9, rue d’Or
Rue d’Or n° 9 – IX 8 (Blondel), P 1387 puis section 15 parcelle 46 (cadastre)
Bâtiments sur cour agrandis en 1868 – Maison sur le tracé de la Grande Percée, démolie en 1937
Boulangerie Klein (vers 1907, © Denkmallarchiv, DRAC Grand Est, cote ICO 482 B 146, 4) – Boulangerie Godefroi Muller (années 1930, image Lucien Blumer, AMS cote 8 Z 1159)
La maison est inscrite au nom du maréchal ferrant Laurent Baumwoll dans le Livre des communaux (1587). L’embatoir et le travail pour ferrer les chevaux se trouvent sur le communal. Le maréchal ferrant Jacques Gesenson est autorisé en 1627 à remettre en place une colonne qui protège son plateau à ferrer et à avancer d’un pied et demi ou de deux pieds le travail vers la rigole. Le maréchal ferrant Christophe Gesensohn vend en 1655 à Ulric Koch, aussi maréchal ferrant, non plus la maison mais le droit d’emphytéose, l’hôpital bourgeois détenant le domaine éminent ; le droit d’emphytéose est mentionné pour la dernière fois à l’inventaire dressé en 1748. Propriétaire depuis 1678, le cordonnier Jean Georges Dimpffelmeyer revend la maison, la forge et le travail au maréchal ferrant Jean Conrad Werner après avoir acheté la voisine (futur n° 11) ; les parties conviennent de servitudes dans le pignon mitoyen (évier, fenêtres). C’est à nouveau un maréchal ferrant qui devient propriétaire en 1685, le forgeron municipal Jean Conrad Werner. Successeur de son beau-père, Jean Wennemar Heyl, aussi forgeron municipal, passe en 1732 un accord avec ses voisins Jean Philippe Schmidt et Jean Conrad Schmidt : il consent qu’ils reconstruisent leur maison quatre pieds en avant de l’ancienne à condition qu’ils n’interceptent pas la lumière de son bâtiment arrière. La maison comprend trois logements d’après le billet d’estimation dressé en 1759 à la mort du cafetier Jean André Wurtz. Elle appartient ensuite au baquetier Jean Luc Schaaff (1759) puis à son fils Jean Frédéric Schaaff (1790).
Plan-relief de 1727 (Musée historique) La maison est celle qui avance dans la rue en haut à gauche
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 250 (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve entre (k’’) et (l’’), (h’’-k’’) vers le nord et (l’’-m’’) vers le sud sont les côtés qui avancent sur la rue. Le rez-de-chaussée est représenté par ses piliers, chacun des deux étages a quatre fenêtres, la toiture deux niveaux de lucarnes. La cour P montre l’arrière (1-2) du bâtiment sur rue, le mur (2-3) du voisin au nord, le bâtiment (3-4) au fond de la cour et le bâtiment latéral (4-1). La cour L du voisin au sud représente le mur (2-3) de la maison avant et celui (3-4) du bâtiment latéral.
La maison porte d’abord le n° 5 (1784-1857) puis le n° 9.
Cours P et L
Plan de la boulangerie (1898, dossier de la Police du Bâtiment 886 W 74)
Le marchand de vins Albert Stahl qui hérite de la maison en 1851 loue la boutique à un boulanger. Il agrandit les bâtiments en 1868 d’après le cadastre. Les bâtiments sur cour ont trois étages en 1866 d’après la police d’assurance jointe à une obligation alors qu’ils en avaient respectivement un et deux sur le plan-relief (1830). Le revenu passe de 72 à 236 francs, le nombre de fenêtres au troisième étage et au-delà de 19 à 41.
Charles Michel Hauss acquiert la maison en 1897 et y exploite sa boulangerie. Il la vend en 1905 au boulanger Emile Klein qui l’occupe toujours après son achat par la Ville en 1907. Le compte rendu de visite (1907) des maisons sur le tracé de la Grande Percée signale quelques éléments intérieurs remarquables ; il relate la tradition qui veut qu’on ait ajouté chaque année un oiseau sur un des piliers devant la maison pour que leur nombre corresponde à l’âge d’une personne indéterminée. Le bâtiment est démoli en 1937.
Façade du rez-de-chaussée – Plan du rez-de-chaussée et du premier étage (© Denkmallarchiv, DRAC Grand Est, cotes DAR 482 B 146, 5 et DAR 482 B 146, 4)
La maison sur la gauche pendant les démolitions (Spehner, publiée dans Strasbourg naguère)
La rue d’Or après les démolitions (Blumer, v. 1938, AMS cote 8 Z 1152)
Même endroit en octobre 2014
mars 2025
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1583 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Laurent Baumwoll, maréchal ferrant, et (b. 1583) Catherine Walser puis (c. 1603) Anne Rentz, d’abord (1588) femme du batelier Mathias Andres – luthériens | ||
1611 | v | Jacques Gesensohn, maréchal ferrant, et (1611) Anne Negel – luthériens |
1635* | h | Jean Adolphe Gesensohn, maréchal ferrant, et (1633) Elisabeth Scheller – luthériens |
1650* | h | Christophe Gesensohn, maréchal ferrant, et (1653) Salomé Frühinsholtz, remariée (1667) avec le tourneur Samuel Berion – luthériens |
1655 | v | Ulric Koch, maréchal ferrant, et (1633) Apollonie Haas – luthériens |
1678 | v | Jean Georges Dimpffelmeyer, cordonnier, et (1666) Marie Madeleine Rippel – luthériens |
1685 | v | Jean Conrad Werner, maréchal ferrant, et (1670) Ursule Klein – luthériens |
1699 | h | Jean Wennemar Heyl, maréchal ferrant, et (1690) Anne Barbe Werner – luthériens |
1735 | h | Jean Frédéric Heyl, maréchal ferrant, et (1728) Anne Marie Lamp – luthériens |
1753 | h | Jean André Würtz, revendeur, cafetier, et (v. 1753) Anne Marie Lamp veuve de Jean Frédéric Heyl – luthériens |
1759 | v | Jean Luc Schaaff, baquetier, et (1754) Susanne Dorothée Barbenès – luthériens |
1790 | h | Jean Frédéric Schaaff, baquetier, et (1790) Marie Salomé Koch – luthériens |
1846 | h | Charles Frédéric Stahl, marchand de bois, (1817) Marie Salomé Schaaf |
1851 | h | (Auguste) Albert Stahl, marchand de vins, et (1868) Joséphine Wolff |
1897 | v | Charles Michel Hauss, boulanger, et (1892) Catherine Herrel |
1905 | v | Emile Klein, boulanger, et (1896) Jeanne Salomé Frey |
1907 | v | Ville de Strasbourg |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 750 livres en 1748, 1300 livres en 1759, 900 livres en 1786
(1765, Liste Blondel) IX 8, Jean Lucas Schaaff
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Lucas Schaff, 4 toises, 2 pieds et 10 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1387, Schaaf, Frédéric, veuve /Jean Frédéric – maison, sol, cour, bâtiment – 2,05 ares
Locations
1728, Jean Jacques Schmidt, baquetier
1907, Emile Klein, boulanger (ancien propriétaire)
Livres des communaux
1587, Livre communaux (VII 1450) f° 364-v
Le maréchal ferrant Laurent Baumwoll doit 1 sol 4 deniers pour sa maison, à savoir un encorbellement (3 pieds ½ de long, saillie de 6 pieds 9 pouces), il doit en outre 8 sols pour l’atelier et son embatoir sous ladite avance et 12 sols pour le travail sur le communal.
Im Goldtgießen die Ander seitten vonn dem Spitthalthor widerumb hieneinwerths nach der Statt dem Wasser Zu.
Lorentz Baumwoll der Huffschmidt hatt an seinem Hauß ein Vsstoß iii+ schu lang, vj schu ix Zoll herauß, Bessert für das Nießen, j ß. iiij d.
Hatt auch vnder demselben Ausstoß sein Werckstatt sampt einer Radtgruben, Bessert viij ß d.
Vndt daruor Ein Nothstall vff dem Allmendt stehen, bessert für den Nothstall xij ß d
Undt dasselb mitt Mist verschlagen, Bessert für den Mist ij ß d.
1652, Livre des loyers communaux, VII 1461 (1652-1672) f° 389-v
Jean Adolphe Gesensohn doit 5 sols pour le travail devant la maison rue d’Or. Le contribuable est ensuite Ulric Koch puis le tuteur d’Abraham Koch
Ulrich Koch Zuuor
Hanß Adolph Geßensohn, Soll gemeiner Statt, vom nothstall des haußes im goldtgießen, Jahrs vf Bartholomæi, 5 ß d
New fol. 329
Jetzt Abraham Koch(en Vogt H. Daniel freÿ)
1655 Von H. Ulrich Kochen empfangen
(Quittungen 1656-1672)
1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 329-v
Même loyer reporté dans le registre suivant. Le contribuable est ensuite Jean Georges Dimpffelmeyer puis Jean Conrad Werner
Abraham Koch Soll vom Noth Stall des Haußes im Goldgießen, vf Bartholomæi, 5 ß
St. Zinnßb. p. 389
ietzt Hannß Georg Dimpfelmeÿer
jetzt Hannß Conrad Werner
1675
Ferner wegen eines Bancks vnder der großen Metzig so hieoben pag. 234. H. Meÿgern zugeschrieben wahr uff Michaelis 1675. 10 ß
1677 zalt H Kübler vom i. posten – zalt H Dimpfelmeÿer vom i. posten
1679
NB. der Banckh Ist hieoben pag. 20. Jost Zipffen zugeschrieben und hier cassirt
(Quittungen 1683-1687)
dieser Post ist supra p. 281. Hannß Conrad Werner zugeschrieben
1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 281-v
Le loyer du folio 329 passe au compte de Jean Conrad Werner, dont les titulaires sont ensuite Jean Guillaume Heyl puis Conrad Heyl. Les 5 sols pour le travail ne sont plus perçus à partir de 1717.
Hannß Werners des Huffschmidts Erben, Sollen Vom Schwein Stall Vf dem Allmend am Hauß im Goldt gießen, vff Martini, 2 ß
St. Zinßb. p. 334
Jetzt Hanß Conrad Werner(s. W)
Jetzt ([biffé] Johann Willhelm) Conrad Heÿl
(Quittungen, 1673-1677)
Er soll ferner wegen eines Wetterdachs an deßen behaußung im Goldgießen Jahrs vff Jacobi, und 1678. p°, 8 ß
Prot: 1677 p. 74
(Quittungen, 1679-1687)
Er soll ferner Vom Nothstall eines haußes im Goldgießen, so infra p. 329. Hannß Georg dimpfelmeÿern zugeschrieben geweßen, vff Bartholomæi, und A° 1688. zum ersten mahl, 5 ß
Hanß Conrad Werners Wittib
(Quittungen, 1688-1706, 15 ß
1707-1716 Heÿl 10, Werners Wb 5 ß
1717-1741 Heÿl 10)
Neuzb fol 645
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1627, Préposés au bâtiment (VII 1342)
Les préposés se rendent chez Jacques Gesenson dont le voisin Clément Fromm, aubergiste à la Pomme d’Or, a supprimé une très ancienne colonne destinée à protéger son plateau à ferrer et à empêcher que les clients de l’auberge le gênent dans son travail. L’aubergiste gare en outre des voitures dans la rue et y dépose du fumier. L’aubergiste répond que Gesenson lui aurait demandé d’abattre la colonne mais les préposés établissent qu’il a agi par inimitié. Les préposés autorisent Gesenson à remettre la colonne en place et à avancer d’un pied et demie ou de deux pieds le travail vers la rigole moyennant une taxe annuelle de 5 sols. Il doit en outre une livre pour la descente sur les lieux. Clémént Fromm est condamné à trois livres d’amende pour délit.
(f° 111) Donnerstag 9. August. Folgende Augenschein In d. Statt Eingenommen – Jacob Gesesohn d. Huffschmid Ca. den Würth zum Gulden Apffell wegen abgehawener Saul. Nothstall Imm Goldgießen Newer Zinß
Zum dritten vff Anhalt. Jacob Geseson deß huffschmidts Im Goldgieß. der Clagt g. Clemens Fromb den Würth Zum Gulden. Apffell deß Er Ihm de facto vnd eigenthätlicher Weiß eine Säul oder Pfost., So er, allein Zubeschirmung seiner Beschlag Pritsch. vnd daß niemands geg. dem Apffel darüber Zufahren Ursach nehm. vnd Ihnen in seiner arbeit Verhindere, von alterß gehabt vnd Zuverhüetung allerhandt schadenß nothwendig haben muß, Nicht allein hienweg gehawen Sondern auch deren den 14. Novemb. Vergangenen 1626. Jahrs (Pth. fol. 214) ergangener Erkanntnuß Zuewider, So wohl alle Gutsch Verhinderlich in die gaß gestellt, Alß den Müst vff etliche woch. lang in Vergangener Meß Ime fast gar*biß ahne der Beschlag Pritsch schütt. vnd lig. laß. Bitt vmb oberkeitliche handtreichung, Vnd Zuegleich daß Er seinen nothstall, Zue erlengnung mehrer breÿte vnd Pletzeß Zum fahren, vmb etwaß beßer ahn die runß d. gaß rucken möge. Ille verwantwortte anderst nicht, Alß daß Geseson Ihn geheiß die Säul hienweg Zuhauen. hatt sich befunden daß Eß Er lautterer neid vnd vnnachbarschafft.
Erkanth, Geseson die Saul wider vffzuricht. auch den nothstall vmb 1 ½ od. 2. schuh geg. d. runß Zuuerrucken gegönt, Soll Er weg. nothstals fürter Zinßen vnd vff Bartholomei Zum Erst. mahl 5 ß d. vnd für daß Augenschein j lb d. Clemens Fromm aber, weg. begangener eigenthätigkeit Zur Fräuell 3 lb. d. vnd beedeß in der Statt Augenschein büchs gestoß. werd. Sed quare. Geseson dht. j lb d. 11. Aug. 1627. dem Würth auch angezeigt hat Eod. 5 lb d. Würth d. 28. Aug: 1627 geschehen.
Jacques Gesenson demande un morceau de jeune chêne pour le travail.
(f° 119) Sambstagß den 1. Septemb. aô 1627. – Vmb Ein Eichbaum
Jacob Geseson d huffschmid vmb ein Stuck von einem Jungen Eichbaum Zu sein nothstall Im Goldgieß. Soll der Werckmr. darumb begrieß v Ihne bericht. laß. E. Willfahrt.
Description de la maison
- 1748 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée l’atelier de charron, la cour, le puits, la cave sous solives et le bûcher, au premier étage poêle, chambre, cuisine, vestibule et dépense, au deuxième étage sous la toiture poêle, chambre, cuisine, vestibule, deux dépenses, le vieux comble a une couverture simple de tuiles, les greniers sont dallés, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1500 florins
- 1759 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un atelier, trois poêles, trois cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé avec la cour, le puits, la petite cour, aisances et appartenances à la somme de 2600 florins
- 1864, police d’assurance
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
Atlas des alignements, 3° arrondissement ou Canton Sud – Rue d’Or
nouveau N° / ancien N° : 9 / 5
Schaff
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages médiocres en bois
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 18 f° 439 case 1
Schaaf Jean Frédéric Vve
Stahl Ch. Fr. (sub.on p. 1848)
Stahl Auguste Albert, commis architecte (1852)
P 1387, sol, maison bât. et cour, rue d’or 5
Contenance : 2,05
Revenu total : 73,07 (72 et 1,07
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 19 / 15
fenêtres du 3° et au-dessus : 3 / 2
Cadastre napoléonien, registre 27 f° 806 case 1
Stahl Auguste Albert, commis architecte
1899/1900 Hauss Karl Michael, Bäcker
P 1387, Maison, sol, Rue d’or 9
Contenance : 2,05
Revenu total : 73,07 (72 et 1,07
Folio de provenance : (439)
Folio de destination : 806 (maison), Gb (sol)
Année d’entrée :
Année de sortie : 1876
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 19
fenêtres du 3° et au-dessus : 3
P 1387, maison
Revenu total : 237,07 (236 et 1,07
Folio de provenance : 806
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1876
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 41 / 33
fenêtres du 3° et au-dessus : 6 / 5
1876 Augmentations – Stahl August f° 806-I, P 1387, maison, revenu 236, Vergroesserung, achevée en 1868, imposable en 1871, imposée en 1876
Diminutions – Stahl August f° 806-I, P 1387, maison, revenu 72, Vergroesserung, suppr. 1876
Cadastre allemand, registre 29 page 174 case 4
Parcelle, section 15, n° 46 – autrefois P 1387
Canton : Goldgießen Hs N° 9 – 1981, 2611
Désignation : Hf Whs e.n.a.T.
Contenance : 1,99
Revenu : 1700 mit Parz. 82 – 2300
Remarques : 1937 démolie – 1950 à p. 173 c. 6 [Case rue des Bouchers 30 – Rue de la 1° Armée et rue d’Or]
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1904), compte 516
Hauss Karl Michael
1906 Klein Emil u. Ehefr.
gelöscht 1908
(Propriétaire à partir de l’exercice 1908), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IX, Rue 294 Dite Goldgiessen, Quart. des Charrons, p. 459
5
Pr. Schaaff, Dorothée, veuve – deux fils – Tonneliers
Loc. Bogner, fille
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Goldgiessen (Seite 50)
(Haus Nr.) 9
Hauss, Bäckerm. E 02
Stahl, Wwe. 1
Geisdorf, Hausbursche. H 1
Reich, Tagnerin. H 1
Brauneisen, Tagnerin. H 2
Latt, Schreiner. H 2
Stölzel, Hausierer. H 2
Tauffreund, Schreiner. H 2
Kümmig, Küfer. H 3
Stoll, Wwe. H 3
Stoll, Schreiner. H 3
Dossier de la Police du Bâtiment (cote)
9, rue d’Or (1874-1933) cote 886 W 74
La veuve Stahl fait réparer le four à pain en 1890. Le boulanger Emile Klein (pain, fabricant de madeleines) transfère en 1905 sa boulangerie au 9, rue d’Or. Le préfet lui accorde en 1907 l’autorisation d’exploiter la boulangerie bien que le fournil ne satisfasse pas aux prescriptions réglementaires puisque sa hauteur n’est que de 2,35 mètres. Emile Klein fait installer en 1908 un pétrin mécanique.
Boulanger A. Gutgunst puis (1919) Keim
Sommaire
- 1874 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier Bedicam soit autorisé au nom du sieur Arbogast, locataire du sieur Stahl, à faire une prise pour environ trois becs
- 1879 – Les entrepreneurs A. Schoop et G. Mayer demandent au nom du propriétaire Henri Stahl l’autorisation de repeindre la maison. L’agent voyer note que la maison suit l’alignement mais qu’elle a une avance
- 1890 – La veuve Stahl demande l’autorisation de réparer le four à pain – Autorisation – Travaux terminés, avril 1890.
- 1889 – Le maire notifie la veuve Joséphine Stahl, demeurant sur place, de faire ravaler la façade. La propriétaire demande un délai, d’autant que la façade a été lavée trois ans auparavant et le rez-de-chaussée repeint. Le maire accorde un an de délai – Travaux terminés, septembre 1890
- 1895 – Rapport suite à un feu de cheminée dû à la suie cristallisée dans la cheminée de la boulangerie
- 1895 – Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les trois volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique. – Travaux terminés, décembre 1896.
- 1897 – Ch. Adam demande l’autorisation de poser deux enseignes plates. Croquis – Autorisation – Les enseignes sont posées, octobre 1897.
- 1902 – Le maire notifie Michel Hauss de faire ravaler la façade. – Travaux terminés, octobre 1902
- 1905 – Le boulanger Emile Klein déclare avoir transféré sa boulangerie au 9, rue d’Or et demande l’autorisation de poser un distributeur automatique – Autorisation – Le distributeur est posé
- 1906 – Dossier ouvert suite au courrier du commissaire de police. Le boulanger Klein demande l’autorisation de continuer son exploitation au 9, rue d’Or. – Rapport de la Police du Bâtiment. Le fournil qui se trouve au rez-de-chaussée ne satisfait pas aux prescriptions réglementaires puisque sa hauteur n’est que de 2,35 mètres. L’éclairage et l’aération sont suffisants. L’autorisation peut être accordée.
1907 (mai) – Le préfet (Bezirkspräsident) accorde l’autorisation.
1907 (septembre) – Copie du rapport fait par le commissariat du troisième canton d’après lequel la Ville qui est propriétaire du bâtiment destiné à la démolition devrait transformer la fenêtre pour qu’elle puisse être largement ouverte en cas d’incendie (seul un vantail de 53 sur 36 centimètres peut être ouvert) – La Division V objecte que la transformation n’est pas nécessaire. Le fournil peut être évacué par l’entrée qui se trouve à 1,30 mètre. La Ville est devenue propriétaire de l’immeuble le premier octobre 1907. – Réponse du maire au commissaire de police - 1908 – Le boulanger Emile Klein (pain, fabricant de madeleines) demande l’autorisation d’établir un pétrin mécanique (un cheval-vapeur) – Dossier – Conditions à respecter – L’inspection du travail émet un avis favorable – Le maire délivre l’autorisation, novembre 1908 – La machine est installée, décembre – Dessins
- 1910 – Rapport du service des incendies après un feu de cheminée – La cheminée est remplacée par une nouvelle dont les parois ont de 10 à 12 centimètres et non 25, eu égard que la maison sera détruite.
- Commission contre les logements insalubres. Propriétaire, Hauss – Rien à signaler, 1903, 1906
Commission des logements militaires, 1915. Propriétaire, Ville de Strasbourg. Remarques en 19 points. Travaux terminés sauf les points 1 et 18 (travaux en cours) et 4 (en projet) – Travaux terminés, décembre 1915. - 1919 juillet) – La Police du Bâtiment constate que le boulanger A. Gutgunst a posé une inscription sans autorisation
1919 (août) – Le boulanger Keim qui a repris l’affaire demande l’autorisation de poser l’inscription Boulangerie Pâtisserie - 1929 – Le locataire Auguste Sum se plaint d’être incommodé par des fumées – La visite des lieux montre que les tuyaux emboîtés laissent s’échapper la fumée – Le plaignant fait les réparations lui-même.
- 1931 – La Police du Bâtiment constate que le sieur Dietrich a fait suspendre sans autorisation une antenne de T.S.F. entre les maisons n°9 et 10. – A. Dietrich qui est arrivé de Paris deux mois auparavant présente ses excuses et sollicite l’autorisation – Accord
Grille d’enquête (AMS cote 113 MW 999) n° 119
Fragebogen
zur Feststellung der Altertümer in den für den Straßendurchbruch zum Abbruch bestimmten Häusern in Straßburg i. E. 1907
Questionnaire destiné à répertorier les antiquités dans les maisons vouées à la démolition pour réaliser la percée, Strasbourg, 1907]
Anmerkung. Den aufzuführenden Gegenständen ist ein Vermerk der Erhaltung hinzuzufügen und zwar bedeutet
+ sofort zu entfernen, * dringend zu erhalten, o an Ort und Stelle zu erhalten.
Diejenige Gegenstände die sofort zu entfernen sind, sind umgehend dem Kaiserlichen Denkmal-Archiv mitzuteilen.
[Remarque. On joindra aux éléments à répertorier une mention relative à la conservation, à savoir : (+) à démonter immédiatement, (*) à conserver absolument, (o) à conserver sur place. Il faudra signaler au Service impérial des monuments historiques les éléments à démonter immédiatement]
Haus : Goldgiessen N° 9 [Maison :] 9, rue d’Or
a) Geschichtliches : Lorentz Baumwoll, Hufschmid, 1587. Haus mit Überhang auf einem hölzernen mit Nägeln beschlagenen Pfeilern ruhend [Historique, notide de Seyboth] ; Laurent Baumwoll, maréchal ferrant, 1587. Maison à encorbellement reposant sur des piliers garnis de clous
– Die Vögel auf der einen Holzsäule der Vorhalle bilden ein Kreuz. Der Tradition nach wurde* jedes Jahr am Geburtstage (des Eigners ?) ein Vogel eingeschlagen, die Zahl der Vögel gabe dann den Alter des betr. an – Un des piliers en bois est orné d’oiseaux disposés en croix. La tradition veut qu’on ait ajouté chaque année un oiseau à l’anniversaire (du propriétaire ?), l’âge du propriétaire correspondait au nombre des oiseaux.
b) Zeitbestimmung : c. 1580 [Epoque] vers 1580
c) Zeicheriche Aufnahmen : Im Denkmalarchiv, von Gesamt* u von Einzelheiten der Holz* u. a.
[Relevés sous forme de dessin] Aux archives de monuments historiques, dessins du tout et de détails des piliers en bois
d) Photographische Aufnahmen : des Hauses im Denkmalarchiv [Relevé photographique] la maison, archives de monuments historiques
I. Das Äussere [Extérieur]
- 1. Ausführung der Fassade, Fachwerk, Sandstein etc. – Holzfachwerk mit 2 Obg. u mass ledig*
[Nature de la façade, pan de bois, pierre de taille, etc.] Pan de bois, deux étages - 2. Anzahl der Geschosse – 3 [Nombre d’étages] 3
- 4. Kelleranlage – Nicht vorhd. [Sous-sol] absent
- 5. Dachstuhl – N* *ber steil. 16 *dt mit einfachen Dach* [Comble]
- 6. Dachdeckung – Biberschw. [Couverture] queue de castor
- 8. Form des Dachgiebels – Rei* [Forme du pignon]
- 11. Türeinfassungen – Bogen i. Erdg. mit Fasen [Encadrement de porte] Arc à chanfrein au rez-de-chaussée
- 17. Hauszeichen – gl.* * auf * Seite [Marque sculptée]
- 19. Inschriften – vgl. ad 17. [Inscriptions] voir 17
II. Im Inneren [Intérieur]
- 1. Grundrissanlage – [Skizze] vrspr. Wasserlauf (Goldgiessen, Giessen = Erguss d. Rheinwassers)
[Disposition générale] (croquis) canal à l’origine (le canal d’Or était un bras du canal du Rhin) - 2. Seitenflügel – Schlicht mehrfach verändert [Bâtiment latéral] simple, modifié à plusieurs reprises
- 3. Hinterhaus – dto. [Bâtiment arrière] idem
- 4. Hof – klein schmal [Cour] petite et étroite
- 7. Treppenhaus – 19. Jh. Holzsäule I. Obg. a. Diele
[Cage d’escalier] XIX°, colonne en bois à l’étage, * planches - 12. Plafonds – I. Obg. u. Vord. Zimmern, Tafeldecke mit Decks*bern* [Plafonds] pièce de devant au premier étage, lambrissé
- 13. Holzdecken – dto. [Plafonds en bois] idem
- 15. Wandschränke – II. Obg. kl. * Barock *) [Placards] 2° étage, baroque
- 23. Türbilder (supraporten) – a. Alkoven II Obg. reicher Ornament, Holz, c. 1720 *) [Dessus-de-porte] alcôves richement ornées au 2° étage, vers 1720
- 25. Türbeschläge – Hinterhaus *ser, Steinl. 2 mal reich *) *) [Ferrures de porte]
Relevé d’actes
La maison est inscrite au nom du maréchal ferrant Laurent Baumwoll dans le Livre des communaux (1587).
Premier baptême d’un enfant de Laurent Baumwoll (ici Bauwel) en 1577.
Baptême, Saint-Nicolas (luth. f° 73 n° 68)
1577. den 10 Novemb. ist getaufft worden Laurentius Lorentz Bauwels son vndt sein gevattern geweß D. Johannes thoma pastor vnd Aristarchus Mornweg Die gottle ist gewesen Catharina lucas Dentners sellig tochter (i 82)
Laurent Baumwoll (ici Pawol et Bawol) se (re)marie en 1583 avec Catherine, fille de Gaspard Walser
Proclamation, Saint-Nicolas (luth. f° 140 n° 2-v)
1583. Lorentz Pawol der huffschmidt vnd Kattarina Caspars Walsers selig. tochter sind zu S. Aurelien eingesegnet worden (i 156)
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 98 n° 3)
1583. den 19. Februarÿ sind eingesegnet Lorentz Bawoll vnd Catharina Caspar Walsers nachgelaßene Tochter (i 51)
Mentions de Laurent Baumwoll dans les registres du Magistrat
1571 Conseillers et XXI (1 R 38) Lorentz Baumwoll, David Weyß, verbottene Ehe, Ulrich Wolff steinmetzen zu Nürnberg dochter Barbara. 324. 370. 468. 568
1588 Conseillers et XXI (1 R 65) Caspar Gepp, Lorentz Bauwel contra Paulum Noosen, Claus Thoman [schuld einzufordern]. 190.
1591 Conseillers et XXI (1 R 71) Hans Riß und Lorentz Bauwman contra Sebastian Hönen erben. 21. [Speÿr schreiben pt° bezalung]
1593 Conseillers et XXI (1 R 72) Lorentz Rebman der hufschmidt contra Lorentz Baumwoll [pt° schmitt bey der Ellenden Herberg]. 453.
Le maréchal ferrant Laurent Baumwoll et sa femme Catherine fille du maréchal ferrant Gaspard Walser hypothèquent la maison au profit de Susanne Jœrger, veuve du receveur Thiébaut Vagius
1585 (xij.t Februarÿ), Cour épiscopale, vol. 235-II (Registranda Meyger) f° 23-v
(P. fol. 62.) Erschienen Lorentz Bouwell der huffschmidt burger Zu Straßburg vnd Catharin sein eheliche haußfr. wÿland Caspar walser des huffschmidts selig dochter, Haben sich unver. für sich verschriben
gegen herrn Ambrosio Jörgen schreiber des Pfenningthurns Zu St. als geschwornen vogt der Erenreichen frawen Susannen Jörgerin wÿland herrn Theobaldi Vagÿ guttleüth schaffners selig. witwe, der selben seiner vogts frauwen Zu Zinßen x guldin gelts ablösig mit ij C guldin SW
dafür Verlegt Hauß Houestatt vnd Höfflin mit allen Iren gebeüwen & geleg. Inn der S. S. Im goldgiessen, einseit neben Simon Kellers des wagners selig. Kinder, ander seit nebent wolff von Molßheim dem Thuchman, stost hinden auch vff Wolff v. Molßheim, Dauon gondt Zweÿ Pfund Zehen schilling pfenning Item vier guldin gelts, lösig mit j C guldin den guttenleüthen beÿ Straßburg Zur Rothen Kirchen, sonst ledig eig. Zu bezalen vnver. für sich (…)
Laurent Baumwoll et sa femme Catherine hypothèquent la maison au profit de Nicolas de Türckheim, assesseur des Quinze. En marge, quittance remise en 1603 à Laurent Baumwoll et au tuteur de ses quatre enfants
1590 (xij Februarÿ), Chancellerie, vol. 268 (Registranda Kügler) f° 47-v
(Inchoat fo: 88) Erschienen Meÿster Lorentz Buwell der huffschmidt vnd Catharin sein eheliche hußfrauw
haben In gegensein herr Niclaus von Dürckheim des Jüngern In nammen des fürsichtig wÿßen herrn Niclaus von dürckheim beÿsitzer der herren dreyzehen des geheÿmen Raths seines vatters demselb. vffrecht vnd redlichen schuldig unverscheidenlich schuldig sein 250 pfund pfenning Straßburg
Zum vnderpfand ÿngesetzt huß hoffestatt hefflin vnd Stallung mit allen Iren gebew gelegen Inn der S S Im goldgießen einseyt neben wolff von Molßheim and syt Simon Keller wagners selig. erben stosst hind. auch vff wolff vonn Molßheim, Davon gnd Zuuor Fünff guldin gelts mit 200 gulden abzuloßen dem Spittel, Mehr Vier guldin den Armen Sunder siechen Zur rothen Kirchen, So dann Zehen guldin gelts widerkheuffig mit 200 guldin herrn Ambrosie Jorgern Schreybern vff den Pfenningthurn Zu* Sunst eÿg.
[in margine :] Erschienen herr Sontag Dietherich Inn nammen sein selbs vnd seiner mitgewerbs verwandten bekhand In gegensein Meÿster Lorentz Bouwels des Schuldbekenners auch hans Kopp seines dochtermanns vnnd Meÿster hanns Thebs Weldesin* alls geschwornen vogts Caspar, Andresen, hans Martins vnd hans Jacobs sein Meyster Lorentzen Söhn (…) Actum den 17. Februarÿ 1603.
Le forgeron Laurent Baumwoll (ici Bauwel) se remarie en 1603 avec Anne Rentz, veuve du batelier Mathias Andres
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 60-v n° 20)
1603. Mit diesen sind ehelich eingesegnet word. Lorentz Bauwel d. Schmidt und Burg. alhie vnd Anna Rentzin, weiland Mattes Andreß deß Schiffmanns und Burgers selig. alhie nachgelaßene Witwe (i 68)
Le batelier Mathis Andres épouse en 1588 Anne, fille du tailleur Georges Rentz.
Mariage, cathédrale (luth. p. 152)
1588. November. dnica XXIII. post. Trinitatis 10. Novembris. Matthiß Andreß der Schifman, vnd Anna Georg Rentzen des Schneiders nachg. tochter, eingesegnet Zinstags den 19.t Novembris (i 79)
Laurent Baumwoll hypothèque la maison au profit du maréchal ferrant Michel Schreibeissen. En marge, quittance remise en 1613 à Jacques Gesenson, propriétaire de la maison
1609 (6. Februarÿ), Chancellerie, vol. 384 (Registranda Kügler) f° 67-v
(Inchoat. fo: 59.) Erschienen Lorentz Bauwel huffschmid
hatt in gegensein Magister Michael Schreybißins auch huffschmidts – schuldig sein 100 pfund pfenning Straßburger
dafür Vnderpfand sein soll Zweÿ heüßer ein Vorders V ein hinders mit Iren hoffstetten V hefflin auch all andern gebeuwen & die oberst Rmyden vff der seyten am Nesselbach einseyt hanns Brü dem wagner and.syt hans Küle des Gutschers seligen erben stoßen hinden vff bemelden hans Brü, Dauon gendt ij lb x ß gelts loßig mit L lb d dem mehren Spittal Mehr ij lb ij ß gld loßig mit Lij lb x ß den Sonder siechen Zu den gutten leutt. So dann verhafftet für 225 pfund 1 schilling 9 pfund herr Niclaus von dürckheim seligen Gewerbs verwandten V dann wyther verhafftet für 100 Pfund pfenning erstgenant. Lorentz Bauwels kinder für Mütterlichen Erb Zuleyden,
Vnd Zu noch mehrer sicherheit Sind erschÿnen der Wurdig Wolgelert herr Magister Bartholomeus Öhri V Frauen Martha Hoffmännin haben sich für bemelts* j C lb d neb. dem hauptschuldner vnversch. sich für sich & vnverscheidentlich Zum recht. Bürgen mit v. selbst schuldner ernant
[in margine :] Erschienen M. Michael Schrÿbisin, Hatt in gegensein Jacob Gesenson des Huffschmidts alls Jetzigen besitzers der verunderpfandts Heüßer (…) Quittirt vff den 2. Marÿ Anno 1613.
Laurent Baumwoll et sa femme Anne vendent la maison à Jacques Gesenson (ici Geis), maréchal ferrant aux écuries municipales
1611 (24. Aprilis), Chancellerie, vol. 395 (Registranda Kügler) f° 160
Erschienen Lorentz Baumwohl der huefschmid vndt Anna sein eheliche haußfrauw
hatt in gegensein Jacob Geißen, deß Reithschmit vf der herren stall, mit beÿstandt Heinrich vogt seines Vettern vndt burgers alhie (verkaufft)
hauß hoffstatt schmdit brunnen vnd höflein sampt allen dero gerechtigkeitten & Alhie Im goltgiessen einseit neben hannß Breÿen dem wagner, anderseith weilandt hanß Kühle deß Gutschers seeligen erben, hinden vf erst bemeltten hanß Breÿen behaußung stoßend dauon genth Zuuor 5 gulden gelts dem Spittal vf Joh. Bapt: vndt weihenachtten fallent mit 100 fl. p. 15 b. abloßig, vnndt dan 4 gulden gelts Straßburger wehrung Zur Rothen Kirchen vff Adolphi ablösig mit 100 gulden wehrung, Mehr 5 pfund d vf Dorothea abloßig mit 100 lb Michel schreibeiß. dem huefschmit, sollen abgelöst werden vf Dorothea 613. weither demselben 25 fl gelts p. 15. b. vf Matthiæ Apost: fallent seint abloßig mit 500 gulden gemelter werung (…) Vnd letzlich. 200 gulden zue 15. b. so deß verkäuffers 4. Kinder daruff stehen haben (…) der Kauff beschehen vber die beschwerden, davon der Keüfer gewießen vnd vber sich genommen vmb vnd für 495 gulden
(NB der kauff für ledig eigen p. 1600 fl. p 15. b.)
Jacques Gesenson hypothèque la maison au profit d’Isaïe Stædel. En marge, quittance remise à Jacques Gesenson et à sa femme Anne Negel.
1628 (11. Novemb.), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 592-v
Erschienen Jacob Gösensohn der Huffschmid Burger Zu Straßburg
hatt in gegensein des Ehrenuesten fürsichtig vnd weisen herrn Christoff Städelins dreÿ Zeheners alß vogts H Esaiæ Städelins seel. hinderlaßenen Sohns auch Esaias genant
Vnderpfand seine Behausung gelegen im Goldgießen einseit dem Bekenner selbst anderseit Michel Gering dem Seÿler, dauon gehen dem Mehrern Spithal 100. fl. Capital, So dann 100. fl. Capital der Roten Kirchen, Sonst ledig eigen
[in margine :] Erschienen d. Ehrenest Vnd wolweise H Christoff Städel bekante in gegensein Anna Negelin Jacob Gesesohns wittib (…) q.tirt Actum den 26. Jan. 1633.
Anne Nagel loue la maison, en particulier la forge et les outils, à son fils Adolphe Gesensohn et s’y réserve un logement.
1633 (10. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 471 f° 182-v
Erschienen hanß Adolff, weÿ: Jacob Gessesohns gewesenen hueffschmidts vnd burgers see: alhie eheleiblicher Sohn, mit beÿstand hanß Walters Statt holtz Karchers seines vogts
hatt in gegensein Annæ Nägelin seiner eheleiblichen Muter mit beÿstand ihres Vogts Dieboldt Früeins holts auch hueffschmidts und Adolff Nägelins Bleichers auf der Ganßaw, ihres Vaters, bekant,
daß Er von besagter seiner Mueter Neün Jahr lang die von nechst Künfftig Joh. Bapt: nach einander Volgendt entlehnet und bestanden, (…) die Schmidin mit dem darzu gehörigen werckzeüg sampt der Behausung und allen andern ihren gebäwen & gelegen alhie im Gold güeßen neben Michel Gering dem Seÿler ein vnd anderseit sein deß Entleheners Miterben, hind. vff Steffan Reichardt den Metzger stoßend Vnd seye dise Lehenung Zugangen für vnd vmb 50 pfund d. Järlichs Zinses
dabeÿ insonderheit abgeredt, daß die Verleÿherin die Stuben im hindern stock, sampt demselben gantzen stock doch allein souil vnd weit die stub vnd Küchen in sich begreifft, wie auch blatz im Keller vff ein vorhergehende viertel Järige Ankündung vmb X. lb d Jährlichs Zinßes
Jean Adolphe Gesensohn hypothèque la maison au profit de sa femme Elisabeth Scheller
1638 (ut supra [20. Julÿ]), Chambre des Contrats, vol. 480 f° 540-v
Erschienen Hanß Adolff Gessesohn der Hueffschmidt burger Zue Str.
hatt in gegensein Elisabeth Schellerin seiner eheliche haußfrawen, mit beÿstandt hannß Banthels deß Gremppen und herrn Adam Schneider burgern alhie, ihrer nechster Verwanthen bekannt, demnach sich dieselbe für ihne Gessesohn vmb 1000 fl. vermög der den 9. Decembris Anno 1635. und heut dato auch in der Contractstuben vffgerichteten verschreibungen gegen Heinrich Eisen Roßhändler alhie obligiert vnd verschrieben, da Er derselben Zur schadloßhaltung
Zum Vnderpfand eingesetzt vndt verlegt Ein Vorder: vndt Hinder hauß, sampt hoff, hoffstatt und Bronnen auch allen andern deren gebäwen & alhier im Goldtschmidt güessen einseit neben Michel Gering dem Seÿler, anderseit neben hanß Wickerßheim dem Wagner, hinden vff Michel Walter den Sinner stoßendt so zuuor v.hafftet vmb 100. fl. dem Mehrern Spithal, Item dann umb 400. fl. sein Bekenners geschwisterd.
La maison revient ensuite à Christophe Gesensohn (autre fils de Jacques Gesensohn) qui la vend en 1655 au maréchal ferrant Ulric Koch
1655 (18. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 517 f° 562-v
(Protocoll. fol. 75.) Erschienen Christoph Geßesohn der hueffschmid mit beÿstand Isaac Geßesohns, deß hosenstrickhers seines Bruders
hatt in gegensein H Ulrich Koch deß hueffschmids – und Zwar mit Consens der Herrn Pfleger und Schaffners deß merhern Hospitals, alß deme daß Eigenthumb nachgeschriebener Behaußung gehörig seÿe
sein Erblehnungß Gerechtigkeit und Beßerung, vff Zweÿen häußern einem vordern und hindern, auch dero hoffstatt, höfflin, werckstatt, Bronnen, und allen übrig. ihren Gebäwen, Begriffen, Recht. und Zugehördten, alhie im Goltgießen, einseit neben weÿl. H Jacob Spielmanns deß handelßmanns seel. Erben, anderseit neben weÿl. Michael Görings deß Saÿlers seel. Erben, hind. vff Peter Kammen den Metzgern stoßend gelegen, welche Behaußung wie erwehnt, dem mehrern hospital iure dominÿ directi gehörig seÿe, und daßelbe iährlich mit 2. lib. 10. ß ewigen erblehnungß Zinnßes recognoscirt werde, so seÿe auch diße ietz verkauffte Erblehnungß Gerechtigkeit und Beßerung umb 52. lib 10. ß den armen sondersich. Zur roth. Kirch, Item umb 30. lib. H Hannß Wörnern E.E. Kleinen Rhats Beÿsitzers, Item umb 50. lib. hannß Wolff Costmann dem Gartenmann, Item umb 10. lib. H Michael Braunen dem Maurern und alten Kleinen Raths Verwanth. Item umb 11. lib. Balthasar Bintenschuh dem Zimmermann verbunden sonsten geg. männiglich. ohnverhafftet, Ferners seine Gerechtigkeit vff einem, vor solcher Schmid behaußung vff dem allmend stehend. Nothstall, davon gehend iahrs 5 ß Allmendgelts gemeiner Statt (übernohmen) – umb 105. lib
Ulric Koch revend en 1676 la maison (ou son emphytéose, l’hôpital bourgeois étant propriétaire) au cordonnier Jean Georges Dimpffelmeyer
1676 (28. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 809
Herr Abraham Koch der Specerirer
in gegensein hannß Georg Dimpffelmeÿers des Schuhmachers – und Zwar mit Consens deß mehrern Hospitals alß deme daß Eÿgenthumb nach beschriebener behaußung gehörig seÿe
die Erblehnungß Gerechtigkeit und beßerung uff Zweÿen häußern einem Vordern und hindern auch dero hoffstatt, höfflin, werckhstatt bronnen und allen übrigen ihren Gebäwen, begriffen, rechten und Zugehördten alhier im Goltgießen, einseit neben weÿl. herrn Jacob Spielmanns deß handelsmanns nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, anderseit neben (-) hinden uff H. Isaac Bitto den handelßmann stoßend gelegen, welche behaußung dem mehrern Hospital Jure dominÿ directi gehörig seÿe, und daselbe Jährlich mit 20. lb 10. ß ewigen, Erblehnungß Gerechtigkeit und beßerung gegen männiglichen für ohnverhafftet, ferner seine Gerechtigkeit uff einem Vor solcher behaußung /:so biß her eine Schmid behaußung geweßen:/ uff dem Allmend stehenden Nothstall, davon gehend iahrs 5. ß Allmendt Gelts gemeiner Statt – umb 500. lb
Jean Georges Dimpffelmeyer et sa femme Marie Madeleine hypothèquent quelques semaines plus tard la maison au profit de Frédéric Hammerer, greffier au Grand Sénat.
1676 (14. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 858
Hannß Georg Dimpffelmeÿer der Schuhmacher und Maria Magdalena sein eheweib, und Zwar dieselbe insonderheit mit beÿstand herrn Daniel Zipperers und herrn Jonæ Stöhren beÿder als aus E.E. Großen Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther
in gegensein herrn Friderich Hammerers wohlgedachten Rhats Actuarÿ – schuldig seÿe 300. lb, Zu dem Ende bahr gelühenen Gelts daß damit die Erblehnungß Gerechtigkeit und beßerung uff nachbeschriebenen häußern hatt erkauffen und bahr bezaht werden können
unterpfand, die Erblehnungß Gerechtigkeit und beßerung uff zweÿen häußern einem Vordern und hindern auch allen deren Gebäwen und Zugehördten, alhier im Goltgießen, einseit neben H. Friderich Spielmann dem handelßmann, anderseit neben Christmann Kammen dem Saÿler, hinden uff herrn Isaac Bitto den handelßmann stoßend gelegen, welche häußer dem mehren Hospital Jure dominÿ directi gehörig seÿen und daselbe iährlichen mit 2. lb 10. ß ewigen Erblehnungß Zinnßes recogniscirt werde
Fils de Gui Dimpffelmeyer de Dorfen de Bavière, Jean Georges Dimpffelmeyer épouse en 1666 Marie Madeleine, fille du marchand de vins Michel Rippel
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 275-v n° 19)
1666. Domin: 10 et 11 Trin: Hanß Georg Dimpffelmeÿer d. Schuhmach. Viti Dimpffelmeÿers des Schuhmachers vnd Burg.s Zu Derffen in Beÿern ehelich. Sohn, vnd Jungfer Maria Magdal: weÿl. Michael Rippels deß gewesenen Weinhändler vnd Burg.s alhie eheliche Tochter, Copulirt ad. D. Nic. 30. Aug: (i 294)
Jean Georges Dimpffelmeyer devient bourgeois pae sa femme quinze jours après son mariage
1666, 4° Livre de bourgeoisie p. 352
Hannß Georg Dimpffelmeÿer der Schuhmacher Von Dorffern, auß Beÿern gebürthig, empfangt d. burgerrecht von Maria Magdalena, Weÿl. Michael Rippels deß Weinhändlers und burgers alhie seel. hinderlaßener dochter seiner Haußfrauwen umb 8. Goldt fl. so er beÿ der Cancelleÿ erlegt, Würdt beÿ E. E. Zunfft der Schuhmacher dienen. Jur. den 13. 7.bris A° 1666.
Les Quinze autorisent le cordonnier Jean Georges Dimpffelmeyer à continuer d’employer ses deux frères pour faire le travail en retard à cause de sa maladie et de celle de son apprenti.
1674, Protocole des Quinze (2 R 90)
(f° 192-v) Sambstag den 22.tan Augusti – Hans Georg dimpfelmeÿer Schumacher allhier p. Reußnern, weilen E. E. Zunfft Gericht Ihne Seine Zween brüder beÿ der werckstat Zu behalten auf 14 tag Verstattet, Er aber so wohl als auch sein jung in Zwischen Kranck worden, deßwegen die Zugestandene Arbeith sich Verhauffet, als ersucht Er Mghh. Ihne die permission Zu Geben auf 2 Monath solche Zu behalten. Erkandt, Willfahrt.
Acte de vente non terminé par lequel Jean Georges Dimpffelmeyer vend la maison au marchand épicier Christophe Gambs
1677 (s.d. [3/9.6.]), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 453-v
[in margine :] Ist nicht zum stand kommen – Johann Georg Dimpfelmeÿer der Schuhmacher
in gegensein Herrn Christoph Gambsen Specereÿ händlers
Ein Vorder und hinderhauß, höfflin, hoffstatt mit allen deren gebäwen, begriffen, Weithen, Zugehördten, undt gerechtigkeiten alhier im Goltgießen, einseit neben Christmann Kammen dem Seÿler, anderseit neben Johann Dieter dem Horblohner, hinden uff H. Abraham Kreüchel E.E. Kleinen Rhats beÿsitzer Zum theil undt theÿls H Isaac Bitto E.E. Großen Rhats beÿsitzer stoßend gelegen
Les préposés de la Taille consignent dans leur registre l’inventaire dressé après la mort de Marie Madeleine, femme abandonnée de Jean Georges Dimpffelmeyer depuis 1698, à cause des arriérés à payer et du droit de détraction dû par les héritiers du fils manant.
1708, Livres de la Taille (VII 1174) f° 22
(Schuhmacher, F., N° 1898) Weÿl: Fr. Mariæ Magdalenæ Hannß Geörg Dimpffelmeÿers des Verzogenen Schuhmachers geweßener Haußfrauen Verlassenschafft, inventirt H. Not. Schatz.
Concl. fin. Inventarÿ ist fol: 45 – 49. lb. 17. ß 9 .d
Extat ane Alten Stallgeltteren de aô 1685. biß 1698. incl. da Er Verzogen 51. lb
ferner de anno 1699. biß 1708. incl. à 3. ß d – 1. lb 10. ß
Gebott, 2 ß
Abhandlung – 2 ß 6 d, Summa 52. lb. 14 ß 6 d.
Abzug. Weÿl. Hannß Geörg Dimpfelmeÿers geweßenen Schuhmachers und Schirmers alhier hinterlaßene Zweÿ Kinder haben von ererbter Groß Mütterl. Legitimæ der 4. lb. 3. ß 1 d. ane Abzug zu erlegen 8. ß 3. ½ d
Weilen des Mannes Stallgeltt de anno 1685. biß ad annum 1698. incl. à 3. lb. 15. ß fortgelauffen und gefordert wird, da doch effident daß Er nicht über 100. fl. in Vermögen gehabt, Alß haben die Herren Dreÿ in consideration dießer und anderer trifftigen motiven die gantze Summam moderirt ad 20. lb. d.
dt. 7° Julÿ 1708 in abschlag 15. lb d
d. 29° aug. den rest mit 5. lb d (zusammen) 20. lb
Jean Georges Dimpffelmeyer vend au maréchal ferrant Jean Conrad Werner la maison (son emphytéose) à côté de la sienne (au sud, futur n° 11), y compris la forge et le travail. Les parties conviennent de servitudes dans le pignon mitoyen (évier, fenêtres).
1685 (31.8.), Chambre des Contrats, vol. 555 f° 454-v
Hannß Georg Dimpelmeÿer der Schuhmacher
in gegensein Hannß Conrad Werner deß Hueffschmids mit beÿstand H. Joseph Lautenschlagers E.E. Großen Rhats beÿsitzers
die Erb lehnungs Gerechtigkeit und beserung, uff zweÿen häußern, einem vordern und hindern, auch dero hoffstatt, höfflein, werckhstatt, bronnen und allen übrigen deren Gebäuen, begriffen, weithen, Zugehördten rechten und Gerechtigkeiten alhier ienzeit deß stadens im Golt gießen, einseit neben hannß Jacob Kammen dem Saÿlern anderseit neben dem Verkäuffern selbsten, hinden uff Lorentz Moseder den Würth zum Apffel stoßend gelegen, welche behaußung dem mehrern Hospital Jure dominy directi gehörig seÿe, und daselbe jährlichen mit 2. lb. 10 ß erblehnungß Zinnß recogniscirt werde, und habe der mehrere Hospital hierin Consentirt – Ferner habe Er Dimpfelmeÿer, gemeldtem Wörner uffrecht redlich und ohnwiderruflich cedirt sein Gebrauch, wohin der bestehen mag, und Ihme bißhero gebührt hatt, uff einem Vor der ietzt erkauffter behaußung gestandenen Schmidts hauß, uff dem allmend stehenden Nothstall, davon gibt mann iährlichen gemeiner Statt Pfenningthurn 5 ß Allmend gelt, mit diesen außtruckhlichen An: und eindingungen, Dieweilen fürs Erste der Verkäuffer und Käuffer anietzo beÿderseits einen Gemeinen Gäbel mit einander haben, und doch für alters Zweÿ Löcher sambt einem Waßerstein Von deß Kaüffers hauß in des Verkäuffers hauß geweßen oder eingebrochen worden, alß ein Kellerloch, wie auch in dem hindern Küchel ein steineres fenster geställ, so der Verkäufer selbsten in des Käuffers hauß hatt durch gedachten gemeinen Gäbel wie auch ein steinern Gestell in deß Käuffers hauß eine Kammer nach seiner nothdurff machen laßen, Alß will der Verkäufer, dem Käuffer solches abtretten und einraumen, Verspricht anbeÿ auch ahne statt der Thür ein fenster Geställ in seinen Kosten, 3. Schuh in die Vierung setzen zulaßen, doch soll der Käuffer solches in seinem Kosten Vergremsen und Verglaßen laßen, Für deß andre, hatt der Verkäuffer Vor diesem ein steineres fenster Gestell in deß Käuffers schmid durch gedachtes Gäbel brechen laßen, damit der tag beßer in die schmid fallen möge, nach gehendts aber wider Zugemaurt mit einem auffrechten stein, welches wider soll auch gemacht werden, doch soll der Käuffer Verbunden sein, solches in seinem Kosten Zu Vergrämbsen und Zu Verglaßen, Waß drittens den Wasserstein belangt, so Von deß Käuffers in des Verkäuffers hauß Vor alters gerichtet worden, soll der Käuffer schuldig sein, einen uffrechten Nach ahn der Mauren auff zu stellen, mit dieser bedingung deß der Verkäuffer und seine Jeweilige Nachkommen nicht macht haben sollen oberwehnter fenster oder Löcher oder sonsten etwas Zuverbawen, dann dieses soll eine beständige gerechtigkeit sein und für und für bleiben – umb 1175 fl. Von welchem Kauff schilling aber der Käuffer, wegen deß iährlichen dem mehrern Hospital fallenden Erb Lehen Zinnßes 100. fl. also Zwischen Ihnen denen Parten Verglichen abgezog. und inbehalten hatt
Fils du maréchal ferrant Jean Werner, Jean Conrad Werner épouse en 1670 Ursule, fille du tonnelier Michel Klein
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 13 n° 47)
1670. Die Pentecost. et Fest. Trin. den 22 et 29. Maÿ. Joh: Conrad Werner der ledige huffschmidt Weÿl. Hn Joh: Werners gewes. burg.s u. huffschmidts allhier hind.lassener ehelich. sohn, Jfr Ursula Michael Kleinen des Burgers v Kieffers allhier eheliche Tochter. Eingesegnet Donnerstag den 2. Junÿ St. Thomœ (i 8, proclamation Saint-Nicolas f° 284 n° 9, i 302)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au père de l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 166 livres, ceux de la femme à 134 livres.
1670 (9.6.), Not. Oesinger (David, 37 Not 21) n° 15
Inventarium v. Beschreibung Aller vndt Jeder haab vndt Nahrung, So d. Erbare undt bescheidene Hannß Conrad Werner burger v. huffschmidt alhie zue Straßb. v. die Tugendsamme Ursula Kleinen beÿde Eheleuth einander in d. Ehestandt Zugebracht (…) in beÿsein deß Ehrengeachten H: Michael Kleinen deß Eltern Ihres respectivé Vatters vndt Schwähers fleißig Inventirt – So beschehen Donnerstag d. 9.ten Junÿ Anno 1670.
In Einer In d. St: St. in der Straßgeg. der Kre* hien über gelegen v H Michel Kleinen dem Eltern Zuständig ist befund. worden wie volgt
Abzug in dießes Inventarium, Sa. (haußraths) 91, Sa. Baarschafft 25, Sa. Schulden 50, Summa summarum 166 lb
Sa. der Fr. Zugebrachten haußraths 88, Sa. Silbergeschmeids 12, Sa. guldenen Ring 8, Sa. Schulden 25, Summa summarum 134 lb
1685, Conseillers et XXI (1 R 168) Hannß Conrad Werner Wird Schöff. 210.
Marie Ursule Werner, femme du boucher Elias Kreuchel, Anne Marie Werner, femme du fabricant de pâtés Jean Guillaume Knoderer, le tuteur de Marguerite et Marie Cléophée Werner, filles de Jean Conrad Werner, vendent leur part de maison à leur beau-frère Jean Wennemar Heyl, forgeron municipal, et à sa femme Anne Barbe Werner. Ursule Klein, mère des parties, consent à la vente de l’immeuble dont elle a l’usufruit viager.
1699 (12.5.), Chambre des Contrats, vol. 571 f° 274
(prot. fol. 36.b) Erschienen Elias Kraüchel, der Metzger, alß Ehevogt Mariæ Ursulæ gebohrener Wernerin, Ferner Anna Maria Wernerin, Johann Wilhelm Knoderers deß Pastetenbecks Haußfrau, mit beÿstand deßelben, So dann H. Johann Lobstein der Metzger, alß Vogt Margarethæ und Mariæ Cleophe Wernerin, alle alß Weÿl. H. Johann Conrad Werners gewesenen Stattschmidts sel. nachgelaßene töchter respect. deren Ehe: und Vögt.
in gegensein Johann Willemer Heÿlen, deß ietzig. Stattschmidts, vnd Annæ Barbaræ gebohrener Wernerin, Ihrem respect. Schwager und Schwester
vier Fünffte theÿl an hauß, hoffstatt und höfflein, mit allen deren Gebaüen, begriffen, weithen, rechten, Zugehördt. und gerechtigkeiten allhier im goldgießen, einseit neben weÿl. Hn Caspar Schneider gewesenen Stattwagners sel. nachgelaßene wittib und Erben, anderseit neben Johann Jacob Jeuchen, dem Spitalwagner, hinten Zum theÿl auff weÿl. Jr. Von Schmidburg s. hochadel. Erben, Zum theÿl auff Friderich Ringen dem Schreiner, stoßend geleg. Von welcher gantzen behaußung gehend jährlich 3 ß der hohen Schulen allhier bodenzinß, Item 10 ß d der Statt Straßb. Pfenningthurn von einem Schweinstall und wettertach, sonsten setierse dieselbe geg. männiglich freÿ ledig vnd eÿgen, Zu mahlen der Mit Kaüfferin zu vorhin der übrige Fünffte theil gehörig, Und ob wolen Fr. Ursula geb. Kleinin, obged H. Werners sel. nachgelaßene Wittib der Verkaüfferin leibliche Mutter, einen lebtägigen widem darauff genüßen hätte, so hat doch dieselbe mit beÿstand Hn Georg Sigmund Braunßmäntel deß Zinngießers und E: E: kleinen Raths alten beÿsitzers Ihres Vogts hierbeÿ zugeg. in solch. Verkauff consentiret und Ihren genuß am Kauffschilling zu hab. vergnüget – geschehen umb 640 pfund [unterzeichnet] [unterzeichnet] Johann Wenemar Haÿll, Anna Barbara Heÿlin, Georg Sigmund Praußmändl
Fils de Jean Paul Heyl, conseiler municipal de « Niederengelheim » près d’Oppenheim en Bas Palatinat, Jean Wennemar Heyl épouse en 1690 Anne Barbe Werner
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 12 n° 7)
Auff heuth Mittwochs den 24. Maÿ st. N. Aô Christi 1690. seind nach Zweÿ mahliger proclamation (…) copulirt worden Johann wellmar Heÿl, der ledige Huffschmid, weÿland hr. Johann Paul Heÿlen, deß Rathsverwanthen Zu Nider Engelheim inn dem ober ampt Oppenheim in der vndern Pfaltz nachgelaßener ehelicher Sohn, vnd Jungfr. Anna Barbara Hn Hans Conrad werners deß Burgers vnd Huffschmidts alhie eheliche Tochter [unterzeichnet] Johan Wennemar haÿll Alß hoch Zeidter, Anna Barbara Wernerin als hoch Zeiderin (i 13)
Jean Wennemar Heyl devient bourgeois par sa femme quelques mois après son mariage
1690, 4° Livre de bourgeoisie p. 572
Johann Wannemer Heÿl der huffschmid Von Nider Engenheim in der untern Pfaltz gelegen, gebürtig, weÿl. Joh: Paul Heÿlen, gewesten Zollers daselbst hinterl. sohn, empfangt das burgerrecht Von Anna Barbara Wernerin deßen haußfr: p. 2. Gold fl. 16. ß. so er bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt, ist Zu Vor ledig. standts gewesen V. wird Zu E: E: Zunfft der Schmidt dienen. Jur: d 29. May 1690
Les préposés au bâtiment nomment Jean Wennemar Heyl forgeron municipal en remplacement de son beau-père Jean Conrad Werner dont il a été l’aide et dont il a repris le travail après sa mort. Les préposés connaissent la qualité de son travail et sa capacité à soigner les chevaux.
1696, Préposés au bâtiment (VII 1377)
(f° 29) Dienstags den 3. Ejusd. [Aprilis] – Johann Wennemar Hail würd zu einem Statt Schmidt angenommen.
Ego proponire, Es werde MGHh bekandt sein, wie daß auff absterben Johann Conrad Werners, des Statt Huffschmidts, deßen Wittib mit hülff Ihres tochtermanns, Johann Wennemar Hailen, des huffschmidts mit deroselben gnd. belieben, biß dato die Stattarbeit versehen, alldieweilen es aber allerhand ursachen halben beßer gethan sein würd, wann mann einen Meister Zu einem Statt Huffschmidt ordnungsmäßig erwöhlen, und denselben daß Er sich mit einem aÿd wie andere der statt Handwercksleüth Zu der Statt arbeit Verbindlich machen möchte, obligiren thäte, und sich dieser Hail sowohl beÿ lebzeiten seines Schwehers, alß biß dato der Statt arbeit trewlich und fleißig angenommen und die Wernerische Wittib sich Verlauten laßen, daß Sie Ihne die Stattarbeit gern gönnen möchte, derselbe auch in der Roß artzeneÿ beruhett, alß stünde beÿ MGHh., ob Sie der Wernerischen Wittiben Vogten hierüber anhören, und auff deßen erklärung denselben Zu einem Statt Huffschmidt annehmen und mit einem aÿd beleben wolten. Herr Georg Sigmund Braunßmäntel der Zinngießer, alß Vogt weÿl. Johann Conrad Werners, des gewesenen Statt Huffschmidts seel. hinterlaße Wittib berichtet, daß seine Vogtsfraw nichts mehrers wünschte, alß daß Ihr Tochtermann Hail Zu MGHh huffschmidt angenommen werden möchte. Hail ersucht MGHh. Ihne darzu anzunehmen, offerirt seiner Schwiegermutter Von dem Verdienst billigmäßigen theil Zukommen Zulaßen.
Erk. Würdt Johann Wennemar Hail Zu einem Statt Huffschmidt, mit der condition, daß Er seine Schwiger Mutter Von dem Verdienst etwas Zukommen laßen solle, angenommen, welchem auch alsobalden des Statt Huffschmidts ordnung Vorgelesen und eingehändiget worden, nach deme Er deroselben nachzugeleben einen leiblichen aÿd abgelegt hatte.
Anne Marie Werner, femme de Jean Guillaume Knoderer, cède à Jean Wennemar Heyl (ici Jean Guillaume Heyl) sa part de maison en paiement d’une obligation.
1709 (5.2.), Chambre des Contrats, vol. 582 f° 61-v
(160) Anna Maria geb. Wernerin Joh: Willhelm Knoderers pastetenbeckers beÿständlich Deßelben wie auch Joh: Michel Baum Paßment: und Joh: Jacob Beza bürstenbinders
in gegensein Joh: Willhelm Heÿl Statt schmids
demnach sie Anna Maria ihm Heÿl vermög handschrifft vom 20. X.bris 1705. 160 lb baar geliehen gelds schulden alß wolle sie ihm in solutum solcher schuld aufrichtig cediren ihren vätterlichen antheil ahn der vätterlichen behaußung allhier im Goldgießen, einseit neben Joh: Georg Timpfelmeÿern schuem: anderseit neben Heisch dem Sporer u. guldenen Apfel stoßend, welcher theil der Cedentin mutter annoch mit lebtägigem wÿdem verfangen
Jean Wennemar Heyl loue une partie de sa maison au baquetier Jean Jacques Schmidt
1728 (19.2.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 59
H. Johann Wennemar Haÿl Stattschmidt und EE. kleinen Raths alter beÿsitzer
in gegensein Hannß Jacob Schmidt Küblers
In sein haÿlen eigenthümlich ahm goldgießen einseit neben Lorentz Burger anderseit neben Straub dem Schneider hinten auff die gastherberg zum Apffel stoßend gelegenen behausung Eine Stiege hoch die hindere in den hoff sehende Stueb und Kuchen, Ferner zwo stiegen hoch zweÿ Kämmerlein, dreÿ stiegen hoch ein Kämmerlein, Unten auff dem boden die werckstatt, so dann ein unterschlagenes Kellerlein neben der Werckstatt und endlich 4 stiegen hoch ein Bühnlein auff dem vorder hauß – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend von Annunciationis Mariæ fürwährenden Jahren um einen jährlichen Zinß nemlich 36 gulden
Jean Wennemar Heyl passe un accord avec ses voisins Jean Philippe Schmidt et Jean Conrad Schmidt (maison au sud) qui ont démoli leur maison et la reconstruisent quatre pieds en avant de l’ancienne. Il a d’abord refusé que les voisins ravancent leur bâtiment. Il y consent à condition que ses voisins n’interceptent pas la lumière de son bâtiment arrière.
1732 (8.5.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 218
Johann Philipp Schmidt hueffschmidt und Johann Conrad Schmidt wagner gebrüdere
H. Johann Wenemar Heÿl des Stattschmidts und EE. kleinen Raths alter beÿsitzer
demnach Sie Schmidtische gebrüder ihre gemeinschaftlich allhier im goldgießen, einseit neben gedachtem H. Heÿl anderseit neben Samuel Winckler dem Schloßer ehevögtl. weiß hinten auff ged. H. Heÿl und Johann Jacob Meÿer den Peruquenmacher stoßend, gelegenen behausung abgebrochen und von neuem wieder auffzubauen, aber auch mit dießem neuen bau 4 schuh auff das allmend weither als das alte hauß gestanden, fortzurucken gesinnet sind, er H. Heÿl aber sich dießer fürruckung wiedersetzet hat, als haben sich die Parthen dießer zwistigkeit halben dergestalten miteinander vereinbahret, daß er H. Heÿl sich der Vorrückung des neuen gebäudts keines wegs wiedersetzet dahin gegen verpflichten sich Schmidtische gebrüder für sich ihre Erben dem heÿlischen hauß und deßen jeweiligen proprietarÿs weder durch bauen noch in andere weiß den tag und liecht so er Heÿl in seinem hinderhauß auf Schmidtische behausung nimbt zu benehmen oder durch andere weeg zu schwächen, maßen er oder seine Nachkommen dießes rechtens als einer servitutis dominantis ne luminibus officiatur zu allen zeiten zu genießen berechtiget sein soll
Le notaire Lobstein dresse l’inventaire (non conservé) des biens de Jean Wennemar Heyl après sa mort. Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins (50 livres) sur un total de 5 800 florins
1733, Livres de la Taille (VII 1177) f° 228-v
(Schmidt F., N. 5901.) Weÿl. H. Johann Wennemar Heÿl gewesenen Statt Schmidts und E. E. Kleinen Rahts Alten Beÿsitzers Verlaßenschafft inventirt H. Not. Lobstein
Concl. Fin. Inv: ist fol. 141 – 3165. 5. 3.
Abgezogen die für arbeitt außständige 267. 10. 11, restirt 2897. 14. 1., die machen 5800. fl. Verstallte nur 5700. fl. Zu wenig 100. fl
Nachtrag Sechs Jahr in duplo à 6 ß – 1 lb 16 ß
und Vier Jahr in simplo à 3 ß – 12 ß
Extat das Stammgeltt pro 1733 mit – 9 lb 18 ß
Gebott – 2 ß
Abhandlung 3 lb. 12 ß. 6 d – Summa 16 lb 6
dt. 13. Aprilis 1733
Jean Nicolas Struve, jardinier au Jardin des plantes, demande au nom de sa belle-mère, veuve depuis peu du forgeron municipal Jean Wennemar Heyl, l’autorisation de continuer de travailler au service de la Ville, pour elle-même et pour son fils Jean Conrad Heyl. Le maréchal ferrant catholique Jean Bastasius Rieth présente une requête pour assurer les fonctions de forgeron municipal.
Le secrétaire rapporte que le préteur royal a reçu une requête de Rieth mais qu’il ne connaît pas les capacités du requérant. Il laisse donc toute latitude au Magistrat de décider ce qui est le mieux pour les intérêts de la Ville. Les préposés reconduisent la veuve Heyl et son fils dans leurs fonctions jusqu’à nouvel ordre.
1732, Préposés au bâtiment (VII 1395)
(f° 99) Dienstags den 30. Ejusdem [Decembris 1732.] – H. Johann Wennemar Heÿlen Wittib und Sohn, Johann Paschasius Rieth, Stattschmidt.
Herr Niclaus Struv der Doctor Gartenmann ersuchet Mghh. im Nahmen Weÿl. Hn Johann Wennemar Heÿlen des jüngst Verstorbenen Stattschmids nachgelaßene Wittib, seine Schwiegermutter, ihro nun Johann Conrad Heÿlen dero Sohn, welcher der Schmieden schon Verschiedene Jahr beÿ Lebzeiten des Vatters, Vorgestandten, die Stattarbeit noch ferner Zulaßen und anzuvertrawen. Johann Paschasius Rieth, der Hueffschmid, Catholischer Religion, bittet Mghh. Unterthänig, jhne als einen Stattschmid anzunemen.
Ego berichte, daß Ihro Excell. Herr Prætor Regius Von Klinglin mir Bedütten, daß erstgedachter Rieth jhme dieser Sach halben eine Requete præsentiret, weilen er ihn aber nicht Kennet noch weiß Ob er genugsame Capacität habe, Als Überließe Er Mghh. die Sach Zu examinieren, und darinn Zuthun, was Sie der Statt am best und Nutzlichsten Zuseÿn erachten werden. Erkannt, solle H. Johann Wennemar Heÿlen Wittib und Sohn solang es Mghh. belieben wird, Continuirt werden.
Les six enfants et héritiers d’Anne Barbe Werner, veuve de Jean Wennemar Heyl, se partagent les deux maisons de l’héritage. Celle du côté ouest de la rue revient à Jean Conrad Heyl, celle du côté est à Jean Frédéric Heyl, tous deux maréchaux ferrants. Les deux frères conviennent d’exploiter en commun la forge dans la maison de Jean Conrad Heyl. Jean Frédéric Heyl s’engage à loger et à laisser l’atelier à son frère charron Philippe Jacques Heyl.
1735 (11.3.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 41) n° 935
Abtheilung Weÿland der Viel Ehren: und Tugendgezierten Frauen Annä Barbarä Haÿlin gebohrener Wernerin, auch Weÿland des Ehrenvest Wohlvorgeacht und Weißen herrn Johann Wennemar Haÿlen, geweßenen Statt hueffschmids und E: E: Kleinen Raths alten Wohlverdienten Beÿsitzers auch burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. hinterlassener Frau Wittib nun ebenmäßig seel. Verlaßenschafft.
Actum in præsentia sambtlicher nach dießem Eingang insonderheit benahmbßter Erben, ingleichem Herrn Johann Webers des geschwornen Käufflers und mein unterschriebenen Notarÿ, So dann H Johann Gottfried Höhlers, Spithalwagners und E: E: Kleinen Raths alten Wohlverdienten Assessoris der Fr. seel. geweßenen Curatoris, auf das den 23.sten Februarÿ jüngsthien producirte und auf der Statt Stall wieder abgehandelte Inventarium über dero haußwürths seel. verlaßenschafft de Anno 1733 ohne fernere Inventation Donnerstags den 10. Martÿ et seq. Anno 1735.
Die Verstorbene Frau seelige hat Zu Ihren Erben ab intestato Verlaßen, wie volgt 1. Herrn Johann Wilhelm Haÿlen, wohlverordneten Pfarrer und treueifferigen Seelsorger des Evangelischen Gemeinde Zu Plobßheim auch Burgern allhier Zu Straßburg welcher in Persohn dem geschäfft abwartete, 2. Herrn Johann Conrad Haÿlen, den Hueffschmid und Burgern allhier, welcher in Persohn Zugegen geweßen, 3. Frau Ursulam Struvein geb. Haÿlenin, Hn Nicolai Struve des Doctorgarthners und Burgers allhier Frau Eheliebstin welche mit assistentz deßelben in Persohn beÿ dem geschäfft beÿgewohnt, 5. Herrn Johann Daniel Haÿlen, den Kieffer und Weinhändler, auch burgern allhier welcher gleicher weiße in Persohn beÿ dem geschäfft sich eingefunden, So dann 6. Philipp Jacob Haÿlen, den Ledigen Wagner, welcher mit assistentz Herren Johann Conrad Schnitzlers, des hueffschmids und Burgers allhier, seines geschwornen vogts in Persohn beÿ dem geschäfft sich eingestelt. Alßo alle Sechs der Verstorbenen Frauen seel. mit auch Weÿl. Johann Wennemar Haÿlen dem geweßenen Statt hueffschmidt (…) und burgers allhier ebenmäßig seel. ehelich erziehlte herren Söhn und Frau Tochter ab intestato Zu Sechs gleichen portionen und antheilern Verlaßene Erben.
(f° 12) Vergleich: und Überlaßung der häußer. Erstl. ist in dem Vätterlichen Verlaßenschafft Inventario de Anno 1733. fol. 29. et seqq. auch fol. 115. fac 1.ma et seqq. eingetragene Behausung, hoffstatt und höfflein mit allen anderen deren gebäuen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Statt Straßburg ane dem Goldgießen, einseit neben Johann Philipp Schmid, dem hueffschmid und Johann Conrad Schmid dem Wahner, beeden brüdern ins gemein, anderseit neben Hn Johann Gottfried Höhler dem Spithalwagner und E: E: Kleinen Raths alten wohlverdienten Beÿsitzern, hinden Zum theil auf H. Joh: Jacob Braunen den Jüngern, Goldarbeiter und Zum theil auf Hn Joh: Friderich Sachßen jetzigen dreÿern der Statt Stalls stoßend, davon man Jährl. (…)
Johann Conrad Haÿlen dem Hueffschmid
So dann ist die in Vorangeregtem Vätterlichen Verlaßenschafft Inventario de Anno 1733. fol. 27. fac. 1.ma et seqq. auch fol. 115. fac 1.ma beschriebene Erblehnugs gerechtigkeit und Beßerung an Zweÿen Häußern, einem vorder: und hinterhauß, auch dero hoffstatt, höfflein, Bronnen und allen übrigen deren gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Statt Straßburg jenseit des Stadens im Goldgießen, einseit neben Martin Strupp dem Schneider, anderseit neben Lorentz Burger dem Schuhmacher, hinten auf die gastherberg Zum goldenen Apffel stoßend. welche behausung dem Mehrern Hospithal allhier und jure Dominii directi gehörig ist, und Jährl. mit 2 lb 10 ß. d. Erblehen Zinnß recognosciret werden muß, und dann reicht man davon Jährl. 5 ß. d. Allmendgeld von einem darbeÿ stehenden Nothstall gemeiner Stadt Pfenningthurn, Sonsten seind die gebäu Gegen Männiglichen freÿ, leedig, eigen und über gemelte onera von gesambten Interessenten auch respectivé dero Ehe: und geschwornem Vogten
dem Mittlern Sohn Herrn Johann Friderich Haÿlen, dem Hueffschmid und burgern allhier eigenthümlich Käufflichen cedirt auch von demselben über gedachte Beschwährden Käufflich angenohmen worden für 2900 Gulden, thun 1450. lb.
Hiebeÿ wurde Zwischen denen Beeden Käufern vorstehender Zweÿen häußern nahmentlich herrn Johann Conrad: und Herrn Johann Friderich, denen haÿlen expressé abgeredet und verglichen, daß dieselbe das gemeinschaftliche Schmidhandwerck, wie Sie solches biß dato mit einander geführt, noch ferner in das Künftige 15 Jahr lang nach einander, von Annunciationis Mariæ dießes 1735. Jahrs an: und auf gleiche Zeit Anno 1750 ausgehend, dergestalten mit einander ins gemein fortführen sollen und wollen Zu dem Ende solle in Hn Johann Conrads, des ältesten Sohns angenommener behaußung die Werckstatt oder Schmieden sambt der Kohlenkammer wie auch der Schmid Knecht Ihrer Schlaff Kammer hierzu emploirt, hingegen der werckstatt die Eßen sambt Ihren Caminern die Amböß Stöck, Beschläg Pritsch dächlein darüber, ingleichem der Nothstall und die steinerne Blättlein in der Schmid Knecht Kammer auf Ihr der beeden gebrüder und handwercks gemeiner gemeinschaftliche Uncösten im bau erhalten, auch das s.v. Cloac in erwehnter behaußung auszuführen durch Sie beede ins gemein bezahlt werden und
Endlichen hatt herr Johann Friderich Haÿl, seinem ältern Herrn Bruder herrn Johann Conrad Haÿlen, von der werckstatt und übrigen gemachen, so zu dem gemeinschaftlichen Schmidhandwerck emploirt werden, für seinen halben theil alle Jahr 18 Gulden Zinnß baar Zuentrichten und Zubezahlen
Weiter hat herr Johann Friderich Haÿl in seiner angenommenen behaußung neben dem goldenen Apffel gelegen seinem Jüngern Bruder Philipp Jacob haÿlen Ledigem Wagner, die Werckstatt und wohnung, sambt allen denenjenigen gemachen, so ehedießem der Stattwagner in Lehnung gehabt hat, auff 14 und 3 quart Jahr lang von Johannis Baptistæ dießen 1735. Jahrs ab und auf Annunciationis Mariæ Anno 1750 wieder außgehend, umb 40 Gulden Jährlichen Zinnßes verlühen (…)
So beschehen in Straßburg den 11.ten Martÿ Anno 1735.
Jean Frédéric Heyl épouse en 1728 Anne Marie, fille du boucher Jean Lamp : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia Heuraths Verschreibung – zwischen dem Ehrengeachten Johann Friderich Heÿlen dem ledigen Huffschmidt, des Ehrenvesten und wohlachtbahren herrn Johann Wennemar Heÿlen Stattschmidts und E. E. Kleinen Raths allhier alten beÿsitzers eheleiblichem Sohn, alß dem Bräutigam an einem
So dann der Ehren und Tugendsamen Jungfrauen Annæ Mariæ Lampin des Ehren und wohlvorgeachtn Herrn Johann Lampen, Metzgers und burgers allhier ehelichen Tochter, alß der Jungfrau Hochzeiterin am andern theil (…) So beschehen vnd verhandelt auff Donnerstag den 23. Septembris Anno 1728. Johann Philipp Lichtenberg, Notarius
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 208 n° 1183)
Anno 1728. den 3 Novembr. seind nach geschehener ordentlicher ausruffung in der Kirch Zu St Thomas ehelich eingesegnet worden Johann friederich Heyl der ledige huffschmid, H. Johann Wilhelm Heÿl, deß burgers und hoffschmids alhie, ehelicher sohn, und Jungfr. Anna Maria H. Johanns Lamp deß burgers und Metzgers alhie eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Friederich heÿll als hochzeiter, Anna Maria Lampin alls hochzeiterin, Niclaus Struve alß Schwager (i 212)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue d’Or. Ceux du mari s’élèvent à 358 livres, ceux de la femme à 651 livres.
1729 (11.2.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 23) n° 530
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so der Ehren und Vorgeachte Meister Johann Friderich Haÿl, der Huefschmid und die Ehren und tugendsahme Frau Anna Maria Haÿlin, gebohrene Lampin beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebracht, welche der Ursachen allweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteten heuraths verschreibung expressé enthalten, daß eines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert sein und bleiben solle (…) So beschehen in Straßburg in beysein Herrn Johann Wennemar Haÿlen des Stattschmidts und E. E. Kleinen Raths alten Wohlverdienten Assessoris des Ehemanns eheleiblichen Vatters: und Herrn Johann Lampen, des Metzgers und burgers allhier der Ehefrauen geliebten Vatters, auf Freÿtag den 11.ten Februarÿ Anno 1729.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Goldgießen gelegenen und in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behausung befunden worden wie volgt
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. des Manns in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 156, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 15, Sa. baarschafft 109, Summa summarum 281 lb – hierzu kombt ferner der halbe theil ane denen verehrten haussteuren 76 lb, Erstreckt sich alßo des Manns völlig in die Ehe gebracht Guth in allem dem vero pretio nach auf 358 lb
Der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 289, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 29, Sa. goldener Ring 39, Sa. Baarschafft 217, Summa summarum 575 lb – Dazu gelegt die helffte ane denen verherten haussteuren 76 lb, Trifft demnach der Frauen völlig in die Ehe gebracht Vermögen in allem dem billichen werth nach an 651 lb
Jean Frédéric Heyl meurt en 1748 en délaissant un fils. Les experts estiment la maison à 750 livres. La masse propre à la veuve est de 551 livres, celle de l’héritier de 171 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 328 livres et le passif à 1 428 livres.
1748 (11.1.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 65) n° 1464
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und güthere, so weÿl. der Ehrenvest und wohlvorgeachte Herr Johann Friderich Haÿl, der geweßene hueffschmidt und burger allhier Zu Straßburg nunmehr seeliger, als derselbe donnerstags den 14.ten Decembris des Zurückgelegten 1747.sten Jahrs dieses Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren vnd vorgeachten Meister Philipp Jacob Heÿlen, des wagners und burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Johann Heÿlen, des abgeleibten seel. mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen wittib ehelich erzielten Sohns und ab intestato verlaßnen universal Erben, inventirt und ersucht durch die Ehren: und tugendsahme Frau Annam Mariam Haÿlin gebohrner Lampin die hinterbliebene wittib mit beÿstand H Johann Werner des Hueffschmidts und burgers allhier Ihres geschwornen Vogts (…) So beschehen in Straßburg theils den 28.ten et 29.ten Xbris 1747 und theils den 11.ten Januarÿ Anno 1748.
Copia Heuraths Verschreibung – Copia Codicilli reciproci
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Goldgiessen gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung, befunden worden, wie folgt
Ane Höltzen: und Schreinwerck. In der hintersten obersten Cammer, In der Magd Cammer, In der hintern untern Stub, In der hintersten Küchen, Auff dem untern Gang, In der Wohn Stub, In der Stub Cammer, In Herrn Conrad Heÿlen Hauß
Werckzeug und Gemachte Arbeit, Zum Hueffschmid handwerck gehörig
(f° 17) Eigenthumb ane einer Behausung. (E.) die Erblehnugs gerechtigkeit und Beßerung an Zweÿen Häußern, einem vorder: und hinterhauß, auch dero hoffstatt, höfflein, Bronnen und allen übrigen deren gebäuen begriffen, Weithen, rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Statt Straßburg jenseit des Stadens im Goldgießen, eins. neben Mr Johann Daniel Froschhammer dem Kurtzmeßerschmidt, anders. neben Mr Philipp Beutelstätter, dem Schreiner, hinten auf die gastherberg Zum goldenen Apffel stoßend. welche behausung dem Mehrern Hospithal allhier und Jährl. mit 2 lb 10 ß. d. Erblehen Zinnß recognosciret werden muß, ferner reicht man davon Jährlichen 5 ß. d. Allmendgeld von einem darbeÿ stehenden Nothstall Gemeiner Stadt Pfenningthurn, sonsten seind die gebäu Gegen männiglichen freÿ, leedig, eigen und über gedachte beschwerden durch (die Werckmeistere) Laut Abschatzungs Zeduls Vom 4.ten Januarÿ 1748. angeschlagen pro 640. lb. Über einen Antheil dießes Haußes soll besagen eine teutsche Pergamentene Cessio in solutum in allhiesiger C. C. Stub auffgerichtet, und mit dero anhangendem Innsiegel Corroborirt, de dato 5. Februarÿ A° 1709. so sich aber dermahlen nicht befunden.
Ergäntzung des Erben Abgegangenen ohnveränderten Guths. Nach besag Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuthe Inventarserlärung vor ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, durch mich unterschriebenenen Notarium in anno 1729 auffgerichtet
Abzug in gegenwärtig Verlaßenschafft Inventarium gehörig. Der Frau Wittib ohnverändert Vermögen. Sa. haußraths 16, Sa. Silbergeschmeids 5, Sa. goldener Ring 8, Sa. baarschafft 8, Sa. Schulden 75, Sa. der Erg. (427, Abgang 2, restirt) 425, Summa summarum 551 lb
Des Sohns und Erben unveränderte Nahrung, Sa. Haußraths 33, Sa. Silbergeschmeids 3, Sa. baarschafft 2 ß, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 640, Sa. der Ergäntzung (538, Abgang 969, übertrifft um 430), Summa summarum 677 lb – Schulden 505 lb, In Vergleichung 171 lb
Die Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. Haußraths 74, Sa. Werckzeugs und gemachter Arbeit Zum Huffschmidt handwerck gehörig 103, Sa. Weins und Lehrer Faß 54, Sa. Pferdts 3, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 28, Sa. goldener ring 20, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1000, Sa. Schulden 1042, Summa summarum 2328 lb – Schulden 1428, Nach solchem abzug 899 lb
Stall Summa et Conclusio finalis Inventarÿ 1622 lb – Zweiffelhaffte und verlohrne Wittwe in das Erbe Zugeltend, so theilbar 314 lb
Copia Heuraths Verschreibung (…) So beschehen vnd verhandelt auff Donnerstag den 23. Septembris Anno 1728. Johann Philipp Lichtenberg, Notrius
Copia Codicilli reciproci – 1729. (…) auff Sontag den 27. tag des Monats Martii Nachmittags Zwischen Ein: und Zweÿ Uhren (…) persönlich kommen und erschienen der Ehren: und Wohlvorgeachte Herr Johann Friderich Haÿl der Hueffschmid und beneben Ihme die Ehren: und Tugendsahme Frau Anna Maria Haÿlin, gebohrene Lampin, Beede Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg, beede Von der Gnade des grundgütihen Gottes guter richtiger Sinnen (…) Johannes Lobstein, Notarius juratus
Abschatzung Vom 4. Januarÿ 1748. Auff begehren Weillandt deß wohll achtbahren und bescheitenen Meister Johann Frittrich heill deß geweßenen hoffschmidtß seel: hinderlaßenen Frau wittib und Erben, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in dem Goldt gießen gelegen, so ein seitß an Meister H. Daniell froschhammer dem mëserschmidt anderseitß Neben Meister Philip Jackob Peuttelstätter dem schreiner Stoßendt hinten auff daß wirtzhauß Zum apffell Stoßent, welche behausung unden ein gangß die wagner wërckstatt, der hoff bronen, und getrëmbter Keller holtz Cammer oben dar über ein Stuben Cammer Küchell hauß Ehren und Nebenß Stübell, oben ihm 2. stock under dem tach ein stuben Cammer Kuchen hauß Ehren 2. Nebenß Cammern war über ein alter tach stull daß tach mit ein fachen Ziglen belegt unbäsetzte binen sambt aller gerëchtig Keidt wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister sich in der besichtigung befundten und Jetzigem Preÿß nach an geschlagen wierdt Vor und Umb Ein Tausent und Vünff hundert Gulten. bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere, [unterzeichnet] Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
La veuve se remarie avec Jean André Würtz, natif de Hesse Darmstadt (le mariage n’est pas célébré à Strasbourg). La tribu de la Mauresse lui délivre un certificat d’admission pour qu’il puisse devenir bourgeois. Il déclare vouloir faire commerce en gros de denrées de la campagne.
1753, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 260)
(f° 164) Mittwochs den 28.ten Novembris Anno 1753 – Accordirter Vertröstungs Schein zum Zunfft Recht
H. Johann Andreas Würtz Von Heßen Darmstatt gebürtig, welches weÿland Herrn Johann Friderich Heÿl des gewesenen Stadt Huffschmidts und Burgers allhier hinterlaßene Wittib geheürathet und mit Land Waaren engros Zu handlen gesonnen, bittet Ihme einen vertröstungs Schein Zu Erlangung des hiesigen Burger und dißortigen Zunfft Rechts mit Zutheilen. Erkandt, Willfahrt, dedit 2 ß
Jean André Würtz (ici Wetz) devient bourgeois par sa femme Anne Marie Heyl le 24 janvier 1754
1754, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 551
H. Joh. Andreas Wetz Von Darmstatt gebührtig Maritus frauen Anna Maria Heÿlin Von hier erhöhlt das burgerrecht umb den Neuen Burger schilling und Will diennen Zur E:E:Zunfft Zur Mörin, jur. den 24.t Januarÿ 1754.
Jean André Würtz devient tributaire à la Mauresse le 2 juillet suivant
1754, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 260)
(f° 199) Dienstags den 2.ten Julÿ Anno 1754. – Neuer Leibzünfftiger ER
Herr Johann Andreas Würtz, von Darmstatt gebürtig, so mit Land Waaren engros Zu handlen vorhabens, übergibt Schein von allhiesiger Cantzleÿ Pfenningthurn und Stall dedatis respective 24.ten und 26.ten Januarÿ 1754. und bittet um Ertheilung des Zunfft Rechts.
Erkandt, gegen Erlag der Gebür willfahrt, dedit vor den Pfenningthurn 1 lb, vor das Zunfftrecht 5 ß, Vor die Feür Eÿmere 3 ß 4 d, und Einschreib Ged 2 ß, Summa 1 lb 0 ß 4 d. So dann vor das Findling hauß 2 ß 8 d.
Jean André Würtz cotise à la tribu du Miroir pour avoir le droit de débiter du café.
1755, Protocole de la tribu du Miroir (XI 277)
(f° 192-v) Dienstags den 25. Februarÿ 1755 – Geldzünfftiger, dr. 2. lb 13 ß 4 d – Andreas Wurtz der Leibzünfftige beÿ E.E. Zunfft Zur Möhrin, ist wegen dem Caffé Schanck, dißorths geldt Zünfftig gegen Erlag Zweÿ Pfundt dreÿzehen Schilling 4 d auff und angenommen worden, dt. et prom: obed.
André Würtz et Anne Marie Lamp hypothèquent la maison au profit de l’enseignant Jean Raimbaut Spielmann.
1756 (10.9.), Chambre des Contrats, vol. 630 f° 231
H. Andreas Würtz und Anna Maria geb. Lampin mit beÿstand H. Johann Strohl des silberarbeiters und H. Johann Sigmund Graffenauer des goldarbeiters
in gegensein ST. H. Jacob Reinbold Spielmann Prof. (Math.) – schuldig seÿen 500 lb
unterpfand, eine behausung cum appertinentis jenseits des stadens im Goldgießen, einseit neben N. Widmann dem schneider, anderseit neben Philipp Jacob Beutelstätter dem schreiner, hinten auff die gastherberg zum Apffel – davon gibt man dem mehrern hospital 2 lb 10 ß ane Erblehenzinß
Anne Marie Lamp, femme du cafetier Jean André Würtz, meurt en 1759 en délaissant pour héritière réservataire sa mère et son mari pour le surplus. Elle a hérité de la maison après la mort de son fils en premières noces. Les experts estiment la maison à 1 300 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 691 livres, le passif à 1 356 livres.
1759 (24.8.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 263) n° 774
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Güther, so weiland die Ehren und tugendsame Frau Anna Maria Würtzin gebohrene Lampin, des Ehren und Wol vorgeachten Herrn Johann Andreas Würtz, Caffeesieders und burgers allhier gewesener Ehegattin nunmehr seel. nach ihrem den 5. dieses Monats und Jahrs genommenen tödlichen Hintritt Zeitlichen verlaßen hat, Welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen und Begehren sowohl der Viel Ehren und Tugendbegabten Frau Marthä Lampin, gebohrenen Brackwehrin, weiland des Ehren und Wolehren Herrn Johann Lamp des ältern, gewesenen Metzgers und burgers dahier nachgelaßener Wittib der Verstorbenen, seel. eheleiblichen Mutter und Krafft hernach eingetragenen Testaments in den Pflichttheil eingesetzter Erbin, beÿständlich S. T. Herrn Johann Carl Ficke, Notarÿ publici dahier, als auch vorgemeltem H. Wurtzen, des hinterbliebenen Wittibers, dem der Überrest des Vermögens vermacht ist, fleisig inventirt (…) So geschehen und angefangen in Straßburg auf Freÿtag den 24.ten August Anno 1759.
Copia der Eheberedung && perge in dem Originali
Copia Testaments && perge infra fol:
Bericht über Gegenwärtige Verlaßenschafft. Nach Anleitung vorheriger Eheberedung hat eingangs erwehnter H. Notarius Ficke im Nahmen der Frau Erbin zu diesem Concept angegeben und behauptet, daß darin Zwischen beeden durch den Tod nun zetrennten Eheleuthen nicht nur wegen ihrem beederseitigen in die Ehe gebrachten, sondern auch wegen ihrem währendem Ehestand ererbten Vermögen stillschweigender weis ein Vorbehalt eines unveränderten Guths zu verstehen, so fort, was annoch in natura vorhanden, jedem Theil zuzuschreiben, das abgegangene aber solchergestalt zu ergäntzen seÿe, zugleich, weil in voreinverleibtem Testament keine detraction einer rechtlichen Quart verbotten, die quartam falcidiam una cum legitima verlangt, und dieses Inventarium hernach einzurichten begehrt.
Welchem allem aber vonn Seiten des H. Wittibers schlechterdings widersprochen, und dasjenige, was nicht ausdrucklich in dem Ehe-Contract enthalten, nach hiesigen Statuten Krafft welchen alles andere ein gemein und theilbar Guth seÿe, hiengegen puncto testamenti, daß die Frau Erbin ad Legitimam reducirt seÿe, nach dem Buchstaben dieses Testaments zu tractiren prætendirt worden.
Wobeÿ noch zu melden, daß die Partheÿen ihre gethane Erklärung und dagegen gemachte Einwendung nicht unterschreiben wollten, auch würcklich nicht unterschrieben haben. Da nun nachgehends die Frau Erbin zu verstehen gegeben, daß Sie von obiger ihrer Declaration freÿwillig abstehe, so hat man diese Verlaßenschafft denen hiesigen Stattrechten gemäs als ein Zusammengeworfen, gemein und Theilbar Guth dergestalt eingerichtet, daß davon dem H. Wittiber zween: und der übrige dritte Theil der Defunctæ seel. Erben zugeschrieben worden.
(f° 9) ([biffé] Erblehnugs-Gerechtigkeit) Eigenthum ane einer Behausung. Nemlich i. behausung besehend in i. Vorder und i Hinterhaus, hoffstatt, höflein, Bronnen und allen übrigen deren Gebäuden, begriffen, Weiten, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen in allhiesiger Stadt am goldgiesen, ein Seit neben Mr Philipp Beutelstätter dem Schreiner, ander Seit neben Mr Joh: Michael Witttman, dem Schneider hinten auf die Gastherberg Zum goldenen Apfel stoßend. Welche behausung dem alhiesigen mehrern Hospithal in recognitionem dominii directi jährlich auf Weÿhenachten zinsfällig ist um 2 lb 10 ß. Ehedeßen reichte man auch denen Hh dreÿ allhiesiger Pfenningthurns von einem dabeÿ gestandenen Nothstall Jahrs an Zins 5 ß, dieser Zins aber wird, weil der Nothstall schon vor einigen Jahren weggemacht worden, nicht mehr abgerichtet, sonsten ist diese behausung auser dem hieunten beÿ denen Passiv-schulden eingetragenen Capital gegen männiglich freÿ, ledig und eigen, und laut einer von dem H Bau-Inspectore und denen beeden Hh. Werckmeisteren eigenhändig unterschriebenen, beÿ dißortigem Inventarÿ-Concept in originali liegender Abschatzung vom 31. Aug. hujus anni æstimirt worden vor 1300. lb. Davon abgezogen obigen Erblehenzins so Zu doppeltem Capital gerechnet antrifft 100 lb. Wornach an dem Haus-Anschlag annoch übrig bleibt, hier auszuwerfen 1200.
Diese Erblehnugs-Gerechtigkeit d. behausung hat längst weil. hr. Joh: Friedrich Haÿl, der gew. hufschmid u. b. dahier der defunctæ erster Ehemann seel. auf absterben seines Vaters seel. weil. H. Joh: Wennemar Haÿlen gew. Stadtschmids u. E. E. Kleinen raths allhier alten wohlverdienten beÿsitzers, Von seinen Miterben cedirt bekommen, wie die von H. Not. Johann Lobstein dahier errichtete aber nicht ausgefertigte Cession weiset. Nachgehends hat jenes sein Sohn nahmens Johannes Haÿl, dieselbe ererbt, und da er ledig und ohntestirt mit tod abgegangen, auf die Frau seel. als die leibliche Mutter erb: und eigenthümlich gefallen. Sonsten soll über i. antheil dieses Hauses besagen i. teutsch perg. Cessio in solutum in allh. C. C. St. auffgerichtet, u. m. dero anh. Ins. corrob. de dato 5. febr: 1709. so sich aber dermal nicht gefunden.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 189, Sa. lärer Faß 12 ß, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 26, Sa. goldener ring und geschmeids 41, Sa. Anschlag an i. behaus. 1200, Sa. Schulden 233, Summa summarum 1691 lb – Schulden 1356 lb, Nach deren Abzug 335 lb – Stall Summ 335 lb
Widums-Verfangenschaft. Nemlich es hat mehrerwehnte Frau Martha Lampin gebohrene Brackwehren ihres auch vorgenannten Ehemanns seel. längst weil. H. Johann Lamp des ältern, gesamte Verlaßenschafft Krafft des vor weil. H. Notario Christoph Eberhard Bär dahier den 17. Junÿ 1718 gestiffteten Codicilli reciproci salva liberorum legitima die Tag ihres Lebens Widums weis zu geniesen (…)
(f° 13) Copia Testamenti nuncupativi – die Ehr: und tugendsahme Frau Anna Maria Wurtzin gebohrene Lampin H. Joh: Andras Würtz des Caffeesieders und burgers alhier Ehegattin (…) zu sich beruffen liese, welcher nach dem wir uns beÿ deroselben eingefunden hatten, zwar liegend und zu bett lag jedoch beÿ gutel Verstand und richtigen Sinnen erzeigte (…) zu Straßburg in einer ane dem Goldgiesen liegenden der testantin eigenthümlich zuständigen behausung deren auf dem ersten vordern Stockwerck befindlichen mit denen Fenstern in besagten Giesen aussehenden Wohnstub (…) den ersten Hornung 1759. Johann Daniel Saltzmann, Notarius publ. jur. req:
Abschatzung Vom 31.ten August. 1759. Auff begehren Herrn Andreas Würtz ist Eine Behaußung Allhier jn der Statt Straßburg jm Gold Gießen gelegen, Ein seÿts Neben Meister Johann Michael Wittmann dem Schneider, anderseÿts Neben Joh: Philipp Beittelstätter, und Hinden auf die Gastherberg Zum Apffel Genantt stoßend, solche Behaußung bestehet jn einer Werckstätt, Ferner jn dreÿ Stuben, dreÿ Küchen, und Ettliche Hauß Kamern dar über ist der dach stuhl mit breit Zieglen belegt hat auch ein Getrembten Käller, Brunnen und Kleines Höfflein. Von Uns den Unterschriebenen der Statt Straßburg Geschworne Werck Meister, Nach Vorhero Geschehener Besichtigung mit Aller Ihrer Gerechtigkeit em Jetzigen Wahren Werth Nach æstimirt und angeschlagen Worden Vor und Umb Zweÿ Thausent Sechs Hundert Gulden. [unterzeichnet] Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Werner, Huber
Fils du boucher Jean Michel Lamp, Jean Lamp épouse en 1701 Marthe, fille du messager Loup Thierry Brackwehr.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 82 n° 444)
Heüt den 27 Aprilis 1701 ist auff geschehene außruffung Eingesegnet word. Johannes Lamp der Ledige Metzger, weÿl. Meister Johann Michael Lampen gewesenen burgers undt Metzgers, nachgelaßener ehelicher Sohn, undt Jfraw Martha, wolff dietrich Brackwehrs burgers undt einspännigers allhier eheliche tochter [unterzeichnet] Johannes lamb als hoh Zeider, Marda brackwehrin als hochzeiterin (i 84)
Marthe Brackwehr et Jean André Würtz vendent la maison au baquetier Jean Luc Schaaff le jeune et à sa femme Susanne Dorothée Barbenès
1759 (24.9.), Chambre des Contrats, vol. 633 f° 311
Fr. Martha geb. Brackwehrin weÿl. Johann Lamp sen. metzgers wittib beÿständlich ihres Sohns Johann Lamp des metzgers und Johann Andreas Würtz des caffésieders
in gegensein Johann Lucæ Schaaff jun. des küblers und Susannæ Dorotheæ geb. Barbeneß
eine behausung bestehend in vorder: und hinter hauß, höfflein und hoffstatt samt allen begriffen, rechten und gerechtigkeiten am Goldgießen, einseit neben Johann Philipp Beutelstätter dem schreiner, anderseit neben Johann Michael Wittmann dem schneider, hinten auff die gastherberg zum Apffel – davon gibt man dem mehrern hospital in recognitione domini directi 2 lb 10 ß erblehenzinß – ihro zu 1/3 als ein von ihrer tochter Fr. Anna Maria Würtzin geb. Lamp ererbtes zu den übrigen 2/3 aber ihme H. Würtz als ein von seiner ehefrau vermachtes guth – um 1525 pfund
Fils du commissaire priseur du même nom, Jean Luc Schaaff termine en fait son apprentissage chez Jean Cuntz de 1745 à 1748.
1745, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 472) Donnerstags d. 15. Julÿ 1745 – Mstr. Johannes Cuntz der Kübler nimbt vermög scheins von den Obern handwercks Herren zum Lehrjungen Joh: Lucas Schaaff, H. Joh: Lucas Schaffen des burgers undt Käufflers allhier ehel. Sohn, umb solchen vom 13.ten hujus biß Eodem die 1748. das Kübler handwerck 3. jahrlang Zu lehrern, vor Lehrgelt ist accordirt 50. fl. und der fr. 10. fl. pro discretione wovon gleich die helffte, die andere helffte Zu end der Lehrjahren Zu erlegen, deßelben bürgen seÿnd deßen vatter obgedacht und H. Joh: Daniel Stamm, der jung Leidet alle uncösten. dt. 30. ß d et pro protoc. 3 ß d
(f° 509-v) Sambstags d. 13. Julÿ 1748 Kauffgericht
Mstr Johannes Cuntz stellet vor Johann Lucas Schaaff H. Joh. Lucæ Schaaffen des geschwornen Käufflers und burgers allhier Ehel. Sohn, meldet, daß ane heut deßen Lehrzeit verstrichen, auch beede wohl mit einander Zu frieden, und bittet außthuung. Erkandt wie gebetten. dedit p. delis. 30 ß d, pro protoc. 5 ß, p. Lehrbrieff 30 ß et pro sigillo 2 ß d.
Jean Luc Schaaff inscrit son fils pour qu’il fasse son chef d’œuvre en 1752
1752, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 29) Dienstags d. 14. 9.bris 1752 – Joh: Lucas Schaaff der leedige Kübler wurde Auf Ansuchen seines Vatters zum meisterstück eingeschrieben. Dedit Werckstatten Zinnß 3. lb, pro prot. 5 ß, pro findl. 1 ß
Jean Luc Schaaff présente son chef d’œuvre en 1758. Il est reçu maître mais doit payer une amende pour les défauts que les examinateurs ont relevé.
Designatio Desjenigen Meisterstücken so vom 27. Julÿ 1752. biß den 8. Novembris 1781 verfertiget worden
(f° 426) Freÿtags den 10.t Aprilis 1754 ist Lucas Schaaff des Ledigen Küblers meisterstück Zum Ersten mahl besichtiget und von den H Schauern referirt worden daß die bütt unten und oben um 3/2 Zoll Zu Kurtz seÿen dahero ihme aufferlegt worden, solche ins meß zustellen, der Eÿmer und Gölt wären Passable, aber auß dem ständel wurde jhme befohlen ane daugen schild, so 2. maß er hat Heraußer und eine beßere hinein Zu machen Zu deßen gezeugnuß sie sich unterschrieben. Unterschrieben Bernhard Schlegel, Michael schmidle, Johann Jacob Brion
Montags den 29.t Aprilis 1754 ist vorgedachten Lucas Schaffen meisterstück Zum andern mahl besichtiget und von den Herren Schauern referirt worden daß die bütt oben über ein Eck umb ein scheit* Rucken und unden an der lange und u* beede Ecke Zu Kurtz, die überigen stück befänden sich in Zimlich guten stand, Zu weßen gezeugnuß sich dieselbe unterschrieben. Unterschrieben Bernhard Schlegel, Michael schmidle, Johann Jacob Brion
Donnerstags den 9. May 1754. wurde obiger meisterstück Zum letzten mahl besichtiget und von den Herren Schauern referirt worden daß beÿde Eck oben ab der bütt ¼ Zoll Zukurtz und die bütt oben ¼ Zoll Zu lange seÿen, auch dieselbe ein schnitzer rucken zu breit unten stünde solche Zimmlich in den maß auß deß eine daug die gebührende [Holtz]dicke nicht haben und eine boden fuge ei[nen] meßer rucken dick nicht auff die Handhab fuge stoße der Eÿmer und Gölth belangend, solche seÿen passierlich das ständel aber seÿe oben ¼ Zoll zu schmahl und hätte 6 beschädigte Reiff, weßhalben ihme 6. andere daran Zu legen befolhlen worden wegen obigen fehlern wurde ihme 1. lb s straff angesetzt, im übrigen aber er Vor ein Meister Erkand, welches H. Obmann auch Confirmirte, die straff aber auf 1 lb d moderirte vermög unterschrifft Unterschrieben Bernhard Bernhard Schlegel, Michael schmidle, Johann Jacob Brion
Jean Luc Schaaff rest reçu tributaire le 8 juin 1754
(f° 52-v) Dienstags den 8. Junÿ 1754 – Mstr Joh: Lucas Schaaff der Kübler producirt schein Stall vom 17.t hujus und bette jhme Zum Leibzünfftigen anzunehmen. Erkandt wie gebetten
dedit pro Zunfftrecht 2. ln 5 ß, pro Feüreÿmer 10 ß, pro prot. 5 ß, pro Findling 1 ß und Straff wegen übel gemachten Meisterstück 1. lb
Jean Luc Schaaff doit régler une amende pour ne pas avoir déclaré un apprenti.
(f° 127) Dienstags en 23.sten Decembris 1760 – Mstr Joh: Lucas Schaaf der Kübler wurde vorgestellt, weilen er die 3 ß Wanderers halben wegen seinen Jungen nicht abgerichtet, ille sagte er hätte solchen Articul nicht gewust, würde sonsten sich Ordnungs mäßig aufgeführt haben. Erkannt solle den Articul mit 5. ß d beßern, ille bat um moderation. Erkannt wurde auf 2 ß 6 d moderit, ref. Exp. (pro prot. 3 ß)
Jean Luc Schaaff épouse en 1754 Susanne Dorothée Barbenès, fille du boulanger Jean Philippe Barbenès : contrat de mariage, célébration
1754 (3.5.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1224) n° 479
Eheberedung Zwischen dem Ehrengeachten Johann Lucas Schaaff, leedigen Kübler, Hn Johann Lucas Schaaff eines dießer Stadt geschwornen Inventir Käufflers und Burgers alhier mit Fr. Maria Margaretha Schaaffin gebohrner Börnerin ehelich erzeugten Sohn, alß dem hochzeiter, beÿständ. erstgedachten seines Vatters ane einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jgfr. Susannä Dorotheä Barbeneßin, Hn Johann Philipp Barbenes, des Schwartzbecken und burgers dahier mit Fr. Catharina Dorothea gebohrner Niedermeÿerin Ehelich erzeugter Tochter, unter assistznez dero eheleibl. Vatters wie auch H. Georg Graff deß Schwartzbecken und H. Wilhelm Friderich Föckler, Chirurgi und Wundartzten beeder burgere dahier deroselben H, Vetteren ane dem andern Theil
So beschehen Straßburg Freÿtags den 3.ten Maÿ A° 1754. in der Jungfr. hochzeiterin Eltern Behausung [unterzeichnet] Johann Lucas Schaaff als Hochzeiter, Susanna Dorothea Barbeneßin als Hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. 324-v n° 17)
1754. Mittwoch d. 10 Juli sind nach ordentlicher proclamation ehelich copulirt und eingesegnet worden Joh Lucas Schaaf der ledige Kübler H Joh Lucas Schaafen Inventir Käuflers und b. allg. ehl.. Sohn, und Jfr. Susanna Dorothea H Joh Philip Barbenes Schwartzbecken und b. allh. ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Lucas Schaaff als Hochzeiter, Susanna Dorothea Barbaneßin als Hochzeiterin, Johann Daniel Schaaff als bruder (i 330 – proclamation Saint-Nicolas f° 127-v n° 16, i 130)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue d’Or. Ceux du mari s’élèvent à 235 livres, ceux de la femme à 393 livres.
1754 (13.9.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1163) n° 899
Inventarium über des Ehrenachtbaren Mr Johann Lucæ Schaaf, Küblers und der Ehren und tugendsamen Frauen Susannä Dorotheä Schaafin gebohrner Barbeneßin beeder Eheleute und burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachtes Vermögen aufgerichtet in Anno 1754. (…) einander in ihrem den 11.ten Julii jüngst angetrettenen Ehestand zugebracht, walche der ursachen all die wiel, in ihrer vor mir Notario den 3.ten Maii dieses Jahrs auffgerichteten Eheberedung §° 3° wohbedächtlich verglichen und abgeredet, daß einem denen sein in die Ehe bringendes Vermögen ihme und seinen Erben reseruirt und vorbehalten seÿn solle (…) So beschehen in fernerem Beÿwesen Herrn Johann Lucæ Schaaf des Inventir käuflers, als des Ehemanns und Herrn Johann Philipp Barbeneß, des Schwartzbecken und Burgers dahier, der Ehefrauen Vatters welcher sie Zu ihrem beÿstand hierzuerbetten, Straßburg Freÿtags den 13.ten Septembris A° 1754.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Goldgießen gelegenen disorts Zur Zeit lehnungsweise bewohnenden behausung befunden worden wie folgt.
Abzug gegenwärtigen Inventarii. Des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 37, Sa. Werckzeugs Zum Kübler handwerck gehörig 19, Sa. Silbers 32, Sa. der Baarschafft 110, Summa summarum 198 lb – Und wann dazu gerechnet wird seine des Ehemanns halffte ane denen Haussteuren anlangende 36 lb, So macht des Ehemanns eigenthümliche Vermögen dießes Inventarÿ anschlag nach 235 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Guth beschrieben, Sa. haußraths 96, Sa. Silbers 21, Sa. Goldener Ring 13, Sa. der baarschafft 225, Summa summarum 356 lb – So nun die übrige helffte ane denen haussteuren dazu gerechnet wird anlangende 36 lb, So begreifft der Ehefrauen in den Ehestand gebrachte nahrung in sich 393 lb
La tribu des Fribourgeois inflige une amende à Jean Luc Schaaff qui a délivré un certificat d’hébergement non conforme.
1769, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 168)
(f° 368-v) Donnerstag den 8.ten deß Monaths Junÿ in Anno 1769 – Johann Lucas Schaaff der Kübler vnd burger allhier citirt wegen eines den 17.ten Jan: 1769. Ihro Gnaden dem Regierenden Herrn Ammeistern überschickten straffbahren Nacht Zeduls angesehen derselbe datum vndt Jahrzahl darinnen außgelaßen, sondern auch nicht ermeldet wer Louis Simon von Blamont so er logirte, soll benebst auch bescheinen die deßwegen gehabter Erlaubnus.
Citatus Zugegen recognosciret solchen Nachtedul, sagt dieße Persohn wäre ein Junger Mensch, so sich alß er Tauschhrt* auffhalt geweßen.
Erkanndt wird Citatus dermahlen in 7 lb d Straffe condemnirt, vndt anbeÿ ins Künfftige ahne die genaue observance der Ordnung verwießen.
Jean Luc Schaaff meurt en 1786 en délaissant deux fils. Les experts estiment la maison à 900 livres. La masse propre à la veuve est de 50 livres, celle propre aux héritiers est déficitaire de 26 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 056 livres, le passif à 46 livres. Les deux héritiers cèdent à leur mère la totalité de la succession.
1786 (27.2.), Not. Schaaff (6 E 41, 915) n° 36
Inventarium über Weiland des Ehrengeachten Herrn Johann Lucä Schaaff, im Leben gewesenen Küblermeisters und Burgers dahier Zu Straßburg Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1786. – nach seinem den 24.ten Januarÿ jüngsthin aus dießer Welt genommenen tödlichen Hienscheiden hier Zeitlichen verlaßen. Welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen, Erfordern und Begehren Fraun Susannä Doroteä Schaaffin geborner Barbeneßin der hinterbliebenen Fraun Wittib, beiständlichen Herrn Johann Friedrich Maurer, Eines Ehrsamen Großen Raths dahier alten wolverdienten Beisitzers und Burgers dahier, wie auch Herrn Johann Lucä und H. Johann Friedrich der Schaaffen, beder Kübleren hieselbst und des Entseelten mit obbenannter deßen hinterbliebenen Fraun Wittib ehelich erzeugter Großjähriger Söhnen, als ab intestato Zu gleichen Portionen und Antheilen verlassener Erben (…)
So geschehen alhier in der Königlichen freien Stadt Straßburg und einer daselbst ane dem Goldgiesen gelegenen: und in hernach beschriebene Theilbare Nahrung gehörigen Sterbbehausung, auf Montag den 27.ten Februarÿ 1786.
Abschrifft der Zwischen beeden nun getrennten Eheleute Zur Zeit Ihrer Verheuratung vor weil. H. Not° Johann Daniel Stöber am 3.ten May 1754. mit einander erichteten Eheberedung
Abschrifft des von dem Verstorbenen sel. vor auch weil. H. Not. Johann Daniel Langheinrich und Gezeugen am 23.ten Martii 1755. gestiffteten Codicills
(f° 3) Eigentum ane einer Behausung. (T.) Nemliich eine Behausung, bestehend in vorder: und hinterhauß, höfflein und hoffstatt, samt allen übrigen deren begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten alhier Zu Straßburg ane dem Goldgiesen, 1.seit neben weil. Joh. Phi. Beuterltätter, des Schreiners erben, 2.s neben weil. Joh. Michael Wittmann, des Schneiders Wittib und hinten auf die Gastherberg Zum Apffel stosend gelegen, davon man jährl. dem mehrern Hospital in recognitionem dominii directi 2 lb. 10 ß. ane Erblehenzinß Zu reichen schuldig, sonsten aber über den nunmaligen Vingtieme ledig, eigen und durch dies. Löbl. Stadt geschworne Werckmeistere, ausweis deren Zu mein Not. Concept gelüfferten Abschatzungs Zeduls vom 23. febr. 1786, dem billigen Wert nach angeschlagen vor und um 1800 fl. abgezogen obiges real onus der 2. lb 10 ß Erblehenzinß in doppeltem Capital anlangend 200 fl. verbleiben also auszuwerfen 1600 fl. oder 800. lb. Darüber ist vorhanden 1. teutscher auf Pergam. gefertigter Kaufbrieff in alhies. C.C. stub sub dato 24. 7.bris 1759. passirt und mit deroselben anhangendem Insiegel verwahrt
(f° 6) Bericht und resp° Vergleich gegenwärtiger Verl. Gleich anfangs dieser Inventur haben die hinterbliebene Frau Wittib, beiständlich wie Eingangs gedacht, und bede Erben, sich einmütiglich dahin erkläret, daß ohngeachtet in vorher abschrifftlich eingetragener Eheberedung §° 3.tio zwischen den nunmehro getrennter Eheleuten so wol des einbringenden als auch wehrender Ehe ererbten Vermögens halber ein ohnverändert und vorbehalten Gut, auch wegen dem abgegangenen eine Ergäntzung stipulirt worden, Sie die Frau Wittib und Erben sich dermalen keines weegs an solchen Eheberedungs puncten halten, sondern anheute unter sich oberkommenermaßen vestsetzen wollen (…) das dermalen sowol wegen dem bederseits für ohnverändert Zugebrachtem als wehrender Ehe ererbtem Vermögen keine Ersuchung vorgenommen, auch wegen dem abgegangenen keine Ergäntzung Platz finden (…)
Abzug gegenwärtigen Inventarii. Der Wittib ohnverändert Guth, Schuld 50 lb
Diesemnach wird auch der Erben ohnverändert Vermögen beschrieben, des Verstorbenen Kleidung 23 – Schuld 50, Der Erben passiv onus 26 lb
Endlich wird auch die gemein: verändert und theibare Nahrung beschrieben, Sa. Hausraths 50, Sa. Werckzeug und waar 63, Sa. Wein, brandenwein und Faß 49, Sa. Silbers 7, Sa. goldener Ring 8, Sa. baarschafft 12, Sa. Eigentums ane einer behausung 800, Sa. Activ schulden 64, Summa summarum 1056 lb – Schulden 46, Nach deren abzug 1009 lb
Stall Summ 1033 lb
Abschrifft der Eheberedung (…) den 3. Maÿ Anno 1754, Johann Daniel Stöber Notarius
Abschrifft des Codicills – persönlich erschienen Hr Johann Lucas Schaaff, Kübler und Burger alhier Zu Straßburg, durch die Gnade des Grundgütigen Gottes, aufrecht, gesund: gehend und stehenden Leibs, auch guter richtiger Sinnen, Vernunfft, Verstand und Gesprächs (…) auf Sonntag den 23. Martÿ abends zwischen 5 und 6 Uhren, Anno 1755, Johann Daniel Langheinrich, Notarius publicus juratus
– (…) Nemlichen so wollen die beden Söhnen und Erben die völliige väterliche so beweg: als unbewegllichen, liegend und fahrende Nachlassenschafft, sie bestehe worinn und habe Namen wie sie immer wolle, keinerlei nichts ausgenommen noch vorbehalten obengenannter Ihrer geliebten Frau Mutter und disortiger Frau Wittib ohnuntersucht tam active quam passive als ein wahres Eigentum um damit nach Willkuhr schalten und walten zu können, cediren und abtretten (um 10.000 gulden) Straßburg Freitags den 12. May 1786.
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 300 florins (650 livres) sur un total de 2 000 florins
1786, Livres de la Taille (VII 1181) f° 27
(Kiefer N° 1733) Weÿland Johann Lucas Schaaff, des gewesenen Küblermeisters und Burgers alhier Verlaßenschafft inventirt Hr. Not. Schaaff
Conclusio fin: Invent: ist fol. 76, 1033. lb 3 ß 9. ß diese machen 2000. fl. verstallte 700 fl. also zu wenig 1300. lb.
Wovon Nachtrag Sechs Jahr in duplo, als von errungenem Gut à 3. lb 18 ß d – 23 lb 8 ß
und Vier Jahr in simplo à 1 lb 19 ß – 7 lb 16 ß
Ext. Stallgeld pro 1786. – 2 lb 8 ß
Gebott – 2 ß
Abhandlung – 1 lb 17 ß – Summa 35. ln 11 ß
Auf Bitten ist das simplex nachgelaßen worden mit 7 lb 16 ß, Rest 27. lb 15 ß
dt. 29. Mart: 1786
Jean Frédéric Schaaff épouse en 1790 Marie Salomé Koch, fille du taillandier Jean Gautier Koch. Susanne Dorothée Barbenès fait donation à son fils de la maison moyennant 4 000 florins
1790 (18.9.), Not. Schaaff (6 E 41, 919) n° 44
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehren: und Vorachtbare H. Johann Friderich Schaaff, lediger Kübler Meister, weil. des Ehren und Wohlvorgeachten H Lucas Schaaff gewesenen Kübler meisters und burgers dahier mit der Ehren und tugendbegabten Fraun Susanna Dorothea geborner Barbeneßin ehelich erzeugt nachgelaßener Großjähriger Sohn, als Hochzeiter ane Einem,
So dannn die Ehren: und Tugendsame Jungfrau Maria Salome Kochin, des Ehren: und Wohlvorgeachten Hn Johann Walther Koch, Bohrenmacher Meisters und burgers dahier mit weil. der Ehren und tugendbegabten Fraun Maria Salome geborner Weißin ehelich erziehlt annoch minderjährige Tochter beiständlichen erstgedachten ihres H. Vatters mit beÿstand H. Johann Martin Weiß Kunsterfahrenen Kupferstechers und burgers dahier, Ihres H. Vogts als Junger Hochzeiterin am andern Theil
Fünfftens, so hat des H. Hochzeiters Frau Mutter Anfangs gedachte Frau Susanna Dorothea Schaaffin geborne Barbeneßin Wittib beiständlich wie hernach gemelt Ihme Hochzeiter, dero geliebter Sohn, hiemit als ein wahren Eigenthum verschrieben cedirt und überlaßen Ihre alhier Zu Straßburg ane dem Goldgiesen einseit neben Ihro übergebenden Frau Mutter selbsten, anderseit neben H Rimbach des Schiffmanns Ehefraun dahier gelegene und hinten auf die Gastherrberg Zum Goldenen Apffel stosende Behaußung in Vorder: und hinterhauß bestehend, samt allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, davon man jährlichen dem mehrern Hospithal in recognitionem Dominÿ directi 2 lb. 10 ß. d. ane Erblehenzinß Zu reichen schuldig, sonsten aber über die nunmalig. Vingtieme gegen männiglichen frei, ledig und eigen ist, welche Behausung cum appertinentiis Sie Frau Cedentin Bei Erörterung obgedacht ihres Verstorbenen Ehemanns Verlaßenschafft sub dato 12. Maÿ 1786. Cessions weis übernommen und an sich gebracht, hierdurch aber diesem Ihrem Sohn und hochzeiters als ein wahres Eigenthum, (…) abandonniret und übergibt um die Summ von 4000 Gulden
Straßburg auf Sambstag den 18. Septembris Anno 1790. [unterzeichnet] Johann Friderich Schaaff als Hochzeiter, Maria Salome Kochin als Hochzeiterin
Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 61)
Im Jahr 1790, Montag den ersten Novembris Morgens gegen Zehn Uhr sind (…) copulirt worden Herr Johann Friderich Schaaff, der ledige Kübler und Burger allhier, 32 Jahr alt weiland Herrn Johann Lucas Schaaff gewesenen Küblers und Burgers allhier mit Frau Susanna Dorothea gebohrner Barbenessin ehelich erzeugter Sohn, und Jungfrau Maria Salome Kochin, 19 Jahr alt, Herrn Johann Walter Koch, des Bohrenmachers und Burgers allhier mit weiland Frau Maria Salome gebohrner Weisin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Friedrich Schaaff als Hochzeiter, Maria Salome Kovhin als Hochzeiterin (i 39 – proclamation Saint-Nicolas f° 15 n° 19, i 47)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari. Ceux du mari s’élèvent à 6 980 florins, ceux de la femme à 2 057 florins.
1790 (16.11.), Not. Schaaff (6 E 41, 918) n° 152
Inventarium über des Ehrengeachten Herrn Johann Friedrich Schaaff, des Kübler Meisters und der Ehren: und Tugendsamen Fraun Mariæ Salome geborner Kochin, beeder Eheleuthen und Burgeren dahier Zu Straßburg einander für unverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, aufgerichtet Annno 1790. (…) einander in Ihren Montags den 1. hujus angetrettenen Ehestand zugebracht und sich vermög der mit einander vor mir Not° errichteten Eheberedung de Dato 18. Septembris jünsthin in dem dritten Puncten vor frei, eigen und ohnverändert vorbehalten haben. Welche bederseitige Nahrungen auf freundliches Ansuchen und Begehren erstgedachter beder Eheleuten, die Ehefrau unter assistentz H. Johann Walther Koch, des Bohrermacher Meisters und Burgers dahier Ihres H. Vatters agirende (…)
So geschehen alhier Zu Straßburg und einer daselbst ane dem Goldgiesen gelegenen dem Ehemann für ohnverändert eigenthümlich Zuständigen hiernach beschriebenen behausung in beiseÿn obgedachten der Ehefraun H. Vatters und Beistands, auf dienstag den 16. Novembris A° 1790.
Eigenthum ane einer Behausung. (M.) Neml. eine behausung bestehend in Vorder: und hinterhauß, höfflein und hoffstatt samt allen übrigen deren begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, alhier Zu Straßburg ane dem Goldgiesen, 1.seit neben Fr. Schaaffin Wittib des Ehemanns Fr. Mutter, 2.sit neben H Rimbach des Schiffmanns Ehefraun dahier und hinten auf die Gastherrberg Zum Goldenen Apffel stoßend gelegen, davon man jährlich dem mehrern Hospithal in recognitionem Dominÿ Directi 2 lb. 10 ß. d. ane Erblehenzinß Zu reichen schuldig, sonsten aber über die nunmalig. Vingtieme frei ledig eigen und dahero ohnnachtheilig mit dem Cessions schilling hier auszuwerden beliebt worden, als 4000 fl. Diese behausung ist Ihme dem Ehemann in vorher anagezogener derenEheberedung §° 5.to von deßen Frau Mutter auf Rechnung seines zu erfordern habenden vätterl. Guths cedirt und übergaabsweise und An: und Ausweisung gegeben worden. Darüber besagt ein teutscher pergam: Kauffbrieff in alh. C.C. Stub Sub Dato 24. 7.bris 1759. passirt und mit dero anhangendem Insiegel Verwahret.
Series Rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns in die Ehe gebrachten Vermögens, Sa. Hausraths 334, Sa. Silbers und dgl. Geschmeids 135, Sa. baarschafft 2300, Sa. Eigenthums an I. behausung 4000, Sa. Golds 60, Summa summarum 6829 fl. – Dazu gerechnet sein des Ehemanns participirende Helffte ane denen haussteuren mit 150, Des Ehemanns Vermögen 6980 fl.
Dießemnach wird auch der Ehefraun in den Ehestand gebracht Guth beschrieben, Sa. Hausraths 313, Sa. Silbers 39, Sa. goldener Ring 105, Sa. baarschafft 48, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1400, Summa summarum 1907 fl – Hierzu kommt die übrige Helffte eingegangener Haussteuren 150, Der Ehefraun guth 2057 fl.
Susanne Dorothée Barbenès meurt en 1804 en délaissant deux fils
1804 (28 pluviose 12), Strasbourg 7 (19), Not. Stoeber n° 1925, 5372
Inventarium über weÿl. fraun Susanna Dorote Barbenes weil. Johann Lucas Schaaff Küblers Wittib Verlassenschafft, den 19. nivos lezthin mit tod abgegangen, auff ansuchen 1. burgers Johann Lucas Schaaff Artificier, 2. burgers Johann Friedrich Schaaff Kübler, der Verstorbenen beeden Söhne
hausrath 222 fr, baarschafft 75 fr, feldstück 400 fr, capitalien 9400 fr, summa 10.087 fr
Enregistrement, acp 90 F° 122 du 8 vent. 12
Le fils aîné Jean Luc Schaaff, artificier à l’école d’artillerie, meurt célibataire en délaissant pour héritier son frère Jean Frédéric
1808 (25.8.), Strasbourg 7 (24), Not. Stoeber n° 2252, 8615
Inventaire de la succession de Jean Luc Schaaff, artificier à l’ecole d’artillerie, décédé le 28 mai 1808 – à la requête de Jean Frédéric Schaaff, son frère et unique héritier
maison à Westoffen
moitié de maison située à Strasbourg rue d’or, d’un côté Jean Daniel Schmidt charron, de l’autre le requérant, aboutissant sur le Sr Rasp maréchal ferrant – acquis à la chambre des subhastations le 9 décembre 1789 – occupé par Ludwig tricoteur de bas pour un loyer de 48 fr, Petermann 48 fr, Dlle Spieler 30 fr, Jacques Endrès 36 fr, François Kraemmer 36 fr, total 198 fr
corps de biens à Hochfelden, Lixhausen, Offenheim, Mollkirch
meubles 524 fr, numéraire 600 fr, capitaux 11 334 fr, maisons &&
Enregistrement, acp 107 F° 98 du 8.9.
Jean Frédéric Schaaff meurt en 1835 en délaissant deux filles
1836 (12.4.), Strasbourg, Me F. Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire de la succession de Jean Frédéric Schaaf, baquetier, décédé le 17 décembre dernier – à la requête de Marie Salomé Koch, cette dernière donataire, 2. Salomé Schaaf femme de séparée quant aux biens de Charles Stahl, marchand de bois, 3. Dorothée Schaaf épouse de Chrétien Ott, tanneur
maison à Strasbourg et terres à Westhoffen
Enregistrement de Strasbourg, acp 240 F° 25-v du 22.4.
Les héritières exposent infructueusement aux enchères la maison rue d’Or.
1845 (24.12.), M° Grimmer (minutes en déficit)
8 décembre 1845 – Cahier des charges, clauses et conditions pour parvenir à la vente des biens appartenant à Marie Salomé Schaff femme séparée de biens de Charles Frédéric Stahl à Strasbourg
17 décembre 1845 – Adjudication provisoire, à la requête de Marie Salomé Schaff f° Stahl et Dorothée Schaff f° Ott de Strasbourg, de deux maisons sises à Strasbourg rue d’Or n° 5, 6, adjugé à Auguste Krafft, commissaire priseur à Strasbourg pour 10.750 francs
acp 342 (3 Q 30 057) f° 30 du 19.12.
24 décembre1845. Supplément des clauses et conditions du cahier des charges enregistré le 12 décembre dernier fol. 4. r° pour parvenir à la vente de deux maisons rue d’Or n° 5, 6 appartenant à Marie Salomé Schaff femme Stahl et Dorothée Schaff de Strasbourg
24 décembre1845. Surmise de 200 francs par Georges Ritzenthaler, aubergiste à Strasbourg sur la maison rue d’or n° 6
24 décembre1845. Retrait
acp 342 (3 Q 30 057) f° 76 du 2.1.1846
Lors du partage des biens, la maison Grand rue renvient à Dorothée Schaaff, femme du tanneur Chrétien Ott, les maisons rue d’Or à Marie Salomé Schaaff, femme séparée du marchand de bois Charles Frédéric Stahl
1846 (14.2.), M° Grimmer (minutes en déficit)
Partage des successions et communauté de Jean Frédéric Schaaff Marie Salomé Koch – entre 1. Marie Salomé Schaaff femme séparée de biens de Charles Frédéric Stahl, ancien marchand de bois de construction hors la porte de l’hôpital de Strasbourg, le Sr Stahl aujourd’hui interdit suivant jugement en date du 15 juin 1845 et 2. Dorothée Schaaff épouse de Chrétien Ott, marchand tanneur à Strasbourg, les deux seuls héritières pour moitié de Jean Frédéric Schaaff propriétaire et de Marie Salomé Koch vivants conjoints à Strasbourg leurs père et mère, le Sr Schaaff décédé à Strasbourg le 17 décembre 1835 la De Schaaff née Koch le 4 août 1845
Dans la succession de la D° Schaaff sont comprises diverses créances et rentes emphytéotiques, lesquelles rentes sont capitalisées au denier vingt
Attribution. Premier lot à la D° Stahl – 1) Une maison à Strasbourg rue d’Or estimée 13.000 francs
2) une autre dite rue N° 6 estimée 11.000 francs
3) Une créances de 2000
4) la rente emphytéotique due par Jean Michel Pfister cultivateur à Willgottheim due suivant titre nouvel reçu Stumpff notaire à Willgottheim le 31 octobre 1845 en capital 8023
5) une autre rente due par Laurent Dossmann et Thérèse Huss conjoints à Willgottheim en vertu d’un titre nouvel reçu dudit Nre. le 11 novembre 1823, en capital 1210
6) Une autre rente due par Laurent Velten cultivateur à Schersheim due suivant titre nouvel reçu Wilhelm notaire à Truchtersheim le 23 août 1823, en capital 1210
7) une créance de 3500 francs due par Marguerite Madeleine Dessecker femme de Jean Gaspard Stamm drapier à Strasbourg en vertu d’un titre nouvel reçu Grimmer le 5 août 1841
8) 12 ares 20 ca vignes ban de Westhoffen canton Brent, 600
9) 12 ares 20 ca vignes canton dit Ablech dit ban, 600
10) 74 ares 30 ca verger dit ban canton Vitten, 600
11) 15 ares verger dit ban canton beim Pferch 300
12) 2 ha 25 ares 90 ca broussailles canton Seelenberg 3000
13) 1 ha 14 a 9 ca broussailles dit ban canton Bogelsholtz 1800, Total 47.722
Deuxième lot attribué à la D° Ott 1) Une maison à Strasbourg Grande rue n° 30 évaluée à 18.000 francs
2) Une rente emphytéotique due par Jacques Wurm fils cultivateur et Hélène Wurm conjoints à Griesheim due suivant titre nouvel reçu Ritleng le 5 juillet 1833, en capital 14.444.
3) une créance de 1952 francs due par Jacques Braun cultivateur à Dingsheim suivant obligation reçue Wengler le 2 avril 1809
4) Une créance de 4500 francs due par Jacques Giess ancien maire à Oberschaffolsheim suivant acte de vente reçu Ritleng le 24 août 1837
5) un ha 50 ares de terres ban de Kutzenhausen évalué 7928, Total 46.905 francs
Immeubles restés en indivision 1) un étal de boucher à Strasbourg Grande boucherie
2) Une maison à Westhoffen rue Erhardsgass n° 27 & 28
3) 6 ares 40 ca de vignes ban de Westhoffen im Ritz
4) 15 ares terres dit ban canton Wassenloch
5) 15 ares prés ban de Strasbourg im Schlutfeld
6) 7 ha 25 ares terres et prés ban d’Offenheim
7) 6 ha 50 ares de terres et prés ban de Fridolsheim
8) 3 ha 45 ares de terres et prés ban de Kienheim
acp 345 (3 Q 30 060) f° 34-v du 17.2.
Le marchand de bois Charles Frédéric Stahl épouse en 1817 Marie Salomé Schaaf
1817 (19.12.), Strasbourg 8 (21), Not. Roessel n° 4983
Contrat de mariage – Charles Frédéric Stahl, marchand de bois, fils majeur de feu Michel Stahl, marchand de bois, et d’Anne Marie Vogt
Marie Salomé Schaaf, fille majeure de Jean Frédéric Schaaf, propriétaire, et de Marie Salomé Koch
communauté d’acquets partageable par moitié
Enregistrement, acp 137 F° 6-v du 20.12.
Marie Salomé Schaaff meurt en 1847 en délaissant deux fils
1847 (27.8.), M° Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire de la succession délaissée par Marie Salomé Schaaff épouse séparée de biens de Charles Frédéric Stahl, ancien marchand de bois à Strasbourg où elle est décédée le 11 mars 1847. A la requête de 1° Charles Stahl, propriétaire à Strasbourg agissant tant en son propre nom que comme mandataire de son frère Albert Stahl, élève architecte à Munic, 2) de Guillaume Stahl marchand de bois à Strasbourg agissant en qualité de tuteur de Frédéric Stahl, ancien marchand de bois à Strasbourg, interdit par jugement du tribunal civil de Strasbourg du 15 juin 1835, agissant comme donataire en usufruit de la moitié de la succession de son épouse suivant son contrat de mariage reçu Roessel notaire le 19 décembre 1817
Il dépend de ladite succession un mobilier évalué à 947 francs, garde robe évaluée à 290 francs, argent comptant 1160
une maison sise à Strasbourg rue d’or N° 5
une maison même rue N° 6
une rente emphytéotique de 13 hl. 94 litres de froment, 5 hl 62 litres d’orge et 9 hl 29 de seigle due par Jean Michel Pfister vivant laboureur à Rohr suivant acte reçu Stumpff notaire à Willgottheim le 31 octobre 1825
une rente emphytéotique de 2 hl 32 de forment et autant de seigle due par André Karcher propriétaire à Gougenheim suivant acte de donation reçu Weiss notaire à Brumath le 29 avril 1839
une rente emphytéotique de 2 hl 32 de froment et autant de seigle due par Laurent Velten laboureur à Schnersheim suivant titre nouvel reçu Wilhelm notaire à Truchtersheim le 23 avril 1826
5 ha 26 ates 90 de broussailles ban de Westhoffen au canton Seelenberg
un ha 4 a 80 de broussailles même ban canton Dogelsholtz lesquels biens n’ont pas été aliénés par le défunte
créances 13.600 francs
acp 364 (3 Q 30 079) f° 84 du 2.9.
Charles Stahl cède sa part de maison à son frère Albert Stahl
1851 (31.1.), Strasbourg 13 (74, nouv. cote), Not. Flach n° 740
Partage du 31 janvier 1851 – Ont comparu M. Charles Frédéric Stahl, propriétaire demeurant autrefois à Strasbourg aujourd’hui à Heiligenstein
Et M. Auguste Albert Stahl, élève architecte, majeur demeurant à Strasbourg
Lesquels désirant sortir de l’indivision qui existe entr’eux dans la propriété de plusieurs immeubles & créances qu’ils possèdent tant du chef de leur mère que pour les avoir acquis depuis le décès de cette dernière, ont requis les soussignés notaires d’en dresser l’acte de partage
Néanmois pour l’intelligence de cette opération, il convient d’exposer préalablemennt ce qui suit
I° Observation. Décès de Madame Stahl née Schaaff. Mme Marie Salomé Schaaff épouse séparée quant aux biens de Charles Frédéric Stahl mère des comparans est décédée à Strasbourg le 11 mars 1847. Le 27 avril suivant, inventaire a été dressé par M° Grimmer notaire à Strasbourg à la requête du comparant Charles Frédéric Stahl tant en son nom que comme mandataire de son frère Auguste Albert & de M. Guillaume Stahl marchand de bois à Strasbourg ayant agi comme tuteur datif de M. Charles Frédéric Stahl père des comparants, interdit par jugement du tribunal civil de Strasbourg en date du 15 juin 1835, en présence de M. Chrétien Ott tanneur à Strasbourg ayant agi comme subrogé tuteur de l’interdit. (…) Mme Stahl avait hérité durant son mariage de divers immeubles & créances dans la succession de ses père et mère Jean Frédéric Schaaff & Marie Salomé Koch vivant conjoints à Strasbourg suivant partage dressé par M° Grimmer notaire sus nommé le 14 février 1846 mai de son vivant elle a aussi aliéné plusieurs immeubles (…)
II° Observation. Usufruit de M. Stahl père. D’après son contrat de mariage passé devant M° Roessel vivant notaire à Strasbourg le 19 décembre 1817, M. Stahl a droit à l’usufruit viager & gratuit de la moitié des biens délaissés par son épouse, en conséquence il conviendrait d’établir dans la partage qui va suivre la distinction entre la nue & la pleine propriété, mais comme M Stahl père, par suite de sa maladie a contracté une faiblesse physique qui exige continuellement les soins de ses enfants Messieurs les comparants sont convenus de l’entretenir à frais communs sa vie durant et de procéder au présent partage sans égard pour cet usufruit (…)
III° Observation. Administration de M. Charles Frédéric Stahl (…)
IV° Observation. Acquisition d’une campagne. Suivant contrat passé devant M° Diemer Notaire à Barr le 21 octobre 1849, Messieurs Stahl frères ont acquis en son nom de D° Anne Marie Bronner veuve de Philippe Jacques Wilhelm en son vivant propriétaire et ancien maire à Heiligenstein Une maison d’habitation (…)
V° Observation. Rentes emphytéotiques (…)
Premier lot attribué à M. Charles Frédéric Stahl (…)
Deuxième lot attribué à M. Auguste Albert Stahl. Ce lot comprendra
1° Une maison sise à Strasbourg rue d’Or N° 5 consistant en bâtiment de devant, latéral & de derrière, petite cour, puits, aisances & dépendances, d’un côté la maison ci après désignée, de l’autre en partie le Sr Reinhardt fabricant de vrilles, & en partie ainsi que par derrière l’hôtel de la Pomme d’Or appartenant à Mr Louis Bouillon, estimée à la somme de 13.000 francs. Cet immeuble hérité dans la succession Schaaff par Mme Stahl a été donné en mariage à M. Schaaff par sa mère, ainsi qu’il résulte de son contrat de mariage passé devant M° Schaaff vivant notaire à Strasbourg le 18 septembre 1781.
2° Une autre maison avec cour & cave voûtée, sise en la dite ville de Strasbourg, rue d’or N° 6, d’un côté la maison précédente, de l’autre le Sr Daniel Schmitt charron & par derrière au Sr Raes maréchal ferrant. Celle maison nouvellement reconstruite est estimée à la somme de 32.000 francs
acp 398 (3 Q 30 113) f° 50 du 3.2. – Premier lot attribué à M. Charles Frédéric Stahl 1) créances et objets mobiliers 21.620, 2) une campagne à Heiligenstein 22.500, total 44.120
Deuxième lot attribué à M. Auguste Albert Stahl. 1) maison à Strasbourg rue d’or n° 5 estimée 13.000 francs, 2) une autre maison rue d’or N° 6 estimée à 32.000 francs, total 45.000 francs
outre les biens partagés il en reste d’autres dans l’indivision
Auguste Albert Stahl hypothèque les deux maisons contiguës au profit de Caroline Petitville
1862 (13.9.), Strasbourg 6 (91), Not. Roessel (Henri Eugène le jeune) n° 4064
Obligation du 13 septembre 1862 – A comparu M. Auguste Albert Stahl, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg, lequel a par les présentes reconnu devoir bien & légitimement
à Madlle Caroline Petitville, sans état demeurant et domiciliée audit Strasbourg, à ce présente & acceptant, la somme principale de 3000 francs pour prêt de pareille somme (…)
hypothèque 1) Une maison sise à Strasbourg rue d’Or N° 9, autrefois N° 5, consistant en bâtiment de devant, latéral & de derrière, petite cour, puits, aisances & dépendances, tenant d’un côté à la maison ci après désignée, de l’autre en partie le Sr Reinhard fabricant de vrilles, & en partie ainsi que par derrière l’hôtel de la Pomme d’Or
2) Une autre maison avec cour & cave voûtée, sise en la dite ville de Strasbourg, rue d’or N° 11 autrefois N° 6, tenant d’un côté à la maison précédente, de l’autre au Sr Hollbeck ci devant Sr Daniel Schmitt charron & parderrière au Sr Raes maréchal ferrant
sur lesquels immeubles Mlle la créancière est autorisée à prendre inscription hypothécaire.
Mr Stahl déclare qu’il est devenu propriétaire des deux maisons prédésignées pour lui avoir été abandonnées aux termes d’un acte de partage dressé par M° Flach, notaire à Strasbourg, le 31 janvier 1851. Il déclare en outre sous les peines de la loi qu’il dit connaître 1) qu’il est célibataire & qu’il n’a jamais eté chargé de tutelle de mineurs ou d’interdit ni d’une fonction emportant hypothèque légale, 2) que les deux immeubles par lui hypothéqués sont francs & quittes de toutes dettes, privilèges & hypothèques, à l’exception (…)
Autre hypothèque entre les mêmes
1864 (4.4.), Strasbourg 6 (93), Not. Roessel (Henri Eugène) n° 4533
Obligation du 4 avril 1864 – A comparu M. Auguste Albert Stahl, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg, employé de la ville de Strasbourg, lequel a par les présentes reconnu devoir bien & légitimement
à Madlle Caroline Petitville, sans état demeurant et domiciliée à Strasbourg, ici présente & acceptant, la somme principale de 2000 francs pour prêt de pareille somme (…)
hypothèque 1) Une maison sise à Strasbourg rue d’Or N° 9, autrefois N° 5, consistant en bâtiments de devant, latéral & de derrière, petite cour, puits, aisances & dépendances, tenant d’un côté à la maison ci après désignée, de l’autre en partie le Sr Reinhard fabricant de vrilles, & en partie ainsi que par derrière l’hôtel de la Pomme d’Or
2) Une autre maison avec cour & cave voûtée, sise en la dite ville de Strasbourg, rue d’or N° 11, autrefois N° 6, tenant d’un côté à la maison précédente, de l’autre au Sr Hollbeck ci devant Daniel Schmitt, charron & parderrière au Sr Goeppert maréchal ferrant
sur lesquels immeubles Mlle la créancière est autorisée à prendre inscription hypothécaire.
Mr Stahl déclare qu’il est devenu propriétaire de ces deux maisons pour lui avoir été abandonnées aux termes d’un acte de partage dressé par M° Flach, notaire à Strasbourg, le 31 janvier 1851. Il déclare en outre sous les peines de la loi qu’il dit connaître 1) qu’il est célibataire & qu’il n’est & n’a jamais eté chargé de tutelle de mineurs ou d’interdit ni d’une fonction emportant hypothèque légale, 2) que les deux immeubles par lui hypothéqués sont francs & quittes de toutes dettes, privilèges & hypothèques, à l’exception (…)
Nouvelle hypothèque entre les mêmes parties. Une police d’assurance qui décrit avec précision les bâtiments est jointe à l’acte
1866 (9.4.), Strasbourg 6 (96), Not. Roessel (Henri Eugène) n° 5300
Obligation de 5000 Frs du 9 avril 1866 – A comparu M. Auguste Albert Stahl, propriétaire & employé de la ville de Strasbourg, demeurant et domicilié à Strasbourg lequel a par les présentes reconnu devoir bien et légitimement
à Mademoiselle Caroline Petitville, sans état demeurant et domiciliée à Strasbourg, ici présente et acceptant, la somme principale de 5000 francs pour prêt de pareille somme (…)
Affectation hypothécaire 1) Une maison sise à Strasbourg rue d’Or N° 9, ancien N° 5, consistant en bâtiments de devant, latéral et de derrière, petite cour, puits, aisances & dépendances, tenant d’un côté à la maison ci après désignée, de l’autre en partie le Sr Reinhard fabricant de vrilles, et en partie ainsi que par derrière l’Hôtel de la pomme d’Or, pardevant à ladite rue
2) Et une autre maison comprenant maisons de devant et de derrière, deux cours, cave voûtée droits et dépendances, sise à Strasbourg, rue d’or N° 11, autrefois N° 6, à côté de la maison précédente, tenant d’un côté à cette dernière maison, de l’autre au Sr Hollbeck ci devant Daniel Schmitt, charron & parderrière le Sr Goeppert maréchal ferrant
Origine de la propriété. M. Stahl déclare qu’il est devenu propriétaire des deux maisons ci-dessus désignées et affectées pour lui avoir été abandonnées aux termes d’un acte de partage dressé par M° Flach, notaire à Strasbourg, le 31 janvier 1851 contenant partage de la succession de Dame Marie Salomé Schaaff femme séparée de biens de M. Charles Frédéric Stahl mere de M. Stahl comparant, ensemble à Strasbourg et partage de divers biens indivis entre lui & M. Charles Frédéric Stahl son frere, propriétaire demeurant à Heiligenstein (…) Situation hypothécaire (…)
Police d’assurance. Compagnie du Soleil. Remplacement de la Police N° 14.079. Police N° 21.278. Agence de Strasbourg. M. Stahl. Date de la police 30 Mars 1866. Effet de la Police 9 avril 1866, Durée 10 années
La Compagnie du Soleil assure (…) à Monsieur Stahl, Auguste Albert, propriétaire demeurant à Strasbourg, comme propriétaire, la somme de 88.000 francs
1° 25.000 francs sur la propriété que Monsieur Stahl occupe avec des locataires dont l’un y exploite une Boulangerie, sise à Strasbourg, Rue d’Or N° 9, construite en pierres, briques & bois, couverte en tuiles & composée des bâtiments ci après attenants les uns aux autres avec communications
A. Bâtiment principal donnant dans le Rue d’Or avec façade sur piliers & formant encorbellement élevé sur cave, de rez de chaussée, deux étages, Mansardes & grenier, La partie postérieure de ce bâtiment donnant dans la cour est élevée sur cave de rez de chaussée trois étages & grenier, Ce bâtiment renferme four de Boulanger & habitation
B. Bâtiment à droite dans la Cour élevé de rez de chaussée trois étages & grenier renfermant habitation
C. Bâtiment au fond de la cour & en retour d’équerre sur le précédent élevé de rez de chaussée trois étages & grenier renfermant lieux d’aisances & habitation par-dessus
Ensemble & y compris la valeur du four de boulanger, de la pompe & celle des Objets réputés immeubles par destination
2° 3000 francs sur les objets ci après placés dans les localités que Monsieur Stahl occupe de la susdite propriété. Meubles meublans literie linge de toute sorte effets d’habillement, ornemens (…)
La société du Crédit Mutuel ouvre à Albert Stahl un crédit garanti sur la maison (la voisine ayant été vendue entre temps)
1867 (1.10.), Strasbourg 6 (97), Not. Roessel (Henri Eugène) n° 5455
Ouverture de crédit du 1 octobre 1867 – Ont comparu M. Jean Geoffroi Roederer, ancien marchand de draps demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant comme gérant de la société établie à Strasbourg sous le nom de Crédit Mutuel (…)
Et M. Auguste Albert Stahl, propriétaire, ancien employé de la ville de Strasbourg, actuellement négociant, demeurant et domicilié à Strasbourg
Lesquels comparans ont arrêté entre eux ce qui suit. Roederer, audit nom, ouvre par les présentes en faveur de M. Stahl qui accepte, un crédit de la somme de 6000 francs (…)
hypothèque Une maison sise à Strasbourg rue d’Or N° 9, ancien N° 5, consistant en bâtiments de devant, latéral et de derrière, petite cour, puits, aisances et dépendances, tenant d’un côté à la maison de M. Jean Frédéric Beck, autrefois M. Stahl lui même, de l’autre en partie au Sr Reinhard fabricant de vrilles et en partie ainsi que par derrière l’Hôtel de la pomme d’Or, pardevant à ladite rue
(…) M. Stahl déclare qu’il est devenu propriétaire de la maison ci-dessus désignée et affectée, pour lui avoir été abandonnée, avec d’autres immeubles encore, aux termes d’un acte de partage dressé par M° Flach, Notaire à Strasbourg, le 31 janvier 1851, contenant partage de la succession de Dame Marie Salomé Schaaff épouse séparée de biens de M. Charles Frédéric Stahl mere de M. Stahl l’un des comparants, demeurant en son vivant à Strasbourg et partage de divers biens indivis entre lui et M. Charles Frédéric Stahl son frere, propriétaire demeurant à Heiligenstein (…)
Mr Stahl déclare encore sous les peines de la loi à lui expliqués par M° Roessel l’un des Notaires soussignés et qu’il a dit bein comprendre, qu’il est majeur et célibataire et qu’il n’a jamais eté chargé d’aucune tutelle curatelle ou autre fonction emportant hypothèque légale, & que la maison hypothéquée est franche et libre de toutes dettes & hypothèques
Nouvelle ouverture de crédit entre les mêmes parties
1868 (29.7.), Strasbourg 6 (98), Not. Roessel (Henri Eugène) n° 5713
Ouverture de crédit du 29 juillet 1868 – Ont comparu M. Jean Geoffroi Roederer, ancien marchand de draps demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant au nom et comme gérant de la société établie à Strasbourg sous le nom de Crédit Mutuel (…)
Et M. Auguste Albert Stahl, propriétaire, ancien employé de la ville de Strasbourg, actuellement négociant, demeurant et domicilié à Strasbourg
Lesquels comparants ont arrêté entre eux ce qui suit. Roederer, audit nom, ouvre par les présentes en faveur de M. Stahl qui accepte, un crédit de la somme de 4000 francs (…)
hypothèque Une maison sise à Strasbourg rue d’Or N° 9, ancien N° 5, consistant en bâtiments de devant, latéral et de derrière, petite cour, puits, droits et dépendances, tenant d’un côté à M. Beck, autrefois M. Stahl lui même, de l’autre en partie au Sr Reinhard fabricant de vrilles et en partie ainsi que par derrière l’hôtel de la pomme d’Or, pardevant à ladite rue.
(…) M. Stahl déclare qu’il est devenu propriétaire de la maison ci-dessus désignée et affectée, pour lui avoir été abandonnée avec d’autres immeubles encore, aux termes du partage de la succession de Dame Marie Salomé Schaaff, sa mère, épouse de M. Charles Frédéric Stahl, demeurant en son vivant à Strasbourg et de divers biens indivis entre lui et M. Charles Frédéric Stahl son frere, propriétaire demeurant à Heiligenstein, dressé par M° Flach, notaire à Strasbourg, le 31 janvier 1851. (…)
Mr Stahl déclare encore sous les peines de droit, qu’il est majeur et célibataire et qu’il n’a jamais eté chargé d’aucune tutelle curatelle ou autre fonction emportant hypothèque légale, quant à la situation hypothécaire de la maison affectée M. Roederer ès nom déclare la connaître suffisamment.
(Auguste) Albert Stahl épouse en 1868 Joséphine Wolff
1868 (4.11.), Strasbourg 6 (98), Not. Roessel (Henri Eugène) n° 5785
Mariage du 4 novembre 1868 – ont comparu M. Auguste Albert Stahl, propriétaire et marchand de vins, demeurant et domicilié à Strasbourg, fils majeur de M. Charles Frédéric Stahl, en son vivant marchand de bois et de D° Marie Salomé Schaaff, son épouse demeurant de leur vivant ensemble à Strasbourg les deux décédés, stipulant en son nom personne comme futur époux d’une part
Et Madlle Joséphine Wolff, sans état, demeurant à Strasbourg, native de Willgottheim, Fille majeure de M. François Joseph Wolff, en son vivant employé à Willgottheim où il est décédé et de D° Marie Anne Müller sa veuve demeurant à Strasbourg, stipulant en son nom personnel comme future épouse d’autre partd’une part stipulant comme futur
acp 577 (3 Q 30 292) f° 26-v du 5.11. stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent 1) mobilier et marchandises 8045
2) une maison à Strasbourg rue d’Or N° 9
ceux de la future consistent en un mobilier estimé à 600
Donation réciproque par les futurs au survivant d’eux de l’usufruit de la succession réductible en cas d’enfants
Renouvellement du crédit par Albert Stahl et sa femme Joséphine Wolff, le Crédit Mutuel étant représenté par Jean Geoffroi Rœderer
1869 (5.4.), Strasbourg 6 (99), Not. Roessel (Henri Eugène) n° 5905
Ouverture de crédit du 5 avril 1869 – Ont comparu M. Jean Geoffroi Roederer, ancien marchand de draps demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant au nom et comme gérant de la société établie à Strasbourg sous la raison sociale J.G. Roederer & Compagnie et la dénomination de Crédit Mutuel (…)
Et M. Auguste Albert Stahl, propriétaire, ancien employé de la ville de Strasbourg, actuellement négociant, et Mad. Joséphine Wolff, son épouse qu’il autorise demeurant ensemble et domiciliés à Strasbourg
Lesquels comparants ont arrêté entre eux ce qui suit. Roederer, audit nom et en exécution d’un crédit de 6000 francs ouvert à M. Stahl par le Crédit Mutuel suivant acte reçu par M° Roessel, l’un des notaires soussignés le premier octobre 1857 et d’un autre crédit de la somme de 4000 francs ouvert par le même Crédit Mutuel en faveur de M. Stahl en vertu d’un acte reçu par ledit M° Roessel le 29 juillet dernier, ouvre, par les présentes, en faveur de M. & Mad. Stahl qui l’acceptent à titre de crédités solidaires, un crédit de la somme de 5000 francs (…)
hypothèque Une maison sise à Strasbourg, rue d’Or N° 9, ancien N° 5, consistant en bâtiments de devant, latéral et de derrière, petite cour, puits, droits et dépendances, tenant d’un côté à M. Beck, autrefois M. Stahl lui même, de l’autre en partie au Sr Reinhard, fabricant de vrilles, et en partie, ainsi que par derrière l’hôtel de la pomme d’Or, pardevant à ladite rue d’Or.
(…) M. Stahl déclare qu’il est devenu propriétaire de la maison ci-dessus désignée et affectée, pour lui avoir été abandonnée avec d’autres biens encore, aux termes du partage de la succession de D° Marie Salomé Schaaff, sa mère, épouse de M. Charles Frédéric Stahl, demeurant en son vivant à Strasbourg et de divers biens indivis entre lui et M. Charles Frédéric Stahl, son frère, propriétaire demeurant à Heiligenstein, dressé par M° Flach, notaire à Strasbourg, le 31 janvier 1851. (…)
M. & Mad. Stahl déclarent sous les peines de droit, qu’ils sont les deux mariés en premières noces sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts en vertu de leur contrat de mariage passé devant M° Roessel, l’un des notaires soussignés, le 4 novembre 1868, enregistré et qu’aucun d’eux n’est et n’a jamais eté chargé d’aucune tutelle curatelle ou autre fonction emportant hypothèque légale. Relativement à la situation hypothécaire de la maison ci-dessus affectée M. Roederer déclare la connaître suffisamment et dispense les notaires de l’établir ès présentes..
Renouvellement du crédit par Albert Stahl et sa femme Joséphine Wolff, le Crédit Mutuel étant représenté par Jean Emile Bleyfuss
1869 (24.11.), Strasbourg 6 (100), Not. Roessel (Henri Eugène) n° 6119
Ouverture de crédit du 24 novembre 1869 – Ont comparu M. Jean Emile Bleyfuss, gérant de la société du Crédit Mutuel, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant au nom et comme gérant de ladite société établie à Strasbourg sous la raison sociale E. Bleyfuss & Compagnie et la dénomination de Crédit Mutuel (…)
Et M. Auguste Albert Stahl, propriétaire, ancien employé de la ville de Strasbourg, actuellement négociant, et Mad. Joséphine Wolff, son épouse qu’il autorise demeurant ensemble et domiciliés à Strasbourg
Lesquels comparants ont arrêté entre eux les conventions suivantes. M. Bleyfuss, audit nom et en exécution d’un crédit de la somme de 5000 francs ouvert à M. et Mad. Stahl par le Crédit Mutuel suivant acte passé devant ledit M° Roessel le 5 avril dernier, d’un autre crédit de la somme de 6000 francs ouvert également par la société du Crédit Mutuel au profit de M. Stahl seul en vertu d’un acte reçu par ledit M° Roessel premier octobre 1857 et d’un crédit de 4000 francs ouvert par ladite société aussi en faveur de M. Stahl seul suivant d’un autre acte passé devant le même notaire Roessel le 29 juillet 1868, enregistré
ouvre, par les présentes, en faveur de M. & Mad. Stahl qui l’acceptent à titre de crédités solidaires, un crédit de la somme de 5000 francs (…)
hypothèque Une maison sise à Strasbourg, rue d’Or N° 9, ancien N° 5, consistant en bâtiments de devant, latéral et de derrière, petite cour, puits, droits et dépendances, tenant d’un côté à M. Beck, autrefois M. Stahl lui même, de l’autre en partie au Sr Reinhard, fabricant de vrilles, et en partie, ainsi que par derrière l’hôtel de la pomme d’Or, pardevant à ladite rue d’Or.
(…) M. Stahl déclare qu’il est devenu propriétaire de la maison ci-dessus désignée et affectée, pour lui avoir été abandonnée avec d’autres biens encore, aux termes du partage de la succession de Dame Marie Salomé Schaaff, sa mère, épouse de M. Charles Frédéric Stahl, demeurant en son vivant à Strasbourg et de divers biens indivis entre lui et M. Charles Frédéric Stahl, son frère, propriétaire demeurant à Heiligenstein, dressé par M° Flach, notaire à Strasbourg, le 31 janvier 1851, enregistré. (…)
M. & Mad. Stahl déclarent sous les peines de droit, qu’ils sont les deux mariés en premières noces sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts suivant leur contrat de mariage passé devant M° Roessel, l’un des notaires soussignés, le 4 novembre 1868, enregistré et qu’aucun d’eux n’est et n’a jamais eté chargé d’aucune tutelle curatelle ou autre fonction emportant hypothèque légale. Relativement à la situation hypothécaire de la maison ci-dessus affectée M. Bleyfuss déclare la connaître suffisamment et dispense les notaires de l’établir ès présentes.
Albert Stahl assure à sa femme l’usufruit viager de ses biens
1881 (14.5.), M° Holtzapffel
Schenkung zwischen Eheleuten wodurch der am 23. Mai lauf. Jahres verlebte Kaufmann August Albert Stahl zu Straßburg seiner Ehefrau Josephine Wolff die Nutznießung seines Nachlasses gesichert, bei Vorhandensein von Kindern zur Hälfte beschränkt
acp 715 (3 Q 30 430) f° 7 n° 1003 du 21.6. (Tab. Bd. 67 Bl. 158 – Sterbf. Erkl. 22.5.82, Bd. 138 Nr 83)
Acte de notoriété d’après lequel Auguste Albert Stahl laisse deux fils de sa veuve Joséphine Wolff
1881 (31.5.), M° Holtzapffel
Offenkunde enthaltend Bestätigung daß August Albert Stahl, Kaufmann zu Straßburg am 23. Mai 1883 gestorben ist, daß noch kein Inventar errichtet worden ist, & daß er als einzige Erben hinterlassen hat seine zwei noch minderjährigen Kinder aus seiner Ehe mit seiner überlebenden Gattin Josephine Wolff ein jedes zur Hälfte nämlich a) August Albert Stahl, b) Menotti Julius Alfred Stahl, unter Vormundschaft ihrer Mutter
acp 714 (3 Q 30 429) f° 34 n° 674 du 1.6.
Inventaire dressé après la mort d’Auguste Albert Stahl
1881 (2.7.), M° Holtzapffel
Erbverzeichnis über die Gütergemeinschaft, welche zwischen dem zu Straßburg am 23. Mai 1881 verlebten Eigenthümer und Kaufmann August Albert Stahl und dessen Wittwe Josephine Wolff bestanden hat, sowie über den Nachlass des Erblassers, errichtet auf Ansuchen der Wittwe, handelnd sowohl eigenen Namens wie als Vormünderin ihrer minderjährigen Kinder August Albert Stahl und Menotti Julius Alfred Stahl, unter Vormundschaft ihrer Mutter. Zufolge Ehevertrag vor Notar Roessel zu Straßburg vom 4. November 1878 bestand auf Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaft und ist die Wittwe die Hälfte des Nachlasses zur Nutznießung zugesichert, letztere nochmals durch Schenkung des amt. Notars vom 14. Mai 1881
acp 715 (3 Q 30 430) f° 58 n° 1313 du 12.7. (Tab. Bd. 67 Bl. 158 N° 167 – Sterbf. Erkl. 22.5.82, Bd. 138 Nr 83) Gütergemeinschaft. Mobilien 642, Asphaltgeschäft 800, baares Gelt 10, Lebensversicherungssumm 2400, woran bereits 536 M bei Lebzeiten durch den Erlasser erhoben waren
section G 6 10,68 Ar Wiese im Bann Straßburg Schluttfeld vor dem Spitalthor
Passiv 53.40
Nachlass. Kleidungsstücke 64
ein Haus dahier Goldgießen N° 9 früher 8
Ersatzforderung der Wittwe 480, des Nachlasses, p.m.
[in margine :] Unrer den Hypothekarschuden der Gütergemeinschaft ist aufgeführt (wörtlich) It. an das Bankhaus Ehrmann zu Straßburg laut Krediteröffnung errichtet durch den unterzeichneten Notar Holtzapffel den 12. Januar 1880 die Summa vo 3000 Franken gleich 2400 Mark
La veuve renonce à l’usufruit viager assuré par son mari
1881 (7.7.), M° Holtzapffel
Verzicht geleistet durch Frau Josephine Wolff Wittwe von August Albert Stahl dahier
1. auf die laut ihrem Ehevertrag gemachte Schenkung den lebenslänglichen Nutznießung des gesamten Vermögen ihres verlebten Ehegatten und
2. auf die laut Schenkung errichtet vor Notar Holtzapffel am 14. Mai 1881 gemachte lebenslängliche untentgeltliche und bürgschaftsfreie Nutznießung des gesamten Vermögens ihres erlebten Ehegatten
acp 714 (3 Q 30 429) f° 75 n° 1726 du 12.7. (Tab. Bd. 67 Bl. 158 N° 167 – Sterbf. Erkl. 22.5.82, Bd. 138 Nr 83)
Auguste Albert Stahl, cuisinier à Bruxelles, et Menotti Jules Alfred Stahl, commis pharmacien à Strasbourg, vendent la maison au boulanger Charles Michel Hauss
1897 (18.11.), M° Keller n° 12.254
1. August Albert Stahl, Koch in Brüssel, 2. Menotti Julius Alfred Stahl, Apothekengehülfe in Straßburg
an Karl Michael Hauss, Bäckermeister in Straßburg
acp 932 (3 Q 30 647) f° 95-v n° 4063 du 24.11.
Stadt Strassburg. O 1387. 2 a 05, Wohnhaus, Goldgießen N° 9 (früher 5) bestehend in Vorder-Seiten & Hintergebäuden, kleinem Hofen Brunnen und Zubehör hinten Wohnhaus zum goldenen Apfel
Erbgut der 2 Verkäufer von ihrem Vater August Albert Stahl laut Testament Holtzapffel hier vom 2. Juli 1881 und dem Erblasser zugeteilt Flach hier 31. Januar 1851.
Genuß & Steuren vom 25. Dezember 1897 ab. Preis 30.000 Mark, woran angewiesen an 1) Franz Anton Jung, Eigenthümer in Straßburg 20.000 M auf Grund Obligation Holtzapffel vom 5. Juli 1871, 2) Hortensia Wolff, großjährig, Näherin in Straßburg 4400 auf Grund dito vom 8. Mai 1882
Originaire de Diersheim, Charles Michel Hauss épouse en 1892 Catherine Herrel, native de Legelshurst (Diersheim et Legelshurst se trouvent en Bade non loin de Strasbourg)
1892 (9.5.), M° Keller
Ehevertrag – Karl Michael Hauss, Bäcker hier, volljähriger Sohn der Eheleute Georg Heinrich Hauss, Kaufmann, und Karoline Koch zu Diersheim
und Katharina Herrel, gewerblos volljährige Tochter der Eheleute Johann Herrel, Ackerer und Maria Arbogast zu Legelshurst
acp 857 (3 Q 30 572) f° 53 n° 747 du 11.5. Annahm der auf Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaft mut Ausschluß der Kleider und Bestimmung des dem Überlebenden die lebenslängliche Nutznießung am Antheile des Zuerststerbenden zustehen solle
Gegenseitige Schenkung zu Gunsten des Ueberlebenden der lebenslänglichen Nutznießung des Gesamtnachlasses des Zuerststerbenden
Einbringen des Bräutigams, baares Geld 2000, Mobilien 392
Einbringen der Braut, Mobilien 598, Geld 600
Schenkung durch Johann Arbogast, Bäcker hier, an der Braut seiner Nichte zum Voraus und außer Theil der ihm gehörigen Bäckereieinrichtung nebst Hauseirichtugs gegenstände im Werthe von 1500 M
Charles Michel Hauss et Catherine Herrel hypothèquent la maison au profit de François Antoine Jund, propriétaire au Neudorf
1897 (21.12.), Ritleng le jeune n° 30.164
Schuldbrief – Karl Michael Hauss, Bäckermeister und Katharina Herrel Eheleute in Straßburg
zugunsten von Franz Anton Jung, Eigenthümer inn Neudorf über ein Darlehen von 4400 Mark
Pfand, ein Haus zu Straßburg Goldgießen N° 9 (früher 5)
acp 934 (3 Q 30 649) f° 74-v n° 4634 du 22.12.
Charles Michel Hauss et Catherine Herrel hypothèquent la maison au profit du marchand de bois Félix Hug
1905 (7.4.), M° Lauterbach n° 29.470
Schuldbrief – Karl Hauss, Bäckermeister, und Katharina Herrel, in Strassburg
zu Gunsten von Felix Hug, Holzhändler hier, über ein baares Darlehen von 10.000 Mark
Pfand, Wohnhaus Flur 15 N° 46 Goldgießen N° 9
acp 1042 (3 Q 30 757. III) f° 11 du 12.4.
Charles Michel Hauss et Catherine Herrel promettent à Emile Klein et Salomé Frey de leur vendre la maison
1905 (4.4.), Charles Lauterbach n° 29.455
Verkaufsverpflichtung – Karl Hauss, Bäckermeister, und Katharina Herrel, in Strassburg, Goldgießen N° 9
zu Gunsten vom Emil Klein, Bäckermeister, und Salomea Frey in Strassburg, kleine Weinmarktstraße
acp 1038 (3 Q 30 753. III) f° 98 n° 52 du 5.4. – Stadt Strassburg P 1387, Hfr. Whs hinten Gasthaus zum goldenen Apfel, Goldgießen bestehend aus Erdgeschoß, zwei Stockwerken, Vorderhaus mit 4 Stockwerken, Hinterhaus mit Bäckereinrichtung sowie ein Patent, Waarenzeichen zur Herstellung von Madeleines ‘Mon Plaisir’.
Besitz und Genuß vom Tage der Auflassung an. Kaufpreis 58.000. Hievon sind auszuzahlen am Tage des Genußantritts 8000 M. Die Bäckereinrichtung ist veranschlagt auf 6000, das Patent 6000 (…)
Titel, erworben durch EheleuteHauss durch Kauf Keller vom 18 November 1897.
Charles Michel Hauss et Catherine Herrel vendent au boulanger Emile Klein et à sa femme Salomé Frey la maison et le mobilier servant à exploiter la boulangerie
1905 (4.7.), Charles Lauterbach n° 29.863
Hausverkauf mit Schuldübernahme – erschienen I. Herr Karl Michael Hauss, Bäckermeister, und dessen mit seiner Zustimmung handelnd gewerblose Ehefrau Katharina geborene Herrel, zusammen in Strassburg, Goldgießen N° 9 wohnend, Einerseits
II. Herr Emil Klein, Bäckermeister, und dessen mit seiner Zustimmung handelnd gewerblose Ehefrau Salomea geborne Frey, zusammen in Strassburg, kleine Weinmarktstraße wohnend, Andererseits, dieselben erklärten mit dem Ersuchen um Beurkundung zum Vollzuge der am 4. April 1905 vor dem unterzeichneten Notar errichteten Verkaufsverspflichtung, was folgt. Die Eheleute Hauss verkaufen hierdurch unter der gesetzlichen und gesamtverbindlichen Gewähr an die genannten, dies annehmenden Eheleute Klein
das Eigentum an den nachbeschriebenen im Eigentumbuche von Strassburg Blatt 1436 eingetragenen Hausgrundstück, nämlich Ein Wohnhaus bestehend aus Erdgeschoß, in welchem eine Bäckerei betrieben wird, einem Stockwerk und Speicher, Seiten: und Hintergebäuden, Hof, Brunnen, Rechten und Zubehörden, gelegen im Goldgießen n° 9 (früher N° 5) zwischen Wittwe Philipp Scheer, katastriert wie folgt.
Flur 15 N° 46 (alte Sektion P, N° 1387), Gewann Goldgießen n° 9, ein Ar 79 qm, Hofreite, Wohnhaus, ein nicht abgetrennter Teil,
Flur 15 N° 46 (alte Sektion P, N° 1387), daselbst, Wohnhaus, ein nicht abgetrennter Teil,
Mitwerkauft wird außer vorstehendem Hausgrundstück die gesamte Bäckereinrichtung nebst Kundschaft, sowie ferner ein Patent: Warenzeichen für Elsass-Lothringen zur Herstellung von Madeleines ‘Mon Plaisir’. Die Bäckereinrichtung bestehet aus folgenden Gegenständen, Wirkbank, Mulde, Conparden, Teigtüchern, Mehlkasten, Teigwage mit Gewichten, Dezimalwag, Wasserkessel, Meßgeschirren, Wahlhölzern, Mehlsiebe, Salzfaß, Teigkasten, Wannen, Schießer, Einschießbank, Kohlenkesseln, Feuerhaken, Rohrputzer, Dampfpfanne, Kugelofformen, Biskuitformen, Madeleineformen, Rührlöffel, Schneebesen, Küchenblech u.s.w. Bedientisch mit Warmerplatte, Schaufenstereinrichtunh, hölzernen Brotschaft, Wanduhr, Ofen, Ausziehtisch, Tisch in der Remise, vier vollständigen Spiegel, Kasten, Tisch u.s.w.
Eigenthumsnachweis. Herr Hauss hat das verkaufte Anwesen erworben von Herrn August Albert Stahl, Koch in Brüssel, und Menotti Julius Alfred Stahl, Apothekengehülfe in Straßburg gemäß Kaufvertrags vor dem hiesigen Notar Justizrat Dr. Keller vom 18. November 1897, überschrieben im früheren hiesigen Hypothekenamte am 20. desselben Monats in Band 2901 N° 78 und von Amtswegen eingeschrieben an demselben Tage in Band 1863 N° 99. Die beiden Herren Stahl ererbten dieses Anwesen als alleinige Erben von ihrem Vater Herrn August Albert Stahl, ausweislich eines von dem damaligen hiesigen Notar Holtzapffel am 2. Juli 1881 aufgenommenen Inventars. Letzterem wurde dieses Anwesen zugeteilt in der Teilung des Nachlasses seiner Mutter Frau Marie Salomea Schaaf, Ehefrau von Karl Friedrich Stahl in Strassburg, gemäß einer vor dem früheren hiesigen Notar Flach am 31. Januarÿ1851. aufgenommenen Urkunde.
Bedingungen (…), Kaufpreis, 1) 46.000 Mark für das Anwesen, 2) 1740 Mark für die Bäckereinrichtung, 3) 4260 M. für die Kundschaft und Weiterführung der Firma unter den Namen Emile Klein, 4) 9000 Mark für das oben beschriebene Patent, Im ganzen 58.000 Mark
II. In Anrechnung auf den Kaufpreis übernehmen die Käufer als Selbstschuldner [infra]
Auflassung. Zur Auflassung erklären die gleichzeitig anwesenden Beteiligten, die Eheleute Hauss, daß sie das Eigenthum an obigen Anwesen auf die Eheleute Klein für Rechnung ihres Gesamtguts übertragen und die Eintragung dieser Rechtsänderung im Eigentumsbuche von Strassburg bewilligen, die Eheleute Klein, daß sie alles dies annehmen.
Erklärungen. Die Eheleute Hauss erklären, daß sie verheuratet sind unter dem Güterrechte der Errungenschafts Gemeinschaft zufolge ihres vor dem hiesigen Notar Justizrat Dr Keller im Monat Mai 1892 aufgenommenen Ehevertrags, die Eheleute Klein erklären, daß sie sich zu Heiligenstein bei Barr am 22. Juni 1896. ohne Errichrung eines Ehevertrags verheiratet haben & demnach in Fahrnisgemeinschaft verheiratet sind.
acp 1044 (3 Q 30 759. I) f° 43-v du 11.7. – a) Forderung des Frantz Anton Jung, Eigenthümer von 20.000 geschuldet laut Akt Keller vom 18. November 1897, b) Forderung des Felix Hug, Rentner, früher Holzhändler hier von 10.000 geschuldet laut Akt amt. Notar vom 7. April 1905
(Im Eigentumsbuch von Strassburg Bl. 2404 wurde folgendes eingetragen, I. das Eigentum, II die Sicherungshypothek für 20.000 M nebst 4% Zinsen & 1000 Mk. als höchstbetrag der Nebenl. z. G. der Eheleute Karl Michael Haus, Bäckermeister & Ehefrau in Gtg. beide in Straßburg. Strassburg den 26. Juli 1905.)
Originaire de Romanswiller, Emile Klein épouse en 1896 Jeanne Salomé Frey, fille du vigneron David Frey de Heiligenstein
Mariage, Strasbourg (n° 552)
Strassburg am 20. Juli 1896. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Bäcker Emil Klein, evangelischer Religion geboren den 3. Januar des Jahres 1869 zu Romansweiler (Unter-Elsaß), wohnhaft zu Strassburg, Sohn des Ackerers Mathias Klein und dessen Ehefrau Margaretha geborener Schaeffer, beide wohnhaft zu Romansweiler
2. die gewerblose Johanna Salomea Frey, evangelischer Religion, geboren den 23. Januar des Jahres 1872 zu Heiligenstein (Unter-Elsass), wohnhaft zu Strassburg, Tochter des Winzers David Frey und dessen Ehefrau Maria Salomea geborener Hellmann, beide wohnhaft zu Heiligenstein (i 189)
Emile Klein et Salomé Frey vendent sans transfert formel la maison à la Société d’acquisition foncière
1907 (29.4.), M° Huber n° 3698
Verkauf ohne Auflassung – Emil Klein, Bauunternehmer und Ehefrau Johanna Salome Frey in Straßburg
an die Grunderwerbsgesellschaft GmbH hier
Flur 15 N° 46, 1,79 Hf. Whs, NG N.W. 1700, Goldgießen N° 9, ohne die Bäckereinrichtung. Titel, eigen laut Kaufs Lauterbach hier vom 4. Juli 1905, um 75.000 M, darauf baar bezahlt 6000
Genuß ab 1. Oktober 1907 mit Steuren
Käufer ist zum Kauf verpflichtet. Die Grunderwerbsgesellschaft vermietet an die Verkäufer auf die Dauer vom 1. Oktober 1907 bis 30. September 1910 die Bäckerei und Wohnung im ersten Stock um jährlich 1000 M
acp 1068 (3 Q 30 783. I) f° 4 n° 241 du 7.5.
La Société d’acquisition foncière cède à la Ville de Strasbourg son droit au transfert formel
1907 (1.8.), M° Huber n° 4059
Abtretungen durch die Grunderwerbsgesellschaft GmbH hier
welche die Erwerbungen nachbezeicheter Liegenschaften im Auftrag der Stadt zur Beseitigung gesundtheilticher Mißstände und zur Anlage einer neuen Straße gemacht hat
an die Stadt Strassburg
des Rechts auf Auflassung bezüglich folgender Grundstücke in der Gemeinde Straßburg
I. laut Kauf amt. Notar vom 8. April 1907 von Julius Wack Bäckermeister hier, N 910, Heiligenlichtergasse N° 8, 2,40 Hf um 70.000 M
II. Schlossergasse N° 25
III. große Stadelgasse N° 4
IV. Metzgergießen N° 32
V. Metzgergießen N° 30
VI. Blindengasse N° 10
VII. Kinderspielgasse N° 12, 14 [biffé] Blindengasse N° 2 & 4
VIII. laut Kauf Huber hier vom 29. April 1907 von Emil Klein, Bauunternehmer und Ehefrau Johanna Salome Frey hier
Haus Goldgießen N° 9, Flur 10 N° 46 1,79 Ar um 75.000 M, bar bezahlt 600 M
IX. große Stadelgasse N° 26
X. Goldgießen N° 13
XI. Goldgießen N° 12
XII. Nikolausstaden N° 12 Grätelgäßchen
XIII. Nikolausstaden N° 7 Goldgießen N° 14
XIV. Goldgießen N° 7
acp 1069 (3 Q 30 784. III) f° 87 n° 1328 du 19.8.
acp 1070 (3 Q 30 785. II) f° 85 n° 1381. du 14.9. M° Huber, 13 septembre Auflassung Schlossergasse N° 25
Le transfert formel a lieu au profit de la Ville de Strasbourg
1907 (s.d.), M° Huber
10 Auflassungen zu den Abtretungen vor Notar Huber vom 1. August 1907 hier registriert Band 1069 N° 1328 durch die Grunderwerbsgesellschaft an die Stadt Strassburg des Rechts auf Auflassung
1580. I. vom 5. September 1907 N° 4159 erworben von Emil Klein, Goldgießen N° 9 um 75.000 M
1581. II. vom 5. September 1907 N° 4160 erworben von Theodor Emil Arbogast Nikolausgasse N° 7 und Goldgießen N° 14 um 76.000 M
Goldgießen N° 13
Goldgießen N° 12
Stadelgasse N° 26
Heiligenlichtergasse N° 8
Nikolausstaden und Grätelgäßchen Flur 15 90/3
Goldgießen N° 7
große Stadelgasse N° 4
Metzgergießen N° 32
acp 1071 (3 Q 30 786. I) f° 88-v du 13.9.
La Ville de Strasbourg loue la maison au boulanger Emile Klein (ancien propriétaire)
1907 (19.9.), Maire
Vermiethungen vor dem Bürgermeisteramt hier auf 2 Jahren vom 1. Oktober 1907 bis 1. Oktober 1909
1639. an Anton Schmitten*, Tagner hier
Haus Leimengasse N° 26 um jährlich 260 M.
1640. an Emil Klein, Bäckermeister hier
Haus Goldgießen N° 9 um jährlich 260 M.
1641. an Jakob Fries hier
Haus Schiffsgäßchen N° 3 um jährlich 660 M.
1642. Kaspar Müller hier
Haus Metzgergießen N° 32 um jährlich 2000 M.
acp 1071 (3 Q 30 786. I) f° 95 du 23.9.