8, place des Orphelins
Place des Orphelins n° 8 – X 291 (Blondel), O 768 puis section 17 parcelle 62 (cadastre)
Maître d’ouvrage, Pierre Martin Finck (1844)
Le n° 8 est la maison à crépi jaune (juillet 2013)
Devanture en février 2019
La distillerie devant la porte des Pêcheurs appartient depuis peu au tonnelier Michel Keck quand elle est transférée en 1678 au passage d’Uton comme les autres qui se trouvaient hors les murs entre la porte des Juifs et celle des pêcheurs. Son fils Frédéric Keck ajoute un étage à sa distillerie en août 1726. La maison est estimée à une valeur minimale de 176 livres en 1729. Elle revient ensuite à sa fille Anne Catherine, femme du fondeur d’étain Jean Jacques Hau, puis à ses donataires universels Jean Jacques Kuhn et Marie Dorothée Debus. Aucun d’eux n’habite sur place. L’employé à la halle Jean Pierre Finck qui achète la maison en 1802 l’annexe à sa propriété rue des Orphelins, ce qui lui donne une issue sur la place des Orphelins.
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 211 – Cour G (© Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) relate un bâtiment à rez-de-chaussée et un étage en bois, formant l’arrière du 21, rue des Orphelins. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la quatrième à gauche du repère (n) : deux portes et une fenêtre au rez-de-chaussée, deux étages à deux fenêtres, toiture à une lucarne, ce qui ne correspond pas à l’Atlas des alignements. L’arrière de la maison (cour G, à gauche du repère 6) a trois fenêtres à chacun des trois niveaux.
La maison porte d’abord le n° 7 (1784-1857) puis le n° 8.
Devanture (1900) – Photographie en 1992
(dossier de la Police du Bâtiment)
Une devanture est posée en 1900. Le propriétaire Othon Koehler fait surélever la façade pour agrandir l’étage sous combles en 1939 sous la direction de l’architecte Auguste Schmitt. Le propriétaire fait réparer en 1941 le plancher pourri du magasin (commerce de fruits et légumes).
avril 2019
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires des origines (1678) à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
1672 | v | Michel Keck, tonnelier, et (1661) Anne Meyer – luthériens |
1710* | h | Frédéric Keck, fondeur d’étain, et (1700) Anne Catherine Braunsmentel – luthériens |
1733 | h | Jean Jacques Hau, fondeur d’étain, et (1729) Anne Catherine Keck – luthériens |
1772 | don | Jean Jacques Kuhn, farinier, et (1751) Marguerite Madeleine Schmid veuve du farinier Jean Jacques Debus puis (1757) Anne Dorothée Debus – luthériens |
1792 | h | Joachim Frédéric Lorentz, sellier, et (1775) Marie Dorothée Lichtenberger puis (1792) Marie Salomé Kuhn – luthériens |
1803 | v | Jean Pierre Finck, employé à la halle, et (1775) Marguerite Elisabeth Süss puis (1794) Salomé Büry – catholiques |
1823 | v | Pierre Martin Finck, commissionnaire de roulage, et (1820) Marie Anne Wallinger |
1881 | v | Henri Bertuch, aubergiste, et (1872) Françoise Baudendistel, veuve du marchand d’eau de vie Charles Pingeoz |
1897* | Arthur Wirths | |
1932* | Othon Ernest Georges Kœhler et Emilie Roll |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 62 livres en 1706, 176 livres en 1729, 195 livres en 1752, 101 livres en 1776
(1765, Liste Blondel) X 291, au Sr Hau
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Kuhn, 2 toises, 5 pieds et 7 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 768, Finck, Jean Pierre Martin, place des Orphelins 5 – maison, sol – 0,27 are
Locations
1761, André Streicher, apprêteur de tabac, et Anne Marie Metz
1806, Françoise Herrmann veuve du journalier Michel Schwartzrucker
Livres des communaux
1673, Livre des loyers communaux VII 1465 (1673-1741) f° 38-v
Rente foncière due pour la distillerie (1678)
Lorentz Arnold, der Küeffer soll von der Brennhütt Jahrs vff Martini, 19 ß
St: Zinnßb. p. 43
Neuzb. fol 822-b
ietzt Michael Keckh
jetzt Friderich Keck (der Statt Zinngießer)
jetzt Johann Jacob Hau
(Quittungen 1673-1679)
Er soll ferner vom /:sechsten:/ platz zu einer brennhütten auff dem Rauten gängel +, auff Michaelis 1679 primo, 12 ß
laut Prot: 1678. p. 93
+ v. 15 Sch. b. 20. Sch. L.
(Quittungen 1679-1741)
1741, Livre des loyers communaux, VII 1472 (1741-1802) f° 822-b
alzb. 38-b
Joh: Jacob Hau solle vom Sechsten 15.sch. breit und 20. sch. langen platz zu einer brennhütten auff dem Rauten gängel Jahrs auf Mich. id est 29. Sept., 12 ß
[in margine:] 8. Vendemiaire
(Quittungen 1741-an 10)
C. 447
modo Johann Jacob Kuhn, Meelmanns Erben
Préposés aux affaires foncières (Bauherren)
1726, Préposés aux affaires foncières (VII 1392)
Frédéric Keck est autorisé à ajouter un étage à sa distillerie en août 1726
(f° 78) Dienstags den 30. ejud. [Julÿ 1726] Friderich Keck wegen bawens – An Friderich Kecken brennhütt auf dem Uttengängel, welche er mit einem Kleinen Stockwerck Zuerhöhen begehrt und deßwegen Unterthänig umb erbaubnus gebetten
(f° 80) Dienstags den 6. ejud. [Augusti 1726] Friderich Keck weg. bawens – Herrn Friderich Kecken, des Statt Zinngießers haußfr. bittet MGHh gantz demütig, daß nach eingenommenen augenschein Ihnen möchte vergönt werden auf Ihr an dem Uttengänglein gelegenes Hauß ein stockwerck setzen zulaßen. Erkannt Willfahrt.
Description de la maison
- 1706 (billet d’estimation traduit) La distillerie est estimée 160 florins
- 1729 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un petit poêle, petite chambre et cuisine, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 400 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
4° arrondissement ou Canton est – Place des Orphelins
nouveau N° / ancien N° : 14 / 7
porte de derrière du N° 21 rue des Orphelins
Rez de chaussée et 1° étage mauvais en bois
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 25 f° 243 case 2
Finck, Jean Pierre Martin, rue des orphelins n° 21
O 768, maison, sol, place des orphelins 6
Contenance : 0,27
Revenu total : 18,14 (18 et 0,14)
Folio de provenance :
Folio de destination : démolie
Année d’entrée :
Année de sortie : 1845
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 3
fenêtres du 3° et au-dessus :
1847, Augmentations – Finck Jean f° 243, O 768, maison, revenu 35, nlle. construction, achevée en 1844, imposable en 1847, imposée en 1847
1845, Diminutions – Finck Jn. fré. f° 243, O 768, Maison, revenu 18, Démolie en 1844, achevée en 1845
O 768, maison, place des orphelins
Revenu total : 35,14 (35 et 0,14)
Folio de provenance : n.c.
Folio de destination :
Année d’entrée : 1847
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 11 / 9
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre napoléonien, registre 27 f° 987 case 1
Finck, Jean Pierre Martin, rue des orphelins 5
1881 Bertuch, Heinrich, Wirth
1897/98 Wuths, Arthur, Referendar, Zabern
O 768, maison, sol, place des orphelins 8
Contenance : 0,27
Revenu total : 35,14 (35 et 0,14)
Folio de provenance : (243)
Folio de destination : 987, Vergröß.
Année d’entrée :
Année de sortie : 1883
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 11
fenêtres du 3° et au-dessus :
1883, Augmentations – Bertuch Heinrich f° 987, O 768, maison, revenu 153, Vergrößerung, achevée en 1880, imposable en 1883, imposée en 1883
Diminutions – Bertuch Heinrich f° 987, O 768, maison, revenu 35, Vergrößerung
O 768, maison, place des orphelins 8
Revenu total : 153,14 (153 et 0,14)
Folio de provenance : 987
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1883
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 12 / 10
fenêtres du 3° et au-dessus : 3 / 2
Cadastre allemand, registre 29 p. 201 case 2
Parcelle, section 17, n° 62 – autrefois O 768, 791.p
Canton : Waisenplatz H. N° 8
Désignation : Hf, Whs u. N.G. – magasin
Contenance : 2.01
Revenu : 1580 – 1700 – 1200
Remarques :
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1932), compte 1348
Wirths Arthur
1938 Wirths Arthur et son épouse Jeanne née Abt / Wittwe
clos 1952
(Propriétaire à partir de l’exercice 1932), compte 5410
Koehler Othon Ernest Georges pour 7/16 et copropriétaires
1933 Koehler Othon Ernest Georges et son épouse Emilie née Roll chacun pour la moitié
1945 Koehler Otto Ernst Georg, Dr. med. Arzt
(2426)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IX, Rue 339, Continuation du Numéro 339 (p. 480)
7
Pr. Kuhn, farinier
loc: Jaecki, Jean Jacques – Manant
Bellian, Elisabeth, bourgeoise
(ajout) Bieber, Jean, – manant
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Waisenplatz (Seite 189)
(Haus Nr.) 8
Kiefer, Büglerin. H 2
Schott, Wagner. H 2
Haag, Steinhauer, H 3
Gremelmayer, Einkass. H 3
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 886 W 247)
Orphelins (place des) n° 8
Les sieurs Schmidt et Leiser sont autorisés à établir en 1887 une fabrique de liqueurs dans une pièce au premier étage. L’entrepreneur Kirchmann aménage une devanture en 1900. Le fabricant de parapluies Jean Brey se plaint en 1901 que sa cheminée a été recouverte par la construction d’un atelier de photographie. Le préfet autorise en 1924 Moïse Tannenbaum (demeurant 12 fossé des Treize) à installer un dépôt de chiffons et de métaux. Le maître boulanger Godefroy Müller fait construire un four à vapeur en 1935. Le propriétaire Othon Koehler (domicilié 5 rue des Orphelins, attenante au 8 place des Orphelins) fait surélever la façade pour agrandir l’étage sous combles en 1939 sous la direction de l’architecte Auguste Schmitt. Le propriétaire fait réparer en 1941 le plancher pourri du local où Charles Dennecken exploite un commerce de fruits et légumes.
Léon Risch tient un commerce d’alimentation (1958-1967) puis Germaine Kling (1967-1970). Y succède l’épicerie Au Panier tunisien de Sémi Slama qui fait ravaler la façade au rez-de-chaussée en 1992.
Sommaire
- 1887 – Les sieurs Schmidt et Leiser demandent l’autorisation d’installer et d’exploiter une fabrique de liqueurs dans une pièce au premier étage – Accord
- 1898 – La Police du Bâtiment constate que Jean Brey, fabricant de parapluies, a posé une enseigne sans autorisation – L’intéressé retire l’enseigne, septembre 1898, mais devra régler la redevance pour l’année – Jean Brey demande l’autorisation de poser une enseigne, décembre 1898 – Autorisation
- 1897 – Le maire notifie le propriétaire, le sieur Berthuch (domicilié au n° 5), de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant le volet qui s’ouvre à moins de 2,20 mètres de la voie publique. – Rappel, 1898, le propriétaire est le sieur Wirths domicilié à Ribeauvillé, le gérant le sieur Kaiser (5 rue des Orphelins) – Travaux terminés, mai 1899
- 1900 – L’entrepreneur Kirchmann (18 rue des Sœurs) est autorisé à aménager une devanture – Plan – Travaux terminés, juillet 1900
- 1901 – Le sieur Brey se plaint que sa cheminée a été recouverte par la construction d’un atelier de photographie – La Police du Bâtiment constate que la plainte est justifiée et écrit au gérant, Charles Dieterlé (8 place des Orphelins) – Travaux terminés, décembre 1901
- 1916 – Mme Jules Fromm, atelier de photographie, demande l’autorisation de poser une vitrine – Refus parce que l’atelier se trouve au 5 rue des Orphelins. L’intéressée fait remarquer qu’il existe deux entrées – Nouveau refus parce que la vitrine empiète trop sur la voie publique
- 1924 – Le préfet autorise Moïse Tannenbaum (12 fossé des Treize) à installer un dépôt de chiffons et de métaux (établissement de 3° classe)
- 1932 – Le serrurier Henri van Alst (domicilié 7 rue de l’Ecurie) demande l’autorisation de poser une enseigne au-dessus de la porte d’entrée
- 1933 – Le locataire Ernest Litolf se plaint que le toit laisse passer l’eau qui entre dans son appartement (propriétaire, Othon Koehler, 1 petite rue d’Austerlitz) – La Police du Bâtiment constate que la plainte est justifiée – Le Maire menace le propriétaire de poursuites pénales, avril 1934 – Travaux terminés, juin 1934
- 1935 – Godefroy Müller (maître boulanger domicilié rue d’Or) demande l’autorisation de construire un four à vapeur – Autorisation d’aménager un fournil au rez de chaussée – Plan – Travaux terminés, juin 1935
- 1939 – Le propriétaire, Othon Koehler (domicilié 5 rue des Orphelins, maison attenante au 8 place des Orphelins) demande l’autorisation de transformer le troisième étage – La Police du Bâtiment constate que les travaux ont déjà eu lieu sans autorisation – Autorisation (architecte, Aug. Schmitt, 24 rue des Pigeons à Cronenbourg) de surélever la façade pour agrandir l’étage sous combles – Travaux terminés, août 1939
- 1941 – Le locataire Emile Pfeiffer se plaint de l’état de ses lieux d’aisances – comme des lieux d’aisances réglementaires se trouvent dans la cour, la plainte n’est pas justifiée
- 1941 – Le chef d’îlot Eugène Lawine informe la Police du Bâtiment que le plancher du local où Charles Dennecken exploite un commerce de fruits et légumes est pourri et que le propriétaire, Othon Koehler, ne fait pas faire les réparations nécessaires. Le propriétaire répond que les menuisiers sont surchargés de travail – A. Deneken indique l’adresse d’une entreprise prête à faire les réparations
Rapport de visite des lieux – Travaux terminés, octobre 1941 - 1942 – Eugène Bado demande à un médecin de constater que son appartement au 3° étage est humide – La Police du Bâtiment n’a pas qualité pour intervenir
- 1949 – Une locataire, Berthilde Schellenberger, se plaint que l’eau pénètre dans la maison et que le plâtre du plafond tombe – La Police du Bâtiment demande au propriétaire, M. Koehler (domicilié 5 rue des Orphelins) de faire faire des réparations – Rappel, 1950 – Pas de travaux, mars 1951 – Arrêté du Maire portant réparation de la toiture, février 1951 – Lettre du Dr Koehler (réparations en juillet 1948, dommages de guerre) – Procès verbal de non-exécution, avril 1951 – Le Maire saisit le Procureur de la République de l’affaire – Travaux terminés, août 1951
- 1952 – Un locataire, A. Deneken, se plaint que le trottoir est en mauvais état – La Police du Bâtiment constate que la gouttière est bouchée et que la grille du soupirail est en mauvais état – La Police du Bâtiment demande au propriétaire, M. Koehler (domicilié 5 rue des Orphelins) de faire faire des réparations – La gouttière est réparée – Le soupirail a été réparé, avril 1955
- 1956 – Le locataire Aug. Faessel se plaint de le cheminée – La Police du Bâtiment constate que la plainte n’est pas justifiée
- 1959 – Léon Risch informe la Police du Bâtiment qu’il est le nouveau locataire du commerce d’alimentation depuis novembre 1958
- 1961 – La Société des Vins de France (23 rue Georges-Wodli) demande l’autorisation de poser une enseigne à lambrequin sur la façade de Léon Risch – Autorisation – L’enseigne est retirée en 1966
- 1966 – La brasserie Charles Kleinknecht-Perle (Schiltigheim) demande l’autorisation de poser une enseigne à lambrequin – Autorisation
- 1967 – Joseph Risch informe la Police du Bâtiment que le nouveau locataire du commerce d’alimentation est Germaine Kling depuis mars 1967
1967 – La Brasserie de Mutzig demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse – Autorisation – L’enseigne est retirée en 1970 suite à la fermeture du magasin
(i 859) 1970 – Germaine Kling informe la Police du Bâtiment que son commerce est fermé - 1969 – La Fédération des locataires du Bas-Rhin informe la Police du Bâtiment que la cheminée de son sociétaire Mme Gianardi n’a pas été nettoyée depuis deux ans – La Police du Bâtiment contate qu’un certificat a été délivré par le ramoneur Reppert en novembre 1969
- 1975 – L’épicerie Au Panier tunisien, Chez Slama déclare vouloir conserver le store rayé du rôle suite à la fermeture en 1973
1992 – Le même demande l’autorisation de remplacer la toile du store – Autorisation, photographie - 1992 – Sémi Slama demande l’autorisation de ravaler la façade au rez-de-chaussée, propriétaire Mme Koehler (domiciliée 5 rue des Orphelins)
Extrait du plan cadastral – Photographie
Autorisation – Travaux terminés, mars 1993
Relevé d’actes
Le tonnelier Laurent Arnold vend sa distillerie avec un jardin sis entre la porte des Juifs et celle des Pêcheurs au tonnelier Michel Keck
1672 (25. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 241-v
(Prot. fol. 17.) Lorentz Arnold der kieffer
in gegensein Michael Keckhen des Kieffers
seine Brennhütt und Beserung auff dem gärtlein daran, sambt treÿen Keßeln und den Steinen auch übriger Zugehördt Zwischen dem Scheiß Rhaÿner und Fischer thor, einseit neben Dietrich Eberspach, anderseit neben Wolff Wagenmann beede Kieffern stoßend gelegen, daran grund und boden gemeiner Statt gehörig ist, und darum derselben iährlich. uff Martini 19. ß Zu bodenzinß geraicht wird – umb 105. lb
Suite à cet achat, Michel Keck est un ce deux qui obtiennent un terrain au passage d’Uton (actuelle place des Orphelins) après avoir dû démolir les bâtiments hors des remparts.
Fils du tonnelier Michel Keck, Michel Keck le jeune épouse en 1661 Anne Meyer, fille de tonnelier
Mariage, cathédrale (luth. f° 7, n° 28)
1661. Zum 2. mahl Michael Keck der Jüngere Kiefer, Michel Kecken des Kiefers undt Burgers alhier ehelich Sohn undt Jfr. Anna hr. Johann Meiers Kiefers undt Burgers alhier ehel. Tochter, Dienstags den 9.ten Julÿ Maurß: Münster, Hh. stub (i 8)
Le tonnelier et marchand de vins Michel Keck meurt en 1706 en délaissant quatre enfants qui laissent la jouissance de la succession à leur mère, veuve du défunt. Les héritiers qui estiment que la donation au profit de leur sœur l’avantage par trop passent un accord par lequel les fils obtiennent les autres immeubles. L’inventaire est dressé au Vieux-Marché-aux-Vins près de l’aubergiste au Hibou. La succession s’élève à 3 139 livres.
1706 (31.5.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 9) n° 211
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güttere, Liegender und fahrender Veränderter und Unveränderter, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿl. der Wohl Ehrenveste Weiße und Großachtbare Herr Michael Keckh geweßener Kieffer und weinhändler auch E.E. großen Raths alten beÿsitzers, nach seinem den 17.ten Aprilis dieß Lauffenden 1706.ten Jahrs beschehenen seeligen ableben Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Verstorbenen Herrn Rathh. seeligen (Erben), auch Würcklich durch die Viel Ehren und tugendreiche fraw Annam Keckin gebohrne Meÿerin die dißorths Wittib mit beÿstand deß Wohl Ehrenvesten Weißen und achtbahren herrn Johann Georg Stecher E.E. großen Raths jetzmahligen beÿsitzers Ihres geschwornen Curatoris (geäugt und gezeigt) – Actum in der Königl. Statt Straßb. Montags den 31. Maÿ Anno 1706.
Der Verstorbene Herr Rathh. seel. hatt per Testamentum nuncupativum Zu Erben Verlaßen Wie Volgt, 1. den Wohl Ehrenhafften und Vorachtbaren Herrn Johann Kecken, Kieffer und Gastgebern burgern zu Franckforth, welcher alhier frembd und ohnvrburgert, so allein in Legitimam zum Erben eingesetzt und weilen derselbe Crafft Vätterlichen Testaments bereits beÿ derner Verheürathung und hernach mahlen ein mehrers empfangen alß Ihme pro Legitima gebühren Wird, auch Er nach einhalt seines eigenhändig geschriebenen brieffs sub dato Franckhforth den 4.ten Maÿ ao. 1706. mit allem zufried. waß seine anweßende dreÿ geschwistrige dißfalls thun werden in specite aber verlanget daß mann der fraw Wittib alß Mutter das samptliche Guth Lebens Lang zugenießen in handen Laßen solle so ist in seinem nahmen beÿ deißer Inventation niemand absonderlich zu gegen geweßen, 2. den Wohl Ehrenthafften und Vorachtbaren Herrn Michael Kecken bierbrauer und burger alhier, 3. die Viel Ehren und tugendsahme fraw Salomeam Christin gebohrne Keckin, deß Wohl Ehrenthafften und Vorgeachten Herrn Johann Daniel Christen Kieffers und Weinhändlers burgers alhier zu Straßburg eheliche haußfrau Welche beneben gedachtem Ihrem Ehewürth beÿ der Inventation erschienen, 4. den wohl Ehrenthafften und Vorachtbahren Herrn Friderich Keck zinngießern und burgern alhier, dieße dreÿ Zugleichen portionen und Stammtheilen
Zuwißen, daß nach deme Ich der Notarius gleich beÿ antrettung der Inventation gefragt, ob keine Eheberedung vorhand. so ist darauff sowohl von der fraw Wittib als denen anwesenden dreÿen Kindern die antwort erfolget, daß keine auffgerichtet word. seÿe dabeneben haben sich ersterwehnte dreÿ Kinder einmüthig dahien freündtlichen ercläret, weilen Sie sich gewiß versichert wißen daß Ihre geliebte Mutter sich nicht mehr verheurathen wird, Ihro das samptliche guth dergestalten Lebens lang in handen Zu laßen (…) Actum den 31. Maÿ aô 1706.
(f° 3) Zuwißen, demnach weÿland S: T: Hn Michael Kecken deß ältern geweßenen Kieffers und Eines Ehrsamen Großen Raths alhier zu Straßburg seeligen Alten Wohlverdienten beÿsitzers mit der Viel Ehren und tugendreichen frawen Anna, gebohrner Meÿerin seiner Ehelich haußfrauwen Nach Disposition Vor S:T: Herrn Johann Henrich Langen Seniori Notario publico den 3.ten Junÿ Anno 1701. auffgerichtet, abgeleß. und frawen Salomeæ Christin gebohrner Keckin seiner Tochter seine ohnfern der Eülen alhier gelegene Unveränderte Vor dere und seine in Währender Ehe erkauffte hindere behaußung umb 2000 Guld. solche summa in die gemeine Erbschafft einzuschießen, und daran Wieder pro rato zu participiren prælegirt word. und aber H. Michel Keck der biersied. und H. Friderich Keck der Zingießer als der prælegatariæ geschwistrige sich darüber beschwehrt und gesagt daß Ihnen solches prælegat /:angesehen sie glauben Ihren eltern niemahlen kein hertzen-Leÿd gemacht zu haben:/ Zustarck Verkäme, alß hatt sich fraw Anna Keckin die Mutter Vorgemeld, mit consens S: T: H. Johann Georg Stecherts Ihres geschwornen Curatoris dahien ercläret, umb die bißhero gepflogene Geschwisterliche Vertrawlichkeit nicht zu brech. sondern Vielmehr ins Künfftige zu propagiren, daß nach Ihrem der Mutter seel. absterben H. Johann Kecken zu franckforth wohnhaft, Herrn Michel Kecken und Herrn Friderich Kecken denen dreÿen Söhnen die auff dem Uttengänglein gelegene brennhütt sampt allen zum brennen gehörigen geschirr und die scheür sampt dem daran gelegenen gärthlein alhier im thoman loch im Nußbaumgäßl. gelegen im vorauß weiß zu einem æquivalent haben, und hiengegen Vorberührte tochter Ihro prælegirte Vordere und hindere behausung gegen einschießung 2000 Guld. in die gemeine Verlassenschafft dergestalten für gantz freÿ Ledig und eigen gebührig sein solle (…), Actum Straßb. Montags d. 31.ten Maÿ anno 1706.
In einer in der Statt Straßburg beÿ Eülen gelegenen Und hernach beschriebenen behaußung befunden Worden Wie Volgt
Ane Höltzen und Schreinerwerck, Auff dem Obern Kasten, In der Cammer B, In der Cammer C
(f° 19-v) Hauß hoff hoffstatt bronnen hinder und Nebens häußl. sambt allen andern deren gebäwen, begriffen, Weithen, rechten, zugehördten und gerechtigkeiten gelegen alhier in Statt Straßb. am alten Weinmarckh beÿ der Eülen einseit neben Michel Fancken dem Paßmentierer anderseit neben Sigmund Felckenhawen dem Schloßer und E.E. Kleinen raths jetzmahligen beÿsitzer, hinden auff H. Matthiæ Lamprechts deß Weinhändlers seel. Wittib zum theil andern theils auf H. Compenÿ deß barbierers alhier Verlaßene Ehefr. so gegen Jeder männiglichen freÿ, Ledig und eigen Und durch der Statt Straßb. geschwornen H. Werckmeistere Vermög Ihrer zu dem Concept gelüfferten schrifftl. Abschatzung sub dato 4.ten Junÿ Anno 1706. æstimirt pro 1400 lb. Darüber meldet ein teutscher pergament. Kauffbr. mit der Statt straßb. Cantzleÿ contract Insiegel Verwahrt, datirt den 6.ten Augusti ao. 1660. Ferner 2. ältere pergamentene Kauffbrieff mit ged. Insiegel behengt, deren der eine datirt den 3. Martÿ 1641. Und der Andere den 29.ten Aprilis ao. 1650. Weiter 2. perg. Kauffbr. über das Nebens häußlein besagend deren der eine datirt den 9. 10.bris 1661 Und der ander den 3.ten Octobris ao. 1659.
Item ein Scheür, und Gärthlein, gelegen alhier in der Statt Straßb. in dem Thomanloch einseit dem Nußbaum Und anderseit dem Thurngäßlein (…)
Item ein brennhütt sambt 3.en Küpffern brennkößeln und helmen gelegen allhier auf dem Uttengänglein hinden V. Vorne auf die alten Stattgräben eins. neben Michel Seltz dem taglöhner anders. neben N N dem Seÿler alhier, davon gibt mann Jährlich auf den – der Statt Straßb. Pfenningth. 18 ß d. bodenzinß, Und durch Vorgedachte Hh. Werckmeistere über solch beschwert annoch æstimirt per 62 lb. Darüber hat sich gegenwärtiger Inventation nichts schrifftliches befunden.
– Abschatzung den 4. Junÿ ao. 1706. Weÿlandt des Ehrenhafften und bescheidenen H Michael Keck gewesenen beÿsitzers E.E. Raths seel. hinderlaßene fr: Wittib und Erben, ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg beÿ der Eulen geleg. einseits neben H Sigmundt Fällgenhauer schloßer, anderseits neben Paulus Fang Paßmentmacher, hinden auff H. Lambrechts Wittib stoßend, Welche behausung Nebens hauß, hinder gebäwlein hoff und bronnen sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb 2800 Gulden
Die andere behausung auch allhier in der Statt Straßburg im daumelgäßlein gelegen einseits neben Mstr Philippus Ehrhardt Weber, anderseits neben hannß Jacob Kroberger Weber, hinden auff ein Allmen Gäßlein stoßendt, Welche behausung undt gärtlein sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb 400 Gulden
die dritte behausung auch allhier in der statt Straßburg ist eine brenn hütte auff dem rautengängel gelegen, einseits neben Michel Seltz taglöhner anderseits neben Meister N. N. Schebst Seÿler, hinden auff H dirrenberger biersieder stosendt, Welche brennhütte sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb 160 Gulden, Bezeichnus durch der Statt Straßburg geschwornen Werckleuthe, Jacob Staudacher werckh Meister des Maur hofs, Johann Jacob osterrieth werck Meister des Zimmer Hoffs
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 312, Sa. Werckzeug, holtz, Reÿff und band Zum Kiefferhandw. gehörig 61, Sa. Frucht und Meel 36, Sa. der Wein, Eßigs, bradnenwein, baumöhl und lährer Vaß 465, Sa. Silbergeschirrs und geschmeids 191, Sa. Guldener ring 24, Sa. der Baarschafft 244, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 140, Sa. Eigenthumbs ahne häußern 1662, Summa summarum 3139 lb
Verstallungs und Beschluß summa Inventarÿ 2794 lb
La distillerie revient au fils fondeur d’étain Frédéric Keck qui épouse en 1700 Anne Catherine Braunsmentel, fille de fondeur d’étain : contrat de mariage, célébration
1700 (12.8.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 5941 – 1 AH 5893, Protocollum tertium f° 164-v)
(Eheberedung) zwischen dem Ehrenhafften Friderich Kecken Ledigen Zinngießern des Wohl Ehrenvesten fürsichtigen und wohlweißen herrn Michael Kecken Küeffers und Weinhändlers auch E. E. Großen Raths nunmahligen beÿsitzers ehelichen Sohn, als hochzeitern an einem
So dann der Ehren: viel Tugendsahmen Jungfrawen Annæ Catharinæ, weÿl. des Ehrenvesten undt weißen herrn Georg Sigmundt Praunsmändls Zinngießers undt ges. E. E. Kleinen Raths Assessoris seligen nachgelaßenen eheleiblichen tochter der Jungfrauen hochzeiterin andern theils
So beschehen in Straßburg Donnerstags d. 12. Aug. aô 1700. [unterzeichnet] Friderich Keck als hogzeiter, Anna Catharina Braunsmänlin als hochzeiterin
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 65 n° 17)
Mittwochs den 6 Octob. 1700 seind nach zweimahliger außruffung in der Pfarrkirchen zu S. Niclaus in Straßb. copulirt und eingesegnet worden H. Fridrich Keck, der ledige Zinngießer und burger alhier, H. Michael Kecken deß Kieffers und burgers auch E. E. Großen Raths alhier jetzmaligen Beÿsitzers ehelicher Sohn; und Jfr. Anna Cathrina Braunsmäntelin, weÿl. H. Georg Sigmund Braunsmäntels, gewesenen Zinngießers und E.E. Kl. Raths alten beÿsitzers auch burgerß alhier nachgelaßene eheliche Tochter. [unterzeichnet] Friderich Keck Zin Gißer Als hogzeiter, Anna Catharina Braunßmändin alß hochzeiterin (i 68)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 100-v),1700 – Domin: XVI et XVII post Trinit: proclamati sunt Hr. Fridrich Keck d. Zinngießer alhier hrn. Michael Kecken deß Kieffers v. Weinhändlers v. beÿ E.E. großen Raths alhier ietzmalig. beÿsitzers ehl. sohn; Undt Jfr. Anna Cathrina Weÿl. hern Georg Sigmundt Braunsmentel gewesenen zinngießers v. beÿ E.E. Kleinen rath alhie beÿsitzers nachgel. ehl. tochter. copulati sunt Mittwoch d. 6. 8.bris Zu S. Niclaus
Frédéric Keck meurt en 1728 en délaissant deux filles. L’inventaire est dressé dans une maison proche de l’auberge au Corbeau. Les experts estiment 176 livres la petite maison passage d’Uton. La masse propre à la veuve s’élève à 1 231 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 356 livres et le passif à 576 livres
1729 (20.4.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 23) n° 542
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und güethere, Liegender und Vahrender, Verändert und ohnveränderter, überall nichts davon ausgenommen, so Weÿland der Ehrenvest und Wohl Vorgeachte Herr Friderich Keck der geweßene Zinngießer und burger allhier zu Straßburg nunmehr seel. als derselbe Sontags den 21.ten Novembris des Zurück gelegten 1728.ten Jahrs dieses Zeitliche in das Ewige Verwechßelt, nach solch seinem aus dießer Welth genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des ehrenvest und Wohlvorgeachten herrn Johann Friderich Kecken des biersieders Zum Weißen Haanen und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Jungfrauen Annæ Catharinæ und Mariæ Salome, der Keckin, des in Gott seelig entschlaffenen Herrn mit hernach benanter seiner hinterbliebenen Frau Wittib ehelich erziehler beeder töchter und ab intestato zu Zweÿen gleichlingen portionen und antheilern Verlaßener Erben inventirt, durch die viel Ehren und tugendsahme Frau Annam Mariam gebohrner Braunsmäntelin die hinterbliebene wittib mit assistentz des Edel, Wohl ehrenvest, Großachtbahr und Wohlweißen Herrn Johann Hamels, E.E. großen Raths jetzig wohlverdienten Assessoris und vornehmen burgers allhier ihres geschwornenn Herrn Curatoris (…) geäugt und gezeigt – So beschehen Straßburg auf Mittwoch den 20.ten Aprilis anno 1729.
In einer allhier zu Straßburg jenseit der Schindbrucken ohnfern dem Raaben gelegenen und in dieße Verlassenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, In des gesellen Cammer, In der obern hindern Cammer, Im obern haußöhren, In dero Stub Cammer, In der Wohnstub, In dero stub CammerIm haußöhren, Im Keller
(f° 6-b) Eigenthumb ane Häußern (W.) erstl. eine behaußung ohnfern der Gastherberg Zum Raaben, jenseit der Schindbruck (…)
(T. et E.) It. eine Kleine behaußung mit allen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier in der Statt Straßburg auf dem Uttengängel eins. neben H. Georg Daniel Dürrenberger dem Weinsticher und bierbrauer, anderseit neben hannß Michel Seltz dem taglöhner, hinten auff gedachten H. Dürrenberger stoßend davon reicht man Jährl. 12 ß d term. Michael. bodenzinß so der Statt Straßb. Pfenningthurn, sonsten gegen Männiglichen freÿ Ledig eigen und über dieße beschwährde durch eingangs erwehnte der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe nach besag Abschatzungs Zeduls vom 8. April Anno 1729 æstimirt per 176 lb. Darüber dißorths sich nichts schrifftliches befunden
Abschatzung d. 8. april ao. 1729. auff begehren Weÿland des Ehrenvest. und Vorachtbahren H friederich Keck gewesenen Zingießers seel: hinterlassene frau wittib und Erben, ist eine behausung allhier in der statt Straßburg beÿ dem Raben gelegen, ein Eck Neben dem Ochsen gäßlein anderseits Neben H. Friderich Kraußman Specereÿ händler, hinden auf das wirthshauß zur Carthon stosend, welche behausung, Stuben Cammern, hauß Ehren einne Mit einem herdt und waßerstein bauch offen, Zingießer Werckstatt, gewölbter Keller, gegen der gaßen ein gang Mit steinen plätten belegt sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe sich in der besichtigung befunden, und Jetzigem preiß Nach angeschlagen wird Vor und Umb 1400 Gulden
Der 2.te begriff ist auch allhier in der statt Straßburg auf dem Rutten gängel gelegen, einseits Neben Herrrn Daniel dirrenberger anderseits Neben Hanß Michel Seltz taglöhner, hinden auf schon Ermelten dirrenberger stosend, welche behausung, Stubel Cämmerlein und Küchel sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe sich in der besichtigung befunden, und Jetzigem preiß Nach angeschlagen wird Vor und Umb 400 Gulden, bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werck Meister deß Mauerhoffs
Ergäntzung, Inhalt Inventarÿ in anno 1700 durch Herrn Notarium Johann Kitschen
Abzug, in gegenwärtig Inventarium gehörig, der wittib ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 16, Sa. Werckzeugs zum Zinngießer handwerck gehörig 112, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 10, Sa. Goldener Ring 13, Sa. Eigenthumb ane einer behaußung 671, Sa. Schuldt 75, Sa. der Ergäntzung (558, abgangs 226, Detrahendo remanet) 332 lb, Summa summarum 1231 lb
Der Erben ohnverändert und theilbar Verlassenschafft, Sa. hausraths 89, Sa. gemachter Wrbeit zum Zinngießer handwerck 7, Sa. Wein und Lährer Vaß 7, Sa. Silber geschirr und Geschmeid 38, Sa. Goldener Ring 1, Sa. Eigenthumb ane einer behaußung 176, Sa. Schulden 35, Summa summarum 356 lb – Schulden 576 lb, Übertreffen alßo der Erben ohnverändert und theilbahr zu bezahlend habende Passiva deroselben Vorhandene Activ Massam umb 223 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 1231 lb – Stall Summ 1007 lb – Zweiffelhaffte und verlohne Schulden in das Erbe zugeltend 11 lb
Copia der Eheberedung, zwischen Friderich Kecken ledigem Zinngießer, deß ehrenvest Fürsichtigen und wohlweißen Herrn Michaël Kecken, Küeffer undt Weinhändtlers auch E.E. Großen Raths nunmahligen beÿsitzers ehelichem sohn als hochzeiter an einem, So dann der Ehren: viel tugendsamen Jungfrawen Annæ Catharinæ weÿland deß Ehren Vesten und Weißen Herrn Georg Sigmund Praunsmändls, gewesenen zinngießers und E:E: kleinen Raths Assessoris seeligen nachgelaßenen ehe leiblich. Tochter der Jungfraw Hochzeiterin andern theils (mit beÿstand) Herrn Michaël Kecken des Jüngern Biersieders zum Hirtzen deß hochzeiters bruders, auff der Jungfrawen Hochzeiterin seiten aber Herrn Johann Matthias Schmidtmeÿers Vechhändlers, der Jungfrawen Hochzeiterin geliebten Frawen Mutter Vogts undt Herrn Johann Georg Feiglers, Specierers der Jungfrawen Hochzeiterin Vogts – Straßburg donnerstags den 12. Augusti Anno 1700, Johann Kitsch Notar. publicus
Anne Catherine Braunsmentel meurt en 1733 après avoir légué la maison sise passage d’Uton à sa fille Anne Catherine. L’inventaire est dressé dans une maison de location près de l’auberge au Corbeau, sans doute la même que ci-dessus. L’estimation de la maison est reprise du précédent inventaire. L’actif de la succession s’élève à 1611 livres, le passif à 128 livres.
1733 (19.2.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 36) n° 794
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so Weÿland die Viel Ehren und Tugendreiche Frau Anna Catharina Keckin gebohrne Braunsmäntelin, auch Weÿland des Ehrenvest und Wohlvorgeachten Herrn Friderich Kecken, des geweßenen Zinngießers und burgers allhier nunmehr seel. hinterlassene Wittib nun ebenmäßig seel. als dieselbe Mittwochs den 4.ten dießes Monats Februarÿ dießes Zeitliche in das Ewige Verwechßelt, nach solch ihrem aus dießer Welth genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen – So beschehen Straßburg auf donnerstag den 19.ten Februarÿ Anno 1733.
Die Abgeleibte seelige hat zu Ihren Erben ab intestato Verlaßen wie folgt 1. Frau Annam Catharinam Hauin gebohrne Keckin, herr, Johann Jacob Hauen des Zinngießers und burgers allhier eheliche haußfrau, so dann 2. Frau Mariam Salome Hillerin gebohrne Keckin, herrn Heinrich Hillers des barbierers und Wundartzten zu St: Gallen in der Schweitz eheliche haußfrau welche (…) allhier ohnverburgert als ist in Ihrem Nahmen aus E.E. Kleinen Raths Mittel Crafft Extratcus Memorialis Vom 14. hujus Mensis zu dießem geschäfft in specie Deputiret worden auch hierbeÿ erschienen herr Carl Frantz Hannung der Porcellinmacher und Vor Ehrengedachten Kleinen Raths jetzig Wohlmeritirter Assessor, Alßo beede der seelig verstorbenen, Frauen mit eingangs gedachtem Herrn Friderich Kecken Ihrem geweßenen Hauß würth ebenmäßig seel. ehelich erziehlte töchter und ab intestato zu zweÿen gleichen portionen und antheilern verlaßene Erben.
Copia Codicilli
In einer allhier zu Straßburg jenseit der Schindbrucken, ohnfern der Gastherberg zum Raaben gelegenen und in dieße Verlassenschafft nicht gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, In der obern Cammer, In der Cammer A, In der Cammer B, In der undern Stub, In dero Stub Cammer
Eigenthumb ane einer behaußung (Frauen Annæ Catharinæ Hauin prælegirt) Eine Kleine behaußung mit allen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Statt Straßburg auf dem Uttengängel einseit neben weÿl. H. Georg Daniel Dürrenbergers geweßenen biersieders und E.E. großen Raths alten Assessoris seel. Frau wittib und Erben, anderseit neben hannß Michel Seltz dem taglöhner, hinden auf gedachten H. Rathh. dürrenbergers seel. Frau wittib und Erben stoßend, davon reicht mann Jährl. termini Michaelis 12 ß d bodenzinß der Statt Straßburg Pfenningthurn, Sonsten gegen Männiglichen freÿ Ledig eigen und über Weÿl. H. Friedrich Kecken, geweßenen zinngießers und burgers allhier der rauen seel. geliebten haußwürth auch seel. Verlassenschafft durch mich Notarium in Anno 1729. aufgerichteten Inventario fol: 68 fac. 1.ma über obigen bodenzinß durch der Statt Straßburg geschworne Werckmeister angeschlagenn dabeÿ es auch dißorths gelaßen wird, vor 176 lb. Darüber dißorths sich nichts schrifftliches befunden.
Abzug, in gegenwärtig Inventarium gehörig, Sa. hausraths 94, Sa. Frucht 8, Sa. Lährer Vaß 1, Sa. Silber 5, Sa. Goldener Ring 9, Sa. Eigenthumb ane einer behaußung 176, Sa. Gülth von liegenden güthern 157, Sa. Schulden 1158, Summa summarum 1611 lb – Schulden 128 lb, Detrahendo verbleibt 1482 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 1481 lb, Warvon aber wieder wegzurechnen die auf einigen Rubricen sich befindliche Melioration welche die Verstorbene seel. zuverstallen nicht obligiret war 147 lb, Detrahendo, Stall Summ 1335
Publicatio über Weÿland Frauen Annæ Catharinæ Keckin gebohrner Braunsmäntelin auch Weÿl. Herrn Friderich Kecken des geweßenen Zinngießers und burgers allhier nunmehr seel. hinterlassener wittib nun ebenmäßig seel. Vor mir Notario aufgerichteten Codicilli
Anne Catherine Keck épouse en 1729 le fondeur d’étain Jean Jacques Hau, fils de vitrier : contrat de mariage par lequel la mère cède sa maison proche l’auberge au Corbeau, célébration
1729 (5. Xbr), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 77) n° 218
Heuraths Verschreibung, zwischen dem Ehren: und Wohl Vorgeachten Herrn Johann Jacob Hau, dem Ledigen Zinngießer, des Ehren vnd Wohlvorgeachten Herrn Johann Hauen, des Glaßers vnd burgers allhier zu Straßburg ehelich erziehltem Sohn, als dem bräutigamb ane einem, So dann der Ehren: und tugendsahmen Jungfrauen Anna Catharina Keckin, Weÿland des Ehrenvest vnd Wohlvorgeachten herrn Friedrich Kecken, des geweßenen zinngießers vnd burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen hinterlaßener ehelich erziehlter tochter, als der Jungfrau hochzeiterin ane dem andern theil
Sechstens, hat Frau Anna Catharina Keckin, gebohrne braunsmäntelin, der Jungfer hochzeiterin geliebte frau Mutter, mit Consens Ihres geschwornen herrn Curatoris, dem bräutigamb, als Ihrem zukünfftigen tochtermann, Ihre eigenthümliche jenseit der Schindbruck ohnfern der Gastherberg zum Raaben gelegene behaußung, samt allen deren begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden vnd gerechtigkeiten (…)
auf Montag den 5. Monats tag Decembris im Jahr des Herrn, als mann nach vnßers einigen Erlößers heÿlands vnd Seeligmachers Jesu Christi Geburth vnd menschwerdung Zahlte 1729, Johann Lobstein, Notarius juratus
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 221, n° 5)
1730 – Mittwoch den 10. Maÿ seind nach zweÿmahliger proclamation (…) in den Ehestand eingesegnet word. Johann Jacob Haw der ledige Zinngießer u. burger allhier u. Jgfr. Anna Catharina, weil. Friderich Kecken, deß zinngießers und burgers allhier hinterlassene ehl. Tochter, [unterzeichnet] Johann Jacob Hau als bräutigam, anna Catharina Keckin alß braut, Johann Hau als Vatter
Jean Jacques Hau s’adresse aux Quinze le 21 janvier 1730. Il expose qu’il a appris le métier de fondeur d’étain chez Jean Frédéric Keck puis a fait son tour de compagnon pendant neuf ans. Il a l’intention d’épouser la fille de son maître mais le corps des fondeurs ne l’admet pas à présenter son chef d’œuvre parce qu’il n’a pas terminé ses années d’épreuve. Il demande aussi l’autorisation de faire son chef d’œuvre dans la maison de feu son maître où il travaille. Les fondeurs déclarent que le pétitionnaire a encore la moitié des années d’épreuve à faire mais qu’ils n’ont rien à objecter contre lui. Les Quinze autorisent Jean Jacques Hau (1) à faire son chef d’œuvre (2) dans la maison de feu son maître à condition de rembourser les frais et de verser trois livres dont la moitié revient à la Ville et l’autre moitié au corps de métier.
1730, Protocole des Quinze (2 R 136)
(p. 5) Sambstag den 21. Januarÿ 1730. – Johann Jacob Haug Ca. E. E. Meisterschafft der Zinngießer
Gug nôe Johann Jacob Haug Cir. E. E. Meisterschafft der Zinngießer Ober Meister Andres Müller burger und Zinngießer erhohlt prod. vom 31. Xbris jüngst bitt Deput. Moss. bitt auch Deput. Erk. Obere Handwerck herren.
(p. 15) Sambstag d. 28. Januarÿ 1730. – Johann Jacob Haw Ca. E. E. Meisterschafft der Zinngießer
Obere Handwerck herren laßen durch herrn Secret. Kleinclauß referiren, daß Johann Jacob Haw der ledige Zinngießer und burger allhier contra E. E. Meisterschafft der allhießigen Zinngießer den 31. Xbris jüngst ein unterthänig Memoriale und bitten mit beÿlag N° 1 eingelegt, inhalt welches er vorstellet daß er sothanes handwerck beÿ weÿl. Johann Friderich Kecken allhier ordnungs meßig gelernet, so fort Neun Jahr gewandert, und seÿe nun entschloßen, sich mit ged. seines Lehrmeisters Tochter sich zu Verheurathen, vor allen dingen aber daß Meisterstück Zumachen, Zu welchem ende er den 21. ged. Monaths Xbris laut Extractus N° 1 beÿ E. E. Meisterschafft der Zinngießer Vorgestand. und gebetten Ihme das Meisterstück auffzugeben, Weil er aber die Jahr nach inhalt der Articul nicht verarbeitet seÿe er ab: und an Mgh. Verwießen worden Weilen aber in angeregtem Articul Klahr stehe daß der welcher sich an eine hießige Meisters Tochter Verheurathe eine præferenz haben solle, alß bäthe er Deput. Zu Willfahren et facta Relatione Ihne zu Verfertigung des Meisterstücks, und Zwahr in besagten seines Verstorbenen Meisters hauß, allwo er dato in arbeit stehe, gnädig Zu admittiren,
Worauffhin gedachte Meisterschafft umb Deputation gebetten, die auch willfahrt undt Kürtzlich beseßen worden, da der Implorant sein petitum wiederhohlet, Nahmens E E. Meisterschafft seÿen Vorgestanden Andres Müler alß Ober Meister, Niclaus Bolgau und Johann David Isehenheim, welche geantwortet Gegner habe Zwahr annoch ohngefehr ein Jahr zu Verarbeithen, Weilen er aber eines Meisters tochter heurathe, so erschwähre Ihme die Meisterschafft sein begehren nicht, sondern consentire in beede puncten dieselbe bäthe aber den Gegner anzuhalten Ihro die dißfalls gehabte unkosten Zu refundiren, anzuhalten. Beÿ welcher beschaffenheit davor gehalten werden, daß dem Imploranten in seinem begehren so wohl wegen der admission Zum Meisterstück, alß auch wegen Verfertigung des Meisterstücks in seines Verstorbenen Meisters behaußung dispensando Zu willfahren seÿe, jedoch mit den angang, daß s(elbiger) pro Dispensatione dreÿ pfund d halb der Statt und halb dem handwerck, beneben den angeloffenen unkosten Salvâ taxâ Zu erlegen schuldig sein solle. Die genehmhaltung Zu MGhh. stellend. Erk. Bedacht gefolgt.
(p. 66) Sambstag d. 25. febr.
Bescheid. Sambstag d. 28. Januarÿ 1730. In Sachen Johann Jacob Haw des ledigen Zinngießers undt burgers allhier Imploranten ane einem, entgegen und wider E. E. Meisterschafft der allhießigen Zinngießer Imploraten, andern theil, Auff producirtes Undthges. Memoriale mit beÿlag N° 1 und beÿgefügten bitten Deputationem zu erkennen et facta Relatione Ihne den Imploranten dispensando von denen noch zu verarbeiten habenden jahren gnädig Zue befreÿen, und zu Verfertigung des Meisterstücks in seines Verstorbenen Meisters weÿl. Johann Friderich Kecken hauß, allwo er dato in arbeit stehe, gnädig Zu admittiren, der Imploraten beÿ erkandten und gehaltener Conferenz darüber gethane Verantwortung auch all übriges vor: und Anbringen isr der Hh ? deputaten abgelegten relatione nach mit Urthel Zu recht erkandt, daß dem Imploranten in seinem begehren, so wohl wegen admission und verfertigung des Meisterstücks, in seines Verstorbenen Meisters behaußung dispensando Zu willfahren seÿe, jedoch mit den angang, daß selbiger pro Dispensatione dreÿ pfund halb der Statt und halb dem handwerck, beneben den angeloffenen unkosten Salvâ taxâ Zu erlegen schuldig sein solle.
Jean Jacques Hau meurt en 1752 en délaissant un fils. L’inventaire est dressé dans la maison proche l’auberge au Corbeau. Les experts estiment 195 livres la maison sise passage d’Uton. La masse propre à la veuve s’élève à 444 livres, celle des héritiers à 79 livres. L’actif de la communauté s’élève à 721 livres et le passif à 937 livres
1752 (21. Xbr), Not. Lobstein (6 E 41, 786) n° 20
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab Nahrung und Güthere, so weÿland der Wohl Ehren: und Wohl Vorachtbahre herr Johann Jacob Hau, der geweßene Zinngießer und Burger allhier zu Straßburg nun seel. nach seinem den 26. 7.br 1752 dießes zu end lauffenden 1752.sten Jahrs aus dießer Welth genommenen tödl. hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen, Erfordern und Begehren des Ehren: und Wohl Vorgeachten herrn Johann Daniel Hau, des Kieffers und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Friedrich Jacob Hauen des leedigen Zinngießers Gesellen, des abgeleibten seel. mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlten Sohns und ab intestato Verlaßenen einigen Universal Erben, ersucht und inventirt durch die Viel Ehren: und tugendsame frau Annam Catharinam geb. Keckin, die hinterbliebene Wittib, beÿständlich des Wohl Ehren: und Großachtbahr auch weißen H. Johann Keck des biersieders und E: E: Großen Raths jetzig Wohlmertirten H. Assessoris dero geschwornen herrn Vogts – So beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 21. Xbris 1752.
In einer allhier zu Straßburg nahe beÿm Raaben gelegen und der hinterbliebenen W. vor ohnverändert gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
Eigenthumb ane häusern. (W.) Eine behaußung sambt allen deren Begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier in der Statt Straßburg ohnfern der Gastbehausung zum Raaben, jenseith der Schindbruck (…)
(W.) It. ein Kleine behaußung mit allen deren Begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Statt Straßburg auf dem Uttengängel 1.s neben H. N Meltzheimer 2.s neben Johann Michael Seltz dem taglöhner hinten auf herrn Rathh. Dürrenbergers seel. Erben stoßend, davon reicht man Jährlichen termino Michaelis 12 ß d bodenzinß der Stadt Straßburg Pfenningthurn, sonsten gegen männiglichen freÿ leedig eigen und über dieße beschwärde durch Vorgedachte der Statt Straßburg geschworne Werck Meister laut Abschatzung Zeduls vom 3.ten Januarÿ hujus Anni æstimirt und angeschlagen pro 195. Es hat die hinterbliebene frau wittib dieße behaußung Von dero frau Mutter seel. in A° 1733 geerbet, wobeÿ sich aber dißorths nichts weiter schrifftlichen hervorgethan.
Werckzeug Zur Zinngießer Profession gehörig (…)
Ergäntzung der Wittib durante matrimonio abgegangnen ohnveränderten Guths. besag Mütterlichen theil registers dh. Herrn Notarii Johann Lobstein in A° 1733. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 28 lb, Sa. Werckzeug 66 lb, Sa. Silbers 15 ß, Sa. des goldenen Ringleins 1 lb, Sa. Eigenthum ane Häußern 758 lb, Sa. gulth von liegenden güthern 49 lb, Sa. schulden 87 lb, Summa summarum 992 lb – Schulden 548 lb, In Vergleichung 444 lb
des Erben ohnverändert Vermögen, Sa. Kleÿdung und weißen gezeugs 10 lb, Sa. Silbergeschirrs 6 lb, Sa. Ergäntzung 150 lb, Summa summarum 166 lb – Schulden 87 lb, Nach solchem abzug 79 lb
Theilbar Guth, Sa. hausraths 25 lb, Sa. frucht 12 lb, Sa. Silbers 6 lb, Sa. baarschafft 138 lb, Sa. Schulden 534 lb, Sa. Werckzeug Zur Zinngießer Profession gehörig 3 lb, Summa summarum 721 lb – Schulden 937 lb, In Vergleichung 216 lb – Stall summ 307 lb
Notanda Wegen weÿl. Hn Johann Jacob hauern sseligen Verlaßenschafft. Weilen beÿ gegenwärtiger Verlaßenschafft Inventation sichgeäußert, daß beede Zertrennte Eheleuthe nicht in die Ehe inventirt haben, dahero man beÿ dißorths nicht wißen Können, was einem jeeden für ohnverändert Zugeschrieben werden solte, die Wittib auch über dießes anzeigte daß deri in die Ehe gebrachtes Vermögen sehr gering war (…)
Copia Heuraths Verschreibung (…) auf Montag den 5. Monats tag Decembris im Jahr des Herrn, als mann nach vnßers einigen Erlößers heÿlands vnd Seeligmachers Jesu Christi Geburth vnd menschwerdung Zahlte 1729, Johann Lobstein, Notarius juratus
Anne Catherine Keck veuve de Jean Jacques Hau fait donation de ses biens au farinier Jean Jacques Kuhn et à sa femme Anne Dorothée Debus (voir aussi l’inventaire dressé en 1776 qui décrit l’usufruit dont jouissait Marie Barbe Weissand veuve de Frédéric Jacques Hau du chef de sa belle-mère)
1772 (12.2.), Not. Laquiante (6 E 41, 1042) n° 26 bis
Donation ente vifs pure et simple et irrévocable – Anne Catherine Keck veuve de Jean Jacob Hau potier d’étain assitée de Jean Daniel Hammerer substitut de la Chancellerie
Sr Jean Jacob Kuhn marchand farinier et Anne Dorothée Debus
1. la propriété de tous les meubles meublants (…) ; 2. de la maison qu’elle possede en cette ville pres de l’hotellerie du Corbeau, d’un côté la rue dite Rabengeßel d’autre De Rosette devant rue communale derrière au canon d’or a la De Rossette
3. de la maison qu’elle possede en cette ville canton auf dem weysen graben, d’un côté la De Meltzen d’autre le Sr Schultz devant le quay dit weysen grebel derrière des jardins
[in fine:] 13. fév. ratifiication, l’épouse assitée de Jean Christmann farinier et de Jean Michel Rose tailleur
Originaire de Quatzenheim, Jacques Kuhn termine en 1746 son apprentissage de trois ans auprès du meunier aux Huit tournants Jean Philippe Schlæber. Il demande en 1751 un certificat pour pouvoir accéder à la bourgeoisie.
1746, Protocole de la tribu de la Lanterne (XI 211)
(f° 190) Kauffgericht Gehalten den 4. Maÿ 1746 – Jacob Kuhn der Leedige müller von quatzenhm. bittet Ihme seine beÿ H. Joh: Philipp Schläber dem achträder Müller von 22. Maÿ 1743. bis dato 1746. außgestandene Lehrjung vorzuschreiben,
Erkandt, gegen Erlag der gebühr willfahret.
Jean Jacques Kuhn épouse en 1751 Marguerite Madeleine Schmid veuve du farinier Jean Jacques Debus : contrat de mariage, célébration
1751 (31.7.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 425) n° 193
Eheberedung – entzwischen dem Ehren: und vorachtbahren Herrn Johann Jacob Kuhn, Ledigem Müller, des Ehren: und Vorachtbahren herrn Andreä Kuhn, des Stabhalters und burgers Zu Quatzenheim ehelich erzeugtem Sohn, als dem bräutigamn ane einem,
So dann der Ehren: und tugendsamen Frauen Margaretha Magdalena Debußin gebohrner Schmidin, weÿland des Ehren: und Vorachtbahren Herrn Johann Jacob Debus, des gewesenen Meelmanns und burgers allhier zu Straßburg nachgelaßener Wittib als der Frauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg auf Sambstag den 21. Julÿ Anno 1751 [unterzeichnet] Joh Jacob kuhn als hoch zeitder, margreda magdalena debesen Als hich Zeüterün
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 200-v)
1751. Dom: IX et X Trinit: wurd. proclamirt u. Mittwoch d. 19. Aug. copulirt Joh: Jacob Kuhn, lediger Müller geb. zu Quatzenheim Edelmännischer Herrschafft Andreas Kuhn Stabhalter daselbst ehel. Sohn u. Fr. Margaretha Magdalena geb. Schmidtin weÿl. Joh: Jacob Debus gew. Meelmanns u. b. h.l. hinterl. wittwe [unterzeichnet] Johann Jacob Kuhn als hochzeiter, margreda maddalena debsen hochzeiterin [in margine:] + d. 6. Jul. 1756
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison de location rue des Bouchers. Les apports du mari s’élèvent à 26 livres, ceux de la femme à 415 livres.
1751 (23.9.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 374) n° 458
Inventarium über des Ehren: und Wohlvorachtbahren herrn Johann Jacob Kuhn, des Meelhändlers und der Ehren und Tugendsahmen Frauen Margarethä Magdalenä Kuhnin gebohrner Schmidin beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1751. – Welche der ursachen alldieweilen in Ihrer beeder Eheleuthe ohnlängst mit einander auffgerichteten heuraths verschreibung expresse enthalten, daß eines jeeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle – So beschehen in Straßburg auf Sambstag den 23. Septembris Anno 1751.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Metzgergießen gelegenen in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden wie folgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 4, Sa. Frucht 29, Sa. Weins 13, Sa. Silbers 9, Summa summarum 56 lb – Hievonn aber seind hernachstehende aus des Ehemanns in die Ehe gebrachter Nahrung zu bezahlende Schulden wieder in abgang Zubringen 47. lb, Detrahendo Verbleibt 9 lb, Hierzu Kombt ferner der Ihme gebührige halbetheil ane denen Verehrten haußsteuren 17 lb – Des Ehemanns völlig in die Ehe gebracht Guth in vero pretio 26 lb
Dießemnach Wird nun auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung beschrieben. Sa. haußraths 135, Sa. Schiff und geschirr zuem Meelhandel gehörig 28, Sa. Früchten, meels und Gekörns 135, Sa. Silbers 11, Sa.goldener Ring 3, Sa. baarschafft 111, Summa summarum 486 – Schulden 87, Nach deren Abzug 398 lb, Darzu ist ferner Zurechnen die Ihro zuständige helffte ane denen Verehren haußsteuren 17 lb, Der Ehefrau völliig in die Ehe gebracht Vermögen 415 lb
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Frau Agatha Schmidin gebohrne Fuhrmännin Weÿland herrn Johann Jacob Schmig geweßenen Fastenspeishändlers und Schirms Verwanthen alhier Zu Straßburg nunmehr seelig
Jean Jacques Kuhn de Quatzenheim acquiert le droit de bourgeoisie par sa femme le 8 novembre 1751.
1751, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 470
Johann Jacob Kuhn der Müller Von Quatzenheim gebürtig erhalt des burgerrecht von seiner Ehefrau margretha Magdalena weÿl. Joh: Jacob debus geweß. burgers und Meelmanns hinterl. wittib umb den alten burger schilling, will dienen beÿ E. E. Zunfft Zur Lucern. Jur. d. 8. 9.bris 1751.
Il devient tributaire en 1752 et acquiert le droit de vannage.
1746, Protocole de la tribu de la Lanterne (XI 211)
(f° 404) Kauffgericht Gehalten den 6. Aug. 1751 – Joh: Jacob Kuhn d. Leedige müller gebürtig zu Quatzenh. bittet Ihme schein Zu Ertheÿllen, daß er nach Erhaltenen Burgerrecht dießes orthß Vndter denen Müllern Leibzünfftig Könne werden. Erkandt seÿe dem Comparenten Zu Willfahren.
(f° 405-v) Heut dato den 10.ten Jan. 1752 – Johann Jacob Kuhn der Müller gebürtig Zu Quatzenheim prod. Statt Stall und Pfenningthurns schein Vermög deßen Er dießes orths undter denen Müllern begehret leibzünfftig zu werden.
Erkannt Willfahrt. Idem begehrt deßen Vorfahrers Wannen recht so Ihme gleichfalls willfaht.
Jean Jacques Kuhn devient cotisant chez les Boulangers pour obtenir le droit de semoule et de farine
1751, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 11)
(f° 54-v) Mittwoch den 15. Decembris 1751 – Geldzünfftiger
Johann Jacob Kuhn der Müller von Quatzenheim producirt burger Urkundt und Zunfft Schein von E. E. Zunfft Lucern, allwo Er leibzünfftig, bittet umb das Grieß: und Meelrecht, und Will dahier geldeünfftig werden, Bittet undt Erkand ut supra [seÿe ihme in seinem petito gegen der Gebühr nach ordnung Zu Willfahren]
Marguerite Madeleine Schmid meurt en 1756 en délaissant deux filles de son premier mariage et deux enfants du deuxième. La défunte a droit aux biens dont sa mère Agathe Fuhrmann veuve du manant et marchand de fruits et légumes Jean Jacques Schmid a l’usufruit viager. La masse propre au veuf s’élève à 42 livres, celle des héritiers à 297 livres. L’actif de la communauté s’élève à 305 livres, le passif à 383 livres
1756 (26.8.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 387) n° 678
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren und tugendsahmen Frauen Margarethä Magdalenä Kuhnin gebohrner Schmidin, des Ehren und Wohl vorachtbahren herrn Johann Jacob Kuhn des Meelhändlers und burgers allhier geweßener Ehegattin nunmehr seeligen Verlassenschafft, auffgerichtet Anno 1756 – nach deme dieselbe dienstags den 6.ten Julÿ dießes lauffenden 1756.sten Jahrs dieses Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer Welth genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen hinter sich Verlaßen – So beschehen in Straßburg auf donnerstags den 26. Augusti anno 1756
Die Abgeleibte seelige hat zu Ihren Erben ab intestato Verlaßen, wie folgt, 1.mo Margaretham Salome Debußin, 2.do Annam Mariam Debußin, dieße beede der seelig Verstorbenen in Erster Ehe mit auch Weÿland Herrn Johann Jacob Debus dem geweßenen Meelhändlers und burgers allhier ehelich erzielhte töchtere, deren geschworner Vogt Herr Andreas Dürr der Meelhändler und burger allhier, welcher im Nahmen seiner beeden Vogts töchtere in Persohn dem geschäft abwartete
3.tio Johann Jacob Kuhn, so dann 4.to Mariam Salome Kuhnin, dieße beede der in Gott seelig entschlaffenen in Letßter ehe mit eingangs gedachtem herrn Johann Jacob Kuhn Ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeugte Kinder deren geschworner Vogt Herr Johannes Christmann der jüngere auch Meelhändler und burger allhier, welcher ebenmäßig im Nahmen seiner Curanden sich in Persohn beÿ dießem geschäfft eingefunden.
Alßo alle Vier der Abgelebten Frauen seeligen in Zwoen Ehen ehelich erzihlte Kinder und ab intestato zu Vier gleichen portionen und Stammtheilern verlaßenen Rechtsmäßige Erben.
In einer allhier au Straßburg ane dem Metzgergießen gelegenen in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Ergäntzung des Wittibers abgegangenen unveränderten Guths. Vermög Inventarÿ durch mich Notarium in Anno 1751. augferichtet
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Frau Agatha Schmidin gebohrne Fuhrmännin weÿland herrn Johann Jacob Schmid geweßenen Fastenspeishändlers und Schirms Verwanthen allhier zu Straßburg nunmehr seeligen hinterlaßene wittib, der Verstorbenen seeligen ehe leibliche Mutter von gedachtem Ihrem Verstorbenen Ehemann seeligen ad dies vitæ zu usufruiren hat – in dem vor weÿland Herrn Notario Jacob Christoph Pantrion den 4. Maji Anno 1710 aufgerichteten und den 13. Aprilis anno 1741 durch herrn Notarium Johann Brackenhoffer außgefertigten Codicillo reciproco paragrapho secundo den völligen Usufructum Nutz, Nieß und Gebrauch aller seiner nach tod Verlaßene Haab Nahrung und guetheren (…) verschrieben, so zufolg des über seine Verlaßenschafft den 22. Junÿ anno 1743 durch Herrn Lt Johann Peter von Carben E:E: kleinen Raths Actuarium gefertigten Inventarÿ fol: 90 fac: 2.da (…) in vero pretio antrifft 719 lb
Davon ist finito usufructu vermög des am 1.ten Aprilis Anno 1743. vor Herrn Notario Johann Brackenhoffer aufgerichteten Codicilli et Respectivé Disposition inter Liberos paragrapho tertio Frauen Annä Mariä Christmännin gebohrner Schmidin herrn Johann Christmann deß Jüngern Meelmanns und burgers allhier Ehefrauen der einen tochter zum Prælegat gebührig 100 lb so ist beÿde eltern aus theilbare Nahrung bestimmtes Vor die Vätterlich zween dritte theil 66 lb, Nach deren Abzug Restiret annoch so auf begebende Wÿdumbsfall denen gesambten Fünff Kindern zugleichen antheilern anheimfällig 652 lb – Macht daran dißorths der Verstorbenen seeligen Ihren nachgelaßenen Erben vor einem Fünfften theil 130 lb
Wÿdemb Welchen die seelig Verstorbenen von auch Weÿland Herrn Johann Jacob Debus dem geweßenen Meelmann und burger allhier Ihrem Erstern ehemann biß an Ihr seeligen absterben genoßen hat – in seinem den 6.ten Septembris Anno 1748 Vor mir Notario aufgerichteten codicilli §° 2.do
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Wittibers ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 1, Sa. silbers 3, Sa. Schuld 25, Erg. Rest 12, Summa summarum 42 lb
der Erben ohnveränderte Nahrung, Sa. hausraths 57, Sa. Schiff und geschirrs zum Meelhandel gehörig 9, Sa. silbers 3, Sa. Goldener Rings 1, Erg. Rest 346 lb, Summa summarum 418 lb – Schulden 121 lb, Detrahendo verbleibt 297 lb
das gemein verändert und theilbahr Guth, Sa. hausraths 12, Sa. Schiff und geschirr Zum Meelhandel gehörig 3, Sa. Früchten 59, Sa. Wein und Lähren Faßes 4, Sa. silbers 4 ß, Sa. baarschafft 196, Sa. Schulden 28, Summa summarum 305 lb – Schulden 383 lb, Theilbahres Passiv onus der Stall tax æstimation nach 78 lb – Stall Summ et Conclusio finalis Inventarÿ 283 lb
Copia Eheberedung
Jean Jacques Kuhn se remarie avec Marie Dorothée Debus, fille du boulanger Jean Jacques Debus : contrat de mariage, célébration. L’épouse est issue du mariage de Jean Jacques Debus et de sa première femme Marie Marguerite Weiss ; Marguerite Madeleine Schmid a été sa deuxième femme
1757 (14.11), Not. Dinckel (6 E 41, 426) n° 294
(Eheberedung) zwischen dem Ehren und wohl vorachtbahren Herrn Johann Jacob Kuhn, dem Meelhändler, wittiber und burgern allhier als dem bräutigam an einem
So dann der viel Ehren und Tugendbegabten Jungfrauen Maria Dorothea Debußin, Weÿland des Ehren und Wohlvorachtbahren Johann Jacob Debus des geweßenen Weißbecken und burgers allhier mit auch Weÿland Frauen Maria Margaretha gebohrner Weißin beeder nunmehr seeligen ehelich erziehlter tochter als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 17. Novembris Anno 1757 [unterzeichnet] Johann Jacob kuhn als hozeiter, M D D der hochzeiterin handzeichen
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 215-v)
1757 – Domin: XXIV Trinit: et I. Adventus proclamati, Mittwoch f. S. Andreæ 30. IX.bris copulati Joh: Jacob Kuhn, Verwittibter Meelhändler u. b. hl. u. Jgfr. Maria Dorothea, weÿl. Joh: Jacob Debus, gew. becken u. b. h. l. ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Kuhn als hochzeiter, x ist der Jgfr. hochzeiterin handzeichen
Inventaire dressé après la mort d’une locataire, Anne Marie Metz, femme du manant et apprêteur de tabac André Streicher
1761 (11.8.), E 5788 (A)
Inventarium über Weÿl. der tugendsamen Anna Maria Streicherin geb. Mertzin des Ersam v. bescheidenen Andres Streicher des tabackbereiters v. Schirmsverwanthen hausfrau, nach ihrem den 19. julÿ Jüngst jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt ; auff ansuchen Frantz Kaÿßer des Tagners v. Schirmers als geordnet und geschworenen vogts Maria Magdalena Frommin der Verst. seel. mit auch weÿl. Martin Fromm dem Tagner v. schirms Verwanthen seel. erzeugten ohngefehr 10 Jährigen töchterleins v. ab intestato hinterlassenen erbin
Bericht, keine Eheberedung viel weniger ihr beeder seiths zuständig gebrachtes inventiren laßen
In einer ane dem Waÿßengräbel gelegener behaußung
Schulden aus der Nahrung zu bezalend, It. Fraun Annä Cath. Hauin Wittib solle man ane haußzinß v. ann. Mariæ biß Joh: Bapt. 1 lb 12 ß 6
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Wittibers unverändert Vermögen, hausrath 16 ß, der erbin unveränderte nahrung, hausrath 6 lb, silbers 14 ß, summa summarum 7 lb lb,
das gemein v. theilbar Guth, hausrath 35 lb, silbers 9 ß, summa summarum 36 lb – Schulden 26 lb, Nach deren Abzug 9 lb – Conclusio finalis 17 lb
Marie Dorothée Debus meurt en 1775 en laissant des héritiers collatéraux. L’inventaire est dressé dans une maison près de l’auberge du Corbeau. Les experts estiment 101 livres la maison passage d’Uton. La masse propre au veuf présente un déficit de 301 livres, celle des héritiers de 544 livres. L’actif de la communauté s’élève à 608 livres, le passif à 1 651 livres
1776 (8.7.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 420) n° 1343
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren: und Tugendbegabten Frauen Mariä Dorotheä Kuhnin gebohrner Debusin, des Ehren und Wohlvorachtbahren herrn Johann Jacob Kuhn, des Meelhändlers und burgers allhier zu Straßburg geweßener Ehefrauen nunmehr seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1776 – nach deme dieselbe dienstags den 19. Septembris des zurückgelegten 1775. Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt nach solch Ihrem aus dießer Welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen hinter sich verlaßen – So beschehen in Straßburg auf Donnerstag deb 23. Maji anno 1776.
Die seelig verstorbene hat zu ihren Erben ab intestato verlaßen als folgt. 1° Weÿland Herrn Johann Jacob Debus des geweßenen Meelhändlers und burgers allhier zu Straßburg längst seel. hinterlaßene mit auch Weÿland Frauen Margaretha Magdalena gebohrner Schmidin ebenmäßig seel. ehelich erziehlte zwo töchtere nahmentlich Jungfer Margaretham Debusin und Jungfer Annam Mariam Debusin, deren geschworner annoch ohnentledigter vogt ist H. Johann Friderich Pfähler der Fastenspeishändler und burger allhier (…), 2.do Frau Margaretham Millin gebohrne Debußin, Weÿland Mstr Andres Mill des geweßenen Küblers und burgers allhier seel. nachgelaßene Wb. welche sich in Persohn beÿ dießem Geschäfft eingefunden, 3.tio Frau Annam Catharinam Götzin gebohrne Debusin, Mstr Jacob Frantz Götz des Schumachers und burgers allhier Ehefrau, welche mit beÿhülff und unter autorisation besagten ihres Ehemanns in Persohn dießem Geschäfft erschienen, So dann 4.to Jungfer Annam Mariam Debußin Weÿl. H. Johann Jacob Debus des geweßenen Weißbecken und burgers allhier mit auch Weÿl. Fr. Maria Margaretha geb. Weißin beeder längst seel. ehelich erziehlte Tochter, so Majorennis und in Person præsens ware (…), Also alle der abgelebten seel. ehe leibliche Schwestern und respectivé bruders Kinder, als deroselben ab intestato zu 4. gleichen portionen und Stammtheilern verlaßene rechtsmäßigen Erben
In einer allhier zu Straßburg jenseit der Schindbruck am Staden ohnfern der Gast behausung Zum Raaben gelegenen in dieße verlassenschafft gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden als folgt
Antheil ane Häußern (W.) Erstl. der halbe theil für ohnvertheilt von und ane einer behaußung ohnfern dem Raaben gegen der Schindbruck (…)
(W.) It. der halbe theil für ohnvertheilt von und ane einer behaußung und hoffstatt mit allen deren gebäuen, begriffen, Weithen, zugehördten, Rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg ane der Vorstatt auf dem Utten gängel oder Waÿßengraben, einseit neben Herrn von Meltzheim, dem Rothgerber, anderseit neben Herrn Schultz, hinden auf einen garten, Weÿland Herrn Gerhard Walthers geweßenen Glaßhändlers und E. E. Großen Raths beÿsiters seeligen Frau Wittib und Erben gehörig stoßend von dießer gantzen behaußung reicht mann Jährlichen Löbl. statt Straßburg Pfenningthurn 12 ß ane bodenzinß sonsten ist dieselbe vor freÿ Leedig und eigen durch vorgedachte der Statt Straßburg herrn Werck Meistere inhalt besagten Abschatzungs Zeduls vom 1.ten Junÿ anno 1776 æstimirt vor 101 lb. Thut daran der hiehero gehörige halbe theil 50. 10. Vorhero beschriebene beede Häußer seind Von Frauen Anna Catharina Hauin gebohrner Keckin Weÿland herrn Johann Jacob Hau, geweßenen Zinngießers und burgers allhier nunmehr seeligen nachgelaßener wittib nun ebenmäßig seeligen nach besagt einer vor Herrn Laquiante dem Königlichen Notario allhier am 12.ten et 13.ten februarÿ Anno 1772 errichteten und den 19.ten ejudsem Zufolg E.E. Großen Raths allhier Erkandnus deßen Protocollo einverleibten donation und respective Lebgedings beneben allen Ihren gehabte Mobilien denen dißortig gewesenen beeden Eheleuthen und Zwar nicht in Ihre theilbahre Nahrung sondern einem Jeden derselben insonderheit zur helffte für ohnverändert gegen Ihrer Lebenlänglichen Unterhaltung und Abrichtung Ihrer sambtlichen Passiv- Schulden eigenthümlichen donirt, geschenckt und cedirt, dahero davon dem wittiber die eine helffte davon und hernach fol. fac: et seqq. denen Erben die andrer helffte füt ohnverändert zugeschrieben worden
(E.) It. der halbe theil für ohnvertheilt (…) gegen der Schindbruck hinüber
(E.) die andere aber ane der Vorstatt auf dem Uttengängel oder Waÿßengraben liegend, so über 12 ß Löbl. statt Straßburg Pfenningthurn Jährlichen zu reichen habenden bodenzinßes vor freÿ Ledig und eigen angeschlagen für 101 lb. Macht dißorts zum halben theil 50. 10.
Vermög der hieoben allegirten durch Herrn Laquiante Königlichen Notarium allhier errichteten donation und respectivé Leibgedings de datis 12.ten et 13.ten februarÿ Anno 1772 so den 19.ten ejudsem Krafft E.E. Großen Raths allhier Erkandnus deßen Protocollo inserirt worden.
Ergäntzung des Wittibers abgegangenen ohnveränderten Guths, Inhalt Inventarÿ über Weÿland Fraun Margarethä Magdalenä Kuhnin gebohrner Schmidin des Wittibers geweßenen Erstern Ehegattin seeligen verlassenschafft durch mich Notarium in Anno 1756. aufgerichtet
Wÿdembs Verfangenschafft Welche Frau Maria Barbara Hauin gebohrne Weißandin, Weÿland herrn Friderich Jacob Hau geweßenen Zinngießers und burgers allhier nachgelaßene wittib von besagtem Ihrem verstorbenen Ehemann und deßen ehe leiblichen Mutter seeligen so lang sie im wittibstand Verbleiben wird, zugenießen hat, deroselben ist in Ihrer mit besagtem Ihrem verstorbenen ehemann seeligen am 12. octobris 1759. vor herrn notario Johann Friderich Lobstein aufgerichteten Eheberedung §° 7.mo von Weÿland Fraun Anna Catharina Hauin gebohrner Keckin Ihrer nunmehr seeligen verstorbenen Schwiegermutter in Ihrer ohnfern dem Gast behausung zum Raaben gegen der Schindbruck hinüber Liegenden behaußung (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Wittibers ohnverändert Vermögen, Sa. häußern 223, Erg. Rest 554, Summa summarum 777 lb – Schulden 1079 lb, In Vergleichung, Passiv onus 301 lb
Dießemnach wwird auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. Kleÿdung und weißengezeugs 8, Sa. Goldener Rings 15 ß, Sa. Antheils ane häußern 223, Summa summarum 232 lb – Schulden 777, Passiv schulden rest dem Stall tax nach 544 lb
Endlichen wird nun auch das gemein verändert und theilbahr guth beschrieben, Sa. hausraths 63, Sa. Schiff und geschirr so zum Meelhandel gehörig 11, Sa. Frucht, Meel und Gekörns 49, Sa. silbers 1, Sa. baarschafft 25, Sa. Schulden in das Erbe zugeltend 456, Summa summarum 608 lb – Schulden 1651 lb, Theilbahres Passiv onus dem Stallanschlag nach 1042 lb – Mehr Schulden als Nahrung dem Stall pretio nach 1194 lb
Summa Ungewiß und zweiffelhaffte Schuld in das Erbe Zugeltend 78 lb
Copia der Eheberedung
(Joint) persönlich kommen und erschienen Maria Margaretha gebohrne Debes weÿl. Andreas müller gewesten burgers und Küblermeister allhier zu Straßburg hinterlasene Wittib, anna Catharina geb. Debes H. Jacob Frantz Götzen des burgers uss Schuhmachers allhier Ehefrau, so dann Anna Maria Debes die leedige majorenne burgers tochter von hier unter beÿständung H. Carl Imbsen des practicanten hierselbst, die samtliche dreÿ als Erbsnehmere und Zwar eine jeedefür einen Vierdten theil (…)
La maison revient au sellier Joachim Frédéric Lorentz par sa deuxième femme Marie Salomé Kuhn
Originaire de Schlawe en Poméranie postérieure (aujourd’hui Sławno), Joachim Frédéric Lorentz demande son inscription aux années d’épreuve. Le corps des selliers refuse parce que le certificat de baptême n’est pas réglementaire.
1769, Protocole de la tribu des Tanneurs (selliers, XI 371, 1755-1790)
(f° 640-v) Freÿtags den 3. Novembris 1769 – Joachim Friderich Lorentz, der ledige Sattl. von Schlage in hinter Pommern gebürtig, stehet vor und bittet denselben in die Muthjahr einzuschreiben, um selbige nach Articulmäsiger Ordnung, beÿ ein oder zween Meistern wo er Platz finden würde, verarbeiten zu können. In instanti producirte derselbe auch seinen Geburts und Lehrbrief.
Erkant. Weilen deßer Geburtsbrief sich nicht in der Ordnung befindet, welches um Erweiß seiner Eltern, des Alters und der Religion durch den Tauff Schein erforderlich ist, so seÿe derselbe mit seinem Gesuch der Einschreibung in die Muthjahr noch Zur Zeit und biß zu seiner behörigen Legitimation abzuweißen (dd. 15. ß hdwk)
Joachim Frédéric Lorentz sollicite auprès des Quinze son inscription aux années d’épreuve bien que son certificat de baptême ne soit pas valide. Le corps de métier déclare que les maîtres sont déjà fort nombreux et qu’ils ont moins de travail depuis que le marché des régiments leur échappe. La commission constate que les pièces que produit le pétitionnaire établissent indubitablement sa naissance légitime, qu’il est de notoriété publique qu’il est interdit aux pasteurs prussiens d’établir des certificats de baptême et que par ailleurs le soupçon de désertion n’est pas convainquant puisque tous les garçons sont inscrits au rôle des armées dès leur naissance. Les Quinze délivrent une expédition de leur dispense le 15 décembre 1769.
1769, Protocole des Quinze (2 R 180)
(Table) Sattler Joachim Friderich Lorentz 473 [deficit], 494, 570, 577, 588, 632
(p. 494) Sambstags den 2. Decembris 1769 – Osterrieth bôe Joachim Friedrich Lorentz aîs Ca. E. E. Meisterschafft der teutscheb Sattler, Obermr. auch in aîs erholt [-]bre jüngst und bitt Deput. Faust [-] petito und bitt similiter [-]
(p. 570) Sambstags den 16. Decembris 1769. – Lorentz Ca. Sattler
Iidem [Obere Handwercks Hh.] per Eundem [H. Secretarium Stædel] referiren, es habe Joachim Friderich Lorentz, der ledige Sattlers gesell von Schlawe in Pommern gebürtig Ca. E. E. Meisterschafft der Teutschen Sattler alhier Obermr. d. 18. 9.bre jüngst ein unth. Memoriale samt beÿl. Sub lit. A & B übergeben juncto petito, Zu verordnen, daß er ungeachtet er mit keinem Taufschein Versehen ist, dennoch nach ordnung für Zweÿ jahr in die Muth eingeschrieben werde.
Diesem entgegen habe Imploratische Meisterschafft in Exceptionibus vom 2.ten Xbris gebetten, den Imploranten mit einem durchaus wieder ordnung lauffenden gesuch ab, und an den beÿ dem handwerck d. 3. 9.bris j. ergangenen bescheid ref. exp. Zu Verweißen.
Auf geschehene Weißung habe der Implorant præsens contenta Memorialis et petiti wiederholet und Zugleich seinen Lehrbrief Vorgelegt.
Nôe Imploratischer Meisterschafft seÿen erschienen H. Johann Christian Cullmann als Obermr. Johann Friderich Kreß, Joh: Michael Jörger und Johann Friderich Ehrlenholtz als geschwornen, welche sich auf ihre Exceptiones beziehend, beÿgesetzt, daß ihre Meisterschafft nicht nur sehr übersetzt, sondern auch dadurch sehr beschwehret seÿe, daß Ihnen alle Königl. arbeit Vor die Regimenter entzogen worden, welches sie bewogen, inn asehung der Frembden, welche alhier meister werden wollen, nach aller schärfe der ordnung zu Verfahren, da nun der Implorant seinen taufschein, deßen Vorlegung durch die artickel erfordert wird, nicht aufweißen können, als hätten sie denselben billiger maßen abgewießen.
Die Hh. Depp: hätten in untersuchung dieses Geschäfft gar wohl eingesehen, daß das haubt motiv, warumb sie den Imploranten nicht in die Muthjahr einschreiben wollen, allein darinn bestehe, daß die ihn gern als einen frembden abtreiben möchten, dann die producirte geburts und lehrbrieff Zeigen genugsam an, und hat auch von Imploratischer Meisterschafft nicht geläugnet werden können, daß derselbbe ehrlichen gebohren seÿe, und könne ihme keines wegen Zur last gelegt werden, daß er keinen formlichen Extractum baptismalem Vorzulegen habe, weilen solche zu ertheilen, allen Pfarrern in denen Preußischen Landen beÿ hoher straf verbotten, Ferner seÿe auch der Vorwurff, daß der Implorant durch die desertion sich unehrlich gemacht habe, sehr schwach, in deme sonsten alle Preusische unterthanen, als welche sobald sie auf die welt kommen, als Soldaten eingeschrieben weden, wann sie sich außer ihrem land etabliren, unehrlich wären, dadoch beÿ denen handwerckern, davon Wie Viele præjudicia allhier haben, nicht daran gedacht wird, beÿ so bewandten umbstände hätten die Hh. Depp. dafür gehalten, daß der Implorant gegen ersetzung der uncosten in die einem frembden nach ordnung und artickel Zu Verarbeitende Muthzeit einzuschreiben seÿe. Erkanndt, bedacht gefolgt.
(p. 588) Sambstags den 3. Decembris 1769. Osterrieth nôe Joachim Friderich Lorentz in aîs Ce. E. E. Meisterschafft der teutschen Schreiner obermr./ in aîs bitt communic. Sententiæ. Erkanndt, communicatio Zugelaßen.
(p. 632) Bescheid. Sambstags den 16. Decembris 1769. – In Sachen Joachim Friderich Lorentz, des ledigen Sattlers gesellen von Schlawe in Pommern, Imploranten ane einem, entgegen und wieder E. E. Meisterschafft der Teutschen Sattler Obermeister Imploraten am andern theil auf prod. unterth. Memoriale mit beÿl Sub Lit. A & B juncto petito Wir gehruheten Zu verordnen, daß der Implorant ungeachtet Er mit keinem Taufschein Versehen ist, dennoch nach ordnung für Zweÿ jahr in die Muth eingeschrieben werde. Übergebene Exceptions samt beÿgefügtem bitten den Imploranten mit seinem durchaus wieder Ordnung lauffenden gesuch ab, und an den handwercks bescheid ref. exp. Zu Verweißen. Gebettene, bewilligte und beseßene Deputation auch all übrig der Parthen angehörtes Vor und anbringen, ist der Hh. Depp. abgelegten relation nach Erkandt, daß der Implorant gegen ersetzung der uncosten in die einem frembden nach ordnung und artickel Zu Verarbeitende Muthzeit einzuschreiben seÿe.
Joachim Frédéric Lorentz demande l’autorisation de faire son chef d’œuvre bien qu’il reste 7 à 8 mois avant que les années d’épreuve soient terminées.
1772, Protocole de la tribu des Tanneurs (selliers, XI 371, 1755-1790)
(f° 659-v) Freÿtags den 3. Aprilis 1772 – Joachim Friderich Lorentz, der ledige Sattler Gesell von Schlawa in hinter Pommern gebürtig, bringet in seinem Vorstand das Ansuche an, weil er bereits in Gefolge der auf handwercks bescheid vom 3.ten 9.bris 1769. beÿ gnädigen herren der XV.er ergangenen Erkantnus de Dato 16. Xbris d. A in die Verabeitung der Articulmäsigen 3. Muthjahr eingeschrieben, nun aber seine Jahr Zu einem Etablissement auf sich habe, Ihme die an den Muthjahren annoch fehlende 7 bis 8. Monath gütlich nachzulaßen, So mit demselben Zu erlauben, das Meisterstück aufzunehmen und zu verfertigen. Nach gehaltener Umfrage, Wurd. Erkannt, Solle derselbe hierort an die ordnung folgsam die 3. Muthjahr vollends verarbeiten angewiesen seÿn.
Joachim Frédéric Lorentz s’adresse aux Quinze pour pouvoir faire son chef d’œuvre. Les représentants des selliers font remarquer que la requête contrevient au règlement mais qu’ils se soumettront à la décision des Quinze puisqu’il ne s’agit que d’une dispense de quelques mois. Les Quinze délivent le même jour une expédition de la dispense.
1772, Protocole des Quinze (2 R 183)
(p. 201) Sambstags den 11. Aprilis 1772. Osterrieth nôe. Joachim Friderich Lorentz des ledigen Sattlers gesellen aus Pommern Ca. E. E. Meisterschafft der teutschen Sattler Obermr. producirt unterth. Memoriale juncto petito samt beÿl. sub lit A puncto dispens von übrigen Muthzeit und admission Zum meisterstück. Wilhelm bitt Cop. et T. O. Obtin.
(p. 223) Sambstags den 2. Maÿ 1772. Idem [Osterrieth] nôe Friedrich Lorentz in aîs Ca. E. E. Meisterschafft der teutschen Sattler Obermr. auch in aîs erholt Memoriame Vom 1. Aprilis jüngst und bitt Deput: Wilhelm nôe des Obermrs bitt similiter. Erk. Deputatio.
(p. 298) Sambstags den 23. May 1772. Iidem [Obere Handwercks Hh.] per Eundem [H. Secretarium Stædel] referiren, es habe Joachim Friderich Lorentz, der ledige Sattlers gesell aus Pommern gebürtig Ca. E. E. Meisterschafft der teutschen Sattler Obermr den 11.ten Aprilis jüngst per Memoriale sub adjuncto Lit. A. gebetten, Mghh. geruheten, ihme diespensando von der noch übrigen Kurtzen muthzeit Zu erlauben das Meisterstück so gleich aufzunehmen und Zu verfertigen.
Auf geschehene Weißung habe der Implorant præsens sich auf den Inhalt seines Memorialis et petiti bezogen. Nôe Imploratischer Meisterschafft seÿen Vorgestanden Daniel Schell als obermr. und Johann Friedrich Ehrlenholtz beede Sattler, welche declarirt, daß Zwar des Imploranten begehren wider ordnung, Sie wolten aber die decision zu Mghh. gestellt haben.
Nachdeme die Hh. Depp. aus der Von dem Imploranten gethane declaration gespühret, daß sie sich dem begehren des Imploranten nicht widersetzten, es auch nur umb nachlaß einiger monat ankomme, als hätten dieselbe dafür gehalten, daß der implorant gegen ersetzung der unkosten und erlag dreÿ pfund pro dispensatione halb löbl. Stadt und halb Imploratischer Meisterschafft heimfällig, von der noch manglenden mutzeit zu dispensiren und zu dem Meisterstück zu admittiren seÿe. Erkanndt, bedacht confirmirt.
(p. 301) Sambstags den 23. Maÿ 1772. Claus nôe Joachim Friderich Lorentz in aîs Ca. E. E. Meisterschafft der teutschen Sattler obermr. auch in aîs; bitt ut modo. Erkannt ut modo [bitt communication Sententiæ. Erkanndt, Willfahrt)
(idem) Bescheid. In Sachen Joachim Friderich Lorentz, des ledigen Sattlers gesellen aus Pommern gebürtig, Imploranten ane einem, entgegen und wieder E. E. Meisterschafft der Teutschen Sattler Obermr. Imploraten am andern theil Auf producirtes unterth. Memoriale sub adjuncto Lit. A et petito Wir gehruheten dem Imploranten dispensando von der noch übrigen Kurtzen muthzeit Zu erlauben, das Meisterstück so gleich aufzunehmen und Zu verfertigen. Des Imploratischen Obermeisters beÿ gebettener, bewilligter und besessener Deputation gethanes bitten, Imploratischer Meisterschaff beÿ habender ordnung und artickel Zu manuteniren, idq. refusis expensis, auch all übrig. der Parthen angehörtes Vor und anbringen, ist der Herren Depp. angelegten relation nach Erkandt, daß der implorant gegen ersetzung der unkosten und erlag dreÿ pfund pro dispensatione halb löbl. Stadt und halb Imploratischer Meisterschafft heimfällig, von der noch manglenden Mutzeit zu dispensiren und zu dem Meisterstück zu admittiren seÿe.
Joachim Frédéric Lorentz est admis à faire son chef d’œuvre le 10 juillet 1772. Les examinateurs critiquent son travail le 17 août. Il présente son chef d’œuvre le 29 septembre. Il devra payer une amende d’une livre pour les défauts mineurs. Il prend part à son premier conseil le 24 novembre 1772.
1772, Protocole de la tribu des Tanneurs (selliers, XI 371, 1755-1790)
(f° 662-v) Freÿtags den 10.ten Julÿ 1772. stunde vor Joachim Friderich Lorentz der ledige Sattler Gesell von Schlawe in hinter Pommern und producirt bescheid gnädiger herren der XV.er vom 23. Maÿ 1772. vermög deßen ihm die wenige an der Muthjahren fehlende Zeit gegen Erlag 3. lb s halb löbl. Stadt und halb der Meisterschafft heimfällig dispensirt worden, und bathe in Gemäßheit desselben ihne nunmehr Zur Verfertigung des Meisterstücks aufzunehmen und Ihme die Meisterstück Posten anzugeben.
Erkannt, Seÿe demselben das zu verfertigende Meisterstück des Endes Ihm die Articul vorgelesen worden.
Zue Verfertigung des Meisterstücks sind von denen so Platz anerbotten in die Wahl gekommen Johannes Faudel, Johann Daniel Spielmann und Johannes Kiesel. Und nach gezogenem Looß hat der Stückmeister beÿ Johannes Faudel des Meisterstück zu machen.
(f° 663) Montags den 17. Augusti 1772. Wurden Joachim Friderich Lorentz des Stückmeisters Zum Meisterstück gefertigte baum, in gegenwart Ihro Weißheit H. XV. Streichers des hochverordneten herrn Obmanns durch H. Johann Christian Cullman, Joh: Friderich Ehrlenholtz, Joh: Michael Klein und August Christian Günzerott Zum theil nominibus der abwesenden Schaumeister besichtiget und daran nachfolgende Fehler angegeben als
Den Karch Sattelbaum belangend. Ein Vorder Ortstück stehet mehr vorwärts als das andere auch ist selbiges etwas breiter. Der Wiederriß ist an beÿden Ecken unsauber gefugt. Ein Aefter Stück ist auf einer Seithe höcher als das andere und ein theil ligt an der fug weiter hinaus als das andere. Des Aeffter fehlt auch zu beÿden Seithen im Creutz Maaß. Eine Stütz ist hinten her etwas breiter als die andere
Den Royal Sattelbaum betreffend. Der Kopf ist lincker Seits tiefer als auf der Rechten der Wieder Riß gehet einer Seits weiter hinaus als auf der andere. Eine steeg its vornenher in der Fug breiter ls die andere, ungleich im Creutzmaas. Die Mitte im Steck ist ungleich. Die fugen hinten an der Steeg sind nicht gleich. Eine Steg ist breiter als die andere und lauft nicht gerade in der Fugen. Der Baum ist etwas hinckend. Ein Pausch ist etwas länger als der andere und lehnet etwas vorwärts. Ein Gestell ist breiter als das andere. Die hintere Steeg ist unsauber gefügt. Der Kopf ist vornen etwas Zu eng.
Im Übrigen sind beÿde Stück passierlich.
Erkant, hat der Stück meister wegen der befundenen fehlern 1 lb s Straff zu erlegen.
(f° 664) Dienstags den 29. Septembris 1772. wurde in gegenwart S.T. Herrn XV.er Lempin abwesenheit . T. Herrn XV. Streichers des Hochverordneten Herrn Obmanns das von Joachim Friderich Lorentz nun ausgefertigte Meisterstück, die geschworene Schaumeister, wie Zur Schau vorgelegt,, nach Ordnung exminirt, besichtiget und geschauet, als deswegen nachfolgende Fehler Zue Anmerkung dictirt worden und Zwar.
Den Royal Sattelbaum betreffend. Die Tasche vornen am Knopf sind etwas zu breit. Die Crampons zu den Pistol hülftern sine etwas ungleich eingeschlagen. Der Sitz ist krumm eingeneht, also auf einer Seith breiter als auf der andern. Der Aefter ist auf einer Seith länger als auf der andern. Der Sitz am vordern Busch lauft auf einer Seithe etwas krumm.
Den Karch Sattel belangend. Die Decket auf einer Seithe ¼. Zoll tiefer als auf der andern. Die Kißen sind zu klein
Das Reith Zeug concernirend. Das Naasband ist etwas zu kurtz.
Das Dommet belangend. So ist solches durch gehends recht gut und ohne Fehler befunden worden.
Erkannt. Seÿe der Stück Meister wegen der Wenigkeit der Fehler in 1. lb d Straf erachtet.
(f° 664-v) Dienstags den 24. Novembris 1772, Joachim Friderich Lorentz der bisherige Stück meister stunde vor und machte erweißlich daß er das hiesige burger Und Zunft Recht bereits überkommen und begehrte daher Ihne nunmehro auf sein wie recht gefertgt Meisterstück den Meister Sitz zu vergönnen und die Einigung aufzunehmen
Erkant, Gegen Erlag der Gebühr willfahrt (dd. vor bede Schauen 2 hdwk à 15 ß, 1 lb 10 ß – Straf 2 lb, hälfter Kapp 10 ß – hdwk vor heute 15 ß – Mstr Recht 1 lb 10 ß, Notario 3 ß zusammen 6 lb 8 ß, für die Sattel Naas 10 ß, zusammen 6 lb 18 ß)
Joachim Frédéric Lorentz devient bourgeois à titre gratuit le 16 novembre 1772 après avoir exposé que son père est né bourgeois de Strasbourg et que sa sœur est toujours bourgeoise.
1772, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) p. 70
Joachim Friderich Lorentz der led. Sattler aus Pommern geb. erhalt das burgerrecht ex gratia um den alten burger schilling. Will dienen beÿ E. E. Zunfft der gerber. Jur. eod. [16. 9.bris 1772]
(VI 286 bis) p. 424. Gerber N° 6 den 9.ten 9.bris 1772
Joachim Friederich Lorentz der Leedige Sattler meister Von Schlawe in hinter pommern gebürtig weÿl. Anastasii Lorentz geweßenen burgers und Sattlers daselbst ehel. Sohn
Seine scheine Zeigen daß Er Ehel. gebohren Auch L Conf: Zu gethan seÿe, geleistete Stadt Stall Caution und daß Er beÿ E: E: Zunfft der gerber des burgerrechts Vertröstet word.
500. fl. Baaren geldt hat derselbe dargewießen und deßen waren Eigenthumb mit Eÿdt erhärtet auch 100 fl. beÿm burger Proth. Deponirt.
Imp. bittet E: G: gantz unterthänig, angesehen sein Vatter geborhner hiesiger burgers sohn, sein groß Vatter aber weÿl. H. Jacob Lorentz bis an sein End burger und wagner allhier war, nun seine gebühren ordentl. entrichtet, wie dann seines Vatters schwester Anna Maria Schmidin gebohrne Lorentzin allhier verburgert ist und ihren gebühren ordentlich entrichtet, ex gratia um d. A: B. schilling des burgerrechts gnädigst Zu vertrösten
Receptus ex gratia um den A: burger schilling
Joachim Frédéric Lorentz devient tributaire chez les Tanneurs le 23 novembre 1772
1772, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 359)
(f° 453-v) Montags den 23.ten Novembris 1772 – Joachim Friderich Lorentz der Sattler aus Schlava in Pommern gebürtig stehet vor und erweißt die Überkommung seines burger Rechts durch Schein von löbl. Stadt Cantzleÿ und den herren deroselben Stalls unterm 16. 9.bris jüngst gegeben, bittet in Gemäßheit deßelben Ihn nun auch als leibzünfftig auf- und anzunehmen
Erkannt, Willfarth, geg. Erlag der Gebühr
Joachim Frédéric Lorentz épouse en 1775 Marie Dorothée Lichtenberger, fille de batteur d’or : contrat de mariage, célébration
1775 (22. 7.bris), Not. Fické (6 E 41, 774) n° 255
(Eheberedung) zwischen dem Wohl Ehren: und Vorachtbahren herrn Joachim Friedrich Lorenz, dem ledigen Sattler: und burger alhier zu Straßburg eines,
und andern theils Maria Dorothea Lichtenbergerin, weiland Herrn Johann Christoph Lichtenbergers des Goldschlagers und burgers hieselbst, mit nun auch weiland Fraun Susanna Salome gebohrner Straußin ehelich erzeugt hinterlassener Jungfer Tochter – die Jungfer braut mit beÿhülfe herrn Georg Jacob Lichtenbergers des Goldschlagers auch burgers alhier ihres geliebten Herrn bruders
[unterzeichnet] Joachim Friederich Lorentz als hochzeiter, maria dorothea Lichtenbergerin als Hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 110-v)
Im jahr 1775 dienstags den 24. octobris (…) copulirt und ehelich eingesegnet worden Herr Joachim Friderich Lorentz der leedige Sattler und burger allhier, weÿland Anastasius Lorentz geweßenen Sattlers und burgers zu Schawe im brandenburgischen und weÿland Frau annä Mariä gebohrner Mauin hinterlassener ehelicher Sohn und Jungfrau Maria Dorothea Liechtenbergerin weÿland Herrn Johann Christoph Liechtenbergers geweßenen Goldschlagers und burgers allhier und auch weÿland Frauen Susannæ Salome gebohrner Straußin nachgelaßener eheliche Tochter [unterzeichnet] Joachim Friderich Lorentz als Hochzeiter, maria dorothea Lichtenbergerin als Hochzeiterin
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison près de la Tour aux Deniers. Les apports du mari s’élèvent à 347 livres, ceux de la femme à 1 824 livres.
1775 (16.12.), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 768) n° 615
Inventarium über des Wohl Ehren ; und Vorachtbarn Herrn Joachim Friederich Lorenz, des Sattlers, und der Viel Ehren und Tugendbegabten Fraun Mariæ Dorotheæ gebohrner Lichtenbergerin, beeder Eheleuthe und burgere alh. zu Straßburg einander vor unverändert in die Ehe zu und eingebrachte Vermögens: Haabschaften, auffgerichtet im Jahr 1775 – einander in ihren am 24.ten Octobris jüngst angetrettenen Ehestand zu und eingebracht haben. Welche beederseits Vermögenschaften, in Gemäßheit der in ihrem aufgerichteten Ehe Contract gethanen Vorsehung eines unverändert vorbehaltenen Guths – So beschehen Straßburg in fernerer Gegenwart, Herrn Georg Jacob Lichtenbergers, des Goldschlagers, der Ehefrau geehrten Hn bruders und hierzu erbettenen Hn beÿstands, auf Samstag den 16.ten Decembris 1775
In einer alhier zu Straßburg gegen dem Pfenningthurn hienüber gelegener hierorts Lehnungs weise bewohnender behausung hat sich befunden
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns eingebrachten Vermögens, Sa. hausraths 41, Sa. Werckzeugs zur Sattler Profession gehörig 15, Sa. der Waaren und des Leders zur Sattler Profession gehörig 584, Sa. Silbers 24, Sa. baarschaft 22, Sa. Schulden 69, Summa summarum 757 lb – Schulden 410 lb, Nach deren Abzug 347 lb
Diesem nach so wird auch der Ehefrauen eingebracht Vermögenschaft die beschreibung gesetzt, Sa. hausraths 388, Sa. Silbers und dergl. Geschmeids 82, Sa. Goldener Ring und dergl. geschmeids 114, Sa. baarschafft 62, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 956, Sa. Schulden 259, Summa summarum 1874 lb – Schulden 50 lb, Nach deren Abzug 1824 lb – Haussteuren 68 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 2239 lb
Marie Dorothée Lichtenberger meurt en 1791 en délaissant un fils. L’inventaire est dressé ruelle des Trompettes près de l’auberge au Corbeau. La masse propre au veuf s’élève à 3 391 livres, celle de l’héritier à 3 994 livres. L’actif de la communauté s’élève à 5 888 livres, le passif à 11 946 livres
1801 (5 frimaire 10), Strasbourg 7 (15), Not. Stoeber n° 1700, 2720
Inventarium über weÿl. Fraun Maria Dorothea geb. Lichtenbergerin herrn Joachim Friedrich Lorentz des Sattlers Ehegattin, nach ihrem den 18. julÿ jüngst [1791] erfolgten absterben an vermögen hinterlassen, auf ansuchen des Wittibers weÿl. auch herrn Johann Daniel Lichtenberger des Kurtzmeßerschmidts als geordnet und geschworen vogts der defunctæ eingen Sohns namentlichen Johann Friedrich Lorentz (1791)
Eigenthum an Häusern. Erstl. eine behausung bestehend in Vorder und hinterhauß hoff Gemeinschafft eines bronnens und hoffstatt mit allen deren übrigen Gebäuden, begriffen, Weithen, Rechten und gerechtigkeiten zu Straßburg gegen der Schindbruck über einseit ist ein Eck am Trommelgäßlein anderseit neben der Gastherberg zum Raben hinten auf Johann Jacob Schwing den Sporer, davon zahlt man jährlich auf Michaelis der Stadt Straßburg Pfenningthurn 3 fl. an zinnß, (laut) Abschatzung vom 7. sept. 1791 gewürdigt worden pro 3200 fl. Hierüber ist vorhanden ein in hies. C. C. Stub gefertigten Kaufbrieff d.d. 10. feb. 1776, kraft deßen diese behausung aus Johann Faudels Sattlers falliments mass erkaufft worden
Item eine behausung Scheur Gärtlein hof bronnen und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten zu Straßburg ohnfern dem Waÿsenhaus 1. s. ziege dem Kuscher [nouvelle écriture] 2.s. und hinten auf Fr. Thennin Wb. ziehend vermög Vorallegirter abschatzung taxirt worden pro 1800. Über 14 francken ane bodenzinß hiesieger commune, C .C. Stub 9. aug. 1779 Kaufbrieff krafft deßen disortige beede Eheleuthe von Maria Magdalena geb. Rosett H. Joh. Michael Röderer Med. D. et Prof. allhier ehegattin erkaufft haben, Ferner 2 ältern Kfbrf. vom 5. Xbr 1730 und 30. Xbr 1738
Des Wittibers ohnveränderten vermögen, hausrath 30, silbers 32, Gülten von liegenden güthern 480, Ergäntzung 54024, abgang 826, Nach deren abzug) 3198, Summa summarum 3741 fl. – Schulden 350 fl, Detrahendo 3391 fl
Des Universal Erben ohnveränderte Vermögen, hausrath 825, silber 95, goldene ringe 99, activ schulden 350, ergäntzung (2741, abzug 109, Detrahendo) 2633, Summa summarum 3994 fl
Das gemeinschaftlich und theilbare Gut, hausrath 141, Werckzeug und Waar zur sattler profession 661, silber 21, goldene ringe 5, baarschafft 29, häusern 5000, schulden 29, Summa summarum 5888 fl. – Schulden 11.946, passiv onus 6057 fl
Eheberedung (…) den 22. sept. 1775, Fické Nots.
Codicill 25. feb. 1788 enregistr. 8. aug. 1791 Copia Depositionis Not. Greiss, Ergäntzung Fick im Jahr 1775
Enregistrement de Strasbourg, acp 82 F° 98 du 14 frim. 10
Joachim Frédéric Lorentz se remarie à 54 ans en 1792 avec Marie Salomé Kuhn âgée de 38 ans : contrat de mariage, célébration
1792 (28.6.), Strasbourg 4 (10), Not. Greis n° 153, Altes N° 292
Eheberedung – persönlich erschienen Herr Joachim Friderich Lorentz der verwittibte Sattler und burger allhier an einem theil,
so dann Jungfrau Maria Salome Kuhnin, weiland Herrn Johann Jacob Kuhn gewesenen Meelhändlers und burgers alhier hinterlassene eheliche tochter, so majorennis und ohnbevögtigt dissorts aber mit herrn Martin Amando dem Employé in dem hießigen Saltzmagazin ihrem Schwager verbeÿstandet ware an dem andern theil
Geschehen allhier Zu Straßburg in mein des Notarii Schreibstube, den 28. Junÿ im Jahr 1792 [unterzeichnet] Joachin Fridrich Lorentz, Mari Salomea Kuhnin
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 112, n° 16)
Im Jahr 1792, Montag den 16. Julii Abends um sechs Uhr sind (…) copulirt worden Herr Joachim Friderich Lorentz Sattler Wittwer und burger allhier, 54 Jahr alt, weiland Herrn Anastasius Lorentz geweßenen Sattlers und burgers allhier und weiland Frau Anna Maria gebohrne Mänin nachgelaßener ehelicher Sohn, und Jungfrau Maria Salome Kuhnin 38 Jahr alt weiland Herrn Johann Jacob Kuhn geweßenen Meelhändlers und burgers allhier und weiland Frau Maria Magdalena gebohrnee Schmidtin nachgelaßene eheliche tochter [unterzeichnet] jährlich Friderich Lorentz als hochzeiter, Maria Salomea Kuhnin als hochzeiterin (i 78), Proclamation, Temple-Neuf, luth. f° 160-v (i 152)
Marie Salomé Kuhn fait dresser l’inventaire de ses apports dans la maison qui lui est propre, sise près de l’auberge au Corbeau
1803 (18 fruct. 11), Strasbourg 7 (18), Not. Stoeber n° 1888, 4809
Inventarium über fraun Maria Salome geb. Kuhn des burgers Joachim Friedrich Lorenz Sattlers Ehegattin, in ihrem vor weÿl. Notario Johann Friedrich Greiß den 28. junÿ 1792 aufgerichteter Eheberedung – dem 18. julÿ 1792 angetretenen Ehe
der Ehemann wittwer weÿl. Maria Dorothea geb. Lichtenberger, Inventarium Nr. Greiß
in der am Raben n° 61 gelegenen behausung
Eigenthum an einer behausung so die Ehefrau in die Ehe gebracht, Nemlich eine behausung und hoffstatt samt bronnen mit allen deren Gebäuden, begriffen und zugehörden ohnfern dem Mezgergießen numéro 61 einseit neben burger Kober* beck anderseit neben br. feÿl bech hinten auff denselben hausrath 773 fr, silber 244 fr, baarschafft 952 fr, activ schulden 2400 fr, behausung &, Summa summarum 4370 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 88 F° 195 du 28 fruct. 11
Joachim Frédéric Lorentz meurt en 1811 en délaissant une petite-fille qui demeure avec sa mère à Paris
1811 (5.8.), Strasbourg 4 (39), Not. Stoeber n° 1314
Inventaire de la succession de Joachim Frédéric Lorentz ci devant sellier décédé le 20 juin dernier – à la requête de Marie Barbe Kuhn la veuve, Jean Jacques Friedel cadel négociant mandataire de Louise Jeanne Joséphine Chevrier veuve de Jean Frédéric Lorentz, sellier demeurant à Paris rue du Kaire n° 16, mère et tutrice légale de Marguerite Sophie Lorentz seule et unique héritière son grand père et mandataire de Jean Jacques Christmann négociant en passementerie à Paris rue porte foin n° 13 subrogé tuteur de la mineure
Contrat de mariage reçu Me Greis le 28 juin 1792
dans une maison quai des fagots n° 61 dont la veuve est propriétaire
Dépouillement, communauté: meubles 715 fr, argenterie 81 fr, numéraire 3303 fr, déclarations actives 21.665 fr, récompense 10.132 fr, total 35.897 fr, passif 3141 fr, reste 32.756 fr, moitié à la veuve 16.378 fr
masse de la veuve, meubles 482 fr, argenterie 134 fr, remplacement 2788 fr, dettes actives 896 fr, total 4301 fr, bénéfice de la communauté 16.378 fr, total 20.679 fr
masse du défunt, meubles 231 fr, argenterie 60 fr, dettes actives 10.000 fr, immeuble 1200 fr, moitié du bénéfice 16.378 fr, total 27.869 fr, déduire récompense 10.428 fr, reste 17.441 fr
meubles, au second étage, dans une chambre de derrière au premier étage, dans la cave, dans la cuisine
maison appartenant à la veuve.: Une maison avec puits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg quai des fagots n° 61, d’un côté Kober boulanger d’autre le Sr Feyl boulanger aboutissant sur le même
immeuble du défunt, 1 ha 25 de terres à Northeim et Marlenheim
Enregistrement de Strasbourg, acp 117 F° 162 du 10.8.
Marie Salomé Kuhn femme de Joachim Frédéric Lorentz vend 1800 francs la maison qui lui provient de ses parents à l’employé des douanes Jean Pierre Finck et à sa femme Salomé Buri, déjà propriétaires de la maison à l’arrière qui s’ouvre sur la rue des Orphelins.
1803 (24 mess. 11), Strasbourg 7 (37), Not. Stoeber n° 2197, 4656
burgerin Maria Salome geb. Kuhn burgers Joachim Friedrich Lorentz des sattlers Ehegattin
burgers Johann Peter Finck Employé à la Douane und Salome geb. burin
eine behausung samt hofstadt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten dero zubehörden und Rechten am Uttengänglein beÿm Weÿsengraben Numéro 7, einseit neben Martz Kaÿser anderseit neben bernhardischen Erben hinten auff den käufern Garthen – 2 fr 40 c ane bodenzinß – um 1800 francken
Enregistrement de Strasbourg, acp 88 F° 115-v du 4 therm. 11
Jean Pierre Finck, manant et employé à la halle, épouse en 1775 Marguerite Elisabeth Süss, fille de bourgeois
Mariage, Saint-Marc (cath. p. 53), Hodie 20 Novembris anni 1775 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti Joannes Petrus Finck, antonÿ Finck et Margarethæ Meyer filius Legitimus, ratione juris et Facti ad Stum Stephanum huius vrbis Parochianus et Margaretha Elisabetha Süs Nicolai Süs civis hujatis, et defunctæ Margarethæ Elisabethæ Reibel filia legitima Nea conversa ex hac vrbe oriunda, a biennis ultimo ratione domicilÿ Parochiana Nostra, ambo soluti (signé) Jean Pierre finck, Margaretha Elisabetha Süßin
Jean Pierre Finck devient bourgeois par sa femme : inscription au Livre de bourgeoisie, instruction de la demande. Il s’inscrit à la tribu des Gourmets
1776, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) p. 144
Johann Peter Finck der Employé in hiesigem Kauffhauß eines allhiesigen Schirmers Sohn erhalt das burger recht von seiner Ehefrauen Margaretha Elisabeth Niclaus Süß, des amlungmachers und burgers alhier ehel. tochter umb den alten burger schilling, will dienen beÿ E.E. Zunfft der Weinsticher. Jur. den 13. Jan. 1776.
(p. 302) Weinsticher. N° 3. den 15. januarii 1776.
joh. Peter finck der emploÿé in hiesigem Kauffhauß anton finck des Hiesigen schirmers und Kauffhauß beambten mit fr. Margaret. gebohrnen Meÿerin ehelich erzeugter sohn, Verheürathet, auf Vorheriges anzeügen beÿ S: t: dem Regirenden Hn. ammeisyer pt. feriarum mit fr. Marg elis. Süssin der hiesigen burgers tochter.
Dieser Producirt gehörige attestata, welche seine ehrliche geburth. Cathol. Rel. zugethan Zu seÿn darthun, wie auch das beede Eheleuth auf Löbl. statt stall alle Möglichs Præstanda Præstirt und der Maritus des Zunfft rechts beÿ E: E: zunft der weinstcher Vertröstung habe
500 R. baarschafft Hat Implorant als sein wahren eÿgenthum Vorgewiesen und eÿdlich bekräfftiget, auch 100 R. 5 ß ad Protoc. Deponirt, mit dem unterthänigen bitten Euer gnaden geruheten ihme mit den burgerrecht ab uxore und zwar um den alten burger schilling gnädigst Zu willfahren.
Receptus ab uxore um den A. b. schill.
Fille majeure originaire de Westhoffen, Marie Elisabeth Gæng déclare que c’est par calomnie qu’on a pu dire que Jean Pierre Finck est le père de son enfant naturel
1787 (20. febr.), Not. Wengler (6 E 41, 1530) n° 57
persönlich erschienen Maria Elisabetha Gängin, die ledige von Westhoffen gebürtig, weiland Johannes Gäng des burgers und Ackersmanns nachgelaßene eheliche tochter diese hat angezeigt und bekandt, wie daß derjenige Ruf, als hätte hr Johann Peter Finck, der Employé in alhiesigem Kaufhaus und burger hiesebst, sie comparentin geschwängert und er der Vater ihres Zu gebärenden Kindes wäre, durchaus irrig und falsch seie, mithin auf eine boshaften Verwundung beruhe, angesehen sie nicht von ihme, sondern Von einer andern Person in diese Umstände versezzet worden
Marguerite Elisabeth Süss fait un codicille qui annule les dispositions antérieures
1787 (1. Mai), Not. Wengler (6 E 41, 1530) n° 65
(Codicill) persönlich erschienen Frau Margareta Elisabeta gebohrne Sußin, H Johann Peter Finck des Employé in allhiesigem Kaufhaus und burgers alhier Ehegattin, Von der Gnade Gottes aufrecht gesund gehend und stehenden Leibs, auch guter richtiger Sinnen Vernunft und Verstands (annullirt alle vorige letzten willens Dispositiones)
So geschehen alhier zu Straßburg in einer daselbst ane dem St. Thomas platz gegen der Königl. Müntz über gelegenen, dem löbl. Collegiat Stift St. Thomä eigenthümlich gehörigen und von mit dem Notario zum theil bewohnenden behausung, und deren in dem hindern Gebäude einstöckige hoch befindlichen Schreibstube mit den Fenstern in den hof aus sehend (…) auf Dienstag den ersten des Maimonats Nachmittags zwischen zwei und drei Uhren im Jahr Christi 1787
Jean Pierre Finck épouse en deuxièmes noces Salomé Büry : contrat de mariage, célébration
1794 (12. 7.br ou 26 fruct. 2), Strasbourg 6 (9), Me Laquiante n° 11
Contrat de mariage – C. Pierre Finck employé la douanne
Cit. Salomé Buri son épouse
(Enregistrement, revenu industriel, 600)
enreg. 26 – Enregistrement de Strasbourg, acp 28 F° 33-v du 26 fruct. 2
Mariage, Strasbourg (n° 586)
Cejourd’hui 11 frimaire de la seconde année de la République (…) d’une part jean pierre Finck emploïé à la Douane agé de 39 ans né et domicilié en cette ville fils légitime de feu Antoine finck emploïé à ladite douane et de feûe Marguerite Meyer, Veuf de marguerite Elisabeth Suiss, de l’autre part catherine salomée Bury agée de 28 ans née et domiciliée en cette ville fille légitime de feû Mathias Bury ouvrier en marbre et de Catherine Leist (…) 1° l’acte de naissance jean pierre Finck portant qu’il est né en cette Ville le 4 février 1754, 2° l’acte de naissance de catherine salomée Bury portant qu’elle est née en cette Ville le 22 janvier 1765, 3° de l’acte de Décès de marguerite Elisabeth Süss portant qu’elle est morte à Bischheim au Saum le 26 may dernier (i 85)
Salomé Bury meurt sans délaisser d’enfant en 1825
1825 (21.5.), Strasbourg, Me F. Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire de la succession de Salomé Bury femme de Jean Pierre Finck, ancien commissaire chargeur décédé le 14 avril dernier – à la requête du veuf légataire universel de la défunte et de 1. Salomé et 2. Anne Marie et Adam Kast légataires particuliers
mobilier 3784 fr, créances 13 000 fr, total 16 784 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 173 F° 93 du 25.5.
Inventaire dressé après la mort d’une locataire, Françoise Herrmann veuve du journalier Michel Schwartzrucker
1806 (19.11.), Strasbourg 11 (2), Not. Anrich n° 472
Inventaire de la succession de feue Françoise Herrmann veuve de feu Michel Schwartzrucker, journalier, décédée le 6. novembre 1806 – à la requête de Jean Michel Tuba, journalier, tuteur naturel de ses deux enfants procréés de son mariage avec Anne Marie Wolf nommés François Joseph 19 ans et Philippe Jacques 14 ans, ceux-ci petits enfants de feue Catherine Madeleine Herrmann femme de feu Jean Michel Wolff et sœur germaine de la défunte, à la requête d’Ignace Schump journalier tuteur subrogé auxdits mineurs
dans une maison sise quay des orphelins N° 7
meubles 128 fr, dettes actives 1405 fr, total 1533 fr, dettes passives 630 fr, reste 903 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 101 f° 73-v du 26.11.
Salomé Bury meurt en 1825 après avoir institué son mari légataire universel
1825 (21.5.), Strasbourg, Me F. Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire de la succession de Salomé Bury femme de Jean Pierre Finck, ancien commissaire chargeur, décédée le 14 avril dernier – à la requête du veuf légataire universel de la défunte et de 1. Salomé et 2. Anne Marie et Adam Kast légataires particuliers
mobilier 3784 fr, créances 13 000 fr, total 16.784 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 173 F° 93 du 25.5.
Pierre Finck et Salomé Buri vendent leurs maisons rue des Orphelins et place des Orphelins, contiguës l’une à l’autre, au commissionnaire de roulage Pierre Martin Finck et à sa femme Marie Anne Wallinger
1823 (20.12.), Strasbourg, Me F. Grimmer – Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 164, n° 9 du 26.12.
Pierre Finck, propriétaire, et Salomé née Buri
à Pierre Martin Finck, commissionnaire de roulage, et Marie Anne née Wallinger
une maison située à Strasbourg ruë des Orphelins n° 21 consistant en bâtiment de devant et de derrière, jardin au milieu, petite cour, puits, aisances et dépendances, la maison de devant à côté du Sr Bilger, d’autre Sr Hummel mre maçon
et la maison de derrière d’un côté Sr Hatt cordonnier, d’autre Sr Lagel serrurier donnant sur la place autrefois fossé des Orphelins où elle a une issue et porte n° 7 – acquis par trois contrats d’acquisition 8 thermidor 7 (26 juil. 1799) Me Lauth trans. vol. 7 n° 710, Me Stoeber, 24 messidor 11 (13 juil. 1803), Me Stoeber 5 juin 1809. Comme autrefois cette maison payait une rente foncière à la ville de Strasbourg elle fut rachetée par quittance du 16 juil. 1806 et 29 juil. 1813 enreg. 18 juil. N° 426 et 29 juil. 1813 F° 22 – pour 14.000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 166 F° 4 du 22.12.
Fils de l’aubergiste Martin Finck, Pierre Martin Finck épouse en 1820 Anne Marie Wallinger, fille d’aubergiste
1820 (5.7.), Strasbourg 14 (65), Me Lex n° 2134
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Pierre Martin Finck, commis de commissionnaires fils majeur de feu Martin Finck, aubergiste, et Anne Marie Goetz
Anne Marie Wallinger fille mineure fille de Pierre Wallinger, aubergiste, et Sophie Kielinger – en la demeure de la De Wallinger
Enreg. 148 F° 66 du 7.7.
Inventaire des apports n° 2239 du 10 août, la Dame 2205 fr le Sr Finck 13.500 fr
(enreg F° 176 du 18.8.)
Pierre Martin Finck meurt en 1850 en délaissant neuf enfants. La maison dont l’avant donne rue des Orphelins et l’arrière place des Orphelins est décrite sous une seule rubrique
1850 (26.8.), Strasbourg 15 (86), Not. Lacombe n° 7297
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Pierre Martin Finck et Anne Marie Wallinger
L’an 1850. Cejourd’hui lundi 26 août, à la requête de Madame Anne Marie Wallinger, veuve de M Pierre Martin Finck commissionnaire de roulage, ladite dame demeurante et domiciliée à Strasbourg, agissant A. pour elle personnellement 1° à cause de la communauté de biens qui a existé entre elle et M. Finck son défunt mari, 2° pour l’exercice de ses reprises et droits nuptiaux, 3° en qualité de donataire de la jouissance viagère et gratuiote de la moitié de la succession de son dit défunt mari, Ces droits résultant à Mde Finck de son contrat de mariage passé devant Me Lex alors notaire à Strasbourg et son Collègue le 5 juillet 1820, duquel l’analyse sera faite plus bas, B. Comme mère et mère et tutrice légale de 1° Geoffroy Eugène Finck, né le 6 novembre 1830. 2° Anne Marie Françoise Finck née le 19 avril 1832, 3° Charles Pierre Martin Finck, né le 11 juin 1836, 4° Charles Auguste Finck né le 15 mars 1838, 5° Marie Eugénie Finck née le 3 mai 1840, 6° Jules Charles Louis Finck né le 30 juin 1847
et encore à la requête de I. Mlle Marie Sophie Finck, II. Mlle Marie Louise Finck, III. Melle Marie Julie Finck, toutes trois célibataires majeures d’ans, sans profession demeurantes et domiciliées à Strasbourg. En la présence de Mr Dominique Schirmer négociant demeurant et domicilié à Strasbourg, subrogé tuteur des six enfants mineurs (…) étant les six mineurs Finck susdénommés et les trois demoiselles Finck majeures requérantes habiles à se porter seuls et uniques héritiers de Me Pierre Martin Finck leur père décédé le 19 mars 1850 (…)
De tout quoi a été dressé le présent procès verbal d’Intitulé d’inventaire à Strasbourg en la maison mortuaire rue des Orphelins N° 3
Mobilier de la communauté. rez de chaussée. Salle à manger, Chambre à coucher,, Chambre sur le jardin, Cuisine – Premier étage, chambre unique – Mansardes – Cave – Magasin – Ecurie
Analyse du contrat de mariage
Immeubles. Acquêts de communauté. Une maison sise à Strasbourg rue des Orphelins ci devant N° 21 aujourd’hui N° 3 consistant en bâtiment de devant et bâtiment de derrière, petit jardin au milieu et petite cour, puis, aisances et dépendances, la maison de devant tenant d’un côté au Sr Riebel et de l’autre côté du Sr Hummel et la maison de derrière tient d’un côté au Sr Kromer et de l’autre côté au Sr Laurent. M. et Mde Finck ont acquis cet immeuble du St Pierre Finck, propriétaire, et Salomé Buri ayant demeuré à Strasbourg suivant contrat pasé devant M. Georges Louis Frédéric Grimmer et son collegue notaires à Strasbourg le 20 décembre 1823. enregistré, transcrit au bureau des hypothèques volume de Strasbourg le 26 décembre de la même année volume 164 n° 9 (…). A ce contrat se trouvent joints 1° la grosse sur parchemin d’un contrat passé devant Me Stoeber notaire impérial à Strasbourg le 5 juin 1809, enregistré aux termes duquel le Sr Joachim Frédéric Lorentz, sellier, et Jean Frédéric Lorentz, aussi sellier, ont vendu ledit immeuble à M. Pierre Finck et à Salomé Buri sa femme, 2° l’expédition en langue allemande d’un contrat passé par M° Lauth alors notaire à Strasbourg le 8 thermidor an VII portant vente d’une partie du même immeuble ausit Sr Pierre Finck, 3° Expédition sur parchemin d’un contrat passé devant Me Daniel Stoeber le 24 messidor de l’an XI, ce contrat porte également vente d’une partie dudit immeuble au même Sieur Pierre Finck. Ces trois contrats ont été paraphés par M Lacombe Côte B n° 2, 3 et 4.
(vacation du 28 août) Une maison sise à Kehl (grand duché de Bade) consistant en un bâtiment de devant à deux étages (…)
Héritages recueillis pendant le Mariage par M. et Mde Finck. 1° Mde Finck a recueilli pendant son mariage al succession de Mad. Sophie Killinger sa mère décédée veuve de M. Pierre Wallinger et celle de Charles Wallinger son frère, en son vivant négociant, décédé célibataire à Strasbourg (…)
acp 394 (3 Q 30 109) f° 27-v, vacations des 26, 27, 28 et 30 août (succession déclarée le 5 7.bre 1850)
Communauté, mobilier 5452, créances 33.835, argent en caisse, valeurs et extances de commerce 15.955
Immeubles, Une maison à Strasbourg rue des orphelins N° 3
Une maison sise à Kehl (Bade)
Garde robe 187 francs
Marie Wallinger meurt en 1872 en délaissant huit enfants
1872 (30.8.), Me Momy
Inventar des Nachlaßes von Maria Wallinger Wittwe von Paulus Martin Finck in Straßburg den 30. Juni 1872 gestorben, errichtet durch 1) Maria Sophie Finck, volljährig in Straßburg, 2) Karl Petrus Martinus Finck, leutenant im 3. Cuirassiers in Paris, 3) Maria Eugenie Finck, Ehefrau von Joseph August Schorong, huissier in Waßlenheim, 4) Frantz Xaverius Goetz, Bierbrauer in Zabern als Vater von Maria Luise Goetz aus der Ehe mit Maria Louise Finck, 5) der Bevollmächtigte von Julius Karl Ludwig Finck, Militär im dritten Infanterie Regiment in Rochefort, Karl August Finck, Leutenant im 91. Lignien Regiment, Ludwig Stanislas Saint Cyr, Thierarzt in St Jean d’Angely, als vater von Julius Claudius Ludwig und Maria Sophia St Cyr, aus der Ehe mit Maria Julie Finck, 6. der Bevollmächtigte von Maria Anna Franzisca Finck Ehefrau von Maria Antonius Frantz Ruelle, Professor im Lyzeum von Auch
Nachlas. Mobilien 1296, Geld 123, Pacht Zinse 955, Schuldschein in Kehl zahlbar 2575
37/72 eines Hauses Waisen Gasse N° 5
Ersatz Leistung der Kinder 8541
Passif, 2744
Liquidation des Nachlasses von H. Finck. Gemeinschafft& 79.150, Passif 59.808, bleibt 17.342.
Nachlas, ½ der Gemeinschafft 9671. Rücknahme 21.700, Kleidung 187, ½ des Hauses 31.558
acp 608 (3 Q 30 322) f° 67-v du 9.9. (Nachlas erklärt 30/12 72)
Testament de Marie Anne Wallinger
1872 (9.7.), Me Momy
Hinterlegung des eigenhändigen Testaments Maria Anna Wallinger Wwe Peter Martin Finck, Commissionär in Straßburg vom 30. Juni 1872, heute registrirt
acp 607 (3 Q 30 324) f° 6-v du 12.7.
Liquidation et partage des successions Finck
1873 (29.9.), Me Loew
Liquidation und Theilung der Nachlasen von 1° Peter Martin Finck, Eigenthümer den 19. März 1850 gestorbben, 2) von Gottfried Eugen Finck, Sohn den 1. September 1860 gestorben, 3) von dem Nachlas von Anna Maria Wallinger, Wittwe des oben genanten Hn Finck den 30 Juni 1872 gestorben, 4) von der Gütergemeinschaft die zwischen dem Eheleuten Finck existirt hat
zwischen 1) Maria Sophia Finck, volljährig in Straßburg, 2) Karl Petrus Martin Finck, Hauptmann im 3. Cuirassiers zu Paris, 2) Maria Eugenie Finck, Ehefrau von Joseph August Schorong, ehemals Gerichtsvollzieher zu Straßburg, 4) Karl August Finck, Leutenant im 91. Lignien zu Paris, 5) Maria Anna Franzisca Finck Ehefrau von Maria Antonius Frantz Ruelle, Professor zu Auch, 6) Julius Karl Ludwig Finck, Soldat im dritten Infanterie der Marine Zu Rochefort, 7) Frantz Xaverius Goetz, Brauer zu Zabern als Vater von Maria Luise Goetz aus der Ehe mit Maria Louise Finck, 8) Ludwig Stanislas Saint Cyr, Thierarzt in St Jean d’Angely, als vater von Julius Claudius Ludwig St Cyr Kaporal im 3. Infanterie der Marine zu Rochefort, Maria Sophia St Cyr, mit Maria Julie Finck
I. Gemeinschafft, Actif Masse 130.150, Passif Masse 75.513, bleibt 54.637, ½ 27.318
Nachlas des H. Finck Vater, ½ der Gemeinschafft 27.318 Ersatz Leistung durch die Gemeinschafft 35.200, Total 62.518, davon weg die Morgengabe 2500, bleibt 60.018, 1/9 6608
II. Nachlaß von Eugen Finck, Erbtheil des vaters 6668. ¼ der Mutter 1667, Total 5001, 1/8 625
III. Nachlas der Witwe, Actif Masse 80.801, Passif Masse 3798, bleibt 78.002
acp 620 (3 Q 30 335) f° 87-v, n° 4517 du 9.10. (homologirt 22/12 74
Le propriétaire suivant est Henri Bertuch qui épouse en 1872 Françoise Baudendistel, veuve du marchand d’eau de vie Charles Pingeoz.
Natif de Wingen, Charles Pingeoz épouse en 1863 Françoise Baudendistel, native d’Ulm en Bade.
Mariage, Strasbourg (n° 369) Du 1° jour du mois d’août 1863. Acte de mariage de Charles Pingeoz, majeur d’ans, né en légitime mariage le 21 février 1834 à Wingen, arrondissement de Wissembourg (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg, préposé des douanes, fils de feu Philippe Pingeoz pensionnaire des douanes décédé à Schweighausen (Bas Rhin) e 18 janvier 1859 et de feu Catherine Adam décédée à Schweighausen le 18 novembre 1857, et de Françoise Baudendistel, majeure d’ans, née en légitime mariage le 21 février 1837 à Ulm (grand duché de Bade), domiciliée à Ulm, sans profession, fille de Georges Baudendistel, tisserand domicilié à Oberkirch ci présent et consentant et de Marie Anne née Baudendistel domiciliée également à Ulm (…) qu’il n’a pas été fait de contrat de mariage, (signé) Pingeoz, Bandendistel (i 28)
Charles Pingeoz meurt en 1869 dans sa maison place d’Austerlitz
1869 (27.11.), Me Flach (minutes en déficit)
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Charles Pingeoz marchand d’Eau de vie et Françoise Baudendistel sa femme à Strasbourg et de la succession du dit Sr Pingeoz décédé le 9 août 1869, dressé à la requête de la veuve agissant comme commune en biens à défaut de contrat de mariage et comme mère et tutrice d’Alphonse Emile et Marie Louise Pingeoz ses enfants
Communauté, mobilier estimé 1830, argent 700, créances 774
Une maison à Strasbourg place d’Austerlitz n° 5
acp 588 (3 Q 30 303) f° 49-v du 1.12. (succession déclarée le 21. janvier 1870)
1869, Me Flach (minutes en déficit)
Testament du 26 juillet 1867 – Charles Pingeoz, propriétaire à Strasbourg par lequel il lègue à Françoise Baudendistel sa femme la moitié indivise de sa maison de communauté sise à Strasbourg place d’Austerlitz n° 5 et tout le mobilier garnissant la maison à charge de payer la moitié d’un capital de 1000 francs et de verser une somme de 4000 francs dans la succession – Décès du 9 août 1869
acp 585 (3 Q 30 300) f° 98 du 13.8.
Originaire de Tennstedt en Prusse, Jean Henri Bertuch épouse en 1872 Françoise Baudendistel veuve de Charles Pingeoz
Mariage, Strasbourg (n° 948)
Du 16° jour du mois de novembre 1872. Acte de mariage de Jean Henri Bertuch, majeur d’ans, né en légitime mariage le 11 septembre 1844 à Tennstaett (Prusse), domicilié à Strasbourg, aubergiste, fils de Jean Henri Bertuch, cultivateur, et de Jeanne Wilhelmine Marburg, conjoints domiciliés à Tennstaett, et de Françoise Baudendistel majeure d’ans, née en légitime mariage le 21 février 1837 à Ulm (grand duché de Bade), domiciliée à Strasbourg, aubergiste, veuve de Charles Pingeoz marchand d’eau décédé à Strasbourg le 9 avril 1869, fille de Georges Baudendistel ; tisserand domicilié à Oberkirch (grand duché de Bade) ci présent et consentant et de feu Marie Anne née Baudendistel décédée à Ulm le 4 novembre 1868 (…) qu’il n’a pas été fait de contrat de mariage, (signé) Bertuch