13, quai Saint-Nicolas
Quai Saint-Nicolas n° 13 – VIII 7 (Blondel), P 1368 puis section 15 parcelle 4 (cadastre)
Oriel établi en 1670 par Ulric Koch
Quai Saint-Nicolas entre la rue d’Or et la grande Percée. Le n° 13 est la maison claire à pignon à redents (avril 2016)
Les fenêtres du pignon et celles du premier étage conservent des meneaux qui ont disparu aux autres étages. Au rez-de-chaussée, deux arcades de boutique et porte XVIII° siècle (image Fabien Romary)
Porte et arcade (août 2021)
La maison et sa voisine (actuel n° 14) sont portées au nom du sellier Jean Kauss dans le Livre des communaux de 1587. Elle comprend un bâtiment avant dont le pignon à redents donne sur le quai, deux cours, un puits commun et un bâtiment arrière qui s’ouvre au fond de la ruelle ensuite appelée Grættelgæssel. Après avoir changé plusieurs fois de propriétaire, elle appartient à partir de 1615 au tonnelier Marcel Haas puis à son gendre le maréchal ferrant Ulric Koch qui est autorisé en 1660 à remplacer son auvent de 23 pieds de long par un oriel de 8 pieds ½ de long. Les trois appuis de la console ornés de feuilles d’acanthe portent les initiales du propriétaire et le millésime (16 V’K 60). Frédéric Louis de Schmidbourg est propriétaire de la maison (1680-1701) puis Jacques Samson de Rathsamhausen d’Ehnwihr (1716-1731) qui la loue à un fondeur de pichets. L’orfèvre Jean Jacques Braun l’achète en 1732 et la transmet à son fils Jean Philippe Braun. La façade est remaniée à cette époque : ferronnerie sur l’oriel, porte d’entrée.
Plan-relief de 1725. La maison est celle de droite à pignon, à l’opposé de l’église (© Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 248 (© Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée, deux [sic] étages et un oriel (lanterne). Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve entre les repères (e-f), représentée sans oriel de la même manière que la voisine de gauche : trois arcades au rez-de-chaussée, trois fenêtres à chacun des trois étages, trois fenêtres sur le pignon. La cour C est séparée par le mur (2-3) de la cour B qui fait partie de la maison voisine (n° 14) ; on y voit l’arrière (1-2) de la façade sur le quai, le bâtiment latéral (4-1) à l’ouest et le bâtiment (3-4) entre deux cours. La deuxième cour S qui s’ouvre sur une ruelle montre le bâtiment (1-2) entre deux cours, le bâtiment latéral (2-f’) à l’est et la remise (1-e’) à l’ouest. Les bâtiments couverts de tuiles plates sont peints en gris sauf dans la cour arrière en jaune.
La maison porte d’abord le n° 80 (1784-1857) puis le n° 13.
La maison appartient au négociant Isaac Schaaff (1812-1847) puis à la veuve du quincaillier Jean Georges Stammler (1847-1882). La vente de 1847 donne une description précise qui sera ensuite plusieurs fois reprise : (1) bâtiment sur le quai à un rez-de-chaussée et trois étages, (2) bâtiment au fond de la cour à rez-de-chaussée et deux étages, reliés par (3) un bâtiment de communication à rez-de-chaussée, galeries et balustres, (4) un petit pavillon en charpente à rez-de-chaussée et deux étages dans l’arrière cour. Le négociant Jules Birr l’acquiert et y fait en 1887 des travaux qui en portent le revenu de 144 à 266 francs, le nombre de fenêtres au-dessous du troisième étage passant de 23 à 26. La façade et la toiture sont inscrits à l’inventaire des monuments historiques le 13 juin 1929.
La Ville acquiert l’immeuble (exercice 1920) et fait démolir les bâtiments arrière en 1937 lors de la Grande Percée.
Console de l’oriel, initiales et millésime, 16 V’K 60 (image Jean Daniel Lohner)
Elévation et coupe (dessin de l’architecte Jean-Marc Blondelle, dossier de la Police du Bâtiment)
octobre 2020
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1607 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Jean Fuhrmann, charretier, et (v. 1588) Marie Jung remariée (1607) avec le pêcheur Laurent Karcher – luthériens | ||
1608 | v | Pierre Weiss, marchand, et (1603) Dorothée Hellbeck dite Bœhm – luthériens |
1611 | v | Jean Martin Beck, marchand, et Agnès Brüschel |
1614 | v | Georges Schwartz, notaire, et (1604) Catherine Brand – luthériens |
1615 | v | Marcel Haas, tonnelier, et (1610) Apollonie Braun – luthériens |
1640* | h | Ulric Koch, maréchal ferrant, et (1633) Apollonie Haas – luthériens |
1679 | h | Abraham Koch, marchand puis bailli, et (1676) Marguerite Edom, veuve du marchand Jean Frédéric Meyer, puis (1685) Catherine Bœckler – luthériens |
1680 | v | Frédéric Louis de Schmidbourg et (1662) Marguerite Madeleine de Waldmanshausen – luthériens |
1701 | v | Jean Jacques Herberling, receveur à la Chartreuse et à Saint-Nicolas-aux-Ondes, et (1667) Catherine Stenger – luthériens |
1716 | v | Jacques Samson de Rathsamhausen d’Ehnwihr, et (1698) Sophie Dorothée von der Grün, veuve d’Ernest Christophe de Lœwen – luthériens |
1731 | h | Henri Frédéric Geuder dit Rabenstein et (1720) Catherine Julienne de Rathsamhausen d’Ehnwihr – luthériens |
1732 | v | Jean Jacques Braun, joailler, et (1730) Catherine André – luthériens |
1767 | h | Jean Philippe Braun, orfèvre, et (1764) Marie Madeleine Reinbold – luthériens |
1812 | v | Isaac Schaaff, orfèvre bijoutier, et (1809) Amélie Goldenberg puis (1822) Caroline Pauline Eschenauer |
1847 | v | Jean Georges Stammler, marchand quincaillier, et (1812) Marie Madeleine Schützenberger |
1883 | v | Jules Achille Birr, négociant, et (1870) Susette Victorine Weiler |
1892* | Georges Auguste Berri, employé de banque | |
1920* | v | Ville de Strasbourg |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1 200 livres en 1731, 1 000 livres en 1752 et en 1775
(1765, Liste Blondel) VIII 7, au Sr Braun
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Braun , 3 toises, 3 pieds et 7 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1368, Schaaf, Isaac, propriétaire – maison, sol, cour, bâtiment – 2,2 ares
Locations
1618, Georges Claus, employé de la halle
1717, Jean Matthieu Hebenstreit
1761, André Lichtenberger
1836, Christophe Théophile Dœrnhœfer
1856, David Geoffroi Théodore Weguelin dit Wegelin
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 357-v
La maison ainsi que sa voisine (actuels n° 13 et 14) appartiennent au sellier Jean Küss (Kauss), l’une d’elle est louée à l’horloger Jérémie Meyer. Elles ont un auvent de 49 pieds ½ de long en saillie de 3 pieds ½, une échoppe de 7 pieds 4 pouces de long en saillie de 2 pieds ½, une autre échoppe de 3 pieds de long en saillie de 2 pieds ½, item deux échoppes chacune de 5 pieds de long en saillie de 2 pieds ½. Jean Küss doit pour jouissance du communal 9 sols 4 deniers.
Beÿ Sanct Niclaus Prucken dem Staden abhin
Hans Küß der Sattler hatt ein Hauß darinnen wohnt Hieremias Meÿer der Vhrenmacher, Mehr neben demselben aber ein Hauß welches Er selbs bewohnt, Die Zweÿ heüser haben durch abhien ein Wettertach xlix vnd + schu lang, iii+ schu herauß, Mehr ein Laden vij schu iiij Zoll lang, ii+ schu herauß, Item aber Ein Laden v schu iij Zoll lang, ii+ schu herauß, Vnndt dann Zwen Laëden, Jeder v schu lang, ii+ schu herauß, Bessert für das Nießen, ix ß. iiij d.
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1660, Préposés au bâtiment (VII 1356)
Les préposés vont voir la maison d’Ulric Koch sur le quai face à la Halle. Le propriétaire a l’intention de supprimer l’auvent de 23 pieds de long en saillie de 4 pieds et de le remplacer par un oriel de 8 pieds ½ de long en saillie de 3 pieds ½. Les préposés accordent la permission puisque l’oriel ne porte aucun préjudice au voisin et que la maison sera mieux agencée. Ulric Koch devra régler soit un loyer annuel de 2 livres 10 sols soit un capital de 50 livres. Il déclare trois semaines plus tard vouloir régler le capital.
(f° 144) Dinstags den 22.t Maÿ – Ulrich Koch, Ercker, Wetterdach
Augenschein eingenommen Vf begehren H. Ulrich Koch, welcher willens ist, an deßen behaußung am Staden gegen dem Kauffhauß, d. wetterdach so 4 schu herauß vnd 23. schu lang abzuwerff. hiengegen Einen Ercker 3 ½ schu herauß, vnd 8 ½ schue breit erbawen Zulaßen. Weilen sich nun gefund. d. der Ercker deß Nachbaren ohnschädlich, hiengegen dem hauß ein Wohlstand, Alß ist Ihme gegen erlag 2. lb 10 ß Jährlichen Zinßes oder 50. lb baaren geltts willfahrt.
(f° 151-v) Donnerstags den 14. Junÿ – Koch, Ercker
H. Ulrich Koch pt° Erckers erkleret sich lieber 100 fl. baar Zuerlegen alß Jährlichen 5 fl. Zinß Zubezahlen, producirt deßweg. 50. lb vnd bitt Ihme des erlag halben einen schein Zuertheilen. Erk. Willfahrt.
Description de la maison
- 1731 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un petit bâtiment arrière, plusieurs poêles, cuisines, vestibule, poêle d’officier, atelier de fondeur de pichets, cave, cour et puits commun, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 2 400 florins
- 1752 (billet d’estimation traduit) La maison comprend à côté de l’entrée une boutique d’orfèvre, derrière un four d’orfèvre, au premier étage un poêle, alcôve, cuisine et vestibule, au deuxième étage aussi un poêle, alcôve, cuisine et vestibule, au troisième étage trois chambres, le comble est couvert de tuiles creuses, la cave est solivée, un bâtiment arrière renferme le logement d’officier et un poêle, le comble a une double couverture de tuiles plates, le tout estimé avec la cour, le puits, appartenances et dépendances à la somme de 2 000 florins
- 1775 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une échoppe et un atelier, trois poêles, trois cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates et de tuiles creuses, la cave est solivée, le tout estimé avec la cour, le puits commun, appartenances et dépendances à la somme de 2 000 florins
- 1847, Description
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
3° arrondissement ou Canton Sud – Quai St Nicolas
nouveau N° / ancien N° : 31 / 80
Schaaff
Rez de chaussée et 2 étages médiocres en maçonnerie et lanterne
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 28 f° 411 case 1
Schaaff Isaac
Stammler Marie Madeleine veuve née Schutzenberger (Subst. pour 1849)
P 1368, sol, Maison, Bâtiment et cour, Quai St Nicolas 80
Contenance : 2,20
Revenu total : 145,14 (144 et 1,14)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 23 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus : 3 / 2
Cadastre napoléonien, registre 26 f° 769 case 2
Stammler Marie Madeleine veuve née Schutzenberger
1883/84 Birr Julius Achilles Kaufmann
1892/93 Berri Georg August Bankbeamter
P 1368, maison, sol, Quai St Nicolas 13
Contenance : 2,20
Revenu total : 145,14 (144 et 1,14)
Folio de provenance : (411)
Folio de destination : 769 Vergrößerung (sol Gb)
Année d’entrée :
Année de sortie : 1887/88
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 23
fenêtres du 3° et au-dessus : 3
P 1368, maison
Revenu total : 269,14 (268 et 1,14)
Folio de provenance : 769
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1887/88
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 26
fenêtres du 3° et au-dessus : 6
1887. Augmentations, diminutions – Birr Julius f° 769-II, P 1368, maison, Reinertrag 268 Vergrößerung
Cadastre allemand, registre 28 p. 169 case 5
Parcelle, section 15, n° 4 – autrefois P 1368
Canton : St. Nikolausstaden Hs N° 13 – Quai St. Nicolas N° 13
Désignation : Hf, 2 Whs
Contenance : 2,15 / 1,31
Revenu : 2100 / 1700
Remarques : 1950 171/2, 178/3 – 1937 démolition partielle
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1920), compte 186
Berri Georg August Ww.
gelöscht 1920
(Propriétaire à partir de l’exercice 1920), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton VIII, Rue 294 Ruë d’or ou Quartier des Charrons
80
pr. Braun, J. Philippe, Jouaillier – Echasses
loc. Ehrmann, J. Jacques, Négt. – Miroir
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
St. Nikolausstaden (Seite 127)
(Haus Nr.) 13
Schenck, Schumacherm. 0.
Berri, Rentnerin. E 1
Kercker, Wwe. 3
Würtenberger, Tagnerin. H 2
Krieg, Bankbeamter. H 3
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 954 W 162)
Quai Saint-Nicolas 13 (1884-1995)
Le bâtiment est raccordé aux canalisations de la rue Græthel (1912). La Ville a acheté la maison dont la partie arrière a été démolie lors de la Grande percée. La maison jusqu’alors raccordée aux canalisations de la rue Grætel le sera à celles du quai (1937). Locataire des lieux, la fondation Saint-Thomas demande en 1987 à la Ville de lui vendre l’immeuble dont la façade est inscrite à l’inventaire des monuments historiques ; l’affaire n’a pas de suite. L’architecte Jean-Marc Blondelle rénove en 1992 l’inventaire au nom de la Maison Georges Casalis (association protestante qui accueille des immigrés, des réfugiés et des demandeurs d’asile).
Papier à lettres C. E. Birr, fabrique de vernis, couleurs pour imprimerie et lithographie
Sommaire
- 1884 – Le maire notifie le marchand de couleurs Jules Birr (demeurant 19, route de Colmar) de faire ravaler la façade du 13, quai Saint-Nicolas – C. E. Birr (sur papier à lettres) demande un délai en déclarant que la dernière peinture à l’huile remonde à seulement sept ans et que le façade n’est pas sale. Le maire accorde le délai – La façade est repeinte à l’huile, novembre 1885.
- 1897 (août) – L’entrepreneur A. Wagner (2, rue Déserte) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique. – Autorisation – La voie publique n’est plus occupée, 30 août 1897. La Police du Bâtiment constate que la veuve Berri fait ravaler la façade sans autorisation. Le propriétaire répond que l’autorisation a été accordée à l’entrepreneur.
Le maître maçon Adé (37, rue Finckwiller) demande l’autorisation de réparer le crépi – Autorisation – Travaux terminés, octobre 1897.
1900 – Le maître maçon Adé (37, rue Finckwiller) demande au nom de la veuve Berri l’autorisation de réparer le crépi quai Saint-Nicolas et rue Grætel – Autorisation – Travaux terminés, décembre 1900. - 1903 – Le maire notifie la veuve Berri de faire ravaler la façade au 13, quai Saint-Nicolas. Il accorde un an de délai, prolongé jusqu’en octobre 1904.
1904 – Le peintre en bâtiment Charles Ruther (24, rue d’Or) demande au commissaire de police l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique. Le commissaire transmet au maire – Autorisation – Travaux terminés, octobre 1904. - 1907 – La Police du Bâtiment constate que le dentiste Charles Busch a posé sans autorisation une petite enseigne émaillée sur le balcon – Demande – Autorisation
- 1912 – Le maire notifie Berthe Berri de faire ravaler la façade au 13, quai Saint-Nicolas. Il accorde un délai de six mois au propriétaire qui déclare avoir fait des dépenses pour raccorder le bâtiment aux canalisations.
1914 (juin) – Le peintre en bâtiment Philippe Dick (21, rue du Faubourg national) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – L’échafaudage est retiré, décembre - 1922 – La Division V informe la Division VI que de nouveaux cabinets d’aisance sont aménagés sans autorisation. Le cabinet pourvu d’une chasse d’eau a une fenêtre qui donne dans la cour
- Commission contre les logements insalubres – Propriétaire, Berri, demeurant sur place. Les logements sont bien tenus. Une remarque sur un plafond à plâtrer. La veuve Berri demande un délai parce qu’elle a eu des dépenses importantes lors du mariage de sa fille. Elle déclare en 1907 ne pas avoir les moyens de raccorder le bâtiment aux canalisations.
1915. Un locataire dépose une plainte
Commission des logements militaires. Une remarque sur un plafond à plâtrer.
1917 – Une visite des lieux montre que le pignon vers la rue Grætel porte des traces d’humidité au premier et au deuxième étage. Le pignon donne vers le 8, quai Saint-Nicolas dont les chenaux sont en mauvais état – Le crépi du n° 13 est réparé, de même que le chenal du n° 8, juin 1918. - 1936 – L’entrepreneur Zavagno-Riegel (16, route du Rhin) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Accord du commissaire de police et du maire
- 1937 – Le service des égouts transmet les plans des canalisations. La Ville a acheté la maison dont la partie arrière a été démolie lors de la Grande percée. La maison jusqu’alors raccordée aux canalisations de la rue Grætel le sera à celles du quai.
- 1954 – Rapport sur un feu de cheminée
- 1961 – L’entreprise A. Preti et Compagnie est autorisée au nom de la Ville à poser un échafaudage sur la voie publique – Le ravalement est terminé, octobre 1961.
- 1976 – L’entreprise Acker et Fils (peintres en bâtiment à Marienthal) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique – Le ravalement est en cours, octobre, terminé en janvier 1977
- 1987 – Locataire, la fondation Saint-Thomas demande à la Ville de lui vendre l’immeuble dont la façade est inscrite à l’inventaire des monuments historiques. La Division II estime que la Ville doit en rester propriétaire.
- 1992 – Le « Groupe J.M.B. » (15, rue Ohmacht) est autorisé à occuper la voie publique pour ravaler la façade
1992 – Le pasteur Freddy Sarg demande au nom de la Maison Georges Casalis l’autorisation de faire poser une enseigne en lettres détachées par les établissements Kappeler (Zone industrielle à Fegersheim) – Dessin, photographie – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation - 1992 – L’architecte Jean-Marc Blondelle (Architecture urbanisme j.m.b) dépose au nom de l’association Maison Georges Casalis une demande de permis de construire (aménagement intérieur). La Maison Georges Casalis qui loue ses locaux à trois associations (Collectif pour l’accueil des solliciteurs d’asile, la Cimade et l’Agora Saint-Nicolas) accueille des immigrés, des réfugiés et des demandeurs d’asile. Chaque étage a environ 110 mètres carrés. Les travaux ne changent pas la distribution des lieux. – Plan des différents niveaux, façade et coupe (existant et état projeté) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable en demandant de restaurer les pierres abîmées – Le maire accorde le permis de construire, 6 août 1992 – Le chantier est ouvert le 14 septembre – Travaux terminés en mars 1993 conformément au projet – Déclaration d’achèvement des travaux, avril 1993.
Rapport de la Commission de sécurité et procès verbal de contrôle
Autres dossiers
739 W 54 – 13, quai Saint-Nicolas – Aménagement (permis de construire retiré, 1992)
1308 W 1248 – 13, quai Saint-Nicolas – Déclaration de travaux 482 00 v 0544, ravalement (1999-2000)
Relevé d’actes
Le Livre des communaux de 1587 indique que la maison et sa voisine (actuel n° 14) appartiennent à Jean Küss. Originaire de « Ferstlar », le sellier Jean Kauss se marie en 1563 avec Gertrude Rantz, fille d’un receveur et veuve de Jacques Greber qu’elle avait épousé en 1555. Jean Kauss devient bourgeois un mois après son mariage.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 72-v, n° 17)
1563. den 8. Junÿ sind eingesegnet worden Hans Kauß von Fürstle vnd Gertrud Rantzin Jacob Grebren selig nachgelaßene Widwe (i 86)
1563, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104)
Hans Kauß d. sattler von Fürstlar, hatt das burgkrecht Empfang. von gertrudt Rentzin Jacob groffers hünd. Laßen wittwe seiner Ehefrawen vnd dient Zu den gerbwern vff Mittwoch den 28.t Julj a° & Lxiij
Mariage, cathédrale (luth. f° 29-v)
1555. 4. Augusti. Jacob Greber von strasburg der sattler vnd J. Gertraut Michel Rantz. deß schafners auff vnser herren hauß Tochter (i 33)
Sans doute fils du précédent, Jean Kauss épouse en 1594 Marguerite Riebel, fille de menuisier. Ils vendent la maison voisine en 1622.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 28-v)
1594. den 4. Martÿ sind Ehelich eingesegnet worden Hans Kaus von Straßburg der Satler vnd Jungfr. Margreth Rieblerin Jacob Riebels deß Schreiners Eheliche dochter (i 34)
La maison appartient en 1607 à Jean Fuhrmann d’après les aboutissants du voisin. Il naît en 1589 un enfant du charretier Jean Fuhrmann. Sa veuve Marie Jung se remarie en 1607 avec le pêcheur Laurent Karcher.
Baptême, Saint-Thomas (luth. p. 106-v n° 736)
1589. Eodem die [Domin. Reminiscere] Hans Fuhrman, der Karcher, Maria (infans) Daniel, (Patr.) Daniel Hammerer, Heinrich Zorn vnd Maria H. Heinrich Mesingers dochter (i 116)
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 71-v, n°2)
1607. den 19. Januarÿ seind ehelich eingesegnet worden Lorentz Karcher der Vischer Vnndt Burger alhie, Vnndt Maria Jungin, Weÿland Hanns Fuhrmanns gewesenen Burgers vnndt Fuhrmanns seligen alhier nachgelaßene wittwe (i 79)
Assistée de Laurent Karcher qui est tuteur de ses enfants Daniel et Eve, Marie Jung veuve de Jean Fuhrmann vend au marchand Pierre Weiss et à sa femme Dorothée Hellbeck la maison qui comprend un bâtiment arrière, deux cours et un puits commun, l’arrière donne dans une ruelle (appelée plus tard rue Grætel).
1608 (6. Augusti), Chancellerie, vol. 377 (Registranda Kügler) f° 258
Erschienen Fr. Marien Jungin mit beÿstand vnd bewilligung Lorentz Karcher des Vischers vnd burgers alhier als geschwornen vogts hanßen Daniels v. Eva geschwüsterd bemelt Marien V Hans Furman selig Kinder, auch Christmann Bochers des Karchers Ihrer Kinder Vogt, Hatt (verkaufft)
Peter Weÿßen Handelßman Vnd dorthea Helbeckin genant Böhemin
Hauß, Hoffstatt, Zweÿ höfflin Vnd hinderhuß, sampt der gerechtigkeit eines gemeinen Brunnens auch allen Iren gebewen In vnserer St. St. ahne dem gestaden, Zwischen Sanct Niclaus vnd der Schindtbrucken, einsit einer Behaußung Zum guldin Apffell genant Johann Bermans zu Niclaus Port s. erben Zustendig, andersit neben Hanß Cusen dem Sattler stoßend hinden vff ein Allmendt gäßlin vnd hatt auch ein Vßgang In daßelbig. gäßlin, Vnd Zum theil vff Michel Schreibeÿsen den Eiltern, dauon gendt Vier pfund pfenning gelts s. halb. theil vf den h. weÿhenacht. tag fallendt Ablößig mit 95 Pfund pfenning St: den Stifftherren Zum Jungen St. Peter, Mehr 25 pfund pfenning gelts, alle Jahr vff Johanns Baptæ fallend, Hans Metzigern Spittall müllern daran Er 200 Pfund d. St: Marien Beckerin hie zwischen Weÿhenachten Zubezahlen, also d. Ime Hanß Metzigern Annen Ulrichen nun hinfürther die 5. lb d gelts mit 500 pfund pfenning St. Abzulösen, Sunst für freÿ ledig eÿg. der Khauff vber solche beschwerd für Lv lb d
Originaire de Schwäbisch Hall, Pierre Weiss épouse en 1603 Dorothée, fille du pelletier Matthias Hellbeck dit Bœhm. Il devient bourgeois neuf mois plus tard en s’inscrivant à la tribu du Miroir.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 169)
1603. Dominica post Trinit. 20. Novemb. Peter Weiß burg. vnd handelsmann Zu schwebisch Hall, Dorothea, Matthes Helbecks genant Behem des Kürsners Tochter. Eingesegnet Zinst. d. 6 Decemb. (i 89)
1604, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 844
Peter Weiß der Handelsmann empfahet d. B: Vonn seiner haußfrawen Dorothea Michel Hellbecken deß Kürsners dochter Vnnd will Zum Spiegel dienen. Act. 9. Aug.
Pierre Weiss vend la maison au marchand Jean Martin Beck
1611 (15. Aprilis), Chancellerie, vol. 395 (Registranda Kügler) f° 145-v
Erschienen Peter Weÿß der Handelßmann (hatt verkaufft)
H Hans Martin Becken Handelßman alhie
Huß hoffstatt Zweÿ höfflin vnd hinderhuß Sampt der gerechtigkeit eines gemeinen Brunnens auch allen and. Iren gebewen & gelegen In d. Statt Strb. zwüschen Sant Niclaus vnd der Schindbrucken ane dem Gestad. einseit neben behausung Zum guldin Apffel genant Johann Bermans s. erben zuständig, 2.sit Hans Cusen dem Sattler, stoßend hinden vf ein Allmend, vnd hatt auch ein vßgang In das selbig gäßlin, Vnd Zum theil vff Michell Schrib Isein den Eltern, Dauon gendt Vier pfund d gelts der halb theil daran vff Joh. Bapt: vnd der 2. halb theil vff weÿhenachten Lösig mit Lxxxxv lb den Stifftherren Zum Jungen St Peter, Mehr Lxxv lb glt vff Joh. Bapt: fallendt Hans Metzigern Spittal Müllern stoßend In hauptgutt 500 pfund Stb. (…) Sunst ledig vnd eÿgen, Vnd alles Recht & Der Khauff Zugangen vber die beschwerden vmb 155 pfund
Hiebeÿ gewesen Niclaus Reppele und Isaac Richert Sporer
Marchand originaire de Bitche, Jean Martin Beck achète le droit de bourgeoisie en juillet 1610 (il a déjà acheté en 1609 une maison avec sa femme. Agnès Brüschel)
1610, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) f° 757
Hanß Martin Beck d. handelsmann von Bitsch khaufft d. Burg.recht mit beÿstandt Vlrich Notter des Schumachs. vnd wüll Zu dem freyburgn. dienen. Actum den 23. Julÿ ano 1610
Devenue veuve et assistée de son frère Jean Brüschell, prévôt à Langenkandel (Kandel) en Palatinat, Agnès Brüschel qui habite à Frohmül près de Siersthal et de Bitche vend en 1615 une maison rue d’Or au notaire Georges Schwartz. La maison sur le quai lui revient aussi par un acte non identifié.
1615 (ut spâ [v. Septembris]), Chancellerie, vol. 418 (Registranda Meyger) f° 406-v
(Inchoat. in Proth. fol. 344.) Erschienen Agneß Brüschelin wÿland hannß Martin Beck. geweßenen burgers alhie selig. witwe, sich Zu Fronwÿler Müel beÿ Bitsch halttend, mit beÿstand & hannß Brüschell schultheÿß. Zu Langen Khandell Ihres Bruders Sich Inn dessem fahl
hatt in gegensein h. Geörg Schwartz des Notarÿ burgers Zu Straßburg bekhandt, Demnach obgenannter hanß Martin Beck beÿ sein lebzeiten den 24. decembris nachstverschünen Jahrs gedachtem Geörg Schwartz. eines vff. verkaufft vnd Zukauffen geb.
die herrberg Zum guldin Löwen mit seinen vord. vnd hind. hauß höfflin vnd Stallung, Ouch Allen Ihren geb. geleg. Inn d. St. St. Im goldtgieß. (…)
Georges Schwartz vend la maison au tonnelier Marcel Haas et à sa femme Apollonie Braun
1615 (ut spâ [xx. Januarÿ]), Chancellerie, vol. 418 (Registranda Meyger) f° 37-v
(P. fol. 31.) Erschienen h. Geörg Schwartz Nots. burg. Zu Straßburg (verkaufft)
Martzolff haaß dem Küefer burg. Zu Straßburg vnd Appolonia Breunin seiner ehelich haußfr.
hauß, hoffestatt, Zweÿ höfflin vnd hind. hauß, sampt d. ghigkeit eines gemeinen Brunnens, Auch Allen Ihren geb. geleg. In d. St. St. Am gestad. beÿ Sant Clauß pfarrkirch. einseit neben einer behußung Zum gold. Apffell genannt, Johann Börmans erb. Zu Niclauß Parth zuständig and. sit hanß Kuß dem Sattler hind. vff ein Allmend gäßlin stoßend, Dauon gend iiij lb gelts hiehehr In hauptgutt gerechnet für Lxxxx lb vff Johannis Bptæ fallend dem Stifft Zu Jung. S Peter Mehr xxv lb d gelds Ablößig mit v C lb wÿland hannß Metzigers des Spittalmüllers s. erb. vff Johannis Baptistæ Sunst ledig vnd eÿg. Vnd Alles Recht & Also das & Vnd Ist dißer Khauff Zugangen vnd beschehen vber obgehörtte beschwerd. so die Kheüffere zu verzinß, vnd abzuricht. vff sich nimpt Für vnd vmb 310 pfund
Fils de Daniel Haas, le tonnelier Marcel Haas épouse en 1610 Apollonie, fille du boulanger Frédéric Braun : contrat de mariage, célébration
Eheberedungs Copeÿ Zwischen Martzolph Haaßen vnndt Jungfr. Appoloniæ Breunin beeden ehegemechdte vffgerichtet (…) zwischen dem Ehrsamen vndt Bescheidenen Martzolph Haaßen, deß Ehrenvesten vnnd fürnehmen herrn Daniel Haaßen, Burgers alhie Zu Straßburg ehelichem Sohn, mit beÿstandt des Ehrenvesten Fürsichtigen vnndt weißen, auch Ehrenhafften vornehmen herrn, Nemblich erst gemelten herrn Daniel Haaßen sein des Hochzeiters Vatters, herrn Geörg Haßen des eltern vnndt des bestendigen Regiments der herren fünff Zehen, herrn Johann Neßlers des Eltern Philipp Meÿels des Hochzeiters Großvatters, vnndt herrn hannß haaßen vff sein des Hochzeiters seithen ahn einem, So dann der Ehren v tugendsamen Jungfrawen Appoloniæ Breünin, Weÿland des Ehrenhafften Friderich Breünen, geweßenen burgers alhie seeligen hinderlaßener tochter, mit beÿstandt der auch Ehrenvesten Fürsichtigen auch Ehrenhafften vndt Achtbahren H Wilhelm Binckelmanns, beÿsitzers des Großen Raths, herrn Martin Gerlachen, Altenn Rathherrn, Herrn Geörg Schöffels Alles geschwornen vogts Ihr der Jungfr. hochzeiterinn, vnnd H.Benedict Großen ihr Stieffvatters vndt dann Caspar vischers des Metzgers Am Andern theil, Als ihr beed. seits günstiger herrn Vatter, Vetter, Vogt vnd Negster verwanthen, (…) Geschehen vff Sontags d. 26. Augusti Anno 1610. Attestor Ego Hieronÿmus Renner Ex Imp.li Auth: Nots. Pbl. & civis Arg:
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 295-v, n° 855)
1610. Sontag den 23. Septembris. Marzolff haas der Küeffer alhier Vnd Apolonia, Friedrich Braunen deß Weÿßbeck. alhie Nachgelaß. dochter. Eingesegnet Zinstag 9. Octob. (i 304)
Marcel Haas prolonge un bail consenti à l’employé de la halle Georges Claus
1618 (xij. Septembris), Chancellerie, vol. 430 f° 364
(Inchoat. in Prot. fol. 273.) Erschienen Georg Clauß der Kauffhaus Knecht burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit Martzolff haaß des Küffers burgers Zu Straßburg offentlich verÿehen
das er Ihme & Ein Jahr lang so vff Michaelis Jetz nechstkommend. Angeh. soll vnd nit für baß Inn sein Martzolff hauß Ein stub sampt den darzu gehörigen gemachen, so er Auch bißhero Lÿhenngs weÿß besessen vnd Inne gahapt, entlehnet hette für vnd vmb einen Jährlichen Zinß benantlich 10 pfund pfenning Straßburger Zubezahlen
Marcel Haas meurt en 1636 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison 900 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 228 livres. L’actif de la communauté est de 1 355 livres, le passif de 414 livres.
1636 (10. 7.bris), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 5) n° 29
Inventarium vndt Beschreibung aller Haab vndt nahrung, so weÿl. der Ehrengeacht vndt Achtbahre Herr Martzolph Haaß, Küeffer vndt burger alhie Zu Straßburg seel. nach seinem aus dießer weltt tödltichem hinscheÿden Hinder Ihne Verlaßen, welche durch die Ehren, vndt tugendsamen Fr. Appolonia Breünin sein hinderlaßene Wittib mit rath hülff vnndt beÿstandt deß Ehrenvesten vorgeachten vndt weÿßen herrn Jacob Katzensteins, Weißbecken vnndt Eines Ehrsammen Kleinen Raths alhie alten beÿsitzers, Ihres geschwornenn vogts, Vff freundliches ansuchen erfordern vndt begehren deß Ehrenhafften Ulrich Kochen Stattschmidts burgers alhie Zu Straßburg, Alß Ehevogts frau Appoloniæ Hääßin, Ferners des Ehrenhafften Mr Philipps Großen, Weißbecken burgers alhie, als geschwornen vogts, Benedicti vndt Ursulæ, Aller dreÿ deß Abgestorbenen seel. mit obernandter seiner ietz hinderlaßener Wittwen ehelich erzielten Sohns vnd döchter, vndt ab intestato hinderlaßener nechster erben geaäugt vndt gezeigt – So beschehen vff Sambstag den 10.ten 7.bris A° 1636.
Inn hernach geschriebenen in diße Erbschafft gehöriger behaußung Ist befunden worden wie volgt.
Inn der Cammer A, Inn d. Ober Stub Cam. Im haußöhren vor der Wohnstuben, Inn d Kuchen, Inn der Stuben, Im Keller, Inn d. Brennhütten, Im Badtstübel, Im Hoff
Eigenthümb vnnd beßerung ahne Einer Behaußung vnd Brennhütt (th.) Item hauß, hoffstatt, Zweÿ höfflein vnndt hinderhauß, sampt dem [sic] gerechtig Keit eines gemeinen Bronnens, auch allen ihren gebewen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörden vndt gerechtigkeiten, gelegen in der Statt Straßburg am gestaden beÿ St: Claus Pfarrkürch, j.seit neben einer behaußung Zum alten guldenen Apffel genant, Johann Böhrmans Erben Zu Niclaus Porth Zustendig, 2 seith neben Geörg weißen dem Schneider stost hinden vff eim Allmendt Gaßl. dauon gehen 4 lb gelts dem Stifft Zum Jung St: Peter vff Joh. Bapt: vellig ablößig in hauptguth mit 90 lb. vber dieße beschwerdt freÿ ledig vnndt Eig. hiehero angeschlag. pro 810 lb. darüber sagt i. Pergam. b. mit d St. Str. Cont: Insigel de dato 20. Jan. 1611.
(th.) Item j. Brennhütt sampt ihrer Zuegehört gelegen alhie vßerhalb d. Statt Straßburg vor dem Juden thor Zwischen d. haber et Spittalmühl (…)
Ergäntzung der Erben ohnveränderten Gut. Auß dem Special Theilregister vber weÿl. frn Dorotheæ Meÿgelin deß v.storbenen Mutter seel. Verlaßenschafft
Der Erben unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 42, Sa. Silbergeschirrs 18, Sa. pfenningzinß hauptgtts 26, Sa. der Ergäntzung 141 lb, Summa summarum 228 lb
Die Theilbahre Verlaßenschafft betreffend, Sa. haußraths 131, Sa. Werckzeugs auch gemacht vnndt ohnaußgemachter vaß, holtz, reiff, bandtt vndt anderem Zum Küeffer handwerck gehörig 61, Sa. Weins, Brandweins vnd Lehrer Vaß 110, Sa. Silbergeschmeids 44, Sa. guldenen Ring 16, Sa. der Baarschafft 53, Sa. Pfenningzinß hauptgutts 26, Sa. Behausung vndt Brennhütten 862, Sa. Schulden 49, Summa summarum 1355 lb – Schulden 414 lb, Nach deren Abzug 931 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1323 lb
Eheberedungs Copeÿ (…) Geschehen vff Sontags d. 26. Augusti Anno 1610. Attestor Ego Hieronÿmus Renner Ex Imp.li Auth: Nots. Pbl. & civis Arg:
La maison revient à sa fille aînée Apollonie qui épouse en 1633 le maréchal ferrant Ulric Koch, originaire de Willmendingen (près de Waldshut en Bade)
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 139)
1633. dominica Quasimodo geniti d 26. Aprilis. Ulrich Koch der huffenschmid vnd Burger alhie, Matthiæ Kochen, deß Baursmanns von Willmendingen im Würtenbergerland ehelicher Sohn, vndt Jgfr Appolonia Martzolff Hasen, deß Küeffers undt Burgers alhie eheliche dochter, Zu S. Thoman (i 145)
Ulric Koch devient bourgeois par sa femme un mois plus tard en s’inscrivant à la tribu des Maréchaux
1633, 4° Livre de bourgeoisie p. 131
Ulrich Koch Von Wilmending. Auß dem Württenberg. landt d. huffschmidt Empfangt d. Burgerrecht von seiner haußfrawen Appolonia Martzolph haaßen deß Kueffers Vnd Burgers Alhie Ehelich. dochter Will Zu den Schmid. Zünfftig sein den 4 Junÿ Aô 1633.
Ulric Koch et Gaspard Pfaff sont nommés maréchaux municipaux. Le premier est chargé des travaux de Saint-Luc (Luxhoff), le deuxième de ceux au pont du Rhin
1633, Préposés au bâtiment (VII 1345)
(f° 11-v) Zinstagß den 16. Martÿ 1633 – Statt schmitt dienst bestellt, Caspar Pfaff und Ulrich Koch
Caspar Pfaffen und Ulrich Kochen Beeder Huffschmidt supplicationes vmb den Statt schmitt dienst Ahne statt des verstorbenen Michell Schreibeÿsens vnd Jacob Gesesons abgelesen v. beede Willfahrt, Mitt den Abtheilung wie In P.tolollo de A° 1629. fol. 6. Zusehen, daß nemlich Koch die Arbeit deß Luxhoffs Allein, Pfaff aber die Arbeit der Reinbruck deß waßer vnd östereich od. horbwercks Zusammen haben soll Ihne angezeigt. – Mittwoch d. 3. Aprilis habenß Zu danck angenommen.
L’assesseur des Quinze Stœr rapporte que lors d’un conseil des Maréchaux le taillandier Jean Jacques Feyler a fait grief au maréchal municipal Ulric Koch de travailler à des tarifs inférieurs aux siens. L’assemblée ordonne une enquête dont le compte rendu est consigné dans un registre d’auditions
1637, Protocole des Quinze (2 R 62)
Waffenschmidt, Hannß Jacob Feÿler, Ulrich Koch Ist verhört. 103.
(p 103. Donnerstag den 27. Maÿ – H. Stör, Als verschienen Sontag beÿ den Schmidten ein handwerck gehalten worden, hette hannß Jacob Feÿler der Waffenschmidt, wider Ulrich Kochen den Stattschmiden geclagt, das derselbe gemeiner Statt arbeit wolfeiler erfertigte alß Er. vnnd also dadurch das handwerck verstimple, benantlich fordere er des tags mehr nicht alß 6 ß zu lohn da Er feÿler 7 ß haben deßwegen begehrt das Er möchte abgestrafft werden, dieweil man dieß ein gantz unformlich begehren, habe Er herr Stör beÿ dem handwerck darüber nicht sprechen laßen sondern es für meine herren bringen wollen. Erkandt Man solle ferner erkundigung einziehen, als dann davon reden.
[in margine :] vide deßen außaag im Saagbuch de hoc anno fol. 108. vf welches die Sach per H. dreÿer deß Pfenningthurns erörttert worden
Autres affaires dans lesquelles intervient Ulric Koch
1634 XV (2 R 60) Jacob Scheck et consorten Ca. Ulrich Kochen et Veltin Schneidern. 161. 169. 174. 180. 185. 239.) 242. contra wagner Meisterschafft. 182. 185. 197. 201. 204. 213. 239.) 242.
1636 XXI Conseillers et XXI (1 R 119) Ulrich Koch, Caspar Pfaff et consorten. 5. 168.
Ulric Koch demande que les préposés lui attribuent le travail de Gaspard Pfaff, mort depuis peu. Ils donnent leur accord pour un trimestre en faisant remarquer que Michel Raff, charron au faubourg de Pierre, pratique des tarifs moindres.
1641, Préposés au bâtiment (VII 1348)
Ulrich Koch der stattschmitt, hans Michel Raff stattwagner
2. Ulrich Koch der Statt schmidt p. Supplicationem angesucht, nach dem Caspar pfaff d. ander schmidt verstorben, Ihme die ienige statt arbeit, so er gehabt, nach zukommen Zu laßen. Erk. es vff ein viertel Jahr lang der gestalt versuchen, da er die arbeit in billichem preiß. werden machen, Ihme behalten, vor* nicht als dann* beuorstehen anderwertliche verordung Zu thun & vnd nach dem einen* sich erinnert, das hrn Michel Raff der wagner in Steinstraß sein arbeit auch billicher als der ander im goldgießen verfertigt ist ebenmäßig Erkanndt, das man es mit ihme vff ein viertel Jahr lang allein versuchen vnd Ihme alle arbeit geben solle, da sich ferner* das es nicht practicirlich, könne iederweilen widerumb änderung vorgenommen werd.
La tribu du Miroir fait grief à Ulric Koch de vendre de la fonte malgré une décision du 22 février 1645. Ulric Koch réplique que la tribu n’en a pas le monopole. La commission constate que la décision interdit le commerce que pratique Ulric Koch qui devra régler une amende et les frais de procédure.
1652, Protocole des Quinze (2 R 70)
Ulrich Koch Contra Spiegler. 66. 76. 83. 113. 126. 131.
(f° 66) Sambst. d. 3. Aprilis – Ulrich Koch ca. Spiegler
Ulrich Koch Stattschmid, p. E. contra Spiegler Zunfft, dt. suppl. mit beÿlaag A b. peo Cit. cop. v. Z d O erth.
(f° 76) Sambstag den 17. Aprilis. – Spiegler Ca. Kochen
Spiegler per Bullian contra Ulrich Kochen prod. bericht mit beÿlaag N° 1 M. Eg. deßen Copeÿ vnndt Zeit d. ord. erth.
(f° 83) Sambstag den 1. Maÿ – Ulrich Koch Ca. Spiegler
Ulrich Koch per E. contra Spiegler Zunfft prod. Gegenbericht mit beÿlaag Lit. B. Bull. pro Citat. copias vnd Zeit der Ordnung erh.
(f° 113) Sambst. d. 29. Maÿ – Spiegler Ca. Kochen
Spiegler per Bullian contra Ulrich Kochen prod. Gegenbericht , E. pro Cit. copias vnd ad prox. erh.
(f° 126) Sambst. d. 12. Junÿ – Ulrich Koch ca. Spiegler
Ulrich Koch per E. ca. Spiegler Zunfft sagt wid. letze ggth. Schrifft generalia vnd concludirt, Bullian pro Cit. beschleüßt gleicher gestalt. Erkandt, Ist für beschloß. angenohmen bedenckens H. Füeßell H. Kreß.
(f° 131-v) Freÿtag d. 18. Junÿ – Ulrich Koch ca. Spiegelzunfft
H. Füeßel vnd H. Kreß laßen per me referiren, Sie hetten die Sach E. E.Zunfft der Spiegler contra Ulrich Kochen den Schmid, Zu bedencken für sich genohmen, So darin berichtet, daß die Spiegler Kochen Vermög Mghh. Erkandnuß vom 25. Febr. 1651. Crafft Zollkeller attestation, so wohl ane hiesige Meister als Frembden successive, biß in 217 Stab, so thut 1749 h. Roh Eiß verkaufft, vmb die darinn bestimbte 5. lb gestrafft, auch deßwegen bereits am Stattgericht die execution gesucht, Koch aber nit pariren will, vnd. dem vorwandt, daß dießer verkauff kein monopolium, ihme auch vermög d. Schmid Zunfft, habend alter gerechtigkeit nicht zu verwehren, demnach aber allegirter Articull gantz Clar, vnd Keinem Schmid gebührt, roh vnd verarbeitet Eißen wid. Zu verkauffen, alß stellen deputirte Herren ob In d. Sach nachfolgende Urtel Zuertheilen.
Erkantnus. In Sachen Ulrich Kochen Imploranten contra E. E. Zunfft der Spiegler antworttere, Ist Erkandt, Weilen ihme Kochen, Craft bescheidts vom 22. Febr. 1645. roh vnd von Ihme vnverarbietet Eißen Zuverkauff. nicht gebührt, daß Er dannenhero Widerumb ane gedacht E. E. Spigler Zunfftgericht remittirt, gewießen, vnd sich mit demselben der vferlegten Straff halben ohnverweilt Zu Vergleichen auch dabeneben die, in dieser Sach, vff gewanthe Costen Zu refundiren vnndt salva taxa Wider Zuerstatten schuldig vnd verbunden sein solle. Erkandt, Würdt dieße vrtel allerdings placidirt.
Ulric Koch devient échevin chez les Maréchaux en 1653.
1639 Conseillers et XXI (1 R 136) Ulrich Koch. 35. [steur]
1639 XV (2 R 63) Ulrich Koch. (umb fewrrecht Zum Württhauß Zum Guldenen Löwen Im Goldgißen)18. 24.
wegen halb baltzen. 90. 93.
1645 XV (2 R 66) Spiegler Ca. Ulrich Kochen und Schmidt zunfft. 12. (31.)
1653 Conseillers et XXI (1 R 136) Ulrich Koch. 185. würd Schöffel beÿ E. E. Zunfft der Schmidt
Ulric Koch et Apollonie Haas font leur testament.
1661 (19. Xbris), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 17) N° 102
Codicill H Ulrich Kochen Hueffschmidts undt E. E. Kleinen Raths Alten Beÿsitzers vndt Fr. Apolloniæ Hääßin beeder Eheleüth vndt Burgeren alhie
Persönlich Ist der Ehrenveste Vorgeachte, vnd Weiße H Ulrich Koch Hueffschmidt undt E. E. Kleinen Raths Alhie zu Straßburg Alter Beÿsitzer vnd beneben ihme die Vil Ehren : und tugendreiche Fr. Apolloniæ Hääßin beede Eheleüth vnd Burgere alhie, durch die güethe Gottes Gesund, gehend, vnd stehenden leibs, auch vernünfftiger Sinnen
beschehen in des heÿligen reichs Freÿen Statt Straßburg in dem frstl. Bürckenfeld. hoff in der Juden Gaßen gelegen (…) Donnerstags den 19. Xbris A° 1661. nachmittag zwischen 1. 2. v. 3. Vhren.
Barbier à Nyborg sur l’île de Fionie au Danemark, Isaac Koch vend la maison au marchand épicier Abraham Koch (fils d’Ulrich Koch) moyennant 750 livres
1679 (3.4.), Chambre des Contrats, vol. 548 f° 264
Herr Daniel Freÿ Oberschreiber deß mehrern Hospitals als Constituirter Mandatarius Isaac Kochen deß Barbierers Zu Niburg in der Insul Fünen, mit beÿstand der Ehrenvest- fürsichtig und weÿsen Herrn Johann Gumprechts und herrn Johann Henrich Metzgers, beÿde als aus E.E. Großen Rhats mittel hierzu insonderheit deputirter
in gegensein Herrn Abraham Kochen deß Specereÿ händlers
hauß, höfflein hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, rechten und gerechtigkeit. alhier Jenseit des Stadens ohnfern deß Würthshauß Zum Gertenfisch, einseit neben weÿl. herren Philipps Hammerers geweßenen Großen Rhats Verwanthens nunmehr seel. nachgelaßener wittibin und Erben, anderseit neben auch weÿl. herren Johann Christmann Merckhlins wohlgedachten Rhats Geweßenen beÿsitzers nunmehr seel. hinderbliebenen Erben hinden uff daß Gräden Gäßlein, warin selbiges Hauß auch einen Auß und eingang hatt stoßend gelegen, Und were dießer Verkauff und Kauff /:darinn auch die im Keller, ligende 6. Großen und Kleine Stückhfaß mitbegriffen:/ geschehen umb 750. lb
Abraham Koch la revend un an plus tard au gentilhomme Frédéric Louis de Schmidbourg
1680 (8.3.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 190
Herr Abraham Koch der Specerier
in gegensein des Freÿ Reichs hochwohlgebornen herrn Friderich Ludwigs Von Schmidburg
hauß, höfflein, hoffstatt mit allen deren gebawen begriffen weithen, rechten gerechtigkeiten und zugehördten alhier jenseit des Stadens, ohnfern des Würthshauß Zum Gertenfisch, einseit neben Weÿl. Herrn Philipp Hammerers E.E. großen Rhats beÿsitzers nunmehr seel. nachgelaßener Wittiben, anderseit neben auch Weÿl. herren Johann Christmann Merckhlins wohlgedachten Rhats geweßenen beÿsitzers, nunmehr seel. hinderbliebenen Erben, hinden uff das Grädengäßlein, Worin selbiges hauß auch einen auß: undt eingang hatt, stoßend gelegen – umb 1700 fl.
Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit de la fondation ottonienne. En marge, quittance remise au propriétaire suivant, Catherine Stenger veuve Herberling
1680 (8.3.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 191
der Freÿ Reichs hochwohlgeborne herrn Friderich Ludwig Von Schmidburg
in gegensein der Edel, hochgelehrten Herrn Christoph Güntzers V.I. Ddj undt XIII. Secretarÿ alß Administratoris der Ottonischen stifftung – schuldig seÿe 700 fl. à 15 bz., daß derselbe damit nach beschriebene behaußung erkauffen und völlig bezahlen können unterpfand, hauß undt hoffstatt mit allen deren gebawen und zugehördten alhier Jenseit des Stadens, einseit neben Weÿl. Herrn Philipp Hammerers E.E. großen Rhats alten beÿsitzers nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin, anderseit neben Weÿl. Hn Christmann Merckhlins ged. Rhats beÿsitzers, nunmehr seel. hinderbliebenen Erben, hinden uff das Grädengaßlein stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein fr. Catharinæ Herberlingin gebohrner Stengerin wittib mit beÿstand Hn Paul Flachen Oberschreibers des Mehren Hospitals und alten dreÿers d. Statt Stalls Ihres Curatoris alß ietzmahliger proprietariæ hierin verpfändeten jenseit des Stadens gelegenen Haußes (quittung) Act. d. 5.ten Januarÿ 1711.
Frédéric Louis de Schmidtbourg épouse Marguerite Madeleine de Waldmanshausen (en 1662 d’après Lehr, L’Alsace noble, p. 128, le mari est fils de Jean Louis de Schmidtberg, la femme fille de Henri Balthasar de Waldmanshausen et d’Agathe Demuth d’Aurbach). Baptême à Ingwiller en 1663 et premier baptême à Strasbourg en 1670.
Baptême, Ingwiller (luth. p. 211 n° 5) 1663. Donnerstag d. 23. Apr. dem Freÿ Reichs Hoch Edel geboren Gestrengen Junckher Friderich Ludwig Schmidtburger Vnd Fr Margaretha Magdalena + (+ Nach fol. præced. 1662. *en vetus geb. Waldmanshausen) Geleüten ein Junges Söhnlein im Hauß gataufft nahmens Friderich Johann Reinhardt. Patr. die Hochgeborne Graven zu Hanaw vnd Zweÿbrücken Grav Friderich Casimir, Johann Philips vnd Johann Reinhard, J. Wolff Jacob Böckel von Böcklinsaw, J. Johann Reinhard Von Müllenheim, J. Philips Ludwig Von Buch, H. Georg Meyer Rittmeister die Hochgebor. Grävin Vnd Fraw fraw Dorothea Diana Gräv. Zu Hanaw geboren Wilt vnd Rheingr. wittib, die Hochg. Gr. Vnd fräwlin Agatha Louisa Grävin vnd Fräuwlin zu Leiningen vnd Rixingen Fr. Anna Susanna Veronica von Kircheim geborne Bechtoldheimerin, agatha Maria von Buch geb. Walthmannshauserin, Anna Eva Von Sultz geb. Walthmannshauserin, Anna Maria von Kippenheim geb. Kempinskin, Magdalena Ursula Bernholdin geb. Böcklerin Wittib (i 108)
(p. 209, n° 10. 31. Aug. 1662. Patr Margaretha Magdalena Schmidtburgerin geborne Waldmanshäuserin)
Baptême, Saint-Thomas (luth. p. 297, n° 123)
1670. Montag den 7. Novembris Inf. Catharina Margaretha. Par. Friderich Ludwig von Schmidberg, Fr. Margaretha Magdalena von Waldmannshaußen. Patr. (…) i 95
Frédéric Louis de Schmidtberg et Marguerite Madeleine de Waldmanshausen achètent le droit de bourgeoisie en novembre 1670 en apportant quatre enfants
1670, 3° Livre de bourgeoisie p. 982
Herr Friderich Ludwig Von Schmidtberg, erkaufft d. burgerrecht Vor sich und sein Eheliebste Fraw Margaretham Magdalenam gebohrene Von Waldmannshaußen, umb 8. Gold fl. so er auff dem Pfenningthurn erlegt, bringt mit sich 3. Adeliche Kinder, nahmens Friderich, Johann Reinhardt und Johann Ludwigen und Hannam. Jurav. den 23. Xbris A° 1669. eingeschrieben aber den 4. 9.bris A° 1670
Frédéric Louis de Schmidtberg est élu assesseur des XXI en décembre 1682 mais n’accepte pas son siège.
1682, Conseillers et XXI (1 R 165)
Jr. Friderich Ludwig von Schmidtberg würd XXI. 204. resignirt. 217.
(p 204) Montags den 7. Decembris. Jr Friderich Ludwig von Schmidtberg würdt XXI. – Der Regirender Herr Ar. proponire, Es [ist durch pro]motion Herrn XXI. Johams Zu einem XV. eine [Stell] ledig worden, stellt Zu MGhh ob Sie die Ordnung [folgen] laßen und einen XXI. Ordnungsmäßig erwöhlen. Quo facto ward herr Friderich Ludwig von Schmidtberg zu einem XXI. erwöhlt.
(p. 217.) Montags den 4. Januarÿ 1683. XXI. Friderich Ludwig von Schmidtberg resignirt seine Ehrenstell
Lect. Schreiben von Herrn XXI. Friderich Ludwig von Schmidtberg an Mghh. vom 3. huius, bedanckt sich für die Ihme conferirte XXI stell, resignirt dieselbe Zugleich unter dem Vorwanth, daß Er solche ohne seinen großen schaden nicht verse[hen -] offerirt im übrigen seine dienst. Erkant, An Mghh die XV. gewiesen.
1660 Conseillers et XXI (1 R 143) Friderich Ludwig von Schmidtberg. 126. [pt° intercessionales]
1662 Conseillers et XXI (1 R 145) Friderich Ludwig von Schmidberg. [umb Zinß] 220. [wegen Zehenden von Doreltzheim] 231. [idem] 233.
1662 XV (2 R 79) Jr. Friderich Ludwig von Schmidberg. 210 [Zinß].
1663 Conseillers et XXI (1 R 146) Friderich Ludwig von Schmidberg. [wegen Zehenden zu Dorolsheim] 15. 83. [Zinß] 98. 180.
1663 XV (2 R 80) Jr. Friedrich Ludwig von Schmidberg. 11. [pt° Dorlisheimer Zehendens] 101 [Zinß]. 191 [Zinß].
1664 Conseillers et XXI (1 R 147) Friderich Ludwig von Schmidtberg. [wegen Zehenden zu Dorolsheim] 17. 24. [Zinß] 67.
1664 XV (2 R 81) Jr. Friderich Ludwig von Schmidtberg. 20. 72. [pt° Zehenden, Zinß]
1665 Conseillers et XXI (1 R 148) Friderich Ludwig von Schmidtberg. [Zinß] 150.
1665 XV (2 R 82) Jr. Friedrich Ludwig von Schmidtberg. 181. [Zinß]
1666 Conseillers et XXI (1 R 149) Jr. Friderich Ludwig von Schmidtberg. [Zinß] 62.
1666 XV (2 R 83) Jr. von Schmidtberg. [Zinß] 60.
1667 Conseillers et XXI (1 R 150) Friderich Ludwig Von Schmidberg. [Zinß] 60. 94. [behausung am Geistgeßel] 134.
1667 XV (2 R 84) Jr. Friderich Ludwig von Schmidtberg. 61. 101. 134. [Schirmgelt]
1668 Conseillers et XXI (1 R 151) Friderich Ludwig von Schmidtburg. [behausung] 81.
1666 XV (2 R 85) Jr. Friderich von Schmidberg. 111 [Abrechnung]. 124.
1670 Conseillers et XXI (1 R 153) Friderich Ludwig von Schmidberg. [Zinß] 45. 52. 159.
1670 XV (2 R 87) Jr Friderich Ludwig von Schmidberg. [Schirm und Frohngeld] 66.
1671 Conseillers et XXI (1 R 154) Ludwig von Schmidberg. [wegen Zehenden zu Dorolsheim] 149. 154.
1677 Conseillers et XXI (1 R 160) Ludwig von Schmidtberg. 345. [noê Christoph Grempen von Freündtstein Pfenningthurns Zinß]
1679 Conseillers et XXI (1 R 162) Jr. von Schmidtberg umb Pfenningthurns Zinnß. 37.
1680 Conseillers et XXI (1 R 156) Jr. Friderich Ludwig von Schmidtberg umb Pfenningthurns Zinnß. 54.
1682 Conseillers et XXI (1 R 165) Jr. Friderich Ludwig von Schmidtberg umb Pfenningthurns Zinnß. 54.
Frédéric Louis de Schmidtberg hypothèque la maison au profit de Jean Jacques Herberling, receveur de la Chartreuse
1684 (18.5.), Chambre des Contrats, vol. 554 f° 220-v
herr Friderich Ludwig Von Schmidburg
in gegensein Herrn Johann Jacob Herberlings Schaffners der Carthaus für sein eÿgene Person – schuldig seÿe 250 fl.
unterpfand, Ein Gültgut im Lampetheimer bann, so iärlichen 12. Viertel halb Waitzen und Rockhen und dann 3. Sester Erbsen zu Gült ertrage, Zumahlen erwehntes Gültgut gegen männiglichen freÿ ledig und eÿgens eÿen
Ferners soll in specie unterpfand sein hauß hoffstatt mit allen deren gebäwen, begriffen, weithen, zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten ienseit deß Stadens ohnfern der Gastherberg Zum Gertenfisch, einseit neben der Hammererischen Wittibin und Erben, anderseit neben der Merckhlinischen Wittibin und Erben, hinden uff deß Krätel gäßlein stoßend gelegen
1685 Conseillers et XXI (1 R 168)
Sambstags den 10. Martÿ 1685.
(p. 37) Herr XXI Von Schmidberg schwört auff dem Münsterbrieff. XXI. Und Groß. Raths Ordnung.
Assesseur des XXI, Frédéric Louis de Schmidtberg meurt en 1693
1693, Conseillers et XXI (1 R 176)
(p. 20.) Sambstags den 31.t Januarÿ – Herr XXI Von Schmidburg schwört auff dem Münsterbrieff. XXI. und Große Raths Ordnung.
(p. 66) Den 6. Aprilis. – Der Regierende Herr Ar. Notificirt daß Herr Friderich Ludwig Von Schmidtberg gewesener XXI dießes Zeitliche gesegnet und Weilen Krafft Ordnung das beständigen Regiment unverlängt Zuersetzen, alß Wolle er MGhh und deren Willkühr überlaßen. Wen Sie auß ihrem Mittel darzu erwehlen Wolten.
Les cinq enfants de Frédéric Louis de Schmidtberg et de Marguerite Madeleine de Waldmanshausen vendent la maison à Catherine Stenger, veuve du receveur Jean Jacques Herberling, moyennant 1 100 livres
1701 (1. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 596
(Proth. f. 58.v – 1100 lb d) Erschienen Hr. Joh: Breu Notarius und Adelicher Schafner, nôe. S. T. H. frid: Joh: Reinhards, u. Joh: Reinhards, Capitaine unter dem Elßaßischen Regiment, ferners frn. Cath: Marg: frn. Magd: Sophiæ u. fraülein Hanæ, aller fünff adelicher geschwisterd. gbr. Von Schmidberg, Weÿl. S. T. Hn. Friderich Ludwig Von Schmidberg deß beständigen Regiments der HHn. XXI.ig geweßenen beÿsitzers mit weÿl. frn. Marg: Magd: Von Schmidberg geb. von Waldtmannshaußen erziehler adelicher KK. (verkaufft)
frn. Cath: gbr. Herberlingin geb. Stengerin [Weÿl. Hn J. Jacob Herberlings geweßenen Schaffners Zuer Carthaus u. St. Nicolai in undis allhier Wittib] so hierbeÿ beneben Hn Paul flachen oberschreibern im Spithal ihren Vogt zugegen war, wie auch Hn Joh: Joch, Pfarrern zu Kolbsheim, Dero Hn. Tochtermann
die Schmidburgische Adeliche behaußung, bestehend in forder u. hinterhauß, hoff, hoffstatt, höfflein, auch gemeinschaftlichem bronnen, sambt übrigen Zugehörden, rechten u. gerechtigkeiten, allhier ahm Stadten einseith neben H. Jacob Hammerern handelsmann anderseith neben Weÿl. Friderich Ringen Wb. u. EE. hinten auf d. Grattelgäßel stoßend gelegen, darzu auch gehören sollen die brandreuthen, offenthürlein, Spiß u. übriges so nagel Vest, Welche gantz behausung der Ottonianischen Stifftung um 350 lb d Straßb. Ferners Hn Jochen dem mitkäufer um 143 lb d Capital, wie auch für Zinß darvon u. unkosten um 44 lb 17 ß 10 d verhaftet, sonsten gegen männiglich freÿ ledig u. eÿgen seÿn solle, Ist demnach solcher verkauf über obige 350 lb d der ottonianischen Stiftung gehörig, so die Käufere übernommen (…) wie auch die Hn Jochen in summa Zustehende 187 lb so hiemit compensirt u. bezahlt seÿn solle (…) und geschehen um 562 lb
Les enfants et héritiers Herberling vendent la maison au gentilhomme Jacques Samson de Rathsamhausen d’Ehnwihr
1716 (18.6.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 343
(2000) S.T. Hr Philipp Caspar Leitersperger XV.er alß vogt Reinholdischer KK zweÿter Ehe, Item Alexander Müller goldarbeiter alß vogt Jochischer KK, Item Anna Cath: Werbeckin wittib geb. Herberlinin beÿständlich H. Joh: Heinrich Lang Jun: Not: publ: ihres Curatoris
in gegensein S.T. Jr. Jacob Samson von Rathsamhaußen [unterzeichnet] Jacob Samson von Rathsamhausen zu Ehen Weÿher
ein vorder und hinterhauß hoff hoffstatt auch Gemeinschafftlichen brunnen sambt übrigen zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier ahm Staden, einseit neben Jacob Hammerer handelsmann anderseit neben deb Ringischen Erben etwa hinten auf d. Grattelgässel – (verhafftet um 350 lb, geschehen um 1650 lb)
Jacques Samson de Rathsamhausen d’Ehnwihr épouse en 1698 Sophie Dorothée von der Grün, veuve d’Ernest Christophe de Lœwen, fille de Jean Christophe von der Grün et de Sophie Dorothée de Crailsheim : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire
Copia der Eheberedung. ein Christl. Ehel heÿrath v. freundliche Vermählung zwischen dem Reichs Freÿ hoch Edelgeborhnen v. Gestrengen Herrn Jacob Samson von Rathsamhaußen zu Ehenweÿr & Weÿl. des auch Reichs Freÿ hoch Edelgeborhnen v. Gestrengen Herrn Wolff Georg von Rathsamhaußen zu Ehenweÿr beÿ Er Hochlöbl. Riterschafft im Untern Elsaß geweßenen hochansehnl. Raths v. Außschußes seel. hinterlaßenen herrn Sohn, als Breütigam ane Einem, So dann der auch hoch Edelgebohrnen Frauen Sophiæ Dorotheæ gebohrner von der Grün, Weÿl. des Freÿ hoch Edel gebohrnen Herrn Ernst Christoph von Löwen geweßenen Ayde major v. Capitaine unter dem Alt Elsäßischen Regiment in Ihro Königl. Majestät zu Franckreich diensten seel. hinterlaßener hoch Adel. Frau Wittib, als de Frau hochzeiterin am andern teil
Zu deßen allen wahren Urkund und bestättigung haben in dem zu handen des Herrn Hochzeitern geliefferten allerseitigen heÿraths project an seiner Seiten neben ihme eigenhändig unterschieben die Wohl v. hoch Edel gebohrne herr Johann Wolff von Rathsamhaußen zu Ehenweÿr & herr Frantz Ludwig von Rathsamhaußen zu Ehenweÿr & Herr Heinrich Jacob von Rathsamhaußen zu Ehenweÿr & deßen dreÿ Herren Gebrüdere, Herr Friedrich Jacob Freÿherr von Fleckenstein als Schwager, Herr Sigfrid von Bernhold Obristen & Herrn Anthoni Eberhard Bock von Bläßheim v. Gerstheim & Herr Sigfrid vpn Bock & Und dann an Seiten der hoch Adel Frau hochzeiterin neben ihrer eigenhändigen Unterschrifft Frau Sophia Dorothea von Ziegler Wittib gebohrne von Crailsheim & dero geehrte Frau Mutter, Herr Philipp Jacob Hüffel & herr Wolff Christoph Zorn von Plobsheim & Herr Friderich Augustus Zorn von Plobsheim &. So geschehen v. Verhandelt den 11. Martii A° 1698. Philipp Jacob Werbeck Notarius publicus juratus
Jacques Samson de Rathsamhausen devient bourgeois en 1701
1701, 4° Livre de bourgeoisie p. 728
Juncker Jacob Samson Von Rathsamhausen Rittmeister, weÿl. Jr. Wolff Georg Von Rathsamhaußen eh: sohn, empfangt das burgerrecht durchauß gratis, Jr. d. 12.. Dito [Martÿ] 1701.
Catherine Julienne naît à Strasbourg en 1702
Baptême, Saint-Thomas (luth. p. 289 n° 1279)
Den 6 Julÿ 1702 ist auff Obrigkeitliche erlaubnus getaufft worden Zu hauß Catharina Juliana, dess. Eltern S. T. H Jacob Samson von Rathsamhaußen undt Fr. Sophia Dorothea geb. von Grün, das Kind ist gebohren Mittwoch den 5. Julÿ 1702. vormittag vmb halb II uhr (i 295)
Jacques Samson de Rathsamhausen d’Ehnwihr loue la maison à Jean Matthieu Hebenstreit
1717 (30.7.), Chambre des Contrats, vol. 590 f° 434
H Justus Valentin Steegmann Jurium Studiosus im Nahmen /:tit:/ Jr. Jacob Samson von rathsamhaußen zu Ehenweÿher
in gegensein Johann Mathäus Hebenstreit
entlehnt, eine behausung mit allen gebäuden und zugehörden ahm stad. ohnfern d. Niclaus Kirch einseit neben Kammerer Papierers anderseit neben denen Rinckischen W. und EE gelegen, auf 4 nacheinander folgenden jahren anfangend auff Joh. bapt. 1717 – um einen jährlichen Zinß nemlich 60 pfund
Jacques Samson de Rathsamhausen d’Ehnwihr meurt en 1731 en délaissant quatre enfants issus de sa veuve. L’inventaire est dressé dans sa maison rue des Dentelles. La masse propre à la veuve s’élève à 71 231 florins. L’actif des héritiers et de la communauté est de 58 316 florins , le passif de 43 929 florins. Les experts estiment à 1 000 livres la maison quai Saint-Nicolas qui revient d’après la mention marginale à Catherine Julienne.
1731 (25. 7.br), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 464) n° 1
Inventarium über Weÿl. des Freÿ Hochwohlgebohrnen Herrn, Herrn Jacob Samson von Rathsamhaußen zu Ehenweÿr, Es. hochlöbl. Königl. Freÿen Reichs Ritter Corporis in Schwaben, Viertels am Neckar und Schwartzwald, des Orttenauischen bezircks geweßenen hochmeritirten Raths und Außschuß seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1731 – nach seinem dienstags den 21. Augusti dieses lauffenden 1731.sten Jahrs genohmenen tödlichen ableiben hie zeitlichen verlaßen (…) ersucht durch die Freÿ hochwohlgebohren Frau Frau Sophiam Dorotheam von Rathsamhaußen zu Ehenweÿr, geborhne Von der Grün, die hinterbliebene Hoch adeliche Frau Wittib mit assistentz des Freÿ hochwohlgebornen herrn, herrn Siegfrid von Bernhold, hochverdienten Marechal des Camps des Armées du Roy dero zu diesem Geschäfft insonderheit erbettenen herrn beÿstands – So beschehen und angefangen in der Königlichen statt Straßburg auff Dienstag d. 25. Septembris Anno 1731.
Der Weÿl. Freÿ Hochwohlgebohrne Herr Herr Jacob Samson von Rathsamhaußen zu Ehenweÿr seel. eingangs gedacht, hat mit der Freÿ hochwohlgebohrnen Fraun Sophia Dorothea von Rathsamhaußen zu Ehenweÿr, gebohrnen Von der Grün, als seiner Frau Gemahlin v. nunmahlig. hinterlaßener hochadel. Fr. Wittib Ehelichen erziehlt v. Zu Erben hinterlaßen, als folgt. 1. den Freÿ Hochwohlgebohrnen Herrn Herrn Wolffgang Christoph von Rathsamhaußen zu Ehenweÿr, Eines hochlöbl. Keÿßerl. Freÿen Reichs Ritter Corporis in Schwaben Viertels am Neckar v. Schwartzwald des Orttenauischen bezircks wohlmeritirten außschuß, so dem Geschäfft von Anfang biß Zu end in Persohn beÿgewohnt. 2. die Freÿ hochwohlgebohrne Frau Magdalenam Dorotheam von Hochreutener gebohrne von Rathsamhaußen zu Ehenweÿr welche beneben dem Reichs hochwohlgebohrnen Herrn Hieronÿmo von Hochreutener E: E; Raths Zu St. Gallen hochmeritirten beÿsitzer dero Herren Ehegemahl dem geschäfft in Person abgewahrhet. 3. die Freÿ hochwohlgebohrne Frau Catharinam Julianam von Rubenstein gebohrne von Rathsamhaußen des Reichs hochwohlgebohrnen Herrn Heinrich Friderich Geudtners genandt Rubenstein Eheliche Frau Gemahlin, welche mit assistentz des freÿ hochwohlgebohrnen herrn herrn Jacob Christoph Böcklins von Böcklinsau der Statt Straßburg höchst meritirten Stättmeisters v. XIII.es als ihres hierzu erbettenen herrn beÿstandts beÿ dem geschäfft erschienen und 4. den Freÿ hochwohlgebohrnen Herrn Herrn Philipp Samson von Rathsamhaußen zu Ehenweÿr, so mit beÿstand des Freÿ hochwohlgebohren Herrn Herrn Wolffgang Siegmund Böcklins von Böcklinsau, deßen Verpflicheten herr Vormunds beÿ dem Geschäfft zugegen gewesen
Copia der Eheberedung – Copia Dispositionis inter liberos – Copia der von der hochad: Fr. Wittib gethanen Declaration
In einer allhier zu Straßburg ane der Spitzengaß gelegenen hiehero gehörigen behaußung ist befunden worden als folgt
Höltzen und Schreinwerck. Auff d. Ersten Cast, Auff d. Nebens Cast, Auff d. großen Cast, Im Dauben Cämmerlein, In der Jüngern Gnd. H. Zimmer, In d. Kl. Nebens Cammer, In d. Gnd. Fr. Stub, In d. Magd Cammer, Im hauß Ehren, In d. häffen Cammer, Auff dem Gang, In dem Stübel, In d. Magd Cammer, Auff dem Gang, In d. Hanf Cammer, Neben d. Gesinds stub, In dem Kleinen Cämmerlin, In d. Gesinds stub, In d. frantz. Camin Cammer, In dem Kl. Küchel, Im Kleinen hauß ehren, in d. Garderobe, In d. Stub Cammmer, In d. Wohnstub, Im hauß Ehren, In der Gnf. fr. Stb, In d. Stub Cammer, Im Hauß Ehren, In d. Kuchen, In d. großen Stub v. Cammer, In des Knechts Stübel, n d. Bauch Küchen, Im Saal, Im Nebens Zimmer, in d. Cammer am thor
Eigenthum ane Häußern. Erstl. ein Hauß, hoffstatt vnd hoff in der Spitzengaß (…)
It: ein Vorder v.Hinterhauß, höfflin v. Hoffstatt, hoffestatt vnd hoff in der Spitzengaß (…) hinten auf das waßer (…)
It. Eine behaußung, hoffstatt in der Spitzengaß unden am Gähgäßlin (…)
(Fr. Catharinæ Julianæ assignirt) It:: ein Vorder: und Hinterhauß, Hoff, hoffstatt höfflein auch gemeinschafftlicher Bronnen, s. übrigen zugehörden Rechten v. gerechtigkeiten allhier am Staden, 1. s. neben H. Johann Daniel Franck dem Handelsmann v. burger allhier, 2.s. neben H. Jacob Sachßen dem Handelsmann allhier, hinten auff das so genandte Grettelgäßel stosend gelegen, so freÿ leedig v. eigen v. durch die Herren Werckmeister laut offtgedachter Abschatzung taxirt worden pro 2400. so hieher aber zu schätzen beliebt pro 4000. Darüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhiesiger C. C. stub gefertiget mit dero Insiegel Verwahret datirt d. 18. Junii 1716. Darbeÿ noch vier ältere perg. Brieff in einem fascicul gebunden sub N° 4 vorhanden.
Eigenthum ane einem Gärtlein, Ein Gärtlein ohngefehr ein halb viertzel groß sambt darinn stoßende Gewächs hauß (…)
Ergäntzung der Fr. Wittib wehrender Ehe abgangen unveränderten Guths. Laut Inv. über Weÿl. S. T. Lt hannß Johann Christoph von der Grün, Herrn zu Nonnenweÿr vnd Niderhaußen geweßenen Margg. Baaden Durlachischen Amtmanns der Herrschafft Lahr der Fr. Wittib Hn Vatter seel. Verl. A° 1688 durch H. Joh: Christoph Mylium den Amtschreiber gefertigt
(f° 46) Eigenthum ane Dorffschafften, Nonnenmeÿer
(f° 48) Eigenthum ane Dorffschafften. Neudorff od. Taubensand
(f° 52) Series rubricarum hujus Inventarÿ, der hoch Ad. Frau Wittib Vermögen, Sa. höltzenwercks 256, Sa. Bett v. Federwercks 70, Sa. Leinwanth v. gethüchs 137, Sa. Sergenwerkhs 20, Sa. Zinnengeschirrs 182, Sa. Kupffer: Möß: v. Eißengeschirrs 37, Sa. Silbergeschirrs 957, Sa. der Pfenningzinß hauptgüther 1493, Sa. Eigenthums n Dorffschafften 41.867, Sa. auffgetragen Lehens 1050, Sa. der Ergäntzung 7778, Sa. des Wÿdums 3000 Summa summarum 56.844 fl. – Darzu gerechnet das Jenige, was ihro von der Erben unverändert und theilbaren Guth gebührt th. 14.387 fl. So belaufft sich der hochadel. fr. Wittib gantzes Vermögen 71.231. fl
der Erben unverändert v. theilbare Nahrung, Sa. Höltzen Werckh 505, Sa. Bettwerks 353, Sa. Leinwanth v. gethüchs 1453, Sa. Kleidung v. Weißgezeugs 180, Sa. Sergenwerkhs 129, Sa. Zinnengeschirrs 120, Sa. Kupffer: Möß: v. Eißengeschirrs 184, Sa. Flachs, hanff v. garns 226, Sa. allerhand posten 144, Sa. bachmehls 75, Sa. Weins v. Faß 912, Sa. der Bibliothec 1000, Sa. der Kunst v. raritäten Cammer 4000, Sa. Viehes 90, Sa. Kutsch und Chaise 135, Sa. Silbergeschirrs 2633, Sa. Goldener Ring 269, Sa. baarschafft 5670, Sa. Pfenningzinß haubtgüther 22.296, Sa. Eigenthums ane Häusern 10.550, Eigenthums an einem Gärtlein 250, Sa. Schulden 7137, Summa summarum 58.316 fl. – Davon gehet ab 43.929, Nach solchem abzug 14.387 fl.
(f° 53) Abtheil und Vergleichung vorher beschriebenen Verlaßenschafft (…)
Copia der Eheberedung. ein Christl. Ehel heÿrath v. freundliche Vermählung zwischen dem Reichs Freÿ hoch Edelgeborhnen v. Gestrengen Herrn Jacob Samson von Rathsamhaußen zu Ehenweÿr & Weÿl. des auch Reichs Freÿ hoch Edelgeborhnen v. Gestrengen Herrn Wolff Georg von Rathsamhaußen zu Ehenweÿr beÿ Er Hochlöbl. Riterschafft im Untern Elsaß geweßenen hochansehnl. Raths v. Außschußes seel. hinterlaßenen herrn Sohn, als Breütigam ane Einem, So dann der auch hoch Edelgebohrnen Frauen Sophiæ Dorotheæ gebohrner von der Grün, Weÿl. des Freÿ hoch Edel gebohrnen Herrn Ernst Christoph von Löwen geweßenen Ayde major v. Capitaine unter dem Alt Elsäßischen Regiment in Ihro Königl. Majestät zu Franckreich diensten seel. hinterlaßener hoch Adel. Frau Wittib, als de Frau hochzeiterin am andern teil
Zu deßen allen wahren Urkund und bestättigung haben in dem zu handen des Herrn Hochzeitern geliefferten allerseitigen heÿraths project an seiner Seiten neben ihme eigenhändig unterschieben die Wohl v. hoch Edel gebohrne herr Johann Wolff von Rathsamhaußen zu Ehenweÿr & herr Frantz Ludwig von Rathsamhaußen zu Ehenweÿr & Herr Heinrich Jacob von Rathsamhaußen zu Ehenweÿr & deßen dreÿ Herren Gebrüdere, Herr Friedrich Jacob Freÿherr von Fleckenstein als Schwager, Herr Sigfrid von Bernhold Obristen & Herrn Anthoni Eberhard Bock von Bläßheim v. Gerstheim & Herr Sigfrid vpn Bock & Und dann an Seiten der hoch Adel Frau hochzeiterin neben ihrer eigenhändigen Unterschrifft Frau Sophia Dorothea von Ziegler Wittib gebohrne von Crailsheim & dero geehrte Frau Mutter, Herr Philipp Jacob Hüffel & herr Wolff Christoph Zorn von Plobsheim & Herr Friderich Augustus Zorn von Plobsheim &. So geschehen v. Verhandelt den 11. Martii A° 1698. Philipp Jacob Werbeck Notarius publicus juratus
Copia Dispositionis inter liberos (…)
Abschatzung d. 28. 7.bris aô 1731. Auff begehren Weÿl. Ihro Hoch Adeliche gnaden Herr Jacob Samson Von Rotzenhaußen Zu Ennenweirer seel : hinder laßene frau Wittib und Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der Spitzen gaßen gelegen (…)
Der zweÿte begrif ist auch allhier in der Statt Straßburg in der Spitzen gaßen gelegen (…)
Der dritte begrif ist auch allhier in der Statt Straßburg in der Spitzen gaßen gelegen (…)
Der 4.te begrif ist auch allhier in der Statt Straßburg an dem obern schiffleuth staden gelegen einseits Neben herrn Jacob Sachß Banquier anderseits Neben herrn Daniel Franck auch Banquier hinden auf das grattel gäßlein stoßend, welche behausung hinder gebäulein, Stuben, Cammern, Küchen, hauß Ehren, officier Stube Kanngießer Werckstatt, Keller, höffel und ge Meiner bronnen, sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Stat Straßburg geschwornen Werckheüthe so in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb Zweÿ tausendt und Vier hundert gulden.
Der Fünffte begrif ist auch allhier in der Statt Straßburg im geh gäßel gelegen (…)
Bezeichnuß durch der Statt Straßburg geschworene Werckleüthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Sophie Dorothée von der Grün meurt en 1739 en délaissant deux fils. L’inventaire est dressé dans la maison rue des Dentelles.
1739 (10.8.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 470) n° 144
Inventarium über Weÿland der Freÿ hochwohlgebohrnen Frauen Frauen Sophiæ Dorotheæ von Rathsamhausen zu Ehenweÿer gebohrne von d. Grün auch weÿl. des Freÿ hochwohlgebohrnen Hn herrn Jacob Samson von Rathsamhausen zu Ehenweÿer Es. hochl. Kaÿserl. Freÿen Reich: ritter Corporis in Schwaben: viertel am Neckar und Schwartzwald des Orttenauischen Bezircks geweßenen hochmeritirten Raths und Außschuß seel. hinterlaßene hochadel. Frau W. nunmehr auch seel. Verl. auffgerichtet Anno 1739. – nach ihrem Freÿtags d. 19.en Junÿ dieses lauffenden 1739.ten Jahrs beschehenen tödl. Abbleiben hie zeitl. verlaßen. Welche verlaßenschafft auff geschehener requisition und begehren der ane hernach folgendem fol. in Specie benandter hochadel. Herren Söhnen und Erben inventirt und ersucht durch dieselbe selbsten wie auch Joh: Senfft von Straßburg gebürtig, Annam Mariam geborhren Wüstin von Lahr deßen Ehefrau, Mariam Magdalenam Häßin von Odenheim v. Annam Mariam Eichinvon Rummenweÿer, als samt. Domestiquen (…) So geschehen und angefangen in d. Königl. Statt Straßburg auff Montag d. 10.den des Monaths aug : A° 1739.
Die Weÿl. Freÿ Hochwohlgebohrne Frau Frau Sophia Dorothea von Rathsamhausen zu Ehenweÿer gebohrne von der Grün hat mit auch weÿl. dem Freÿ hochwohlgebohrnen Herrn herrn Jacob Samson von Rathsamhausen zu Ehenweÿer & dero herrn Ehegemahl seel. Ehel. erzeugt und Zu Erben verlaßen, als folgt. 1. den Freÿ Hochwohlgebohrnen Herrn Herrn Wolffgang Christoph von Rathsamhaußen zu Ehenweÿr, Es hochlöbl. Keÿßerl. Freÿen Reichs Ritter Corporis in Schwaben Viertels am Neckar und Schwartzwald des Orttenauischen bezircks hochmeritirten Rath und Außschuß, wie auch hochfürstl. Pfaltz Zweÿbrückischen hochverdienten Kammer herrn so dem Geschäfft von Anfang biß Zu end in Persohn abgewartet und 2. den Freÿ hochwohlgebohrnen Herrn Herrn Philipp Samson von Rathsamhaußen zu Ehenweÿr jetzmahligen Lieutenant en pied unter dem löbl Elßaßischen regiment welcher ebenmäßig beÿ dem Geschäfft von Anfang biß Zu end in Persohn gegenwärtig gewesen. beede ab intestato hinterlaßene hochadeliche herren Erben, zu gleichen Antheilen
In einer allhier zu Straßburg ane der Spitzengaß gelegenen hiehero eigenthümlich gehörigen behaußung ist befunden worden als folgt
Höltzen und Schreinwerck. Auff dem hindern Frucht Kasten gegen H. prator haus, In dem obern hindern Hauß Ehren, In der Cammer Litera A, In der Cammer Lit. B, In der Cammer Lit. C, In der Stub Lit. D, In der Cammer Litera E, In der Cammer Litera F, In der Cammer Lit. G, In der Kuchen Lit. H, In dem Hauß Ehren beÿ der Kuchen Lit. H, In der Stub Litera L, In der Cammer Lit. J, Im Saal, In der Saal Cammer. (f° 30), In der Camin Cammer, Im Saal, Im hintern Keller, Im vordern Keller, Auff der bühn beÿ dem Tauben hauß, Auff dem gang über der Kunst Cammer, In der Cammer Lit. M, In der Bauchkuchen, Im gesinds Stübel im Hoff, (f° 42) In der Wohnstub, In der Wohnstub Cammer, In der Mägd Cammer
(f° 55) Eigenthum ane Häußern. Erstl. eine Behaußung hoff, hoffstatt vnd hoff ane d. Spitzengaß (…)
It: ein Vorder vnd Hinterhauß, Höfflin und Hoffstatt, hoffestatt in der Spitzengaß (…)
(f° 70) Eigenthum ane Häußern Im Dauben Sand
(f° 71) Eigenthum ane Dorffschafften, Nonnenmeÿer, (f° 73) Neudorff od. Taubensand
Copia Testamenti Solennis Weÿl. des freÿ hochwohlgebornen, Herrn Johann Christoph von der Grün gewesenen Obristen v. H. Zu Niderhaußen Nonnen Witten v. Allmansweÿer seel. – Joann Christoph Rautherius juris cons: und Keÿßerl. offenbahter Nots.
Copia dispositionis Jacob Samson von Rathsamhaußen zu Ehenweÿr und Sophiæ Dorotheæ gebohrner von der Grün (…) Straßburg d. 18. Jan : A° 1730.
Catherine Julienne de Rathsamhausen d’Ehnwihr épouse en 1720 Henri Frédéric Geuder dit Rabenstein
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 167-v n° 964)
Anno 1720. den 2. Februarÿ seind Aus Erlaubnus deß Regierenden herrn Ammeisters In dem hauß copulirt und ehelich zusammen gegeben worden der wohlgebohrne herr Herr Heinrich Friderich Geudter genant Rabenstein, Herr von und Zu Heroldsberg und Stein und die wohlgebohrne frawlein fräwlein Catharina Juliana von Rathsamhausen Zu Ehenweÿher deß wohlgebohrnen herrn herrn Jacob Samson von Rathsamhausen Zu Ehenweÿher herrn Zu Nonnenweÿher und Fegersheim, Rittern, Raths und Ausschuß im Schwäbischen unmittelbahren reichs ritterschafft Ortenawischem bezircks frawlein tochter [unterzeichnet] henrich Friedrich von Geuder genannt Rabenstein, Catharina Juliana von Rathsamhaußen (i 171)
Catherine Julienne de Rathsamhausen d’Ehnwihr vend la maison au joailler Jean Jacques Braun et à sa femme Catherine André
1732 (6.9.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 385
die freÿ hochwohlgeborne Fr: Catharina Juliana von Geÿder genannt Rabensteinin geb. Rathsamhaußen zu Ehenweÿer des hochwohlgebornen hern Heinrich Friedrich von Geÿder genannt Rabensteiner verlaßene und ohnbevögtigte Ehegemahlin
in gegensein H. Johann Jacob Braun Juwelierers und Catharinæ geb. Andreßin
Eine Behausung bestehend in vorder: und hinderhauß, zweÿen höfflein dero hofftätten und gemeinschaft des bronnens mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten am Staden zwischen der Schind und St Nicolauß: Bruck, einseit neben H. Johann Daniel Franck dem Banquier, anderseit theils neben H. Johann Friedrich Sachß dem handelsmann und dreÿer hießigen Umbgeldts theils neben Wennemar Heÿl dem Stattschmidt, hinten auff das grattekgäßlein – ihro in abtheilung ihres H. Vatters seel weÿl. hochwohlgebornen H. Jacob Samson von Rathsamhaußen zu Ehenweÿer Verlaßenschafft als ein durch gelegtes looß erhaltenes guth eigenthümlich zuständig – um 1700 pfund
Jean Jacques Braun s’inscrit en mars 1729 pour faire son chef d’œuvre qu’il présente en août. Les examinateurs en sont satisfaits et reçoivent Jean Jacques Braun maître
1729, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 103)
(p. 442) Dienstag den 8. Martÿ Anno 1729
Herr Johann Jacob Braun der ledige goldarbeiter von hier gebürtig erscheint und bittet umb auffnahm und verfertigung seines Meisterstücks, weillen Er seine Zeit der genüge nach passirt. Erkannt wird demselben in seinem begehren gegen Erlag der gebühr willfahrt und solle es beÿ seinem herrn Vatter, weÿlen herr hohleÿß darauff renuncirt gäntzlichen Verfertigen.
(p. 456) Dienstag den 23. Augusti Anno 1729
Herr Johann Jacob Braun der ledige Goldarbeiter erschienen und præsentirt sein verfertigtes Meisterstück, bitter darüber zu erkennen, die dreÿ herren Schauere referiren, nach genugsamer besichtigung daß die Stuck sehr fleißig und ohne Tatel gemacht seÿn, wann Er Kann handtreu ablegen ane aÿdes statt, so soll Er Zu einem prallen Meister auff und angenommen seÿn. E E gericht votat Similiter, desuper dedit fidem er pro discretione dreÿ 3 fl. Stuck.
Jean Jacques Braun devient tributaire à l’Echasse le 14 juillet 1730.
(p. 492) Freÿtag den 14. Julÿ Anno 1730
Johann Jacob Braun jun: goldarbeiter erscheint und præsentirt Stallschein vom 13. Julÿ Anno 1730. bittet umb seines Vatters Zunfftrecht votirt, wird demselben in seinem begehren willfahrt, gegen Erlag der gebühr.
Jean Jacques Braun emploie deux compagnons. Le Conseil lui demande d’inscrire l’un d’eux et de licencier l’autre.
(p. 509) Mittwoch den 18. Octobris Anno 1730
Johann Jacob Braun der jung goldarbeiter, wird vorgestellt, warumb Er 2 Jungen haltet. Antwortt Er haabe Zwar Zween Jungen aber Keiner noch eingeschrieben.
Erkannt, solle sich resolviren einen anzunehmen, den andern aber fort zu schicken.
Jean Jacques Braun épouse en 1730 Anne Catherine André, fille du marchand Jean Philippe André : contrat de mariage, célébration
1730 (6. Martÿ), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 5) n° 60
Eheberedung – zwischen dem Ehrenvesten und Kunstreichen H. Johann Jacob Braunen Juniori Goldarbeitern und burgern alhie als bräutigam ane einem,
Sodann die Viel Ehren und Tugendsahmen Jungfer Annæ Catharinæ Andräin weÿland des Ehren und wohlvorgeacht, Herrn Johann Philipp Andrée geweßenen handelsmanns und burgers alhier nunmehro seel. nachgelaßener eheleiblichen tochter alß hochzeitern am andern theÿl
Beschehen vnd Verhandelt seind dieße dinge in der Königlichen Statt Straßburg den 6. Martÿ Anno 1730.
(Répertoire 65 not 12, f° 93-v sqq) Eheberedungen, So nicht unterschrieben worden
(94 Z 53) Eheberedung zwischen Johann Jacob Braunen Juniori Anna Catharina Andreäin den 6. Martÿ 1730
[unterzeichnet] Johann Jacob Braun Als Hochzeiter, Anna Catharina andreä als hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 80-v, n° 291)
1730. Mittw. d. 3. Maji sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet word. H. Joh: Jacob Braun der Ledige Goldarbeiter v. b. alhier, H. Joh: Jacob Braunen b. v. Gold Arbeiters ehl. Sohn v. Jgfr. Anna Catharina weÿl. H. Joh: Philipp André Geweß. b. v. handels. M. nachgel. ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Braun als hochzeiter, anna Catharina Andrä als hochzeiterin, Joh: Jacob Braun alß Vatter, Ehrenfried Gebhart als Vogt (i 85)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison place Saint-Thomas qui appartient au père du marié. Les apports du mari s’élèvent à 2 747 livres, ceux de la femme à 1 127 livres.
1730 (27. 8.br), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 29) n° 663
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung Und Güethere, so der Ehren: und Wohl Vorgeacht auch Kunsterfahrene Herr Johann Jacob Braun, der Jüngere, Goldarbeiter und die Viel Ehren und tugendgezierte Frau Anna Catharina Braunin gebohrene Andrein beeder Eheleuthe und Burgere allhie zu Straßburg, einander vor ohnverändert in den Ehestand zugebracht, welche der ursachen allweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteten heuraths Verschreibung expresse enthalten, daß eines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert sein und bleiben solle – So beschehen in Straßburg auf Freÿtag den 27.ten Octobris Anno 1730.
In einer allhier zu Straßburg ane dem Thoman plan gelegenen und des Eheherrn geliebten Herrn Vatter eigenthümlich zuständigen behaußung befunden worden wie volgt.
Abzug In gegenwärtig Zugebracht Nahrungs Inventarium gehörig, Sa. haußraths 245, Sa. Werckzeugs zue Goldarbeiter Kunst gehörig 75, Sa. des weins 6, Sa. Silbergeschirr undt geschmeids. 431, Sa.goldener Eing, Jubelein und dergleichen Geschmeids 2264, Sa. baarschafft 184, Sa. Schulden 135, Summa summarum 3342 lb – Sa. Schulden 690 lb, Nach solchem abzug 2652 lb, Darzu gelegt die helffte ane denen verehrten haussteuren 94 lb, Erstreckt sich also des Herrn völlig in die Ehe gebracht guth dem vero pretio nach auff 2747 lb
Der Frauen in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 370, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 58, Sa. goldener Ring 169, Sa. baarschafft 434, Summa summarum 1032 lb – Hierzu kombt ferner de halbe theil ane denen verehrten haussteuren 94 lb, Trifft demnach der Frauen völlig in die Ehe gebracht Vermögen in allem dem billichen wehrt nach an 1127 lb
L’orfèvre Jean Jacques Braun le jeune et Anne Catherine André font leur testament
1733 (4. Dec.), 94 Z 53 (Grosses de contrats), Jean Lobstein
Codicill – 1733, auf Freÿtag den 4. Decembris Abends zwischen Sechs und Sieben Uhren beÿ zweÿen hellbrennenden Liechtern in einer allhier zu Straßburg jenseit des Staadens nahe beÿ der Clauß Kirchen gelegenen Ihnen beeden hernach gemelten Codicillirenden Eheleuthen eigenthümlich zuständigen behaußung deren Wohnstub mit denen Fenstern auf den Staaden außsehend (…) persönlich kommen und erschienen der Ehrenvest, Wohlvorgeacht und Kunsterfahrenen herr Johann Jacob Braun, der jüngere, Goldarbeiter, und die hoch Ehren und hoch tugendreiche Frau Anna Catharina Braunin gebohrne Andrein, beede Eheleuthe undt burgere alhier Zu Straßburg und Zwar beede Von der Gnade des grundgütigen Gottes guter richtiger Sinnen, wie wohlen die Frau hochschwangern Leibes – Johannes Lobstein Notarius juratus
Anne Catherine André meurt en 1754 en délaissant six enfants. L’inventaire est dressé dans leur maison rue des Hallebardes. Les experts estiment la maison 1 000 livres. La masse propre au veuf est de 3 562 livres, celle des héritiers de 927 livres. L’actif de la communauté s’élève à 10 963 livres, le passif à 11 194 livres
1754 (26.7.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 382) n° 590
Inventarium über Weÿland der Wohl Ehren und Tugendbegabten Fraun Annä Catharinä Braunin gebohrener Andrein, des Wohl ehrenvest großachtbahr und Kunsterfahrnen herrn Johann Jacob Braunen berühmbten Goldarbeiters und burgers allhie zu Straßburg geweßener Frauen Eheliebstin nunmehr seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1754. – nachdeme dieselbe Donnerstags den 21. Julÿ Anno 1752. durch einen seeligen tod von dießer Welth abgefordert Worden, nach solch Ihrem seeligen absterben Zeitlichen hinter sich verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen Erfordern und begehren der Ehren: vnd Wohlvorgeachten herrn Johann Michael Hügels des Küblers und burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Hn Johann Jacob, ledigen Goldarbeiters, Jungfrauen Christinä Salome, Hn Johann Philipps auch ledigen Goldarbeiters Jungfrauen Catharinä Magdalenä, Mariä Dorotheä und Georg Friderich, der Braunen der in Gott seelig entschlaffenen Frauen mit vorwohlernantem Ihrem hinterbliebenen herrn Wittiber ehelich erzielter Sechs Kinder und ab intestato Zu sechs gleichen portionen und antheilern Verlaßener rechtsmäßiger Erben ersucht und inventirt (…) So beschehen in Straßburg auf Freÿtag den 26. Julÿ et sequenti Anno 1754.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Spießgaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden wie folgt.
Eigenthumb ane häußern (W.) Erstl. eine Behaußung und Hoffstatt ane St. Thomans Plan (…)
(T.) It. Eine behaußung behaußung, bestehend i Vorder: und hinderhauß, Zweÿen Höfflein, dero hoffstätten sambt der gemeinschafft eines Bronnens, mit allen deroselben Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Staden, zwischen der Schind und St. Niclaus Brucken, einseit neben Frauen Maria Magdalena Ströhlinin gebohrner Kriegin, H. Joh: Friderich Ströhlin des Apotheckers und E: E: kleinen raths alten beÿsitzers geschiedener Ehefrauen, anderseit theils neben Hn Johann Wilhelm Schöffler, dem Handelsmann theils neben Mstr. Joh: Conrad Haÿl dem Statt hueffschmid hinden auf das grattel gäßlein stoßend, so gegen Männiglichen, freÿ ledig eigen und durch hieoben benahmbste der Stadt Straßburg H. Lohner und geschwornene Werckmeistere inhalt vorher allegirten Abschatzungs Zeduls vom 1. 7.bris 1752. æstimirt vor 1000. lb. Hierüber ist vorhanden ein teutscher perg. Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub auffgerichtet und auff dero anhangendem Insiegel bekräfftiget, datirt d. 6. 7.bris aô 1732.
(T.) It. eine behaußung, Hoffstatt und höfflein, ane der Spießgaß (…)
(W.) It. ein Viertertheil für ohnvertheilt von und ane einer behaußung ane der Kettengaß (…)
Ergäntzung des Herrn Wittibers abgegangenen ohnveränderten Guths. Inhalts Inventarÿ über beeder geweßener Ehegattin einander Vor ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen durch herrn Johann Lobstein Notariul publicum und berühmten Practicum in Anno 1730. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung – Copia Codicilli
Des Herrn Wittibers ohnverändert Vermögen. Sa. haußraths 27, Sa. Werckzeugs Zur Goldarbeiter Kunst gehörig 13, Sa. Lährer Faß 2, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 6, Sa. goldenen Rings 1, Sa. Eigenthums ane häußern 795, Erg. Rest 4363, Summa summarum 5212 lb – Schulden 1650, Nach deren Abzug 3562 lb
Dießemnach Wird auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 78, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 8, Sa. Goldener Ring 44, Sa. Schuld 150, Erg Rest 646, Summa summarum 927 lb
Endlichen wird nun auch das gemein verändert und theilbar Guth beschrieben, Sa. haußraths 133, Sa. Werckzeugs zur goldarbeiter Kunst 13, Sa. Wein und Lährer vaß 68, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 155, Sa. Gioldener Ring, Jubeln und dergleichen Geschmeids 1130, Sa. der baarschafft 73, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 3777, Sa. Eigenthums ane häußern 2488, Sa. Schulden 3214, Summa summarum 10.963 lb – Schulden 11.194, In Vergleichung 231 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 4259 lb – Zweiffelhaffte und Verlohrene Schulden 1637 lbl
Abschatzung Vom 1. 7.bris 1752. Auff gebehren Herrn Johann Jacob Braunen deß goldarbeiters ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg ane Claus Staden, einseits Neben herrn Stöhlin anderseit neben herrn Schöffter und hinten auff herr Heÿl stosend, gelegen Neben dem Eingang ist ein Goldschmidts laden und hinten daran ein schmeltzoffen, In dem Ersten stock ist eine Stube Stub Kammer Kuchen und Haußöhren, In dem Zweÿten stock ist auch eine Stube, Stub Cammer, Kuchen und haußöhren, In dem dritten stockh seind dreÿ Kammeren darüber ist der tachstuhl, so mit hohlziegeln belegt, hat auch einen geträhmten Keller, hoff und bronnen ferner befindet sich ein hintergebäw Worinnen deß officiers logement und eine Stube der tachstuhl ist mit breit Ziegeln doppelt belegt, Vonn uns den unterschriebenen, der Statt Straßburg geschwornen Werckmeister, nach Vorhero beschehener besichtigung mit aller Ihren gerechtigkeit dem Jetzigen Werth nach æstimirt und angeschlagen worden Vor und umb 2000 Gulden
Der Zweÿte begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg auff dem Thomas Plahn (…)
Der dritte begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg in der Spießgaß (…)
[unterzeichnet] Johann Jacob Biermeÿer Lohner, Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Werner, Werckmeister
Compte que rend le tonnelier Michel Hügel de la tutelle des biens qui appartiennent aux enfants Braun. La maison quai Saint-Nicolas est louée à l’employé de la Grue Esch, au courtier Kuhff et au précepteur Jean Georges Reichard
1758 (1.9.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 714) n° 282
Rechnung Mein Joh: Michael Hügels Küblers und burgers allhier Zu Straßburg als geordnet: und geschworenen Vogts Jungfrauen Christinæ Salome, Hn Joh: Philipp des leedigen Goldarbeiters, Jungfrauen Catharinæ Magdalenæ, Mariæ Dorotheæ und Georg Friedrichs der Braunen weÿl. frauen Annä Catharinæ Braunin gebohrner Andrein seel. mit Joh: Jacob Braun Goldarbeitern und burgern alhier ehelich erziehler 5. Jüngern Kinder, Inhaltend alles das jenige was ich Von Michaelis 1755 als dem beschluß der Groß Mütterlichen Abrechnung biß den 1.ten Septembris 1758. obgemelter meiner Curanden halben eingenommen und hingegen wieder außgegeben auch sonsten Vögtlicher Weiße Verrichtet vnd Verhandelt habe, Erste Rechnung dießer Vogteÿ.
Corpus der 6. Braunischen Kinder Jährlich fallen habender Hauß und Güther Zinnß
Von denen beeden Zwischen Ihnen und Frauen Pfarrerin Fibich in gemeinschafften häußern (…)
Von dem denen Braunischen 6. Kindern allein gehörigen behaußung hoffguth, Ziegeloffen und liegenden Güthern
It. 20. lb d Jährl. haußzinßes gibt N. Esch der Cran Knecht allhier von denen untern Laden, wohnung und obern hindern Stübel in der Curanden und Ihrem Bruder allein gehörigen am Niclaus Staden gelegenen und in dem Inventario fol: 93.a et seqq. beschriebenen behaußung und denen alle quartal auch auf Michaelis 1758. Zum Erstenmahl einen Vierten theil th. dem Zinß nach ohnvergreifflichen Zu 5 p. Cto gerechnet dißorts in Außwurff, 400.
It. 27. lb. d. Jährlichen Haußzinßes gibt Hr Kuhff der Courtier und burger allhier und daran alle Viertel Jahr einen Viertel theil von der Mittlern wohnung solcher behaußung, thut dem Zinnß nach ohnpræjudicirlich à 5 pro Cento gerechnet dißorths außzuwerffen 240.
It. 15. lb Jährlichen Haußzinnßes reicht Hr. M. Joh: Georg Reichard der Informator und burger allhier und daran quartaliter einen Viertel theil von der inhabenden Obern wohnung gedachter behaußung ane Niclaus Staden gelegen, th. dem Zinnß nach ohnpræjudicirlich à 5 pro Cento gerechnet 300.
Herr Johann Michael Hügel als Vogt Braunischen Kinder hat gemeiner Büchelischer Erbschafft halben Eingenommen. Ane Haußzinnßen von der Behaußung am Geistgäßel
Jean Jacques Braun loue toute la maison à André Lichtenberger
1761 (23.4.), Chambre des Contrats, vol. 635 f° 130
H. Johann Jacob Braun der goldarbeiter
in gegensein H. Andreas Lichtenberger
verlühen, seine am Niclaus staden gelegenen behausung cum appertinentis nichts davon ausgenommen als das laboratorium unten im höffel, eine unterschlagene kleine bühn im hinter hauß und der aller obersten bühn im vorderhauß – auff 4 nacheinander folgenden jahren von verfloßenen Annunciationis Mariæ anfangend, um einen jährlichen Zinß nemlich 80 pfund
Nouveau compte de tutelle. La maison est louée à l’employé de la Grue Esch, au courtier Kuhff et au précepteur Jean Georges Reichard remplacé par le cordonnier Rosser
1762 (30.4.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 719) n° 424
Rechnung Mein Joh: Michael Hügels Küblers und burgers allhier Zu Straßburg als geordneten Vogts frauen Christinæ Salome gebohrner Braunin Hn Joh: Theobald Saltzmanns handelsmanns und burgers allhier Ehefrauen, Herrn Joh: Philipp des leedigen Gold Arbeiters Jungfer Catharinä Magdalenæ, Mariä Dorotheä und nun weÿl. Georg Friderichs der Braunen, aller weÿl. frauen Annæ Catharinæ Braunin geb. Andrein seel. mit herrn Joh: Jacob Braun Goldarbeitern und burgern alhier ehelich erziehlter 5. jüngern Kinder, Inhaltend, alles das jenige was ich Vom 1.ten 7.bris 1758. als dem beschluß meiner Erstern Vogteÿ rechnung biß den 30.t Aprilis 1762. obgemelter meiner Curanden halben eingenommen und hingegen wieder außgegeben auch sonsten Vögtlicher weiße Verrichtet vnd Verhandelt habe, Zweÿte Rechnung dießer Vogteÿ.
Corpus der 6. Braunischen Kinder Jährlich fallen habender Hauß und Güther Zinnß
Von denen beeden Zwischen Ihnen und Frauen Pfarrerin Fibich in gemeinschafften häußern (…)
Einnahm Geldts Vor alle 6. Braunische Kindern ins gemein beschehen. Ane Hauß und Güther Zinnßen
Erstlichen entrichtete N. Esch der Cran Knecht und burger allhier von denen in dem am Niclaus Staden gelegenen hauß inhabenden Gemachen von Johannis Baptistæ 1758 biß Annunciationis Mariæ 1760. th. in 7/4 Jahren à 20. lb des Jahrs, 35.
It. Zahlt Hr Kuhff der Courtier und burger allhier von seiner in gemelter behaußung inhabenden Mittlern Wohnung den (…), 40.
It. empfinge auch von Hr. M. Joh: Georg Reichard dem Informatori von der Obern Wohnung gemelter behaußung den Von Joh. Bapt: 1758 biß Annunciationis Mariæ 1759 da Er die wohnung quittiret vor ¾ Jahr Verfallenen haußzinß, 11.
It. hat N. Roßer der Schuhmacher ane haußzinß aus gemelter behaußung von Annunciationis Mariæ 1759 biß weÿland gemelten Jahrs vor ¾ Jahr à 14. ln entricht 10.
Compte que rend le marchand Jean Thiébaut Saltzmann de la tutelle des biens qui appartiennent aux deux filles cadettes.
1765 (16.2.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 406) n° 1064
Rechnung Mein Johann Theobald Saltzmann handelsmanns und burgers allhier Zu Straßburg als geordnet: und geschworenen vogts Jungfrauen Catharinä Magdalenä und Jungfrauen Mariä Dorotheä der Braunin, herrn Johann Jacob Braunen des ältern Goldarbeiters und burgers allhier ehelich erziehlter zwoer jüngern töchtere, davon die jüngste seithero Verstorben und von Ihrem herrn Vatter geerbet worden, Inhaltend, alles das jenige was ich Von Decembri Anno 1762. da Ich ohngefähr Zu dießer Vogteÿ gekommen biß den 16.ten Februarÿ Anno 1765. Ihrentwegen Eingenommen und hingegen wieder außgegeben habe, Erste Rechnung dießer Vogteÿ.
Bericht gegenwärtiger Rechnung. Nach deme Herr Johann Michael Hügel der Kübler und burger allhier als Vormahlig geweßener geschworner Vogt (…) derselbe darauffhien in ermeltem 1762.ten Jahr von solcher Vogteÿ entlediget Worden (…)
Corpus der beeden Curandinin Jährlich fallen habender Hauß und Güther Zinnß
Geistgäßlein
Jean Jacques Braun et ses enfants cèdent la maison pour 2 600 livres à leur fils et frère respectif Jean Philippe Braun qui n’entrera en jouissance qu’à la mort du père
1767 (19. Dec.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 382) Joint au n° 590 du 26. juillet 1754
Vor mir unterschriebenem Zu Weÿland Fraun Annä Catharinä Braunin gebohrener Andrein, herrn Johann Jacob Braun, des ältern, berühmten Goldarbeiters und burgers allhie zu Straßburg geweßener Frauen Eheliebstin nunmehr seeligen Verlaßenschafft Inventation in specie requirirtem Notario seind ane Zu end gemeltem dato persönlich erschienen vorwohl gemelter herr Johann Jacob Braun der ältere der hinterbliebene herr Wittiber, wie auch die Vier noch Lebende respectivé Herren Söhne, Frau und Jungfrau Töchtere, Nahmentlich Herr Johann Jacob Braun der jüngere, Goldarbeiter und burger allhier, Ferner Frau Christina Salome Saltzmännin gebohrne Braunin, Herrn Johann Theobald Saltzmann des handelsmanns und burgers allhier Frau Eheliebstin, von Wohlermeltem Ihren geliebten Eheherrn hierzu genugsam autorisirt, Weiter herr Johann Philipp Braun der Goldarbeiter und burger allhier, So dann Jungfer Catharina Magdalena Braunin mit assistentz herrn Johann Theobald Saltzmann des handelsmanns und burgers allhier Ihres geschwornen noch ohnentledigten Vogts, Zeigten samt und sonders an und bekanden wie daß Sie allerseits
dem jüngern herrn Sohn und respectivé bruder, Herr Johann Philipp Braun eigenthümlich Käufflichen, jedoch allererst nach des herrn Wittibers und respectivé Vatters erfolgtendem absterben haben Zu beziehen cedirt, abandonnirt, abgetretten und überlaßen haben
die in beeder Eltern gemeine theilbare Nahrung gehörige Behaußung bestehend in Vorder: und hinderhauß, Zweÿen Höfflein, dero hoffstätten samt der gemeinschafft eines Bronnens, mit allen deroselben Gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Staden, zwischen der Schind: und St: Niclaus Brucken, einseit neben Frauen Maria Magdalena Ströhlinin gebohrner Kriegin, Herrn Johann Friderich Ströhlin des Apotheckers und E: E: Großen raths alten beÿsitzers geschiedener Ehefrauen, anderseit theils neben Herrn Johann Wilhelm Schöffler, dem Handelsmann und theils neben Weÿland Hern Johann Conrad Haÿl des Statt Schmids Erben, hinden auf das Grattel gäßlein stoßend, so gegen Männiglichen, freÿ Ledig und eigen – vor und umb 2500 Pfund pfenning
So beschehen abgelesen und unterschrieben Straßburg den 19. Decembris Anno 1767.
Jean Jacques Braun meurt en 1775 en délaissant quatre enfants. L’inventaire qui comprend plusieurs immeubles à Strasbourg est dressé dans la maison quai Saint-Nicolas. Les experts estiment la maison 1 000 livres. L’actif de la succession s’élève à 10 386 livres, le passif à 5163 livres. Jean Philippe Braun réunit la jouissance à la nue-propriété de la maison.
1775 (20.4.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 419) n° 1316
Inventarium über Weÿland des Wohl Edlen und Kunsterfahrenen Herrn Johann Jacob Braun des ältern geweßenen Goldarbeiters und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1775 – nachdeme derselbe donnerstags den 30. Martÿ dießes lauffenden 1775. Jahrs dieses zeitliche mit den Ewigen verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt zeitlichen hinter sich verlaßen (…) So beschehen in Straßburg auf Donnerstags den 20. Aprilis ac sequentibus 1775.
Der seelig Verstorbene hat Zu seinen Erben per Testamento verlaßen als folgt, 1.mo Herrn Johann Jacob Braun den jüngern, Goldarbeiter, welcher in selbst eigens Persohn dem Geschäfft abwartete, dießen allein in die Legitimam, das ist in den drittentheil eines vierden Stammtheils oder einen zwölfften theil der völligen Verlaßenschafft, deßgleichen seiner Herrn Johann Jacob Braunen sambtliche bereits ehelich erziehlte und etwa in das künfftige noch ferner rechnung erziehlende Kinder, deren anjetzo zweÿ mit Weÿland Frauen Margaretha Elisabetha gebohrene Wauruzin seeligen ehelich erziehlt Vorhanden mit Nahmen Johann Jacob und Margaretha Elisabetha die Braunen, dero geschwohrnen ordinari Vogt ist herr Johann Philipp Braun des Goldarbeiters und burger allhier in deßen Nahmen aber weilen er vor sich selbsten hierbeÿ interessirt Zu einem geschwohrnen Theilvogt erbetten worden herr Johann Daniel Hammer E.E. großen Raths und übriger Gerichts stellen Procurator Vicarius, welcher im Nahmen seiner Curanden in Persohn zugegen ware, dieße in die übrige zween dritte eines vierten Stammtheils oder in zween zwölffte theil der völligen Verlassenschafft,
2. Weÿland Fraun Christinæ Salome Saltzmännin gebohrner Braunin seeligen hinterlaßenen mit Herrn Johann Theobald Saltzmann dem Handelsmann und burger allhier Ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlte dreÿ Kinder mit Nahmen Jungfer Christinam Salome, Annam Barbaram und Annam Catharinam die Saltzmännin, deren geschworner ordinari Vogt ist herr Johann Friderich Martin der Apothecker und burger allhier, in deme aber uxorio nomine hierbeÿ interessirt als ist ane deßen Stelle zu einem geschwornen Theilvogt constituiret worden Herr Christian Mühlberger J. V. Ltus und beÿ Löbl. Ammeister Audientz Procurator ordinarius, welcher seiner Curanden Interresse hiebeÿ persönlich beobachtet dieße in dem Zweÿten völligen vierten Stammtheil
3.tio Herrn Johann Philipp Braun den Goldarbeiter und burger allhier, welcher in selbst eigener Persohn beÿ dem Geschäfft sich eingefunden in dem dritten völligen vierten Stammtheil, So dann
4.to frau Catharinam Magdalenam Martinin gebohrner Braunin, Hern Johann Friderich Martin des Apotheckers und burgers allhier Eheliebstin, welche mit beÿhülff bemelten Ihres Eheherrn in Persohn in dem Geschäfft beÿgewohnnt, in der vierten und letzten völligen Stammtheil, Also alle deß in Gott seelig entschlafftenen mit auch Weÿland Fraun Anna Catharina gebohrner Andrein seiner geweßenen Ehegattin längst seeligen erziehlte Herrn Söhnen Frau Tochter und Enckeln
In einer allhier zu Straßburg ane dem Staden zwischen der Schind: und St. Niclaus brucken gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 21-v) Eigenthumb ane Häußern und einem Landguth. Erstl. eine Behaußung, Bestehend in Vorder: und hinderhauß Zweÿen Höfflein und dero hoffstätten samt der gemeinschafft eines Bronnens mit allen deroselben gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Staden Zwischen der Schind: und St. Niclaus brucken, einseit neben Frauen Maria Magdalena Ströhlinin gebohrner Kriegin, herrn Johann Friderich Ströhlin des Apotheckers und hchfürstl. Marggraff baadischen Hoff Cammerraths auch Exsenatoris allhier geschiedener Ehefrauen, anderseit theils neben Weÿland Hern Johann Wilhelm Schöffler des Handelsmanns Erben und theils neben Weÿland Meister Johann Conrad Haÿl des Statthueffschmids Erben hinten auf das Grattelgäßlein stoßend, so gegen männiglichen freÿ Ledig eigen und durch (die Werckmeistere) vermög überschickter Schrifftlicher Abschatzung vom 26. Aprilis 1775 angeschlagen vor 1000 lb. Hierüber ist vorhanden ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhiesiger Cancelleÿ Contract Stub aufgerichtet datirt den 6. Septembris Anno 1732, Dabeÿ Vier alte auch allda gefertigte pergamentener Kauffbrieff de datis 3. Aprilis 1679, 8. Mertz 1680, 1. Xbris 1701 et 18. Junÿ 1716, So dann ein pergamentener Ganth Kauffbrieff mit E. E. Kleinen Raths der Statt Straßburg anhangendem Insigel verwahret de dato 13. Julÿ 1689.
(f° 21-v) It. eine Behaußung und Hoffstatt mit allen deren gebäuen, Begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane St Thomans plan (…)
(f° 22) It. eine Behaußung, Hoffstatt und Höfflein, mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten gelegen allhierZu Straßburg ane der Spießgaß (…)
(f° 22-v) It. die ohnvertheilte Helffte Von und ane zweÿen Wohnhäußern, zwoen Scheuren, verschiedenen Stallungen, Schöpffen bronnen, Hoff und hoffstatt auch verschiedenen umb den Hoff herumb Liegenden Kuchen und Graßgärthen, Welche beneben dem Hoff und denen Hoffstätten ohngefehr Fünff acker alten Maßes außmachen und auf der Metzgerau Straßburger banns ohnfern dem Richshofferischen Guth beÿ dem so genanden Neuen Hoff gelegen (…)
It. eine behaußung, Hoff und hoffstatt in dem dorff Osthoffen
(f° 28-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. hausraths 267, Sa. Schiff und geschirr zum Ackerbau gehörig 16, Sa. Pferd und Rindviehs 78, Sa. Weins und Lährer Faß 20, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 178, Sa. Goldener Ring und dergleichen Geschmeids 1194, Sa. baarschafft 111, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 3083, Sa. Eigenthums ane Häußern und einem Landguth 4473, Sa. Schulden 965, Summa summarum 10.386 lb – Sa. Schulden 5163 lb, Detrahendo verbleiben 5223 lb – Stall Summ et Conclusio finalis Inventarÿ 5223 lb
Ungewiße und Zweiffelhaffte Schulden in das Erbe zugeltend 2587 lb
(f° 54-v) Eigenthumb ane einer behaußung, It. die behaußung, bestehend in Vorder: und hinderhauß, zweÿen Höfflein, und dero hoffstätten, samt der gemeinschafft eines bronnens mit allen deroselben gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Staden Zwischen der Schind: und St. Niclaus brucken einseit neben Frauen Maria Magdalena Ströhlinin gebohrne Kriegin herrn Johann Friderich Ströhlin, des Apotheckers und hochfürstl. Marggraff baadischen Hoff Cammerraths auch Exsenatoris allhier geschiedener Ehefrauen, anderseit theils neben Weÿland Hern Johann Wilhelm Schöffler des Handelsmanns Erben und theils neben Weÿland Meister Johann Conrad Haÿl des Statthueffschmids Erben, hinten auf das Grattelgäßlein stoßend, ist Laut einer beÿ Lebzeiten des Herrn Vatters nunmehr seeligen den 19. Decembris Anno 1767 errichteten Erbs Cession Herrn Johann Philipp Braun dem Goldarbeiter und burgern allhier dem jüngern Herrn Sohn eigenthümlich Käufflichen, jedoch allererst nach des Herrn Vatters absterben habend zu beziehen, cedirt, abandonnirt, abgetretten und überlaßen worden, samt allem was darinnen Nied: Nagelfest und angemauret ist, auch denen öffen und Bauch Kößel, ingleichen denen &&eidöffe, ha&ffen und glädern, denen Vorlegschäfften und alleù geschirr ; so Zum golf : und silberscheidenn dienlich umb 2500 pfund, Umb welchen Preiß dann sothane behaußung den 13. augenschein 1776 zu seinem genuß eigenthümlichen eingeraumt und von Ihme angenommen worden
– Abschatzung Vom 26.t aprill 1775, Auff begeren weÿland herr johann jacob braun des geweßenen goldarbeither sällig hinderlaßene Erben ist Eine behausung alhier in der statt straßburg an dem Niclaus stadten gelegen Einseits neben frau strählingen anderer seits neben des schöpfflings Erben und hinden auff das gratel gäßel stoßend gelegen solche behausung bestehet in Einem ladten und werckstatt ferner in dreÿ stuben dreÿ Kuchen und Etlichen Kammern darüber ist der dachstuhl mit breidt und hollzigel belegt hat auch Ein getremter Keller hoff und gemeinschaftlichen brunnen, um Zweÿ Tausend gulden.
Der zweÿte begriff (…) [unterzeichnet] Hueber, Kaltner
– Rechnung Mein Johann Philipp Braun Goldarbeiters und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Herrn Johann Jacob Braun, des Goldarbeiters Meines bruders erziehlter anjetzo lebender zweÿer Kinder Johann Jacobs und Margarethä Elisabethä der Braunen, inhaltend Was Ich von dem Monath Aprili Anno 1775 da Ich zu dießer Vogteÿ gekommen, biß den 4. Septembris Anno 1778 Ihrentwegen Eingenommen und hingegen wieder außgegeben auch sonsten Vögtlicher weiß verrichtet und verhadet habe – Erste Rechnung dießer Vogteÿ
– Testamentum. Johann Jacob Braun der ältere, Goldarbeiter und burger allhier zu Straßburg (…) zu sich in seine eigenthümliche ane dem Staden ohnfern der St: Niclaus Kirch allhier Liegende behaußung beruffen und kommen laßen, allwo Wie denselben in deßen inhabender Wohnstub Cammer zwo Stegen hoch mit denen Fenstern auf die gaß außsehend, Zwar Krancken und ohnpäßlicgen Leibes in einem Bette Liegend (…) den 29. Martÿ 1775, Not. Johann Rudolph Dinckel
– Abtheilung auch Respective Verkauff und Erlöß Register
(f° 36) Rechnung deßen was Herr Johann Philipp Braun der jüngere Herr Sohn gemeiner Erbschafft halben Eingenommen und hingegen wieder außgegeben hat
(f° 36-v) It. aus der behaußung in der Spießgaß gelegen machte Herrn Lebrecht Rausch der Handelsmann vor ein Jahr haußzinß biß Weihnachten 1775 verfallen richtig, 162 lb
It. aus der behaußung ane dem Thomans plan gelegen liefferte Herr Advocat Mogg ane haußzinß von Annunc. Mariæ biß Joh: Bapt. 1775 für 3 Monat Verfallen, 6 lb
It. derselbe reichte ferner im Nahmen Herrn Schwing des goldarbeiters vor ein Jahr haußzinß biß Weÿhnachten 1775 Verfallen, 24 lb
It. Valentin Knapp der Wagner Zahlte auch vor ein Jahr haußzinnß auf Weÿhenachten 1775 Verfallen 16 lb
(f° 48-v) Weiter hat Herr Johann Philipp Braun der jüngere Herr Sohn seit seiner abgelegten Ersten Rechnung (…) Eingenommen und hingegen wieder außgegeben
Ane Haußzinßen, It. liefferte Herr Rausch der Handelsmann aus der behaußung in der Spießgaß seit Weihnachten 1775 biß Joh. Bapt: 1777 da selbige verkaufft worden für i. jahr und 6 Monath à162 lb
It. aus der behaußung ane dem Thomans plan gelegen, reichte Herr Schwing der goldarbeiter seit Weÿhnachten 1775 aus der einen Wohnung biß Annunc: Mariæ füt 3 Monath 6 lb
It. auf Annunc: Mariæ 1776 hat Herr Hüeter der Perucquenmacher beede Wohnungen in Lehnung übernommen und davon für i. Jahr und 6 Monath Zinß abgericht à 48 lb, 72
It. Valentin Knapp der Wagner Zahlte von einer wohnung am Thomansplan seit Weÿhenachten 1775 biß Michaelis 1776 da er ausgezogen, vor 9 Monath 12
Jean Philippe Braun fait son apprentissage chez son père de 1749 à 1754.
1749, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 104)
(f° 63) Mittwochs den 4.ten Junÿ 1749 – Eingeschriebener Lehrjung
Hr Joh: Jacob Braun, Goldarbeiter obgedacht stehet Vor und bittet Ihme seinen Sohn Johann Philipp Braun um die Goldarbeiter profession Zuerlernen auf 5. Jahr lang Vom 4.ten Junÿ 1749. biß wider dahin 1754. in die Lehr einzuschreiben. Erkannt Willfahrt dt. 8. ß d
(f° 145-v) Mittwoch den 12. Junÿ A° 1754 – Außgethaner Lehrjung
Hr Joh: Jacob Braun, Goldarbeiter stehet Vor und bitt Ihme seinen Sohn Joh: Philipp Braun aus der Lehr außzuthun, die Zeit hat sich geendet den 4. Junÿ 1754. vide die Einschreibung Vom 4. Junÿ 1749. Erkannt Willfahrt dt. 18 ß. d.
Jean Philippe Braun devient tributaire le 23 décembre 1763.
(f° 249-v) Freÿtags den 23. Xbris 1763 – Evangelischer Neuer Leibzünfftig
Hr Joh: Philipp Braun, leediger Gold Arbeiter H. Johann Jacob Braun Gold Arbeiters und Burgers allhier ehl. Sohn prod : Stallschein vom 23. 9.bris 1763. bitt Ihm vor 1. Leibzünfftig auf und anzunehmen.
Erk. Willfahrt dt. 15. ß. jur. eodem.
Jean Philippe Braun épouse Marie Madeleine Reinbold, fille du maître maçon Jean Henri Reinbold : contrat de mariage, célébration
1764 (7.2.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 427) n° 402
Eheberedung – entzwischen dem Wohl Ehren Vest Großachtbar und Kunsterfahren Herrn Johann Philipp Braun, dem Ledigen Goldarbeiter, des Wohl Ehren Vest, Großachtbahr und Kunsterfahrenn herrn Johann Jacob Braun, des ältern berühmden Goldarbeiters und burgers allhier Zu Straßburg, mit Weÿland der Wohl Ehren: und viel tugendbegabten Frauen Anna Catharina gebohrner Andrein nunmehr seeligen ehelich erzeugtem herrn Sohn, als dem herrn Bräutigamb ane einem,
So dann der Wohl Ehren:; und Viel Tugendbegabten Jungfrauen Maria Magdalena Reinboldin, Weÿland des Ehren Vest Wohlvorachtbahr und Weißen herrn Johann Heinrich Reinbold, geweßenen Steinmetzen und Maurers auch E: E: Kleinen Raths allhier alten Wohlverdienten beÿsitzers nunmehr seelige hinterlaßener mit der Wohl Ehren und Biel Tugendbegabten Frauen Margaretha Dorothea gebohrner Roggenbachin, seiner hinterbliebenen Frau Wittib ehelich erziehlter Jungfer Tochter als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem Andern theil
auf Dienstag den 7. Februarÿ Anno 1764. [unterzeichnet] Johann Philipp Braun als Bräutigam, Maria Magdalena Reinboldin braut
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 12-v n° 26)
1764. Mittwoch den 14. des Märzen, wurden nachu widerholtem Aufbieten ehelich getraut Hr Johann Philipp Braun, Goldarbeiter und burger allhier, Hn Joh: Jakob Braun, Goldarbeiters u. burgers allhier, mit Fr. Anna Catharina geb. Andrein, ehelich erzeugter Sohn, und Jungfr. Maria Magdalena weÿl. H. Joh: Heinrich Reinbol gewesenen Maurermeisters und burgers allhier mit Fr. Dorothea Margaretha geb. Rokkenbachin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Philipp Braun als Hochzeiter, Maria Magdalena Reinboldin als Hochzeiterin (i 15).
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue du Dôme qu’ils ont acquis depuis leur mariage. Les apports du mari s’élèvent à 1 371 livres, ceux de la femme à 1 126 livres.
1765 (9.1.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 406) n° 1053
Inventarium über des Ehren vest: und Kunsterfahrenen herrn Johann Philipp Braun des Goldarbeiters und der Wohl Ehren und tugendbegabten Frauen Mariä Magdalenä Braunin gebohrner Reinboldin, beeder Ehepersohnen und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1765 – welche der Ursachen alldieweilen in Ihr beeder Ehe Persohnen mit einander auffgerichteten heuraths Verschreibung expressé enthalten, daß eines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle (…) So beschehen in Straßburg, in beÿsein herrn Johann Jacob Braun, des ältern, Goldarbeiters und burgers allhier, des Eheherrn eheleiblichen Herrn Vatters und Frauen Margarethæ Dorotheæ Reinboldin gebohrner Roggenbachin, Weÿland Herrn Johann Heinrich Reinbold geweßenen Maurers und Steinmetzen, auch E: E: Kleinen Raths allhier Frau Wittib, der Ehefrauen Vielgeliebter Frau Mutter auf Mittwoch den 9. Januarÿ Anno 1765.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Münstergaß gelegenen wehrender dießer Ehe erkauffte und als ein beeder Ehepersohnen theilbahrer Nahrung gehörigen behaußung befunden worden als folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. hausraths 72, Sa. Werckzeugs Zur Goldarbeiter Profession gehörig 20, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 210, Sa. goldener Ring 1496, Sa. Schulden 348, Summa summarum 2147 lb – Schulden 863, Detrahendo 1284 lb, Hiemit ist Zu rechnen der Ihme gebührige halbe theil ane denen verehrten haußsteuren 87 ln, Des Ehemanns völlig in die Ehe gebracht Guth in vero pretio 1371 lb
Dießemnach Wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 287, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 30, Sa. Goldener Ring 81, Sa. der baarschafft 640, Summa summarum 1039 lb – Darzu Komt der Ihro Zuständige halbe theil ane denen verehrten haussteuren 87 lb, der Ehefrauen völlig in die Ehe gebracht Vermögen dem billigen werth nach 1126 lb
Ungewiß und Zweiffelhaffte Schulden in die Nahrung Zugeltend 412 lb
Jean Philippe Braun meurt en 1813 en délaissant une fille. L’inventaire est dressé chez son gendre François Ehrmann
1813 (17.2.), Strasbourg 12 (49), Not. Wengler n° 7355
Inventaire de la succession de Jean Philippe Braun, bijoutier décédé le 4 décembre 1812 – dressé à la requête de Cléophé Madeleine Braun, épouse de François Ehrmann, graveur demeurant à Strasbourg rue de la Mésange n° 5, seule et unique héritière su défunt son père le Sr Braun défunt ayant perdu depuis longtemps Marie Madeleine Reinbold sa femme
décédé chez le Sr Ehrmann son gendre
meubles 644 fr, numéraire 1000 fr, dettes actives 35.378 fr, ensemble 37. 022 fr
rente emphythéotique à Griesheim – pas de passif
une maison de campagne avec écurie, grange, jardin potager et verger le tout en un seul clos d’une superficie d’environ 50 ares ou 2 arpents et demi situé au Neuhoff, d’un côté le Sr Béné en partie Sr Marchal d’autre (-), estimé 2000 fr – acquis de Jean Jacques Braun orfèvre son frère à la Chambre des Contrats le 31 septembre 1779
pré 280 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 121 f° 150-v du 19.2.
Jean Philippe Braun vend la maison à l’orfèvre bijoutier Isaac Schaaff moyennant 15 000 francs (la femme de l’acquéreur est propriétaire d’une partie de la maison voisine, l’actuel n° 12)
1812 (11.7.), Strasbourg 12 (46), Not. Wengler n° 6835
Jean Philippe Braun, orfèvre bijoutier demeurant quai St Nicolas n° 80
Isaac Schaaff, négociant, et Amélie Goldenberg demeurant quai St Nicolas n° 81
une maison consistant en bâtiment de devant et de derrière, deux petites cours, puits entre la maison vendue et les deux des voisins y contiguës, sise à Strasbourg quai St Nicolas n° 80, d’un côté les trois frères et sœurs Goeldenberg, d’autre en partie le Sr Abraham Fries faiseur de crics, en partie me Sr Frédéric Berger aussi faiseur de crics, devant sur le quai, derrière une ruelle communale appelée Gradelgaessel – au vendeur dans la succession de Jean Jacques Braun jouaillier en conséquence de ses dispositions testamentaires, lequel a fait acquisition de l’immeuble vendue de Juliane de Geyda née Rathsamhausen à la Chambre des Contrats le 6 septembre 1732 – pour 15.000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 120 f° 43-v du 15.7.
Isaac Schaaff épouse en 1809 Amélie Goldenberg
1809 (1.7.), Strasbourg 12 (26), Not. Wengler n° 4105
Contrat de mariage – Isaac Schaaff, negociant fils majeur de feu Luc Schaaff, receveur, et de défunte Marie Salomé Jundt
Amélie Goldenberg, domiciliée en cette ville fille mineure de Jean Pierre Goldenberg, négociant, et de défunte Marie Salomé Jundt
Enregistrement de Strasbourg, acp 112 f° 75 du 5.7.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison quai Saint-Nicolas qui appartient en partie à la femme
1811 (2.11.), Strasbourg 12 (11), Not. Wengler n° 6179
Inventaire des apports d’Isaac Schaaff négociant et d’Amélie Goldenberg, suivant contrat de mariage dressé par le soussigné notaire le 1 juillet 1809, mariés le 4 décembre 1809
dans la maison quai St Nicolas n° 81 appartenant en partie à l’épouse
le mari, meubles 854 fr, numéraire 7110 fr, présents de noces 517 fr, total 8451 fr
l’épouse, total 124.714 fr, passif 1773 fr, reste 122.941 fr
Immeuble. Le tiers indivis d’une maison consistant en bâtiment de devant et de derrière, cour, pompe avec tous ses autres appartenances droits et dépendances sise en cette ville sur le quai St Nicolas n° 81, d’un côté le Sr Moll cordonnier, d’autre le Sr Braun orfèvre, devant le quai, derrière une ruelle communale, hérité de ses père et mère, estimé 8000 fr
corps de biens à Dunzenheim 2880 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 118 f° 72-v du 4.11.
Amélie Goldenberg meurt en 1819 en délaissant quatre enfants. Les biens propres à la défunte comprennent le maison (n° 12) voisine de celle acquise pendant la communauté (n° 13)
1819 (25.6.), Strasbourg 10 (25), Not. Zimmer n° 661 (8577)
Inventaire de la succession d’Amélie Goldenberg, épouse d’Isaac Schaaff propriétaire, décédée le 24 février dernier – à la requête de le veuf et de Louis Frédéric Ehrmann, négociant subrogé tuteur des enfants mineurs
La défunte a délaissé pour ses seuls enfants et uniques héritiers 1. Isaac Schaaff son époux en vertu du restament olographe, 2. Gustave Adolphe né le 12 septembre 1810, 3. Auguste Edouard né le 8 mai 1813, 4. Amélie Adèle Célestine née le 27 juillet 1817 – Contrat de mariage reçu Me Wengler le 1 juillet 1809, Testament olographe du 20 janvier 1819 enreg. le 22 avril suivant déposé en l’étude de Me Zimmer le 23 avril
Biens propres. garde robe 291 fr, meubles 3553 fr, argenterie et or 1704 fr, créances 1200 fr
Immeubles. Premièrement une maison consistant en bâtiment sur le devant et sur le derrière avec cour, pompe et toutes ses autres appartenances et dépendances sise à Strasbourg quai St Nicolas n° 81, d’un côté la propriété du Sr Moll ancien cordonnier et une maison dépendant de la communauté des conjoints Schaeff provenant du Sr Braun orfèvre ci après désignée, derrière une ruelle communale dite gradel gaessel – occupée par le veuf et l’héritier, estimé 750 fr, et par le Sr Striedbeck négociant qui occupé le rez de chaussée pour 750 fr, estimé 3000 fr – de laquelle maison un tiers est échu à la veuve dans la succession de Jean Pierre Goldenberg, négociant, et Marie Salomé Jundt ses père et mère, un second tiers dans la succession de Frédéric Goldenberg son frère germain commis négociant, suivant partage et liquidation dressé par Me Wengler le 25 novembre 1813 et le dernier tiers cédé à la défunte par Wilhelmine Goldenberg sa sœur épouse de Louis Frédéric Ehrmann négociant, cohéritière dans la succession de fraternelle, le 25 novembre 1813
un corps de biens à Duntzenheim de 3 ha 6612 fr, remplois 110.708 fr, ensemble 154.079 fr
Communauté. mobilier 1477 fr, vins et tonneaux 3130 fr, argenterie et or 1141 fr, numéraire 80 fr, fonds de commerce 75.000 fr, dettes actives 745 fr
Une maison à Strasbourg, savoir une maison avec cour, pompe, appartenances et dépendances sise à Strasbourg quay St Nicolas n° 80, d’un côté la maison ci dessus désignée propre aux héritiers, d’autre le Sr Fries faiseur de crics, derrière une ruelle communale – ladite maison est occupée par le Sr Schaaff batelier pour un loyer de 150 fr, Mde Keck pour 250 fr, Mad. veuve Grün pour 200 fr, ensemble 600 fr, estimée 12.000 fr – acquise de Jean Philippe Braun bijoutier par acte reçu Me Wengler le 11 juillet 1812, propriété constatée par un acte à la Chambre des contrats le 6 septembre 1732
ensemble de l’actif 93.575 fr, passif 119.535 fr
propres du veuf, mobilier 795 fr, remploi 8422 fr, déduire 1200 fr, solde 7222 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 143 f° 123 du 28.6.
Isaac Schaaff se remarie avec Caroline Pauline Eschenauer
1822 (9.7.), Strasbourg 10 (34), Me Zimmer n° 640, 9430
Contrat de mariage – Isaac Schaaff, propriétaire veuf avec enfants d’Amélie Goldenberg, décédée le 24 février 1819
Caroline Pauline Eschenauer née le 15 frimaire an VII (5 décembre 1798), fille majeure de Jean François Eschenauer, négociant, et de Caroline Frédérique Hey
communauté d’acquets partageable par moitié
Enregistrement de Strasbourg, acp 158 f° 86 du 12.7.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison acquise pendant la première communauté
1823 (5.8.), Strasbourg 9 (anc. cote 45), Me Hickel n° 1299
Inventaire des apports d’Isaac Schaaff, négociant faisant le commerce sous la raison Halder et Cie, et Caroline Pauline Eschenauer, suivant contrat de mariage reçu Me Zimmer le 9 juillet 1822
Apports du mary 11.876 fr, créances 76.446 fr, ensemble 88.322 fr
immeubles, 1) 5/8 par indivis dans une maison avec cour, pompe, appartenances & dépendances située à Strasbourg quai St Nicolas n° 80, d’un côté la maison ci dessous désignée, d’autre la propriété du Sr Fries faiseur de crics, derrière une ruelle communale. Dans le cas où les enfants du premier lit du Sr Schaaff renonceraient à la communauté, le Sr Schaaf deviendrait propriétaire de la totalité de l’immeuble qui appartient pour moitié à M Schaaf pour en avoir acquis la totalité conjointement avec Amélie Goldenberg sa femme en premières noces de Jean Philippe Braun bijoutier, suivant acte dressé par Me Wengler le 11 juillet 1812. Il est propriétaire de 1/8 pour l’avoir recueilli dans la succession de la De Schaff dont il était légataire pour un quart suivant testament olographe du 20 janvier 1819 déposé enl’étude de Me Zimmer le 23 du même mois
2. le quart par indivis dans une maison consistant en bâtiment de devant & de derrière avec cour, pompe, autres appartenances & dépendances située à Strasbourg quai St Nicolas n° 81, entre propriété du Sr Moll, cordonnier, et la maison dont la désignation précède, derrière sur la ruelle dite Grattel Gaessel
le quart d’un corps de biens à Duntzenheim
apports de la femme 9375 fr et immeubles à Niederschaeffolsheim
Enregistrement de Strasbourg, acp 164 F° 65 du 13.8.
Inventaire dressé après la mort du locataire Christophe Théophile Dœrnhœfer
1836 (13.8.), Strasbourg 10 (91), Me Zimmer n° 2305
Inventaire de la succession de Christophe Théophile Doernhoefer, propriétaire, décédé le 17 décembre 1835 – à la requête de Jean Michel Jaeger, tailleur d’habits à Nuremberg (Bavière) mandataire d’Anne Marie Jaeger née Lauterbach sa femme, héritier du défunt son oncle décédé non marié
dans le logement que le défunt occupait au premier étage de la maison sise au quai St Nicolas n° 80
Testament ci dessus découvert, Dlle Marie Madeleine Klein légataire universelle
Enregistrement de Strasbourg, acp 243 f° 23 du 19.8.
Isaac Schaaff et Pauline Eschenauer vendent la maison à Marie Madeleine Schützenberger, veuve du marchand quincaillier Jean Georges Stammler. Isaac Schaaff est devenu seul propriétaire par renonciation de ses enfants en premières noces à la succession de leur mère en 1844
1847 (13.8.), Strasbourg 12 (172), Not. Noetinger n° 19.498
Est comparu Monsieur Isaac Schaaff, négociant, demeurant à Strasbourg & Dame Pauline Eschenauer son épouse qu’il autorisé demeurant avec lui (ont vendu)
à Madame Marie Madeleine Schützenberger, propriétaire demeurant à Strasbourg, veuve de Mr Jean Georges Stammler en son vivant marchand quincailler en cette ville
Désignation. Une Maison avec cour & arrière cour, droits & dépendances, sise à Strasbourg, quai Saint-Nicolas n° 80, composée 1° d’un grand corps de bâtiment, consistant en un rez de chaussée & trois étages donnant sur le quai, 2° d’un autre corps de bâtiment au fond de la cour, consistant en rez de chaussée & deux étages, 3° d’un bâtiment de communication à trois étages sur rez de chaussée, galeries & balustres, reliant les deux précédents l’un à l’autre, 4° d’un petit pavillon en charpente à rez de chaussée & deux étages situé dans l’arrière cour & attenant au bâtiment de communication. Le tout tenant d’un côté à Edouard Schaaff, de l’autre à la veuve Freyss & au sieur Fuchs boulanger, donnant devant sur le quai & par derrière sur la rue Graettel. (…) y compris cinq fourneaux en fayence & un fourneau en fonte avec leurs tuyaux & pierres, deux plateaux, deux pots économiques, une chaudière en cuivre, ensemble les contre chassis & doubles fenêtres décrochetés.
Etablissement de la propriété. Mr Schaaff est devenu propriétaire de la maison dont il s’agit au moyen de l’acquisition qu’il en a faite conjointement avec feue Dame Amélie Goldenberg sa première femme, suivant contrat de vente passé devant M° Wengler prédécesseur immédiat du notaire instrumentaire soussigné le 11 juillet 1812. La vente lui a été consentie par le Sr Jean Philippe Braun, bijoutier à Strasbourg, moyennant le prix de 15.000 francs (…). Par suite cette maison faisait partie de la Communauté de biens qui avait existé entre M. Schaaff & sa première femme ci-dessus nommée, mais au moyen de la renonciation faite par les héritiers de cette dernière suivant acte passé devant M° Zimmer & son collègue notaires en cette ville les 31 mai & premier juillet 1844 elle appartient en totalité aud. sieur Schaaff. Ce même immeuble avait appartenu au Sr Jean Philippe Braun comme l’ayant hérité de Jean Jacques Braun son père décédé à Strasbourg, lequel en avait fait l’acquisition sue Dame Julienne de Geyder née de Rathsamhausen suivant contrat du 6 septembre 1832 passé à al chambre des contrats de Strasbourg – Prix 18.000 francs
A ces présentes sont intervenus 1° M. Gustave Adolphe Schaaff, commis négociant demeurant à Strasbourg, 2° M. Auguste Edouard Schaaff, docteur en médecine & Dame Cécile Liebold son épouse qu’il autorise, demeurant en cette ville, 3° Dame Amélie Adèle Célestine Schaaff épouse assistée & autorisée à cet effet de M. Edouard Stromeyer notaire à Fegersheim où il demeure, lesquels ont par ces présentes reconnu n’avoir aucun droit de propriété à exerver sur la maison qui vient d’être vendue par M. Isaac Schaaff, leur père & beau père
acp 364 (3 Q 30 079) f° 52
L’épinglier Jean Georges Stammler épouse en 1812 Marie Madeleine Schützenberger, fille d’épinglier
1812 (16.4.), Strasbourg 12 (43), Not. Wengler n° 6627
Contrat de mariage – Jean Georges Stammler, épinglier fils de Jean Frédéric Stammler épinglier et de Marie Madeleine Klein
Marie Madeleine Schützenberger, fille majeure de Georges Jacques Schützenberger, marchand épinglier, et de Marguerite Heid
Enregistrement de Strasbourg, acp 119 f° 113-v du 18.4.
Jean Georges Stammler meurt en 1840 en délaissant cinq enfants
1840 (14.10.), Strasbourg 12 (153), Me Noetinger n° 12 832
Inventaire de la succession de Jean Georges Stammler, marchand quincailler décédé le 27 mai 1840, dressé à la requête de Marie Madeleine Schützenberger la veuve mère et tutrice légale de ses deux enfants procréés avec le défunt Marie Caroline âgé de 20 ans et Julie Amélie âgé de 16 ans, 2. Marie Louise Stammler épouse de Geoffroi Auguste Ehrmann, maître d’hôtel à l’Homme Sauvage, 3. Geoffroi Auguste Ehrmann, mandataire de Jean Georges Stammler, fourrier au 33° de ligne, 4. Marie Sophie Stammler, majeure, héritiers pour 1/5 du défunt, en présence de Henri Guillaume Reinhardt, négociant, subrogé tuteur – Contrat de mariage reçu Me Wengler le 16 avril 1812
dans une maison à Strasbourg rue Mercière n° 6
Enregistrement de Strasbourg, acp 282 f° 30-v du 20.10.
Marie Madeleine Schützenberger hypothèque la maison au profit du marchand de farine Georges Henri Cappus
1847 (4. 8.br), Strasbourg 12 (172), Not. Noetinger n° 19.622
Obligation – A comparu Madame Marie Madeleine Schützenberger, propriétaire demeurant à Strasbourg, veuve de Mr Jean Georges Stammler en son vivant marchand quincailler en cette ville, laquelle a, par ces présentes, reconnu devoir bien & légitimement
à Monsieur Georges Henry Cappus ancien marchand de farine demeurant à Strasbourg, ci présent et acceptant, la somme principale de 6000 francs
hypothèque spécialement. Une Maison avec cour & arrière cour, droits & dépendances, sise à Strasbourg, quai Saint-Nicolas n° 80, consistant en 1° un grand corps de bâtiment, consistant en un rez de chaussée & trois étages donnant sur le quai, 2° un autre corps de bâtiment au fond de la cour, consistant en rez de chaussée & deux étages, 3° un bâtiment de communication à trois étages sur rez de chaussée, galeries & balustres, reliant les deux précédents l’un à l’autre, 4° un petit pavillon en charpente à rez de chaussée & deux étages situé dans l’arrière cour & attenant au bâtiment de communication. Le tout tenant d’un côté à Edouard Schaaff, de l’autre à la veuve Freyss & au sieur Fuchs boulanger, donnant devant sur le quai & par derrière sur la rue Graettel.
Mme Stammler est devenue propriétaire de cet immeuble pour l’avoir acquis du Sr Isaac Schaaff négociant & Dame Pauline Eschenauer conjoints demeurant à Strasbourg suivant contrat de vente passé devant M° Noetinger, l’un des notaires soussignés qui en a la minute & son collègue le 13 août 1847 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 27 août 1847 vol. 469 N° 71
Inventaire dressé après la mort du locataire David Geoffroi Théodore Weguelin dit Wegelin
1856 (7.8.), Strasbourg 9 (111), Not. Becker n° 7209
Inventaire de la succession de David Geoffroi Théodore Weguelin dit Wegelin, en son vivant ancien négociant à Strasbourg où il est décédé le 18 mai 1856.
L’an 1856, le Jeudi 7 août à sept heures du matin, à la requête 1° de M. Théodore-Gustave Weguelin dit Wegelin, négociant demeurant à Mulhouse, 2° de De Henriette-Eveline Weguelin dit Wegelin, épouse de Mr Chrétien-Frédéric Schmidt, pasteur demeurant ensemble à Sundhausen, 3° de Madlle Louise-Mathilde Weguelin dit Wegelin,majeure, sans état, demeurant ausit Sundhausen, autrefois à Strasbourg, 4° de Madlle Nanette-Bertha Weguelin dit Wegelin, aussi sans état demeurant à Strasbourg, majeure d’après la loi en vigueur en France, mais encore mineure d’après la oi en vigueur dans la celle de Saint-Gallm en Suisse, d’où son père était originaire et où tous les enfants Weguelin ont conservé un droit de bourgeoisie de sorte que leur capacité civile se trouve réglée par la loi en viguer dans cette dernière ville, d’après aquelle la majorité ne commence qu’à l’âge de vingt-trois ans révolus, 5° de mondit Sr Schmidt, agissant a) pour autoriser ladite De Schmidt née Weguelin sa femme, b) comme tuteur datif de 1. Frédéric Ferdinand Weguelin dit Wegelin, mineur issu du mariage des défunts Sr David-Geoffroi-Théodore Weguelin dit Wegelin en son nom ancien négociant à Strasbourg et de De Henriette-Sophie-Chrétienne Cramer sa femme, 2. de ladite Dlle Louise-Mathilde Weguelin aussi sisnommée (…) lesdits Théodore Gustave Weguelin, dame Schmidt, deux Dlles Weguelin et mineurs Weguelin seuls héritiers chacun pour un cinquième mais sous bénéfice d’inventaire seulement de feu ledit Sr David Geoffroi Théodore Weguelin leur père, En présence de Mr Jean-Georges Hickel, propriétaire demeurant à Strasbourg, agissant au nom et comme subrogé tuteur dudit mineur Frédéric-Ferdinand Weguelin dit Wegelin
dans une maison sise )à Strasbourg quai St Nicolas n° 80
Titres et papiers.. Cote première. Inventaire après le décès de feue Mad. Weguelin. Ledit Me Becker a produit le minute de l’inventaire dressé par lui en date au commencement du 22 mai 1850.
acp 452 (3 Q 30 167) f° 75-v du 13.8. (succession déclarée le 29 octobre 1856)
Il dépend de la dite succession, garde robe estimée 140
Description de la communauté selon l’inventaire dressé le 22 mai 1850, actif 50.486, passif 46.022, reste 6464, la moitié faisant 3232 à déduire les droits d’hérédité 178, reste 3053
Les cinq enfants de feu Marie Madeleine Schützenberger hypothèquent la maison au profit du limonadier Gustave Jean Baptiste Hauswald
1861 (28.2.), Strasbourg 13 (nouv. 86), Not. Flach (Jean Georges) n° 4343
Obligation – Ont comparu 1° M. Jean Georges Stammler Chevalier de la Légion d’Honneur, capitaine au 36° régiment d’infanterie de ligne, 2° Madame Marie Louise Stammler, épouse de M. Geoffroi Auguste Ehrmann, agent des paquebots américains à Strasbourg, M. Ehrmann agissant tant pour et au nom de son épouse que chargé d’administration provisoire de Mlle Julie Amélie Stammler, majeure d’ans domiciliée à Strasbourg, placée à l’asile de Stephansfeld & non interdite, suivant jugement rendu par le tribunal de Strasbourg le 23 juillet 1851, 3° Madlle Sophie Stammler, majeure d’ans, sans état, tous demeurant à Strasbourg, 4° Et Mad. Caroline Stammler épouse assistée et autorisée de M. Edouard Heim, sous inspecteur des contributions indirectes demeurant ensemble à Wissembourg (ont reconnu devoir)
à M. Gustave Jean Baptiste Hauswald, limonadier demeurant à Strasbourg à ce présent et acceptant, la somme principale de 8000 francs
(hypothèque) Une maison avec cour & arrière cour, droits et dépendances sise à Strasbourg, quai St Nicolas N° 13 ancien n° 80, composée 1° d’un grand corps de bâtiment à rez de chaussée & trois étages donnant sur le quai, 2° d’un corps de bâtiment au fond de la cour à rez de chaussée & deux étages, 3° d’un bâtiment de communication à rez de chaussée & trois étages, galeries et balustre reliant les deux précédents corps de bâtiment, 4° et d’un petit pavillon en charpente à rez de chaussée & deux étages situé dans l’arrière cour, le tout tenant d’un côté à Edouard Schaaff, de l’autre à la veuve Heym et au sieur Fuchs boulanger, donnant devant sur le quai et derrière sur la rue Graetel. (…) Limmeuble ci-dessus hypothéqué dépend de la succession de Mad. Marie Madeleine Schützenberger décédée veuve de M. Jean Georges Stammler vivant marchand domicilié à Strasbourg & appartient aujourd’hui par indivis à ses cinq enfants susnommés ses seuls et uniques héritiers. Feu Mad. Stammler a fait l’acquisition de cet immeuble après le décès de son mari de M. Isaac Schaaff négociant et de De Pauline Eschenauer demeurant à Strasbourg par un contrat passé devant Me Noetinger notaire à Strasbourg le 13 août 1847 transcrit au bureau des hypothèques volume 463 N° 71
Strasbourg 13 (nouv. 87), Jean Georges Flach n° 4354 du 12 mars 1861 – Acceptation par M. Jules Windisch demeurant à Strasbourg agent principal de la compagnie d’assurances contre l’incendie dite le Soleil
Copropriétaire de la maison, le capitaine Jean Georges Stammler meurt en 1872 après avoir institué sa sœur Sophie comme légataire universelle
1872, M° Flach
11 Juli 1866. Testament von Johann Georg Stammler, retirirter Hauptmann durch welches er seiner Schwester Sophie Stammler volljährig in Straßburg, als einzige Erbin einsetzt, gestorben den 19. März 1872.
acp 604 (3 Q 30 319) f° 34-v du 10.4.
Not. Flach, 11. April – Notorietäts Act, bestätigend denwahren Namen von Johann Georg Stammler in Straßburg den 19. März 1872 gestorben.
acp 604 (3 Q 30 319) f° 48 du 15.4. n° 1318
Le propriétaire suivant le négociant Jules Achille Birr épouse en 1870 Susette Victorine Weiler
1870 (16.6.), Strasbourg 10 (165), Not. Kœrttgé (Jean Théodore) n° 1717
Contrat de mariage – Ont comparu 1. M. Jules Achille Birr, commis négociant, demeurant et domicilié à Strasbourg, né à Strasbourg le 29 mars 1847 du légitime mariage de M. Charles Edouard Birr, négociant, & de Marie Louise Zinck, son épouse, les deux demeurant et domiciliés àà Strasbourg, stipulant comme futur époux
2. Madlle Susette Victorine Weiler, sans état, en jouissance de ses droits, demeurant et domiciliée à Strasbourg, née en cette ville le 27 août 1848 du légitime mariage de feu M Charles Frédéric Weiler, fabricant d’huile, & de De Anne Susanne Sonntag, ses père et mère défunts, stipulant comme future épouse
acp 594 (3 Q 30 309) f° 35-v du 15.6. – stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Le survivant aura l’usufruit de la moitié des biens de la communauté
Le futur ne stipule aucun apport. Ceux de la future épouse consistent en une valeur de 18.400
Donation réciproque par les futurs au survivant d’aux ed l’usufruit de toute la succession du prémourant, réductible en cas d’enfants