11, rue du Fossé-des-Treize
Rue du Fossé-des-Treize n° 11 – II 348 (Blondel), N 358 puis partie de N 199 (1872), section 79 parcelle 7 (cadastre)
Maître d’ouvrage (1856), veuve Philippe Frédéric Lauth – Détruite en 1870
Maître d’ouvrage (1871), Emile Huber – Incendiée en 1908
Maître d’ouvrage (1908), Emile Huber, architecte Charles Stieffel – Démolie, v. 2003
Bâtiment actuel (2004), architectes Blanc, Briot, Cunci, Gomez
Bâtiment actuel construit en 2004 (mai 2019)
Elévation et coupe du bâtiment contruit en 1908 après incendie (dossier de la Police du Bâtiment)
Le jardinier Jean Rencher fils de Béat cède en 1654 la maison à l’arrière de sa propriété au marchand de chevaux Philippe Grassmann. Le mousquetaire Jean Jacques Schwendt achète la maison en 1658 et l’agrandit d’un jardin qu’il achète à Jean Renchert. Le marchand épicier Jean Melchior Ziegler en fait une maison de rapport (1687-1693) qui revient ensuite à des réformés : le cordonnier Jean Cladé (1713-1720), Marie Madeleine Cladé veuve du journalier manant Adam Plattner puis sa fille Susanne Esther Plattner et son mari Jean Jacques Sommer (1730-1737). Les propriétaires suivants sont aussi de petites gens, comme l’ouvrier maçon André Mentzer, le compagnon maçon Jean Pierre Zell ou le garçon charpentier Jean Georges Sattler. La maison comprend en 1771 deux poêles, deux chambres et deux vestibules où se trouvent le fourneau et l’âtre. Sa valeur vénale au cours du XVIII° siècle est d’environ 200 livres (voir le plan-relief de 1727).
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 6 – Cour K (© Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à un étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, , la façade sur rue est la quatrième à droite du repère (l) : porte puis fenêtre au rez-de-chaussée, deux fenêtres au premier étage et un niveau de lucarnes dans la toiture. La façade arrière (1-2) donne dans la cour K, commune avec la maison rue du Faubourg de Pierre.
La maison porte d’abord le n° 7 (1784-1857) puis le n° 11 de la rue de la Soupe-à-l’Eau.
Plan de la propriété 10, rue du Faubourg de Pierre et 11, rue du Fossé-des-Treize
Plan du terrain cédé à la Ville en 1871 (1908, dossier de la Police du Bâtiment)
Après avoir appartenu à l’ouvrier maçon Balthasar Nick, au journalier Jean Jacques Bier puis au maçon devenu journalier Jean Prouzien, la maison revient en 1852 à la veuve de Philippe Frédéric Lauth, propriétaire du 10, rue du Faubourg de Pierre, situé à l’arrière – elle réunit ainsi la propriété scindée en 1654. Elle fait démolir le bâtiment en 1855 et y construit un nouveau, ce qui en porte le revenu de 25 à 109 francs ; le nombre de fenêtres passe de 8 à 27. Ce bâtiment est détruit lors du siège de 1871. Le fabricant de papier Emile Huber cède en 1971 à la Ville une bande de terrain de 3,65 mètres carrés qui dépasse de l’alignement approuvé le 3 mars 1871 avant de reconstruire un bâtiment industriel à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Un incendie détruit une grande partie des magasins et des ateliers en avril 1908. Emile Huber charge l’architecte Charles Stieffel de reconstruire un bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages servant d’imprimerie et de fabrique de sachets. Les travaux sont terminés en novembre, les machines montées dans les ateliers en mars 1909. Les bâtiments servent d’atelier à la société Bata (1931) et au bonnetier Rozen (1936).
Le nouveau bâtiment porte la plaque « Blanc – Briot – Cunci – Gomez, architectes, année 2004 ».
mai 2019
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1614 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
Jean Rencher fils de Béat, jardinier, et (1654) Marie Bœrsch – luthériens | ||
1654 | v | Philippe Grassmann, marchand de chevaux, et (v. 1656) Elisabeth Steinmetz – luthériens |
1658 | v | Jean Jacques Schwendt, mousquetaire, et (v. 1653) Madeleine Koch – luthériens |
1687 | v | Jean Melchior Ziegler, marchand épicier, et (v. 1645) Anne Ruff, (1653) Sara Breuning, puis (1660) Anne Zill – luthériens |
1693 | v | André Vix, jardinier, et (1686) Marie Schell veuve des jardiniers Michel von Triembach et Jean Mœtschel – luthériens |
1705 | v | Jean Georges Dannenberger, charron, (1682) Aurélie Schell – luthériens |
1713 | v | Jean Cladé, cordonnier, et (1707) Anne Eve Singer – réformés |
1720 | v | Adam Plattner, manant, journalier et (1677) Madeleine Engelstetter puis (1695) Marie Madeleine Cladé – réformés |
1730 | h | Jean Jacques Sommer, tonnelier, et (1730) Susanne Esther Plattner puis (1742) Marguerite Salomé Frey – réformés |
1737 | v | André Mentzer, ouvrier maçon, et (1722) Anne Marie Wolff puis (v. 1738) Marie Dorothée Inckel – luthériens |
1744 | v | Jean Pierre Zell, compagnon maçon, et (1746) Marie Barbe Seiler veuve de Pierre Urbain Render – catholiques |
1784 | v | Jean Georges Sattler, garçon charpentier, et (1767) Catherine Heim – catholiques |
1786 | v | Ignace Heckmann, tisserand, et (1783) Marie Marguerite Laugel puis (1797) Salomé Hoh – catholiques |
1809 | v | Balthasar Nick, manant, compagnon maçon, et (1788) Elisabeth Eisenmann, veuve de Wunibald Sugg – catholiques Jean Jacques Bier, journalier, et (1791) Anne Marie Jacob – catholiques, chacun pour moitié |
1832 | h | Jean Jacques Bier, journalier, et (1819) Marie Catherine Salomé Brunner |
1834 | v | Jean Prouzien, maçon puis journalier, et Catherine Emmery, veuve de François Desjardins puis Jean Prouzien et Marie Delsol épouse (1846) du tailleur Louis Kieffer |
1882 | v | Philippe Frédéric Lauth, employé aux archives, et (1831) Marie Madeleine Stahl |
1858 | v | Paul Emile Wagner, joailler, et (1858) Louise Emilie Parrot |
1864 | v | Théodore Lamasse, manufacturier, et (1859) Caroline Marie Camille Becker |
1871 | v | Eugène Huber marchand de papier, et (1853) Lutgarde Schneider |
1921* | h | Charles Auguste Etienne Huber, négociant |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 150 livres en 1771
Valeur vénale : 150 livres en 1705, en 1713 et en 1720, 200 livres en 1737, 230 livres en 1744, 250 livres en 1784, 200 livres en 1786,
(1765, Liste Blondel) II 348 , Pierre Zell
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Zeller Wittib, 8 toises, 1 pieds et 9 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 358, Prussien, Jean, maçon – maison, sol – 0,48 are
Description de la maison
- 1771 (billet d’estimation traduit) La maison comprend deux poêles, deux chambres et deux vestibules où se trouvent le fourneau et l’âtre, le comble est couvert de tuiles plates, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 300 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
1° arrondissement ou Canton ouest – Rue de la Soupe à l’Eau
nouveau N° / ancien N° : 13 / 7
veuve Bier
Rez de chaussée et 1° étage mauvais en bois
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 21 f° 100 case 2
Prussien, Jean, maçon à Strasbourg / faubourg de Saverne 12
Lauth Philippe Frédéric veuve née Madeleine Stahl (1853)
N 358, maison, sol, R. soupe à l’eau 9
Contenance : 0,48
Revenu total : 27,25 (27 et 0,25)
Folio de provenance :
Folio de destination : Démolie
Année d’entrée :
Année de sortie : 1856
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 8 / 6
fenêtres du 3° et au-dessus :
N 358, maison
Revenu total : 109, 25 (109 et 0,25)
Folio de provenance : Nlle Con
Folio de destination :
Année d’entrée : 1856
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 /1
portes et fenêtres ordinaires : 27 / 22
fenêtres du 3° et au-dessus :
1855, Diminutions – Lauth Philippe Frédéric f° 100, N 358, Maison, revenu 27 en 1855
1856, Augmentations – Lauth Philippe Frédéric veuve f° 100, N 358, Magasin, revenu 109, Nlle Construction, imposable en 1856, imposée en 1856
Cadastre napoléonien, registre 22 f° 334 case 1
Lauth, Philippe Frédéric veuve faubourg de Pierres 10
1860 Wagner Paul Emile, bijoutier
1868 Lamasse Théodore
N 358, maison, sol, Rue de la soupe à l’eau 11
Contenance : 0,48
Revenu total : 109, 25 (109 et 0,25)
Folio de provenance : (100)
Folio de destination : zerstört
Année d’entrée :
Année de sortie : 1871
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 /1
portes et fenêtres ordinaires : 27 / 22
fenêtres du 3° et au-dessus :
1871, Diminutions – Lamasse Théodore f° 334, N 358, revenu 109
Cadastre napoléonien, registre 24 f° 353 case 1
Huber Eugen, Papierhändler
1902 Huber Ludwig Joseph Florentz Eugen, Papierhändler die Erben und Wittwe Luitgarde geb. Schneider
N 199, Hofraum, Haus, Steinstrasse 10
Contenance : 11,26
Revenu total : 1981,86, (1976 et 5,86)
Folio de provenance :
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières : 2
portes et fenêtres ordinaires : 103
fenêtres du 3° et au-dessus : 25
Cadastre allemand, registre 33 p. 738 case 4
Parcelle, section 79, n° 19 – autrefois N 199
Canton : Steinstrasse Hs N° 10 / u. Dreizehnergraben Nr 11
Désignation : Hf, 2 Whs u. N.G.
Contenance : 11,68
Revenu : 10 400 – 11 525 – 14 925
Remarques : 1910 Nb
(Propriétaire), compte 2511
Huber Ludwig Jos. Florenz Eugen, die Erben u. Wittwe
1921 Huber Charles Auguste Etienne, négociant
(2092)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton II, Rue 47 de la Soupe à Leau p. 3
7
lo: Führlin, Valentin
lo: Schwartz, Simon
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Dreizehnergraben (Seite 26)
(Haus Nr.) 11
Magazin Huber
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 816 W 10)
Rue du Fossé-des-Treize, 11 (1871-1993)
Emile Huber cède en 1971 à la Ville une bande de terrain de 3,65 mètres carrés qui dépasse de l’alignement approuvé le 3 mars 1871 avant de reconstruire un bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Il sollicite en 1886 un délai pour ravaler la façade en arguant que les casernes seront démolies l’année suivante puis en 1897 quand le tribunal est en construction. Un incendie détruit une grande partie des magasins et des ateliers en avril 1908. Le fabricant de papier Emile Huber charge l’architecte Charles Stieffel de reconstruire un bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages servant d’imprimerie et de fabrique de sachets (9 mètres de largeur, 26 mètres de profondeur). Les travaux sont terminés en novembre, les machines montées dans les ateliers en mars 1909. Les voisins se plaignent des vibrations, notamment le marchand de machines à coudre Eugène Jaep (n° 9).
La société anonyme Bata transfère en 1931 ses ateliers de réparation de la rue du Faisan au troisième étage du 11, rue du Fossé-des-Treize. Le fabricant de bonneterie Rozen occupe les locaux en 1936.
Le dossier se clôt en 1993. Il n’y a pas de dossier ultérieur qui soit conservé. Le nouveau bâtiment porte la plaque « Blanc – Briot – Cunci – Gomez, architectes, année 2004 ».
Sommaire
- 1871 – Comme les entrepreneurs Lauer et Schlagdenhauffen demandent au nom du propriétaire Huber l’autorisation de reconstruire la maison sise au 11, rue de la Soupe-à-l’Eau et que le terrain dépasse de l’alignement approuvé le 3 mars 1871, le propriétaire cède à la ville une bande de terrain de 3,65 mètres carrés. Le nouveau bâtiment comprend un rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Rapport de l’agent-voyer, plan
- 1873 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier Bedicam soit autorisé au nom du propriétaire Emile Huber (demeurant 10, rue due Faubourg de Pierre) à faire une prise pour environ dix becs au 11, rue de la Soupe-à-l’Eau – Autorisation (5, rue Finkmatt)
- 1886 – Eugène Huber demande un délai pour ravaler la façade du 5, rue Finkmatt parce que les casernes seront démolies l’année suivante et qu’il a l’intention de convertir ses magasins en logements. Le maire n’accorde que quelques mois de délai parce que la façade est sale.
1886 (septembre) – L’entrepreneur Hug (25, rue du Faubourg national) demande l’autorisation de repeindre la façade et de réparer le soubassement – Autorisation – Travaux terminés octobre - 1890 – Le maire notifie Lutgarde Huber de faire ravaler la façade du 5, rue Finkmatt. Le propriétaire objecte que la démolition des casernes a sali la façade ravalée en 1886. Le maire convient qu’il suffit d’ôter la poussière – Travaux terminés, décembre
- 1897 – Le maire notifie Emile Huber de faire ravaler la façade du 11, rue du Fossé-des-Treize – Eugène Huber (10, Faubourg de Pierre) objecte que le ravalement est inutile tant que le tribunal est en construction et que le sol de la rue n’aura pas été rehaussé comme prévu. Le maire accorde un délai jusqu’en juin 1898 – Travaux terminés, juin 1898
- 1906 – Le maire notifie le propriétaire Huber de faire ravaler la façade du 11, rue du Fossé-des-Treize – Travaux terminés, novembre
- 1908 (avril) – Rapport des pompiers après un incendie qui s’est déclaré dans les combles et détruit une grande partie des magasins et des ateliers. La Police du Bâtiment écrit au propriétaire qui devra prendre des mesures pour éviter tout danger
- 1908 (juillet) – L’entrepreneur Hug (25, rue du Faubourg national) demande l’autorisation de poser une clôture de chantier au commissaire de police qui transmet au maire – Autorisation – Prolongation – Travaux terminés, octobre
1908 (novembre) – L’entrepreneur Hug (25, rue du Faubourg national) demande l’autorisation de poser un échafaudage pendant une semaine sur la voie publique au commissaire de police qui transmet au maire – Autorisation – Travaux terminés novembre
1908 (mai) – Emile Huber (fabrique de papier E. Huber fils et Compagnie, 10, rue du Faubourg de Pierre) charge l’architecte Charles Stieffel (38, faubourg de Pierre) de reconstruire les bâtiments incendiés – Autorisation – Dessins, calculs statiques – Description : entrepôt de papier au sous-sol, aux 2° et 3° étages, imprimerie et fabrique de sachets au premier étage. Le bâtiment a une largeur de 9 mètres et une profondeur de 26 mètres. Il est prévu que huit employés travaillent au premier étage – L’inspecteur du travail énumère les prescriptions auxquelles se conformer
1908 (juin) – Autorisation de poser des machines dans la fabrique de papier et l’imprimerie
Juin 1908, l’ancien bâtiment est démoli, le local destiné aux ouvriers est trop petit. Juillet 1908, le rez-de-chaussée est terminé. Septembre 1908, le plafond du premier étage est posé, les ouvriers disposent d’un abri. Les étagères sont en place, janvier 1909. Dossier classé, février 1909
1908 (juillet) – Le voisin Eugène Jaep (n° 9) se plaint du bruit des machines dans l’ancien bâtiment et compte que le nouveau sera construit de manière à éviter les nuisances. Le maire déclare qu’il a fait figurer des clauses particulières dans l’autorisation.
1908 (août) – Les entrepreneurs Th. et Ed. Wagner soumettent les calculs statiques des parties en béton armé (28 pages) – Dessin
Septembre 1908, la plaque en béton armé recouvre le deuxième étage, une partie du mur coupe-feu au troisième étage a seulement 18 centimètres d’épaisseur. L’architecte fat remarquer que le mur s’appuie sur un premier qui a aussi 18 centimètres d’épaisseur.
Octobre 1908, le certificat de réception du gros œuvre ne peut être délivré tant que la preuve de la charge admissible n’aura pas été transmise. Le propriétaire est dispensé de consolider le mur coupe-feu tant que le voisin ne surélève pas son bâtiment. – Les plâtriers travaillent
1909 (janvier) – On monte les machines
1909 (février) – Le propriétaire Huber sollicite la réception finale. Le mur entre la cage d’escalier et la cage d’ascenseur doit monter jusqu’au toit vitré, le propriétaire devra produire un certificat d’évacuation des eaux. L’architecte répond que le mur ne peut plus être surélevé puisque l’ascenseur a été muré. La Police du Bâtiment répond que les fenêtres de la cage d’escalier devront alors être munies de jalousies fixes. – Calcul statique – Croquis du rez-de-chaussée et de l’étage pour montrer les escaliers. Rapport final sur la construction du bâtiment arrière sis 11, rue du Fossé-des-Treize faisant partie du 10, faubourg de Pierre – Dossier classé, mars 1909 - 1909 (juin) – Le peintre Dieuloué Grimm (10, Grande rue des Dentelles) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour peindre la maison. – Autorisation
- 1909 (février) – Emile Huber demande l’autorisation d’installer des machines. Plan, liste des machines à installer dans l’imprimerie. La commission de contrôle énumère les conditions à respecter – Autorisation d’installer des machines. Les extincteurs qui manquaient sont en place, août – Dossier classé, août 1909.
- 1909 (décembre) – Le voisin Eugène Jaep (n° 9) déclare que les vibrations n’ont pas cessé. L’enquête montre qu’une des machines était défectueuse. Une fois réparée, elle n’incommode plus le voisin
- 1911 – Dossier – E. Huber fils et Compagnie demande l’autorisation d’installer de nouvelles machines dans sa fabrique de papier – Autorisation – Conditions transmises par l’inspection du travail – Plan de l’atelier – Description
1912 – Le voisin Jaep adresse une plainte à l’inspection du travail – Copie – Procès verbal par la Police du Bâtiment – L’inspecteur du travail s’excuse de n’avoir pas le temps de traiter l’affaire, avril 1912 – La Police du Bâtiment adresse un courrier à Emile Huber – Emile Huber déclare avoir fait isoler les machines d’après l’avis d’un ingénieur venu de Berlin, Fritz Schmittner. – Emile Huber suspend des tissus contre le mur pour atténuer le bruit (novembre 1912) puis pose des cloisons en bois plâtré (février 1913) sans que le bruit cesse – Le commissaire de police écrit à Eugène Jaep qu’on ne peut plus raisonnablement exiger qu’Emile Huber prenne de nouvelles mesures – Dossier classé, mai 1913. - 1931 (mai) – La société anonyme Bata (1, rue Mercière) transfère ses ateliers de réparation de la rue du Faisan au troisième étage du 11, rue du Fossé-des-Treize – Plan de l’atelier – L’inspecteur du travail n’a pas d’objection – Autorisation d’installer des machines électriques – Les machines sont en place,
1931 – Eugène Jaep se plaint de bruits continuels dans la propriété Huber, louée au fabricant de chaussures Bata. – Visite de l’atelier Bata. Le bruit est moins gênant une fois que plusieurs établis sont déplacés. - 1933 – La Société immobilière du Fossé-des-Treize, propriétaire du n° 11-a, se plaint des bruits provenant de l’atelier Bata. La Police du Bâtiment constate que les bruits sont forts et gênants dans les bureaux de l’architecte Scharf. Un remède serait de transférer les machines dans la partie arrière du bâtiment qui donne dans la cour.
- 1936 – Auguste Jaep se plaint des bruits provenant de la fabrique de bonneterie qui appartient à M. Rozen. L’inspection du travail n’est pas compétente parce que l’atelier n’est pas classé. La Police du Bâtiment renvoie le pétitionnaire au commissaire de police puisque l’arrêté préfectoral du 5 février 1936 stipule que les machines d’établissements non classés ne devront pas incommoder les voisins
- 1941 – L’agent de contrôle constate que des inscriptions se trouvent au-dessus du premier et du deuxième étage. Propriétaire, Huber, 10 rue du Faubourg de Pierre – Les inscriptions sont supprimées, février 1941
- 1952 – L’entreprise de construction Joseph Seybold (rue de l’Anneau à Cronenbourg) est autorisée à poser un échafaudage devant le n° 11-a
- 1962 – Charles Huber est autorisé à poser un échafaudage devant le n° 11
- 1962 – H. Pacherie, président de la Société mutualiste de la sûreté nationale, section locale de la sécurité sociale, demande l’autorisation de poser une enseigne au-dessus du premier étage – Accord – L’enseigne est posée
- 1969 – Le maire demande au propriétaire Charles Huber de faire ravaler la façade. Les héritiers répondent qu’ils vont prendre les mesures nécessaires
1969 (juin) – Les établissements Huber (59, route de Brumath à Schiltigheim) sont autorisés à poser un échafaudage sur la voie publique – Le ravalement est terminé, juillet - 1981 – Avis de changement de débiteur. La taxe pour le puits de descente, due par Charles Huber (59, route de Brumath à Schiltigheim), est mise au compte de la Société civile immobilière Huber frères (12, rue Fritz Kiener)
- 1993 – L’entreprise Grunenwald (3, rue de Barr à Schiltigheim) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique devant le 11, rue du Fossé-des-Treize
Relevé d’actes
Jean Rencher fils de Béat, jardinier au faubourg de Pierre, hypothèque sa maison dont le jardin donne sur le communal (fossé des Treize) au profit des mineurs Heppich
1654 (2. Febr.), Chambre des Contrats, vol. 516 f° 78-v
Erschienen hannß Rench. Beats Sohn Gartner ahne Steinstraß
hatt in gegensein Fr. Susannæ Bernerin im nahmen ihrer iüngern Kind. Annæ Catharinæ und hannß Caspars der Heppisch Geschwisterd. mit beÿstand H Petri Webers Notarÿ, Schaffners deß Blaterhaußes ihr der Muter Vogts, welch. gleichwohl vögtlich. weiße bonâ fide hierin consentirt hatt – schuldig seÿen 50 Pfund (…) Zu dem Ende vorgelühenen Gelt daß Er nicht allein diebolt Schotten umb die ihro in crafft d. am 6. martÿ a° 1648. in d. Cancelleÿ Contractstuben vfferichteter obligation vff nachgemeldter Behaußung schuldige 25. lib bezahlen sondern auch mit den übrig. 25. lib seinen vorhabenden heürath vollziehen möge
dafür in spe. Underpfand sein sollen Eine Behaußung mit allen deren Gebäwen, alhie ahne Steinstraß, einseit neben H Jeremiä Tromerß Kinder, Zum theil, und theilß neben Sebastian Ebingern dem Küeffern, anderseit neben Daniel haasen dem Küeffern Zum theil, theilß neb. H. Martin Andreß König. X3.rn und theilß neb. Georg heüsch. dem Sattlern hind. vffs Allmend stoßend geleg. davon gehend iahrs vff Martini 10. ß 2 ½ der hohen Schulen alhie, Item j Zweÿtheil Feldts im Schiltigheim Bann hin. der gutleuth Maur (…)
Jean Rencher fils de Béat, jardinier au faubourg de Pierre, et sa femme Marie Bœrsch hypothèquent la même maison au profit du notaire Pierre Weber
1656 (21. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 518 f° 244-v
Erschienen Hannß Rencher, Beats Sohn, Gartner ahne Steinstraß undt Maria Börsin, sein Eheliche Haußfrau, Vnd Sie Maria insonderheit mit beÿstand der ehrenvesten Weÿsen Herrn Johann Georg Kürschners, Vndt herrn Jacobs Von Fridolßheim beeder alß auß E.E. Kleinen Rhats mittel hierzu insonderheit Deputirter, ahne statt ihrer nechster Verwanthen
in gegensein herrn Petri Webers Notarÿ Platter haußes Schaffners alß Vogts fr. Susannæ Bernerin*, so Vor dießer Verschreibung hierinn Consentirt – schuldig seÿen 25. lb
Unterpfand sein soll Sein Renchers behaußung mit allen deren gebäwen & alhie ahne Steinstraß einseit neben herrn Jeremiæ Tremers Kindern Zum theil und theilß neben Sebastian Ebingern dem Küffern, anderseit neben Daniel Haaßen dem Küeffern Zum theil theilß neben herrn Martin Andreß Königen X.3.nern und theilß neben Georg Heischen dem Sattlern hinden uf Martini 10. ß 2 ½ d. Hohen Schuelen, Item Ein Zweÿtheil feldts (…)
Fils du jardinier Béat Rencher, Jean Rencher épouse en 1654 Marie Bœrsch, fille de jardinier
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 64-v, n° 7)
1654. Dominica Sexagesima. Hanß Rencher der Gartner, Batt Renchers gewesenen burgers Vnd Gartners alhie hinderlaßener ehelicher Sohn, vnd Jungfr. Maria, Michael Börschen gewesenen burgers Vndt Gartners alhie hinderlaßene eheliche tochter. Copulabantur Mont. d. 6.t Februarÿ Zum JSPeter (i 76)
Jean Rencher vend 30 livres une maison derrière son jardin au marchand de chevaux Philippe Grassmann
1654 (23. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 516 f° 614
(Protocoll. fol. 107.) Erschienen hannß Rencher Gartner ahne Steinstraß mit beÿstand diebolt Hohen deß ältern Gartners alsa
hatt in gegensein Philipß Graßmanns deß Roßkamms, mit beÿstand Abraham Hannß Metzgers deß Metzgers, und Philipp Henrich Nicolai deß Buchtruckhers
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten, Recht. und Gerechtigkeit. in der Vor statt ahne Steinstraß, beÿm Treÿ Zehengraben, einseit neben Georg Heisch dem Sattlern, anderseit neben Martin Ebingern dem küeffern, hinden vff deß verkäuffers Garten stoßend gelegen – umb 30. lib.
Philippe Grassmann a un fils de sa femme Elisabeth Steinmetz en 1657
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 516, n° 78)
1657. Hanß Philippus Graßmann d. Roßteüscher Und Elisabetha Steinmetzin sein uxor, Johannes Carolus baptisabat. Mittw. d. 7. octobris. Patr (…) i 270
Philippe Grassmann vend la maison 50 livres au mousquetaire Jean Jacques Schwendt
1658 (28. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 267
(Prot. fol. 36.) Erschienen Philipß Großmann der Roßkamm
in gegensein hannß Jacob Schwend. deß Musquetierers alhie, vff unserer g. Herren Rhät und XXI. heut dato ertheilte obrigkeitliche Bewilligung
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen in der Vorstatt ane steinstraß beÿm Treÿ Zehengraben, anderseit neb. Georg Haÿschen dem Sattlern, anderseit neben Martin Ebingern dem Küeffern, hind. vff hannß Renchers deß Gartners Garten stoßend geleg. – umb 50 Pfund pfenning
Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la manant Jean Jacques Schwendt à acheter la maison de Philippe Grassmann eu égard qu’il est fils de bourgeois et professe la religion luthérienne
Conseillers et XXI (1 R 141)
(f° 120) Sambstag den 26.ten Junÿ – Hanß Jacob Schwendt Vm Consens
Hanß Jacob Schwendt der Mußquetierer überreicht p. Wildten vnterthäniges bitten vmb permission Philipp Großmann dem Roßhändtler seine behaußung beÿm dreÿ Zehen graben gelegen abzukauffen.
Erk. Soll Zuvorderist bericht eingezogen werden.
Herr XV. Kreß et H. Schneider
(f° 121) Montag d. 28. Junÿ – Hanß Jacob Schwendter
H. XV. Greß vnd H. Schneider referiren daß Hanß Jacob Schwendter der Quardi Knecht ein Haüßlin Zukauffen Vorhabenß Seÿe befohlen word. erkundigung einzuziehen waß es vor eine bewandtnuß mitt seiner persohn, hatt sich gefund. d. Er ein Burgerß Sohn Vnd Vnserer Religion beÿgethan.
Erk. Willfarth Word.
Jean Rencher, jardinier au quartier des Charrons, vend à Jean Jacques Schwendt un jardin derrière sa maison. Le terrain vendu fait 30 pieds sur 32. L’acheteur construira à ses frais une clôture en lattes qui séparera le jardin cédé de celui du vendeur.
1658 (5. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 287-v
Erschienen Hannß Rencher Gartner Vnderwagner
in gegensein Hannß Jacob Schwenden Musquetierers alhie
einen theil Von sein Renchers Garten, hinder sein deß Käuffers alhie in der Vor Statt ahne Steinstraßen beÿm Treÿzehen Graben gelegenen Behaußung, welcher hiernechst abgemeßen Vnd seine maß Zum protocoll angegeben werden solle – umb 8 lb.
[in margine :] Erschienen hieringemelte Verkäuffer und Käuffer Zeigten an, daß der Verkauffte platz 30. schuh in die länge, Vndt 32. schuh in die breite begreifen Zumahlen solcher Platz in sein deß Käuffers Costen mit einer dielen Wand Von deß Verkäuffers übrigen hoff theil abgesondert und selbig. dielen wand durch Ihne den Käuffern, seine Erben undt Nachkommen erhalten werden solle, Act. d. 30. Julÿ A° 1658.
Ancien caporal devenu pensionnaire à l’hôpital, Jean Jacques Schwendt assisté de ses enfants vend la maison 75 livres au marchand épicier Jean Melchior Ziegler
1687 (3.7.), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 376
hans Jacob Schwend, gewesener Corporal und ietzmahliger Pfründer in dem Mehrern Hospital allhier, Philipß Schwend der leinenweber und Schirms Verwanthe, Anna Maria Schwendin, Andres Hausers deß Kieffers und Burgers zu Collmar eheliche Haußfrau, ferner Anna Catharina Schwendin, noch ledigen stands, und Sie alle auch von wegen hans Carl Schwenden, deß ledig. Schuhmachers ihres respect. leiblichen sohns und bruders wegen deßen Sie de rato & grato cavierten
in gegensein H. Joh: Melchior Zieglers, deß Specirierers, bekanten daß Er hans Jacob Schwend alß Vatter und Sie Philipß, Anna Maria und Anna Catharina deßen Sohn und töchtere alle für sich selbsten
Hauß und hoffstatt sambt einen hind. daran gelegenen Gärttlein, auch allen deren gebäuen begriffen rechten Zugehördten und gerechtigkeit. allhier in der Vorstatt an steinstraßen beÿ alten dreÿ Zehen graben, einseit neben Johann Georg Zittelin dem Krempen, anderseit neben H. Johann Gumbrecht dreÿern deß Umbgelds hinden auff (-) deß Garttners Garten stoßend gelegen – umb 75 pfund
Jean Melchior Ziegler épouse vers 1645 Anne Ruff dont il a un fils (voir l’inventaire après décès). Il se remarie en 1653 avec Sara Breuning, fille de boulanger, puis en 1660 avec Anne Zill, fille d’un tonnelier d’Offwiller dans le comté de Hanau.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 59, n° 10)
1653. Dominica eâdem [IV. post Epiphanias] Hans Melchior Ziegler der Krämer vnd burger alhie vndt Jungfr. Sara Michael Breünings gewesenen burgers vndt Weißbecken alhier hinderlaßene eheliche tochter. Wurd. Copulirt Eodem die zum JSPeter (i 70)
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 109-v n° 22)
1660. Dominicâ Exaudi. Hanß Melchior Ziegler der Wurtz Krämer undt burger alhie und Jungfr. Anna Thomæ Ziller gewesenen burgers und Kiefer Zu Offweÿler Hanauischer Herrschafft hinderlaßene eheliche tochter. Copul: Dienst. 12. Junÿ zum JSPeter (i 121)
Le revendeur Jean Melchior Ziegler demande aux Quinze le droit de vendre des épices. Ils refusent après avoir consulté le règlement sur la vente des épices du 16 mars 1639.
1649, Protocole des Quinze (2 R 68)
(f° 147-v) Samsbt. den 21. Julÿ – Hanß Melchior Ziegler vmb Wurtzhandell
Hanß Melchior Ziegler Meßer Crämer erschien dt per Pul. Suppl. begert daß Er neben ange(re)gtem seinen Kraam, auch gewürtz feil haben dorffe, gleich seinen Altern seelig Zuthun erlaubt gewesen seÿ von E. E. Spiegler Zunfft deßwegen hieher gewÿsen. Erkandt Soll der Art. vffgeschlagen werden, ob würdt mög. willfahrt w.den.
(f° 153-v) Donnerst. den 26. Julÿ – Hanß Melchior Ziegler weg. Wurtzhandells
Ward ex fol: 147. reassumirt, waß Hanß Melchior Ziegler der Krämer und burger allhier wegen treibens deß wurtzhandells gesucht vnd gebetten, weÿlen aber der am 16.t Martÿ a° 1639 der wurtzhandlung halben publicirte Articul seinen begeren zu wid. wie vnd deßelben beschehener ableßung v.nommen worden, Allß ist erkandt, vndt Ihme Zieglern den Wurtzhandell Zutreiben hiemit abgeleint
(Publ. d. 4. Aug. 1649.)
Jean Melchior Ziegler meurt en 1688 en délaissant de son premier mariage avec Anne Ruff deux fils dont un a disparu et de son deuxième mariage trois enfants. La succession comprend plusieurs maisons au Faubourg de Pierre. Les experts estiment la maison au Fossé des Treize 87 livres. La masse propre à la veuve s’élève à 331 livres, celle des héritiers à 400 livres. L’actif de la communauté s’élève à 7 612 livres et le passif à 636 livres.
1688 (25. 8.br), Not. Winckler (Elie, 61 Not 10) n° [33]
Inventarium über Weÿland deß Ehrenvest und Vorgeachten Herrn Johann Melchior Zieglers deß Ältern Specerirers handelsmanns und burgers Zu Straßburg seel. Verlaßenschafft – nach seinem Mitwochs den Ersten Monats tag Septembris lauffenden 1688. Jahrs aus dießem mühesamen traur und kummervollen Leben genommenen tödlichen hintrit hinderlaßen, Welches alles auf gebührendes ansuchen und begehren deßen hinterlaßen: und ane nächst volgenden blat beschrieben, so wohl ab intestato als per Testamentum instituirter Erben ersucht, durch die viel Ehr und tugendsamen Annam Zillin die wüttib beÿständlich deß Ehrenachtbaren Herrn Johann Jacob Binders, Küffers und Weinhändlers auch burgers alhier Zu gerührten Straßburg Ihres geordnet und geschwornen Curatoris und vogts – Actum Straßburg, Montags den 25. Monats tag Octobris Anno 1688.
Der abgeleibte Herr Seelig hat so wohl ab intestato als per Testamentum Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. Herr Johann Jacob Zieglern, Speceriren handelsmann und burger, alhie Zu Straßburg, deß verstorbenen Herrn seelig mit weÿland fraun Annæ Ruffin seiner Ersten Ehewürthin seel. ehelich erzeügten Sohn, welche der Inventation in Person beÿgewohnt. 2. Ferner Herrn Johann Melchior Ziegler, den Jüngern ebenmäßigen Speceriren handelsmann und burgern Zu gerührten Straßburg, welcher ebenmäßig Persönlich zugegen war. 3. die Ehren und tugendsame fraw Annam Catharinam Zieglerin, deß Ehrengeachten herrn David Kleinen, huffschmidts und burgers alhie Ehegattin, welche beiständlich gerührts Ihres Ehevogts gegenwärtige Inventation Persönlich beÿgewohnt, Und dann Johann Michael Bindtenschuh weÿland der Ehren und Tugendsamen frawen Mariæ Saræ Zieglerin mit dem Ehrenhafften Meister Michael Bindtenschuh, Zimmermann und burgern alhie Zu Straßburg ehelich erzeugten Sohn, deßen geschwornen Vogt, deßen geschworner Vogt obernanter herr Johann Jacob Ziegler deßen geschworner Theÿlvogt aber erstgerührter Michael Bindtenschuh sein leiblicher Vatter, welcher der Inventation ebenmäßig persönlich abgewartet, dieße dreÿ letztere, deß tödlich verblichenen herrn seelig mit weÿland frawen Saræ Bräuningin seiner Zweÿten Ehegattin seeligen Ehelich erzeugten Sohn und Zwo döchter, Alle vier aber, deß seelig verstorbenen herrn seel. auß Erst: und anderer Ehe erzeugte respective annoch Lebende Söhne, dochter und verstorbenen dochter sohn und so wol ab intestato als per Testamentum instituirte Erben.
Nota. Hiebeÿ ist aus Zuvernehmen, daß herr Jacob Ruff der Seÿler und burger alhie beÿ gegenwärtiger Inventation Erschienen und Zuverstehen gegeben, welcher gestalt aber tödlich verblichene herr Johann Melchior Ziegler in Erster Ehe mit weÿland frauen Annæ Ruffin noch einen Sohn Nahmen Johann Zieglern erzeüget, welcher vor vielen Jahren sich in die frembde begeben, auch vor geraumer Zeit Nachricht eingeloffen, daß derselbe verstorben und nicht mehr beÿ Leben seÿe, Weilen Er aber annoch deßen unentledigte vogt, habe Er beÿ gegenwärtiger Inventation erschienen (…)
In hernach eingetragen, in der Statt Straßburg Vorstatt Steinstraßen und der gelegenen und den erben für unverändert gehörig. behaußung befunden worden wie volgt
Höltzen und Schreinerwerck. vff d. obern bühn, auff dem obern fruchtkasten, in d. Cammer A, In der Cammer B, In d. Cammer C, Vor dießen Gemach, Im Soldaten Stübel, In der Cammer D, In der Camm. E, Im haußöhren vor deßen Gemach. Inn der untern hindern stuben, In d. Kuch. Im Gad. stübl., Im hind. hauß
Im Hindern stock. In der Cammer F, In der Cammer G, auff dem obern gang, In d. Cammmer H, auff dem Gang, In der stübl. auff dem hind. gang, Auff dem Speich.
Eigenthumb ane Häußern. (E.) Item hauß, hoff, hoffstatt, Neü aber doch nicht völlig ausgebawtes hinderhauß, sampt allen deren gebäuwen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörd. und gerechtigkeiten, gelegen in der Statt Straßburg vorstatt ane Steinstraßen einseit ist ein Eck ane der heimburger oder bergherren gaß (…)
(T.) Item hauß und hoffstatt, sampt einem hindern daran gelegenenn gärttell, auch allen deren gebäuen, begriffen, rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen in der Statt Straßburg vorstatt ane Steinstraßen beÿ dem alten dreÿ Zehen Graben, ein seith neben Johann Georg Zitteleins deß Gremppen seel. Erben, Anderseith neben Herrn hans Martin Bitschen dem Müntzmeistern, hinden auff Andres Vixen deß Garttners alhie Garten stoßend, so freÿ ledig eigen,
(und durch obermelte Werckleüte in Anno 1688. angeschlagen per 87 lb 10 ß. Was der Erben Vatter seel. dieße behaußung und Gärtt. ane sich erkaufft, weißet j. perg. Kauffbrieff mit offterwehntem Contract Insigel bekräfftiget datirt den 7. Julii Anno 1687. Ferner j. Pergamentener Kauffbrieff mit Gerührtem Insiegel verwahrt, datirt den 25. Julii Anno 1658. Über daß Gärtt. in specie aber ist vorhand. j. pappier Extractus aus alhießiger Cancelleÿ Contractstuben dedato den 5. & 30. Julii Anno 1658. alles mit N° 3 bemerckt.
Item j behaußung, hoff, hoffstatt samt allen deren Gebäuwen in der St. St. Vorstatt ane Steinstraßen (…)
Item hauß, hoffstatt, höfflein und Gemeinschafft eines bronnen in der St. Str. vorstatt ane der Reiffgaß (…)
Item eine behaußung sampt j. Nebens und hinderhauß ane der Bicker gaßen (…)
(f° 41) Ergäntzung der Frau Wittib unveränderten guths, durch weÿl. Herrn Nicolaum Reeben dem Notarium seel. de, 29. Augusti Anno 1660 auffgerichtetem Inventario
Ergäntzung der Erben unverändert: Vermög Inventarÿ über weÿland Frauen Saræ Breunigin deß verstorbenen Zweÿter haußwürthin seel. Verlaßenschafft durch obernannten herrn Notarium Nicolaum Reben den 27. Februarÿ Anno 1660. auffgerichtet
Unvergreifflicher Summarischer Extractus. Der Fraw wüttib unverändert, Haußraths 32, Silbergeschmeid 13, Guldin Ring 10, Baarschafft 33, Pfenningzinß hauptgüter 42, Schuld 37, Ergäntzung 162, Summarum 331 lb
Der Erben unverändert Nahrung, haußrath 12, faß 1, behaußung 375, Ergäntzungs Rest 49, Summa summarum 438 – Schuld 37, Nach deren Abzug 400 lb
Theÿlbahr gut, haußrath 299, Silbergeschmeid 46, Guldin Ring 8, Wein, Brandenwein, Eßig und faß 1370, baarschafft 62, Früchten 268, häußer 1860, Wahren dem Einkauff nach 1171, Pfenningzinß hauptgüter 1399, Schulden 462, Schiff und geschirr 39, Summa summarum 7612 lb – Schulden 636 lb, Nach deren Abzug 6875
Conclusio 7596 lb – Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüter hauptgütter 121 lb, Summa der Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden 729 lb
Sa veuve Anne Zill meurt en 1692 en délaissant des héritiers testamentaires. La description des maisons est la même qu’à l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 10 464 livres, le passif à 238 livres.
1692 (28.3.), Not. Winckler (Elie, 61 Not 12) n° 4
Inventarium über Weÿland der Ehren und Tugendsamen Frawen Annæ Zieglerin gebohrner Zillin auch weÿland Herren Johann Melchior Zieglers deß ältern Specerirers handelsmanns vnd burgers alhie zu Straßburg hinderlaßene Wütib seel Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1692 – nach ihrem Montags den 17. dießes lauffenden Monats Martÿ aus dießem mühesamen trew: und Kummervollen Leben genommenen tödlichen hintritt hinderlaßen. Welches alles auf gebührendes, erfordern und begehren Ihro der verstorbenen frawen seligen in hernach inserirten Testamento nuncupativo instituirt Erben, benantlichen deß Ersam und bescheidenen Georg Rammen burgers Zu Schwindratzheim für einen, ferner deß auch Ersam und bescheidenen Hans Mertzweilers, Ohlmanns und Burgers Zu Waltenheim als Ehevogts Annæ Rammin für den Andern, So dann der gleichfalls Ersame Johannes Ramm Küffer ietzmahlen Zu Weitbruch wonhafft im Namen seiner Kinder für den dritten und Letzten Stammtheil, anfänglich hernachmahls abe auch deß Edel Ehrenvest und hochgelehrten herrn Johann Martin Dautels J. U. Ddi et Practici und burgers alhier Zu Straßburg, als krafft hernach einverleibter vollmacht, obehrengerührts herrn Johann Melchior Zieglers hinterbliebenen Söhn und döchter, oder vielmehr dero respective und geschwornen, theÿlvogt der Verstorbenen, frawen Stieffkinder, welche hiebevor von derselben in einem den 15. Septembris Anno 1681 beneben gedachtem Ihrem haußwürth seeligen auffgerichteten Testamento nuncupativo Zu Erben benambßet worden, und dahero daßelbe als ein Testamentum reciprocum ansehen und darvor halten wollen, daß Sie solches nicht mehr Zu ändern befugt geweßen:/ Constituirten Mandatarÿ ersucht durch herrn Johann Jacob Binder, Küffern und burgers alhier der verstorbenen frawen seeligen geweßenen vogten deßgleichen Johann Reinhard Rögner, dem diener und Annam Mariam Ottin die deinstmagd (…)
Angefangen in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg, in beÿ: und gegensein der Edel Ehrenvest, fürsichtig und wohlweißen Herren Jonæ Störren E. E. Großen Rahts alten und E. E. Kleinen Rahts ane statt zines Constoffler ietzigen assessoris, deßgleichen Herrn Christoph Spielmanns wohlgedachten E. E. Kleinen Rahts ietzigen beÿsitzer, und aus deßen Mittel ex officio hierzu deputirter herren, wie auch herrn Johann Kasten beÿ Ehrengesagten Kleinen Raht wohlverordneteen Actuarÿ, Freÿtags den 28. Monaths tag Martÿ 1692. vollendet aber so viel die Inventation betrifft den 4. Februarÿ Anno 1693.
Copia Testamentum nuncupativi – Copia der verstorbenen Nach Disposition – Publicatio
In hernach eingetragen, in der Statt Straßburg Vorstatt Steinstraßen und der Bergherrren oder Heimburger gaß. gelegenen behaußung befunden worden wie volgt
Höltzen und Schreinerwerck. Cammer A, Cammer B, Cammer C, Cammer D, Vor dießen Cammern, Soldaten stub, Inn der untern stuben, Im Gaden
Im Hindern stock. Ober bühn, Utt der Trückeneÿ, Inn der hinder Wahr Cammer, Uffm undern gang ; Im undern Gang stübel, Inn der untern Kuchen, Im untern haußöhren, Im Hoff, Inn der Eßig Cammer
Sa. haußraths 483,Sa. Früchten 670, Sa. Weins und Faß wie auch Eßig und brandtenweins 1622, Sa. baarschafft 2606, Sa. Silber geschirrs 91, Sa. guldiner Ring 43
Eigenthumb ane Häußern. Item hauß, hoff, hoffstatt, Neü aber doch nicht völlig ausgebawtes hinderhauß, sampt allen deren gebäuwen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörd. und gerechtigkeiten, gelegen in der Statt Straßburg vorstatt ane Steinstraßen einseit ist ein Eck ane der heimburger oder bergherrren gaß (…)
beÿ weÿl. herr, Joh: Melchior Zieglers deß ältern der Erben seel. Vatters Verlaßenschafft den 3. 9.bris Anno 1688. æstimirt und angeschlagen p. 775. lb
Item hauß und hoffstatt, sampt j. hind. daran gelegenen Gärth. auch allen deren Gebäuen, begriffen, rechten, Zugehörd. und Gerechtigkeiten, gelegen in der St. St. vorstatt ane Steinstraßen beÿ dem alten dreÿ Zehen Graben, einseit neben Joh: Georg Zitteleins deß Grempen seel. Erben, anderseit neben H. hans Martin Bitschen dem Müntzmeister, hinden vff Andres Vixen Garten stoßend, so freÿ ledig eigen und durch obermelte Werckleüte in Anno 1688. angeschlagen per 87 lb 10 ß. Was der Erben Vatter seel. dieße behaußung und Gärtt. ane sich erkaufft, weißet j. perg. Kauffbrieff mit offterwehntem Contract Insigel bekräfftiget datirt den 7. Julii Anno 1687. Ferner j. Pergamentener Kauffbrieff mit Gerührtem Insiegel verwahrt, datirt den 25. Julii Anno 1658. Über daß Gärtt. in specie aber ist vorhand. j. pappier Extractus aus alhießiger Cancelleÿ Contractstuben dedato den 5. & 30. Julii Anno 1658. alles mit N° 3 bemerckt.
Item j behaußung, hoff, hoffstatt samt allen deren Gebäuwen in der St. St. Vorstatt ane Steinstraßen (…)
Item hauß, hoffstatt, höfflein und Gemeinschafft eines bronnen in der St. Str. vorstatt ane der Reiffgaß (…)
Item eine behaußung sampt j. Nebens und hinderhauß ane der Bicker gaßen (…)
Sa. Eigenthumb sane häußer, 2197, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1094, Sa. Wahren 1030, Sa. Schiff und geschirr Zum Specereÿ handel gehörig 68, Sa. Sa. 555, Sa. Zweiffelhaffte und verlohrenen Schulden, Summa summarum 10.464 lb – Schulden 238, Restirede Verlaßenschafft 10.225 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 11.949 lb
Copia Testamenti (…) So geschehen den 17. Novembris Anno 1690
Les héritiers Ziegler vendent la petite maison 140 livres au jardinier André Vix
1693 (11. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 618
H. Johann Jacob und H. Johann Melchior die Zieglere, Gebrüder, und beeder Specierirer für sich selbsten, David Klein, der Hueffschmid, alß Ehevogt Catharinæ gebohrner Zieglerin, So dann Michael Bindenschuh, der Zimmermann, alß theil Vogt seines mit weil. Maria Sara Zieglerin ehelich erzielt und nachgelaßenen Söhnleins, deßen vogt obged. H. Johann Jacob Ziegler ist
Andres Vixen, Garttners an Steinstraß
Ein haüßelin und Gärttlein, sambt allen deren Gebäuen recht. und zugehördt. allhier in der vorstatt an Steinstraß am alßo genandt dreÿ Zehen Graben, einseit neben H. M. Johann Michael Rebhan, E:E: kleinen Raths alt. beÿsitzer, anderseit neben Philipß Zittelin dem haußfeurer, hind. auff den Kaüffer selbsten stoßend geleg. – umb 140 pfund
Fils de salpêtrier, André Vix épouse en 1686 Marie Schell veuve du jardinier Jean Mœtschel : contrat de mariage, célébration
1686 (9.3.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 51) n° 73
Eheberedung – zwischen dem Ehrbaren Andreæ Vixen, Ledigen Garttner, deß Ehren: vnd Vorgeachte Hannß Vixenn Salpetersieders vnd burgers alhier Zu Straßburg ehelichem Sohn, als hochzeiter an einem
So dann der Ehren und Tugendreichen Frawen Mariæ gebohrner Schellin Weÿl. deß Ehrsamen Hannß Mötschels Geweßenen Garttners Ane Steinstraß vnd burgers alhier Zu Straßburg nunmehr seeligen nachgelaßener Wittib als der hochzeiterin Am andern theil
Sambstags den Neünten Martÿ St: N: Anno 1686
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. 203-v)
1686. Andreas Fix der ledige gartner, hans Fixen deß burgers und Salpeter siters alhie ehl. Sohn v. Fr. Maria hans Metschell burgers vnd gartners alhie hinterlaßene wittib. Majus 13. (i 205)
Fille de Jean Schell et veuve de Michel von Triembach, Marie Schell a épousé le jardinier Jean Mœtschel en 1682
1682 (22.8.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 51) n° 50
Eheberedung – zwischen dem Ehrenhafften Hannß Mötscheln, Garttnern ane Steinstraß, als hochzeitern, ane einem,
So dann der Ehren und Tugendsamen Mariæ Schellin weÿl. Michael von Triembach, geweßenen Garttners in Steinstraß vnd burgers alhier nachgelaßener Wittib, als hochzeitterin am andern theil
Zum Fünfften die Wÿdumb belangendt so hat erwehnter hochzeiter Ihro hochzeiterin Zu einem lebtägig wÿdumb bestimbt eine Eÿgenthümbliche in der Vorstatt Steinstraß Gegen dem Weißen Haanen hinüber Gegelege Behausung (…)
Actum Straßburg Vff der Gartter Zunfftstub in Steinstraß, Sambstags den 22. Aug. st: N. A° 1682. [unterzeichnet] hanß Mötschel als hoch Zeiter, Andres huk Alß schwager, Ich Hanß schell Alß Vatter, Hanß hoh alß Vogt vnd schwager
André Vix et Marie Schell vendent en 1705 la maisonnette à Aurélie Dannenberger née Schell
1705 (3. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 793
(200) Andres Vix Gartner ahn Steinstraß u. Anna Maria geb. Schellin [unterzeichnet] AV, +
in gegensein Aureliæ Dannenbergerin wittib geb. Schellin beÿständlich Michel Walters G. ahn Steinstraß dero vogts (si +)
ein Haüßlein, doch ohn d. Gärtlein u. durchgang, mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. Gerechtigkeit allhier ahn der Steinstraß ahm XIII.en Graben einseit neben denen Rothanischen E.E. anderseit neben Philipp Zittelin Haußfeurern hinten auf die Verkäufere stoßend gelegen – umb 200 pfund
Le charron Jean Georges Dannenberger épouse en 1682 Aurélie Schell, fille du jardinier Jean Schell
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 298-v)
1682. Festo Paschali 29. Martÿ Styli Novi. Joh: Georg Dannenberger d. Wagner Martin Dannenbergers deß burgers V Wagners alhie ehl. Sohn v. Jfr. Aurelia, hrn. Johann Schellen deß burg.ers V. gartners auch brn E. E. großen rath beÿsitzers ehl. tochter. Copul. Donnerst. 19. Aprilis Styli Novi (i 313)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux de la femme s’élèvent à 134 livres
1682 (25. 7.br), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 4) n° 22
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab vnd Nahrung, so der Ehrengeachte Hannß Georg Dannenberger, Wagner vnd burger alhier Zue Straßburg zu der Ehren vnd Tugendsamen Frawen Aureliæ Schellin und dahiengegen Sie Fraw Aurelia Zu Ihme dannenbergern Ihrem Geliebten haußwürth Vor Unverändert in den Ehestand zugebracht, welche dieselbe der Ursach halben, damit mann künfftiger Zeit der Ergäntzung halben sich darnach Zu richten haben möchte, vorgenommen vnd ersucht, in beÿsein Herrn hannß Schellen Garttners Ane Steinstraß vnd E. E. Großen Raths Alten beÿsitzers v. H. Martin Dannenbergers deß Wagners beeder burgere alhie Als Ihr beÿder Eheleuth Geliebter Vättere, vnd erbettener assistenten – Actum Sambstags den 25.ten 7.bris A° 1682.
In einer alhier in der Vorstatt Steinstraß gelegener vnd in dieße Nahrungen nicht gehörig. behausung befunden worden wie volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns unverändert Gutt, Sa. haußraths 35, Sa. Werckzeugs o, Sa. Baarschafft 37, Summa summarum (-)
Der Frawen unverändert Nahrung, Sa. haußraths 68, Sa. Silbergeschmeids 8, Sa. Guldener Ring 6, Sa. baarschafft 51, Summa summarum 134 lb
Jean Georges Dannenberger devient tributaire chez les charpentiers à la place de son père Martin
1682, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 30)
(f° 7) Montags den 25. Maÿ 1682 – Neuzünfftiger
Hannß Georg Dannenberger der wagner, Meÿster Martin Dannenbergers, wagners vnd burgers alhier Ehelicher Sohn, empfangt seines vatters Zunfftrecht vmb die gewohnliche gebüer, die er gleich erlegt mit j lb 18 ß 6 d Juravit.
Jean Georges Dannenberger meurt en 1693 en délaissant quatre enfants. L’inventaire est dressé dans sa maison au Faubourg de Pierre. La masse propre à la veuve est de 91 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 53 livres, le passif à 138 livres.
1693 (19. Xbr), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 18) n° 25
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen haab v. Nahrung, so Weÿl. der Ehrenhaffte Hannß Georg Dannenberger, gewesener Wagner vnd burger alhier zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 15.ten 9.bris Jüngsthien aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern vnd begehren, des Ehrengeachten Martin Dannenbergers, Wagners vnd burgers alhie Zu Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts Margarethæ, Hanß Georgen, Hannß Philipßen, vnd Hannß Jacobs aller Vier deß abgeleibten seligen mit hernachgemelter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugte Kinder, vnd Zu Vier Gleichen portionen Und antheilen ab intestato nachgelaßene rechtsmäßige Erben, vorgenommen ersucht vnd Invenirt, durch die Ehren: vnd tugendsame Fr. Aureliam Dannenbergerin gebohrne Schllin die hinderpliebene Wittib mit assistentz deß Ehrenachtbahren Michel Walters Garthers ane Steinstraß, burgers alier Ihres geschwornen Vogts – Actum in fernerem beÿsein S: T: herrn hannß Schellen deß ältern E. E. Großen Raths alten beÿsitzers, als d. Wittib So dan herrn Martin Dannenbergers deß ältern Als des Verstorbenen seelig. Vattern, Sambstags d. 19 Xbris Anno 1693.
Copia Heuraths Verschreibung
In einer Zu Straßburg in der Vorstatt Steinstraß gelegener Vnd in dieße Verlaßenschafft gehöriger behaußung befunden worden, wie Volgt. In der Cammer A, In der Cammer B, Vor dießen Cammern, In der Wohnwtub, In der Kuchen
Eÿgenthumb ane einer behaußung. Item Eine Behausung hoffstatt höffein Stall in der Vorsatt Steinstraß (…)
Ergäntzung der Wittib ermanglenden unveränderten Gut, (…) den 23. 7.br A° 1682. durch mich Notarium
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unverändert Vermögen, Sa. haußraths 11, Sa. Silbergeschmeids 3, Sa. Guldener Ring 3, Sa. Ergäntzung 71, Summa summarum 91 lb
Der Erben unverändert und die Theilbare Nahrung, Sa. haußraths 22, Sa. Werckzeugs, holtz vnd gemachte Arbeit Zum Wagner handwerck gehörig 5, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 25, Summa summarum 53 lb – Schulden 138 lb, Übertreffen also die Passiv: Schulden Vorherbeschriebene der Erben unverändert v. Theilbare Verlaßenschafft dem Anschag nach umb 85 lb
Summa finalis Inventarÿ 5 lb
Aurélie Schell hypothèque la maison au profit de ses enfants
1709 (4.11.), Chambre des Contrats, vol. 582 f° 623-v
Aurelia Dannenbergerin wittib geb. Schellin beÿständlich Michel Walters G. ahn St: ihres curatoris
Martin Dannenbergers wagners alß vogts ihrer KK – 15 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert: in der wasersupp gass, einseit neben der Rebhanischer frn: wittib anderseit neben Barbara v. Hipßen gelegen
Les Conseillers et les Vingt-et-Un donnent en février 1713 leur accord pour que les administrateurs de l’hôpital acceptent Aurélie veuve Dannenberger comme pensionnaire
1713, Conseillers et XXI (1 R 196)
Aurelia Dannenbergerin vmb auffnahm in den Spittahl. 38.
(p. 38) Sambstags den 25.ten Februarÿ 1713.
G. Ersch. nôe Aureliæ, weÿl. hannß Geörg Dannenbergers des geweßenen burg. vndt Wagners allhier nachgelaßene Wittibin dero Vogt Michel Walth. prod. schrifft. ahne statt mündlich recesses mit angehenckten bitten receptione in allhießigen hospital.
Erk. wirdt jmploranten Curator denen herren Pflegern des mehrern Hospitals Zur auffnahm recommendirt, Hr. XV. Elwer vnd Herr Rathherr Weßner
Aurélie Schell meurt quelques semaines plus tard en délaissant trois enfants. La maison est portée à l’inventaire à son prix d’achat, soit 150 livres. L’actif de la succession s’élève à 164 livres, le passif à 16 livres
1713 (6.5.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 36) n° 13
Inventarium über Weÿl. der Tugendsamen Frawen Aureliæ Dannenbergerin, Gebohrner Schellin Auch Weÿl. Mr Hanß Georg Dannenbergers, Geweßenen Wagners v. burgers zu Straßburg nunmehr beeder seel. nachgelaßener Wittib Verlaßenschafft Anno 1713. – Geweßene Pfründerin in Alhiesigem Hospital nach Ihrem den i. hujus aus dießer welt genommenen Tödlichen Ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auff erfordern Wohlgedachten Hospitals vorgenommen, ersucht v. inventirt durch Margaretham, Hanß Philipp vnd Hanß Jacob die Dannenberger, alle dreÿ der Verstorbenenn seel. Sohn vnd dochter, mit hülff Mr Martin Dannenbergers deß Wagners v. burgers alhier Ihres Geschwornen Vogts – Actum in fernerer præsenz Michel Walters G. ane St Str vnd burgers Alhier der Frawen seel. geweßenen Vogts Sambstags den 6. Maÿ A° 1713.
In einer alhie Zu Straßb. am alten dreÿ Zehen Graben Gelegenen v. in dieße Verlaßenschafft gehöriger behaußung befund. worden wie volgt.
Eigenthumb an einer behaußung. Item Hauß vnd hoffestatt, mit allen dero Gebäuwen, begriffen, weithen, Zugehörden v. gerechtigkeiten Gelegen alhie in der St. St. Vorstattt Steinstraß ane dem Alten dreÿ Zehen Graben Oder der Waßersupp gaß, einseith neben Daniel Baschen Wittib, 2.seith neben der Rothanischen wittib, hinden auff Andres Vixen Gartten stoßend Welche behaußung Annoch verhafftet umb 50 fl. Salome weÿl. Johann Carl Becken geweßenen Cantoris in der newen Kirch seel. wittib sonst eigen und über dieße beschwerdt wie solche bereiths verkaufft, angeschlagen umb 150 lb. Darüber sagt i. perg. Kbr. mit d. St. St. angehenckten Insigel Verw. datirt den 3. 8.br A° 1705. dabeÿ i. älterer perg. Kbr. und wohlged. Ins. deß datum den 11. 7.br A° 1693. beede mit N° 1 notirt.
Sa. Haußraths 13, Sa. Silbers 15 ß, Sa. Eigenthumbs an einer behaußung 150, Summa summarum 164 lb – Passiva 162 lb, Nach deren Abzug 2 lb
Les héritiers Dannenberger vendent la maison 175 livres au cordonnier Jean Cladé
1713 (29.5.), Chambre des Contrats, vol. 586 f° 327-v
(175) Marg: Dannenbergerin majorennis und unbevögtigt, Item hanß Philipp Dannenberger schuem: und Jacob Dannenberger tabacm: beÿständlich Martin Dannenbergers wagners und Michael Walter G. ahn St.
in gegensein Joh: Cladi schuemachers
eine behaußung auf der Wasersub gass, einseit neben der Rebhanische frauen Wittib anderseit neben Daniel Basch hinten auf andres Vix stoßend, mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten – um 175 pfund
Fils de Henri Cladé originaire de Sainte-Marie-aux-Mines, le réformé Jean Cladé épouse en mai 1707 Anne Eve Singer, originaire de Leuzigen au canton de Berne
Mariage (réformés, 123-v)
1707. den 8. dito [Maji] seind eingesegnet worden Johannes Clade, weÿl. Heinrich Clade von Markirch nachgel. ehel. Sohn ein Schumacher, Jgfr. Anna Eva Singeriin weÿl. Benedict Singers von Leützigen Bernergebiets nachgel. ehel. Tochter (i 134)
Jean Cladé et Anne Eve Singer deviennent bourgeois en juillet 1707
1707, 3° Livre de bourgeoisie p. 1265
Johann Cladi d. schuemacher V. hier, Weÿl. Johann Cladi gew: Consigne allher hint. sohn, V. sein Fr: Anna Eva Singerin, auch V. hier, erkauffen d. burgerrecht p. 2. Gold fl. 16. ß, wird beÿ E.E. Zunfft der schuemacher dienen. Jur. d. 18. Julÿ 1707.
Jean Cladé meurt en 1735 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans sa maison à la Krutenau. L’actif de la succession s’élève à 395 livres, le passif à 75 livres.
1735 (23.3.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 66)
Inventarium und beschreibung aller Haab und Nahrung, so weÿland der Ehrsam und bescheidene Johannes Clade, geweßener Grempp und burger alhier Zu Straßburg, nach seinem den 28. Decembris Nechst verstrichenen 1734.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf erfordern und begehren des Ehrenvesten Herrn Johann Michael Langen Præceptoris Domestici und burgers alhier, Zuvorderist alß erbettenen beÿstandts Mariæ Agnetæ Cladein der ältisten dochter, so bereits 27 Jahr alt und Majorennis, So dann als geschwornen Vogts Annæ Catharinæ und Johann Daniel Clade so noch Minorennes, als des Verstorbenen seel. mit obgedachter seiner hinderbliebenen wittib ehelich erzeugter Kinder vnd ab intestato verlaßene Erben ersucht durch sie Ehren vnd tugendsame Fraw Annam Evam Cladein, gebohrne Sengerin die hinderlaßene Wittib, mit assistentz des Ehrenhafften H. Gerhard Sommers Küeffers und burgers alhie, alß ane Vogts statt erbettenen Assistenten – So beschehen in Straßburg, Mitwochs den 23. Martÿ anno 1735.
Bericht ane statt der Eheberedung. Deßwegen ist Zu wißen, daß beede eingangs gemelte Eheleüte nach deme sie sich mit einander verlobet Keine Eheberedung auffgerichtet, weilen Sie der Wittib anzeig nach beederseits wenig Zusammen gebracht, und dahero vor ohnnöthig erachtet, dergleichen vorzunehmen (…)
In einer alhie Zu Straßburg in der Krautenau im Höllgäßel gelegener vnd in dieße Verlaßenschafft gehörige behaußung ist befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane Häußern und einem Lädlein. Item Hauß vnd Hoffstatt in dem Hellgäßlein (…)
Item ein Gremppen lädlein über St. Stephans brucken beÿ der Kirchen Zu St. Wilhelm (…)
Sa. Eigenthumbs ane häußer und einem Lädlein 300, Sa. haußraths 76, Sa. Silbers 3 lb, Sa. Guldene Ring 6, Wahren Zur Grempereÿ gehörig 8, Summa summarum 395 lb – Schulden 75 lb, Nach solchem abzug 309 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 320 lb
Copia Codicilli. 1728 (…) auff Mittwoch den 24. Novembris Nachmittah Zwischen Zweÿ und dreÿ uhren, der Ehrenhaffte Johannes Clade Grempp vnd burger alhier (…) Jacob Christoph Pantrion
Les préposés de la Taille dispensent les héritiers de faire dresser l’inventaire des biens de la veuve qui est morte quelques mois après son mari
1736 (31.3.), Livres de la Taille (VII 1178) p. 130
H. Michael Lang Præceptor domesticus alß Mand. und Vogt Weÿl. Johannes Clade des Grempens dreÿer Kinder producirt Inventarium de ao. 1735. durch H. Not. Pantrion gefertiget, und bittet umb erlaßung fernerer Inventur. Erkannt weilen die Wittib in so kurzer Zeit nicht Viel gewinnen können, sondern die Nahrung Vielmehr abgenommen, willfahrt.
Jean Cladé vend la maison 150 livres à Marie Madeleine Cladé veuve Plattner
1720 (4..3.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 101-v
Joh: Cladi Schuemacher
in gegensein Mariæ magd: Blattnerin wittib geb. Cladinin so ohnbevögtigt beÿständlich Heinrich Stöber nadlers
ein hauß auf der Wassersuppgaß einseit neben des Rebhanischen EE anderseit neben Daniel Bosch hinten auff Andres Vix stoßend – um 150 pfund
Marie Madeleine Cladé veuve d’Adam Plattner, manant journalier au Chantier des charpentiers, fait dresser un état de sa fortune
1719, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Inv. über Fr. Magdalena gebohr. Cludein Weÿl. Adam Plattners gew: taglöhners auf dem Zimmerhoff und Schirmers allhier habende eigenthüml. Nahrung
Marie Madeleine Cladé (ici Marie Marguerite) fille de l’interprète Henri Cladé devient bourgeoise en décembre 1719 en apportant deux enfants
1719, 3° Livre de bourgeoisie p. 1308
Fraw Maria Margaretha Cladin von hier, Weÿl. Heinrich Cladj gewesenen dollmetschen hinterl. tochter erkaufft das burgerrecht pro 6. gold fl. 16 ß v. bringt zweÿ Kinder mit, so beÿ Ordnung gelaßen worden, will Zur Mörin dienen, jur. d. 7. Xbr. 1719.
Originaire de Kirchberg en Suisse, le soldat Adam Plattner domicilié à Strasbourg épouse en 1677 à Hangenbiethen Madeleine Engelstetter de Seltz
Mariage, Hangenbiethen
Anno 1677. d. 11. Feb. Adam Blattnern, von Kirchberg auß dem Schweitzerland, Soldaten Zu Straßburg, mit Jungfr. Magdalena Engelstättin, Weÿl. Hanß Jacob Engelstätters burgers Zu Seltz ehel. Tochter copulirt (i 92)
C’est sans doute le même qui épouse devant le pasteur réformé Marie Madeleine Cladé, fille de Henri Cladé originaire de Sainte-Marie-aux-Mines
Mariage (réformés, 111-v)
1695. den 3. July seind eingesegnet worden H Adam Plattner von Kittingen Bernergebiets wittwer, Jfr. Maria Magdalena Clade Heinrich Clade sel. von Markirch nachgel. tochter (i 121)
Madeleine Cladé veuve d’Adam Plattner hypothèque la maison au profit du marchand Nicolas Harscher de Bâle
1727 (18.8.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 494-v
Fr: Magdalena geb. Cladÿn weÿl. Adam Plattner gewesten herrenwerckers wittib so ohnbevögtigt mit beÿstand Heinrich Stöber des nadtlers
in gegensein H. Johann Nicolaus Würtz allhießigen Banquier als mandatarii H. Nicolaus Harscher handelsmanns zu Baßel – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt cum appertinentÿs auff der waßersuppgaß, einseit neben Johann Georg Klein dem Kieffer et ux: anderseit neben Daniel Bosch hinten auff Andreas Vix
Ferner ein hauß und hoffstatt sambt allen zugehörden in der Vorstatt ahne Steinstraß in dem guthleuthgäßlein auff beeden seithen auff einen schlupff
Marguerite Cladé veuve d’Adam Plattner résigne son droit de revendeuse pour devenir marchande d’occasion
1736 (20. xbr), Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 258)
(p. 214) Donnerstags den 20.ten Decembris 1736 – Resignirende Grempin und Neue Leibzünfftige Gimpel Käufflerin Reform. Relig.
Margaretha Blattnerin gebohrne Cladÿn, weÿland Adam Blattners, geweßenen Tagners Vnd Schirmers allhier hinterbliebene Wittib, die dißorts leibzünfftige Verburgerte Grempin, resignirt ihr gehabtes Grempen Recht und bittet hingegen um ertheilung des gimpel Käuffler Rechts.
Erkandt gegen Erlag der Gebühr Willfahrt.
Erlegte vor das Gimpel Käuffler Recht 8 ß 4 d, Und Einschreib Gebühr 2 ß, Also zusammen 10 ß 4 d
Marguerite Cladé veuve d’Adam Plattner fait donation de trois maisons rue de la Soupe à l’Eau à sa fille Susanne Ester Plattner, son fils Adam Plattner n’ayant plus donné de nouvelles depuis quatorze ans
1730 (27.4.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 200
Fr. Maria Margaretha geb. Cladÿn weÿl. Johann Adam Plattner Leinenwebers wittib so ohnbevögtigt zu seÿn versicherte mit beÿstand Johann Daniel höllbeck des Kürßners
ihrer mit ihrem verstorbenen ehemann erzeugt ohnbevögtigten tochter Jfr. Susanna Esther Plattner beÿständlich Johann Rudolph hottinger des tabackbereiters
geschenckt und schanckungs: weiß eigenthümlich überlaßen, Erstlich zweÿ Neben einander liegende häußlein mit allen dero gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten auff der Waßersuppgaß am dreÿzehen graben einseit neben H. Johann Quirinus Berga dem Steinhauer und E. E. kleinen Raths alten beÿsitzer anderseit neben H. Johann Leonhard Pfäler Specirer hinten auff ged. graben – davon gibt mann hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 7 ß ane bodenzinß
Ferner ein hauß auff ged. Waßersuppgaß einseit neben den Rebhanischen erben, anderseit neben Daniel Bosch hinten auff Andreas Vix den garttner ahne Steinstraß
und sich erkläret, daß Sie zwar noch ein Kindt nahmens Adam Plattner ledigen und schon seith 14 Jahren von hier abweßenden Säckler mit bemeldtem ihrem ehemann erzeugt, von deßen aufenthalt aber und ob er noch im leben seÿe keine wißenhafft habe
Susanne Ester Plattner fait dresser un état de sa fortune (minute non conservée)
1730, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Designatio über Jfr. Susan. Ester Blattnerin Weÿl. Joh: Adam Blattners gew. leinenwebers und Schirmers allh. Tochter habendes Vermögen
Susanne Ester Plattner devient bourgeoise par son mari Jean Jacques Sommer
1730, 4° Livre de bourgeoisie, p. 959
Susanna Ester platnerin Von Hier geb. erhalt d. b: Von ihrem ehemann Joh: Jacob Sommer b. undt Kiefer allhier umb die tertz d. neuen b. will beÿ E E Zunfft d. Kiefer dienen Prom 24.ten Julÿ 1730.
Fils du tonnelier réformé Gérard Sommer, Jean Jacques Sommer épouse en 1730 Susanne Esther Plattner : contrat de mariage, célébration
1730 (5.4.) Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 52) n° 46
Eheberedung zwischen Johann Jacob Sommer, dem Ledigen Kieffer, herrn Gerhard Sommers, Kieffers und burgers allhier ehelichem Sohn, als dem hochzeiter, beÿständlich seines Vatters, ane einem, So dann
Jgfr. Susannæ Ester Blattnerin, weÿl. Adam Blattners, gewesenen Wollenwebers und Schirms Verwanthen allhier, mit Frauen Maria Margaretha gebohrner Cladiin ehelich erzeugten Tochter, alß der hochzeiterin mit beÿstand herrn Johann Grosen weißbecken und H Johann Daniel Hellbeck Kürschners beeder burgere allhier am andern theil
Straßburg auff Mittwoch den 5. Aprilis Anno 1730. [unterzeichnet] Johann Jacob Summer Als hochzeiter, Susanna Ester blattnerin als hochzeiterin
Mariage (réformés, f° 141)
1730. Junÿ d. 14.t seind eingesegnet worden Joh: Jac. Sommer, Kieffer, Weinhändler V. burger in Straßburg, H. Gerhard Sommers, Kieffer, Weinhändlers V. burgers in Straßburg ehel. Sohn, Jfr. Susanna Esther Platnerin weiland Adam Platners von Crutigen, Bernergebieths nachgel. ehl. Tochter (i 153)
Gérard Sommer inscrit son fils Jean Jacques pour faire son chef d’œuvre
1726, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 125-v) Dienstag den 5. Novembris Anno 1726 – Meister Gerhard Sommer der Kieffer und burger allhier stunde vor und bathe seinen Sohn Johann Jacob Sommer Zu Verfertigung deß Kieffer Meisterstücks einzuschreiben.
Erkandt Willfahrt, Zahlt Werckstatten Zinnnß 1 lb 10 ß und pro Zunfftschreiber und büttel 2 ß 6 d
Jacques Sommer, Jean Dœrffer et Jean Nagel demandent aux Quinze de pouvoir travailler à leur chef d’œuvre alors que d’autres candidats sont occupés au leur. Les Quinze décident qu’à l’avenir un tonnelier et un baquetier pourront faire en même temps leur chef d’œuvre
1729, Protocole des Quinze (2 R 135)
(p. 290) Sambstag den 13. Augusti 1729. Gug nôe Joh: Jacob Sommers auch Mstrs. Sohns bitt ut ante [prod. undt. Memorial pt° meisterstuck]. Erk. ut modo [soll verkündet werden].
(notes p. 74) Sambstag den 27. Augusti 1729.
Oberhwksherren ref: daß Johann Jacob Summer, Johannes Dörffer undt Johannes Nagel alle 3 burger undt ledige Kieffer Ca. E. E. Zunfft der Kieffer H. Zfftr puncto admiss. Zum Mstkh 3. memorialia eingelegt vid.
Worauff der Zfft H. Johann Niclauß Zäpffel geantworttet, gegner seÿen den 2. huius Von E. E. Zunfftgericht nach ihrer älter ordnungsmäßig eingeschrieben Worden, bittete allso dieselbige abzuweisen undt es beÿ diss. erkandtnuß Zu laßen, ref. exp.
R. haben die 3 Imploranten jhre petita Widerhohlt, Worauff ged. Zunfft sich auff den gerichts bescheidt beruffen, den er Vorgelegt, vid.
H. Dep. d. es beÿ erwehntem Zunfft Gerichts bescheidt Zulaßen, mithin die 3 Imploranten mit jhrem begehren ab und ahn die ordnung Zu Verweißen seÿen, damit aber die jenige, so künfftighin jährlich daß mstkh Zu Verfertigen haben, desto beßer befördert, undt weder die Kübler durch die Kieffer, noch diße durch jene gehindert, undt auffgehalten werdten möchten, alß Vermeine man, d. sofern es die gelegenheith unter dero Zfftstub Zulaßt, Zu Verordnen, daß fürohin allezeit 2. nemmlich ein Kieffer undt ein Kübler Zugleich auff den platz gelaßen werden solten.
Jean Jacques Sommer présente son chef d’œuvre auquel les examinateurs n’ont rien à objecter. Il est reçu maître le 6 mars 1730 et tributaire le 18 juillet suivant
(f° 253-v) Montags den 6.t Martÿ 1730 ist Joh: Jacob Sommers des Ledigen Kieffers verfertigtes Kieffer meisterstück Zum Letzten mahl besichtiget worden und referirten die herren Schaumeistere, daß sich in der ersten schau etliche bückel und täschen befundten, so er aber wid. verbeßert, in der andern schau seÿendt die böden sambt dem thürlein etwaß ungleich gehobelt gewesen, welche derselbe aber gleichfalls verbeßert in der dritten und Letzten schau aber ware im geringste nichts zu datlern, derohalben die herren Schaumeistere solches vor ein gültiges mstrsück erkant, welches auch von hern XV. Sainctlo dem obman confirmirt worden.
(f° 261-v) Dienstags den 18. Julÿ 1730. – Mstr Joh: Jacob Sommer der Kieffer erhalt das Zunfftrecht undt Zahlt als eines Leibzünfftig sohn 10 ß 6 d vor die Zu den feur eÿmern geordnete 10 ß et pro inscriptione 2 ß 6 d.
Jean Jacques Sommer et Susanne Esther Plattner font dresser l’inventaire de leurs apports dans lequel figurent les maisons que la femme a apportées en mariage
1731 (5.2.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 8) n° 169
Inventarium über Frauen Susannæ Ester Sommerin gebohrner Blattnerin zu Mr Johann Jacob Sommern dem Kieffer und burgern allhier zu Straßburg Ihrem Ehemann in die Ehe zugebrachte Nahrung, auffgerichtet Anno 1731 – welche auff begehren der Ehefrauen und Mr Philipp Jacob Zellen, Maurers und burgers llhier, Ihres angenommenen Vogts in gegenwarth des Ehemanns wie auch Johann Sigfrid Bickelhaubs, Kieffers, seines Schwagers und Johann Geörg Bickers, Leinenwebers, beeder burgern allhier (…) So beschehen in Straßburg auff Montag den 5. Februarÿ Anno 1731
Sa. haußraths 93, Sa. Silbers 9, Sa. goldener Ring 7, Sa. baarschafft 209, Sa. anschlags des Eÿgenthumbs ane häußern 535. Summa summarum 854. lb
Eigenthum ane Häüßern. Nemlichen Zweÿ haußlein neben einander mit allen gebäuwen, begriffen, weithen,, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten allhier ane der Waßer Suppgaß am dreÿ Zehen graben, ein Seit neben David Grohberger, Schuhmacher, ander Seit neben herrn Johann Leonhard Pfähler dem Specirer, hinden auff gedachten Graben stoßend (…)
Item ein hauß mit allen deßen begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten auff der Waßer Supp Gaß, ein Seit neben Rebhahnischen Erben, anderseit neben Daniel Bosch, hinden auff Andres Vix stoßend, so freÿ ledig und eigen und nach dem Ein kaufff æstimirt wird vor 150. lb. Hierüber besagt auch ein perg. Kbr. in allhiesiger Contract Stub auffgerichtet de dato 4. Martÿ A° 1720. nach welchem der Ehefrauen Mutter solch hauß ane sich erkaufft.
Solche dreÿ häußlein seind der Ehefrauen gegebenem bericht nach Von Frauen Maria Margaretha Blattnerin gebohrner Cladiin Ihrer Mutter laut der in allhiesiger Contract Stub in A° 1730 passirter cession eigenthümlichen cedirt worden.
Inventaire des biens de Jean Jacques Sommer qui a quitté la ville. L’actif se monte à 9 livres, le passif à 273 livres
1731 (22.6.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 25 Not 133, fonds Lang) n° 185
Inventarium über Mr Johann Jacob Sommers, des von hier außgetrettenen Kieffers und burgers hinterlaßene Nahrung und die Passiv Schulden so darauß zu bezahlen wären, auffgerichtet Anno 1731 – von hier den 14. Martÿ A° 1731. außgetrettenen Kieffers und burgers hinterlaßen, welche auff begehren Frauen Susannæ Ester Sommerin gebohrner Blattnerin, seiner verlaßenen Ehegattin beÿständlich Mr Philipp Jacob Zellen, Maurers und burgers allhier, Ihres geschwornen, vogts erst ane zuend stehendem dato weilen die Ehefrau in zwischen in die Kindbett gekommen (…) auch as ane der Ehefrauen Zugebrachter Nahrung laut des darüber besagenden und unterm 5. febr. A° 1731 auffgerichteten Inventarÿ beÿ vorgehabter Revision sich mangelnd befunden
So beschehen in Straßburg auff Freÿtag den 22. Junÿ A° 1731.
Bericht wegen der Eheberedung. die Zusammen beeden Eheleuthen den 5.to Aprilis Anno 1730. getroffene Eheberedung ist durch mich Notarium expedirt und außgelüffert worden, dahero man solche auch hier nicht copialiter inseriren wollen.
Summa anschlags Vorstehender Posten so die Ehefrau Von des Manns hinterlaßenen Activ Nahrung in Verwahrung hat, thut 9 lb – Schulden auß des Manns Nahrung zu bezahlend 273, In Compensatione 263 lb
Susanne Esther Plattner, femme abandonnée de Jean Jacques Sommer, hypothèque ses maisons au profit des enfants mineurs du tonnelier Martin Jost
1734 (13.2.), Chambre des Contrats, vol. 608 f° 44-v
Susanna Esther geb. Plattnerin Johann Jacob Sommer des von hier ausgetrettenen Kieffers ehefrau beÿständlich ihres Curatoris Philipp Jacob Zell des Maurer und Steinhauers und mit fernerer assistentz ihrer geschwistrigkinder ehemänner hannß Georg Weber der tabackbereiter und Caspar Wallauer des Krämers
in gegensein Johann Michael Jost des Schloßers als vogts weÿl. Margarethæ geb. Dimpffelmeÿerin mit ihrem hinterbliebenen wittiber Martin Jost dem Kieffer erzeugter dreÿer Kinder Margaretha Salome, Maria Magdalena und Johann Gottfried der Josten – schuldig seÿe 225 pfund
unterpfand, Erstlich zweÿ neben einander liegende häußlein mit allen derselben mit allen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten auff der waßersuppgaß am dreÿzehen graben, einseit neben H. Johann Quirin Berga dem Maurer und Steinhauer auch E. E. kleinen Raths alten beÿsitzer, anderseit neben H. Johann Leonhard Pfäler dem handelsmann hinten auff ged. graben – davon gibt mann hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 7 ß ane bodenzinß
ferner ein hauß cum appertinentis auff gedachten waßersuppgaß, einseit neben weÿl. Johann Georg Klein des kieffers wittib, anderseit neben Daniel Basch dem tabackbereuther hinten auff Andreas Vix dem garttner ahne steinstraß – ihro von ihrer mutter Maria Margaretha geb. Cladÿn weÿl. Johann Adam Plattner des leinenwebers wittib durch einen am 27. Aprilis 1730 in hiesiger C.C.Stub auffgerichteten donationem inter vivos geschenckt worden
Jean Jacques Sommer et Susanne Esther Plattner font dresser l’inventaire de leurs biens après avoir repris la vie commune. Les biens du mari s’élèvent à 284 livres, ceux de la femme à 419 livres.
1737 (9. 8.bris), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 23) n° 503
Inventarium über Mr Johann Jacob Sommers, Kieffers und Frauen Susannæ Ester geb. Blattnerin beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg dermahlen besitzende Nahrungen so Sie alß Sie sich separirt gehabt, aber wieder zusammen getretten, einander zugebracht, auffgerichtet Anno 1737. – (…) seither dem 14. Martÿ A° 1731. nicht beÿsammen gewohnt, sondern erst seithero dem 17. Aug. A° 1737. Ihr haußweßen wider mit einander angetretten, auff deroselben begehren ordnungsmäßig inventirt (…). So beschehen in Straßburg in fernerer gegenwarth Frauen Mariæ Magdalenæ Blattnerin gebohrner Cladin der Ehefrauen eheleiblichen Mutter und Johann Christmann Leininger Schneider und burger allhier dero beÿstandts, auff Mittwoch den 9. Octobris A° 1738.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns Vermögen, Sa. haußraths 156, Sa. Silbers 26, Sa. baarschafft 100, Summa summarum 284 lb
dießemnach folget auch der Ehefrauen Nahrung, so Sie Zur Zeit Eingangs gedachter Vereinigung gehabt und beseßen, Sa. haußraths 99, Sa.Silbers 9, Sa. goldener Ring 8, Sa. baarschafft 301, Summa summarum 419 lb
Susanne Esther Plattner meurt en 1742 en délaissant des héritiers collatéraux. La masse propre aux héritiers s’élève à 288 livres. L’actif de la communauté et du veuf s’élève à 853 livres, le passif à 1 362 livres
1742 (4.4.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 32) n° 656
Inventarium über weÿl. Frauen Susannæ Ester Sommerin gebohrner Blattnerin, Mr Johann Jacob Sommers, Kieffers und burgers allhier Zu Straßburg geweßener Ehegattin nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1742. – nach ihrem den 15. Martÿ dieses Jahrs genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen der Verstorbenen seel. per Testamentum Zu Erben Verlaßener und ane nachfolgendem folio benannter Voll und einbändiger Geschwüstrige fleißig inventirt und ersucht (…) So beschehen in Straßburg in fernerem gegenseÿn S. T. Herrn Mathiæ Kochen Notarÿ publici und Practici allhier, des wittibers beÿstands auf Mittwoch den 4. Aprilis A° 1742.
Die Verstorbene seel. hat per Testamentum Zu Erben Verlaßen wie folgt. 1. Frau Annam Elisabetham Müllerin gebohrne Blattnerin, Elias Müllern Tagners und Schirms Verwanthen allhier Ehegattin mit beÿstand deßelben anwesend war, 2. Frau Mariam Magdalenam Niderin gebohrne Blattnerin Niclaus Niden des verzogenen Maurer und Schirms Verwanthen allhier Verlaßene Ehefrau so mit beÿstand Joh: Jacob Süß, Strumpfstricker und burgers allhier gegenwärtig war, diese beede als der Verstorbenen seel. einbändige Schwestern.
3. Johann Adam Blattner, den Säckler gesellen, weÿl. Adam Blattnern gewesenen Tagners und Schirms Verwanthen alhier nachgelaßenen ehelichen Sohn, als der Frau seel. Vollbändigen bruder, von welchem man aber seither 23. Jahren nichts gehört oder vernommen, ob er annoch ebend oder todt seÿe. Um dieser sambtlicher unverburgerter Erben auß E. E. Kleinen Raths Mittel Vermög Erkantnuß Von heutigen dato hierzu deputirt worden S T Herr Johann Philipp Richßhoffer handelßmann und E E Großen Raths alter nunmehro aber E. E. Kleinen Raths wohlansehnlicher beÿsitzer so auch dießem Geschäfft abgewartet.
Copia der Eheberedung
Copia Testamenti nuncupativi (den 22. Februarÿ Anno 1738 Vor Herrn Mathiæ Kochen Notario publico allhier auffgerichtet)
Copia Nachdisposition so die verstorbene seel. den 7. Augusti anno 1739 auffgerichtet
Ergäntzung der Erben ermanglenden unveränderten Guths, vermög Inventarÿ (…) durch mich eingangs gemelten Notarium in Anno 1737 auffgerichtet
Werckzeug Zu dem Kieffer handwerck gehörig
Eigenthum ane Häußern (E.) Nemlichen eine behaußung und hoffstatt ane der Steinstraß in deù Gutleutgäßlein (…)
(T) It. eine behaußung am Brand ein End ein Seith neben der Kleinen Stadelgaß (…)
der Erben unveränderte Nahrung. Sa. haußraths 34, Sa. Silbers 6, Sa. goldener Ring 4, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 300, Sa. Ergäntzung (345, abzug 54, Rest) 290, Summa summarum 636 lb – Schulden auß der Erben unveränderten Nahrung 347 lb, Nach deren Abzug 288 lb
Dießemnach wird die übrige Verlaßenschafft so mit vorbehalt des Wittibers unveränderten Guths Forderung, welche hernach passive eingetragen, als theilbar tractirt wird, beschrieben. Sa. haußraths 58, Sa. Werckzeugs 13, Sa. Silbers 3, Sa. baarschafft 6 Sa. Eigenthums ane einer behaußung 750, Sa. Activ schulden 21, Summa summarum 853 lb – Schulden 1362 lb, In Compensatione 508 lb
Seind also dem Wittiber vor seine ane der Verlaßenschafft habende Anforderung zugeschrieben worden 251 lb, dagegen gehalten vorher ausgefallenes theilbares Passiv onus, so auswirfft 508 lb, So befindet sich daß die theilbare Passiv Schulden auch des wittibers Vermögen übertreffen um 257 lb
Copia Codicilli – Susanna Ester Sommerin gebohrne Blattnerin des Ehrengeachten Johann Jacob Sommers des Kieffers und burgers allhier Ehefrau mich dem unterschriebenenn Notarium und Gezeugen Zu sich beruffen laßen, Welche wir dann zwar krancken Leibes, auff einem Bett liegend dannoch aber guter richtiger Sinnen und Vernunfft (…) auff Freÿtag vormittag zwischen 8 und 9 Uhr den 7. Augusti 1739, Matthias Koch
Copia Testamenti – 1738 (…) den 22. Februarÿ nachmittag zwischen zweÿ und dreÿ Uhr in einer allhier zu Straßburg ane der höllengaß ohnfern der Thucher und Gerberstub gelegenen Von mit Notario bewohenden behaußung, dero hintern Schreib Stube, mit denen fenstern in das daran gelegenen höfflein außsehend (…) persönlich kommen und erschienen die Ehren und tugendsahme frau Susanna Ester Sommerin gebohrne Blattnerin des Ehrengeachten Johann Jacob Sommerers des Kieffers und burgers allhier Ehefrau
Jean Jacques Sommer se remarie avec Marguerite Salomé Frey, fille de tonnelier
1742 (25.5.), Not. Koch (6 E 41, 498) n° 88
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen der Ehren: v. vorgeachte Joh: Jacob Sommer, der Kieffer v. burger allhier alls bräutigam ane Einem, beÿständ. T. H. Johann Eberhard Pick, des Silberarbeiters v. b. allhier,
So dann die Ehren v. Tugendsame Jungfrau Margaretha Salome Freÿin Weÿl. Joh: Mich. Freÿ, des Küblers v. Burg: allhier mit Fr. Susanna Martha geb. Weißhaarin ehel. erzeugte Tochter, beÿständlich S. T. H. Joh: Carl Spielmann J. U. Lti auch vornehmen burgers allhier als ihres erbettenen Hh. Assistenten hochzeiterin am andern Theil
So geschehen in d. Königl. Statt Straßb. auff Freÿtag d. 25.t Maji A° 1742. [unterzeichnet] Johan Jacob Summer Als Hochzeiter, + d. hochzeiterin handzeichen
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les héritiers non bourgeois doivent régler le droit de détraction.
1742, Livres de la Taille (VII 1179) f° 133-v
Kieffer F., N° 8549 – Weÿl. Fr. Susannæ Ester gebohrner Blattnerin Johann Jacob Sommer des Kieffers und burgers alhier Ehel. haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Lichtenberger sen.
Concl. Fin. Inv. ist fol. 93 – 21. 4. 9 ½
Extat das Stallgeltt pro 1746 mit – 1 lb 19 ß
Gebott – 2 ß
Abhandlung – 7 ß 6 s, Summa 2 lb 8 ß 6 d
Abzug. die dreÿ Stamm Erben gebohrne Blattner haben alß alhier ohnverburgert Von Finito usufructu anfallenden Erbe der 288. lb 18 ß 6 d den Abzug Zuerlegen mit 28 lb 17 ß 10 d
dt. 5° Maÿ 1742.
Susanne Esther Plattner femme du tonnelier Jean Jacques Sommer, vend la maison 200 livres au journalier André Mentzer et à sa femme Anne Marie Wolff
1737 (5.9.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 596
Susanna Esther geb. Plattnerin Johann Jacob Sommer des kieffers mehrjährigen ehefrau
in gegensein Andreas Mentzer des tagners und Annæ Mariæ geb. Wolffin
Eine Behausung und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten auff der waßersupp gaß oder dem alten dreÿzehen graben, einseit neben weÿl. Johann Georg Klein des kieffers wittib modo Martin Schwendt des kieffers ehefrau geb. Rebhabin, anderseit neben Daniel Basch dem tabackbereither, hinten auff weÿl. Andreas Vix des garttner ahne Steinstraß Erben – als ein per donationem inter vivos da dato 27. Aprilis 1730 von ihrer mutter Maria Margaretha geb. Cladÿn weÿl. Johann Adam Plattner erhaltenes guth – um 200 pfund
Fils de pelletier, André Mentzer épouse en 1722 Anne Marie Wolff, fille de remueur de grains
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 96)
1722. Domin. V. et VI Trinit. sindt außgeruffen vndt Mittwochs darauff als den 15. Julÿ Ehelich eingesegnet worden Andreas Mentzer der Ledige Tagner vndt burger allhier hanß Martin Mentzers deß burgers vndt Kürschners allhier Ehel. Sohn vnd Jungfr. Anna Maria, Hanß Michael Wolffen des burgers vndt Kornwerffers Ehel. Tochter [unterzeichnet] + deß Hochzeiters Zeichen, + der Jfr. Hochzeiterin Zeichen (i 98)
La tribu des maçons inflige une amende au journalier Philippe Mentzer qui a travaillé sans le contrôle d’un maître dans la maison d’un client de Philippe Kieffer
1737 (29.3.), Protocole de la tribu de Maçons (XI 236)
(f° 220) Freÿtags den 29. Martÿ 1737 – Mr Philipp Küeffer Klagt Wieder Andreas Mentzer den handlanger, daß er beÿ einem seiner Kunden in der steinstaaß nahmens Johann Stimbach dem Fuhrmann ohnwisend seiner, auch ohn auffsicht eines andern meisters gearbeitet habe.
Der beklagte Zugegen ist die klage nicht in abrede, meldet aber, es wäre keine hauptarbeit gewesen, sondern er hätte nur eine fewrwand ausgeweiset.
Erkandt, weilen beklager nicht das geringste vor sich Zu arbeiten befugt, alß seÿe er in 3 fl. Zu Condemniren, gemelten Simbach aber soll auff nechstes gericht deßwegen anhero gebotten werden, umb ihn darüber anzuhören, vnd auff befinden gleichfalls abzustraffen.
Anne Marie Wolff meurt le 21 novembre 1737 à l’âge de 44 ans
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. reg. 1710-1758, f° 72)
1737. d. 21. Nov. Abends Zwischen 8 und 9 Uhr starb Anna Maria Barbe Wölffin, Andreä Mentzers deß burgers und Maurer Taglöhners ehel. Haußfrau und wurde d. 23. seq. christlich gebührlich Zur Erde bestattet Zu St Gallen æt 44 Jahr 7 Monat 11 Tag, x. des Wittwers Handzeichen (i 75)
André Mentzer et sa femme Marie Dorothée Inckel hypothèquent leur maison rue de la Soupe à l’Eau quand ils en achètent une autre rue du Bain-aux-Plantes
1741 (18.5.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 253
H. Johann Daniel Kob der handelsmann vor sich und als mandatarius seiner geschwister Fr. Susanna geb. Kobin H.M Johann Christian Treutlinger diaconi senioris zu St Nicolai eheliebstin, Fr. Anna Margaretha geb. Kobin weÿl. Johann Goll des goldarbeiters wittib und Jfer Maria Elisabetha Kobin beÿständlich ihres vogts Johann Georg Stuber des handelsmanns, so dann H. Lt. Johann Philipp Hecker Exsenator und Stadtrichter
in gegensein Andreas Mentzer des tagners und Mariæ Dorotheæ geb. Jnckelin
eine behausung und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Pflantzbadergaß, einseit neben Marx Langolff dem schneider, anderseit neben Johann Diebold Hetzel dem rothgerber, hinten auff Johann Georg Hetzels gewesten rothgerbers erben – ihnen Kobischen geschwisterden zu vier 5. theil als ein mütterliches erbguth, ihme H. Hecker aber als ein am 19. Junÿ 1737 ane der ganth erkaufftes guth
ferners verlegt der käuffer zweÿ dritte theil ane einer behausung und hoffstatt cum appertinentis ane der Waßersuppgaß, einseit neben Martin Schwend dem kieffer uxorio nomine, anderseit neben Daniel Basch dem tabac bereÿter, hinten auff die Vixischen erben – 375 pfund
L’ouvrier maçon André Mentzer meurt le 6 avril 1745 à l’âge de 47 ans
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. reg. 1736-1757, f° 104, n° 15)
1745. Dienstag den 6. April: morgens zwischen 8 und 9 Uhr starb Leibesschmertz Andreas Mentzer gewesener Taglöhner beÿ den Maurern und burger allhier seines alters 47. jahr 8 monath 3 wochen weniger 2 tag und wurde postero dies auff dem Gottes Acker St. Gal. beÿ gehaltener Leichpredigt Christgebräuchlich begraben [unterzeichnet] Johannes Mentzer als bruder (i 108)
André Mentzer et le tuteur de sa fille issue de son premier mariage vendent la maison à Marie Barbe Seiler veuve de l’apprêteur de tabac Pierre Urbain Render
1744 (26.9.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 494
Andreas Mentzer der Tagner, Johann Jacob Wolff der tabacbereiter als vogt erstged. Mentzer mit weÿl. Anna Maria geb. Wolffin seiner ehefrau erzeugten einigen Söhnleins Tobias Friedrich
in gegensein Mariæ Barbaræ geb. Seÿlerin weÿl. Peter Urban Render des tabacbereiters wittib mit beÿstand ihres vogts Johann Michael Schöller ebenmäßigen tabacbereiters, laut erkanntnus vom 5. hujus obrigkeitlich confirmirten versteigerung
eine behausung und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, weithen, zugehörden und rechten auff dem XIII graben oder der sogenannen Waßersuppgaß, einseit neben Daniel Basch dem tabacbereiter, anderseit neben as. H. Helck dem biersieder, hinten auff Jacob Hoh G.A.St. garten – dem vatter zu zweÿ dritten theil dem kind aber zum übrigen dritten theil – 230 pfund
Marie Barbe Seiler veuve de Pierre Urbain Render se remarie en 1746 avec le maçon Jean Pierre Zell : contrat de mariage dont la minute n’est pas conservée, célébration
1746, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 12) n° 1074
Peter Zell, ledigen Maurers und Steinhauers
und Frauen Mariä Barbarä Renderin gebohrner Seilerin
Mariage, Saint-Marc (cath. p. 76)
Anno Domini 1746 die 23 maji (…) sacro Matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti honestus Joannes Petrus Zell lapicida Philippi Jacobi Zell Civis et lapicidæ et defuncæ Mariæ Claræ Kellerin uxoris ejus legitima filius argentinensis et parochianus noster et honesta Maria Barbara Seilerin vidua Superstes defuncti Urbani Render civis et tabaci concinnatoris in vivis argentina oriunda et in parochia nostra commorans (signé) better Zell, barbara seÿlerin (i 41)
Jean Pierre Zell entre par dispense des Quinze en apprentissage chez son père Philippe Jacques Zell en 1735
1735, Protocole de la tribu des Maçons (XI 236)
(f° 187) Mittwochs den 27. Julÿ 1735. – Mr Philipp Jacob Zeller stellt vor Peter Zeller seinen Sohn, mit bitte denselben als einen Lehrjungen auff fünff Jahr Lang einzuschreiben.
Erkandt, soll seinen ältern Sohn, der Ihne von gnädigen herren den XV. dispensando Zu Lehren gnädig permittirt worden, vorderist auslehren, als dann aber soch diesorths wieder anmelden da ferner ergehen solle was recht ist.
(f° 208) Donnerstags den 20.ten Septembris 1736. – Eingeschriebener Steinhauer Jung, außgethan en 19. Julÿ 1741. dt 15 ß
Mr Philipp Jacob Zeller stehet vor vnd Zeigt an, welcher maßen Er Krafft Erkandtnuß von Gnädigen Obern Handwercks herren in die Lehr angenommen Peter Zeller seinen eheleiblichen sohn, Ihne das maurer handwerck, vnd was deme anhängig in Zeit von fünff Jahre so auff Johannis Baptistæ nächst verloßen anfangen, vnd solche Zeit 1741.sich endigen, zuerlernen, bittet umb die einschreibung.
Erkandt gegen Erlag der gebühr willfarth.
L’apprentissage se termine en 1741
1741, Protocole de la tribu des Maçons (XI 237)
(f° 93-v) Mittwochs den 19.ten Julÿ 1741. – Außgethaner Steinhauer Jung, dt 15. ß
Mr Philipp Jacob Zeller stellt vor Peter Zeller seinen Sohn, welchen er das handwerck Zu erlernen den 20. Septembris 1736. auff fünff Jahr von Johannis Baptistæ 1736. angehend vnd auff solchen Termin dieses Jahrs ausgehend einschreiben laßen, bitt, weilen sie beedte mit einander Zufrieden, umb deßen außthuung.
Erkandt, willfahrt gegen Erlag der Gebühr.
Le maçon et tailleur de pierres Pierre Zell devient tributaire chez les Maçons le 17 décembre 1746, soit quelques mois après son mariage
(f° 308) Sambstags den 17.ten Decembris 1746. – C. Neu Zünfftiger
Peter Zell der maurer Vnd Steinhauer gesell Mr Philipp Jacob Zellen des maurers und Steinhauers ehelicher Sohn producirte Stallschein Vom 13. augusti 1746. vnd begehrt vor einen Zünfftigen angenommen zu werden.
Erkandt Willfahrt, Zunfft 1 lb 5 ß, Einschreibgebühr 4 ß, (Summa) 1 lb 9 ß
Pierre Zell et Marie Barbe Seiler hypothèquent la maison au profit de l’apprêteur de tabac Jean David Wurm
1746 (27.9.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 734-v
Peter Zell der steinhauer und Maria Barbara geb. Seÿlerin mit beÿstand ihres vettern Johann Mentzer des kürßners und Mathiß Gruninger des schreiners
in gegensein Johann David Wurm des tabacbereiters – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt auff dem XIII graben oder der sogenannten Waßersupp: gaß, einseit neben Daniel Basch dem tabacbereiter, anderseit neben Theobald Helck dem biesieder, hinten auff Jacob Hoh G.A.St.
Marie Barbe Seiler fait dresser l’inventaire de ses apports dans lequel figure la maison. L’actif s’élève à 395 livres, le passif à 250 livres
1751 (30.10.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 374) n° 463
Inventarium über der Ehren und Tugendsahmen Frauen Mariä Barbarä Zellin gebohrner Siglerin, des Ehren und vorachtbahren Herrn Peter Zell, des Maurers und Steinhauers auch burgers allhier zu Straßburg ehelicher Haußfrauen zu gedachtem Ihrem Ehemann für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrung, auffgerichtet Anno 1751. – welche der ursachen alldieweilen in Ihr beeder Eheleuth mit einander auffgerichteten heuraths Verschreibung expresse enthalten, daß eines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reserviret und ohnverändert seÿn und bleiben solle(…) So beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein des Ehren: und vorgeachten herrn Eliä Waltz Paßmentirers und burgers allhier Ihro der Ehefrauen erbettenen beÿtandts, auf Sambstag den 30.ten Octobris Anno 1751.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Steinstraß in der Waßersuppgaß Liegenden, in dieße Nahrung zum theil gehörigen und hieunten eingetragenen Ehrenhafft befunden worden, wie folgt.
Eigenthumb ane Häußern. Erstl. eine behaußung und hoffstatt, mit allen deroselben gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg ane der vorstatt Steinstraß auf den dreÿzehengraben in der so genanden Waßersuppgaß, einseit neben weÿland Daniel Basch des tabackbereiters Erben, anderseit neben herrn helck dem biersieder hinden auf herrn Jacob Hoh, Garthnern ane Steinstraß und E: E: Kleinen Raths jetzigen beÿsitzern stoßend, so vor freÿ Ledig und eigen dißorths ohnpræjudicirlich angeschlagen Wird vor 275.
Hierüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub auffgerichtet und mit dero anhangendem Insiegel corroboriret de dato 26.ten Septembris Anno 1744.
It. ein Sechster theil für ohnvertheilt Von und ane einer behaußung und hoffestatt mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeit gelegen allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Steinstraß in der Waßersuppgaß auf dem dreÿzehengraben hinder der Maur (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 40, Sa. Silbers 5, Sa. goldener Ring 4, Sa. Eigenthums ane häußern 345, Summa summarum 395 lb – Schulden 250, Nach deren Abzug 145 lb
Maçon, tailleur de pierres et casernier, Pierre Zell meurt en 1771 en délaissant une fille. L’inventaire est dressé dans la maison rue de la Soupe-à-l’Eau que les experts estiment 150 livres. La masse propre à la veuve présente un déficit de 43 livres, celle de l’héritière s’élève à 35 livres. L’actif de la communauté s’élève à 251 livres, le passif à 74 livres
1771 (4.3.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 414) n° 1230
Inventarium über Weÿland des Ehren und Vorachtbahren Herrn Peter Zell des geweßenen Maurers und Steinhauers auch Cazerniers und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1771. – nachdeme derselbe Mittwochs den 30. Januarÿ dießes lauffenden 1771. Jahrs dießes Zaitliche mit dem Ewigen verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehren und tugendsahmen Frauen Mariæ Barbaræ Zellin gebohrner Seÿlerin der hinterbliebenen Wittib mit assistentz des Ehren und Wohlvorachtbaren Martin Seilers des Zollers und burgers allhier Ihres erbettenen Beÿsands, Wie auch der Ehren und tugendsamen Frauen Mariæ Barbaræ gebohrner Zellin des Ehren und vorachtbahren herrn Andreæ Manrique des Schuhmachers und burgers allhier Ehegattin des seelig Verstorbenen Mit vorernanter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlter einigen tochter und ab intestato nachgelaßener Universal Erbin mit beÿhilff gedachten Ihres Ehevogts und weilen dieselbe annoch Minorennis mit fernerer Zuziehung des Ehren und Wohlvorachtbahren herrn Peter Anthoni des Schuhmachers und burgers allhier Ihres geschwornenn Vogts ersucht und inventirt (…). So beschehen in Straßburg auf Montag den 4. Martÿ Anno 1771.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Dreÿzehengraben oder der sogenannten Waßersuppgaß gelegenen gemeiner Stadt Zuständigen behaußung befunden worden, als folgt.
Eigenthumb ane Häußern. (W.) Erstl. eine behaußung und hoffstatt, mit allen deroselben gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg ane der vorstattt Steinstraß auf den dreÿzehen graben oder in der so genanten Waßersuppgaß, einseit neben Jungfrauen Margaretha Barbara Renderin der Wittib Stieff tochter, anderseit neben herrn Helck, dem biersieder Zum Ancker, hinden auf Sieur Tollesan stoßend, so gegen männiglichen freÿ Ledig und eigen und durch (die Werckmeistere) vermög überschickter Schrifftlicher Abschatzung vom 24.ten Aprilis 1771. angeschlagen vor 150. Darüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff, in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub auffgerichtet und mit dero anhangendem Insiegel corroboriret de dato 26.ten Septembris Anno 1744.
It. ein Sechste: oder ein dritter theil für ohnvertheilt Von und ane einer behaußung und hoffestatt mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeit gelegen allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Steinstraß in der Waßersuppgaß auf dem dreÿzehengraben hinder der Maur (…)
Ergäntzung er Wittib abgegangenen ohnveränderten Guths. Inhalts Inventarÿ über der Wittib für unverändert in die Ehe gebrachte Nahrung durch mich Notarium in Anno 1751. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia Eheberedung, Copia Codicilli
Der Wittib ohnverändert Vermögen. Sa. haußraths 7, Sa. Eigenthums ane häußern 203, Erg. wird von dem abgang übertroffen, Summa summarum 211 lb – Schulden 254, Conferendo ergiebt sich daß der Wittib ohnveränderte Zubezahlen habende Passiva deroselben völlihe vorhandene die Activ: Massam dem Stall anschlag nach übertroffen umb 43. lb
Dießemnach wird auch der Erbin ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. Kleÿdung und Weiß gezeugs 16, Sa. Schulden 19, Summa summarum 35 lb
Endlichen wird nun auch das gemein verändert und theilbar Guth beschrieben, Sa. haußraths 4, Sa. Weins und Lährer Faß 10, Sa. Silbers 1, Sa. Schuld 235, Summa summarum 251 lb – Schulden 74 lb, Detrahendo 177 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 170 lb
Abschatzung Vom 24. apr. 1771. Auff begehren Weil. Christoff Zaller des Gewesener Kassernen Knechts hiender Lasener Erben ist eine behausung alhie in der Statt Strasburg auff dem XIII. Graben Gelegen Einseits Neben dem bierhauß Zum anger Genant, anderseits Neben Margreta Barbre Remtere und hienden auff H. Dollosans stosend Gelegen, solche behausung besteth in Zweÿ Stuben Zweÿ Kammern und Zweÿ hauseren warinen herdt und Camin schoß, Dar jber ist der dach Stuhl mit breit ziglein belegt. Von uns Unterschriebenen der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistere nach vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit Dem Jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden vor und Umb Dreÿ Hundert Gulden [unterzeichnet] Werner, Hueber
Marie Barbe Seiler hypothèque la maison au profit du boulanger Jean Adam Zwicker
1772 (3.2.), Chambre des Contrats, vol. 646 f° 57
Fr. Maria Barbara geb. Seÿlerin weÿl. Peter Zeller des cazernier zurückgelassene wittib beÿständlich H. Martin Saÿler des zölners ane dem Steinstraßer Thor ihres leiblichen bruders
in gegensein H. Johann Adam Zwicker des weißbecken – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand eine behausung ane der Waßersuppgaß, einseit neben N. Helck dem bierbrauer zur Ancker, anderseit neben Jfer Barbara Rentnerin, hinten auff Sr Ponceau
Marie Barbe Seiler vend la maison 250 livres au garçon charpentier Jean Georges Sattler et à sa femme Catherine Heim
1784 (25.9.), Chambre des Contrats, vol. 658 f° 357
Fr. Maria Barbara geb. Seilerin Peter Zell des steinhauers wittib beÿständlich Adam Colmer des schirmers und maurer gesellen
in gegensein Johann Georg Sattler des zimmergesellen und schirmers und Catharinæ geb. Heimin
eine behausung und hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem dreÿzehn graben oder sogenannten Waßersuppgaß, einseit neben vorgedachten Colmer, anderseit neben H. Held dem bierbrauer, hinten auff H. Ponceau – als ein von Andreas Mentzer dem tagner und deßen kindern unterm 26. 7.br. 1744 erkaufftes haus – geschehen um 500 gulden
Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent le manant Jean Georges Sattler à acquérir la maison dont l’alignement ne change pas
1784, Conseillers et XXI (1 R 267)
Joh: Georg Sattler erhält Erlaubnuß ein hauß Zu Kaufen. 290.
(p. 290) Sambstag den 25. Septembris 1784. – Osterrieth nomine Johann Georg Sattlers des Schirmers und Zimmergesellen alhier und deßen Ehefrau Catharina geborner heimin diese seind gesinnet ein an der sogenannten Waßersupp gaß gelegenes häußlein von Barbara Zellerin geborner Seilerin um die Summ von 500 gulden an sich Zu Kaufen, woran die helfte stehen bleibet, bitt gnädig Zu erlauben, also Kaufen zu dörfen und dispens vom augenschein.
Claus nôe der Verkäuferin berichtet, daß dem *so und bitt gleichfalls umb Erlaubnuß und dispens.
Nach angehörtem voto des herrn General advocaten Mogg dahingehend, daß die angegebene lage des zu verkaufenden haußes Keinem allignement unterworfen seÿe, also mit gebettener dispens vom augenschein ohne anstand zu wilfahren, sodann die Erlaubniß Zum Kaufen fals ertheilet werden möge, jedoch unter die gewöhnl. bedingung (und) ordnungsmäßigen Verschreibung.
Ist vermittelst angestelter Umfrag auf dem Antrag des auf dem Oberbanck vorsitzenden H. Stettmeisters von Hafner Erkant, daß denen imploranten mit gebettener dispens vom augenschein und Erlaubnuß bemeltes hauß zu Kaufen zu willfahren, jedoch unter der bedingung aß der Kauf coram dominis deputatis in Löbl. Stadt C. C. Stub verschrieben werden, damit von denenselben die Regularität der abgaben besorgt und deren richtige abtragung durch aus zust[ellen]de reversales bestens vorgesehen werd. möge. Deputati hr. Rathh. M[-], hr. Rathh. Lelarge.
Originaire de Freundpoltz ou du village voisin de Knottenried en Allgäu, Jean Georges Sattler épouse en 1767 Catherine Heim, fille d’un maréchal ferrant de Guebwiller en Haute-Alsace : contrat de mariage, célébration
1767 (23.6), Not. Haering (6 E 41, 1377) n° 472
Eheberedung – persönlich erschienen Johann Georg Sattler leediger Zimmer Gesell, Joseph Sattlers Schmidts Zu Formboltz im Algäu hochgräfl. Königseckingischer herrschafft mit fr: Anna gebohrner Freÿin ehelich erzeugter Sohn, las hochzeiter, der seiner Eltern Einwilligung hierzu haben bezeugte, eines alters 26 Jahr an einem,
So dann Jungfer Catharina Heimin weÿl. Hanß Michael Heim geweßenen Schmidts Zu Gebweiler mit auch weil. Anna Maria Gulli beeder seel ehel. erzeugte ohnbevögtigte tochter ihrer einegnen Rechten genießend, als hochzeiterin am andern theil
So beschehen Straßburg Dienstags den 23.ten Junÿ 1767 [unterzeichnet] Johan Jorg Sattler als hohzeitter,+ der hochzeiterin Handzeichen
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 50)
Hodie 3 junÿ anni 1767 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Georgius Sattler ex Knottenried diœcesis constantiensis oriundus filius Josephi Sattler civis in dicto loco et annæ freÿin conjugum in parochiâ nostrâ commorans et anna Catharina heimb in gebweiller diœcesis Basiliensis nata filia defunctorum Michaelis heimb civis quondam in dicto loco et Maria Anna Gallin conjugum in parochia ad Stum Petrum juniorem commorans (signé) Johan Jerg Sattler, signum sponsæ x (i 53)
Le conseil des Fribourgeois condamne Jean Georges Sattler à une amende pour héberger sans autorisation des hôtes
1771, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 168)
(f° 425) 5.te Gericht. Donnerstag den 18.ten July 1771 – Idem [Friderich Christoph Haubert, der eine geschwornen Zunft Rüger] bringt klagend vor, daß weilen Johann Georg Sattler der Zimmer Gesell und Schirmer alhier Kostgänger halte, deßen er den 12.ten dieses Monaths durch den Rüger und Georg Friderich Eckert den Ungeldts Garde überwiesen worden, Als bittet er, den beklagten Sattler zu gebührenden Strafe Zu Ziehen und in die Unkosten fällig zu erklären.
Des beklagten Ehefrau Zugegen, Gestehet, daß sie Zimmer Gesellen in Kost genommen habe, sie hätte aber nicht gewußt, daß Ihro solches verbotten wäre, bittet um leidentliche Straf.
Erkant, seÿe beklagter wegen Armuth nur in 15. ß Straf und in die Unkosten Zu condemniren, ihme aber verbotten keine Kostgänger mehr Zu halten
Rüger Unkosten 6 ßn Urtelgeld 4 ß, Citation 2 ß, zusammen 12 ß
Les Quinze autorisent le manant et compagnon charpentier Jean Georges Sattler à héberger des compagnons charpentiers et maçons sans leur servir de vin.
1772, Protocole des Quinze (2 R 183)
(p. 416) Sambstags den 22. Augusti 1772.Idem [Osterrieth] nôe Johann Georg Sattlers des schirmers und Zimmergesellen, dieser bittet ihme zu erlauben Zimmer und Maurer gesellen die trockene Kost reichen zu dörfen. Erkandt, nach ordnung willfahrt
Jean Georges Sattler et Catherine Heim vendent la maison 200 livres au tisserand Ignace Heckmann
1786 (19.5.), Chambre des Contrats, vol. 660 f° 202
Johann Georg Sattler der zimmer gesell und Catharina geb. Heimin, Stephan Hader des leinenwebers bevollmächtigter
in gegensein Ignatius Heckmann des leinen webers und Mariæ Magdalenæ geb. Laugelin unter assistentz Johann Georg Hauß des leinenwebers und Johann Georg Engel ebenmäßigen leinenwebers
eine behausung und hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Dreÿzehnergraben oder sogenannte Waßersuppgaß, einseit neben Adam Colmer des maurer gesellen, anderseit neben H. Helck dem bierbrauer, hinten auff H. Ponceau – als ein von Maria Barbara Zellin geb. Seilerin unterm 25. 7.br. 1784 erkaufftes haus – um 150 gulden und 250 fl. capital verhafftet
Originaire d’Innenheim, Ignace Heckmann présente son chef d’œuvre auquel les examinateurs ne trouvent aucun défaut
1783, AMS série V 125-2 (Tisserands)
Montags den 24 feb. 1783. in præsentia des hoch. und der 3. geschw. Meisterstück schaueren
Ignatius Heckmann von Inlenheim gebürtiger Lwbr. der eines meisters tochter heurathet, legt sein nach den art. verfertigtes meisterstück den Hirtzenkrantz zur Schau vor, mit bitte Ihme nach deßen besichtigung das Meisterrecht angedeÿhen zu laßen, nachdeme der Stuckmeister mit Handtreu ane Eidesstatt angelobet ein solches ohne verbottene Hülfe gemacht zu haben, die Schaumeistere aber versichert, daß sie in deßelben genauer besichtigung keinen Fehler gefunden, wurde durch den hoch. Erkannt, Wird der Stuckmeister als ein hiesiger Leinenweber meister auf und angenommen.
Ignace Heckmann épouse en 1783 Marie Marguerite Laugel, fille de tisserand : contrat de mariage, célébration
1783 (21.1.), Not. Becker (6 E 41, 1396) n° 59
Eheberedung – erscheint persönlich der Ehrsame Ignatius Heckmann Leediger leinenweber weÿl. Mathias Heckmann burgers und ackermans zu Inlenheim mit Fraun Catharina geb. Geÿerin ehelich erziehlter Sohn unter beÿstand Hn Ludwig Jehl burgers und Schreiner meisters allhier, als hochzeiter ane Einem
So dann die Ehr und tugendsame Jungfer Maria Margaretha Laugel weÿl. Hn Johann Michael Laugel geweßten burgers und Leinenwebers auch E. E. kleinen Raths allhier alten wohlverdienten beÿsitzers mit der Ehr und tugendsamen Fraun Maria Eva geborner Daxin ehel. erziehlte tochter unter beÿstand besagt ihrer Frau Mutter und annoch beÿständlich M. Johann Georg Laugel burgers und Schloßermeisters hieselbst ihres bruders als hochzeiterin am andern theil
zu Straßburg auf dienstag den 21.ten Januarÿ 1783. [unterzeichnet] Ignadius Heckmann, Maria Margaretha Laugel
Mariage, Saint-Marc (cath. p. 198)
Hodie 28 aprilis anni 1783 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ Conjuncti Ignatius Heckmann ex Innenheim oriundus defuncti Mathiæ Heckmann et Catharinæ Geÿer Conjugum filius Legitius solutus et majorennis, ratione Domicilii ad Stum Ludocicum hujas parochianus et Margaritha Laugel argentinensis filia soluta defuncti Michaelis Laugel civis hujatis et Mariæ Evæ Dax Conjugum ratione juris et facti parochiana nostra (signé) Ignatius Heckmann Maria Margaretha Laugel (i 104)
Ignace Heckmann devient bourgeois par sa femme quelques jours après son mariage
1783, Livre de bourgeoisie 1783-1787 (VII 1559) f° 11-v
Ignatius heckman der leinenweber weÿl. Mathias heckman geweßenen leinenwebers Zu Jnnenheim mit Cath. geb. geÿerin ehl. erzielhten sohn, verheurathet mit fr. Marja Marg. geb. Laugelin der hießig. burgers tochter, erhaltet das burger recht ab uxore vmb d. alten burger schilling will dienen Zue E. E. Zunfft der tucher. Jurav. d. 3.ten Maÿ 1783.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue des Cerceaux qui appartient à la mère de l’épouse. Les apports du mari s’élèvent à 478 livres, ceux de la femme à 339 livres.
1783 (14.8.), Not. Becker (6 E 41, 1395) n° 12 [Inv. illat.]
Inventarium über des achtbaren Ignatÿ Heckmann Lwbs. u. der Ehr u. tugendsahmen Frau Mariä Margarethä Heckmann geb. Laugel beeder Eheleuth u. burgere alhier zu Straßb. einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, Errichtet a° 1783 – in ihren den (-) angetrettenen Ehestand zugebracht und sich in den vor mir Not° aufgerichteten Eheberedung vor ohnverändert vorbehalten haben (…) So beschehen in fernerm beÿseÿn H. Johann Stephan Hader bg. u. Lwb. allhuer as der Ehefrauen beÿstandt, zu Straßburg auf zu End gemelten datum.
In Einer allhier Zu Straßburg ane der Reifgaß gelegenen der Eheleuthen respe. Mutter und Schwiegermutter gehörig. behaußung, befunden worden als
des Ehemanns Vermögen, hausrath 9 lb, Silber 14 lb, baarschafft 273 lb, Schulden 168 lb, Summa summarum 465 lb, haussteur 12 lb, Summa 478 lb
der Ehefrauen eingebrachte Nahrung, hausrath 112 lb, Silber 14 lb, baarschafft 200 lb, Summa summarum 327 lb haussteur 12 lb Summa 339 lb
Straßburg den 14.ten Augusti 1783.
Marie Marguerite Laugel meurt en 1794 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans leur maison rue Clément. La maison rue de la Soupe-à-l’Eau est estimée à son prix d’achat, soit 800 livres tournois (200 livres strasbourgeoises)
1797 (30 messidor 5), Strasbourg 15 (1), Not. Lung n° 206
Inventarium über Weiland bürgerin Maria Margaretha Heckmann geb. Laugel bgrs. Ignatius Heckmann Leinenwebers gewesener Ehefraun Verlassenschafft, nach ihrem den 11. Prairial zweiten Jahrs oder 30. maÿ A° 1794 genommenen tödlichen Hintritt hier zeitlichen verlaßen hat
die Verstorbene seelig hat zu ihren rechtsmäßigen Erben hinterlassen Ihre mit eingangs gedachtem hinterbliebenen Wittiber erzeugte annoch minderjährige Kinder benandlichen 1° Ignatius so in das 14. Jahr gehet, 2° Georg welcher 11 jahr alt und 3. Frantz Stephan die Heckmann welch letztern bald das 6. Jahr erreichet, deren geschworner Vogt bgr. Stephan Hader Leinenweber alhier so den 24. Prairial jüngs erwählt worden
So geschehen alhier in einer ane dem Clementzgäßlein im grünen Bruch und hiernach beschriebener behausung den 9. Messidor im 5. Jahr
(f° 5) Eigenthum ane Häußern, so theibar. Nämlich eine behaußung, Höflein und Hoffstatt mit allen deren Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen ane dem grünen bruch mit N° 135 und N° 8 bezechnet einseit ist dieselbe ein Eck am Clemenzgäßlein anderseit und hinten auf N. Flach de Gartner stoßend, diese behaußung ist in der Grundsteuer Rolle ane reinem Ertrag geschätzt für 112 lb 10 s und A° 1791 imponirt worden à 6 s 3 3/5 d par Livres für 25 lb, 8 s 9 d, Wann um solche Contribution für den 6. Theil der völligen Einkünfte davon angesehen wird, so kommen dieselbe zu stehen auf 212 lb, und diese au denier 25 zu Capital gerechnet, ertragen für den præsumirlichen Werth solcher behausung 5315 lb. Es haben aber der Wittiber und der Kinder Vogt erkläret und anerkannt daß dieselbe beÿ weitem nicht soviel Werth seÿe, in deme Sie alt und baufällig, mithin auf diesen Fuß nicht in berechnung gebracht werden könne, dahier sich mit einander verglichen, solche zu berechnung der Legitimæ, unter vorbehalt des Eigenthums, ihren eigentlichen Werth nach hier in Auswurf brigen zu laßen um 3200 lb. dieselbe ist durch beede gewesene Eheleuthe von bgr. Gottfried Fischer dem biersieder alhier erkaufet worden wie die in hiesiger Contract Stube den 14. mart. 1789 passirt ausweiset
Und dann eine kleine behaußung samt hoffstatt auch übrigen Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten alhier ane dem dreÿzehengraben oder sogenannten Waßersuppgaß N° 7 gelegen einseit neben Adam Kolmar Maurergesell anderseit neben bgr. N. Helck dem bierbrauer und hinten auf Cit. Ponceau stoßend, da nun solche in der Grundsteuer Rolle zu 45 lb, reinem Ertrag geschätzt und A° 1791 à 6 s 3 3/5 par Livre zu 14 lb 3 s 6 d imponirt worden, diese Contribution aber für den 6. Theil der gesamten Einkünfte davon geachtet wird, so macht der völlige Ertrag derselben 85 lb 5 s welche au denier 25 zu Capital gerechnet für den Werth solchen Häußleins zu achten wären antr. 2126 lb 5 s, Allein es hat daßelbe mehr nicht als 800 lb Ankauf gekostet und halten die Parthen dafür, daß solches auch dermalen mehr nicht werth seÿe also offenbar daß obiger Fuß zur berechnung des wahren Werths nicht adoptirt werden können, weshalben verglichen maßen unter Vorbehalt des Eigenthums ratione Legitimæ, solches Häußlein hier in Auswurf gebracht wird mit dem Ankaufpreis von 800 lb. Darüber besagt eine in hießiger Contract Stube den 19. maÿ 1789 errichtete Kauffverschreibung ausweißend wie daßelbe von Joh: Georg Sattler dem Zimmergesell alhier, erkauft worden, Wobeÿ ferner ein ältere Kauffbrieff vom 25. Septembris 1784
Ergäntzung Nach Masgab des A° 1783 durch mich Notarium aufgerichteten Inventarii
Series rubricarum hujus Inventarii, haussteuren 11 lb, Sa. Hausraths 430 lb, Sa. Silbers 23 lb, Sa. Schulden 200 lb, Ergäntzung ist per Rest 2239 lb, Summa summarum 2893 lb
Die theibare Nahrung, Sa. Hausraths 226 lb, Sa. Waaren wie auch Schiff und geschirr zur Leinenweber Profession gehörig 1829 lb, Sa. baarschafft 96 lb, Sa. Eigenthum ane Häußern 4000 lb, Sa. Schuld 177 lb, Summa summarum 6329 lb – Schulden 5372 lb, Nach deren Abzug 957 lb – den 30 Mess. 5
Copia der Eheberedung (…) den 21. jan. 1783, Johann Andreas Becker Not.
Enregistrement de Strasbourg, acp 53 F° 97-v du 3 therm. 5
Ignace Heckmann se remarie avec Salomé Hoh
1797 (22 therm. 5), Strasbourg 15 (4), Not. Lung
Eheberedung – persönlich erschienen der bürger Ignatz Heckmann, Leinenweber und Witiber, als Hochzeiter ane einem,
und die bgrin Salome Hoh, weiland Georg Hoh, des bgrs und Gärtners daher, mit auch weil. bgrin Maria gebohrner Mortz ehelich erzeugt und nachgelaßene großjährige tochter, als braut
alhier Zu Straßburg den 22. Thermidor im Fünfften Jahr der fränckischen und untheilbaren Republick oder 9. Augusti A° 1797. alten Stÿls [unterzeichnet] Ignatius Hekmann, Salomea hoh
(enregistrement, revenu industriel 90 fr)
Enregistrement de Strasbourg, acp 53 F° 169 du 30 therm. 5
Ignace Heckmann meurt en 1824 en délaissant deux enfants de son premier mariage et un du deuxième.
1824 (29.11.), Strasbourg 14 (80), Me Lex n° 2940
Inventaire de la succession d’Ignace Heckmann, tisserand décédé le 7 septembre dernier – à la requête de Salomé Hoch la veuve, dans une maison sise au Marais Verd n° 135 et rue Clément n° 8 derrière
Dénomination des héritiers, A. de son premier mariage avec Marie Marguerite Laugel 1. Ignace Heckmann, tisserand, 2. Georges Heckmann ouvrier en soie
B. de son mariage avec la veuve 3. Marie Salomé Heckmann majeure – Contrat de mariage reçu par Lung le 22 thermidor 5 (9 août 1797)
fortune personnelle du défunt, inventaire des apports. La moitié indivise d’une maison d’habitation, petite cour, appartenances et dépendances sise à Strasbourg au Marais Vert n° 135 et dans la rue Clément n° 8, d’un côté la rue Clément d’autre et derrière la propriété du Sr Flach jardinier, devant la rue du Marais Verd – acquis de la communauté avec sa première femme à la Chambre des Contrats le 14 mars 1789, la communauté est partageable par moitié suivant acte reçu Becker le 21 janvier 1783. Suivant inventaire de succession dressé par Me Lung le 9 messidor 5, la moitié est revenue aux enfants mais François Etienne l’un d’eux décédé ab intestat le 10 août 1809
passif 3874 fr
mobilier 3513 fr, créances 953 fr, remplois 663 fr, ensemble 13.730 fr
Communauté. mobilier 1418 fr, marchandises 2737 fr, créances 360 fr, numéraire 362 fr, ensemble 4818 fr, passif 1681 fr – garde robe 231 fr, (remploi actif du défunt 3513 fr, remplois passifs 3974 fr, dettes actives 953 fr, passif 52 fr, remploi actif de la veuve 1681 fr)
Enregistrement de Strasbourg, acp 170 F° 171-v du 3.12.
Ignace Heckmann et Salomé Hoh vendent la maison 790 francs au maçon Balthasar Nick et à Anne Marie Jacob
1809 (1.9.), Strasbourg 3 (55), Not. Übersaal n° 2424, 5027
Ignace Heckmann tisserand demeurant rue Clement n° 8 au marais verd et Salomée Hoh
à Balthasar Nick maçon demeurant fauxbourg de Pierre n° 37 et Anne Marie Jacob sa femme
une maison avec cour appartenances et dépendances située en cette ville rue de la Soupe à l’eau n° 7, d’un côté la propriété de Tuba journalier, d’autre et derrière celle de Jean Philippe Helck brasseur à l’ancre – acquise par acte passé à la Chambre des Contrats le 19 mai 1786 dont il résulte qu’elle lui a été vendue par Jean Georges Sattler charpentier en cette ville auquel elle avait été cédée par Marie Barbe Seiler veuve de Pierre Zell tailleur de pierres, par acte à ladite Chambre des Contrats le 25 septembre 1784 – moyennant 790 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 113 F° 47-v du 11.9.
Balthasar Nick épouse Elisabeth Eisenmann, veuve de Wunibald Sugg
Fils de Joseph Sugg, maître maçon à Wolfartsweiler en Souabe (Bas Saulhau), le compagnon maçon Wunibald Sugg et Elisabeth Eisenmann, fille du manant garçon batelier Mathias Eisenmann, font dresser en janvier 1773 un état de leur fortune pour accéder à la manance.
1773 (7.1.), Not. Anrich (6 E 41, 1501) n° 120
Designatio derjenigen vermögenschafft, so Wunibald Suck der Maurergesell und weiland Joseph Sucken geweßenen Maurermeisters zu Wolffertsweÿler in Schwaben ehelicher sohn und Frau Elisabetha geborne Eisenmännin, weiland Matthias Eisenmanns geweßenen Schiffknechts und schirmers dahier eheliche tochter beede hieselbsten wohnhaffte Eheleuth nach Vordersamst mir Notario ane Eÿdes statt abgelegter Handtreu eigenthümlichen zu besitzen angegeben
Sa. hausraths 145 lb, Sa. silbers 18 lb, Sa. goldene ringe 13 lb, Sa. baarschafft 16 lb, Summa summarum 193 lb
[unterzeichnet] Wunibald sugg, + Elisabethæ Eisenmännin handzeichen
Wunibald Sugg et sa femme ne sont pas reçus manants suite aux excès que rapporte l’avocat général Fischer.
1778, Conseillers et XXI (1 R 261)
Wunibald Sugg der steinhauer aus Schwaben et uxor von hier werden werden p° receptione in den schirm noch Zur Zeith nicht angehört. 23.
der Schirmer aufnahm wegen soll eine verordnung gemacht Zudem end wird eine Deputation ernant. 25.
(p. 23) Montag den 26. Januarii 1778 – Lect. so dann fünff von seithen löbl. Schirmgerichts ad protocollum übergebene Memorialia pt° gnädiger reception in den schirm
3° Wunibald Sugg der Maurer steinhauer von Hohenthengen in Schwaben so acht jahr alhier in arbeit gestanden et uxor Elisabetha weil. Mathis Isenmanns geweßten schirmers dochter nachgelaßenee tochter, producirt tauf und Ehe extractum, besitzet 772. lb 18 s uberigen haabschafft lauth Summarisch von H. Not. Anrig gezogenen Calcul und woll Joh: Weißmantel der burger und schuemacher alhier die Caution Versprechen.
H. General Advocat Fischer meldete, er müße vielfältig mit verwunderung anhören, wie viele schirmere alhier angenommen werden, wovon grösten theils viele hergeloffene leuthe, die einige Zeith wo sie aufgenommen ein geringes beÿtragen, bald aber den offentlichen Allmosen Zulast fallen, nun ist wohl eine Stätt zu bevölckern aber Keines weegs mit bettlern, weniger aber mit leuthen die professionen Zutreiben soch anmaßen, und dadurch hießigen burgerlichen handwercks leuthen die kundschafften und Nahrung benehmen, er habe würcklich anheute beÿ E E Großen Rath ein Criminal Geschäft Zu referiren, welcher ein schirmer und ich vor einen so genannten regiments schneider außgibt und wegen einen entwendeten diehlen eingezogen worden, beÿ solchen Umbständen hielte er ohnmasgeblich davor, daß die Hh Obere Schirmherren Zu ersuchen, beÿ annahm schirmer etwas scharfsamer Zu verfahren und selbige schirmers Kinder, welche ein jus quæsitum vor sich haben, leuthe, die lange alhier gedienet und dergleichen, andere aber die frembde und so gar handwercker treiben, denen Zünften solche declariren und überhaupt eine ordnung dahin projectiren und hiehero referiren, damit in zukunft dießem über vorgebogen werden, als biß wohin die heutige Imploranten Zu weißen.
Dießemnach wurde vermittelts gehaltener Umbfrag per Majora Erkandt, solle wegen annahm derer schirmere eine Ordnung beÿ einer abzuordnenden hochansehnlichen Deputation projectirt anhero wieder referirt und die vier letztere Imploranten biß dahin abgewießen, Joh: Armbruster aber als ein hiesiger schirmers sohn ad recipendum gewießen.
Depp H. Stättmstr von Berckheim, H. Ammeister Kien, H. XIII. Städel, H. XV. Wencker, H. XXI Weinemer, H. Rathh. Böhm, H. Rathh Mainoni mit Zuziehnung der Oerschirmherrn und der Hh. G.al Advocaten
Ils sont reçus manants l’année suivante. Wunibald Sugg déclare travailler à Strasbourg depuis dix ans et être marié avec Elisabeth Eisenmann depuis 1773. Il fait état d’une fortune de 193 livres
1779, Conseillers et XXI (1 R 262)
Wunibald Sugg der Maurergesell von Wolfartsweiler in Schwaben et uxor Elisabeth Eisenmännin Von hier werden in den schirm recipirt. 108
(p. 108) Sambstag den 13. Martÿ 1779. – Lect. folgende von seithen löbl. Schirmgerichts ad protocollum übergebene acht Memorialia vermög deren folgendt umb reception in den schirm anflehen.
3° Wunibald Sugg der Maurergesell von Wolfartsweiler in Schwaben, so seit 10 Jahr alhier in arbeit, seit 1773. mit Elisabetha Eisenmännin der hiesigen schirmers tochter verheurathet, prod. tauf, Ehe und wohlverhaltens scheine benebst 193 lb 4 ß 6 d eigenthümlich Vermögen und will Georg Friderich Hüttner der burger und Maurer meister die erforderliche Caution Versprechen.
Nach angehörtem voto H. General Advocat Mogg, welcher gemeldet, daß angesehen verschiedene von denen Imploranten hiesige schirmers Kinder, andere die erforderliche eigenschafft vor ich haben, als hielte er davor, daß denenselben mit gebettener aufnahm in den schirm zu wilfahren wäre.
Dießemnach wurde vermittelst gehaltener Umbfrag Erkandt worden samtliche Imploranten unter vorgestandenen und genehmigte, bürgschafften als habiles ad recipiendum an löbl. Schirmgericht gewießen.
Deppi H. Rathh. Lamasse, H.Rathh. Strohl.
Fils d’un maçon de Zellingen dans le diocèse de Wurtzbourg, Balthasar Nick épouse en février 1788 Elisabeth Eisenmann, veuve de Wunibald Sugg
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 20) Hodie 4. Februarii anni 1788 (…) S. matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Balthasar Nick Cæmentarius Professione suâ, filius majorennis Mathiæ Nick Civis et Cæmentarii ex Zellingen Diœcesis Herbipolensis et defunctæ Sibillæ Weiglerin quondam conjugum ibidem, ratione domicilii ab anno Parochianus noster Et Elisabetha Eisenmann vidua defuncti wunibaldi Suck tutelaris et Cæmentarii dum viveret hujatis Parochiana nostra (signé) signum sponsi x, signum sponsæ x (i 12)
Originaire de Zellingen, dit ici dans le diocèse de Constance, Balthasar Nick accède à la manance par décision des Conseillers et des Vingt-et-Un le 23 février 1788. Il déclare avoir une fortune de 300 florins et travailler à Strasbourg depuis dix ans dont cinq au service du maître maçon Klotz
1788, Conseillers et XXI (1 R 271)
(p. 68) Sambstag den 23. Februarius 1788 – Lectum vier von Löbl. Schirmgericht ad protocolllum gegebene Memorialia, um aufnahm in den schirm.
4. Balthasar Nick der Maurergesell von Zellingen Constantzer bischthums, welcher 10 darunter 5. Jahr in Continuum beÿ Mr Klotz Maurermeister alhier in arbeit stehet und ferner also sein brod verdienen will, auch laut attestati 300 fl. Reichs Valor im Vermögen hat, seit 4. Februarÿ jüngst ohne vorher nach ordnung sich gemeldet Zuhaben, verheurathet mit Elisabetha Weil. Wunibald Sugg geweßenen Maurergesell und Schirmers alhier hinterbliebenen Wittib ohne Vermögen, bitten E. G. unterthänigst um gnädige Aufnahm in alhießigen Schirm unter Caution August Ernst Deberich des Schneiders und burgers mit dispenz des der Ehefrauen manglenden Vermögens auch mit Condonation des begangenen Fehlers wegen bereit Vollzogener Heurath Implorant als fremd hat übrigens die erforderte dienstjahr, Vermögen, Nahrung und bürg als Requisita Zur Aufnahm produciren.
Nachdem auf deren Verlesung herr General advocat Mogg sich dahin vernehmen laßen, daß die sämtl. Imploranten aus den angezogenen gründen wohl mögen von Mhh. mit güte und nachsicht behandelt werden, er es also zu hochdenenselben stelle dispensando von den beÿ einig. manglenden requisitis und in ansehung des von lezterer partei durch wider ordnung vollzogene heurath begangenen fehlers condonando dieselbe ad recipiendum an die hoch und wohlverordnete Oberschirm herren zurückzuweißen.
Als ist vermittelst angestelter Umfrag auf die Ansprach des auf der Oberbanck vorsitzenden herrn Stettmeisters von Wurmßer, Erk. daß sämtliche Imploranten, jedoch benöthigt. fals dispensando von dem manglenden Vermög. und den abgehenden dienstjahr. auch in ansehung letzterer parthen condonando derwegen gegen ordnung vollzogener heurath begangenen fehler, jedoch solches unter Erlag der gewöhnlichen straf und sämtl. unter leistung der bürgschaft, so dieselbe bereits angezeiget, ad recipiendum in den Schirm an die hoch und Wohlverodneten Oberschirm herren zu verweien seÿn
Worauf die bürgen auch als bald vorgestanden und die bürgschaft angelobet, hr. Rth. Fäßler hr. Rathh. Weiler.
Balthasar Nick vend la moitié de la maison à Anne Marie Jacob, femme abandonnée de Jacques Bier qu’il avait déclaré être sa femme au contrat d’achat
1811 (1.6.), Strasbourg 14 (47), Not. Lex n° 5248
Balthasar Nick maçon
à Anne Marie Jacob femme de Jacques Bier ci devant scieur de planches demeurant en cette ville présentement absent depuis 21 ans
la moitié d’une maison rue de la Soupe à l’Eau n° 7, d’un côté la propriété de tuba d’autre Jean Philippe Helck brasseur à l’ancre devant la rue derrière un jardin – acquis par acte reçu Ubersaal le 8 septembre 1809 achetée solidairement avec Balthasar Nick dont elle a déclaré etre la femme lors de la passation du même contrat – moyennant 400 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 117 F° 75-v du 8.6.
Originaire de Gueberschwihr en Haute-Alsace, le journalier Jean Jacques Bier épouse en 1791 Anne Marie Jacob, originaire de Dachstein
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 47)
Anno Domini 1791 die 23 Maji (…) sacro matrimonii vinculo conjuncti fuerunt Joannes Jacobus Bier oriundus ex Geberswühr diœcesis superioris rheni operarius diurnus joannis Jacobi Bier et Annæ Mariæ Schacherey in Geberswühr conjugum civium filius majorennis ex una et Anna Maria Jacob defunctorum guillelmi Jacob et Mariæ Lœffer in vivis conjugum civium in Dachstein commorantium filia legitima ex altera partibus (signé) Jacob Bier, signum sponsæ x (i 29)
Extrait du registre de population des années 1820
600 MW 32, p. 354. Rue de la soupe à l’eau n° 7
Bier, née Jacob, Anna Maria 1760, veuve (née à) Dachstein (à Strasbourg depuis) 1778
Bier, Marie Anne, 1800, Strasbourg
Bier, Balthasar, 1803, Strasbourg (ensuite) même rue 59
Bier, Gaspard, 1803 Strasbourg ensuite) Coin brûlé 24
Bier, Jean Jacques, 1792, Journalier, Strasbourg (auparavant) R Soupe à l’Eau 53, E. janvier 1853 de la même rue 53
id. née Bronner, 1797, Ep., Strasbourg
Bier, Jean Jacques, 1821. 17. 7bre, décédé le 21 8.br 1821
id. Catherine Salomé, 1823, 10. Janv., de la même rue 53
Bier née Lannoy, Elisabeth, 1806, Ep. de Balthasar, (née à) Lembach, E. av. 1825
Anne Marie Jacob vend la maison à son fils journalier Jean Jacques Bier et à Marie Salomé Brunner
1832 (18.1.), Strasbourg 7 (84), Me Stoeber n° 13.852
Anne Marie Jacob femme de Jean Jacques Bier, autrefois soldat au 5° d’artillerie autorisée ad hoc par la justice le 7 décembre dernier
à Jean Jacques Bier son fils, journalier, et Marie Salomé Brunner
une maison sise en cette ville rue de la Soupe à l’Eau n° 7 d’un côté le Sr Helck brasseur, d’autre la veuve Eckert, par devant la rue, par derrière le jardin de la veuve Lauth – acquise par moitié de Balthasar Nick, maçon, suivant acte reçu Lex le 1 juin 1811. Ledit Nick et la femme Bier ont acquis conjointement la maison entière d’Ignace Heckmann, tisserand, et de Salomé Hoh demeurant rue de Clément n° 8 au marais Verd suivant acte reçu Ubersaal le 8 septembre 1809. Les conjoints Heckmann ont acquis ledit immeuble à la Chambre des Contrats le 19 mai 1786 sur Jean Georges Sattler, charpentier, auquel elle avait été cédée par Marie Barbe Seiler veuve de Pierre Zell par acte passé à la Chambre des Contrats le 25 septembre 1784 – moyennant 500 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 208 F° 3 du 26.1.
Jean Jacques Bier épouse en 1819 Marie Catherine Salomé Brunner, fille de journalier
Mariage, Strasbourg (n° 178)
Acte de mariage célébré le 7 juin 1819. Jean Jacques Bier, majeur d’ans, né en légitime mariage le 7 septembre 1791 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Ouvrier en tabac, fils de Jean Jacques Bier, ancien militaire, et d’Anne Marie Jacob, ci présente et consentante,
Marie Catherine Salomé Brunner, majeure d’ans, née en légitime mariage le 7 vendémiaire an VI à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de Thomas Louis Bronner, journalier en cette ville et de Marie Salomé Lienhard, ci présente et consenstante. Le dit époux déclare par serment qu’il est dans l’impossibilité de produire la preuve de l’absence de son père, faute de connaître le lieu de son dernier domicile, (signé) Bier, Salomea Buner (i 22)
Jean Jacques Bier et à sa femme Marie Salomé Brunner vendent la maison 1 200 francs à Jean Prouzien et à sa femme Catherine Emmery
1834 (13.1.), Strasbourg, Me F. Grimmer (minutes en déficit) – Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 277, n° 83 du 17 janvier
Jean Jacques Bier, journalier, et Marie Salomé Bronner
à Jean Prussien, maçon, et Catherine Ammérich
une maison sise en la ville de Strasbourg rue de la Soupe à l’Eau n° 7, d’un côté Sr Helck brasseur, d’autre la veuve Eckert, derrière le jardin de la veuve Lauth, de plus un poele en fonte qui se trouve au rez de chaussée avec tuyau et pierre enfin une porte qui servant au rez de chaussée – acquise d’Anne Marie Jacob femme de Jean Jacques Bier autrefois soldat au 5° régiment d’artillerie à Strasbourg leur mère suivant acte reçu Stoeber le jeune le 18 janvier 1832 transcrit au bureau des hypothèques volume 254 n° 35, à charge d’entretenir la venderesse – moyennant 1200 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 222 f° 90-v du 15.1.
Originaire de Cornille en Dordogne, Jean Prouzien épouse Catherine Emmery, veuve de François Desjardins. Leur fille unique Françoise aura une fille naturelle Adéle Bernard et une fille naturelle légitimée Marie Delsol avec le soldat Delsol. Après la mort de Catherine Emmery, Adèle Bernard cède ses droits à sa mère, de sorte que la maison appartient pour moitié à Jean Prouzien et pour moitié à Marie Delsol – Extrait des registres de population
600 MW 32, p. 354.- Rue de la soupe à l’eau n° 7
Prouzien, Jean, 1783, Journalier
id. née Emmery, Catherine, 1779
Bernard, Adèle, 1825, Enf. N. de feu la fille Prouzien
Delsol, Marie, 1828, id.
600 MW 180, p. 92. Rue de la soupe à l’eau n° 7
Delsol, Marie, 28 avril 1827, St Gery, Lot, Ouvrière en robes, (à Strasbourg) depuis son enfance, (sortie) 31 Xbr 46, faub. de Saverne 12, fe Kieffer
600 MW 177 Faubourg de Saverne n° 12 (i 94)
Kieffer, Louis, 1809 Strasbourg, tailleur (auparavant) même rue 33 (entrée) 31. Xbr 1846, (ensuite) 24 août 1848 même faubourg 49
idem née Delsol, Marie, 1827 St Géry, Lot, (à Strasbourg) depuis son enfance (auparavant) r. S. à l’eau 7
id. Louis Eugène 14. 7.br 1847 Strasbourg
(voir n° 49, i 195)
Décès, Strasbourg (n° 87)
Acte de décès. Le 10 janvier 1853 (…) Jean Prouzien, âgé de 70 ans, né à Cornille (Dordogne), journalier, domicilié à Strasbourg fils de feu Jean Prouzien cultivateur et de feu Marie Maraul est décédé le 10 janvier place de l’hôpital civil N° 14 (Phthisie) i 23
Marie Delsol épouse en 1846 le tailleur Louis Kieffer
Mariage, Strasbourg (n° 549)
Du 31° jour du mois de décembre 1846. Acte de mariage de Louis Kieffer, majeur d’ans, né en légitime mariage le 5 décembre 1809 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Tailleur fils de feu Pierre Kieffer, Journalier décédé en cette ville le 5 avril 1833 et de Marie Durhorn domiciliée ne cette ville ci présente et consentante
et de Marie Delsol, mineure, née hors le mariage le 28 avril 1828 à St Gery (Lot) domiciliée à Strasbourg, assistée de de Jean Georges Stahl, imprimeur de papier peint son tuteur domicilié en cette ville, fille reconnue de feu Jean Delsol, Chasseur au 16° régiment d’infanterie légère décédé à L’isle St Louis (Sénégal) le 31 août 1830 et de feue Françoise Prouzien décédée à St Louis (Sénégal) le 25 septembre 1830 (signé) Kieffer, Marie delsol (i 39)
Louis Kieffer et sa femme Marie Delsol d’une part, Jean Prouzien d’autre part hypothèquent la maison au profit du marchand de poissons Jean Georges Artzner
1848 (27.6.), Strasbourg 10 (111), Not. Zimmer n° 7171
Obligation – Ont comparu 1. Mr Louis Kieffer, tailleur et dame Marie Delsol sa femme de lui dûment autorisés à l’effetd es présentes, 2. Mr Jean Prouzien, sans état, tous demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels reconnaissent devoir
à Mr Jean Georges Artzner, marchand de poissons demeurant et domicilié à Strasbourg, la somme principale de 1200 francs
(hypothèquent) Une maison, sise à Strasbourg, rue de la soupe à l’eau n° 7, d’un côté Mr Helck, ancien brasseur, de l’autre la veuve Eckert, par derrière M. Lauth. L’immeuble ci-dessus hypothéqué appartient pour moitié à M. Prouzien et pour l’autre moitié à Mme Kieffer suivant 1) un acte de vente passé devant Mr Georges Louis Frédéric Grimmer notaire à Strasbourg le 13 janvier 1834, 2) un acte de vente de droits successifs reçu par Me Striffler, notaire à Strasbourg le 22 mars 1846 et 3) un acte rectificatif de qualité d’héritiers reçu par Me Noetinger notaire à Strasbourg le 3 juin 1835
Les mêmes vendent la maison à Madeleine Stahl veuve de Philippe Frédéric Lauth qui est propriétaire de la maison à l’arrière (actuel 10, rue du Faubourg de Pierre)
1852 (26.2.), Me Grimmer
Furent présens Premièrement le sieur Jean Prouzien, autrefois maçon aujourd’hui ouvrier à l’arsenal de Strasbourg demeurant et domicilié en cette ville, Secondement Le sieur Louis Kieffer, épicier et sous son autorisation spéciale Dame Marie Delsol son épouse demeurant et domiciliés en ladite ville (vendent)
à Madame Madeleine Stahl veuve de Monsieur Philippe Frédéric Lauth, propriétaire à Strasbourg, elle y demeurant et domiciliée
Une maison située à Strasbourg rue de la soupe à l’eau n° 7, d’un côté le sieur Helck brasseur de l’autre la veuve Eckert et donnant par derrière sur le jardin de la propriété Lauth. (…) Ledit immeuble est devenu la propriété dudit sieur Jean Prouzien, par erreur orthographié Prussien et de Dame Catherine Ammerich sa femme défunte comme l’ayant acquis du sieur Jean Jacques Bier journalier et de Dame Marie Salomé Bronner sa femme de Strasbourg suivant contrat reçu par le soussigné notaire Grimmer le 13 janvier 1834 transcrit au bureau des hypothèques de la même ville le 17 du mois de janvier volume 277 n° 83 pour la somme de 1200 francs qui se trouve quittancée dans l’acte après le décès de la femme Prouzien née Ammerich veuve en premières noces de François Desjardins, sa fille Françoise Prouzien veuve de Jean Delsol chasseur à la troisième compagnie du premier bataillon du 16° régiment d’infanterie légère était seule et unique héritière, icelle étant décédée a délaissé pour seule héritiere sa fille légitime Marie Delsol épouse Kieffer pour 5/6 et Demoiselle Adele Bernhardt son enfant naturel reconnu tant par elle que par François Bernard, tambour au bataillon des pontonniers pour l’autre 6°, ainsi que ces qualités se trouvent établies par un acte dressé par Me Noetinger notaire à Strasbourg le 3 juin 1835 rectificatif d’un acte de notoriété antérieurement reçu par le même notaire le 26 février 1833.
Ladite fille Adèle Bernard suivant acte passé devant M° Striffler autrefois notaire à Strasbourg le 22 mars 1846 a cédé tous ses droits héréditaires dans la succession de sa mère Françoise Prouzien veuve Delsol pour la somme de 350 francs payés comptant à la Demoiselle Marie Delsol aujourd’hui épouse Kieffer sa sœur. Il appert donc des actes ci-dessus relatés que la Dame Kieffer est seule propriétaire de la moitié de l’immeuble vendu et le sieur Prouzien son aïeul de l’autre moitié. Quant aux anciens titres de propriété ils se trouvent relatés en l’acte de vente du 13 janvier 1834 sus allégué. Les vendeurs déclarent sous les peines de la loi qu’outre une somme de 1200 francs qu’ils doivent à Monsieur Jean Georges Artzner (…) l’immeuble vendu est franc et quitte de toutes autres dettes rentes privilèges et hypothèques. La vente a été faite (…) pour la somme de 1600 francs
acp 407 (3 Q 30 122) f° 63 du 28.2.
Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 543 (2766) n° 53 du 3 mars
Philippe Frédéric Lauth épouse Marie Madeleine Stahl en 1831
1831 (27.4.), Strasbourg, Me F. Grimmer (minutes en déficit)
Contrat de mariage, communauté d’acquets sous réserve des apports – Philippe Frédéric Lauth, employé aux archives de la préfecture du département du Bas Rhin fils de Jean Frédéric Lauth, brasseur, et de Marie Salomé Vogt
Marie Madeleine Stahl fille majeure de feu Jean Michel Stahl, marchand de bois, et d’Anne Marie Vogt
Enregistrement de Strasbourg, acp 203 F° 200 du 7.5.
Inventaire dressé après la mort de Philippe Frédéric Lauth
1839 (19.9.), Strasbourg, Me F. Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire de la communauté qui a existé entre Madeleine Stahl veuve de Philippe Frédéric Lauth et de la succession de son mari défunt – à la requête de la veuve mère et tutrice légale de Philippe Frédéric Lauth et 2. Frédéric Ernest tous deux mineurs
Enregistrement de Strasbourg, acp 271 F° 73 du 28.9.
Marie Madeleine Stahl veuve de Philippe Frédéric Lauth et son fils vendent la propriété sise 10 Faubourg de Pierre au bijoutier joailler Paul Emile Wagner et à sa femme Emilie Parrot
1858 (21. 7.br), Me Grimmer
Marie Madeleine Stahl veuve de Philippe Frédéric Lauth, propriétaire, et Philippe Frédéric Lauth, licencié en droit, avocat à Strasbourg
à Paul Emile Wagner, bijoutier joailler et Emilie Parrot sa femme à Strasbourg
une maison consistant en bâtiment de devant, aile à droite et à gauche, bâtiment au fond de la cour, maison de derrière sise à Strasbourg faubourg de Pierre N° 92 ancien et N° 10 nouveau – moyennant 100.000 francs
acp 472 (3 Q 30 187) f° 56 du 25.7.br
Fils de négociant, Paul Emile Wagner épouse en 1858 Louise Emilie Parrot
1858 (27.2.), Strasbourg 10 (135), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 12.424
Contrat de mariage – Ont comparu 1. Monsieur Paul Emile Wagner, bijoutier, demeurant et domicilié à Strasbourg, né en cette ville le 4 mars 1827 du légitime mariage de Monsieur Jean Jacques Wagner, négociant demeurant et domicilié en la même ville etd e Dme Anne Barbe Rothenbach, son épouse défunte, futur époux d’une part
Mademoiselle Louise Emilie Parrot, mineure, sans état demeurant et domiciliée à Strasbourg, née à Montbéliard le 12 novembre 1838 du légitime mariage de Monsieur Charles Frédéric Parrot, négociant domicilié à Strasbourg et de Dame Catherinee Frédérique Tueferd sa défunte épouse, agissant sous l’assistance de so, père ci présent, future épouse d’autre part
acp 467 (3 Q 30 182) f° 35 du 1.3. – stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié
Le survivant des futurs époux aura en outre l’usufruit des biens meubles et immeubles composant la part du prédécédé dans ladite société d’acquets
Les apports du futur consistent 1) en ue somme de 41.200 francs à laquelle sont évalués les objets mobiliers que le futur époux possède et sa part dans le fonds d’horlogerie et de bijouterie qu’il exploite avec le Sr Sigel de Strasbourg
Donation par Adèle Denise Gloxin épouse du Sr Wagner susdénommé au futur son beau fils ce acceptant d’une somme de 25.000 francs
les apports de la future épouse consistent 1) en un pré ban de Montbéliard lieu dit Thiergarde estimé à 4500, Un jardin à Montbéliard estimé 5000, une somme de 10.600 francs lui revenant dans la succession de ses aïeux, une somme de 15.000 lui revenant dans la succession de sa tante Catherine Tueffert
Donation par le Sr Parrot à la future épouse a feile ce acceptant d’une somme de 25.000.
Le survivant aura le droit de prélever tant dans la masse de la communauté que dans celle de la succession du prédécédé tels objets mobiliers qu’il lui plaira au prix d’estimation de l’inventaire
Paul Emile Wagner et Emilie Parrot vendent la maison au manufacturier Théodore Lamasse et à sa femme Caroline Marie Camille Becker
1864 (4.2.), Me Noetinger
Paul Emile Wagner, négociant, et Emilie Parrot sa femme à Strasbourg
à Théodore Lamasse, manufacturier, et Caroline Marie Camille Becker sa femme à la Robertsau
une Maison sise à Strasbourg rue du faubourg de Pierres N° 10 donnant rue de la Soupe à l’Eau N° 11 – moyennant 100.000 francs
à compte de laquelle somme les acquéreurs sont délégués de payer en l’acquit des vendeurs la somme de 80.000 francs à Marie Madeleine Stahl veuve de Philippe Frédéric Lauth et ) Philippe Frédéric Lauth fils avocat à Strasbourg, créanciers suivant acte reçu Grimmer le 21 septembre 1858 – Origine, vente reçue Grimmer le 21 7.bre 1858.
acp 530 (3 Q 30 245) f° 3 du 12.2.
Le fabricant de bougies Théodore Lamasse épouse en 1859 Caroline Marie Camille Becker, fille de négociant
1859 (3. 9.bre), Strasbourg 4 (118), Not. Lauth n° 9170
Contrat de mariage – Ont comparu M. Théodore Lamasse, fabricant de bougies demeurant et domicilié à la Robertsau, banlieue de Strasbourg, fils majeur et légitime de M. François Xavier Lamasse, en son vivant ancien négociant à Mayence et Dame Agnès Haehl sa veuve demeurant aussi à la Robertsau (…) d’une part
Mademoiselle Caroline Marie Camille Becker, sans état demeurant à Strasbourg fille majeure & légitime de M. Joseph Becker, négociant et de Dame Cécile Caroline Fels son épouse demeurant et domiciliés en la même ville (…) future épouse d’autre part
acp 482 (3 Q 30 197) f° 69-v du 5. 9.bre – Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent dans sa part dans la fabriqu de bougies établie à la Robertsau sous la raison Lamasse et Cie dont le futur époux est gérant laquelle part est estimée à 30.000 francs
Donation par les conjoints Becker à la future épouse leur fille ce acceptant en avancement d’hoirie, 1) d’une somme de 25.000 francs 2) Un trousseau estimé à 5000 francs
Donation réciproque par les futurs au survivant de toute la succession réductible à moitié en cas d’existence d’enfants
Théodore Lamasse meurt en mars 1870. L’inventaire mentionne que la maison arrière a été reconstruite par la veuve Lauth
1870 (3.5.), Strasbourg 4 (131), Not. Auguste Weiss n° 2275
Inventaire de la succession de M. Théodore Lamasse décédé manufacturier à Strasbourg le 22 mars 1870
L’an 1870 le Mardi 3 Mai à neuf heures du matin à Strasbourg en la demeure mortuaire, à la requête de Dame Caroline Marie Camille Becker, sans état, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Théodore Lamasse décédé manufacturier en le même ville, agissant dans les qualité suivantes 1) à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts qui a existé entre elle et son défunt mari aux termes de leur Contrat de mariage passé devant M° Lauth précécesseur imédiat de M° Weiss le 3 novembre 1849 et suivant ci après analysé, 2) comme donataire en usufruit pendant sa vie sans être tenue de donner caution ni de faire remploi de la moitié de tous les biens meubles et immeubles sans aucune exception dépendant de la succession de son mari aux termes du Contrat de mariage ci-dessus énoncé, 3) comme mère et tutrice légale de de Marie Joseph Théodore Maurice Lamasse né le 5 octobre 1850, Marie Mathilde Lamasse née le 19 avril 1855 et Paul Xavier Henri Lamasse né le 25 avril 1859, 4) et comme ayant la jouissance légale des biens de ses enfants mineurs (…). Lesdits trois mineurs Lamasse frères et sœurs germains habiles à se dire et porter seuls héritiers chacun de pour un tiers dudit M Lamasse leur père défunt. En présence de M. Maurice Engelhard, avocat demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire de M. Edouard Lamasse chef de section au ministère de la guerre demeurant à Meudon (Seine-et-Oise) rue de l’Arrivée n° 5 (…) support tuteur des mineurs susnommés
le tout trouvé dans ine maison sise à Strasbourg rue du faubourg de Pierre n° 10 où M Lamasse est décédé le 21 mars dernier
acp 593 (3 Q 30 308) f° 49 du 13.5. (succession déclarée le 1° juillet 1871)
Communauté. Mobilier 6334 – Succession, garde robe 479
(vacation du 1 mars 1871) Contrat de mariage (…)
Acquêt de la communauté. Côte deuxième. Treize pièces qui sont La première l’expédition d’un contrat reçu par Me Victor Noetinger alors notaire à Strasbourg le 4 février 1864 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 19 février 1864 volume 971 n° 25, contenant vente au profit des époux Lamasse par M. Paul Emile Wagner négociant et dame Emilie Parrot Conjoints demeurant ensemble à Strasbourg de l’immeuble dont la désignation suit,
Une propriété sise à Strasbourg rue faubourg de Pierres N° 10 (ancien N° 92) ayant une issue dans la rue de la soupe à l’eau où elle porte le n° 11 (ancien n° 7) consistant en une maison de devant avec porte cochère à trois étages sur rez de chaussée, bâtiments d’aile se trouvant des deux côtés de la cour, bâtiments au fond de cette cour, maison de derrière contenant des magasins et un grenier à blé, deux cours, écuries, remises, buanderie, pompe, appartenances et dépendances, confrontée d’un côté par la propriété de M. Helck, de l’autre en partie par celle d Mad. Bilger et en partie par cette de M. Meyer devant par le faubourg et derrière par la rue de la soupe à l’eau. Cette vente a eu lieu pour le prix de 100.000 francs (…)
Propriété antérieure, En la personne des époux Wagner. Les époux Wagner étaient propriétaires dudit immeuble pour l’avoir acquis de dame Marie Madeleine Stahl veuve de M. Philippe Frédéric Lauth, propriétaire etd e Philippe Frédéric Lauth, avoat, les deux demeurant à Strasbourg suivant contrat passé devant Me Grimmer et son collègue notaires à Strasbourg le 21 septembre 1858 dont une grosse a été transcrite au bureau des hypothèques de ladite ville le 2 octobre suivant volume 744 n° 138 (…)
Du chef de Mad. Lauth et de M. Lauth. L’immeuble dont s’agit, sauf la partie indiquée plus loin, dépendait de la succession de M. Philippe Frédéric Lauth, propriétaire à Strasbourg où il est décédé, et a été recueilli par les deux enfants de ce dernier, ses seuls héritiers, M. Philippe Frédéric Lauth susnommé et M. Frédéric Emile Lauth ainsi que le constate l’inventaire dressé par M° Grimmer le 19 septembre 1839. M. Frédéric Emile Lauth étant décédé à Strasbourg ab intestat le 14 juillet 1842. la moitié de la maison qui lui était échue a été appréhendée pour un quart par sa mère, Mad. veuve Lauth ci dessus nommée et pour trois quarts par son frère M. Philippe Frédéric Lauth ainsi qu’il résulte d’une déclaration d’hérédité dressée à défaut d’inventaire par M. Grimmer le 11 janvier 1847.
Une partie de la maison de derrière a été construite sur un petit jardin qui faisait partie de la maison de devant et une autre portion de la même maison a été construite sur l’emplacement d’une petite maison que Mme veuve Lauth avait acquise pendant son veuvage de M. Jean Prouzien, ouvrier à l’arsenal autrefois maçon, ainsi que de M. Louis Kieffer épicier et de dame Marie Delsol son épouse tous demeurant à Strasbourg suivant contrat passé devant M° Grimmer et son collègue le 26 février 1842 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 3 mars suivant volume 543 n° 53
Partie ayant appartenu à M. Philippe Frédéric Lauth. (…)
Partie de derrière acquise par Mad. veuve Lauth née Stahl. Quant à la maisonnette de derrière aquise par Mme veuve Lauth de M. Prouzien, ce dernier en était propriétaire par suite de l’acquisition qu’il en avait faite Conjointement avec Catherine Ammerich son épouse défunte de M. Jean Jacques Bier journalier et de dame Marie Salomé Bronner, son épouse à Strasbourg suivant Contrat passé devant M° Grimmer le 13 janvier 1834 transcrit au bureau des hypothèques de la même ville le 17 du mois de janvier volume 277 n° 83. Le prix de cette acquisition se trouve quittancé au contrat. Après la mort de Mad. Prouzien née Ammerich veuve en premières noces de François Desjardins, sa part à l’immeuble échut à Mlle Françoise Prouzien sa fille veuve de M. Jean Delsol chasseur au premier bataillon du 16° régiment d’infanterie en qualité de seul et unique héritière de sa mère. Mais Madame Delsol étant décédée depuis, sa succession échur pour 5/6 à sa fille légitime Marie Delsol épouse Kieffer et pour 1/6 à Delle Adele Bernhardt, son enfant naturelle reconnue tant par elle que par M. François Bernhardt, tambour au bataillon des pontonniers, ainsi qu’il résulte d’un acte dressé par Me Charles Noetinger père le 3 juin 1835, rectificatif d’un acte de notoriété antérieurement reçu par le même notaire le 26 février 1833. Ladite fille Adèle Bernhardt a cédé ses droits héréditaires dans la succession de sa mère Mad. veuve Delsol à la Dame Kieffer sa sœur par acte passé devant M° Striffler alors notaire à Strasbourg le 22 mars 1846. Les époux Bier avaient été propriétaires du même immeuble pour l’avoir acquis de Madame Anne Marie Jacob épouse de M. Jean Jacques Bier autrefois soldat au 5° régiment d’artilerie à Strasbourg leur mère par contrat passé devant Me Stoeber père vivant notaire en la même ville le 18 janvier 1832 transcrit au bureau des hypothèques de la même ville le 6 juin suivant volume 254 n° 35
La deuxième pièce (…)
acp 597 (3 Q 30 312) f° 64-v du 10.3.1871 – Gütergemeinschaft. Ein Haus Zu Straßburg Steinstraß N° 10, aber abgebrannt
Schuldschein 2000
Caroline Marie Camille Becker veuve de Théodore Lamasse vend le terrain des bâtiments incendiés lors du bombardement (10, Faubourg de Pierre et 11, rue de ls Soupe-à-l’Eau) au marchand de papier Eugène Huber
1871 (14.12.), Auguste Weiss
Caroline Maria Camille Becker Wittwe von Theodor Lamasse lebend Fabrikant
zu Gunsten von Eugen Huber, Papierhändler und Lutgarde Schneider seines Ehefrau für 60.845 Fanken
Versteigerung eines Bauplatz von einem durch das Bombardement verbrannten Hauses herrührend, von einer Fläche von 10 ares 13 ca Steinstraße N° 10 und Waßer Suppen Straße N° 11
acp 602 (3 Q 30 317) f° 16-v du 22.12.
Eugène (Louis Joseph Florent Eugène) Hubert épouse en 1853 Lutgarde Schneider, fille du meunier de Seltz
1853 (1.10.), Strasbourg 15 (90), Not. Momy (Hippolyte) n° 908
Contrat de mariage – Sont comparus Monsieur Louis Joseph Florent Eugène Huber, relieur demeurant et domicilié à Strasbourg, fils majeur de M Florent Huber, médecin et de Marie Suzanne Faehndrich conjoints demeurant et domiciliés à Strasbourg d’une part
et Mademoiselle Lutgarde Schneider, fille majeure de M Félix Schneider, meunier et de Dame Marie Catherine Beyer conjoints avec lesquels elle demeure et est domiciliée à Seltz
Article six. Aux présentes sont intervenus Monsieur Florent Huber médecin et Madame Marie Suzanne Faehndrich son épouse, cette derniète de son mari dûment autorisée, lesquels déclarent faire donation par préciput sur leur future succession, au futur époux leur fils, ce acceptant, d’une Maison à rez de chaussée et trois étages, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des hallebardes N° 38 d’un côté M Leroux de l’autre M Hausknecht (…)
conjoints demeurant et domiciliés à Strasbourg
acp 423 (3 Q 30 138) f° 52 du 5.10. – stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts réserve d’apports et d’héritages.
Les apports du fonction consistent en ses outils et marchandises estimés à 8000 francs dont la donation lui a été faite à titre d’avancement d’hoirie par ses père et mère
Donation par les conjoints Schneider à la future épouse leur fille ce acceptant 1) d’une somme de 10.000 francs, 2) d’un mobilier estimé 2000
Donation par les conjoints Huber au futur époux d’une maison (…), capital 6000. L’immeuble donné estimé à un revenu annuel de 1050 francs
Le futur époux déclare ameublir et mettre en communauté la maison donnée.
Donation par les futur époux au profit du survivant d’eux en l’usufruit viager de tous les biens composant a succession du predécédé, réductible en cas d’existence d’enfants et si l’époux survivant convolerait en 2° noces, cette jouissance prendra fin du jour où les enfants issus du premier mariage atteindront leur maajorité.
Eugène Huber cède à la Ville un terrain par voie d’alignement (voir le plan correspondant dans le dossier de la Police du Bâtiment, reproduit en début de notice)
1872 (28. Juni) Maire
acp 607 (3 Q 30 324) f° 12 du 18.7.
Grundabtretung der nachgenanten Personen an die Stadt Straßburg zur Anlage von Ortsstrassen. Der Kaufpreis ist sofort aus der Stadt-Kasse zahlbar. Besitzantritt sogleich. Stadt Straßburg
2188. Eugen Hueber, Kaufmann, 3,65 Q Meter Wassersuppgasse N° 11, 109,50