16, rue des Poules
Rue des Poules n° 16 – X 139 (Blondel), O 951 puis section 31 n° 37 (cadastre)
Eschauer Hoff (cour d’Eschau, XVIII-XVIII° s.)
Nouveau bâtiment, 1869, maître d’ouvrage Antoine Nicolas Forey, receveur des contributions
Façade (septembre 2024, septembre 2010)
La maison et le jardin séparé de la rue par une treille (sur les terrains des actuels n° 16 et 18) appartiennent à la fin du XVI° siècle au jardinier cultivateur Thiébaut Schultheiss. L’ancien consul Nicolas Fuchs les achète en 1595 et les revend en 1603 au prévôt d’Eschau André Daul. Ses ayants-droit cèdent la propriété qui a pris le nom d’Eschauer Hoff (cour d’Eschau) au marchand Jean Schatz. Le gourmet municipal Jacques Martin achète la maison en 1718. Il demande la même année l’autorisation de remettre l’auvent qu’il a l’intention de supprimer s’il en avait besoin. Son gendre batelier Jean Jacques Ulrich vend en 1773 la maison aux nourrisseurs de vaches Jean Latscha et Jacques Fleich qui se partagent aussitôt la propriété, Jean Latscha aura la partie gauche et Jacques Fleich la partie droite, la cour restera commune, l’écurie et la grange seront séparées par une cloison. Jacques Fleich est autorisé en 1777 à faire une nouvelle porte et une nouvelle croisée. A sa mort, la maison qui comprend quatre poêles, quatre cuisines et plusieurs chambres est estimée à 1 200 florins, soit à la même valeur qu’en 1736 avant le partage, ce qui indique qu’elle a pris de la valeur, même en tenant compte d’une légère dépréciation générale et a sans doute été au moins en partie reconstruite.
Plan-relief de 1727 (Musée historique) La cour d’Eschau est l’enclos de gauche, vu de l’arrière – Même endroit, vue de l’avant.
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 235 (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un rez-de-chaussée en maçonnerie et un étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue (e-f) a une porte suivie de quatre fenêtres au rez-de-chaussée, cinq fenêtres à l’étage et une toiture à un niveau de lucarnes. Le portail commun avec la maison de gauche se trouve à gauche de (e). La cour C montre le pignon (2-3) du bâtiment sur rue et sa face arrière (1-2). Le bâtiment en appentis (11-12-13) s’adosse au bâtiment du voisin visible en (13-1). Le bâtiment d’exploitation (9-10) est divisé avec le voisin d’après le plan cadastral.
La maison porte d’abord le n° 46 (1784-1857) puis le n° 16.
Plan (la disposition des lieux est la même qu’en 1727), cour C
Les ayants-droit Fleich vendent en 1869 la maison au receveur des contributions Antoine Nicolas Forey qui la fait reconstruire la même année après que la Ville lui a cédé un terrain par voie d’alignement. Le ferblantier Joseph Schwebel charge en 1904 les architectes Berninger et Krafft de construire un atelier et un entrepôt, terminé en mai 1905. Le bâtiment est légèrement endommagé par le bombardement aérien du 25 septembre 1944.
Plan du terrain cédé avant reconstruction en 1869
Bâtiment arrière, coupes et élévations, plan (1904, AMS dossier 865 W 175)
Porte et balcon, mars 2025
février 2025
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1583 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Georges Schultheiss, jardinier cultivateur, et (1558) Marguerite Fritsch puis (1575) Anne Schultheiss – luthériens | ||
h | Thiébaut Schultheiss, jardinier cultivateur, et (1589) Elisabeth Schultheiss – luthériens | |
h | Martin Eckstein, tonnelier, et (1594) Marguerite Schultheiss – luthériens | |
1595 | v | Nicolas Fuchs, consul, et (1566) Marguerite Weiler – luthériens |
1603 | v | André Daul, prévôt de Wibolsheim puis ses héritiers André Daul, prévôt, et (1650) Anne Dorothée Zerlin – Mathias Nuss, prévôt – Georges Rietsch d’Eschau – Nicolas Idler de Wibolsheim |
1693 | v | Jean Schatz, marchand, et (1678) Anne Marguerite Gambs puis (1706) Anne Elisabeth Harnister, d’abord (1673) femme du marchand Jean Walter – luthériens |
1708 | h | Jean Philippe Schatz, marchand, et (1720) Catherine Bæhr – luthériens |
1718 | v | Jacques Martin, jardinier pépiniériste et gourmet, et (1700) Barbe Schürmann d’abord (1685) femme de Jean Jacques Dachert puis (1711) Agathe Bœckel, d’abord (1693) femme de Georges Kornmann, boucher à Mittelbergheim, et (1698) de Michel Meyer, blanchisseur à la Robertsau – luthériens |
1742 | v | Jean Jacques Ulrich, batelier, et (1733) Marie Madeleine Martin – luthériens |
1773 | v | Jacques Fleich, postillon, nourriseur de vaches, et (1761) Françoise Meyer, d’abord (1759) femme du garçon batelier Jean Kern – catholiques |
1798* | h | François Ignace Keck, postillon, et (1787) Anne Marie Fleich – catholiques |
1804 | h | Martin Fleich, nourrisseur de vaches, et (1802) Anne Marie Wintz |
1810 | h | Jean Fleich, voiturier et nourrisseur de vaches, et (1812) Sophie Charlotte Mindler puis (1831) Marie Agathe Bichweiller |
1838 | h | François Joseph Fleich, nourrisseur de vaches, et (1831) Marie Dorothée Dæffler |
1865 | h | Robert Schneiderlin, journalier, et (1867) Charlotte Fleich |
1869 | v | Antoine Nicolas Forey, receveur des contributions, et (1853) Céline Bolicot |
1904 | v | Jean Jacques Schwebel, ferblantier, et (1901) Marie Eve Lobstein |
1933 | h | Jean Jacques Schwebel, entrepreneur |
1951* | André Violette, son épouse et copropriétaires |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 650 livres en 1708, 700 livres en 1720, 625 livres en 1736, (après partage) 600 livres en 1789
(1765, Liste Blondel) X 139, au Sr Ulrich
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Lattschar, 16 toises, 2 pieds et 0 pouce, Bleich, 6 toises, 1 pied et 4 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 952, Fleich, Jean – écurie, sol – 0,83 are
O 953, Fleich, Jean, rue des Poules 46 – maison, sol – (sans contenance)
Locations
1708, Jean Schatz, marchand
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 514
Thiébaut Schultheiss fils de Georges Schultheiss règle 2 sols 8 deniers pour sa maison et son jardin, à savoir une treille (17 pieds de long) pourvue d’arceaux en chêne et de lattes en saillie sur 5 pieds. Le même Thiébaut Schultheiss règle 5 sols 4 deniers pour un auvent à sa maison (34 pieds de long, saillie de trois pieds ½)
In die Viehgaßen hinein die Eine seÿthen.
Schultheißen Dieboldt deßelben Schultheißen Georgen sohn, hatt neben seinem Hauß ein Gartten, daran ein Rebhälden xvij schu lang, oben mit aichinen bügen auch Sperrlin vndt Latten vff v schu breit herauß geladen, bessert für d. Nüessen, ij ß viij d
Derselb Schultheißen Dieboldt hatt auch ane seinem Hauß daselbsten ein Wettertach xxxiiij schu lang, iii+ schu herauß, bessert für das Wettertach, v ß iiij d
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1718, Préposés au bâtiment (VII 1388)
Le gourmet municipal Jacques Martin qui a l’intention de supprimer son auvent demande de pouvoir le remettre s’il en avait besoin. Les préposés autorisent la suppression mais le pétitionnaire devra demander une nouvelle autorisation s’il voulait le remettre en place.
(f° 70) Dienstags den 14. Junÿ 1718. Herr Jacob Martin pt° eines Wetterdachs – Herr Jacob Martin, der Statt Weinsticher, ersucht MGHh. umb erlaubnus, daß Er das Vor seiner in der Hennengaß liegenden behausung befindliche Wettertach hinweg brechen und wann Er solches wider benöthiget sein solte, daß Er wider dahin machen zulaßen. Erk. Würdt die abbrechung des Wetterdachs willfahrt, derselbe aber, wann Er daßelbe wider dahin machen laßen will, beÿ MGHh: darumb anzuhalten, angewiesen.
1773, Préposés au bâtiment (VII 1415)
Jean Jacques Ulrich demande en novembre 1773 l’autorisation de reconstruire son pignon. Les préposés ajournent leur réponse jusqu’à ce que l’inspecteur du bâtiment ait dressé un plan du quartier.
Le maître maçon Graufel demande en décembre au nom du nourrisseur de vaches Jean Latscha qui vient d’acheter la maison du conseiller Ulrich l’alignement à suivre. Les préposés déclarent que l’alignement reste le même.
(f° 273-v) Dienstags den 23. Novembris 1773. – Hr. Rathh. Jacob Ulrich
Hr. Rathh. Jacob Ulrich, bittet Ihme zu erlauben an seiner in der Hennengaß gelegenen Scheur einen neuen Gäbel aufbauen zu laßen. Erkannt, Bedacht, Seÿe vorher durch Hrn Bau Inspector ein Plan über dasige Gegend zu entwerfen.
(f° 278) Dienstags den 7. Decembris 1773 – Johann Latschar Melcker
Mr Graufel der Maurer, nôe. des Johann Latschar, des Melckers, bittet um Anzeige des Alignements seines erst kürzlich von Hrn Rathh. Ulrich erkauften in der Hennen Gaß gelegenen Hauses. Erkannt, Kan solches auf seinem alten Fundament verbleiben.
1777, Préposés au bâtiment (VII 1417)
Le maître maçon Michel Meyer est autorisé au nom du nourrisseur de vaches Jacques Fleich à faire une nouvelle porte et une nouvelle croisée.
(f° 200-v) Dienstags den 29. Aprilis 1777. – Jacob Fleich, Melcker
Idem [Mr Michael Meÿer der Maurer] nôe. Jacob Fleich, des Melckers, bittet zu erlauben an deßen Behausung ane der Hennen Gaß gelegen eine Thür und Kreutz Stöck ein zu setzen. Erkannt, Willfahrt.
Description de la maison
- 1708 (billet d’estimation traduit) La maison qui comprend un bâtiment accessoire, une grange, une cour et un puits est estimée avec toutes ses appartenances et dépendances à la somme de 1300 florins
- 1720 (billet d’estimation traduit) La maison et bâtiment accessoire comprennent plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibules, vieille resserre à grains, écurie en partie pour les logements militaires, cave sous solives, petite cour et puits, estimés avec appartenances et dépendances à la somme de 1400 florins
- 1736 (billet d’estimation traduit) La maison comprend deux poêles, deux cuisines, deux chambres et un corridor, à l’étage plusieurs chambres à cloisons en lattes, cave sous solives, bâtiment accessoire où se trouvent plusieurs poêles, chambres, cuisines, dépenses, chambre à soldats, vestibule, grange, écurie pour les logements militaires, cave sous solives, puits, cour et autres appartenances et dépendances, estimés à la somme de 1250 florins
- 1789 (billet d’estimation traduit) La maison comprend quatre poêles, quatre cuisines et plusieurs chambres, en outre deux écuries, les combles sont couverts de tuiles plates, la cave est solivée, la cour et le puits sont communs avec le voisin, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1200 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
4° arrondissement ou Canton est – Rue des Poules
nouveau N° / ancien N° : 16 / 46 bis
Fleich
Rez de chaussée en maçonnerie et 1° étage en bois médiocre
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 25 f° 332 case 4
Fleich Jean, rue des poules N° 46
O 952 écurie, sol, O 953 maison, R. des poules
Contenance : 0,83
Revenu total : 63,43 (écurie 9, maison 54, sol 0,43)
Ouvertures, portes cochères, charretières : ½
portes et fenêtres ordinaires : 17 / 14
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre napoléonien, registre 27 f° 1157 case 2
Fleich Jean (1867)
1867 Fleich Charlotte
1871 Forey Anton Nikolas
O 952, Ecurie, sol, Rue des poules 16
O 953, Maison
Contenance : 0,83
Revenu total : 63,43 (écurie 9, maison 54, sol 0,43)
Folio de provenance : (332)
Folio de destination : Abgebrannt (sol, Gb)
Année d’entrée :
Année de sortie : 1871
Ouvertures, portes cochères, charretières :
Ouvertures, portes cochères, charretières : ½
portes et fenêtres ordinaires : 17 / 14
1871, Abgang – Fleich Charlotte f° 1157, O 952, 953, Pferdestall, Haus, revenu 9 u. 54, Zerstörung, supp. 1871
O 952, Maison
Revenu total : 496,43 (maison 493, sol 0,43)
Folio de provenance : Neubau
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1875
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 54 / 43
fenêtres du 3° et au-dessus : 30 / 11
1875, Augmentations – Forey Anton f° 1137-II, O 953, maison, revenu 496, Neubau, achevée en 1870, imposable en 1873, imposée en 1875
Cadastre allemand, registre 30 page 394 case 7
(Remarque. La correspondance avec l’ancien cadastre est fausse)
Parcelle, section 31, n° 37 – autrefois O 950.p, 951.p
Canton : Hennengasse Hs N° 16
Désignation : Hf, 2 Whs u. N.G.
Contenance : 4,99
Revenu : 3500 – 3800 – 4600
Remarques : 1907 Neubau
(Propriétaire), compte 388
Forey Anton d. Erben u. Wwe
1904 Forey Karoline u. Miteigt.
1905 Schwebel Jakob u. Ehefr.
1933 Schwebel Jean Jacques entrepreneur
1951 Violette André, son épouse à Paris et copr.
(4130)
1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)
N.B. Le n° 46 désigne les futurs n° 16 et 18
Canton X, (357) Rue Hennen Gaß
46
Pr. Latzar, Johanneß Melcker beÿ Zunfft der Mötzer
Lo. Stracker, Jacob daglöhner – schürmer
Pr. Fleich, Frantzisga witib auf der Zunfft Zur Mehrer
Lo. Eckert, Pätter, tawakbormte – schürmer
Lo. Meÿer, Müchaell, daglohner – schürmer
Lo. Meÿer, Frantz Joseph auf der Zunfft Zümerleiter
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton X, Rue 357 des Poules p. 522
46
Prop. Latzar, Jean – Fleur
Loc. Stacker, Jacob Journalier – Manant
Prop. Fleich, Françoise, veuve – Moresse
Loc. Eckert, Piere ouvrier en tabac – Manant
Loc. Meyer, Michel, Journalier – Manant
Loc. Meyer, François Joseph – Charpentiers
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Hennengasse (Seite 60)
(Haus Nr.) 16
Hornecker, Wwe. 0
Zacharias, Buchhalter. 0
Schwebel, Klempnerm. E 1
Hauswald, Tagner. 2
Mattes, Postschaffner. 2
Harlfinger, Wwe. 3
Heckert, Wirt. 3
Bohn, Tagner,. 4
Nigris, Zementeur. H 0
Hirlimann, Wwe, H 1
Schlick, Tagner, H 1
Spehnert, Wwe. H 2
Steinmetz, Tagner. H 2
Breitenbach, Maler. H 3
Jaudas, Wwe. H 3
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 865 W 175)
16, rue des Poules (1868-1973)
L’agent voyer note que la maison en arrière de l’alignement n’a pas d’avance quand l’entrepreneur Nigg demande en 1868 au nom du propriétaire Schneiderlé l’autorisation de ravaler la façade. La demoiselle Poligôt demande en 1869 l’autorisation de reconstruire la maison suivant l’alignement. La Ville lui céde un terrain marqué BCDF sur le plan (21,36 mètres carrés).
Le propriétaire Schwebel charge en 1904 les architectes Berninger et Krafft de construire un atelier et un entrepôt. La Société strasbourgeoise de construction a terminé le gros œuvre en mai 1905. Les mêmes remplacent en 1905 les solives du sous-sol et agrandissent une fenêtre dans le bâtiment médian puis font creuser en 1906 une cave sous le bâtiment arrière. Le bâtiment est légèrement endommagé par le bombardement aérien du 25 septembre 1944.
Charles Kern, successeur du ferblantier Jacques Schwebel, retire en 1942 l’enseigne sur balcon.
Papier à lettres du ferblantier Schwebel, successeur de Frick, maison fondée en 1837 (dossier de la Police du Bâtiment, AMS, 865 W 173)
Sommaire
- 1868 – L’entrepreneur en bâtiment F. Nigg demande au nom du propriétaire Schneiderlé l’autorisation de ravaler la façade – L’agent voyer note que la maison en arrière de l’alignement n’a pas d’avance.
- 1869 – Rapport de l’agent voyer. La demoiselle Poligôt, propriétaire, demande l’autorisation de reconstruire la maison dans l’alignement suivant la coupe jointe (rez-de-chaussée et trois étages. N.B. la coupe n’est pas jointe). La Ville devrait céder un terrain marqué BCDF sur le plan (21,36 mètres carrés) – Plan de l’alignement à tirer entre les n° 14 et 20, propriétés Poligôt (n° 16) et Klein (n° 18).
- 1897 – La Police du Bâtiment constate que le potier A. Almert a posé sans autorisation une enseigne sur le balcon au 16, rue des Poules – Demande – Autorisation
1897 – La Police du Bâtiment constate que le tailleur P. Hütter a posé sans autorisation une enseigne sur le balcon au 16, rue des Poules – Demande – Autorisation – Hütter déménage en 1898 au 4, place Saint-Nicolas-aux-Ondes
1898 – La Police du Bâtiment constate que le potier A. Almert a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire – Almert déclare que l’autorisation lui a été délivrée l’année précédente - 1900 – Rapport du service des incendies suite à un feu de cheminée dans la propriété de la veuve Forey – La Police du Bâtiment demande à la propriétaire de réparer la porte de ramonage au grenier – Travaux terminés, février 1900
- 1900 – Le maire notifie la veuve Forey de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1900
- 1904 – Le propriétaire Schwebel fait construire un atelier et un entrepôt sous la direction des architectes Berninger et Krafft (2, rue du Faubourg de Pierre) – Les architectes transmettent un jeu de dessins en novembre puis un autre rectifié en décembre – Autorisation, décembre 1904 – Calcul statique, décembre 1904
Les travaux ont commencé, l’entrepreneur (Société strasbourgeoise de construction) n’a pas mis de cabane à disposition des ouvriers, mars 1904. – Réception du gros œuvre, mai 1905 – Travaux terminés, juin 1905
1905 (février) – La Société strasbourgeoise de construction, anciennement J. et E. Klein (6, nouvelle rue Fritz, ensuite rue Adolphe Wurtz) demande l’autorisation de faire des travaux dans la propriété Schwebel
1905 – Les architectes Berninger et Krafft demandent l’autorisation de remplacer les solives endommagées du sous-sol. – Dessin – J. Schwebel et les architectes Berninger et Krafft sont autorisés à remplacer les solives du sous-sol et à agrandir une fenêtre dans le bâtiment médian, juin 1905 – Calcul statique, mai 1905 – Travaux terminés, juillet. L’atelier s’appuie sur un mur mitoyen. La façade à ossature en fer comprend de nombreuses ouvertures.
1905 (juin) – Le maire convie les architectes Brion et Haug à la réception finale. Ils répondent qu’il ne sont pas chargés des travaux – Autre courrier à Berninger et Krafft - 1905 – La Police du Bâtiment constate que l’installateur sanitaire Jacques Schwabel a posé sans autorisation une enseigne sur le balcon – Demande sur papier à lettres illustré – Demande – Autorisation
- 1906 (janvier) – La Société strasbourgeoise de construction, anciennement J. et E. Klein demande au commissaire de police l’autorisation de poser des gravats sur la voie publique – Le commissaire de police transmet au maire qui accorde l’autorisation
1906 (janvier) – Les architectes Berninger et Krafft demandent l’autorisation de faire une cave sous le bâtiment arrière – Autorisation – Dessin – Calcul statique – La Société strasbourgeoise de construction déclare avoir commencé les travaux
1906 (mai) – Réception finale - 1912 – Les habitants de la maison (Henri Hoppé, Mangin, Fischer, Gapp, Schneider et Wendel) se plaignent d’être incommodés par les fumées provenant du bâtiment latéral sis 14, rue des Poules – La cheminée a été rehaussée
- Commission contre les logements insalubres – 1904, Courrier du médecin Altmann
Propriétaire, Fory, demeurant au 14 de la même rue. Travaux à faire en 5 points, 1904
Propriétaire, Schwebel. Courrier du locataire Hornecker, 1904
Commission des logements militaires, 1915, remarques en quatre points. – Travaux terminés, juillet 1916
1924. Jeanne Moritz, âgée de quatre ans et demie, a été atteinte de fièvre scarlatine - 1942 – Charles Kern, successeur de E. Frick et de J. Schwebel, déclare qu’il a retiré l’enseigne sur balcon
- 1945 – Le bâtiment est légèrement endommagé par le bombardement aérien du 25 septembre 1944. Certificat de sinistre remis à Alfred Lobstein (colis)
- 1957 – Le maire notifie le sieur Demes, propriétaire du n° 14, de faire des travaux, notamment à sa cheminée dont les fumées et les gaz s’infiltrent dans les logements aux deuxième et troisième étages du n° 16 – Rapport illustré d’un croquis – Le maître ramoneur Emile Schleifer déclare que les locataires du n° 16 ne se plaignent pas d’émanations de gaz ou de fumée. Il certifie ensuite que la cheminée est réglementaire.
- 1959 – L’entreprise A. Keller et compagnie (22, rue du Chêne au Neudorf) est autorisée à occuper la voie publique devant le n° 16 qui appartient au sieur Muller
- 1962 – La Fédération des Locataires du Bas-Rhin se plaint au nom d’Anne Bleu-Blondel que la pluie s’infiltre par le plafond – La Police du Bâtiment constate qu’une plaque recouvrant le toit s’est déplacée. Elle demande au gérant de faire faire les travaux. – Travaux terminés, mars 1962.
- 1962 (novembre) – Le Service des incendies fait un rapport après un feu de plafond dû à une cheminée mal isolée – Rapport de la Police du Bâtiment – Le maire demande à l’agence immobilière Henri Klein (21, rue de la Nuée Bleue) de faire faire les travaux – Travaux terminés, mars 1963.
1967 – Le Service des incendies informe la Police du Bâtiment qu’une porte de ramonage n’est pas réglementaire – Le maître ramoneur Henri Reppert (4, rue du Fort) certifie que la cheminée est en bon état, mars 1968 - 1973 – L’entreprise générale de peinture Stanislas Polh (1, rue de Saverne à Schiltigheim) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique
Autres dossiers
865 W 176 (lucarnes en retrait, 1989)
1539 W 763 (ravalement, 2002
1600 W 464 (ravalement, 2003-2004)
Relevé d’actes
La maison est inscrite au nom de Thiébaut Schultheiss fils de Georges dans le Livre des communaux (1587)
Fils de Jacques Schultheiss, Georges Schultheiss épouse en 1558 Marguerite, fille de Thiébaut Fritsch d’Entzheim
Mariage, Saint-Guillaume (luth. 61-v)
1558. Gerg schultheiß Jacob schultheißen selig. son v. Margareth Diebolt Fritschen des schultheißen von Ensheim dochter. P.clamati bis primo 20. Februarÿ, Secundi 27. Februarÿ Et Celebravnt. nuptias prima Martÿ An. Do. M.D.LVIII (im 70)
Georges Schultheiss, sans doute le même que le précédent, épouse en 1575 Anne, fille de Mathias Schultheiss
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 70-v)
1575. Item [17. Sontag nach Trinitatis] Jerg Schultheiß ein gartner Anna weiland Mattheiß Schultheißen des gartners nachgelaßene tochter. Confirmatio 18 Octobris (i 74)
Thiébaut Schultheiss épouse en 1589 Elisabeth, fille de Jean Schultheiss
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 90, n° 31)
1589. Dominica 7. Trinitatis. Diebolt Schultheiß ein gartner georg schultheißen seligen des gartners Son, vnd J. Elÿsabeth hans Schultheißen selig. des gartners nachgelaßene tochter, Sind Zuerfragen, beÿ hans Dielen dem Suff vatter wonhafft beÿm Neuw thor. Confirmatio facta d. 29. Julÿ (i 213)
La maison revient à Marguerite, fille de Georges Schultheiss, qui épouse en 1594 le tonnelier Martin Eckstein, fils de Jean Eckstein
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. f° 98 n° 12)
1594. Dominica Inuocavit. Martin Eckstein ein Kiefer, hans Eckstein des Kieffers selig. Son, vnd J: Margaretha Georg schultheißen selig. des gartners tochter. Confirmatio facta apud D. Thoma, 5. Martÿ (im 113 – Rien à Saint-Thomas)
David Fæs et Martin Eckstein demandent à être rétribués du travail qu’Oswald Krauch les a engagés à faire pour le prince d’Anhalt.
1593, Conseillers et XXI (1 R 72)
(f° 265-v) XI. Aprilis – David Fäß und Martin Eckstein [pt° besoldung]
David Fäß und Martin Eckstein vbergeb. p. Zettels ein supplôn, ver melden d. vor dissem von oswald krauchen sye angesprochen dem fursten von anhald ein woch 3 oder 4 helffer vmb gebürliche besoldung vffzuwartten, welches sye gethan vnd sich Jetz biss In die elff wochen sich erstreckt, die wed. sye nun das Zeig druber ver saumen müßen. Betten sye Inn wie* and** auch Jedem im tag 3 batz deerden* Laß H Pfleger vff der frawen hauß beruh.* der sye vom fürsten wer geschenck der sye versannt bekhennen, ohne was sye abgetrag. Erkandt, Innen anzeig. sollen sich mitt dem Jenig. so sye empfang. Laß. ver* nügen
Acte dressé à la demande de Martin Eckstein après le vol d’un couteau de tonnelier
1589, Chancellerie, vol. 258 (Gemein Contract Buch)
Behabung Martin Eckstains des Küffers das Ime ein Küeffermesser gestolen worden. 79.
Martin Eckstein et Marguerite Schultheiss vendent la maison au consul régent Nicolas Fuchs
1595 (25. Aprilis), Chancellerie, vol. 300 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 48-v
Kauff Niclaus Fuchßen Jetz Regirend. Ammst. vber eine behausung hoff hoffstatt Scheür Stall gärttlin schopff trott sampt einem stücklin grundt In Crautenaw geleg.
Erschienen Martin Eckstein d. Küefer vnd Margreth Schultheisin sein eheliche haußfraw, haben (verkaufft)
h Niclaus Fuchß. Hrn Regirend. Amr.
hoff, hauß hoffstatt scheür Ställ gärttlin Schopff Trott sampt ein stücklin grundts darbeÿ & geleg. alhie In d. Vorstatt In Crautenaw einseit neben Schultheiß. Jerg. and.seit neben Sixt Schneiders s. witwe hinden vf hans dielen* gartt. stoßend, dauon gehnd Jherlich xv gld. gelts vf St. Georg tag losig mit 300 gld. S. w. Sixt Scheid. Meÿ. vfm newenhoff alhie, sonst ledig vnd eig. alles ferner Inhalts einer verschreibung so beÿ h. Jacob Kugler dem Notario vfgericht die ehrengedacht. h. Keuffer alß bald empfang. darmit Wie hernach benant & (…) Vnd bekant d. diß. Kauff für freÿ ledig und eig. bescheh. vmb 410 pfund od. nach abzug obgesetzter beschwerdten der 15. guld. Jherlich gelts sampt d. selben hauptguts d. 300 guld St w. für vnd vmb 255 pfund Straßburg
Fils de Jean Baptiste Fuchs, Nicolas Fuchs épouse en 1566 Marguerite, fille de Jacques Weiler, de Pforzheim
Mariage, cathédrale (luth. p. 160)
1566. Niclaus Fuchs, Doctor Johann Baptista fuchß seligen Sun, J. Margredt, Herr Jacob Wÿler Zu pfortzheim selige tochter, Eingesegnet Zinßtag den 26. Nouemb. hora 7.a casparo* (im 84)
Nicolas Fuchs est assesseur des Quinze en 1574 et ancien consul en 1588 lors de baptêmes d’enfants de sa femme Marguerite
Baptême, cathédrale (luth. f° 19-v)
1574. Montag den 25. Octob. p. H. Niclas Fuchs 15 h, M. Margreth, I. Othilia. Comp. Johannes flittner pfarh. f. Ursula, Jorg Golders 15 schreib. fraw, J. Apolonia, Martzolff Nörlins zu Zaber dochter (i 22)
Baptême, cathédrale (luth. f° 41)
1588. Eod. (…) Nicolai Fuchsen altameister vnd Margaretha, Joes Joachim. Comp. Joh: Neruius doctor vnd Ursula Christoph berners* von Hagenaw hausfr. (im 44)
Nicolas Fuchs est élu assesseur des Quinze le 28 octobre 1572. Il restera dans sa tribu (les Drapiers) bien que la fonction de prévot à la tribu de la Fleur soit à pourvoir.
1572, Protocole des Quinze (2 R 2)
(f° 128-v) Zinstag den XXVIII Octobris – New funffzehner, h Niclaus Fuchs
Der xv Meister hatt ein frag gehalten, ob man die wal eines newen herren fürnemmen wölle, vnnd dieweyll ahne des nehermahl erkandt, das man eben dießer vrsachen halben auff heütt bey beschicken geb*hen soll. So Ist es bey demselben pliben vnd Inn Gottes namen Zu der waal geschritten, der mittler vnnd enger außzug verleßen, die personen erwogenn, vnnd nach gehabten vnnderred die wal gethan vnnd Ist H Niclaus Fuchs mitt der mehrtheil stimmen Zu einem fünffzehner gekoßen worden. Vmb gefragt ob man Ine bey seiner Zunfft pleyben oder schrencken vnd wie man die Zunfft Zur Blumen wider versehen wölle. Erkandt Man soll Ine bey seiner Zunfft der tucher pleiben laßen.
(f° 130) Mittwoch den XXIX Octobris – h Niclaus Fuchs
Nach eingenommener Morgensupp, Seind Mein herren In der ordnung (vnd h wicker von d. Zunfft Zur Blumen wegen) hinein gangen vnnd hatt der h Stettmeister Heinrich Joham angezeigt, d. mann h. xv vermög Irer ordnung h Niclaus Fuchsen an h hanß Heinrich volmars statt Zu einem xv gekoßen, dem soll der h Ammeister (weil kein Stettmr. vorhanden) gebr*ch Zu mein h xv Zusitzen vnd die ordnung Zuschweren, Wiewohl sich nuhn h Niclaus vnderstanden abzupitten, so Ist Ime doch gebotten nider zusitz wie beschehen vnd Ime meiner h xv ord. fürgeleßen worden, welche er geschworen, vnd hatt h Heinrich Joham dabey vermeldet, das er beÿ seiner Zunfft pleyben soll. Nach dem aber durch h Vollmars abkommen, die Zunfft Zur Blumen kein Oberherren hatt, So haben mein h. xv geschrenckt vnd h Mattheus Wicker der Metzgern Zum oberherr geordnet. Demnach seind
mein herren wid In Ir stub gangen, dem Newen herren einander nach glück gewünscht vnd alßdan h Heinrich Joham Ime fürgehalten. Nachdem er nuhn die ordnung beÿ Rhat vnd xxj geschworen. So werde er allhie auch schweren, erstlich Alles das Jenig, so Inn diser stuben vnd bey mein h xv verhandlet würde Inn höchster geheim Zuhalten, mitt nymand er sey dan bey mein herrn Er dauon Reden sonder bitz Inn sein Ende Zuverscheygenn. Zum andern d. er dem gebott wann Ihme Zu mein herren verkünt würde (welchs alleinig ein stund Zuuor benent* als Zu vj ist Zu vij od. Zu xij Ist Zu j) gehorsam* sein, vnd erscheinen, vnd wo er seiner gescheftt halben ettwa außpleiben, oder die vnderst staffell an den pfaltzstegenn nicht vor dem letsten glockenstreich erreichen würde, sich selbs Ruegen vnd 1 ß d dem schreÿber (mihi) erlegen wölle, darumb er auch In seinem hauß bey weyb vnd gesind versehung thun soll. & juravit
(f° 149) Sambstag den vi Decembris – h Niclaus Fuchs ca. Nox Lorentz Fünff Zehner schmæhenn
L’ancien consul Nicolas Fuchs agit au nom de sa mère Anne Kniebs, veuve du docteur en médecine Jean Baptiste Fuchs
1586 (25. Januarÿ), Cour épiscopale, vol. 238-I (Registranda Mechler) f° 9-v
Locatio inter Dnam Annam Knüebsin relictam quondam Johannis Bapte. medicinæ doctoris Arg. et Franciscum Heim Ciuem Arg. [Johann Baptist Fuchß]
Erschienen Frantz heim Metzg. burg. Zu Straßburg
hatt in gegenwertigkeit herren Niclaus Fuchsen Alt ammeisters der Statt St. der solches In namen Anne Knüebsin obgemelt seiner frawen mutter verhandelte offentlichen bekandt vnd verjehen (…)
Les enfants et héritiers de Nicolas Fuchs (Agnès, femme du greffier municipal Joseph Jundt, Jean Charles, Jean Jacques, Anne, femme d’Albert Wesener, Marguerite, femme de Pierre Mülb, Odile, femme de Jean Beinheim, Jean Barthelemy, Jean Michel, Jean Nicolas et le tuteur de Jean Joachim et de Jean Christophe) vendent la maison au prévôt de Wibolsheim André Daul : minute et expédition (ses héritiers la vendront en 1693)
1603 (xxx Decembris), Chancellerie, vol. 347 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 94
Kauffverschreibung Andres Dauhlen Schutheißen Zu Wÿbelßh. vber ein behausung in Crautenauw
(Extendirt in Libro Contr: huius Anni fol: 100.) Erschienen h. Joseph Jundt Stattschreiber allhie alß ehevogt frauwen Agnesen Fuchßin, H hanns Carlen Fuchs für sich selbs, Hanns Jacob fuchs auch für sich selbs, Albrecht Wesener alß ehevogt frauwen Annæ Füchsin, Peter Mülb alß eheuogt frawen Margarethæ Fuchsin, hanns Beinheim der Jünger alß eheuogt frauwen Othiliæ Fuchsen vnd dann H Laurentius Clußradt alß beuelchhaber Hannß Barthels, hanns Michaels vnnd Hanns Niclausen, auch alß geordneter Vogt hanns Joachims vnd Hanns Christophs aller Fuchsen vnnd gebrüedere, alls alß erben weÿland des Erenuesten, Fürsichtigen vnd weÿßen Herrn Niclaus Fuchsen gewesenen Ammeisters diser Statt Straßburg seelig
haben inn gegenwertigkeit Andres Dauhlen des Schutheÿßen Zu Wÿbelßheim (verkaufft)
Hauß, hoff, hoffstatt, Scheür vnd Ställ mit allen Iren gebeuwen, begriffen, weÿthen, rechten vnnd gerechtigkeit. gelegen alhie Inn der Crautenauw inn der Viehegassen, einseith neben Sixt Schneiders, anderseith Georg Schultheißen selig erb. hind. vf hanns diehlen erben garten stoßend, dauon gehnd Jars vff Georgÿ 15. fl. St. Wehrung Adam Lützelstein dem Metzig. burgern allhier, In hauptgutt lösig mit 300 fl. derselb. wherung, sonst freÿ ledig vnd eÿgen (…) vnnd bekandt das der Kauff vber gemelte beschwerd, Zugang. vmb 275. lib d Straßburg
1603 (30. Decembris), Chancellerie, vol. 344 (Gemein Contract Buch) f° 100
Kauffverschreibung Andres Daulen des Schultheiß. zu Wybelsheim über ein Behausung in Craut.aw
(…) erschienen seindt vnnser Stadtschreiber vnnd Lieber getreuwer der hochgelert Josephus Junth, beneben vnnsern burgern, Hanns Carl Fuchsen dem handelsmann vnd Hans Jacob Fuchsen für sich selbsten, Johann Beÿnheÿm, Albrecht Wesener vnd Peter Mülb, Auch obglt H Josephus Jundt Als Ehevogt frawen Agnesen, Margarethen, Annen, vnd Othilien Füchsin, So dan vnser burger vnd Cancelley Registrator Laurentius Clusssrath, als Curator vnnd beuelch habern Johann Barthels, Johann Michaels, Johann Niclausen, Johann Joachims, vnnd Johann Christoph Fuchsen gebrüder, von dero weg. er de rato cavirt, Alle weÿlanndt vnsers Lieben geheÿmen Mit Rath freunds deß Ehrenvest. Alt Amm.ers seeligen nach Todt gelassener Sohn, Tochter vnd erben, Haben principaliter, auch ehvogtlich. weiß vnnd Innahmen obgld vmb Ihr aller bessern nutzens vnd vorstanndts willen (…) zu kauffen geben vnnd verkaufft
Andres Daulen dem Schultheÿßen Zu Wÿboltzh. welcher Personlich Zugegen
Hauß, Hoff, Hoffstattt, Schewr, vnd Ställ mit allen andern ihren gebeuwen, begriffen, weÿten, Zugehördenn, rechten vnnd gerechtigkeÿten, alhie In dieser vnserer Stadt In Crautenauw, vnnd In vieh gassen, einseit neben Zixt Schneider, anderseit Georg Schultheißen des gartners seligen erben gelegen, hinden vff Hanns Thielen des Gartners seeligen erben Garten Ziehend, Dauon gehnt Jahrs vff Georgÿ 15 gld. Straßburger wehrung Adam Lützelstein dem Metzger vnsern burgern alhie, In hauptgut loosigk mit 300 gld. derselben wehrung, sonsten für freÿ ledig vnnd eÿgen (…) vnd beschehen Für vnd vmb 275 Pfund
Georges Rietsch d’Eschau et sa femme Odile hypothèquent le quart qui leur appartient de la maison au profit du farinier Jean Charles Heussler
1639 (6. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 482 f° 391
Erschienen Georg Rietsch von Eschaw vndt otilia sein eheliche haußfr.
haben in gegensein hanß Carlen Heüßlers deß Meelmanns burgers Zu Str. – schuldig seÿen XXVI. lb
dafür in spê. Und.pfand sein soll Ein Vierter theil ihnen den Bekennern für vngetheilt gebürend An Zweÿen häusern, neben einand. und. allen and.n deren gebäwen, alhie in Crautenaw und der Vÿhegaßen neben Clauß Rüehlen & hanß Schultheiß. see. Erben stoßend, daran die übrige Antheil ihr Bekennerin Mit Erben zustendig
André Daul, fils du prévôt André Daul de Wibolsheim, épouse en 1650 Anne Dorothée, fille de l’aubergiste Conrad Zerlin de Graffenstaden
Mariage, Illkirch (luth.)
1650. die 5. Vndt 12. Maÿ Sind Von mir proclamirt Vndt außgeruffen worden, Andreas Daul der Meÿer Von Wibelsheim, Andreæ Daulen des Schultheissen daselbsten, nachgelaßener Ehelicher Sohn, Vndt J. Anna Dorothea Conrad Zerlin würths vndt Burgers Zu Graffenstad. nachgelaßene Ehliche Tochter. Sind den 13. Maÿ alhie Copulirt word. (i 52)
André Daul meurt âgé (« centenaire ») le 10 mars 1706 (référence).
Sépulture, Eschau (cath.)
Hodie 10 die martii Anni 1706 omnibus sacramentis rité munitus pie obdormivit in dno Andreas Daul centenarius civis in Eschau quoad testantur filius relictus Andreas Daul et georgius ortt* (i 7)
Les héritiers de Mathias Nuss, prévôt de Geispolsheim et Wibolsheim, vendent leur part de maison à André Daul et Georges Rietsch d’Eschau ainsi qu’à Nicolas Idler de Wibolsheim, propriétaire des autres parts indivises
1673 (5. 10.br), Chambre des Contrats, vol. 541 f° 658-v
(Prot. 56.) Erschienen Jacob Nuß Jacobs Sohn, Mehr Michael Nuß Georg. Sohn, und dann Jacob Schneider Urbans Sohn, alle Von Geispoltzheim, alß weÿl. Mathiß Nußen deß Verstorbenen Schultheißen Zu Eschaw und Wÿbolßheim nachgelaßene Erben
haben in gegensein Andres Daulen und Georg Rietschen beeder Von Eschaw und Claus Idlers Von Wibolßheim (…) gegen bahr hiebeÿ erlegter 60. lb. Straßburger (…) cedirt und übergeben haben,
den Nußischen Antheil denenselben für ohnvertheilt gebührend ahn Zweÿen Häußern einem Vordern und hindern deren hoff, hoffstätten, Stallung Scheur und übrig. gebäwen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhier in der Vorstatt Krautenau in der Hennengaß, einseit neben weÿl. Christmann Klipffels wittibin, anderseit neben Hannß Riehlen Gartners alda, hinden uff gedacht. Riehlen Garten stoßend gelegen daran der übrige theil denen Cessionarÿs Vorhien eÿgenthümblich gehörig
Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit des enfants de Jean Sébastien Leitersperger, triumvir de la Taille
1673 (5. 10.br), Chambre des Contrats, vol. 541 f° 659-v
Erschienen Andres Daul und Georg Rietsch beede Von Eschaw und Claus Idler Von Wibolßheim haben
in gegensein Herrn Johann Marcelli Schenckhen Schaffners deß Closters St. Margarethæ und Agneßen alß Vogts weÿl. herren Johann Sebastian Leiterspergers geweßenen dreÿers der Statt Stallß nunmehr seel. nachgelaßener kinder – schuldig seÿen 60. lb, Ihnen Zu dem Ende bahr gelühenen Gelts, daß Sie damit Einen Antheil Von weÿl. Mathis Nußen geweßenen Schultheißen Zu Eschaw und Wÿbolßheim nachgelaßenen Erben erkauffen können
Unterpfand, Hauß, hoff, hoffstatt, hinderhauß Scheur und Stall mit allen deren Gebäwen undt Zugehördten alhier in der Vorstatt Krautenau in der Hennengaß, einseit neben weÿl. Christmann Klipffels deß Ziglers wittib, anderseit neben Hannß Riehlen Gartnern alda, hinden uff gedachts Riehlen Garten stoßend gelegen, welche behaußung Zubevor noch umb 20. lb den Leiterspergischen Kindern obgedacht Verhafftet daran der übrige theil denen Cessionarÿs Vorhien eÿgenthümblich gehörig
André Daul d’Eschau hypothèque sa part de maison au profit de Jérémie Adam Leitersperger
1676 (11. Febr:), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 178
Andres Daul Von Eschau
in gegensein Johann Jacob Kipßen im nahmen herrn Johann Christoph Bähren Notarÿ Schaffners deß Closters St. Margarethæ und Agneßen alhier alß Vogts Jeremiæ Adam Leiterspergers – schuldig seÿe 20 Pfund Pfenning Straßburger bahr gelühenen Geldt
Unterpfand, sein deß debitoris Antheil demselben für ohnvertheilt gebühren, ahne einem Vordern und hindern hauß hoff hoffstätt und allen deren Gebäwen und Zugehördten, alhier in der Vorstatt Krautenaw in der Hennen Gaß einseit neben Josiæ Germann dem handelßmann anderseit neben hannß Riehlen Gartnern hinden uff erwehnes Riehlen, Garten, stoßend gelegen
André Daul, prévôt d’Eschau et consorts, héritiers d’André Daul le vieux, vendent la maison au marchand Jean Schatz
1693 (13. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 681
Andres Daul, Schultheiß Zu Eschau, Jacob Siedler, von ged. Eschau, Maria gebohrne Jägerin hans Siedlers von Wibolßheim haußfr. Claus Fischer alß weil. Ehevogt Annæ Siedlerin nunmehr sel. Catharina gebohrne Röschin, weil. Michael Deckers, von Eschau sel. nachgelaßener wittib, Frau Eva, gebohrne Schäfferin weil. Georg Rietschen, auch burgers von Eschau sel. nachgelaßene wittib, beede mit beÿstand Michael Männels, von ged. Eschau ihres Schwagers, So dann Er Männel auch alß geweßenen Ehevogt weil. Magdalenæ Rietschin sel. alle alß weil. Andres Daulen deß ältern geweßenen Schultheiß. Zu wibolßh. sel. nachgelaßener Erben, für sich und im nahmen übrigen deß. Erb., in specie auch weg. Michael Küntzen, alß Ehevogts Catharinæ Schmidin von Eschau
H. Johann Schatzen deß handelßmanns
hauß, hoff, hoffstatt, Scheur, und Ställ, mit allen anderen Ihren Gebäuen, begriffen, weithen, Zugehördt, recht, und gerechtigkeit. allhier in der Vorstatt in Krautenau, in der viehgaß einseit neb. Fr. Martha Gernerin witt. anderseit neb. Claus Rhiel. Garttnern in Krautenau sel. erb. hind. auff f. Rhielisch. Gartt. stoßend gelegen, welche behaußung umb 100 lb Capital Ihme Kaüffern verhafftet – umb 395 pfund
Paulo post ist ferner Verglich. daß auff den Fall, da iemands und. den. Verkäuffern weg. Kriegs Gewald, so lang dießer ietzige Krieg währet, von hauß und hoff müßte d. H. Kaüffer dem oder demselben Freÿe auffenthalt in dem verkaufft. hauß, ohne Zinß geben solle. Eod.
Fils du marchand Jean Schatz, assesseur des Quinze, Jean Schatz épouse en 1678 Anne Marguerite Gambs, fille du marchand Frédéric Gambs.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 26)
Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 26) 1678. Dom. XX et XXI Trin. Hr Johann Schatz der Burger und Handelsmann alhier weÿland Hn Johannes Schatzen E. E. Großen Raths alt. Beÿsitzers vndt Handelsmanns alhie nachgelaßener Ehelicher Sohn vndt Jungfr. Anna Margaretha. Hrn Friderich Gambsen des Burgers vnd Handelsmanns alhier eheliche tochter. Copul. Zu St. Niclaus Freit. 24. 8.bris (i 5)
Proclamation, cathédrale (luth.) 1678. Dom. XX post Trin. Zum 2. mahl Hr Johann Schatz der handelßm. Weiland (Johannes) Schatz gewesenen handelßm. u. Brs nachgelaßener ehel. sohn, Jfr Anna Margaretha Hr Friderich Gambsen auch *ten vnd Burgers alhier ehel. T. – Dienstags den 24.t 8.bris S. Niclaus (i 62)
Anne Marguerite Gambs fait dresser l’inventaire de ses apports dans la maison de son père rue des Bestiaux (ensuite rue d’Austerlitz)
1678 (18. Dec.), Not. Schatz (Jean Jacques, 50 not 7) f° 472
Inventarium vndt beschreibung der Jenigen haab vndt Nahrung, so der Viel Ehren vndt Tugendreichen Frawen Annæ Margarethæ Schatzin gebohrener Gambßin eÿgenthümblich Zuständig vndt dieselbe dem Ehrenvesten wohl Vorgeachten Herrn Johann Schatzen, Handelßmann vnd burgern alhier in Straßburg, Ihrem Eheliebsten, Krafft Ihr beeder auffgerichter heüraths Verschreibung, für Unverändert in die Ehe Zugebracht (…) Actum in Herrn Friderich Gambßen, handelßmanns ihr der Frouwen eheleiblichen Vatters Wohnbehausung in der Vÿhegaß gelegen, den 18. Decembris Anno 1678.
Anne Marguerite Gambs meurt en 1698 en délaissant sept enfants. L’inventaire est dressé dans sa maison rue des Pâtissiers (ensuite rue des Hallebardes). La succession comprend deux maisons rue de la Poule noire autrefois dite rue des Bestiaux. Le titre de celle au sud de la rue est celui de 1603 (voir plus haut). La masse propre au veuf est de 3 451 livres, celle propre aux héritiers de 11 448 livres. L’actif de la communauté s’élève à 14 094 livres, le passif à 13 203 livres.
1699 (25.2.), Not. Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 2)
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen haab, nahrung und gütere, liegend. und vahrender, unverändert vnd ohnv.änderter, so weÿland die hoch Ehren und tugendsahme fraw Anna Margaretha gebohrene Gambßin deß Wohl Ehren vesten, Großachtbahren herrn Johann Schatzen, vornehmen kauffmanns und burgers allhier zu Straßburg, gewes. fraw Eheliebste nunmehr seel. nach Ihrem den 14.ten Januarÿ deß abgewichenen 1698.gsten Jahre Zeitlicher hind. sich gelaßen, welche auf ansuchen erfordern und begehren s. t. herrn Johann Jacob Schatzens J Cti d. St. St. Pf. dreÿ. auch b. Zu ged. Straßburg alß geordneter Vogts Jungfr Maria Magdalena, Johannis Jacobi, Susannen, Mariä, Johann Gottfrieden und Johann Philippßen, wie auch frawen Anna Margaretha mit beÿstand s. t. herrn Johann Leonhard Pfählers, Specierers und b. Zu mehrgeachtem Straßburg, aller Sieben der seelig. verstorbenen mit dem hinterlaß. herrn wittiber ehelich erzeugter Kinder und ab intestato Erben (…) Geschehen und angefangen in Straßburg den 25.ten Februarÿ 1699.
Copia der Zwischen dem herrn Wittiber und der seelig verstorbenen, Zur Zeit ihrer verhurathung uffgerichteter, Eheberedung
Copia vonn der seeligen frawen coram notario et testibus vfgerichteten Codicillor. recipr.
In einer in der Statt Straßburg, ane der fladergaßen gelegenen in dießer verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden
Holtz und Schreinwerck. Ind. obern Stub, Ind. obern Stub Cammer, In der wohnstuben, In der wohnstub Cammer, In der Kuchen, vor d. Kuch. vf. d. obersten bühn, vff d. dritten bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Studier stub, vor dießer Stub, In der Cammer D, In der hintern Stub Cammer, In der hintern Stuben, Von dießer Stuben, In d. Kind. stub, In d. Kind. stub Cammer, Im Gewölb, In dem untern Contor, Im garten Hauß
Eigenthumb ane Häußern. (W.) Erstlich ein vordere, mittlere und hindere behaußung
ane der fladergaßen (…)
It: ein hauß, garten hof v. hoffstatt bronnen, sambt nebengang hind. gebaw schopf und Salpeter hütten, allen anderen gebäwen, rechten, Zugehörden, und Gerechtigkeiten, gerings umb mit einer mauren umbgeben, alhier in der vorstatt Krautenau, inn der Schwartzen Hennen gaß olim genannt viehegaßen, 1.a neben ietz gemelter viehe gaß und neben d. Schwartzen hennen, 2.s. neben einem garten Zur Carthauß gehörig, hinten vf herrn hanß Peter Sigelß seel. Erben vnd vornen vf die schwartzen hennen gaß, gantz freÿ, ledig und eÿgen, und wie sie vorged. tax. alß 1. octob. 98. durch die Geschworne werckmeister angeschlagen worden 700.
Hierüber bes. i. t. p. Kb. m. d. St. St. C. C. Ins. v.w. sub dato 29. Junÿ 1684. mit Lit. B. notirt. Ferner j. t. p. Kauffverschreibung mit gen. Inns. sub dato 11. Julÿ 1643. mit alt. Lit: H. C. noch ferner i. t. p. Kbr. m. d. gl. Inns. v.w. sub dato 12. Maÿ 1567. not. m. H. C. No 65 et No 22. v. dabeÿ gelaßen. Mehr i. dito m. d. St. St. CC. Ins. && sub dato 27. febr: 1619. not. m. H. C. et No. 65. auch No. 22. dabeÿ gelassen. Und dann ein teutscher Pergament. Kbr. m. wohlgem. Statt Straßb. C. Contract stub Cantzleÿ Inns. verwahret, sub dato 22. Julÿ 1602. mit altem litt. H. et C. auch No 22 et 65. notirt und dabeÿ gelassen.
(T.) It. Hauß, hoff, hoffstatt, Scheür und stall, mit allen anderen ihren gebäuwen, begriffen, weithen Zugehörden rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier in der vorstatt Krautenau in der viehe gassen, 1.s. neben H Tobie Städels dem Jüngern, handelßmann, 2.s. neben Hanß Schellhammer dem gartner, hinten vf erstged. Gartners eÿgenthümbl. gehörig. Garten stoßend, ist auch freÿ ledig und eÿgen und durch offtgedachte geschworne Werckmeistere den 1. octob. 98. angeschlag. vor und umb 350. lb.d. Hierüber besagt j. t. perg. Kbr. in d. St. St. CC Inns. v.w. sub dato 13. octob. 1693. mit new lit. C. bezeichnet. ferner i. t. p. Kbr. m. d. St. St. C.C. stub Inns. v.w. sub dato 30. dec: 1603. auch mit lit C. nottirt sambt annoch vier andere sowohl perg. alß papÿr schrifften, in einem püntlein zusammen gebunden.
(W.) It. Zweÿ häußer eines obern und das andere unten an d. newgaß
zur Kandten genannt in der Statt Straßburg vorstatt Krautenaw in der newen gaßen (…)
(T.) It. i. hauß allhier in der Crautenaw in der newen gaß (…)
Eigenthum ane einem Hoff Zu Altenheim.
Ergäntzung der Erben ohnveränderten Guts. Nach Innhalt der seel. v.storb. fr. in die Ehe Gebr. Nahrung vffgerichteten v. d. H Not: Schatz ausgefertigten Inventarÿ de anno 1678.
Abzug dießes Inventarÿ. d. H Wittwers 1) Silbers 52, 2) Gld Ring 27, 3) Häußer 373, 4) Gülten von liegend. gütern 157, 5) Cappen zinnß 12 ß, 6) Capitalien 173, 7) Activi 10, 8) Ergäntzung (3082, abgang 422, Rest) 2660, Summa summarum 3451.
der Erben 1) Silbers 111, 2) Gold. ring 76, 3) Ergäntzung (11.219, abzug 1772, rest) 9446, Summa summarum 11.448 lb
Theilbar 1) Haußrath 521, 2) früchten 242, 3) Wein Lähre vaß v. bütten 471, 4) Waaren 109, 5) Pulffer und Salpeter 1553, 6) Schiff und geschirr 22, 7) Hew 20, 8) Silberh. v. geschmeid 97, 9) Guldene Ring v. Geschmeid 19, 10), baarschafft 953, 11) Häußer 1887, 12) Altenawer hoff 450, 13) Capitalien 2899, 14) besßerung 825, 15) Activa 4021, Summa summarum 14.094 lb – Passiv 13.203, Rest 891 lb
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 200 florins (100 livres) sur un total de 30 300 florins
1699, Livres de la Taille (VII 1173) f° 54-v
(Kiefer) Weÿl. Fr. Anna Margarethæ Schatzin gebohrner Gambßin, H. Johann Schatzen deß handelßmanns, geweßener haußfrauen Verlaßenschafft, Inventirt Herr Notarius Schatz,
Thut die Beschluß summa Inventarÿ fol: 205.b – 15 270 lb 17 ß 11 d, die machen 30.500 fl. verstallte 30.300 fl. also zu Wenig 200. fl
Wann nun auf ein andre Posten, welche Zimlich wohlfeÿl æstimirt worden, einige melioration gesucht und gerechnet wird, so eräugnet sich daß der statt obig herauß fallender nicht verstallter 200. fl. wohl 1000. kommen wavon der Nachtrag gesetzt wird
in duplo auf vier Jahr, thun à 3 lb – 12. lb
und dann in simplo wegen der Extraordinari anlagen auch auf vier jahr machen à 1. lb 10 ß – 6 lb
Stallgelt 1698. et 1699 – 93 lb 12 ß
Gebott und Unkosten 15 lb 8 ß – Sa. 127. lb 10 d
dt. 17. 7.br 1699 per Pfthurns schein
Jean Schatz se remarie avec Anne Elisabeth, veuve du marchand Jean Walter
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 167-v n° 168, 23)
1706. Mittwoch den 9.ten Maÿ Seind nach Zweÿmähl. Proclamation ehl. copulirt worden, H. Johann Schatz der Wittwer burger und Handelsmann Allhier und Fr. Anna Elisabetha weÿl. H Joh: Walthers gewesenen b. und Handelsmanns hinterl. Wittib [unterzeichnet] Johann Schatz alß Hochzeither, Anna Elisabetha Walterin als hochzeiterin (i 167)
Fils du marchand de drap Gérard Walter, Jean Walter épouse en 1673 Anne Elisabeth, fille de l’orfèvre Daniel Harnister : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehrenvest und großachtbaren Herrn Johann Schatzen Vornehmen Handelsmann und burgern alhier Zu Straßburg alß dem Herrn bräutigamb an einem, So dann der Viel Ehren und Tugendreichen frauen Anna Elisabetha gebohrner Harnisterin weiland des Wohl Ehrenvest und Vorachtbaren Herrn Johann Walthers gewesenen Vornehmen Handelsmanns und burgers alhier seeligen geweßenen frau Wittiben als der frau hochzeiterin am andern – Straßburg Mittwochs den 26. Maÿ anno 1706, [unterzeichnet] Johann Schatz alß hochzeiterer, Daniel Andreas König alß vogt herrn H. Walters hinderlaßenen frau Wittib – Andreas Schmidt Not. publ. jur.
Mariage, cathédrale (luth. f° 160-v n° 4)
1673. Dom. II post Epiphan. Zum 2. mahl Hr Johann Walther Weyßleinwad händler, Weiland hr Gerhardt Walthers gewesenen Weyßleinwad händlers u. Burgers alhier nachgelaß. ehel: Sohn, Jfr. Anna Elisabeth Hr Daniel Harnisters, dreÿer der Statt Stall und Silberarbeiters ehel: T. Donnerstags den 30.t Jan: Münster (im 163)
Jean Schatz meurt en 1707 en délaissant sept enfants de sa première femme Anne Marguerite Gambs et sa veuve Anne Elisabeth Harnister. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 28.651 livres, le passif à 16.414 livres. Les maisons rue de la Poule noire sont cédées au fils Jean Philippe Schatz ; celle au sud de la rue est appelée Eschauer Hoff (cour d’Eschau, la première mention de cette dénomination date de 1697).
1707 (3. 7.br), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 19)
Inventarium und beschreibung aller Haab, Nahrung Und güetere, ligend vnd vahrender, verändert vnd unveränderter, Keinerleÿ außgenommen, so weÿland der Wohl Ehren Vest und Großachtbare Herr Johann Schatz, geweßener Banquier und Vornehmer Handelßmann allhier Zu Straßburg, nach seinem donnerstags den 18.ten Augusti Jüngsthin aus dießem mühesamen leben genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auff Gn. befehl des hoch gebohrnen Herrn Johann Baptistæ von Klinglin, Königlichen Raths und hochverordneten Prætoris regÿ alhier, alß subdelegirten hohen Hn Mandatarÿ des Königlichen Herrn Intendanten ratione Fisci, weilen eine von des Verstorbenen seel. döchtern wie hernacher beÿ der Descriptione hæredum erhället, ohnverburgert, Vnd in des feindes lande wohnet, nach vorhergangeger eröffnung des gleich nach dem todfall beschehenen Obrigkeitlichen Decretation und der, von der Viel Ehren und tugendreichen Frawen Anna Elisabetha Schatzin gebohrner Harnisterin der hinderlaßenen Wittib, beÿständlich des Wohl Edlen Vesten, Fromb, Fürsichtig und wohlweißen Herrn Daniel Andreæ Königs, hochmeritirten XV.ers des beständigen Regiments alhie, ihres hochgeehrten herrn Curatoris, wie auch herrn Johann und Herrn Johann Jacob Schatzen, der beeden ältisten Söhne, so bereits Majorennes, vns vmb die vätterlich Verlassenschafft, vornehmlichen waß das Contor und die handlung betrifft, die beste wißenschafft haben, deßgleichen H Johann Niclauß Gambsen handelßmanns der Sambtlichen noch ledigen Schatzischen Kinder alle hernachgemelt geschwornen vogten – Actum und angefang. Straßburg den 3.t Septembris Anno 1707.
Der Abgeleibte Herr seel. hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie volgt. 1. die Ehren und tugendsame Fraw Margaretham Salome Pfälerin gebohrne Schatzin des Ehrenvesten und vorachtbahren herrn Johann Leonhardt Pfälers, Specereÿ händlers und burgers alhier viel geliebte haußwürthin, beÿständlich erstgedachts ihres Ehevogts, 2. die Ehren und tugendsame Fraw Mariam Magdalenam Dietrichin gebohrne Schatzin, des Ehrenvesten und Achtbahren herrn Johann Conrad Dietrichs, handelßmanns Zu Franckfort Eheliebstin, So der Inventur Zwar in Abweßenheit ihres Ehemanns beÿgewohnet und sich alhier eingefunden, Weilen Sie aber ohnverburgert und ihr Domicilium außerhalb undt in feindes landen hat, auch ohnerachtet Sie Zwar beÿ ihrer Ankunfft vmb das allhießige burgerrecht beÿ E.E: Großen Rath angehalten, dennoch die gratification deßen biß anhero suspendirt und ohnerörtert geblieben, alß seind die ordnung gemäß, inn dero Nahmen, der wohlgebohrne Herr Johann Adolph von Krebs und der Wohl ehrenvest fürsichtig und weiße Herr Johann Georg Grießbach E.E. großen Rath alter Und der Zeit E.E: Kleinen Raths alß Constoffler beÿsitzer, von wohlermeltem Kleinen rath und auß deßen mittel hierzu insonderheit Deputirt word, welche auch beständig selbigem beÿgewohnt,
3. 4. 5. 6. et 7. Herrn Johannem und Herrn Johannem Jacobum beede handels verständige die bereits Majorennes aber noch ledigen standts, Jungfrau Susannam Mariam, Johann Gottfried und Johann Philipp Schatzen, dero Geschworner Vogt der Ehrenveste und Vorachtbahre Herr Johann Niclaus Gambs vornehmer Handelsmann und burger alhie (…) Alle Sieben des in Gott ruhenden Herr seel. mit weÿland der viel Ehren und tugendreich. Frawen Anna Margaretha Schatzin gebohrner Gambßin seiner ersten hauß frawen seel. ehelich erzeugte Kind. und ab intestato zu 7. gleichen portionen und antheilern Verlaßene Erben
Bericht wegen der Fraw Wittib unveränderten Guths, Es hat Zwar deu Fraw Wittib vermeint, weilen so länger nicht als ungefehr ein Jahr mit dem herrn seel. verheurathet war, auch solch. Zeit über einige Conjunctio bonorum nicht beschehen, weniger in der Ehe inventirt worden, sondern Sie die Fraw Wittib Ihr ohnverändert Guth in ohnzetrennter possession wie es nach absterben ihres ersten Eheherrn Johann Walters der sich befund. biß anhero /:außer etliche Capitalia so ihr letzter Herr Eheliebste wie hernach zu seh. ihro eingezog.:/ behalten, und die Administration darüber gehabt, auch d. Stallgeld und anderen Jura Immer selbsten abgerichtet, So wäre nicht befugt wid. de novo Zu Inventiren (…)
Haußrath, So der Wittib ohnverändert 458, Frucht 100, Wein und Vaß 172, Silber geschirr und Geschmeid 273, Guldene Ring 711, Baarschafft 1554, Pfenningzinß hauptgüter 16.072
Eigenthumb ane einer behaußung Wie auch ane einem Meÿerhoff, so der Fraw Wittib unverändert. Erstlich der Fraw Wittib an: od respectivé drittertheil ane einer behaußung
in der fladergaßen geleg. und Zu Hawer Genandt (…)
So dann thut der Fraw Wittib unveränderte Meÿerhoff cum appertinentiis außerhalb der Statt Hagenaw 100, Sa. behaußung und Meÿerhoff, 1100, Gülth von liegenden güthern 110
(f° 11) In einer alhie Zu Straßburg in der Fladergaßen gelegener vnd inn dießer Verlassenschafft gehöriger behaußung ist befunden word. wie volgt.
Hützen und Schreinwerckh. Im Vordern Hauß, auff der bühn, In der Obern Ärcker stub, In der Stuben Cammer, In der Obern Küchen, In der Vordern Wohnstub, In der Stuben Cammer, In der küchen, In dem hauß Öhren, Auff der obern hinterbühn, Cammer A, Cammer B, In der neuen Cammer, Cammer C, Im Mittlern Haußöhren, In der hintern Stub, In der neuen Zimmer, Im Hauß Öhrn
In der beh. In der Hennen gaß, Im hintern Gang Stübel, Im Untern Hauß Öhrn, Im Gewölb, Im Contor
(f° 34) Eigenthumb ane häußern. Erstlich ein Vord: mitler Vnd hinder hauß In der Fladergaßen (…)
Item ein hauß hoff hoffstatt, Garten und bronnen, sambt allen dero Rechten Zugehördten und Gerechtigkeiten rings umb mit einer Maur Umbgeben, und gelegen alhier Zu Straßburg in der Vorstatt Crautenaw, inn der Schwartz Hennen gaß, modo die Viehegaß genandt, eins. neben ietz gemelter Viehegaß, und neben der Schwartz. Hennen, and.s. neb. einem Garten Zur Carthauß gehörig hinden auff herrn hannß Peter Sigristen seel. Erben V. Nachkommen /:etwann modo H. Joh: Balthasar Bischoff dem holtzhändler stoßend:/ so freÿ ledig und eig. durch obgemelte H. Werckmeister æstimirt /:was die gebäu und die herren Schätzer beÿ E.E. Zunfft der Gartner waß den Garten betrifft Zusammen æstimirt:/ 1700. lb. Hierüber besagt i. teutscher Perg: Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhang. Cancelleÿ contract Insigel Verwahrt und datirt den 29° Junÿ 1684. mit alt. Lit. B. notirt vnd darbeÿ gelaßen weißet wie der Abgeleibte herr seel. solches Hauß und Garten Von herrn Johann Sebastian Gambßen ietzmahligen Altem Ammeistern Ane sich erhandelt. Ferner i. teutsch. Perg: Kauff verschreibung, auch mit der Statt Straßburg Cancelleÿ Contractstuben anhang: Insigel verwahrt, und datirt den 11° Julÿ 1643: mit alt. Lit H. und C. bezeichnet. Weiters noch 3. alte Perg: brieff dedatis 12° Maÿ 1567. 27. febr: 1619. und 22° Julÿ 1602: mit verschiedenen alt. N.is und lit.is notirt und darbeÿ gelaßen
(f° 35) Item hauß, hoffstatt, Scheür und Stall, mit allen anderen ihren gebäuwen, begriffen, weiten rechten, Zugehörden vnd gerechtigkeit. gelegen alhier Zu Straßburg in der Vorstatt Crautenaw, in der Schwartz Hennengaß, der Eschawer hoff genandt, einseit neben H Johann Allemand Würth a la table royalle, anderseit neben Hanß Schellhammer dem gartner, hind. auff gedachten Schellhammer stoßend, so freÿ, ledig vnd eig. durch die Geschwohrne Werckmeistere alhier angeschlagen p. 650. lb. Darüber besagt j. t. Perg. Kauffbrieff mit der Statt der Statt Straßb. Cancelleÿ Contract Insigel verwahrt, und datirt den 13. 8.bris Anno 1693. mit alt. lit. C. notirt vnd dabeÿ gelaßen
(f° 36) Eigenthum ane einem Hoff beÿ Altenheim. Item ein Meÿerhoff gegen Altenh. über, Zwisch. dem Rhein gelegen, der Altenhawer hoff genand (…)
(f° 54) Series rubricarum hujus Inventarÿ, der Erben Unverändert und daß Theilbar Guth, Sa. haußraths 474, Sa. der Früchten 74, Sa. der Wein und vaß 703, Sa. der Gewerbs wahren 2101, Sa. Schiff und geschirr 171, Sa. Pferdt 70, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 582, Sa. Guldenen ring 532, Sa. der baarschafft 867, Sa. der Pfenningzinß hauptgüter 6035, Sa. des Kappenzinßes 2, Sa. Gülten von Eigenthümlich Gütern 744, Sa. Eigenthumbs ane häußern 6000, Sa. Eigenthums ane einem Meÿerguth Zu Altenh. 2771, Sa. der Schulden 7521, Summa summarum 28.651 lb – Schulden 16.414 lb, Nach deren Abzug 12.236 lb
Conclusio finalis Inventarÿ Schatzischer Verlaßenschafft dem Stall tax nach 16.859 lb
Conclusio finalis Inventarÿ Viduæ relictæ nach dem Stall tax 23.111 lb – Conclusio generalis hujus Inventarÿ 39.971 lb
Copia der Eheberedung (…) Andreas Schmidt Not. publ. jur.
Abschatzung den 9.ten Martÿ Anno 1708. Weÿlandt Herrn Johann Schatzen geweßenen Kauffmanns seel. hinderlaßener Frau Wittib Vndt Erben ist eine Behausung alhier in der Statt Straßburg in der flader gaß gelegen (…)
Die Zweÿte behaußung ist auch alhier in der Statt Straßburg in der Hännen Gaßen gelegen einseits neben herrn Johann Dieringer Wirth Vndt Gastgeber Zur schwartzen hännen, anderseits auff die Carthaus hinden auff herrn Bischoffs holtzhändlern stoßend, Welche behaußung, stallung, Salpeter hütt, hoff vndt Bronnen, wie auch garten Mauer, steinern tritten, Vndt andern steinen Vndt blatten samt aller Gerechtigkeit Jetzigem preiß nach angeschlagen wirdt Vor Vndt Vmb Zweÿ Taußendt Gulden
Die dritte behaußung Ist auch alhier in der Statt Straßburg auch in der Hännen Gaßen gelegen einseits neben H. Christian Allmand Wirth vnd Gastgeber Zur Guldenen Taffel, anderseits neben hanns Schellhammer, Gartner, hinden auff Vorgedachter Schellhammer stoßend, Welche behausung, Nebens hauß, Scheür, hoff Vndt bronnen samt aller gerechtigkeit Jetzigem Preiß nach angeschlagen wird Vor Vndt Vmb Dreÿ Zehn Hundert Gulden
Die vierdte Behaußung (…)
Bezeichnus durch der Statt Straßburg geschworne Werckhleuthe, [unterzeichnet] acob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Johann Jacob Osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs.
(f° 38) Ferner ist die Behaußung Inn der Hennengaßen, einseit neben H Johann düring. dem hennen würth and.s vff die Carthauß, hind. auff H. Johann Heinrich Bischoff den holtzhändler stoßend, so freÿ ledig vnd eig. sambt allen darin befindlichen steinen vndt blatten, Zu einem Gartenhauß gehörig, wie solches In dem vätterlich Inventario weitlaüffig specificirt, vnd allda sambt der daselbsten beschriebenen gartenmaur vmb 2000 fl. æstimirt worden, Ist aber anietzo /:außer solcher Maur, welche Zu dem Garten anietzo gewidmet, vnd damit Zu verkauffen beleibt:/ verglichener laßen vmb 900 lb d angeschlag. darumb geloßt, vnd Johann Philipp Schatz. in solchem Preiß erblich Zugefallen
Darbeÿ aber verabschiedet, daß der Jenige, dem solche behaußung im loß Zu fallen würd, H. Johann Schatz. dem ältisten Sohn seine von den Erben ihme gegebene halb Jährige Lehnung außgehalten werden solle.
Eod. die Ist auch die Andere Behaußung In der Crautenaw der Eschawer hoff genandt vmb den Preiß wie solche in dem vätterlich. Inventario angeschlag. worden, nochmahlen also Zulaßen beliebt, volgendt ist darumb geloßt, vnd Johann Philipp Schatzen vmb solch.
Actes de Madame Marie Gertrude de Caba Dame Douairiere de Germange touchant la succession de feu Sr Scharz Et ses decharges
Le tuteur de Jean Philippe Schatz loue les maisons au marchand Jean Schatz
1708 (29.10.), Chambre des Contrats, vol. 581 f° 613
Hr Joh: Niclaus Gambs handelsmann alß vogt Joh: Philipp Schatzen
in gegensein H. Joh: Schatz handelsmanns
verliehen deß Curandi behaußung in der Hennengass, einseit neben dem Gasthauß zuer hennen anderseit neben H. Martins Garten hinten auf H. flachen, nichts außgenommen,
Item in dem Eschauer hoff gegenüber eine scheur sambt einem dargegen liegendem Keller, auf 9 jahr lang anfangend auf Joh. Bapt: 1708 – um einen jährlichen Zinß nemlich 60 lb
Jean Philippe Schatz vend la maison au gourmet Jacques Martin moyennant 900 livres
1718 (17.3.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 145-v
(900) Johann Philipp Schatz der ledige handelsmann majorennis und ohnbevögtigt
in gegensein H. Jacob Martin Weinstichers mit beÿstand H. Johann Joachim haubenstrickers alten dreÿers des Umbgelds
hauß hoff hoffstatt Scheür und Ställ mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten in der Vorstatt Krautenau in der hennengaß, einseit neben Daniel Schöllhammers garten anderseit neben der Allemanischen Wittib hinten auff ged. Schöllhammers garten – um 900 pfund
Originaire de Sindolsheim en Franconie, l’horticulteur Jacques Martin épouse en 1700 Barbe Schürmann, veuve du maraîcher Jean Jacques Dachert
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 81 n° 3)
1700. Mittwoch den 17. febr. seind nach ordentl. proclamation Ehelich copulirt worden Jacob Martin der ledige Kunst: und blumengärtner Von Zindelßheim in franckenland, Georg Martins deß schuhmachers und burgers allda, Und Gertruden seiner Ehfrauen Ehelicher Sohn, Und Frau Barbara geborne Schürrmännin, Weiland Hn Joh: Jacob dacherts deß gartenmanns und burgers nachgelaßene Wittib [unterzeichnet] Jacob Martin als hochzeiter, b. der hochzeiterin zeichen (i 85)
Le jardinier pépiniériste Jacques Martin devient bourgeois par sa femme Barbe Dachert
4° Livre de bourgeoisie f° 716
Jacob Martin, der blumengartner, Von Zindelsheim, Georg Martin des schumachers daselbst sohn, empfangt das burgerrecht Von seiner Frawen Barbara Dachertin, gratis, Vnd wird beÿ E.E. Zunfft der Weinstichern dienen. Jur. d. 14. Dito. [Jan.] 1700
Fils du maraîcher Jean Dachert, Jean Jacques Dachert épouse en 1685 Barbe, fille de Jean Schürmann de Grindelwald dans le canton de Berne
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 109 n° 1)
1685. Dom. II. et III. Epiph. Hans Jacob Dachert der led. Gartenmann Wld. Hannß Dacherts, Gartenmanns vndt Burgers alhie hint. ehel. Sohn Vnd J. Barbara, Hanß Schürmans deß Burgers Zu Grindelwald Berner gebiets hinterlaßene ehel. Tochter. W Freÿt. d. 25. Jan. (i 105)
Barbe Schürmann devient bourgeoise par son mari à titre gratuit un mois après son mariage
1685, 4° Livre de bourgeoisie p. 510
Barbara Scheürmannin von grundelwald berner gebiethß empfangt das burger recht von ihrem Ehemann Hanns Jacob Dachert gratis, beÿ denen gartnern in Krautenau Zünfftig. Jur. 8. martÿ 1685.
Barbe Schümann meurt sans enfant en 1709, femme du jardinier pépiniériste et gourmet Jacques Martin. Ses héritiers sont les enfants de sa sœur qui a épousé Guillaume Dufaut. Son inventaire n’est connu que par l’examen qu’en fait la Chambre de la Taille. Les Quinze font grâce du droit de détraction aux héritiers.
1709, Livres de la Taille (VII 1174) f° 95-v
(Weinsticher, F., N. 211) Weÿl. Frauen Barbaræ gebohrner Schürrmännin, Hn Jacob Martins des Kunst: und Blumen Gärtners auch burgers und Weinstichers alhier geweßener haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Johann Heinrich Lang senior.
Concl. fin. Inv. ist fol. 63.b – 482. lb 2 ß 4 d, die machen 1000. fl. derselbe verstallye hingegen 2400 fl.
Extat das Stallgeltt pro 1708 – 4 lb 19 ß
Gebott – 1 ß 4 d
Abhandlung – 12 ß 6 d – Summa 5. lb 12 ß 10 d
dt. 3. Julÿ 1709.
Abzug. Guillaume Du faut des Schneiders und Burgers allhier Vier frembd und ohnverburgerte Kinder, haben ane denen Ihnen pro rato nach des wÿdems nießers tod erblich Zugefallenden 182. lb. 9. ß. 9. d. ane Abzug zu entrichten 18. lb. 4. ß. 11 ½ d
(rub.) Vermög Erkantnus der Herren XV.en vom 24° Julÿ 1709. ist solcher abzug Ihnen auß Gnaden nachgelaßen worden.
Jacques Martin se remarie en 1711 avec Agathe, veuve du blanchisseur Michel Meyer de la Robertsau : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedungs Copeÿ – zwischen dem Ehrenvest und Wohlgeachten Herrn Jacob Martin, geschwornen Weinsticher undt Garttenmann auch burgern allhier zu Straßburg als Hochzeittern ahn einem, So dann der Viel Ehren und tugendreichen Frauen Agathæ gebohrner Böckelin, Weÿlandt Hn Michael Meÿers geweßenen Bleichers in Ruprechtsau und burgers zu gedachtem Straßburg, seeligen nachgelaßener wittib alß der Hochzeitterin am andern Theil – So beschehen und Verhandelt auff der Meÿerischen blaich in der Ruprechtsau auff Montag den 27. tag deß Monats Aprilis in dem Jahr 1711 – Johann Heinrich Lang sen. Nots. requisitus
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 149-v)
Mitwochs den 20 Maj. 1711 seind nach vorhergegangener 2 maliger außrufung Dominica Rogate et Exaudi ehelich eingesegnet worden H. Jacob Martin der Weinsticher v. burger allhier ein Witwer, V. Fr. Agatha, weiland H Michael Meÿers gewesenen bleichers in der Ruprechtsau v. hisigen burgers reclita vidua geborne Böcklin von Mittelbergheim [unterzeichnet] Jacob Martin als hochzeiter, + ist d. handzeichen Dr. Agatha Meÿerin (i155)
Agathe Bœckler, fille de Jonas Bœckel, épouse en 1693 à Mittelbergheim le boucher Jean Georges Kornmann, fils de Sebastian Kornmann
Mariage, Mittelbergheim (luth.)
Anno 1693 den 1. Octobris wurden nach vorgegangener Zwifacher offentlicher außruffung ehelichen eingesegnet Johann Georg Kornmann der Ledige Metzger allhier und Jungfr. Agatha Böckelin. Deß Hochzeiters Eltern seindt, Weil. Herr Sebastian Kornmann alter Heimburger undt Gerichtsverwanther allhier so verstorben, vndt Fr. Martha Schalckin deßen gewesene eheliche haußfraw nunmehr hinterlaßene Wittib so noch im Leben, der Jungfr. Hochzeiterin Eltern seindt beede annoch im leben nemlich Herr Jonas Böckel alter Heinburger undt Gerichts Verwander allhier undt Fr. Maria Güntzerin beede Eheleuth allhier, [unterzeichnet] Johann geörg Kornmann als hochzeityer, AB Aagathä Böckelin beÿzeichen (i 51)
Elle se remarie en 1697 avec le blanchisseur Michel Meyer, fils du blanchisseur Jean Meyer de la Robertsau
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 70-v)
1697, Mittwoch den 27.sten Novemb. seind nach 2 mahliger außruffung am Sonntag XXIV und XXV Trinitatis copulirt worden, Michael Meyer der ledige blaicher in der obern Ruprechtsaw, Herrn hannß Mejers deß blaichers allda auch E.E. grosen Rhats alten beÿsitzers, und weÿl. fr. Annæ geb. Fuchsin seiner Ehefrauen Ehelicher Sohn, und Frau Agatha Weÿland Hanns Jörg Kornmanns deß gewesenen Metzgers und burgers Zu Mittelbergkheim Straßburger Herrschafft im Ambt Barr nachgelaßene wittib [unterzeichnet] Michael Meÿer alß hochzeiter + Zeichen der Frau hochzeiterin, Johann Georg Stecher als deß hochzeiters Vogt, Johannes Widtmann als der hochzeiterin vogt (i 74)
Agathe Bœckel devient bourgeoise par son mari en janvier 1698.
4° Livre de bourgeoisie f° 696
Agatha Böcklerin Von Mittelbergheim, Jacob Böcklins des Metzgers daselbst Ehl: tochter empfangt das burgerrecht Von Michael Meÿer dem bleicher alhier, ihrem Ehemann p. 2. goldR. 16. ß so bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt Worden Vnd wird beÿ E.E. Zunfft der gartner in der Krautenaw dienen. Promis: d. 20. Januarÿ 1698.
Agathe Bœckel meurt en 1730 en délaissant un fils de son mariage avec Michel Meyer et deux enfants de son mariage avec Jacques Martin. Les biens comprennent deux maisons à la Krutenau, l’une quai aux Chevaux et l’autre rue de la Poule, en face du jardin. Celle dite Eschauer Hoff est estimée à 700 livres. La masse propre au veuf est de 1 184 livres, celle propre aux héritiers de 1 405 livres. L’actif de la communauté s’élève à 3 100 livres, le passif à 447 livres. La somme taillable s’élève à 5 698 livres.
1730 (21.3.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 4) n° 65 [numéro restitué, haut droit abîmé]
Inventarium über Weÿl. der Viel Ehren und tugendsahmen Frauen Agathä Martinin gebohrner Böckelin, deß Wohl Ehrenvesten Herrn Jacob Martins des Weinstichers und burgers allhier zu Straßburg geweßener Ehefrauen nunmehr seel. Verlaßenschafft – nach ihrem dienstags den 3.ten Januarii dieses mit gott angefangenen 1730.sten Jahrs beschehenen tödlichen ableiben hie zeitlichen verlaßen – So geschehen v. angefangen in der Königl. Statt Straßburg auff dienstag d. 21.ten Martii A° 1730.
Die Verstorbene Frau seel. hat ab intestato zu Erben Verlaßen als folgt. 1. den Ehrengeachten Johann Michael Meÿer den bleicher und burger alhier zu Straßburg, welcher auch beÿ dem geschäfft erschienen, dieser sohn hat die verstorbene seel. mit weÿl. H. Michael Meÿer dem geweßenen bleicher in der Ruprechtsau und burger allhier zu Straßburg in Mittler Ehe erzeugt
2. Johann Jacob Martin so ohngefehr 17 Jahr alt, 3. Jgfr Mariam Magdalenam Martinin so ohngefehr 15. Jahr alt, diese 2. letztere Kinder hat die Verstorbene Frau seel. mit Eingangs gedachtem hinterbliebenen Wittiber in letzter Ehe erzeugt, deren geschworner Vogt ist H. Joh: Jacob Brion, der Kübler und burger allhier zu Straßburg, Alle dreÿ der Verstorbenen seel: hinterlaßenen Kinder und Erben zu gleichen antheilen
Copia der Eheberedung, vid. beÿl. v. ingetragen fol. 46.b bericht p vid. in fine
In einer alhier zu Straßburg ane der Krautenau gelegenen in diese Verlassenschafft eigenthümlich gehörigen und hernach fol° beschriebenen behaußung ist befunden worden als volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck, In der Soldaten Cammer, In der obersten Stub, In der obern Stub Cammer, Im obern hauß Ehren, Auff den obern gang, In d. Mehl Cammer, In der Mittlern Stub, In der Stub Cammer, In d. obern Hauß Cammer, Auff dem mittlern gang, In d. Mittlern Kuchen, Im Hoff, In der untern Kuchen, In d. Wohnstub, Im untern hauß Ehren (pge. fol. 9-b)
Eigenthum ane liegenden güthern. Erstl. ein Garten Vor dem Judenthor (…)
It. ein garten, gelegen alhier zu Straßburg ane der Crautenau in der Hennengaß, so an dreÿen seiten mit Mauren umgeben, samt darinnen sich befindenden tragbahren Obs bäumen, einem gümpp bronnen, einer Sonnen Uhr auff einen steinern stock und s. v. Cloac, einseit neben der hennengaß, allwo sich zween Eingäng befinden, anderseit neben H. Joh: Balthasar Bischoffs des Holtzhändlers Garten, oben uff das Schatzische hauß und unten auff einen garten dem stifft St. Nicolai in undis gehörig stoßend gelegen, so leedig v. eigen und hiehero weilen solcher in 1 ¾ A. bestehen solle, der Ar à 200. lb angeschlagen um 350. Darüber bes. i. perg: Kbr. m. d. Statt Straßburg anhangendem Cantzleÿ Contract Insiegel verwahrt sub dato 7.ten Apr: A° 1708.
(W.) It. ein Garten vor dem Spithalthor (…)
(W.) It. ein Garten vor dem Metzgerthor
pro notâ. Nechst Vor stehende 5 ¾ acker* hat der Herr wittiber seinem bruder Hn Joh: Simon Martin in lehnung überlaßen.
(T.) It. i. Garten ahn der Ruprechtsau (…)
(E.) It. ein halb zweÿtel Reeben Mitterbergheim banns (…)
Eigenthumb ahne Häußern. (W.) Erstlichen ein Hauß
in der vorstatt Krautenau am Gaulstaden (…)
(E.) It. ein Siebender theil so dann ane einem Siebenden theil ein Sechster theil Von v. ane einem Vierten theil ane einer behaußung, Trott, Trotthauß, Keller, stallung in dem dorff Mittelbergheim in der Mittelrott (…)
Eigenthum ane einer Bleich samt darbeÿ befindlichen Wohnungen und Gebäuen. (…) Ein Platz Grunds in der Ruprechtsau (…)
(f° 39-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Wittibers Vermögen, Sa. Hausraths 61, Sa. Silbers 6, Sa. baarschafft 4, Sa. Eigenthums ane ir. behaußung 528, Sa. Eigenthums ane Liegenden güthern 1158, Sa. d. Ergäntzung (545, Abgang 270, Erg. rest) 175, Summa summarum 1934 lb – Sa. der Schulden 750 lb, Detrahendo verbleibt 1184 lb
der Erben Nahrung, Sa. hausraths 84, Sa. Faß 3, Sa. Silber 9, Sa. golderner Ring 12, Sa. der baarschafft 2, Sa. Eigenthums ane einer behaußung o, Sa. Eigenthums ane einer bleich 1368, Sa. Eigenthums ane Liegenden güthern 144, Sa. d. Beßerung ane Lehengrund o, Sa. der Schulden in die Nahrung 48, Sa. Ergäntzung (1220, Abgang 1488, Restirt passive) 268, Summa summarum 1673 lb – Sa. Schuld 268 b Nach deren Abzug 1405 lb
das theilbare guth belangend, Sa. hausraths 243, brennholtz 28, Früchten auff dem Casten 17, Wein, brandenwein v. Lähre Faß 368, Blumen auff dem feld 48, Vieh 114, Schiff und geschirr 92, Taback 19, Häu v. Stroh 2, Silber 32, Goldener Ring 12 ß, baarschafft 115, Eigenthum ane einer behaußung 700, Sa. Eigenthums ane Lieg. güthern 576, Schulden 741, Summa summarum 3100 lb – Sa. der Schuld 447 lb, Solche, beneben 10. lb so dem H Wittiber Crafft municipal Rechtens zum voraus b. Liebthat gehörig, von der theilbaren Nahrung abgezogen 2643 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 5698. lb
Wÿdum, Welchen Georg Gilg der Kieffer v. burger zu Mittelbergheim von Weÿl. frauen Mariæ gebohrne Böckelin deßelben Verstorbenen Haußfrauen seel. ad dies vitæ zu genießen hat, davon nach deßen absterben das Eigenthum auff der Verstorbenen Frauen seel. hinterlassenen Erben zurückfällt, Inhalt erstgedachter Frauen Mariä Gilgin gebohrne Böckelin seel. auffgerichteten Testamenti § 3.io
Bericht über gegenwärtige Verlassenschafft. (…) alßo er der H. Wittiber solches der Erben Mütterl. Guth salva Legitima ad dies vitæ zu genießen (…)
Wÿdum Welchen die Verstorbene seel. biß an ihr absterben genoßen davon das Eigenthum dermahlen H. Joh: Michael Meÿer ihrem in Mittler Ehe eigenthümlich zuständigen Sohn gehörig
Eheberedungs Copeÿ (…) So beschehen und Verhandelt auff der Meÿerischen blaich in der Ruprechtsau auff Montag den 27. tag deß Monats Aprilis in dem Jahr 1711 – Johann Heinrich Lang sen. Nots. requisitus
Abschatzung d. 21 Marty a[° 1720] Auff begehren des Ehrenhafften vnd besch[eidenen] herrn Jacob Martin Weinsticher ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der Krautenau gelegen einseits (…)
Der 2.te begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg in der Krautenau in der hönnengaßen gelegen, der Eschauische hoff genant einseits Neben H. von Höhster Pfeiffenmacher, anderseits wie auch hinden auf Daniel Schellhammer stosend, welche behausung, Nebens gebäu, Stuben, Cammern, Küchen, hauß Ehren, eine alte frucht schütt stallung so zum theil Vor sie Einquartierung, gebälckter Keller hofflin bronnen sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckleüthe sich in der besichtigung befunden und Jetziger preiß Nach angeschlagen vor vnd vmb Ein Tausend und Vier hundert gulden. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Révision de l’inventaire et liquidation. Les sommes dues aux enfants de Guillaume Dufaut ont été réglées.
1732, Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 19) n° 765 (724)
Correctio und respe. Anderwärtige Abrechnungen Weÿland Frauen Agathæ Martinin gebohrner Böckelin H. Jacob Martin des geschwornen Weinstichers undt burgers allhier geweßener Ehefrauen seel. Verlassenschafft betreffend nach anleÿtung der d. 10. Julÿ 1732. Zwischen denen zu solchem Verlassenschaffts Geschäfft gehörigen Interessenten Verglichenen undt abgeredten puncten und der nach und der nach der hand Von seithen des H. Inventir Notarÿ darnach projectirten Abrechnungen Vergriffen und auffgerichtet
Der H Wittiber hätte zufolg Vorerwenter projectirten abrechnungen fol. 3. fac j.a wegen seine Ergäntzung in theilbahre Nahrung einzuschießen 371 lb
Dieweilen aber der Hr wittiber, wie Verlassenschaffts Inventarium fol: 53. fac. j.a insein* des Hn wittibers Erg. Abzug weißet, daß Er Von weÿl. fr. Barbara Schürmännin in seiner erstern haußfr. seel. ad dies vitæ zu genießen gehabt hätte 270. lb
und aber d. 11. Xbris 1710. daran Guillaume Dufaut des Schneidters mit Margaretha Schürmännin erzeugten dreÿ ältisten Kindern und also Vor dießer Ehe ihren antheil richtig gemacht denen dreÿ jüngsten Kindtern aber seÿe durante matrimonio Vor Ihren gehörigen antheil Verglichener masen zahlt wordten dahero in Erg. abzug gebracht mit 67. lb
(…) der H. Wittiber soll in theilbare Mass 304 lb
Die Erben sollen In theilbare Nahrung 510 lb
Jacques Martin meurt en 1736 en délaissant deux enfants. Les experts estiment la maison (Eschauer hoff) à la somme de 625 livres. L’actif de la succession s’élève à 3 357 livres, le passif à 153 livres.
1736 (23.3.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 467) n° 65
Inventarium über Weÿland deß Wohl Ehrenvesten Herrn Jacob Martins geweßenen geschwornen Weinstichers und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. Verlassenschafft – nach seinem Freÿtags d. 9.ten Martii dießes lauffenden 1736.ten Jahrs beschehenen tödliches ableiben hie zeitlichen verlaßen – So geschehen und angefangen in der Königlichen Statt Straßburg auff freÿtag den 23.ten Martÿ anno 1736.
Der Verstorbene seelig hab ab intestato zu Erben Verlaßen als folgt. 1° den Ehrengeachten H Johann Jacob Martin den leedigen Kunstgärtner, so beÿ nahe 24. Jahr alt und beÿ dem Geschäfft beneben dem Ehren V. Vorgeachten Herrn Johann Jacob Brion dem Kübler V. Burgern allhier seinem geschwornen vogt persönlich erschienen, und 2. die Viel Ehr: und tugendsame Frau Mariam Magdalenam Ulrichin gebohrne Martinin deß Ehren und Vorgeachten Hn Johann Jacob Ulrich deß Schiffmanns und burgers allhier zu Straßburg Ehefrau, deß Verstorbenen seel. mit auch Weÿl. Frauen Agatha gebohrner Böckelin in letzter Ehe erzeugte Kinder und Erben zugleichen Antheilen
In einer allhier zu Straßburg ane der Crautenau gelegenen hiehero eigenthümlich gehörigen und hernach beschriebener behaußung ist befund. word. als folgt.
Höltzen und Schreinwerck – Auff d. ohnein obersten bühn, Auff dem obern Gang, Im obern Stübem, In d. obern Stub Cammer, In d. mittlern Stub, In d. Mittlern Stub Cammer, In d. Nebens Cammer, In d. Obern Kuchen, Im cämmerl. auff dem gang, In d. Untern Stub, Im untern Hauß Ehren, Im untern Cämmerlein, Im Hoff,
(f° 10) Eigenthum ane Häußern. Ein Hauß Hoffstatt Höfflein Schopff und Gärtlein am Gaulstaden (…)
It. 2/3.theil Vor unvertheilt Von V. ane Hauß Hoff Hoffstatt scheur V. Ställ m. alles übrigen deßen gebäuen, begriffen, weiten zugehörd. rechten v. gerechtigkeiten gelegen allhier ane der Vorstatt Crautenau in d. Hennengaß 1. s. neben Daniel schöllhammer gartnern ane Crautenau 2.s neben N. Chevallier dem Zimmermann v. burger allhier, hinten auff gedachten Schöllhammers Garten stoßend so freÿ ledig eigen und durch vorgedachte H. Werckmeister Zufolg oballegirter Abschatzung Zeduls hieher angeschlagen worden pro 1250 fl. od. 625. lb
Thun die hieher gehörige 2/3. theil 416. 13. Und ist der übrige dritte theil H. Johann Michael Meÿer dem bleicher und anfangs gedachten beeden Erben als ein Von ihrer verstorbenen Mutter seel. ererbten gut gehörig Über die ganze behaußung meldet ein teutsch. perg. Kb. m. allh. C. C. Stub gefertiget v. m. dero anhangedem Insiegel verwahret de dato 17.ten Martÿ 1718. m. a. Lit. B. marq. und wied. dabeÿ gelaßen. Ferner i älterer teutsch. pergam. Kb. in ermeldter C. C Stub unter dero anhang. Ins. gefertiget dat. d. 13. 8.br. 1693. m. a. N. 6. v. Lit. B. notirt und dabeÿ gelaßen.
(f° 11) Eigenthum ane liegenden güthern. Ein garten Vor dem Juden thor ane dem Schießraÿn gelegen (…)
Item zweÿ dritte theil Vor unvertheilt Von V. ane einen Viertzel ane erstgemeltem Garten (…)
It. ein Garten gelegen allhier zu Straßburg ane der Crautenau in der Hennengaß, so an 3.en seithen mit Mauren umgeben samt darinn befindlichen Obsbäumen, I.m Gumppbronnen, I.r Sonnen Uhr, auff einem Steinern stoll und S.V. Cloac I.s. neben d. Hennen gaß, allwo sich 2. eingäng befinden, anderseit neben H. Joh: Balthasar Bischoffs deß holtzhändlers Garten, oben auff das Schatzische Hauß und unten auff I. Garten dem Stifft St. Nicolai in undis gehörig so ledig und eigen, und ohngefehr 1 ¾. Acker in sich begreifft à 200. lb d. acker thut 350. Darüber besagt i. Teutsch perg. Kb. in allhies. C.C. Stub gef. V. m. dero anhangendem Insiegel Verwahrt d.d. 7.ten Aprilis 1708. m. a. N. 6 V. 3. bemerckt V. dabeÿ gelaßen
It. i. Garten ohngefehr 1. halben Acker Groß Vor dem Spithalthor jenseit deß rietberger Grabens (…)&
It. i. Garten so beÿ 5. Acker V. 3. Viertzel groß geachtet mit i. lebendigen Haag auff 3. Seithen V. Marcksteinen umgeben gelegen Vor dem Metzger thor ohnfern dem alten Franciscen Hospitahl (…)
Ir. zweÿ dritte theil Vor unvertheilt Von V. ane einem Garten so ohngefehr 7. Acker in sich begreifft in der Ruprechtsau gelegen 1.s neben der erstern bleich (…)
It. zweÿ dritte theil Vor unvertheilt Von V. ane einem Viertzel reeben im Nachpfad Mittelbergheimer banns (…)
Wÿdum Welchen der verstorbene seel. von weÿl. Frauen Agathæ gebohrner Böckelin seiner letztern Ehefrauen seel. ad dies vitæ genoßen, davon das Eigenthum hernach gemelten wÿdumbs Erben gehörig. Vermög der zwischen dem Verstorbenen, seeligen V. obgedachter seiner Vorher Verstorbenen ehefrauen auch seel. d. 27. Apr. 1711. Vor weÿl. Hn Joh: Heinrich Lang Seniore Not° publ. et pract. auffgerichteten Eheberedung §° 5.to
Wÿdum Welchen der Verstorbene seel. biß an sein Absterben genoßen, davon daß Eigenthum dermahlen Hn Joh: Jacob Martin dem dißorths sohn anheim falllet. Zufolg deß über Weÿl. Frauen Agathä Martinin gebohrner Böckelin des Verstorbenen seel. letzter Ehefrauen seel. Verlaßenschafft A° 1730. auffgerichteten Inventarii (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 191, Sa. Frucht und Mehl 16, Sa. Wein und lährer Faß 168, Sa. der blumen in de gärten 9, Sa. deß Gartengeschirrs 1, Sa. Tabacks 12, Sa. beßerung 5 ß, Sa. Silbers 22, Sa. Goldener Rings 12 ß, Sa. der baarschafft 291, Sa. Pfenningzinß hauptguths 225, Sa. Eigenthums ane Häußern 894, Sa. Eigenthums ane liegende güthern 1511, Sa. beßerung ane lehengrund o, Sa. Schulden 12, Summa summarum 3357 lb – Sa. der Schulden 153 lb Compensado verbleibt 3203 lb – Beschluß und Verstallungs summa 3799 lb
Abschatzung dem 28: Martÿ 1736. Auff begehren weilandt deß wohll achtbahren und bescheiten H: Jackob Marting deß geweßenen weinstichers seel. hinderlaßenen Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg, in der Grautenau gelegen (…)
Der 2.te begrieff ist auch alhier in der Statt Straßburg, in der henen Gaßen gelegen, einseit Neben Meister schang dem Zimmermann, anderseitß an Meister Daniell schellhammer, hinden auch auff obgetachten schell hammer und riellischen Garten Stoßend welche behausung 2: Stuben: 2 Kuchen 2: Kammeren haus Ehren und Gang, oben dar über Cammeren So mit tiellen underschlagen getrëmbter Keller, Nebënß hausell worinen Stuben Cammer Kuchell nebenß Cammer soltaten Cammer haus Ehren scheur ein Loschirungß Stall, getrembter Keller hoff und bronen sambt aller gerechtig Keidt wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen werckleuthe sich in der besichtigung befindten und Jetzigen breÿß nach angeschlagen wierd Vor vnd Umb Ein Dausent Zweÿ hundert und Vunffzig Gulten
Der 3.te begrieff ist auch alhier in der Statt Straßburg außerhalb der Statt Vor dem Juden thorr gelegen (…)
Bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistern [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
(f° 12) Vergleich und Abtheilung der Häußer (…)
Vergleich und Abtheilung der liegenden Güther (…)
der Garten in der henengaß gelegen ist noch zur zeit ins gemein ausgesetzt, und Hn Johann Jacob dem Sohn in Lehnung gelaßen worden, dergestalten daß der Frauen Mariæ Magdalenæ seiner Schwester Vor ihre daran gehörige helffte biß Michaelis 1736. und also Vor I. halb Jahr ane Zinß bezahlen solle 15 Gulden oder 7. lb. 10. ß solte aber solcher Garten Vor Verfließung erwehnter Zeit Verkaufft werden müßen, so solle der Zinnß nur nach proportion der Zeit so lang er solchen in Lehnung gehabt und der selbigen genoßen bezahlt werden, also Verglichen Straßburg d. 11.ten Aprilis 1736.
die 2/3.theil Vor unvertheilt Von und ane i. garten in d. Ruprechtsau (…)
Jacques Martin cède sa part de maison à sa sœur Marie Madeleine, femme du batelier Jean Jacques Ulrich
1742 (30.6.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 467) Joint au n° 65 du 23 mars 1736
(Inventarium über Weÿland Herrn Jacob Martins geweßenen geschwornen Weinstichers und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. Verlassenschafft)
(f° 22) Vor mir dem unterschriebenen Not° ist auf zu Ennd gemeldter Datum persöhn. erschienen H. Joh. Jacob Martin der Kunst: v. Blumengärtner v. burger allhier Zu Straßburg, Ane Einem v. Frau Maria Magdalena Ulrichin, geb. Martinin, Hn Joh. Jacob Ulrich, des Schiffmanns v. B. allhier Ehefrau, beÿständl. deßelben, beede als Erben Weÿl. Hn Jacob Martin, geweßenen geschwohrnen Weinstichers v. b. allhier zu Straßburg, ihres Vatters seel., anzeigend, wie daß sie weißent. v. wohl bedächtlich nach folgende Cession b. Übergaab mit einander getroffen v. geschloßen hätten.
Nemblichen Es Cedirt v. übergibt er H. Joh: Jacob Martin ihro Frauen Maria Magdalenä Ulrichin seiner Schwester v. ihren Erben, welche auch Cessions weiß angenommen zu haben bekand. war,
vier Neündte Theil vor unvertheilt, von v ane hauß, hoff, hoffstatt Scheür v. Ställ mit allen übrigen deßen gebäuen, begriffen, Weiten, Zugehörden, rechten v. gerechtigkeiten, gelegen allhier ane der Vorstatt Crautenau in der Hennengaß 1. s. neben Christian Allingers des gartenmanns geschiedener Ehefrauen, 2.s neben N. Chevallier dem Zimmermann v. burger allhier, hinten auff den Rielischen Garten stoßend, so freÿ leedig v. eigen wie der Cedent berichtete – für vnd um 850 gulden jetzig. Courrant geld – So beschehen Straßburg d. 30.t Junii A° 1742.
Marie Madeleine Martin épouse en 1733 le batelier Jean Jacques Ulrich, fils du batelier Jean Daniel Ulrich : contrat de mariage, célébration
1733 (3.6.), Not. Koch (6 E 41, 498) n° 3
(Eheberedung) herr Johann Jacob Ulrich der ledige Schiffmann herrn Johann Daniel Ulrichs auch Schiffmanns und burgers allhier mit frauen Anna Catharina gebohrner Bößin Ehelich erzeugter Sohn als der brautigam ane einem
So dann Jungfrauen Maria Magdalena, herrn Jacob Martins, des geschwornen Weinstichers mit Weÿl. frauen Agatha, gebohrner Böckelin ehelich erzeugter Tochter als Hochzeiterin am andern theil, beÿständlich erstgedachten Herrn Martin und H. Johann Jacob Brions des Küblers v. burgers allhier ihres geschwornen vogts [unterzeichnet] Johann Jacob Ulrich Als Hochzeitter, Maria Magdalena Martinin als hochzeiterin
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 41-v)
ao. 1733. den 22. Julÿ Seind nach geschehener Zweÿmahliger außruffung nunmehr Dom VI et VII Trinitatis in der Kirchen zu S. Wilhelm ehl. copulirt und eingesegnet worden Johann Jacob Ulrich Lediger Christmann und burger allhier H. Daniel Ulrich Schiffmanns und burgers allhier, und Fr. Anna Catharina Bößin ehl. Sohn, und Jungfr. Maria Magdalena H Jacob Martins Weinstichers und burgers alhier und Fr. Agathæ Böckelin ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Ulrich Als Hochzeittzer, Maria Magdalena Martinin alß hoch Zeiterin (i 44)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au père de l’épouse à la Krutenau. Ceux du mari s’élèvent à 399 livres, ceux de la femme à 685 livres.
1734 (15.4.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 465) n° 19
Inventarium über deß Ehrengeachten Johann Jacob Ulrich deß Schiffmanns und der Ehren: und Tugendsahmen Frauen Mariä Magdalenä, gebohrner Martinin, beeder Eheleuth und burgere allhier zu Straßburg, einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1734. (…) sich vermög der, mit einander auffgerichteter Eheberedung Vor unverändert vorbehalten haben. – So geschehen in der Königlichen Statt Straßburg in fernerer Gegenseÿn deß Ehren: und vorgeachten Hn Johann Jacob Brions deß Küblers und burgers allhier, als der Ehefrauen noch ohnentledigten Vogts, auff donnerstags den 15.ten Aprilis 1734.
In einer allhier zu Straßburg ane der Crautenau gegen der goldenen Crohn über gelegenen, der Ehefrauen H Vatter gehörigen behaußung hat sich befinden als folgt
Bericht über gegenwärtiges Inventarium. Es hat Eingangs gedachte Ehefrau zwar, beneben denen, diesem Inventario bereits inserirten rubrices, auch vermög einer, von herrn Philipp Jacob Marbach Not° Pub: et Pract: gefertigten Designation, de A° 1730. von Weÿl. Frauen Agatha Martinin, gebohrner Böckelin ihrer Mutter seel. verschiedenes anderes ererbt, wobeÿ jedoch zu wißen, daß der in solcher Designation enthaltene haußrath, Faß, Silber, Goldene Ringe, baarschafft und Göttelgeld bereits in diesem Inventario begriffen, was aber Eigenthum ane häußeren, Eigenthum ane einer bleich, Eigenthum ane Liegende güthern zu Mittelbergheim (…) enlangt, solche theils ihren beeden brüdern annoch gemein und ohnvertheilt
(f° 11-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in den Ehestand gebrachte Nahrung, Sa. hausraths 136, Sa. Silbers 36, Sa. Baarschafft 182, Summa summarum 355 lb – Dazu gerechnet deßen gehörige helffte ane der haussteuren 43 lb – So belaufft sich des Ehemanns völliges in die Ehe gebrachtes Vermögen 399 lb
Hierauff wird auch der Ehefrauen in den Ehestand gebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 297, Sa. Lähren Faß und brandenweins 30, Sa. Silbers 44, Sa. Goldener Ring 41, Sa. Baarschafft 228, Summa summarum 541 lb – Sarzu kommt deri gehörige helffte der haussteuren 43 lb – Solchemnach thut der Ehefrauen Völliges in den Ehestand gebrachte Nahrung, 685 lb – Beschluß summa 1084 lb
Jean Jacques Ulrich et Marie Madeleine Martin hypothèquent deux maisons dont celle dite Eschauer Hoff au profit de Jérôme Fürstenberger de Bâle
1773 (26.8.), Not. Lacombe (6 E 41, 151), Obligation – Jean Jacob Ulrich ancien assesseur au Grand Sénat et Marie Madeleine Martini assitée du Sr André Ulrich battelier son fils et Jean Daniel Kuff courtier son cousin
au Sr Jerome Fürstenberger bourgeois de Basle – devoir 2000 livres tournois
hypothèque une maison, appartenances aux débiteurs en cette ville rue dite Hennengass appelée Eschauer hoff appartenances et dépendances
plus d’une autre maison a eux appartenante sur le quay des Batteliers qu’ils occupent présentement
Jean Jacques Ulrich et Marie Madeleine Martin vendent la maison aux nourriseurs de vaches Jacques Fleich et Jean Latscha qui se partagent aussitôt la maison. La partie droite (à l’ouest) revient à Jacques Fleich et la partie gauche (à l’est) à Jean Latscha. La cour reste commune, la grange et l’écurie sont partagées par un mur en galandure.
1773 (2.12.), Chambre des Contrats, vol. 647 n° 466
H. Exsenator Johann Jacob Ulrich der schiffmann und Maria Magdalena geb. Martinin
in gegensein Jacob Fleich und Johann Latscha beede kühmelcker
eine behausung, hoff und hoffstatt scheuer, bronnen und stallung mit allen denen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten in der Häänengaß, einseit neben einem gemeinschafftlichen schlupff, anderseit neben Nicolas Chaineau dem schiffdecker, hinten auff H. Hetzels garten – um 3000 gulden, jedem 1500 gulden
(f° 468) worauff sie gedachten Jacob Fleich und Johann Latscha wegen obbeschriebener gemeinschafftlich erkaufften behausung nachstehende abtheillung geschloßen und getroffen dahin gehend, die behausung rechter hand neben Nicolas Chaineau Jacob Fleich und seinen erben eigenthümlich seÿn und bleiben solle, jene behausung aber lincker hand ane die scheuer und statt allmend stoßend Johann Latscha und seinen erben alß ein wahren eigenthum überlassen wie betreffend nun
1. den hoff soll gemeinschafftlich angesehen und gehalten werden, gleiche bewandnuß hat es mit dem bronnen was nun ein und dem anderen zu verbeßern solch alles muß auff gemeinschafftlichen kösten geschehen und zu allen zeiten unterhalten werden
die scheur betreffend daran soll jedem die helffte zu stellen kommen deßfalls sie die parthen auff gemeinschafftlichen kösten eine riegelwand statt der scheidung verfertigen zu laßen sich verbindlich machen deßen dachwerck alß dann jeder vor sein antheil zu versorgen und zu unterhalten gehalten sein solle,
in ansehung des stalls hat es gleiche beschaffenheit wie mit der scheuer, da derselbe mit einer auff gemeinschafftlichen kösten auffzubauende riegelwand separirt werden soll was nun rechter hand abgetheilt steht gehört Jacob Fleich daß aber so lincker hand Johann Latscha, wobeÿ Jacob Fleich vor die logierung ane pferd allein zu sorgen Johann Latscha die einlogierung der mannhafft über sich nimmt, das hoffthor und maur zu beÿden seiten sollen auff gemeinschafftlichen kösten unterhalten werden, in ansehung des naachs da beeder theil waßer dadurch lauffet alß soll derselbe gemeinschafftlich unterhalten werden
und falls einen sein antheil haus, scheur und stallung, gemeinschafft des hoffs und bronnen zu verkauffen gesinnet wäre, in diesem fall soll dem anderen der vorzug zukommen den failen theil vor die gebettene summ ane sich zu bringen – ferner soll der soldaten bett gemeinschafftlich angeschafft und erhalten werden
Fils du journalier Jacques Fleig de Sultz près de Lahr, le cocher Jean Jacques Fleig (Fleich) épouse en 1761 Françoise Meyer, veuve du garçon batelier Jean Kern : contrat de mariage, célébration
1761 (24.7), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 350) n° 412
Eheberedung – persönlich erschienen Johann Jacob Fleig, der ledige Kutscher, Johann Jacob Fleig, des Tagners Zu Sultz beÿ Lahr mit weil. Frauen Anna Maria gebohrener Bühlerein, ehel. erzeugter Sohn, mit beÿstand H.Vincent Gayneau, Sattlers, E.E. Großen Raths alten und Es En Kleinen Raths alhier dermalig wohlverdienten beÿsitzers, als hochzeiter ane einem
So dann Frau Francisca Kernin gebohrne Meÿerin, weil. Joh: Kern, gewesenen Schif Knechts u. burgers alhier hinterlaßene Wittib, mit assistentz H. Edmundi Mathæi Bourdeau, des Kupfferschmidts und burgers alhier, als hochzeiterin am andern theil
Beschehen in der Königl. Stadt Straßburg auf Freitag den 24. Julÿ Anno 1761
Mariage, Saint-Louis (cath. f° 118)
Hodie 27. Julii anni 1761 sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Jacobus Fleich ex Sultz principatus badensis filius legitimus Jacobi Fleich civis ibidem, et Annæ Mariæ Bieler conjugum, Parochianum nostrum ex una,, et Francisca Mayer vidua defuncti Joannis Kern civis olim et nautæ hujus urbis Parochiana ad St. Petrum seniorem ex altera partibus, + signum sponsi + signum sponsæ (i 61)
Jean Kern, luthérien strasbourgeois converti, épouse en 1759 Françoise Meyer, fille du jardinier Jacques Meyer de Saverne
Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 30) Hodie 25. die Junii Anni 1759 (…) sacro matrimonÿ vinculo in facie ecclesiæ Conjuncti fuerunt Joannes Kern nauclerus solutus a quatuor mensibus ejuratâ hæresiâ Lutheranâ ad Catholicam religionem Conversus parochianus noster, defunctorum Joannis Kern dum viveret civis et naucleri hujatis et Barbaræ hasler conjugum filius et francisca Meyer ex tabernis alsaticis oriunda filia Jacobi Meyer civis et hortulani in dicto loco et defunctæ Catharinæ Schæffer quondam conjugumn ratione domicilii parochiana nostra, + signum sponsi + signum sponsæ (i 17)
Jean Kern meurt quelques mois plus tard en délaissant pour héritières ses deux sœurs. L’inventaire est dressé quai des Bateliers dans la maison du batelier Jean Jacques Eckert. L’actif de la succession s’élève à 25 livres, la passif à 42 livres
1759 (21.11.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 31) n° 441
Inventarium vndt Beschreibung aller derjenigen sowohl ohnverändert alß auch verändert und Theilbar Haabe und Nahrung wie auch Schulden vndt gegen Schulden, vber all davon nichts Außgenommen, noch vorbehalten, so weÿland der Ehrs: Johannes Kern, der geweßenen Schiffknecht vndt burger zu Straßb. nach seinem am dienstag den 13. deß Monats Novembris dießem fürwährenden 1759.ten Jahre genommenem tödlichem hintritt, hinter Ihme Zeitlichen verlaßen. (…) Ersucht durch die Ehr undt Tugendsahme Frau Franciscam Kernin, eine gebohrene Meÿerin die Nachgelaßene wittib, so ohnbevögtigt (…) So beschehen in fernerem beÿweßen Johann Georg Endres* deß Schiffmanns vndt Burgers alhier alß der Wittib ahne Vogt statt hierzu erbettenen beÿstandt Straßb. Mittwoch den 21. deß Monaths Nov. aô 1759.
Denominatio haeredum. Der Entseelte Eingangs benandt, hat dem Erstatteten bericht nach, ab intestato zu Erben verlaßen Nahmentlichen vndt I.mo Jungfrau Catharina Barbara Kernin so 26 Jahr alt, Vndt dann 2.do Jungfr: Catharina Margaretha Kernin welche in circa 22 Jahr alt, Mithin beede majorennes, des Entselten verlaßenen eheleibliche Schwestern weÿl. Johannes Kernen auch gewesene, Schiffkn. vnd burgers allhier nachgelaßene Erzeugte Töchtere (…) beÿständ. Mr Johann Adam Schneidter deß Schuemachers auch burger allhier
Bericht So die Hinterbliebene wittib solcher Verlaßenschafft halben dato Erstattet hat Concernierendt. Es hat Nemblichen die Nachgelaßene wittib (…) die Nachricht erstattet, wie daß zwischen Ihro und Ihrem Abgeleibten Ehemann seel. weder eine Heuraths Abrede gepflogen noch über Ihr beede geweßener Eheleut in den Ehestand einander Zugebrachte Nahrung Inventarium auffgerichtet worden (…)
Inn einer alhier Zu Straßb. ahne dem Schiffleut Staaden gelegenen hieher nicht sondern Hrn Johann Georg Eckert dem Schiffmann vnd burgern hierselbst eÿgenthümlich zuständigen behausung ist befundten worden wie hernacher volget
Norma hujus inventarÿ. Der Wittib ohnveränderter in Naturâ annoch befundener Nahrung, Sa. hausraths 10, Sa. deß Silbers 2 ß, Summa summarum 10 lb
Solchemnach wird auch der Beneficial Erbinnen sowohlen wenigs ohnverändertes alß ein Theilbahres Vermögen nach Anleitung deß vorher Eingetragenen Berichts vndt der von der Wb. darinnen beschehener Renunciation auff die Letztere alß die Theilbahre Verlaßenschafft sub una massa inventirt vndt beschrieben, Sa. hausraths 23, Sa. Silbers 1 lb, Summa summarum 25 lb – Schulden 42 lb, Compensando 17 lb – Schluß summ 6 lb
Le postillon Jacques Fleich devient tributaire à la Mauresse
1762, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 262)
(f° 235) Mittwochs den 4.ten Augusti Anno 1762 – Neuer Leibzünfftiger CR
Jacob Fleich, der Postillion vin Sultz Mahlberger Amts gehörig, inmaßen er dermalen nicht hier ist, durch seine Ehefrau Franciscam geborene Kernin, bittet um ertheilung des Zunfftrechts.
Erkandt gegen erlag der Gebühr willfahrt, jedoch solle derselbe gleich beÿ seiner Zurückkunft Herrn Lt. und Ambtschafner beck dem herrn Zunfftmeister in seinem hauß angeloben
Dedit vor den Pfenningthurn 1 lb, Vor das Zunfftrecht 5 ß, Vor die Männer zu dem Feür Eimeren geordnet 3 ß 4 d, Und einschreib geld 2 ß (Summa) 1 lb 10 ß 11 d. Dem Findlinghauß 2 ß 8 d.
Jacques Fleich et Françoise Meyer hypothèquent la maison au profit du maître maçon Jacques Ferdinand Hertelmeyer pour régler des frais de construction
1774 (21.7.), Chambre des Contrats, vol. 648 f° 311-v
Jacob Fleich der melcker und Franziska geb. Meÿerin unter assistentz H. Georg Besch und Johann Lux beede schirmer auch melcker, vor höchstnötig verfertigte baukösten ane ihrer ane der Hännengaß gelegenen behausung
in gegensein 1. H. Jacob Ferdinand Härtelmeÿer dem maurer meister schuldig seÿen 65 gulden, 2. H. Johann Klein dem zimmermann 91 gulden, 3. Friedrich Vogt dem holtzhändler vor geliefferten bau holtz, 143 gulden, 4. Joseph Günß dem sandführer vor geliefferten bau materialien, 41 gulden
unterpfand, eine behausung
Leur fille Marie Elisabeth Françoise épouse en 1784 Martin Teufel, nourrisseur de vaches originaire de Felldorf près de Rottenburg sur le Neckar : contrat de mariage, célébration
1784 (2.9), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 351) n° 684
Eheberedung – persönlich erschienen Martin Deufel, der ledige Melker Von Felldorf bei Rothenburg am Neckar gebürtig, Caspar Deufel des ackersmanns und burgers daselbst großjähriger Sohn, mit beÿstand Frantz Anton Jakob des ebenmäßigen Melkers und Burgers dahier als hochzeiter an einem Teil,
und Jungfrau Maria Elisabeta Franziska Fleichin, Jacob Fleich, des gleichmäsigen Melkers und hiesigen Burgers und Fraun Franzisca, geborner Meÿerin, ehelich erzeugte Tochter unter Verbeistandung vorgenannten ihres leiblichen Vaters, als hochzeiterin an dem andern Teil
So geschehen alhier zu Straßburg, auf Donnerstag den 2. des Septembermonats im Jahr Christi 1784 [unterzeichnet] Martin deüffel Alls hochzeütter, Maria Francisca Elisabeth Fleichin hoch Zeitterin
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 63-v)
Anno Domini 1784 Die 4. Octobris (…) sacro Matrimonii vinculo conjuncti fuerunt in facie Ecclesiæ Martinus Teuffel in felldorf diœcesis constantiensis, Martini Teuffel et Mariæ Lehrstein filius legitimus et Majorennis in parochia ad stum Laurentium hujate commorans et Mariæ Elisabethæ Francisca fleich argentinensisis jacobi fleich civis hujatis et Franciscæ Meyer filia legitima et Minorennis parochianam nostra (signé) Martin deüffel, Fleich (i 68)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au père de l’épouse à la Krutenau. Ceux du mari s’élèvent à 90 livres, ceux de la femme à 82 livres.
1785 (1.4.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 347) n° 1240-b
Inventarium über Martin Deufel, des Melkers und Fr. Mariä Elisabethä Franziscä geb. Fleichin, beeder Eheleute und burger alhier zu Strasb. einander als unverändert in den Ehestand zugebrachte Vermögenschaft, aufgerichtet Anno 1785. (…) in ihrem am 4.ten October des letztabgewichenen 1784.sten Jahrs mit einander angetrettenen Ehestand, als unverändert Zugebracht haben (…) So geschehen alhier Zu Strasburg in einer in der Vorstat Krautenau an der Hennengaß gelegenen, der Ehefraun Ältern eigenthümlich zugehörigen und diesorts zum theil bewohnenden behausung, auf Freÿtag den 1.sten des Aprilmonats im Jahr 1785.
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns für unverändert in die Ehe gebrachtes Gut, Sa. Silbers 7, Sa. Activ Schulden 65, Summa summarum 72 lb – Dazugelegt die demselben an denen verehrt erhaltenen haussteuren Zuständige hälfte 17 lb, Des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Gut 90 lb
Diesemnach wird auch der Ehefraun als unverändert in die Ehe gebrachte Vermögenschaft beschrieben, Sa. haußraths 62, Sa. Silbers 1, Summa summarum 64 lb – Dazu zu rechnen die deroselben gebührige hälfte an denen haussteuren 17 – Der Ehefraun in die Ehe gebrachtes Vermögen 82 lb
Jacques Fleich meurt en 1789 en délaissant huit enfants. Les experts estiment la maison à 600 livres. L’actif de la succession s’élève à 747 livres, le passif à 937 livres.
1789 (27.1.), Not. Wengler (6 E 41, 1531) n° 180
Inventarium über Weiland Jakob Fleich des gewesenen Melkers und burgers alhier Zu Strasburg Verlaßenschafft auffgerichtet im Jahr 1789.
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Vermögenschaft, so weiland Jakob Fleich, der gewesene Melker und burger alhier Zu Strasburg nach deßen am 25.sten des Maÿmonats gegenwärtigen 1789.sten Jahrs erfogten Absterben zurückgelaßen hat. Solche Verlaßenschafft wurde auf Ansuchen Fr. Franciscä geb. Kernin, der diesorts hinterbliebenen Wittwe sowol als auch des hernach bei benennung der Erben diesortigen Kinder und Beneficial Erben (…) So geschehen alhier Zu Straßburg in einer an der Hennengass gelegenen, hieher gehörigen und hieunten beschriebenen behausung auf Sambstag den 27.sten des Brachmonats im Jahr 1789.
Bericht über gegenwärtige Verlaßenschafft. In Gemäßheit des 3.ten Artikels der Vorher abschriftlich eingetragen befindlichen Heiratsabrede haben beede diesortige nun durch den Tod abgesonderte Ehepersonen ihr gegenseitiges Einbringen, so wie das, so sie etwa währender Ehe ererben werden, sich als unverändert vorbehalten, die Inventur aber über ihre einander Zugebrachte Mittel, wie die hinterbliebene Wittwe hiebei anzeigte, unterlaßen. (…)
Benennung der Erben. Der seelig Verstorbene hat nämlich ohntestirt zu seinen erben verlaßen. 1° Maria Francisca geb. Fleichin, Martin Deufel des Employé am Kaufhaus und burgers alhier Ehefrau, so mit beÿstand ihres Ehemanns hiebei gegenwärtig gewesen. 2° Jakob, Soldat unter dem königl. frantzös. Infanterie Regiment Agenois, 22. jährigen alters und dermalen abwesend. 3° Anna Maria geb. Fleichin, Franz Ignatz Keck des hiesigen verburgerten Postilions Ehefrau, welche unter assistentz solch ihres Ehemanns dieser Verlt. Inventur beÿgewohnet, 4° Felix Arbogast, so das 18. Jahr seines Alters zurückgelegt und in Erlernung des Schreiners-handwerck begriffen, 5° Maria Elisabetha, so in dem alter von 16 Jahren stehet, 6° Johannes, 14 Jahr alt, 7° Martin, welcher in sein 12. Jährigen alter begriffen, 8° Anton, so das 9.te Jahr seines Alters zurückgeleget, alle 8 aber als des Defuncti, mit Eingangs gedachter desselben hinterbliebenen Wittwe ehelich erzeugte Kinder, Zu gleichen Portionen und Anteilen, wobei sie und im Namen der minderjährigen unverheiratheten Kinder erschienen Joh: Michael Höffling der Melcker und hiesige Burger, welcher denenselben obrigkeitlich Zum Vogt ernannt und in Eid und Pflichten genommen (…)
Eigentümlicher Anteil ane einer Behausung. Nämlich die hälfte von und an einer abgeteilten behausung, hoffstatt, Scheur und Stallung, so dann der Gemeinschaft des hoff und bronnens, mit allen deren übrigen Gebäuden, Begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg an der Vorstadt Krautenau in der Hennengaß einseit neben Johannes Latscha dem Melker, anderseit neben N Chayneau dem Schifferdecker und hinten auf H. Rathh. Zocher, den Kunstgärtner stosend, so ausser dem darauf haftenden hernach passibé eingetragen befindlichen hauptgut sonsten freu, ledig, eigen und durch H.. Kaltner und H. Klotz, die beede Werkleute, als hierzu abgeordnete Schäzzer vermög dren Zu dem Concept gegenwärtigen Inventarii geleisteten schrifftl. Abschatzung vom 19. Juni 1789 abgewürdiget worden, für und um 1200 fl. oder 600 lb. Diese behausung hat der diesortige Defunctus während seiner nun Zertrennten Ehe mit vorgedachtem Johannes Latscha gemeinschaftlich von H. Exsen. Joh. Jacob Ulrich, dem Schiffmann u. deßen Ehefr. Maria Magdal. geb. Martinin erkauft und dieselbe bei Verschreibung derselben auch alsogleich unter ihnen abgeteilet, wovon die behausung rechter hand, so wie solche vorher beschrieben worden, dem diesortigen Defunctus zugeteilet, Scheuer und Stallung aber zwischen ihnen zur hälfte separirt und mit einer Riegelwand unterschieden, Hoff und bronnen, hingegen zwischen ihnen gemeinschaftlich beibehalten worden, wie all solches aus der in der alhies. Kantzlei Kontractstube am 2. December 1773. vorgegangen auf Pergament ausgefertigten und mit dem aufgetruckten Insiegel versehene Kauffverschreibung Zu ersehen.
Hierauf wird nun Eingangs gedachte Verlaßenschafft und Zwar Zufolg vorher befindlichen Berichts als völlig teilbar beschrieben, Sa. hausraths 34, Sa. Viehe wie auch Schiff und geschirrs Zur Melkereÿ gehörig 112, Sa. des Eigentums an einer behausung 600, Summa summarum 747 lb – Schulden 937 lb, Compensando, Passiv-Onus statt der Stallsumme 189 lb
Eheberedung (…) 24. Julÿ 1761, Lichtenberger Notarius publicus juratus
– Abschatzung Vom 19.ten Junii 1789: Auf begehren Weiland Herren Jacob Fleich des geweßenen Kühmelckers, ist eine Behaußung alhier in der Stadt Strasburg ahne der Hänengaße gelegen, ein Seits neben H. latscha dem Kühmelcker, ander Seits neben H cheneau dem schieferdecker und hinten auf H Zocker dem Gärtner stosend gelegen. Solche behausung bestehet in vier stuben, vier küchen und etlichen Kammeren, ferner befinden sich Zweÿ Stallung, darüber sind die Dach: Stühle mit breit: Zigel belegt, hat auch ein gedrämten keller, gemeinschafftlichen hof und brunnen. Von uns unterschriebenen der Stadt Straßburg geschwohrene Werck Meister und Vorher geschehener besichtigung mit aller ihrer Gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden für und um die Summ von 1200 Gulden [unterzeichnet] Kaltner WMstr, Klotz WMstr
Françoise Meyer, veuve de Jacques Fleich, hypothèque la maison au profit de Martin Teuffel (son gendre)
1794 (8 pluv. 2), Chambre des Contrats, vol. 671 n° 1326
cit. Françoise Meyer veuve de cit. Jacques Fleich malcard assitée de cit. Jean Frédéric Hansmetzger mesureur de bois
cit. Martin Teuffel malcard, 600 livres
hypothèque, la maison a elle appartenante rue de la Poule, marquée du n° 46, d’un côté le cit. Perrin, de l’autre le cit. Jean Latscha malcard
enreg. 17 pluv.
Françoise Meyer meurt en floréal VI (1798)
Décès, Strasbourg – 23 floréal an VI (…) François Ignace Koch 44 ans, aubergiste, gendre de la défunte (que) Françoise Meyer âgée de 60 ans, native de Saverne fille légitime de N. Meyer, laboureur audit lieu et de N. N. veuve de Jacques Fleich vacher en cette commune est morte aujourd’hui à 2 heures du matin en sa demeure située rue de la Poule n° 46 – de fièvre languissante
Registre de vente et de partage des biens qui ont appartenu à Françoise Meyer, morte en délaissant huit enfants.
1798 (12 prairial 6), Strasbourg 4 (24), M° Roessel n° 415
Verkauf und Erlos- Abrechnungs auch Erörterungs- Register Weÿl. der bürgerin Franciscæ geb. Meÿer auch weÿl. Jacob Fleich gewesenen Melckers hinterlassenen Wittib nachgelaßene Mobiliar: Verkauf
der nun verstorbenen burgerin verlaßene noch lebende Kinder und zu 8 gleiche antheilen Erben sind mit Nahmen 1. burgerin Francisca geb. Fleich burger Martin Teufel des melckers Ehefrau, 2. Jacob Fleich lediger aber majorenne Melcker, 3. burgerin Anna Maria geb. Fleich burgers François Ignace Keck Gastgebers hieselbst Eheweib, 4. burger Felix Fleich lediger Schreiner majorennis abwesend, 5. Elisabetha Fleich die ledige majorenne burgerin alhier welche beiständlich b. Höfling, 6. Joh: Fleich lediger majorenner burger alhier, 7. Martin Fleich majorenner Canonier abweßend und 8. Anthoni Fleich ledige majorenner Schloßer, erschien burger Joh: Michael Höfling melcker als der Kinder und Erben seit den 15. Junÿ 1798 geschworner Vogt
im sterbhauß ane der hennegaß N° 46
Einnahm 523 fr, Ausgaab 995 fr, Compensando 471 fr
enregistré le 18 pr.
La maison revient à Anne Marie Fleich qui épouse en 1787 le postillon François Ignace Keck, originaire de Krautergersheim : contrat de mariage, célébration
1787 (11.8), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 351) n° 719
Eheberedung – persönlich erschienen Frantz Ignatz Keck der ledige Postilion, von Krautergersheim gebürtig, weil. Ignatius Keck des gewesenen burgers und Ackersmanns daselbst und auch weil. Magdalenæ geborner Krumin ehelicher großjähriger Sohn, mit Zuziehung und unter Verbeistandung Christian Krum des herrschafftlichen boten und burgers zu gedachtem Krautergersheim seines Oncle als hochzeiter an einem Teil,
und Jungfrau Anna Maria Fleichin, Jacob Fleich, des Melkers und hiesigen burgers und Fraun Franziscä geborner Meÿerin, eheliche Tochter unter assistentz erstgenannten ihres leiblichen Vaters und Martin Deufel des Employé am alhiesigen Kaufhaus und burgers dahier, ihres Schwagers, als hochzeiterin an dem andern Teil
So geschehen alhier zu Straßburg in mein des Notarii gewöhnliche Schreibstube, auf Sonntag den 11. des Augstmonats im Jahr Christi 1787 [unterzeichnet] Frantz Ignatz Keck, Anna Maria fleichin
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 101)
Anno 1787 (…) in facie Ecclesiæ sacro Matrimonii vinculo Conjuncti fuerunt Franciscus Ignatius Keck solutus ex Krautergersheim hujus Diœcesis Oriundus Civis hujas, defunctorum Conjugum Ignatii Keck et Magdalenæ Gromm filius legitimus Majorennis, parochianus ad præfatum S. Laurentium et Anna Maria Fleich, soluta hujas, Jacobi fleich et Francisca Meyer Conjugum Civium hujatum filia legitima minorennis parochiana juris et facti nostra (signé) Frantz jgnatz Keck, Anna Maria fleich (i 105)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient aux parents de l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 197 livres, ceux de la femme à 102 livres.
1788 (26.3.), Not. Wengler (6 E 41, 1531) n° 109
Inventarium über Franz Ignaz Keck des Melkers und Fr. Annä Mariä geborne Fleichin, beeder Ehepersohnen und burger alhie Zu Straßburg einander für unverändert in die Ehe Zugebrachte Vermögenschaft, aufgerichtet Anno 1788. (…) am 9. October des letzabgewichenen 1787.sten Jahrs angetrettenen Ehestand als unverändert zugebracht haben. Welches Einbringen auf Ansuchen ihr der beeden Eheleute und Zwar die Ehefrau unter Verbeiständung Jacob Fleich, des hiesigen burgers und Melckers ihres vatters, in Gemäßheit deren vor Herrn Notario Johann Friedrich Lichtenberger unterem 11. August gedachten 1787.sten Jahres errichteten heiraths Abrede und deren 2. Artikels (…) So geschehen alhier Zu Straßburg in einer an die Vorstadt Krautenau in der hennengaß gelegenen, der diesortigen Ehefrauen Eltern eigenthümlich Zugehörigen behausung, auf Mittwoch den 26.sten des Maÿmonats im Jahr 1788.
Des Manns in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 26, Sa. Silbers 17, Sa. baarschafft 135, Summa summarum 178 lb – Welchem beizurechnen, die ihm gebührige hälfte an deren hernach bezeichneten haussteuren 18, Des Manns Einbringen 197 lb
Dießemnach wird auch der Ehefraun Zubringen verzeichnet, Sa. haußraths 77, Sa.Silbers 5, Sa. Golds 1, Summa summarum 84 lb – Hierzu kommt annoch die hälfte an deren haussteuren 18, Der Ehefrauen Zubringen 102 lb
Acte passé devant notaire qui confirme l’adjudication devant le juge de paix. François Ignace Keck et Anne Marie Fleich vendent la maison au nourrisseur de vaches Martin Fleich
1804 (13 germinal 12), Strasbourg 11 (4), M° Anrich
Adjudication – vente du 29 floréal 12 n° 655 – Frantz Ignatz Keck gastgeber zum frantzösischen Courier und Anna Maria geb. Fleich
Martin Fleich Melcker
eine ane der hennengaß gelegenen behausung mit N° 46 bezeichnet samt einem mit weÿl. Johannes Latscha des gewesten Melckers hieselbsten wittib und Erben gemeinschafftlichen hoff und bronnen, einem grosen und kleinen Stall und denen darüber sich befindlichen heu bühnen wie auch zweÿen Kelleren und übrigen dero Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, einseit neben bürger Robin dem Ingénieur anderseit neben Johannes Latscha des Melckers Wittib und Erben vornen auf das allmend hinten auf den Zockerschen und Schöllhammerischen Garthen – daß erwehnten gemeinschaftlicher hoff und bronnen die in beeden ställen sich befindliche gemeinschaftliche riegelwände das hofftor und die Maur auf beeden seithen wie auch der steinerne Nach am garten durch welchen beeder theilen Waßer fließet durch den jeweiligen besitzer obiger behausung und Latschas wittib und erben auf gemeinschaftlichen Kosten zu unterhalten und zu verbeßern sind
(…) vermög durch den Friedensrichter Roederer am 21 fructidor 8. processus verbalis über die beÿ demselben gehaltenen Versteigerung so den 27. gedachten Monaths fructidor beÿ dem hiesigen civil gericht ratificirt worden
den 15 vendemiaire 11, n° 480. Versteigerung der dem bürger Frantz Ignatz Keck gastgeber eigenthümlich zuständigen ane der hennengaß gelegenen behausung mit N° 46 bezeichnet samt einem mit weÿl. Johannes Latscha des gewesenen Melckers hieselbsten wittib und Erben gemeinschafftlichen hoff und bronnen, einem grosen und kleinen Stall und denen darüber sich befindlichen heu bühnen, wie auch zweÿen Kelleren und übrigen dero zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten einseit neben des bürgers Chaineau schifferdeckers erben anderseit neben Johannes Latacha des Melckers Wittib und Erben vornen das allmend hinten auf die Zockersche und Schöllhammerische Gärthen, wobeÿ aber zu bemercken daß erwehnten gemeinschaftlicher hoff und bronnen die in beeden ställen sich befindliche gemeinschaftliche riegelwände das hofftor und die Maur auf beeden seithen wie auch der steinerne Nach am garten durch welchen beeder theilen Waßer fließet durch den jeweiligen besitzer obiger behausung und Latschas wittib und erben auf gemeinschaftlichen Kosten zu unterhalten und zu verbeßern sind
ausgerufen 6000 franken den 29 fructidor 10
Samuel Schmidtmeÿer der Wirth 7000 fr, angesehen aber mehrgemeldete behausung noch nicht auf einen dem Versteigerer anständigen Preiß gekommen (…) den 13 brumaire, n° 430. Georg Meÿer, Maurer 7500 francken, nicht auf einem anständigen Preiß (…) alß wurde dieße Versteigerung auf eine weitere gelegenheit ausgesetzet
2 vend. 11
1 germinal XII, n° 557, 637 ausgerufren 5000 fr – 13 ger XII, n° 558 an Martin Fleich Melcker um 6000 Francken
Enregistrement, acp 91 f° 18-v du 19 germ. 12
Fils de Jacques Fleich et de Françoise Meyer, Martin Fleich épouse en 1802 Anne Marie Wintz, fille du cultivateur Joseph Wintz de Reichstett
1802 (23 vend. 11), Strasbourg 11 (5), M° Anrich n° 358
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen der bürger Martin Fleich, lediger Melcker allhier wohnhaft, weiland Jacob Fleich auch geweßenen Melckers hieselbsten, mit weiland Francisca Meÿerin ehelich erzeugter großjähriger sohn ane einem, So dann
der bürgerin Anna Maria Wintz, weiland Joseph Wintzen geweßenen Ackersmanns Zu Reichstett mit auch weiland Anna Maria geborner Schäffer ehelich erzielt und nach tof verlaßene muthjahre tochter von dem bürger Philipp Vetter Maurern zu gedachtem Reichstett Verbeÿstandet, am andern theil
So geschehen (…) Straßburg den 23. Vendemiaire im eilfften jahr der ein und untheilbaren francken Republick [unterzeichnet] Martin Fleich, Anna Maria wurtz
Enregistrement, acp 85 F° 179 du 28 vend. 11
Anne Marie Wintz fait constater ses apports
1813 (2.1.), Strasbourg 2 (37), M° Knobloch n° 5953
Inventaire et liquidation des apports d’Anne Marie Wirtz femme de Martin Fleich, laitier, autorisé par jugement du 7 décembre 1812
apports 233 fr, remploi d’immeuble à Reichstett 3138 fr, total 3361 fr
Enregistrement, acp 121 F° 81 du 7.1.
Martin Fleich et Anne Marie Wintz vendent la maison à leur frère et beau frère Jean Fleich et à sa femme Charlotte Mindler
1810 (27.8.), Strasbourg 14 (44), M° Lex n° 4576
Martin Fleich laitier et Anne Marie Vintz
à Jean Fleich leur frère et beau frère et Charlotte Mindler
La maison, cour, écurie, bâtiment, droits et dépendances appartenant aux vendeurs en cette ville rue de la Poule n° 46, d’un côté le Sr Casimir Robin ingénieur des Ponts et Chaussées, de l’autre le Sr Latscha marcaire, devant la rue de la Poule, derrière le jardin du Sr Sauzer jardinier fleuriste – adjugée par le juge de paix du quatrième arrondissement de cette ville le 12 fructidor 8 à François Ignace Keck ci devant aubergiste en cette ville et Anne Marie Fleich, suivant jugement d’homologation du tribunal civil le 27 même mois, vendu par les conjoints Keck aux vendeurs par acte reçu Annerich, notaire à Strasbourg, le 29 floréal 12 – moyennant 9000 francs
Enregistrement, acp 115 F° 96-v du 30.8.
Jean Fleich épouse en 1812 Sophie Charlotte Mindler, native d’Altenburg en Prusse : contrat de mariage, célébration et légitimation d’un enfant né à Stettin.
1812 (26.12.), Strasbourg 8 (5), M° Roessel n° 1004
Contrat de mariage – Jean Fleich, courrier de l’armée natif de Strasbourg, fils de feu Jacques Fleich, laitier et de feue Françoise Meyer
Sophie Charlotte Mindler demeurant à Strasbourg, fille majeure de Jean Mindler, domicilié à Altenburg en Prusse, et de feue Elisabeth Stein
Enregistrement, acp 121 F° 67 du 29.12.
Mariage, Strasbourg (n° 499)
Acte de mariage célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 28 décembre 1812. Jean Fleich, majeur d’ans, né en légitime mariage le 20 mai 1775 à Strasbourg, domicilié de droit à Strasbourg, Courrier de l’armée, fils de feu Jacques Fleich, nourrisseur, décédé en cette ville le 25 mars 1789 et de feu Françoise Meyer décédée en cette ville le 23 Floréal an six
Sophie Charlotte Mündler, majeure d’ans, née en légitime mariage le 4 janvier 1786 à Altenbourg dans la vieille Prusse, domiciliée à Strasbourg, fille de Jean Mündler, maréchal des logis chef d’un régiment de dragons an service de Prusse, et de feu Elisabeth Stein décédée à Altenbourg le 7 avril 1789 (…) Et de suite lesdits époux ont déclaré reconnaître Joseph Jacques Fleich, né d’eux à Stettin en Poméranie le 10 février 1808 (signé) Johannes Fleich, l’épouse a déclaré ne savoir signer (i 35)
Sophie Charlotte Mindler meurt en 1829 en délaissant un fils.
1829 (30.12.), Strasbourg 8 (nouv. cote 48), G. Grimmer n° 2995
Inventaire de la succession de Sophie Charlotte Mindler femme de Jean Fleich, voiturier laitier, décédée le 27 juillet dernier – à la requête de Jean Fleich, voiturier et laitier demeurant à rue des Poules n° 46, 2. François Joseph Jacques Jean Fleich, majeur voiturier laitier, seul et unique héritier – contrat de mariage reçu Roessel notaire à Strasbourg le 26 décembre 1812
immeuble, une maison avec écurie, droits, aisances, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Poules n° 46, d’un côté M Malahowsky de l’autre la succession de Jean Latscha, derrière la propriété du Sr Schöllhammer – acquis des conjoints Martin Fleich et Anne Marie Wintz, laitiers, suivant acte reçu Lex notaire à Strasbourg le 29 août 1810, estimée 6000 fr
acp 197 (3 Q 29 912) f° 178 du 9.1. Communauté, mobilier 2146 fr, une Maison n° 16 rue des poules 6000, total 8146 fr – Passif 5202 francs
Propre de la défunte, garde robe 104 fr, donation en numéraire 300 fr, total 404
Jean Fleich se remarie en 1831 avec Marie Agathe Bichweiller, originaire de Villingen en Bade
1831 (26.11.), Strasbourg 8, nouv. cote 50, G. Grimmer n° 3742
Contrat de mariage – Jean Fleich, voiturier, veuf de Sophie Charlotte Mundler avec un enfant
Marie Agathe Bichweiller fille de feu Joseph Benoit Bichweiller, employé à Villingen (Grand Duché de Baden) et de feu Anne Marie (-)
art. 4. Apports du futur époux, 2. la moitié indivise dans une maison avec écurie, droits & dépendances sise à Strasbourg rue de la Poule n° 46 d’un côté la succession du Sr Latscha, de l’autre le Sr Malahowsky, derrière la propriété du Sr Schoellhammer – acquise pendant la communauté avec sa première femme suivant inventaire dressé par le soussigné notaire le 30 décembre 1829
art. 5. (le futur époux donne à la future épouse) le droit d’habition d’un logement au premier étage au choix de la future survivante entre les trois logements au premier étage et celui du rez de chaussée donnant sur la cour sans cependant qu’elle puisse prétendre à celui du rez de chaussée donnant sur la rue, cependant si la future épouse venait à se remarier la donation du droit d’habitation serait à considérer comme non avenue
acp 206 (3 Q 29 921) f° 187-v du 1.12. – ils adoptent le régime de la communauté réduite aux acquets
les apports du futur consistent 1° en objets mobiliers détaillés et estimés en l’acte montant à 6960 francs, 2° en la moitié d’une maison et dépendances à Strasbourg rue de la poule N° 46 grevée d’un passif de 2263 francs
les apports de l’épouse consistent en une somme de 2000 francs argent comptant, les habits et linges sont aussi exclus de la communauté
le futur époux fait don en cas de survie à la future épouse 1° de l’usufruit viager de la portion dont il peut disposer en biens meubles 2° du droit d’habiter un logement dans ladite maison
la future épouse fait don au futur époux s’il lui survit sans enfants de la propriété de tout ce qu’elle délaissera et en cas d’enfant de la jouissance viagère de la moitié de tout ce qui composera sa succession
Jean Fleich cède sa moitié de maison à son fils François Fleich, nourrisseur de vaches à la Hohwarth
1838 (24.11.), Strasbourg 12 (148), M° Noetinger n° 10.842
Jean Fleich, laitier à Strasbourg, et Agathe Bischweiler
à François Fleich, laitier la Hohwarth banlieue de Strasbourg
la moitié indivise avec l’acquéreur qui possède l’autre moitié de 1. une maison, cour, écurie, bâtiments, aisances et dépendances située rue de la Poule n° 46, d’un côté M. Malachowsky, de l’autre le Sr Latschar laitier, derrière le Sr Schellhammer
2. et dans 1 ha de terre à Strasbourg près le cimetière militaire, d’un côté le Sr Boehm et consorts, de l’autre M. Bonfant, devant le chemin, derrière le Sr Riebel – acquis pendant la communauté avec feu Charlotte Mindler sa première femme dont l’acquéreur est unique héritier, la maison acquise de Martin Fleisch et Anne Marie Wurtz suivant acte reçu M° Lex le 29 août 1810. L’autre immeuble sur Catherine Spindler veuve de Frédéric Guillaume Renn, architecte, par acte reçu M° Lacombe le 10 mai 1821 transcrit au bureau des hypothèques vol. 141 n° 76.
Les vendeurs se réservent la jouissance viagère gratuite 1. du rez de chaussée sur la rue une chambre avec cabinet y attenant, 2. de la moitié donnant sur la rue de la cave, 3. de la place au grenier à foin du côté de Latschar pour pouvoir y serrer 100 quintaux ou 5 quintaux métriques de foin, 4. de la petite écurie du côté de Latschar, 5. de la moitié de la fosse à fumier, 6. de la moitié donnant sur la rue des greniers, cette réserve évaluée à 100 fr de capital – moyennant 6000 francs
acp 263 f° 99 du 27.11.
François Joseph Fleich épouse en 1831 Marie Dorothée Dæffler : contrat de mariage, célébration
1831 (5.4.), Strasbourg 8 (nouv. cote 49), G. Grimmer n° 3504
Contrat de mariage – François Joseph Jacques Jean Fleich, voiturier, fils majeur de Jean Fleich, voiturier demeurant en cette ville, et de feu Sophie Charlotte Mindler d’une part
et Marie Dorothée Daeffler, fille mineure de feu Jacques Georges Daeffler, boulanger à Strasbourg, et de Marie Dorothée née Geyer d’autre part
acp 203 (3 Q 29 918) f° 135-v du 15.4. – réserve d’apports, des habillements et linges propres à chacun, communauté d’acquets partageable par moitié au décès de l’un d’eux, usufruit au survivant de la succession du prédécédé. Don de survie par le futur à la future épouse d’une somme de 400 francs. Le futur époux se constitue en propre en numéraire et mobilier 3640 francs
La future épouse se constitue en propre en numéraire et mobilier 3400 francs
Mariage, Strasbourg (n° 176)
Du 11° jour du mois d’avril l’an 1831 à dix heures du matin. Acte de mariage de Joseph Jacques Fleich, Mineur d’ans quant au mariage, né en légitime mariage le 10 février 1808 à Stetten en Poméranie, domicilié à Strasbourg, nourrisseur de vache, fils de Jean Fleich, voiturier domicilié en cette ville, ci présent et consentant et de feu Sophie Charlotte Mündler, décédée en cette ville le 12 juillet 1829
et de Marie Dorothée Daeffler, mineure d’ans, née en légitime mariage le 30 mars 1812 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de feu Georges Daeffler, Boulanger décédé en cette ville le 24 janvier 1816 et de Marie Dorothée Geyer, domiciliée en cette ville, ci présente et consentante (signé) françois joseph jaque fleich, Marie Dorothée Daeffler (i 33)
Dorothée Dæffler meurt en 1858 en délaissant une fille
1858 (13.2.), M° Noetinger
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre François Fleich, voiturier à Strasbourg, et Marie Dorothée Daeffler sa femme et de la succession de cette derniète décédéé le 2 mai 1857, dressé à la requête du veuf agissant comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Grimmer notaire le 20 avril 1831, 2) Charlotte Fleich, repasseuse à Strasbourg
acp 467 (3 Q 30 182) f° 13-v du 19.2. (succession non déclarée) Communauté, mobilier estimé à 1336 – Masse passive 6784
Succession, reprises 18.240, garde robe 58
La Dlle Fleich déclare renoncer au don matutinal fait à la mère par le contrat de mariage
François Fleich vend la maison à sa fille Charlotte Fleich
1865 (25.10.), M° Noetinger
Vente – François Flich voiturier au Neudorff
à Charlotte Flich, répasseuse au Neudorff
1° une maison sise à Strasbourg rue des Poules n° 16
2° une grange avec terre et pré au Neudorff n° 16 le tout d’une contenance d’environ un hectare – moyennant 14.000 francs à compte de laquelle somme l’acquéreur est délégué de payer (…) Origine, moitié par héritage de Charlotte Mindler sa mère et moitié suivant acte Noetinger le 24 novembre 1838 – 14.000 francs
acp 547 (3 Q 30 262) f° 30-v du 26.10.
Charlotte Fleich épouse en 1867 le journalier Robert Schneiderlin, natif de Reguisheim dans le Haut-Rhin : contrat de mariage, célébration
1867 (21.8.), Victor Noetinger
Contrat de mariage – Robert Schneiderlin, journalier à Strasbourg
et Charlotte Fleich repasseuse à Strasbourg
acp 566 (3 Q 30 281) f° 24 du 28.8. stipulation du régime de communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur époux consistent en une somme de 1000 francs, 29 ares de pré ban de Riquewyhr
Les apports de la future épouse consistent 1) mobilier et linge estimés à 5000, 2) Une maison rue des Poules N° 16 à Strasbourg, 3) une grange sise au Neudorff
Donation réciproque de l’usufruit viager de toute la succession réductible à moitié en cas d’existence d’enfants
Mariage, Strasbourg (n° 409)
Du 22° jour du mois d’août l’an 1867 à dix heures du matin. Acte de mariage de Robert Schneiderlin, majeur d’ans, né en légitime mariage le 6 novembre 1839 à Reguisheim (Haut-Rhin) domicilié à Strasbourg, Journalier, fils d’Etienne Schneiderlin, journalier, et de Marie Anne Geiller, conjoints domiciliés à Reguisheim,
et de Dorothée Charlotte Fleich, majeure d’ans née en légitime mariage le 23 décembre 1831 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de Joseph Jacques Fleich cultivateur domicilié au Neudorf, banlieue de Strasbourg, ci présente et consentante, et de feu Marie Dorothée Daeffler, décédée à Strasbourg le 2 mars 1857 (…) il a été passe le 21 de ce mois un contrat de mariage devant M° Victor Noetinger, notaire à Strasbourg
Robert Schneiderlin et Dorothée Charlotte Fleich vendent la maison au receveur des contributions indirectes Antoine Nicolas Forey
1869 (16.7.), Strasbourg 3 (112), Emile Weiss n° 2795
Vente du 16 juillet 1869 – ont comparu le Sr Robert Schneiderlin, journalier et Dame Dorothée Charlotte Fleich son épouse qu’il autorise, demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg, lesquels comparants déclarent avoir vendu (…)
à Mr Antoine Nicolas Forey, receveur des Contributions indirectes, demeurant à Kaysersberg, pour lequel à ce présente, stipule et accepte Mlle Eugénie Léonie Bolicot, rentière, demeurant et domiciliée à Strasbourg
Désignation de l’immeuble. Ville de Strasbourg. Une maison d’habitation avec petite écurie, grange & fosse à fumier, plus la communauté et mitoyenneté de la cour, de la porte cochère, du puits & des lieux d’aisancess & avec les aisances, appartenances et dépendances, le tout sis rue des poules N° 16 entre Mlle Bolicot d’une part et le sieur Born, menuisier d’autre part, par devant la dite rue, par derrière le jardin et dépendances communes de la dite propriété, pour les exercer en leur lieu et place comme ils en avaient eux-mêmes le droit, en vertu de la possession et de leurs titres (…) Prix, 20.000 francs, à compte de laquelle les vendeurs reconnaissent avoir reçu à l’instant à la vue de M° Weiss, soussigné, la somme de 5000 francs (…)
Etat civil des vendeurs. Les vendeurs déclarent sous les peines de droit 1° qu’ils sont mariés sous le régime de lacommunauté de biens réduite aux acquêts aux termes de leur contrat de mariage passé devant ledit M° Victor Noetinger le 21 août 1867
acp 585 (3 Q 30 300) f° 48-v du 19.7.
Natif d’Erstein, Antoine Nicolas Forey épouse en 1853 Céline Bolicot
1853 (15.5.), Strasbourg 3 (97), M° Burtz n° 3094
Contrat de mariage – ont comparu M. Antoine Nicolas Forey, employé des contributions indirectes demeurant à Erstein, fils majeur et en effet unique de feu M. François Forey, capitaine d’artillerie et de Mad° Anne Elisabeth Dacheux, sa veuve demeurant aussi à Erstein, stipulant en son nom personnel comme futur époux
Et Madlle Céline Bolicot, majeure demeurant à Strasbourg chez Mad. sa mère, fille de feu M. Jacques Bolicot, chef-ouvrier d’Etat à l’arsenal de Strasbourg, chevalier de la Légion d’honneur et de Mad° Marie Anne Bené sa veuve demeurant à Strasbourg, stipulant aussi en son nom personnel comme future épouse
acp 419 (3 Q 30 134) f° 49 du 17.5. Stipulation de communauté réduite aux acquêts, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur époux consistent en créances montant à 13.600 francs
Les apports de la future épouse consistent en une valeur de 13.000 francs à elle due par sa mère et représentant en partie sa part héréditaire dans la succession de son père décédé le 11 août 1851 sans qu’il ait été fait d’inventaire ou de partage et comme sa mère est restée en possession de toute la masse la future épouse renonce dès à présent au moyen du paiement de ladite somme de 12.000 francs à demander à sa mère du vivant de celle-ci aucun compte des biens composant la succession paternelle, à quoi le futur époux déclare consentir. La mère non présente à l’acte
Donation réciproque par les futurs au survivant d’eux de l’usufruit de toute la succession
Céline Bolicot légue par testament la quotité disponible à son fils naturel Philippe Camille Bolicot, employé à Strasbourg. Ses héritiers, à savoir les trois enfants légitimes et Philippe Camille Bolicot passent un accord
1902 (7.10.), Jean Mossler n° 36.170
Testamentsvollzug Einwilligung – Am 27. August 1902 starb zu Straßburg, ihrem Wohnorte, die franz. Staatsangehörige Celine Bolicot Wittwe Nikolaus Forey, dieselbe hinterließ als einzige Abkömmlinge A. die Erschienenen 1) Carl Ludwig Eugen Forey, Maler zu Vesoul (in Frankreich) 2) Karoline Eugenie Anne Forey, ledig o. G. hier, 3) Maria Philipp Camille Bolicot, Angestellter zu Straßburg, B. den Nichterschienen Emil August Jerome Forey
ad A 1) und 2) und ad B sind eheliche Kinder aus der Ehe Forey Bolicot ad A 3 ist ein natürliches Kind der Erblasserin
Laut eigenhändigen Testament vom 10. August 1902 vermachte die Wittwe Forey zum Voraus und außer Teil den verfügbaren Teil ihres Gesamtnachlasses ihrem Kind d. g. Bolicot.
Die Erschienenen Carl Ludwig Eugen Forey und Karoline Eugenie Anne Forey bewilligen nun insoweit es sie betrifft den gänzlichen Vollzug obigen Testaments und die Auslieferung des Vermächtnises an g. Bolicot derart, daß derselbe ein g* seines gesetzl. Anspruchs, * für den mitbeteiligten Emil August Jerome Forey gleichfalls der Vollzug des Testaments in dieser Weise bewilligt werden wird für ¼ am Nachlass, seiner Mutter mitbeteiligt sein soll. Sollte für p Emil August Jerome Forey der Vollzug des testaments nicht bewilligt werden, so soll demnach die Auslieferung durch die erschienenen Geschwister Forey in soweit er sie betrifft definitiv sein derart daß p. Bolicot ihren gegenüber ein einschl. seines gesetztl. Anspruchs als Erben für ein Viertel behandelt wird und sie selbst je für ¼.
p Bolicot nimmt die Auslieferung an.
Behufs Erteilung eines Erbscheins nimmt der Notar den Erschienenen die eidesstettige Versicherung ab
Berechnung des durch die Erschienen abgetrettenen Erbenteils. Die Wittwe war berechtigt zu verfügen über 1/3 von ¼ des Nachlasses 36/432. Demgemäß besitzen die 3 ehelichen Kinder noch 396/432 oder Jedes den 3.ten teil 132/432 oder 11/36
Der erschienene 2 Geschwister besitzen nach obiger Einwilligung noch 2/4 des Nachlasses 216/832. der freiwillig abgetretene Tteil des Nachlasses beträgt also 2 x 132/432 = 264/432 – 216/432 = 48/432, sofern p Bolicot in dem Erbschein nicht als Erbe für ¼ anerkannt wird.
acp 1003 (3 Q 30 718. III) f° 61 n° 1755 du 11.10.
Partage de la succession d’Antoine Nicolas Forey, mort à Vesoul en 1883, et de sa veuve Céline Bolicot, morte à Strasbourg en 1902. Le partage suit la législation française puisque les défunts en avaient conservé la nationalité. Les maisons sont attribuées aux trois enfants Forey
1903 (16.6.) Gustave Edouard Loew N° 36.659
3. Februar 1909 – Theilung der Verlaßenschafften der Eheleute Anton Nikolaus Forey gest. in Vesoul am 26. novembre 1883 und Cöline Bolicot gest. in Straßburg am 27. August 1902, dieselbe wurde nicht genehmigt und durch nachstehende Theilung ersetzt
N° 37.262, 23. Juni 1903 – Theilung der Verlaßenschafften der Eheleute Anton Nikolaus Forey und Cöline Bolicot. Auf Anstehen von 1. Maria Philipp Kamillus Bolicot, Handlungsgehülfe hier,
2. Karoline Eugenie Anna Forey, ledig gewerblos hier,
3. Karl Ludwig Eugen Forey, Maler in Vesoul,
4. Emil August Hieronymus Forey, entmündigt hier, vertreten durch seinen Pfleger Viktor Reinhard, Geschäfsagent hier
acp 1013 (3 Q 30 728. II) f° 53-v du 23.6. – Vorbemerkungen. Gemäß Ehevertrag vor Notar Butz in Straßburg vom 15. März 1853 bestand zwischen den Eheleuten Forey Bolicot Errungenschafts Gemeinschaft. In demselben vermachte H Forey seiner Wittwe den lebenslänglichen Neißbrauch an die Hälfte des Nachlasses. Inventar ist nicht errichtet worden. Die Wittwe Bolicot hat durch eigenhändiges Testament vom 9. August 1902 dem H. Maria Philipp Kamillus Bolicot den verfügbaren Teil ihres Nachlasses vermacht.
Die Eheleute Forey Bolicot behielten bis zu ihrem Tod die frantzösische Nationalität und wurden nach frantzösischem Gesetz beerbt. H. Forey hinterließ als Eben zu je 1/3 seine 3 Kinder aus der Ehe mit seiner Wittwe, die sub 2-4 Genannten. Die Wittwe Forey hinteließ als Erben dieselbe 3 Kinder und ein uneheliches Kind, den H. Bolicot. Das erwähnte Testament wurde dahin ausgelegt, daß die 4 Kinder gleichheitlich ihrer Mutter beerben. Ein Erbschein wurde durch das Amtgericht am 19. Februar 1903. in dießer Sinne ausgestellt
Gemeinschafftsaktiven 1. Mobilien 633, 2 Flur 31 N° 37, 950.p, 953., 4,99 Ar 2 Wohnhaus, Nebengebäude & Hof, Hennengasse N° 16 hier, Nutzungswert 3500, Wer 58.000, erworben laut Akt Notar Weiss am 16. Juli 1869, 3. Mietzins beim Tod der Wittwe Forey 452, Summa 59.086
Hievon ab Ersatz Forderungen & zwar 1) des H Foret 10.960, 2) der Wittwe grange Bolicot 41.600, zusammen 52.560, bleibt 6526
Nachlass Forey, 1) Hälfte der Gemeinschaft 3263, 2) Ersatzforderung 10.960, Sa. 14.283
Nachlass der Wittwe Forey, 1) Hälfte der Gemeinschaft 3263, 2) Ersatzforderung 41.600,3) Kleider 174, 4) Hauseinrichtung in Vesoul 58, 5) Mietzins Forderung am Todestage 456, 6) bares Geld am Todestage 1390, 7) Flur 31 N° 3, O n° 954, 8,88 Ar, 2 Wohnhäuser, Nebensgebäude, Hof & Garten Hennengasse N° 14 hier, Nutzungswert 4600, Wert 44.000, Summa 90.941
Hievon ab, Hypothekenschuld 9600, Zinsen 11, 2) Erbschaftssteuren und Nachlasskosten 1330, Summa 10.941, bleiby 80.000
Zuteilung. Die 3 Geschwister Forey erhalten zugeteilt 2) das Hausanwesen N° 16
8. das Hausanwesen N° 14
Le peintre Louis Eugène Forey, Caroline Eugénie Forey et Emile Auguste Forey hypothèquent la maison au profit de l’ancien entrepreneur de constructions Théodore Wagner
1903 (29.6.), Gustave Edouard Loew n° 37.315
Schuldbrief – 1) Ludwig Eugen Forey, Maler hier, 2) Karoline Eugenie Anne Forey, volljährig o. G. zu Strassburg, 3) Emil August Jerome Forey, o. G. zu Strassburg Hennengasse 14 unter Vormundschaft von 1)
zu Gunsten von Theodor Wagner, Rentner, früher Bauunternehmer hier, Kuhngasse 18, über 24.000 Mark
Pfand, O 950.p, 953.p Flur 31-37 Anwesen hier Hennengasse N° 16
acp 1013 (3 Q 30 728. II) f° 64-v du 3.7.
Partage après la vente des deux maisons rue des Poules
1904 (27.5.), Strasbourg 8 (232) Gustave Edouard Loew n° 38.864
Teilung – sind erschienen 1. Fräulein Karoline Eugenie Anna Forey, volljährig gewerblos, in Strassburg wohnend Hennengasse Nr 14, 2. Herr Carl Ludwig Eugel Forey, Maler, ebenda wohnend, Letzterer handelnd wowohl eigenen Namens wie als Vormund seines gemäß Beschlusses des Kaiserlichen Amtsgerichts Strassburg vom 11. April 1903 wegen Geisteskrankheit entmündigten Bruders Herrn Emil August Hieronymus Forey. (…) dieselben erklärten hiermit folgende Auseinandersetzung zur Beurkundung
Vorbemerkung. Wir und der genannte Entmündigte, unser Bruder, bestehen gemeinsam zwei Wohnhäuser zu Strassburg Hennengasse 14 und 16, welche uns bei der Teilung der Nachlässe unserer Eltern Eheleute Anton Nicolaus Forey u. Celine Bolicot gemäß Urkunde vor Notar Loew vom 16. Juni 1903 zugefallen sind. (…)
acp 1027 (3 Q 30 742. II) f° 83 du 3.6. Massenaufstellung – I. Kaufpreis des Hauses Hennengasse 14, 36.000. II. Kaufpreis des Hauses Hennengasse 16, 27.000, Summa 93.000
Verbindlichkeiten. 1. Hypothekenschuld Senkeisen 9600, 2. Hypothekenschuld Wagner 24.000, 3. An die hiesige Baugesellschaft für Reparaturen 264, 4. An Viktor Reinhard 400, 5. Kosten des Gegenwärtigen 400, Summa 35.293 – bleiben 57.706, 1/3 19.235
Anweisungen (…)
Le peintre Louis Eugène Forey, Caroline Eugénie Forey et l’interdit Emile Auguste Forey vendent la maison au ferblanier Jacques Schwebel et à sa femme Marie Lobstein
1904 (27.5.), Strasbourg 8 (232) Gustave Edouard Loew n° 38.861
29. Mai 1904. Kauf mit Schuldverschreibung – sind erschienen 1. Fräulein Karoline Eugenie Anna Forey, volljährig und gewerblos, wohnend in Strassburg, 2. Herr Carl Ludwig Eugen Forey, Maler, wohnend in Strassburg, Herr Forey handelnd wowohl eigenen Namens wie auch Namens und als Vormund durch Beschluß des K. Amtsgerichts Strassburg vom 11. April 1903 wegen Geisteskrankheit entmündigten Herrn Emil August Hieronymus Forey, gewerblos in Strassburg, Hennengasse N° 14 (verkaufen)
an die mitanwesenden, dies annehmenden Ehegatten Herrn Jacob Schwebel, Klempnermeister und Frau Maria geborene Lobstein, beisammen in Strassburg wohnend, folgendes Anwesen
Stadt Strassburg. Das Anwesen zu Strassburg, Hennengasse N° 16, zu einer Fläche vom 4 a 99, bestehend haupsächlich aus zwei Wohnhäusern, Nebengebäuden und Hof, einerseits ein weiteres Anwesen der Verkäufer, anderseits die Strassburger Baugesellschaft, die frühere Katasterbezeichnung des Anwesens war Sektion O n° 950.p und 953.p. Im Eigentumsbuche für Strassburg steht dasselbe Blatt 849 auf Namen der Verkäufer wie folgt eingetragen
Flur 31 N° 37, Hennengasse 16, Hf, 2 Whs u.St. 4 a 99.
An beweglichen Sachen werden mitverkauft die Öfen und Herden nebst Steinen und Röhren insoweit dieselbe Eigentum der Verkäufer sind (…)
Eigentumsnachweis. Das Anwesen rührt her aus der zwischen den Ehegatten Herrn Anton Nicolaus Forey, Beamten der indirekten Steuren und Frau Celine geborene Bolicot in Strassburg bestandene Errungenschaftgemeinschaft, für welche dasselbe während der Ehe erworben wurde von den Eheleuten Robert Schneiderlin und Frau Dorothea Charlotte Fleich in Strassburg gemäß Kauffvertrages vor dem damaligen Notar Emil Weiss daselbst vom 16. Juli 1869 überschrieben beim hiesigen Hypothekenamte am 20. desselben Monats Band 1217 N° 70. Eheleute Forey-Bolicot sind beide gestorben und zwar der Mann am 26. November 1883 zu Vesoul und die Frau am 27. August 1902 zu Strassburg. Ehegatten Forey, welche bis zu ihrem Tode die frantzösische Nationalität behielten und dementsprechten auch nach den frantzösischen Gesetzen beerbt wurden, hinterließen als einzige Erben a) Herr Bolicot die drei obgenannten Verkäufer und b) Frau Foret geborene Bolicot dieselben drei Verkäufer, welche sie einzigen Kinder aus der Ehe mit ihrem verlebten Mann waren, sowie ein weiteres Kind, den Herrn Maria Philipp Kamillus Bolicot, Handlungsgehülfe in Strassburg, wie solches dargetan ist in dem Erbschein nach Frau Forey ausgestellt durch das Kaiserliche Amtsgericht Strassburg 19. Februar 1903. Ueber die Nachlässe der Ehegatten Forey-Bolicot wurde auf Anstehen der drei Kinder Forey sowie des Herrn Bolicot am 16. Juni 1903 durch den amtierenden Notar die Teilung errichtet, gemäß welcher den drei Kinder Forey das heutige Kaufobjekte ein Drittel in Volleigentum zugeteilt wurde. Hinsichtlich des mitgeteiligten entmündigten Emil August Hieronymus Forey hat vorerwähnte Teilung die Genehmigung erhalten laut Beschluß des hiesigen Kaiserlichen Amtsgerichts vom 19. Juli 1903.
Bedingungen (…),Hypothekenbelastung (…), Kaufpreis, 57.000 Mark (…), Feuerversicherung (…)
Auflassung. Als Auflassung erklärten die gleichzeitig Erschienenen. Wir, Geschwister Forey, übertragen hiemit das Eigentum an dem Kaufobjekten auf Ehegatten Schwebel und bewilligen die Eintragung derselben als Miteigenthümer je zur Hälfte des Grundstücks in Eigenthumsbuche für Straßburg. Wir, Eheleute Schwebel, nehmen vorstehende Uebertragung an und beantragen die Eintragung auf uns, als Mit Eigenthümer, je zur Hälfte, da wie uns im Jahre 1901 verheiratet haben, ohne bis jetzt einen Ehevertrag errichten zu lassen.
acp 1027 (3 Q 30 742. II) f° 79-v n° 784 du 3.6.
Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit de Théodore Wagner (voir plus haut)
1904 (27.5.), Gustave Edouard Loew
Schuldbrief – Jacob Schwebel, Klempnermeister und Maria Lobstein in Straßburg
für Theodor Wagner, Rentner, ehemaliger Bauunternehmer in Strasbourg, über 24.000 M geschuldet laut nachregistrirten Kauf mit Anweisung und über 20.000 M
Pfand, Anwesen Hennengasse N° 16
acp 1027 (3 Q 30 742. II) f° 79 n° 781 du 3.6.
Originaire de Strasbourg, Jean Jacques Schwebel épouse en 1901 Marie Eve Lobstein, native de Lampertheim
Mariage, Strasbourg (n° 672)
Strassburg am 9. Juli 1901. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Klempnermeister Johann Jakob Schwebel, evangelischer Religion geboren am 2. Juli. des Jahres 1866 zu Strassburg, wohnhaft zu Strassburg, Sohn des Rentners Johann Jakob Schwebel wohnhaft in Strassburg, und seiner verstorbenen Ehefrau Sophie gebornen Roth, zuletzt wohnhaft in Strassburg
2. die Maria Eva Lobstein, evangelischer Religion, geboren am 8. Juni 1882 zu Lampertheim /:Unter Elsass:/ wohnhaft in Strassburg, Tochter des Sattlermeisters Andreas Lobstein wohnhaft in Strassburg und seiner verstorbenen Ehefrau Karoline gebornen Klein zuletzt wohnhaft in Straßburg [in margine :] † 18 juin 1926 N° 1508 (i 40)