8, rue du Renard Prêchant
Rue du Renard Prêchant n° 8 – X 254 (Blondel), O 837 puis section 31 parcelle 68 (cadastre)
Millésime 1715 – Ajout du deuxième étage, 1877 (maître d’ouvrage Dominique Glady, entrepreneur Jacques Klein l’aîné)
Façades des 6 (en vert), 8 (en blanc) et 10 en mars 2022. Le croquis de 1877 (ci-dessous) montre que la façade originelle du n° 8 était comparable à celle de l’actuel n° 6
Vue en mars 2007
La maison se trouve près du monastère Sainte-Catherine (1571), derrière le pont Sainte-Catherine (1574), derrière l’orphelinat (1580 sqq.), face au canal Saint-Jean (1618 sqq.). Le pêcheur Thiébaut Schott l’achète en 1571. Elle appartient pendant vingt ans au peignier Michel Schiffer (1611-1630. Le jardinier Martin Murr la cède en paiement en 1681 au pasteur Balthasar Frédéric Saltzmann. Le pêcheur André Schmutz achète en 1702 la maison dont ses descendants restent propriétaires jusqu’en 1875. Il la modifie ou la reconstruit comme en témoigne le millésime 1715 aujourd’hui disparu que signale Adolphe Seyboth (Das alte Strassburg, p. 213). Jean Pierre Schmutz demande en 1731 l’autorisation d’enfoncer trois pieux dans la canal proche pour y suspendre ses filets. Selon le billet d’estimation de 1778, la maison comprend trois poêles et trois cuisines. Jean Samuel Schmutz est autorisé en 1791 à établir des latrines sur le canal à côté de deux autres qui existent déjà.
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 215 (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée et un étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve à droite du repère (p’) : porte suivie de deux fenêtres, premier étage à trois fenêtres. Le dessin semble avoir omis les ouvertures dans le toit. La maison voisine à droite lui est symétrique. La cour D montre l’arrière (2-3) de la maison sur rue et le bâtiment arrière (1-4) dont la face postérieure (1-2) donne dans la cour E (plan de l’îlot).
La maison porte d’abord le n° 67 (1784-1857) puis le n° 8.
Dominique Glaudy fait ajouter en 1877 un deuxième étage en pan de bois et des mansardes par l’entrepreneur Jacques Klein l’aîné ; le revenu de la maison passe de 36 à 100 francs. Le menuisier Eugène Fahy charge en 1884 l’architecte entrepreneur Paul Dürr de remplacer les quatre fenêtres du premier étage par trois disposées comme celles du deuxième étage.
Ajout d’un étage et de mansardes, 1877 – Dessin des quatre fenêtres du rez-de-chaussée ramenées à trois, 1884 – Photographie de 1993 (dossier de la Police du Bâtiment)
septembre 2025
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment dossier I, dossier II – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1580 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Etienne Schott, pêcheur, et Véronique – luthériens | ||
1571 | v | Thiébaut Schott, pêcheur, et (1566) Gertrude Fischer puis (1573) Agnès Ziegler remariée (1576) avec le tailleur Joseph Weissrock puis (1586) le notaire Georges Meyer – luthériens |
v | Jean von Sarburg, pêcheur, et (1574) Appolonie Voltz – luthériens | |
1580 | v | Pierre Rietsch, tisserand, et (1580) Lucie Bungart veuve de Wendelin Schell – luthériens |
1610* | h | Erard Deuschter, épinglier, et (1574) Marie Reichard (Marie von Limburg), d’abord (1568) femme de l’épinglier François Kriegsmann, (1582) Ursule Kisser puis (v. 1610) Madeleine Rietsch – luthériens |
1611 | v | Michel Schiffer, peignier, et (1601) Anne Duscher, la veuve de Paul Spindler, (1606) Anne Nessmann puis (1617) Marie Kolb – luthériens |
1630 | v | Georges Hirt, jardinier, et (1628) Brigitte Bronner – luthériens |
1634 | v | Jean Fuchs, tailleur, et (v. 1630) Marguerite Kramp – luthériens |
1663 | v | Agnès Welsch, femme du jardinier Thiébaut Ziegler, (1642) du jardinier Martin Murr puis (1646) du jardinier Jacques Eissen – luthériens |
1667* | h | Martin Murr, jardinier, et (1667) Catherine Volck – luthériens |
1681 | v | Balthasar Frédéric Saltzmann, pasteur de la cathédrale, et (1643) Susanne Schmidt – luthériens |
1702 | v | André Schmutz, pêcheur, et (1693) Barbe Schorr – luthériens |
1742 | h | Jean Pierre Schmutz, pêcheur, et (1735) Catherine Salomé Heim – luthériens |
1782 | h | Jean Samuel Schmutz, pêcheur, et (1772) Marie Marguerite Fels puis (1786) Marie Salomé Geickes – luthériens |
1827 | h | Jean Christophe Schmutz, pêcheur, et (1807) Dorothée Lorentz |
1863 | h | Frédéric Samuel Schmutz, pêcheur, cordier, et (1840) Marie Catherine Schott puis (1855) Sophie Magnus |
1875 | v | Marie Schurr, épicière, et (v. 1852) Guillaume Weitmann, brasseur à Gmünd |
1876 | v | Dominique Glaudy, tailleur, marchand épicier, et (1837) Louise Hochrieth |
1877 | h | enfants de Dominique Glaudy, commis négociant, et (1867) Marie Adélaïde Burger |
1882 | adj | Eugène Fahy, menuisier, et (1876) Marie Anne Kretz |
1889 | v | Frédéric Guillaume° Gassert, aubergiste, et (1871) Philippine Pauline° Duba |
1936* | h | Ernest Frédéric° Gassert, employé aux hospices civils, et (1904) Joséphine Edouarde Lucie Scherb |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 250 livres en 1778
(1765, Liste Blondel) X 254, Jean Pierre Schmutz
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Peter Schmutz, 3 toises, 4 pieds et 4 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 837, Schmutz, Laurent, veuve rue du Renard Prêchant 67 – maison, sol – 0,83
Locations
1880, Eugène Fahy, ensuite propriétaire
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1731, Préposés au bâtiment (VII 1394)
Le pêcheur Jean Pierre Schmutz demande trois pieux à prendre dans les îles de la ville pour les enfoncer devant sa maison dans le fossé près du canal Saint-Jean et y suspendre ses filets de pêche, comme il en a déjà cinq. Les préposés décident de se rendre sur place. L’affaire n’a pas de suite.
(f° 155-v) Dienstags den 12. Junÿ 1731. – Johann Peter Schmutz umb Stützen
Johann Peter Schmutz der fischer, ersucht Mghh. daß Ihme auß der Statt Wörthen dreÿ Stützen, vmb solche vor Seinem Hauß beÿ dem Johannes Gießen in dem Graben Zu setzen, vnd Seine Fischer Garn daran Zu hängen, allwo Er bereits fünffe hat, möchten abgefolgt werden, Erk. Augenschein
1791, Préposés au bâtiment (VII 1424)
Le pêcheur Jean Samuel Schmutz qui habite au 67, rue du renard prêchant aux canards demande l’autorisation de construire des latrines sur le canal comme d’autres voisins. Le chef de chantier Kaltner rapporte qu’il y a deux latrines à côté desquelles il est facile d’en construire quelques autres. Le procureur propose d’accorder à titre précaire l’autorisation de construire des latrines de la même taillie que ceux qui s’y trouvent, sans que leur propriétaire puisse prétendre à aucune indemnité en cas de démolition, moyennant un cens annuel de 5 sols.
(f° 86-v) Dienstags den 3. Maji 1791. – Joh: Samuel Schmutz, Fischer
Johann Samuel Schmutz, der hiesige Fischer übergibt Memoriale mit Bitten, ihme Zu erlauben vor seine Behausung bei dem sogenannten Fuchs den Enten predigt gelegen, N° 67. gleich anderen dasigen Nachbaren ein s.v. Prefet an das Wasser Zu bauen. Auf den von Herren Werck Meister Kaltner nach gemachter Untersuchung abgestatteten Bericht, wie daß sich in einem alda auf das Wasser gehenden eingeschloßenen Bezirck würcklich zwei neben einander stehende s.v. Prefeter sich befinden, neben welche gar füglich noch einige eingerichtet werden können, wurde nach Anhörung des Prokurators der Gemeinde Erkannt, Seÿe dem Imploranten, jedoch nur bis auf anderwärtige Verordnung zu erlauben auf seine Kösten ein S. v. Prefet neben den würcklich daselbst befindliche in nemlicher Größe machen Zu laßen, ohne daß jemals bei deßen Wegräumung eine Indemnisation gefordert werden könne. Anbei vor dieße Concession jährlich 5. ß Zinß und Anno 1792. erstmals Zu bezalen.
Description de la maison
- 1778 (billet d’estimation traduit) 1778 La maison comprend trois poêles, trois cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé avec la cour, appartenances et dépendances à la somme de 500 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
4° arrondissement ou Canton est – Rue du Renard prêchant
nouveau N° / ancien N° : nouveau N° / ancien N° : 8 / 67
Schmutz
Rez de chaussée et 1° étage mauvais en bois
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 25 f° 270 case 2
Schmutz Laurent veuve rue du renard prêchant N° 67
O 837, Maison, sol, R. du renard prêchant 67
Contenance : 0,83
Revenu total : 36,43 (36 et 0,43)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 17
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre napoléonien, registre 27 f° 1050 case 1
Schmutz Laurent, veuve (rayé 1859)
1859 Schmutz Jean Frédéric Samüel cordier – Hegwein Jacques la femme née Schmutz cordier – Schmutz Sophie, majeure par 1/3 (rue de la Krutenau 34)
1864 Schistel Marie veuve Bentz, 1865
1865 Schmutz Jean Frédéric Cordier – Schmutz Caroline femme Hegwein – Schmutz Sophie par 1/3
1868 Schmutz Théodore, pêcheur
1869 Schmutz Samuel, Cordier
1875 Weitmann Wilhelm Wittwe Marie Schurr
1877 Glaudy Dominikus Wirth
1882/83 Fahy Eugen, Schreiner
1889/90 Gassert Friedrich Wilhelm Gastwirt
97/98 Marx Heinrich Brauerei direktor Schiltigheim
O 837, Maison, sol, Rue du renard prechant 8
Contenance : 0,83
Revenu total : 36,43 (36 et 0,43)
Folio de provenance : (270)
Folio de destination : 1050 Vergrößerung, (sol) Gb
Année d’entrée :
Année de sortie : 1880/81
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 17 / 14
fenêtres du 3° et au-dessus :
O 837, Maison
Revenu total : 100,43 (100 et 0,43)
Folio de provenance : 1050
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1880/81
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 20 / 16
fenêtres du 3° et au-dessus : 4 / 3
1880, Zugang – Glaudy Dominikus f° 1050, O 837, maison, revenu 100, Vergroesserung, achevée en 1877, imposable en 1880/81, imposée en 1880/81
Abgang – Glaudy Dominik f° 1050, O 837, maison, revenu 36, Vergrößerung
Cadastre allemand, registre page case
Parcelle, section 31, n° 68 – autrefois O 867
Canton : Wo der Fuchs den Enten predigt Hs N° 8
Désignation : Hf Whs
Contenance : 0,77
Revenu : 650 – 900
Remarques :
(Propriétaire), compte 432
Gassert Friedrich Wilhelm und Erben und Wwe
1936 Gassert Ernest Frédéric
(1552)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IX, Rue 343 Au puit des fous p. 495
67
Pr. Schmutz, Samuel – Pêcheurs
Loc. Sturm, Jean – Moresse
Loc. Beck, Anne Marie, femme de soldat
Loc. Schwanger, Catherine – Manante
Loc. Schwanger, Felix Chrétien – Manant
Loc. Pfeifer, Michel – Etranger
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Wo der Fuchs den Enten predigt (Seite 43)
(Haus Nr.) 8
Bisch, Mehlhändlerin. 0
Bicourn Schriftsetzer. 1
Stein, Schreiner 1
Gassert Wwe. E 2
Grieshaber, Monteur. 3
Dossier de la Police du Bâtiment (cote)
Le propriétaire Glaudy (demeurant 19, quai des Bateliers) fait ajouter en 1877 un deuxième étage en pan de bois et des mansardes à sa maison dont le rez-de-chaussée et l’étage sont en pan de bois, la hauteur totale sous corniche est de 8,26 mètres. Le propriétaire Fahy charge en 1884 l’architecte entrepreneur Paul Dürr de remplacer les quatre fenêtres du premier étage pas trois qui seront disposées comme celle du deuxième étage. Une explosion provoquée par une cuisinière à gaz souffle le toit du bâtiment en 1966.
Coiffeur Th. Jæger (1898) – Restaurant Le Pied dans le plat (1984, Michel Stirnemann) Au Renard gourmand (1992, Michel Stirnemann), Petite Prague (1993, Valérie Musilek), Le Coin du canard (1996, Nabil El Idrissi)
Sommaire
- 1875 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier Lepain soit autorisé au nom du locataire Schweitzer à faire une prise pour environ deux becs
- 1877 – Le propriétaire Glaudy (demeurant 19, quai des Bateliers) demande l’autorisation d’ajouter un deuxième étage en pan de bois et des mansardes, la hauteur totale sous corniche étant de 8,26 mètres (croquis en marge) – L’agent voyer note que la maison suit l’alignement, n’a pas d’avance, le rez-de-chaussée et le premier étage sont en pan de bois. La hauteur totale n’excède pas le maximum réglementaire.
- 1884 – Paul Dürr (architecte entrepreneur, 17, rue des Bouchers) demande au nom du propriétaire Faÿ demande l’autorisation de remplacer les quatre fenêtres du premier étage par trois qui seront disposées comme celle du deuxième étage – Autorisation – Travaux terminés, août 1884. – Dessin
- 1898 – Le coiffeur Th. Jæger demande l’autorisation de poser une enseigne (saillie de 40 centimètres) – Le commissaire de police transmet la demande au maire. L’enseigne sera retirée chaque soir. – Autorisation – L’enseigne est posée, juin 1898
- 1897 – Le maire notifie la rentière Gassert, propriétaire, de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les deux volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique.
1898 – La veuve Gassert écrit que la maladie de son mari qui a duré deux ans a épuisé ses finances – Le maire accorde un délai jusqu’en octobre 1898 – Travaux terminés, octobre 1898 - 1907 – Le propriétaire P. Gassert déclare que son voisin Thau (n° 10) a fait murer la fenêtre de la cuisine qui est ainsi privée d’air et de lumière – La Police du Bâtiment constate que le pignon est commun avec le n° 10, le plaignant est donc en droit d’y avoir une ouverture qui devra être fermée par une plaque en verre brut. L’aération devra se faire par le vestibule (croquis)
- 1913 – Le maire notifie la veuve Pauline Gassert de faire ravaler la façade – Il accorde un délai jusqu’en août 1914.
1914 – Les entrepreneurs Griesbach et Grossmann (41, quai des Bateliers) demandent l’autorisation de repeindre la façade en gris clair et le soubassement en brun foncé (mêmes couleurs que les anciennes) – Autorisation – Dossier classé février 1915 - Commission contre les logements insalubres. 1908, Remarques en trois points
1900. Propriétaire, veuve Gassert (deuxième étage). Le propriétaire doit supprimer la trappe qui donne accès à la cave et couvrir la rigole qui conduit les eaux usées – Travaux terminés, décembre 1900
1906. Les cabinets d’aisance sont très petits
1908. Remarques en trois points. Délai jusqu’en mai 1910 puis 1911
1913. Rien à signaler
Commission des logements militaires, 1915. Remarques en trois points. Travaux terminés, octobre 1915
1923. Un enfant de deux ans a été atteinte de dysenterie - 1936 – Le propriétaire Fr. Gassert (demeurant 13, rue Finkmatt) demande l’autorisation de transformer la devanture au rez-de-chaussée – Autorisation
1937 – Fr. Gassert demande que le délai soit prolongé
1938 – Les travaux n’ont pas eu lieu
1938 (avril) – Frédéric Gassert est autorisé à crépir la façade. Le nom est remplacé par Jean Trezza (24, rue de Metzeral) - 1949 – L’entrepreneur Robert Bravin (41, rue des Bouchers) est autorisé à occuper la voie publique pour crépir la façade et le soubassement – Il demande à être exempté des droits de voirie pour les travaux qu’il a faits au 8, rue du Renard Prêchant au titre des dommages de guerre – Les droits ont été payés. décembre 1949
- 1966 (30 décembre) – Une explosion provoquée par une cuisinière à gaz a soufflé le toit du bâtiment. Rapport (L’immeuble datant de 1770 est composé d’un rez-de-chaussée, de deux étage et de combles aménagés. Le propriétaire est M. Schweitzer qui est également propriétaire du N° 10. Le N° 6 appartient à la Ville de Strasbourg. Il habite au deuxième étage de l’immeuble sinistré)
1967 (janvier) – Le maire enjoint le propriétaire de faire réparer les dégâts, notamment la toiture endommagée du n° 6 – Les travaux sont en cours. Le locataire du logement où a eu lieu l’explosion est mort de ses blessures.
L’entreprise Frédéric Klethi (rue Haute Fontaine à Boofzheim) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique pour réparer la toiture - 1984 (octobre) – Le sieur Stirnemann demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse (Le Pied dans le plat) éclairée au néon – Photographies – Dessin des établissements Kappler (Zone industrielle de Fegersheim)
1984 (novembre) – La Police du Bâtiment constate que deux enseignes ont été peintes sans autorisation
1985 (janvier) – L’architecte des Bâtiments de France Jacques Ernest émet un avis favorable – Autorisation pour deux enseignes peintes et une lampe. - 1984 (octobre) – Michel Stirnemann (demeurant rue de la Digue à Illkirch-Graffenstaden) dépose une demande pour transformer la façade. Le bâtiment se trouve dans le champ de visibilité n° 6 classé monument historique. propriétaire, Alexandridis (12, rue de la Tanche à la Robertsau) – Plan d’arpentage – Dessin des établissements Kappler (Zone industrielle de Fegersheim cf. supra)
1984 (décembre) – Les travaux sont terminés, le restaurant exploité mais le dossier est toujours incomplet
1985 (janvier) – Rapport de la Commission de sécurité
1985 (février) – L’encadrement de la porte n’a pas été modifié, la porte a pu être remplacée. Le dossier est classé.
1985 (septembre) – La Division II informe la Division IX que la demande de permis de construire datant d’octobre 1984 devenue sans objet peut dont être retirée de l’affichage. - 1986 – Michel Stirnemann (restaurant Le Pied dans le plat) demande l’autorisation de poses deux stores en corbeille et texte publicitaire sur lambrequin. Photographie – L’architecte des Bâtiments de France Chantal Lavillaureix émet un avis défavorable et propose des stores droits au-dessous du colombage.
- 1986 (décembre) – Michel Stirnemann demande l’autorisation de transférer la licence IV du débit de boissons Buvette du cinéma des Grandes Arcades. Le préfet demande un rapport sur les locaux. – Rapport de la Commission de sécurité
Les Brasseries du Pêcheur informent le préfet que Michel Stirnemann n’arrive pas à faire modifier le règlement de copropriété pour pouvoir exploiter un débit de boissons.
1988 (juin) – Nouvelle demande. – Rapport de la Commission de sécurité - 1991 – Michel Stirnemann vend le fonds du restaurant Le Pied dans le plat à la Sàrl Au Renard gourmand (Edmond Rustenholtz, notaire à Illkirch)
1993 – Le notaire Rustenholtz transmet un certificat d’irrecouvrabilité des créances - 1992 – Le restaurant Au Renard gourmand demande l’autorisation de poser un store en banne – L’architecte des Bâtiments Jacques Ernest de France émet un avis favorable – Autorisation de poser des saillies mobiles
1993 – L’avocat Hubert Metzger informe la Trésorerie municipale que le prix de vente du fonds Au Renard gourmand est insuffisant pour que son opposition soit retenue. – Rectification de recettes, Stirnemann, restaurant Au Renard gourmand - 1991 (novembre) – La Police du Bâtiment constate que l’enseigne plate Au Renard gourmand n’a pas été autorisée – Rappels, décembre 1991, janvier, février, avril 1992
1992 (juillet) – Demande, photographie – L’architecte des Bâtiments Jacques Ernest de France émet un avis favorable sous réserve de supprimer la lampe et les boîtiers – Autorisation
1992 (septembre) – Les boîtiers sont toujours en place. Le restaurant est fermé et mis en vente
1993 (novembre) – Les objets non autorisés sont déposés - 1993 (janvier) – Valérie Musilek (restaurant Au Renard gourmand, demeurant rue des Roses à Oberhausbergen) demande l’autorisation de poser une enseigne – Trois photographies – Fiche sur l’enseigne Alpirsbacher Klosterbräu, photographies – L’architecte des Bâtiments Catherine Joanny de France émet un avis défavorable (l’enseigne est trop grande) – Le maire demande que l’enseigne soit déposée
1993 (juillet) – Valérie Musilek propose une enseigne plus petite
1994 (janvier) – Demande
1994 (février) – L’architecte des Bâtiments Charles Fileppi de France émet un avis favorable – Autorisation - 1995 – Valérie Musilek (demeurant rue Louis Apffel) demande l’autorisation d’exploiter le débit de boissons Au Renard gourmand en qualité de gérante de la sàrl Orego. La S.A. Irion a été autorisée à transférer la licence IV du débit de boissons Billard Club (15, rue des Juifs) dans l’établissement Restaurant Petite Prague sis 8, rue du Renard-Prêchant. Le préfet demande un rapport sur les locaux.
1995 – La Police du Bâtiment constate que deux lanternes publicitaires, une enseigne plate et une enseigne perpendiculaire ne sont pas autorisées.
1995 (mai) – Valérie Musilek (Restaurant Petite Prague) déclare que seuls les textes ont été remplacés – Trois photographies
1995 (décembre et janvier 1996) – Procès verbal d’infraction, les lanternes n’étant pas posées de manière réglementaire
1996 (février) – L’architecte des Bâtiments Jacques Ernest de France émet un avis favorable – Autorisation
1996 (21 octobre) – L’administrateur judiciaire cède au nom de la sàrl Orego le fonds de commerce Petite Prague à Nabil El Idrissi (demeurant place de l’Université) moyennant 350.000 francs - 1996 (septembre) – Nabil El Idrissi (restaurant Le Coin du canard) demande l’autorisation de poser une enseigne place et deux lampes – L’architecte des Bâtiments Charles Fileppi de France émet un avis favorable sous réserve que l’éclairage consiste non en des lampes mais en un filet de néon – Autorisation – Photographies
Dossier de la Police du Bâtiment (cote)
8, rue du Renard-Prêchant (2001-2002, ravalement) cote 1539 W 773
Le propriétaire Alexandridis fait ravaler la façade
Sommaire
- L’entreprise générale de peinture G. Bœhli (route de Gambsheim à Offendorf) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique. Devis établi au nom du propriétaire Alexandridis (10, rue de la Tanche à la Robertsau) – Le maire ne s’oppose pas aux travaux (mars 2001) – Travaux terminés, avril 2002
Relevé d’actes
La cession de capital (1646, voir plus bas) mentionne une constitution de rente, conclue en 1574, à laquelle est annexée l’acte de vente par Etienne Schott en 1571.
Etienne Schott naît en 1545, fils de Laurent Schott
Baptême, Saint-Guillaume (luth. f° 18)
1545. Eod. die [26. Julÿ] Baptizaui stephanum filium Laurentÿ Schott & Barbaræ uxoris (compatres) Juncker Hans wernher von Ramstein, clauß diebolt der alt wurt zur blumen Anna betschertin Matthis stoffel fraw. (i 21)
Le pêcheur Etienne Schott et sa femme Véronique vendent à leur cousin Thiébaut Schott la maison à côté de la leur, près du monastère Sainte-Catherine. L’acquéreur est autorisé à occuper un emplacement le long du canal comme le vendeur. Le mur arrière esr commun avec Jacques Meyenthau.
1571 (28. Maÿ), Cour épiscopale, vol. 156 (Registranda Meyger) f° 235-v
(Pthum. fo. 80.) Erschienen Steffan Schott der fischer burger zu Straßburg vnnd Veronica sein eheliche Husfr. Haben vnverscheidenlich für sie & eines vffrechten verkauff
dem Erbaren Dieboldt Schotten auch fisch. u. burg. Zu Str. Irem vettern, So Zu geg. Ime vestiglichen kauffte
Hauß Hoffstatt vnd Höfflin mit allen gebeüwen & gelegen Inn der Voorstatt St. Inn Cruttenauw beÿ Sanct Catharinen Closter neben Innen verkeüfferen selbs && neben Jacob Meÿgentauw, Stosst Hinden auch vf sie die verkeüffere selbs, vnd Ist die Mur zwischen Jacob Meÿentauw deßglichen die Hinder Zwischen Innen v.keüffere vnd disser Behausung gemein, dauon gön Järlich xij ß viij d boden Zinß dem Johannser Closter alhie, Sonst ledig eÿg. beschehen vmb 140 guldin St. W.
Dabeÿ Ist auch sunderlich abgeredt Jed. Zu beden theilen bewilligt worden, Namlich das er Diebolt Schott der Keüffer oder seine erben mögenn vnd macht haben sollen, den blatz Vnd die gerechtigkheitt ane dem Staden wie sie Verkäuffere solche Zu Vor gebraucht vnd gehapt, auch brauchen vnd Inhaben sollen, Im fahl auch vber kurtz oder Lang er Keüffer oder solche Jetz erkauffte behußung verkauffen wolten, Sollen er Steffan Schott vnd veronica die verkeüffere oder Ire erben dem vorkauff vnd das fürgebott darauff haben, wan sie so vÿl als andere, Nach Vorkauffs Recht
Fils de Laurent Schott, Thiébaut Schott épouse en 1566 Gertrude, fille de Valentin Fischer
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 78 n° XI)
1566. Erst ausgeruff. eodem Doîca [Misericordiæ] Diepolt Schott Lorentzen Schotten des fischers nachgelaßener Sohne, Gertraut, Veltin Fischers verlassene tochter, celebrarunt nuptias die lunæ post jubilate die 6 Maÿ (i 255)
Baptême de Gertude, fille du pêcheur Thiébaut Schott demeurant à côté d’Etienne Schott derrière le pont Sainte-Catherine. Le père n’est pas admis à la communion à cause du différend avec son frère Laurent qu’il veut priver de son héritage
Baptême, Saint-Guillaume (luth. f° 125-v)
1568. Getaufft Doîca eadem [Exaudi] Diebolt Schott ein Fischer bey Steffan Schotten hinder S. Catharina bruck, Gertraut (Infans) Catharina (Compatres) Hans reinbolt fischer, Salome, Niclaus Scheiden haußfraw des marstallers tochter, Ursula, veltin von Meistertzheim Schuldtvogts am Schultzengericht bey S. Barbara haußfraw
[in margine :] Hactenus non accessit ad mensam Dôi propter discordiam fratres sui Laurentÿ q ipsum aliq° lure hæreditario priuare voluit Entds Erkhandt ein *ein wasser das der vatter für sich vnd seine Erben bestanden. Sed unâ* Impedimentium ipsein* post hac* non * promisit & venturum ad nos propter meliorem institutionem (im 313)
Autre baptême qui mentionne le même domicile (derrière le pont Sainte-Catherine à côté d’Etienne Schott)
Baptême, Saint-Guillaume (luth. f° 57-v n° 147)
1570. Getaufft vff Donnerstag den 28. Decembris – Diebolt Schott ein Fischer, Hinder S. Catharina neben Steffan Schotten, Gertraut, (Infans) Elisabetha (compatres) Adolph Meyenthaw, Zunfftmeister vff der fischer stuben, F. Anna, Herr Hanßen velmans haußfraw, Ursula, Veltin von Meistersheim des Schuldvogts fraw (am obsmarckt) (i 60)
Le pêcheur Thiébaut Schott qui habite à côté d’Etienne Schott près de l’Orphelinat épouse en 1573 Agnès, fille de Jacques Ziegler, boulanger à Tübingen. Le cortège part de la maison de Martin Feis, tuteur de la mariée, rue du Fort. Proclamation, célébration
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. f° 73 n° XXXII)
1573. Domîca octava post Trinitatis 12. Julÿ. Diebolt Schott, ein fischer beym weissen Hauß neben Steffan Schotten, Agnes, Jacob Zieglers von Tübingen eines becken allhie nachgelassene tochter. Diese sind wie angezeigt worden von Martin veßen dem weber in der burggassen, welcher der braut vogt. Werden Zum Jugen S peter Zur Kirchen gehen (i 261)
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 197)
1573. Dominica 8. post Trinitatis. Dieboltt Schott der fischer vnd Agnes, Jacob Ziglers von Tubingen nachgelaßne tochter. Eingesegnet am Montag 20. Julÿ hora 9 Außgangen auff der Burggassen auß Martin feiß des webers hauß (i 103)
Baptême de Thiébaut, fils posthume du pêcheur Thiébaut Schott, demeurant derrière le pont Sainte-Catherine à côté d’Etienne Schott, etd e sa femme Agnès, belle-fille di tisserand Valentin Schwan
Baptême, Saint-Guillaume (luth. f° 42 n° 41) 1574. Am Sontag Jubilate 2 Maÿ. Diebolt Schott ein fischer, so kurtzlich mit todt abgangen (hinder S Catharina bruck neben Steffan Schotten), Agnes Veltin Schwanen des Sergenwebers an der obern Straß Stiefftochter Sind vor 3 viertel Jaren beym Jungen S Peter zu Kirchen gangen, vide Doicam octavam An° 73) – Diebolt (i 230)
Agnès Ziegler, veuve de Thiébaut Schott, se remarie en 1576 avec le tailleur Joseph Weissrock, fils de Barthélemy Weissrock
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 78-v, n° X)
1576. Am Sontag Q.nquagesima, Joseph weißrock ein Schneider Barthle weißrock eines Schneiders allhie nachgelaßener Sohne, wonhafft vff S Catharina thurn bey seiner schwester, Agnes Zieglerin weilandt Diebolt Schotten des Fischers nachgelaßene witwe Hinder S. Catharina bruck – confirmatio facta postridie invocauit die 12 martÿ (i 82)
Agnès Ziegler, veuve de Thiébaut Schott, assistée de de son tuteur Martin Fæss, hypothèque la maison au profit d’Anne Christmann, veuve de Valentin Storck
1574 (3. tag Augusti), Cour épiscopale, vol. 175 (Registranda Meyger) f° 320
(Pthum. fo. 80.) Erschienen Agnes Zieglerin, Wÿland Dieboldt Schotten des fischers burgers Zu St. selig. Witwe, mit beÿstand Martin Fäß de Webers burgers Zu St. Ires geschwornen Vogts, hatt sich für sich verschri.
gegen der Ersamen Fr. Annen Christmanin, wyland des Ehrenthafften Veltin Storcks selig. Witwe, war Zugeg. der fürnemme h. Heinrich trusch, Ir Sun, derselbig seiner Mutter Zu Zinß. vier guldin glts ablosig mit Lxxx gulin St. w.
von vff vnd abe Huß Hoffestatt vnd hofflin, mit allen Iren gebeüwen & geleg. Inn d. Voorstatt St. Inn Crutenauw, hinder Sant Catharinen, Einseit nebent Steffann Schott dem fischern anderseit nebent Claus vogel dem fischer, stossent hinden vff desselben Steffan Schotten gartten, dauon gond zwölff schilling Acht pfenning Boden Zinß dem Johannser Herren Zum griennen Werth Zu St. vff Sant Oßwalds tag
vnd zu noch mehrer sicherheit Seindt erschienen obgemelter Martin Fäß der vogt, vnd Veltin Scherer Sergen weber burgere Zu St. haben sich vnver. für sich Zu Rechten Bürg. & gesetzt
L’inventaire dressé après la mort de Joseph Weissrock établit une fortune de 96 livres. La veuve se charge d’entretenir sa fille Marthe Weissrock.
1586 (30. Augusti), Chancellerie, vol. 237 (Gemein Contract Buch)
Vertrag Joseph Weißrocks wittwen mit Jhrem Kindt. 27.
erschienen seindt vnsere burger Anthonius Kölle d. schneid. als verordneter vogtt Agnesen Zieglerin weiland vnsers burgers Joseph Weißrocks seligen hinderlaßener wittwen mit beÿstand derselbigen an einem. So dann Christoff Hengher der Schneider, Als verordneter Vormund vnd vogtt Marthæ erstgedachter ehegemechd ehelich erzielten minder Järigen döchterlin am andern theil Vnd haben vns erzeelen vnd fürbringen lassen Nach dem verschinener Zeit ermelter Joseph Weißrock Zeitlichen tods abgangen, hette sie die wittwe alle desselben Verlaßenschafft durch berordnete Personen anschlagen vffschreiben vnd ein Ordentlich Inventarium darüber verfertigen und vffrichten lassen, Auß welchem sich befund. das gedachtem Kindt vätterlichen erbs dem anschlag nach mehr nit dan 96. lib.1 19 ß d gebüren hette. Dieweil alber dasselb noch Jung vnd vnerzogen, vnd auß denselben nit biß Zu seinen mannbaren tagen vnd Jaren auch nirgendt besser dann beÿ Ihro der mutter erhalten werden mag, So hetten die sich durch vnd.handlung unsers Rhats bewandten Heinrich Seüpels vnd vnsers burgers Wolff Weithers des Kaufflers selbsten des Kindts vätterlichen Erbs vnd vnderhaltung haben, freündlich verlichen vnd vertragen (…)
Originaire d’Oberwaldbach près d’Augsbourg, le secrétaire Georges Meyer épouse en 1586 Agnès, veuve du tailleur Joseph Weissrock
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 357 n° 46)
1586. Dominica II. Georg Meÿer Von Obern walpach beÿ Augspurg ein schreiber, vnd Agnes, Joseph Weißrocks des schneiders hinterlaßne wittwe. Eingesegnet Montag den 20. Junÿ. Außgangen inn der grossen Stadelgassen, Bißhiehn in der Cantzleÿ gelisset* (im 182)
La maison appartient ensuite au pêcheur Jean von Sarburg. Fils du pêcheur du même nom, il épouse en 1574 Appolonie, fille du jardinier Jean Voltz, demeurant rue Neuve (le nom est ici Jean von Sarbruck).
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 89-v, n° XXXVII)
1574. Doîca Secunda adventus die xxxvii Decembris. Hans von Saarbruck weiland Hansen von Saarbruck des fischers nachgelaßener Sohne, Appolonia, Hans Voltzen des gartners tochter, in der newen gassen, aber an den newen Heußern. Er ist ettwan ein Zeiger gewesen vff dem schießwd* (i 278)
Le pêcheur Jean von Sarburg et sa femme Appolonie fille du jardinier Jean Voltz vendent la maison au tisserand Pierre Rietsch et à sa femme Lucie, fille d’André Burger d’Ottersweier
1580 (vts [1. Augusti]), Cour épiscopale, vol. 206 (Registranda Kügler) f° 232
Erschienen hanns vonn Sarburg der Vischer burger Zu Straßburg vnd Applonen voltzin sein eheliche hußfr. hanns Voltzen des gartners dochter, Haben vnver. für sich (…) Verkhaufft
dem Erbar Peter Rietschen dem Sergenweber burger, Zu Straßburg vnd luceyen seiner ehelich hußf. wÿland Burgers Andres Zu otterßwyher selig. docht. so beyd. gegenwertig In vberscheyd. Khffte
huß hoffestatt v hofflin m. all. and. Iren gebeü geleg. In der voorstatt Straßburg hind. dem wÿßen huß einst neben Jacob Meygenthaw anders. neb Stoffeln schotten stoßend hind. vff Conrad Brunn den Melmans gartten, Dauon gnd. Eilff schilling Acht pfenning Einen Capp. boden Zinß dem Johannßen herrn Zum grien Werd Z. Straßburg, Mehr vier guld. gelts vff Johann Baptiste ablosig mit 80 gulden Straßburg. werung herr Heinrich Truschen v sind auch verhafftet für 20 guld. SW Hans Voltzen obgedacht vff Sant Adolffen tag A. Lxxj nechst gbend Zinß Zubezalen & all Rht & der Khff bescheh. vmb 68 guld. SW
Hiebey v sind gegenwärtig geweßen Veltin Schwenck der Sergenweber, Adam Wider Sergenweb. hans voltz gartner Simon Auwer der buchstabengiesser Christoffell Engelman vnd Conrad Lucking.*
Le tisserand Pierre Riets épouse en 1580 Lucie, veuve de Wendelin Schell d’Ottersweier
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 255 n° 546)
1580. In festo paschalis. Peter Riets der Sergen weber, Lücia Schellin wendling Schellen von Ottersweiher nachgelasne witwe. 18. April (i 261)
Pierre Rietsch et sa femme Lucie hypothèquent la maison au profit du teinturier Philippe Hatt
1583 (letzt. Aprilis), Cour épiscopale, vol. 223 (Registranda Kügler) f° 128
Erschienen Peter Rietsch Sergenweber burger Zu Straßburg vnnd lucey sein eheliche hußfrauw
Haben bekandt Inn gegensein des Ersammen Philips hatten Ferbers Zum Roraffen burgers Zu Straßburg demselb. vffrecht vnnd redlichen schulden vnver. schuldig sein 20 guld. SW gelühens gelt
dafür Vnderpfand sein soll huß hoffestatt v. hofflin m all and. Iren gebeu geleg. Inn der Statt Straßburg vorstatt hinder dem weÿßenhuß einsyt neben Jacob Meygenthuw anderseit neben Steffan Schotten stoßend hinden vff Conrad Brunen* den Melmans gartt. dauon gnd xj ß viij s Einen Cappen bodenzinß den Johanßen herrn Zum grienen Werd vnd dann vier guldin gelts losig mit 18 guld. herrn Peter Storcken All Ire & Vnd Zu noch mehrer sicherheit ist erschienen der Erbar Adam Widder Wullinweber Hatt sich für sich mitsamt dem hauptschuldner vnuer. Zu rechtem bürgen vnd selbstschuldner ernant vnd yngesetzt
Pierre Rietsch et Lucie Bungart se lèguent l’usufruit viager de leurs biens.
1601 (27.10.), Not. Strintz (Daniel, Protocole 58 not 61, n° 362) f° 123-v
Persönlichen erschÿnen seindt der Ersam vnd bescheidene Meister Peter Rietsch der sergenweber vnd die Erbare Lucia Bungarttin, sein eheliche haußfrauw, burger Zu Straßburg, beede gesundeß standeß vnnd gondeß leibß, auch gutter Verständlicher sinnen vnnd Vernunfft
den 27. Monatstag Octobris 1601 vffgericht
Not. Strintz (Daniel, 58 not 59), minute (usufruit viager)
Leur fille Madeleine épouse vers 1610 l’épinglier Erard Deuschter
Gérard Deuschder et Madeleine Rietsch vendent la maison au fabricant de peignes Michel Schiffer et à sa femme Anne Nessmann
1611 (erst. tag Octobris), Chancellerie, vol. 396 (Registranda Meyger) f° 391
(Inchoat. in Proth. fol: 318.) Erschienen Gerhardt deüschder der guffenmacher burg. Zu Straßburg vnnd Magdalen Rietschin sein eheliche haußfr. (haben verkaufft)
Michell Schiffer dem Strehellmacher burg. Zu Straßburg vnd Annen Neßmännin seiner ehelich. haußwürthin
hauß, hoffestatt vnd höfflin mit Allenn gebeüwen geleg. Inn d. St. Straßburg Inn Crutenouw hind dem weÿßen hauß einsit neb. hannß halbgewachsen dem ohlman And.sit neb. Michell Nußbergers erb. dem Bürstenbünd. hind. vff ein gartt. stoßend, dauon gnd. xj. ß viij d vnd j Kappen Bod. zinß den Johannser herren Zum grünen würd, Mehr iiij gl gls Ablößig mit Lxxx gl auch vff oßwaldi hannß Jacob Zeÿssolff, So dann sind solche Behaußung noch verhafftet vmb Lxxv lb d nach verschünung VierJahren daran xxv lb d vnnd hernach Ir Zu Zweÿ Jahren xxv lb. d bitz zu endtlich. bezahlung Zu erleg. Sein des Verkoüffers Khindern mit nammen hannß Erhard, Philipß vnd hannß Jacob, so sie vonn Ihrem vettern Peter Rietschen seelig. ererbt, doch hehniß*. solche Summ mit sampt dem Zinß vnd beÿ Jedem termin ein viertell Jahr vffzukhünd. wann man es bedörff. würdt, Sunst eÿg. Vnd Alles Recht & Also das & Vnd Ist dißer Khauff vber dessen beschwerd. Zugang. vnd bescheh. für vnd vmb xxxv lb d
[in margine :] Erschienen H Theodosius Monachus Alß vogt hannß Jacob Dischders hatt in gegensein Michels schiffers des Kheüffers (…) Actum 10. Decembr. Anno 1622.
Erhard Deuschler
Michel Schiffer hypothèque la maison au profit de Philippe Kepser, employé de la fondation Saint-Pierre-le-Jeune
1618 (xij. Januarÿ), Chancellerie, vol. 430 (Registranda Meyger) f° 22-v
(Inchoat. in Prot. fol. 20.) Erschienen Michel Schiffer der strehlmacher burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwärtigkheit Philippß Käpßer Stifft dieners Zum Jungen Sanct Peter burgers Zu Straßburg – schuldig sige Zwölff pfund vnd Zehen schilling pfenningh
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt hauß, hoffestatt vnd höfflin mit Allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn der Vorstatt Inn Crutenauw einseit neben hannß halbgewachsen dem Ohlmann, anderseit neben Michell Nußbergers Witwe vnd erben, hinden vff Reimboldts Meÿers witwe stoßend, dauon gnd. j lb v ß d gelts Ablößig mit xxv lb Erhard discher
Michel Schiffer hypothèque la maison au profit du jardinier André Trenss
1618 (xxvj. Junÿ), Chancellerie, vol. 432 (Registranda Kügler) f° 128-v
(Inchoat. fol. 121.) Erschÿnen Michael Schÿffer Strelmacher Inn Crutenauw
Hatt in gegensein des Ersammen Andres Trenßen gartners schuldig seÿen 12 pfund 10 schilling
vnderpfand, hauß hoffstatt und hofflin mit allen andern Iren gebeüwen & gelegen Inn der voorstatt Inn Crutenauw gegen Sant Johann Gießen einseÿt hanns halbgewachs Olmann erben anderseit Michael Nußberger dem Bürstenbinder seligen witwe hinden vff hanns Jacob Küglers gartten dauon gond vier Gulden gelts S w abloßig mit 80 guldin derselb. werung Hanns Jacob Zeysolffen, So dann verhafftet fur 100 gulden Erhart Düschner guffenmachers selig. erben Zubezalen
Michel Schiffer et Marie Kalb hypothèquent la maison au profit d’Agnès Lieb, veuve du journalier Nicolas Gædler
1622 (26. Junÿ), Chancellerie, vol. 446 (Registranda Meyger) f° 207-v
(Inchoat. in Prot. fol. 163.) Erschienen Michell Schiffer Strehlmacher burger Zu Straßburg Vnd Maria Kalbin sein eheliche haußfr.
haben in gegensein Agnes Liebin, Weÿlandt Clauß Gädler taglehners burgers Zu Straßburg seligen Witwe, mit beÿstandt Mathÿß Leÿman burgers Zu Straßburg Ihres geschwornen Vogts – schuldig seÿen 50 pfund pfenning
Zu vnderpfand eingesetzt vnd verlegt, Hauß, Hoffstatt, Vndt Höfflin mit Allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn der St: St: beÿ St: Johannis giessen Inn Crauttenauw Im Voglergeßlin, einseit nebent hannß halbgewachsen dem Ohlmann, anderseit nebent N: N: dem Zoller Vff der Reinbruckhen, hinden vff ermelts halbgewachßen gartten stoßend, dauon geht 10 ß 6 d Vnd j. Cappen oder für denselben 3 ß d Inn geldt denn Johannser h. beden Zinßen Mehr seind sie Verhafftet gegen H hannß Jacob Zeisolff in 80. gld wehrung Sonst eigen
Michel Schiffer hypothèque la maison au profit des petits-enfants du maquignon Jean Andres
1622 (26 Novembris), Chancellerie, vol. 444 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 147
Schuldbekandtnus Hanß Andresen des eltern selig. Enckel vnd erben vber 50. lib.
Erschienen Michel Schiffer Strehlmach. vnd burg. alhie
hatt in gegensein Hansen vnd Carlen Andresen geprüd. weÿland Hanß Andresen gewesener Burg. vnd Pferd Vnd.kauffers seligen Enckel, Bekenen das er denselben heut dato für bar gelühen gelt schuldig worden 50 pfund pfenning (…)
Zum vnderpfand sein soll sein behausung In Statt vorstatt Krautenaw ane Sanct Johanns giessen einseyt neben Hans Halbgewachs dem ohlman and.seyt neben Jonas Glesner Kürsner Zoller auff d Reinpruck, hind. auff Halbgewachsen Gartten,davon gehnd 20 lb auff oßwaldi (-) Christen selig. Erben In hauptgut mit 40 lb abloßig sonst eÿg.
[in margine :] Erschienen Rosina Lawelerin der beed. Creditoren Muter zeigt an (…) den 20. Julÿ 1630.
Michel Schiffer et Marie Kalb hypothèquent la maison au profit de Frédéric Müssel
1623 (ut spâ [xv. Maÿ]), Chancellerie, vol. 449 (Registranda Meyger) f° 476
(Inchoat. in Prot. fol. 305.) Erschienen Michell Schiffer Strehlmacher burger Zue Straßburg Vndt Maria Kalbin sein eheliche haußrauw
haben bekhandt vndt In gegenwärtigkheit Herrn Friderich Müeßel burgers Zue Straßburg – schuldig seÿen L. lb
zu vnderpfand verlegt, hauß, hoffstatt, Vndt höfflin, mit Allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn d. St: St: Inn Crauttenauw, Inn Johanns gaß, eins: hanß halbgewachßen Ohlman, Ands. Jonas Geßner Zoller Vff der Rheinbruckhen, hinden auch vff Hannß halbgewachßen Gartten stoßend, davon gnd. xj ß vnd j. kapp. bodenzinß dem Johannßer H. Zum grüenen wördt, mehr 2 lb 10. ß gelts lößig mit L. lb hannß Andreßen dem Passmentmacher sonst eÿgen.
Nouvelle hypothèque au profit du jardinier André Trenss
1627 (ut spâ. [3. Martÿ]), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 137-v
Erschienen Michell Schiffer der Strehellmach. burger Zu Straßburg
hatt in gegensein Andreß Trenßen gartners vnd. wagner – schuldig seÿen Xvij. lb
vnderpfand hauß, hoffstatt vnd höffel mit All Ihr. geb. glg. Inn d. St. St. In Crautenaw, beÿ Sant Johanns gieß. einseit hanß halbgewachßen, and. seit Daniel Graner, hind. vff hanß halbgewachßen gartt. stoßend, dauon gnd. 4. gld. geltd mit Lxxx gld. hanß Ludwig Zeÿßolffs erb. Mehr vmb L. gld Ulrich Mürsell, It. vmb j. C. gld schlecht geld Philipß Jacob Khÿdell So dann vmb xij. ß d
[in margine :] Cassirt wie in Regist: de A° 1630. fol. 545. fa. 2. Zusehen.
Michel Schiffer hypothèque la maison au profit de Susanne de Lachenal, femme du marchand Pierre Buisson
1628 (18. 9.bris), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 611
Erschienen Michel Schiffer der Streelmacher burger zu St.
hatt in gegensein Fr. Susannæ de Lachenal H Peter Buißons deß handelßmanns alhie haußfrawen befehlhabers H Niclauß Fuchsen – schuldig seÿ 13. gld a 15. bz.
dafür Vnderpfand sein soll hauß hoffstatt höflin mit alle & alhie in Crautenaw, v. S. Johanns güeß. neben hanß halbgewachsen dem ohlman ein: vnd 2. seit neben weÿ: Daniel Graners geweßenen Zollers s: An d. Rheinbrucken Erben, hind. vf besagten halbgewachsen garten stoßend gelegen, so Zuuor v.hafft. vmb 80. gld. St. w. Michel Reimbold. Vögtlich. weiß, Item vmb 60. fl. Andreß drensen dem gartner, Item vmb 5. dublonen Rosinæ Wilhelm Lawels haußfrawen, so dann vmb 100. lb. schlecht gelt Agneß N. N. deß Kohlenträgers wittib vnd Friderich Mürseln Jedem 50. lb besagtem schlechten gelts, So gehen auch Jarß 11 ß d vnd i. Kapp. bod. Zinß Zu S. Johann alhie
Michel Schiffer vend la maison au jardinier Georges Hürt
1630 (20. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 468 f° 545
(Protocollat. fol. 72.) Erschienen Michel Schiffer d. Streelmach. burg. Zu St.
hatt in gegensein Georg Hürten, gartners in Krautenaw auch burgers alhie, bekannt, d. er demselben vffrecht verkaufft,
hauß, hoffstat, höfflin, vnd Stall, mit allen s. Alhie in Crautenaw hind.m Ballhauß in S. Johanns güeßen, neben hanß halbgewachsen dem ohlmann & neben N. N. dem gürtler, hind. vff besagts halbgewachsen garten stoßend, dauon gehen 4. gld. w. geltz vff Oßwalden H hannß Michel Reinboldt, Alß Vogt dauid Wild.muths s: Kinder, in hauptgt mit 80. gld. w. So ist diß hauß auch noch hafft. vmb XXV. lb d Agneß Liebin Claus Gödelers deß taglöhners witib, so von Martini vber 3 Jar, Item vmb 30. lb. Andreß Trensen dem Ältern so vff erfordern, Item vmb vi. lb 5 s. Magdalenen Treherin, hanß Friese deß Meelmanns haußfr. so vff negstkommend weÿhenachten erlebt (…), So dann xxiiij lb d sein deß Verkäuffers Kind. für Müeterlich gut, daran (…), So gehet auch Järlich dauon 11. ß 8 d u. I. Cappen bod. zinß S. Johann sonst eÿg. Vnd were diser Kauff vber die beschw. so der Käuffer vff sich genommen, gescheh. per 50. lb
Dabeÿ gewesen deß v.keüffers Kind. vogt, Agneß Liebin, Magdalena Treherin, Paul Wagner d. Nadler, vnd Jacob Dachert gartner
Fils du jardinier Jean Hirt, Georges Hirt le jeune épouse en 1628 Brigitte, fille du jardinier Jean Bronner
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 182-v n° 6)
1628. Dnicis ijsdem. Görge Hirt, ein Junger Gartenman, Hans Hirten gewesenen Gartners v. Burgers Sohn, J. Brigitta, Hans Bronners gartenmanns b. Burgers p. m. Tochter, Aderat Sponsæ Tutor Jacob Kauffer, Gartner, Zinstags den 19. Januarÿ (i 365)
Georges Hirt hypothèque la maison au profit des enfants de Melchior Dachert
1633 (ut spâ [30. Decembris]), Chambre des Contrats, vol. 471 f° 575-v
Erschienen Georg Hürt, gartner in Crautenaw
hatt in gegensein weÿ: Melchior Dacherts see: dreÿer Kindern Vogts Clauß Schirmers auch gartners daselbsten – schuldig seÿen XXXVj lb
dafür Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstat, mit allen And. ihren gebäwen gelegen alhie in Crautenaw in S. Johanns güeßen neben einem hauß Zur Enten gnt. ein vnd Anderseit neben Alexand. Schmidten dem gürtler hind. vf hanß halbwachsen deß ohlmanns garten stoßend, davon gehen Jährlich XI ß d und j Kapp bod. Zinß dem Johanniter Closter alhie, So ist dise behausung auch noch v.hafftet vmb 80. fl. St. w. N.N. von Frankhforth
Georges Hirt vend la maison proche du jeu de paume au tailleur Jean Fuchs
1634 (24. Decembris), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 775
(Protocollat. fol. 146.) Erschienen Georg Hürt gartner in Krautenaw
hatt in gegensein hanß Fuchsen deß schneiders auch burgers alhie (verkaufft)
hauß, hoffstat, vnd höfflin mit allen anderen ihren gebäwen & alhie in Krautenaw beÿm Ballhauß in S. Johannis Güess. neben hanß halbgewachsen, ohlman & Alexand. Schmidten den gürtler, hind. vf gen[an]ten ohlmans garten, dauon gehen Jarß vf oswaldi 4. fl. gelts St. w. David Wildermuthen s. Kind. in hauptg. mit 80. fl. w abzulösen, Item 11. ß 8 s bod.zinß vnd i. Kapp den Johannitern alhie, So ist daß hauß auch noch verhafftet vmb 25. lb d Agneß Liebin weÿl. Clauß Gödelers witib, J. vmb 24. lb d Michel Schiffers deß Streelmachers see. Kindern, Item vmb 36. lb Melchior Dacherts Kindern, So dann vmb 25. lb d sein deß v.keüffers söhnlein Georgen Müeterlich gut sonst eÿgen, Vnd were diser Kauff vber die beschwerden, so d. Käuffer vf sich genommen, geschehen per XV. lb
(vide in Regist: 630. fol: 545.)
Le tailleur Jean Fuchs, de Linx près de Kehl, sa femme et leur fils achètent le droit de bourgeoisie en septembre 1634.
1634, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 859
Hanß Fuchs Von Linx d. Schneider Erkhaufft d. Burgkrecht für sich sein haußfrau vnd Sohn vmb 20 goldguld. will Zu den Schneid. Zünfftig Sein den 5. 7.bris 1634.
Jean Fuchs, de « Lintz » et bourgeois de Strasbourg, et sa femme Marguerite se lèguent l’usufruit de la maison
1642 (26. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 489 f° 637-v
Erschienen hannß Fuchß von Lintz burg. Zue Straßburg und Margaretha sein eheliche haußfraw, haben geordtnet & daß wann d. Allgewaltige Gott über kurtz od. lang Sie durch den Zeitlich. tod trennen Würde, alß dann daß letztlebende
ihr beÿd. Behaußung alhie in d. Krautenaw, neb. Weÿl. hannß Halbwachß. deß Ohlmanns Erben hauß Zur Enten genannt ein: und anderseit neb. Weÿl. Alexanders Schmidts seel: Erben, hind. vff besagtes halbwachß. Erb. Gart. stoßend gelegen, zusampt der darzumahl. deß erstabgstorbenen Güettern befindlichen blum und frucht vff den Kasten, die tag seines lebens widembß weiß Zugenieß. haben
Le marchand Gérard Heckler vend au prédicateur Balthasar Frédéric Saltzmann plusieurs rentes dont cette de quatre florins garantie sur la maison qui appartenait à Agnès Ziegler, veuve du pêcheur Thiébaut Schott et maintenant au tailleur Jean Fuchs d’après un titre de 1574 auquel est annexée une vente de 1571
1646 (29. april.), Chambre des Contrats, vol. 497 f° 200-v
Erschienen Herr Gerhard Heckler d. handelßmann und Burger Zu Straßburg
hatt in gegensein deß wohl Ehrwürdig hochgelehrten H Balthasar Friderich Saltzmanns SS. Theol. Licentiati und Freÿ Predigers alhie, bekannt daß Er demselben vor einem Monat albereit vffrecht vnd redlcih verkaufft und Zu Kauffen gegeben habe,
4. fl. gelts Straß. Wehr. iährlich vff oswaldi fallend, und mit 80. fl. wehr. widerlößig. Zinnßen, so etwann Agnes Zieglerin, weÿl. Diebolt Schotten deß Fischers nachgelaßene Wittib anietzo Hannß Fuchß der Schneider, vermög eines teutschen pergamentinen d. 3. Augusti a° 1574. mit deß Bischoffl. hoffs anhangendem Insigel, durch weÿl. H. Hÿlarium Meÿern deß hoffs damahlig. Contractuum Notarium nunmehro seel. vffgerichteten Zinnßbrieffs, dabeÿ auch ein Kauffbrieff über deß Vnderpfand besagend vom 28. Maÿ a° 1571. durch gemeld. Meÿern seel. mit besagtes hoffs anhangend. Insigel verfaßt gebund. Zureich. schuldig,
(vide Cessionem in solutum sub dato 16. Aug. a. 1681.)
It. 8. fl. straßb. wehr. iährlich vff Mariæ Geburtt fallenden, und mit 200. fl. Wehr. widerlößig Zinnßes, so etwann Christoph Heß d. Metzg. vnd Margreth Streberin, beÿde Eheleutn, anietzo aber Sebastian Eckhel der Küeffer, vermög eines teutsch. pergamentinen, durch vorgedachten H. Meÿern vff den 20. 7.br.a° 1554. und 10. Aprilis a° 1555. mit deß hoffs anhangend. Insigel gefertigten Zinnßbrieffs Zu geb. verbunden,
vnd dann 8. fl. Straßb. wehr. ied. Jahrs vff Bartholomæi fallend und miyt 200. fl. Wehr. widerlößigen Zinnßen, so etwann Ulrich Braunstein der Küeffer und Sophia häsin beÿde Eheleuthe, anietzo Georg Brosamle der Sattler und Jacob Burger der Packler in crafft eines teutsch. pergamentinen d. 25. Augusti a° 1554. und 10. april. a° 1555. durch mehrgemelt. h. Meÿern mit mehrerwehnts hoffs anhangend. Insigel gefertigt. Zinnßbrieffs, Zu Zahlen pflichtih seind, für ohnverhafftet, ledig vnd eig.
vnd were dißer Verkauff und Kauff, darinnen auch daß Marzahl aller treÿ. Post. und der Eckelische Zinß de a° 1645. begriffen, Zugang. umb 200. lb. d.
Le tailleur Jean Fuchs demande que son fils épileptique soit reçu pensionnaire à l’hôpital. Les Conseillers et les Vingt-et-Un demandnt un rapport. La suite de l’affaire se trouvait dans le registre perdu de 1647
1646, Conseillers et XXI (1 R 129)
(f° 115) Mittwoch den 30. Xbr. – Hanß Fuchß
Hanß Fuchß der Schneider producirt per Egen Supplôn bitt darrin seinen Sohn der mit dem fall behafft vndt Zur arbeit verderbt wegen außerster armuth im Spithal Zu nehme,. Erk. Solle besserer bericht eingezogen vnd alß non Von der Sach. ferner geredt werden.
[N.B. le registre de 1647 manque]
Le tailleur Jean Fuchs demande l’intercession du Magistrat pour être payé d’un jardin qu’il a vendu à Linx
1651, Conseillers et XXI (1 R 134)
(f° 85) Sambstag d. 17. Maÿ – Hanß Fuchß Vm Intercessional.
Hanß Fuchß p.ducirt p. Bell. vnd.ge Supplication bericht d. Er Zu Linßheim Einen garthen gehabt, Welchen Er Marthen Jößel vberlaß. dieweil nun der Possessor Verstorben, vnd vnder wehrendem dißem langwihrig. Krieg gewiße beschwerd. auffgeschwoll. welche p. Viam executionis Jetzmahlß wollen gesucht werd. Alß bitt Er vm Intercessionales. Erk. Willfahrt word.
(Table, Hanß Fuchß Schneider. 85.)
Le tailleur Jean Fuchs et sa femme Marguerite se lèguent l’usufruit viager de leurs biens
1654 (5. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 516 f° 418-v
Erschienen hannß Fuchß der Schneid. Burg. alhie und Margaretha seine Eheweib, Jedes, durch Gottes miltreiche Güte, noch auffgerichteten stehend. und gehend. leibß, auch völlig. Verstandts, richtig. Sinn, und vernünfftig. Rede, die verordneten ad Protocollum Reipubl. publicum, daß, wann der Allgewaltige Gott über Kurtz od. lang Sie beÿde Eheleuthe durch den Zeitlich. todt, von einand. trennen würde, alß dann daß letztlebende, alle deß Zu erstversterbend. Ehegemächts Verlassenschafft sein leben lang widums weiß Zu genieß. befugt, Jedoch daß es auch ihren armseelig. Sohn entwed. beÿ sich Zu behalt. oder anderwerts sein leben lang, wohl Zu versorgen und seiner gebührlich zu pfleg. schuldig sein solle
Jean Fuchs meurt en 1662 en délaissant un fils infirme issu de la veuve Marguerite Kramp. La masse propre à la veuve est de 7 livres. L’actif de la communauté s’élève à 68 livres, le passif 15 sols.
1662 (10.11.), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 2) n° 37
Inventarium vndt Beschreibung Aller Undt Jeder haab nahrung Vndt gütter, so Weÿland der Ehrsame Hanß Fuchß, Schneid. Vnd burger Alhier, nach seinem aus dießer welt den 24.t Julÿ dießes Zue End gemelt. jahrs genommenem seel. hienscheiden hinder sich Verlaßen, so auf freundliches ansuchen erfordern vnd begehren Christmann Heßen Schneiders Vndt burgers Alhier, alß geordnet vnd geschworenen Vogts Hanß Fuxen deß seel. v.storbenen mit hernachgemelter Wittiben Ehelich erzeügten, schon ein geraume Zeit armseelig. Sohns V. ab intestato eintzig. Erbens, durch die Tugendsame Margaretham Krampin die hinterbliebene Wittib mit beÿstand deß auch Ersamen Michael Looßen büttels beÿ der Becker Zunfft alhier ihres geschwornen Curatoris (…) Actum Straßburg Montags den 10.ten Novembris Anno 1662.
Bericht ane statt Eheberedung. Weilen d. v.storbene Vnd deßen hinderlaßene Wittib Zur Zeit ihres angetrettenen Ehestands keine heüraths abred mit einander auffgerichtet, alß ist hießig ordnung gemäß allein waß noch beederseits Unverändert Vorhanden sich befunden Jedem theil die hernach befindlich Eigenthümlich Zuegeschrieben word.
Copia Vorhandenen Vermächtnuß, Cancelleÿ Contract Stub den 5. Augusti Anno 1654
In Einer d. Statt Straßb. in Krauttenaw gelegener in dieße Verlaßenschafft gehörig. vnd hernach beschriebener behausung ist befunden worden wie Volgt
Ane Haußrath, In d. Cammer A, Inn d. Stuben, Im Haußöhren, Im Keller (W 5, E 1, T. 4), Viehe (T 3) Früchten (T 1)
Eigenthumb an Einer Behaußung so theilbar. Item hauß, hoffstatt Vnd höfflin mit allen andern ihren gebäwen, begriffen, Weitten, Zugehörden, Recht V. gerechtigkeit. gelegen in d. Statt Straßb. in Krauttenaw beÿm Ballhauß in St. Johannis Gieß. einseit neben Christian Lienhard dem Schiff Steurmann, anderseit Einer behaußung dem blaterhauß alhier Zuständig, so hanß baur d. leinen Weber dißmahls bewohnet, hinden auf hanß Schneiders deß Ohlmans gartten stoßend, dauon gehen järlich ii ß 8 d Vnd i. Capp. bodenzinß den Johannitern alhier, So dann 8 fl. gelts auf Oswaldi H. Balthasar Friderich Saltzmann S. S. Theolog. Lic. Vnd d. Zeit pfarrhern im Münster alhier ablößig in hauptg. mit 80 fl. besagter Wehrung, Sonst freÿ ledig vnd hiehero über gemelte beschwerd. angeschlagen pro 10. lb d. Darüber besagt i. teütsch. perg. Kauffverschreibung mit d. St. Straßb. Cancelleÿ contract Stuben anhangendem Insigell v.wahrt, dat. den 24.t x.bris Anno. 1634. mit Lit: A. notirt, Dabeÿ noch 3. altte p.gam brieff auch mit Lit. A. signirt.
Pfenningzinß hauptgüter (T 44), Schulden (T 2)
Summa summarum d. Wittib unverändert vorhandenen guths 7 lb
Sa. gantzen Theilbaren Vermögens 68 lb – Schulden 15 ß, Rest 67 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 93 lb
Liegende Güetter Im Linxerbann
Marguerite, veuve du tailleur Jean Fuchs, vend la maison à Agnès, veuve du jardinier Jacques Eissen
1663 (2. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 528 f° 208
Erschienen Margaretha, weÿl. hannß Fuchß des Schneiders nunmehr seel. nachgelaßene Wittib mit assistentz Michael Loßen deß Bütels vf der Beckhen Zunfftstub ihres geweßenen Curatoris
in gegensein Agneß, Weÿl. Jacob Eißen deß Gartenmanns nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin mit beÿstand Matthiß Schmidts Gartners in Krautenau ihres Curatoris
hauß, höfflin, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, Zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten alhie beÿ St. Johanns Gießen ohnfern deß Ballenhaußes, einseit neben einer behaußung Zur Enten genannt, anderseit neben Einer behaußung dem Blatterhauß gehörig, hinden uf hannß Schneiders den Ohlmann stoßend gelegen, davon gehend iährlich 11 ß 8 d in Gelt uff Weÿhenachten, und j. Cappen uf Martini dem Ordens hauß Zu St. Johann alhie, so seÿe solche behaußung auch noch umb 80 fl. wehrung H. Balthasar Friderich Salzmann SS. Theol. Lic. und Pfarrern deß Münsters Verhafftet – umb 50. fl.
Agnès Welsch épouse en premières noces Thiébaut Ziegler, en deuxièmes Martin Murr et en troisième Jacques Eissen
Originaire de Reichshoffen, le jardinier Thiébaut Ziegler, sa femme et ses enfants achètent le droit de bourgeoisie en 1633
1633, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 857
Dieboldt Züegler Von Reichshoffen der Gartenmann Kaufft d. Burgkrecht für sich sein frauw vnd Kinder Vmb 20 goldtguld. Well Zünfftig sein beÿ den Garttnern In Crautenauw den 23. Januarÿ 1634
Le jardinier Thiébaut Ziegler et sa femme Agnès font baptiser un fils en 1639.
Baptême, Saint-Guillaume (luth. p. 287)
1639. Donnerstag den 3. Octobris. Hanß Diebold. P. Diebold Ziegler der Gartenmann vnd Agnes. C. Hanß Diebold hert der Hutstaffierer, Hans Jacob Faber Gaden*diener vnd Maria H hanß Halgbewachsen des Öhlmans eheweib (i 176)
Agnès Welsch, veuve du charretier Thiébaut Ziegler, se remarie en 1642 avec Martin Murr, originaire de Holzhausen (près de Kehl) : contrat de mariage, célébration
1642 (27. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 488 f° 83-v
(Eheberedung) Erschienen Martin Muor von Holtzhaußen anietzo burg. Zue Straßburg alß hochzeiter, mit beÿstand Balthasar Klinglers Gartners in Krautenaw an einem,
So dann Agneß Welschin, weÿl. diebold Zieglers deß Kärchelzehers und burgers alhie nunmehr sel. nachgelaßene wittib alß hochzeiterin, mit beÿstand hannß Schellhammers auch Gartners in Krautenaw ihres Vogts am andern theil
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 175)
1642. Dominica IV. Epiphaniæ. Martin Muhr der Tagner, burger Alhie, vndt Agnes Welschin, weÿland diebolt Zieglers deß Tagners vndt auch burgers Alhie, nachgelaßene eheliche weißbeck. Copulirt Inn der Ruprechtsaw (i 334)
Le journalier Martin Murr devient bourgeois par sa femme Agnès Welsch, veuve du journalier Thiébaut Ziegler en mars 1642.
1641, 4° Livre de bourgeoisie p. 206
Martin Muhr der Tagner von Holtzhaußen Empfangt d. burgerrecht von Seiner haußfrauwen Agneß welschin weÿl. dieboldt Ziegelers deß Tagners seel: wittib vmb 8 gold. fl. Ist ein witiber geweßen hat kein kinder vnd würdt Zu den Gartnern in Crautenauw diennen Jur. den 1.ten Martÿ Anno 1642.
Veuve du journalier Martin Murr, Agnès Welsch se remarie en 1646 avec le jardinier Jacob Eissen : contrat de mariage, célébration
1646 (28. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 497 f° 412-v
(Eheberedung) Erschienen Jacob Eisen der Gartenmann Burger Zue Straßburg alß hochzeiter an einem
So dann Agneß Welschin, Weÿl. Martin Muoren deß Tagners und Burgers alhie nunmehr seel. nachgelaßene wittib alß hochzeiterin, mit beÿstand hannß Schellhammers Gartners in Krautenaw ihres Vogts am andern theil
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 9 n° 33)
1646. Jacob Eÿßen der Gartenman und Burger alhie, und Agnes, Martin Muhren des tagners Und Burgers alhie hinderlaßene Wittwe. Cop. Mont. d. 7. Septemb. Wilhelm h. X (i 12)
Agnès Welsch, veuve du jardinier Jacques Eissen, meurt en 1667 en délaissant un fils de son deuxième mariage et une fille du troisième. La maison est portée au prix payé lors de son achat, soit trois livres, le restant de sa valeur étant encore dû par des obligations antérieures. L’actif de la succession s’élève à 46 livres, le passif à 10 livres.
1667 (1.2.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 39) n° 4
Inventarium vndt Beschreibung Aller Haab vndt Nahrung, So weÿl. die Erbare vndt tugendsame Agnes Welschin, weÿl. des Ehrsamen Jacob Eÿßen, geweßenen Gartenmanns vndt Burgers alhie hinderlaßene wittib nunmehr seelig, su Freÿtags den 4.ten Januarÿ Jüngsthin Zeitlichen todts verblichen, nach ihren aus dießer welt tödlichem hinscheÿden, hinder Ihro verlassen, welche auf freundliches ansuchen erfordern vndt begehren Martin Muren, auch Gartenmanns, der jetzt abgeleibten Frau seel. mit weÿl. Martin Muren, geweßenen Tagner vndt Burgers alhier ihrem Mittlern haußwürth seel. ehelich erzeugten Sohns mit beÿstand deß Ehrsamen hannß Hemmlers auch Gartenmanns vndt Burgers alhie seines geschwornen vogts, vndt des Ehrenhafften Mathys Schmiden, Garthners in Crautenaw Burgers Zu Straßburg als Margarethæ Eÿßin, ihr d. ietzabgeleibten seel. mit Jacob Eÿßen Ihrem Letztern haußwürth seel. ehelich erzeugter dochter geschwornen Vogts, vnd also Mutterhalb beede geschwüsterde, vndt ab intestato hinderlaßene nechste Erben (…) So beschehen auff Freÿtag den 1. Februarÿ A° 1667.
Inn einem in der Statt Straßb. vorstatt in Crauthenaw ohnfern dem weÿßenhauß ane S. Johann gießen gelegener behaußung so auch in dieße Verlaßenschafft gehörig v. hernach beschrieben ist befund. worden wie volgt
Auff der obern Bühnen, Inn der Cammer A, Inn der Stuben, Im Haußöhren, Im Keller
Eÿgenthumb vndt Beßerung ane einer Behaußung. Item hauß, hoffstatt, vndt höfflin, mit allen andern Ihren gebeüwen, begriffen, weith. rechten, Zugehörd. v. gerechtigkeiten, gelegen in d. St. Straßb. vortatt in Crauthenaw, hind. dem weÿßenhauß an St. Johann gießen, i. s. neben Hannß Schneid.en dem Ohlmann, 2.s. neben Christian (-) dem Steÿrman, hind. vff erst gedacht hannß Schneidt. garthen stoßend. Davon gehen Jährlichen 11 ß 8 d v i. Kappen bodenzinß den Johannittern alhier Jährlich vff Joh. Bapt: v. Nativitatis, Item 2 lb 2 ß d Zinß H. Lt. Balthasar Friderich Saltzmann, Pfarrh. im Mstr. alhie Jährlich vff Oßwaldi in hauptgut lösig mit 80 fl. St. w. thun 42 lb
Item so ist dießen behaußung Martin Muren dem Sohn, so er von dem Jenigen darauff bezahlt v.hafft vmb 15 lb
Sonst ledig eigen, angeschlag., wie solche von hannß Fuchßen deß Schneids. v. Burgers alhie seel. Erben vber dieße beschwerd. angenommen worden umb 3 lb.
Darüber v.hand. 1. Perg. Kauffbr. mit d. St. Straß. anh. Contract Insigel, Inhalts, wie hanß fuchs Schneid. v. Burg. alhier diße häuser von Georg Hirtten Garthnern in Crauthenaw burgern Zu Straßb. erkaufft deßen dat. den 14.t 10.bris 1634. Darbeÿ sonsten noch 3. alten P. Kauffbr. alle mit Lit. A. signirt
Eÿgenthum Ligender Velt Güether, Lixheimer bann (…)
Sa. Haußraths 20, Sa. Schiff vndt geschirrs 1, Sa. Silbers 6 ß, Sa. Eÿgenthumb vndt beßerung ane einer Behaußung 3, Sa. Eÿgenthumbs Ligender Verdtgüether 20, Sa. Lehenstücks 2, Summa summarum 46 lb – Schulden 10, Conclusio finalis Inventarÿ 35 lb
La maison revient à son fils jardinier Martin Murr
Fils du journalier du même nom, Martin Murr épouse en 1667 Catherine, fille du pêcheur Michel Volck : contrat de mariage, célébration
1667 (21. Jan.), Chambre des Contrats, vol. 534 f° 35-v
(Eheberedung) Erschienen Martin Mur der tagner in Krautenaw burg. alhie alß hochzeiter, mit beÿstandt hannß himmlers des gartenmanns seines Curatoris an einem,
So dann Jfr. Catharina weÿl. Michael Volckhen geweßenen fischers und Burgers alhie nunmehr seel. nachgelaßene dochter, alß hochzeiterin, mit assistentz Bastian Volckhen des fischers ihres vogts am andern theil
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 70-v n° 5)
1667. Dncis jjsdem [iii p. Epiph. et Lxx.ges. 27. Jan et 3 febr.]. Martin Murr Jung. Garten mann wld. Martin Murren geweß. Tagners und b. alhie nachgel. Ehelich. Sohn vnd Jgfr. Catharina, Wld. Michel Volcken geweß. fischers vnd b. alhier nachgel. eheliche Tochter. Cop. d. Mont. d. 4. Febr., W (i 53)
Jean Muhr, propriétaire de la maison désignée dans l’acte du 29 avril 1646 (voir plus haut), la cède en paiement au pasteur Balthasar Frédéric Saltzmann
1681 (16.8.), Chambre des Contrats, vol. 550 f° 391
(Prot. fol. 37.) Erschienen Martin Muhr der Gartenmann
hatt in gegensein herrn Johann Rudolph Salzmanns U.I. Ddi und E.E. Kleinen Raths Advocati et Procuratoris im nahmen deß hoch Ehrwürdig- hochgelehrten herren Balthasar Friderich Salzmanns S.S. Theol. Licentiati und Pfarrers deß Münsters seines eheleiblichen Vatters
bekannt, d. Er nach Er Muhr, alß eigenthümlicher Besitzer, hienach beschriebener Behaußung, Ihme Herren Licent. Saltzmann nach anlaÿtung der am 29.ten April. a° 1646. in der Cancelleÿ Contract stuben uffgericheter Verschreibung aus Einem teutschen pergamentinen den 3. Aug. a° 1574. mit deß Bischofflichen Hoffs anhangendem Insigel durch weÿl. herrn Hÿlarium Meÿers deselben hoffs damahlig. Contractuum Notarium nunmehr seel. Verfertigten Zinßbrieffs, dabeÿ auch ein Kauffbrieff über daß underpfand besagend am 28.ten Maÿ a° 1571. durch gemelten Herrn Meÿers, mit gedachts hoffs anhangendem Insigel verfaßt, gebunden 80 fl. straßburger wehrung schuldig und davon 4 Jahr Zinße außständig seÿen, So hette Er Muhr in erwegung daß d. underpfand in Zimblichen abgang, Er auch selbiges für dißmahl nicht behaubten Könne, ehren gemeltem herrn Licent. Saltzmann solches ahne statt und Zu bezahlung erwehnter 80 fl. und davon verfallene Zinnße vffrecht redlich und ohnwiderrufflich insolutum cedirt, alß eine Behaußung mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen und Zugehördten alhier in der Krautenaw ohnfern deß waÿsenhaußes, einseit neben Hannß Georg Büttner dem Riemen schneider, anderseit neben einem hauß dem Blatterhauß gehörig, hinden uff Diebolt Hatten deß Kieffers Garten stoßend gelegen, davon gehend iährlichen 12. ß. 8. d. und einen Kappen boden Zinß dem Ordenshauß zu St Johann Zum grünen Wörth alhier, sonsten seÿ selbige gegen männiglichen ohnverhafftet freÿ ledig und eÿgen
Les héritiers de Balthasar Frédéric Saltzmann vendent la maison au pêcheur André Schmutz et à sa femme Barbe Schorr
1702 (14.2.), Chambre des Contrats, vol. 575 f° 77
(106) S.T. Hr. Balth: frid: Saltzmann S.S. Theologiæ Dr. u. Diaconus beÿ der prediger Kirch, ferners Hr. Joh: Saltzmann Medicinæ Dr. u. Practicus theils proprio theils nominibus Hn. Joh: Rudolph Saltzmanns u. J. Ddi wie auch Advocati u. Proc: beÿ E.E. G. Rath u. Hn. M. Joh: Philipp Saltzmanns Pfarrers u Ittenheim u. widerum erstbesagten Hn. Procuratoris Saltzmanns, alß Tutoris S. T. Hn. Joh: Joachim Zentgrafen S.S. Theol: Dris et Professoris auch Can: Cap: Thom: 3 KK. erster ehe, u. dann Hr. Joh: Michel Zentgraf Phil: et LL. Cultor noe. obwohlgedachten seines Hn. Vatters
andres Schmutzen fischers u. Barb: geb. Schorrin
eine behaußung mit allen deren gebaüden, begriffen, weithen, rechten u. gerechtigkeit allhier in der Krautenau ohnfern deß weÿßenhaußes einseit neben hanß Georg Büttner dem Riemenschneider anderseit neben Martin Baur dem leinenweber hinten auf diebold Hatten Kiefers garten stoßend gelegen, davon gehen jährlich auf Weÿhn: 11 ß. 8 d. u. i. Cappen bodenzinß dem Ordens hauß zu St. Joh: allhier /:es erklären sich auch die HHn. Verk: daß falls solcher Zinß ehrschätzig, Sie für dießes mahl den ehrschatz leÿden wollen:/ – um 106 pfund
Fils du pêcheur Jean Georges Schmutz, André Schmutz épouse en 1693 Barbe, fille de Jean Schorr, bourgeois de Romanswiller
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 46 n° 3)
1693. Mittwoch d. 25. Febr. seind Andreas Schmutz, der Fischer Hanß Georg Schmutzen deß Fischers v. B. alhier Vnd wld. Fr. Susanna Vallenbergerin ledig. ehelich. Sohn v. Jfr. Barbara Wld. Johannis Schorren, deß Burgers Zu Rommelsweÿler vnd wld. Mariæ Schorrin nachgel. ehel. T. nach Zweÿmalhiger Proclamation eingesegnet worden [unterzeichnet] Andres schmutz hozeiter, der Hochzeiterin Hand Zeichen (i 45)
André Schmutz et Barbe Schorr hypothèquent la maison au profit du docteur en médecine Jean Frédéric Stædel
1715 (8.3.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 194-v
Andres Schmutz fischer und Barbara geb. Schorrin
in gegensein herrn Johann Friedrich Stedels Med. doct. Und Practici wie auch dreÿer d. Statt Stalls – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, eine behausung mit allen deren Gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten in der Krautenau ohnfern des Waÿßenhaußes, einseit neben hanns Daniel Eckstein anderseit neben Martin Bauer leinen Weber hinten auff den hattischen Garten – – davon gibt man auf Weÿhn. 11 ß 8 s und ein Cappen ane bodenzinß dem Ordens hauß zu St Johann
André Schmutz hypothèque les deux tiers de la maison qui lui appartiennent au profit de Catherine Salomé Reuber, veuve du tonnelier André Heim
1742 (1.2.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 41-v
Erschienen Andreas Schmutz burger und Fischer allhier
der hat in gegensein Fr. Catharinä Salome geb. Reuberin, weÿl. Andreas Heim, gew. Kieffers und hiesigen Burgers wittib, beÿständlich Johann Georg Eißen des Leinenwebers und büttels beÿ E. E. Zunfft der Tucher – schuldig seÿen 30 lb
unterpfand, Zween dritte theil vor unvertheilt an einer behausung, höfflein und hoffstatt cum appertinentÿs, allhier ane der Vorstatt Krautenau, ohnfern dem Narrenbronnen, einseit neben Joh. Jacob Braun dem Schiffmann, anderseit neben Andres Bilger, dem Zündelmacher, hinten auf Joh. Georg Zimmer des Zimmermanns garten stoßend gelegen, von solchem gantzen hauß gibt man jährlich dem Ordens hauß zu St Johann allhier 11 ß 8 d. und einen Cappen bodenzinß, so seÿe selbiges auch noch Hn Joh: Daniel Städel dem Banquier um 250. lb ane Capital versetzt
André Schmutz cède ses biens à son fils Jean Pierre Schmutz et à sa bru Catherine Salomé Heim pour les indemniser de son entretien le restant de sa vie
1742 (1.2.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 42-v
Erschienen Andreas Schmutz burger und Fischer allhier an einem und deßen Sohn Joh: Peter Schmutz auch Fischer und seiner Ehefrau Catharina Salome geb. Heimin, diese mit beÿstand Lorentz Bohnert schuhmachers und Joh: Georg Eißen, Leinenwebers beeder ihrer Vettern und hierzu in specie erbettenen nächsten Anverwandten, am andern Theil
anzeigende, demnach er Schmutz der Vatter hohen alters und Leibs Blödigkeit halben schon lange Zeit außer stand ist, seine Nahrung mit arbeiten ferners Zu suchen, wie dann besagter sein sohn und deßen Ehefrau ihr seit sechs Jahren her, meistentheils erhalten haben, und er also auff Mittel bedacht seÿn müße, sich fernerhin ehrlich durchzubringen, wozu ihme sein sohn und Sohnsfrau wie bitzhero geschehen, also auch ihrer Kindlichen pflicht gemäß ins künfftige behülfflich Zu seÿn offeriren, so seÿen sie entschlosssen solches vermittelst eines Leibgedings in das Werd zu setzen, wie sie daßelbe hiemit in bester rechts form aufrichten wollen,
Nemlich, es versprechen Schmutzische Eheleuthe ihrer resp° Vatter und Schwäher, so lang ihme Gott das leben fristet, beÿ ihnen Zu beherbergen, mit gehöriger Gelieger, alimentation, so gut sie es selbsten haben, Kleÿdung und aller andern nothwendigkeiten so gesund und als Kranck Zu versorgen (…)
hingegen und Vor solche alimentation und unterhalt übergibt und cedirt er Schmutz der Vatter ihnen Schmutzischen Ehegatten seine samtliche dermahlen besitzender beweiglich und unbewegliche Haab und Nahrung, nichts davon ausgenommen
ersten Februarÿ
Le pêcheur Jean Pierre Schmutz épouse en 1735 Catherine Salomé Heim, fille du tonnelier André Heim et de Catherine Salomé Reiber : contrat de mariage dont la minute n’est pas conservée tel qu’il est copié à l’inventaire de 1778, célébration
1735, Not. Goll (Jean Elie, répertoire 65 Not 42) n° 18
Eheberedung Johann Peter Schmutzen, Fischers, und Jgfr. Catharinä Salome Haimin
Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen und bescheidenen Johann Peter Schmutzen, Fischer und Burgern allhier, des Ehrsamen und Bescheidenen Andreæ Schmutzen des ältern auch fischers und burgers allhier ehelichen Sohn als Bräutigam ane Einem
und der Ehren und tugendsamen Jungfraun Catharina Salome Heimin weiland des ehrsamen und bescheidenen Meÿsters Andreæ Heimen, gewesenen Küschners und Burgers allhier hinterlaßenen ehelichen Tochter, als Hochzeiterin, andern theil
in beÿsein (…) Johann Georg Bauers Kiefers und Burgers allhier der Jungfer Hochzeitherin geschwornen Vogts, in fernerer Gegenwarth der Ehren und tugendsamen Fraun Catharinæ Salome Heimin gebohrener Räuberin Wittib der Jungfer Hochzeiterin Mutter – So geschehen Straßburg Sonntag den 22. Maÿ 1735. Johann Elias Goll, Notarius requisitus, collationnirt Schweighäuser
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 52 n° 15)
1735. Seind nach Zweÿmahliger außruffung nemlich Dom. VI. et VII. in der Kirchen Zu S. Wilhelm ehl. Copulirt und eingesegnet worden, Johann Peter Schmutz, der ledige Fischer und burger allhier, Andreß Schmutzen deß Ältern auch Fischers und burgers allhier, und Maria Barbara Schorrin ehm. Sohn, und
Jungfr. Catharina Salome Weÿl. Andreß Heimen geweßenen Kieffers und burgers allhier und Catharina Salome Reiberin nachgelaßene ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Peter Schultz als hohzeiter, Catharina Salome heimin als hochzeiterin (i 54)
Jean Pierre Schmutz meurt en 1778 en délaissant six enfants. Les experts estiment la maison à 250 livres. La masse propre à la veuve est de 153 livres, celle des héritiers de 42 livres. L’actif de la communauté s’élève à 253 livres et le passif à 200 livres.
1778 (28.11.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 558) n° 307
Inventarium über Weÿland Mr Johann Peter Schmutz, des ältern geweßenen fischers u. bs. allh: Zu Straßb. Verlaßenschafft aufgerichtet im Jahr 1778 – nach einem den 5. laufenden Monaths u. Jahrs aus dieser Welt genommenen töd. hintritt hier Zeitl. Verlaßen, Welche Nahrungs Verl. dato zu end stehend auf Ansuchen fr. Cathar: Salome geb. Heimin der hinterbliebenen Wb. hierzu mit Hn. Joh: Fried: Klingler dem Schneider u. br. allh. Verbeistandet (…) So Geschehen in einer allh. zu Straßb. ohnfern dem Waÿßenhauß beym Nardenbronnen gelegenen in diese Verl. gehörigen, hernach mit mehrerm beschriebenen behauß. Auf Samstag den 28. Novembris Anno 1778.
Der Verstorbene hat ab intestato zu Sechs gleichen Antheilern zu Erben verlaßen Seine mit eingangs benannter nunmahliger Wb. ehelich erzeugte Söhne und Tochter Nahment. 1. Mr Johann Peter, 2. Mr Johannes, 3. Mr Joh : Samuel, 4. Jgfr. Maria Magdalena, 4. Mr Abraham, 6. Mr Isaac Schmutz, Alle Sechße Majorennes Ein jeder derer fünf Söhne Fischer und burger allh. und die tochter mit Hn. Johann Philipp Greiner dem taback-fabricant u. br. hieselbsten Verbeistandet, und beÿ diesem geschefft persönlich Zugegen
Eigenthum ane einer behausung. Näml. Eine Behausung u. Hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allh. Zu Straßb. ane der Vorstatt Krautenau ohnfern dem Waÿßenhauß beÿ dem Narden bronnen, 1.s. neben H. Joh: Phil: Greiner dem Taback: fabricant, 2.s. neben weÿl. H. Rathh. Jacob Dürningers Erben hinten auf N. Peters den Caffé-sieder stoßend, davon gibt mann jähr. auf Johanni, dem ordens-Hauß St: Johann allh: in geld 11 ß. 8 d. und ane statt eines Cappens 5 ß. Zusammen 16 ß. 8 d. boden-Zinß, sonsten aber ist dieselbe freÿ, Leedig, eigen und durch hiesiger Statt geschworne Hhn Werck-Meistere Zufolg ihres eingelüfferten Abschatzungs-Scheins vom 12.t X.bris 1778. æstimirt und angeschlagen worden pro 250., davon abgezogen der gedachte boden Zinnß zu doppeltem Cap. ad 5. p° C° gerechnet anlangend 33. 6. 8. So komt hier in auswurff 216. pf. 13. 4. Darüber besagt I. teutsch: pergam: Kauf: brief in allh. C. C. Stb. gefertiget u. mit dero anh. Ins. corroborirt de dato 14.ten febr. 1702. Wobeÿ Ein Schein von Joh: Daniel Eckstein dem Kiefer unterm 28. Hornung 1715. eigenhändig ertheilt, crafft deßen Er eine Gerechtigkeit, daß das Waßer aus seinem Hauß durch das dißortige geloffen, hieher cedirt hat. Diese zweÿ pièçes aber haben sich beÿ gegenwärtiger Inventur nicht vorgefunden. Hingegen befande sich 1° teutsche pergamentene Cessions-Verschreibung aus allh. C. C. Stub u. mit dero anh: Inns: Verwahret, datirt den 16. aug. 1681. Und ein alter Pergam: in des Bischoffs Hoff allh: Zu Straßb. ausgefertigter, u. mit Anhangendem Bischfflichen Ins. verwahrter teutscher pergam: Kauf-brief de dato 28.t Maÿ 1571.
Diese behausung ist übrigens von des Defuncti Vater weÿl. Mstr. Andreas Schmutz dem geweßenen Fischer u. Br. allh. herrührig, als welcher solche Käuflich an sich gebracht, nachgehends aber durch ein, in allh. C. C. Stub den 1. febr: 1742. aufgerichtetes Leibgeding, an dißortige nun Zertrennte beede Eheleuthe, nebst seinem übrigen Vermögen, eigenthümlichen überlaßen und abgetretten hat.
Ergäntzung der Wb. manglenden unveränderten Guths. Zufolg ihres Invent. Illatorum de anno 1735. durch weÿl. H. Not. Elias Goll auffgerichtet (…)
Series Rubricarum Hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
Der Wittib unverändert Guth. Sa. hausraths 5 lb, Sa. Silbers 8 ß, Sa. goldener Ring 2 lb, Sa. activ-Schuld 50 lb, Sa. der Ergäntzung 96 lb, Summa summarum 153 lb
Dießemnach wird auch der Erben anerstorben unverändert Vätterl. guth beschrieben, Sa. hausraths 5 lb, Sa. Silbers 8 ß, Sa. der Ergäntzung 87 lb, Summa summarum 92 lb – Schulden 50 lb, Nach abzug 42 lb
Endlichen wird auch die theilbahre Verlaßenschafft beschrieben, Sa. Hausraths 12 lb, Sa. der Garn wie auch Schiff u. Geschirrs zum Fischer handwerck gehörig 20 lb, Sa. Silbers 3 lb, Sa. des Eigenthums ane I. behausung 216 lb, Summa summarum 253 lb – Schulden 200 lb, Nach Abzug solcher Schulden 52 lb – Stall Summa 249 lb
– Abschatzung vom 12.ten Decembre 1778. Auf begeren Weÿland johann peter schmutz des geweßenen Fischer ist Eine behausung allhie in der statt straßburg beim fuchs den Enden prediget gelegen Ein seÿts neben Herr grien dem tabacmacher anderer seÿts neben Danjel busch und hinten auf Herr peterus dem Caffesieder stoßend gelegen, solche behausung bestehet in dreÿ stuben dreÿ Küchen und Etliche Kammern darüber ist der dachstuhl mit breitzigel belegt, hat auch Ein getremter Keller und hoff. Von uns unterschriebenen der statt straßburg geschwornen Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtig Keit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und um Fünff Hundert gulden [unterzeichnet] Hueber, Götz Wmstr. Kaltner W:Mst
Eheberedung (…) Straßburg Sonntag den 22. Maÿ 1735. Johann Elias Goll, Notarius requisitus, collationnirt Schweighäuser
Jean Samuel Schmutz rachète les parts de maison dont il devient seul propriétaire. La cession passée devant le notaire rédacteur de l’inventaire est transcrit à la Chambre des Contrats
1782 (16.2.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 558) Joint au n° 307 du 28.9br. 1778
Haus cession. Vor unterschriebenem Zu weÿland Meister Johann Peter Schmutz des ältern geweßenen Fischers und Burgers allhier Zu Straßburg Verlaßenschafts-Inventur und Erörterung adhibirtel ofenbahrem geschwornen Notario sind persönlich erschienen Frau Catharina Salome Schmutzin, geborne Heimin, die hinterbliebene Wittib, beiständlich Herrn Johann Friderich Klingler, des Schneidermeisters und burgers allhier, ferner Meister Johann Peter, Meister Johannes, Meister Abraham und Meister Isaac die Schmutzen, alle vier fischer und auch burgere allhier, die Söhne, sodann Jungfr: Maria Magdalena Schmutzin, die großjährige tochter, hierzu mit Herrn Johann Philipp Greiner, dem hießigen burger und taback- bereiter verbeÿstandet, die haben
in gegensein ihres Miterben respective Sohns und Bruders Johann Samuel Schmutz ebenfalls Fischer-Meisters und Burgers hieselbsten angezeigt und declarirt, was maßen Sie denenselben in unvertheiltem Erb eigenthümlichen cedirt, überlaßen und abgetreten, dieser auch alßo angenommen Zu haben bekanntlich ist
Eine in ihres verstorbenen respective Ehemanns und Vaters seel. theilbare Verlaßenschaft gehörige Behausung und Hofstatt mit all deren Gebäuen, Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane der Vorstadt Krautenau ohnfern dem Waÿßen- Hauß, beÿm Narden: bronnen, einseit neben vorbenanntem Herrn Joh: Philipp Greiner dem Tabackbereiter, anderseit neben weÿl. Herrn Rath herrn Jacob Dürningers Erben, hinten auf N. Peters, den Caffé-Sieder stoßend, wovon man jährlichen auf Johannis Baptistæ dem Ordens-Hauß St: Johann allhier in Geld 11 Schilling 8 Pfenning und 5 Schilling statt eines Cappens Zusammen 16 Schilling 8 Pfenning ane Boden-Zinß Zu rechnen pflichtig, sonsten aber ist dieße Behaußung freÿ leedig und eigen, wie solches die Cedenten anbeÿ versichern, und dem Cessionario dieser wegen gebührende Währschafft Zu leisten angeloben. Und ist dieße Cession und Übernahm beschehen und Zugegangen vie und umb 1110 Gulden hießig. Current (…)
Straßburg auf Sambstag den 16. Februarÿ Anno 1782.
[Joint] Haus Versteigerung – ausgerufen 1100 fl. Hierauf hat Johann Samuel Schmutz der eine Requirent und Mit-Participant beÿm Erstern Liechtlein gebotten 1110 fl. auf Freÿtag den 15. Februarÿ Ano 1782
Transcrit à la Chambre des Contrats, vol. 656, 18 mars 1783 f° 106-v
Jean Samuel Schmutz épouse en 1772 Marie Marguerite Fels, fille du tamisier Jean Georges Fels : contrat de mariage, célébration
1772 (8.10.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 873) n° 72
Eheberedung – persönlich erschienen, der Ehrsame Johann Samuel Schmutz der leedige Fischer und burger alhier, des Ehrengeachten Johann Peter Schmutz, ebenmäßigen Fischers und burgers allhier, mit der tugendsamen Fraun Catharina Salome gebohrener (-) ehelich erzeugter Sohn, beÿständl. erstgemelten seines Vaters als hochzeiter, ane einem
So dann die tugendsame Jungfrau Maria Margaretha Felßin, Weil. Mr Joh: Georg Felß, geweßenen Sippmachers und burgers allhier mit auch Weil. Frauen Anna Maria gebohrener Riehlin ehelich erzeugt nach tod verlaßene Tochter, beÿständlich Mr Johann Rockenbach, des Schneiders und burgers alhier, ihres geordneten annoch ohnentledigten Vogts, als die Jungfrau Hochzeiterin ane dem andern theil
[unterzeichnet] x Johann Samuel Schmutz des hochzeiters handzeichen, Maria Margaretha felssin als hochßeiterin
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 157 n° 29)
In dem Jahr 1772 den 25. Octobris und 1. Novembris wurden allhier in der Kirchen Zum Alten S. Peter und St: Wilhelm nach Ordnung auch den 19. und 20. Sonntag nach Trinitatis ausgerufen und Mittwoch den 4. Novembris in der Kirche Zu S. Wilhelm Zur Ehe eingesegnet Johann Samuel Schmutz, der ledige fischer und burger allhier, Johann Peter Schmutz des ältern Fischhändlers und burgers allhier und Frauen Catharina Salome geborner Heimin ehelicher Sohn, und Jungfrau Maria Margaretha, weiland Johann Georg Fels, gewesenen Sippmachers und burgers allhier mit Frauen Anna Maria geborner Rielin erzeugte und hinterlassene eheliche tochter [unterzeichnet] + Handzeihen des Hochzeiters welcher sich erklärt, daß er nicht schreiben Kan, Mariaddaragaretafelsin hoschßeiterin (i 166)
Marie Marguerite Fels meurt en 1786 en délaissant quatre enfants. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire précédent. La masse propre au veuf est présente un passif de 271 livres, celle propre aux héritiers s’élève à 101 livres, l’actif de la communauté à 331 livres, le passif à 240 livres
1786 (26.1.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 870) n° 370
Inventarium über Weil. der Ehr: und Tugendsamen Fraun Mariä Margarethä Schmutzin gebohrener Felßin, des Ehrsamen Joh: Samuel Schmutz des Fischers und Burgers alhier Zu Straßburg gewesener Ehefraun nunmehro seel. Verlaßenschaft aufgerichtet, in Anno 1786. – nach ihrem Montag den 17.den 8.bris des verfloßenen 1785.sten Jahrs aus dießer Zeit und Welt genommenen tödlichen Hintritt nach sich verlaßen. Welche Vermögens Nachlaßenschafft heutigem Zu End gesetztem dato auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehrengeachten Mr Joh: Daniel Weißmantel, des Sippmachers und burgers alhier, hernach gemelter der Defunctæ seel. ab intestato Zu Erben verlaßener Kindere geordnet und geschwornen Vogts – So beschehen alhier Zu Straßburg in einer ohnfern dem Waÿsenhauß beÿm Narrenbronnen gelegener, hiehero eigenthümlich gehöriger und hernach mit mehrerem beschriebenen behaußung, auf Donnerstag den 26.ten Januarii Anno 1786.
Benamßung der Erben. Die Verstorbene seel. hat ab intestato zu Ihren rechtmäsigen Erben verlaßen, namentlich und 1° Mariam Margaretham Schmutzin, so allernächst 12 jahr alt, 2° Mariam Dorotheam Schmutz, so 10 ½ Jahr Zurückgelegt, 3° Mariam Magdalenam Schmutzin, so 9 Jahr alt und 4° Joh: Samuel Schmutz, so allernächst das 5.te Jahr erreichet. In welcher Nahmen Mr Joh: Daniel Weißmantel der Sippmacher und burger allhier (…), Alle vier der Verstorbenen seel. mit Eingang gedachtem dem hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeugte Kindere und ab intestato Zu 4. gleichlingen portionen und Antheileren verlaßene Erben
Bericht zu gegenwärtigem Inventario. Es ist Zwar in dem 4.ten Puncten der nächst vorher copialiter eingetragenem Zwischen beeden nun Zertrenneten Ehepersohnen errichteter Eheberedung dee Verordnung enthalten, daß deroselben beederseithige Illata bald nach vollzogener Copulation Ordnungsmäßig inventirt werden sollen, deßen aber ohngeachtet ist sothane Inventur unterlaßen worden (…)
Eigenthum ane einer Behaußung. (W.) Nämlich Eine behaußung und Hoffstatt mit allen deroselben begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg ane der Vorstadt Krautenau, ohnfern dem Waÿsenhauß beÿm Narrenbronnen, einseit neben Hn. Joh: Philipp Greiner dem Tabackbereiter anderseit neben Weil. Hn. Rathh. Jacob Dürninger seel. Erben hinten auf N. Petrus, den Cafféesieder stoßend, davon gibt man jährlich auf Joh. Bapt: dem Ordens: Haus St Johann allhier 11. ß 8. d. ane bodenzinß, und 5 ß statt eines Kappens, sonsten aber und außer denen darauf haftenden und hernach passivé eingetragenen Capitalien, ist dieselbe gegen Männiglichen freÿ leedig, eigen, und wird dermalen, nach Zuvor beÿ denen Wohlverordneten Herren Dreÿ Löbl. Stadt Stalls gehorsamst angesucht: und gütigst erhaltener Erlaubnus um den nämlichen Preiß, wie solche in A° 1778. beÿ Weil Joh: Peter Schmutz, des ältern geweßenen Fischers und burgers alhier des dißortigen Wittibers Vaters seel. Verlaßenschaft: Inventur Geschäft durch den Hn Bau: Inspectorem und die verordnete Werckmeister, gewürdiget worden, hier in Anschlag gebracht, nämlich um 250. lb. Wird nun hievon abgezogen vorhergemelten bodenzinßes doppelter Capital Betrag mit 33. lb 6 ß 8. So verbleibet ane solchem Anschlag hier auszuwerfen annoch übrig 216. 13. 4. Hierüber besagt und ist vorhanden eine deutsche pergamente vor Hn Not° Joh: Daniel Schweighäußer am 16. Februarii 1782. errichtete, und am 18.t Martii dicti anni in allhiesiger C. C. Stub behörig enregistrirte Erbs: Cession, weißend, wie ihme ermelte behaußung von seinen Geschwisterden beÿ Väterlicher Verlaßenschaffts Erörterung in Erbs weiße cedirt und abgetretten worden.
Series Rubricarum Hujus Inventarii. Des hinterbliebenen Wittibers unverändert Vermögen, Sa. Schif und Geschirrs zum Fischer: handwerck gehörig 6, Sa. Silbers 1, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 216, Summa summarum 224 lb – Schulden 495 lb, Passiv onus 271 lb
Dießemnach so wied auch der Erben unveränderte Vermögenschaft beschrieben, Sa. Kleÿdung und weißen Gezeugs 1, Sa. Schulden 25, Sa. der Ergäntzung 75, Summa summarum 101 lb
Endlichen so wird auch die gemein und theilbare Verlaßenschafft beschrieben, Sa. Haußraths 11, Sa. Pfenningzinß hauptgüths 269, Summa summarum 331 lb – Schulden 240 lb Nach deren Abzug 90 lb
Endliches passiv onus loco der Stall Summæ
Jean Samuel Schmutz se remarie en 1786 avec Marie Salomé Geickes, fille du garçon batelier Nicolas Geickes : contrat de mariage, célébration
1786 (23.2), Not. Schweighaeuser (6 E 41, 567)
Eheberedung – persönlich erschienen seÿe Meister Johann Samuel Schmutz, Wittiber, Fischer und burger allhier zu Straßburg, als Bräutigam, beiständlichen herrn Johann Jacob Unsinn des Schneiders und auch Burgers allhier ane Einem
Und Jungfrau Maria Salome Geickesin, weiland Meister Niclaus Geickes, des gewesenen Schifknechts und ebenfalls Burgers hieselbsten, mit auch weiland Fraun Maria Eva gebohrener Hummelin ehelich erzeugte nach todt hinterlaßene major. Tochter, als Braut mit beÿstand ihres annoch ohnentledigten Vogts, Mstr Johann Diebold Hummel, des hiesigen burgers und Schifknechts, ane dem andern Theil
Straßburg auf Donnerstag den 23. Februarii im Jahr 1786 [unterzeichnet] Joh: Samuel Schmutz des Hochzeiters Handzeichen +, Maria Salome Geickesein Als braut
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 189 n° 4)
In dem Jahr 1786, Dominica Quinquag. und Sexag. als den 26. Februarÿ und 5. Martÿ sind in unserer Kirche Zu St. Wilhelm Ordnungsmäßig ausgerufen, und Montag den 6. ejusdem ehelich eingesegnet worden Johann Samuel Schmutz, verwittibter burger und fischer allhier, so zuvor in der Ehe gelebet mit weÿl. Margaretha Felßin, und Jungfer Maria Salome Geigesin, weÿl. Johann Niclaus Geiges, gewesenen Schiff Knechts und burgers allhier, nachgelaßene eheliche tochter [unterzeichnet] + So Zeichnet der Hochzeiter, Maria Salome Geickesin Als Hoch Zeitrin (i 192)
Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Jean Samuel Schmutz, à se remarier avant la fin de son deuil.
1786, Conseillers et XXI (1 R 269)
(p. 50) Sambstag den 25. Februar 1786. – Joh. Sam. Schmutz erhält Erlaubnis während der Trauerzeit Zu heirathen
Osterrieth nôe Johann Samuel Schmutz des hiesigen b. Fischers pord. uterth. Memoriale j.to pet° samt beil. sut lit. A. pt° Erlaubnis in der Trauerzeit Zu heirathen. Erkanndt, Wird Implorant in seinem Begehren willfahrt, demnach demselben erlaubt des trauerjahrs sich in anderwartige Ehe zu begeben, jn[-] seÿe derselbe gehalten 15 schilling in das Allmusen zu erlegen. Depp. H. Rathh. Richshoffen H. Rathh. H[-]
[in margine :] die fünffzehn Schilling für das Allmosen bezogen d. 4. Mart. 1786. Guerin
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari. Ceux du mari s’élèvent à 318 livres, ceux de la femme à 306 livres.
1787 (26.1.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 562) f° 441
Inventarium über Meister Johann Samuel Schmutz, des fischers und fraun Mariæ Salome gebohrener Geickesin, beider Ehepersohnen und Burgere allhier Zu Straßburg einander für unverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1787. – und sich in der vor mir unterschriebenem Notario den 23.ten February 1786. errichteter Eheberedung §° 3.tio für eigen und unverändert reservirt haben (…) So geschehen in einer allhier Zu Straßburg ohnfern dem Waisenhaus beim Narten: Bronnen gelegenen dem Ehemann eigenthümlichen zuständiger- und hernach mit mehrerem beschriebenen behaußung, in Beisein Johann Diebold Hummel, des hießigen Burgers und Schiffknechts der Ehefraun annoch ohnentledigtenen Vogts und hierzu erbettenen Beistands auf Freÿtag den 26.ten Jänner 1787.
Eigenthum ane einer behausung. (M.) Nämlichen eine behaußung und Hofstatt mit allen deroselben Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau, ohnfern dem Waisenhaus beim Narren-Bronnen, einseit neben Herrn Johann Philipp Greiner, dem Tabackbereiter, anderseit neben weiland Herrn Rathherrn Jacob Dürninger seeligen Erben, hinten auf N. Peteres, den Cafesieder stoßend, davon gibt man jährlich auf Johannis Baptistæ, dem Ordens: Haus St Johann allh. 11. ß 8. d. ane bodenzinß, und fünf Schilling statt eines Kappens, sonsten aber und auser denen darauf haftenden und hernacher passivé eingetragenen Capitalien, ist dieselbe gegen Männiglichen frei, leedig, eigen, und wird hier ohnpræjudicirlichen æstimirt, wie solche der dißortige Ehemann A° 1782. bei Väterl. Verlaßenschafft-Erörterung in ohnverändertem Erb angenommen hat, pro 555. lb. Hierüber besagt und ist vorhanden eine teutsche pergamente vor mir dem unterschriebenem Notario am 16. February 1782. errichtete, und am 18.ten Marty daraufhien in allhiesiger C. C. Stub behörig enregistrirte Erbs-Cession, weißend, wie Ihme ermeldte Behaußung von seinen Geschwüsterden bei Väterlicher Verlaßenschaffts Erörterung in Erbs weiße cedirt und abgetretten worden.
Series rubricarum hujus Inventary. Des Ehemanns eingebrachtes Guths, Sa. Hausraths 60, Sa. Garne wie auch Schif und Geschirr zum fischerhandwerck gehörig 89, Sa. Silber-geschmeids 3, Sa. Pfenning-Zinß hauptguths 50, Sa. des Eigenthums ane einer behausung 555, Summa summarum 757 – Schulden 450, Nach deren Abzug 307 lb – Hierzu die Hälfte ane denen haussteuren 10 lb, des Ehemanns vermögen 318 lb
Solchemnach wird auch der Ehefraun in den Ehestand Zugebracht Guth beschrieben, Sa. hausraths 220, Sa. Silber und dergleichen Geschmeids 15, Sa. der baarschafft 13, Sa. der Schulden 47, Summa summarum 296 lb – darzu gerechnet die deroselben gebührige Hälfte ane denen haussteuren 10 lb, der Ehefraun vermög. 306 lb
Jean Samuel Schmutz meurt en 1831 en délaissant trois enfants ou leurs représentants
1831 (7.11.), Frédéric Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire de la succession de Jean Samuel Schmutz, pêcheur à Strasbourg, décédé père et grand père de ses héritiers ci après dénommés, demeurant et décédé à Strasbourg 30 octobre dernier. Dressé à la requête 1° de Madeleine Schmutz femme d’Adam Cordier, boucher à Neufstatt, Bavière Rhénane agissant par son mandataire, 2° Jonathan Knecht, jardinier à Strasbourg, comme représentant Dorothée Schmutz femme de Jean Daniel Knecht jardinier audit lieu, 3° Caroline Schmutz et les trois enfants mineurs de feu Christophe Samuel Schmutz agissant par Marie Dorothée Lorentz leur mère
meubles et effets 104 fr, créances actives résultant de titres relatés 1541 fr, argent comptant 158 fr – dettes passives 94 fr
acp 206 (3 Q 29 921) f° 126-v f° 126-v du 14.11.
Liquidation de la succession
1831 (19.11.), Frédéric Grimmer (minutes en déficit)
Liquidation et partage de la succession de Jean Samuel Schmutz, pêcheur décédé à Strasbourg le 30 octobre dernier, père et aïeul de ses héritiers requérans qui sont ci après dénommés, demeurant et décédé à Strasbourg. Dressé à la requête 1° de Madeleine Schmutz femme d’Adam Cordier, boucher à Neustatt, Bavière Rhénane, 2° Jonathan Knecht, jardinier à Strasbourg, fils de Dorothée Schmutz femme de Jean Daniel Knecht, 3° Dorothée Schmutz, Caroline Schmutz, majeurs, Samuel, Philippine, Frédéric, mineurs, tous enfants de feu Christophe Samuel Schmutz et de sa veuve Marie Dorothée Lorentz leur mère, agissant ici pour les trois derniers
Actif, meubles et effets que les héritiers ont partagé en nature 104 fr, créances actives 1241 fr et intérêts 49,
maison donnée hors part à Christophe Samuel Schmutz fils (décédé depuis) par acte devant le notaire ci-dessus désigné du 18 décembre 1827 (rue du renard prêchant N° 67) 3000 francs, loyers échus de cette maison jusqu’au jour du décès 25, total 4435
plus la créances ci-dessus de 300 f. qui concerne Jean Bonert cordonnier à Strasbourg – dettes passives 209 fr, à partager 4226
à déduire ce à quoi avait droit ledit fils défunt comme portion disponible 1056, reste 3169 francs dont le tiers revenant à chacun des héritiers (ou souche) 1056 (…)
acp 206 (3 Q 29 921) f° 169 du 25.11.
Jean Samuel Schmutz vend la maison à son fils Jean Christophe Schmutz
1827 (18.12.), Frédéric Grimmer (minutes en déficit)
Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 207, n° 53 du 4.1.1828
Donation entre vifs – Jean Samuel Schmutz père, ancien pêcheur domicilié en la maison ci après désignée
à Jean Christophe Schmutz son fils domicilié à Strasbourg
une maison avec cour, divers bâtiments, appartenances et dépendances située à Strasbourg à la Krutenau près de l’hôpital des orphelins et du Narrenbronnen, d’un côté les héritiers de Georges Schneider de l’autre le Sr Schoettel, derrière le Sr Hammel – Titres de propriété, acquis par contrat passe devant M° Schweighaeusser le 16 février 1782 – passé en la demeure du Sr Schmutz père Faubourg de la Krutenau n° 67, estimée à un revenu de 75 fr ou un capital de 1500 fr
Enregistrement, acp 187 F° 49-v du 21.12.
Le pêcheur Jean Christophe Schmutz épouse en 1807 Dorothée Lorentz, fille du tailleur Guillaume Lorentz
1807 (28.8.), Strasbourg 3 (40), Not. Übersaal n° 534, 3993
Contrat de mariage – Cit. Jean Christophe Samuel Schmutz, pêcheur, fils majeur du C. Samuel Schmutz pêcheur avec feue Marguerite Fels
Dlle Dorothée Lorentz, fille du C. Guillaume Lorentz, tailleur d’habits domicilié à Anwiler procréé avec Anne Marie Kremer
Enregistrement, acp 103 F° 106-v du 29.8.
Les héritiers de Jean Christophe Samuel Schmutz (voir l’origine de la propriété relatée à la vente ci-dessous) exposent la maison aux enchères puis l’en retirent
1856 (26.6.), Frédéric Grimmer (minutes en déficit)
26 juin 1856. Cahier des charges pour parvenir à la vente d’une maison sise à Strasbourg rue du renard prêchant N° 67, dressé à la requête de Frédéric Samuel Schmutz, cordier à Strasbourg
acp 451 (3 Q 30 166) f° 64 du 28.6.
acp 452 (3 Q 30 167) f° 67-v du 12.8. – le 26 juin 1856 – Retrait d’enchères
Jean Frédéric Schmutz et Madeleine Amélie Lefèvre cèdent leurs parts de maison à leurs cohéritiers Jean Frédéric Samuel Schmutz, Caroline Schmutz femme de Jacques Hegwein et Sophie Schmutz
1858 (29.3.), Frédéric Grimmer (minutes en déficit)
Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 724 (2867) n° 83
Le 11 mars 1858 – Pardevant M° Georges Louis Frédéric Grimmer assisté de et son collègue notaires à la résidence de Strasbourg soussignés ont comparu Le sieur Jean Frédéric Schmutz, serrurier et dame Madeleine Amélie Lefèvre, son épouse qu’il autorise demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels ont déclaré vendre sous la garantie solidaire de tous troubles et évictions
à 1° sieur Jean Frédéric Samuel Schmutz, cordier, 2° dame Caroline Schmutz femme duement assistée et autorisée du sieur Jacques Hegwein commissionnaire, 3° Demoiselle Sophie Schmutz, majeure d’an tous demeurant et domiciliés à Strasbourg, acquéreurs ici présents et ce acceptant chacun pour un tiers
La part du vendeur ou un quart par indivis de l’immeuble ci-après désigné dont les trois autres quart appartiennent déjà aux trois acquéreurs savoir Une maison avec bâtiment de devant et derrière fourneau muré petite cour puits aisances et dépendances située à Strasbourg quartier de la Krutenau rue du Renard prêchant N° 67, au lieu autrefois appelé près de l’hospice des orphelins et du Narrenbronnen d’un côté le sieur Roux lieutenant d’Etat major de l’autre le sieur Mayschoen baquetier par derrière la propriété du sieur Zugmeyer. Tel et dans l’état où cet immeuble se trouve (…) à l’exception d’un chaudron à lessive lequel appartient à l’acquéreur sieur Samuel Schmutz seul
Etablissement de la propriété. La maison sus désignée dépendait de la succession du sieur Jean Christophe Samuel Schmutz vivant pêcheur en cette ville, elle est restée indivise entre ses enfants et seuls et uniques héritiers pour la nue propriété chacun pour un 7°, le vendeur les trois acquéreurs et leurs trois frères et sœurs germains Daniel Schmutz, Philippine Schmutz et Dorothée Schmutz, les trois derniers étant décédés depuis à quelque temps d’intervalle en délaissant pour seuls et uniques héritiers leurs quatre frères et sœurs, ces derniers sont devenus co propriétaires du dit immeuble chacun pour un quart, quant à l’usufruit ils l’ont réuni à la nue propriété par suite du décès de feu leur mère dame Marie Dorothée Lorentz veuve Schmutz qui y avait droit en vertu de son contrat de mariage.
Ledit sieur Jean Christophe Samuel Schmutz père était devenu propriétaire de cette même maison par suite de la donation entre vifs sous réserve d’usufruit que lui avait faite son père sieur Jean Samuel Schmutz en son vivant ancien pêcheur à Strasbourg suivant acte passé devant M° Grimmer l’un des notaires soussignés le 18 décembre 1827 transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 4 janvier suivant volume 207 numéro 53. L’usufruit réservé dans cet acte s’est éteint par le décès du donateur le 30 octobre 1831.
Situation hypothécaire (…). Assurance de la Maison (…). Charges, clauses et conditions (…) Prix. 1150 francs (…)
acp 467 (3 Q 30 182) f° 72 du 13.3.
Le cordier Jean Frédéric Samuel Schmutz rachète les part de la maison dont il devient eul propriétaire
1863 (19.6.), Frédéric Grimmer (minutes en déficit)
Licitation – 1) Caroline Schmutz femme Jacques Hegwein, commissionnaire, 2) Sophie Schmutz majeure à Strasbourg
à Jean Frédéric Samuel Schmutz, cordier à Strasbourg
deux tiers d’une maison sise à Strasbourg rue du Renard prêchant n° 65, moyennant 3333,33 francs
Origine, héritage de leur père et mère
Intervention de Sophie Lorentz célibataire à Mundolsheim, laquelle déclare avoir reçu de l’acquéreur la somme de 1000 francs due suivant acte reçu Grimmer le 17 mars 1832.
acp 523 (3 Q 30 238) f° 4-v du 22.6.
Frédéric Samuel Schmutz épouse en 1840 Marie Catherine Schott, fille du cordier André Schott
Mariage, Strasbourg (n° 456) Du 21° jour du mois de novembre 1840 à dix heures du matin, Acte de: mariage de Frédéric Samuel Schmutz, majeur, né en légitime mariage le 9 avril 1812 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Pêcheur, fils de feu Samuel Schmutz, pêcheur décédé en cette ville le 8 juin 1830 et de Dorothée Lorentz, domiciliéé en cette ville, ci présente et consentante
et Marie Catherine Schott, mineure d’ans, née en légitime mariage le 10 novembre 1820 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de André Schott, cordnier et de Marie Catherine Eckhoff, conjoints domiciliés en cette ville, ci présents et consentants (i 17)
Marie Catherine Schott meurt et 1851 en délaissant un fils
1851 (13.11.), Frédéric Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire biens & dépendant de la succession de Marie Catherine Schott femme de Frédéric Samuel Schmutz, cordier à Strasbourg, décédée le 8 septembre 1851 et de la communauté légale qui a existé entre eux – à la requête du veuf agissant tant enseigne à cause de cette communauté que comme père et tuteur de son fils mineur Albert Samuel Schmutz
acp 404 (3 Q 30 119) f° 93-v du 15.11. (succession déclarée le 17 février 1851 n° 871) Mobilier estimé 605, garde robe 174
Marie Dorothée Schott meur de phtisie en 1851 dans la maison 14, rue du Maroquin
Décès, Strasbourg (n° 1674) Acte de décès. Le 9 septembre 1851 (…) ont comparu Frédéric Samuel Schmutz, âgé de 39 ans, cordier, Epoux de la défunte, domicilié à Strasbourg, et Joseph Stritt, tanneur, voisine de la défunte, domicilié à Strasbourg
Lesquels nous ont déclaré que Marie Catherine Schott, âgée de 30 ans, née à Strasbourg Epouse de Frédéric Samuel Schmutz, cordier, domicilié à Strasbourg fille d’André Schott, cordier, et de Marie Catherine Eckhoff, est décédée le 8 septembre 1851 à onze heures du soir en la maison rue du maroquin N° 14 [in margine :] Phtisie (i 18)
Jean Frédéric Samuel Schmutz se remarie en 1855 avec Sophie Magnus, fille du boucher Frédéric Magnus
1855 (7.2.), Frédéric Grimmer (minutes en déficit)
Contrat de mariage – Jean Frédéric Samuel Schmutz, cordier à Strasbourg, veuf avec un enfant de Marie Catherine Schott d’une part
et Sophie Magnus, célibataire à Strasbourg, fille de feu Frédéric Magnus, boucher et de Salomé Roederer
acp 437 (3 Q 30 152) f° 30-v du 8.2. stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, réserve d’apports et d’héritages
Donation par le Sr Magnus à la future épouse sa fille, ce acceptant, d’un mobilier estimé 1500, argent comptant 1000, total 2500 francs
Les apports du futur époux ont constatés par Inventaire reçu Grimmer le 13 novembre 1851
Donation par le futur à la future d’une part d’enfant en propriété de toue sa succession, en cas de décès de l’enfant du premier mariage elle aura encore l’usufruit de toute la succession
Donation par la future épouse au futur époux de l’usufruit viager de toute sa succession, réductible à moitié en cas d’enfant. Le survivant aura en outre l’usufruit des biens de la communauté
1858 (1.2.), Frédéric Grimmer (minutes en déficit)
Révocation par Sophie Magnus femme de Jean Frédéric Samuel Schmutz, cordier à Strasbourg de son testament reçu Grimmer le 9 janvier 1856
acp 466 (3 Q 30 181) f° 66 du 2.2.
Liquidation de la communauté entre Frédéric Samuel Schmutz et Marie Catherine Schott
1862 (14.4.), Frédéric Grimmer (minutes en déficit)
Liquidation et partage de la communauté de biens qui a existé entre Frédéric Samuel Schmutz cordier à Strasbourg et Marie Catherine Schott sa femme et de la succession de cette dernière décédée le 8 septembre 1851.
Entre 1) le veuf comme commun en biens à défaut de contrat de mariage, 2) Samuel Schmutz fils, cordier à Strasbourg fils de la défunte
acp 509 (3 Q 30 224) f° 80 du 16.4. – Communauté, Mobilier estimé à 605, passif 32, reste 566, la moitié 283
Succession, Mobilier 383, garde robe 174, total 457 – Passif 26, reste 431
Abandonnements (…)
Jean Frédéric Samuel Schmutz meurt en 1894 au lieu dit Heyritz en délaissant une fille de la veuve. Le fils en premières noces est mort célibataire majeur sans postérité.
1894 (26.1.), Strasbourg 4 (199) Charles Lauterbach n° 17.004
26. Januar 1894 – Inventar über den Nachlass von H. Johann Friderich Samuel Schmutz, Rentner, gestorben in der Bannweiler von Strassburg, Ort Heiritz N° 9 den 19. Januar 1894.
auf Anstehen von 1. Fr. Sophie Magnus, ohne Gewerbe, Wittwe von H. Johann Friderich Samuel Schmutz, Rentner, gestorben in der Bannweile von Strassburg, Ort Heiritz N° 9, Handelnd eigenen Namens a) wegen der auf die Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaft, welche zwischen ihr und ihrem genannten Ehemann auf Grund ihres durch Notar Grimmer zu Straßburg vom 7. Februarÿ 1855 errichteten Ehevertrages bestanden hat und welche theilbar bedungen wurde, in zwei Hälfte, die eine für den Ueberlebenden und die andere für die Erben des Vorverstorbenen, mit der Maßgabe jedoch noch, daß die dem Nachlass des Zuerst verstorbenen zufallenden Hälfte, dem Ueberlebenden zur lebenslänglichen Nutznießung gehören wird, b) in ihrer Eigenschaft als Schenknehmerin ihres genannten Ehemanns, auf Grund des erwähnten Ehevertrages, der Nutznießung der Hälfte seines Vermögensnachlasses
2. Fr. Sophie Emma Schmutz, ohne Gewerbe hierzu ermächtigte & verbeistandete Ehefrau des H. Gustav Magnus, Pasteten- und Zuckerbäcker, mit welchem sie in Nanzig wohnhaft ist, Frau Magnus einzig und allein erbberechtigt am Nachlass ihres Vaters
Erkärungen. Die Wittwe erklärt. Ihr Ehemann sei in erster Ehe verheirathet gewesen mit Fr. Maria Catharina Schott, welche im Jahre 1851 gestorben ist. Aus dieser Ehe war ein Kind vorhanden, nämlich Albert Samuel Schmutz. Derselbe ist gestorben großjährig, vermögenslos im Jahre 1862. H Schmutz verheirathete sich hierauf mit seiner jetzigen Wittwe, aus welcher Ehe Frau Magnus hervorgegangen ist.
Analyse des Ehevertrages (…) – Alter der Wittwe. Wittwe Schmutz ist geboren den 11. August 1825 und war folglich beim Ableben ihres Ehemann 68 Jahr alt
acp 882 (3 Q 30 597) f° 88-v n° 4894 du 1.2. (Tab. vom 19.2.94, 208/643) Gemeinschafft, Mobilien 341, Kleider des Nachlasses 126, Sparkassenguthaben 817
13 Pfandbriefe der Bodenkreditbank 6727, Zinsen 12, zusammen 6741
2 Communalobligationen derselben Bank 1001 – Pacht zinsen 15
Haus auf dem Heyritz N° 9, F 112, 115.p, 116, 116, 575, Fläche 22,95 Aren Gewann Vorderheyritz
Ersatzforderung der Wittwe 26.483, Ersatzforderung des Nachlasses für das Rückbringen der Erben laut Ehevertrag Pierron am 15. Oktober 1885, 1600, Ersatzforderung durch die Wittwe 1474
acp 882 (3 Q 30 597) f° 89 du 1.2. Lauterbach 26.1. Theilung
Jean Frédéric Samuel Schmutz et Sophie Magnus vendent la maison à l’épicière Marie Schurr, veuve du brasseur Guillaume Weitmann, de Gmünd en Wurtemberg. L’acquéreuse déclare être mère de huit enfants mais que la tutelle n’emporte pas hypothèque légale suivant les coutumes de Gmünd.
1873 (30.8.), Strasbourg 9 (136), Geoffroi Becker n° 13.264
Du 30 août 1873. Vente – Ont comparu Jean Frédéric Samuel Schmutz, ancien cordier et Dame Sophie Magnus, son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes, demeurant ensemble au lieu dit Heyritz, hors la porte de l’hôpital de Strasbourg, banlieue de cette ville, autrefois à Strasbourg même, lesquels ont par les présentes vendu, cédé et abandonné sous la garantie solidaire (…)
à Dame Marie Schurr, épicière demeurant à Strasbourg, veuve du sieur Guillaume Weitmann, en son vivant brasseur à Gmünd (Wurtenberg), ladite Dame à ce présente et acceptant
Désignation. Une maison avec bâtiment de devant et de derrière, petite cour, puits, droits, appartenances et dépendances, située à Strasbourg rue du Renatd Prêchant N° 8 (autrefois N° 67) au lieu appelé près de l’hospice des Orphelins et du Narrenbronnen, tenant d’un côté à M. Roux de l’autre au sieur Mayschoen et par derrière au Sr Dietz autrefois au Sr Zugmeyer. Dans cette vente sont compris quatre poëles en fonte avec tuyaux et pierre, un poële en fayence aussi avec tuyaux et pierre, une pression à bière, deux bois de lit, deux couchettes en fer, quatre matelas (…)
Etablissement de propriété. Au sujet de l’origine de la propriété dudit immeuble, les vendeurs ont fait les déclarations suivantes. Cette maison appartenait en propre à M. Schmutz comparant ainsi qu’il va être expliqué. Elle dépendait de la succession du sieur Jean Christophe Samuel Schmutz en son vivant pêcheur à Strasbourg qui y est décédé en laissant pour seuls et uniques héritiers, chacun pour un 7° ses sept enfants qui étaient 1) le Sieur Schmutz comparant, 2) D° Caroline Schmutz épouse du sieur Jacques Hegwein commissionnaire avec lequel elle demeurait à Strasbourg, 3) Delle SophieSchmutz, demeurant en la même ville, 4) le sieur Jean Frédéric Schmutz, serrurier, 5) Daniel Schmutz, 6) Philippine Schmutz, 7) Dorothée Schmutz, étant observé qie les sept enfants Schmutz n’ont recueilli dans la succession de leur père que la nue propriété dudit immeuble, l’usufruit viager en ayant appartenu à D° Marie Dorothée Lorentz, veuve du sieur Schmutz père. Lesdits sieur Daniel Schmutz, Dlle Philippine Schmutz et Dlle Dorothée Schmutz sont successivement décédés, savoir le sieur Daniel Schmutz le 27 décembre 1834, la Delle Philippine Schmutz le 23 août 1848 et la Delle Dorothée Schmutz le 9 janvier 1851 en laissant pour seuls et uniques héritiers leurs frères et sœurs survivants susnommés pour une partie et ladite Dame Schmutz née Lorentz leur mère pour le surplus, laquelle est décédée à son tour le 5 septembre 1854, de sorte que l’usufruit qui lui appartenait a pris fin et que les dits sieur Schmutz comparant, D° Hegwein, Delle Sophie Schmutz et Sr Jean Frédéric Schmutz se sont trouvés seuls propriétaires chacun pour un quart de l’immeuble en question.
Suivant contrat passé devant M° Grimmer notaire à Strasbourg le 11 mars 1858, transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 29 du même mois, volume 724 N° 83 avec inscription d’office du même jour, volume 711 N° 43, ledit sieur Jean Frédéric Schmutz a vendu le quart qui lui appartenait dans l’immeuble susdésigné à ses trois frères et sœurs, les sieur Schmutz comparant, D° Hegwein et Delle Sophie Schmutz qui sont en conséquence devenus seuls propriétaires chacun pour un tiers du même immeuble. Cette vente a eu lieu moyennant le prix de 1150 francs (…). Aux termes d’un autre contrat passé devant ledit M° Grimmer le 19 juin 1863, M. Schmutz comparant a acquis de ses deux sœurs, lesdits D° Hegwein et Delle Sophie Schmutz les deux tiers qui appartenaient à celles-ci par indivis dans ledit immeuble. Le prix de cette acquisition était de 4000 francs (…) Quant à l’établissement antérieur de la propriété de cette maison le contrat de vente susmentionné du 11 mars 1858 contient les renseignements que voici.
Ledit sieur Schmutz père était devenu propriétaire du même immeuble par suite de la donation entre vifs sous réserve d’usufruit que lui avait faite son père sieur Jean Samuel Schmutz, en son vivant ancien pêcheur à Strasbourg, suivant acte passé devant le dit M° Grimmer le 18 décembre 1827 transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 4 janvier suivant volume 207 numéro 53. L’usufruit dont il vient d’être question s’est éteint par le décès du donateur le 30 octobre 1831.
Entrée en jouissance (…) Charges et conditions (…) Prix, 23.000 francs
Affectation hypothécaire. Pour augmenter les sûretés des époux Schmutz comparans, la D° Weitmann oblige, affecte et hypothèque à leur profit, ce qui est accepté par eux, à la garantie desdits 10.500 francs et de ses accessoires l’immeuble ci après désigné, savoir
Une maison avec droits, appartenances et dépendances, située à Strasbourg, formant le coin de la place de la Grande Boucherie où elle est marquée du N° 9 et de l’impasse de la Grande Boucherie où elle est marquée du N° 2 (…)
La D° Weitmann déclare en outre Qu’elle n’a jamais contracté d’autre mariage que celui qui l’unissait à son mari défunt (…) Qu’elle est, il est vrai, tutrice légale de ses huit enfants encore mineurs issus de son mariage avec feu ledit sieur Weitmann qui sont 1) Marie Weitmann, 2) Albertine Weitmann, 3) Wilhelmine Weitmann, 4) Mathilde Weitmann, 5) Guillaume Weitmann, 6) Charles Weitmann, 7) Josephine Weitmann, 8) et Jeanne Weitmann mais qu’elle ne leur doit rien et qu’au surplus cette tutelle n’entraîne pas d’hypothèque légale d’après la loi en vigueur à Gmünd (Wurtemberg) où elle s’est ouverte ainsi que le D° Weitmann l’affirme, ce dont les époux Schmutz comparants déclarent se contenter.
acp 619 (3 Q 30 334) f° 100 du 1.9.
Marie Schurr est locataire de la maison en 1873-1874 mais ne l’habite pas une fois qu’elle l’a achetée. Elle est emprisonnée le 21 juillet 1776, ses enfants placés à l’orphelinat
Registre domiciliaire (601 MW 486)
Weitmann geb. Schurr Wwe.
Weitmann geb. Schurr Marie 8/4.29, Gmünd, Jaxtkreis, (Religion) Ev.
Kinder, Maria Josepha 11/11.53, Gmünd
Albertine Katharina 16/11.57, id.
Wilhelmine Josephine 25/10.58, id.
Mathilde Therese 14/3.60, id.
Wilhelm Adolph 16/10.63, id.
Karl Gustav 5/10.65, id.
Josephine Antoinette 30/4.69, id.
– Wohnungsverhältnis
fremd von Gmünd
12.2.73 Großmetzplatz 9, E
3.10.73 Fuchspredigtgasse N. 8, Mthr
13.5.74 Küfergaße 23, Mthr
30.3.75 Nicolausstaden 24, Mthr
14.7.75 Kageneckergasse 11, Mthr
4.10.75 Kleine Renngasse 19, Mthr
27.12.75 Spitalstraße 10, Mthr VI Rev.
21.7.76 Frau Gefängnis, Kinder Waisenhaus
Marie Schurr vend en 1876 la maison à l’aubergiste Dominique Glaudy
1876 (18.1.), Charles Victor Holtzapffel
Maria Schurr Wittwe von Wilhelm Weitmann zu Strassburg
an Dominicus Glaudy, Wirth zu Strassburg
von einem Hause, gelegen zu Straßburg, wo der Fuchs den Enten Predigt N° 8, beim Narrenbronnen, mitgebriffen die Oefen, einen Pression, Tische und Stühle, für 2560 Mark, wovon 627 Mark bezahlt
Steuren vom 1. Januar 1976. Erwerbstitel Kauf Becker den 30. August 1873.
acp 647 (3 Q 30 362) f° 61-v n° 262 du 18.1.
Originaire de Neuf-Brisach, le tailleur Dominique Glaudy épouse en 1837 Louise Hochrieth, fille du chargeur Ignace Hochrieth, de dix ans son aînée.
Mariage, Strasbourg (n° 92)
Du 27° jour du mois de Mars 1837. Acte de mariage de Dominique Glaudy, Majeur d’ans, né en légitime mariage le 11 juillet 1813 à Neuf Brisach (haut-Rhin), domicilié à Strasbourg, Tailleur, fils de feu Xavier Glaudy, Tailleur décédé à Neuf Brisach le 3 décembre 1826 et de feu Madeleine Franck,
et de Louise Hochrieth, majeure d’ans, née en légitime mariage le 7 Fructidor an Dix domiciliée à Strasbourg, fille de feu Ignace Hochrieth, Chargeur décédé en cette ville le 27 octobre 1816 et de feu Thérèse Schneider décédée en cette ville le 26 mars 1829 (signé) Glaudi, L’épouse a dit ne savoir signer (i 13)
Dominique Glaudy hypothèque la maison au profit de l’entrepreneur Jacques Klein l’aîné pour solde de compte (voir les travaux mentionnée à la Police du Bâtiment).
1877 (17.5.), Strasbourg 4 (147), Charles Lauterbach n° 3973
Vom 17.ten Mai 1877. Obligation – Erschienen Herr Dominikus Glaudy, Spezereihändler zu Straßburg wohnhaft, derselbe erklärt hiermit aufrichtig und rechticher Weise schuldig geworden zu sein
An den Herrn Jacob Klein, Vater, Bauunternehmer, zu Strassburg wohnhaft, für welchen sein Sohn der daselbst wohnende Bauunternehmer Herr Jacob Klein zugegen ist und acceptirt, dir Hauptsumme von 2800 Mark, herrührend von einem zwischen den Parteien festgesetzten Rechnungssaldo
Verpfändung. Ein Wohnhaus mit Vorder- und Hintergebäuden, Hof, Brunnen, Rechten und Zubehörden, gelegen Zu Straßburg wo der Fuchs den Enten Predigt N° 8 am Ort genannt Waisenspital und Narrenbronnen, einsersits H. Rousi, anderseits H. Maischon, hinten Herr Dietz.
Erworben von Marie Schurr, Wittwe von Wilhelm Weitmann zu Straßburg laut Akt des Notars Holtzapffel dahier vom 18. Januar 1876, mittelst seines Preises von 12.560 Mark, worauf 627 Mark baar bezahlt und der Rest (…) heute noch an die angewiesenen Gläubiger geschuldet wird.
Dominique Glaudy fait deux testaments. Il lègue par le deuxième la maison à ses petits-enfants
1877 (10.10.), Gustave Edouard Loew
Hinterlegungsurkunde, betreffend zwei Testamente des Dominicus Glaudy, Eigenthümer in Straßburg vom 14. September 1877 und 17. Mai 1877, † am 24. September 1877
acp 670 (3 Q 30 385) f° 30 n° 3540 du 17.10.
Enregistrement de Strasbourg, ssp 174 (3 Q 31 673) f° 1-v du 17.10.
(n° 6472) 12 Dezember 1874. Testament durch Dominique Glaudy in Straßburg wohnhaft seiner Enkelin Marie Georgette Glaudy seine Haushalterin nebst einen Porzellan Ofen geschenkt hat
Testator ist am 24. September 1877 gestorben. Hinterlegt bei Notar Low laut Urkunde vom 10. octob. alhier heute registrirt
(n° 6473) 17 Mai 1877. Testament durch obgenannter Dominique Glaudy seinen Enkeln Albert und Lucien Glaudy und Georgette Glaudy das Haus in der Gasse wo der Fuchs den Enten predigt N° 8 geschebkt hat, sowie eine jährliche Rente von 800 Mark zahlbar durch seinen Sohn Dominique Glaudy
Registre de population, 600 MW 353 (1850 sqq)
Glaudy, Dominique, Neufrisach, 13, h.m., (p)ortier / tailleur / Epicier, cath. français, (à Str. depuis) 32
id. née Hochrith, Louise, Strasbg. 03, f.m., sa femme, cath. française, (à Str. depuis) s.n.
id. Ignace Dominique, Strasbg. 31. juillet 42, g., son fils (commis négt), cath. français, (à Str. depuis) s/n/
id. Louise, Neubrisack 1815, f., sans état, cath. française, (à Str. depuis) 8. fev. 1858
Place St. Etienne 7 (délogé) 25 mars 1858
rue Ste Elisabeth 27 / 14 (délogé) 25 mars 1865
Rue St. Louis 20
Dominique Glaudy fils loue au nom de ses enfants la maison à Eugène Fahy et à sa femme Marie
1880 (24.7.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 183 (3 Q 31 682) f° 82 n° 684 (Pierron)
15. Mai 1878. Miethvertrag. Ich unterzeichneter Vormund der Kinder und Erben des verstorbenen Herrn D. Glaudy, Großvater derselben
vermiethe den zu Straßburg wohnhaften Eheleuten Fahy
ein Wohnhaus von zwei Stockwerken und Dachzimmers nebst Hinterhaus und Dependenzien gelegen zu Straßburg, wo der Fuchs den Enten predigt N° 8 und zwar zu folgenden Bedingungenen
1. der Miethzins ist auf 1200 Franken jährlich festgesetzt, zahlbar quartalsweise und im Voraus für eine Dauer von neun aufeinander folgenden Jahren, die Eheleute Fahy behalten sich jedoch das Recht vor nach den ersten Jaren mittelst einjährigen Kundigung vom Tage des Abschlusses des Vertrages an zu kündigen (…)
doppelt errichtet zu Straßburg den 15. Mai 1878, gez. D. Glaudy, Eugen Fahy, Marie Fahy
Eugène Fahy, demeurant 8, rue du Renard prêchant, vend le mobilier qui parnit l’aubergiste au maçon Auguste Kretz de Rossfeld
1878 (18.12.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 178 (3 Q 31 677) f° 25 du 18.12.
18. Dezember 1878. Mobilarverkauf – Zwischen Eugen Fahy Wirth zur Firma Wo der Fuchs den Enten Predigt N° 8 zu Straßburg ist heute folgender Kaufvertrag abgeßlossen worden. Eugen Fahÿ ist Besitzer der Wirtschaft Wo der Fuchs den Enten Predigt N° 8 dahier und verkaufft
dem August Kretz Maurer von Rossfeld
sämmtliche Wirtschaftsgegenstände also alles was zu der sogenannten Wirtschaft gehört und noch außerdem sämmtliche ihm eigen angehörigen Mobilien wie folgt
1. Eine Pression, 1 *ngl. Comtoir mit Gläser und Flaschen, 1. eiserner Feuerherd mit sämmtlichen Küchengeräthschaften, 5 Tische von Kirschbaumholz, 4 Bänke, 20 Stühle mit Rohrfeflecht, 1 Schwenckkessel, 1 Wanduhr, 8 Oelbilder mit Goldrahmen, 1 Spiegel
Eigene Hausmobilien sind 2 aufgerichtete Better von hartem Holz, 1 kleine Kasten und 1 Glaskasten, 1 Kommode (…) Der Kaufpreis wurde festgesetzt auf 400 Mark
La maison revient aux enfants de Dominique Glaudy et de sa femme Marie Adélaïde Burger
Mariage, Strasbourg (n° 292)
Du 18° jour du mois de juin l’an 1867 à dix heures du matin Acte de mariage de Ignace Dominique Glaudy, majeur d’ans, né en légitime mariage le 31 juillet 1842 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Commis négociant, fils de Dominique Glaudy, épicier domicilié à Strasbourg ci présent et consentant et de feu Louise Hochrieth, décédée à Strasbourg le 16 février 1864
Et de Marie Adélaïde Burger, mineure d’ans, née en légitime mariage le 16 août 1847 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, sans profession, fille de feu François Antoine Burger, jardinier décédé à Strasbourg le premier décembre 1842 et de Catherine Moritz, sans profession domiciliée à Strasbourg ci présente et consentante (…) il n’a pas été fait de contrat de mariage (i 55)
Inventaire après séparation de biens entre Dominique Glaudy et Adèle Burger
1874 (4.11.), Strasbourg 8 (91), Gustave Edouard Loew n° 6553
4. November 1874. Inventar – vor Gustav Eduard Loew, hierzu bestellt durch das in vollstreckbarer Ausfertigung angeheftete, mit Beilagsvermerk versehener Urtheil des kaiserlichen Landgerichts Straßburg vom 19. vorigen Monats
sind erschienen Herr Dominikus Glaudy, früher Brauer, und seine von ihm verbeistandete und ermächtigte Ehefrau Adele Burger, beide wohnhaft zu Straßburg, dieselbe nehmen Bezug auf das vorgedachte, auf Anstehen der Frau gegen den Mann erlassene Gütertrennungsurtheil, dessen Tenor folgt (…)
acp 633 (3 Q 30 348) f° 59-v du 7.11. Actif Masse, Gemeinschaft. Mobilien 3120, Ausstände 5354 – Passiv 22.463
Ersatz Forderung der Ehefrau 3492
La maison des enfants Glaudy est vendue par adjudication judiciaire à Eugène Fahy
1881 (22.6.), Strasbourg 4 (155), Charles Lauterbach n° 7115
Bedingnisheft – Heute de 20. Mai 1881, vor Notar Carl Lauterbach im Amtsitz zu Strassburg, hierzu genannt durch den hiernach analysirten Zwangsvollstreckungsbeschluß, Erschienen H. Jacob Klein, Bauunternehmer in Strassburg wohnhaft, handeld in seiner Eigenschaft als betreibender Gläubiger von 1. H. Dominick Glaudy, Wirth in Strassburg wohnhaft und 2. dessen daselbst domizilirten Kindern und Mündel Albert, Georgette und Lucien Glaudy (…)
Zwangsvollstreckungsbeschluß, Ueberschreibung und Zustellung desselben. Im Zwangsvollstreckungssachen des Bauunternehmers Jacob Klein zu Straßburg, Gläubiger, welcher den Rechtsanwalt Clauss zu Strassburg als seiner Zustellungs bevollmächtigten benannt hat, Gegen den Wirth Dominik Glaudy in Strassburg 1. in eigenem Namen als Sohn und einziger Erbe seines verlebten Vaters Dominik Glaudy, Spezereihändler zu Straßburg, 2. als Vater, Vormund seiner drei minderjährigen Kinder Albert, Georgette und Lucien Glaudy, diese, als Legataren ihres obengenannten Großvater und als anblickliche drittbesitzer, wird hiermit die Versteigerung der unterbezeichneten Liegenschaft verordnet und der Notar Lauterbach Zu Straßburg zum Versteigerungs beamter ernannt. Strassburg den 2. Aprol 1881. Kaiserliches Amtsgericht. Gezeichnet Hartmann
Bezeichnung der Liegenschaft. Ein Wohnhaus mit Vorder und Hintergebäude, Hof, Brunnen, Rechten und Zugehörden gelegen zu Strassburg wo der Fuchs den Enten Predigt N° 8, am Ort genannt Waisenspital und Narrenbronnen begrenzt einer seits durch Roussi, anderseit durch Maischon hinten durch Dick, section O Nr 837. 837.
Ein Abschrift des obigen beschlußen ist laut Urkunde des Gerichtsvollziehers Berké dahier am 6. April letzthin den Schuldner per Post zugestellt und eine andere Abschrift desselben beim Hypothekenamte zu Straßburg am nämlichen Tage Band 122 Nummer 100 überschrieben worden.
Bezeichnung des zur Vollstreckung gelangten Titels. Die Zwangsversteigerung wurde verordnet in Vollziehung einer Obligation errichtet vor dem unterzeichneten Notar am 7. Mai 1877.
Eigenthumsnachweis der zu versteigernden Liegenschaft. Dieselbe gehörte zum Nachlasss des am 24. September 1877 zu Straßburg verlebten obegenannten Spezereihändlers H. Dominik Glaudy Vater. Derselbe hinterließ als einzigen Erben seinen obengenannten Sohn H. Dominik Glaudy. Laut seinem eigenhändigen testamente de dato Strassburg den 17. Mai 1877 in Vollziehug einer Ordonnanz des kaiserlichen Landgerichtspräsidenten zu Strassburg vom 6. October 1877 und laut seinem Acte vom 9. October nämlichen Monats auf der Amtsstube des Notars Loew hinterlegt, hat der verlebte H. Glaudy Vater das obenbeschriebene Wohnhaus seinen Enkeln der auch genannter minorennen Albert, Lucien und Georgtte Glaudy vermacht. Der genannt verlebte H. Dominik Glaudy hatte das Steigobjekt erworben von Fr. Marie Schurr Wittwe des verlebten Bierbrauers H. Wilhelm Weitmann in Straßburg wohnhaft, zufolge einem Kaufvertrags aufgenommen von dem Notar Holtzapffel in Straßburg am 18. Januar 1876 überschrieben beim Hypothekenamte dahier am nämlichen Tag Band 1599 Nummer 15.
Die Liegenschaft erkaufte Frau Weitmann ihrerseits von H. Johann Friedrich Samuel Schmutz Seiler und dessen Ehefrau Sophie Magnus beisammen zu Straßburg wohnhaft gemäß Vertrag des damaligen Notars Becker in Strassburg vom 30. August 1873 transcribirt beim Hypothekenamtee Strassburg den 13. September desselben Jahres Band 1442 N° 49.
H. Schmutz erhielt dasselbe Immöbel in der Verlaßenschaft seines zu Straßburg verlebten Vaters H. Johann Christoph Samuel Schmutz, welcher zu einigen Erben hinterließ je für ein Siebentel seine Kinder 1. den genannten H. Johann Friedrich Samuel Schmutz, 2. Caroline Schmutz Ehefrau des Commissionärs H. Jacob Hegwein in Straßburg, 3. Frl. Sophie Schmutz, 4. H. Jean Friedrich Schmutz, Schlosser, 5. H. Daniel Schmutz, 6. Fr. Philippine Schmutz und 7. Frl. Dorothea Schmutz, alle in Straßburg wohnhaft, als nackte Eigenthümer und seine hinterbliebene Wittwe Fr. Maria Dorothea Lorentz als lebenslängliche Nutznießerin des obigen Immöbels. Die gedachten Daniel Schmutz starb den 27. Dezember 1834, Frl. Philippine Schmutz, starb den 23. August 1848 und Frl. Dorothea Schmutz den 9. Januar 1851 und hinterließen ihre überlebenden Geschwister als Erben für einen Theil und ihre Mutter für den Erben für einen Theil und ihre Mutter für den adern, diese starb den fünfften September 1854 und giengen in Folge dessen ihre Rechte an der fraglichen Liegenschaft auf Johann Friedrich Samuel Schmutz, Frau Hegwein und Frl. Sophie Schmutz über welche dem zufolge Eigenthümer so zu einem Viertel des Immöbels waren.
Laut Act passirt vor dem damaligen Notar Grimmer in Strassburg am elften Maertz 1858, transcribirt im Hypothekenamte von Straßburg, den 29. desselben Monats Band 724 N° 83 verkauften die bemelten Geschwister Schmutz an ihrem Bruder Johann Friedrich Samuel Schmutz die ihren an obiger Liegenschaft zugehörenden Antheile.
Der besagte Vater Schmutz ertheilte desselben Eigenthum schenkungsweise von seinem Vater Hn Jean Samuel Schmutz zufolge Act, errichtet durch den mehrgenannten Notar Grimmer den 18. Dezember 1827 transcribirt im Hypothekenamte dahier den 4. Januar nachher Bd. 207. N° 53 – Versteigerungs Bedingungen (…)
Versteigerung. Und heute Mittwoch den 22. Juni 1881 (…) Während dem Brennen mehrerer Kerzen würden verschiedene Gebote gemacht, wovon der letzte durch H. Eugen Fahy, Schreinermeister in Straßburg wohnhaft, 11.100 Mark
acp 715 (3 Q 30 430) f° 35 du 2.7.
Fils du tourneur Victor Fahy, le menuisier Eugène Fahy épouse en 1876 Marie Anne Kretz, fille du cultivateur Jean Kretz de Rossfeld
Mariage, Benfeld (n° 1)
Benfeld am 27. Januar 1876. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Tischler Eugen Fahy, katholischer Religion geboren den 1. Dezember des Jahres 1848 zu Benfeld, wohnhaft zu Benfeld, Sohn des Drechslers Victor Fahy und dessen Ehefrau Maria gebornen Ichtertz, wohnhaft zu Benfeld
2. die Maria Anna Kretz, katholischer Religion, geboren den 25. August des Jahres 1847 zu Benfeld, wohnhaft zu Benfeld, Tochter des Ackerers Johann Kretz gestorben zu Rossfeld & dessen Wittwe Elisabeth gebornen Rohr, wohnhaft zu Rossfeld (i 2)
Eugène Fahy et Marie Kretz vendent la maison à Frédéric Guillaume Gassert et à sa femme Pauline Duba moyennant 11 200 marks
1888 (26.4.), Strasbourg 8 (143), Gustave Edouard Loew n° 19.961
26 April 1888. Kauf – sind erschienen herr Eugen Fahy, Schreinermeister, und seine von ihm ermächtigte Gattin Frau Maria Kretz, beide wohnend in Straßburg, dieselbe verkaufen und überlassen hiermit zu vollem Eigenthum (…)
an den mitanwesenden, dieß annehmenden Ehegatten herrn Friderich Wilhelm Gassert, Eigenthümer, und frau Pauline Duba, letztere von ihrem Gatten ermächtiget, beide wohnend in Straßburg wo der fuchs den Enten predigt Nr. 1., solidarische Käufer, nachbeschriebenes Anwesen
Bezeichnung. Ein in Vorder- und Hintergebäuden bestehendes haus mit Erdgeschoß, zwei Stockwerken, Mansarden und Speichern, nebst Hof, Brunnen, Rechten, An- und Zugehörden, gelegen zu Straßburg wo der Fuchs den Enten predigt N° 8, im Kataster stehend unter Sektion O Nr 837 und 837 am Ort genannt Waisenspital und Narrenbronnen, einseits Wittwe Bauer, anderseits Geschwister Maischein, hinten Anwesen Redslob.
Als mitverkauft gelten die im Hause stehenden Öfen nebst Rohren und Steinen, soweit sie den Verkäufern gehören (…)
Eigenthumsnachweis. Herr Fahy ersteigerte das Anwesen während seiner Ehe von dem Wirth herrn Dominik Glaudy zu Straßburg und seiner drei minderjährigen Kindern Albert, Georgette und Lucian Glaudy, laut Zwangsversteigerungs protokoll des Notars Lauterbach dahier vom 22. Juni 1881, überschrieben beim Hypothekenamte Straßburg den 12. folgenden Monats, Band 1948 Nr 15. mit amtlicher Einschreibung Band 1446 Nr 143. Der Steigpreis zu 11.000 Mark (…). Die vier Genossen Glaudy hatten das Anwesen von ihrem den 24. September 1877 in Straßburg verlebten Vater und Großvater herrn Dominik Glaudy, Spezereihändler daselbst geerbt, von welchem Herr Dominik Glaudy Sohn einziger Erbe war, die drei Kinder des letzteren aber durch ein am 9. Oktober 1877 bei Notar Loew hinterlegtes eigenhändiges Testament vom 17. Mai desselben Jahrs das obige Anwesen vermacht erhalten hatten. Der verlebte herr Glaudy hatte das Anwesen gekauft von frau Maria Schurr, Wittwe des verlebten Bierbrauers herrn Wilhelm Weitmann in Straßburg, laut Kaufvertrags vor Notar Holtzapffel daselbst vom 18. Januar 1876, überschrieben beim Hypothekenamte Straßburg am nämlichen Tage Band 1599 Nr. 15.
Frau Weitmann hatte die Liegenschaft gekauft von den hiesigen Seilerseheleuten Johann Friedrich Samuel Schmutz und Sophie Magnus, laut Vertrags vor Notar Becker dahier vom 30. August 1873, überschrieben beim Hypothekenamte Straßburg den 13. September desselben Jahres, Band 1442 Nr. 49.
Standes- und Hypothekverhäntnisse. Es erklären Elisabethe Fahy 1. daß sie beide in erster Ehe zufolge Ehevertrags vor Notar Kientz in Benfeld von Jahre 1875 de sie nicht vorlegen können, in Gütergemeinschaft verheirathet sind (…) Kaufpreis, 11.200 Mark
acp 801 (3 Q 30 516) f° 73-v du 7.5.
Fils du cordier Adam Gassert, Frédéric Guillaume Gassert qui est alors musicien militaire épouse Philippine Pauline Duba
Mariage, Strasbourg (n° 394)
Du 31° jour du mois d’Août l’an 1871 à dix heures du matin. Acte de mariage de Frédéric Guillaume Gassert, majeur d’ans, né en légitime mariage le 11 mars 1841 à Strasbourg, domicilié à Lorient, musicien de 1° classe au 62° régiment de ligne, fils d’Adam Gassert, cordier domicilié à Strasbourg ci présent et consentant, et de feu Marguerite Elisabeth Weiss, décédée à Strasbourg le 15 novembre 1869
et de Philippine Pauline Duba, mineure d’ans, née en légitime mariage le 8 novembre 1850 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, couturière, fille de Jacques Ignace Duba, propriétaire, et de Jacobine Bellaire, conjoints à Strasbourg ci présents et consentants (…) il n’a pas été fait de contrat de mariage (i 88)
1893 (17.5.), Strasbourg 8 (169) Gustave Edouard Loew n° 25.216
Anweisungs Annahme – Friedrich Wilhelm Gassert Pauline Duba
Karl August Seyder als Einnehmer des Konsistoriums der protestantischen Alt Sankt Peter Kirche zu Straßburg
wo der fuchs den Enten predigt N° 8
L’aubergiste Guillaume Gassert et Philippine Pauline Duba hypothèquent la maison à partir du clerc de notaire Frédéric Auguste Adolphe Silberzahn
1894 (19.10.), Gustave Edouard Loew
Obligation – Wilhelm Gassert, Gastwirt, und Philippine Pauline Duba hier
zu Gunsten von Friedrich August Adolph Silberzahn, Notariatsgehülfe hier
über ein baares Darlehen von 5600 Mark, zahlbar nach dreimonatlicher Kündigung & verzinslich zu 4 p.C.
verpfändet, das Haus wo der Fuchs den Enten predigt n° 1
acp 892 (3 Q 30 607) f° 37 n° 3280 du 22.10.
Frédéric Guillaume Gassert meurt en 1897 en délaissant deux enfants après avoir légué l’usufruit de ses biens à sa femme
1897 (20.2.), Jean Mossler
Inventar nach Absterben Friderich Wilhelm Gassert, ehemaliger Wirt zu Straßburg, gestorben am 29. Januar 1897. Auf Ansuchen I. dessen Wittwe Pauline Duba a) eigenen Namens wegen der bestandenen gesetzlichen Gemeinschaft, b) als Nutznießerin des halben Nachlasses laut nachregistrirter Schenkung, c) als gesetzliche Vormünderin ihres Kindes Friedrich Ernst Gassert geb. 20. September 1881, II. von Elise Friederike Pauline Gassert, Ehefrau Edmund Gundy, Adjudant in Nancy, III. von Theodor Gassert Pförtner ins Strassburg als Nebenvormund des Minderjährigen
acp 923 (3 Q 30 638) f° 2 n° 5548 du 1.3. (St. Taf. Bd. 82 Bl. 53 N° 92 – E.E. vom 23.7.97, 234/156) Verzeichnet sind I. Mobilien der Gemeinschaft 555, II. Mobilien des Nachlasses 86, III. baares Geld 80, IV. Mietzinsen 75, V. Forderung an die Brauerei zum weißen Hahn in Schiltigheim 10.000 und Zinsen 132, VI. Einlage bei der Sparkasse 5, VII. Sterbegeld 100
Fortsetzung reg. am 13.3.97 Bd. 921 N° 4484
f° 2-v n° 5549 du 1.3. – 28. November 1895 N° 15.207 – Schenkung zwischen Ehegatten, durch Friderich Wilhelm Gassert, gestorben am 29. Januar 1897, zu Gunsten seiner Ehefrau Pauline Duba des Nutznießung seines Nachlasses, bei Kindern die Hälfte
acp 921 (3 Q 30 636, II) f° 924 n° 4484 du 13.3. (vacation du 3 mars) Immobilien der Gemeinschafft, Stadt Strassburg 1) O 837, 837 Whs mit Vorder & Hintergebäude, 2 Stockwerken, Mansarden An- und Zugehör, wo der Fuchs den Enten predigt N° 8, jährlicher Mietzins M 600
2) O 39, Ein Whs zu Straßburg Kiefergasse N° 3, M. 500
Weitere Activforderungen, der Frau Gundy 8000. NB. Die Forderung an die Bierbrauerei zum weißen Hahn ist geschuldet auf Grund Kauf Ritleng sen. vom 24. Mai 1896.
Passiva 1) für Reparaturen des Hauses 110, 2) Begräbniskosten 378, 3) an H. Hammann für das Haus Küfergasse 8000, Zinsen 29, 4)an die pprotestantische Alt-Sankt-Peter Kirche 3600, 5) Zinsen 115, 6) Kosten des Inventars p.m. (zusammen) 11.674
Ersatzforderungen des Nachlasses an die Gütergemeinschaft laut Theilung amtierenden Notars vom 21. April 1880, M 1254
Gesetzliches Unterhalt an Wittwe 390
Weitere Activa, Forderung an die Armen verwaltung 101, durch die Wittwe von einer Krankenunterstützungskasse bezogen 302 (zusammen) 403.
Sa fille Pauline Frédérique Gassert, née à Lorient, épouse en 1895 Edmond Frédéric Jean Gundy, natif de Rennes et militaire à Nancy
Mariage, Strasbourg (n° 17)
Straßburg am 8. Januar 1895. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Adjudant im 69. frantzösischen Infanterie Regiment Edmund Friedrich Johann Gundy, katholischer Religion geboren den 16. Juni des Jahres 1865 zu Rennes (Frankreich) wohnhaft zu Nancy (Frankreich) Sohn des Rentners Friedrich Gundy, wohnhaft zu Nancy und dessen verstorbenen Ehefrau Marie gebornen Tanguy, zuletzt wohnhaft zu Fontenay-sous-Bois (Frankreich)
2. die gewerblose Pauline Friederike Elisa Gassert, katholischer Religion, geboren den 24. August des Jahres 1872 zu Lorient (Frankreich) wohnhaft zu Straßburg, Tochter des Eigenthümers Friedrich Wilhelm Gassert und dessen Ehefrau Philippine Pauline gebornen Duba, beide wohnhaft zu Straßburg [unterzeichnet] Edmons Gundry, Pauline Gassert (i 17)
Frédéric Gassert renonce en faveur de ses enfants à la succession de sa mère Pauline Duba
1907 (16.8.), Adolphe Riff n° 3450
Erbverzicht durch Friedrich Gassert Sohn, Kaufmann in Straßburg zu Gunsten seiner ehelichen Kinder, auf sein gesetzliches Erbrecht am Nachlass seiner Mutter Pauline Duba, Wittwe von Friedrich Wilhelm Gassert, huer wohnhaft
acp 1071 (3 Q 30 786. I) f° 68-v n° 1381 du 22.8.
Lors du partage des biens de Frédéric Guillaume Gassert, la maison revient à la veuve
1907 (28.8.), Adolphe Riff n° 3470
Theilung über den Nachlaß des am 29. Januarÿ 1897 verstorbenen Gastwirtes Friedrich Wilhelm Gassert, Ehemann von Pauline Duba hier, wo der Fuchs den Enten predigt N° 8
zwischen I. der Wittwe obgem., II. beiden Kindern und Erben je zur Hälfte 1. Ernst Friedrich Gassert, Kaufmann hier, Züricherstraße N° 14-a, 2. Elisa Friederike Pauline Gassert, Ehefrau Edmund Gundy, Prefektur Angestellter in Nancy
der Wittwe ist die lebenslängliche Nutznießung an der Hälfte des Nachlasses des Erblassers veracht
acp 1072 (3 Q 30 787. III) f° 9-v n°1525 du 3.9. (E.E. 23.7.97, 234/186) Massenaufstellung. I. *zige Werte
1. Hauseinrichtung 728, 2.baares gelt 80, 3. laufend Miete 75, 4. Forderung an die Brauerei zum weißen Hahn in Schiltigheim 10.132, 5. Sparkassenbüchlein 5, 6. Kostengelter 563. 7. Erlös aus dem Hause Küfergasse N° 3, dh. Kauf Mossler hier am 14. Januarÿ 1898, 15.000, (zusammen) 27.024 M
II. noch in Natur vorhandenen Werte 1) Ein Wohnhaus wo der Fuchs den Enten predigt N° 8, Flur 31 N° 63, 0,77 Hf Whs, geschätzt 20.000, 2) Forderung contra Eheleute Gundy 6400 – Summa 53.424
Passiva. I. Ersatzforderung 1) für geerbten Vermögen seines Vaters Adam Gassert 1254, II. die Wittwe beanspricht (…) 4564, III. die durch die Käufer des Hauses Küfergasse 3 an Zahlungsstatt übenommenen hyp. Forderung an Frl. Hammann 8000, (zusammen) 13.809 – Rest 39.609, die Hälfte 19.802.
Nachlass – Aktiv, 1. Ersatzforderung an die Gemeinschafft 1254 2) Hälfte des Gesamtguts 19.802 (zusammen) 21.057 – Passiv 570 (Rest) 20.487
Besondere Rechnungen. Zuteilungen
Die Wittwe erhältt das Wohnhaus (…)
La maison est inscrite à partir de 1936 au cadastre au nom d’Ernest Frédéric Gassert.
Ernest Frédéric Gassert épouse en 1904 Joséphine Edouarde Lucie Scherb fille de l’aubergiste Edouard Sébastien Scherb
Mariage, Strasbourg (n° 683) Strassburg am 7. Juli 1904. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Hospizien Beamte Ernst Friedrich Gassert, katholischer Religion geboren am 20. September 1881 zu Strassburg, wohnhaft zu Strassburg, wo der Fuchs den Enten predigt 8.b, Sohn des verstorbenen Gastwirts Friedrich Wilhelm Gassert, zuletzt wohnhaft zu Strassburg, und seiner Ehefrau Philippine Pauline gebornen Duba in Straßburg
2. die Josephine Eduard Lucie Scherb, katholischer Religion, geboren am 14. März 1983 zu Strassburg, wohnhaft in Strassburg Steinstraße N° 53, Tochter des Gastwirts Eduard Sebastian Scherb und seiner Ehefrau Josephine geborenen Beuer, beide wohnhaft in Strassburg (i 188)
Ils passent un contrat de mariage deux ans plus tard
1906 (17.11.), Jean Hammann n° 8259
Ehevertrag – Friedrich Gassert, Spitalbeampter, und Ehefrau Lucie Scherb in Straßburg, verheiratet seit 1904 ohne Ehevertrag
acp 1061 (3 Q 30 776. II) f° 37-v n° 1690 du 29.11. mit Annahme der Gütertrennung
½ am Vermögen des Ehemanns
Flur 22 N° 293/211 19,07 Hf Whs Jesuitenfeld
Flur 32 N° 202 20,37 Hf, Wohnhaus in Neuhof, erworben ¼ laut Zuschlaggeschluß amt. Not. am 21. September 1906 und ¼ laut Kauf amt. Not. von heute
Gassert schuldet den ganzen Erwerbspreis noch heute
Vermögen der Ehefrau, I. Mobilien 4200, II. Wertpapiere 6000 (zusammen) 10.200