11, rue de la Haute Montée
Rue de la Haute-Montée n° 11 – III 150 (Blondel), N 636, puis section 69 parcelle 1 (cadastre)
Maison Zur Kugel
Maître d’ouvrage Joseph Lœw Erlenbach, marchand (1885), architecte Richard Schmitt
La façade avant (juin 2010) et après restauration (juillet 2012)
La maison appelée Zur Kugel (à la Boule, du nom de famille Kugler) a un encorbellement de 21 pieds de long en saillie de 3 pieds d’après le Livre des communaux de 1587. Le savonnier Paul Mebwart la vend en 1605 au marchand Régnard Merckelbach. Le bailli de Pfaffenhoffen Georges Meinrad Flach de Schwartzenburg en est propriétaire de 1620 à 1622 pour avoir un pied à terre en ville à l’abri des troubles. La femme de Philippe Breitenacker, receveur ecclésiastique à Bischofsheim à la Haute-Montée en Bade, l’achète en 1627 et en transmet la propriété à son gendre précepteur Siméon Süss puis au notaire Jean Frédéric Medler qui épouse sa petite-fille Anne Ursule Süss. Elle appartient à partir de 1690 au marchand Jean Georges Asfalck puis à son beau frère et créancier Jean Michel Hahn. Elle devient une maison d’artisan quand l’apprêteur de tabac Jean Daniel Friess l’achète en 1718 puis la vend à son fils coutelier Jean Philippe Friess. La maison se trouve à droite de celle à oriel sur le plan-relief de 1727. Le serrurier Jean André Jost qui l’achète en 1764 y fait aménager un creuset et une cheminée dans son atelier au rez-de-chaussée en 1765. Il n’est pas autorisé à faire en 1767 une buanderie dans le bâtiment à droite de la cour à cause des risques d’incendie mais transforme en 1773 le bâtiment arrière en habitation.
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 70 (Musée des Plans-relief)
Le plan des Ponts-et-Chaussées de 1823 signale une ancienne maison à rez-de-chaussée en pierre et trois étages en bois sculpté (l’Atlas des alignements mentionne par erreur deux étages). Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade est la deuxième à gauche du repère (c) ; portail à gauche, porte et deux ouvertures dont l’une peut être une descente de cave, trois étages en encorbellement, toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour H représente l’arrière (1-2) du bâtiment sur rue, le bâtiment (3-4) au fond de la cour et la remise (4-1) à l’est, le mur (2-3) séparant la cour de celle du voisin à l’ouest (n° 9). La cour G montre l’arrière (1-2) du bâtiment au fond de la cour, les autres bâtiments font partie d’une maison donnant dans la rue Thomann.
La maison porte d’abord le n° 106 (1784-1857) puis le n° 11 de la rue des Petites-Boucheries.
Cours G, H – Plan des Ponts-et-Chaussées, 1823 et 1851 (ADBR, cote 5 K 123)
Joseph Lœw Erlenbach charge en 1885 l’architecte Richard Schmitt de reconstruire le bâtiment donnant sur la rue Thomann et d’aménager un passage entre les deux rues. Le propriétaire fait aussi reconstruire le bâtiment vers la Haute-Montée après avoir constaté que la construction est en mauvais état. L’aménagement intérieur est terminé en décembre 1886.
Les architectes Berninger et Krafft transforment les devantures vers la Haute-Montée en 1905. La fabrique de lingerie et de literie J. L. Erlenbach fait aménager en 1914 des ateliers au premier étage. Martin Gutmann charge en 1927 l’architecte Falk de transformer la devanture. La société J. L. Erlenbach rénove le passage en 1928 et demande que la ville prenne en charge son éclairage. Le bombardement aérien du 25 septembre 1944 endommage légèrement la maison.
Seule la façade est conservée et restaurée quand la partie orientale du grand magasin Le Printemps est reconstruite en 2011.
Façade par l’architecte Richard Schmitt (1885, dossier de la Police du Bâtiment)
Façade lors des travaux en août 2011
Ancienne et nouvelle devanture (Berninger et Krafft, 1905) – Ateliers aménagés en 1914 au premier étage (dossier de la Police du Bâtiment)
décembre 2020
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1606 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Michel Mersudi, tailleur de pierres, et (1586) Véronique Kessler – luthériens | ||
1600 | v | Paul Mebwart, savonnier, et (1592) Odile Zoller – luthériens |
1605 | v | Régnard Merckelbach, marchand, et (1602) Dorothée Müller – luthériens |
1612 | v | Jean Georges Kips, et (1581) Marie Jung – luthériens |
1620 | v | Georges Meinrad Flach de Schwartzenburg, bailli à Pfaffenhoffen, et Madeleine Elisabeth Schenck de Schmidberg, veuve de Jean Régnard Flach de Schwartzenburg |
1622 | v | Jean Philippe Schmidt |
1627 | v | Philippe Breitenacker, receveur ecclésiastique à Bischofsheim à la Haute-Montée, et Susanne Scheid – luthériens |
1630* | h | Siméon Süss, précepteur, et (1626) Anne Madeleine Breitenacker – luthériens |
1650* | h | Jean Frédéric Medler, notaire, et (1647) Anne Ursule Süss – luthériens |
1690 | v | Jean Georges Asfalck, marchand, et (1671) Catherine Kærcher puis (1688) Susanne Hœchstetter – luthériens |
1713* | adj | Jean Michel Hahn, marchand, et (1674) Ursule Asfalck – luthériens |
1718 | v | Nicolas Ellès, fabricant de chausses, et (1677) Ursule Blümel – luthériens |
1718 | v | Jean Daniel Friess, apprêteur de tabac, et (1706) Marie Madeleine Schmidt d’abord (1699) femme de Jean Borst – luthériens |
1745 | h | Jean Philippe Friess, coutelier, et (1742) Marguerite Salomé Schmidt, remariée (1760) avec le perruquier Charles Maximilien Schœnbrod – luthériens |
1764 | v | Jean André Jost, serrurier, et (1767) Susanne Madeleine Bürckel – luthériens |
1800 | v | Jean Frédéric Haffermann, fabricant de pâtés puis marchand libraire, et (1787) Marie Madeleine Mühl – luthériens |
1828 | h | Anne Ursule Mühl épouse (1809) du brasseur Jean Michel Mæchling |
1843 | h | Caroline Mühl épouse (1812) du brasseur Jean Henri Magnus |
1866 | h | Jonathan Magnus, propriétaire, célibataire († 1903) |
1873 | v | Louis Kniffler, entrepreneur, vice-consul de Prusse à Nagasaki, et (1866) Hedwige Pfeffer |
1875 | v | Joseph Lœw Erlenbach, marchand à Nuremberg, et (1851) Jeannette (Minka) Arnstein |
1894 | h | Oscar Erlenbach, marchand, et (1890) Anne Reine Ettlinger Léopold Gutmann, marchand, et (1884) Nanette Erlenbach |
1913* | h | Martin Gutmann, négociant, et Hélène Schaller |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 800 livres en 1684, 1700 livres en 1713, 850 livres en 1742, 1000 livres en 1745 et en 1787
(1765, Liste Blondel) III 150, au nommé Jost serrurier
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Joh: Andres Jost (III 149 et 150), 6 toises, 4 pieds et 3 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 636, Maechling, Jean Michel, veuve – maison, sol – 1,15 are
Locations
1718, Georges Michel Martin, messager
1804, David Frédéric Kess, chamoisseur, et Catherine Marguerite Hetzel puis Marguerite Brosius
1804, Isaac Weil, boucher
1813, Chrétien Frédéric Schœné, confiseur
1818, Bernard Bru, tailleur
1875, Edouard Lœwenthal, de Berlin
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 276
La maison appelée Zur Kugel (à la Boule) appartient à la veuve du maçon Jean von Merschuden qui y habite. L’encorbellement a 21 pieds de long et une saillie de 3 pieds, une porte de cave inclinée de 6 pieds de large et 7 pieds en saillie, un soupirail ouvert de 15 pieds de large. La propriétaire paie 11 sols pour cette jouissance.
[Vor dem Pfennigthurn gegen dem Thannenfels zu]
Das Haus zur Kugel gehört hansen von Märschuden des Maurers selligen Wittiben zu, welche auch diser Zeÿtt darinnen wohnet, Vnd hatt ein Vsstoß xxij schu lang, iiij schu herauß, darund. ein ligend Kellerthüer vj schu breit, vij schu herauß, Ein offen Kellerloch xv Zoll breit, j schu herauß, Bessert für das Niessen, xj ß d
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1620, Préposés au bâtiment (VII 1335)
Le gentilhomme Meinrad Flach de Schwartzenburg demande l’autorisation de poser une fosse à fumier devant sa maison. L’affaire sera soumise aux préposés lors de leur prochaine réunion
(f° 291-v) Montag den 13.te, Nouemb: 1620 – Juncker Georg Meinrad Flach vonn Schwartzenburg, begerte Ime Zuvergönnen, ein Mistcasten vor sein Hauß an den Mauren gegen dem hohen steeg über, Zumachen Zu vergönnen, solle wann Bawherren Zusammen kommen denen fürbracht werden
Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)
Le maître maçon Linckennhœl demande en mars 1765 au nom du serrurier André Jost d’aménager un creuset et une cheminée dans son atelier au rez-de-chaussée à droite de l’entrée. Les préposés donnent leur accord puisque le tuyau sera éloigné de toute pièce en bois.
1765, Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)
(p. 70) Freÿtags d. 22. Martii 1765 – Mr Andreas Jost der schloßer will in seiner behaußung an der Kleinen Metzig gelegen, in der rez de chaussée rechter hand des eingangs eine schloßer Werckstatt mit einer Eß und Camin schoß machen, das rohr mitten durchs Gebäu von allem holtz entfernt. Erkandt, Willfahrt. Mr Linckenlölin
Le même demande en août 1767 l’autorisation d’aménager une buanderie avec un chaudron dans le bâtiment à droite de la cour, le tuyau traversant la galerie proche de son voisin. Les préposés s’y opposent en arguant des risques d’incendie.
(p. 134) Dienstags d. 11.ten Augusti 1767 – Mr Andreas Jost der schloßer will in seiner behaußung gegen der Kleinen Metzig über lincker hand im hof eine bauch Kuchen mit Bauch Keßel und Caminschoß machen das rohr mitten durch den Altan, Zwischen den nachbar stehend, von allem holtz entfernt. Erkandt, als gefährlich und der Nachbarschafft beschwerlich, abgeschlagen. Mr Linckenlölin
Le maître maçon Wolff demande en mai 1773 au nom du serrurier Jost d’aménager un poêle pourvu d’un fourneau rond au premier étage du bâtiment arrière, de même au deuxième étage et une cuisine pourvue d’un fourneau et d’un âtre au troisième étage. Les préposés donnent leur accord.
(p. 279) Dienstags den 18.ten Maji 1773. – Mr Jost der schloßer will in seiner beÿ der Kleinen Metzig gelegenen behaußung im hindern gebäu im ersten stock eine Stube gegen dem hoff mit einem runden Ofen machen, das rohr vom ofen durch eine feur maur in den darhinden befindlichen Kuchen Camin schoß hinein führen, von allem holtz entfernt.
Im Zweÿten stock das nemliche.
Im dritten stock im nebens gebäu, rechter hand am hindern gebäu eine Kuchen mit herd und Caminschoß machen, das rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt. Erkandt Willfahrt. Mr Wolff.
Description de la maison
- 1742 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un atelier de coutelier, un vestibule et une cave voûtée, au-dessous de la galerie un atelier de coutelier à côté duquel il y a un bûcher, au premier et au deuxième étages un poêle où une cloison en planches forme une chambre, une petite cuisine et un vestibule, sous le toit un poêle, deux chambres, un vestibule où se trouvent le fourneau, deux passages en bois, une chambre arrière, en haut la chambre de l‘officier et celle du domestique, un comble ancien, le tout estimé avec la cour, le puits commun, toutes appartenances et dépendances à la somme de 1700 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
2° arrondissement ou Canton nord – Rue de la petite Boucherie
nouveau N° / ancien N° : 22 / 106
Haffermann
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages en bois mauvais
(Légende)
Ponts et Chaussées
1823 (ADBR, cote 2 SP 52) N° 106, Rez de chaussée en pierre, 3 étages en bois sculptés, vieille construction
1851 (ADBR, cote 5 K 123) N° 106, Magnus 3 E P S (Maison à trois étages, construction en pierre, solide)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre case 1
Maechling, Jean Michel, veuve à Strasbourg
Magnus, Jean Henry veuve née Mühl (1850)
N 636, maison, sol, R. des petites boucheries 106
Contenance : 1,15
Revenu total : 252,60 (252 et 0,60)
Folio de provenance : red°. décision du 4 juillet 1844
Folio de destination :
Année d’entrée :
Année de sortie : 1845
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 30 / 26
fenêtres du 3° et au-dessus : 5 / 6
N 636, maison, R. des petites boucheries 106
Revenu total : 225,60 (225 et 0,60)
Folio de provenance : 179
Année d’entrée : 1845
1845, Maechling Ve de Jn, f°179, N 636, revenu 27, décision du 4 juillet 1844
Cadastre napoléonien, registre 22 f° 698 case 2
Magnus, Jean Georges veuve
1867, Magnus, Jonathan Albert
1875, Kniffler Ludwig, Kaufmann zu Düsseldorf
1876, Erlenbach, Josef, Kaufmann
1896/97, Erlenbach, Oskar, Kaufmann, Gutmann Leopold Kaufmann am hohen Steg 11 (Ehefrau Nanette geb. Erlenbach)
(ancien f° 446)
N 636, maison, sol, Rue de la petite bouchere 11
Contenance : 1,15
Revenu total : 225,60 (225 et 0,60
Folio de provenance : (179)
Folio de destination : 698, (sol) Gb
Année d’entrée :
Année de sortie : 1878
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 32 / 26
fenêtres du 3° et au-dessus : 7 / 6
N 558, maison, sol, Thomansgasse 20
Contenance : 1,10 (total) 2,25
Revenu total : 305,17 (maison 225 et 79, sol 0,60 et 0,57)
Folio de provenance : 471-II
Folio de destination : 678 v. Straße
Année d’entrée :1876
Année de sortie : 87/88
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 51 / 41
fenêtres du 3° et au-dessus : 13 / 10
N 558, maison, Thomansgasse 20
Revenu total : 140
Folio de provenance : 698, Vergrößerung
Folio de destination : Abbruch
Année d’entrée :1878
Année de sortie : 86/87
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires :
fenêtres du 3° et au-dessus :
N 636, maison, Hoher Steg
Contenance : 1,81
Revenu total : 409,17 (408 et 1,17)
Folio de provenance : 698, Vergrößerung
Folio de destination : Abbruch
Année d’entrée :1878
Année de sortie : 87/88
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 51 / 41
fenêtres du 3° et au-dessus : 13 / 10
1878, Erlenbach Joseph f° 678-II, N 558, 636, Haus, Reinertrag 244, Vergrößerung, vollendet 1875, steuerbar 1878, besteuert 1878 ([dans 3 P] f° 698-II, N 558, maison, Reinertrag 140 – f° 698-II, N 636, maison, Reinertrag 408)
Erlenbach Joseph f° 678-II, N 558, maison, Reinertrag 78, Vergrößerung 1875, Zeit 1878
N 558.p, sol, Thomansgasse 20
Contenance : 0,66
Revenu total : 0,34
Folio de provenance : 698
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :87/88
1887, Erlenbach Josef f° 698, N 558.p, sol 0,44, Reinertrag 0,23, Straße
N 636, Haus, Hoher Steg
Revenu total : 857,94 (857 et 0,94)
Folio de provenance : Neubau
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :90/91
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 53 / 43
fenêtres du 3° et au-dessus : 33 / 27
1890, Erlenbach Joseph f° 698, N 636, Haus, Reinertrag 857, Neubau, vollendet 86/87, steuerbar 87/88
Cadastre allemand, registre p. case
Parcelle, section 69, n° 1 – autrefois N 558.p 636
Canton : Am Hohen Steg Hs N° 11 – Rue de la Haute Montée
Désignation : Hf, Whs u. N.G. – sol, maison
Contenance : 2,31
Revenu : 8000 – 9000
Remarques :
(Propriétaire, compte 2123
Erlenbach Oskar und Guthmann Leop. Ehefr.
1913 Gutman Martin
1933 Gutmann Martin, négociant et son épouse Hélène née Schaller en com. de biens
1941, Gutmann Martin sa veuve
(1751)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton III, Rue 67 des Petites Boucheries p. 121
105
Pr. – Olmann Jean François, Cordonnier – cordonniers
loc. – Geandis Louis, Secretaire – lanterne
loc. – Ridinger Charles, Musicien – Privilegié
loc. – Staramuza Charles, Marchand – Miroir [Scaramuzza]
loc. – Wolff Musicien – privilegié
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Am Hohen Steg (Seite 64)
(Haus Nr.) 11
Vers.-Ges. Viktoria, Bur. 1
Weil, J., Kaufmann. 2.
Weil, M., Kaufmann. 2.
Erlenbach, Kaufmann. E 3
Schwab, Kaufmann. 4.
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 845 W 27)
Rue de la Haute-Montée n° 11 (1885-1970), voir aussi le dossier du 20, rue Thomann
J. L. Erlenbach charge en 1885 l’architecte Schmitt de reconstruire le bâtiment donnant sur la rue Thomann et d’aménager un passage entre les deux rues. Le propriétaire fait aussi reconstruire le bâtiment vers la Haute-Montée après avoir constaté que la construction est en mauvais état. L’aménagement intérieur est terminé en décembre 1886.
Les architectes Berninger et Krafft transforment les devantures vers la Haute-Montée en 1905. Le toit vitré à la limite des n° 9 et 11 est réparé en 1905. La fabrique de lingerie et de literie J. L. Erlenbach fait aménager en 1914 des ateliers au premier étage. L’Electicité de Strasbourg construit en 1924 un puits d’accès aux transformateurs au sous-sol de la maison. Martin Gutmann charge en 1927 l’architecte Falk de transformer la devanture. La société J. L. Erlenbach rénove le passage en 1928 et demande que la ville prenne en charge son éclairage. Le bombardement aérien du 25 septembre 1944 endommage légèrement la maison.
Autres commerces, A. W. Glaser photographe (1903), Max Wellisch (1903), compagnie d’assurances Victoria (1904), commerce d’étoffes François Siegmund (1906)
Note. L’architecte Schmitt, demeurant 20, quai des Pêcheurs, figure à l’annuaire d’adresses (1886) au nom de Richard Schmitt, auparavant (1884) 1, rue Marbach
Sommaire
- 1885 (septembre) – L’architecte Schmitt transmet les plans de la maison donnant à la fois 11, rue de la Haute-Montée et 20, rue Thomann n° 20, où sera aménagé un passage entre les deux rues. Le propriétaire décide de reconstruire aussi le bâtiment Haute-Montée après avoir constaté que les bâtiments étaient en mauvais état lors de la reconstruction du bâtiment rue Thomann – Le dossier est transmis au commissaire de police – Note de l’architecte municipal Pfersdorff – Autorisation de construire un bâtiment à trois et à quatre étages sur le terrain de J. L. Erlenbach rue Thomann n° 20 et rue de la Haute-Montée n° 11, compte tenu des observations de l’ingénieur de l’arrondissement sur les saillies rue de la Haute-Montée et de l’engagement du propriétaire à racheter la superficie hors alignement rue Thomann, 24 septembre 1885 – L’entrepreneur a placé une clôture devant le bâtiment Haute-Montée, novembre 1885
1885 (novembre) – Le commissaire de police demande à l’entrepreneur de prendre les mesures nécessaires de sécurité – Calcul des charges
1886 (décembre) – L’aménagement intérieur est terminé - 1887 – J. L. Erlenbach demande l’autorisation de poser une étoile (1887), une enseigne en tôle (1887), une enseigne (1893), un éclairage électrique (1895, 1896)
- 1903 – Le photographe A. W. Glaser ouvre un magasin et demande l’autorisation de poser des vitrines – Autorisation – Le même demande l’autorisation de poser une double enseigne perpendiculaire – Autorisation
- 1903 – Max Wellisch (136, Grand rue) ouvre un magasin dans l’immeuble Erlenbach et demande l’autorisation de poser une enseigne provisoire en toile – Autorisation
- 1904 – Charles Haberkorn (16, rue du Jeu des Enfants) demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire en toile du 15 janvier au 1er mars – Autorisation – Autre autorisation pour une deuxième enseigne
- 1904 – La compagnie d’assurances Victoria de Berlin demande l’autorisation de poser trois enseignes en bois – Autorisation
- 1906 – Les entrepreneurs Kirchenbauer et Waltz demandent l’autorisation d’occuper la voie publique pour transformer la devanture – Autorisation
- 1905 – Les architectes Berninger et Krafft présentent un dossier pour transformer les devantures au n° 11, Haute-Montée – Plans
- 1905 – Hartwig et Vogel demandent l’autorisation de poser une marquise et un éclairage électrique à leur magasin – Autorisation
- 1905 – Le cabinet de lecture Alfred Hoffmann demande l’autorisation de poser une vitrine dans le passage Erlenbach (croquis) et une enseigne sur balcon – Autorisation
- 1905 – Le voisin Heiss (Haute-Montée n° 9) se plaint de l’humidité – La Police du Bâtiment visite les lieux et enjoint le propriétaire du n° 9, M. Heupel (5 rue des Bouchers) de remédier à la situation – Lettre du propriétaire qui a pris les mesures nécessaires. La Police du Bâtiment constate cependant que la gouttière du toit vitré à la limite des n° 9 et 11 devrait être réparée – Heupel a remédié à la situation en décembre 1905 et Erlenbach en mars 1906
- 1906 – La Police du Bâtiment constate que François Siegmund (commerce d’étoffes) a posé sans autorisation une enseigne sur balcon – Demande, croquis – Autorisation
- 1912 – Les entrepreneurs Kirchenbauer et Waltz demandent l’autorisation d’occuper la voie publique (échafaudage) pour ravaler la façade
- 1912 – J. L. Erlenbach (fabrique de lingerie et de literie) demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Schémas – Autorisation de poser une enseigne sur le toit, deux enseignes plates sans saillie, une enseigne plate en saillie, une enseigne perpendiculaire et un éclairage électrique – Autre autorisation pour un autre éclairage électrique – Autorisation de poser une enseigne en verre
- 1913 – J. L. Erlenbach transmet un plan des ateliers qu’il projette de réaliser – Plans – Autorisation, juillet 1914
- 1915 – Rapport de la Commission militaire – rien à signaler
- 1919 – L’entrepreneur Bruckmann (route des Romains) est autorisé à occuper la voie publique
- 1921 – N. May (tissus et rubans) quitte le n° 5 Grandes Arcades pour le n° 12 rue Marbach et demande l’autorisation de poser une plaque émaillée dans le passage Erlenbach – La Police du Bâtiment oppose un refus – L’architecte Emile Wolff argue qu’il s’agit d’un passage privé et que la décision contrevient à la liberté d’affichage – Permission accordée en 1922
- 1923 – La maison Singer demande l’autorisation de poser une enseigne à chaque entrée du passage – Accord
- 1924 – L’Electricité de Strasbourg demande l’autorisation de construire un puits d’accès aux transformateurs au sous-sol de la maison – Autorisation – Extrait du plan cadastral – Les entrepreneurs Kirchenbauer et Waltz demandent l’autorisation
– Autorisation accordée à l’entrepreneur Gury et Meyer – Plan de situation – Plans de l’entrepreneur - 1927 – Martin Gutmann demande l’autorisation de transformer la devanture du magasin sous la direction de l’architecte Falk (12, rue Kuhn) – Autorisation, avril 1928 – Calcul statique
- 1928 – J. L. Erlenbach rénove le passage et demande que la ville prenne en charge son éclairage
- 1931 – J. L. Erlenbach demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse au nom de la maison Rasurel à Lyon – Autorisation
J. L. Erlenbach demande l’autorisation de poser pour son propre compte une enseigne lumineuse (croquis) – Autorisation - 1941 – L’entrepreneur Ferdinand Motz demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour ravaler la façade – Autorisation
J. L. Erlenbach demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse (croquis) – Accord - 1945 – Le bombardement aérien du 25 septembre 1944 endommage légèrement la maison. Certificats de sinistré accordés à Julie Siegmund (2° étage), Eugène Zipper (4° étage)
- 1948 – J. L. Erlenbach (chemises sur mesure) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse – Accord
1949 – Autorisation d’occuper la voie publique
1956 – Mme Guttmann (29 rue Schweighaeuser) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique
1959 – La Police du Bâtiment constate que la couverture du passage laisse passer l’eau de pluie
Suite du dossier concernant les n° 7 et 9 à partir de 1962
Relevé d’actes
La maison appartient en 1600 au tailleur de pierres Michel Mersudi qui épouse en 1586 Véronique, fille du charpentier Matthias Kessler
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 349, n° 8)
1586. Sexagesima. Michel Mersudi der steinmetz vnd Veronica Matthis Keßlers des Zimmermanns tochter. Eingesegnet Zu S. Thoma (i 182, rien à Saint-Thomas)
Le tailleur de pierres Michel Mersudi et sa femme Véronique, fille du charpentier Matthias Kessler vendent la maison à Paul Mebhard, prévôt de Drusenheim, et à sa femme Odile Zoller
1600 (27. Maÿ), Chancellerie, vol. 328 (Registranda Kügler) f° 167
Erschienen Michel Mersudi d. Steinmetz burger alhie vnd Veronica sein eheliche haußfrauw, weÿland Matthei Kößlers des Zimmermanns seligen dochter
Haben Inn gegensein hn Pauli Mebhards Jetziger Zeit Hanauwischen vogt vnd Schultheÿß Zu Trusenheim vnd Frauwen Othilien Zollerin seiner Ehegemahln (verkaufft)
Hoff, Hauß, Hoffstatt vnd Hind.heußlin, mit allen and.n Iren gebeuwen gelegen Inn d. St. Straßburg vor dem Pfenningthurn einseit neben der Herberg Zum Hohensteg, die and.seit Thoman Reutern dem Schneÿd. stoßend hinden vff herr Abraham Hollen Altameÿsters seligen erben, davon gondt Vier guldin gelts Straßburg. vff Johannis Baptistæ fallend, Wid.ablößig mit 100 guldin bemelter Werung den Closter Frauwen Zu den Ruwerin, Item 15 schilling gelt vff Johannis Baptistæ fallend, Wid.ablößig mit 15 pfund pfenning den Stifftherrn Zum Jung. S Peter, Item 10 schilling pfenning gelts bodenzins, auch vf Johannis Baptistæ fallend, bemelten Stifft herrn Zum Jungen S Peter sunst ledig eÿgen, Wie man sagt, vnd alles recht der Khouff vber obbemelte beschwerden daran die Kheiffere gewÿßen vnd vber sich genommen zugangen vnd beschehen vmb 175 pfund pfenning Straßburger
Hiebey gewesen Gabriel Sutor, Brottbeck, vnd Michel Mebhart Steinmetz
Originaire de « Renchsloch », le savonnier Paul Mebwart épouse le 26 février 1592 la fille de Charles Frédéric Zoller, bailli de Lichtenau. Le mari est fils du tailleur de pierres Michel Mebwart et d’Anne Gibold (voir l’acte de novembre 1605 ci-dessous), la femme Odile Zoller est fille de Charles Frédéric Zoller et d’Odile Zeysolff (voir l’acte d’octobre 1605 ci-dessous).
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 23 n° 12)
1592. Paulus Mewart der Seiffensider Zu Renchsloch vnd Jungfraw Caroli Friderich Zollers des Amptschaffners Zu Lichtenaw eheliche tochter. Eingesegnet Montag den 28. Februarÿ (i 14)
Paul Mebwart originaire de Strasbourg achète le droit de bourgeoisie le 24 août 1601 en s’inscrivant à la tribu des Maçons. Il est assisté de l’assesseur au Sénat Michel Mebart.
1601, 3° Livre de bourgeoisie p. 647
Paulus Mebart Vonn Straßburg Kaufft mit beÿstand Michel Mebarten deß Rhats bewand. das Burg: will Zun Maurern dienen Vnd Kein nahrung angeben. Actum 24. dito [Augusti 1601]
Paul Mebwart cède à son frère Michel Mebwart, architecte au service du margrave à Bayreuth, les droits qui lui proviennent de son père et de sa mère d’après l’inventaire dressé par le notaire Gaspard Schrepff le 31 septembre 1611.
1611 (xv tag octobris), Chancellerie, vol. 396 (Registranda Meyger) f° 407
(Inchoat. in Proth. fol: 332.) Erschienen h. Paulus Mebwarth burger zu Straßburg Ane eim
So dann Michael Mebwarth, fürstl. Marggräuischer Bauwmeÿster Zu Bareÿth noch Zur Zeit burger Zu Straßburg Am Andern theil, bede gebrüder
hatt ermeld Michell Mebwarth Ime Paulus Mebwarth übergeben vnd freÿ vberlassen, sein gebürend theil Ane Allen seinen vätterlich. vnd Mütterlich gutt wie desselbig. Alles In der Mutter selig. Inventario durch h. Caspar Schrepffen den 31. Septembris Anno 1611. vffgericht Verzeichnet vnd beschrieben (…)
Vnd Ist hierinn ferner Abgered, das wouor obgenannt Paulus Mebwarth vnd seine erben Ime Zeitt der obbestimpten fallend. Zielen die Behaußung Alhier In d. St. St. vnd.halb des Parfüssers platz beÿ dem pfenning thurn Verkhauff. würd.das als dann obgenant Michell Mebwarth vnd seine erb. einen vorkhauffs Recht (…)
[in margine :] Erschienen h. hannß Geörg Marbach hatt in gegensein Jacob Werners Weÿßbeckers burgers Zu Straßburg Als Jetzig. besitzer des Vnderpfand – Act. 20 Junÿ Anno 1621.
Paul Mebwart et Odile Zoller, assistée de sa mère Odile Zeyssolff veuve du bailli de Lichtenau Charles Frédéric Zoller, vendent la maison dite Zur Kugel à Régnard Merckelbach et à sa femme Dorothée Müller
1605 (xxix tag Octobris), Chancellerie, vol. 360 (Registranda Meyger) f° 367
(P. fol. 147.) Erschienen h. Paulus Mebwert burger Zu Straßburg vnnd Otilia Zollerin sein eheliche haußfrauw mit beÿstand Otilia Zeÿsolffin wÿland Carlen Friderich Zollers gewesenen Amptschaffners Zu Liechtenauw selig witwe Ihrer Schweÿg. vnd Mutter Ouch herrn hannß Jacob Zeÿsolffs Ihrer Otilg Verwandtens, Ouch herrn Gregorÿ Kolben burger Zu Straßburg Ihres gutt. freündt vffrecht Verkaufft vnd zu kauff. geb
Herrn Rheinhardt Merckellbach dem handelßmann burg. Zu Straßburg vnd dorotheen Müllerin seiner ehelichenn haußfrauwen
Hauß, hoffestatt, höfflin, vnd hind.hauß, mit All. Ihren gebeuwen genant Zur Kuglen, geleg. Inn d. St. Straßburg Jensit des pfenning thurns einsit neb. der Edlen Knecht Zunfft stub Zum hohensteg, and.sit neb. Fr. Magdalenen Schütterlin wÿland Carle Kuglers selig. witwen hind. vff hannß Adolff Träiger den Zimmermann stoßend, Dauon gond j lb v ß d gelts bodenzinß vff Johannis Bapta vnd weÿhenacht. fallend, herinn Ane hauptgutt Angeschlag. Vmb xxv lb d, Item vier guldin gelts Ablösig lit j C gl Straßburger werung vff Sant Margred. tag, dem Closter Zun Rewerin, Item 5 guldin gelts Lösig mit j C gl. auch Straßburg. werung Vff Trium Regum fallend, dem Closter Sant Marx, Item vij lb x ß d gelts wid. Khoüffig mit j C L lb d vff 2. tag Februarÿ vff Liechtmeß, hannß Jacob Volcken wÿland Andreß Volck. des Steinmetz selig. Sun, dessen vogt hannß Flach Steinmetz, Item so Ist obgeschribene Behausung noch hafft für ein schuldt 100 pfund pfenning hannß Stichen dem plattner Zuerleg. Item noch vnderpfand für ein schuldt 50 pfund pfenning Lorentz Werner, Mehr für ein schuldt 100 pfund pfenning bemeltem Lorentz Werner, weÿther noch verhafftet für ein schuldt 50 pfund pfenning hannß Sutter dem wittib. Alhie Zubezahl. Itel noch für ein schuldt 50 pfund pfenning Anne Giboldin wÿland Michael Mebwert selig wittwen sein des Verkäuffers Mutter, Item für ein schuld 50 pfund pfenning der Stat Wixell Alhier Zuerleg. So dann noch verhafftet für ein schuldt 50 pfund pfenning h Sebastian Leüttersperger d. Rechten doctor Sunst ist ledig vnd eÿg. Vnd Alles Recht & Also d. & Vnd Ist disser Khauff vber hieuorbestimpte beschwerd. vnd schulden so d Khoüffer Zu Bezahl. vnd Zu Verzinsen vber sich nimpt 120 pfund pfenning Zugang. vnnd bescheh. für vnd vmb 125 pfund pfenning
Nota. Ist Es beredt, Ob wol disse Jetzuerkhauffte für ein schuld j C L lb d Frauwen Otilien Zeÿsolffin wÿland Carle Friderich Zollers selig. witwen, So Ist hierauff persönlich erschienen bemelte Otilia mit beÿstand hanß Jacob Zeÿsolffs obgedacht Vnd hat angeregte Behausung vonn bestimptem hauptgutt den verfallen Zinßen gantz freÿ ledig vnd loß geschlagen
Assistée de son fils maçon Michel Mebwart, Anne Gibold, veuve du maçon et assesseur au Sénat Michel Mebwart, passe avec Régnard Merckelbach qui vient d’acquérir la maison de son fils Paul Mebwart un accord sur le paiement de plusieurs capitaux garantis sur l’immeuble.
1605 (6. tag Novembris), Chancellerie, vol. 360 (Registranda Meyger) f° 377-v
(Inchoatum in Prothocoll. fol: 329.) Erschienen Anna Giboldin, Wÿland vnsers Alten Rathfreündts Michell Mebwert des Steinmetzen selig. seligen Witwe, Mit beÿstand, gutten Wüssen Willen vnd gehell Hn Gregorÿ Kalb Als Schaffners der Stifft Zu Sant Thoman Zu St. Ires geschwornen Curatoris Vnd Raths auch Michell Mebwert des Jüngern Steinmetzen, Ires Suns
Hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit Herrn Rheinhardt Merckellbachs handelßmans burgers Zu St: Offentlich verÿehen
Demnach Er Rheinhardt Merckellbach Khurtz Verschünenen tagen Von Paulo Mebwert burgers Zu St. bemelter Anna Giboldin Sun, die Behaußung mit allen begriffen vnd Zugehördt vßwenfig dem Pfenning thurn neben der Edlen drinckstuben Zum Hohensteg genent & gelehen, Erkhaufft (vide in proth. 606. fol. 147) Vnd aber Vonn Ir Fr. Anna Giboldtin Wegen nachuolgende Underschiedliche Posten dafür sie als Bürgin mit und selbst schultnerin Worden, Zu bezalen vnd Richtig Zumachen Vber sich genommen, Als won wegen Hannß Stichen des Plattners In Hauptgutt 100 Pfund Pfenning, Mehr von Wegen Lorentz Werners Propsteÿ Schaffners Zum Jung. S.. Peter Inn Zweÿen Posten 150 pfund pfenning, Mehr vonn Wegen der Statten Wixell 15 Pfund Vnd dann Von mehrgedachter Fr. Anna Gilabdten der Mutter wegen 50 Pfund pfenning, Macht inn einer Summ 350 pfund pfenning (…)
Originaire d’Aix-la-Chapelle (Aach), Régnard Merckelbach épouse en 1602 Dorothée, fille de Joachim Müller, triumvir de la Monnaie. Il devient bourgeois quatre mois après son mariage.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 171 n° 474)
1602. Reinhardt Merckelbach von Aach d. Handelsmann v. J. Dorotheen Joachim Müller gewesenen dreÿers Ahn der Müntz tochter. Eingeseg. Zinstag 9. Novemb. (i 173)
1603, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 823
Reinhard Merckelbach der Handelsmann Vonn Aach, empfahet vonn seiner Haußfrawen Dorotheæ weÿland Herren Joachim Müller gewesenen Dreÿers ahn der Müntz seligen dochter, Will Zum spiegel dienen, vnnd sein Narung für 1000 fl angeben. Actum 22 Martÿ 1603.
Régnard Merckelbach cède un capital à Sébastien Gambs, acte cité en référence plus bas en 1621
1612 (vt spâ [xvj tag Julÿ]), Chancellerie, vol. 399 (Registranda Meyger) f° 351-v
(Inchoat. in Proth; fol: 371) Erschienen herr Reinhard Merckellbach der handelßmann burger Zu Straßburg hatt (verkaufft)
herrn Sebastian Gambsen von Straßburg Jetz wohnhaft Zu hagenaw
Ein Schuldt Nämlich 155 pfund pfenning Straßburger, so hannß Sellinger der handelßmann burger Zu Straßburg Vonn seiner erkhaufft Behausung Alhier Inn d. St. St. vnd. d. großen Erbßlaub. geleg. zu gewißen Zidt Zu erlegen schuldig mit sampt dem Zinß Anno 1615. 1616 et 1617 Jedeß mahl vff Liechtmeß L lb d wie beÿ Jacob Kügler dem Notario Angeb. vff den 8. Tag Junÿ 1610. So vnbeschwerdt ledig vnd eÿg. Vnd Alles Recht & Also das & vnnd Ist disser Khauff Zugang. vnd gescheh. Für vnnd vmb 150 pfund pfenning Straßburg
[in margine :] disse gegenwertige Verschreibung Ist vß geheÿß bed. parth. wider cassirt vnd Abgethan put. in Reg. 1621. fol: 158. Act 12. Maÿ Anno 1621.
Régnard Merckelbach délaisse deux fils et deux filles. L’inventaire de ses biens est dressé en 1648 dans sa maison aux Grandes Arcades. L’actif de la succession s’élève à 1 798 livres, le passif à 1 666 livres.
1648 (3.2.), Not. Oesinger (David, 37 Not 9) n° 8
Inventarium undt Beschreibung Aller undt Jeder Haab Nahrung, vnd Güetere, Ligender und Vahrender, welche der Ehren Vest vnd hochachtbare H Reinhard Merckelbach, gewesener Burger, vnd handelßmann alhie Zue Straßburg selige nach seinem tödlich Abscheidt aus dießer welt Verlaßen, und auf beschehenes fleißiges ansuchen erfordern vnd begehren der Ehrenvesten, vnd vorgeachten H Christoph Merckelbachs auch Handelßmanns, Item Isaac Merckelbachs, Mehr Emanuel Waldecks des Goldtarbeiters, Alß Ehevogts frawen Mariæ Merckelbächin, Vnd dann Andres Gaßners des Kürßners alß Ehevogts Fr. Agnes Merckelbachin aller Burgere alhie, vnd des Verstorbenen herrn seligen nachgelaßener Zwen Söhn und Zwoer Töchter, auch rechtsmäßiger ab intestato aber doch anderer gestalt nicht als cum beneficio Inventarÿ angegebener Erb. fleißig ersucht (…) Beschehen In Straßburg, Donnerstag den 3. Februarÿ A° 1648.
In Einer Behaußung In der Statt Straßb: vnder der Großen Erbißlauben geleg. so in diße Verlaßenschafft gehörig, vnd hernach specificirt Ist befunden worden wie volgt
Eigenthum Ane Häußen vnd Ligend. Güeteren. Erstlich hauß, hoffstatt v. höflin ane der Großen Erbißllauben geg. der Müntz über geleg. (…)
It. Hauß, hoffstatt, Scheür vnd Ställ mit anderen ihren Zugehörung. rechten, v. gerechtigkeiten, geleg. in der Steinstraßen, mit i. seith. neben Ohl Micheln d. Gartner, mit der 2. seith neben i. behauß. so etlich. Baurenn von Reichstätt Zuständig ist, geleg., vornen auff die straß v. hind. auff Diebolt Frühe ins holtz den huoffschmidt stoßendt, so zuvor vmb 200 lb d verhafftet ist. Inhalt einer in der alhieig. Cancelley Contractstuben verfertigten verschreibung H. Ruprecht Reichard d. Schaffner Zue Allen Heÿlig. alhie, sonst allerdigs freÿ ledig eig. vnd über diße beschwerden hiehero gewürdiget für v. vmb 12 lb 10 ß
It. hauß v. hoff sampt d. Gärttlin und annderen rechten vnd gerechtigkeiten in d. dorff Wilgotheim (…)
It. j. häüßlin, höfflin vnd j gärtlin in dem dorff Duntzenh. mitten in dem dorff (…)
Sa. Kleider und weißen Gezeügs 14, Gulden Ring 2, Sa. Eigenthumbs Ahne Häußern und Liegende güther 424 lb, Sa. Schulden 1357, Summa summarum 1798 lb – Schulden 1666, Nach deren Abzug,Summa finalis 131 lb
Régnard Merckelbach et Dorothée Müller vendent la maison à Marie Jung, femme de Jean Georges Kips
1612 (xxv tag Julÿ), Chancellerie, vol. 399 (Registranda Meyger) f° 358
(P. fol. 375.) Erschienen Herr Reinhardt Merckenbach der handelßmann burger Zu Straßburg vnd H. Dorothea Müllerin seine ehelich haußfrauw mit beÿstandt & herrn hannß Adolff Grüenwalds burgers Zu Straßburg Ihres schwagers (haben verkaufft)
frauwen Marien Jungin, herrn hannß Geörg Kipsen burgers Zu Straßburg haußfr., vonn deren weg. Zugeg. h. Michael Botzheim burger Zu Straßburg ihr geschworner Vogt
hauß, hoffestatt, höfflin vnnd hind.hauß, sampt der Erkhaufft. gerechtigkeit des halben Brunnens mit frauwen Magdalenen Küglerin Inn gemein Auch Allen Andern Ihren geb. & geleg. Alhie In d. St. St. Jenseit des Pfenningthurns, einsit neben der Edellknecht Zunfftstub Zum hohesteg vnnd And.sit n. gedacht Fr. Magdalenen Küglerin, hind. vff hanß Adolff Traiher den Zimmermann stoßend, Dauon ged j lb v ß d gelts vff Johannis Vnd weÿhenachten fallend dem Stifft Zum Jung. S. Peter, Mehr ij lb ij ß d gelts Ablösig mit Lij lb s ß d vff Sant Margred tag dem Closter Zu den Ruwern, Item ij lb xij ß vj d gelts wid. Khouffig mit Lij b x ß d vff trium Regum Sant Marx Closter, Vnd dann vij lb x ß d glts vff reminisecere d. 18. feb. hannß Volckh. des Steinmetz. Sohn, deßen Vogt hannß Flach d. Steinmetz stnd. In hptgtt mit j C L lb d, Item sindt sie verhafftet Vmb j C lb d Zuerleg. Hannß Sticher dem plattner Zuerleg. wann es gefordert würd. Sunst ledig vndt eÿg. Vnd Ist dißer Khauff vber obbestimpte beschwerd. so der Kheüffer vff sich genommen Zugang. vnd besch. für vnd vmb 670 pfund
Hiebeÿ sind gewesen herr hannß Friderich Jung dreÿer Ane d.Müntz, h. Philipß Scheÿd. d. Rechten doctor, vnd h. hannß Abraham Beinheim burger zu Straßburg
Jean Georges Kips de Bouxwiller épouse en 1581 Marie, fille de l’assesseur des Quinze Sébastien Jung
Mariage, cathédrale (luth. p. 50)
1581. Dominica XI post Trinitatis 6. Augusti. Hannß Georg Kips von Buchßweiler vnd J. Maria herrn Sebastian Jungen fünffzehners nachgelaßene tochter. Eingesegnet Zinstags den 22.t Augusti (i 28)
Héritiers de Marie Jung et de Jean Georges Kips cités lors d’une cession de capital en 1627 : Jean Jacques Kips, orfèvre, Marthe Kips femme de Jean Abraham Beinheim, Jean Georges Kips absent, Marie et Susanne Kips, célibataires, Philippe Kips habitant près de Geldern en Westphalie
1627 (13. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 315
Erschienen hannß Jacob Kipß d. goldtarbeit. für sich selbst, H hannß Abraham Beinheim alß Ehevogt Fr. Marthan Kipsin, vnd alß belhelhaber hannß Georg Kipß. der ietz nicht Zu landt, deßwegen Er Beinheim cauiren thut, vnd dann der Ehrenvest, hochgelehrt herr Philips Scheidt beeder rechten Doctor, Alß vogt Jgfr. Mariæ vndt Susannæ der Kipsin beeder schwestern, So dann er H D. Scheidt alß befehlhaber H Philipps Kipsen, seßhafft Zur Prefort im Fürstenthumb Geldern, Alle in namen gedacht alß Erben weÿ: Maria Jungin ihrer respectiue Muter vnd Schwigern
haben in gegensein H Georg Schalesÿ Alten Groß. rhats V.wanthen (verkaufft)
262. lb Capital
Les précédents vendent la maison par un acte passé le 26 mai 1620 au gentilhomme Georges Meinrad Flach de Schwartzenburg, bailli de Hanau-Lichtenberg à Pfaffenhoffen (voir ci-dessous, 1621). D’après un tableau généalogique établi au XVIII° siècle, Georges Meinrad Flach de Schwartzenburg épouse Madeleine Elisabeth Schenck de Schmidberg, veuve de son cousin Jean Régnard Flach de Schwartzenburg.
Georges Meinrad Flach de Schwartzenburg demande l’autorisation de louer une maison à Strasbourg dans ces temps de troubles pour y mettre des grains et d’autres biens à l’abri, en devenant manant comme d’autres nobles des comtes de Hanau. Les préposés fixent le droit de manance à 15 livres que le pétitionnaire devra accepter de régler sous huitaine.
1619, Protocole des Quinze (2 R 47)
Jr Georg Meinrath Flach von Schwartzenburg vmb Schirmsverwandnus. 124.
(f° 124-v) Sambstag den 26. Junÿ – Im nahmen vnd von wegen Georg Meinrath Flach von Schwartzenburg, Gräwelichen Hanaw liechtenbergischen Ambtmanns Zu Pfaffenhoffen erscheint Lt. Bittlinger, vnd vbergibt vnderdienstliche Supplication, so abgelesen worden, darinnen berichtet der Juncker, Er were endschlossen, beÿ Jetzigen schwehren gefährlichen läuffen, ein behaußung allhier zu bestehen, seine früchten vnd anders so Ime lieb, in diße Statt Zuverführen, sicherlichen Zuverwahren, vnd deßwegen mit meinen Herren vf ein Jar lang sich vmb ein schirmgeld Zuvergleichen. Wann dann bißhero auch anderen Adelspersohnen, sonderlichen Hanawischen Verampten in dergleichen willfahrt worden, vnd er nicht weniger in seinen anbefohlenen ampt Pfaffenhoffen, allhieigen burgeren allengünstigen willen erwissen, vnd darzu noch ferner erbietig außerhalb Kriegsgefahrs Zeÿten sonsten allerdings allhier kein feür vnd Rauch Zuhalten begehre, allso niemand vberläßtig sein, sondern vielmehr durch diß sein Vorhaben ein burger dißer Statt gelegeheit haben würd, die Jenige behaußung so er entlehnen möchte, freÿ Zubewohnen, vnd er allerdings kein eigenthumb in dißer Statt, oder auch zu kauffen begehre, Zu dem Kein Körnlin frucht herein fallen hab. Alß were sein vnderdienstliches bitten, Ihn vff ein Jar lang in schutz und schirm dißer Statt großgünstig vff: vnd an Zunehmen, oder doch man eines Jars halten bedenckens, solches vff etliche Jar, oder so lang es beeden theilen belieben würd, großgünstig anzusetzen, auch das Satzgeld nach beschaffenheit dißer sachen, vnd seiner Persohn Zubestimmen, & Erkant, vnd seind deren Junckeren fünffzehen Pfund pfenning des Jars Zuerstatten, Zu schirmgeld bestimpt, auch acht tag angesetzt, in deren er sich ercleren soll, ob er es vff disse weiß annehmen woll oder nicht. B. Mr.
Le marchand Régnard Merckelbach cède une somme que Georges Meinrad Flach de Schwartzenburg lui doit sur le prix de la maison qu’il a achetée le 26 mai 1620.
1621 (xij. Martÿ), Chancellerie, vol. 443 f° 158
(Inchoat. in Prot. fol. 96.) Erschienen h Reinhard Merckelbach d. handelßmann burger Zu Straßburg (verkaufft)
herrn hannß Heinrich Gambsen burgern Zu Straßburg
i C L lb Ane einer mehrern Summ So J. Geörg Meinhard Flach von Schwartzenburg Vonn seiner erkhaufft. Behaußung beÿ dem hohensteg & Zu erleg. pflichtig wie Inn d. Cantzleÿ Alhie 26. Maÿ Anno 1620. Angeb. vnd Verschrieben, So Vnbeschwd. freÿ ledig eÿg. Vnd Alles Recht & Also d. & Vnd Ist disser Khauff Zugang. v. besch. für vnd vmb j C. L lb
(vide cassat. in Reg. 1612. fol. 351.)
Georges Meinrad Flach de Schwartzenburg vend la maison le 14 octobre 1622 à Jean Philippe Schmidt. Les parties passent en 1626 un accord sur le paiement des 1 500 florins qui restent à payer.
1626 (4. Novembris), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 677-v
Erschienen der Gestreng, Wohl Edel vnd Vest Georg Meinrad Flach Von Schwartzenburg an einem,
So dann hannß Philipps Schmid, burger Zu Straßburg am andern theil, Vnd beneben Ihnen die Gestreng Wohl Edel Ehrenvest, Fromb, Fürsichtig vnd Weÿß Jr. Claus Ludwig Wormbser XV. hr. Frantz Graseck Vnd Hr Jacob Kipß, alß Von E. E. großen Rhat hierzu Insonderheit Verordnete Herren
Anzeigend vnd gegen einander bekennend, demnach Er Jr. Flach Ihme Schmiden den 14. Octobris A° 1622. Wie solches in der Statt Straßburg Cantzleÿ Verschrieben eine Behausung alhie beim hohen Steg gelegen Zur Kugel genant, in dem damaligen ersteigertem geld Verkaufft, darüber auch Sie Vor Wohlermeltem Großen Rhat gegen einander in Rechts fertigung erwachsen, Alß weren sie durch gepflogene Vnderhandlung Vor Ehrenbesagter auß E. E. großen Rhats Mittel hierzu Verordneter herren mit einander dahien güttlich Verglichen, daß er Schmid. für die 1500. fl. restirenden Kauffschillings (…)
Vnderpfand sein sollen die behaußung, so Schmid, wie obangeregt Von Jr. Flachen erkaufft
Jean Philippe Schmidt vend la maison à Susanne Scheid, femme de Philippe Breitenacker, receveur ecclésiastique à Bischofsheim à la Haute-Montée (Reinbischofsheim en Bade), assistée de son tuteur Daniel Heus et du docteur en droit Philippe Scheid. En marge quittance remise en 1627 par Régnard Merckelbach à Siméon Süss, gendre de Philippe Breitenacker
1627 (15. Januarÿ), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 31-v
(P. fol. 9.) Erschienen h hannß Philipß Schmidt burg. Zu Straßb. hatt für sich verkaufft Vndt Zu khauffen geb.
Fr. Susannæ Scheÿdin, herrn Philipß Breÿtenackers Gräfflich. hanauwischen Kirchenschaffners Zu Bisch. Zum hoh. steh ehelich haußfr. mit beÿstand d. herrn Daniel heüßen handelßmanns Alhie ihres geschwornen vogts Vnd hn Philippi Scheÿden beder rechten doctoris, so Auch Zugeg.
hauß, hoffstatt, höfflin Vnd hinderhauß, sampt der gerechtigkheit Zum gemeinen brunnen Zur Kuglen genant, Auch Allen And.n Ihren gebeüwen & geleg. Inn d. St: St: Jenseit des Pfenningthurns, einseit de hohensteg, Anderseit Carle Kügler hinden vff N. N. den Kürschner stoßend, dauon gend. 5 gld. gelts Werung lösig mit 100 guldin berürter Wehrung vff trium Regum dem Closter Zu Sant Marx. Sunst ledig vnd eÿgen, Vnd ist diser Khauff vber obgemelte beschwerdt, so die Khäufferin vff sich nimpt Zugang. vnd bescheh. für vnd vmb 1450 pfund
[in margine :] Erschienen H. Reinhardt Merckelbach der handelßmann alhier, als befehlhaber Jrn Flachen hat in gegensein H. M. Simeonis Süeßen als H. Philipp Breitenackers dochtermanns vnd burgers alhie (…) q.tirt in beisein H. M. Georgÿ Schubæi Pfarrherrn zu Willstett den 10. Julÿ 1627.
Assistée de son beau frère Siméon Süss précepteur à Strasbourg, Anne Marie Breitenacker veuve du receveur ecclésiastique Philippe Jacques Théus à Bischofsheim à la Haute-Montée met son fils Philippe Jacques Théus en apprentissage chez le notaire Gaspard Medler
1645 (6. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 494 f° 354-v
(ratificavit Sambst. 7. Junÿ a° 1645) Erschienen Frau Anna Maria Breitenackherin, weÿl. H Philipß Jacob Theus geweßenen Kirchenschaffners Zu Bischoffsheim Zum hohen Steg nunmehr seel. nachgelaßene Wittib, mit beÿstand H M. Simeon Süeß. Præceptoris classici ihres Schwagers, an einem
So dann H Caspar Medler d. Notarius am anden theil,
bekannt offentlich, waß maß. Sie Fraw Anna Maria, ihren Sohn Philipß Henrich Theus gedachtem H Notario Medlern in sein Schreib Stub vff treÿ Jahr lang von bevorstehend. Joh. Bapt: angerechnet, Verdingt (um 50 pfund)
La maison passe ensuite à Anne Madeleine Breitenacker qui épouse Siméon Süss puis à sa fille Anne Ursule Süss, femme de Jean Frédéric Medler. Elle est décrite lors du partage des immeubles entre les enfants Süss en 1655.
Fils du notaire Gaspard Medler, le notaire Jean Frédéric Medler épouse Anne Ursule Süss en 1647 : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Zwischen eingangs gewesten Eheleuthen Zu Zeit ihrer Verheurathung auffgerichteter Eheberedung – der Ehrenthafft und wohlgelehrt herr Joh: Friderich Medler, Not. Publ: des Ehrenvest und Wohlgelehrten herrn Caspari Medlers ebenmäßig Notarÿ Publici und burgers alhier Zu Straßburg eheleiblicher Sohn, einen sonderlichen ehelichen willen Liebe und anmuth, Zu der Ehren und tugendreich. Jungfrauen Annæ Ursulæ Süeßin, des Ehrenvest und Wohlgelehrten Herrn M. Simeon Süeßen Sextæ Classis Præceptoris allhiesigen Gÿmnasÿ ehelich geliebt. tochter genommen – So beschehen und verhandelt in obermelter Statt Straßburg auf Dienstag den 14. tag des Monats Septembris Im jahr des herren alß mann Zahlte 1647, Jeremias Ursinus Notarius
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 34)
1647. Doîca XX. H. Johan Friderich Medter der Notarius h. Caspar Medlers deß Notarÿ Cæsarei alhier ehelich. Sohn, vnd Jgf. Anna Ursula, h. M. Simeonis Süsen Præceptoris Classici alhie eheliche Tochter. Copulirt 9. November JSP (i 44)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 80) 1647. Dncâ 20. Trinit: 31. Oct: Herr Johan Friderich Medtler Not. H. Caspari Medtlers Notarÿ alhier Ehelich. Sohn, J. Anna Ursula, H. M. Simonis Süssen preceptoris Classici Eheliche tochter. Dienst. 9.ten Nou: J. St. Peter (i 81)
Jean Frédéric Medler meurt en 1684 quelques mois après sa femme Anne Ursule Süss en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans leur maison à côté de l’auberge à la Haute-Montée, estimée à la somme de 800 livres. L’actif s’élève à 1 959 livres, le passif à 193 livres. La maison louée au docteur en médecine Jean Paul Sebizius reste indivise entre les héritiers
1684 (31.7.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 5903) f° 89
Inventarium undt beschreibung aller undt Jeder Liegendter undt Vahrend. Haab Nahrung und güther, so weÿl. d. Ehrenvest vorgeacht u. rechts gelehrte herr Joh: Fried. Medler, Nots. publ. und E. E. Stattgrchts. alt. beÿsitzer, nach seinem d. 5. 7.br. undt die Ehren: Viel Tugendreiche fraw Anna Ursula gebohrene Süeßin beede gewes. Eheleuth burger allhier Zu Straßb. nach Ihrem dem 30. Maÿ Vorh. aus dießer welt tödlich. genommenen hienscheiden hinder Ihnen Verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehrn: Viel Tugendreichen frawen annæ Ursulæ Medlerin weÿ: deß Ehrenvesten Vorgeachten herrn Johann Peter Schmidts, gewes. Zollkellers beampten undt burgers allda seeligen hinderlaßenen fraw wittib, mit Rath und beÿstandt des Ehrenvesten, Vorgeachten und Rechtsgelehten Herrn Philipp Henrich Thei, Noti. publ: auch burgers Zu gesagtem Straßburg, deroselben geordneten vogts, undt der Edel Vest und hochgelehrten herrn Ulrich Marbachs U. J. Doctorandi, des löbl. Delegirt. Cammergerichts und E. E. Groß. Raths wohlverordneten Procuratoris et Advocati auch burgers daselbsten, als geschwornen Curatoris der viel Ehren: undt Tugendreichen Jungfrauen Susannæ Medlerin undt des Ehrenvesten Wohlgelehrten Herrn Johann Friderich Medlers, U. J. Studiosi, aller dreÿ so selbsten auch dem geschäfft beÿgewohnt, der beeden Verstorbenen im Gott ruhenden Eheleuth ehelich erzeügter Kinder undt ab intestato nachgelaßener Erben – welches beschehen und angefangen in Straßburg inn fernerem beÿsein des Ehrenvest. Vorgeacht. und Rechtsgelehrten Herrn Eliæ Wincklers, Not. publ: undt allhießigen burgers als Von dem Herrn seel. erbettenen beÿstandt, Montags den 31. Julÿ undt Vollendet nach des herrn seel. absterb. als seine Kleÿdung undt weißergezeug beschrieb. word,. Freÿtags den 29. 7.bris 1684.
Inn einer inn d. Statt Straßburg neben dem hohsteeg geg. d. kleinen Metzig üb. geleg. hieher. gehörig. u. hernacher beschriebenen behaußung hatt sich befund. wie volgt.
Erstlichen ahne haußrath. Auff der Understen bühnen, Inn d. Oberst. stubn, In der Stub Cammer, In der Cammer A, Im obern hauß öhren, Auf dem gang. bühnlein, Vor dießem Stüblein, Auf dem Mittern Gang, In der Mittleren Stub Cammer, In der Und.sten hind.n Stuben, In der hindern und.n St. Cammer, Auf dem vndersten Gang, Im Vnds.sten hauß Öhren, Im badstüblein, Im hoff, Im Keller
Eigenthumb ane einer behaußung. Ein hauß, hoff, hoffstatt, höfflein und hind.hauß, sampt dero gerechtigkeit i. gemeinen brunnens, auch allen and.n ihren gebäuen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten so Zur Kuglen genant, gelegen alh. in der St. Strs. Jenseit des Pfgth. neben d Adelichen Zunfft stuben zum hohen steeg ein: u. and.s. neb. H. Jeronÿmo Woltzen dem barchetkrämer, hind. vf Jacob Reiten den leinen wbr. stoßend so freÿ ledig eig. u. hiehero durch die herren Werckmeister crafft d. beim Concept befindlichen Abschatzung angeschlag. p. 800 lb. Laut i. teutsch. pergam. brieffs mit d. St. Strb. Contract Ins. verw. de dato d. 15. Januarÿ anno 1627. besagt, wie fr. Susanna Schmidin mit beÿstand herrn Philipps breit.ackers Ihres haußwürths vorstehende behausung von herrn hanß Philipps Schmid an sich erkaufft, darbeÿ noch eine Cession und übergab meldet wie d. Verstorbenen Frauen seel. H. Vatter seel. solche behaußung von Frauen Anna Maria Breitenackerin seiner Geschweÿen Käufflichen ane sich gebracht, datirt d. 22. 9.bris anno 1634. wie auch sonsten noch allerhand brieffliche Documenta und abgelößte Zinß verschreibung. gebund. Zubefind. alles signirt mit altem N° 1 v. darbeÿ gelaßen.
[in margine :] Auff dieß. behaußung ist H. Joh: Friderich 150. lb. d. prælegirt
Copia der Eheberedung (…) Straßburg auf Dienstag den 14. tag des Monats Septembris Im jahr des herren alß mann Zahlte 1647, Jeremias Ursinus Notarius
Copia Von Eingangs gedachten Verstorbenen Frauen seeligen vor Herrn Christoph Schüblern Notario v. E. E. Groß. Raths beÿsitzern den 28. 9.bris 1679. auffgerichteten Testamenti nuncupativi (…)
Copia Codicilli So die abgeleibte Frai seelig Vor Herrn Johann Friderich Marbachen Notario den 14. Maÿ 1684. auffgerichtet
Abschatzung Mittwochs d. 16. Augusti 1684. Auff begehren Vnd ansuchen herrn Johann Friderich Metler Notari vnd deßen Kinder herrn Vögt ist die Jennige behaußung beÿ der Kleinen Metzig Ein seitzs Neben herr hieronimus Waltz dem barchet hendler anderseitzs Neben dem hohen Steg durch die geordnete Werckhleit besichtiget Vnd Wohl in acht genommen; da dann die fordere Vnd hindere Behaußung Sampt hoff Vnd dem gemeinen bronnen Sampt aller deren Begriffen dem Jetzigen preiß Vnd wehrt Nach angeschlagen Vor Vnd Vmb Ein Daußent Secht hundert Gulden. Bezeigens der Statt geordnete Werckhleit, Joseph Lauttenschlager alter Werckmeister, Andres Schmidt Werckmeister deß Maurhoffs, Johannes Feÿlotter Werckmeister deß Zimmerhoffs
Norma hujus inventarÿ, Sa. haußraths 163, Sa. Lehrer Vaß 2, Sa. Silber geschirr und Geschmeid 85, Sa. Gulden ring 37, Sa. baarschafft 51, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 765, Sa. Eÿgenthumb ane einer behaußung 800, Schuldt uns Erb Zu geltendt 52, Summa summarum 1959. lb – Schulden 193, Conclusio finalis Inventarÿ 1765. lb
Sa. Zweiffelhaffter und ohngewißer Pfenningzinß hauptgüter 463. ln, Zweiffelhaffte auch Zum theil gar Verlohrener Schulden in das Erben Zugeltend 258 lb
Vergleichung der behaußung. Die fol: 68.b et seqq. Inventarÿ beschriebene geg. d. Kleinen Metzig über gel. neb. dem hohensteg alhier gelegene behaußung ist angeschlagen pro 800 lb. Davon ist wied. abzuziehen wie volgt (…) Welche behaußung ab. Hn F. Joh: Paul Sebizio Medicinæ Doctori umb ein jährlich. Zinß benantlich. 50 guld. verlüh. m. und d. geschwisterd. vor ohnvertheilt außgesetzt ist.
Les trois enfants Medler vendent la maison zur Kugel au marchand Jean Georges Asfalck moyennant 900 livres.
1690 (30. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 743
H. Ulrich Marbach JU Doctor & Professor alß vermög eines von hernach gemeldten seinem ppalen eÿgenhändig geschrieben underschriebenen und sigillirten am 25.ten huj. zu Rödern dtierten Gewalds constituirter special mandatarius Hn Johann Friderich Medlers, J.U. Ddi und Freÿherrlich Fleckensteinischen Raths, Fr. Anna Ursula Medlerin, weil. H. Johann Peter Schmids, gewesenen beambten im Zoll Keller nachgelaßene Wittib, mit beÿstand Hn Philipp Henrich Theus, Notarÿ Publici Ihres Vogts, So dann Fr. Susanna Medlerin, Hn Justi Grünhögels, Schulmeisters zu St: Thomæ eheliche haußfrau
in gegensein Hn Johann Georg Aßfalcks, deß handelßmanns
Hauß, Hoffstatt, höfflein, Und hind.hauiß sambt der Gerechtigkeit eines gemeinen bronnens auch allen andern Ihren Gebäuen, Rechten, Zugehördten und Gerechtigkeiten, allhier geg. der Kleinen Metzig neben dem würths hauß Zum hohen Steg ein: und and: seit neben Hieronymo Waltzen dem Parchethändler, hinten auff H. Jacob Reiten den Leinenweber stoßend geleg, und Zur Kugeln genandt – geschehen umb 900 pfund
[in margine :] (…) in gegensein Johann Daniel Frieß, tabackbereiters als ietzigen proprietarÿ hier verkaufft und beschriebener behaußung (quittung) den 12. Januarÿ 1728.
Fils de marchand, Jean Georges Asfalck épouse en 1671 Catherine Kærcher, fille du marchand Jacques Kærcher
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 142, n° 32)
1671, Dom: III post Trinit: Zum 2 mahl hr Johann Georg Aßfalck handelßmann Weiland Georg Aßfalcken geweßenen handelßmanns u. Burgers alhie verlaßener ehel : Sohn, Jfr. Catharina Weiland Hr Jacob Kärchers gewesenen Handelßmanns und Burgers alhier nachgelaßene ehel: T. Donnerstags den 20.ten Julÿ. Münster (i 144)
Il se remarie en 1688 avec Susanne Hœchstetter, fille de charretier
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 48)
1688. Domin. XVIII et XIX Trinitat. Hr. Johann Georg Aßfalck Burger und Handelßmann alhier vnd Jungfer Susanna weÿland Daniel* Höchstetters deß Burgers vnd faßziehers alhie nachgelaßene eheliche Tochter. Copul Zu S Claus, Mittw 27/17 8.bris (i 43)
Jean Georges Asfalck hypothèque la maison au profit du marchand Jean Michel Hahn
1694 (3.6.), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 391-v
H. Johann Georg Aßfalck der handelsmann
in gegensein H. Johann Michael Hahnen auch Handelßmanns, und E.E. großen Raths alt. beÿsitzers, daß Er Aßfalck Seinen mit weÿl. Fr. Catharina Kercherin seiner haußfr. sel. ehelich erzeugt. zweÿ Kinder schuldig seÿe 600 pfund
unterpfand, hauß, hoffstatt, höfflein und hind. hauß mit allen deren gebaüen, recht. und zugehördt. allhier geg. der Kleinen Metzig neben dem würths hauß Zum hohen Steg ein: und anderseit neben Hieronymo Waltzen dem Parchetkrämer, hind. auff H. Jacob Reithen, den Leinenweber stoßend gelegen
Jean Georges Asfalck meurt en 1712 en délaissant deux filles issues de son premier mariage et une du deuxième. Le principal créancier Jean Michel Hahn assiste à l’inventaire. Les experts estiment la maison 1 700 livres. La masse propre à la veuve est de 223 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 4 165 livres, le passif à 13 200 livres
1712 (20. Xbris), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 35) n° 36
Inventarium über Weÿland Herrn Johann Georg Aßfalcken geweßenen Handelßmanns vnd burgers zu Straßburg seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1712.
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen haab, Nahrung und Güthere, so weÿl. H Johann Georg Aßfalck geweßener handelßmann vnd burger alhier Zu Straßb. nunmehr seel. nach seinem den (-) 9.bris dieses Zuend lauffenden 1712.ten Jahrs genommenen tödlichen Ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Verstorbenen seel. in Erst vnd Anderer Ehe erzeügte dreÿer döchter wie auch dero Ehevögte, allermaßen dieselbe gleich hernach alle benambßt und beschrieben, vorgenommen, ersucht undt inventirt, durch de Ehren und Tugendsame fraw Susannam Aßfalckin gebohrne Höchstetterin der hinterbliebenen Wittib mit assistentz deß Edel Vest vnd hochgelehrten herrn Joh: Jacob Schüblers J. U. Lti und vornehmen burgers alhier, Ihres geschwornen Curatoris (…) Actum Straßb. in ferner præsentz deß Ehrenvest und Großachtbahren H. Philipp Jacob Brackenhoffers vornehmen Apotheckers und burgers allhier alß welcher innahmen S: T: H. Joh: Michel Hahnen vornehmen Handelsmanns und E. E. Großen Raths alten beÿsitzers alß deßorths stärcksten Creditoris und H. Joh: Stahlen auch handelßmanns seel. ihro nê H Joh: Friderich Walters Exsenatoris dem geschäfft beÿgewohnt, Dienstags den 20.ten Decembr. 1712.
Der Jetzt abgeleibte seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie volgt. 1° der Ehren vnd Tugendreiche Fraw Mariam Salome Kuhnen, gebohrne Aßfalckin, deß Ehrenvest und wohlachtbahren Hn Johann Kuhnen, handelsmanns und burgers alhier Eheliche haußfrauw welche mit assistentz desselben Ihres haußwürts Zugegen, 2.do die Ehren und Tugendreiche fraw Mariam Magdalenam Starckin gebohrne Aßfalckin, deß Ehrenvest und Wohlachtbahren Hn Joh: Wilhelm Starcken, auch handelßmanns und burgers alhier Ehegattinin beÿständlich deßelben Ihres haußwürtns, diesße beede deß Verstorbenen seel. in Erster Ehe mit weÿl. der Viel Ehr: und Tugendreichen frawen Catharina gebohrnen Kärcherin seel. erzeügte döchter
3° Und dann die Ehren: und Tugendreiche fraw Susannam Rudolphin gebohrne Aßfalckin, deß Ehrenvest und Wohlgeachten herrn Peter Rudolphs ebenmäßig handelßmanns und burgers alhier Eheliebsten mit beÿstand gedachten Ihres haußwürths, Dieße des verstorbenen seel. mit eingangs gedachter frawen Susanna gebohrner Höchstetterin seiner hinterbliebenen Wittib in Zweÿter und tetster Ehe ehevogt erzeugte Tochter, Also alle dreÿ deßelben hinderlaßene Rechtsmäßige Erben Jede zu einem dritten theil berührend.
Copia der Eheberedung, perge in Prot: C fol. 873.b et seqq.
In einer alhie Zu Straßburg beÿ der Kleinen Metzig gelegener und in die Verlaßenschafft gehörige behaußung befunden worden wie folgt.
Ane Hültzen und Schreinwerck. Auff der obern bühn, Auff der Mittlern bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, Auff dem hindern Bühnel, Im hindern obern Stübel, In der obern Vordern Srub, In der Stub Cammer, In der Wohnstub, In der Kuchen, Vor dießen Gemachen, In der Officiers Stub, Im Contor, Im Haußöhren, Im Gewölb, Im Kellern In H. Starcken hauß, In H. Kuhnen hauß
Ergäntzung der Wittib ermanglenden unveränderten Gutts. Auß dem über derselben in dieße Ehe Gerachte Nahrung durch H Johann Schüblern Not: den 5. Martÿ A° 1689 auffgerichteten Inventarii
Eigenthums an einer Behaußung undt Scheür. Item Huß, Hoffestatt, Höfflein u. Hinderhauß, sampt der Gerechtigkeit eines Gemeinen Bronnens, Auch All andern derer Gebawen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden vnd Gerechtigkeiten, Gelegen alhier Zu Straßb. Gegen den Kleinen Metzig, einseith neben der Herberg Zum hohensteeg, 2. seith neben Mr Hannß Georg Schmidt, dem Schuemacher, Hinden Auff Georg Friderich Seindenbinder den Krämer stoßend, Welche Behaußung Annoch vmb 500 lb d. Kauffschillings Rest denen Medtlerischen Erben verhafftet, sonst Ledig eigen, vnd über dieße beschwerdt durch der Statt Straßb. Geschwornenn Werckhleuth, vermög einer ad Conceptum überreichte schrifftlicher Abschatzung vom 13. Jan. A° 1713. hiehero æstimirt per 1200. Darüber vorhanden j. teutscher perg: Kbr. mit der St. St. Anhangendem CC Ins. verwahrt, deßen datum den 30. Decembris A° 1690. Ferner ein pap: Extractis Auß Allhiesiger Cont: stub de dato 13. Martÿ A° 1706. Worinn expressé Versehen, daß Georg Friderich Seidenbinder, als denen das Hauß hinden daran gehörig, noch deßen successores nicht befugt seÿn, dießem hauß das Liecht mit Holtzlegen und bawen den tag Zu benemmen, beede mit N° 1 notirt.
Item ein Speicher ane der Krebßgaß (…)
Rubricæ hujus Inventarÿ. Der Wittib unverändert Vermögen betr. Sa. haußraths 7, Sa. Guldin Rings 2, Sa. Activ Schuld 75, Sa. Ergäntzung (178, abzuziehen 39, Rest) 138, Summa summarum 223 lb
Das Theilbahr Guth, Sa. Haußraths 181, Sa. Eßigs vnd Leerer Vaß 381, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 27, Sa. Guldeber Ring 35, Sa. Eÿgenthumbs ane einer behauß. 1425, Sa. Schulden 2114, Summa summarum 4165 lb – Schulden 13.200 lb, die Theilbahre passiva übertreffen das Theilbahr Guth umb 9035 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 2825 lb
Wÿdumb, Welchen der Verstorbene von weÿl. Frawen Catharina Aßfalckin gebohrne Kärcherin deßelben Erster haußfrawen seel ad dies vitæ genoßen wavon das Eigenthumb auff die beede in solcher Ehe erzeugte döchtere nunmehro Zurückgefallen, Innhalt deß über weÿl. Frawen Catharinæ Kärcherin seel. Verlaßenschafft durch auch Weÿl. H. Christoph Schüblern Notm. in A° 1682. auffgerichteten Inventarÿ (…) 2601 lb
Zweiffelhaffte Schulden 38.493 lb
Abschatzung den 13.ten Januarÿ 1713. Weÿland deß Ehrenhafften und beschridenen herrn hannß Georg Aßfalckh Kauffmann seel. hinderlaßene frawwittib und Erben ist Eine behaußung allhier in der Statt Straßburg beÿ der Kleinen Metzig über Gelegen, Einseith neben dem hohensteeg, Anderseith neben herrn Hannß Georg Schmitt dem Schuemacher, hinden auff herrn N.N. Seÿdenbinder stoßendt. Welche behaußung hinder hauß, Gewölbter Kellern hoff hoffestatt und Gemeiner brunnen sambt aller recht: und gerechtigkeit durch der Statt Straßburg Geschwohrne Werckmeistere Jetzigem Preiß nach angeschlagen wirdt Vor und umb Dreÿtaußendt und Vierhundert Gulden.
Der Ander begriff ist auch allhier on der Statt Straßburg
Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschwohrne Werckhleuthe, [unterzeichnet] Jacob Staudacher werckh Meister des Maur hofs, Johann Jacob Osterrieth Werck Meister deß Zimmer hoffs.
Jean Michel Hahn (créancier) et Philippe Jacques Brackenhoffer (son gendre) louent la maison Asfalck au chirurgien Olivier Humbert
1715 (19.9.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 685
hr. Joh: Michael Hahn Exsenat. und hr. Philipp Jacob Brackenhoffer Apothecker
in gegensein H. Olivier Humbert Chirurgi
entlehnt, d. Alßfalckische hauß allhier gegen der Kleinen metzig, einseit neben dem Hohen steeg anderseit neben Schmidt dem schuemacher hinten auf Seÿdenbindern, auf eine beden theilen erlaubte vierteljährige auf Kündigung – um einen jährlichen Zinß nemlich 75 lb
Fils de marchand, Jean Michel Hahn épouse en 1674 Ursule Asfalck (sœur du susdit Jean Georges Asfalck)
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 292-v, n° 6)
1674. Dominica invocavit den 3. Martÿ et Reminiscere, Hr Johannes Michael Hahn d. Handelsmann Herrn Michaelis Hahnen deß Burg. und Handelsmanns allhier ehelicher Sohn und Jfr. Ursula weÿl. Herrn Georgÿ Alphalck gewesenen handelsmanns vnd burgers alhier hinderlaßene eheliche Tochter Cop. ad. D. N. 18. Martÿ (i 312)
Le notaire Jean Régnard Lang dresse en 1713 l’inventaire après décès d’Ursule Asfalck
1713, Not. Lang (Jean Régnard, répertoire 65 Not 44) n° 886
Inventarium über weÿl. Fr. Ursulä Haanin gebohrner Aßfalckin H. Johann Michael& Haanen Handelsmanns alhier gew. Fr. seel. Verl. 19 Junii 1713
Marie Madeleine Brackenhoffer fait vendre des meubles qui appartiennent à son père âgé Jean Michel Hahn.
1716 (24. 9.br), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 108) n° 980
Verkauff und Erlöß Register, inhaltend alles das jenige, was abe des Wohl Edlen, hochachtbaren und Wohlweißen herrn Johann Michael Haanen, vornehmen Handelsmanns und E. E. großen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers Mobilien erlößet, welche, allweilen derselbe hohen Alters halben seine eigene oeconomi auff, und Zu Frawen Maria Margaretha Brackenhofferin gebohrner Haanin seiner Fraw tochter sich Zubegeben willens, auf deßen selbstiges begehren und Verlangen (…) So beschehen in fernerem beÿsein Sis ubiq. T. vor Ehrenernanter Frauen Maria Margaretha Brackenhofferin gebohrner Haanin, der Fraw tochter, nicht weniger dero Herrn Eheliebnsten, Herrn Philipp Jacob Brackenhoffers, vornehmen Apotheckers und herrn Johann Christoph Gambßen vornehmen handelsmanns, beeder burgere allhier und mehr wohl Edel angezogenen Herrn Rathherrn Haanen Heren Tochtermänner in Straßburg den 24. 25. et 26. Novembris A° 1716.
Jean Michel Hahn meurt à l’âge de 81 ans en 1724 en délaissant trois filles ou leurs représentants. L’inventaire est dressé dans la maison de son gendre pharmacien Philippe Jacques Brackenhoffer rue des Hallebardes. L’actif de la succession s’élève à 944 livres, le passif à 1 102 livres.
1724 (9.5.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 7) n° 79
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Guethere, so weÿland der Wohl Edle, Großachtbare und wohlweiße Herr Johann Michael Haan, E. E. Großen Raths allhier Zu Straßburg geweßener alter wohlmeritirter Assessor und Vornehmen burger allhier nun seel. nachdeme derselbe den 25.ten Februarÿ dießes lauffenden 1724.ten Jahrs Von dem lieben Gott aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt abgefordert worden Zeitlichen hinder sich verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren und begehren des in Gott ruhenden herrn Rathherrn seel. hinderlaßener Beneficial Erben, wie auch deroselben geschwornen herrn Curatoris, inventirt, durch den Wohl Ehrenvest Großachtbahr und Kunsterfahrenen Herrn Philipp Jacob Brackenhoffern, Vornehmen Apotheckern und burgern allhier, den einen herrn tochtermann (…) Angefangen in der Königl. freÿen Statt Straßburg auff Dienstag den 9.ten Maji A° 1724., continuirt den 27. 9.bris aô 1725.
Der in Gott ruhende Hr Rathherr hat vermög deßelben selbsthändig geschriebenen unterschriebenenen Testamenti Sis ubiqu. Tis. Zu Erben Verlaßen, wie volgt 1. Herr Johann Christoph Gambßen, Vornehmer handelsmann und burger allhier weÿl. herrn Johann Christoph Gambsen auch geweßenen vornehmen handelsmanns und burgers allhier mit weÿl. Frauen Maria Salome gebohrner Haanin, des H. Rathh. seel. ältern Frau tochter längst seel. ehelich erzeugte und nach todt seel. hinderlaßenen noch lebenden einigen Herrn Sohn, welcher auch seine stelle hierbeÿ selbsten vertretten, in einem dritten Stammtheil, 2. Jungfrau Mariam Margaretham und 3. Jgfr. Mariam Salome Brackenhofferin dieße beede weÿl. frauen Mariæ Margarethæ gebohrner Haanin deßelben jüngern Fr. Tochter seel. mit eingangs wohl Ehrengedachten Herrn Philipp Jacob Brackenhoffern; deroselben hinterbliebenen herrn Wittibern ehelich erziehlte Jgfr. töchtere, in die übrige Zween dritte theil, deren geschworner Vogt anfänglichen gewesen H Johann Friderich Bemberg Vornehmer burger und Banquier allhier nach deme aber derselbe den 22. Julÿ dießes lauffenden 1725.ten Jahrs von dem lieben Gott aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt seelig abgefordert ist denenselben Hr Johannes Haan Med: hocherfahrener Doctor und berühmter practicus auch vornehmer burg. alhier zu seinem andersertigen Vogt constituirt worden (…) Alßo alle 3. des seelig Verstorbenen H. Rathherrn geliebte Enckel und zu 3. gleichen antheilen per testamentum Verlaßene Erben
In einer allhier Zu Straßburg ane der Spießgaß und Schneidergraben gelegenen dem Hn Tochtermann und deßen H. Gemeineren Zuständigen Apothecker behaußung befunden worden, wie volgt
(f° 13) Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 211, Sa. Gewerbs wahren 58, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 226, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 76, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 37, Sa. Wittwe 333, Summa summarum 944 lb – Schulden 1102, In Vergleichung, Onus passivorum 62 lb – Stall Summ 342 lb
Wÿdemb, Welchen der in Gott ruhende H. Rathh. von weÿl. frauen Ursula Haanin gebohrner Aßfalckin seiner frauen Eheliebstin seel. lebtägig genoßen, Vermög Inventarÿ über Ihro Frauen Rathherrin Haanin seel. Verlaßenschafft durch weÿl. Notm. Johann Reinhard Langen seel. in Anno 1713. auffgerichtet
(f° 16) Copia Codicilli Solemnis in scriptis. Ich Johan Michael Haan, Handelsmann und alten großen Raths verwanther allhier Zu Straßburg (…) Geschehen Straßburg den 25. Augusti 1719. – Copia Instrumenti publici über vorheriges Codicillum clausum
Copia des H. Rathh. seel. selbsthändig geschriebenen Testamentÿ und letzten Willens verordnung (…) So beschehen in Straßburg in meines geliebten H tochtermanns herrn Philipp Jacob Brackenhoffers Apothecker behaußung auff Donnerstag den 13. Monathtag Julÿ Anno 1722
Sépulture, Saint-Nicolas (luth. reg. 1704-1735, n° 9)
1724. Freÿtag den 25.t Hornung, starb morgens um 6. Uhr H Joh: Michael Hahn, der Handelsmann u. E. E. großen Raths alter beÿsitzer, und war Sontags darauff nachmittag um 3. uhr auff dem Gottesacker Zu den guten leuthen genant Zur erden bestattet, seines alters 81 jahr 5. monat u. 22. tag [unterzeichnet] Johann Christoph Gambs älter als tochtermann, Philipp Jacob Brackenhoffer als Tochtermann (i 121)
Jean Michel Hahn vend la maison dite zur Kugel à Ursule Elles née Blümel (veuve de Nicolas Ellès)
1718 (25.6.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 335
(1650) hr. Johann Michel hahn Exs:
in gegensein Ursula Elleßin wittib geb. Blïmelin beÿständlich Martin Altmann schuemachers ihres Curatoris
hauß hoffstatt höfflein und hinterhauß sambt der Gerechtigkeit eines gemeinen brunnens auch allen andern ihren gebäuden, rechten, zugehörden und Gerechtigkeiten gegen der Kl. metzig, einseit neben dem Würthshauß zuem hohen steeg anderseit neben Georg Schmidt dem schuemacher hinten auff Seÿdenbinderen stoßend, zuer Kugelen genant – um 500 pfund capital (beladen, geschehen um) 1150 pfund
Ursule Elles née Blümel loue la maison au messager Georges Michel Martin
1718 (11.7.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 376-v
Ursula Elleßin wittib geb. Blümelin beÿständlich Martin Altmann Schuhmachers
in gegensein Georg Michel Martin Einspennigers
ihr hauß c. appert: neben dem hohensteeg auf 3 jahr anfangend Mich. 1718, um einen jährlichen Zinß nemlich 52 lb
Ursule Elles née Blümel vend la maison à l’apprêteur de tabac Jean Daniel Friess et à sa femme Marie Madeleine Schmidt moyennant 1 500 livres
1718 (1.9.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 445-v
(1500) Ursula Elleßin wittib geb. Blümelin beÿständlich Martin Altmann schuemachers ihres Curatoris
in gegensein Joh. Daniel Frieß tabacmachers und Fraun Mariæ Magdalenæ geb. Schmidtin
hauß hoffstatt höfflein und hinterhauß sambt der Gerechtigkeit eines gemeinen bronnens auch allen andern ihren mit gebäuden, rechten, zugehörden und gerechtigkeiten gegen der kleinen metzig, einseit neben dem würts hauß zuem hohensteeg anderseit neben Georg Schmidt deß Schuemacher E.E. hinten auff Seÿdenbinder stoßend, zuer Kuegelen genant – um 500 und 400 pfund capitalien (beladen, beschehen um) 600 pfund
Fille de tailleur, Marie Madeleine Schmidt épouse en 1699 l’apprêteur de tabac Jean Borst après avoir passé un contrat de mariage cité à l’inventaire.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 91)
1699. In Festo S Trinitatis et Dominica i. post Trinitatis proclamati sunt Johannes Borst der Tabackmacher alhie, Weÿl. Abraham Borst gewesenen glaßers v. burgers alhie nachgel. ehel. Sohn, v. Jfr. Maria Magdalena, Johann Schmidt, des schneiders v. burgers alhie ehel. tochter copulati sunt Mittw. d. 24. Junÿ [unterzeichnet] Johannes Borst alß hoch Zitter, Maria Magdalena schmidin als hoch Zeidern (i 93)
Jean Borst meurt en 1704 en délaissant deux fils. L’inventaire est dressé dans une maison près du petit pont à côté des Petites boucheries. La masse propre à la veuve est de 123 livres. La masse propre aux héritiers présente un déficit de 27 livres. L’actif de la communauté s’élève à 73 livres, le passif à 54 livres
1704 (30. 7.br), Not. Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 5)
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güthere, nichts außgenommen, so weÿland der Ehren vorgeachte Herr Johannes Borst, geweßener Tabachändler und burger allhier zu Straßburg, nunmehro seeliger, nach seinem den 19.ten verwichenen Monats Junÿ dießes Lauffenden 1704. Jahrs aus dießer müheseeligen wanderschafft genommenen tödlichen hientritt hinter ihne hinterlassen, welche vff ansuchen, erfordern und begehren deß Ehrengeachten herrn Johann Ludwig Borsten, des tabacbereÿters und auch burgers Zu mehrgedachtem Straßburg alß geordnet und geschworenen Vogts Johann Daniel, so vier Jahr alt und Johannis, so zweÿ Jahr alt, deß seelig verstorbenen mit der hinterlaßen wittiben ehelich erzielter Zweÿ Söhnlein und ab intestato hinterlaßener Erben (…) Geschehen in fernerem beÿsein S. T. Herrn Christoph Philipp Webers Notarÿ publici jurati und burgers Zu gedachtem Straßburg, Dienstags den 30.ten Septembris 1704.
In einer in der Statt Straßburg beÿ der Kleinen Metzig oben am brückel gelegenen in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung befunden worden
Ane Höltzen und Schreinwerck. Vf der bühn, Im Haußöhren, In der Wohnstuben
Ergäntzung der wittib ermanglednen ohnveränderten Guth, Crafft deß über deroselben ohnveränderten Zugebrachter Guth auffgerichteten und durch herrn Notarium Christoph Philipp Webern in anno 1700 außgefertigten Inventarÿ
Norma hujus inventarÿ. Copia der Eheberedung – Der wittib ohnveränderten Guts, haußraths 17, Silber geschirr und Geschmeids 10, Guldener Ring 9, baarschafft 2, Ergäntzung 30, Schuld 52, Summa summarum 123 lb
Hierauff folgt der Erben ohnverändert Gutt, Sa. haußraths 2, Ergäntzung 22, Summa summarum 25 lb – Schulden (-), In gegenhaltung übertrifft diese der Erben ohnveränderte Passiv Schuldt denenselben ohnverändert vätterlich guth umb 27 lb
Endlichen wird auch das Gemein unverändert und theilbar Gut beschrieben, haußrath 20, Tabac und waaren 23, Silbergeschmeid 2, guld. ring 12 ß, baarschafft 20, activi 6, Summa summarum 73 lb – Schulden 54 lb, Nach deren Abzug 18 lb
Summa finalis hujus Inventarÿ 114 lb
Marie Madeleine Schmidt se remarie en 1706 avec l’apprêteur de tabac Jean Daniel Friess, fils de cordier : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Heuraths Verschreibung – zwischen dem Ehren und Vorgeachten H. Johann Daniel Frießen, dem ledigen Tabackbereiter, weÿl. hannß Michael Frießen, geweßenen Seÿlers und burgers Zu Straßburg nunmehr seel. hinterlaßenem ehel. Sohn, alß Hochzeitern ane einem, So dann der viel Ehren und Tugendreichen Frauen Mariä Magdalenä Borstin gebohrner Schmidin, weÿl. Hn Johann Borstens, geweßten Tabackbereiters und burgers allhier nunmehr seel. nachgelaßener Wittib als der hochzeiterin am andern Theil – So beschehen und Verhandelt in der Königl. freÿen Statt Straßburg Sontags den 18 Aprilis in dem Jahr als man nach de Geburth Jesu Christi Zahlte 1706, Christoph Philipp Weber, Nots: publ: juratus
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 106, n° 598)
Anno 1706. den 5.t Mäÿ sind nach geschehener ordentlichen ausruffung in der Kirch St Thomæ eingesegnet worden Johann Daniel Frieß der ledige Tabacbereiter weÿl. Hannß Michael Frießen deß gewesenen Seÿlers und Burgers alhie hinterlaßener Ehelicher Sohn und Fr. Maria Magdalena weÿl. Johannes Porsten des gewesenen burgers und tabac bereiters alhie hinterlaßene wittib [unterzeichnet] Johann Daniel Frieß als als Hochzeiter, Maria Magdalena borstin als hochzeirin , Johannes Ludwig Borst Als schwager (i 108)
Jean Daniel Friess hypothèque la maison au profit des enfants de Jean Jacques Schertz, professeur de droit et chanoine à Saint-Thomas.
1735 (19.2.), Chambre des Contrats, vol. 609 f° 101-v
Johann Daniel Frieß der tabackbereither
in gegensein S.T. H. Johann Georg Schertz J.V.D. et P.P. Ord. auch Capituli Thomani Praepositi als Curatoris weÿl. S.T. Herrn in gegensein Johann Jacob Schertz auch gewesten J.V.D et Prof. Publ. Ord. und wohlged. Capituli Thomani allhier Canonici seines H. bruders seel. beede Kinder Jfr. Maria Margaretha und Jfr. Christina Elisabetha der Schertzin – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß, höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuden, zugehörden und gerechtigkeiten auch gemeinschaft eines bronnens außerhalb des Pfenningthurns gegen der kleinen Metzig über einseit neben der gastbehausung zum hohen Steeg, anderseit neben weÿl. Georg Schmidt des schuemachers Erben, hinten auff Seÿdenbender den Krämer gelegen, und zur Kugel genannt – Eigenthümer seith den 1. sept. 1718 da er selbige umb 1500 pfund erkaufft hat
Marie Madeleine Schmid meurt en 1742 en délaissant deux fils de son premier mariage avec Jean Borst et six issus du veuf. Les experts estiment la maison 850 livres. La masse propre au veuf est de 23 livres, celle des héritiers de 679 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 001 livres, le passif à 1 070 livres.
1742 (29.5.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 309) n° 244
Inventarium über Weÿland der Ehren und Tugendbegabten Frauen Mariæ Magdalenæ Frießin, gebohrner Schmidin des Ehren: und Vorachtbaren Herrn Johann Daniel Frießen, Tabackbereiters und burgers allhier Zu Straßburg geweßener ehelicher haußwürthin nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1742
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, so weÿl. die Ehren: und tugendbegabte Maria Magdalena Frießin, gebohrne Schmidin des Ehren: und Vorachtbaren Herrn Johann Daniel Frießen, Tabackbereiters und burgers allhier Zu Straßburg geweßener eheliche haußwürthin, nach Ihrem Dienstags den 24. Aprilis dießes lauffenden 1742.sten Jahrs aus dießer welt genommenen seel: hintritt hie Zeitlichen Verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Abgeleibten Frauen seel. in zween Ehen erzeugter Söhne und Töchter (…) So beschehen in der Königlichen Statt Straßburg, auff Dienstag den 29.ten Maji Anno 1742.
Die Verstorbene seelige hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt. 1. Johann Daniel Borsten, den ledigen Schuemachern, welcher dem Geschäfft persönlich beÿgewohnet, 2. Meister Johann Borsten den Kübler und Burgern allhier, welcher dem Geschäfft in Persohn abwartete, dieße beede der Abgeleibten Frauen seel. mit weÿl. Hn Johann Borsten geweßenen Tabackbereiter und burgern allhier Ihrem ersten Ehemann längst seel. ehelich erzeugte Söhne
3. Martin Johann Jacob Frieß, den Nadler und burgern allhier so beÿ dem Geschäfft seine Stelle selbsten Vertretten, 4. Meister Johann Philipp Frieß der Meßerschmidt und burgern allhier, so beÿ dem Geschäfft in Persohn erschienen, 5. H. Johann Michael Frieß dem ledigen Seminaristen und Diaconum in allhießigem mehrern Hospital wie auch Zu Berstett und Olvisheilm, welcher dem Geschäfft selbsten persönlich abwartete, 6. Johann Ernst Frießen, den ledigen Bohrenmacher, so sich auff der Wanderschafft befindet, In deßen Nahmen aber hierbeÿ erschienen, der Wohl Ehrenvest und Großachtbahr Herr Johann Loger, Schreiner und E: E: Kleinen Raths dermahlig wohlmeritirter beÿsitzer, als vermög Extractus aus Ehrengedachten Raths mittel Vom 26.ten hujus Mensis hierzu in specie abgeordneter Herr deputatus, 7. Frau Susannam Margaretham Schuhlerin gebohrner Frießein Meister Johann Peter Schuhlers Windenmachers und burgers allhier eheliche haußwürthin, welche mit beÿstand gedachten Ihres Ehemanns beÿ dem Geschäfft persönlich erschienen und dann 8. Johann Heinrich Frieß den ledigen Windenmacher gesellen, so 22. Jahr alt, daheri ohnbevögtigt seine Stelle hiebeÿ selbsten Vertretten, dieße 6. letztere der Defunctæ mit eingangs gedachtem Ihrem geweßenen letstern Ehemann und nunmahlig hinterlaßenen Wittiber ehelich erzeuget, Alßo alle Acht der seelig Verstorbenen Frauen Frießin in Zwoen Ehen ehelich erzeugte Söhne und Tochter auch ab intestato Zu Acht gleichen antheilern Verlaßene Erben
In einer allhier Zu Straßburg gegen der Kleinen Metzig über gelegenen, in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebener behaußung befunden worden wie folgt
Ane Höltzen: und Schreinerwerck. Ins Officier Stub, Ins Officiers Knechts Stub, In der obern Vordern Cammer, In der Wohnsub, In der Wohnstub Cammer, In der Kuchen, Im Hauß Öhren, In der Kästen Cammer, Im Keller, In der Tabackstub
Eigenthumb ane einer Behaußung. Eine Behaußung, hoffstatt, höfflein und hinterhauß, sambt der gerechtigkeit eines gemeinschaftlichen Bronnens, auch allen andern deren Gebäuwen, begriffen, Weithen, Rechen, Zugehörden, und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg gegen der Kleinen Metzig, einseit neben dem Würthshauß Zum hohensteeg: anderseith neben Johann Burger, dem Schuhmacher, hinden auf die Seÿdenbinderische Erben stoßend, so außer dem hernach passivé eingetragenen darauff hafftenden Capital freÿ, ledig und eigen und durch (die Werckmeistere) Vermög deroselben ad Conceptum geliefferter schriffticher Abschatzung Vom 4. Junÿ1742 angeschlagen Vor 1700 Guld. od. 850. lb. Wie beede geweßene Frießische Ehe Persohnen dieße Behaußung ane sich erkaufft, weißet ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stuben gefertiget und mit deroselben anhangendem Insigel Verwahret, darirt den 1. Septembris Anno 1718. Worauf die Ablößung der beÿden Zur Zeit solchen Kauffs auff dießer behaußung gestandener Capitalien notirt Zubefinden. Deßwegen noch weiter Vorhanden 2. pergamentener auch in allhießiger Cancelleÿ Contract stuben gefertigte Kauffbrieff, mit dero Insigel corroborirt, de dato 25.ten Junÿ 1718. et 30. Decembris 1690.
Ergäntzung der Erben wehrender Ehe abgegangenen Guths. Vermög Inventarÿ (…) durch weÿl. H. Notarium Christoph Philipp Weber den 28.ten Septembris Anno 1706. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Wittibers ohnverändert Vermögen, Schuld, Ergäntzung 13, Summa summarum 23 lb
Dießmnach wird auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 27, Sa. Silbers 16, Sa. goldener Ring 2, Sa. der baarschafft 2, Sa. Ergäntzung (800, abzug 159, Nach deren Abzug) 641, Summa summarum 689 lb – Schulden 10: Detrahendo verbleibt 679 lb
Endlichen wird nun auch das gemein, Verändert und Theilbar guth beschrieben, Sa. haußraths 106, Sa. Schiff und geschirr wie auch Waar Zum tabackbereiter handwerck gehörig 4, Sa. Silbers 9, Sa. goldener Ring 7. Sa. baarschafft 25, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 850, Summa summarum 1001 lb – Schulden 1070 lb, In Vergleichung Passiv onus 69 lb – Stall summ 634 lb
Copia der Heuraths Verschreibung (…) Straßburg Sontags den 18 Aprilis in dem Jahr als man nach de Geburth Jesu Christi Zahlte 1706, Christoph Philipp Weber, Nots: publ: juratus
Abschatzung dem 4. Junÿ: 1742. Auff begeren deß Wohll Achtbahren und bescheidenen H: Daniell Frieß deß Tabackbereiters ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg gegen der Kleinen Metzig über gelëgen, Ein seiths an Johannes Burger dem schumacher, ander seitß an H. Abraham Teutschen dem wierdt und gastgäber Zum hohen Stëg hinden auff Johanneß scheubell Stoßend, welche behausung unden die Meßerschmidtt wërckstatt daß hauß Ehren gewölbten Keller der hoff und gemeiner bronen under dem gang die mëßerschmidtß wërckstatt, Neben daran die holtz Cammer oben dar über ihm Ersten und 2.ten Stock ein Stuben mit einem underschlag von diellen so zur Camer dient ein Küchell und daß hauß Ehren, under dem tach ein Stuben 2: Cammern daß hauß Ehren darinn der herdt 2: höltzre gäng ein hinderstuben oben die Officier Cammer und Cammer vor dem Knecht ein eltere tachstull: besetzte bienen sambt aller gerechtigkeit wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere sich in dero besichtigung befunden und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wirdt Vor und Umb Ein Tausendt und sieben hundert Gulten, bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen werck Meistere, [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Jean Daniel Fries hypothèque la maison au profit de sa bru Marguerite Salomé Schmidt femme du coutelier Jean Philippe Friess
1742 (16.7.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 343-v
Johann Daniel Frieß der tabacbereiter
in gegensein seiner Sohns frauen Fr Margarethæ Salome geb. Schmidtin Johann Philipp Frieß des Meßerschmidts ehefrau – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, zween dritte theil vor unvertheilt ane einer behausung bestehend in vorder und hinder hauß, höfflein, gemeinschaft des bronnens und hoffstatt cum appertinentis gegen der kleinen Metzig über, einseit neben dem wirthshauß zum Hohen steeg, anderseit neben Johannes Burger dem schuhmacher, hinten auff die Seÿdenbinderischen erben – als ein während seinem ehestand erkaufft mithin theilbares guth zu besagte antheilen der überrest aber seinen kindern eigenthümlich zuständig
Le cordonnier Jean Daniel Borst et le tonnelier Jean Borst cèdent leur parts de maison à leur beau père Jean Daniel Friess
1742 (21.7.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 357-v
Johann Daniel Borst der schuhmacher mit beÿstand seines vettern David Notters des schuhmachers und Johannes Borst der kübler, gebrüder
in gegensein ihres stieffvatters Johann Daniel Frieß des tabac machers
einen 12. theil vor unvertheilt ane einer behausung bsetehend in vorder und hinderhauß, höfflein, gemeinschafft des bronnens und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehör und gerechtigkeiten gegen der Kleinen metzig, einseit neben dem wirthshauß zum Hohen steeg, anderseit neben Johannes Burger dem schuhmacher, hinten auff die Seÿdenbinderischen erben – jedem zur helffte, als ein mütterlichen erb guth – welche gantze behausung um 200 pfund capital verhafftet, geschehen um 129 pfund
Jean Daniel Friess hypothèque sa part de maison au profit du tailleur de limes Jean Christophe Rœmer
1742 (28.8.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 429-v
Johann Daniel Frieß der tabacbereiter
in gegensein Johann Christoph Römers des feÿlhauers – schuldig seÿe 100 pfund
unterpfand, neun 12. theil vor unvertheilt von und ane einer behausung bestehend in vorder und hinderhauß, höfflein, gemeinschafft des bronnens und hoffstatt cum appertinentis gegen der kleinen Metzig über, einseit neben der gastbehausung zur hohen Steeg, anderseit neben Johannes Burger dem schuhmacher, hinten auff die Seidenbinderischen erben – ihme als ein theils erkaufft guth der überrest aber seinen kindern eigenthümlich zuständig
Jean Daniel Friess cède la maison à son fils coutelier Jean Philippe Friess et à sa femme Marguerite Salomé Schmidt en s’y réservant l’habitation
1745 (30.3.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 216
Johann Daniel Frieß der tabac bereiter
in gegensein seines sohns Johann Philipp Frieß des Kurtzmeßerschmids und Margarethæ Salome geb. Schmidt
eine behausung bestehend in vorder und hinder hauß, höfflein, gemeinschafft des bronnens und hoffstatt mit allen übrigen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten gegen der kleinen metzig über, einseit neben der gastbehausung zum hohen Steeg, anderseit neben Johannes Burger dem schuhmacher, hinten auff die Seidenbinderischen erben
anbeÿ aber sich verabscheidet in verkaufftem hauß und zwar in dem vordern auf dem dritten stock eine kammer lebens lang zinß freÿ zu genießen – um 200 und 400 pfund (beladen, beschehen um) 1400 pfund
Jean Philippe Friess épouse en 1742 Marguerite Salomé Schmidt, fille de boucher : contrat de mariage, célébration
1742 (7.2.), Not. Koch (6 E 41, 498) f° 86
Eheberedung – persönlich erschienen seÿen, der Ehrengeachte H. Joh. Philipp Frieß, der leedige Meßerschmidt, Hn Joh: Daniel Frieß, des Tabackbereiters v. b. allhier, mit Frauen Maria Magdalena gebohrner Schmidin, ehel. erzeugter Sohn, als hochzeiter ane Einem,
Und die Ehren und Tugendsame Jgfr: Margaretha Salome Schmidin, Weÿl. H. Joh: Schmidt des gewes. Metzgers v. b. allhier mit auch Weÿl. Fr. Anna Maria gebr. Hanßmetzgerin bede sel. ehel. erz. Tochter, als Hochzeiterin Am andern Theil
auff Mittwoch d. 7.den febr. A° 1742. [unterzeichnet] Johan Philipp Fries als hochzeitter, Margaretha Salome Schmidtin als hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 207-v, n° 789)
1742. Eod. [Mittw. d. 4. April.] seind nach ordentl. proclamation Ehl. copul. u. eingesegnet worden Johann Philipp Frieß der led. Meßerschmidtt u. b. allhier, Johann Daniel Frieß tabackbereiters u. b. allhier Ehl. Sohn u. J. Margaretha Salome Schmidtin weÿl. Johann Schmidt gewesen Metzgers u. b. allhier nachgelaßene Ehl. tochter [unterzeichnet] Johan Philipp Frieß als hochzeiter, Margaretha Salome Schmidtin hochzeiterin (i 212)
Jean Philippe Friess demande en février 1741 aux Quinze dispense de faire ses années d’épreuves établies par le nouveau règlement de septembre 1739 en arguant qu’il serait revenu plus tôt de son tour de compagnon qui a duré neuf ans. Il ajoute qu’il est prêt à faire ses deux années d’épreuve si Jean Senckeissen y est astreint lui aussi. Les Quinze renvoient le pétitionnaire au règlement et devra faire ses deux années d’épreuve.
Il revient solliciter les Quinze en décembre en arguant que trois dispenses ont été accordées l’année précédente, l’une d’elles à un étranger alors que lui est fils de bourgeois. La dispense lui est accordée comme à Jean Senckeissen.
1741, Protocole des Quinze (2 R 150) et XV (2 R 151)
Joh: Philipp Frieß contra E.E. Meisterschafft der Meßerschmidt
(p. 147) Montag d. 27. feb. 1741. – Iidem [Ober Handwerckh Herren] laßen weithers per Eundem [Secret. Kleinclaus] referiren, daß Johann Philipp Frieß der ledige burger und Meßerschmid allhier den 12. Xbris jüngst beÿ E. E. Meisterschafft der Kurtz Meßerschmidt Vorgestand. und gebetten, man wolle Ihme gegen erlag der gebühr das Meisterrecht Zu Kommen laßen, warauff die Erkantnus dahie außgefallen, weilen der petent sich noch nicht in das Muthjahr laut Articuls vom 14. 9.bris 1739. §° 1° habe einschreiben laßen, einfolgig die Muthjahr allhier noch nicht verarbeitet, dahero könne man Ihme in seinem gebehren nicht willfahren, Weder welchen bescheid Er, Frieß, den 17. Ejusd. contra ged. E. Meisterschafft der Kurtz Meßerschmidt Ober Meister ein Underth. Memoriale, dem derselben sothanen bescheid Sub Lit. A. beygelegt, producirt, darinn derselbe gehorsambst Verträgt, daß er 9 Jahr in der Frembde sich außgehalten, Von dem A° 1739 ertheilte Articul nicht gewußt, sonsten er seine wander Jahr verkürtzet hätte, und demuthig Bitt Mghh geruhen wolten Zu erkennen und außzusprechen, daß obgemelter d. 14. Nov. 1739. Wegen denen Muthjahren ergangene Articul auff Ihm der 9 Jahr in der Frembde gewesen und die Muthjahr Zur genüge Verwandert, Keines weges Zu appliciren, einfolglich er Zu dem Meisterrecht dispensando allerdings Zu laßen seÿe.
Warauff die Imploraten Zur mündlichen Verantwortung umb Deputation gebetten, welche auch willfahrt und beßeßen worden, da der Implorant sich auff sein Memorial bezogen. Nahmens derer Imploraten seÿen Vorgestanden Christoph Bogner, Johann Heinrich Schneider und Johann Jacob Weber, welche geantwortet, der Implorant seÿe willens sich Zu denen Muthjahren einschreiben Zu laßen und selbige Zu Verarbeiten, sofern er Johannes Senckeißen (so in Voriger sach gemelt) auch darzu angehalten würde damit dieser Ihme, dem Imploranten, in dem Meisterrecht nicht Vorgehen möchte.
Auff seithen der Hh. Deputirten Vermeine man daß auch dießer Implorant mit seinem begehren ab: und Zu Verfertigung der geordneten Zweÿ Muthjahr anzuweisen seÿe, Refusis Expensis. Die Genehmhaltung Zu MGhh stellend. Erkand, Bedacht gefolgt.
(p. 170) Sambstag d. 4. Martÿ 1741.
Bescheid. Montag den 18. feb. 1741. – In Sachen Johann Philipp Frieß des ledigen burgers und Kurtzmeßerschmidts allhier, Imploranten, ane einem, entgegen und Wieder E. E. Handwerckh der Kurtz Meßerschmid, Imploraten am andern theil. Auff producirtes Unterthäniges Memoriale mit beÿlag Sub Lit. A. und angehenckhtem bitten, dem Implorant Zu dem Meisterrecht allerdings Zu laßen. Der Imploraten beÿ gebettener, bewilligter und beseßener Deputation darüber angehörte Verantwortung und all übriges gethane Vor: und Anbringen, Ist der Herren Deputirten abgelegten Relation nach Erkandt, Wird der Implorant mit seinem begehren ab: und Zur Verarbeitung der geordneten Zweÿ Muthjahr angeweisen, Refusis Expensis.
(p. 354) Sambstag d. 3. Junÿ 1741. – Römer nôe Joh: Philipp Frieß Cit. E. E. Meisterschafft der Kurtz Meßerschmid Ober Meister prod. Underth. Mem. Moss. bitt Deput. Römer bitt auch Deput. Erk. Deput. willfahrt.
(p. 456) Sambstag d. 12. Augusti 1741 – Römer nôe Joh: Philipp Frieß C. E. E. Handwerck der Kurtz Meßerschmid bitt Comm. bescheidts. Erk. willfahrt.
(p. 652) Sambstag d. 16. Xbris 1741 – Iidem [Ober Handwerckh Herren] laßen weithers per Eundem [Secret. Kleinclaus] reassumiren was den 18. febr. jüngst In sachen Johann Philipp Frieß des ledigen burgers und Meßerschmidts allhier contra E. E. Handwerckh der Meßerschmid Ober Meister bey Mhgg Vorgekommen und darauff berichten daß, Wie in nechst Vorstehender Relation gemelt dießer Frieß, und Zwahr den 3. Junÿ jüngst ein dermahlig Underth. Memoriale c. gemelten Ober Meister producirt, und in demselben exponirt Mgh. hetten in Voriger 1740. Jahr beÿ Paul Volcker, Isaac Bimler und Heinrich Erharden deren der erstere und letztere Keine Burgers Kinder sondern Frembde gewesen, ohne daß Muthjahr Zu Verarbeiten, dispensirt, Welche dreÿ præjudicia er Vormahls Zu melden Vergeßen habe, mit demuthiger bitt Mghh. geruhen gnad Ihme, alß einem burger, und Burgers Kind gleicher gestalt widerfahren Zu laßen, einfolglichen Ihme ohne weitere Muthjahr Zum Meister Recht gratiosé Zu admittiren. Auff Welches die Imploraten vmb Deputation gebetten, welche auch willfahrt und beseßen worden, da der Implorant petitum wiederhohlet. Nahmens der Imploraten hatten die in Voriger Sach benambste dreÿ Meister geantwortet, dießer Implorant habe 9 Jahr gewandert, und ich wohl auffgeführtet, dahingegen der Vorige gar nicht in die Frembde gekommen seÿe, dahero wolen Sie die dispensation wegen der 2. Muthjahr, Zu welchen er auch noch nicht eingeschrieben seÿe, Mghh. überlaßen haben.
Auff seithen der Hh. Deputirten seÿe man der meinung gewesen daß es mit diesem Imploranten, alß mit welchem es wegen der Muthjahr gleichmäßige Beschaffenheit habe wie mit Senckeißen Zu halten Wie mit Ihme Senckeißen, allein weilen, wie in Voriger Sach gemelt deß Herrn P. Regÿ Excellenz sich auch in favor dießes Imploranten erklähret, alß stehe Zu Mhhen was sie erkennen wollen. Erkandt, wie in nächst Vorstehender Sach.
1741, Protocole des Quinze (2 R 151)
Meisterschafft Philipp Frieß
(p. 8) Sambstag d. 13. Januarÿ 1742 – Römer nôe Joh: Philipp Frieß C. der Meisterschafft bitt ut ante. Erk. ut supra [communication des Bescheids]
(p., 34) Sambstag d. 13. Januarÿ 1742.
Bescheid. Sambstag d. 16. Decembris 1741 – In Sachen Johann Philipp Frieß ledigen burgers und Kurtz Meßerschmidts allhier, Imploranten, ane einem, entgegen und Wieder E. E. Handwerckh der Kurtz Meßerschmid, Imploraten, am andern theil. Auff producirtes Unterthäniges Memoriale und bitten die Vormahls Frembden angedeihem gnad Ime, dem Imploranten, als einem Burger und Burgers Kind gleicher gestalt widerfahren Zu laßen, einfolglich Ihme, ohne weitere Muthjahr Zum Meister Recht gratiosé Zu admittiren. Der Imploraten beÿ gebettener, bewilligter und beseßener Deputation darüber gethane Verantwortung, und all übriges angehörte Vor: und Anbringen, Ist, der Hh. Deputirten abgelegten Relation nach, Erkandt, Wird dem Imploranten in seinem begehren dispenando willfahrt, derselbe aber Vordersambst dahien angewiesen, daß er sich annoch Zu denen Muthjahren einschreiben laße, aber gleich wiederumb gegen abtragung der gebühr, außgethan worden, anbeÿ auch deren Imploranten die unkosten Zu verguthen, undt dreÿ pfundt pro dispensatione halb der Statt und halb der Meisterschafft zu erlegen pflichtig sein solle.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison face aux Petites boucheries, sans doute celle qui appartient au père du marié. Les apports du mari s’élèvent à 106 livres, ceux de la femme à 563 livres.
1742 (16.4.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 473) n° 194
Inventarium über deß Ehrengeachten Johann Philipp Frieß, deß Meßerschmidts v. der Ehren v. tugendsahmen Frauen Margarethä Salome gebohrner Schmidin, beeder Eheleuth v. Burger allhier Zu Straßburg einander vor unverändert Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1742. (…) in ihren ohnlängst angetrettenen Ehestand Zugebracht, b.sich vermög ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung vor unverändert vorbehalten haben (…) So geschehen in der Königlichen Statt Straßburg in fernerem gegenseÿn des Wohl Ehrwürdig Wohlgelehrt v. hochachtbahren Herrn M. Johann Friderich Griesinger, treüeÿfferigen Diaconi der Evangelischen Gemeinde Zu denen Predigern alhier als der Ehefrauen erbettenen Hn beÿstandts auff Montag d. 16.ten Aprilis A° 1742.
In einer allhier Zu Straßburg Gegen der Kleinen Metzig über gelegenen von den Eheleuthen Lehnungsweiß bewohnenden Behaußung ist befunden worden als folgt
Eigenthum ane einem Metzigbanck. Ein Achter Theil vor unverändert von v. ane einem Metzigbanck allhier unter der Großen Metzig (…)
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns in den Ehestand gebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 15 ß, Sa. Werckzeugs Zum Meßerschmidts Handwerck gehörig 80, Sa. Silbers 6, Summa summarum 87 lb – Darzu gerechnet deßen gehörige helffte ane denen haussteuren 18 lb, Des Ehemanns Völlige Nahrung 106 lb
Solchemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung beschrrieben, Sa. haußraths 113, Sa. Silbers 30, Sa. Goldener Ring 21, Sa. baarschafft 179, Sa. Pfenningzinß hauptguths 200, Eigenthum ane einem Metzigbanck (o), Summa summarum 544 lb – Darzu gerechnet dero gehörige Antheil ane denen haussteuren 18, Der Ehefrauen in Außwurff gebrachtes Vermögen 563 lb
Jean Philippe Friess meurt en 1757 en délaissant trois enfants et un posthume à naître. Les experts estiment la maison 1 000 livres. La masse propre à la veuve est de 705 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 1 287 livres, le passif à 1 853 livres
1757 (3.11.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 792) n° 135
Inventarium über Weÿl. des Ehren: und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Philipp Frieß, geweßenen Kurtzmeßerschmidts und burgers allhier zu Straßburg, nun seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1757 – nach seinem dienstags d. 6. Septembris huj. Anni aus dießer Welth genommenen tödlichen Hientritt zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren der hinterbliebenen Frau Wittib fr. Margaretha Salome Frießin geb. Schmidin, beÿständl. H. Joh: Friedrich Schönfelds, des Schumachers auch E. E Kleinen Raths jetzigen wohlverdienten beÿsitzers und Burgers allhier, wie auch H. Joh. Ernst Frieß, des Bohrenmachers und burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Joh. Philipp, Joh. Daniel, Joh. Jacobs, Joh: Friedrichs und eines vermuthliches posthumi, der Frießen, des abgeleibten seel. mit vorbenannter der hinterbliebenen Wittib ehel. erziehlte und nach tod verlaßene Kinder und Erben (…) So beschehen allhier Zu Straßburg Donnerstags d. 3. Novembris Anno 1757.
In einer allhier zu Straßburg gegen der Kleinen Metzig über gelegenen und in dieße theilbahre Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 10-v) Eigenthumb ane einer behaußung. Nemlichen eine behausung, bestehend in Vorder: und hinterhauß, höfflein, Gemeinschafft des brunnens und hoffstatt, mit allen übrigen deroselben begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg gegen der Kleinen Metzig über einseit neben der Gast behaußung Zum hohen steeg, anderseit neben Frau Münchin, der Schuhmacherin Wittib, hinten auf die Schneidenbinderische Erben stoßend, welche behaußung& außer hernach eingetragenen Passiv: Capitalien gegen männiglichen freÿ, leedig eigen und Vermög des beÿ mein Notarÿ Concept befindlichen Abschatzung Zeduls d. d. 10.ten Octobris 1757 durch (die Werckmeistere) æstimirt und angeschlagen für 1000 lb. Dießer wegen ist vorhanden ein in allh. löbl. C. C. stub errichtete, auf Pergament gefertigte Kauffverschreibung datirt den 30. Martÿ 1745, mit jetzigem N° 1 notirt. Dabeÿ ferner ein ältere auch in allhies. Löbl. C: C: stub gefertigter Pergament. Kauffbrieff d.d. 25.ten Junÿ 1718. auch mit jetzigem N° 1 bezeichnet.
Ergäntzung der hinterbliebenen Wittib währendter Ehe abgegangenen ohnverändert Guths. Vermög beeder nunmehr zertrennter Eheleuthe in Anno 1742 durch H. Notarium Mathiam Koch aufgerichteten Zugebrachter Nahrung Inventarii
(f° 13) Series rubricarum und Abzug zu diesem Verlaßenschafft Inventario gehörig. Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. Hausraths 30 lb, Sa. Silbers 8 lb, Sa. goldener Ring 6 lb, Sa. Schuld 50 lb, Sa. des Ergäntzungs Rests 610 lb, Summa summarum 705 lb,
Der Erben ohnverändert u. theilbahrer Guth, Sa. Hausraths 88 lb, Sa. Werckzeugs und gemachter Waar Zur Kurtzmeßerschmid Profession gehörig 32 lb, Sa. Wein und lährer Faß 6 lb, Sa. Silbers 10 lb, Sa. baarschafft 63 lb, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 1000 lb, Sa. Schulden 85 lb, Summa summarum 1287 lb – Schulden 1853 lb, Compensando 566 lb – Stall summ 139 lb – Zweiffelhaffte Schulden 28 lb
Copia der Eheberedung (…) auf Mittwoch den 7. Februarii Anno 1742, Mathias Koch, Notarius juratus requisitus
Marie Salomé Schmidt se remarie en 1760 avec le perruquier Charles Maximilien Schœnbrod, de Gersbach, fils de pasteur
Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 382-v)
1760. Dom: XVII u. XVIII Trinit. wurden proclamirt u. hernach in Illkirch copulirt, Carl Maximilian Schönbrod led. Peruquenmacher von Gerspach, weÿl. H. Christian Schönbrod Evangel. Pfarrers Zu Matensheim hochfürstl. Würtenb. H.schafft ehel. Sohn, u. Fr. Maria Salome Schmidtin weÿl. Johann Phil: Frießen b. u. Meßerschmidtts hinderlaßene Wittib (i 388, reg Illkirch en déficit)
Calcul sommaire de la (succession déclarée en 1757) de Jean Philippe Friess
1764, Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 268) n° 962
Summarischer Calculus Über Weÿl. Herrn Johann Philipp Frieß, geweßenen Kurtzmeßerschmid und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft sambt auffgerechneten beßer: und Überbeßerung auffgerichtet
Vermög des durch Herrn Johann Friderich Lobstein Notarium publ. juratum et Practicum in A° 1757. errichteten Verlaßenschafft Inventarii
Marie Salomé Schmidt, femme du perruquier Charles Maximilien Schœnbrod de Gersbach, hypothèque la maison au profit du quaincaillier Jean Georges Hebeisser
1764 (19.3.), Chambre des Contrats, vol. 638 n° 184-v
Johann Daniel Froschhammer der meßerschmidt als mandatarius Fr. Margaretha Salome geb. Schmidtin Carl Maximilian Schoenbrod des perruckenmachers zu Gernspach ehefrau
in gegensein H. Johann Georg Hebeißen des materialisten – schuldig seÿen 175 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis beÿ der kleinen metzig, einseit neben H. Teutsch dem gastgeber, anderseit neben H. Münch des schuhmacher, hinten auff H. Scheibel
Marie Salomé Schmidt vend sa moitié de maison au serrurier Jean André Jost
1764 (13.12.), Chambre des Contrats, vol. 638 f° 785-v
Fr. Margaretha Salome geb. Schmidtin Carl Maximilian Schönbrod des perruckenmachers zu Gernspach Speier und badischer herrschafft Ehefrau
in gegensein Johann Andreas Jost dem schloßer
die unvertheilte helffte einer behausung, höfflein, gemeinschafft des bronnens und hoffstatt mit allen rechten und gerechtigkeiten gegen der kleinen metzig über, einseit neben gastbehaußung zum hohen steeg anderseit neben denen Münchischen curanden – umb 100 lb capitalien beladen, und 850 pfund
Les Quinze autorisent que le chef d’œuvre de Jean André Jost consiste en une grille de fer que lui a commandé le Temple Neuf. Il pourra engager un compagnon et travailler chez son père.
1762, Protocole des Quinze (2 R 174)
Johann Andreas Jost puncto Meisterstücks
(p. 92) Sambstags den 6. Martii 1762 – Idem [Faust] nôe Johann Andreas Jost des ledigen schloßers von hier, weilen der Implorant besag mitgehenden Extractus in procinctu stehet sein Meisterstück Zu verertigen, ihme aber in die Neue Kirch allhier ein eißernes Gekrembs, wovon der Riß mitkommt in arbeit gegeben worden, als bitt er unterth. daß Zu gunsten dieser arbeit ihme Zu erlauben solche beÿ seinem Vater Zu Verfertigen, Zu dem ende diesem ein gesell Zugelaßen die arbeit selbsten aber für das gewohnliche Meisterstück passiren möge. Erkanndt, wird dem Imploranten in seinem begehren willfahrt, jedoch mit dem anhang daß diese arbeit nach dem producirten riß und unter der absicht der geschwornen Meisterstück schauer verfertiget werde.
Jean André Jost présente son chef d’œuvre en mars 1763. Les examinateurs relèvent quelques défauts mineurs à la grille qui les satisfait par ailleurs. Le candidat devient maître.
1762, Serruriers, Protocole des chefs d’œuvre, 1755-1790 (XI 145)
(f° 18-v) Dienstags den 30. Martÿ 1762. erscheint vor denen vier geschwornen Meisterstückschauern Johann Andreas Jost, der leedige Schloßer gesell Mr Johann Michael Jost, des auch Schloßers und burgers alhier ehelicher Sohn, producirt Bescheid von Gnädigen Herren denen Herren Fünffzehen sub dato 6.t hujus Mensis et Anni vermög deßen ihme vergönnet, in die neue Kirch allhier ein ein eißerernes Gekrembs statt Meisterstück beÿ seinem Vater zu verfertigen und einen Gesellen Zu halten, will solchem bescheid ein Genüge leisten mit bitt ihme sothanes Meisterstück aufzugeben.
Ist Ihme hierauff aufgegeben worden, der den 6. diesßes Monaths und Jahrs beÿ Gnädigen herren denen Herren Fünffzehen vorgewießene und approbirte Riß, worzu vier Thüren nöthig seÿnd, wie Er der Stück Meister selbsten angegeben hat, so in dem Riß noch nicht gezeichnet, die Charnières und Fisch kan derselbe nach seinem Belieben verfertigen, die linke thür mit einem Riegel unter sich Zu befestigen, die rechte Thür mit einem Schloß von Zweÿ und einem halben, oder von ein und einem halben Tours, je nach deme der Platz solches Zulaßen wird, der Schlüssel mit einem Kleblatt und umgehenden Dorn, die Grniture kan als dann nach des Schlüßels Größe ausgetheilt werden, welches alles der Stuck Meister sauber und Meisterlich auf die Schau zu liefern, und den Riß hiebeÿ nochmals vorzulegen hat.
(f° 20-v) Dienstags den 1. Martÿ 1763 erscheint in Gegenwarth des hoch Edelgebohrnen, hoch Edel, vest, fromb, fürsichtig, hochweis und hochgelehrten Herrn Johann Philipp Dorßners, des beständigen geheimen Regiments der Herren Fünff Zehen in Löbl. Stadt Straßburg hochansehnlichen H. Assessoris, als Zu dießer Schau hochverordneten H. Obmanns vor denen vier geschwornen Herren Meisterstück schaueren Johann Andreas Jost, der leedige Schloßer gesell von hier gebürtig, welcher nach deme Er das den 30. Martii 1762. Ihme aufgegene Meisterstück meistens verfertiget, gebetten selbiges zu beschauen und zu besichtigen.
Wobeÿ derselbe handtreu ane Eÿdesstatt abgelegt, daß Er sein vorgewießenes Meisterstück nach dem Tenor des den 6. Martÿ 1762. von Gnädigen Herren denen Herren Fünffzehen ergangenen bescheids verfertiget habe. Da sich dann folgende Fehler hervorgethan haben
1° die Paloustres haben nicht einerleÿ Breite.
2° 1. Schnürckel auf der Blattbahn ist ½ Zoll höher als der ander.
3° die Anschläg vom Thürel seind ohngleich.
4° der Pilastre gegen der Orgel ist nicht im Winckel,
5° das Schloß ist gar zu simple.
Dießemnach seind dem Stuck Meister solche Fehler vorgehalten worden, weilen es aber kein haubtfehler sondern das Stuck überhaupt wohl verfertiget ist, dahero soll es wann es an seinem behörigen Platz stehet gezeichnet und Er für einen ehrlicher Meister auf und angenommen werden.
Jean André Jost devient tributaire chez les Maréchaux le 8 août 1763.
1763, Maréchaux XI 149 (Serruriers (1757-1791)
(f° 39-v) Montags den 8. Augusti 1763. Meisterrecht – Johann Andreas Jost, der leedige Schloßer von hier gebürtig stehet vor und bitt man wolle Ihme das Meisterrecht Zukommen laßen, maßen Er sein Meisterstück nach Ordnung verfertigt. Erkandt, willfahrt (dt 3 lb 15 ß, Auflaggelt dt. 7 ß)
Le contrôleur fait grief à Jean André Jost et à Antoine Henri Heinrich d’employer des compagnons contre ses ordres. Les défendeurs déclarent qu’ils ont payé l’écot mais sont mis à l’amende pour avoir contrevenu aux ordres.
1765 Montags d. 15. Aprilis
(f° 49-v) Mr Andreas Scholl der Ober Mr stehet vor und clagt wider Mr Antoni Heinrich Meÿer und Mr Johann Andreas Jost, beede Schloßer Meistere daß Er ohnlängst auf zween Gesellen bei Ihnen einen arrest angelegt, dessen ohngeacht haben Sie solchen nicht respectirt.
Ille sind der Anclag geständig sagen aber sie hätten für Sie bezahlt, bitten dahero um absolutionem.
Erkand sollen die beklagte die annoch schuldige 50 ß d Straff zahlen und künfftighien denen befehlen des Ober Meisters parition leisten.
Le conseil de tribu autorise Jean André Jost à ne plus comparaître aux réunions parce que les circonstances le contraignent à travailler sans compagnon
(f° 88-v) Montags den 6. Decembris 1773 – Mr Andreas Jost der Schloßer und burger alhier stehet vor und meldet wie Er wegen seiner Häußlichen Umbständen sich seit einiger Zeit gemusiget gesehen daß handwerck mit eigener Hand ohne Förderung Gesellen zu treiben, auch so in das künftige werde continuiren müßen, bittet dahero man möge Ihme vergönnen, daß er nicht mehr beÿ dem handwerck erscheinen dörfe, offerirt jährl. in vier quartalgelder zu entrichten so dann Ihme von dem Articul des Umschauens zu befreÿen, will sich auch keines Handwercks Gewohnheit mehr erweißen laßen.
Erkanndt Willfahrt.
Fils du serrurier Jean Michel Jost, Jean André Jost épouse en 1767 Susanne Madeleine Bürckel : contrat de mariage, célébration.
1767 (19.8.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 833) n° 257
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehren: und wohlvorachtbarhre Herr Johann Andreas Jost, der leedige Schloßer und burger dahier, Hn Johann Michael Jost des ältern, auch Schloßers und burgers dahier ehel. Sohn unter autorisation dießes seines Vatters, als hochzeiter ane einem
Und die Viel Ehren und tugendsahme Jungfer Susanna Magdalena Bürckelin, Hn Johann Bürckel, des Kieffers und weinhändlers auch burgers allhier ehelich erziehlte tochter unter bewilligung dießes ihres geliebten Vatters, als hochzeiterin ane dem andern theil
Actum allhier zu Straßburg auf Mittwoch den 19. Augusti Anno 1777 – [unterzeichnet] Johann Andreas Jost, Susanna Magdalena Birckelerin, Johann Michael Jost, Johannes bürckel
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 64-v, n° 21)
1767. Mittwoch den 16. Herbstmonath sind (…) ehelich eingesegnet worden Johann Andreas Jost der ledige Schloßer und burger alhier Johann Michael Jost des schloßers und burgers alhier mit Margaretha, gebohrner Fetterlin deßen ehefrauen ehelich erzeugter Sohn und Jungfer Susanna Magdalena Birckelin Johannes Birckel des Kieffers und burgers alhier mit Maria Salome, gebohrner hannß Metzgerin deßen Ehefrauen, ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann andreas Jost als hochzeiter, susanna Magdalena Birckelin als Hochzeiterin (i 68)
Jean André Jost hypothèque la maison au profit du tonnelier Jean Philippe Bleyfuss
1771 (5.1.), Chambre des Contrats, vol. 645 f° 11-v
Johann Andreas Jost der schloßermeister
in gegensein Johann Philipp Bleÿfuß des küblers – 400 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt wie auch gemeinschafft des bronnens mit allen deren übrigen weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der kleinen Metzig über, einseit neben der gastebehausung zum Hohen steeg, anderseit neben den Müllichen curanden, hinten auff die Seidenbinderischen erben – als eine den 13. dec. 1765 erkauffte behausung
Jean André Jost et Susanne Madeleine Bürckel hypothèquent la maison au profit du tonnelier Jean Chrétien Marbach
1776 (5.6.), Chambre des Contrats, vol. 650 n° 189
H. Johann Andreas Jost der schloßermeister und Susanna Magdalena geb. Bürckelin unter assistentz H. Johann Matheus Gotthardt Gräfflein des glaßers und Franz Ludwig Etter des schneider meisters
in gegensein Johann Christian Marbach des ledigen kieffers – schuldig seÿen 1000 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden gegen der kleinen Metzig über, einseit neben der zum Hohen steeg geschildeten gastherberg, anderseit neben H. Tongé dem goldarbeiter, hinten auff H. Scheibel den handelsmann
Jean André Jost meurt en 1786 en délaissant cinq enfants. Les experts estiment la maison 1 000 livres. La masse propre à la veuve est de 784 livres, la masse propre aux héritiers de 926 livres. L’actif de la communauté s’élève à 338 livres, le passif à 1 114 livres
1786 (14.12.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 887) n° 337
Inventarium über Weiland Herrn Johann Andreas Jost, gewesenen Schloßers und Burgers alhier Zu Straßburg Verlaßenschafft errichtet Anno 1786 – nach seinem den 18. Augusti dieses laufenden 1786.sten Jahrs erfolgten Absterben hinterlaßen hat, welche Verlaßenschafft auf Ansuchen Fr. Susannæ Magdalenæ gebohrner Bürckelin, der hinterbliebenen Wittib beiständlich H. Johann Georg Hebeisen, des Handelsmanns und hiesigen Burgers (…) So beschehen alhier Zu Straßburg in hernach inventirter gegen der kleinen Metzig über gelegenen Behausung, Donnerstag den 14. Decembris Anno 1786.
Des Verstorbenen ab intestato hinterlassene Erben sind 1° Frau Margaretha Magdalena gebohrne Jostin so an Joh: Daniel Koch, den Fastenspeishändler und burger alhier verheurathet, welche unter authorisation dieses ihres Ehemanns wie auch nachgenannten ihres annoch ohnentledigten vogts, masen sie erst 18 Jahr alt ist, dieser Inventation beiwohnte und ihren Nutzen besorgte, in den Ersten Fünfften Stammtheil, 2. Jungfer Maria Salome Jostin, so 13 ½ Jahr zurückgelegt hat, in den Zweÿten Fünfften Stammtheil, 3. Anna Maria Jostin, so in das 12.te Jahr ihres alters gehet in dem dritten Fünfften Stammtheil, 4. Maria Elisabetha Jostin, so 10 Jahr alt ist, in den Vierten Fünfften Stammtheil, So dann 5. Maria Carolina Jostin so 5 ½ Jahr zurückgelegt hat, in den Fünfften und letzten Stammtheil, Alle 5 sind des Defuncti mit Eingangs gedachter der hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugte Kinder und ab intestato hinterlaßene dermalen annoch minorennen Erben in deren Nahmen ihr geordnet und geschworener Vogt Herr Johann Martin Bürckel, der Ohlmann
Bericht und respectivé Vergleich Wegen dieser Verlaßenschafft. Zufolg Vorher eingetragener Eheberedung und deren dritten Puncts haben beÿde nun Zertrennte Eheleuthe ein unverändertes Guth und die Ergäntzung des davon wehrender Ehe abgehenden stipulirt, auch dabeÿ verabredet, daß dero beÿderseitigen Illata ordnungsmäßig inventirt werden sollen, es ist aber solches nicht geschehen, dahero man sich dermalen desfals auf der Wittib beÿ gegebener handtreu gethaner Declaration verlaßen müßen (…)
Eigenthum an einer Behausung. (E.) Nemlich eine Behaußung, Höflein, Gemeinschaft des Bronnens und Hoffstatt, mit allen Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg gegen der kleinen Metzig über einseit neben der Gastbehausung Zum hohen Steeg anderseit neben H. Joh: Frantz Ohlmann dem Schuhmacher und hinten auf die Seidenbinderische erben stoßend, so auser hernach eingetragenen darüber haftenden Passiv Capitalien frei, leedig, eigen und durch hiesiger Löbl. Stadt geschworene Werckmeistere vermög ihrer Zu der Minutte dieses Inventari gelieferten schrifftlicher Abschatzung vom 26.ten Januarii 1787 gewürdiget worden pro 1000, lb. Hierüber besagen zween in alhiesiger C.C. Stub errichtete deutsche pergamentener Kaufbriefe de datis 13. X.bris. 1764 und 16. Xbris. 1765, mit dero aufgetrucktem gröserem Insiegel verwahret. Ferner ein alter deutscher pergamentener eben daselbst errichteten Kaufbrieff de dato 30. Martii 1745 davon daran hangend geweßene Insigel abgerißen ist.
Series rubricarum hujus Inventarii. Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. Hausraths 13 lb, Sa. Silbers 2 lb, Sa. goldenen Ring 1 lb, Sa. Pfenningzinß hauptguts 600 lb, Sa. Schulden 37 lb, Sa. des Ergäntzungs rests 129 lb, Summa summarum 784 lb
Der Erben ohnverändert Vermögen, Sa. der Manns Kleidung und weißen Gezeugs 11 lb, Sa. des Werckzeugs zur Schloßer Profession gehörig 49 lb, Sa. Silbers 5 lb, Sa. Pfenningzinß hauptguths 100 lb, Sa. Eigenthum an einer behaußung 1000 lb, Sa. des Ergäntzungs Rests 296 lb, Summa summarum 1463 lb – Schulden 537 lb, Nach deren Abzug 926 lb,
Das theilbahre Guth, Sa. hausraths 68 lb, Sa. des Weins und leerer Faß 7 lb, Sa. gemachter Waar und Eißens zur Schloßer Profession gehörig 41 lb, Sa. Schulden 220 lb, Summa summarum 338 lb – Schulden 1114 lb, Compensando 776 lb
Beschluß summ 934 lb, Stall summ 574 lb – Zweiffelhaffte schulden in die theilbare Massam zugeltend 50 lb
Copia der Eheberedung (…) auf Mittwoch den 19. Augusti 1767, Johann Friedrich Lobstein Notarius juratus
Copia Codicilli nuncupativi – Johann Andreas Jost, den Schloßer meister und Burger alhier Zu Straßburg (…) zu sich in seine an der kleinen Metzig hiesiger Stadt gelegene behaußung berufen laßen, den wir auf unser Erscheinen daselbsten eine Stiege hoch in der Kammer neben der Wohnstub, zwar krancken und schwachen Leibes auf einem Bette liegend, jedoch aber guter richtiger Sinnen und Vernunft angetroffen haben (…) Mittwoch den 8. Martii Anno 1786, Johann Friedrich Greiß Notarius juratus
La veuve et les enfants de Jean André Jost vendent la maison à l’huilier Jean Frédéric Haffermann et à sa femme Marie Madeleine Mühl
1800 (21 frimaire 9), Strasbourg 1 (20), Not. Lacombe n° 1527
Madeleine Bu(rckl)er veuve d’André Jost serrurier, Marguerite Madeleine Jost femme de Daniel Koch graissier, Marie Salomé Jost femme de Jean Zimmermann boulanger, Marie Elisabeth Jost femme de Philippe Dürr graissier agissant encore ledit Philippe Dürr pour et au nom d’Anne Marie Jost femme de Frédéric Biehl boulanger à llkirch, Lesquels scavoir lad. veuve Jost propriétaire pour moitié et lesdits enfants Jost propriétaires de l’autre moitié pour un 8 chacun comme héritiers de leur pere
à Jean Frédéric Havremann Marchand huilier et Marie Madeleine Mühl
La maison qui leur appartient en cette ville rue des petites boucheries N° 106 avec cour aisances appartenances et dépendances, d’un côté l’auberge de la haute montée, d’autre le cit. Ohlmann cordonnier, derrière le cit. Holtz cordonnier, devant ladite rue – pour 13 000 francs
(quittance du cit. haffermann, signée) haffermann)
Enregistrement, acp 76 f° 116 du 29 frim. 9
Fils d’un manant au service du prince de Hesse-Darmstadt, le fabricant de pâtés Jean Frédéric Haffermann épouse en 1787 Marie Madeleine Mühl, fille de cocher : contrat de mariage, célébration
1787 (15.9.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 873) n° 204
Eheberedung – persönlich erschienen Hr johann Friderich Hafermann, leediger Pastetenbeck und vertrösteter burger alhier, Herrn Joh: Adam Hafermann, des Hauß: Hoff meisters am hoch Fürstl. Heßen Darmstättischem Hoff, mit der Viel Ehr und tugendbegabten Fraun Mariä Catharinä gebohrner Baderin ehelich erzeugter Sohn, so majorennis, und seine Rechten selbsten genieset, als Hochzeiter, ane einem
So dann die Ehr; und tugendsamen Jungfrau Maria Magdalena Mühlin, Hrn: Andreas Mühl des Lehnkutschers und burgers alhier mit der Ehr: und tugendsamen Fraun Anna Ursula gebohrner Böcklein ehelich erzeugte Tochter beiständlich erstgedachten ihres Vaters, als die Jungfrau hochzeiterin ane dem andern theil
auf Sambstag den 15.den Septembris Anno 1787 [unterzeichnet] Johann Friederich Haffermann als Hochzeiter, Maria Catharina haffermenin als muter, Maria Magdalena Mühlin als Hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 20-v, n° 44)
Im Jahr Christi 1787 sind (…) Dienst-tags den 11. Decembris in der Prediger-Kirche allhier offentlich copulirt und ehelich eingesegnet worden Herr Johann Friderich Haffermann der leedige Pasteten-Beck und burger allhier herrn Johann Adam Haffermanns, hochfürstl.- Hessen- Darmstättischen Hauß-Hof Meisters und Frauen Mariä Catharinä geborner Badin ehelicher Sohn und Jungfrau Maria Magdalena Mühlin, Andres Mühl des Lehn-Kutschers und burgers allhier und Frauen Annä Ursulä geborner Böckelin von Mittelbergheim eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Friederich Gaffermann als Hochzeiter, Maria Magdalena Mühlin als Hochzeiterin (i 22)
Jean Frédéric Haffermann demande aux Quinze de le dispenser des années d’épreuve. Les Quinze l’accordent puisque les représentants de la tribu n’y voient aucun inconvénient.
1787, Protocole des Quinze (2 R 197)
Friderich Haffermann Contra E. E. Zunfft der Becker
(p. 446) Sambstags den 17.ten Novembris 1787. – Idem [Wilhelm] nomine Johann Friderich Hafermann des gelernten Pastetenbecks von hier gebürtig Contra E. E. Zunfft der Becker H. Zunfftmeister producirt unterthäniges memoriale und bitten samt beÿlagen sub N. 1. 2 & 3 Claus bitt Copiam et Terminum ordinis, Wilhelm beziehet sich auf die beÿlag Sub N° 3 bitt ableßung memorialis und wie darinn Claus priora. Erkandt Deputatio.
(p. 466) Sambstags den 24.ten Novembris 1787. – Iidem [Obere Handwercks Hh.] lassen fermer per Eundem [Secretarium Widt] referiren es habe Johann Friderich Hafermann der gelernte Pastetenbeck hier den 17.ten dieses Contra E. E. Zunfft der Becker H. Zunfftmeister ein unterthäniges memoriale mit beÿlagen sub N. 1. 2 & 3 übergeben und darinn gebetten Mgh. Geruheten Ihn von dem articklen der Muthjahr Gnädig Zu dispensiren sofort denselben Zum Meisterrecht der hiesigen Pastetenbeck auf Zunehmen.
Beÿ desfalls gebetten und bewilligten deputation hat H. Theobald Schott als Zunfftmeister auf des Imploranten widerholtes ansuchen der ihme benöthigten dispensation von dem nach dem artiklen verordneter muthjahren, sich dafür erkläret, daß er die gantze sache Mhh. lediglich anheimstelle, und dieses um sodamehr als er inzwischen versichert worden daß die Pastetenbecker nichts darwider einzuwenden hätten.
Auf die von Imploratischem H. Zunfftmeister gethane erklärung und denen H. Deputirten gesicherte Zusage der Pastetenbecker, wie daß sie ihres orts nichts wider des Imploranten gesuchte dispensation von den muthjahren einzuwenden hätten, die verarbeitung der muthjahren selbsten auch beÿ einem hiesigen ohnehin bekanten subjecto allerdings nicht de necessitate erachtet werden mögen, als haben die H. Deputirte kein bedencken getragen ihr gutachten dahin zu ertheilen, daß der Implorant gegen erlag 3 lib d wie gewohnlich theilbar und ersetzung der uncosten von den muthjahren zu dispensiren, sofort zum meisterrecht der hiesigen Pastetenbecken nach ordnung auf zu nehmen seÿe. Erkandt, bedacht Confirmirt.
Jean Frédéric Haffermann devient bourgeois par sa femme en décembre 1787.
1787, Livre de bourgeoisie 1783-1787 (VII 1559) f° 157-v
Joh: Friderich Haffermann der Pasteten beck Von hier gebürtig, Johann Adam Hafferman Ihro hochfürstl. durchleuds von Hessen Darmstatt hauß hoff Meister mit frau Marja Magdalena bede ehl. erzeugter sohn, verheurathet mit Marja Cath. Mühlin, Andreas Mühl des burgers vnd Lehenkutschers allhier ehel. Tochter, erhaltet das Burgerrecht ab uxore vmb d alt. burger schilling, will dienen Zur E.E. Zunfft der becker, juravit d. 15.ten Xbris 1787.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison Hasslauer face au Temple-Neuf. Les apports du mari s’élèvent à 387 livres, ceux de la femme à 354 livres.
1788 (27.8.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 871) n° 414
Inventarium über H. Johann Friderich Haffermann, des Pastetenbecks, wie auch der Ehr: und tugendsamen Fraun Mariæ Magdalenæ gebohrner Mühlin, beeder Eheleute und burgere alhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Vermögenschaften, auffgerichtet in Anno 1788. – zu Beleb: und Erfüllung des 4.ten Punctens ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung nach Ordnung ersucht und inventirt worden – So beschehen alhier Zu Straßburg, in fernerem beiseÿn H. Andreas Mühl des Lehnkutschers und burgers alhier, der Ehefrauen leiblichen Vaters und beistands, in einer gegen der Prediger Kirch über gelegenen der Haßlauerischer Fraun Wittib und Erben eigenthümlich zuständiger behaußung auff Mittwoch den 27.ten Augusti Anno 1788.
(f° 8-v) Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 110, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 28, Sa. goldenen Geschmeids 17, Sa. der baarschafft 160, Sa. Schulden 60, Summa summarum 366 lb – Wird nun darzu gelegt die ihm gebührige Helfte ane denen haussteuren 20 lb, Des Ehemanns gesamtes Vermögens 387 lb
Diesemnach so wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Vermögenschaft beschrieben, Sa. haußraths 129, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 15, Sa. goldenen Ring 21, Sa. baarschafft 67, Sa. der Schuld 100, Summa summarum 333 lb – Wird auch darzu gelegt die ihro gleichfalls gebührige helfte ane denen haussteuren 20 lb – Der Ehefrauen völlige Vermögenschaft 354 lb
Inventaire après décès d’un locataire, le chamoiseur David Frédéric Kess
1804 (5 brumaire 13), Strasbourg 7 (20), Not. Stoeber n° 1099, 6109
Déclaration au lieu d’inventaire de David Frédéric Kess, Chamoisseur décédé le 30 germinal 12 – à la requête de Jean Daniel Gÿmpel, Marchand de vin, tuteur des enfants mineurs issus du premier mariage avec Catherine Marguerite née Hetzel, savoir Jean Frédéric, Marguerite et Salomé qui ont été reçus a la maison des Orphelins, et de la femme du second lit Marguerite née Brosius
dans le logement mortuaire près la petite Boucherie N° 106 qui appartient au Sr Haffermann huilier
mobilier 80 fr, rentes en grains à Eckbolzheim 1200 fr, total 1280 fr
suivant inventaire dressé par le soussigné notaire le 28 floréal 9, prétentions de la veuve 4281 fr pour laquelle somme la masse du défunt lui a été cédée et abandonnée par jugement au tribunal civil rendu le 7 thermidor 10 – passif 5566 fr, déficit 4286 fr
Enregistrement, acp 94 F° 87 du 14 bru. 13
Inventaire après décès d’un locataire, le boucher juif Isaac Weil
1804 (22 thermidor 12), Strasbourg 13 (19), Not. Bremsinger n° 1937
Inventaire de la succession d’Isaac Weyl, né a Westhoffen décédé à Strasbourg, boucher et chantre de la synagogue décédé le 12 floréal dernier – à la requête de Jacques Moyse Weyl teneur* /:Schläger:/ tant en son nom que fondé de pouvoir de Mayer Weyl, négociant a Merzig, et Zatock Weyl de Valdkirch, dépendances de la Sarre, ses frères
le défunt a délaissé suivant déclaration faite par Jacques Moyse Weyl son frère 1. Jacques Moyse Weyl, 2. Baruch Weyl, boucher, les deux à Strasbourg, 3. Moyse Weyl, négociant à Merzig, 4. Zadock Weyl, chantre a la synagogue demeurant a Walkirch les quatre frères du défunt, Plus les enfants mineurs de feu Elie Weyl, négociant à Westhoffen savoir 5. Samuel âgé de 10 ans, 6. Moyse âgé de 8 ans, 7. Judith âgée de 3 ans, 8. Reysel âgée de 1 an, ayant pour subrogé tuteur Baruch Weyl, négociant à Traenheim, et 9. David Weyl frère du défunt absent depuis 18 ans
dans la maison mortuaire rue des petites boucheries n° 106
en présence de Jacques Moyse Weyl et Baruch Weyl boucher les deux héritiers du défunt
mobilier 578 fr, dettes actives rien, passif 521 fr
Enregistrement, acp 93 F° 60 du 2 fruct. 12
Jean Frédéric Haffermann meurt en 1807 en délaissant pour seule héritiere sa femme.
1807 (18.7.), Strasbourg 12 (15), Not. Wengler n° 2629
Inventaire de la succession de Jean Frédéric Haffermann, marchand libraire décédé le 2 avril 1807 – à la requête de Marie Madeleine Mühl demeurant près les petites boucheries n° 106 la veuve
dans la maison mortuaire rue des petites Boucheries n° 106
Immeuble, une maison consistant en maison de devant et de derrière avec toutes ses appartenances et dépendances droits actifs et passifs sise à Strasbourg rue des petites Boucheries n° 106, d’un côté auberge de la haute montée, de l’autre le Sr Ohlmann cordonnier, devant ladite rue, derrière le Sr Herth cordonnier – acquis pendant le mariage des veuve et héritiers André Jost, serrurier, suivant contrat de vente reçu Lacombe le 21 frimaire 9
rapporte le rez de chaussée occupé par la veuve 72 fr, le premier étage loué à Baruch négociant 120 fr, le second étage de la maison de devant à Judel Weil 80 fr, celui de la maison de derrière la veuve Michel 30 fr, le troisième étage de la maison de devant loué à Me Brillot née Engelbach 40 fr, celui de la maison de derrière habité par Schaffner invalide 24 fr, ensemble 366 fr en capital 7320 fr
mobilier 1887 fr, total général 9207 fr, passif 10 000 fr
Enregistrement, acp 103 f° 54 du 22.7.
Inventaire après décès d’un locataire, le confiseur Chrétien Frédéric Schœné
1813 (1.6.), Strasbourg 8 (6), Not. Roessel n° 1271
Inventaire de la succession de Chrétien Frédéric Schoené, confiseur décédé le 16 avril dernier – à la requête de Me Jean Louis Knobloch, notaire commis pour représenter Michel Schoené, vivant fonctionnaire à Lichtenau dans l’inventaire et liquidation de Chrétien Frédéric Schoené confiseur à Strasbourg oncle dudit absent, Christine Françoise Engelbach veuve de Geoffroi Brillon chapelier, le premier par représentation de son père, la seconde par représentation de sa mère Christine Catherine Schoené épouse de Chrétien Engelbach décédé à Altoldenburg, le dernier tier étant dévolu à la De Otto née Schoené sœur du défunt
dans une maison rue des petites boucheries n° 106
meubles 448 fr, créances 2743 fr, total 3192 fr, passif 157 fr, reste 3034 fr
Enregistremen, acp 122 F° 123-v du 3.6. – vacation du 11 juin, acp 122 F° 144 du 17.6.
Inventaire après décès d’un locataire, le tailleur Bernard Bru
1818 (25.3.), Strasbourg 8 (22), Not. Roessel n° 5321
Inventaire de la succession de Bernard Bru tailleur d’habits – dressé à la requête de Christine Françoise Engelbach veuve de Gaspard Brillon, chapelier décédé à Paris ménagère du défunt, et de Félix Bremsinger notaire commis poour représenter les héritiers absents
dans une maison sise à Strasbourg vis à vis les Petites Boucheries n° 106
mobilier 29.329 fr : garde robe 247 fr, marchandises 204 fr, numéraire 8978 fr, créances 12.484 fr, et 3880 fr, reconnaissances 3782 fr, passif 6035 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 138 F° 78-v du 26.3.
vacation du 31 mars, acp 138 F° 97 du 2.4.
Marie Madeleine Mühl veuve du marchand libraire Jean Frédéric Haffermann meurt en 1828 après avoir institué pour héritière sa sœur Anne Ursule Mühl veuve du brasseur Michel Mæchling
1829 (2.6.), Strasbourg 2 (67), Me Weigel n° 5981
Inventaire de la succession de Marie Madeleine Mühl veuve de Jean Frédéric Haffermann, marchand libraire décédée le 25 décembre 1828 – à la requête d’Anne Ursule Mühl veuve de Michel Mechling, brasseur, en son nom et se portant fort sa mère Anne Ursule Boecker veuve d’André Mechling, fabricant d’huiles – Testament du 22 décembre 1828
dans la demeure de la decujus rue des Petites Boucheries n° 100
immeuble, une maison, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Petites Boucheries n° 106, d’un côté la De Wecker née Kuster, de l’autre le Sr Ohlmann, estimée 9000 fr. – Titres de propriété, la maison vendue appartenait à la De Haffermann pour l’avoir acquise de 1. Madeleine Bilger veuve d’André Jost, 2. Marguerite Madeleine Jost femme de Daniel Koch, graissier, 3. Marie Salomé Jost femme de Jean Zimmermann, boulanger, 4. Marie Elisabeth Jost femme de Philippe Dürr, graissier, par acte reçu Lacombe le 21 frimaire 9, transcrit au bureau des hypothèques volume 3 n° 90
mobilier 1488 fr (meubles meublants 216 fr, bibliothèque et marchandises 1000 fr, argent 180 fr), passif 11.979 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 195 F° 14 du 11.6.
Veuf de Marie Madeleine Hoh, Jean Michel Mæchling épouse Anne Ursule Mühl en 1809
1809 (14.10.), Strasbourg 4 (37), Not. Stoeber n° 844
Contrat de mariage – Jean Michel Maechling fils, brasseur, veuf de Marie Madeleine née Hoh
Anne Ursule Mühl fille d’André Mühl, fabricant d’huile, et d’Anne Ursule née Boeckel
Enregistrement, acp 113 F° 101-v du 24.10
Jean Michel Mæchling meurt en 1813 en délaissant pour héritière sa fille en premières noces
1813 (18.5.), Strasbourg 4 (43), Not. Stoeber aîné n° 2452
Inventaire de la succession de Jean Michel Maechling fils, brasseur décédé le 8 avril dernier – à la requête d’Ursule Muehl la veuve, d’André Vix jardinier tuteur de Caroline issue du premier mariage du défunt avec Marie Madeleine Hoh, en présence de Henri Steinbach, jardinier cultivateur, subrogé tuteur de ladite mineure
dans la maison brasserie au tilleul au fauxbourg de Saverne n° 27 appartenant au père du défunt
propres de la veuve, apports 393 fr, dettes actives 400 fr, reprises 1260 fr, total de la masse 2053 fr
appartenant aux enfants de la succession de Marie Madeleine Hoh, suivant actr reçu Stoeber le 23 octobre 1809, meubles 855 fr et dû 179 fr
propres, meubles 301 fr, garde robe 225 fr, argenterie 93 fr, créances 120 fr, total 740 fr, passif 4115 fr, déficit 3374 fr
communauté, meubles 40 fr, argenterie 86 fr, ustensiles de brasserie 841 fr, dettes 718 fr, numéraire 462 fr, total 2148 fr, passif 1829 fr, reste 319 fr
Enregistrement, acp 122 F° 109 du 26.5.
Propriétaire d’un quart de la maison hérité de sa fille veuve de Jean Frédéric Haffermann, Anne Ursule Bœckel veuve de l’huilier André Mühl meurt en 1830
1830 (13.3.), Strasbourg 2 (69), Me Weigel n° 6413
Inventaire de la succession d’Anne Ursule Boeckel veuve d’André Mühl, fabricant d’huile décédée le 21 sept. dernier – à la requête d’André Mühl, propriétaire, 2. Caroline Mühl épouse de Henri Magnus, boucher, 3. Anne Ursule Mühl veuve de Michel Mechling, brasseur, Geoffroi Mühl, propriétaire, seuls et uniques héritiers de leur mère
dans la maison mortuaire rue des Petites boucheries n° 105
mobilier, dans une chambre au second étage de la maison susmentionnée éclairée sur la rue des Petites boucheries, dans une chambre à côté, dans la cuisine, dans la maison Grand rue 789 fr, numéraire 768 fr
immeuble les 20/40 de la maison, petite cour, appartenances et dépendances sise à Strasbourg Grand rue marquée n° 86, d’un côté le Sr Glock, d’autre le Sr Bernhard farinier, devant la rue, derrière N. Sery – de la communauté de la decujus, André Mühl l’a acquis de Camille Barbier et consorts par acte Me Bremsinger le 6 nivose 6, Barbier acquis de Henninger susnommé le 11 thermidor 9, acquis sur l’Etat, adjudication des Administrateurs du Bas Rhin 15 vendemiaire même année, la decujus propriétaire de 2/5 et demi, communauté 5/10., 2) 1/40 de la succession de son fils Jonathan, 6300 fr
6. le quart indivis d’une maison et dépendances sise rue des Petites Boucheries n° 106, d’un côté la De Steckel née Kiehner, d’autre le Sr Ohlmann – de la succession de Marie Madeleine Mühl veuve de Jean Frédéric Haffermann, marchand, Me Weigel le 2 juin 1829, par testament reçu Weigel notaire le 22 décembre 1828 la veuve Haffermann a légué à sa sœur Anne Ursule Mühl veuve de Michel Mechling l’ensemble des meubles et immeubles qu’elle a délaissés, la totalité de la valeur de ces immeubles 6700 fr
vignes à Lampertheim, Mittelbergheim, total 8258 francs
acp 198 (3 Q 29 913) f° 159 du 20.3.
Anne Ursule Mühl, veuve de Michel Maechling, légue l’usufruit de la maison à sa sœur Caroline Mühl veuve du boucher Jean Henri Magnus et la nue-propriété à ses neveux, enfants de la précédente
1843 (9.5.), Strasbourg 12 (160), Me Noetinger n° 15.894
9 Mai 1843. Donation entre vifs – A comparu Dame Anne Ursule Mühl, veuve du Sieur Michel Maechling, en son vivant brasseur à Strasbourg où cette Dame demeure, Laquelle a par les présentes fait donation entre vifs et irrévocable, par préciput et hors part
1) A Dame Caroline Mühl, sa sœur germaine veuve de feu le Sr Jean Henri Magnus, vivant boucher & membre du Conseil municipal de Strasbourg
2) Et aux enfants de la D. Magnus, ses neveux ci après nommés 1° M. Henri Edmond Magnus, commis négociant, majeur, 2° M. Jonathan Albert Magnus, boucher, aussi majeur, 3° M. Adrien Emile Magnus, également majeur & boucher, 4° Et Mlle Caroline Magnus, encore mineure, sous la tutelle naturelle & légale de Mad. Dame v. Magnus sa mère, Tous les susnommés demeurants & domiciliés à Strasbourgn à ce présents & acceptant avec reconnaissance
à Mad. V. Magnus L’usufruit viager qui cependant ne commencera qu’à partir du jour du décès de la donatrice qui en fait la réserce ainsi qu’on le dira plus loin
Et aux quatre enfants Magnus La nue propriété pour y réunir l’usufruit lors du décès du dernier vivant de la donatrice & de la De V. Magnus leur mère
D’une Maison consistant en bâtiment de devant & de derrière, petite cour, puits avec ses autres droits, appartenancess & dépendances le tout situé à Strasbourg, rue des petites boucheries N° 106, tenant d’un côté au S Weckel, aubergiste, de l’autre côté à M Ohlmann, propriétaire, par devant la rue et par derrière M. Henri Edmond Magnus l’un des donataires (…) ainsi que les volets, jalousies, les fourneaux tant murés que non murés avec leuts pierres & tuyaux, les armoires de la Bibliothèque au rez de chaussée & les séparations en lattes de la cave.
La donatrice V. Maechling est propriétaire de lad. maison comme légataire universelle de tous les biens meubles et immeubles laissés par feu De Marie Madeleine Mühl, sa sœur, vivant veuve de feu le Sieur Jean Frédéric Haffermann, de Strasbourg, aux termes du testament public de cetet Dame reçu par M° Weigel, notaire à Strasbourg le 22 décembre 1828, enregistré à Strasbourg le 27 du même mois. (…) En outre cette donation a été faite à charge par les quatre enfants Magnus qui s’y obligent sous lad. solidarité, Mde V. Magnus pour sa fille encore mineure, de verser dans la Masse de la succession de la donatrice la somme de 15.000 francs (…) Les parties déclarent que pour asseoir la perception des droits d’enregistrement & sans que de cette déclaration il puisse résulter aucune modification des présentes elles évaluent ladite maison à un revenu annuel de 800 francs
acp 310 (3 Q 30 025) f° 3
Caroline Mühl veuve de Jean Henri Magnus meurt en 1863 en délaissant pour héritiers ses trois enfants
1863 (28.11.), M° Noetinger
Inventaire par déclaration de la succession délaissée par Caroline Mühl veuve de Jean Henri Magnus, vivant boucher à Strasbourg, décédée le 30 mai 1863, dressé à la requête de 1) Henri Edmond Magnus, propriétaire à Strasbourg, 2) Jonathan Albert Magnus, propriétaire à Strasbourg, 3) Caroline Magnus, épouse de Jacques Schiltz, professeur de musique à Strasbourg
acp 527 (3 Q 30 242) f° 70 du 30.11. (succession déclarée le 30 9.bre 1863)
Il dépend de ladite succession 1) un mobilier estimé à 527, 2) aregnt 46, 3) créances et intérêts 12.125
4) une maison à Strasbourg rue des Lentilles N° 10
5) 1/16 d’une maison rue des petites boucheries N° 11
6) 17/64 d’une maison faubourg de Pierre N° 49
Jonathan Magnus devient seul propriétaire de la maison
1866 (30.1.), M° Noetinger
1. Henri Edmond Magnus, rentier à Strasbourg, 2) Caroline Magnus épouse de Jacques Schilt, professeur de musique à Strasbourg
à Jonathan Albert Magnus, leur frère, propriétaire à Strasbourg
des deux tiers indivis avec l’acquéreur propriétaire d’un autre tiers d’une Maison sise à Strasbourg rue des petites boucheries N° 11, moyennant 40.000 francs pour la totalité, soit 26.666 francs pour les deux tiers – Origine, donation reçue Noetinger le 9 mai 1843 et héritage d’Adrien Emile Magnus frère et héritage de Caroline Mühl veuve Magnus leur mère
acp 550 (3 Q 30 265) f° 75-v du 7.2.
Jonathan Albert Magnus vend la maison à Louis Kniffler, marchand à Düsseldorf
1873 (7.8.), Strasbourg 4 (138), Not. Charles Lauterbach n° 739
Erschienen Herr Jonathan Albert Magnus, Gutsbesitzer zu Strassburg wohnend (erklärte verkauft zu haben)
An Hn Louis Kniffler, Kaufmann zu Dusseldorf wohnhaft, heute zu Strassburg sich aufhaltend
Eine zu Strassburg gelegenen Liegenschafrt bestehend in a) Einer Wohnbehausung mit Vorder: und Hinter: Gebäuden, kleiner Hofraum, Brunnen, Kleine Metzge: gasse N° 11, früher Nummer 106, begränzt einerseits durch den Gasthof zur Hohen: Steg, anderseits durch das Eigenthum des H. Willard, vorn die Gaßen, hinten nach bezeichnete Liegenschaft.
b) Einer Wohnbehausung mit Hofraum, Thomanns Gaße N° 20, früner N° 9, begrenzt einerseits durch den Gasthof zur Hohen: Steg, anderseits H. Dangler Spezerei händler, vorn die Thomanns-Gaße und hinten zum theil der Gasthof zur Hohen: Steg
Mit allen Rechten und Zubehörden und mit allem was in den Gebäuden, Wand, Band, Nagelfest und eingemaurt ist, und durch das Gesetz oder durch die Bestimmung des Besitzers als liegender Gut angesehen ist. Es sind im Verkauf einbegriffen alle sich in der Liegenschaft befindenden Oefen, mit Ausnahm jedoch des sich im Cabinet des H Magnus vorfindenden Ofens, der durch einen andern ersetzt wird.
Eigenthums Herkunft. H. Magnus erklärt Eigenthümer dieser Liegenschft auf folgender Art goworden zu sein.
A. In Betreff des Hauses Klein Metzge: Gaße nummer eilf. Er habe deßen Zwei dritte gekauft von 1° seinem Bruder H Henri Edmond Magnus, Rentner, 2° und seiner Schwester Caroline Magnus, ermächtigte Ehefrau des H. Jacques Schiltz, Musiklehrer, alle zu Strassburg wohnend, mittelst einer baar bezahlten Preises von 26.666 Franken laut eines durch Notar Victor Noetinger in Strassburg am 30. Januar 1866 aufgenommenen Licitations Kaufes.
Das ganze Haus wurde schenkungsweise übergeben durch die Frau Anne Ursule Mühl, Wittwe des zu Strassburg verstorbenen Bierbrauers H Michel Maechling an die Frau Caroline Mühl, Wittwe des verlebten Metzgers und Gemeinde Raths Mitglied H Jean Henri Magnus zum lebenslänglichen Genuß und für der nackte: Eigenthum: an ihre drei Kinder, der Verkäufer H Jonathan Albert Magnus und die vorbenannten Henri Edmond Magnus und Caroline Magnus Frau Schiltz und H. Adrien Emile Magnus verlebter Metzger in Strassburg, laut einer durch Notar Charles Noetinger in Strassburg am 9. Mai 1843 aufgenommene und im Hypotheken Amte zu Strassburg am 16. des nämlichen Monats, Band 400 Nummer 18, überschriebenen Schenkungs Urkunde. Den vorgezogenen Licitations und Schenkungs Urkunden zufolge ist der Verkäufer einzig und allein Eigenthümer dieser sämmtlichen Wohnbehaußung geworden.
Dieselbe hatte der Wittwe Maehling zugehört in ihrer Eigenschaft als universal Legataria ihrer Schwester Marie Madeleine Mühl verlebte Wittwe des H Jean Frédéric Hoffermann von Strassburg, laut deren öffentlichen durch Notar Weigel von Strassburg am 22. Dezember 1808 aufgenommenen Testaments. H. Adrien Emile Magnus ist zu Strassburg ab intestat gestorben hinterlaßend für seine einzige Erben seine Mutter für einen vierten Theil und seine hier obengemeldten Geschwister für die drei anderen Theilen, Zufolge ist sein Antheil oder der vierte Theil des Hauses in dem nämlichen Verhältniße seiner Mutter und seinen Geschwistern zugefallen. Die Frau Caroline Magnus gebohrne Mühl ist zu Strassburg am 30. Mai 1863 gestorben, hinterlaßend für einzige Erben ihre drei Kinder, die gedachten HH. Henri Edmond & Jonathan Albert Magnus und Frau Schiltz, so wie es erhellt aus einem durch genannten Notar Charles Noetinger am 28. September 1863 errichteten Inventariums.
B. In Betreff des Wohnhauses, Thomannsgaße N° 20. H. Magnus habe es erkauft von H. Henri Edmond Magnus, Gutsbesitzer zu Straßburg wohnend, mittelst einer baar bezahlten Preises von 5000 Franken, laut eines durch Notar Victor Noetinger von Strassburg am 28. Januar 1866 aufgenommenen und im Hypotheken Amte zu Strassburg am 12. nachfolgenden Februar Band 1046 Nummer 88 überschriebenen Kaufcontracts. H. Henri Edmond Magnus hatte diese Liegenschaft selbst gekauft von Catherine Josephine Hodel, Wittwe des zu Strassburg verlebten Eisenhändlers Jean Georges Faudel und von den Erben dieses letztern, laut eines Steigerungs protocolls errichtet durch H. Rencker damals Notar Zu Strassburg am 10. April 1843 mittelst eins Preises deßen Zahlung der Verkäufer dem Käufer bewiesen hat:
Die Eheleuth Faudel waren selbst Eigenthümer der gedachten Liegenschaft um sie gekauft zu habe von H. Jacques Hertz, Schuster und Fräulein Elisabeth Hertz von Strassburg laut eines durch H. Tinchant damals Notar zu Strassburg am 19. Märtz 1838 aufgenommenen und im Hypotheken Amte zu Strassburg am 3. nachfolgenden April Band 331 N° 122 überschriebenen Kaufes.
Genuß Antritt und Kaufbedingungen (…) Artickel fünf. Der Ankäufer ist befugt ein Passage im Erdgeschoß, auf der Breite des Hofes und in der Höhe des Corridors durch zubrechen, sobald er in deßen Rücksicht sich mit den Mietherrern wird vereinigt haben ohne daß diese der Verkäuffer deßwegen ansuchen Können – Preis 102.000 Franken
Civil: Stand: Erklärung. Der Verkäufer erklärt das er unverheirathet und von keiner Vormundschaft beladen ist – Im Jahr 1873 den 7. August
[in margine:] transcrit le 28 octobre 1873 volume 1448 N° 56 et inscrit d’office vol. 1157 N° 72.
acp 619 (3 Q 30 334) f° 70-v du 18.8.
Notice biographique
Louis Kniffler, né le 14 janvier 1827 à Wetzlar sous le nom de Franz Ludwig Albert Kniffler, de l’inspecteur des contributions Franz Tillmann Kniffler et de sa femme Maria Stein, mort à Düsseldorf le 20 mai 1888. Marchand et entrepreneur au Japon et à Düsseldorf. Vice-consul de Prusse à Nagasaki (1861-1865). Epouse le 24 septembre 1866 Hedwig Pfeffer, fille du médecin Adolphe Pfeffer, âgée de 19 ans.
notice sur Wikipédia
Louis Kniffler céde à Edouard Lœwenthal de Berlin le droit au bail accordé à Oscar Vogel
1875, Enregistrement de Strasbourg, ssp 162 (3 Q 31 661) f° 96 du 23.1.
Privatschrift vom 15 September 1873 – Miethvertrag zwischen L. Kniffler Kaufmann zu Düsseldorf einerseits
& Eduard Löwenthal zu Berlin anderntheils, ist folgendes beschlossen worden.
Kniffler gibt seine Einwilligung daß Loewenthal in die Contractsrechte von Oscar Vogel tritt, welche die Localitäten Hohersteg N° 11 betreffen. Löwenthal verpflichtet sich jedoch vom 25. Dezember 1874 ab, ohne Entschädigung jeglicher Art zu gestatten, daß Kniffler die Baulichkeiten vernimt*, welche zur Herstellung der projectirten Passage vor nötig erachtet werden sollten mit der Massgabe daß Kniffler alle Anstalten trifft die nothwendig sind, um das Geschäft, das in dem Magazine getrieben wird, nicht zu stören. Kniffler behält sich vor, keiner Schadensersatz für Beschädigung an Waaren oder durch Diebstahl welche sich während der Bauten verfinden könnten, nach an Oscar Vogel Entschädigung zu gewähren.
Kniffler verpflichtet sich, nach Ablauf des Vogelischen Contracts, denselben Contract unter derselben Bedingungen auf weitere 5 Jahre zu prolongiren, wann Loewenthal es wünschen sollte, mit der Bedingung daß die Miethe werde ab auf 3200 frcs festgesetzt werde soll Loewenthal gehalten sein am 25 Juni 1875. seine Verlängerung* anzumelden, 3200 x 5 = 15.000
Louis Kniffler vend à Joseph Loew Erlenbach, marchand à Nuremberg, les maisons sises 11, rue des Petites Boucheries et 20, rue Thomann
1875 (3.6.), M° Lauterbach
Verkauf durch den Bevollmächtigten von Ludwig Kniffler, Kaufmann zu Düsseldorff und Hedwig Pfeffer, seiner Ehefrau
an Joseph Erlenbach, Kaufmann zu Nürnberg
1) Ein Wohnhaus nebst neben Gebäude Zu Straßburg Kleine Metzgerstrasse N° 11
2) Ein Haus zu Straßburg Thomansgasse N° 20, für 80.000 Mark, wovon 24.000 Mark bezalt, 40.000 Mark zahlbar an Jakob Richert Bierbrauer zu Straßburg, gläubiger nach Akt von Notar Lautenbach den 3. Juli 1874, und 16.000 Mark – Erwerbs Titel, Kauf Lauterbach den 7 August 1875.
acp 641 (3 Q 30 356) f° 40-v du 9.6. n° 1951
Notice biographique
Joseph Loew Erlenbach, né à Fürth le 13 janvier 1822, mort à Berlin le 21 avril 1894, fils de Seligmann Meier Erlenbach (patenté pour faire commerce de mode et de nouveautés le 1 février 1821) et de Golda Frankel, épouse le 18 septembre 1851 Jeannette (Minka) Arnstein, née le 30 août 1829, fille de Arnold (Ahron) Arnstein et d’Adélaïde Kohn, dont
1) Betty Erlenbach (17 mai 1852, Fürth – 11 mars 1922) x 2 septembre 1890 Sidney Rink (Rindskopf) né le 2 février 1857 à Haguenau
2) Oscar, infra
3) Max Erlenbach (24 février 1855, Fürth – 22 juillet 1925), converti au luth. en 1888 x 19 avril 1900 Jeanne Reinhardt (8 juin 1877)
4) Robert Erlenbach (14 mai 1856, Fürth – 13 août 1933), marchand à Nuremberg. x 23 octobre 1892, Mathilde Meyer (29 octobre 1872)
5) Nanette Erlenbach (2 décembre 1857, Fürth – 17 décembre 1950) x 31 janvier 1884, Léopold Gutmann (9 mars 1849 – 21 octobre 1921)
6) Doris Erlenbach (10 janvier 1859, Fürth – 23 avril 1932) x 20 janvier 1889, Arthur Rappaport (19 avril 1864 – 23 mars 1923.)
7) Anne Erlenbach (26 septembre 1866 – 30 septembre 1960), x 20 septembre 1891, Leopold Oppenheimer (7 mars 1862 – 11 janvier 1923)
8) Arnaud Erlenbach (25 mars 1868, Nuremberg – 16 mai 1937), docteur en chimie, x Lina Engerer (21 septembre 1885
9) Edgar Erlenbach (26 septembre 1874, Nuremberg – 7 mars 1928 docteur en chimie
(Voir les notices biographiques Lorlebergplatz)
La maison revient à Oscar Erlenbach et à Nanette Erlenbach femme de Léopold Gutmann
Oscar Erlenbach, né à Fürth le 21 mai 1853, mort à Karlsruhe le 8 juillet 1938, marchand, fils de Joseph Lœw Erlenbach et de Jeannette (Minka) Arnstein, épouse le 23 avril 1890 Anne Reine Ettlinger, née le 30 septembre 1862.
Naissance, Strasbourg (n° 2774) Strassburg am 22. September 1891. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Kaufmann Oskar Erlenbach, wohnhaft zu Strassburg, am Hohensteg 11, israelitischer Religion, und zeigte an, daß von der Anna geborne Ettlinger, seiner Ehefrau, israelitischer Religion, wohnhaft bei ihm zu Straßburg in seiner Wohnung am 21. September des Jahres 1891 Nachmittags um ein Uhr ein Kind weiblichen Geschlechts geboren worden sei, welches den Vornamen Alice erhalten habe (i 108)