel Fischer, commis négociant et propriétaire et D° Anne Flore Hummel, son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes, demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg, lesquels déclarent par ces présentes avoir vendu (…)
à M. Maurice Ehrmannn propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg, présent et acceptant
Désignation de l’immeuble. Une maison avec cour, puits, bâtiment latéral et bâtiment de fond, droits, appartenances et dépendances située à Strasbourg quai st Nicolas n° 3 nouveau et N° 6 ancien, tenant d’un côté à Mme Hecht, de l’autre à M. Geck, devant audit quai et derrière à ladite Mme Hecht. Sont compris dans la présente vente tous les poêles avec leurs tuyaux et pierres, les glaces, rayons de cave, chantiers, armoires et doubles fenêtres (…)
Origine de la propriété. M. et Mme Fischer déclarent qu’ils sont devenus propriétaires de l’immeuble vendu pour l’avoir acquis de M. Georges Victor Borrer, propriétaire demeurant à Strasbourg, suivant vente reçu par M° Victor Noetinger, notaire à Strasbourg le 12 août 1862, transcrit au bureau des hypothèques le 21 août 1862, volume 912 N° 3. M. Borrer était devenu propriétaire pour lui avoir été adjugé par M. Charles Emmanuel Wichelhausen, propriétaire et Mme Barbe Voltz son épouse, demeurant ensemble à Strasbourg, suivant procès verbal dressé par M° Zimmer et son collègue notaires à Strasbourg le 22 décembre 1858. Une grosse dudit procès verbal a été transcrite au bureau des hypothèques à Strasbourg le 3 janvier suivant vol. 754 N° 79 avec inscription d’office au vol. 725 N° 242. (…) L’acquisition eut lieu pour le prix de 17.500 francs (…). M. et Mme Wichelhausen avaient acquis le même immeuble de Mme Sophie Elisabeth Hélène Meyer, épouse de M. François Charles Louis de Clérie, propriétaire demeurant à Séloncourt, de M. Frédéric Schulthess de Rechberg, banquier et Gustave Schulthess de Rechberg, colonel en retraite demeurant les deux à Zurich (Suisse), de Mme Sophie Fanny Octavie Lavinie de Clerie, demeurant à Strasbourg, épouse séparée de corps et de biens de M. Samuel Frédéric Bernard, propriétaire, aux termes d’un contrat passé devant M° Rencker alors notaire à Strasbourg le 10 mai 1841, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 15 décembre suivant vol. 371 N° 38, avec inscription d’office au vol. 345 N° 120. Cette acquisition a eu lieu pour le prix de 21.600 francs (…) Cet immeuble appartenait autrefois à Mme de Clérie, susnommée, Mme Françoise Caroline Meyer décédée veuve de M. Léonard Schulthess de Rechberg et Mlle Octavie Meyer leur sœur, décédée depuis à Audincourt, à chacune pour un tiers, pour en avoir fait l’acquisition de Marie Marguerite Brand veuve en secondes noces de M. Jean Muralt vivant maréchal de camp et colonel d’un régiment suisse en France aux termes d’un contrat passé devant M° Zimmer le 28 avril 1806, transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le premier mai suivant volume 28 N° 175. Par suite du décès de Mme veuve de Rechberg, son tiers dans le même immeuble est échu à ses deux fils susnommés et quant au tiers ayant appartenu à Mlle Octavie Meyer il est avenu en nue propriété à Mme Bernard sa nièce et en usufruit à Mme de Clérie sa sœur, ainsi qu’il résulte du contrat de vente du 10 mai 1841.
Situation hypothécaire (…) Entrée en jouissance, le 29 septembre propriétaire (…) Prix, 65.000 francs, à compte de laqulle somme M. l’acquéreur a payé comptant aux vendeurs celle de 1500 francs
acp 544 (3 Q 30 259) f° 74 du 13.7.
Maurice Ehrmann légue ses biens à sa femme et ses beaux-enfants, sauf la part revenant à son père qui revient par donation à Maurice Adolphe Charles de Flavigny.
La maison est inscrite au cadastre (1922) au nom de Guillaume Hollænder.
Fils du cordonnier Charles Edouard Hollænder, le tapissier Frédéric Guillaume Hollænder épouse en 1885 Barbe Mæder, fille du journalier Joseph Mæder, en légitimant un enfant né deux ans auparavant.
Mariage, Strasbourg (n° 148)
Strassburg am 21. März 1885. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Tapezierer Friedrich Wilhelm Hollaender, evangelischer Religion, geboren den 30. März des Jahres 1860 zu Strassburg, wohnhaft zu Strassburg, Sohn des verstorbenen Schuhmachers Carl Eduard Hollaender, zuletzt wohnhaft zu Strassburg und der Catharina Colle, ohne Beruf, wohnhaft zu Straßburg
2. die Büglerin Barbara Maeder, katholischer Religion, geboren den ersten December des Jahres 1862 zu Strassburg, wohnhaft zu Strassburg, eheliche Tochter des verstorbenen Tagners Joseph Maeder zuletzt wohnhaft zu Strassburg und der Catharina Hoffmann, ohne Beruf, wohnhaft zu Strassburg (…)
Die Eheleute erklären, daß sie sich als Vater und Mutter bekennen von Emil Ernst Maeder, geboren zu Strassburg den 26. März 1883 (i 18)
Barbe Mæder meurt en 1931 dans sa maison
Décès, Strasbourg (n° 148)
Le 13 janvier 1931 à cinq heures est décédée en son domicile 3 quai Saint-Nicolas, Barbe Hollaender née Maeder, née à Strasbourg le premier décembre 1862, fille de Joseph Maeder et de Catherine Hoffmann, époux décédés, épouse de Frédéric Guillaume Hollaender, maître peintre. Dressé le 13 janvier 1931 à 17 heures sur la déclaration de l’époux de la défunte, 70 ans (im 39)
La maison revient ensuite (inscription au cadastre en 1947) à son fils Ernest Hollænder qui épouse en 1912 Marie Louise Jeanne Cron, fille de la couturière Louise Cron de Colmar. Les conjoints Hollænder divorcent deux fois et se remarient à chaque fois peu de temps après.
Mariage, Strasbourg (n° 969)
Strassburg am 19. September 1912. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Kaufmann Emil Ernst Hollaender, evangelischer Religion, geboren am 26. März des Jahres 1883 zu Strassburg, wohnhaft zu Strassburg, Wimpfelingsstrasse 31, Sohn des Geschäftsführers Friderich Wilhelm Hollaender und seiner Ehefrau Barbara geborenen Maeder, wohnhaft zu Strassburg
2. die Marie Luise Johanna Cron, ohne Beruf, evangelischer Religion, geboren am 22. April des Jahres 1890 zu Colmar /:Ober-Elsass:/ wohnhaft zu Strassburg Ferkelmarkt 11, Tochter der Näherin Luise Cron, wohnhaft zu Strassburg
[in margine :] Mariage dissous par jugement de divorce rendu le 14 juin 1929 par le tribunal civil de première instance de Strasbourg
Naissance, Strasbourg (n° 916)
Strassburg am 30. März 1883. Vor dem Standesbeamten erschienen heute die Hebamme Caroline Fuhrmann, wohnhaft zu Strassburg Weißthurmstraße 19, und zeigte an daß von der ledigen Büglerin Barbara Maeder hieselbst geboren, katholischer Religion, wohnhaft zu Straßburg Büchergasse 8 in deren Wohnung am 28. März des Jahres 1883 Morgen um fünf Uhr ein Kind männlichen Geschlechts geboren worden sei, welches die Vornamen Emil Ernst ergalten habe, die Anzeigende erklärt, daß sie bei der Niederkunft der ledigen Maeder zugegen gewesen sei
[in margine :] Durch die am 21. März 1885 vor dem Standesbeamten der Stadt Strassburg zwischen dem Tapezierer Friedrich Wilhelm Hollaender und der Barbara Maeder abgeschlossene Ehe, wurde das in nebenstehendem Akte genannte Kind von diesen Eheleuten legitimirt
Marié à Strasbourg le 23 avril 1931 avec Marie Louise Jeanne Cron, Straßburg le 20 avril 1931
Mariage dissous par jugement de divorce le 5 décembre 1950 par le tribunal de première instance de Strasbourg
Remarié à Strasbourg le 23 novembre 1951 avec Marie Louise Jeanne Cron (i 154)