10, rue Finkwiller
Rue Finkwiller n° 10 – VIII 169 (Blondel), P 1211 puis section 5 parcelle 49 (cadastre)
Partie gauche, maître d’ouvrage Charles Schott, brasseur, 1871
Autre adresse : 7, rue de la Question
Partie ancienne à droite, au rez-de-chaussée fenêtres à meneaux (Renaissance). A gauche, bâtiment construit en 1871 (juillet 2009). Bâtiments arrière à pignon, rue de la Question (mars 2023)
Remarque liminaire – La maison initiale (parcelle 169, VIII° canton du plan Blondel) est agrandie en 1691 de la partie (c), séparée de la maison par une ruelle. La parcelle 168 ou (d) est réunie à la maison voisine en 1769. L’exposé ci-dessous a trait à la parcelle 169 et aux parties (c), (d) une fois qu’elles y sont réunies.
Agrandissements reportés sur le plan Blondel. En traits discontinus, alignements projetés
La maison appartient au début du XVII° siècle au charretier Jacques Bühler puis au boucher Jacques Kamm (1626-1637). Le boucher Etienne Reichard l’achète en 1637, elle restera jusqu’en 1751 la propriété des ayants-droit de sa veuve, remariée avec le messager Arnaud Brackwehr. Loup Thierry Brackwehr achète en 1691 la maison (c) dans la rue de la Question, séparée de sa maison par une venelle que les préposés au bâtiment lui cèdent la même année. Philippe Jacques Datt, gendre de Loup Thierry Brackwehr, est à nouveau boucher. A sa mort en 1735, les experts estiment la maison à la valeur minimale de 700 livres alors qu’elle était de 400 livres en 1710. Le boucher Jean Weiler achète la maison en 1751 puis en 1769 la voisine (partie d) qu’il fait démolir. Il la remplace par une cour qui s’étend aussi sur le terrain devant l’ancienne maison, en suivant les nouveaux alignements de Blondel. Suite à la démolition, il autorise son voisin Jean Frédéric Dürr (propriétaire de l’actuel n° 12) dont la maison n’avait pas de pignon propre à poser un mur sur le sien pour qu’il puisse fermer les étages. Jean Weiler fait poser en 1772 une nouvelle poutre dans la façade avant rue de la Question.
Plan-relief de 1727 (Musée historique, cliché Thierry Hatt) . Les deux pignons rue de la Question se trouvent à droite, à mi-hauteur de l’image.
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 267 (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée, un étage en pan de bois et un mur qui clôt le terrain en saillie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve à droite de (q) ; porte entourée de deux fenêtres, étage à trois fenêtres, toiture à deux niveaux de lucarnes. Une porte se trouve dans la partie en saillie (n-o-p-q). La cour K montre le pignon (1-2) du bâtiment avant, au fond de la cour le bâtiment (1-6) qui donne dans la rue de la Question, le côté est (3-6) dont l’édicule (4-5-6) à l’angle sud-est. Les deux façades à pignon dans la rue de la Question se trouvent à gauche du repère (k).
La maison porte d’abord le n° 38 (1784-1857) puis le n° 10.
Plan, cour K
Plan du terrain en saillie cédé à la Ville (dossier de la Police du Bâtiment)
Le brasseur Charles Schott modifie en 1866 les ouvertures et fait des travaux qui portent le revenu de la maison de 72 à 105 francs. Il fait construire en 1871, dans la cour entourée de murs en saillie sur l’alignement, un étage surmonté d’une terrasse en prolongement de la maison. Le tonnelier Edouard Marzolff achète l’immeuble en 1875, modifie les fenêtres et fait percer une porte cochère rue de la Question. Il vend la même année à la ville la cour entourée de murs en saillie sur l’alignement à condition de pouvoir conserver le balcon qui est à moins de trois mètres au-dessus du trottoir.
La maison est légèrement endommagée par le bombardement aérien du 25 septembre 1944. Le balcon sur rue qui menace de s’écrouler en 1976 est démonté. Le propriétaire Eschbach fait restaurer et réhabiliter la maison en 1977.
La maison et ses voisines (juillet 2013) – Porte et fenêtres à meneaux (avril 2023)
avril 2023
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1594 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Georges Müller, tisserand, et (1556) Catherine Kades, d’abord (1545) femme du tisserand Jean Christ, puis (1599) Sara Herrmann – luthériens | ||
1600 | v | Jacques Bühler, charretier, et (1595) Walburge Müller – luthériens |
1626 | v | Jacques Kamm, boucher, et (1622) Marie Culmann – luthériens |
1635 | v | Etienne Reichard, boucher, et (1632) Barbe Eckard – luthériens |
1637 | h | Arnaud Brackwehr, messager, et (1637) Barbe Eckart, veuve du boucher Etienne Reichard, puis (1651) Anne Barbe Rohrer – luthériens |
1674* | h | Loup Thierry Brackwehr, messager, et (1676) Marthe Geiger puis (1709) Eve Fessmann, d’abord (1692) femme du boucher Jean Knoderer puis (1701) de l’aubergiste Jean Christophe Strintz – luthériens |
1720 | h | Philippe Jacques Datt, boucher, et (1713) Anne Marie Brackwehr – luthériens |
1735 | h | Jean Jacques Datt, boucher, et (1743) Marie Marguerite Hansmetzger – luthériens |
1751 | v | Jean Weiler, boucher, et (1749) Marie Madeleine Pfeffinger – luthériens |
1802 | v | (Philippe) Jacques Gies, cocher, et (1792) Marie Françoise Schuster – catholiques |
1828 | h | Georges Herrel, charpentier, et (1833) Thérèse Gies |
1838 | v | Jacques Wurtz, laitier, et (1836) Marie Catherine Nœppel |
1857 | v | Gustave Adolphe Zwicker, architecte, et (1857) Elise Emelie Trumpff |
1866 | v | Charles Schott, brasseur puis commis négociant, et (1845) Wilhelmine Wurtz |
1875 | v | (Frédéric) Edouard Martzolff, tonnelier, et (1862) Caroline Wendling |
1900* | h | Charles Philippe Edouard Martzolff, tonnelier, et (1897) Louise Sophie Eugénie Lang |
1934* | Weick, René, ingénieur à Pechelbronn |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 400 livres en 1707, 700 livres en 1735
(1765, Liste Blondel) VIII 169, Jean Weyler
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Weÿler (VIII 168 et 169), 6 toises, 2 pieds et 2 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre)
P 1210, Herrel, Georges, mre charpentier – maison, sol, cour, bâtiment – 1,24 are
P 1211, Herrel, Georges, mre charpentier – écurie, cour – 1,4 are
Locations
1736, Jean Georges Vetter, boucher
1822, François Antoine Schmitt, courtier de commerce
Livres des communaux
1562, Livre des loyers communaux, VII 1446 (Zinßbuch D) f° 106-v
Les deux cens suivants sont ensuite attachés à la maison d’Arnaut Brackwehr (registre de 1652). Le premier à l’origine d’un florin est dû par le boulanger Michel Mulingen, puis le marchand Martin Schæffer, le revendeur Martin Hartmann, l’orfèvre Bernard Kieffer, le mercenaire Georges Weinmar enfin Jacques Büchel. Le deuxième de cinq sols deux deniers dû par le susdit Martin Schæffer puis les mêmes successeurs
Item j guldin (x ß vj d) gelts Ablösig mit Zwantzig Fünff gulden Straßburger Jerlich vff Sant Johanns tag Zu Sÿnngichten fallend gab Ettwan Michell von Mulÿnngen der Brotbeck, gibt Jetzmals Martin Scheffer sÿlberkremer, gibt Jetzt Martin hartman der Kremer
Jetzt Bernhard Küffer goldtschmidt
Jetzt Jerg wÿnmar soldner
Jacob Bÿchel fuhrman
(rub.) Jetzt Jacob Büchels W: Jetz 15 ß Gesetzt d. 9. Feb. 27
Neü 165
1562, Livre des loyers communaux, VII 1446 (Zinßbuch D) f° 107
Item v ß ij d Ewigs gelts gibt Jetzmals Auch gedachter Martin Scheffer der Sÿlberkremer vff Sÿnngichten vnnd wÿhanachten fallend Jedesmals das halbtheil, Ist von dem Closter Sant Marx Zu der Statt hannden Erkaufft Innhalt Eins brieff darüber besagend
gibt Jetzt Martin hartman Kremer, Jetzt Bernhard Küffer goldtschmidt
gibt Jetzt Jerg wÿnmar Soldner, Jetzt Jacob Bÿchel
(rub.) Jetzt Sein Erben 10 ß d 9. Feb. 1627
Neü 165.
1652, Livre des loyers communaux, VII 1461 (1652-1672) f° 165
Arnaut Brackwehr doit 1 livre 5 sols provenant des cens ci-dessus sur sa maison au Finckwiller entre Martin Heil et une ruelle communale
Arnoldt Brackwehr, der Einspanniger, Soll gemeiner Statt Von seinem Hauß im Finckweyler, neben Marten Heimen vndt dem Allmendtgäßel, Jahrs Vf Johannis Baptistæ 1 lb 5 ß d
Altt. d. 106 et 107
New fol. 141
(quittungen) 1653
1659 von H. Negelen empf.
1661-1672
1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 141-v
Même loyer au nom de Loup Thierry Brackwehr puis Philippe Jacques Datt
Arnold Brackwehrs Erben, Sollen von ihrem Hauß im Finckweiler neben einem Allmendgäßel Jahrs vff Johannis Baptistæ, 1 lb 5 ß
St. Zinnß. p. 165
ietz Wolff Dietrich Brackwehr
Jetzt Philipp Jacob ([corrigé en] Johann Philipp) Datt – vid. 429, 727-b
(Quittungen) 1674-1741
Neuzb Fol 671-b
1741, Livre des loyers communaux, VII 1472 (1741-1802) f° 671-b
Même loyer au nom de Jean Weiler
alzb. 141-b
Joh: Philipp Datten Erben sollen von Ihrem hauß im Finckweiler neben einem Allmendgäßel Jahrs auf Joh: Bapt. 1 lb 5 ß
[in margine :] 6. Messidor
(Quittungen) 1741-an 10
C 298
Johannes Weiler v. fol:169-a
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1685, Préposés au bâtiment, VII 1371
Loup Thierry Brackwehr demande aux préposés de racheter le cens annuel par un capital de 30 livres déposé à la Tour aux deniers. Il est renvoyé aux Conseillers et Vingt-et-Un qui ont ordonné que ces rachats soient faits à triple capital (les Livres des loyers communaux montrent que l’affaire n’a pas eu de suite)
(f° 83-v) Montags den 8. Octobris – Wolff Dietrich Brackwehr
Wolff Dietrich Brackwehr der Einspänniger hat beÿ vnsern Hh den XV. ein memoriale über geben darinnen er angehalten, ihme Zuerlauben, daß er diejenige 1. lb 5 ß d so er Järlich Von seinem hauß in dem Finckweiler boden Zinnß gibt, mit 30. lb d. Pfenningthurns: Capital ablösen möge, so für die Oberbauherren Verwiesen. Erk. weilen Hh Räth und XXI. verordnet, in dergleichen fällen dreÿfach Pfenningthurns Capital an Zunehmen, soll er an solchen orth gewießen werden.
1691, Préposés au bâtiment, VII 1374
Le messager Loup Thierry Brackwehr demande l’autorisation d’enclore la ruelle à côté de sa maison (144 pieds de long et 6 pieds de large) où personne ne passe mais où débouchent plusieurs éviers. Il a acheté une maison de l’autre côté de la ruelle vers la rue de la Question et déclare ne pas avoir l’intention d’ouvrir une communication entre les bâtiments. Les préposés acceptent après visite des lieux moyennant un cens annuel de 15 sols, converti en paiement d’un capital de 40 livres.
(f° 32-v) Freÿtags den 1. Junÿ – Wolff Dietrich Brackwehr
Wolff Dietrich Brackwehr der Einspänniger bittet ihme Zuerlauben, daß er an seinem hauß inn dem Finckweÿler ein gäßlein ohne durchgang einzäunen möge. Erkandt, augenschein
(f° 33) Sambstags den 2. Junÿ – Wolff Dietrich Brackwehr
Augenschein eingenommen inn dem Finckweÿler beÿ Wolff Dietrich Brackwehr des Einspännigers behaußung, welche an einem engen und ohnbenahmten Gäßlein liget, dardurch niemandt Zugehen Pfleget, sondern nur etliche Wasserstein darein gehen, und sich auff daß also Genandte däumel Gäßlein Ziehet, an solchem gäßlein hat er auff der anderen seithen dargegen über ein hauß erkaufft, so auch an selbiges gäßlein stoßet, Bate ihme Zuerlauben, daß er solche beede häußer an einander hencken, und daß gäßlein 144 schuh lang und 6 schuh breit einzäunen dörffe, iedoch also daß er die Maur an seinem Hauß nicht hinweg breche, und also kein durchbruch Werde. Erk. bedacht.
(f° 34-v) Dienstag den 12. Junÿ – Wolff Dietrich Brackwehr
pt° Eingenommenen augenscheins beÿ Wolff Dietrich Brackwehrs, des Einspännigers, begehrter ein zäunung eines Allmendtgäßleins inn dem Finckweiler, ist Erkandt, ihme in seinem begehren willfahret, Gegen 15 ß d Jährlichen bodenzinnß, weilen er aber sich erkläret, daß er lieber diesen bodenzinnß mit einel stuck geltt abkaufen wolte, ist ihme dieser platz umb 40. fl. bahr geltt überlaßen worden, so er auch acceptirt hat.
1697, Préposés au bâtiment, VII 137
Les préposés demandent à Loup Thierry Brackwehr de régler un loyer annuel de 7 sols 6 deniers pour le terrain communal sur lequel il pose son fumier. Il répond préférer faire place nette.
(f° 14-v) Dienstags den 19. Ejusd. – Wolff Dietrich Brackwehr der Einspänninger, wegen eines Allmend plätzleins
Wolff Dietrich Brackwehr der Einspänninger, welcher einen platz Vor seinem hauß in dem Finckweiler 20. schuhe lang und 12 schuhe breit, also 240. quadrat schuhe groß, mit beßerung belegt, ward vorgestellt und Ihme 7. ß 6. d. jährlichen Zinß darvon gefordert, Welcher sich erkläret den platz lieber lär ligen Zulaßen, alß Zinnß darvon Zu geben.
1763, Préposés au bâtiment, VII 1410
Les préposés ordonnent à Jean Weiler de ne plus poser de fumier de mouton dans la ruelle comme les voisins se plaignent des mauvaises odeurs et de ne plus pouvoir circuler dans la ruelle.
(f° 55) Dienstags den 18. Ejusdem [Januarÿ] – Johannes Weiler
Johannes Weiler dem Metzger welcher angeklagt worden, daß er in das Allmengäßel beÿ seinem Hauß im Finckweiler so große hauffen schaaffs beßerung lege, wodurch nicht nur denen Nachbaren an jhren häußern schaden Zugefüget und ein unleidentlicher gestanck verursachet, sondern auch der passage durch das Gäßel gesperrt werde, wurde angesagt und aufferlegt den S. v. Mist ungesaumt hinweg Zu schaffen, für das Künfftige verbotten dergleichen mehr dahin Zulegen und das gäßel rein und sauber Zu halten, anbefohlen.
1769, Préposés au bâtiment, VII 1413
Jean Weiler est autorisé à démolir la maison qu’il vient d’acheter à côté de la sienne et d’enclore le terrain en suivant le nouvel alignement en avant de l’ancien. Il règle 94 florins 7 sols 11 deniers pour un terrain de 8 toises 1 pied 11 pouces carrés
(f° 60) Donnerstags den 19. Januarÿ 1769 – Johannes Weiler
Im Finckweiler hat Johannes Weiler d. Metzger umb erlaubnus gebetten ein erkaufft hauß neben dem seinigen abzubrechen, und nur eine Maur stock höhe auffzufüren. Erkannt solle die Maur nach dem angenommenen alignement vorsetzen, die flucht ihme durch den H. Baw: Inspector außgesteckt und der preiß des einzuziehenden Allmendts regulirt werden.
(f° 89-v) H. Werner der baw:Inspector producirt eine verzeichnuß von Allmendt plätzen so folgenden sechß Persohnen zu ihren häußern eingezogen, und löbl. Statt nach dem preiß dere Cantons zu bezahlen haben, als
Johannes Weiler der Metzger im Finckweiler hatt eingezogen 5 Cl. 1 ß. 11 Z.. ins quadrat, liegt in dem 8.ten Canton und soll à 15 fl. vom q. Cl. 15 fl. – 94 fl. 7 ß 11 d
(lang 2 – 5 – 6, breid 2 – 1 – 0 [zusammen] 6 – 1 – 11 – 0)
1772, Préposés au bâtiment, VII 1415
Le menuisier Jean Léonard Haas est autorisé au nom du boucher Jean Weiler à poser une nouvelle poutre dans la façade avant rue de la Question
(f° 60) Dienstags den 26. Maji 1772 – Johannes Weiler
Johann Leonhard Haas, der Zimmer Mr. nôe Johann Weiler, des Metzgers bittet Zu erlauben an deßen Behausung im deimel Gäßel an der vordern façade einen neuen Balcken einzuziehen. Erkannt, Willfahrt.
1773, Préposés au bâtiment, VII 1415
Le même est autorisé à modifier la porte de sa maison et à la peindre
(f° 228) Dienstags den 20. Julii 1773. – Joh. Weiler Metzger
Mr Johann Leonhard Haas, der Zimmermann nôe. Johann Weiler, des Metzgers, bittet Zu erlauben an deßen im Finckweiler gelegenen Behausung und zwar an dem alten Haus die thür Zu verändern und daselbe anzustreichen. Erkannt, Willfahrt.
1786, Préposés au bâtiment, VII 1422
Le maître maçon Jean Lingenhœlin est autorisé au nom du boucher Jean Weiler à crépir le bas de la façade
(f° 99-v) Dienstags den 20. Junii 1786 – Johann Weiler, Metzger
Herr Lingenhölin, der Maurer, nôe Johann Weiler, des Metzgers, bittet Zu erlauben deßen an dem Finckweiler gelegenen Behausung untenher bestechen Zu laßen. Erkannt, Willfahrt.
1789, Préposés au bâtiment, VII 1423
Le même est autorisé à poser des pierres entre trois colombages et à les crépir rue de la Question
(f° 289) Dienstags den 16. Junii 1789 – Johannes Weiler pt° Riegelwand und bestichs
H. Lingenhölin der Maurer nahmens Johannes Weiler des Metzgers bittet gehorsamst um erlaubnus an deßen in das Daümelgäßel gehende hinder behaußung dreÿ Riegel aus Zu mauren und Zu bestechen. Erkannt, Willfahrt.
Description de la maison
- 1707 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une écurie, une grange et un puits, estimés avec appartenances et dépendances à la somme de 800 florins
- 1852, Police d’assurance
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
(f° 36-v ) 3° arrondissement ou Canton Sud – Rue Finckwiller
nouveau N° / ancien N° : 25 / 38
Gies
Rez de chaussée en maçonnerie et 1° étage mauvais en bois, la partie en saillie et mur de clôture
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 28 f° 326 case 3
Wurtz Jacques
1858 Zwicker, Gustave Adolphe, architecte
P 1210, sol, Maison Bât. et cour Rue finckwiller 38
Contenance : 1,24
Revenu total : 73,37 (72, sol 0,64, cour 0,73)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 15
fenêtres du 3° et au-dessus :
P 1211, Ecurie et cour
Contenance : 1,40
Revenu total : 0,73
Cadastre napoléonien, registre 26 f° 643 case 1
Zwicker, Gustave Adolphe, architecte
1868 Schott, Charles
1877 Marzolff Friderich Eduard
1900 Martzolff Philipp Karl Eduard, Küfer
P 1210, Maison, sol, Rue du Finckwiller 10
Contenance : 1,24
Revenu total : 73,37 (72, sol 0,64, cour 0,73)
Folio de provenance : (326)
Folio de destination : aug. 643
Année d’entrée :
Année de sortie : 1870
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 15
fenêtres du 3° et au-dessus :
1870 Augmentations – Schott Charles f° 643, P 1210, Maison, revenu 105, Aug. de Const., achevée en 1867, imposable en 1870, imposée en 1870
Diminutions – Schott Charles f° 643, P 1210, Maison, revenu 72, Aug. de Const., supp. en 1870
P 1211, cour
Contenance : 1,40
Revenu total : 0,73
Folio de provenance : (326)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
P 1210, Maison
Revenu total : 106,37 (105, sol 0,64, cour 0,73)
Folio de provenance : 643 et aug.
Folio de destination :
Année d’entrée : 1870
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 30
fenêtres du 3° et au-dessus :
P 1210
Contenance : 1,04
Revenu: 0,54, Revenu total : 106,27 (105, cour 0,75 et 0,54)
Folio de provenance : 613
Folio de destination :
Année d’entrée :1877
Année de sortie :
Cadastre allemand, registre 29 p. 57 case 5
Parcelle, section 5, n° 49 – autrefois P 1310, 1211
Canton : Finkweilerstraße Hs N° 10
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 2,48
Revenu : 1100 – 1700
Remarques
(Propriétaire), compte 804
Marzolff Philipp Charles Edouard
1909 Marzolff Charles Phil. Edouard, la veuve et cohéritiers
1934 Weick, René, ingénieur à Pechelbronn
(4246)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton VIII, Rue 273 Quartier de Finckweiler p. 428
38
prop. Weiler, Jean, Boucher – Bouchers
loc. Braun, Henri, Employé à la Mais. des pauvres – Manant
loc. Krah, Guillaume, Marqueur
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Finkweilerstrasse (Seite 36)
(Haus Nr.) 10
Marzolf, Büglerin und Wäscherin. E 0
Greif, Küfermeister. 1
Lamant, Steurbote. 1
Marzolf, Wwe. 1
Kaupp, Wwe. 2
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 801 W 154)
10 rue Finkwiller et 7, rue de la Question (1866-1978)
Le propriétaire Schott fait déplacer une fenêtre et percer une autre au premier étage en 1866. Charles Schott fait construire en 1871 dans le prolongement de sa maison un étage surmonté d’une terrasse dans la cour entourée de murs en saillie sur l’alignement. La nouvelle construction (6,50 mètres, du sol à la corniche) a un étage en pan de bois posé sur des poteaux au-dessus de la cour. Le propriétaire Marzolff fait agrandir une fenêtre au rez-de-chaussée et percer une porte cochère en 1875 au 7, rue de la Question. Il vend la même année à la ville la cour entourée de murs en saillie sur l’alignement à condition de pouvoir conserver le balcon qui est à mois de trois mètres au-dessus du trottoir.
La maison est légèrement endommagée par le bombardement aérien du 25 septembre 1944. Le balcon sur rue menace de s’écrouler en 1976. Le propriétaire Eschbach, demeurant à Mulhouse, fait restaurer et réhabiliter la maison en 1977.
Sommaire
- 1866 – L’entrepreneur J. Herrmann demande au nom du propriétaire Schott l’autorisation de déplacer une fenêtre et d’en percer une autre au premier étage. L’agent voyer note que la maison sans avance est alignée.
- 1871 – Charles Schott père demande l’autorisation de construire un étage surmonté d’une terrasse à la place de la toiture dans la cour, en prolongement de sa maison d’habitation (coupe en marge). L’agent voyer note que la cour entourée de murs fait saillie sur l’alignement. La nouvelle construction comprend un premier étage en pan de bois posé sur des poteaux au-dessus de la cour (hauteur 6,50 mètres, du sol à la corniche)
- 1875 (22 juillet) – L’entrepreneur Th. Bischoff demande au nom du propriétaire Marzolff l’autorisation d’agrandir une fenêtre au rez-de-chaussée et de percer une porte cochère 7, rue de la Question. L’agent voyer note que la maison sans avance est alignée.
1875 (30 août) – L’agent voyer expose que le propriétaire Marzolff a demandé le 23 juillet précédent de céder à la ville la cour entourée de murs en saillie sur l’alignement à condition de pouvoir conserver le balcon qui est à moins de trois mètres au-dessus du trottoir (au lieu des quatre mètres réglementaires). Le terrain à céder a 19 mètres carrés moyennant 30 marks le mètre carré – Plan sur calque, 31 août 1875 - 1889 – Le maire notifie la veuve Matzolff (demeurant sur place) de faire ravaler la façade au 10, rue Finckwiller. En marge, travaux terminés mais il y a une inscription en français
- 1898 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le propriétaire Marzolff soit autorisé à faire une prise pour environ 20 becs. – Autorisation
- 1897 – Le maire notifie la veuve du tonnelier Marzolff de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique, à quatre fenêtres au rez-de-chaussée et quatre soupiraux – Rappel, 1898. La veuve demande un délai en arguant que la succession de son mari doit être réglée, la maison sera cédée à son fils, le ravalement est en outre prévu pour l’année suivante. Les volets sont réglementaires, novembre 1899
- 1907 – Dossier sur la cheminée et l’écoulement des eaux de la buanderie. Un délai peut être accordé puisque l’état des choses est ancien. – Croquis – Travaux terminés, novembre 1907
- 1908 – Le maire notifie Emilie Marzolff (demeurant sur place) de faire ravaler la façade au 10, rue Finckwiller. La veuve Eugénie Marzolff demande un délai de deux ans à cause des canalisations qui lui ont beaucoup coûté et que le dernier ravalement remonte à 1900. Le maire accorde un an de délai – Travaux terminés, juillet 1909.
- 1915 – Commission des logements militaires, rien à signaler
- 1933 – Le maire notifie l’ingénieur René Weick, demeurant à Merckwiller-Pechelbronn, de faire ravaler la façade. Le propriétaire demande de reporter les travaux à 1934 parce qu’il a fait réparer la toiture – Travaux terminés, août 1935
- 1946 – La maison est légèrement endommagée par le bombardement aérien du 25 septembre 1944. Certificat de sinistré accordé à René Weick
- 1955 – Le locataire Werner Penk se plaint que le propriétaire Alfred Kobler (demeurant 50, rue de la Krutenau) ne fasse pas réparer le plafond bien qu’il l’ait promis à plusieurs reprises – La Police du Bâtiment constate que les fragments de plafond tombent à cause de la toiture défectueuse. Le propriétaire fait réparer la toiture mais pas le plafond
1956 – Le maire prend un arrêté qui enjoint le propriétaire de faire réparer le plafond. – Le propriétaire promet lors d’un entretien en août 1956 de faire faire les travaux dans les deux mois – Les travaux ne sont pas faits, janvier 1957
1957 (juillet) – Le maire écrit au commissaire de police, officier du ministère public près le tribunal de simple police, en joignant un procès verbal de non-exécution des travaux. Il demande d’infliger une amende au propriétaire contrevenant, de le condamner à faire exécuter les travaux dans le délai d’un mois et d’autoriser la Ville de Strasbourg à faire faire le cas échéant les travaux au frais du propriétaire.
1957 (octobre) – Le propriétaire confie les travaux au plâtrier Michel Ober (13, rue des Hallebardes) – Travaux terminés, novembre 1957 – Le maire retire sa plainte en novembre 1957 – Le greffier du tribunal cantonal adresse au maire en mars 1958 l’ordonnance pénale rendue contre le propriétaire. - 1959 – Rapport des pompiers suite à une accumulation de fumée sous la toiture. La cheminée qu’a fait faire le locataire Adam a été mal installée. – Réparations terminées, octobre 1959
- 1965 – Le maire demande à la veuve Kobler, demeurant 12, rue de Metzeral au Neudorf de faire ravaler la façade. Le propriétaire promet de faire faire les travaux avant avril 1966. Le maire adresse un nouveau courrier en avril 1968, les travaux n’ayant pas été faits. La veuve Kobler expose en octobre 1968 qu’elle n’a pas les moyens de régler les travaux qui s’élèveraient à 4000 francs – Travaux terminés, octobre 1969
- 1976 – Note de Robert Will sur la maison portée sur la liste des bâtiments à conserver (plan permanent de sauvegarde de M. Monnet). Le balcon sur rue menace de s’écrouler. – L’immeuble est en cours de vente
- 1977 – Le propriétaire Eschbach (21, rue de la Montagne à Mulhouse) demande l’autorisation de restaurer et de réhabiliter la maison – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le ravalement est terminé, avril 1978
Autre dossier
1198 W 1724, ravalement (1997)
Relevé d’actes
Georges Müller et Sara Herrmann vendent au charretier Jacques Bühler et à sa femme Walburge Müller la maison qui fait le coin d’une ruelle
1600 (1. Martÿ), Chancellerie, vol. 327 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 21
Kauffverschreibung Jacob Büchlers des Fuhrmans vber eine behausung gelegen allhie im Finckweÿler gelegen
(Extendirt wie In dem Contractbuch de Anno 1600 folio 139. Zubefinden.) Erschienen h Georg Müller rahts bewandter vnd Sara Hermännin sein eheliche haußfr. mit beÿstand Eliæ Fäßen hauptkans vf der Tucher Zunfftstuben, Ires noch ohnentledigten vogts vnd nahen verwandtens (verkaufft)
Jacob Büchlers dem Fuhrman vnd Walpurgen Müllerin beeden ehegemächten
hauß hoffestatt vnnd gärtlin sampt dem bronnen auch allen anderen Iren gebeuwen, begriffen, weiten rechten vnnd Zugehördt. gelegen allhie in d. Statt Straßburg im Finckweÿler, einseit neben Michael Hebenstreit dem Einspennig. vnnd anderseit ein Eckhauß an eim Allmend gäßlin, hind. auch vfs Allmend stoßend, davon gehnd Jahrs fünff schilling pfenning bodenzinß vf vnserer herren Pfenningthurn, mehr vier gulden geldts ablößig mit 100 gulden St. w. vff St. Johannis Baptisten tag fallend Georg Meÿern dem schneider als vogt (-) Item ein pfund 5 schilling pfenning geldts lößig mit 60 gulden derselbig wehrung vf S. Georg tag Gabriel Meÿern dem Schiff zimmermann burg. allhie, Item 10 schilling 8 pfenning geldts ablößig mit 25 gulden St. w. vff S. Martins tag der Statt Zinßmeistern vnd dann ein pfund 5 schilling stnd in hauptgut 25 pfund vf St: Margarethen tag obgenantem H Georg Müller als der Verkeufferin ehevogt, sonst ledig vnd eig. Vnd ist der Kauff vber vorgemelte beschwerden zugangen vnd beschehen für vnd vmb 435 gulden
Le charretier Jacques Bühler épouse en 1595 Walburge, fille du tondeur de draps Samuel Müller
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 32 n° 2)
1595 den 3 Februarÿ sind Ehelich eingesegnet word. Jacob Biechler d. fuhrmann und Burger alhie, unnd Waldpurg Müllerin Samels Müllers des Tuchscherers selig. nachgelaßene dochter (i 39)
Jacques Bühler et sa femme Walburge hypothèquent la maison au profit du charretier Michel Mertz
1618 (7. Februarÿ), Chancellerie, vol. 432 (Registranda Kügler) f° 30-v
(Inchoat. fol. 31.) Erschÿnen Jacob Büchler der Furman vnd Walpurg sein eheliche haußfr.
haben in gegensein des Erbaren Michael Mertzen auch Furmans – schuldig seÿen 25 pfund
dafür vnderpfand hauß hoffestatt vnd Stallung mit anderen Iren gebeuwen & gelegen In der S. T. Imm Finckwyler einseit neben Jorg Bittele dem Furman, anderseit neben ein eck ane einem Almend gäßlin, stoßend hinden vff der Statt Allmend, dauon gend 5 schilling pfenning Allmend Zinß d. S. S. Mehr Ein pfund 5 schilling werung gelts ablößig mit 70 guldin Straßburger Gabriel Meÿer Schiff Zimmermann, So dann 10. schilling ablößig mit 25 guldin
Walburge Müller veuve du charretier Jacques Bühler et le tuteur de ses deux enfants vendent la maison au boucher Jacques Kamm le jeune et à sa femme Marie Culmann
1626 (ut spâ. [xxxj. Julÿ]), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 515
(P. fol. 265) Erschienen Walpurg Müllerin, wÿland Jacob Biechell des fuhrmanns selig. Witwe, mit beÿstd. & hannß Geörg Schäffer Ihres geschwornen Vogts vnd hannß Beckenstein des Seÿlers Als geordneten vormundes Ihrer Zweÿ Khind. hannß vnd Annæ Mariæ (verkaufft)
Jacob Khammen dem Jung.Metzig. burger Zu Straßburg vnd Mariæ Culmännin seiner ehelichen haußwürthin
hauß, hoffstatt, höfflin Stall vnd Brunen, Auch All Ihr. geb. & geg. Inn d. St. St. Im Finckweiler, einseit neben Geörg Bidderle dem fuhrman anderseit neben ein Eck hauß Ane eim Allmend gäßlin, hind. vff d. Statt Allmend gäßlin, dauon gnd. v ß d Bod. Zinß d. St. Pfenningthurn, Item j. lb v ß geldt ablß. mit Lx. gld werg. Gabriel Meÿer schiff zimmermann vff Geörgÿ, It. x ß viij d vff Martini Ablß mit xxv. gl Werung d. Statt Zinß meÿster Sunst ledig eÿgen, Vnd ist disser Khauff vber obgehertt. beschwd. so die Kheuffer vff sich genommen, Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 600 pfund
Fils du boucher Jean Kamm, Jacques Kamm épouse en 1622 Marie, fille du brasseur Noé Culmann
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 129-v n° 22)
1622. den 19. Augusti sindt ehelich eingesegnet Worden Jacob Kamm der Jünger H Hans Kammen des Metzgers ehelich. Sohn, vnd Jungf. Maria, Weilandt Noah Kulman seelig deß Biersieders Zum Vogelgesang eheliche Tochter (i 140)
Mentions de Jacques Kamm le jeune dans les registres des Conseillers et Vingt-et-Un et des Quinze.
1626, Protocole des Quinze (2 R 54) Jacob Kamm der Jünger. 298. 304. (vier Centner Speck im Zollkeller, die Er nacher Wormbß senden soll)
1631, Protocole des Quinze (2 R 57) Jacob Kamm der Jünger. 188. (Plawells wörd Lehnung)
1639, Protocole des Quinze (2 R 63) Jacob Kamm der Jünger. 210. (wegen Acker im Lombardts wördt)
Jacques Kamm le jeune a vendu à Pâques 1635 la maison au boucher Etienne Reichard le jeune et à Barbe Eckard. L’acte de vente est passé en novembre 1637 alors que Barbe Eckart s’est remariée avec le messager Arnaud Brackwehr.
1637 (8. Nouembr.), Chambre des Contrats, vol. 478 f° 829-v
(Protocollat. fol. 69.) Erschienen Jacob Kamm der Jünger Metzger und burger Zu Str:
hatt in gegensein Barbara Eckhardtin, weÿ: Steffan Reichardts deß Jüng. gewesenen Metzgers see: witib mit beÿstand H Caspar Medlers deß Notÿ, bekannt, daß Er Kamm vff Ostern A° 635. also noch beÿ besagten Reichardts lebzeiten, demselben vffrecht verkaufft und Zukauffen geb. welcher Kauff aber bißhero nicht verschrieben word. dahero sie Barbara Anietzo Arnold Brackwehrs deß Einspennigers eheliche haußfraw diese bekantnus angenomen und ihro kauffe
hauß, hoffstat höfflin, Stall und Bronnen mit allen And. ihren gebäwen & alhie im Finckhweiler, neb. Georg Bitterlen den fuhrman & ist ein Eckhauß An einem Allmendgäßlin hind. vff ein Allmend gäßlin, davon gehen Jars vff Joh. Baptæ 1. lb 5 ß d Allmend gelts d. St. St. Item 1 lb 5 ß d gelts vf Georgÿ Gabriel Meÿer deß schiffmanns see. Erb. in hauptgut mit 60. fl. werung und obwohl dise behausung auch noch verhafftet vmb 75. lb restirenden Kauffschillings weÿ. Waldburg Müllerin see: Erben, so hat sich d. verkäuffer solche abzurichten zugesagt (…) vff sich genommen, geschehen und zugangen per 600. lb
Etienne Reichard épouse en 1632 Barbe, fille du boulanger Gaspard Eckard, de Willstätt en Bade
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 165 n° 122)
1632. 24. Trin: Steffan Reicherder metziger, Steffan Reicharden des Metzigers vnd Burgers alhier ehel. Sohn, vnd Jungfraw Barbara, Weiland Caspar Eckhards des Burgers und Beckerß Zu Wilstett hinderl. ehel. tochter (i 178)
Fils de Jean Brackwehr de « Hummersheim » dans la seigneurie de Lippe (Westphalie), Arnaud Brackwehr épouse en 1637 Barbe Eckart, veuve du boucher Etienne Reichard
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 196-v n° 28)
1637. Dom. 6. Trinit. 16. Julÿ primâ, Dom. 7. Tri. 23 Julÿ 2. vice. Arnoldt Brackwehr von Hummersheim auß d. Graffschafft Lipp der Einspänniger alhie, Johann Brackwehr Burgers Zu Hummersheim hind.laßener Sohn, vnd Barbara Eckhardtin, Stephan Reichard des Metzigers alhie wittib. Zinst. 5. Julÿ Zu S. Claus (i 210)
Originaire de Lippe, Arnaud Brackwehr devient bourgeois en septembre 1649. Tributaire chez les Charpentiers, il n’apporte pas d’enfant.
1649, 3° Livre de bourgeoisie p. 929
Arnold Prackwehr von Lipp empfangt d. burgerrecht für sich allein auß Gnaden hatt keine Kinder Will zu den Zimmerleuthen dienen Jur. den 7. 9.bris 1649.
Le messager Arnaud Brackwehr se remarie en 1651 avec Anne Barbe, fille du meunier Melchior Rohrer, de « Hochberg » en margraviat : contrat de mariage, célébration
1651 (21.8.), Not. Oesinger (David, 37 Not 25)
Eheberedung Zwischen dem Ehrengeachten vndt Vornehmen Herrn Arnoldt Brackwehr, dem Einspännig. vndt Burgern alhie Zue Straßburg alß Bräutigam an einem,
So dann der Ehren: Züchtigen vndt Tugendsamen Jungfr. Annæ Barbaræ Weÿl. Melchior Rohrers geweßenen Fr. Marggr. Müllers Zue Hoechberg seeligen nachgelaßenen dochter alß Hochzeiter
So beschehen In deß heÿl. Röm. Reichs Freÿen Statt Straßburg Donnerstags den 21. August Alß mann nach der Allein Seeligmachenden Geburth undt Menschwerdung Einigen Erlößers u. Heÿlands Jesu Christi Zahlte 1651.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 241 n° 18)
1651. Dominica XIV post Trinit. herr Arnoldt Brackhwehr burger vnd Einspännigers allhier vnd J.fr Anna Barbara weÿland Melchior Rohrers Fürstlichen Marggräulich. Müllers Zu Hochbern* S. hinterlaßene Eheliche tochter (i 259)
Mentions d’Arnaud Brackwehr dans les registres des Conseillers et Vingt-et-Un et des Quinze.
1637, Conseillers et XXI (1 R 120) Arnold Brackwehr. 48. (umb 14 Tag nach Franckfort)
1649, Conseillers et XXI (1 R 132) Arnoldt Brackwehr. 77. (pro intercession an die Stadt Mülhausen)
1651, Conseillers et XXI (1 R 134) Arnoldt Brackwehr wegen Amptman Böcklin. 64. 135. Ca. etliche von Korck. 73.
Accord que passe Christophe Sifried, soldat dans un régiment de cavalerie et sa femme Elisabeth avec Arnaud Brackwehr et sa femme Anne Barbe
1653 (17. maÿ), Chambre des Contrats, vol. 514 f° 276
(Leibgeding) Erschienen Christoph Sÿfrid von Hall in Sachß. geweßener Reuter under dem alten Rheingrävl. Regiment und Elisabetha sein eheliche haußfrau an einem
So dann Arnold Brackhwehr der Einspänniger Burg. Zu Straßburg und Anna Barbara sein eheliche haußfrau am andern theil
haben bekannt und freÿ gutwillig offentlich veriähen (…)
[in margine :] Erschienen Elisabetha hie obgemelts Christoph Sÿfridts nunmehr seel. nachgelaßene wittib an einem, So dann anna Barbara obernants Arnold Brackhwehrs nun auch seel. hinterbliebene wittib mit beÿstand H Johann Valentin Storckh deß Schaffners ihres Vogts und H Sebastian Nägelin alß vormund Wolff Dietrichs und Mariæ Magdalenæ sein Brackwehrs mit Ihro Anna Barbara ehelich erziehler Kind. (…) Demnach nicht allein eingangß gemelte Christoph Sÿfrid sondern auch vorgedachter Arnoldt Brackhwehr inmittelst verstorben seÿen, und den Brackwehrisch. Wittibin und Kindern Sie Elisabetham ferners und die übrige Zeit ihres lebens Zu underhalten all zu Schwähr fallen wollen (…)
Jean Charles Kopp donne quittance d’un capital provenant de son grand-père Gabriel Meyer à la veuve et aux enfants d’Arnaud Brackwehr, d’après un acte de 1554.
1657 (4. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 522 f° 479-v
Erschienen Johann Carl Kopp der Barbierer Und Burger Zu Straßburg
in gegensein H. Sebastian Nägelins auch Burgers alhie, alß Vogts Wolff Dietrichs und Mariæ Magdalenæ, weÿl. Arnoldt Brackhwehrs geweßenen Einspännigers alhie, in anderer Ehe erziehlter Und hinderlaßener Kinder
bekannt, daß besagte Vogts Kinder, alß Zu Zween tritten theilen Innhabere der nach beschriebenen Behaußung, Ihme Koppen, die jenige 4. lb. 5. ß s so dießelbe jahrs termino Georgÿ, Vermög eines pergamentinen am 28. Aprilis A° 1554. durch weÿl. H. Hÿlarium Meÿern alß geweßenen Bischofflichen Hoffs Contractuum Notarium nunmehr seel. mit ermelt. Hoffs anhangendem Insigel gefertigten Zinnßbrieffs, Wie auch eines durch erwehnten H. Meÿern seel. am 2. Decembris A° 1574. gefertigt. Transfix Von, Vff, Vnd aber Zweÿen häußern, einem Vordern Vnd einem Hindern, alhie im finckhweiler seind einseit ein Eckh Vndt anderseit neben Martin Heimen den fuhrmann gelegen, Zu raÿchen Verbunden geweßen Und Ihme Koppen in Vertheilung weÿl. Gabriel Meÿers deß Schiff Zimmermanns seines Groß vatters seel. Verlassenschafft erblich. Zu Kommen seÿe, mit 20. lb. also verglichener maßen, wider abgekaufft
Marguerite Fritsch de Willstätt vend le tiers de la maison aux enfants d’Arnaud Brackwehr, propriétaires des deux autres tiers (la part de la venderesse provient donc de Barbe Eckard, première femme d’Arnaud Brackwehr)
1658 (4. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 470-v
(Protocoll. fol. 72.) Erschienen Jungfr. Margaretha Fritschin von Willstett
in gegensein Sebastian Nägelins, belaß. Vogts Weÿl. Arnold Brackwehrs deß Einspännigers nunmehr seel. nachgelaßener ehelich. Kindern
eine tertz Ihro der Verkäuffere für ohnvertheilt gebührend ahne hauß, hoffstatt, mit allen deren gebäwen, alhie im Finckweÿler einseit neben Martin Heimen dem Fuhrmann, anderseit neben einem Allmendgäßlin, hind. vffs Allmend stoßend gelegen, ahne welch. Behaußung der übrige Zwo tertz. den Brackwehrisch. Kindern gehörig seÿen davon gehend iahrs I lib. 5 ß gemeiner Statt und j. lb 5 ß ahne dem Brackhwehrischen Kindern selbst. – umb 53. lib
Demandes par le tuteur des enfants d’Arnaud Brackwehr
1665, Protocole des Quinze (2 R 82)
(f° 180) Sambstags den 7. 8.bris – Arnold Brackwehrs Kind. Vogt H Negelin per Wilden producirt Pfund. Zedul von 3. lb. pittet solchen compensando ahn d. Vogts Personen d.th. Zinsen abgehen Zuelaßen. Erkandt gebettenermaßen wilfahrt, vnd schein ertheilt.
1669, Protocole des Quinze (2 R 86)
(f° 137) Sambstags den 16. 8.bris – Arnoldt Brackwehrs Kinder betr.
Arnoldt Brackwehrs Kinder Vogteÿ Gerichts Costen von 11 lb 4 ß 8 d seÿe auch von Ihren habend. Pfen: Thurns Zinsen abzuschreiben.
La maison revient à son fils Loup Thierry Brackwehr qui est nommé messager en 1674. Il prête serment en même temps que Michel Barbenès devant les Conseillers et les Vingt-et-Un
1674, Conseillers et XXI (1 R 63)
(p. 166) Sambstags d. 25. Aprilis 1674. – Michel Barbenes vndt Wolff Dietrich Brackwehr die new Angenommene Einspenniger schwören Auff Ihre Ordnung
Loup Thierry Brackwehr épouse en 1676 Marthe, fille du meunier de Plobsheim Wendelin Geiger
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 293-v n° 10)
1675. Dom; 3. Trin: i vice Wolffgang Brackwehr der Einspänniger alhie weÿland Arnold Brackwehr auch gewesenen einspänniger vnd burgers alhie hinderlaßener ehelicher Sohn v. Jfr. Marthan, weÿland Wendling Geÿger, gewesenen Müller und Metzger zu (p)lopsheim hind.laßene ehelich Tochter cop: ad d. Nic. 30.Jun: (i 314)
Proclamation, cathédrale (luth. f° 5-v n° IX) 1675. Dom; post 3. Trinit: Zul 2. mahl Wolff Dietrich Brackwehr Einspänniger alhie Weiland Arnold Brackwehrs auch gewesenen Einspännigers v. Burgers alhie hinderlaß Sohn, Jfr. Martha, Weiland Wendling * (Gei)gers, gewesenen Würts u. Metzgers zu Ploppheim nachgelaßene eheliche Tochter, S. Niclaus Donnerstags den 2. Julÿ (i 7)
Marthe, fille de l’auberge Wendelin Geiger de Polbsheim, devient bourgeoise par son mari Loup Thierry Brackwehr le 22 juillet 1675 en s’inscrivant à la tribu des Charpentiers
1675, 4° Livre de bourgeoisie p. 419
Martha, wendling Geigers des würthß Zu plobsheim eheliche dochter empfangt das burgerrecht von ihrem Ehemann wolff dietrich Brackwehr dem Einspännig. gratis, ist Zuvor ledigen standts gewesen, vnd würd beÿ E. E. Zunfft der Zimmerleüth eingeschrieben. Jur. 22. Julÿ 1675.
Loup Thierry Brackwehr et Marthe Geiger font un testament dans leur maison au Finckwiller
1677 (14.7.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 18, Vol. 2, Notariat Protocolla)
Codicill Herrn Wolff Dietrich Brackwehrs hiesigen Einspännigers Vndt Fr. Marthæ Geÿerin beeder Ehegemecht, vndt Burgern Alhier Zue Straßburg
1679 (…) de, 14. Monats tag Julÿ alten Calenders Vormittag zwischen Zehen vndt Eilff Uhren In Einer in der Heÿl. Reichs freÿen Statt Straßb. In dem Finckweiler gelegenen Vndt beeden Ehepersohen eÿgenthümblich bewohnenden Behaußung, dero wohnstuben mit den fenstern auff die Gaß außsehendt vor mir Offenbahren hierzu in Specie requirirtem Notario (…) Persönlich kommen und erschienen seind der Ehrenhaffte Herr Wolff Dietrich Brackwehr Einspänniger Vndt Fr. Martha Geÿerin beede Ehegemecht, vndt Burgere Alhier Zue Straßburg, beede von verleÿhung Göttlicher Gnaden gesunden gehenden undt stehenden leibs auch gueten richtigen verstandts (…)
Zu einem lebtägigen Wÿdemb dergestalten verschafft haben, daß das letstlebende des Erst sterbenden Ehegemächts gantze Verlaßenschafft die Tag seines Lebens ohngehindert männiglichs nach hiesigem Straßburgischem Gebrauch Zu nutzen, Zu genißen vndt zu gebrauchen verschafft haben, Hiengegen aber solle auch das letstlebende ihre Hinterlaßene Kinder biß Zu ihren 18. Jahren so gesundt, so kranck Zu erziehen, gebührender maßen Zu kleÿden undt waß ehrliches Lehrnen Zu laßen (…)
Loup Thierry Brackwehr quitte la tribu des Charpentiers en 1685
1685 Charpentiers (XI 30)
(f° 58-v) – Wolff Dietrich Brackwehr der einspänniger gibt sein Zunfft recht auff, und erlegt deßwegen 10. ß 6 d.
Jean Elie Goll vend en 1691 une maison arrière sise rue de la Question à Georges Loup Thierry Brackwehr dont la maison est séparée par une ruelle (parcelle c sur le plan en début de notice).
1691 (2.6.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 467
/:tit:/ H. Johann Elias Goll, deß beständig. Regiments der Hn XXI. beÿsitzer
in gegensein Georg Wolff Dietrich Brackwähr, deß Einspännigers
Ein hinderhauß und hoffstatt mit allen deren gebäuen, Begriffen, rechten und zugehördt allhier im Finckweiler im Daümelgäßlein einseit neben Leonhard Maurer dem Weißbecken, anderseit neben den Kaüffer selbsten, dar zwischen ein Allmendgäßlein hind. auff weil. Johann Daüblers gewes. Küblers sel. wittib stoßend geleg. – umb 90 pfund
Marthe Geyer meurt en 1707 en délaissant cinq enfants. Les experts estiment la maison 400 livres. La masse propre au veuf est de 819 livres, celle propre aux héritiers de 206 livres. L’actif de la communauté s’élève à 369 livres, le passif à 467 livres
1707 (19. 9.br), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 18) n° 702
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab undt Nahrung so weÿlandt die Ehren und tugendsahme Fraw Martha gebohrne Geÿerin des Ehren: vndt vorgeachten herrn Wolffgang Dietrich Brackwehr Einspänniger vnd burgers allhier Zu Straßburg geweßene Eheliebste nunmehr seel. nach Ihrem den 28.t August dießen instehenden 1707.t Jahrs auß dießer welt genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehren und tugendsahmen frawen Marthæ Lampin gebohrner Brackwehrin, herrn Johann Lampen Metzger und burgers allhier haußwürthin, beÿständlich gedachts Ihren Ehemanns, So dann des Ehren: vnd wohlvorgeachten herrn Johann Heinrich Bucken Schreiner vnd burgers allhier als geschwornen vogts Johann Friderichs leedigen Silberarbeiters so der Zeit in der Frembde auff der Wanderschafft begriffen, Jgfr. Annæ Mariæ, Johann Jacobs vnd Margarethä Salome der Brackwehrin der abgeleibten fraw seel. mit vorermeltem Ihrem hinterbliebenen herrn Wittiber ehelich erzeugter fünff Kinder und ab intestato nachgelaßener Erben fleißig inventirt (…) So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg, Sambstags den 19. Novembris Anno 1707.
In einer allhier Zu Straßburg ahne dem Finckweiler gelegenen vnd in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung sich volgender maßen befunden
Ane Höltzen und Schreinerwerck. Auff der obern bühn, In der Cammer A, vor dießer Cammer, In der Wohn Stub, In der Wohn Stub Cammer, Im obern Haußöhren, In der Kuchen, In der undern Kuchen, Im andern Stübel, Im undern Cämmerlein, Im undern haußöhren
Eigenthumb ahne einer Behaußung (W.) It. hauß, hoffstatt, höfflein, Stall, Scheür vnd Bronnen mit allen andern Ihren gebäwen begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten undt Gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Statt Straßburg im Finckweiler, 1.s. neben hanß Martin Heimen dem fuhrmann, 2.s. neben Hannß Meÿer dem Kärchelziehern, hinden auff ein Allmend: oder sogenante Däumelgaßßlein stoßend, davon gibt man Jährlichen 1. lb 5 ß Allmendgelt der Statt Straßburg Pfenningthurn, thut ohnvergreifflich Zu Cap: gerechnet 25. lb sonsten gegen männiglichen freÿ leedig und eigen, vnd ist solche behaußung durch die allhießig geschwohrene Werckmeistere vermög deren beÿ mein Notarÿ Concept befindlichen schrifflichen Abschatzung de dato den 17. 8.bris A° 1707. angeschlagen worden pro 400. lb. Wann nun vorstehende beschwerde der 25. lb d davon defalcirt vnd abgezogen werden, so verbleibt daran allhier annoch außzuwerffen vbrig vnd im rest benantlich 375. Darüber besagten vier vnderschiedenen pergamente Kauffbrieff in allhießig C C stuben gefertiget vnd mit dero anhangendem Insigel verwahrt.
Ergäntzung des Wittwers abganagenen unveränderten Vermögens. Innhalt Inventarÿ vber beeder Geweßene Ehepersohnen einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in Anno 1675. durch weÿl. herrn Johann Friderich Medler gewesenen Notm. Publ. seel. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Herrn Wittibers unverändert Vermögen Sa. haußraths 32, Sa. Leerer Vaß 3, Sa. Silbers 3 ß Sa. Guldener Ring 11, Sa. Eÿgenthumbs ane i. behaußung 375, Sa. Eÿgenthumbs ane Liegend. güttern 95, Sa. Ergäntzung Reste 301, Summa summarum 819 lb
Der Erben unveränderte Nahrung belangend, Sa. haußraths 36, Sa. Silbers 5 ß, Sa. Guldener Ring 5, Sa. Ergäntzung 165, Summa summarum 206 lb
Die Theilbahre Verlaßenschafft betr. Sa. haußraths 48, Sa. Reitgezeigs wie auch Schiff und geschirr 8, Sa. Haws 15, Sa. Früchten 8, Sa. Wein vnd Leeren vaß 73, Sa. silber geschirr und Geschmeids 34, Sa. Goldener Ring 6, Sa. baarschafft 150, Sa. Pfenningzinß hauptguths 25, Summa summarum 369 lb – Schulden 467 lb, In Compensatione 97 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 931 lb
Copia Codicilli reciproci. 1679 (…) vf Montags welcher war der 14. Monaths tag Julÿ alten Calenders vormittag Zwischen 10 und 11 uhren, In einer des heÿl. Reÿchs freÿen Statt Straßburg in dem Finckweiler gelegenen beeden Ehepersohnen eÿgenthümblich bewohnenden behaußung, dero Wohnstuben mit den Fenstern auff die gaß außsehend (…) persönlich kommen und erschienen seind der Ehrenhafft Herr Wolff Dietrich Brackwehr, Ein Spänniger, vnd beneben Ihme die Ehren und tugendsahme fraw Martha Geÿerin beede Ehegemächt und burgere allhie Zue Straßburg, beede von verliehung Göttlicher gnaden gesunder gehend: und stehenden Leibs (…) David Ösinger, Notarius
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachteen Herrn Wolffgang Dietrich Brackwehr, Einspänniger vnd burgern allhier Zu Straßburg weÿl. herrn Arnoldt Brackwehrs auch geweßenen Einspännigers und burgers Zu gedachtem Straßburg seligen hinterlassenem Ehelichen Sohn, als hochzeitern Eines, So dann der Ehren und Tugendsahlen Jungfrauen Marthan Geÿerin, weÿl. herrn Wendling Geÿers, geweßenen Stubenwürths und burgers Zu Plobsheim seeligen hinderlaßenen eheleiblichen tochter als der Jgfr. hochzeiterin, am andern theil (…) Welches beschehen vnd verhandelt in der heÿligen Reichs freÿen Statt Straßburg, Mittwochs den 23. Monathstag Junÿ alten Calenders im Jahr Christi unsers Einigen heÿlandts vnd Erlösers freudenreichen geburth Zalte 1675.
Abschatzung d. 17. 8.bris aô 1707. Auff behegren herrn Wolff diehtrich Brackenwer ist eine behausung allhier in der statt Straßburg in dem Finckweiler gelegen einseits neben hannß Martin Heÿm Karcher, anderseits neben hanns Meÿer Kärchel Zieher, hinden auff das däumel geßel stoßendt, Welche behausung stallung scheur undt bronne sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der statt Straßburg geschworene Werckleüthe sich in der besichtigung befünden, vndt jetzigem Preiß nach angeschlagen wirdt vor undt Umb Acht Hundert Gulden. Bezeichnüß durch der statt Straßburg Geschworene werckleuthe, Jacob Staudacher werckh Meister des Maur hofs. Johan Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmerhoffs
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins (50 livres) sur un total de 1 800 florins
1708, Livres de la Taille (VII 1174) f° 21-v
(Möhrin, F. N° 1893) Weÿl: Frauen Marthä H. Wolffgang Dietrich Brackwehrs, Einspännigers und Burgers alhier gewesener Haußfrauen Verlaßenschafft, inventirt H. Not. Rohr.
Concl. fin. Inv. ist fol: 83.b – 931. lb 10 ß 5 d, die machen 1800. fl. Verstallte nur 1700 fl. also Zu wenig 100 fl.
Warvon nun der Nachtrag alß ohnverändertem Guht gerechnet wird auf acht jahr in duplo th. à 6 ß d – 2 lb 8 ß
und auff Sechs jahr in simplo macht à 3 ß d – 18 ß
Ext. kein Stallgeltt
Gebott – 8 d
Abhandlung – 1 lb 2 ß 6 d, Summa 4 lb 9 ß 2 d
Auff suppliciren gehet ab Zweÿ jahr in duplo und Zweÿ in simplo macht 18 ß, restirt 3 lb 11 ß 2 d
dt. 26.t Martÿ 1708.
Loup Thierry Brackwehr se remarie en 1709 avec Eve Fessmann, veuve de l’aubergiste Jean Christophe Strintz, bourgeois de Strasbourg demeurant à Plobsheim : contrat de mariage, célébration
1709 (22.7.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 70)
Eheberedung – Persönlich erschienen, der Ehrenveste vnd vorgeachte Herr Wolff Dietrich Brackwehr, Löblicher Statt Straßburg wohlverordneter Einspänniger, mit beÿstand H Johann Heinrich Bucken, Schreiners vnd burgers alhier, alß seiner Kinder Vogts, alß Hochzeiter ane einem,
So dann der Ehren: vnd Tugendsame Fraw Eva gebohrne Feßmännin, weÿl. herrn Johann Christoph Strintzen, gewesenen Gasthalters Zue Plobsheim vnd burgers Zu Straßburg nachgelaßene Wittib, mit beÿstand H Bernhard Ulrichs,Schiffmanns vnd burgers alhier, ihres geschwornen Vogts alß hochzeiterin Andern theils
Actum Straßburg, Montags den 22.ten Julÿ 1709. [unterzeichnet] Wolff dietrich Brackwehr alß Hochzeiter, E. der Hochzeiterin Handzeichen
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 121-v n° 693)
Anno 1709 den 6. August sein nach geschehener ordentlicher ausruffung in der Kirch Zu St Thomas eingesegnet worden H Wolff dietrich Brackwehr, der Stadt Einspänniger und burger und fr. Eva weÿl. H Johann Christoph Strintzen gewesenen burgers alhier und Gastgebers zu Blopsheim hinterlassene wittib gebohrne fesenmännin von Geitertheim [unterzeichnet] Wolff dietrich Bracckwehr alß Hochzeiter, E. die fraw hochzeiterin Konte nicht schreiben machte vorstehendes Zeichen (i 124)
Fille du censier Jean Fessmann, Eve Fessmann épouse en 1692 à Lampertheim le boucher Jean Knoderer puis en 1701 à Plobsheim Jean Christophe Strintz
Mariage, Plobsheim (luth. f° 450-v)
1701. d. 7. Novemb. Ist nach dreÿmahliger außruffung ordentl. copulirt u. eingesegnet worden H Johann Christoph Strintz, burger Zu Straßburg Wirth Zum Hirtzen allhier, Vnd Frau Eva weÿl. H Johann Knoderers burgers Zu Lampertheim Metzgers u. Viehhändlers daselbst nachgelaßene Wittib [unterzeichnet] Johann Christoph Strintz als hochzeiter, E8 Fr. Eva, Hochzeiterin (i 470)
Mariage, Lampertheim (luth. f° 12)
1692. Dienstags d. 2.t 7.mbr. Seind nach 2 mähl. proclamation ehelich eingesegnet Worden Meister Johann Knoderer burger und Metzger allhier und Jungfer Eva Hanß Feßmanns burger und Spittel Meÿers allhier ehl. Tochter [unterzeichnet] Ich hanß Knoderer Alß hochsteiner, HK Jungfr. Eva die Hochzeiterin (i 11)
Eve Fessmann native de Geudetheim devient bourgeoise par son mari Jean Christophe Strintz en 1707
1707, 4° Livre de bourgeoisie p. 767
Eva Faßmännin V. Geitertheim, empfangt d. burgerrecht V. ihrem Mann Joh: Christoph Strintz p. 2. gold fl. 16. ß Wird bÿ den Kueffern dienen. P. d. 15. 7.br. 1707.
Inventaire sans intitulé puis sa révision dressés après la mort d’Eve Fessmann qui laisse pour héritière sa sœur.
1710, Not. Rohr (Daniel, 46 Not 23) n° 876
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung [interrompu, Eva Feßmännin herrn Wolff Dietrich Brackwehr des Einspänniger v. burgers allhier geweßene haußfrau]
Des Herrn einen Sohns Johann Jacoben Pfetter Göttel und geschenckt geldt
Eÿgenthumb ane einer behaußung (M.) It. hauß, hoffstatt, höfflein, Stall, Scheür vnd Bronnen mit all andern denen gebäwen begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten undt Gerechtigkeiten, gelegen allhier in der St. St. im Finckweiler, 1.s. neben hanß Martin Heimen dem fuhrmann, 2.s. neben hanß Meÿer dem Kärchelzieher, hinden vff ein Allmend: oder sogenante Däumelgäßlein stoßend, davon gibt man Jährlichen 1. lb 5 ß Allmendt geldt der Statt Straßburg Pfenningthurn, thut ohnvergreifflich Zu Capital gerechnet 25. lb Sonsten gegen männiglich. freÿ leedig und eigen, undt solche Behaußung allhier beliebter maßen ohne anschlag gelaßen, würdt also da dieselbe wehrender dießer Ehe solte verkaufft werden, das darab erlößte pretium Zu ergäntzen seÿn. Hierüber besagten vier vnderschiedenen perg. Kbr. in allhießiger C C Stub gefertiget und mit dero anh. Insigel verwahrt.
Eigenthumb ane Liegenden Güettern (zu willstätt)
[Joint] Fraw Eva Brackwehrin gebohrne Feßmännin, hat ane weÿland Herrn Johann Christoph Strintzen geweßenen Gasthalters zu Plobsheim, ihres zweiten haußwürths seel: Verlaßenschafft, krafft der Ehe pacten, und des mit denen Strintzischen Erben wie auch deren respectivé Ehe: undt vögten den 18.t Septembris Anno: 1708. getroffenen Vergleich pro usufructu zuerfordern, in Capital 500 lb
1710 (28.5.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 24) n° 895
Revisio Vber weÿl. frawen Evæ Feßmännin Herrn Wolff Dietrich Brackwehr des Einspänniger v. Burgers allhier geweßener Haußfrau seel. Verlaßenschafft, welche auf ansuch. frawen Catharinæ feßmännin H. Dieboldt Feßmann Stabhalter und burgers Zu Geuderth. haußfrau, deo abgemeibt. fr. seel. Schwester und eintziger Erbin mit assistentz gedachts Ihres Manns v. S. T. Andrea Gundelweins Kieffers v. E. E. Kl. Raths beÿsitzer als deputirten herrns, nach gehaltener permission der Hh dreÿere der Statt Stall,summarisch beschehen von dem H. Wittiber aber nach abgelegten handtrew vorgewießen, durch H. Joh: Ziegler der SS Kaufflern dem vero pretio nach æstimirt word. Freÿt. d. 28. May 1710.
Revisio (…) welche auff deroselben den 11. Aprilis instehenden 1710. Jahres beschehene tödlichen ableiben (…) und Zwar nach dem über weÿland des Ehrenvest und vorachtbahren herrn Johann Christoph Strintzen geweßenen gasthalters Zum Hirtzen in Plobsheim und burgers allhier Zu Straßburg deroselben vorigen Mittlern Ehewürth seel. Verlaßenschafft allererst in A° 1708. durch herrn Jacob Christoph Pantrion Notm. publ. auffgerichteten Inventario
Ist also dermahlen ane haußrath vorhanden 261, Sa. Rindviehs 15, Sa. Leerer vaß 3
Le notaire Rohr dresse l’Inventaire de la succession de Loup Thierry Brackwehr. Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 300 florins (150 livres) sur un total de 1 700 florins.
1720, Livres de la Taille (VII 1175) f° 358-v
Möhrin F. N° 2382. Weÿl. H. Wolffgang Dietrich Brackwehr geweßenen Einspännigers und Burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Rohr.
Concl. Fin. Inv. ist fol. 60 – 881 lb 13 ß 1 ½ d, die machen 1700 fl
Verstallte 1400 fl, Zu wenig 300 fl
Weilen aber der Verstorbene pro 1717 sich 1000 fl. abschreiben laßen, welche Er biß dahien Verstallt, alß wird der Nachtrag allein von solcher Zeiten gerechnet, thut für Vier Jahr in duplo à 18 ß – 3 lb 12 ß
und auff vier Jahr in simplo à 9 ß – 1 lb 16 ß
Ext. Stallg. pro 1720 – 3 lb 18 ß
Gebott – 2 ß 4 d
Abhandlung – 1 lb 2 ß 6 d, Summa 10 lb 10 ß 10 d
Auff bitten und in ansehung das verstorbene der Statt lange Jahr geleisteter guten dienste, haben die Herren dreÿ den Nachtrag auff die helffte moderirt gehet also ab 2 lb 14 ß, restirt 7 lb 16 ß 10 d
dt. 20° Mart. 1720.
Anne Marie Brackwehr femme du boucher Philippe Jacques Datt rachète les parts de la maison dont elle devient seule propriétaire
1720 (7.2.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 47) n° 1541
Abtheil: und respectivé Vergleichungs Concept über weÿl. des Ehren vnd Wohl vorgeachten Herrn Wolffgang Dietrich Brackwöhrs, geweßenen Einspännigers v. burgers allhier zu Straßburg seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1720.
Abhandlung der Behaußung vnd Pfenningthurns Capitals
Die in dem Inventario vmbständlich beschriebene Behaußung nebens hauß, Scheür und Stall mit all übrigen gebäwen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden undt Gerechtigkeiten, beneben die liegerling im Keller, bauch Kößel, eisen offenthürlen, bronnstein, Ziegel, steinwerckh vnd was sonsten Zum hauß gehörig vnd Nagelvest ist, Zusambt dem auff allhiesigem Pftgth. stehendem Cap. der 25. lb d Jahrs auff Philippi Jacobi Zinnßfälligen, haben sambtliche Erbs Interessenten mit consens Ihren respective Ehe vnd geschworner vögte,
der einen Tochter frawen Annæ Mariæ Dattin gebohrner Brackwehrin H. Philipp Jacob Datten des Metzgers vnd burgers allhier Ehegattinin, vber die darauff stehenden beschwerde der 1 lb 5 ß d bodenzinß oder Allmendt geldt so auff der St. St. Pfgthrn Jährlichen abzurichten sonsten allerdings vor freÿ, leedig vndt eigen auß gemeinem Erben eÿgenthümblichen übelaßen, welche auch solches mit bewilligung dero Ehemanns vorgedacht besagter maßen angenommen vor 1100 lb d (…)
Actum Straßburg d. 7. febr. Anno 1720. [unterzeichnet] Mardan Lampin, Johanneß lamb, Johann Friderich Brackwehr, Anna Maria dadtin, Johann Philipp dadt, Margaretha Salome Burgerin, hanß Jacob bur
Fils du boucher Jean Georges Datt, Philippe Jacques Datt épouse Anne Marie Brackwehr en 1713 : contrat de mariage, célébration
1713 (27.6.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 59) n° 717
Eheberedung Zwischen Herrn Philipp Jacob Datt Metzger vnd burger allhier herrn Johann Geörg Datten auch Metzgers vnd burgers allhier ehelichem Sohn, als dem hochzeiter beÿständlich gedachts seines Vatters vndt Johann Philipp Kleinen ebenmäßigen Metzgers seines vogts vnd hanß Georg Datten gleichfalls Metzgers deßen bruders ane einem
So dann Jgfr. Annæ Mariæ Brackwehrin, herrn Wolffgang Dietrich Brackwehr, Einspännigers vnd burgers allhier ehelichen Tochter als der Jgfr. hochzeiterin mit assistentz ermelys Ihres H Vatters vndt Herrn Johann Friderich Brackwehrs Silberarbeiters deren Bruders, andern theils
Actum Dienstags den 27. Junÿ A° 1713 [unterzeichnet] Philipp Jacob datt als hoch Zeitte, Anna Maria Brackwehrin Als Hoch Zeitterin
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 139-v n° 804)
Anno 1713. de, 19. Julÿ seind nach geschehener ordentlicher ausruffung in der Kirch Zu St Thomas ehelich copulirt worden Philipp Jacob Datt der ledige Metzger, Joh: Georg Datt, des burgers und Metzgers alhie ehl. Sohn und Jungfr. Anna Maria H Wolff Dietrich Brackwehr deß burgers und Einspännigers alhie Ehel: Tochter [unterzeichnet] Philip Jacob datt als hochzeider, Anna Maria Brackwehrin als hochzeiterin (i 142)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient aux parents de l’épouse. Les apports du mari s’élèvent à 136 livres, ceux de la femme à 366 livres.
1713 (3.8.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 33) n° 1117
Inventarium vnd Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so der Ehren und Vorgeachte Herr Philipp Jacob Datt Metzger und die Viel Ehren und tugendsahme Fraw Anna Maria gebohrene Brackwehrin, beede Eheleuthe und Burgere allhe einander in den Ehestand Zugebracht und Vermög Auffgerichteter Eheberedung sich vor Unverändert Vorbehalten haben (…) So geschehen in der Königlich freÿen St. Str. in fernerem Gegenseÿn frawen Elisabethæ Dattin gebohrner Rödererin, H hannß Georg Datten Metzger und Burgers allhier fraw Ehegattin des Ehemanns gebiebter fraw Stieff Mutter und herrn Wolffgang Dietrich Brackwehr Einspänniger und Burgers allhier als der Ehefrauen geehrten H Vatters auff Donnerstag den 3. Augusti Anno 1713.
In einer allhier Zu Straßburg ahne dem Finckweiler gelegenen und der Ehefrau geehrten H. Vatter eÿgenthümblich zuständigen Behaußung sich Volgend. maßen befunden
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Deß Manß guth betreffend, Sa. haußraths 63, Sa. Silbers 16, Sa. baarschafft 55, Summa summarum 136 lb
Der Frauen Nahrung Anlangend, Sa. haußraths 169, Sa. Silbers 23, Sa. Goldener ring 12, Sa. baarschafft 160, Summa summarum 366 lb
Philippe Datt et Anne Marie Brackwehrin hypothèquent la maison au profit de l’assesseur au Grand Sénat Jean Jacques Pfeiffer
1734 (14.8.), Chambre des Contrats, vol. 608 n° 301-v
Philipp Datt der Metzger und Maria geb. Brackwehrin mit beÿstand H. Rathh. Johannes Specht und H. Rathh. Johann Jacob Pfeiffer beede EE. kleinen Raths alten beÿsitzer
in gegensein H. Johann Heinrich Faber J.V.Lti und E.E. großen Raths alten beÿsitzers actuarÿ – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder und hinder hauß, hoff, stallung und hoffstatt mit allen übrigen derselben gebäuden, zugehörden und rechten im Finckweiler einseit neben Jacob Räuber dem hoßenstricker anderseit neben Catharina Morgen der wittib hinten auff das däumel gäßlein und einen ausgang dahin habend – davon gibt man; hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 5 ß ane bodenzinß – als ein in elterlicher verlaßenschafft abtheilung von ihren geschwisterden käufflich übernommenes guth
Anne Marie Datt meurt en décembre 1734 en délaissant un fils. Les experts estiment la maison 700 livres. La masse propre à l’héritier s’élève à 538 livres. L’actif de la communauté et du veuf s’élève à 394 livres, le passif à 792 livres
1735 (21.1.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 466) n° 33-a
Inventarium über Weÿl. der Viel Ehren und tugendsahmen Frauen Anna Maria Dattin geb. Brackwöhrin deß Ehren und Wohl Vorgeachten Herrn Philipp Jacob Datten deß Metzgers und Burgers allhier Zu Straßburg geweßener Ehelicher Haußfrau nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1735. (…) nach ihren Sonntags den 12. Decembris deß zurückgelegten 1734.sten Jahrs beschehenen tödlichen ableiben hie Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Friderich Heÿl deß Huffschmidts und burgers allhier, als geordnet und geschwornen Vogts Johann Jacob Datten der Verstorbenen, Frauen seel. mit obgedachtem hinterbliebenen Wittiber Ehelich erzeugtem hinterbliebenen einigen Söhnleins und ab intestato Erben inventirt und ersucht (…) So geschehen in der Königlichen Stadt Straßburg Freÿtags den 21.ten Januarii A° 1735.
In einer allhier Zu Straßburg in dem Finckweÿler gelegenen hiehero gehörigen Behaußung befunden Worden als folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. In d Magd Kammer, In der Untern Wohnstub
Ergäntzung deß Erben Wehrender Ehe abgangenen unveränderten guths, Crafft Inventarii über beeder nun getrennter Ehepersohnen einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet in A: 1713 durch weÿl. herrn Daniel Rohr geweßenen Notm. Publ: et Pract: seel. gefertiget
Eigenthum einer Behaußung. (E.) Eine Behaußung, Hoffstatt, Höfflein, Stallung und Bronnen, mit allen andern ihren Gebäuen, Begriffen, Weiten, Rechten, Zugehörden, v gerechtigkeiten gelegen allhier in der Statt Straßburg im Finckweÿler, eins. neben H Johann Räuber dem hosenstricker v burger allhier, 2.s neben Eberhard Häffelein, hinten augg ein Almend, oder das so genandte Däumel Gäßleiin stoßend Davon gibt man Jährlichen Ein Pfund Fünff Schilling Pfenning Allmend Geld der Statt Straßburg Pfenningthurn, so Zu doppeltem Capital gerechnet thut 50. lb sonsten außer denen theils unter des Erben, theils unter denen theilbaren passivis befindlichen darauff hafftenden Capitalien leedig und eigen v. von (den Werckmeistern) vermög dero beÿ dem Concept befindlichen Abschatzungs Zeduls vom 6.ten febr: 1735. hiehero angeschlagen worden, pro 1400. fl. oder 700. lb. Davon abgezogen obgemelte darauff hafftende Beschwerde der 50. lb So verbleibt ane dem Anschlag solcher Behaußung annoch übrig 650 lb. Darüber besagen vier underschiedene pergamentene Kauffbrieff in allhies. C C stub gefertiget und mit dero anhangendem Insiegel verwahrt., welche aber beÿ gegenwärtiger Verlaßenschaffts Inventur nicht vorgewießen Worden.
Wÿdem Welche, die Ehr: und Tugendsame Frau Maria Catharina Brackwehrin gebohrne Zeltnerin, Weÿl. deß Ehrengeachten herrn Johann Jacob Brackwehrs, gss&en Metzgers und Burgers allhier seel. nachgelaßenee Wittib ad dies vitæ vermög Test: Nunc: de dato 17.ten Apr: 1731. §° 2.do zu genießen berechtiget.
Nemblichen ein Vierdter Theil vor unvertheilt von v ane einem gantzen Metzigbanck (…)
(f° 22) Series rubricarum hujus Inventarii. Des Erben unverändert Vermögen, Sa. haußraths 89, Sa. Lähren Faß 5, Sa. Silbers 17, Sa. Goldener Ring 7, Sa. Eigenthums einer Behaußung 650, Sa. Eigenthums ane Matten 24, Sa. der activ Schulden 87, Sa. der Ergäntzung (538, Abzug 688, Compensando 148) Summa summarum 907 lb – Passivorum 368, detrahendo verbleibt 538 lb
Des Wittibers unverändert v theilbahre Nahrung, Sa. haußraths 109, Sa. Lähren Faß Sa. Schiff und geschirrs 7, Sa. Häus 35, Sa. Silbers 16, Sa. goldener Ring 3, Sa. activ Schulden 216, Summa summarum 394 lb – Schulden 792, In Compensatione 397 lb
Beschluß und Verstallungs Summa 140 lb
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 300 florins (150 livres) sur un total de 1 100 florins
1735, Livres de la Taille (VII 1178), f° 12-v
Blum F. N. 6509 – Weÿl. Fr. Annæ Mariæ gebohrner Brackwehrin Philipp Jacob Datten Metzgers und Burgers alhier Ehel. haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Koch.
Concl. Fin. Inv. ist fol. 141.b – 140 lb 14 ß 7 ½ d Darzu gelegt umb wieviel die behaußung höher angenommen alß selbige angeschlagen worden 450, Summa 590 lb 14. 7 1/2,
die machen 1100 fl, Verstallte allein 800 fl, Zu wenig 300 fl
Nachtrag acht Jahr in duplo à 18 ß – 7 lb 4 ß
und auff Sechs Jahr in simplo à 9 ß – 2 lb 14 ß
Ext. Stallgeltt pro 1735 – 2 lb 11 ß
Gebott – 2 ß
Abhandlung – 15 ß 6 d, Summa 13 lb 6 ß 6 d
Auff bitten haben die Herren dreÿ nachgelaßen 4 lb 19 s, restirt 8 lb 7 ß 6 d
dt. 12° Mart. 1735.
Philippe Jacques Datt meurt quelques mois plus tard en mars 1735
Sépulture, Saint-Thomas (luth. reg. 1734-1767 f° 13 n° 18)
1735. Sontag d. 27. Mart. Nachts nach 12 Uhr starb Philipp Jacob Datt der gewesene Burger und Metzger alhie; v. verheurathet an war mit hr wolffgang dietrich Brackenwehr gewesenen burgers vnd Einspengers alhie ehelichen tochter, Namentlich Anna Maria, mit deren fr. 21 Jahr im ehestand gelebt vnd 5 Kinder gezeugt, davon eines im leben, Er war gebohren d. 3. Jan. 1687 Und alo seines alters 48 Jahr 2. Monat vnd 4 Tag v wurde dienstag darauff Zu St Gallen begraben, vnd von Mir Martino Silberrad Diac. Thom. daselbst auf den Gottesacker die leich predigt gehalten, dieses bezeug. [unterzeichnet] Abraham datt als bruder, Johann Jacob datt als bruder (i 14)
Compte que rend le maréchal ferrant Jean Frédéric Heyl de la tutelle des biens appartenant à Jean Jacques Datt. La maison est louée au boucher Jean Georges Vetter
1736, Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 507) n° 27
Rechnung Mein Johann Friderich Heÿlen deß Hueffschmidts und Burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Weÿl. Philipp Jacob Datten, geweßenen Metzgers und Burgers allhier mit auch Weÿl. Frauen Anna Maria gebohrner Brackwehrin beede seel. ehelich erzeugten Sohns, Nahmens Johann Jacob, Inhaltend was ich wegen erstgedachten meinem Curandi eingenommen und außgegeben, auch sonsten Vögtlicher Weiß verrichtet habe, vom 5. Jan. 1735 als dem anfang meiner Vogteÿ biß den 28. Junii A° 1736 – Erste Rechnung dießer Vogteÿ
Corpus meines Curandi Jährlich fallen habenden Hauß Zinses
Nemlichen 35. lb d Zinß gibt H Joh: Georg Vetter der Metzger v burger allhier Zu Straßb. Von der ane dem Finckweiler gelegenen dem Curandi gehör. behaußung Jährlich auff Joh. Bapt: a° 1736. Zum erstenmahl so in Capital à 5 p. C° thut 700 lb
Darüber besagt C. C. verschreibung, so aber noch nicht außgefertiget, vermög deren ihme Vetter solche behaußung auff 9 Jahr lang verlehnt word. Und über die behaußung besagen 4. unterschiedliche perg. Kbr. in allhies. C.C. stub gefertt. v. mit dero anh. Ins. Verw. welche aber beÿ der mütterl. Verl. Inventur nicht vorgewießen Worden
Seul héritier de la maison, Jean Jacques Datt épouse en 1743 Marie Marguerite Hansmetzger, fille du boucher Abraham Hansmetzer : contrat de mariage, célébration
1743 (20. Xbris), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1223) n° 147
Eheberedung Zwischen dem Ehrenachtbahren Hn Johann Jacob Datt, dem leedigen Metzger weÿl. Hn Johann Philipp Datt, gewesenen Metzgers und burgers allhier mit auch weÿl. Fr. Anna Maria gebohrner Brackwehrin nun beede seel. ehelich erzeugter Sohn, alß dem hochzeiter, beÿständl. H Johann Stahl Silberarbeithers seines vettern und H Johann Friderich Heÿl Statt Schmidts, Seines ohnentledigten Vogts ane einem
und der Ehren und tugendsahmen Jgfr. Mariæ Margarethæ Hannßmetzgerin, weÿl. H Abraham Hannßmetzgers geweßten Metzgers und Burgers allhier mit Fr. Maria Margaretha geb. Veriusin hinterbliebenen Wb. ehelich erzeugten Tochter alß der Jgfr. hochzeiterin beÿständl. H. Isaac Hannßmetzgers auch Metzgers und burgers alhier Ihres geschwornen Vogts und H. Eberhard Pick, Silberarbeiters und burgers allhier ihres Vettern, ane dem andern Thil gepflogen
So beschehen Straßburg Freÿtags den 20.ten Wbris A° 1743 [unterzeichnet] Johann Jacob Datt Als hochzeiter, Maria Margatha hanß Metzgern als hochzeitterin
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 62-v n° 3)
1744. Eodem [Mittwoch den 5. Febr:] seind nach zweÿmal geschehener proclamation in der Evangelischen Pfarrkirch Zu S Niclaus in den Ehestand eingesegnet Worden Joh: Jacob Datt der ledige Metzger u. Burger allhier, Weil. Philipp Jacob Datten geweßt. Metzgers und Burgers allhier hinterlaßener ehl. Sohn u. Jgfr. Maria Margaretha Weil. Abraham Hans Metzgers, geweßenen Metzgers u. Burg. allhier hintehl Tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Datt Als Hochtzeiter, Maria Margaretha hanß Metzgern als hoch Zeitterin (i 65,procl. Saint-Thomas n° 241)
Inventaire des apports dont la minute n’est pas conservée
1745, Not. Stoeber l’aîné (répert. 6 E 41, 1127-1) n° 377
Inventarium illatorum H. Joh: Jacob Datt Metzgers und Fr. Maria Margaretha geb. Hanßmetzgerin
Jean Jacques Datt et Marie Marguerite Hansmetzger hypothèquent la maison au profit de Susanne Madeleine Wieger veuve Stædel
1746 (24.5.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 383-v
Johann Jacob Datt der metzger und Maria Margaretha geb. Hanßmetzgerin so über 25 jahr alt zu seÿn versicherte mit beÿstand ihres bruders Johann Hanßmetzger des bierseiders und ihres vettern Abraham Datt des metzgers
in gegensein H. Johannes Schatz des accis Einnehmers als mandatarius Fr. Susannæ Magdalenæ Städelin geb. Wiegerin der wittib – schuldig seÿen 350 pfund
unterpfand, eine behausung, hoff, stallung und hoffstatt cum appertinentis im Finckweiler, einseit neben Johannes Reuber dem strumpffstricker, anderseit neben den Morgenischen erben, hinten auff das Däumelgäßlein
Jean Jacques Datt fils de Philippe et Marie Marguerite Hansmetzger hypothèquent la maison au profit de Joseph Gerber, assesseur des Quinze
1749 (11.8.), Chambre des Contrats, vol. 623 n° 477-v
Johann Jacob Datt Philipps sohn der metzger und Maria Margaretha geb. Hanßmetzger mit beÿstand ihres bruders Abraham Hanßmetzger des biersieders und ihres schwagers Johann Jacob Acker des schneiders
in gegensein ST. .H. XV Joseph Gerber – schuldig seÿen 50 lb
unterpfand, erstlich eine behausung, hoff, stallung und hoffstatt im Finckweiller einseit neben Philipp Jacob Schützenberger dem käuffer, anderseit neben der Morgenischen wittib, gäßel das Däumelgäßlein
so dann dreÿ vierdte theil vor unvertheilt ane einem metzig banck unter der großen metzig am eingang des großen thors beÿ dem Ferckelmarckt der erste rechter hand, einseit neben Jacob Winter, anderseit neben Nicolaus Böll beede metzger, hinten auff Ulrich Schön dem metzger – von dem gantzen banck gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 10 ß ane bodenzinß
Jean Jacques Datt fils de Philippe et Marie Marguerite Hansmetzger hypothèquent la maison et le tiers d’un étal de boucher au profit de Jean Jacques Heyger
1751 (11.2.), Chambre des Contrats, vol. 625 n° 62-v
Johann Jacob Datt Philipps sohn der metzger und Maria Margaretha geb. Hanßmetzgerin mit beÿstand Daniel Frantz des metzgers und Philipp Jacob Schützenberger des nadlers
in gegensein H. Johann Jacob Altenburger des handelsmanns als vogts Johann Jacob Heÿer – schuldig seÿen 300 pfund
unterpfand, erstlich eine behausung, hoff, stallung und hoffstatt im Finckweiler, einseit neben Philipp Jacob Schützenberger dem käuffler, anderseit neben der Morgenischen wittib, hinten auff das Däumelgäßlein
so dann dreÿ vierdte theil vor unvertheilt ane einem metzig banck unter der großen metzig am eingang des großen thors beÿ dem Ferckel: marckt der erste rechter hand, einseit neben Jacob Winter, anderseit neben Nicolaus Boll beede metzger – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 10 ß ane bodenzinß
Jean Jacques Datt fils de Philippe et Marie Marguerite Hansmetzger vendent la maison au boucher Jean Weiler
1751 (26.11.), Chambre des Contrats, vol. 625 n° 574
Johann Jacob Datt Philipps sohn der metzger und Margaretha geb. Hanßmetzgerin
in gegensein Johannes Weiler des metzgers
eine behausung bestehend in vorder und hinder hauß, stallung, bronnen, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, weithen, zugehörden und rechten benebst einem gäßlein so ehedeßen Allmend geweßen aber von gemeiner Statt Straßburg am 13. junÿ 1691 verkaufft worden, in Finckweiler einseit neben Philipp Jacob Schützenberger dem käuffler, anderseit neben den Morgenischen wittib erben, hinten auff das Däumel: gäßlein – als ein elterliches erbguth – 500 pfund capital verhafftet, geschehen um 600 pfund
Fils du boucher Balthasar Weiler, Jean Weiler épouse en 1749 Marie Madeleine Pfeffinger, fille du boucher Jean Frédéric Pfeffinger : contrat de mariage, célébration
1749 (2.5.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 285) n° 237
Eheberedung – Zwischen dem Wohl Ehrenachtbahren und Wohl Vorgeachten Herrn Johann Weilern, dem ledigen Metzgern, weÿl. Herrn Balthasar Weilers des gewesenen metzgers und auch weÿl. frauen Margarethæ gebohrner Kaÿßerin, beeder Eheleuth und burgere allhier Zu Straßburg, nunmehr seel. ehelich erzeugter Sohn, als dem herrn Hochzeitern ane Einem,
So dann der Ehren und tugendgezierten Jungfrauen Mariæ Magdalenæ Pfeffingerin, weÿl. Herrn Johann Friderich Pfeffingers des gewesenen Metzgers und auch weÿl. Frauen Susannæ Dorotheæ gebohrner Beckin beeder Ehepersonen und burgers Zu Straßburg nunmehr auch seel. nachgelaßener ehelich erzeugter Tochter als der Jungfrauen Hochzeiterin am andern theil
So beschehen allhier in der Königlichen Stadt Straßburg auff Freÿtag den 2. tag Maÿ anno 1749 unterzeichneten Johannes Weiler als hoch Zeitter, Maria Magdalena Pfeffigerin hoch Zeiterin
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 96-v n° 5)
1749 Mittw. den 4. Junii seynd nach Zweÿmahl Vorhergeschehener Proclamation in der Pfarrkirche Zu St Nicolai in den Stand der Heiliigen Ehe eingesegnet worden Johannes Weiler der ledige Metzger burger allhier, weÿl. Balthasar Weiler gewesenen Metzgers und burgers allhie nachgelaßener ehelicher Sohn und Jungfr. Maria Magdalena Pfeffingerin weÿl. H Johann Friderich Pfeffinger geweßten Metzgers und burgers allhie nachgelaßene ehl. Tochter [unterzeichnet] Johannes Weiler ams hochzeiter, Maria Magdalena Pfeffigerin als hochzeiterin (i 99)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison qui appartient à Jean Gæckler rue de la Lanterne. Les apports du mari s’élèvent à 686 livres, ceux de la femme à 1 517 livres.
1749 (9.9.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 251) n° 400
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, Keinerleÿ davon außgenommen, so der Wohl Ehrenachtbare Herr Johannes Weiler, der Metzger und die Ehren: und tugendsame Frau Maria Magdalena geb. Pfeffingerin beede Eheleuthe undt burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebracht und sich in crafft der mit einander auffgerichteten Eheberedung §° (-) vor unverändert vorbehalten haben, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehrenihr der beeden Eheleuthe selbsten fleißig inventirt (…) So beschehen allhier Zu Straßburg auff Dienstag den 9.ten Septembris Anno 1749. In præsentia H. Johannes Gäcklersn des metzgers und Burgers allhier, ihres geschwornen annoch ohnentledigten Vogts
In einer allhier Zu Straßburg hinder der Zunfft Zur Lucern gelegenen eingangs gemeldeten herrn Johann Gäcklers Zuständigen Behaußung folgender maßen sich befunden
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 151, Sa. Silber und Geschmeids 32, Sa. Goldener Ring 3, Sa. Activorum 500, Summa summarum 686 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in den Ehestand zugebrachtes gut consignirt und beschrieben, Sa. haußraths 435, Sa. Weins 15, Sa. Silbernen Geschirrs und Geschmeids 63, Sa. goldener Ring und Geschmeids 130, Sa. Baarschafft 14, Sa. Pfenning Zß. hauptgüter 875, Sa. der Activ Schulden 13, Summa summarum 1547 lb – Schulden 30 Abzug solcher verbleibt 1517 lb, Dazu gelegt die übrige Helffte derer gleich hierauf beschriebenen haussteuren anlangend 62 lb, Der Ehefrau in die Ehe gebracht guth 1579 lb
Le marchand de bois Jean Frédéric Dürr (propriétaire de l’actuel n° 12) et Jean Weiler passent un accord après que ledit Weiler a fait construire un nouveau mur pignon à hauteur d’un étage contre lequel s’adossait la maison sans pignon de Jean Frédéric Dürr. Il s’ensuit que les étages supérieurs de la maison Datt ne sont plus fermés. Jean Weiler autorise son voisin à titre de simple tolérance d’élever sur le sien un mur d’une demi-pierre.
1769 (10.8.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 292) n° 162
persönlich erschienen Herr herr Johann Friedrich Dürr, der nunmalige Holtzhändler und Herr Johann Friederich Dürr, deßen Sohn, Schreiner meister, beede burgere allhier ane Einem
So dann Herr Johannes Weiler, der Metzger und burger allhier am andern theil
dieselbe melden, was gestalten Er herr Weiler in seiner an Ihne herrn Dürren stoßenden behaußung an dem Finckweiler gelegen die Zwischen beeden nachbaren stehende ihme herrn Weiler eigenthümlich zugehörige und auff seiner Gerechtigkeit auffgeführte steinerne Giebelmaur auff seine uncosten abbrechen und wieder eine neue maur auff solcher seiner Gerechtigkeit jedoch nur ein Stockwerck hoch auffbauen laßen, wardurch aber geschehen, daß sein herrn Dürren Behausung, welche mit Keiner eigenen Maur versehen von solchem neu erbautem Stockwerck biß oben auß ohnbeschloßen und offen stehen verblieben, wegen welchem Er herr Dürr und deßen Sohn ihne herrn Weiler um vergönstigung eine halben stein dicke maur auff ihre uncosten auff die neu erbaute so ein Stockwerck hohe maur auffzuführen, um damit ihre behaußung Zu bedecken angesucht haben, als hat hierauff Er herr Weiler sich gegen Ihnen herren Dürren dahin vernohmen laßen, daß er denenselben auff dieser seine neue Stockwerck hohe maur jedoch ohne dem geringsten nachtheil seiner gerechtigkeit eine halben Stein dicke maur Zu setzen und damit ihre behausung Zu Zuschließen und Zuzumachen hiermit vergönnet haben wolle, jedoch daß Sie herren Dürren ihre Erben, nachkommende undt ihrer Behaußung Eigenthumbs Inhabere solches anderst nicht als eine pure und lautere Vergönstigung undt keine gerechtigkeit noch antheil solcher Maur haben, halten und ansehen, weniger sich deren weiter anmaßen sollen, dahero auch, wann über kurtz oder lang, oder wann, wie oder wo Er Herr Weiler, seine Erben undt nachkommende oder Eigenthumbs Inhabere seiner Behausung solche seine eigenthümliche Maur, wieder abzubrechen oder anders einrichten zu laßen, oder vollkommen hienauff und höher führen zulaßen gesinnet wären, Er herr Dürr sein Sohn und andere seine Erben, nachkommende oder Eigenthumbs Inhabere seiner behaußung in alle weeg und zu allen Zeiten ohne wiederrede schuldig und verbunden seÿn sollen auff ihre cösten, die auff sein herrn Weilers Gerechtigkeit und Maur weiter auffgeführte halben Stein dicke maur ohnverzügklich wieder abbrechen und wegthun zulaßen (…)
So geschehen allhier Zu Straßburg auff Donnerstag den 10. August anno 1769.
Etat de la fortune de Jean Weiler et de Marie Madeleine Pfeffinger. La maison n’est pas estimée faute de connaître la somme dépensée pour divers travaux.
1779 (12.2.), Not. Zimmer (6 E 41, 1425) n° 457
Designatio Derjenigen Mobilien und Effecten so Hr Johannes Weiler, der Metzger und Frau Maria Magdalena gebohrene Pfeffingerin beede Eheleuthe und Burgere alhier Zu Straßburg und deroselben annoch unverheurathete Kinder dermalen eigenthüml. besitzen
Series rubricarum hujus Designationis, Sa. Haußraths 701, Sa. Wein und Faß 129 Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 60, Sa. goldener Ring 27, Summa summarum 918 lb
Es besitzen zwar Sie Weilerische Eheleute annoch eine Behaußung samt Zugehörden alhier ane dem Finckweiler gelegen, allein da verschiedene Baukösten ane dieselbe seÿen verwendet worden, und kein richtiger Preiß hat bestimmet werden können, so hat man die beschreibung derselben unterlaßen müßen, wie dann auch Frau Weilerin sich ihre Rechten wegen ihrem Zu fordern habenden unveränderten Guth bestens vorbehalten haben will, hier ohnpræjudicirlich zum Bericht
So geschehen und verzeichnet alhier Zu Straßburg den 12. Februarii 1779.
Marie Madeleine Pfeffinger meurt en 1795 en délaissant deux fils. La maison est portée à l’inventaire à la somme de 10 000 livres tournois (soit 2 500 livres strasbourgeoises). La masse propre au veuf est de 2 126 livres, celle propre aux héritiers de 9 312 livres. L’actif de la communauté s’élève à 22 938 livres, le passif à 12 285 livres. L’acte est le premier à énumérer les titres anciens qui établissent la propriété de la maison
1795 (2 fructidor 3), Strasbourg 3 (9), Not. Ensfelder n° 437
Inventarium über Weiland der Burgerin Maria Magdalena Weiler geb. Pfeffinger bürgers Johannes Weilers des Metzgers Ehefraun Verlaßenschafft – nach ihrem den 4. jüngst verfloßenen Monaths Prairial genommenen tödlichen hintritt hie zeitlichen verlaßen hat, auf begehren des hinterbliebenen Wittibers als auch dißortigen beeder Söhnen und ab intestato hinterlassenen Erben 1. Johannes Weiler Employé au Bureau de la Marine à Paris in deßen Nahmen bürger Friedrich Jacob Roederer homme de lettres zu ged. Straßburg, 2. bürgers Johann Daniel Weiler hiesigen Metzgers – angefangen den 8 messidor 3
Eigenthum ane einer behaußung. Eine behaußung bestehend in Vorder und hinder-hauß Stallung Brunnen höfflein und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, weithen, zugehörden und rechten benebst einem Gäßlein so ehedeßen Allmend gewesen aber von der Gemeinde Straßburg am 13. Junÿ 1691 erkauft worden, welche behaußung alhier im Finckweiler einseit neben Weÿl. b. Weiß gewesenen Kutschers Erben anderseit neben b. dürr dem Schreiner hinten auf das ehemalige Däumel-Gäßlein stoßend gelegen N° 38, Welche behaußung laut eines in der ehemaligen hiesigen C. Stub den 26. nov. 1751 vorgegangegen Kauf Contracts von Johann Jacob Datt Philipps Sohn dem Metzger eigenthümlich an sich gebracht worden dermalen ohnnachteilig angeschlagen vor 10.000 livres. Darüber besagen noch ferner Kauffverschreibungen aus besagter C. Stub, eine vom 8. Novembris 1637, eine vom 29. Martii 1663, eine vom 2. Junÿ 1691, eine vom 13. Junÿ 1691 und 30. August 1721, So dann ein zwischen br. Johann Friedrich Dürr dem holtzleger und Johann friedr: Dürr dem Schreiner deßen Sohn so dann br Johannes Weiler dem dißortigen Wittiber über eine gemeinschaftl. Mauer vor Not. Dautel den 10. August 1769 getroffenes Vergleich
Ergäntzung, den 9. sept. 1748 durch Not. Dautel errichteten Inventarii
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Wittibers unverändertes Vermögen, ergäntzung 2526 – Schulden aus des Wittibers Nahrung 400, Nach deren Abzug 2126 livres
der Erben ohnveränderte Vermögenschaft, hausrath 453, Ergäntzung 8459, schulden 400, Summa summarum 9312 livres
Das gemein und theilbare Vermögen, hausrath 1292, silbers 69, Golden Geschmeids 177, behaußung 10.000, Capital 11.400, Summa summarum 22.938 livres – Schulden 12.285, Nach deren Abzug 10.653 livres
Eheberedung (…) den 2. Maÿ 1749 Frantz Heinrich Dautel, Not. coll. Maÿer
Enregistrement, acp 36 F° 147-v du 3 fru 3
La maison exposée aux enchères n’est pas adjugée
1799 (25 ventos 7), Strasbourg 3 (45), Not. Übersaal n° 449
Auf Ansuchen der bürger 1. Johann Weiler des ältern oder Vaters ehemaligen Metzgers, 2. Johann Michael Osterrieth des Rechtsgelehrten und Richters bei dem tribunal des Niederrheinischen departements als mandatarii Johann Weiler des jüngern oder Sohns Employé à la troisième Division de la Marine zu Paris wohnhaft Rue de la Ferme des Mathurins Maison du Paveur N° 862 und 3. Johann Daniel Weiler des Metzgers
zur ersten freiwilligen Versteigerung der dem b. Johann Weiler älteren oder Vater zwo tertzen und deßen beeden Söhnen zur übrigen tertz eigenthümlich zuständigen behaußung bestehend in Vorder: und hinterhaus samt stalung bronen höflein und hoffstatt auch allen übrigen zugehörden und Rechten nebst einem Gäßlein so ehedeßen Allmend gewesen aber den 13. julÿ 1691 von der Gemeinde Straßburg erkauft worden gelegen alhier zu Straßburg im Finckweiler N° 38, einseit neben br Johann Isenheim Zinngieser anderseit neben dem br Dürr Schreiner hinten auf ein gäßlein ehemals däumelgäßlein genannt
den 5 germinal, 5000 Francken bürger Andreas Kopfmann Mellhändler
den 14. germinal – den 29. germinal, kein Gebot
Jean Weiler meurt en 1802 en délaissant deux fils ou leurs représentants.
1802 (6 brumaire 11), Strasbourg 3 (25), Not. Übersaal n° 755, 1603
Inventarium des weÿl. bürgers Johann Weiler ehemaligen Metzgers – auff ersuchen 1. bürgers Johannes Weiler Employé au Bureau d’artillerie de la Marine à Paris, 2. bürgers Johann Weiler des den 26 mess. X alhier verstorbenen ehemaligen Metzgers mit auch weÿl. Fr. Maria Magdalena geb. Pfeffinger seiner den 4. prairial 3 verstorbenen Ehegattin erzeugte Sohn als intestats-Erben, daß dieses ihres Vaters Vermögen (…)
Mobilien und effecten 435 fr, angelegte capitalien 869 fr, Mobiliar massa 9125 fr, liegende güther feld 160 fr
Enregistrement, acp 85 F° 192 du 7 brum. 11
Jean Weiler et ses enfants vendent la maison au cocher Philippe Jacques Gies et à sa femme Marie Françoise Schuster
1802 (13 germinal 10), Strasbourg 3 (47), Not. Übersaal n° 865, 1311
1. der br. Johannes Weiller Vater ehemaliger Metzger alhier hinter denen Mauren N° 15 wohnhaft, 2. der br. Johann Michael Osterrieth Juris Consultus in der Qualitæt als mandatarius des brs Johann Weiller des jüngern Gelehrten zu Paris wohnhaft, 3. der br. Johann Daniel Weiller Metzger alhier hinter denen Mauren N° 15 wohnhaft [Procuration] Jean Weiller demeurant à Paris rue de Cisalpine Maison Vigée Division du Roule
an bürger Philipp Jakob Gies Lehnkutscher in der hernach gelmeldeten erkauften behausung wohnhaft und Maria Francisca geb. Schuster
die dem br. Johannes Weiller Vater und deßen beeden Söhnen eigenthümlich zuständige behausung bestehend in Vorder: und hinder: haus samt Stallung bronnen höflein und der hoffstatt auch allen übrigen zubehörden und Rechten nebst einem Gäßlein so ehemals Allmend gewesen aber den 13. junÿ 1691 von der Gemeinde Straßburg erkauft worden allhier zu Straßburg im Finckweiler N° 38, einseit neben dem br. Johann Isenheim zingieser anderseit neben einem ehemals däumel gäßlein genannt stosend – um 4937 francken oder 5000 livres
Enregistrement, acp 84 F° 21-v du 13 ger 10
Le domestique Jacques Gies, originaire de Kleinfranckenheim, épouse en 1792 Françoise Schuster, originaire de Saverne
Mariage, Saint-Louis (cath. f° 19)
Cejourd’hui 26 décembre 1792 l’an premier de la République, par devant nous Jacques Démichel officier public sont comparus Jacques Gies, domestique en cette ville, né à Kleinfranckenheim, fils majeur de feu Nicolas Gies cidevant prévôt dudit lieu, et de feue Brigitte Ulrich, d’une part et Françoise Schuster, née et domiciliée à Saverne, fille mineure de feu Jacques Schuster tuilier audit lieu et de Brigitte Gies autorisée par sa mère (signé) jacob gies, francois Schuster (i 61)
Contrat de mariage dressé après la célébration (minute non conservée)
1798 (26 nivose 6), Strasbourg, Not. Saltzmann, Rép. 6 E 41 499, 5 a n° 421
Contrat de mariage – Jacques Gies courier à l’armée du Rhin
Françoise Schuster
Enregistrement, acp 57 F° 92-v du 28 niv. 6
Jacques Giss meurt en 1817
Décès, Strasbourg (n° 858)
Déclaration de décès faite le 24 mai 1817. Jacques Gis, âgé de 61 ans, six mois huit jours, né à Schnersheim (Bas-Rhin), Cocher, Epoux de Françoise Schuster, mort en cette mairie le 23 du mois courant à huit heutes du soir, dans la maison située N° 38 rue finckwiller, fils de feu Nicolas Gis, Cultivateur et de feu Brigitte Uhlrich [in margine :] suite de blessures (i 39)
Françoise Schuster meurt en 1822
Décès, Strasbourg (n° 971)
Déclaration de décès faite le 18 juin 1822. Françoise Schuster, âgée de 49 ans, née à Saverne,Bas Rhin, Veuve de Jacques Giss, Cocher, morte en cette mairie le 17 du mois courant à avril heures du soir, dans la maison située N° 38 rue finckwiller, fille de feu Jacques Schuster, tuilier, et de feu Brigitte Giss, Premier déclarant Jean Ulrich agé de 31 ans, Cabaretier, deuxième déclarant François Giss agé de 22 ans, Peintre [in margine :] pulmonie (i 74)
Registre de population 600 MW 83, rue Finckwiller n° 38 (i 238)
(p. 676) Giess, Felix Jacques, 1755, Carossier, Kleinfranckenheim (à Str. depuis) 1792, (auparavant) derrière les murs 15, E(ntré). X
id. née Schuster, Marie Françoise, 1773, Ep. Saverne, morte le 17 juin 1822
id. Alexandre Jacq. 1798, mort le 24 juillet 1821
id. François Xavier, 1799, décédé le 31. Janv. 1828
id. Charles Auguste, 1803, décédé le 7 mai 1822
id. Jean Louis, 1805, décédé le 9 fév. 1823
id. Sophie Amélie, 1807, décédée le 23 8.bre 1819
id. Marie Thérèse, 1810, f. M mariée, v. page suivante
(p. 677) Herrel, Georges, 1811, g.on charpentier, M, Neumühl (entré) juillet 1833
id. née Gies, Marie Thérèse, 1810, Epouse, Strasbourg, voyez page précéd.
Jacques Giss et sa femme délaissent trois enfants
1822 (3.7.), Strasbourg 9 (anc. cote 44), Me Hickel n° 1011
Inventaire de la succession de Jacques Félix Nicolas Giess, cocher décédé le 23 mai 1817 et de Françoise Schuster décédée le 17 juin dernier – à la requête de 1. François Xavier Giess, peintre, 2. Jean Ulrich, aubergiste, tuteur de Louis Joseph et de Thérèse Giess, héritiers pour un tiers de leurs père et mère – en présence de Nathanael Friesé, menuisier en voitures
dans une maison au quartier Finckwiller n° 38
Contrat de mariage reçu M° Saltzmann le 26 nivôse 6
Titres et papiers, vente reçue M° Übersaal le 13 germinal 10 par Jean Weiler père ci devant boucher, Jean Weiler, homme de lettres à Paris, Jean Daniel Weiler, boucher à Strasbourg, d’une maison consistant en bâtiment de devant et de derrière avec cour, puits, écurie, appartenances et dépendances située au quartier dit Finckwiller n° 38, d’un côté le Sr Dürr ménuisier, de l’autre le Sr Isenheim potier d’étain, derrière la ruelle dite Daeumelgaesslein, pour 4937 francs
convention reçue par M° Dautel le 6 août 1769 relativement à un mur faisant partie de ladite maison et sur lequel le propriétaire de la maison à côté a appuyé la sienne – Titres de propriété, ventes à la Chambre des Contrats le 8 novembre 1637, 2 juin 1691, le 13 du même mois et le 30 août 1721
immeubles, une maison avec cour, puits, écurie, appartenances et dépendances située à Strasbourg au quartier dit Finckwiller n° 38, d’un côté le Sr Schleiffer, de l’autre le Sr Isenheim, derrière la ruelle dite Diemelgaessel, grevée d’une rente foncière de 5 francs au profit de la ville de Strasbourg, estimée 4800 francs
mobilier 1258 fr, argenterie 175 fr ; total 6233 fr, passif 3308 fr
Enregistrement, acp 158 F° 82 du 8.7.
Les enfants Giess louent la maison au courtier de commerce François Antoine Schmitt
1822 (5.10.), Strasbourg 9 (anc. cote 44), Me Hickel n° 1063
Bail de 6 années à commencer le 29 septembre dernier – François Xavier Giess, peintre en voitures, Jean Ulrich, aubergiste, tuteur de Louis Joseph et Thérèse enfants mineurs de Jacques Félix Giess et Françoise Schuster
à François Antoine Schmitt, courtier de commerce
une maison avec cour, puits, écurie, remise, appartenances et dépendances située à Strasbourg au quartier dit Finckwiller n° 38, d’un côté la propriété du Sr Schleiffer, autre celle du Sr Isenheim, derrière la ruelle dite Daeumelgaessel, moyennant un loyer annuel de 525 francs
Enregistrement, acp 159 F° 109 du 7.10.
Le peintre François Xavier Giess meurt célibataire en 1828 en délaissant pour unique héritiére sa sœur Thérèse
1828 (9.2.), Strasbourg 9 (anc. cote 54), Me Hickel n° 2705
Inventaire de la succession de François Xavier Giess, peintre en voitures, décédé le 28 janvier dernier – dressé à la requête de Jean Hoffmann, charpentier, tuteur de Thérèse Giess sœur germaine du défunt – en présence de Nathanael Friesé, menuisier en voitures subrogé tuteur
trouvés 1) dans deux chambres au premier étage d’une maison à Strasbourg quartier Finckwiller n° 38 où le Sr Gies est décédé, 2) dans une partie de la maison rue Ste Elisabeth n° 34 où le défunt avait sa boutique
mobilier 196 fr, créances 121 fr, total 317 fr
la moitié indivise de la maison avec cour, puits, écurie, appartenances et dépendances le tout situé à Strasbourg quartier dit Finckweiller n° 38
Que le logement que le défunt occupe dans cette maison lui avait été donné à loyer par François Antoine Schmitt, courier du commerce auquel la totalité de la maison avait été louée pour 525 francs par bail reçu M° Hickel le 5 octobre 1822 (non estimée) ; passif 206 fr
Enregistrement, acp 188 F° 40-v du 19.2.
Thérèse Giess épouse en 1833 le garçon charpentier Georges Herrel, originaire de Neumühl près de Kehl
Mariage, Strasbourg (n° 246)
Du premier juillet l’an 1833 à dix heures du matin. Acte de mariage de Georges Herrel, Majeur d’ans, né en légitime mariage le 21 novembre 1811 à Neumühl, grand Duché de Bade, domicilié à Strasbourg, garçon charpentier, fils de Georges Herrel, Cultivateur et de Barbe Krieg, conjoints domiciliés à Neumühl, ci présents et consentants, et de Marie Thérèse Gies, majeure d’ans, née en légitime mariage le 18 juin 1810 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de feu Jacques Gies, cocher, décédé en cette ville le 23 mai 1817 et de feu Françoise Schuster, décédée en cette ville le 17 juin 1822 (signé) Georg Herrel, Maria Theres Gies (i 2)
Marie Giess femme de Georges Herrel, demeurant à Neumühl, vend la maison au laitier Jacques Wurtz et à sa femme Marie Catherine Nœppel
1838 (13.3.), Strasbourg 9 (72), Me Hickel n° 5864
Marie Gies épouse de Georges Herrel, charpentier demeurant autrefois à Strasbourg présentement à Neumühl, Grand Duché de Bade
à Jacques Würtz, laitier, Marie Catherine Noeppel
une maison consistant en bâtiment de devant et de derrière avec cour, écurie, puits, appartenances et dépendances situé à Strasbourg au quartier Finckwiller n° 38, d’un côté la propriété de M. Isenheim, de l’autre celle du Sr Schleifer, devant la rue du Finckwiller, derrière la rue St Marc autrefois appelé Daeumelgaessel – appartenait à Jacques Félix Nicolas Gies, cocher, et Françoise Schuster leurs père et mère, provenant d’acquisition de Jean Weiler père, boucher, et de Jean Weiler, homme de lettres demeurant à Paris et Jean David Weiler, boucher à Strasbourg suivant acte reçu M° Uebersaal le 13 germinal 10. M. Gies et sa femme sont décédés laissant pour seuls héritiers pour un tiers François Xavier, Louis Joseph et la D° Herrel, suivant inventaire dressé par M° Hickel le 3 juillet 1822. Les deux frères sont décédés depuis, Louis Joseph le 9 février 1826 en laissant son frères et sa sœur pour héritiers et François Xavier le 28 janvier 1828 en laissant sa sœur, suivant inventaire de François Xavier dressé par M° Hickel le 9 février 1828 – loué par baux verbaux – moyennant 8800 francs
Enregistrement, acp 257 F° 94 du 14.3.
Jacques Wurtz et Marie Catherine Nœppel hypothèquent la maison et celle rue Saint-Marc au profit de la fabrique de l’église protestante de Saint-Pierre-le-Jeune
1852 (28.12.), Strasbourg 9 (102), Not. Becker n° 5728
Obligation, 28 décembre 1852 – Ont comparu le Sieur Jacques Wurtz, laitier, et sous son assistance et autorisation D° Marie Catherine Noeppel, conjoints demeurant ensemble à Strasbourg, lesquels ont reconnu devoir bien et légitimement
à la Fabrique de l’Eglise protestante de Saint-Pierre-le-Jeune à Strasbourg, pour laquelle stipule et accepte M° Jean Georges Hickel, propriétaire demeurant à Strasbourg, son receveur, à ce présent (…) la somme de 4000 francs
hypothèquent spécialement 1) Une maison consistant en bâtiment de devant et de derrière avec cour, écurie, puits, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg au quartier Finckwiller N° 38, tenant d’un côté à Mad. Isenheim, de l’autre au Sr. Schleifer, parderrière la rue dite Daeumelgaessel ou rue St Marc.
2) Une autre maison sise à Strasbourg rue St Marc N° 8, consistant en bâtiment de devant, bâtiments latéraux et de derrière, cour, écuries, puits et dépendances, tenant d’un côté au Sr Haussmann, de l’autre formant le coin de l’impasse St Marx, donnant par derrière sur les bâtiments de l’hospice Sr Marc et pardevant sur la rue St Marc.
Etablissement de la propriété. Les débiteurs déclarent qu’ils sont devenus propriétaire de la maison sise rue finckwiller par l’acquisition qu’ils en ont faite du Sr Georges Herrel, charpentier et de D° Marie Thérèse Giess, conjoints demeurant à Neumühl (grand Duché de Bade) suivant contrat passé devant M° Hickel, Notaire à Strasbourg le 31 mars 1838 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 28 avril 1838 volume 332 N° 99 et inscrit d’office le même jour volume 279 numéro 2. Le prix de cette acquisition était de 8800 francs (…)
Et la maison sise dans la rue St Marc est devenue la propriété des époux Wurtz par l’acquisition qu’ils en ont faite de M. Jean Georges Freysz fils, commis négociant, M Jean Georges Freysz père boucher et Dlle Wilhelmine Freysz majeure sans profession tous demeurant à Strasbourg pour le prix de 12.000 francs suivant acte reçu aujourd’hui par M° Becker l’un des Notaires soussignés (…)
Etat civil et situation hypothécaire des débiteurs. Les débiteurs déclarent sous les peines de droit qu’ils sont dit bien connaître 1°) qu’ils sont mariés en premières noces et qu’avant leur union acuun d’eux n’avait contracté d’autre mariage
Police d’assurance. Compagnie française du Phénix, N° 34.648 du 22 décembre 1852, Wurtz Jean, laitier. Valeur assurée 30.000. Strasbourg rue du Finckwiller.
1. 11.000 francs sur une maison d’habitation faisant face à ladite rue, à rez de chaussée, un étage et grenier construit en pierre et bois et couvert de tuiles, escaliers en bois
2. 8000 francs sur un bâtiment derrière le précité et en retour sur la ruelle dite (-) à rez-de-chaussée, contenant écuries, étables, remises, un étage et grenier à foin et cellier, construit en briques et bois, couvert en tuiles, compris le mur de clôture de la cour. Total sur bâtiments 19.000 francs
Sur le mobilier consistant 1. en lits, literie, meubles, rideaux, quatre poêles dont deux en fayence et deux en fonte, tableaux, horloge, 1800
2. linge de toute espèce, habillemens des deux sexes, effets à la domestique 2800
3. ustensiles de ménage, de cuisine et de lessive, tonneaux 400
4. vaches et chevaux 3500,
5. foin, regain, paille et autre fourrage, bois de chauffage 2400
6. attelage, ustensiles de la laiterie, charriot, caisse à malte, 400, Totala assuré 30.000 francs. La présente police annullant celle N° 29.140 an date du 22 octobre 1847
Jacques Wurtz et Marie Catherine Nœppel vendent la maison à l’architecte Gustave Adolphe Zwicker
1857 (19.3.), Strasbourg 9 (112), Not. Becker n° 7460
Ont comparu M. Jacques Wurtz, laitier, et D° Marie Catherine Noeppel sa femme qu’il autorise, demeurant ensemble à Strasbourg, lesquels ont par les présentes vendu cedé et abandonné
à M Gustave Adolphe Zwicker, architecte demeurant à Strasbourg, à ce présent et acceptant
Une maison consistant en bâtiment de devant et de derrière avec cour, écurie, puits, appartenances et dépendances située à Strasbourg au quartier Finckwiller N° 38, tenant d’un côté à la propriété de M. Isenheim, de l’autre à celle de M. Schleifer, pardevant à la rue du finckwiller parderrière la rue St Marc, autrefois appelée Daeumelgaessel, Ainsi au surplus que cet immeuble se poursuit et se comporte (…) à l’exception d’une mangeoire en pierre de taille se trouvant dans l’écurie.
Au sujet de l’origine de la propriété de cet immeuble, les vendeurs font les déclarations suivantes. Les Sr et D° Wurtz sont devenus propriétaires de ladite maison pour l’avoir acquise de D° Marie Thérèse Gies, épouse du Sr Georges Herrel, charpentier avec lequelle elle demeurait alors à Neumühl, grand Duché de Bade, avant à Strasbourg aux termes d’un contrat passé devant M° Hickel Notaire à Strasbourg le 13 mars 1838 transcrit au bureau des hypothèques de la même ville le 28 avril 1838 volume 332 N° 99 avec inscription d’office du même jour volume 279 numéro 2.. Cette acquisition a eu lieu moyennant le prix de 8800 francs (…) Lors du contrat de vente qui vient d’être relaté, led. immeuble était grevé d’une rente foncière qui était due à la Ville de Strasbourg et dont les époux Wurtz se sont chargés par ledit contrat, engagement en exécution duquel ils en ont fait le rachat le 26 mars 1846 ainsi qu’ils en ont justifié à l’acquéreur qui le reconnaît. Ladite D° Herrel était d’abord propriétaire par indivis dud. immeuble avec les Sr Xavier Gies et Louis Joseph Gies ses deux frères qui tous trois l’avaient recueilli chacun pour un tiers dans les succession de Jacques Félix Nicolas Gies en son vivant cocher à Strasbourg et de D° Françoise Schuster leurs père et mère dont ils étaient les seuls héritiers ainsi qu’il résulte de l’inventaire après le décès desdits époux Gies, dressé par led. M° Hickel le 3 juillet 1822. Mais les deux frères sus nommés de la D° Herrel étant aussi décédés, savoir le Sr Louis Joseph Gies le 9 février 1826, en laissant pour héritiers sa sœur et son frère survivants et le Sr Xavier Gies le 28 janvier 1828 en laissant sa sœur pour seule et unique héritière la D° Herrel, sa sœur, cette dernière était devenue seule propriétaire de l’immeuble susdésigné ainsi qu’il résulte de l’inventaire après le décès dud. Sr François Xavier Gies dressé par ledit MM° Hickel le 9 février 1828. Feu les conjoints Gies avaient fait l’acquisition du même immeuble des Sr Jean Weiler père, boucher à Strasbourg, Sr Jean Weiler, homme de lettres à Paris et Sr Jean David Weiler, boucher à Strasbourg aux terles d’un contrat de vente passé devant M° Uebersaal, notaire à Strasbourg le 13 germinal an 10. Le prix de cette acquisition était de 4937 francs – moyennant 11.400 francs
A ‘instant les vendeurs ont remis à l’acquéreur qui le reconnaît (…) 1° une expédition d’une convention faite avec un voisin de la maison vendue passé devant M° Dautel notaire à Strasbourg le 18 août 1869, cette expédition écrite sur papier non timbré, 4° et des expéditions de différents anciens titres de propriété passés à la ci devant Chambre des Contrats de la Ville de Strasbourg les 8 novembre 1637, 21 mars 1663, 13 juin 1691 et 30 août 1721, toutes ces expéditions écrites sur du parchemin non timbré
acp 458 (3 Q 30 173) f° 54-v du 20.3.
Fils du boulanger Jean Frédéric Zwicker, Gustave Adolphe Zwicker épouse en 1857 Elise Emilie Trumpff, fille du brasseur Geoffroi Trumpff. Les apports du mari comprennent la maison
1857 (6.8.), Strasbourg 4 (115), Not. Lauth (Auguste Frédéric) n° 8289
Mariage du 6 avril 1857 – ont comparu M. Gustave Adolphe Zwicker, architecte demeurant et domicilié à Strasbourg, fils majeur et légitime de M. Jean Frédéric Zwicker, boulanger et de Dame Caroline Breitling décédés conjoints en ladite ville, stipulant pour lui et en son nom, comme futur époux
Et Dlle Elise Emelie Trumpff, sans état, fille légitime et mineure de feu M. Geoffroi Trumpf en son vivant brasseur à Strasbourg et de Dame Marie Elisabeth Stephan, sa veuve, avec laquelle elle demeure et est domiciliée à Strasbourg, stipulant pour elle et en son nom comme future épouse d’autre part
Et Madame veuve Trumpf cidessus nommée qualifiée et domiciliée, intervenant pour assister et autoriser la future épouse sa fille de troisième part
Article quatrième. Le futur époux déclare que ses apports consistent ainsi qu’il est à la parfaite connaissance de la future épouse savoir 1. En une maison se composant de plusieurs corps de bâtiments, avec cour, puits et dépendances sise à Strasbourg rue Finckwiller N° 38, tenant d’un côté au Sr Schleiffer de l’autre côté à la dame Issenheim et tirant par derrière sur la rue St Marc. Cet immeuble a été acquis par le futur époux suivant contrat de vente passé devant M° Becker notaire à Strasbourg le 19 mars dernier
2. dans le tiers d’une maison à rez de chaussée et étage, avec écuries, étables, puits et jardin, d’une superficie d’environ 30 ares, sise au ban de Strasbourg hors la porte d’Austerlitz près la tuilerie du Rhin tenant d’un côté à Georges Michel, de l’autre côté à une propriété dite Jaegerhof, appartenant à la Ville de Strasbourg. Cet immeuble est échu au futur époux dans les successions de ses père et mère
3. en meubles meublants et objets mobiliers estimés à la somme de 1030 Frantzs
4. en matériel de construction et en approvisionnement de briques et de chaux estimés à 1660 francs
acp 462 (3 Q 30 177) f° 37-v du 11.8. Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié. Les apports du futur consistent (supra) 5. créances 6500, 6) argent comptant 24050, 7) extances 2000
Les apports de la future consistent dans sa part dans la succession de son père, dressée par inventaire reçu Lauth Nre le 12 mars 1855 sur laquelle fortune sa mère lui a fait délivrance d’objets mobiliers jusqu’à concurrence de 1710 francs
Donation réciproque par les futur époux de toute sa succession réduite à moitié en cas d’existence d’enfants issus du futur mariage
Elise Emilie Trumpf meurt en 1858 en délaissant un fils
1858 (5.10.), Strasbourg 4 (116), Not. Lauth n° 8763
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Gustave Adolphe Zwicker et Elise Emilie Trumpf
L’an 1858 le Mardi 5 octobre à huit heures du matin, à la requête de M. Gustave Adolphe Zwicker, architecte&n demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant dans les qualités suivantes 1. à cause de la communauté de biens qui avait existé entre lui et Dame Elise Emilie Trumpf, son épouse défunte aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Lauth, l’un des notaires soussignés, le 6 août 1857, enregistré et dont une expédition sera ci après inventoriée, 2. comme légataire en usufruit pendant sa vie sans être tenu de donner caution ni de faire emploi, de la moitié de tous les biens meubles et immeubles sans aucune exception, dépendant de la succession de son épouse défunte aux termes du susdit contrat de mariage, 3. comme père et père et tuteur légal de de Gustave Adolphe Zwicker, né le 5 mai dernier, son enfant mineur isus de son mariage avec sadite défunte épouse, 4° et comme ayat la jouissance légale des biens de son enfant mineur jusqu’à ce qu’il soit émacipé ou qu’il ait atteint sa 18° année aux termes de la loi et aux charges de droit, eldit mineur Gustave Adolphe Zwicker habile à se dire et porter seul et unique héritier de feu Mad. Zwicker sa mère. Et en présence de M. Jean Georges Michel, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg, n sa qualité de subrogé tuteur dudit mineur, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg
me tout trouvé dans une maison sise à Strasbourg rue du Finckwiller n° 10 où Madale Zwicker est décédée le 14 août dernier
acp 472 (3 Q 30 187) f° 80-v du 6.8.br – Communauté, mobilier provenant de cadeau de tous ses frères et sœurs 277, mobilier 1648, garde robe 434, communauté argent comptant 2550
Gustave Adolphe Zwicker meurt en 1875 en délaissant le fils issu d’Elise Emilie Trumpff
1875 (1.9.), Strasbourg 8 (94), Not. Gustave Edouard Loew n° 7468
Notorietäts urkunde, 1. September 1875 – (…) daß Herr Gustav Adolphe Zwicker, Baumeister, wohnhaft zu Straßburg am 26. Juni laufenden Jahres zu Straßburg verstorben ist, daß Inventar nach seinem Tode nicht errichtet wurde, und daß er zu einzigen Erben seinen unter Hauptvormundschaft des Rentners H. Johann Feÿß in Straßburg stehenden Sohn Adolph Zwicker hinterließ, geboren den 5. Mai 1868 aus seiner Ehe mit der verstorbenen Frau Elise Emilie Trumpff
acp 643 (3 Q 30 358) f° 43 du 9.9.
Son fils Gustave Adolphe Zwicker épouse Caroline Matern à Noisy-le-Sec en 1883
1883 (8.6.), M° Pierron
Einwilligung durch Maria Elise Stephan Wittwe von Gottfried Trumpf zu Straßburg in die Ehe ihres Enckels Gustav Adolph Zwicker zu Noisy le Sec mit Caroline Matern daselbst
acp 738 (3 Q 30 453) f° 32-v du 13.6.
den 18. Juni. – Einwilligung durch Marie Elise Stephan Wittwe von Gottfried Trumpf hier in die Ehe ihres Enckels Gustav Adolph Zwicker zu Paris mit Caroline Mattern daselbst
acp 738 (3 Q 30 453) f° 37-v du 18.6.
Gustave Adolphe Zwicker vend la maison au comptable Charles Schott et à sa femme Wilhelmine Wurtz quant à l’usufruit viager et à leurs quatre enfants quant à la nue-propriété
1866 (2.5.), M° Noetinger
Gustave Adolphe Zwicker, architecte à Strasbourg
à Charles Schott, comptable et Wilhelmine Wurtz sa femme à Strasbourg de l’usufruit viager et à Charles Daniel Thiébaut Schott, Wilhelmine Marie Louise Schott, Elise Mathilde Schott, Emma Marguerite Schott, les quatre mineurs à Strasbourg de la nue-propriété
d’une maison sise à Strasbourg quartier Finckwiller n° 38, moyennant 13.000 payés comptant. Origine, vente reçue M° Becker Nre à Strasbourg le 19 mars 1857
acp 553 (3 Q 30 268) f° 100-v du 3.5.
Charles Schott épouse en 1845 Wilhelmine Wurtz, native de Dorlisheim
Mariage, Dorlisheim (n° 13)
Le 9° jour du mois de décembre 1845 à neuf heures du matin. Acte de mariage de Charles Schott, âgé de 26 ans, né à Strasbourg (Bas Rhin) le 26 novembre 1819, profession de Brasseur, domicilié à Strasbourg, fils légitime Majeur de Michel Daniel Schott, âgé de 55 ans, propriétaire domicilié à Strasbourg ci présent et consentant et de feu Anne Marie Jost en son vivant sans profession domiciliée à Strasbourg décédée le 18 juillet 1841 à Strasbourg, et de Wilhelmine Wurtz, âgée de 22 ans, née à Dorlisheim le 9 mars 1823, sans profession, domiciliée à Dorlisheim, fille légitime majeure de Thiébaut Wurtz âgé de 64 ans, profession de cultivateur domicilié à Dorlisheim ci présent et consentant et d’Anne Marguerite Dahlen âgée de 60 ans sans profession domiciliée à Dorlisheim ci présente et consentante (i 8)
Déclaration d’apports
1847 (3.4.), Strasbourg 12 (171), Not. Noetinger n° 19.200
3 avril 1847. – Ont comparu Mr Charles Schott, brasseur & Dame Wilhelmine Wurtz, son épouse demeurant à Strasbourg faubourg national. Lesquels ont dit que par le contrat de mariage passé devant M° Fuchs notaire à Moltzheim le 23 novembre 1845, enregistré, Mr Thiébaut Wurtz, propriétaire & Dame Marguerite Dahlen, son épouse, père et mère de la Dame Schott, demeurant à Dorlisheim, ont constitué en dot à cette dernière une somme de 15.000 francs (…) Que pour éviter la confusion des objets mobiliers qui composaient le trousseau à eux délivré par les donateurs (…)
acp 359 (3 Q 30 074) f° 79
Liquidation des reprises de Wilhelmine Wurtz après la faillite de Charles Schott
1847 (10.6.), Strasbourg 12 (171), Not. Noetinger n° 19.357
10 juin 1847. Liquidation de reprises – A comparu Dame Wilhelmine Wurtz épouse de Mr Charles Schott, brasseur demeurant avec lui à Strasbourg, séparée quant aux biens de son mari suivant jugement contradictoire rendu par le Tribunal de première instance séant à Strasbourg le 31 mai dernier (…) laquelle a dit que pour arriver à l’exécution de ce jugement qui prononce la séparation de biens (…) elle a fait sommation au Sieur Schott son mari & à M. Jean Jacques Lauth, meûnier demeurant à Strasbourg en qualité de syndic établi à la faillite du Sr Schott de se trouver aux présents jour et heure en l’Etude dudit M° Noetinger (…)
acp 362 (3 Q 30 077) f° 25-v – De laquelle il résulte que suivant son contrat de mariage reçu M° Fuchs à Molsheim le 23 novembre (-) elle a apporté un Trousseau d’une valeur de 3000 francs, qu’il lui est dû aux termes du même acte une somme qui lui a été constituée en dot de 12.000 francs, 3° que son mari solidairement avec elle a souscrit une obligation de 13.000 francs au profit du Sr Heckmann par acte reçu Zimmer notaire à Strasbourg le 25 février 1846 sur laquelle somme elle réserve ses droits d’hypothèque légale
Wilhelmine Wurtz meurt en 1867 en délaissant quatre enfants
1867 (28.6.), M° Noetinger
Inventaire de la succession délaissée par Wilhelmine Wurtz épouse de Charles Schott, commis négociant à Strasbourg séparée de biens suivant jugement rendu par le tribunal civil de Strasbourg le 31 mai 1847.
A la requête du veuf comme père et tuteur de 1° Thiébaut Daniel Charles, 2° Marie Louise Wilhelmine, 3° Mathilde Elise et 4° Marguerite Emma Schott et comme usufruitier d’une maison quartier Finckwiller et d’une somme de 12.000 francs
acp 563 (3 Q 30 278) f° 49 du 4.6. (succession déclarée le 1 juillet 1867)
Succession, créances 71.646
63 ares 46 terres prés & vignes ban de Dorlisheim, Mobilier 2820
Wilhelmine Wurtz lègue à son mari Charles Schott l’usufruit viager de la maison
1867, M° Noetinger
30 mai 1866 – Donation par Wilhelmine Wurtz épouse de Charles Schott, comptable à Strasbourg
à sondit mari de l’usufruit de sa maison quartier Finckwiller& N° 38 et de l’usufruit d’une somme de 12.000 francs
acp 560 (3 Q 30 275) f° 72 du 28.1.
1868 (28.1.), M° Noetinger
Renonciation par Charles Schott, comptable à Strasbourg à la donation en usufruit lui revenant en vertu d’un acte reçu Noetinger le 30 mai 1866 et à lui faite par Wilhelmine Wurtz sa femme décédée le 23 janvier 1867 mais en tant seulement que cet usufruit concerne une maison sise à Strasbourg rue Finckwiller N° 10 acquise par acte reçu Noetinger le 2 mai 1866 pour l’usufruit au profit des conjoints Schott et du survivant d’eux
acp 565 (3 Q 30 280) f° 169-v du 29.1.
Les enfants et héritiers de Wilhelmine Wurtz vendent la maison au tonnelier Frédéric Edouard Martzolff et à sa femme Caroline Wendling
1875 (3.8.), M° Metz
30. Juni – Bedingnisheft zur Versteigerung einer zu Straßburg, Finckweiler N° 10 früher N° 38 auf Anstehen der Erben von Wilhelmine Wurtz Ehefrau von Karl Schott Kaufmann in Straßburg wohnhaft – acp 643 (3 Q 30 358) f° 5 du 2.8.
3. August – Verkauf durch 1) Carl Schott, Kaufmann in Straßburg als Nutznießer,2) Carl Schott, Kaufmann in Straßburg, 3) Marie Louise Schott, 4) Mathilde Elise Schott, ohne Gewerben 5) Margaretha Emma Schott, ohne Gewerbe, alle zu Straßburg
zu Gunsten von Friedrich Edouard Martzolff, Küfer, und Caroline Wendling seiner Ehefrau zu Straßburg
von einem Hause zu Straßburg Finckweiler Gasse N° 38, zu 21.000 Mark. Erwerbs Titel, Kauf Noetinger Nr. zu Straßburg den 2. Mai 1866
acp 642 (3 Q 30 357) f° 62-v du 11.8.
Fils du tisserand Jean Daniel Marzolff, Frédéric Edouard Martzolff épouse en 1862 Caroline Wendling, fille du cordonnier Jean Jacques Wendling
1862 (5.9.), Strasbourg 4 (121), Not. Lauth n° 10.356
Mariage du 5 septembre 1862. – ont comparu M. Frédéric Edouard Marzolff, garçon tonnelier chez M Butz, tonnelier à Strasbourg, demeurant et domicilié en cette ville, fila majeur de M. Jean Daniel Marzolff, en son vivant tisserand et de Dame Catherine Barbe Braun, sa veuve, demeurant et domiciliée en cette ville, stipulant pour lui et en son nom du consentement de sa mère, ainsi qu’il le déclare, comme futur époux d’une part
Mademoiselle Caroline Wendling, sans état, demeurant et domiciliée à Strasbourg, fille majeure de M. Jean Jacques Wendling, cordonnier et de Dame Anne Marie Anthès, son épouse demeurant et domiciliés en ladite ville, stipulant pour elle et en son nom du consentement de ses père et mère, comme future épouse d’autre part
Et M et Madame Wendling, père et mère ci-dessus nommés, qualifiés et domiciliés, la femme du mari autorisée, agissant pour assister et autoriser la future épouse leur fille & à cause de la constitution de dot qu’ils vont lui faire ci après
acp 513 (3 Q 30 228) f° 97-v du 6.9. stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent dans sa part non liquidée dans la succession de Jean Daniel Marzolff vivant tisserand son père & de Jean Charles Marzolff son frère
Donation par les conjoints Wendling à la future épouse leur fille en avancement d’hoirie d’un mobilier estimé à 803 francs
Donation réciproque par les futurs au survivant d’eux de l’usufruit de toute la succession
Le propriétaire Marzolff vend à la Ville de Strasbourg le terrain en avant de l’alignement
1875 (2.11), Maire
3588. Verkauf durch Hr Marzolff Eigenthümer zu Straßburg
an die Stadt Straßburg zur Herstellung des alignement der Stadt
von 19 Q Meter 53 Q Decimeter Parzelle von einem Eigenthum Finkweilergasse N° 10 zu trennen, um sie mit der Straße zu vereinigen, zu 168 Mark
acp 646 (3 Q 30 361) f° 31 du 16.11.
Frédéric Edouard Martzolff meurt en 1888 en délaissant six enfants. L’inventaire mentionne la maison rue Finckwiller et une autre boulevard de Saverne (ensuite boulevard Poincaré)
1889 (5.1.), M° Keller
Erbverzeichnis nach dem zu Straßburg am 30. August 1888 erfolgten Absterben des Küfermeisters Friderich Eduard Martzolff
5. und 7. Januar. Auf Ansuchen von I. Caroline Wendling, ohne Gewerbe in Straßburg wohnhaft, Wittwe des p. Martzolff, handelnd eigenen Namens wegen der Errungenschafts Gemeinschaft welche auf Grund Ehevertrags vor dem früheren Notar Lauth in Straßburg am 5. September 1862 zwischen ihr und ihrem Ehemann bestanden hat und als Schenknehmerin der lebenslänglichen Nutznießung der Hälfte des Nachlasses ihres Ehemanns auf Grund des obenerwähnten Ehevertrags, ferner als Vormünderin ihrer nachgenannten in der Ehe mit p Martzolff erzeugten noch minderjährigen Kinder a) August Emil Martzolff, b) Mathilde Emma Martzolff, c) Eduard Ernst Martzolff & d) Johanna Pauline Martzolff,
II. Carl Philipp Eduard Martzolff, Küfermeister in Straßburg hendelnd eigenen Namens und als Nebenvormund der genannten minderjährigen, III. Friderich Alfred Martzolff, Bildhauer in Straßburg
die unter I a, b, c d, II und III genannten sind die einzigen Kinder und Erben des Frantz Eduard Martzolff zu 1/6.
acp 811 (3 Q 30 526) f° 4-v n° 3940 du 11.1. die Fahrnisgegenstände der Gemeinschafft sind geschätzt zu M 1906, die Kleider der Erblassers zu 117
Ein Wohnhaus in Vorder und Hintergebäude nebst Hof, Ställen Brunnen und Zubehör zu Straßburg in Finkweiler, Finkweilergasse N° 38 alt, N° 10 neu
Der Erblasser bespricht von der Gütergemeinschaft Ersatz des Eheheingringens 1) für die Mobilien die er geerbt und in die Ehe eingebracht hat 100, b) für baares Geld 1600, c) für ein Sekretär 80, zusammen 1780
die überlebende Wittwe bespricht ebenfalls für Ersatz des Eheheingringens 1) für Mobilien die nicht mehr in Natur vorhanden sind 643, 2) und für baares Geld 480, zusammen 1123
Zum Sondervermögen der überlebenden Wittwe gehört ein Wohnhaus mit Erdgeschoß und drei Stockwerken zu Straßburg Zabernerring N° 23. Die Wittwe hat das Terrain, worauf das Haus errichtet ist, licitationswiese durch Urkunde des früheren Notars Koerttge zu Straßburg vom 14. Jnui 1872 zum Preise von 1200 erworben, Die Gebäude, welche auf diesem Terrain gestanden haben, sind im Jahre 1870 während des Bombardements von Straßburg zerstört worden und ist dafür eine Entschädigung vom M 17.600 bezahlt worden, welche während der Gemeinschafft bezogen worden ist. Die heute vorhandenen Gebäulichkeiten sind dann mit einem Kostenaufwande von rund 40.000 Mark errichtet worden
Die Wittwe hat im Nachlasse irrer Mutter eine Summ von 2400 Mrk geerbt, Dieser Intrag ist durch die Gemeinschaft zu ersetzen. Das Terrain ist geschätzt zu M 5000 und die Gebäulichkeiten zu M 27.000, zusammen 32.000
Die Passivmasse der Gemeinschaft beträgt 41.984. Mietzinse am Todestage 496
Leur fils Charles Philippe Edouard Marzolff est ensuite propriétaire. Il épouse en 1897 Louise Sophie Eugénie Lang
Mariage, Strasbourg (n° 186)
Straßburg am 9 März 1897 Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Küfermeister Karl Philipp Eduard Marzolff, evangelischer Religion, geboren den 23. Juni des Jahres 1863 zu Straßburg wohnhaft zu Straßburg, Sohn des verstorbenen Küfermeisters Friderich Eduard Marzolff, wohnhaft zuletzt zu Straßburg und dessen Ehefrau Caroline geborene Wendling wohnhaft zu Straßburg 2. die gewerblose Luise Sophie Eugenie Lang, evangelischer Religion geboren den 27. Januar des Jahres 1866 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg Tochter des verstorbenen Schreinermeisters Frantz Conrad Lang, wohnhaft zuletzt zu Straßburg und dessen Ehefrau Friederike Caroline geb. Haas wohnhaft zu Straßburg (i 16)