66, Grand rue


Grand rue n° 66 – VII 127 (Blondel), P 774 puis section 1 parcelle 96 (cadastre)

Nouveau bâtiment (n° 64-66) en 1909, maître d’ouvrage Dieudonné Barth, mécanicien, architecte Théophile Berst
Détruit par le bombardement aérien du 25 septembre 1944.
Nouveau bâtiment, 1958


Aspect actuel (août 2025), le numéro 66 comprend les deux premières fenêtres dans la Grand rue (à droite), les fenêtres suivantes forment le n° 64
Façades des 66 et 64 Grand rue, construites en 1909 (dossier 798 W 153) – Façade arrière en forme de véranda, construite en 1909 (AMS, 1 Fi 89, 146)

La maison dont le pignon est commun avec la voisine à l’angle de la ruelle des Meuniers a un auvent de dix-sept pieds de long d’après le Livre des communaux (1587). Les maisons à pignon commun ont pendant quelques années le même propriétaire (1590-1599). Le futur n° 66 qu’achète le menuisier Jean Esel reste aux mains de la famille Frentz jusqu’en 1686. Elle appartient ensuite au chaudronnier Martin Kugler puis (1714) au pasteur Jean Jacques Moscherosch qui est logé par la paroisse Saint-Pierre-le-Vieux. D’après le billet d’estimation de 1752, elle a un rez-de-chaussée et deux étages et un petit bâtiment arrière où se trouvent plusieurs petites chambres. Les propriétaires suivants sont fariniers (Philippe Henri Wiedenmeyer, André Kügler puis Joseph Schababerlé).


Plan-relief de 1727 (Musée historique, cliché Thierry Hatt) entre la rue des Meuniers à gauche et la rue de l’Aimant à droite. La maison est la partie droite du bâtiment d’angle à pignon

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 125 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve à droite du repère (u) : demi pignon de droite, fenêtre et porte au rez-de-chaussée, deux étages à deux fenêtres chacun, une fenêtre sous combles. La cour J montre l’arrière (1-2) du bâtiment sur rue, le bâtiment latéral (1-4) à l’ouest de la cour, le mur (3-4) au fond de la cour et la propriété voisine (2-3) à l’est.
La maison porte d’abord le n° 45 (1784-1857) puis le n° 68.


Cours K et J – Façade en 1901, Plan du nouveau bâtiment (1902, dossier 798 W 153)

La maison appartient à partir de 1836 au fabricant de savon et de chandelles Georges Richert qui y exerce son industrie en s’associant à différentes reprises. Félix Koch reprend l’affaire après sa mort en 1871.
La maison voisine (n° 68) à l’angle est démolie en 1907 pour élargir la ruelle des Meuniers. Le numéro 66 devient alors le bâtiment d’angle. Le mécanicien Dieudonné Barth achète en 1895 le n° 64 puis en 1899 le n° 66. Il charge en mai 1909 l’architecte Théophile Berst de construire un bâtiment à trois étages (deux étages et un étage mansardé) servant à l’habitation et au commerce sur le sol des numéros 64 et 66 en aménageant une véranda dans la partie arrière vers la ruelle des Roses. Les anciens bâtiments sont démolis en juin 1909, les nouveaux terminés fin janvier 1910.


Elévation sur la rue des Meuniers – Partie de la même élévation selon l’avenant – Elévation arrière (1909, dossier 798 W 153) – Photographie de Charles Spehner (1 Fi 146)

Le n° 66 (4,80 mètres de long sur la Grand rue et 29,40 mètres sur la rue des Meuniers) est détruit par le bombardement aérien du 25 septembre 1944. La partie très endommagée à l’angle des rues subsiste jusqu’au deuxième étage, la partie faisant suite et l’appendice comprenant passage et véranda sont détruits jusqu’aux fondations. Un nouveau bâtiment est construit en 1958.


Photographie de 1976 (dossier 798 W 153)

septembre 2025

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1580 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Hubert Bolohn von der Rosen, marchand, et Elisabeth Sturm, veuve de l’aubergiste Ulrich Loth
1585* Sébastien Kohler, teinturier, et (1582) Ursule Haas, remariée (1588) avec le cordonnier Martin Sachs – luthériens
1597 h Jean Biber, teinturier, et (1575) Elisabeth Atz, puis (1597) Ursule Haas, d’abord (1582) femme du cordonnier Martin Sachs, puis (1610) Madeleine Schan, d’abord (1592) femme du relieur Gaspard Musculus – luthériens
Jean Kling, tailleur, et (1593) Barbe Kesselmann – luthériens
1599 v Jean Esel, menuisier, et (1573) Catherine Frentz – luthériens
1614* h Gérard Frentz, arquebusier, et (1614) Ursule Meyer – luthériens
1631 v Oswald Jüngling, soldat puis revendeur, et (1625) Barbe, veuve du jardinier Michel Merckel, puis (1629) Jeanne Dœrhœffer, veuve du cordonnier Michel Frentz, remariée (1634) avec le tailleur Michel Reiss – luthériens
(aux suivants par) Gérard Frentz, menuisier, et (1641) Susanne Briel – luthériens
1650 h Jacques Frentz, revendeur, et (1666) Anne Marie Ring – luthériens
Michel Frentz, pasteur, et (1674) Anne Marie Ziegler – luthériens
1686 v Martin Kugler, chaudronnier, et (1687) Anne Marie Stempffer – luthériens
1714 v Jean Jacques Moscherosch, pasteur, et (1686) Susanne Marie Silberrad – luthériens
1727 h Jean Jacques Moscherosch, marchand, et (1716) Susanne Saltzmann – luthériens
1753 v Philippe Henri Wiedenmeyer, farinier, et (1752) Susanne Marie Geyler – luthériens
1780* h André Kügler, farinier, et (1778) Susanne Marie Wiedenmeyer – luthériens
1817 v François Joseph Schababerlé, farinier, et (1818) Marie Victoire Merglé
1836 v (copropriétaires) Hubert Richert, fabricant de chandelles, célibataire († 1848)
Georges Richert (ci-dessous)
1848 v Georges Richert, fabricant de chandelles, et (1850) Françoise Goldbach
1871 adj Félix Koch, fabricant de savon, et (1864) Marguerite Duttiné
1892 adj Benjamin Weil, commerçant, et (1897) Charlotte Rothschild
1899 v Chrétien Dieuloué Barth (Dieudonné Barth), mécanicien, et (1882) Caroline Müller
1922 h (indivision) Guillaumette Caroline Barth et (1911) Jacques Henri Rupp, maître serrurier
Jeanne Marguerite Barth et (1922) Louis Eugène Steck, négociant

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 375 livres en 1726, 500 livres en 1752, 600 livres en 1778

(1765, Liste Blondel) VII 127, Philippe Henry Windenmeÿer
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Widemeÿ, 2 toises, 3 pieds et 4 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 774, Richert, Hubert, fabricant de chandelles – maison, sol, cour attelier – 0,98 are

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 197
La veuve de Sébastien Koler doit 10 sols pour un auvent (17 pieds de long, saillie de trois pieds), une marche dallée (17 pieds de long, saillie de 4 pieds ½)

Anderseits Oberstraßen beÿ dem Zollthörlein wider hienein gemeßen
Sebastians Kolers Wittwe hatt vor Ihrem Hauß ein Wettertach xvij schu lang, vnd iij schu herauß, Vnden ein besetzten Tritt xvij schu lang, vnd v= schu herauß, Bessert für das Niessen, x ß d.

Description de la maison

  • 1726 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un vieux bâtiment accessoire, plusieurs poêles, chambres, chambre à marchandises, chambre à soldats, boutique et bureau, vestibule où se trouvent le fourneau et le puits, cave en partie voûtée en partie solivée, estimée avec appartenances et dépendances à la somme de 750 florins
  • 1752 (billet d’estimation traduit) La maison comprend à côté de l’entrée la boutique et le bureau, au premier étage un poêle, cuisine et vestibule, au deuxième étage deux chambres, au-dessus le comble à double couverture de tuiles plates, une cave en partie voûtée en partie solivée, un puits et une petite cour, item un petit bâtiment arrière comprenant plusieurs petites chambres, comble à double couverture de tuiles plates, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1000 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Grand’rue (en partie)

nouveau N° / ancien N° : 87 / 47
Widemeyer
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages médiocres en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 150 case 3

Richert Hubert, fab. de chandelles

P 774, atelier, maison & cour, sol, Grand’rue 46
Contenance : 0,98
Revenu total : 95,51 (95 et 0,51)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 24
fenêtres du 3° et au-dessus : 2

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 499 case 2

Richert, Hubert, fabricant de chandelles
1873 Koch, Felix Seifensieder
93/94 Weill, Benjamin, Kaufmann
1900 Barth, Gottlieb, Mechaniker

P 774, atelier, maison, sol, Grand’rue 66
Contenance : 0,98
Revenu total : 95,51 (95 et 0,51)
Folio de provenance : (150)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 24
fenêtres du 3° et au-dessus : 2

Cadastre allemand, registre 29 page 10 case 4

Parcelle, section 1, n° 96 – autrefois P 774
Canton : Langstraße N° 66
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,17 / 1,96
Revenu : 1100 – 1700 – 2100 – 5500
Remarques : 1910 Zg v. F. 3 u. 10 – 1911 Neubau
Maßurkunde 9/1910
[F. 3, n° 64, F. 10 Roßengäßchen 1]

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1940), compte 136
Barth Gottlieb
clos 1940

(Propriétaire à partir de l’exercice 1940), compte 6084
Barth Chrétien Dieudonné les héritiers

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 221 La Grand’Rue à gauche p. 345

46
Pr. Widemeyer, veuve – Lanterne
Loc. Stoecklin, Chrétien, garç. maçon – Manant
Loc. Kügler, André, farinier- Lanterne
Loc. Fischer, Phil. Jacques – Cordonniers
Loc. Siefert, J. Daniel, cuvier, journalier – Tonneliers
Loc. Gerig, Fred. Jacq., peintre – Manant

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Langstrasse (Seite 97)

(Haus Nr.) 66
Israel, Schuhhändler. 01
Mattke, Kaufmann. 2
Müller, Handelsmann. 2
Tiesler, Schreinermstr. 2

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 798 W 153)

Grand-rue, n° 66 (1884-1981)

Le locataire Bentz fait aménager en 1892 un fumoir et un chaudron à chauffer l’eau. Le charcutier Auguste Riedel fait installer en 1896 une machine électrique. G. Barth fait poser en 1901 une devanture en bois dans la partie qui dépasse de l’alignement légal.
Un incendie se déclare dans les combles en avril 1909, il n’y aura pas de réparations puisque le bâtiment va être démoli. Le propriétaire Barth charge en mai 1909 l’architecte Théophile Berst de construire un bâtiment à trois étages (deux étages et un étage mansardé) servant à l’habitation et au commerce à l’angle de la Grand rue et de la ruelle des Meuniers sur le terrain des numéros 64 et 66 en tenant compte de l’intérêt historique et artistique du quartier entre le Bain-aux-Plantes et la Grand rue. La hauteur réglementaire est dépassée sur une longueur de 1,10 mètre dans la rue des Meuniers, les murs extérieurs seront en partie exécutés en bois de chêne. Le conservateur des monuments historiques Wolff n’a pas d’objection à faire contre la démolition des bâtiments 64 et 66, Grand rue. Le maire accorde l’autorisation de construire en mai 1909 bien que la cour n’atteigne pas la dimension réglementaire. L’entrepreneur Dreiss démolit les bâtiments en juin 1909. L’architecte Berst est autorisé en octobre 1909 à employer du pin au lieu du chêne pour la véranda. La société Jean Rothuss réalise les travaux de gros œuvre à partir de juillet 1909. Le bâtiment est terminé fin janvier 1910, la réception finale a lieu en avril 1910.
Le propriétaire Barth et l’architecte Théophile Berst sont autorisés en août 1910 à agrandir l’atelier puis en novembre à supprimer un pilier du local du rez-de-chaussée qui doit servir de magasin d’automobiles mais les travaux n’ont pas lieu.
Le bâtiment a été entièrement détruit par le bombardement aérien du 25 septembre 1944. Un nouveau bâtiment est construit en 1958. Les Meubles Idéal font transformer en 1960 la porte d’entrée à l’angle de la rue des Meuniers.

Marchand d’œufs Hœrnlé (1894), boucher Auguste Riedel (1896), boucher Bernard Metzger (1900), marchand de chaussures en gros Léon Israel (1902), Bazar populaire de Gustave Raabe (1920, 1923, 1926, 1942), marchands d’œufs en gros Luchinger et Œstelin (1922), Etablissements alsaciens des Bois Contreplaqués (1924), comptoir d’habillement Rosenblum et Singer (1926), Fabrique rhénane de Craies, couleurs et vernis (1929), photographe Henri Mayer (1933-1937), couleurs et vernis R. Bruck (1936) puis Jean Steckel (Farwelaade, 1962), Meubles Idéal (1960, 1968, Ligne Roset 1973), La Vie Claire (1966), prêt-à-porter Vanessa (1976-1890)


Papier à lettres du Bazar populaire (1926, extrait du dossier)

Sommaire
  • 1884 – Le maire notifie Félix Koch (demeurant 25, route de Colmar) de faire ravaler la façade du n° 66 – Travaux terminés, août 1885
    1889 – Le maire notifie la fabricante de savon veuve Koch de faire ravaler la façade du n° 66 (premier courrier envoyé au n° 66, deuxième 25, route de Colmar) – Travaux terminés, octobre 1889
  • 1884 (août) – Le commissaire de police constate que les eaux usées stagnent dans la cour aux endroits où manquent les dalles. Le tuyau d’aération a été installé dans le cabinet d’aisance un an auparavant.
  • 1892 – Le maire constate que l’entrepreneur Hansmann fait des travaux sans autorisation pour le compte du commerçant Weil (propriétaire demeurant 8, Faubourg de Pierre). – L’entrepreneur déclare qu’un locataire a fait faire des travaux que le propriétaire pensait avoir été autorisés – Autorisation de réaliser un fumoir, un chaudron à chauffer l’eau et des modifications mineures – Note, les travaux terminés sont réglementaires, la cour ne sera pas recouverte. – Dessin (projet pour aménager une charcuterie dans le bâtiment du sieur Bentz 66, Grand rue, vue du chaudron et du fumoir)
  • 1892 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le locataire E. Bürckle soit autorisé à faire une prise pour environ cinq becs – Autorisation
  • 1894 – Le commerçant Hœrnle demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire (inscription Œufs) – Autorisation – Travaux terminés.
    La Police du Bâtiment constate que le même a fait poser une ligne téléphonique au-dessus de la rue jusqu’au n° 55 (auberge au Moulin du sieur Kling) – Le maire écrit au propriétaire – Note, la ligne est posée avec l’autorisation de l’administration des télégraphes, l’affaire est considérée comme classée.
  • 1895 – Le maire notifie le commerçant Benjamin Weil (propriétaire demeurant 8, Faubourg de Pierre) de faire ravaler la façade du n° 66 – Le propriétaire demande de reporter le ravalement parce qu’il a l’intention de faire d’importantes réparations l’année suivante. – La Police du Bâtiment constate que la façade est très sale et qu’il faudrait au moins la laver – La façade a été repeinte à l’huile, décembre 1895.
  • 1896 – Le charcutier Auguste Riedel demande l’autorisation d’installer un moteur électrique – Le maire transmet la demande à l’inspecteur des établissements industriels (kaiserlicher Aufsichtsbeamte für Fabrikbetriebe) qui fournit la liste des conditions à respecter – Autorisation – La machine est en service, avril 1897.
    1896 (novembre) – Le même demande au commissaire de police l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Nouvelle demande au maire, décembre 1897 – Autorisation accordée le 27 décembre 1897 – L’enseigne est posée, février 1898
  • 1899 – La Commission contre les logements insalubres constate que les solives de la cave sont en mauvais état. Le maire demande au propriétaire Barth (demeurant 57, Fossé des Tanneurs) de faire des travaux – Travaux terminés, décembre 1899
  • 1900 – La Police du Bâtiment constate que le maître boucher Bernhard (sic) a fait poser une enseigne perpendiculaire sans autorisation – Le boucher Bernard Metzger demande l’autorisation de transférer son enseigne du 20, Fossé des Tanneurs – Autorisation – Dossier classé
  • 1901 (novembre) – L’entrepreneur M. Ludæscher demande au commissaire de police l’autorisation d’occuper la voie publique (trottoir) pendant cinq jours – Le commissaire de police transmet au maire – Autorisation d’entreposer des matériaux devant la maison Barth – Dossier classé, décembre 1901
    1901 (octobre) – G. Barth (demeurant 57, Fossé des Tanneurs) demande l’autorisation de poser une devanture dans la partie qui dépasse de l’alignement légal – Autorisation de faire une devanture en bois – Travaux terminés, mars 1902 – Dessin (façade et devanture, devanture de face, en coupe) signé par l’architecte F. Illinger
  • 1902 – Le grossiste Léon Israel demande l’autorisation de poser des crochets pour suspendre des articles de mercerie – Autorisation de poser un suspensoir et une enseigne perpendiculaire – Travaux terminés, avril 1902
    1905 (avril) – Léon Israel demande l’autorisation de remplacer l’ancienne enseigne par une nouvelle – Autorisation
    1906 – La Police du Bâtiment constate que Léon Israel a posé sans autorisation une enseigne plate – Léon Israel répond que l’enseigne est celle qui a été autorisée en avril 1904. – Note, l’enseigne a été autorisée, le dossier est classé.
  • 1905 (mai) – Rapport d’intervention des pompiers. Un incendie s’est déclaré dans un entrepôt au rez-de-chaussée. La Police du Bâtiment constate qu’il n’y a pas de dégâts notables.
  • 1909 (juin) – L’entrepreneur de construction Jean Rothuss fils (27, rue de Wasselonne) demande au commissaire de police l’autorisation d’occuper la voie publique pour poser une clôture et un échafaudage – Le commissaire de police transmet au maire – Autorisation (68, Grand rue, angle de la ruelle des Meuniers) – L’entrepreneur déclare que la ville qui a barré la rue du côté du Bain-aux-Plantes l’a empêché de mener les travaux comme prévu et demande en compensation une prolongation à titre gratuit. Le maire refuse. – Prolongations (septembre puis octobre)
  • 1909 (novembre) – Les peintres en bâtiment Griesbach & Grossmann (41, quai des Bateliers) demandent au commissaire de police l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pendant deux semaines – Le commissaire de police transmet au maire – Autorisation – Dossier classé, décembre 1909.
  • 1909 (avril) – Rapport d’intervention des pompiers. Un incendie s’est déclaré dans les combles et dans une pièce. Les parties endommagées sont retirées, il n’y aura pas de réparations puisque le bâtiment va être démoli.
  • 1909 (avril) – Le maire rejette la demande de modifier l’alignement des 62-66 Grand rue suite aux objections du voisin Strohl
  • 190[9] (juin) – L’entrepreneur Dreiss démolit le bâtiment à l’angle de la Grand rue et de la ruelle des Meuniers
  • 1909 (mai) – L’architecte Th. Berst dépose un dossier pour construire un bâtiment à trois étages servant à l’habitation et au commerce à l’angle de la Grand rue et de la ruelle des Meuniers
    1909 (juillet) – La société Jean Rothuss fils fait des travaux d’excavation et de bétonnage. Elle a posé une clôture et une baraque pour les ouvriers – Les murs du sous-sol sont en cours, juillet. Le comble est posé, septembre. Les travaux intérieurs sont en cours, janvier 1910. Le bâtiment est terminé, 28 janvier 1910.
  • 1909 (mai) – L’architecte Théophile Berst (15, rue de l’Arc-en-Ciel) transmet les plans du bâtiment que G. Barth a l’intention de construire sur le terrain des numéros 64 et 66 en tenant compte de l’intérêt historique et artistique du quartier entre le Bain-aux-Plantes et la Grand rue. Il joint à sa demande le compte rendu de son entretien avec le maire qui approuve le projet, notamment la hauteur du bâtiment et l’emploi de pan de bois.
    La Police du Bâtiment (Kœhler) constate que la hauteur de 12 mètres vers la Grand rue est réglementaire et qu’elle peut être conservée sur une longueur de treize mètres dans la ruelle des Meuniers, elle serait ensuite de 11,50 mètres sur la longueur restante (environ 1,10 mètre). La hauteur réglementaire ne serait donc dépassée que sur une longueur de 1,10 mètre.
    La modification de l’alignement n’est pas encore décidée
    Le propriétaire G. Barth et l’architecte Th. Berst sont autorisés à construire un bâtiment à deux étages et un étage mansardé sur le terrain sis 66, Grand rue et ruelle des Meuniers. Le bâtiment dépasse de l’alignement, dépasse en partie la hauteur maximale dans la ruelle, les murs extérieurs seront en partie exécutés en bois de chêne, la cour n’atteint pas la dimension réglementaire mais les logements recevront suffisamment de lumière. L’autorisation reprend les conditions imposées par l’inspecteur Sœhner. – Dessins – Calcul statique
  • 1909 (mai) – Le conservateur des monuments historiques Wolff n’a pas d’objection à faire contre la démolition des bâtiments 64 et 66, Grand rue
    1909 (juin) – Le maire demande à l’entrepreneur J. Rothfuss fils d’étayer le n° 64. – Les étais sont posés, juillet
    1909 (avril) – L’architecte Théophile Berst modifie la devanture vers la ruelle afin d’ajouter un contrefort pour le passage.
    1909 (juillet) – Avenant au permis de construire, le pilier reposera en partie sur un terrain communal de 34 centimètres carrés – Dessin (élévation) – Calcul statique
    1909 (août) – Le bureau d’ingénieurs Caspers et Fischer vérifie le calcul statique de l’architecte Théophile Berst. – Nouveau calcul statique
    1909 (septembre) – Théophile Best demande réception du gros œuvre – Il demande l’autorisation de commencer à poser le plâtre dix jours après la réception pour que le propriétaire puisse exploiter sa boutique au rez-de-chaussée et occuper le logement à l’étage pour évacuer à temps son ancien logement. – Le maire donne son accord.
    1909 (octobre) – L’architecte Berst déclare que les pièces de chêne pour la véranda sont chères et difficiles à se procurer, il demande l’autorisation de les remplacer par des pièces en pin. Le risque d’incendie est minime puisque les bâtiments voisins sont éloignés. – Les piliers de la véranda pourront être en pin mais les autres seront en chêne.
    1909 (décembre) – L’architecte demande que le propriétaire puisse habiter son logement à l’étage puisqu’il doit rendre le logement qu’il occupe au premier janvier. – Le maire donne son accord
    1910 (février) – L’aménagement intérieur est en cours.
    1910 (avril) – Le service des canalisations certifie que les installations sont réglementaires
    La réception finale ne donne lieu à aucune observation, les ouvertures des cheminées destinées aux tuyaux doivent cependant être bouchées.
  • 1909 – Le marchand de chaussures en gros Léon Israel demande l’autorisation de poser deux lampes électriques dans son magasin rue des Meuniers – Autorisation de poser une enseigne perpendiculaire et deux lampes – Dossier classé, avril 1910.
    1911 – Le même demande l’autorisation de poser une enseigne plate à l’angle arrondi (croquis). Le propriétaire Barth souhaite que l’enseigne soit posée vingt centimètres plus bas afin de ne pas recouvrir les supports du balcon – Autorisation de poser une enseigne et de suspendre des chaussures.
  • 1910 (août) – L’architecte Théophile Berst présente un plan pour agrandir l’atelier du mécanicien Bart où seront employés quatre ouvriers – Autorisation accordée à titre exceptionnel et révocable à première demande du maire, août 1910 – Dessin – L’autorisation est périmée sans que les travaux aient eu lieu
  • 1910 (juillet) – La Police du Bâtiment constate que la façade donnant dans la ruelle des Roses doit être badigeonnée – Travaux terminés, septembre 1911
  • 1910 (novembre) – L’architecte Théophile Berst présente un projet pour transformer le local du rez-de-chaussée qui doit servir de magasin d’automobiles en supprimant le pilier du milieu – Calcul statique
    1910 (décembre) – Nouveau calcul statique après observations par la Police du Bâtiment – Autorisation – Dessin – L’autorisation est périmée sans que les travaux aient eu lieu
  • 1920 – Avis de paiement envoyé à Gustave Raabe (Passage populaire, sic, pour Bazar populaire, voir plus bas) pour une enseigne perpendiculaire et deux lampes – Le maire envoie un courrier à Gustave Raabe et à la veuve Barth, propriétaire demeurant au n° 64 – Le montant n’est toujours pas réglé, le maire engage une procédure judiciaire
  • 1922 – Jacques Levy jeune déclare avoir quitté son local au 66, Grand rue pour lequel il devait une taxe (écriteau)
  • 1922 – Les sieurs Luchinger et Œstelin (œufs en gros) demandent l’autorisation de poser une enseigne – Autorisation, l’enseigne étant déjà posée
  • 1923 – La Police du Bâtiment constate que Gustave Raabe a posé une enseigne sans autorisation – Demande par Gustave Raabe (Bazar populaire) – Autorisation, l’enseigne étant déjà posée
  • 1924 – Les Etablissements alsaciens des Bois Contreplaqués demandent l’autorisation de repeindre la façade et la grille du magasin, de remplacer l’enseigne et de poser des inscriptions sur la devanture – Accord
  • 1926 – Les sieurs Rosenblum et Singer (comptoir d’habillement) déclarent avoir posé deux enseignes lumineuses – Autorisation, avril 1926 – Les pétitionnaires sont partis en Allemagne en laissant des dettes, octobre 1926
  • 1926 – Gustave Raabe (articles de ménage) déclare avoir remplacé l’enseigne en tôle par une enseigne lumineuse. Demande sur papier à lettre illustré (enseigne Bazar populaire, aluminium, émail, verreries, jouets d’enfants et vannerie) – Autorisation
  • 1927 – Rapport du service des incendies dans la propriété Rupp et Steck. La cheminée est défectueuse. Le maire demande à Rupp (demeurant 40, rue de l’Université) de faire faire les travaux – Dossier classé, juin
  • 1927 –Joseph Jost demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse et une enseigne perpendiculaire – Autorisation
    1929 – Le magasin est fermé depuis le premier juillet 1928. Le local est loué à la Fabrique rhénane de Craies, couleurs et vernis
  • 1933 – Henri Mayer demande l’autorisation de poser une enseigne au-dessus de la porte d’entrée de son domicile rue des Meuniers (Mayer’s Photos) – Autorisation accordée au photographe Henri Mayer
    1937 – Le maire envoie un dernier avertissement avant poursuites judiciaires. L’affaire est inscrite sur la liste des recouvrements par voie de contrainte
  • 1936 – R. Bruck (couleurs et vernis) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse (120 sur 60 et 20 cm) – L’enseigne ne sera pas posée avant le mois de novembre – Nouvelle demande (50 sur 60 et 15 cm) – Autorisation, mars 1937
    1938 – Le maire rectifie l’avis de paiement après avoir reconnu que les lampes ne dépassent pas l’alignement légal.
  • 1942 – Rapport des pompiers après un incendie qui s’est déclaré aux troisième et quatrième étage. Propriétaire, Eugène Steck, demeurant 5 boulevard Erwin. L’incendie semble dû à des cendres chaudes entreposées dans le cabinet d’aisance des mansardes.
  • 1942 – Les propriétaires Rupp et Steck déclarent que les frais déboursés pour supprimer l’enseigne en français du magasin juif de Gustave Raabe reviennent au nouveau détenteur du magasin – Les frais seront supportés par le mandataire général des biens appartenant aux ennemis du peuple et de l’empire (General Bevollmächtigter für volks- und reichsfeindliches Vermögen).
  • 1946 – Certificats de sinistré. Le bâtiment a été entièrement détruit par le bombardement aérien du 25 septembre 1944. Certificat accordé à Rodolphe Brunck (local commercial), Jean Reiner, Gustave Raabe (premier étage), Edgard Schwenger (deuxième étage)
  • 1958 – Mme Heinis (demeurant 5, boulevard Jacques Preiss), mandataire des héritiers Steck-Rupp est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique
    1959 – Le maire rappelle que l’autorisation n’a été délivrée que pour le gros œuvre et demande que la clôture soit supprimée. – La clôture est enlevée, juin
  • 1960 – Les Meubles Idéal (53-55, Grand rue), locataires, déposent une demande de permis de construire pour transformer la porte d’entrée à l’angle de la rue des Meuniers – Plan d’arpentage – Arrêté portant permis de construire, novembre 1960 – Travaux terminés, décembre
  • 1962 – Le magasin de couleurs Jean Steckel, anciennement Bruck, 8, rue des Meuniers) demande l’autorisation de remplacer l’ancienne enseigne (inscription Boîte aux Couleurs, Farwelaade) par une nouvelle (Farwelaade, Couleurs – Renaulac) – Autorisation verbale
  • 1966 – La Police du Bâtiment constate que la Maison La Vie Claire a posé une enseigne (caisson lumineux) sans autorisation – Demande de poser une enseigne perpendiculaire et une enseigne plate, dessin – Autorisation
  • 1968 – La Police du Bâtiment constate que les Meubles Idéal ont posé sans autorisation six caissons lumineux – Demande, dessin – L’architecte des Bâtiments de France Fernand Guri émet un avis favorable – Autorisation de poser six enseignes, août 1969
  • 1973 – Les Meubles Idéal demandent l’autorisation de remplacer l’enseigne par une nouvelle (Ligne Roset) – L’architecte des Bâtiments de France Fernand Guri émet un avis favorable – Autorisation de poser cinq enseignes
    1973 – J. Luel demande au nom des Meubles Idéal (vente de meubles) l’autorisation de transformer les devantures. Propriétaire, Mme Steck Polowyk, 5, boulevard Jacques Preiss – Plan d’arpentage, Dessin – Autorisation préalable, février 1973 – Arrêté portant permis de construire, 30 mars 1973 – Travaux terminés, septembre 1973
  • 1976 (septembre) – La gérante Znaty demande l’autorisation de modifier les enseignes qui porteront le texte Boutique prêt-à-porter Vanessa
    1976 (septembre) – Le décorateur Jacques Ihli (5, place de la Liberté à Schiltigheim) déclare avoir posé une enseigne provisoire pour le jour de l’inauguration.
    1976 (octobre) – L’architecte des Bâtiments de France E. During demande que la teinte bleue soit modifiée
    1977 (février) – Autorisation de poser six enseignes – Travaux terminés, février 1977
    1976 (octobre) – La boutique Vanessa demande l’autorisation de poser cinq stores en corbeille – Les services municipaux émettent un avis favorable à condition que les stores ne dépassent pas l’ébrasement sans recouvrir les piliers – L’architecte des Bâtiments de France E. During émet un avis favorable assorti de la même condition
    1976 (novembre) – Roland Boullet (Société d’exploitation des Radiateurs et sellerie Roland Boullet, 17, rue Saint-Charles à Schiltigheim) qui fournit les stores déclare que le lambrequin portera l’inscription Vanessa
    1976 (novembre) – Autorisation – Droits à payer pour dix enseignes (cinq stores et cinq lambrequins) – Les stores sont posés, mai 1977
  • 1980 (juillet) – Le maire autorise la boutique Vanessa à faire une vente par liquidation
    1980 (août) – Radiation du registre du commerce, Evelyne Bauer, prêt-à-porter Vanessa. Le fonds est vendu à la sàrl F. Kamlet.

Autres dossiers
Grand-rue 66 (1980-1996) cote 939 W 302
Grand-Rue n° 64-66 (1999-2001, déclaration de travaux, ravalement) cote 1331 W 1166

Dossier du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme (ADBR, cote 424 D 702)

Dossier NV 1299 Z
L’immeuble sis 64-66 Grand-rue (logements, magasins et atelier) appartient pour moitié à Jeanne Frédéric Barth, femme de Louis Eugène° Steck et pour moitié à Mina Barth, veuve Rupp, toutes deux demeurant 5, boulevard Jacques Preiss.
La propriété n° 66 a 4,80 mètres de long sur la Grand rue et 29,40 mètres sur la rue des Meuniers. Le bâtiment à rez-de-chaussée comprenant magasin et trois étages a été presque entièrement détruit par le bombardement aérien du 25 septembre 1944. La partie à l’angle des deux rues (bâtiment 1) très endommagée subsiste jusqu’au deuxième étage. La partie faisant suite (bâtiment 2) et l’appendice comprenant passage et véranda (bâtiment 3) sont démolis jusqu’aux fondations.
Guillaumette Caroline, dite Mina, Barth meurt en 1955 en laissant pour unique héritière sa sœur Jeanne Marguerite Barth qui meurt à son tour en 1956 en laissant pour unique héritière sa fille Marie-Reine Steck, femme divorcée d’Adolphe Heinis
Marie-Reine Steck vend en 1962 le reliquat des dommages de guerre à la Société Civile Immobilière d’Investissement des Dommages de Guerre de l’Esplanade (S.I.D.O.G.E.).

Pièces principales
  • 1949 (13 avril) – Demande d’indemnité de reconstruction
    Propriétaires
    Louis Eugène° Steck, né à Rœschwoog le 9 décembre 1879 et sa femme Jeanne Frédérique Barth, mariés le 22 avril 1922 à Strasbourg, demeurant 5, boulevard Jacques Preiss
    Mina Barth, née à Strasbourg le 22 novembre 1887, veuve de Fr. Rupp, demeurant 5, boulevard Jacques Preiss
    Bien sinistré 64-66 Grand rue à Strasbourg, deux immeubles d’habitation, location de logement, magasins et atelier, détruit par le bombardement aérien du 25 septembre 1944
    Origine de propriété, succession en 1922
  • Propriété Steck-Rupp, 66, Grand’rue à Strasbourg – Description
    La propriété 66 Grand’rue à Strasbourg forme l’angle de la Grand’rue et de la rue des Meuniers. Sur la rue des Meuniers la propriété avait une façade de 29,40 mètres de longueur et de 4,80 mètres sur la Grand’rue. C’était une maison d’habitation à rez-de-chaussée avec magasin et trois étages. La propriété voisine 64, Grand’rue également sinistrée appartient aux mêmes propriétaires, dossier NV 1298 Z.
    L’immeuble a été presque entièrement détruit par le bombardement aérien du 25 septembre 1944. La partie à l’angle des deux rues (bâtiment 1) très endommagée subsiste jusqu’au deuxième étage. La partie faisant suite (bâtiment 2) et l’appendice comprenant passage et véranda (bâtiment 3) sont démolis jusqu’aux fondations.
    Travaux exécutés. Le sieur Reiner, locataire du magasin dans le bâtiment 1, a payé les frais d’aménagement de son magasin. Ces travaux provisoires seront remboursés au locataire par le M.R.U. suivant lettre du 13 juillet 1949. Les travaux déjà exécutés à titre définitif ne sont pas compris dans ce dossier.
  • Dessins, plan, élévation et mesures
  • Certificat d’hérédité
  • 1956 (24 janvier) – Le notaire Hiff envoie au Ministère de la reconstruction et du logement (rue des Arquebusiers à Strasbourg) un courrier qui confirme que la propriété de la maison sise à Strasbourg 66, Grand’rue, cadastrée section 1 n° 96 (1,96 are)
    1) est inscrite au livre foncier de Strasbourg Ville, feuillet 4154 au nom de
    a) Guillaumette Caroline, dite Mina, Barth veuve de Frédéric Ruff pour moitié, b) Jeanne Marguerite Barth veuve d’Eugène Steck pour moitié, ensemble en indivision d’héritage de leurs père et mère Chrétien Dieudonné Barth et Marguerite Caroline Müller
    2) Guillaumette Caroline, dite Mina, Barth est décédée en son domicile 5, boulevard Jacques Preiss à Strasbourg le 28 octobre 1955 en laissant pour unique héritière légale sa sœur Jeanne Marguerite Barth pour la totalité de la succession
    3) que Jeanne Marguerite Barth, demeurant à Strasbourg 5, boulevard Jacques Preiss, aux termes d’un acte reçu par le soussigné notaire Hiff le 14 janvier 1956 (n° 6511) a fait donation à sa fille Marie Reine Steck, sans profession, épouse d’Adolphe Heinis, contentieux, demeurant à Strasbourg, 5, boulevard Jacques Preiss, née à Strasbourg le 20 décembre 1924 pour son bien personnel de la nue propriété pour y réunir l’usufruit au moment du décès, de la moitié indivise de l’immeuble sus-désigné ainsi que de la créance quant aux dommages de guerre y afférente. En conséquence l’immeuble appartient à 1) la veuve Steck née Barth A) pour moitié en pleine propriété, B) pour moitié en usufruit, 2) madame Heinis née Steck pour moitié en nue propriété.
  • 1956 (14 mars) – Le notaire Hiff envoie au Ministère de la reconstruction et du logement (rue des Arquebusiers à Strasbourg) un courrier qui confirme que la maison sise à Strasbourg 66, Grand’rue, cadastrée section 1 n° 96 (1,96 are) appartenant à
    1) Jeanne Marguerite Barth, sans profession demeurant à Strasbourg, 5, boulevard Jacques Preiss, veuve non remariée d’Eugène Steck, pour moitié en pleine propriété et moitié en usufruit,
    2) Marie Reine Steck, sans profession, épouse d’Adolphe Heinis, contentieux, demeurant à Strasbourg, 5, boulevard Jacques Preiss, pour moitié en pleine propriété
    La veuve Eugène Steck décédée le 4 mars 1956 en laissant pour seule et unique héritière légale sa fille Marie Reine Steck pour la totalité de la succession. Cette dévolution héréditaire a été constatée par acte reçu Hiff le 14 mars 1956 sous le n° 6642 du répertoire et sera confirmée par un certificat d’hérédité délivré par le tribunal cantonal de Strasbourg. L’immeuble sus-désigné appartient par conséquent en toute propriété à Mme Heinis née Steck.
  • Certificat d’hérédité Barth-Ruff
    Certificats du livre foncier
  • Procès verbal de vérification
  • 1962 (23 mai) – Mutation, transfert, changement d’affectation. Décision d’apport en société
    Marie-Reine Steck femme divorcée d’Adolphe Heinis, demeurant 5, boulevard Jacques Preiss à Strasbourg, propriétaire du bien sinistré sis 66, Grand’rue à Strasbourg (section 1 n° 96), cède le reliquat (210.416 francs) à la Société Civile Immobilière d’Investissement des Dommages de Guerre de l’Esplanade (S.I.D.O.G.E.), dont le siège se trouve 1, quai Lezay-Marnésia à Strasbourg

Relevé d’actes

L’Hospice des Vérolés conserve un titre qui lui assure un revenu de 2 florins et demi par an garanti sur la maison Grand rue suivant acte passé devant le notaire Hilaire Meyer en 1564 par le marchand Hubert Bolohn von der Rosen et sa femme Elisabeth Sturm, veuve de l’aubergiste Ulrich Loth. La rente passe ensuite au teinturier Sébastien Koler le jeune puis au menuisier Jean Esel.

1564, Blatterhaus (1 AH 1186) Brieff Registratur
Straßburg ii+ guldin gelts vff Wÿhenachten
vom Hauß ane der Obernstrassen gelegen zwüschen den Brucken.
Item Ein Brieff mit des Hoffs Insigell Versigelt dessenn datum den Eilfften Septembris Anno xv C Lxiiij. Sagt wie Huprecht Bolohn vonn der Rosenn gewerbßman burger Zu Straßburg Bekhant Inn gegensein Elisabethenn Stürmin, wÿlandt Ulrich Loth des Wÿnschencken burgers Zu Straßburg seligenn wittwe, das er Habe, besize, vnnd Ime Eÿgentumbs wÿß Zugehören Huß, Houestatt vnnd Höfflin, mit Iren gebeüwen begriffenn, wÿthen, Rechten vnnd Zugehörden gelegenn Inn der Statt Straßburg ane der Obern strassen Zwüschen den Brucken einseit nebent Heinrich Schweiner dem Sergenweber, vnd andersit nebent Gall Geloner dem Brottbeckenn, Hinden vff Jetzgemelten Gall Geloner stoßend, Inn Crafft der Frönung vnd Insatzung, So er Vor den Ersamen Richtern vnnd Schöffen des Stattgerichts Zu Straßburg erlangt vnnd außbracht, Vnd das gemelte Elßbeth Stürmin daruff habe Einen Järlichen Zinß dritthalbenn guldin gelts, ablösig mit fünffzigk guldein vff Wÿhenachten fallendt, verspreicht deßhalbenn den Zinß Alle Jar Zuhandtreichenn. Daruff ein Zedelin, wÿset, welch. massenn disser Zinß aus Blaterhauß Kommen, N° 440.
[in margine :] Gibt Ietz Huprecht Bolohn von der Rosen der Gewerbsman alhie
Modo Bastian Koler d. Jünger ferber
modo Hans Esell der Schreiner
Abgelößt, wie in weil. H. Hilarÿ Meÿers sel. bei d. C Contractstub befindlich. Registrand de A° 1564. fol. 235.b in marg. Zu find.

Le corroyeur Hubert von der Rosen achète le droit de bourgeoisie le 17 janvier 1561 en s’inscrivant à la tribu des tanneurs.
1561, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 20
Huprecht von der Rosen lederbereÿter hatt das burgkrecht Kaufft und dient Zu den gerbweren Actum den xvij Januarÿ A° Lxj.

La maison appartient encore en 1583 à Hubert Bolon von der Rosen puis en 1586 au teinturier Sébastien Kohler d’après les aboutissants de la maison voisine. Elle est inscrite dans le Livre des communaux (1587) au nom de la veuve de Sébastien Kohler qui, remariée avec Martin Sachs, achète la maison voisine dont elle partage un temps la destinée.
Jean Kling et Barbe Kesselmann conservent la maison d’angle et vendent l’autre en 1599 au menuisier Jean Esel et à sa femme Barbe Frentz.

1599 (xvij. Aug.), Chancellerie, vol. 321 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 73-v
Kauffverschreibung Hans Essels des schreiners vber ein behaußung ahne der Obern straßen
(Extendirt wie In dem Contract buch de Anno 1599. folio 110 Zubefind.) Erschienen Hannß Kling der schneid. vnnd Barbara Kesselmännin sein eheliche haußfr. mit beÿstand Carolen Röhmen des handelßmanns, Lienhardt Wagners des glasers vnd Heinrich Rauschers des schneids.
haben in gegenwertigkeit Hanns Essels des schreiners vnd Catharinæ Fräntzin beeder ehegemächt (verkaufft)
die eine behaußung in negstuorgezeichnetem kauff benant geleg. alhie an der obern Straßen, einseit neben Ihme v.keüffern selbst and.seit neben Gabriel Sutor dem Weißbecken, hind. auch vf denselben stoßend, Dauon gehend Jahrs 10 gulden vf (-) mit 200 fl. lößig Johann Heßlern schaffnern im Spitthal alß vogt Bastian Cleinen weÿland N. Kleinen geweßenen Rahtsschreib. selig. sohns, Item 5 fl. gelts mit 100 fl. wid.käuffig Heinrich München vf Weÿhenacht. Mehr 5 fl. dem Closter Zu St Marx mit 100 fl. abzulößen vnd dann 2 ½ fl. vf weÿhenacht. dem allhieig. Blatterhauß mit 50 fl. wid. kheuffig alles St. w. sonst ledig vnd eigen, daruff der keüffer alles recht vbergeb. vnd bekhandt d. der Kauff vber solche beschwerd. zugang. vmb 206 gulden

Originaire de Nuremberg, Jean Esel épouse en 1573 Catherine, fille de Denis Frentz.
Mariage, cathédrale (luth. p. 233)
1573. Sontag Quasimodogeniti 29. Mertz. Hanß Esel von Nurmberg, Schreiner, Catharina Dionysius Frentzen dochter. Ist Zuerfragt bei Hans Freiß wirt bej d. New bruck, eingesegnet Zinstag den 14. April hora 10. a Carolo (i 119)

Jean Esel acquiert le droit de bourgeoisie par sa femme deux mois après son mariage
1573, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 382
Hanß Essel von Nürnberg der schreiner hatt das burgkrecht Empfang. von Catharina Fräntzin dionißÿ Fräntz Ehlich. dochter und dient Zun Zymerleüth. Eod. die [4. Junÿ A° & 73]

Jean Esell obtient des Quinze que les chantiers municipaux lui fournissent du bois de chêne et de pin pour faire son chef d’œuvre.
1573, Protocole des Quinze (2 R 3)
(f° 123-v) Sambstag den Erstenn Augusti – Hans Esell
Hans Esell der schreyner Pitt Ime Zu verfertigung seines Meisterstücks vier eich. vnnd auff xv forlen dilen vom Werckhoff mitzutheillen, Könne sonst keine tauglich holtz dazu bekommen. Erkandt Ime willfahren.

Autres mentions de Jean Esel dans les registres du Magistrat
1592, Conseillers et XXI (1 R 70) Matern Chun und Hans Esell, Schreiner handwerck vmb ein verehren. 191.
1594 XV (2 R 23) Hans Esel. [Bawholtz Ordnung] 39. [Ladstatt] 50.

La maison revient sans doute par héritage à l’arquebusier Gérard Frentz, fils de Denis Frentz, qui épouse en 1614 Ursule, fille du barbier Gervais Meyer.

Mariage, cathédrale (luth. p. 20)
1614. Dominica 13. Trin. den 18. 7.bris. Gerhard Frentz der büchsenmeister, Dionisÿ frentzen Sohn, Vnd J. Ursel geruasÿ Meyers des Scherers n: tochter, eingesegnet montag den 26. 7.bris (i 15)

Mentions de Gérard Frentz dans les registres du Magistrat
1607, Conseillers et XXI (1 R 86) Feurwerffer [Gerhard Frentz]. 33. 231. 241. Gerhardt Frentz feurwerffer. 231. [will auß großen stücken schiessen] 241.
1638, Conseillers et XXI (1 R 121) Gerhard Frentz. 27. [pt° intercession zu Rappolsweÿer]

Le revendeur Gérard Frentz hypothèque la maison au profit du sellier Daniel Fels.

1630 (21. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 468 f° 463
Erschienen Gerhard Frentz der Gremp, Burg. Zu Straßburg,
hatt in gegensein Daniel Fälßen deß Sattlers auch Burgers alhie – schuldig seÿe 50 Pfund.
Vnderpfandt hauß, hoffstatt, vnd höfflein, mit allen Ihren gebäwen & gelegen alhie an der Obernstraßen neben (-) Sutor dem Becken, Anderseit (-) dem Ferbern, hind. vf (-) den huetmachern stoßend, Welche Zuuor noch Verhafftet vmb 100. fl. Straßburger wehrung dem Stifft St: Marx, Item vmb 50. fl. wehrung dem Platerhauß, Item vmb 200. fl. wehr. Ursulæ Kleinin weÿland H. Philipp Englers see: Wittiben, So dann vmb 50. lib. H. M. Georgio Horning Pfarrern zu Selbach

Gérard Frentz vend la maison à son beau-frère revendeur Oswald Jüngling. En marge, quittance accordée en 1637 au revendeur Michel Reiss, mari de la veuve de l’acquéreur, et en 1640 à Michel Reiss en qualité de mari de Jeanne Dœrhœffer, veuve dudit Frentz.

1631 (14. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 363-v
(Protocollat. fol. 156.) Erschienen Gerhard Frentz d. Grempp burger Zu St.
hatt in gegensein Oßwald Jünglings deß Gremppen vnd burgers alhie seines Schwagern bekannt (verkaufft)
hauß, hoffstat, vnd höfflin, mit allen andern ihren gebäwen & gelegen alhie an der Obern straß neben Friderich Gasser dem Sergenweber & neben vnd hinden vff Philipp Froschhammer den weißbecken stoßend gelegen, dauon gehen Jarß vff Georgÿ 10. gld. St. w. gelts Fr. Ursulæ Kleinin weÿ: Philipp Englers gewesenen xv. schreibers s: witib, in hauptg. mit 200. lb. werung Item ii+ gld. gelts vff weÿhenachten den Blaterhauß alhie mit 50. gld. mehrbesagter wehr. So ist dise Behausung auch noch verhafftet vmb 100. fl. a 15. bz. H. M. Georg Hornung pfarrer Zu Seelbach so bißhero vff den 11. Julÿ mit 6. fl., So dann vmb 50. lb d. Daniel Felsen dem Sattler, so bißhero vff den 23. Julÿ v.zinsst word. (…) sonst freÿ, ledig, eÿgen, Vnd were diser Kauff vber die beschwd. so der Käuffer auf sich genommen, Zugangen und beschehen per 275 pfund
(…) Mit der noch fernern Condition, wofern vber den Zweÿen Jaren ihne Käuffer diser Kauff gerewen, oder derselb ihme zu schwehre fallen wurde, daß er v.keüffer solcher v.kauff wider vmb ietzigen preiß anzunemmen schuldig sein, da aber Er Käuffer oder seine Erben vber kurtz oder lang diß hauß Anderwehrts v.kauffen wolte, Alsdann Er verkeüffer und seine Erben den Vorkauff darauff Jedoch nach Vorkauffs Recht haben soll
[in margine :] Erschienen Johanna Küglerin mit beÿstand ihres Ehevogts hanß Jacob Bilgers deß Weißbecken vnd Michel Zentgraffen deß goldarbeiters ihres schwagern auch burgers alhie hatt in gegensein deß Käuffers see. witiben ietzigen Ehevogts Michel Reiß deß Grempen bekannt, daß sie Johanna dise 200. fl. hauptg. St Wer. so sie von Ursula Kleinin ihrer großmuter see. ererbt (…) Act. 2. Novem. 637.
[in margine :] Erschienen Daniel Felß, bekannte in gegensein Michel Reißen obglt. (alß Ehevogt Johanna Dörhöfferin sein Frentzen hinderlaßener wittib), daß er von demselben die 50. lb. samt dem Zinß Zue gueten gebügen empfangen dafrür & q.tirt den 21.t. Aprilis A° 1640.
(vide infra fol. 407)

Gérard Frentz vend à Paul Heydel, receveur de la fondation Saint-Marc, un capital dû par Oswald Jüngling. En marge quittance remise en 1694 au chaudronnier Martin Kügler.

1631 (ut spâ. [3. Augusti]), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 407-v
Erschienen Gerhard Frentz d. Grempp burg. alhie
hatt in gegensein herrn Paul heÿdels Schaffners Zu St. Marx auch burg. Zu St. bekannt, daß Er demselben vffrecht verkaufft
450. fl. so Oßwald Jüngling der Grempp alhie, nch, wegen seiner den 14. Julÿ nechsthin von ihme Frentz. an sich erkaufften haußes, Am Kauffschilling, v.mög der auch in der Contractstuben vffgerichteten vschreib. schuldig – per 320. fl.
[in margine :] Erschienen H Abraham Heÿdel Garttner Und.wagner, deß hierin gemelt H Creditoren Enckel, dem d. hierin verschrieben Capital erblich Zugefallen hatt in gegensein Martin Kuglers deß Kupfferschmidts alß besitzers deß Und.pfands (quittirend) Act. d. 19.t Aug. 1694.

Oswald Jüngling et sa fiancée Jeanne, veuve de l’arquebusier Michel Frentz reconnaissent devoir 70 livres à Gérard Frentz, frère de feu Michel Frentz.

1629 (16. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 465 f° 455
Erschienen Oßwaldt jüngling der Grempp burger Zu St. vnd Johanna weÿ: Michel Frentzen gewesenen Büchsenmeisters alhie see: witib sein Jünglings verlobte, hochzeiterin, mit beÿstand Peter Berneckers deß schuhmachers ihr Johannæ in erster Ehe erzielter 2.er Kindern Vogts
haben in gegensein Gerhardt Frentzen deß gremppen auch burgers alhie sein deß verstorbenen Michel Frentzen Bruders
bekannt, daß sie beede versprochene Eheleuth in der mit einander gehalten Ab: und zusammen Rechnung ihme Gerhard Frentzen (…) schuldig worden Lxx. lb

Le soldat Oswald Jüngling épouse en 1625 Barbe, veuve du jardinier Michel Merckel.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 51)
1625. Dom. XII. Trinit. II. Septembris. Oßwald Jüngling, soldat v. Barbara Michel Merckel des gartenmanns nachgelaßene wittwe. Copulatio 28. Septembris Z. Jung. S. Peter (i 27)

Le revendeur Oswald Jüngling épouse en 1629 Jeanne, veuve du cordonnier Michel Frentz
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 99)
1629. Eadem [Dom. VI Troinit. 12. Julÿ] Oßwald Jünglin der Kremp vnd burg. alhie vnd Johanna Michael Frentzen selig gewesenen burgers b. schumacher nachgelaßene wittwe. Cop. 20. Julÿ Zu J. St. Peter (i 51)

Baptême d’Esther, fille de Michel Frentz et de sa femme Jeanne
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 186)
1619. Dnica v. Trinit. 27. Junÿ. P. Michael Frentz d. büchsenmeister M. Johanna I. Ester, Comp. Adam Brotbeihel d. glockenhencker, fr. Esther herrn Heinrich Dembßen haußfraw, Maria Philippß Reicheisens frw (i 96)

Le tailleur Michel Reiss épouse en 1634 Jeanne, veuve du revendeur Oswald Jüngling.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 25)
1634. Michel Reiß d. Schneider v. burg. allhie Johanna Oßwald Jüngling deß Krempen allhie nachgelaßene Wittib 22. 7.bris (i 26)

Le tailleur Michel Reiss, originaire de Fénétrange et ancien bourgeois de Haguenau, achète le droit de bourgeoisie en avril 1626.
1625, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 830
Michael Reiß von Finsting der Schneider geweßener Burg. Zu hagenaw, Khaufft d. Burg.recht vmb 20 goldtguld. Ist Beÿ den Schneid.n Zünfftig den 18 Aprilis 1626.

Michel Reiss lègue deux tiers de la maison qui appartiennent à lui-même et à sa femme Jeanne à Michel et Jacques Frentz, les deux fils de son beau-fils Gérard Frentz

1651 (15. martÿ), Chambre des Contrats, vol. 510 f° 243
Erschienen Michael Reiß der Gremp und Burg. Zu Straßburg, durch Gottes miltreiche Güte noch vffgerichteten stehend. und gehend. leibß auch völligen Verstandts richtig. Sinn und vernünfftig. Rede, der legirte
Gerhard frentzen deß Schuhmachers seines Stieff Sohns beeden Söhnen Michael und Jacob der Frentzen,
sein Reiß. Zwen tritte theil ahne denen vff deßelben haußfr. Johannæ alhie ahne der obern Straß. neben H Philipß Froschhammern dem Weißbeckhen gelegener Behausung in wehrend. Ehe erhandelten 200. lib Capital und deroweg. vff dem hauß habend. Gerechtigkeit, Mit dem Anhang wann deren einer nach dem Er solch legat überkommen hab. wirt ohne leibß Erben diße Welt gesegnen würde, deßelben Antheil vff seinen Brudern der deß leibß Erben verfallen solle

Fils du cordonnier Michel Frentz, Gérard Frentz épouse en 1641 Susanne, fille du tailleur Antoine Briel
Mariage, cathédrale (luth. p. 449)
1641. Domin: XI. Trinitatis Gerhart Frentz der Schuhmacher Michel Frentzen deß geweßenen Schuhmachers vndt Büchßenmeisters allhie ehelicher Sohn, vndt Jungfrauw Susanna, Anthoni Briellen, schneiders eheliche tochter. Eingesegnet Im Münster Zinst. den 13. Sept. (i 229)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 40-v) 1641. Dncâ 11. Trinit. 5. Sept. Gerhardt Frentz der Schumacher Michel Frentzen des schumachers vndt Büchßenmeisters hinderlaßener Sohn, J. Susanna, Anthoni Briellen des schneiders alhie Eheliche tochter. Mont. 13. sept. Münster (i 58)

1642, Protocole des Quinze (2 R 65) Gerhard Frentz schuhmacher Ca. Adam Ferre et Consorten. 203. 210. 213. 229. 233. (243.) [Stand am Falckenkeller]

Cession par les héritiers de Michel Reiss à sa veuve Jeanne, usufruitière de la succession

1657 (14. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 522 f° 222
Erschienen Jacob Reiß der Müller Kremp und Burg. Zu Ettling. für sich selbst. und im nahmen Magdalena Reißin seiner Schwester, derentweg. Er de ratihabitione stipulatâ manû cavirte, so dann Barthol Rösch der baursmann Zu Durlach alß Ehevogt Annæ Reißin
in gegensein Johannæ, weÿl. Michael Reÿßen deß Krempen und Burgers Zu Straßburg nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin, und deßelben Verlassenschaffts Vsufructuariæ, mit beÿstand Georg Merckhlins deß Schneiders ihres Vogts, und Samuel Hellbeckhen deß Kürschners alß Vogts Weÿl. Gerhard Frentz. deß Schuhmachers sel. Kind.
bekannt, dEmnach vorermelte treÿen Reißisch. Geschwisterd. Jacoben, Annæ, und Magdalenæ, vermög vorernannts Michael Reÿß. vffgerichteten Testamenti § hierauff dann und Zum Vierten wie auch der, über seine Verlassenschafft verfertigtem Inventario, fol. 58. annectiten Abrechnung, 28. lib 6 ß legats weiß (…)

Litige entre Susanne, veuve de Gérard Frentz, et la tribu du Miroir qui refuse d’inscrire de simples cotisants (Zudiener)
1659, Protocole des Quinze (2 R 77)
Susanna weÿl. Gerhard Frentzen deß Schuemachers Wittib Ca. Spiegler. 250. 255.
(f° 250) Sambstag den 23. Xbris 1659. – Susanna weÿl. Gerhard Frentzen deß Schuemachers Wittib per Wild, contra Spiegler Zunfft meistern prod. Supplic. Dr Birsch pro Citat. copias vnd Z. d. O, erh.

(f° 255-v) Sambstag den 7. Januarÿ 1660. – Spiegler Per Dr. Bitsch. cont: Gerhard Frentz. w. sagt mit dem gegenth. Supplicat. gen. v. weilen die Zunfft Keine Zudiener anzunehmen gewildt, alß bitte sie sich beÿ Jüngstem art: Zu manuteniren. Illa setzts.

Protocole des Quinze (2 R 78)
(f° 4) Sambstag den 14. Januarÿ – Barthol und Frentzen W. Ca. Spiegler.

Le légataire Jacques Frentz, fils de Gérard Frentz, épouse en 1666 Anne Marie, fille du fabricant de chausses Dominique Ring

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 137, n° XXIV)
1666. Dom. VIII. post Trin. Jacob Frentz Kremp, Gerhard Frentzen deß schuemachers Ehl. sohn v. J. Anna Maria H. Sontag Ringen Hoßenstrick.s Ehl. Tocht. – Mont. (i 138)

Son frère co-légataire Michel Frentz, pasteur à Heiligenstein épouse en 1674 Anne Marie, fille du boulanger Jean Ziegler

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 159 n° 24)
1674. H. M. Michael Frentz pfarrer Zu Heiligenstein, Gerhard Frentzen sel. geweßn schuemachers und burgers alhie hinderlaßener Ehl. sohn und Jungfrau Annamaria, Johann Zieglers deß schwartzbecken und burgers alhie Ehl. tochter, Donnerst. d. 25. jun. (i 160)

Assisté du fabricant de chausses Martin Ring, le revendeur Jacques Frentz vend la maison au chaudronnier célibataire Martin Kugler, assisté de son père Sébastien Kugler, chaudronnier municipal. En marge, quittance accordée en 1691 par la fondation Saint-Marc à l’acquéreur Kübler en vertu d’un titre de 1558.

1686 (12.10.br), Chambre des Contrats, vol. 556 f° 447-v
Jacob Frentz der Gremp mit beÿstand Martin Ringen deß hoßenstrickers
in gegensein Martin Kuglers deß annoch ledigen Kupfferschmids, mit beÿstand H. Sebastian Kuglers Statt kupfferschmids seines leiblichen Vatters
eine behaußung, höfflein, hoffstatt, sambt allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, rechten, zugehördten und Gerechtigkeiten, allhier ahne der Straßen, einseit neben Balthasar Bühlen dem Grempen anderseit neben Hannß Jacob Luthen deß Müllers Seel. nachgelaßenen Erben hinden uff Paul Salinußen deß hoßenstrickers Seel. Erben stoßend gelegen, welche behaußung annoch umb 100 fl. Straßburger Wehrung dem Stifft St. Marx Item umb 50. fl. besagter Wehrung dem blatter hauß, Ferner umb 200 fl. Abraham Heÿdel Garttner Underw. dann H. Johann Jacob Herberling Schaffner der Cartauß umb 250 fl. verhaffrer – umb 100 Gulden
[in margine :] /:tit:/ H. Josias Städel alter Ammeitser und dreÿ Zehener alß Pfleger, beneben H. Johann Daniel Scherer Notar. Publ. Oberschreiber deß Stiffts St. Marx allhier haben in gegensein deß hierin gemeldten Kuglers alß Kaüffers angezeigt und bekandt, daß derselbe die hierinn vermeldt 100 fl. Straßb. wehr. dem Stifft St. Marx abgelöset und mit 105 fl. baar bezahlt haben auch seÿen Zinß und Marzal richtig, darüber quittirend, und d. darüber besagende brieff, welche auff pergament geschrieben mit deß bischofflich. hoffs insigel verwahrt am 4. May 1558. datirt und in deß Stiffts gewölb verwahrt – Act. d. 21.t. Maÿ 1691.

Martin Kugler épouse en 1687 Anne Marie, fille de l’aubergiste Jean Stempffer
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 206 n° 9)
1687. Februarius d. 26. Marthin Kugler der led: Kupfferschmitt H. Sebastian Kuglers Statt kupfferschmitts und burgers allhie ehl. Sohn vnd Jgfr. Anna Maria, H Johann Stämpffers geweßenen Gastgebers allhie hinterl. ehl. tochter (i 207)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari. Ceux du mari s’élèvent à 199 livres, ceux de la femme à 474 livres.

1687 (19. Dec.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 9) n° [25]
Inven[tarium undt beschrei]bung aller der Jenigen Haab, Nahrung Und gütter, so der Ehrenhaffte Meister Martin Kugler, der Kupfferschmidt und die Ehren und tugendsame fraw Anna Maria Kuglerin, gebohrne Stempfferin beede Eheleüth und burgere allhier Zue Straßb. einander für unverändert in d. Ehestand Zugebracht (…) Actum freÿtags den 19.ten Decembris Anno 1687.
In ei[ner allhier zu Straßburg ane der] obern Straß gelegen und [-] behaußung befund. word. wie folgt
In d. Wohnstub
Eigenthum ane Einer behaußung. (M.) i. behaußung, höff. hoffstatt, sampt allen gebauen vnd begriffen, weithen, rechten Zugehörden und gerechtigkeiten allhier Zu Straßb. ane der Obern Straßen, 1.s neben hannß Jacob Luthen deß Müllers seel. nachgelaßenen Erben, 2.s neben Balthasar Bühlen dem gremppen hind. vff Paul Salinußin des hosenstrickhers seel. Erb. stoßend gelegen, welche behauß. annoch vmb 100 fl. Straßb. wehr. dem Stifft St. Marx It. vmb 50. fl. besagter wehr. dem blatterhauß, Ferner vmb 200 fl. Abraham heidel garttner vnderwagner, So dann Johann Jacob heberling Schaffner der Carthauß umb 250. fl. verhafftet angeschlag. vber vorstehende beschwerd. p. 50. lb. Darüber besagt i. perg. Kbr. mit der St. St. anhang. Kleinen Contractstub Insigel verwahrt datirt d. 12. Xbr. 1686.
Eÿgenthumb ane [ligenden] Güttern, Veld Ackher Marlenheim Banns (F.)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns Unveränderte Nahr. betr., Sa. haußraths 63, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 10, Sa. baarschafft 9, Sa. Frucht 5, Sa. Werckzeugs Zum Kupfferschmidt handwerckh gehörig 61, Sa. Eigenthums Ane einer behaußung 50, Summa summarum 199 lb
[Der Ehefrau unver]änderte Nahrung betreffend, Sa. haußraths 122, Sa. Silbergeschirrs 16, Sa. guldener ring 10, Sa. baarschafft 282, Sa. Wein vnnd Leeren Vaßen 45, Sa. Eigenthum ane Ligend. Güttern, Summa summarum 474 lb

Codicille par lequel Martin Kugler et Anne Marie Stempffer se lèguent mutuellement l’usufruit de leurs biens.
1697 (7.3.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6296)
Codicill – Persönlich erschienen seindt, der Ehrengeachte meister Martin Kugler, Kupfferschmidt undt die Ehrn: und tugendsahme fraw Anna Maria Stempferin, beede Eheleut burgere alhier Zu Straßburg, gesundt gehendt und stehender leibern auch von den Gnaden Gottes des Allerhöchsten guter volliger richtigen sinnen, vernunfft und gesprächs wie ab Ihren reden undt gebärdte clar undt augenscheinlichen abzunehmen war (…)
dieweil bede genante Ehe Persohnen einander Zeit wehrenden Ihres Ehestandts alle Ehe eheliche Lieb und trew schon in des Zehendte Jahr erwießen, auch ferner so lang der liebe Gott Sie beÿsammen im leben erhalten wird, dergleichen gedencken so wollen genante beede Codicillirendte Ehe Persohnen einander, demnach das erststerbent dem letstlebendten all sein haab undt nahrung Zu einem lebtägigen Wÿdemb verordnet undt verhafft haben (…)
So beschehen inn Straßburg Donnerstags d. 7.t Martÿ Anno xvj Neüntzig Sieben [unterzeichnet] Martin Kugler, Annamaria Kuglerin
(autre exemplaire, Protholollum secundum, 1 AH 6295)

Martin Kugler et Anne Marie Stempffer hypothèquent la maison au profit de Jean Henri Lederlé, enseignant des langues orientales et recteur de l’université

1709 (4.5.), Chambre des Contrats, vol. 582 f° 294-v
Martin Kugler Kupferschmidt u. Anna Maria geb. Stämpferin beÿständlich Philipp Fautel Pastetenbeckers u. Georg frid: Knobloch Gremp
in gegensein S.T. H. Joh: Heinrich Lederle Prof.soris Ling: or: Publ: und nunmahlen Rectoris Magnifici wie auch H. Philipp Jacob Erhards alß Schafners deß stipendi Mauritiani – schuldig seÿen 300 pfund
unterpfand, ihre behaußung c. appert: allhier in der Straß, einseit neben Martin Knecht weinhändler anderseit neben J: Philipp Lauth gremp hinten auf Paul Salinußen EE

Martin Kugler et Anne Marie Stempffer hypothèquent la maison au profit de Dorothée Litsch, veuve Reichard

1710 (18.7.), Chambre des Contrats, vol. 583 f° 458-v
Martin Kugler Kupferschmidt und Anna Maria geb. Stämpferin beÿständlich Heinrich Stämpfers würth zuem Löwen u. Joh: Georg Stämpfers beckers
in gegensein Dorotheæ Reichardtin wittib geb. Litschin beÿständlich Joh: Jacob Adam Schiffbäuers ihres Curatoris – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert: in der straß, einseit neben Joh: Philipp Lauth anderseit neben Joh: Martin Knecht hinten auf vierling

Martin Kugler meurt en 1719 en délaissant deux fils. L’inventaire est dressé dans sa maison à la Krutenau près du pont au Brochet. La masse propre à la veuve est de 481 livres, celle des héritiers de 1 388 livres. L’actif de la communauté s’élève à 566 livres et le passif à 1 952 livres.
1720 (31.1.), Not. Oelinger (J. Frédéric, 36 Not 5) n° 122
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab undt Nahrung so weÿl. der Ehrenachtbahre Herr Martin Kugler geweßener Kupfferschmid undt burger allhier Zu Straßburg nunmehr Seel. nach seinem den 23.t 8.bris dießes Zurückgelegten 1719. Jahrs genommenen tödlichen ableibens Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehrsamen und bescheidenen Abraham undt Johann Philipp Kugler Leedigen Kupfferschmidts gesellen, beede deß verstorbenen seel. mit hernach gemelter hinterbliebenen wittib ehelich erzeigte Söhne und ab intestato nachgelaßenen nächsten Erben fleißig inventirt und ersucht durch obged. Fr. Anna Maria Stempfferin die hinderbliebene Wittib mit assistentz herrn Lorchen Ihres geordnet und geschworenen Vogts – Actum Straßburg d. 31. Januarÿ Anno 1720.

In einer allhier Zu Straßburg in der Vorstatt Krautenau ohnfern der hechtenbruck gelegenen und in diese Verlaßenschafft gehörig. behaußung sich volgendermaßen befunden
Ane Höltzen und Schreinerwerck, Auff der Bühn, In der Cammer A, Im Haußöhren
Eÿgenthumb ahne einer behaußung (T.) Item ein hauß hoffstatt mit allen deren gebäuen
ane dem Gaulstaden (…)
Ergäntzung der Wittib abgeganegen ohnveränderten Vermögen, Vermög Inventarÿ Zugebrachter Nahrung in Anno 1687. durch herrn Johann Heinrich Langen Notm. publ. gefertiget
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib Nahrung betreffend, Haußrath 32, Guldene Ring 3, Activorum 30, Ergäntzung 415, Summa summarum 481 lb
Der Erben Nahrung Anlangend, Haußrath 7, Werckzeug Zum Kupfferschmid Handwerck gehörig 17, Ergäntzung 1393, Summa summarum 1418 lb – Schulden 30, Detrahendo 1388 lb
Die Theilbahre Nahrung betreffend, haußrath 37, Werckzeug Zum Kupfferschmid Handwerck gehörig 9, Silber 3, Guldene Ring 1, baarschafft 2, Eÿgenthum ane einer behaußung 512, Summa summarum 566 lb – Schulden 1952 lb, In Compensatione 1386 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 484 lb

Les préposés de la Taille dispensent les deux fils d’Anne Marie, veuve du chaudronnier Martin Kugler, de faire dresser un inventaire pour cause de pauvreté.
1736 (21.11.), Livres de la Taille (VII 1178) f° 184
Weÿl. Fr. Annæ Mariæ auch weÿl. Martin Kugler des Kupferschmidts wittib hinterlaßenen Zweÿ Söhne, Johann Philipp Kugler der Gremp und burger alhier und Abraham Kugler der Kupferschmidt zu Weißenburg, bitten umb befreÿung der Inventur. Der Eine sohn so burger erhärtet datu manu ane Eÿdestätt daß die Mutter nichts hinderlaßen. Erkannt wegen Armuht willfahrt.

Martin Kugler et Anne Marie Stempfer vendent la maison à Jean Jacques Moscherosch, diacre à Saint-Pierre-le-Vieux, et à sa femme Susanne Marie Silberrad moyennant 1400 livres.

1714 (20.9.), Chambre des Contrats, vol. 587 n° 676
(1400) Martin Kugler Kupfferschmidt und Anna Maria geb. Stämpferin
in gegensein H. M. Joh: Jacob Moscherosch Diaconi beÿm alten St Peter und frauen Susannæ Mariæ geb. Silberradtin
eine behaußung höfflein hoffstatt sambt allen deren gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten ahn der Straß, einseit neben Martin Knecht dem weinhändler, anderseit neben Joh: Philipp Lauth gremp, hinten auf Peter brunner den hoßenstricker – (um 300 und 200 pf. verhafftet, geschehen um 900 pfund)

Fils du barbier Christophe Moscherosch, Jean Jacques Moscherosch alors pasteur à Barr épouse en 1686 Susanne Marie, fille du pasteur Samuel Silberrad : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia Heüraths Verschreibung – zwischen dem Ehrwürdig und wohlgelehrten Herrn M. Johann Jacob Moscherosch, der Zeit wohlverdientem Pfarrherrn Zu Barr, des Ehrenvest und Kunsterfahrnen Herrn H. Christoph Moscheroschs, barbierers und Wundartzten burgers alhier Zu Straßburg, ehelichen Sohn, alß Hochzeitern, an Einem, So dann am Anderntheil der Viel Ehren: und Tugendreichen Jungfraun Susannæ Mariæ deß auch Wohl Ehrwürdig und Wohlgelehrten Herrn Samuel Silberrads, Wohlverdienten Treueifferigen Pfarrers beÿ der Gemeind Zum alten St. Peter und burgers allhier Zu Straßburg eheleiblichen Tochter, alß der Hochzeiterin (…) Actum und abgehandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff Donnerstag den Ersten Augusti Stili novi im dem Jahr alß man nach der gnaden reichen Geburth unsers einigen Erlößers und Seeligmachers Jesu Christi Zahlte 1686.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 204-v n° 26)
1686. September d. 4. Seind copulirt word. H. M. Johann Jacob Moscherosch Pfarrer Zu Barr, H. Johann Christoph Moscherosch Barbierers und wundartzts alhie ehl. Sohn, Jungfr. Susanna Maria meine Samuel Silberrads Pfarrers beÿ dießer Kirch. tochter (i 206)

Ancien pasteur à Barr, Jean Jacques Moscherosch a apporté lors de sa nomination en ville du vin provenant de sa rétribution et de divers dons. (Le fermier) Garnier ne veut exempter de taxe que 56 mesures sur les 286. Les Quinze exemptent 120 mesures.
1701, Protocole des Quinze (2 R 105)
(f° 195) Sambstags den 21.t Maÿ 1701. – H. M. Joh: Jacob Moscherosch Pfarrer, Diaconus pt° ungeltsfreÿheit von besoldungs wein
Obere Ungeltsherren laßen per Herrn Friden Proponiren es habe H. M. Johann Jacob Moscherosch geweßener Pfarrer Zu Barr, und ietzmahliger Diaconus Zum alten St. Peter alhier, sich bey Ihnen Angemeldet und beditten daß nachdem er sein domicilium verändern müssen, Er 286. ohmen wein von Barr habe herführen laßen und vermeint des Ungelts befreÿt Zu seÿn, so ihm aber abgefordert werde, man habe hierauff nichts ermangelt mit Mr Garnier davon Zu reden, der sich dahin vernehmen Laßen, daß er 86 ohmen freÿ passiren laßen wolte, Welchem nach man die Liste der Exempten auffgeschlagen und darin gefunden, daß die Geist: und Welth. Statt Bediente, von dem, so sie ane besoldungen in der Statt und auff dem Land empfangen, des Ungelts freÿ seÿn Sollen, Es habe auch ged. Herr Diaconus Moscherosch darauff einen schrifft. schein unter seiner handschrifft überschickt, und attestirt, daß kein tropffen gekauffter wein sondern 120. Ohmen, ihme von dreÿ jahren außgestandenen besoldungs wein, darunter begriffen, der übrige aber ihme von gutthätigen gemüthern verehrt worden seÿe, deßwegen man dafür gehalten daß ermelte 120. ohmen besoldungs wein freÿ passiren Könten, weilen aber Mr Garnier sich dazu nicht verstehen will, alß stünde Zu Mghherren, ob sie demselben, solche freÿ passiren Zu laßen anbefehlen woll. Erk. sollen ged. 120. Ohmen besoldungs wein freÿ passierrt werden.

Susanne Marie Silberrad meurt en 1726 en délaissant quatre enfants. L’inventaire est dressé dans une maison de fonction qui appartient au chapitre Saint-Pierre-le-Vieux. La succession comprend deux maisons en propriété, celle proche de la ruelle des Meuniers que les experts estiment à 375 livres revient au fils cadet Jean Jacques Moscherosch

1726 (25.11.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 13) n° 149
Inventarium über Weÿl. der Wohl Edlen Viel Ehr: und Tugendgezierten frauen Susannæ Mariæ Moscheroschin gebohrener Silberradin, des Wohl Ehrwürdig hochachtbahr und Woglgelehrten Herrn M. Joh: Jacob Moscherosch Hocheiffergen Pfarrherrs d. Evangelischen Gemeinde zum alten St. Peter und Vornehmen burgers alh. Zu Straßb. geweßener frauen Eheliebstin, nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1726. (…) nach deme dieselbe d. 28. 8.bris jüngsthien Von dem l. Gott aus dießer Vergänglichen Weltweßen in die immerwährende ewige freÿde Versetzt worden, Zeitlichen hinder sich verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundl. ansuchen, erfordern und begehren des hind. bliebenen H. Wittibers wie auch d. seelig Verstorbenen, fr. Pfarrerin mit Ihme dero hind.laßenem Hn Wittiber ehelich erzeugter Herren Söhne und Frauen Töchtere alß deroselben ab intestato Zu gleich antheilen Verlaßener Erben (…) So beschehen in Straßburg auf Montag den 25.ten Novembris er seqq. Anno 1726.
Die in Gott ruhende Frau Pfarrerin hat Zu Ihren Erben ab intestato Verlaßen wie volgt. 1. den Wohl Ehrwürdig Großachtbahr und Wohlgelehrten herrn M. Samuel Moscherosch, treueifferig Pfarrerrn und Seelsorgern der Evangel. Gemeind Zu Lingolßheim dero ältern noch Ledigen herrn Sohn, welcher seine stelle hiebeÿ selbsten Vertretten, 2. den Wohl Ehrenvest und Großachtbahr Herrn Johann Jacob Moscherosch, Vornehmen burgern und handelßmann alh. dero jüngern herrn Sohn welcher mit und beneben der Viel Ehr und Tugendgezierten Frauen Susannä gebohrnen Saltzmännin seiner frauen Eheliebstin dem Geschäfft persönlich beÿgewohnt, 3. die Viel Ehr: und Tugendreiche frau Susanna Mariam von Gottesheim gebohrne Moscheroschin, des Wohl Ehrwürdig Großachtbahr und Wohlgelehrten Herrn M. Johann von Gottesheim, treueifferigen und Wohlmeritirten Diaconi Zu St. Niclaus und vornehmen Burgers alh. Frau Eheliebste dero ältere Frau Tochter, welche mit und beneben Wohl Ehren erwehntem Ihrem Eheherrn Persönlich Zugegen ware, So dann 4. die Viel Ehr: und Tugendgezierte Frau Annam Magdalenam Geÿlerin gebohrne Moscheroschin, des Wohl Ehrwürdig Großachtbahr und Wohlgelehrten Herrn Mag. Stephani Geÿlers treueifferigen und Wohlmeritirten Pfarrers in beeder Evangelischen Gemeinden Zu Scharrachbergheim u. Irmstätt auch vornehmen burgers alh. Frau Ehegattin, dero jüngere Frau Tochter, welche mit und beneben Wohl Ehrengedachtem dero Eheherrn dem geschäfft persönlich abgewartet. Alle Vier mit Eingangs Hoch Ehrengedachten deroselben hinterbliebenem herr Wittiber ehelich erzeügte Herren Söhne und Frauen Töchtere auch ab intestato Zu gleicher antheilen Verlaßene Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Alten Wein Marck gelegenen Von dem Herrn Pfarrer bewohnender Stifft Behaußung befunden word.
(f° 9) Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff dem Obern Stock. In der Vordern Cammer N° 1, In der Cammer B, In der Cammer C, Vor der Cammer C, Im Undern Stockw. An dem Haußöhren, Auff dem Mittlern Gang, In der Cammer D, Auf dem Vordern Gang, Im Vordern Stüblein auf die Gaß Aussehend, In der Vordern Stub Cammer, In des Herrn Pfarrer Stiudier Stub, In der Wohn Stuben, In der Wohn Stub Cammer, Im Undern Haußöhren, In der Kuchen, In der Bauch: Küchen, Im Sommerhauß
(f° 23-v) Eÿgenthumb ane Behaußungen. Eine behaußung, höfflein, undt Hoffstatt mit allen deren Gebeüwen, begriffen, weith. Zugehörden, rechten u. gerechtigkeit, gelegen allhier Zu Straßb. ane der langen Straß, einseit neben Martin Knechten dem Weinhändler, anderseith neben Philipp Schneid. dem Meelmann hinden auf Joh: Braunen dem hosenstricker stoßend, so freÿ, ledig v. eig. und durch (die Werckmeister) vermög deroselben ad Conceptum geliefferter schrifftlichen Abschatzung vom 21. 9.bris A° 1726. angeschlagen pro 375. lb. Wie mehr wohl Ehrenged. Hr. Pfarrer und deßen seelig verstorbenen Frau Eheliebste diße behausung Von Martin Kugler dem Kupfferschmid und Anna Maria gebohrener Stempferin erkaufft word. besagt j. teutsch perg: Kauffbrieff, mit der St. Strßb. anh. Canc. Contract Insiegel Verwah. dat. den 20. Sept. aô 1714. mit N° 26 bezeichnet.
It. eine behaußung und hoffstatt mit allen deren Zugehörden rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straß. ane der langen Straß, so ein Eck ane der Hanen gaß (…)
(f° 24) Eigenthumb ane liegenden Güthern, Barrer Banns
Copia Heüraths Verschreibung (…) Actum und abgehandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff Donnerstag den Ersten Augusti Stili novi im dem Jahr alß man nach der gnaden reichen Geburth unsers einigen Erlößers und Seeligmachers Jesu Christi Zahlte 1686.
(f° 30-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Bericht wegen dießer Verlaßenschafft &
Sa. haußraths 383, Sa. der Bibliothec 36, Sa. der früchten 72, Sa. der Wein und Vaß 284 Sa. Silber Geschirr und Geschmeids 236, Sa. goldener ring 72, Sa. der Baarschafft 1250, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1528, Sa. Eigenthums ane häußern 625, Sa. Eigenthumbs ane liegenden güthern 42, Sa. Schulden 202, Summa summarum 4732, Gantze Verlaßenschafft et Conclusio finalis Inventarÿ
Sa. Ungewiß Zweiffelhafft und verlohrner Pfenningzinß hauptgüter 397, Sa. Ungewiß Zweiffelhafft und verlohrner schulden 117
Abschatzung d. 21. 9.bris aô 1726. Auff begehren des Ehren Vesten und Vorachtbahren H. Mr Mochenes Pfarrer Zum Alten St. Peter ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der langen Straß ein Eckhauß ane der hanen gaß gelegen (…)
Der ander begrif ist auch allhie in der Statt Straßburg auch in der langen Straß gelegen, mit einem halben dach ein seits Neben Martin Knecht gartnern anderseit Von Philips Schneider Meelmann hinten auf Johannes Braun hosenstricker und Zum theil auf schon Ermelten Martin Knecht stoßend welche behausung ein alt Nebens gebäw Stuben Cammern, waaren Cammer, und Soldaten Cammer, Laden mit einem Contor, hauß Ehren mit einem herd und bronnen, halb gewölbter und halb gebälckter Keller, sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befundten und Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und umb Sieben Hundert und Funffzig gulden. Bezeichnus durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
(f° 6) Vergleichung der Häußer
Die in der seelig Verstorbenen Frauen Pfarrerin Susannæ Mariæ Moscheroschin gebohrener Silberadin Verlaßenschafft gehörige behaußung, höfflein, undt hoffstatt mit allen deren Gebeüen, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und gerechtigkeit, gelegen allhier Zu Straßburg ane der langen Straß, einseith neben Martin Knechten, dem Weinhändler, anderseith neben Philipp Schneider, dem Meelmann, hinden auff Joh: Braunen, dem hosenstricker stoßend, ist mit allerseitigen belieben, so wohl was die Vätterliche Zwo tertzen, als auch den Mütterlichen dritten theil anbetrifft und alßo die Völlige Behaußung herrn Johann Jacob Moscherosch dem handelsmann und burgern allhier, dießorts jüngstem herrn Sohn, sambt deren darinnen liegenden Sieben alten Stuck Vaßen, Vor freÿ ledig und eigen cedirt und übergeben, auch Von Ihme diesem herrn Sohn Vor sich und Seine Erben eigenthümlichen angenommen worden (…) dargegen aber in gemeiner Vätter: und Mütterliche Massam davor einzuschießen und Zuerlegen schuldig seÿn solle die Summam Von 950 pfund pfenning Straßburger oder 1900 Gulden – So beschehen in Straßburg den 2.ten Aprilis Anno 1727.

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 2 400 florins (1 200 livres) sur un total de 9 400 florins
1727, Livres de la Taille (VII 1176) f° 112-v
Lucern F. N 4113 – Weÿl. Fr. Susannæ Mariæ gebohrner Silberradin H. M. Johann Jacob Moscherosch Pfarrherrn Zum Alten St. Peter und burgers alhier gewesener Ehel. haußfrawen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Johann Daniel Lang.
Concl. Fin. Inv. ist Fol. 181-b, 4732 lb 6 ß 8 d, die machen 9400 fl. verstallte 7000 fl. also Zu wenig 2400 fl.
Warvon der Nachtrag alß von theilbar und errungenem guht gerechnet wird auff Sechs Jahr in duplo à 7 lb 4 ß, 43 lb 4 ß, Und auff vier Jahr in simplo à 3 lb 12 ß, 14 lb 8 ß
Ext. kein Stallgeltt –
Gebott 2 ß
Abhandlung – 5 lb 7 ß 6 d – Summa 63 lb 1 ß 6 d
Es hat Zwahr der H. Pfarrherr den 19. Octobris 1726. sich 1100. fl. Zuschreiben laßen auch die gebühr darfür zugleich erlegt weilen aber der todfall die 28° dito darauf erfolget alß hat man wegen kürtze der Zeit kein reflexion auf solchen zugang gemacht sondern das Geschäfft Vorstehender maßen tractirt.
Auf bericht H. Dr Heckeler daß die verstorbene Frau Pfarrerin Zur Zeit der angab nicht gefährlich kranck gewesen angesehen dieselbe frisch und gesund auf den Herbst Zu Hauß angelangt und nachgehends durch eine alteration sich ohnpäßlich befunden, so man anfänglich für ihren ordinarÿ Zustand der sogenanten Schöhn, alß wormit dieselbe offt incommodiret war, gehalten, wie auch in betrachtung der übrig eingebrachter motiven Zumahlen eine Zimliche quantitet alter bahrschafft Zufolg Königl. Edicts in die Müntz gelüffert und verwexelt worden haben die herren dreÿ nachgelaßen 28. lb 16 ß, rest 34 lb 5 ß 6 d
dt. 26° Martÿ 1727.

Le pasteur Jean Jacques Moscherosch meurt en 1736 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans lon logement de fonction. Il est propriétaire d’une maison à l’angle de la rue du Coq. La succession s’élève à 7 175 livres.
1736 (12.12.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 60) n° 530
Inventarium über Weÿland des Wohl Ehrwürdig Hochachtbahren v. hochgelehrten herrn M. Johann Jacob Moscheroschs, geweßenen treueiffrigen und hoch Verdienten Pfarrers der Evangelischen Gemeinde zum Alten St. Peter und Vornehmen burgers allhier nunmehr seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1736. (…) nach deme derselbe nechstverwichenen Freÿtags als den 7. dieses Monats Decembris Von dem Allerhöchsten Gott aus dießer Zeitlichkeit in die seelige Ewigkeit versetzet worden, Zeitlichen hinder sich Verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren sein des seel. Herrn Pfarrers mit auch weÿland der wohl Edlen Viel Ehr und Tugendgezierten Frauen Susanna Maria Moscheroschin gebohrener Silberadin deßelben geweßter aber bereits den 28. Octobris A° 1726. ihme in die Ewigkeit vorangegangener Fraun Eheliebstin ehelich erzeugten Herrn Sohns und beeder Frauen töchtere, als deßelben ab intestato verlaßener Erben (…) So beschehen Zu Straßburg auff Mittwoch den 12. Decembris et seqq. Anno 1736.
(f° 2) Der in Gott ruhende Herr Pfarrer hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie volgt. 1. den Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Johann Jacob Moscherosch, Vornehmen burgern und handelßmann alhier, deßen herrn Sohn welcher mit und beneben der Viel Ehr und Tugendreichen Frauen Susanna gebohrner Saltzmännin, seiner Frauen Eheliebstin dem Geschäfft Persöhn. beÿgewohnt, 2. die Viel Ehr und Tugendgezierte frau Susannam Mariam von Gottesheim, gebohrne Moscheroschin, des Wohl Ehrwürdig Großachtbahren und Wohlgelehrten Herrn M. Johannis von Gottesheim, treueiffrigen und wohlmeritirten Diaconi Zu St. Niclaus und Vornehmen Burgers alhier Frau Eheliebste, deßen ältere Frau Tochter, welche mit und beneben wohl Ehrengedachtem Ihrem Eheherrn Persönlich Zugegen ware, und dann 3. die Viel Ehr: und Tugendgezierte Frau Annam Magdalenam Geilerin gebohrne Moscheroschin, des Wohl Ehrwürdig, Großachtbahren und Wohlgelehrten Herrn M. Stephani Geilers treueifferigen und Wohlmeritirten Pfarrers derer beeden Evangelischen Gemeinden Zu Scharrachbergheim und Irmstätt auch vornehmen burgers allhier Frau Ehegattin, deßen jüngere Frau Tochter, welche mit undt beneben Wohl Ehrenerwehnten ihren Eheherrn dem geschäfft persönlich abwartete. Alle dreÿ deß seel. H. Pfarrers mit Eingangs wohl Ehrenbesagter deßen auch seel. Frauen Eheliebstinen ehelich erzeugte noch lebender herrn Sohn und Frauen töchtere et ab intestato Zu dreÿen gleichen Antheilen Verlaßene Erben.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Alten Wein Marck gelegener und Von dem seeligen Herrn Pfarrer bewohnter Stifft Behaußung befunden worden, wie folgt.
(f° 9) Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der obern Stub, In der obern Stub Cammer, In dem obern nebens Stübel C, In dem obern hindern Stübel D, In der hindern Cammer E, Auff dem obern hindern gang, Auff dem Hindersten gang
(f° 29) Eÿgenthumb ane einer Behaußung. Eine behaußung und hoffstatt mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allh. Zu Straß. ane der obern langen Straß, so ein Eck ane der Hanen gaß (…)
Sa. haußraths 355, Sa. der Bibliothecæ 75, Sa. Frucht 28, Sa. Wein und faß 364, Sa. Silber geschirr und Geschmeid 253, Sa. baarschafft 1596, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 2944, Sa. gülten Von liegende gütheren 19, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 275, Sa. Eigenthumbs ane liegenden güethern zu Barr 42, Sa. Schulden 1220, Summa summarum 7175 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 7175 lb – Stall Summa 6819 lb
Sa. ungewiß und zweiffelhaffte Schulden 47 lb
Abschatzung dem: 19. Decemb. 1736. Auff begehren weiland deß Ehrwürdigen herrn Magister Johann Jackob Moschoros deß geweßenen Pfarrer Zum alten st: Peter und burgers allhier Seel. hinderlaßenen Frau wittib und Erben ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg in der langen Straß ihm hanen gäßell gelegen ein seits (…)

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 800 florins (400 livres) sur un total de 13 900 florins
1737, Livres de la Taille (VII 1178) f° 227-v
Lucern F. N. 7394 – Weÿl. H. M. Johann Jacob Moscherosch gewesenen Pfarrherrn Zum alten St. Peter und burger alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Lang.
Concl. Fin. Inv: Fol. 184. 7185. 7. 3. Darzu gelegt wegen allzu geringen anschlags der Vorhandenen weine 200, Summa 7375. 7. 3.
Hingegen gehet wieder ab der dißorts der Verstallung befreÿte haußraht mit 355. 19. 3. und die außständige nicht genoßene Capital Zinnße 63. 6, Summa Abgangs ist 419, restirt 6955. 12. die machen 13.900 fl. Verstallte allein 13.100 fl also Zu wenig 800 fl.
Warvon der Nachtrag gerechnet wird auff acht Jahr in duplo macht à 2 lb 8 ß – 19 lb 4 ß
Und auf Sechs Jahr in simplo à 1 lb 4 ß – 7 lb 4 ß
Extat kein Stall geltt
Gebott – 2 ß 4 d
Abhandlung – 8 lb 17 ß 6 s, Summa 35 lb 7 ß 10 d
Auff bitten haben die Herren dreÿ nachgelassen 7 lb 4 ß, restirt 28 lb 3 ß 10 d
Auff ferneres Suppliciren nachlaß 2 lb 8 ß, Verbleibt 25 lb 15 ß 10 d
dt. 3° Junÿ 1737

Le marchand Jean Jacques Moscherosch épouse en 1716 Susanne, fille du docteur en médecine Jean Saltzmann : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehren Vesten und vorachtbaren Herrn Johann Jacob Moscherosch dem leedigen Handelßmann und Burger, allhier deß Wohl Ehrwürdig und Wohlgelehrten Herrn M. Johann Jacob Moscherosch, dem leedigen Handelßmann und burgern allhier, deß Wohl Ehrwürdig und Wohlgelehrten Herrn M. Johann Jacob Moscherosch, Treuÿfferigen Seelsorgers und Diaconi der Evangelischen Gemeind Zum alten St: Peter und burgers allhier mit der Viel Ehr: und Tugendreichen Frauen Susanna Maria geborhner Silberradin seiner Frau Eheliebstin erzeugtem Herrn Sohn, als dem Herrn Bräutigam ane einem, So dann der Viel Ehr und tugendsamen Jungfrauen Susannæ Saltzmännin, Weÿl. des Wohl Edel Vest und Wohlgelehrten Herrn Johann Saltzmanns geweßenen Medicinæ Doctoris und berühmten Practici auch burgers allhier seel. mit der Edeln, Viel Ehr: und tugendreichen Frauen Anna Barbara gebohrener Zeÿsolffin seiner Frau Eheliebstinen nunmehr auch seel. Ehelich erzeugter Jungfrau Tochter, als der Jungfrau Hochzeiterin am andern Theil (…) So geschehen in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg den 26. Aprilis 1719. [unterzeichnet] Johann Jacob Moscherosch als hochzeiter, Susanna Saltzmännin als Hochzeiterin, Philipp Jacob Mader Nots publ et Acad. jur.

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 164-v n° 948)
Anno 1719 den 26. Aprilis seind, nach geschehener ordentlicher ausruffung, in der Kirch Zu St. Thomas ehelich eingesegnet worden H. Johann Jacob Moscherosch der ledige handelsmann, H. Johann Jacob Moscherosch Diaconi beÿ der Evangelischen Gemeind Zum alten Sanct Peter ehel. Sohn, und Jungfr. Susanna, weil. H. Johann Saltzmann, gewes. Med. doct. u. Practici hinterlaßene Ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Moscherosch hochzeiter, Susanna Saltzmännin Als hochzeiterin (i 168)

Le marchand Jean Jacques Moscherosch cotise à la tribu des Tonneliers pour pouvoir vendre de l’eau-de-vie et du vin.
1718, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 393)
(f° 378-v) Dienstags den 5. Aprilis Anno 1718 – H Joh: Jacob Moscherosch der handelsmann bittet Ihme das Zunfftrecht wegen dem Brandenwein und Eßig Schanck gedeÿen Zu laßen. Erkandt willfahrt dt. vor d. Zunfftrecht 2. lb 10 ß 6 d pro Zunfftschreiber und büttel 2 ß 6 d.

La tribu du Miroir refuse de donner à Jean Jacques Moscherosch l’autorisation d’ouvrir une épicerie, un règlement de 1639 stipulant que seuls les Quinze sont habilités à la délivrer. Les Quinze accordent l’autorisation au pétitionnaire.
1718, Protocole des Quinze (2 R 122)
Joh: Jacob Moscherosch c. E. E. Zunfft Zum Spiegel pt° Specereÿ ladens
(p. 275) Sambstag d. 18. Junÿ 1718. – Moss. nôe Jacob Moscherosch des Specierers und burgers allhier c. E. E. Zunfft Zum Spiegel H. Zunfft Meister H. Dr Frantz Theobald Reißen prod. Underth. Memoriale und bitten umb ged. Erlaubnus einen offenen Specereÿ Lad. Zu halten. Zentg. H. Citatus sagt es es gebühre E. E. Zunfft nicht über sachen Zu dispensiren, welche Mghh. sich allein reservirt haben, und setzt Zu Mhh Erlaubnus. Moss ut ut ante. Erk. Oberkauffaus herren

(p. 282) Sambstag d. 25. Junÿ 1718. – Joh: Jacob Moscherosch c. E. E. Zunfft Zum Spiegel pt° Specereÿ ladens
Ober Kauffhauß herren lassen per me referiren, Joh: Jacob Moscherosch der Ledige handelßmann habe durch ein überreichtes Und.thg. Memoriale c. E. E. Zunfft Zum Spiegel sich beklagt, daß ohnerachtet er 4 Jahr gelernt, und 8 Jahr alß diener in Specereÿ läden Servirt, E. E. Zunfft Zum Spiegel sich erschwehre Ihme Zu Willfahrtern, einen Specereÿ laden anzufangen, mit bitt ihme gnädig Zu Vergönnen, daß Er einen Specereÿ lad. auffrichte.
Herr Reiß als Zunfftmeister habe geantwortet daß Mghh. durch Decret sich vorbehalten in diesem fall die vergönnung Zu bestelligen.
Auff geschehene Remission habe man die Parthen auch mündlich angehört, d. den Imploranten sein petitum widerholt anbeÿ seinen Lehrbrieff producirt, aus welchem erhellet, daß er in dem Bucherlsen Specereÿ lad. 4 Jahr lang in der Lehr gestand. Nahmens ged. Zunfft habe H. Reiß seine in pleno gethane anzeig wiederhohlt, mit dem beÿsatz daß sie das geringste nicht wieder den Imploranten einzuwenden hätten, es wären Ihnen aber die hand durch Mgh. decret gebund. legte anbeÿ Vor einen Extract aus ged. Zunfft Articul buch fol. 218. welches ein Decret von Mghh. d. XV. den 16. Martÿ 1639. ertheilt aus welchem erhellet daß niemand mach haben solle einigen Specereÿ handel anzustellen, oder mit gewürtz Krähmereÿ Zu treiben, der nicht Zu Vorderist beÿ MGhh.d. XV. sich darumb gebührlich angemelt, und deßen gnädige Zulaßung undt Erlaubnus erlangt haben wird, da man in dergleichen fällen dahin Zu sehen entschlossen, daß der so beÿ dieser handtlung von demjenigen herkommens, oder sich an derselben Jungen und dieners weis vffrecht haben gebrauchen laßen, möge gefürdert werden & Weilen nun der Implorant præstanda genugsam præstirt, undt Jungen undt dieners weis servirt, alß fanden diie Hh. Deputirten Keinen anstand beÿ dem Geschäfft, wolten also Zur Willfahrt Zu Mghh belieben gestellet haben. Erkandt, bedacht gefolgt.

Susanne Saltzmann meurt en 1752 en délaissant pour héritiers ses frères et sa sœur. Les experts estiment la maison à 500 livres. La masse propre au veuf est de 4 127 livres, celle propre aux héritiers de 4 008 livres. L’actif de la communauté s’élève à 5 100 livres, le passif à 5 440 livres.

1753 (26.3.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 48) n° 1020
Inventarium über Weÿland Frauen Susannæ Moscheroschin gebohrener Saltzmännin, Herrn Johann Jacob Moscherosch, des Handelsmanns und burgers allhier Zu Straßburg gewesener Frau Eheliebstin nunmehr seel. Verlaßenschaft, aufgerichtet 1753. (…) nach ihrem den 23. Novembris Anno 1752. beschehenen todlichem ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Verstorbenen seel. geschwistrige als ihrer ab intestato nachgelaßener und nach dem titulo dieses Inventarii benanter Erben fleißig inventirt und ersucht, durch den H. Wittiber und Annam Barbaram Dusterin von Oberbronn gebürtig die dienst Magd (…) geeigt und gezeigt – So beschehen Straßburg in fernerem gegenseÿn S. T. Herrn Joh: Daniel Langheinrich Notarii Publici und Practici allhier des Von dem Herrn Wittiber erbettenen beÿstand auf Montag den 26. Martÿ Anno 1753.
Die Abgeleibte Frau seel. hat ab intestato Zu Erben Verlaßen, wie folgt. 1. S. T. Hrn Johann Saltzmann, den reichen Pfründer in dem allhiesigen Waisenhaus und burger allhier so gegenwärtig war, 2. S. T. Frau Annam Margaretham Lederlinin gebohrne Saltzmännin, weÿl. S. T. Herrn Joh: Heinrich Lederlin gewesenen Linguarum orientalium Prof. Publ. ordinarÿ und Capituli Thomani Decani senioris auch Gymnasiarchæ und vornehmen burgers allhier nachgelaßene Frau Wittib so mit beÿstand S. T. H. Joh: Thomas Kau, J. V. Lto diesem geschäfft beÿgewohnt, 3. Herrn Philipp Friderich Saltzmann, den Knopffmacher und burger allhier, so dieses geschäfft persönlich abgewartet, 4. S. T. Herrn Frantz Benedict Saltzmann hochfürst. Heßen Hanau Lichtengergischen Kammer Secretarium Zu Buchsweiler, so hiebeÿ persönlich erschienen und weilen derselbe hier unverburgert so hat auch in deßen Nahmen S. T. H. Joh: Michael Böhm berührter Medicinæ Doctor und Practicus auch E. E. Kleinen Raths allhier nunmaliger wohlverdienter beÿsitzer als aus gedachte, Raths Mittel Vermög Extractus vom 24. hujus hierzu ernanter Deputatus dieser Inventation beÿgewohnt, Alle vier der Frau seel. Geschwüstrige und nach Abzug einiger Præ und Legaten Zu vier gleichen theilen ab intestato nachgelaßenen Erben
Copia Eheberedung
Copia Codicilli solennis inscriptis clausi so die Frau seel. den 10. Martÿ Anno 1721. vor Hn Johann Lobstein Notario Publico allhier auffgerichtet

Höltzen und Schreinwerck. In der Schwartzgetuch Kammer, In der Bett Kammer, In dem obern Hauß Ehren, In der Magd Kammer, In der Waaren Kammer, In der vordern Hauß Ehren Kammer, In der Finstern Kammer, Auf dem Gang, In der Soldaten Kammer, In dem untern Haußehren, In der Kuchen, In dem Laden Stübel, In dem Keller
(f° 9) Eigenthum an einer Behaußung (W.) Nemlichen eine behaußung, höfflin und hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten in allhiesiger Statt an der langen Straaß ein Seith neben Melchior Wurm dem Tabachändler, ander Seith neben Hrn Simon Wörden dem frippier gelegen hinden auf Johann Georg Hildenbrand den Schreiner stosend, welche behausung freÿ ledig und eigen und durch die allhiesig geschworne herren Werckmeistern Vermög deren schrifftlichen Abschatzung de dato 11. Decembris 1752 æstimirt worden vor 500 lb. Diese behausung ist dem herrn Wittiber nach deßen Frau mutter seel. Todt von seinem hr Vatter und Geschwistrigen laut der in dem Vätterlichen theilregister fol: 16. et seqq eingetragenen Cession vom 2. Aprilis A° 1727. cedirt worden
(f° 21) Eigenthum ane einer Ziegelscheür und Brenn Ofen (T.) in dem Dorf Weinburg
(f° 21-v) Ergäntzung des Herrn Wittibers ermanglenden unveränderten Vermögens. Inhalt Inventarÿ über beeder geweßener Ehepersohnen einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen durch herrn Philipp Jacob Mader Notarium in Anno 1719. aufgerichtet
(f° 41-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Herrn Wittibers unverändertes Vermögen, Sa. haußraths 187, Sa. Schiff und geschirrs zu der Specereÿ handlung gehörig 41, Sa. Lerer Faß 19, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 215, Sa. goldener ring und geschmeids 28, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 212, Sa. Eigenthums an einer behausung 500, Sa. der gült von liegenden güthern jährlich fallend 20, Sa. Ergäntzung (3350, Abzugs 397 Rests) 2952, Summa summarum 4177 lb – Schuld 50, Nach deren Abzug 4127 lb
Diesemnach folget auch der Erben unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 338, Sa. golderner ring und geschmeids 289, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 571, Sa. Antheils an einem Trotthaus Zu Mutzig 4, Sa. der gülten von liegenden güthern jährlich fallend 162, Sa. Frucht und Weinzehenden 66, Sa. Activ Schulden 50, Sa. Ergäntzung (2629, Abzugs 312, rests) 2317, Summa summarum 4008 lb
Endlich wird auch die gemeine veränderte und theilbare Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 138, Sa. Waaren 1075, Sa. Wein und Faß 81, Sa. Früchten 20, Sa. baarschafft 1115, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1623, Sa. Anschlags der Ziegelscheur zu Weinburg 265, Sa. Activ Schulden 680, Summa summarum 5100 lb – Schulden 5440, In Compensatione 349 lb – Stall Summ 6538 lb
(f° 49) Zweiffelhaffte Pfenningzinß haupt Guth, so des Herrn Wittibers unverändert 48, der Faeu seel. Erben unverändert 80, theilbar 478, Zweiffelhaffte Schulden in die theilbare Nahrung zugeltend 733
Copia der Eheberedung – (…) So geschehen in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg den 26. Aprilis 1719. Philipp Jacob Mader Nots publ et Acad. jur.
Copia Codicilli. 1721 (…) auff Montag den 10. Monatstag Martÿ
Abschatzung Vom 11. Xbris 1752. Auff begehren herrn Johann Jacob Moscherosch deß Specirers ist eine behaußung allher in der Statt Straßburg in der langen Straßen, einseits neben Melchior Wurm andersit neben N. Wörder und hinten auff Johann Georg Hildenbrach den Schreiner stoßend, gelegen, Neben dem Eingang ist ein laden und contor, in dem Ersten stock ist eine stube, Küchen und Haußöhren, in dem Zweÿten stock sind Zwo Kammeren, darüber ist der Tachstuhl so mit breit Ziegeln doppelt belegt hat auch einen gewölbten und geträhmtes Kellerlein, bronen und höfflein, ferner befindet sich auch ein hintergebäwlin Worinnen etliche Kemmeren, der Tachstuhl darüber ist mit breit Ziegel doppelt belegt. Von uns den unterschriebenen der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistern nach Vorhero beschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Werth nach æstimirt und angeschlagen worden vor und umb Ein Tausend Gulden [unterzeichnet] Jacob Biermeÿer Lohner, Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Werner, Werckmeister

Convention et partage entre les héritiers de Jean Jacques Moscherosch, mort en mai 1753. La maison est avenue au défunt par partage en 1727.

1753 (1.6.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 709) n° 131
Vergleich und Abtheilung auch resp° Verkauff und Erlöß Register über Weÿland Herrn Johann Jacob Moscherosch Handelsmanns und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft. So beschehen in Straßburg in beÿseÿn sambtlicher nach dießem Eingang insonderheit benahmbßet, wie auch Hn Johann Georg Lederlins des geschwornen Käuffers und mein unterschriebenen geschwornen Notarÿ auf Freÿtag den 1.ten Junÿ Anno 1753.
Der verstorbene H. Moscherosch seel. hat nach seinem d. 8.ten Maÿ A° 1753. aus dießer Welt genommenem tödlichen Ableiben Vermög seines errichteten Testamenti solennis in scriptis Zu Erben verlaßen Wie folgt. 1.mo Susannam Mariam von Gottesheimin gebohrne Moscheroschin, S.T. Hn Joh: von Gottesheim geweßenen treueifferigen Diaconi beÿ der Evangelischen Gemeind Zu St Nicolai und burgers allhier seel. nachgelaßene fr. Wittib mit beÿstand Hn Joh: Meÿers Säcklers und Burgers allhier Zu Straßburg welche unter fernerem beystand S. T. Hn Philipp Jacob Marbachs Not. publ : jur. und berühmbten practici dießem Geschäfft persönlich abgewarthet, dieße jedoch Vermög Testamenti mit der Condition, daß dieselbe Lebtägig solche Erbschafft Zwar genießen Kan auf Ihr erfolgendes seel. Absterben aber auf Ihre 4 jüngte Fr. und Jgfr. Tochter benantlichen Fr. Margaretham Magdalenam Meÿerin geb. Gottesheimin, obgedachten Hn Joh: Meÿers Secklers v. burgers allhier Ehefrau, Jgfr. Catharina Salome, Jgfr. Catharinam Elisabetham und Jgfr. Susannam Salome die Gottesheimin kommen und gelangen solle. In den Ersten halben Stammtheil und dann 2. weÿl. Fraun Annä Magdalenæ Geÿlerin geb. Moscheroschin seel. mit S. T. Hn Mag. Stephan Geÿler treueÿfferigen Diaconi seniori beÿ der Evangelisch. alt St. Peter Gemeinde und burgers allhier ehelich erziehlte Kinder und Erben benantlichen Hn Joh: Jacob Geÿler den in holländischen diensten employirten Ingenieur welchem aber Von seiner Erbschafft in allem 300 gulden solle überschickt werden, In alles übrige aber was nach abzug solcher 300 fl. ane dem 2.ten halben Stammtheil übrig Verbleibt hat der verstorbene Hr Moscherosch zu Erben eingesetzt
1.mo Hr Joh: Stephan Geÿler, den Kieffer und burger allhier, so in persohn dem Geschäfft beÿgewohnt, 2.do Fr. Susannam Mariam Wÿdenmeÿerin geb. Geÿlerin Hn Philipp Heinrich Widenmeÿers Mehlhändlers und burgers allhier Ehefrau welche mit beÿstand deßelben dem Geschäfft persönlich abgewartet, 3.tio Frau Annam Magdalenam Steitzin gebohrene Geÿlerin, weÿl. Hn Joh: Christian Steitzen geweßenen Steinmetzen v. burgers allhier seel. nachgel. Wittib, welche mit beÿstand Vor Ehren gedachten Hn Pfarrer Stephan Geÿlers Ihres gel. Hn Vatters dem geschäfft persönlich beÿgewohnt, 4.to Hn Joh: Samuel Geÿler den leedigen Sattler Gesellen, so sich dermahlen auf der Wanderschafft befindet, 5.to Hn Joh: Christian Geÿler, Phil. Studiosum, So dann 6.to Jgfr. Margaretham Barbaram Geÿler, deose 3. Letstern geschw. vogt obgedachter Hn Joh: Stephan Geÿler der Kieffer und burg. allhier, alldieweilen aber derselbe uxorio nomine selbsten interessirt als ist Ihnen zu einem geschwornen theil vogt constituirt worden S.T. H Joh: Heinrich Thenn, Not. publ. jur: et practicus, welcher auch noê seiner Curanden dem Geschäfft persönlich abgewartet, dieße 3. Letstere aber vermög testament mit der Condition, daß, wann einer ohnverheurathet Versterben solte, seine empfangene Erbschafft auf seine samtliche Geÿlerische Geschwüsterde kommen und fallen solle, alle in den 2.ten halben Stamm Theil, Alßo alle der seel. Verstorbenen, Hn Moscherosch per Testamentum verlaßene Erben, auch resp° dero Hn beÿstand Ehe geschw. v. theil Vogt.
Ane dem Eigenthumb Einer behaußung. (verkaufft) Item eine behaußung Höfflein, Hoffstatt, bronnen und nebens Gebäude mit allen übrigen Weithen, Rechten Zugehörden und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der langen Straß gegen dem bierhauß zur Mühl hinüber einseit neben Melchior Wurm dem tabackhändler ander seith neben Simon Werther dem frippier hinten auf Joh: Georg Hildenbrand den Schreiner stoßend gelegen so freÿ leedig eigen und durch der Statt Straßburg geschohr. Werckleuthe d. 11. x.br 1752. ohnpræjudicirlich æstimirt pro 500. lb. Nota dieße Behaußung ist dem Verstorbenen seel. laut der an dem Vätterl. theil Register eingetragenen Cession vom 2. Apr. 1727. von seinen Geschwüsterden eigenthüml. überlaßen worden
Eigenthum ane Einer Ziegel Scheur und brenn offen (…)

Les héritiers vendent par adjudication la maison au farinier Philippe Henri Widenmeyer et à sa femme Susanne Marie Geyler moyennant 1 500 livres.

1753 (24.11.), Chambre des Contrats, vol. 627 f° 482
Fr. Susanna Maria geb. Moscheroschin weÿl. H. Johannes von Gottesheim des diaconi zu St Nicolaus wittib beÿständlich H. Johannes Meyer des säcklers ihres tochtermanns so dann Johann Stephan Geÿler der kieffer, Fr. Anna Magdalena geb. Geÿlerin weÿl. Johann Christian Steitzen des steinmetzen wittib mit beÿstand H. Johann Daniel Langheinrich Notarii publici jurati ac practici, H. Johann Heinrich Thenn notarius publicus und practicus als theilvogt Johann Samuel, Johann Christoph und Margaretha Barbara der Geÿler
in gegensein Philipp Heinrich Widenmaÿer des meelmanns und Susannæ Mariæ geb. Geÿlerin, versteigerung
eine behausung, höfflein, hoffstatt, bronnen und nebensgebäude mit allen übrigen weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Langen straß gegen dem bierhauß zur Mühl hinüber, einseit neben Melchior Wurm dem tabachändler, anderseit neben Simon Werther dem frippier, hinten auff Johann Georg Hildenbrand den schreiner – als ein von weÿl. Johann Jacob Moscherosch dem specierer ererbtes guth – 1500 pfund

Fils du tailleur Jean Henri Wiedenmeyer, Philippe Henri Wiedenmeyer épouse en 1752 Susanne Marie Geyler, veuve du fourbisseur Jean Daniel Schwanfelder : contrat de mariage, célébration
1752 (14.9.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1224) n° 432
Eheberedung – zwischen dem Ehrenachtbaren Herrn Philipp Heinrich Wiedenmeÿer, ledigem becken, weÿl. H. Johann Heinrich Wiedenmeÿer deß gewesten burgers und Schneiders allhier, mit auch weÿl. Fr. Anna Maria gebohrener Schneiderin ehelich erzeugtem Sohn, alß dem Hochzeiter ane einem
So dann der Viel Ehren und tugendbegabten Fr. Susanna Maria Schwanfelderin gebohrener Geÿlerin, weÿl: H. Johann Daniel Schwanfelder, des geweßenen Schwerdfegers und burgers dahier seel. hinterbliebener fr. Wittib, alß der fr. hochzeiterin, ane dem andern
die Kinder mithin auch der Fr hochzeiterin Knäblein voriger Ehe Joh. Daniel Schwanfelder genannt
Donnerstag den 14. Septembris Anno 1752 [unterzeichnet] Phillipp Heinrich Wiedenmeÿer als hochzeiter, Susanna Maria Schwanfelderin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 94 n° 21)
Mittwoch d. 27. Sept. 1752. sind nach vorhergeschehener zweÿmahligen Außruffung Ehelich copuliert und eingesegnet worden Philipp Heinrich Wiedenmeÿer, lediger beck und Meelmann wie auch burger allhie, weÿl. Philipp Heinrich Wiedenmeyer, gewesenen Schneiders und burgers allhier nachgel. Ehel. Sohn, und Fr. Susanna Maria, eine gebohrne Zieglerin, weÿl. Johann Daniel Schwanfelder, gewes. Schwerdtfegers und burgers allhie nachgelaßene wittib [unterzeichnet] Philipp Heinrich Wiedenmeÿer als hochzeiter, Susanna Maria Schwanfelderin geb. Geÿerin als hochzeiterin (i 52)

Fille du diacre Etienne Geiler, Anne Susanne Geiler épouse en 1747 Jean Daniel Schwanfelder, fils du fourbisseur Léonard Schwanfelder.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 34 n° 7)
1747. Mittwoch d. 26. Aprilis 1747. seind nach vorhergeschehener zweÿmahlige, Proclamation und Außruffung Ehelich copulirt und eingesegnet Worden, Herr Johann Daniel Schwanfelder der ledige Schwerdfeger u. burger allhier weÿl. H. Leonhard Schwanfelders, gewesenen Schwerdfegers und burgers allhier nachgelaßene Ehel. Sohn, und Jungfrau Anna Susanna S. T. H. M. Stephani Geilers wohlmeritirten Diac. Sen. bey unserer Gemeinde zum Alten St. Peter und burgers allhier Eheliche Jungfr. Tochter [unterzeichnet] Johann Daniel Schwanfelder als Hochzeiter, susanna Maria Geÿlerin als Hochzeiterin (i 21)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison de fonction qu’occupe le père de l’épouse Grand rue. Ceux du mari s’élèvent à 592 livres, ceux de la femme à 317 livres.
1752 (2.10.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1157) n° 812
Inventarium über des Ehrengeachten H. Philipp Heinrich Wiedenmeÿer, des Meelhändlers und der Ehren und tugendbegabten Frn. Susannä Mariä Wiedenmeÿerin, gebohrener Geÿlerin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet in Anno 1752. (…) einander in ihren Mittwochs den 27.ten 7.bris jüngst angetrettenen Ehestand Zugebracht, welche der Ursachen, alldieweilen in ihrer den 14.ten dito mit einander auffgerichteten Eheberedung §° 3.tio ausdruckl. enthalten, daß einem jeeden sein in die Ehe bringendes Vermögen ihme und seinen Erben vor ohnverändert Verbleiben solle (…) So beschehen in fernerem beÿweßen Hn Johann Paul Busch des Schneiders und burgers dahier des Ehemanns Vattern und H. Johann Stephan Geÿlers des Kieffers und burgers dahier, der Ehefrauen eheleibl. bruders, Strassburg Montags den 2.ten 8.bris Anno 1752.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Langenstraß gelegenen der Ehefrauen H. Vatters bewohnenden Diaconat behausung über gelegenen Behausung befunden worden wie folgt
Wÿdems Verfangenschaft, Welche S. T° Hr Mag. Stephanus Geÿler, treueÿffriger Diaconus senior der Evangelischen Gemeinde Zum alten S. Peter der Ehefrauen geliebte Hn Vater auß deßen 2.ter Ehe lebtägig Zu genießen berechtigt ist
(f° 12) Abzug in gegenwärtigen Inventarÿ. Des Ehemanns eingebrachtes guth, Sa. haußraths 29, Sa. Silbergeschmeids 25, Sa. der Baarschafft 66, Sa. Pfenning Zs. und deren hptg. 400, Pfenning Zß hpgt do zwischen & 51, Sa. activorum 12, Summa summarum 585 lb – Und wann dazu gerechnet wird deßen helffte ane der eingegangenen haussteuren baarschafft 13 lb, So wäre desselben ohnveränderten eigenthümlich Vermögen (…) 598 lb – Schulden 6 lb, Nach deren Abzug 592 lb
Dießemnach wird auch der Ehefr. in den Ehestand gebrachtes gut mit außnahm der Kleidung und weißen gezeugs consignirt und beschrieben, Sa. haußraths 130, Sa. Silbern geschmeids 32, Sa. Goldener Ring 36, Sa. baarschafft 105, Sa. activorum o, Summa summarum 304 lb – Dazu gerechnet die hleffte ane der eingegangenen haussteuren baarschafft 13 lb, So begreifft Ihr der Ehefr. in die Ehe gebrachtes ohnverfangen eigenth. guth in sich 317 lb

Philippe Henri Wiedenmeyer meurt en 1778 en délaissant deux filles dont une imbécile. Les experts estiment la maison à 600 livres. La masse propre à la veuve est de 1 272 livres, celle des héritiers de 692 livres. L’actif de la communauté s’élève à 698 livres et le passif à 2 317 livres.

1778 (14.5.), Not. Lauth (6 E 41, 647) n° 56
Inventarium über Weil.d Herrn Philipp Heinrich Wiedenmeÿers, gewesenen Meelhändlers und Burgers allhier zu Strasburg seel Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1778. (…) nach seinem den 7.ten Aprilis laufenden 1778.sten Jahrs Zeitlichen verlaßen. Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Fr. Susannæ Mariæ Wiedenmeÿerin gebohrner Geÿlerin der nachgelaßenen Wittib, wie auch H. Joh. Jacob Gruber, des Metzgers und Burgers allhier, sowohl als erbettenen beistands des ältisten majorennen, als auch geordnet: und geschworenen Vogts der zweÿten blödhäuptigen tochter, beeder von dem verstorbenen seel. mit erstged. Wittib ehelich erzeugter ab intestato hinterbliebener Kinder und resp° Erbinnen, fleißig inventirt (…) So geschehen allhier Zu Straßburg in præsentia S: T: Hn Joh: Christian Geÿler Phil: Magistri und Burgers dahier als der Fr. Wb. leibl. bruders und Von Ihro hierzu in specie erbettenen Beistands auf Donnerstag den 14.te, Maji 1778.
der Verstorbene seelige hat ab intestato zu seinen Erben verlaßen wie folgt, 1° Jungfer Susannam Mariam Wiedenmeÿerin welche bis künftigen Joh: Bapt: ihr 25. jähriges Alters völlig erreicht haben, dahero majorennis seÿn wird, diese hat unter Verbeÿstandung H. Joh. Jacob Grubers, des Metzgers und Burgers dahier dem Geschäfft von Anfang bis Zu End abgewartet und ihr Interesse dabeÿ selbsten besorgt, Sodann 2° Jgfr. Margaretham Magdalenam Wiedenmeÿerin, die verfloßenen Weÿhnachten ihr 20. jähriges alter zurückgelegt hatte, so aber blödhäuptigkeits halben durch den 11.ten h: m: et a: beÿ Em. Löbl. Vogteÿ Gericht durch erstged. J: Jb: Grubern den Metzger und hiesigen Burgern bevögtiget, welcher auch am namlichen tag Vermög producirten Vogtei Zeduls beÿ E. E. Gr: rath confirmirt und beeÿdigt wurden und in dieser Qualitate der heutig. Inventur beiwohnte. Beide des Verstorbenen seel. mit Eingangs ged. hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugte döchtere und von demselben ab intestato zu gleichlingen Antheilern hinterbliebenen Erbinnen

In einer allhier zu Strasburg ane der Langen Stras gegen dem Bierhaus zur Mühlen über gelegenen, in diesortige theilbare Mass gehörigen und hernach mit mehrerm beschriebenen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 5) Schiff und geschirr zum Meelhandel gehörig
Eigenthum an einer behausung (T.) Nemlichen eine Behausung, Höflein, Hofstadt, Bronnen und Nebens: Gebäude, mit allen übrigen Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier zu Strasburg an der langen Straas, gegen dem Bierhaus zur Mühl hinüber einseit neben Melchior Wurm, dem Taback: händler 2.seit neben N. Heckmann, dem Fastenspeis händler, hinden auf M. N. Hetzel, dem Kamm macher stosend, gelegen, so auser hernach befindlichen darauf haftenden Passiv: Capitalien frei, ledig und eigen, Und ist diese Behausung Zufolg der von H. Hueber und Hn Kaltner schriftlich eingeschickten und unterschriebenen Abschatzung de dato 22.ten Aprilis 1778. angeschlagen worden vor 1200 fl. oder 600 lb. Hierüber besagt I Teutscher perg: Kauf: Brief in allh. C. C. Stub gefertiget und Von Hn Sachs underschrieben, mit dero anhangendem in roth Wachs gedr. gröserem Insiegel Versehen, datirt 24.ten 9.bris 1753.
(f° 8) Ergäntzung der Frau Wittib währender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Nach Anleitung des Von beeden nun zertrennten Eheleuthen durch weil. H. Not. Joh. Daniel Stöber den 2.ten 8.bris 1752. errichteten und expedirten Inventarii illatorum
Der Fr. Wittib unveränderten vermögens (f° 13), Sa. Hausraths 33 lb, Sa. Silber: geschmeids 5 lb, Sa. gold: ring 10 lb, Sa. pfenningzinß hauptgüter 88 lb, Sa. Ergäntzung 1133 lb, Summa summarum 1272 lb
Diesemnach wird auch des Verstorbenen seel. modo deßen hinterbliebener beeder Erbinin unveränderten Vermögen beschrieben, Sa. Hausraths 22 lb, Sa. Silb: geschmeids 15 ß, Sa. Ergäntzung per Rest 669 lb, Summa summarum 692 lb
Endlichen wird auch die Gemein verändert und theilbar Vermögenschaft beschrieben, Sa. Hausraths 23 lb, Sa. Schiff u. Geschirrs zum Meel: handel gehörig 4 lb, Sa. Frücht, Meel, Kleÿen u. Gekörns so vorräthig 44 lb, Sa. Silber 1 lb, Sa. baarschafft 21 lb, Sa. Eigenthums an einer behausung 600 lb, Sa. Schulden 1 lb, Summa summarum 698 lb – Schulden 2317 lb, Theilbares Passiv: onus 1619 lb – Conclusio finalis et Stall summa 345 lb
Abschatzung Vom 22.t apprill 1778. Auff begeren Weÿland philipp Weitenmeÿer des geweßenen Mehlmann ist Eine behausung allhir in der statt strasburg in der langen stras gelegen Ein seÿts neben herr Wurm dem tabac händler anderer seÿts neben herr heckmeÿer dem fastespeiß händler und hinten auf herr Hetzel dem strählmacher stoßend gelegen solche behausung bestehet in Einem Mehlmans laden, ferner in Vier stuben Vier Küchen und Etlichen Kammern darüber ist der dachstuhl mit breitzigel belegt, hat auch theils gewölbt und getremter Keller hoff und brunnen. Von uns unterschriebenen der statt Straßburg geschwohrener Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und um Ein Tausend Zweÿ Hundert gulden [unterzeichnet] Hueber, Kaltner W:Mst
(f° 14) Copia auffgerichteter Ehe: Beredung (…) So beschehen Donnerstags den 14. Septembris Anno 1752 coram weÿl. H. Joh. Daniel Stöber

Sa fille Susanne Marie Wiedenmeyer épouse en 1778 le réparateur de moulins André Kügler, originaire de Gertwiller : contrat de mariage, célébration
1778 (31.7.), Not. Lauth (6 E 41, 652) n° 41
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen seyen, der Ehrsame Andreas Kugler, lediger Mühl Artzt von Gertweiler gebürtig, weil. Mr Daniel Küglers gewesenen Kiefers u. br. daselbsten mit auch weil. Fraun Eve gebohrener Wittmännin ehelich erzeugt hinterlaßener Sohn, unter Verbeÿstandung Joh: Jacob Kügler, des Burgers u. Hirschwürths Zu Lingolsheim und Mr Joh: Philipp Küglers, des Kiefers und Burgers allhier beeder Brüdere, als Hochzeitern ane einem,
So dann die Ehr: und tugendreiche Jungfer Susanna Maria Wiedenmeÿerin, Weÿl.d Hn Philipp Heinrich Wiedenmeÿers, geweßten Meelhänders und burgers dahier mit Fr Susanna Maria gebohrener Geÿlerin, deßen hinterbliebener Wittib ehelich erziehlte Tochter, unter assistentz und in beisein erstged. dero Fr. Mutter, wie auch Hn Joh: Christoph Geÿler, Phil. Magistri u. hiesigen burgers, dero Oncle, als Hochzeiterin, am andern theil
So geschehen Strasburg auf Freÿtag den 31. Julii Anno 1778. [unterzeichnet] Andreas Kügler Als hoch Zeiter Susanna Maria Wiedenmeÿerin als Hoch Zeiderin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 87 n° 16)
Im Jahr 1778 sind Dominica 11 und 12 post Trinitatis proclamirt und volgenden 8. Septembris copulirt worden Andreas Kigler lediger Meelman weil. Daniel Kiglers gewesenen Kiefers und burgers in Gertweiler und weil. Evä gebohrner Wittmännin nachgelaßener ehelicher Sohn und Jungfr. Susanna Maria weil. H. Philipp Heinrich Wiedenmeÿers gewesenen Meelmanns und burgers dahier und Fr. Susannä Mariä gebohrner Geÿlerin eheliche tochter [unterzeichnet] Andreas Kügler Alls hochzeiter, Susanna Maria Wiedenmeÿerin Alls Hochzeiterin (i 90)

VI 370, 11 (Nouveaux bourgeois, 1778-1780) [p. 3] Andreas Kugler

André Kügler fait son apprentissage chez le meunier de Plobsheim Valentin Deuchler de 1768 à 1771.
1768, Protocole de la tribu de la Lanterne 1762-1783 (XI 212)
(f° 64) Donnerstags den 4.ten Hornung 1768. – Eingeschriebener Lehrjung
Valentin Deuchler, der Plobsheimer Müller und burger allhier, prod. ober handwercks Hh. Schein Vom 29.ten Jenner gegenwärtigen Jahrs Kraft deßen hat derselbe Andreas Kügler, Daniel Kügler des Kiefers und burgers Zu Mittelbergheim ehelich. Sohn, auf dreÿ Jahr als Lehrjung angenommen, die Lehrzeit gehet an den 30.ten gedachten Monats Januarii hujus Anni und endiget sich am nemlichen tag A° 1771 bittet denselben einzuschreiben. Erkannt Willfahrt, dt. 1. lb 6. ß

(f° 94) Montags den 6. Maji 1771. – Ausgethaner Lehrjung
Valentin Deuchler, der Plobsheimer Müller bittet Andreas Kügler, seinen bisherigen Lehrjungen der überstandener Lehrzeit halben auszuthun, vide die Einschreibung Fol. 64. Erkannt Willfahrt, dt 1. lb 11 ß

La tribu de la Lanterne remet à André Kügler un certificat pour qu’il puisse devenir bourgeois.
(f° 156-v) Montags den 3.ten August 1778. – Zunfftschein
Andreas Kügler der leedige Müller von Gertweiler gebürtig bittet ihme einen Zunfftschein, Zuertheilen. Erkannt Willfahrt

André Kügler devient tributaire le 15 septembre 1778. Il déclare faire commerce de farine et de grains.
(f° 157-v) Dienstags den 15. Septembris 1778. – Evangelischer Neuzünfftiger
Andreas Kügler der gelertnte Müller von Gertweiler gehörig, so den Meel: und Gekörns Handel Zu treiben Willens, producirt Löbl. Stadt Cantzleÿ und Stall: Schein vom 12. hujus, vermög deßen Er das hiesige burgerrecht erhalten, bittet ihn disorts leibzünfftig Zu recipiren.
Erkannt, gegen Erlag der Gebühr Willfahrt. dt. vor das Kaufgericht 14. ß. und pro receptione 3. lb 7 ß

Il obtient le droit da vannage que détenait Philippe Henri Wiedenmeyer
(f° 158) Dienstags den 29.ten Septembris 1778. – Umgeschriebenes Wannenrecht
Philipp Heinrich Wiedenmeÿer, des gewesenen Melmanns und hiesigen burgers hinterbliebene Wittib stehet vor und bittet dero Wannenrecht Andreas Kügler dem Meelmann und hiesige burger ihrem Tochtermann Zugegen grosgünstig Zu Zuschreiben
Erkannt Willfahrt dt. 3. lb 6 ß

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison (non décrite) qui appartient en partie à l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 106 livres, ceux de la femme à 175 livres.

1778 (3.10.), Not. Lauth (6 E 41, 647) n° 64
Inventarium über des Ehrsamen Andreas Kügler, Meelhändlers und der Ehr: und tugendreichen Fraun Susannæ Mariæ gebohrener Wiedenmeÿerin, beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg, einander für unverändert in den Ehestandt Zugebrachte Nahrungen, aufgerichtet in Anno 1778. (…) einander in ihrem den 8. Septembris laufenden 1778.sten Jahrs angetrettenen Ehestand Zugebracht und sich in der vor mir Notario den 31. Aug. d: a: errichteten Eheberedung §° 4° für unverändert vorbehalten haben – So geschehen allhier Zu Strasburg, in præsentia Fr. Susannä Mariä Wiedenmeÿerin gebohrener Geilerin der Ehefrauen Leibl. Mutter, auf Sambstag den 3.ten Octobris Anno 1778.

In einer allhier Zu Straßburg ane der langen Stras gegen dem Bierhaus zur Mühlen über gelegen von der Ehefraun Zum theil eigenthümlich bewohnenden Behausung befunden worden wie folgt
des Ehemanns für unverändert in die Ehe gebrachtes Vermögens, Sa. hausraths 5, Sa. Silbers Geschmeids 21, Sa. Schulden 71, Summa summarum 99 lb – Hierzugesetzt die ihnen zufolg vorallegirten Ehe Contracts (…) Haußsteuren gebührige Helfte ausmachend 7 lb, des Mariti in die Ehe gebrachtes Vermög. 106 lb
Solchemnach wird auch der Ehefraun für unverändert in die Ehe gebrachtes Gut beschrieben, Sa. Hausraths 72, Sa. Schiff und Geschirrs zum Meelhandel gehörig 9, Sa. Silber Geschmeids 18, Sa. goldener Ring 8, Sa. Baarschafft 59, Summa summarum 167 – Hierzugelegt die ihro gebührige übrige Halfte ane gleich hernach benamßten Haußsteuren, so erträgt 7 lb, der Ehefr. zugebrachtr Gut 175 lb

André Kügler cotise à la tribu des boulangers pour pouvoir vendre de la farine et de la semoule.
1778, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 13)
(f° 109-v) Dienstags den 22.ten Septembris – Geldzünfftiger
Andreas Kügler, der gelernte Müller Von Gertweiler gebürtig stehet vor und producirt attestat von Es. En. Zunft der Lucern de dato 16.ten d: m: et a: Zufollg deßen er daselbst gedachten 16.ten hujus als Leibzünfftiger recipirt worden, Bitt auff solches hin ihme diesorts weilen er den Meelhandel Zu treiben willens, gegen Erlag der Gebühr, als Geldzünfftigen, nebst Angedeÿhung Meel: und Grieß: Rechts auf: und anzunehmen. Erkannt Willfahrt.

Inventaire dressé après la séparation de biens des locataires François Ferdinand Apprederis, ancien marie d’Obernai, et Françoise Thérèse Klein

1806 (31.12.), Strasbourg 12 (13), M° Wengler n° 2282
Inventaire des biens de François Ferdinand Apprederis ci devant maire de la commune d’Ober-Ehenheim et Françoise Thérèse Klein, conjoints demeurant à Strasbourg, jugement de séparation du 17 décembre – Contrat de mariage passé devant Lacombe, notaire à Strasbourg le 10 octobre 1785
dans la maison d’habitation des conjoints Apprederiss grand rue n° 46
propres de la femme, meubles, dettes actives 173 et 64 fr, vigne à Ober-Ehnheim 3000 fr, total 5004 fr, prétention sur la masse du mari 19.576 fr
le mari, meubles, créances, immeuble dans la vallée de Barr et jardin à Ober-Ehnheim 3700 fr, total 10.262 fr – passif 38.891 fr, déficit 28.627 fr
Enregistrement, acp 101 f° 141 du 8.1.

Inventaire dressé après la mort de la locataire Anne Marie Bernhard femme du farinier François Merglé (mère de la future propriétaire)

1813 (25.5.), Strasbourg 2 (37), Jean Louis Knobloch n° 6219
Inventaire de la succession de feu Anne Marie Bernhard femme de François Merglé marchand farinier décédé le 11 février dernier, fait à la requête du veuf en qualité de tuteur naturel de Victoire Merglé sa fille procréée avec ladite défunte, âgée de 18 ans, en présence de Jean Michel Bernhard cultivateur à Achenheim subrogé tuteur
en la maison grand rue n° 46 en un appartement au premier étage éclairé sur la rue
propre, garde robe 252 fr
communauté, meubles dans l’appartement sus indiqué, dans la boutique au rez de chaussée, dans le magasin sur le derrière de la maison, dans la cuisine, dans la cave 1580 fr, moitié de l’argent comptant 500 (250) fr, dettes actives 1600 fr, total 3950 fr, passif 840 fr
acp 122 (3 Q 29 837) f° 109 du 26.5. – mobilier 252, moitié du bien commun 975, argent comptant 250, total 1427

Inventaire dressé après la mort du locataire François Merglé (père de la future propriétaire)

1814 (18.8.), Strasbourg 2 (39), Jean Louis Knobloch n° 6648
Inventaire de la succession de feu François Merglé, farinier à Strasbourg décédé le 7 courant, fait à la requête de Marie Victoire Merglé sa fille célibataire majeure émancipée sous la curatelle de Pierre Moestlé charpentier
dans la maison mortuaire grand rue n° 46, dans une chambre au premier étage éclairée sur la cour – garde robe 140 fr,
communauté inventoriée après le décès de la D° Merglé née Bernhard par Knobloch notaire le 25 mai 1813, déficit 1193 fr, actif 3590 fr, reste 2757 fr dont la moitié seroit à ranger dans la succession de 1378 fr, total 1518 fr, passif 747 fr
acp 125 (3 Q 29 840) f° 57 du 20.8. – garde robe 140, meubles de la communauté 1193, dettes actives 324, total 1657

Susanne Marie Wiedenmeyer meurt en 1817 en délaissant des héritiers collatéraux

1817 (7.8.), Strasbourg 4 (47), M° Stoeber aîné n° 4020
Inventaire de la succession de feu Susanne Marie Wiedmeier femme divorcée d’André Küchler farinier à Strasbourg décédée le 1 août courant, fait à la requête de Chrétien Kramp, doyen de la faculté des sciences de l’académie de Strasbourg, 2. Jean Michel Kramp passementier se portant fort de Marguerite Rosine Kramp fille majeure sa sœur, 3. Marguerite Barbe Geyler femme Jean Georges Müller débitant de bierre, Jean Jacques Geyler célibataire, Jean Michel Gayler, passementier, tous demeurant à Strasbourg cousins et cousines germains du chef de Marie Susanne Geyler femme du Sr Weidmeier farinier mari de la défunte attendu qu’il n’existe pas de parent de la ligne paternelle
dans la maison grande rue n° 46
une maison à deux étages située en cette ville dans la grand rue n° 46, d’un côté le Sr Becker passementier d’autre Sr Heckmann caffetier derrière, Propriété constatée par 3 contrats Chambre des Contrats 11.12.1686 – 20.9.1740 – 24.11.1753, revenu de 300 fr passif 3000 fr
acp 135 (3 Q 29 850) f° 75 du 11.8. – mobilier, garde robe 429 fr, maison grand rue n° 46 évaluée à un revenu de 300 francs – Passif 3000

Les héritiers vendent la maison au garçon meunier Joseph Schababerlé et à sa fiancée Victoire Merglé

1817 (27.9.), Strasbourg 4 (47), M° Stoeber aîné n° 4036
1. Chrétien Kramp, doyen de la faculté des sciences de l’académie de Strasbourg, 2. Jean Michel Kramp passementier se portant fort de Marguerite Rosine Kramp majeure leur sœur, 3. Marguerite Barbe Geyler femme Jean Georges Müller débitant de bierre, Jean Jacques Geyler célibataire, Jean Michel Gayler, passementier,
à Joseph Schababerlé, garçon meunier au moulin dit Spitzmühl tant pour lui qu’au nom de Dlle Victoire Mergle fille majeure sa fiancée chacun pour moitié
Désignation de la maison, une maison à deux étages avec cour puits appartenances et dépendances sise à Strasbourg grand rue n° 46, d’un côté le Sr Becker passementier, de l’autre le Sr Heckmann caffetier, aboutissant par derrière (-). Echue aux vendeurs dans la succession de Susanne Marie Wiedenmeyer femme divorcée d’André Küchler farinier, à laquelle elle appartenait comme seule et unique héritière de Philippe Henri Wiedenmeyer farinier et Susanne Marie Geiler ses père et mère – propriété constatée par trois contrats de vente à la Chambre des Contrats les 12 décembre 1686, 20 septembre 1714 et 24 novembre 1753 – mise à prix 5000 francs
Adjudication préparatoire, 28 août n° 4051 – Adjudication du 11 septembre n° 4063 – 7100 francs
acp 135 f° 189 du 29.9.

Originaire d’Iffezheim en Bade, François Joseph Schababerlé épouse en 1818 Marie Victoire Merglé, fille du farinier François Merglé (ils s’établissent ensuite à Mulhouse d’après le mariage de leur fils en 1850).
Mariage, Strasbourg (n° 6)
Acte de mariage, célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 7 janvier 1818. François Joseph Schababerlé, majeur d’ans, né en légitime mariage le 17 août 1789 à Iffezheim (Grand Duché de Bade), domicilié à Strasbourg, Farinier, fils de feu Jean George Schababerlé, menuisier décédé à Iffezheim le 24 août 1790 et de Hélène Liss
Marie Victoire Merglé, majeure d’ans, née en légitime mariage le 26 floréal an quatre à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg fille de feu François Merglé, farinier décédé en cette ville le 7 août 1814 et de feu Anne Marie Betner décédée en cette ville le 11 février 1813 (signé) Frantz Joseph Schababerlé, Maria Victoria Mergle (i 4)

Joseph Schababerlé et Marie Victoire Merglé exposent infructueusement la maison aux enchères

1824 (1.10.), Strasbourg 14 (80), Me Lex n° 2724
Cahier des charges – Joseph Schababerlé, en son nom et mandataire de Victoire Merglé sa femme
Désignation de la maison. une maison à deux étages avec cour, puits, appartenances et dépendances grand rue n° 46, d’un côté le Sr Becker passementier, de l’autre le Sr Heckmann caffetier, derrière la propriété du Sr Rubrecht tailleur – Origine de la propriété, la maison a été acquise des héritiers de Susanne Marie Weidenmeier femme divorcée d’André Küchler, farinier, seule et unique héritière de Philippe Henri Wiedenmeyer, farinier, et de Susanne Marie Geiler. Titres, ventes à la Chambre des Contrats les 12 décembre 1686 et 24 novembre 1753

Joseph Schababerlé et Victoire Merglé vendent la maison aux fabricants de chandelles Hubert Richert et Georges Richert

1836 (15.6.), Strasbourg 12 (140), Charles Noetinger n° 8327
Joseph Schababerlé, farinier, et Victoire Merglé
à Hubert Richert et Georges Richert, les deux fabricants de chandelles
une maison sise à Strasbourg Grand’rue n° 45 consistant en bâtiment de devant, latéral & de derrière avec avec cour, puits, caves, appartenances & dépendances, d’un côté le Sr Adler boucher, de l’autre le Sr Ernst, derrière la propriété du Sr Obrecht, devant la Grand’rue – d’acquet par adjudication des héritiers de Susanne Marie Wiedenmeyer femme divorcée d’André Küchler devant M° Stoeber le 27. septembre 1817 – 9000 francs
Enregistrement, acp 241 f° 70 du 20.6.

Originaire de Niederhaslach, Hubert Richert meurt de phtisie à l’âge de 36 ans
Décès, Strasbourg (n° 1175)
Acte de décès. Le 13 juin 1848 (…) ont comparu Jean Baptiste Kieffer, âgé de 40 ans, fabricant de chandelles, voisin du défunt domicilié à Strasbourg et Guillaume Adler, tonnelier, voisin du défunt domicilié à Strasbourg, lesquels nous ont déclaré que
Hubert Richert, âgé de 36 ans, né à Niederhaslach (Bas Rhin) fabricant de chandelles, non marié domicilié à Strasbourg, fils de feu Florent Richert, cultivateur et de Thérèse Dantzer est décédé le 12 juin 1848 à neuf heures du matin en la maison Grand rue N° 46 [in margine :] Phthisie (i 75)

Sa mère Thérèse Dantzer, veuve de Florent Richert, cède ses droits à son fils Georges Richert

1848 (12.6.), Strasbourg 12 (174), Charles Noetinger n° 20.301
12 Juin 1848. Vente – a comparu Dame Thérèse Dantzer, propriétaire demeurant à Strasbourg, veuve de feu Florent Richert, laquelle a par ces présentes vendu & abandonné à titre de licitation amiable & sous la garantie de droit en matière de partage
au Sieur Georges Richert, fabricant de chandelles son fils, demeurant à Strasbourg ici présent et acceptant
le quart lui appartenant indivisément avec l’acquéreur de la moitié de l’immeuble ci après désigné dépendant de la succession de feu Hubert Richert décédé fabricant de chandelles à Strasbourg pour un quart qui possédait lui-même cette moitié par indivis avec ledit Georges Richert, son frère, par suite de l’acquisition qu’ils ont faite conjointement dud. Immeuble suivant contrat passé devant M° Noetinger, l’un des notaires soussignés et son collègue le 15 juin 1836, aux termes duquel l’immeuble dont il s’agit consiste en une Maison sise à Strasbourg Grand’rue n° 46 composée de bâtiments de devant, latéral & de derrière, avec cour, puits, cour, droits & appartenances, tenant d’un côté au Sr Adler boucher, de l’autre au Sr Ernst, par derrière au Sr Obrecht, par devant à la grand’rue. Telle que cette maison & ses dépendances consistent aujourd’hui, sans réserve ni exception & telle au surplus que la portion présentement vendue & qui forme le huitième dans la totalité, est échue à la veuve Richert dans la succession dudit défunt.
Au moyen de quoi l’acquéreur qui possédait déjà une moitié dud. Immeuble de son chef & les trois quarts de l’autre moitié comme héritier de sondit frère devient propriétaire de la totalité & pourra en faire, jouir & disposer comme de chose lui appartenant en pleine & absolue propriété – moyennant 1275 francs
acp 373 (3 Q 30 088) f° 20
acp 373 (3 Q 30 088) f° 30-v, cession de droits successifs entre les mêmes parties

Hubert Richert laisse pour héritier testamentaire son frère Jean Georges et pour héritière à réserve sa mère Thérèse Dantzer

1848 (11.12.), Strasbourg 12 (175), Charles Noetinger n° 20.592
Inventaire par déclaration de la succession délaissée par Hubert Richert fabricant de chandelles
11. Xb. 1848. A comparu le Sieur Georges Richert, fabricant de chandelles, demeurant à Strasbourg, au nom & comme seul ayant droit à la succession de feu le Sieur Hubert Richert son frère fabricant de chandelles, décédé à Strasbourg le 11 juin 1848, tant comme cessionnaire du quart à réserve échu à Dame Thérèse Dantzer sa mère, veuve de feu Florent Richert, demeurant à Strasbourg, suivant cession de droits successifs passée devant ledit M° Noetinger et son collègue le 12 juin 1848 que comme héritier & légataire universel de la portion disponible suivant testament du défunt fait olographe à Strasbourg le 25 avril 1846, sur lequel se trouve la mention suivante, Enregistré à Strasbourg le 19 juin 1848 folio 33 (…) dont le dépôt a été ordonnné par le président du tribunal civil de Strasbourg suivant son procès verbal en date du 14 juin 1848, a été fait le même jour en l’Etude dud. M° Noetinger
§ 1. Meubles et objets mobiliers. Le défunt ayant été associé avec le comparant pour la fabrication de chandelles & de savons possédait la moitié par indivis du mobilier industriel, des marchandises & autres objets mobiliers ci après détaillés (…)
§ II. Immeuble. La défunt possédait également la moitié par indivis avec le comparant son frère, d’une maison sise à Strasbourg Grand’rue N°& 46, avec bâtiment latéral & de fonds, cour, puits, caves, droits, & appartenances entre le Sr Adler, boucher & le Sieur Ernest, Duquel immeuble ils ont fait l’acquisition conjointement de Joseph Schababerlé farinier & Victoire Merglé, son épouse demeurant à Strasbourg par contrat passé devant ledit M° Noetinger et son collègue le 15 juin 1836, moyennant le pris de 9000 francs (…)
grand rue N° 46
acp 377 (3 Q 30 092) f° 61-v – Il dépend de ladite succession 1° un mobilier évalué 2427 francs, 2° garde robe 140, 3° la moitié d’une maison à Strasbourg Grande rue N° 45 d’un revenu de 250 francs en capital 5000
Passif 3500 francs

1848, Enregistrement de Strasbourg, ssp 103 (3 Q 31 602)
f° 33-v du 29.6.
25 avril 1846. Testament – Je soussigné Hubert Richert lègue par les présentes toute ma succession à mon frère Georges Richert pour qu’après mon décès il ait le tout en propriété

Georges Richert épouse en 1850 Françoise Goldbach, originaire de Wasselonne
1850 (4.7.), Strasbourg 12 (179), Charles Noetinger n° 22.284
Mariage – Ont comparu Monsieur George Richert, fabricant de chandelles demeurant à Strasbourg, fils de feu M. Florent Richert, marchand de bois & tuilier à Nieder Haslach, et de Dame Thérèse Dantzer, sa veuve demeurant audit lieu, stipulant en son vivant personnel comme futur époux d’une part
Et Mademoiselle Françoise Goldbach sans état, demeurant à Wasselonne, fille majeure de M. Ignace Goldbach, ancien boulanger demeurant à Wasselonne & de feu dame Madeleine Imbs sa vivante épouse, stipulant aussi en son nom personnel sous l’assistance de M. Ignace Kuntz boucher demeurant à Wasselonne, son beau-frère, comme future épouse
Article six. Le futur époux déclare que les biens qu’il apporte en mariage consistent 1. En une maison sise à Strasbourg grand’rue N° 46 (…)
acp 392 (3 Q 30 107) f° 73-v – régime de communauté réduite aux acquêts
Les apports du futur époux consistent 1) en une maison à Strasbourg Grande rue N° 46 estimée 13.000 francs, 2) en meubles, marchandises et extances montant à 134.793, 3) argent comptant 8000, total 155.796 le tout grevé d’un passif de 11.000, reste 144.684
Les apports de la future consistent 1) dans ceux décrits en un inventaire reçu Rich père notaire à Wasselonne le 25 et 26 mars 1835, 2) dix ares terres ban d’Odratzheim canton Strengenfeld, 3) sept ares 50 vignes ban de Kienheim, 4) dix ares vignes ban de Marlenheim, 5) 59 ares de terre et vignes ban de Kienheim, 6) de meubles et créances estimés 6000 francs
Donation par le futur à la future en cas de survie de la jouissance de la maison et d’une somme de 30.000 francs et en cas de prédécès du futur époux avec enfants cette donation sera réduite à moitié
Donation par la future au futur de l’usufruit de toute sa succession, réductible à moitié en cas d’existence d’enfants

Actes de société
1853 (21.6.), Charles Noetinger
Dissolution de la société qui a existé entre entre Georges Richert, fabricant de chandelles, Philippe Lau, marchand boucher et Auguste Lobstein, charcutier, tous à Strasbourg, formée par acte reçu Noetinger le 25 juin 1851 et reconstitution de la même société entre le Sr Richert et Lau seuls par suite du retrait du Sr Lobstein
acp 420 (3 Q 30 135) f° 61 du 24.6.

1853 (20.12.), Charles Noetinger
Modification par Georges Richert, fabricant de chandelles, Auguste Lobstein charcutier et Philippe Lau, maître boucher tous à Strasbourg, des statuts de l’acte de société contractée entre eux par acte reçu Noetinger le 25 juin 1851
acp 416 (3 Q 30 131) f° 43 du 5.1.

1859, Enregistrement de Strasbourg, ssp 130 (3 Q 31 629) f° 8 du 8.8.
5 avril 1859. Dissolution de société dont copie suit. Entre les soussignés Philippe Lau, marchand boucher et Georges Richert, fabricant de chandelles, les deux à Strasbourg, a été convenu ce qui suit.
1° La société qui a existé entre entre les susdénommés, constituée par acte reçu M° Noetinger notaire à Strasbourg en date di 25 juin 1851, 20 et 30 Xbre 1852 et 21 juin 1853, lesdits actes dument enregistrés, la société susdite ayant eu pour objet la fonderie de suif, la fabrication de savon et de chandelles et la vente de ces objets, et la raison sociale G. Richert et Cie est et demeure dissoute
2° le Sr Richert est chargé de la liquidation des affaires sociales.

Acte de société contenant location de la maison Grand rue où s’exerce l’industrie et l’établissement hors la porte d’Austerlitz

1869 (20.11.), Strasbourg 10 (164), Jean Théodore Kœrttgé
Société d 20. 9.bre 1869. – ont comparu 1° M. Georges Richert, fabricant de savons et de chandelles, 2° M. Michel Edouard Alexandre Lehmann, négociant, 3° M. Joseph Sitter, marchand Epicier, tous les trois demeurant à Strasbourg, lesquels ont arrêté ainsi qu’il suit les conditions de la société commerciale qu’ils ont convenu d’établir entre eux
Article premier. Il y aura société entre MM. Richert, Lehmann & Sitter pour la fabrication de savons & de chandelles, le commerce et la fonte du suif & pour tout ce qui se rattache à cette industrie. Cette société sera en nom collectif à l’égard de MM Richert & Lehmann & en commandite seulement à l’égard de M. Sitter sous la raison Georges Richert et Compagnie.
Article 2. La durée est fixée à trois, six ou neuf années consécutives à partir du 22 novembre courant. Chaque associé pourra se retirer de la société soit à l’expiration de la troisième année soit à l’expiration de la sixième année en prévenant ses co-associés six mois d’avance.
La siège de la société sera à Strasbourg grand’rue N° 66.
Article trois. Le fonds social est de 80.000 francs dont 25.000 francs seront fournis en commandite par M. Sitter & 55.000 francs seront apportés à la société par M. Richert, en numéraire, matériaux & marchandises pour la fabrication des savons & chandelles dont un inventaire estimatif sera dressé immédiatement.
Article quatre (…)
Article sept. M. Richert accorde par ces présentes à titre de bail à loyer pour trois, six ou neuf années consécutives qui commenceront le 22 novembre courant pour finir en même temps que la société ci-dessus constituée à ladite société, ce qui est accepté par M. Lehmann & M. Sitter
1° Tout le rez de chaussée de la maison de M. Richert sise à Strasbourg N° 66 où s’exerce actuellement l’industrie de M. Richert, y compris la chambre des ouvriers
2° Tout l’établissement de M. Richert hors la porte d’Austerlitz, banlieue de Strasbourg N° 10, ainsi que le tout se trouve et se comporte actuellement
Ce bail est fait aix charges, clauses & conditions suivantes que la société devra excuter & accomplir. 1° de payer au bailleur un loyer annuel de 3500 francs, 2° d’entretenir les localités louées en bon état de réparations locatives, 3° de ne pouvoir céder son droit au présent bail ni sous louer en tout ou en partie sans le consentement exprès & par écrit du propriétaire
acp 588 (3 Q 30 303) f° 29-v du 24.11.

Georges Richert meurt à l’âge de 59 ans dans sa maison
Décès, Strasbourg (n° 56)
Acte de décès. Le 10 janvier 1870 (…) ont comparu Charles Kauffer âgé de 72 ans, tanneur, ami du défunt domicilié à Strasbourg, et Alexandre Lehmann fabricant de chandelles, voisin du défunt, domicilié à Strasbourg, lesquels nous ont déclaré que
George Richert, âgé de 59 ans, né à Niederhaslach (Bas Rhin), fabricant de chandelles, époux de Françoise Goldbach, domicilié à Strasbourg, fils de feu Florent Richert, cultivateur et de feu Thérèse Dantzer est décédé le 9 janvier 1870 à dix heures du matin en la maison Grand’rue N° 46 (i 15)

Les immeubles provenant de la faillite de Georges Richert sont exposés aux enchères puis retirés.

1870 (12.7.), Edgar Noetinger
12 juillet 1870. Cahier des charges pour parvenir à la vente de divers immeubles ban de Strasbourg, dépendant de la succession de Georges Richert à Strasbourg
Dépôt du dit cahier des charges
acp 590 (3 Q 30 305) f° 149-v du 15.7.
9 août 1870. Retrait d’enchère des immeubles dépendant de la faillite de Georges Richert fabricant de chandelles à Strasbourg
f° 178-v du 19.8.

Observations préparatoires au partage des biens qui ont appartenu à Georges Richert et Françoise Goldbach
1893, Antoine Keller
26. Juni 1893 n° 7030 – Fortsetzung der Theilungs Verhandlung über den Nachlass des hierselbst verstorbenen Seifensieders Georg Richert sowie der zwischen ihm und seiner Wittwe Franciska Goldbach bestandenen Gütergemeinschaft
acp 875 (3 Q 30 590) f° 29-v n° 1555 du 27.6.
13. Juli 1893 – Fortsetzung der Theilungs Verhandlung Richert enthaltend Feststellung des beim Ausbruchs des Konkurses vorhanden gewesenen Vermögens
acp 875 (3 Q 30 590) f° 84 n° 1900 du 15.7.

Partage entre les héritiers collatéraux et la veuve demeurant à Gresswiller
1893, Antoine Keller
3. August 1893 – Theilung des Nachlasses des am 9. Januarÿ 1870 zu Straßburg verlebten Seifensieders Georg Richert, Ehemann von Franciska Goldbach, letztere in Gressweiler wohnhaft.
Erben sind I. die Kinder des am 13. Juni 1870 zu Niederhaslach gestorbenen Bruders Joseph Richert, nämlich 1) Fanny Richert, Ehefrau von Johann Douvier in Wisch, 2) Maria Anna Richert, Wittwe des Eigenthümers Ernst Saint-Martin in Niederhaslach, 3) die Kinder des zu Niederhaslach am 23. September 1892 gestorbenen Ackerers Carl Richert a) Joseph, b) Carl, c) Florenz & d) Joseph Richert unter Vormundschaft ihrer Mutter Magdalena Neff,
II. die Schwester Maria Anna Richert, Wittwe von Ludwig Fischer in Altenstadt,
III. die Tochter der Schwester Catharina Richert Wittwe Krentz in Wasselnheim nämlich Pauline Krentz, in diensten in Salzburg.
An der Masse sind auch betheiligt die Erben des am 30. Mai 1888 zu Winterthur gestorbenen Rechtsangenten Heinrich Johann Hardmeyer welcher Gläubiger der Gemeinschafft Richert-Goldbach war
Laut Ehevertrag Noetinger hier vom 4 Juli 1850 bestand Errungenschafts Gemeinschaft
Inventar Gangloff vom 7. Dezember 1892 Ueber das Vermögen des Erblassers wurde am 24. Dezember 1869 das Kunkursverfahren eröffnet. Unter den Konkursgläubigern befand sich damals Firma Zwingli in Winterthur, welche heute durch die Erben Hardmeyer vertreten ist.
Die von denselben heute gelten zu machenden Forderungen betragen M. 11.106.
Konkursschuldnern war damals Firma Duvivier & E Riegel hier, jetzt vertreten durch Ludwig Riegel, Kaufmann in Metz, für die Summe von M. 37.297
Gemeinschafft 1 Forderung Duvivier & Riegel M. 37.297
2) Wechselforderung an die nämlichen 15.701
3) Andere Wechselforderungen 4296 Summa 57.294
Passivmasse, die nicht befriedigten Forderungen aus der Kunkursmasse Richert 312.020 – Ueberschuldung von 254.726 zur Last des Manns
Nachlass, die ganze Gemeinschaft welche in Folge der Ueberschuldung ganz dem Nachlasse anheimfällt. von obigem Passiv kommen hier nur die Forderung derjenigen Gläubiger in Betracht welche in dem Vertheilungsverfahren angemeldet haben nämlich 1) die Wittwe Richert für ihre Ersatzforderungen und durch sie an den Gläubiger Fougerousse bezahlte Forderung M 49.740, 2) der Erben Hardmeyer für ihre Rest Forderung 10.967, Summa 60.708
Da die Aktivmasse des Nachlasses mit 57.294 M eine Passivmasse von 60.708 Mark gegenüberstehet, so ist die Aktivmasse unter die beiden Gläubiger im Verhältnise ihrer Forderungen zu vertheilen, sodaß eine Dividende von 97.37% zur Vertheilung gelangt
Es erhalten daher Wittwe Richert M 46.943, die Erben Hardmeyer 10.350
Zutheilungen (…)
bestätigt durch das Amtgericht hier am 30. dess. Mts, & an den Notar zurückgelang am 16. November 1893
acp 880 (3 Q 30 595) f° 96 n° 3777 du 16.11.

Les biens faisant pièce de la masse de la faillite de Georges Richert sont exposés aux enchères. La maison Grand rue revient à Emile Amos, fabricant de savon à Marlenheim

1871 (5.12.), Edgar Noetinger
Versteigerung durch Leopold Mendel als Syndicat der Faillite von Georg Richert, Seifen Fabrikant in Straßburg
1) Ein Haus mit nebens gebäuden im Bann von Straßburg gelegen, gewand im Schurmfeld section G N° 558, 559, 560
an Felix Koch, Seifen Fabrikant in Straßburg Colmarerstraße N° 23 für 30.100 Franken
2) Ein Haus in Straßburg Lange strasse N° 66
an Emilius Amos, Seifen Fabrikant in Marlenheim, 17.000 Franken
Nutznießung und Steuren vom ersten Januar 1872
acp 600 (3 Q 30 315) f° 194-v du 9.12.

Félix Koch acquiert la maison par surenchère suivant jugement rendu au tribunal civil le 29 décembre 1871.

1872 (16.2.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 1324 (3467) n° 58
Im Namen Seiner Majestät des deutschen Kaisers, Wir Wilhelm von Gottes Gnaden deutschen Kaiser König von Preussen etc. etc. thun Kund und fügen hiermit zu wissen daß in das Kaiserlich. Landgericht, zweite Civil Kammer zu Straßburg in seiner öffentlichen Sitzung vom 29. Dezember 1871, in welchem gegenwärtig waren, die Herren Traut, Kammer Präsident Lellbach und Burguburu, Landgerichts Räthe, Staedel Staats Procurator des oeffentlichen Ministerium vertretend und Steffen, Landgerichts Sekretair folgendes Adjudications Erkanntnuß erlassen N. 606 des Rep.
L’an 1870 le 12 juillet en l’Etude de M° Edgar Noetinger Notaire à Strasbourg rue des Serruriers N° 25. A comparu M. Léopold Mendel arbitre de commerce demeurant à Strasbourg agissant en qualité de syndic de l’union des créanciers de la faillite de feu le sieur Georges Richert fabricant de savon et de chandelles à Strasbourg, y décédé, nommé à ces fonctions par un jugement rendu par le tribunal de commerce de Strasbourg le 10 juin 1870 (…) lequel a par ces présentes déposé à M° Edgar Noetinger l’un des notaires soussignés pour être mis au rang de ses minutes le Cahier des charges sur lequel devront être ouvertes les enchères pour la vente de deux immeubles situés l’un au ban de Strasbourg entre la porte d’Austerlitz et celle de l’hôpital et l’autre à Strasbourg grand rue N° 66 y désignés. Ce cahier des charges dressé par ledit M° Noetinger En conséquence d’un Jugement du Tribunal civil de Strasbourg en date du 22 juin 1870 (…) M° Noetinger a de l’agrément de M. Mendel fixé au Mardi 9 août prochain l’adjudication dudit immeuble en l’étude de M° Noetinger à dix heures du matin. Déclaration d’Etat Civil. De plus et en exécution de l’une des dispositions du dit Cahier des charges M. Mendel a déclaré que M. Richert susdit était marié en premières noces sous le régime de la Communauté de biens avec dame Françoise Goldbach, sa veuve survivante, aux termes de leur Contrat de mariage reçu M° Charles Noetinger père et prédécesseur médiat du soussigné M° Egdar Noetinger le 4 juillet 1850 et qu’il n’a jamais été chargé de tutelle ni de fonction emportant hypothèque légale. (…)
Cahier des charges pour parvenir à la vente des immeubles situés l’un au ban de Strasbourg entre la porte d’Austerlitz et celle de l’hôpital, lieu dit Hurmfeld section G N° 558, 559 & 560 et consistant en divers corps de bâtiments
et l’autre sis à Strasbourg grand rue N° 66 consistant en une maison d’habitation avec dépendances En conséquence d’un jugement rendu par la Tribunal civil de première instance séant à Strasbourg le 22 juin 1870 (…) M. Leopold Mendel sindic arbitre de commerce demeurant à Strasbourg agissant en qualité de syndic de l’union des créanciers de la faillite de feu le Sieur Georges Richert fabricant de savon et de chandelles, domicilié à Strasbourg Lieu dit. Cette faillite déclarée suivant jugement rendu par le tribunal de commerce de Strasbourg le 24 décembre 1869 avant le décès du failli arrivé le 9 janvier dernier, nommé à ces fonctions par jugement rendu par le tribunal de commerce de Strasbourg le 10 juin de la présente année (…) sur la mise à prix savoir 1° l’article premier de 35.000 francs et l’article deux de 18.000 francs pour le prix en provenant être attribué aux Créanciers privilégiés et hypothécaires et le solde s’il y en a à la masse chirographaire et a ordonné que les frais seront prélevés sur le prix.
Adjudication. 1° Une Maison d’habitation, un bâtiment y attenant servant à la fonderie du suif et à la fabrication de savon
au ban de Strasbourg entre les portes d’Austerlitz et de l’hôpital et entre la route du polygone et d’Illkirch lieu dit Hurmfeld, section H numéro 558, 559 & 560
$ 296
2) Une maison consistant en bâtiment de devant latéral et de derrière avec Cour, puits et dépendances sise à Strasbourg grand’rue N° 60 [sic] ancien N° 46, d’un côté M. Knoderer, de l’autre à Mad. Adler, pardevant à la rue et derrière à M. Obrecht. Il est fait observer que tout le matériel se trouvant dans les Immeubles sus décrits et servant à l’exploitation de la fabrication de savon et de chandelles est exclu de la présente vente. Un état détaillé du matériel restera annexé au présent cahier des charges. Il ne sera vendu en conséquence avec les immeubles, sauf exception pour les objets faisant partie du Matériel que ce qui dans les bâtiments tient à clous chevilles comme ce qui par sa destination est réputé de nature immobilière.
Origine de la propriété. L’immeuble désigné sous le N° 1
$ 296-297
L’immeuble désigné sous l’article a été acquis par M. Georges Richert et M. Hubert Richert son frère de Strasbourg de M. Joseph Schabeberlé farinier et de dame Victoire Merglé, sa femme, demeurant ensemble à Strasbourg suivant contrat de vente passé devant ledit M° Charles Noetinger Notaire sus dit et son collègue le 15 juin 1836, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 24 juin de la même année Volume 307 N° 90. L’acquisition a eu lieu pour le prix de 9000 francs qui se trouve aujourd’hui entièrement soldé. Les époux Schabeberlé étaient devenus propriétaires dudit immeuble par suite de l’adjudication qui en avait été prononcée à leur profit par les héritiers de Mad° Susanne Marie Wiedenmeyer épouse d’André Koehler à Strasbourg suivant procès verbal d’adjudication dressé par M° Stoeber alors notaire à Strasbourg le 27 septembre 1817.
M. Richert Hubert est décédé à Strasbourg le 11 juin 1838 en laissant pour seul héritier son frère susnommé et Madame Thérèse Lentzer [sic] sa mère veuve de M. Florent Richert, laquelle avait cédé ses droits à son fils Georges Richert suivant acte passé devant M° Charles Noetinger notaire susdit le 12 juin même mois [sic] ainsi que le tout est d’ailleurs constaté encore par un inventaire dressé par M° Charles Noetinger le 11 décembre 1848. – Etat civil. Les déclarations sur l’état civil de M Richert seront faites soit dans l’acte de dépôt du présent Cahier des charges, soit dans le procès verbal d’enchère. Charges, clauses et conditions (…) [f° 110] Mise à prix. L’immeuble décrit sous le Numéro un sur la mise à prix de 35.000 francs. L’immeuble décrit sous le Numéro 2 sur la mise à prix de 18.000 francs
[f° 110-v] Etat descriptif du matériel (…)
[f° 111-v] Le mardi 5 décembre 1871 (…) faire procéder à la vente du dit immeuble aux termes d’une ordonnance de M. Kampmann Juge audit tribunal Commissaire à ladite faillite (…) [f° 113-v] Article premier, plusieurs bougies ont été allumées et pendant leur durée diverses enchères ont été portées dont la dernière faite par M. Charles Friedel Cadet Négociant demeurant à Strasbourg rue Saltzmann N° 6 a porté le prix à 30.100 francs. Deux nouvelles bougies successivement allumées sur cette enchère se sont éteintes sans que pendant leur durée il en ait été porté d’autre, En conséquence M° Noetinger notaire commis a proclamé M. Friedel adjudicataire du dit immeuble au prix susdésigné de 30.100 francs
L’article 2 du dit immeuble sur la mise à prix de 15.000 francs. Plusieurs bougies ont été allumées et pendant leur durée diverses enchères ont été portées dont la dernière faite par M. Emile Amos fabricant de savon demeurant à Wasselonne a porté le prix à 19.000 francs. Deux nouvelles bougies successivement allumées sur cette enchère se sont éteintes sans que pendant leur durée il en ait été porté d’autre, En conséquence M° Noetinger notaire soussigné a proclamé M. Amos adjudicataire du dit immeuble au prix susdésigné de 19.000 francs. (…)
Et à l’instant M. Friedel a déclare avoir enchéri pour le compte et au nom de M. Félix Koch, fabricant de savon demeurant en la banlieue de Strasbourg route de Colmar N° 23 lequel intervenant accepte la déclaration
[f° 114-v] Nachgebot. Heute den 8. Dezember 1871 im Sekretarium des kaiselichen Landgerichtes zu Straßburg Erschienen H. Felix Koch, Seifensieder hier wohnhaft, in Assistenz des H. Anwalters Schnéegans, welcher er hierzu bestellt, und erklärte daß er auch das Haus mit Dependenzien in Straßburg in der langen straß N° 66, früher N° 46 zwischen der Frau Adler und H. Knoderer gelegen welches am 5. laufenden Monats in dem durch Leopold Mendel Syndicus der faillite des Verstorbenen Georg Richert Seifen und Liechter Fabricant in Strassburg betriebner Versteigerung an H. Emile Amos, Seifen fabricant in Wasslenheim wohnhaft sei, ein Hauptsumme von 19.000 franken losgeschlagen wurde ein Mehrgebot von einem Zehntel des gesagten Preises (…)
Cahier des charges supplémentaire (…) sur la mise à prix de 20.900 francs (…) Strasbourg le 20 décembre 1871.
[f° 116] In Sachen der Felix Koch Seifensieder in Straßburg wohnhaft übersteigerer vertreten durch Anwalt Schnéegans, Gegen Léopold Mendel Syndic der Faillitmmasse des verstorbenen Georg Richert Seifensieder in Straßburg Verkäufer und Emil Amos Seifensieder in Wasslenheim übersteigerter, Beide nicht vertreten stellt Anwalt Schnéegans folgenden Antrag, Es möge dem Gericht gefallen, daß sofort nach geschehenem Ausrufe zu einer Neuen Versteigerung des Hauses geschritten werde (…) [f° 117] (…) den letzten und Meistlietenden Anwalte Schnéegans dahier für das letzte und Meistgebor von 22.700 francken (…) annimmt, endlich der Gerichtsvollzieher Hürstel zu Straßburg, und gegenwärtiges Urteil den ausgebliebenen Parteien Syndicus Mendel und Seifensieder Emil Amos zugestellt, Also geurtheilt und verkündiget zu Straßburg wie Eingangss erwähnt, Gezeichnet auf der Urschrift Traut Steffen, Einregistrirt zu Straßburg den 4. Januar 1872.
[f° 117-v] Asteigerer Erklärung. Heute den 29. Dezember 1871. auf dem Sekretarium des kaiserlichen Landgerichts zu Straßburg ist Erschienen H. Anwalt Schnéegans von hier welcher erklärt hier, daß er das ihme heute in der Sitzung der zweiten Kammer auf Mietsgebot über die von Herrn Notar Noetinger den 5. dieses Monats gehaltenen Versteigerung der Immobilien der Fallitmasse des Verstorbenen Seifensieders Georg Ricgert von hier zugeschlagenen, in der Langestraße Numéro 66 gelegenen Haus für eine Summe von 22.700 Franken für Herrn Felix Koch Seifensieder in Straßburg wohnhaft gekauft habe. Ist gleichfalls Erschienen genannter Herr Felix Koch und erklärte obige Ansteigerer erklärung anzunehmen.

Le fabricant de savon Félix Koch et Marguerite Duttiné se marient à Offenbach (grand-duché de Hesse) le 10 août 1864 (références dans les actes ci-dessous).
Félix Koch et Marguerite Duttiné hypothèquent leurs immeubles au profit de Salomé Heydel, veuve du jardinier cultivateur Daniel Bœrsch, Charles Haupt, ancien tailleur d’habits, et Marguerite Barbe Hoh, veuve d’André Müller

1873 (4.3.), Strasbourg 4 (136), Charles Lauterbach n° 368
4 mars 1872. Obligation – Ont comparu Mr Félix Koch, fabricant de savons et Mad. Marguerite Duttiné, son épouse qu’il autorise demeurant et domicilié ensemble dans la banlieue de Strasbourg,hors la porte d’Austerlitz, lesquels ont par les présentes reconnu devoir bien & légitimement & solidairement entre eux
aux personnes ci après nommées, savoir 1. à Madame Salomé Heydel propriétaire veuve de M. Daniel Boersch, de son vivant jardinier cultivateur à Strasbourg où elle demeure & est domiciliée, pour laquelle ci présent, stipule et accepte M. Albert Chrétien Stoll, négociant demeurant et domicilié à Strasbourg, la somme principale de 10.000 francs
2. à Mr Charles Haupt, ancien tailleur d’habits, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg, rue des frères n° 35, la somme principale de 5000 francs 3.à Mad. Marguerite Barbe Hoh, veuve de Mr André Müller, rentière demeurant et domiciliée à Strasbourg, la somme principale de 3000 francs 4. Et à Mad° Françoise Ducret sans état demeurant et domiciliée à Strasbourg veuve de M Laurent Thomas de son vivant cordonnier en la même ville la somme de 2000 francs, les trois derniers créanciers ici présents et acceptant en personne, Ensemble la somme totale de 20.000 francs (…)
Affectation hypothécaire. 1. Une campagne hors la porte d’Austerlitz au canton dit Grosschurmfeld section G N° 550, 551, 552 et 552.bis (…)
2. Une maison à deux étages sur rez de chaussée avec cours, puits, appartenances et dépendances, le tout sis à Strasbourg grand’rue N° 66, autrefois N° 46, tenant d’un côté à Mr Edouard Kirrmann, ferblantier, de l’autre à M. Knoderer pardevant à la rue.
En sus et avant l’hypothèque spéciale, cette dernière maison est grevée de privilèges au profit des créanciers ci après nommés mais dans les droits desquels les présents bailleurs seront plus loin subrogés, les fonds présentement empruntés étant destinés à les désintéresser
Etablissement de propriété. A. De l’article premier (…)
B. De l’article deux. M. Koch déclare être devenu propriétaire pour s’en être rendu adjudicataire sur la masse de la faillite de M. Georges Richert, fabricant de savons à Strasbourg, suivant jugement d’adjudication du landgericht de Strasbourg du 29 décembre 1871, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg. Cette acquisition a a eu lieu moyen le prix principal de 22.700 francs (…) Origine antérieure. Ledit M. Georges Richert et son frère M. Hubert Richert, vivant fabricant de chandelles demeurant à Strasbourg avaient acquis ledit immeuble du Sr Joseph Schabeberlé, farinier et de dame Victoire Merglé sa femme, demeurant ensemble en la même ville, aux termes d’un contrat de vente avec délégation passé devant ledit M° Noetinger le 15 juin 1836, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 24 juin suivant. M. Hubert Richert est décédé à Strasbourg dans le courant de l’année 1838. Suivant cession de droits succession passée devant ledit M° Noetinger le 12. mars 1848 consenti par dame Thérèse Dantzer mère du défunt et veuve de Florent Richert de Strasbourg au profit du dit Georges Richert, et aux termes du testament olographe dudit Sr Hubert Richert en date à Strasbourg du 25 avril 1846 enregistré à Strasbourg le 19 juin 1848 folio 33 (…) déposé pour minute audit M° Noetinger suivant acte de dépôt dressé par lui le 14 juin 1848, en exécution d’une ordonnance de Mr le Président dudit trans. vol. de Strasbourg en date du même jour, M. Georges Richert est devenu seul propriétaire de ladite maison ainsi qu’il est expliqué au surplus dans l’inventaire dressé après le décès dudit Hubert Richert par ledit M° Noetinger le 11 décembre 1848.
Lesdits époux Schabeberlé étaient devenus propriétaires dudit immeuble pour l’avoir acquis en vertu d’un procès verbal dressé par M° Stoeber aîné alors notaire à Strasbourg le 27 septembre 1817. – Assurance contre l’incendie (…)
Etat civil. Les époux Koch déclarent 1. qu’ils se sont mariés en l’an 1864 à Offenbach sur le Mein (Hesse Darmstadt) sous le régime légal (…)

La banque Ch. Stæhling, L. Valentin et Compagnie ouvre un crédit à Félix Koch et Marguerite Duttiné qui hypothèquent leurs immeubles

1876 (26.2.), Strasbourg 4 (144), Charles Lauterbach n° 2896
26. Februar 1876. Kredit Eröffnung – Erschienen 1. die Herren Carl Staehling und Ludwig Valentin, beide banquiers zu Straßburg wohnend, handelnd hier als persönlich haftende Gesellschafter und Vertreter der daselbst unter der Firma Ch. Staehling, L. Valentin et Cie. bestehende Kommandit Gesellschaft einerseits
2. Herr Felix Koch, Seifenfabrikant und dessen von ihm hierzu ermächtigte gewerblose Ehefrau Margaretha Duttiné, beide zu Straßburg vor dem Metzgerthor wohnhaft, anderseils
dieselbe haben folgendes vereinbart. Artikel eins. Die gedachte Herrn Staehling und Valentin in ihre angegebene Eigenschaft eröffnen hiermit den dies annehmenden Eheleuten Koch einen Kredit bis zum Belaufe von 20.000 Franken oder 16.000 Mark (…)
bestellen ein besonders Unterpfand den nachstehenden Liegenschaften
Bann von Straßburg 1. Section G 550, 551, 552 Herrschafftshaus mit Oeconomie- und sonstiger Gebäuden zwischen der Polygoner- und Illkircherstrasse (…)
Stadt Strassburg 2. Ein Wohnhaus mit zwei Stockwerken, Hof, Rechten und Zubehörden gelegen in der Langen Straße N° 66, früher N° 46, einseits Eduard Kirrmann, anderseit neben H. Knoderer vorn die Straß
Nachweis des Eigenthums, a) Liegenschaft N° 1 (…)
b) Haus N° 2. Herr Koch ersteigerte dieselbe Liegenschaft in der Faillitmasse des gedachts verlebten Lichter Fabrikanten Georg Richert, vermög Versteigerungs: Urtheil des Landgerichts von Straßburg vom 29. Dezember 1871 transcribirt im Hypothekenamt dahier
Subrogation (…) Brandversicherung (…) Erklärung. Eheleute Koch erklären 1. daß sie verheirathet sind unter dem Rechtsverhältnis der gesetzlichen Gütergemeinschaft (…)

Quittance subrogatoire

1884 (17.4.), Strasbourg 4 (162), Charles Lauterbach n° 8914
17. April 1884 – Erschienen Herr Albert Christian Stoll, Kaufmann und dessen vom ihm hierzu ermächtigte Ehefrau Emilie Boersch, beisammen in Strassburg wohnhaft, Ehegatten Stoll unter dem Rechtsverhältnis der Errungenschaftgemeinschaft verheirathet, ohnebeschränkende Bestimmung, laut ihrem Ehevertrag errichtet vor dem früheren Notar August Weiss in Strassburg dem unmittelbaren Amtsvorgänger des unterzeichneten Notars am 19. September 1871 Einerseits
Und Herr Emil Hasslauer, Buchdrucker in Strassburg wohnhaft, Anderseits
die Comparenten haben der Subrogation Quittung, welche den Gegenstand dieser Urkunde bilden wird, vorausgeschickt was folgt.
Sachverhalt. Laut einer Obligation errichtet vor em unterzeichneten Notar am 4. März 1873 und eingeschrieben beim Hypothekenamte zu Straßburg dem 28. desselben Monats Bd. 1136 N° 56 sind Herr Felix Koch Seifenfabrikant und dessen Ehefrau und nunmehrige Wittwe Frau Margaretha geborene Duttiné im Bann Straßburg vor dem Metzgerthor wohnhaft für Darlehen schuldig geworden (…) 16.000 Mark (…) Für die Sicherheit des fraglichen Darlehens von 16.000 Mark sammt * haben Ehegatten Koch folgende Liegenschaften speziell verpfändet, nämlich
1. Ein Landgut begreifend Herrschafftshaus (…) canton Grosschurmfeld gelegen Sektion G N° 550-552 (…)
2. Ein Wohnhaus mit Erdgeschoß und zwei Etagen, Hof, Brunnen, Rechten und Zubehörden, das Ganze zu Strassburg, Langestraße N° 66, früher N° 46 gelegen zwischen Eduard Kirrmann und Knoderer
Zu größerer Sicherheit hat Frau Koch die Gläubiger mit Vorzugsrecht vor ihr und bis zu gehörigem Belaufe von deren Forderungen nebst Anassorien* ihre eheweiblichen Ansprüchen und Forderungen übertragen und die Gläubiger in die Wirkung ihrer Legalhypothek gegen ihren Ehemann auf die obenbeschriebene Liegenschaften subrogirt (…) III. Herr Koch verstarb auch zu Straßburg den 5. November letzthin und hinterläßt 1. seine Wittwe Margaretha Duttiné a) als theilhaberin der zu Hälfte theilbaren Errungenschafts Gemeinschaft welche zwischen ihr und ihrem verlebten Ehemann in Ermanglung eines Ehevertrages nach dem Solmser Landrecht bestanden hat, b) als gesetzliche lebenslängliche Nutznießerin und Verwalterin des sämmtlichen Nachlasses ihres Ehemanns gemäß demselben Landrecht mit der Verpflichtung zur Schuldenzahlung, 2. seine fünf minderjährige Kinder a) Wilhelmine Caroline Maria Koch, b) Friedrich Wilhelm Koch, c) Luise Margaretha Koch, d) Sophia Koch, e) Carl Wilhelm Jacob Georg Koch unter der Mutter gesetzlichen Vormundschaft als Erben zu Nackteigenthum je zu einem Fünftel. – Subrogations Quittung (…)

Félix Koch meurt en 1884 en délaissant cinq enfants

1884 (19.6.), Strasbourg 4 (163), Charles Lauterbach n° 9029
Erbverzeichnis über den Nachlass des Seifenfabrikanten Felix Koch gewesener Ehemann von Margaretha Duttiné
Inventar, auf Anstehen Frau Margaretha gebohrene Duttiné, ohne Gewerb an der Colmarerstrasse Bann Strassburg wohnhaft, Wittwe des Seifenfabrikanten herrn Felix Koch, handelnd A. eigenen Namens 1. wegen der Errungenschafts Gemeinschaft zur Hälfte theilbar, welche zwischen ihr und ihrem verlebten Ehemann, mit welchem sie sich zu Offenbach (Großherzogthum Hessen) am 10. August 1864 ohne Ehevertrag verheirathet hatte nach dem Solmser Landrecht bestanden hat, 2. als gesetzliche lebenslängliche Nutznießerin und Verwalterin des sämmtlichen Nachlasses ihres Ehemanns gemäß demselben Landrecht, 3. Wegen den Rücknahmen, Ersatzansprüchen und anderen Forderungen welche ihr gegen die Gütergemeinschaft respective gegen den Nachlass ihres Ehemanns zustehen können,
B. im Namen und als gesetzliche Vormünderin ihrer in der Ehe mit dem verlebten Ehemann erzeugten nachgenannten minorennen Kinder a) Wilhelmine Caroline Maria Koch 18 Jahr alt, b) Friedrich Wilhelm Koch 16 jahr alt, c) Luise Margaretha Koch 12 jahr alt, d) Sophia Koch 8 jahr alt, e) Carl Wilhelm Jacob Georg Koch 5 jahr alt, diese Minorennen allein erbberechtigt an ihrem den 5. November letzthin verlebten Vater, den genannten H. Felix Koch und zwar je zu einem Fünftel.

Mobilien der Gemeinschaft. Im Speisezimmer A, Im Schlafzimmer, Im Salon, Im zweiten Schlafzimmer, Im ersten Stock, Im Kinderzimmer, Im obern Saal, Im Nebenzimmer, Im Mägdezimmer, In der Küche, Im Keller, Im Schränkezimmer
Immobilien der Gemeinschaft. Bann Straßburg 1. Section B N° 558, 559 & 560 Ein Wohnhaus nebst Seifensiederei (…) zwischen der Polygoner- und Illkircherstrasse (…)
3. Ein Wohnhaus mit zwei Stockwerken, Hof, Rechten und Zubehörden in der Langen Straße N° 66, früher N° 46 zu Strassburg zwischen Eduard Kirrmann und Knoderer vorn die Straße. Erworben von der Faillitmasse des bereits genannten Lichterfabrikanten Georg Richert, laut Versteigerungs- Protokoll des Landgerichts von Straßburg vom 29. Dezember 1871.
NB. Siehe Ergäntzung und Berichtigung dieses Inventars, Urkunde vom 9. Dezember 1891, N° 14.870
acp 751 (3 Q 30 466) f° 42 n° 1310 du 27.6. (Sterbfallerkl. vom 3. Mai 1884. Bd. 11 N° 84 – Tabelle Bd. 69 Fl. 97 N° 260, Nachtragseklg vom 22.9.84 Bd 145) Gütergemeinschaft, Mobilien 3088. Guthaben an der Firma Gebrüder Koch 10.000, Sa. 55.200
Immobilien. Bann Straßburg 1) B 558 bis 560 Ein Wohnhaus mit Seifensiederei
2) G 550 bis 552 Ein Besitzthum von 3 Wohnhäusern
3) Ein Wohnhaus Langestraße N° 66
4) G 542, Bann Straßburg Gewann Grosschurmfeld
Nachlass. Kleider 387

Marguerite Duttiné, veuve de Félix Koch, hypothèque ses immeubles au profit du Crédit foncier et communal d’Alsace et de Lorraine

1890 (5.9.), Strasbourg 4 (184) Charles Lauterbach n° 13.842
Darlehensvertrag – Sind erschienen 1. Fr. Margaretha Duttiné, ohne Gewerbe, Wittwe des Seifenfabrikanten H. Felix Koch, wohnhaft in der Bannweile Strassburg, Colmarerstraße N° 25, handelnd a) in ihrem eigenen, persönlichen Namen, b) Im Namen und in ihrer Eigenschaft als gesetzliche Hauptvormünderin ihrer noch minderjährigen Kinder entsprossen aus ihrer Ehe mit ihrem genannten Ehegatten, nämlich Luise Margaretha Koch, geboren den 20. Dezember 1871, Sophie Koch, geboren den 26. April 1876, Wilhelm Karl Jacob Georg Koch, geboren den 8. Mai 1879,
2. Frl. Wilhelmine Carolina Maria Koch, Ohne Gewerbe, 3. H. Friedrich Wilhelm Koch, Seifenfabrikant, beide großjährig, ledig auch in der Bannweile Strassburg, Colmarerstraße N° 25 wohnhaft
dieselbe erkennen hierdurch an daß sie drei und die drei obgenannten Minderjährigen der Aktiengesellschaft für Boden- und Kommunal- Kredit in Elsass-Lothringen, mit dem Sitze zu Straßburg, in deren Namen der hier anwesende, in Straßburg wohnhafte Herr Dr juris Johann North, direktor gedachter Gesellschaft, erklärt, stipulirt und annimmt, die Hauptsumme von 62.000 Mark (…)
Beschreibung der verunterpfändeten Liegenschaften
1. Artikel eins. Ein Fabrikanwesen welches zur Herstellung von Seife- und Parfümerieartikel dient, Neudorf N° 5 Schurmfeld Neufeldweg G 558 sqq (…)
2. Artikel zwei. Zweÿ Wohnhäuser, jedes in Erdgeschoß & einem Stockwerken N° 25 und N° 27 tragend vor dem Metzgerthor Gewann Großschurmfeld section G N° G 550 sqq (…)
3. Artikel drei. Ein Wohnhaus in Erdgeschoß & zwei Stockwerken, Hof, Rechten, & Zubehörungen, gelegen in der Stadt Strassburg, Langestraße N° 66, section P N° 774 des Katasters, von einem Flächeninhalte von 98 Quadratmeter, begrenzt einerseits durch Eduard Kirmann, anderseits durch Knoderer, vorn durch die Langestraße, hinten unbekannt.
Eigenthumsherkunft. Die erschienenen Consorten Koch erklären folgendes. Die obige Liegenschaften gehören den Schuldnern Wittwe Koch, Frl. Koch, H. Koch und drei Mündel Koch in Ungetheiltheit zu vollem Eigenthum. Dieselben Liegenschaften rühren her von der auf die Errungenschaft beschränkten, zur Hälfte theilbaren Gütergemeinschaft welche zwischen den Eheleuten Koch-Duttiné bestanden hat, indem sie sich zu Offenbach im Großherzogthum Hessen am 10. August 1864 ohne Ehevertrag, nach dem Solmsner Landrecht verheiratet haben, nach welchem jetzt der Wittwe Koch die lebenslängliche Nutznießung & Verwaltung des Vermögensnachlasses ihres Ehemanns zustehen soll. H Felix Koch starb zu Straßburg am 5. November 1883 & hinterließ für einzigen Erben seine fünf Kinder erzeugt in seiner Ehe mit seiner heutigen, mitschuldnerischen Wittwe Fr. Margaretha Duttiné, nämlich Frl. Koch, H. Koch und drei Mündel Koch, jedes für ein Fünftel, wie dies bestätigt ist durch das Inventar über seinem Nachlasse errichtet durch den unterfertigten Notar den 19. Juni 1874.
Die Eheleute Koch-Duttiné sind Eigenthümer obiger Liegenschaft geworden, indem zu einen Theil der Gebäuden mit Zubehör haben herstellen laßen auf dem zutreffenden Grundboden und dem Terrain überhaupt mit den übrigen Gebäulichkeiten folgenderweise während ihrer Ehe erworben, nämlich (…)
3. den Artikel drei von der obgedachten Fallitmasse von Georg Richert durch Urtheil im Uebergebotsverfahren vor dem Landgerichte zu Straßburg vom 29. Dezember 1871, überschrieben im Hypothekenamte zu Straßburg den 16. Februar nachher Band 1324 N° 58. Diese letztere Liegenschaft war durch Georg Richert & sein Bruder Hubert Richert, Seife- & Lichterfabrikant in Straßburg gemeinsam erkauft worden von den Eheleuten Joseph Schababerlé Mehlhändler & Viktoria Merglé in Straßburg, durch Kaufurkunde vor Notar Noetinger daselbst vom 15. Junÿ 1836, überschrieben im Hypothekenamte zu Straßburg den 24. Juni darauf. H. Hubert Richert starb zu Straßburg im Jahre 1838. Durch Uebertragung von Erbrechten vor genanntem Notar Noetinger vom 12. Juni 1884, eingewilligt durch Therese Dantzer, Wittwe von Florenz Richert in Straßburg, Mutter des Verlebten, zu Gunsten von H. Georg Richert & in Folge des eigenhändigen Testaments von Hubert Richert, hinterlegt als Urschrift in die Amtsstube des gedachten Notars Noetinger zufolge Hinterlegungsurkunde errichtet durch ihn den 14. Juni 1848, in Vollziehung einer Ordonnanz des Präsidenten des Civiltribunals zu Straßburg vom nämlichen Tage, wurde Georg Richert Alleineigenthümer gedachter Liegenschaft, wie dies übrigens aufgestellt ist im Inventar nach dem Ableben des H. Hubert Richert vor genanntem Notar Noetinger vom 11. Dezember 1848.
(…) Erklärungen. Wittwe Koch, Frl. Koch und H. Koch erklären, daß Wittwe Koch nicht wiederverheiratete Wittwe ist ihres genannten Ehemanns mit dem sie unter dem Solmser Landrecht ohne Ehevertrag unter der auf Errungenschaft beschränkten, zur Hälfte theilbaren Gütergemeinschaft verheirathet war, wie dies hievorn unter dem Titel Eigenthümlichsherkunft bereits angegeben ist.
(Vereinbarungsakt)

Complément à l’inventaire de 1884, dressé avant l’adjudication forcée pour cause de faillite

1891 (9.12.), Strasbourg 4 (188) Charles Lauterbach n° 14.870
Ergäntzung und Berichtigung eines Inventars – Erschienen 1. Fr. Margaretha Duttiné, gewerblose Wittwe des Seifenfabrikanten H. Felix Koch, wohnhaft in der Bannweile Strassburg Colmarerstraße N° 25, Welche in Konkurs erklärt sich befindet aus dem nachgenannten H. Schorong zum Konkursverwalter bestellt erhalten hat, handelnd A. eigenen Namens 1. wegen der zu Hälfte theilbaren Errungenschafts: Gemeinschaft, welche zwischen ihr und ihrem verlebten Ehemann, mit welchem sie sich zu Offenbach im Großherzogthum Hessen am 10. August 1864 ohne Ehevertrag verheirathet hatte, nach dem Solmser Landrecht bestanden hat, 2. als gesetzliche lebenslängliche Nutznießerin und Verwalterin des sämmtlichen Nachlassvermögens ihres Ehemanns gemäß demselben Landrecht, 3. Wegen den Rücknahmen, Ersatzansprüchen und anderen Forderungen welche ihr gegen die Gütergemeinschaft respective gegen den Nachlass ihres Ehemanns zustehen,
b. In ihrer Eigenschaft als gesetzliche Vormünderin ihrer bei ihr domizilirten noch minderjährigen Kinder aus ihrer Ehe mit dem genannten Ehemann, nemlich Lucie Margaretha Koch geboren den 20. Dezember 1871, Sophie Koch geboren den 26. April 1876, Wilhelm Karl Georg Jacob Koch, geboren den 8. Mai 1879
3. H. August Schorong, Konkursverwalter, ehemaliger Gerichtsvollzieher, wohnhaft in Straßburg, Handelnd zur Verbeistandung der obgenannten Wittwe Koch, in seiner Eigenschaft als Verwaltern des über ihr Vermögen eröffneten Konkurses
3. Wilhelmine Carolina Maria Koch, großjährig, unverehelichet, ohne Gewerb wohnhaft in der Bannweile Straßburg, Colmarerstraße N° 25
4. H. Rechtsanwalt Christoph Lehnebach wohnhaft in Straßburg, Handelnd als (…) bevollmächtigter von Friedrich Wilhelm Koch, ehemaliger Seifenfabrikant, ledig, großjährig, ebenfalls wohnhaft in der Bannweile Straßburg Colmarerstraße N° 25
5. H. August Koch, Seifenfabrikant wohnhaft zu Neudorf in der Bannweile Straßburg, letzterer handelnd in seiner Eigenschaft als, nach Erlaubnus der Erschienenden an Stelle des früheren Wilhelm Koch aus Offenbach ernannter und jetziger Nebenvormund der genannten Minderjährigen, die genannten Wilhelmine Caroline, Maria Koch, Friedrich Wilhelm Koch, Lucie Margaretha Koch, Sophie Koch und Wilhelm Karl Georg Jakob Koch vollbürtige Geschwister, einzig und allein erbberechtigt, ein Jedes für ein Fünftel, am Nakteigenthum des Vermögens nachlasses ihres Vaters, des genannten H. Felix Koch, welcher in Straßburg am 5. November 1883 ab intestato gestorben ist, jedoch nur unter der Rechtswohlthat des Inventars und unter ausdrucklichen Vorbehalt der gedachten Nachlass einzunehmen oder auszuschlagen

Zusammenstellung. A. Gütergemeinschaft. Activa 1. Mobilien 3088
2. Liegenschaften a) das Fabrikanwesen in der Bannweile Straßburg zu Neudorf N° 5
b. die zwei Häuser dortselbst N° 25 und 27
c. das Haus zu Straßburg Langestraße N° 66, geschätzt vorläufig zu 62.000
3. Waaren-Bestände in der Seifenfabrik 23.205, 4. Faßlagen 244, 5. Ausstände 19.077, 6. Baares Geld 570, 7. Fabrik Utensilien 4350, 8. Verkaufte Liegenschaften 9424 und 1100, (Gesamtbetrag) 123.059
Passiva 1. Schuldkapitalien 55.200, 2. Anderer Schuldbetrag 452, 3. hievorn aufgestellte Passiven 61.139, Ersatzforderung der Wittwe 19.472, 5. Ersatzforderung des Nachlasses 17.142 (Gesamtbetrag) 153.407
Bilanz, Einbüße 30.348
B. Nachlass. Activa 1. Garde robe 387, 2. Ersatzforderungen 17.142, Summa 17.529
Passiv, obiges Passivüberschuß p.m.
acp 850 (3 Q 30 565) f° 100 du 16.12.

Procédure d’expropriation forcée engagée par le Crédit foncier et communal d’Alsace et de Lorraine contre la veuve et les héritiers de Félix Koch. La maison Grand rue est acquise par le commerçant Benjamin Weill.

1892 (25.1.), Strasbourg 4 (188) Charles Lauterbach
18. Dezember 1891 N° 14.890. Bedingnisheft – In der Zwangsvollstreckungssache der Aktien-Gesellschaft für Boden- und Kommunal Kredit in Elsass-Lothringen mit dem Sitze zu Straßburg, vertreten durch H. Rechtsanwalt Alfred Meyer wohnhaft in Strassburg
gegen 1. Fr. Margaretha Duttiné, ohne Gewerbe, Wittwe des Seifenfabrikanten H. Felix Koch, wohnhaft zu Straßburg, Colmarerstraße N° 25, eigenen Namens und als gesetzliche Vormünderin ihrer noch minderjährigen Kinder aus der Ehe mit ihrem genannten Ehemann, nämlich a) Luise Margaretha Koch, geboren den 20. Dezember 1871, b) Sophie Koch, geboren den 26. April 1876, c) Wilhelm Karl Georg Jakob Koch, geboren den 8. Mai 1879, 2. Frl. Wilhelmine Caroline Maria Koch, ledig, großjährig, ohne Gewerbe, 3. H. Friedrich Wilhelm Koch, Seifenfabrikant, beide wohnhaft zu Straßburg, Colmarerstraße N° 25, Solidarschuldner und indem genannte Wittwe Koch in Konkurs sich befindet, insofern als zutreffend auch gegen den Verwalter besagten Konkurses, der zu Strassburg wohnenden Konkursverwalter H. August Schorong, wegen der, der obgenannten Gesellschaft auf Grund eines vor dem amtierenden Notars vom 5. September 1890 errichteten Darlehensvertrages, zustehenden Forderung von 1375 Mark den Rest der vom ersten Oktober letzthin fälligen Annuitäts-Semersterrate bildend (…) und vorbehaltlich des noch nicht verfallenen Schuldkapitals, auf Grund eines Zwangsvollstreckungsbeschlusses erlassen durch das Kaiserliche Amtsgericht zu Straßburg den 18. November abhin (…)

A. Beschreibung der Liegenschaften und Angebote der Gläubigerin
1. Artikel eins. Ein Fabrikanwesen zur Herstellung von Seife und Parfümerieartikel, Neudorf N° 5 Schurmfeld Neufeldweg G 558 sqq (…)
2. Artikel zwei. Ein Wohnhaus Großschurmfeld G 550 sqq
3. Artikel drei. Ein Wohnhaus Colmarerstraße N° 27 Großschurmfeld G 50 sqq
an Firma Léon Weill et &Cie
4. Artikel vier. Section G 550 sqq Grundboden
5. Artikel fünf. Ein Wohnhaus in Erdgeschoß & drei Stockwerken, Hof, Rechten, & Zubehörungen, gelegen in der Stadt Strassburg, Langestraße N° 66, section P N° 774 des Katasters, von einem Flächeninhalte von 98 Quadratmeter, begrenzt einerseits durch Eduard Kirmann, anderseits durch Knoderer, vorn durch die Langestraße, hinten unbekannt. Angebot 8000 Mark
B. Eigenthumsverhältnisse. Die obige Liegenschaften gehören den Schuldnern Wittwe Koch, Frl. Koch, H. Koch und drei Mündel Koch in Ungetheiltheit zu vollem Eigenthum. Dieselben Liegenschaften rühren her von der auf die Errungenschaft beschränkten Gütergemeinschaft welche zwischen den Eheleuten Koch-Duttiné bestanden hat, indem sie sich zu Offenbach im Großherzogthum Hessen am 10. August 1864 ohne Ehevertrag nach dem Solmsner Landrecht verheiratet haben, nach welchem jetzt der Wittwe Koch die lebenslängliche Nutznießung & Verwaltung des Vermögensnachlasses ihres Ehemanns zustehen soll. H Felix Koch starb zu Straßburg am 5. November 1883 & hinterließ für einzigen Erben seine fünf Kinder erzeugt in seiner Ehe mit seiner heutigen Wittwe, nämlich Frl. Koch, H. Koch und drei Mündel Koch, jedes für ein Fünftel, wie dies bestätigt ist durch das Inventar über seinem Nachlasse errichtet durch den unterschriebenen Notar den 19. Juni 1874.
Die Eheleute Koch-Duttiné sind Eigenthümer obiger Liegenschaft geworden, indem zu einen Theil der Gebäuden mit Zubehör haben herstellen laßen auf dem zutreffenden Grundboden und dem Terrain überhaupt mit den übrigen Gebäulichkeiten folgenderweise während ihrer Ehe erworben, nämlich (…)
3. die unter Artikel fünf beschriebene Liegenschaft von der obgenannten Fallitmasse von Georg Richert durch Urtheil im Uebergebotsverfahren vor dem Landgerichte zu Straßburg vom 29. Dezember 1871, überschrieben im Hypothekenamte zu Straßburg den 16. Februar nachher Band 1324 N° 58. Diese letztere Liegenschaft war durch Georg Richert & sein Bruder Hubert Richert, Seife- und Lichterfabrikant in Straßburg gemeinsam erkauft worden von den Eheleuten Joseph Schababerlé Mehlhändler & Viktoria Merglé in Straßburg, durch Kaufurkunde vor Notar Noetinger daselbst vom 15. Junÿ 1836, überschrieben im Hypothekenamte zu Straßburg den 24. Juni nachher. H. Hubert Richert starb zu Straßburg im Jahr 1838. Durch Uebertragung von Erbrechten vor genanntem Notar Noetinger vom 12. Juni 1884, eingewilligt durch Therese Dantzer wittwe von Florenz Richert in Straßburg, Mutter des Verlebten, zu Gunsten von H. Georg Richert & in Folge des eigenhändigen Testaments von Hubert Richert hinterlegt als Urschrift in die Amtsstube des gedachten Notars Noetinger zufolge Hinterlegungsurkunde errichtet durch ihn den 14. Juni 1848, in Vollziehung einer Ordonnanz des Präsidenten des Civiltribunals zu Straßburg vom nämlichen Tage, wurde Georg Richert Allein Eigenthümer gedachter Liegenschaft wie dies übrigens aufgestellt ist im Inventar nach dem Ableben des H. Hubert Richert vor genanntem Notar Noetinger vom 11. Dezember 1848.
C. Versteigerungs Bedingungen (…)
25. Januarÿ 1892. N° 14.981. Fortsetzung – Versteigerung (…)
Art. I Ein Fabrikanwesen zur Herstellung von Seife und Parfümerieartikel, Neudorf N° 5 Schurmfeld Neufeldweg G 558 sqq
an Ludwig Gademann
Art. II Wohnhaus Großschurmfeld G 550 sqq
an Johann Joseph Hühlenbein
Art. III Wohnhaus Colmarerstraße N° 27 Großschurmfeld G 50 sqq
an Firma Léon Weill et &Cie
Art. 4 G 550 sqq Grundboden
an Firma Léon Weill et &Cie
5. Artikel fünf des Bedingnisheftes bestehend aus dem Hause zu Straßburg Langestraße N° 66, zugeschlagen um das gelegte Meistgebot von 10.200 Mark dem Zugegenen und annehmenden H. Benjamin Weill, Kaufmann wohnhaft in Straßburg
acp 853 (3 Q 30 568) f° 44-v, 45 du 2.2.

D’après le dossier de la Police du Bâtiment, Benjamin Weill demeure en 1892 et en 1898 au 8, Faubourg de Pierre, adresse mentionnée dans la fiche de Benjamin Weill et de sa femme Charlotte Rothschild
Ficher domiciliaire 603 MW 884
Weill, Handelsmann / Rentner
Benjamin Weill, 29/12 4[7], Sulzbad Molsheim, Relig. isr.
Frau Charlotte Rothschild, 27 8 75 Mülhausen
Kinder
sep. Leo 16.4.98 Straßb. (travaille à la Préfecture)
Noe Remigius sep. 16.12.99, -, (Remy Weill mort tué par les Allemands à Auschwitz Allemagne)
Wohnungsverhältnis
v. Quatzenheim
25.12.93 Thiergarteng. 12
28.3.85 Steinstr. 15, Schuerer
25/6.86, dt° 8, Kapps
27/12.86 Thiergarteng. 10-B
u. Scharrachbergheim
25.6.86 Steinstrasse 8, Kapps
15.9.97 – n° 4
2.7.05 Odilienstr. 4, Sauer
1914 dt
8.8.30. rue Turenne 3, Weil

Né à Soultz-les-Bains près de Molsheim en 1847, Benjamin Weil épouse en 1897 Charlotte Rothschild, née à Mulhouse en 1875 fille du banquier Meyer Rothschild
Mariage, Mulhouse (n° 509)

Mülhausen am 2. August 1897. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Eigenthümer Benjamin Weil, israelitischer Religion geboren den 29. December des Jahres 1847 zu Sulzbad, Unter Elsass, wohnhaft zu Strassburg, Unter Elsass, Sohn des verstorbenen Pferdehändlers Leopold Weil zuletzt wohnhaft zu Brooklyn, Amerika, und dessen verstorbenen Ehefrau Caroline geb. Seeh, zuletzt wohnhaft Zu Quatzenheim, Unter Elsass
2. die Charlotte Rothschild, israelitischer Religion, geboren den 24. August des Jahres 1875 zu Mülhausen, Tochter des Bankiers Meyer Rothschild und dessen Ehefrau Emma geb. Hulf, beide wohnhaft zu Mülhausen (i 113)

Benjamin Weil meurt en 1930 en son domicile rue Turenne
Décès, Strasbourg (n° 2579) Le 28 octobre 1930 à deux heures est décédé en son domicile 3, Rue Turenne Benjamin Weil, né à Soulttz-les-Bains (Bas Rhin) le 29 décembre 1847, courtier, fils de Leopold Weil et de Caroline Seeh, époux décédés, époux de Charlotte Rothschild. Dressé le 28 octobre 1930 (im 229)

Benjamin Weil vend la maison au mécanicien Dieuloué Barth (ensuite francisé en Dieudonné Barth) et à sa femme Caroline Müller (déjà propriétaires depuis 1895 de la maison voisine n° 64)

1899 (25.7.), Joseph Allonas n° 18.123
Verkauf – Benjamin Weill, Kaufmann hier
an Gottlob Barth, Mechaniker und Caroline Müller Eheleute in Straßburg
Stadt Strassburg. Wohnhaus auf Keller mit Erdgeschoß vier Stockwerken u. Speicher, Hof, Rechten und Zubehör, Langestraße N° 66, nach Kataster P 774 mit 0 a 98
Akt Lauterbach vom 25. Januarÿ 1892. Genuß, Steuren vom 1. Oktober 1899. Preis 20.000 Mark worauf 12.000 Mark baar bezahlt, die übrigen 8000 M. sind zahlbar auf spezielle Anweisung des des Verkäufers an den Bodencredit hier
acp 957 (3 Q 30 672) f° 75-v n° 1701 du 25.7.

Originaire de Maulbronn en Wurtenberg, Chrétien Dieuloué Barth, employé du sieur Neulinger, épouse en 1882 Marguerite Caroline Müller, fille du marchand épicier Jacques Müller
1882 (14.2.), Strasbourg 9 (157), Jean Mossler n° 4264
14. Februar 1882. Ehevertrag – erschienen Herr Christian Gottlieb Barth, Angestellter bei Herrn Neulinger zu Straßburg daselbst wohnend, großjähriger ehelicher Sohn des Herrn Gottfried Barth, Schuhmacher in Maulbronn (Würtenberg) wohnend und dessen daselbst verlebten Ehefrau Christine Veit, handelnd in seinem Namen als Bräutigam, Einerseits
Fräulein Margaretha Karoline Müller, ohne Gewerbe zu Straßburg Helengasse N° 3 wohnend, großjährige und eheliche Tochter des Herrn Jacob Müller, Spezereihändler und Carolina Kuhn Eheleute beisammen zu Straßburg wohnhaft, handelnd in ihrem Namen als Braut, Andererseits
acp 722 (3 Q 30 437) f° 59-v n° 4025 du 15.2. – Annahme de Systems der Errungenschaftgemeinschaft
Die Braut bringt zur Ehe an Mobilien den Werth von 3326 M
Auf Todesfall schenken sich die Brautleute gegenseitig die lebenslängliche Nutznießung des *tigen Nachlasses

Dieuloué Barth et Caroline Müller hypothèquent leurs deux maisons contiguës au profit d’Adèle Dietrich, veuve du receveur de l’enregistrement Thiébaut Darlon, demeurant à Lunéville

1899 (18.8.), Joseph Allonas
Allonas durch Assessor Schmidt
Schuldbrief – Gottlob Barth, Mechaniker und Karoline Müller Eheleute hier
zu Gunsten Adele Dietrich, Rentnerin, Wittwe des Enregistrements Einnehmers Theobald Darlon in Lunéville
über ein Darlehen von 7000 Mark
Pfand, Wohnhaus hier Langstraße N° 64 und Haus allda N° 66
acp 958 (3 Q 30 673. II) f° 27 n° 2484 du 18.8.

Dieuloué Barth et Caroline Müller hypothèquent leurs deux maisons contiguës au profit du médecin Jules Bürcklé, de Guebwiller

1909 (9.8.), Frédéric Heng n° 2563
Schuldbrief – durch Gottlob Barth, Mechaniker hier Langstraße 64 und Caroline Müller
zu Gunsten Dr med. Julius Bürckle, praktiken Arzt, wohnhaft in Gebweiler (Ober-Elsaß) Ehemann von Antoinette Virginie Marie Mickilse, über ein bares Darlehen von M. 30.000
Pfand, Haus Langstraße N° 66 Ecke Müllergäßchen hier
acp 1093 (3 Q 30 808. III) f° 20 n° 1359 du 27.8.

Echange de terrain entre la Ville d’une part et Dieuloué Barth et Caroline Müller d’autre part

1909 (29.5.), Maire
Tausch vor Bürgermeisteramt hier 29. Mai 1909 – zwischen Gottlob Barth, Mechaniker & Caroline geb. Müller Eheleute hier
an die Stadt Strassburg zur Verbreiterung des Müllergäßchens, ohne Tauschabgabe
I. Eheleute Barth treten ab
Gemeinde Strassburg, Flur 1 von der Parzelle 95 3,62 ar eine Fläche von 0,22 Müllergäßchen
die Stadt Strassburg tritt dagegen ab
Gemeinde Strassburg, Flur 1 von der Parzelle 102, 4,06 ar eine Fläche von 0,42 Müllergäßchen
Preis 50. pro qm. Eheleute Barth zahlen heraus am 1. Junÿ 1909 0,20 ar x 50, M 1000
Kosten tragen Eheleute Barth zu zwei Drittel, die Stadt zu einem Drittel
acp 1090 (3 Q 30 805. III) f° 21-v n° 624 du 3.6.

La maison revient en 1922 par héritage à leurs deux filles, Guillaumette Caroline qui épouse en 1911 le maître serrurier Jacques Henri Rupp, natif de Strasbourg, et Jeanne Marguerite qui épouse en 1922 le négociant Louis Eugène Steck, originaire de Rœschwoog.

Mariage, Strasbourg (n° 703)
Strassburg am 6. Juli 1911. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Schlossermeister Friedrich Jakob Heinrich Rupp, evangelischer Religion geboren am 24. März des Jahres 1882 zu Strassburg, wohnhaft in Strassburg Züricherstraße 11.a, Sohn des Schlossermeisters Friedrich Rupp wohnhaft in Strassburg und seiner verstorbenen Ehefrau Katharina Jakobine gebornen Köhli, wohnhaft zuletzt in Straßburg
2. die Wilhelmine Karoline Barth, ohne Beruf, evangelischer Religion, geboren am 22. Oktober des Jahres 1887 zu Strassburg, wohnhaft in Strassburg, Tochter des Mechanikers Christian Barth und seiner Ehefrau Margarete Karoline gebornen Müller wohnhaft in Strassburg [unterzeichnet] Fritz Rupp, Wilhelmine Rupp geb. Barth (i 25)

Mariage, Strasbourg (n° 424)
Strasbourg le 13 avril 1922. Par devant l’Officier de l’Etat-Civil soussigné ont comparu aujourd’hui dans le but de contracter mariage 1° Monsieur Louis Eugène Steck, Négociant, de religion catholique, né le 9 décembre 1879 à Roeschwoog (Bas-Rhin) demeurant à Strasbourg, 4, quai Schoepflin, fils de feu Jacques Steck, Négociant et de feue Eugénie née Huck, demeurant en dernier lieu à Roeschwoog
2° Mademoiselle Jeanne Marguerite Barth, sans profession, de religion protestante, née le 18 juillet 1889 à Strasbourg, demeurant à Strasbourg, 36, allée de la Robertsau, fille de feu Chrétien Gottlob Barth, mécanicien demeurant en dernier lieu à Strasbourg, et de Marguerite Caroline née Muller demeurant à Strasbourg (signé) Louis Eugène Steck, Jeanne Steck née Barth (im 272)

Guillaumette Caroline, dite Mina, Barth meurt en 1955 en laissant pour unique héritière sa sœur Jeanne Marguerite Barth qui meurt à son tour en 1956 en laissant pour unique héritière sa fille Marie-Reine Steck, femme divorcée d’Adolphe Heinis (voir les dossiers du M.R.U.).


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.