8, rue Hannong
Rue Hannong n° 8 – IV 109 (Blondel), P 621 puis section 58 parcelle 50 (cadastre)
Ancien bâtiment démoli en 1954
Le n° 8 est la maison du milieu, à trois étages
(vers 1912, AMS, album coté 1 Fi 24, image 18)
La maison sans cour appartient à de modestes artisans (pelletier, cordonniers, revendeur, tailleur de pierres). Sa valeur minimale établie par les experts de la Ville augmente légèrement en passant de 225 livres en 1730 à 350 livres en 1754. L’Atlas des alignements (clos en 1829) signale un rez-de-chaussée en maçonnerie et trois étages médiocres en bois.
Le n° 8 est la deuxième maison à partir de la droite.
Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue a l’aspect que représente la photographie de 1912 : fenêtre et porte d’entrée au rez-de-chaussée, trois étages à deux fenêtres chacun. La maison est peinte en gris (voir la lettre g au-dessus du toit), La toiture abrite deux étages de greniers. Une partie de la façade arrière donne dans la cour E’, juste à gauche du repère (9).
Cour E’
Plan de 1898, agrandissement de la fenêtre au-dessus de la porte d’entrée
(dossier de la dossier de la Police du Bâtiment
Le rez-de-chaussée est occupé par un commerce de légumes en 1884 quand la propriétaire demande l’autorisation de transformer la pièce arrière en entrepôt de bois et charbons. La fenêtre au-dessus de la porte d’entrée est agrandie en 1898 (voir ci-dessus le plan joint à la demande), celles des étages supérieurs conservent leur ancien état. Comme la plupart des maisons modestes du quartier, elle devient un immeuble de rapport. Le propriétaire fait remarquer en 1906 que les locataires changent souvent et qu’on n’est jamais certain d’encaisser les loyers. Les locaux commerciaux sont occupés par un sellier, un cordonnier et un salon de thé. Le bombardement du 25 septembre 1944 endommage la maison, en particulier le mur de la façade sur rue. Le bâtiment n’est pas réparé mais démoli puis reconstruit selon le projet de 1954. Il est terminé en 1957. En 1971, un projet de démolition n’a pas de suite. Les locaux commerciaux sont occupés par Mme Litewka (Au Beau Choix), l’entreprise Réparélec puis (1982-1992) la boutique Troc-Mode.
avril 2014
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1637 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
Valentin Bieth et Barbe, à Offenheim | ||
1637 | v | Jean Georges Siegfried, sergent de la Chancellerie, et (1626) Véronique Lobesser puis (1641) Agnès Schœpff – luthériens |
1653 | v | Martin Grimm, pelletier, et (1633) Anne Wissinger – luthériens |
1680* | h | Martin Grimm, pelletier, et (1678) Susanne Engelmann puis (1698) Marie Salomé Born – luthériens |
1700* | h | Georges Jacques Leibing, cordonnier, et (1710) Anne Marie Grimm – luthériens |
1711 | v | Jean Georges Flechner, marchand de futaine, et (1701) Susanne Nieffer – luthériens |
1712 | v | Jean Georges Gœtz, boulanger puis revendeur, et (1700) Marie Rosine Rosstæuscher – luthériens |
1730 | h | Jean Jacques Hummel, passementier, et (1722) Marie Rosine Gœtz – luthériens |
1735 | v | Georges Frédéric Hertzog, cordonnier, et (1714) Catherine Voltz – luthériens |
1767 | h | Georges Frédéric Hertzog, cordonnier, et (1741) Marie Catherine Kappel – luthériens |
1772 | v | Barthélémy Oberreuther, tailleur de pierres, et (1766) Anne Marie Niedermeyer, remariée (1779) à Martin Weber – catholiques |
1807 | v | Joseph Steinmesser, cabaretier, et (1798) Catherine Pfaff, remariée (1811) avec Jean François Migevand, militaire retraité |
1844 | v | Jean Schirrmann, garçon cordonnier, et (1812) Anne Marie Berg puis (1841) Christine Wittersheim veuve d’André Fritsch |
1868* | Pierre Beyer | |
1877* | Aloïse Ketterer, tanneur | |
1903* | Charles Lienhard, la veuve Cécile Marie Ketterer | |
1907 | Jean Puhl, couvreur en ardoises, et Catherine Pierre | |
1923* | Jacques Reimund, employé des chemins de fer, la veuve Caroline Reinlerstadt* | |
1934* | Albert Huntzinger, voyageur de commerce, et Pélagie Jakobowsky | |
1956* | Marguerite Ziller à Souffelweyersheim |
(1765, Liste Blondel) IV 109, George Frederic Hertzog
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 621, Michoi / Migevand, Jean François, pensionnaire de l’Etat – maison, sol – 0,32 are
Locations
1711, Jean Georges Gœtz, journalier
Localisation sur le plan Blondel (1765)
Description de la maison
- 1730 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un petit poêle, une chambre, un vestibule où se trouvent le fourneau et l’évier, le tout estimé à 450 florins
- 1758 (billet d’estimation traduit) La maison comprend deux petits poêles, une chambre et la cuisine dans le vestibule, le comble est couvert de tuiles plates, le tout estimé à 350 florins
- 1945 Rapport de visite
Atlas des alignements
1° arrondissement ou Canton ouest – Rue du Foulon
nouveau N° / ancien N° : 21 / 11
Steinmetz
Rez de chaussée en maçonnerie et 3 étages médiocres en bois
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 28 f° 190 case 2
Miejevand Veuve de Jean François pensionnaire de l’Etat
1858 Schiermann, Jean, propriétaire, rue du foulon 11 à Strasbourg
P 621, maison, sol, rue du foulon 11
Contenance : 0,32
Revenu total : 54,17 (54 rt 0,17)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 10 / 8
fenêtres du 3° et au-dessus : 4 / 3
Cadastre napoléonien, registre 22 f° 830-case 2
Schiermann, Jean, propriétaire, rue du foulon 7
1861 Schiermann, Jean, veuve, rue du foulon 7
1868 Beyer Pierre
1877 Ketterer Aloys, Gerber
1903 Lienhard Karl Wittwe Cäcilie Marie geb. Ketterer
1908 (2284) Puhl Johann Schieferdecker und Ehefr. Katharina geb. Pierre in Gtg.
P 621, maison, sol, Rue du Foulon 8
Contenance : 0,32
Revenu total : 54,17 (54 rt 0,17)
Folio de provenance : (190)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 10 / 8
fenêtres du 3° et au-dessus : 4 / 3
Cadastre allemand, registre 31 p. 330 case 5
Parcelle section 58, n° 50 – autrefois P 621
Canton : Stampfgasse Hs. N° 8
Désignation : Hf, Whs – sol, maison
Contenance : 0,37
Revenu : 600 – 800 – 1000
Remarques : 1914, Minder.
(Propriétaire), compte 3148
Puhl Johann u. Ehefrau
1923 Reimund Jacques employé des Chemins de fer veuve Caroline née Reinlerstadt*
1934 Huntzinger Albert voyageur et son épouse Pélagie née Jakobowsky en c. d. b.
(2125)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IV, Rue 95 Rue du Foulon (p. 222)
(maison n°) 11
Pr. Weber, Martin, platrier – Maçons
loc. Freis, cocher
loc. Paiter, J. Phil., garç. Charp. – Manant
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Stampfgasse (S. 170)
(Haus Nr.) 8
Baumann, Tagner. 0
Riehl, Tagner. 1
Banzhaff, Schlosser. 2
Bage, Tagnerin. 3
Manny, Zimmerm. 4
Dossiers de la Police du Bâtiment (I. cote 815 W 190)
L’agent voyer note lors d’une demande de ravalement en 1866 que la maison dépasse de l’alignement légal mais qu’elle n’a pas d’avance et que le rez de chaussée est en maçonnerie. Aloïse Ketterer demande en 1884 l’autorisation d’installer un petit entrepôt de bois et charbons. Le rapport de visite constate que le rez-de-chaussée comporte le vestibule et deux pièces dont celle qui donne sur la rue sert de magasin de légumes, le magasin à charbons serait installé dans la plus petite pièce à l’arrière du bâtiment. Aloïse Ketterer fait agrandir en 1898 une ouverture au premier étage. Suite à une demande de la Commission contre les logements insalubres, le propriétaire fait remarquer en 1906 que les locataires du quartier changent souvent et qu’on n’est jamais certain d’encaisser les loyers. La commission demande en 1912 que l’appartement du quatrième étage ne serve d’habitation qu’à un adulte parce que les pièces ne sont pas assez hautes.
Les locaux commerciaux sont occupés par un sellier (1928), un cordonnier (1933) et un salon de thé (1934). Le bombardement du 25 septembre 1944 endommage la maison. On refuse en 1945 l’autorisation d’ouvrir un débit de boissons et un hôtel. Le rapport de visite constate que la pièce qui doit servir au débit de boissons a 2,15 mètres de hauteur, chacun des trois étages comporte deux pièces qui serviraient de chambres meublées. Le bâtiment délabré, les murs de la façade sur rue ont été endommagés par la déflagration d’une bombe. La maison est inhabitée en 1946.
La Police du Bâtiment émet un avis défavorable au permis de construire en 1950 parce que le projet ne correspond pas aux règlements de la Ville et qu’il ne s’agit pas d’une réfection mais d’une reconstruction après démolition. L’architecte Eugène-René Rohmer transmet un nouveau projet en 1953. L’architecte obtient en 1954 une dérogation qui permet de porter la hauteur du bâtiment à trois étages (11,50 mètres de haut alors que l’ancien bâtiment avant 12 mètres). Les travaux ont lieu en 1955. Un avenant au permis de construire permet d’aménager un studio sous les combles. Les travaux sont presque terminés en juillet 1957.
Les locaux commerciaux sont occupés par Mme Litewka (Au Beau Choix) puis par l’entreprise Réparélec qui retire son enseigne en 1977. La boutique Troc-Mode a une enseigne de 1982 à 1992. Le propriétaire ajourne en 1971 le ravalement de la façade en arguant qu’il a l’intention de vendre la maison à un promoteur qui la détruira. Le projet n’a pas de suite, le ravalement est achevé en juillet 1980.
Sommaire
- 1866 – Le maître maçon Denu demande au nom du sieur Beyer, propriétaire, l’autorisation de ravaler la façade 8, rue du Foulon – Accord. Observation de l’agent-voyer : La façade de cette maison est en saillie sur l’alignement, mais sans avance et le rez de chaussée est en maçonnerie.
- 1884 – Dossier à la Préfecture de police. Aloïse Ketterer demande l’autorisation d’installer un petit entrepôt de bois et charbons au 8, rue du Foulon – Rapport de visite et mesures à prendre
Die dieseits veranlaßte Lokalbesichtigung auf dem Grundstück an der Stampfgasse N° 8 ergab, daß sich im Erdgeschoß des dreistöckigen Wohnhauses außer dem Hausflure zwei Räume befinden, von welchen der größere, an der Straßenfrontwand gelegen nach Angabe der Frau Ketterer, in dem Beisein die Besichtigung erfolgte, als Gemüseladen benützt werden soll Hinter diesem an der Rückwand des Hauses liegt, der zweite Raum, welcher Zur Einrichtung der Holz- und Kohlen-Niederlage in Aussicht genommen ist, derselbe ist 2,75 Meter lang, 1,20 Meter breit, sowie halb und halb 2,25 Meter bezw. 3,65 Meter im Lichen hoch, die Decke besteht aus freiem Holzwerk. Der besagte Raum ist vom Hausflur aus zugänglich, man muß jedoch den unter der Treppe angebrachte Abtrittsitz passiren, welcher von dem betreffenden Raum mittelst eines durchsichtigen Lattenverschlages getrennt ist. Die dem Niederlagsraum zunächst liegende Feuerung befindet sich im erstgenannten Raum (Gemüseladen) und ist von der zwischen beiden befindlichen Scheidewand 3,50 Meter entfernt. - 1887 – La Police du Bâtiment notifie le propriétaire, Aloïse Ketterer, domicilié sur place, de faire ravaler la façade – Note sur le revenu du journalier Aloïse Ketterer (il gagne 1,80 mark par jour, à quoi s’ajoute un loyer de 40 marks par mois, il doit encore 2600 marks sur les 6000 que vaut approximativement la maison) – Le propriétaire demande un délai. La façade est ravalée, juin 1888
- 1895 – Aloïse Ketterer demande l’autorisation de faire ravaler la façade – Autorisation – Travaux terminés, août 1895
- 1898 – Aloïse Ketterer est autorisé à agrandir une ouverture au premier étage – Travaux terminés, juillet 1898 – Plan du premier étage
- 1895 – La Police du Bâtiment demande au propriétaire, Aloïse Ketterer, de se mettre en conformité avec le nouveau règlement : les volets du premier étage ne doivent plus s’ouvrir vers la rue – Rappel – Travaux terminés, mai 1899
- 1899 – L’entrepreneur Grimm et Schmoele (14 Grande rue de la Grange) demande l’autorisation de ravaler la façade – Autorisation – Travaux terminés, juillet 1899
- 1909 – Rapport des pompiers : un feu de cheminée s’est déclaré dans la propriété Buhl 8, rue du Foulon
- 1913 – La Police du Bâtiment notifie le propriétaire, Jean Puhl, domicilié sur place, de faire ravaler la façade – La Police du Bâtiment accorde un délai d’un an – Le peintre Aloïse Fischer demande l’autorisation de peindre la façade en vert clair, les volets en vert foncé, le socle en brun – Autorisation de ravaler la façade 8, rue du Foulon, juin 1914 – Travaux terminés, juillet 1914
- 1921 – La Police du Bâtiment notifie le propriétaire, Jean Puhl, domicilié sur place, de faire ravaler la façade au 8, rue Hannong – La veuve Catherine Puhl née Pierre demande un délai – 1922, le peintre Charles Bartholomé (10 rue Sleidan) demande l’autorisation de poser un échafaudage pour repeindre la maison en gardant la même couleur – Autorisation
- Commission contre les logements insalubres, 8 rue du Foulon. Propriétaire, Ketterer, domicilié sur place, 1901. Observations : poser un tuyau d’aération à la fosse d’aisances, un garde-fou à la trappe qui donne dans la cave. Rappel
1906, propriétaire veuve Lienhard (10 rue de l’Ile-Jars). Locataire principal, Sexauer (38 rue de l’Argile). Liste de travaux à faire en sept points
Lettre de la propriétaire (…) IV. steht die einwohner vom Haus gegen die anforderung wie es jetzt verlangt wird vieles zu niedrig Steuer, Versicherung u.s.w. ich könnte noch Geld darauf legen, und das will ich nicht, denn in die Stampfgasse ziehen keine noble Miether, denen alle Monat oder viertel jahr die Wohnung wechslen wird alles ruinirt.
Ich weiß es aus erfahrung das bei denen Miether weder Polizei noch Gericht was nützt, und sage Ihnen noch ein mal das ich bevor ich selbst in Haus ziehe, nichts machen lasse. Wenn Sie finden daß die Wohnung nicht vermiethbar sind, so können Sie sie Schließen wenn Sie für nöthig finden
1907, un des locataires est poitrinaire, un des appartements est occupé par un trop grand nombre de personnes
1908, rapport au Conseil municipal avant d’engager des poursuites pour n’avoir pas exécuté des travaux que la Commission a exigés en mars 1906 – Autre rapport, mai 1909. En marge, le propriétaire a changé entre temps. Lettre de Mme Lienhard qui déclare avoir vendu la maison en juillet 1907
1909, le propriétaire, Jean Puhl, fait des objections à la demande d’installer de deuxièmes lieux d’aisances. La maison a été raccordée aux canalisations trois ans plus tôt
1909, rapport au Conseil municipal avant d’engager des poursuites contre Jean Puhl. De deuxièmes lieux d’aisances devront être installés bien que le nombre de locataires ait diminué
1912, nouveau rapport. L’appartement du IV° étage ne doit plus servir d’habitation qu’à un adulte parce que les pièces ne sont pas assez hautes (1,80 m)
1913, rapport au Conseil municipal avant d’engager des poursuites au sujet de l’appartement du IV° étage
1915 – Commission des logements militaires, liste de travaux à faire. Propriétaire, Puhl - 1928 – Le sellier François Mechoud demande l’autorisation de poser une enseigne (Sellier, Articles de Voyage et de Maroquinerie, Réparations en tous genres. Prix modérés) – Accord
- 1932 – Une locataire se plaint que son logement n’est pas habitable – La Police du Bâtiment constate que la plainte n’est pas fondée.
- 1933 – Le cordonnier Emile Huber qui vient de s’installer 8 rue Hannong demande l’autorisation de suspendre une enseigne en forme de botte – Autorisation
- 1934 – A. Kaiser déclare avoir posé une enseigne lumineuse Salon de thé – Autorisation
- 1944 – Certificat de sinistré, la maison a été endommagées par le bombardement du 25 septembre 1944. Albert Huntzinger, octobre 1944, accordé. Jeanne Sigrist, septembre 1946, refusé
- 1945 – Demande d’autorisation pour ouvrir un débit de boissons et un hôtel – Rapport de visite, refus
Strasbourg le 20.10.45
L’immeuble 8, Rue Hannong dans lequel doit être exploité un débit de boissons-hôtel meublé se composé d’un rez-de-chaussée et de 3 étages. Le rez de chaussée comporte : une petite salle d’env. 16 m² de 2,15 m de hauteur qui est destinée à la dégustation et d’un W.C.
Les 1°, 2° et 3° étages contiennent chacun 2 pièces qui serviront de chambres meublées, hauteur 2,15 m.
L’immeuble est actuellement dans un état de délabrement très avancé. De plus les murs de la façade sur rue ont été partiellement défoncés par la déflagration d’une bombe, de sorte que la stabilité de la maison est menacée. (…)
Note, avril 1946. Aucun changement n’a été apporté à l’immeuble qui est inhabité - 1949 – Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme transmet la demande d’Albert Huntzinger pour obtenir un permis de construire
Remise en état du bâtiment 8 rue Hannong. Propriétaire, Albert Huntzinger, domicilié sur place. Architecte, Eugène Rohmer, 20 avenue des Vosges
Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme accorde le permis de construire
1950 – La Police du Bâtiment émet un avis défavorable en notant que le projet ne correspond pas aux règlements de la Ville et qu’il ne s’agit pas d’une réfection mais d’une reconstruction après démolition - 1953 – L’architecte Eugène-René Rohmer transmet un nouveau projet de reconstruction. Propriétaire Albert Huntzinger, domicilié 22 rue Thiergarten – Plans
Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme accorde le permis de construire
Note en mai 1953. Pas de travaux. La façade sur rue est très vétuste. L’écroulement partiel est à craindre
1954 – L’architecte demande une dérogation qui permettrait de porter la hauteur du bâtiment à trois étages (hauteur totale 11,50 mètres, bâtiment à détruire 12,00 mètres) – La Police du Bâtiment répond que la hauteur correspond aux règlements de la Ville. Août 1954, le préfet accorde dérogation au Règlement sanitaire départemental – Plans
La Police du Bâtiment fait remarquer que certaines fenêtres de la façade arrière donnent sur la parcelle voisine
Suivi des travaux. Mai 1955. Les travaux commencés par l’entr. D. Moellé sont arrêtés ht le 1° étage. Fondat. en béton, dalles massives en b. a. et corps creux. Murs ext. en maç. de briques cellulaires. La dalle ht le 1° est encore coffrée. Aucune activité. – Septembre, pas de travaux – Décembre. Reprise des travaux par l’ent. Diss de l’extérieur.
1954, l’architecte demande l’autorisation de poser un panneau publicitaire (vente de studios) – Autorisation de poser une enseigne provisoire - 1954 – L’entreprise de construction A. Moelle (15-22 rue Lafayette) est autorisée à occuper la voie publique pour réaliser le gros œuvre
1955 – L’entreprise de construction Joseph Klauth (chemin du Heyritz) est autorisée à occuper la voie publique pour réaliser le gros œuvre - 1953 – Ursule Winter femme de Jules Heidt demande de transférer le débit de boissons alcooliques sis 20, avenue de la Marseillaise dans le salon de thé 8, rue Hannong
Rapport de visite (ancien bâtiment) annulé par le projet de construction - 1955 – Avenant au permis de construire pour aménager un studio sous les combles.
L’architecte Rohmer informe la Police du Bâtiment que les travaux ont été interrompus par manque de crédit, les dommages de guerre étant insuffisants et qu’il n’est plus chargé du bâtiment depuis qu’il a été vendu.
1956 – Le nouveau propriétaire, Marguerite Ziller (52.a rue de la Ville à Souffelweyersheim), demande un avenant au projet pour modifier la toiture – Plans
Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme accorde l’avenant
Suivi des travaux. Juin 1956, les travaux ont repris, la toiture est en cours selon le plan modifié – Septembre, le gros œuvre est terminé, la charpente montée – Janvier 1957, les travaux de menuiserie et de vitrerie sont en cours. La façade n’est pas crépie – Février 1957, l’escalier en béton est posé, la salle d’eau sous les combles n’est pas conforme au projet – Juillet 1957, les travaux sont presque terminés. Pas d’objection lors de la réception finale
1956 (septembre) La Police du Bâtiment demande après réception du gros œuvre un certificat de ramoneur qui lui est fourni après rappel - 1959 – Marguerite Ziller est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique pour installer une cuve nécessaire au chauffage de l’asphalte
- 1959 – Mme Litewka (Au Beau Choix) demande l’autorisation de poser une enseigne verticale à l’extérieur de son magasin – Autorisation – L’enseigne est posée
- 1965 – L’entreprise Réparélec demande l’autorisation de poser deux enseignes lumineuses – Croquis – Autorisation – L’enseigne a été posée
1973 – Une des enseignes a été retirée
1977 – L’entreprise informe la Police du Bâtiment que l’autre enseigne a été retirée. L’enseigne est cependant restée en place après la fermeture du commerce – L’enseigne a été effectivement retirée - 1971 – La Police du Bâtiment notifie le propriétaire, Marguerite Ziller, de faire ravaler la façade – Le propriétaire répond qu’il a l’intention de participer au projet immobilier de l’entreprise Hermann Frères qui prévoit de détruire la maison. La Police du Bâtiment accorde un délai d’un an. Aucun projet n’est en cours début 1974. Lettres de rappel en décembre 1974 et juillet 1975 auxquelles le propriétaire répond qu’il recherche une entreprise. La façade n’est toujours pas ravalée en décembre 1976. La Police du Bâtiment met le propriétaire en demeure de faire ravaler la façade en novembre 1977
1980 – L’entreprise TEC Alsace (75 avenue des Vosges) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique – Le ravalement est achevé, juillet 1980
1981 – Hugues Chalumeau (1, rue Sainte-Odile) est autorisé à occuper la voie publique. Le ravalement est terminé, janvier 1982 - 1982 – La Police du Bâtiment constate que Troc-Mode a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire éclairée par deux lampes – La Police du Bâtiment répond à la demande qu’ « un avis défavorable est donné pour la pose des deux spots. Leur montage dépare l’immeuble ». Les lampes sont retirées
- 1984 – Le notaire Paul Trienbach (quai Kleber) demande des renseignements d’urbanisme en vue d’une mutation sans modification d’état
- 992 – L’avocat Romain Garnon (12, rue du Maréchal Foch) chargé des intérêts d’une locataire, Jeannine Gody, demande si le bâtiment est antérieur à 1948 – Réponse circonstanciée
- 1992 – Troc-Mode n’a pas réglé les droits d’enseigne. Affaire classée après que l’adresse a été rectifiée (46, rue du Jeu-des-Enfants)
Dossier de la Police du Bâtiment (II. cote 815 W 191)
Relevé d’actes
Valentin Bieth et sa femme Barbe, d’Offenheim, vendent 65 livres la maison à Jean Georges Siegfried, sergent de la Chancellerie
1637 (22. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 478 f° 492
(p.tocoll fol. 92) Erschienen Veltin Bieth von Offenheim und Barbara sein eheliche haußfrau
haben zu kauffen gegeben hannß Georg Sÿfriden dem Geschwornen Cantzleÿ potten Vnd Burgern Zue Straßburg
Hauß und hoffstatt, mit allen and. ihren gebäwen & alhie im Stampff gäßlin Am Amten Weinmarckht neben Claus Simon dem Weißbecken & Hannß Georg Beÿers deß Kremers see. Wittiben, hinden vff Medard Meÿers deß Schultheißen Zu Kleinen göfft hind.laßene Erben stoßendt, so noch verhafftet vmb 65. lib. Weÿl. herrn Valentin Bilgers deß Notÿ wittib und Erben – umb 65 lb
Jean Georges Siegfried, sergent de la Chancellerie, épouse en 1626 Véronique Lobesser, fille de cordonnier, puis en 1641, alors qu’il est sergent de la Tour aux Deniers, Agnès Schœpff, fille d’un autre sergent de la Tour aux Deniers
Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 34 f° 146)
1626 Domin. XXIV i. Vice. Hannß Geörg Seÿfrid geschworner Cantzelleÿ bott alhie, Undt Jungfr. Veronica, Michael Lobyßer Schuemacher und burger allhie ehelich hinterlassene tochter. Mont. post 25. Trini. Zu St. Claus (i 159)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 178-v) 1626 Dominica XXIV post Trinit. Hannß Geörg Seÿfrid geschwornener Cantzleÿ bott alhie Unnd Veronica Michel Lobeßer deß Schuemach.s allhie nachgelaßene tochter. 22. 9.bris Zue St. Claus (i 183)
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 262)
1641. Domin. 3 Epiph. 24. Jan: Hannß Georg Sigfrid, dreÿerknecht deß Pfenningthurns, Jungfr. Agnes, Jacob Schöpfen auch dreyerknechts deß Pfenningthurns Eheliche tochter. Eingesegnet dienstag 2. Febr. St. Thoman (i 267)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 53) 1641. Dnca 3 Epiph. 24. Jan, Johann Görg Seÿfridt der dreÿer Knecht am pfenningthurn, Jungfr. Agnes Jacob Schöpffen des dreyer knechts am pfenningthurn Eheliche Tochter, Dienst. 2. Febr. St. Thoman
Jean Georges Siegfried, sergent des Trois de la Tour aux Deniers, et sa femme Agnès vendent 150 livres la maison au pelletier Martin Grimm et à sa femme Anne
1653 (29. martÿ), Chambre des Contrats, vol. 514 f° 186
(Protocoll. fol. 28. fac. 2.) Erschienen hannß Georg Sÿfrid der Treÿer knecht vff dem Pfenningthurn und Burg. Zu Straßburg, und Agneß sein eheliche haußfrau, beÿde mit beÿstand H Georg Jägers deß Not. und Vogteÿgerichts schreibers und hannß Jacob Schöpffen deß küblers
in gegensein Martin Grimmen deß kürßners und Annæ seiner ehelich. haußfr. beede mit beÿstand Wolff Mößners deß Kürßners
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, & alhie im Stampffgäßlin, einseit neben Clauß Simon deß Weißbeckh. seel. Erben, anderseit neb. hannß Georg Beÿers deß Krämers seel. Erben, hind. vff Medard Meÿers deß Schultheiß. Zu Kleinen Göfft hinderlaßene Erben stoßend gelegen, so noch verhafftet ist umb 65. lib. weÿl. H Valentin Bilgers deß Notarÿ seel. erben (übernohmen) – umb 85. lib
Martin Grimm, originaire de Silésie (Nuthmarl, Neumark), pelletier au service de Gaspard Mœssner, épouse en 1633 Anne Wissinger : contrat de mariage, célébration. On ne trouve pas son accession à la bourgeoisie dans les registres.
(Copia der Eheberedung) Persönlich erschienen Martin Grimm von Nuthmarck in der Schleßien der Kirschnergesell als hochzeiter, mit beÿstand vnsers Burgers Caspar Mößners des Kirschners seines Maÿsters an Einem, Sodann Anna, Weÿl. unsers Burgers Wÿsingers des glaßers seel. eheliche tochter, als hochzeiterin, mit beÿstand vnsers Burgers Medhardt Vierlings des glaßers Ihres Vogts am andern theil – Cantcelleÿ Contract Stub den 27. Monathstag Novembris Im Jahr des Herren 1633
Mariage, Temple-Neuf (luth. p. 328)
1633. Dom. I. Adventus. Martin Grim der Kürsner von Newmarck auß der Schlesien und J. Anna Hans Wisingers deß glasers u. tochter. Eingesegnet montag 9. 10.bris (i 169)
Martin Grimm rembourse un capital qui éteint la rente annuelle due au titre d’un contrat de 1551 à la succession de Catherine Honauer femme du notaire Valentin Bilger
1660 (21. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 510-v
Erschienen H. Ulrich Koch und H. Hannß Riehel beede alß auß E.E. Kleinen Rhats mittel zu distraction weÿl. Fr. Catharinæ Hönawerin auch weÿl. H Valentin Bilgers deß Notarÿ seel. wittibin Verlassenschafft insonderheit deputirte,
in gegensein Martin Grimmen deß Kürschners, mit beÿstand hannß Ebers deß Kürschners
zu ablößung der Jenigen 2. lb 10 ß welche besagter Grimm iährlich, uff Joh. Bapt: und Weÿhenachten won uff und ab seiner alhie in Stampf Gaß gelegener behaußung, Vermög eines teutschen pergamentinen sub dato 9. Februarÿ A° 1551 mit deß bischoffl Hoffs Anhangendem Insigel, durch weÿl. H. Hÿlarium Meÿern alß derselben hoffs damahlig. Contractuum Not. nun längst seel. uffgerichteten recognition breiffs, besagter hönawerin nach Anlaÿtung der am 20. Jan: A° 1629. in der Cancelleÿ Constract stuben Verfaßter Cession, Zu Zinnß Zu raÿchen schuldig geweßen ist, 65. lib 15 ß sambt dem Marzahl Zu genügen empfang. haben
Martin Grimm meurt fin 1679 en délaissant trois enfants. Les experts estiment 75 livres la maison qui revient à la veuve. La conclusion finale de l’inventaire s’élève à 127 livres
1680 (16.2.), Me Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 1) n° 3
Inventarium und Abtheilung über Weÿl. Martin Grimmen deß ältern Kürßners v. burgers Zu Straßb. seel. Verlassenschafft
Inventarium und Beschreibung aller der Jenig. Haab Nahrung und Güttere, so Weÿl. der Ehrengeachte Martin Grimm der älter gewesener Kürßner und burger Zu Straßburg, nunmehr sel. nach seinem den 17. Decembris des nechstabgewichenen 1679.sten Jahrs genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches ansuch., erfordern und begehren des Ehrenhafften Meister Daniel Grimmen auch Kürßner v. burgers alhier für sich selbsten, Ferner der Ehren und tugendsamen Frawen Annæ Margarethæ Grimmin des Ehrengeachten Hannß Michel Müllers tabacmachers v. burgers alhier ehelicher haußfrawen mit assistentz deßelben Ihres Ehemanns so dann des Ehrsamen Martin Grimmen des Jüngern ebenmäßig Kürschners Vnd burgers alhier Vor sich selbsten, also aller dreÿ des Jetzt abgeleibten mit hernach gemelter seiner hinterbliebeneen wittib ehelich erzeügter beder Söhn und tochter auch ab intestato nachgelaßener Erben, vorgenommen vnd ersucht, durch die Ehren und tugendsame fraw Annam Wÿsingerin die Wittib, mit beÿstand des Ehrenvest Und achtbahren herrn Johann Philipp Reimboldtes Kirschners Vnd alhießigen burgers Ihres geordneten vnd geschwornen vogts (geäugt und gezeigt) Actum Montags den 16. Februarÿ A° 1680.
In einer alhier Zu Straßburg in der Stampffgaß gelegener und in dieße Verlassenschafft gehörig. behaußung befund. worden wie volgt.
Erstlich Ane Haußrath und Vahrender Haab. Vff der untdern bühnen, In der Cammer A, Im obern haußöhren
Eÿgenthumb an einer Behaußung (NB. dieße behausung ist der Wittib beÿ d. Abtheilung Käuffl. vberlaß. word. per 150. lb. d., deßweg. d. außtheiler Zu Hauß zumach.) Item hauß v. hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen weithen rechten Zugehörden v. gerechtigkeiten, geleg. in der St. Straßb. m Stampffgäßl. einseit neben weÿl. hannß Georg Rostockers Wittib v. Cons. 2.seith neben hannß Jacob Stollen dem büttel beÿ E.E. Zunfft Zur Lucern, hinden auff weÿl. Johann Frießen deß leinenwebers W. stoßend, so allerdings freÿ, ledig v. Eÿgen Und ist dieße behaußung vermög der beÿ dem Concepto Inventarÿ befindlichen Abschatzung durch der Statt Straßburg Geschworne Werckhleuth Vff Eingangs gedachtes datum angeschlagen worden vmb 150. R. th. 75. lb. Darüber vorhanden ein Teutscher perg : Kauffbrieff in der Statt Straßb. Cancelleÿ Contract stub gefertigt, v. dero anhangendem Insigel verwahrt, meldendt welcher gestalten der Verstorbene beneben seiner hinderlaßenn Wittib dieße behaußung von hannß Georg Sÿfrid dem dreÿ. Knecht vffm Pfenningthurn v. deß. Eheweib, wie auch hannß Jacob Schöpffen dem Kübler eÿgenthümblich an sich erkaufft, deß. datum den 29. Martÿ A° 1653 mit N° 1 signirt. Dabeÿ ferner j. perg. Kauffbr. in wohlermelter Contr: stub. gef. v. dero Anhangendem Insigel becräfftiget de dato 22. Maÿ 1637. sampt 6. vnderschiedenen alten Perg. Kauff. v. abgelößten Zinnß Verschreibungen alle mit Newem N° 1. bezeichnet.
– Abschatzung. Montags den 16.ten februarÿ 1680. Weÿlandt Meister Martin Grimmen gewesenen burgers undt Kürschners nunmehr See : hinderlaßenr wittib Undt Erben, Klein häußlein in der Stampffgäßlein, welches nach der besichtigung Vff den herrn Stamm angeschlagen Vor Vndt Vmb Ein hundert Vndt fünffzig guldten. Bezeugnus Vnderschriebene der Statt Straßburg geschwohrne Werckhleuth. gewesen Georg Heckhele Werckmeister beÿ dem Münster, Jacob Losii Werckmeister deß Zimmer hoffs, Andres Schmidt Werckhmeister des Maurhoffs
Series rubricarum hujus Inventarÿ Sa. haußraths 33, Sa. Weins Und lährer Vaß 1, Sa. Silbern geschirrs v. geschmeids 14, Sa. Guldener ring 6, Sa. Eÿgenthumbs ane einer behaußung 75, Summa summarum 130 lb – Schulden 2 lb, Nach deren Abzug 137 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 127. lb
(Copia der Eheberedung) – Cantcelleÿ Contract Stub, den 27. Monathstag Novembris Im Jahr des Herren 1633
Anne, veuve de Martin Grimm, hypothèque la maison au profit de Christophe Güntzer, secrétaire des Treize et administrateur de la fondation ottonienne. La mention marginale indique que la dette est réglée par Martin Grimm, seul propriétaire de la maison hypothéquée
1680 (3.5.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 322
Anna weÿl. Johann Martin Grimm deß Kürschners nunmehr seel. nachgelaßene Wittib, mit beÿstand Herrn Hannß Philipps Reinbolds deß Kürschners ihres vogts
in gegensein deß Edel- hochgelehrten herren Christoph Güntzers U.I. Ddi und dreÿ Zehn Secretarÿ alß Administratoris der Ottonischen stifftung – schuldig seÿe 50. lb
unterpfand, hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, rechten und zugehördten alhier im Stampffgäßlein, einseit neben Jacob Stollen dem Kornwerffer, anderseit neben diebolt – Mußquetirers alhier, hinden uff Johann frießen des Leinenwebers nunmehr seel. nachgelaßene Erben stoßend gelegen
Hierbeÿ seind auch persönlich erschienen Daniel Grimm der Kürschner und Martin Grimm auch Kürschner beÿde für sich selbsten, und hanß Michael Müller der Tabacberaiter alß Ehevogt Annæ Margarethæ Grimmen der Schuldnerin resp. eheleibliche Söhne und dochtermann, die haben nicht allein in dieße uffnahm Consentirt sondern auch weg. aller und Jeder Ansprachen, so dieselbe sowohl uff oberwehnte behaußung, alß auch uff übrige der resp. eheleiblichen und Schwiger: Mutter haab und Nahrung zuthun befugt sein, hiermit und in krafft dießes gutwillig renuncÿrt
[in margine :] in gegensein hannß Martin Grimmen deß Kirßners alß einig. possessoris hierin hypothecirten behausung (quittung) den 3. Julÿ 1692.
Anne Wissinger, veuve de Martin Grimm, meurt en 1685 en délaissant ses trois enfants. L’inventaire est dressé dans la maison qui lui a autrefois appartenu.
1685 (5.4.), Me Kitsch (Jean, 1 AH 6173) n° 104
Inventarium undt Beschreibung aller undt Jed. Haab, Nahrung und güth, so weÿl. die tugendt sahme Anna Wissingerin, des auch weÿl. Ehrenhafft. Martin Grimmen geweßenen Kürßners undt burgers alhier zu Straßburg seeligen nachgelaßene wittib, nunmehr auch seelige nach ihrem d. 22. Martÿ Jüngsthien tödlich genommenen hienscheid. hind. Ihro verlaß. welche verlassenschafft auf freundtliches ansuch., erford.n und begehren d. ane nechstehenden folio benambßter der verstorbenen per Testamentum nuncupativum instituirter Erben – Straßburg inn beÿsein des Ehrenvest vorgeacht. herrn hannß Philipps Reinboldts Kürßners u. burger.s allda d. Verstorb. seelig. gewesenen Vogts Donnerstags d. fünfft. Aprilis a° 1685
die verstorbene seelig hatt per Testamentum Nuncupativû Zu Erb. verlaß. wie volgt. 1. den Ehrsamen Meister Daniel Grimmen, Kürßneren burgern alhier Zu Straßburg, so selbst anwesendt, 2. die tugendsahme Annam Margaretham Grimmin deß Ehrsamen Hannß Michel Müllers, tabackmachers burgers daselbsten ehelicher haußfraw. undt Zwar nur in die Legitiman in das übrige aber d.oselben mit ged. Müller ehelich erziehlter Kind. nahmentlich hannß Michels, Annam Dorotheam undt Annam Margaretham undt hannß Friderich die Müller. In d.en nahmen d.o geordnet u. geschworner vogt d. Ehrenhaffte Diebold Hanß, Schwartzbeck u. burg. allda Zu geg. Zum and. Stamm. 3. u. dann Zum dritt. Stamm d. Ehrsamen Martin Grimmen, Kürschner, u. burg. Zu berührtem Straßburg, so ebenfalls geg.wärtig
Copia Testamenti nuncupativi – Copia Nach Dispositionis
So Inn einer inn d. Statt Straßburg im Stampffgäßel gelegener u. hieh.o nicht mehr gehörigen behaußung befund. word. wie volgt.
Auff der obersten bühnen, In der Cammer B, Inn d. Stub Cammer, Inn d. Stuben, Im hauß öhren
Summa hausraths 37, Sa. Silbers 4, Sa. Guldener Ring 3, Sa. Schulden 50, Summa summarum 94 lb – Schulden auß dißer Verlassenschafft Zu bezahlendt 8 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 85 lb
Testament de 1683 puis disposition complémentaire en janvier 1684 alors que la testataire est malade. Elle fait un legs particulier à sa petite-fille Anne Marguerite en service chez le tailleur Jean Pierre Nieffer
1683 (18.5.), Me Kitsch (Jean, 1 AH 6084)
Testamentum nuncupativum, die Ehren und tugendsahme Anna Wißingerin deß Ehrenhafften Martin Grimmen, Kürßners undt burgers alhier
Persönlich erschienen undt kommen ist, die Ehren: undt Tugendsahme Anne Wißingerin, deß Ehrenhafften Martin Grimmen, Kürßners undt burgers alhier Zu Straßburg seeligen hinderbliebener wittib Von den Gnaden Gottes des allerhöchsten annoch gesundten, gehendten und stehendten leibs, auch von den Gnaden Gottes des allerhöchsten völligen verstandts und vernunfftuger rede (…). welches beschehen Zu Straßburg dinstags den 18. Maÿ Anno 1683
Nachdisposition. den 12. Jan. 1684 Erschienen fr. Anna Wißingerin Martin Grimmen deß Kürßners wittib, krancken undt schwachen leibs in einem beth liegendt, doch guten verstandts (…) ferners will Sie demnach Ihrer dochter Annæ Margarethæ Söhnlein beÿ hannß Peter Nieffern dem Schneider das handtwerck erlernet
Mêmes actes qui figurent au protocole du notaire
1683, Me Kitsch (Jean, 1 AH 5891, Protocole) f° 159, Testamentum nuncupativum Annæ Wißingerin, Martin Grimmen deß Kürschners alhier seeligen wittib
f° 161-v Nachdisposition
La maison est revenue au fils Martin Grimm qui l’hypothèque au profit de Jean Jacques Mosseder, receveur de la fondation Saint-Thomas
1692 (21. July), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 488-v
Martin Grimm der Kirschner
in gegensein Hn Johann Jacob Moseders, schaffners zu St. Thomæ – schuldig seÿe 75 pfund
unterpfand, hauß und hoffstatt, mit allen deren Gebäuen, Rechten und Zugehördten allhier im Stampffgaßlein, einseit neben Jacob Stollen dem Kornwerffer und büttel E.E. Zunfft zur Lucern anderseit neben Friderich Wahl dem Tabackbereiter, hinten auff Johann Frießen den Leinenweber stoßend gelegen
Martin Grimm, lui aussi pelletier, épouse en 1678 Susanne Engelmann, fille de tailleur : contrat de mariage tel qu’il est transcrit à l’inventaire après décès, célébration
Copia d. Eheberedung – Zwischen den Ehrsamen Martin Grimmen, ledig. Kürßnern, des Ehrengeachten Martin Grimmen ebenmäßig Kürßners undt burgers allhier ehel. Sohn, ahn einem, So dann der Ehren und tugendsahmen Jungfr. Susannæ weÿl. des Ehrenhafften Joh: Engelmanns gewesenen burgers und Schneiders in Straßb. nunmehr seel. hind.laß.er ehelich. tochter, alß hochzeiterin anderen theils – So geschehen und verhandelt in deß heÿlig. Reichs freÿ Statt Straßb. Donnerstags den 24. Januarÿ Anno 1678., Johann Jacob Schatz Notarium publ.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 2-v n° 10)
1678. Dom. Quasimodo et Misericord. Martin Grimm der Kirschner und Burger alhie, Martin: grimmen, Burgers und kirschners alhier ehelicher Sohn undt Jungfer Susanna weÿland Johannis Engelmanns Burgers und Schneiders alhier nachgelaßene eheliche tochter. Copul. ad S. Nicol. Donnerst. 28. April. (i 4)
Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 54-v. VI) 1678. Zum 2. Mal Martin Grim Kürßner Martin Grimmen des ältern kürßners u. Burgers alhie ehel. Sohn. Jfr. Susanna Weiland Johann engelmanns gewesenen Schneiders u. Burgers alhie nechgelas. Tochter. Donnstags den 18. April. St. Niclaus (i 179)
Susanne Engelmann meurt et 1698 en délaissant une fille. Les experts estiment la maison 75 livres. La masse propre au veuf s’élève à 80 livres, celle des héritiers à 88 livres. L’actif de la communauté est de 31 livres, le passif de 107 livres.
1698 (20.3.), Me Kitsch (Jean, 1 AH 5789) n° 532
Inventarium undt beschreibung aller undt jed. verändt: undt unveränd:ter Haab und nahrung so weÿl. die Ehren: und Tug.sahme Susanna Engelmännin, des Ehrsamen undt bescheid.en meister Martin Grimmen, Kürßners burg.s alhier Zu Straßburg eheliche haußfraw nunmehr seelig, nach ihrem d. 27. febr. Jüngsthien tödlich. genommenen hinscheid. hind. Ihro verlaß., welche verlassenschafft auf freundtliches ansuch. des Ehrenhafft. Johann dieboldt Vogels, Küeffers burg.s alhier, als geordnet und geschworenen Vogts Annæ Mariæ, d. verstorb.en seelig mit dem nachgelaß.en wittib. ehelich erzeugt. töchterleins undt ab intestato Erbin – beschehen inn Straßburg Mitwochs d. 20. Martÿ ao. 1698.
Inn einer inn d. Statt Straßburg im Stampffgäßel gelegen: undt hieh.o gehörig: hernach beschrieb.er behaußung, hatt sich befund. wie volgt.
Auf d. obern bühn, Inn der Cammer A, Inn d. soldat. Cammer, Inn d. Wohnstuben, Inn d. stub Cammer, Im hauß öhren, Im undern haußöhren, Im Keller
Eÿg.thumb ane einer behaußung. (W.) Item hauß undt hoffstatt mit allen d.en gebawen, begriffen, weit. Recht. Zugehörd. und gerechtigkeit. geleg. alhie inn d. Statt Straßburg im Stampffgäßel eins. neb. frid.ich wahl dem tabacmach. and.s. Hn Hannß Conrad Wörners gewes. Stattschmidts seel. nachgelaß. wittib hind. auf Johannes Frieß. d. leinen web. stoß.dt geleg. davon geh. Jahrs 3. lb d. auf d. 21. Julÿ Zinßes ablösig mit 75. lib. und hieh. üb. diese erstgesetzte beschwerdt angeschlag. pro 75. lb. Hierüb. besagt ein teutsch. p.gam. brieff inn allhießig. Cancell. Contractstub verfertiget mit d.oselb. anhang.den Insigel Verwahrt, deß datum d. 29. Martÿ ao. 1653.
Norma hujus Inventarÿ. des wittibers ohnverändert eÿg.thümblich Vermög., Sa. haußraths 2, Sa. werckzeug Zum kürßner handwerck gehörig 18 ß, Sa. Silbers 12 ß, Goldene Ring 1, behaußung 75
Bericht. Ane statt des wittibers Ergäntzung. Mann hatte zwar dem wittiber weg. einig. ohnverändert. geweßt. inn wehrender Ehe ab.gang.er post. die Ergäntzung such. undt dem wittib. auch mehrer hausraths post. so und. dem theilbahren begriff. zu schreib. sollen, weilen man aber gleich bald. geseh. daß kein theilbar guth vorhand. auch des töchterleins Vogt sich resolvirt auß das theilbar Verzug Zu thun, als hatt man obigen Zu sich und Zu Zuschreib. und.laßen. Summa summarum 80. lb
auff solches vogts Erben und töchterleins ohnverändert. eÿgenthümblich Nahrung, Sa. hausraths 26, Sa. Silbers 3 ß, Sa. Guld.er Ring 2
Ergäntzung d. Erbin ermanglende ohnverändert. guths, Auß eine Verzeichnus d. Jenig. Mobilien so die verstorbene seel. Zu dem hind.blieb.en Wittib. in die Ehe gebracht hatt, durch H, Joh: Jacob Schatz Notm. publ. d. 23. Aprilis Anno 1678. aufgerichtet
Auß weÿl. frn. Annæ Mariæ Engelmännin gebohrner Kitschin d. frawen seelig. Mutter seel. Verlassenschafft Theilregisters Concept d. 29. febr. ao. 1692. durch mich Vor: undt nachgemeldt Notm. aufgerichtet, 58. lb
Summa summarum, d. Erben ohnveränderte nahrung 88 lb
Endlich wirdt nun auch d. gemein v.ändert undt theilbahr guth beschrieben, Sa. haußraths 26. lb, Sa. fell undt Kürßner wahr 4, Summa summarum 31. lb – Schulden 139 lb, Gegeneinan. gehalt. undt Verglich. so übertreff. die theilbar Passiv. Schuld. die theilbare Verlassenschafft umb 107. lb – Conclusio finalis Inventarÿ 116. lb
Copia d. Eheberedung – (…) Donnerstags den 24. Januarÿ Anno 1678., Johann Jacob Schatz Notarium publ.
Copia Codicill Reciproci – Im Jahr 1679 (…) auff Montags den 13. tag des Monats Januarÿ alten Calenders, Nachmittag Zwisch. dreÿ und Vier Uhren Inn einer in der Statt straßb. Inn der Obern straßen gelegenen weÿl. Meister Wendling Lauthen geweßenen düntzenmüllers allhier hind.laßenen Weißbeck und Erben Eÿgenthumbl. gemeinschafften behaußung, unndt Zwar einem darinnen gelegenen Newen Stübel Inn den Hoff außsehend, von weÿl. Hn Joh: Peter Reeben geschwornem Offenbahrem Notario und dem glacubwürdig. Gezeügen hernach benandt Persönl. kommen und erschienen seind der Ehrsahme und bescheidene Meister Martin Grimm des kürßners und die tugendsahme fr. Susanna gebohrne Engelmännin beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßb beede gedunder gelend: und stehenden leiber (…), Sie Susanna Engelmännin Schwangern leibs und nicht wüß. kan wie es d. lieben Gott mit Ihrer Künfftig. geburtsstund schicken (…) – Actum Donnerstags den 12. Martÿ Anno 1698, Johann Adam Ösinger Nots. publ.
Le veuf se remarie en 1698 avec Marie Salomé Born : contrat de mariage, célébration
1698 (3.8.), Me Kitsch (Jean, 1 AH 5892)
(Eheberedung) Zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Meister Martin Grimmen, Kürßnern burgern alhier zu Straßburg, als Hochzeitern an einem,
So dann der Ehren: und tugendsahmen Jungfr. Mariæ Salome Bornin, weÿl. des Ehrsam und bescheidenen Absolon Bornen, geweß. Schuhmachers burgers alhier Zu Straßburg seel. nachgelaßenen ehelich. tochter der Jungfr. hochzeiterin am andern theil – So beschehen inn Straßburg, Sontags den dritten Augusti Ano 1698 [unterzeichnet] Martin Grimm als Hochzeiter, Daniel Grimm hochzeiters bruders, o fecit sponsa
Protocollum tertium, f° 107-v
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 65)
den 24. Sept. 1698 seind copulirt Worden martin Grim burger V. Kürschner alhie V. Jungfraw Salome Absalon Born burgers V. schuhmachers alhie hinterlassene eheliche tochter [unterzeichnet] Martin Grimm als hochzeiter, o dieses hat Jungfraw hochzeiterin hihher gesetzt (i 66)
Inventaire des apports de Martin Grimm et de sa deuxième femme Marie Salomé Born. La maison y figure sans estimation.
1699 (21.5.), Me Kitsch (Jean, 1 AH 5805) n° 570
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so der Ehrenhaffte Meister Martin Grimm, Kürßner und die Ehrn: und tugendsahme Maria Salome Bornin beed. Eheleüth burgere alhier zu Straßburg einander inn Ihren Vor ohnfegehr dreÿ Viertel Jahren angetrettenen Ehestand Zubringen, So umb der ursachen beschrieben wirdt, weilen unn der Zwischen Ihnen beeden gedacht. Ehe Personen mit einander auffgerichteten Eheberedung außtrucklichen Versehen, daß eines Jeden inn die Ehe zugebrachte Vermögen einem Jeden und seinen Erben ein Freÿ eÿgen ohnverändert und vorbehalt. Guth seÿn (…) welches beschehen inn Straßburg in beÿsein der Ehrengeachten und Ehrenhafften herrn Joachim Geroldts, deß Ältern Caminfegers burgers alhier zu Straßburg als der Frawen beÿsandts und Mstr. Johann Diebold Vogels Küblers burgers allda als Geordnet und geschworenen Vogts des Metzgern einzigen töchterleins dochters den 21. Maÿ Ao. 1699.
Haußraths So der Mann inn die Ehe gebracht. Auf d. ob.n bühn, Inn der Soldat. Cammer, Inn der Cammer A
Eÿgenthumb ahne Einer behaußung, so dem Mann gehörig. Item Hauß und Hoffstatt mit allen deren gebäwen, begriffen, weiten, Recht. Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen alhier inn der Statt Straßburg im Stampffgäßel ein seith neb. Friderich Wahlen dem tabacmacher, and.s. neb. Herrn Hannß Conrad Wörners geweß.en Stattschmidts seel. nachgelaß.er wittib hinden auf Johannes Frieß. den Leinenweber stoß.dt geleg. davon geh. Jahrs 3. lb d. Zinßes auf d. 21. Julÿ ablösig mit 75. lib. Sonqten Freÿ Ledig undt eÿg. und hieh.o vor dießes mahl nicht angeschlagen. Hierüber besagt ein teutscher Pergamentener brieff inn allhießig. Cancelleÿ Contractstub Verfertiget mit deroselben anhangenden Insigel Verwahrt, deß datum den 29. Martÿ ao. 1653.
Norma hujus Inventarii. des Ehemanns in den Ehestand Zugebracht ohnverändert eÿgenth. Nahrung, Sa. haußraths 76, Sa. Werckzeug Zum kürßner handwerck gehörig 7, Sa. Silbers 1, behaußung o, Summa summarum 84 lb – Schulden 66 lb, Über Abzug dieß Passiv Schulden 18 lb
uf solches volgt nun auch der Ehefr. inn die Ehe zugebrachtes ohnverändert eÿgenth. Vermögen, Sa. hausraths 41, Siber 1, Guldene Ring 4, Summa summarum 46 lb
La maison revient à la fille Anne Marie Grimm qui épouse en 1710 le cordonnier Georges Jacques Leibing, fils de cordonnier
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 18)
1710. Eodem [7. Maÿ] seind Ehelich eingesegnet Word. Georg Jacob Leubing lediger bürstenbinder Weiland Adam Leubings gewesenen Burgers und Schuhmachers allhier nachgelaßener Ehelicher Sohn Undt Jungfr. Anna Maria Weiland Martin Grimm geweßenen Burgers und Kürschners allhier nachgelaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] Geörg Jacob Leiwing als hoh Zeiter, Anna Maria grimmin als hochzeiterin (i 20)
Georges Jacques Leibing meurt en 1739 en délaissant deux filles. L’inventaire est dressé dans la maison du cordonnier Jean Weber rue du maroquin. La succession consiste en un mobilier d’une valeur de 10 livres
1739 (19.2.), Me Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 304) n° 137
Inventarium über Weÿland Meister Georg Jacob Leibing, gewesenen bürstenbinders und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlassenschafft – nach seinem Mittwochs d. 10.t Decembris des nechstabgelegten 1738.sten Jahrs aus dießem mühsamen Leben genommenen tödlichen Hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlassenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren Meister Johann Georg Becken des Schuhmachers und burgers allhier als geschwornen Vogts weÿland Frauen Annæ Mariæ Anthonÿn gebohrner Leÿbingin, H Johann Werner Anthoni, des Knöpffmachers und burgers allhier geweßener Ehefrauen und des abgeleibten seel. mit hernach gemelter seiner abgeleibten Wittib ehelich erzeugter aber auch verstorbenen Tochter hinterlaßenen einigen Kindts Nahmens Mariä Magdalenä Antonÿn und Meister Johann Gaspard Walthers des Buchbinders und burgers allhier als geschwornen Curatoris Jungfrauen Catharinä Barbarä Leibingin, des in Gott ruhenden ebenfalls mit erwehnter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlter tochter, beeder des Defuncti ab intestato verlaßener Erbinen inventirt, durch Frau annam Mariam Leibingin gebohrne Krimmin die hinterbliebene Wittib beÿständlich Meister Johann Webers Schuemachers und burgers allhier, ihres ane Vogststatt hierzu insonderheit erbettenen Assistenten – So beschehen in fernerer Gegenwarth vorermelten H Joh: Werner Anthoni des Enckels Vorgedacht leiblichen Vatters, Donnerstags den 19. Februarÿ Anno 1739
In einer allhier Zu Straßburg ane der St. Urbans gaß gelegener, Meister Johann Weber dem Schuhmacher und burgern alhier eigenthümlich zuständiger behaußung ist befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Bericht über gegenwärtige Verlassenschafft. Es hat die Wittib zwar angezeigt, daß sie mit ihrem verstorbenen Ehemann Zu Zeit ihrer Verheurathung vor H Not° Jacob Christoph Pantrion eine Eheberedung auffgerichtet und sich darinnen ihr in die Ehe Zubringendes Guth vor unverändert reservirt habe und eine Ergäntzung deßen, so wehrender Ehe davon abgehen wird stipulirt worden seÿe, sie auch ihre in die Ehe gebrachte Nahrung durch H Notm. Philipp Jacob Mader ordnungsmäßig Inventiren laßen, Weilen aber sie die wittib weder die Eheberedung noch das Inventarium illatorum producirt, angesehen sie aus Mangel der Nahrung nicht im Stand beÿ vorernandten H. Notarÿs besagte Documenta zu laßen und Zu erheben, jedannoch Ihro von denen Wohlverordneten Herren dreÿ der Statt Stalls aufferlegt worden, ein Inventarium über ihres ehemanns seel. Verlassenschafft Zur Abhandlung zu lüffern, so hat man Zwar solchem befehl Zufolg, berührte Verlassenschafft wie hernach Zu sehen beschrieben aber aus oballegirten Ursachen Keine Untersuchung der Nahrung machen können
Summa Anschlags vorherbeschriebenen haußraths als worinnen die Völlige Verlassenschafft bestehet, 10 lb
Anne Marie Grimm hypothèque la maison au profit du marchand de futaine Benjamin Frantz
1710 (28.4.), Chambre des Contrats, vol. 572 (Protocoles) f° 20-v
Jfr. Anna Maria Grimmin so beÿ 24 Jahr alt und ohnbevögtigt mit beÿstand Johann Georg Flechtners des Parchetkrämers Ihres vettern
in gegensein Benjamin Frantzen auch Parchetkrämers – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, Hauß Und Hoffstatt mit allen Gebaüen, rechten und Zugehörd. im Stampfgäßlein einseit neben – wullenweber anderseit neben d. fuchßischen wittib hinten auf Johann Fries, leinenwebern stoßend gelegen
Le brossier Georges Jacques Leibing et Anne Marie Grimm hypothèquent la maison au profit du même Benjamin Frantz
1710 (30.9. ut supra), Chambre des Contrats, vol. 583 f° 601-v
Georg Jacob Leibing bürstenbinder und Anna Maria geb. Grimmin beÿständlich Joh: Georg flechtners, bernhart Krämers u. Joh: Georg Thorwarts schneiders
in gegensein Benjamin Frantz barchethändlers – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert: im stampfgëssel, einseit neben Heinrich kiefer, anderseit neben neben Stallen hinten auf frieß
Les mêmes vendent la maison 250 livres au marchand Jean Georges Flechner
1711 (1.8. ut supra), Chambre des Contrats, vol. 584 f° 431-v
(250) Anna Maria geb. Grimmin beÿständlich Georg Jacob Leibling bürstenbinder ihres mariti
in gegensein H. Johann Georg Flechners handelsmanns
hauß und hoffstatt mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten im Stampfgäßlein, einseit neben Heinrich Kiefer anderseit neben Stollin hinten auff Fries – um 150 pfund capital verhafftet, geschehen um 100 pfund
Jean Georges Flechner loue quelques semaines plus tard la maison au journalier Jean Georges Gœtz
1711 (22.8. ut supra), Chambre des Contrats, vol. 584 f° 469-v
Joh: Georg flechtner barchethändler
in gegensein Joh: Georg Götz taglöhners
entlehnt, sein hauß c. appert. allhier im Stampfgässlein gelegen auf dreÿ jahr lang anfangend auf Mich. 1711 – um einen jährlichen Zinß nemlich 15 pfund
Le marchand de futaine Jean Georges Flechner épouse en 1701 Susanne Nieffer, fille de tailleur
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 114)
1701. Mittw. d. 2. febr. wurd. nch ord.tl außruffung copulirt Johann Georg Flechner der ledige Barchethändler v. Burger alhier, Joh: Samuel Flechners, des Leinenwebers v. B. allhier ehel. Sohn, v. J. Susanna, Johann Peter Nievers des geweß. schneiders v. B. alljier nachgelaß. ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Georg Flechtner als hochzeiter, Susanna Niefferin Alß Hochzeiterin, Johannes Bolender alß schwager (i 113)
Jean Georges Flechner meurt en 1728 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans une maison de location rue des Tonneliers. La masse propre à la veuve s’élève à 1 859 livres. L’actif des héritiers et de la communauté est de 1 508 livres, le passif de 6 996 livres.
1728 (14.4.), Me Oelinger (J. Jacques, 35 Not 14) n° 496 (460)
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so weÿl. H. Johann Georg Flechner geweßener barchent händler u. burger allhier Zu Straßburg nach seinem den 21. Martÿ dieses instehenden 1728. Jahrs aus dießer Welt genommenen tödl. hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren H. Joh: fried. flechners Schuhmachers, als geordnet und geschwornen Vogts, H Joh: Samuels, Philosophiæ studiosi, Joh: Georgs und Susannæ Margarethæ, deß abgeleibten seelig mit hernach gemelter seiner hinterbliebeneer Wittib ehelich erziehlt und nach tod hinterlaßener Kinder auch ab intestato rechtsmäßige Erben fleißig inventirt und ersucht durch die Ehren und tugendsahme Frau Susannam gebohrne Niverin, mit beÿstand deß Ehrenvest und Vorachtbahren H Joh: Georg Stubers, Handelßmanns u. burgers allhier Ihres geschwornenen Curatoris – Act. in fernern gegenseÿ S.R. H. Joh: Leonhardt Kuffen Vornehmen handelßmanns u. E.E. großen Raths alhier alten beÿsitzers, R. H. Johann Frid. Lerse nunmahligen bestätters alhier so dann H. Joh: Aeugelin auch handelßmannsn Straßburg Mittwochs d. 14. Apr. 1728.
Copia der Eheberedung
In einer allhier Zu Straßburg ane der Kieffergaß gelegenen und Lehnungs weiß bewohnten behaußung sich befunden Als Volgt
Ane Höltzen u. Schreinerw., In der Cammer A, In der Cammer B, In der Obern Stub, In obern Hauß öhren, In der Cammer C, Im mittelsten haußöhren, In der Cammer D, In der wohnstub, Im Keller, Im untern Gewölb, Im untern Haußöhren
(f° 13-v) Eÿgenthumb ane einer behausung (W.) Item Eine behaußung hoffstatt und höfflein, sampt allen deren gebäuen ane dem staaden beÿ St. Nicolai (…)
(f° 14) Ergäntzung, Vermög (…) durch weÿl. herrn Notm. Johann Philipp Schüblern in 1° 1701. vfgerichteten Inventarÿ
(f° 30) Series rubricarum. Der Wittib Vermögen, Sa. haußraths 12, Sa. leere Vaß 3 ß, Sa. Goldener Ring 2, Sa. Eigenth. ane einer behaußung 1100, Sa. Schulden in die Nahrung 100, Sa. Ergäntzung (753, Abzug 110, restiret) 643, Summa summarum 1859 lb
Die Theilbare Verlassenschafft, Sa. hausraths 119, Sa. leeren vaß 1, Sa. Wahren ins Gewerb 253, Sa. Silbers 2, Sa. goldener ring 1, Sa. baarschafft 99, Sa. Schulden 1030, Summa summarum 1508. lb – Schulden 6996, Theilbarer Schuldenlast 5488 lb
Jean Georges Flechner vend 300 livres au revendeur Jean Georges Gœtz et à Marie Rosine Rosstæuscher
1712 (23.5. ut ante), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 373-v
(300) Joh: Georg flechtner handelsmann
in gegensein Joh: Georg Götz gremp und Maria Rosina geb. Rosstauschin
hauß u. hoffstatt mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden und Gerechtigkeiten im Stampffgässel, einseit neben Heinrich Kiefer anderseit neben Stollen hinten auf freß – um 150 capital verhafftet, geschehen um 150 pfund
Les acquéreurs hypothèquent aussitôt la maison au profit des cordonniers Jacques Carl et André Carl
1712 (24.5.), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 379
Joh: Georg Götz gremp und Maria Rosina geb. Rosstauschin beÿständlich Joh: Jacob Carl schuemachers und andres Carl auch schuemachers
in gegensein Andres Schaf schneiders – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, hauß c. appert: allhier im Stampffgassel, einseit neben Heinrich Kiefern anderseit neben Stallin hinten auff frieß
Le boulanger Jean Georges Gœtz, fils de boulanger, épouse Marie Rosine Rosstæuscher, fille d’épicier : célébration, inventaire des apports
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 111-v, n° 548)
1700. Mittw. d. 13. 8.br. wurd. nach ord.tlichen außruffung copulirt Johann Georg götz der led: Weißbeck v.B. allhier weil. Sebastian Götz. geweß. weißbecker v. B. allhier nachgelaß. ehl. sohn v. J. Maria Rosina, weil. Conradt Roßdeuschlers geweß. Specerirers v. B. allhier nachgelaß. ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Georg götz als hoch Zeiter, Maria rosina roßteischerin als hochzeiterin (i 111)
Inventaire des apports
1700 (18. 9.br), Me Scherer (Jean Daniel, 53 Not 1)
Inventarium über deß Ehrenhafft u: Achtbahren Mstr: Hannß Georg Götzen des Meelmanns undt d. Ehren: und tugendsamen frawen Mariæ Rosinæ Roßtäuscherin beeder Eheleuthe undt burgere alhier jnn jhrer Ehe Zusammengebrachte ohnveränderte Nahrungen – in jhren mit Gott ohnlängst angetrettenen Ehestand vermög der vorher Zwischen Ihnen auffgreichteten Ehebered. für ohnverändert würcklich. Zugebracht – Actum in d. Königl. freÿen Statt Straßburg den 18.ten 9.bris a° 1700
Sa. des Manns Haußraths 30, Sa. Mehls 9, Sa. Silber Geschirrs 2, baarschafft 15, Summa summarum 56 lb
Sa. der frawen Haußraths 89, Sa. Silber Geschirrs 6, Guldene Ring 4, baarschafft 35, Summa summarum 135 lb
Le conseil des tonneliers fait confisquer l’eau de vie que vendent sans autorisation plusieurs habitants de la ville, dont le revendeur Jean Georges Gœtz
1703, Tonneliers (XI 392), Dienstags den 22.ten Augusti Anno 1703
(f° 298) Leonard Largé beÿ dem Münster
Pierre Quetton haußfr. beÿ der Schindbruck
Balthasar Ziegler
Samuel Höllbeck deß Seÿlers am weißen thurn haußfr.
Hannß Georg Götz, Kremph
Dießen ist nach lauth Articuls der brandenwein schanck beÿ 5. lt. d Verbotten worden beÿ würcklicher Execution Und confiscation deß brandenweins. Undt weilen Balthasar Ziegler nach dem Ihme Vorgehalten worden alß Ihme der brandenwein herauß Zustellen Verbotten worden Er gesagt habe, Er wolle Ihme dann ins Künfftig hinauß hencken und es auch gethan sehr trotzig Undt ohnbescheiden sich Verhalten, auch mich den Zunfftschreiber offentlich liegen heißen, alß solle Er beÿ Gn. Herren den XV.n geschrieben gegeben werden.
Jean Georges Gœtz cotise à la tribu des Tonneliers pour pouvoir vendre de l’eau de vie
1704, Tonneliers (XI 392)
Mittwochs den 29. Januarÿ Anno 1704 (f° 317) Hannß Georg Götz der Kemp empfangt auff Gn. Herren der XV.er ergangene Erkandtnuß wegen des brandenwein Außschenckens das Zunfftrecht alß Zudiener mit Geld. Zahlte Zur Gebühr 2. lb 10. ß 6 d. Undt Zunfftbüttel Undt Schreiber 2 ß 6 d
Marie Rosine Rosstæuscher meurt en 1729 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans la maison que les conjoints possèdent Grand rue. Les experts estiment la maison rue du Foulon 225 livres. La masse propre au veuf s’élève à 12 livres, celle des héritiers à 157 livres. L’actif de la communauté est de 717 livres, le passif de 296 livres.
1730 (20.1.), Me Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 34) n° 1017
Inventarium über Weÿland der Ehr und tugendsahmen frauen Mariæ Rosinæ Götzin gebohrner Roßteuscherin und geschwornener Hebamm Hn Johann Georg Götzen des Kauffhauß bedienten und burgers allhier gewesener ehel. Haußfrau nunmehro Seel. Verlassenschafft – nach ihrem am 19.ten Decembris des nechst abgelegten 1729.ten Jahrs genommenen tödlichen hiendritt, hie Zeitlichen verlaßen – So beschehen Straßburg den 20.ten Januarÿ Anno 1730.
Die Verstorbene Seel. hatt ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt. 1. Frau Mariam Rosinam Hrn Johann Jacob Hummel des jüngern Paßmentierers und burgers alhier geliebte Ehegattin mit beÿstand deßelben, 2. Meister Johann Daniel den Kübler und burgern Zu Lahr und weÿlen derselbe frembd und ohnverburgert als ist in deßen Nahmen beÿ E.E. Kl. Rath unterthäniger betten und Gnädig deputirt worden, S.T. Hn Johannes Goll Med: Doctor und berümter Practicus auch wohlgedachten E.E. Kl. Raths jetztmahliger beÿsitzer, welcher dem geschäfft in Persohn abgewartet, 3. Georg Friderich den Peruquenmacher deßen geschworner ordinari Vogt ist zwar obgemelter H Johann Jacob Hummel weilen aber derselbe uxorio nomine beÿ dißer Verlassenschafft selbsten interessirt als ist zu einem theÿlvogt denominirt worden H Joh: Philipp Heiß Sattler und burger allhier so gegenwärtig. Aller dreÿ gebohrner Götzen So die Verstorbene Seel. mit Vorhervermeltem ihrem hinterbliebenen wittiber ehel. erziehlt und ab intestato Zu gleichen portionen und antheÿlern Zu Erben Verlaßen.
Copia Eheberedung
In einer allhier Zu Straßburg ane der Obern Straaß gelegenen und von alters her zum Stüffel genannt, in dieße Verlassenschafft gehörigen und deßwegen hernacher folio – beschriebenen behaußung folgendermaßen befinden
(f° 9-v) Eÿgenthumb ane Häußern So Theilbahr. Eine behaußung ane der Obern Straaß (…)
Item eine behaußung und Hoffstatt mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten allhier im Stampffgäßlein i.s. neben Valentin Schäffen wollenwebern, 2.s neben NN hinten auff Johannes frieß leinenweber stoßend gelegen, so freÿ ledig und eigen und ist dieße behaußung von denen H Werckmeistern Krafft obengemelte überschickten Abschatzung de dato 30.ten Januarÿ A° 1730. æstimirt für 225. Über dieße behaußung sagt ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßb. anh. Cantzleÿ Contract Insigel verwahrt datirt den 23. Maÿ A° 1712. mit Lit. B. Not. Feners ein alter Pergamentener Kauffbrieff aus gedachter Cantzleÿ Contract Stuben Verfertiget mit dem anh. Insigel bekräfftiet datirt den 1.ten Augusti Anno 1711. mit lit. C. bezeichnet
Ergäntzung, Nach ausweiß Inventarÿ So weÿl. H Johann Ludwig Scherer geweßener Nots. pub. et Practicus (…) unterm 18.ten Novembris 1700. auffgerichtet
– Abschatzung d. 30. Januarÿ 1730. Auff begehren des Ehrenvesten und Vorachtbahren H Johann geörg getz Kauffhauß bedienter ist eine behaußung, allhier in der Statt Straßburg in der langen Straß ein Eckhauß am geh geßel geleg., einseits Neben Ulrich Kreiner Öhlhändler, anderseits ein gäßel und neben auf schon gemelten Kreiner stosend, welche behausung, stube, Officier stube, Cammern, bauch Küche, hauß Ehren mit herd und waßerstein Laden Contor, bronne und gewölbter Keller sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworene werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß Nach angeschlagen wird Vor und Umb Zweÿ tausend gulden.
Der 2.te begrif ist auch allhier in der statt Straßburg im stampf geßel geleg. einseits Neben Valentin Scheff Wollweber, anderseits neben N.N. hinden auf Johannes Frieß Leinenweber stosend, welche behausung, stübel, Cammer, Hauß Ehren Mit herd und waßerstein, holtz Cammer und gebälcktes Kellerlein sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb Vier Hundert und Fünffzig Gulden. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschwornen Werckhleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhofs, Johann Peter Pflug Werck Meister deß Mauer hofs
Dem Wittiber, Silber 2, Ergäntzung 29, Summa summarum 32 – Schulden 50 lb, Compensando 12. lb
Der Erben, hausrath 31, Silber 10 ß, Schulden 50, Ergäntzung 75 lb, Summa summarum 157 lb
Theilbar, hausrath 119, Vaß und Wein 10, Silber, 7*, goldener Ring 1, Sa. Eÿgenthumbs ane häußern 573, Summa summarum 717 lb – Schulden 296 lb, Verbleibt 405 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 560 lb, Wann aber davon reducirt und abgezogen wird, was ane solcher Summ nach dem Fues des Stall Taxes Zu decourtiren erlaubt und sich dicto calculo erstreckt auff 61 lb, So bleibt übrig die Stall Summ gegenwärtigen Inventarÿ beruhet, nemblich 499 lb
(Joint) Inventarium über Deß Ehrenhafften undt achtbahren Meister Hannß Georg götzen, des Meelmanns und der Ehrn: und tugendsamen Frauen Mariæ Rosinæ Roßtäuscherin, beeder Eheleuthe und burgere alhier jnn jhre Ehe Zusammen gebrachte ohnverändert Nahrungen, auffgerichtet in Anno 1700.
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins (50 livres) et que le fils qui habite Lahr doit la taxe des étrangers
1730, VII 1176 – Livres de la Taille f° 347-v
Möhrin, F., N. 5037 – Weÿl. Rosinæ gebohrner Roßteüscherin Johann Georg Götz Kauffhauß bedienten und burgers alhier gewesener Ehel. Haußfrauen Verlassenschafft inventirt H. Not. Hoffmann.
Concl. Fin. Inv. ist Fol. 71, 499 lb 6 ß 5 d, die machen 1000 R. Verstallte nur 900. R. alßo Zu wenig 100. R.
Nachtrag für acht Jahr in duplo à 6 ß, 2 lb 8 ß
Und Sechs Jahr in simplo à 3 ß, 18 ß
Extat kein Stallgeltt
Gebott, 2 ß
Abhandlung, 15 ß 6 d, Summa 4 lb 3 ß 6 s
Nachgelaßen, 19 ß, Rest 3 lb 5 ß 6 d
Abzug. Johann Daniel Götz der kübler Zu Lahr, soll von 97 lb 12 ß d Mütterl. Erb 9 lb 15 ß 2 d
dt. 15° Martÿ 1730.
Le père et ses deux fils vendent leurs parts de la maison à leur fille et sœur respective, Marie Rosine Gœtz, femme du passementier Jean Jacques Hummel, sur le pied de 300 livres la maison entière.
1730 (31.3.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 167
Georg Götz Kauffhauß Knecht, Ferner Johann Daniel Götz Kübler und burger zu Lahr und dann Johann Philipp heusch Sattler als Theilvogt Georg Friedrich Götz peruquenmachers: jungen
ihrer respective tochter und schwester Fr. Maria Rosina geb. Götzin Johann Jacob Hummel des Paßmentirers ehefrau beÿständlich ihres ehemanns
ahne ihrer Mutter seel. weÿl. Fr. Maria Rosina Götzin geb. Roßtäuscherin der geschwornen hebammen seel. verlassenschafft behausung und hoffstatt 8/9 theil für ohnvertheilt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten an der Obern straß im Stampff gäßlein, einseit neben Valentin Schöff dem wollspinner anderseit neben Stallin der wittib hinten auff Johannes Frieß den Leinenweber, ihme Götz dem vatter zu 6/9 theilen, ihnen Johann Daniel und Georg Friedrich denen Götzen jedem zu einem ditten theil oder an der mütterlichen tertz zu einem dritten theil, das übrige 9.t theil aber gleichfalls von der mütterlichen tertz herrührend der käufferein zuvorhin zugehörig, auff den fuß von 300 lb, 286 pfund
Marie Rosine Gœtz a épousé en 1722 le passementier Jean Jacques Hummel, lui-même fils de passementier : contrat de mariage, célébration
1722 (22. 7.br), Me Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 74) n° 375
Eheberedung Zwischen dem Ehrengeachten Hn Johann Jacob Hummel ledigen Paßmentirer und burger alhier alß brautigam ane einem
So dann der Ehren und tugendsahmen Jungfer Mariæ Rosinæ, H Johann Georg Götzen Kauffhauß bedienten und burgers alhier ehel. tochter alß hochzeiterin andern theÿls – So beschehen Straßburg den 22. 7.bris Anno 1722 [unterzeichnet] Johann Jacob hummel als hochzeiter, Johann Jacob hummel als Vatter, Maria Rosina Götzin als hochzeiterin, Johann Georg götz als Vatter, Johannes Münch als groß Vadter
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 58-v, XXVII)
Dominica XIX et XX. Trinit. proclamati sunt Johann Jacob Hummel der ledige Paßmentirer V. burg. alhier Johann Jacob Hummel deß Paßmentirers v. burg. alhier ehl. Sohn, und Jgfr. Maria Rosina Johann Georg Götz deß Kauffhauß bedeienten v. burg. alhier ehl. tochter. Copulati sunt Mittw. d. 21. Octobr. durch mich M. Johann Jacob Hirschel Pastor Neo: Petrinum [unterzeichnet] Johan Jacob hummel als hochzeiter, Maria Rosina Götzin als hochzeiterin (i 63)
Inventaire des apports
1722 (11. 9.br), Me Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 15) n° 509
Inventarium über des Ehrengeachten Herren Johann Jacob Hummel des Paßmentierers und Frauen Mariæ Rosinæ gebohrner Götzin beeder Eheleuth, und burgere allhier, einander für ohnverändert in den Ehestandt zugebrachte Nahrungen – und Krafft der mit einander auffgerichteten Eheberedung, ihnen und ihren Erben als ein Unverändert und vorbehaltenen guth mithien die Ergäntzung derßelben expresse reservirt conditionirt und bedungen – So beschehen in fernerem beÿseÿn auf seithen der Ehefrauen frauen rosinæ gebohrner roßtäuscherin deroselben leiblichen Mutter Straßburg den 11.ten Novembris anno. 1722.
M. haußrath 31, Werckzeug Zum Paßmentieren gehörig 55, Silber 2, Summa summarum 89 lb
F. haußrath 176, Silber 15, Goldene Ring 13, baarschafft 95, Summa summarum 300 lb
Haussteuren 114 lb
L’inventaire après décès de Jean Jacques Hummel et de Marie Rosine Gœtz, dressé en 1757, n’est connu que par le répertoire du notaire
1757, Me Thenn (Répertoire 6 E 41, 664-5) p. 59
59, weiland H. Johann Jakob Hummel gewesenen Paßmentirers und auch weiland Frauen Mariä Rosinä gebohrner Götzin beeder Eheleuthe Verlassenschaft
Marie Rosine Gœtz femme de Jean Jacques Hummel vend la maison 320 livres au cordonnier Georges Frédéric Hertzog et à Catherine Voltz
1735 (30.9.), Chambre des Contrats, vol. 609 f° 653
Maria Rosina geb. Götzin Johann Jacob Hummel des Paßmentirers
in gegensein Georg Friedrich Hertzog des Schuhmachers und Catharinæ gebohrner Voltzin
Eine Behausung und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und rechten an der Obern Straß im Stampfgäßlein, einseit neben Valentin Schöff dem wollspinnner anderseit neben Johann Michael Erb dem Garde im Umbgeldt hinten auff Johannes Frieß den leinenweber – als ein theils von ihrer Mutter ererbt theils am 31. mart. 1730 erkaufftes guth – um 150 pfund verhafftet, geschehen um 170 pfund
Les acquéreurs hypothèquent aussitôt la maison au profit de Jean Jacques Claus, chaussetier et vice-sergent de la Taille
1735 (30.9.), Chambre des Contrats, vol. 609 f° 654
Georg Friedrich Hertzog der Schuhmacher und Catharina geb. Voltzin mit beÿstand ihres schwagers Johannes Beck des schreiners und ihres gegenschwähers David Riel des schuhmachers
in gegensein Johann Jacob Clauß des hoßenstrickers und Under Stallbotten – zu vollkommener bezahlung des kauffschillings von hiernach beschriebener behausung 75 pfund
unterpfand, Eine heutigen tags erkaufft und aus jetzigem vorschuß zum theil bezalte Behausung und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und rechten an der Obern Straß im Stampfgäßlein, einseit neben Valentin Schöff dem wollspinnner anderseit neben Johann Michael Erb dem Garde im Umbgeldt hinten auff Johannes Frieß den leinenweber
Georges Frédéric Hertzog originaire de Waiblingen en Souabe devent bourgeois avec sa femme Marie Catherine Voltz en apportant deux enfants. Le mariage a eu lieu à Schiltigheim en 1714 alors que la jeune mariée était enceinte.
1722, 3° Livre de bourgeoisie p. 1327
Georg Friderich Hertzog der schuem. Von weiblingen auß schwaben geb. und seine ehefr. Maria Catharina geb. foltzin Von Schiltigheim erhalten beede das burgerrecht umb die tertz des Neuen burg. schillings, ihre Zweÿ Kinder Nahmens Georg Friderich und Anna Maria werden beÿ ordtnung gelaßen, werden beÿ E.E. Zunfft der schuem. dienen Jur. et prom. den 17.ten octob. 1722.
Mariage, Schiltigheim (luth. p. 331, n° 1)
Ao. 1714 d. 16. Jan. seind auff ertheilte Erlaubnuß deß Herrn Amptmanns (sub dato d. 12. Jan.) und geschehene Außruffung, Georg Friderich Hertzog der ledige Schuhmacher, weÿl. Valentin Hertzogs, geweßenen Schulmeisters Zu Wäÿblingen, würtenbergischer herrschafft, nachgelaßener Ehel. Sohn, und Maria Catharina (seine Geschwächte) Lorentz Voltzen, hießigen burgers v. spielmanns, ehel. tochter, nach vorgenommener Kirchen disciplin, Zu End der wochenpredigt, in Gegenwart der gantzen Gemeinde ehel. copulirt v. eingesegnet word. [unterzeichnet] Georg Friderich hertzog Als hotzer, F ist der hochzeiterin Zeichen, F L hiemit vndterzeichnete Lorentz Voltz der Hochzeiterin vater (i 169)
Georges Frédéric Hertzog et Catherine Voltz hypothèquent la maison au profit d’Aurèle Gerung, étudiant en droit
1754 (10.1.), Chambre des Contrats, vol. 628 f° 11-v
Georg Friedrich Hertzog der schuhmacher und Maria Catharina geb. Voltzin mit beÿstand Johannes Beck des schreiners und Johann Georg Tornarius des kürßners
in gegensein H. Aurelius Gerung Juris studiosi innamen seiner mutter Fr. Annæ Mariæ gebohrner Brandhofferin – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, ein häußlein cum appertinentis am Stampffgäßel, einseit neben Anna Maria Herrmännin, Anna Maria Hanß Georg Schmidt dem schuhmacher, hinten auff Johann Georg Hatzung dem maurer
Georges Frédéric Hertzog meurt en 1758 en délaissant deux enfants. La succession comprend deux maisons voisines rue du Foulon. Les experts estiment la maison à 175 livres. La masse propre à la veuve s’élève à 5 livres. L’actif des héritiers et de la communauté est de 670 livres, le passif de 552 livres.
1758 (9. 8.br), Me Haering (6 E 41, 1356) f° 79
Inventarium über Weÿl. des Ehrsamen und bescheidenen Mr Georg Friedrich Herzog des ältern geweßenen Schuhemachers Verl.t, nach seinem Sonntags den 11.t Junÿ laufend. 1758 jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt – auff ansuchen Frau Maria Catharina geb. Volzin dißorts hinterbliebenen Wb. beiständlich H. Johannes Beck Schreiner Mr.s
der Verstorbene seelig hat ab intestato vermög seines Vor mir Notario am 9. junÿ 1758 aufgerichteten Testaments zu Erben verlaßen namentlich seine mit der Wittib erzugte beede Kinder und die aus denenselben entsproßene Enckel als 1. Mr Georg Friedrich Herzog des jüngen Schuhemacher, 2. Fr. Annam Mariam geb. Herzogin Mr hannß Georg Riehl Schuhemacher Ehefr: dieße beede Sohn und Tochter nur allein in den ihnen gebührenden Pflichttheil seiner Verl. das ist in die terz derselben, 3 seines erstged. Sohns Kinder deren der zeit vier Söhn am leben Nahmentlich a) Georg Friedrich der ins 16.de Jahr gehet, b) hannß Georg sobald das 11.te Jahr erreichen wird, c) Johann Jacob welcher dem 6.t jahr nahe ist, d) Johannes im dritten Jahr seines Alters stehend In deren Nahmen Mr Georg Schmid Schuhemacher ihr geordnet und geschworener Vogt, 4. Seiner vorged. Tochter Kinder dißorts Eckel diejenige welche dermalen am Leben nennen sich a) Johann Georg So 21 Jahr alt, b) Anna Maria die 19 Jahr erlebet, c) Magdalena welche 12 Jahr auf sich hat, d) Maria Salome in das 9.te Jahr ihres alters gehend, e) Maria Elisabetha dem 7.de Jahr ihres lebens nahe, f) Anna Catharina die 4 Jahre das licht dieser Welt zum erstenmal erblicket diese sechs Riehlen sind mit H. Johann Zockenbach Schneider Mr seiner Vogts Kinder Nutzen hierbeÿ beobachtet
den 28. feb. 1737 gestiffteten Codicilli reciproci, Not. Jacob Christoph Pantrion, Copia Testamenti Nuncupativi vom 9. junÿ 1758 Not. Joh. Richard Häring
In einer alhier Zu Straßburg an dem Stampfgäßel gelegenen hieher eigenthbl. gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthum ane häußeren. Erstl. eine behausung u. hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, und Rechten alhier in der Obern stras am Stampfgäßlein, einseit neben Anna Maria herrmännin, 2.s. neben hernachgemelter behaußung, hinten auf H. Georg Hazung Metzger stoßend gelegen, so über hernach gemeldtes passiv Capital frei, ledig, eigen und durch hießiger Stadt Straßburg geschworner Hh Werckmeister zufolg deren Zu dieses Invÿ. Concept gelieferten schriftl. Abschatzung angeschlagen worden pro 350 R oder 175. Hierüber bes. ein teutscher perg. Kaufbr. aus alhies. C.C. Stb. sub dato 30. 7.br 1735 mit dero anhangendem größern Insiegel verwahrt.
Item, eine behausung, höflein und hofstatt mit allen deroselben begriffen, Weithen, zugehörden u. Rechten alh. am Stampfgäßl. 1.s. neben vorherbeschr. behaußung anders. neben Geißentodischer Wb. hinten auf die gastbehausung zum gold: Pferd stoßend gelegen, so über hernach gemeldte Passiv Capitalia frei, ledig, eigen und durch vorgemeldte d. Stadt Straßburg geschw. Werckmeister angeschlagen worden pro 700 R. od. 350. Darüb. bes. i. teutsch. perg. Kfbr. aus alhies. C.C. Stub vom 10. Jenner 1754. mit deroselben anhangendem größerm Insigel verwahrt. Dieße letzte behaußung ist Mr Georg friedr: herzog dem Jüngern Eingangs gedacht zwar um 1300 R. vermacht, es hat sich aber derselbe noch zur zeit nicht erklärt, dieselbe um einem so hohen Preis anzunehmen.
– Abschatzung, vom 27.ten 7.bris 1758. Auff begehren Weÿlandt Georg Friedrich Hertzog Seligen hinderlaßene Frau Wittib, ist Eine behaußung Allhier in der Statt Straßburg in dem Stampff Gäßlein gelegen, Ein seÿts Neben Anna Maria Hermännin, ander seÿts, Neben den Erben selbsten und hinden Auff Johann Georg Hatzung stoßent solche behaußung bestehet in Zweÿ Stüblein, Eine Kamer, und die Küchen in der hauß Ehren, dar Über ist der dachstühl mit breitzieglen belegt, Hatt auch einen Getrembten Käller. Von Uns denen Unterschriebenen der Statt Straßburg Geschwornen Werck Meistern, Nach Vorhero beschehener besichtigung mit Aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Wahren Werth Nach æstimirt und angeschlagen Worden Vor und Umb Dreÿ Hundert fünfftzig Gulden
Der zweite begriff ist Auch alhier in der Statt Straßburg in dem Stampff Gäßlein gelegen Ein seÿts Neben den Erben selbsten ander seÿts Neben Frau Wittib Gaißendodt und hinden auff Herrn Fischer stoßent gelegen, solche behaußung bestehet in fünff Stuben fünff Kamern und fünff hauß Ehren worinnen härdt und Camin Schose, dar Über ist der dachstuhl mit breitzieglen belegt, hatt auch ein Getrembten Källerlein und kleines Höfflein. Von Uns denen Unterschriebenen der Statt Straßburg Geschwornen Werck Meistern, Nach Vorhero beschehener besichtigung mit Aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Wahren Werth Nach æstimirt und angeschlagen Worden Vor und Umb Sieben Hundert fünfftzig Gulden [unterzeichnet] Ehrlacher Werck Meister deß münsters, Werner, Huber
Bericht In gegenwärtig Inventar gehörig. Nachdeme ich der Inventir Schreiber die hinterbl. Wb. gefragt ob Sie Zur Zeit ihrer Verheuratung, mit dem nun verstorbenen seelig, eine Eheberedung aufgerichtet habe ? so hat sie mit Nein geantwortet, und als Sie erinnert worden, das jenige was von ihrem beederseits in die Ehe gebrachten und darinn ererbten Guth noch in natura vorhanden, getreulich anzugeben, so hat sie angezeigt, daß Sie außer denen ihr hernach zugeschriebene wenigen Posten fast nichts in die Ehe gebracht hätte, dannenhro die samtliche Verlassenschafft als theilbar zu achten
Declaratio über vorstehende letzte Willens Verordnungen. Nach beschehener Ableßung und Erklärung des Verstorbenenn seel. vor H. Not° Pantrion den 28. febr. 1737. gestifteten Codicilli und des vor mir Not° den 9. Junÿ jüngst. mündl. aus gesprochenen testaments (…)
Ordnung gegenwärtigen Inv.ÿ. Der Wittib unveränderten Vermögen, Sa. hausraths 5 lb
Dießemnach wird auch das gemeinschafftlich und theilbare Guth beschrieben, Sa. Hausraths 54 lb, Sa. taufzeug 12 lb, Sa. Silbers 4 lb, Sa. Eigenthums ane Häußern 525 lb, Sa. pfenningzinß und deren hauptgüter 75 lb, Summa summarum 670 lb – Schulden 552 lb, Nach deren Abzug 117 lb – Stalls.a 97 lb
Copia des Verstorbenen seelig den 28.ten febr. 1737 gestiffteten Codicilli reciproci, Not. Jacob Christoph Pantrion – erschienen der Ehren hafte Mr Georg Friderich Herzog, Schuhmacher und die Ehen und tugendsahme Frau Maria Catharina gebohrne Volzin, beede Eheleuth und burgere zu Straßburg, von den Gnaden des Grundgutigen Gottes gesund, gehend und stehender Leiber auch guten richtigen verstands – Beschehen und verhandelt in Straßburg und einer daselbsten im Stampfgäßlein gelegenen beeden codicillirenden Eheleuthen Zuständigen behaußung dero Wohnstuben mit den fenstern uf besagtes Gäßlein stoßend, Donnerstag den 28.ten febr. A° 1737, coll. Straßburg den 8.te Aug. 1758.
Copia des abgeleibten seelig vor mir Not° den 9.ten Junÿ 1758 gestifteten Testamenti Nuncupativi – Zu wißen seÿe hiermit daß Meister Georg Friderich Herzog (…) zu sich in seine alh. Zu Straßburg am Stampfgäßlein gelegenen behaußung beruffen lasen, welchen wie auf unser Erscheinen zwar kranckhen und schwachen Leibes angetroffen, uns jedoch beÿ gutem Verstand gantz frei ohngezwungen und ohngedrungen anzeigend (…), Nemlich u. Zum Ersten, vermacht Er Meister Georg Friderich Hertzog Schuhmacher u. burger alh. seinem Sohn seine alh. Zu Straßburg am Stampfgäßlein gelegene ohnlängst von deßelben Gegenschwäher erhandelte behaußung 1.s neben ihm selbst, vor frei ledig eigen Vor und umb 1300 Gulden, solche in sein des Erblaßers künftige Verlt. einzuschießen, wie wohl auch seinen Antheil daran zu beziehen, hierbei ersucht Er seine liebe Ehefr. den dritten theil welchen Sie an solchem Haus zu fordern hat, gemeldten Sohn um eben den Preiß Zu erlaßen
Anne Catherine Voltz hypothèque la maison au profit d’Aurèle Gerung, étudiant en droit
1758 (6.7.), Chambre des Contrats, vol. 632 f° 192
Fr. Maria Catharina geb. Voltzin weÿl. Georg Friedrich Hertzog des schuhmachers wittib beÿständlich Johannes Beck des schreiners
in gegensein H. Aurelius Gerung juris cand: – schuldig seÿe 75 lt
unterpfand, eine behausung mit deren begriffen und rechten am Stampffgäßel, einseit neben Anna Maria Herrmännin, anderseit neben schuldnerin, hinten auf Johann Georg Hatzung dem metzger
Catherine Voltz cède son tiers de la maison au cordonnier Georges Schmidt, beau père de son fils
1766 (11.4.), Chambre des Contrats, vol. 640 f° 239
Catharina geb. Voltzin H. Georg Friedrich Hertzog gewesten schumacher beÿständlich Johann Beck des schreiners
in gegensein Georg Schmidt des schuhmachers
den dritten theil vor uhnvertheilt ane einer behausung und hoffstatt mit allen begriffen, rechten und gerechtigkeiten in der Stampfgäßel, einseit neben N. Hatzung dem metzger, anderseit neben Georg Friedrich Hertzog dem schuhmacher, hinten auff gedachten Hatzung – um 100 pfund
Catherine Voltz et sa fille Anne Marie Hertzog cèdent leurs parts de la maison à leur fils et frère respectif Georges Frédéric Hertzog
1767 (22 Jenner), Me Haering (6 E 41, 1356) Joint au n° 79 du 9. 8.br 1758
als zu weiland Mr Georg Friedrich Hertzog des ältern geweßenen Schuhemachers und burgers allhier Zu Straßburg sel. Verl.t Inventur A° 1758 gezogenem Inventir Schreiber, sind an unten stehendem tag persönlich erschienen, frau Anna Maria geb. Hertzogin Vormals Mr Joh: Georg Riehl gew. Schuhemachers und bs. allhier derzeit Mr Johannes Lausterer ebenmäßigen Schuhe M.s und hiesigen bs. Ehefrau, beiständl. erstged. ihres Ehemanns, für sich selbst, So dann Johannes Rockenbach Schneider Mr. und br. alhier, als Vogt Ihr der Comparentin noch lebender Vier in erster Ehe erzeugter Kinder Nahmens derselben
die haben in gegenseÿn Mr Georg Friedrich Hertzog Schuhemachers und bs. alhier ihres resp. bruders und Curanden Oncle
Einen dritten theil Vor unvertheilt von und an Einer behaußung und Hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden und Rechten alhier in der obern Straß am Stampf Gäßel 1.s. neben H. Georg Hatzung Metzger 2.s. neben Ihm Cessionario selbst hinten auf ebenged. Hatzung stoßend gelegen, welche zu dießeitigem dritten theil gegen H Isaac Haffner den Rathsbotten um fünffzig Pfund Pfenning verhafftet
und gehören an jetzt cedirtem 3.t theil cedirender Schwester vor Väterl. Erbguth ein Neunter theil, so dann von Zweÿ Neunten theilen die ihren Kindern Von ihrem Großvater vermachten sind noch Zur Zeit dreÿ theil wegen Annä Mariä, Magdalenä und Annä Catharinä derer Riehlen die inzwischen verstorben sind und Sie geerbt hat, die übige Vier theil an bemelten zweÿ neunten theilen stehen Joh: Georg, Mariä Salome, Mariä Elisabethä und Catharinä Barbarä denen noch lebenden Riehlen zu, Weiter gebührt an solcher behaußung dem Übernehmer ein Neuntel so dann seinen Kinderen zween Neunte theil end. seinem Schwährvater Mr. Joh: Georg Schmidt Schuhemacher und br. alhier ein Tertz, welche derselbe vor seiner gegengeschwieger fr. Mariä Catharinä Verwittibter Herzogin geb. Voltzin erkaufft hat – nebst Übernahm des darauf hafftenden passiv Capitals derer 50 Pfund – alhier Zu Straßburg den 22. Jenner Im Jahr der Gnaden 1767
Réglement du tiers de maison cédé à Jean Georges Schmidt
1769 (21.8.), Me Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 588) n° 162
Berechnung dessen, was Frau Maria Catharina gebohrne Voltzin, weiland Georg Friderich Hertzog, des ältern gewesenen burgers und Schuhmachers hinterbliebene Wittib, an Georg Schmitt, den Schuhmacher und burgern alhier, wegen dem ihm verkaufften dritten Theil vor ohnvertheilt Von und ane einer behausung cum appertinentiis gelegen alhier zu Straßburg ane dem Stampfgässlein, einseit neben H Georg Hatzung dem Metzger, anderseit neben Georg Friderich Hertzog dem Schuhmacher, hinten auf gedachten H Hertzog stoßend, Zu erfordern, und Er Meister Schmitt hingegen auf abschlag bezahlt hat
Georges Frédéric Hertzog et Marie Catherine Kappler hypothèquent leurs deux maisons au profit du charpentier Jean Trautt
1770 (27.8.), Chambre des Contrats, vol. 644 f° 429-v
Georg Friedrich Hertzog der schumacher und Maria Catharina geb. Caplerin mit beÿstand Johann Daniel Bade des schumachers und Georg Weser auch schumacher beede ihren nächsten
in gegensein Johann Trautt des zimmermanns – 400 pfund
unterpfand, zweÿ nebeneinander liegenden häußer cum appertinentis im Stampfgäßel, einseit neben N. Hatzung dem metzger, anderseit neben Georg Friedrich Hertzog dem schumacher, hinten auff ged. Hatzung
Georges Frédéric Hertzog et Marie Catherine Kappler vendent la maison 450 livres au manant tailleur de pierres Barthélémy Oberreuther
1772 (21.11.), Chambre des Contrats, vol. 646 f° 529
Georg Friderich Hertzog der schuhmacher und Maria Catharina geb. Kapplerin
in gegensein Bartholome Oberreuter des schirmers und steinhauers und Annæ Mariæ geb. Niedermeÿerin mit assistentz H. Johann Peter Bläß des schuhmachers und Johann Michael Fischer des fischkäufflers
eine behausung und hoffstatt mit allen denen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Stampff gäßel, einseit neben Georg Hatzung dem metzger, anderseit neben ihme verkäuffer zuständige behausung, hinten auff ermelten Hatzung – alß ein von seinen eltern ererbtes guth – um 200 und 800 verhafftet, zugangen um 900 gulden, worunter die übernommenen 800 gulden begriffen
Barthélémy Oberreuther, originaire de Nesselwängle paroisse de Tannheim en Tyrol (frère de Thomas Oberreuther propriétaire d’une maison non loin de là), épouse en 1766 Anne Marie Niedermeyer de Riegel au diocèse de Constance.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 203)
Hodie 7 aprilis anni 1766 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Bartholomæus obreuther cæmentarius ex nessel wengle parochia tannheim diœcesis augustanæ filius Legitimus nicolai obreüter, defuncti civis ibidem et Catharinæ Fasser in vita conjugum et Anna Maria nidermeyer Ex riegel diœcesis constantiensis filia Legitima Francisci nidermeyer et Annæ Mariæ Baumgartner defunctorum conjugum et ciuium olim diti Locis ambo in parochia nostra commorantes (signé) barttell, sponsæ signum + (i 104)
Barthélémy Oberreuther meurt en 1778 après avoir institué sa femme légataire universelle. La maison est estimée à son prix d’achat, c’est-à-dire 450 livres. L’actif de la succession s’élève à 494 livres, le passif à 425 livres
1778 (28.12.), Me Beguin (6 E 41, 1468) n° 541
Inventarium über Weiland Bartholome Oberreuter, des gewesenen Gimpel Käuflers und Schirmers allhier Zu Straßburg Verlassenschafft – nach seinem den 11.ten Decembris dieses 1778.sten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen Hintritt hier Zeitlichen verlaßen hat. Welche Verlassenschafft, auf Ansuchen Frn. Annä Mariä Oberreuterin gebohrner Niedermeÿerin, sein des Verstorbenen hinterbliebener Wittib und einiger per Testamentum eingesetzter Erbin, inventirt – So geschehen allhier Zu Straßburg mit zuzuehung H. Philipp Jacob Greis, Notarii publici und Secretarii S.is T.is des jeweiligen Regierenden H. Ammeisters den 28. Decembris Anno 1778.
Der Verstorbene hat vermög des hernach einverleibten Testamenti nuncupatvi Zu seiner universal Erbin hinterlaßen, benantlich Eingangs gedachte Frau Anna Maria Oberreuterin gebohrne Niedermeÿerin seine hinterbliebene wittib
In einer allhier zu Straßburg ane dem Stampffgäßlein gelegenen in diese Verlassenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthum ane einer behaußung. Nemblichen eine behausung und Hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Stampffgäßlein, einseit neben Georg Hatzung dem Metzgern anderseit neben Mr Georg Friderich Hertzog dem Schuhmacher, beden burgern dahier und hinten auf gemelten Hatzug stoßend, so außer dem darauf hafftenden und hernach unter denen passiv Schulden erwehnten Capital freÿ ledig und eigen seÿe. Welche behaußung hier ohnpræjudicirlich auf den Fuß wie solche nach dem gleich hernach angeführten Titulo erkauffet worden, angeschlagen wird pro 450. Hierüber besagt ein teutscher perg. Kffbr. in allh. C.C. Stb. gefert. und mit deroselben aufgedr. größern Insiegel verwahrt datirt den 21. Novembris Anno 1772.
Bericht wegen gegenwärtiger Verlassenschafft. Zufolg der von der hinterbliebenen Wb. hiebeÿ gethanen Declaration seÿe zwischen ihro und ihrem verstorbenenn ehemann Zur Zeit deroselben Verheürathung Keine Eheberedung errichtet worden, der Ursachen dann wurde die vorhandene activ Nahrung unter einer Massa und Titel als gemein und theilbar beschrieben (…)
Series rubricarum hujus Inventarii. Sa. haußraths 18, Sa. Silbers 1, Sa. Gimpel Waaran 25, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 450, Summa summarum 494 lb – Schulden 425 lb, Nach deren Abzug 69 lb – Beschluß summa 69 lb
Copia des vor H Notario Philipp Jacob Greis den 4. Octobris 1778 aufgerichteten Testamenti nuncupativi – Zuwißen seÿe hiermit daß der Ehrengeachte Bartholome Oberreuter, Schirmer und Gimpel Käufler alhier zu Straßburg (…) zwar kranckh und schwachen Leibs, daher zu bett liegend, jedoch von Verleihung göttlicher Gnaden guter richtiger Sinnen und Vernunft (…) Zweÿtens, in dem Fall da er ohne Hinterlaßung ehelich erzeugten Kinds oder Kinder dieses Zeitliche gesegnen würde (…) zu seiner einigen wahren rechtsmäßigen und ungezweifelten Erbin alles seines nach Tod verlaßenden zeitlichen Vermögens, seine lieben Ehegattin Frau Annam Marian Oberreuterin gebohrne Niedermeÿerin, mit welcher er bereits in die fünffzehen Jahr lang in vergnügter und friedfertiger Ehe lebet (…). Welches alles in einer ohnunterbrochenen Handlung geschehen, zugangen und verzichnet worden allhier Zu Straßburg in einer ane dem Stampfgäßlein gelegenen denen Oberreuterischen Eheleuthen eigenthümlich zuständigen behaußung, denen im zweÿten stock befindlichen auf die Gaß aussehenden Wohnstub (…) Sontags dn 4. Octobris nachmitags zwischen zweÿ und dreÿ Uhr
Copia Indulti Testandi
La veuve se remarie en 1779 avec Martin Weber, originaire du même village de Nesselwängle en Tyrol, qui réside à Strasbourg depuis quinze ans. Il devient bourgeois en 1780
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 295)
Hodie 8 Novembris anni 1779 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Martinus Weber solutum majorennis oriundus ex Nösselwenger a quindecim jam annis in nostra parochia commorans filius legitimus defunctorum Andreæ weber et annæ wer* Conjugum un Nösselwangen habitantium et Anna Maria Nidermaÿer vidua Bartholomæi oberreiter tutelaris et lapicidæ parochiana nostra (signé) Martin weber, sponsæ signum + (i 155)
La tribu des maçons remet à Martin Weber un certificat qui va lui pemettre de devenir bourgeois puis de s’inscrire à la tribu.
1780 (2. 9.br), Maçons (XI 240)
(f° 513) Sambstags den 2.ten Novembris 1779. Zunfftschein – Martin Weber dem Maurergesellen und Gipser, weiland Meister Andreas Weber, des Maurermeisters Zu Klein Neßelwang beÿ Thannheim im Tÿrol, ehelich erzeugtem sohn, wurde auf befehl des Hochgebietenden Herrn Oberherrn ein Schein mitgetheilt, daß wann Er wird, præstitis præstandis von Hochlöblichem Magistrat alhier das burgerrecht erhalten haben, derselbe auch beÿ dieser Ehrsamen Zunfft als Zünfftiger auf: und angenommen werden solle.
(p. 481) Mittwochs den 15.ten Decembris 1779. Neuzünfftiger – Martin Weber der Maurergesell von Neßelwangen gebürtig, weiland Meister Andreas Weber, gewesenen burgers und Maurers daselbst ehelicher Sohn, stehet vor und producirt Cantzleÿ Schein vom 22. Novembris 1779. mit bitte ihme als einen Leibzünfftigen beÿ dieser Ehrsamen Zunft auf und anzunehmen.
[in margine :] ded. Zunftrecht 2. lb 11 ß, Für dem Pftg. 1, Erischreibgebühr 4 ß, zusammen 3 lb 15 ß – Findlingahus 2 ß 10 ½ d
Erkannt, gegen Erlag der Gebühr willfahrt, mit dem Anhang jedoch daß Er auch besagten Cantzleÿ Schein so ihme wieder zurück gegeben worden auf Löblicher Stadt Stall unverzüglich behörig producire, und glaubhafte Urkund davon Zu diesem Prothocoll liefere.
[in margine :] den 22.ten ejusdem reproducirt Er solchen Cantzleÿ samt dem darunter befindlichen Stallschein von diesem tag.
Marie Niedermeyer meurt en 1806 en délaissant une fille de son deuxième mariage.
1806 (24.9.), Strasbourg 13 (25), Me Bremsinger n° 3327 – Enregistrement de Strasbourg, acp 100 F° 188 du 30.9.
Inventaire de la succession de Marie née Niedermeyer, épouse en secondes noces de Martin Weber platrier, décédée le 4 juin dernier – à la requête des héritiers 1. le veuf Martin Weber plâtrier et 2. Anne Marie Weber fille 19 ans prpcréée avec le veuf, en présence du tuteur subrogé Pierre Mestlé, charpentier
Contrat de mariage le 4 novembre 1779, succession de Barthelemy Oberreuter, revendeur, premier mari de la défunte décédé le 4 décembre 1778 en délaissant la défunte comme seule et unique héritière, Inventaire Me Beguin le 28 même mois
apports du veuf : numéraire 92 fr. reçus de l’héritage de Madeleine Oertel sa cousine a Kleinesselwingen au Tirol
succession, Propriété d’une maison appartenante en propre aux héritiers, Savoir une maison avec toutes ses appartenances droits et dépendances en cette ville rue du foulon dit stampfgaessel sous N° 11, d’un côté André Kunz fileur de laine, d’autre Abraham Frommel israélite, derrière Spieler fabricant de marbre – propriété établie par actes passés à la Chambre des Contrats les 21 novembre 1772, 23 janvier 1779 et 20 février 1786, plus devant Me Lacombe le 7 août 1792 enfin Chambre de Conciliation du ci devant district de Strasbourg le 28 prairial 3, louée au Sr Bierenstiel cordonnier pour un loyer annuel de 30 fr, le reste occupé par le veuf 45 fr, total 75 francs de revenu, en capital 1500 francs
meubles aux héritiers : garde robe 6 fr, total 42 fr
meubles, dettes actives de la communauté 1562 fr, passif (total des sommes payées à la décharge des héritiers 1018 fr par contre total du remploi 179 fr, les héritiers doivent à la communauté 839 fr)
Les héritiers font vendre la maison par licitation devant le tribunal civil. Le cabaretier Joseph Steinmesser s’en rend acquéreur avec sa femme Catherine Pfaff.
1807 (2.7.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 33, n° 72
Ce jour d’huy 19. mars 1807. Nous Abraham Kratz juge au Tribunal Civil seant a Strasbourg commissaire nommé en cette partie par jugement rendu le 19 février dernier – Cahier des charges de la vente par licitation a laquelle il sera procédé par devant Abraham Kratz
Me Schuler avoué déclare avoir enchéri au nom de Joseph Steinmetz cabaretier et Catherine Pfaff
vente d’une maison avec toutes ses appartenances aisances et dépendances située en cette ville rue du foulon n° 11, d’un côté André Kuntz fileur de laine, d’autre Abraham Froment, devant ladite rue, derrière Spieler fabricant de marbre, dépendante de la succession d’Anne Marie Niedermeyer femme de Martin Weber platreur de cette ville et appartenant par indivis à Martin Weber aussi platreur et Anne Marie Weber fille mineure, les deux héritiers sous bénéfice d’inventaire de la défunte, inventaire de la succession Me Stoeber le 24 septembre 1806, plus deux actes passés à la Chambre des Contrats le 21. 9.br 1772, 23 janvier 1773 et 20 février 1786 comme aussi Me Lacombe le 7 août 1792 enfin Chambre des Conciliations du district de Strasbourg le 28 prairial 3, estimée par Jean Jacques Stotz architecte expert nommé par ledit jugement à 1950 francs
adjudication préparatoire 11 mai – Adjudication définitive le 25 mai, moyennant 2425 francs
Joseph Steinmesser, blanchisseur à l’hôpital militaire natif de Champagney en Haute-Saône, épouse en 1798 Anne Catherine Pfaff de Haguenau
Mariage, Strasbourg (n° 122)
Cejourd’hui 10° Nivôse l’an Sept de la République française une et indivisible (…) d’une part Joseph Stainmesse, agé de 35 ans blanchisseur à l’hôpital militaire de la Marguerithe en cette Commune depuis deux ans, natif de Champagney, Canton de Ronchamp, Département de la haute Saône, fils de feu Servais Stainmesse, cultivateur au dit lieu & de feüe Claudine Chassignet, d’autre part Anne Catherine Pfaff agée de 22 ans, domiciliée en cette commune depuis deux ans, native de Haguenau chef lieu de canton département du Bas rhin, fille de Jean Michel Pfaff, Sculpteur audit lieu & de feüe Marguerithe Zeller (…) 1° de l’acte de naissance du futur portant qu’il est né à Champagney el 22 novembre 1763 (…) 2° de l’acte de naissance de la future, portant qu’elle est née à Haguenau le 24 juillet 1776 (signé) J Steinmesse, an Cathrina pfaffin (i 65)
Joseph Steinmesser meurt en 1810, cabaretier aux trois trompettes, au quartier Saint-Nicolas. La succession comprend la maison mortuaire et celle rue du Foulon
1810 (10.3.), Strasbourg 14 (43), Me Lex n° 4151 – Enregistrement de Strasbourg, acp 114 F° 73 du 14.3.
Inventaire de la succession de Joseph Steinmetz cabaretier aux trois trompettes quartier de St Nicolas – à la requête de Catherine née Pfaff tutrice naturelle de Joseph né à Strasbourg le 14 vendémiaire VIII (6 octobre 1799), en présence de Michel Gell faiseur de matelas, subrogé tuteur – pas de Contrat de mariage
Testament le 1 janvier 1810 souss. – Joseph Steinmetz natif de Champagny département de la Haute Saone ci devant blanchisseur a hôpital militaire en cette ville présentement aubergiste aux trois Trompettes quartier de St Nicolas n° 58, dans la chambre à coucher au premier de ladite auberge
dans la maison mortuaire à l’enseigne des trois Trompettes quartier de St Nicolas n° 58
Immeuble, Une maison, droits et dépendances située rue dite quartier St Nicolas n° 58, d’un côté le Sr Wilhelm marchand de tabac d’autre le chemin communal devant ladite rue derrière une place communale – chargé d’une rente annuelle et viagère de 450 fr payable à Antoine Ray voiturier et Françoise Barbe Gerard, par acte Me Bremsinger le 5 germinal 12, les conjoints Ray l’ont acquise de Claude Bouvart aubergiste et Antoinette Herchin devant le même notaire le 7 vendemiaire 12
Plus une maison avec toutes les appartenances, aisances et dépendances située en cette ville rue du foulon n° 11, d’un côté André Kuntz fileur de laine d’autre Abraham Fromel commerçant derrière nommé Spieler fabriquant de marbre, provenante de la succession d’Anne Marie Niedermeyer femme de Martin Weeber platreur, par licitation devant Abraham Kratz juge au Tribunal Civil le 19 février 1807 pour 2425 francs, louée verbalement et en entier à Antoine Bierenstiel cordonnier pour 192 fr, en capital 2425 fr
mobilier 1038 fr, total de l’actif 6463 fr, passif 1467 fr
(vente de meubles devant le cabaret aux trois Trompettes quartier St Nicolas n° 58 le 28 août n° 4563)
Catherine Pfaff se remarie en 1811 avec Jean François Migevand, militaire retraité originaire de Thoiry en Savoie
1811 (1.5.), Strasbourg 14 (47), Me Lex n° 5189 – Enregistrement de Strasbourg, acp 117 F° 37 du 10.5.
Contrat de mariage – Jean François Migevand, natif de Toyri canton de Collonge arrondissement de Geneve département du lemant, membre de la Légion d’Honneur militaire retiré
Catherine née Pfaff veuve de Joseph Steinmetz cabaretier aux trois trompettes quartier de St Nicolas
apports du futur époux, de Claude François Migevand maréchal ferrant à Toiry et Marie Somi des père et mère
Anne Catherine Pfaff consent au mariage de son fiils Joseph Steinmesser
1823 (22.11.), Strasbourg, Me Lex, Consulté Enregistrement de Strasbourg, acp 165 F° 129-v du 22.11.
Consentement – Anne Catherine Pfaff veuve en premières noces de Joseph Steinmetz femme actuelle de Jean François Migevand, militaire retiré, au mariage que Joseph Steinmetz se propose de contracter avec la personne qu’il lui plaira de choisir
Catherine Pfaff meurt en 1844 en laissant pour héritiers ses petits-enfants issus de son fils défunt Joseph Steinmesser, facteur de la poste aux lettres à Colmar, et de sa veuve Madeleine Bippert
1844 (27.1.), Strasbourg 4 (97), Me Lauth n° 931
(Inventaire après le décès de Catherine Pfaff veuve en premières noces du Sieur Joseph Steinmesse, cabaretier, et en secondes noces du sieur François Migewand militaire)
Dame Madeleine Bippert veuve du sieur Joseph Steinmesser vivant facteur de la poste aux lettres à Colmar elle y demeurant et domiciliée se trouvant actuellement à Strasbourg, agissant 1. au nom et comme mère et tutrice légale de ses quatre enfants mineurs qu’elle a procréés en légitime mariage avec son défunt mari nommés savoir A. Joseph Steinmesse agé de 19 ans cinq mois, soldat au 7° bataillon compagnie des chasseurs d’Orléans en garnison à Strasbourg, B. Dlle Madeleine Steinmesse agée de 16 ans et demi, C. Delle Catherine Steinmesse agée de 14 ans, D. Dlle Josephine Steinmesse agée de 5 ans, 2. comme usufruitière légale de la fortune de ses enfant jusqu’à leur 18° année aux termes de l’article 384 au code civil. En présence du Sr Michel Hild vigneron demeurant et domicilié à Colmar – Lesdits mineur habites à se dire et porter seuls et uniques héritiers de De Catherine Pfaff veuve en premières noces du Sieur Joseph Steinmesse, cabaretier, et en secondes noces du sieur François Migewand, militaire retraité, leur grand’mère. Ladite Madeleine Steinmesser encore comme légataire à titre particulier de la défunte aux termes d’un testament public reçu par Me Lauth – procéder à l’inventaire fidèle et à la description exacte de tous les biens meubles, immeubles (…) dépendant de la succession de la veuve Migewand et qui se sont trouvés dans une maison sise à Strasbourg rue du foulon N° 11 où elle est décédée le 23. janvier dernier
Total des objets mobiliers 769, objet mobiliers légués à Madeleine Steimesser 151, argent comptant 200 francs
Titres et papiers, relatifs à la propriété de la maison rue du foulon N° 11. Huit pièces qui sont. La première la grosse d’un cahier des charges du 19 mars 1807, d’un procès verbal d’adjudication préparatoire du 11 mai suivant, d’un procès verbal d’adjudication définitive du 25 du même mois, le tout dressé au greffe du tribunal civil de Strasbourg à la requête des héritiers de Dame Anne Marie Niedermeyer épouse du Sieur Martin Weber platrier en cette ville, d’où il résulte qu’il a été adjugé définitivement à Joseph Steinmesse et à Catherine Pfaff (défunte) une maison sise en cette ville rue du foulon N° 11 pour la somme de 2485 francs. Cette grosse porte la mention de sa transcription au bureau des hypothèques de Strasbourg le 2 juillet 1807 volume 33 Numéro 72.
La seconde pièce est l’expédition d’une quittance (…). Les deuxième, quatrième et cinquième pièces sont des contrats passés à la cidevant chambre des contrats de ladite ville de Strasbourg les21 novembre 1772, 30 septembre 1735 et 23 mai 1712 constatant la propriété antérieure du dit immeuble. La sixième pièce est un certificat hypothécaire contre ledit Martin Weber (…) La septième est une police d’assurances de la compagnie royale d’assurances du 1 janvier 1842 (…)
Contrat de mariage et testament au profit de la défunte. Trois pièces qui sont. La première est l’expédition d’un testament reçu par Me Lex notaire à Strasbourg le 1 janvier 1810 enregistré le 26 février de la même année par lequel le Sr Joseph Steinmesse premier mari de la défunte a légué à cette dernière la jouissance des biens qu’il délaisserait au cas où elle ne convolera pas en secondes noces. La seconde est l’expédition du contrat de mariage passé devant ledit Me Lex le 1 mai 1811 entre ledit Sr Jean François Migewand et la défunte. La troisième et dernière pièce est l’expédition d’un testament reçu par Me Tinchant notaire à Strasbourg le 27 août 1839 enregistre le 31 du même mois par lequel ledit Sieur Jean François Migewand second mari de la défunte a insturyé cette derniète sa legataire universelle en toute propriété.
Titres sans valeur réelle et pièce de famille. (…) Les 4° et 5° pièces sont d’anciens titres de propriété d’une maison que la défunte et son premier mari le Sr Steinmesse possédaient à Strasbourg au quartier St Nicolas N° 58 laquelle a été vendue depuis longtemps, ces titres reviendraient donc au propriétaire actiel qui est le génie militaire, la maison ayant été acquise en dernier lieu par lui pour agrandir la place St Nicolas. Enfin la 7° pièce est une liasse de papiers contenant le brevet de légion d’honneur de feu Sr Migewand.
Obligations et billets – Créances actives 15 689 francs
Frais de dernière maladie et d’enterrement 209
Les héritiers vendent la maison à Jean Schiermann, employé au mont de piété
1844 (11.5.), Strasbourg 4 (98), Me Lauth n° 1111
Dépôt de cahier des charges dressé pour parvenir à la vente aux enchères d’une maison sise à Strasbourg rue du foulon N° 11 – Suivant jugement rendu par le Tribunal Civil de Première Instance séant à Colmar (Haut-Rhin) le 2 mai courant sur la requête présentée à cet effet par Me Zimmermann, avoué près le dit tribunal Dame Madeleine Bippert, veuve du sieur Joseph Steinmesse en son vivant facteur de la poste aux lettres à Colmar, en sa qualité de mère et tutrice légale du Sr Joseph Steinmesse, soldat au 7° bataillon de chasseurs d’Orléans en garnison à Strasbourg, .2. Madeleine Steinmesse, 3. Catherine Steinmesse & 4. Josephine Steinmesse ses quatre enfants encore mineurs issus de son mariage avec son dit défunt mari & ayant pour subrogé tuteur le sieur Michel Hild vigneron demeurant & domicilié à Colmar, a été autorisée à poursuivre la vente par licitation de la maison ci-dessous indiquée.
Désignation. Une maison à rez de chaussée & trois étages avec greniers, droits, aisances, appartenances & dépendances située à Strasbourg, rue du foulon N° 11, d’un côté la propriété du sieur Lincourt, de l’autre celle du Sr Knobel & par derrière la propriété du Sieur Schrameck.
Etablissement de la propriété. Cette maison dépend des successions des sieurs Joseph Steinmesse vivant cabaretier à Strasbourg & de dame Catherine Pfaff sa veuve en premières noces & veuve en secondes noces du sieur François Migewand, vivant militaire retraité en la même ville. Elle appartient actuellement aux petits enfants des dits époux Steinmesse, venant par représentation de leur père le Sr Joseph Steinmesse vivant facteur de la poste aux lettres à Colmar, seul enfant de ces derniers savoir (…). Les époux Steinmesse-Pfaff possédaient ette maison au moyen de l’acquisition qu’ils en avoient faite des héritiers de Dame Anne Marie Niedermeyer épouse du Sieur Martin Weber platrier à Strasbourg, suivant adjudication définitive dressée au greffe du tribunal civil de Strasbourg le 25 mai 1807, enregistrée & transcrite aux hypothèques de cette ville le 2 juillet suivant volume 33 Numéro 72. La propriété antérieure de cette maison se trouve constatée par cinq contrats passés à la cidevant Chambre des Contrats les 23 mai 1712, 23 septembre 1735, 21 novembre 1772, 23 janvier 1779 & 20 février 1786, un acte passé devant Me Lacombe, notaire alors à Strasbourg le 7 avril 1792, un acte passé à la cidevant chambre de conciliation du ci devant district de Strasbourg le 28 prairial an 3 & un inventaire dressé par Me Stoeber alors notaire à Strasbourg le 24 septembre 1806 – Mise à prix de 2000 francs fixée par le jugement rendu par le tribunal de Colmar
Du 17 juin 1844. N° 1168. Adjudication. dernière mise, le Sieur Jean Schiermann, employé au mont de piété a porté le prix à la somme de 3240 francs (signé) Johannes schierrmann
Jean Schirrmann, garçon cordonnier originaire de Bischheim au Saum, épouse en 1812 Anne Marie Berg originaire de Dangolsheim
Mariage, Strasbourg (n° 193)
Acte de mariage, le onze mai 1812, Jean Schirrmann, majeur d’ans, né le 26 juillet 1783 à Bischheim au Saum, domicilié audit Bischheim, Garçon cordonnier, file de Laurent Schirrmann, cultivateur audit mieu ci présent et consentant et de feue Marie Madeleine Thomas décédée au même lieu le 15 janvier dernier,
et Anne Marie Berig, née le 29 janvier 1773 à Dangolsheim domiciliée à Strasbourg fille de Jacques Berig, invalide, et de Barbe Beller, conjoints domiciliés à Strasbourg ci présents et consentants (signé) Johannes schirmann, l’épouse a déclaré ne savoir signer (i 7)
Marie Berg meurt en 1838 dans sa maison 18, rue du Foulon en délaissant ses héritiers collatéraux
1838 (20.4.), Strasbourg 11 (30), Me Keller n° 220 – Enregistrement de Strasbourg, acp 259 f° 16-v du 28.4.
Inventaire de la succession de Marie Berg épouse de Jean Schiermann, propriétaire demeurant rue du Foulon n° 18, décédée le 5 avril 1838 – à la requête de Jean Schiermann, donataire en usufruit par testament reçu Me Keller le 27 mars dernier, mariés sans contrat de mariage à Strasbourg en 1812 – 2. en présence des héritiers de la défunte qui sont 1. Martin Beller, journalier, 2. Barbe Beller, majeure en service chez M. le docteur Marschal, 3. Joseph Beller, journalier, 4. Sébastien Beller, sculpteur en moules tous demeurant à Strasbourg, Sébastien Beller en son nom et poursuivant les droits de Thérèse Fischer son épouse, 5. Charles Lacombe, notaire, pour représenter François Beller et Jacques Beller tous deux militaires en activité de service l’un en garnison à Alger l’autre à la Flèche. Lesdits Martin Beller, Joseph Beller, Sébastien Beller, François Beller, Jacques Beller par représentation de Barbe Berg leur mère sœur germaine de la défunte pour ¾ et Thérèse Fischer femme de Sébastien Beller pour le dernier quart de la propriété par représentation de Brigitte Berg sa mère sœur consanguine de la défunte – dans la maison mortuaire rue de Foulon n° 18
immeubles, une maison avec petite cour & dépendances sise à Strasbourg rue du Foulon n° 18, d’un côté le Sr Walter, d’autre Georges Niederoll, acquise de Jean Weller, cocher, et Marie Kilian, par acte Me F. Grimmer le 26 juillet 1833 transcrit au bureau des hypothèques volume 272 n° 53
en cet endroit Martin Beller et Barbe Beller ont dit fait réserve contre ledit Schirmann pour faire entrer dans la communauté une autre maison sise à Strasbourg rue de la Fonderie n° 13 qu’il doit avoir acquis récemment sans avoir trouvé aucun contrat à quoi le Sr Schirmann a répondu qu’une partie seulement dudit immeuble a été acquis par Contrat Me Boersch dont il n’y a point encore d’expédition
Un des héritiers cède sa part d’héritage au veuf Jean Schirmann
1842 (4.3.), Strasbourg 11 (35), Me Keller n° 1739
le sieur Jacques Beller, cordonnier garçon majeur d’ans demeurant à Strasbourg, agissant en qualité d’héritier partiaire de feu Marie Berg, sa tante décédée sans postérité femme du Sr Jean Schirmann cordonnier appariteur demeurant à Strasbourg, ainsi que celle qualité lui résulte de l’inventaire dressé après le décès de ladite Marie Berg par Me Keller le 20 avril 1838, lequel a cédé
A mondit sieur Jean Schirmann propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg rue du foulon N° 10
Les droits successifs mobiliers et immobiliers qui competent au cédant dans la succession encore indivise de feue Marie Berg sa tante susnommée, de laquelle succession le cessionnaire a l’usufruit universel gratuit et viager au contenu du testament fait par ladite défunte Marie Berg le 27 mars 1838 – pour 50 francs
Jean Schirmann se remarie avec Christine Wittersheim, veuve du charpentier André Fritsch
1841 (22.4.), Strasbourg 7 (97), Me Boersch n° 2239
Contrat de mariage – M. Jean Schirmann, cordonnier demeurant à Strasbourg rue du foulon N° 18 Veuf sans enfants en premières noces d’Anne Marie Berg
Et Mad. Christine Wittersheim Veuve sans enfants en premières noces d’André Fritsch, charpentier demeurant à Strasbourg rue de l’argile N° 15
Christine Wittersheim, veuve du cordonnier Jean Schiermann, hypothèque la maison au profit de Jean Baptiste Mengus
1861 (24.1.), Strasbourg 15 (103), Me Momy n° 6892
Obligation – Dame Christine Wittersheim, sans état, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de Mr Jean Schiermann en son vivant ancien cordonnier, employé au mont de piété de Strasbourg, demeurant en cette ville
devoir à Monsieur Jean Baptiste Mengus propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg, la somme principale de 600 francs
hypothèque. Une maison d’habitation à rez de chaussée et trois étages sise à Strasbourg rue du foulon N° 8 d’un côté le sieur Nodler de l’autre et par derrière le Sr Pascal. Mr Mengus dispense Mad. Schiermann d’établir l’Origine de la propriété de la maison hypothéquée, attendu que cette propriété est constatée par un acte de liquidation et partage contenant quittance subrogatoire au profit de Mr Mengus, passé devant Me Roessel jeune et son collègue notaires à Strasbourg le 9 mai 1860.
Mad. veuve Schiermann déclare que l’immeuble hypothéqué n’est grevé d’aucune dette, privilège et hypothèque si ce n’est d’une inscription (…) au profit de Me Mengus (…), d’une inscription prise au même bureau le 29 mai 1860 Volume 761 Numéro 45 au profit de 1° Mr François Schiermann, journalier, Dame Madeleine Schiermann épouse de M Joseph Dusar* maçon, De Barbe Schiermann épouse de Jean Kraehling, maçon tous demeurant à Hoenheim, M Laurent Kugler, serrurier, dame Madeleine Schiermann épouse du Sr Laurent Zech serrurier demeurant à Bischheim en vertu 1° d’un contrat de mariage passé devant Me Boersch notaire à Strasbourg le 22 avril 1835, d’un inventaire dressé par Me Roessel jeune dressé par Me Roessel jeune notaire à Strasbourg le 27 août 1849 et d’un acte de liquidation t de partage reçu par ledit Me Roessel jeune et déjà ci-dessus relaté.