3, rue du Faubourg National
Rue du Faubourg National n° 3 – I 290 (Blondel), P 365 puis (1875) P 48, ensuite section 49 parcelle 24 (cadastre)
Vue en mars 2018 – Même endroit, carte postale, vers 1920. Le n° 3 se trouve à droite du bâtiment d’angle – Vue en juin 2014
La maison comprenant un auvent est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom de Joël Leopard, receveur en chef du Grand hôpital, qui la loue au maréchal ferrant Michel Rebmann. Le charron Nicolas Hild vend en 1605 la maison d’angle en conservant la voisine, à côté du grenier de la Commanderie Saint-Jean. La maison appartient ensuite aux tonneliers Jean Ortung, Laurent Bierbaum et Sébastien Ritter (1634-1682) puis aux maréchaux ferrants Jean Jacques Hirsch, Jean Bernard Rutilius et Jonas Faudel qui est autorisé en 1699 à construire à l’aplomb de son encorbellement en avançant son mur de deux pieds neuf pouces comme l’avait fait son voisin une vingtaine d’années auparavant. A la mort de Jonas Faudel en 1729, la maison comprend une forge et une cave en partie voûtée et en partie solivée. Le maréchal ferrant Jean Jacques Klein n’est pas autorisé à établir un travail à chevaux devant sa maison mais devant celle de la Commanderie Saint-Jean en 1760. Originaire de Geispolsheim, l’aubergiste François Joseph Speiser supprime le travail en 1800. L’auberge au Cheval noir est vendue en 1802 par adjudication judiciaire à la veuve du consigne Jean Michel Klein. Le charcutier André Frédéric Gross l’achète en 1804 puis l’agrandit en 1809 en acquérant la maison sise à l’arrière (actuel n° 6 du quai Charles Altorffer) qui en sera détachée en 1887.
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 100 (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois. Sur le plan des Ponts-et-Chaussées de 1823, la maison a un rez-de-chaussée, deux étages, le tout en pierre. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve à droite du repère (k) : deux fenêtres et porte au rez-de-chaussée, deux étages à trois fenêtres chacun, toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour (D’) montre l’arrière (1-2) de la façade sur rue, le bâtiment arrière à gauche de (5), le bâtiment latéral (2-3) suivie d’un édicule. Le mur (1-5) clôt la cour vers le voisin à l’ouest. La cour (C’) montre la face sud (1-2) du bâtiment arrière.
La maison porte d’abord le n° 4 (1784-1857) puis le n° 3.
Cours (D’) et (C’)
Plans des Ponts-et-Chaussées en 1823 (N° 4 Rez de chaussée et 2 Etages, tout en pierre en bon Etat) et en 1853 (Grosz, veuve N° 4, 2 EPM, c’est-à-dire deux étages en pierre état médiocre) ADBR, cote 2 SP 52)
Charles Witt vend en 1887 au boucher Georges Hückel une maison à rez-de-chaussée et deux étages. Bien que le dossier de la Police du Bâtiment ne mentionne aucune construction, les dessins montrent un bâtiment à trois étages en 1921. L’acte de vente de 1887 (partie de la propriété quai Charles-Altorffer) dont l’acte de 1893 reprend les termes mentionne qu’André Frédéric Gross puis Charles Witt ont fait reconstruire des bâtiments. La reconstruction par Charles Witt a trait au bâtiment sur le quai, André Frédéric Gross pourrait avoir reconstruit le bâtiment vers le Faubourg blanc dans les années 1830 avant l’ouverture du cadastre.
Le boucher Jacques Gangloff n’est pas autorisé en 1894 à démolir et à reconstruire le bâtiment arrière en conservant les pans de bois, sa demande contrevenant au règlement. Il fait installer en 1910 des machines dans sa charcuterie. Louis Gangloff fait remplacer l’ancienne devanture par une nouvelle en 1921 sous la direction de l’architecte Georges Vogel. En 1939 il fait reconstruire deux étages et ajouter un nouveau, revêtir la nouvelle façade de carreaux de grès et poser une marquise qui sera démontée en 1976. La devanture de la boucherie est remplacée par une nouvelle en 1964. Henri Gangloff cesse son activité en 1969, le magasin est occupé par les établissements Expo Papiers Peints à partir de 1970 et par un photographe de 1982 à 1987 (Phot-express).
Plan, 1894, travaux non réalisés – Plan, 1910, pose de machines – Façade en 1921 (nouvelle devanture), dossier de la Police du Bâtiment
Vue vers 1942 (AMS, cote 1003 W 2, 779)
Transformation de la toiture, ancien en nouvel état (architecte Jean Moreau, 1985)
novembre 2023
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment dossier I, dossier II – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1591 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Joël Leopard, receveur, et (1586) Marie Held – luthériens | ||
1600* | v | Nicolas Hild, charron, et (1594) Agnès Schaller – luthériens |
1634 | v | Jean Ortung, tonnelier, et (1632) Susanne Gickel – luthériens |
1640 | v | Laurent Bierbaum, tonnelier, et (1639) Odile Demuth – luthériens |
1662 | h | Sébastien Ritter, tonnelier, et (1662) Odile Demuth d’abord (1639) femme de Laurent Bierbaum, puis (1673) Anne Wurtz – luthériens |
1673 | v | Jean Jacques Hirsch, maréchal ferrant, et (1673) Anne Marie Scheubel – luthériens |
1682 | h | Jean Bernard Rutilius, maréchal ferrant, et (1682) Anne Marie Scheubel, d’abord (1673) femme de Jean Jacques Hirsch – luthériens |
1693 | v | Jonas Faudel, maréchal ferrant, et (1682) Marie Barbe Vetter – luthériens (5/9, 1747) Georges Frédéric Nenter, notaire, et (1744) Anne Barbe Faudel – luthériens (1/9, 1752) Jean Bastasius Ried (Jean Pascal), maréchal ferrant, et (1721) Chrétienne Meyer puis (1734) Marie Barbe Schweigheusser – catholiques |
1753 | adj | (6/9) Jean Martin Rasp, charron, et (1745) Marie Salomé Kiesel – luthériens |
1753 | h | (6/9) Georges Lentz, charron, et (1753) Marie Salomé Kiesel, d’abord (1745) femme de Jean Martin Rasp, puis (1761) Marguerite Salomé Fuchs – luthériens |
1760 | v | Jean Jacques Klein, maréchal ferrant, et (1743) Marie Dorothée Schmidhammer – luthériens |
1779 | h | Jacques Frédéric Klein, maréchal ferrant, et (1779) Marie Salomé Klein puis (1798) Chrétienne Kauffmann, veuve du journalier Jean Mader – luthériens |
1799 | v | Michel Helmbacher, forgeron à Grendelbruch, célibataire, † 1812 – catholique |
1800 | v | François Joseph Speisser, aubergiste à Geispolsheim, et (1794) Barbe Speisser |
1802 | adj | Jean Michel Kintz, consigne, et (1762) Brigitte Winum – catholiques |
1804 | v | André Frédéric Gross, boucher, et (1795) Susanne Barbe Rapp puis (1804) Elisabeth Ober |
1851 | h | Frédéric Auguste Gross, propriétaire, et (1850) Marie Madeleine Ober puis l’héritière Marie Adèle Gross, femme du pharmacien Michel Zimmermann, de Mulhouse |
1874 | v | (Frédéric) Charles Witt, boucher, et (1873) Louise Bruder |
1887 | v | Georges Hückel, boucher, et (1887) Adèle Rupprecht |
1893 | v | Jacques Gangloff, boucher, et (1880) Caroline Lapp |
1920 | h | Louis Gangloff, boucher, et (1913) Marguerite Lantz |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 450 livres en 1692, 550 livres en 1729, 45 livres en 1776
(1765, Liste Blondel) I 290, Jean Jacques Klein
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Jacob Kleins Wittib, 2 toises, 0 pied et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 365, Gross, Frédéric, veuve – maison, sol, cour, bâtiment – 1,8 are
Locations
1738, Jean Wolfgang Roschka, serrurier
1745, Jean Martin Rasp, charron (la veuve sera propriétaire)
1830, Marie Salomé Winter, veuve du cabaretier Charles Mændel
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 411-v
Le receveur en chef du Grand hôpital Joël Leopard doit 1 sol 6 deniers pour sa maison à l’angle de la rue Saint-Jean et du Faubourg Blanc, louée au maréchal ferrant Michel Rebmann, à savoir un encorbellement (10 pieds ½ de long, saillie de 3 pieds 4 pouces) auquel est fixé un auvent (même longueur, saillie supplémentaire de 5 pieds), Michel Rebmann a son atelier et son embatoir sous cet auvent.
Von der Garttner Stuben vnder Wagnern nach dem Weißen Thurn hien auß.
Derselb Joël Leopardt Oberschreiber im mehrern Spittal, hatt auch an einem Hauß, so ein Eckhauß vornen an Sanct Johanns gassen, da Michel Rebmann der Huffschmidt Innen sitzt, dar an ein Vsstoß x+ schu lang iij schu iiij Zoll herauß, daran ein Wettertach Ingleicher lengen noch v schu weiter für den Vßstoß herauß, Vnder disem Wettertach hatt Michael Rebman der Huffschmidt sein werckhstatt vnd Radgruben, Bessert für das Niessen, xvj ß iiij d
Hatt auch das Allmendt daselbst mit mist verschagen, bessert für den Mist j ß. vj d.
1673, Livre des loyers communaux, VII 1466 (1673-1741) f° 587-v
L’autorisation accordée à Jonas Faudel par les préposés au bâtiment est reportée dans le registre.
Jonas Fautel der huffschmid, beÿ der Gartner Stuben in der Weißenthurn Straß, Soll wegen Seines haußes Giebel, welchen Er umb 2 Schuh und 9. Zoll, und also dem dabeÿ gelegenen barbierhauß zugleich von Steinen aufgeführt hat, das Wetterdach aber in der breite wie es ist, gelaßen werd. muß, jahrs vf Joh: Baptæ und A° 1701. I.mo, l. Pr: 1699. p: 11, 1 lb 10 ß
(Quittungen, 1701-1741)
Neuzb fol 14
1741, Livre des loyers communaux, VII 1470 (1741-1802) f° 14
Même loyer reporté dans le registre suivant. Les contribuables ultérieurs sont Jean Georges Lentz, Jean Jacques Klein, Frédéric Klein, André Helmbacher et François Joseph Speisser.
alzb. 587-b
Jonas Fautel der huffschmidt beÿ der Gartner Stuben in der weißen thurn Straß, Soll wegen seines haußes giebel, welchen Er um 2 schuh und 9. Zoll, und also dem dabeÿ gelegenen barbierhauß zugleich von Steinen aufgeführt hat, das wetterdach aber in der breite wie es ist, gelaßen werden muß, Jahrs auff Johannis Baptistæ (id est 24. Junii) 1 lb 10 ß
[in margine :] 6. Messidor
(Quittungen 1741-an 10)
f. 7
Joh: Georg Lentz
jetzt Johann Jacob Klein
Friedrich Klein Erben der Hufschmied
Andreas Helmbacher
Frantz Joseph Speiß
1741, Livre des loyers communaux, VII 1470 (1741-1802) f° 13 (b) v°
Le loyer pour le travail est porté à une autre page. Le loyer s’éteint en l’an huit quand l’objet est supprimé
Jacob Klein der huffschmidt soll von einem Nothstall neben seinem hauß in der weißenthurn straß, Jahrs auff weÿhnachten und A° 1761 i.mo l. Pr. de A° 1760. f. 62, 10 ß
Friedrich Klein der Hufschmid
Andreas Helmbacher
(Quittungen 1761- 8. J)
Ist weggemacht worden im 8.ten Jahr
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1699, Préposés au bâtiment (VII 1378)
Jonas Faudel demande l’autorisation de construire à l’aplomb de son encorbellement soit 20 pieds 2 pouces de long sur une largeur de 2 pieds 9 pouces. Il réitère sa demande deux semaines plus tard en proposant de remplacer le mur en bois par un nouveau en pierre conformément à l’ordonnance royale. Le voisin Balthasar Wagner objecte qu’une fenêtre qui a été autorisée quand il a construit à l’aplomb de son encorbellement ne recevrait plus de lumière. Les préposés répondent que la fenêtre a été autorisée à titre précaire, ils proposent de limiter à un pied la saillie de l’auvent et de supprimer le pieu auquel sont attachés les chevaux.
Jonas Faudel est autorisé à avancer son mur comme celui de son voisin, c’est-à-dire de deux pieds neuf pouces en réglant un cens annuel d’une livre dix sols, sous réserve que les ingénieurs du roi n’y voient aucun inconvénient.
(f° 8-v) Dienstags den 10. Febr. 1699. – Jonas Fautel umb erlaubnus seinen Überhang zu untermawren
Augenschein eingenommen an Jonas Fautel des Huffschmidts in der Weißen thurn straßen, ohnfern der Gartner Zunfft Stuben gelegenen behausung, daran Er den Überhang, so 20 schuhe 2. Zoll lang und 2. schuhe 9. Zoll breit ist, untermauren Zulaßen, umb erlaubnus angesuchet. Erk. Bedacht
(f° 10-v) Dienstags den 24. Ejusdem [Februarÿ 1699] – Jonas Fautel d. Huffschmidt umb untermawrung seines Überhangs
Jonas Fautel, der Huffschmidt, ersucht MGhh nochmals underthänig Ihme Zuerlauben, daß Er den an seiner in der Weißen thurn straßen gelegenen behausung befindlichen überhang, wie Er beÿ dem am 10. huius von MGhh. eingenommenen Augenschein gewiesen, untermauren laßen möchte, offerirt die hülzere Vordere Wand auff die Gaß Königl. ordonnance gemäs hinweg brechen und an deren statt eine steinere auff führen Zu laßen.
Herr Balthasar Wagner, der Barbierer, der darneben wohnet mit beÿstand herrn Johann herren, des Barbierers, seiner Stieff Kinder Vogten, beschwäret sich über dieses Vorhaben, mit Vorwenden, daß Ihme durch diesen baw das fensterlein gegen der Schmiden Verbauen und die Babier Stub Verfinstert würde, Nach deme mann aber des Pfenningthurns Protocollum de A° 1672. da des Barbierers Vorfahren erlaubt worden einen überhang Zuuntermauren, auffgeschlagen vnd daraus ersehen, daß Ihme dieses fenster dahien Zumachen nicht von MGHh. sondern von dem damahligen huffschmidt, alß ein precarium erlaubt worden sein müße, ingleichem daß gedachter Schmidt dazumalen in die untermawurung des Babierers Überhangs anderer gestalten nicht consentirt hätte, alß wann mann Ihme, wann Er dergleichen an seinem Hauß Vorzunehmen sich resoluiren solte, dergleichen auch erlauben würde, auch solches alles den beeden Barbierern, communicirt, darbeneben Versicherung gethan, daß mann dem huffschmidt sein Wetterdach nicht umb einen Zoll breiter machen Zulaßen erlauben werde, haben Sie darin consentirt, darneben aber gebetten, daß mann demselben injungiren wolte, den zwischen seinem und des huffschmidts hauß auff dem allmend stehenden stock, daran die pferd angebunden würden und Ihme seine Kellerhür Vertretten thäten, hinweg Zuthun.
Erk. Wird Jonæ Fautels, dem huffschmidt, erlaubt seines haußes gibel umb 2 schue und 9 Zoll, also dem Barbier hauß Zugleich und Zwar der König. ordonnance Zufolg Von steinen auff das allmend Zusetzen und auffzuführen, das Wetterdach aber in der breite wie es anietzo ist, Zulaßen, gegen erlag 2. lb d bodenzinßes so auff gebettener moderation auff 1. lb 10 ß d gesetzt worden ist, jedoch mit diesem anhang, daß im fall die König. herren Ingenieurs diese herraußrückung nicht gestatten solten, mann sich seiner Zwar annehmen, aber daß Er dabeÿ manutenirt werden würde, nicht garantiren könte.
1760, Préposés au bâtiment (VII 1409)
Le maréchal ferrant Jacques Klein demande l’autorisation d’établir un travail à chevaux devant la maison. Les préposés refusent le 10 juin. Il est autorisé le 10 décembre à en établir un devant la maison de la commanderie Saint-Jean en réglant un cens annuel de 10 sols, à condition que personne ne s’en plaigne.
(f° 33-v) Dienstags den 10. Junÿ 1760. – Jacob Klein
Augenschein eingenommen An Jacob Klein des Huffschmidts behaußung in der weißenthurnstraß, welcher umb erlaubnus gebetten einen Nothstall Vor sein hauß auff dem Allmendt Zu setzen. Erkannt, abgeschlagen.
(f° 62) Mittwochs den 10. Xbris 1760. – Jacob Klein
Augenschein eingenommen An Jacob Klein des Huffschmidts haus in der weißenthurnstraß, welcher umb erlaubnus begehrt einen Nothstall auff d. Allmendt vor das denen Hh. Johannitern Zuständige hauß Zu setzen und willens mit derselben nicht weiter als 7. schuh herauß Zufahren. Erkannt willfahrt gegen erlag 10 ß jährl. Zinnßes und dießes auch nur in so lang sich niemandt darwieder setzen und es Mghh. belieben wird.
1772, Préposés au bâtiment (VII 1415)
Jean Jacques Klein est autorisé à remplacer les planches de son travail.
(f° 139-v) Dienstags den 1. Decembris 1772. – Joh. Jacob Klein
Johann Jacob Klein, dem Huefschmidt wird erlaubt seinen Nothstall in der Weisenthurnstras mit dielen frisch decken zu laßen.
Description de la maison
- 1692 (billet d’estimation traduit) La maison qui comprend un bâtiment arrière et des passages latéraux est estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 900 florins
- 1729 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment accessoire, un petit passage, poêles, chambres, chambre à soldats, cuisine, vestibule, atelier renfermant forge, creuset et petit poêle, cave en partie voûtée et en partie solivée, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1 500 florins
- 1877, police d’assurance
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
1° arrondissement ou Canton ouest – Rue du Faubourg Blanc
nouveau N° / ancien N° : 7 / 4
Gros
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 Etages bons en bois
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 26 f° 24 case 4
Gross Frédéric Veuve
Gross Frédéric Auguste, substitution 1854
P 365, sol, maison bât et cour, Faubourg national 4
Contenance : 1,80
Revenu total : 144,94 (144 et 0,94)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 19
fenêtres du 3° et au-dessus : 4
Cadastre napoléonien, registre 22 f° 29 case 1
Gross, Frédéric Auguste
1875 Witt, Karl, Metzger
P 365, Maison, sol, Faubourg national 3
Contenance : 1,80
Revenu total : 144,94 (144 et 0,94)
Folio de provenance : (24)
Folio de destination :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 19
fenêtres du 3° et au-dessus : 4
Cadastre napoléonien, registre 24 f° 36 case 2
Witt Carl, Metzger
1889/90 Hückel Georg
1895/96 Gangloff Jakob, Metzgermeister und Lapp Karoline Eheleute
1903 Gangloff Jakob Metzgermeister und Ehefr. Karoline Lapp in G.G. Strassburg
P 48, Hofraum, Haus, Weissthurmstrasse 3
Contenance : 1,80
Revenu total : 144,94 (144 et 0,94)
Folio de provenance :
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 19 / 15
fenêtres du 3° et au-dessus : 4 / 3
Cadastre allemand, registre 31 p. 135 case 4
Parcelle, section, 49 n° 24 – autrefois P 48
Canton : Weißthurmstraße Hs N° 3
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,35
Revenu : 1900 – 2300
Remarques
(Propriétaire), compte 2221
Gangloff Jakob u. Ehefr
1920 Gangloff Louis, Metzgermeister & Ehefrau Marguerite geb. Lantz in Gg.
(1541)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton I, Rue 6, Rue du fauxbourg Blanc
4
Pr. Klein, Jacq. fréd. Marechal ferr. – Maréchaux
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Weissthurmstrasse (Seite 196)
(Haus Nr.) 3
Gangloff, Metzger- u. Wurstlermeister. E 01
Frasch, Wwe. 2
Mayer, Oberkellner. 3
Mayer, Wwe. 3
Götz, Metzger. H 1
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 789 W 44)
3, rue du Faubourg-National (volume 1, 1886-1987)
J. Gangloff n’est pas autorisé en 1894 à démolir et à reconstruire le bâtiment arrière (6,95 mètres sur 4,88) sans agrandir la cour et en conservant les pans de bois, sa demande contrevenant au règlement. Il fait installer en 1910 des machines dans sa charcuterie.
Louis Gangloff n’est pas autorisé en 1919 à modifier la devanture sous la direction de l’architecte Eugène Werling puisque les travaux auraient lieu au-delà de l’alignement légal. L’ancienne devanture est remplacée par une nouvelle en 1921 sous la direction de l’architecte G. Vogel. Louis Gangloff dépose en 1938 une demande de permis de construire pour poser une marquise à toit vitré et revêtir la façade de carreaux de grès. Les travaux ont lieu pendant l’été 1939 après une nouvelle demande, en même temps qu’il fait reconstruire deux étages et ajouter un étage à la façade sur rue. Louis Gangloff qui a l’intention d’agrandir la cave en 1949 fait proroger par deux fois le permis de construire mais les travaux n’ont pas lieu. La devanture de la boucherie est remplacée par une nouvelle en 1964 sous la direction de l’entreprise J. Gremmel et Compagnie. Henri Gangloff retire les enseignes en 1969. L’entreprise Union-Papier fait transformer le magasin en 1970. Henri Gangloff autorise en 1976 les établissements Expo Papiers Peints à démonter la marquise. Le magasin porte de 1982 à 1987 l’enseigne Phot-express.
Sommaire
- 1886 – Un feu s’est déclaré le premier septembre dans les combles de la maison du maître boucher Charles Witt. Le rapport des pompiers attribue l’incendie à une poutre en bois trop proche de la cheminée – Le maire constate que la cheminée est réglementaire. L’incendie pourrait être dû à des étincelles provenant d’une maison voisine.
- 1890 – Le maire notifie Georges Hückel de faire ravaler la façade. Le propriétaire répond qu’il a acheté la maison l’année précédente et qu’il a engagé des dépenses importantes pour s’établir. Le maire accorde un an de délai – Travaux terminés, septembre 1891.
- 1894 – J. Gangloff demande l’autorisation de démolir et de reconstruire le bâtiment arrière (6,95 mètres sur 4,88) sans agrandir la cour et en conservant les pans de bois. Les pièces auront 2,80 mètres de haut au lieu de 2,40 ou 2,47. Croquis des bâtiments. – Le maire déclare qu’on ne peut déroger à l’article 28 du règlement des constructions et que le pan de bois ne peut être rehaussé. – Pas de travaux
- Commission contre les logements insalubres. 1905. Le cabinet d’aisance se trouve à côté de la charcuterie et n’est pas assez aéré. Les cabinets d’aisance sont raccordés aux canalisations, août 1905.
1906. La boucherie et le bâtiment sont bien tenus. Les locaux commerciaux devront être repeints à l’huile.
Commission des logements militaires, 1916. Rien à signaler - 1910 – J. Gangloff demande l’autorisation de poser des machines dans sa charcuterie – L’inspection du travail transmet les conditions à respecter – Le maire délivre l’autorisation, les machines étant déjà installées. – Dossier classé, janvier 1911. – Dessin, description des machines
- 1919 (avril) – Louis Gangloff demande l’autorisation de modifier la devanture sous la direction de l’architecte Eugène Werling (8, rue Sainte-Elisabeth) – Description des travaux, l’ancienne devanture sera remplacée par une nouvelle en pierre et en fer, la boutique aura un nouveau carrelage au sol et sur les murs – Calcul statique – Le maire déclare que les travaux ne peuvent être autorisés puisqu’ils auraient lieu au-delà de l’alignement légal – Pas de travaux, le dossier est classé en novembre 1919.
- 1921 – L’entrepreneur Ernest Diebold (5-a, rue des Mineurs) demande l’autorisation d’occuper la voie publique devant la maison Gangloff qu’il est en train de transformer. Le commissaire de police transmet au maire qui donne son accord.
1921 – L’architecte G. Vogel (51, rue de l’Yser) demande l’autorisation de remplacer l’ancienne devanture par une nouvelle en posant de nouveaux piliers en fer. La maison se trouve dans l’alignement légal selon le plan du 16 décembre 1857. – L’ingénieur des Ponts-et-Chaussées ne fait pas d’objection – Autorisation, 6 avril 1921 – Le gros œuvre est en cours, avril. Réception finale, mai, après demande par le Syndicat de la propriété bâtie de Strasbourg (8, rue Finkmatt) - 1925 – Adolphe Hücklé (5, rue des Bateliers) qui refait l’escalier et repeint la cave demande l’autorisation d’occuper la voie publique devant la maison Gangloff.
- 1926 – Le boucher Louis Gangloff demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation de poser l’enseigne à 2,40 m du sol (au lieu des trois mètres réglementaires) à condition de la retirer chaque soir.
- 1929 – La Police du Bâtiment constate que Louis Gangloff a posé sans autorisation une enseigne lumineuse – Demande accompagnée d’un croquis (enseigne rectangulaire) – Autorisation
1931 – Idem, enseigne verticale (texte, Charcuterie) - 1939 – L’entreprise de construction Th. et Ed. Wagner (14, rue Adolphe Seyboth) demande au préfet l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique devant la maison Gangloff
Le maire donne son accord. Dossier classé, octobre 1940. - 1939 – Louis Gangloff dénonce au premier janvier 1940 les enseignes suite à la démolition de la façade du 3, rue du Faubourg-National
1938 (avril) – Louis Gangloff dépose une demande de permis de construire pour poser une marquise en fer à toit vitré et revêtir la façade de carreaux de grès, l’encadrement des fenêtres sera aussi en grès mais mouluré. Sur demande de la Police du Bâtiment, l’architecte Georges Vogel (11, allée de la Robertsau) présente trois variantes. La variante I est acceptée à condition que la couleur soit jaune beige comme celle du n° 1 – Autorisation de revêtir la façade de carreaux de grès de grand feu et de poser une marquise translucide à cadre métallique, 10 mai 1938 – Les travaux ne sont pas commencés, juillet. Renvoi à la nouvelle demande du 5 août 1938 - 1938 (août) – Louis Gangloff dépose une demande de permis de construire pour transformer la toiture et renouvelle la demande précédente. Les murs en pan de bois aux deuxième et troisième étage seront remplacés par des murs en briques cellulaires vers la rue et des murs en pans de fer vers la cour, le toit sera remplacé par un étage en pans de bois servant d’entrepôt.
1938 (2 août) – Autorisation de reconstruire deux étages et d’ajouter un étage à la façade en renforçant la façade sur cour – Les travaux intérieurs commencent en avril 1939, les travaux extérieurs n’ont pas commencé. L’échafaudage est posé, juin 1939. L’entreprise Th. et Ed. Wagner démolit les étages, le gros œuvre se termine en août 1939, la charpente est posée, les murs coupe-feu dans les combles sont en cours. - 1941 – La Police du Bâtiment notifie le boucher Louis Gangloff de retirer son inscription sur le pignon. – Le pignon a été repeint, mars 1941
1940 (novembre) – Louis Gangloff déclare qu’il a retiré toutes les enseignes
La Police du Bâtiment constate que des inscriptions sur le pignon sont visibles depuis le quai de l’Abattoir - 1949 – Louis Gangloff demande l’autorisation de poser une enseigne plate (boudin et boulettes de foie) – Accord
1950 – Louis Gangloff demande l’autorisation d’accrocher deux enseignes plates à la marquise – Accord – Elles sont retirées, avril 1951. - 1948 – Louis Gangloff dépose une demande de permis de construire pour faire agrandir la cave par l’entreprise de construction Th. et Ed. Wagner – Devis – Autorisation
1949 – Louis Gangloff demande de proroger le permis de construire
1950 – L’architecte Adolphe Wolff (4-bis rue des Pontonniers) demande une nouvelle prorogation
1951 – Le permis de construire est périmé sans que les travaux aient eu lieu - 1951 – Louis Gangloff demande l’autorisation de poser deux enseignes temporaires – Accord
1952, 1953, 1954, 1955 – Idem
1956 – Idem, boucherie charcuterie Gangloff – Idem 1957, 1958, 1959, 1960, 1961, 1962, 1963, 1964 (d’abord une fois puis deux fois par an) - 1953 – Rapport sur un feu de cheminée – La porte de ramonage est réparée, mars 1953.
1963 – Rapport d’incendie dû à une bouteille de gaz renversée dans la cave. Une porte en bois a brûlé chez Henri Gangoff et Marguerite Gangloff - 1964 – H. Gangloff est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique pour transformer le magasin
1964 – J. Gremmel et Compagnie (installation et agencement général de magasins, 239, route de Schirmeck à la Montagne-Verte) dépose une demande de permis de construire au nom de la boucherie charcuterie Gangloff pour remplacer la devanture – L’inspection du travail émet un avis favorable sans observation – L’ingénieur des Ponts-et-Chaussées donne son accord – Le maire accorde le permis de construire
L’entreprise Wagner démolit les cloisons à l’intérieur du magasin, juillet. La dalle du rez-de-chaussée est renforcée pour poser les poutres métalliques, août 1964. Le cadre métallique de la devanture est posé, septembre – Travaux terminés conformément aux plans, novembre 1964. - 1966 – La boucherie charcuterie Gangloff demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse – J. Gremmel et Compagnie transmet un dessin de la façade – Autorisation
1966 – H. Gangloff déclare qu’il a supprimé le puisard et demande de rayer la redevance annuelle. - 1968 – H. Gangloff demande d’annuler les différentes redevances annuelles pour les bâtiments sis 3, rue du Faubourg-National, 7, quai de l’Abattoir et 26, rue de la Mésange – Les enseignes sont toujours en place
1969 – Nouvelle demande. Les enseignes sont retirées - 1970 (novembre) – L’entreprise Union-Papier (3, avenue de la Liberté à Wasquehal-lès-Lille) demande l’autorisation de transformer le magasin (3, rue du Faubourg National et 6-7, quai Charles-Altorffer, propriétaire, Gangloff)
1970 (novembre) – La Police du Bâtiment constate que l’entreprise Vogt Neef fait des travaux intérieurs
1970 (novembre) – La société Transcim (160, route du Polygone) décrit les travaux. Un passage sera aménagé entre le 3, rue du Faubourg National et les 6-7, quai Charles-Altorffer – Devis du menuisier Vincent Rao (rue des Violettes à Metz-Magny) – L’ingénieur des Ponts-et-Chaussées donne son accord – L’ingénieur des travaux publics et de l’équipement donne son accord – Le maire délivre le permis de construire à l’entreprise Union-Papier le 20 mars 1971 – Travaux terminés, avril 1971, le magasin est occupé. - 1971 (mars) – La Police du Bâtiment constate que les établissements Expo Papiers Peints ont posé des enseignes provisoires sans autorisation – Henri Gangloff autorise les établissements Expo Papiers Peints à poser des enseignes 3, rue du Faubourg National et 7, quai Charles-Altorffer – Demande – Autorisation de poser une enseigne plate
1971 (juin) – La Police du Bâtiment constate que les établissements Expo Papiers Peints ont posé sans autorisation une double enseigne lumineuse – Demande – Dessin – Autorisation - 1976 – Le notaire Robert Riedel demande des renseignements d’urbanisme sur plusieurs immeubles dont le 7, quai de l’Abattoir, le 6, quai de l’Abattoir et le 3, rue du Faubourg national, appartenant à Henri Gangloff
- 1976 – Henri Gangloff autorise les établissements Expo Papiers Peints à démonter la marquise au 3, rue du Faubourg national et à poser une enseigne lumineuse à la même adresse et au 7, quai de l’Abattoir
La société Union Papier (Metz) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse (Expo Papiers Peints, Peinture Accessoires) – Le maire accorde l’autorisation de poser trois enseignes – L’architecte des Bâtiments de France accorde l’autorisation à Daniel Veiber - 1982 – L’immobilière des Halles demande l’autorisation de poser une enseigne Phot-express – Dessin et photographie – La Police du Bâtiment émet un avis défavorable – L’enseigne est toujours en place, les lampes ont été posées malgré l’avis défavorable. Le maire notifie le contrevenant de déposer l’enseigne et les lampes, novembre 1982, mars 1983. Le maire accorde en juin 1983 à l’exploitant Claudel un délai de six mois pour régulariser la situation – Le maire rappelle en janvier 1984 à l’exploitant son engagement.
1984 (avril) – Constat d’infraction dressé pour engager des poursuites judiciaires – Le maire transmet le constat au procureur de la République.
1984 (juillet) – Après une visite des lieux en présence de l’architecte des Bâtiments de France, il est convenu que l’entreprise Kappler démontera le caisson et qu’elle le fixera sur la façade. – Les poursuites sont interrompues. - 1985 – Le maire déclare que le bâtiment a été constuit au XIX° siècle avant 1886 et qu’il a été surélevé d’un étage en 1938 (courrier à M. Moreau, 59-bis route de Colmar au Neudorf)
- 1987 – Le syndic de la liquidation de la S.A. Photo Express demande d’admettre la créance chirographaire (droits d’enseigne) en non valeur
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 789 W 45)
3, rue du Faubourg-National (volume 2 1985-1989), transformation de la toiture
Jean-Luc Bregeon et ses copropriétaires chargent en 1985 l’architecte Jean Moreau de réaménager les combles, la terrasse et la toiture. Les travaux sont terminés en novembre 1986.
Sommaire
- 1985 (mars) – Jean-Luc Bregeon demande au nom des copropriétaires l’autorisation de transformer la toiture aux 7 quai Altorffer et 3, rue du Faubourg National sous la direction de l’architecte Jean Moreau (28 bis route de Colmar au Neudorf).
Description des travaux. La parcelle sise 3, rue du Faubourg National a six mètres sur la rue et une profondeur de vingt-quatre mètres. La toiture comprend un balcon vers la rue, une partie principale en ardoise (pente de 17 degrés), une partie en zinc vers la cour (pente de 8 degrés) et une terrasse en bois au-dessous de cette toiture. Le balcon sera en partie transformé en véranda, la partie centrale de la toiture surélevée de 1,30 mètre, un atelier se trouvera dans la partie sud, une autre partie de la toiture sera surélevée de 40 centimètres pour être au même niveau que la première partie, la terrasse modifiée et agrandie sur l’ancienne toiture en zinc. Dessins du quatrième étage et des combles aménagés, terrasse, élévations.
1985 (avril) – Le maire transmet le dossier avec avis favorable à l’architecte des Bâtiments de France et au directeur départemental de l’Equipement en joignant les documents relatifs au dépassement du plafond légal de densité. Tous deux donnent leur accord.
1985 (juin) – Le préfet délivre le permis de construire.
1985 (septembre) – Déclaration d’ouverture de chantier
Suivi des travaux – Le gros œuvre semble achevé vue de l’extérieur, mai 1986. Sauf le crépi, les travaux sont terminés, novembre 1986.
1987 (avril) – Le maire rappelle que les surfaces extérieures doivent être crépies. Jean-Luc Bregeon répond qu’il attend que son voisin Schaff ait terminé ses travaux de toiture avant de poser ses échafaudages. – Devis de Sand et Fils (à Wimmenau), novembre 1988 – Jean-Luc Bregeon déclare avoir l’intention de recrépir toute la façade – Travaux terminés, avril 1989.
1989 (juillet) L’entreprise Obernai Construction (5 ruelle Saint-Roch à Obernai) est autorisée à occuper la voie publique devant le 3, rue du Faubourg National
Relevé d’actes
La maison et sa voisine à l’angle de la rue Saint-Jean sont inscrites au Livre des communaux (1587) au nom du receveur Joël Leopard
Originaire de Saverne, Joël Leopard épouse en 1586 Marie, fille du charron Laurent Held.
Mariage, cathédrale (luth. p. 111, n° 5)
1586. Dominica II. post Epiphan. 16. Januarÿ. Joël Leopard von Elsas Zabern der Schreiber vnd Maria Lorentz Helden des Wagners nachgel. tochter Eingesegnet Zinstags den 25.t Januarÿ (i 59)
Joël Leopard devient bourgeois par sa femme onze mois après son mariage en s’inscrivant à la tribu des Jardiniers aux Charrons
1586, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 574
Joel Leopart von Elsaß Zabern, der Schaffner, Hat des Burgrecht empfangen von Maria, Weÿlandt Lorentz Helden des Wagners sälig. dochter, seiner Ehelichen Haußfrawen und will Zu den Gartnern vnd. wagnern dienen, War sein beÿstandt Gall Luck der Schaffner, den 17.ten Decembris 86.
La maison appartient ensuite au charron Nicolas Hild qui épouse en 1594 Agnès, fille du forgeron Nicolas Schaller
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 29 n° 12)
1594. auff diesen tag [den 22 Aprilis] sind ehelich eingesegnet word. Niclaus Hild von Straßburg d. Wagner vnd Agnes Schallerin Niclaus Schallern deß Schmidts selig nachgelaßene dochter (i 34)
Nicolas Hild et Agnès Schaller vendent la maison à l’angle des rues au taillandier Jean Arnold et à sa femme Anne Schopp. Les parties conviennent d’ériger à frais communs un pignon de douze pieds de haut sans avoir le droit d’y percer des jours. Les acquéreurs devront tolérer dans leur propriété l’écoulement des eaux provenant des toits et des éviers des vendeurs jusqu’à la rue Saint-Jean.
1605 (xij Martÿ), Chancellerie, vol. 357 (Registranda Kügler) f° 81
Erschienen Niclaus Hild der wagner vnd Agnes Schellerin sein eheliche hußfr. wÿland Niclaus Scheller Spittal Schmids selig. dochter hatt vnver. verkaufft
hannß Arnoldt dem Jüngern Waffenschmidts vnd Annen Schopin seiner ehegemahlen
huß hoffestatt hofflin v hinderhaußlin mit all Ihren gebeu gelegen Inn der voorstatt Vnder wagnern vff einer seyten ein eck ane der Johannßer gassen gegen dem würtzhuß Zur linden, andersÿt neben den verkheüffern stoßend hinden vff Christmann gryner dem Schreyner Dauon gend Acht guldin gelt SW vff dem heylig. wÿhenachten tag loßig mit 200 guldin derselb. werung hanns Schwÿnfurter glaßern Sigristen Zum alten S Peter, Mehr zwen guldin gelts vff (-) loßig mit 50 guldin SW den Johannß herrn Zum gruenen werd, Sunst für frey ledig eÿgen V were dißer verkaufft vber diße beschwerden vmb 650 guldin SW mit 50 guld SW
Vnd Ist Inn dißem Verkauff sonderlichen bedingt v abgered das beyde die Verkauffere Vnd Kheüffere ein Steynin gebell ane der gemeynen steynin gebell so beyde heuser von einander scheyden fürbaß durchuß so lang Jetzverkhaufft hofflin v hinderhüß Iren begriff haben, Nemblich Zwolff werck schuh hoch v lang Steinsdicke Inn gemeynen Costen vffzufüren laß vnd fürbaß gemeÿn mit auch also erhalten werden soll, Auch keiner vnder Innen oder Ire nachkommenden vff solche Mur mehr Zubuwen noch eynich liechter daryn Zubrechen macht haben, damit aber das Regen wasser vnd das wasser vonn der verkheüffer wasserstein seynen vßlauff haben möge Soll solch wasser durch das gemeyn Murlin Inn der Mitten durch der Kheuffer Jetzerkhaufft hefflin gerecht v alda hms* Inn die Johanßer gaß seinen freÿen vßlauff soll haben Und durch die Verkheuffere vff Iren seyten solche vßlauff mit einem Ißerin getter also versehen werden das dadurch allein Regen vnd Spielwaßer sein lauff haben möge
Agnès Schaller veuve de Nicolas Hild fait une donation à son fils Laurent Hild, charron à Darmstadt
1634 (2. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 249
Erschienen Agneß Schallerin, weÿl. Niclauß Hildten deß Wagners see. alhie witib, zwar etwaß krancken leibs, doch nichts derto wenigen guten v.stands, mit beÿstand Samuel Weißen deß Rohtgerbers, ihres vogts
hatt in geg. ihres Eheleiblichen sohns Lorentz Hilden Wagners zu Darmstatt bekannt
daß sie demselben wegen der Kindlichen vielfaltigen getrewen hilff, so er ihro nun 18. woch. lang in ihrer Kranckheit erwÿsen, hiemit vfrecht & donirt (…) XXV lb
Agnès Schaller veuve de Nicolas Hild et ses enfants vendent la maison au tonnelier Jean Ortung assisté de son beau-père Antoine Demuth
1634 (10. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 506
(Protocollat. fol. 87.) Erschienen weÿ: Agneß Schallerin mit Niclauß Hildten dem Wagner see: erzeugter Kindern vnd Erben wegen, Christoff Adlern Paßmentmacher, alß vogt Niclauß Hildten, mit beÿstand herren Jacob Katzensteinin alß auß eines Ers. Kleinen rhats mitel anstat erstbesagten Hildten (weil derselb vor achtzehen Jaren in der frembde verschollen) verordneten befehlhabers, Lorentz Hildt der Wagner Zu Darmbstat für sich selbsten, so dann hanß Georg Schantz der Buchbinder alhie, Alß vogt Mariæ Magdalenæ vndt Barbaræ weÿ: Anna Marien Hildin mit Jacob Müller dem Zimmermann alhie erzeugter zweÿer töchtern
haben in gegensein Hanß Ortungs deß Küeffers auch burgers Zu St. (verkaufft) mit beÿstand seines steiffvatern Anthoni Demuthen deß Küeffers kauffte
hauß, hoffstat, vnd höfflin, mit allen and.en ihren gebäwen & alhie Vorm Zollthor neben S. Johann Closters Speicher & hanß Wolff Spitzen deß Schreiners see. Erben, hind. vff vorbesagts Closters gebaw, davon gehen Jährlich vff Lichtmeß 2. gld. gelts St. wehr. S. Aurelien Werck, in hauptgut mit 50. fl. w. Abzulösen, So ist diß hauß auch noch v.hafftet vmb 25. lb. d vorbesagtem werck sonst eÿgen, und ist der Kauff, vber die beschwerd geschehen per 350. lb
[in margine :] Erschienen hannß Georg Schantz innamen obstetet, hatt in gegensein deß Käuffers see. hinderbliebener Kind. geordneten Vogts hanß Michel Thomans handelßmanns (…) Act. d 18. 7.bris 1639.
[in margine :] Erschienen hannß Georg Schantz innamen obgemelt, hatt in gegensein Lorentz Bierbaumen Küeffers (…) Actum d. 24. Octobris 1640. Vide in Reg. 1640. fol. 223.
Antoine Demuth se porte garant de son beau-fils Jean Ortung
1633 (6. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 471 f° 370
Erschienen hanß Ortung der Küeffer burger Zu St.
hatt in gegensein Heinrich Jacoben der St. St. Einspenningers, burgers Zu St. – schuldig seÿen XXV. lb
deßen & [Zu noch mehrer sicherheit] ist erschienen Anthoni Demuth auch Küeffer sein deß Principal Debitoris Stieffvater der hat sich für sich & für diße schuld Zu einem rechten Bürgen, Mit: und und selbst schuldner und selbst Zahler vnverscheidentlich dargeben (…) dafür in specie zu Vnderpfand verlegt Ein Brennhüt mit dreÿen eingemaurten Kesseln und Bütten mit allen anderen ihren zugehörd. Alhie vorm Judenthor Zwischen den Zweÿen waßern neben hanß Jacob Bockhen & neben Samuel haasen, vornen vnd hind. vfs Allmend stoßend gelegen, dauon gehen Jarß 18. ß d. bod. Zinß
Jean Ortung hypothèque une semaine plus tard la maison au profit du tanneur Valentin Trutzel
1634 (ut spâ [16. Julÿ]), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 535
Erschienen hanß Ortung, Küeffer, burg. alhie
hatt in gegensein Veltin Trutzels deß Rohtgerbers auch burgers Zu St. – schuldig seÿ XXV. lb
dafür Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstat alhie vorm Zollthor beÿ der Linden, einseit neben weÿ: hanß Wolff Spitzen deß schreiners see. Erben 2.seit vnd hinden vff S. Johann Closters Speicher stoßend gelegen, so zuuor verhafftet vmb 50. lb S. Aurelien Werck vnd dann vmb 350. lb d Niclauß Hildten s : Erben
[in margine :] Erschienen Veltin Trutzel weÿ: Veltin Trutzels deß Creditoris eheleiblicher Sohn hatt in gegensein Georg Meÿers deß Gremppen (…) Act. den 15. Aprilis 1637
Fils du fournier Jean Ortung, Jean Ortung épouse en 1632 Susanne, fille du potier Nicolas Gickel
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 130)
1632. Dom. IX post Trinit. Hanß Ortung d. Kieffer, hanß Ortungs gewesenen schwartzbecken v. burgers alhie nachgelasner Sohn und J. Susanna, Niclauß Gickels deß Kachlers v burgers alhie eheliche tochter. Cop. 7. Aug. Zu J St Peter (i 67)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 15-v) 1632. Dom. IX post Trinit. Hanß Ortung d. Kieffer, hanß Ortung deß haußbecken nachgelaßener Sohn, Jf. Susanna Niclauß Gittig deß Kachlers allhie eheliche tochter. 7. August J. St. Peter (i 17)
Le tuteur des deux enfants de Jean Ortung vend la maison au tonnelier Laurent Bierbaum.
1640 (19. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 485 f° 223-v
(Prot. fol. 103. et seqq.) Erschienen hanß Michel Thoman d. handelßmann alhie, Alß vogt weÿ. hannß Ortungs gewesenen Küeffers see. nachgelaßener Zweÿer Kindern mit beÿstand H Philipp Jacob Reißeisens und H Johann Reinhardt Kreßen, Alß vß E. E. großen Rhats mitel hierzu insonderheit deputirt und verordnet (verkaufft)
Lorentz Bierbaum dem küeffer
hauß, hoffstatt und höfflein mit allen Andern ihren gebäwen & Alhie vorm Zollthor, neben S. Johann Closters Speicher & Martin Haffern dem Schreiner, hind. vf vorbesagts Closters gebäw stoßend gelegenn davon gehen Jahrs vff Liechtmeß 2. fl. gelts St. w. S. Aurelien Werck allhie, in hauptgut mit 50. fl. w. wid. keüffig, So ist diß hauß auch noch verhafftet vmb 25. lb erstbesagtem Werck, Mehr vmb 195. lb. 16 ß 8 s weÿl. Niclaus Hildten deß Wagners see. Erben, Rest am Kauffschilling (…) uff sich genommen, geschehen und zugangen für und umb 164. lb
Fils de Valentin Bierbaum, laboureur à Vendenheim, Laurent Bierbaum épouse en 1639 Odile Demuth, fille d’Antoine Demuth (cité plus haut) : contrat de mariage, célébration
1639 (3.9.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 44) f° 24
Heüraths Verschreibung – zwischen dem Erbahrn vndt Bescheÿdenen Lorentz Bierbaum Küeffern, Weÿland Veltin Bierbaums, gewesenen Baursmanns Zu Vendenheim seeligen hinderlaßenem Sohn,
vnd der Ehrn: vnd tugendtsammen Jungfrouwen Othiliæ Demuthin, deß Ehrenhafften Anthoni Demuths, auch Küeffers burgers alhie Zue Straßburg eheleiblicher dochter, am Anderntheil (…)
So beschehen vnd verhandelt Inn dießer deß heÿligen Reichs Freÿen Statt Straßburg auff dinstag den dritten tag des monaths Septembris, Im Jahr deß herrnn Alß mann Zahlte, 1639
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 146)
1639. Dnica 12. Trinit. 1. Septembr. Lorentz Pirnbaum Von Vendenheim der Kieffern Veltin Pirnbaum Burgers daselbsten hinderlaßener Sohn, J. Otilia, Anthoni demuth des Kieffers alhie Eheliche Tochter. Mont. 9. Septembris
Laurent Bierbaum devient bourgeois par sa femme quinze jours après son mariage
1639, 4° Livre de bourgeoisie p. 187
Lorentz Bürrbaum der Küeffer von Vendenheim, Empfangt d. Burgerrecht von seiner Haußfrauen Ottilia weÿl. Anthoni Demuth deß Küeffers sell. nachgelaßene dochter umb 8. goldtguld. vnd wüll Zu den Küeffern Zünfftig sein den 21. 7.bris A° 1639.
Laurent Bierbaum est nommé gourmet des caves municipales
1658, Protocole des Quinze (2 R 76)
(f° 90) 21. Maÿ. – Lorentz Bierbaum würd Kellerweinsticher.
Obere Ungeltherren per H. Frantzen referirt, demnach sich vmb die vacirende Kellerweinsticher stell bereits verschiedene Kieffer angemeldet, alß hetten Sie solche examinirt, vnd volgende dreÿ In den Außschtz am tauglichsten ermeß. für den Ersten Lorentz Bierbaum, (2) hanß Niclaus Feuchten (3) Tobiam Burckhard, stehe Zu Mh. Welchen Sie dabeÿ erwöhlen wollen.
Erkandt Ward Lorentz Bierbaum erwöhlt, doch soll Ihme angedütt wd. daß Er Künfftig vermög ordnung, Keine würth od. Weinschanck Zu Kund. gab. solle. Hat Sambst d. 22.ten Eiusdem in pleno daß Juramentum abgelegt.
1642, Protocole des Quinze (2 R 65) Jacob Klein Würth Zum Wildenmann. Ungelts betrug, Diebold Schell, Anthoni Demuth, Lorentz Bierbaum Kieffer. 162.
Laurent Bierbaum hypothèque la maison au profit de la tribu des Jardiniers aux Charrons
1659 (11. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 524 f° 280-v
Erschienen Lorentz Bierbaum der küeffer
in gegensein H. Hannß Schellen alten Kleinen Rhats Verwanthens alhier alß Zunfft Maÿsters beÿ E: E: Zunfft der Gartner Vnderwagner schuldig seÿe 25. lb und Jacob Schuhmachern Von Mittelbergheim widerumb Vorgestreckhten gelts
Unterpfand sein soll hauß, hoffstatt, höfflin mit allen deren gebäwen & alhie in der Obern Straßen einseit neben Martin Hoffmann anderseit neben der Johanniter Speicher hind. auch vff besagten Speicher stoßend gelegen, davon gehend Jahrs 10. fl. ablößig mit (-) der Elenden herberg
Veuve de Laurent Bierbaum, Odile Demuth se remarie en 1662 avec le tonnelier Sébastien Ritter, fils de Jean Ritter d’Eptingen dans le canton de Bâle.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 126, n° 17)
1661. Sebastian Ritter der Kieffer Joh: Ritters b. zu Ebtingen baßler gebieths ehl. sohn v. Ottilia Lorentz Bierbaum b. v. kieffers nachgelaßene wittib. Copulirt d. 23. Julÿ (i 127)
Sébastien Ritter devient bourgeois par sa femme quinze jours après son mariage en s’inscrivant à la tribu des Tonneliers
1661, 4° Livre de bourgeoisie p. 329
Sebastian Ritter d. Kieffer Von Eptingen Baßler gebiets, empfangt d. burgerrecht von seiner Haußfrawen, Otilia weÿl. Lorentz Bierbaums des Kieffers burgers alhie witt: Umb 8. Godt fl. welche beÿ der Cantzleÿ erlegt, ist Ledigen stands gewesen, würd Zu den Kieffern dienen, Jurav. den 5. Augusti 1661.
Sébastien Ritter et Odile Demuth hypothèquent la maison au profit de la tribu des Jardiniers aux Charrons
1663 (27. martÿ), Chambre des Contrats, vol. 528 f° 195-v
Erschienen Sebastian Ritter der Küeffer Maria Otilia sein eheliche haußfraw und Sie Otilia insonderheit mit assistentz Anthoni Demuthß deß ältern ihres eheleiblichen Vatters und Anthoni Demuthß deß Jüngern ihres eheleiblich. bruders beeder Küeffer, alß deroselben hierzu insonderheit erbettener nechster Verwanther, wie auch Herren hannß Henrich Metzgers E.E. großen Rhats alten Beÿsitzers ihres noch ohnentledigten Curatoris
in gegensein H. Diebolten Von Fridelßheim alten Kleinen Rhats Verwanthens alß Ober: und Oswald Mollen Gartners Vnderwagner alß Vnder Zunfft maÿsters beÿ E.E. Zunfft der Gartner Vnderwagner – schuldig seÿen 75 pfund pfenning
Unterpfand sein solle, hauß, höfflin, hoffstatt mit allen deren Gebäwen und Zugehördten alhie Vor dem Zollthor ohnfern der Gartner Zunnft stuben, einseit neben Martin Hoffmann dem Schreinern, anderseit neben dem Ordens hauß Zu St. Johann, hinden vf Martin Grosen den Spannern und theilß vf gemelts Ordens hauß stoßend gelegen
Le tuteur des enfants d’Antoine Demuth le jeune et Antoine Demuth le jeune donnent quittance à Odile Demuth, femme de Sébastien Ritter, d’une somme due d’après le contrat de vente passé en 1640. En marge, quittance ultérieure accordée au maréchal ferrant Jonas Faudel en 1697.
1666 (4. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 532 f° 506
Erschienen hannß Seÿfrid der wagner alß Ehevogt Margarethæ Demuthin und alß Vogt weÿl. Anthoni Demuths deß Jüngern geweßenen Küeffers nunmehr seel. hinderlaßene Kinder, Zuvorderist aber alß, seiner und nachgemelts H Ursini Anzeig nach, mündlich Befelchhaber Anthoni Demuthß deß ältern Küffers seines Schwähers, mit assistentz H Jeremiæ Ursini Notarÿ und alten Kleinen Rhats Verwanthens
in gegensein Otiliæ, Sebastian Ritters deß Käuffers Eheweibs, vorernanten Anthoni Demuthß deß ältern eheleiblich. dochter, mit beÿstand erstermelt ihres Ehevogts
bekannt, dEmnach Er der Vater vff ihr Ottiliæ der dochter und ihr mit weÿl. Lorentz Bierbaum dem Küeffern ihrem vorigen Ehemann nunmehr seel. ehelich erzeugter Kind. alhie vor dem Zoll thor beÿ der Gartner und.wagner Zunfftstuben einseit neben Martin Hoffmann dem Schreiner, anderseit neben einem Speich. dem ordenshauß Zu St. Johann gehörig geleg. 100 Pfund pfenning aus der am 19. martÿ a° 1640. in der Cancelleÿ Contractstuben uffgerichteter Kauffverschreibung herkommend. Kauffschilling rests vermög deß, durch obbenambsten H Not. Ursinum in a° 1660. über obgemelts Lorentz Bierbaums deß Küeffers seel. Verlassenschafft vffgerichteten Inventarÿ fol. (-) außstehen, (quittung)
[in margine :] (…) in gegensein Jonæ Faudels des Hueffschmidts alß ietzigen Besitzers der hierinn gemeldten Vor dem Zollthor gelegenen Behaußung (quittung) d. 3. Martÿ 1697.
Odile Demuth meurt en août 1672 en délaissant deux enfants de son premier mariage avec Laurent Bierbaum. L’inventaire est dressé dans la maison. La masse propre aux héritiers s’élève à 307 livres. L’actif de la communauté s’élève à 354 livres, le passif à 336 livres
1672 (21.8.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 42) n° 12
Inventarium vndt Beschreibung Aller Haab vndt Nahrung, so weÿl. die Ehren: vndt tugendtsame fraw Odilia Demuthin, deß Ehrenhafften Sebastian Ritters, Küeffers vndt Burgers alhie zu Straßburg haußfraw nunmehr seel. welche Freÿtags den 2.t dießes monaths Augusti Jüngsthin Zeitlichen todts verbleichenn nach ihrem aus dießer welt tödlichem hinscheÿden Hinder Ihro verlaßen, Welche durch ersternannten Ihren Hinterpliebenen Wittwer, mitt rath, hülff vndt beÿstand deß Edeln vest vnd hochgelehrten auch fürsichtig v weißen Herrn Johann Ulrich Meÿgers J. V. Ddj E. Ehrs. Kleinen Raths alhie Altten Beÿsitzers vnd d. Zeitt Löbl. Vogteÿ gerichts Actuarÿ vnd Burgers alhie, auf freundliches ansuchen erfordern vnd begehren der Ehren: vnd tugendsamen Frawen Mariæ Bierbaumin des Ehrenhafften Hannß Georg Wÿttman Hauß(feurers) vndt Burgers alhie ehelicher haußfrawen, mit beÿstand deßelben, wie auch deß Edlen vest vnd Hochgelehrten auch Fürsichtig vnd weÿßen Herrn Jacob Christoph Maders, J. V. Ddi vndt auch Ehrs. Kleinen Raths alhie Altten Beÿsitzersn vnd dann deß Ehrengeachten Hanß Sÿfridts, Wagners vnd Burgers alhie, alß Jfrn Ursulæ Bierbaumin geschwornen Vogts mit beÿstand deß Ehrenvest fürsichtig vndt weÿßen herrn Joh: Heinrich Metzgers E. Ehrs. Großen Raths alhier Beÿsitzern, Ihres Pfettern, beeder schwestern vndt der ietzt abgeleibten frawen seel. mit weÿl. dem Ehrenhafften vnd Achtbahren Lorentz Bierbaum auch Küeffer vndt weinstichern Burgern alhier, Ihrem vorigen haußwürth sel. ehelich erzeugter beeder döchter vndt ab intestato Hinderlaßener nechster Erben (…) So beschehen auff Mittwoch den 21.ten Augusti A° 1672.
In einer alhie in der Statt Straßburg vorstatt vor dem Zollthor Zwischen St Johanns gaß vnd der Garthner Zunfftstuben gelegener Behaußung, so auch in dieße verlaßenschafft gehörig, vndt hernach beschrieben, Ist befunden worden wie volgt
Auff der obern Bühnen, Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, Vor diese Cammer, Inn der obern Stueben, Vor dießer Stueben, Inn der Cammer C, Inn der vndern Stueben, Inn der Kuchen
Eÿgenthumb vnd Besserung ane einer behaußung (E.) Item ein gantzer dritter: vnd ein dritter am Zeit Zweÿel ane hauß hoffstatt vnd hoffl. mit allen and. Ihren gebäwen, begriffen weith. rechten Zugehörden Gerechtigkeiten geleg. alhie in d. Statt Straßb. Vorstatt vor dem Zollthor neben St Johann Closters Speicher ein: vnd 2.s neben Martin Hoffmann den Schreinern hinden vff vorbesagtes Closter Gebäuw stoßendt Davon Gehen Jahrs vff liechtmeß 2 fl. gelts Straßb. Wehrung St: Aurelien werck alhier wid.käufig mit 50 fl. Straßb. wehrung. Mehr j lb 9 ß d Zinß, auch St: Aurelien werckh alhie Jährl. vff Laurentÿ in hguth wid. lößig mit 25. lb. Item 3 lb d so hiebevor 3 lb 15 ß ane 5 lb d gewesen gaab man hiebevor Anthoni demuth den älttern Küeffer v Burgern alhier ietz dem Mehrern Hospithal alhie, Jährlichen vff Michaelis war d gantze hauptgut abzulösen mitt 100 lb thutt dise theil 75 lb, die übrige 25 lb d Capital hatt der frn. seel. vatter Ihro in wehrend Ehe zum heürath guth überlaßen, Sonsten über dieße beschwerd. angeschlagen für vnd vmb 125 lb d. Über die gantze Behaußung Ist vorhanden j t. Perg. Kauffbr. mit d. St. Strßb. anhangendem Contract Insigel deßen dat. den 19. Martÿ A° 1640. Inhaltts welcher gestaldt Lorentz Bierbaum d ietz verstorbenen vorigen haußwürth Hannß Orttungs, auch Küefers vndt Burgers alhie seel. Erben an sich erkaufft. Darbeÿ noch j altter Perg. Kauffbr. besagendt, wie nechst ernadter hanß Orttung seel. solche Behaußung an sich erkaufft.
Ergäntzung der Erben unveränderten Guths. Wie in dem über weÿl. Lorentz Bierbaumbs geweßenen Küeffers vnd Weinstichers Burgers alhie, der Erben vatters seel. Verlaßenschafft auffgerichtetem Inventario vndt demselben Zu ende annectirtem vertrag fol. 33. fac. 2.da Zubefind.
Der Erben unverändert Guth, Sa. deß Eÿgenthumbs vnd Besserung ane einer behaußung 125, Sa. der Ergäntzung 182, Summa summarum 307 lb – Schulden
Erstl. soll mann Frn Mariæ Bierbäumin, Hannß Georg Wÿdtmans Schwartzbecken vnd Burgers alhie hfren der verheürathen vorig. Ehe Tochter ane Ihrem vätterlichen Guth (…) Item Ursulä Bierbaumin d. noch ledigen dochter (…) Summa 113 lb, Nach deren Abzug 193 lb
Die Theilbahre Verlaßenschafft betreffend, Sa. Haußraths 88, Sa. Früchten 1, Sa. wein vnd vaß 73, Sa. holtz, Reÿff, bandt vnd ohngemachter Arbeith, wie auch Zu dem Küffer hand gehörigen werck 95, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 11, Sa. Guldiner Ring 2, Sa. baarschafft 23, Sa. Liegenden Guths o, Sa. Schulden 57, Summa summarum 354 lb – Schulden 336 lb, Nach deren Abzug 17 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 351 lb
Sébastien Ritter se remarie avec Anne, fille du jardinier Martin Wurtz
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 157, n° 41)
1673. Sebastian Ritter der Kieffer undt J. Anna, Martin Wurtzen des Gartners Ehel. Tochter, Donnerstags 18. Sept: (i 158)
Les deux filles de Laurent Bierbaum et d’Odile Demuth, ci nommées par erreur Demuth, vendent la maison à leur beau-père Sébastien Ritter
1673 (21.Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 541 f° 357
(Prot. fol. 29) Erschienen Maria Demuthin, mit beÿstand Hannß Georg Wÿdmanns deß haußfeurers ihres Ehevogts, und Ursula Demuthin mit assistentz Andres Benders deß Schneckhenmachers ihres Ehemanns, weÿl. Otiliæ Demuthin nunmehr seel. nachgelaßene eheliche döchter
haben in gegensein Sebastian Ritters deß Kieffers ihres Stieffvatters (verkaufft)
hauß, hoffstatt und höfflin mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten in der Vorstatt Vorm Zollthor, einseit neben St. Johann Closters Speicher, anderseit neben Erich Schmidt dem Barbierer hinden uff Vorbesagten Closters Gebäw stoßend gelegen, davon gehend iährlichen uff Lichtmeß 2. fl. Gelts Straßburger wehrung widerlößig mit 50. fl. erwehnter Wehrung der Fabric St. Aureliä, Item 1. lb 9. ß Zinnß termino Laurentÿ widerkäuffig mit 25. lb. erwehnter Fabric Und dann 3. lb ablößig mit 75. lb dem Mehrern Hospital – dann obwohlen erwehntes ietzt Verkaufftes hauß annoch umb 75. lb der Gartner Zunfft verhafftet seÿe, so habe Jedoch der Käuffer außerhalb dießer Kauffs selbige übernohmen – umb 350 Gulden
Sébastien Ritter hypothèque la maison au profit de Jean Thiébaut von Fridolsheim, assesseur des Quinze.
1673 (23.Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 541 f° 361
Sebastian Ritter der Küeffer
in gegensein daß Ehrenvest Fromm und wohlweÿsen Herren diebolds Von Fridolßheim deß beständigen Regiments der Herren XV. – schuldig seÿe 100. lb, daß Er damit nach beschriebene Behaußung von Maria und Ursula den Demuthischen Schwestern erkauffen Vff den Kauffschilling 116. lb bezahlen können
unterpfand, hauß undt hoffstatt mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten allhier in der Vorstatt underwagner einseit neben deß Closters St. Johann Speicher, anderseit neben Erich Schmidt dem Barbierer, hinden uff Vorbesagts Closters Speÿcher stoßend gelegen
Sébastien Ritter vend la maison au maréchal ferrant Jean Jacques Hirsch. En marge, quittance remise en 1698 à Jonas Faudel.
1673 (8. 7.bris), Chambre des Contrats, vol. 541 f° 510
(350 lb.) Sebastian Ritter der Küeffer
in gegensein hannß Jacob Hierschen deß Hueffschmidts mit beÿstand Johann Kuglers deß Zollers am Cronenburger thor seines noch ohnentledigten vogts und hannß hirschen deß hueffschmidts seines eheleiblichen Vatters
hauß hoffstatt und höfflin, mit allen deren Gebäwen, begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhier in vor statt underwagner einseit neben St Johann Speicher anderseit neben Erich Schmidt dem Barbierer, hinden uff vorbesagten Speicher stoßend gelegen, welche Behaußung umb 50. fl. straßburg. wehrung und umb 25. lb beede Posten der Fabric St. Aureliæ, Item umb 75. lb dem Mehrern Hospital alhier, So dann umb 58. lb 6 ß 8 d. den Demuthischen Schwesteren Verhafftet – umb 165. lb
[in margine :] Erschienen Maria Bierbaumin, hannß Georg Wÿdmanns deß Haußfeurers Eheweib und Ursula Andres Benders deß Schreiners eheliche Haußfrau, und Jede mit beÿstand ihres Ehevogts (…) Ihnen Zugestandene 58. lb (empfangen) Act. 21. Januar. a° 1675.
[in margine :] (…) in gegensein Jonæ Faudels deß Hueffschmidts alß ietzigen Besitzers der hierinn beschriebenen in der Vorstatt Underwagnern gelegenen Behaußung (quittung) act. d. 13.ten februar. 1698.
Assisté de son père Jean Hirsch et de son tuteur Jacques Kugler, Jean Jacques Hirsch hypothèque le lendemain la maison au profit du salpêtrier Jean Vix. En marge, quittance remise au maréchal ferrant Jean Bernard Rutilius
1673 (9. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 541 f° 513-v
hannß Jacob Hirsch der Hueffschmidt mit beÿstand Johann Kuglers deß Zollers am Cronenburger thor seines noch ohnentledigten Vogts, und hannß Hirschen deß hueffschmidts seines eheleiblichen Vatters
in gegensein Hannß Vixen deß Salpeter sieders – schuldig seÿe 175. lb, daß derselbe damit nach beschriebene behaußung erkauffen und bahr bezahlen können
Unterpfand, Eine behaußung mit allen deren Gebäwen alhier in Vorstatt Vnderwagner, einseit neben St Johanns Speicher, anderseit neben Erich Schmidt dem Barbierer, hinden uff gedachten Speicher stoßend gelegen, welche Behaußung Vorhien noch umb 25. lb. und 50. fl. straßburger wehrung in zweÿen Posten der Fabric St. Aureliæ, Item umb 75. lb dem Mehrern Hospital alhier, So dann umb 58. lb 6 ß 8 d. den Demuthischen Schwesteren Verhafftet
[in margine :] (…) in gegensein hannß Bernhard Rutilius deß huffschmidts alß jetzigen Debitoris (quittung) Act. d. 6.ten Jan. 1683
Jean Jacques Hirsch s’adresse aux Quinze pour devenir maître. La tribu objecte qu’il manque au pétitionnaire un trimestre à son tour de compagnon. Jean Jacques Hirsch déclare que son père l’a rappelé parce que la maladie l’empêchait de servir ses clients et qu’il travaille pour lui depuis cinq ans et demi. Les Quinze estiment qu’aucune dispense n’est nécessaire parce que le règlement a été adopté après le départ de Jean Jacques Hirsch.
1673, Protocole des Quinze (2 R 89)
(f° 230-v) Sambstags den 18.t Octobr. – Hans Jacob Hirsch Contra die Sammentliche Meistersch. der Hueff: vnd waffen Schmidt
Hans Jacob Hirsch der Ledige Hueff Schmidt Contra die Sammentliche Meisterschafft der Hueff vnd waffen Schmidt per Dr. Bitschen überreicht Unterthäniges Ansuchen Und bitten, Vermelt daß Er das handwerck beÿ seinem Vatter erlernt, darauf in die 7 Viertel Jahr gewandert, auch noch länger darausen Zu bleiben resolvirt gewesen, wan nicht Sein Vater mit einer langwirigen Kranckheit wär angegriffen worden, dergestalten daß Er seinen Kunten nicht mehr abwarten Können, deßwegen Ihme mit der arbeit Zu hulff Zu kommen beschrieben, darauf Er sich gehorsamblich eingestelt und seithero beÿ Ihme auf 5 ½ Jahr in arbeit gestanden, anietzo aber da Er ein eigene werkstatt aufzurichten willens gewesen, habe E. E. Meisterschaft der Hueff vnd waffen Schmid Ihne als einen mit Meister nicht annemmen wollen, weilen Er die ihn Ihren Articklen bestimbte Zeit nicht völlig gewandert, da doch die Artickel ein Viertel Jahr hernach als Er wider allhier gewesen confirmirt worden, bit also gemelter Meistersch. Zu injungien Ihne für einen Mit Meister auf vnd anzunemmen.
Wilt nomine citirter Meisterschafft, weilen dießes begehren wider Artickel vnd dahero den Meistere Zu dipsnsiren nicht gebährt, als wollen sie solches Mghh. dispensation überlaßen. Dr Bitsch setzt ingleichem die Sach Zu Obrigkeitlicher dispensation, In der umfbrag ward errinnert, weilen die Artickel nach Seiner abreis aufgericht word. Er Keiner dispensation einmal nöthig habe. Erkanndt, wird Imploranten in Seinem begehren willfahrt.
Jean Jacques Hirsch épouse en 1673 Anne Marie, fille du boucher Chrétien Scheubel : contrat de mariage, célébration
1673 (24.12.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 18, Vol. 2, Notariat Protocolla) f° 65
Eheberedung Zwischen dem Ehrsammen und bescheidenen Mr Hannß Jacob Hirschen dem Ledigen hueffschmidt deß Ehrenhafft Mr Hanß Hirschen auch hueffschmidts und Burgers alhie Zu Straßburg ehelichem Sohn alß Braütigamb ahn Einem
So dann der Ehren v. Tugendsammen Jungfr. Annæ Mariæ Scheubelin, des auch Ehrenhafften Christian Scheubels auch burgers und Metzgers alhie ehelicher dochter, alß hochzeiterin andern Theils (…)
So beschehen vnd verhandelt in deß heÿl. Reichß Freÿn Statt Straßburg Mittwochs den 24. Xbris alß man nach der seeligmachenden Menschwerdung Jesu Christi Zahlte 1673 Jahre
Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 41 n° 279)
1674. Domin. post Nov. Ann et 1. Epiph. den 4 et 11. Jan. Johann Jacob Hirsch der ledige huffschmidt, Johann Hirsch. deß burgers v. Huffschmidts allhier ehelich. Sohn, Jfr. Anna Maria Christian Scheibels deß burgers vnd Metzgers allhie eheliche tochter, Zu St. Thoman (i 22)
Jean Jacques Hirsch meurt en juillet 1681 en délaissant une fille. L’inventaire est dressé dans la maison. La masse propre à la veuve est de 186 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 295 livres, le passif à 260 livres.
1681 (14. 7.br), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 15) n° 25
Inventarium undt Beschreibung aller undt Jeder Haab, Nahrung undt Güethere, Liegender undt Vahrender Keinerleÿ davon außgeschloßen, So weÿl. der Ehrsame und bescheidene Mr Hanß Jacob Hirsch, gewesenen burger undt huffschmidt Zu Straßburg welche den 14.ten Julÿ, des noch lauffenden 1681.ten Jahrs diese Weldt gesegnet Verlaßen, welche auf gebührliches ansuchen, erfordern und begehren, des auch Ehrsammen undt bescheidenen hanß hirschen auch Burgers und huffschmidts alhie, alß geordneten undt geschwornen Vogts Annæ Mariæn des Verstorbenen mit hernach bemelter seiner hinderbliebenen Wittiben ehelich erzeugtes döchterlin, undt einigen ab intestato hinderlaßenen Erben inventirt durch die Ehren und tugendsahme Fr. Annam Mariam Scheübelin die hinderbliebene Wittib, mit beÿstandt des Ehrenvesten vnd vorgeachten herrn Dietrich Wehrbeckhs Weiß Leinwath händlers und beÿsitzers alhie ihres Schwagers und geordneten Vogts (…) so beschehen Mittwochs den 14. Septembris 1681.
Bericht. Demnach beÿ Inventierung dießer Verlaßenschafft gleichbalden sich erzeigt, d. der Wittibin zugebrachtes guth meistens alienirt, vndt dahero mann derselb. Zimlich Zuergäntzen haben werde, auch etliche Starcke posten Theilbahrer Passiv-schulden Vorhanden, welche nicht allein d. theilbahr sondern auch der Erbin Unverändert Vermögen /:wann nicht die Theilbahren Activ schulden welche alls auf dem Land stehen, Vor guth vndt das hauß in einem solchen hohen anschlag eingetragen worden wehre:/ vmb ein Merckliches übertreffen hätten (…)
In einer in der Statt Straßburg der Vorstatt underwagnern gelegenen in diese Verlaßenschafft gehörigen behausung hat sich befunden alß Volgt
Schreiner. In der Kammer A, In der Kammer B, Vor dieser Cammer, In der Obern stub, Im obern hauß Ehren, In der Kammer C, In der Undern Stub, In der Kuchen, In dem Keller
Eügenthumb ahne einer Behaußung. Ein hauß, hoffstatt höfflein mit allen deren gebäwen, begriffen weithen Rechten Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen in der Statt Straßburg dero Vorstatt underwagnern einseith neben St Johann Speicher anderseith neben Erich Schmid dem barbierer hinden vff Vorgedachten Speicher stoßend, Davon gehet jährlich / Solche ist umb 50. fl. Straßb. Wehrung und 25. lb. der Fabric Zu St: Aureliæ, Item umb 75 lb d dem Mehrern Hospithal alhier, Mehr Hanß Fixen Salpetersiedern soll man in Capital 175 lb. So dann umb 58 lb 6 ß 5 d den demuthischen Schwestern Verhafftet, vnd also über dieße vorhandene beschwerden freÿ ledig undt eigen hieher angeschlagen pro 165 lb
Darüber Vorhanden i. Perg: in alhiß. Cancelleÿ Contractst: gefertigte Kauff verschreibung datirt den 8. Septemb. 1673. mit N° 1 sign: Ferner Vorhanden j alter Kauffb: in allhieß: Cancelleÿ Contractst: gefertigt datirt den 21. Junÿ 1673. und auch mit 1 sign:
Der Wittwe unverändert Vermögen, Sa. hausraths 3, Silbergeschmeidt 2, Guldine Ring 1, Ergäntzung 147, Summa summarum 186 lb
Der Erbin und Theilbar guth, 1 Heinrich 41, Werckzeug 31, Haus 165, Activ Schulden 57, Summa summarum 295 lb – Passiva 260, Verbeliben 34 lb
Schulden, Item der Wittib soll mann wegen ihres unveränderten Gutts Ergäntzung 147 lb
Ergäntzung der Wittiben unveränderten Gueths. Vermög eines über frawen Annæ Mariæ Scheublin inn den Ehestand Zugebrachten Nahrung und von eingehendts unterzeichnetem Notario den 8. Jan: 1674 darüb. auffgerichten undt außgefertigten Inventarÿ
La veuve se remarie en 1682 avec le maréchal ferrant Jean Bernard Rutilius, originaire de Bienne, dont le beau-père Claude Hansmetzger habite à Strasbourg : contrat de mariage, célébration (remarque, Jean Bernard Rutilius n’est pas inscrit dans les livres de bourgeoisie)
1682 (24.4.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 57) f° 336-a
Eheberedung Hans Bernhard Rutilÿ deß Ledigen hueffschmidts und Fr. Annæ Mariæ Scheublerin
zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Meister Hannß Bernhard Rutilio, dem Ledigen hueffschmidt und burger alhie, als hochzeiter an Einem, So dann der Viel Ehren und tugendsamen Fr. Annæ Mariæ Scheüblin weÿl. Meister Hannß Jacob Kirschen auch gewesenen hueffschmidts und burgers alhier seel. hinderlaßener Wittibin als hochzeiterin am andern theil
darbeÿ dann in beÿsein und durch freündliche underhandlung der Wohl Ehrenvest Vorgeachten Ehrsam und bescheidenen herrn Clad Hanns Metzgers deß Metzgers sein deß hochzeiters Stieffvatters, herrn hannß Caspar Schmiden Wagners nahen anverwanthens und herr hannß Conrad Wörners hueffschmidts seines geordnet und geschworenen Vogts auff sein deß Bräütigambs auff Ihr der Hochzeiterin seithen aber Hern Dietrich Wehrbeckhen Weiß Leinwath händlers Ihres geodneten und geschwornen Vogts und hanß hirschen Ihres Schwagers
So beschehen und verhandelt in der Königlichen feÿen Statt Straßburg Freÿtags den 24. Aprilis St. N. 1682 – Johann Friderich Ösinger Notarius publicus juratus
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 192 n° 16)
1682. Majus d. 21. Hans Bernhardt Rutilius d. ledig huffschmidt H. Davidt Rutilÿ Amptschaffners zu Biel hinterl. ehl. Sohn, vnd Anna Maria Hans Jacob Hirschen deß huffschmidt vnd burgers alhie hinderl. W. (i 193)
Jean Bernard Rutilius et Anne Marie Scheubler hypothèquent la maison au profit des enfants mineurs de Jean Christophe Ortner, ancien greffier à Barr. En marge, quittance remise à Jonas Faudel en 1698.
1691 (21.8.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 693
hans Bernhard Ruttilius, der Hueffschmid, und Anna Maria gebohrne Scheublerin, und Zwar dieselbe mit beÿstand Dietrich Wehrbeck, und Johannis Weißen deß Schuhmachers ihrer beed. Schwäger
haben in gegensein H. Johann Georg Beÿerbachs, Schaffners Zum alten St. Peter, alß Vogts weil. H. Johann Christoph Orttners gewesenen Ambtschreibers Zu Barr sel. 2. Kinder – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, hauß hoffstatt höfflein mit allen deren Gebäuen rechten und Zugehördt. allhier in der Vorstatt Und.wagnern einseit neben St. Johann Speicher, and.seit neben Weÿl. Erich Schmids gewes. babierers und wundartzts sel. Erb. hind. auff vorbesagt. Speicher stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein Jonæ Faudels deß Hueffschmidts als ietzigen Besitzers der hierinn ged. in der Vorstatt Under Wagnern gelegenen Behaußung (quittung) den 13. feb. 1698
Anne Marie Scheubler fait dresser un inventaire en l’absence de son mari. Les experts estiment la maison à 450 livres. La masse propre à la femme est de 171 livres. L’actif de la communauté s’élève à 190 livres, le passif à 291 livres
1692 (18.10.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 16) n° 24
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab vnd Nahrung, so Meister Hannß Bernhard Rutilio dem hueffschmidt, und frawen Annæ Mariæ Scheüblerin, beeden Eheleuthen vnd burgeren alhier Zu Straßburg eigenthümlichen Zuständig, Welche Nahrung auf erfordern, ansuchen vnd begehren deß Ehrenvest vnd wohlgeachten herrn Johann Jacob Liechteißen, Specereÿ handlers v. burgers alhie, als der Frawen geordnet und geschworenen Vogts, Vorgenommen, ersucht vnd inventirt, durch sie die Frau, wiewohlen in abweßenheiyt deß Manns, weilen derselbe über beschehenes Verkünden dem Geschefft nicht beÿwohnen wollen (…) Actum Sambstags den 18. 8.bris A° 1692.
Copia Heüraths Verschreibung
In einer alhier Zu Straßburg ane der Weißenthurn straß gelegener v. in diese Nahrung gehöriger behausung befunden worden wie volgt
Auff der Bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, Vor dieser Cammer, In der Obern stub, Im hauß öhren, In der Cammer C, Auff dem Gang, In der undern Wohnstub, Im hauß öhren, Im Hoff, In dem Keller
Eÿgenthumb an einer Behaußung. Item hauß, hoffstatt vnd höfflein mit allen dero gebäwen, begriffen weiten, Rechten, Zugehörden vndt Gerechtigkeiten, Gelegen in der Statt Straßburg Vorstatt Underwagnern einseith neben St Johann Speicher, anderseith neben Weÿl. Joh: Jacob Vogels deß barbierers Zu Barr seel. Sohnlein, hinden auff Vorgedachten Speicher stoßend. Welche behausung umb 50. fl. Straßburger Wehrung vnd 25. lb. d. Cap: der Fabrick St: Aureliæ Pfarrkirchen, Item umb 75 lb d dem Mehrern Hospithal alhier, Mehr 37. lb 10 ß d H. Hannß Conrad Wörner dem huff: v. Statt schmidt, So dann 58 lb 6 ß 8 d Capital dene demuthischen döchtern modo Abraham Heÿdeln dem ältern G.U.W., sonsten freÿ ledig vnd über solche beschwerden durch d. St. St. geschworne werckhleüth æstimirt p 227. lb 18 ß 4 d. Darüber sagt i. perg: Kbr.mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel verwahrt, datirt d. 8. 7.bris 1673, dabeÿ j a. perg. Kbr. in allhiesig: Cancelleÿ Contractstub gefertigt datirt d. 21. Junÿ 1673. beede mit N° 1 signirt
Ergäntzung der Frawen unveränderten Gueths. Vermög deß über weÿl. Meister Hannß Jacob Hürschen, geweßenen hueffschmidts undt burgers alhie Zu Straßburg als der Frawen Ersten haußwürths Verlaßenschafft durch auch Weÿl. H. David Ösingern den Notarium seel. den 4. 7.bre aô 1681. auffgerichtem Inventarÿ
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Fr. unverändert Vermögen, Sa. haußraths 80, Sa. Werckzeugs Zuem hueffschmidt handwerckh gehörig 55, Sa. Silbergeschmeidts 2, Sa. Guldener Ring 9, Sa. Eigenthums an einer behaußung 227, Sa. der Schulden 46, Ergäntzung (66, abg. 191, Zuviel 124), Summa summarum 422 lb – Schulden 251 lb,verpleibt 171 lb
Das Theilbahr Gutt, Sa. haußraths 18, Sa. Werckzeugs Zum hueffschmidt handwerck gehörig 2, Sa. Silbergeschirrs 3, Sa. Baarschafft 17, Sa. Schulden 148, Summa summarum 190 lb – Schulden 291 lb, Übertreffen also solche Passva hievorstehende des Mannß unverändert b. die theilbahre Nahrung dem anschlag nach umb 101 lb – Conclusio 54 lb
Abschatzung Dinstags d. 16. Xberis 1692. Weillandt deß Ehrbahren Cit. beschaid.nen Meister Johann Bernhart Rudellius, burger vnd hoffschmidt, See: hinder Laßene fraw Wittib vnd Erben, behaußung allhie in der Statt Straßburg, in der Weißen thurn Straß, Ein Seitzs Neben, H Johann Carlin Vogell geweßner babierer See: hinder Laßene Erben, ander Seitzs Neben der H Johanniter Speicher, hinden auff eine behaußung denn H Johannter gehörig Stoßend, Welche Behaußung Sampt hinder gebeÿ vnd Neben Gänge höfflein, auch überige begriffen recht vnd gerechtigkeiten wie solches in der besichtigung befunden, vnd dem Jetzigen preiß vnd wehrt Nach angeschlagen vor vnd vmb Nein hundert Gulden. Bezeigens der Statt Straßburg geschwohrne Werckhleithe, Joseph Lauttenschlager Werckmeister deß frauen Werckhs, Johannes Feÿlotter Werck Meister deß Zimmerhoffs, Jacob Staudacher Werckh Meister des Maur hoffs.
Anne Marie Scheubel veuve de Jean Bernard Rutilius meurt en avril 1695 en délaissant une fille de son premier mariage et trois fils du deuxième. L’inventaire est dressé dans une maison au Bain-aux-Plantes. L’actif de la succession s’élève à 169 livres, le passif à 56 livres.
1695 (21.4.), Not. Lang (Jean Henri, classé sous 25 Not 115) N° 8
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, so weÿl. die Ehren und tugendsame Fraw Anna Maria Rutiliußin gebohrne Scheübelin, auch Weÿl. Mr Hannß Bernhard Rutilÿ geweßenen Hueffschmidts und burgers alhier Zu Straßburg nunmehr beede seel. nachgelaßene Wittib, nach ihrem den 15.ten hujus aus dießer welt genommenem tödliche ableiben zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehrengeachten Michael Wanners deß becken vnd burgers alhier, als geschwornen Vogts, Annæ Mariæ Hürschin, der Jetzt abgeleibten Frawen seel. mit Weÿl. Mr Hannß Jacob Hürschen geweßen hueffschmidt und burgern alhier nunmehr seel. in Erster Ehe erzeugter dochter, So dann Hn Daniel Schnitzlers auch hueffschmidts und Burgers alhier, als geschwornen Vogts Hannß Bernhards, Hannß Conrads und Christians der Rutiliusen dießer dreÿ der Jetzt Verstorbenen mit Weÿl. Mr hannß Bernhard Rutilio, ebenmäßig Geweßenen Huffschmidt und Burgern alhier in Zweÿter und letzter Ehe erzeugter Söhn alß aller vier derselben zu vier gleichen portionen und Antheilen ab intestato nachgelaßener rechtmäsiger Erben, vorgenommen ersucht und inventir durch die Ehr: und tugendsamen Jungfrau Annam Mariam Hürschin der Verstorbenen Gesch(-) als welche biß sato in dem hauß gewesen (…) Actum Donnerstags den 21. Aprilis 1695.
Copia der Verstorbenen auffgerichter Disposition
In einer alhier Zu Straßburg beÿm Pflantzbad gelegener und in dieße Verlaßenschafft nicht gehöriger behaußung befunden worden wie volgt
In der Wohnstub, In der Stub Cammer, Im haußöhren
Werckzeug Zum Hueffschmidt handwerck gehörig
Rubricæ hujus inventarÿ, Sa. haußraths 48, Sa. Werckzeugs Zum Hueffschmidt handwerck gehörig 7, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 2, Sa. Guld: Ring 4, Sa. Baarschafft 106, Summa summarum 169 lb – Schulden 56 lb, Nach deren Abzug 112 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 147 lb
Compte que rend le maréchal ferrant Daniel Schnitze de la gestion des biens qui appartiennent à Jean Conrad Rutilius
1699, Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6244) n° 572
Rechnung Mein Daniel Schnitzlers, huffschmidts burgers alhier Zu Straßburg, alß geordnet und geschwornen Vogts Hanß Conrad Rutilÿ, huffschmidts weÿl. hanß Bernhardt Rutilÿ gewesenen huffschmidts mit auch weÿl. frawen Anna Maria Schäubelin, beed. Eheleuth. seel. ehelich. erzeugten Sohns, [inhaltend] waß Ich Vom 9. Martÿ ao. 1695. als nach absterb. d. Mutter biß d. 6. Junÿ ao. 1699. ernanten meines vogts Sohns weg. eingenommen, außgegeb. undt sonst. vögtlich. weiß verrichtet und verhandelt habe. Erste Rechnung dießer Vogteÿ
Anne Marie Scheubel veuve de Jean Bernard Rutilius vend la maison au maréchal ferrant Jonas Faudel et à sa femme Marie Barbe Vetter.
1693 (9.2.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 101-v
(prot fol. 20.b) Erschienen Anna Maria gebohrne Scheublin weÿl. Johann Bernhard Ruttilÿ, geweßenen Hueffschmids sel. hinderlaßene wittib, mit beÿstand H. Johann Jacob Liechteißens, deß Specereÿhändlers Ihres, und hans hirschen, deß hueffschmidts Ihres töchterleins erster Ehe vogts (unterzeichnet) annamaria ruttilesin
in gegensein Jonä Faudels, deß hueffschmidts und Mariæ Barbaræ gebohrner Vetterin mit beÿstand Hn Caspar Schmidts, deß wagners, deren noch ohnentledigten Vogts
hauß, hoffstatt, höfflein mit allen deren gebaüen, begriffen,n zugehördten und Gerechtigkeiten allher in d. Vorstatt Und.wagner einseit neben St Johann Speicher, and.seit neben Friderich Vogel weil. hans Carl Vogels gewesenen Barbierers hinterlassenen Sohn, hind. auff besagt. Speicher stoßend gelegen, welche behaußung umb 50 fl. Straßb. wehr. Item umb 75 lb Capital (Mehr umb 50 lb, ferner umb 100 lb Capital, Item umb 50 lb Capital, So dann umb 50 lb Capital verhafftet) – geschehen umb 525 pfund
Originaire de Wasselonne et fils du garde-forestier Jean Faudel, Jonas Faudel épouse en 1692 à Illkirch, avec la permission des Conseillers et des Vingt-et-Un, Marie Barbe Vetter, fille du maréchal ferrant Sébastien Vetter : contrat de mariage, célébration
1692 (17. 8.bris), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 5892)
Eheberedung – zwischen Jonas Faudeln, Hueffschmidt von Waßlenheim gebürtig, weÿl. Hn Jacob Faudels, gewes. Oberförsters über Elmersforst undt Odenwaldt seel. nachgelaßenen ehelichem Sohn, als hochzeiter, ahn einem,
So dann Barbaræ Vetterin Herrn Sebastian Vetters hueffschmidts burgers alhier eheleiblichen tochter als hochzeitherin am andern theil
welches beschehen inn Straßburg freÿtags den 17. Octobris Anno 1692. (unterzeichnet) jonas faudel Als hochzeiter, Caspar Schmidt als der hochzeÿderin vogt
Protocollum tertium, f° 71
Le pasteur nomme Jean Fautel le marié qui signe Jonas Faudel
Mariage, Illkirch (luth.)
1692 den 20. Octob.St. N. sind auß Erlaubnus der Hh Räth vnd xxi copulirt und eingesegnet worden Johannes Fautels, huffschmidt, gebürtig Von Waßlenh. Jacob Fautels, burg. in Waßlenh. vnd Ober Förster vber Odenwaldt, Vnd Anna Barbara seiner Ehel. haußfr. ehl. Sohn Vnd burg. in Straßburg, Maria Barbara, Sebastian Vetter, burg. vnd Huffschmidt in Straßburg, vnd Anna Maria seiner ehl. haußfr. ehl. Tochter unterzeichnet Jonas faudel Als hochzeiter, Hanß Jacob Fauttel alß bruder, Maria Barbara Vötterin als hochzeiterin (i 52)
Permission accordée par les Conseillers et les Vingt-et-Un
1692 Conseillers et XXI (1 R 175)
(p 267) den 20.t Octob. 1692. – Jonas Fautel umb copulations schein.
Salm. nôe Jonas fautels des ledigen huffschmidten von Waßlenheim vnd Maria Barbara Sebastian Vetters hiesigen burgers und huffschmidts dochter welche bis Zukunfftig woch Zu Illkirch mit einander sich copuliren laßen wolen, biten umb permission. Erkant willfahrt. – H. XXI. Brackenhoffer, Rathh. Körner.
Jonas Faudel devient bourgeois cinq jours après son mariage
1692, 4° Livre de bourgeoisie p. 624
Jonas Fautel Von Waßlenheim der huffschmid, weÿl. Jonas Fautels des gewesten Ober försters daselbst hinterl. sohn, empfangt das burgerrecht von Maria Barbara Vetterin seiner jetzmahligen haußfr. gratis, ist Zuvor ledig. stands gewest, und wird Zu E. E. Zunfft der schmid dienen. Jur. d. 25. 8.br. 1692.
Il fait baptiser un fils un peu plus de deux mois plus tard.
Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 180-v)
den 4. Jenner A 1693 getauft Worden ein Sönlin mit dem namen Joh: Jacob dessen Eltern Jonas faudel Huffschmid v burger alhie Maria Barbara Vetterin, Tauffzeugen H Philips faudel Pastetenbeck v burger alhie Hans Jacob Fürling glaser v burger Susanna Maria Hanß Jacob Faudels Sattlers v burgers alhie eheliche haußfrau (i 184)
Jonas Faudel hypothèque la maison au profit de son frère sellier Jean Jacques Faudel pour en régler le prix d’achat.
1694 (4. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 594-v
Jonas Faudel der hueffschmidt (unterzeichnet) jonas faudel
in gegensein Hans Jacob Faudels, deß Sattlers, seines leiblichen bruders, schuldig seÿe 150 pfund, Ihme zu völliger abricht: und bezahlung der jenigen 600 fl. Kauffschillings Rest welche auf hernach beschriebener behaußung annoch gestand. (unterzeichnet) Hans Jacob Fauttel
unterpfand, Hauß, Hoffstatt, Höfflein, mit allen deren gabaüen, begriffen, rechten und Zugehördten, allhier in der Vorstatt Under Wagnern, einseit neben St. Johann Speicher, anderseit neben Friderich Vogel dem ledigen barbierer hind. auff besagten Speicher stoßend gelegen
Jonas Faudel meurt en octobre 1728 en délaissant six enfants. Les experts estiment la maison à 550 livres mais cette somme devient 690 livres quand elle est reportée dans l’inventaire. La masse propre à la veuve est de 933 livres, celle propre aux héritiers de 510 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 379 livres, le passif à 1 353 livres.
1729 (4.4.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 23) n° 540
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, Liegender und Vahrender, Verändert und ohnveränderter, überall nichts davon ausgenommen, so Weÿland der Ehren: und Wohlvorgeachte Herr Jonas Fautel, der geweßene Hueffschmid und burger allhier Zu Straßburg nunmehr seel.r als derselbe Sonntags den 31.ten Octobris des Zurückgelegten 1728.sten Jahrs dießes Zeitliche in das Ewige Verwechßelt, nach solch seinem aus dießer Welth genommenem tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft, auf freundliches ansuchen, erfordern und begehren des seelig. verstorbenen mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlter Kinder und ab intestato Zu gleichlingen portionen und antheilern Verlaßener Erben (…) inventirt durch die Viel Ehren: und tugendsame Frau Mariam Barbaram Fautelin gebohrene Vetterin die hinterbliebene Wittib mit beÿstand des Ehren und Wohl vorgeachten Herrn Cladÿ Hanns Metzgers des Metzgers und burgers allhier zu Straßburg Ihres geliebten Schwesters und geschwornen vogts – So beschehen in Straßburg auf Montag den 4.ten Aprilis et seqq. Anno 1729.
Der Abgeleibte seeliger hat Zu seinen Erben ab intestato Verlaßen wie volgt. 1. Meister Johann Jacob Fautel, den huffschmid und burgern allhier den ältisten Sohn, welcher in Persohn beÿ dem geschäfft sich eingefunden. 2.do Meister Johann Friderich Fautel den Metzger und auch burgern allhier, den ohneins ältesten Sohn, so absens, in deßen Nahmen hernach benahmster Herr Deputatus Zugegen gewesen, 3.tio Herrn Johann Philipp Fautel, den Ledigen Handelsmannn welcher in Paris in der Herren Kornmänner handlung in Condition stehet, deßwegen ebenmäßig abweßend, und in seinem Nahmen hernach berührter Herr Deputatus hiebeÿ erschienen. 4.to Frau Mariam Salome Finckin gebohren Fautelin, Meister Georg Jacob Fincken des Metzgers in Carlsruh Marggräff. Baden durlachischer Herrschafft eheliche Haußfrau, welche allhier ohnverburgert und abweßend, dahero in dero Nahmen aus E: E: Kleinen Raths Mittel, Krafft Extractus Memorialis Von 23.ten Martÿ hujus Anni zu dießem geschäfft in Specie deputiret worden, Herr Johann Conrad Simon der Peruquenmacher und vor Ehrengedachter Kleinen Raths jetzig wohlmeritirten Assessor welcher auch in Persohn dem geschäft abwartete, 5.to Herrn Johann Daniel Fautel, Jurius Studiosum, so mehrjährig und ohnverburgert daherio in selbst eigener Persohn beÿ dem geschäfft sich eingestelt, So dann 6.to Jungfer Mariam Barbaram Fautelin, deren geschworner Vogt Herr Johann Bezold der Gastgeber zur Linden und burger allhier, welcher nomine seiner Curandin dem geschäfft persönlichen beÿgewohnt. Alßo alle Sechs des verstorbenen seel. mit eingangs angeregter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlte Söhn und töchter, auch ab intestato Zu Sechs gleichlingen portionen und antheilern verlaßene Erben.
Copia Heuraths Verschreibung – Copia Codicilli reciprocj
In einer allhie Zu Straßburg ane der Vorstatt Weißenthurn Straß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der Bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, Vor dießem Gemach, In der Cammer D, Im Obern haußöhen,, In der Obern Stub,, In der Wohnstub, In der untern Kuchen, Im Keller
Eigenthumb ane einer Behaußung (T.) Eine Behaußung, Hoffstatt und Höfflein, mit allen deren gebaüen, begriffen, Weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg in der Vorstatt Unterwagnern, einseitt neben St Johann Speicher, anderseit neben Herrn Friderich Vogel dem Chirurgo, hinden auf besagten Speicher stoßend, davon reicht mann Jährl. der Statt Straßburg Pfenningthurn termino Johannis Baptistæ j lb 10 ß d bodenzinß, Sonsten gegen Männiglichen freÿ Ledig eigen und über dieße Beschwährde durch (die Werckmeistere) laut überschickten schrifft. Abschatzungs Zeduls vom 26.ten Martÿ Anno 1729. angeschlagen per 690. lb. Darüber sagt ein teutscher perg. Kauffbrieff, in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub auffgerichtet und mit dero anhangedem Insiegel corroborirt de dato 9.ten Februarÿ Anno 1693. Dabeÿ ferner ein alter teutscher in berührter der Statt Straßburg Contract Stub auffgerichteter und mit dero anhangendem Insiegel becräfftigter Perg. Kauffbrieff, de dato 21. Junÿ Anno 1673. So dann ein alter perg. Kauff und Zween abgelößte Zinnßbrieff.
(W.) It. 8/84.ste oder 2/21.ste theil Vor ohnvertheilt von und ane einer Vorder und hinder behaußung so vor dießem die Herberg Zum Goldenen Löwen zu Straßburg im Goldgießen (…)
Wÿdembs Verfangenschaft Welche Frau Christina Vetterin gebohrene Wörnerin, weÿl. Hn Sebastian Vetters des ältern geweßenen huffschmidts und E: E: Kleinen Raths alten Assessoris seel hinterbliebene Frau Wittib als dißorths der Weißbeck Stieff Mutter wegen solcher Iher Stieff Mutter wegen wolcher Ihrer Stieff tochter ad dies vitæ Zu usufruiren hat.
Wÿdembs Verfangenschaft Welche Herr Cladÿ Hanns Metzger der Metzger und burger allhier Zu Straßburg Von weÿl. Frauen Anna Maria Hannß Metzgerin geb. Vetterin seinner geliebten haußfrauen, als dißorts der hinterbliebeneen Wittib eheleiblicher Schwester nunmehr seel. Zeit Lebens zu genießen hat
Ergäntzung der Wittib abgegangenen ohnveränderten Guths. Erstl. Vermög eines Summarischen Calculi und Berechnung über Weÿl. Frauen Annæ Mariæ Vetterin geb. Schmidin der Wittib eheleiblicher Mutter seel. Verlaßenschafft in Anno 1713. den 16.ten Martÿ durch Hn Not. Jacob Christoph Pantrion
Ergäntzung der Erbenermanglenden ohnveränderten Guths, Nach besag Designation über des Verstorbenen sel. von auch weÿl. Frauen Anna Barbara
Rothaanin geb. Willmännin auch weÿl. H Johann Rothhaans des geweßenen Schultheißen Zu Waßlenheim nunmehr seel. hinterlaßene Wittib
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 27, Sa. Silber geschmeids 4, Sa. goldener Ring 5, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 62, Sa. antheils ane einer behaußung 109, Sa. schulden 50, Erg. (872, abgang 59, restirt) 813, Summa summarum 1073 lb – Schulden 137, Nach solchem abzug 933 lb
Der Erben ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 37, Sa. Silbergeschmeids 11, Sa. goldenen Rings 2, Sa. Eigenthum ane Reeben 84, Erg. (427, Abgang 2, remanet) 424, Summa summarum 561 lb – Schulden 51, Detrahndeo verbelibt 510 lb
Theilbahre verlaßenschafft, Sa. haußraths 131, Sa. Werckzeugs und gemachter arbeit Zum hueffschmidt handwerck gehörig 80, Sa. Weins und Lährer Vaß 319, Sa. Silber geschmeids 34, Sa. goldenen Rings 15 ß, Sa. Pfenningzinß hauptguths 25, Sa. Eigenthums an einer behaußung 690, Sa. Eigenthumbs ane einem Reebstück 40, Sa. Schulden 57, Summa summarum 1379 lb – Schulden 1353, In Vergleichung 25 lb
Stall Summa 1246 lb
Copia der Eheberedung (…) Johann Kitsch, Nots.
Copia Codicilli – 1726. (…) auf Donnerstag den 5. tag des Monats Septembris Morgens Zwischen Acht: und Neun Uhren, in einer allhier Zu Straßburg ane der großen Kirchgaß gelegenen und von mir Notario bewohnenden Behaußung, den Obern, mit den fensten auf die Gaß außehenden Camin Cammer (…) persönlich kommen und erschienen Jonas Faudel der Huffschmidt und beneben Ihme die Viel Ehren: vnd tugendsahme Frau Maria Barbara Faudelin gebohrene Vetterin beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg, beede von der Gnade des grundgütigen Gottes guter reichtiger Sinnen, venunfft vertands und gesprächs (…) Johannes Lobstein Notarius
Abschatzung d. 26.t Marty aô 1729. Auff begehren Weÿland des Ehrenvesten und Vorachtbahren H Johann Faudel gewesenen huffschmids seel. hinterlaßene frau Wittib und Erben, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der Weisen thurn Straß gelegen einseits neben H. friedrich Nagel Balbierer anderseits Neben einem Speicher dem Johannitter Herren Zugehörig, hinden auch auf bemelten Speicher stosend, welche behausung Nebens gebäulein, gängell, Stuben, Cammer, Soldaten Cammer, Kuchen haus Ehren, Werckstatt worinnen schmidt, Eß und Stübel, halb gewölbt und halb gebälcktes Kellerl. sambt aller gerechtigkeit wie solches durch d. Statt Straßburg geschworne Weckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigenn preiß nach angeschlagen wird Vor und umb Ein Tausend und Fünff hundert gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg geschworene Werckleüthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhofs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Jonas Faudel meurt à l’âge de 66 ans 4 mois 25 jours.
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. reg. 1714-1735 f° 93-v n° 60)
1728. Sontags den 31. octob. morgens gegen i uhr ist gestorben Jonas Fautel gewesener burger vndt huffschmidt allhier vnd dinstags darauff als den 2. 9.bris auff den Gottesacker Zu S. Helenæ Nachmittags vmb 2 Uhr Christlich begraben worden Seines alters 66 Jahr 4 monath vndt 25 tag (unterzeichnet) Johann Jacob Faudel als sohn, Johann Friderich faudel als sohn (i 96)
Marie Barbe Vetter loue une partie de la maison à Jean Wolfgang Roschka (serrurier)
1738 (9.10.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 575
Fr. Maria Barbara geb. Vetterin weÿl. Jonas Faudel des hueffschmidts ohnbevögtigt wittib mit beÿstand Christian Erichsohn des schreiners
in gegensein Johann Wolffgang Roßka (unterzeichnet) Roschkaa
In einer ihr der verlehnerin und ihren Kindern eigenthümlich zuständig ane der Vorstatt der garttnern underwagnern einseit neben Johann Friedrich Vogel Chirurgo anderseit neben H. zu St Johannis Speicher gelegenen Behausung unden auff dem boden Eine Stub kuchen, werckstatt und Kohlen Kammer, Eine Stiege hoch, eine Kammer neben der kohlenkammer, einen platz zum holtz und einen unterschlagenen platz im keller umb etwann vier ohmen dahin legen zu können und platz auff der bühn die wasch dahin zu hencken jedoch behaltet sich die verlehnerin den gemeinschaftlichen gebrauch mitverlehnter Kuchen zu denen waschen bevor – auff 6 nacheinander kommende jahr anfangend von Michaelis lauffenden jahrs, um einen jährlichen Zinß nemlich 15 pfund
[in margine :] verlehende Fr. Faudel mit beÿstand H. Georg Friedrich Nenter Candidatus notariatus an einem und entlehnender Roschka anzeigendt wie daß sie hiegegen stehend (…) bezahlt, hingegen Fr. Anna Maria geb. Voltzin weÿl. Johann Martin Wurtz des huffschmidts wittib mit beÿstand ihres vogts und bruders Andreas Voltz g.u.w., in bevorstehende Lehnung eingestanden, d. 22. Decembris 1742
Marie Barbe Vetter et sa fille Marie Barbe Faudel hypothèquent cinq neuvièmes de la maison au profit du receveur en chef de l’Œuvre Notre Dame Jean Henri Jahreis
1743 (19.12.), Chambre des Contrats, vol. 617 f° 474
Fr. Maria Barbara geb. Vetterin weÿl. Jonas Faudels des huffschmidts wittib mit beÿstand Johann Carl Rothan des schwartz und schönfärbers und dero tochter Jfr. Maria Barbara Faudelin beÿständlich Georg Friedrich Nenter Candidati Notariatus
in gegensein H. Johann Heinrich Jahreiß des Oberschreibers des stiffts Frauenhaußes – schuldig seÿen 150 lb
unterpfand, fünff 9.te theil vor unvertheilt ane einer behausung, höfflein und hoffstatt cum appertinentis in der Vorstadt Unterwagnern einseit neben dem St Johann Speicher, anderseit neben H. Friedrich Vogel des Chirurgi, hinten auff besagten Speicher – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 11 d ane bodenzinß – der Frau wittib zu vier 9.te theile, der tochter zu einem 9.ten und denen übrigen vier Faudelischen kindern zum übrigen rest
Marie Barbe Vetter loue une partie de la maison au charron Jean Martin Rasp.
1745 (26.3.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 204
H. Georg Friedrich Nenter Candidatus Notariatus als mündlich bevollmächtigter mandatarius seiner schwiegermutter Fr. Maria Barbara geb. Vetterin weÿl. Jonas Faudel des huffschmidts wittib
in gegensein Johann Martin Rasp des wagners
entlehnt, In einer ane der Weißenthurnstraß, einseit neben Johann Friedrich Vogel dem Chirurgo, anderseit neben der Commenthureÿ St Johann Speicher gelegenen behausung, unten die werckstatt, stub kammer und küchen, auf dem zweÿten stock zwo kammern, eine fruchtbühn und einen unterschlagenen keller – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend von dato, um einen jährlichen Zinß nemlich 40 gulden
Marie Barbe Vetter vend sa part de la maison, soit quatre neuvièmes, à sa fille Marie Barbe Faudel et à son gendre Georges Frédéric Nenter.
1747 (19.1.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 41-v
H. Johann Philipp Strohl der weinhändler als mandatarius Fr. Maria Barbara geb. Vetterin weÿl. Jonas Faudel des huffschmitts wittib
besagter F. wittib tochtermanns und tochter H. Georg Friedrich Nenter Jurium Practici und Mariæ Barbaræ geb. Faudelin
vier 9.te theil vor unvertheilt ane einer behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane der Weißenthurn straß, einseit neben Friedrich Vogel dem chirurgo, anderseit neben der Commenthureÿ St Johann allhier speicher, hinten auff denselben – von solcher gantzen behausung gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 10 ane bodenzinß – um 150 pfund capital verhafftet, geschehen um 380 pfund
Le notaire Georges Frédéric Nenter et Marie Barbe Faudel hypothèquent cinq neuvièmes de la maison au profit de Salomé Schmitt, veuve du consul Jean Frédéric Œsinger.
1747 (19.1.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 43-v
H. Georg Friedrich Nenter Jurium Practici und Maria Barbara geb. Faudelin mit beÿstand H. Johann Philipp Strohl des weinhändlers und Caspar Samuel Edelmann des schreiners
in gegensein H. Philipp Jacob Oesinger des schaffners der hohen schul als mandatarius seiner mutter Fr. Salome geb. Schmidtin weÿl. S.T. H. Ammeisters Johann Friedrich Oesinger Fr Wittib – schuldig seÿen 400 pfund
unterpfand, fünff 9.te theil vor unvertheilt ane einer behausung, höfflein und hoffstatt ane der Weißenthurn straß, einseit neben Friedrich Vogel dem chirurgo, anderseit neben Commenthureÿ St Johann allhier speicher, hinten auff denselben
Georges Frédéric Nenter et Marie Barbe Faudel hypothèquent leur part de maison au profit de Marie Gacon
1750 (9.6.), Chambre des Contrats, vol. 624 f° 266
H. Georg Friedrich Nenter notarius juratus et practicus vor sich selbst und innamen seiner eheliebstin Fr. Mariæ Barbaræ geb. Faudelin
in gegensein Jfr. Marie Gacon mit beÿstand H. Samuel Fingado geschwornen courtier – schuldig seÿen 300 pfund
unterpfand, acht 9.te theil vor unvertheilt ane einer behausung, höfflein und hoffstatt in der vorstatt Underwagnern einseit neben H. Friedrich Vogel dem chirurgo, anderseit neben der Commentureÿ St Johann speicher, hinten auff denselben – von solcher gantzen behausung gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 10 ß ane bodenzinß
Marie Barbe Vetter meurt en 1752 en délaissant cinq enfants ou leurs représentants. Elle était propriétaire de cinq neuvièmes de la maison dont elle a cédé quatre neuvièmes à sa fille Marie Barbe. L’actif de la succession s’élève à 754 livres, le passif à 1 984 livres.
1752 (17.4.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 256) n° 507
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿl. die viel Ehren und tugendbegabte Fr. Maria Barbara Faudelin, gebohrene Vetterin, längst Weÿl. des Wohl Ehren: und Vorachtbahren Herrn Jonä Faudels, des geweßenen Hueffschmidts und burgers allhier Seelig nachgelaßene Fr. Wittib, nun auch Seelige, nach ihrem den 25.ten Febr. dieses lauffenden 1752.ten Jahres aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitl. Verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren der Verstorbenen Seeligen nach tod verlaßener sambtlicher Kinder und Erben (…) So geschehen allhier Zu Straßburg uff Montag den 17. Aprilis Anno 1752.
Die Verstorbene Fr. Seel. hat sowohl per Testamentum als ab intestato Zu Erben verlaßen wie folgt. 1.mo Weÿl. des Ehren achtbahren Meisters Johann Jacob Faudels, geweßenen Hueffschmidts und burgers allhier zu Straßburg seeligen, mit der tugendsamen Fr. Maria Catharina gebohrene Dannenbergerin seiner hinterbliebenen Wittib, ehelich erzeugte noch lebende Zweÿ Kinder Nahmens Johann Jacob, so Zwar majorennis aber der Zeit auff der Wanderschafft, seines erlernten Schumacher Handwercks sich befindend daher abweßend und Susannam Barbaram deren geordnet und geschworenen Vogts der Wohl Ehrenachtbare und Kunsterfahrene Herr Johann Friderich Vogel der geschwornen barbierer und Wund Artzt auch burger allhier so dieser Inventur in Persohn beÿgewohnt, in den einen Fünfften
2.do H Johann Philipp Faudeln, den leedigen Vornehmen Banquier, der Zeit Zu Paris als buchhalter in den Kornmännischen Comptoire emploiiret, absens, in den Zweÿen fünfften, 3.tio die viel Ehren und tugendbegabte Fr. Mariam Salome gebohrene Faudelin, H. Georg Jacob Fincken, des Metzgers und burgers in Carlsruhe Hoch Fürstlich Marggraff Baden durlachischer Herrschafft F. Eheliebstin, so von hier abweßend in den dritten fünfften, 4.to S. T. H. Johann Daniel Faudeln, Juris Consultum und beÿ Ihro hochfürstl. durchlaucht dem Hertzogen Zu Zweÿbrücken & hochverdiensten Cammerrath in der hochfürtl. Residenz Zweÿbrücken häuslichen niedergelaßen, mithin auch nicht hier Zugegen, in den Vierdten fünfften, demnach nun vorherige Zweÿ herrn Söhne und Fr. Tochter allhier nicht etablirt und ohnverburgert, alß ist Zufolg extractus Memorialis E. E. Kleinen Rath vom 15. Aprilis A° 1754. in dero Nahmen anweßend geweßen S.T. H Johann Georg Wild E. E. Großen Raths Alter und E. E. Kleinen Raths jetzig. Wohlverdienter beÿsitzer, als aus Edel besagten Raths Mittel hierzu insonderheit abgeordnet. So dann 5.to die viel Ehren: und tugendbegabte Fr. Mariam Barbaram gebohrene Faudelin des Wohl Ehren Vesten und Großachtbahren hern Georg Friderich Nenters Notarii publici jurati und berühmten Practici, auch burgers allhier Zu Straßburg Fr. Eheliebstin, welche mit und neben Ihrem Eheherrn dieses Inventur in Persohn abgewartet, in den Fünfften letzten Stammtheil. Alls sampt der Verstorbenen Fr. Seeligen mit Eingangs gemeltem Ehemann längst seeligen ehelich erzeugte Herren Söhne, Fr. töchtere und Enckel nach todt zu Erben verlaßen
Copia Testamenti nuncupativi – Copia Nach Dispositionis
In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Weißenthurn straß gelegenen, in diese Verlaßenschafft und respective deren Wÿdumb gehörigen Behaußung folgender maßen befunden als
Eigenthum ane liegenden Güthern In Tränheim Bann, In Westhoffen Bann
Wÿdumb, welchen die verstorbenen Zeit lebens genßen, Nahml. es hat Weÿl. H Jonas Fautel des gewesene Huffschmid und burger allhier nun längst seel. in seinem errichteten Codicillo §° 2.do der Defunctæ als seiner hinterbliebenen wittib den usum fructum aller seiner nach tod verlaßender und nach Abzug der Kinder legitimæ im rest verbleibender Haab und nahrung Zeit lebens wÿdumbs weiße anverschafft.
Eigenthumb ane einer Behaußung. 5/9.th vor unvertheilt, davon die übrige 4/9.th so der verstorbenen seel. theils in Eigenthums und th. in Erbs weiß gehörig geweßen, durch sie in ihrem wittibstand an H. Notm Georg Friderich Nenter und fr: Mariam Barbaram geb. Fautelin, deren H. Tochtermann v. tochter Käufflichen weggegeben und in allhies. C. C. stub verschrieben worden, von v. ane j.r beh. höff. und hoffstatt, mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier ane der vorstatt weißenthurnstraß, j. s. neben St Joh. Speichern, 2. s. neben H. Joh: Fried. Vogeln, dem Chirurgo, hinden auff gedachten St. Johann Speicher stoßend, davon mann Jährl. termino Joh. Bapt: Löbl. St. Str. Pfgth. 1 lb 10 ß d bodenzinß zu reichen pflichtig, sonsten aber ledig eigen, und nach Zuvorhin eingehalter hochgeneugtester Erlaubnus Löbl. St. Stalls auff den fuß angeschlagen wie solche die verstorbene wÿdums nießerin seel. hie vorbesagter maßen inh. C. C. verschreibung vom 19.ten Jan: A° 1747. eigenthümlichen Zu ihren 1/9. theilen überlaßen, thut nebst übernahm des real oneris zu denen 5/9. theilen, 694. 8. 10. Darüber bes. 1. teut. perg. Kauffbr. in allhies. C. C. st. gef. und m. deren anh. Ins. verw. datirt den 9. Febr. A° 1693. Dabeÿ ferner j. teut. in berührter C. C.st. gef. und m. deren anh. Ins. vw. Kffbr. de dato 21. Junii A° 1673. So dann i. a. perg. Kff. v. 2. abgelößte Zßbrieff.
Series rubricarum hujus Inv. Sa. Haußraths 51, Sa. Silber geschmeids 7, Sa. gold. Ring 6, Sa. Leerer faß 15, Sa. baarschafft 1, Sa. Eigenth. ene liegenden Güthern 23, Sa. Schulden 650, Summa summarum 754 lb – Schulden 1984, Passiv rest 1229 lb
Marie Barbe Vetter meurt à l’âge de 77 ans deux mois 25 jours.
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. reg. 1736-1757 f° 143-v n° 5)
Montags d. 28. Febr. 1752. Nachmittags um 1 Uhr starb Fr. Maria Barbara gebohrne Vetterin weÿl. H Jonæ Faudels gewes. Huffschmidts und burgers allhie nachgel. wittib ihres alters 77 jahr 2 Monath und 25 Tag Ihr vatter war weÿl. H Sebastian Vetter gewes. Huffschmidts die Mutter aber weÿl. Fr Maria genohrne Schmidtin, deßen Ehefrau, Mittwoch darauf als d. 1. Martÿ wurde dieselbe auf den Gottes acker St Helenen christlichem Gebauch nach begraben (unterzeichnet) Johann Jacob Sattler als An verwantter, Georg Friderich Nenter Notarius als tochtermann (i 148)
Le maréchal ferrant Jean Bastasius Ried achète le 31 octobre 1752 par adjudication judiciaire le neuvième de la maison qu’il revend en mars 1753 à Salomé Kiesel, veuve du charron Jean Martin Rasp.
1753 (5.3.), Chambre des Contrats, vol. 627 f° 107
H. Johann Bastasius Riedt der huffschmitt und EE Kleinen Raths alten beÿsitzer
in gegensein Fr. Mariæ Salome geb. Kieselin weÿl. Johann Martin Rasp des wagners mit beÿstand Johann Jacob Krieg des wagners
den 9.ten theil vor unvertheilt ane einer schmidtbehausung bestehend in vorder: und hindergebäu, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden, und rechten in der vorstatt Weißenthurn straß, einseit neben Johann Friedrich Vogel dem chirurgo, anderseit neben einem der Commenthureÿ St Johann allhier Speicher, hinten wieder auff demselben – von der gantzen behausung gibt man auff Johannis Baptistæ hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 10 s – als ein am 31. Octobris jüngst ane der ganth ersteigtes guth – um 100 pfund
Fils du charron du même nom, Jean Martin Rasp épouse en 1745 Marie Salomé Kiesel, fille du sellier Josias Christophe Kiesel : contrat de mariage, célébration
1745, Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 54) n° 347.a
Eheberedung – zwischen dem Ehrenachtbaren H. Johann Martin Rasp, dem ledigen wagner, weÿl. Joh: Martin Rasp, gewesenen Wagner und burgers allhier nachgelaßenem ehelichem Sohn als dem bräutigam ane einem
So dann der Ehren und Tugendsamen Jgfr Maria Salome Kieselin, herrn Josias Christoph Kiesel, Sattler und burgers allhier ehelichen tochter, als der Jgf. hochzeiterin ane dem andern theil
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 15 n° 26)
1745. Mitwoch den 13. Octob: sind nach geschehener Zweÿmahliger proclamation ehelich copulirt und eingesegnet worden Joh: Martin Rasp Lediger Burger und wagner alhie weÿl. Joh:Martin Rasp gewesenen burgers und wagners wllhie hinterl. ehel. Sohn vnd Jfr Maria Salome H Josias Christoph Kiesels burgers und Sattlers allhie ehel. Tochter (unterzeichnet) Johann Martin Rasp Als hochzeiter, Maria Salome Kießelin als hochzeiterin (i 11)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 1126 livres, ceux de la femme à 308 livres.
1745 (1.12.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 39) n° 804
Inventarium über Hrn Johann Martin Rasp, Wagners und Frauen Mariæ Salome gebohrener Kiesselin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander vor unverändert in die Ehe zusammen gebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1745. – und vermög auffgerichteter Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten haben (…) So beschehen in beÿsein M Andreas Rasp, Wagners, des Ehemanns Bruders und Hn Josias Christoph Kiesel, Sattlers, der Ehefrauen vatters in Straßburg auf Mittwoch den 1. Decembris Anno 1745.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns Vermögen betreffend, Sa. haußraths 3, Sa. Werckzeugs Zu dem wagner handwerck gehörig 40, Sa. holtzes zu dem wagner handwerck gehörig 195, Sa. Silbers 15, Sa. Pfenningzinß hauptgütern 900, Sa. Activ Schulden 69, Summa summarum 1226 lb – Schulden 100 lb, Nach deren Abzug 1126 lb
Diesemnach wird auch der Ehefrauen Zugebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 94, Sa. Silbers 28, Sa. goldener Ring 23, Sa. baarschafft 161, Summa summarum 308 lb
Martin Rasp meurt en octobre 1752 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans une maison que la veuve loue au Faubourg blanc. La masse propre à la femme est de 278 livres. L’actif des héritiers s’élève à 852 livres, le passif à 235 livres.
1752 (28.12.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 48) n° 1019
Inventarium über Weÿland Hrn. Johann Martin Rasp gewesenen Wagner und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1752.
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung so weÿl. der Ehrenachtbare H. Johann Martin Rasp, gewesener wagner und burger allhier Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 1. Octobris dieses Jahrs genommenen tödlichem hientritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Herrn Andreas Rasp, Wagners und burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Mariæ Salome, Johann Georg und Catharinæ Dorotheæ des Verstorbenen seel. mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugter und ab intestato zu Erben Verlaßener dreÿ Kinder fleißig inventirt und ersucht durch die Ehren und Tugendsame Frau Maria Salome Raspin gebohren Kieselin die hinterbliebene Wittib beÿständlich herrn Josias Christoph Kiessel, Sattlers und burgers allhier ihres Vatters (…) So beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 28. Decembris Anno 1752.
Copia der Eheberedung
Hierauf wird nun die Verlaßenschafft, wie sich solche in einer allhier Zu Straßburg an der Weißenthurnstraß gelegenen Von der Wittib lehnungs weiße bewohnenden behaußung befunden
Ergäntzung der wittib abgegangenen unveränderten Vermögens. Innhalt Inventarÿ über beeder gewesener Eheleuthe einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in Anno 1745. durch mich Eingangs gemelten Notarium auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unverändert Vermögen, Sa. hausraths 28, Sa. Silbers 7, Sa. goldener Ring 6, Sa. Ergäntzung 185, Sa. Schulden 50, Summa summarum 278 lb
Die übrige denen Erben Zugeschriebene Nahrung, Sa. haußraths 38, Sa. Werckzeugs Zu dem Wagner handwerck gehörig 15, Sa. Holtz zu dem Wagner handwerck gehörig 56, Sa. Silbers 5, Sa. Pfenningzinß hauptguths 300, Sa. Baarschafft 322, Sa. Activ Schulden 114, Summa summarum 852 lb – Schulden 235, Nach solchem abzug 616 lb
Marie Salomé Kiesel se remarie avec le charron Georges Lentz, originaire de Nieder-Weisel en juridiction de Solms : contrat de mariage, célébration
1753 (22 Maÿ), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 55) n° 460
Eheberedung – zwischen dem Ehrenachtbaren Georg Lentz, dem ledigen wagner, weÿl. Johann Lentz gewesenen Ackersmanns Zu Niderweÿßel, hochgräfflich Solms hohen Solmischer Juridiction mit weÿl. Frauen Maria Philippina gebohrner Schimpffin ehelich erzeugtem und nach tod verlaßenem Sohn als dem breüthigam an einem
So dann der Ehren und Tugendsamen Frauen Mariæ Salome Raspin, gebohrner Kieselin, weÿl. Mr Johann Martin Rasp gewesenen Wagner und burgers allhier nachgelaßener Wittib als der Frau hochzeiterin an dem andern theil
in Straßburg auf Dienstag den 22. May Anno 1753 (unterzeichnet) Goeg lentz als hochzeiter, Maria Salome raspin als hochzeitterin, Josias Christophel Kiesel als vatter
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 105 n° 14)
Mitwoch d. 8. Augusti 1753. sind nach vorher geschehener zweymahligen Außruffung Ehelich copulirt und eingesegnet worden Georg Lentz Lediger wagner und burger allhier weÿland Johannes Lentz gewes. Ackermanns und burgers Zu Niederweisel nachgel. Ehel. Sohn und Fr. Maria Salome gebohren Kieselin weÿl. Martin Rasp gewes. Wagners und burgers allhier nachgel. Wittib (unterzeichnet) gorg lentz hoch Zeiter, Maria Salome raspin als hochzeiterin (i 57)
Georges Lentz devient bourgeois par sa femme trois semaines après son mariage en s’inscrivant à la tribu des Charpentiers
1753, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 539
Georg Lentz der wagner Von Niederweißel Salmischer herrschafft gebürthig, erhalt das burgerrecht ab uxore maria Salome weÿl. Johann Martin raspel burgers und wagners hinterl. wittib um den alten burgerschilling und will dienen beÿ E. E. Zunfft der Zimmerleuth, jur. d. 1. 7.bris 1753.
Marie Salomé Kiesel meurt en 1760 en délaissant trois enfants de son premier mariage et un du deuxième. Elle a acquis cinq neuvièmes de la maison par adjudication judiciaire rendue le 22 mars 1753 et un neuvième de Jean Bastasius Rieth. La masse propre aux héritiers s’élève à 227 livres. L’actif de la communauté et du veuf s’élève à 65 livres, le passif à 487 livres
1760 (3.1.), Not. Fické (6 E 41, 756) n° 140
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güther, so Weÿland die Ehren und tugendsame Frau Maria Salome Lentzin gebohrene Kieselin Herrn Johann Georg Lentz, des Wagners und Burgers alhier Zu Straßburg gewesene Ehefrau nunmehr seel. nach ihrem Sambstags den 21. Octobris des erstabgewichenen 1759.ten Jahrs aus dießer Zeitlichkeit genommenen tödlichen hintritt verlaßen. Welche Vermögens Nachlaßenschaft, heutigem Zu End gesetztem Dato auf freundliches begehren und ansuchen der verstorbenen Frauen Erblaßerin seel. in zween Ehen erzeugt und ab intestato Zu Erben verlaßener Kindern geordneter Herren Vögte (…) So beschehen Straßb.den 3.ten Januarÿ 1760.
Der verstorbenen Frauen Lentzin seeligen ab intestato Zu Erben verlaßene Kinder sind mit Nahmen und 1.mo Jgfr. Maria Salome Raspin ihres alters beÿnahe 14 Jahr, 2.do Johann Georg Rasp in das 10.te Jahr seines alters gehend, 3.tio Catharina Dorothea Raspin so über 7. Jahr alt, diese dreÿ mit Weÿland Hn Johann Martin Rasp dem gewesenen Wagner und B. alhier in 1.ter Ehe erzeugt, In deren Nahmen were zu Abwartung dieses Erbgeschäfts persönlich zugegen, H Andreas Rasp der Wagner und b. alhier, deroselben geordnet und geschworener Vogt mit welchen dieselbe bereits schon nach absterben ihres Vaters seel. versehen war.
4.to Johann Daniel Lentz, so etwa 4. Jahr alt und mit herrn Johann Daniel Schell dem Sattler und B. alhie Ordnungsmäßig bevögtigt ist, welcher dann auch in seiner vöglichen Qualität hiebeÿ Zugegen und in Vollbringung des Geschäffts auf das Interesse seines Curandi bedacht ware, also alle vier der verstorbenen Frauen seel. aus zween Ehen entsproßene eheleibliche Kinder
Bericht zu gegenwärtigem Inventario. Aus den 3.t §. beeder nun zertrennten Eheleuthe mit einander errichteten Ehe Contacts erhellet zwar die Verabredung, daß dieselbe ihre einander in die Ehe gebrachtt vor unverändert vorbehaltene Nahrungen nach Ordnung inventiren laßen wollen, allein des Hn Wittibers bericht nach, ist solche Inventur unterblieben (…)
In einer alhier zu Straßburg ane der Vorstadt der weißenthurn Straß gelegener hieher gröstentheils eigenthümlich gehöriger Behausung hat sich befunden als (…)
Eigenthumb ane einer Behaußung. (E.) Nämlich sechs neunte Theil vor ohnvertheilt von und ane einer behausung, höflein und hofstatt mit allen deren Gebäuden, Begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg ane Weißenthurn Straß, einseit neben den der Commandureÿ St Johann gehörigen Speichern, anderseit neben Weiland Hn Johann Friderich Vogel, des gewesenen Chirurgi und b. dahier seel. hinderlaßener Wittib und Erben, hinden auf gedachte der Commandureÿ St Johann Speicher stoßend. Davon und zwar von der gantzen behausung ist man jährlichen termino Johannis Baptistæ 1 lb 10 ß d Löbl. Stast Pfenningthurn giebigen Bodenzinß verpflichtet, sonsten aber sind wenigstens die hieher gehörig sechs neunte Theil ausser der Kinder I.ter Ehe Vätterl. Guths Forderung ohnverpfändet gegen männiglichen freÿ, leedig und eigen und werden die hieher gehörige sechs neute Theil nach der von den wohlverordneten Herren dreÿ löbl. Statt Stalls erhaltenen großgünstigen Erlaubnus dermalen hier um den Preis, wie selbige durch die verstorbene Frau seel. in ihrem Wittwenstand respectivé auf dem allhiesigen Ganth ersteigt und sonst an sich erkauft hat ausgeworfen als Anfänglich sind die auf allhiesigem Ganth ersteigte fünff neunte Theil in der Steigerung Zu stehen, gekommen auf 444 lb 8 ß 10 2/3 d, Und dann ist für den überigen einem neunten Theil Herrn Balthasar Ried, den Hufschmid ane Kauffschilling nebst 1 lb 10 ß discretion Zahlt worden 101 lb 10 ß d, Macht zusammen 545 lb 18 ß 10 2/3 d. Werden nun von dem auf der gantzen behausung haftenden Bodenzinns die 6/9.t theil Zu doppeltem Capital gerechnet, und hier in Abzug gebracht mit 40 lb. d So verbleibt ane erstgezeichneten Steig: und Kauf pretio Zum dißortigen Auswurf annoch überig und bevor 505 lb 18 ß 10 2/3 d. Hierüber und Zwar über die jenige 5/9.te Theil welche H Notario Georg Friderich Nenter et uxori Zuständig gewesen und die verstorbene Frau sel. im Wittwenstand bey der per modum Executionis vorgegangenen Versteigerung käuflichen an sich gebracht ist besagend vorhanden ein teutsche pergamenter Ganth Kauffbrieff mit dem Stattgerichts Insiegel anhangend coroporirt mit H Beguin E. E. kl. Raths Unterschrift versehen de dato 22.ten Martÿ 1753. Den überigen hieher gehörigen einen neunten Theil hat dieselbe von H Balthasar Ried, dem Hufschmied der solchen vorhin auf allhiesiger Ganth an sich ersteigert erkauft Es ist aber von der am 5.ten Martÿ 1753. die allhiesger C. C. Stub vorgegangenen Kauffverschreibung noch Zur Zeit keine Abschrift ausgefertiget worden.
Ergäntzung den Erben währender Ehe abgegangenen unverändert mütterlichen Guths. Beÿ der, nach Anleitung des über Weÿl. Hn Johann Martin Rasp des gewesenen Wagners und b. alier der verstorbenen Frauen seel. erstern Ehemann längst seel. Verlaßenschafft durch nun auch weÿl. H, Notarium Johann Philipp Lichtenberger sub dato 25. Decembris 1752. auffgerichteten Inventarÿ
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Erben unveränderten Vermögen, Sa. Haußraths 70, Sa. Werckzeugs Zum Wagner handwerck gehörig 11, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 7, Sa. goldenen Rings 2, Sa. Eigenthums ane einer behausung 505, Sa. Ergäntzung 295, Summa summarum 892 lb – Schuld aus der Erben unveränderten Nahrung 664, Nach deren Abzug 227 lb
Diesemnach so wird auch des Wittibers unveränderte und theibare Nahrung unter einer Mass beschrieben, Sa. Haußraths 12, Sa. Werckzeugs zum Wagner handwerck gehörig 1, Sa. solchen zur Wagner arbeit bestimmten Holzes 11, Sa. Silberposten 16 ß, Sa. der Schulden 39, Summa summarum 65 lb – Schulden 487 lb, In Vergleichung 421 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 421 lb
Wÿdem welchen die verstorbene Frau seelig bis an ihr Ende genoßen. Nämlich es ist deroselben, das ihren dreÿ in erster Ehe mit längst Weÿland herrn Johann Martin Rasp dem gewesenen Wagner und b. alhie erzeugten Kindern erb. anerstorbene vättel. guth gegen dern Education und Alimentation bis zu Erlangung deren 20. jährigen Alters zum Genuß Zugeeignet worden
Copia der Eheberedung (…) in Straßburg auf Dienstag den 22. May Anno 1753, Johann Philipp Lichtenberger
Jean Georges Lentz se remarie en 1761 avec Marguerite Salomé Fuchs, fille de l’apprêteur de tabac Jean Michel Fuchs.
1761 (29.9.), Not. Fické (6 E 41, 774) n° 77
Eheberedung – Herr Johann Georg Lentz, der Wagner, Wittiber und burger alhier zu Straßburg
und die Ehren: und tugendsame Jungfrau Margaretha Salome Fuchßin, Weÿl. des Ehren und Wohlachtbaren Johann Michael Fuchß, gewesenen Tabackbereiters und burgers dahier ehelich erzeugte nach Tod hinterlassene Tochter beÿständlich T. Hn Frantz Heinrich Lauth des Müllers auf der Achträdermühl und beÿ der Evangelischen Gemeind Zum alten S Peter wohlverdienten Kirchenpflegers auch wohlangesehenen Burgers dahier
auf Dienstag den 29.ten Septembr. 1761. (unterzeichnet) Johan georg lentz als brautigam, + Handzeichen der Braut
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison au Faubourg Blanc. Ceux du mari s’élèvent à 109 livres, ceux de la femme à 201 livres.
1761 (27. 8.bris), Not. Fické (6 E 41, 757) n° 174
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Vermögenschaft, so Herr Johann Georg Lentz, der Wagnermeister und Frau Margaretha Salome gebohrne Fuchßin, beede Eheleute und Burgere alhier Zu Straßburg einander in ihrem erst künzlcih angetrettenen Ehestand einander Zu und eingebracht haben. Welche beederseits Vermögenschaften un Gleichförmigkeit der in ihrem Ehe Contract gethaner Versicherung, daß solche ein unverändert und vorbehaltene Guth seÿn und bleiben solle (…) So beschehen Straßburg in fererer Gegenwarth Frantz Heinrich Lauth des Achträdermüllers und Fabric Pflegers Zum alten St Peter auch B. alh. der Ehefrau erbettenen Beÿstandts den 27. 8.bris anno 1761.
In einer alhier zu Straßburg ane der Vorstadt der weißenthurn Straß gelegener disorts Zum theil lehnungsweiß bewohnender Behausung hat sich befunden als (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachten Vermögen, Sa. Haußraths 36, Sa. Holzes und Werckzeugs zur Wagner Profession gehörig 26, Sa. Silberposten 1, Sa. der Pfenningzinß hauptgüter Hauptguths 62, Sa. Schulden 11, Summa summarum 138 lb – Wird darzu gelegt die Helffte der hernach beschriebenen haußsteuren so antrift 11 lb, So kommet des Ehemanns völlige in die Ehe gebrachte Vermögenschaft in allem Zustehen 150 – Schulden 4, Nach deren Abzug 109 lb
Diesemnach so wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Haabschaft, Sa. haußraths 113, Sa. Silbers 10, Sa. Baarschafft 10, Sa. der Schuld 25, Summa summarum 189 lb – Worzu annoch kommen die deroselbe gebührige helfte an den erhaltenen haussteuren 11 lb, Und somit ist und thut der Ehefraun gesamte in die Ehe gebracht Vermögens Haabschafft in allem 201 lb
Les tuteurs des enfants de Marie Salomé Kiesel vendent les deux tiers indivis de la maison au maréchal ferrant Jean Jacques Klein
1760 (2.6.), Chambre des Contrats, vol. 634 n° 173
Andreas Rasp der wagner als vogt weÿl. Martin Rasp des wagners kinder erster ehe Maria Salome, Johann Georg und Catharina Dorothea der Rasp, Johann Michael Schell der sattler als vogt des kinds zweÿer ehe Johann Daniel Lentz
in gegensein Johann Jacob Klein des huffschmidts
zweÿ dritte theil vor unvertheilt ane einer behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, rechten und gerechtigkeiten ane der Weißenthurnstraß, einseit neben einem der Commandureÿ St Johannes gehörigen speicher, anderseit neben weÿl. Johann Friedrich Vögel des chirurgi wittib und erben, hinten auff ged. speicher – von der gantzen behausung gibt man auff Johannis Baptistæ hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 10 ß ane bodenzinß – als ein mütterliches erbguth – 830 pfund
Fils du maréchal ferrant Jean David Klein, Jean Jacques Klein épouse en 1743 Marie Dorothée Schmidhammer, fille du fabricant de bas Auguste Schmidhammer : contrat de mariage, célébration
1743 (2.8.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 79) n° 464
Eheberedung – entzwischen dem Ehren: und wohlvorgeachten Johann Jacob Klein, dem Ledigen Hueffschmid, des Ehren: und Wohlvorgeachten Herrn Johann David Klein, auch Hueffschmidts und burgers allhier ehelichem Sohn, als dem bräutigamb, ane einem,
So dann der Viel Ehren: und Tugendreichen Jungfrauen Maria Dorothea Schmidhännerin, des Ehren und wohlvorgeachten herrn Augusti Schmidhänners, des Strumpffwebers und burgers allhier ehelich erziehlter tochter als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So Beschehen in Straßburg, in beÿsein hernach unterschriebenener herren beÿständern und Saalpesohnen auf Freÿtag den 2.ten Augusti Anno 1743. (unterzeichnet) Johann Jacob Klein als hochzeiter, Maria dorothea Schmidhenrin als hochzeitin, Augustus schmidhenner als Vatter, Maria Martha Schmithenein als Mutter
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 221 n° 843)
Eod. [Mittw. 4. Sept. 1743] seind nach ordentl. Proclamat. Ehl. copul. u. eingesegnet worden Johann Jacob Klein der led. Huffschmidt u. b. allhier, David Kleinen Huffschmidts u. b. allhier Ehl. Sohn u. J. Maria Dorothea, Augusti Schmidthenners strumpffwebers u. b. allhier Ehl. tochter (unterzeichnet) Johann Jacob Als hochzeiter, Maria dorthea Schmidhennrin als hoch Zietin (i 226)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison à la Krutenau. Ceux du mari s’élèvent à 233 livres, ceux de la femme à 306 livres.
1743 (14.9.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 57) n° 1317
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güethere, so der Ehren: und Vorgeachte Meister Johann Jacob Klein, der hueffschmid und die Ehren und tugendsahme frau Maria Dorothea Kleinin, gebohrene Schmidhennerin, beede Eheleuthe und Burgere allhier zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand Zugebracht, welche der ursachen, alldieweilen in Ihr beeder Eheleuth mit einander auffgerichteten heuraths Verschreibung expressé enthalten, daß eines jeeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle (…) So beschehen in Straßburg auf Sambstag den 14.ten Septembris Anno 1743.
In einer allhier Zu Straßburg an der Vorstatt Krautenau gelegenen und in diese Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung, befunden worden wie folgt
Abzug In gegenwärtig Zugebracht Nahrungs Inventarium gehörig. Des Manns in die Ehe gebracht Vermög. Sa. haußraths 79, Sa. Werckzeug und gemachte Wahr Zum Hueffschmid handwerck gehörig 202, Sa. Silbers 13, Sa. baarschafft 4, Sa. Schulden 15, Summa summarum 314 lb – Schulden 116, Nach solchem abzug 198 lb, Dazu gelegt die Ihme gehörige helffte ane denen hieunden beschriebenen Haussteuren 35 lb, Des Manns restirend in die Ehe gebracht Guth in vero pretio 233 lb
Der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 96, Sa. Silbers 13, Sa. guldener Ring 8, Sa. baarschafft 132, Summa summarum 271 lb – Dazu gelegt die helffte ane denen haussteuren 35, der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung in vero pretio 306 lb
Les héritiers Faudel vendent le tiers de la maison à Jean Jacques Klein qui en devient ainsi seul propriétaire
1764 (12.7.), Chambre des Contrats, vol. 638 f° 481-v
H. Thomas Wachter der banquier mandatarius H. Johann Philipp Faudel des handelsbedienten beÿ denen H. Kornmann zu Paris, Johann Jacob Faudel der schuhmacher, Maria Barbara geb. Faudelin H. Not. Georg Friedrich Nenter eheliche Haußfrau, Jfr. Susanna Barbara Nenterin beÿständlich H. Not. Philipp Friedrich Heuß
in gegensein Johann Jacob Klein des huffschmidts
den dritten theil vor unvertheilt ane einer behausung mit allen begriffen und rechten ane der Weißenthurn straß neben der commandureÿ St Johann gelegen, davon die übrige zweÿ dritte theil dem käuffer vorhin gehörig – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 10 ß ane bodenzinß – H. Faudel zu Paris zu 8. 45. theil, Fr. Nenterin 3. 45.te, beede Faudelischen geschwisterden zu den übrigen dreÿ 45. theil, als ein respective elterlich und großelterliches erbguth – um 415 pfund
Jean Jacques Klein et Marie Dorothée Schmidhammer hypothèquent la maison au profit de l’apprêteur de tabac Bernard Hervy
1764 (12.7.), Chambre des Contrats, vol. 638 f° 483-v
Johann Jacob Klein der huffschmidt und Maria Dorothea geb. Schmidthennerin mit beÿstand Johann Georg Schmidthenner dem strumpffweber und Johann Jacob Ratz des schneiders
in gegensein Bernhard Hervÿ des tabackmachers – schuldig seÿen 650 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Weißenthurn straß, einseit neben einem der commandureÿ St Johann gehörigen speicher, anderseit neben den Vogelischen erben, hinten auff gedachten speicher
Jean Jacques Klein meurt en 1778 en délaissant cinq enfants. Les experts estiment la maison à 425 livres. La masse propre à la veuve est de 509 livres, celle propre aux héritiers de 220 livres. L’actif de la communauté s’élève à 479 livres, le passif à 2 491 livres.
1776 (19.8.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 821) n° 756
Inventarium über Weiland Mr Johann Jacob Klein, des geweßenen Hueffschmids und burgers allhier zu Straßburg nun seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1776.
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab, Nahrung und Güether, so weiland Mr Johann Jacob Klein, der geweßene Hueffschmid und burger allhier zu Straßburg nunmehr seeliger nach seinem Sonntags den 28.ten Julÿ dießes lauffenden 1778.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren Frn Mariæ Dorotheæ geb. Schmidhennerin der hinterbliebenen Wittib beiständlich Hn Johann Bruders des Lederhändlers und burgers allhier wie auch des Verstorbenen seel. mit derselben ehelich erzeugter Kinder und ab intestato verlaßene Erben (…) So beschehen allhier Zu Straßburg auf Montag den 19.ten Augusti 1776.
Des Verstorbenen seel ab intestato Verlaßene Erben sind 1.mo Jacob Friderich Klein der leedige Hueffschmid so majorennis und ohnbevögtigt, dahero derselbe in selbst eigener Persohn bei dieser Verlaßenschaffts Inventur erschienen, In den Ersten fünfften Stammtheil, 2.do Hr Johann Georg Klein, theologiæ Candidatus so gleichfalls majorennis und ohnbevögtigt nun in selbst eigener Persohn dießem Verlaßenschaffts Geschäfft abwartere In den Zweÿten fünfften Stammtheil, 3.tio Jfr Maria Magdalena Kleinin, so 20 Jahr zurückgelegt, dahero ohnbevögtigt und mit beyhülff H Johann Jacob Klein des Gastgebers und b. allhier dieser Verlaßenschafft Inventur beiwohnete In den dritten fünfften Stammtheil, 4.to Johannes Klein, so das ducher handwerck erlernt In den Vierten fünfften Stammtheil und dann 5.to Johann Jacob Klein in den fünfften und letzten Stammtheil, dießen beide letztere geordnet und geschworener Vogt war H Johann Jacob Klein der Gastgeber und burger dahier welcher in dero Nahmen bei dießem Verlaßenschafft Geschäfft erschienen, Alle fünff seind des Verstorbenen sel. mit Eingangs gedachtr Frn Maria Dorothen geb. Schmidhennerin, der hinterbliebenen wittib ehelich erziehlte Kinder und ab intestato zu Fünff gleichlingen portionen und antheilern Verlaßene Erben
Copia der heuraths-Verschreibung – Copia des Verstorbenen seel. vor mir Notario und fünff Gezeugen d. 2.t 8.bris 1752 errichteten Codicilli
In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstadt Weißenthurnstraß gelegenen und in diese theilbahre Verlaßenschafft gehörige Behausung befunden worden als folgt
(f° 9-v) Eigenthum ane einer Behausung. (T.) Nemlichen Eine Behausung Höfflein und Hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der Weißenthurnstraß, einseit neben einem der Commanth St Johann gehörigen Speicher, 2.s. n. H Claußing dem chirurgo ehevögtlicher weis, hinten auf gedachten Speicher stoßend, davon gibt man jährl. löbl. Stadt Pfenningthurn 1 lb 10 ß ane bodeninnß und dann wegen dem neuerbauten Nothstall 10 ß d sonsten außer denen darauf hafftenden Passiv Capitalien gegen männig. freÿ leedig eigen, und durch löbl. Stadt Straßburg geschwohren Werckhleuthe laut Abschatzung Zeduls vom 20. August dieses Jars gewürdiget pro 425. lb abgezogen die daroben hafftende 2. lb bodenzinns so zu doppeltem capital gerechnet antreffen 100 lb, restiret noch auszuwerffen 325. Über zwen dritte theil solcher erkaufften behausung meldet ein in allhiesiger C C gefertigter pergamentener Kaufbrief sub dato 9. aug. 1762. so dann ist über der übrigen dritten theil solcher behausung vorhanden ein auch daselbst gefertigter Kaufbrief vom 12. Julÿ 1764.
(f° 13) Ergäntzung in hinterbliebener Wittib wehrend diser Ehe abgegangenen ohnveränderten Guths. Vermög Inventarÿ über beeder nun zertrennten Eheleuthe einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen durch weil. Hn Notm. Johann Lobstein meinem Vatter seel. aô 1743. gefertiget hat man der hinterbliebenen wittib (…) zu ergäntzen
(f° 17) Series rubricarum hujus Inventarÿ Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 7, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 6, Sa. Schulden 50, Sa. Ergäntzungs rests 445, Summa summarum 509 lb
Der Erben ohnverändert Guth, Sa. haußraths 13, Sa. werckzeugs Zum huffschmid handwerck gehörig 24, Sa. Ergäntzungs rest 232, Summa summarum 270 lb – Schulden 50, Nach solchem abzug 220 lb
Theilbares Guth, Sa. haußraths 48, Sa. werckzeugs und Eißen auch Kohlen zum huffschmid handwerck gehörig 17, Sa. silbers und dergleichen Geschmeids 2, Sa. goldener Ring 4, Sa. Eigenthumb ane einer behaußung 325, Sa. Schulden 82, Summa summarum 479 lb – Schulden 2491, die theilbare Passiva übertreffen die theilbare Activ Massam dem Stalltax nach 2011 lb
Zweiffelhaffte und Verlohrene Schulden in diese theilbare Verlaßenschafft zugeltend 86 lb
Partage de la succession de Marie Dorothée Schmidhenner, morte chez son fils Jean Georges Klein à Illkirch.
1795 (5 vend. 4), Strasbourg 10 (3), Not. Heus n° 234
Designatio und Abtheilung aller derjenigen Haab und Nahrung so weiland Frau Maria Dorothea Klein geb. Schmidhenner auch weÿl. bürgers Johann Jacob Klein geweßten hufschmidts zu Straßburg hinterbliebenen Wittib, nach ihrem den 20. martÿ 1792 zu Illkirch genommenen tödlichen hintritt hie zeitlichen verlassen
die Verstorbene hat mit ihrem Ehemann nachbenannte Kinder erzogen und ab intestato zu Erben verlaßen als 1. burger Jacob Friedrich Klein den Hufschmidt zu Straßburg, 2. burger Johann Georg Klein zu Illkirch wohnhaft, 3. Frau Mariam Magdalena geb. Klein des burgers Johann Friedrich Stammler, Nadlers zu Straßburg Ehefrau, 4. Johannes Klein der dreher, dermalen zu Pariß sich befindend und 5. Johann Jacob Klein, den ledigen großjährigen handlungs: bedienten
hausrath 568 livres, Johann Georg Klein übernommen für die Summ von 600
schulden 751 livres, summa summarum 1351 livres, summa Ehesteuren 840, summa 2191, schulden 1993, Deducendo verbleibt 198 livres
(Documenta) Quittungen – (Lettre) à Monsier Klein Predicateur chés M le Docteur Beykert vis à vis le tribu des Tailleurs, Paris 23. fevrier 1783 [unterzeichnet] dein getreuer bruder Joh. Klein
Enregistrement, acp 37 F° 76 du 8 vend. 4
Marie Dorothée Schmidhenner qui a acquis les parts de ses enfants fait donation de la maison à son fils Jacques Frédéric Klein lors du contrat de mariage avec Marie Salomé Klein, fille du charpentier Jean Klein
1779 (28.8.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 469
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehrengeachte Mr Jacob Friderich Klein der leedige hueffschmid und burger allhier Zu Straßburg so majorennis und ohnbevögtigt als hochzeiter ane einem
Und die Viel Ehren: und tugendsahme Jungfrau Maria Salome Kleinin, weÿl. H Johann Klein, des gewesenen Zimmer Mr und burgers dahier seeligen nachgelaßene Jungfrau tochter, so gleichfals majorennis und ohnbevögtigt beiständlich H Johann Schäffers des Zinngießers und burgers allhier, als hochzeiterin ane dem andern theil
den 28. August Anno 1779 (unterzeichnet) Jacob Friederich Klein als Hochzeiter, Maria Salome Kleinin als Hochzeiterin
Siebendens hat Fr. Maria Dorothea Kleinin, geb. Schmidhennerin, des hochzeiterers geliebte Mutter beÿständlich H. Johann bruders, des lederhändlers und burgers allhier, dießem ihrem Sohn eigenthümlich cedirt und abgetretten, die ihre von Ihren majornennen Kindern und minorennen Kindern Vogt und theilvogt vermög der durch mich Notarium den 18. hujus passirten und den 21. daraufhin beÿ E: E: Großen Rath confirmirten Erbs Cession überlaßene behaußung höfllein und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, Rechten und Gerechtigkeiten ane der Weißenthurnstraß, einseit neben einem der Commenthureÿ St Johann gehörigen Speicher, 2.s. neben H. Claußing dem Chirurgo ehevögtlich weiße, hinten auff gedachten Speicher stoßend, davon man jährl. löbl Stadt Pfenning Thurn 1 lb. 10 ß. d. an bodenzinß und von dem neuerbauten Nothstall 10 ß. d. reicht, sonsten außer denen daroben hafftenden passiv Capitalien gegen männiglich. freÿ leedig eigen, und Zwar für freÿ, allein mit Übernahm des in 2. Posten jährl. Zu Zahlen habenden bodenzinßes vor und umb 3000 gulden hs. Ct.
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 209 n° 22)
Anno 1779 Mittwoch den 8. Septembris seind nach ordentlichen Dominica 13. et 4. post Trinit. geschehenen Proclamationen in den Heil. Ehestand eingesegnet worden Jacob Friedrich Klein der leedige burger und huffschmidt alhie hinterl. ehel. Sohn und Jgfr Maria Salome Kleinin weÿl. Johann Klein gewesenen burgers und Zimmer Manns allhie hinterl. ehel. tochter (unterzeichnet) Jacob Friederich Klein als Hochzeiter, Maria Salome Kleinin als Hochzeiterin (i 217)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient en propre à Jacques Frédéric Klein. Ceux du mari s’élèvent à 159 livres, ceux de la femme à 295 livres.
1779 (16.12.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 826) n° 867
Inventarium über des Ehrengeachten Mr Jacob Friderich Klein, des hueffschmids und der Viel Ehren und tugendsahmen Frn Mariä Salome Kleinin geb. Kleinin, beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet in anno 1779 – der Ursachen, alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe den 28. Augusti dießes Zu end gehenden 1779.sten Jahrs vor mir Notario mit einander errichteten heuraths Verschreibung §.pho 3.tio expresse enthalten, daß eines jeedem in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert sein und bleiben solle (…) So beschehen allhier Zu Straßburg auf Dienstag den 16.ten Decembris 1779. und vollends complirt den d.1.ten Februarÿ 1780.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstadt Weißenthurnstraß gelehenen und in des Ehemanns Zugebracht Nahrung gehörigen Behaußung befunden worden, als volgt
(f° 5) Eigenthumb ane einer behaußung (M.) Neml. eine Behausung Höfflein und Hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Weißenthurnstraß, 1.s. neben einem d. Commenthurey St Johann gehörigen Speicher, 2.s. neben H. Claußing dem chirurgo ehevögt. weise, hinten auf gedachten Speicher stoßend, von welcher behaußung man jährl. löbl. Statt Pfenningthurn 1 lb 10 ß d ane bodeninnß und von dem neuerbauten Nothstall 10 ß d Zinns reicht, sonsten außer denen daroben hafftenden hernach inventirten Passiv Capitalien gegen männig. freÿ leedig eigen, und dißorths ohnpræjudicirl. angeschlagen wie selbige dem dißorthigem Ehemann von seiner geliebten Mutter cedirt worden pro 1500. Über zwen dritte theil solcher behausung meldet einen in allhies. C C stub gefertigter pergamentener Kaufbrief sub dato 9. augusti 1762. So dann ist über der übrigen dritten theil solcher behausung vorhanden ein auch daselbst gefertigter Kaufbrief vom 12.ten Julÿ 1764. Dieße behaußung hat Fr. Maria Dorothea Kleinen geb. Schmidhennerin des Ehemanns geliebte Mutter dem Marito außweis. deßen vor mir Not° den 28. August 1779 errichteter Eheberedung unter gewißer Conditionen eigenthümlich überlaßen.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 41, Sa. Werckzeugs auch alt Eißen Zum huffschmid handwerck gehörig 139, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 18, Sa. Eigenthums ane einer Behausung 1500, Summa summarum 1699 lb – Schulden 1571, Nach solchem abzug 127 lb – Dazu gelegt due Helffte verehrter Haussteuren 31, Des Ehemanns in die Ehe gebracht Gut 159 lb
Dießemnach wrd auch der Ehefraun in die Ehe gebracht Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 86, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 13, Sa. goldener Ring 10, Sa. baarschafft 4, Sa. Pfenningzinß hauptguths 150, Summa summarum 263 lb – Wird dazu gelegt die Helffte an denen verehrten Haussteuren 31 lb, der Ehefrau völlig in die Ehe gebracht Vermögen in vero pretio 295 lb
Jacques Frédéric Klein est reçu tributaire chez les Maréchaux le 31 mars 1778.
1778, Protocole des maréchaux et des taillandiers (XI 141)
f° 160 Dienstags d. 31. Martÿ 1778
Jacob Friderich Klein, der leedige Huefschmid, weiland Mr Johann Jacob Klein des gewesenen Hufschmids und Burgers alhier seel. nachgelaßener Sohn, stehet vor und bitt man wolle Ihm das Meisterrecht Zukommen laßen.
Erkandt, willfahrt und seind Ihme sogleich die Articul abgeleßen worden (Meisterrecht dt. 3 lb 10 ß d, Meister Imbis 9. lb)
Jacques Frédéric Klein se remarie avec Chrétienne Kauffmann, veuve du journalier Jean Mader de Kehl.
1798 (4 pluviose 6), Strasbourg 10 (31), Not. Zimmer n° 142
Eheberedung – persönlich erschienen der Bürger Jacob Friedrich Klein, Hufschmid allhier Zu Straßburg wohnhaft, Witwer, und Hochzeiter ane einem
So dann Frau Christina geborene Kauffmann, weiland Johannes Mader im Leben gewesenen Tagners im Dorf Kehl hinterbliebene Wittib, beÿständlich des Burgers Johann Jacob Klein, Caffesieders allhier den Sie hierzu ersucht, als Braut ane dem andern theil
So geschehen allhier Zu Straßburg (…) den 4. Pluvios Nachmittags im Sechsten Jahr der Fränckischen ohntheilbaren Republick (unterzeichnet) Klein, christina Kaufmänin
Enregistrement, acp 57 F° 122 du 4 plu. 6
Cejourd’hui 8° Pluviôse l’an VI de la République française une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part Jacques Frédéric Klein, âgé de 48 ans, maréchal ferrant, né et domicilié en cette commune fils de feu Jean Jacques Klein, maréchal ferrant, et de feue Marie Dorothée Schmidthenner, veuf de Marie Salomé née Klein, d’une part Christine Kauffmann, agée de 34 ans, domiciliée en cette commune depuis six mois, native de Kehl, d’outre rhin, fille de feue André Kauffmann, journalier audit lieu et de feüe Christine Hetzel veuve de Jean Mader, journalier à Kehl (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 25 avril 1749 (…) 2° l’acte de notoriété de la future portant qu’elle est née le 28 juillet 1763 (…) 3° l’acte de décès de Marie Salomé née Klein épouse en premières noces du défunt portant qu’elle est morte en cette commune le 4 germinal quatrième année républicaine, 4° de l’acte de décès de Jean Mader (…) à Korck d’outre rhin le 21 juillet 1795 (signé) Jaque Fréderique Klein, christinen kaufmänin (i 119)
Jacques Frédéric Klein meurt en 1799 en délaissant cinq enfants. Les experts estiment la maison à la somme de 6 000 francs.
1799 (6 prairial 7), Strasbourg 10 (14), Not. Zimmer n° 147
Inventarium über Jacob Friedrich Klein Verlaßenschafft – erschienen 1. der bürger Adolph Brodbeck Schumacher als geordneter und geschworener vogt weÿl. des bürgers Jacob Friedrich Klein hufschmidts mit auch weÿl. fraun Maria Salome geb. Klein seiner ersten Ehefrau fünf Kinder benandlich 1. Jacob Friedrich, 2. Maria Salome, 3. Johannes, 4. Catharina Elisabetha und 5. Johann Daniel die Klein und 2.do frau Christine geb. Kaufmann des Verstorbenen zweiten Ehefrau, beÿständlich burgers Frantz Burger Fastenspeishändlers anzeigend, daß obgedachte Jacob Friedrich Klein den 28. floreal jüngst mit tod abgegangen und vorhergemelte 5 Kinder zu seinen natürlichen Beneficial Erben hinterlassen
Eigenthum an einer behaußung. Nemlich eine Schmidtsbehausung höflein und hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier zu Straßburg an der Weißenthurnstraß N° 4, 1.s neben b. Claußing dem Chirurgo 2.s neben b. Jost dem bierbauer hinten wieder auf denseben stoßend, so außer 8 fr hießiger Gemeinde davon giebigen bodenzinß ledig und eigen, nemlich 6 fr von der behßg. u. 2 fr von dem vor derselben befindl. Nothstall, gewürdiget vor 6000, Wie solche behaußung dem Verstorbenen eigenthümlich zugekommen erhellet die zwischen ihme und seiner ersten Ehefraun vor weiland Not. Lobstein den 28. Augusti 1779 passirte Eheberedung
hausrath 424 fr, summa summarum 6424 fr, schulden 7918 fr, In Vergleichung 1493 fr
Verkauf Register
Enregistrement, acp 68 f° 108 du 9 prai. 7
Marie Salomé Klein femme de Jacques Frédéric Klein meurt le premier janvier 1798
1799 (4 floreal 7), Strasbourg 10 (12), Not. Zimmer n° 119
Inventarium über Weÿl. Fraun Maria Salome geb. Klein des burgers Jacob Friedrich Klein, hufschmidts Ehefrau Verlaßenschafft, nach ihrem den 4. germinal 4 erfolgten absterben, den 12. nivose 6
Die Verstorbene hat zu ihren einigen natürlichen Erben hinterlassen 1. Jacob Friedrich so 17 Jahr alt, 2. Maria Salome so 15 Jahr am Leben, 3. Johannes 13 Jahr alt, 4. Catharina Elisabetha so 11 Jahr erreichet, 5. Johann Daniel so 9 Jahr zurück gelegt, deren Vogt bürger Adolph Brobeck Schuhemacher
in einer ane der Weißenthurn straß N° (-) gelegenen behaußung
Ergäntzung, inhalt eines durch Not. Lobstein den 1. Februarÿ 1780 errichteten Inventarii
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Wittibers währender Ehe abgegangenen unverändert Vermögens, kleidung 220 L, hausrath 194, silbers 19, Golds 70, Schuld 200, Ergäntzung 850, Summa summarum 1554 L
theilbare Vermögen, hausrath 825 L, silbers 62 L, Werckzeug und Waaren 1050 L, Schulden 132 L, Summa summarum 2071 L – Schulden 1576 L, Nach deren Abzug 494 L
Abschrift der vor Not° Johann Friedrich Lobstein den 28. Augusti 1779 aufgerichteten Eheberedung (…)
Enregistrement, acp 68 f° 21 du 4 flo. 7
Le tuteur des cinq enfants mineurs de Jacques Frédéric Klein expose la maison aux enchères devant le juge de paix. L’acquéreur est le forgeron Michel Helmbacher de Grendelbruch
1799 (29 brumaire 8), Strasbourg 10 (40), Not. Zimmer n° 679, 196
der burger Adolph Brodbeck Schumacher als geordneter vogt weÿl. des burgers Jacob Friedrich Klein im leben gewesten hufschmidts fünff minderjährigen Kindern benantlich Jacob Friedrich, Maria Salome, Johann, Catharina Elisabetha und Johann Daniel Klein, daß er nach mehreren vorgegangenen von dem Civil Gericht des Niederrheinischen Departements durch Urtel vom 6. Prairial 7.t Jahrs verordneten öffentlichen Steigerungen vor dem Friedensrichter des 1. hiesigen Gerichts bezircks als durch gemeltes Urtel hierzu ernannten Commissarii auch Kraft des von gedachten Tribunals den 29. Messidor 7. erfolgten Adjudications und homologations Urtels
als letzt und meistbietenden b. Michael helmbacher dem hammerschmid zu Grendelbruch
Eine Schmids behausung und ein vor derselben sich befindlicher Nothstall hof hoffstatt und bronnen samt allen mit übrigen derselben Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten zu Straßburg an der Weisenthurnstraß N° 4, 1s. br Clausing dem Chirurgo, 2s. br Jost bierbrauer, hinteb wider auf denselben – so außer 8 fr. jährlich hießiger gemeinde davon giebigen bodenzinß, nemlich 6 fr von der behausung und 2 fr von dem Nothstall, ledig u& eigen – um 7100 francken
Enregistrement, acp 70 f° 104 du 2 frim. 8
Le forgeron Michel Helmbacher, ancien prévôt de Grendelbruch, meurt célibataire en 1812.
1812 (11.4.) Rosheim 7 E 45, I (32), Jean Joseph Nicolas
11 avril 1812 N° 286. Inventaire et Description de la succession de deffunt le sieur Michel Helmbacher lorsqu’il vivait Citoyen de la Commune de Grendelbruch, décédé audit lieu le 18 mars dernier, dressé à la réquisition des Sieurs Pierre Helmbacher, maire de ladite commune, Helaine Helmbacher femme de Joseph Schitz maréchal ferrant audit lieu, de Marie Anne Helmbacher femme de Louis Fischer, voiturierdemeurant audit Grendelbruch et autres héritiers dudit deffut, cy après dénommés, audit lieu par le soussigné Jean Joseph Nicolas, Notaire Impérial résidant à Rosheim, en la maison où Ledit deffunt est décédé, ce 11 avril 1812 à huit heures du matin
Noms des héritiers du deffunt en ligne collatérale. 1° Valentin Helmbacher le vieux marchand à Rosheim pour un 5°
2. George Helmbacher Décédé lorsqu’il vivoit maréchal ferrant à Grendelbruch, Représenté par 1° Catherine Helmbacher femme de Nicolas Mahon, aubergiste audit Grendelbruch, 2° Louis Helmbacher maréchal ferrant à Niederhaslach, 3° Joseph Helmbacher maréchal ferrant à Grendelbruch, 4° ladite Helaine Helmbacher femme de Joseph Schitz 5. et Marie Anne Helmbacher femme de Louis Fischer, Ces deux denières assistées et authorisées de leurs dits marits, présents pour un second 5°
3. Catherine Helmbacher, décédée, lorsqu’Elle vivoit femme de Pierre Schaller, Citoyen de Grendelbruch, représentée par Simon Helmbacher, voiturier audit lieu, 2° Catherine Schaller femme de François Mahon, marchand de bois, 2° Helaine Schaller décédée lorsqu’elle vivoit femme de Michel Lehn, voiturier citoyen dudit Grendelbruch, représentée par Madeleine Lehn et Leonard Lehn ses enfants encore mineurs agissant en leu nom leur dit père présent, 4. Anne Marie Schaller femme d’Antoine Gross le jeune, Citoyen marchand de Bois à Grendelbruch, 5. et Pierre Schaller le jeune Bucheron audit lieu pour une troisième branche
4. François Helmbacher, décédé lorsqu’il vivoit marchand de Bois audit Grendelbruch, représenté par le sieur Pierre Helmbacher, maire audit lieu, 2° Marie Anne Helmbacher décédée lorsqu’Elle vivoit femme de Thiébaut Arnold Citoyen de Rosenwiller, représentée par ses enfants nommés Catherine Meyer femme de Laurent Goeb marchand d’Images à Rosheim, Marie Anne Meyer femme de Jean Jacques Eckert, Citoyen dudit lieu de Rosenwiller, Ignace Mayer, Soldat au service de France, François Joseph Meyer ouvrier à la manufacture impériale de Klingenthal, Citoyen de Rosheim, issus du premier mariage de ladite deffunte avec ledit Thiébaut Arnold, Remy Arnold, Odile Arnold cette dernière femme du Sieur Neumeyer maître serrurier à Strasbourg, 3. Barbe Helmbacher décédée lorsqu’elle vivoit femme de deffunt George Haberbusch dudit Grendelbruch, représente par Benoit Haberbusch, Geneviève Haberbusch et George Haberbusch enfants encore mineurs de ladite deffunte agissant en leur nom Chrétien Metzger Citoyen de Grendelbruch leur tuteur présent pour le quatrième 5°
5. Antoine Helmbacher décédé dans le département des Vosges [à Wisches], représenté par Chrétien Helmbacher décédé à Molsheim Résidant Cy devant à Rosenwiller, représenté par Lambert Helmbacher taillandier à Rosheim, Thérèse Helmbacher fille majeure demeurant Chez Monsieur Chappuis audit Rosheim, Michel Helmbacher ouvrier à la manufacture Impériale de Moutzig, y demeurant, Félix Helmbacher Soldat au Service de France, Enfants issu de son premier mariage et Encore par Ceux issus de son deuxième mariage avec (-) Lefftz sa deuxième femme, demeurant audit Rosheim, pour la cinquième et dernière Branche
(…) description des objets qui composent ladite succession existant dans la maison appartenant audit Joseph Schitz un des héritiers qui l’Encombrent et veut en être débarrassé et pour Ces fins qu’il soit de suitte procédé à la vente d’iceux après autorisation préalablement obtenue de Monsieur la Président du Tribunal de Selestat
Meubles 170 fr, argenterie aucun, Titres et papiers aucun, Dettes actives aucune, Dettes passives 249 et 64 francs
Eneg. à Rosheim le 16 avril 1812 fol. 19
Michel Helmbacher, né le 25 septembre 1736 à Grendelbruch, fils de Barthelémy Helmbacher et d’Odile Walter. Maréchal ferrant, prévôt de Grendelbruch (1768), célibataire
Décès, Grendelbruch (f° 5)
Déclaration de décès faite (…) le 19 mars 1812. Michel Helmbacher, non marié, âgé de 76 ans 6 mois et 20 jours, né à Grendelbruch, Maréchal ferrantn domicilié à Grendelbruch mort en cette mairie dans la maison de Joseph Schütz le 18 du mois courant à quatre hueres du matrin., fils de Barthelemie Helmbacher et d’Odille née Walter. Premier déclarant, Joseph Schütz âgé de 28 ans, Maréchal ferrant (i 5)
Michel Helmbacher vend la maison à François Joseph Speisser, aubergiste au Soleil à Geispolsheim
1800 (11 ventose 8), Strasbourg 10 (40), Not. Zimmer n° 713, 295
burger Michael Helmbacher hammerschmid zu Grendelbruch wohnhaft
burger Frantz Joseph Speißer Sonnenwürth zu Geispolzheim
Eine Schmids behausung und ein vor derselben sich befindlicher Nothstall hof hoffstatt und bronnen samt allen mit übrigen derselben Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten zu Straßburg an der Weisenthurnstraß N° 4, 1.s neben br Clausing dem Chirurgo, 2.s neben br Jost bierbrauer, hinten wider auf denselben, so außer 8 fr jährlich hießiger gemeinde davon giebigen bodenzinß nemlich 6 fr von der behausung und 2 fr von dem Nothstall (ledig und eigen), ihme dem Verkäufer in zufolg des von dem Civil Gericht des Niederrheinischen departements den 29. messidor 8.ten Jahrs ertheilten Adjudication und homologation Urtels auch Krafft des darauffhin vor unterschriebenen Notario den 29. brumair jüngst passirten Kauf Contract eigenthümlich zuständig – 8000 francken
Enregistrement, acp 72 f° 53 du 12 ventose 8
Fils d’André Speisser, le tonnelier François Joseph Speisser épouse en 1794 Barbe Speisser, fille d’André Speisser
1793, Mariage, Geispolsheim (f° 17)
Heut dato den 23 fructidor im Zweÿten Jahr der franckisch Republik Morgens um Zehn uhr Erschein (…) Frantz Joseph speisser ein Kieffer welcher 27 Jahr alt sohn des andres speisser und Maria Nus sein Recht Mässige Ehefrau aus der besagt Municipalität wohnhaft anders theils mit Barbara speisser welche 24 Jahr alt tochter des andres speisser und Catharina Schall sein Recht Mässige Ehefrau aus der besagt Municipalität wohnhaft (unterzeichnet) Frantz Joseph speÿßer, + Barbara speisser zeichen (i 16)
François Joseph Speisser loue l’auberge et différentes localités à l’aubergiste Jean Jacques Braun
1801 (19 nivose 9), Strasbourg 4 (31), Not. Roessel n° 441
bürger Frantz Joseph Speiser der Würth an Einem
So dann Johann Jacob Braun auch Würth hieselbst am andern theil
in deßen Ehefr. eigenthümlich an der Weißth. Str. stehenden mit N° 4 bezeichnete Würths behausung zur goldenen Sonn geschilde Erstlich die untere Würthstube sambt der untern Kuchen und den unter dieser Gaststub befindlichen ganzen Keller auch Stalll im hoff, Wobei aber dem Verlehner frei stehen solle den Stall auf seine Kösten unterschlagen lassen zu haltung zweier stück vieh für sich
zweitens im ersten Stockwerk hintenaus in den hoff aussehend die daselbst befindliche Wohnstub worin verlehner annoch den Ofen zu fourniren hat, drittens die heubühn über dem Stall auf dem ersten boden jedoch nur zur helffte welche verlehner auf seine kösten noch unterschlagen laßen wird
ferner die drei Kammern auf dem 5.ten boden die manzard ausmachend
noch weiter werden mit verlehnt ane meubes als (…) auff 6 nachfolgenden jahren anfangend den 1. Germinal dieses laufenden Jahr – um einen jährlichen Zinß nemlich 624 francken
Enregistrement, acp 76 F° 155 du 19 ni 9
François Joseph Speisser et Barbe Speisser exposent aux enchères l’auberge au Cheval noir
1801 (2 fructidor 9), Strasbourg 5 (11), Not. F. Grimmer n° 1030
auf ansuchen des bürgers Frantz Joseph Speiser des hiesigen Innwohners sowohl für sich als namens der bürgerin Barbara geb. Speiser deßen Ehefrauen, freÿwillge Versteigerung
Eine Gastbehausung zum Rappen geschildet alhier zu Straßburg ane der Weißenthurnstraß einseit neben. bürger Clausing dem Wundarzt anderseit neben bürger Jost bierbrauer und hinten wider auf denselben stoßend gelegen und mit N° 4 bezeichnet samt hof hoffstatt Stallung und bronnen auch allen mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten -davon gibt man 6 fr ane bodenzinß der hiesigen Gemeind
ausgebotten 12.000 francken, Andreas Müller 12.500 francken
n° 1066, den 21 fructidor – br. Jacob Hertelmeÿer 12.650 francken
La maison est vendue par adjudication judiciaire à Brigitte Winum veuve Kintz
1802 (6 fructidor 10), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 8, n° 107, Adjudication du Tribunal Civil de Strasbourg
audience du 10 messidor 10, Par devant le Cit. Laquiante, président, entre Nicolas Doron, commis greffier près le Tribunal, demandeur en opposition et en expropriation forcée, défendeur, comparant le Cit. Martinez,
la femme de François Joseph Speiser, cabaretier, défenderesse en opposition et demanderesse en intervention comparant par le cit. Marco, avoué d’autre part
et François Joseph Speiser, défendeur en expropriation forcée défaillant d’ultérieure part
à Thérèse Kintz fille majeure, au nom de sa mère Brigite Winum veuve Kintz, assistée de Joseph Clément Droeling, employé à la mairie – moyennant 5900 francs
une maison et dépendances située au Fauxbourg Blanc n° 4 à Strasbourg, d’un côté Georges Philippe Clausing chirurgien, de l’autre Jean Abraham Jost, devant la Grand rue dudit Fauxbourg, derrière le Cit. Steling – évaluée en produit net à 52 francs de revenu, mise à prix 3000 francs
Originaire de Sélestat, fils de l’aubergiste Jean Michel Kintz à Kaysersberg, Jean Michel Kintz épouse en 1762 Brigitte Winum, fille du laboureur Jean Michel Winum de Rumersheim : contrat de mariage, célébration
1762 (12.6.), Not. Hüttel (6 E 41, 859) n° 3
Eheberedung – Erschienen (…) Herr Johann Michael Kintz von Schlettstatt gebürtig, so majorennis und hier noch Zur Zeit ohnverburgert, weÿl. H. Johann Michael Kintz, geweßenen taschenwürths und Burgers zu Kaÿßersperg mit auch weÿl. Frauen Anna Maria gebohrener Antoniin, deßen ehelichen hausfrauen seel. ehelich erziehlter Sohn, als Hochzeiter ane einem,
So dann die Ehren: und tugendsame Jgfr. Brigitta Weinum, weÿl. Johann Michel Weinum, des gewesenen Ackersmanns und Burgers Zu Rumersheim mit auch weÿl. Frauen Agatha gaßin seiner haußfrauen seel. ehelich erziehlte tochter, beÿständ. H Nicolas Tillmann, des garde des domaines du Roy und hießigen burgers ihres nahen Anverwanthen, als hochzeiterin, andern theils
auf Sambstags den 12. Junÿ 1762. (unterzeichnet) Johann Michael Kintz als hochzeiter, + der hochzeiterin gemachtes handzeichen
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 29)
Hodie 28 junii anni 1762 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt joannes michael Kintz Selestadiensis filius Legitimus joannis michaelis Kintz et mariæ annæ clade defunctorum conjugum Et ciuium ibidem et Brigitta vinum Ex rumersheim filia Legitima joannis michaelis vinum et agatæa gass defunctorum conjugum Et cuium (signé) Kintz, + sponsæ signum
Jean Michel Kintz fait dresser un état de sa fortune (le registre de bourgeoisie manque pour 1762)
1762 (16.6.), Not. Hüttel (6 E 41, 859) n° 5
(Vermögenschein) Designatio alles dasjenige was Johann Michael Kintz von Schlettstatt gebürtig dermalen alhier zu Straßburg sich auffhaltend ane vermögen vorgewießen und eigenthümlich besitzet
Summarischer calculus, silbergeschirr 28 lb, goldene ringe 62 lb, baarschafft 156 lb, activ schulden 15 lb, summa summarum 261 lb
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue Saint-Jean. Ceux du mari s’élèvent à 235 livres, ceux de la femme à 101 livres.
1762 (25.9.), Not. Hüttel (6 E 41, 853) n° 6
Inventarium über Herrn Johann Michael Kintz des dermaligen Vicarÿ beÿ denen Consignes und Frauen Brigittä gebohrene Weinum, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1762. – welche aus der Ursach alldieweilen in Ihr beeder Ehepersohnen den 12.ten Junÿ gegenwärtigem 1762.ten Jahrs vor mir Notario auffgerichteter Eheberedung paragrapho tertio expresse bedungen worden (…) So geschehen allhier Zu Straßburg in fernerem beÿsein Jacob Kimbel des Schiffmanns und burgers allhier des Ehefrauen erbettenen beÿstandts, auf Sonntag den 25.ten Septembris Anno 1762.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Weißenthurn Straß in der St. Johannesgaß gelegenen von beden Eheleuthen Lehnungs weiße bewohnenden behaußung befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 37, Sa. Silbers 14, Sa. goldenen rings 18 ß, Sa. baarschafft 132, Sa. Schuld 50, Summa summarum 234 lb – Adde die helffte ane denen haussteuren 17 ß, Belaufft sich demnach des Ehemanns völlig vor ohnverändert in den Ehestand Zugebracht Vermögen, auf 235 lb
Sa. haußraths 96, Sa. Silbers 2, Sa. goldenen rings 1, Summa summarum 100 lb – Darzugelegt die helffte ane denen Haussteuren 17 ß, Erstreckt sich nun der Ehefrauen gesamt vor ohnverändert in den Ehestand zugebracht Guth samt der haussteuren helffte, in allem in vero pretio auf 101 lb
Brigitte Winum meurt en 1803 à l’âge de 77 ans.
1803. Décès, Strasbourg (n° 1346)
Du troisième Jour du mois de Floréal L’an onze de la République française. Acte de décès de Brigitte Winum, décédée hier 2 floréal à trois heures de relevée, agée de 77 ans, native de Wingsheim fille légitime de feu Michel Winum et dAgathe Gass Veuve de Jean Michel Kientz, Consigne, demeurant petite Ruë de la grange N° 11 [in margine :] Vieillesse (i 141)
Les trois filles célibataires de Jean Michel Kintz vendent la maison au saucissier André Frédéric Gross et à sa femme Susanne Barbe Rapp
1804 (15 prairial 12), Strasbourg 13 (18), Not. Bremsinger n° 1762
Theresia, Anna Maria und helena die Kintz alle dreÿ ledigen Standts und großjährig allhier an dem Paradenplatz N° 6 wo als einige Kinder und Erbinnen Johann Michael Kintz gewesten Emploÿirten hiesiger Stadt Straßburg hinterbliebenen wittwe ihrer mutter beiständlich bu. Corvinus (Johann Friedrich Corvinus Medicinæ Doctori)
an burger Andreas Friedrich Gros Wurstmacher und Susanna Barbara geb. Rapp an der Pickergaß N° 8 wohnhaft
eine behausung hoff Stallung nebst allen deren übrigen begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen zu Straßburg an der Weisenthurnstraß mit Numero 4 bezeichnet einseit neben burger Georg Philipp Clausing dem Wundarzt, anderseit neben bu. Abraham Jost dem biersieder vornen auf besagte Straß hintan auf bu. Stähling den Schloßer – davon gibt man hiesiger Stadt jährlich ein bodenzinß von 6 francken – der Comparentinnen als mütterlichen Erbguth in Gefolg Urtheils des Civil tribunals hiesiger Stadt vom 10. messidor 10. Jahrs – um 3950 francken
Enregistrement, acp 92 F° 34 du 17 pr. 12
Originaire de Kirchheim unter Teck, le boucher André Frédéric Gross épouse en 1795 Susanne Barbe Rapp, fille du boucher Jean Ernest Rapp
Mariage, Strasbourg (n° 442)
Cejourd’hui 17° Prairial l’an V de la République française une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part André Frédéric Gros, âgé de 28 ans, boucher, domicilié en cette ville depuis un an, natif de Kirchheim sur le Teck dans le duché de Wurtemberg, fils de Jean George Gros, boucher auit lieu, et de de Marguerite Buck, de l’autre part Susanne Barbe Rapp, âgée de 16 ans, née et domiciliée en cette commune, fille mineure de Jean Ernest Rapp, boucher, et de Susanne Marguerite Schaefer, duëment autorisée à cet effet par ledit Jean Ernest Rapp son père (…) 1° l’acte de naissance de notoriété dressé par Jean Michel Remond, juge de paix du troisième arrondissement de cette Commune le 7 courant, qui constate que le futur est né le 8 mai 1769 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 3 juin 1781 (signé) Andreas Friderich Groß, Susanna Barbara Rappin (i 27)
Ils passent un contrat de mariage quatre ans plus tard
1801 (2 thermidor 9), Strasbourg 13 (13), Not. Bremsinger n° 291
Eheberedung – burger Andreas Friedrich Gros, Wurstmacher alhier an der Pickergaß N° 8 wohnhaft, des burgers Johann Georg Gros des Metzgers mit burgerin Margaretha geb. Buck ehelicher Sohn
burgerin Susanna Barbara Rapp sein des Comparenten ehegattin und burgers Johann Ernst Rapp des hiesigen Wurstmachers mit burgerin Susanna Margaretha geb. Schäfer großjährige tochter
anzeigend wie daß Sie bereits 4 Jahr beisammen in frieden und vergnügten Ehe leben
Enregistrement, acp 79 F° 51 du 5 ther. 9
Registre de population (1798) 600 MW 21 (p 283, i 151) rue de la fontaine N° 8
Rapp, Jean Ernest, Cit. actif, 50 ans
id. Suzanne, son épouse, 48 ans
Gros, André Fréd., boucher, Cit. actif, 27 ans, de Kirchheim pays de Wurtemberg (à Strasbourg) depuis 13 ans
id. Suzanne Barbe, son épouse née Rapp, 17 ans, d’icy
Rapp, Marg. fille de Rapp, 15
id. Dorothée, idem, 14
Schricker, Jean, G.on boucher, 17, Vaysenstadt, pays de Bayreuth, parti 1 therm. 6.
Rapp, Caroline, 10
id. Philippe, 6
id. Jean Ernst, 8
Herrmann, Jean, G.on boucher, 17, Pays de Bayreuth
Susanne Barbe Rapp meurt en 1804 en délaissant une fille
1805 (10 pluviose 13), Strasbourg 13 (21), Not. Bremsinger n°
2232
Inventaire de la succession de Susanne Barbe née Rapp épouse d’André Frédéric Gross saucissier décédée le 11 thermidor dernier, délaissant pour seule et unique héritière Susanne Frédérique Gross âgée de 2 ans, en présence du tuteur subrogé Jacques Frédéric Eberlé, Boulanger
dans la maison mortuaire ci après détaillée
Contrat de mariage, par devant le soussigné notaire le 2 thermidor 9 (copié)
Propriété d’une Maison et Dépendances appartenante a la communauté, Savoir une Maison Cour Ecurie avec toutes ses autres appartenances Droits et Dépendances le tout situé en cette ville de Strasbourg au faubourg blanc sous le N° 4, d’un côté Georges Philippe Clausing Chirurgien de l’autre Abraham Jost Brasseur, devant la Rue du Faubourg blanc, derrière le Sr Staehling – doit à la ville une rente foncière de 6 fr, évaluée suivant le prix d’acquisition à 3950 fr – acquis suivant acte reçu par le soussigné notaire le 15 prairial 12, occupée par le veuf
propres de l’héritière, meubles 660 fr, remploi 127 fr, déduire 21 fr, reste 106 fr, total 766 fr
propres du veuf, meubles 112 fr, remploi 1844 fr, déduire 21 fr, reste 1823 fr, total 1935 fr
communauté, meubles 1003 fr, numéraire 100 fr, maison 3950 fr, capital 3600 fr, total 8653 fr, passif 6059 fr, reste 2594 fr
Enregistrement, acp 95 F° 134 du 11 pluv. 13
André Frédéric Gross se remarie en 1804 avec Elisabeth Ober, fille du boulanger Jean Daniel Ober
1804 (21 vendém. 13), Strasbourg 13 (20), Not. Bremsinger n° 2056
Contrat de mariage – André Frédéric Gross, saucissier demeurant en cette ville faubourg blanc n° 4, veuf de Susanne Barbe née Rapp, fils de Jean Georges Gross, boucher à Kirchheim Jurisdiction de Würtemberg, et de Marguerite née Buck
Elisabeth Ober, âgée de 21 ans, fille de Jean Daniel Ober, Boulanger au faubourg blanc n° 70, et de feu Marie Salomé née Meyer
en la maison appartenante au Sr Simon Haes batelier grand père de la future épouse à la Krautenau n° 41
Enregistrement, acp 94 F° 69-v du 30 vd 13
Inventaire des apports
1806 (20.12.), Strasbourg 13 (25), Not. Bremsinger n° 3454
Inventaire des apports d’André Frédéric Gros, saucissier demeurant faubourg blanc n° 4, et Elisabeth Ober, suivant contrat de mariage reçu par le soussigné notaire le 21 vendémiaire 13
la femme, dot 983 fr, autres propriétés 122 fr
le mari, 4313 fr
Enregistrement, acp 101 F° 112 du 20.12.
Le sellier Philippe Josz épouse en 1822 Susanne Frédérique Gross, issue du premier mariage avec Susanne Barbe Rapp
1822 (7.8.), M° F. Grimmer (minutes en déficit)
Contrat de mariage – Philippe Josz, sellier carossier à Strasbourg fils de Théobald Josz demeurant à Dorlisheim et de feu Elisabeth née Jost
Susanne Frédérique Gross, fille mineure d’André Frédéric Gross, saucissier, et de feu Susanne Barbe Rapp
Enregistrement, acp 158 F° 163 du 9.8. – Communauté d’acquets partageable par moitié
André Frédéric Gross meurt en 1830 en délaissant six enfants (une fille du premier lit et cinq enfants du deuxième)
1830 (5.5.), M° F. Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire de la succession d’André Frédéric Gross, saucissier à Strasbourg décédé le 27 mars dernier, fait à la requête de sa veuve Elisabeth Ober tant en son nom qu’en qualité de tutrice de ses enfants mineurs nommés Frédéric Ferdinand, Julie Elise, Frédéric Auguste, Chrétien Frédéric et Frédéric Théodore et à la requête de Susette Frédérique Gross femme de Philippe Josz, sellier à Strasbourg
La masse active mobilière est de 2925 francs, les créances actives 631 fr, le passif 5578 fr
acp 199 (3 Q 29 914) f° 89 du 7.5.
Inventaire dressé après la mort de la locataire Marie Salomé Winter, veuve du cabaretier Charles Mændel
1830 (29.4.), Strasbourg 2 (69), Me Weigel n° 6505
Inventaire de la succession de Marie Salomé Winter, veuve de Charles Maendel, cabaretier, décédée le 17 avril dernier. Observations préliminaires, les seuls héritiers présomptifs sont I. par un tiers les héritiers de feu Abraham Winter, aubergiste à Strasbourg par représentation de leur père savoir 1. Abraham Winter, aubergiste, 2. Isaac Winter, aubergiste, 3. Marie Madeleine Winter épouse de Jean Jacques Ott, brasseur, 4. Jacques Winter, ci devant boulanger, 5. Philippe Jacques Winter, tonnelier absent pour lequel tous les héritiers se portent fort, 6. les enfants de feu Barbe Winter femme de Pierre Endres, sommellier absent ces enfants sont 1. Auguste, 2. Théodore, 3. Eugénie, desquels est subrogé tuteur Abraham Winter, 7. les enfants de David Winter, sommelier 1. Charles, 2. Gustave sous la tutelle de Barbe Heintz leur mère, 8. Caroline Winter, célibataire majeure
II. les enfants de Madeleine Winter femme de Jean Frédéric Holl, aubergiste représentée par son fils Jean Frédéric Holl, fabricant de savon représenté par ses enfants 1. Marie Madeleine Holl épouse de Ferdinand Bonnard, capitaine en retraite Chevalier de la Légion d’Honneur, 2. Jean Frédéric Holl, fabricant de savon, 3. Frédérique Sophie Holl épouse de Léonard Mehn, 4. Jean Daniel Holl, tanneur, 5. Pierre Auguste Holl, meunier, 6. Gustave Guillaume Holl, étuidant en théologie
III. pour le dernier tiers David Winter, marchand demeurant en Suisse
dans la maison de la défunte rue du Faubourg Blanc n° 4
acp 199 (3 Q 29 914) f° 78-v du 3.5. La masse active purement mobilière est de 312 fr, le passif 149 fr
acp 199 (3 Q 29 914) f° 118, Déclaration, que dans l’inventaire de cette succession on a oublié de comprendre 88 francs pour vin fourni à Gall Fritsch en ladite ville
Liquidation
1831 (20.12.), M° F. Grimmer (minutes en déficit)
Liquidation et partage de la succession d’André Frédéric Gross, saucissier à Strasbourg y décédé le 27 mars 1830, entre sa veuve Elizabeth Ober demeurante en cette ville tant pour elle-même que comme tutrice de ses cinq enfants mineurs qui sont Frédéric Ferdinand, Julie Elise, Frédéric Auguste, Chrétien Frédéric et Frédéric Théodore et à la requête de Susette Frédérique Gross femme de Philippe Josz, ancien sellier demeurant à Strasbourg ici représentée par mandataire, cette dernière avec les mineurs susdits Enfants du défunt et ses héritiers chacun pour un 6°
L’estimation des meubles et effets s’est élevée suivant l’inventaire passé devant le notaire ci-dessous le 5 mai 1830 à la somme totale de 2925 francs, argent comptant et créances 631 fr
La veuve rend compte de l’administration des immeubles et principalement des loyers de la maison faubourg national N° 4 par elle reçus depuis la saint Michel 1822 jusqu’à la Saint Jean dernière, ils s’élèvent à 7000 francs mais il en est déduit pour dépenses 636 reste 6363 dont la veuve prélève moitié parce qu’elle possède la moitié de ladite maison 3181,
la moitié revient à la communauté 3181. sont établis les autres loyers des maisons &c, il en résulte que ladite veuve reste devoir 811 francs qui seront décomptés dans la liquidation en ce qui la concerne
Il est fait dans cet acte une liquidation de la première communauté qui a eu lieu entre le défunt et sa première femme Susanne Barbe Rapp, l’actif s’élève à 5476 francs compris un article laissé en commun, celle passive est de 6852 y compris les remplois de sa femme qui étaient de 796 francs et ceux du mari qui s’élevaient à 1935, déficit 1375 francs
dont moitié à supporter par l’héritière de ladite Rapp, ci 687 en sorte que déduction faite des remplois auxquels elle a droit du chef de sadite mère (796 francs) il ne lui revient plus que 108 francs
Seconde communauté, masse active en mobilier 22.782, masse passive 15.977, reste à partager 6805 dont moitié aux héritiers et moitié à la veuve
La succession dudit Frédéric André Gross est ainsi établie de manière à amener ces résultats, après qu’il a été convenu qu’au lieu de l’usufruit accordé à la veuve il lui est abandonné en vertu de l’article 917 du Code Civil une part d’enfant le moins prenant ce qui est par elle accepté
1° moitié du reliquat de la deuxième communauté 3402
2° ses emplois réglés et fixés en l’acte à 7943
3° des habits et linges 243
4° ses droits dans la succession d’Ignace Gross de Kirchheim son frère 51, total 11.641, passif 10.935, reste à partager 705
(Abandonnements)
acp 207 (3 Q 29 922) f° 64-v du 21.12.
Frédéric Ferdinand Grosz vend ses droits successifs à Elisabeth Ober, veuve d’André Frédéric Grosz
1844 (4.3.), M° Grimmer (minutes en déficit)
Vente par Frédéric Ferdinand Grosz huissier à Saverne
à Elisabeth Ober veuve d’André Frédéric Grosz, saucissier à Strasbourg
1° le 14° par indivis d’une Maison sise à Strasbourg faubourg national n° 4 et
2° d’une petite Maison même ville rue St Jean N° 19. La présente vente est faite moyennant la somme de 1200 francs payés comptant des deniers de Jean Chrétien Mosseder, préposé eb chef de la halle commerciale de Strasbourg, lequlk est subrogé par conséquent dans les droits du vendeur
acp 320 (3 Q 30 035) f° 63 du 6.3.
Susette Frédérique Gross céde sa part immobilière à Elisabeth Ober, veuve de son père
1833 (29.11.), M° F. Grimmer (minutes en déficit)
Susette Frédérique Grosz épouse de Philippe Josz, marchand de vin à Paris agissant par Antoine Paulus, conducteur des messageries royales son mandataire
à Elisabeth Ober veuve d’André Frédéric Gross, saucissier
1. 8/14 dans une maison dépendances Faubourg National n° 4
2. 1/14 dans une petite maison rue St Jean n° 19
3. 1/14 dans une maison dépendances Faubourg de Pierre n° 21
l’acquéreuse est propriétaire de 1/14 de la première maison, et de 8/14 des deux autres, les autres 5/14 de ces trois immeubles appartiennent aux enfants du second lit dudit André Frédéric Gross – la D° Jost a recueilli les parts d’immeubles dans la succession de Salomé Barbe Rasp sa mère femme en premières noces d’André Frédéric Gross et de la succession de son père – moyennant 8600 francs
Enregistrement, acp 221 F° 148 du 2.12.
Julie Elise Gross meurt célibataire en délaissant pour héritiers sa mère et des frères
1836 (3.9.), M° F. Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire de la succession de Dlle Julie Elise Gross, dressé à la requête de 1. Elisabeth Ober veuve d’André Frédéric Gross, saucissier, en son nom et tutrice légale de Frédéric Auguste, Chrétien Frédéric, Frédéric Théodore Gross, 2. Frédéric Ferdinand Gross, clerc d’huissier, 3. Charles Adolphe Ihlé, licencié en droit, mandataire de Susette Frédérique Gross épouse de Philippe Josz, marchand de vins
1. une maison au Faubourg National n° 4
2. une petite maison rue St Jean n° 19
3. une maison au Faubourg de Pierre n° 21
Enregistrement de Strasbourg, acp 243 F° 72 du 8.9.
Le commis négociant Frédéric Théodore Gross meurt célibataire après avoir institué sa mère pour légataire universelle
1844 (19.7.), M° F. Grimmer (minutes en déficit)
Certificat par le notaire rédacteur qu’Elisabeth Ober veuve d’André Frédéric Grosz saucissier à Strasbourg a seule droit à la succession de Frédéric Théodore Grosz, commis négociant décédé à Paris le 11 mai 1844 en sa qualité de légataire universelle dudit Sr Grosz son fils suivant testament olographe daté de Strasbourg du premier juillet 1840 enregistré le 22 mai 1844
Le sergent Chrétien Frédéric Gross meurt célibataire après avoir institué sa mère pour légataire universelle
1845 (1.3.), M° F. Grimmer (minutes en déficit)
Certificat par le notaire rédacteur qu’Elisabeth Ober veuve d’André Frédéric Grosz vivant charcutier à Strasbourg a seule droit à la succession de son fils Chrétien Frédéric Grosz, vivant sergent au 14° régiment de ligne décédé à Montauban le 31 octobre 1844, en vertu de son testament olographe daté de Montauban du 14 mars 1840 enregistré le 25 novembre 1844
acp 333 (3 Q 30 048) f° 30-v du 3.3.
1851 (18.1.), M° F. Grimmer (minutes en déficit)
Consentement par Elisabeth Ober veuve d’André Frédéric Grosz charcutier à Strasbourg au Mariage de son fils Frédéric Auguste Grosz prop. à Strasbourg avec Marie Madeleine Ober célibataire à Strasbourg
acp 398 (3 Q 30 113) f° 9 du 20.1.
Frédéric Auguste Gross épouse en 1850 Marie Madeleine Ober, fille du boulanger Jean Daniel Ober
1850 (26.11.), M° F. Grimmer (minutes en déficit)
Contrat de mariage – Frédéric Auguste Grosz, propriétaire à Strasbourg, fils de feu André Frédéric Grosz, charcutier et Elisabeth Ober sa veuve à Strasbourg d’une part
et Marie Madeleine Ober, célibataire à Strasbourg fille de Jean Daniel Ober, boulanger et de Marie Madeleine Ober décédés conjoints à Strasbourg d’autre part
acp 396 (3 Q 30 111) f° 79 du 29.11. Il y aura communauté de biens réduite aux acquêts
Les apports du futur consistent en un mobilier estimé 500, créances 6000
le 14° d’une maison Faubourg national et le 14° d’une maison quai St Jean N° 8 à Strasbourg
Les apports de la future consistent en meubles et créances d’une valeur de 10.000 francs
Une maison Faubourg national N° 11 à Strasbourg
Donation réception de l’usufruit de toute la succession réductible à moitié en cas d’enfants
Ferdinand Frédéric Gross meurt en 1847, de sorte qu’Auguste Frédéric est seul héritier de sa mère. Le Registre de population mentionne qu’il est mort pendu
Registre de population 600 MW 258, Faubourg National N° 4 (i 6)
Pr. Gros née Ober, Elisabeth, 1784, Strasbourg, Veuve, 16 juin 51, décédé
Gros, Ferdinand Frédéric, 1813, id., Praticien, fils, 11 juin 47 décédé
id. Auguste Frédéric, 1815, id.,ouv. tonnelier, fils, voir folio 81
(i 8) Pr. Grosz, Frédéric Auguste, 1815, Strasbourg, m. 25. 8.bre 53, pendu
idem née Ober, Marie Madeleine, 1826 Strasbourg, Ep.
id.. Marie Adèle, 20 8.bre 1851, fille
Frédéric Auguste Gross meurt le 25 octobre 1853.
Décès, Strasbourg (n° 2111)
Acte de décès. Le 26 octobre 1853 (…) ont comparu Jacques Ober, âgé de 62 ans, boulanger, oncle du défunt domicilié à Strasbourg et Jonathan Griesbach, âgé de 74 ans chef de bureau à la Mairie, voisin du défunt, domicilié à Strasbourg, lesquels nous ont déclaré que Frédéric Auguste Grosz, âgé de 37 ans, né à Strasbourg, propriétaire, époux de Marie Madeleine Ober domicilié à Strasbourg, fils de feu André Frédéric Grosz saucissier et de feu Elisabeth Ober est décédé le 25 octobre 1853 à six heures du soir en la maison faubourg national N° 4 (i 94)
Frédéric Auguste Gross délaisse une fille
1853 (14.12.), M° F. Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire communauté de biens qui a existé entre Frédéric Auguste Grosz, vivant propriétaire à Strasbourg et Marie Madeleine Ober, son épouse et de la succession dudit Sr Gross décédé le 25 octobre dernier, dressé à la requête de la veuve, agissant comme commune en biens, en vertu de son contrat de mariage reçu Grimmer Nre le 26 novembre 1850 et comme mère et tutrice de Marie Adèle Grosz sa fille mineure issue dudit mariage
acp 425 (3 Q 30 140) f° 55 du 16.12. (succession déclarée le 11 avril 1854) Il dépend de la communauté un mobilier estimé à 1374, garde robe 277
acp 426 (3 Q 30 141) f° 76-v du 26.1. (vacation du 21 janvier 1854) Communauté, argent comptant 300, créances 6298
Immeubles, Une maison à Strasbourg faubourg national N° 7
Une maison rue St Jean N° 8
La veuve déclare que son enfant a reçu de son parrain et sa marraine à titre de don un petit couvert et une cuillère estimée à 10 francs
Testament de Marie Madeleine Ober
1865, M° F. Grimmer (minutes en déficit)
9 octobre 1865. Testament par lequel Marie Madeleine Ober veuve d’Auguste Grosz, propriétaire à Strasbourg, nomme Jean Jacques Michel, farinier à Strasbourg, comme tuteur & Mr Bohr, pasteur à Wasselonne comme subrogé tuteur à sa fille mineure Marie Adèle Grosz, avec recommandation de conserver tout le mobilier
acp 548 (3 Q 30 263) f° 88-v du 15.12.
Marie Madeleine Ober meurt en 1865 en délaissant une fille, Marie Adèle
1866 (23.1.), M° F. Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire de la succession délaissée par Marie Madeleine Ober veuve de Frédéric Auguste Gross, décédée à Strasbourg le 12 décembre 1865, dressé à la requête de Jean Geoffroi Rohr, pasteur à Wasselonne, comme tuteur de Marie Adèle Grosz, fille de la défunte
acp 550 (3 Q 30 265) f° 29-v du 25.1. (succession déclarée le 11 avril 1866) Il dépend de ladite succession un mobilier estimé à 2937, dont à déduire l’estimation du mobilier de la communauté provenant de la succession du père 687, reste 2250
argent 1000 – objets propres à la mineure 281 francs
acp 552 (3 Q 30 267) f° 71-v du 12.3. (vacation du 6 mars) Il dépend de ladite succession, argent 1000, créances 34.275 francs
Marie Adèle Gross, femme du pharmacien Michel Zimmermann, de Mulhouse, vend les maisons sises 3, Faubourg National et (6) quai de l’Abattoir au boucher Charles Witt et à sa femme Louise Bruder
1874 (24.6.), Strasbourg 24 (9), Not. Joseph Allonas n° 975
sind erschienen Herr Michel Zimmermann, Apotheker und dessen von ihm ermächtigte Ehefrau Maria Adele Gross, beisammen zu Mühlhausen wohnhaft und zur Zeit sich hier aufhaltend, dieselbe verkaufen hiemit unter solidarischen Garantie für ruhigen Besitz und Genuß an
die gegenwärtigen und dies annehmenden Herrn Karl Witt, Metzger, und dessen von ihm hierzu ermächtigte Ehefrau Luise Bruder, beisammen zu Straßburg Fischleutstaden N° 29 wohnhaft, nachbeschriebene Liegenschaft zu Eigenthum
Beschreibung. Diese Liegenschaft besteht aus zwei Häusern, nämlich ein in der Weissthurnstraße unter N° 3 gelegenes Vorderhaus mit Keller, kleinem Hof, Erdgeschoß, zwei Stockwerken und Speicher, Stall darüber ein Stockwerk und Speicher, ferner ein Hinterhaus auf dem Schlachthausstaden mit Keller, Erdgeschoss, einem Stockwerk und Speicher nebst kleinem Hof, das Vorderhaus zwischen herrn Kräncker und H. Lorentz, das hinterhaus zwischen H. Rieth und Ruff.
Eigenthumsnachweis. die verkaufte Liegenschaft ist Sondergut der Frau Zimmermann, welche dieselbe von ihren Eltern H. Friderich August Gross, Eigenthümer und dessen Ehefrau Maria Magdalena Ober ererbte, beide schon seit einigen Jahren in Straßburg verstorben. H. Gross fiel dieselbe aus dem Nachlasse seiner Eltern zu, welche dieselbe auf der gegebenen Grundfläche erbauen lassen. H. Zimmermann erklärt, augenblicklich keine weiteren Eigenthumsnachweise beibringen zu können und verplichtet sich mit seiner Ehefrau, solche auf erstes Begehren nach nachzubringen, die übrigen Eigenthumsnachweis sind nach der Erklärung der Verkäufer in einem vor Notar Zimmer zu Straßburg am 21. Januar 1854 enthalten. Im ubrigen entlasten die Parteien den unterzeichneten Notar von aller Verantwortlichkeit in dieser Beziehung.
Kaufpreis, 25.000 Franken (…) Burgerliche Standesverhalten der Verkäufer. Eheleuthe Zimmermann erklären 1. daß sie beide in erster Ehe unter Errungenschaft gemeinschaft verheurathet sind (…)
acp 628 (3 Q 30 343) f° 92 du 29.6.
Originaire de Langenburg en Wurtemberg (près de Schwäbisch Hall), Frédéric Charles Witt épouse en 1873 Louise Bruder, fille du tisserand Louis Bruder de Bischwiller
Mariage, Strasbourg (n° 180)
Den 25. März 1873 um zehn Uhr des morgens.Heiraths-Urkunde offentlich angeschlossen im Stadthause von Strassburg von Friedrich Carl Witt, geboren zu Langenburg (Württenberg) den 23. Februar 1843 (…) Metzger wohnhaft zu Straßburg, volljähriger ehelicher Sohn von weiland Wilhelm Witt, Gastwirth zu Langenburg gestorben den 20. November 1856 und von weiland Catharina Pfeiffer, zu Langenburg gestorben den 29. November 1858, und von Luise Bruder, geboren zu Bischweiler (Unter-Elsass) den 24. August 1837 (…) ohne Gewerb, wohnhaft zu Strassburg, eheliche Tochter von weiland Ludwig Bruder, Schneider zu Bischweiler gestorben den 9. Februar 1855 und von weiland Salomea Metzger gestorben zu Bischweiler den 26. Mai 1845
in Gegenwart der vier nachstehenden bezeichneten Zeugen Jacob Bruder, 69 Jahr alt, Schneider zu Bischweiler, Oheim der Gattin, Carl Schroth, 33 Jahr alt, Kaffewirth zu Straßburg, Friedrich Witt 28 Jahr alt, Bierbrauer su Stuttgart wohnhaft, Bruder des Gatten und Wilhelm Witt, 36 Jahr alt, Bierbrauer wohnhaft zu Straßburg, Bruder des Gatten (i 16)
Charles Witt et Louise Bruder hypothèquent les deux maisons au profit du sellier Joseph Imbs et de son frère pasteur Michel Imbs. La police d’assurance décrit les différents bâtiments.
1877 (22.6.), Strasbourg 24 (21), Not. Joseph Allonas n° 3543
Obligation – Sind erschienen Herr Karl Witt, Metzger, und dessen von ihm hierzu ermächtigte Ehefrau Luise Bruder, beisammen zu Straßburg Weissthurnstraße N° 3 wohnhaft, dieselbe erkennen hiermit rechtmäsig und solidarisch schuldig Zusein
1. An dem hier gegenwärtigen und dies annehmenden Herrn Joseph Imbs, Sattlermeister zu Straßburg wohnhaft 4800 Mark, 2) An Herrn Michael Imbs Pfarrer zu Münchhausen wohnhaft, für welchen hier gegenwärtig ist, und annimmt oben genannten Herrn Joseph Imbs sein Bruder 11.200 Mark
Unterpfand. Eine Liegenschaft in Strassburg gelegen bestehend aus zwei Häusern, nämlich ein in der Weissthurnstraße unter N° 3 gelegenes Vorderhaus mit Keller, kleinem Hof, Erdgeschoß, zwei Stockwerken und Speicher, ferner ein Hinterhaus auf dem Schlachthausstaden mit Keller, Erdgeschoss, einem Stockwerk und Speicher nebst kleinem Hof, das Vorderhaus zwischen Herrn Kräncker und H. Lorentz, das hinterhaus zwischen Herren Rieth und Herr Ruff.
Eigenthums Nachweis. Schuldner erklären daß Sie die oben beschriebene Liegenschaft, jedoch mit Ausnahm der Gebäulichkeiten welche sie seither auf einem Theil davon erbaut haben, von Herrn Michel Zimmermann, Apotheker und dessen Ehefrau Maria Adele Groß, beisammen zu Mühlhausen wohnhaft, laut Vertrag vor unterzeichnetem Notar vom 24. Juni 1874 erkauft haben, und daß Sie auf dem Preus der Erwerbung heute noch die Summ von 1600 Mark schulden, welche mit dem aus gegenwärtigem Darlehen herrührenden Geldern ausbezahlt wird. Die executorische Ausertigung dieses Kaufvertrags wurde auf dem Hypotheken Amt Straßburg den 8. des folgenden Monats Juli, Band 1503 N° 31 überschrieben, und von Amtswegen denselben tag Band 1188 N° 141 eingeschrieben. Frau Zimmermann geborne Groß ererbte dieselbe Liegenschaft von ihren Eltern Herr Friderich August Gross, Eigenthümer und dessen Ehefrau Maria Magdalena Ober, beide schon seit einigen Jahren in Straßburg gestorben. Herrn Gross fiel dieselbe aus dem Nachlasse seiner Eltern zu, welche die Gebäulichkeiten auf der Grundfläche erbauen lassen. Die übrigen Eigenthums Nachweise sind in einem vor Notar Grimmer zu Straßburg am 21. Januar 1854 errichteten Inventar enthalten.
Bürgerlichen Standes Verhältnisse der Entlehner. Die Entlehner erklären, daß Sie beide in erster Ehe unter der Herrschafft der gesetzlichen Gütergemeinschaft in Ermanglung eines Ehevertrags verheurathet sind (…)
Police d’assurance. Compagnie d’assurances générale contre l’incendie. Agence de Strasbourg N° 51.954, renouvellement de Pol. N° 41.096. Somme assurée 33.000, prime annuelle 14,50. Mr Witt, 24. juin 1874, effet de la police 1° juillet 1975 – M. Charles Witt, propriétaire à Strasbourg, Basse-Alsace
1° 20.000 francs sur une maison d’habitation sise audit Strasbourg, faubourg National N° 3 élevée sur cave de rez-de-chaussée, deux étages, mansardes & greniers
2° 6000 francs sur un bâtiment tiers au fond de la cour, renfermant logement et écuries
3° 6000 francs sur une petite maison d’habitation sise même ville, ayant vue sur le quai de l’Abattoir et portant le N° 6
4° 1000 francs sur un petit bâtiment à usage de buanderie et dépendant de la maison relatée à l’article précédent
Frédéric Charles Witt meurt en 1904 au Neuhof (où il a acheté deux maisons en 1890 et en 1893), sa femme en 1903.
Décès, Strasbourg (n° 2949)
Strassburg am 14. Novembris 1904. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Ackerer Emil Köhren, wohnhaft in Neuhof Redoutenweg 7, und zeigte an, daß der Rentner Friedrich Karl Witt, 61 Jahr Monate alt, evangelischer Religion, wohnhaft in Straßburg, geboren zu Langenburg, Württemberg, Wittwer von Luise, geborner Bruder, Sohn der verstorbenen Eheleute Wilhelm Witt, Gastwirt und Katharina geborne Pfeiffer, zuletzt in Langenburg wohnhaft, zu Straßburg in des Anzeigers Behausung am 13. November 1904 Nachmittags um neun Uhr gestorben sei (i 98)
Décès, Strasbourg (n° 120)
Strassburg am 13. Januar 1903. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Rentner Friedrich Karl Witt, wohnhaft in Neuhof Redoutenweg 7, und zeigte an, daß seine Ehefrau Luise gebornene Bruder, 65 Jahr alt, evangelischer Religion, wohnhaft in Straßburg, geboren zu Bischweiler, Unter-Elsass, Tochter der verstorbenen, Eheleute Ludwig Bruder Schneider und Salome Metzger zuletzt in Bischweiler wohnhaft zu Straßburg Neuhof am 12. Januar des Jahres 1903 Nachmittags um sieben Uhr gestorben sei (i 61)
Charles Witt et Louise Bruder vendent la maison à rez-de-chaussée et deux étages sise au Faubourg Blanc au boucher Georges Hückel et à sa femme Adèle Rupprecht, originaires de Hatten. L’acte mentionne que les vendeurs se réservent la maison (qu’ils ont reconstruite) sise quai de l’Abattoir.
1887 (31.12.), Strasbourg 24 (61), Not. Joseph Allonas n° 10.228
Verkauf – sind erschienen Herr Karl Witt, Metzgermeister, u. dessen von ihm hierzu ermächtigte Gattin Frau Luise Bruder, beisammen zu Straßburg wohnhaft, dieselbe verkaufen (…)
den hier gegenwärtigen und es annehmenden Herrn Georg Hickel, Metzger und dessen von ihm hierzu ermächtigte Ehefrau Adele Rupprecht, beisammen zu Straßburg wohnhaft, gebürtig von Hatten, Solidar-Ankäufer
Beschreibung. Stadt Strassburg. Ein Zu Straßburg Weißenthurnstraße N° 3 bezeichnetes Besitzthum bestehend aus vnd einem Wohnhaus mit Erdgeschoß auf Keller, zwei Stockwerken & Speicher, ein Stall, darüber ein Stockwerk und Speicher, Rechten und Zubehörden
von diesem Kaufe bleibt jedoch, mit ausgeschlossen und den Vekäuferen als Eigenthum vorbehalten das Haus mit Zubehör auf dem Schlachthausstaden N° 6, welches von dem heutigen Kaufobjekt durch die Flucht einer Zur Zeit bestehende Thür, welche diese auf eigene Kosten zu mauren lassen werden, getrennt ist. Das Kaufobjekt begrenzt einer Seits durch das Eigenthum Kraencker, Bierbrauer, anderseits durch das Eigenthum Vogel, hinten durch das den Verkäufern vorbehaltene Besitzthum & durch jenes des Schornsteinfegers Herrn Metz.
Katasterbezeichnung. Das Ganze Besitzthum wovon ein theil verkauft ist, ist im Katasterbuch eingetragen unter section P N° 48 und 48 für einen Flächeninhalt von ein Ar 60 Centiares. Als mitverkauft sollen gelten die samtlichen sich im Kaufobjekt befindlichen Kochherde & Öfen nebst Steinen & Rohren insoweit dieselben als Eigenthum der Verkäufer herausstellen werden. (…)
Eigenthumsnachweis. Verkäufer erklären sie haben das obige Kaufobjekt mit dem vorbehaltenen Immöbel, mit dem Bemerken daß sie die Gebäulichkeiten seither theilweiß neu erbauen ließen, von Michael Zimmermann, Apotheker und dessen Ehefrau Maria Adel Gross beisammen zu Mülhausen wohnhaft erkauft, laut Urkunde des unterzeichneten Notars vom 24. Juni 1874, von welcher eine Ausfertigung auf dem hiesigen Hypothekenamte den 8. Juli nachher Band 1503 N° 31 & von amtswegen Band 1188 N° 145 eingeschrieben wurde. Diese Erwerbung geschah vermittelst einem seither gänzlich außbezahlen Preis von 25.000 Franken gleich 20.000 Mark. Bezüglich des früheren Eigenthumsnachweises des von Eheleuten Zimmermann erkauften Besitzthums wird dem obenerwähnten Kaufvertrage Folgendes wörtlich entnommen.
die verkaufte Liegenschaft ist Sondergut der Frau Zimmermann, welche dieselbe von ihren Eltern H. Friderich August Gross, Eigenthümer und dessen Ehefrau Maria Magdalena Ober beide zu Straßburg wo sie wohnten verstorben, ererbte. Dem Herrn Gross fiel dieselbe aus dem Nachlasse seiner Eltern zu, welche dieselbe auf der gegebenen Grundfläche erbauen lassen. Die übrigen Eigenthumsnachweise sind noch in einem durch den früheren hiesigen Notar Grimmer am 21. Januar 1854 aufgenommenen Inventar enthalten.
(…) Besitz und Genuß vom 25 Dezember 1887, Steuren vom 21 Januar 1888. Kaufpreis 36.800 Mark zahlbar in 9 von 3 zu 3 Jahren verfallenden Terminen wovon die 8 erster mit je 4000. M und der 9.te mit 4800 M. der erste fällig 1 Januar 1891.
Standesverhältnisse. Verkäufer erklären daß sie beide in erster Ehe unter der Herrschaft der gesetzlichen Gütergemeinschaft in Ermanglung eines vor ihrer Ehe abgeschlossenen Ehevertrags verheiratet sind.
acp 797 (3 Q 30 512) f° 41-v n° 3409 du 9.1.1888
Fils de l’aubergiste Philippe Hückel, le boucher Georges Hückel épouse en décembre 1887 Adèle Rupprecht, fille du laboureur Charles Rupprecht.
Mariage, Hatten (n° 7)
Hatten am 20. Dezember 1887. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Metzger Georg Hückel, ledigen Standes, protestantischer Religion, geboren den 17. Februar des Jahres 1864 zu Hatten wohnhaft zu Hatten, Sohn des Gastwirts Philipp Hückel wohnhaft zu Hatten und dessen ohne Gewerb zu Hatten verstorbenen Ehefrau Salome geb. Fauth zu Hatten zuletzt
2. die gewerblos Adele Rupprecht ledigen Standes, protestantischer Religion, geboren den 25. Januar 1866 zu Hatten, wohnhaft zu Hatten, Tochter des Ackerers Karl Rupprecht und dessen gewerblosen Ehefrau Magdalena geb. Roehrig beide wohnhaft zu Hatten (i 8)
Georges Hückel et Adèle Rupprecht vendent la maison à Jacques Gangloff et à Caroline Lapp moyennant 46 400 marks
1893 (29.9.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 2703 (4848) n° 79 – François Xavier Amann, à Oberschaeffolsheim
sind erschienen Herr Georg Hückel, Metzgermeister und dessen von ihm ermächtigte Ehefrau Adel Rupprecht, hieher in Strassburg und beisammen zu Hatten wohnhaft, erklären zu verkaufen (…)
H. Jacob Gangloff und dessen von ihm hierzu ermächtigte Gattin Frau Carolina Lapp beisammen zu Straßburg wohnhaft folgend bezeichnetes Immöbel
Stadt Strassburg. Eine zu Strassburg Weißthurmstraße gelegenes mit N° 3 bezeichnetes Besitzthum bestehend aus einem Wohnhaus mit Erdgeschoß auf Keller, zwei Stockwerken Speicher, Rechte und Gerechtigkeiten, begrenzt einer Seits durch das Eigenthum des Bierbrauers Kraencker, anderseits durch solches des H. Vogel, hinten durch das Eigenthum des Karl Witt, vorn die Weißthurmstraße, im Katasterbuch eingetragen unter section P N° 48 th. und 48 th.. Als mitverkauft gelten die noch die samtlichen sich im Kaufobjekt verfindlenden Oefen nebst ihren Steinen und Röhren sowie auch die Kochherde insoweit solche sich als Eigenthum der Verkäufer herausstellen werden. (…)
Eigenthumsnachweis. Verkäufer erklären sie haben das obige Besitzthum für& Rechnung der zwischen ihnen bestehenden Gütergemeinschaft von H. Kark Witt Metzgermeister und dessen Ehefrau Luise Bruder in Straßburg wohnhaft erkauft zufolge Urkunde des Notars Allonas in Strassburg vom 31. Dezember 1887, von welcher eine Ausfertigung im Hypothekenamte selben Stadt deb 14. Januar nachher Band 2371 N° 47 & von amtswegen Band 1626 N° 480 eingeschrieben worden ist. Diese Erwerbung geschah vermittelst dem Preis von 36.800 Mark. (…) Eheleute Witt welche die Gebäulichkeiten theilweise neu aufführen ließen hatten das ganze Immöbel wovon das heutige Kaufobjekt einen Theil bildet von Michael Zimmermann Apotheker und dessen Ehefrau Maria Adel Gross beisammen zu Mülhausen wohnhaft erkauft, zufolge Urkunde des genannten Notars Allonas vom 24. Juni 1874, überschrieben im Hypothekenamte zu Strassburg den 8. Juli nachher Band 1503 N° 31 & von Amtswegen Band 1188 N° 145 eingeschrieben. Diese Erwerbung geschah vermittelst einem seither gänzlich außbezahlen Preis von 25.000 Franken gleich 20.000 Mark. Bezüglich des früheren Eigenthumsnachweises des von Eheleuten Zimmermann erkauften Besitzthums wird dem obenerwähnten Kaufvertrage Folgendes wörtlich entnommen.
die verkaufte Liegenschaft ist Sondergut der Frau Zimmermann, welche dieselbe von ihren Eltern Friderich August Gross, Eigenthümer und Maria Magdalena Ober beide zu Straßburg wo sie wohnte gestorben, ererbte. Dem H. Gross fiel dieselbe aus dem Nachlasse seiner Eltern zu, welche dieselbe erbauen ließen. Die übrigen Eigenthumsnachweise sind in einem durch den früheren Notar Grimmer in Strassburg am 21. Januar 1854 aufgenommenen Inventar enthalten.
Lasten, Clauseln und Bedingungen (…) Kaufpreis – Anweisung. (…) vermittelst dem Preis von Mark 46.400 (davon 13.600 baar bezahlt sind) Geschehen und aufgenommen zu Straßburg im Jahre 1893 den 21. September
Originaire de Niedermodern et demeurant à Strasbourg, Jacques Gangloff épouse en 1880 Caroline Lapp, originaire de Brumath
Mariage, Brumath (n° 21)
Brumath am 16 September 1880 Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Fleischer Jacob Gangloff, evangelischer Religion, geboren den 3. Juni 1853 zu Niedermodern (Kreis Zabern) wohnhaft zu Strassburg, Sohn des Wagners Michael Gangolff und der Margaretha geborenen Schweyer, Eheleute wohnhaft zu Niedermodern, 2. die gewerblose Caroline Lapp, evangelischer Religion, geboren den 10. Januar des Jahres 1855 zu Brumath, wohnhaft zu Brumath, Tochter des Schenkwirts Michael Lapp und der Catharina geborenen Goetz, Eheleute wohnhaft zu Brumath (i 34)
La maison revient à son fils aussi boucher, Louis Gangloff qui épouse en 1913 Marguerite Lantz, fille du boucher Chrétien Henri Lantz, de Graffenstaden.
Mariage, Illkirch (n° 5) Illkirch-Grafenstaden am 19. Oktober 1913.
Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Metzgermeister Ludwig Philipp Jakob Gangloff, evangelischer Religion, geboren am 24. februar 1881 zu Strassburg i/E, wohnhaft in Strassburg i/E, Sohn des Metzgermeisters Jakob Gangloff und seiner Ehefrau Karoline geborenen Lapp, beide in Strassburg i/E, 2. die Margareta Luise Lantz, ohne Beruf, evangelischer Religion, geboren am 30. August des Jahres 1892 zu Grafenstaden, wohnhaft zu Grafenstaden, Tochter des verstorbenen Metzgers Christian Heinrich Lantz zuletzt wohnhaft in Grafenstaden und seiner Ehefrau Margaretha geborenen Ammellagel wohnhaft in Grafenstaden
Fichier domiciliaire (603 MW 240)
Gangloff, Metzger (Maître boucher) Vater Jakob geb. 6.3.53
Ludwig 24.2.84 († 17.3.59 à Strasbourg) 24.2.84, Strassburg, (Religion) ev.12.3.84 Von Nanzig nach Weißthurnstraße 3 (Gangloff)
30/4 01 Unbekandt lt. Ab*
24.2.02 Wanderschaft und Weißthurnstraße 3 (Gangloff)
Frau von Grafenstaden
11.11.13 / 1.4.11 Weißthurnstraße 3
Frau seit 29.10.13 in Illkirch Grafenstaden Margareta Lanz 30.8.92 Grafenstaden
Kinder Heinrich Ludwig 24.8.14, Strassburg
Naissance, Illkirch-Graffenstaden (n° 122)
Illkirch Grafenstaden am 31. August 1892. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Metzger Christian Heinrich Lantz, wohnhaft zu Grafenstaden evangelischer Religion, und zeigte an, daß von der Margaretha Lantz geborenen Ammellagel seiner Ehefrau evangelischer Religion, wohnhaft bei ihme zu Grafenstaden in seiner Wohnung am 30. August des Jahres 1892 um sieben Uhr ein Kind weibichen Geschlechts geboren worden sei, welches die Vornamen Margaretha Luise erhalten habe.
[in margine :] Décédé à Strasbourg le 24 mars 1968 (i 63)