25, place Kleber
Place Kleber n° 25 – IV 448 (Blondel), N 736 puis section 61 parcelle 13 (cadastre)
Enseigne A la ville de Mulhouse (depuis 1842) – Démolie en avril 1935
Maison arrière sise rue du Coin brûlé n° 5
Le n° 25 à gauche, Hôtel de Mulhouse (vers 1930, AMS cote 1 Fi 26)
Vue en août 2024. Le n° 25 se trouvait à la place du bâtiment central
Projet de façade (Emile Deuchler, 1933, dossier de la Police du Bâtiment)
La veuve et le fils du tailleur Valentin Trutzel vendent en 1587 la maison qui comprend un bâtiment avant sur la place des Cordeliers et un bâtiment arrière vers le Coin Brûlé au notaire Balthasar Huldrich, au nom duquel elle figure dans le Livre des communaux (1587) pour une porte de cave sur le communal. Le tailleur Barthelémy Herber en est propriétaire pendant trente ans (1595-1625), le barbier Jean Martin Scherbaum aussi pendant trente ans (1659-1689). Elle appartient ensuite à l’horloger Jean Frédéric Rœhrmann qui exerce son métier sans tenir compte des règlements. Le revendeur André Schæffer place en 1712 un auvent de dix-neuf pieds et demi de long en saillie de quatre pieds sur la façade. Jean Georges Weisshaar, apprêteur de tabac puis aubergiste, achète en 1720 la maison qui reste propriété de ses descendants jusqu’en 1861. Le tonnelier Georges Frédéric Weisshaar est autorisé en 1765 à réparer sa porte de cave horizontale à condition qu’elle soit au même niveau que le pavé.
La maison est la troisième à partir de la droite, Plan-relief de 1727 (Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 139 (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade est la deuxième à gauche du repère (g) : porte puis deux fenêtres au rez-de-chaussée, deux étages à deux grandes fenêtres chacun, toiture à deux niveaux de lucarnes. La façade rue du Coin Brûlé est la troisième à droite de (k) : deux fenêtres entourées de deux portes, deux étages à deux fenêtres et troisième étage à une fenêtre. La cour H représente l’arrière (3-4) du bâtiment sur la place et l’arrière (1-2) du bâtiment rue du Coin-Brûlé.
La maison porte d’abord le n° 29 (1784-1857) puis le n° 25.
Cour H
Dessins du bâtiment rue du Coin Brûlé (Müller et Mossler, 1914, dossier de la Police du Bâtiment)
Le traiteur Charles Treuschel met en vente en 1842 la maison, exploitée comme auberge à l’enseigne À la ville de Mulhouse, dont sa femme est devenue propriétaire en 1839. L’aubergiste Jean Voltz l’acquiert en 1861. Il fait ajouter en 1875 un étage en pan de bois à la maison dont le rez-de-chaussée et deux étages sont en maçonnerie, le troisième en pan de bois. Le brasseur Freysz fait aménager en 1894 une devanture rue du Coin Brûlé et abaisser le toit vitré du troisième au premier étage. Frédéric Mutschler fait faire des travaux en 1909 pour pouvoir exploiter l’hôtel et le débit de boissons.
L’architecte G. Haudenschild demande en 1924 au nom de la Brasserie Dombasle l’autorisation de reconstruire la façade des n° 25 et 26, place Kleber suivant le nouvel alignement. Le projet soumis par l’architecte Falk est approuvé en décembre 1926 par la Commission des Beaux-Arts. Le bâtiment qui donne dans la rue du Coin brûlé n’est plus entretenu et sert de dépôt d’ordures en 1932.
L’architecte Emile Deuchler présente en 1933 au nom de la Société Immobilière Lorraine les plans pour reconstruire les n° 25 et 26. Le maire enjoint en mai 1934 la Société Immobilière Lorraine de faire démolir les bâtiments qui menacent ruine. Les bâtiments sont démolis en avril 1935, les murs des voisins étançonnés.
La Société immobilière Station Kléber demande en avril 1935 l’autorisation de construire une station-service provisoire pendant la construction de l’hôtel dans un délai de trois ans. L’architecte Tim Helmlinger soumet en 1936 un projet de construire un garage de 80 places sur plusieurs niveaux. La Société Immobilière Kleber acquiert le terrain en 1937. L’étançonnage est régulièrement vérifié, la clôture réparée (1938-1947).
Projets Falck (1926)
Projet Emile Deuchler (1933, façade rue du Coin-Brûlé, façades place Kleber)
Dessin de Brion et Martin (1935) – Projet de façade (1935 Charles Hunzinger) , dossier de la Police du Bâtiment)
janvier 2025
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1584 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Valentin Trutzel, tailleur, et (1563) Alathée Weisser, remariée (1577) avec le tanneur Etienne Ettlinger – luthériens | ||
h | Thomas Trutzel, tailleur, et () Anne Ulrich – luthériens | |
1587 | v | Balthasar Huldrich, notaire, et (1571) Anne Hochfelder – luthériens |
1595 | v | Barthelémy Herber, tailleur, et (1591) Chrétienne Heitz – luthériens |
1625 | v | Christophe Merckelbach, marchand, et (1601) Marguerite Kürn puis (1612) Véronique Schilling – luthériens |
1630* | Jérémie Rebstock, bailli, et Barbe Brunn puis (v. 1611) Anne Marie Wildersinn, remariée (1652) avec le notaire Urbain Kissel – luthériens | |
1652 | h | Urbain Kissel, notaire, et (1612) Marthe Grundlinger, (1624) Marie Salomé, d’abord femme du receveur Jean Winter, (1638) Judith Raff, d’abord femme du boulanger Louis Velder, (1641) Marie Kips, (1652) Anne Marie Wildersinn, veuve de Jérémie Rebstock – luthériens |
1657 | v | Jean Henri Mittel, imprimeur, et (1627) Marguerite Kempffer – luthériens |
1659 | v | Jean Martin Scherbaum, barbier, et (1655) Marguerite Woltz puis (1657) Catherine Trenner – luthériens |
1689 | v | Jean Frédéric Rœhrmann, horloger, et (v. 1693) Marie Elisabeth Herrmann – catholiques |
1703 | v | Jean Adam Runckel, orfèvre, et Susanne Helck puis Marie Catherine Redslob – luthériens |
1711 | v | François Gombault, chirurgien, et Jeanne Deshaies puis (1704) Marie Eléonore Spetter veuve du boulanger Jean Mercier – catholiques |
1712 | v | André Schæffer, revendeur, et (1685) Anne Marguerite Ehrlen – luthériens |
1720 | v | Jean Georges Weisshaar, apprêteur de tabac puis aubergiste, et (1688) Anne Elisabeth Spuhl, veuve de Mathias Gross puis (1713) Marguerite Niefferlin, remariée (1728) avec le tonnelier Etienne Schreiber – luthériens |
1768 | h | Georges Frédéric Weisshaar, tonnelier et marchand de vins, et (1749) Marie Madeleine Bleyfuss – luthériens |
1783 | h | Jean Georges Fischer, brasseur, et (1771) Marie Madeleine Weisshaar – luthériens |
1803 | h | Philippe Frédéric Gœrgen, tonnelier, et (1799) Marguerite Salomé Fischer |
1817 | h | Jean Georges Meyer, tonnelier, et (1812) Anne Marie Hammann puis (1828) Marguerite Nicklaus |
1839 | h | Charles Treuschel, bonnetier, et (1836) Caroline Walder puis (1838) Sophie Meyer |
1861 | v | Jean Voltz, aubergiste, et (1856) (Barbe) Louise Fleckstein |
1885 | v | Chrétien Arnold, aubergiste, et (1872) Elise Siegwald |
1912* | v | Ernest Müller, restaurateur, et Antoinette Hessing (voir ensuite le n° 26) |
1920 | v | Joseph Fournaise, restaurateur, et (1907) Amélie Fega |
1925* | v | Société Immobilière Lorraine, société anonyme à Paris |
1938* | v | Société Immobilière de la Place Kléber, s.à r.l. |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1 000 livres en 1725, 750 livres en 1763
(1765, Liste Blondel) IV 448, Etienne Schreiber
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Weißhaar Wittib, 4 toises, 5 pieds et 11 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 736, Meyer, Jean Georges, tonnelier – maison, sol – 0,8 are / Treuschel rue de l’Ecole
Locations
1702, manante Dansay
1705, Luc Hericourt, musicien
Hôteliers (1895-1923) Müller, Menger, Burg, Frédéric Mutschler (1909), Frédéric Wasser, Xavier Vogelbacher
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 171
Le notaire Balthasar Huldreich règle 3 sols 4 deniers pour sa maison place des Cordeliers, à savoir une porte de cave inclinée (6 pieds de long, saillie de 3 pieds ½)
Barfüesser Platz
Balthasar Huldreich der Notarius hatt vor seinem Hauß ein lehenete Kellerthüer vj schu lang Vnd iii+ schu herauß, Bessert für das Niessen, iij ß iiij d
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1712, Préposés au bâtiment (VII 1385)
Le revendeur André Schæffer demande l’autorisation de placer un auvent (19 pieds ½ de long, saillie de 6 pieds), de placer à l’horizontale la porte de cave inclinée (4 pieds ½ de long, 3 pieds ½ da large) et un étal pliable (14 pieds ½ de long). Les préposés au bâtiment accordent l’autorisation après viste des lieux mais la saillie de l’auvent ne devra pas dépasser quatre pieds. Le cens sera fixé une fois les travaux terminés – une livre cinq sols en 1714.
(f° 113-v) Mittwochs den 21. Xbris 1712. – Andreas Schäffer
Augenschein eingenommen auff dem Baarfüßerplatz neben Johann Friedrich Zeisolfs, des Kupfferschmidts Hauß gelegene behausung, darvor Er ein Wettertach, 19 ½ schuhe lang, und 6. schuhe Vom hauß heraus breit, die lehnende Kellerthür, welche 4 ½ schuhe lang undt 3 ½ schuhe breit ist, ligend, und die außsatz banck und 14 ½. schuhe lang machen Zulaßen willens ist. Erk. Bedacht
(f° 119) Montags den 2. Januarÿ 1713 – Andreas Schäffer
Wegen des am 21. Xbris 1712. eingenommenen augenscheins an Andreæ Schäffer des Krempen behausung auff dem Baarfüßer platz ist Erk: Würd dem Imploranten erlaubt, das Wettertach, 19 ½ schuhe lang aber nur Vier schuhe breit, die Kellerthür aber Vnd die außsatz banck Verlangtermaßen machen Zulaßen undt soll der Zinnß, wann alles fertig sein würd, regulirt werd.
1714, Préposés au bâtiment (VII 1386)
(f° 67-v) Dienstags den 17. Julÿ 1714. – Andreas Schäffer pt° Allmendt Zinnßes
Wegen der am 3. Januarÿ Anno 1713. Andreæ Schäffer dem Krempen, gegebenen erlaubnus ein 19 ½ schuhe langen und vier schuhe breites Wettertach und 14 ½. schuh lange außsatz bänck, Vor seine auff dem Baarfüßerplatz liegende behausung machen Zu laßen, ist Erk. Soll derselbe jährlich und auff Annunciationis Mariæ 1714. Zum ersten mahl 1. lb 5 ß d allmend Zinnß davon Zuerlegen schuldig sein.
1765, Préposés au bâtiment (VII 1411)
Le tonnelier Georges Frédéric Weisshaar est autorisé à réparer sa porte de cave horizontale à condition qu’elle soit au même niveau que le pavé
(f° 60-v) Dienstags den 15. Ejusdem [Januarÿ] – Georg Friderich Weißhaar
Augenschein eingenommen an Georg Friderich Weißhaar des Kieffers hauß auff dem Baarfüßerplatz, welcher umb erlaubnus gebetten, seine auff dem Allmendt liegendt Kellerthür repariren Zu laßen. Erkannt, willfahrt, mit condition daß dieselbe liegend dem Pflaster Zugleich gemacht werde.
1767, Préposés au bâtiment (VII 1412)
Le tonnelier Georges Frédéric Weisshaar est autorisé à modifier une petite fenêtre vers le Coin brûlé
(f° 66) Dienstags den 10. Martÿ 1767. – Georg Friedrich Weißhaar
Georg Friedrich Weißhaar der Kieffer bittet umb erlaubnus ein Klein fensterlein an seinem hauß im brendteinend Zu verändern. Erkannt willfahrt.
1770, Préposés au bâtiment (VII 1414)
Le marchand de vins Georges Frédéric Weisshaar est autorisé à repeindre la façade en gris perle
(f° 32) Dienstags den 24. Julÿ 1770 – Georg Friedrich Weißhaar
Georg Friedrich Weißhaar dem weinhändler wird erlaubt sein hauß auff dem baarfüßer platz perlfarb anzustreichen.
1784, Préposés au bâtiment (VII 1421)
Le maître maçon Gruber est autorisé au nom du tonnelier Georges Fischer à réparer et à repeindre ses deux maisons place d’Armes
(f° 113) Dienstags den 8. Junii 1784. – Georg Fischer Kiefer
Herr Gruber, der Maurer, nôe Georg Fischer, des Kiefers, bittet zu erlauben deßen Zwei an dem Place d’Armes gelegene Häuser ausbeßern und anstreichen Zu laßen. Erkannt, Willfahrt.
Description de la maison
- 1725 (billet d’estimation traduit) La maison qui a une issue dans la rue du Coin brûlé comprend un bâtiment arrière, plusieurs poêles, chambres, cuisines, un petit poêle et une dépense pour officier, deux vestibules dont l’un est pourvu d’un fourneau et d’un évier et l’autre d’un évier seulement, la cave est moitié voûtée moitié solivée, la petite cour est dallée, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 2000 florins.
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
2° arrondissement ou Canton nord – Place d’Armes
nouveau N° / ancien N° : 55 / 29
Georges
Rez de chaussée et 3 étages mauvais en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 21 f° 208 case 4
Treuschel, R. de l’école à Strasbourg, Marché neuf 4
N 736, Maison, sol, place d’armes 29
Contenance : 0,80
Revenu total : 162,42 (162 et 0,42)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 29 / 23
fenêtres du 3° et au-dessus : 8 / 6
Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1059 case 2
Treuschel, Charles place du Marché neuf 5
1862 Voltz Jean aubergiste
1884 Arnold Christian Gastwirt
1903 Arnold Christian Rentner u. Ehefr. Elise geb. Siegwald in G.G. Bischweiler
N 736, Maison, sol, Place Kleber 25
Contenance : 0,80
Revenu total : 162,42 (162 et 0,42)
Folio de provenance : (208)
Folio de destination :
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 29 / 23
fenêtres du 3° et au-dessus : 8 / 6
N 1337/ o 736, Hf
Contenance : 0,18 – total 0,98
Revenu total : 162,42 (162 et 0,42)
Folio de provenance : vom Weg
Folio de destination :
Année d’entrée : 1903
Cadastre allemand, registre 32 page 417 case 3
Parcelle, section 61, n° 13 – autrefois N 736
Canton : Kleberplatz Hs. N° 25
1334/0.736, 2418, 1569
Désignation : Hf. Whs. u. N.G.
Contenance : 1,02 (Reinertrag) 5,10
Revenu : 1900 – 3100
Remarques : 1915 Vereinigung
1936 démoli
1944 voranlg.*
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1921), compte 1751
Arnold Christian u. Ehefr.
1912 Müller Ernst und Ehefr. geb. Hessing
gelöscht 1921
(Propriétaire à partir de l’exercice 1921), compte 2999
Fournaise Joseph restaurateur épouse Amélie née Fega et copropriétaires
1925 Société Immobilière Loraine, société anonyme à Paris
1938 Société Immobilière de la Place Kléber, société à r.l.
(464)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IV, Rue 98 Place d’Armes p. 159
29
Prop. Fischer, Jean Georges, Marchand de vin – Tonneliers
Loc. de Roeder, Mad° la Presidente – Noblesse
Cadastre allemand, registre 32 417 case 3
Parcelle, section 61, n° 13.b – autrefois 1337/0.736
Canton : Kleberplatz Hs. N° 25
Désignation : Hf.
Contenance : 0,18
Revenu :
Remarques :
(Propriétaire), compte 1751 (supra)
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Kleberplatz (Seite 79)
(Haus Nr.) 25
Burg, Hotelbes. Hotel Zur Stadt Mülhausen
Annuaire de 1884 (p. 45, i 166), Arnold, Restaur. E.
Annuaire de 1890 (p. 83, i 261), Arnold, Wirth. 01
Annuaire de 1895 (p. 74, i 263), Müller, Hotelbes., E 1
Annuaire de 1899 (p. 68, i 268), Menger, Hotelbes. Hotel Zur Stadt Mühlhausen. E 1
Annuaire de 1907 (p. 96, i 339), [Arnold, Ch. Bischwlr. E]
Burg, S., Hotelbes. Hotel Zur Stadt Mühlhausen.
Annuaire de 1909 (p. 101, i 344), idem
Annuaire de 1911 (p. 102, i 353), [Arnold, Ch. Bischwlr. E]
Mutschler, F., Hotelbes. Hot. Zur Stadt Mühlhausen.
Annuaire de 1914 (p. 105, i 381), idem
Annuaire de 1920 (p. 147, i 76), [Muller, E., P]
Wasser L., Vve, Hôtel à la Ville de Mulhouse 0123.
Annuaire de 1923 (p. 171, i 99), Fournaise Jos, 26 pl. Kléber
Hôtel de Mulhouse
Vogelbacher, Xav., hôtelier
Annuaire de 1925 (p. 161, i 94), Grande Brasserie de Dombasle-Nancy
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 727 W 55)
Place Kléber, n° 25 (1875-1970)
Le propriétaire Voltz charge en 1875 les entrepreneurs Petiti et Klotz d’ajouter un étage en pan de bois à la maison dont le rez-de-chaussée et deux étages sont en maçonnerie, le troisième en pan de bois. Le brasseur Freysz fait aménager en 1894 un puits de descente dans le trottoir, une devanture rue du Coin Brûlé et abaisser le toit vitré du troisième au premier étage. Le propriétaire Chrétien Arnold fait aménager des cabinets d’aisance en 1895. Il déclare en 1907 que son voisin Grumbach a avancé sa maison dont le pignon non crépi nuit à ses affaires et demande à la Ville d’intervenir. Frédéric Mutschler fait faire des travaux en 1909 pour pouvoir exploiter l’hôtel et le débit de boissons. L’entreprise Ernest Diebold remplace en 1914 des poutres en bois pourries par des poutres en fer sous la direction des architectes Müller et Mossler.
L’architecte G. Haudenschild demande en 1924 au nom de la Brasserie Dombasle l’autorisation de reconstruire la façade des n° 25 et 26, place Kleber suivant le nouvel alignement. La Commission des Beaux-Arts approuve en décembre 1926 le projet soumis par l’architecte Falk au nom de la Brasserie Dombasle. Le Service d’architecture fait un dessin de la toiture qui se raccorde aux bâtiments voisins. La Police du Bâtiment accorde dérogation que le bâtiment arrière ait la même hauteur que le bâtiment avant.
Le bâtiment qui donne dans la rue du Coin brûlé n’est plus entretenu et sert de dépôt d’ordures en 1932.
L’architecte Emile Deuchler présente en 1933 au nom de la Société Immobilière Lorraine les plans pour reconstruire les bâtiments n° 25 et 26. La façade place Kleber sera revêtue de pierres de taille (grès rouge des Vosges) comme celles de l’Aubette, le pignon visible vers le nord sera peint en blanc, une marquise en béton armé se trouvera au-dessus du rez-de-chaussée. La façade arrière sera en briques enduites de crépi. La ville propose un compromis relatif à la hauteur du bâtiment rue du Coin Brûlé.
Le maire enjoint en mai 1934 la Société Immobilière Lorraine de faire démolir les bâtiments menaçant ruine avant le 31 décembre. Les bâtiments sont démolis en avril 1935, les murs des voisins étançonnés.
La Société immobilière Station Kléber demande en avril 1935 l’autorisation de construire une station-service jusqu’à ce que l’hôtel soit terminé dans un délai de trois ans. Le maire désapprouve l’esthétique du bâtiment provisoire. L’architecte Tim Helmlinger soumet en 1936 un projet de construire un garage de 80 places sur plusieurs niveaux desservis par des monte-charge. Le projet est abandonné en août 1936. La Société Immobilière Kleber acquiert le terrain en 1937. L’étançonnage est régulièrement vérifié, la clôture réparée (1938-1947).
Sommaire
- 1875 – Les entrepreneurs Petiti et Klotz (17, place Saint-Etienne) demandent l’autorisation d’ajouter un étage à la maison qui appartient au sieur Voltz 25, place Kleber. Coupe en marge – L’agent voyer note que la maison sans avance suit l’alignement. Le rez-de-chaussée et deux étages sont en maçonnerie, le troisième en pan de bois. Le quatrième étage (en rosé sur le croquis) sera en pan de bois. La hauteur totale (14,05 mètres) n’atteint pas le maximum réglementaire.
- 1894 – Le brasseur Freysz (demeurant 39, Grand rue) demande l’autorisation de faire des transformations, 1) aménager un puits de descente dans le trottoir, 2) abaisser le toit vitré du troisième au premier étage, 3) aménager une devanture rue du Coin Brûlé N° 1, 4) faire d’autres modifications – Droits payés pour un puits de lumière, un pilier, une baie de magasin et une devanture – Dessin signé par le propriétaire C. Freysz et l’architecte (devanture rue du Coin Brûlé, toit vitré, rez-de-chaussée) – Autorisation de transformer la maison
Suivi des travaux. Le mur en pan de bois est démoli, remplacé par un pilier en fer, le mur est percé pour poser la devanture, septembre 1894. Les peintres et les tapissiers travaillent, octobre 1894. Travaux terminés, novembre 1894. - 1895 – L’entreprise Veuve L. Greiner et F. Peter (17, rue de Molsheim) demande l’autorisation d’aménager des cabinets d’aisance dans la maison qui appartient au sieur Arnold 25, place Kleber – Note de la Police du Bâtiment, il faut séparer l’accès aux cabinets pour messieurs et pour dames jusqu’au plafond – Autorisation de transformer les cabinets d’aisance, 17 octobre 1895 – Travaux terminés, novembre – Dessin
- 1905 – La cloison des cabinets d’aisance n’atteint pas le plafond – Travaux terminés, janvier 1906
- 1907 – Le maire notifie Chrétien Arnold, demeurant à Bischwiller, de faire ravaler la façade du 25, place Kleber – Chrétien Arnold déclare que son voisin Grumbach a avancé sa maison dont le pignon non crépi nuit à ses affaires et demande à la Ville d’intervenir – La Police du Bâtiment note que la maison Grumbach (n° 23) dépasse de 3,50 mètres l’alignement et que le pignon est très sale – Le maire accorde un an de délai – Dossier classé, août 1908.
1908 – G. Embser (37, rue du Faubourg de Pierre) demande l’autorisation d’occuper la voie publique pendant une semaine devant le 25, place Kleber (A la Ville de Mulhouse) – Le commissaire de police transmet la demande au maire – Autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique - 1909 – Dossier suite à un courrier de la Division II. Frédéric Mutschler demande l’autorisation d’exploiter un hôtel et un débit de boissons – Le local ne satisfait pas aux prescriptions ministérielles du 24 mars 1890, au rez-de-chaussée la hauteur est seulement de 2,70 ou 2,60 mètres, au premier étage de 2,25 mètres et la cuisine de 2,30 mètres, les portes du débit s’ouvrent vers l’intérieur, le rez-de-chaussée est mal aéré, les fenêtres vers le Coin Brûlé ne peuvent pas s’ouvrir, le toit vitré empêche la bonne aération. Les chambres d’hôtel aux deuxième et troisième étages n’ont que 2,45 ou 2,50 mètres de haut. Il faudrait supprimer le toit vitré pour se servir de ces pièces. Les deux pièces sous combles dans la maison avant ne peuvent servir de chambre à coucher au personnel qu’en y aménageant des cloisons et en plâtrant les parois de la cage d’escalier (compte rendu de visite signé Deutschmann).
Le rapport signé par Nebelung ajoute les travaux à faire pour continuer à exploiter l’établissement.
Le toit vitré pourrait être conservé s’il était pourvu du système d’aération tel que le propose l’entrepreneur F. Peter (mai 1909)
1909 (juillet) – Courrier de l’entreprise Veuve L. Greiner et F. Peter qui a fait une partie des travaux prescrits dans le rapport. La Police du Bâtiment accorde un délai (février 1910) pour plâtrer les parois en bois.
1910 (février) – Le maire informe le commissaire de police que les prescriptions ont été suivies. - 1909 – Le crépi de la façade rue du Coin Brulé commence à s’effriter – Le maire écrit au propriétaire Chrétien Arnold – Le maire accorde un an de délai. – Travaux terminés, mai 1910
- 1910 – Guillaume Koch (demeurant 52, route de Bischwiller à Schiltigheim) demande l’autorisation de poser un chaudron d’asphalte devant le restaurant Strohl rue du Coin Brûlé. Le commissaire de police transmet au maire – Autorisation – La voie publique n’est plus occupée, juillet 1910
- 1911 – Le peintre en bâtiment Fritz Comment (atelier 21, rue de Zurich, domicile 211, rue du Vieil-Hôpital) demande l’autorisation de peindre en blanc la façade de l’hôtel A la Ville de Mulhouse. – Autorisation – Travaux terminés, août 1911
- 1913 – Le locataire Schmidt se plaint de son logement
- 1914 – Le tenancier Mutschler demande une visite des lieux. La Police du Bâtiment constate que le plancher de la cuisine est défectueux. Elle demande au propriétaire Müller (demeurant 26, place Kleber) de remplacer les poutres en bois pourries par des poutres en fer et de remédier à d’autres défauts (cheminée, escalier du grenier, etc.) – Les travaux sont en cours, mars 1914
1914 – E. Müller demande l’autorisation de faire des travaux sous la direction des architectes Müller et Mossler (19, avenue des Vosges) par l’entreprise Ernest Diebold (10, rue du Fossé des Treize) – Autorisation de faire des travaux rue du Coin Brûlé – Travaux terminés, juin 1914 – Dessin – Calcul statique - 1916 – Commission des logements militaires. Rien à signaler
- 1919 – Dossier suite à un courrier de la Division II et du commissaire de police. Frédéric Wasser demande l’autorisation d’exploiter l’hôtel restaurant sis 25, place Kleber. L’établissement comprend une salle et des cabinets d’aisance au rez-de-chaussée, une cuisine au premier étage, deux chambres d’hôtel au deuxième étage et trois autres au troisième étage. La hauteur des pièces est inférieure à la hauteur réglementaire. Liste des travaux à faire (rafraîchir les murs de la salle et de la cuisine, ouvrir des guichets dans la fenêtres donnant dans la rue du Coin brûlé pour améliorer l’aération, transformer la trappe d’escalier de la cave). – La Police du Bâtiment constate que l’aération est insuffisante, les guichets ne fonctionnant pas toujours
- 1920 – Le restaurateur Wasser se plaint que la salle et la maison ne sont pas entretenues. – Le propriétaire Müller est parti en Allemagne – La maison est exposée à l’adjudication. Le nouveau propriétaire est le sieur Fournaise. – Le ventilateur encastré dans une des fenêtres assure une aération suffisante rue du Coin Brûlé (août1920)
- 1924 (mars) – L’architecte G. Haudenschild (22, boulevard de Nancy) demande au nom de la Brasserie Dombasle l’autorisation de reconstruire la façade des n° 25 et 26, place Kleber suivant l’alignement légal. – La Police du Bâtiment n’a pas d’objection contre la modification de l’alignement. – La Commission des Beaux-Arts approuve le nouvel alignement (3 avril 1924)
- 1926 (décembre) – La Commission des Beaux-Arts approuve l’esquisse n° 3 du projet soumis par l’architecte Falk au nom de la Brasserie Dombasle. Le Service d’architecture a établi un dessin de la toiture qui se raccorde aux bâtiments voisins. La hauteur de la façade rue du Coin Brûlé ne devra pas dépasser celle prescrite par le règlement. – L’architecte D. Falk écrit à l’architecte en chef du Service d’architecture Dopf que le bâtiment rue du Coin Brûlé devrait avoir la même hauteur que celui vers la place.
1927 – L’architecte D. Falk déclare que l’esquisse approuvée n’est pas le n° 3 mais le n° 1 – Il demande que le projet soit exécuté selon la hauteur prévue vers la rue du Coin Brûlé. La hauteur maximale de 10 mètres ne sera dépassée qu’en arrière de l’alignement. – La Police du Bâtiment accorde que le bâtiment arrière ait la même hauteur que le bâtiment avant, la profondeur du bâtiment ne devra pas dépasser 12 à 13 mètres. Seuls deux œils-de-boeuf pourront se trouver dans la toiture, la partie mansardée des combles ne pourra pas servir d’habitation. - 1925 (décembre) – Dossier ouvert suite à un courrier de la Division II. Frédéric Wasser demande l’autorisation d’exploiter l’hôtel restaurant sis 25, place Kleber. La Grande Brasserie Dombasle demande l’autorisation d’exploiter le débit de boissons des 25-26, place Kleber – Hormis la hauteur des pièces, les locaux sont conformes aux prescriptions ministérielles mais devront être réparés. – Pas de travaux (mars, juin, décembre 1926)
- 1928 (octobre) – La concession du débit de boissons est transférée du sieur Delpierre au sieur Melchior
- 1932 (mai) – M. Beyer, directeur du comptoir National d’Escompte de Paris, demeurant 9, rue du Fossé des Tanneurs, informe le Service d’hygiène que le bâtiment qui donne dans la rue du Coin brûlé n’est plus entretenu et qu’il sert de dépôt d’ordures. – La Police du Bâtiment constate les faits et écrit à F. Lucas (demeurant 31, route d’Oberhausbergen), gérant de la Brasserie Dombasle – Il est prévu de démolir les bâtiments pour en construire un nouveau.
1932 (juillet puis septembre) – Nouveaux courriers de M. Beyer
1933 (octobre) – Les bâtiments ne sont toujours pas démolis - 1933 (juillet) – L’architecte Emile Deuchler (22, quai Saint-Nicolas) présente au nom de la Société Immobilière de Construction les plans pour reconstruire les bâtiments sis 25 et 26, place Kleber – La Commission des Beaux-Arts n’a pas d’objection de principe mais souhaite que la toiture ait la même hauteur que celle des numéros 23-24. La hauteur du bâtiment rue du Coin Brulé devra respecter le Réglement de Voirie (Bauordnung).
1933 (septembre) – E. Lucas (demeurant 5, boulevard Jacques Preiss) dépose au nom de la Société Immobilière une demande d’autorisation de construire une maison de rapport. La façade place Kleber sera revêtue de pierres de taille (grès rouge des Vosges) comme celles de l’Aubette. Le pignon visible vers le nord (banque Schwartz) sera peint en blanc. Une marquise en béton armé se trouvera au-dessus du rez-de-chaussée. La façade arrière sera en briques enduites de crépi.
1933 (juillet) – Calcul statique par l’architecte Emile Deuchler
1933 (juillet) – Ernest Lucas demande au maire d’intervenir contre le souhait de la Commission des Beaux-Arts que la toiture vers le nord soit en croupe, en arguant que le bâtiment voisin en avant de l’alignement devra disparaître pour améliorer la circulation. Il rappelle aussi que l’architecte Falk, auteur d’un projet antérieur, a été autorisé à élever une façade plus haute rue du Coin Brûlé, ce qui assurera une bonne rentabilité de l’immeuble. – La Division VI déclare que le toit en croupe est indépendant de la démolition éventuelle de la maison Schwartz
1933 (septembre) – Le projet d’élargir le passage vers la place de l’Homme de Fer n’aboutit pas
1933 (novembre) – Proposition de supprimer la rue du Coin Brûlé de la liste des voies publiques
1933 (décembre) – La reconstruction des bâtiments place Kleber est dans l’intérêt de la Ville et de l’aspect local – Réponse du maire à la Société Immobilière d’Alsace. Le bâtiment rue du Coin Brûlé pourra suivre une ligne verte qui dépasse de la ligne réglementaire en rouge. Le rez-de-chaussée, le premier et le deuxième étage pourront suivre le projet, les troisième et quatrième étage pourront servir d’habitation selon la dérogation. La toiture devra être à la même hauteur que celle des bâtiments voisins. - 1934 (février) – M. Zivy, propriétaire du 5, rue du Fossé des Tanneurs, se plaint que des pierres provenant du bâtiment arrière sont tombées dans la rue. – La toiture du bâtiment vers le Coin Brûlé est déjà démolie. E. Lucas devra démolir les cheminées.
1934 (mai) – Ernest Lucas est d’accord avec le projet de construire en retrait de 1,20 mètre le mur au-dessus du troisième étage rue du Coin Brûlé. Il a déchargé l’architecte Deuchler du projet. – Le maire demande à Ernest Lucas (Nouvel Hôtel, 4, rue des Francs-Bourgeois) de faire démolir les bâtiments place Kleber qui menacent ruine. – Même courrier en envoi recommandé
1934 (mai) – La Banque Léon Schwartz informe la Police du Bâtiment qu’une poutre du n° 26 s’est détachée du toit et pend dans le vide
1934 (29 mai) – Le maire menace la Société Immobilière Lorraine (administrateur, René Delepierre demeurant 52, rue de Lorraine à Lunéville) de poursuites pénales si elle ne fait pas démolir les bâtiments. – L’administrateur répond que la précédente lettre ne lui est pas parvenue.
1934 (juin) – L’architecte Deuchler fait poser une palissade mais déclare n’avoir aucun ordre de faire démolir les bâtiments – Ernest Lucas obtient un délai jusqu’en octobre pour faire démolir les bâtiments.
1934 (novembre) – Le maire prend un arrêté qui enjoint la Société Immobilière Lorraine, représentée par son administrateur délégué René Delepierre, de faire démolir les bâtiments menaçant ruine avant le 31 décembre
1934 (décembre) – La Société Immobilière Lorraine demande de prolonger le délai de trois mois en arguant qu’elle est en procès avec la banque Schwartz au sujet des jours vers le terrain de la Société. - 1935 (février) – Les copropriétaires du n° 25 (Fernand, Maurice et Hippolyte Grombach) se plaignent des maisons délabrées à côté de leur immeuble
1935 (mars) – Le maire fixe au 20 mars le dernier délai pour la démolition, en modifiant le délai révocable fixé au premier avril.
« Le projet de façade présenté par la maison Brion et Martin n’entre pas en ligne de compte. Les vieilles maisons 25 et 26 Place Kleber seront démolies dans les prochains jours et un nouveau projet nous sera soumis incessamment par le nouvel acquéreur du terrain. »
Les fonctions d’administrateur délégué sont désormais exercées par M. Mathiez, demeurant 21, avenue Foch à Metz, qui déclare le 28 mars passer commande pour la démolition
1935 (mars) – Dessin de la maison Brion et Martin au nom d’une société en formation
1935 (avril) – L’architecte Emile Wolff déclare au nom de la banque Schwartz que la démolition du n° 26 met en danger le bâtiment de son mandant. – Rapport de la Police du Bâtiment – Le maire demande à Ernest Lucas que l’entrepreneur Mull (20, rue Frédéric Riff à la Robertsau) étançonne les murs voisins. – L’architecte Emile Wolff fait part de ses réserves.
1935 (avril) – La Société immobilière Station Kléber s.à.r.l. (domiciliée 1, rue du Travail) demande l’autorisation de construire une station-service (Tankstelle) sous la direction de l’architecte Charles Hunzinger.
Autre demande pour construire un hôtel restaurant (murs et calcaire synthétique, toiture en ardoises, gros œuvre en béton armé) – Calcul statique
Le propriétaire de l’hôtel Maison Rouge s’élève contre la pompe à essence prévue à côté de la banque Schwartz.
La station-service sera installée au rez-de-chaussée et un logement au deuxième étage jusqu’à ce que l’hôtel soit terminé dans un délai de trois ans. La station-service dont l’entrée se fera place Kleber et la sortie rue du Coin brûlé est de la compétence du préfet.
1935 (mai) – Le propriétaire de l’hôtel Maison Rouge craint que le bruit des moteurs n’incommode les clients.
1935 (mai) – Le projet n’est pas satisfaisant quant à son esthétique alors que le précédent donnait satisfaction. La rue du Coin Brûlé est actuellement fermée à la circulation. Si une station-service était aménagée, la circulation place Kleber serait encore plus importante.
L’architecte Emile Wolf et Fernand Schwartz se plaignent que la façade gauche a été dégradée lors des démolitions. – E. Lucas promet de garantir la stabilité de la maison Schwartz – Suite de l’affaire, juin
1935 (juin) – Le maire écrit à Ernest Lucas qu’il ne peut accorder l’autorisation de construire un bâtiment provisoire non conforme à l’aspect local. Il propose de procéder en deux étapes, construire le rez-de-chaussée et deux étages puis trois ans plus tard le reste du bâtiment. – Par un autre courrier, il évoque les dissensions avec le voisin Schwartz et le rôle de la Police du Bâtiment qui est de garantir la stabilité des bâtiments. – Juillet 1935, compte rendu de la visite des lieux en présence de MM. Lucas et Hunzinger pour la Société d’une part et de MM. Jehl et Wolff pour M. Schwartz.
1935 (octobre) – Emile Schwartz déclare que la palissade est ouverte et que les enfants circulent parmi les ruines des caves.
1936 (janvier) – La Police du Bâtiment vérifie la stabilité des étais
Ernest Lucas (papier à lettres E. & F. Lucas, entrepôt général des Grandes brasseries et malteries de Dombasle et de la Brasserie de Sarrebourg) demande que les courriers concernant les maisons soient adressés à la Société Immobilière de Lorraine, banque de l’Est, avenue Foch à Metz.
1936 (mars) – Le maire demande à la Société Immobilière de Lorraine de garantir la stabilité des étais et de fermer le soupirail rue du Coin Brûlé – La société Mull vérifie les étais. Le soupirail est fermé.
1936 (mai) – Nouveaux griefs de l’architecte Emlie Wolff contre la Société Immobilière de Lorraine – La Police du Bâtiment se rend sur les lieux. – Le maire fait un courrier à la Société Immobilière de Lorraine.
1936 (juin) – Les voûtes qui subsistaient dans les caves sont démolies. – Visite après les travaux - 1936 (mai) – L’architecte Tim Helmlinger (7, rue de Berne) soumet le projet de construire un garage de 80 places sur plusieurs niveaux desservis par des monte-charge. – Les Divisions VI et V émettent un avis défavorable parce que le projet augmenterait la circulation. – Le maire renvoie l’architecte au préfet seul compétent pour autoriser un garage de plus de vingt places. – Plan de situation – Dessin
1936 (août) – Le projet est devenu sans objet
1936 (novembre) – Les étais en bois devront être remplacés par de nouveaux en béton s’ils restent en place
1937 (avril) – La clôture rue du Coin Brûlé demande des réparations. – Courrier de l’architecte Emile Wolff à ce propos.
1937 (mai) – La clôture est réparée – La Société Immobilière de Lorraine déclare qu’elle a vendu le terrain
1937 (juin) – L’architecte Antoine Buchmann, demeurant à Wissembourg, déclare que les immeubles appartiennent désormais à la Société Immobilière Kleber et à Metz, directeur de la Maison Rouge.
1937 (août) – L’entreprise J. Nuss (à Cronenbourg) déclare voir vérifié l’étançonnage – La Société Immobilière de la Place Kleber (siège, 19, rue Gambetta) transmet le certificat de l’entreprise Nuss – La Police du Bâtiment constate que les travaux sont faits dans les règles de l’art.
1938 – L’étançonnage est toujours en bon état
Les frères Grombach, propriétaires du n° 23, demandent à la Police du Bâtiment de vérifier l’étançonnage « Les acquéreurs du terrain ne semblent pas disposés à vouloir construire, se contentent d’exploiter le trottoir devant ce terrain où il ont installé une terrasse pour y exploiter leur débit ». – La visite des lieux établit que l’étançonnage est en bon état mais il a été convenu d’établir un deuxième étançonnage par sécurité. - 1946 – La clôture en bois posée par la Division VI-A entre la Maison rouge et la banque Schwartz a été renversée à plusieurs reprises. – Le propriétaire du terrain est M. Melchior de la Brasserie de Sarrebourg – Le maire demande au propriétaire de faire faire une clôture pour éviter que le terrain ne serve de décharge publique.
1947 – Le maire menace de prendre des sanctions si le propriétaire ne fait pas ériger de clôture sous quatre semaines - 1947 – La Société Immobilière de la Place Kleber (dont la Société Immobilière et Hôtelière de France, Hôtel de la Maison Rouge vient d’acquérir la majorité des parts) transmet le projet de clôture établi par l’architecte Oberthur
1947 (17 juillet) Arrêté portant permis de construire – Plan de situation, dessin de la clôture (2 mètres de haut)
1947 (septembre) – La clôture et terminée - 1966 – Le Crédit Industrie d’Alsace et de Lorraine (C.I.A.L.) est autorisé à occuper la voie publique devant le 26, place Kleber
1970 – Les établissements Trau (269-171 roue de Schirmeck) sont autorisés à occuper la voie publique devant le 25, place Kleber – Les gouttières sont réparées sans que la voie publique ait été occupée.
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 677 W 205)
Rue du Coin brûlé n° 5 (1865-1926) – L’affaire de 1865 concerne le 5, rue des Tanneurs dont la façade arrière donne vers la rue du Coin Brûlé
Sommaire
- 1895 – Le maire notifie Charles Arnold de faire ravaler la façade sise 5, rue du Coin Brûlé – Travaux terminés, avril 1895
- 1922 – La Police du Bâtiment constate que le marchand de fruits L. Carrichon a suspendu une enseigne sans autorisation – L’enseigne est retirée.
- 1924 – Charles Schupack demande l’autorisation de poser une enseigne plate (Portraits encadrements, Charles Schuhpack) en lettres blanches sur fond bleu et de poser une vitrine à l’entrée de la rue vers le fossé des Tanneurs – Rapport du commissaire de police. La préfecture transmet au maire – Autorisation de poser une vitrine, février 1925
1926 – Le commissaire de police informe le commissaire central que Charles Schupach, propriétaire d’un magasin pour agrandir des photographies 15, rue des Sœurs, n’a pas l’intention d’y poser une enseigne - 1926 – Max Mosel (commerce de lingerie) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse – Autorisation – Croquis
Relevé d’actes
Thomas Trutzel, fils de Valentin Trutzel vend en 1586 la maison dont sa mère possède le tiers.
Fils de Thomas Trutzel de « Brix » en Tyrol, Valentin Trutzel épouse en 1563 Alathée, fille de Christophe Weisser de Schwäbisch Gmünd et bourgeois de Strasbourg
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 99-v n° 49)
1563. Veltin Trawzel von Brix aus Bohem Thoman traw Zels selig Son, Alithea Christophel weÿsers tochter von Schwebischen gmund burgers Zu Straßburg den 28. Christmonats auf der herren Stub (im 121)
Le tailleur Valentin Trautzel de Brix devient bourgeois par sa femme une semaine après son mariage
1564, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 218
Velttin Trautzel von brix der schneider hatt das burgkrecht Empfangen von Alithea wÿland Cristoph weÿsers selligen dochter seiner ehefrauwen und dient Zu den schneidern vff den drÿtten Januarÿ A° & Lxiiij
Alathée Wissler se remarie en 1577 avec le tanneur Etienne Ettlinger
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 179-v n° 444)
1577. Dominica XXII. h. H. Steffan Ettlinger vnd Alathea veltin Drutzels des Schneiders nachgelaßene Witwe ad S. Petrum verlaßne witwe (im 185)
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 77) 1577. November. H. Steffan Ettlinger weisgerber vnd Alithia wißlerin, veltin Trotzels selig. des Schneiders verlaßne witwe. eingesegnet den 26. Nouemb. Anno Dni 1577 zu S. Thoman zu 9 vren (im 248)
Le tailleur Thomas Trutzel et sa femme Anne, fille du sellier Melchior Ulrich, vendent les deux tiers de la maison au notaire Balthasar Huldrich. Le dernier tiers appartient à la mère du vendeur, Alathée, veuve du tailleur Valentin Trutzel
1586 (17.t Septembris), Cour épiscopale, vol. 238-II (Registranda Kistner) f° 129-v
Pro Balthasaro Huldreich Ciue Arg.
Erschienen Thoman Trutzel der Schneÿder burger Zu Straßburg vnd Anna, wÿland Melchior Ulrich des Sattlers burgers daselbst selig. dochter sein haußfrauw, haben unuersch: für sich (…) verkhaufft
dem fürnemmen Balthasar Huldreich Notarien vnd burg. Zu Straßburg d. Zugeg.
ein Zweÿttetheil Inen verkheufferen für unvertheilt gepürende von und ahne Zweÿen heuseren einem vordern und hindern sampt einem höfflin dar zwischen, mit allen & In d. Statt Str. ahm Barfusser platz gelegen neben Balthasar Held dem Steinschneÿder ein, und anderseit neben hanß Marstaller dem Becken hind. In das gessel das gebrandt end stoßend Ahne welchen Zweÿen heusern vnd höfflin der vberig drittheil Alatheen weÿland Veltin Trutzel des Schneÿders Zu Straßburg selig. witwe sein des verkeüffers Mutter eigenthümlich zuständig vnd gonth von solchen Zweÿtheil angeregter Zweÿen heusern vnd höfflin 5 guld. gelts ablosig mit 100 guld. Str. wehr. Michel Mebert dem Steinmetzen Zu St. vff dionisÿ Mehr dritthalben gulden gelts widerkheuffig mit 50 guldin Straßburg wehrung Carlen Spilman dem würth Zur Lung. burg. zu str. vff Oßwaldi Jährlich wie man sagt So dan Ist solcher Zweÿtheil auch hafft und vnderpfand für 50 pfund St. Wehr: herrn Heinrich Hammerer dem Tuchman Zu St: d: Kheuffer auch abrichten und bezalen soll. Vnd alles Recht, & der khouff beschehen für vnd vmb 140 Pfund Straßburg. Wehr.
Fils du tisserand Jean Huldrich, Balthasar Huldrich (ici sous la forme Ulrich) épouse en 1571 Anne, fille de Luc Hochfelder du Ban-de-la-Roche. Le mariage est célébré à Ostwald.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 149 n° 24) 1571. Julius. Balthasar Ulrich weilandt hans Ulrich des webers selig. son vnd Anna hochfelderin, weilandt lux hochfelders selig. nachgelaßene tochter aus dem Steinthal. Ist Zu S. oßwlad Zu Kirch. gangen (i 151)
Originaire de Strasbourg, Balthasar Ulrich (Huldrich) alors greffier à Bühl en Bade, achète le droit de bourgeoisie en juin 1584.
1584, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 421
Balthassar Ulrich Von stroßburg amptt vnd Gerichts schreiber Zuo büehell Hatt des burg. recht Kaufft vnd will Zu den duchern dienen Acttum den 17.ten Junÿ 84.
Ancien greffier à Bühl, Balthasar Huldrich demande le droit de rédiger des inventaires. Il déclare avoir dressé beaucoup d’actes pour la noblesse et qu’il vient à Strasbourg où ses deux jeunes fils étudient
1586, Conseillers et XXI (1 R 63)
(f° 128-v) XIX Martÿ – Balthasar Huldrich Inventierampt
Berürter Balthasar Huldrich vbergibt auch ein supplôn vmb d. beneficium inventandi *eldet das ein Land Kind hie gest*die gerichtschreyber Zu Bühel gewesen, vil In Adelich. erbschafft. Inventationibus vnd theilung gebraucht word. Jetzund darumb alhier kohmen. das er sein Zwenn Junge sön Zur schulen Zieh. möge, bitt Ihme die Inventir schreibereÿ Zugönnen, daruff würde er Von dem Cantzleÿherren wol Ammendirt* vnd Erkandt Ist Ihme willfahrt hat Alßbald die Ordnung geschworen vnd in d and.sachen haben Ihre antwort geben. h Obrecht, H Heußler
Le sénateur Etienne Ettlinger et sa femme Alathée Wisser vendent le tiers de la maison au notaire Balthasar Huldrich et à Anne Hochfelder
1587 (4. decemb.), Chancellerie, vol. 249-I (Imbreviaturæ Contractuum) f° 141
Kauff Balthasar Ulrich des Notarien vber ein hauß am Barfüßerplatz
Erschienen h Steffen Ettlinger altter Rhatherr vnd Alithea Wisserin sein eheliche haußfrauw und haben (verkaufft)
h Balthasar Hulderich dem Notarii vnd Anna Hochfelderin seiner ehelich. haußfrouwen die dann Zugegen Ihnen vnd allen Ir. erben
den dritten theil Ihnen verkeüfferin für ungetheilt gepüend von vnd ane Zweÿen heüßern einem vordern vnd hindern sampt einem höfflin darzwischen mitt allen andern Ihren gebeuwen Recht. und gerechtigkeit. geleg. alhie In der Statt Straßburg am Barfüßer Platz neben Balthasar Heilig. dem Stein schneider ein vnd anderseit neben Michel Roth. dem Becken, hinden In das gäßel das gebrand end genant stoßend, ane welchen Zweÿen heüsern die vberigen zween dritte theil Ihnen keuffern Zuvor Zustendig für allerdings Zinsfreÿ ledig vnd eigen, vnd daruff alles Recht gerechtigkeit vnd behandt das der Kauff für ledig und eigen Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 150 pfund pfenning Straßburger
Balthasar Huldrich et Anne Hochfelder vendent le même jour à Etienne Ettlinger et Alathée Wisser une rente assise sur la maison
1587 (4. decemb.), Chancellerie, vol. 249-I (Imbreviaturæ Contractuum) f° 142
Zinßverschreibung vber vij lib. x ß gelts h. Steffan Ettlinger
Erschienen h Balthasar Hulderich der Notarius vnd Anna Hochfelderin seine eheliche haußfrouw vnd hab. freÿwillig bekandt vnd verjehen, das sie unverscheidenlich für sich vnd alle Ihre Erben eines stethen kauffs verkaufft (…)
herren Steffen Ettlinger alttem Rhatherrn vnd Fr. Alithren Wisserin seiner ehelichen haußfrauwen
viij lb x ß gelts Jarlichs Zinß von vff vnd ab Ir der verkeüfferen Zwoen behausung. einer vordern vnd hindern sampt einem höfflin darzwisch. auch allen andern deren gebeuwen geleg. alhie In der Statt Straßburg am Barfüßer platz neben Balthasar Heiligen dem Steinschneider ein vnd ander seit neb. Michel Roth. dem Beck., hinden vff das gaßlin das gebrandt end genant stossend, davon gehnd Jahrs fünff gulden gelts Straßburg. wehrung mitt 100 guld. widerlösig Michel Mebarten dem Steinmetzen vff dionisÿ fallend vnd dann dritthalben gulden gelts widerkeuffig mit 50 gulden ermelter wehrung Carle Spielman dem würt Zur Lungen Jährlich vff oßwald sonst. allerdings ledig vnd eigen, der Kauff zugangen für vnd vmb 150. lb s Straßburg.
Balthasar Huldrich est candidat aux fonctions de greffier à la Chambre des Sept. C’est Evrard Bær qui est nommé.
1588, Conseillers et XXI (1 R 65)
Sibnergerichts schreibereÿ dienst. 159. 240. Peter Gündel. 153. Moritz Dißdorff. 159. Philipp Lewbrand, Laurentius Clußrath, Marx Bleicher. 172. Conrad Gretzinger. 176. Balthasar Huldrich notarius. 237. Eberhard Bär angenommen. 370.
(f° 237) XVIII. Maÿ – Schreibereÿ am Sibner gericht – Balthasar Huldrich Notarius vbergibt ein supplôn vmb den dienst der Schreibereÿ beÿ den siben Züchtigen, erzehlt darinnen aus was vrsachen, seines erachtens meine Gn Ihn vor andern Zu disem dienst sollen kommen lassen. Erkant, Mag sich geschriben. H. Böhem
Balthasar Huldrich dans les registres du Magistrat, notamment pour des affaires pendantes à Bühl
1588 Conseillers et XXI (1 R 65) Lienhard Beÿer contra Balthasar Huldrich (Bühel schreiben, Balthasar Ulrich). 373. 389.
Adolf Marggrav der Vogt zu Achern contra Balthasar Huldrich Notarium. 631.
1589 Conseillers et XXI (1 R 66) Hans Werber von Greben Kinder vögt contra Balthasar Huldreich den Notarium. 177.
Balthasar Huldreich der Notarius pt° schuld (Buhel schreiben). 326. 330. wegen arrests zu Büehel. 506.
1590 Conseillers et XXI (1 R 67) Johann Bosch contra Balthasar Huldrich (Basel schreiben). 241. 453.
1592 Conseillers et XXI (1 R 70) Balthasar Hulrich der Notarius contra Hans Boschen Pfarrer zu Vindbuch. 160. (Vimbuch)
Anne Hochfelder, originaire de Guirbaden, veuve du notaire Balthasar Huldrich, vend en son nom et en celui de ses trois enfants, la maison au tailleur Barthelémy Herber et à sa femme Chrétienne Heitz
1595 (11. Novembris), Chancellerie, vol. 300 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 117-v
Kauffbrieff Barthel Herbers des Schneids. vber Ein Behausung
Erschienen Anna Hochfelderin von Gÿrbad. Wÿland Balthasar Uldarichs des Notarÿ v. burg.s alhie selig. Witwe, mit beÿstandt Philips Mütschele des Mahlers auch burg. alhie Ires geschwornen Vogts Vnnd dann H. Hans Geörg Meÿer Nots. burger Alhie als geschworner Vogt Barbaræ, Geörgen vnd. Catharinen Jetzgemelter Balthasar Huldarichts selig. vnnd Ihro Barbaræ Hochfelderin ehelich erzeilter Kinder, (haben verkaufft)
Barthel Herbern dem Schneider vnd Christinæ Heitzin seiner ehelich. haußfrawen, deßweg. er Barthel Herber Zugeg.
Ein Behaußung Hoffstatt sampt einem Hinderheußlin vnd einem höfflin Zwisch. solch. Zweÿen heüssern, Auch allen andern Iren gebeuwen Zugehörung. rechten vnd gerechtigkeit. geleg. alhie Inn der Statt Straßburg vff dem Barfüesser platz gelegen, Ein seith neben Peter Ermelhauß dem Küeffern die ander seith neben Hanns Fausten dem Haußbeckhen, stosst hinden vff ein gessell das gebrande End genant, Dauon göhn Jarlich vij lb w ß d gellts vff Nicolai fallend mit 150 Pfund pfenning Lösig herrn Steffan Ettlingers Haußfrawen, Item dritthalben guld. gellts Straßb: Wehrung vff Oswaldi mit 50 guld. Wehrung ablösig H Carle Spielman gasthalter Zur Lung. sonst für frey Ledig vnd eig.
[in margine :] der Kauff ist mit den beschwerd. vmb 700 fl. werung bescheh.
[in margine :] Erschienen Alethra weÿland Pauli Kallenbergs gewesenen Pfarrers Zu Mutterßholtz selig wittib mit beÿstand Veltin Krentzel Ires Brud: und geordnet. Vogts hatt in gegenwertigkeyt Meist. Barthel Herbers des Schneyds. bekant (…) den 28. 7.br A 1612
[in margine :] In der Cantzleÿ erschienen Hans Georg Meÿer der Notarius als vogt Barbaræ, Georgen, Catharinæn weÿl. Balthasar Hulderichs auch Notarÿ s. mit Anna Hochfelderin erziehlt. Kind. vnd Philips Mötschle der Mahler, ersternannter Anna Hochfelderin so auch Zugegen, Curator, haben in gegensein Barthel Herbers des schneiders mit beÿstandt Peter Hanauwers des tuchscherers (…) Act. Montag den 31.t Aprilis. 98.
Originaire de Neuhof (en Autriche), le tailleur Barthelémy Herber épouse en 1591 Chrétienne, fille de Georges Heitz de Bœrsch
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 22 n° 36)
1591. 14. Junÿ. Bartolomeus Herber von Newhoff. der schneider. J. Christina Jörg Heitzen tochter Von Berß. 13. Julÿ (im 27)
Barthelémy Herber de Neuhof en Autriche achète le droit de bourgeoisie quelques jours avant son mariage
1591, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 547
Bartel Herber von Newhöf. vß Osterreich ein schneider Hatt mit beÿstandt Hanß Riths von Bregnitz deß wachtmeÿsters daß Burckrecht erkaufft, vnnd will Zun schneidern dienen. Act. 8. Junÿ & 91.
Barthelémy Herber et Chrétienne Heintz hypothèquent la maison au profit de Marie Salomé de Hagenbach, veuve Wormser de Schæffolsheim
1599 (29. Septemb.), Chancellerie, vol. 323 (Registranda Kugler) f° 246-v
Erschienen Meÿster Barthel Herber Schneÿder burger alhie, vnd Christina Heÿntzin sein eheliche haußfrauw
Haben Inn gegensein der Edlen Ehrentreÿchen Frauwen Maria Salome Wittwe Wormbßerin von Schaffoltzheim geborner von Hagenbach, vnd sich gegen derselben Zu Zinßen järlich verschriben, Nemblich 2 pfund 10 schilling pfenning gelts, Wider ablößig mit 50 pfund pfenning Straßburger, Zubezalen
dafür Vnderpfand sein soll hauß, hoffstatt, höfflin vnd hinderhuß, mit allen and. Iren gebeuwen & gelegen Inn d. Statt Straßburg vff dem Barfhüeßerblatz, beÿ dem Brandten endt, einseit neben Peter Ermelhuß em Khüefer and.seit Hanns Fausten dem Becken stoßt hinden vff ein Almend gaß, das Brantendt genant, Dauon gond 15 guldin gelts Zu xv batzen wid. ablößig mit 300 guldin bemelter Werung, herr Steffan Öttlingern, Item dritthalben guldin gelts Straßburger W. ablößig mit L. guldin Straßburger Carle Spielmans des Würts Zur Lungen seligen erben, vnd seindt auch noch v.hafft vnd vnd.pfandt für 50 guldin zu xv batzen, Juncker hans Caspar von Dettlingen Zubezalen, sunst ledig eÿgen
Barthelémy Herber hypothèque la maison au profit du gentilhomme Georges Wurmser de Schæffolsheim
1616 (5. tag Novembris), Chancellerie, vol. 423 (Registranda Kügler) f° 216
(Inchoat. fo: 212) Erschienen Barthell Herber der Schnyder burger Alhie
hatt in gegensein des Edeln vesten Juncker Georg Wurmsers von Schaffoltzheim – schuldig sige 50 Pfund
dafür Vnderpfand sein solle, hauß hoffestatt höfflin vnd hinderheüßlin mit Allen Andern von Ihren gebeüwen & gelegen In der St. St. Vf dem Barfüßer Blatz Einseit neben Peter Ermelhuß Küffern Anderseit neben hannß Bro Brottbecken, stost hinden an des Brandtendt, dauon gend 10 guldin gelts vf Jacobi Abloßig mit 200 guld in Zu 15 batzen Peter Ermelßhuß obgemelt mehr 2 Pfundt 10 schilling d gelts Vf den heÿligen weÿhenachten tag fallend abloßßig mit 50 Pfund pfenning Juncker Balthasar Böcklen
Nouvelle hypothèque entre les mêmes parties.
1619 (27. Septembris), Chancellerie, vol. 432 (Registranda Kügler) f° 315-v
(Inchoat. fo. 70.) Erschienen M. Barthell Herber der Schnÿder burger Zu Straßburg
Hatt in gegensein des Edlen Vösten Juncker Jerg Wormbsers Von Schaffoltzheim – schuldig über die 50 pfund pfenning darüber Ein Besondere Verschreibung durch Weiland herrn Jacob Küglern geweßenen Contractuum Notarium seeligen Vfgerichtet deren datum den 5. tag Novembris Anni 1616 in Registranda fo: 216. Zubefind. schuldig sige 100 pfund pfenning Straßburger
dafür Vnderpfand sein soll hauß hoffestatt höfflin vnd hinder heüßlin mit Allen Andern Iren gebeüwen begriffen gelegen Inn der Statt Straßburg vf dem Barfüsser Blatz Einseit neben Peter Ermelhuß Küffern, anderseit neben Hannß Ber Brottbecken stosendt hinden an das Brandt end Dauon gend 2 pfund 10 schilling pfenning gelts vf den heÿligen weÿhenachten tag fallend, ablößig mit 50. pfund pfenning Juncker Balthasar Böckle, Item verhafftet für 50 pfund pfenning dem Junckern Schuldgläubigern obgenant Vnd dann letzlichen auch verhafftet für 100. pfund pfenning dietherich Sommer Schneÿdern mit gebürenden zinß Zu bezahlen
Barthelémy Herber hypothèque la maison au profit du tailleur Thierry Sommer
1618 (5. Octobris), Chancellerie, vol. 432 (Registranda Kügler) f° 194-v
(Inchoat. fol. 177.) Erschienen der Ersam Barthel Herber der Schneÿder
der hatt in gegensein der Erenthafften Dietherich Sommers auch Schneÿders – schuldig sige 100 pfund
dafür Vnderpfand sein soll Hauß hoffestatt höfflin vnd hinder huß mit allen Anderen Iren gebeüwen gelegen Inn der vorstatt Straßburg vf dem Barrfüßer blatz Einseit neben Peter Ermelhuß Kieffer Anderseit neben hannß Berr dem Brottbech stoßend hinen vfs Brendend, Dauon gend 5 pfund pfenning gelts ablösig mit100 pfund pfund Hr. Peter Ermelhuß dem Küffer obgedcht, So dann Wÿther 2 pfund 10 schilling d gelts ablösig mit 50 pfund pfenning Juncker Georg Wurmbser von Schaffoltzheim
Barthelémy Herber vend la maison au marchand Christophe Merckelbach
1625 (xxix. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 455 f° 249
(P. fol. 256) Erschienen Barthell Herber d. Kheuffler und zu Straßburg (verkaufft)
h. Christoff Merckelbach dem handelßmann burger Zu Straßburg
hauß, hoffstatt, höfflin vnd hind. hauß, mit Allen Ihren geb. & gelg. Inn d. St. St. vff dem parfüsser platz einseit neben Peter Ermellhauß d. küffer anderseit neben hannß Breÿ schwartzbeck. hind. hatt es vßgang Ins Brandten end, dauon gnd. vij lb s ß gld vff Martini,so d. In gtt 1 C. L lb J: Geörg Wurmser Zu Scheffoltzh. Sunst ledig eÿg. Vnd ist disser Khauff vber obgehörtte beschwd. so der Kheuffer vff sich nimpt, Zugang. v. besch. für vnd vmb 750 pfund
Le tailleur Philippe Herber et ses frères Jean Georges et Daniel Herber doivent un complément de remboursement à Marguerite Bœckel, née Wormbser de Schæffolsheim, pour avoir versé les sommes pendant la dévaluation monétaire, d’après l’obligation passée en 1599 (voir plus haut).
1630 (17. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 467 f° 323-v
Erschienen Philipps Herber der Schneider Burger Zu Straßburg für sich selbsten, vnd in namen seines Bruders Johann Georgen, So dann hanß Büchner auch Schneider, vnd Burger alhie alß geschworner Vogt Daniel Herbers
haben in gegensein der Edlen und Ehren tugendsamben Frawen Margarethæ Böcklerein Wittiben gebornen Wormbserin von Schäffoltzheim Schaffners H Johann Küemeÿers Burgers alhie bekant,
daß sie ehrengemelter Frawen wegen der 50 Pfund d so vermög einer beÿ weÿland H Jacob Küglern alß gewesenem der Statt Straßburg Contractuum Notario den 29. Septembris Anno 1599. vnder erstgemelter Statt Straßburg anhangendem Contract Insigill vffgerichteten verschreibung, von vff vnd abe Zweÿen häußern, ein Vordern vnd hindern alhie vffm Barfüeßer Platz beÿ dem Branden End, neben Peter Ermelhauß ein: und 2. seit hanß Fausten deß Brottbecken seel. Erben & geleg. mit Zweÿ Pfundt Zehen Schilling verzinßt worden, vnd obgemelte Bekennere in Anno 1622. den 27. Julÿ, an damalß hohem, den Rtlr. nach zu 6 fl. gerechnet. geldt abgelegt, für den, nach besag der alhieiger vber die Nachträg verfassten instruction, geforderten Nachtrag an Jetziger Zeit gäng und gibigen geld, nach dem fueß deß Reichßthalers Zu 15. ß gerechnet (…) schuldig seÿen sollen und wollen 25. pfund
La maison appartient ensuite à Jérémie Rebstock, bailli au service des princes de Wurtemberg à Oppenau, qui achète le droit de bourgeoisie en s’inscrivant à la tribu des charpentiers. Jérémie Rebstock avait épousé en premières noces Barbe Brunn (voir la biographie de son fils Jérémie)
1630, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 848
Herr Jeremias Rebstock geweßener furstlich wurttenbergisch. Vogt Zu oppenauw Erkhaufft d. Burgkrecht für sich vnd sein weib vmb 20 goldtguld. wull Zu den Zimmer leütt dienen, 13 May 1630
Affaires pendantes à Oppenau, dans les registres des Conseillers et Vingt-et-Un
1630, Conseillers et XXI (1 R 112)
(f° 54) Sambstag den 3.ten Aprilis. – Jeremias Rebstock Zu Rechnung nach Obrigkeit beg..
Würtembergisch Schreiben abgelesen, würdt bericht d. d. Alte Vogt Zu Oppenaw Jeremias Rebstock noch Rechnung zu thun habe, weil aber ietzo alhie verburgert, bett Ihr E. g. ihne anzuhalt. daß Er Sich auff den 4.t Vnd 14.t dieses Zu Oberkirch Einstelle, vnd Rechnung thue. Erk. Soll ihme Rebstock Zugestelt werd. H. Tobias Städell, H.Richshoff.
1634 Conseillers et XXI (1 R 116) Jeremias Rebstockh. 264. [um intercession an Fr. von Althan]
1635 Conseillers et XXI (1 R 118) Jeremias Rebstockh. 94. [idem]
1636 Conseillers et XXI (1 R 119) Jeremias Rebstockh. 76. [idem]
1639 Conseillers et XXI (1 R 122) Mr de Lisle p. dancboltzh. contra Jeremias Rebstockh v. consorten. 135.
Jérémie Rebstock vend au nom de sa femme Anne Marie Wildersinn un capital de 400 florins à François Raoul Guichard et hypothèque sa maison place des Cordeliers.
1637 (4. 9.bris), Chambre des Contrats, vol. 478 f° 812
Erschienen Herr Jeremias Rebstock burger Zue Straßburg, Alß Ehevogt Frawen Anna Maria Wildersinnin, mit beÿstand der Ehrenvesten, Fürsichtigen undt Weisen herrn Johann Philipp Schatzen und herrn Johann Georg Marbachen, beeder Alß vß eines Ers: großen Rhats mitel hierzu insonderheit deputirt undt verordnet
hat in gegenwärtigkeit herrn Johann Friderich Leoparden großen Rhats Verwanthen Alhie, Alß Curatoris bonorum Frantz Rudolff Guischardts burgers alhie (verkaufft)
400. lb. restirendt reducirt hauptgut so die Statt Straßburg, vermög Pfenningthurns Urkundt datirt den 27. Septembris Anno s: 1720. Jährlich vff Michaelis mit 20 lb 5 d Zuuerzinßen schuldig – umb 520 fl. (…)
Dabeÿ Außtruckenlich Ihme Verkäuffer angedingt und auch beÿ E. Ers. groß. Rhat erkant worden, daß Er von obgedachter seiner haußfrawen Innerhalb Zweÿen Monathen Eine Schrifftliche ratification undt Consens vber dißen Kauff, Ihme, Käuffer Zu seinen sichern handen lüffern, inmittelst aber, vermög deß heut dato vor E. Ers. grosen Rhats ergangenen bescheidts, sein Verkäuffers behaußung vffm Barfüeßer platz neben Peter Ermelhaußen s: Erben & Georg Wÿdman dem Schwartzbecken hinden vffs Brand Endt stoßend, so zuvor verhafftet vmb 300 fl. Samuel Großheinrichen deß handelßmanns seel. Erben, sonst ledig eÿgen, biß solcher Consens Zur genüege eingehändiget, deß ohrts bester maßen Vnd.pfandt, Wan aber solches ins Werck gerichtet, Alß dan wid.umb erledigt sein soll.
Jérémie Rebstock hypothèque la maison au profit de la fille mineure du tisserand Jean Walter
1639 (ut supra [17. Septembris]), Chambre des Contrats, vol. 483 f° 716
Erschienen H. Jeremias Rebstock burger Zu Straßburg
hat in gegenwärtigkeit H Johann Peter Schmiden deß handelßmanns auch burgers alhie alß geordneten Vogts Salome, weÿ: hanß Walters geweßenen Wullenwebers alhie hinderlaßener tochter – schuldig seÿe 200. lb
dafür Vnderpfand sein soll hauß, hoffstatt, höfflin vndt hinderhauß, mit allen anderen ihren gebäwen & alhie vffm Parfüeßer platz, einseit neben H Peter Ermelhaußen see: Wittiben, and.seit neben Georg Wÿdtmann dem Schwartzbecken hinden vff daß Brandend stoßend gelegen
Jérémie Rebstock est candidat aux fonctions de directeur du bois pour remplacer le défunt Etienne Dürr
1644, Conseillers et XXI (1 R 127)
(f° 8) Montag d. 22. Januar: – Jeremias Rebstock vmb holtzverwalter dienst.
Jeremias Rebstock vberreicht per Egen Vnd.ge supplication vmb g.ferirung deß Jenig. diensts so bißhero weÿl. Steffan Dirr der holtz Verwalther verseh. Bericht daß Er Vill Jahr bereitß mitt dergleich. verrichtungen vmbgangen, vnnd d. Er sich auff d. handel mitt dem Bilgerholtz wohl versteh. thue. Erk. Soll sich geschrieben hab. – H. XV.er Dieffenbecher, v. H. Straub
Anne Marie, veuve du bailli d’Oppenau Jérémie Rebstock, hypothèque la maison au profit de Jean Wolffgang Pfeil, avocat et docteur en droit
1650 (23. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 508 f° 709
Erschienen Fr. Anna Maria weÿl. H Jeremiä Rebstockhß geweßenen Fürstl. Würtenberg. Vogts Zu Oppenau und Burgers Zu Straßburg nunmehr seel. nachgelaßene Wittib mit beÿstand Lorentz Schmidts deß schwartzbeckh alhie
hatt bekannt, daß Sie H Johann Wolffgang Pfeilen dero Recht. Doctori & Advocato auch Fürstl. Würtenberg. Consiliario, deßweg. sein dieners Johann Caspar Hopffengart Zugeg. war, vffrecht schuldig seÿe 25. lb
Underpfand sein soll Zweÿ häußer ein vorders und ein hinders, mit deren hoffstätten, höfflin und allen deren Gebäwen alhie vff dem Parfüßer Platz, neb. Georg Widemann dem schwartzbeckh. ein: und anderseit neben Conrad Lemmermann den Barbierern, hind. vffs brand End stoßend gelegen, so Zuvor verhafftet ist umb 200 lb H Jeremiä Tromers
Autre hypothèque un mois plus tard au profit de la tribu des Maréchaux
1650 (24. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 508 f° 777
Erschienen Fraw Anna Maria weÿl. H Jeremiæ Rebstockhß geweßenen Fürstl. Würtenberg. Vogts Zu Oppenaw Cit. Burgers Zu Straßburg nunmehr seel. nachgelaßene Wittib mit beÿstand Lorentz Schmidts deß Schwartzbeckh. alhie ihres Vogts
hatt in gegensein H Anthoni Füeßels alten groß. Rhats Verwanthens auch H Fausten Kleinen Rhaths verwanthens beeder alß vß dem mittel der herren Schöffen beÿ E.E. Zunfft drr Schmid Zu Straßburg hierzu insonderheit Deputirter
Underpfand sein sollen Zweÿ häußer ein Vorders Vnd ein hinders mit deren hoffstätten, höfflin und allen andern ihren Gebäwen, alhie vff dem Parfüßer Platz neben Georg Widemann dem Schwartzbeckhen ein und anderseit neben Conrad Lemmermann dem Barbierern, hinden uffs Brand end stoßend gelegen, so Zuvor Verhafftet umb 200. lib. H. Jeremiæ Tromers
Anne Marie Wildersinn se remarie avec le notaire Urbain Kissel.
Fils du boulanger du même nom, le notaire Urbain Kissel épouse en 1612 Marthe, fille du confiseur Elie Grundlinger
Mariage, cathédrale (luth. p. 283)
1612. den 3 Trinitatis. Urbanus Kissel der notarius vnd J Marthan Elias Grundlinger des Zucker becken tochter (im 146)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 247, n° 45) 1612. Urbanus Kissel d. Notarius Urbani Kissels des hußbecken hind.lassener sohn, Martha Elias grundlinger des Zucker becken tochter. Eingesegnet im Münster * 14. Julÿ (im 127)
Urbain Kissel, assistant du notaire Daniel Strintz, demande à devenir rédacteur d’inventaires. Il est reçu le 26 juillet 1613
1613, Conseillers et XXI (1 R 93)
Beneficium inventandi. [Johann Köpff, Urban Kissel]
(f° 135-v). Mittwoch den V. Maÿ – Beneficium inventandi
Johann Köpff d. Notarius so bey Urban Rosenberger sich etlich Jahr aufgehalten vnd 2 Jar im Ehestand Bitt vmb Beneficium inventandi
Deßgleich. begeren thut auch Urbanus Kisselius Notarius so sich beÿ Daniel Strintzen aufgehalten.
Erk. Man soll sie examiniren vnnd vnd.bring.
(f° 238-v) Montag den XXVI Julÿ. – Beneficium inventandi
H Kopp et Ego refer. wegen Urbani Kissels Notari so vmb d. Beneficium inventandi angehalten der ist examinirt vnd gleich wol mit Zum besten geantwortet aber doch also d. auf sein verbessern Ime d. beneficium Zubewillig. Erk. d. H bedenck. gefolgt, iurauit.
Les Conseillers et les Vingt-et-Un attribuent à Urbain Kissel les actes du notaire Jérôme Renner, son prédécesseur dans les fonctions de secrétaire à la tribu des Boulangers
1615, Conseillers et XXI (1 R 96)
(f° 28) Sambstag den IV. Febr. – Urban Kissel vmb Notariat geschefft Hieronimi Renners
Urban Kissel Notarius der Becker Zunfftschrb. bittet Ime Hieronimi Renners seines antecessoris Notariat geschefft Zuvertrawen andere domit haben Zuhelff. Erk. Willfahrt – H. Gambs
1617, Préposés au bâtiment (VII 1317)
(f° 115) Mittwoch 18. Junÿ 1617. – Brottkarch Zoller Urban Kÿsel beschickt befragt wie es kombt d. nur 28 biß In 30 Kärchvoll * fürt worden, da doch bewußt das vber 40. 46 Kärch allen tag kommen (…)
Urbain Kissel se remarie en 1624 avec Marie Salomé, veuve du receveur Jean Winter
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 34 n° 64)
1624. Urban Kißell der Notarius Maria Salome Johann Winters gewesenen Leiningischen Schaffners hind.laßene Witwe. Eingesegnet Zinst. 20. Julÿ (i 19)
Le secrétaire Martin Winter épouse en 1616 Marie Salomé, fille du receveur Michel Ziegel
Mariage, cathédrale (luth. p. 44)
1616. Dominica X. Trin: den 4. Augusti Johan Winter der Scribent Martin Winter des becken vnd Stattbotten e. sohn, vnd J. Maria Salome H. Michel Ziegels Schaffners zu S. Stephan e. tochter, eingesegnet Montag d. 12. August (i 27)
1626 Conseillers et XXI (1 R 108) Urban Kißel vnd Hanß Müller umb intercessionalibus an Weißenburg. 233.
Urbain Kissel se remarie en 1638 avec Judith, veuve du boulanger Louis Velder
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth.
Mariage, cathédrale (luth. p. 405) 1638. Dominica Septuages. 21. Jan. H. Urban Kiesel Kaiserlicher geschworner Notarius, Vndt Judith Weiland Ludwig Völders haußbecken alhie Witwe. Eingesegnet Mont. 29. Jan. (im 209)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 248)
1638. Dom. LXX. 21 Januarÿ. Herr Urban Küssel burg. alhie v. Keÿserlicher geschworner Notarius. Fr. Judith weÿland Ludwig Volders gewesenen hauß Becken v burd. alhie wittwe. Cop. 29. Januarÿ Im Münster (i 126)
Urbain Kissel se remarie en 1641 avec Marie, fille de Jean Georges Kips
Mariage, cathédrale (luth. p. 443)
1641. Domin: 4. Epiphan: Herr Vrbanus Kißel der Notarius Vndt Burger allhie Vndt Jungfraw Maria, Hanß Georg Kipsen, deß geweßenen Burgers allhie Hinderlaßene Eheliche Tochter. Eingesegnet Im Münster Zinst. den 9. Februarÿ (im 228)
Urbain Kissel se remarie en 1652 avec Anne Marie, veuve de Jérémie Rebstock, bailli d’Ober Achern en margraviat de Durlach
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 57, n° 44)
1652. Dominica XIII. Trinitatis Eâdem Dominicâ.Herr Urbanus Kißel Keÿserlicher geschworner Notarius Vnnd Burger alhie, vnd Fr. Anna Maria Herr Jeremiæ Rebstocks gewesenen fürstlich Marggräffischen Durlachischen Vogts Zu Ober-Achern nachgelaßene Wittib Sind copulirt worden Zinst. den 22.ten 9.bris Zum JSPeter (im 68)
Anne Marie, femme du notaire Urbain Kissel, hypothèque la maison au profit de Michel Lehmann, de Sasbach en juridiction d’Oberkirch
1654 (2. maÿ), Chambre des Contrats, vol. 516 f° 247-v
Erschienen Fr. Anna Maria, H Urban Kißelß deß Not. Burgers Zu Straßburg eheliche haußfraw mit beÿstand erstermeldts ihres Ehevogts
in gegensein Michael lehmanns von Saspach in der herrschafft Oberkirch, alß vormundts hannß Springers, mit beÿstand herrn Michael Aÿchlers deß Wagners und Burgers zue Straßburg sein Springers nechst. Blutsfreundts – schuldig seÿen 50. lib
Underpfand sein solle hauß, hoffstatt, höfflein hinderhauß, mit allen deren Gebäwen & alhie am Parfüßer Platz, einseit neben H Johann Keltern anderseit neb. Georg widmann dem haußfewrer, hind. haben sie einen Außgang vffs brand End, so zuvor umb 200. lib H Daniel Tromers geweßenen Amtmanns Zu Barr nunmehr seel. nachgelaßenen Kindern, Item umb 75. lib. der Schmid Zunfft nocht verhafftet
Anne Marie (Rebstock), veuve du bailli de Sachsenheim Jean Frédéric Gams, assistée de son beau-père Urbain Kissel, vend la maison à l’imprimeur Jean Henri Mittel
1657 (20. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 522 f° 320
(Protocoll. fol. 48.) Erschienen H Anthoni Tiebolt dißer Statt Müntzschreiber, alß Fr. Annæ Mariæ weÿl. H Johann Friderich Gammß. geweßenen Fürstl. würtenberg. Vogts Zu Sachßenheim nunmehr seel. hinderlaßener Wittibin und Johann Erhard Geÿßers Fürstl. Würtenberg. Landsschafft Einnehmers ihres erbettenen Curatoris, vermög eines sub dato treÿ iüngsthien mit der Statt stuttgart vffgetruckhten Secret Insigel gefertigten (…) Gewaltscheins, gevollmächtigter Befelchhaber, mit beÿstand H Urban Kißels Notarÿ alß ihr Fr. Annæ Mariæ Stieff Vatters
in gegensein H Hannß Henrich Mittels deß Buchtruckhers mit beÿstand H David Johann Andreß deß handelßmanns seiner Kinder Vogts
Zweÿ häußer ein vorders und ein hinders, mit deren hoffstätten, höfflin, Bronnen und allen übrig. Gebäwen, am Baarfüßer Blatz, einseit neben Georg Widmann dem haußfewrer, anderseit neben H Dr Johann Horben seel. wittib und Erben, hind. vffs brannte End stoßend gelegen, so umb 200. lib H Jeremiæ Tromers Zu Colmar, Item umb 75. lib E.E. Zunfft d. Schmid, Item umb 25. lib. Michael Lehemann von Saßpach verhafftet (übernohmen) – umb 75. lb
Jean Henri Mittel hypothèque la maison au profit de ses enfants
1657 (20. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 522 f° 322
Erschienen Hannß Henrich Mittel der Buchtruckher
in gegensein H David Johann Andreß deß handelßmanns alß sein Mittels Kinder Vogts – schuldig seÿen 75 Pfund, daß Er damit die nach beschriebene Behaußung erkauffen, Vnd der Verkäufferin den Kauffschilling bezahlen
Unterpfand sein sollen Zweÿ häußer ein Vorders vndt ein hinders, mit dero Hoffstätten, höfflin, Bronnen Vnd allen übrig. Gebäwen &, allhie am Parfüßer Platz, einseit neben Georg Widmann dem haußfewrer, and.seit neben weÿl. H. d. Johann Horben seel. Erben, hind. vffs Brand End stoßend gelegen, so Vmb 200. lb H Jeremiæ Tromern Zu Collmar, Item umb 75. lb E.E. Zunfft der Schmid, Item umb 25. lib. Michel Lehemann Vonb Saßpach Verhafftet
Item sein deß Vatters Buchtruckhereÿ mit aller ihrer Zugehördt
deßen Zu mehrern Versicherung ist auch hiebeÿ persönlich erschienen Margaretha, sein deß Debitoris eheliche Haußfrau mit beÿstand H Hermann Kempffers deß Lederhändlers ihres eheleiblich. Bruders, Und Sebastian Niclaus Hettstatt deß Buchtruckhers ihres dochtermanns, alß deroselben hierzu erbettener nechster Verwanther, hat sich für diße Schuld biß Sie Völlig wirt bezahlt sein, Verbürgt
[in margine :] vide Kauffverschreibung sub dato 29. Janua: 1659. mit Joh: Pastorius Buchtruckern
Marguerite, veuve de l’imprimeur Jean Henri Mittel vend la maison au barbier Jean Martin Scherbaum
1659 (. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 524 f° 430-v
(Protocoll: fol. 53.) Erschienen Margaretha, weÿl. Hannß Henrich Mittels deß Buchtruckhers nunmehr seel. nachgelaßene Wittib mit beÿstand Christoph Gotwaldts deß Buchbinders ihres Vogts, wie auch H. Laurentÿ Treütels deß Notarÿ vnd E.E. Statt Gerichts Beÿsitzers
in gegensein Johann Martin Scherbaums deß Barbierers
Zweÿ häußer, ein Vorders: und ein hinders, mit dero Hoffstätten, Höfflin, Bronnen und allen übrigen Gebäwen, alhie am Barfüßer Blatz, einseit neben Georg Widmann dem haußfewrern, anderseit neben Weÿl. H. Johann Horben Med. Doct. seel. Wittib und Erben, hinden Vffs Brandt End stoßend gelegen, so umb 200. lb Capital und 20. ln Zinnß. H. Jeremiæ Tromers Rhats Verwanth. Zu Collmar, Mehr umb 75. lb. Capital und 7. lb 10. ß Zinnß H. Anthoni Tiebolden Amptmann Zu Barr, Vndt 25. lb. Hauptguth und 3. lb 15 ß Interesse Michael Lehemann von Saspach, Verhafftet
Jean Martin Scherbaum obtient une dispense pour faire son chef d’œuvre. Il n’a pas été compagnon à Strasbourg pendant deux ans mais a passé huit ans à l’étranger. Il s’adresse en vain aux Quinze pour être reçu barbier bien que les examinateurs aient trouvé ses connaissances insuffisantes.
1652, Protocole des Quinze (2 R 70)
(f° 83-v) Sambstag den 1. Maÿ. – Hanß Martin Scherbaum Ca. Barbierer.
Hanß Martin Scherbaum, pro M. E. prod. Suppl. pro dispensatione Ihme Zu vfnehmung deß Meisterstücks vnd dem Examine Zulaßen, weilen ihme ane den 2 Jahren so Er allhie Gesellenweiß arbeiten sollen 1 ½ Jahr Zwar ermanglen, Er aber solche Zeit in. d. frembde fast doppelt Zugebracht, p. Dr. Knaf. nôe d. Barbierer Meisterschafft stelts, bitt es doch beÿ ordnung Zulaß. Erkandt H. Füeßell H. Weßener bedenckens.
(f° 86). Freÿtag den 7. Maÿ – Hanß Martin Scherbaum Ca. Barbierer.
H. Füeßell H. Stör vnd H. Weßener referiren, Sie hette, Von Hanß Martin Scherbaums verschinnenen Sambstag begehrter dispensation geredt, Vnd weilen Er 8. Jahr in d. Frembde geweßt, Eines Burgers Sohn ist, vnd die Meisterschafft anders nichts wider Ihne einbringt, alß daß Er allein samt völlige Zeit nit allhie erarbeitet auch die Jüngst begehrte Newe Art. noch nicht vffgesetzt, weniger publicirt alß vernemen Sie es were durch volgende urtel dispensiren.
Vnsere Herren die Fünffzehen, Haben vff Hanß Martin Scherbaums des Barbierers gesell Jüngst überreichte Supplication, vnnd der Meisterschafft gedachten handwercks dargegen mündlich gehaltenen recess Erkandt, daß Er Supplicant Zwar dispensando Zum Meisterstück admittirt vndt angenohmen, Solchemnach aber noch Ein gantzes Jahr ohne fürderung Einiger Gesell daß handwerckh Zu treiben verbunden sein solle. Erkandt würdt dieße Urtel placidirt.
(Publ. d. 8. eiusdem)
(f° 134-v) Sambstag den 19.ten Junÿ – Hanß Martin Scherbaum d. Barbierer, per M. E. bitt weilen Er vff Mh. Erkandnus Vom 8. Maÿ examinirt word. daß H. XV. Städels alß Obmanns relation deßwegen angehört, vnd Er alß dann für Einen Meister deß handwercks vff: vnd angenommen werden möge. H. Städel referirt Es seÿe Scherbaum beÿ gedachten examini dergestalt schlecht vnd so durch auß über bestanden, daß auch die herren Phÿsici besonders H Dr Saltzmann vnd übrigen H. Examinatores gesagt, weilen Er gleichsamb vf nichts antwortt Können, Sie köndten Ihme beÿ Ihren eÿden nicht admittiren. Erkandt würdt dahero Implorant sein handwerck Zuvor besser erlehren.
(f° 139) Sambstag den 26.ten Junÿ – Hanß Martin Scherbaum per Eggen dt. vnderth. Supplication vf erkandnuß sup. fol. 134. bitt Er, vmb eingeführter ursachen willen sich für Einen Meister passiren Zu laßen. Erkandt, würdt d. begehren abgeleint vnd es beÿ Jüngster Erkandnuß allerdings gelaß.
(f° 179) Sambstag den 31.ten Julÿ – Hanß Martin Scherbaum per E. bitt, weil Er seithero anderwertlich examinirt word. maßen H. XV. Städel referiren werde, ihne nunmehr vff bescheid vom 8. Maÿ für Einen Meister anzunehmen, weilen nun H. Städel bericht, daß Er Zu genügen bestand. alß ist es beÿ MH. Erkandnuß supra fol. 86. gelaß. word.
1665, Protocole des Quinze (2 R 82) Hanß Martin Schehrbaum. 69. [Martin Scherbaum Abloßung]
Fils du notaire Joseph Scherbaum, Jean Martin Scherbaum épouse en 1655 Marguerite, fille du tonnelier Martin Woltz
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 23) 1655. Dn. Septuagesimæ d. 11.Febr. H. Johann Martin Scherbaum der Barbirer, M. H. Josephi Scherbaums Notarii Immatriculati Cæsarei v. E. E. Gross. Rhats Alten Beÿsitzers Ehelicher Sohn vnd J. Margaretha, Martin Woltzen des Küeffers vnd Burgers allhier Eheliche Tochter. Copulirt Zinst. d. 20. Febr. Zu J. St Peter (i 26)
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 71 n° 4) 1655. Dominica Septuagesima Johann Martin Scherbaum der Barbirer vnd Wundtartzt alhie, M. H. Josephi Scherbaums Keÿselichen Speÿrischen Cammergerichts Immatriculirt. Notarÿ vnd E. Ehrsamen Grossen Raths alten Beÿsitzers alhie ehelicher Sohn vndt Jungfr. Margaretha, H. Martin Woltzen des Kieffers vndt Burgers allhier eheliche Tochter. Copulabantur Zinst. d. 20.t Februarÿ Zum J.S. Peter (i 82)
Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Jean Martin Scherbaum à se marier à la Robertsau
1657, Conseillers et XXI (1 R 140)
(f° 173-v) Mittwoch d. 24. August. – Johan Martin Scherbaum pro dispensatione
Johan Martin Scherbaum producirt p. Schatzen Vnd.ge Supplication Bitt Mh. wollen gescheh. laßen daß In d. Ruprechtsauw er sich möge copuliren laßen Seÿe vnpäßlich. Erk. Ist Ihme Willfahrth word.
Jean Martin Scherbaum épouse en 1657 Catherine, fille du cordonnier Jonas Trenner : contrat de mariage, célébration
1657 (20. Augusti), Not. Oesinger (David, 37 Not 25) f° 377
Eheberedung – Zwischen dem Ehrengeachten und Vornehme H. Johann Martin Scherbaum Barbierern und Weinhändlern auch burgern alhie Zu Straßburg als Bräuttigam an einem
So dann der Ehren: und Tugendsamen und Züchtig. Jungfr. Catharinæ des Ehrenhafften Jonæ Trenners burgers vnd Schuhmachers alhier Eheleiblich. Tochter alß Hochzeiterin Andern theilsTochter
So bescheh. in Straßb. Donnerstag den 20. Augusti Alß mann nach Christi unsers einig Erlößers und Heÿlandts geburth Zahlte 1657.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 32)
1657. Dn. XIV Trinitatis d. 30. Augusti. H. Johann Martin Scherbaum der Barbirer vnd burger alhie, J. Catharinen Jonas Trenner des Schuhmachers und burgers alhie Eheliche tochter. Copulirt d. 7. Sept in der Ruprechtsau (i 35)
Jean Martin Scherbaum hypothèque les biens échus dans la succession de sa belle-mère Sara Storck, veuve du notaire Joseph Scherbaum, au profit de sa fille issue du mariage avec Marguerite Woltz
1657 (28. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 522 f° 250-v
Erschienen Hannß Martin Scherbaum der Barbierer
in gegensein H Johann Georg Lang, Notarÿ alß Vogts Mariæ Margarethæ, sein Scherbaums mit Weÿl. Margaretha Woltzin deßelben geweßenen und verstorbenen Eheweib nunmehr seel. ehelich erzielten döchterlins mit beÿstand Martin Woltzen deß Küeffers ihr Mariæ Margarethæ Groß Vatters – schuldig seÿen 100 Pfund pfenning, theils für die in der Eheberedung verpsrochene Morgengaab, theilß für die Ergäntzung deroselben mütterlich. ohnveränderten Guts
Unterpfand sein soll alle daß jenige so ihme Scherbaum von Weÿl. Fr. Sara Storckhin seiner Stieffmuter nunmehr seel. erblich zugefallen seÿe und H M. Joseph Scherbaum Not. immatriculatus und alter groß. Rathsverwanther sein Vatter ad dies vitæ usufructuarié Zu genießen habe.
Jean Martin Scherbaum et Catherine Trenner font dresser l’inventaire de leurs biens. La maison est estimée en comprenant les frais de construction. L’actif de la communauté s’élève à 169 livres, le passif à 281 livres.
1667 (7.3.), Not. Oesinger (David, 37 Not 20) n° 6
Inventarium vndt Beschreibung aller vndt Jeder Haab, Nahrung vndt Güethere, Ligender v. Vahrender, Welche dem Ehrengeachten vndt Kunstreichen H. Johann Martin Scherbaum barbierer v. Wundartzt, wie auch der Ehren vndt tugendt samen Fr. Catharina Trennerin beeden Ehegemächten vndt burgern alhie Zue Straßb. Eigenthümlichen Zueständig vndt auff beschehenes Ansuchen H. Hanß Bernhardt Georgus Auch burg.s Balbierers vndt wundtartzts alhier, als geschwornen vogts Ehrgemelter Fr. Catharinæ Trennerin auff E. E. Kl. Raths den 13. Feb. Jüngsthien ertheilten Erkandtnus In beÿsein der Ehren vesten Fürsichtig vndt weÿß. Herrn Nicolai Conrad Schachen v. H. Christoph Schüblers Offenbahren Kaÿßerl. Notarÿ wohlgedachten Kl. Raths beeder beÿsitzere vndt auß deßelben Mittel zuo dießen Inventation Deputirter (…) So beschehen Donnerstags d. 7. Martÿ A° 1667.
Inn Einer In d. Statt Straßburg ahne dem Baarfüeßer Platz gelegenen vndt In diese Nahrung gehörig vndt hernach beschrieben würdt befunden word. wie volgt
In der Obern Stuben, In d. Stub Cammer, Im ober Haußohren, In d. Andern Stub, In der Stub Cammern In der dritten Stub, In d. Stub Cammer, In d. Barbir stuben, In d. Kuchen, Im Keller
Werckzeug vnd Instrumenta Zu barbirer handwerck gehörig
Eigenthumb an Einer behaußung. 2. haüßer ein Vorder v ein hinders mit dero hoffstätten vndt Höfflin Brunnen vndt Allen vbrigen Gebäwen, begriffen, rechten Zugehörd. v. gerechtigkeit. alhier ane dem Barfüeßer Platz einseit neben Geörg Wÿdtmann dem Haußfewrer v Anderseith neben weÿl. deß hochgelehrten H. Johann Horben Med: D. Seel. Wittib v. Erben hinden vffs brandt End Stoßendt gelegen, so vmb 200 lb Cap. Zuvor H. Jeremiæ Tromern raths verwanth. Zu Colmar zuständig geweßen, an Jetzo aber Weÿland H, Joh: Joachim Frantz deß Eltern gewesenen Fünffzehners hinderlaßenen Fr. Wittib v Erben Jahrs vff Mart. mehr vmb 75. lb. d Capital so Weÿl. H Anthoni Diebolden geweßenen Ambtmann Zue Barr Zuständig gewesen, an Jetzo aber wohl Ehren gedachten H. Fünffzehners seelig. Fr. Wittib vnd Erben gehörig Jährlich vff Bartholomæi So dann Michel Lehemann vonn Saßbach 25. lib d hauptgut sonsten allerdings Freÿ Ledig v. Eig. Ist diße behaußung Vber Jetzgehorde beschwerdt sampt den baw Costen hiehero angeschlagen word. für 112. Darüber weist ein Perg. Kauffbr. mit d. Statt Straßb. anhangend. Cancelleÿ Contractstuben Insigel verwahret deß. datum d. 13. Junÿ Aô 1659. Notirt mit N° 1.
Ergäntzung des H. unveränderten Guths. Inhalt deß vber deß H. Zugebrachten Nahr. In A° 1658 d. 17. Nov. durch mich vor v. nachbenannten Notarium auffgerichteten Invo.
Unvergreifflicher Vberschlag vber Herren Johann Martin Scheerbaums Barbierers vndt wundartzt alhie vndt Frawen Catharine Trennerin theilbarer Nahrung
Summarischer Extractum der theilbaren Substanz. Sa. haußraths 53, beßerung ane der behauß. 112, Schulden 3 Summa summarum 169 lb – Passiva 281 lb
Jean Martin Scherbaum hypothèque la maison au profit du vitrier Jean Conrad Pfad
1667 (ult. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 534 f° 566-v
Erschienen Johann Martin Scherbaum der Barbierer
in gegensein hannß Conrad Pfad. deß Glaßers – schuldig seÿe 65. Guld.
Unterpfand sein sollen Zweÿ häußer ein vorders und ein hinders mit deren hoffstätten höfflin, Bonnen, und allen übrig. Gebaw. alhie am Barfüßer Platz, einseit neben Georg wÿdmann dem haußfewrern anderseit neben weÿl. H Johann Horben Med. Doct. und geweßenen Statt Phÿsici Zu Colmar nunmehr seel. hinderlaßenen Erben, hind. vffs Brand Ennd stoßend gelegen
Martin Scherbaum vend la maison à l’horloger Jean Frédéric Rœhrmann
1689 (26.5.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 280-v
H. Hannß Martin Scherbaum der Barbierer
in gegensein Hannß Friderich Röhrmann deß Uhrenmachers mit beÿstand Caspar Hurnig deß Schneiders [unterzeichnet] friedrich rehrmann Vhrmacher, Casparus hunig
eine behaußung, Hoffstatt und höfflein, sambt einem hinderhauß, mit allen andern deren begriffen, Rechten und zugehördten, allhier am baarfüßer Platz anderseit neben Friderich Maggen Erben, anderseit neben Hannß Georg Bernegger dem Schuhmacher, hinden uff das brand End stoßend gelegen welche Behaußung annoch umb 700 Gulden Capital dem Stifft Jung St. Peter verhafftet – geschehen umb 150 pfund
Frédéric Rœhrmann hypothèque la maison au profit du chapitre Saint-Pierre-le-Jeune. Une quittance est remise en 1703 à l’orfèvre Jean Adam Runckel
1695 (10.3.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 148
Friderich Röhrmann, der Uhrenmacher
in gegensein H. Samuel Koppen, Canonici und H. Johann Theobald Reiß XIII.ers alß Schaffners deß Stiffts zum Jung. St. Peter, schuldig seÿe 100 pfund
unterpfand, Eine behaußung hoffstatt und höfflein, sambt einem hinderhauß, mit allen andern deren gebaüen, Recht und Zugehördt. allhier am Baarfüßer Platz, einseit neben Friderich Moggen Erb. and. seit neb. hans Georg Gerlach dem Schuhmacher uxor. noe. hind. auff den brenten End stoßend geleg.
[in margine :] (…) in gegensein Hn Joh: Adam Runckels goldarbeithers alß nunmahligen besitzers hierinn gedachten unterpfands (…), den 29. Xbris 1703
La manante Dansay, originaire d’Irlande, demande l’autorisation d’exploiter une auberge pour officiers dans la maison qu’elle a louée de Frédéric Rœhrmann. Les Quinze l’éconduisent parce qu’elle n’est pas mariée, qu’ils ont éconduit d’autres personnes recommandées et que les officiers trouvent suffisamment d’auberges dans le quartier.
1702, Protocole des Quinze (2 R 106)
(f° 104) Sambstags den 1.ten Aprilis 1702. G. nôe Madame Dansay Schirmerin alhie, die ist willens einige Pensionnaires mithin ein Auberge Zu halten, bittet deßwegen umb deßen gnd. permission. Erk. an die obere Ungeltshh. gewiesen
(f° 115-v) Dienstags den 11. Aprilis – Mad. Dansay pt° Auberge
Obere Ungeltsherren Laßen per H. Friden Proponiren es habe Madame Dansay durch einen gehaltenen recess ansuchung gethan, daß Ihro ein auberge zu halten gn. erlaubt werden möchte. vnd alß man Sie vorbeschieden seÿe eine alte Fraw, wie sie selbsten gesagt, von 65 Jahre erschienen, welche ihre tochter mit gebracht, so an Mr Tilber Cap.ne reformé, anietzo in Italien sich befindendt, verheürathet sein solle, dabeneben sie einen recommandations Schein von dem herren Ertz Bischoff von Dublin vorgelegt, auff welchen Sie im Schirm recipirt worden, und weilen Sie sich nicht wohl außbring. könte, so were Sie gesinnt eine Auberge zu halten und officiers Zu tractiren, Zu welchem ende Sie Friderich Röhrmanns des Uhrenmachers hauß auffm Baarfüßerplatz gelehnt habe. Man habe aber solches vor sehr bedencklich angesehen, dieweilen Sie nicht verheürathet, (2) dergleichen so von Mr Bellespine recommendirt war, abgeschlagen worden, vnd (3) in derselb. gegendt Würth genug sich befinden, daß die officier ihre pensions haben können, deßwegen Zu Mghherren stünde, ob sie derselben in ihrem begehren willfahren oder Selbige abweißen wolten. Erk. Wirdt das begehren abgeschlagen.
Jean Frédéric Rœhrmann vend la maison à l’orfèvre Jean Adam Runckel moyennant 1150 livres
1703 (4. 8.bris), Chambre des Contrats, vol. 576 f° 423-v
(1150) H. Johann Friderich Röhrmann der Uhren Macher
in gegensein Hn Johann Adam Runckels des Goldarbeiters
Eine behaußung Hoffstatt Und Höfflein, sambt einem Hinderhauß mit allen deren begriffen, rechten Und Zugehördten allhier am Baarfüßer Platz einseit neben neben Lorentz Tröster dem Haußfeurer anderseit neben Johann Friderich Zeißolffen dem Kupfferschmid hinden auff das Brenten End stoßend gelegen – 462 pfund welche Röhrmann Ihme Runckeln Vermög Kauffverschreibung in d. C.Contract Stuben am 19. martÿ 1701 auffgerichtet alß ein Kauffschillings Rest ab seinem Röhrmanns in der Spießagaßen gelegenen Wohnbehaußung annoch schuldig gewesen compensirt worden – um 450 pfund beladen, geschehen um 700 pfund
Jean Adam Runckel loue la maison au musicien Luc Hericourt
1705 (14. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 748-v
Hr Joh: Adam Runckel goldarbeither
in gegensein Hn Lucæ Ericourt musiciens [unterzeichnet] Luc Hericourt
entlehnt, sein Hauß cum appert: sambt dem hinterhauß allhier ahm baarfüßer platz einseit neben Joh: frid: Zeÿsolph Kupferschmid anderseit neben Lorentz Tröster stoßend gelegen, nichts darvon außgenommen, auf 5 jahr lang anfangend auf Mich: 1705 – um einen jährlichen Zinß nemlich 170 fl.
worbeÿ verglichen, daß ein offen unten in dem laden vom Proprietario gesetzt werden solle
Jean Adam Runckel et Marie Catherine Redslob vendent la maison au chirurgien François Gombault et à sa femme Marie Eléonore Spetter moyennant 1 500 livres
1711 (28.5.), Chambre des Contrats, vol. 584 f° 297-v
(1500) hr Johann Adam Runckel der goldarbeiter und fr Maria Catharina geb. Redslobin
in gegensein hr Jacques François Gombauld Chirurgi und Maria Eleonora Späderin
eine behaußung hoffstatt und höfflein sambt einem hinder hauß und allen übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten am Baarfüßer Platz einseit neben lorentz Tröstler dem haußfeurer anderseit neben Johann Friedrich Zeißolffen dem Kupfferschmidt hinten auf dem Brenten End – um 1500 pfund
Originaire de Château-Renault en Touraine, veuf de Jeanne Deshaies, Jacques François Gombault épouse en 1704 Madeleine Spetter, fille de capitaine et veuve du boulanger Jean Mercier, de Gonnesse : contrat de mariage, célébration.
1704 (16.5.), Not. Bidier Dutil (6 E 41, 14)
Contrat de mariage 16° may 1704. furent presens Jacques François Gombeau m° chirurgien en cette ville de Strasbourg fils de defft. Barthelemy Gombeau en son vivant m° chirurgien a Chateau Renault en tourainne et de deff.te Françoise bratiere sa femme, ses pere et mere pour luy Et En Son nom d’une part
Et dam.lle Magdeleine Spedre v° de deffunt Jean mercier En son vivant boulanger a gonesse fille de defft. Sr Pierre Spedre En son vivant cap° de caualerie au reg.t de holchestein Et de dlle Elizabeth Bremont sa femme ses pere et mere pour elle Et En son nom d’autre part
(…) Et d’autant que Led. Gombeau futur époux a quatre Enfans viuant de son premier mariage auec deff.te Jeanne deshey sa première femme
En presence des Sr Rocq riuiere de St Melian Comm.re a La fourniture des licts des trouppes de La Garnison de Lad. ville, Jean Baptiste Loydin, maistre sauonnier En lad. ville, Er vincent gloquin Commis de La manufacture de sauon
Mariage selon lequel l’époux est aubergiste à la Chasse royale et l’épouse native d’Arlon
Mariage, Saint-Marc (cath. p. 65)
Hodie quæ fuit 17 Mensis May 1704. a me solemniter inthronozati sunt omnibus seruatis seruandis Franciscus Jacobus Combot chyrurgus, hospes pro tempore ad venationem regium ex una, & Magdalena Speder d’arlon ducatus Luxemburgensis vidua Joannis Mercié Equitis cujus testes fuerunt (signé) george Le Bégue chirurgien a Strasbourg, Jean Jean aubergiste, Jean Baptiste Loydin, Gloqüet (im 42)
La femme, non dénommée, du chirurgien et aubergiste à la Chasse royale Gombaut meurt le 25 octobre 1703,son corps est inhumé au couvent Saintes Marguerite et Agnès
Sépulture, Saint-Marc (cath. p. 39)
1703. Uxor Dni Gombaut Chyrurgi & Hospitis ad Venationem Regiam, in varios morbos ter recidivâ, tandem pié in christe vitâ defuncta est ide 25 octobris 1703. circa primam post medium noctis omnibus sacramentis mansea* præmunitâ ætatis suæ anno (-) Ejus corpus Solemniter ad Ecclesiam deportata ad Sanctam Margaretham & agnesem sepulta est die 27.a Octobris (i 22)
Jacques Christophe Pantrion (répert. 65 Not 45, Contrat de mariage français, p. 268)
1704 Contrat de mariage du Sieur Jacques François Gombeau et Damlle Magdeleine Spedre passé par devant Bidier Dutil Notaire
Jacques François Gombault et Madeleine Spetter achètent le droit de bourgeoisie en décembre 1709. Ils apportent six enfants.
1709, 3° Livre de bourgeoisie p. 1275
Jacques François Gaumbaux, der Chirurgus Von Dammary, weÿl. Bartholome Gaumbeaux auch gew: Chirurgi daselbst hint. sohn vnd sein Fr. Maria Eleonora Speterin, erkauffen das burgerrecht p. 6. gold fl. Vnd 16 ß bringen 6. Kinder mit, mit welchen es beÿ ordnung gelassen Worden Wird beÿ E. E. Zunfft der Freÿburger dienen. Jur. d. 30. Xbr.
Jacques François Gombault qui exploitait jusqu’alors l’auberge aux Trois Rois Grand rue demande l’autorisation de débiter du vin dans la maison qu’il a achetée place des Cordeliers. Les Quinze estiment qu’il est préférable d’accorder le droit de débiter du vin plutôt que le droit d’auberge, susceptible de fraudes.
1711, Protocole des Quinze (2 R 115) et XV (2 R 116)
(f° 312) Sambstags den 5. Decemb. 1711. – K. noîe Jacques François Gombeau burgers vndt Würths alhie der hat bißhero zu den 3.en Königen in der straß die Würthschafft getrieben, nun Er aber auff dem Baarfüßerplatz ein hauß gekaufft, worinnen Er weinsch. treiben will, als bittet, umb deßen gn. permission. Erk. an die Oberen Ungeltshh. gewiesen.
1712, Protocole des Quinze (2 R 116)
(f° 23) Sambstags den 6.ten Februarÿ 1712. – Jacques Gombeau pt° Weinschancks
Iidem [Obere Ungeltsherren] lassen durch herrn frieden referiren, daß Jacques Gombeau der burger vnd Cabaretier allhie vmb den weinschanck in seinem auff dem baarfüßerplatz erkaufften hauß angehalten, welcher beÿ der Deputation ferner gemeldet daß Er nicht allein burger, sondern auch beÿ den Freÿburgern leibzünfftig were, bißhero Zu den dreÿen Königen gewohnt hette, were willens nun ein Auberge Zu halten, wann es Mhh. geruhen hielten, wo nicht, so wolte Er ein Würth abgeben, vnd wie Sie die Würth das Umbgelt bezahlen, auch sonsten niemandt beÿ sich im hauß auffhalten
die herren Deputirte hetten darvor gehalten, weilen wegen deß Umbgelts beÿ der Auberge allerhand betrug vorgehe, daß es beßer sein werde, wann man ihme die Würtheÿ erlaube, auff welchem fall Er nicht allein die Ungeltsgebühr sondern auch deß Schildts gebühr Zu bezahlen haben werde, jedoch Zuvor einen schein auß das Einquartierungsstuben einlüffern solte. Erk. beliebt.
Jacques François Gombault et Marie Eléonore Steder vendent la maison au revendeur André Schaffer et à sa femme Anne Marguerite Ehrler moyennant 1 500 livres
1712 (ut supra [5. Xbr.]), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 716-v
(1500) Jacques François Gombauld Chirurgus und Maria Eleonora geb. Städerin
in gegensein andres Schäfers gremp und Annæ Marg: geb. Ehrlerin seiner hausfrauen
eine behaußung hoffstatt und höfflein sambt einem hinterhauß brunnen mit allen deren übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier ahm baarfüßer platz, einseit neben neben lorentz Tröster dem haußfeurer anderseit neben Joh: Friedrich Zeißolff dem Kupfferschmidt hinten aufs Brenten end – um 525 und 500 pfund verhafftet, beschehen um 475 pfund
Fils de l’employé à la Halle Philippe Schæffer, le cordonnier Daniel Schæffer épouse en 1685 Marguerite Ehrlen, fille du marchand de cuir Jean Georges Ehrlen : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung. Zwischen dem Ehrsamen Vnndt bescheidenen Meister Andreas Schäfern, ledigen Schuemacher, weÿland deß Ehrenvesten vndt vorgeachte Herrn Philip Schäffers gewesenen Wohlverdienten Kauffhauß bedienten vndt Burgers alhier in Straßburg Ehelichen Sohn, auß dem bräutigam an Einem, So dann der tugendtsamen Jungfrauen Margaretha, deß auch Ehren Vesten Vnndt Vorgeachten herrn Johann Georg Ehrlens Leder händlers vnndtt burgers alhier in Straßburg Eheleiblicher dochter, als der Jungfraw hochzeiterin, anderen theils – So beschehen vnndt Verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Mittwoch den 12 Decembris 1685 [unterzeichnet] Andreas Scheffer alß der Hoh Zeiter, Johann Philipp Zeÿßolff der älter als herrn hochzeiters Frau Mutter vogten, Hanß Georg Ehrlen der Hochzeiterin Vatter. Benedictus Groß, Nots: publ. requisitus
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 203-v n° 13)
1686. Majus d. 15. Andreas Scheffer d. ledig Schumacher, Herrn Philip Schefers Kauffhaus beampten hinterlaßener ehl. Sohn, Jungfr. Margaretha herrn hans Georg Ehrlins lederhändlers alhie ehl: tochter (i 205 – Proclamation, Saint-Thomas p. 122 n° 719)
André Schæffer qui a obtenu le droit de revendeur à la Mauresse s’inscrit à la tribu des Tonneliers
1711, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 393)
(f° 121) Dienstags den 10. Martÿ 1711 – Herr Andreas Schäffer der Gremp prod. Schein Von E. E. Zunfft der Möhrin sub dato 18.t Feb. Crafft deßelben Er das Völlige Grempen recht allda erlanget, bittet demnach Ihme das Zunfftrecht umb die Gebühr Zu Conferiren. Erkandt Willfarth, dt. 2. lb. 10 ß. 6. d. pro Zunfft Schrb. und Büttel 2 ß 6 d.
André Schæffer meurt en 1721 en délaissant six fils. L’inventaire est dressé dans la maison qu’il loue au Fossé des Tanneurs.
1721 (1.11), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 118) n° 1076
Inventarium und Beschreibung aller derjenigan Haab, Nahrung und güethere, so weÿl. der Ehren und Vorgeachte herr Andreas Schäffer der ältere geweßener gesaltzten Wahrhändler und burger allhier zu Straßburg, nachdem derselbe Mittwoch den 29.ten Octobris dießes Zeitliche gesegnet, nach tod verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des abgeleibten hherr, Schäffers seel. hinderlaßene sambtlicher mit der Viel Ehren und Tugendsamen Frawen Margaretha gebohrener Öhrlinin,& deßelben hinderbliebenene Frau Wittib ehelich erzielhlter und nach tod verlaßener sechs herren Söhne, aller gleich nach dem Eingang diees Inventarÿ benahmbßet, inventirt, und durch Sie die hinderbliebene Fraw Wittib mit beÿstand des Ehren und vorgeachten herrn Caspar Böringers des Rothgerbers und burgers allhier ihres geliebten H. Schwagers und erbettenen Vogts – So beschehen in Straßburg auff Sambstag den 1. Novembris Anno 1721.
Der abgeleibte Herr seeliger hätte Zu seinen Erben ab intestato verlaßen wie Volgt 1. Herrn Andream Schäffern, Schuhmacher und burger allhier, 2. Herrn Johann Georg Schäffern, gleichfalls Schuhmacher und burgern allhier, 3. Herrn Johann Philipp Schäffern, den ledigen Becken, so beÿ herrn Samuel Rothen des Weißbecken allhier seel. wittib in arbeit, 4. Herrn Johann Joachim Schäffern, ebenmäßig Schuhmacher und burgern allhier, 5. Herrn Johann Gottfried Schäffern, S. Stæ Theologiæ Studiorum Und dann 6. Herrn Johann Schäffern, ledigen Zinngießern so beÿ Hn Niclaus Bolcau dem Zinngißer und burger allhier in arbeit, Welche alle bereits majorennis und dem geschäfft selbsten in persohn abgewartet, dahero auch Keines vogts benöthiget, Alle sechs des in Gott ruhenden herrn Schäffers seeligen mit eingangs gemelter Frawen Margaretha Schäfferin gebohrene Örlinin der hind.bliebenen wittib ehelich erziehlte Söhne und ab intestato Verlaßene Erben
Protestatio. (…) deßelben gesampte hinderlaßene sechs herren Söhne sich gleichbalden beÿ anfang dießes geschäffts ercläret, daß Sie ane ihres geliebten Vatters seeligen Verlaßene Nahrung keines weegs Zu Erben gehen sondern auff die Vätterliche Erbschafft gar und gäntzlich Verzug gethan und ihrer geliebten Mutter Frawen Margarethæ gebohrene Öhrlinin selbige gäntzlichen überlaßen haben wollten auch nicht Verlangten, daß einige ersuchung der Nahrung vorgenommen, sondern alles der Frau Wittib (…) mithin weder auff die den 12. Decembris 1685. zwischen beeden Eheleuten auffgerichteter Eheberedung alß auch deß vor mir Notario von beeden Eheleuten auffgerichtete Codicill vom 11.ten Januarÿ 1695. einige reflexion gemacht (…) So geschehen auff Sambstag den 1. Novembris Anno 1721.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem gerber graben liegender von beeden Eheleuten lehnungs weiß bewohnenden behaußung befunden worden, wie volgt
Abzug dießes Inventarium gehörig, Sa. haußraths 33, Sa. Silbers 1, Sa. goldenen Rings 1, Summa summarum 36 lb – Schulden 1 lb, Beschluß Summ 35 lb
Copia der Eheberedung (…) Straßburg Mittwoch den 12 Decembris 1685, Benedictus Groß, Nots: publ. requisitus
André Schæffer et Marguerite Ehrler vendent la maison au marchand de vins Jean Georges Weisshaar et à Marguerite Nifferlin
1720 (ultimo. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 208-v
Andres Schäfer schuemacher und Marg: geb. Ehrlerin
in gegensein Joh: Georg weißhaar weinhändlers und Marg: geb. Nifferlin
eine behausung hoffstatt höfflein sambt einem hinterhauß und brunnen und allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten ahm baarfüßer platz einseit neben Lorentz Tröstler dem haußfeurer anderseit neben Joh: Friedrich Zeÿsolff dem Kupferschmidt hinten aufs Brenten endt – um 525, 150 und 150 verhafftet, geschehen um 75 pfund (barré 625)
Fils du fabricant de chausses Jean Georges Weisshaar, Jean Georges Weisshaar épouse en 1688 Anne Elisabeth Spuhl, veuve de Mathias Gross : contrat de mariage, célébration
1688 (3.10.), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 14)
Eheberedung Hannß Georg Weißhaaren des ledig. Tabackmachers Vnnd Annæ Elisabethæ Matthiß Großen seel. hind.laßener Wittib Gebohrner Spuhlin, Anno 1688.
entzwischen dem Ehrenhafften v. bescheidenen Hannß Georg Weißhaaren dem ledigen Tabackmachers und burgern alhier Weÿland des Ehrenhafften v. bescheidenen Hannß Geörg Weißhaaren, geweßenen hoßenstrickers und burgers alhie seel. hinderlaßenen Ehelichen Sohns als hochzeitern ane einem
So dann der Tugendreich. Frawen Annæ Elisabethæ gebohrnen Spuhlin weÿland Mathiß Großen geweßenen Musicanten und burgers alhie seel. hinderbliebener Wittib andern theils
So beschehen in d. Königl. Freÿen Statt Straßburg in einer in der leimengaßen v. von des hochzeiters Mutter bewohnend. Wohnbehaußung geleg. Straß. d dritten 8.bris St. novi A° 1688 [unterzeichnet] hanß gorg Weiß har als hoch Zeider, Johannes Hammerer als deß H. hochzeitter vogt
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 10-v n° 44)
1688. Eodem [Dom: 18 post Trin:] sind zum esten mahl außgeruffen Hanß Georg Weißhaar der Tabacmacher, Weiland Hanß Melchior Weißhaars Burgers und hosenstrickers alhie S. Anna Elisabeth, Weiland Mathiß Großen Burger u. Spielmanns v. Mittw. den 27. 8.bris ist auf fürhergangene Zweÿmahlige Proclamation in der Kirchen die Copulation geschehen [unterzeichnet] hans gerg Weiß har als hoch Zeider, + Ist der hochzeiterin Zeichen (im 13)
Originaire de Bouxwiller, le musicien Mathias Gross achète en mars 1683 le droit de bourgeoisie en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
1685, 3° Livre de bourgeoisie p. 1027
Mathiß Gros Von Bußweiler der musicant erkaufft das burgerrecht für sich pro 10 gold fl. so Er beim Pfenningthurn erlegt, wird Zur Mörin Zünfftig Jur. 29. martÿ 1683
L’inventaire dressé par le notaire Kolb après la mort d’Anne Elisabeth, femme de Jean Georges Weisshaar, n’est pas conservé.
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les héritiers non bourgeois issus du premier mariage doivent régler le droit de détraction.
1708, Livres de la Taille (VII 1174) f° 14-v
(Möhrin, F., N° 1859) Weÿl: Frauen Annæ Elisabethæ Hannß Geörg Weißhahrs, burgers und Tabackbereiters alhier gewesener Haußfrauen Verlaßenschafft, Inventirt H. Not. Kolb.
Concl. fin. Inv. ist fol: 60.b dem Stalltax nach 757. lb. 11 ß 8 d, die machen 1500. fl. derselbe verstallte hiengegen 2000 fl.
Extat kein Stallgeltt
Gebott 8 d
Abhandlung 17 ß 6 d -Summa 18 ß 2 d
Abzug. Johann Rheinhard Groß der Tabackmacher und Schirmer alhier soll von ererbten 56. lb. 7. ß. 11 d Mütterl. Guht ane Abzug 5. lb. 12. ß. 9 d
Ingleichem Christian Groß der Spielmann und Schirmer alhier 5. lb. 12. ß. 9 d
Und dann Johann Georg Groß auch spielmann und Schirmer alhier eben maßig 5. lb. 12. ß. 9 d
dt. omn. d. 25. Aprilis 1708.
Le marchand de vins Jean Georges Weisshaar se remarie en 1713 avec Marguerite Niefferlin, fille du marchand de fruits et légumes Félix Niefferlin : contrat de mariage, célébration
1713 (5.7.), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 14)
Eheberedung – zwischen herrn Johann Georg Weißhaaren dem weinhändler und burger alhier dem hochzeiter ane Einem,
So dann der Viel Ehren und Tugendsamen Jfr Margaretha gebohrener Niefferlinin, Herrn Felix Niferlins fastenspeiß händlers auch burgers Zu Straßb. ehelicher dochter der Jungfr. Hochzeiterin am andern theil
So beschehen und verhandelt in der Königlichen freÿ. Statt Straßb. auff Pfingst Montag den 5. Monatstag Junÿ Anno 1713 [unterzeichnet] Johann georg weißhaar alß hoch Zeider, Margaretha Niefferlinin als hochzeitern
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 250-v n° 19)
1713. Eod. [Mittwoch den 25.t Junÿ] Seind nach 2.mahl. Proclamation ehelich copulirt worden Herr Johann Georg Weißhaar der b. und weinhändler allhier vnd J. Margaretha H. Felix Niefferling b. und fastenspeißhändlers ehl. Tochter, [unterzeichnet] Johann georg weißhaar als hochzeider, Margretha Niefferlinin als hochzeiterin (i 250)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue de l’Ecurie. Ceux du mari s’élèvent à 1939 livres, ceux de la femme à 304 livres.
1713 (20. 9.bris), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 10) n° 362
Inventarium undt beschreibung aller haab undt Nahrung so der Ehrengeachte Herr Johann Georg Weißhaar der Weinhändler undt die Tugendsame fr. Maria Margaretha gebohrne Niefferlerin beede Eheleuthe und burgere allhier, vermög ihrer mit einander auffgerichten Eheberedung einander alß unverändert zusammen in den Ehestandt gebracht Welche auff begehren Ihr beeder gedachter Eheleuthen selbsten (…) geeigt undt gezeigt – So beschehen in fernerer beÿsein Hn Felix Niefferlin vnd Fr. Agnes Niefferlerin gebohrene der frawen leiblichen Eltern, Straßburg auff Montag d. 20.ten 9.bris Anno 1713.
Inn Einer allhier in der St: St: in der Stallgaß gelegener behaußung befunden worden alß volgt
Norma hujus inventarÿ, Sa. haußraths 179, Sa. Silbers 1, Sa. baarschafft 788, Sa. Schulden 879, Sa. schulden 82, Summa summarum 1939
Hierauff wird auch der Fr. Zugebrachte Nahrung beschriebenb, Sa. haußraths 190, Sa. Silbers 27, Sa.guldener ring 25, Summa summarum 243 und 60, 304 lb
Le revendeur Jean Georges Weisshaar demande l’autorisation de vendre du vin et de l’acheter à la Grue. Les Quinze le renvoient au règlement qui stipule que les marchands ont le droit de vendre du vin mais qu’ils doivent l’acheter à la campagne
1717, Protocole des Quinze (2 R 121)
(p. 82) Sambstag d. 20. feb. 1717. – Joh: Georg Weißhaar pt° Weinhandels
Iidem [Obere Handwercks Herren] per Eundem [Secretarium Kleinclaus] laßen referiren daß Joh: Georg Weißhaar der Burger und Kremp allhier in einem übergebenen unterthänigen Memoriale angehalten, neben dem Krempen Weßen auch den Weinhandel Zu treiben und den wein gleich andern weinhändlern sambstag nachmittag an den Kraan einzukauffen, ihme gnädig Zu erlauben.
Auff geschehene remission habe man Ihn ferner gehört, Welcher sein petitum wiederhohlet, und nur dießes beÿgefügt, daß Johann Martin Knecht der gartner neben seiner profession auch dergleichen thäte, Worüber man H. Craccaw vernommen welcher berichtet, daß nach denen Ordnungen dem Imploranten nicht könte willhafrt werden, dahero man die protocolla auffgeschlagen, und in dem de A° 1703 unterem dato 20. Junÿ gefund. daß die handelß undt handwercks Leuth neben Ihrer profession Zwahr den Weinhandel zu treiben befugt seÿen, doch mit dem anhang daß Sie den Wein nicht an dem Kraan, sondern aff dem Land einkauffen sollen. Vid. Decretum buch über das Ungelt besagend fol. 117. Weil nun die Ordnung Klahr und man nicht leicht davon weichen kan, so vermeine man daß der Implorant mit seinem begehren ab: und an bemelte Ordnung Zu verweißen seÿe. Erkand beliebt.
L’ancien marchand de fruits et légumes Jean Georges Weisshaar quitte la tribu de la Mauresse pour celle des Tonneliers
1717, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 393)
(f° 331) Dienstags den 1. Maÿ A° 1717 – Hr Johann Georg Weißhaar der gewesene Fasten Speiß Händler producirt Schein Von der Stadt Stall den 14.ten Aprill Jüngsthien Vermög deßen Er von E. E. Zunfft der Möhrin gewillet ist sich beÿ einer Ehrsammen Zunfft der Kieffer leibzünfftig Zumachen, bittet umb reception. Erkandt Willfarth Zahlt gebühr 2 lb 10 ß 6 d pro die feur Eÿmer10 ß vndt pro inscriptione 2 ß 6 d.
Jean Georges Weisshaar et Marguerite Niefferlin hypothèquent la maison au profit de Marie Madeleine Geiger
1720 (31.10.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 516-v
Johann Georg Weißhaar weinhändler und Margaretha geb. Nifferlinin mit beÿstand Johann Peter Nifferlin Schuemacher und Johann Georg Nifferlin auch Schuemacher
in gegensein Felix Nifferlin Fastenspeishändlers als Vogts Mariæ Magdalenæ geigerin mit beÿstand H. Daniel Braunen Silberarbeiters – schuldig seÿen 750 pfund
unterpfand, ein hauß cum appertinentÿs ahm baarfüßerplatz, einseit neben Lorentz Trösters haußfeurers wittib und erben anderseit neben Joh. Friedrich Zeißolff Kupfferschmidt hinten einen außgang in d. brend. End habend
Jean Georges Weisshaar meurt en 1725 en délaissant un fils de son premier mariage et quatre enfants du deuxième. Les experts estiment la maison à 1 000 livres. La masse propre à la veuve est de 782 livres, celle de la communauté s’élève à 765 livres. La veuve achète la part revenue à son beau-fils.
1725 (5.Xbr), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 22) n° 719
Inventarium über Weÿl. Hrn Johann Georg Weishaar geweßenen Weinhändlers und burgers zu Straßburg nunmehro seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1725. – nach seinem am 25. octobris jüngsthien genommenen tödlichen hientritt hie zeitlichen verlaßen, Wie solche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deßelben hinterlaßener und am Nechstfolgend. Blatt benambster Kinder und Erben auch dero Geschwornen Vogts und Hn Deputati, heut dato ordnungsmäßig inventirt und ersucht durch Frau Margaretham Weißhaarin geborene Niefferlinin die Hinterbliebene Wittib, mit hülff und beÿstand Hn Johann Michael Heintzen des Heußfeürers und burgers alhier ihres geordneten Curatoris (…) So beschehen Straßburg den 5.ten Decembris 1725.
Der Verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie folgt. 1. Johannem den tabacbereiter Zu Käß Kastel wohnhaft hochfürstl. Naßau ottweiler Jurisdiction aus erster Ehe erziehlt und weil derselbe fremd und ohnverburgert, als ist beÿ E. E. Kleinen rath in deßen unterthänig erbetten und gnädigst deputirt worden S.T. H. Georg Friderich Hoffmeister wohlermelter E. E. Kleinen raths jetzmahliger beÿsitzer welcher neben seinem Principal seinem Geschäfft in person abgewartet
2. 3. 4 et 5. Annam Margaretham, Johann Felix, Johann Daniel und Georg Friedrichen so der verstorbene seel. mit vorher vermelter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlt, deren Geschworner Vogt Johann Georg Jung, Schuhmacher und burger alhier so zugegen war. Aller Fünff gebohrener Weißhaaren, so der abgeleibte seel. aus erst: und anderer Ehe ehelich erziehlt und ab intestato Zu gleichen portionen und antheÿlern Zu Erben Verlaßen
In einer alhier Zu Straßburg ane dem Baarfüßerplatz gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und deßwegen Hernacher fol: (-) beschriebenen behaußung folgendermaßen befunden
Haußrath, Schreinwerck. Auff der Bühn, Vor der Kammer A, In der Officiers Stub, In der Zweÿten vordern Stub, im Hinderen Stübel, In der Stubkammer, Im Obern Haußöhren, im Keller
Haußrath 170 (W 34, E 68, T 67), Silber 33 (W 23, E 6, T 10 ß), Frucht T 1, Goldener Ringe 19 (W 19, 7 ß), Vaß, wein, eßig und brandenwein 353 (E 34, T 319),Schiff und geschirr zum Tabacmachen gehörig T 2, Taback T 24, Baarschafft 53 (W 5, E 5, T 43) Schuld in der Wittib ohnveränderte Nahrung 75, Activ Schulden 79 (Gute 55, Zweiffelhaffte 55)
Summa summarum samtlich Theÿlbahren Verlaßenschafft 765 lb
(f° 12) Ergäntzung der Fraw Wittib abgegangen ohnveränderten Vermögen. Nach ausweis Inventarÿ, so Weÿland H Johann Peter Kolb gewesener Notarius Publicus juratus und burger allhier Zu Straßburg über beeder nunmehro durch den Zeitlichen Tod zertrennter Eheleute Zusammengebrachte Nahrungen unterm 20. 9.bris Anno 1713. auffgerichtet
Pfenningzinß hauptgüter W 1169
Ergäntzung der Erben 1663, Summa summarum der Erben samtlich ohnveränderten Vermögens 1781 lb – Schulden 75 lb, Nach deren Abzug 1706 lb
(f° 17) Eÿgenthumb ane einer Behaußung so theÿlbahr. Eine Behaußung Hoffstatt, höfflein sambt einem Hinterhauß und brunnen mit allen übrigen begriffen weiten Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten alhier ane dem baarfüßerplatz, einseit neben Lorentz tröster hinterlaßener fraw wittib, anderseit neben Johann Friederich Zeißolphen des Kupfferschmids seel. Hinterlaßenen Erben, hinten auff das brenden End, worinn es einen außgang hat, und ist diße behausung Hn Felix Niefferlin, dem Fastenspeishändler, curatorio nomine annoch verhafftet in capital mit 750. lb d. sonsten sofern freÿ ledig und eÿgen wie solche durch der Statt Straßburg geschworne Werckmeistere, krafft dero Abschatzung vom 4. Decembris. 1725. æstimirt und angeschlagen worden pro 1000 lb. d. Abgezogen obige beschwerd, bleibt annoch hiehero außzuwerfen übrig neml. 250. Darüber besagt ein deutscher pergamenter Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Cantzleÿ Contract Insigel verwahrt und datirt den letzten Aprilis Anno 1720.
Schulden aus der theÿlbaren verlaßenschafft Zugeltend 1832 lb, Conferendo befindet sich daß die theÿlbare Passiva die vorherbeschribene theylbare activ massam übersteigen umb 1066 – Conclusio finalis Inventarÿ 1125 lb
Copia der Eheberedung (…) Johann Peter Kolb, Notarius juratus publ.
Abschatzung d. 4. Xbris aô 1725. Auff begehren Weÿland des Ehrenvesten und Vorachtbahren herrn Johann Geörg Weißhaar gewesenen Weinhändlers seel. hinterlaßene Fraw Wittib und Erben, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg auf dem baarfüßer platz gelegen, einseits Neben Lorentz Tröstler seel. hinterlaßenen Frau Wittib, anderseits Neben Johann Friederich Zeÿsolff seel: hinterlaßenen Erben, hinden auf das Brönten end worinnen es Einen Außgang hat, welche behausung hinder gebäw, Stuben Cammern Küchen, Ein Stübel und Nebens Cämmerlein Vor den Officier, Zweÿ hauß Ehren, einer Mit einem herd und waßerstein, der andere Mit einem waßerstein halbgewölbter und gebälckter Keller und ein Klein höffel so mit blatten beleg sambt aller gerechtig Keit wie solches durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb Zweÿ Tausend gulden [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werckmeister deß Zimmerhofs
Abhandlung der Sterbbehaußung. Die in dem Inventario fol. 9. cum appertinentiis beschriebene Sterb behaußung ist durch die geschworne Herren Werckmeistere pro 1000 lb. hiehero aber allerseit beliebtermaßen æstimirt und angeschlagen worden umb 1250. lb davon abgezogen H. Felix Niefferlin dem fasten Speishändler curatorio nomine gehöriges Capital so auff der behaußung hafftet macht 750. lb Conferendo bleibt ane den 1250 lb noch übrig 500, Macht daran, worauff die Wittib mit ihren in der Eheberedung Verschribener 1000 fl. Wÿdumb verwießen worden Johanni dem Sohn erster Ehe für einen fünfften theil 100
darauffhin hat Johannes Weishaar der Sohn erster Ehe (…) die wittib mit Consens ihres Vogts auch käuflichen übernommen, dergestalten daß Sie Vorderist auff ihren Genus prorato renunciren und dann obige 50 pfundt Pfenning und Tabaccblätter Johann ihrem Stieffsohn respective baar bezahlen und lüffern solle und wolle. Hierauff haben die Parthen Vorstehende Cession und Vergleich wahrhafft vest und verbrüchlich Zuhalten und in allhiesiger Cantzleÿ Contractstub ordnungsmäßig verschreiben Zulaßen (…) So beschehen Straßburg den 26. Martÿ 1726.
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que le fils aîné habitant à Keskastel doit régler le droit de détraction.
1726, Livres de la Taille (VII 1176) f° 40-v
(Kieffer F. N. 3869) Weÿl. H. Johann Georg Weißhar geweßenen Weinhändlers und burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Hoffmann.
Concl. fin. Inv. ist fol: 104 – 1125. lb. 16 ß die machen 2200. fl. verstallte hiengegen 2800 fl.
Extat das Stallgeltt pro 1725 mit – 5 lb 11 ß
Gebott – 2 d
Abhandlung 1 lb. 7 ß 6 d – Summa 7 lb 6 d
Abzug. Johannes Weißhar der tabackbereiter Zu Coß Castell Naßau Ottweilischer herrschafft soll von vätterl. theils dato theils finito usufructu anfallen dem Erb der 127. lb 17 ß 7 d den Abzug erlegen mit 12 lb 15 ß 9 d
Item derselbe, soll noch ane alten Extanzen 1717 mit 9 lb 4 ß 4 d
Aus erheblichen motiven haben die Herren dreÿ daran nachgelaßene 4 lb 10 ß – rest 4 lb 14 ß 4 d
dt. 10 Aprilis 1726.
Marguerite Niefferlin se remarie avec le tonnelier Etienne Schreiber, originaire de Mittelbergheim : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
1728, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 12) n° 577 – Eheberedung – Stephan Schreiber, ledigen Kieffers und Frauen Margarethä Weishaarin gebohrner Niefferlinin
Heüraths Abred Zwischen dem Ehrengeachten Stephan Schreiber Ledigen Kieffer und burger alhier, alß bräutigam ane einem
So dann der Ehren und Tugendsahmen Frauen Margarethæ gebohrene Niefferlinin weÿl. Hn Johann Georg Weisharen geweßenen Weinhändlers und burgers alhier nunmehr seel. nachgelaßener Wittib alß hochzeiterin am andern theÿl – So beschehen Straßburg den 2.ten Januarÿ Anno 1728. [unterzeichnet] Stephan schreiber als hoch Zeidter, Margaretha weißharin Geborne Niefferlinin Als Hochzeÿterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 76 n° 36)
1728. Mittw. d. 7. 7.bris sind nach 2. maliger Proclamation ehelich copulirt v eingesegnet word. Stephan Schreiber der Ledige Kiefer von Mittelbergh. weÿl. Joh: Schreiberss geweß. b.v. Kiefers nachgel. ehl. Sohn v. fr. Anna Margaretha, weÿl. Johann Geörg Weißhaars geweß. b. v. weinhändlers Nachgel. Wittib [unterzeichnet] Stephan schreiber als hoch zeÿder, Margretha weißharin als Hochzeiterin (i 80)
Etienne Schreiber s’inscrit en janvier 1727 à la tribu des Tonneliers pour travailler à Strasbourg. Il est reçu tributaire en septembre 1729 après avoir présenté son certificat de bourgeoisie
1727, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 140) Dienstag den 28.ten Januarÿ Anno 1727 – Stephan Schreiber, der Ledige Kieffer von Mittelbergheim gebürthig, producirt seinen Lehrbrieff von gedachtem orth Welcher nach beschehener ableßung für Authentisch gehalten Wurde, bathe Ihne Zu Verarbeithung der dreÿ Jährigen Zeith einzuschreiben, ist anjetzo beÿ Meister Lorentz Rheinen in arbeith.
Erkand, Willfahrt, Zahlt Werckstatten Zinnß 1 lb 10 ß und pro Zunfftschreiber und büttel 2 ß 6 d.
(f° 241) Dienstags den 27. 7.bris 1729 – Stephan Schreiber der Kieffer producirt Schein von der Statt Stall vom 22. 7.br. vermög deßen Er das burgerrecht erhalten, verlangt beÿ dießer E. Zunfft als Leibzünfftig angenommen Zu werden. Erkandt willfahrt, soll als frembter 2. lb 10 ß 6 d erlegen. ded. et pro inscriptione 2 ß 6 d.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient en partie à l’épouse pour en avoir hérité un cinquième de sa fille et acheté un autre cinquième de son beau-fils. Ceux de la femme s’élèvent à 298 livres.
1729 (28. 9.br), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 33) n° 1008
Inventarium über des Ehrengeachten Hn Stephan Schreibers Kieffers und Weinhändlers und Frauen Margarethæ Schreiberin gebohrener Niefferlinin beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand Zusammen gebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1729. – in ihren vor Kurtzer Zeit mit Gott angetrettenen Ehestand würcklich Zusammen gebrachte, und Krafft dero mit einander auffgerichteten Eheberedung Ihnen und Ihren Erben als ein ohnverändert und vorbehalten guth, mithien die Ergäntzung deß Küfftigen abgangs derselben expresse reservirt conditionirt und bedungen – So beschehen in fernerem beÿsein Mstr Johann Michael Heintzen des haußfeurers deroselben annoch ohnentledigten Vogts sodann Mstr Johann Georg Jungen des Schuhmachers als deroselben Kinder Erster Ehe geschwornen Vogts beeder burgere allhier, Straßburg den 28.ten Novembris 1729.
In einer alhier Zu Straßburg ane dem Baarfüßerplatz gelegenen, der Ehefrauen Zum theil für ohnverändert gehörigen und deßwegen hernacher folio (-) beschriebenen behaußung folgendermaßen befunden
Haußrath 276 (M 39, F 237), Werckzeug und Reiff Zum Kieffer Handwerck gehörig M 19, Faß, wein, brandenwein und eßig 219 (M 32, F 186), Silber F 34, Goldener Ring F 32, Baarschafft 221 (M 121, F 99), Schulden 241 (M 86, F 155)
(f° 11) Eÿgenthumbliche antheÿler ane einer Behaußung, so d. Ehefrauen gehörig. Zweÿ fünffte theÿl, für ohnvertheÿlt, Von und ane einer Behaußung, hoffstatt, höfflein sambt einem hinterhauß und brunnen mit allen übrigen begriffen weiten Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten, alhier ane dem baarfüßerplatz, einseit neben Lorentz Trösters des geweßenen haußfeurers hinterl. Erben, anderseit neben auch weÿland H. Simon Rollen des geweßenen Krempen und burgers alhier nachgelaß: Erben, hinten auff das brendenend stoßend, worinn es einen außgang hat, und ist dieße gantze behausung Hn Felix Niefferlin dem fastenspeishändler und burgern alhier der Ehefrauen leibl. Vatter curatorio nomine annoch verhafftet in restirendem Capital mit 250. lb Sonsten freÿ leedig und eigen und bleiben dieße Zweÿ fünffte theÿl noch Zur Zeit ohnangeschlagen und in natura reservirt dannenhero außzuwerfen nichts, o
Nota was vorstehende Zweÿ fünffte theil betrifft wie solche ane die Ehefrau eÿgenthümblich gekommen so hat dieselbe einen Theil von Johann Weißhaar ihrem Stieffsohn ane sich erkaufft, den andern fünfften theil aber Von Anna Margaretha ihrer bald nach ihren Vatter seel. verstorbenen tochter ererbt. Die übrige dreÿ fünffte theÿl aber seÿnd der Ehefrauen dreÿen kindern Erster Ehe eÿgenthümblich Zuständig. Über die g. behaußung besagt ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff mit d. Statt Straßburg anhangendem Cantzleÿ Contract Insigel verwahrt und datirt den letzten Aprilis Anno 1720.
Eÿgenthumb ane liegenden güthern so der Mann in die Ehe gebracht, o.
Summa summarum der Ehefrauen samtlich eingebrachter Nahrung 583 lb – Schulden 208, Nach deren Abzug 298 lb – Haussteuren 21 lb
Heüraths Abred (…) So beschehen Straßburg den 2.ten Januarÿ Anno 1728.
L’apprêteur de tabac Conrad Merck et sa femme Anne Barbe Weiss qui n’ont pas d’enfant adoptent Etienne, fils du tonnelier Etienne Schreiber
1729 (7.7.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 70) Varia
Zwischen Meister Conrad Mercken Tabackbereithern und frauen Annæ Barbaræ Merckin geb. Weißin beeden Eheleuthen und Schirmeren allhier ane einem
So dann Meister Stephan Schreiner Kieffern Von Mittelbergheim gebürtig am andern theÿl, folgender Accord und Vergleich auf obrigkeitliche Confirmation wohlbedächtlich eingangen und beschloßen worden
1. So obligiren sich ernannte Merckische Eheleuthe Krafft diß in ermanglung Kinder und Leibes Erben sein Stephan Schreibers Söhnlein nahmens Stephan Zu adoptiren und ane Kindesstatt anzunehmen, daßelbe zu aller Gottes forcht Kirchen und Schuhlen lesen und Schreiben auffzuerziehen (…) um 50 Thaler – So beschehen Straßburg den 7. Julÿ Anno 1729
Les contrôleurs font grief à la veuve de Jean Georges Weishaar de vendre du vin hors de sa maison. Elle est condamnée à une faible amende mais ne devra pas récidiver sous peine de devoir régler le double.
1729, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 165)
(f° 95-v) Dienstags den 6.ten Sept: A° 1729
Margaretha Weÿl. Johann Georg Weißhaars geweßenen Weinhändlers und burgers allhier nachgelaßene wittib, citiret, daß Selbe Wein Maaßenweiß über die gaß verkaufft, mithin verbottene würtschafft getrieben.
Illa præsens ist die Anklage nicht gesändig. Erkandt, weilen dieselbe durch einen dießes Gerichts assessorem, alß welcher den wein von einer Frawen unter dem Fürthuch auß Citatæ hauß tragen, und durch den Zunfft Rüger wegnehmen sehen, sattsam überwießen, Alß wird selbe weilen sie eine Witfraw, dermalen nur in 1 lb d Straff condemnirt, Ihro aber solches in Künfttige nicht mehr Zu thun sub poena dupli anbefohlen.
Le contrôleur fait grief à la veuve Weishaar d’avoir servi du vin à deux paysans d’Auenheim. Elle déclare qu’elle leur a servi du vin pour rétribuer le transport de marchandises. L’affaire reste en suspens jusqu’à plus ample informé.
(f° 98-v) Dienstags den 20.ten Dec. 1729 – Margaretha Weÿl. Johann Georg Weißhaars geweßenen Weinhändlers wittib, welche ahne 2 bauren von Awenheim, so allhier wellen,verkauffet, und beÿ Ihro ein Fäßel wein gefaßet, eine halb maaß wein den Ohmen nach, auß gezepffet haben solle.
(f° 99) Donnerstag den 29. Dec: 1729. – Weÿl. Johann Georg Weißhaars citiret auff Clag vom 20.ten hujus
Illa sagt habe Keinen wein Maaßen weiß umb geldt verkaufftet, sondern denen leuten so Sie wellen angekauffet, einen trunck ahne statt des trager lohns gegeben, mithin wieder Art: nicht gehandelt.
Der Rüger præsens, erholet Klag, widerspricht citatæ einwenden, und meldet anbeÿ ferner daß die wellen bauren in dem Würthß hauß Zum blauen bauren den eßen darzu geholet.
Erkandt die sach wie biß zu beßeren erweiß in suspenso gelaßen, Citatæ aber die Abstraffung biß dahin reservirt.
Les actes relatifs à Etienne Schreiber seront présentés à la notice de sa maison.
Etienne Schreiber meurt en 1763 en délaissant des héritiers collatéraux. Les experts estiment à 750 livres la maison qui appartient pour trois cinquièmes à la veuve (deux cinquièmes hérités de ses enfants et un cinquième acheté de son beau-fils). La masse propre à la veuve est de 1 123 livres, celle propre aux héritiers de 852 livres. L’actif de la communauté s’élève à 5 900 livres, le passif à 1 600 livres
1763 (15.3.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 402) n° 978
Inventarium über Weÿland des Ehren und Wohlvorachtbaren Herrn Stephan Schreibers gewesenen Kiefers und Weinhändlers auch Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft aufgerichtet Anno 1763. – nachdeme derselbe Sontags den 20. Februarÿ dieses Lauffenden 1763. Jahrs dieses Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt nach solch seinem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen hinter sich verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren der Viel Ehren und tugendbegabten Frauen Margarethæ Schreiberin gebohrner Niefferlinin der hinterbliebenen Wittib mit assistentz des Wohl Edlen und Wolachtbaren H. Johann Philipp Göring, hochadelicher Schaffner und burgers allhier Ihres ernetenen Hn beÿstand wie auch des Ehren und Wohlvorachtbaren Hn Friderich Weißhaar Kiefers und weinhändlers auch burgers allhier Ihres Jüngern herrn Sohns von Erster Ehe, ingleichem des seelig Verstorbenen eheleiblicher Geschwüsterde und ab intestato nachgelaßener rechtmäsigen Erben (…) So beschehen in Straßburg auf Dienstag den 15. Martÿ er seqq. Anno 1763.
Der seelig verstorbenen hat Zu seinen Erben ab intestato Verlaßen wie folgt. 1° frau Annam Mariam Bronnerin gebohrene Schreiberin Weÿland Lorentz Bronners geweßenen Reebmans und burgers Zu Mittelbergheim Straßburger herrschafft nachgelaßene Wittib, welche mit beÿstand S. T. H. Johann Andreæ Greum, vornehmen Apotheckers und E. E. grpsen Raths alter auch E. E. Kleinen Raths jetzig. wohlverdienten beÿsitzers Ihres hierzu in specie erbetenen H Assistenten, wie auch Johann Paul Schmid des Becken und burgers Zu Barr, ihres Sohns erster [Ehe], beÿ dem Geschäfft sich eingefunden, 2° Frau Elisabetham Wilhelmine gebohrne Schreiberin Frantz Wittmann des Kiefers und burgers zu vorgedachtem Mittelbergheim Ehefrau, in deren Nahmen gedachter Ihr Ehevogt dem Geschäfft persönlich abwartete, So dann 3.tio Johann Bartel Schreiber, Weißbecken und Burger Zu besagtem Mittelbergheim, welcher in selbst eigener Persohn præsens war. Also alle dreÿ des Abgelegten seel. leibliche Geschwüsterde und ab intestato Zu dreÿen gleichen Portionen und Stammtheilen verlaßene rechtmäsige Erben. In deren aller Namen, weilen dieselbe alhier ohnverburgert aus E. .E Kleinen Raths Mittel Krafft Extractus Memorialis vom 24.ten Februarÿ jüngst Zu diesem Geschäfft in specie deputiret worden, H Johann Samuel Becke der Vechhändler und E. E. grosen Raths alter auch Ehrengedachten Kleinen Raths jetzig wolmeritirter beÿsitzer welcher dem Geschäfft von Anfang bis zu End beÿgewohnt.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Baarfüßerplatz gelegenen, in dieße Verlaßenschafft und Zwar der Wittib Zum theil für Ohnverändert eigenthümlich und Zum theil in deroselben aus Erster Ehe Lebtägig Zu genießen habender Wÿdum gehörigen, hieunden eingetragenen Behaußung befunden worden wie folgt.
(f° 19) Eigenthum ane häußern (W.) Erstl. dreÿ Fünfftetheil für ohnvertheilt von und ane einer behaußung, höfflein, hoffstatt und bronnen samt einem hinderhauß, mit allen übrigen deren gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg ane dem Baarfüßer Platz, einseit neben Johann David Stamm, dem Weißgerber uxorio nomine, anderseit neben herrn Johann Vincent Gayneau, geweßenen Statt Sattlers und Exsenatoris Verlaßenschafft, hinden auf das brenden End, allwohin selbige einen Außgang hat, stoßend, so gegen Männiglichen freÿ Ledig eigen und ist die gantze Behaußung durch (die Werckmeistere) Vermög überschickter Abschatzung Vom 24.ten Februarÿ 1763. angeschlagen pro 750. lb. Machen daran die der Wittib für ohnverändert gebührige dreÿ Fünfftetheil, davon dieselbe Zween Fünffte theil von Zweÿen Verstorbenen Kindern Erster Ehe geerbt und einen Fünfftetheil beÿ Ihres Ehemanns, Weÿland herrn Johann Georg Weißhaar geweßenen Weißbecks und burgers allhier seeligen Verlaßenschafft abtheilung von Ihrem Stieffsohn Johann Weißhaar Käuffllichen angenommen hat, 450. Die übrige Zween Fünfftetheil aber seind in Ihr der Wittib aus Erster Ehe lebtägig Zu genießen habende Wÿdumn, so hernach eingetragen. Über die völlige behaußung besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub aufgerichtet und mit dero anhangendem Insiegel corroboriret de dato Letzten Aprilis Anno 1720. Dabeÿ ein dergleiche, Kauffbrieff über den von Johann Weißhaar erkaufften Fünfftentheil besagend de dato 29. Martÿ 1726. So dann zween alte auch dergleichen Kauffbrieff de datis 9. Decembris 1712 et 28. Maji 1711. alles mit altem Lit. 1 notirt.
(T.) It. eine behaußung bestehend in vorder: und höfflein, hoffstatt und bronnen mit allen übrigen deroselben Gebäuen, Begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier ane dem Baarfüßerplatz einseit neben Johann Jacob Litsch (…)
(T.) It. ein dritter theil für ohnvertheilt Von und ane einer behaußung, im grünen Bruch ohnweit dem Geistbrückel (…)
(T.) It. anderthalb stöckigtes mit Zieglen gedeckten hauß (…) in dem dorff Illkirch
(f° 22) Ergäntzung der Wittib abgegangenen ohnveränderten Guths. Inhalt Inventarÿ über beeder geweßener Eheleute einander für ohnverändert in den Ehestand Zusammen gebrachte Nahrungen in Anno 1629 durch Weÿland herrn Notarium Christoph Michael Hoffmann seel. auffgerichtet
Vermög Extractus Mittelbergheimer Contractuum Protocolli de dato 6.ten Martÿ 1735. durch herrnn F. J. Falck dermahligen Gerichtsschreibern allda unterm 3.ten Martÿ 1763 ausgefertiget, hat der seelig verstorbene alles dasjenige was Er von seiner Verstorbenen baaßen Frauen Margaretha Dantzerin ererbet und dieselbe von Ihrem Ehemann Lorentz Schreiber in Lebtägigen Wÿdum genoßen
Wÿdemb Welchen die Wittib Von weÿland herrn Johann Georg Weißhaar dem geweßenen Weinhändler und Burgern allhier Ihrem ersteren Ehe Mann ebenmäßig seeligen annoch Zeit Lebens zu genießen hat
(f° 28) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 45, Sa. Lährer Faß 51, Sa. Silbers 8, Sa. Goldener Ring 6, Sa. antheils ane einer Behaußung 450, Sa. Schulden 300, Erg. Rest 378, Summa summarum 1240 lb – Schulden 116 lb, Nach deren Abzug 1123 lb
Dießem nach Wird auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 27, Sa. Werckzeugs Zum Kieffer handwerck gehörig 5, Erg. rest 819 lb, Summa summarum 852 lb
Endlichen Wird nun auch das gemein verändert und theilbar Guth beschrieben, Sa. haußraths 89, Sa. Werckzeugs Zum Kieffer handwerck gehörig 13, Sa. Wein, Eßig, Brandenwein und Lährer Faß 1081, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 61, Sa. Goldener Ring 12, Sa. baarschafft 409, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 3103, Sa. Eigenthums ane Häußern 1066, Sa. Schulden 41, Sa. Capital Zinß 24, Summa summarum 5900 lb – Schulden 1600, Detrahendo verbleibt 4299
Conclusio finalis Inventarÿ 6275 lb
Marguerite Niefferlin meurt en 1768 en délaissant deux fils. La maison est portée à la même somme que dans l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 2360 livres, le passif à 176 livres.
1768 (31.5.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 410) n° 1153
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren und Tugendbegabten Frauen Margaretha Schreiberin gebohrener Niefferlinin auch weÿland des Ehren und Wohlvorachtbahren herrn Stephan Schreibers, geweßenen Weinhändlers und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen hinterlaßener Wittib nun ebenmäßig seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1768. – nachdeme dieselbe Sontags den 13. Martÿ dießes Lauffenden 1768. Jahrs durch einen seeligen tod von dießer Welt abgefordert worden, nach solch Ihrem seeligen Absterben Zeitlichen hinter sich verlaßen (…) So beschehen in Straßburg auf Dienstag den 31. Maji Anno 1768.
Die Abgelebte seelige hat Zu Ihren Erben ab intestato Verlaßen wie folgt. 1.mo Herrn Johann Felix Weißhaar, den Weinhändler und burgern alhier, welcher in sebst eigener Persohn dießem geschäfft abwartete. So dann 2.do Herrn Georg Friedrich Weißhaar den Kieffer, Weinhändler und burgern allhier, welcher ebenmäßig in selbst eigener Persohn beÿ dießem geschäfft sich eingefunden, Alßo beede der seelig verstorbenen in Erster Ehe mit auch Weÿland herrn Johann Georg Weißhaar dem geweßenen Weinhändler und burgern allhier längst seeligen ehelich erziehlte Söhne und ab intestato Zu Zweÿen gleichen portionen und Stammtheilen Verlaßene rechtmäßige Erben
In einer allhier Zu Straßburg ane dem baarfüßer Platz gelegenen behaußung befunden worden als
Eigenthum ane häußern. Erstl. eine behaußung, höfflein und hoffstatt und bronnen samt einem hinderhauß, mit allen übrigen deren gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier azu Straßburg ane dem Baarfüßer Platz einseit neben Johann David Stamm, dem Weißgerber uxorio nomine, anderseit neben Weÿland herrn Johann Vincent Gayneau geweßenen Statt Sattlers und Exsenatoris Verlaßenschafft Vorhien, hinden auf das brenden End, allwohin selbige einen Außgang hat, stoßend, so gegen Männiglichen freÿ Ledig eigen und in dem über Weÿland herrn Stephan Schreibers geweßene, Kieffers und wohnungs auch burgers allhier der Defunctæ Letsten Ehemanns seeligen Verlaßenschafft durch mich Notarium in Anno 1763. errichtetem inventario fol: 43. fac: 2.da durch der Statt Straßburg herren Bau Inspectorem und Werckmeistere angeschlagen auch dißmahlen dabeÿ gelaßen pro 750.
Ane dießer behaußung seind denen beeden herren Söhnen und Erben Zween Fünfftetheil vor vätterlich Guth gebührig, so die Abgelegte seelig Lebtägig Wÿdumbs weiße genoßen hat. Darüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub aufgerichtet und mit dero anhangendem Insiegel corroboriret de dato Letzten Aprilis Anno 1720. Dabeÿ zween alte auch allda gefertigte Kauffbrieff de datis 9. X.bris 1712 et 28. Maji 1711. So dann meldet über einen Fünfften theil solcher behaußung, welchen die verstorbene seelige von Johann Weißhaar Ihrem Stieff Sohn erkaufft ein dergleichen Kauffbrieff de dato 29.ten Martÿ Anno 1726, alles mit altem Lit. 1 notirt.
It. ein drittertheilt für ohnvertheilt von und ane einer behaußung bestehend in vorder: und höfflein, hoffstatt und bronnen mit allen übrigen deroselben Gebäuen, Begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier ane dem Baarfüßerplatz einseit neben Johann Jacob Litsch (…)
Item ein dritter theil für ohnvertheilt Von und ane einer behaußung, im grünen Bruch ohnweit dem Geistbrückel (…)
Item ein dritter theil für ohnvertheilt Von und ane einem anderthalb stöckigten mit Zieglen gedeckten hauß (…) in dem dorff Illkirch
Wÿdemb Welchen die seelig verstorbene Von weÿland herrn Stephan Schreiber dem geweßenen Weinhändler und Burgern allhier Ihrem Letzten Ehe Mann ebenmäßig seeligen Lebtägig Genoßen hat
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 79, Sa. Lährer Faß 46, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 43, Sa. Goldener Ring 11, Sa. baarschafft 32, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1034, Sa. Eigenthumb ane häußern 1105, Sa. Gülth von liegenden güthern 7, Summa summarum 2360 lb – Schulden 176 lb, Detrahendo verbleibt 2183
Stall Summ et Conclusio finalis Inventarÿ 2258 lb
La maison revient au fils cadet Georges Frédéric Weisshaar
Georges Frédéric Weisshaar fait son apprentissage de 1739 à 1742, d’abord chez le tonnelier Jean Philippe Kohl puis, après sa mort, chez Michel Kopff.
1739, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 398-v) Dienstags d .14. julÿ 1739 – Mstr. Johann Philipp Kohl der Kieffer nimbt Zum Lehrjungen an Georg Friderich Weißhaar, weÿl. Joh: Georg weißhaars geweßenen burgers und weinhändlers allhier ehel. Sohn, umb selbigen 3 jahrlang das Kieffer handwerck gegen 60. fl. Lehrgelt Zulehren, und gehet die Lehrzeit an auff Joh: 1739. und endiget sich auff gedachte Zeit 1742. des jungen bürgen seÿnd Stephan schreiner deßen Stieffvatter vnd Joh: Georg Jung der burger und schuhmacher allhier, dt. 16 ß et pro prot. 2 ß 6 d.
(f° 402-v) Dienstags d. 24. 9.bris 1739 – Stephan schreiber der Kieffer stehet vor, sagt daß Georg Friderich Weißhaar sein stieffsohn schon umb Joh. Bapt: jüngst beÿ weÿl. Joh: Philipp Kohlen in die Lehr eingeschrieben worden, selbiger aber gestorben, und deßen wittib kein gesindt haltete, also daß Er das handwerck nicht beÿ ihr außlernen könne, bittete demnach daß ihme solches beÿ einem andern meister außzulernen möchte erlaubt werden, auditâ vidua würdt Erkandt, soll die wittib 11 fl. von dem schon empfangenen Lehrgelt Herauß geben und ihne jungen alß dann beÿ einem andern meister außzu lernen erlaubt seÿn.
(f° 403-v) Mittwochs den 9. Decembris 1739 – Mstr. Michael Kopff der Kieffer nimbt ad continuandum Zum Lehrjungen Georg Friderich Weißhaar, so beÿ weÿl. Joh: Philipp Kohlen in der Lehr gestandten, umb selbigen biß Joh. Bapt: 1742. das Kiefer Handwerck vollendts außzu Lehren, und Zwar umb 30 Gulden Lehrgelt, und dreÿ Gulden der frawen pro discretione, wovor Stephan Schreiber obgedacht Caution Leistete, dt. 7 ß 6 d et pro protoc. 2 ß 6 d.
(f° 433-v) Dienstags den 19. Junÿ 1742 – Mstr. Michael Kopff der Kieffer Stellet vor Georg Friderich Weißhaar weÿl. Joh: Georg weißhaars geweßenen weinhändlers allhier Ehel. Sohn, seinen bißhero geweßenen Lehrjungen, meldet daß deßen Lehrzeit auff Joh. Bapt: verstrichen auch beede wohl mit einander Zufrieden, und bittet außthuung. Erkandt willfahrt, dt. 15. ß pro delis. 2 ß 6 s. pro protoc. pro Sigillo 2 ß pro Lehrbrieff 30 ß d.
Georges Frédéric Weisshaar s’inscrit en 1744 pour faire son chef d’œuvre qu’il présente en 1748. Les examinateurs le reçoivent maître. Il devient tributaire le 12 novembre 1748.
(f° 461) Donnerstags d. 27. aug. 1744 – Georg Friderich Weißhaar der Ledige Kieffer wurdte zum mstrstück eingeschrieben, und Zahlte wrerckstatten Zinnß 3. lb d pro protoc. 3. ß 6 d.
(f° 508-v) Sambstags d. 6. April 1748 ist Georg Friderich Weißhaars des Ledigen Kiefers meisterstück Zum Letzten mahl besichtiget und von den Hh. Schauern referirt worden, daß wider die 1.te schau nichts ein Zu wenden, in der 2.ten schau aber ware die gargel unten um ein meßerrucken Enger wie oben, die 3.te schau ware ebenfalls durchauß passable, weßhalben sie selbigen vor ein vollkommen mstr Erkandten, welches H Obmann auch Confirmirte.
(f° 511) Dienstags d 12. 9.bris 1748 – mstr Georg Friderich Weißhaar der Kieffer erhaltet auff producirten Stallschein vom 11. 7.bris jüngst das Zunfftrecht, und Zahlt als ein hießiger burgers Sohn 2. lb 5 ß pro feür Eÿmer 10 ß et pro protoc. 5 ß
Georges Frédéric Weisshaar épouse en 1749 Marie Madeleine Bleyfuss, fille du tonnelier Jean Philippe Bleyfuss : contrat de mariage, célébration
1749 (14.1.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 425) n° 147
Eheberedung – entzwischen dem Ehren: und Wohlvorachtbaren herrn Georg Friedrich Weißhaar, dem Ledigen Kieffer, Weinhändler und burger, allhier Zu Straßburg Weÿland des Ehren: und wohlvorachtbahren herrn Johann Georg Weißhaar, gewesenen Weinhändlers und burgers allhier seeligen hinterlaßenem, mit der Viel Ehren: und Tugendbegabten Frauen Margaretha gebohrener Nieferlinin, seiner hinterbliebenen, dermalen ane den Ehren: und Wohlvorachtbahren herrn Stephan Schreiber den Kieffer Weinhändler und Burgern allhier verheuratheten wittib ehelich erzeiltem Sohn, als dem Bräutigam ane einem,
So dann der Viel Ehren und tugendsahmen Jungfrauen Maria Magdalena Bleÿfußin des Ehren und wohlvorachtbahren herrn Johann Philipp Bleÿfuß des Küblers und burgers allhier mit der Viel Ehren und tugendreichen Frauen Anna Maria Bleÿfußin gebohrener Merckelin ehelich erzeugter Tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern Theil ein Christliche heurath und freundliche Vermählung sich begeben und Zugetragen
[unterzeichnet] Georg Friedrich Weißhaar alß hoch Zeiter, Maria Magdalena Bleÿfußin alß hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 267, n° 1005)
1749. Eodem [d. 5. Marti] seind nach ordentlicher proclamation ehelich copulirt und eingesegnet worden Georg Friderich Weißhaar der ledige Kiefer weÿl. H. Georg Weißhaars des Weinhändlers und b. allh. ehl. Sohn und Jfr. Maria Magdalena Joh: Philipp Bleÿfuß des Küblers und b. allh. ehl. tochter [unterzeichnet] Georg Friderich Weiß Haar alß hochzeiter, Maria Magdalena Bleÿfußin Als Hochzeiterin (i 272)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du mari rue de l’Ecurie. La maison place des Cordeliers est aussi portée à l’inventaire. L’actif du mari s’élève à 2 753 livres, le passif à 2 150 livres. Les apports de la femme s’élèvent à 415 livres.
1749 (27.3.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 370) n° 324
Inventarium über des Ehren: und Wohlvorachtbahren Herrn Georg Friderich Weißhaar, des Kieffers und Weinhändlers und der Viel Ehren und Tugendsahmen Frauen Maria Magdalena Weißhaarin gebohrener Bleÿfußin, beeder Eheleuthe und Burgere allhier zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1749. – welche der Ursachen, alldieweilen in Ihr beeder Eheleute mit einander auffgerichteten heuraths verschreibung expressé enthalten, daß eines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohngeändert seÿn und bleiben solle – So geschehen in Straßburg in fernerem beÿsein der Viel Ehren und Tugendreichen Frauen Margarethä Schreiberin gebohrner Niefferlinin des Ehren und Wohl Vorachtbahren herrn Stephan Schreiber, des Kieffers und Weinhändlers auch burgers allhier Ehegattin, des Ehemanns eheleiblicher Mutter wie auch des Ehren und Wohlvorachtbaren herrn Johann Philipp Bleÿfuß des Küblers und der Viel Ehren und tugendreichen Frauen Anna Maria Bleÿfußin gebohrener Merckelin beder Eheleute und Burgere allhier, der Ehefrauen geliebter Eltern, auf Donnerstag den 27.ten Martÿ Anno 1749.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Stallgaß liegenden dem Ehemann für unverändert an Zuständigen und hieunten eingetragenen behaußung befunden worden wie folgt
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Frau Margaretha Schreiberin gebohrene Niefferlenin herrn Stephan Schreibers des Kieffers und Weinhändlers auch Burgers allhier Ehegattin, des Ehemanns eheleibliche Mutter Ehegattin, des Ehemanns eheleibliche Mutter Von Weÿland herrn Johann Georg Weißhaar, dem gewesenen Weinhändler und burgern allhier Ihrem Erstern Ehemann Längst seel. Zeit Lebens Zugenießen hat. Es hat besagter weÿland Johann Georg Weißhaar, des dißortigen Ehemanns eheleiblicher Vatter Längst seeliger vorernannter Frauen Margarethä gebohrenr Niefferliin seiner hinterbliebenen Wittib, inn der mit Ihro auffgerichteten Eheberedung paragrapho Sechstens, Zu einem gemeinen rückfälligen Wÿdemb Verschrieben 1000 Gulden, Weßwegen Ihro beÿ deßen in Anno 1726. Vorgenommenen Verlaßenschafft Abtheilung ad dies vitæ Zugenießen, eingeraumet worden
Eine Behaußung Hoffstatt und höfflein sambt einem Hinterhauß und bronnen mit allen übrigen dero gebäuen begriffen weithen Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, Gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Baarfüßerplatz, einseit neben Weÿland Lorentz tröster, geweßenen haußfeurers hinterlaßener wittib, anderseit neben Johann Friederich Zeÿßolff, geweßenen Kupfferschmids hinterlaßenen Erben, hinden auff das brenden End, als wohien selbige einen außgang hat, stoßend, so vor freÿ, ledig und eÿgen beÿ Vorberichteter abtheilung ohnpræjudicirlich angeschlagen Vor 1250 lb. Darauff aber hatte herr Felix Niefferlin, der fastenspeishändler und Burger allhier vögtlicher Weiße in Capital Zuerfordern so die halbe mit zuverzinßen übernommen 750 lb. Nach deren abzug restirt noch ane gemelter onverfänglichen anschlag, welches die obenberührte Wÿdembs Summ außmacht benantlichen 500 lb. Über solche behaußung besagt ein teutscher pergamenter Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Cantzleÿ Contract Insiegel verwahrt und datirt den letzten Aprilis Anno 1720.
Eigenthum ane einer Behaußung und einem Bandplatz (M.) Erstl. I. behausung und hoffstatt samnt allen deroselben begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der Stallgaß (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehe Manns in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 73, Sa. Werckzeugs holtz, Reiff und Band Zum Kieffer handwerck gehörig 77, Sa. Wein eßig, Brandenwein und lährer Faß 379, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 9, Sa. baarschafft 58, Sa. Eigenthums abe einer behaußung 2150, Sa. Schulden 5, Summa summarum 2753 lb – Schulden 2150 lb, verbleibt 603 lb – Darzu ist Zu rechnen der Ihme gebührige halbe theil ane denen verehrten haussteuren anlangend 22 lb, Belaufft sich alßo des Ehe Manns Völlig in die Ehe gebracht Vermögen in allem in vero pretio auff 625 lb
Dießemnach Wird nun auch der Ehefrauen in die ehe gebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 97, Sa. Silber geschmeids 17, Sa. goldener Ring 25, Sa. baarschafft 274, Summa summarum 415 lb, Dazu Kommt der halbe theil ane denen verehrten haussteuren 22 lb, Trifft demnach der Ehefrauen völlig in die Ehe begracht Guth in allem dem billichen werth nach 437 lb
Georges Frédéric Weishaar meurt en 1773 en délaissant cinq enfants. La valeur de la maison est reprise de l’inventaire de sa mère, soit 750 livres. L’inventaire ne mentionne pas la manière dont la maison est avenue au défunt. La masse propre à la veuve est de 6 032 livres, celle des héritiers de 1 291 livres. L’actif de la communauté s’élève à 7 761 livres et le passif à 6 284 livres.
1773 (22.7.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 417) n° 1282
Inventarium über Weÿland des Ehren: und Wohlvorachtbahren Herrn Georg Friderich Weißhaar, des geweßenen Kieffers und Weinhändlers auch burgers allhier nunmehr seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1773 – nachdeme derselbe Montag den 5. Aprilis dießes lauffenden 1773.ten Jahrs dießes Zeitliche mit dem ewigen verwechßelt nach solch seinem seeligen Absterben Zeitlichen hinter sich verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren der Viel Ehren : und tugendbegabten Frauen Mariä Magdalenä Weißhaarin gebohrener Bleÿfußin der hinterbliebenen Frau Wittib mit assistentz des hoch Edelvest und hochgelehrten Herrn Jacob Michels J. V. D.randj und E: E: kleinen Raths bestmeritirten Avocati et Procuratoris ordinarÿ Ihres erbettenen herrn beÿstands (…) wie nicht weniger Rosinam Benderin Von Ingweiler gebürtig die dienstmagd – So beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 22. Julÿ et sequenti 1773
Der seelig Verstorbene hat zu seinen Erben ab intestato verlaßen als folgt, 1° Frau Mariam Magdalenam Fischerin gebohrene Weißhaarin Herrn Johann Georg Fischer des bierbrauers und Burgers alhier Ehegattin, welche mit beÿhülff gedachten Ihres Ehevogt in Persohn beÿ dießem Geschäfft sich eingefunden, 2° Jungfer Mariam Margaretham Weißhaarin so in die 16. Jahr alt, 3° Johann Philipp Weißhaar, welcher 14 Jahr alt, 4° Johann Felix Weißhaar, so über 8 Jahr alt, Sodann 5° Jungfer Mariam Barbaram Weißhaarin so noch nicht gar 7 Jahr alt. Dießer vier letzteren annoch minorennen Kinder geschworner Vogt ist Herr Felix Weißhaar der Weinhändler und burger alhier und weilen des Defuncti Mütterliche Erbschafft mit demselben als seinem einigen Herrn bruder annoch ohnerörtert als ist zu diesem Ende zu einem Streitvogt ernennet worden Herr Johann Georg Rößel, Notarius Candidatus, welche beede dann dießem Geschäfft beobachtet haben. Alßo alle 5 des abgeleibten mit Eingangs gedachter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlte Kinder und ab intestato Zu fünff gleichen Portionen undStammtheilern verlaßene rechtmäsige Erben.
Copia der Eheberedung (…) den 14. jan. 1749, Johann Rudolph Dinckel Not.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Stallgaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hieunten eingetragenen behaußung befunden worden als folgt
(f° 10) Eigenthumb ane Häußern. (W) Erstl. 1. behaußung, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben Gebäuen, Begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg ane der Vorstadt Steinstraß (…)
(E) It. I. Behaußung, Hoffstatt, Höfflein und bronnen samt einem Hinterhauß mit allen übrigen Gebäuden, Begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg ane dem Baarfüßer Platz 1.s neben Joh: David Stamm dem Weißgerber uxorio nôe. 2.s neben Weÿl. Michael Görger des Sattlers Wb. und Erben, hinten auf das Brenden End, allwohin selbige einen Außgang hat, stoßend, so gegen männiglichen freÿ ledig und eigen und in dem über Weÿl. Fr. Margarethæ Schreiberin gebohrener Nifferlinin des verstorbenen seel. abgeleibter Mutter ebenmäßig seel. dh. mich Notarium in Anno 1768. aufgerichteten Invantario fol. 44 fac. 2.da d. der Stadt Straßb. Bau Inspectorem und Werckmeistere angeschlagen auch dißmahlen mit Consens derer Wohlverordneten Herrn dreÿern Löbl. Statt Stalls wieder dabeÿ gelassen pro 750. Darüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cantzleÿ Contract Stub aufgerichtet und mit dero anhangendem Insiegel corroboriret de dato Letzten Aprilis Anno 1720. Dabeÿ Zween alte auch allda gefertigte Kauffbrieff de datis 9. Decembris Anno 1712 et 28. Maji Anno 1711. So dann meldet über einen Fünfften theil solcher behaußung, welchen des Defuncti eheleibliche Mutter seelige von Johann Weißhaar, Ihrem Stieff Sohn erkaufft ein dergleichen Kauffbrieff de dato 29. Martÿ Anno 1726. alles mit altem Lit. C notirt.
(E) It. ein drittertheilt für ohnvertheilt von und ane einer behaußung bestehend in vorder: und hinderhauß, höfflein, hoffstatt und bronnen mit allen übrigen deroselben Gebäuen, Begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier ane dem Baarfüßerplatz (…)
(E) It. ein dritter theil für ohnvertheilt Von und ane einer behaußung, Hoffstatt und Höfflein samt Hinderhauß mit allen deren gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier ane der vorstatt im grünen Bruch ohnweit dem Geistbrückel (…)
(E) It. ein sechßtetheil für ohnvertheilt Von und ane einem anderthalb stöckigten mit Zieglen gedeckten Hauß, samt der Hoffreith (…) in dem dorff Illkirch in der Pfenninggaß (…)
(E) It. eine behaußung und hoffstatt mit allen deroselben gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier ane der Stallgaß (…)
(T) It. zween drittetheilt für ohnvertheilt Von und ane der hieoben fol. – fac: – et sequentibus beschriebenen behaußung in vorder: und hinderhauß, höfflein, hoffstatt und bronnen mit allen übrigen deroselben Gebäuen, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier ane dem Baarfüßerplatz es. neben Johann Jacob Litsch (…)
(f° 24) (T) It. Zween drittetheil für ohnvertheilt Von und ane der hievorhnen fol. – fac: – et sequentibus beschriebenen behaußung, Hoffstatt und Höfflein samt Hinderhauß mit allen übrigen deren Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier ane der vorstatt im grünen Bruch ohnweit dem Geistbrückel, so über 2 ß d der Statt Straßburg Pfenningthurn Jährlichen auf Martini abzurichten habenden bodenzinß freÿ, ledig und eigen und über scolche beschwerde æstimirt pro 197
(T) Zween drittetheil für ohnvertheilt Von und ane einem anderthalb stöckigten mit Zieglen gedeckten Hauß, samt der Hoffreith (…) in dem dorff Illkirch in der Pfenninggaß (…)
Welchergestalten der seelig verstorbene von Weÿland Herrn Stephan Schreibers des geweßenen Weinhändlers und burgers allhier seines Stieffvatters seeligen ab intestato nachgelaßenen Erben Ihro Völlige Erbschafft und unter selbiger auch die zween drittetheil ane vorhergemelten dreÿen Häußern eigenthümlich ane sicht erhandelt, meldet eine vor herrn Humbourg Königlichen Notario allhier passirte in frantzösischer Sprach ausgefertigte Kauffverschreibung de dato 18. mart. 1763
(T) It. ein einstöckiges gebäu mit allen deßen Zugehörden, so Wehrender dießer Ehe auch hieoben eingetragenen der Erben ohnveränderten Bandplatz außerhalb der Statt Straßburg vor dem Metzgerthor beÿ denen Schweinställen gelegenen neu aufgebauen und Laut hierbin allegirten unterm 13. aug. 1773 ausgestelten Abschatzung zeduls angeschlagen für 100
(f° 24-v) (E) Eigenthum ane einem Bandplatz. Nemlichen ein Bandplatz(…)
(f° 31) Ergäntzung der Feau Wittib abgegangenen ohnveränderten Guths, Inhalt Inventarÿ durch mich Notarium in Anno 1749 aufgerichtet
(f° 36-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der frau Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 83, Sa. Lährer Faß 17, Sa. Silbergeschmeids 8, Sa. Goldener Ring 8, Sa. Baarschafft 9, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 3725, Sa. Eigenthums an einer behaußung 435, Sa. Schuld 50, Erg. Rest 1695, Summa summarum 6032 lb
Dießemnach wird auch der Erben ohnverändert Nahrung beschrieben, Sa. Hausraths 30, Sa. Werckzeug zum Kieffer handwerck gehörig 4, Sa. Lährer Faß 18, Sa. Silbergeschmeids 10, Sa. Goldener Ring 4, Sa. baarschafft 44, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 461, Sa. Eigenthumb ane Häußern 2322, Sa. Beßerung ane einem Bandplatz, 1, Sa. Gülth von liegenden güthern 3, Sa. Antheils ane liegenden güther 2, Erg. Rest 6, Summa summarum 2909 lb – Schulden 1617 lb, Nach deren Abzug 1291 lb
Endlichen wird nun auch das gemein, Verändert und theilbahr Guth beschrieben, Sa. hausraths 81, Sa. Werckzeug auch Holtz, Reiss und Band zum Kieffer handwerck gehörig 32, Sa. Wein, Eßig Braundenwein und Lährer Faß 925, Sa. Silbergeschmeids 27, Sa. Goldener Ring 3, Sa. baarschafft 770, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 4803, Sa. Eigenthumbs ane Häußern 810, Sa. Gülth von liegenden güthern 14, Sa. Antheils ane liegende güthern 10, Sa. Capital zinß 281, Summa summarum 7761 lb – Schulden 6284 lb, Detrahendo verbleibt 1476 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 8800 lb – Stall Summ 6293 lb
Zweiffelhaffte und verlohrene Pfenningzinß hauptgüter so der Erben ohnverändert 967, Zweiffelhaffte und verlohrene Capital Zinß so der erben ohnverändert 62, Zweiffelhaffte und verlohrene Pfenningzinß hauptgüter so theilbahr 4271, Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden in das Erbe zugeltend so theibahr 4773
Abschatzung Vom 13 aug. 1773. Auff begehren Weil. H. Georg Friderich Weisharr Des gewesene Weinhändlers hiender Lasener Frau witib und Erben (…)
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 3 900 florins (1 950 livres) sur un total de 15 600 florins
1773, Livres de la Taille (VII 1180) f° 166
(Kieffer N 3334) Weÿl. Georg Friderich Weißhaar geweßenen Kieffers und Weinhändlers auch burgers alhier Verlaßenschafft jnvent. H. Not. Dinckel Sen.
Concl. final. jnvent. ist fol. 159 – 8800. lb. 12 ß 8 ½ d. adde die vor jnventir kösten abgezogene 500. lb so thut dießelbe 9300 lb.12 ß 8 ½ davon gehet aber wieder ab wegen den a 4 pro Cento angelegten Capitalien und nicht genoßener activ Schulden 1485. lb 19 ß 2 d verbleibt 7814. lb 13 ß 6 ½ d die machen 15.600 fl. verstallte 11.700 fl. Zu wenig 3900 fl.
Wovon nachtrag 6 Jahr in duplo a 11 lb 14 ß – 70 lb 4 ß
und 4 Jahr in simplo – 23 lb 8 ß
Ext. Stallgeldt 1773 – 18 lb 18 ß
geb. 2 ß 6 d
Abhandlung 15 lb. 18 ß 6 d – Summa 128 lb 8 d
ane dem nachtrag nachgelaßen 33 lb 8, restiret 95 lb
dt. 29. Xbris 1773
Marie Madeleine Weisshaar, femme du marchand de vins Jean Georges Fischer, rachète les parts de la maison dont elle devient seule propriétaire
1783 (24.11.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 560) f° 388
Endliche Erbschaffts: Erörter: und Abtheilung Über die in weÿland herrn Georg Friedrich Weißhaar gewesenen Kiefers weinhändlers und burgers allhier Zu Straßburg Verlaßenschafft gehörige bis daher gemeinschafftlich verbliebene Häuser Bandplatz und leere Faß auffgerichtet im Jahr 1783.
(f° 3-v) Vor unterschriebenenem Zu Weÿland herrn Georg Friedrich Weißhaar gewesenen Kiefers weinhändlers und burgers allhier Zu Straßburg endlicher Verlaßenschafts: Abtheil: undt Erörterung adhibirtem ofenbahren geschwornem Not° und beede Zu end benannten Zeugen sind persönlich erschienen Frau Maria Margaretha Gimpelin geborene Weißhaarin, herrn Joh. Heinrich Gimpel, biersieders u. burgers allh. Zu Straßburg frau Eheliebste Von Ihme ihrem Ehemann hierzu authorosirt und Hr Johann Jacob Lung Not. jurat. publ. und Pract. als geschworner Theil Vogt derer dreÿ jüngeren annoch minderjähriger Weißhaarischer Kinder Johann Philipp, Johann Felix und Maria Barbara, die haben
in gegensein ihrer ältern Schwester u. Mit Erbin Fraun Mariæ Magdalenæ Fischerin geborener Weißhaarin, Hn Johann Georg Fischers, des Weinhändlers und auch burgers allhier Ehefraun, Von solchem ihrem Ehe Mann hierzu authorisirt und verbeistandet, angezeigt
Eine Behausung Hoffstatt Höflein und Bronnen samt einem hinterhauß mit allen übrigen deren Gebäuen begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Baarfüßer: Platz, Einseit neben herrn Joh: David Stamm, des Weisgerbers Wb. anderseit neben Frantz Rith dem Sattler Meister hinten auf das bränd ein End, allwohin die selbige einen Ausgang hat, mit und beneben denen im Keller sich befindlichen 10 mit Eisen gebundtenen Stückfaßen, Zusammen ohngefähr 500 ohmen haltend – Vor und um die anerbottene Summ Von 5510 gulden – Straßburg auf Montag den 24.ten Novembris Anno 1783
(copié à la Chambre des Contrats, vol. 657 f° 494-v, 29 nov. 1783)
Le brasseur Jean Georges Fischer devient tributaire chez les Tonneliers le 23 janvier 1770.
1770, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 381) Dienstags den 23. Januarÿ 1770 – Neuer Leibzünfftiger
Johann Georg Fischer der biersieder Evangelischer Religion, producirt Schein von Löbl. Statt Stall Vom 27.ten Septembris 1769. bittet ihme als einen neuen Leibzünfftigen anzunehmen
Erkannt Willfahrt. Zahlt pro Receptione 2 lb 5 ß, Feuer Eÿmer 10 ß, Prot. 3 ß
Fils de l’aubergiste Jean Jacques Fischer, le brasseur Jean Georges Fischer épouse en 1771 Marie Madeleine Weisshaar : contrat de mariage, célébration
1771 (21.1.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 427) n° 495
Eheberedung – entzwischen dem Ehren und Wohlvorachtbahren herrn Johann Georg Fischer, dem Ledigen Bierbrauer des Ehrenvest und Wohlvorachtbahren herrn Johann Jacob Fischers des Gastgebers Zum Rebstock und burgers allhier Zu Straßburg mit der Virl Ehren: und tugendbegabten Frauen Maria Catharina gebohrener Roggenbachin ehelich erzeugtem Sohn, als dem herrn Bräutigamb ane einem
So dann der Viel Ehren und Tugendgezierten Jungfrauen Maria Magdalena Weißhaarin des Ehrenvest und Wohlvorachtbaren herrn Georg Friedrich Weißhaar, des Kieffers und Weinhändlers auch burgers allhier, mit der Viel Ehren: und Tugendbegabten Frauen Maria Magdalena gebohrene Bleÿfußin ehelich erzielter Tochter als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg, auf Montag den 21. Januarÿ Anno 1771 [unterzeichnet] Johann Georg Fischer Als hochzeiter, Maria Magdalena Weißhaarin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 190)
Im Jahr Christi 1771 Mittwochs den 20. Februarii morgens nach gehaltener Bettstund wurden allhier auff vorhergegangene ordentliche Proclamationen so auf Dom. Quinquages. und Quadrages. geschehen in offentlicher Kirchen ehelich mit einander copuliert und Christ. eingesegnet, H. Johann Georg Fischer lediger Bierbrauer von hier, Hn Johann Jacob Fischers, Gastgebers Zum Rebstöckel, und burgers allhier, mit Fr. Maria Catharina gb. Roggenbachin, ahl. erzeugter Sohn, und Jgfr. Maria Magdalena Weißhaarin, H. Georg Friderich Weißhaars, Kiefers, Weinhändlers und burgers allhier, mit Frau Maria Magdalena Weißhaarin, Hn Georg Friedrich Waißhaars Kiefers, Weinhändlers und burgers allhier mit Frau Maria Magdalena gb. Bleÿfußin ehl. erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Georg Fischer als Hochzeiter, Maria Magdalena Weißhaarin als hochzeiterin (i 198)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une brasserie au Faubourg de Pierre. Ceux du mari s’élèvent à 1 485 livres, ceux de la femme à 1 161 livres.
1771 (27.3.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 414) n° 1231
Inventarium über des Ehren Vest: und Wohlvorachtbahren herrn Johann Georg Fischer, des Bierbrauers und der Viel Ehren und Tugendbegabten Frauen Mariä Magdalenä Fischerin gebohrener Weißhaarin beeder Ehe Persohnen einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1771. – welche der ursachen alldieweilen in Ihr beeder Ehe Persohnen mit einander auffgerichteten heuraths Verschreibung expressé enthalten, daß eines Jeden in die Ehe gebrachte Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle – So beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein und persönlicher Gegenwarth der Ehrenvest und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Jacob Fischers, Gastgebers Zum Rebstock, des Eheherrn eheleiblichen Herrn Vaters, wie auch Herrn Johann Michael Semler und Herrn Johann Philipp Brandhoffer, beeder Kiefferer und Weinhändler aller burgere allhier, als hierzu beederseits erbettener herren beÿständere, auf Mittwoch den 27. Martÿ Anno 1771.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Steinstraß gelegenen, Zum Weißenhahnen genandten und in dieße Nahrung nicht gehörigen Bier behaußung befunden worden als folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 183, Sa. Lährer Faß und Werckzeugs auch anders Zur Kieffer und bierbrauer handwerck gehörig 326, Sa. Biers, Gerst, Maltz, Hopffen, brennholtzes und dergleichen 1179, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 24, Sa. baarschafft 139, Summa summarum 1853 lb – Schulden 492 lb, Detrahendo verbleiben 1360 lb – Hierzu ist Zurechnen der Ihme gebührige halbe theil ane denen verehrten haussteuren 124 lb, des Eheherrn völlig in die Ehe gebracht guth in veo pretio 1485 lb
Dießemnach wird nun auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 262, Sa. Silbergeschmeids 45, Sa. Goldener Ring 76, Sa. baarschafft 652 lb, Summa summarum 1036 lb – Dazu kombt die Ihro Zuständige helffte ane denen Verehrten haussteuren 124 lb – der Ehefrauen Völlig in die Ehe gebracht Vermögen dem billichen Werth nach 1161 lb
Inventaire de séparation de biens dressé dans la maison place des Cordeliers
1793 (2.5.), Strasbourg 3 (1), Not. Schweighaeuser n° 515
Guths-Absonderung zwischen Johann Georg Fischer dem Weinhändler und burger allhier zu Straßburg und der von ihme geschiedenen Ehefraun Maria Magdalena gebohrenen Weißhaarin, nach dem Gesez vom 20. Septemb. 1792 vorgenommen den 2. Maÿ et sqq. Anno 1793.
(…) in einer allhier Zu Straßburg ane dem Baarfüßer Platz gelegenen mit N° 29 bezeichneten behaußung
Derer sieben Kinder Pfetter, Göttel und dergl. Geschencken, Catharinæ Magdalenæ Zustendig, Georg Friederich gehörig, Margarethæ Salomé Zuständig, Carl Friderich Zuständig , Joh: Jacob gehörig, Heinrich Ludwig Zuständig, Frantz Carl gehörig
Ergäntzung der geschiedenen Ehefraun manglenden unveränderten Guts, Nach Ausweis Invent. Illat. de Anno 1771 durch den Verstorbenen Not. Joh: Rudolph Dinckel auffgerichtet
Marie Madeleine Weisshaar, veuve du brasseur Jean Georges Fischer meurt en 1803 en délaissant six enfants.
1803 (17 frimaire 12), Strasbourg 10 (17), M° Zimmer n° 278, 1794
Inventarium über weÿl. Fraun Maria Magdalena geb. Weishaar, längst weÿl. bs. Johann Georg Fischer bierbrauers Wittib, nach ihrem den 9. lauffenden Monats frimaire erfolgten Absterben
die verstorbene hat ab intestato zu ihren natürlichen Erben hinterlassen 1. Frau Catharina Magdalena geb. Fischer des bs. Heinrich Christmann Kammerer Weinhändlers Ehegattin, 2. frau Margaretha Salome geb. Fischer des bs. Philipp Friedrich Görgen Weinhändlers Ehefrau, 3. br. Carl Friedrich Fischer lediger Sattler geb. den 18. Märtz 1783, 4, Johann Jacob Fischer lediger becker geb. den 23. August 1785, 5. Heinrich Ludwig Fischer in der Erlernung des Kieferhandwercks begriffen geb. den 22. Juli 1789, 6. Carl Fischer geb. den 1 hornung 1792, deren geordneter und geschworener vormund br. Johann Friedrich Brandhoffer bierbrauer zum Strauß und derselben streitvogt br. Johann felix Weishaar bierbrauer zum Storchen
in einer zu Straßburg am Paradeplatz N° 29 gelegen in dieße Verlassenschafft gehörigen behausung
Kleidung 323 fr, hausrath 1015 fr, silber 250 fr, schulden 1800 fr
Eigenthum ane häußern zu Straßburg, Erstlich eine behausung bestehend in Vorder und hinterhauß höflein hofstatt bronnen mit allen übrigen deren Gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten an dem Paradeplatz N° 26 das vorderhauß einseit neben der zum rothen hauß geschildeten gastbehausung anderseit neben bs. holderer Kiefers Erbschaft, das hinterhauß aber an dem brandein End wohin es auch einen ausgang hat einseit neben br. Schuster anderseit neben br. bruner 8000
So dann eine behausung hoffstatt und bronnen samt einem hinterhauß mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten an dem paradeplatz N° 29 einseit neben br bruner dem becken anderseit neben br. Görger dem Sattler hinten auff das brandein End, wohin dieselbe einen ausgang hat stosend, 8000 fr, über vorige bede behausungen und wie solche die Erblaßerin von ihren Miterben aus vätterlicher verlassenschafft Cessionsweiß erhalten und angenommen besagen drei vor weÿl. Notario Schweighäußer am 24. Novembris 1783 passirt und den 29. gedachten Monats dem Protocoll C. Con. einverleibte Erbscession
summa summarum 19.390 fr, abzuziehen 565 fr, Nach deren abzug 18.824 fr
N° 1997. Summarische Berechnung, die behausung N° 26 dem br. Johann Jacob Holderer kiefer vor dem Civil gericht den 6. floreal jüngst ertheilten adjudications Urthels auch vermög des hierüber vor unterschr. Notario den 27. nemlichen Monats passirten Depositions und Ratiffications acts zuerkannt worden um 9000 fr
So dann ist fr. Görgen geb. Fischer die andere behausung N° 29 laut von gemelten gericht d. 6. floreal jüngst ertheilten adjudications Urthels auch vermög des hierüber vor unterschr. Notario den 27. nemlichen Monats passirten Depositions und Ratiffications acts zuerkannt worden um 12.000 fr
Enregistrement, acp 89 f° 159-v du 25 frim. 13
La maison est cédée par adjudication du 6 floréal 12 à Marguerite Salomé Fischer, femme du sellier Philippe Frédéric Gœrgen
1804 (27 Floréal 12), Strasbourg 10 (45), M° Zimmer n° 1537
fut présente la Citoyenne Marguerite Salomé Fischer, Epouse du cit. Philippe Frédéric Goergen, Marchand de vin demeurant en cette ville, duement autorisée dudit son mari à l’effet des présentes, Laquelle Comparante a remis et déposé entre les mains dudit Notaire l’expédition d’un jugement rendu au Tribunal civil séant à Strasbourg le 6 floréal an douze dont la minute a été enregistrée par Mouton le 12 dudit mois, portant homologation d’une adjudication faite à la Comparante d’une maison provenante de la succession de feue Marie Madeleine née Weishaar, vivant Veuve de feu le Cit. Jean Georges Fischer vivant brasseur en cette ville sise audit lieu place d’armes N° 29 entre le cit. Goerger sellier et le cit. Brüner Boulanger, donnant par derrière sur la rue du coin brûlé, dans laquelle elle a une issue, ladite adjudication faite le 4 floréal dernier en l’étude dudit Notaire en qualité de Commissaire établi aux Enchères d’icelle par Jugement relaté aux Procès verbaux d’Enchère (…)
Et pour parvenir à l’exécution des articles 7 et 8 desdites conditions sont aussi comparus 1° Catherine Madeleine née Fischer, épouse dudit Henri Christmann Kammerer, marchand de vins 2° Le citoyen Jean Frédéric Brandhoffer, Brasseur à l’autruche en cette ville en qualité de tuteur ordinaire, assisté du citoyen Jean Félix Weishaar, Brasseur à la Cicogne en cette ville, en qualité de tuteur subrogé, lesdits deux tuteurs établis (…) aux enfants mineurs délaissés par ladite défunte Veuve Fischer née Weishaar et procréés en légitime mariage avec ledit défunt son Epoux prédécédé savoir 1° Charles Frédéric, 2° Jean Jacques, 3° Henry Louis, 4° François Charles Fischer, Tous demeurant à Strasbourg, la femme Kammerer duement autorisée dudit son mari, agissant en cette qualité comme propriétaires de cinq 6° par indivis de ladite maison dont le dernier 6° appartient à l’acquéreuse comme cohéritière pour autant dans ladite succession (…) reconnaissent que les cinq 6° indivis dans ladite maison se trouvent être adjugés (…) au prix de 10.000 francs
(Jugement joint) Le tribunal civil séant à Strasbourg a rendu le jugement suivant. L’an douze de la République française le 19 Ventose après midi, en exécution d’un Jugement rendu par le Tribunal civil séant à Strasbourg le 12 ventose dernier (…) ledit jugement portant homologation d’une délibération du Conseil de famille (…) par laquelle les tuteurs des enfants mineurs ci après nommes ont été autorisés d’accédéer avec les autres propriétaire majeurs à la vente des maisons ci après désignées, ledit jugement portant en outre que les dites maisons seront vendues pour les causes énoncées pardevant Georges Frédéric Zimmer notaire public à la résidence de Strasbourg, Commissaire nommé à cet effet (…) sont comparus devant nous Commissaire susdit
1° Catherine Madeleine née Fischer, épouse du Citoyen Henry Christmann Kammerer, marchand de vin, 2° Marguerite Salomé née Fischer, épouse du Citoyen Philippe Frédéric Goergen, marchand de vin, 3° Le citoyen Jean Frédéric Brandhoffer, brasseur à l’autruche en cette ville, en qualité de tuteur ordinaire, assisté du Citoyen Jean Félix Weishaar, brasseur à la cicogne en cette ville, en qualité de tuteur subrogé, lesdits deux tuteurs établis (…) aux enfants mineurs délaissés par feue Marie Madeleine née Weishaar et procréés en légitime mariage avec feu le Citoyen Jean George Fischer son époux prédécédé vivant brasseur en cette ville, savoir 1° Charles Frédéric Fischer, 2° Jean Jacques Fischer, 3° Henry Louis Fischer, 4° François Charles Fischer, Tous demeurant à Strasbourg, les femmes duement autorisées de leurs maris, agissant en qualité de seuls et uniques héritiers de feur ladite Veuve Fischer née Weishaar leur mère commune et légitime pour six parts et portions égales et en cette qualité comme propriétaires par indivis de deux maisons savoir
l’une scise en cette ville place d’armes N° 26 consistante en deux bâtiments, cour, puits avec appartenances et dépendances, la maison du devant entre l’auberge à la maison rouge et le Citoyen Holderer tonnelier, la maison du derrière ayant une issue dans la rue au coin brulé, entre le Citoyen Schuster et le Citoyen Brüner
Et l’autre scise au dit lieu place d’armes N° 29 entre le Citoyen Goerger sellier et le Citoyen Brüner boulanger, donnant par derrière sur la ruë au coin brulé dans laquelle elle a une issue. Lesquelles deux maisons lesdits comparants déclarent être franches et quittes de toutes charges et hypothèques autres que celle de trois francs dont est grevée la première desdites maisons, à l’effet de convenir des charges, clauses et conditions auxquelles lesdites maisons doivent être mises en vente (…) 3° Les dites maisons seront vendues avec les mêmes droits, charges, appartenances et dépendances comme la mère des requérants les a acquises par deux actes de cession passés devant Schweighaeuser vivant Notaire en cette ville le 24 novembre 1783 et enregistrés à la ci devant chambre des contrats de cette ville le 29 dudit mois et ainsi que ladite défunte leur mère en a joui ou dû jouir en vertu desdits contrats er sans que les requérans puissent pour ce être recherchés. (…) 13° (…) Auxquelles charges, clauses et conditions les dites maisons doivent être exposées à l’enchère chacune séparément savoir la première pour une mise à prix de 7000 francs et le seconde pour celle de la somme de 9000 francs
L’an douze de la République française le 14 germinal (…) Nous George Frederic Zimmer Notaire public à Strasbourg Commissaire nommé par Justice (…) avons procédé à l’enchère des dites maisons (…) laquelle criée a été suivie de la mise ci après, savoir par le Citoyen Jean Jacques Krieg charpentier demeurant à Strasbourg fauxbourg de Saverne N° 41 il a été mis 9300 francs (…)
L’an douze de la République française le 21 germinal (…) Citoyen Chrétien Guillaume Lauth boulanger demeurant à Strasbourg ruë du jeu des enfants N° 64, 9500 francs
L’an douze de la République française le 23 germinal (…) le Citoyen Jean Jacques Krieg, 9700 francs
L’an douze de la République française le 24 germinal (…) le Citoyen Michel Tauffenberger marchand de meubles vieux marché aux vins N° 44, 9900 francs
L’an douze de la République française le 24 germinal (…) le Citoyen Jean Jacques Krieg, 10.100 francs
L’an douze de la République française le 4 floréal (…) Et personne n’ayant voulu forcer ladite mise de 12.000 francs, nous Commissaire susdit avons adjugé ladite maison (…) place d’armes N° 19 à côté du sellier audit Citoyen Georgen marchand de vin comme plus offrant et dernier ecnhérisseur
Et a ledit Citoyen Philippe Frederic Georgen déclaré avoir fait ladite mise pour Marguerithe Salomé Fischer son épouse copropriétaire pour un 6° par indivis dans ladite maison adjugée
(…) Pour ces motifs, le Tribunal a ratifié la présente vente (…) Strasbourg le 6 Floréal l’an douze de la République française
Affiche de l’adjudication ci-dessus, jointe à l’acte
Fils du tonnelier Philippe Jacques Gœrgen, Philippe Frédéric Gœrgen épouse Marguerite Salomé Fischer en 1799.
1799 (24 fructidor 7), Strasbourg 7 (28), M° Stoeber n° 772 (458)
Eheberedung – persönlich erschienen Bürger Philipp Friedrich Görgen, lediger Kiefer alhier, weiland burgers Philipp Jacob Görgen gewesenen Küfers allhier mit bürgerin Maria Salome geborner Afel seiner hinterbliebenen wittib erzeugter Sohn, so großjährigen Alters als hochzeiter
und bürgerin Margaretha Salome Fischer, die leedige, weiland bürgers Johann Georg Fischer, gewesenen Weinhändlers alhier mit bürgerin Maria Magdalena gebohrner Weishaar ehelich erzeugte leedige großjährige tochter, beiständlich burgers Johann Felix Weishar, Bierbrauers alhier ihres oncle als Braut
So geschehen in der alhier zu Straßburg mir Notario Zuständigen behausung am alten Weinmarkt den 24. fructidor im siebenden Jahr der frantzösischen Republick [unterzeichnet] Philipp Friedrich Geörgen als hochzeiter, Margaretha Salome Fischer als Hochzeiterin
Enregistrement, acp 69 F° 170 du 3 compl. 7
Inventaire de séparation entre Philippe Frédéric Gœrgen et Marguerite Salomé Fischer
1813 (26.3.), Strasbourg 10 (21), M° Zimmer n° 506, 5915
Inventaire de séparation entre Philippe Frédéric Goergen, tonnelier et marchand de vin, et Marguerite Salomé Fischer demeurant place d’armes n° 29, par jugement rendu le 1 mars courant par le tribunal civil
la femme, savoir une maison avec droits, appartenances et dépendances scise à Strasbourg place d’Armes n° 29 entre le Sr Georger sellier carossier et le Sr Brüner boulanger, derrière rue du Coin brûlé dans laquelle elle a une issue, estimée 12.000 francs – de la succession de Marie Madeleine née Weishaar sa mère, cinq 6° ont été adjugés à ladite D° Georgen suivant acte reçu Zimmer notaire à Strasbourg le 4 floréal 12, homologué au tribunal civil le 6 floréal 12, est échu à la Dame Goergen pour 12.750 francs
remploi 110519 fr, passif 400 fr, reste 11.519 fr, créances 15.719 fr, total général 28.470 fr, passif 8865 fr, reste 19.604 fr
Masse du Sr Goergen confondue avec celle de la communauté, meubles 1476 fr, argenterie 51 fr, vins, tonneaux, outils de tonnelier 12.196 fr, numéraire 93 fr, total 13.797 fr, dettes 18.074 fr, Compensation faite 4276 fr
Enregistrement, acp 122 f° 25-v du 3.4.
Salomé Marguerite Fischer femme séparée quant aux biens de Philippe Frédéric Gœrgen, vend la maison au tonnelier Jean Georges Meyer et à Anne Marie Hamann
1817 (15.11.), Strasbourg 5 (44), M° F. Grimmer n° 10.152
Salomé Marguerite Fischer femme séparée quant aux biens de Philippe Frédéric Görgen, tonnelier, asssitée de Louis Fischer, limonadier, son frère
à Jean Georges Meyer, tonnelier, et Anne Marie Hamann
une maison avec droits, appartenances, aisances et dépendances située à Strasbourg plâce d’Armes n° 29, d’un côté le Sr Görger sellier, de l’autre la veuve Röderer, derrière le rue du coin Brûlé où elle a une issue – échue de la succession de sa mère Marie Madeleine Weishaar veuve Fischer suivant partage dressé par M° Zimmer le 10 prairial 12 – moyennant 11.000 francs
acp 136 F° 127 du 20.11.
Hypothèques de Strasbourg, Transcription reg. 100, n° 13 du 26 novembre
Originaire de Trænheim, Jean Georges Meyer épouse en 1812 Anne Marie Hamann, de Schweighouse
1812 (23.3.), Strasbourg 4 (40), M° Stoeber n° 1666
Contrat de mariage – Jean Georges Meyer, tonnelier fils majeur de 28 ans de Jean Pierre Meier, tonnelier à Traehnheim et d’Anne Marie Reiss
Anne Marie Hamann, fille majeure de 26 ans fille de feu Charles Hamann, tonnelier à Schweighaussen et de feu Anne Marie Klein
Enregistrement, acp 119 F° 87 du 1.4.
1820 (8.5.), Strasbourg 2 (46), M° Weigel n° 445
Déclaration des apports en mariage d’Anne Marie Hamann épouse de Jean Georges Meyer, tonnelier, à Strasbourg, contrat de mariage reçu D. Ehr. Stoeber le 23 mars 1812
en la demeure des conjoints place d’Armes n° 29
acp 147 (3 Q 29 862) f° 107 du 17.5. – meubles 1292 fr, argent comptant 3000 fr
Inventaire dressé après la mort de Catherine Elisabeth Klein qui a institué pour héritiers les enfants de Jean Georges Meyer
1820 (1.3.), Strasbourg 2 (46), M° Weigel n° 363
Inventaire de la succession de Catherine Elisabeth Klein, célibataire décédée le 21 février dernier – dressé à la requête de Jean Georges Meyer, tonnelier en qualité d’administrateur légal des biens propres à Jean Georges Meyer, Anne Marie Meyer, Gustave Meyer et Edouard Meyer, héritiers testamentaires, 2. Anne Marie Hammann épouse dudit Jean Georges Meyer en qualité d’usufruitière à vie des biens qui aviendront auxdits mineurs – en présence de Jean Michel Meckert tuteur ad hoc
dans la maison mortuaire à Strasbourg place d’Armes n° 29
garde robe 177 fr, meubles 473 fr, numéraire 6 fr, Titres et papiers, créances
Testament, à mes petits neveux et nièces, legs à Marie Salomé Hammann ma nièce épouse du Sr Lips cabaretier, Charles Hammann tonnelier neveu, le 15 février 1820)
acp 146 (3 Q 29 861) f° 111-v du 3.3. première vacation
Anne Marie Hammann, femme séparée quant aux biens de Georges Mayer, meurt en 1828 en délaissant quatre enfants
1828 (10.4.), Strasbourg 2 (64), M° Weigel n° 5288
Inventaire de la succession de feu Anne Marie Hammann, femme séparée quant aux biens de Georges Mayer, tonnelier à Strasbourg, où elle est décédée le 12 octobre dernier – dressé à la requête du veuf tant en son nom que comme tuteur légal de ses quatre enfants mineurs nommée 1) Georges né le 9 janvier 1813, 2) Sophie née le 6 août 1814, 3) Auguste né le 26 août 1815, 4) Edouard né le 6 août 1818
en présence de Charles Hammann, subrogé tuteur
en une maison où est décédée la défunte place d’Armes n°29
Contrat de mariage reçu par M° Stoeber le 23 mars 1812, séparation de biens suivant jugement du 4 juillet 1820
mobilier, second étage de ladite maison, dans une chambre prenant ses jours sur la place d’Armes, dans l’alcove à côté de la pièce précédente, dans la cuisine, dans une chambre de derrière, dans la chambre de décharge, aux mansardes, dans la cave
immeuble, une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg place d’Armes n° 29, d’un côté le Sr Georger, de l’autre la veuve Roederer, derrière la rue du Coin brûlé où elle a une issue, estimée 10 000 fr
acp 189 (3 Q 29 904) f° 10 du 14.4. – La masse active se compose savoir Mobilier, 1001 fr, créances 6315, une maison place d’armes N° 29, 10.000, Total 17.316 fr – passif 13.800 fr
Jean Georges Meyer se remarie avec Marguerite Nicklaus : contrat de mariage, célébration
1828 (20.8.), Strasbourg 2 (65), M° Weigel n° 5550
Contrat de mariage – Jean Georges Meyer, tonnelier à Strasbourg, fils de Jean Pierre Meyer, tonnelier, et d’Anne Marie Reis conjoints demeurant à Traenheim d’une part
et Marguerite Nicklaus, célibataire âgée de 36 ans à Strasbourg fille majeure de Jean Nicklaus et d’ Elisabeth Salomon conjoints demeurant à Romansweiler d’autre part
acp 191 (3 Q 29 906) f° 5-v du 28.8. – réserve d’apports, communauté d’acquets partageable par moitié au décès de l’un d’eux
Donation de survie par le futur à la future d’une part d’enfant en toute propriété
plus don de survie par le futur de l’usufruit viager de toute sa succession, don de par le futur à la future à titre de don matutinal d’une somme de 400 francs
La future épouse se constitue en propre en numéraire et meubles une somme de 1506 francs
Mariage, Strasbourg (n° 282)
Acte de mariage, célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 21 août 1828. Jean George Meyer, majeur d’ans, né en légitime mariage le 9 janvier 1784 à Traenheim /Bas Rhin/ domicilié à Strasbourg, tonnelier, veuf d’Anne Marie Hamann décédée en cette ville le 12 octobre 1827, fils de Jean Pierre Meyer, tonnelier, et d’Anne Marie Reis, conjoints domiciliés à Traenheim
Marguerite Niclaus, majeure d’ans, née en légitime mariage le 4 août 1792 à Romanswiller /Bas Rhin/ domiciliée à Strasbourg, fille de Jean Niclaus, Cultivateur et de Marie Salomon, conjoints domiciliés à Romanswiller (i 30)
Registre de population 600 MW 53 (1815 sqq) f° 904 Place d’armes N° 29
(1) Meyer Jn Georges, 1784, Tonnelier, Traenheim, (à Str. depuis) 1806, (auparavant) rue des Juifs 15, E. 8.bre 1818, dél. coin brulé 10
id. née Hamann, Anne Marie, 1786, Ep., Schweighausen, (à Str. depuis) XII, décédée le 12 octobre 1827
id. Georges, 1813 Strasbourg, – dél. quai des chevaux 149
id. Sophie, 1814 – dél. pte r. de l’Eglise 18
id. Auguste, 1815
id. Edouard, 1818
f° 906 Place d’armes suite du N° 29
(2) Meyer née Niclaus, Marg.te, 1792, Ep. de Jean Georges, Romanswiller, (auparavant) faubourg blanc 14 ( E. août 1828, dél. coin brulé 10
Consentements à mariage
1836 (5.4.), Strasbourg, M° Hickel n° 5267
Consentement par Jean Georges Meyer, tonnelier demeurant à Strasbourg, au mariage de Georges Meyer son fils, demeurant à Marseille avec telle personne il jugera à propos
acp 239 (3 Q 29 954) f° 73 du 5.4.
1846 (17.7.), M° Reiss
Consentement par Jean Georges Meyer tonnelier à Strasbourg au mariage de son fils Auguste Meyer prote à Paris avec Julie Seibecker institutrice à Paris
acp 350 (3 Q 30 065) f° 51-v du 17.7.
1865 (14.7.), Strasbourg 10 (154), M° Zimmer (Louis Frédéric)
Consentement par Jean Georges Meyer ancien tonnelier à Kœnigshoffen au mariage de son fils Edouard Meyer pensionnaire de l’Etat à Westhoffen avec Catherine Kubler du dit lieu
acp 544 (3 Q 30 259) f° 80 du 14.7.
1860 (18.1.), M° Zimmer
Consentement par Jean Georges Meyer cabaretier et Marguerite Niclaus sa femme à Strasbourg au mariage de leur fils Edmond Meyer Employé à l’octroi avec Barbe Sophie Lorentz célibataire à Strasbourg
acp 484 (3 Q 30 199) f° 92-v du 20.1.
Jean Georges Meyer et ses enfants exposent la maison aux enchères. La mise du tricoteur Charles Treuschel n’est pas ratifiée.
1839 (10.10.), Strasbourg 2 (83), M° Tinchant n° 1288
Cahier des Charges n° 1255, Adjudication et retrait – I. Jean Georges Meyer, tonnelier en son nom comme usufruitier de la succession d’Anne Marie Hammann sa première femme décédée le 12 octobre 1827 suivant contrat de mariage reçu M° Stoeber le 23 mars 1812 et 2. mandataire de Georges Meyer l’un de ses fils, ouvrier serrurier à Marseille, II. Auguste Meyer, fabricant de peignes à Strasbourg, III. Charles Treuschel, tricoteur à Strasbourg, mandataire d’Edouard Meyer, canonier à la troisième batterie du 6° régiment d’artillerie en garnison Besançon, IV. Sophie Meyer épouse du Sr Treuschel (Procuration, domicilié à Marseille rue de Beauffet n° 14)
Désignation, une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg Place d’Armes n° 29, d’un côté le Sr Georger, de l’autre le Sr Huck, devant la Place d’Armes, derrière la rue du Coin Brûlé où elle a une issue – Etablissement de la propriété, par acte reçu F. Grimmer notaire à Strasbourg le 15 novembre 1817 transcrit au bureau des hypothèques vol. 100 n° 13 Jean Georges Meyer a acquis ladite maison sur Marguerite Salomé Fischer femme séparée quant aux biens de Philippe Frédéric Georgen, tonnelier. Suivant jugement de séparation rendu le 4 juillet 1820 et inventaire des biens dressé par M° Weigel le 17 du même, la femme Meyer a renoncé à la communauté, il lui a vendu l’immeuble prédésigné. Anne Marie Hammann est décédée le 12 octobre 1827, inventaire de sa succession a été dressé par M° Weigel le 10 avril suivant
Clauses, Charges et Conditions (…), le Sr Meyer pourra s’il le juge à propos conserver les localités qu’il occupe en ce moment savoir le rez de chaussée, le premier étage, une pièce au troisième dans la maison de derrière, la chambre au linge sale et celle de la domestique jusqu’à Pâques 25 mars prochain pour un loyer de 150 fr – mise à prix 11.000 francs
à Charles Treuschel tricoteur, avec réserve de surmise (acp 271 f° 96 du 8.10.)
le 30 septembre pour 13.100 francs
(acp 272 (3 Q 29 987) f° 24-v du 18.10.) 10 octobre surmise de 200 fr. par Georges Henri Wild, propriétaire – Retrait
Jean Georges Meyer et ses enfants vendent la maison à leur fille et sœur respective Sophie Meyer, femme du tricoteur Charles Treuschel.
1839 (10.10.), Strasbourg 2 (83), M° Tinchant
Vente, 10 8.bre 1839. Furent Presens I. le sieur Jean Georges Meyer, tonnelier demeurant et domicilié à Strasbourg stipulant 1° en son propre et privé nom comme usufruitier pour partie de la succession délaissée par dame Anne Marie Hammann sa première femme décédée à Strasbourg le 12 octobre 1827 aux termes de son contrat de mariage dressé par M° Stoeber ancien notaire à Strasbourg le 23 mars 1812 enregistré, 2° comme mandataire du Sr George Meyer l’un de ses fils, ouvrier serrurier demeurant à Marseille suivant procuration (…) annexée à un procès verbal d’adjudication définitive dressé cejourd’hui par M° Tinchant notaire instrumentaire (…) II. le sieur Auguste Meyer, fabricant de peignes demeurant et domicilié à Strasbourg, III. le sieur Charles Treuschel trocoteur demeurant et domicilié en la même ville, agissant au nom et comme mandataire du Sr Edouard Meyer, canonier à la troisième batterie du 6° régiment d’artillerie en garnison à Besançon (…) lesquels ont déclaré vendre avec toute garantie de fait et de droit
à la dame Sophie Meyer épouse dudit Sr Treuschel avec lequel elle demeure, ci présente et ce acceptant sous l’assistance et autorisation de son dit mari
les trois quarts indivis d’une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg place d’Armes n° 29, tenant d’un côté au Sr Georger, de l’autre au Sr Huck et donnant par devant sur la place d’armes et par derrière sur la rue du Coin Brûlé où elle a une issue. Ainsi que ladite part indivise se trouve poursuit et comporte (…) Sont néanmoins exceptés les bancs fixés contre la boiserie dans tout le pourtour de la chambre servant d’auberge ainsi que le buffet ou comptoir, le four muré dans l’âtre de la maison au rez-de-chaussée et la chaudière se trouvant dans la buanderie, lesquels objets appartiennent au Sr Meyer père et pourront être enlevés par lui.
La dame Treuschel est déjà propriétaire du dernier quart pour l’avoir hérité dans la succession de sa mère Anne Marie Hammann décédée épouse dudit Sr Meyer le 12 octobre 1827 ainsi qu’il est à voir dans un inventaire dressé par M° Weigel vivant notaire à Strasbourg le 10 avril 1828, quant aux trois quarts présentement vendus ils appartiennent par indivis aux dits George, Auguste et Edouard Meyer, comme enfans et héritiers conjointement avec la dite Sophie Meyer femme Treuschel de la dame Meyer prequalifiée ainsi que’il résulte du dit inventaire. L’origine antérieure de la propriété de l’immeuble prédésigné se trouve établie au cahier des charges ci-dessus relaté. La présente vente a été faite et acceptée pour et moyennant la somme de 10.350 francs
Originaire de Wangen, Charles Treuschel épouse en 1836 Caroline Walder
1836 (31.3.), Strasbourg 3 (85), M° Kratz n° 411
Contrat de mariage – Jean Charles Treuschel, bonnetier comme simple artisan sans se livrer à une opération de commerce à Strasbourg, né à Wangen, fils de feu Jacques Treuschel, vigneron, et de feu Salomé Riehl
Caroline Walder majeure à Strasbourg fille de Jean Léonard Walder, tailleur d’habits, et de Marie Elisabeth Meyer
acp 239 (3 Q 29 954) f° 70 du 2.4. – régime de communauté réduite aux acquets
Le futur se constitue des meubles évalués à 4217 francs
La future apporte et se constitue des biens meubles en valeur de 1198
Les futurs se font donation au survivant d’eux de l’usufruit de tous les biens du prémourant, réductible à moitié en cas d’existence d’enfants
Caroline Walder meurt l’année suivante en délaissant un fils
1837 (7.11.), Strasbourg 3 (86), M° Kratz n° 596
Inventaire de la succession de Caroline Walder épouse de Jean Charles Treuschel, bonnetier, décédée le 7 juin 1837 – dressé à la requête de 1. ledit Treuschel agissant à cause de la communauté qui a existé entre avec la défunte suivant contrat de mariage reçu par M° Kratz le 31 mars 1836, et comme père et tuteur légal de son fils Frédéric Charles né le 3 avril 1837 – en présence de Charles Walter, ferblantier, subrogé tuteur
dans le logement occupé par le Sr Treuschel dans une maison petite rue de l’Eglise n° 4 et une boutique occupée à Strasbourg rue de l’Ecole n° 4 et 5
acp 254 (3 Q 29 969) f° 48 du 11.11. – Biens propres de la défunte, garde robe 272, apports 718, remplois 1100
Biens propres au veuf, apports 592, remplois 3625
Communauté, meubles 4602 – Passif 5343, frais funéraires 110
Charles Treuschel se remarie en 1838 avec Sophie Meyer
1838 (25.1.), Strasbourg 3 (86), M° Kratz n° 619
Contrat de mariage – Jean Charles Treuschel, bonnetier, veuf avec un enfant de Caroline Walder
Sophie Meyer, née à Strasbourg le 6 août 1814, fille de Jean Georges Meyer, tonnelier, et d’Anne Marie Hamann
acp 256 (3 Q 29 971) F° 68-v du 26.1. – régime de communauté réduite aux acquets
les apports du futur sont constatés par l’inventaire dressé après le décès de sa première femme par M° Kratz le 7 novembre 1837
Les apports de la future consistent en meubles évalués à 290 francs, argent comptant 430, plus sa part dans la succession de sa mère Anne Marie Hamann et dans celle de sa tante Catherine Elisabeth Klein
Le futur fait don à la future en cas de survie d’une part d’enfant le moins prenant. La future fait don au futur en cas de prédécès de l’usufruit de sa succession
Charles Treuschel et Sophie Meyer exposent infructueusement la maison aux enchères
1842 (27.8.), Strasbourg 2 (87), M° Tinchant n° 2583
Cahier des charges, 27 août 1842. furent présens Sr Charles Treuschel, traiteur domicilié à Strasbourg, et Dame Sophie Meyer son épouse qu’il autorise dûment à cet effet, lesquels ont déclaré qu’ils sont intentionnés de faire vendre (…) aux anchères publiques et par forme d’adjudication volontaire la maison et dépendances qu’ils possèdent en cette ville (…)
Description de l’immeuble à vendre. Une maison d’habitation exploitée comme auberge, ayant pour enseigne À la ville de Mülhouse, située à Strasbourg Place Kleber autrefois Place d’Armes N° 29, avec tous les droits, aisances et dépendances qui en font partie, tenant d’un côté au Sr Schwartz bijoutier autrefois au Sr Georger, de l’autre au sieur Huck par devant sur la place Kleber et par derrière sur la rue du coin brûlé. Cette maison a deux issues dont une principale sur la place Kleber et l’autre desservant ou secondaire sur la rue du coin brûlé.
Origine et titres de propriété de la maison à vendre. Cette maison est la propriété de la dame épouse Treuschel. Elle en a recueilli un quart indivis dans la succession de Dame Anne Marie Hammann sa mère décédée le 12 octobre 1827 épouse du Sr Jean Georges Meyer tonnelier domicilié à Strasbourg dont elle était héritiere dans cette proportion, ainsi qu’il résulte de l’inventaire dressé de cette succession par M° Weigel Notaire à Strasbourg le 10 avril 1828. Et elle en a acquis les autres trois quarts indivis de Georges Meyer, Auguste Meyer et Adolphe Meyer des frères suivant procès verbal d’adjudication volontaire dressé par M° Tinchant soussigné et l’un de ses collègues et dont la minute est restée au premier le 10 octobre 1839, lesquels frères de la dame Treuschel avaient droit à cet immeuble dans la même proportion et au même titre qu’elle, ce qui résulte pareillement de l’inventaire sus relaté.
Ledit Sr Meyer père de la Dame Teuschel a pareillement concouru à cette vente et y a aliéne au profit de cette dernière le droit d’usufruit gratuit qui lui compétait sa vie durant sur une partie des biens de la succession de sa femme en tant qu’il frappait sur cette maison, en conséquence de son contrat de mariage passé devant M° Stoeber Notaire à Strasbourg le 23 mars 1812. Ladite défunte Anne Marie Hamann était propriétaire de cet immeuble en conséquence de l’abandon qui lui en a été fait par son mari dans la liquidation de ses apports dressée contradictoirement entre elle et ce dernier en exécution de l’article 1444 du Code civil, par M° Weigel, Notaire susdit le 17 juillet 1820, en suite de la séparation de biens prononcée à son profit entre ledit son mari par jugement par défaut rendu au tribunal civil de Strasbourg le quatre même mois et année, auquel il a acquiescé par ladite liquidation d’apports.
Et les conjoints Jean Georges Meyer l’avaient acquis en commun de Dame Marguerite Salomé Fischer femme séparée quant aux biens du Sr Frédéric Georgen tonnelier à Strasbourg, suivant contrat reçu de M° Frédéric Grimmer qui en avait la minute et l’un de ses collègues Notaires à Strasbourg le 15 novembre 1817, enregistré lequel a été transcrit au bureau de la conservation des hypothèques de la même ville le 26 même mois et année volume 100 Numéro 13. La dame Georgen avait elle-même recueilli cet immeuble à titre d’héritage dans la succession de Marie Madeleine Weishaar veuve Fischer de Strasbourg sa mère, tel qu’il en conste de l’inventaire dressé de cette succession par M° Grimmer Notaire en la même ville le 10 Prairial an douze.
Relation des preuves de libération des acquéreurs successifs (…)
La maison dont s’agit a été exposée aux enchères sur la mise à prix de 18.000 francs. Elle a été enchérie par première enchère par le Sr Charles Walter ferblantier domicilié à Strasbourg à la somme de 19.500 francs et surenchérie par le Sr Norbert Ehret aubergiste domicilié en la même ville à la somme de 20.000 francs. Personne n’ayant voulu faire de mise ou enchère ultérieure, et les conjoints Treuschel ayant espoir d’obtenir un prix plus élevé, ils ont fixé une dernière tentative d’enchère et l’adjudication s’il y a lieu de l’immeuble dont s’agit au jeudi 8 septembre prochain
du 8. 7.bre 1872. N° 2599. (…) En conséquence et attendu l’insuffisance des offres les époux Treuschel ont retiré l’immeuble dont s’agit et déchargé les enchérisseurs de leurs mises ou enchères respectives.
acp 301 (3 Q 30 016) f° 83-v – acp 303 (3 Q 30 017) f° 77, retrait
Charles Treuschel et Sophie Meyer vendent la maison portant l’enseigne A la ville de Mulhouse à l’aubergiste Jean Voltz et à sa femme Louise Fleckstein
1861 (26.3.), Strasbourg 6 (90), Henri Eugène Roessel (Roessel Jeune) n° 3647
Vente, 26 juin 1861. – ont comparu M. Jean Charles Treuschel, marchand de laine & dame Sophie Meyer sa femme qu’il autorise demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg, lesquels ont, par les présentes, vendu (…)
à M. Jean Voltz, aubergiste & à dame Louise Fleckstein sa femme qu’il autorise demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg à ce présents & acceptant
Désignation. Une maison à rez-de-chaussée & trois étages avec maison de derrière, petite cour, droits, aisances, appartenances & dépendances sise à Strasbourg place d’armes ou place Kleber n° 25 ancien N° 29 portant l’enseigne A la ville de Mulhouse, tenant d’un côté à M. Schwartz de l’autre à la veuve Huck par derrière la rue du coin brulé où elle a une issue & porte le N° 1. Ensemble tout ce qui dans la dite maison tient à clous, mur, chevilles & qui est réputé de nature immobilière soit par la loi soit par sa destination. Sont en outre compris dans a présente vente quatre poêles, les pots économiques, les volets & jalousies de ladite maison.
Origine de la propriété. La maison présentement vendue dépendait de la communauté qui a existé entre entre M. Jean Georges Meyer, tonnelier & dame Anne Marie Hammann sa femme demeurant ensemble à Strasbourg au moyen de l’acquisition qu’ils en ont faite de dame Marguerite Salomé Fischer femme séparée quant aux biens du sieur Philippe Frédéric Görgen, tonnelier à Strasbourg, demeurant en cette ville, suivant contrat de vente reçu par M° Grimmer père alors notaire à Strasbourg le 15 novembre 1817, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 26 du même mois vol. 100 N° 13 & inscrit d’office le même jour vol. 115 N° 74. Cette vente a eu lieu pour le prix de 11.000 francs (…). La dite maison avait été abandonnée par M. Meyer à sa femme née Hammann en paiement des reprises de cette dernière, ainsi qu’il résulte de l’inventaire de séparation de biens d’entre les époux Mayer, dressé par M° Weigel, alors notaire à Strasbourg le 10 juillet 1820 en exécution d’un jugement rendu par le Tribunal civil séant à Strasbourg le 4 juillet précédent. Mad° Meyer, ainsi seule unique propriétaire de la maison en question, étant venue à décéder à Strasbourg le 12 octobre 1827 la même maison est échue à ses quatre enfants nommés 1. Georges Meyer, alors ouvrier serrurier demeurant à Marseille, 2. Auguste Meyer, femme de peignes demeurant à Strasbourg, 3. Edouard Meyer, alors canonier en garnison à Besançon & 4. la dame Treuschel, co venderesse, les quatre seuls & uniques héritiers de la dame Meyer leur mère ainsi qu’il est constaté par l’inventaire de la succession de cette dernière dressé par ledit M° Weigel le 10 avril 1828.
Suivant contrat de vente reçu par M° Tinchant alors notaire à Strasbourg le 10 octobre 1839, lesdits Jean Georges Meyer père à cause de ses droits d’usufruit sur partie de la succession de Mad° Meyer, Georges Meyer, Auguste Meyer & Edouard Meyer ont vendu à leur fille & sœur la dame Treuschel les trois quarts leur appartenant indivisément avec ladite dameTreuschel, propriétaire du dernier quart, de la maison sus-désignée. Cette vente a eu lieu pour le prix de 30.350 francs. (…) Il résulte de l’acte de partage du 15 avril 1840 sus relaté que les droits d’usufruit compétant à M. Meyer père sur la maison vendue en vertu de son contrat de mariage reçu par M° Stoeber, alors notaire à Strasbourg, le 23 mars 1812 ont été appliqués à d’autres valeurs dépendant de la succession de son épouse. Enfin les vendeurs déclarent que la maison présentement vendue appartenait à la dame Joergen née Fischer pour l’avoir recueillie dans la succession de sa mère dame Marie Madeleine Weishaar veuve Fischer, ainsi qu’il est constaté par un acte de partage dressé par M° Zimmer, alors notaire à Strasbourg le 10 Prairial de l’an douze. – Prix, 21.000 francs (…)
Etat civil. Les vendeurs époux Treuschel, déclarent & affirment 1. Qu’ils sont mariés sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts aux termes de leur contrat de mariage reçu par M° Kratz alors notaire à Strasbourg le 25 janvier 1838 (…)
Police d’assurance. La Mutuelle du Bas-Rhin. N° 7721. 26 mars 1861. Somme assurée 24.000. Police pour Mr Jean Voltz, Aubergiste à Strasbourg, en qualité de propriétaire
Strasbourg Place Kleber 25. 1° Maison d’habitation de devant, 16.000, 2° Cage d’escalier en aile à gauche, 2,000, 3° Maison d’habitation de derrière 6.000
acp 497 (3 Q 30 212) f° 39-v du 1.4.
Originaire de Bischwiller, Jean Voltz épouse en 1856 Barbe Louise Fleckstein, de Wasselonne
Mariage, Wasselonne (n° 17)
Le 29 septembre 1856 à quatre heures du soir. Acte de mariage de Jean Voltz, âgé de 33 ans, né à Bischwiller département du Bas-Rhin le 21 janvier 1823 (…) garçon limonadier domicilié à Bischwiller, fils légitime et majeur de feu Joseph Voltz domicilié à Bischwiller y décédé le 4 mai 1850 et de Marguerite Lambert âgée de 56 ans domiciliée à Bischwiller, ci présente et consentante
et de Barbe Louise Fleckstein, âgée de 21 ans née à Wasselonne le 11 mai 1836 (…) profession de néant domiciliée à Wasselonne fille légitime et majeure de feu Jacques Fleckstein domicilié à Wasselonne y décédé le 3 juin 1837 et de Gertrude Schild âgée de 53 ans domiciliée à Wasselonne (i 10)
Registre domiciliaire 600 MW 349 (i 183)
Voltz Jean, Bischwiller 1823, h.m. Aubergiste, Cath. franç. (à Str. depuis) 55, (carte de sûreté) 3433
id. née Fleckstein, Louise, Wasselonne 1835, f.m. sa femme, Cath. franç (à Str. depuis) 56, (auparavant) Wasselonne
(servantes et domestiques)
Voltz, Marie Louise, Strasbourg le 11 août 1858, f. servante, cath. franç., (à Str.) d.s.n
Place Kleber 29 / 25
Jean Voltz lègue à sa femme Barbe Louise Fleckstein l’usufruit de ses biens
1884, M° Holtzapffel
28. Juni 1877 – Schenkung wodurch der am 30. August 1884 hier verlebte Wirth Johann Voltz seiner Ehefrau Barbara Louise Fleckstein die Nutznießung an seinem Nachlasse vermacht
acp 754 (3 Q 30 469) f° 9 n° 2175 du 4.9. (Sterbfallerkl. vom 27.2.85, Bd 146 N° 544 Tbd 70 Bl. 183 N° 25)
Jean Voltz meurt en 1884 en délaissant quatre enfants
1884 (1.10.), M° Holtzapffel n° 7906
Erbverzeichnis über den Nachlass des am 30. August 1884 hier verlebten Wirths Johann Voltz gewesenen Ehemann Barbara Luise Fleckstein
Erben sind die 4 Kinder 1. Maria Voltz, Ehefrau Ludwig Lehr, Kaufmann zu Weissenburg, 2. Emma Johanna Voltz, Ehefrau von Richard Hermann Emmanuel Mertens, Steuereinnehmer in Hayange, 3. Anna Voltz 4. Johann Joseph Voltz, beede minderjährig unter Vormundschaft der Wittwe
Verheirathung ohne Ehevertrag
acp 754 (3 Q 30 469) f° 77-v n° 2589 du 7.10. (Sterbfallerk. vom 27. Februar 1885 Bd. 146 N° 544 – Tbd 70 Bl. 83 N° 25) Gütergemeinschaft, Mobilien 1014, Baares Geld 480
Forderungen 1) die hiesige Sparkasse laut Büchlein 179, 2) Amt cautionnement des p. Mertens, Obligation 4 % der preußischen consolidirten Staatsanleihe 1000, 3) genannten Mertens 640, 4) Schile in Kaysersberg 68, 5) Eheleute Arnold hier laut Urkunde Holtzapffel vom 12. September 1883 18.000, 6) p. Lehr 2400
Andere Mobilien 701
immobilien, ein Haus hieselbst Kleberplatz N° 24
Passiva 8000
durch Urkunde Holtzapffel vom 28. Juni 1877 steht der Wittwe die Nutznießung an der Hälfte des Nachlasses zu
Nachlass, Kleider 153
Partage de la succession
1886 (8.1., 10 & 12.7.), Strasbourg 10 (215). M° Frédéric Pierron n° 7906
Theilung des Nachlasses des Wirths Johann Voltz, Ehemann von Barbara Luise Fleckstein
sind erschienen 1) Herr Frantz Karl Klein, Angestellter bei der Actien Gesellschaft für Boden und Communal Kredit in Elsass-Lothringen, zu Straßburg wohnhaft, handelnd in Namen und als Bevollmächtigter von Frau Barbara Luise Fleckstein, wohnhaft in Weissenburg, Wittwe des verlebten Eigenthümers Herrn Johannes Voltz, auf Grund einer Vollmacht (…) a) in ihrem persönlichen Namen wegen der gesetzlichen Gütergemeinschaft wleche ohne Ehevertrag zwischen ihr und ihrem verstorbenen Ehegatten bestanden hat, als Nutznießerin der Hälfte der Hinterlassenschaft ihres verstorbenen Ehegatten auf Grund des nachher erwähnten Schenkungsaktes, b) und als Mutter und gesetzliche Vormünderin ihrer zwei nachgenannen bei ihr wohnhaften noch minderjährigen Kinder, nämlich 1) Anna Maria Margaretha Voltz geboren den 5. September 1868, 2) und Johann Marie Joseph Voltz, geboren den 16. Oktober 1873
2. Herr Ludwig Lehr, Kaufmann zu Weissenburg wohnhaft handelnd in Namen und als Bevollmächtigter seiner bei ihm wohnhaften Ehegattin Frau Marie Louise Voltz (…), 3. Herr Emil Lorson, Photograph in Straßburg wohnhaft, handelnd im Namen und als Bevollmächtigter von Frau Emma Johanna Voltz, Ehegattin des Herrn Richard Hermann Emmanuel Mertens, Steuereinnehmer mit einander in Hayange, Kreis Thionville wohnhaft (…), 4. und Herr Karl Ehrhardt Voltz, Gÿpsenmeister in Straßburg wohnhaft, handelnd in seiner Eigenschaft als Nebenvormund der beiden obengenannten minderjährigen Voltz (…)
genannte Frauen Lehr und Mertens und die beide minderjährigen Voltz einzige Kinder und Erben Jedes für einen vierten theil des zu Straßburg den 30. August 1884 verstorbenen, Herrn Johann Voltz im Leben geweßenen Wirth und Eigenthümer und Gatte der oben genannten Frau Barbara Luise Fleckstein sowie diese Eigenschaften bestätigt sind durch das Inventar des Nachlasses des Verstorbenen durch genannten Notar Holtzapffel den 1. Oktober 1884 errichtet
acp 778 (3 Q 30 493) f° 82 n° 1647 du 17.7. (Sterbf. Erkl. vom 27. Februar 1885 Bd 146 N° 544) Laut Schenkung desselben Notars vom 28. Juni 1877 steht der Wittwe die lebenslängliche Nutznießung an der Hälfte des Nachlasses ihres Ehemanns zu. Die Wittwe & Frau Lehr verkauften die ihnen an dem gütergemeinschaftlichen Hause zustehende 4/8. bezw. 1/8 laut Kauf Pierron vom 27. Februar 1885 an Heinrich Grombach hier um M. 18.000 worauf Erwerber 5/8 einer Schuld von 8000 M. übernahm, bleiben 13.000 wovon noch 11.200 noch geschuldet sind. Grombach wurde Erwerber der übrigen 3/8 des Hauses laut Versteigerung Pierron vom 16. September 1885 um M 16.125, worauf Erwerber 3/8 der Schuld übernahm 3000 (Rest) 113125.
Mobiliarversteigerung Pierron vom 17. September 1885. mit einem Erlöse von 868,19 Mark, welche zur Zahlung von Passiven verwendet worden sind
Gemeinschafft. 1) Erlös der Mobiliarversteigerung M 868, 2) Sparkassenanlage 196, 3) Mobilien 327, 4) Forderung Arnold 18.195, 5) Forderung Schiele 68, 6) Baares Geld 360, 7) Rückbringen der Frau Lehr 5853, 8) Rückbringen der Frau Mertens 4996, Summa 30.864 – Passiva 492, bleiben 30.375
Nachlass, die halbe Gemeinschaft 15.186, Kleider 153, Summa 15. 339 – Passiva 353, bleiben 14.986 wovon die Hälfte mit der lebenslänglichen Nutznießung der Wittwe belastet ist, so daß jedes der Kinder erhält vielmehr bespricht (…)
Jean Voltz et Louise Fleckstein vendent la maison portant l’enseigne A la ville de Mulhouse à l’aubergiste Chrétien Arnold et à sa femme Elise Siegwald
1883 (12.9.), M° Holtzapffel
Verkauf – Johann Voltz, Gastwirth und Luise Fleckstein zu Straßburg
an Eheleute Christian Arnold, Gastwirth und Elise Siegwald zu Straßburg
ein Wohnhaus mit Vorder und Hintergebäude, auf Keller, drei Stockwerken, Speicher, Brunnen geschildet Gasthaus Stadt Mühlhausen, gelegen zu Straßburg Kleberplatz N° 25
Erworben laut Kauffvertrag Roessel d. J. vom 26. März 1861. Besitz sofort, Genuß vom 17. des lauf. Mts, Steuren und Lasten vom Genußantritt ab. Kaufpreis 28.00 davon sind bar bezahlt 2000.
acp 740 (3 Q 30 455) f° 92-v n° 2272 du 15.9.
Fils du boucher Chrétien Arnold, Chrétien Arnold épouse en 1872 Elise Siegwalt, fille du brasseur Frédéric Guillaume Siegwalt. Tous deux sont originaires de Bischwiller.
Mariage, Bischwiller (n° 61)
Bürgermeisterei Bischweiler den 10. Dezember 1872 um eilf Uhr des Morgens. Heiraths-Urkunde von Christian Arnold, ledigen Standes, alt 31 Jahr, geboren zu Bischweiler den 10. Junius 1841 (…) Metzger wohnhaft zu Bischweiler, großjähriger und ehelicher Sohn von dem unterm 7. Januar 1870 zu Bischweiler verstorbenen Christian Arnold, Metzger wohnhaft zu Bischweiler gewesen und von der unterm 14. April 1861 zu Bischweiler verstorbenen Luise Scherding, ohne Gewerb wohnhaft zu Bischweiler gewesen (…)
und von Elisa Siegwalt, ledigen Standes, geborenn zu Bischweiler den 12. Mai 1845 (…) ohne gewerb wohnhaft zu Bischweiler, großjährige und eheliche Tochter von dem unterem 21.ten Septembris 1870 zu Bischweiler verstorbenen Friedrich Wilhelm Siegwald, Bierbrauer wohnhaft zu Bischweiler gewesen und von der unterm 13. Dezember 1871 zu Bischweiler verstorbenen Maria Philipp, ohne Gewerb, wohnhaft zu Bischweiler gewesen (…) Christian Arnold, vätterlicher Großvater (…) Salome Jacob vätterliche Großmutter (…) Johann Jacob Scherding, Schuhmacher mütterlicher Großvatter (…) Katharina Elisabetha Jaeger mütterliche großmutter (…) i 33
Le maire cède à Chrétien Arnold et à Elise Siegwalt un terrain place Kleber d’après le plan d’alignement.
1901 (13.8.), Maire
1622. Vertrag vor Bürgermeisteramt hier vom 13. August 1901 wonach die Stadt Strassburg behufs Herstellung der Bauflucht abtritt an
Christian Arnold, Rentner, und Frau Elisabeth Sigwalt in Bischweiler, d. Gesamtgut
eine Fläche von 17,9 qm am Kleberplatz hier. Die Ueberlassung erfolgt unentgeltlich, Besitz, Genuß ist erfolgt. Rohertrag jährlich 50 Pfenning
acp 987 (3 Q 30 702. III) f° 40-v du 14.8.