2, rue des Pelletiers
Rue des Pelletiers n° 2 – IV 358 (Blondel), N 888 puis section 60 parcelle 53 (cadastre)
Autre adresse, 1, rue des Chandelles
Maître d’ouvrage Camille Heyler, architecte Paul Dangel (1954)
Façade rue des Chandelles
Partie de façade construite en retrait en 1953 (au fond, la rue du Vieux-Marché-aux-Grains)
Bâtiment à l’angle de la rue des Chandelles, vu de la rue des Pelletiers (avril 2017)
La Ville cède en 1671 au menuisier Jean Claussmeyer la maison qui se trouve derrière la maison des subhastations, à l’angle de la rue des Chandelles. Ses héritiers et ayant-droit la conserveront jusqu’en 1772. Elle comprend un bâtiment à un seul étage à l’angle des rues, un bâtiment à pignon à deux étages dans la ruelle des Pelletiers et deux cours. D’après la description de 1740, le bâtiment avant comprend un logement et le bâtiment arrière deux logements. Chrétien Stammler est autorisé en 1729 à agrandir deux fenêtres au rez-de-chaussée qui donne dans la cour de la maison des subhastations. Les grillages qui garnissent les fenêtres font l’objet d’une contestation en 1762. La maison prend régulièrement de la valeur, son estimation minimale passe de 500 livres en 1716 à 900 livres en 1740 puis à 1 750 livres en 1787. Le notaire Jean Charles Fické achète la maison en 1772 et y établit son étude. Sa veuve la vend en 1781 au marchand Georges Michel Hering après les préposés ont déclaré que les anciens alignements sont maintenus.
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 189
L’Atlas des alignements (années 1820) qui signale un rez-de-chaussée et un étage en maçonnerie s’en tient à décrire la maison d’angle. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue se trouve de part et d’autre du repère (b) qui marque l’angle de la rue des Chandelles dans laquelle le bâtiment se termine au repère (c). Au rez-de-chaussée, le bâtiment comprend des portes dans chaque rue et un étage à sept fenêtres en tout. La toiture a un seul niveau de lucarnes. Le bâtiment arrière à pignon dans la rue des Pelletiers (entre les repères a et b) comprend deux étages. On y accède par la porte (3-4) qui donne dans la cour B qui s’ouvre elle-même sur la rue par en (4-1). La cour B est séparée par un mur en lattes (1-2-3) de la cour A qui dépend de l’ancienne maison des subhastations. La façade sur cour se prolonge dans la cour A entre les repères (3-4). Ce sont les ouvertures qui se trouvent dans cette partie du bâtiment qui ont fait l’objet de dissensions au siècle précédent. La cour C se trouve entre le bâtiment avant (3-4-1) et la bâtiment arrière (1-2). Le bâtiment (2-3) s’ouvre au sud de la cour.
La maison porte d’abord le n° 17 (1784-1857) puis le n° 1 de la rue des Chandelles, elle conserve le n° 2 dans la rue des Pelletiers. Comme le cadastre ouvert en 1840 ne signale aucune transformation mais que le bâtiment avant comprend ensuite un étage de plus que sur les dessins de 1830, on est amené à conclure que Jean Michel Diemer a ajouté un étage entre 1833 et 1840.
Cours A et B, cour C et plan de l’îlot
Théophile Emile Stern transforme en 1883 les ouvertures du rez-de-chaussée dans la rue des Chandelles : la porte et la fenêtre sont remplacées par une seule baie en arcade. En 1920, le tapissier décorateur Camille Heyler qui vient d’acheter la maison a l’intention de transformer le rez-de-chaussée en atelier. Il charge en 1921 l’architecte Théo Berst d’aménager au rez-de-chaussée de nouveaux magasins en suivant l’alignement prescrit, aux étages des logements qui prennent jour de trois côtés. Les façades sur rue et les façades intérieures en pans de bois des XVI° et XVIII° siècles seront conservées. La face vers la cour voisine restera la même à cause d’une servitude de lumière, un nouvel escalier desservira tout le bâtiment. Les travaux sont achevés fin 1923.
Transformations de 1922 – Façades rue des Chandelles et rue des Pelletiers selon leur ancien état, façade sur cour et plan du rez-de-chaussée (dossier de la Police du Bâtiment)
La rue des Chandelles après démolition du côté pair (années 1920, photographie publiée par Félix Luib). La maison à l’angle de la rue des Pelletiers est la première à gauche de l’image.
Le hangar à la limite de la propriété voisine rue des Pelletiers est transformé en 1927, la porte cochère devient une devanture de magasin. La partie droite du bâtiment à pignon rue des Pelletiers est aménagée en local commercial en 1932. Le propriétaire Camille Heyler fait transformer les locaux commerciaux au rez-de-chaussée en 1941 et s’engage à céder à la Ville un terrain d’environ quatre mètres carrés. Le bâtiment arrière et le bâtiment latéral sont entièrement détruits par les bombardements du 11 août 1944, le bâtiment avant est endommagé.
Façade rue des Chandelles en 1941
Projet non réalisé de 1946 (dossier de la Police du Bâtiment)
Façade rue des Chandelles (bâtiment au milieu de l’image)
Camille Heyler et l’architecte Paul Dangel présentent en 1946 un projet pour reconstruire les bâtiments, différé jusqu’à ce que le plan d’aménagement ait été arrêté. Ils soumettent un nouveau projet en 1953 après que l’administration a renoncé à porter à six mètres la largeur de la rue pour conserver la maison à l’angle du Vieux-Marché-aux-Grains inscrite à l’inventaire des monuments historiques. Le propriétaire construit un bâtiment à rez-de-chaussée, un étage ordinaire et un étage mansardé. Le terrain libéré est incorporé à la voie publique. Le gros œuvre est terminé en décembre 1954, le bâtiment est occupé en septembre 1955.
octobre 2016
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1671 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
Ville de Strasbourg | ||
1671 | v | Jean Claussmeyer, menuisier, et (1669) Marie Madeleine Lienhard – luthériens |
1678 | h | Chrétien Haan, menuisier, et (1678) Marie Madeleine Lienhard, veuve du précédent, puis (1699) Marie Cléophée Schlachtmann – luthériens puis indivis entre les cinq enfants de Marie Madeleine Lienhard – luthériens Marie Salomé Claussmeyer, femme du menuisier Georges Wilderich – luthériens Jean Claussmeyer, vend sa part à la précédente Marie Madeleine Haan, femme de Chrétien Stammler Anne Marguerite Haan, lègue ses biens à la précédente Jean Henri Haan, mort en laissant pour héritiers ses quatre frère et sœurs |
1720 | h | indivis à partir de 1720 entre Georges Wilderich, menuisier, et (1704) Marie Salomé Claussmeyer puis (1718) Anne Marie Voltz, remariée (1731) au menuisier Jean Beck – luthériens et Marie Madeleine Haan, femme (1717) du ceinturier Chrétien Stammler, remarié (1741) avec Marie Barbe Wœhrlé, veuve de l’apprêteur de tabac Jean Jacques Hanselmann indivis après la mort de Marie Madeleine Haan en 1740 entre les enfants de Georges Wilderich, 1/9 revenant à chacun des trois enfants du premier mariage et 1/18 à chacun des trois enfants du deuxième mariage |
1747 | h | Jean Beck, menuisier, et (1731) Anne Marie Voltz, veuve de Jean Georges Wilderich – luthériens |
1758 | h | Marie Barbe Wildrich, femme (1750) du menuisier Chrétien Nicolas Elstett puis (1760) du menuisier Jean Georges Reule – luthériens |
1760 | h | Jean Beck, menuisier, et Anne Marie Voltz ci-dessus puis (1763) Marguerite Elisabeth Bürckel, veuve du coutelier Raoul Haller – luthériens |
1772 | v | Jean Charles Fické, notaire, et (1751) Catherine Marguerite Kolb – luthériens |
1781 | v | Georges Michel Hering, marchand, et (1757) Marguerite Elisabeth Stædel puis (1788) Marie Madeleine Plarr – luthériens |
1795 | v | Jacques Hœrter, boulanger puis cabaretier, et (1770) Marie Dorothée Schad – luthériens |
h | François Henri Hœrter, confiseur, et (1795) Louise Frédérique Rhein | |
h | François Henri Hœrter, pasteur, et (1823) Henriette Elise Kampmann puis (1830) Frédérique Dorothée Rausch | |
1826 | v | Jean Jacques Schœllhammer, baquetier, et (1812) Frédérique Salomé Genty |
1832 | v | François Henri Hœrter ci-dessus |
1833 | v | Jean Michel Diemer, menuisier, et (1829) Catherine Barbe Keller puis (1840) Elisabeth Keller |
h | Théophile Emile Stern, farinier, et (1856) Amélie Elise Diemer | |
h | Charles Auguste Seyder, rentier, et Lucie Stern | |
1920 | v | Camille Heyler, tapissier, et Marie Roth |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 400 livres en 1694, 500 livres en 1716, 800 livres en 1729, 900 livres en 1740, 1 750 livres en 1787
(1765, Liste Blondel) IV 358, Jean Beck
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 888, Diemmer, Michel (Diemer) – maison, sol – 2 ares
Locations
1839, Georges Guillaume Lang, tailleur d’habits, et Marie Salomé Bollong
Localisation sur le plan Blondel (1765)
Directeurs fonciers (Bauherren)
1729, Directeurs fonciers (VII 1393)
Les préposés inspectent la cour de la maison des subhastations pour statuer sur la demande qu’a faite Chrétien Stammler d’agrandir ses fenêtres qui donnent dans cette cour. Ils constatent que comme les fenêtres ne sont pas grillagées, il est facile de pénétrer dans la cour où sont entreposées des marchandises les jours de marché. Chrétien Stammler est autorisé à agrandir deux fenêtres au rez-de-chaussée à condition de les garnir d’un grillage ainsi que la fenêtre sous la toiture.
(f° 218-v) Mittwochs den 28. Apr. wurden folgende augenschein eingenommen worden als, Christian Stammler wegen bauens
In dem Ganthhoff auf Ansuchen Christian Stammlers des Gürtlers, Welcher die in dießen hoff gehende fenster seines daran gelegenen haußes umb etwas erhöhen und Vergrößern zulaßen willens, und deßwegen umb erlaubnus gebetten, es wurde aber hierbeÿ beobachtet, daß Keines Von allen denen fenstern, die in angeregten Hoff Gehen, Vergrembßet da Mann doch Leichtlich dardurch hinunter steigen, und Von denen an den Marcktägen außstellende früchten, welche nur schlechterdingen in den Hoff gestellt werden, entwenden Könte, deme Zu remediren.
(f° 222) Dienstags den 4. Octobr. 1729. Christian Stammler wegen bawens.
Nach eingenommemem Augenschein in Christian Stammlers des Gürtlers hinder dem Ganthauß liegenden wohnung, wurde Erkandt, daß Imploranten erlaubt sein sollen die beede fenster in dem unteren stockwerck vergrößern Zu laßen, in deme noch mehrern sich daselbst befinden, jedoch mit dem expressen befehl, daß dieselbe beneben dem fenster oben an dem dächlein sollen vergremßt werden.
1747, Directeurs fonciers (VII 1402)
Les préposés refusent à Jean Beck l’autorisation d’agrandir les fenêtres qui donnent sur la maison des subhastations parce qu’il serait nécessaire de supprimer une partie du toit qui appartient à la Ville. Une note renvoie aux conditions d’après lesquelles la maison a été vendue à Jean Claussmeyer en 1671.
(f° 129-v) Dienstags den 20. Ejusdem [Maÿ 1747] seind folgende augenschein eingenommen worden – Johannes Beck
An Johannes Beck des schreiners hauß hinder dem ganthauß, welcher um erlaubnus gebetten, eines seiner in das ganth hauß höffeln gehender fenstern Zuerhöhen, welches aber Zubewerckstelligen, ein Stuck Von dem dach, so der Statt gehörig, in besagtem höffel müßte abgeschnitten werden. Erkannt begehren abgelaint, NB. die Conditionen Unter welchen dießes hauß A° 1671. Von gemeiner Statt an Johann Claußmeÿer den schreiner Verkaufft worden vid. in der Contracten Prot. fol. 237.
1762, Directeurs fonciers (VII 1410)
Jean Beck domicilié derrière la maison de la Taille, ancienne maison des subhastations, s’oppose à ce que la Ville pose un grillage à sa fenêtre donnant sur une galerie qui est propriété municipale. Il excipe de ses droits et argue que l’éclairage serait encore réduit par le grillage mais accepte que la Ville recule à ses frais la fenêtres et y pose un grillage
(f° 11) Dienstags den 16. Martÿ 1762. Johannes Beck
Johannes Beck der schreiner hinter dem herren Stall /:antea Ganthauß:/ wohnhaft wurde citirt und befragt auf was ursachen er sich wiedersetzen daß das eine fenster in seinem hauß, welches dermahlen auff einen gang des H Stallschreibers hauß stoßet möge Vergrembßet werden, da doch dießes allhier ein eingeführtes allgemeines Recht und Zur sicherheit dem nachbaren allenthalben observirt werde, citatus sagt weilen jhm der tag durch obgemelten gang schon Zur helffte an dießen fenster benommen worden, welches doch Laut seines Kauffbrieffs wie der Seine Rechten lauffe, so würde jhm durch die vergrembßung noch mehr liecht entzogen werden, er consentire aber wann Löbl. Statt auff ihren Kösten das fenster quæstionis umb etliche schuh zurücksetzen wolle, daß solches als dann Könne vergembßet werden.
Erkannt, Soll H. werner das fenster auff Kösten der Statt rucken und vergembßen laßen.
1776, Directeurs fonciers (VII 1417)
Le notaire Fické est autorisé à repeindre sa maison
(f° 62-v) Dienstags den 7. Maji 1776. Hr. Notarius Fické – Herr Notarius Fické bittet zu erlauben seine hinter der Kürschner Stub gelegene behausung anstreichen zu laßen. Erkannt, Willfahrt.
1781, Directeurs fonciers (VII 1419)
Le maître maçon Gruber demande quel est l’alignement que doit respecter le propriétaire (comme la maison est vendue peu de temps après, la demande doit avoir pour but de donner une garantie à l’acquéreur)
(f° 197-v) Dienstags den 6. Martii 1781. Weil. H. Not. Fické – Mr Gruber, der Maurer bittet um Anzeig des Alignements Weiland Hrn. Not. Fické Behausung hinter der Kürscher Stub gelegen. Erkannt, Seÿe diese behausung dem Allignement nach auf dem alten Fundament zu laßen.
Description de la maison
- 1716 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une galerie latérale, un bûcher, une cave voûtée, deux cours et un puits commun, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1000 florins
- 1740 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un poêle, deux chambres, une petite cuisine et une vestibule, le grenier dallé est couvert de tuiles plates, le bâtiment arrière comprend un poêle, une chambre à cloisons en lattes, un vestibule, une cuisine, une cave voûtée, un puits commun, au premier étage un poêle, deux chambres, une cuisine et un vestibule, au deuxième étage quatre chambres à cloisons en lattes dont l’une sert de chambre à soldats, le comble très ancien est couvert de tuiles creuses, le tout estimé avec ses appartenancess et dépendances à la somme de 1800 florins
- 1787 (billet d’estimation traduit) La maison comprend deux poêles, deux cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles creuses, la cave est voûtée, il y a une cour et un puits commun, le tout estimé avec ses appartenancess et dépendances à la somme de 3500 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
Atlas des alignements, 2° arrondissement ou Canton Nord – Rue des Pelletiers
nouveau N° / ancien N° : 3 / 2
Hoerther
Rez de chaussée et 1° étage médiocre en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 21 f° 257 case 1
Diemer Jean Michel à Strasbourg
N 888, maison, sol, Rue Pelletière 2
Contenance : 2,00
Revenu total : 155,04 (154 et 1,04)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 50 / 40
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1022 case 1
Diemer Jean Michel
(ancien f° 770)
N 888, maison, sol, Ruelle des Pelletiers 2
Contenance : 2,00
Revenu total : 155,04 (154 et 1,04)
Folio de provenance : (257)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 50
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre allemand, registre 30 p. 393. case 2
Parcelle, section 60, n° 53 – autrefois N 888
Canton : Kürschnergäßchen N° 2 – Ruelle des Pelletiers
Désignation : Hf, Whs – sol, maison
Contenance : 2,25 – 2,21
Revenu : 1700 – 2300
Remarques : 19 ab S. 407 F. 3 u. 409 F. 4
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1915), compte 3532
Stern Theophil Emil Witwe
1912 Stern Theophil Emil Witwe geb. Diemer ¼, Seyder Karl August Ehefr. geb. Stern ¾
gelöscht 1915
(Propriétaire à partir de l’exercice 1915), compte 4152
Seyder Karl August Rentner Ehefrau Lucie geb. Stern
1921 Seyder Karl Auguste Rentier la veuve née Stern
(3844)
(Propriétaire à partir de l’exercice 1921), compte 4380
Heyler Camille tapissier à Bischheim /Strasbourg/ et son épouse Marie née Roth en communauté de biens
(1976)
Cadastre allemand, registre 30 p. 407. case 3
Parcelle, section 60, n° 124
Canton : Kürschnergäßchen – Ruelle des Pelletiers, Fr. 2300
Désignation : Ortsweg – voie publique
Contenance : 0,93 / 0,95
Remarques : 19 ab S. 409 F. 3
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1919), compte 1386
Strassburg d. Gemeind. f. ihre öffentl. Wege u. Gewässer
1909 Stadt Strassburg für ihre öffentl. Wege u. Gewässer
1952 Ville de Strasbourg pour ses chemins, places publ. et cours d’eau
(32)
Cadastre allemand, registre 30 p. 409. case 3
Parcelle, section 60, n° 136/23 – auparavant 1291 – 2300
Canton : Rue des Sept Hommes
Désignation : rue – voie publique
Contenance : 1,93 / 1,95
Remarques : 1927 tiré page 387 c. 3. – 19 ab S. 407 F. 3
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1919), compte 1386
Strassburg d. Gemeind. f. ihre öffentl. Wege u. Gewässer
1909 Stadt Strassburg für ihre öffentl. Wege u. Gewässer
1952 Ville de Strasbourg pour ses chemins, places publ. et cours d’eau
(32)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IV, Rue 114 de la Subhastation de. Ganthaesslein (p. 192)
2
pr. Heering, George Michel, Negt. – Miroir
loc. Réné, Louis, tailleur – Tailleurs
loc. Meyer, Salomé, Blanchisseuse – Maréch.
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Kürschnergässchen (Seite 92)
(Haus Nr.) 2
Schraetter, Tagner. 0
Gebel, Spezereihänder. 01
Breidt, Installateur. 2.
Hilbert, Friseuse. 2.
Brunck, Wwe. H 0.
Kerrmann, Tagner. H 1
Rappenecker, Schneid. H 1
Barthel, Bureaudiener. H 2
Steinhauer, Wwe. H 2
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 808 W 18)
Rue des Pelletiers 2, Kürschnergässchen 2 (1875-1964) – Le dossier du 1, rue des Chandelles complète celui de la rue des Pelletiers ; on y trouve par exemple les rapports successifs de la Commission contre les logements insalubres.
Lors du ravalement de 1875, l’agent voyer note que la maison dépasse de l’alignement, qu’elle n’a pas d’encorbellement et qu’elle est entièrement en maçonnerie. En 1920, le tapissier décorateur Camille Heyler qui vient d’acheter la maison a l’intention de transformer le rez-de-chaussée en atelier en prévoyant les objections dues au manque de logements. Camille Heyler charge en 1921 l’architecte Théo Berst d’aménager au rez-de-chaussée de nouveaux magasins en suivant l’alignement prescrit, aux étages des logements qui prennent jour de trois côtés. Les façades sur rue et les façades intérieures en pans de bois des XVI° et XVIII° siècles seront conservées. La face vers la cour voisine restera la même à cause d’une servitude de lumière, un nouvel escalier desservira tout le bâtiment. Camille Heyler fait aménager à l’automne 1921 un atelier provisoire dans les combles et démolir une remise dans la cour. Tous les travaux sont achevés fin 1923, aucune modification importante n’a eu lieu aux étages.
Le hangar à la limite de la propriété voisine rue des Pelletiers est transformé en 1927, la porte cochère devient une devanture de magasin. La partie droite du bâtiment à pignon rue des Pelletiers est aménagée en local commercial en 1932. Le propriétaire Camille Heyler fait transformer les locaux commerciaux au rez-de-chaussée en 1941 et s’engage à céder à la Ville un terrain d’environ quatre mètres carrés. La maison est en partie détruite et en partie endommagée par les bombardements aériens d’août 1944.
Camille Heyler charge en 1946 l’architecte Paul Dangel de reconstruire les bâtiments. Le projet est différé jusqu’à ce que le plan d’aménagement ait été arrêté. Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme autorise des travaux conservatoires. Un magasin est aménagé en 1949 dans la partie subsistante des bâtiments. Camille Heyler et Paul Dangel soumettent un nouveau projet en 1953. L’administration renonceà porter à six mètres la largeur de la rue est revu pour conserver la maison à l’angle du Vieux-Marché-aux-Grains inscrite à l’inventaire des monuments historiques. Le propriétaire construira un bâtiment à rez-de-chaussée, un étage ordinaire et un étage mansardé. Le terrain libéré sera incorporé à la voie publique. Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme accorde le permis de construire en novembre 1953. La réception du gros œuvre à lieu en décembre 1954. Le bâtiment est occupé en septembre 1955.
Les locaux commerciaux sont occupés par un marchand de café (Hold et Schulé, 1931 puis Léon Hubster, 1932), un magasin de tapis Jacques (Jacques Wilczyski, 1933, 1955), un magasin de tissus (Camille Heyler, 1933) puis Carmen Brézin (1935, bas Carmen, 1955 tissus Carmen 1955, 1964), un magasin de radio (Robert Kieffer, 1941, 1959), un opticien André Leipp de 1955 à 1964. On trouve en outre l’alimentation générale de Henri Kastendeuch (1934), l’horloger bijoutier Albert Heyler (1936), le coiffeur Pierre Adolph (1938).
Sommaire
- 1875 – L’entrepreneur en bâtiment Th. Bischoff demande au nom de la veuve Diemer, propriétaire du 2, ruelle des Pelletiers, l’autorisation de réparer le crépi. Rapport de l’agent voyer : la maison dépasse de l’alignement, n’a pas d’encorbellement, elle est entièrement en maçonnerie.
- 1900 – Le maire notifie le propriétaire, M. Stern (demeurant 10, route de Cronenbourg) de se conformer au nouveau règlement du 30 novembre 1891 et de supprimer les volets qui s’ouvrent vers la voie publique au rez-de-chaussée – Travaux terminés, octobre 1900
- 1902 – Le maire notifie le marchand Stern (demeurant 10, route de Cronenbourg) de faire ravaler la façade du 2, ruelle des Pelletiers. Le secrétaire de la fondation Saint-Thomas Ch. Seyder fait remarquer au nom de sa belle-mère la veuve Emile Stern que le dernier ravalement remonte à deux ans à peine et que la maison voisine qui dépend de la pharmacie à la Rose a un aspect qui laissé à désirer. Le maire reporte le délai au mois de septembre 1903. Les travaux sont terminés, octobre 1903.
- 1907 – Le maire notifie Aurélie Stern (demeurant 10, route de Cronenbourg) de faire ravaler la façade du 2, ruelle des Pelletiers. R. Seyder présente des objections. Le maire rappelle les termes de l’arrêt municipal du 26 mars 1852 et accorde un an de délai – Travaux terminés, octobre 1908.
1908 – Le peintre Auguste Burg (25, Grand rue) demande à la préfecture l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique. La préfecture transmet la demande au maire – Autorisation – L’échafaudage est enlevé, septembre 1908 - 1916 – A. Simon, employé au service de l’assainissement, se plaint de l’état de son logement (plancher de la cuisine, tuyau de poêle) au deuxième étage malgré les demandes qu’il a adressées à Mme Gebel, locataire principal. La Police du Bâtiment se rend sur les lieux puis écrit au locataire principal – Travaux terminés, novembre 1906
- 1920 – Le tapissier décorateur Camille Heyler (3, rue Herrmann à Bischheim), autrefois domicilié 20, rue Saint-Louis, a acheté la maison. Il a l’intention de transformer en atelier le rez-de-chaussée qui comprend un magasin et deux logements humides sans cave, d’installer des cabinets d’aisance raccordés aux canalisations et de modifier la façade sans toucher aux logements des étages. Pour prévenir les objections tenant à la crise du logement, il fait remarquer qu’il quitte Bischheim en libérant ainsi trois appartements – La Police du Bâtiment s’oppose au projet à cause de la crise du logement – Le bureau le location et d’hypothèque estimé que les bâtiments exigent des réparations. La Police du Bâtiment répond que les fissures ne portent pas préjudice à la solidité du bâtiment
- 1920 – Camille Heyler demande l’autorisation de poser une enseigne provisoire en calicot pendant les travaux. La Police du Bâtiment souhaite que le fond soit blanc et non bleu. Comme les travaux n’ont pas lieu, la Police du Bâtiment demande en avril 1921 de retirer l’enseigne. Le propriétaire répond que les travaux sont reportés au printemps suivant – L’enseigne provisoire a été retirée, octobre
1922 – – Camille Heyler transmet le certificat de la nouvelle cheminée - 1921 (mai) – Camille Heyler et l’architecte Théo Berst déposent une demande de permis de construire (section 60, parcelle 53). Le service d’architecture constate que le bâtiment dépasse de l’alignement à la fois dans la rue des Pelletiers et dans la rue des Chandelles. Les travaux que projette de faire l’architecte consistent à installer de nouveaux magasins au rez-de-chaussée en suivant l’alignement prescrit, à aménager aux étages des logements qui prennent jour de trois côtés. Les façades sur rue à pans de bois recouverts de crépi seront conservées, sauf les ouvertures à pratiquer au rez-de-chaussée. Les façades intérieures seront construites en pans de bois étant donné que le bâtiment date en partie du XVI° et en partie du XVIII° siècle. La face vers la cour voisine restera la même à cause d’une servitude de lumière. Un nouvel escalier desservira tout le bâtiment – Calcul statique – Dessins (élévations rue des Chandelles et rue des Pelletiers, plans du rez-de-chaussée, du premier étage, du deuxième étage, du sous-sol, des combles, plan de situation, coupes, façade sur cour)
1921 (septembre) – La Police du Bâtiment constate que Camille Heyler transforme les combles sans autorisation
1921 (juin) – La Police du Bâtiment demande au propriétaire de se mettre en rapport avec la Division VI (travaux publics) pour céder à la Ville le terrain en avant de l’alignement légal. Elle émet par ailleurs des objections au projet : la cour prévue est trop petite, les façades devront être en maçonnerie et non en pans de bois
1921 (août) – La Police du Bâtiment constate qu’une remise ouverte a été démolie dans la cour et que les combles sont en travaux
1921 (septembre) – L’architecte Théo Berst décrit les travaux destinés à aménager un atelier provisoire dans les combles – Demande – Autorisation valable jusqu’à la fin des travaux ou deux années au plus à compter de la date d’autorisation – Plan et élévations de l’atelier provisoire
1921 (novembre) – Le locataire Mattern se plaint que les travaux en cours nuisent à la jouissance paisible de son logement
Suivi des travaux – Les travaux intérieurs sont presque terminés (janvier 1922). La Police du Bâtiment fait quatre objections lors de la réception finale de l’atelier en janvier. Les parties neuves du bâtiment ne sont pas terminées
1922 (février) – Le maître ramoneur Charles Fritsch (9, rue d’Urmatt) transmet son certificat
1922 (novembre) – Le locataire Adolphe Simon qui rencontre des difficultés pour prolonger son contrat de locataire au motif que son logement serait insalubre demande des éclaircissements à la Police du Bâtiment qui répond en mettant le dossier à sa disposition
1923 (juillet) – La Police du Bâtiment constate que Fernand Peter (17, rue de Molsheim) exécute des travaux sans autorisation
1924 (janvier) – Rapport après achèvement des travaux. Les façades sur rue sont restées les même sauf la porte d’entrée et l’ouverture du petit local à gauche de cette porte. La façade sur cour sont aussi restées les mêmes. Une partie de la cour a été surbâtie, les cabinets d’aisance déplacés et raccordés aux canalisations. L’escalier a été transformé, aucune modification importante n’a eu lieu aux étages. L’entrepreneur Peter devra fournir les plans du rez-de-chaussée - 1923 (août) – Le peintre en bâtiment F. Comment demande au commissariat de police l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique devant le 2, ruelle des Pelletiers. La demande est transmise à la mairie – Accord (angle de la rue des Chandelles et de la ruelle des Pelletiers)
- 1922 (avril) – L’architecte Théo Berst dépose un dossier pour installer une cardeuse à moteur qui fonctionnera une demi journée par semaine dans le magasin du rez-de-chaussée. L’inspecteur du travail donne son accord – Autorisation accordée à Camille Heyler (demeurant 7, rue du Dôme), la machine étant déjà en place – Dessin (plan du magasin sous les combles, coupe)
- 1924 (février) – Dossier ouvert suite à une demande de la préfecture. M. Hansjacob de Hunawihr demande l’autorisation d’aménager un débit de boissons au 2, ruelle des Pelletiers. La Police du Bâtiment constate que les locaux sont conformes aux prescriptions en vigueur hormis leur hauteur (2,65 mètres au lieu de 3,60)
- 1924 (février) – Dossier ouvert suite à une demande de la préfecture. Jacques Wilczyski demande l’autorisation de poser des inscriptions sur les vitres de la devanture 2, rue des Pelletiers et 2, rue des Chandelles – Les inscriptions sont en place, février 1924
- 1927 – L’entrepreneur de construction Schœttel et Curs demande l’autorisation de transformer le hangar qui dépasse d’environ 40 centimètres de l’alignement légal – Autorisation accordée en dérogation au règlement de voirie étant donné que l’immeuble se trouve dans la vieille ville – Dessins avant et après transformation (le hangar se trouve rue des Pelletiers à la limite de la propriété voisine, la porte cochère devient une devanture de magasin)
- 1931 – Le marchand de café Hold et Schulé (5, rue des Francs-Bourgeois) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse au-dessus de la devanture du magasin – Autorisation accordée du fait que les véhicules sont interdits dans la rue et que l’enseigne l’empêchera pas les piétons de circuler
1932 – Léon Hubster (cafés, thés, cacaos, chocolats et confiserie) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse. La Police du Bâtiment note que l’autorisation a déjà été délivrée, qu’il s’agit seulement d’un chargement de propriétaire - 1932 – Camille Heyler dépose une demande de permis de construire selon les plans d’A. Anstett et Compagnie (rue des Vosges à Hœnheim) – Autorisation d’aménager un magasin au rez-de-chaussée – Dessins, la partie transformée se trouve à droite du bâtiment à pignon rue des Pelletiers – La Police du Bâtiment constate que le bâtiment réalisé ne correspond pas aux calculs statiques – Le gros œuvre est terminé, février 1933. La réception finale a lieu en mai 1933.
- 1933 (mai) – Jacques Wilczyski demande l’autorisation de poser une enseigne Tapis Jacques. La Police du Bâtiment note que l’enseigne a déjà été autorisée, l’enseigne lumineuse est transformée en enseigne perpendiculaire
1933 (mars) – Camille Heyler demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse à double face – Autorisation – Maquette (La Maison des tissus grand teint, Indanthrenhaus)
1934 (janvier) – Henri Kastendeuch (alimentation générale) demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation
1935 (mai) – Carmen Brézin demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse à double face (Bas Carmen) – Autorisation – Maquette
1936 – L’horloger bijoutier Albert Heyler informe la Police du Bâtiment qu’il cesse son activité et retire son enseigne lumineuse - 1936 – Roman Brézin demande l’autorisation de poser un store devant son magasin – Autorisation
- 1937 – La Police du Bâtiment constate le le bâtiment comporte une enseigne sans inscription et informe Camille Heyler, tapissier à Hœnheim, qu’elle est soumise à redevance. Même constat en 1938. Camille Heyler (2, rue des Pelletiers, III° étage) déclare en avril 1938 avoir cédé son enseigne à Pierre Adolph
1938 – Le coiffeur Pierre Adolph demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse verticale – Autorisation – L’enseigne est posée, octobre 1938 – Maquette - 1941 – Robert Kieffer (magasin de radio) demande l’autorisation de poser une inscription sur la devanture (le propriétaire est Camille Heyler, l’entrepreneur Martin Bühl) – Maquette
1941 – L’entrepreneur en bâtiments G. Di Pol et fils (128, rue de Mittelhausbergen à Cronenbourg) est autorisé à occuper la voie publique pour crépir le socle de la maison – Idem pour crépir la façade. Conditions particulières à respecter - 1941 – Camille Heyler dépose une demande de permis de construire – Autorisation de transformer les locaux commerciaux au rez-de-chaussée (entrepreneur, Giesner et Compagnie à Bischheim) – Dessins (élévations, plans, coupes) et calcul statique par l’entrepreneur A. Anstett et Compagnie à Hœnheim
1941 (avril) – Le tapissier Camille Heyler s’engage à céder à titre gratuit un terrain d’environ 4 mètres carrés à la Ville qui l’aménagera en trottoir à ses trais
1942 – Plans (sous-sol) – Rapport de réception, février 1942. Aucun dessin de la cave ni de la poutre métallique au rez-de-chaussée na été fourni (avril 1942) – Dessin du sous-sol
1943 – Certificat d’après lequel les travaux sont terminés depuis un an et n’ont donné lieu à aucune objection - 1942 (novembre) – C. Kuhn (rue Oberlin à Schiltigheim) demande l’autorisation de poser une enseigne pour le compte de Robert Kieffer. Maquette, photographie de la devanture – Autorisation – L’enseigne est posée, janvier 1943
- 1945, Certificats de sinistré suite au bombardement aérien du 25 septembre 1944, corrigé en 11 août 1944, qui endommage fortement ou détruit entièrement les bâtiments. Bénéficiaires, Jacques Silberstein (1° étage), Julie Diebold (2° étage), Camille Heyler, Robert Kieffer (local commercial), Georgette Gebhart (local commercial), Ernest Blanché (magasin entièrement détruit)
1948, bénéficiaire, Camille Heyler, à remettre au M.R.U. - 1946 – Jacques Wilczyski demande l’autorisation de faire poser une enseigne Tapis Jacques par l’entrepreneur Beck (38, rue de la Griesmatt au Neuhof)
- 1946 (septembre) – Camille Heyler transmet à la Police du Bâtiment le dossier concernant la reconstruction des bâtiments sinistrés – Double jeu de dessins, datés de Schiltigheim le 10 janvier 1946 signés Dangel
La Division VI note que l’avant-projet concernant l’aménagement des quartiers sinistrés prévoit de porter à six mètres la largeur de la rue des Pelletiers et propose de conserver l’ancien pignon. Une note interne désapprouve le projet
1946 (novembre) – La Police du Bâtiment sursit à statuer sur le projet jusqu’à ce que le plan d’aménagement ait été arrêté
1947 – La Division VI informe Camille Heyler que tout projet est remis jusqu’à ce que l’étude de remembrement soit achevée - 1946 (juin) – Le délégué départemental du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme autorise des travaux conservatoires, à savoir boucher les brèches et les fissures, réparer la toiture et la charpente, les gouttières, les portes et les fenêtres
- 1949 – L’entrepreneur en construction Edouard Meyer (rue Sainte-Marguerite à Eckbolsheim) demande l’autorisation de reconstruire un magasin, à savoir deux pans de mur en aggloméré et une couverture en bois et carton bitumé, pour le compte du locataire Roman Brézin – Dessins (plan de situation, plan et élévation
Roman Brézin (draperies de Roubaix, fournitures pour tailleurs) s’engage à ne pas prétendre à dédommagement et à évacuer les lieux à la première demande du M.R.U. – Autorisation – Travaux terminés, août 1949
1949 (septembre) – Roman Brézin demande l’autorisation de poser trois enseignes plates – Autorisation - 1953 – Camille Heyler (1, rue de Champagne à Schiltigheim) demande l’autorisation de construire un bâtiment de rapport au titre des dommages de guerre, dossier NV 6175 DS – Dessins signés Paul Dangel (37, route de Brumath à Schiltigheim), novembre 1952
Commentaire de la Division VI, transmis au propriétaire Camille Heyler – Le terrain à surbâtir se trouve dans un périmètre de reconstruction approuvé par arrêté interministériel du 3 février 1951. Le plan de masse établi en accord avec le M.R.U. prévoit l’élargissement de la rue des Pelletiers à 6 mètres et l’ordonnance d’une servitude de rez-de-chaussée sur une profondeur de 5 mètres en arrière du nouvel alignement. D’autre part un contrat de cour commune devra être établi entre les propriétaires des terrains sinistrés compris dans l’îlot rue des Pelletiers et rue du Saumon. Le projet présenté ne tient pas compte de la servitude de rez-de-chaussée, servitude qui a été prescrite dans le but de permettre la construction de maisons comportant un rez-de-chaussée et deux étages en bordure de a rue des Pelletiers. En outre, il n’est pas fait mention d’une cour commune mais seulement d’une cour de 2,50 mètres de profondeur, ce qui est insuffisant en raison des fenêtres nécessaires qui y donnent.
1953 (juillet) – L’inspecteur département du M.R.U. communique à la Police du Bâtiment qu’il a donné son accord pour supprimer le recul de 5 mètres à partir du premier étage tel qu’il figurait au plan d’alignement de 1948, en arguant qu’il est impossible d’imposer cette servitude au bâtiment 2, rue du Vieux-Marché-aux-Grains dont la façade est inscrite à l’inventaire des Monumenrts historiques. Il a convenu avec le propriétaire de construire un bâtiment à rez-de-chaussée, un étage ordinaire et un étage mansardé.
1953 (septembre) – Le maire répond qu’il souhaite incorporer le terrain libéré à la voie publique et d’imposer un accord concernant une cour commune
1953 (novembre) – Permis de construire accordé par le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme
Suivi des travaux. Septembre 1954, l’entreprise Meyer de Kœnigshoffen a commencé les travaux, on a installé une passerelle provisoire au-dessus du chantier pour permettre d’accéder au logement du premier étage non détruit. La fouille est en cours, les fondations sont en partie réalisées, le pignon qui sépare de la propriété exploitée par la brasserie Adelshoffen menace de s’écrouler. La coopérative de construction devra prendre les mesures nécessaires pour éviter que le pignon ne s’écroule.
Octobre 1954, le gros œuvre atteint le deuxième étage (dalles de béton, maçonnerie en briques cellulaires)
Décembre 1954, réception du gros œuvre. Liste des entreprises qui ont participé à la construction
1955, la plâtrerie est terminée (mai), les travaux sont terminés, les locaux commerciaux et les logements sont occupés (septembre 1955)
1955 (juin) – Le ramoneur Emile Scheiffer délivre un certificat
1960 – Le M.R.L. délivre un certificat de conformité à Camille Heyler - 1955 (juin) – Robert Kieffer (magasin d’électro-ménager) demande l’autorisation de recouvrir de carrelage noir le socle de son magasin reconstruit après sinistre – La Police du Bâtiment informe verbalement le pétitionnaire de son refus étant donné que le socle est identique à celui des voisins
1955 (juillet) – Le propriétaire est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique - 1955 – Roman Brézin demande l’autorisation de poser deux inscriptions (Tissus Carmen) sur la vitrine et sur la façade – Croquis – Autorisation
1955 – Robert Kieffer (magasin de radio) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse – Autorisation – L’enseigne est posée
1955 – Le propriétaire du magasin Tapis Jacques demande l’autorisation de poser une inscription sur la devanture – Croquis – Autorisation – L’enseigne est posée, février 1956
1955 – L’opticien André Leipp demande l’autorisation de poser deux enseignes perpendiculaires (Modern Optic), une autre en forme de paire de lunettes et plusieurs inscriptions sur la devanture – Croquis – Autorisation - 1956 – Roman Brézin demande l’autorisation de poser une enseigne plate Couture express – Autorisation – L’enseigne est posée, octobre
1956 – Autre demande du même – Autorisation
1959 – Robert Kieffer (magasin de radio) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse (marque Brandt) – Croquis – Autorisation périmée avant que l’objet soit posé
1959 – Roman Brézin demande l’autorisation de poser une enseigne en lettres détachées. Camille Heyler accorde en partie la permission demandée – Autorisation
1964 – André Leipp informe la Police du Bâtiment qu’il cesse son activité
1964 – Roman Brézin demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse – Affaire classée sans suite – Nouvelle demande de poser une enseigne en caisson (décembre) – Autorisation
1964 – Le gérant du magasin La Bergerie demande l’autorisation de poser une enseigne en caisson – Autorisation – L’enseigne est posée, novembre
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 674 W 182)
Rue des Chandelles n° 1 (I), 1883-1992
Le propriétaire Stern charge en 1883 l’entrepreneur A. Brion de transformer les ouvertures du rez-de-chaussée : la porte et la fenêtre sont remplacées par une seule baie en arcade. Le nouveau propriétaire Heyler donne congé à ses locataires en 1920 sous un prétexte fallacieux. Il fait transformer la maison, les travaux se terminent en 1923.
Marie Gebel est autorisée en 1911 à continuer de débiter du vin et de l’eau-de-vie à son comptoir. Le marchand de tapis Jacques Wiczinski fait poser en 1925 sa première enseigne.
Le dossier s’interrompt de 1930 à 1966 et reprend pour des transformations de devantures.
Sommaire
- 1883 – L’entrepreneur A. Brion (11, rue Sainte-Aurélie) demande au nom du propriétaire Stern l’autorisation de transformer les ouvertures du rez-de-chaussée en supprimant une porte et en agrandissant une fenêtre – Rapport de l’agent voyer qui demande de supprimer la marche devant l’ancienne porte – Dessin (la porte et la fenêtre sont remplacées par une seule baie en arcade)
- 1888 – La Police du Bâtiment constate que le marchand épicier A. Gebel fait crépir sans autorisation la façade au 1, rue des Chandelles – Demande – Autorisation de crépir la maison qui appartient à la veuve Stern – Le crépi est réparé, la peinture est encore en assez bon état
- 1893 – La maire notifie la veuve Stern rentière de faire ravaler la façade du 1, rue des Chandelles – Les deux façades ont été repeintes à l’huile
- 1895 – Le maire demande au propriétaire de se conformer au nouveau règlement en supprimant les volets qui s’ouvrent vers la voie publique au rez-de-chaussée (plusieurs fenêtres et un soupirail) – Antoine Gebel qui a supprimé les volets des soupiraux demande l’autorisation de conserver sa porte de cave presque toujours fermée. La Police du Bâtiment recommande de poser un volet roulant
- 1911 – Dossier ouvert suite à la demande de la préfecture. Marie Gebel demande l’autorisation de continuer à débiter du vin et de l’eau-de-vie sur son comptoir. La Police du Bâtiment estime que l’autorisation peut être prorogée bien que la hauteur du local soit insuffisante et qu’il n’y a pas de cabinets d’aisance
- 1925 – Le peintre en bâtiment Ed. Schiemer (5, rue Saint-Marc) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse à l’angle de la rue des Pelletiers et de celle des Chandelles n° 2 – Autorisation accordée à Ed. Schiemer et – Dessin aquarellé (Tapis Jacques)
1926 – Jacques Witczinski demande l’autorisation de poser une lampe électrique qui éclaire la porte du magasin – Autorisation pour une lampe déjà posée
1930 – Les frères Kaufmann (14, rue des Poules) demandent l’autorisation de poser cinq enseignes au-dessus et au-dessous de la devanture pour le compte de Jacques Witczinski – La Police du Bâtiment donne son accord, il s’agit de déplacer les cinq objets sans saillie - Commission contre les logements insalubres. 1904 – Courrier du maire à la Division III-b concernant le raccord des cabinets d’aisance aux canalisations dans les propriétés de Charles Berst (13, rue des Maisons-Rouges) et Stern (1, rue des Chandelles)
1906, rapport en 11 points (en particulier refaire les revêtements muraux), propriétaire, veuve Stern domiciliée 10 route de Cronenbourg (actuel Faubourg de Saverne) – Son gendre Ch. Seyder adresse une réponse dans laquelle il demande que les visites des services municipaux aient lieu après en avoir averti le propriétaire et répond point par point aux observations
1908, rapport en deux points (les cabinets d’aisance doivent servir à 15 personnes au plus au lieu de 22) – Novembre, rien à signaler
1911, 1912, rien à signaler
1915, Commission des logements militaires, six observations. Le propriétaire demande d’attendre la fin de la guerre pour raccorder les cabinets d’aisance aux canalisations
1916, plainte d’Adolphe Simon (voir le 2, ruelle des Pelletiers) - 1920 – Note. Le nouveau propriétaire Heyler qui a l’intention de faire des travaux donne congé à ses locataires sous prétexte que le maison menace ruine. Les services municipaux observent que la maison est en bon état
1923 – Les transformations ne sont pas terminées, les cabinets d’aisance seront raccordés ultérieurement aux canalisations – Plan du sous-sol, des étages, coupe – Calcul statique signé par l’entrepreneur en construction A. Anstett à Hœnheim) - 1966 – M. Zipff (19, rue des Francs-Bourgeois) est autorisé à poser un échafaudage devant les façades rue des Chandelles et rue des Pelletiers – La transformation de la devanture est achevée, août 1966
1966 – Le commerçant Robert Zipff (11, rue Valérien à Kœnigshoffen) dépose une demande de permis de construire pour transformer le magasin rue des Chandelles (section 60 n° 53.a). Propriétaire, Heyler, 20, rue du Vieux-Marché-aux-Grains
L’entrepreneur J. Gremmel (constructions métalliques, 239,route de Schirmeck) transmet le dossier à la Police du Bâtiment : plan de situation - suite non consultée)
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 233 MW 1721)
Pelletiers n° 2 – Le propriétaire déclare les dégâts que le bâtiment a subis suite au bombardement du 11 août 1944. Le bâtiment arrière et le bâtiment latéral sont entièrement détruits, le bâtiment avant est endommagé.
Stadt Strassburg, Dienststelle Dv. VI Mi., Aktenzeichen Nr. 6
Akte betr. Totalschaden 11. Aug. 1944, Kürschnergässchen 2
Heyler Kamill
Quartier : Place Kleber
Stadt Straßburg, Amt für Sofortmassnahmen bei Bomben- und Brandschaden
Ortsgruppe : Karl-Roos-Platz
Anwesen : Kürschnergässchen Nr. 2
Fliegerschaden vom 11. August 1944
Anmeldung von Fliegerschaden an Gebäuden
Der Unterzeichnete meldet hiermit den nachstehenden Fliegerschaden an und bittet um dessen Feststellung
Anwesen : Kürschnergässchen Nr. 2
Eigentümer : Kamill Heyler Kürschnergässchen 2
1. Gebäudebeschrieb : Vorderhaus, Hinterhaus, Seitenbau (Geschäftshaus)
2. Beschädigte Gebäudeteile : Hinterhaus u. Seitenbau total beschädigt. Vorderhaus teilbeschädigt
3. Durch welche Kriegeinwirkungen ist der Schaden verursacht worden ? Sprengbomben
4. Art der Schäden : total
5. Anzahl der vorhandenen Wohnungen usw.
Wohnungen : 4, unbewohnbar
Geschäfte : 6, unbenutzbar
Werkstätten :
Lagerräume ;
Stallungen –
Grund, weshalb unbrauchbar bezw. unbenutzbar : beschädigt
Ich versichere, die obigen Angaben nach bestem Wissen und Gewissen gemacht zu haben. Es ist mir bekannt, dass falsche Angaben bestraft werden.
Strassburg, den 14. August 1944
[unterzeichnet] K. Heyler
Relevé d’actes
Le menuisier Jean Claussmeyer qui se propose d’acheter la maison derrière la maison des subhastations en demande le prix. Les trois préposés de la Tour aux deniers estiment qu’elle vaut 800 florins, étant donné qu’elle est en assez mauvais état. Jean Claussmeyer propose d’en donner 500 florins. Les préposés baissent le prix à 700 florins. Jean Claussmeyer demande à réfléchir. Quinze jours plus tard, il en propose 600 florins, Les préposés baissent une nouvelle fois le prix à 625 florins. Il revient cependant un quart d’heure plus tard en revenant sur sa proposition, parce que sa femme ne donne pas son accord alors que les fonds proviennent de son bien propre. Au bout de quinze jours, les préposés demandent à Jean Claussmeyer quelle est sa décision. Il répond qu’il est prêt à acheter mais que sa femme s’y oppose. Les préposés déclarent qu’il ne faut pas se moquer d’eux et demandent de céder 100 florins en obligations émises par la Tour aux Deniers si la transaction n’aboutit pas. Les préposés présentent le 16 septembre 1671 l’acte d’achat à Jean Claussmeyer qui y consent. Il en règle la somme le 7 octobre.
1671, Directeurs fonciers (VII 1362)
(f° 73) Dinstags den 1. Augusti. Claußmeÿer, Hauß hinder dem ganthauß
Johann Claußmeÿer der Schreiner Will Vernehmen, in waß preiß daß hauß hinder dem Ganthauß bei der Kürschner Zunfftstuben, v.kaufft werden wolle, weilen er entschloßen solches Zu Kauff. Ego berichte, d. die H dreÿ d. hauß besichtiget vnd Zimblich Bawloß gleichwohlen und befunden, daß es 800. fl. wehrt seÿe.
Erkant, solle vmb 800 fl. feÿl gebotten werden, Claußmeÿer bietet 500. fl. vnd darunder 200. fl. Pfthrns Capital, vnd 100. fl. in baarem gelt dazugeben vnd der Rest Ziels weiße Zu bezahlen. Erk. Wird vmb 700. fl. entschlagen. Ille nimmets Zu bedacht.
(f° 81.v) Mittwochs den 16. Augusti. Claußmeÿer, Hauß Verkauff
Johann Claußmeÿer wider erfordert vnd resolut begert word., der erkleret sich 400. fl. baar gelt soch die helffte ietzo baar vnd vbrige helffte in Ziehlen Zubezahlen, vnd 200. fl. Pfthrn Capit. ein Zulieffern.
Erkand Wurd vff 625. fl. gesetzt. Ille acceptirts, vnd will nechster tagen d. gelt sampt dem Pfthrns. Capital Vberantwortt. Aber in einer Vertelstunden nach gegebenen Wortt erscheint er mit vermelden, d. sein Weib nicht Consentiren wolle, also den kauff nicht Vollziehen könne, mit bitten die vrsach vndt Schuld nicht Ihme, sondern seiner frawen Vnd Schwagern beizumessen.
(f° 83-v) Dinstags den 29. dito [Augusti] Claußmeÿer
Johann Claußmeÿer vnd dessen fraw erfordert vnd resolution begehrt werden ob Sie de haußkauff halten wollen oder nicht ? Claußmeÿer erkleret sich mit Ja, wann nur sein fr. Willen dazu gibet, dann vß deren mittlen der Kauffschilling Zubezahlen, dessen fraw aber will nicht einwilligen, seÿe ein hauß darinn sie nicht wohnen könne oder wolle.
Erkandt sollen den Kauff halten, oder 100. lb Pfthrns Capital so der frawen Zustendig durchstreichen werden für den Rewkauff vnd damit Sie wißen d. mann sich Von Ihnen nicht äffen laßen müße.
(f° 86) Sambstags den 9. Septembris. Claußmeÿer
Johann Claußmeÿer erscheint, erkleret sich den getroffenen hauß kauff, auch wider Seiner frawen willen Zuhaltten, producirt darauff Conditiones nach welchen die Verschreibung möchte eingerichtet werd. welchen falls Er erbietig den Kauffß. Zuerlegen, Welche abgeleßen vnd darauff Erkand, d. nach erwehnten Conditionen die v.schreibung solle eingerichtet werd.
(f° 89) Dinstags den 16.ten Septembris. Claußmeÿer Hauß hinder dem Ganthauß
P° deß Haußes hinder dem Ganthhauße, ist Johann Claußmeÿern dem Kauffer das Consept auffgesezten Kauffbrieffs Vorgeleße, vnd weilen er d.selbe durchauß beliebt, außzufertigen befehlen word.
(f° 93) Sambstags den 7.ten Octobris. Klaußmeÿer, Hauß Verkauff
Niclaus Claußmeÿer producirt den Kauffschilling wegen erkaufften haußes hinder dem Ganthauß, vnd Ihme hiengegen den Kauffbrieff eingelieffert word.
Originaire de Vlotho sur la Weser, Jean Claussmeyer épouse en avril 1669 Marie Madeleine Lienhard, fille d’orfèvre, et devient bourgeois quelques jours plus tard
Mariage, cathédrale (luth. f° 113, n° 22)
1669. Festo Paschalis. Zum 2 mahl Johann Claußmeier der Schreiner Heinrich Claußmeiers auch schreiner zu Floto an der Weser ehel: Sohn und Jfr. Maria Magdalena, Weiland hr. hanß Heinrich Lienhardts gewesenen Goldtschmidts ehel. T., Donnerstags den 22.t Aprilis Münster (i 115)
1669, 4° Livre de bourgeoisie, p. 369
Johann Claußmeÿer, der Schreiner, Heinrich Claußmeÿers auch Schreiners Von Flotto an der Wesel ehelicher Sohn, empfangt daß burger Recht Von seiner Haußfrauen Maria Magdalena, Weÿl. Hannß Heinrich Lienhardts, geweßenen Silberarbeithers vnd burgers alhie seel. dochter umb 8. GoldR. so er beÿ der Cantzleÿ erlegt, Ist zuuor ledigen standts gewesen, undt Würdt beÿ E. E. Zunfft der Zimmerleüth dienen. Jurav. den 24. Aprilis A° 1669.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison de béguinage rue de la Hache
1670 (26.1.), Me Schatz (Jean Jacques, 50 not 3) n° 170
Johann Claußmeÿers des Schreiners undt Frawen Mariæ Magdalenæ Lienhardtin einand. in die Ehe Zugebrachte Nahrung, so beschrieben in A° 1670.
Designatio und beschreibung der Jenigen Nahrung, welche Mr: Johann Claußmeÿern, dem Schreiner undt Frawen Mariæ Magdalenæ Lienhardtin, beede Ehegemächen v. burgeren in straß. eÿgenthümblich Zuständig Vnd dieselbe Krafft Ihrer auffgerichteten Heüraths verschreibung einander für unverändert in den Ehestandt zugebracht – Act. Mittwochß d. 26. Jan. Anno xvj C. undt siebentzig
In der Samlung am Hexengäßel befund. wie volgt
Wÿdemb, Welchen fraw Anna Ursula Ölingerin gebohrne Waldeckin, Vorgemelts H. Samuel Ölingers der frawen Ihres geweßenen Vetters seelig hinderplibene Wittib, Krafft Testamentliche Disposition, ad dies vitæ wÿdembs weiß Zugenießen, daran d.. Eÿgenthumb Ihro der Frawen vndt Ihren überigen dreÿen geschwüterdten Zuständig(…) wegen der behausung in der Pimperanys oder Zimmerleüthgassen
Summa dißes Inventarÿ. Mann, haußrath 25, Werckzeug 12
Fraw, Haußrath 50, Silber 15, Gld. Ring 4, Baarschafft 75, Capitalia 102, Activ schulden 11, Summa summarum 736 lb
Jean Claussmeyer hypothèque la maison au profit du béguinage de la Troisième règle pour laquelle agit son receveur Jean Schmidt. En marge, quittance accordée aux trois filles de Georges Wilderich et à la femme de Chrétien Stammler
1671 (9. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 538 f° 661-v
Erschienen Johann Clausmeÿer der Schreiner
in gegensein herren Johann Schmidten als Schaffners der Samlung Zur dritten Regul – schuldig seÿe 200 Pfund pfenning Ihme du dem Ende bahr gelühenen Gelts, daß Er damit Von gemeiner Statt nach beschriebene behaußung behaußung erkauffen und Vollends bezahlen können
Unterpfand sein solle Eine Eckh behaußung in der Liechtgaßen gelegen
[in margine :] (…) in gegensein weÿl. Georg Wilderich gewesten Schreiners und burgers hinterl. dreÿer Kinder erster ehe Maria Salome, Maria Elisabethæ und Mariæ Magdalenæ der Wilderich geschwornen Vogts Joh: Georg Brehmer Schreiners und in ferneren gegensein Christian Stammler gürtlers als Ehevogts Mariæ Magdalenæ geb. Hahnin deren die helffte ged. haußes zuständig ist (quittung) Actum den 2. Januarÿ 1730.
Jean Claussmeyer hypothèque la maison au profit de Jean Melchior Erhard pour lequel agit le même Jean Schmidt. En marge, quittance accordée à Chrétien Hahn
1672 (7. 7.br.), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 461
Johann Claußmeÿer der Schreiner
in gegensein herren Johann Schmidten Schaffners der Rothen kirch alß Curatoris Johann Melchior Erhardts – schuldig seÿe 25. lb
Unterpfand, Eine Behaußung mit allen deren Gebäwen und zugehördten alhier in der Liechtgaßen gegen der Kürschner Stub hinüber gelegen
[in margine :] (…) in gegensein Christian Hahnen des Schreiners als ietzigen besitzers hierinn beschriebenen Underpfandts (quittung) act. d. 23. Septembris A° 1704.
Jean Claussmeyer meurt, l’inventaire de ses biens est dressé en 1676 par André Schmitt dont le fonds n’est pas conservé (la référence de l’acte se trouve à l’inventaire de 1694)
Devenue veuve, Marie Madeleine Lienhard se remarie en 1678 avec le menuisier Chrétien Haan, originaire de Güstrow en Poméranie : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwisch. dem Ehrsahm v. beschetiersdenen Mstr. Christian Haanen dem Ledig. Schreiner, weÿland deß Ehrenvesten H. Heinrich Haanen geweßten Hoff Mstrs ane dem Fürstlich Meckelburgisch. Hoff Hinderlaßenen Eheleiblich. Sohn alß dem bräuttigam ahn Einem, So dann der Ehren vnd Tugendsamen Frawen Mariæ Magdalenæ, Weÿland deß Ehrsammen Johann Clauß Meÿers geweßenen Schreiners v. burgers allhier hinderlaßenen Wittiber, alß d. hochzeiterin andern theils – Bescheh. v. verhandelt in deß Heÿl. Reichß Freÿen Statt Straßburg Sontags d. 1. Monathstag 7.bris A° 1678. Friderich Meÿle Not. Cæsar. Publ.
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 59-v, n° 41)
1678. Dom: XV. post Trin. Zum 2. mahm Christian Haan der ledige Schreiner Weiland hr. Heinrich Haanen gewesenen [-] hoffmeisters Zu Gustraw nachgelaß. ehel. Sohn ; Maria Magdalena Weiland Johann Claußmanns geweßenen Schreiners u. Burgers alhier (nachgelaßene Wittib). Donnerstags den 19.t 7.bris Münster (i 61)
Chrétien Haan devient bourgeois quinze jours plus tard
1678, 4° Livre de bourgeoisie p. 452
Christian Haan der Schreiner Von gustraw empfangt das burgerrecht von seiner haußfr. Maria Magdalena, weÿl. Johann glaßmeÿers des schreiners seel. wittib, p. 8. goldR. welche Er beÿ der Cantzleÿ erlegt hatt, ist ledigen standts geweßen wird zu den Zimmerleuth. dienen. Jur: 3. 8.br. 1678.
Marie Madeleine Lienhard femme de Chrétien Haan fait son testament après 14 ans de mariage
1693 (4.4.), Auenheim (Wolfgang Régnard von, 1 Not 4)
(150) Codicill Reciprocum Meister Christian Haan Schneiders et Burgers Zu Straßburg und fr. Maria Magdalena uxoris
Zu wißen, daß ahn heütt Zu End ermelttem dato (…) Persönlich kommen und erschienen Herr Christian Haan, Burger Vnd Schreiner allhier, Vnd Maria Magdalena deß. Eheliche haußfraw, Er Zwar gesunden gehend: Vnd stehend. leibs, Sie aber kranckh vnd bettlagerig, doch beede, Von dem Gnaden Gottes beÿ guter Vernunfft richtig. Sinnen Vndt Verstand (…) Zeigten beede mitt wenig. ahn, weÿlen Sie Zeitt wehrender Ihres Ehestandts nun in die Vierzehen Jahr mit einander alle Zeit hertzlich wohlgemeint, auch eines dem andern, alle Eheliche lieb, trew vnd gutes erwieß. hätten. solches. auch noch ferner, so lang Ihnen der allerhöchste daß leben frißen wird, Zu Continuiren gesinnet seÿen (…)
Actum im Jahr, nach der Heÿligwerthe geburth Vnsers Herrn Vnd heÿlandes Jesu Christi Ein Tausend, Sechs hundert Neuntzig Vnd dreÿ auff Montag den 6 Aprilis, nach Mittag Vmb 7 Vhren, in beeder Codicillirenden Eheleuthe wohn behaußung hinder dem ganth hauß V. d. Kirchner Zunfft Stube geleg. in dero Obern stuben, mitt denen fenstern auff die Gaßen sehend
Marie Madeleine Lienhard meurt en 1694 en délaissant deux enfants de son premier mariage, Salomé et Jean Claussmann, et trois de son deuxième mariage, Marie Madeleine, Marguerite et Jean Henri Haan. Les experts estiment la maison 400 livres. La masse propre au veuf s’élève à 20 livres, celle des héritiers à 345 livres. L’actif de la communauté s’élève à 110 livres, le passif à 160 livres
1694 (7.8.), Auenheim (Wolfgang Régnard von, 1 Not 2) n° 55
Inventarium Und beschreibung, aller Vnd jeder liegend Vnd fahrender, Verändert Vnd ohn Veränderter Haab güttere Vndt Nahrung, so die weÿl. Ehren Vnd tugendsame fraw Maria Magdalena, H. Christian Haanen, Burgers V. Schreiners zu Straßburg allhier Geweste haußfrau nunmehro seelig, nach Ihrem den 28. maÿ Jüngst aus dießem müheseelig. leben genommenen tödlich. hientritt, hinderlaßen, Welche auf dienstliches ansuch. v. erfordern S. T. H. Joh: Wagners, deß Schreiners alß geordnet Vnd geschwornen Vogts der seelig Verstorbenen 2. Kinder Erster Ehe, Vnd S. T. Herrn Christoff Wörlin, EE Kleinen Raths jetzmahlig. Beÿsitzers dero dreÿ Kinder letzter Ehe mit obged. H Christian Haanen erziehlt – Actum in beÿsein obengemelter sammeltlich interessent. auff Sambstag den 7. Augusti 1694.
die seelig Verstorbene hatt ab intestato Zu Erb. hinterlas. 1. Maria Salome Vnd 2. Johann, beede alß Erster Ehe mitt weÿl. Joh: Clauß: Meÿer dem Schreiner Ehelich erzeügt Vnd hinderlaßene Kind. deren Vogt H Joh: Wagner obgemelt
3. Maria Magdalena, 3. Margaretha, 5. hanß Heinrich, Ihre in letzter Ehe mitt dem obged. hinderbliebenen Wittiber Christian Haanen Ehelich erziehlte Kinder, deren Vogt, Ehren ermeltter H. Christoff Werlin
Eigenthumb ahn Einer behausung der Erb. ohnverändert. (E.) It. ein hauß, hoff, hoffstatt, mitt allen deren gebäwen, begriff. recht. Vnd gerechtigkeit. in der Statt Straßburg, hinder dem ganthauß, beÿ der genannten Kürschner Zunfft stuben, neben erst gemeltem ganth hauß vnd Johann Reinhardt Reiffflins des Kupfferschmidts Erben, sonsten aber rings vmb neben dem Allmendt gelegen, davon gibt mann Jährlichen auff Michaelis dem Stifft Zur Rothen Kirchen 8. lb. d lößig in Haubtguth mit 200. lb d, ferner besagtem Stifft Jahrs vff Michaelis 1. lb 10 ß in Haubtguth ablößig mit 25. lb. d, vnd dann 2. lb d Johann wagnern dem Schreiner vnd burgern allhier et Cons. Jahrs vff Annunc. Mariæ so in Haubtguth abzulößen ist mit 50. lb. sonsten ledig und eÿgen vnd vber dieße beschwerdnen durch H. Joseph Lautenschlager, H Johann Feÿlotter vnd H Jacob Staudacher als geschwornene d. Statt Straßburg Werckmeistere laut beÿ dem Concept befindlicher æstimation gewürdiget vor 125. lb
Darüber sagt ein teutscher Pergamentinen Kauffbrieff, so mit des Allhießig. Pfenningthurns gewohnlichen Insigel verwahrt, deß. datum den 26. 7.bris 1671. Inhaltend welcher Gestalten Joh: Clausmeÿer der verstorbenenen Erster Haußwürth seel. dieße behaußung besagtem Pfenningthurn an sich erkaufft, so mit N° 1 signirt und dißmahl wid. gelaßen.
Vngewißen, Zweiffelhaffte Vnd allerdings Vor Verlohren gehaltene schud. der Erb. ohnverändert. Crafft deß über weÿl. Mstr. Johann Claußmeÿer seel. der seel. verstorbenen Maria Magdalena Haanin ersten haußwürths Verlaßenschafft, durch H. Notarium Andream Schmidt in A° 1676 auffgerichtet. inventarii befindl.
Copia der Eheberedung (…) d. 1. Monathstag 7.bris A° 1678. Friderich Meÿle Not. Cæsar. Publ.
Bericht weg. der Erben Ohnverändert v. der güther ergäntzung. Es berichtet Johann Wagner der Kind Erster Ehe vogt, daß weilen seine Vogts Persohnen Von Ihrem Vater nichts ererbt, Er Sich Zu der Zeit alß die Verstorbene ahne d. Wittiber sich verheurathete vmb die Inventation d. Zugebringend. Nahrung nicht Zubekommen gehabt, sondern der wittib. damahlig. Vogt die sorge überlaß. und wiße Er wohl, daß die seelig. verstorbene die Inventation des Zubring.d. Nahrung selbst Vor ohnnöthig gehalten, Ist derowegen weÿl. Joh: Claußmeÿers der seelig Verstorbenen Ersten haußwürths Inventarium über seiner Verlaßenschafft in A° 1676. durch H Notarium Andream Schmid geferttiget Von Post. Zu Post durchgang. (…)
Abzug gegenwerttig jnventarii. 1. deß W. ohnverändert guth, daßelbe bestehet allein in deme hievorn befindlich. Werckzeug so thut 20. lb
2. der Erben Nahrung bestehet in haußrath 74, Silber 11, guld. Ring 6, behausung 125, Pf Zinß hauptgüter 125, Summa summarum 345 lb
Theilbar guth, haußrath 32, wahren v. holtzwerck 45, Silber 6, guld. ring 1, Baarschafft 25, Summa summarum 110 lb – Schulden 160 lb, Compensando 50. lb
Chrétien Haan se remarie en 1699 avec Marie Cléophée Schlachtmann, fille de cordonnier : contrat de mariage, célébration
1699 (18. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 571 f° 476
(Eheberedung) Christian Hahn der Schreiner alß hochzeiter, mit beÿstand Hn Christoph Wehrle, deß Kirßners und E:E: kleinen Raths alten beÿsitzers seiner 3. Kinder erster Ehe vogts an einem
So dann Jfr. Maria Cleophe, weÿl. Matthæi Schlachtmanns gewesenen Schuhmachers sel. nachgelaßene tochter alß hochzeiterin mit beÿstand Hn Stephan Cornelÿ Saltzmanns Notarÿ Publici Schaffners zu St Marx und E:E: kleinen Raths alten beÿsitzers ihres Curatoris, und Jacob Schlachtmanns, deß Schuhmachers ihres leiblich. bruders am andern theÿl
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 102-v, n° 513)
1699. Mittw. d. 14. 8.br. wurd. nach ord.tlich. außruffung copulirt Christian Hahn der schreiner Burger allhier Und J. Maria Cleophe weil. Matthei Schlachtmanns geweßenen schuhmachers v. burgers alhier nachgelaß. Eheliche Tochter [unterzeichnet] Christi ann hahnen Alß hoch Zeitter, Maria Cleophe schlachtmännin als hochzeiterin (i 102)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient aux enfants de sa première femme
1700 (2.2.), Me Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 3)
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen haab nahrung und güter, so der Ehrsame und bescheidene Meister Christian Hahn, Schreiner und fraw Maria Cleophe gebohrne Schlachtmännin, beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander vor ohnverändert in die Ehe gebracht – Geschehen in hochansehnlicher Gegenwärtigkeit deß wohl Edel vest und hochgelehrten herrn Stephan Cornelÿ Saltzmanns, wohlverordneteten Schaffners Zu St. Marx dießer Königlichen Statt, alß der Frawen erbettenen herrn Assistenten, und eben der Eheleuth selbsten, dinstags den 2.ten Februarÿ 1700.
In einer in der Statt Straßburg vnd einer daselbsten ahne dem Gantgäßel hinter der Kürschner stub gelegenen behaußung befund. word.
Holtz: und Schreinwerck. In d. soldaten Cammer, Vf der vordern bühn, In d. hintern Cammer, Vord. Cammer, In der vordern stub, In dießen Stub Cammer, In d. werckstatt, Im Keller, In der wohnstub, In der Stub Cammer
Summaria hujus Inventarÿ. deß Manns Zugebracht Guths, Sa. Haußraths 178, werckzeug 21, außgemachter 81, Silber 17, Activor. 30, Summa summarum 328 – Passivorum 48, rest 278 lb
der frawen Nahrung, Sa. Haußraths 96, Silber 2, gld Ring 7, Summa summarum 106 lb
Chrétien Haan et ses trois enfants en première noces hypothèquent la maison au profit des enfants du peignier Isaac Knaus
1701 (20.6.), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 322
H. Christoph Wehrle der Kirßner Und E: E: kleinen Raths alter beÿsitzer alß Vogt Christian Hahnen, des Schreiners, mit weÿl. Maria Magdalena Lienhardin sein Hahnen erster Haußfrauen seel. erziehlt und nachgelaßener dreÿ Kinder mit beÿstand ged. Hahnen Ihres leiblichen Vatters
hatt in gegensein Hn Johann Hutten des Handelsmanns alß Vogts Isaac Knausen des ledig. Strehlmachers -schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, Hauß, Hoff, Hoffstatt mit allen deren gebaüen, Begriffen, Rechten und gerechtigkeiten allhier am ganthgäßlein, hinder dem ganthhauß geg. der Kürßner Zunfftstuben über, einseit neben neben ged. ganthauß, anderseit ist ein Eck in der Heÿlig. liechter gaß, hinten auf Bartholome Eraßmus Allbrecht den Kupfferschmid stoßend gelegen, (…) sonsten außerhalb dem widem, womit das gantze hauß geg. obged. Hahnen verfangen, gegen Männiglich freÿ ledig Und eÿgen seÿe
Pour l’intelligence de ce qui suit, on notera que la maison appartient par indivis aux cinq enfants de Marie Madeleine Lienhard. La part de Jean Henri Haan qui meurt en premier revient à ses frères et sœurs. La maison appartient donc pour un quart à chacun des survivants. Le fils en premières noces Jean Claussmeyer cèdera sa part à sa sœur Marie Salomé, femme de Georges Wilderich, qui devient ainsi propriétaire de la moitié. Anne Marguerite Haan meurt célibataire en léguant ses biens à sa sœur Marie Madeleine, femme de de Chrétien Stammler, qui devient ainsi propriétaire de l’autre moitié.
Marie Madeleine Haan épouse en 1717 le ceinturier Chrétien Stammler : contrat de mariage, célébration
1717 (19.4.), Me Lobstein (Jean, 31 Not 75) n° 20
(Eheberedung) zwischen dem Ehren vnd vorgeacht. Mr Christian Stammler, dem ledigen Gürtlern Weÿl. Mr Christian Stammlers des Zimmermanns und burgers allhier nunmehr seel. hinderlaßenen Sohn als dem bräutigamb ane einem,
So dann der Ehren und tugd.sahmen Jgfr. Mariæ Magdalenæ Haanin, Weÿl. des Ehrengeachten Mr Christian Haanen geweßenen Schreiners und burgers alhier seel. hinderlaßener tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg auf Montag den 19.ten Aprilis Anno 1717. [unterzeichnet] Christian Stammler als hochzeitern Maria Magdtalen hannin als hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 297, n° 1269)
1717 – Mittwoch den 30.ten ejusdem [Juny]. Seind nach 2.mahl. Proclamation ehelich Copulirt worden Christian Stammler der ledige Gürtler und burger allhier weÿl. Christian Stammler gew. burgers und Balliers auff dem Zimmerhoff hinterl. ehl. Sohn Und J. Maria Magdalena weÿl. Christian Hahnen gew. b. und Schreiners hinterl ehl. Tochter
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports parmi lesquels figure le quart de la maison hérité de Marie Madeleine Lienhard. Le début de l’inventaire indique par erreur que la maison se trouve rue du Pilot. Les experts estiment la maison entière 900 livres. La masse propre au veuf s’élève à 80 livres, celle des héritiers à 578 livres. L’actif de la communauté s’élève à 412 livres, le passif à 206 livres
1717 (31.7.), Me Lobstein (Jean, 31 Not 2) n° 57
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und güthere, so der Ehren und Vorgeachte Meister Christian Stammler, der Gürtler und die Ehren und tugendsahme frau Maria Magdalena Stammlerin, gebohrne Haanin, beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander den Ehestand Zugebracht, Welch der ursachen allweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteten heuraths Verschreibung expresse Versehen, daß eines jedem in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert sein und bleiben solle (…) – So beschehen in Straßburg auf Sambstag den 31.ten Julÿ Anno 1712.
In einer in der Statt Straßburg ane dem Pfahlgäßlein Liegenden und Zum theil in dieße zugebracht Nahrung gehörigen behaußung befunden worden ie volgt
Antheil ane einer Behaußung. (F.) Der Vierte theil Vor ohn Vertheilt Von vnd ane einer behaußung, hoff und hoffstatt, sambt allen d.o gebäuen, begriffen, Weith. rechten, Zugehörden und Gerechtigkeit. geleg. allhier Zu Straßburg, hind. dem Ganthauß beÿ der Kürßner Zunfftstub, einseit ist ein Eck ane dem Ganthgäßlein, and.s. neben H. N. Eckel dem glaßer, hind. auf das Ganth hauß stoßd. Von d. gantz. behausung geh. jahrs auf Michaelis 8. lb d. Zinnß d. Sammlung Zur dritten Regul, modo dem Corpori Pensionum allhier, lößig in haubtguth mit 200. lb. d, sonsten freÿ ledig eig., und von allerseiths Interessent. ohnanzuschlag. beliebet
An die übrige ¾.te theil seind Hn Georg Wildrich dem Schreiner und burgn. allhier d. frauen Schwager 2. und Jgfren Annæ Margarethæ haanin d.o Schwester d. übrige Viertetheil eig.thümlich gehörig. Über die gantze behaußung sagt ein teutscher pergamentener Kffbrieff mit d. Pfenningthurns anhangendem Ins. Verwahret datirt d. 26.t Septembris Anno 1671. inhalt. welch. gestalten Johann Clauß Meÿer d. frn. Mutter seel. ersterer hauswürth dieße behaußung von vorgedachtem Pfenningthurn an sich erkaufft, so mit alten N° 1 signirt, welch. die fr. in gemeiner Verwahrung hat.
Abzug in gegenwärtig Zugebrachte Nahrung gehörig. Des Manns in die Ehe gebracht Vermög. Sa. haußraths 24, Sa. Werckzeugs und gemachte arbeit zum gürtler handwerck gehörig, 68. Sa. silbers 2, Sa. baarschafft 4, Summa summarum 101 lb – Schulden 7, In Vergleichung 93 lb, Deme beÿzufügen deßen Zween dritte theil ane denen Zu haussteuren gegeb. Post, 13 lb, Des Manns in die Ehe gebracht gantz. Nahrung 107. lb
Der Frauen in die Ehe gebracht guth, Sa. haußraths 106, Sa. Silbergeschmeids 13, Sa. goldener Ring 11, Sa. baarschafft 79, Sa. antheil ane einer behausung, Nulla, Sa. Schuld. 104. Summa summarum 316 lb – Deme beÿzufügen d. dritte theil ane denen Zu haussteuren gegeb. haußräthlich. und Mobilien 6 lb, Thut also d. Frauen in die Ehe gebrachtes gantes eigenthümliches Guth in allem 323 lb
Marie Madeleine Haan meurt sans enfant en 1740. L’inventaire mentionne qu’un quart de la maison lui est avenu de sa sœur Anne Marguerite. Elle institue pour ses héritières ses deux nièces Salomé Wilderich et Marie Madeleine Wilderich
1740 (27. 7.bris), Me Lobstein (Jean, 31 Not 54) n° 1203
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, so weÿland die Ehren und tugendsahme frau Maria Magdalena Stammlerin gebohrne Haanin, des Ehren und Vorgeachten Meister Christian Stammlers des Gürthlers und burgers allhier Zu Straßburg geweßene eheliche haußfrau nunmehr seelige, als dieselbe Mittwochs den 7.ten Septembris dießes lauffenden 1740.ten Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen Verwechßelt, nach solch Ihren aus dießer Welth genommenen tödlichen Hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren und Vorgeachten Meister Joh: Michael Stuber des jüngern Hohldrehers und burgers allhier im Nahmen des Wittibers Künfftig entweder per Testamentum oder ab intestato Verlaßender und durch Von der Verstorbenen Frauen Crafft hernach eingetragenen Testamenti nuncupativi instituirter rechtsmäßiger Erben, ersucht und inventirt – So beschehen in Straßburg auf Dienstag den 27.ten Septembris Anno 1740.
In einer allhier Zu Straßburg hinter der Kürßnerstub gelegenen und in dieße Verlaßenschafft zum theil gehörigen behausung befunden worden Wie volgt
Antheil ane einer Behaußung. Der halbe theil Vor ohnvertheilt Von vnd ane I.r behaußung, hoff und Hoffstatt, sambt allen dero Gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtig Keiten, geleg. allhier Zu Straßburg, hinter dem Ganth hauß beÿ der Kürschner Zunfftstub, I. seith ist I. Eck ane dem Ganthgäßel, 2. s. neben Hn. Joh: Sebastian Eckel, dem Glaßer, hinten auf das Ganth hauß stoßend, so freÿ leedig und eig., und ist die gantze behausung durch (die Werckmeistere) Lauth Abschatzungs Zedul vom 26.ten Septembris 1740. æstimirt vor 900. lb, daran hiehero die helffte gehörig, th. 450. lb
NB. den I.n Vierthen theil ane solcher Behaußung hat die Ehefrau in die Ehe gebracht, den übrig. Viertentheil aber hat Sie Von Jgfr. Maria Magdalena Haanin Ihrer Schwester Craft Testamenti Nuncupativi Vom. 11.ten Junÿ A° 1717. durch Mich unterschriebenen Notm. auffgerichtet, geerbet, Zum bericht
Die übrige helffte ane solcher behausung ist weÿl. Mr Georg Wilderich des geweßenen Schreiners und burg. alhier nunmehr seel nachgelaßenen ehelich erziehlten Kindern und Enckel Vor ohnvertheilt Zuständig. Über die gantze behaußung sagt I. teutsch. perg. Kb. m. des Pfenningthurns anhang. Ins. Verw. dat. d. 26.t 7.bris A° 1671. inhaltend welch. gestalten Joh: Claußmeÿer d. fr. seel. Mutter auch seel. ersterer hauswürth dieße behaußung von vorbesagtem Pfenningthurn an sich erkaufft, mit alt. N° 1 signirt, welchen d. Wittiber in gemeiner Verwahrung hat.
Ergäntzung des Wittibers abgegangenen ohnveränderten guths. Vermög Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuth einander Vor ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in Anno 1717. durch mich unterschriebenen Not. auffgerichtet
Abzug In gegenwärtig Verlaßenschafft Inventarium gehörig. Des Wittibers ohnverändert guth, Sa. haußraths 1 ß, Sa. baarschafft 6 ß, Erg. Rest 79, Summa summarum 80 lb
Der Erben ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 20, Sa. Silbers 3, Sa. goldener Ring 3, Sa. baarschafft 6, Sa. Antheils ane einer behaußung 450, Erg. Rest 96, Summa summarum 578 lb
Das Theilbahre Vermögen, Sa. haußraths 28, Sa. werckzeugs und gemachten wahr Zum Gürtler handwerck gehörig 25, Sa. Silbers 12 ß, Sa. baarschafft 28, Sa. Pfenningzinß hauptguths 250, Sa. Schulden 79, Summa summarum 412 lb – Schulden 206 lb, In Vergleichung, restirende theilbare Errungenschafft 206 lb
Stall Summ et Conclusio finalis Inventarÿ 865
Zweiffelhaffte und Verlohrne Schuld in das Erbe Zugeltend 105. lb
– Abschatzung dem 26: Sept: 1740. Auff bëgehren deß Wohll Achtbahren und bescheitenen H: Christian Stammler deß görtlerß, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg, hinder der Kürschner Stuben gelegen ein Eck in daß gandt gäßlein, andter seitß an dem H. Eckell dem glaßer hindten auff daß gandthauß Stoßendt welche behausung unden ihm ein gang der hoff, oben dar über ein Stuben, Zweÿ Cammeren, Küchell und hauß Ehren, wor über daß tach mit breidtziglen belegt und ein besetzte bienen daß hinder hauß darinen unden ein Stube, und Cammer mit tillen undterschlagen daß hauß Ehren die Kuchen höffell gemeiner bronnen und gewölbter Keller, oben dar über ein Stuben Zweÿ Cammern Kuchen und daß hauß Ehren, ihm Zweÿten Stock Vier Cammren so nur mit tiellen underschlagen ein darvon die soldaten Cammer worüber ein sëhr alter tachstull daß tach mit hollzigken belegt, sambt aller gerechtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere sich in der besichtigung befundten, Und Jetzigem Preÿß nach angeschlagen wierdt Vor und Umb Ein Tausend und Acht hundert Gulten. bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërckmeistere, [unterzeichnet] Pflug Statt Lohnere, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 200 florins (600 livres) sur un total de 1 700 florins. Les préposés exemptent ensuite la succession de l’amende
1740, cote VII 1179 – Livres de la Taille f° 46-v
Schmidt F., N. 8226 – Weÿl. Fr. Mariæ Magdalenæ gebohrner Hahnin, Christian Stammler Gürtler und burgers alhier Ehel. Haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H Notarius Lobstein.
Concl. Fin. Inv: ist Fol. 106.b, 865. 7. 10.
die machen 1700. fl. Verstallte nur 500. fl. Zu wenig 1200. fl.
Nachtrag auf acht Jahr in duplo à 3. lb. 12. ß d macht, 28. 16.
Und auff Sechs Jahr in simplo à 1 lb 16 ß, 10. 16.
Extat kein Stallgeltt
Gebott, 2 ß
Abhaldlung, 1. 2. 6, Summa 40 lb 16 ß 6 d
Vermög Erkantnus Vom 9.t Novembris der Straff erlaßen und der Nachtrag moderirt ad 20. lb
dt. 14. Novembr. 1740
Chrétien Stammler se remarie en 1741 avec Marie Barbe Wœhrlé, veuve de l’apprêteur de tabac Jean Jacques Hanselmann : contrat de mariage, célébration
1741 (19.2.), Me Lobstein (Jean, 31 Not 79) n° 429
(Eheberedung) zwischen dem Ehren und Vorgeachten Martin Christian Stammler, dem Gürtler, Wittiber und burgern alhier Zu Straßburg als dem bräutigamb ane einem,
So dann der Ehren und tugendsahmen frauen Maria Barbara Hannßelmännin, gebohrner Wöhrlein, weÿland des Ehrengeachten Meister Johann Jacob Hannßelmanns des geweßenen tabackbereiters und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen nachgelaßener Wittib, als der frauen hochzeiterin, ane dem andern theil
So geschehen in Straßburg (…) auff Sontag den 19.ten Februarÿ Anno 1741. [unterzeichnet] Christian Stammler als hochzeiter, maria barbare hannßelmännin alß hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 198, n° 751)
1741 – d. 8 Mart. seind nach ordentl. außruffung ehl. copul. u. eingesegnet worden Christian Stammler der gürtler b. u. wittwer allhier u. fr. Maria Barbara geb. wehrlerin weÿl. Johann Jacob Hanßelmanns geweß tabackbereiters u. b. allhier nachgelaßene wittib [unterzeichnet] Christian Stammler als Hochzeiter, + ist der hochzeiterin Zeichen
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison dont il a la jouissance viagère
1741 (28.3.), Me Lobstein (Jean, 31 Not 55) n° 1221
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, so der Ehren und Vorgeachte Meister Christian Stammler, der Gürtler und die Ehren und tugendsahme frau Maria Barbara Stammlerin gebohrne Wöhrlein beede Eheleuthe und burgers allhier Zu Straßburg einander Vor ohnverändert in den Ehestand zugebracht, welche der ursachen, alldieweilen in Ihr beeder Eheleuth mit einander auffgerichteten heuraths Verschreibung expresse enthalten, daß eines jeeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle
So beschehen in Straßburg auf dienstag den 28.ten Martÿ Anno 1741.
In einer allhier Zu Straßburg hinter der Kürschner Zunfft Stub gelegenen und in des Manns Zum theil Lebtägig zu genießen habenden Wÿdumb gehörigen behaußung, befunden Worden Wie Volgt
Antheil ane einer behaußung. (M.) Der halbe theil Vor ohnvertheilt von und ane einer behaußung hoff, Hoffstatt, samt allen dero Gebäuen begriffen, Weithen Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg hinter der Kürschner Zunfft Stub, ein seith ist ein Eck an dem Ganthgäßel, 2. s neben H. Johann Sebastian Eckel dem Glaßer hinten auff den Ganthauß stoßend, so freÿ, leedig, eigen und ist die gantze behaußung in weÿl. frauen Mariä Magdalenä Stamlerin gebohrner Haanin des Manns erstern haußfrauen seel. Verlaßenschafft Inventario durch (die Werckmeistere) laut Abschatzungs Zeduls Vom 26.ten 7.bris 1740. æstimirt pro 900. lb, daran hiehero die helffte gehörig th. 450. lb
NB. den einen Vierthen theil ane solcher Behaußung hat des Manns erstere haußfrau in die Ehe gebracht, den übrigen Viertentheil aber hat Sie Von Jungfrauen Magdalena Haanin Ihrer Schwester Craft Testamenti Nuncupativi Vom. 11.ten Junÿ A° 1717. durch mich unterschriebenen Notarium auffgerichtet, geerbet, Zum bericht.
Die übrige helffte ane solcher behausung ist weÿl. Meister Georg Wilderich des geweßenen Schreiners und burgers alhier nunmehr seeligen nachgelaßenen ehelich erziehlten Kindern und Enckeln Vor ohnvertheilt Zuständig. Über die gantze behaußung sagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff mit des Pfenningthurns anhangendem Insiegel Verwahrt de dato 26.t 7.bris Anno 1671. inhaltend welcher gestalten Johannes Claußmeÿer des Manns ersterer haußfrauen seel. Mutter auch seeligen Ersterer hauswürth dieße behaußung Von Vorbesagtem Pfenningthurn an sich erkaufft, mit altem N° 1 signirt, welchen der Ehemann in gemeiner Verwahrung hat.
Abzug In gegenwärtig zugebracht Nahrungs Inventarium gehörig. Des Ehemanns ohnverändert Vermögen. Sa. Haußraths 193, Sa. Werckzeugs auch gemachter Waar Zum Gürtler handwerck gehörig 804, Sa. Wein und Lährer Vaß 9, Sa. Silbers 19, Sa. goldenen Ring 5, Sa. baarschafft 2748, Sa. pfenningzinß hauptguths 250, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 450, Sa. Schulden 198, Summa summarum 4678 lb – Deme beÿzufügen der halbe theil denen haussteuren 6, Macht alßo des Manns Völlig in die Ehe gebracht Vermögen 4685 lb
Pro nota. Unter dießer Summ stecket auch das jenige was der Ehemann Von seiner Ersten haußfrauen seel. Crafft auffgerichteten Testamentum nuncupativi ad dies vitæ Zu usufruiren hat, Zum bericht.
Der Ehefrauen in die Ehe gebracht Guth, Sa. Haußraths 96, Sa. Silbers 6, Sa. goldener Rung 8, Sa. baarschafft 13, Sa. Pfenningzinß hauptguths 25, Sa. Schulden 6 ß, Summa summarum 150 lb – Hierzu ist nun ferner beÿzusetzen der halbe theil ane denen haussteuren 6, der Ehefrauen völlig in die Ehe gebrachte Guth 156 lb
Jean Chrétien Stammler meurt sans enfant dans sa maison rue Sainte Barbe. La maison dont il avait la jouissance viagère revient à ses héritiers légitimes, les deux nièces de la défunte. Comme Marie Madeleine Wilderich est morte sans descendance avant elle, sa part revient à sa sœur héritière pour l’autre moitié, Marie Salomé Wilderich, laquelle est aussi morte avant elle en laissant un fils, Jean Henri Brand, qui recueille ainsi l’héritage de sa grand-tante, en l’occurrence la moitié de la maison, vendue en 1747 avec le consentement de l’usufruitier.
1761 (27.5.), Me Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 798) n° 239
Inventarium über Weÿland des Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Christian Stammlers, des geweßenen Gürtlers und burgers dahier nun seel. Verlassenschafft, auffgerichtet in Anno 1761 – nach seinem Mittwoch den 6.ten Maÿ dießes lauffenden 1761.sten Jahrs aus dießer Welth genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren der Ehren und tugendsahmen Frauen Mariä Barbarä Stammlerin gebohrner Wöhrlein, der hinterbliebenen wittib, beiständlich Herrn Johann Carl Hüttel, Notarÿ publici und Practicj allhier, wie auch des abgeleibten seel. Schwester und Schwester Kinder als deßelben ab intestato zu 2.en Portionen Verlaßene Erben – durch (…) Mariam Magdalenam Bentzinin die dienstmagd Von Hornberg gebürtig (geäugt und gezeigt) – So beschehen allhier Zu Straßburg auf Sambstag den 21.ten Maÿ 1761.
Des Verstorbenen seel. ab intestato Verlaßene Erben seind. 1.mo Weil. Frauen Mariæ Salome, geb. Stammlerin längst weil. Hn. Johann Vogel des geweßenen Schuhmachers und burgers dahier nachgelaßener Wittib seiner Schwester nun auch seel. nachgelaßene 3. Kkr. nahmentlichen 1.mo hr. Johann Heinrich Vogel, der Schuemacher und b. alhier, welcher in selbst eigener Persohn bei dißer Verlaßenschafft Inventur erschienen, 2.do Frau Maria Salome gebohrner Vogelin, welche mit beihilff H. Johann Michel Bernhard, des Schuhmachers und burgers dahier ihres Ehemanns, diesem Geschäfft abwarteten, 3.tio Frau Maria Dorothea gebohrne Vogelin, Hn Bartholome Hannßmann des Schuhmachers und b. dahier eheliche haußfrau, welche mit Zuziehung dießes Ihren Ehemanns dem geschäfft beiwohnete, dieße 3 in dem Ersten zweÿten Stammtheil
2.do Frau Mariam Magdalenam Merckelin geb. Stammlerin, weil. H. Johann Heinrich Merckel, des gewesenen Kieffers und Weinhändlers auch b. dahier seeligen hinterlassener Wittib, des defuncti Schwester in den Zweÿten und letzten Stammtheil, welche mit Zuziehnung S. T. Hn Johann Daniel Langheinrich auch Notarÿ publici und berühmten Practici allhier ihres erbettenen beistands beÿ dießer Inventur erschienen
In einer alhier ane der Barbarä gaß gelegenen und in dieße Theilbahre Verlassenschafft gehörigen behaußung befunden worden, als folget
(f° 10) Eigenthum ane einem Metzigbanck, (T.) (…)
(f° 10-v) Eigenthumb ane häußern. (T.) Erstl. eine behaußung bestehend in Vorder: Mittel: und hinterhauß, zweÿen höffen, bronnen und hoffstatt, mit allen deren gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Recht und Gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg ane der St. Barbarä Gaß 1.s neben H: Matthäo Edel, dem Stück und Glockengießer, 2.s neben H. Joh. Christoph Flach, dem Weinhändler hinten auf H Rathhr. Ruffier den handelsmann, stoßend so gegen männiglich freÿ, ledig eigen und Vermög schon bemeldten Abschatzung Zeduls durch der Statt Straßburg geschwornen Werckleuthe gewürdiget pro 1000, Hierüber meldet ein teutscher pergamentener Ganth Kauff: brieff weißend wie der Defunctus selbige auf allhießigem Ganth aus Johann Kuhffen des handelßmanns falliments Massa letßt und Meistbietender ane sich gebracht mit löbl Statt abhangenden Raths Insiegel Verwahrt sub dato 19.ten Julÿ 1746. Dabeÿ ferner Zween ältere teutsche pergamentener Kaufbrieffe in allhießiger Löbl. C.C. Stub gefertiget datirt d. 8.ten 9.bris 1738 et 9. 7.br 1683
It. eine behaußung auf der Pickergaß (…)
– Abschatzung Vom 22.ten Maÿus. 1761. Auff begehren Weÿlandt Herrn Christian Stamler Seligen hinter Laßener Frau wittib und Erben, ist eine behaußung allhier jn der Statt Straßburg in der Barbara Gaß gelegen einseÿts Neben Christoph Flach, ander seÿts Neben Herrn Edel dem Glocken Gießer, und Hinten auff Herrn Rath herr Ruffier stossent, solche behauß. bestehet jn einem Fordern Midler und Hinter gebäu, Worinnen Etliche Stuben, Kammern und Kuchen dar Über seind die dach stühl mit breit zieglen belegt, Hat ein Gewölbten Käller, Zweÿ Höff und brunnen. Von Uns den Unterschriebenen der Statt Straßburg Geschwornen Werck Meistern Nach Vorhero Geschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigem Wahren Werth Nach æstimirt und angeschlagen worden, Vor und Umb 2000 Gulden
Der Zweÿte begriff ist Auch allhier jn der Statt Straßburg in der Biegergaß gelegen, einseÿts Neben Herrn Mager dem Scharffrichter anderseÿts Neben Frau Guldin wittib, und hinten Ebenfals auff Herrn Mager stoßent, solcher begriff bestehet jn Zweÿ stuben, Eine Küchen und Zweÿ Hauß Kammern dar Über jst der dachstuhl mit breit zieglen belegt, hat auch ein getrembten Käller, und Kleinen Hoff. Von den Unterschriebenen der Statt Straßburg Geschwornen Werck Meistern Nach Vorhero Geschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigem Wahren Werth Nach æstimirt und angeschlagen worden, Vor und Umb 550 Gulden
Der Drÿte begriff ist Auch allhier jn der Statt Straßburg und bestehet jn einem Metzger banck in der Kleinen Metzig gelegen ein seÿts Neben Herrn Schaffner, Metzger, anderseÿts Neben den Ramspergischen Erben, und hinten auff den Gerber Graben stossent, solcher Metzger banck hat jn der Länge Sechs schuh Zweÿ Zoll, und tieff Sechszehen schuh Sechs Zoll, dar Über ist der dachstuhl mit breitzieglen belegt. Von Uns den Unterschriebenen der Statt Straßburg Geschwornen Werck Meistern Nach Vorhero Geschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigem Wahren Werth Nach æstimirt und angeschlagen worden, Vor und Umb 500 Gulden [unterzeichnet] Werbern Huber
(f° 15-v) Ergäntzung der hinterbliebenen Wittib wehrender Ehe abgegangen ohnveränderten Guths, Außweißlich der über beeder Ehepersohnen einander für unverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, durch weil. H. Notarium Johann Lobstein seel. in Anno 1741. errichteten Inventarÿ
(f° 21-v) Wÿdemb, Welchen der Verstorbene seeliger Von längst Weiland Frauen Maria Magdalena Stammlerin geb. Haanin seiner Erstern Ehefrauen seeligen lebens länglich genoßen hat. Es hat nemblichen Sie Fr. Maria Magdalena Stammlerin gebohrne Haanin, des Defuncti ersten Ehefrau seel. in Ihren d. 8.ten februarÿ 1737 Vor schon bemelten weil. H. Not. Johann Lobstein seel. errichteten Codicillo §.pho 8.vo frauen Mariæ Salome Brandin gebohr. Wildrichin, Mr Heinrich Brand des Schreiners v. b. dahier ehelicher haußfrauen und Jungfrauen Mariæ Magdalenæ Wildrichin, beeden Geschwüsterden ins gemein Ihro eigenthümliche helffte Vor ohnvertheilt Von und ane einer behaußung cum appertinentiis gelegen hinter der Kürschner Stub allhier zu Straßburg zu einem Legat verordnet, so jedoch daß der hinterbliebene Wittiber solch Legat ad dies vitæ Zu usufruiren berechtiget sein solle, Weilen nun Jgfr. Maria Magdalena Wildrichin, vor der frau Wittumbs Stiffterin leedigen standts Verstorben, so ist solche helffte allein Frn Mariä Salome Brandin geb. Wildrichin nun seel. welche auch Vor der Fr. Wÿdumbs stiffterin gestorben, einigen Sohn, nahmens Georg Heinrich Brand, leedigen Schreiner Gesellen Zugekommen, maßen solcher der Mutter substituirt worden, deßen geordneter Vogt ist Mr Johann Heinrich Diebold der hohldreher V. b. dahier, Nun ist solche behaußung helffte durch ertsgedachtem Vogt nach Vorher gegangenen in E. E. Großen den 22.ten Aprilis 1747. mit Consens des usufrusctuarÿ nun seel. Verkaufft und in allhießiger Löbl. C.C. stub Verschrieben worden für undt umb 990. lb
(f° 23) Series rubricarum hujus Inventarÿ, der hinterbliebenen Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 11, Sa. Silbers 1, Sa. Goldener Ring 4, Sa. Schulden 20, Summa summarum 37 lb – Schuld 6 lb, Nach solchem abzug 30 lb
der Erben gesamten ohnveränderten Vermögen, Sa. hausraths 38, Sa. Werckzeugs und gemachter Waar zur gürtler profession gehörig 30, Sa. Silbers 3, Sa. Goldenen Rings 1, Sa. baarschafft 8, Sa. des Ergäntzungs rests 3776, Summa summarum 3858 lb, Schulden 37 lb, Nach solchem abzug 3821 lb
das gemein verändert und theilbahr guth, Sa. hausraths 24, Sa. Werckzeugs und gemachter Waar zur gürtler profession gehörig 70, Sa. Silbers 1, Sa. baarschafft 132, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1040, Sa. Eigenthums ane häußern 1275, Sa. Eigenthums ane j. Metzig bancks 215, Sa. Schulden 191, Summa summarum 2952 lb – Sa. Schulden 3831 lb, In Compensatione (passiv onus) 929 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 3912 lb – Stall Summ 3577 lb – Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden in der Erben ohnveränderte Nahrung zugeltend 159 lb, Zweiffelhaffte und verlohrene pfenningzinß hauptgüter so theilbahr 650 lb, Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden in die theilbahre Nahrung zugeltend 156 lb
Copia Heuraths Verschreibung
Jean Claussmeyer vend son quart de la maison à sa sœur Marie Salomé Claussmeyer et à son beau frère Jean Georges Wilderich
1714 (16.2.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 95-v
(196) Johann Claußmeÿer der leedige schreiner so majorennis und unbevögtigt
hatt in gegensein Joh: Georg Wildtrich schreiners und Mariæ Salome geb. Claußmeÿerin
ihren vierdten theil für unvertheilt ahn hauß hoff hoffstatt mit allen deren gebäuen, begriffen und Gerechtigkeiten hinter dem Ganthauß beÿ der Kürßner stueb, einseit ist ein eck ahn dem Gantgässlein anderseit neben Barth: Erasmus Albrecht hinten auff d. ganthauß stoßend, welches ganze hauß um 200 und 50 capitalien d. verkauffte theil 25 pfund capital (verhafftet), geschehen um 109 pfund
La maison appartient ainsi pour moitié aux conjoints Wilderich, un quart en propre à la femme, un autre quart à la communauté.
Originaire de Silésie (sans doute Zohlow, aujourd’hui Sułów en Pologne), le menuisier Jean Georges Wilderich épouse en 1704 Marie Salomé Claussmeyer : contrat de mariage, célébration
1704 (19.5.), Chambre des Contrats, vol. 577 f° 238
Eheberedung – Georg Wilderich der ledige schreiner alß hochzeiter
u. Maria Salome Claußmeÿerin mit beÿstand u. Consens Joh: Wagners
[unterzeichnet] Görg Wildrich, Maria sallem glausmeÿerin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 145, n° 682)
1704. Mittw. d. 11. Jun. wurd. nach ordentl. außruff. copulirt Georg Wildtrich d. Ledige Schreiner V. burgern allhier, Weil. Martin Wildrichs des geweß. freÿ Gärtners Zu Zulaw in d. Schleßing nachgelaß. ehl. Sohn, v. Jf. Maria Salome weil. Johann Clauß Meÿers des geweß. Schreiners v. B. allhier nachgelaß. ehel. T. [unterzeichnet] Georg Wildrich hochzeiter, Maria sallam glausmeyrin als hochzeitern (i 144)
Georges Wilderich devient bourgeois un mois après son mariage
1704, 4° Livre de bourgeoisie p. 752
Georg Wiltrich der schreiner V. Solaw auß Schleßien, Weÿl. Martin Wilterich gew: gartners daselbst ehel. sohn, empfangt das burgerrecht gratis, wird beÿ E. E. Zunfft der Zimmerleüth dienen, Jur. 12. Dito [Julÿ] 1704.
Georges Wilderich et Marie Salomé Claussmeyer hypothèquent leur moitié de maison au profit de Jean Jacques Stempel, aubergiste au Cep de vigne
1714 (20.3.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 194-v
Georg Wildrich schreiner und Maria Salome geb. Clausmeÿerin beÿständlich Niclaus Eberhadt Krafft schuem: und Joh: Michel Dieboldt
hatt in gegensein H. Joh: Jacob Stempel würt zuem weinstock – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, ihe antheil ahn einem hauß c. appert: ahm Gantgässel, einseit ist ein eck anderseit u. hinten aufs Ganthauß
Marie Salomé Claussmeyer meurt en 1715 en délaissant trois filles. Les experts estiment la maison 500 livres. L’actif de la succession s’élève à 277 livres, le passif à 256 livres.
1716 (28. 7.br), Me Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 42) n° 31
Inventarium über Weÿland der Ehrn: und Tugendsamen frawen Mariæ Salome Wildrichin, Gebohrner Claußmeÿerin, deß Ehrngeachten Meister Georg Wildrichs, Schreiners undt burgers zu Straßburg Geweßener Ehelicher Haußfrawen seeligen Verlassenschafft auffgerichtet Anno 1716. – nach Ihrem den 23.ten Augusti Anno 1715 genommenen tödlichen Ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche verlaßenschafft, auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehrenhafften Meister hannß Georg Brähmer, Schreiners vnd burgers Alhier Als geordnet und geschworenen Vogts Mariæ Salomeæ, Mariæ Elisabethæ vnd Mariæ Magdalenæ der Wildrichen, dreÿer Geschwisterd, der Jetztabgeleibten Frawen seeligen, mit Oberwehtem Meister Georg Widrichen, Ihrem hinderbliebenen Wittiber, Ehelich erzeugter Kinder vnd Zu dreÿen Gleichen portionen vnd antheilen ab intestato nachgelaßener rechtsmäßiger Erben, vorgenommen ersucht und inventirt – Actum Straßburg Montags den 28. Septembris Anno 1716.
Copia der Heüraths Verschreibung, perge in prot. C. fol. 1068.a et seq.
In einer alhier Zu Straßburg hinder dem Ganthhauß gegen der Kürßner Zunfftstub hienüber gelegener vnd Zum theil in dieße Verlaßenschafft Gehöriger behaußung befunden worden wie volgt.
In der Cammer A, In der Soldaten Cammer, In der Cammer B, Im Mittlern Haußöhren, In der Cammer C, In der Cammer D. Auff dem Gang, In der Wohnstub, In der Stub Cammer, In der Kuchen, Im Keller
Eÿgenthumb einer Behaußung. Item der halbe theil für ungetheilt von vnd Ane einer behaußung, Hoff vnd Hoffstatt, sampt allen dero Gebäuden, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, Gelegen Alhier Zu Straßburg, hinder dem Ganthauß, beÿ der Kürßner Zunfftstub, einseith ists ein Eckh Ane dem Ganthgäßlein, Anderseith neben Weÿl. Bartholomæi Erasmi Albrecht deß Kupfferschmidts seel. Erben, hinden auff das Ganthauß stoßend, Vonn der Gantzen Behausung Gehen Jahrs auff (-) 8. lb d. Zinnß der Sammlung Zur dritten Regul modo dem Corpori Pensionum allhier, Lößig in H.gutt mit 200. lb. d, Ferner ist dießer halbe theil Verhafftet umb 50. lb d Hauptfutt in Zwoen Posten Mariæ Magdalenæ vnd Annæ Margarethæ den beeden Haanischen Schwestern, so von dero Vatter Christian Haanen seel. herrühren, So dann umb 25. lb d von vnd ane 50. lb. Hauptgutt so mann etwann Ambrosii Kornen dem Küffer Ehevögtlicher weiß schuldig Geweßen, nunmehr aber Zu Bezahlung derselben Vorgedachte Maria Magdalena Haanin Vorgeschoßen, sonsten freÿ Ledig eigen, Vnd ist dießer Halbe theil vermög einer, durch d. Statt Straßburg geschworne Werckleuth überreichter und apud Conceptum befindlicher Abschatzung Vom 1. 8.bris A° 1716. Hiehero Angeschlagen 95.
Den einen Vierten theil hat die Frau seel. theils Von Ihrer Mutter Maria Magdalena Gebohrner Lienhardin und Johann Heinrich Haanen Ledigen Hauß Knecht Ihren halbbändigen Bruder seel. ererbt, den andern Vierten theil aber hat Sie von Johann Claußmeÿern dem Ledigen Schreiner Ihrem bruder eigenthümlich erkaufft, Weißt darüber i. perg. Kauffbrieff mit der Statt Straßburg Cantzleÿ Contractstub Anhangendem Insigel Verwahrt de dato 16.t Februarÿ Anno 1714. mit N° 1. notirt. Welcher gestalten Aber der frauen Vatter Johannes Claußmeÿer seel. die Gantze behaußung von denen Wohlverordneten Obern Bawherren vnd dreÿern deß Pfenningthurns erkaufft, meldet i. perg. Kbr. mit deß Pfenningthurns anhangendem Insigel Verwahret vnd datirt den 26. Septembris 1671. auch mit N° 1 signirt, welchen vorged. Jgfr. Maria Magdalena Haanin als Mit paricipantin in gemeiner Verwahrung hat.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. Haußraths 105 (worunter Haussteuren 3), Sa. Werckzeugs, Holtz vnd Gemachter Arbeit Zum Schreiner Handwerck gehörig 44, Sa. Silber Geschmeids 4, Sa. Guldener Ring 2, Sa. Baarschafft 5, Sa. Eigenthums An einer behaußung 95, Sa. Schuld 20, Summa summarum 277 lb – Schulden 256 lb, Nach abzug solcher, Conclusio 21. lb
– Abschatzung den 1.ten ocbris anô 1716 : Auff begehren deß Ehrenhafften Vnd bescheiten H: Görg Wilterich schneiter, ist Eine behaußung Alhier in der Statt Straßburg in der hellenlichten gaßen gelegen Ein Eck beÿ der Kürschner Stuben Einer seith Neben H: Bartholomeus Albrecht Kupferschmit Seel: Erben, hindten Auff daß gandt hauß Stoßend, Welche behaußung, hoff, hoffstatt, Neben Gang, Holtzhauß, gewölbter Keller, Zweÿ höfflein Und Ein Gemeiner brunen, Sampt Aller Ihrer Recht, Vnd Gerechtigkeith Wie solches durch der Statt Geschwohren Werckleüthe sich in der besichtigung befundten Vnd dem Jetzigen preiß Nach angeschlagen Wiert Vor undt Vmb Ein Tausendt Gulden. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg Geschwohrenn Werckh Leüthe, Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Jacob schuller Werk Meister des Zimmer hoff, Michel Ehrlacher Werck Meister des Minsters
Georges Wilderich se remarie en 1718 avec Anne Marie Voltz de Schiltigheim qui devient bourgeoise deux mois plus tard.
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 297, n° 1268)
1717. Mittwoch den 23. Junÿ Seind nach 2.mähl. Proclamation ehelich eingesegnet worden M. Georg Wilderich der b. und Schreiner auch Wittwer allhier und J. Anna Maria Lorentz Voltzen Sargers Zu Schiltigheim ehl. Tochter [unterzeichnet] Georg Wildrich, Anna Maria Voltzin als hochzeiterin (i 296)
L’inscription au registre de bourgeoisie ne mentionne pas son mari mais elle devient tributaire chez les Charpentiers.
1717, 4° Livre de bourgeoisie p. 828
Anna Maria Voltzin von Schiltigheim, Lorentz Voltzen Spielmanns daselbst tochter, emp. das burgerrecht gratis, wird beÿ de Zimmerleuthen dienen, Promis: d. 18. Augusti 1717.
Jean Georges Wilderich meurt une douzaine d’années plus tard. Le notaire Jean Jacques Œlinger dresse en 1729 l’inventaire de ses biens, non conservé (cité dans les actes ultérieurs). Il laisse trois enfants de son deuxième mariage, Jean Georges, Marie Barbe et Anne Marie. Les enfants du premier mariage possèdent un 9° de la maison, ceux du deuxième un 18° chacun.
La veuve Anne Marie Voltz se remarie en 1731 avec le menuisier Jean Beck, originaire de Wangen : contrat de mariage, célébration
1731 (2.1.), Me Oelinger (J. Jacques, 35 Not 75) n° 591
(Eheberedung) zwischen dem Ehrsahm und bescheidenen Meister Johannes Beckhen, Von Wangen gebürtig deß Ehrsahmen Johannes Becken Reebmanns vnd burgers allda Ehelich erzeugtem Sohn, als dem hochzeiter ane Einem.
So dann der Ehren und tugendsahmen Annæ Mariæ Wilderichin gebohrner Voltzin weÿl. Mr Georg Wilderichß geweßenen Schreiners vnd burgers allhier seel. Hinterbliebene Wittib, alß der hochzeiterin andern theils
(…) H. Joh: Adam Gießbrecht der fr. braut geschworner Vogt, Vnd M Dietrich Walthaußen auch Schreiner dero KK erster Ehe Vogt, dero erbettenen beÿständere – Actum Straßburg Dienstags den 2.ten Januarÿ 1731. [unterzeichnet] Johnns beck alls hochzeiter, Anna Maria Wwildrichin als hochezeidtrin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 87, n° 316)
1731. Mittw. d. 17. Jan. sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet worden Joh: Beck der Ledige schreiner Von Wangen, Joh: Beck, b. v. Reebmanns daselbst ehl. Sohn v. fr. Anna Maria weÿl. geörg Wilderichs geweß. b. v. schreiners alhier nachgelaßene Wittib [unterzeichnet] Johanns beck als hoh Zeiter, Anna Maria Wilterichin als hochzeiterin (i 91)
Jean Beck devient bourgeois deux mois après son mariage
1731, 4° Livre de bourgeoisie p. 967
Johannes Beck d. schreiner Von Wangen geb. erhalt d. b. Vin sein ehefr. Anna Maria Wilderich Johann Georg Wilderich Hint. wtb. umb die tertz d. alt. bs. will beÿ E. E. Zunfft d. Zimmerleuth dienen Jur. d. 31.ten Martÿ 1731.
Il devient tributaire chez les Charpentiers
1731, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 31)
(f° 137) Dienstags den 3. Aprilis 1731. Evangel. Neuzünfftiger
Mstr Johannes Beckh der Schreiner Von Wangen gebürtig prod. Cantzleÿ Und Stallschein de dato 31.° Martÿ 1731., Bitt Ihme das Zunfftrecht gedeÿen zu laßen. Erk. willf. dt. 3. lb. d.
Jean Georges Brehm rend compte de la gestion des biens qui appartiennent aux trois filles issues de Marie Salomé Claussmeyer, dont les loyers de la maison qui leur appartient pour moitié
1738 (1.5.), Me Oelinger (J. Jacques, 35 Not 38) n° 1136 (1090)
Rechnung Mein Johann Geörg Brehmers Schreiners vnd burgers allhier Zue Straßburg, alß geordnet und geschwohrnen vogts weÿland fraun Mariæ Salome Wilderichin gebohrner Claußmeyerin mit auch weÿland Meister Georg Wilderich dem auch geweßenen Schreiner vnd burgern allhier Zue Straßburg Ehelich erzeugter und hinterlaßener dreÿ döchtere Nahmens Mariæ Salome, so dermahlen verheuratet ane Meister Heinrich Branden den Schreiner, Mariæ Elisabethæ und Jgfrn. Mariæ Magdalenæ, Inhaltend und außweißend alles das Jenige, was Ich Ihrenthalben Vom 16. Februarÿ 1729. biß den 1.en Maÿ 1738 Eingenommen und außgegeben, auch sonsten In eine vnd anderen weege Verhandelt vnd verrichtet habe. Zweÿte Rechnung dießer Vogteÿ
(f° 9) Corpus Jährlich fallenden hauß Zinnßes meinen dreÿern vogts Persohnen Ins Gemein zuständig.
Nemblichen wie vorhero fol. 6. fac. 2.da Im bericht erhellet, habe von meiner dreÿen vogts (*) einem dritten theil vor ohnvertheilt von und ane einer behausung allhier Zue Straßburg hinter der Kürschner Stub am ganthgäßlein gelegen, als waran Fr. Maria Magdalena Stammlerin gebohrner Haanin Mr Christian Stammlers des Gürtlers Ehefrau 3/6. theil vnd der Curandinnin Vatters seel. dreÿ Kinder letzter Ehe 1/6.tel participiren, quartaliter vnd auf Michaelis 1733. erstmals ane zinnß erhobe, 3. lb 15. ß, thut vor das gantze Jahr 15. lb
Convention concernant les loyers, passée entre Chrétien Stammler et les enfants des deux mariages de Jean Georges Wilderich. Elle est occupée par la veuve du cordonnier Vogel, Jean Beck le deuxième mari de la veuve Wilderich et par Chrétien Stammler
1740 (10. Febr.), Me Stoeber l’aîné (6 E 41, 1233)
Abrechnung zwischen Hn Christian Stammler dem Gürtler und burger allhier ane Einem
Sodann Weÿl. Mr Hannß Georg Wilderich des geweßenen Schreiners und burgers allhier seel. Kinder erst: und zweÿter Ehe respe. g. und geschwornen Vogt wie auch Stieffvatter aller hernach benambst ane dem andern theil gepflogen.
Pto der hinter der Kürschner Zunfft Stub gelegenen behaußung. Einnahm ane hauß Zunßen
Erstl. belauffet sich der hauß zß. Von Weÿhenacht 1737 wohin selbiger Verrechnet worden biß Joh. Bapt: 1738 Vor ½ Jahr auff 45. fl.
daran Zahlte Fr. Vogelin, die Schuhmacherin Wb. Vor solch halb jahr 13 fl.
Hr Beck, der Schreiner, ehevögtl. weiße wegen seiner Stieff KKr. selbsten in Recessirt Zahlte auch 14. fl.
Und obiger Hr Stammler 10. fl.
Pro Michaelis er Weÿhenachten 1738 abermahl der halbjahr Zinß 50.
daran Zahlte obige Fr. Vogelin 13. fl.
Hr Beck 27. fl.
Und Er Hr Stammler 10 fl.
Jean Georges Brehmer rend le compte final de sa tutelle
1740 (1.3.), Me Oelinger (J. Jacques, 35 Not 42) n° 1215 (1171)
Stuckh und respe. Schluß Rechnung Mein Johann Geög Brehmers Schreiners vndt burgers allhier Zue Straßburg allhier alß geordnet und geschworenen vogts nun weÿland fraun Mariæ Salome Brandin gebohrner Wilderichin, Mariæ Elisabethæ und nun auch weÿland Mariæ Magdalenæ so In Zwischen auch todes verfahren der Wilderichen, Inhaltend und, was Vom 1.en Maÿ 1738 biß den 1° Martÿ 1740 Ihrentwegen ferner Eingenommen und außgegebe habe.
Gemeine Einnahm. (…) It. Crafft einem Sub dato den 10. febr. 1740. durch H. Notm. Stöber vber die, Von der, Zwischen fraun Stammlerin der Gürtlerin Vnd der Vogts Persohnen halbgeschwisterden gemeinschaftlichen behaußung pro 1738 et 1739. eingenommene hauß Zinnß (…) gilt nicht
Marie Madeleine Wilderich, l’une des filles de Marie Salomé Claussmeyer, meurt célibataire en 1740 après avoir institué son neveu Georges Henri Brand pour son héritier. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire de son père dressé par Œlinger en 1729, soit 800 livres. La défunte possède des biens en fidéicommis qui provienent de sa demi-sœur Anne Marguerite Haan. L’actif de la succession s’élève à 144 livres, le passif à 120 livres.
1740 (12.4.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 359) n° 74
Inventarium über Weÿland der Ehren: und Tugendsahmen Jungfrauen Mariä Magdalenä Wildrichin auch Weÿl. des Ehren: und Wohl vorgeachten herrn Johann Georg Wildrichs, des geweßenen Schreiners und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. hinterlaßener ehelich erziehlter tochter nun ebenmäßig seel. Verlassenschafft, auffgerichtet Anno 1740. – als dieselbe Sambstags den 13.ten Februarÿ dießes Lauffenden 1740.sten Jahrs dießes Zeitliche in das Ewige Verwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer welth genommenen tödlichen hintritt, Zeitlichen hinter sich Verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren: und wohlvorgeachten Herrn Johann Heinrich Diebold, des hohldrähers und burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Georg Heinrich Branden, Weÿland der Ehren und tugendsamen Frauen Mariæ Salome Brandin gebohrner Wildrichin seel. mit dem Ehren und wohlvorgeachten herrn Heinrich Brand dem Schreiner und burger allhier Ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlten Söhnlein und per Testamentum Verlaßenen universal Erben, ersucht und invenit durch den Ehren und Wohlgeachten herrn Johann Becken dem Schreiner und der Ehren und tugendsamen Frau Annam Mariam Beckin gebohrner Voltzin, beede Eheleuthe und burgers allhier, der abgeleibten seel. Stieff Eltern (…) geäugt und gezeigt – So geschehen in Straßburg auf dienstag den 12.ten Aprilis Anno 1740.
In einer allhier Zu Straßburg hinter dem ganthhauß beÿ der Kürßner Zunfft Stub gelegenen und Zum theil in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden, wie volgt
Antheil ane einer Behaußung. Ein Neunter theil vor ohnvertheilt von und ane einer behaußung, Hoff und Hoffstatt, mit allen deren gebäuden, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtig Keiten, gelegen allhier Zu Straßburg Hinder dem ganthhauß beÿ der Kürschner Zunfft Stub, so einseith ein Eck ane dem ganthgäßlein, anderseith neben Hn Sebastian Eckel, dem glaßer, Hinden auff das ganthauß stoßend, so gegen männiglichen freÿ, Ledig eigen und ist die gantze behaußung in dem über Weÿl. H. Joh: Georg Wildrichs, des geweßenen Schreiners und burgers allhier, der Verstorbenen seel. eheleiblichen Vatters auch seeligen Verlaßenschafft, durch H. Notarium Joh: Jacob Ölinger in Anno 1729. auffgerichteten Inventario folio 63. fac. 1.ma durch der Statt Straßburg geschwornen herren Werck Meistere angeschlagen, auch dißmahlen auff approbation der Wohlverordneten Herren dreÿern der Statt Stalls dabeÿ gelaßen worden, pro 800. lb. Macht daran der hiehero gehörige Neuntetheil 88. lb
Ane dießer behaußung ist Frauen Mariä Magdalenä Stammlerin, gebohrner Haanin, H. Christian Stammlers des Gürtlers und burgers allhier ehelicher Haußfrauen, der Völlige halbe theil, ferner Weÿl. Frauen Mariä Salome Brandin gebohrnee Wildrichin und Jgf. Mariä Elisabethä Wildrichin, der defunctæ beeden Vollbändigen Schwestern jeeder ein neunter theil, so dann Joh: Georg, Jgf. Mariä Barbarä und Jgf. Annä Mariä denen Wildrichen Ihren dreÿen halb geschwüsterden Jeedem ein achtzehender theil für ohnvertheilt eigenthümlichen Zuständig. Über die gantze behaußung soll besagen ein pergamenter Kauffbrieff mit des Pfenningthurns anhangendem Insiegel Verwahret, datirt den 26.ten 7.bris 1671. mit N° 1 notirt, welchen Vorbesagte Frau Stammlerin, als mit paricipantin, in gemeiner Verwahrung hat. So dann Hat sich beÿ der Verstorbenen seel. Vätterl. Verlaßenschafft Inventation befunden ein pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel bekräfftiget, über einen Vierten theil solchen haußes besagend, de dato 16.ten Februarÿ 1714. mit n° 1 signirt, welchen Vermuthlich Ihre Stieff Mutter, Frau Anna Maria gebohrne Voltzin, anjetzo H. Johann Becken, des Schreiners und burgers allhier Ehefrau in handen haben wird.
Fidei Commiss Guth, Welches die abgeleibte seelige Von auch Weÿland Jungfrauen Anna Magdalene Haanin, Ihrer Baaßen seel. in Anno 1720. geerbet und biß an dießes Ihr seeliges Ende genoßen. Es hat besagte Weÿland Jungfer Anna Margaretha Haanin nun seelige in Ihrem den 11.ten Junÿ Anno 1717. Vor herrn Notario Johann Lobstein und Sieben gezeugen auffgerichteten Testamento nuncupativo §° 3.tio die Defunctam und Jhre beede Vollbändige Schwestern Nahmentlich Mariam Salome und Mariam Elisabetham die Wildrichin Zu dreÿen gleichen Stammtheilern Zu Erben eingesetzt, Jedoch mit der §° 4.to beÿgesetzten Erläuterung, wann ein oder das andere Von dießen Ihren eingesetzten Erben nach Ihro der testirerin und zwar Ledigen Standts versterben wolte, daß demselben eine überige annoch im Leben bleibende geschwüsterde (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 28, Sa. Silber gschmeids 3, Sa. baarschafft 1, Sa. Antheils ane einer behausung 88, Sa. Schuld 22, Summa summarum 144 lb – Schulden 120, Detrahendo verbleibt 24 lb
Stall Summ et Conclusio finalis Inventarÿ 74 lb
Marie Salomé Wilderich (mère de l’héritier Georges Henri Brand ci-dessus) épouse en 1736 le menuisier Henri Brand, originaire d’Oldesloe près de Hambourg, fils d’un fondeur de laiton : contrat de mariage, célébration
1736 (1. 9.br), Me Oelinger (J. Jacques, 35 Not 76) n° 844
(Eheberedung) entzwischen dem Ehrsamen und bescheidenen Heinrich Branden Leedigen Schreinern Von Altenschloh beÿ Hamburg gebürtig weÿl. Heinrich Branden geweßenen Mößigschmöltzers Zu Ohlschloch beÿ hamburg Ehelich nachgelaßenen Sohn als dem hochzeiter ane Einem
So dann der Ehren V. Tugendsamen Jgfrn Mariæ Salomeæ Wilderichin weÿland deß Ehren vnd vorgeachten Meister hannß Georg Wilderich geweßenen Schreiners Vnd burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Ehelich erziehlter vnd nach tod Verlaßener dochter als der hochzeiterin ane anderm theil
Actum Straßburg in p(æsentia (…) auf der Jgfr. hochzeiterin seithen H hanß geörg Bremer schreiners dero ohnentledigten vogten (…) freÿtags den 9.ten Novembris 1736. [unterzeichnet] Heinrich brandt als Hochzeiter, Maria Salome Wildrichin als hoch Zeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 156, n° 591)
1736. Mittw. d. 28. Nov. sind nach ordentlicher Proclamation ehel. Copulirt worden Heinrich Brand der Ledige Schreiner Von Oldenschloh Weÿl. Heinrich Brand deß Messingschmeltzers auf der Dänischen Kupffersmühl daselbst nachgel. ehel. Sohn und Jungfr. Maria Salome weÿl. Georg Wiilderich deß burg. und Schreiners alhier hinterlassene eheliche Tochter [unterzeichnet] Heinrich brandt als Hochzeiter, Maria Salome Wilderichin (i 160)
Marie Salomé Wilderich meurt en janvier 1740 en délaissant un fils, Georges Henri. L’estimation de la maison est à nouveau reprise de l’inventaire du père de la défunte, dressé par Œlinger en 1729, soit 800 livres. La masse propre à l’héritier est de 108 livres. L’actif de la communauté et du veuf s’élève à 73 livres, le passif à 203 livres.
1740 (12.4.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 359) n° 73
Inventarium über Weÿland der Ehren: und tugendsahmen Frauen Mariä Salome Brandin gebohrner Wildrichin, des Ehren und Wohlvorgeachten herrn Heinrich Brand des Schreiners und burgers allhier Zu Straßburg geweßener ehelicher haußfrauen nunmehr seel. Verlassenschafft, auffgerichtet Anno 1740. – als dieselbe Sambstags den 30.ten Januarÿ dieses Lauffenden 1740.sten Jahrs dießes Zeitliche in das Ewige verwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer Welth genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen hinter sich verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren und Vorgeachte herrn Johann Heinrich Diebold, des hohldrähers und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Georg Heinrich Branden der Abgeleibten Frauen seel. mit Vorgedachtem Ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeugter Söhnleins und ab intestato Verlaßenen universal Erben – So beschehen in Straßburg auf Dienstag den 12.ten Aprilis Anno 1740.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Tucherstubgaß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung befunden wordn wir folgt.
Antheil ane einer behaußung (E.) Ein Neunter theil vor ohnvertheilt von und ane einer behaußung, Hoff und Hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, Weithen, Rechten zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg Hinder dem ganthhauß beÿ der Kürschner Zunfft Stub, so einseith ein eck ane dem ganthgäßlein, anderseit neben Sebastian Eckel dem glaßer, hinden auff das ganthauß stoßend, so gegen männiglichen freÿ, ledig eigen und ist die gantze behaußung in dem über weÿl. H. Joh: Georg Wildrichs, des geweßenen Schreiners und burgers allhier, der Verstorbenen Frauen seel. eheleiblichen Vatters auch seel. Verlaßenschafft, durch H. Notarium Joh: Jacob Ölinger in Anno 1729. auffgerichteten Inventario folio 63. fac. 1.ma durch der Statt Straßburg geschwornen herren Werckmeistere angeschlagen, auch dißmahlen auff approbation der Wohlverordneten Herren dreÿern der Statt Stalls dabeÿ gelaßen worden, pro 800. lb. Macht daran die hiehero gehörige Neuntetheil 88. lb
Ane dießer behaußung ist Frauen Mariä Magdalenä Stammlerin gebohrner Haanin, H. Christian Stammlers des Gürtlers und burgers allhier ehelicher Haußfrauen, der Völlige halbe theil, ferner Jgf. Mariä Elisabethä und Weÿland Jfr. Mariä Magdalenä, denen Wildrichin, der defunctæ beeden Vollbändigen Schwestern jeder ein Neuntertheil, so dann Joh: Georg, Jgf. Mariä Barbarä und Jgf. Annä Mariä denen Wildrichen Ihren dreÿen halb geschwüsterden Jeedem ein achtzehender theil für ohnvertheilt eigenthümlichen Zuständig. Über die gantze behaußung soll besagen ein pergamenter Kauffbrieff mit des Pfenningthurns anhangendem Insigel Verwahret, datirt den 26.ten Septembris 1671. mit N° 1 notirt, welchen Vorbesagte Frau Stammlerin, als mit paricipantin in gemeiner Verwahrung hat. So dann Hat sich beÿ der Frauen seel. Vätterl. Verlaßenschafft Inventation befunden ein pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Inisgel bekräfftiget, über einen Vierten theil solchen haußes besagend, de dato 16.ten Februarÿ 1714. mit n° 1 signirt, welchen Vermuthlich Ihr Stieff Mutter, Frau Anna Maria gebohrne Voltzin anjetzo H. Johann Becken, des Schreiners und burgers allhier Ehefrau in handen haben wird.
Ergäntzung des Erben ermanglenden ohnveränderten Guth, Vermög General Theil Registers über dasjenige, Was abe Weÿland Meister hannß Georg Wildrich geweßenen Schreiners und burgers allhier see. Verlaßenschafft der abgeleibten seel. und ihren beedenVollbändigen Schwesteren alß denen dreÿen töchtern erster Ehe Vor dreÿ Sechßte haubttheil Erblichen Zu: und angefallen, in Anno 1729. durch Hn Notm. Johann Jacob ölinger gefertiget
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Erben ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 24, Sa. Silbers 19 ß, Sa. Antheils ane einer behaußung 88, Sa. Schuld 47, Erg. Rest 17, Summa summarum 179 lb – Schulden 70 lb, Nach deren Abzug 108 lb
Des Wittibers Ohnverändert und Theilbahren Nahrung, Sa. haußraths 31, Sa. Werckzeug auch holtzes und gemachter arbeit Zum Schreiner handwerck gehörig 30, Sa. Silbers 8 ß, Sa. goldenen Rings 12 ß, Sa. Schulden 10, Summa summarum 73 lb – Schulden 203 lb, Passiv onus 129 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 108 lb
Copia der Eheberedung (…) Freÿtag den 9. Novembris 1736. Johann Jacob Ölinger Notarius juratus
Les ayant-droit Wilderich vendent 1 980 livres la maison à Jean Beck et à sa femme Anne Marie Voltz, veuve de leur père Jean Georges Wilderich
1747 (10.4.), Chambre des Contrats, vol. 621 n° 253-v
Johann Georg Wildrich der ledige schreiner, mehr Fr. Maria Elisabetha geb. Wildrichin Johann Martin Schäffer des fastenspeishändlers Ehefrau, mehr Johann Georg Mößner der schuhmacher als vogt weÿl. Georg Wildrich des schreiners in zweÿter ehe mit Anna Maria geb. Voltzin erzeugter zweÿ kinder Mariæ Barbaræ und Annæ Mariæ der Wildrich, so dann Johann Heinrich Diebold der holdreher als vogt Heinrich Brand des schreiners in erster Ehe mit weÿl. Fr. Maria Salome geb. Wildrichin erzeugten einigen Söhnleins Georg Heinrich
in gegensein Johann Beck des schreiners und gedachtes Annæ Mariæ geb. Voltzin, versteigerung
eine behausung, hoff und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, weithen, zugehörden und rechten, in einen auf der d. löbl: Stadt Pfenning Thurn am 26. sept. 1671 errichtet und denen käuffern zugestellten kaufbrieff enthalten seind, welche behausung hinder dem Ganthhauß beÿ der Kürßner zunfft stub, einseit ist ein Eck ane dem Ganth: gäßlein, anderseit neben H. Sebastian Eckel dem glaßer, hinten auff den ganthauß, als ein ererbtes guth – um 1980 pfund
Jean Beck et Anne Marie Voltz hypothèquent la maison au profit de la fondation Sain-Nicolas-aux-Ondes pour en régler le prix d’achat
1747 (10.4.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 256-v
Johann Beck der schreiner und gedachte Anna Maria geb. Voltzin mit beÿstand ihres vettern Johann Joachim und Johann Georg der Tornarius beede brüder Kürßner
in gegensein des Stiffts St Nicolai in Undis schaffneÿ substitutÿ H. Lt Johann Philipp Dorßner – zu bezalung des kauffschillings hiernach beschriebener behausung schuldig seÿen 1000 pfund
in gegensein des Stiffts St Nicolai in Undis schaffneÿ substitutÿ H. Lt Johann Philipp Dorßner – zu bezalung des kauffschillings hiernach beschriebener behausung schuldig seÿen 1000 pfund
Les mêmes hypothèquent la maison au profit des deux filles que l’épouse a eues de son premier mariage
1747 (18.12.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 857
Johannes Beck der schreiner und Anna Maria geb. Voltzin mit beÿstand Johann Joachim und Johann Georg der Tornarius beede gebrüder kürßner
in gegensein Johann Georg Mößner des schuhmachers als vogts Mariæ Barbaræ und Annæ Mariæ der Wildrichin – schuldig seÿen 220 pfund
unterpfand, eine behausung, hoff und hoffstatt hinder dem Ganthhauß, einseit ist ein Eck am Ganth: gäßlein, anderseit neben H. Sebastian Eckel dem glaßhändler, hinten auff das Ganthauß
Jean Beck vend 1 350 livres la maison à sa belle-fille Marie Barbe Wildrich, veuve de Chrétien Nicolas Elstett. L’acte dit que la maison se trouve rue des Chandelles à l’angle de la rue des Subhastations. L’acquéreuse déclare par acte passé devant notaire le 15 janvier 1760 qu’elle renonce à des droits en faveur du vendeur contre remboursement (voir l’inventaire Beck en 1764)
1758 (3.11.), Chambre des Contrats, vol. 632 f° 323
Johannes Beck der schreiner
hatt in gegensein Fr. Mariæ Barbaræ geb. Widrichin weÿl. Christian Nicolaus Ellstatt des schreiners wittib beÿständlich H. Johann Friedrich Zimmer notarii publ.
eine behausung, hoff und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, rechten und gerechtigkeiten ane der Hellenlichergaß einseit ist ein Eck am ganthgäßel, anderseit neben Fr Maria Dorothea Pfählerin geb. Eckelin, hinten auff das ganthhaus – als ein erkaufftes guth – um 675 und 287 pfund verhafftet, geschehen um 387 pfund
Né à Ellstett (Ellested) en Jutland au Danemark, fils de Nicolas Jensen, Chrétien Nicolas Ellstett fait dresser un état de sa fortune pour devenir bourgeois.
1750 (13.2.) Me Oelinger (J. Jacques, 35 Not 57) n° 1460
Designatio derjenigen Vermögens so der Ehrsame Mr Christian Niclaus Elstett leediger Schreiner Von Elstett im dännenmarck im Jüt Land gebürtig, so sich an Jgfr. Mariam Barbaram Wilderichin weÿl. Mr Hannß Georg Wilderich geweßenen schreiners v. burgers allhier zu Straßb seel. nachgelaßene dochter zu verheuraten gedencket, welches Vermögen weilen Er umb das burger recht Untge. ansuchung zuthun willens – Act. Straßb. den 13. febr. 1750.
Summa 110 lb
Le menuisier Chrétien Nicolas Ellstett épouse Marie Barbe Wilderich, issue du deuxième mariage de Jean Georges Wilderich : contrat de mariage, célébration
1750 (1.4.), Me Oelinger (J. Jacques, 35 Not 78) n° 1219
(Eheberedung) zwischen dem Ehrsahm v. bescheidenen Mstr. Christian Niclaus Elstett, Leedigen Schreiner von Elstett in dännenmarckt im Jutland gebürtig weÿl. Niclaus Jensen geweßenen ackersmanns und burgers daselbsten Ehelich erzeugtem nach tod verlaßenem Sohn, als hochzeiter ane Einem
so dann der Ehren v. tugendsahmen Jgfr. Maria Barbara Wilderichin, weÿl. H Joh: Georg Wilderich geweßenen Schreiners v. burgers allhier Zu Straßb.seel. mit frawen Annæ Mariæ geb. Voltzin ehelich erzielt v. nach tod verlaßener tochter – Actum Mittwochß d. 1. Aprilis 1750 [unterzeichnet] Christan Nicklaus Elsted alls hochseetter, Maria Barbara Wilderichin als hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 279-v, n° 1060)
1750. Eodem [d. 15. Apr.] sind nach ordentlicher proclamation ehel. copulirt und eingesegnet worden Christian Niclaus Ellstætt der ledige Schreiner weÿl. Niclaus Ellstæts des Ackersmanns in dem Dännemarckischen ehl. Sohn und Jfr. Maria Barbara Weÿl. Joh: Georg Wilderich des Schreiners und b. allh. ehel. T. [unterzeichnet] Christian Nicklaus Elstd als hochzeiter, Maria Barbara Wildrichin als hochzeiterin (i 285)
Originaire de « Copenhague » au Danemark, Chrétien Nicolas Ellstett devient bourgeois une semaine après son mariage
1750, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) n° 418
Meister Christian Niclaus Elstätt der schreiner Von Coppenhagen in dannemarck gebürtig erhalt das burgerrecht Von seiner Ehefrau Maria Barbara weÿl. Mstr Georg Wilderichs geweßenen burgers und schreiners ehel. tochter umb den alten burger schilling will beÿ E. E. Zunfft der Zimmerleuth dienen jur. d. 22. aprl. 1750.
Chrétien Nicolas Ellstett devient tributaire chez les Charpentiers
1750, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 32)
(f° 116-v) Dienstag den 5. Maÿ 1750. Evangel. Neu Z.
Mstr Christian Niclaus Elstett der Schreiner Von Ellstett in der Dannen Marck gebürtig prod. Cantzleÿ V. Stallsch. vom 22.ten Aprilis v. 2. Maÿ 1750. bitt Ihme als einen Leibzünfftig auf vnd anzunehmen.
Erk. willfarth, Juravit et dedit 3 lb
Chrétien Nicolas Ellstett meurt en 1757 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans une maison au Fossé des Tanneurs. La masse propre à la veuve est de 110 livres, celle des héritiers présente un passif de 23 livres. L’actif de la communauté s’élève à 97 livres, le passif à 47 livres.
1758 (26.5.), Me Haering (6 E 41, 1356) n° 73 (147 Grauel)
Inventarium über Weÿland des Ehrengeachten Meister Christian Niclaus Ellstett, gewesenen Schreiners und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen Verlassenschafft aufgerichtet anno 1758 – nach seinem den 4. 7.bris des abgewich. 1757.sten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschaft auf geziemendes Ansuchen, erfordern und begehren der Ehren und tugendsamen Fr. Mariä Barbarä geb. Wilderichin, der hinterbliebenen Wb. mit Zuziehung des Ehrenachtbaren Meister Johannes Beck, Schreiners und burgers dahier, ihres hierzu erbettenen beÿstandts, wie auch des Ehrengeachten Meister Daniel Andreæ Töpke, des Schreiners und burgers allhier als geordnet und geschwohrenen Vogts der nach dem Eingang dieses Inv. insonderheit benambsten Erben – So geschehen Straßburg den 26. May anno 1758.
der Verstorbene seelig hat ab intestato zu Erben verlaßen wie folgt, 1° Mariam Barbaram Ellstettin, so ohngefehr sieben Jahr alt, 2.do Catharinam Dorotheam Ellstettin, die 3 Jahr auf sich hat, 3.tio Johann Christian Ellstett, welcher 15 Wochen erlebet, Alle dreÿ des abgeleibten seelig mit seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugte Kinder und ab intestato verlaßene Erben
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Gerbergraben gelegenen dißorts lehnungs weiße bewohnenden behausung befunden worden wie folgt
Ergäntzung der Wb. ohnveränderten Guths. Vermög einer von ihro der Wb. produciren und dem Concept beÿliegenden, über die beeden geweßten Ellstettischen Ehepersonen auf dero hochzeitlichen Ehrentag verhrte haussteuren gefertigtes wiewohl ohnunterzeichenen Vorzeichens (…)
Series Rubricarum hujus Inventarii. der Wittib ohnverändert Nahrung, Sa. hausraths 21 lb, Sa. silbern Geschmeids 5, Sa. Goldener Ring 2 lb, Sa. Ergäntzung 30 lb, Sa. Schulden 50 lb, Summa summarum 110 lb
Dießemnach werden auch der Kinder und Erben ohnveränderte Rubricen und Effecten beschrieben, Sa.hausraths 16 lb, Sa. Silbers 1 lb, Sa. Ergäntzung 8 lb, Summa summarum 26 lb – Schulden 50 lb, In Vergleichung, passiv onus 23 lb
Endlichen folgt auch das gemein verändert und theilbar gut, Sa. hausraths 17 lb, Sa. Werckzeugs Zum Schreiner handwerck gehörig 62 lb, Sa. Schulden 17 lb, Summa summarum 97 lb – Schulden 47 lb, Nach deren Abzug 48 lb
Stall summ 135 lb
Eheberedung (…) den 1. Aprilis 1750, Johann Jacob Oelinger Notarius juratus
Les Quinze autorisent la veuve de Chrétien Nicolas Ellstett à continuer d’exploiter l’atelier jusqu’à ce que Jean Georges Reule avec qui elle projette de se remarier ait passé son chef d’œuvre, soit au plus un an et demi
1759, Protocole des Quinze (2 R 171, rapiarium 170)
Christian Niclaus Elstett des Schreiners wittib pt° Werckstatt forttreibung
(p. 619) Sambstags d. 22. Decembris. Claus nôe weÿl. Christian Niclaus Elstett gewesenen burgers und Schreiners allhier hinterlaßener Wittib Mariæ Barbaræ Wildrichin, producirt unterth. memor: und bitten pt° gnädiger Erlaubnuß der Vorhabenden Verheurathung ohngeachtet die Werckstatt forttreiben zu dörffen.
Frœreisen nôe des Ober meisters setzt der Implorantin begehren Zu MGHh beliebigen Disposition.
Erk. daß der Implorantin sub merito oblati daß das Meisterstück Von ihrem Zukünfftigen Ehemann Joh: Georg Reule innerhalb i. Jahr 6 Monath Verfertiget seÿn solle, erlaubt seÿn solle der vorhabenden Verheurathung ohngeacht, die werckstatten zu halten und darmit continuiren Zu dörffen.
(p. 620) Claus nôe Mariæ Barbaræ Elstettin geb. Wildrichin in actis Ca. E. E. Meisterschafft der Schreiner Ober meister auch in actis bitt Com. Sent. Erk. willfahrt.
Marie Barbe Wilderich se remarie avec Jean Georges Reule, menuisier originaire de Blaubeuren en Wurtemberg ; contrat de mariage, célébration
1760 (10.1.), Me Grauel (Jean Michel, 6 E 41, 626) n° 10
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehrenachtbare Johann Georg Reille, der ledige Schreiner alhier, weÿl: Andreas Reille gewesenen Gartners Zu Blau beÿren Würtenbergischer Herrschafft ehel. Sohn, als Hochzeiter, ane einem
und Frau Maria Barbara geb. Wilderichin, weÿl. Meister Christian Niclaus Ellstett, gew. Schreiners und burgers alhier Zu Straßburg seel. hinterbliebener Wb. beÿständlich Meister Johannes Beck, des Schreiners und burgers dahier ihres Stieffvatters, als hochzeiterin ane dem andern theil – So geschehen alhier zu Straßburg den 10. Januarii Anno 1760 – [unterzeichnet] Johann Georg Reÿle Als hochzeiter, Maria Barbara Elßedtin als hochzeiterin
Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 376-v)
1760. Dom: I. et II. Epiph. wurden allhier ordnungsmäßig proclamirt und darauff in Illkirch copulirt Joh: Georg Reile der ledige Schreiner Von Blaubeuren im Würtemb. weil. Andr: Reile gewes: b. u: Gartners daselbst ehel. Sohn, u. Fr Maria Barbara geb. Wildrichin weil. Nicl. Elstedts, b. u. Schreiners hinterl. Wittib (i 382, reg. Illkirch en déficit)
Jean Georges Reule devient tributaire chez les Charpentiers
1761, Protocoles de la tribu des Charpentiers (XI 32)
(f° 247) Dienstag den 17. Februarÿ 1761. Evangelisch Neuz.
Mr Johann Georg Reuler der verheurathete Schreiner von Blaubeuren in dem Würtenbergischen gebürtig, producir Cantzleÿschein vom 3. Maÿ 1760. vnd Stallschein datirt den 17° Februarÿ 1761. bitt vermög derselben Ihm gegen erlag der gebühr vnd præstito Juramenyo zu einem leibzünfftig auf und an zunehmen.
Erkandt, willfart der producent hat præstanda præstirt und 3. lb. d erlegt
Les Quinze autorisent Jean Beck à employer deux compagnons supplémentaires pour honorer la commande que lui a passée la fondation Saint-Marc bien que plusieurs maîtres attendent de pouvoir engager des compagnons.
1760, Protocole des Quinze (2 R 172)
Johannes Beck der Schreiner pt° Gesellenwegen Arbeit für das Stifft S. Marx
(p 249) Sambstags d. 21. Junÿ. Idem [Froereisen] nôe Meister Joh: Beck des burgers und Schreiners Principalis ist gemüssiget wegen bestellten unterschiedlicher Arbeit für das löbl. Stifft S. Marci laut mit Kommenden Scheins Zweÿ Gesellen über die Verordnete Anzahl Zu halten, bitt demnach Ihme solche auff dreÿ Monath gnädig Zu Zuprechen, anbeÿ Zuerkennen daß er für sie jenige Gesellen welche allenfalls außtretten sollten, in die bitt einzuschreiben seÿe.
Erk. Willfahrt so lang die quæstionirte arbeit dauren Wird, weilen aber einige Meister, welche schon über Sechs wochen in der bitt stehen Keinen Gesellen bekommen Können d andere Meister um Vermehrung einiger Gesellen anhalten so gleich Zu ihren Zweck gelangen, als wäre nothig, anzubefehlen, daß den [-] so schon einige Zeitlang in der [-] vorderist ein Gesell Zu kommen so[-]
Anne Marie Voltz meurt en 1761 dans la maison vendue trois ans plus tôt à sa fille. Elle délaisse un fils et deux filles de son premier mariage avec Jean Georges Wilderich. La masse propre au veuf s’élève à 32 livres, celle des héritiers à 261 livres. L’actif de la communauté s’élève à 427 livres, le passif à 552 livres. Lors du règlement de la succession, sa fille Marie Barbe se rend acquéreuse du tiers de la maison (voir l’inventaire Beck de 1764)
1761 (6. 8.bris), Me Zimmer (6 E 41, 1400) n° 22
Inventarium über Weÿl. der Ehren: und tugendsahmen Frauen Annä Mariä Beckin gebohrner Voltzin, des Ehrsam und bescheidenen Mstr Johannes Beck, Schreiners und burgers allhier Zu Straßburg gewesener ehelichen Hausfrauen nunmehr seeligen Verlassenschafft, auffgerichtet Anno 1761 – nach ihrem den 20.ten Maÿ dieses 1761. Jahrs aus dießer Zeit und Welt genommenen tödlichen Hientritt, Zeitlichen verlaßen – So beschehen allhier Zu Straßburg in Præsentia S. T. H. Christian Ludwig Boeckler, J. U. Lti wie auch E: E: kleinen Raths alhie dermahligen wohlverdienten beÿsitzers, als aus gedachter Ehrs. Raths Mittel, in ansehung des abwesendern Sohns erster Ehe hierzu abgeordneten Herrn Deputati und H. Joh: Michael Grauel Notarii publici alhier des Wittibers zu dießem Geschäfft erbettenen Herrn beÿstandts, auf dienstag den 6. 8.br anno 1761.
Die Verstorbene seelige hat ab intestato Zu rechtsmäßigen Erben hinterlaßen wie folgt, 1.mo Joh: Georg Wilderich, so sich unter dem Königlichen Frantzösischen Regiment Nassau Saarbrück in diesten befindet, und abweßend, In deßen Nahmen der Eingang benanndte Herr Deputatus diesem Geschäfft beÿgewohnet und deßelben Interesse bestens besorget, 2. Fr. Mariam Barbaram gebohrne Wilderichin Mstr. Joh: Georg Reile des Schreiners und burgers alhier Ehefrau welche unter assistentz dieses ihres Ehemanns der Inventur in Persohn abwartete. 3. Fr. Annam Mariam gebohrne Wilderich S. T. H. M. Tobiæ Gärtner treueÿfferigen Pfarrers der Evangelischen Gemeinde Zu Schiltigheim, Ehegattin welche unter beÿstand ihres Eheherren diesem Geschäfft gleichmäßig persönlich beÿgewohnt, Alle dreÿ der Verstorbenen seeligen mit auch weÿland Mstr. hanß Georg Wilderich, dem Schreiner und burgern allhier ihren gewesenen erstern Ehemann seel. ehelich erzeugten Sohn und töchtere, und ab intestato Zu gleichen portionen und Antheilern hinterlaßene Erben.
In einer alhier Zu Straßburg gelegenen behaußung das Eck ane dem Ganthgäßlein und Heiligenlichter gaß ausmachend, befunden worden wie folgt.
(f° 10) Ergäntzung des Wittibers wehrender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Neml. Vermög Inventarii über beeder nunmehro durch den Zeitlichen todt Zertrennter Ehepersohnen einander vor ohnverändert in der Ehe Zugebrachte Nahrung, durch H. Not. Joh: Jacob Oelinger d. 24. febr. Anno 1732. auffgerichtet
(f° 17) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
Des Wittibers unveränderten Vermögens, Sa. Werckzeugs Zum Schreiner Handwerck gehörig 14, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 17 ß Sa. Schuld, 30, Ergäntzung (19, Abgang 4, Restirt) 14, Summa summarum 60 lb – Schulden 27 lb, Nach deren Abzug 32 lb
Dießemnach wird auch der Erben unveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 27, Sa. Werckzeugs Zum Schreiner Handwerck gehörig 5, Sa. leeren Faß 2, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 15 ß, Sa. goldener Ring 2, Sa. baarschafft 2, Sa. Schuld 25, Sa. Ergäntzung (294, Angang 67, Rest) 227, Summa summarum 292 lb – Schulden 32, Nach deren Abzug 261 lb
Endlichen folgt auch die Beschreibung des gemeinen und theilbaren Guths, Sa. haußraths 48, Sa. Werckzeugs Zum Schreiner Handwerck gehörig 66, Sa. leeren Faß und bütten 2, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 3, Sa. baarschafft 2, Sa. Pfenningzinß hauptguths 12, Sa. Schulden 292, Summa summarum 427 lb – Schulden 552 lb – In Vergleichung, theilbares Passiv onus 124. lb
Beschluß und Stall summa 169 lb – Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden in die theilbar Verlaßenschafft Zugeltend 545 lb
Copia der Eheberedung (…), Johann Jacob Oelinger
Jean Beck se remarie avec Marguerite Elisabeth Bürckel, veuve du coutelier Raoul Haller : contrat de mariage, célébration
1763 (11.6.), Me Zimmer (6 E 41, 1444) n° 29
(Eheberedung) persönlich erschienen, Meister Johannes Beck, der Wittiber, Schreiner und burger allhier Zu Straßburg, als hochzeiter ane einem,
So dann Frau Margaretha Elisabetha gebohrne Birckelin, weÿland Meister Rudolph Hallers gewesenen Meßerschmids und burgers allhier seel. hinterlaßene Wittib, beÿständlichen T. Herrn Johann Friderich Lobstein, Notarÿ publici und berühmten practici allhier, als Hochzeiterin ane dem andern theil – auf Sambstag den 11. Junÿ Anno 1763. [unterzeichnet] Johannes beck als Hoch Zeiter, + der hochzeiterin handzeichen
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 427, n° 1527)
1763, Mittwochs den 13. Julÿ wurden nach Dom: V. et VI. Trinit. geschehener offentlicher und gewohnlicher Proclamation ehelich copulirt und eingesegnet, Johannes Beck der Schreiner, Wittiber und burger allhier, und Fr Margaretha Elisabetha gebohr. Bürckelin, weÿl. Rudolph Hallers gewesenen Meßerschmidtsts und burgers allhier nachgelaßene wittib [unterzeichnet] Johannes Beck als hochzeiter, + der hochzeiterin handzeichen (i 432)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans lequel figurent deux tiers de la maison sont sa belle-fille Marie Barbe Wilderich a acquis le troisième tiers lors du règlement de la succession de sa mère. La vente à son profit en 1758 a été résolue par accord devant notaire
1764 (5.11.), Me Zimmer (6 E 41, 1405) n° 88
Inventarium über Meister Johannes Beck des Schreiners und Frauen Margarethä Elisabethä gebohrner Birckelin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander vor unverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1764. – zufolg deroselben den 11. Junii Anno 1763. vor mir dem unterschriebenen Notario mit einander auffgerichteter Eheberedung und deren Paragraphi 3.tio einander vor unverändert in den Ehestand zugebracht haben – so geschehen allhier Zu Straßburg in beÿseÿn H. Johann Carl Pohle des buchhändlers und burgers allhier als der Ehefrauen hierzu erbettenen beÿstands, den 5. Novembris A° 1764.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Ganthgäßlein gelegenen dem Ehemann Zum theil Zuständiger behaußung befunden worden, wie folgt.
Eigenthum ane einer behaußung. (M.) Neml. Zween dritte theil Vor unvertheilt von und ane einer behaußung Hoff, Hoffstatt, samt allen übrigen deroselben Gebäuden begriffen, Weithen, Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhie Zu Straßburg hinter der Kürßner: Stub, einseit neben dem vormaligen Ganthauß, dermalen Löbl. Statt Stall, anderseit ein Eck an der heiligen Liechtergaß ausmachend, vornen auf das Ganthgäßlein und hinten auf weÿl. H. N. Pfähler des gewes. Eißenhändlers und burg. dahier seel. Erben stoßend, so außer hernach erwehnten Passiv: Capitalien freÿ, leedig, eigen. Und wird die gantze behaußung jedoch ohnpræjudicirlichen geachtet pro 1800. lb. Woran die hiehero gehörige Zwo tertzen anlangen 1200. lb.
Der übrige dritte theil ist Frauen Mariæ Barbaræ gebohrner Wildrichin, Mstr Joh: Georg Reile, des Schreiners und burgers dahier Ehefrauen sein des Ehemanns Stieff tochter vor unvertheilt Zuständig. Diese Zween dritte theil hat erstgedachte Fr. Reilein beÿständlich Ihres Ehemanns vermög des den 18.ten Aug. 1762. getroffenen und beÿ dem Abtheilungs Concept über Fr. Annæ Mariæ Beckin geb. Voltzin sein des Ehemanns ersterer Ehefrauen seel. Verlaßenschafft durch mich Notarium in Anno 1762. errichtet, sich befindlichen Vergleich eigenthümlich übergeben, Vor und um die Summa von 900. lb. und solche in allhießiger Cancelleÿ Contract stub Verschrieben Zu laßen sich Verpflichtet. Es ist aber die Verschreibung derselben bis daher noch nicht vorgenommen worden, und Zwar der Ursachen, weilen Sie Fr. Reilein sich in der Güte hiezu nicht verstehen will, daher gerichtlich wird angehalten werden müßen, Wobeÿ anzumercken, daß vorhergedachte behaußung vormalen Ihme dem Ehemann Zuständig geweßen, Ihro Frauen Reilein aber Verkaufft und die Verschreibung den 3. 9.bris 1758. in allhießiger Cancelleÿ Contract stub passirt worden, diese Verschreibung aber seÿe zu inseriren vergeßen worden, wie daß Er der Ehemann beÿ seinem lebzeiten solche behausung samt Zugehörden wieder gegen Erlag des Kauffschillings und Ersetzung der etwan darein verwendeten Haupt: Reparationen an sich Zu Ziehen berechtiget wäre, derohalben declarirte Sie Fr. Reilein Vor H. Notario Joh: Mich. Grauel und Gezeugen den 15. Jan: 1760. daß wann Er der Ehemann gesinnet wäre über kurtz oder lang solche behausung unter Erfüllung vorgemelter Conditionen wieder an sich zu ziehen, so wollte Sie Fr. Reilein Ihme dieselbe freÿ und ohne Verursachung einigen Kostens oder Schadens abtretten und einraumen. Es ist aber diese Declaration durch obenangeführten Vergleich abgethan und der hierüber passirte Actus annullirt worden, hiehero zum bericht.
Über siese behaußung samt Zugehörden melder ein teutscher pergamentener Kauffbrieff de dato 26. Septembris 1671., mit allhießiger Löbl. Statt Pfenningthurn anhangendem Insigel verwahrt, inhaltend wie die Wohlverordnete Ober Bauherren und Dreÿ erwehnter Pfenningthurns diese behaußung an Joh: Clausmeÿer den alhiesig. verburgerten Schreiner verkaufft haben, mit altem N° 1 bezeichnet, und dabeÿ gelaßen, sonsten aber hat sich nichts schrifftliches herbeÿgethan.
(f° 9) Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns in die Ehe gebrachten Vermögens. Sa. Haußraths 48, Sa. Holtz und Werckzeugs Zum Schreiner Handwerck gehörig 105, Sa. Silbers 9, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1200, Sa. Schulden 192, Summa summarum 1555 lb – Darzugelegt die Ihme an denen haussteuren gebührige Helffte 13, Demnach kommet des Ehemanns in die Ehe gebracht samtliche Nahrung auf 1565 lb – Schulden 948 lb, Nach deren Abzug 620 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Guth, Sa. Haußraths 95, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 14, Sa. goldener Rung 11, Sa. Schulden 243, Summa summarum 364 lb – Deme ist beÿzurechnen die Ihro gehörige haussteuren Helffte 13 lb, der Ehefrauen in die Ehe gebracht völlig Guth 378 lb
Zweiffelhaffte und vor verlohren geachte Schulden so zwischen dem Ehemann und deßen Kindern erster Ehe ohnverändert ausgesetzt verblieben 567 lb, daran participirt der Ehemann zween dritte theil anlangend 378 lb
Les Quinze autorisent Jean Beck à engager son compagnon ordinaire mais le renvoient au règlement pour le deuxième compagnon
1768, Protocole des Quinze (2 R 179)
Johannes Beck der Schreiner pt° Gesellen
(p. 289) Sambstags d. 21.den Maÿ 1768. Idem [Osterrieth] nôe Johannes Beck des burgers und schreiners u. b. allhier C. A. E. Meisterschafft der teutschen Schreiner Obermr., dieser bittet ihme Zu erlauben, 2. gesellen außer der bitt Zu nehmen, da er Viele arbeit und gar keine gesellen hat. Froereisen, wieder die annahm des einen hat man dießorts nichts Zu sagen, puncto des 2.ten mag er sich in die ordung richten. Osterrieth priora.
Erkandt, Wird dem Imploranten mit einem gesell begehrter maßen Willfahrt, in ansehung des Zweÿten aber derselben an die ordnung verwiesen.
L’inventaire après décès de Jean Beck n’est pas conservé. Il figure au répertoire do notaire Thenn
1773, Me Thenn (Répertoire 6 E 41, 664-5) n° 209
weiland Meister Johannes Beck gewesenen Schreiners und burgers alhier seel. Verlassenschaft
Marguerite Elisabeth Bürckel meurt en 1778 sans enfant. L’inventaire est dressé dans la maison du tanneur Jean Valentin Riehlé rue du Bain-aux-Plantes. L’actif de la succession s’élève à 14 livres, le passif à 26 livres.
1778 (16.2.), Me Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 878) n° 38
Inventarium über Weiland Fraun Margarethä Elisabethä Beckin, gebohrner Bürckelin, Weiland Meister Johannes Beck, geweßenen Schreiners und burgers dahier Zu Straßburg hinterbliebener Wittib Verlassenschafft, errichtet Anno 1778 – nach ihrem den 12.sten dießes Monaths Februarii erfolgten absterben an Vermögen hinterlassen hat, Welche Verlaßenschaft auf Ansuchen Fraun Annä Margarethä Geÿlerin, gebohrner Bürckelin, Johannes Geÿlers, des Becken und burgers dahier Ehefraun, als der defunctæ Verstorbenen ältern bruders hinterlassener ehelicher Tochter und zufolg Testamenti Nuncupativi §° 5.to instituirter Universal Erbin inventirt worden ist
Geschehen allhier Zu Straßburg in einer an dem Pflantzbad gelegenen, Hn. Johann Valentin Riehle, dem allhiesigen burger und Rothgerber eigenthümlich Zuständigen behaußung, Montags den 16. Februarÿ Ano 1778.
Series rubricarum hujus Inventarii. Sa. hausraths 13 lb, Sa. Silbergeschmeids 7 ß, Summa summarum 14 lb – Schulden 26 lb, Compensando, Mehr Schulden als Nahrung dem Stalltax nach 12 lb
Ob nun diese Verlaßenschafft, Wann die vorher inventirte Rubricen entweder Versilbert oder sonsten auf ihrem Wahren Werth gesetzt seÿn werden, nach dem Tenor der defunctæ errichteten Vorher copeÿlich eingetragenen Testamenti wird erörtert Werden können oder nicht, solches wird sich erst Künfftiger Zeit Zeigen.
Copia der Verstorbenen seel. vor Weiland herrn Notario Johann Heinrich Thenn seel. den 21.ten Januarii Anno 1775 errichteten Testamenti nuncupativi – in einer alh. Zu Straßburg an dem alten Weinmarckt ohnfern dem Speÿrthor neben dem Speÿrbad gelegenen mir Notario Zuständigen behausung meiner gewohnlichen Schreibstub mit denen fenster auf ged. alten Weinmarckt aussehend persönlich kommen und erschienen die Ehren und tugendsame Frau Margaretha Elisabetha Beckin geb. Bürckelin, weil hr Joh: Beck gewes. Schreiners und b. allh. seel. hinterl. Wb. Von Verleihung Göttl. Gnaden aufrechten gesunden, gehend und sehenden Leibs, auch guter richtiger Sinnen, Vernunfft und Verstand (…), Drittens legirt die Fr. Disponentin, Joh: Geÿler, des Meelhändlers u. b.alh. mit Fr Anna Margaretha geb. Bürckelin ehel. erziehlten 4 Kindern benandl. Margarethæ Magdalenæ, Joh: Friedrich, Margarethæ Salome und Joh: Daniel denen Geÿleren (…), An dem 4. solle Georg Friedrich Bürckel der Schreiner und b. alh. ihr der Fr. Disponentin verstorbenen jüngern Bruders sel. hinterl. ehel. Sohn Zu einem Legat (…), Zum 5.ten (…) als will die Fr. Disponentin Zu ihrer einigen, wahren, rechten, wissentlichen und ohngezweifelten Erbin aller ihrer Verlaßenschafft (…) instituirt und eingesetzt haben, Fr. Annam Margaretham Geÿlerin geb. Bürckelin vorgemelten Joh: Geÿlers des Meelhändlers und b. alh. ehel. hausfrau, ihr der Fr. Disponentin verstorbenen ältern bruders sel. hilterl. tochter. Collationirt (…) durch unterschriebenen Notarium als besitzern des Verstorbenen Herrn Notarii Johann Heinrich Thenn sel. hinterlaßener Notariat Acten, Straßburg d. 14. febr. 1778. Johann Friderich Greiß. Notarius juratus
Jean Beck et Marguerite Elisabeth Birckel hypothèquent la maison au profit de Marguerite Elisabeth Eisenmann née Pfeffinger
1769 (19.8.), Chambre des Contrats, vol. 643 f° 596
Johann Beck der schreiner und Margaretha Elisabetha geb. Bircklerin mit beÿstand Johann Geÿler des meelmanns und Johann Conrad Fischbach des hoßenstrickers beede ihren nächsten
hatt in gegensein H. Georg Adam Petzel des handelsmann als mandatarius Fr. Margarethæ Elisabethæ Eisenmännin geb. Pfeffingerin – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis hinter dem Herrenstall beÿ E.E. zunfft der Kürßner, einseit neben gedachten H. Stall, anderseit neben Fr. Dorothea Ottin geb. Eckelin
Jean Georges Reule et Marie Barbe Wilderich hypothèquent la maison au profit de Marie Barbe Rheinthaler
1770 (22.1.), Chambre des Contrats, vol. 644 f° 45-v
Johann Georg Reÿle der schreiner und Maria Barbara geb. Wildrichin mit beÿstand Philipp Friedrich Köhling des scribenten und Heinrich Brand des schreiners beede ihren nächsten
hatt in gegensein Jgfr. Mariæ Barbaræ Rheinthalerin – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der hellen Lichtergaß, einseit ist ein Eck, anderseit neben H. Mag. Ott uxorio nomine, hinten auff löbl. Stadt Stall
Jean Georges Reule et Marie Barbe Wilderich font dresser un inventaire du passif et de l’actif. La femme déclare que son mari manifeste une grande hostilité envers elle et qu’il lui fait subir des sévices. Elle déclare en outre qu’aucun inventaire des apports n’a été dressé et que l’argent qui provient de la maison Beck a été dilapidé. Les biens de la femme s’élèvent à 491 livres. L’actif de la communauté et du mari est de 192 livres, le passif de 510 livres.
1777 (11. Herbstmonat), Me Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 584) n° 356
Inventarium über Mr Johann Georg Reÿle des Schreiners und Frauen Mariä Barbarä gebohrner Wilderichin, beeder Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg dermalen besitzende Activ und Passiv: Nahrung, aufgerichtet Anno 1777. – Welches beÿserseitiges Vermögen auf Ansuchen gedachter Ehefrauen, so ad hoc mit H Friderich Jacob Röderers, Cancellariæ Substituto et Procuratore vicario ane Vogts statt verbeÿstandet, angesehen dieselbe theils wegen ihres Ehemanns immerfort mit ihro führenden harten Streitigkeiten, und an ihrer Grosen ausübender Sævitien, Zum theil aber auch wegen beobachtender starcker Abnahm ihres unveränderten Vermögens, genöthiget ist gehöriger Orten puncto separationis sowohl quoad thorum et mensam als auch quoad bona gegenein. einzukommen, fleißig inventirt und ersucht (…)
So geschehen alhier in der Königlichen Statt Straßburg und einer daselbst ane dem so genannten Salmengäßlin beÿm alten Kornmarckt gelegenen H. Georg Friderich Zeÿssolff dem hiesigen burger eigenthümlich zuständigen und dißorts Lehnungs weiß inhabende behausung, Donnerstag den Eilften Herbstmonat im Jahr 1777.
Copia der Eheberedung – erschienen der Ehrenachtbare Johann Georg Reille der ledige Schreiner alhier, weiland Andreas Reille gewesenen Gartners Zu Blau beÿren Würtenbergischer herrschafft ehelicher Sohn, als Hochzeiter, ane einem, und Frau Maria Barbara gebohrne Wilderichin, weiland Meister Christian Niclaus Ellstett, gewesenen Schreiners und burgers alhier Zu Straßburg seeligen hinterbliebenen Wittib beÿständlich Meister Johannes Beck des Schreiner und burgers dahiner ihres Stiefvatters, als hochzeiterin ane dem andern theil – So geschehen alhier zu Straßburg den 10. Januarii Anno 1760, Joh: Michael Grauel Notarius
Bericht. Ohngeachtet in dem 3.ten Puncten der Vorher copialiter einverleibten Eheberedung außtrucklich stipulirt worden, das alles das jenige Vermögen welches beede dissortige Eheleuthe in ihrem Ehestand zusammen bringen in gleichem während desselben ererben, wie nicht weniger Vermächtnis oder Schanckungs weiß überkommen werden, einem jeedem Theil und seinen Erben ein freÿ, eigen unverändert und vorbehalten Guth seÿn und bleiben (…) so haben dennoch Eingangs benamste Eheleuth auf befragen Zur Antwort ertheilt, daß ihr beÿderseitig in die Ehe zusammen gebraches Vermögen nicht inventirt worden. Des Mariti Illata seÿn nur in der um und an sein Leib gehöriger Kleidung und weißen Gezeug bestanden, die Ehefraun Zugebrachtes Guth aber betreffend, so producirte dieselbe das über ihres verstorbenen ersten Ehemanns Meister Christian Niclaus Ellstätt gewesenen hiesigen burgers und Schreiners Verlaßenschafft am 26. May 1758. durch nun weiland H Notarium Joh: Richard Häring auffgerichtetes Inventarium (…), über das jenige aber, was davon währen dieser Ehe abgangen, wie nicht weniger was ihro pro rato ane der Beckischen behausung in der Hellenlichtergaß gelegen, ane baarem Geld ausgefallen, und seithero ebenfalls alienirt wurde, worüber von dem Käuffer solchen Haußes H. Notario Johann Carl Ficke, nach Maaßgaab seines in Händen habenden Kauffbriefs bericht eingeholt werden, hat man nachstehende Ergäntzungs Rubric formirt (…)
Holtz und ohnfertige Arbeit wie auch Werckzeug Zum Schreiner handwerck gehörig
Ergäntzung der Ehefrauen ermangelden unveränderten Guths, Nach Anleitung des über ihr der Ehefrauen erstern Mariti weiland Mr Christian Niclaus Ellstett, des gewesenen Schreiners und burgers alhier Verlaßenschafft am 26. May 1758. durch nun weiland H Notarium Joh: Richard Häring auffgerichteten und expedirten Inventarii
Series rubricarum hujus Inventarii. Der Ehefraun eigenthümlich angesprochen unverändert Vermögen, Sa. Haußraths 170, Sa. Silbers und Geschmeids 14, Sa. goldenen Ringen 4, Sa. baarschafft 1, Sa. Schuld 25, Sa. Ergäntzungs rests 362, Summa summarum 577 lb – Schulden 85, Nach deren Abzug 491 lb
Solchemnach wird auch des Ehemanns unverändert und theilbare Massa unter einem Titul beschrieben, Sa. Haußraths 16, Sa. Holtz, ohnfertiger arbeit wie auch werckzeugs 64, Sa. Silbers 5, Sa. Schulden 105, Summa summarum 192. – Schulden 510 lb, In Compensatione, passive Recess 318 lb
Etat des biens que Jean Georges Reule remet à sa femme Marie Barbe Wilderich après que la chambre matrimoniale a prononcé la séparation de corps et de biens le 16 décembre 1777 et que le Petit Sénal lui a accordé le 22 décembre le bénéfice de cession
1778 (2.1.), Me Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 584) n° 365
Designatio über Meister Johann Georg Reule, des Schreiners und burgers Zu Straßburg, seiner geschiedenen Ehefraun Maria Barbara geborner Wilderichin ausgelüfferter Haabseligkeiten aufgerichtet Anno 1778.
Zu dem 1778. Jahr, Freÿtags den zweÿten Jenner Nachmittags auf Ansuchen Frauen Mariæ Barbaræ Reulein geborne Wilderichin, welche mit Herrn Friderich Jacob Röderer Cancellariæ Substituto et Procuratore vicario ane Vogtsstatt Verbeÿstandet, habe ich unterschriebener (…) Notarius mich in dero Ehemanns Meister Johann Georg Reule, des Schreiners und burgers allhier ane dem Salmen gäßlein gelegene Wohn behaußung Verfüget, aber derselbe declarirt, daß Zufolg Vorgewiesenen bescheids E. Löbl. Ehegerichts dedato 16. Decembris 1777. sie bede Eheleuth Von einander quoad Thorum et Mensam geschieden, ingleichem, daß Vermög producirter E. E. Kleinen Raths Erkantnus vom 20. ejusdem verordnet worden, daß ihre das Beneficium Cessionis zuzulassen, und ihro die Rubricæ Inventarii ohnveränderten Guths zu entschlagen seÿen, so dann daß weißt anderwärtig Vorgelegten E. E. Kleinen Raths bescheidt vom 22. nemlichen Monats, so den 24. dito publicirt, deroselben ihres Mariti Activ-Massa mit den Anhang entschlagen worden, daß Sie dagegen die ihr vorgängige und in gedachtem bescheid benamste Passiv: Schulden Zu bezalen gehalten seÿn soll (…)
Summa der Ehefrau unverändert Natural Posten, so der Ehemann Ihro theils bei der Inventur und Zum theil seither und jetzo ausgelüfert hat, beträgt nach dem Anschlag des Inventari 127 lb
Von des Ehemanns unverändert und theilbare Nahrung herrührig, 4 lbb
Summa summarum samtblicher der Ehefrauen ausgelüferter habseligkeiten 131 lb
Endlich folget die Verzeichnus dererjenigen Articuln, welche zum theil mangeln und theils der Ehemann abfolgen zu lassen sich weigert als (…) 144 lb
Sig. Straßburg den 5. Januarÿ 1778.
Etat des biens que Marie Barbe Wilderich fait mettre en vente
1778 (23.2.), Me Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 584) n° 366
Designatio dererjenigen Mobilien und Effecten, welche Fr. Maria Barbara geborne Wilderichin, Mr Johann Georg Reule des Schreiners und burgers allhier Zu Straßburg, sowohl vermög E. Löbl. Ehegerichts bescheids dedato 16. Dec. 1777. quoad Thorum et Mensam als auch Krafft des beÿ E. E. Kleinen Rath am 22. ejusdem ergangenen und am 24. dito publicirten bescheids quoad Bona geschiedene Ehefrau, welche mit Herrn Friderich Jacob Röderer Cancellariæ Substituto et Procuratore vicario ane vogtsstatt Verbeÿstandet ane dato in der langen Straß beÿ dem sogenanten Müllergäßlein (…) öffentlich distrahiren und versteigern lassen
Montag den 23. Februarÿ 1778. Vormittags
Jean Beck et sa belle-file Marie Barbe Wilderich femme de Jean Georges Reule exposent la maison aux enchères sur une mise à prix de 5 000 florins (2 500 livres). Aucun amateur ne se présente.
1772 (25.5.), Me Zimmer (6 E 41, 1450) n° 256
auf Ansuchen Mr Johannes Beck des Schreiners und Fraun Mariæ Barbaræ geb. Wilderichin Mr Johann Georg Reile de Schreiners Ehefrau
zu einer freiwilligen Versteigerung der ihme Mr Beck zu zweÿen dritten theilen und Frauen Reilein zu einem dritten theil eigenthümlich zuständigen behaußung hoff hoffstatt samt allen übrigen deroselben mit allen deren übrigen Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten ane dem Ganth gäßlein und heiligen Lichter Gaß so ein Eck dieser beeden Gaßen ausmacht, anderseit neben löbl. Stadt Stall anderseit neben berührte heiligen Lichtergaß hinten auf weÿl. H. Pfähler des Eisenhändlers Erben – um 1237 lb verpfändet, ausgerufen pro 5000 fl.
kein Gebott
Autre vente par enchère volontaire. Jean Georges Reule se porte acquéreur
1772 (5.9.), Me Schaeff (6 E 41, 875) n° 17 (II)
Freÿwillige Hauß Versteigerung – auf Veranstalten und begehren Mr Johannes Beck des Schreiners und Fr. Mariæ Barbaræ geb. Wilderichin Mr Johann Georg Raule des ebenmäßigen Schreiners Ehefrau
der ihme Mr Beck zu zween dritten theilen und Frauen Raulein zu einem dritten theil eigenthümlich zuständigen behaußung hoff hoffstatt samt allen überigen deroselben mit gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten ane dem Ganth: Gäßlein und heiligen Lichter Gaß so ein Eck dieser beeden Gaßen ausmacht, einseit neben löbl. Statt Stall anderseit neben gedachte heiligen Lichter gaß und hinten auf weÿl. H. Pfähler des Eisenhändlers – um 1237 Capitalien verhafftet, ausgeruffen pro 4000 R den 29. Julÿ 1772
den 19. Augusti, 3700 Johann Georg Reule – Cession 5. sept.
Marie Barbe Wilderich femme de Jean Georges Reule passe un accord de vente avec le notaire Jean Charles Fické
1772 (9.11.), Me Schaeff (6 E 41, 875) n° 36 (I)
Præliminar Kauff und Verkauff Contract – Frau Maria Barbara Reulein geb. Wilderichin Mr Joh: Georg Reule des Schreiners
in gegensein S.T. H. Johann Carl Fické Notarii publici jurati und berühmten practici
Eine vorder: und hinter behaußung mit zweÿen höfflein hoffsätten und gemeinschaftlichen bronnen samt allen deren übrigen Gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten auch dem ausgehobenen aber vorhandenen Kupffernen bauchkößel ane der heiligen Lichter: Gaß und sogenanntem Gant: Gäßel, einseit neben weÿl. H. Pfähler des gew. Eisenhändlers Erben, anderseit ist dieselbe ein Eck an besagten beÿden Gaßen und hinten auf Löbl. Stadt Stall – geschehen um 3700 gulden
Marie Barbe Wilderich femme de Jean Georges Reule vend deux tiers de la maison au notaire Jean Charles Fické
1772 (16.12.), Chambre des Contrats, vol. 646 f° 567
Fr. Maria Barbara Reulein geb. Wilderichin Mr Johann Georg Reule des schreiners ehefrau
hatt in gegensein H. Johann Friedrich Schäff Not. publici ac jurati nahmens Johann Beck des schreiners
zweÿ dritte theil vor unvertheilt von und ane einer behausung bestehend in vorder und hinter haus mit zweÿen höfflein, hoffstätten auch gemeinschafftlichen bronnen samt mit allen denen übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der heiligen Lichtergaß und dem sogenannten Ganth gäßelin ; die gantze behausung einseit neben weÿl. H. Pfähler d. gw. eißenhändlers erben, anderseit neben ane beÿden gemelten gäßen ein eck außmachend, hinten auff den hoff löbl. Statt Stalls – um 675 und 262 lb. verhafftet zu zweÿ dritte theil um 625 beladen – geschehen um 275 pfund
Jean Beck et Marguerite Elisabeth Bürckel d’une part, Marie Barbe Wilderich femme de Jean Georges Reule d’autre part vendent le même jour la partie restante à Jean Charles Fické
1772 (16.12.), Chambre des Contrats, vol. 646 f° 568
vor und innahmen Johann Beck des schreiners H. Johann Friedrich Schäff Not. publici ac jurati, ersternannter Johann Beck ehefrau Margarethæ Elisabethæ geb. Bürckelin mit beÿstand H. Not. Schäff, Fr. Maria Barbara Reulein geb. Wilderichin Mr Johann Georg Reule des schreiners Ehefrau
in gegensein H. Johann Carl Fické Notarii publici ac jurati
eine annoch unvertheilte behausung bestehend in vorder und hinter haus mit zweÿen höfflein, hoffstätten auch gemeinschafftlichen bronnen samt mit allen denen übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der heiligen Lichtergaß und dem sogenannten Ganth gäßelin einseit neben weÿl. H. Pfähler d. gw. eißenhändlers erben, anderseit ane beÿden gemelten gäßen ein eck außmachend, hinten auff den hoff löbl. Statt stalls – die gantze behausung, daran ihme Beck zweÿ dritte und ihr Reulein den übrigen dritten theil gebührt – um 625, 262, 100, 50 lb. verhafftet, geschehen um 837 pfund
Catherine Marguerite Kolb veuve de Jean Charles Fické vend la maison 2 500 livres au marchand Georges Michel Hering et à sa femme Marguerite Elisabeth Stædel
1781 (9.6.), Chambre des Contrats, vol. 655 f° 252-v
Fr. Catharina Margaretha geb. Kolbin weÿl. H. Johann Carl Ficke gewesten notarii publici und practici wittib beÿständlich H. Johann Daniel Schweighäußer notarii publici und practici
hatt in gegensein H. Georg Michael Hering des handelsmann /und Fr. Margarethæ Elisabethæ geb. Städelin unter assistentz H. Christoph Friedrich Städel des handelsmanns und H. Johann Städel des haagschriebers ihrer leiblichen brüder
eine behausung, höfflein, hoffstatt, gärtlein und gemeinschafft des bronnens mit allen übrigen deroßelben zugehörden, weithen, rechten und gerechtigkeiten ane der heiligen lichter gaß gegen der kürschner stub über, einseit ist ein Eck ane besagter gaß zum theil gemeiner Statt stall, vornen auf besatgte gaß, hinten auff Fr. M. Ottin – als ein ihro in außweißung ihrer in die Ehe gebrachtes guth durch bescheid E. E. großen raths vom 3. Maÿ jüngsthin entschlagenes guth – um 5000 gulden worunter die capital summen begriffen
Lors de l’inventaire après décès de sa femme Marguerite Elisabeth Stædel en 1787, les experts de la Ville estiment la maison 1 750 livres.
Georges Michel Hering vend la maison en 1795 à l’aubergiste Jean Jacques Hœrter
1795 (9 thermidor 3), Strasbourg 9 (2, nouv. cote 4), Me Dinckel n° 821
b. Georg Michael Hering handelsmann
in gegensein b. Johann Jacob Hörter hiesigen Gastgebers
eine behaußung höflein hoffstatt und Gemeinschaft des bronnens mit all mit übrigen dero zugehörden, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten ane der Lichtergaß N° 17 gegen der ehemaligen Kürßner zunfft über, einseit ist ein Eck ane besagter Gaß anderseit neben der Gaß und zum theil auf b. Martin apotheckers Wittib und Erben stoßend gelegen, hinten auff die Öttische wittib – um 15 000 livres
Enregistrement de Strasbourg, acp 36 F° 66-v du 10 therm. 3
Fils de boulanger, le boulanger Jacques Hœrter épouse en 1770 Marie Dorothée Schad, fille de mégissier : contrat de mariage, célébration
1770 (1.3.), Me Elles (6 E 41, 1350) n° 176
(Eheberedung) persönlich kommen und erschienen seÿe der Ehrengeachte Jacob Hörter, der leedige Becker H. Joh: Jacob Hörter des Haußfeurers v. b. dahier mit frauen Maria Salome geb. Geÿßin ehel. erzeugter Großjähriger Sohn, als bräutigam beÿst. erstged. seines Vatters ane einem,
Sodann die Viel Ehr v. tugendgezierte Jgfr. Maria Dorothea Schadin, H. Johann Daniel Schad des Weiß Gerbers v. b. allhier mit fr. Maria Dorothea geb. Mannin ehel. erzielte tochter als Hochzeiterin
So geschehen Straßburg den ersten Martii 1770 [unterzeichnet] Johann Jacob Härder, Maria Dorothea Schadin
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 93)
Im Jahr 1770 seind den 3. und 4. Sonntag nach Ostern proclamirt und folgenden 16. Maÿ copulirt worden, Johann Jacob Hörter lediger Haußfeurer Mstr. Johann Jacob Hörters Haußfeurers und burgers allhier und Fr. Mariä Salome gebohrne Grießin ehelicher Sohn, und Jungf. Maria Dorothea Hrn Johann Daniel Schad Weißgerbers und burgers allhier Vnd Fr. Mariä Dorotheä gebohrner Mannin Eheliche tochter Solches bezeugen [unterzeichnet] Johann Jacob Härder als Hochzeiter, Maria Dorothea Schadin als hochzeiterin (i96)
Le cabaretier Jean Jacques Hœrter meurt en 1802 à Ernolsheim en délaissant pour unique héritier son fils François Henri Hœrter
1807 (13.4.), Strasbourg 9 (anc. cote 15), Me Bossenius n° 343, 3204 – Enregistrement de Strasbourg, acp 102 F° 109-v du 22.4.
Inventaire de la succession de Jean Jacques Hoerter ci devant Cabaretier décédé à Ernolsheim sur le Canal le 13 pluviose 10 – à la requête de Marie Dorothée Schad la veuve assitée du Sr Charles Frédéric Corvinus Docteur en médecine, François Henri Haerter confiseur héritier universel ab intestat du défunt son père
en la maison mortuaire rue des chandelles n° 17 appartenant par moitié à Marie Dorothée née Schad veuve Hoerter et par moitié au veuf
propres du veuf 403 fr
Portion d’immeuble propre au veuf. Savoir la moitié par indivis d’une maison petite cour et communauté de puits appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des chandelles n° 17, d’un côté le coin de ladite rue, d’autre la rue en partie et en partie les veuve et héritiers Martin Pharmacien, derrière les héritiers Ott. La totalité dont suivant la déclaration dudit veuf la moitié lui appartient comme bien paternel et l’autre moitié à Marie Dorothée née Schad veuve de Jean Jacques Hoerter Cabaretier sa mère, a été acquise par acte passé devant Me Dinckel le 9 thermidor 3
remplacement des propres du veuf 600 fr, total 1003 fr
propres réservés aux héritiers, meubles 689 fr, argenterie 22 fr, remplacement 3200 fr, total 3911 fr
Communauté. meubles 362 fr, marchandises 199 fr, chevaux 200 fr, dettes actives 12 226 fr, total 13 000 fr, passif 3950 fr, deduction faite 9056 fr
Contrat de mariage, Me Lauth le 23 vendémiaire 4
Le confiseur François Henri Hœrter épouse à dix-neuf ans en 1795 Louise Frédérique Rhein, fille de pasteur
Mariage, Strasbourg (n° 59)
Cejourd’hui 27° vendémiaire l’an quatre de la République française, une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part François Henri Hoerter âgé de 19 ans, confiseur, né et domicilié en cette commune fils mineur de Jean Jacques Hoerter, aubergiste, et de Marie Dorothée Schad, autorisé par ledit Jean Jacques Hoerter son père ci présent et consentant L’autre part Louise Frédérique Rhein âgé de 23 ans, marchande mercière domiciliée en cette commune depuis 20 ans, native de Schiltigheim district de Strasbourg fille de feu jonathan Rhein ministre du culte protestant audit lieu et de feue Marguerite Salomé Zeisolf (…) l’acte de naissance du futur époux portant qu’il est né le 22 février 1777, l’acte de naissance de la future épouse portant qu’elle est née le 13 mars 1772 (signé) Francois Henri Hœrter, Louise Fréderique Rhein (i 32)
Louise Frédérique Rhein meurt en 1808 en délaissant pour unique héritier son fils François Henri. La maison rue des Chandelles appartient pour moitié à son mari pour l’autre moitié à sa belle-mère
1808 (18.11.), Strasbourg 9 (anc. cote 17), Me Bossenius n° 408, 3864 – Enregistrement de Strasbourg, acp 109 F° 17 du 26.11.
Inventaire de la succession de Louise Frédérique née Rhein, femme de François Henri Hoerter confiseur, décédée le 30 octobre courant – à la requête du veuf, tuteur naturel de François Henri 12 ans 2 mois, et de Simon Geofroi Rhein, teneur de livres de commerce demeurant à Strasbourg, subrogé tuteur dudit mineur
en la maison mortuaire rue des chandelles n° 17 appartenant par moitié à Marie Dorothée née Schad veuve Hoerter et par moitié au veuf
propres du veuf 403 fr
Portion d’immeuble propre au veuf. Savoir la moitié par indivis d’une maison petite cour et communauté de puits appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des chandelles n° 17, d’un côté le coin de ladite rue, d’autre la rue en partie et en partie les veuve et héritiers Martin Pharmacien, derrière les héritiers Ott. La totalité dont suivant la déclaration dudit veuf la moitié lui appartient comme bien paternel et l’autre moitié à Marie Dorothée née Schad veuve de Jean Jacques Hoerter Cabaretier sa mère, a été acquise par acte passé devant Me Dinckel le 9 thermidor 3
remplacement des propres du veuf 600 fr, total 1003 fr
propres réservés aux héritiers, meubles 689 fr, argenterie 22 fr, remplacement 3200 fr, total 3911 fr
Communauté. meubles 362 fr, marchandises 199 fr, chevaux 200 fr, dettes actives 12 226 fr, total 13 000 fr, passif 3950 fr, deduction faite 9056 fr
Contrat de mariage, Me Lauth le 23 vendémiaire 4
Son fils et unique héritier François Henri Hœrter , pasteur à Ittenheim, épouse en 1823 Henriette Elise Kampmann.
Il vend en 1826 la maison 10 000 francs au baquetier Jean Jacques Schœllhammer et à sa femme Frédérique Salomé Genty
1826 (17.2.), Strasbourg 14 (85), Me Lex n° 4437 – Enregistrement de Strasbourg, acp 177 F° 36-v du 20.2.
François Henri Hoerter, pasteur à Ittenheim, et Henriette Elise Kampmann
à Jean Jacques Schoellhammer, baquetier, et Frédérique Salomé Genty
Désignation de l’immeuble vendu, une maison de devant, bâtiment latéral et de derrière, cour, puits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg dans la rue des Pelletiers n° 2, d’un côté la propriété de M. Oppermann, autre celle de M. Eckel menuisier, devant la rue des Chandelles où elle porte n° 17.bis
Origine de la propriété, acquis sur la succession de François Henri Hoerter, confiseur, dont il était seul et unique héritier, ce dernier acquis sur son auteur grand père du vendeur actuel, Jean Jacques Hoerter, aubergiste dont il était également seul et unique héritier, celui ci l’a acquis sur Georges Michel Hering, marchand, par acte reçu Me Dinckel le 9 thermidor 3 – 10 000 francs
Jean Jacques Schœllhammer épouse en 1812 Frédérique Salomé Genty
Mariage, Strasbourg (n° 329)
Acte de mariage célébré le 5 août 1812. Jean Jacques Schoellhammer, mineur d’ans, né le 20 novembre 1789 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Garçon baquetier, fils de feu Jean Schoellhammer, jardinier, décédé en cette ville le 17 janvier 1808 et de Catherine Dorothée Wurtz ci présente et consentante, Frédérique Salomé Genty, mineure d’ans, née le 14 novembre 1791 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de feu François Antoine Genty, emploïé à la loterie impériale, décédé à Metz département de la Moselle le 16 Germinal an deux, et de feue Frédérique Starck décédée en cette ville le 26 Floréal VII (signé) Jean Jacques Schœllhammer, Friderick Salome Genty (i 30)
Les acquéreurs rétrocèdent la maison moyennant 8 000 francs en 1832
1832 (25.1.), Strasbourg 9 (anc. cote 62), Me Hickel n° 4013 – Enregistrement de Strasbourg, acp 208 F° 6-v du 26.1.
Jean Jacques Schoellhammer, baquetier, et Frédérique Salomé Genty
à François Henri Haerter, pasteur du culte protestant
une maison avec un bâtiment latéral et un bâtiment de derrière, cour, puits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Pelletiers n° 2, d’un côté la propriété de M Oppermann, autre le Sr Eckel menuisier, devant la rue des Chandelles où elle est marquée du n° 17.bis
acquis du Sr Hoerter acquéreur actuel et feu Henriette Elise Kampmann par acte reçu Me Lex le 17 février 1826 – pour 8000 francs
François Henri Hœrter et sa deuxième femme Frédérique Dorothée Rausch vendent la maison au menuisier Jean Michel Diemer et à sa femme Catherine Barbe Keller
1833 (4.1.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 264, n° 59
Strasbourg, Me F. Grimmer du 24.12 – Enregistrement de Strasbourg, acp 214 f° 141 du 28.12.1832
François Henri Hoerter, pasteur à l’église du Temple Neuf, et Frédérique Dorothée née Rausch
à Jean Michel Diemer, garçon menuisier, et Catherine Barbe Keller
une maison avec bâtiment latéral et de derrière, cour, puits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Pelletiers n° 2, d’un côté la propriété de M Oppermann, d’autre le Sr Eckel menuisier, devant la rue des Chandelles où elle est marquée du n° 7.bis
acquis des conjoints Jean Jacques Schoellhammer, baquetier, et Frédérique Salomé Gintz par acte reçu Me Hickel le 25 janvier 1832 transcrit au bureau des hypothèques volume 252 n° 132, les époux Schoellhammer avaient acquis ledit immeuble du susdit Sr Hoerter et de feu Henriette Elise Kampmann par acte reçu Me Lex le 17 février 1826, Le Sr Hoerter l’avait acquis de la succession de François Henri Hoerter, confiseur dont il était seul et unique héritier lequel l’avait acquis de son auteur grand père du vendeur Jean Jacques Hoerter, aubergiste, dont il était seul et unique héritier, celui ci acquis de Georges Michel Hering, marchand, par acte reçu Me Dinckel le 9 thermidor 3 – moyennant 8000 francs
Natif de Mittelhausbergen, Jean Michel Diemer épouse en 1829 Catherine Barbe Keller, originaire de Westhoffen : contrat de mariage, célébration, consentement à mariage
1829 (26.5.), Strasbourg, Me F. Grimmer (minutes en déficit)
Contrat de mariage avec réserve d’apports – Jean Michel Diemer, garçon meunier à Strasbourg domicilié à Oberhausbergen
Catherine Barbe Keller fille majeure de Jacques Keller, cultivateur, et Barbe Hamann à Westhoffen
Enregistrement de Strasbourg, acp 194 F° 179 du 29.5.
Mariage, Strasbourg (n° 250 f° 123-v)
1829. Acte de mariage célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg, Jean Michel Diemer, majeur, né hors le mariage le 1 nivôse an huit à Mittelhausbergen (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg, fils de Marie Diemer épouse actuelle de Michel Linck, Journalier, domiciliée en cette ville, et Catherine Barbe Keller, majeure d’ans, née en légitime mariage le 28 nivôse an XII à Westhoffen (Bas Rhin), domiciliée à Strasbourg, fille de Jean Jacques Keller, Cultivateur et de Barbe Hammann conjoints domiciliés à Westhoffen, ci présents et consentants (signé) Johann Michael Diemer, Katharinaa Barbara Keller (i 9)
1829 (7.7.), Strasbourg, Me F. Grimmer, Consulté Enregistrement de Strasbourg, acp 195 F° 96-v du 8.7.
Consentement par Marie Diemert femme de Michel Linck, journalier, au mariage de son fils naturel Jean Michel Diemer, garçon meunier en ladite ville, avec Catherine Barbe Keller
Catherine Barbe Keller meurt en 1837 en délaissant deux filles
1837 (28.1.), Strasbourg, Me F. Grimmer (actes en déficit)
Inventaire de la succession de Catherine Barbe Keller femme de Jean Michel Diemer, meunier, décédée le 24 octobre 1836 – à la requête du veuf père et tuteur légal de Julie Barbe et Amélie Louise ses deux filles mineures
une maison rue des Pelletiers n° 2 non estimée
Enregistrement de Strasbourg, acp 247 F° 67 du 2.2.
Inventaire après décès d’une locataire, Marie Salomé Bollong, femme du tailleur Georges Guillaume Lang
1839 (5.3.), Strasbourg 9 (75), Me Becker n° 206 – Enregistrement de Strasbourg, acp 266 F° 95 du 14.3.
Inventaire de la succession de Marie Salomé Bollong épouse de Georges Guillaume Lang, tailleur d’habits, décédée à Strasbourg le 24 décembre dernier, à la requête de Georges Guillaume Lang, père et tuteur légal de Caroline Lang et Louise Lang ses enfants, en présence de Jean Kappler, boulanger subrogé tuteur
dans le logement que les époux Lang occupent à titre de locataires rue des Pelletiers n° 2 où la défunte est décédée
Acte à Langenschwalbach (Grand Duché de Nassau), à André Lang à titre de partage anticipé
Jean Michel Diemer se remarie avec sa belle-sœur Elisabeth Keller : contrat de mariage, consentement
1840 (28.3.), Strasbourg, Me F. Grimmer (minutes en déficit)
Contrat de mariage, communauté réduite aux acquets – Jean Michel Diemer veuf avec un enfant de Catherine Barbe Keller
Elisabeth Keller, fille de Jacques Keller, cultivateur, et de Barbe Hammann à Weshoffen
Enregistrement de Strasbourg, acp 277 F° 10 v du 1.4.
1839 (25.6.), Strasbourg, Me F. Grimmer (minutes en déficit)
Consentement par 1. Marie Diemer épouse de Michel Linck, journalier, 2. Jean Jacques Keller fils de Jean, vigneron, et Barbe Hamann à Westhoffen au mariage que Jean Michel Diemer fils meunier à Strasbourg fils naturel de la De Linck et Marie Elisabeth Keller fille des conjoints Keller se proposent de contracter entre eux
Enregistrement de Strasbourg, acp 269 F° 73 du 21.6.
La maison revient ensuite à sa fille en premières noces Amélie Elise Diemer qui épouse en 1856 le farinier Théophile Emile Stern
1856 (11. 7.br), Me Grimmer (minutes en déficit)
Contrat de mariage – Théophile Emile Stern, farinier à Strasbourg, fils de Jean Théophile Stern, farinier, et de Sophie Catherine Braunwald sa femme
Amélie Elise Diemer, majeure, fille de Jean Michel Diemer, farinier, et de Catherine Barbe Keller sa femme
Stipulation de communauté réduite aux acquêts, réserve d’apports et héritages
Donation par les Conjoints Stern au futur époux leur fils, ce acceptant, en avancement d’hoirie, chacun pour moitié d’une somme de 3000 francs
La future épouse déclare apporter en mariage
1) sa part héréditaire dans la succession de sa mère constaté par Inventaire reçu Grimmer Nre le 28 janvier 1837
2) sa part dans la succession de Julie Barbe Diemer sa sœur
3) sa part dans la succession de sa grand-mère Barbe Hamann épouse de Jacques Keller laboureur à Westhoffen constaté par partage reçu Ihlé Nre le 20 janvier 1841, par ce partage il est échu à la future une parcelle de terre vendue depuis, moyennant 730 francs qui se trouvent entre les mains de son père
Donation par le Sr Diemer à la future épouse sa fille acceptant
1) d’un mobilier estimé 3000 francs
2) d’une somme de 10.000 francs dont à imputer sur les successions de la mère et de la sœur, y compris la somme de700 francs ci-dessus, celle de 2000 francs, 8000
Donation réciproque par les futurs a survivant d’eux de l’usufruit de toute la succession, réductible à moitié en cas d’existence d’enfants
acp 453 (3 Q 30 168) f° 46-v du 16.7.br