5, 5-a et 5-b, rue Prechter


Rue Prechter n° 5 – X 89 (Blondel), O 1058 puis section 28 parcelles 32 (n° 5), 33 (n° 5-a), 34 (n° 5-b) (cadastre)

Réfection vers 1775, propriétaire Jean Henri Gœbel, marcaire
Démolie en 1877, trois nouvelles maisons en 1878, propriétaire et entrepreneur Jacques Klein


Maisons 5-a et 5 – Maison 5-b – Maisons 5, 5-a (octobre 2024)

L’orfèvre Sébastien Wagner acquiert en 1586 une maison comprenant un bâtiment avant et un bâtiment arrière formant le coin de deux rues. Le Livre des communaux (1587) mentionne plusieurs treilles sur des arceaux. Sébastien Wagner vend en 1601 sa propriété au boucher Ulric Heller de Hœnheim en se réservant la partie arrière. La maison revient en 1612 au receveur Jean Ritter par adjudication judiciaire poursuivie contre le batelier Jean Jung. Ses héritiers la vendent en 1619 au boucher Jean Meyer en se réservant la maison d’angle et en mentionnant les conditions que l’acheteur devra respecter quand il remplacera le hangar par une écurie. La valeur des bâtiments est sans doute surévaluée en 1710 (1 100) à l’inventaire de fortune du boucher Frédéric Koch. Elle fluctue ensuite, 500 livres en 1715 à la mort du maraîcher Charles Stecher, 700 livres en 1747 à la mort de la femme du maraîcher Jean Simon Martin et 400 livres en 1758 à la mort de son gendre tailleur Jean Frédéric Horn. Elle reprend ensuite de la valeur, 600 livres en 1774 puis 900 livres en 1790 à la mort du marcaire réformé Jean Henri Gœbel qui y a fait des travaux mentionnés dans l’inventaire dressé en 1781.


Plan-relief de 1727 (Musée historique), la maison se trouve au milieu de l’image, suivie de la clôture puis de la maison d’angle

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 91 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée en maçonnerie et un étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade à pignon sur rue se trouve à gauche du repère (n) : porte d’entrée et quatre fenêtres dont trois jumelées, étage à quatre fenêtres, toiture à deux niveaux d’ouvertures. On voit à droite de (n) le mur qui ferme la cour, une porte et un bâtiment à simple rez-de-chaussée (le bâtiment suivant de part et d’autre du repère (o) à l’angle des rues forme une autre propriété). La cour X représente le bâtiment principal (1-3) dont le pignon donne sur la rue, le bâtiment (3-4) qui fait la liaison avec les bâtiments arrière (4-5-6-7) et le bâtiment (7-8-9) au sud de la cour. L’édicule (10-13) est adossé au mur le long de la rue.
La maison porte d’abord le n° 4 de la rue Neuve (1784-1857) puis le n° 5 de la rue des Pêcheurs.


Plan – Cour X – Plan du terrain cédé à la voie publique (Police du Bâtiment, 949 W 396)

La maison est occupée par des marcaires (éleveurs), propriétaires ou locataires, de 1772 à 1825 puis par des artisans. Le tonnelier Quentin Rohfritsch fait démolir la maison et vend en 1877 le terrain à l’entrepreneur Jacques Klein qui cède à la ville le terrain (41,50 mètres carrés) qui dépasse de l’alignement légal et construit trois maisons en 1878.
Les trois maisons 5, 5-a et 5-b figurent sur la liste des maisons de tolérance dressée en 1925.
(Maison n° 5) Le propriétaire Pollock fait transformer sa maison en 1919 par l’entrepreneur Emile Dietsch. Le préfet autorise en 1946 la locataire principale Emma Wilké à rouvrir l’hôtel meublé de douze chambres qui existait avant guerre.
(Maison n° 5-a) Le locataire Jean Le Boulch charge en 1920 l’architecte Molz de faire des transformations intérieures. Le préfet autorise en 1927 Joséphine Stocky à débiter des boissons alcoolisées.
(Maison n° 5-b) La Police du Bâtiment note en 1896 que des travaux sont en cours pour transformer le bâtiment en maison publique. L’entrepreneur A. Wieger transforme en 1920 la maison pour le compte du locataire principal Brigault. Emma Passerand ouvre en 1927 un hôtel où elle débite des boissons. La maison meublée appartient ensuite (1936) à Henri Meurdra qui est autorisé en 1957 à y exploiter un hôtel. Il vend en 1972 la maison à la Ville de Strasbourg.
L’Association des Français musulmans dépose en 1981 une demande de permis de construire pour réhabiliter le bâtiment sis 5-b, rue Prechter et 1, rue des Bains. L’aile arrière du 5-a sera démolie, les façades et la distribution intérieure seront modifiées.



Rez-de-chaussée du n° 5-b (1896, Police du Bâtiment 949 W 397) – Elévations (1981, Police du Bâtiment 949 W 397)
Etages du n° 5-b, des n° 5 et 5-a (octobre 2024)

2024

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1585 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Wendelin Marcus, pasteur à Friedburg près de Francfort, et Marie von Berg – luthériens
1586 v Sébastien Wagner, orfèvre, et (1580) Marie Hollinger, d’abord (1571) femme du marchand épicier Garnier Franck, puis (v. 1600) Marie Falck, remariée (1612) avec le docteur en droit Jean Helffenstein – luthériens
1601 v Ulric Heller, boucher à Hœnheim, et Salomé Schott, (sans doute remariée v.1603) avec Jacques Bastian
1604 v Jean Jung, batelier, et (1692) Anne Kohl, veuve de Georges Vogel de Gelnhausen – luthériens
1612* adj Jean Ritter, tailleur puis receveur, et (1582) Brigitte Geck d’abord (1675) femme du tailleur Jean Barstadler, puis (1610) Elisabeth Herbst, remariée (1620) avec le marchand Jonas Hammerer – luthériens
1619 v Jean Meyer, boucher puis directeur de l’accise, et (1619) Appolonie Gnan, (1636) Elisabeth Nagel, d’abord (1606) femme de l’aubergiste François Heus, puis (1653) Anne Eve Prechter – luthériens
1674 v Jacques Baldner, pêcheur, et (1626) Salomé Winckler, (1632) Marie Sauer, d’abord (1617) femme du tisserand Nicolas Fischer, puis (1642) Catherine Bratfisch – luthériens
1677* h Catherine Baldner, et (1670) Jean Jacques von Zabern, batelier, puis (1677) Philippe Rixner, batelier – luthériens
1689 v Jean Jacques Koch, boucher, et (1673) Sybille Gundelwein – luthériens
1698 v Frédéric Koch, boucher, et (1683) Anne Marguerite Ruess – luthériens
1711 v (Georges) Charles Stecher, maraîcher et (1706) Marie Ursule Kamm – luthériens
1716 h Jean Simon Martin, maraîcher, et (1709) Marie Rinck, (1716) Marie Ursule Kamm, d’abord (1706) femme de Charles Stecher, puis (1728) Catherine Weidenmann, d’abord (1725) femme du cordonnier Mathias Thenn – luthériens
1748 h Jean Frédéric Horn, tailleur, et (1748) Catherine Marguerite Martin – luthériens
1758 h Jean Frédéric Horn, tonnelier, et (1768) Marguerite Barbe Marbach puis (1801) Marie Salomé Rhein – luthériens
1772 v (propriétaire en titre) Magne Gœbel, tapissier, et (1747) Anne Elisabeth Fogeney – luthériens
(propriétaire effectif) Jean Henri Gœbel, marcaire, et (v. 1739) Anne Marie Wagenmann puis Catherine Barbe Jahn – réformé et luthérienne, manants
1795* h David Bæhr, marcaire, et (1768) Marie Marguerite Gœbel – réformés
1810 v Joseph Perrin, domestique puis cultivateur, et (1791) Barbe Buxbaum – catholiques
1819 v Henri (Aloïse Fidèle) Hoff, pharmacien, et (1803) Françoise Scheitel
1825 v Jean Georges Monhart, charpentier, et (1814) Madeleine Sophie Grantil
1833 v François Zehnacker, tonnelier, et (1820) Madeleine Luttmann
1839 v Philippe Jacques Rasp, charron, et (1809) Marie Elisabeth Fries
1860 v Quentin Rohfritsch, tonnelier, et (1839) Marie Rosalie Braun
1877 v Jacques Klein, menuisier, entrepreneur en bâtiment, et (1847) Anne Marie Bachmann
1893 h Société immobilière strasbourgeoise

Maison n° 5

1895 v (copropriétaires) Raphaël Hirtz, commerçant à Colmar, et (1856) Mathilde Weil
Louis (Philippe) Weil, commerçant, et (1867) Adrienne Kinsbourg
1901 (promesse de vente) Auguste Lohoff, architecte, et Agnès Pfau
1901 v Guillaume Horber, étudiant à Heidelberg
1921* v Martin Schmitt, employé d’assurance, et Sophie Hægele

Maison n° 5-a

1895 v (copropriétaires) Raphaël Hirtz, commerçant à Colmar, et (1856) Mathilde Weil
Louis (Philippe) Weil, commerçant, et (1867) Adrienne Kinsbourg
1901 v Guillaume Horber, étudiant à Heidelberg
Jean Ronimus et sa femme
1908* Charles Mertz et sa femme
1920* Eugène Ritsch, contremaître, pour moitié et sa femme née Lohr pour moitié
1923* Jean Louis Le Boulch, tenancier, et Louise Signoret
1926* Jean César Diezinger, commerçant à Metz, et son épouse née Burgai
1927* Frédéric Jean Tétaz, son épouse divorcée Lucie Josephine Mezière
1929* Emile Mandel, restaurateur, et Berthe Dietrich
1937* Frédéric Kapp

Maison n° 5-b

1895 v (copropriétaires) Raphaël Hirtz, commerçant à Colmar, et (1856) Mathilde Weil
Louis (Philippe) Weil, commerçant, et (1867) Adrienne Kinsbourg
1896 v Henri Guillaume Louis Lüdecke, rentier, et Catherine Wissenbach
1897 v Robert Bühler, rentier, et Marie Neher
1901 v Frédéric Horber, commerçant à Karlsruhe
1914* Charles Mertz et sa femme
1920* Eugène Ritsch, contremaître, pour moitié et sa femme née Lohr pour moitié
1932* André Philibert, professeur, et Marie Valerie Collin
1937* Henri Auguste Meurdra

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1 100 livres en 1710, 500 livres en 1715, 700 livres en 1747, 400 livres en 1758, 600 livres en 1774, 900 livres en 1790

(1765, Liste Blondel) X 89, Fréderic Horn
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Gebel, 12 toises, 1 pied et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 1058, Zehnacker, François – maison, sol – 3,1 ares / Rasp

Locations

1597, Martin de Lannoy, marchand, et Agnès
1602, Abraham Knecht, maraîcher
1693, Frédéric Koch, boucher (futur propriétaire)
1760, Jean Henri Gœbel, marcaire, manant (futur propriétaire)
1819, François Joseph Beck, marcaire
1842, Laurent Huntzinger, voiturier, et Rosalie Oberlé

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 529-v
La charron Sébastien Wagner doit 2 livres 10 sols 4 deniers pour sa maison qui a d’un côté une treille (22 pieds de long en saillie de 6 pieds) au-dessus du mur sur des arceaux en bois,
item du même côté une treille de 8 pieds de long au-dessus du mur de la maison en saillie de 6 pieds sur des arceaux en bois,
item sur ladite maison jusquà l’angle une autre treille de 41 pieds de long,
au-dessus du mur sur un lattis en saillie de 6 pieds,
item jusqu’à l’angle de ladite maison vers la rue Neuve une autre treille (81 pieds de long), saillant de 6 pieds du mur sur des arceaux et un lattis,
item devant une porte du même côté une plate-forme en pierre (4 pieds ½ de long, saillie de 1 pied),
un auvent (29 pieds de long, saillie de 2 pieds) et une avance (7 pieds de long, saillie de 1 pied).

In der Newen Gassen,
Sebastian Wagner Der Wagner Goldschmidt hatt Inn d. Newen Gassen ein Hauß, daran vf einer seitten ein Rebhälden, Oben über die Mauren vff hültzinen Bügen, xxij schu lang, vj schu herauß geladen, Mehr vff diser seÿtten ein Rebhälden, Oben über der Mauren des Hauses viij schu lang, vnd vff hültzinen Bügen auch vj schu herauß geladen, Item aber ane dem gemeltten haus vntz ane das Eckh daselbsten ein solche Räbhälden xli schu lang, Oben über die Maur vff holtzwerckh vj schu herauß geladen, Mehr umb d. Eckh ane dem gemelten Hauß hinumb, die Newgassen wider herauß werths aber ein Rebhälden Lxxxj schu lang, Oben vff Bügen undt Holtzwerckh über die Mauren vj schu herauß geladen, Item vor einer Thüeren vf diser seÿtten ein steinen Tritt v= schu lang, j schu herauß, Oben ane dem Hauß ein Wettertach xxix schu lang, ij schu herauß, Vndt ein Staucher vij schu lang, j schu herauß, Bessert für das Niessen, ij lb. x ß. iiij d.

Description de la maison

  • 1710 (billet d’estimation traduit) La maison a un bâtiment latéral, une buanderie, une écurie, une cave sous solives, un puits, estimée avec toutes ses appartenances et dépendances à la somme de 2200 florins
  • 1715 (billet d’estimation traduit) La maison a un bâtiment arrière, un passage latéral, une écurie, une cave sous solives, un puits, estimée avec toutes ses appartenances et dépendances à la somme de 1000 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Rue Neuve (quai des Pêcheurs)

nouveau N° / ancien N°: 7 / 4
Baehr
Rez de chaussée en maçonnerie et 1° étage mauvais en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 356 case 2

Rasp

O 1058, maison, sol, R. neuve 4
Contenance : 3,15
Revenu total : 109,64 (108 et 1,64)
Folio de provenance : (356)
Folio de destination : Abbruch
Année d’entrée :
Année de sortie : 1878 (maison) – 1879 (sol)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 30 / 24
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 1209 case 2

Rasp, Philippe Jacques
1861. Rohfritsch, Quentin, laitier, rue des Pêcheurs 5
1879 Klein Jakob, Bau-Unternehmer
94/95 Straßburger Immobilien Gesellschaft
96/97 Hirtz Raphael u. Weil Ludwig, Kaufleute
1902 Horber, Wilhelm Student in Heidelberg

O 1058, Maison, sol, Rue des pêcheurs 5
Contenance : 3,15
Revenu total : 109,64 (108 et 1,64)
Folio de provenance : (356)
Folio de destination : Abbruch
Année d’entrée :
Année de sortie : 1878 (maison) – 1879 (sol)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 24
fenêtres du 3° et au-dessus :
Diminutions 1878 – Rohfritsch Quentin f° 1209, O 1058 maison, revenu 108, Abbruch, supp. 1878

O 1058.p, Maison, sol
Contenance : 2,73
Revenu total : 83,42 (82 et 1,44)
Folio de provenance : 1209, Neubau
Folio de destination : Gb 1209, 1204
Année d’entrée : 1879 (sol), 1881 (maison)
Année de sortie : 1902
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 17
fenêtres du 3° et au-dessus : 10
Augmentations 1881 – Klein Jakob f° 1204, O 1058, maison, revenu 82, Neubau, achevée en 1878, imposable en 1881, imposée en 1881
id. f° 1204, O 1058, maison, revenu 153, Neubau, achevée en 1878, imposable en 1881, imposée en 1881
id. f° 1209, O 1058, maison, revenu 82, Neubau, achevée en 1878, imposable en 1881, imposée en 1881

O 1058.p, Hf Fischergasse 5
Contenance : 0,79
Revenu total :
Folio de provenance : 1209
Folio de destination :
Année d’entrée : 1902
Année de sortie :

O 1058.p, Hf Fischergasse 5-a (von 1204-I)
Contenance : 0,65
Revenu total :
Folio de provenance : 1209
Folio de destination :
Année d’entrée : 1902
Année de sortie :

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 1204 case 1

Klein Jakob, Bau-Unternehmer
94/95 Straßburger Immobilien Gesellschaft
96/97 Hirtz Raphael u. Weil Ludwig, Kaufleute

O 1058, Maison, Rue des pêcheurs 5-a [biffé]
Contenance :
Revenu total : 0,82
Folio de provenance : Neubau
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :1881
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 17
fenêtres du 3° et au-dessus : 10
(zu 1209)

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 1204 case 2

Klein Jakob, Bau-Unternehmer
94/95 Straßburger Immobilien Gesellschaft
96/97 Hirtz Raphael u. Weil Ludwig, Kaufleute
98/99 Bühler Robert, Privatier
1902 Horber Friedrich Kaufmann in Karlsruhe

O 1058.p, Maison, Rue des pêcheurs 5-b
O 1058.p, sol, Fischergasse, Hf 5-b
Contenance : 1,29
Revenu total : 153
Folio de provenance : Neubau
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :1881
Année de sortie : 1902
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 30
fenêtres du 3° et au-dessus : 18

Cadastre allemand, registre page 362 case 2

Parcelle, section 28, n° 32 – autrefois O 1058.p
Canton : Fischergasse N° 5 – Rue des Pêcheurs – Rue Prechter
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,79
Revenu : 700 – 900
Remarques :

(Propriétaire), compte 565
Horber, Wilhelm
1921 Schmitt Martin employé d’assurance et son épouse Sophie geb. Haegele en com. d. b.
(3678)

Cadastre allemand, registre page 362 case 3

Parcelle, section 28, n° 33 – autrefois O 1058.p
Canton : Fischergasse N° 5-a
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 700 – 900
Revenu :
Remarques :

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1904), compte 565
Horber, Wilhelm
1921 Schmitt Martin employé d’assurance et son épouse Sophie geb. Haegele en com. d. b.
(3678)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1904), compte 1009
[biffé] Ronimus Johann
1903 Ronimus Johann und Ehefrau in Gg.
1908 Mertz Karl u. Ehefrau
1921 Mertz Charles Jacques Rentier à Strasbourg
1924 Blanc Charles et son épouse Delphine née Barré
(rayé 1930)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1920), compte 760
Levy Karl
1919 Ritsch Eugen Werckmeister zu ½ Ritsch Eugen Werckmeister Ehefr. geb. Lohr zu ½
1930 Ritsch Eugène restaurateur et son épouse née Lohr

(Propriétaire à partir de l’exercice 1923), compte 4566
Le Boulch Jean Louis tenancier et son épouse Louise née Signoret en com. de biens
rayé 1926

(Propriétaire à partir de l’exercice 1926), compte 4632
Diezinger Jean César commerçant à Metz et son épouse née Burgai
[biffé] 1927 Mezière Lucie Joséphine épouse divorcée de Jean Tétaz
rayé 1931

(Propriétaire à partir de l’exercice 1927), compte 5144
Tétaz Frédéric Jean son épouse divorcée Lucie Josephine Mezière sans profession
1929 Mandel Emile Marius* restaurant et son épouse Berthe née Dietrich en com. de biens
1951 Bieth Louis, chef de fabrication et son épouse pour ½ et copropriétaires
(827)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1937), compte 5822
Kapp Frédéric et son épouse
(2244)

Cadastre allemand, registre page 362 case 4

Parcelle, section 28, n° 34 – autrefois O 1058.p, 1057.p
Canton : Fischergasse N° 5-b
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,13
Revenu : 1900 – 3700
Remarques :

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1914), compte 564
Horber Friedrich
1914 gelöscht

(Propriétaire à partir de l’exercice 1914), compte 1009
[biffé] Ronimus Johann
1903 Ronimus Johann und Ehefrau in Gg.
1908 Mertz Karl u. Ehefrau
1921 Mertz Charles Jacques Rentier à Strasbourg
1924 Blanc Charles et son épouse Delphine née Barré
(rayé 1930)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1920), compte 760
Levy Karl
1919 Ritsch Eugen Werckmeister zu ½ Ritsch Eugen Werckmeister Ehefr. geb. Lohr zu ½
1930 Ritsch Eugène restaurateur et son épouse née Lohr

(Propriétaire à partir de l’exercice 1932), compte 4633
Leonardi Louis commerçant et son épouse Elise née Jauneres* en communauté de biens
1931 André Philibert professeur et son épouse Marie Valerie née Collin en c. d. b.
rayé 1938

(Propriétaire à partir de l’exercice 1937), compte 5801
Meurdra Henri Auguste
(2916)

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton X, (366) Rue Neugaß

4.
Pr. Göbel, Joh: Heinrich – Schirmer
Loc. Meyer, Johann, burger – Schuhmacher
Loc. Gamberg, Joh: – Schirmer
Loc. Amrein, Ignatius – Schirmer
Loc. Hayser – Schirmer
Loc. Schwartzin, Catharina – Invalids wittwe
Loc. Brüsslerin, Barbara – Invalids wittwe

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton X, Rue 366 Neuve p. 524

4.
Prop. Gobel, Jean Henry – Manant
Loc. Gamberg, Jean – Cordonniers
Loc. Amrein, Ignace – Manant
Loc. Hayser – Manant
Loc. Schwartzin, Catherine veuve d’Invalide
Loc. Brüssler, Barbe veuve d’Invalide

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Fischergasse (Seite 38)

(Haus Nr.) 5
Vittori, Zementeur. 0
Becker, Wurstler. 1
Siegmann, Wwe. 2
Silber, Pensionär. 3
Wendling, Küfer. 3

5-a
Lohoff, Zimmerverm.

5-b
Lohoff, Zimmerverm.

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 949 W 396)

Rue Prechter n° 5 (1868-1993)

L’entrepreneur Nigg est autorisé en 1868 à ravaler la façade de la maison Rothfritsch dont le rez-de-chaussée est en maçonnerie et les étages en pans de bois ; elle dépasse de l’alignement mais n’a pas d’avance. L’entrepreneur Klein qui a l’intention de reconstruire la maison cède en 1877 à la Ville le terrain qui dépasse de l’alignement (41,50 mètres carrés). La Police du Bâtiment constate en 1901 que le mur de clôture de 18 centimètres de large qui sépare les propriétés Moritz et Klein appartient entièrement à la propriété Moritz. Le rez-de-chaussée du n° 5, propriété du sieur Pollock a été repeint en bleu vif en 1919, ce qui porte atteinte au cachet de la ville d’après l’ordonnance du 23 novembre 1910. Pollock fait transformer sa maison en 1919 par l’entrepreneur Emile Dietsch. Le préfet autorise en 1946 la locataire principale Emma Wilké à rouvrir l’hôtel meublé de douze chambres qui existait avant guerre.
(n° 5-b) La commission de sécurité en 1978 se rend à la demande du préfet au 5-b, rue Prechter dans les locaux du foyer de l’Association des Français musulmans. Elle estime que le bâtiment n’est pas adapté pour servir de foyer. La commission énumère les mesures à prendre.

Sommaire
  • 1868 – L’entrepreneur F. Nigg demande au nom du propriétaire Rothfritsch l’autorisation de réparer le crépi. – L’agent voyer note que la maison dépasse de l’alignement mais qu’elle n’a pas d’avance. Le rez-de-chaussée est en maçonnerie, les étages en pans de bois.
  • 1877 – Alignements. Projet de cession de terrain à la Ville (plan au crayon)
    Rapport de l’agent voyer. Le sieur Klein a l’intention de reconstruire la maison d’après la coupe jointe (la coupe manque). La partie marquée ABC du terrain qui dépasse de l’alignement sera cédée à la ville (41,50 mètres carrés à 20 francs le mètres, soit 830 francs). La largeur de la rue est fixée à huit mètres. – Plan du terrain à céder – La façade du nouveau bâtiment pourra avoir 12,78 mètres de haut.
  • Le directeur de l’usine à gaz demande l’autorisation que le plombier Lettner soit autorisé à faire au nom de Meschenmoser une prise pour environ deux becs au 5-b, rue des Pêcheurs.
  • 1896 – Le maire notifie J. Klein, directeur de la Société strasbourgeoise de construction (Straßburger Baugesellschaft) de faire ravaler la façade des 5, 5-a et 5-b rue des Pêcheurs. – F. May (6, rue Fritz) répond que la maison va être mise en vente et demande de reporter le ravalement – Le maire accorde un an de délai – Le n° 5-b a été repeint à l’huile, avril 1897 – Rappel pour les n°5 et 5-a, juin 1897. La Société strasbourgeoise de construction anciennement J. et E. Klein répond qu’elle n’est plus propriétaire des immeubles. – Les trois façades sont peintes à l’huile, juillet 1897.
    1897 (juin) – Le peintre en bâtiment A. Wagner (rue Déserte) demande l’autorisation de poser un échafaudage devant les 5 et 5-a, rue des Pêcheurs. – Autorisation
  • 1901 – La veuve Moritz, demeurant 12, quai des Pêcheurs, déclare que l’entrepreneur Klein érige au n° 5 un mur qui la prive d’air et de lumière. – La Police du Bâtiment note que le mur de clôture de 18 centimètres de large qui sépare les propriétés Moritz et Klein appartient entièrement à la propriété Moritz. Si Klein veut le rehausser, il devra ériger sur son terrain un autre mur de 18 centimètres de large.
  • 1919 – Le rez-de-chaussée du n° 5 qui appartient au sieur Pollock a été repeint en bleu vif, ce qui porte atteinte au cachet de la ville d’après l’ordonnance du 23 novembre 1910. – La couleur bleue a disparu, février 1920
    1920 (février) – Le peintre en bâtiment Léon Zinderstein (6, rue du Jeu-de-Paume) demande l’autorisation de poser un échafaudage devant les 5-a et 5-b, rue des Pêcheurs.
  • 1916 – Commission des logements militaires – Remarque sur le tuyau du fourneau dans la cuisine Herrmann
  • 1919 (février) – L’entreprise de construction Emile Dietsch, anciennement M. Ludæscher (24 rue Finkmatt, entrepôt 2, rue du Coq) demande l’autorisation de transformer le 5, rue des Pêcheurs selon les plans joints – E. Dietsch est autorisé à transformer le 5, rue des Pêcheurs, propriété de M. Pollock (stipulations concernant la cheminée, les piliers en fer, le toit vitré) – Calcul statique (Emile Dietsch) – Plans
    1919 (mai) – La Police du Bâtiment ne peut pas vérifier la construction en fer, recouverte par d’autres éléments. L’entrepreneur déclare qu’elle correspond aux dessins et au calcul statique – La cheminée transformée est réglementaire. Le propriétaire Pollock déclare que la maison est chauffée au gaz.
  • 1937 – Eugène Neumeyer (17, rue des Charpentiers) est autorisé à occuper la voie publique devant le 5, rue des Pêcheurs qui appartient à Ch. Schuster, demeurant rue de la Toussaint.
  • 1946 – La locataire principale Emma Wilké, née le 23 juillet 1886 à Schœnebeck sur l’Elbe, épouse Ringenbach, demande au préfet l’autorisation de rouvrir l’hôtel meublé de 12 chambres qui existait avant guerre – Le préfet demande un rapport sur le 5, rue Prechter.
    Le bâtiment comprend deux chambres et une cuisine au rez-de-chaussée (hauteur 2,95 mètres), trois chambres, une salle de bain et un cabinet d’aisance au premier étage (hauteur 3,05 mètres), quatre chambres et un cabinet d’aisance au deuxième étage (même hauteur), idem au troisième étage (hauteur 2,85 mètres), trois chambres, une cuisine et un cabinet d’aisance sous les combles (hauteur 2,30 mètres). Les locaux sont conformes au règlement du 24 mars 1890 et à l’arrêté municipal du premier décembre 1931.
  • 1964 – La dame Schantz, propriétaire, est autorisée à poser un échafaudage devant le 5, rue Prechter
  • 1978 – Le préfet demande au maire si les locaux du foyer de l’Association des Français musulmans sont conformes aux normes de sécurité
    Rapport de la commission de sécurité, 5-b, rue Prechter, exploitant Mohamed Ghiatou. Le bâtiment comprend deux salles au rez-de-chaussée (ancien hôtel transformé en foyer pour environ 35 personnes). La stabilité semble satisfaisante. Les chambres réparties sur quatre niveaux, certaines cloisons sont en panneaux de bois. Le bâtiment n’est pas adapté pour servir de foyer. La commission énumère les mesures à prendre.
  • (à continuer)

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 949 W 397)

Rue Prechter n°5-b (1896-1984)

(Maison n° 5-a) Le peintre en bâtiment Léon Zinderstein transmet en 1920 un dessin du 5-a, rue des Pêcheurs réalisé par un artiste. La Commission des beaux-arts en interdit à l’unanimité la réalisation. Jean Le Boulch charge en 1920 l’architecte Molz de faire des transformations intérieures (supprimer des cloisons au n° 5-a) dans la maison Rietsch. Le préfet autorise en 1927 Joséphine Stocky à débiter des boissons alcoolisées au n° 5-a
(Maison n° 5-b) La Police du Bâtiment note en 1896 que des travaux sont en cours au n° 5-b pour transformer le bâtiment en maison publique. La Société strasbourgeoise de construction répond que les travaux consistent en légères modifications intérieures. L’entrepreneur A. Wieger transforme en 1920 la maison n° 5-b pour le compte du locataire principal Brigault (stipulation sur le toit vitré). Le préfet autorise en 1927 Emma Passerand à ouvrir un hôtel et à débiter des boissons au n° 5-b. Henri Meurdra, propriétaire de l’Hôtel Henri sis 5-b, rue Prechter est autorisé en 1936 à poser une enseigne lumineuse. Le préfet l’autorise en 1957 à exploiter un hôtel dans la maison meublée. Henri Meurdra vend en 1972 la maison à la Ville de Strasbourg.
L’Association des Français musulmans dépose en 1981 une demande de permis de construire pour réhabiliter le bâtiment sis 5-b, rue Prechter et 1, rue des Bains. L’aile arrière du 5-a sera démolie, les façades et la distribution intérieure seront modifiées.

Sommaire
  • 1896 (mars) – L’agent de police Kieffer fait un rapport d’après lequel la gouttière trouée déverse les eaux sur le trottoir – Dossier ouvert suite au courrier du commissaire de police – Le maire écrit au propriétaire, la Société strasbourgeoise de construction
    1896 (juillet) – La Société strasbourgeoise de construction, anciennement J. et E. Klein (rue Fritz) demande l’autorisation de ravaler la façade du n° 5-b – En marge. Des travaux sont en cours pour transformer le bâtiment en maison publique
    1896 (août) – La société répond que les travaux consistent en légères modifications intérieures. Le sieur Keck promet au nom de la société de fournir les plans – Dessins
    1896 (août) – La Société strasbourgeoise de construction est autorisée à ravaler la façade du 5-b et à y faire des transformations intérieures (déjà terminées) – Travaux terminés, janvier 1897
  • 1905 – L’avocat C. Mechling (1, place Saint-Pierre-le-Jeune) demande au nom de Charles Schmitt, propriétaire du 3 rue des Bains, si les fenêtres qui s’ouvrent vers sa propriété ont plus de trente ans – La Police du Bâtiment constate que les fenêtres ne peuvent pas s’ouvrir. Elle ne peut dire quand la maison n° 5-b a été construite ni si les fenêtres ont plus de trente ans.
  • 1910 – La société Griesbach Grossmann demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique devant les n° 5-a et 5-b. Le commissaire de police transmet au maire. – Autorisation
  • 1920 (mars) – Le peintre en bâtiment Léon Zinderstein (6, rue du Jeu-de-Paume) fournit un dessin du 5-a, rue des Pêcheurs réalisé par un artiste. – La Police du Bâtiment transmet le dessin de la façade à la Commission des beaux-arts qui interdit à l’unanimité toute réalisation lors de sa séance du 25 mars. – La façade est peinte en gris-jaune, avril 1920.
    1920 (avril) – Autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique
    1920 (février) – La Police du Bâtiment constate que l’entrepreneur Joseph Morgenthaler (40, rue Gailer) fait des transformations intérieures non autorisées au n° 5-a.
    Jean Le Boulch demande l’autorisation de faire des travaux au n° 5-a (supprimer des cloisons) sous la direction de l’architecte A. Molz (23, rue de la Nuée-Bleue), propriétaire Rietsch, demeurant 5-b, rue des Pêcheurs – Autorisation (stipulation sur le toit vitré) – Travaux terminés, septembre 1920 – Calcul statique de l’architecte Molz – Dessin des étages (Molz)
  • 1920 (février) – Le peintre en bâtiment Léon Zinderstein demande l’autorisation de poser un échafaudage devant le 5-c pour repeindre la façade – Accord
  • 1920 (septembre) – L’entrepreneur A. Wieger (30, Faubourg de Pierre) demande l’autorisation de transformer le 5-b, rue des Pêcheurs – Calcul statique – A. Wieger est autorisé à transformer la propriété sise 5-b, rue des Pêcheurs pour le compte du locataire principal Brigault (stipulation sur le toit vitré) – Le gros œuvre est terminé, janvier 1921 – Dessin (coupe) – Travaux terminés, mars 1920
  • 1921 – Auguste Brigault demande l’autorisation de fixer une petite lanterne au-dessus de la porte d’entrée (n° 5-b) – Autorisation de poser une petite enseigne lumineuse
  • 1922 (janvier) – La Police du Bâtiment constate que Mme Leboulch a posé sans autorisation une enseigne lumineuse au n° 5-a
    L. Sigrist demande au nom de M. Le Boulc’h l’autorisation de poser une lanterne électrique et une enseigne lumineuse (50 centimètres sur 14, éclairage jaune orangé) au n° 5-a – Autorisation
  • 1928 – L’entrepreneur de construction A. Brucker (51, boulevard Clemenceau) demande l’autorisation de poser des matériaux sur la voie publique devant le n° 5-a – Accord
  • 1927 – Dossier ouvert suite à un courrier de la préfecture – Joséphine Stocky demande l’autorisation de débiter des boissons alcoolisées au n° 5-a – La Police du Bâtiment n’a pas d’objections à formuler
  • 1927 – Dossier ouvert suite à un courrier de la préfecture – Emma Passerand demande l’autorisation d’ouvrir un hôtel et un débit de boissons au n° 5-b – La Police du Bâtiment n’a pas d’objections à formuler à condition que le dessous de l’escalier soit revêtu d’une matière ininflammable.
  • 1936 – Henri Meurdra, propriétaire de l’Hôtel Henri (5-b, rue Prechter) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse (saillie de 51 centimètres) et une enseigne plate en marmorite bleue – Dessin – Autorisation
    1949 – L’enseigne est supprimée
  • 1957 – Henri Meurdra demande l’autorisation d’exploiter un hôtel dans la maison meublée sise 5-b, rue Prechter (24 chambres dont 6 au premier étage, 6 au deuxième étage, 6 au troisième étage, 6 au quatrième étage, cabinet d’aisance à chaque étage). La Police du Bâtiment n’a pas d’objection à formuler.
    1958 (20 janvier) – Le préfet accorde l’autorisation
  • 1960 – L’Hôtel Henri est autorisé à déposer des matériaux sur la voie publique
    1961 – L’entreprise R. Tomat et Fils (78, roue de Colmar au Neudorf) est autorisée au nom de l’Hôtel Henri à poser un échafaudage sur la voie publique
    1961 – Henri Meurdra demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse (Hôtel) – Autorisation
    1964 – Henri Meurdra est autorisé à déposer des matériaux sur la voie publique
  • 1970 – L’entreprise Segovia (107, route du Neuhof) est autorisée à poser un échafaudage devant le 5-b, rue Prechter et la maison à l’angle de la rue des Bains
    1972 (septembre) – Henri Meurdra informe la Police du Bâtiment qu’il va supprimer son enseigne à la maison qu’il a vendue à la Ville de Strasbourg
  • 1981 – L’Association des Français musulmans dépose une demande de permis de construire pour réhabiliter le bâtiment sis 5-b, rue Prechter et 1, rue des Bains. L’aile arrière du 5-a sera démolie, les façades et la distribution intérieure seront modifiées. Le mur de séparation avec le 12-13 quai des Pêcheurs sera abaissé de trois mètres.
  • (à continuer)

Autres dossiers
1198 W 1275 – 5, 5-a, 5-b rue Prechter (permis de construire, logements, 1995-1997)


Relevé d’actes

Wendelin Marcus (Martius), pasteur à Friedburg près de Francfort, et sa femme Marie von Berg, fille de l’orfèvre strasbourgeois Henri von Berg, vendent à l’orfèvre Sébastien Wagner et à sa femme Marie Hellinger deux maisons chargées de plusieurs rentes, notamment celle de quatre florins rachetable moyennant cent florins au profit de l’aumône Saint-Marc et une autre du même montant au profit du gentilhomme Louis d’Endingen qui se retrouvent dans les actes ultérieurs.

1586 (23.t Decembris), Cour épiscopale, vol. 238-II (Registranda Kistner) f° 160
Sebastiano wagner Ciue Arg.
Erschienen M. wendalinus Martius pfarrherr Zu Friedburg beÿ franckfurth sich In dißem fahl vnßerm Gericht Zwang vnderwerffend, vnd Maria von Berg weÿland des fürnemen Heinrich von Berg burgers zu Straßburg selig. dochter sein haußfrauw haben (…) verkhaufft
dem Ersamen Sebastian wagner Goldschmid vnd burg. Zu Straßburg und Marien herlingerin seiner haußfrauwen
Zweÿ heuser ein vorders vnd ein hinders sampt einem hofflin darzwischen auch stall vnd gärtlin daran mit allen andern Iren & In d. vorstatt Straßburg In d. Krauttenauw In d. Neuwen gassen geleg. einseit Zum theil neben derselben gassen, die and.seit neben Steffan volcken dem vischern, dauon gont vier guld. gelts ablosig mit j C guld. St. wehr: dem grossen gemeinen almosen Zu Sant Marx Zu St. vff Johannis Baptiste deßgleichen vier pfund pfenning gelts widerkheuffig mit 100 pfund d. Edlen Ludwig von Ending. selig khündern vff Laurentÿ vnd dan fünff guld. gelt ablosig mit 1 C guld. Straßburg. wehr: Margarethen Reÿsin, wÿland hanß Reÿsen burg. Zu Colmars selig. dochter vff Johannis Baptistæ Järlich wie man sagt, vnd alles Recht vnd Ist der Khauff beschehen vber vorbestimpte beschwerd vmb 800 gulden Straßburg wehr.
Beschehen in beÿsein M. Johann hennenberg. pfarrherren Zu Obenheim des verkheuffers Schwagers den 23.t Decembris Anno & 86.

Fille du brodeur en soie Jean Hollinger, Marie Hollinger se marie en 1571 avec le marchand épicier Garnier Franck, natif de Porrentruy
Mariage, cathédrale (luth. p. 211)
1571. Sonntag Quasomodigeniti. Wernher Franck von Bruntrawt, Wurtz Kremer, Maria Hanß Holingers deß Seidenstickers hindl. dochter wird bei seiner Schwig. wohnen geg S. Lorentz vber (i 108)

Marie, veuve de Garnier Franck, se remarie en 1580 avec Sébastien Wagner, orfèvre natif de Hall (Halle) en Saxe.
Mariage, cathédrale (luth. p. 40)
1580. Dnicâ XXV. post Trinitatis. 20. Novembris. Sebastian Wagner von Hall in Sachsen d. Goldschmid vnd Maria Werner francken des Seidenstickerß wittib. Eingesegnet Zinstags 6.t Decembris (i 23)

Sébastien Wagner devient bourgeois par sa femme une semaine après son mariage
1580, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 483
Bastiann Wagner vonn Hall Inn Saxenn der goldschmitt Hatt das Burgerrecht Empfangenn von Marie Holingerin vnnd will Zuor steltzenn dienen Acttum denn 13.t 10.r 1580.

La vente de décembre 1586 qui a eu lieu sans le consentement de la femme de Wendelin Marcus est renouvelée en février 1586

1587 (6. Februarÿ), Chancellerie, vol. 248 (Registranda Kügler) f° 51
Erschienen die Erbar Frouw Maria Wendelini Marcÿ Eheliche gemahell welche aber Vonn Ir gezogen vnd kein beywonung thu, Hatt Mit beÿstand v bewilligung des Ehrenhafften herrn Conradi gretzingers offnen Notarÿ burgers In Straßburg Ires geschwornen Vogts bekhant, Nach dem sie mit vnd neben bemeltem Wendelino Marcio vor der Zeÿt herrn Sebastian Wagner goldtschmid. burgern Zu Straßburg v. Frouwen Marien hellingerin seiner hußfrowen
Zweÿ heüser ein Vorders v. ein hinders sampt hoffestetten hofflin Stallung v Gartlin auch allen andern gebeuwen gelegen Inn der SS Inn Crutenouw Inn der Neuwengassen vnd einsyt ein eck ane der Allmend and.syt Martzolff Volcken dem Vischer stoßend hinden vff Michell lauben vber vier guldin gelts vff vnser frawen tag der heymsuchung fallend ablosig mit 52 pfund 10 schilling d. großen gemeynen Almusen, Item vier Pfund pfenning gelts vff Sant Laurentzen tag mit 100 pfund pfenning abzulosen Junckher Hans Ludwig vonn Endingen, So dann fünff guldin gelts vff Sanct Johann Baptist tag Zu Singichten ablosig mit 100 guld. S.W. Margreden hans Ressen von Colmar obemelter verkeufferin schwester dochterlin deren vogt herr Michell Beringer für vnd vmb 800 guldin Straßburger werung verkaufft vnd zukauffen geben, Alls vermög* eines besond. brieffs vnder des hoffs Insigell vffgericht,
Dieweÿl aber obgeschribne heüser hoffstetten v hofflin Stallung v gärtlin vorgenannter verkhöufferin für vnverandert Zustendig geweßen v * h* beschehen verkhauff w* vnßer gndg. herren Constitution halben Z* Iren nechster verwandten mit v gegenwertigkeit auch nebenden verkheüfferen consentiren vnd bewillig. haben solten, Welches aber nicht beschehen, Dann aber der Kheuffer Iren Khünfftigem vßer* solchem Khouff v schaden oder nachtheÿl entstande deren*haben vorgedachte* Frouw Maria vor mir Jacobo Kugler Notario mit beÿstand obemelts Ires Vogts Auch herr Josie v Theodosÿ Rhiels gebrüdern Irer vettern v Mutter seligen bruder vorgeschriben verkhouff Appolonien v bestettig. Ire* v. mit crafft dis kauffs v* bekhenne auch der verkheuffer das die Kaufsumm also ver*gt damit sie wol* Zu*ÿden wärschafft v Stettigkheyt* verzigt

Sébastien Wagner et sa femme Marie louent la maison au marchand Martin de Lannoy et à sa femme Agnès

1597 (vts [2. Maÿ]), Chancellerie, vol. 308 (Registranda Kügler) f° 163-v
(Inchoat fo: 156.) Erschienen Martin de Lannoÿ gewerbßman vnd Agnes sein eheliche haußfrauw
haben Inn gegensein vnsers burgers Bastian Wagner Goldtschmidt und Maria seiner Ehelichen haußfrauwen bekhant d. sie In nahmen Ihres vettern Abel Brion Sammentwebers
von bemeltem Bastian Wagner und seinen erben fünff Jar lang die nechsten nach einander volgendt vnd vff den ersten Tag Maÿ nechstkünftig anfahen sollen bemelts herrn Bastian Wagners eÿgenthümblich huß, hoffstatt, hoff vnd gartten, mit allen ihren gebeuwen gelegen Inn der Vorstatt Crauttenauw Inn der Neuwen gaßen, nÿdwendig am Wolff einseit (-) die anderseit neben herr Bastian Wagner selbst Endtlehnet hab. für vnd vmb ein Jerlichen Zinnß Nemlich 38 guldin Zu 15 batzen Vnnd ist aber Inn dißer Lÿhenung sonderluch bedingt vnd abgeredt (…)

Le receveur Maximilien Erhard est nommé curateur des biens de feu Sébastien Wagner
1611, Chancellerie, vol. 391 (Gemein Contract Buch) f° 37
Curatorium Maximilian Erhardts deß Schaffners
daß vnser Burger Maximilian Erhardt der Schaffner, Sambstags den 7. 7.br deß lauffenden 1611. Jahrs, auch vnsers gewesenen Burgers Sebastian Wagners deß Goldschmidts seligen hinderlassener Nahrung zu einem Curatore bonorum durch vns in versambletem Rhat Erkhant vnd Confirmirt worden – den 30. 7.bris A° 1611

Demeurant à Hall en Saxe, les sœurs et héritières de Sébastien Wagner écrivent à Strasbourg pour recueillir la succession, ainsi que le teinturier Daniel Hollinger, demeurant à Jägerndorf en Brandebourg, pour recueillir celle de Marie Hollinger
1611, Conseillers et XXI (1 R 90)
Daniel Holinger [schwartzferber] vmb Erbfall [Sebastian Wagners seiner frawen]. Margg. Brandenburg Rhatt Zu Jegerndorff fürschreiben. 309.
Hans Heinrich Thaler vmb Erbfall Mariæ Holingerin [Sebastian Wagners fraw]. 148.
Sebastian Wagners Curatores vmb hülff. 45. [Hailbronnisch schreiben]
Sebastian Wagners Erben vmb sein Wagners Erbschafft. [92.] 98. 109 [Hans Hellinger, Speÿerisch Schreiben]. contra Vogten. 114. 116. contra Rotterer. 125. vmb Curator [umb Administration seiner Verlaßenschafft]. 157.
(f° 92-v) Sambstag den XVI Martÿ. – Hall in Sachsen schrb. für Elisabeth, Martha und Magdalena Wagnerin als Sebastian Wagners schwestern vnd demnach er Sebastian Wagner nemlich alhie verstorben vnd Keine nehere Erben dan seiner schwester, verlassen, Bieten d. Ine die gepuer wid. fahren mag. Erk Man soll diese schben für den Kleinen Rhatt weisen. H. Grienwaldt, H F Rihel.

La chambre de Spire confirme la sentence du Petit Sénat relative à la succession de Sébastien Wagner et de sa première femme Marie Hollinger
1612, Chancellerie, vol. 398 (Gemein Contract Buch)
Urkund erlangten einsatzes Martin Hartmann contra Sebastian Wagners erben. 58.
Urtheyl Brieff Martin Hartman contra Sebastian Wagner und Maria Holingerin beder ehgemahl erben und creditoren. 115.
(f° 115) beÿ offenem sitzendem Rhat vnser Burger Martin Hartman Notarius erschienen ist, vnd wider auch vnsern Burger Maximilianum Erhardten, als von vns geordneten Curatorem weÿland auch vnserer gewesenen Burgern Sebastian Wagners und Mariæ Holingerin beder ehegemechd seligen hinderlaßener Nharung vnd Güttern auff vorgehend gerichtlich für gebott Copeÿ einers zwischen Ime Hartman als Clag. vnd ernantem Sebastian Wagnern Beclagten vor vnsern Kleinen Rathen ergangener, wie auch vnserer lieben geheymen mit Rhats freund genant die Treÿ Zehen als delegierter Keÿserlicher Cammer Richers dieser vnserer Statt darauff in puncto appellationis ervolgter confirmatori Vrtheÿl gerichtlich producirt vnd vmb gepürliche exemption vnd.thenig angeruffen Beclagter gleych wol besichtigung vnd Zeyt der ordnung, Clag aber hergegen ime Zu gepürlicher exemtio, seines erlangten Rechtens gepotten vnd es bed.seyts darüber Zu vnserer erkantnus vnd bescheÿd gesetzt, das wie darauff volgende vrtheÿl eroffnen vnd fürleß. laßen, von Wort Zu Wort also lautend
In der execution sachen Michael Hartmans Implorant eins, gegen vnd wider weÿland Sebastian Wagners vnd desselben erster Haußfrawen beder seligen hinterlassener Nharung vnd Gueters Curatorem Maximilianum Erhardten, Anwartern andern theÿls, Ist auff furgelegt, so wol durch der Herren Treÿ Zehen als delegirte Keyserliche Cammer Richters diser Statt Strasburg, als die von vnseren Kleinen Rhaten ergangene vrtheyln, dabeÿ beschehen anrueffen vnd submission Erkant, Wahfern antwortere In Zeÿt der ordnung den Imploranten seines Zuerkanten anstands nit befridigen würdt, Das Ime dem Imploranten alsdann* der Insatz auff allen ernanten Sebastian Wagners vnd seiner haußfrawen seligen Haab vnd Güeten pro modo debiti Zugelaßen sein soll
vnd dessen Zu wahren vrkund haben wir vnserer Statt Kleyner Secret Insigel ahne* hencken an disen Brieff, der Geben ist auff Donnerstag den 26. tag Monats Marty Als man nach Christi gepurt Zalete 1612.

Mentions de Sébastien Wagner dans les registres du Magistrat
1582 Conseillers et XXI (1 R 55) Christoph Laurin Wittwe (zu Nürnberg) Catharina contra Bastian Wagner. 57. 143. 321. 542.
1585 Conseillers et XXI (1 R 61) Sebastian Wagner der goldschmidt contra Bergbietenheim. 108. 289.
1586 Conseillers et XXI (1 R 63) Sebastian Wagner contra H von Wittgenstein, Arrest und H Friderich von Sachsen silber. 660. 666.
1586 XV (2 R 16) Sebastian Wagner goldschmiedt. 169.
1587 Conseillers et XXI (1 R 64) Sebastian Wagner contra Herren im Bruderhoff. 300. 599.
Thumbcapitel, Eberhard Beer notarius in appellations sach contra Berß, Sebastian Wenger und Sebastian Wagner. 542.
1589 Conseillers et XXI (1 R 66) Sebastian Wagner contra Gürtlerhoff (Niclaus Oltteren schaffner). 36. 80. 95. 103. 120. 130. 154. 162. 212. 262. 416. 497. 667. beschwert sich der Inquisition. 729. 733.
1590 Conseillers et XXI (1 R 67) Glückhaffen. Sebastian Wagner der goldschmidt. 600.
Sebastian Wagner contra Gürtlerhoff. 97. 321. 420. contra Bruderhoff. 485. 532.
1591 Conseillers et XXI (1 R 68) Glückhaffen. Sebastian Wagner. 18. 22. 496. 641.
Sebastian Wagner contra Bruderhoff. 432.
1593 Conseillers et XXI (1 R 72) Glückhaffen. Sebastian Wagner. 435. 442. 801. 805.
1595 Conseillers et XXI (1 R 74) Sebastian Wagner wegen eines glückhaffens anzusprechen. 272. Relatio. 537. vide etiam Hans Ziegler.
Niclaus Reimbold und Joseph Altenrath contra Sebastian Wagner. 341. 344.
1596 Conseillers et XXI (1 R 75) Greiff glückhaffen abschaffen. Sebastian Wagner. 317.
1597 Conseillers et XXI (1 R 76) Sebastian Wagner contra Nachlaß oder milterung der straff. 483.
1598 Conseillers et XXI (1 R 77) David Holinger contra Sebastian Wagner. 17. 25. 30. 41. 52. vmb Curam. 204.
1599 Conseillers et XXI (1 R 78) Sebastian Wagner vmb hülff wegen glückhaffens. 216.
1600 Chancellerie, vol. 324 (Gemein Contract Buch)
Zinß verschreibung über 7 lb 7 ß 6 d herrn D. Philip Glasers, Sebastian Wagner der Goldschmidt. 118.
1600 XV (2 R 29) Sebastian Wagner. 171. 181. 188.
1604 Conseillers et XXI (1 R 83) Rothweylische process. Sebastian Wagner citirt. 111.
1606 Conseillers et XXI (1 R 85) [Johann Friderich Brem, Sebastian Wagner vmb fürschrifft zu Bergbietenheim. 289.] [Sebastian Wagner. 289. contra Johann Reinhardt Graven Zu Hanaw. 290]
1608 Conseillers et XXI (1 R 87) Sebastian Wagner relaxiren Bischoffliche d. arrest [zu Bergbieten]. 138. 172.
1609 Conseillers et XXI (1 R 88) Johann Krammer der Procurator contra Sebastian Wagner. 56. Lorentz Ott contra Sebastian Wagner. 180. 205. Sebastian Wagner contra Cyprianum Kötter pt° gültgutts Zu Bergbietenheim. 46.
1612 Conseillers et XXI (1 R 91) Sebastian Wagners Erben contra Adam Rodel in pt° arresti. 34.
1616 Conseillers et XXI (1 R 97) Sebastian Wagners vnd Mariæ Holingerin Curator vmb fürschrift. 326.

Marie Falck, veuve de l’orfèvre Sébastien Wagner, se remarie en 1612 avec le docteur en droit Jean Helffenstein : contrat de mariage, célébration
1612 (25.1.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 55) n° 412
Eheberedung – zwüschen dem Ehrenuesten hochgelehrten Hrn Johann Helffenstein beed. Rechten doct: als dem Breüttigam ane einem
So dan der Ehren: vnd tugendreich. fr. Marien Fälckin weÿlandt hrn Sebastian Wagners burgers Alhie Zu Straßburg seelig. wittwen als der Hochzeitterin Am and. theil
Beschehen vnd verhandelt In des Heilig. Reichs freÿen Statt Straßburg Sambstags den 25.ten Januarÿ In dem Jar des herrn als man zahlte 1612
[unterzeichnet] Johann helffenstein, Lucas Eberlinus der Arzneÿ doctor nunc temporis Nosocomÿ grandiosis Phÿsicus ordiarius, Johann Georg Marbach Not: burger vnd Pfundt Zoller su Straßburg, Elias von haußen Goldarbeiter Alß vogt der fraw hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 243 n° 8)
1612. Domi. 3. post Epiphan. 26. Januar. H. Johann Helfenstein Juris Vtriusq. Doctor, Mari Sebastian Wagners des goldschmids Hind.lassene witwe. Eingesegnet Zu Illkirch (i 125)

Sébastien Wagner et Marie Hollinger vendent une des deux maisons au boucher Ulric Heller de Hœnheim et à sa femme Salomé. Il est convenu que les acquéreurs ne pourront pas intercepter le jour vers la propriété réservée par les vendeurs.

1601 (6. tag Novembris), Chancellerie, vol. 335 (Registranda Meyger) f° 343
(P. fol. 331.) Erschienen Herr Bastian Wagner goldtschmÿtt burg. Zu St. Vnnd fr. Maria Hellingerin sein eheliche haußfr. Haben (…) verkaufft
Ulrich Heller dem Metziger burger Zu Hönheim vnd Salomeen seiner ehelich haüswürthin,
Hauß, hoffestatt, höfflin, Gartten vnd Bronnen, sampt der gerechtigkeit des gemeÿnen Profeÿs, auch allen anderen Iren gebeuwen & geleg. alhie Inn Vnserer Voorstatt Inn Crutenouw, Inn der Neuwen gassen, Einsit ein Eckhauß, Vnd Andersit nebent Einer Witfrauwen Mur Anna genant, hinden Zum theil vff Philip Sandtrocks des Fischers Erben, vff Michell Lampen den Rath Herren vnd Zum theil vff die Verkhöuffere stoßend, Dauon gend Vier guldin gelts, Ablösig mit 100 guldin vnd Mariæ heimsuchung den 2. tag Julÿ dem allmosen Zu Sant Marx, Mehr Acht guldin gelts Lösig mit 200 guldin vff Laurentÿ den Edlen vonn Endingen deren Schaffner Johann Theurer vnd dann 5 guldin gelts mit 100 guldin Alles Straßburger werung ablösig vff Sant Johanns Baptisten tag, wÿland Herrn Heinrich von Bergk des Schaffners s. Erb. Jährl. & vnd alles Rht. & Also & Vnd Ist disser Khouff über Hievor bestimpte beschwernuß, so die Khöuffere obgedacht vber sich nemmen zugang vnd bescheh. für vnd vmb 350 Pfund pfenning Straßburger
Vnd Ist aber Inn dissem Verkhouff sonderlich Abgeredt, vnd den Khöuffern obgedacht Angedingt Worden, das weder sie, Ire Erben oder nachkommen, Zu Ewig. Zeit. nit macht haben sollen, vff den Platz des garttens gegen der Scheÿdt Wandt Zubauwen, dadurch den verkäuffern den tag vnd Lufft entzogen vnd genommen werden möchte, Allein die Stallung vnder den gang beÿ dem Schnecken vff Zurichten

Ulric Heller et Salomé Schott de Hœnheim louent au maraîcher Abraham Knecht la maison qu’ils viennent d’acheter de Sébastien Wagner

1602 (viij tag Septembris), Chancellerie, vol. 342 (Registranda Meyger) f° 352-v
(Inchoat. in Proth. fol: 118.) Erschienen Abraham Knecht der gartenman burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit Ulrich Heller des Metzigers Zu hönheim vnd Salomeen Schöttin seiner ehelich. haußfrauen offentlich verÿehen
das er Ime & Von & Neün Jahr lang nacheinand. Volgend, so vff Liechtmeß nechstuerschünen Angefang. vnd nit für baß desselbig. Ulrich Hellers Gärttell, Inn d. vorstatt Straßburg Inn d. Crutenauw, In d. Neuwen gaß geleg. Ane sein des verleÿhers behausung so wie neuwlicher Zeit von Bastian Wagner erkhaufft, Entlehnet hette für vnd vmb 5 guldin Straßburg. werung Zu bezahlen

Le boucher Jacques Bastian et sa femme Salomé de Hœnheim hypothèquent la maison au profit du boucher Jacques Strohl et sa femme Marguerite de Hœnheim

1604 (x tag Decembris), Chancellerie, vol. 351 (Registranda Meyger) f° 417-v
(Inchoat. in Proth. fol: 350.) Erschienen Bastians Jacob der Metziger Zu Hönheim Vnnd Salomee sein eheliche haußfrauw.
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit Jacob Strool des Metzigers Zu Hönheim Vnd Margreden deselbig. haußfrauwen – schuldig sigent 50 Pfund Pfenning
Zum vnderpfand ÿngesetzt, Ein Schuld Nemlich 50 Pfund pfenning so die die Bekhenrer vßstohn habe, vff Hannß Jungen dem Schiffman burgern Zu Straßburg, die Er Hanß Jung ane den gekhaufften Behausung alhie Inn der voorstatt Straßburg Inn Crutenauw, Inn der Newen gessel Vnd Anna Kholin seiner ehelichen haußwürthin So prout in præcedenti Contractum fol. 417. gelegen

Jacques Bastian et sa femme Salomé de Hœnheim vendent la maison au batelier Jean Jung et à sa femme Anne Kohl. La clause au profit de Sébastien Wagner est reproduite de la vente de 1601.

1604 (x tag Decembris), Chancellerie, vol. 351 (Registranda Meyger) f° 416-v
(P. fol. 348.) Erschienen Bastians Jacob der Metziger Zu Hönheim vnnd Salome sein eheliche haußfr. Habenn (verkaufft)
Hannß Jungen dem schiffman burgern Zu Straßburg, Vnd Anna Kholin seiner ehelichen haußwürthin So bede Zugeg.
Hauß, hoffestatt, höfflin, Gartten vnd Brunnen, sampt der gerechtigkeit des gemeinen Profeÿgs, Auch Allen Andern Ihren gebeüwen & geleg. Alhie In vnserer vorstatt, Inn Crutenouw, Inn d neüwen gassen, einseit Ein Eckhauß, vnd Andersit neben einer wittfrawen Mur Anna genannt, hind. Zum theil vff Philipß Sandrocks des fischers selig. erben vnd vff h. Michell Lampen Zum theil vff Bastian wagner den goldtschmÿdt stoßend, Dauon gond. Vier guldin gelts, Ablösig mit j C gl. vff Mariæ heimsuchung den Andern tag Julÿ fallend, dem Allmusen Zu Sant Marx, Mehr fünff guldin geltd lösig mit j C gl vff Johannis Baptæ, bede Post. Straßburg. werung, wÿland Heinrich von Bergs. des schaffners selig. erbenn, Vnnd dann 4 pfund & gelts wid. khöüffig mit j C lb. d vff Laurentÿ den Edlen Vonn Endingen, So dann sindt sie noch weÿther hafft vnd underpfandt für ein schuld 150 pfund pfenning Zu Zÿlen Zu erlegen Bastian Wagner dem goldtschmÿdt, wie man sagt, vnd Alles Recht & Also d. Vnd Ist disser Khauff über hievorbestimpte beschwernuß so die Khoüffer vber sich genommen, für vnd vmb 125 pfund pfenning Straßburger
Vnd Ist Inn diessem Verkhouff sonderlich Abgeredt vnnd den Khoüffern ogbedacht Angedingt wordenn, daß weder sie, Ihr erben oder nachkommen Zu ewig. Zeiten nit macht haben sollen, vff den Platz des garttens gegen der scheÿdtwandt Zubauwen, dadurch Bastian Wagnern der tag vnd lufft entzogen vnd genommen werd. möchte, Allein Aber die Stallung vnder dem gang beÿ dem schneck. solle Ine Vnbenommen sein vndzurichten
Hiebeÿ Ist gewesen herr Philipß Schmÿdt schaffner Jeremias Fritsch d. Metziger, Thoma, scheÿcher

Originaire de Bernshausen en Thuringe, Jean Jung épouse en 1692 Anne, veuve de Georges Vogel de Gelnhausen (Gelhausen)
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 29 n° 38)
1592. Dominica XIIII Post Trinitatis. hans Jung von Berßhausen ein schiffman Vnd Anna Georg Vogel von Gelhausen hinterlassene wittwe. Eingesegnet Montag den 4. Septemb. (i 17)

Jean Jung achète le droit de bourgeoisie le 7 juin 1593
1593, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 571
Hanns Jung von Bentzhaußen In Düringen ein schiffman hatt mit beÿstandt h Andres Schötterlin deß Schiffmans d. burgrecht Erkhaufft vnndt Will Zum Encker dienen. Signat. 7 Junÿ 93.

Le soldat Nicolas Riecker et Anne von Berg cèdent au chapelier Jean Jacques Spiess un capital garanti sur la maison que Jean Jung a acquise depuis peu de Sébastien Wagner. En marge, quittances remises en 1623 et en 1631 au boucher Jean Meyer

1606 (3. tag Aprilis), Chancellerie, vol. 366 (Registranda Meyger) f° 118-v
(Inchoat. in Proth. fol: 115.) Erschienen Niclauß Riecker d. Soldath burger Zu Straßburg, Vnd Anna von Berg sein eheliche haußfrauw, mit beÿstandt hannß Khurtz leinenwebers burgers Zu Straßburg Ihr Annen dochter Vogt habe vnver: (verkaufft)
hannß Jacob Spieß dem huotmacher burgern Zu Straßburg, So auch Zugegen
2 pfund vnd 12 schilling 6 pfenning gelts Inn hauptgutt ablösig mit Lij lb ß d gibt disser Zeit hannß Jung der schiffmann burger Zu Straßburg Vonn seiner Behausung Inn d. St. Straßburg, Inn d. Neüwen gaß. In Crutenauw, So er vmb Sebastian Wagner den goldtschmÿdt nuwlicher hier erkhaufft, Alle Jar vff Sant Johannis Baptistæ tag Zu geben pflichtig (…) Vnnd Ist disser Khauff Zugang. vnd beschehen für vnd vmb 35 pfund pfenning Straßburger
[in margine:] erschienen Hannß Balthasar Spieß Als welchem diese schuldt gehörig hatt in gegensein hanß Meÿer des Metzigers bekhandt, das er Ime disse 52 lb 10 ß Abgelöst sampt dem Zinß quitt. Act. 18. feb: 1623.
Erschienen vorgemelte beede parten, Zeigten An vnd bekannten, gegen einander, weil, vermög vorgehender q.tung, dise 52. lb. 10. ß d in hohem gelt abgelegt word. Als heten sie sich mit einander güetlichen dahin verglichen, daß er Meÿer ihme Spießen an guten ietziger Zeit gäng vnd gibigen gelt 50 fl. Str. wer. nachzutragen (…) Act. den 4. Januarÿ Anno & 1631.

Le batelier Jean Jung et Anne, fille de Pierre Kohl, hypothèquent la maison au profit du barbier Michel Anthinger

1609 (13. 9.br), Chancellerie, vol. 384 (Registranda Kügler) f° 457-v
(Inchoat. fo: 497.) Erschienen Hans Jung der Schiffman burger alhie und Anna wÿland Peter Kolen selig. dochter
Haben in gegensein Michael Anthingers Balbierers alhie bekhandt, Nachdem Jetzgemelter Michel Anthinger für obemelte Ehegemechdt gegen herrn Hans Rittern Schaffnern Im Maßmünsterhoff vmb ij C lb d Zum Bürgen vnd selbs schuldtner v.obligirt vnd Inschriben
Zum vnd.pfand Ingesetzt Hauß hoffstatt Hoff vnd Stallung mit allen gebewen geleg. In Crutenauw In d. Newen gaßen, j.sit neben Hans Griennagel s. Wittwe, 2.sit neben Sebastian Wagner goldtschmidt, stoßend hinden vf herr Michell Lamben XV.ner Dauon gond 4. lb d. gelts ablößig mit j C lb d. den Junckhern von Endenling. Mehr v gld. gelts St. werung lösig mit j C derselben werung zu St: Marx, Item aber v gld. gelts widerlösig mit j C gld. St. Hans Jacob Spießen den huttmacher, Sunst ledig eÿgen

Anne, veuve du batelier Jean Jung, demande aux Conseillers et aux Vingt-et-Un que la petite maison ou écurie à côté d’une plus grande ne soit pas vendue par les créanciers
1612, Conseillers et XXI (1 R 91)
(f° 71-v) Montag den 11. Martÿ – Anna Hans Jungen wittib C. Ires Mans creditores ein klein heuselin anlangent.
Anna Hanß Jung. des Schiffmanns wittib vbergibt ein supp.lon dorin sie sich clagt d. Ir die creditores ein klein heuselin od. Stellelin wie sies nent vnd Ir hauswürth neben dem andern hauß Zugericht, *en vnd mit dem andern verkauffen wollen welches so es geschehe, * sie mit Iren Kindern in bettelstab ge*echten Bitt mhrn wollen hhn orden die den augenschein ein nehmen vnd sie bey solchem huttlin erhalten. Erk. Ist für Rhatt gewisen.H. Heldt, H Keyl*.

1612, (VII 1327 Bauherren) Hans Jung der schiffmann pt° 50 fl. schuldigen weggelts. 77.

Le créancier Jean Ritter devient propriétaire de la maison.

Jean Ritter de « Wert » épouse en 1582 Brigitte Geck, veuve du tailleur Jean Barstaller
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 318 n° 643) 1582. In Festo Paschalis. Hans Ritter von wert der Schneider prigida Geckin Hans Barstallers des schneiders nachgelasne witwe 24. Aprilis (i 323)

Originaire de Wœrth près de Haguenau, Jean Ritter devient bourgeois par sa femme Brigitte, veuve du tailleur Jean Barstadler.
1582, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 502
Hans Ritter vonn Wördtt beÿ hagenauw der schneider Hatt das burgrecht empfang. vonn Brigida Hans Bastallers des schneiders Wittwe seiner haußfrauwenn vnnd wimll Zuen schneidern dienen act. denn 28.t apprill 82.

Originaire de « Weiler », Jean Barstadler épouse en 1575 Brigitte, fille de Laurent Geck de Wangen
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 128 n° 331) 1575. Dominica XV. Hans Barstadler von weiler der schneider vnd Prigida Lorentz Gecken von Wang. nachgelasne dochter (i 130)

Originaire de Weilheim en Bavière, Jean Barstadler achète le droit de bourgeoisie le 18 octobre 1575.
1575, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 251
Hanß Barstadler von weylheÿm In beÿern der schneid. hatt das burgkrecht Kaufft vnd dient Zu den schneider Act. den 18.ten 8.bris a° & 75

Jean Ritter, mari de Brigitte, est receveur à la cour de Marmoutier en 1601
1601 (Andern tag Febr.), Chancellerie, vol. 333 (Registranda Kügler) f° 49
herr hans Ritter Schaffner Im Maursmünster hoff vnd Brigit sein eheliche haußfrauw

Receveur à la cour de Marmoutier, Jean Ritter épouse en 1610 Elisabeth, fille de l’orfèvre Isaac Herbst
Mariage, cathédrale (luth. p. 251)
1610. domin. 19. Trinitatis. Hans Ritter der schaffner im Masmünster Hoff vnd Elisabeth Isaac Herbst des goldschmidts dochter (i 129)

Veuve, Elisabeth se remarie en 1620 avec le marchand Jonas Hammerer, fils du marchand du même nom.
Mariage, cathédrale (luth. p. 111)
1620. Jonas Hammerer der Handelsmann, Jonas Hammerer des Handelsmanns e. sohn, vnd Fr. Elisabeth Hans Ritter des schafners im Masmünster hoff e. wittwe, eingesegnet montag den 11:decembris (i 60)

Les enfants et héritiers de Jean Ritter vendent la maison au boucher Jean Meyer. Une clause mentionne les conditions auxquelles est tenu l’acquéreur qui a l’intention de remplacer le hangar par une écurie. Une mention marginale a trait au complément que doit régler l’acquéreur pour rembourser la capital dû aux nobles d’Endingen.

1619 (xix. Augusti), Chancellerie, vol. 436 (Registranda Meyger) f° 444-v
(Inchoat. in Prot. fol. 318. – Protocollat. fol. 508) Erschienen Elisabeth Herbstin, wÿland Johann Ritter geweßenen schaffners Im Morßmünster hoff s. witwe, mit beÿstand h. Heinrich Trausch Ihres vogts, deßgleich. Johann Jacob vnd Philipß Ritter gebrüder burger Zu Straßburg, disse für sich selbst, So dann Christoff Axt burger Zu Straßburg als vogt Annen Marien, hannß Jörg, hannß Niclaus, hannß Friderich vnd Elias obgedachts Johann Ritters von ermelter Elisabeth ehelich. erziehlt. Khind. vögtlich. weÿß (verkaufft)
hannß Meÿer dem Metzig. burger Zu Straßburg
hauß, hoffestatt, höfflin, Schopff vnd Brunen, mit Allen Ihren geb. & gelg. Inn d. St. St. In Crutenauw am Fischer gestaden, Inn d. Neüwen gaß, einseit nebent dem Verkäuffer selbst and.seit n. Friderich Träher dem Zimmermann, hind. auch vff die Verkäuffern vnd Zum theil vff h. Michel Lempen 15. stoßend, dauon gnd iiij gl gld loßig mit j C gl Werung vff Mariæ Verkhündung dem hauß Zu S. Marx, Mehr 4 lb d gelts loßig mit j C lb d vff Laurentÿ d. Edlen von Ending. So dann v gl gelts loßig mit j C. gl werung vff Johis Baptæ hannß Balthasar Spießen dem huttmach. Sunst ledig vnd eÿg. Vnd Ist dißer Khauff vber obgehörtte beschwerd. so d. Kheüffer vff sich genommen Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 275 pfund pfenning
Vnd. Ist hierin sond.lich Abgeredt, die weil der Khouffer Ane statt des schopffs ein Stall vffzuricht. vorhabens, das er dasselb. Stall ohne das tach Zweÿ gad. vff Zuführen und sein vnd höher nicht, Ouchgleich ein gantz tach vnd Khein halben mach. Zu laß. damit d. tachtrauff dauon Inn die scheÿdt gerichtet werd. möge, Es Soll Auch das wasser durch den Nooch Ane hanß Michell Lempen behaußung seinen ußgang Inn die Versenckung hab. vnd Zu ewig. Zeit Inn dem stand wie es jetzung Ist gelaß. werd. wan sonst Im vff führung vor geschriebenen stalls Zwischen Verkäuffern und Kheüffern eines Noochs vonnött. sein würde, so solle die Verkäuffere denselben Nooch Inn Ihren costen mach. vnd erhaltten
(vide wegen diser 100 fl. werung mit Spieß. den Nachtrag in Meÿ. Regist. de Anno 1606. fol. 118.
[in margine:] Erschienen der Edlen von Endingen Schaffner H. Johann Theürer an j., So dann hannß Meÿer den Käuffer am 2. theil Zeigten An, demnach Er meÿer die ihme für ein beschwerdt vff diesen seinem erkaufften hauß angegebene 100. lb d. in hohem dem Reichßthaler nach Zu 6 fl. gerechneten gelt erlegt, Alß heten sie sich nach maß alhieiger über die Nachträg verfaßten instruction mit einander gütlich. dahin verglichen (…) Act. den 9. feb. 1631.

Le boucher Jean Meyer épouse en 1619 Appolonie Gnan, fille du tisserand Loup Gnan. La proclamation mentionne que l’épouse a plus de trente ans et qu’elle a deux frères docteurs en médecine.
Mariage, Saint-Thomas (luth. n° 1322)
1619. Dominica 17. Trinitatis. Hans Meÿer der Metzger, vndt J. Apolonia Wolff Gnanen d. Webers nachgelasne Tochter (i 435)
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. p. 34 n° 34) 1619. Dmnca 17. & 18. 19 & 26 vii.br. Hans Meÿer Lanio v. Burger alhie, J. Appollonia Wolff Knanen des Leinen Webers p.m. Tochter Eine Jungfraw vber ihre 30. Jahr. Hatt 2. Brüder so Doctores medicinæ sein Copulaô Facta ap. D. Thomâ 28. vii.bris Zinstags (i 386)

L’ancien préteur Jean Charles Prechter déclare que sa mère Julie de Botzheim a légué 200 florins à Appolonie Gnan, femme du boucher Jean Meyer.
1628 (3. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 120-v
Erschienen der Gestreng, Woledel vnd vest Hannß Carol Prechter Alter Stettmeist. der Statt St. An einem,
So dann Appolonia Gnanin mit beÿstand & Hannß Meÿers deß Metzigers, burgers Zu St. ihres Ehevogts, Am Andern theil,
Zeigten an und bekannten gegen einander, demnach weÿ: die woledle, vilehren, vnd tugendreiche Fr. Juliana Prechterin wittib geborne von Botzheim, sein herrn Stettmeisters Fr. Muter see: in ihrem letzten willen Ihr Appoloniæ neben Anderem auch 200. fl. (…) verschafft (…)

Le boucher Jean Meyer se remarie avec Elisabeth, veuve de l’aubergiste à l’Ange François Heus : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedung Copeÿ Zwischen beeden Eheleute auffgericht – zwischen dem Ehrenthafften H. Hanns Meÿern, Metzger und Burgern Zu Straßburg ane einem, So dann der Ehrent: vnd Tugendsamen Fraun Elisabethæ Näglerin weÿl. H. Frantz Heusen gewesenen Würths Zum Engel in Straßburg seel. hinderlaßenen Wittiben am andern theil (…) Wann dann solche Vorstehende Heuraths pacta in Wÿld. H. Valentin Bilgers, als Hierzu insonderheit erforderten offenen geschwornen Keÿserlichen Notarÿ und obbemelter beederseits erbettener H. beÿständere beÿwesen (…) aber vor der vßfertigung Zeitlichen todes Verfahren, und dahero mir nachbemeltem Notario alle und iede sein H. Valentin Bilgers seel. unverferttigte Notariat geschäfft solche vff der Partheÿen begehren außzufertigen, Von H Räth und Ein und Zwantzig (…) gnädig vertraut (…) in obbemelter Statt Straßburg und deroselben Vorstatt Crautenaw in der H Hochzeiterin behausung neben der Herberg Zum Engel gelegen, Donnerstag den 9. Junÿ Anno 1636. Johann Thoman Tromer Nots.

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 88)
1636. Dom. III. & IV. Herr Hanns Meÿer d. Metzger vndt burger alhie vndt Fraw Elisabetha weÿl. herrn Frantz Heüsen deß Würths Zum Engel vndt burgers alhie nachgel. witwe. Cop. Eodem die [Dienstags d. 12. Julÿ] Zu St. W. (i 288)

Le boulanger François Heus épouse en 1606 Elisabeth, fille de Jean Nagel d’Illkirch
Mariage, cathédrale (luth. p. 185)
1606. Dominica 22 Trinitatis. Frantz Heus der Beck und Elisabetha Hans Nagel burgers zu Illkirch n: g: tochter (i 96)

Elisabeth Nagel, femme du directeur de l’accise Jean Meyer, meurt en délaissant des neveux et nièces issus de ses deux sœurs. L’inventaire décrit les immeubles qui appartiennent au veuf, parmi lesquels la maison rue Neuve des Pêcheurs. Il mentionne les biens qu’Appolonie Gnan a laissés en jouissance à son mari et ceux que François Heus a laissés à la défunte. La masse propre au veuf est de 708 livres, celle propre aux héritiers de 4 099 livres. L’actif de la communauté s’élève à 6 490 livres, le passif à 3 948 livres.

1652 (20. 8.bris), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 20) n° 22
Inventarium vndt Beschreibung Aller vndt Jeder Ligendt vndt (vahrend.) verändert vndt unverändter Haab nahrung vndt Güethere, so weÿlandt die Ehren vndt Viel tugendtsamme Fraw Elisabetha Nägellin, deß Ehrengeachten vndt Wohlachtbahren Herrn Hannß Meÿer, Accis verwaltters vndt Burgers alhie ehelich haußfraw nunmehr seel. nach Ihrem aus dießer weltt tödlichem hinscheÿden hind. Ihro verlaßen (…) So beschehen vndt angefangen auff Mittwoch den 20.t 8.bris A° 1652.
Eheberedung Copeÿ (…) Donnerstag den 9. Junÿ Anno 1636. Johann Thoman Tromer Nots.
Testamentum Solenne in Scripris Frauen Elisabethæ Nägelin H Hans Meÿers ehelicher Hausfr. (…) So geben und gescheh. in des Heiligen Reichs Freÿen Statt Straßburg Donnerstags den 21. Julÿ nach Christi Jesu unsers einigen erlösers und Seeligmachers geburt gezahlt 1642 Jahrs. Ich Petrus Weber
Copia Erster Nach disposition, 28. Januarÿ A° 1644
Copia 2. Nach disposition, 27. Martÿ A° 1649
Fraw Elisabeth Nägellin, die Jetzt abgeleibte fraw seel. hat per Testamentum Zu Erben verlaßen, wie volgt
Erstlichen Annæ Paulusin, d. ietz abgeleibten Fraw Schwester vnd Mr Daniel Schmidts, deß Schuhmachers vnd burgers alhie ietzmahliger hfraw in vorig. vndt dieser Ehe erziehlte dreÿ Kind. nahmens 1) Susannam Gänselin, Weÿl. Mathÿs Becken, geweßenen Schuhmachers vndt burgers alhier seel. hind.laßene Wittib, so d. Inventation selbsten beÿgewohnt, mit beÿstand M. Friderich Ruepen Schuhmachers vndt Burgers alhie, Ihres geschwornen vogts, 2) Catharinam Gänselin, ietzmahlen Mr Hanß Niclaus Webers, Schneiders vndt Burgers alhie eheliche haußfr. mit beÿstandt deßelben, vndt 3) Hannß Barthel Schmiden, den ledigen Schuhmacher so d. Zeitt vff der Wanderschafft deßen geschworner vogt Mr Dieboldt Ehringer Schlossers v. burgers alhie, so mit beÿstandt obernandts Daniel Schmidts deßelben vatters d. Inventation beÿgewohnt, Diese dreÿ zu einem halben theil
So dann weÿl. frawen Ursulæ Nägellin, auch d. ietz abgeleibten Frau Schwester seel. mit H. Hannß Wernern, der Zeitt E. Ers. Großen Raths alhie altten Beÿsitzer ehelich erzeugte vier Kind. benantlichen 1) Fr. Ursulam Wernerin seel. mit Mr Hannß Peter Eÿdt Schuhmachers burgers alhie ihrem hinterbliebenen wittwer hinderlaßene Kind. nemblich Hannß Wernern, Ursulam, Annam Mariam, Elisabetham vndt Hannß Peter, deren recht geschworner Vogt H Hans Werner, würth Zum Engel, burger alhier hernach bemelt, ane deßen statt H Johann Georg Retzlob Nots. Publ. vndt Burg. alhie, deroselben ietzmahlig. Theilvogt d. Inventation beÿgewohnt, 2) Mr Hannß Philips Wernern auch Schuhmachers vnd burger, alhier, so selbsten gegenwerttig war, 3) H Hanns Werner, Würth Zum Engeln vndt burgern alhie, obbemelt, vndt endlich 4. H. M. Johann Georg Wernern, d. Zeitt Pfarrherrn Zu Kolbsheim, so auch gegenwerttig war, dieße 4 in die häupter vor den andern halben theil
Publicatio et Resolutio hieuor geschribenen Testaments (…)
Inn einer alhie Inn der Statt Straßburg, vorstatt in der Crauthenaw, in d. Newengaßen gelegener behaußung, so auch in dieße Verlaßenschafft gehörig v. hernach beschrieben, Ist befunden worden wie volgt
Auff dem obern Casten, Vff dem Andern Casten, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, Inn der Obern Stuben, Im Conthor an dießer Stuben, In dießer Stubkammern, Inn der hindern Stuben, Vor dieser Stuben, Inn der obern Kuchen, In der Wohnstuben, Im Vndern haußöhren, Inn d. Kuchen, Im hoff, Im Keller
Eÿgenthumb vndt Beßerung ane Heußern. (W.) Item hauß, hoffstatt Höfflin, Stall vndt Schopff mit allen and. Ihren gebeüwen, begriffen, weithen, rechten Zugehörden v. gerechtigkeiten, gelegen alhie in d. vorstatt Straßburg, Inn Crauthenaw, in d. Newen gaßen, 1. s. neben H Johann Ludwig Koben xxi.igern alhie, 2. s. neben H Jacob Balttnern dem vischer, hind. vff H hannß Jacob Fabern, den handelßmann burgern alhie stoßend. dauon gibt mann 2. lb 2 ß geltts Jährlichen vff Maria heimsuchung seindt in hauptgut abzulößen mitt 52. lb 10 ß d. dem Closter Zu St. Marx alhie sonst ledig eÿgen angeschlagen p. 250. lb d. Darüber sagt j. t. Perg. Kauffbr. mit d. St. Straßb. anhangend. Contract Insigel, deßen dat. den 19.t Augusti A° 1619. mit alttem N° 1 sign. v darbeÿ gelaßen.
(Th.) Item Hauß vndt Hoffstatt mit allen deren Gebeüwen, vorstatt in Crauthenaw in d. Newengaßen, hind. dem Mohrenkopff (…)
Ergäntzung deß H. Wittwers unveränderten Guths. Auß dem vber weÿl. Fren Appoloniæ Gnanin deß H. Wittweers voriger haußfraw seel. v.laßenschafft
Des H. Wittwers unveränderte Nahrung, Sa. Haußraths 108, Sa. Leerer vaß 1, Sa. Silbergeschirrs 13, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 311, Sa. Lehenguths 12, Sa. Eigenthums vnd beßerung ane heüßern 250, Sa. Ergäntzung 10, Summa summarum 708 lb
Der Erben unverändert Guth, Sa. Haußraths 260, Sa. vaß 36, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 111, Sa. Guldener Ring 20, Sa. Baarschafft 800, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 650, Sa. Eigenthums ane liegend. Güther 90, Summa summarum 6944 lb – Schulden 3212, Nach solchem abzug 4099 lb
Die Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 120, Sa. Wein 88, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 25, Sa. Guldenen Ring 2, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 5018, Sa. behaußung 75, Sa. liegend. Guths 20, Sa. Schulden 447, Summa summarum 6490 lb – Schulden 3948, Nach deren Abzug 2496 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 10.506 lb
Wÿdem So H. Hannß Meÿer der Wittwer von weÿland frawen Appoloniæ Gnanin seiner Ersten haußfraw. seel. noch Zu genießen hat. Wie inn dem über weÿlandt Frawen Appoloniæ Gnanin deß H Wittwers erster haußfr. seel. verlaßenschafft den 2.ten Aprilis A° 1636 durch weÿl. H Valentin Bilgern den Notm statt
Wÿdem So die ietz abgeleibte fraw seel. biß vff Ihr absterben genossen, d. Eygenthumb aber weÿl. H Frantz Heüsen geweßenen wurtz Zum Engel, Burgers alhie Ihres vorigen haußwürths seel. Erben

Jean Meyer se remarie en 1653 avec Anne Eve, fille naturelle de Jean Guillaume Prechter, qui était à son service depuis quatre ans.
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 24-v n° 9)
1653. Dnicas I et II Trinitatis, 12/19 Junÿ. Herr Hans Meÿer, Accis Verwalter vndt B. alhie Vndt Jungfrauw Anna Eva (Jc*) Hans Wilhelm Prechters nachgelaßene (vneheliche) Tochter. Hatt Vier Jahr beÿ Ihme Sponso jnn (-) gedient, Ist ein sehr feines Mensch. Ließ Er sie legitimiren (i 28)

Anne Eve Prechter meurt après avor institué pour ses héritiers le pasteur Jean Huber et l’aubergiste Jean Werner. L’inventaire est dressé dans la maison rue Neuve. Il mentionne les biens dont le veuf a reçu la jouissance de sa première femme Appolonie Gnan et de sa deuxième femme Elisabeth Nagel. La masse propre au veuf est de 1 950 livres, celle propre aux héritiers de 87 livres. L’actif de la communauté s’élève à 915 livres, le passif à 496 livres.

1659 (7. Aprilis), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 26) n° 14
Inventarium vndt Beschreibung Aller Haab vndt Nahrung, so Weÿl. so weÿl. die Ehren: vndt tugendtsamme Fraw Anna Eva Prechterin deß Ehrenhafften H. Hannß Meÿers, Accis verwaltters, vndt Burgers alhie Zu Straßburg haußfraw, nunmehr seel. welche Sonntags den 16.ten Januarÿ Jüngsthin Göttlichen willen nach Zeitlichen todts verblichen, nach Ihrem aus dießer weltt tödlichen hinscheÿden hind. Ihro verlaßen, Welche erst ernandter Ihr hind.laßener Wittwer, mit Rath hülff vndt beÿstandt deß Edlen vndt hochgelehrten herrn Georg Obrechten Rechten Doctoris, Advocaten vnd E. Ehrs. Kleinen Raths alhie Procuratoris Zum theil wie auch zum theil durch Elisabethem Knaußin, hanß Klingelmeÿers Leinenwebers v. burgers alhie hfr. vnd Elisabetham Eÿdin, die Magd beede Baaßen, auf freundliches ansuchen erfordern vnd begehren deß Ehrwürdig vndt wohlgelehrten herrn M Johann Huebers, Pfarrherrs Zu St. Wilhelm Burg. alhie vndt deß Ehrenvesten vorgeachten vnd weÿßen herrn Hannß Werners geweßenen Gastgebers Zum Engel vnd E. Ehrs. Großen Raths alhie Beÿsitzers, beeder d. ietzt abgeleibten Fraw seel. p. Testamentum Instituirter Erben (…) So beschehen vnd angefangen Inn beÿsein Hannß Klingelmeÿers, obgedacht vndt Georg Kraußen Metzig. v. burgers alhie bedeer deß H. Wittwers vettern

Copia Testamenti nuncupativi. Der Verstorbenen Frawen seeligen auffgerichteten Testamenti nuncupativi (…)
Inn einer alhie Inn der Statt Straßburg Vorstatt in Crauthenaw in d. Newengaßen gelegenen Behaußung, so auch in dieße Verlaßenschafft gehörig vndt hernach beschrieben, Ist befunden worden wie volgt
Auff dem obern Casten, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, In der Cammer E, Inn der Obern vordern Stuben, Inn dem nebens Kämmerlin, Inn dießer Stubkammer, Inn der obern Kuchen, Inn dem hind.n oberen Stüblein, Inn der vndern Stuben, Inn der Stubkammer, Im Vndern haußöhren, im Kl. Küchlein im haußöhren, Inn d. Kuchen, Im hoff, Im Stall, Im Keller
Eÿgenthumb vndt Beßerung ane Heußern. (W.) Item hauß, hoffstatt höfflin Stall vndt Schopff, mit allen andern Iren gebeüwen, begriffen, weit. recht. Zugehörd. vnd gerechtigkeiten, gelegen alhie in d. St. Straßb. vorstatt in Crauthenaw, in d. Newen gaßen, 1. s. neben H Joh: Ludwig Koben 21.g. alhie, a. s. neben H Jacob Balttnern vischer v. E. Ehrs. Großen Raths alhie Beÿsitzern, hinden vff weÿl. H hanß Jacob Fabers handelßmanns v. Burgers alhie seel. hind.laßene wittib stoßend. Dauon gibt mann 2. lb 2 ß geltts Jährlichen vff Marie heimsuchung dem Closter Zu St. Marx alhie seindt in hauptgut abzulößen mitt 52. lb 10 ß d. Sonsten über dieße beschwert für freÿ ledig vndt eig. angeschlag. p. 250. lb d. Darüber sagt j. t. Perg. Kauffverschreibung mit d. St. Straßb. anhangend. Contract Insigel, deren datum den 19.t Augusti A° 1619. mit alttem N° 1 sign. v darbeÿ gelaßen.
(W.) Item der Zweÿtte theil ane hauß vndt hoffstatt mit allen deren gebeüwen in Crauthenaw in d. Newengaßen, hind. dem Mohrenkopff (…)
Wÿdem So der H. Wittwer von weÿl. frn Elisabeth Nägellin seiner mittlern haußfr. seel. wÿdembs weÿß Zugenießen hat (…)
Wÿdem So der H. Wittwer von weÿl. frn Appoloniæ Gnanin seiner Ersten haußfr. seel. Verheurathet mit noch ad dies vitæ Zu genießen. Auß dem A° 1636. über derselben v.laßenschafft auffgerichtetem Inventario (…)
Ergäntzung deß H. Wittwers unveränderten Guths, Auß dem über weÿland fren Elisabeth Nägellin deß H. Wittwers voriger hsfren seel. Verlaßenschaffts auffgerichtetem Inventario (…)
Des Wittwers unveränderte Nahrung, Sa. Haußraths 127, Sa. Weins vndt vaß 86, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 29, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1364, Sa. Eigenthums vnd beßerung ane heüßern 300, Sa. eigenthümlichen liegenden Güther 6, Sa. Lehenguths 12, Sa. Ergäntzung 482, Summa summarum 2409 lb – Schulden 459 lb, Nach deren Abzug 1950 lb
Der Erben unverändert Guth, Sa. Haußraths vndt Kleÿder 46, Sa. Silbers 4, Sa. Guldener Ring 4, Sa. Baarschafft 7, Sa. Eigenthums ane Einer Behaußung 25, Summa summarum 87 lb
Die Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 72, Sa. Frucht 55, Sa. Silbergeschmeids 8, Sa. Guldenen Ring 3, Sa. Baarschafft 526, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 200, Sa. Schulden 49, Summa summarum 915 lb – Schulden 496, Nach deren Abzug 428 lb – Sa. verordneter legaten 132 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 3090 lb

Accord passé entre les héritiers d’Elisabeth Nagel femme du directeur de l’accise Jean Meyer. Parmi eux Ursule Werner femme du cordonnier Jean Pierre Eydt et Salomé Krauss femme du tisserand Jean Klingelmeyer.
1665, Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 4) n° 78
Abrech: vndt Respective Vergleichung Zwischen Weÿlandt Frawen Elisabethæ Negelin vndt H. Hanß Meÿers Accis V.walters und burgers alhie Zue Straßb. beeder Ehegemächd seel. nachgelaßenen beederseits Erben, Anno 1665.
Zuwißen daß auf heut Zue Endt gemelt datum Zusammen kommen undt persönlich beÿ einander erschienen, der Ehrenvest und Weiße herr Hanß Werner E. E. Großen Rhats Altter und E. E. Vogteÿgerichts nunmalig. beÿsitzer Vor sich selbsten, Ferner Er H. Werner Von Weg. Mstr Hanß Philippß Werners Schuhmachers und burgers alhier seines bruders, So dann als Vogtt Erstlichen Weÿl. frawen Ursulæ Wernerin Meister Hanß Peter Eÿden Schuhmachers alhier haußfraw, undt auch Weÿl. H. M. Johann Georg Werners pfarrers Zue Kolbßheim sein H. Rathh. beed. geliebt. geschwisterd. seel. ehelich nachgelaßenen Kinder, Sie samptlich aber alß Von Fr. Elisabetha Negelinin Weÿl. H. Hanß Meÿers Accis V.walters und burgers alhier geliebt. haußfraw seel. Zur helffte instituirte Erben, Ferner Mstr Hanß Niclauß Weber Schneid. Und burger alhier als Ehevogt Catharinæ Gänßelin Vndt Mstr Hanß Barthel Schmidt Schuhmacher v. burg. Alhier dieße beede Vor sich und in nahmen Susannæ hanß Heinrich dirren deß schwartzbeck. vnd burgers alhier haußfrawen, Alle dreÿ alß Von obgedachter Elisabethæ Negelinin Zur andern helffte instituirte Erben Eines,
So dann Andern theils H Johann Georg Krauß Metzg. V. burg. alhier Vndt fr. Salome, Hanß Klingelmeÿers deß Leinen Webers und burgers alhier hinderbliebene Wittib mit beÿstand H. Martin Michels, Leinenwebers Vnd burgers alhier ihres geschwornen Vogts, dieße beede als mehrgedachten H. Hanß Meyers seel. Erben,
der guten intention meinung undt Vorhabens, Weilen Vorerwehnte Negelinische Erben an auch obgedachtte Meÿerische Erben den drittentheil der inn Crauttennaw inn Newengaßen gelegenen Vnd Von offgedachtem H Meÿern ererbtten behaußung deßgleichen d. dritten theil ane Zweeen Acker Veldt in Wilstetter bann gelegen, d. zur genuege beschehenen liquidation rechtmäsig Erbsweiß Zue prærendiren Vndt in gleich ihren theil der an biß dahero noch außständigen Zinßen Zuerfordern haben sich derentweggen mit einander frid: Vndt freündlich Zue vergleichen und abzurehcnen Wie dann auch gleichbalden in mein nachgemelt hierzu Von beeden theilen requirirt. Notarÿ beÿsein beschehen, in maßen hernacher Volget

Le cordonnier Jean Pierre Eydt épouse en 1629 Ursule, fille du cordonnier Jean Werner
Mariage, cathédrale (luth. p. 270)
1629. Doîca Trin: 31. Maÿ. Hans Peter Eydt der schuhmacher, hans werner Eydts des schusters sohn, vnd J. Ursula hans Werners des schuhmachers tochter, eingesegnet Zinstag 9. Junÿ (i 140)

Fils de Martin Klingelmeyer de Hausen, Jean Klingelmeyer épouse en 1637 Salomé, fille du boucher Sébastien Krauss
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 107)
1637. Dom: XVI et XVII. Hanns Klingelmeÿer d. Leinenweber burger alhie w. Martin Klingelmeÿers burgers vnd vischers Zue Hausen nachgel. Sohn vnd Jungfr. Salome weÿl. Baschen Kraußen deß Metzgers vndt burgers alhie nachgelaßene eheliche Tochter. Cop. Montags d. 2. 8.brs Zue St: W. (i 298)

Le tisserand Michel Kœlsch épouse en 1666 Salomé, veuve de Jean Klingelmeyer.
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 70 n° 23)
1666. Michel Kölsch, Leinen Weber Von d. Bu* B. alhie, undt Fr. Salome wlandt Hans Klingel: Meyers auch Leinen webers v. b. alhie nachge. W. Conf. f. Mont. d. 3. Xbr (i 53)

Le cordonnier André Reinthaler épouse en 1665 Elisabeth, fille de Jean Pierre Eydt
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 63 n° 14)
1665. Festo Pentecostes et Trinit. 14/21 Maÿ. Andres Rheinthaller, Jung. Schumacher, h. andres Gebhart Rheinthallers Schuhmachers vndt B. allhier Ehelich Sohn vnd Jgfr. Elisabeth, Hanß Peter Eydten, auch Schuhmachers vnd B. alhier eheliche Tochter.Cop. Donnest d. 25. Maji (i 49)

Catherine femme du batelier Jean Martin Giesbrecht, Elisabeth, femme du cordonnier André Reinthaler, Marthe, femme du marchand Jean Schuler, le tuteur des enfants en premières noces du tailleur Jean Jacques Stœsser, le tisserand Michel Kœlsch et Marguerite Fischer vendent la maison à Jacques Baldner, assesseur au Grand Sénat, et à sa femme Catherine. En marge, quittance remise en 1675 au batelier Jean Jacques von Zabern qui va accepter la maison dans la succession de son beau-père Jean Jacques Baldner et une autre en 1677 à Catherine, femme du batelier Philippe Rixner.

1674 (10 Jan.), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 15
(Prot. fol. 4. – 337 lb 10 ß d) Erschienen Catharina, hannß Martin Gießbrechts deß Schiffmanns, Elisabetha, Andres Reinthalers deß Schuemachers, Fraw Martha H. Johann Schulers deß handelsmanns Eheweib, Jede mit assistenz Ihres Ehevogts, Ferners Hannß Christoph Funckh der Schneider, alß Vogt Hannß Jacob Stößers auch Schneiders erster Ehe Kinder, Weiters Michael Kölsch der Leinenweber für sich selbsten, So dann hannß Paul Fischer der Zinngießer alß Vogt Margarethæ Fischern seiner eheleiblichen Schwester
haben in gegensein deß Ehrenvest und Weÿsen H. Jacob Baldtners E.E. großen Rhats alten Beÿsitzers und Fr. Catharinæ beÿder Eheleuth mit assistenz H. hannß Georg Häckhlers der Fabric deß Münsters Werckmaÿsters, bekannt daß Sie Catharina, Elisabetha vnd Martha eingangß gemelt Jede mit Consens Ihres Ehevogt, Sie Funckh vnd Fischer ehevögtlicher weiß aber vnd Zwar vff obwohl gedachten Raths am 6.ten hus. Jüngsthien obrigkeitlich ertheilte Decreta alienandi Vnd denn Er Kölsch für sich selbsten (verkaufft)
hauß hoffstatt höfflein, hinderhauß, Schopff vnd Bronnen, mit allen deßen Gebäwen, Begriffen, Zugehördten vnd Gerechtigkeiten, alhier in der Vor Statt Krautenau am Fischer Staden in der newen Gaßen, einseit neben denen Kauffenden Eheleuthen selbsten, anderseit neben weÿl. H. Jonä Hammerers nunmehr seel. nachgelaßene Erben, hinden vff Philipp Rixingern den Holtz Schiffern Zum theil vnd theilß vff hannß Schwartzen den Fischern stoßend gelegen, von welcher Behaußung gehend Jahrs termino Annunc. Mariæ 4 fl. straßb. Wehr. widerlößig mit 100. fl. besagter Wehrung, dem großen gemeinen allmosen zu St. Marx (…) über obgemelte Beschwärd, daran die Kauffende Eheleuthe gewißen worden seind (…) geschehen umb 285. lb
[in margine:] Erschienen hierinn gedachter Kölsch für sich selbsten wie auch hanns Martin Geißbrecht ehevögtlicher Weiße haben in gegensein Hannß Jacob Von Zabern deß Schiffmanns der Kauffenden Eheleuth beÿder nunmehr seel. nachgelaßenen dochtermanns alß welcher die hierinn verkauffte Behaußung in künfftiger Vertheilung dero Verlassenschafft übernehmen werde (quittung) d. 14. Jan. a° 1675.
[in margine f° 17-v] Erschienen hannß Ulrich Mummensohn der Posomentirer alß Vogt Margarethæ Fischerin hierin gedachts hanns Paul Fischers deß Zinngießers Eheweibs und dann hannß Georg Wörner der hauß Knecht q. mit beÿstand herren Johann Rheinhard Maders Vergichtschreibers und Schaffners der Ellenden Herberg seines Anverwanthens haben in gegensein Catharinæ, Philippß Rixners deß herren Schiffmanns Eheweibs, hierinn bemelter Kauffenden Eheleuth nunmehr seel. hinderbliebene dochter mit assistentz erstgedachts ihres Ehevogt vnd herrn Johann Spießen Schaffners deß Stifft S. Stephan (…) quittirten, Act. 15. 7.br aô 1677

Le pêcheur Jacques Baldner épouse en 1626 Salomé, fille du farinier Georges Winckler
Mariage, cathédrale (luth. p. 218)
1626. Dominica 13. Trin: 3. 7.bris. Jacob Baldner der fischer, Carle Baldner des fischers sohn, vnd J. Salome Geörg Winckler der meelmann n. tochter. Münster, eingesegnet Zinstag 12. 7.bris (i 114)
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. p. 154 n° 34) 1626. Dnca 13 & 14, 3 & 10. 7.bris. Jacob Baldner, fischer, Carl Baldners fischers Sohn, J. Salome, görge Wincklers des meelmanns p.m. Tochter. Münster. Aderant sponsi pater, Sponsæ frater Hans Winckler Weißbeck in vnserer pfarr. Copulâo facta im münster Zinstags 19. 7.bris (i 349)

Jacques Baldner se remarie en 1632 avec Marie, veuve du tisserand Nicolas Fischer
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 26 n° 5)
1632. Dnicâ 3. post Epiphanias. Jacob Baldner fischer v. burger alhie, Maria, Niclas Fischers gewesenen Webers v. Burgers alhie Witwe. Aderat niclas wolff *ber viduæ Tutor & affinis. Confirmâo facta Mont. den (im 251)

Originaire de Burgkunstadt en Franconie, le tisserand Nicolas Fischer épouse en 1617 Marie, fille du tisserand Jacques Sauer.
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 57-v n° 10)
1617. Dominica Reminiscere 16. Martÿ. Niclaus Fischer Ein Leinenweber von burg Cunstadt aus Franckenlandt, J. Maria, Jacob Sawer des webers tochter alhie. Eingesegnet Montag 23. Martÿ hora 10 (i 60)

Nicolas Fischer devient bourgeois par sa femme deux semaines après son mariage
1617, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 1011
Niclaus Füscher d. Weber Von Burgconstatt Im franckhenlandt empfahet d. Burgerrecht von Maria Jacob Sauren deß Webers dochter vnd Wüll Zu den Tuchern dienen. Actum den 8 Aprilis Aô 1617

Acte qui relate la succession de Marie Sauer, femme du pêcheur Jacques Baldner, selon son testament du 15 novembre 1635.
1650 (16. Jan.), Chambre des Contrats, vol. 507 f° 65-v
Erschienen H Jacob Baldner der Fischer mit beÿstand H Johann Baldners Cancelleÿ Oeconomi und ehegerichts Actuarÿ seines Vettern, an einem,
So dann Conrad Weber der Leinenweber mit beÿstand hannß Bernhard Helters deß Schneiders am andern theil, haben bekannt freÿ gutwillig offentlich veriähen, Demnach Er H Jacob Baldner vermög deß von ihme und seiner abgelebten haußfrawen Mariæ Saurin, Sonntags den 15. 9.br a° 1635. vffgerichteten und durch H Paulum Seelig den Notarium instrumentirten Codicillß §. darnach und fürs Anders, ihr Fr. Mariæ tertz ahne der theilbahren Nahrung sein leben lang widemsweiß Zu genieß. Er Conrad Weber aber daß Eigenthum von Margaretha Wölffin ihr Fr. Mariæ ietzig und nun auch verstorbener Erbin ererbt, Alß hetten sich beede Parten heut dato in beÿsein H Carl Baldners XV.ners und vorgemeltd H Johann Baldners vff sein H Jacob Baldners seit. So dann H Christoph Scheüblers Not. und H. Niclauß Störtzers Leinenwebers vff sein Conrad Webers seit. dahien mit einander verglich.
daß Er der Widembsnießer vff das Eigenthum deß Zweÿtentheils deß vff deß Widemsnieß. deß trittentheils deß vff der Erbin ohnveränderter in Krautenaw in der newen Gaß gelegener Behaußung in stehend. Ehe angewendeten und im Inventario fol. 103. fac. 2. beschriebenen Baw Costen verzug thun (…)

Le pêcheur Jacques Baldner se remarie avec Catherine, fille du tanneur Sébastien Bratfisch
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 275)
1642. Domin. 9. Trin: 7. Aug. Jacob Baldner Fischer vndt burger alhie, Jungfr. Catharina weÿl. Sebastian Bratfisch Rohtgerbers vndt burgers alhie Nachgelaßene Tochter Eingesegnet Dienstags d. 16. Aug: St: Thoman (i 280)
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. p. 183) 1642. Dominica IX Trinitatis. H. Jacob Baldtner der vischer vndt burger Alhie, vndt Jungfraw Catharina weÿlandt H. Sebastian Bradtfischs deß Rothgerbers vndt beÿsitzers In dem Stattgericht Alhie nachgelaßene eheliche Tochter. Copulirt zue St. Thoman. Dienstags (i 338)

Jacques Baldner est élu échevin à la tribu des Pêcheurs en 1659.
1639, Protocole des Quinze (2 R 63) Hanß Jacob Baldner. 25. [pt° Ablosung]
1659 Conseillers et XXI (1 R 142) H. Jacob Baldtner. 42. (ist Zu Einem Rathh. beÿ E. E. Zunfft d. Fischer erwöhlt word.)

La maison de Jacques Baldner revient à sa fille Catherine

Le batelier Jean Jacques von Zabern épouse en 1670 Catherine, fille de Jean Jacques Baldner
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 86 n° 30) 1670. Dnicis xx. & xxi Trinit. 16/23 Octob. Hans Jacob von Zabern Schiffmann und B. alhie vnd Jgfr. Catharine hans Jacob Baldtners E. Ehrs. groß. Rhats Beÿsitzer, fischers vnd B. alhie, Eheliche Tocht. Cop. Zinst* (ii 64)

Catherine Baldner se remarie en 1677 avec le batelier (transporteur de bois) Philippe Rixner
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 124 n° 23)
1677. Eisdem dominicis [2 et 3 Trinit.] Philipps Rixner der holtz schiffmann vndt Catharina Hannß Jacob von Zabern des Schiffmanns Wittib (i 81)

Fils du batelier du même nom, le garçon batelier Philippe Rixner épouse en premières noces Salomé, fille du batelier Philippe Andresen 1644
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 4)
1644. Domin. 7 & 8 Trinit. Philips Rixner der Schiffknecht, Philipps Rixners des Schiffmanns Sohn, vnd Jungfr. Salome Philips Andreß. des Schiffmanns Tochter. cop. Zinst. d. 13. Aug. h. 10. Wilh. (i 7)

Catherine Baldner, femme de Philippe Rixner, hypothèque la maison au profit des enfants de Jacques Baldner, assesseur au Grand Sénat.

1677 (11. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 589-v
Catharina Baldnerin, Philipp Rixners des herren schiffmanns Eheweib, mit beÿstand ietsgedachts Ihres Ehevogts
in gegensein H Johann Spießen des Schaffners Zu St Stephan alß Vogts Weÿl. Herrn Jacob Baldners gewesenen großen Rhats Verwanthens nunmehr sel: nachgelaßene Kinder – schuldig seÿen 160. lb
unterpfand, hauß, hoffstatt, höfflein, hinderhauß undt Schopff mit allen deren gebäwen undt Zugehördten alhier in der Krautenaw in der Newengaß, einseit neben obgedachten Baldnerischen Kindern, anderseit neben weÿl. Jonæ Hammerers nunmehr seel: nachgelaßenen Erben, hinden uff obgemelten Rixnern Zum theÿl undt theÿls Vff H. Gerhard Von Stöckhen V.J. D et Pand:Profess. publ. stoßend gelegen

Philippe Rixner meurt en 1685 en délaissant ses sœurs pour héritières. L’inventaire décrit les biens de la veuve, dont la maison rue Neuve, et ceux dont Salomé Andres avait donné la jouissance viagère au défunt. La masse propre à la veuve est de 419 livres, celle des héritiers de 506 livres. L’actif de la communauté s’élève à 387 livres et le passif à 472 livres.

1685 (16.8.), Not. Schübler (Christophe, 55 Not 10) n° 8 (475)
Inventarium und Beschreibung aller Haab Nahrung und Güttere, so weÿland der Ehrenhaffte H. Philipp Rixner geweßener holtzschiffmann und burger in Straßb. welcher den 31. Julÿ Instehenden Jahrs tödlichen verblichen hinderlaßen, so auff erfordern und begehren hernachgemelter sowohl von der hinterbliebenen fr. wittib alß den hinderlaßenen von dem abgeleibten seel. instituirte Testaments Erben inventirt durch die viel Ehren: und tugendreiche Fr. Catharinam Rixingin gebohrne Baldnerin, die hinderlaßene Fr. Wittib mit beÿstand deß Ehrenvesten, fürsichtig vndt weißen herrn Leonhardi Baldners E.E. Großen Raths beÿsitzern Ihres geschwornen H. Vogts (…) Actum in fernerer gegenwärtigkeit deß Ehrenhafften H Johann Jacob Hetzels, Schiffmanns, der Fr. Wittib in Erster Ehe Erzeugter Kinder geschwornen Vogts
Der Verstorbene seel. hat per Testamentum Zu seinen Erben verlaßen wie volgt 1. Annam Sÿbillam Rixnerin weÿl. hannß Jacob Schmidt geweßenen Schiffknechts und burgers alhie nachgelaßene Wittib mit beÿstand deß Ehrenhafften vnd bescheidenen Andreæ Molcken Schiffmann und burgers alhie, Ihres geordnet und geschwohrnen Vogts, 2. Saram Rixnerin weÿl. Michael Schaffners geweßenen Schiff Knechts vndt Schirms Verwanthers alhie Zu Straßburg nachgelaßene wittib, mit beÿstand deß Ehrenvesten, fürsichtig undt weißen H. Johann Friderich Spohren, buchführers und E. E. Kleinen Raths dießmahligen beÿsitzers, als Zu dießem geschäfft von gedachtem Rath deputirten herrens, 3. frau Elisabetham Rixnerin Mstr Nicolai Zornen deß fischers und burgers alhie haußfr. mit hülff deßelben, 4. So dann Annam Mariam Rixnerin mit Johann Zollern Constablern allhier, Ehelich erzeugte dochter, welche an den Ehrenhafften Hannß Michael Börsten dießer Zeit Sergeanten in allhießiger König. Guarnison verheurathet, welche auch dem geschäfft beneben seiner haußfr. in person beÿgewohnt,
Alle viere deß in Gott ruhenden seel. hinderlaßener leiblicher Schwestern, auch Schwester seel. dochter, Zu gleichen Rechten, nach Abzug verschaffter Legaten, instituirter Erben.

In einer in der Statt Straßburg am Fischerstaden in der Newen gaß gelegenen, der Fr. Wittib Zuständigen behaußung ist befunden worden wie volgt
Hültzen: und Schreinerwerck. Auff der ohneins obersten bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, Auff dem Obern gang, In der Wohnstuben, Im Conthor, In dieser Stub Cammer, Vor der Wohnstub, Im hindern Stüblein, Auff der haw bühn, Im Keller
(W.) Eigenthumb ane häußern. (W.) Item j. behaußung hoffstatt höfflein, hinder hauß, Schopff, und bronnen, mit allen deren gebäwen und Zugehördten alhie in der Vorstatt Crauttenaw am fischergestaden, in der Newen Gaßen j.s. neben weÿl. H. Jacobi Baldners geweßenen Fischers und E. E. Groß. Raths beÿsitzers seel. nachgelaßenen Erben: 2.seit neben weÿl. H. D. Bernhard von Stöcken & nachgelaßene, fr. Wittib und Erben hinden auff weÿl. deß verstorbenen seel. nachgelaßene Erben stoßend. Dauon gehen Jahrs auff Mariä heimsuchung 4. fl. Straßb. wehrung dem groß. gemeinen Allmoß. Zu St. Marx in Hauptgut widerlösg mit 100 fl. Straßb. wehrung die thun 52. lib. 10 ß, Sonsten allerdings freÿ ledig und eigen auch über solche beschwerdten æstimirt p. 200. lb.d. Über dieße behaußung besagt ein teutscher perg. Kauffbr. m. der Statt Str. Contract Ins. Verwahret, datirt den 10.ten Januarÿ 1674. mit altem N° 4 notirt, und darbeÿ gelaßen. Darbeÿ ferner j. alt. perg. Kauffbr. mit N° 1 signirt auch darbeÿ gelaßen.
(E.) Item hauß, hoffstatt, vnd höfflein an dem fischerstaden (…)
Ergäntzung der fraw Wittib unveränderten Guths. Vermög Inventarÿ über der Fr. Wittib in den Ehestand Zugebrachter Nahrung, durch Christoph Schüblern Notarium in Anno 1677 auffgerichtet
Abzug in dießen Inventarium gehörig. Der Fr. Wittib Nahrung, Sa. Haußraths 138, Sa. Silbergesch. vnd geschmeids 69, Sa. guldener Ring 17, Sa. baarschafft 22, Sa. Pfenningzinß hauptguth 13, Sa. Eigenthum an einer behaußung 200, Sa. der Ergäntzung (325, Abgang 186, Restiret noch zuergäntzen) 139, Summa summarum 601 lb – Passiv Schuldt 182, Nach deren Abzug 419 lb
Der Erben unverändert Vermögen, Sa. haußraths 105, Sa. Silbergeschmeids 11, Sa. guldenen Rings 4, Sa. der behaußung 90, Sa. der Ergäntzung (320, Abgang 4, Rest) 316, Summa summarum 537 lb – Schulden 21, Nach deren Abzug 506 lb
Due Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 36, Sa. Wein und Vaß 10, Sa. Schiff und geschirrs 48, Sa. der baarschafft 288, Sa. der Activ Schuldt 2, Summa summarum 387 lb – Schulden 472, übertreffen umb 85 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 947 lb
Wÿdembs Verfangenschaft so der abgeleibte seeliger von weÿland Salome Andresin seiner ersten haußfrauwe, wÿdembs weiß genoßen
Abschatzung Montags d. 20 Augusti 1685. Weillandt deß Ehrenhafften Vnd beschaid.nen pillips Riegßinger deß herren schiffmans See: hinderlaßene Erben Behaußung an dem Fischer Staden, Ein Seitzs Neben Hanß schwartz dem Fischer: ader seitzes Neben Meister Johanns Kercker dem schreiner, hinden auff die fraw wittib Stoßend Welche fo[r]der vnd hinder behaußung Sampt hoff vnd bronnen Vnd aller dero begriff vnd gerechtig Keit durch die geordnete Werckhmeistere dem Jetzigen preiß vnd Wehrt Nach angeschlagen for vnd vmb Vierhundert Vnd achtzug gulden. Bezeigens der Statt Straßburg geschwohrne Werckhleite, Joseph Lauttenschlager Werckmeister deß frawen Werckhs, Johanne Bezeigens der Statt Straßburg geschworne Werckhleuth, Joseph Lauttenschlager Werckmeister deß frawen Werckhs, Johannes Feÿlotter Werck Meister deß Zimmer hoffs

Acte par lequel les héritiers Rixner (Rixinger) règlent la jouissance viagère qui revient à la veuve (Catherine Baldner)
1685 (20.Xbr), Chambre des Contrats, vol. 555 f° 583
Anna Sibÿlla Schmidin gebohrne Rixingerin, ferner Elisabetha, Claus Zornen eheweib, Mehr Sara Schaffnerin, weiter H. hans Michael Bertsch, alß Ehevogt Annæ Mariæ Bertschin, alle 4. weil. Philipp Rixingers deß Schiffmannn nachgelaßene Erben
in gegensein H. lienhard Baldners E.E. großen Raths beÿsitzers, alß Vogts Catharinæ, obgedachtes Philipp Rixingers nunmehr seel. nachgelaßener Wittib
bekandt, demnach Ihr der Vier Geschwistrigen Eheleiblicher Bruder erstgedacht. Rixinger Ihro Catharinæ, seiner Wittib vermög der in A° 1677. den 27. May durch weil. Johann Jacob Schatzen Notar. sel. aufgerichteten Eheberedung zu einem rückfälligen widem ad dies vitæ Zu genießen vermacht habe 400 fl., alß wolten Sie deroselben deßwegen Caviren mit einem Zweÿten theil einer behaußung, hoff, hoffstatt, sambt allen deren Gebäuen, begriffen, rechten und Gerechtigkeiten allhier am Fischer staden anderseit neben hans Schwartzen dem Fischer anderseit neben weÿl. Phil. Rothmanns auch Fischers nachgelaßenen Erben, gelegen, Welche gantze Behaußung E.E. Zunfft der Blumen umb 100. gold fl. verhafftet
Hierbeÿ ist persönlich erschienen Andres von Zabern der Schiff Zimmermann, mit beÿstand David von Zabern deß Steÿrmanns, hat bekandt, daß Er in dem hauß darvon hievor gemeldt ist, wohne, und darauff gelobt den zinß von obged. 400 fl. alle Jahr so lang er darinn wohnen werde, Ihro der widems Nießerin, mit 16. fl. Zu entrichten.

Catherine Balder et le tuteur de ses enfants en premières noces vendent la maison au boucher Jean Jacques Koch, assisté de son beau-frère barbier Gaspard Mustinger

1689 (22.Xbr), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 630
Catharina, gebohrne Baldnerin, weÿl. Philipp Rixingers gewesenen holtzschiffmanns hind.laßene wittib mit beÿstand /:Hn Johann Wilhelm Reichards deß handelßmanns und E.E. großen Raths alten beÿsitzers alß mündlich befehlhabers:/ Hn Leonhard Baldners ged. E.E. Großen Raths alt. beÿsitzers ihres Vogts /:welcher kranck:/, und hans Jacob Hetzels deß Schiffmanns ihrer Kind. I. Eh. Vogts [unterzeichnet] Catrina ritzinger
in gegensein hans Jacob Kochen deß Metzgers mit beÿstand H Caspar Mustingers deß. Barbierers und Schwagers
hauß, hoffstatt, höfflein, hind.hauß, Schopff und bronnen, mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, Zugehördt, und gerechtigkeit. allhier in d. Vorstatt Krautenau am Fischerstad. in d. Neuen gaß einseit neben einer behaußung, welche heut dato Sie Verkäufferin gekaufft hat und hernach und. heutig. dato beschrieben zu befind. ands. neben weÿl. H. d. Gerhards von Stökken hind.laßenen Erben hinden auff Andreßen Von Zabern d. Schiffbäuer zum theil und theilß hans Schwartzen dem Fischer stoßend gelegen, darvon gehend jahrs 4 fl. Str. wer. ablösig mit 100 fl. besagter wehr. dem großen gemeinen allmosen zu St Marx, So seÿe dieselbe auch um 156 lb Capital weg. ihres auff Ihr der Verkaüfferin von weÿl. hans Jacob von Zabern gewesenen Schiffmann erster Eh erzieltt 2. Kind. ihres darauff angewisen mütterlich Guths verhafftet – umb 100 pfund
[in margine:] erschien Fr. Catharina, gebohrne Baldnerin, weÿl. Philipp Rixingers gewesenen holtzschiffmanns hind.laßene wittib mit beÿstand Hn Johann Wilhelm Reichards E.E. großen Raths alt. beÿsitzers an statt ihres Vogts Hn Leonhard Baldners Exsenator. welcher alters halben nicht mehr außgeh. kan, hierbeÿ aber consentirt, Ferner hans Jacob Hetzel, der Schiffmann, alß Vogt der in vorstehender Kauffverschreibung gemeldt Jfr. Catharinæ mit hans Jacob von Zabern ehelich erzielter 2. Kinder, darvon d. Elteste sohn hans Jacob gestorben, und von ihro d. Mutter geerbt word. (quittung) den 7. Aug. 1693

Fils du boucher Mathias Koch, Jean Jacques Koch épouse en 1673 Sybille, fille du tonnelier Tobie Gundelwein
Mariage, cathédrale (luth. f° 172-v, n° 62)
1673. Dom: XXV. post Trinit: Zum 2. mahl Johann Jacob Koch der Metzger H. Mathiß Kochen des Metzgers u. Burgers alhier ehe. Sohn, Jfr. Sybilla Tobie Gundelweins des Kufers vnd Burgers alhie ehel: T. Donnerstag den 27.ten 9.bris. Münster (i 175)

Jean Jacques Koch et Sybille Gundelwein hypothèquent la maison au profit du barbier Erasme Erasmussen

1690 (30.1.), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 59
Hanß Jacob Koch, der Metzger und Sybilla gebohrne Guldelweinin deßen Eheliche haußfrau und Zwar dieselbe mit beÿstand H. Tobiä Gundelwein deß Kieffers und hanß Jacob Jäuchen deß Wagners Ihres respec. Leibl. Vatters und Schwagers [unterzeichnet] Hanß Jacob Koch, Sibilla Kochin, Tobias Gundel Wein, der Elder, Johann Jacob Jeug.
in gegensein H. Eraßmus Eraßmußen deß barbierers – schuldig seÿen 300 gute Reichs Gulden wie solche nach jüngster Deualuation zu 9 ß 3 s gewürdiget worden [unterzeichnet] Erasmus Erasmussen
unterpfand, Eine behaußung, hoff, hoffstatt mit allen deren Gabäuen und zugehördten allhier in der Newen Gaß am Fischerstaden, Einseit neben Catharina Rixingerin wittib, anderseit neben Daniel Hammerer dem büttel Zur Möhrin hinden uff H. Johann Balthasar Krauten XV. uxorio nomine stoßend gelegen, von welcher behaußung gehen Jahrs 2 lb 2 ß Zinnß dem Allmoßen St. Marx

Jean Jacques Koch hypothèque la maison au profit des enfants de l’orfèvre Jacques Senckeissen

1690 (6.6.), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 300-v
hans Jacob Koch der Metzger
in gegensein Hn Philipp Jacob Erhards Schaffners zu St Margarethæ und Agnesen alß Vogts weil. Johann Senckeisens gewesenen Goldarbeiters nachgelaßene Kinder I. Eh – schuldig seÿe 75 pfund
unterpfand, haus hoffstatt höfflein hind.hauß Schopff und bronnen mit allen übrig. deren gebaüen recht und zugehördten allhier in der vorstatt Krautenau in der Neuen gaß am Fischer staden, einseit neben Catharina Rigerin Wittib, anderseit neben weil. H. d. Gerhards von Stökken sel. Erben, hind. auff Andreßen von Zabern dem Schiffbaüer Zum theil und theilß hanß Schwartzen dem Fischer stoßend gelegen, darvon gehend jahrs vier guld. Straßb. wehr. albösig mit 100 fl. besagter wehrung dem großen gemeinen allmosen zu St. Marx
deßen Zu mehrer Versicherung Ist hierbeÿ persönlich erschienen Tobias Gundelwein der ältere Kieffer deß debitoris Schwehervatter der hat sich für obiges Capital verbürgt

Gaspard Mustinger (tuteur des enfants Koch) loue la maison au boucher Frédéric Koch

1693 (30.7.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 546
H. Caspar Mustinger, der Barbierer und wundartzt
Friderich Kochen, deß Metzgers, mit beÿstand H. Daniel Rueßen, deß Schiffmanns und E.E. großen Raths beÿsitzers seines Schwehers
entlehnt, Hauß, hoff, Stallung mit allen den Gebaüen, und Zugehördt, allhier am Fischer Stad. in d. Neuen gaß, einseit neben Catharina Rixingerin witt. and. seit neb. der Stöckisch. behaußung geleg. auff Vier jahr lang, von Michaelis dieß jahrs anzufang. umb einen jährlich. Zinß nemblich 22 pfund

Partage des biens du boucher Jean Jacques Koch entre ses quatre enfants et héritiers
1697, Not. Lang (Jean Henri, classé sous 25 Not 116) N° 21
Abtheilung über Weÿl. Hannß Jacob Kochen deß Metzgers seel. Vier Kind.Vatter: Mütter: vnd Groß Vätterliche Nahrungen, Auffgerichtet Anno 1697.
Erschienen Hannß Jacob: vnd Mathis die Kochen beede Gebrüdere, Als welchen Obiger Metzigbanck Sub. Lit. C. et D. Zugefallen (…) Actum Straßb. den 23. Junÿ A° 1714.

Compte que rend Gaspard Mustinger aux quatre enfants de Jean Jacques Koch et de Sybille Gundelwein
1699, Not. Rohr (Daniel, 46 Not 5) n° 217
Rechnung Mein Joh: Caspar Mustingers barbierer undt Wundartzten auch burgers allhier u Straßburg als geordnet und annoch ohnentledigten Vogts hannß Jacobs, Mathiæ, Margarethæ und Friderich aller vier Geschwistrigen, weÿl. des Ehren und vorgeachten herrn hannß Jacob Kochen geweßenen Metzgers v. burgers alhier mit auch weÿl. der Ehren und tugendsamen frawen Sibilla gebohrner Gundelweinin deßen haußfrauen seel. ehelich. erzeigt: und hinderlaßener Kinder, Inhaltend alles dasjenige so ich seith den 6. Junÿ 1696 als dem beschluß meiner vorgergehenden Ersten Rechnung biß den 4. 7.bris Anno 1699. dießer Curanden halten ferner Eingenommen dahingegen aber auch wider vor dieselbe außgegeben und sonsten Vögtlicher weiße Verrichtet habe. Zweÿte und zugleich Letzte Rechnung dißer Vogteÿ

Les enfants de Jean Jacques Koch vendent la maison au boucher Frédéric Koch et à sa femme Anne Marguerite Ruess

1698 (2.1.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 1
Anna Margaretha geb. Kochin, Daniels Von Zabern, Daniels Sohns, des schiffknechts Haußfrau mit beÿstand deßelben wie auch H. Johann Caspar Mustinger deß Barbierers und Wundartzts ihres annoch ohnentschlagenen Vogts, So dann Er H. Mustinger auch alß Vogt Friderich Kochen, deß ledigen Silberarbeiters
in gegensein Friderich Kochen deß Metzgers und Annæ Margarethæ geb. Rueßin
hauß, hoffstatt, höfflein, hinderhaus, Schopff und bronnen, mit allen deren Gebaüen, begriffen, Zugehördt. Und gerechtigkeiten, allhier in der Vorstatt Krautenau am Fischerstaden in der Neun Gaß einseit neben Catharina Rixingerin geb. Baldnerin wittib anderseit neben weÿl. H. Gerards von Stökken, J.U. Doctor et Profess. sel. Erben hinden auff Andreßen von Zabern gewes. Schiffbaüers sel. Wittib Und Erben, theilß auff hans Schwartzen dem Fischer stoßend gelegen, darvon gehend jahrs vier gulden Straßb. wehr. ablösig mit 100 gulden dem großen gemeinen Allmosen zu St Marx, geschehen umb 450 pfund

Fils de l’assesseur au Petit Sénat Mathias Koch, Frédéric Koch épouse en 1683 Anne Marguerite, fille du batelier Daniel Ruess : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire dressé en 1710, célébration
Eheberedung – entzwüschen dem Ehrengeachten Friderich Kochen, Ledigen Metzgern und Burgern in Straßburg, deß Ehrenvest weiß und vorgeachten herrn Matthÿß Kochen, Metzgers und E. E. Kleinen Raths alhie alten Beÿsitzers ehelichem sohn, alß dem Bräuttigamb an einem, So dann der Ehren und Tugendreichen Jungfrauen Anna Margaretha deß Wohl Ehrenvest fürnehm und Weißen Herrn Daniel Rueßen deß ältern vornehmen Schiffmanns und E. E. Großen Raths Jetzmahligen wohlverordneten beÿsitzers mit weÿl. der viel Ehren und Tugendreichen Frawen Margaretha Dexin nunmehr seel. in erster Ehe erzeügter dochter alß der Jungfrau hochzeiterin, am andrern Theÿl – Geschehen und verhandelt in der königlichen freÿen Statt Straßburg Montags den 31. Maÿ Anno 1683 [unterzeichnet] Ich Friderich Koch Als hoch Zeider bekenn wie obsteht, Daniel Ruß der Elter Alß der Hochtzern Vatter, Stephan Corelius Saltzmann Nots. publ. et Academ. ad hoc requisitus

Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 162 n° 13)
1683. Festo Trinit. et Dom 1. Trinit. Friderich Koch der led. Metzger H Matthiß Kochen EE Ehrs. kl. Raths alhier Beÿsitzers vndt J. Anna Margaretha Hn Daniel Rußen, Schiffmanns v. Burgers auch E. Ehrs.Großen Ratths Beÿsitzers alhie ehel. Tochter – W. (i 101 – proclamation. Temple-Neuf f° 112-v)

Frédéric Koch et Marguerite Ruess hypothèquent la maison au profit de Jean Frédéric Œsinger, rapporteur au Petit Sénat

1710 (16.1.), Chambre des Contrats, vol. 583 f° 34-v
Friedrich Koch metzger und Marg: geb. Rueßin beÿständlich Lorentz Weiß seÿlers und Abraham Bilger Kiefers
in gegensein H Joh: Friedrich Ößingers U.J.Ddi u. Referenten beÿ E.E. Kl. Raths – schuldig seÿen 200 lb
unterpfand, ihre behaußung c. appert: in der neuengass, einseit neben Philipp Riebel anderseit neben (-) hinten auf die überzwerche Gass

Frédéric Koch et Marguerite Ruess hypothèquent la maison au profit du juif Baruch Weil

1710 (8.7.), Chambre des Contrats, vol. 583 f° 436
Friedrich Koch metzger und Marg: geb. Rußin beÿständlich Lorentz weiß seÿlers u. Friedrich Koch metzgers
in gegensein Baruch weil deß juden – schuldig seÿen 150 pfund (BRWG WWYYL)
unterpfand, ihr hauß c. appert: allhier in der neuengass, einseit neben Philipp Riebel anderseit ist ein eck hinten auf den Steckischen hoff

Anne Marguerite Ruess fait dresser un état de sa fortune et de celle de son mari absent. L’inventaire est dressé dans la maison rue Neuve des Pêcheurs que les experts estiment à la somme de 1 100 livres. La masse propre à la femme est de 1 384 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 1 412 livres, le passif à 2 378 livres.

1710 (23.7.br), Not. Baer (Christophe Evrard, 2 Not 4) n° 292 (numéro XIX° s.)
Inventarium über Johann Friderich Kochen deß abweßenden Metzgers und frauen Annä Catharinä Kochin gebohrner Rueßin beeder Eheleuthe vndt burgere allhier annoch vorhandener vnd eigenthumbl. zuständiger Nahrung, auffgerichtet undt verfertiget In Anno 1710. (…) auf begehren der frawen mit beÿstandt ihres geordnet und geschworenen Vogts herrn Rathh. Anton Reicharts auch burger alhier – Actum in der Königl. Statt Straßburg auff Dienstags den 23: Septembris Anno 1710.

Inn Einer alhier Inn der Statt Straßburg am fischer Staden gelegenen undt denen Eingangs bemeldten beeden Eheleuten Eigenthümlich zuständigen behaußung sich befunden
Ahne Hüttzen Werck. Inn der Obern Cammer mit Lit. A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Soldaten Cammer mit Lit. D, Inn dem obern haußöhren, Auff dem Gang, In dem Mittleren Haußöhren, In wer Wohnstub Cammer, Inn der obern Wohnstub, In dem Contor, Inn der Kuchen
Eigenthumb ahne Behaußung so Theilbar. Item hauß, hoff, hoffstatt, vnd bronnen, samt aller deren rechten vnd Gerechtigkeiten, weiten vnndt Zugehörden allhier in Straßburg ane dem fischer Staden, Inn der Neuen gaßen, einseith neben H. Philipp Rübeln dem Schiffbäuer, vnd burger alhier, anderseit ein Eck auff gemeiner Statt Allmandt, hinden auff Zum theil den sogenand. Steckischen hoff Zum theil auff Andreas Wurthen den Schiffmann vnd burger alhier stoßend gelegen.
Welche behausung Erstlichen dem Stifft St. Marx allhier umb 50 lb d Straßburg wehrung Cap. verhafftet vnd jährlich auff (-) mit 2. lb 2 ß verzinßlich, Item der Ottonianischen Stifftung vmb 375. lb. Capital, so jährlich weÿhenachten mit 15. lb s verzinßet wirdt, Item S: T: Herr, Dd. (-) ößingern wohlbestellten herrn Referendario beÿ E. E. Kleinen rath vndt burgern alhier umb 200 lb Cap: welche jährlich auff (-) mit 10 lb d. verzinßlich, Ferner Baruch dem Juden anjetzo alhier wohnhaft umb 150. lb. Cap: verpfändet, so jährlich auf Johannis Bapt: mit 7. lb 10 ß d verzinßlich (NB dieße Innstehende Cap: seind passive einzutragen vndt im mundo außzulaßen alhier dahero die völlige Anschlags summa hiehero in außwurff gebracht)
vnndt ist solche behaußung über die hiernächst benandte beschwehrten hiehero durch der Statt geschwohrne Werckmeistere nach besichtigung æstimirt vnndt angeschlagen worden pro 1100. Über solche behaußung sagt ein alter teutscher Pergament. Kauffbrieff so mit der Statt Straßbg anhangendem Contract Innsiegel verwahrt datirt den 20. Xbris 1686. alhier mit N° 1: sig: und dabeÿ gelaßen.
Ergäntzung der Frawen ohnveränderten Guths, auß dem über der Frawen Inn dieße Ehe Zu Ihren Ehemann alß ohnverändert Zugebrachten Nahrung durch herrn Stephan Cornelium Saltzmann Notm: in aô 1683. auffgerichten vndt verfertigten Inventario
Norma huius Inv: der Fr. ihr ohnv: eigth. Verm. Sa. haußraths 123, Sa. Silber gesch: v: gesch: 33, Sa. Activ 75,Sa. Erg. reste 1150, Summa summarum 1384 lb
Auff solches wird nun auch des Ehemanns ohnv. u. theilb. guth beschrieb. Sa. haußraths 185, Sa. Schiff und geschirr wie auch Fuhr: und reitzeugs 16,Sa. viehs 41, Sa. hews 3, Sa. Silb. 5, Sa. gl. ring 9, Sa. Eigth. ane einer beh. 1100, Sa. Actiuor. 33, Summa summarum 1412 lb – Schulden 2378 lb, übertreffen die T. activ Nahr. umb 966 lb
Abschatzung den 23. Septembris 1710. Auff begehren der Tugendsame, Frawen Margaretha Kochin, Metzgerin ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in der Neuen gaßen gelegen einseith neben Philipp Reibel dem Schiffbeÿer ander seith neben N: N: Balthaßar hinden auff den Steckischen hoff stoßend. Welche behaußung Neben gebaw, Bauch Kuch, Stallung, gebälckten Keller, hoff, hoffstatt und brunnen sambt aller recht und Gerechtigkeiten durch der Statt Straßburg geschwohrene Werckhleuthe Jetzigem Preiß nach angeschlagen wird. Vor und umb Zweÿtaußend und Zweÿhundert Gulden. Bezeuchnüs der Statt Straßburg geschwohrne Werckhmeistern, [unterzeichnet] Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Johann Jacob Osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs.
Eheberedung (…) Geschehen und verhandelt in der königlichen freÿen Statt Straßburg Montags den 31. Maÿ Anno 1683

Frédéric Koch meurt en 1726 en délaissant six enfants ou leurs représentants. La succession est déficitaire.
1726 (9.9.), Not. Rith (6 E 41, 945)
Inventarium über Weÿland Friderich Kochen gewesten burgers undt Metzgers allhier nunmehro seel. Verlaßenschafft auffgerichtet jn Anno 1726.
Invent. undt Beschreibung aller der Jenigen Haab nahrung und gütter, so weÿl. Friderich Koch der burger undt metzger allhier nach seinem Vor ungeuor 5. wochen genommenem tödlichem hintritt hier Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern undt begehren des Verstorbenen seel. mit hernach gemelter Hinterbliebener Wittib ehelich erzeigter Kindter undt übriger ab intestato nachgelaßener erben, alle dießem tituli Inventarÿ nach beneben dero ehren undt geschwohrenen Vögten ordentlich benambßer, fleißig inventirt undt ersucht, durch fraw Anna Margareth gebohrene Rueßin die hinterbliebene witin beÿständiglich Lorentz Weiß des seillers ihres geordnet undt geschwornen Vogts (…) So beschehen Straßburg d. 9.ten Septembris 1726.
Der Verstorbenen seel. hat ab intestato Zu erben Verlaßen wie volget 1° Mariam Susannam Daniel Kernen des schiffmanns ehefrauw, 2. Friderich Koch den burger und metzger, 3. Johann Daniel Koch auch burger undt metzger, 4. Philipp Jacob Koch Auch burger undt metzger, 5. Margaretham so Verstorben undt auch weÿl. Abraham Bilgers geweßen Kieffers ehefrau geweßenen, welche zu erben Verlaßen Mariam Margaretham, Mariam Barbaram undt Abraham, deren Vogt ist H Daniel Christ der burger vnd Kieffer, 6. Mariam Barbaram seel. Andres Bracken des burgers und außgetrettenen Kremppen ehefrau Welche Zu erben Verlaßen und in ihrer ehe erziehlt Mariam Barbaram, Philipps Jacob so dann außer ehe Johannes, dero Vogt ist Andres Carle der burger undt schuemacher Welche samt. dem geschäfft Von anfang biß Zu endt beÿgewohnet, die gesambte Erben haben sich der erbschafft völlig entschlagen und solche andterer gestalt nicht als Cum beneficio Inventarÿ
Bericht ahne statt der Eheberedung. In Crafft Vorhandener durch Hn Notarium Saltzmann seel. d. 31. Maÿ 1683. auffgerichteter ehepacten hat sie die witib auffgerichter ehepachten hat sie die witib ihre illata sich Zwar reservirt (…) weilen sie sich aber in allen hiernach folgenden Capital schuld. mit ihrem ehemann Verbürget, das theilbar auch samt ihrem ohnveränderten wann solches auch schon aufs höchste getrieben würde, zu abtilgung ermelter capit. nicht sufficient und mithien sothane morg.gab ahne sich gefallen, alß hat mann allein solch. bericht erstattet
Schulden 206 lb, Compensando übertreffen solche sie sogenannte theilbare nahrung umb 173 lb 10 ß 4

Les préposés de la Taille exemptent les héritiers d’Anne Marguerite, veuve de Frédéric Koch l’aîné, de faire dresser un inventaire. La défunte jouissait de l’aumône Saint-Marc.
1730, Livres de la Taille (VII 1176), f° 338
weÿl. Frauen Annæ Margarethæ auch weÿl. Friderich Kochen Sen. geweßenen Metzgers hinderlaßener Wittib Zween Söhne Friedrich und Philipp Jacob Koch bitten umb erlaßung der Inventur. Erkannt Weilen die Verstorbene Frau das Wochentliche Allmußen beÿ St. Marx genoßen aus armuth willfahrt.

Frédéric Koch et Marguerite Ruess vendent la maison au maraîcher Georges Charles Stecher et à sa femme Marie Ursule Kamm moyennant 930 livres

1711 (27.1.), Chambre des Contrats, vol. 584 f° 48
(930) Friedrich Koch der Metzger und Margaretha geb. Rueßin mit beÿstand H. anthoni Reichards E.E. gr Raths alten beÿsitzers Ihres Curatoris
in gegensein Georg Carl Steichers gartenmanns und Mariæ Ursulæ geb. Kammin mit beÿstand Johann Friedrich Kammen Metzgers ihress respe. leibichen Vatters und Schwehers
hauß hoffstatt höfflein hinterhauß Schopff und bronnen mit allen übrigen Gebäuen, begriffen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten in der Vorstatt Crautenau ahm Fischerstad. in der Neüen gaß, einseit neben Philipp Riebel jun: Schiffbäuren anderseit neben Balthasar Rosslauf hinten auf andres Wurthen des Holtz Schiffmanns Wittib und Erben – um 100, fl. 375 lb 200 und 150 lb beladen, beschehen umb 152 pfund

Fils de l’horticulteur et assesseur au Grand Sénat Jean Georges Stecher, Georges Charles Stecher épouse en 1706 Marie Ursule, fille du boucher Jean Frédéric Kamm : contrat de mariage, célébration
1706 (7.1.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 51) n° 222
Verglichene Heuraths Puncten Zwischen Herrn Johann Carl Stechern Ledigem Garttenman, deß Ehrenvest, fürsichtig vnd Wohlweißen Herrn Johann Georg Stechers E. E. Großen Raths beÿsitzers Ehelichem Sohn Als hochzeitern an einem, So dann
der Ehrn: und Tugendsamen Jungfrawen Mariæ Ursulæ Kammin, herrn Johann Friderich Kammen, Metzgers vnd burgers alhier Ehelicher dochter, als der hochzeiterin, am andern theil
Actum den 7. Januarÿ Anno 1706. [unterzeichnet] Johannes Carl Stecher alß hochzeiter, Maria Ursul Kammin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 96 n° 1)
Mittwochs den 27. Jenner 1706. seind nach zweÿmahliger Außruffung in der Pfarrkirchen Zu S. Niclaus in Straßb. copulirt und eingesegnet worden Georg Carl Stecher, der ledige gartenman und burger alhier H Johann Georg Stechers, deß blumengärtners und E E gr. Raths alhie Beÿsitzers ehelicher Sohn, und Jfr. Maria Ursula Kammin H Joh: Friderich Kammen, deß Metzgers vnd burgers alhier ehel. tochter [unterzeichnet] Georg Carl Stecher als hoch Zeitter, Maria Ursula Kammin alß hoch Zeitterin (i 100)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports rue des Veaux dans une maison qui appartient au père du mari. Ceux du mari s’élèvent à 246 livres, ceux de la femme à 447 livres.
1706 (8.5.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 27) n° 9
Inventarium und Beschreibung aller derJenig. Haab und Güttere, so H. Georg Carl Stecher der Gartenmann vnd die Ehrn: vnd Tugendsame Fr. Maria Ursula Stecherin, gebohrne Kammin beede Eheleuth und burgere Alhier zu Straßburg einander für unverändert in den Ehestand Zugebracht, Welche Nahrungen der Ursach halben, damit man sich auff ein oder deß Andern beschehenen todtfall wegen der in Auffgerichten und beÿ mir Notario den 7. Jan. dießes fortlauffend. Jahrs verfasten Ehepactis Verglichenen Ergäntzung, darnach Zu reguliren haben möchte (…) Actum im fernerer præsenz deß Ehrenvest, fürsichtig vnd wohlweiß. herrn Johann Georg Stechers E. E. Großen Raths Beÿsitzers deß Ehemanns Geliebten Herrn Vatters, und Herrn Friderich Kecken, Zinngießers seines vettern So dann auff der Frawen seithen Herrn Friderich Kammen, Metzgers, Ihres geliebten Vattern, Sambstags den 8.ten Maÿ Anno 1706.
In einer alhier Zu Straßburg ane der Kalbsgaß Gelegener, deß Ehemanns Herrn Vattern Gehöriger Behaußung befunden worden wie volgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Deß Mans Nahr. betr. Haußrath 111, Frucht, häw und Stroh 49, Schiff und geschirr 61, Silbergeschmeidt 13, baarschafft 10, Summa summarum 246 lb
Der Frau unverändert Gutt, Kleÿd und weiß Gezeüg 72, silbergeschmeid 6, Guldene Ring 17, baarschafft 133, Schuld in die Nahr. 217, Summa summarum 447 lb
Haussteuren 75 lb, Daran seind dem Mann Zween dritte theil Gebürtig, thun 50, Vnd der Frawen für den übrigen einen dritten theil 25 lb

Les nouveaux mariés font des dispositions testamentaires.
1706, Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 55) n° 356
Codicill – persönlich erschienen H. Georg Carl Stecher der Gartenmann und mit Ihme die Ehren und tugendsame Frau Maria Ursula Stecherin Gebohrene Kammin, beede Eheleuth vnd burgere alhier Zu Straßburg Gesunden, Gehend und stehender Leiber, Auch Guten richtigen verstandts vnd Sinnen
Beschehen seind dieße ding in der Königl. Statt Straßburg vnd einer daselbst ane der Kalbs Gaß Gelegener, Herrn Johann Georg Stechern, E. E. Großen Raths beÿsitzern eigenthümlich zuständigen behaußung von alters her der Schwartzacher hoff Genanndt, oben im Contor neben der Wohnstub mit den fenstern theils in den Gartten vnd theils auff das waßer Außsehend, Auff Freÿtag den 3.ten tag deß Monats Decembris, Nachmittag zwischen Zweÿ und dreÿ Uhren, in dem Jahr als mann nach der Geburth Jesu Christi Zahlte 1706.

Georges Charles Stecher meurt en novembre 1715 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison à 1 000 livres. La masse propre à la veuve est de 216 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 1 021 livres, le passif 540 livres.

1715 (7.2.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 20) n° 522
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und güthere, liegender und fahrender, Verändert und Unveränderter, Keinerleÿ davon außgenommen, So Weÿl. der Ehrenhafft und Achtbahre Hr Georg Carl Stecher der geweßene Gartenmann undt burger allhier Zu Straßburg, nach seinem am 8.ten 9.bris der ohnlängst Zurückgelegten 1714.ten Jahrs todlichen Hienscheiden, Hie Zeitlichen Verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Wohl Ehrenhafften und Wohl Vorachtbahren Herrn Friderich Kecken, Zinngießers undt burgers allhier Zu Straßburg als geordnet und geschworenen Tutoris Susannä Mariä, Johann Georgen vnd Mariä Magdalenä der Stechere, des Verstorbenen seel. mit Hernach gemelter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugter dreÿ Kinder vndt ab intestato hinderlaßener nächster Erben inventirt und ersucht, durch die Ehren undt tugendbegabte Fraw Mariam Ursulam gebohren Kammin, die diß Orths Wittib (…) Actum in der Königlichen Statt Straßburg Donnerstag den 7.ten Februarÿ, Anno 1715.
Bericht daß die Wittib von dem Theilbaren Guth abgestanden ist (…)

In Einer in der Statt Straßburg ahne der Neuen gaß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden Wie folget
Holtz und Schreinwerck. Auff der Bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Soldaten Cammer, Vor dießer Cammer, In der Wohnstub, Im Contor, In der Stub Cammer, In der Scheur, In der officiers Stub, Auff dem Gang
Eigenthumb ahne E. Behaußungen.
Hauß, Hoff, Hoffstatt vnd bronnen mit allen übrigen deßen begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Statt Straßburg ahne der Newen gaßen am fischerstaden, eins. neb. Philippß Rübel dem Schiffbäwer, anders. neben Balthasar Fincken hind. auff den sogenannten Steckischen hoff stoßend, davon gehen Jährlichen auff Weÿhenachten der Ottonianischen Stifftung allhier 15. lb à 4 p. Ct° ist in hauptgut abzulößen mit 375. lb. Item 2. lb 2 ß Straßb. Wehrungs Zinnß gibt mann Jährlichen auff Annun: Mar: dem Stifft St. Marx allhier, so in hauptgut in gedachter Wehrung widerloßig mit 52 lb 2 ß. Summa der Vorher specificirten beschwehrden ist 427 lb 2 ß. Sonsten freÿ ledig und eigen und über solche beschwehrden durch der Statt Straßburg geschwohrne Werckmeistere Vermög ihrer Zu dem Concept gelüfferten schrifftlichen Abschatzung sub dato 28.ten Jan. 1715. annoch æstimirt per 322. lb 18 ß. Darüber meldet ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff in allhieß. C. C. Stub gefert. und mit dero anh. Innsiegel verwahrt, datirt den 27.t Jan: A° 1711.
Item einn Garten Hauß, stallung und schopff Vor dem Fischer Thor (…)
Eÿgenthumb ahne Einem Garten. Ein garten so ohngefehr 4. acker groß außerhalb der Statt Straßb. geleg. Vor dem Fischer Thor(…)
Ergäntzung der Wittib abgegangenen Unveränderten Guths. Crafft Inventarÿ über der hinterbliebenen Wittib Zu dem verstorbenen seel: in den Ehestand Zugebrachten Nahrung durch herrn Johann Heinrich Langen Seniorem Notarium publicum und burgern Zu Straßburg
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unverändertes Vermögen, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 4, Sa. Goldener Ring 3, Sa. baarschafft 2, Sa. der Schuld 50, Sa. der Ergäntzung 156, Summa summarum 216 lb
Der Erben unverändert und theilbahre guth, Sa. haußraths 164, Sa. Pferdt und Strohs, auch Schiff und geschirrs Zum Ackerbaw gehörig 50, Sa. blumen in dem garten und auf dem feld 64, Sa. Frucht und Meels 63, Sa. Lährer faß vndt bütten 2, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 65, Sa. Goldener Ring 6, Sa. der Baarschafft 1, Sa. Eÿgenthumbs ahne behaußung. undt garten 572, Sa. der Schulden 29, Summa summarum 1021 lb – Schulden 540, Compensando 481 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 697 lb
Abschatzung den 16. Januarÿ 1715. Weÿland deß Erenhafften vnd bescheitten H. görg Carol Stechert gartner Seeligen hinder laßene Frau Witib vnd Erben, ist Eine behaußung alhier in der Statt Straßburg, in der Neÿen gaßen gelegen Ein Seitz Neben Philippus Rübel schiffbeÿer, hinden auff das H Stöckhen hoff Stoßend, Welche behaußung hoff, hoffstatt hinder gebeÿ Neben Gang, Stallung Ein gebelckhter Keller, Hoff vnd brunnen, Sampt aller ihrer Recht vnd gerechtigkeit, wie solches durch der Statt Straßburg geschworene, werckhleüthe, sich in der besichtigung befunden vnd dem Jetzigen preiß Nach angeschlagen, Wirt Vor und vmb Einn Tausendt Gulten
Der Ander begriff (…)
Bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschwohrnen werckh leüthe, Jacob Staudacher werckh Meister des Maur hofs. Jacob schuller Werck Meister des Zimmer hoff, Michel Ehrlacher Werck Meister deß Minsters

La veuve de Georges Charles Stecher se remarie avec le maraîcher Jean Simon Martin

Fils du cordonnier Georges Martin de Sindolsheim, Jean Simon Martin épouse en 1709 Marie, fille du jardinier Abraham Rinck.
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 62-v, n° 8)
1709. Mittw. d. 27. Febr: Seind zu St. Aurelien nach zweÿmalig. außruffung in d. h. Ehestand eingesegnet worden Johann Simon Martin der Ledige Gartenmann und burg. allhier, gebürtig von Sindelsheim Ritterständisch. Herrschafft, Georg Martin Schuhmachers u. burg.s in gedachtem Sindelsheim Ehl. Sohn: u. Jungfr. Maria Abraham Rincken deß burg.s u. Garttners allhier ehl. Tochter. davon bezeugen [unterzeichnet] Johan simon Martin hoch Zeiter, Maria Rinckin als hoch Zeiderin (i 64)

Jean Simon Martin devient bourgeois par sa femme un mois après son mariage
1709, 4° Livre de bourgeoisie p. 774
Joh: Simon Martin der gartenmann Von Sundolßheim, Georg Martin des schuemachers daselbst sohn, empfangt das burgerrecht Von seiner Fr: Maria Rinckin p. 2. Gold fl. 16. ß. Wird beÿ der gartneren dienen. J. d. 20. Ejusd. [Martÿ] 1709

Marie Rinck meurt en 1714 en délaissant un fils. L’inventaire est dressé quai Sainte-Madeleine (actuellement place des Orphelins) dans une maison qui appartient à Cyriaque Rummel. La masse propre au veuf est de 1 livre, celle propre aux héritiers de 62 livres. L’actif de la communauté s’élève à 356 livres, le passif à 50 livres
1714 (13.Xbris), Not. Mader (6 E 41, 669) n° 142
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung undt Güettere, Liegend. und Vahrender, Verändert und Unveränderter, so Weÿl. Fraw Maria Martinin gebohrne Rinckin, deß Ehrengeachten Johann Simon Martin deß Gartenmanns und burgers allhier geweßene Ehefraw nunmehr seel. nach Ihrem den 29. Julÿ des Zuend lauffenden 1714. Jahrs beschehenen tödtlichem ableiben Zeitlichen Verlaßen, Welche Verlaßenschafft dann auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehrengeachten Herrn Davidt Rincken Gartners Unterwagnern und Burgers allhier, alß Geordnet und geschworenen Vogts Johann Jacobs der Verstorbenen frawen seel. mit eingangs gemelten Ihrem Ehemann erzeugten Söhnleins, Inventirt (…) So Geschehen in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg auff Donnerstag den 13. Xbris Anno 1714.
In Einer in der Statt Straßburg ane dem Rauten Gängel gegen dem waÿßenhauß über gelegener in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung befunden worden wie Volgt
Ane Höltzen: und Schreinwerck. In der Wohnstub, In der Stub Cammer, In der Kuchen, In der Cammer B, Im Keller
Schulden auß dem Erbe Zugeltend. Item H. Jacob Martin dem Weinstichern und burgern allhier, solle mann Gartenzinß
Item H. Cÿriax Rummel dem Metzger für verfallenen Hauß Zinß
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. deß Wittibers unveränderten Guths so allein im haußrath bestehet 1 lb
Der Erben unverändert Guth, Sa. Haußraths 22, Sa. Goldener Ring 2, Sa. Schulden 37, Summa summarum 62 lb
Das Verändert undt Theilbare Guth, Sa. haußraths 26, Sa. Blumen auf dem Veldt 34, Sa. der Baarschafft 144, Sa. pfenningzinß hauptguth 150, Summa summarum 356 lb – Schulden 50, Nach deren Abzug 295 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 331 lb

Les Quinze statuent sur les impôts payés par Jean Simon Martin, calculés sur une base de moitié insuffisante. Ils confirment les arriérés à payer et lui infligent une amende sans s’arrêter à ses justifications.
1715, Protocole des Quinze (2 R 119)
(f° 148) Sambstag den 13.ten Aprilis – Johann Simon Martin pt° Zu Weniger Verstallung
Iidem [Ober Stallherren] per me laßen referiren, daß gedachter H. Stallschreiber gegenwärtigen unterth. bericht über Weÿland Fr. Mariæ gebohrner Rinckin, Johann Simon Martins des gartenmanns und burgers allhier Ehel. haußfrauen nach tott Verlaßenes Vermögen Zum protocoll gelüffert, besag daß durch H. Not. Mader auffgerichteten Verlaßenschafft Invent. thut die Beschluß summa fol. 36. 331. lb 5 ß 8 d. die machen 600 fl. derselbe verstalte hingegen allein 300 fl. allso 300 fl. Zu wenig. Warvon der nachtrag alß Von errungenem guth, gerechnet wird, auff 6. jahr in duplo, macht à 18 ß 5 lb 8 ß. und auff 4. jahr in simplo à 9 ß trifft 1 lb. 16 ß d. Extat das Stallgeldt pro 1714 2 lb 11 ß.d gebott 1 ß 4 d. abhandtlung 10 ß 6 d. Sa. 10 lb 7 ß 10 d. es habe Zwar der wittiber den 28.ten July A° 1714. sich 500 fl laßen zuschreiben, auch die gebühr davon anbeÿ erlegt, weilen aber die frau den tag darauff nemmlich den 29.ten dito Verstorben, alß habe man auff seithen der H. dreÿ keine reflection auff solchen Zugang gemacht, sondern den nachtrag nach gewonheit vorstehender maßen angesetzt und weilen die helffte der nahrung nicht verstallt worden, alß seÿe der straff wegen daß geschäfft an Mgherren verwießen worden
alß man gedachten Martin hierüber gehört, habe er bedütten, daß ein armer garten knecht geweßen, und nicht viel in die Ehe gebracht hette, alles waß Er hette, seÿe erst seith 5 jahren errungen und gewunnen worden wehrender Ehe, und Zwar daß meiste seith 3* jahren, da die garten waaren umb einen Zimmlichen preiß hetten verkaufft werden können, im übrigen, wann sein frau schon nicht kranck und gestorben were, wolte Er sich doch haben laßen Zuschreiben, Wie auch bereits geschehen, mit unth. bitt ihne Zu verschonen.
auff seithen der herren Deputirten habe man diße entschuldigungen vor nicht erheblich angesehen, und weilen Er soch so weit versehen, daß die helffte der nahrung nicht verstallt worden, und sich doch nach proportion der nahrung nach und nach hette sollen und können zuschreiben laßen, alß hat man darvor gehalten, daß Ihme neben dem nachtrag der 10. lb 7 ß 10 d noch eine straff von 6 lb d angesetzt werden könte, jedoch die genehmhaltung Zu MGHerren stellend. Erkandt, beliebt.

1715, Livres de la Taille (VII 1175), f° 123
(GUW, F. N° 1465) Weÿl. Frauen Mariæ gebohrner Rinckin, Johann Simon Martins gartenmanns und burgers alhier geweßener Ehel. Haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Mader.
Concl. fin. Inv. ist fol. 36.b, 331. lb. 5 ß 5 d. die machen 600. fl, verstallte 300. fl. Zu wenig 300. fl.
Warvon der Nachtrag gerechnet wird auff Sechs Jahr alß lang Er Burger in duplo macht à 18 ß – 5 lb 8 ß
und auff vier Jahr in simplo trifft à 4 ß -1 ß 16 ß
extat das Stallgeltt pro 1715 – 2 lb 11 ß
Gebott – 2 ß 4 d
Abhandlung – 10 ß 6 d, Summa 10. lb.
Es hat Zwahr der Wittiber den 28° Julÿ 1714. sich 500. fl. laßen Zu schreiben auch die gebühr darvon anbeÿ erlegt, weilen aber die Frau den tag darauff verstorben, alß hat man dißorts keine reflexion auf solchen Zugang gemacht
Straff. Weilen nun die Helffte der Nahrung nicht Verstallet worden, alß p [ist das Geschäfft der Straff wegen an G. Herren die XV.en verwiesen worden]
Vermög Erkantnus G. Herren der XV. Vom 13° Aprilis 1715. seind neben dem Nachtrag ane Straff zu erlegen 6. lb
dt. omnia d. 25° Maÿ 1715.

Jean Simon Martin se remarie en 1716 avec Marie Ursule Kamm, veuve de Charles Stecher : contrat de mariage, célébration
1716 (20.2.), Not. Mader (6 E 41, 693)
Eheberedung – zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Joh: Simon Martin, dem Gartenmann und burgern allhier Zu Straßburg alß dem Bräutigamb ane Einem
So dann der Ehr: und Tugendsamen Frawen Mariæ Ursulä Stecherin gebohrener Kammin, Weÿl. Herrn Carl Stecher geweßenen Gartenmanns und burgers allhier seel. Nachgelaßener Fraw Wittiben alß der Fraw Hochzeittterin am andern theil
So Geschehen in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg auff Donnerstag den 20. Februarÿ 1716. [unterzeichnet] Johann Simon Martin als hochzeiter, Maria Ursul Stecherin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 187-v n° 3)
Mittwochs den 11. Martÿ 1716. seind nach geschehener 2 maligen außruffung Dominica Invocavit et Reminiscere ehelich eingesegnet Joh: Simon Martin der gartenmann burger v. witwer, weiland Mariæ Rinckin ehemann, Fr. Maria Ursule Weil. Georg Carl Stechers deß gartenmanns v. burgers eheliche nachgelaßene wittib geborne Rinckin Johan simon Martin als hochzeter, Maria Ursula Stecherin hochzeiterin (i 193

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient en partie à l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 661 livres, ceux de la femme à 968 livres.

1716 (26.3.), Not. Mader (6 E 41, 672) n° 213
Inventarium über deß Ehrengeachten Johann Simon Martin Gartenmanns und Tugendsamen Frauen Maria Ursula Martinin gebohrene Kammin, beeder Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg einander vor unverändert in Ehestandt Zugebrachte liegende und Fahrende Haab und Nahrung auffgerichtet in Anno 1716. (…) und vermög der mit einander auffgerichteter Eheberedung Vor unverändert Vorbehalten haben – Actum und angefangen in fenerem Gegenseÿn der Ehrenvest: Ehren: und Vorgeachten Herrn Herrn Abraham Rincken Gartners Unterwagnern, des ehemanns schwehr Vatters auff seiner, So dann auff der frawen seithen, Herrn Johann Daniel Hetzel, Gartenmanns, der frawen ohnentledigtenen Curatoris und Herrn Friderich Kecken, Zinn Gießers und burgers allhier deoselben Kinder geschwornen Vogts beederesits erbettener beÿständeren auff Donnerstag den 26.ten Martÿ Anno 1716.

In Einer in der Statt Straßburg ohnfern dem Weÿßen Hauß gelegenen in dieße Nahrung gehörigen behaußung ist befunden worden
Eigenthumb ane Heüßern (F.) Erstlichen eine behaußung, Hoff, Hoffstatt und bronnen mit allen übrigen deren gebawen begriffen, weithen, rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Statt Straßburg ahe der Newen gaßen am Fischer Staden, einseit neben Philipß Riebel dem Schiffbäwer, anderseith neben Balthasar Fincken dem Schiff Knecht hinden uff den sogenandten Steckischen Hoff stoßend, davon gehen Jährlichen auff Weÿhenachten der löbl. Ottonianischen Stifftung allhier 15. lb Zinß ist in hauptgut ablößig mit 375. lb. It. 2. lb 2 ß Straßburger Wehrung gibt mann Jährlichen auff Annunc: Mariæ dem Stifft St. Marx allhier, so in Hauptgut mit gedachter wehrung widerloßig mit 52 lb 2 ß. Summa Vorher beschriebener beschwerdten ist 427 lb 2 ß. Sonsten freÿ ledig und Eÿgen und über solche beschwerden wie soclhe in Anno1715 durch der Statt Straßburg geschwohrne Werckmeistere angeschlagen worden, wieder æstimirt vor 322. lb 18 ß. Darüber meldet ein Teutscher pergamentener Kauffbr: in allh. C. C. stuben gefert. und mit dero anhangend. Inns: verwahrt, dat: den 27.t Jan: 1711.
Item i gartenhauß, stallung und schopff Vor dem Fischer Thor (…)
(F.) It: i: Garten. Ein garten so ohngefehr Vier Acker groß außerhalb der Statt Straßb. geleg. Vor dem Fischer Thor (…)
Series rubricarum. Des Ehemanns in den Ehestand gebrachtes guth, Sa. haußraths 162, Sa. blumen auf dem feld 45, Sa. Schiffmanns 4, Sa. Silbergeschmeids 3, Sa. Goldener Ring 4, Sa. baarschafft 191, Sa. pfenningzinß hauptgüter 250, Summa summarum 661 lb
Der Frauen guth, Sa. haußraths 245, Sa. Früchten 24, Sa. blumen auf dem veldt 27, Sa. Viehes 50, Sa. Schiff und geschirrs 40, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 20, Sa. Goldener Ring 15, Sa. Eÿgenthumbs ahne heüßern 572, Sa. der Schulden 36, Summa summarum 1032 lb – Schulden 63, Nach deren Abzug 968 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1630 lb

L’inventaire après décès de Marie Ursule Kamm, dressé en 1727, n’est pas conservé.

1727, Not. Mader (répert. 6 E 41, 664-1) n° 606
Inventarium über Mariä Ursulæ Martinin geb. Kammin Joh: Simon Martins des Garthenmanns Ehefrau seel. Verlassenschafft

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 300 florins (150 livres) sur un total de 2 500 florins
1727, Livres de la Taille (VII 1176) f° 168
(GUW, F. N° 4317) Weÿl. Frauen Mariæ Ursulæ gebohrner Kammin, Johann Simon Martin Johann Simon Martins gartenmanns und burgers alhier gewesener Ehel. Haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Mader.
Concl. fin. Inv. ist fol. 174.b, 1249. lb. 19 ß 1 d. die machen 2500. fl, verstallte nur 2200. fl. alßo Zu wenig 300. fl.
Warvon der Nachtrag von theilbarem Guht gerechnet wird auf Sechs Jahr in duplo à 18 ß – 5 lb 8 ß
und auff vier Jahr in simplo à 4ß – 1 ß 16 ß
extat kein Stallgeltt
Gebott – 2 ß
Abhandlung – 1. lb 10 ß 6 d, Summa 8. lb. 16 ß 6 d.
Auf bitten haben die herren dreÿ nachgelaßen ein tertz mit 2. lb 8 ß, rest 6 lb 8 ß 6 d
dt. 6. Decembr. 1727

Jean Simon Martin se remarie avec Catherine Weidenmann, veuve du cordonnier Mathias Thenn : contrat de mariage, célébration
1728 (1.7.), Not. Mader (6 E 41, 694)
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Herrn Johann Simon Martin, dem Garthenmann und burgern allhier Zu Straßburg, alß dem Bräuttigam ane einem
So dann der Ehr: und tugendsahmen Frauen Catharinä gebohrener Weidenmännin, Weÿland deß Ehrsam: und bescheidenen Meister Matthiß Dennen geweßenen Schumachers und burgers allhier nachgelaßener Wittib, alß der Frau Hochzeiterin am andern theil
So Geschehen in der Königl. Statt Straßburg auff Donnerstag d. 1. Julii 1728. [unterzeichnet] Johann Simon Martin, als hochzeiter, catarina geborne Weidemännin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 15 n° 13)
1728. Mitwoch d. 14. Julÿ seind nach 2 maliger ausruffung Domin. VI et VII Trin. in der Kirch Zu S. Wilhelm ehelich eingesegnet worden Johann Simon Martin der gartenmann burger v. witwern weiland Mariæ Ursulæ Kammin eheman v. Catharina Weiland Mathias Däns deß Schuhmachers v. b. nachgelaßene wittib geborne weidenmännin [unterzeichnet] Johann Simon Martin als hochzeiter, catarina dännin als hochzeiterin, Jacob Martin als bruder (i 16)

Fils de Georges Guillaume Thenn, bourgeois à Grünstadt en Palatinat, Jean Mathias Thenn épouse en 1725 Anne Catherine, fille du boulanger Jacques Widenmann
1725, Mariage, Illkirch (luth.)
M DCC XXV. d. 22. apr. sind auff p.missions schein Regierend. H. Ammeisters Herrlichkeit in Straßburg Zum 1. und 2. mahl Zu gleich ausgeruffen und d. 24. ejusdem Copuliret und eingesegnet word. Johann Matthias Thenn der ledige Schuhmacher von Grünstatt aus der Pfaltz gebürtig, weÿl. Heinrich Wilhelms Thennen becken und burg. daselbst ehl. Sohn und Sophia schönsteinin seiner haußfr. Anna Catharina weÿl. Jacob Widenmanns geweßenen weißbeckens und burgers in Straßb. und Catharina *chin seiner haußfr. ehl. tochter sind beide Verlobtte Evang. Lutherisch. religion laut beiligend. scheins [unterzeichnet] Johann matihas dehnn als hoh Zeiter, Anna Catarina Weidmennin als hochzeiterin (i 68)

Jean Mathias Then (Dæhn) natif de Westerburg devient bourgeois par sa femme trois semaines après son mariage
1725, 4° Livre de bourgeoisie p. 918
Johann Math. Dähn d. schumach. Von Westerburg. geb. erhalt das Burgerrecht Von sein: ehefr. Cath: weÿl. Jacob Weidenmanns gewes. weisbecken undt b. alhier eheliche tochter umb die tertz d. alt b. will beÿ E. E. Zunfft d. schuemach. dienen. Jur. d. 14.ten Maÿ 1725.

Mathias Thenn meurt de consomption en septembre 1726 à l’âge de 31 ans.
Sépulture, Saint-Guillaume (luth. reg. 1708-1729 f° 204 n° 48)
1726. Dienstags d. 3. 7.bris 1726. hor. 3. mat. starb Mathias Däns der Schuhmacher vnd Catharinæ Weidenmännin ehemann mortus dorrsucht ætas 31 jar 2 mon. ward begraben Mittwoch d 27 ad S Urb. (i 207)

Catherine Weidenmann meurt en 1746 en délaissant quatre enfants issus du veuf. Les experts estiment la maison à 700 livres. La masse propre au veuf est de 775 livres, celle propre aux héritiers de 105 livres. L’actif de la communauté s’élève à 153 livres, le passif à 449 livres. Marie Ursule Kamm a délaissé une fille de son premier mariage avec Charles Stecher et trois enfants en secondes noces, dont deux sont morts depuis lors.

1747 (28.4.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1141) n° 497
Inventarium über Weÿland der Ehren und Tugendsahmen Frauen Catharinä Martinin gebohrener Weidenmännin des Ehrengeachten Joh: Simon Martin Garthenmanns und burgers allhier zu Straßburg geweßener ehelicher haußfrauen nunmehr seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1747. (…) nach Ihren Mittwochs den 9.ten 9.bris des abgewichenen 1746.ten Jahres aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf gebührendes Ansuchen Erfordern und begehren des Ehrengeachten herrn Friderich Hannß, des jüngern, Meelhändlers und burgers allhier, alß geordnet und geschwornen Vogts Jungfrauen Annæ Mariæ die 18 Jahr alt, Johann Georgs welcher 16. jahr auf sich hat, Johann Daniels der 10. Jahr alt und dann Johann Friderich, welcher bereits 5. Jahr erlebet, der abgeleibten seeligen mit vor: und hernach gemeltem Ihren hinterbliebenen Wittiber ehelich erzielter Kinder und ab intestato Verlaßener Erben, inventirt und ersucht – So beschehen Straßburg Freÿtags den 28.ten Aprilis et seqq. Anno 1747.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Neugaß beÿ dem Fischerstaaden gelegenen, dem Wr. Zum theil eigenthümlich zuständigen Behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung. Nembl. i. behaußung hoff hoffstatt und Bronnen mit allen deren Gebäuden begriffen, Weiten, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßb: ane der neuen gaß beÿm Fischer Staaden 1.s. neben Johann Friderich horn dem Schneider 2.s. neben Adam Hügel dem haffner Vögtl. weiße hinten auf H. Daniel Krieg Inspectorem der Königl. Schiff in Elsaß und E: E: großen Raths alten Beÿsitzer, stoßend gelegen, so durch (die Werckmeistere) außweißlich des Zu mein Notarÿ Conc. geliefferten Abschatzungs Zeduls vom 9.ten Maÿ 1747. Vor freÿ leedig und eigen taxirt vor 700. lb. Darüber meldet i. teutscher perg. Kffbr. in allhießiger C. C. St. gefr. und mit dero anhang: Ins. verwahret datirt den 27.ten Jan: A° 1711. Ane welcher behausung und dero Zugehörden dem Wr auff absterben Annä Mariä und Johann Simon beeden in Zweÿter Ehe ereugten KK. Vier Zwölffte theil oder eine tertz erblich Zugekommen, Jgfr. Catharina Margaretha Martinin die loch lebende Tochter solcher Ehe participirt ane solcher behaußung Vor Mütterlich Guth 2/12. oder einen sechßten theil. Und die übrige sechs Zwölffte theil oder die 2. helffte ist weÿl. Fr: Susannä Mariä Frießen gebohrener Stechertin Mr Johann Philipp Frieß deß Seÿlers und Burgers alhier ehel. haußfr. deß Ws. Stiefftocht. seel. per testamentum Verl. Erben gebührig. Sa. Eigenthums ane j.r Behausung so Zwischen dem Wr. seiner noch lebenden To. 2.r Ehe und deßen verstorbenen Stiefftochter seel. Erben gemeinschaftlich, th. der abwürdigung nach 700 lb. Mithin zu deß Ws. eÿgenthümblicher tertz 233. lb 6 ß
Wÿdemb Welchen der Wr. Von weÿl. Fr. Maria Ursula Martinin geb. Kammin seiner zweÿten hsfr. seel. lebtägig Zugenießen berechtigt ist. In Crafft des Von Ihnen beeden den 7.ten Aug. A° 1727. Vor nunmehro weÿl. H. Notario Philipp Jacob Mader sel: und gezeugen gestiffteten Codicilli reciproci §° 2.do hat derselbe Ihr völlige Verlaßenschafft mit außnahm derer KK. legitimæ die Zeit seines lebens zugenießen. Dieselbe hat nun benebst Ihrer in j. Ehe erzeugtet Tochter auch noch dreÿ mit dem hinterbliebenen Wr. erziehlter Kinder Zu Erben hinterlaßen, in deme aber Anna Maria und Johann Simon seithero auch verstorben, so hat Er der Wr. alß eheleibl. Vatter derer mütterl. Guth ererbt, deß wegen nur noch derer übrigen Zwo töchter mit wÿdemb Verfangen mütterl. Guth hiehero Zusetzen alß Frauen Susannæ Mariæ Frießen geb. Stecherin, Mr Johann Philipp Frieß des Seÿlers und burgers allhier Ehefr. welche obige Fr. Martinin seel. in j. Ehe mit weÿl. Johann Carl Stecher dem geschwornen Garthenmann und burger, dahier erzeuget, mit wÿdemb verfangen mütterl. guth wies nach des Wÿdembsnießers todt deroselben Erben außgelaßen und gelüffert unter der helffte Vor ohnvertheilt Von und ane der droben fol. (-) beschriebenen Behaußung und dero Zugehörden, welche der heutigen Abschatzung nach ane 700. lb d. thut (…) Jungfr: Catharinæ Margarethæ Martinin des Ws. noch lebender tochter Zwoÿter Ehe mütterl. guth
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Mr Johann Philipp Frieß, der Seÿler und Burger allhier lebtägig Zu genießen hat, das Eÿgenthumb aber Jgfr. Catharinä Margarethä Martinin des Ws. Tochter 2.ter Ehe noch Zur Zeith Zuständig ist. Es hat nunmehr weÿl. Fr. Susanna Maria Frießin gebohren Stecherin sein Mr Johann Philipp Frieß geweßte eheliche haußfr. in Ihrem den 14.ten gebr. A° 1729. Vor H. Notario Johann Lobstein und sieben Gezeuchen gestifftete, Testamentum nuncupativo §° 4.to ihren beeden halb Geschwüsterden Vorgedachter Jgfr Catharinä Margarethä Martinin und Simon Martin in Barem geld Legirt (…)
(f° 16) Ergäntzung des Wittibers abgegangenen ohnveränderten Guths. Nach anleÿtung des über weÿl. Fr. Mariæ Ursulä Martinin geb. Kammin, deselben gewester Zweÿten Ehefr. seel. verlaßenschafft durch weÿl. Hn Notm. Philipp Jacob Mader sel. den 29. 8.bris A° 1727. auffgerichteten Inventary
(f° 21-v) Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Wr. ohnverändert guth, Sa. haußraths 83, Sa. Schiff und geschirr zum feldbau gehörig 11, Sa. Pferd Gezeugs 13 ß, Sa. Lährer faß 4, Sa. Silbers 13, Sa. goldener Ring 9, Sa. Baarschafft 21, Sa. Eÿgenthumbs ane i. behaußung 233, Sa. Eÿgenthumbs ane j. ligenden feld guth 30, Beßerung ane lehengüthern o, Sa. Schulden 256, Erg. 330, Summa summarum 993 lb – Schulden 775 lb
Dießemnach wird auch derer KK und Erben ohnverändert guth beschrieben, Sa. haußraths 26, Sa. Silbers 4, Sa. goldener Ring 2, Sa. Erg. 72, Summa summarum 105 lb
Endlichen wird auch das gemein verändert und theilbar guth Beschrieben, Sa. haußraths 20, Sa. hews und Scheuren geschirrs 4, Sa. Pferdt s. dem Geschirr 20, Sa. früchten 27, Sa. heu und Strohe 2, Sa. Taback 15, Sa. beßerung im hoff und auf dem feld 19, Sa. baarschafft 31, Summa summarum 153 lb – Schulden 449, Theilbar passiv onus 295 lb – Stall summ 971 lb
Copia der Eheberedung (…)

Catherine Marguerite Martin, fille de Jean Simon Martin et de Marie Ursule Kamm et femme de Frédéric Horn, rachète les parts de la maison dont elle devient seule propriétaire.

1748 (11.7.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 521
Johann Philipp Frieß der seÿler, mehr Johann Jacob Martin der gartenmann, so dann Friedrich Hanß der meelmann als vogt weÿl. Simon Martin auch gartenmanns 4 kinder Anna Maria, Johann Georg, Johann Daniel und Johann Friedrich der Martin
in gegensein Friedrich Horn des jüngern schneiders und Catharinæ Margarethæ geb. Martin, versteigerung
14/18 theil vor unvertheilt ane einer behausung, hoff, bronnen und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ane der Neuen gaß beÿ dem Fischerstaden einseit neben dem käuffer selbst, anderseit neben dem Dürrgallischen curando, hinten auff H. Johann Georg Krieg königl. inspectorem und E.E. großen Raths alten beÿsitzer – um 52 pfund beladen – ihme Frieß zur helffte oder 9/18 theil, ihme Martin zu 1/18, Martinischen curandis 4/18 und der mitkäufferin zu den übrigen 4/18 als ein ererbtes guth – die gantze behausung auff den fuß von 1005 pfund

Jean Frédéric Horn fait son apprentissage chez son père de 1731 à 1735. Il présente son chef d’œuvre le 29 janvier 1748. Il est reçu tributaire le 19 juin suivant.
1731, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 345 (1724-1735)
(p. 339) Donnerstags den 28.ten Ejusdem [Junÿ] 1731 – Johann Friderich Horn burger und schneider alhie laßet ebenmäßig seinen sohn Johann Friderich Horn in die Lehr einschreiben.

1735, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 346 (1735-1753)
(p. 2) Dienstags den 29.ten Martÿ 1735 – Johann Friderich Horn burger und schneider alhie laßet seinen sohn auch Johann Friderich Horn auß der Lehr außthun.

(p. 477) Montags den 29.ten Januarÿ 1748 – Erscheint unter H Johannes Schüßler, seinem Informatore, Johann Friderich Horn, der leedige Schneider Von hier, Meister Johann Friderich hornen, des Schneiders und burgers dahier ehel. Sohn, bittet Ihme Zu seinem Vorhaben den Meisterstück, so in einem completen Manns: Kleid bestehen, und er auf seinem leib Von drap d’oelbeuff Verfertigen wolle, das quantum beneben denen Rißen aufzugeben.
Ist Imploranten mit 3 5/8. Stäb drap d’Oelbeuff und folgenden Rißen willfahrt worden
N° 14 ein Rathsbotten Rock
N° 6 ein Weiber schoben
facta relatione et Examination der geschwornen Hh Meisterstück schaueren, daß der Implorant sein meisterstück nach ordnung wie recht Verfertiget, als seÿe derßelbe Zu einem Mitmeister auff: und anzunehmen.

(p. 486) Mittwochs den 19.ten Junÿ 1748 – Mstr Johann Friderich Horn der Schneider Von hier, erhaltet auff prod. Stallschein Vom 25.ten Maÿ Jüngst das Zunfft und Stubenrecht.

Fils du tailleur Frédéric Horn et d’Anne Barbe Mentel, Jean Frédéric Horn épouse en 1748 Catherine Marguerite Martin : contrat de mariage, célébration
1748 (1.2.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1224) n° 311
Eheberedung zwischen dem Ehrengeachten Johann Friderich Horn dem Leedigen Schneider Mr H. Friderich horn, deß Schneiders und burgers dahier in erster Ehe mit weÿl. Fr. Anna Barbara gebohrener Mentelin seel. ehelich erzeugtem Sohn, beÿständlich seines eheleibl. Vatters, alß hochzeiter ane einem
So dann der Ehren und Tugendsahmen Jgfr. Catharinæ Margarethæ Martinin Johann Simon Martin deß Garthenmanns und burgers dahier in Zweÿter Ehemit weÿl. Fr. Maria Ursula gebohrener Kammin seel. ehelich erziehlten Tochter alß der hochzeiterin mit assistentz ihres geliebten Vatters, wie auch Jgfr. Jacob Martin Gartenmann und burgers alhier Ihres halbbruders, ane dem andern theil gepflogen
[unterzeichnet] Johann fridrich hornn Alls hochzeiter, Catharina Margaretha Martinin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 157-v n° 10)
1748. Seind nach Zweÿmahliger Ausruffung Dominicis Quasimodo geniti et Misericordias, in der Kirche Zu S. Guillaume ehelich copulirt und eingesegnet worden Johann Friedrich Horn, Jun. der Ledige Schneider u. burger allhier, Johann Friedrich Horn Sen. Schneiders und burgers allhier und Weÿl. Annæ Barbaræ Mentelin ehel. Sohn, Jungfrau Catharina Margaretha weÿl. H Johann Simon Martin geweßten Gartenmanns und burgers allhie und Mariæ Ursulæ Kammin nachgelaßene ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Friderich hornn alls hochzeiter, catarina Margareta martinin als hochzeiterin (i 161)

Jean Frédéric Horn et Catherine Marguerite Martin meurent successivement en 1758 en délaissant un fils. Les experts estiment à 400 livres la maison provenant de l’épouse, à côté d’une autre provenant des parents du défunt. L’actif de la succession s’élève à 1 337 livres, le passif à 628 livres.

1758 (7.4.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1175) n° 1097
Inventarium über Weiland des Ehrsam und Bescheidenen Meister Johann Friderich Horn, gew. Schneiders und auch weiland der Ehren und tugendsahmen Frauen Catharinä Margarethä Hornin geb. Martinin, beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1758. (…) nach ihrem und Zwar die Ehefrau Montags den 27.ten Februarÿ, der Ehemann aber Montags den 27.ten Martÿ dießes 1755,gsten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödl. hintritt, Zeitl. verlaßen, welche Verlaßenschafft auf gebührendes ansuchen erfordern und begehren des Ehrsam und bescheidenen Johann Georg Martin, Gartenmanns und burgers allhier, der abgeleibten Fr. seel. halb bruders, als geordnet und geschworenen Vogts Johann Friderich Horn, welcher den 10. Maii 1749. Zur welt gebohren worden und beede Eheleute seelig mit einander erziehlet und ab intestato Zu deren universal Erben verlaßen inventirt und ersucht durch Ihne Johann Georg Martin den nunmaligen Vogt (…) so beschehen Straßburg Freÿtags den 7. Aprilis anno 1756.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Neugaß beÿm Fischerstaden gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen Behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthum ane Häußern. Nembl. Eine behaußung hoff hoffstatt und Bronnen mit allen deren gebäuden begriffen, weiten, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der Neuen gaß beÿ dem Fischer Staden 1.s. neben hernach folgender Behaußung, 2.s. neben Johann Adam Hügel dem haffner, hinten auf Mr. Johannes Krieg den Kieffer und weinhändler stoßend gelegen, so außweißlich deß Von (den Werckmeistern) außgestellten Zu mein Notarÿ Concept sub dato 5. Junÿ A. 1758. übergebenen Abschatzungs Zed. Vor freÿ, leedig und eigen taxirt worden pro 400. lb. Darüber meldet ein teutscher perg. Kfbr. in allhies. C. C. Stb. gefr: und mit dero anh: Ins. verwahret de dato 27. Januarÿ A° 1711. mit lit. A notirt. Und hat der Verstorbene seel. solche behaußung den 25. Maÿ A° 1748. beÿ E. E. großen Rath Vorgegangenen Versteigerung an sich gebracht, so in allhiesiger C. C. Stb Verschrieben aber der Kauffbrieff darüber noch nicht expedirt worden seÿe.
It. Eine Behaußung am Fischer Staden in der Neuen gaß (…)
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Mr Johann Philipp Frieß der Seÿler und Burger allhier lebtägig Zu genießen hat, das Eigenthum aber der diesorthiger Verstorbenen Ehefrau seel. erblich Zugekommen (…)
Abzug Gegenwärtigen Inventarii, Sa. haußraths 70, Sa. Silbers 4, Sa. goldener Ring 1, Sa. pfenningzinß hauptgüter 450, Sa. Eigenthums ane Häuseren 700, Sa. Schulden 110, Summa summarum 1337 lb – Schulden 628 lb, Nach deren Abzug 708 lb

Le tuteur de Jean Frédéric Horn loue la maison au marcaire Jean Henri Gœbel, manant de Strasbourg
1760 (1.3.), Chambre des Contrats, vol. 634 f° 81-v
Johann Georg Martin der gartenmann als vogt weÿl. Johann Friedrich Horn des schneiders einigen kinds Johann Friedrich
in gegensein Johann Heinrich Goebel des schirmers und melckers und Barbaræ geb. Jahnin
entlehnt, eine dem curando eigenthümlich gehörig in der Neuengaß ohnfern dem Mohrenkopff gelegene behausung – auff 9 nacheinander folgenden jahren auff instehenden Annunciationis Mariæ anfangend, um einen jährlichen Zinß nemlich 59 pfund

Jean Frédéric Horn fait son apprentissage auprès du tonnelier Mathias Ostermann de 1764 à 1767. Il s’inscrit le 23 janvier 1770 pour faire son chef d’œuvre. Il est reçu tributaire le 5 mai suivant.
1765, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 192) Dienstags den 26. Februarÿ 1765 – Lehrj. Inscript.
Meister Matthias Ostermann der Kieffer producirt Schein Von denen Oberen Handwercks herren Sub dato 25. Hujus, nimmt Zum Jungen auf dreÿ Jahr an, Johann Friderich Horn, Weÿland Johann Friderich Horn, geweßenen Schneiders und burgers allhier ehel. Sohn, Von Weÿhenachten 1764. biß dahien 1767. gegen 112. Gulden Lehrgeldt, in dreÿen Terminen nemlichen auf Johannis Baptistæ 1765. eine tertz, auf weÿhenachten d. a. Wieder Eine tertz, und auf Johannis Baptistæ 1766. die Letsere tertz Zubezahlen, der Jung Leidet alle Unkösten, deßen Bürgen sind Joh: Georg Martin der Gartenmann und Friderich Meister der Schneider
dt. pro inscriptione 1 lb 10 ß, prot. 3 ß, findl. 9 s

(f° 240) Mittwochs den 16. Decembris 1767 – Lehrj. Delisio
Meister Matthias Ostermann der Kieffer stehet vor und bittet, Johann Friderich Horn seinen bißherigen Lehrjungen, weilen seine Lehrzeit im end, und beede mit einander vollkommen zufrieden, der Ordnung nach außzuthun, Looß und Ledig zusprechen
Erkannt Willfahrt. Zahlt pro delisione 1 lb 10 ß, prot. 3 ß, Lehrbrieff 1 lb 10 ß, Sig. 2 ß, findl. 1 ß

(f° 275) Dienstags den 23. Januarÿ 1770 – Meisterstück
Johann Friderich Horn der leedige Kieffer Von hier stehet Vor und bittet Ihne Zum Meisterstück einzuschreiben.
Erkannt Willfahrt. Zahlt Werckstatten zinnß 3 lb, Prot. 3 ß

(f° 303-v) Dienstags den 5. Maÿ 1771 – N. Leibzünfftiger
Mstr. Johann Friderich Horn der Kieffer, Evangelischer Religion stehet vor, und producirt Stall Schein Vom 24. Aprilis jüngst, bittet ihme als einen neuen Leibzünfftig anzunehmen
Erkannt, Willfahrt. Zahlt pro receptione 2 lb 5 ß, feuer Eÿmer 10 ß, Prot: 3 ß, findl. 2 ß

Compte que rend le maraîcher Jean Georges Martin de la gestion des biens qui appartiennent à Jean Frédéric Horn. La grande maison est louée au marcaire Henri Gebel.

1766, Not. Stoeber (6 E 41, 1266)
Rechnung Mein Johann Georg Martin, Garthenmanns und Burgers allhier, als geordnet und geschwohrenen Vogts Joh: Friderich Horn, so das Kiefer handwerck ergreift, weÿl. Mr Joh: Friderich Horn, deß gew. Schneiders und b. dahier mit auch weÿl. Fr. Catharina Margaretha Hornin geb. Martinin, nun beeder seel. ehelich erzeugten Sohns, inhaltend alles das jenige so Vom 25. aug. 1763. als dem beschluß meiner abgelegten 2.ten Rechnung, biß Weÿhnachten A° 1766. weiter eingenommen und außgegeben habe. – Dritte Rechnung dieser Vogteÿ
Corpus Zu gewarten Habender Hauß zinß.
Von der großen behaußung. Erst. Gibt Heinrich Gebel der Melcker und Schirmer alhier von der großen behaußung zufolg der mit Ihme den 12. Martÿ A° 1760. errichteten und in der C.C. Stb. verschriebenen auff Annunciationis Mariæ solches Jahr angefangen neunjährigen Lehnung jähr. ane Zß. 59., So quartaliter Zur quart antrifft 14 lb 15 ß
Von der Nebens Behausung (…)

Jean Frédéric Horn épouse en 1768 Marguerite Barbe Marbach, fille du teinturier Jean Georges Marbach : contrat de mariage, célébration
1772 (30.3.), Not. Haering (6 E 41, 1378) n° 603
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehrsam und bescheidene Jüngling Johann Friderich Horn Kieffer Mr weil. Mr Johann Friderich Horn gewesenen Schneider Mrs und burgers alh. mit auch weil. fr. Catharina geb. Martinin ehelich erzeugter Sohn, als Hochzeiter beÿstd. H. Johann Georg Martin Gartenmanns seines entleedigten Vogts, u. H. Matthias Ostermann Kieffers Weinhändlers, Seines nahen Vetters, beeder bürger alhier
so dann die Ehren und tugendsahme Jungfrau Margaretha Barbara Marbachin, weil. H. Johann Georg Marbach geweßenen Schwartz und Schönfärbers auch bs. alh. seel. mit Frau Anna geb. Diehlin seiner hinterbl. Wittib ehelich erzeugte tochter, als Braut, unter der Genehmigung ebenged. ihrer Mutter und mit gutem Rath H Johann Adam Zwicker Weißbecken und hiesig. burgers ihres Schwagers, an dem andern theil
So beschehen Straßburg Montags den 30.ten Martÿ 1772. [unterzeichnet] Johann Friederich Horn als Hochzeiter, Margaretha Barbara Marbachin als hochzeiterin

Mariage, Temple Neuf (luth. f° 223-v)
Im Jahr 1772, Mittwochs den 13. Maji morgens nach gehaltener Bettstund wurden nach vorhergegangenen ordentlichen Proclamationen, welche auf Dominica Misericordias et Jubilate geschehen, in offentlicher Kirche ehelich mit einander eingesegnet, Johann Friderich Horn, lediger Kiefer von hier, weÿl. Johann Friderich Hornen, gewesenen Schneiders und burgers allhier und deßen gewesener Ehfrau weÿl. Fr. Margaretha gb. Martinin, nachgelaßener ehl. Sohn, und Jgf. Margaretha Barbara Marbächin, weÿl. Johann Georg Marbachs, gewesenen Schwartz und Schönfärbers, auch Burgers allhier, und deßen hinterlaßner Wittib, Fr. Anna gb. Dielin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Friederich horn als hochzeiter, Margaretha Barbara Marbächin als Hochzeitterin (i 233)
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. f° 148) In dem Jahr 1772 den 13. Maÿ auf den zweÿten und dritten Sonntag nach Ostern wurden allhier in der Prediger Kirche und Zu St Wilhelm nach Ordnung ausgerufen und Mittwoch den 13. ejusdem in der Prediger Kirche Zue Ehe eingesegnet, Johann Friderich Horn der ledige Kiefer und burger alhier, weiland Johann Friderich Horn, Gewesenen Schneiders und burgers allhier und weiland frauen Catharina Margaretha gebohrner Martinin hinterlaßener ehelicher Sohn und Jungfrau Margaretha Barbara, weiland Johann Georg Marbach gewesenen Schwartz und Schönfärbers und Burgers allhier mit frauen Anna gebohrner (-) ehelich erzeugte tochter, dieses meldet allhier Zur Nachricht (i 157)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports qui comprennent plusieurs maisons. Ceux du mari s’élèvent à 170 livres, ceux de la femme à 1 208 livres.

1772 (15.7.), Not. Haering (6 E 41, 1373) n° 455
Inventarium über des Ehrenachtbaren Herrn Johann Friedrich Horn Kieffer Ms. und Weinhändlers und der Ehren und tugendsamen frau Margarethä Barbarä Hornin geb. Marbachin beeder Eheleuthe und burger alhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, aufgerichtet anno 1772. (…) in ihren den 14.den Maÿ Jüngst angetrettenen Ehestand Zugebracht, die Ehefrau mit ihrem bruder H. Johann Georg Marbach Schwartz und Schönfärbers auch hießigem burger verbeÿstandet, inventirt – So beschehen Straßburg Mittwochs den 15.den Julÿ 1772.

In einer allhier Zu Straßburg an der Steinstraß gelegenen in dieße Nahrung gehörigen Behaußung befunden worden, wie folgt
Eigenthum an Häußern. (M.) Nemlich eine Behaußung Hoff Hoffstatt und bronnen, mit allen deren Gebäuden, Begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten allhier zu Straßburg an der Neuengaß beÿ dem fischerstaaden ein Seith neben hernachfolgender behausung ander Seith neben Mr Johann Adam Hügelin, dem Haffner hinden auf H. Johannes Krieg den Kieffer und Weinhändler stoßend gelegen, so ldeig und eigen. Besag des durch H. Not.m Johann Daniel Stoeber den 7.den Aprilis 1758. über sein des Ehemanns Eltern seeligen Verlassenschafft errichteten Invÿ. ist fol: 44. deßelben vermeldet, daß dieße behaußung Mr Johann Friedrich Horn geweßener Schneider b. alhier den 25.ten Maÿ 1748 beÿ E.E. großen Rath ersteigt, auch dießen Kauff in allhießig. C. C. Stb verschrieben laßen, die darüber errichtete Verschreibung Seÿe aber noch nicht außgefertiget und hat sich selbiger derzeit befunden sub dato 11. Julÿ 1748.
(M.) It: eine Behaußung Höfflein Hoffstatt und bronnen mit allen übrigen deroselben begriffen, Weithen, Zugehörden und Rechten gelegen allhier zu Straßburg in der Vorstatt Krautenau am Fischerstaden an der Neugaß (…)
1.s neben Vorbeschriebene behaußung as. neben weÿl. Philipp Vonzabern des fischers erben hi. auf Abraham Riehm Schiffmann, Wie des Ehemanns Vater dieße behaußung von seinem Vater an sich gebracht sagt Kaufbrieff C.C. Stb vom 15. Jenner 1745
(M.) So dann eine keine Behaußung Hoffstatt und Höfflein mit allen derselben Gebäuden, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten beÿ dem Fischerthor gegen dem Wall hienüber (…)
(M.) It: die abgetheilte Helffte einer Behaußung Hoffs Gartens und Hoffstatt (…)
Abzug gegenwärtigen Inventarÿ. des Ehemanns in die Ehe gebrachten Guths, Sa. hausraths 13 lb, Sa. leerer faß 49 lb, Sa. Silbers 25 lb, Sa. baarschafft 40 lb, Sa. Schuld 41 lb, Summa summarum 170 lb
dießem nach wird der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Guth beschrieben, Sa. hausraths 122 lb, Sa. silbers u. Geschmeids 23 lb, Sa. gold. o. 35 lb, Sa. baarschafft 1027 lb, Summa summarum 1208 lb
Haussteuren 55 lb, jeedem 27 lb

Marguerite Barbe Marbach meurt en 1793 en délaissant une fille. La masse propre au veuf est de 541 livres tournois, celle propre aux héritiers de 10 198 livres. L’actif de la communauté s’élève à 3 971 livres, le passif à 9 851 livres
1793 (22.7.), Strasbourg 7 (2), Not. Stoeber n° 928
Inventarium über Weiland Fraun Margarethä Barbarä Hornin gebohrener Marbächin burgers Johann Friderich Horn, Kiefers u. Weinhändlers allhier gewesener Ehefraun Verlaßenschafft, aufgerichtet Anno 1793.
Zuwißen seÿe hiermit, nachdeme erstbesagte Fr: Margaretha Barbara Hornin geb. Marbächin den 9.ten Junÿ jüngst mit tod abgegangen, daß auf Ansuchen sein des hinterbliebenen Wittibers, wie auch der abgeleibter mit ihme erzeugter einziger tochter und ab intestatoo verlaßener universal Erbin Margarethä Barbarä Hornin, so den 31. Februarÿ diesen Jahrs das 20. jährige alter Zurückgelegt und also selbsten Zu handlen fähig, gleichwohl beiständlich Johann Adam Zwicker beckers ihres Vettern, (…) So geschehen in der allhuer Zu Straßburg an der Steinstraß N° 44 gelegenen und in dißortige theilbare Nahrung gehörigen behaußung Montags den 22. Junÿ 1793. in zweiten der fränckischen Republick.
Extractus Aus der zwischen beeden geweßenen Eheleuten vor nunmehr weil. Not. Johann Richard Häring den 30.ten Martÿ 1772. errichteten Eheberedung
Ergäntzung des Wittwers abgegangenen ohnv. Guths. Nach Anleitung des über beeder gewesener Ehel. Zusammengebr. Nahrungen durch weil. Notarium Joh: Richard Häring den 15. Julÿ 1792. auffgerichteten Inventarii
Eigenthum ane einer Behaußung (W.) ane der Steinstraß N° 44 (…)
Norma hujus inventarii, Des Wittwers ohnv. Vermögen, Sa. haußr. Waaren 61, Sa. Silbers 61, Sa. Eigenthum ane 1. behßg. 180, Ergäntzung wird passive übertroffen, Summa summarum 305. li. – Schulden 541
Dießemnach wird auch der Universaal Erbin ohnv. Vermögen beschrieben, Sa. haußraths (697, haussteuren 16) 714, Sa. Silbers 61, Sa. Golds 71, Sa. der Activ Schuld 300, Sa. der Ergäntzung 9051, Summa summarum 10.198 li.
Endl. wird auch das gemein verändert und theilb. guth verzeichnet, Sa. haußr. 605, Sa. Waar wie auch werckzeugs 1756, Sa. brennholtz 60, Sa. frucht 72, Sa. Silbers 20, Sa. baarschafft 112, Sa. activ Schulden 1345, Summa summarum 3971 livres – Schulden 9851, In Vergleichung 5280 livres

Jean Frédéric Horn se remarie avec Marie Salomé Rhein, fille du ferblantier Philippe Jacques Rhein
1801 (5 vend. 10), Strasbourg 7 (29), Not. Stoeber n° 2553
Eheberedung – erschienen Br. Johann Friedrich Horn, Kieffer und Wittwer alhier als Hochzeiter
und B.in Marie Salome Rhein, die leedige, weil. Bs. Philipp Jacob Rhein gew. Spenglers alhier mit auch weil. bin. Maria Salome geb. Stock erzeugte Tochter, so großjährigen Alters, beiständlich Bs Johann Gottfried Rhein Spenglers alhier ihres Bruders
Straßburg den 5. Vendemiaire Zehn [unterzeichnet] Johann Friederich Hor, Maria Salome Rheinin
Enregistrement, acp 81 F° 45 du 15 vend. 10

Jean Frédéric Horn meurt en 1810 en délaissant une fille de son premier mariage et deux enfants du deuxième.
1810 (8.6.), Strasbourg 7 (26), Not. Stoeber n° 9755, 2349
Inventaire de la succession de Jean Frédéric Horn, tonnelier décédé le 30 mai dernier – à la requête de Marie Salomé Rhein la veuve tutrice naturelle de Jean Frédéric 8 ans, et de Marie Salomé – en présence de Jean Frédéric Pfauth ministre du culte protestant près l’eglise de St Pierre le vieux en qualité de tuteur de Sophie Gross née le 16 nivose 4 et Caroline Dorothée Gross décédée le 12 fructidor 7 héritiers pour un tiers par représentation de Marguerite Barbe Horn épouse de Jean Frédéric Gross fille du premier lit du défunt en présence de Jean Jacques Martin jardinier à la Rubertsau tuteur subrogé
dans la maison Fauxbourg de Pierre n° 44
dans la chambre au rez de chaussée, dans le vestibule, dans la cuisine, dans la chambre de derrière ayant vue sur la cour, au premier étage, chambre des domestiques, dans la chambre de derrière du premier, dans la chambre sur la même rue au premier
Maison appartenante aux héritiers en propre, une maison avec la moitié divisée dans une cour jardin Ecurie appartenances et dépendances située au fauxbourg de Pierre n° 44, d’un côté la succession de Philippe Jacques Marbach teinturier, de l’autre Abraham Boersch cultivateur, aboutissant sur la succession de Jean Jacques Burz farinier – dont l’autre moitié appartient à Jean Michel Trienbach cultivateur, fait mention dudit immeuble un contrat de vente passé à la Chambre des Contrats le 7 mars 1772
Relevé de la masse: la veuve: meubles 423 fr, remplacement 1300 fr, dettes actives 400 fr
total de la masse de la veuve: meubles 702 fr, tonneaux 331 fr, maison 10.000 fr, remplacement 4866 fr, total de l’actif 11 460 fr
communauté: meubles 338 fr, dettes actives 810 fr, total 1149 fr, passif 2352 fr
Enregistrement, acp 114 F° 192-v du 18.6.

Jean Frédéric Horn vend la maison au tapissier Magne Gœbel

1772 (24.10.), Chambre des Contrats, vol. 646 f° 495
H. Johann Friedrich Horn der kieffer meister
in gegensein H. Magnus Göbel des tapecirers
eine behausung, hoff, bronnen und hoffstatt mit allen denen gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Neuengaß, einseit neben dem verkäuffer, anderseit neben N. Lammas dem kieffer, hinten auff Johann Krieg den weinsticher – als ein von seinen eltern ererbtes guth – um 2000 gulden

Originaire de Mannheim, Magne Gœbel épouse en 1747 Anne Elisabeth Fogeney, native de Munster au val Saint-Grégoire en Haute-Alsace : contrat de mariage, célébration. Le témoin lors du contrat est le tailleur manant Jean Henri Gœbel, frère de défunt
1747 (22.6.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 31) n° 809
Eheberedung – zwischen dem ehrsamen vnd vescheidenen Meister Magnus Göbel dem Tapecirer vndt burger alhier von Manheim gebürtig, alß hochzeithern ane einem
so dann Anna Elisabetha Fogeneÿ, weÿl. Niclauß Fogeneÿ geweßenen Zimmermeisters vnd burgers in dem Stättlein Münster in St. Gregorÿ thal ehelich erzeugten hinterlaß: dochter alß hochzeiterin andern theiß mit unter handel vndt Vermittlung auf seithen deß hochzeithers Johann Heinrich göbel deß schneiders vnd Schirmers alhier seines leiblichen bruders auf der hochzeiterherin seithen aber S.T. H. Johann Daniel Capaunen JU Lt vnd beÿ hießiger Statt Cantzleÿ wohlbestellten herrn Commissarÿ ihres H patronen burgers alhier
Straßb. d. 22.t junÿ 1747. [unterzeichnet] mangnus Gebeln als hoht Zeiter, + der hochzeiterin handz.

Le pasteur écrit que des certificats attestent que les mariés sont de confession luthérienne.
Mariage, Illkirch (luth. f° 39)
1747 – MDCCXLVII. d. 26. Julÿ sind auf erlaubnus schein Hoch Adel. Obrigkeit alhier zum 1 und 2 mal Zugleich ausgeruffen und d 20. ejusdem ehl. Copulirt und eingesegnet word. H. Johann Magnus Göbel von Mannheim gebürtig d. ledige tapezierer und burg. in Strasb. und Jgfr. Anna Elisabetha Voggenneien aus Gregorien thal gbürtig Von münster weÿl. Nicolai Voggeneien des burg. und Zimmermanns daselbsten und Anna Elisabetha Stadlerin seiner haußfr. ehl. tochter. Seind beide Ehl. erzeuget und d. Ev. Luther. Religion laut über bracht. scheinen [unterzeichnet] Johann Mannus gebel als hozeiter, + Sig. Anna Elisabetha Voggenein als hochzeiterin, Johann Henrig Gebel Als brudter (i 191)

Le tapissier Magne Gœbel achète le 6 avril 1747 le droit de bourgeoisie à l’ancien tarif par recommandation en s’inscrivant à la tribu du Miroir.
1747, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 283
Magnus Göbel der ledige tapezierer Von Maienheim gebürtig erhaltet das burgerrecht weg. hoher recommandation umb den alten burgerschilling u. will dienen beÿ E:E: Zunfft Zum Spiegel jur: eod: [26.t aprilis 1747]

Anne Elisabeth Fogeney devient bourgeoise par son mari trois semaines après son mariage
1747, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 302
Frau Anna Elisabetha geb. Voggeneÿin Von Münster im gregorien thal geb. Magnus goebel des burgers u. tapezierers Ehefrau, erhalt das burgerrecht weg. wohl Verhaltens gratis u. will beÿ E: E: Zunfft zum Spegel dienen prom. eod. [16.t aug: 1747]

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports qui n’est pas conservé
1747, Not. Brackenhoffer (Jean, répert. 65 Not 2) n° 786
Inventarium illatorum über Magnus Göbels deß Tabecierers u. Fr. Annä Elisabethä Fogeneÿ

Anne Elisabeth Fogeney meurt en 1774 après avoir institué son mari pour légataire universel. La moitié de la maison fait partie de la succession, l’autre moitié appartenant à Henri Gœbel, frère du veuf. Les experts estiment la maison entière à 600 livres. L’actif de la succession s’élève à 593 livres, le passif à 22 livres.

1774 (18.3.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 732) n° 894
Inventarium über Weÿland der Ehren: und tugendsamen fraun Annæ Elisabethæ Göbelin geb. Fogeney, Hn. Magnus Göbels tapezierers und burgers allhier zu Straßburg gewesener Ehefrauen nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1774 – als dieselbe donnerstags den 25. 9.bris des Zurückgelegten 1773.sten Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen Verwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer Welt genommenen seel. hintritt hie Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren obgedachten Hn Magnus Göbels des hinterbliebenen Wittibers, als der Verstorbenen seel. nach Vorhero gnädigst erhaltenen Indulti testandi per testamentum eingesetzten eintzigen und Universal Erben ersucht und inventirt – So beschehen in Straßburg auf freÿtag den 18.ten Martÿ anno 1774.

In einer allhier zu Straßburg ane dem Kleinen Prediger Kirchhoff gelegenen und in dieße Verlassenschafft nicht gehöriger Behaußung befunden worden, Wie folgt
Antheil ane einer behaußung. Nemblich der halbe theil Vor unvertheilt Von und ane einer Behaußung und hoffstatt mit allen deren Gebäuen, Begriffen Zugehörden Rechten und Gerechtigkeit. gelegen alhier zu Straßburg ane der Vorstatt Crautenau in der Neuen Gaß einseith neben dem Allmend, anderseith neben Friderich Horn dem Kieffer und hinten auf Anthoni Holl stoßend, so gegen Männig. freÿ leedig eigen und ist die gantze Behaußung durch (die Werckmeistere) lauth hiebeÿ befindich. Abschatzungs Zeduls Vom 24.ten Martÿ 1774. angeschlagen Vor 600. lb. thut die hiehero gehörige helffte 300. Die übrige helffte ist Hn Heinrich Göbel dem Melcker und Schirmern allh. des Wittibers eheleiblichem Bruder Vor unvertheilt eigenthümlich gehörig. Welcher auch die darüber sagende Kffbrieff in gemeiner Verwahrung hat.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Copia der Verstorbenen Vor mir Notario den 13. 9.bris 1772 auffgerichteten Testamenti nuncupativi
Bericht in gegenwärtig Inventarium gehörig. Es hätte zwar beeder seits in die Ehe gebrachtes Vermögen ersucht und sowohl dem wittiber als denen Erben dero unverändert Vermögen zugeschrieben werden sollen, weilen aber der hinterbliebene Wittiber declarirte, daß Sie dero weniges zu gebrachtes Vermögen nicht inventiren laßen über die ererbte Nahrung auch Klein theilregister Vorhanden über dießes solches auch durch den Inhalt Vorher inserirten Testaments für unnöthig erachtet worden, alß ist auch die samtliche Vorhandene Mass unter einem Titul inventirt und beschrieben
Sa. hausraths 28, Sa. Werckzeugs Zur tapezirer profession gehörig 15 ß, Sa. Silbers 1, Sa. baarschafft 12, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 250, Sa. Antheils ane einer behaußung 300, Summa summarum 593 lb – Sa. Schulden 22 lb, Nach solchem abzug 570 lb
Legaten, Johann Georg Duschner und Jgfr. Barbara Duschnerin, diese beede weÿl. fr. Susanna geb. Fogeneÿ d. Verstorbenen seel. Schwester mit auch weÿl. Joh: Georg Duschner dem geweßenen haffner und burger zu gedachtem Münster seel. ehelich erzeugte und nach tod verlaßenen 2. Kinder,
Johannes Fogeneÿ burger zu Sultzeren im Münsterthal, Niclaus Fogeneÿ der Leedige in d. frembde sich auffhaltende Zimmergesell, Mathis Fogeneÿ zu ermelten Sultzern, Fr. Anna Catharina geb. Fogeneÿ, Johannes Heinrichs Burgers zu hohenroth im Münster thal Ehefrau, Fr. Anna geb. Fogeneÿ David Herrmanns burgers zu gedachtem Sultzen Ehefrau, Fr. Gertrud geb. Fogeneÿ Jacob Barthen burgers Von sultern Ehefrau, fr. Barbara geb. Fogeneÿ Martin Röß burgers Zu ermeltem hohen roth Ehefrau, fr. Anna Maria geb. Fogeneÿ Martin Erßlers burgers zu Grießbach im Münsterthal Ehefr., Jgfr. Sara Fogeneÿ in ermeltelm Sultzern ebenmäßig, dieße 9. Weÿl. Johannes Fogeneÿ geweßenen burgers zu ermeltem Sultzeren der Verstorbenen seel. bruders ehelich erzeugte und nach tod Verlaßene 9. Kinder
Matthis Fogeneÿ burger zu Breitenbach im Münsterthal, fr. Anna Catharina geb. Fogeneÿ so an einen Bergmann zu Mariä Kirch Verheurathet, fr. Anna Maria geb. Fogeneÿ weÿl. Johannes Erißmanns geweßenen Pfannenschmidts zu Mariä Kirch nachgelaßene Wittib, fr. Elisabetha geb. Fogeneÿ David Spenle des burgers zu ermeltem Breitenbach Ehefrau, dieße 4. Weÿl. Matthis Fogeneÿ geweßenen burgers zu ermeltem Breitenbach, der Verstorbenen seel. bruders seel. nachgel. ehelich erzeugte 4. Kinder (in summa) 403 lb – Nach solchem abzug 167 lb – Conclusio finalis Inventarÿ, Stall Summ 520 lb

Magne Gœbel meurt en 1781 en délaissant pour héritier testamentaire son frère marcaire Henri Gœbel. L’inventaire est dressé dans la maison du serrurier Jean Geoffroi Fichter petite rue de la Grange. L’actif de la succession s’élève à 483 livres, le passif à 198 livres. L’héritier Jean Henri Gœbel et sa femme Catherine Barbe Jahn déclarent que les deux maisons qu’a achetées le défunt ont été payées de leurs deniers et que les actes ont été établis au nom de Magne Gœbel qui était bourgeois pour leur éviter de solliciter une dispense en tant que manants.

1781 (10.1.), Not. Becker (6 E 41, 1395) n° 26
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung so weÿl. H. Johann Magnus Göbel geweßter Wittiber tapecierer und burg. allhier nach seinem Sambstags den 30.ten Christmonath 1780. aus dießer welt genommenen tödl. hientritt hie zeitlichen verlaßen, auf Ansuchen Heinrich Göbel Kühemelckers und allhiesigen Schurms verwanthen deß verstorbenen eheleiblichen bruders und durch testament §° 8° als eintzig wahrer rechtsmäßig und ungezweiffelten universal Erb, ersucht durch Georg Anstätt den Kutscher und bgr. allhier und Frau Maria Margaretha geb. Flechin beÿ welchen der Deffunctus mit seinen haabseeligkeiten gewohnet und in der Kost geweßen

In Einer ane der kleinen Stadelgaß gelegenen Meister Joh. Gottfried Fichter dem Schloßer gehörigen behaußung
Series rubricarum, hausrath 53 lb, baarschafft 30 lb, Schulden 400 lb, Summa summarum 483 lb – Schulden 198 lb, Compensando 284 lb – beschluß summa 267 lb, zweiffelhaffte Schulden 125 lb
Legaten, seines bruders tochter Frau Maria Margaretha geb. Göbelin H, david behr des Schirmers und Kühemelckers Ehefrau – erstgedachter bähricher Eheleuth töchterlein Margaretha Barbara baehrin
Nach deme gegenwartige Verlaßenschaffts Inventarium bereits geschloßen, Expediret und auf Löbl. Stadt Stall abgehandelt geweßen ist, so erschienen ane dato vor mir zu solchem geschäfft adhibirten geschwornen Not° und Inventirschreiber des deffuncti Leibl. bruder und per testamentum instituirten universal Erb, herr Joh. Heinrich Göbel der Kühemelcker und Schirms verwande nebst deßen Ehegattin Fraun Catharina Barbara geb. Jahnin, welche anzeigten, was gestalten sie beede Comparirende Eheleuthe während ihrer ehe am 28. 9.bris 1766 von Johannes Sänger dem Schifbäuer allhier Eine behaußung höflein Gärtlein und hoffstatt mit allen deren Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier ane der vorstatt Krautenau in der neuen gaß 1.s ist ein Eck gegen dem Fischer thor Wall dar zwischen ein Weeg 2.s neben N. dem Nagelspitzer hinten auf den ehemaligen Kirchhof von St Stephan stoßend vor 300 lb, ingleichem am 24. 8.bris 1772 von Meister Johann Friedrich Horn dem Kiefer eine anderwärtige behaußung Hof bronnen und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten allhier auch ane der Neuen gaß gelegen 1.s neben Ihme Mr Horn 2.s neben Mr Lammaß dem Kiefer und hinten auf Johannes Krieg den Weinsticher stoßend um 1000 lb käuflich acquiriret auch nicht nur allein diese beede Kauffschillings Summen nebst denen aufgegangegen samtlichen unkosten aus ihrer gemeinen theilbaren Nahrung und Errungenschafft baar bezalt sondern auch seither noch ungefehr 150 lb vor bau und ammeliorations: Kosten an das erstere kleinere hauß angewandet haben, Weilen sie aber erst vor einigen tagen nach ihres resp. bruders und Schwagers Magnus Göbels todt die über sothane Immobilia besagende Kauffbrieffe aus allhiesiger Löbl. Cantzleÿ Contact stube erhoben und aus derenselben ersehen haben, daß nicht er Comparirender Johann Heinrich Göbel sondern deßen verstorbenen bruder Magnus Göbel als Käufer darinnen eingeschrieben stehet, so haben sie sich dieses Irrthumbs wegen in gedachter Contract stub erkundiget, allwo Ihren gemeldet worden, daß vermuthlich der verstorbene Magnus Göbel sich darinn als käufer hat einschreiben laßen, weilen derselbe burger geweßen, Er Johann Heinrich Göbel aber und seine Ehefrau nur Schirmer sind, welche ad hunc Effectum Emptionis fordersamst beÿ gnädig. H. Räth und XXI. die Obrigkeitliche autorisation der ordnung nach hätten einhohlen müßen, Damit nun dieses versehen keine weitere widrige Folgen nach sich ziehen auch aller verdruß und zwistigkeiten welche etwa über kurtz oder lang dieserwegen unter Ihren beeden Ehegatten oder dero Erben entstehen könnten, sorgfaltig vermeidet werden mögen, so declariren und versichern Comparirende beede Göblische Eheleuthe gewißenhaft unter ihrer abgelegten Handtreu ane Eides statt daß der verstorbene bruder Magnus Göbel niemalen der ächte und wahre Eigenthümer vorberührter beeder Häußer samt zugehörden geweßen seÿe, auch daß derselbe weder zu dem Kauffschilling und unkosten noch zu denen ammeliorations und unterhaltungs Kosten das mindeste ex proprio beÿgeschoßen, sondern daß die Kauffschillinge besagter beeder häußer nebst denen aufgegangenen bau und anderen unkosten wahrhaftig aus ihr derer Comparirenden Göbelischen Eheleuthen als derer eigenthümlichen und wahren Käufer gemeinschaftlich Mittlen getilget und bestritten worden (…) den 24. mart. 1781 (si. Johann Henrig göwel, Cathrina Barbara Göbelin*)
Copia, Weÿl. Magnus Göbel gestiffteten am 16. 9.bris 1780 verschloßen in mein Notarii Schreibstube deponirten Testamenti, Copia actus Depositionis, in seine ane der kleinen Stadelgaß gelegene Wohnung beruffen und kommen laßen, in einer ane der Kleinen Stadelgaß gelegenen nachbemelten Meister Fichter eigenthümlich zuständigen behaußung deren im erstern Stock befindlichen auf die Gaß außsehenden Wohnstub

Lors de l’acte de sépulture, la pasteur mentionne que le défunt est fils du maître tailleur Gérard Gœbel et d’Anne Elisabeth Jung, de Mannheim, et qu’il est veuf d’Anne Elisabeth Wagner (au lieu de Fogeney)
Sépulture, Strasbourg, Temple-Neuf (luth. f° 141, n° 51) Im Jahr 1780, Sambstag den 30. Decembris, Morgens zwischen zweÿ und dreÿ Uhr starb an der Wassersucht Magnus Goebel, gewesener Tapezierer und burger allhier weiland frauen Annæ Elisabeth gebohrner Wagnerin hinterlassener Wittwer weiland Gerhard Goebels gewesenen Schneidermeisters und burgers in Mannheim und weiland Frauen Anna Elisabeth gebohrner Jungin hinterlassener ehelicher Sohn, deßen Leichnam wurde an dem darauf folgenden Sonntag den 31. ejudem Morgens um Zehen Uhr auf dem Gottes acker Stæ Helenæ mit Christlichen Ceremonien Zur Erde bestättiget. Seines Alters 64 Jahre eif Monath und vier Tage, Solches bezeugen [unterzeichnet] Johann Henrig Göebel als bruder (i 146)

Le marcaire Jean Henri Gœbel meurt en 1790 en délaissant une fille de son premier mariage avec Anne Marie Wagenmann et sa veuve Catherine Barbe Jahn. L’inventaire est dressé dans sa maison rue Neuve, estimée à 900 florins. La masse propre à la veuve est de 41 florins, celle propre à l’héritière est déficitaire de 349 florins. L’actif de la communauté s’élève à 3 303 florins, le passif à 144 florins.

1790 (14.9.), Not. Übersaal (6 E 41, 660) n° 288
Inventarium über Weiland Johann Heinrich Goebel, des gewesenen Melckers und Schirmers alhier Zu Straßburg Verlaßenschaft, aufgerichtet den 14.ten Septembris im Jahr 1790. (…) nach seinem den 31. Augusti jüngst erfolgten Absterben hinterlassen hat, Solches wurde auf Ansuchen seiner Wittib Frau Catharinæ Barbaræ geborener Jahnin, beiständlich Hn. Georg Friedrich Braunwald, des Schwartz und Schön: Färbers auch burgers dahier und Frau Mariæ Margarethæ Behrin geborener Goebelin, David Behr, des ebenmäßigen Melckers und Schirmers dahier Ehegattin, des Verstorbenen in seiner ersten Ehe mit weil. Frau Anna Maria geborener Wagenmännin erzeugt und hinterlaßener Tochter als Universal: Erbin sowol ab intestato als auch per Testamentum so hernach copialiter eingetragen wird
So geschehen alhier zu Straßburg in einer ane der neuen Gaß bei dem Fischerstaden gelegen, in diese Verlassenschaft gehörigen und hernach eingetragenen behausung auf Dienstag den 14.d Septembris im Jahr 1790.

(T.) Eigenthum an einer behausung. Nämlich eine Behausung mit N° 4 bezeichnet, hof, bronnen und hofstatt, mit allen derselben Gebäuden, Begriffen, Zugehörden und Rechten, gelegen alhier an der Neugaß bei dem Fischerstaden, eins. neben N. Haller, dem Kiefer anders. neben N. Nonnenmann, dem Kübler, hinten auf Hn. Schafflützel den jüngern, Saffian fabricant stoßend, so frei, ledig eigen u. durch die Mr Haaß, Zimmermann u. Meÿer Maurer, zufolg ihrer schriftlicher Abschatzung vom 23. sept. 1790. dem heutigen Werth nach abgeschätzt worden p. 1800 fl. Darüber sind vorhanden zween Kaufbriefe aus der C. C. Stube Vom 11. Julii 1748. und 24. Octobr. 1772.
Series rubricarum hujus Inventarii. Copia des von dem Verstorbenen den 20. Aprilis 1781. verschlossen aufgerichteten testaments
Copia der Nach Disposition, so der Verstorbene den 10.t Septembr. 1781 vor weil. H. Not° Philipp Jakob Greis gestiftet hat
Bericht. Die Wittib decalrirte auf mein des Notarii befragen, daß sie mit ihrem verstorbenen Ehemann keine Eheberedung auffgerichtet habe, daher nach alhiesiger Gewohnheit dasjenige, was von den beederseits einander zugebrachten und währender Ehe etwa ererbten Guth annoch in natura vorhanden, demjenigen Theil von deme es in sie Ehe gebracht oder ererbt worden, wieder als unverändert gebürig und zugeschrieben werden mus (…)
Der Wittib unveränderten Vermoegens, Sa. Hausraths 31 fl, Sa. S u. dergl. Geschmeids 6 fl, Sa. goldener Ringe 3 fl, Summa summarum 41 fl
Diesemnach wird der Tochter und Universal-Erbin unverändertes Gut verzeichnet, Sa. Hausraths 49 fl, Sa. Silbers 2 fl, Summa summarum 51 fl – Schulden 401 fl, passiv onus 349 fl
Endlich wird auch die theilbare Massa beschrieben, Sa. Hausraths 79 fl, Sa. frucht 76 fl, Sa. Kühe Stroh und Geschirrs zur Melckerei gehörig 343 fl, Sa. der baarschafft 7 fl, Sa. Eigenthums einer behausung 1800 fl, Sa. des Eigenthums liegenden Gütern 400 fl, Sa. Capitals 596 fl, Summa summarum 3303 fl – Schulden 144, Nach deren Abzug 3159 fl, Præcipuum conjugale 30 fl, restiren 3128 fl
– Auff begeren Herrn H. Bähr wie aus unterschriebenen Mauer und zimmermeister in die Neu gaß und die göbellerisch behausung N° 4 begeben selbige aller orden examinirt und nach dem heudigen werth abgeschätzt und für 1800 gulden setze, 23. 7.br. 1790 Haaß zimmermr Maÿer maurer meister – (Extrait Chambre des Contrats 1766 f° 689.a)

Le corps de Jean Henri Gœbel est inhumé par le pasteur réformé
Sépulture, Strasbourg (réf.)
Im Jahr 1790, dienstags den 21. Augusti, Morgens früh zwischen vier und fünf Uhr starb allhier Meister Johann Heinrich Goebelin, Schirmer und Melcker von hier, gebürtig von Mannheim, seines Alters 77 Jahr und zweÿ Wochen, Sein entseelter Leichnahm ward nachdem er über vier und dreÿßig stunden gelegen, Mittwochs den 1. Septembris, Nachmittags um 3. Uhr, nach gehaltener Leichenrede in unserm Bethause, auf St. Helenæ Gottesacker zur Erde bestattet. Zeugen deßen haben sich unterschrieben, Johannes Moll von Schiltigheim und Johannes Moll, Sohn, burger und Melcker von hiern beÿder als Anverwandte der hinterlaßenen wittwe (i 97)

Vente des effets mobiliers qui ont appartenu à Catherine Barbe Jahn dont les héritiers collatéraux habitent à Schiltigheim (le mariage Gœbel Jahn ne se trouve ni à Strasbourg ni à Schiltigheim)
1795 (14 thermidor 3), Strasbourg 3 (44), M° Übersaal n° 464
Verkauf und Erloes: Register über die von der weiland bürgerin Catharina Barbara geb. Jahn des auch weÿl. burgers Johann Friedrich Goebel gewesenen Melckers hinterbliebenen Wittib, so den 10. thermidor 3 gestorben, hinterlassenen Mobilien und effecten, welche auf Ansuchen ihrer natürlichen und Collateral Erben der bürger 1. Georg Jahn leinenweber zu Schiltigheim ihres halbbändigen bruder, 2. Anna Maria geb. Jahn ihrer halbbändigen Schwester Niklaus Reÿßer des zeugdruckers zu Schiltigheim Ehefrau, 3. weiland Jakob Jahn gewesenen Leinenwebers zu Straßburg der Verstorbenen vollbändigen bruder hinterlassenen tochter Anna Barbara geb. Jahn, Johann Moll des Ackersmanns zu Schiltigheim Ehefrau, 4. weiland Adam Jahn gew. Meelhändler der Verstorbenen vollbändigen bruders hinterlassenen 3.r töchter a) Catharina Barbara geb. Jahn Georg Friedrich Braunwald des Färbers alhier Ehefrau, b) Maria Salome geb. Jahn Johann Moll des Wirths dahier Ehefrau, c) Maria Magdalena Jahn der ledigen so majorennis beiständlich ihres Schwagers burgers Johann Moll
Summa Erloeses 10.745 li, abzuziehen 5434 li, Nach deren abzug 5310 livres
(Arbre genéalogique)
enregistré 16 ther. 3

Héritière de la maison, Marie Marguerite Gœbel, native de Hessheim en Palatinat (près de Spire), épouse en 1768 le marcaire David Bæhr, originaire de Sainte-Marie-aux-Mines : contrat de mariage, célébration par le pasteur réformé
1768 (23.4.), Not. Hüttel (6 E 41, 859) f° 54
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehrsam und bescheidene David Bähr, lediger Melcker von Marien Kirch gebürtig, weÿland Mstr Jacob Bähr des gewesenen Schuhmachers und burgers alda, mit Frauen Elisabeth gebohrener haberstichin, ehelich erzielter Sohn, beÿständlich Johann Jacob Bano, des burgers Zu gedachtem Marienkirch, und dermaligen Stiefvatter als hochzeiter ane einem
sodann die Ehren und tugendsame Jungfrau Maria Margaretha Göwelin, H. Johann Heinrich Göbel (Göwel) des hiesigen Schirms Verwanten und ebenmäßigen Melckers mit weÿland Frauen Anna Maria gebohrener Wagenmännin nun seel. in erster Ehe erzielte tochter, unter dem beÿstand erstgedachten ihres Vatters, als hochzeiterin am andern theil
So geschehen Zu Straßburg, Sambstags den 23. Aprilis Anno 1768. [unterzeichnet] x des Hochzeiters handzeichen, x der hochzeiterin handzeichen, Johan Hennrig göwel

Mariage (Strasbourg, réformés, f° 11)
Anno 1768. Sonntags den 16. Octobris seÿnd nach vorhergegangenen gewohnlichen Proclamation Ehelich Eingesegnet worden David Bär, weÿland Jacob Bären, geweßenen Burgers und Schuhmachers von Markirch nach tod hinterlaßener ehelicher Sohn, Jfr. Maria Margaretha, Johann Heinrich Göbelins Schneider Meisters von Heßheim in d. Churpfaltz und Schirmers in Straßburg Eheliche Tochter [unterzeichnet] + des Hochzeiters hand Zeichen, x der hochzeÿterin hand Zeichen (i 14)

Registre de population 600 MW 19 (1798) 4° Arrondissement, section VII rue Neuve quay des Pecheurs N° 4, p. 251 (i 254)
Baer, David, Marcaire, 59 ans, Marie aux mines (à Str. depuis) 30 ans
Gebel, Marguerithe, sa femme, 58, Hessheim (à Str. depuis) 30 ans
Baer, Barbe, fille, 26, Strasbourg

Marguerite Gœbel, femme de David Bæhr, vend la maison à Joseph Perrin et à sa femme Barbe Buxbaum moyennant 5 135 francs

1810 (8.9.), Strasbourg 14 (45), M° Lex n° 4603
Marguerite Goeppel épouse de David Baehr propriétaire
à Joseph Perrin propriétaire et Barbe Buchsbaum
la maison à elle appartenante en cette ville rue neuve n° 4 avec cour, grange, écurie, puits, aisances, droits et dépendances, d’un côté le Sr Wurtz cloutier, de l’autre le Sr Goerner boucher, devant la rue, derrière la propriété du Sr Zabern batelier
Plus la venderesse et son époux et le dernier vivant d’eux auront le logement gratuit dans ledit immeuble vendu lequel consistera en une chambre au rez de chaussée et une petite cuisine a côté, estimée 20 fr – moyennant 5135 francs
Enregistrement, acp 115 F° 117 du 17.9.

Joseph Perrin, originaire de Dinsheim (et non de Mutzig comme le mentionne l’acte), épouse Barbe Buxbaum en 1791

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. f° 10)
Hodie 5 mensis julii anni 1791 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt josephus perrin oriundus ex Mutzig in servitiis apud Dnum Laupater vulgo Capitaine du genie filius majorennis josephi perrin sutoris et barbaræ antoni ratione domicilii parochianus noster ex unâ et barbara buxbaum filia majorennis defunctorum Laurentii buxbaum mercatoris et barbaræ Schalligin conjugum paochiana nostra ex alterâ partibus (signé) Joseph Perrein, barbara buxbaum (i 83)

Le laitier (marcaire) Joseph Perrin meurt en 1817 dans sa maison rue Neuve en délaissant des héritiers collatéraux.

1817 (19.7.), Strasbourg 13 (33), M° Bremsinger n° 757
Inventaire de la succession de Joseph Perrin, laitier décédé le 9 juin dernier, dressé à la requête de la veuve Barbe Bouxbaum avec laquelle il était marié sans contrat de mariage, et de Louis Perin, vigneron à Dintzheim, Nicolas Perrin, gendarme à la résidence d’Arternay arrondissement d’Orléans département du Loiret, Marie Perrin épouse de Jacques Ernst tailleur de pierres de Dintzheim, Gaspard Perrin, tisserand à Strasbourg, Catherine Perrin épouse de François Villmot cabaretier à Dintzheim, les enfants de feu Barbe Perrin femme de Jacques Dünckelmann sellier à Mülhausen savoir 1. Jacques Dinckelman sellier à Altkirch agissant par son mandataire Gaspard Perrin, 2. Barbe Dinckelman fille majeure à Strasbourg, 7. Jacques Ernst tailleur de pierres au nom et comme tuteur principal de 1. Elisabeth 19 ans et 2. Jacques Oswald 17 ans par représentation d’Odile Perrin veuve de Nicolas Oswald, boulanger à Dintzheim, en présence de François Antoni, subrogé tuteur, cultivateur à Dintzheim, tous frères et sœurs, neveux et nièces du défunt
dans la maison mortuaire rue Neuve n° 4
immeubles, 1. une maison à Strasbourg quai des Pêcheurs rue neuve n° 4 avec cour, grange, écurie, puits, aisances, droits et dépendances, d’un côté le Sr Wurtz cloutier, de l’autre le Sr Goerner boucher, devant la rue, derrière le Sr Zabern batelier – acquis de Marguerite Goepet épouse de David Baehr, propriétaire, par acte reçu Lex notaire le 8 septembre 1810. Les conjoints l’ont occupé en majeure partie, estimée 5200 francs
garde robe 47 fr, remploi terres 483 fr, total 530 fr
propres de la veuve, garde robe de son époux
communauté, mobilier 223 fr, linge 83 fr, chevaux et instruments aratoires 215 fr, total 521 fr, récolte 120 fr, total 641 fr – terres à Dintzheim 200 fr – total général 6041 fr – passif 7830 fr
n° 904 du 25.11., Cession d’hérédité, à la veuve de tous droits successifs
Enregistrement, acp 135 F° 38 du 28.7.

Barbe Buxbaum veuve de Joseph Perrin, vend la maison au phamacien Henri Hoff moyennant 6 200 francs

1819 (9.3.), Strasbourg 8 (26), M° Roessel n° 6282
Barbe Buxbaum veuve de Joseph Perrin, propriétaire
à Henri Hoff, phamacien
une maison située à Strasbourg quai des Pêcheurs rue Neuve n° 4 avec cour, grange, écurie, puits, aisances et dépendances d’un côté le Sr Wurtz cloutier, de l’autre Sr Gaerner boucher, derrière la propriété du Sr Zabern batelier – acquis par M Perrin conjointement avec la venderesse de Marguerite Goepet épouse de David Baehr propriétaire suivant acte reçu M° Lex le 8 septembre 1810 – la Dame Perrin est propriétaire de la moitié que son mari possédait dans la maison au moyen de la cession que lui ont faite ses héritiers de leurs droits successifs par acte reçu M° Bremsinger le 25 novembre 1817 transcrit au bureau des hypothèques 108 n° 76 – 6200 francs
Enregistrement, acp 142 F° 70 du 11.3.

Natif d’Oberkirch en Bade, le pharmacien Henri Aloïse Fidèle Hoff épouse en 1803 Françoise Scheitel, fille de Cyriaque Pierre Scheitel, pharmacien à Molsheim
Mariage, Molsheim (n° 18)
Cejourd’hui 15 du mois de Messidor an XI de la republique françoise une et indivisible. Acte de mariage de henri Aloisÿ Fidel hooff pharmacien né le 11 du mois de septembre 1772 à oberkirch Electorat de Baden outre le rein, fils légitime de feu Laurent hoof commerçant et de marie anne claire Kessler conjoints, citoyen domicilié au dit oberkirch, domicilié depuis sept ans à Strasbourg d’une part, et cath[er]ine Françoise Scheitel née le 12 du mois de novambre 1785 à molsheim departement du bas rhin fille légitime et mineure de ciriac pierre Scheitel pharmacien et de feüe Françoise Belling conjoints citoyens Domiciliés à molsheim d’autre part (signé) H Hoff, Catherine Scheitel (i 11)

Henri Hoff loue la maison au laitier (marcaire) François Joseph Beck

1819 (1.7.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 44
Cejourd’hui 25 mars 1819 le Sr Henri Hoff pharmacien demeurant à Strasbourg donne & abandonne à titre de bail à loyer pour mars années consécutives qui commenceront au 25 juin prochain & finiront à pareille époque de l’année 1822
au Sr François Joseph Beck, laitier demeurant en ladite ville, ce acceptant et soussigné
Une maison, cour, grange, écurie, aisances, & dépendances située à Strasbourg quai des pêcheurs Rue neuve n° 4 appartenant au Sr Hoff pour l’avoir acquise au mois de février 1819 suivant contrat passé devant le notaire Roessel et son collègue en la même ville sur les héritiers Perrin de ce lieu. Ce bail est fait moyennant un loyer annuel de 600 francs (…)

Henri Aloïse Hoff meurt en 1826 en délaissant quatre enfants. L’inventaire est dressé dans une maison rue des Orfèvres.

1826 (31.5.), Strasbourg 15 (39), M° Lacombe n° 7423
Inventaire de la succession de Henri Aloïse Hoff, pharmacien, décédé le 19 février dernier – à la requête de la veuve Marie Catherine Scheitel, mère et tutrice légale de (a) Marie Catherine Josephine âgée de 19 ans, (b) Jean Henri âgé de 15 ans, (c) Marie Françoise âgée de 11 ans, (d) Joseph Charles âgé de 9 ans: 2. Jean Georges Müller, propriétaire, subrogé tuteur desdits mineurs
(communauté) 9. une maison à Strasbourg quai des Pêcheurs rue Neuve n° 4 avec droits et dépendances, d’un côté le Sr Nonnenmann, de l’autre le Sr Meyer derrière la veuve Zabern – acquis de Barbe Buxbaum veuve de Joseph Perrin par acte reçu M° Roessel le 9 mars 1819, transcrit, estimée 4000 francs
(propre) 10. une maison sise à Strasbourg rue des Orfèvres n° 12 , d’un côté M Moll chirurgien, de l’autre le Sr Froschhhammer, provenant de Jean Bessières, pharmacien à Oberkirch en 1800, estimée 20.000 francs
total de la communauté 140 699 fr – passif 4156 fr
en la maison mortuaire rue des Orfèvres n° 12 – mobilier, chambre contiguë à un salon au premier étage, au salon premier étage, chambre à côté du salon, chambre à coucher à côté de la précédente, chambre à coucher donnant sur le Marché Neuf, aux mansardes, dans le corridor, chambre, chambre des domestiques, au rez de chaussée donnant sur le Marché Neuf, dans la cusisne, cave, 5343 fr, créances 115 281 fr, ustensiles de pharmacie, pharmacie, laboratoire, cave, magasin 2455 fr, numéraire 2400 fr
une maison à Düttlenheim, Marlenheim, biens à Düttlenheim, Lampertheim, Illkirch, maison à Illkirch, terres à Willgottheim
acp 179 (3 Q 29 894) f° 6 du 8.6.

Testament de Catherine Scheitel veuve de Henri Hoff
1853 (10.12.), M° Momy
Dépôt du testament olographe de Catherine Scheitel veuve de Henri Hoff vivant pharmacien à Strasbourg, décédée le 9 décembre 1853, ledit testament en date du 2 octobre 1852, enregistré ce jourd’hui aux actes s.s.p.
acp 425 (3 Q 30 140) f° 52 du 15.12.

2 octobre 1852, Testament – Je soussigné Catherine Scheitel veuve de Henri Hoff, en son vivant pharmacien domicilié demeurant à Strasbourg, voulant prévenir, autant qu’il est en mon pouvoir, les contestations qui pourraient s’élever entre mes enfants lors de l’ouverture de ma succession, ait fait le présent testament
Chacun de mes quatre enfants devra rapporter à ma succession la somme qu’il a réellement reçue de moi en avancement de ma succession par son contrat de mariage, savoir Mad. veuve Duché 11.000 francs, Mad. Hürstel 9000 francs, Messieurs Henry Hoff et Charles Hoff chacun 4000 francs. Dans la cas où l’un ou l’autre de mes dits enfants prétendrait contester le chiffre de ces rapports et obliger l’un de ses frères et sœurs à faire rapport d’une somme supérieure, je prive celui de mes enfants qui élèverait semblable constestation du quart de la part civile à laquelle il aurait droit dans ma succession, je donne lègue le quart par préciput hors part à celui dont le rapport aurait été critiqué.
Je donne lègue par préciput hors part à mes deux filles mon linge de corps (…), à Fanny Hürstel ma petite fille (…) à Marie Hoff fille de mon fils Henry (…)
Enregistrement de Strasbourg, ssp 116 (3 Q 31 615) f° 7 du 15.12.1853

Marie Catherine Scheitel et ses enfants vendent la maison au charpentier Jean Georges Monhart et à sa femme Madeleine Sophie Grantil moyennant 4 000 francs

1826 (29.8.), Strasbourg 15 (40), M° Lacombe n° 7524
Marie Catherine Scheitel veuve de Henri Aloyse Fidele Hoff, pharmacien tant en son nom et que celui de ses 4 enfants mineurs Marie Catherine Joséphine, Jean Henri, Marie Françoise, Joseph Charles
à Jean Georges Monhart, charpentier, et Madeleine Sophie Grantil
la maison située en cette ville quai des Pêcheurs rue Neuve n° 4 avec cour, grange, écurie, puits, aisances, appartenances et dépendances, compris un fourneau de fonte, d’un côté la veuve Nonnenmann indiqué auparavant Wurtz cloutier, de l’autre le Sr Meyer, derrière le Sr Zabern – acquis pendant la communauté de Barbe Buxbaumen veuve de Joseph Perrin, propriétaire, par acte reçu M° Roessel le 9 mars 1819 transcrit au bureau des hypothèques vol. 115 n° 115, lequel Perrin l’avait acquis de Marguerite Goepet [sic] épouse de David Baehr par acte M° Lex le 8 septembre 1817 – pour 4000 francs
Enregistrement, acp 180 F° 51-v du 4.9.

Originaire de Basadingen en Thurgovie, Jean George Monhard épouse en 1814 Sophie Madeleine Grandhil, fille du cocher Henri Grandhil
Mariage, Strasbourg (n° 422)
Acte de mariage, célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 7 décembre 1814. Jean George Monhard, majeur d’ans, né en légitime mariage le 9 mai 1784 à Basadingen, Canton de Thurgau en Suisse, domicilié à Strasbourg, Garçon charpentier, fils de feu Georges Monhard, maître d’école décédé à Basadingen le 4 septembre 1791 et d’Elisabeth Greser
Sophie Madeleine Grandhil, majeure d’ans, née en légitime mariage le 6 octobre 1785 à Strasbourg domiciliée à Strasbourg, fille de Henri Grandhil, cocher, et de feu Madeleine Heimus, décédée en cette ville le 13 mars dernier (…) Le dit époux produit un acte de consentement de sa mère au présent mariage passé par devant le Petit sénat du canton de Turgovie en date de Frauenfeld du 9 novembre dernier, et ladite épouse déclare par serment qu’elle est dans l’impossibilité de produire la preuve de l’absence de son père attendu que le lieu de son dernier domicile lui est inconnu (signé) Johan georg Monhart, Sophia natalänna Grandill (i 49)

Registre de population 600 MW 146 (1830 sqq) quai des Pêcheurs N° 4 rue Neuve f° 250 (i 260)
Monhard Jean Georges, 1783, basadingen Allemagne, charpentier, garçon (à Str. depuis) 15 Xbre 1812, (carte) 263, (auparavant gaebwiller, (entré) idem, (sorti) 1818 sans déclaration
(f° 252) i 262
Monhard Jean Georges, 9 mai 1784, Basadingen Suisse, ouvr. charpentier, marié (à Str. depuis) 15 Xbre 1812, (entrée) 17 avril 1827, (auparavant) rue Guillaume 12, (entrée) 17. 8.br 1822, (sortie) f. m. 1834, rue ramoneurs 36
id. née Grandhil, Sophie mad°, 6. 8.bre 1787, Strasbourg B. Rhin, épouse, (entrée) 17. 8.br 1822, (sortie) 5 fev. 1828, rue balayeurss 37

Jean Georges Monhardt meurt en 1844 en délaissant pour unique héritière sa sœur.
1844 (9.4.), Strasbourg 15 (75), M° Lacombe n° 4342
Inventaire après le décès de Jean Georges Monhardt
Cejourd’hui Mardi 9 avril 1844 à deux heures de relevée en la Maison rue Saint Médard n° 2 à Strasbourg au premier étage au local qui était occupé par le défunt. A la requête de Madeleine Sophie Grandil, veuve de Jean Georges Monhardt vivant charpentier, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant 1° en son nom personnel en sa qualité de commune en biens avec feu le Sr Monhardt, son défunt mari avec lequel elle était mariée sans contrat anté-nuptial sous le régime de la communauté établie par le code civil et encore en qualité d’usufruitière à vie avec exemption de tout cautionnement de son dit défunt mari aux termes de la donation retenue au testament de ce dernier reçu par M° François Lacombe alors notaire à la résidence de Strasbourg (…) le 12 novembre 1826 enregistré à Strasbourg le 15 mars dernier (…) 2° en qualité de mandataire pour et au nom de Dame Elisabeth Monhardt épouse de Jacques Forster, journalier demeurant ensemble à Basadingen cercle de Diessenhoffen (Suisse) (…) La femme Forster née Elisabeth Monhardt habiles à se dire et porter seule et unique héritière du dit Sr Jean Georges Monhardt son frère germain décédé à Strasbourg le 15 mars dernier
acp 322 (3 Q 30 037) f° 21-v du 16.4. – Meubles 124 francs, garde robe du défunt 23
créances sur la caisse d’épargne 290

1844, M° Lacombe
12 novembre 1826. Testament par lequel Jean Georges Monhart charpentier à Strasbourg lègue à sa femme Madeleine Sophie Grandil l’usufruit de tous ses biens
acp 320 (3 Q 30 035) f° 100-v du 15.3. (décédé le 15 mars 1844)

Jean Georges Monhart et Madeleine Sophie Grandill vendent la maison au tonnelier François Zehnacker et à sa femme Madeleine Luttmann, de Küttolsheim

1833 (4.7.), Truchtersheim (7 E 59, 16), M° Wilhelm n° 1426
Jean Georges Monhart, charpentier, et Madeleine Sophie Grandill à Strasbourg
à François Zehnacker, tonnelier, et Madeleine Luttmann à Küttolsheim
une maison située en la ville de Strasbourg quai des Pêcheurs rue Neuve n° 4 avec cour, grange, écurie, puits, aisances, appartenances, dépendances, d’un côté Daniel Nonnenmann, de l’autre M. Meyer, devant la rue, derrière MM. Zabern et Schmitt – acquis sur Marie Catherine Scheitel veuve de Henri Aloyse Fidel Hoff, phramacien, suivant acte reçu M° Lacombe notaire à Strasbourg le 29 août 1826 transcrit au bureau des hypothèques vol. 193 n° 64
Strasbourg 12 (133), M° Noetinger, dépôt d’une copie avec quittance, n° 6457 du 30 juin 4000 fr

François Zehnacker épouse en 1820 Madeleine Luttmann, tous deux natifs de Küttolsheim
Mariage, Kuttolsheim (n° 8)
Acte de mariage, célébré à la Maison commune de Küttolsheim à dix heures du matin le 7 novembre 1820. Zehnacker, François, Garçon Majeur d’ans né en légitime mariage le 4° du mois de décembre 1793 à Küttolsheim, domicilié à Küttolsheim, tonnellier, fils de Zehnacker Joseph tonnellier domicilié à Küttolsheim et de Stempfer Marie Anne domiciliée à Küttolsheim
Lutmann Madeleine Demoiselle Majeure d’ans, née en légitime mariage le 3 vendémiaire l’an trois à Küttolsheim domiciliée à Küttolsheim, fille de Lutmann Joseph Cultivateur domicilié à Küttolsheim et de feu Weÿhaubt Barbe domiciliée à Küttolsheim (signé) Frantz Zehnacker, Magdalena Lutman (i 5)

François Zehnacker et Madeleine Luttmann exposent la maison aux enchères. L’acquéreur, sous réserve de surmise, est Jean Philippe Freyss, maître de poste à Entzheim

1839 (7.2.), Strasbourg 7 (93), M° Boersch
Cahier des Charges n° 835 du 5 janvier – Adjudication avec réserve de surmise n° 911 – François Zehnacker, tonnelier à Strasbourg, et Madeleine Luttmann
à Jean Philippe Freyss, maître de poste demeurant à Entzheim
Description de l’immeuble à vendre, une maison à rez de chaussée et deux étages avec bâtiment latéral, cave, puits, cour, grange, écurie, appartenances, dépendances sise à Strasbourg rue Neuve (quai des Pêcheurs) n° 4, d’un côté la propriété de M. Schmidt brasseur, de l’autre la propriété du Sr Meyer, devant la rue, derrière la propriété des Srs Schmidt et Zabern
Etablissement des titres de propriété, acquise sur Jean Georges Monhart, charpentier, et Madeleine Sophie Grandill, suivant vente reçue M° Wilhelm notaire à Truchtersheim le 4 juillet 1833. Ledit Monhard l’avait acquis sur Mde Hoff née Scheitel se portant fort de ses quatre enfants mineurs Marie Catherine Joséphine, Jean Marie, Marie Françoise, Joseph Charles, suivant acte reçu M° Lacombe le 29 août 1826 transcrit au bureau des hypothèques vol. 193 n° 64, Mde Hoff et des enfants l’avaient acquis sur Barbe Buxbaumer veuve de Joseph Perrin, propriétaire à Strasbourg, par vente devant M° Roessel le 9 mars 1819 transcrit au bureau des hypothèques vol. 115 n° 115. La Dame Perrin l’avait acquis sur David Baehr suivant vente devant M° Lex le 8 septembre 1810 – mise à prix 9000 fr – 9025 francs
Enregistrement, acp 266 F° 3-v du 11.2.

Lors de la vente par expropriation forcée poursuivie contre François Zehnacker et Madeleine Luttmann, la maison revient à Philippe Jacques Rasp pour 10 310 francs

1842 (27.9.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 391 (2616) n° 50
Le Tribunal Civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg, département du Bas-Rhin séant en ladite ville au Palais de justice a rendu le jugement d’adjudication dont la teneur suit
Cahier des charges de la vente par expropriation forcée poursuivie contre le Sieur François Zehnacker, tonnelier & Madeleine Luttmann sa femme, demeurant actuellement à Strasbourg.
Maître Valentin Schneegans, avoué de Maître Jacques Wilhelm Notaire du Canton de Truchtersheim, demeurant à Schnersheim, déclare qu’il est créancier du sieur François Zehnacker, tonnelier & Madeleine Luttmann sa femme demeurant à Strasbourg en vertu de deux jugemens rendus au tribunal civil de première instance séant à Strasbourg le 29 juin et 24 décembre 1835 et d’un exécutoire de dépens délivré par le Greffier du susdit tribunal le 26 janvier suivant de la somme principale de 95 francs 11 centimes (…) Faute par lesdits débiteurs Zehnacker d’avoir satisfait au commandement de trente jours à eux signifié par exploit du sieur Laugel, huissier à Schnersheim le 4 juin 1841 (…)
Désignation de l’Immeuble. Une Maison à rez de chaussée et un étage cave cour grange, écuries, puits, aisances et dépendances, sise à Strasbourg rue neuve quai des pêcheurs n° 4 d’un côté Daniel Nonnenmann, de l’autre le sieur Meyer, pardevant la rue, parderrière les sieurs Zabern & Schmitt. Ladite Maison Construite en briques et Couverte en tuiles, elle prend son entrée par une porte ordinaire et une porte Cochère ouvrant dans la rue neuve sur laquelle elle prend jour par cinq croisées, dont deux donnent sur la rue et trois dans la cour, le premier étage est éclairé par le même nombre de croisées et de la même manière. La superficie de ladite Maison est d’environ deux ares. Elle est occupée par les parties saisies et des locataires. Elle dépend de la justice de paix du canton Est de la ville de Strasbourg et sera vendue sous les clauses et conditions suivantes (…) Mise à prix. Le poursuivant met à prix ledit immeuble pour servir de première mise à la somme de 600 francs (…)
Publication. L’an 1842 le 17 juin
Adjudication. L’an 1842 le 29 juillet à l’audience publique des Criées du tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg (…) enchéri pendant plusieurs bougies et enfin par Maître Momy avoué à la somme de 4000 francs
Déclaration de surenchère. L’an 1842 le 29 juillet au greffe du tribunal civil de première instance séant à Strasbourg est comparu le sieur Jean Philippe Freysz, maître de poste domicilié à Entzheim, lequel assisté de Maître Lederlin, avoué près ce siège, a déclaré surenchérir du sixième la maison (…) En conséquence ledit sieur Freysz a déclaré porter le prix de cet immeuble à la somme de 4667 francs
Déclaration de command. L’an 1842 le 29 juillet. Est comparu Maître Eugène Momy, avoué de ce siège, lequel a déclaré avoir enchéri cejourd’hui à l’audience des criées dudit tribunal (…) pour la somme de 4000 francs au profit de Jean Georges Keller, ancien entrepreneur de travaux demeurant à Strasbourg
Adjudication sur surenchère. L’an 1842 le 19 août à l’audience publique des Criées du tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg (…) enchéri pendant plusieurs bougies et enfin par Maître Schneegans avoué à la somme de 10.310 francs
Déclaration de command. L’an 1842 le 19 août, est comparu Maître Schneegans avoué, lequel a déclaré avoir enchéri pour et au nom du sieur Philippe Jacques Rasp, propriétaire domicilié à Strasbourg

Le charron Philippe Jacques Rasp épouse en 1809 Marie Elisabeth Fries
1809 (2.10.), Strasbourg 5 (29), M° F. Grimmer n° 5846
Contrat de mariage – Philippe Jacques Rasp, charron, fils majeur de Jean Jacques Rasp, maître charron et de feue Marie Madeleine née Lix
Marie Elisabeth Fries, fille de feu Jean Michel Fries, faiseur de crics et de feue Marie Elisabeth Wimmerling
dans la maison du père du futur fauxbourg de Saverne n° 33
Enregistrement, acp 113 F° 84 du 7.10.

Inventaire des apports
1810 (9.4.), Strasbourg 5 (30), M° F. Grimmer n° 6235
Inventaire des apports de Jacques Rasp charon et de Marie Elisabeth Fries, suivant contrat de mariage reçu par ledit notaire le 2 octobre dernier
en la demeure des conjoints fauxbourg de Saverne n° 33
la mari: meubles 617 fr, ustensiles de charonage 4452 fr, créances 3600 fr, immeubles, le quart indivis des immeubles spécifiés dans l’inventaire de la succession de Marie Madeleine Lix épouse de Jean Jacques Rasp, dressé par M° Stoeber les 15 et 16 germinal 13 pour note, argenterie 263 fr, total 8932 fr
la femme: meubles 885 fr, argenterie 86 fr, numéraire 1200 fr,
portion d’immeuble, Le tiers par indivis d’une boutique de faiseur de crics en cette ville quai Nicolas donnant sur la rivière, pour note
total 2171 fr, présents de noces 156 fr
Enregistrement, acp 114 F° 116 du 16.4.

Philippe Jacques Rasp loue la maison au voiturier Laurent Huntzinger et à sa femme Rosalie Oberlé

1842 (24.8.), Strasbourg 7 (98), M° Boersch n° 3383
24 Août 1842. Bail – a comparu le sieur Philippe Jacques Rasp, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg, lequel a par les présentes loué à titre de bail à loyer pour neuf années entières et consécutives qui ont commencé à courir le 25 juin dernier pour finir à pareil jour de l’année 1851
au Sieur Laurent Huntzinger, voiturier & à Dame Rosalie Oberlé sa femme de lui dument autorisée les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg rue de l’abreuvoir N° 17 preneurs solidaires ci présens et acceptant
Une Maison à rez de chaussée & deux étage avec bâtimens latéraux, cave, petite cour, grange, écurie, appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue Neuve Quai des pêcheurs n° 4, tenant d’un côté à Daniel Nonnenmann, de l’autre côté au Sr Meyer, donnant par devant sur la rue & attenant par derrière à la propriété de M. M. Schmidt & Zabern. Tel que cet immeuble se poursuit s’étend & se comporte en son état acutel & tel que Mr Rasp l’a acquis de François Zehnacker, tonnelier à Strasbourg & de Madeleine Luttmann sa femme ensemble avec tous les objets réputés immeubles par la loi, le tout d’aileurs en bon état de réparations de toute espèce (…) moyennant un loyer annuel de 700 francs
acp 301 (3 Q 30 016) f° 67

Marie Elisabeth Fries meurt en 1850 en délaissant des héritiers collatéraux.

1850 (28. 8.bre), Strasbourg 4 (106), M° Lauth n° 4298
Inventaire de la succession de Marie Elisabeth Fries épouse de Philippe Jacques Rasp
Du 28 octobre 1850. A la requête 1. de M. Philippe Jacques Rasp, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant ès présentes 1° à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts qui avait existé entre entre lui et dame Marie Elisabeth Fries, son épouse défunte, aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Grimmer alors notaire à Strasbourg le 2 octobre 1839 enregistré, 2° comme donataire en usufruit de la fortune de sa dite épouse aux termes du même contrat de mariage, 3° et encore à cause de ses reprises et remplois qu’il aura à exercer contre la communauté,
2. de M. Jean Théophile Ehrenfeuchter, marchand de bois, demeurant et domicilié à Strasbourg, 3. De M Henri Fries, faiseur de crics demeurant et domicilié en la même ville, 4. de M. Jean Frédéric Hatt, licencié en droit demeurant et domicilié en cette ville, agissant comme mandataire général et spécial des personnes ci après nommées, savoir 1° de M. Henri Auguste Fries, capitaine au long cours et des apparaux du Havre, demeurant et domicilié à Ingouville (…) 2° de M. Frédéric Fries, tourneur demeurant et domicilié à Lillebonne (…), 3° de Melle Henriette Suerin Pecquereau, célibataire majeure demeurant et domiciliée à Paris, 4° de Madame Elisabeth Victoire Pecquereau, épouse de M. Jean Georges Eng, tourneur demeurant et domiciliés ensemble à Paris, 5° de M. Jean Théodore Pecquereau, ébéniste demeurant et domicilié aussi à Paris, 6° de Madame Marie Louise Braunstein, épouse de M. Louis Nicolas Bénard, marchand fruitier demeurant et domiciliés à Paris (…), 7° de M. Jacques Théodore Wimmerlin, balancier demeurant et domicilié à Paris (…), 8° de Dlle Barbe Wimmerlin, tailleuse d’habits demeurant et domiciliée à Nancy, 9° de Madame Victoire Wimmerlin épouse de M. Charles Louis Bergner, marchand épicier, demeurant et domiciliés à Nancy (…) 10° de Dame Caroline Madeleine Wimmerlin artiste dramatique, demeurant à Toulouse, épouse de M. Jean Pierre Bertin artiste darmatique demeurant à Carcassonne, les deux domiciliés à Strasbourg (…) 11° de M. Louis Wimmerlin, ébéniste demeurant et domicilié à Paris, 12° et de Madame Louise Wilhelmine Wimmerling, épouse de M. Léonard Chaput, marchand de papiers, demeurant et domiciliés dans la ville libre et anséatique de Hambourg (…),
5. de M. Edouard Weissadt, professeur demeurant et domicilié à Strasbourg, en qualité de mandataire général et spécial de Madame Marie Elisabeth Wimmerlin, épouse de M. Remi Marie Bigeault, percepteur des contributions directes, demeurant et domiciliés à Sundhausen,
6. de Madame Marie Madeleine Wimmerlin épouse assistée et autorisée de M. Jean Daniel Hagen, ancien directeur de la maison des orphelins à Strasbourg, demeurant et domiciliés à Schiltigheim,
7. de Madame Marie Madeleine Müller, veuve de M. Jean Georges Windesheim, en son vivant meunier à Strasbourg où elle demeure et est domiciliée,
8. de Madame Louise Wimmerlin veuve de M. Georges Müller en son vivant tonnelier à Strasbourg où elle demeure et est domiciliée,
9. et de M. Louise Edouard Füllhart, clerc de notaire demeurant et domicilié à Strasbourg, en qualité de mandataire général et spécial de Dlle Marguerite Madeleine Datt, célibataire majeure en jouissance de ses droits, demeurant et domiciliée à Brumath
M. Jean Théophile Ehrenfeuchter, M. Henri Fries, M. Henri Auguste Fries et M. Frédéric Fries cousins de feue Madame Rasp, seuls et plus proches parens de la ligne paternelle et en cette qualité habiles à se dire et porter seuls héritiers chacun pour un quart de la moitié de la succession de Madame Rasp
Melle Datt, Madame veuve Windesheim, M. Jacques Théodore Wimmerlin, Melle Barbe Wimmerlin, Madame Bergner, Madame Bertin, M Pecquereau, Madlle Pecquereau, Madame Eng, Madame Benard, Madame Hagen, Madame Bigeault, Madame Chaput, M. Louis Wimmerlin et Madame veuve Müller, cousins et cousines de feue Madame Rasp, seuls et plus proches parens de la ligne maternelle et en cette qualité habiles à se dire et porter seuls héritiers chacun pour un 15° de l’autre moitié de la succession de Madame Rasp.
Etablissement de la parenté. Madame Rasp fille de M. Jean Michel Fries et de dame Marie Elisabeth Wimmerlin décédés conjoints à Strasbourg. Ligne paternelle. M. Jean Michel Fries, père de Madame Rasp était fils de M. Jean Henri Fries, en son vivant faiseur de crics à Strasbourg, qui avait délaissé encore d’autres enfants et entre autres 1° Madame Madeleine Barbe Fries épouse de M. Théophile Ehrenfeuchter, marchand de vins à Strasbourg, mère de M. Ehrenfeuchter requérant 2° M. Henri Fries, faiseur de crics à Strasbourg, père de M. Henri Fries, requérant, 3° et M. Jacques Fries, capitaine au long cours au Havre, père de M. Henri Auguste Fries & de M. Frédéric Fries, mandants de M. Hatt
Ligne maternelle. Madame Fries née Marie Elisabeth Wimmerlin était fille de M. Jean Frédéric Wimmerlin, propriétaire à Strasbourg qui avait encore d’autres enfants et entre autres 1° Madame Salomé Wimmerlin, épouse de M. Michel Datt, fabricant de chandelles à Strasbourg mère de Mlle Datt, 2° Madame Marguerite Salomé Wimmerlin, épouse de M. Jean Müller, tailleur d’habits à Strasbourg, mère de Madame Windesheim requérante, 3° M. Jean Daniel Wimmerlin menuisier à Strasbourg père de M. Jacques Théodore Wimmerlin, Melle Barbe Wimmerlin, Madame Bergner et Madame Bertin, mandants de M. Hatt, 4° Dame Anne Suzanne Wimmerlin mariée en premières noces à M. Pecquereau, garde d’artillerie à Strasbourg et mariée en secondes noces à M. Braunstein tonnelier à Strasbourg, mère de M. Pecquereau, Madlle Pecquereau, Madame Eng, Madame Benard, mandans de M. Hatt, 5° M. Jean Philippe Wimmerlin, concierge du palais à Strasbourg père de Madame Hagen, Madame Bigeault et Madame Chaput, 6° et M. Jacques Frédéric Wimmerlin cordonnier à Strasbourg père de M Louis Wimmerlin et de Madame Müller

Du 30 octobre 1850 N° 4303 – Du 19 décembre 1850 N° 4412
Titres relatifs aux propres du défunt. La première est l’expédition de l’inventaire dressé après le décès du père du veuf requérant, M. Jean Jacques Rasp, cidevant Maître charron à Strasbourg par le dit M° Grimmer le 14 avril 1817. (…)
Ville de Strasbourg. 1. Une maison avec cour, jardin et dépendances sise au faubourg de Saverne Numéro 33 (…)
Cote 67°. Maison rue des Pêcheurs n° 4 saisie sur le sieur François Zehnacker, tonnelier & Dame Madeleine Luttmann conjoints à Strasbourg & adjugés au sieur requérant pour le prix de 10.310 francs. Cette grosse porte en marge le mention qu’elle a été transcrite au bureau des hypothèques el 27 septembre 1842 Volume 390 N° 50. M. Rasp déclare que le prix de cette acquisition est intégralement payé & qu’il a loué la maison à un sieur Rothfritsch pour un loyer annuel de 600 francs
Du 27 décembre 1850 N° 4421
Récapitulation des immeubles acquis durant le mariage. 148. Ville de Strasbourg Une maison avec dépendances sise quai des pêcheurs N° 4
Du 7 janvier 1854. N° 4438. Clôture
acp 396 (3 Q 30 111) f° 6 du 6.11. (succession déclarée le 6 janvier 1851 N° 384) Garde robe 474, bijoux 74 – Mobilier de la communauté 2528
acp 397 (3 Q 30 112) f° 53 du 27.12. Communauté, argent comptant 1000, remploi dus à la succession 3163, dus au veuf 8747
Description des titres et papiers. Communauté, immeubles 1) une maison à Bischheim au Saum, 2) une maison dit lieu, 3) une maisonnette dit lieu, 4) 10 ares de terre ban d’Oberhausbergen, 5) 10 ares terres, 6) 15 ares vignes, 7) 5 ares idem, 8) 10 ares terres, 9) 15 ares vignes, 10) une maison, 11) 11 ares 12 terres, 12) 6 ares 42 terres à Oberhausbergen
13) 13 ares vignes à Niederhausbergen
14) maison à Ittenheim, 15) 11 ares 71 terres, 16) 7 ares 50 vignes, 17) 6 ares verger, 18) 5 ares terre, 19) 5 ares terres, 20) 7 ares 50 terres, 27) 10 ares terres à Ittenheim
22) maison à Eckbolsheim, 23) maison n° 23, 24) 15 ares terres, 25) 15 ares terres, 26) 9 ares 06 prés, 27) 10 ares prés, 28) une maison N° 32, 29) 35 ares prés, 30) 2 ares 50 forêt, 31) 15 ares id. 32) 4 ares 90 idem, 33) 5 ares idem, 34) 15 ares idem
35) maison ban de Wolfisheim, 36 4 ares 83 vignes
37) à 40) terres à Oberschaeffolsheim,
41) à 44) terres prés à Achenheim,
45) à 47) forêt à Hangenbiethen,
48) maison à Breuschwickersheim, 49), 50) terres
52) 53) vignes à Osthoffen
54) vignes à Handschuheim
55) terres prés à Quatzenheim
56) maison à Eschau, 55) à 64) terres, 66) à 71) idem
65) terres à Plobsheim
74) à 76) terres à Illkirch
77) maison à Holtzheim, 77), 78) terres
79) 18 ares 40 terres à Wolfisheim
80) maison à Vendenheim
81) maison à Eckwersheim
82) terres à Reichstett
83) vignes à Küttolsheim
84) terres à Kleinatzenheim
85) terres à Gimbrett
86) maison à Neugartheim, 87) terres
88) terres à Gingsheim
89) maison à Waltenheim
90) à 108) terres à Strasbourg, maison quai des pêcheurs N° 4
acp 397 (3 Q 30 112) f° 73 du 6.1.1851 – Communauté, créances 96.745, créances douteuses 13.250, créances perdues 5023, Récapitulation des immeubles
acp 397 (3 Q 30 112) f° 85 – Récapitulation des créances – µRécompense due à la communauté 6000 francs

Marie Elisabeth Fries lègue à son mari la jouissance viagère de ses biens
1851 (6.10.), Strasbourg 4 (107), M° Lauth n° 4886
Dépôt du Testament olographe de Marie Elisabeth Fries décédée épouse de Philippe Jacques Rasp
acp 403 (3 Q 30 118) f° 91-v du 8.10.

12 octobre 1832, Testament – Je soussigné Marie Elisabeth Rasp née Fries ordonne par les présentes que mon époux Philippe Jacques Rasp aura la jouissance viagère de toute ma fortune délaissée après ma mort et cela sans garantie, c’est là ma dernière volonté
Enregistrement de Strasbourg, ssp 111 (3 Q 31 610) f° 57 du 8.10.1851

Cessions de droits par différents héritiers de Marie Elisabeth Fries

1851 (25.4.), Strasbourg 4 (106), M° Lauth n° 4640
Cession du 25 Avril 1851 – Fut présent M. Jean Frédéric Hatt, licencié en droit, domicilié & demeurant à Strasbourg, en qualité de mandataire de dame Caroline Madeleine Wimmerling, artiste dramatique attachée aux théâtres de Bordeaux y demeurant, épouse de M. Jean Pierre Bertin, artiste dramatique demeurant à Bayonne, précédemment à Carcassonne (…) a cédé et transporté
à dame Victorine Wimmerlin, épouse de M Charles Louis Bergner, marchand épicier demeurant à Strasbourg
tous les droits successifs mobiliers et immobiliers revenant à Madame Bertin dans la succession de dame Marie Elisabeth Fries, décédée épouse de M. Philippe Jacques Rasp, propriétaire à Strasbourg – à titre de forfait moyennant la somme de 700 francs
acp 399 (3 Q 30 114) f° 182 du 26.4.

1852 (16.2.), M° Lauth
Cession par le mandataire de Louise Wilhelmine Wimmerling épouse de Léonard Chapus, marchand de papier à Hambourg
à Samuel Bloch, propriétaire à Strasbourg
de tous les droits succesifs mobiliers et immobiliers lui avenant dans la succession d’Elisabeth Fries décédée épouse Philippe Jacques Rasp, propriétaire à Strasbourg – moyennant 700 francs
acp 407 (3 Q 30 122) f° 38-v du 16.2.

1852 (11. 9.br), Strasbourg 9 (101), M° Becker n° 5653
Vente de droits successifs, 11 Nov. 1852 – A comparu Madlle Marguerite Madeleine Datt, rentière demeurant à Brumath agissant comme héritière pour un 30° de feue
dame Marie Elisabeth Fries épouse de M. Philippe Jacques Rasp, propriétaire à Strasbourg, ainsi que cette qualité d’héritière est constatée par l’intiulé de l’inventaire dressé après son décès par M° Lauth Notaire à Strasbourg en date au commencement du 28. octobre 1850
à M. Hippolite Wildenstein, commerçant demeurant à Strasbourg, ce accepté par lui et par M. Lazare Wildenstein son fils demeurant avec lui
tous les droits successifs (…) moyennant 1200 francs
acp 414 (3 Q 30 129) f° 79 du 12 9.bre

Philippe Jacques Rasp meurt en 1858 après avoir institué l’avoué Adolphe Wolff pour son légataire universel

1858 (15.4.) M° Grimmer
15 avril 1858 – Inventaire de la succession délaissée par Philippe Jacques Rasp, charron à Strasbourg où il est décédé le 21 mars 1858, dressé à la requête de Jacques Gustave Adolphe Wolff, avoué à Strasbourg, légataire universel du défunt
acp 468 (3 Q 30 183) f° 68 du 19.4. Il dépend de ladite succession un mobilier estimé à 1902, argent comptant 761
acp 469 (3 Q 30 184) f° 64-v du 26.5. (vacation du 17 mai) Description des titres et papiers, de laquelle il résulte que le Sr Rasp est créancier de différents particuliers d’une somme de 68.986 francs
acp 470 (3 Q 30 185) f° 49 du 1.7. (vacation du 23 juin) Description des titres de créances & pièces y relatifs pouvant s’élever à environ 52.000
acp 470 (3 Q 30 185) f° 84-v du 14.7. (vacation du 7 juillet) Description des titres et papiers et de testaments
acp 471 (3 Q 30 186) f° 16 du 25.7. (vacation du 26 juillet) immeubles 1) une maison à Bischheim au Saum rue Kalbsgass, 2) une maison dit lieu rue Maygaessel, 3) 10 ares de terre ban d’Oberhausbergen, 4) 10 ares terres, 5) 15 ares vignes, 6) une maison dit lieu rue Rubgass, 7) 11 ares idem, 8) 6 ares 42 terres, 9) 13 ares vignes Niederhausbergen, 10) maison à Ittenheim, 11) verger
12) maison à Eckbolsheim rue Weglaeng, 13) maison rue Nachtweid, 14) 15 ares terres, 15) 15 ares terres, 16) 9 ares prés, 17) 10 ares prés, 18) une maison à Eckbolsheim rue Kirchlaeger, 19) 30 ares prés, 20) 2 ares 50 forêt, 21) 15 ares id.
22) maison ban de Wolfisheim, 36 4 ares 83 vignes
23) 25), 26) terres à Oberschaeffolsheim,
24) vignes à Wolfisheim
27) vignes à Handschuheim
28) terres prés à Quatzenheim
29) terres à Eschau
30) maison à Graffenstaden
31) terres à Illkirch
32) maison à Eckwersheim
33) terres à Reichstett
34) vignes à Küttolsheim
35) terres à Kleinatzenheim
36) terres à Gimbrett
37) à 47) 48) maison quai des pêcheurs N° 4, 49) à 52) 54) terres à Strasbourg
53) terres à Bernolsheim
55) maison à Eschau
56) jardin à Hoerdt
86) maison à Neugartheim, 87) terres
88) terres à Gingsheim
89) maison à Waltenheim
58) maison à Holtzheim, 57)
59) terres à Wolfisheim
60) maison à Strasbourg im Bubenwaesserlé
Description des titres de famille
acp 473 (3 Q 30 188) f° 49-v du 2.11. (vacation du 27 octobre – succession déclarée le 7 mars 1859) Description des titres
acp 474 (3 Q 30 189) f° 60 du 14. X.br (vacation du 6 décembre) Créances de la communauté 49.839, créances douteuses 7770, créances perdues 27.019 – Créances propres au défunt 54.704, créances douteuses 15.249, créances perdues 28.956
acp 475 (3 Q 30 190) f° 61 du 20.1. (vacation du 12 janvier 1859) Immeubles propres au Sr Rasp. Une maison à Strasbourg faubourg de Saverne n° 33
Loyers d’immeubles de la communauté 328, douteux 610, perdus 2414 – Loyers d’immeubles propres 396, loyers d’immeubles dont les titres sont égarés 44
Compte de l’exécuteur testamentaire, il a touché 610, il a payé 733 – Passif 24.170
Renonciation par les héritiers aux créances qui sont d’un mouvement désespéré

Différents testaments de Philippe Jacques Rasp
1858 (30.3.), M° Grimmer
Dépôt du testament olographe de Philippe Jacques Rasp, ancien charron à Strasbourg, ledit testament en date du 18 mars 1856 enregistré cejourd’hui
acp 468 (3 Q 30 183) f° 26-v du 5.4.

1858 (17.3.), M° Ritleng
Testament de Philippe Jacques Rasp, propriétaire à Strasbourg, par lequel il lègue à Philippe Jacques Sengel natif de Graffenstaden, charron à Paris (…) un capital de 10.000 francs – décès du 20 mars 1858
acp 468 (3 Q 30 183) f° 3-v du 25.3.

1858 (20.4.), M° Lauth
Dépôt du testament olographe de Philippe Jacques Rasp, décédé propriétaire à Strasbourg, en date du premier octobre 1850, enregistré ce jourd’hui
acp 468 (3 Q 30 183) f° 81 du 24.4.

1858 (25.4.), M° Stromeyer
Dépôt du testament olographe de Philippe Jacques Rasp, propriétaire à Strasbourg, décédé le 21 mars dernier, ce testament en date du 6 août 1839, enregistré ce jourd’hui
acp 468 (3 Q 30 183) f° 97 du 1.5.

1858 (11.5.), M° Grimmer
Dépôt du testament olographe de Philippe Jacques Rasp, ancien charron à Strasbourg en date di 18 mars 1856, enregistré ce jour d’hui
acp 469 (3 Q 30 184) f° 37 du 12.5.

1858 (30.6.), M° Grimmer
Dépôt de quatre testaments olographes de Philippe Jacques Rasp, propriétaire à Strasbourg en dates des 16 septembre 1580, 18 mai 1851, 15 novembre 1587 et 14 février 1858
acp 470 (3 Q 30 185) f° 48-v du 1.7.

Enregistrement de Strasbourg, ssp 127 (3 Q 31 626) f° 13-14 du 5.4.
8 mars 1856, Testament de Philippe Jacques Rasp
autre 28-v du 24.4 – 1 octobre 1850, Testament
autre 32-v du 1.5. – 6 août1839, Testament
autre 40-v du 12.5. – 3 avril 1858, Testament
autre 68-v, 69 du 1.7. – 16 septembre1850, Testament
autre 92-v du 6.8. – 2 janvier 1858, Testament

1858 (31.12.), M° Grimmer
31. Xbre 1858 – Dépôt du testament olographe de Philippe Jacques Rasp, ancien charron à Strasbourg, ledit testament en date du 8 mars 1858 enregistré cejourd’hui
acp 475 (3 Q 30 190) f° 12 du 4.1.1859

Autres cessions de droits

1858 (17.8.), M° Grimmer subst. par Zimmer
Cession par Marie Madeleine Wimmerlin veuve de Jean Daniel Hagen, vivant ancien directeur de la maison des orphelins de Strasbourg, elle domiciliée à Muscy sur l’Aise
à David Weil, boucher à Strasbourg
de tous les droits succesifs tant mobiliers qu’immobiliers revenant à la cédante dans la succession de Marie Elisabeth Fries décédée épouse Philippe Jacques Rasp, propriétaire à Strasbourg – moyennant 1500 francs
acp 471 (3 Q 30 186) f° 74-v du 20.8.

1859 (18.4.), M° Lauth
Cession – Louise Wimmerlin veuve de Georges Müller, vivant tonnelier à Strasbourg
à Catherine Marguerite Hamann, célibataire à Strasbourg
de tous les droits succesifs mobiliers et immobiliers revenant à la cédante dans la succession de Marie Elisabeth Fries décédée épouse Philippe Jacques Rasp, propriétaire à Strasbourg, de laquelle elle est héritière pour un 30° – moyennant 1000 francs
acp 478 (3 Q 30 193) f° 10 du 19.4.

1859 (3.6.), M° Lauth
Cession par le mandataire de Henri Auguste Fries, sergent au 62° de ligne en garnison à Vincennes
à Samuel Bloch, négociant à Strasbourg
de tous les droits succesifs mobiliers et immobiliers lui revenant dans la succession de Marie Elisabeth Fries épouse Philippe Jacques Rasp, propriétaire à Strasbourg, constaté par inventaire reçu Lauth notaire le 23 octobre 1850 – moyennant 1100 francs
acp 479 (3 Q 30 194) f° 20 du 8.6.

1859 (31.10., Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 788 (2928) n° 17
Joseph Fevre à Nancy
14 novembre 1851 – Pardevant M° Joseph Fevre et son collègue notaires à Nancy
a comparu Madame Barbe Wimmerlin, tailleuse demeurant à Nancy, agissant en qualité d’héritière pour partie ainsi déclaré de Madame Marie Elisabeth Fries épouse de Monsieur Philippe Jacques Rasp, propriétaire demeurant à Strasbourgn décédée en cette ernière ville le 6 juillet 1850 ainsi qu’il résulte de l’intitulé de l’inventaire fait après son décès par Monsieur Auguste Frédéric Lauth et son collègue notaires à Strasbourg les 28, 29 et 30 octobre 1850 (…) laquelle a cédé et transporté
à Monsieur Charles Louis Bergner, Marchand épicier et dame Victorine Wimmerlin sa femme qu’il autorise demeurant ensemble à Nancy à ce présent et acceptant
tous les droits successifs mobiliers et immobiliers (…) pour 300 francs

Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 788 (2928) n° 18
31 mai 1851 – Pardevant M° Charles Edmond Hubert et son collègue notaires à Paris a comparu Madame Elisabeth Victoire Pecquereau épouse de Monsieur Jean Georges Eng, tourneur avec lequel elle demeure à Paris Rue du Faubourg Saint Denis N° 81, héritière pour un 15° dans la moitié afférente à la ligne maternelle de Marie Elisabeth Fries épouse de Monsieur Philippe Jacques Rasp propriétaire demeurant à Strasbourg et décédée en cette ville le 6 juillet 1850 ainsi que le constate l’intitulé de l’inventaire dressé après le décès de ladite dame Rasp par M° Lauth et son collègue notaires à Strasbourg les 28 octobre dernier et jours suivants (…) laquelle a cédé et transporté
à Monsieur Charles Louis Bergner, marchand épicier demeurant à Nancy et momentanément logé à Paris chez Monsieur Wimmerlin balancier demeurant à Paris rue de la Corderie du temple numéro 17, ledit sieur Bergner à ce présent et acceptant
tous les droits successifs mobiliers et immobiliers (…) pour 160 francs
Déclarent Monsieur et Madame Eng qu’ils sont mariés sous le régime de la communauté légale à défaut de contrat qui ait réglé les clauses et conditions civiles de leur union célébrée et 7° arrondissement de Paris le 26 octobre 1826

Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 788 (2928) n° 19
21 mai 1851 – Pardevant M° Charles Edmond Hubert et son collègue notaires à Paris a comparu Monsieur Jacques Théodore Wimmerlin, balancier demeurant à Paris rue de la Corderie du temple numéro 17, héritier pour un 15° dans la moitié afférente à la ligne maternelle de Marie Elisabeth Fries épouse de Monsieur Philippe Jacques Rasp propriétaire demeurant à Strasbourg et décédée en cette ville le 6 juillet 1850 ainsi que le constate l’intitulé de l’inventaire dressé après le décès de ladite dame Rasp par M° Lauth et son collègue notaires à Strasbourg les 28 octobre dernier et jours suivants (…) lequel a cédé et transporté
à Monsieur Charles Louis Bergner, marchand épicier demeurant à Nancy et momentanément logé à Paris chez ledit sieur Wimmerlin, à ce présent et acceptant
tous les droits successifs mobiliers et immobiliers (…) pour 160 francs
Déclare le sieur Wimmerlin qu’il est célibataire (…)

Liquidation et partage
1861 (27.5.), Strasbourg 4 (119), M° Lauth
acp 499 (3 Q 30 214) f° 33-v du 29.5.
Liquidation et partage – Philippe Jacques Rasp et Elisabeth Fries

1861 (15.7.), M° Strasbourg 4 (119), M° Lauth
acp 500 (3 Q 30 215) f° 68-v du 17.7.
Liquidation et partage – Marie Elisabeth Fries épouse Philippe Jacques Rasp

1861 (18.10.), Strasbourg 4 (119), M° Lauth
acp 503 (3 Q 30 218) f° 22 du 18.10.
Dépôt de l’homologation de la liquidation des biens ayant appartenu à Philippe Jacques Rasp

1862 (15.10.), M° Grimmer
acp 515 (3 Q 30 230) f° 24 du 22.10.
Liquidation et partage Philippe Jacques Rasp, charron

Les héritiers de Philippe Jacques Rasp et de Marie Elisabeth Fries vendent la maison à Quentin Rohfritsch et à sa femme Marie Rosalie Braun moyennant 5 000 francs

1860 (24.4.), M° Lauth
Adjudication définitive d’une maison dépendant de la succession de Philippe Jacques Rasp, vivant charron à Strasbourg et de Marie Elisabeth Fries sa femme, à la requête de Frédéric Henri Rasp, tonnelier à Strasbourg et 24 autres cohéritiers
à Quentin Rohfritsch et Marie Rosalie Braun
quai des Pêcheurs N° 5 moyennant 5000 francs
acp 487 (3 Q 30 202) f° 81 du 1.5.

Natif de Lupstein, Quentin Rohfritsch (ici Rothfritsch) épouse en 1839 Marie Rosalie Braun de Dingsheim
Mariage, Dingsheim (n° 4)
Mairie de Dingsheim. Le 28° jour du mois de Novembre 1839 à dix heures du matin, Acte de mariage de Quentin Rothfritsch, garçon laboureur à Dingsheim, majeur d’ans, âgé de 28 ans, né à Lupstein le 18 novembre 1811 fils légitime de feu Antoine Rothfritsch, laboureur à Lupstein y décédé le 19 décembre 1829 et de Barbe Geiss, âgée de 51 ans, domiciliée à Lupstein, ladite mère ci présente et consentante
et de Marie Rosalie Braun, domiciliée à Dingsheim, majeure d’ans, âgée de 22 ans, née à Dingsheim le 5 février 1816 fille légitimee de Antoine Braun âgé de 51 ans, laboureur à Dingsheim et de Françoise Gries, âgée de 40 ans, domiciliée à Dingsheim lesdits père et mère ci présente et consentants (signé) quintinus Rohfritsch, Maria Rosalia Braun (i 3)

Registre de population 600 MW 369 (1850 sqq)
Rohfritsch, Quentin, 1812, h.m. Cultivateur, catholique, français (à Str. depuis) 1838
id. née Braun, Rosalie, Dingsheim 1817, f.m., sa femme
id. Jean, Strasbourg 40, g, son fils – C. 17 mai 59
id. Louis, Strasbourg 41,g, son fils
id. Justine, Strasbourg 44, f, sa fille
id. Victor, 8 juin 45, g, son fils – Crt. remplacement le 18 juin 1866
id. Mathilde, id. 50, f, sa fille
id. Marie, Strasbourg 52, f, sa fille
id. Joséphine, id. 55, f, sa fille
Braun Cécile, Dingsheim 30 juin 32, f, sans profession, (à Str. depuis) 18 5.8.1859, (auparavant) Dingsheim, (carte de séjour) 3478

Quentin Rohfritsch et Marie Rosalie Braun hypothèquent la maison au profit de François Antoine Corbé

1866 (26.6.), Strasbourg 8 (78), M° Gustave Edouard Loew n° 1871
Obligation de 2000. fr, du 26 juin 1866 – Ont comparu le sieur Quentin Rohfritsch, cultivateur & laitier & Marie Rosalie Braun, son épouse qu’il assite & autorise demeurant ensemble & domiciliés à Strasbourg, lesquels reconnaissent devoir bien & légitimement à titre de prêt
à M. François Antoine Corbé, propriétaire demeurant & domicilié à Strasbourg, présent & acceptant, la somme principale de 2000 francs (…)
hypothèque, Section O 1058, Une maison avec cour & dépendances sise à Strasbourg, rue des pêcheurs près du quartier des pêcheurs N° 5, ancien 4, entre Jacques Oechsler et Georges Stoltz, devant la rue & derrière les sieurs Zabern & Nussbaum.
Les époux Rohfritsch déclarent qu’ils sont mariés en premières noces sous le régime de la communauté (…) Que l’immeuble prédésigné est franc & libre de toutes dettes, charges, privilèges & hypothèques et qu’ils en ont fait l’acquisition des héritiers de feu M. Philippe Jacques Rasp & d° Marie Elisabeth Fries décédés époux à Strasbourg suivant procès verbal d’adjudication dressé par M° Lauth à ce commis par justice notaire en ladite ville & un collègue le 24 avril 1864, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 16 mai suivant vol. 812 N° 142 (signé) quintin Rohfritsch, Rosalia Braun

Quentin Rohfritsch meurt dans sa maison au Neudorf en 1887 en délaissant trois enfants
1887 (9.9.), Strasbourg 24 (60), Joseph Allonas n° 10.028
Inventar I. der Errungenschaft Gütergemeinschaft die zwischen Eheleuten Quentin Rohfritsch & Maria Rosalie Braun, zu Neudorf Bannweile Straßburg bestanden hatte & II. des Nachlasses des genannten Rohfritsch gestorben den 3. September 1887.
Im Jahre 1887 den 9. September um vier Uhr abends in Neudorf Bannweile Straßburg Obergasse N° 87 im Sterbhause
Auf Anstehen von 1) Frau Maria Rosalie Braun, gewerblos zu Neudorf Bannweile Straßburg wohnhaft Wittwe des verlebten Quentin Rohfritsch, handelnd eigenen Namens a) wegen der Errungenschaft Gütergemeinschaft die in Ermanglung eines Ehevertrags zwischen ihr und ihrem genannt verstorbenen Ehemann bestanden hatte, b) wegen den Ersatzansprüchen & ehelichen Forderungen welche sie etwa gegen die gedachte Gütergemeinschaftsmasse eventuell gegen dem Nachlasse ihres Ehemanns geltend zu machen hat, c) als Schenknehmerin eines Viertels in vollem Eigenthum und ebensoviel in lebenslängliche, unentgeltliche & burgschaftsfreie Nutznießung am Nachlasse ihres verlebten Ehemanns laut Schenkungsurkunde des unterzeichneten Notars vom 9. April 1880
2) Frau Justina Rohfritsch hierzu ermächtigt von ihrem mitanwesenden Ehemann Georg Michel, Oktroieinnehmer mit welchen sie zu Strassburg Stelzengasse N° 4 wohnt, 3) Frau Maria Theresia Rohfritsch gewerblos zu Neudorf bei ihrer obengenannten Mutter zur Zeit aber nur vorübergehend wohnhaft zu Pantin in Frankreich bei ihrem hiernach genannten Ehegattin domizilirt, hierzu ermächtiget von ihrem Ehemann Karl Joseph Walter, Metzger zu Pantin Route de Flandre N° 14 wohnhaft (…) 4) Herr Karl Lauterbach, Notar im Amtssitze zu Straßburg, daselbst wohnhaft, handelnd als Vertreter deß zur Zeit abwesenden Eugen Rohfritsch würcklich ohne bekannte Wohn & Aufenthaltsort (…) die genannten a. Frau Michel geborene Rohfritsch, b. Frau Walter geborene Rohfritsch, c. Eugen Rohfritsch einzige Erbberechtigte zu einem drittel am Nachlasse ihres zu Neudorf Bann Straßburg den 3. laufenden Monats verlebten genannten Vaters Quentin Rohfritsch

Schenkung (…)
Immöbel. Neudorf Bannweile Strassburg. section G N° 885.p & 885 Ein Wohnhaus canton Ziegelfeld (…) die Obergasse wo das Besitzthum mit N° 87 bezeichnet ist
acp 793 (3 Q 30 508) f° 18-v n° 2173 du 16.9. (Sterbf. 21.1.88 Bd 155 n° 38)
acp 794 (3 Q 30 509) f° 66-v n° 2813 du 11.11. (vacation du 4 novembre) Gütergemeinschaft, Mobilien 94, baares geld 80, Ausstände geschuldet 160, 1200, 1440, 4000, 120, 80, 100, 500, 220, 71, 264, Sparkassen Einlage 120, 325
Immöbel, Bann Straßburg Neudorf G 883.p 883 Ein Wohnhaus mit Erdgeschoß, Scheune, Stallung unter einem Dache, Hof, Brunnen, Garten Rechten und Zubehör mit zusammen etwa 5,70 Are Fläche Canton Ziegelfeld
Ferner geschuldet 300
Rückbringen durch Eheleute Walter Rohfritsch laut Ehevertrag vor amt. Notar am 19 November 1877, 800
Ersatzansprüche an die Gemeinschaft 1) durch die Wittwe Rohfritsch für verkauftes Sondergut 4034
Nachlass, Garde robe 18, Beerdigungs Kosten 157

Quentin Rohfritsch lègue à sa femme un quart de ses biens en toute propriété et un autre quart en usufruit
1887, M° Allonas
9. April 1880, Schenkung auf Todesfall des hier am 3. September 1887 verstorbenen Quentin Rohfritsch, Eigenthümer in Neudorf, Bann Straßburg, an seine Ehefrau Marie Rosalie Braun eines Viertels in vollem Eigenthum und eines Viertels in lebenslängliche Nutznießung an seinem gesamten Nachlassvermögen
acp 792 (3 Q 30 507) f° 85 n° 2044 du 5.9.

1887 (5.9.), Allonas subs. durch Lauterbach
Offenkunde über das Ableben des am 3. ds. Mts zu Neudorf gestorbenen Eigenthümers Quentin Rohfritsch, Ehemann von Marie Rosalie Braun, beerbt durch seine 3 Kinder
acp 791 (3 Q 30 506) f° 39 n° 1704 du 5.9.

Liquidation et partage par laquelle la maison au Neudorf revient à la veuve
1888 (19.4), Strasbourg 24 (63) Joseph Allonas n° 10.441
Liquidation und Theilung I. der zwischen Eheleute Quentin Rohfritsch & Maria Rosalia Braun bestandenen gesetzlichen Gütergemeinschaft in Ermanglung eines Ehevertrages, II. des Nachlasses desselben H. Rohfritsch gestorben zu Neudorf den 3. September 1887.
Sind erschienen 1) Frau Maria Rosalia Braun, gewerblos zu Neudorf Bannweile Straßburg wohnhaft Wittwe des verlebten Quentin Rohfritsch, handelnd eigenen Namens a) wegen der gesetzlichen Errungenschaft Gütergemeinschaft die in Ermanglung eines Ehevertrages zwischen ihr und ihrem genannt verlebten Ehemann Herrn Quentin Rohfritsch bestanden hatte, b) wegen den Ersatzansprüchen & ehelichen Forderungen welche sie etwa gegen die gedachte Gütergemeinschaftsmasse eventuell gegen dem Nachlasse ihres Ehemanns geltend zu machen hat, c) als Schenknehmerin eines Viertels in vollem Eigenthum und ebensoviel in lebenslängliche, unentgeltliche und burgschaftsfreie Nutznießung am Nachlasse ihres verlebten Ehemanns laut Schenkungsurkunde des unterzeichneten Notars vom 9. April 1880
2) Frau Maria Justina Rohfritsch hierzu ermächtigt von ihrem mitanwesenden Ehemann Georg Michel, Oktroieinnehmer mit welchen sie zu Strassburg Stelzengasse N° 4 wohnt, 3) Herr Ludwig Arbogast, Staatspensionär zu Straßburg wohnhaft, handelnd im Naman & als Bevollmächtigter von Frau Maria Theresia Rohfritsch Gattin des Karl Joseph Walter, Metzger mit welchem sie zu Pantin Route de Flandre N° 14 wohnhaft ist (…) 4) Herr Karl Lauterbach, Notar mit dem Amtssitze zu Straßburg, daselbst wohnhaft, handelnd als Vertreter deß zur Zeit abwesenden Eugen Rohfritsch Bäckerbursche ohne bekannte Wohn & Aufenthaltsort gebürtig von Neudorf (…) die genannten a. Frau Michel geborene Rohfritsch, b. Frau Walter geborene Rohfritsch, c. Eugen Rohfritsch einzige Erbberechtigte zu einem drittel am Nachlasse ihres zu Neudorf Bann Straßburg den 3. laufenden Monats verlebten genannten Vaters Quentin Rohfritsch

Vorbemerkungen. I. Vorbemerkung. Heirath der Eheleute Rohfritsch. Eheleute Rohfritsch-Braun heiratheten im Jahre 1839 ohne vorher einen Ehevertrag abgeschließen und waren demnach unter der herrschafft der gesetzlichen Gütergemeinschaft verehelicht
II. Vorbemerkung. Tod des H. Rohfritsch. Schenkung. Inventar (…)
III. Vorbemerkung. Wirkung der Theilung, Zinsberechnung (…)
acp 801 (3 Q 30 516) f° 37 n° 420 du 24.4. – Rechnung des Notars. Einnahme 280, Ausgaben bzw. Forderung an desselben 484, Ausgabeüberschuß 204.
Gütergemeinschaft. Aktiv Masse 1) Einnahme des Notars 280, 2) Schätzungspreis der Mobilien 94, 3) Baares Geld 80, 4) Ausstände 1501, 1440, 2849, 4000, 123, 82, 106, 515, 342, 402, 220, 4) Sparkasse büchlein 133, 354
6) Immöbel, Ein Wohnhaus mit Erdgeschoß, Scheune, Stallung unter einem Dache, Hof, Brunnen, Garten Rechten und Zubehör gelegen zu Neudorf Bann Straßburg 5,70 Are Fläche Canton Ziegelfeld G 883.p 883 mit zusammen, 2000
7) Entschädigung, Mitgift der Frau Walter 400
Passiva. 1) Ersatzansprüche der Wittwe 2834, 2) Ausgabe des Notars 123, 3) Zinsvergütung 19, Summa 2977
Abgleichung, Aktivüberschuß 12.347
Nachlass von Quentin Rohfritsch. Aktiva, 1) Hälfte des Aktivüberschußes 6173 2) Garde robe 81, 3) Rückbringen der Frau Walter laut Ehevertrag Allonas vom 19. November 1877, 800, Summa 6991
Passiv, Entschädigung an die Gemeinschafft 800, Kranckheits und Beerdigungskosten 157, Summa 957
Abgleichung, Aktivüberschuß 6034
Davon kommt zu (…) I. Der Wittwe (…) es wird ihr zugetheilt 12) das Wohnhaus

Marie Rosalie Braun meurt en 1891
1891 (18.4.), M° Allonas
Erbverzeichnis über den Nachlass der zu Neudorf am 31. März 1891 verstorbenen Marie Rosalie Braun Wittwe von Quentin Rohfritsch, auf Ansuchen der Kinder als
Justina Rohfritsch Ehefrau von Georg Michel, Oktroi Controleur hier
Maria Theresia Rohfritsch Ehefrau von Karl Joseph Walter, Metzgermeister zu Paris
Eugen Rohfritsch, Bäckergeselle ohne bekannte Wohn & Aufenthaltsort, vertreten durch Notar Lauterbach
acp 842 (3 Q 30 557) f° 17 n° 390 du 21.4. (Sterbf. Erkl. v. 23/7.91 Bd 183 n° 212) Die Mobilien sind dieselbe, wie sie im Inventar auf Ableben des Manns von dem amt. Notar vom 9. September, 4 & 5 November 1887 aufgezeichnet sind
acp 843 (3 Q 30 558) f° 16-v n° 969 du 26.5. (vacation du 23 mai) Erlöß der Mobilienversteigerung 459, baares Geld 340, Sparkasseneinlage 669, Forderungen 160, 1200, 1280, 1812, 400, 500, 100, Summa 9052 M, Forderungen 70, 2460
Immobilien, G 883.p 883 Ein Wohnhaus mit Erdgeschoß, Scheune, Stallung unter einem Dache, Hof, Brunnen, Garten Rechten und Zubehör gelegen zu Neudorf Bann Straßburg 5,70 Are Fläche Canton Ziegelfeld, Obergasse N° 87, erworben laut Kauf Stromeyer vom 29. März 1861
Schulden 389

Le marcaire Quentin Rohfritsch et Marie Rosalie Braun vendent le terrain sur lequel se trouvait une maison à l’entrepreneur Jacques Klein

1877 (17.8.), Strasbourg 1 (208), M° Alfred Ritleng aîné n° 10.231
Verkauf um 12.000 M, 17. August 1877 – Sind erschienen Herr Quentin Rohfritsch Melker und Eigenthümer und Frau Marie Rosalie Braun seine von ihem ermächtigte Ehegattin mit einander Zu Straßburg wohnhaft, im Ort genannt Neudorff in der Obergaß N° 87, welche erklären zu verkaufen (…)
dem Herrn Jacques Klein, Baumeister zu Strassburg wohnhaft, hier gegenwärtig und annehmend
section O n° 1058, Ein Terrain zu Strassburg gelegen in der Fischergaße N° 5, zwischen Hr Jacques Oechslin und H Georges Stoltz, stoßend hinten auf die Herren Zabern, Schmitt und Nussbaum
Herkunft des Eigenthums. Dieser Terrain bildete den Boden eines Hauses durch die Comparenten Eheleute Rohfritsch von den Erben Rasp erworben in Folgen eines Versteigerungs Protokolles vom 24. April 1860 errichtet vor H. Lauth damals Notar zu Straßburg dazu gerichtlich committirt in Hypothekenamt Strassburg überschrieben am 16. folgenden Mai Band 760 N° 7. Diese Liegenschaft hieng von der Gütergemeinschaft ab welche existirt hat zwischen H Philippe Jacques Rasp und Marie Elisabeth Fries seiner Ehegattin indem die genannten Eheleute Rasp dieselbe erworben hatten von Frantz Zehnacker Kiefer und Magdalena Luttmann seiner Ehegattin zufolge eines Zuschlagsurtheils am Straßburger Civilgericht ergangen am 19. August 1842 einregisrtirt und im Hypothekenamte Strassburg überschrieben vom 27. folgenden September Band 390 N° 50. Die Eigenschaften des Erben Rasp angegeben in einem Bedingnisheft errichtet durch den genannten Notar Lauth am 14. Dezember 1859 registrirt (…) Preis 12.000 Mark
Die Verkäufer erklären jedoch, daß der sämmtliche Theil des Bodens, welchen die Stadt Straßburg von Herrn Klein zurückkaufen wird, von diesem Privilegium ausgeschloßen bleiben soll
acp 668 (3 Q 30 383) f° 76-v du 17.8.

Jacques Klein et sa femme Marie Bachmann hypothèquent la maison n° 5-A au profit de Louise Kornmayer, veuve de Louis Théodore Benda et femme de Jean Joseph Werner

1877 (22.9.), Strasbourg 1 (208), M° Alfred Ritleng aîné n° 10.267
Schuldbekenntnis, 22 September 1877 – sind erschienen Herr Jacob Klein, Bauunternehmer, und Frau Maria Bachmann dessen von ihm ermächtigte Ehegattin beide mit einander zu Straßburg wohnhaft, welche erklären solidarisch mit einander schuldig zu sein
der Frau Louise Kornmayer, Wittwe in erster Ehe des Herrn Louis Théodore Benda und Ehefrau in zweiter Ehe des Herrn Jean Joseph Werner, Rentner zu Straßburg wohnhaft in der Krutenau N° 40, hier gegenwärtig und annehmend, unter’m Beistand ihres Gatten, Eine Hauptsumm von 12.000 Mark für baar gelehntes Geld (…)
versetzen, Nämlich Stadt Strassburg. Ein neu erbautes Wohnhaus auf gewölbtem Keller mit Erdgeschoß drei Stockwerken und Bühne, Zugehörungen und Anhängigkeiten in der Fischergasse N° 5. A gelegen einseit neben und anderseits Herr Klein hinten Herr Weiss, vornen die Gasse.
Eigenthumsnachweis. Herr Klein erklärt daß er das verpfändete Besitzthum selbst erbaut hat auf einem Theil des terrains, welcher er von Herrn Quentin Rohfritsch, Melker und Eigenthümer und Frau Marie Rosalie Braun dessen Ehegattin von Neudorf in Straßburgerbann, erkauft hat, laut Kaufvertrage vor dem unterzeichneten Notar Ritleng errichtet am 17. August 1887, registrirt – (…) Bürgerliche Standesverhaeltnisse der Schuldner. Die Eheleue Klein erklären daß sie unter dem Rechtsbestande der gesetzlichen Gütergemeinschaft verheirathet sind indem sie vor ihrer Ehe keinen Ehevertrag gemacht haben
Police d’assurance. L’Union. Agence de Strasbourg N° 29.909/ J. Klein, entrepreneur à Strasbourg rue des Poules N° 18, 36.000 francs 1° 30.000 francs sur une maison d’habitation située à Strasbourg Rue des Pêcheurs N° 5.A élevée sur cave voûtée, de rez-de-chaussée, trois étages et greniers, nouvellement construite en pierres, briques et bois, couverte en ardoises.
2° 6000 francs pour la garantir du recours des voisins de ladite maison

Jacques Klein cède à la Ville par voie d’alignement un terrain de 41,50 mètres carrés

1877 (28.11.), Maire (Bürgermeister Back)
4167. Verkauf durch Jakob Klein Bauunternehmer zu Straßburg
an die Stadt Straßburg
zur Herstellung des Alignements von 41,50 Q. Meter Fischergasse N° 5 zum Preise von M. 830
acp 670 (3 Q 30 385) f° 98-v du 7.12.

Jacques Klein et sa femme Marie Bachmann hypothèquent la maison n° 5-B au profit de Salomé Lydie Rhein, veuve du marchand Frédéric Edmond Redslob, du pasteur Jules Auguste Redslob et du rentier Thiébaut Dietrich

1877 (10.11.), Strasbourg 1 (208), M° Alfred Ritleng aîné n° 10.312
Schuldbekenntniss, 10 November 1877 – sind erschienen Herr Jacob Klein, Bauunternehmer, und Frau Maria Bachmann, dessen von ihm ermächtigte Ehegattin beide mit einander zu Straßburg wohnhaft, welche erklären solidarisch mit einander schuldig zu sein
I. der Frau Salomé Lydie Rhein, Wittwe des bei Lebzeiten gewesenen Kaufmanns Herrn Frédéric Edmond Redslob zu Straßburg wohnhaft, hier gegenwärtig und annehmend, eine Hauptsumm von 8000 Mark
II. dem Herrn Pastor Jules Auguste Redslob zu Straßburg wohnhaft, für welchen hier gegenwärtig ist, stipulirt und annimmt Herr Louis Edmond Redslob, Gutsbesitzer, ebenfalls zu Straßburg wohnhaft, eine Hauptsumme von 4000 Mark
III. dem Herrn Thiebaut Dietrich, Rentner zu Straßburg wohnhaft, hier gegenwätig und annehmend, eine Hauptsumme von 4000 Mark, zusammen 16.000 Mark hier baar gelehntes Geld
versetzen, Nämlich Stadt Strassburg. Ein Besitzthum zu Straßburg, Fischergasse N° 5 bis gelegen, bestehend aus einem Wohnhaus mit Vordergebäude, Seitengebäude mit Treppenhaus und Hintergebäude auf gewölbtem Keller, mit Erdgeschoß drei Stockwerken und Bühnen, Zugehörungen und Abhängigkeiten stoßend einerseits an die Eheleute Klein selbst andererseits an H. Stoltz, hinten an H. Weiss.
Eigenthumsnachweis. Herr Klein erklärt daß er das verpfändete Besitzthum selbst erbaut hat auf einem Theil des terrains, welcher er von Herrn Quentin Rohfritsch, Melker und Eigenthümer, und Frau Marie Rosalie Braun, dessen Ehegattin vom Neudorf, Straßburgerbann, erkauft hat, laut eines vor dem unterzeichneten Notar Ritleng am 17. August 1887 errichteten einregistrirten Kaufvertrages – (…) Bürgerliche Standesverhaeltnisse der Schuldner. Die Eheleute Klein erklären daß sie unter dem Rechtsbestande der gesetzlichen Gütergemeinschaft verheirathet sind indem sie vor ihrer Ehe keinen Ehevertrag gemacht haben
Police d’assurance. Le Monde. Agence de Strasbourg N° 6643, Klein Jacques, Date de la police 1° novembre 1877, durée dix ans
Klein, Jacques Entrepreneur demeurant à Strasbourg rue des Poules N° 18 agissant pour son compte comme propriétaire, la somme de 45.000 francs. art. 1° 35.000 francs sur une propriété sise à Strasbourg, rue des pêcheurs N° 5 (bis) composée d’une maison d’habitation de devant, d’un bâtiment latéral en aile, renfermant cage d’escalier & d’un bâtiment de fond élevé sur cave voûtée, rez-de-chaussée, surmonté de trois étages & combles, construite en pierres, couverte en ardoises & zinc. Nota. Les poêles avec leurs accessoires sont compris dans la summe ci-dessus assurée.
art. 2° 10.000 francs pour garantir l’assuré de toutes actions que les voisins pourraient exercer contre lui pour communication d’incendie, en vertu des art. 1882, 1883 & 1884 du code civil Français.

Lors de la constitution de la Société immobilière strasbourgeoise (Strassburger Immobilien Gesellschaft) Jacques Klein père apporte treize immeubles, le dixième consistant en trois maisons rue des Pêcheurs n° 5, 5-a et 5-b

1893 (28.7.), M° Loew
Gesellschafftsvertrag zwischen 1) Jacob Klein Vater, Eigenthümer hier, 2) Arthur Schützenberger, Rentner allda, 3) Alfred Herrenschmidt, Kaufmann hier, 4) Ludwig Delorme, Bankdirektor hier, 5) die Allgemeine Elsässische Bankgesellschaft hier
der Namen der Firma ist Strassburger Immobilien Gesellschaft mit Sitz in Straßburg, zweck derselben ist der An- und Verkauf von Liegenschaft. Dauer derselben 99 Jahr, der erste Abschluss findet am 311 Dezember 1894 statt. Grundkapital 980.000 Mark eingetheilt in 980 Aktien à 1000 Mark. Organ der Gesellschaft sind der Vorstand, der Aufsichtsrath & die Generalversammlung
Einlage des Jakob Klein Vater
1. Anwesen Fritzgasse N° 9 und Hennengasse N° 18
2. Haus Kaiser Friedrichsstraße N° 1
3. Haus Friedrichsstraße N° 3
4. Haus Apffelstraße N° 2
5. Haus Judengasse N° 3
6. Zwei Häuser Züricherstrasse N° 9 und 9-b
7. Haus Kleinenmetzgerstraße N° 3
8. Haus Krutenaustraße N° 33
9. Haus Dielengasse N° 2
10. Drei Häuser Fischergasse N° 5, 5-a, 5-b mit Erdgeschoß, drei Stockwerken, Neben- und Hintergebäude, M. 5200
11. Anwesen in Neudorf, Ziegelau
12. Holzplatz St Urbansweg
13. Anwesen Neufeldweg
Summa 960.000. Für diese Einlage werden dem H. Klei, 960 Aktien überwiesen
acp 877 (3 Q 30 592) f° 31-v n° 2189 du 2.8.
Loew Gesellschafftsvertrag zwischen 1) Jacob Klein Vater, Eigenthümer hier, 2) Arthur Schützenberger, Rentner allda, 3) Alfred Herrenschmidt, Kaufmann hier, 4) Ludwig Delorme, Bankdirektor hier, 5) die Allgemeine Elsässische Bankgesellschaft hier
der Namen der Firma ist Strassburger Immobilien Gesellschaft mit Sitz in Straßburg, zweck derselben ist der An- und Verkauf von Liegenschaft. Dauer derselben 99 Jahr, der erste Abschluss findet am 311 Dezember 1894 statt. Grundkapital 980.000 Mark eingetheilt in 980 Aktien à 1000 Mark. Organ der Gesellschaft sind der Vorstand, der Aufsichtsrath & die Generalversammlung
Einlage des Jakob Klein Vater
1. Anwesen Fritzgasse N° 9 und Hennengasse N° 18
2. Haus Kaiser Friedrichsstraße N° 1
3. Haus Friedrichsstraße N° 3
4. Haus Apffelstraße N° 2
5. Haus Judengasse N° 3
6. Zwei Häuser Züricherstrasse N° 9 und 9-b
7. Haus Kleinenmetzgerstraße N° 3
8. Haus Krutenaustraße N° 33
9. Haus Dielengasse N° 2
10. Drei Häuser Fischergasse N° 5, 5-a, 5-b mit Erdgeschoß, drei Stockwerken, Neben- und Hi,yergebäude, M. 5200
11. Anwesen in Neudorf, Ziegelau
12. Holzplatz St Urbbansweg
12. Anwesen Neufeldweg
Summa 960.000. Für diese Einlage werden dem H. Klei, 960 Aktien überwiesen
acp 877 (3 Q 30 592) f° 31-v n° 2189 du 2.8.

Maison n° 5

La Société immobilière strasbourgeoise vend la maison n° 5 à Raphaël Hirtz, commerçant à Colmar, et à Louis Weil, commerçant à Strasbourg

1895 (18.4.), M° Loew n° 27.233
Verkauf – die Aktiengesellschaft Straßburger Immobilien Gesellschaft hier
an Raphael Hirtz, Kaufmann in Colmar, Ludwig Weil, Kaufmann hier
ein Anwesen in Straßburg Fischergasse N° 5 bestehend aus Erdgeschoß, drei Stockwerken, Speicher, Nebengebäude. Erworben nach Gesellschafts-vertrag vom 28. Juli 1896.
Besitz sofort, Genuß seit 25. Maertz, d J. Steuren seit 1. April 1895. Kaufpreis 20.000 M, hievon sind baar bezahlt 9000
acp 898 (3 Q 30 613) f° 76-v n° 425 du 26.4.

Originaire de Colmar, Raphaël Hirtz épouse en 1856 Mathilde Weil, fille du négociant Jacques Weil et de Frédérique Auerbacher
1856 (7.7.), M° Noetinger
Contrat de mariage – Raphael Hirtz, négociant à Colmar, file de Théodore Hirtz à Colmar et d’Anne Weil sa femme d’une part
et Mathilde Weil, fille mineure de Jacques Weill, négociant et de Riga Auerbacher, conjoints à Strasbourg d’autre part
acp 451 (3 Q 30 166) f° 87-v du 8.7. stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur époux consistent en son fonds de commerce, estimé à 5000 francs
Donation par les conjoints Weil à la future épouse ce acceptant à valoir pour moitié sur leurs successions futures 1) d’une somme de 4000 francs 2) d’un trousseau estimé à 1750 francs, ensemble 5750 francs

Louis Philippe Weil (frère de Mathilde Weil) épouse en 1867 Adrienne Kinsbourg, native de Remiremont
1867 (14.1.), M° Noetinger
Contrat de mariage – Louis Philippe Weill, négociant à Strasbourg d’une part
Adrienne Kinsbourg, mineure à Remiremont, fille d’Isaac Kinsbourg, négociant, et Annette Dreyfuss d’autre part
acp 560 (3 Q 30 275) f° 51 du 17.1. Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Donation par les conjoints Kinsbourg à la future leur fille, ce acceptant 1) d’une somme de 20.000 francs, 2) mobilier 817, total 20.817
Les apports du futur époux consistent en une valeur de 19.000 francs
Donation réciproque par les futur époux au survivant d’eux de l’usufruit de toute la succession, réductible en cas d’enfant

Mariage, Strasbourg (n° 18)
Du 15° jour du mois de janvier 1867 à dix heures du matin. Acte de mariage de Louis Philippe Weil, majeur d’ans, né en légitime mariage le 2 décembre 1831 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, négociant, fils de Jacob Weil, rentier, et de Frédérique Auerbacher, conjoints domiciliés à Strasbourg, ci présents et consentants
et Adrienne Kinsbourg, majeure d’ans, née en légitime mariage le 20 juin 1844 à Remiremont (Vosges), domiciliée à Remiremont, sans profession, fille l’Isaac Kinsbourg, négociant et d’Annette Dreyfuss, conjoints domiciliés à Remiremont, ci présents et consentants (…) il a été passé le 14 de ce mois un contrat de mariage devant M° Victor Noetinger notaire à Strasbourg, (Témoins) Benjamin Kinsbourg, âgé de 49 ans, négociant domicilié à Remiremont, oncle de l’épouse, Emile Samson, âgé de 29 ans, négociant domicilié à Paris (Seine), beau-frère de l’époux, Raphael Hirtz, âgé de 37 ans, négociant domicilié à Colmar (haut-Rhin), beau-frère de l’époux, David Levy, âgé de 35 ans, négociant domicilié à Vesoul (Haute Saône) beau-frère de l’épouse

Louis Weil et Raphäel Weil passent une promesse de vente avec l’architecte Auguste Lohoff et sa femme Agnès Pfau. L’acte est résilié quatre mois plus tard

1901 (15.1.), M° Loew n° 33.634
Kaufsversprechen – Ludwig Weil-Gintzburger, Kaufmann hier, eigenen Namens und als Vertreter von Raphael Heitz, Kaufmann zu Colmar und vor übrigen Miteigenthümer des nachbeschriebenen Kaufobjektes
an August Lohoff, Architekt und dessen Ehefrau Agnes Pfau zu Neudorf
Stadt Strassburg 1) O 1058.p 2..73 ar Wohnhaus Fischergasse N° 5
2) O 1058.p 2,73 ar Wohnhaus Fischergasse N° 5-a
ad 1) erworben laut Kauf vor Notar Loew vom 18. April 1895 von der Straßburger Immobilien Gesellschaft, ad 2) laut Kauf vor Notar Loew vom 18. April 1895 von derselben. Kaufpreis 55.000 M hievon bezahlt 800 M. (…) Die Zustimmung der Miteigenthümer und Auflassungserklärung hat vor 15. Februar 1901 spätestens zu erfolgen
acp 979 (3 Q 30 694. I) f° 31 n° 2635 du 21.1.

1901 (15.5.) M° Loew, N° 34.201
Auflösung durch Ludwig Weil-Gintzburger, Kaufmann hier, eigenen Namens und als Vertreter von Raphael Heitz, Kaufmann in Colmar, des den Eheleuten August Lohoff, Architekt und dessen Ehefrau Agnes Pfau zu Neudorf laut Urkunde des amt. Notars vom 15. Januar 1901 reg. 21. Jan. 1901 Band 979 Bl. 31 n° 2635 ertheilten Kaufsversprechens bezüglich des Hauses Fischergasse N° 5 und 5-a hier
acp 982 (3 Q 30 697. II) f° 70-v n° 415. du 21.5.

Louis Weil et Adrienne Kinsbourg d’une part, Raphaël et Mathilde Weil d’autre part, vendent la maison à Guillaume Horber, étudiant célibataire à Heidelberg

1901 (17.6.), M° Loew n° 34.324
Verkauf mit Auflassung – I. Ludwig Weil, Kaufmann und Frau Adriana Kinsbourg, hier, eigenen Namens und als bevollmächtigter von II. Raphael Hirtz und Frau Mathilde Weill, Kaufmann in Colmar
an Wilhelm Horber, lediger Student in Heidelberg
Stadt Strassburg. das Anwesen in der Fischergasse N° 5, Wohnhaus mit Erdgeschoß und drei Stockwerken section O n° 1058.p, 2 ar 73. Von beiden Verkäufern erkauf laut Akt Loew vom 5. Juni 1895.
Besitz, Genuß und Steuren am 1. Juli. Preis 20.000 Mark wovon baar bezahlt 5000
acp 984 (3 Q 30 699. III) f° 92-v n° 1318 du 19.6.

Maison n° 5-a

La Société immobilière strasbourgeoise vend la maison n° 5-a à Raphaël Hirtz, commerçant à Colmar, et à Louis Weil, commerçant à Strasbourg

1895 (18.4.), M° Loew n° 27.234
Verkauf – die Aktiengesellschaft Straßburger Immobilien Gesellschaft hier
an Raphael Hirtz, Kaufmann in Colmar, Ludwig Weil, Kaufmann hier
ein Anwesen in Straßburg Fischergasse N° 5-a bestehend aus Erdgeschoß, drei Stockwerken, Speicher, Nebengebäude. Erworben nach Gesellschafts-vertrag vom 28. Juli 1896.
Besitz sofort, Genuß seit 25. Maertz, d J. Steuren seit 1. April 1895. Kaufpreis 20.000 M, hievon sind baar bezahlt 9000
acp 898 (3 Q 30 613) f° 76-v n° 426 du 26.4.

Ils vendent la maison à Guillaume Horber (voir plus haut)

1901 (17.6.), M° Loew n° 34.325
Verkauf mit Auflassung – I. Ludwig Weil, Kaufmann und Frau Adriana Kinsbourg, hier, eigenen Namens und als bevollmächtigter von II. Raphael Hirtz und Frau Mathilde Weill, Kaufmann in Colmar
an Wilhelm Horber, lediger Student in Heidelberg
Stadt Strassburg. Ein Anwesen in der Fischergasse N° 5-a, Wohnhaus mit Erdgeschoß und drei Stockwerken section O n° 1058.p, 2 ar 73. Von beiden Verkäufern erkauf laut Akt Loew vom 5. Juni 1895.
Besitz, Genuß und Steuren am 1. Juli. Preis 20.000 Mark wovon baar bezahlt 5000
acp 984 (3 Q 30 699. III) f° 93 n° 1319 du 19.6.

Maison n° 5-b

La Société immobilière strasbourgeoise vend la maison n° 5-b à Raphaël Hirtz, commerçant à Colmar, et à Louis Weil, commerçant à Strasbourg

1895 (18.4.), M° Loew n° 27.235
Verkauf – die Aktiengesellschaft Straßburger Immobilien Gesellschaft hier
an Raphael Hirtz, Kaufmann in Colmar, Ludwig Weil, Kaufmann hier
ein Anwesen in Straßburg Fischergasse N° 5-b bestehend in Haus mit Erdgeschoß, drei Stockwerken, Speicher, Neben- und Hintergebäude. Erworben nach Gesellschafts-vertrag vom 28. Juli 1896.
Besitz sofort, Genuß seit 25. Maertz, d J. Steuren seit 1. April 1895. Kaufpreis 25.000 M, hievon sind baar bezahlt 12.000
acp 898 (3 Q 30 613) f° 76-v n° 427 du 26.4.

Ils revendent l’année suivante la maison au rentier Henri Guillaume Louis Lüdecke

1896 (2.11.), M° Loew n° 28.759
Verkauf – Ludwig Weil Kaufmann in Straßburg, genannt Weil-Gintzburger, eigenen Namens und als Bevollmächtigter von und Raphael Hirtz, Kaufmann in Colmar
an Heinrich Wilhelm Ludwig Lüdecke, Privatier in Straßburg
Straßburg. Anwesen in der Fischergasse N° 5-b, bestehend in Haus mit Erdgeschoß, drei Stockwerken & Speicher, Neben & Seitengebäude. Erkauft amt. Notar 18. April 1895.
Genuß und Steuren sofort. Preis 30.000 Mark
Hierauf angewiesen an Johann Baptist Leo Mengus, Eigenthümer in Straßburg, auf Grund Subrogation enthalten im Erwerbtitel
acp 919 (3 Q 30 634) f° 16 n° 3706 du 6.11.

Henri Guillaume Louis Lüdecke et sa femme Catherine Wissenbach revendent la maison au rentier Robert Bühler

1897 (31.8.), M° Loew n° 29.694
Verkauf – Heinrich Wilhelm Ludwig Lüdecke, Privatier in Straßburg und Catharina Wissenbach, Eheleute hier
an Robert Bühler, Privatier in Straßburg
das Anwesen hier Fischergasse N° 5-b, bestehend in Haus mit Erdgeschoß, drei Stockwerken und Speicher, nebst anderer Rechten und Zugebehörden. Erkauft amt. Notar 2 November 1896.
Besitz, Genuß und Steuren von heute an. Kaufpreis 48.300 Mark, worauf bezahlt 3050, angewiesen an folgende Hypothekargläubiger (…)
acp 929 (3 Q 30 644) f° 77 n° 2625 du 2.9.

Robert Bühler et Marie Neher vendent en 1901 la maison à Frédéric Horber, commerçant célibataire à Karlsruhe.

1901 (9.7.), M° Loew n° 34.408
Verkauf mit Auflassung – Robert Bühler, Privatier in Straßburg und Frau Maria Neher, hier
an Friderich Horber, ledig Kaufmann in Karlsruhe
Stadt Strassburg. Wohnhaus mit Erdgeschoß und drei Straßburg nebst Zubehör, section O n° 1058.p Fischergasse N° 5-b. Nutzungswert 1900 Mark
Erworben von Eheleuten Heinrich Wilhelm Ludwig Lüdecke und Frau Catharina Wissenbach, laut Akt amt. Notar vom 31. August 1897.
Besitz, Genuß und Steuren bereits seit letzter 1. Juli. Preis 55.000 Mark. In Anrechnung hierauf haben Verkäufer den Erwerber angewiesen an folgende Hypothekargläubiger (…)
acp 985 (3 Q 30 700. I) f° 75-v n° 985 du 19.7.

Frédéric (ici Henri) Horber hypothèque plusieurs maisons dont celle sise 5-n rue des Pêcheurs au profit de Joseph Schwartz

1904 (18.3.), M° Loew n° 38.506
Schuldbrief – Heinrich Horber, lediger Kaufmann in Karlsruhe
an Joseph Schwartz, Eigenthümer in Straßburg, Finkmattstraße n° 9 über 7000 M
Pfand, zwei Wohnhäuser Müllergäßchen N° 4
und Fischergasse N° 5-b
acp 1025 (3 Q 30 740. II) f° 38 n° 3716 du 21.3.


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.