2, quai au Sable
Quai au Sable n° 2 – VI 410 (Blondel), O 508 puis section 21 parcelle 52 (cadastre)
Reconstruite en 1756, maître d’ouvrage Jean Daniel Senckeissen, tailleur
Transformations en 1866, maître d’ouvrage Alphonse Henri Müller
Maison (la plus basse) avant sa reconstruction en 1756, gravure de Jean Martin Weiss, 1741 (Représentation des fêtes données par la ville de Strasbourg pour la convalescence du Roi, à l’arrivée et pendant le séjour de Sa Majesté en cette ville)
Façade en mars 2013, les étages sont pourvus de volets
Le voisin Nicolas Adolff qui exploite des bains au Rosier achète la maison en 1586 pour agrandir ses bains au rez-de-chaussée en ouvrant une communication. Il est autorisé en 1588 à construire une galerie de trois pieds et demi de large sur toute la longueur de la maison, soit 32 pieds 9 pouces, mais ne la réalise pas. Les héritiers du baigneur Nicolas Grüninger vendent en 1650 la maison au batelier Jean Volmar Senger. La veuve et les héritiers de son fils Jean Paul Senger vendent la maison au tailleur Jean Christophe Senckeissen. A sa mort en 1721, la maison comprend un bâtiment avant, un ancien bâtiment arrière et deux galeries latérales. Jean Daniel Senckeissen en devient propriétaire en 1750. Son voisin le baigneur Jean Daniel Jully lui vend en 1754 une partie de sa cave. Il fait reconstruire en 1756 la maison qu’il aligne avec ses voisins en l’avançant sur le communal. Il est en outre autorisé à poser deux marches sur le communal comme son voisin. Le cafetier Jean Jacques Reibel achète en 1772 la maison dont il réaménage le premier étage. Il la revend en 1780 au cafetier François Goucheron. Adolphe Seyboth mentionne (édition en allemand, p. 239) que le café Goucheron porte l’enseigne à la Grenade (1781) ou à l’île de Grenade (1789), appellation sans doute due à l’origine du propriétaire de la maison voisine (n° 3), Louis Barbier qui avait été ingénieur à l’île de Grenade. La veuve de François Goucheron se remarie en 1800 avec Antoine Joseph Brissez. Le café est ensuite connu sous le nom de Café Brissez.
Plan-relief, la maison est la deuxième du quai à partir de la gauche (1727, Musée historique, cliché Claude Menninger, © Inventaire général, ADAGP 2006)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 201 (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve à gauche du repère (b) ; rez-de-chaussée à une porte et quatre fenêtres, deux étages à cinq fenêtres, toitures à deux niveaux de mansardes à lucarnes. La cour A représente l’arrière (1-4) du bâtiment sur quai, le bâtiment latéral (1-2) à l’ouest, le bâtiment (2-3) au fond de la cour et le mur (3-4) vers le voisin à l’est.
La maison porte d’abord le n° 5 (1784-1857) puis le n° 2.
Jacques Frédéric Schweighæusser est propriétaire à partir de 1821. Son fils vend en 1865 la maison au rentier Alphonse Henri Müller qui fait de nouvelles constructions en 1866 comme en témoigne le cadastre (le revenu passe de 270 à 411 francs, le nombre de fenêtres au-dessus du deuxième étage de 8 à 17) sens cependant modifier la façade. Alphonse Henri Müller qui s’est établi à Versailles vend la maison à l’agent d’assurances Jules Louis Auguste Windisch qui la transmet à sa fille unique, femme de l’agent d’assurances Gaton Paira.
mai 2023
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1596 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Thomas Georger | ||
1586 | v | Nicolas Adolff, boulanger puis baigneur et (1553) Marthe Volsperger, auparavant (v. 1547) épouse de Léonard Eberhard – luthériens |
1617 | h | Nicolas Adolff, pasteur, et (1579) Véronique Haffner, (1616) Apollonie, auparavant (1585) femme du débitant de vin Jean Seifert puis (1588) du boulanger Gall Gloner, puis (1628) Susanne Schad – luthériens |
1622 | v | Nicolas Grüninger, baigneur, et (1610) Barbe Andres – luthériens |
1650 | v | Jean Volmar Senger, batelier, et (1634) Marguerite Pfeiffer puis (1660) Barbe Motz, auparavant (1639) femme de l’horloger Urbain Truckenbrodt – luthériens |
1690* | h | Jean Paul Senger, batelier, et (1678) Susanne Volck – luthériens |
1718 | v | Jean Christophe Senckeissen, tailleur, et (1710) Marie Dorothée Hellbeck dite Bœhm remariée (1723) avec le tailleur Frédéric Buessmann – luthériens |
1750 | h | Jean Daniel Senckeissen, tailleur, et (1735) Marie Dorothée Jilly (Gilg) puis (1758) Marie Madeleine Etter – luthériens |
1772 | v | Jean Jacques Reibel, cafetier, et (1758) Anne Marguerite Kob – catholiques |
1780 | v | François Goucheron, cafetier, et (1762) Marie Anne Ehlengast, auparavant (1745) femme du cafetier Jean Paulus, puis (1775) Salomé Ebner, auparavant (1773) femme du taillandier Jean Gœrges, remariée (1800) avec le capitaine Antoine Joseph Brissez – catholiques |
1812 | v | (Jacques) Jonathan Braun, aubergiste puis meunier, receveur de l’octroi, et (1801) Catherine (Dorothée) Rœderer |
1821 | v | Jacques Frédéric Schweighæusser, docteur en médecine, et (1798) Marie Madeleine Grün |
1865 | v | Alphonse Henri Müller, rentier, célibataire († 1882) |
1872 | v | Jules Louis Auguste Windisch, agent d’assurances, et (1867) Barbe Marguerite Kœpffel |
Daniel Gaston Paira, agent d’assurances, et (1884) Juliette Augustine Marie Marguerite Windisch |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 425 livres en 1751 ; 525 livres en 1750, 1 750 livres en 1758
(1765, Liste Blondel) VI 410, Jean Daniel Senkeissen
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Reibel, 5 toises, 3 pieds et 10 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 508, Schweighaeuser, Jacques Frédéric, médecin quai au Sable – maison, sol – 3,7 ares
Locations
1794 (café) Jean Jacques Reumann
1803 (café) Jean Daniel Schneegans et Marguerite Roth
1817 (café) Jacques Hantzmetzger
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 59
Nicolas Adolff de Spire, baigneur au Rosier, doit 14 sols pour sa maison à côté des bains, à savoir un bac à vigne (4 pieds ½ de large), un autre bac à vigne (5 pieds ½ de long, 4 pieds de large), des latrines en pierres (4 pieds 9 pouces de large, saillie de 2 pieds ½)
Hinden beÿ der Badtstuben Zum Roßbaum vnd v. dem Platz beim Mülstein
Niclaus Adolff von Speir der Bader zum Roßbaum hatt ein hauß darneben auch dauor ein Rebcasten 4 ½ schu breit, Item ein Rebcasten 5 ½ schu lang vnd 4 schu breÿt, Item mehr ein Inge Zeünt Steinerin Profeÿ 4 schu 9 Zoll breÿt vnd 2 ½ schu herauß, Soll Allmendt sein vnd bleiben, Bessert für das Niessen, xiiij ß d
[in margine :] Nota. Vff diß Ingezeünt Profeÿ fürhin ein Järlichen bestendige Zinß zuschlagen.
Protocole des Quinze
1586, Protocole des Quinze (2 R 16)
Nicolas Adolff qui exploite des bains fréquentés par la meilleure société a acheté de la veuve Thomas Jœrger la maison entre les bains et la maison Mœrfelder pour y placer des cuves au rez-de-chaussée en ouvrant une communication avec les bains, l’étage restant un logement. Les préposés se rendent sur place. La maison qui a 72 pieds sur 33 doit rester une habitation mais le baigneur pourra ouvrir une communication au rez-de-chaussée pour y placer des cuves et des baignoires l’été.
Niclaus Adolff. 147. 167. 192. 195.
(f° 147-v) XV. Augusti – Niclaus Adolff Bader, Heuser Zusamen prechen
Niclaus Adolff der bader Zum Roßbaum für sich und Innammen H Johann Caroli Helffers Im Münster seiner Kinder vogt, der er entschuldigt seins außpleybens, vbergibt p. Bittelb. ein Splôn Zuverleßen, Dar Inn sein anzeig ob wohl das Bad Zum Roßbaum das herrlichst bad allhie, da groß herren vnd fürnemm leüth gern ettwa Inn bütten od. wannen bieden So hab er doch keinen platz bütten Zustellen, haben derwegen Thoman Jörgers selig wittwe Ir hauß Zwüschen dem Bad und Mörfeldern gelegen abkaufft d. sie Ir vberlang noch obenauff wohnen solle, Pitten der augenschein ein Zunemmen vnd Zuerlauben, den undern theill Zum Bad durchzuprech. vnd Zu den Bütten Zugerauchen Soll das ober dannoch ein abgesondert burger wohnung pleyb. & weittleüffigs Innhalts &
Erkant Mein h. XV sollen Zu gelegener Zeitt auff den augenschein kommen vnd Ime dasselb Iezu anzeigen, Man werds besehen. B.
(f° 167) [mention erronée]
(f° 192) Montag den III Octobris – Bader Zum Roßbaum
Idem [Zeigt weither an der Stallschreyber] Er sey willens morgen Zu viij uhren die beyden augenschein Zum Roßbaum vnd dinttenhörnlin darumb der Bader vnd Carle Trompeter angesucht für Zunemmen, habs die dreÿ vnd werckleuth wüßen lassen, wölls man h auch verkundt haben Morg. Zu vij Ist Zu viij seÿ die parttheÿ auch bescheiden sich finden Zu laß.
(f° 194-v) Zinstag den IIII Octobris – Bader Zum Roßbaum, Carle Kürsner Trommeter
Zu acht vhren seind der herren ettlich Zu wagen, die andere, wie auch dreÿer, lonher werckleüth p. pedes auff den augenschein Zum Rooßbaum, vnd von dannen Zum dinttenhörnlin gefahren und gangen. Darnach wider Inn der XV.stub erschinen, da erstlich der lonher vnd werrckleüth als Meister Jacob der Zimmermann vnd Dieboldt Frawlter Maurer, darnach Baltassar Stosser vnd Ambrosius Jörger von der dreÿer weg. Zugeg. gehörtt worden, find sich die lenge des haußes neb. dem Bad 72 schuh vberhaupt, die breÿdte Zwüschen den Mauren 33 schuh ein freÿer platz Zu einer Zimlichen burgerswohnung, gleich wohl Ist Im Bad kein sondere gelegenheitt od. Raum bütten Zustellen, Seind vast alle der meynung, d. mans soll ein abgesonderte wohnung pleyben lassen, Allein dem Bader ein durchpruch vnden gonnen, d. er Im Sommer den platz Inn diß nebenhauß Zu stellung der bütten vnd Wannen, auch platz Zum holtz legen haben vnd prauchen möge.
Im Dinttenhörnlin (…) Souihl nuhn den Bad Zum Roßbaum belangt Ist Erkant, Man soll Ime vmb souil willfahren, d. er vnden Im bad ein bogen Ins neb. hauß durchprechen, den vndern platz Zu buwen vnd holtz prauchen möge, doch alßo d. diße behaußung ein abgesonderte hauß wonung sein vnd pleÿben, vnd Jeder Zeitt burger darinnen Zuwohnen solle verleÿhen werden.
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1588, Préposés au bâtiment (VII 1304)
Nicolas Adolff demande l’autorisation de construire une galerie de trois pieds et demi de large sur toute la longueur de la maison, soit 32 pieds 9 pouces. Les préposés limitent la largeur à celle du grenier du requérant et au pignon de son voisin Blaise Egen. Ils demandent en outre un loyer annuel de cinq sols. Nicolas Adolff demande un délai de réflexion.
Nicolas Adolff et son voisin Blaise Egen (propriétaire de l’actuel n° 3) demandent le même jour l’autorisation d’enclore le terrain entre leurs maison et la risberne et d’en faire un jardin en laissant un passage (à la manière du chemin et des jardins derrière les maisons de la rue des Veaux). Les préposés refusent d’aliéner le communal.
Niclaus Adolff bader im Roßbad vmb genglin. 41.
Blasius Egen und Niclaus Adolff, Landvesten vor iren heusern. 41.
(f° 41) Sambstag den 14.ten Martÿ – Niclaus Adolff bader im Rosenbad
Niclaus Adolff der Bader Im Rosbad begert An seinem huß geg. dem waßer Im Zughennen Ein genglin Zumach. so lang od. breit sein huß Ist vnd d. selbig vierdhalb schu breitt, Ist nach Ingekommen augenschein vnd d. herrn Abmeßung 32 schu 9 Zoll breit od. lang d. d. nimand verhinderlich, Inn sein begeren Zugelaßen Jn der breite wie d. Speich huß An seiner behusung vnd Blasi Egen gebell hinauß gond vnd nur* wther vmb fünff schilling Jerliche Allmend Zinß vnd d. Allmend sein vnd pleib. soll. D. hatt Er Zubedencken genommen.
(f° 41) Blasius Egen und Niclaus Adolff obgemelt
Niclaus Adolff obgemelt vnd Blasius Egen der schaffner Alß nachbar hab. Auch begert dieweil sie die Landvesten vor iren heusern haben sollen vnd müßen Inen Zuuerghonnen hat die Allmend so weith Ir Jedeß huß godt doch Ein fuhrweg Zu dem selbig. vßgeschloßen, Zuverschlagen vnd d. selbige Zu Einem gärtlin Zugebrauchen, Ist nach fürgenommene Augenschein d. nit nutzlich alle platz In Zu Zieh. vnd Zu verluh*. Inen Ir begeren freundlich Abgeschlagen.
1755, Préposés au bâtiment (VII 1406)
Les préposés autorisent le tailleur Jean Daniel Senckeissen à faire travailer son menuisier sur le communal sur la place au Sable près du Pont Neuf.
(f° 94) Dienstags den 18. Novembris 1755. – Joh: Daniel Senckeißen
Johann Daniel Senckeißen der schneider bittet um erlaubnus auf dem so genannten Sand Platz beÿ der Neüen bruck Zimmern Zulaßen. Erkannt gegen 15. ß Zinß Willfahrt. dt. Eodem 15. ß
1756, Préposés au bâtiment (VII 1407)
Jean Daniel Senckeissen qui a l’intention de reconstruire sa maison demande l’autorisation de l’avancer sur le communal en l’alignant avec les voisines. Le terrain a 33 pieds ½ de long, quatre pieds d’un côté et deux pieds quatre pouces de l’autre. Les préposés l’y autorisent moyennant un loyer de 10 sols ou un capital de 12 livres. Jean Daniel Senckeissen demande le même jour l’autorisation de poser deux marches sur le communal comme son voisin Ehrmann. Il y est autorisé en payant un capital de 3 livres, soit 15 livres (30 florins) en tout.
(f° 11) Samstags den 13. Ejusdem [Martÿ 1756] – Joh: Daniel Senckeißen
An Johann Daniel Senckeißen deß schneiders Hauß am Sandplatz Unterhalb der Neüen bruck, welches 32 ½ schuhe breit, und auf einer seithe 4. schuhe, auf der Andern seithe 2. schuhe 4. Zoll Von denen Häußern darneben Zurückstehet und da er das Hauß neü bauen will, bittet er um erlaubnus denen anderen häußern Zugleich Vorzubauen. Erkannt Willfahrt gegen 10. ß jährlichen Zinßes, oder 12. lb ein für alle mahl Zubezahlen. vid. Infra fol: 14.
Idem – nach abgehandeltem Augenschein bate Senckeißen auch um erlaubnus Zweÿ steinene stafflen Vor die Haußthür Zulegen, wie Ehrmann sein Nachbar deren dreÿ hat. Erkannt sollen H. Lohner und Werckmeister die sach Examiniren, und nächstens referiren.
(f° 14) Dienstags den 23. Martÿ 1756. – Joh: Daniel Senckeißen
Auf H. Samuel Werner des Werckmeisters auf der statt Maurhoff abgestatteten bericht, daß Johann Daniel Senckeißen dem schneider mit Legung Zweÿer staffelen Vor sein Hauß, wie oben fol: 11 Gemeldet, gar wohl Willfahrt werden Könte, ist Erkannt, werden dem Imploranten die Zweÿ stafflen mit dem beding erlaubt, daß er Hiervon 6. fl. weiter, und also für das Vorbauen seines Haußes und die stafflen Zusammen, ein für alle mahl 30. fl. bezahlen solle, so er acceptirt.
dt. den 29. Martÿ 1756.
Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)
1774. Le maître maçon Jean Lingenhœlin décrit les travaux à faire dans la maison du cafetier Jacques Reibel sur la place au Sable : une cuisine avec un fourneau et une hotte de cheminée au premier étage vers la place. Il y aura un mur coupe-feu entre la cuisine et la chambre pour éviter qu’un malheur ne se reproduise, la cheminée aura une porte de ramonage en fer.
(p. 320) Dienstags den 26. Aprilis 1774. – Jacob Reibel der Caffee sieder, will in seiner auf den Sandplatz gegelenen behaußung in den ersten stock im vorder gebäu eine Stube gegen dem platz hinden daran Eine Kuchen mit heerd und Caminschoß machen, das Rohr mitten durchs gebäu von allem holtz entfernt, und wegen entstandenem unglück ist Zwischen der Kuchen und Cammer ane Statt, so sonst das Rohr von dem untern ofen die wand Zumachte, eine feuer maur aufgeführt, und in das Rohr neben dieser wand ein Eißern thürlein eingesetzt worden, damit von der aussäuberung des Camins der herbabfallende Rueß kan heraus gezogen werden. Erkandt, auf vorbeschriebene art willfahrt – Mr Lingenhölin
Description de la maison
- 1721 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, cuisines, vestibules, bûcher, caves sous solives, un vieux bâtiment arrière à demi-toit où se trouvent plusieurs poêles, chambres et ([biffé] séchoir), deux galeries latérales, un four à lessive au-dessous d’une des galeries, cave sous solives, puits, cour, autres appartenances et dépendances, le tout estimé à la somme de 850 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
3° arrondissement ou Canton sud – Quai au Sable
nouveau N° / ancien N° : 5 / 7
Schweughaeuser
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 25 f° 180 case 1
Schweighaeuser, Jacques Frédéric, medecin, quai au Sable N° 5
O 508, maison, sol, quai au Sable 5
Contenance : 3,70
Revenu total : 271,92 (270 et 1,92)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 48 / 38
fenêtres du 3° et au-dessus : 8 / 6
Cadastre napoléonien, registre 26 f° 59 case 1
Schweighaeusser, Jacques Frédéric, Medecin, 1866
1866 Muller Alhonse Henri
1874 Windisch, Julius Ludwig August, Feuerversicherungs-Direktor
1886/87 Windisch Juliette Augustine, Maria Margaretha Gattin von Gaston Paira, Versicherungs-Agent
1896/97 1. Paira Andreas, 2. Paira Marcellus durch Nutznießerin Windisch Juliette geschiedene Ehefrau Paira Gaston
O 508, Maison, sol, quai au Sable 2
Contenance : 3,70
Revenu total : 271,92 (270 et 1,92)
Folio de provenance : (180)
Folio de destination : 59, augm. de C.on de 1866 – Sol Gb
Année d’entrée :
Année de sortie : 1869
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 48 / 38
fenêtres du 3° et au-dessus : 8 / 6
O 508, Maison
Revenu total : 412,92 (411 et 1,92)
Folio de provenance : 59, augm. de C.on de 1866
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1869
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 49 / 39
fenêtres du 3° et au-dessus : 17 / 14
1869, Augmentations – Muller Alphonse Henri f° 29, O 508, Maison, revenu 411, Aug.on de Const.on, achevée en 1866, imposable en 1869, imposée en 1869
Diminutions – Muller Alphonse Henri f° 29, O 508, Maison, revenu 270, Aug.on de Const.on de 1866, supp. en 1869
Cadastre allemand, registre 21 p. 267 case 9
Parcelle, section 21, n° 52 – autrefois O 508.p
Canton : Sandplätzchen N° 2
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 2,25
Revenu : 3100 – 3400
Remarques
(Propriétaire), compte 922
Paira Gaston
1904 Dr. Geisse William u. Miteig.
1910 Paira Gaston Daniel, Versicherungsgeneralagent / sa veuve
(3186)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton VI, Rue 179 du Bain aux Roses p. 322
5
Pr. Guscheron, François, Caffetier – Fribourg
Lo: Gall, Frederic, Négt. – Miroir
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Sandplätzchen (Seite 142)
(Haus Nr.) 2
Paira, Vers.-Gen.-Agent. 01
Ehrmann, Rentner. 2
Notter, Wwe. 3
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 728 W 13)
2, quai au Sable (1866-1990)
Le dossier relate les affaires habituelles (prises de gaz, ravalements). La maison est endommagée lors des bombardements du 11 août et du 25 septembre 1944. Un cabinet médical y est cité depuis 1986.
Sommaire
- 1866 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier Hoff soit autorisé à faire au nom du sieur Müller une prise pour environ deux becs
- 1895 – Le maire notifie le sieur Paira de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant trois volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique. – Travaux terminés, décembre 1996
- 1905 – Les vitriers Sigel Frères (24, rue des Frères) demandent l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Le commissaire de police transmet la demande au maire – Autorisation – L’échafaudage a été démonté, septembre
- 1915 – Commission des logements militaires. La maison doit être raccordée aux canalisations – Le propriétaire demande un délai jusqu’à la fin de la guerre. La commission constate que les cabinets d’aisance sont bien tenus et qu’il y a peu de monde dans la maison.
- 1946 – La maison est endommagée lors des bombardements du 11 août et du 25 septembre 1944. Alice Paira demande un certificat de sinistré
- 1959 – Mlle Haitaian est autorisée à poser un échafaudage devant les 2 et 3, quai au Sable
- 1978 – Guy Duplat demande l’autorisation de faire ravaler la façade et de poser un échafaudage sur la voie publique – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Travaux terminés, janvier 1980 – Le propriétaire n’obtient pas de subvention, faute d’avoir déposé sa demande après les travaux.
- 1986 – Rapport de la commission de sécurité, cabinet médical de Solange Fialon
- 1990 – Guy et Marianne Duplat demandent l’autorisation de repeindre les façades sur rue et sur cour – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable
Relevé d’actes
La maison appartient depuis 1586 au baigneur Nicolas Adolff, propriétaire de la maison voisine. Boulanger originaire de Spire, il épouse en 1553 Marthe, veuve de Léonard Eberhard
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 28 n° 33)
1553. Auff den 11. Julÿ seind Ehelich Ingesegnet worden Niclaus Adolff von Speir vnd Martha Lienhart Eberharts verlaßene witwe (i 22)
Nicolas Adolff devient bourgeois par sa femme Marthe Volsperger, veuve de Léonard Eberhard
1553, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 86
Nyclauß adolff vonn Speyr hat d. burgrecht Empfangen von Martha volspergerin weyllandt lienhart Eberhartz verlaßene witwe seiner ehelichenn Haußfrouwen vnd dient Zun becken. act. den sybenden augusty anô xv C funtzig vnd drey
L’éperonnier Léonard Eberhard est devenu bourgeois par sa femme Marthe, fille de Marc Volsperger, en 1553
1547, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 36
Lienhardt Eberhart der Sporer hat d. burgkreht empfangen von Martha weiland Marx Volspergers tochter, seÿner Eefrawen, vnd dienet Zun Schmiden. Act. eod. die [xviij Octob.]
Baptêmes à la cathédrale (registre lacunaire, notamment entre août et novembre 1556. Nicolas Adolff est boulanger à l’acte de 1562.
Baptême, cathédrale (luth. f° 53) 1557. Auff den 22. August. P. Niclaus Adolph, M. Marta, I. Israel
Compatrini, Herr Melchior Speccerus, Michael Herman der beck, Anna Valentin Jegers des Metzgers hausfraw (i 64)
Baptême, cathédrale (luth. f° 169-v) 1562. Sonntag den 12. Julÿ. P. Niclaß Adolff ein beck, M. Marta, I. Melchiorl
Comp. Herr Melchior Speccer pfarh. Su S. Thom. Michael Herman der Ju*s beck bej d. Sch.bruck, Catharina Michael Rantzen selige docht. (i 183)
La maison revient pour un quart aux consorts Riedinger de Mundolsheim. Trois frères Riedinger s’établissent à Strasbourg, le baigneur Thiébaut Riedinger devient bourgeois en 1601, Laurent Riedinger en 1609 et Jacques en 1613
1601, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105), p. 641
Diebold Riedinger der Bader knecht von Mundoltzheim Khaufft das Burgerrecht gibt sein Nahrung für 250 fl. ahn, will Zur Mörin dienen. Act. d. 7. Marttÿ A°1601
1609, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 745
Lorentz Rüedinger von Mundoltzheim Khaufft d. Burgerrecht, mit Beÿstandt wolff Simons deß Kornwerffers wüll Zur Lucernen dienen vnd 150 gulden verstallen. Actum Donnerstag den 9. Marttÿ A°1609
1613, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 772
Jacob Rueding. Von Munoltzheim Khaufft d. Burgkrecht mit Beÿstandt hanß Müller deß Kornwerffers wüll Zu Lucernen dienen. Actum den 21. 8.bris 1613
Le messager assermenté Thiébaut Riedinger, les remueurs de grains Laurent et Jacques Riedinger, les trois de Strasbourg, Jean et Sébastien Riedinger de Mundolsheim, tous cinq frères, et Urbain Lorentz de Mundolsheim au nom de sa femme Anne Riedinger vendent un quart du tiers de la maison à Nicolas Adolff, ancien pasteur de Zutzendorf, et à sa femme Apollonie Fürstbaum
1617 (8. tag Februarÿ), Chancellerie, vol. 427 (Registranda Kügler) f° 56
Erschienen Diebold Rüdinger geschworner bott, Lorentz vnd Jacob Rüdinger Kornwerffer, burgere Zu Straßburg vnd dann hannß vnd Bastian Rüdinger wonhafft Zu Mundoltzheim alle Fünff gebrüdere So dann Urban Lorentz als Ehevogt Anna Rüdingerin Auch seßhafft Zu Mundoltzheim (verkaufft)
herrn Niclaus Adolff gewesenen Pfarrher Zu Zutzendorff vnd frauwen Aplonien Fürstbeümin sein Ehegemahlin Ihren beder Erben
Einen vierten theÿl Ihnen für unvertheÿt am drittheÿl Zuuor ustendig ane huß hoffestatt vnd höfflin mit allen Andern Iren gebeüwen & gelegen Inn der Statt Straßburg beÿ der Neuwen brucken Einseit neben dem Bad Zum Roßbaum genant Anderseit herr Bläß Egen Schaffners stost hinden vf herr hannß Schatzen dreÿ Zehnern, so ledig eÿgen Vnd were diser Verkauff für ledig eÿgen Zugangen vnd beschehen vmb 120. guldin Zu fünffzehn batzen
Laurent Rüdiger de Mundolsheim, Sébastien Rüdiger, Ursule Rüdiger veuve du tanneur Jean Wagenmann et Anne Rüdiger femme du maçon Jacques Baum vendent deux quarts de la maison audit Nicolas Adolff
1617 (15. Februarÿ), Chancellerie, vol. 427 (Registranda Kügler) n° 64
Erschienen Sind Lorentz Rüdiger der Schneÿder wonhafft Zu Mundoltzheim für ein vierdttheyl am dritteil Mehr Bastian Rüdiger der schloßer vnd Catharinen sein ehelich hußfr. Item Ursula Rüdigerin bemlr. Bastians schwester Wÿland hanns Wagen man* des Rothgerbers selig witwen Mit beÿstand Pauli Starcken Ires geschwornen Vogts, Item Jacob Baum Murer vnd Anna Rüdigerin sein ehegemahll bemlten beÿder Bastians vnd Ursulen schwester, So dann Susanna Rüdigerin Jr schwester Michell Burckharts des Tagloners ehegemahll Mit beÿstand deßelb. Verkauff. unuer.
dem Ehrwürdig wolg. herrn Magister herrn Nicolai Adolffen geweß. pfarrh. Zu Zißendorff, Ime
Zwen vierdetheil daran einen Ime Lorentz Rüding. v. den vier geschwistrd. Im gantz. Zust.dig für vieretheyl am dritheyl geb. von v. ane huß hoffestatt v höffl. mit all Ir rechten* geleg. Inn d. S S. beÿ der Neuwenbruck einseyt dem Bad Zur Roß baum genant dem herrn kheuffer auch Zustendig anderseÿt neben D Blaßin Eggen stoßend hind vff herrn hanß Schatzen dreÿzehn für der ledig eÿg daran die Zweÿtheÿl vnd Zweÿ viertheÿl am dritheil Ehrengmt herr Kheuffer Zuvor Zustendig der kauff besch. v 240 guld.
Nicolas Adolff, pasteur à Weiterswiller, épouse en 1579 Véronique, fille du serrurier Jean Haffner d’Ellwangen (en Wurtemberg)
Mariage, cathédrale (luth. p. 15)
1579 Dnicâ V post Epiphanias. 8. Februarÿ M. Nicolaus Adolphus Pfarrer zu Weiterßweiler vnd Veronica, Hansen Hafners des Schloßers Zu Elwangen nachgelaßne Tochter. Montags 16.ten Februarÿ (i 10)
Nicolas Adolff se remarie en 1616 avec Apollonie, veuve de Gall Gloner.
Mariage, cathédrale (luth. p. 44)
1616. Dominica XI Trin: den 11. August. H. Mag. Niclaus Adolphi gewesener pfarrer Zu Zutzendorf vnd Fr. Apolonia, H gall gloners n. witwe, eingesegnet im frügebet Zinstag d. 20. Augusti (i 27)
Le boulanger Gall Gloner le jeune épouse en 1588 Apollonie, veuve du débitant de vin Jean Seifert
Mariage, cathédrale (luth. p. 142)
1588. Dominica Sexagesima 11. Februarÿ. Gall Gloner der jünger der Beck und Mehlman, vnd Apollonia, Hans Seifert des Weinschencken nachg. wittib. Eingesegnet Montag den 19. Februarÿ (i 74)
Le débitant de vin Jean Seifert épouse en 1585 Apollonie, fille du jardinier Jean Fürstbaum
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 45-v)
1585. Am Sontag vt supra [nach ostern den 25. Aprilis] Hanns Seiffert ein weinzapffer neben dem *, J Appolonia H Hans Fürstbaums eines garttners vnder den wagnern tochter, dise sind mir vom vatter der brautt * dem Brauttigam selbs angezeigt worden (i 257)
Nicolas Adolff se remarie en 1628 avec Susanne, fille du cordonnier Jean Schad.
Mariage, cathédrale (luth. p. 259)
1628. Dominica 10. Trin. 17. Aug. H. Mag. Nicolaus Adolphi gewesener pfarrer zu Zutzendorf vnd J Susanna Hans Schaden des schuhmachers n. tochter eingesegnet in der Rupertsaw montag 8. 7.br)
Notice biographique de Marie Joseph Bopp (Die evangelischen Geistlichen und Theologen in Elsass und Lothringen von der Reformation bis zur Gegenwart). Nicolas Adolphi est fils du baigneur Nicolas Adolff. Il meurt à Strasbourg le 14 septembre 1629.
(Bopp, n° 16) Nikolaus Adolphi, Mag.
° Strassburg 9. Sept. 1556. Sohn von Nikolaus Adolphi, Rosenbadbesitzer, und Martha Volsperger, x a) 16. Feb. 1579 Veronika Hafner, Schlosserstocher aus Ellwangen, † 22. Jan. 1616, x b) 20. Aug. 1616 Apollonia Fürstmann [sic], Wittwe von Gallus Gloner, † 15. Nov. 1626, x c) 8. Sep. 1629 Susanna Schad, Tochter des Schuhmachers Johann Schad – Stud. in Straßburg, 1574 Bacc. phil., 1578 Mag. phil., Ord. am 17 Juni 1578
25. Feb. 1578 Pf. in Niederhausbergen, 1578-1579 in Entzheim, 1579-1582 in Weitersweiler, 1582-1599 in Zutzendorf, wegen Leibesschwachheit entlassen, † Straßburg 14. Sep. 1629
Isaak Fröreisen Progr. Fun. Argent, 1629. Spitalarchiv Straßburg Nr 1225, 5890-5949
Nicolas Adolff vend le bain aux Roses et la maison voisine à Nicolas Grüninger, baigneur au bain de la Lie, et à sa femme Barbe Andres
1622 (x. Septembris), Chancellerie, vol. 446 (Registranda Meyger) f° 329
(Inchoat. in Prot. fol. 243.) Erschienen h. Niclauß Adolff burger Zu Straßburg (verkaufft)
H. Niclauß Grieninger Bader Im Trusenbadt und Barbaræ Andresin seiner ehelich. haußer. So auch Zugeg.
das Rossbadt mit sampt einem nebenthauß, Zweÿ höfflin vnd Zweÿ Brunn Auch Allen And. Ihren geb. & gelg. Inn d. St. St. beÿ der Neuen Bruck. einseit ein Eck geg. derselb. Bruck. vnd Anderseit nebent h. Bläß Egen hind. vf hannß Wilhelm Schatz stoßend, dauon gend iij. lb d gelts Lösig mit Lx lb d vff 9. Aprilis den Allmoßen Zu Sant Marx, Mehr ij lb v ß d gelts für xxxxv lb gerechnet, vff Valentini Jungfr. Simburg Böcklein, So dann xij gl gelts lösig iij C gl Werung vff Faßnacht J. Sebastian Müeg, Sunst freÿ ledig vnd eÿg. & Vnd Alles Recht & Also das & Vnnd Ist disser Khauff vber obgehörtte beschwerd. so der Kheüffer vff sich genommen, Zugangen vnd bescheh. für vnd vmb v. M. iiij C. Lxxv gl p. 15. batz
(vide in Regist. 1634. fol. 38. fa. 2)
[in margine :] Erschienen h. Niclaus Adolffus mit bst h. Benedict Groß b. h. Daniel Strintz. Notari hatt in gegensein h. doctoris andreæ Schellen als vogt Barbaræ gld* h. Niclauß Grieningers s. Witwen vnd hanß Schaff. desselb. kind* Vormund (…) q.tirt Act. 15. Decembris 1624*
Le baigneur Nicolas Grüninger épouse en 1610 Barbe, fille de l’aubergiste Raoul Andres
Mariage, cathédrale (luth. p. 245)
1610. dc. 2. Trinitatis Niclauß Gruniger der Bader und Barbara Rudolff Andres wirt Zum guldin adler n.g. tochter (i 126)
Barbe, veuve du baigeur Nicolas Grüninger, hypothèque les bains et la maison voisine au profit de Thiébaut Ammel, prévôt d’Illkirch et de Graffenstaden
1626 (3. feb.), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 103
(P. fol. 54) Erschienen Barbara weÿ: Niclauß Grüening.s gewesenen Roßbads. see. witib mit beÿstandt herren D. Andreæ Schollen kleinen Rhats procuratoris vndt Aduocaten ihres geordneten vogts
bekante in gegensein Dieboldt Ammels Schultheiß. Zu Illkürch vnd Grauenstad. – schuldig seÿe 200. gld.
dafür Vnderpfand sein soll Ihr der Schuldbekennerin zum dritetheil gebürende Beßerung am Rosenbadt vnd dem Nebens hauß alhie beÿ der Newen brucken, j. seit ein Eck 2. seit neben H. Bleß Egen s. Erben, hind. vff hannß Wilhelm Schatz stoßend gelegen
Barbe, veuve du baigeur Nicolas Grüninger, hypothèque le tiers qui lui appartient de la maison voisine des bains au profit de Sébastien Gambs
1641 (27. martÿ), Chambre des Contrats, vol. 486 f° 241-v
(Mutuum cum grli. & speciali) Erschienen Fr. Barbara Niclaus Gröningers des Roßbaders hinderlaßene witib, mit beÿstand des Ehrenvesten und hochgelehrten H. D. Andreæ Schollen E. E. Kleinen Raths Advocaten und Procuratoris ihres Vogts, bekante
in gegensein H Sebastian Gambßen burgers alhie – schuldig seÿen 100. lib
dafür in specie Vnderpfand sein soll, Ein dritter theil ihro für unvertheilt gebührendt ahne hauß, hoff, hoffstatt Und allen deren gebäwen &, geleg. alhie beÿ der Newen bruckhen, neben dem Roßbad && H M. Bläß Egen E. E. Großen raths Procuratori hinden Vff hannß Wilhelm Schatzen stoßend, Von welcher gantzen behaußung gehet Jährlichen 5. fl. Jacob Küblern Schaffners weiß lößig mit 100. fl., sonsten dißer 1/3 theil ledig eÿgen Wie & daran die Übrigen 2/3 theil Ihren 3. Kindern zuständig und Sie Widembs weiß zugenieß.
Ursule Grüninger femme de Joachim Frédéric Schœnermarck et Nicolas Grüninger, orfèvre au Grand-Saconnex près de Genève vendent la maison voisine du Bain aux Roses au batelier Jean Volmar Senger, assisté de son frère Jean Philippe Senger
1650 (19. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 507 f° 602
Erschienen H Joachim Friderich Schönermarckh alß Ehevogt Ursulæ Gröningerin, und alß Nicolao Gröningers deß Goldschmidts beÿ Genff en grand Saconet wohnhaft seines Schwagers (…) hierzu gevollmächtigter Befelchhaber mit beÿstand H Friderich Deckhers dero recht. Doctoris & Advocati
hatt in gegensein hannß Volmar Sengers deß Schiffmanns mit beÿstand hannß Philipß Sengers deß Schiffmanns seines Bruders und hannß Mathiß Bären
Zweÿ häußer ein vorders und ein hinders mit deren hoff, hoffstätten und allen andern ihren Gebäwen alhie beÿ der newen Bruckh. neben dem Rosbad ein: und anderseit neben H M. Blasio Eggen E.E. groß. Rhats Procuratoren, hind. vff weÿl. H Hannß Wilhelm Schatzen deß handelßmanns seel. wittib und Erben stoßend gelegen, so verhafftet ist umb 50. lib Capital Weÿl. H Nicolai Adolphi seel: Stifftung, Item umb 50. lib. Rudolph Brackhenhoffern dem Goltarbeiter Gesellen, daran die helffte also bahr und die übrige helffte vff Joh. Bapt: a° 1651. sampt dem Zinnß Zu bezahlen, Vnd dann umb 15. lib Georg Metzgern dem Barbierern zu Emmeding. ehevögtlicher weiße – umb 445. lib
[in margine f° 603-v:] Erschienen der Verkäuffer, hatt in gegensein Margarethæ deß Käuffers ehelich. haußfrauen mit beÿstand hannß Wilhelm Pfeiffers deß hoßenstrickhers ihres Bruders und hannß Philippß Sängers deß Schiffmanns ihres Schwagers beed. alß in abweßenheit ihres Ehemanns so in der franckhforter Meß seÿe (…) Act. 24. Spt. a° 1656
Jean Vlomar Senger sollicite le Magistrat pour obtenir une quittance de Nicolas Grüninger, manant au Grand-Saconnex
1651 Conseillers et XXI (1 R 134)
(f° 139) Montag d. 18. August. – Hanß Volmar Senger Vm Intercessionales
Hanß Volmar Senger Schiffmann p.ducirt per Knaffel. vnd.ge Supplication p. Intercessionalibus an die Obrigkeit Zu groß Saconeln, Wegen eines haußbrieffs an welchem Nicolaus Gröninger Welcher alß Ein hindersaß daselbst Auff halb part hatt, Begerth Ein formliche Quittung Wolle alß den Zählen. Erk. Ist Ihme Wilfarth worden.
Garçon batelier originaire d’Oberhoffen, Jean Volmar Senger épouse en 1634 Marguerite Pfeiffer, fille du tailleur Loup Pfeiffer : contrat de mariage, célébration
1634 (4. 7.br), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 44) f° 52-v
Eheberedung – Zwischen dem Ehrsamen und Bescheidenen Hannß Volmar Sengern, dem Schiffknecht Von Oberhoffen, Wÿlandt deß Ehrsamen Pauli Sengers, geweßenen Vischers Zu bemelttem Oberhoffen seeligen hinderlaßenem Sohn, ane einem
Vndt der Ehrn: vnd tugendtsamen Jungfrawen Margarethæ Pfeifferin, auch weÿlandt deß Ehrenhafften Wolff Pfeiffers, geweßenen Schneiders burgers alhie Zue Straßburg seeligen hinderlaßene dochter am Andern Theil
So beschehen vndt verhandelt in dießer deß heiligen Reichs freÿen Statt Straßburg Auff Donnerstag den 4. tag deß monaths Septembris, Im Jahr deß Herren Alß mann Zahlte 1634.
Mariage, cathédrale (luth. p. 349)
1624. Doîca XVI Trin: 21 7.bris. Hans Volmar Senger der schifknecht, paulus Senger des fischers Zu Oberhoffen n. sohn und J. Margreth Wolff pfeiffers des schneiders n. tochter, eingesegnet montag 29. 7.bris (i 179)
Jean Volmar Senger d’Oberhoffen devient bourgeois par sa femme trois mois après son mariage
1634, 4° Livre de bourgeoisie p. 144
hannß Volmar Senger der Schüffknecht von oberhoff. Empfangt d. Burgerrecht Von Margaretha weÿland wolff pfüsters deß Schneid. eheliche tochter seiner haußfraw Woll Zum Enck. Zünfftig werden 30. 10.bris 1634.
Jean Volmar Senger dans les registres des Quinze et des Conseillers et Vingt-et-Un
1652, Protocole des Quinze (2 R 70) Hanß Volmar Senger. 289. 298. (pt° Straaff, Saltz Zu Maintz geladen)
1653, Protocole des Quinze (2 R 71) Hanß Volmar Senger. [Philipp Senger et Consorten] 2. [Hans Volmar Sengers haußfr.] 10. 232. (pt° Straaff)
1654, Protocole des Quinze (2 R 72) Hanß Volmar Senger. 14. (pt° Straaff moderation)
1671, Protocole des Quinze (2 R 88) Hannß Volmar Senger 40. (pt° Straaff)
Marguerite, femme de Jean Volmar Senger qui se trouve alors à la foire de Francfort, assistée de son frère Jean Guillaume Pfeiffer et de son beau-frère Jean Philippe Senger, rembourse le prix restant dû à Schœnmarck en empruntant la somme nécessaire au marchand Jean Charles Strintz (voir la quittance à l’acte de 1650)
1656 (24. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 518 f° 481-v
Erschienen Margaretha, hanß Volmar Sengers deß Schiffmanns Eheweib, in abweßenheit erstermelts ihres Ehemanns so in der franckforter Meß seÿen mit beÿstand hannß Wilhelm Pfeiffers deß hosenstrickhers ihres Bruders, hannß Philipß Sänger deß Schiffmanns ihres Schwagers und Michael Braunen deß Weißbeckh ihres Nachbahrn
in gegensein H Hannß Carol Strintzen deß handelsmanns
bekannt, daß Sie Margaretha von ihme Strintz. 20. lib. Zu em Ende vffgenohmen habe, daß H Joachim Friderich Schönermarckh, umb den der ahne eingangß genannten hannß Volmar Sengern verkauffen Behaußung, noch gehabten Kauffschillingß rest vollends bezahlt werd. und Er H. Strintz ohnmittelbahr und ohne einige schädliche Newerung in sein Hn Schönemarckhs hierumb gehabten befreÿte Unterpfands Gerechtigkeit würcklich eintretten sollen
Les Quinze renvoient aux administrateurs de la Tour aux deniers la décision concernant l’amende à infliger à la succession de Jean Volmar Senger qui a déclaré une fortune sous-estimée de moitié
1658, Protocole des Quinze (2 R 76)
(f° 154-v) Dienstag den 24. Aug. – Stall Ca. Hanß Jacob Eberlin und Hanß Volmar Senger.
Obere Stallherren referiren, daß diesen morgen sie Inuentaria so von dreÿeren deß Stallß vermög ordnung in diese Stub remittirt worden, examinirt, vndt befunden, daß dem Ersten Hanß Jacob Eberlin dem Stattgerichts bott 500 fl. (…)
In dem andern Hanß Volmar Senger d. Schiffmann 900 fl. in nahrung hat, vnd allein 400 500 fl. Verstallet, dahero für Nachtrag v. sonst. dem Stall schuldig 12. lb 6 s Weilen nun beede gemelte Inventaria in Qualitate et Quntitate nicht von sonderlicher importantz, alß vermeinen Deputirte es köndten solche pt° mulctæ wider, nach den Jüngsten præjudiciis ane die Herren dreÿern gewieß. wd. Erkandt, Würd d. bedacht gefolgt.
Jean Volmar Senger se remarie en 1660 avec Barbe, veuve de l’horloger Urbain Truckenbrodt
Mariage, cathédrale (luth. f° 121 n° 37)
1660. Dca 8 Trin. die 12. Aug: Zum 2 mahl hans Volmar Senger der Schiffman undt Burger alhie und Barbara Weiland Urban Truckenbrodts gewesenen Uhrenmachers undt Burgers alhie hinderlaßene Wittib. Montags den 20. Aug: Encker, Münster, Thierg. (i 122)
Originaire de Sexau (en Bade) l’horloger Urbain Truckenbrodt épouse en 1639 Barbe, fille du tisserand Jean Motz : contrat de mariage, célébration
1639 (18. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 483 f° 601-v
(Protocollat. fol. 150. – Eheberedung) Erschienen Urban Druckenbrod der Klein Uhrenmacher Von Sexaw in der Marggraffschafft Hochburg gelegen, alß hochzeiter, mit Beÿstand Anthoni Wentzels auch Klein Uhrenmachers und burgers Zu Straßburg an einem,
So dann Barbara weÿ. hanß Mootz geweßenen Leinenwebers vnd burg. see: alhie hind.laßene eheliche dochter alß Hochzeiterin, mit beÿstand Lazari Gohringen deß Hosenstrickers ihres Vogts und Jost Müllers Klein Uhrenmachers ihres Schwagern, am andern theil
Fürs ander dieweilen Sie beede New angehende Ehepersonen albereith vor Zweÿen Jahres, mit einander und also ins gemein Ein Behaußung und Scheür, beneben etlichen Güetern alß Ehrd Acker, Reben undt Matten in dem Flecken und Bann Ballingen in der Herrschafft Hochburg gehörig, gelegen, erkaufft (…)
Urbain Truckenbrodt est fils de Jean Truckenbrodt, l’acte ne donne ni le prénom ni le nom du père de la mariée
Mariage, cathédrale (luth. p. 424)
1639. Dom. 6. Trinitatis. Urban Truckenbrodt der Klein Uhrenmacher von Sechsaw Hanß truckenbrod deß Kieffer daselbst hinderlaßener Ehelicher Sohn Vnd Jungfrauw Barbara deß geweßenen Leinenwebers vnd burgers allhie nachgelaßene eheliche Tochter. eingesegnet Mont. Im Münster den 29. Julÿ (i 217)
Jean Volmar Senger hypothèque la maison au profit de Catherine Berner, veuve Saltzmann
1660 (12. april), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 415-v
Erschienen Hannß Volmar Sänger der Schiffmann
in gegensein H Johann Philipß Schmidts deß Stattrichters im nahmen Fr. Catharinæ Saltzmännin, wittibin gebohrner Bernerin – schuldig seÿen 75 pfund
Unterpfand sein sollen Zwo tertz. ihme für ohnvertheilt gebührend ahne Zweÿen häußern, einem vordern und hindern, auch deren hoff, hoffstätten und allen übrig. Gebäwen, alhie beÿ der newen Bruckh einseit neben dem Rosbad, anderseit neben H Blasio Eggen alt. groß. Rhats Procuratori, hinden uff weÿl. H Hannß Wilhelm Schatzen deß handelßmanns seel. Erben stoßend gelegen, daran die übrige tertz seinen Kindern gehörig.
La maison revient à son fils batelier Jean Paul Senger qui épouse en 1678 Susanne, fille du péager fluvial Jean Jacques Volck
Mariage, cathédrale (luth. f° 56-v) n° 9)
1678. Dom: Oculi Zum 2 mahl Hanß Paulus Senger der Schiffknecht, Hanß Volmar Sengers Schiffmanns u. Burgers alhier ehel. Sohn, Jfr. Susanna Hn Johann Jacob Volcken Wasserzollers in Ruprechtsaw ehel. T. Donnerstags den 24. Martÿ (i 55)
Jean Paul Senger hypothèque la maison au profit de Jean Frédéric Sachs, receveur de l’Orphelinat
1690 (20.3.), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 150-v
Hannß Paul Senger der Schiffknecht
in gegensein H. Johann Friderich Saxen alß Schaffners deß Weÿßenhaußes – schuldig seÿe 50 Pfund
unterpfand, die helffte einer behaußung allhier beÿ der Newenbruck einseit neben dem Roßbad, einseit neben Georg Fritschmann dem Schreiner, hinden uff Johann düring. stoßend geleg.
Barbe Senger femme du garçon batelier André Niclaus vend un tiers de la moitié de la maison aux deux enfants mineurs de Jean Georges Senger, Marie Marguerite fiancée à l’aubergiste Jean Daniel Voltz et Mathias Senger
1697 (22.6.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 297
Barbara geb. Sengerin Andreas Niclaußen des Schiffknechts haußfrau
in gegensein Jfr. Mariæ Margarethæ Sengerin Und Matthiæ Sengers beder geschwistrigen weÿl. hans Georg Sengers gewesenen Schiffmanns seel. nachgelaßenen noch lediger 2. Kinder mit beÿstand hans Paul Sengers auch Schiffmanns Ihres noch ohnentledigten Vogts Und Johann Daniel Volcken deß würths, obged. Mariæ Margarethæ Verlobten
Erstlich einen dritten theil für ohnvertheilt an der Helffte einer Behaußung mit allen deren Gebaüen, begriffen, weithen, rechten, zugehördten und Gerechtigkeiten allhier beÿ der neüen brucken einseit neben dem rooßbad anderseit neben hans Georg Fritschmann dem Schreiner hind. auff H. Johann dürninger dem Tuchscherer stoßend gelegen, Von welcher gantzen behaußung gehend Jährlich auff Michaelis 2 lb 10 ß d Zinnß ablößig mit 50 lb Capital d. Nicolaj adolphischen stifftung
Ferner einen dritten theil auch für ohnvertheilt an hauß, höfflein, hoffstatt und bronnen mit allen deren Gebäuden, begriffen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier in der Vorstatt Krautenau gegen dem Wilhelmer Kloster über, im Narrengaßlein, einseit neben einer behaußung so dem waisenhauß gehörig, anderseit neben St. Johannis Gießen hinten auf ein Allmend gäßlein stoßend gelegen, Von welchem gantzen hauß gehen jährlich 4 lb Zinns, weÿl. H. Hannß Jacob von Zabern E.E. großen Raths alten beÿsitzers seel. Erben, ablösig in Capital mit 100 lb, So seÿe ged. dritte theil umb 50 lb (verhafftet) – umb 67 pfund
Daniel Volck et Marguerite Sænger hypothèquent lleur quart de maison au profit de Jacques Incker, huissier à la trubu des Pêcheurs
1703 (7.5.), Chambre des Contrats, vol. 576 p. 211
Joh: Daniel Volck thurnhüther u. Marg: geb. Sängerin mit beÿstand Joh: Jacob Jungen fischers u. Joh: Jacob Jnckels büttels auf der fischerstueb
in gegensein Joh: Winthers büchßenmachers – schuldig seÿen 25 pfund [unterzeichnet] Johannes Winder
der Correæ vierdten theil für unvertheilt ahn einem Hauß cum appertinentiis neben dem Roßbad allhier einseit neben besagtem bad anderseit neben Joh: Georg Fritschmann schreinern hinten auf die Türingerische hauß stoßend gelegen
Jean Volmar Senger, Barbe Senger veuve Niclaus, Marie Elisabeth Stœr femme du batelier Jean Stœr et le cordier Jean Stœr vendent les deux tiers de la maison à Susanne Volck veuve Senger, usufruitière de la maison
1704 (24.1.), Chambre des Contrats, vol. 577 f° 47-v
Hanß Volmar Senger schiffbauer für sich, Item Barbara Niclausin wittib geb. Sengerin mit beÿstand H. David Stammen Horblohners weilen unbevögtigt, Ferners Maria Elisabetha geb. Störin Hanß Martin Barthels schiffmanns Haußfr: u. dann Hanß Martin Barthel schiffmann alß vogt Joh: Stören ledigen seÿlers
in gegensein Susannæ geb. Volckin weÿl. Joh: Paul Sengers schiffmanns wittib mit beÿstand u. Consens obigen Hn Stammen Dero Curatoris, daß obige vier interessenten alß EE. ahn ernanten Sengers Verlaßenschafft ihro Sengerischer wittib alß wÿdembsnießerin
ihre Vier sechste theil eÿgenthums ahn der helfte eines Haußes, Hoffstatt bronnen, sambt allen anderen deren weithen, rechten, zugehörden u. gerechtigkeit allhier unterhalb der neuen brucken einseit neben Joh: Steinbrechern Roßbadern anderseit neben Hanß Georg Fritschmann schreinern hinten auf Hn Frid: Kipßen den Paßmentirer stoßend gelegen, welche gantze behaußung annoch 50 Cap. verhaftet
Ferner Cediren Sie, eingangs gedachter vier Verkäufere, ihro der wittib auch ihr vier sechste theil deß eÿgenthums ahn erst mentionirten 19 lb so die gesambte Sengerische EE auf erstberührten gantzen hauß alß ein præcipuum besag dickbesagten Joh: Paul Sengers Verlaßenschaffts inventarÿ de A° 1703 fol: 47-a zu fordern haben – geschehen um 86 pfund
Mathias Senger vend son tiers indivis de la maison à l’arquebusier Jean Winter
1704 (16.7.), Chambre des Contrats, vol. 577 f° 366
(200) Mathis Senger schiffmann [unterzeichnet] h
in gegensein Joh: Winters büchßenmachers [unterzeichnet] Johannes winder
seinen dritten theil für unvertheilt ahn Hauß, Hoffstatt Hoff und brunnen mit allen begriffen, weithen zugehörden rechten u. Gerechtigkeit allhier beÿ der neuen bruck ahm Sandplatz einseit neben Joh: Georg Fritschmann schreiner, anderseit neben dem roßbad hinten auf H. frid. Hipßen u. Dürningern stoßend gelegen, welches gantze Hauß annoch zuer helffte Susannæ Sengerin geb. Volckin mit lebtägigen wÿdem verfangen – um 200 pfund
Marguerite Senger femme du geôlier Jean Daniel Volck hypothèque un tiers de la maison
1705 (26. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 775
Joh: Daniel Volck thurnhüther u. Marg: geb. Sengerin mit beÿstand Mathis Sengers schiffknechts u. Mathis Häßen scribenten
in gegensein S.T. Hn Jacob Wenckers alten A.ster u. XIII.ners alß mitpflegers deß Waÿßenhauß beneben Hn Joh: Heupel Schafnern daßelbst – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, der Correæ tertz ahn einer behaußung Cum app: allhier beÿ der neuen bruck einseit neben dem Roßenbad anderseit neben Georg Fristchen schreinern hinten auf Joh: Dürninger EE. et Cons. stoßend gelegen
Anne Marguerite Senger femme du geôlier Jean Chrétien Hien vend son tiers indivis au tailleur Jacques Horn et à sa femme Susanne Volck
1708 (28.8.), Chambre des Contrats, vol. 581 f° 519-v
(300) Anna Marg: geb. Sengerin Joh: Christian Hien Thurnhüter haußfr:
in gegensein Jacob Horn schneiders und Susannæ geb. Volckin
ihren dritten theil für ohnvertheilt ahn hauß hoffstatt brunnen sambt allen anderen deren gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden und Gerechtigkeiten unterhalb der neuen brucken, einseit neben Joh: Steinbrecher Roßbadern anderseit neben Joh: Georg Fritschmann schreiners hinten auf Friedrich Kipßen – davon die helfte ihro mit Käufferin mit lebtägigen wÿdem verfangen – um 300 pfund
Sibylle Reine Ott, femme de l’arquebusier Christophe Mathis, vend le tiers indivis de la maison à Jacques Horn et Susanne Volck
1709 (4.2.), Chambre des Contrats, vol. 582 f° 58-v
(500) Sibilla Regina geb. Ottin Christoph Mathis Erhards büchßenmachers hausfrau beÿständlich deßenlben
in gegensein Jacob Horn und Susannæ geb. Volckin
ihren dritten theil für unvertheilt ahn hauß hoffstatt hoff u. brunnen mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten beÿ der neuen bruck ahm Sandblatz, einseit neben Joh: Georg Fritschmann anderseit neben dem Roßbad hinten auf Friedrich Kipßen u. Dürningern, ledig u. eÿgen biß auf die helfte deß haußes so ihro Susanna mit lebtägigen wÿdem verfangen – um 500 pfund
La veuve Susanne Volck, son beau-frère Jean Chrétien Hien, Jean Jacques, Jean Frédéric et Jean Philippe Horn vendent la maison au tailleur Jean Christophe Senckeissen
1718 (11.8.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 421-v
(1050) Susanna wittib geb. Volckin beÿständlich Christoph Röderer rothgerbers ihres Curatoris, Item Joh. Christian Hin thurnhüters ihres Schwagers, Item Johann Jacob, Johann Friedrich und Joh: Philipp die Hornen alle dreÿ Schneider
in gegensein Joh: Christoph Senckeißen schneiders
hauß hoff hoffstatt hoff und bronnen mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten beÿ der neuen bruck ahm sandplatz, einseit neben Joh. Georg Fritschmann anderseit neben dem Roßbadt hinten auff Frid: Kipßen und dürningern
Endlichen verspricht der Käuffer Johann Jacob Horn dreÿ jahr lang einzugeben die vordere untere stueb, i. Küchel halben keller und i. Cammerlen, so oben im hauß, auf sein wohl aufführen nebst noch einer vergleichung wie wol* wegen der einlogirung miteinader überkomen nemlichen à 4 lb zinß – 1050 pfund
Fils de l’orfèvre Jean Senckeissen, Jean Christophe Senckeissen épouse en 1710 Marie Dorothée Hellbeck dite Bœhm, fille du pelletier Mathieu Hellbeck dit Bœhm : contrat de mariage, célébration
1710 (13.4.), Not. Goldtbach (6 E 41, 231) n° 23
Eheberedung – entzwischen dem Ehren und Wohl Vorachtbahren Herrn Johann Christoph Senckeissen, dem Ledigen Schneider und Burgern alhier, Weÿl. deß Ehrenvesten und Kunstreichen Herrn Johann Senckeißens, geweßenen Goldarbeiters und Burgers alhier Ehelich erzeugtem und hinterlassenem Sohn, alß dem Herrn Bräutigamb ane einem
So dann der Viel Ehren und tugendsamen Jungfrawen Mariæ Dorotheæ Hellbeckin genand Böhmin, Weÿl. deß Ehrenvesten Herrn Matthæj Hellbecks genand Böhm, gewesenen Raw Wahrhändlers und Burgers alhier seel. hinterlassener Ehelich erzeugter dochter alß der Jungfraw Hochzeiterin am andern theil
So beschehen in der Königlichen Freÿ St. Straßburg den 13.ten Aprilis A° 1710 [unterzeichnet] Johann Christoph Senckeisen als hochzeiter, maria dorothe Böehme Als hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 213 n° 941)
1710. den 30.ten Apr. Seind nach 2 mähl. Proclamation ehl. copulirt worden Johann Christoph Senckeÿßen der ledige Schneider, weÿl. H Joh: Senckeÿßen geb. Burgers und Gold arbeiters Hinterl. ehl. Sohn und J. Maria Dorothea weÿl. H Matthiæ Hollbeck genandt böhm gew. vöchhändlers Hinterl. ehl. wittwe [unterzeichnet] Johann Christoph Senckeisen, Maria Dorothea Boehoemin (i 212)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue des Serruriers. Les apports du mari s’élèvent à 145 livres, ceux de la femme à 84 livres.
1710 (1. 7.br), Not. Goldtbach (6 E 41, 229) n° 72
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, so der Ehren und Wohlvorachtbahre Herr Johann Christoph Senckeißen, der Schneider und die Viel Ehren und tugendsame Fraw Maria Dorothea Senckeißin gebohrene Helbeckin genand Böhmin beede Eheleuthe und Burgere alhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebracht welche der Ursachen allweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteter Eheberedung außdrucklich Versehen, daß einem Jeeden theil und seinen Erben Sein in die Ehe gebrachte Nahrung unverändert seÿe auch was davon stehender Ehe verändert werden wird, auf begehrend todtesfälle, wiederumb gebührende erstattet und Ergäntzt werden solle (…) Actum Straßburg, in fernerem gegensein S:T: Herrn Johann Adam Müllers Senioris handelsmanns und burgers allhier deß Manns Curatoris und Herrm Emanuel Hellbecks Kürschners und burgers allhier der Frawen geordneten Vogts, den 1. Septembris A° 1710.
In einer allhier Zu Straßburg in der Schloßergaß, gelegenen und Von beeden Ehepersohnen Lehnungsweiße bewohnenden behaußung befunden worden wie folgt
Abzug gegenwärtigen Inventarÿ, deß Manns in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 4, Sa. Silbergeschmeids 15, Sa. goldener Rings 6, Sa. der Baarschafft 74, Sa. Activ Schulden 15, Sa. deß Manns antheil an denen haussteuren 29, Summa summarum 145 lb
Diesemnach Wird auch der Frawen unverändert in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. hausraths 34, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 10, Sa. Goldener Ring 6, Sa. baarschafft 17, Sa. haussteuren 14, Summa summarum 84 lb
Jean Christophe Senckeissen s’inscrit en janvier 1710 pour présenter son chef d’œuvre. Il devient tributaire le 17 juin suivant
1710, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 343 (1701-1710)
(f° 332) d. 21. Januarÿ 1710 – Johann Christoph Senckeißen von hier läßt sich auch zum Meisterstück einschreiben (ZZt 4 lb. 5 ß)
1710, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 344 (1710-1723)
(f° 5-v) den 17.t Junÿ 1710 – Johann Christoph Senckeißen erhält das Zunfftrecht undt Stubenrecht (dt. 3. lb 15 ß)
Jean Christophe Senckeissen meurt en décembre 1720 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison à 425 livres. La masse propre à la veuve est de 81 livres, celle propre aux héritiers de 119 livres. L’actif de la communauté s’élève à 888 livres, le passif à 795 livres
1721 (15.4.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 5) n° 165 (151)
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab vnd Nahrung, So weÿland der Wohl Vorachtbahre herr Johann Christoph Senckeißen geweßenen Schneiders und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 24. Xbris des Zurückgelegten 1720. Jahrs genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Wohl Ehrenvest und wohlvorgeachtn H Daniel Otten goldarbeiters vnd burgers allhier Zu Straßburg alß geordnet und geschworenen Vogts Mariæ Dorotheä, Johann Daniels, Johann Heinrichs und Johannis der Senckeißen, alle 4. mit hernach gemelter der hinterbliebenen Wittib Ehelich erzielter KK.und ab intestato Erben fleißig inventirt (…) Actum Straßburg d. 15. Aprilis 1721.
Copia der Eheberedung
In einer allhier Zue Straßburg beÿm Rooßbaad gelegener vnd hiehero gehöriger behaußung sich folgender maßen befunden
Ane Höltzen und Schreinerwerck. In der gesellen Cammer
Eigenthumb ahne einer Behaußung. It. eine behaußung, hoff vnd hoffstatt sampt allen deren gebeuen begriffen weiten rechten zugehörden vnd gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg beÿ der Neuen brucken neben dem Rooßbaad, 1.s. neben dem Rooßbaad, 2.s neben weÿl. Geörg Fritschmann des schreiners seel. wittib hind. vf H. Ullmann den Paßmentmacher stoßend so vber hernach inventirter beschwed. freÿ leedig v. Eigen und ist dieselbe nach der S St. geschworne Werckmeister Vermög schrifftl. Abschatzung dedato 1. April. 1721. æstimirt word. pro 425 lb. Darüber besagt ein in allh. C stub gefertigter Perg. Kbrief dedato 11. Aug. 1718 mit deroselben größern Innsiegel v.warth.
Ergäntzung der Wittib abgegangenen Unveränderten gut, Inhalt Inventarÿ vber beeder geweßener Eheleute einander in den Ehestand Zugebrachter Nahrungen durch weÿl. H Notm. Sebastian Goldbach seel. in A° 1710 gefertigt
Ergäntzung der Kinder und Erben ermanglenden unveränderten Vätterlichen guths. nach anzeig oballegirten Inventarÿ Zugebrachter Nahrung hat mann auch den Kindern und Erben Vor manglend Vätterlich guth Zuvergut. alß volgt
Series rubricarum. Der Wittib Nahrung, Sa. haußraths 12, Sa. Silbers 4, Sa. Goldener Ring 2, Sa. Ergäntzung 36, Summa summarum 81 lb
Der KK. u. Erben Vermögen, Sa. haußraths 28, Sa. Silbers 5, Sa. goldenen Rings 1, Sa. Ergäntzung 108, Summa summarum 144 lb – Schulden 25, Nach deren Abzug 119 lb
Die Theilbahre Verlaßenschafft, ß haußraths 67, Sa. Weins v. Leeren Vaß 13, Sa. Silbers 12, Sa. Goldenen rings 10 ß, Sa. baarschafft 201, Sa. Eigenth. ane einer behaußung 425, Sa. Pfenningzinß haubtg. 100, Sa. Schuld. 69, Summa summarum 888 lb – Schulden 795, In Compensatione 93 lb
Stall Summ 294 lb
Abschatzung d. 4.ten Apprill anô 1721. weÿland deß Ehrenhafften vnd bescheÿden : Meister Joh: Christoff Zenckheißen schneidter Seem: hind. Lassener Frau wittib und Erben ist Eine Behaußung Alhier, in der Statt Straßburg, beÿ der Neÿen brucken gelegen Ein seith Neben dem Rossenbadt Anderseith neben Hanß görg Frittschman schreiner, hindten Auff Daniell Oll Man Bassmendierer stoßend, welche behaußung hoffstatt Stuben, Kammeren Küchen, hauß Ehren, holtz Kammer Gebälckter Keller Ein Alt hindter gebeÿ Mitt Einem halben tach darunder Stuben, Kammern, Ein ([biffé] trückheneÿ) Zweÿ Nebens gäng, vnder dem Gang Ein bauch Offen, Gebälckhter Keller, Hoff, und brunnen, Sampt Aller Ihrer gerechtigkeith, wie solches durch der Statt Geschwohren Werckh Leüthen in der besichtigung befunden vnd dem Jetzigen preiß Nach angeschlagen wirt, Vor, und um Acht Hundert vnd Fünffzüg Gulten. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg Geschwohrenen Werckh Leüthen, Michel Ehrlacher Werck Meister des Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmer hofs
Marie Dorothée (Hellbeck dite) Bœhm se remarie en 1723 avec le tailleur Frédéric Buessmann, originaire d’Oberschopfheim (dans l’Ortenau) : contrat de mariage, célébration
1723 (3.6.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 74) n° 258
Eheberedung zwischen H Friderich Bueßmann Ledigen Schneidern H Friderich Bußmann von Oberschopffen Marggräffischer herrschafft gebürtig Ehel. Erzeugten Sohn
Sodann der Ehren und Tugendsahme Fr. Mariæ Dorotheæ Senckeißin gebohrner Böhmin weÿl. H. Christoph Senckeißens geweßenen Schneiders und burgers allhier seel. nachgelaßener Wittib beÿständlich H Johann Daniel otten Silberarbeiters Ihrer KK Erster Ehe Vogt, als hochzeiterin am andern theil
Act. Straßb. Donnerstags d. 3. Junÿ 1723. [unterzeichnet] Friderich bueßman als hochzeiter, Maria Dortha schenckießen alß hohzeiterin
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 61-v n° X)
1723. Dominica III et IV Trinit. proclamati sunt Friderich Bußmann der ledige schneider v. burger alhie Friderich Bußmann deß schneiders v burgers Zu Schopffen in der obern Margraffschafft Baden-Durlach Ehl. Sohn V. Fr. Maria Dorothea Hellbeck dicta Böhmin weÿl. Johann Christoph Senckeißen geweß. schneiders v. burg. alhie nachgelaßene Wittib copulati sunt Mitw. d. 23. Junÿ [unterzeichnet] Friderich bueßmann als hochzeitter, Maria dortha scheckeißen halß hochzieterin (i 66)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison propre à la femme. Les apports du mari s’élèvent à 122 livres, ceux de la femme à 725 livres.
1723 (31. 7.br), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 7) n° 260 (239)
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab vnd Nahrung, so der Ehrengeacht: vnd bescheidene Meister Friderich Bueßmann, Schneider und die Ehren vnd tugendsahme frau Maria Dorothea gebohrner Böhmin beede Eheleuthe vnd burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebracht, Vnd sich vermög der mit einander ohnlängst auffgerichteten Eheberedung Vor ohnverändert Vorbehalt. (…) Actum in præsentia H Joh: Daniel Otten Silberarbeiters der Ehefr. KK. erster Ehe Vogts Straßburg d. 31. 7.br. 1723
In einer allhier Zue Straßburg beÿ dem Rooßbaad gelegener vndt der Ehefr. Eigenthümlich zuständigen behaußung sich folgender maßen befunden
Eigenthumb ane einer Behaußung. (F.) It. eine Behaußung, hoff hoffstatt s. allen dero gebäuen begriff. weiten rechten Zugehörd. vnd gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg beÿ der Neuen brucken neben dem Rooßbaad, 1.s. neben ged. baad, 2.s neben weÿl. Hanß Geörg Fritschmann geweßenen schreiners seel. wittib, hinten vf H. Ullmann den Paßmentierer stoßend, davon gibt mann 29. lb 5 ß a 4 ½ pCt° fr. Susannæ Hornen der Wittib Jahrs auf t. in. Cap. 650 lb d sonst freÿ leedig vnd Eig. und ist dieselbe vber abzug dieser beschwerd. annoch ohnpræjudicirlich æstimirt worden pro 200 lb. Darüber besagt ein in allh. C stub gefertigter Kauffbrief dedato 11. Aug. 1718 vnd mit deroselben Innsiegel verwart.
Series rubricarum. Des Manns Nahrung, Sa. Kleidung vnd weißgezeug 52, Sa. Silbers 7, Sa. baarschafft 4, Sa. Schuld 25, Summa summarum 89 lb- Darzu kombt ferner sein Ihme gebührige helffte ane den haußsteuren Ist 32 lb, des Ehemanns nahrung 122 lb
Der Fr. Nahrung, Sa. haußraths 271, Sa. Wein und Leeren Vaß 20, Sa. Silbers 43, Sa. Goldener ring 15, Sa. baarschafft 116, Sa. Pfenningzinß haubtguts 100, Sa. Eigenth. ane einer behaußung 200, Sa. Activa 20, Summa summarum 787 lb – Schulden 94, Conferendo 693 lb, Adde Ihre helffte haussteuren 32, Thut also Ihr sambtlich Vermögen 725 lb
Frédéric Buessmann devient bourgeois par sa femme en juillet 1723.
1723, 4° Livre de bourgeoisie p. 895
Friderich Bußmann d. schneider Von oberschopfen durlachischer Herrschafft geb. erhalt das burgerrecht von seiner ehefr. Maria Dorothea weÿl. Christoph senckeisens gewes. b. und schneiders allhier hinterlaß. Wtb. umb die tertz d. alt. b. will beÿ E. E. Zunfft d. schneider dienen. Jur. Eod. Quo supra [19. Julÿ 1723]
Frédéric Buessmann est reçu maître en mai 1723 après avoir présenté son chef d’œuvre. Il devient tributaire en juillet suivant.
1723, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 344 (1710-1723)
(f° 228-v) Montag den 3.ten Maÿ 1723 – Erschienen unter Herrn Niclauß Lambert seinem Informatore Friderich Bueßmann der schneider gesell von Schopfen im Breÿßgauw gebürtig, bittet ihme Zue seinem vorhabenden meisterstück beliebige Rieße Auff Zulegen ist derowegen demselben mit folgenden stücken Zue Erkant und willfahrt Worden
N° 1 Ein Manns Kleÿdt
N° 13 Ein Creütz rockh
N° 8 ein Soudane in Estamine halb staab breit.
Facta relatione der Herren meisterstück schauweren welche referiren daß er die auff gegebene Rieß gantz recht auch löblich gefertiget habe, ist derselbe Zue Einem Mitmeister auff und angenommen Worden
(f° 233-v) Dienstags den 27.ten Julÿ 1723 – Friderich Bueßmann der Schneider Von Ober Schopffen Durlachischer Herrschafft gebürtig Erlangt auff producirten burger schein de dato 19.ten Julÿ Jüngst daß Zunfft u. Stubenrecht (dt. 3 lb 5 ß)
Le conseil des Tailleurs inflige à Frédéric Buessmann une amende pour avoir autorisé Jacques Dreher à travailler en son nom. Les Quinze réduisent l’amende.
1724, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 345 (1724-1735)
(f° 54-v) Dienstag den 12.ten Decembris 1724 – Iidem Klagen Cra Friderich Bueßmann deß derselbe dem Jacob Dreher, Einem stimpler und Pfuscher unter schleiff gibt, dasogar daß er auch demselben sein Nahmen undt Meisterrecht darleÿhete, also daß Dreher unter des Beklagten Nahmen in Kunden Häußern arbeitet, dadoch dem beklagten schon von längstem bekannt, daß gedachter Dreher denen Meisteren die Arbeit Zue Entziehen auch die Kundten abzuezwackhen suchet, bittet denselben Nach der schärffe abzustraffen. Des Beklagten darüber angehörte Verantwortung ist Erkant, Soll der Jacob Dreher auch hier Zu Citirt undt gehört werdten. [in margine :] Extat Straff 6 lb
aus Erkanntnus gn. Hn. XV. ist dieße Straff auff 2 lb moderirt worden, dt. d 20.ten febr. 1725. 2. lb.d.
Le conseil des Tailleurs fait grief à Frédéric Buessmann de s’être accordé avec un compagnon en-dehors du poêle de la tribu
(f° 303) Montags den 6.ten Novembris 1730 – Friderich Bueßmann wird ferner vorgestellt daß er einen gesellen außerhalb der herberg gesprochen habe, so wider ordnung ist.
Citatus beruffet sich auff den bruder auff der herberg daß er sich beÿ selbigem Zugehöriger Zeit ahn gemeldet habe, bittet absolution. weilen aber gemelter bruder dermahlen nicht vorhanden gewesen, jst erkant solle citatus den beweißthum deßen biß ad proximam thuen.
Le conseil des Tanneurs inflige à Frédéric Buessmann une amende pour s’être chargé de vendre les peaux que son cousin Jean Henri Pflieger n‘a pas pu écouler pendant la foire. Frédéric Buessmann porte l’affaire devant les Quinze.
1727, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 358)
(f° 172) Mittwoch den 27. Augusti Anno 1727 – Hannß Geörg Blind der Weißgerber Klagt wider Friderich Bueßmann den Schneider allhier, daß selbiger gegerbtes Wild und anderes Weißgerber Leder in seiner behaußung commissions weiße Verkaufft, und weilen solches wider Articul wolte er um verbott und Abstraffung gebetten haben.
Beklager Zugegen Verantwortet sich es hätte Ihn sein Vetter Johann Heinrich Pflüeger der Weißgerber von Schopffen in letst verwichener Meß Vor seiner Abreiß gebetten, er möchte Ihme Zu deßen übrig gebiebenen Wahren in seiner behaußung einen Platz vergönnen; so er demselben willfahrt, den commissions handel belangend, hätte sein Vetter annoch selbst mit Verschiedenen Säcklern abgereder, daß er den Preiß beÿ ihme dem Beklagten schrifftlich hinderlaßen wolle, Woselbsten Sie gegen bezahlung solchen Preißes die Wahr er haben Könten, anderer gestalten hätte an sich nicht darmit melirt, Viel weniger gewußt, daß es Verbotten wäre.
Erkannt, wird biß auff nechst Künfftiger gericht Zu bedacht genommen, Beklagten aber angefragt, biß Zu Außtrag der Sach keine Wahr mehr hienweg Zugeben.
(f° 173-v) Mittwoch den 15. Octobris Anno 1727 – In sachen Johann Schaden und Johann Geörg Blinden, beeder Weißgerber contra Friderich Bueßmann den Schneider pt° commissions weiße Verkauffte, Weißgerber Leders ist nach nochmahliger der Sachen untersuchung erkannt, solle Beklagter die in dem Articul enthaltene Straff der 10 lb d Zu beßern schuldig seÿn.
1727, Protocole des Quinze (2 R 132) Friderich Bußmann Ca. Georg Blind. 377. 405. (début de procédure)
Frédéric Buessmann meurt en 1750 en délaissant un fils. Les experts estiment la maison à 525 livres. L’actif de la veuve est de 384 livres, le passif de 435 livres, la masse des héritiers est de 225 livres. L’actif de la communauté s’élève à 459 livres et le passif à 524 livres.
1750 (19.9.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 707) n° 58
Inventarium über Weÿl. des Ehrenvest und Wohlvorgeachten Herrn Friderich Bußmanns Schneiders und Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft, aufgerichtet Anno 1750. – als derselbe Mittwochs den 12.ten Augusti dießes lauffenden 1750. Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen Verwechßelt nach solch seinem aus dießer welth genommenen tödlichen Ableiben hie Zeitlichen Verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren S. T. Herrn Christian Gottfried Bußmanns, Wohlverdienten Philosophiæ Magistri und treu Eifferigen Mit Abend Predigers beÿ der Evangelischen Gemeinde Zum Jungen St. Peter, deß Verstorbenen Herrn seel. mit hernach gemelter seiner Hinterbliebenen Frau Wittib ehelich erziehlten und nach todt Verlaßenen Herrn Sohns, alß deßelben ab intestato Verlaßnen Eintzigen Herren Erben, so majorennis und ohnbevögtigt ersucht und inventirt, durch die Viel Ehren und tugendreiche Frau Mariam Dorotheam Senckeißin geb. Böhmin die hinterbliebene Frau Wittib beÿständlich des Ehren und wohlvorgeacht, Herrn Joh: Geörg Küblers Weißbecken und Burgern allhier Zu Straßburg Wie auch Ihm den Herrn Erben selbsten (geäugt und gezeigt) So geschehen in Straßburg auf Sambstag den 19.ten Septembris A° 1750.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Sandplatz gelegener und in dieße Verlaßenschafft gehörigen Behaußung befunden worden wie folgt
Ergäntzung der Frau Wittib abgegangenen unveränderten Guths, Vermög Inventarÿ Zugebrachter Nahrungen in A° 1723. durch Hn Joh: Jacob Ölinger Notm. publ. et Pract. gefertiget
Wÿdemb Welchen die hinterbliebene fr. Wittib Von weÿl. Hn Christoph Senckeißen dem Schneider und Burger allhier längst seel. Wegen Ihrer mit demselben ehelich erziehlter und nach Todt Verlaßener Kinder und dero respective Erben Lebtägig Zugenießen hat
Solcher bestehet nun in Zween dritten theilen ane Vorherbeschriebener Behaußung, Hoff, Hoffstatt und Bronnen, sambt allen dero Gebäuen, Begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg auf dem Sandplatz beÿ der Neuen Bruck 1.s neben Hn Joh: Daniel Ehrmann dem geschwornen Wechsel Courtier 2.s neben H Joh: Jacob Jillÿ Sen: Roßenbaders seel. Wittib und Erben hinten auf weÿl. H Joh: Daniel Ullmanns Paßmentierers und Burgers allhier seel. Wittib und Erben stoßend, gelegen, so gegen männiglichen freÿ leedig eigen und ist die gantze behaußung laut oballegirten Abschatzungs Zeduls Vom 28.ten 7.bris 1750. æstimirt pro 525. lb, thun die hiehero gehörige Zween dritte theil 350. lb Die über solche behaußung besagende Pergamentene Brieff ist hieoben beÿ der Fr. Wittib gehörigen dritten theil ane dieser Behaußung beschrieben befunden.
Antheil ane einer Behaußung (W.) Ein dritter theil Vor ohnvertheilt Von und ane einer Behaußung, Hoff, Hoffstatt und Bronnen, mit allen deren Gebäuen, Begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg auf dem Sandplatz beÿ der Neuen Bruck 1.s neben Hn Joh: Daniel Ehrmann dem geschwornen Wechsel Courtier 2.s neben weÿl. H Joh: Jacob Jillÿ des geweßenen Roßenbaders seel. Wittib und Erben hinten auf weÿl. H Joh: Daniel Ullmanns Paßmentierers Fr. Wittib und Erben stoßend so gegen männigl. freÿ leedig eigen und ist diese behaußung durch (die Werckmeistere) laut Abschatzungs Zeduls Vom 28.ten 7.bris 1750. æstimirt pro 525. thut der hiehero gehörige dritte theil 175. Die übrige 2/3.t theil ane dießer behaußung seind der Fr. Wittib Kindern und Erben Von Erster ehe gebührig so aber dieselbe Lebtägig Zu usufruiren hat, Zum bericht. Über die gantze behaußung sagt 1. teutscher pergamentener in allh. C.C. Stub gefertigter und mit dero anhangendem Insiegel Verwahrter Kauffbrieff de dato 11.ten Augusti A° 1718.
Series Rubricarum hujus Inventarÿ – Copia der Heuraths Verschreibung
Der Frau Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 46, Sa. Silbers 14, Sa. Goldener Ring 4, Sa. Antheils ane einer Behaußung 175, Sa. Schulden 144, Erg. vide Vorher &c sambt dem Abgang, Summa summarum 384 lb – Schulden 435, Compensando 50 lb
Dießemnach wird nun auch des Hn Erben unveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 9, Sa. Silbers 1, Sa. Schulden 44, Erg. rest 171, Summa summarum 225 lb
Endlichen Wird nun auch das Gemein Verändert und Theilbar Guth beschrieben, Sa. haußraths 81, Sa. Silbers 13, Sa. Schulden 459, Summa summarum 524 lb – Schulden 196 lb, In Vergleichung 328 lb
Stall Summ 709 lb
La maison revient à Jean Daniel Senckeissen qui épouse en 1735 Marie Dorothée Jilly (Gilg), fille de Jean Daniel Gilg (Jilly) qui tient les bains aux Roses : contrat de mariage, célébration
1735 (3.2.), Not. Koch (6 E 41, 498) n° 16
Eheberedung – Persönlich erschienen der Ehrengeachte Johann Daniel Senckeißen der leedige Schneider Weÿl. H: Christoph Senckeißens deß geweßenen Schneiders und Burgers allhier seel. mit Frauen Maria Dorothea, gebohrner Böhmin so dermahlen an H Friderich Bußmann den Schneider und burger allhier verheurathet, Ehelich erzeugter Sohn, als Bräutigam ane Einem beÿständlich H Joh: Daniel Otten des Silberarbeiters v. burgers allhier seines geschwornen Vogts und vorgedachten H Bußmanns seines H. Stieffvatters,
So dann die Viel Ehr und Tugendsame Jungfrau Maria Dorothea Gilgin, H Johann Jacob Gilgen deß Roßbaders v burgers allhier mit Frauen Margaretha gebohrner Altin Ehelich erzeugte Tochter als Jungfer Hochzeiterin am andern Theil
So geschehen in Straßburg Donnerstags d. 3.t Febr: 1735. [unterzeichnet] Johan Daniel Senckeißen als hochzeiter, Maria Dorothea Gülligin als hoch Zeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 132 n° 493)
1735. Eod. Mittw. [15. Junÿ] sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet word. Joh: Daniel Senckeÿsen der Ledige schneider v. b. alhier, weÿl. Christoph Senckeÿsens geweß. b. v. schneiders Nachgel. ehl. Sohn v. Jgfr. Maria Dorothea, Joh: Jacob Gilchen b. v. Rooßbaders Alhier ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Daniel Senckeißen alß hochzeiter, Dorothea gülligen als hochzeiterin (i 136)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison au bain aux Roses. Les apports du mari s’élèvent à 94 livres, ceux de la femme à 259 livres.
1735 (30.7.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 466) n° 46
Inventarium über deß Ehrengeachten H. Johann Daniel Senckeißen, deß Schneiders, und der Tugendsahmen Frauen Mariä Dorotheä gebohrner Gilgin, beeder Eheleuth und Burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet A° 1735 – und sich vermög ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung vor unverändert vorbehalten haben (…) So geschehen in der Königl. Statt Straßburg in fernerem gegenseÿn Hn Johann Jacob Gilg, deß Baaders und Burgers allhier der Ehefrauen leiblichen Vatters und erbettenen beÿstandts den 30.sten Julii A° 1735.
In einer Allhier Zu Straßburg ane der Roßengaß gelegenen Behaußung das Rooßenbad genandt welche beede Eheleuth lehnungs Weiß bewohnen befunden worden als folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ – Des Ehemanns in den Ehestand gebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 50, Sa. Werckzeugs Zum Schneider Handwerck gehörig 4, Sa. Silbers 8, Sa. Baarschafft 3, Summa summarum 66 lb – Dazu gelegt die helffte der haussteuren so thut 27 lb, Solchemnach belaufft sich des Ehemanns in den Ehestandt gebrachtes Völliges guth dem billigen Werth nach auff 94 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Guth beschrieben, Sa. haußraths 127, Sa. Silbers 13, Sa. Goldenen Rings 4, Sa. baarschafft 86, Summa summarum 231 lb – Dazu gelegt die helffte der haussteuren so erträgt 27 lb, So thut der Ehefrauen in den Ehestandt gebrachtes Völliges Vermögen dem billigen Werth nach benantl. 259 lb
Dorothée Gilg (Gilly) devient bourgeoise par son mari Jean Daniel Senckeissen
1735, 4° Livre de bourgeoisie p. 1022
Dorothea Johann Jacob Gillÿs b. und Roßen baders tochter erhalt d. b. von ihrem ehemann Johann Daniel Senckeißen b. undt schneider umb d. alt. b. will beÿ E E Zunfft d. schneider dienen. Prom. eodem.
Le baigneur Jean Daniel Jilly (Gilg) vend une partie de sa cave à Jean Daniel Senckeissen
1754 (20.Xbr), Not. Humbourg (6 E 41, 92)
Sr Jean Jacques Jilly Bourgeois de Baigneur a la Rose de cette ville de Strasbourg
au Sr Jean Daniel Senckeisen Bourgeois maître tailleur de cette ville
Vne partie de Cave Scituée Sous la maison de l’acquéreur et qui dependoit de la maison du vendeur + laquelle partie de Cave fera a l’avenir partie et dépendra de la Maison de l’acquéreur qui la fera clore et fermer d’un Mur qu’il fera construire a ses frais de l’Eppaisseur de celuy qui y est actuellement et est mitoyen entre les deux maisons de sorte cette Cloture le sera Pareillement dans lequel mur de cloture l’acquéreur pratiquera un Soupirail dont l’ouverture aura deux pieds de hauteur et autant de largeur et sera garantie par un grillage en fer – 100 livres tournois
+ et lesd. maisons attenantes l’une à l’autre dite Rosen baad Gass et sur la place appelée Sandplatz vis à vis le pont neuf attenant au Sr Kips Passementier dans la rue Rosen baad Gass et aux héritiers de feu le Sr Ehrmann sur ladite Place apelée Sandplatz
Marie Dorothée Jilly meurt en 1758 en délaissant trois enfants. Les experts estiment à 1 750 livres la maison reconstruite à neuf après démolition pendant la communauté. L’actif du veuf est de 1 751 livres, le passif de 2639 livres. La masse des héritiers s’élève à 1 088 livres, l’actif de la communauté à 1 606 livres, le passif à 1 458 livres.
1758 (31.10.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 714) n° 286
Inventarium über Weÿland der Ehren und Tugendsahmen Frauen Mariä Dorotheä Senckeißin gebohrener Jillÿin, des Ehren und wohl Vorgeachten herrn Johann Daniel Senckeißen, Schneiders und burgers allhier Zu Straßburg geweßener herzlich geliebten Ehefrauen nunmehr seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1758. – als dieselbe Montags den 22.ten Maÿ dießes laufenden 1758.sten Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer Welth genommenen tödlichen Ableiben hie Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft dann auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren des Wohl Ehrenvest und Vorachtbahrrn herrn Samuel Kämpffers ebenmäßiges Schneiders undt Burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Joh: Daniel, Leedigen Glaser Gesellen, Joh: Friderichs, so die Schneider profession ergreifft, und Margarethä Dorotheä der Senckeißen, aller 3. der Verstorbenen Frauen seel. mit obgedachtem Ihrem hinterbliebenen H. Wittiber ehelich erziehlter Kinder und ab intestato Verlaßener Erben, ersucht und inventirt (…) So beschehen in Straßburg auff Dienstag den 31.ten Octobris A° 1758.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Sandplatz gelegener und in dieße Verlaßenschafft gehöriger Behaußung befunden worden wie folgt.
(W.) Eigenthumb ane einer Behaußung. Nemblichen eine Behaußung bestehend in Vorder und hinderhauß, hoff, hoffstatt und Bronnen mit allen übrigen dero Gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg auf dem Sandplatz beÿ der Neuen Bruck, 1.s. neben weÿl. Hn Joh: Daniel Ehrmanns des geweßenen Wechßel Courtier und Burgers allhier Zu Straßburg seel. nachgelaßener Fr: Wittib anderseith neben dem ehemahligen Roßenbad nunmehro herrn Joachim Friderich Kirstenstein dem Silber Arbeiter und Es. En. Kleinen Raths dermahligen beÿsitzers hinten auf weÿl. Joh: Daniel Ullmans des geweßenen Paßmentierers seel. Erben stossend, so außer denen hernach eingetragenen darauff hafftenden Posten freÿ leedig eigen und ist solche behaußung durch (die Werckmeistere) laut beÿ dem Concept befindlichen Abschatzungs Zeduls Vom 7.ten 7.bris 1758. angeschlagen pro 3500 fl. oder 1750 lb. Über dieße Behaußung sagt 1. deutsch. perg. Kauffbrieff in allh. C. C. Stub gefertigt und mit dero anhangendem Insiegel Verwahret datirt den 11. Aug. 1718. außweißen wie hr. Joh: Christoph Senckeißen der geweßene Schneider und dißorths H, Wittibers eheleiblicher Vatter seel. mit und beneben seiner noch lebenden Ehefrauen wehrender Ehe erkaufft
Ergäntzung des Wittibers Wehrender Ehe abgegangenen unveränderten Guths, Zufolg Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuthe einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen A° 1735. durch Hn Mathiam Koch Notm publ. et Pract. gefertiget (…) It. ist wehrender dießer Ehe die dem Wittiber eigenthümlich gehörige und Ihme Vor seiner Mutter und Mit Erben überlaßene Behaußung abgebrochen und wieder Neu aufgebauen worden, derowegen dann die angewandte Bau Cösten dißorths abgezogen werden solten, Indeme aber solche noch nicht allerdings liquidirt, alß wird davor dißorths ohnpræjudicirlich des Wittibers gegebenem Bericht nach außgeworffen 1250. lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen und Verhandlt in der Königlichen Statt Straßburg auf Donnerstag den 3. Februarÿ 1735
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung, Copia Codicilli
Des Wittibers unverändert Vermögen Sa. haußraths 1, Sa. Eigenthums ane Einer Behaußung 1750, Summa summarum 1751 lb – Schulden 2639, Compensando 888 lb
Diesemnach wird nun auch der Kinder und Erben unveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 42, Sa. Silbers 2, Sa. Goldener Ring 1, Sa. Schulden 65, Ergäntzungs Rest 977, Summa summarum 1088 lb
Endlichen wird nun auch das gemein Verändert undt theilbar Guth beschrieben, Sa. haußraths 96, Sa. Wein und Lährer faß 28, Sa. Silbers 40, Sa. Guldener Ring und dergleichen Geschmeids 4, Sa. Schulden 1437, Summa summarum 1606 lb – Schulden 1458, In Vergleichung 147 lb
Stall summ 347 lb – Zweiffelhaffte und Verlohrene Schulden in die theilbare Nahrung Zugeltend 142 lb
Jean Daniel Senckeissen se remarie en 1758 avec Marie Madeleine Etter, fille de l’aubergiste François Louis Etter : contrat de mariage, célébration
1758 (15.11.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 739) n° 140
Eheberedung – Zwischen dem Ehren: und wohlvorgeachten Herrn Johann Daniel Senckeißen, dem Schneider, Wittiber und Burgern allhier Zu Straßburg, als dem herrn Bräutigam, ane einem,
So dann der Viel Ehren: und Tugendgezierten Jungfer Mariä Magdalenä Etterin, des Wohl Ehren Vest und Vorachtbahren Herrn Frantz Ludwig Etters, Gastgebers auch Er En Zunfft der Garthner under Wagnern und burgers allhier mit der Viel Ehren und Tugendgezierten Frauen Susanna Margaretha geb. Böhringerin ehelich erzielten Jungfer Tochter als der Jungfer Hochzeiterin ane dem andern theil
Auf Mittwoch den 15.ten Novembris A° 1758. [unterzeichnet] Johann Daniel Senckeißen Als hochzeiter, Maria Magdalena Etterin als hochzeiterin
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 173)
1758. Mittwoch den 29. Nov. sind nach vorhergegangene Zweÿmahlige proclamation in den Stand H. Ehe eingesegnet worden H Joh: Daniel Senckeisen der Wittwer Schneider und burger allhie und Jgfr. Maria Magdalena Etterin Hn Frantz Ludwig etters deß Gastgebers und burgers allhier eheliche Tochter. [unterzeichnet] Johann Daniel Sencksißen als hochzeiter, Maria Magdalena Etterin als hochzeiterin (i 92)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison propre au mari, portée à une valeur de 3 000 livres. L’actif du mari s’élève à 3 719 livres, le passif à 3 132 livres, les apports de la femme à 191 livres.
1759 (7.12.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 715) n° 325
Inventarium über des Ehren und wohl Vorgeachten Herrn Joh: Daniel Senckeißen Schneiders und der Viel Ehren und Tugendgezierten fraun Mariä Magdalenä Senckeissin geb. Etterin beede Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrung. auffgerichtet Anno 1759. – und sich Vermög der Vor mir unterschriebenen geschwornem Notario den 15.ten Novembris A° 1758. auffgerichteten heuraths Verschreibung Vor unverändert in den Ehestand Zugebracht und sich Vermög der Vor mir unterschriebenem geschwornem Notario den 15.ten Novembris A° 1758. auffgerichteten heuraths Verschreibung Vor unverändert vorbehalten haben (…) So beschehen in Straßburg auff Freÿtag den 7. Decembris in præsenta Hn Frantz Ludwig Etters Gastgebers auf Er En Zunfft der Garthner under Wagnern und burgers allhier der Ehefrauen Vielgeliebten H. Vatters A° 1759.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Sandplatz gegen der Neuen Bruck über gelegener und in dieße zugebrachte Nahrung gehörigen Behaußung befunden worden wie folgt.
(H.) Eigenthumb ane einer Behaußung. Nemblichen eine Behaußung, bestehend in Vorder und hinderhauß, hoff, hoffstatt und Bronnen mit allen übrigen dero Gebäuen, begriffen, weithen Zugehörden Rechten und Gerechtig Keiten gelegen allhier Zu Straßburg auf dem Sandplatz beÿ der Neuen Bruck, 1.s. neben weÿl. Hn Joh: Daniel Ehrmanns des geweßenen Wechßel Courtier und Burgers allhier Zu Straßburg seel. nachgelaßener Fr: Wittib anderseith neben dem ehemahligen Roßenbaad nunmehro herrn Joachim Friderich Kirstenstein dem Silber Arbeiter und Es. En. Kleinen Raths dermahligen beÿsitzern Zuständig hinten auf weÿl. Joh: Daniel Ullmans des geweßenen Paßmentierers seel. Erben stossend, so außer denen hernach eingetragenen darauff hafftenden Posten freÿ leedig eigen und wird solche dißorths ohnpræjudicirlich außgeworffen Vor 6000 fl. oder 3000 lb. Über dieße Behaußung sagt 1. teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger C. C. Stub gefertigt und mit dero anhangendem Insiegel Verwahret datirt den 11. Aug. 1718. außweißen wie hr. Joh: Christoph Senckeißen der geweßene Schneider und dißortigen Ehemanns eheleib. Hr Vatter seel. mit und beneben seiner noch lebenden Ehefrauen wehrender Ehe erkaufft.
Wÿdumb Welchen der Eheh. von weÿl. frauen Mariæ Dorotheæ Senckeißin geb. Jilliin seiner Ersten Ehefrauen seel: theils ad dies vitæ und theils biß Zu der Kind. Majorennitæt Verheürathung oder Etablissement Zugenießen hat
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Hn in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 265, Sa. Wein und lährer Faß 82, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 100, Sa. Goldenen Rings 1, Sa. baarschafft 27, Sa. Eigenthums ane Einer Behaußung 3000, Sa. Schulden 241, Summa summarum 3719 lb – Schulden 3132, Nach solchem abzug 586 lb, Hierzu ist ferner zu rechnen die helffte von denen haussteuren 79, Macht also des Herrn restirenden in die Ehe gebrachte Vermögen 666 lb
Diesemnach wird nun auch der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 62, Sa. Silbers 11, 1, Sa. Guldener Ring 31, Sa. baarschafft 6, Summa summarum 111 lb – Darzu gelegt die Ihro gebührige Helffte ane denen haussteuren 79, Beträgt also der Frauen völlig in die Ehe gebracht Vermögen 191 lb
Acte par lequel Jean Daniel Senckeissen devient seul propriétaire de la maison en vertu du legs que lui a fait sa mère par testament du 27 août 1750
1767 (31.12.), Chambre des Contrats, vol. 641-2 f° 702-v, Langheinrich Not.
H. Johann Daniel Senckeißen der schneider, nachstehende Erbscession
zu weil. Fr. Annæ Mariæ Dorotheæ Bußmännin geb. Höllbeckin genanndt Böhmin letztmahls weil. Franz Bußmann des schneiders wittib seel. Verlaßenschaft erörterung, H. Johann Stammler der schneider als universal erb seiner beeden in I. ehe mit auch weil. Fr. Mariæ Dorotheæ Stammlerin geb. Senckeißen der nun verstorbenen Fr. seel. mit auch weil. H. Johann Christoph Senckeißen gewesten Schneiders erziehlen tochter ehelich erzielt und nach ihrer mutter auch seel. verstorbenen Kind, ferner H. Johann Friedrich Senckeißen der silberarbeiter, erstgedachter Johann Friedrich Senckeißen als geordneter und geschworener vogt Jfr. Catharina Salome, Johann Friedrich und Maria Dorothea weil. Johann Senckeißen gewesten kurtzmeßerschmidts seel. mit Fr. Catharina Salome geb. Hartensteinin eheliche erziehlte kinder, i, beÿsein H. Magist. Christian Gottfried Bußmann treueifrigen pfarrer und seelsorger der evangelischen gemeinde zu Collmar
ihrem bruder und respective schwager Johann Daniel Senckeißen dem schneider
die ohnvertheilte theile von vätterlichen und mütterlichen auch respective großvätterlichen und großmütterlichen guth zukommende behausung bestehend in vorder und hinter haus, hoff, hoffstatt und bronnen mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, rechten, zugehörden und gerechtigkeiten ane dem sogenannten Sandplatz, einseits dem sogenannten Roßenbaad dermahlen H. Joachim Friedrich Kirstenstein dem silberarbeiter, anderseits neben H. Johann Daniel Ehrmann, wechsel courtiers wittib und erben, hinten auff die Ullmännische erben – als nun welchen preiß auch die verstorbene Fr. seel. ihme H. cessionnario in dem vor mir Notario d. 27. Augusti 1750 errichteten codicill und respective verordnung unter kindern prælegirt – um 3000 pfund die gantze behausung gerechnet
Jean Daniel Senckeissen et Marie Madeleine Etter hypothèquent la maison au profit de Dorothée Grauel née Wencker.
1767 (31.12.), Chambre des Contrats, vol. 641-2, f° 693-v
H. Johann Daniel Senckeißen der schneider und Maria Magdalena geb. Etterin mit beÿstand ihres vattes Franz Ludwig Etter des waysenvatters und ihres vatters Johann Balthasar Ernst des pastetenbecken beede ihren nächsten
in gegensein H. Johann Michael Grauel des schaffners zu St. Thomä innahmen Fr. Dorothea Grauelin geb. Wenckerin – schuldig seÿen 1000 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane dem Sandplatz, einseit neben H. Rathh. Kirstenstein dem silberarbeiter, anderseit neben weÿl. H. Johann Daniel Ehrmann dem gew. courrier erben, hinten auff Fr. Stammin geb. Ulmännin
Jean Daniel Senckeissen vend la maison au cafetier Jean Jacques Reibel
1772 (29.2.), Chambre des Contrats, vol. 646 f° 119
H. Johann Daniel Senckeißen der schneider
in gegensein H. Johann Jacob Reübel des caffésiders
eine behausung bestehend aus vorder und hinter haus, bronnen und hoffstatt, mit allen denen übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Sand platze, einseit neben dem sogenannten Rooßenbad, anderseit neben H. Johann Friedrich Ehrmann dem goldarbeiter, hinten auff H. Saum den metzger – mit den samtlichen in diesem haus befindlichen gegoßenen öffen mit außnahm jedannoch desjenigen so in Jfer Etterin zimmer stehet – 5250 pfund
Fils du tisserand Jean Reibel Jean Jacques Reibel épouse en 1758 Anne Marguerite Kob, originaire de Seedorf dans le diocèse de Constance : contrat de mariage, célébration
1758 (28.1.), Not. Claus (Adam, 7 not 13, protocole) n° 763
Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen und bescheidenen H. Joh: Jacob Reibel, dem Caffetier, weÿl. Johannes Reibel gewesenen Leinenwebers und b. alh. ehel. erzeugtem hinterlaßenem Sohn, unter beÿstand Anton Stürtzelhoffers und Joh: Jacob Saur, beeder Leinenwebern und burgern alh. als hochzeitern an einem
So dann der viel Ehr und tugendsamen Jungfr. Annâ Margarethâ Kobin, Weÿl. Martin Kob, auch gewesenen Leinenwebers und burgers zu Seedorff Nothweiller herrschafft hinterl. ehel. tochter
So geschehen zu Straßburg d. 28.° Januarÿ 1758. [unterzeichnet] Johann Jacob Reibel als hochzeiter, annæ Margarethæ Kobin handzeichen +
Mariage, Saint-Louis (cath. p. 75)
Hodie 30 mensis januarii anni 1758 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt joannes jacobus Reibel civis argentinensis, filius defunctorum joannis jacobi Reibel olim civis argentinensis et mariæ elisabethæ matern, conjugum et margarithæ Koppin oriunda ex Seedorff diœcesis constantiensis filia martini Kopp et defunctæ barbaræ heimburgerin conjugum (signé) Johann Jacob Reibel, nota + sponsæ (i 40)
Marguerite Kopp devient bourgeoise par son mari en décembre 1767.
1767, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) f° 132-v
Margaretha geb. Koppin von Seedorff in Schwaben geb. verheurathet an Joh. Jacob Reibel den Cafféesieder und burgern allhier, erhalt das burgerrecht wohl verhaltens wegen gratis, will dienen beÿ EE Zunfft d. freÿburger. prom. eodem [19. Xbr. 1767].
Jean Jacques Reibel cotise à la tribu du Miroir comme cafetier
1767 (2. 8.br), Protocole de la tribu du Miroir (XI 278)
(f° 251-v) Freitags den 2. Octobris 1767 – Geldzünfftiger
Johann Jacob Reibel, welcher bei E. E. Zunfft derer Freiburger allhier leibzünfftig ist, hat man gegen Erlag Zwei Pfund 13 ß. 4. d. geldzünfftig als Caffeesieder angenommen. prom. obed.
Jean Jacques Reibel devient tributaire chez les Fribourgeois où il n‘était que cotisant
1767, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 168)
(f° 321) Mittwoch den 16.ten deß Monaths Decembris in Anno 1767 – Hr Johann Jacob Reubel, der hiesige Caffetier und burger wie auch der dießorths bißherige Geldzünfftiger Erschienet undt bittet, Ihme dermahlen alß Leibzünfftig zu recipiren, producirt Zu dem Endte Statt Stall Schein de dato 15.ten Xbris 1767 und berichtet anbeÿ daß Er der Zeit von der würthschafft im geringsten nichts prætendirt, sondern* allein den Caffee Schanck nebst Liqueurs undt Liqueurs weinen wie Ihme solches ohne dem alß einem Cafetier Erlaubet worden halten wolle.
Hierauff Erkandt worden, daß dem Imploranten inn Seinem Begehren alß Zudiener Leibzünfftig beÿ dießer Ehrs. Zunfft gegen Erlag der 2 lb 4 ß d Zu willfahren
Anne Marguerite Kob meurt en 1788 en délaissant deux fils. L’inventaire est dressé dans leur auberge au Tigre, place d’Armes. La masse propre aux héritiers est de 96 livres. L’actif de la communauté et du veuf s’élève à 1 375 livres, le passif à 4 344 livres
1788 (17.4.), Not. Roessel (Jean Georges, 6 E 41, 931) n° 195
Inventarium über Weiland Fraun Annæ Margarethæ geborner Kobin, H. Joh: Jacob Reibel, des Gastgebers und Burgers alhier Zu Straßburg, im Leben geweßener Ehegattin nunmehrige Verlaßenschaft, auffgerichtet Anno 1788. – nach ihrem Dienstags d. 12. Februarÿ jüngst aus dießer Welt genommenen tödlichen hientritt, verlaßen hat. Welche Nahrungs Verlaßenschaft auf Ansuchen vorgedachter hinterbliebenen Wittibers und der def. mit eben demselben ehelich erzeugt und nach tod Zu Erben Verlaßener beeder majorenner Söhn (…) So geschehen allh. Zu Strasb: und einer daselbst auf der Platz: Parade zum Tiger gelegenen Gast behaußung auff Donnerstag den 17.ten Aprilis Anno 1788.
Die nun verstorbene Fr. Reibelin hat ab intestato Zu Erben verlaßen, ihre beede mit Eing. ged. dero nunmehrigem Wittiber ehelich erzeugte Zween majorenne Söhn Zu Zwo gleichen Portionen und Antheilen als 1° H Joh: Ludwig Reibel der hiesige burger und Bierwürth auf das sogenannte Bartheils hoff vor dem Dauphine thor und 2.do Joh: Christian Reibel lediger major. Keller alhier
(f° 4) Eigenthum ane einer behaußung (T.) Nemlich eine Zum Tiger geschildete Würths behaußung ane dem Baarfüßer Platz (…)
(f° 9) Series Rubric huj. Inv. Copia der Eheberedung
Der Benef. Erben ohnv. Guths, Sa. Kleidung 16, Sa. act. schuld 37, Summa summarum 53 lb – Schulden 150 lb Compensando 96 lb
Diesemnach wird auch die übrige Verlaßenschaffts-maß, welche Vermög Ehebered. samt. theilb. ist beschrieben, Sa. haußr. 103, Sa. leerer Faß 21, Sa. Silbers 16 ß, Sa. Eigenth. .a. 1. bhßg 1250, Summa summarum 1375 lb – Schulden 4344 lb, In Vergleichung, theilb. pass. onus 2968 lb
Copia der Eheberedung (…)
Jean Jacques Riebel et Marie Marguerite Kopp vendent la maison et le débit de café au cafetier François Goucheron et à sa femme Anne Marie Ebner moyennant 7500 livres : acte provisoire devant notaire, vente à la Chambre des Contrats
1781 (13.2.), Not. Roessel (6 E 41, 938) n° 57
Interims: Verschreibung – herr Johann Jacob Reibel der Caffetier
so dann herr François Goucheron ebenmäßiger Caffetier
Eine behaußung bestehend in vorder und hinterhauß, hof brunnen und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten ane dem Sandplatz, einseit neben sogenannten Rooßenbad wovon der heutige besitzer H. Rentz der Chirurgus ist, anderseit neben Sr Barbier dem Negociant hinten auff N. Stamm den Metzger, Ingleichem verkaufft mit sotahner behaußung dessen Caffé Recht und Gerechtigkeit welches er von Martin Fuhrer käuflich an sich gebracht
Specification, Haußes und Effecten so H. Johann Jacob Reibel der Caffetier H. François Goucheron dem Caffesieder verkauft hat, Im Großen Saal, in der Cafféstub, Im ersten Stock auf die Gaß Im hintern Stockwerk die Weberstub genandt, In der Kuchen, Im Keller – um 15.000 gulden worunter die capital summen begriffen
Transcrit à la Chambre des Contrats, vol. 655 f° 155
1781 (24.3.), Chambre des Contrats, vol. 655 n° 155
H. Johann Jacob Reibel der caffesieder und Maria Margaretha geb. Koppin
in gegensein H. Frantz Goucheron des caffesieders und Annæ Mariæ geb. Ebenerin unter assistentz H. Anton Stephan des Cranmeisters und H. Johann Schott des kieffers und weinhändlers
ihre eigenthümlich zuständige caffebehausung, bestehend in vorder und hinter haus, bronnen und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Sandplatz einseit neben dem sogenannten Rooßenbaad H. Rentz dem chirurgo zuständig, anderseit neben Sr Barbier ancien ingénieur du roy, hinten auff H. Stamm den metzger
item sas cafferecht und gerechtigkeit laut decreti löbl. policeÿ gericht von 29. januarÿ jüngsthin enthalten – um 15.000 gulden worunter die capital summen begriffen
Fils du tailleur Jean Goucheron, François Goucheron épouse en 1762 Marie Anne Ehlengast, native d’Überlingen au lac de Constance et veuve du cafetier Laurent Paulus : contrat de mariage, célébration
1762 (20.Xbr), Not. Humbourg (6 E 41, 108)
Contrat de mariage – François Antoine Guscherong bourgeois de cette ville fils majeur de Jean Guscherong tailleur d’habits de cette ville et de défunte Marie Mehlin
Marie Anne Ehlengast veuve de Laurent Paulus bourgeois caffetier de cette ville fille de feu Joseph Ehlengast tailleur de pierres a Überlingen proche le lac de Constance et de défunte Elisabeth hummel (signé) guscherong, Elgestin
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 49)
Hodie 10 januarii anni 1763 (…) sacro matrimonÿ vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt franciscus antonius goucheron hospes hujus urbis filius Legitimus joannis goucheron ciuis hic et defunctæ annæ mariæ mehl in vita conjugum et maria anna Ehringest ex überlingen oriunda vidua defuncti Laurentii paulus ciuis olim et Liquoris Caffé dicti opificis, ad fuerunt testes hermanus goucheron ciuis et sartor Et frater sponsi (signé) guscherung, Elgestin
Originaire de Krautergersheim, Jean Paulus épouse en 1745 Marie Anne Ehlengast, native d’Überlingen et demeurant à Strasbourg depuis dix-huit ans
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 309) Hodie die 10. Octobris Anni 1745 (…) sacro Matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ Conjuncti fuerunt honestus Juvenis Laurentius Paulus ex Kraut Ergersheim oriundus filius Laurentii Paulus Et Catharinæ Herdlerin conjugum a quatuordecim annis Argentinenæ et a viginti mensibus parochianus noster et honesta puella Maria Anna Elegastin ex überlingen Diœcesis Constantiensis oriunda filia Josephi Elegast et Elisabethæ Humli, conjugum octodecim annis Argentinæ et a duobus ultimis quoque parochiana nostra (Signé) Lorentz paulus, Maria Anna Ellgastin (i 162)
La tribu de la Mauresse délivre une promesse d’admission au domestique Laurent Paulus (le registre de bourgeoisie manque).
1754, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 260)
(f° 202) Dienstags den 2.ten Julÿ Anno 1754 – Accordirter Vertröstungs Schein zum burger und Zunfft Recht
Lorentz Paulus, der Herrenbediente und Schirmer alhier, haltet um einen Vertröstungs Schein zu Erlangung des hiesigen Burger und dießortigen Zunfftrecht an, in deme Er noch Zur Zeit keine anders beÿ dieser Zunfft residirend das Recht Verlanget.
Erkannt Willfahrt dedit 2 ß
Laurent Paulus devient tributaire le 16 octobre 1754
(f° 213-v) Mittwochs den 16.ten Octobris Anno 1754 – Neuer Leibzünfftiger C.R.
Lorentz Paulus, der Herrenbediente und Schirmer allhier, producirt Cantzleÿ: Pfenningthurn und Stallschein dedatis 10.den und 19.den Julÿ 1754. und bittet Ihme das Zunfftrecht mitzutheilen.
Erkandt, gegen Erlag der Gebür willfahrt dedit Vor de Pfenningthurn 1 lb
vor das Zunfftrecht 5 ß, vor die Feur Eÿmerer 3 ß 4 d und Einschreib Geld 2 ß (Summa) 1 lb 10 ß 4 d So dann vor das Findling hauß 3 ß 2
Le cafetier Laurent Paulus meurt dans la maison du cafetier Rittner rue des Chandelles après avor institué sa femme légataire universelle. L’actif de la succession s’élève à 539 livres, le passif à 734 livres.
1761 (3.11.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 335) n° 825
Inventarium über Weil: H: Lorentz Paulus, des geweßten Cafféesieder u. B. alh. Zu Straßb. nunmehr sel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1761. – nach seinem Sontag d. 28. 8.bris dieses Zu End eilenden 1761.ten Jahres aus dießer welt genommenen tödl. hientritt hie Zeitl. Verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ans. Frauen Mariæ Annæ Paulusin geb. Elegäßin des Def: in Leben geweßener Ehefrauen u. nunmahliger Wb. als Von demselben Vermög des gleich hernach in Copia inserirten per Testamentum nuncupativum eingesetzter universal Erbin, welche aber unter assistentz S. T. Herrn Joh: Carl Fické Notarÿ publici und berühmten Practici alh. (…) So geschehen in der Königlichen Stadt Straßburg auf Dienstag den 3. Novembris Anno 1761
In einer alhier Zu Straßburg Hinter der Herren Stub ane der heiligen Liechter Gaß gelegenen herrn Rittner dem gewes. Caffetier und b. al. eigenthüml. zuständiger und dißorts zum theil Lehnungsweis bewohnender behaußung ist befunden worden wie folgt
(Schulden) It. solle man H Johann Friderich Rittner dem ältern Caffetier u. b. alh. für ein Viertel Jahr Hauszins von Michaelis biß nechst Künftigen Weÿhenachten dieses 1761. Jahrs gerechnet
Series rubricarum hujus Inventarÿ – Copia Testamenti nuncupativi – Sa. haußraths 99, Sa. Waaren Zur Caffée Siedereÿ 2, Sa. Tabacks 255, Sa. Weins 39, Sa. Silbers 7, Sa. Schulden 137, Summa summarum 539 lb – Schulden 734, Compensando 194 lb
Laurent Paulus meurt à l’âge de 52 ans d’après son acte de sépulture
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 271)
Anno Domini 1761 die 25 Octobris mortuus est Laurentius paulus ciuis maritus Magdalenæ Erigest ætatis Suæ 52 annorum sanctissimis,sacramentis pœnitentiæ eucharistiæ et extremæ unctionis rité munitus qui postridie sepultus fuit in cœmeterio S. galli (i 139)
Le conseil des Fribourgeois inflige une amende à François Antoine Goucheron, cafetier dans la maison Rittner, pour vendre des liqueurs au détail. Elle lève l’amende deux mois plus tard une fois qu’il est devenu cotisant. Il devient tributaire en octobre
1763, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 168)
1.te Gericht de 1763. Freÿtag den 28.ten mensis Januarÿ in Anno 1763.
(f° 199) Frantz Anthonÿ Coucheron der jetzige Caffetier in dem Riednerischen Caffée hauß Citiret, weilen derselbe Liqueurs en détail verkaufft, Alß solle derselbe sich dißorts geld Zünfftig machen. Nomine Comparente, Ist Erkandt worden, Solle derselbe ad proximam beÿ 10. ß d straff citirt werd.
2.te Gericht de 1763. Dienstag den 22.ten mensis Martÿ in Anno 1763.
(f° 202) Frantz Anthoni Coucheron citiret zufolg Eines Ehrs. Gerichts Erkanntnus von 28. Januarÿ jüngst beÿ 10. ß Straffe. Ille præsens Sagt Er habe dermahlen nicht Erscheinen Können undt Sich derhalben beÿ dem Unterbüttel excusiret Im überige aber will Er sich dießorths Geldt zünfftig machen.
Hierauff ist Erkandt worden, daß citatus wegen Verkauffung Liqueurs und Liqueurs mit sich führenter aber Keiner anderer wein weniger Eßen: Speißen Umbs geldt zu geben zu verbiethen und anbeÿ von deren ihnen unterm 28. Januarÿ Jüngst angesetzten Straff der 10 ß d pro nunc zu absolviren.
(f° 220) 10.te Gericht de 1763. Mittwoch den 5.ten mensis Octobris in Anno 1763. Frantz Antoni Coucheron, der Hießige burger undt dermahlige Caffetier, Erscheint Undt producirt Statt stall Schein, welcher datirt den i.ten dießes Monats Octobris in anno 1763. undt bittet Ihne Leibzünfftig Zu recipiren.
Hierauff ist Erkandt worden, daß citatus gegen Erlag der 6. lb jüngst alß geldt zünfftig allschon bezahlter 3 lb die Gebühr per rest mit 4 lb 14 ß d annoch zu Erlegen undt wann Er mit der Zeit Würtschafft Zu treiben, willens, deß Er sich beÿ dießer Gericht stelle wiederumb zu Melden, undt alßdann Seinen Lehrbrieff sambt dem Thauff Schein Zu produciren, Schuldig und verbundten seÿn solle. Dedit, promisit vndt hat auff die Ordnung angebolet.
Notâ. Dießer hat Kein stubengeldt dermahlen bezahlet weilen Er solches den 28. Jan: 1763. alß da derselbe dießorths alß geld Zünfftig recipiret worden Enreichtet hat.
Marie Anne Emengast fait dresser l’inventaire de ses apports (373 livres) dans une maison rue des Chandelles près de la rue des Fribourgeois.
1763 (1.2.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 720) n° 454
Inventarium über der Ehren und Tugendsahmen Frauen Marie Anne Guscherong geb. Ehlgastin Zu dem Ehrengeachten Herrn Frantz Anthoni Guscheong dem Cafféesieder und Burgern allhier Zu Straßburg ihrem Ehemann in den Ehestand zugebracht Nahrung auffgerichtet Anno 1763. – und isch Vermög der Vor Hn Houmbourg Königl. Not° den 20. Xbris 1762. errichteter Huraths Verschreibung Vor unverändert Vorbehalten hat, Welche Nahrung auf freundliches ansuchen erfordern und begehren obehrengedachter Ehefrauen in Gegenseÿn Ihres Ehemanns (…) So beschehen in Straßburg auff Dienstag den 1. Februarÿ 1762.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Hellenliechter Gaß gegen der Freÿburger Gaß über gelegener und in dieße Zugebracht Nahrung nicht gehörigen behausung befunden Worden wie folgt
Summa 373 lb
Tributaire chez les Fribourgeois, François Antoine Goucheron devient cotisant au Miroir comme cafetier
1767, Protocole de la tribu du Miroir (XI 278)
(f° 245-v) Montags den 16. Martii 1767 – C. Geldzünfftiger
Hr Frantz Antoni Goucheron, der bei E.E. Zunfft derer Freiburger alhier leibzünftige Burger und Caffeesieder, ist auf sein geziemendes Ansuchen gegen Erlag 2 lb 13 ß 4 d dißorts Geldzünftig als Caffeesieder angenommen word.
Comme il ne bénéficie plus du droit de tenir café après la fin de son bail, François Antoine Goucheron sollicite le droit de revendre du tabac. Le conseil du Miroir refuse.
1774, Protocole de la tribu du Miroir (XI 279)
(f° 166) Donnerstags, den 10. Martii 1774 – Abweisung
Frantz Antoni Goucheron, der gelernte Wirth und vormalige Kaffeesieder auch burger alhier stehet Vor und bittet, in ansehung sein entlehnet gehabtes Kaffeerecht ihm aufgesagt worden, ihm zu erlauben, einen kleine Tabackkram anfangen Zu dörfen.
Erkannt, seÿe der Implorant mit seinem wieder Ordnung laufenden begehren abzuweisen.
Marie Anne Ehlengast meurt dans sa maison à l’angle de la place Broglie et de la rue de l’Ecrevisse après avoir institué son mari légataire universel. L’actif de la succession s’élève à 1 324 livres, le passif à 1 296 livres.
1775 (11.3.), Not. Fettich (Geo. Fréd. 6 E 41, 1306) n° 65
Inventarium über Weil. Fr. Mariæ Annæ gebohrene Ehlengaßin Hn. Frantz Anthoni Guscherong des burgers und ehemahligen Caffetier dahier Zu Straßburg im Leben geweßener Ehefrauen nunmehro seel. Verlaßenschaft, aufgerichtet Anno 1775. – nach ihrem den 13. apr. jüngst aus dießer Welt genommenen tödlichen Hientrit hie Zeitlichen verlaßen hat, Welche Verlaßenschaft auf Ansuchen Vorgedachten Hn Guscherong des hinterbliebenen Wittibers, als welchem die Verstorbene ihre hinterlaßene Vermögenschaft per donationem inter vivos wie nachbeschriebene: und beÿ E: E: Großen Rath enregistrirt worden Eheberedung §° 5.to das mehrer belehrt, als ein Eigenthum zugedacht inventirt und ersucht (…) So geschehen alhier Zu Straßburg in einer ane dem Roßmarck gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hernach inventirten Behaußung, Auf Donnerstag d. 11.ten Maÿ A° 1775.
Eigenthum ane einer Behausung. Neml. ein behausung und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten alhie ane dem Roßmarckt einseit ist ein Eck ane der Schildsgaß, anderseit neben Weÿl. Edme Lelarge gewes. Perruquenmachers Erben, hinten auf eben dieße stoßend gelegen, so außer denen darauf hafftenden und hernach eingetragenen Passiv Capitalien freÿ ledig und eigen und durch die löbl Stat geschworne Heren Werckmeistere Zufolg deroselben unterm 4. Maÿ jüngsthin schriftlich ertheilter Abschatzung æstimirt und angeschlagen worden pro 2300. fl. oder 1150. lb. Hierüber besagt ein in alhiesiger Cantzleÿ Contract Stub auf Pergament ausgefertigter und mit dero Isiegel verwahrter Kauffbrieff dedato 10. Martÿ 1766. Ferner ein Pergamentener Ganth Versteigerungs Brief mit dero anhangenden Insiegel verwahret dedato 29. Xbr. 1762.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung so beede geweßte Ehegatten vor Hn Humbourg dermaligen notario Regio alhier den 20. Decembr. 1762.. auffgerichtet haben
Hierauf so wird die gesamte Verlaßenschafft ohne Unterschied, unter einer Massa beschrieben, Sa. Haußraths 149, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 9, Sa. goldener Ring und Geschmeids 15, Sa. Eigenthums ane vorherberührter Behausung 1250, Summa summarum 1324 lb – Schulden 1296 lb Nach deren Abzug, Stall Summa 27 lb
Copia der Eheberedung (…)
François Antoine Goucheron se remarie en 1775 avec Salomé Ebner, veuve du taillandier Jean Gœrges : contrat de mariage, célébration
1775 (24. 8.bris), Not. Fettich (Geo. Fréd. 6 E 41, 1311) n° 40
Eheberedung – zwischen dem Ehrsam: und bescheidenen Herrn Frantz Anthony Goucheron Verwittibten Burgern und ehemahligen Cafféesiedern dahier zu Straßburg, als Hochzeitern ane einem
sodann der Ehr: und tugendsahmen Frauen Salome gebohrener Ebener, Weÿl. Mstr. Johann Gerges gewesenen Burgers und Waffenschmidts dahier hinterlaßener Wittib, als hochzeitherin
So geschehen dahier Zu Straßburg in Gegenseÿn auf seithen des Hn hochzeithers Herrn Herrmann Goucheron, des burgers und Schneidermeisters dahier des Hn Hochzeiters bruders, auf der Frau Hochzeiterin seiten aber Hn Frantz Anthoni Saur des Paßmentierers und Burgers Zu Elsaß Zabern ihres Schwagers und Hn Lorentz Blind des Huefschmids und burgers dahier (…) Auf Dienstag den 24. Octobris Anno 1775 [unterzeichnet] Frantz Antoni Guchron als hochzeiter, Marie Salomé Ebner
Mariage, Saint-Marc (cath. p. 54)
Hodie 21 Novembris Anni (…) sacro Matrimonÿi vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti Franciscus Antonius Goucheron civis hujas, defunctæ Annæ Mariæ Elengestin viduus superstes, Parochianus ad S. Petrum Juniorem hujus urbis et Maria Salome Ebener, tabernensis, defuncti Joannis Görges civis hujatis vidua superstes, Parochiana nostra, Præsentes adfuerunt Hermanus goucheron frater sponsi (signé) françois antoin goucheron, Marie Salomé Ebner (i 31)
Jean Gœrges épouse en 1773 Salomé Ebner, fille du maréchal ferrant Jean Ebner, au service du cardinal de Rohan : contrat de mariage, célébration à Saverne
1773 (6.9.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 366
Eheberedung – persönlich erschienen H. Johann Görges, der leedige Waffenschmid und burger allhier Zu Straßburg H Johann Peter Görges, des ältern Waffenschmidts v. burgers allhier ehelich erziehlter Sohn, unter autorisation deßelben, als hochzeiter ane einem
Und Jungfer Salome Ebenerin, seil. Johann Ebener, des geweßenen hoff hueffschmidt beÿ Ihro hochfürstl. Eminentz Hn Cardinal v. Rohan und burgers Zu Elsaß Zabern seel. nachgelaßene Tochter, so ohnbevögtigt unter assistentz Fr. Anna Maria Ebenerin geb. Meÿerin dero eheleiblichen Mutter und unter assistentz Hn Frantz Joseph Schell des Gastgebers und burgers Zu gedachtem Elsaß Zabern als hochzeiterin
auf Montag den 16. Septembris Anno 1773 [unterzeichnet] Johannes Jörges Als hochzeiter, Maris Salomea Ebner als hochzeitrin
Mariage, Saverne (cath. f° 124-v n° 32)
Hodie 12. mensis Octobris anni 1773 (…) sacro matrimonÿ vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Goerges solutus in parochia Sti Marci intra argentiam oriundus nunc vero per quinque annis in supradicta parochia St Petri senioris commorans quâ secarius faber, filius majorennis Joannis Petri Georges civis et armorum fabri et Catharinæ Burgerin conjugum argentinæ commorantium et Maria Salome Ebner filia defuncti Joannis Ebner Civis et fabri ferrarÿ hujatis et superstitis ejus conjugis Annæ Mariæ Meÿer commorans in hac parochia (signé) Johannes Görges, Marie Salome Ebner (i 129, procl. Saint-Pierre-le-Vieux p. 117, i 65)
François Antoine Goucheron et Salomé Ebner font vendre des objets mobiliers
1779 (3. Junÿ), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 866) n° 235
Verkauf und Erlöß Register über Verschiedene H. Frantz Goucheron, dem Cafféesieder, und Frauen Mariæ Salome geb. Ebnerin, beeder Eheleuthen und Burgere allhier Zugehörig gewesene haußräthliche Effecten (…) offentlich versteigt und verkauft worden, So beschehen Straßburg auf Jahr und Tag wie inwendig gemelt
François Goucheron loue une partie de sa maison dont le café, les objets qui y sont attachés et trois billards, à Jean Jacques Reumann
1794 (21 Germinal 2), Strasbourg 7 (46), Not. Stoeber n° 290
zwischen burgeren François Goucheron und Johann Jacob Reumann wegen der Caffee behausung am Sandplaz N° 5 folgende Lehnung vestgesetzt und beschlossen worden
1° Verlehne ich François Goucheron ihme Johann Jacob Reumann in meiner erstbesagten eigenthümlichen behausung Le Rez de chaussée oder alle begriffen auf dem boden nichts ausgenommen, die Wohnung im erstern Stock des hinderhauses bestehend in Stub, Alcove und Kammer, in ersten Stock des Vordern hauses den Billard Saal, Zwo Kammeren eine auf der Manzarde in den Hof und eine im Hindern hauß, samtliche Kellern auser demjenigen, worinnen der Verlehner würklich seine Weine liegen hat.
2.do solle diese lehnung auf dreÿ Monath lang dauren vom 17.ten Novembris nechstkommend angerechnet, um einen monatlichen Zinß von 100 Livres so in dreÿ Monat mit 300 Livres Zalbar. 3.to solle dem Entlehner nach Verfluß dieser dreÿ Monath sofern er es Verlangt, diese Lehnung auf dreÿ Monat weiter Zu 100 Livres monatlich festgesetzt werden. (…) 5° Werden in Lehnung mitgegeben dreÿ Billards und sonstige Mobilien wie auch Effecten Zur Caffesiedereÿ gehörig, worüber eine besondere Verzeichnus wird gemacht werden
François Antoine Goucheron meurt en 1799 en délaissant pour héritiers les enfants de son frère Hermann Goucheron
1799 (6 compl. 7), Strasbourg 4 (30), Not. Roessel n° 232
Inventarium über weÿl. bürgers François Antoine Goucheron gewesten Caffetier, nach seinem den 15. floreal 7. Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt – auff ansuchen bürgerin Mariæ Salome Goucheron geb. Ebner
der nun verstorbene hat zu Erben verlaßen in Ermanglung Kinder seines verstorbenen bruders b. hermann Peter Goucheron hiesigen Schneiders 3 Kinder als 1. burgerin Margaretha Goucheron b. Joh. Lentz Schneiders Ehefrau, 2. b. François Louis Goucheron auch Schneiders und 3. burgerin Francisca Goucheron ledig und majorennen alters beiständlich erstged. ihres bruders
Testament vom 13. Aprilis 1787 vor Fettich Not.
in diesorts Sterbbehausung ane dem Sandplatz N° 5
(f° 17) Eigenthum an einer behausung. Nemlich eine Caffebehaußung bestehend in vorder- und hinterhaus hoff bronnen und hoffstatt mit allen deren übrigen begriffen, gebäuden, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten an dem Sandplatz mit N° 5 bezeichnet einseit neben dem sogenannten Rosenbaad b. Rentz dem Chirurgo zuständig anderseit neben b. Rumpler hinten auff b. Stamm den metzger, hierüber besagt eine Kauffverschreibung in der C.C.Stb. de dato 24. martÿ 1781
(f° 18 v) Eigenthum an einem Garten, Nemlich ein Garten zwischen dem Judenthor und fischerthor gelegen welcher das emplacement von dem vormals sogenanten goldenen Pferd ausmacht, theils mit einer dielenwand und steinern Pfosten umgeben einseit neben Dalmer bierbrauer anderseit neben b. Colla glaßer, hierüber besagt ein Kaufbrieff vor dem Not° Dinckel passirt den 21. frimaire an 6
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der Wittib ohnveränderten Mass ergäntzung 4000 fr
der beneficial Erben ohnveränderte Mass, Ergäntzung 6000 fr
die gemein verändert und theilbar Verlassenschafft, hausrath 5272 fr, silber und gold 622 fr, behausung &&, garten &&, baarschafft 300 und 177 fr, summa summarum 6371 fr, schulden 4586 fr, Nach deren abzug 1785 fr
Enregistrement, acp 69 F° 186 du 3 vend. 8
Marie Salomé Eber se remarie avec le capitaine Antoine Joseph Brissez, originaire de Saint-Omer
1800 (19 ventose 8), Strasbourg 9 (anc. cote 7), Not. Dinckel n° 610
Contrat de mariage – cit. Antoine Joseph Brissez, premier capitaine des grenadiers de la deuxième demi brigade de Ligne retiré pensionné de l’Etat, fils majeur de feu Charles Joseph Brissez, marchand à St Omer Département du Pas de Calais, et de feue Marie Isabelle Tonnois*
cit. Marie Salomé Ebener veuve du cit. François Goucheron caffetier
Inventaire du cit. Goucheron dressé par M° Roessel le 6 complementaire dernier
Enregistrement, acp 72 F° 79 du 21 vent 8
Antoine Joseph Brissez et Marie Salomé Ebner louent le café à Jean Daniel Schneegans et à Marguerite Roth
1803 (12 pluviose 11*), Enregistrement de Strasbourg, ssp 12 F° 97-v du 26 vent. 11
Bail de 6 années – Antoine Joseph Briser et Marie Salomé Ebner
au Cit. Jean Daniel Schneegans et Marguerite Roth
une partie de la maison sise en cette ville place du Sable N° 5 c’est-à-dire le rez de chaussée où est établi le Caffé et les billards qui s’y trouvent avec les dépendances – moyennant un loyer annuel de 1600 francs
François Xavier Arbogast Lentz vend au prêtre Jean Louis Goucheron les droits provenant de la succession de François Antoine Goucheron
1811 (17.10.), Strasbourg 8 (2), Not. Roessel n° 392
Vente de droits successifs – François Xavier Arbogast Lentz, cuisinier demeurant à Augsbourg (déclare) que François Antoine Goucheron son grand oncle caffetier étant décédé le 15 floréal 7 avait délaissé pour ses héritiers Marguerite Goucheron femme de Jean Lentz tailleur d’habits mère du comparant, François Louis Goucheron priseur, Françoise Goucheron fille majeure, suivant inventaire dressé par M° Roessel le 6 complementaire 7, 2. que la D° Lentz née Goucheron étant décédée le 5. vendémiaire 14 avait délaissé pour héritiers ses cinq enfants savoir le comparant, Barbe, Jean, François Louis et Adelaïde Lentz, suivant inventaire dressé par M° Lex le 28 brumaire de ladite année, 3. François Louis Lentz étant décédé le 24 décembre 1807, 4. Jean Lentz père décédé il y a environ 6 mois, que conséquemment les droits de François Antoine Goucheron dont sa veuve Marie Salomé Ebner avait l’usufruit sa vie en conformité de son testament mystique du 13 avril 1787 déposé aur ang des minutes de M° Fettich
à M l’Abbé Jean Louis Goucheron
tous droits successifs de la succession de Mde Lentz née Goucheron
le 6° d’une maison sise à Strasbourg place du Sable n° 5 avec dépendances
le 6° d’un jardin situé hors la porte des Juifs
1500 fr dont 800 fr pour le 24° de maison
Enregistrement, acp 118 F° 51 du 17.10.
Les héritiers de François Antoine Goucheron vendent la maison à Jonathan Braun
1812 (9.3.), Strasbourg, Not. Lacombe (minutes en déficit)
Adjudication – François Louis Goucheron, Jean Lentz revendeur et Adélaïde Letz, Jean Louis Goucheron
à Jonathan Braun
une maison place du Sable n° 5 pour 45.500 francs
Strasbourg 15 (15), Not. LacombeSuite au 2396. (Encart) du 19 février, 2 mars, 9 mars Procès verbaux d’adjudication par les héritiers de François Antoine Goucheron caffetier de la maison place au Sable n° 5 à M. Braun, voir les minutes au registre supplémentaire
Enregistrement, acp 119 F° 62 du 16.3.
Fils de l’aubergiste Jean Georges Braun, Jacques Jonathan Braun épouse en 1801 Catherine Dorothée Rœderer, fille du brasseur Jean Daniel Roederer. Les parents du marié louent à leur fils l’auberge au Bateau d’or au quai des Pêcheurs
1801 (1 floreal 9), Strasbourg 10 (31), Not. Zimmer n° 220
Eheberedung – persönlich erschienender Burger Jacob Jonathan Braun lediger Gastgeber alhier zu Straßburg wohnhaft, des bs. Joh: Georg Braun, Gastgebers alhier mit frauen Maria Barbara Zaberin seiner Ehegattin ehelich erzeugter volljähriger Sohn, als Hochzeiter ane einem
So dann Jungfrau Catharina Dorothea Roederer, weil. des bs. Johann Daniel Roederer im Leben gewesenen Bierbrauers alhier mit Frauen Maria Magdalena gebohrner Pfeffinger seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeigt und hinterlaßener minderjährige Tochter unter Autoritat und beistand des Bs Joh: Friderich Pfeffinger Handelsmanns alhier ihres Vormunds, als Braut an dem andern Theil
Sechstens declariren Eingangs gemelte des Hochzeiters Eltern, die Ehefrau von ihrem Ehemann hierzu insonderheit autorisirt, deß sie vor sich und ihre erben auf 18 nach einander folgende Jahre welche vom ersten laufenden Monaths Germinal anfange und auf die nämliche Zeit im 27. Jahr der Republick sich wieder endigen sollen, verlehnen und in Lehnung geben, Eingangs gedachtem Bräutigam ihrem Sohn, welcher auch solche Lehnungsweise annimmt, benantlich die Zum goldenen Schiff geschildete Gast behaußung, bestehend in Vorder, Nebens und Hinter Gebäuden, Hof, Bronnen, Hoffstatt und Stallung, mit allen deren begriffen, gelegen allhier Zu Straßburg an untern Fischerstaden nechst dem Fischerthor anderseit neben Br Murr des Kiefers Erbschaft, anders. neben Brs Diebold Hügel gewesenen Schiff Capitaine Erbschafft, hinten auf die Caßern Stoßend, außer der darin befindlichen Wohnung im Hinterhauß bestehend in einer Kuche, einer Wohnstub und einem andern Zimmer so gegen der Caserne über ist, und einem Zimmer gegenüber, einer bühn über dieser Wohnung vor Holtz und der Keller hinten im Hof, deren Besitz und Genuß sich die verlehnende Eltern vor sich und das letztlebende unter ihnen in allen fällen und ohne Entgeld lebtägig vorbehalten nach des letzlebenden der Eltern tod aber soll diese vorbehaltene Wohnung mit in der Lehnung begriffen sein
So beschehen allhier zu Straßburg (…) den ersten floreal Abends im Neuenten Jahr der fränckischen Republick [unterzeichnet] Braun jaques, Röderere Catharina
Enregistrement, acp 78 F° 28 du 9 flor. 9
Registre de population, 600 MW 65 (1815 sqq) Place du Sable N° 5, p. 243 (i 220)
Braun, Jn. Jonathan, 1779, Cafetier, Strasbourg, (auparavant) quai Pecheurs 63, entré 1813, parti pour Brumath 1817
id. née Roederer Christine Dorothée, 1784, Ep. Strasbourg
id. Julie Frédérique, 1802, id.
id. Jacques Auguste, 1807, id.
id. Edouard Daniel, 1808, id.
id. Caroline Emilie, 1810, id.
id. Ferdinand Frédéric, 1812, id.
id. Julie Mad. Louise, 1813, id.
id. Emile Jules Charles Fred. 1815, id.
Jacques Jonathan Braun (parti habiter à Brumath, voir ci-dessus) loue à Jacques Hantzmetzger le café connu sous le nom de café Brissez
1817 (28.8.), Strasbourg 15 (22), Not. Lacombe n° 4736
Bail de 3 années à commencer à le St Michel prochaine – Jacques Jonathan Braun, caffetier
à Jacques Hantzmetzger, majeur
le rez de chaussée de sa maison sise à Strasbourg place au Sable n° 5 où il y a établissement de caffé connu sous le nom de caffé Brissez avec la cuisine, le bucher et la chambre sur le derrière, celle sur le devant à l’exception de la place dont les locataires du second étage ont la jouissance, Plus tout le premier étage de la maison de devant et de derrière avec la chambre dans la maison latérale, Plus une chambre servant au logement militaire et des garçons cafetiers aux mansardes dans la maison de derrière, Plus une chambre à linge sale, Plus la jouissance commune de la pompe et du grenier – moyennant un loyer annuel de 1800 francs
Enregistrement, acp 135 F° 119-v du 29.8.
Jonathan Braun et Catherine Dorothée Rœderer consentent au mariage de leurs enfants Julie Louise Madeleine, Jacques Auguste, Julie Frédérique et Frédéric Ferdinand Braun
1836 (16.4.), Strasbourg, Me Stoeber
Consentement par Jonathan Braun, vérificateur en chef de l’Administration de l’octroi municipal, et Catherine Dorothée Roederer, au mariage que Julie Louise Madeleine Braun à Vorms est intentionnée de contracter avec Georges Ritter, professeur au même lieu
[les mêmes] Consentement par Jonathan Braun, vérificateur en chef de l’Administration de l’octroi municipal, et Catherine Dorothée Roederer, au mariage que leur fils Jacques Auguste Braun au service du Roi des Belges est intentionné de contracter avec Marie Maudoue
Enregistrement, acp 240 F° 10-v du 16.4.
1849 (14.4.), Strasbourg 10 (113), Not. Zimmer n° 7752
Consentement à mariage – ont comparu M. Jacques Jonathan Braun, receveur de l’octroi municipal de Strasbourg et Dame Catherine Dorothée Roederer son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels déclarent par les présentes consentir au mariage de leur fille légitime Dlle Julie Frédérique Braun institutrice domiciliée à Harskirchen canton de Saarunion arrondissement de Saverne, née le 10 thermidor an X (29 juillet 1802) avec Mr Jean Pierre Wehrung, arpenteur forestier demeurant au dit Harskirchen
acp 381 (3 Q 30 096) f° 65
1850 (26.9.), M° Zimmer
Consentement par Jacques Jonathan Braun, receveur de l’octroi et Catherine Dorothée Roederer conjoints à Strasbourg au mariage de leur fils Frédéric Ferdinand Braun professeur de langue allemande à Paris avec Anne de Surval du dit lieu
acp 394 (3 Q 30 109) f° 87 du 27.9.
Catherine Dorothée Rœerer veuve de Jacques Jonathan Braun meurt à Illkirch le 2 mai 1854
1867 (9.2.), Strasbourg 7 (126), Not. Edouard Stromeyer n° 5240
Notoriété (…) déclarent avoir parfaitement connaître Mde Catherine Dorothée Roederer veuve Jacques Jonathan Braun, vivant receveur d’octroi à Strasbourgn elle demeurant et domiciliée Illkirch, 2° qu’ils affirment avoir parfaitement connu M. Braun, sus nommé, et savoir qu’il est décédé à Illkirch le 2 mai 1854 et ainsi qu’il résulte d’un extrait de son acte de décès (…) 3° qu’ils savent parfaitement que Madame veuve Braun née Roedrer est propriétaire d’une rente (…)
4. que les époux Braun-Roederer étaient mariés sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquets suivant leur contrat de mariage passé devant M° Zimmer père alors notaire à Strasbourg le premier floréal de l’an neuf de la République française
Le meunier Jonathan Braun et Catherine Roederer vendent la maison connue sous le nom de café Brissez au docteur en médecine Jacques Frédéric Schweighæusser et à Marie Madeleine Grün
1821 (20.8.), Strasbourg 15 (29), Me Lacombe n° 3037
Cahier des charges n° 5922 du 14 avril – Adjudication – Jean Georges Hatt, gradué en droit, mandataire de Jonathan Braun, meunier à Brumath en son nom et pour Catherine Roederer sa femme
à Jacques Frédéric Schweighaeusser, docteur en médecine, et Marie Madeleine Grün, pour 19.100 francs
une maison appartenant audit Sr Braun située en cette ville place au Sable n° 5 connue sous le nom de café Brissez, d’un côté le Sr Dill, d’autre M. Audéoud, derrière le Sr Stamm – acquis suivant adjudication dressée par M° Lacombe le 9 mars 1812 – mise à prix 19.000 fr
Enregistrement, acp 153 F° 192 du 29.8.
Jacques Frédéric Schweighæusser épouse en 1798 Marie Madeleine Grün : contrat de mariage, célébration
1798 (2 fruct. 6), Strasbourg 3 (3), Not. Schweighaeuser N° 328
Eheberedung – persönlich erschienen der Burger Jacob Friedrich Schweighäusser, Medicinæ Doctor und Practicus allhier zu Straßburg, als Bräutigam ane einem
So dann die leedige Burgerin Maria Magdalena Grunin des burgers Philipp Jacob Grün, hiesigen Gastgebers mit Frau Maria Magdalene gebohrner Stammin ehelich erzeugte Tochter, als Braut
So geschehen (…)Straßburg den 2. des Monaths fructidor im VI. Jahr der Ein: und untheilbahren franckischer Republick
Enregistrement, acp 62 F° 165-v du 6 fru. 6
Mariage, Strasbourg (n° 568)
Cejourd’hui 2° Fructidor l’an VI de la République française une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part Jacques Frédéric Schweighauser, agé de 32 ans, médecin né et domicilié en cette Commune, fild de Jean George Schweighauser, négociant, et de Marie Marguerite Schaeffer, d’autre part Marie Madeleine Grün, agée de 17 ans, née et domiciliée en cette commune fille mineure de Philippe Jacques Grün, aubergiste, et de Marie Madeleine Stamm, (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 13 janvier 1766 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 15 mars 1781 (signé) jacques frederic Schweighauser, Marie Madeleine Grün (i 139)
Jacques Frédéric Schweighæusser meurt en 1842 en délaissant trois enfants
1842 (29.10.), M° Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire de la succession de Jacques Frédéric Schweighaeuser, docteur en médecine à Strasbourg décédé en cette ville le 7 mai 1842 et de la communauté de biens qui a existé entre lui et sa veuve survivante D° Marie Madeleine Grün aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Schweighaeuser autrefois notaire à Strasbourg le 2 fructidor an 6 – à la requête 1° de la veuve survivante du défunt susdénommée agissant à cause de ladite communauté, 2° de Jules Schweighaeuser majeur sans état à Strasbourg, 3° de Charles Schweighaeuser directeur de forges à Zinswiller
acp 303 (3 Q 30 018) f° 96-v du 4.11. Les meubles et objets mobiliers de la communauté sont estimée à 767 francs
La garde robe du défunt est estimée 85
Suit dans cet inventaire la désignation des titres et papiers dans lesques se trouvent les contrats de deux maisons faisant partie de la communauté
dont l’une à Strasbourg place du sable N° 4 évaluée à un revenu de 500 francs capital 10.000 francs
et l’autre au même endroit évaluée à un revenu de 800 francs capital au denier vingt 16.000
Les remplois de la veuve s’élèvent à 29.964, ceux du défunt à 1066
Les propres du défunt comprennent encore des créances s’élevant à 1200 et le tiers d’une maison sise à Strasbourg rue des hallebardes, estimée en capital à 8000
Suit dans l’inventaire la récapitulation de ce qui précède et d’après laquelle l’actif de la communauté s’élève à 31.267 francs, le passif à 51.030 francs
Jules Schweighaeuser meurt en 1859 en délaissant pour héritiers sa mère et son frère
1860 (8.2.), M° Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire par déclaration de la succession délaissée par Jules Schweighaeuser, décédé rentier à Strasbourg le 2 septembre 1859, à la requête de 1) Marie Madeleine Grün veuve de Jacques Frédéric Schweighaeuser, vivant médecin à Strasbourg, 2) Charles Schweighaeuser, directeur des forges à Zinswiller
acp 485 (3 Q 30 200) f° 62 du 13.2. (succession déclarée le 22 février 1860 n° 67) Garde robe estimée à 110, héritage paternel 6683 francs
Marie Madeleine Grün, veuve de Jacques Frédéric Schweighæusser, meurt en 1864 en délaissant un fils
1865 (3.2.), M° Grimmer (minutes en déficit)
Notoriété constatant que Marie Madeleine Grün veuve de Jacques Frédéric Schweighaeuser est décédée à Strasbourg le 11 7.bre 1864 laissant pour héritier le Sr Schweighaeuser susdénommé son fils
acp 540 (3 Q 30 255) f° 23 du 7.2.
Charles Schweighæusser, directeur des forges à Mouterhouse, et Concorde Wolff vendent la maison au rentier Alphonse Henri Müller
1865 (18.2.), M° Grimmer (minutes en déficit)
Le 3 février – Cahier des charges pour arriver à l’adjudication d’une maison quai au Sable n° 2
acp 540 (3 Q 30 255) f° 23 du 7.2.
acp 540 (3 Q 30 255) f° 60-v du 18.2. Adjudication définitive, 9 février – à la requête du mandataire de Charles Schweighaeuser, directeur des forges à Mouterhouse et Concorde Wolff sa femme
au profit d’Alphonse Henri Müller, rentier à Strasbourg
une maison quai au Sable n° 2, moyennant 42.100 francs. Jouissance et intérêts du 25 mars 1864, impôts du autre avril 1865. Origine, héritage de Jacques Frédéric Schweighaeuser et Madeleine Grün
Alphonse Henri Müller meurt célibataire à Versailles en 1882 en délaissant pour unique héritier son frère Jules Louis Edmond Müller, docteur en droit à Versailles
1885 (21.12.), M° Loew
Hinterlegung nachfolgend registrirter Offenkunde, acp 772 (3 Q 30 487) f° 19-v n° 3333 du 29.12.
acp 772 (3 Q 30 487) f° 19-v n° 3334 – Offenkunde woraus hernachgeht daß Alphons Heinrich Müller, ehemaliger Rentner* zu Straßburg, später Eigenthümer Zu Versailles in letztere Stadt den 23. Januar 1882 gestorben sei und als einzigen Erben seinen Bruder Julius Ludwig Edmund Müller Eigenthümer zu Versailles hinterlassen – Chesnel, Notar zu Versailles 17. Dezember 1885
Décès, Versailles (n° 89)
Du lundi 23 janvier 1882, dix heures du matin, acte de décès de Alphonse Henri Müller, Propriétaire, Célibataire, né à Strasbourg (Bas Rhin) le 6 août 1817, fils de défunts Jean Henri Müller et Christine Frédérique Mannberger son épouse, décédé aujourd’hui à une heure et demie du matin en sa demeure à Versailles, rue Saint-Martin 14. Les témoins sont Jules Louis Edmond Müller, Propriétaire docteur en droit âgé de 69 ans, demeurant dite rue Saint-Martin 14 frère du défunt (i 16)
Alphonse Henri Müller, demeurant à Versailles, vend la maison à l’agent d’assurances Jules Louis Auguste Windisch
1872 (20.9.), Strasbourg 3 (115), Not. Emile Weiss n° 3998
Ont comparu M. Alphonse Henri Müller, rentier, célibataire demeurant et domicilié à Strasbourg autrefois, actuellement à Versailles, lequel déclare par ces présentes avoir vendu (…)
à Jules Louis Auguste Windisch, directeur de la compagnie d’assurances dite Le Soleil, demeurant et domicilié à Strasbourg
Ville de Strasbourg. Une maison avec bâtiment de devant et de derrière, composé d’un rez-de-chaussée, deux étages et mansardes, cour, puits, b* aisances et dépendances située quai au Sable N° 2, autrefois n° 5, tenant d’un côté à M. Hoffmann de l’autre à M. Schlagdenhaufen,veuve, par derrière à M. Weinsteffer par devant au quai au Sable. Sont compris dans la présente vente (…) 18 poêles, & au premier étage trois glaces et deux consoles et quatre galeries de rideaux; au même étage la glace sur la cheminée. Quant aux autres glaces, consoles et galeries de rideaux elles sont réservées par le vendeur.
Etablissement de la propriété. M. Müller déclare qu’il est devenu propriétaire du dit immeuble pour l’avoir acquis de M. Charles Schweighaeuser, directeur des forges à Mouterhouse, aux termes d’un procès verbal d’adjudication reçu par M° Grimmer, lors notaire à Strasbourg le 9 février 1865, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le premier mars suivant vol. 1009 N° 108 pour le prix de 42.100 francs que le vendeur déclare être payé et dont il justifiera à l’acquéreur. M. Schweighaeusser l’avait acquis de la manière suivante. Il en avait recueilli quatre 16° dans la succession de ses père et mère M. Jacques Frédéric Schweighaeusser vivant docteur en médecine et de Marie Madeleine Grün sa femme de Strasbourg. Il en avait recueilli trois autres 16° dans la succession de feu M. Jules Schweighaeusser, son frère germain, vivant rentier à Strasbourg où il est décédé le 2 septembre 1859 et duquel il était héritier pour les trois quarts ainsi que cela résulte de la déclaration tenant lieu d’inventaire dressée par ledit M° Grimmer le 8 février 1860. Il en avait recueilli neuf autres 16° en a qualité de seul et unique héritier de sa mère susnommée, décédée à Strasbourg le 11 septembre 1864 ainsi que cela se trouve établi par un acte de notoriété à défaut d’inventaire dressé par ledit M° Grimmer le 3 février 1865. Lesdites portions sont échues à la défunte pour huit 16° dans la communauté qui avait existé entre elle et feu son mari susnommé, aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Schweighaeusser lors notaire à Strasbourg le 2 fructidor an VI et pour un 16° dans la succession dudit M. Jules Schweighaeusser son fils duquel elle était héritière pour un quart ainsi que cela est constaté dans ladite déclaration à défaut d’inventaire.
Les époux Schweighaeusser-Grün étaient devenus propriétaire du dit immeuble pour l’avoir acquis de Jacques Jonathan Braun, meunier, et D° Catherine Dorothée Roederer conjoints demeurant à Brumath pour le prix de 19.100 francs aux termes des procès verbaux d’enchère dressés par M° Lacombe lors notaire à Strasbourg le 14 avril et 20 août 1821 et des actes de ratification à la suite des dits procès verbaux en date des 29 et 31 dudit mois d’août, dont la grosse a été transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 3 septembre 1821 vol. 143 N° 13. (…)
Clause particulière. M. Müller déclare que les colliers de l’une des cheminées sont fixés dans le mur de la maison de M. Hoffmann par suite d’une simple tolérance de la part de ce dernier, ce dont M. Windisch dit avoir parfaite connaissance – Prix 60.000 francs
acp 609 (3 Q 30 323) f° 11-v du 24.9.
Jules Louis Auguste Windisch épouse en 1867 Barbe Marguerite Kœpffel
1867 (7.5.), Strasbourg 13 (95), Not. Flach (Jean Georges) n° 6200
Contrat de mariage – Ont comparu Mr Jules Louis Auguste Windisch, agent général de la compagnie d’assurances contre l’incendie dite Le Soleil, demeurant à Strasbourg, fils majeur de Mr Louis Auguste Windisch, en son vivant négociant à Bordeaux et de Dame Sophie Julie Duprat sa veuve demeurant à Strasbourg, futur époux stipulant en son nom personnel d’autre part
Et Delle Barbe Marguerite Koepfel, sans état, demeurant à Strasbourg, fille majeure du sieur Jean Georges Koepfel en son vivant employé et de Dame Elisabeth Ursule Bernardine Kastner, décédés conjoints à Strasbourg, future épouse stipulant en son nom personnel d’autre part
acp 562 (3 Q 30 277) f° 96-v du 8.5. Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur époux consistent 1° dix actions au porteur du chemin de fer de Paris à Lyon, 2° 60 obligations au porteur chemin de fer nors ouest d’Espagne, 3° six actions du chemin de fer de Fougères à Vitré, 4° Une action de la compagnie d’assurance dite le Soleil, 5° la valeur de son agence d’assurances, 6° la somme de 38.989 francs au compte courant dans la maison Gothois à Bischwiller, 7° mobilier et argenterie estimé 15.000 francs
La future épouse ne stipule aucun apport
Donation par le futur à la future en cas de survie d’une rente annuelle et viagère de 2000 francs et par la future au futur de la pleine propriété de toute sa succession réductible à un quart en propriété et au quart en usufruit en cas d’existence d’enfants
1867 (7.5.), Strasbourg 13 (95), Not. Flach (Jean Georges)
Consentement – A comparu Mde Sophie Julie Duprat veuve de Mr Louis Auguste Windisch demeurant à Strasbourg, laquelle a par ces présentes déclaré consentir au mariage que son fils M. Jules Louis Auguste Windisch se propose de contracter avec Mlle Barbe Marguerite Koepffel les deux à Strasbourg
acp 558 (3 Q 30 273) f° 165-v du 8.5.
Barbe Marguerite Kœpffel meurt en 1879 en délaissant une fille
1879 (28.6.), Strasbourg 8 (106), Not. Gustave Edouard Loew
Erbverzeichnis über die Gütergemeinschaft, welche zwischen dem zu Straßburg wohnenden Versicherungsagenten Ludwig August Julius Windisch und dessen am 1. Januar l. J. verlebten Ehefrau Margaretha Barbara Koepfel bestanden hat, sowie über den Nachlass der Verlebten, errichtet auf Anstehen des Wittwers, handelnd wowohl eigenen Namens wie als Vormund seines minderjährigen Kindes Juliette Augustine Maria Margaretha Windisch
Zufolge Ehevertrag vor Notar Flach dahier vom 7. Mai 1867, bestand auf Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaft und hat der Wittwer ¼.tem des Nachlasss in Eigenthum und ein Viertel in Nutznießung zu gesichert
acp 692 (3 Q 30 407) f° 97-v du 1.7. (Sterbefall heute erklärt Bd 120 N 134) Gemeinschaft, Mobilien 6498, Forderung Schuler 6160, 40 3% Obligationen der franz. Ostbahn 11.400, 2 Obligationen des Heiserschen Arlehens* dahier 400
3 Häuser dahier
Ersatzforderungen des Wittwers 42.631
Kleider der Verlebten 192.
Jules Louis Auguste Windisch meurt en 1884. Il est propriétaire de sa maison quai au Sable, d’un bien de campagne et d’une maison à Ostwald
1884 (15.9.), M° Loew
Erbverzeichniss über den Nachlaß des am 8. September 1884 hier verlebten Versicherungs Hauptagenten Ludwig August Julius Windisch, Wittwer von Margaretha Barbara Köpffel. Erbin ist die Tochter Juliette Augustine Maria Margaretha Windisch, minderjährig emancipirt unter Curatel von Gustav Daniel Korn, Pensionär Zu Straßburg, Ostwald
acp 754 (3 Q 30 469) f° 51 n° 2442 du 25.9. (Sterbefallerklg vom 7.3.85 Bd. 146 N° 556) den 15, 16 & 18 September – Die in dem auf Ableben der Ehefrau Windisch von dem amt. Notar am 28 & 30. Juni 1879. auffgerichteten Inventar verzeicheten Gemeinschafft bestände werden wiederholt aufgeführt
Nachlass, Mobilien 7216, Kleider 862, baares Geld 1600
Werthpapiere A. Inhabertitel 1) Einschreibung zu 500 frcs 3% frantzösische Staatserente N° 73.005 Werth 10.681, 2) 6. Obligationein 4% zu 500 frcs des frantzösischen Bodencredits, Werth 2500, 3) 1 Obligation 3% der frantzösischen Ostbahn über 500 frcs 470 (zusammen) 13.703
B. Nenntitel 1) 143 Int* zu 1 Aktion der Feuer Versicherungs-gesellschafft Rhein und Mosel, 2059, 2) 12 Aktionen der Feuer Versicherungs-gesellschafft le Soleil, 19.422, 3) 6 Aktionen der Bahn von Fougères nach Vitré in Liquidation, Werth 1708
C. andere Titel 1) 2 Obligationen zu 500 frcs der Hispanischen *ens Werth 800, 2) Wechselforderu,g an Andreas Rebert Gasthofbesitzer zu Bühl in Concours befindlich, geschatzt zu 21
Forderungen 960, Zins 4, (zusammen) 964
Immobilien, 1) Ein Haus hieselbst Sandplätzchen N° 2 vorher N° 5, 2) Ein Landgut mit 105 aren nach dem Kataster 95 Aren S. G 772, 773, 3) ein Haus zu Ostwald mit Zubehör an der Hauptstraße – Passiva 9960
Sa fille Juliette Augustine Marie Marguerite Windisch épouse en 1884 l’agent d’assurances Daniel Gaston Paira
1884 (3.10.), M° Loew
Ehevertrag zwischen Daniel Gaston Paira, Hauptagent zu Straßburg Sohn des in Geudertheim verlebten Daniel Gabriel Paira & dessen Wittwe Emilie Hortense Dollfuss
und Juliette Augustine Marie Margaretha Windisch, gewerblos hier, Tochter der verlebten Eheleute Ludwig August Julius Windisch & Margaretha Barbara Köpffel
acp 754 (3 Q 30 469) f° 93 n° 2659 du 11.10. Annahm der Errungenschafts-Gemeinschaft
Der Bräutigam bringt ein seinen väterlichen Erbtheil, sowie denjenige am Nachlasse der Schwester Gabrielle Paira
Das Einbringen der Braut ist festgestellt in dem Erbverzeichnis Loew vom 15. 16, 19 September & 2. Oktober 1884.
Gegenseitige Schenkung auf Todesfall durch die Brautleute der lebenslänglichen Mitgenießung am Nachlass des Erstversterbenden