28, rue du Faubourg National
Rue du Faubourg National n° 28 – I 178 (Blondel), P 277 puis (1875) P 79, ensuite section 50 parcelle 61 (cadastre)
Partie arrière (aujourd’hui 13, rue de la Course) détachée en 1636
Le n° 28 à encorbellement au premier plan (mai 2011) – Façade en septembre 2007
La maison a un encorbellement de vingt-trois pieds de long en saillie de trois pieds et demi (Livre des communaux, 1587). Le couvent Saint-Jean à l’Île verte la vend en 1594 à son locataire, le boulanger Jean Spetter. Le cordier Jean Pierre Eberlen l’achète en 1603. Son fils aussi nommé Jean Pierre Eberlen vend en 1636 le bâtiment arrière qui donne dans le rue de la Course au boulanger Michel Jelin puis en 1637 le bâtiment avant au sellier Euchaire Frédéric Schübler ; ses ayants-droit en conservent la propriété jusqu’en 1865. Le sellier Jean Gaspard Ehrlenholtz la reconstruit en partie pendant son mariage comme le mentionne en 1753 la donation qu’il fait à son fils Jean Frédéric. Jean Frédéric Ehrlenholtz charge en 1780 le maître maçon Jean Georges Scherb de faire une cuisine au premier étage du bâtiment sur cour. Le maire interdit en 1815 à sa fille Salomé veuve de l’huilier Jean Daniel Cottler de faire des réparations à moins de supprimer l’encorbellement.
Plan-relief de 1727 (Musée historique). La maison forme la partie gauche du bâtiment à trois lucarnes sur la droite.
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 101 (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à encorbellement, rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve entre les repères (h-i) : trois arcades au rez-de-chaussée, trois fenêtres au premier étage, deux au deuxième étage puis étage mansardé et deux niveaux de lucarnes. La cour R représente l’arrière (5-6) du bâtiment sur rue, les bâtiments (5-2) à l’est de la cour, celui en (3-4-5) étant plus en avant que celui en (2-3). Les deux petits bâtiments (1-2) se trouvent au fond de la cour. Les murs (1-6) en forment le côté ouest.
La maison porte d’abord le n° 64 (1784-1808), le n° 69 (1808-1857) puis le n° 28.
Cour R – Ponts et Chaussées, Projet d’alignement, route royale de 1° classe n° 4 de Paris à Vienne par Saverne, Strasbourg et Kehl (18 décembre 1823), ADBR, cote 2 SP 52 – La maison figure sous le n° 69 (Toute en bois encore passablement bonne, 2 étages en avance de 0.70)
Emile Bosch charge en 1904 l’entrepreneur Widmann de modifier la devanture. La maison est endommagée lors du bombardement aérien le 25 septembre 1944. Le magasin est occupé depuis 1854 par des épiciers puis (1921) par les marchands de cycles Victor Modler (1921) et Auguste Fend (1938) qui tient ensuite un bazar puis un établissement d’apiculture (1963).
Nouvelle devanture, 1904 (dossier de la Police du Bâtiment)
avril 2023
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1596 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
couvent Saint-Jean à l’Île verte | ||
1594 | v | Jean Spetter, boulanger, et (1576) Véronique Heig – luthériens |
1599 | v | Jean Kohler, boulanger, et (1597) Anne Jacob – luthériens |
1602 | v | Gui Kohler, tailleur, et (v. 1570) Barbe Thomann – luthériens |
1603 | v | Jean Pierre Eberlin, cordier, et (v. 1592) Marie Anwald, (1601) Susanne Kammerer puis (1617) Barbe Monn, d’abord (1607) femme du chef de chantier Jean Schumacher – luthériens |
1603 | v | Jean Pierre Eberlin, cordier, et (1628) Aurélie Roth, d’abord (1619) femme du charron Jean Adolphe Obelé puis (1634) Anne Braunstein, d’abord (1624) femme du revendeur Jean Reinhard – luthériens |
1637 | v | Euchaire Frédéric Schübler, sellier, et (1636) Jeanne Schott puis (1668) Marguerite Bœler, d’abord (1618) femme du jardinier Jean Hügel – luthériens |
1680* | h | Samuel Schübler, sellier, et (1668) Anne Marie Reffolt – luthériens |
1705* | h | Frédéric Schübler, sellier, et (1709) Aurélie Saum – luthériens |
1713 | h | Jean Gaspard Ehrlenholtz, sellier, et (1713) Aurélie Saum veuve du sellier Frédéric Schübler – luthériens |
1753 | h | Frédéric Ehrlenholtz, sellier, et (1753) Dorothée Lix – luthériens |
1816 | h | Jean Daniel Cottler, huilier, et (1783) Salomé Ehrlenholtz – luthériens |
1816 | h | Théophile Keller, négociant, et (1813) Marie Salomé Cottler |
1854 | h | Charles Keller, marchand épicier, célibataire († 1864) |
1865 | v | Gustave Ensfelder, marchand épicier, et (1865) Julie Emma Mühlbacher |
1905* | h | Emile Bosch, menuisier, et (1890) Emma Ensfelder |
1914* | Société evangélique de Mission intérieure Strasbourg |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 500 livres en 1713
(1765, Liste Blondel) I 178, Jean Gaspard Ehrlenholtz
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Joh: Friderich Ehrlenholtz, 6 toises, 3 pieds et 5 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 293, Keller, Théophile, épicier – maison, sol, cour, bâtiment – 2,1 are
Locations
1687, Georges Frédéric Knobloch, tisserand
1693, Jean Joachim Farrenschon, cordier
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 420-v
Le couvent Saint-Jean à l’Île verte paie 8 sols 10 deniers pour la maison louée au fournier Jean Spetter, à savoir un encorbellement (23 pieds de long, saillie de 3 pieds ½), un auvent fixé à cet encorbellement (même longueur, saillie supplémentaire de trois pieds), un autre encorbellement, une marche en pierre (5 pieds ½ de long, saillie de 2 pieds 4 pouces) à côté de la porte un muret en pierre (2 pieds de long, saillie de 4 pieds), un étal de revendeur (4 pieds ½ de long, 2 pieds de large)
Anderseitten der Straß vnder Wagnern beÿm Zollthor wider Angemeßen hinauß nach dem Weißen Thurn Zu.
Das Closter Sanct Johann zum Grünenwördt alhie hatt ein Hauß, da Hanß Spötter der Haußbeckh Innen sitzt, daran ein Vsstoß xxiij schu lang, iii+ schu herauß, Ane demselben ein Wettertach In gleicher lenge noch iiij schu weiter für den Vsstoß herauß, Vnden Vor der Haußthür ein steinen Tritt v+ schu lang, j schu iiij zoll heraus, Neben der haußthüer ein steines Meürlin ij schu breit iiij schu herauß, Ein Gremppenbanckh v= schu lang ij schu breit, Ein Laden vj schu lang, ij schu breit, Bessert xiiij ß x d.
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1636, Préposés au bâtiment (VII 1346)
Le cordier demande une inspection de son encorbellement porté au registre des loyers
(f° 14) Donnerstagß den 7. Aprilis a° 1636, Folgende Augenschein eingenommen vnd Expedirt – New Wetterdach
Beÿ hanß Peter Eberle des Seÿlers hauß vor den Zollthor, gegen der Elenderherberg vber, Bitt *ben Wettertach wie solcheß In lehnung Manual fol. (-) beschrieb. v. daselbst Zu erseh.
1737, Préposés au bâtiment (VII 1397)
Le sellier Gaspard Erlenholtz est autorisé à construire de nouveaux combles mansardés à sa maison à encorbellement et à rehausser les fenêtres à l’étage supérieur.
(f° 97-v) Eodem die 22. Januarÿ 1737. – Caspar Erlenholtz
An Caspar Erlenholtz des Sattlers Hauß in der Weisen Thurnstraß, Welcher umb erlaubnus gebetten einen Neüen dachstuhl a la Mansarde auf besagtes hauß so einen Überhang Hat, Zubauen, auch die fenster in dem Obern Stock Höher machen zulaßen. Erkannt Willfahrt.
1815, Voirie (283 MW 357)
n° 293, Le soussigné Georges Mathias Blanck Mr Maçon (…) de crepir et blanchir le rez de chaussée de la Maison sise faubourg blanc n° 69 appartenant a la veuve Salomé Cottler née Ehrlenholz (renvoi a l’architecte le 17 mars 1815)
Considérant que la maison dont s’agit a une avance et qu’elle n’est pas alignée, suis d’avis que toute réparations lui soient interdites, 20 mars 1815 Villot
– maire, defense (…)a moins de prendre l’engagement par écrit d’en faire oter l’avance et d’en porter la façade dans l’alignement à tracer 21 mars 1815
n° 304, la veuve Salomé Cottler, Qu’elle desirerait faire un léger changement à la façade de la maison sise faubourg blanc N° 69 dont le fait est seulement d’abattre au rez de chaussée un petit mur sur lequel est placé une fenêtre et remplacer celle ci par une porte d’entrée sans deranger aucun pilier & sans y appliquer la moindre réparation de maçonnerie
Plan de la fenêtre ou croisée dont ce qui est bariolé devrait être oté – renvoy à l’architecte le 3 avril 1815
– Considérant que la maison dont s’agit a une avance et qu’elle n’est pas alignée, suis d’avis que toute réparations lui soient interdites, 12 avril 1815, Villot
– maire ; defense (…) a moins d’en faire oter l’avance et de reconstruire ensuite la façade dans l’alignement à tracer, 13 avril 1815
Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)
Jean Frédéric Ehrlenholtz charge en 1780 le maître maçon Scherb de faire une cuisine au premier étage du bâtiment sur cour.
(p. 533) Dienstags den 7.ten Novembris 1780 – Joh: Friderich Ehrlenholtz der Sattler will in seiner ane der weißenthurnstraß gelegenen behaußung im hoff im ersten stock eine Küche mit Heerd und Caminschoß wohl versehen machen das Rohr am steinernen gäbel Hinauf von allem holtz entfernt, Erkandt, willfahrt
Mstr. Scherb
Description de la maison
- 1713 (billet d’estimation traduit) La maison qui comporte un passage vers le bâtiment accessoire commun, un atelier, une cave voûtée, un puits commun, autres appartenances et dépendances est estimée à la somme de 1 000 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
1° arrondissement ou Canton ouest – Rue du Faubourg Blanc
nouveau N° / ancien N° : 28 / 69
Ehrlenholtz
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages en bois et avance mauvais état
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 28 f° 42 case 2
Keller Théophile, épicier
P 293, maison, bât. et cour – sol, Faub. national 69
Contenance : 2,10
Revenu total : 163,09 (162 et 1,09)
Folio de provenance : (42)
Folio de destination :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 17 / 14
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre napoléonien, registre 22 f° 64 case 2
Keller Théophile, épicier
1867, Ensfelder, Gustave, épicier
P 293, maison, sol, cour, Faubourg national 28
Contenance : 2,10
Revenu total : 163,09 (162 et 1,09)
Folio de provenance : (42)
Folio de destination :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 17 / 14
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre napoléonien, registre 24 f° 61 case 2
Ensfelder, Gustav, Spezereihändler
1905 Bosch Emil, Rentner, Ehefrau Marie geb. Ensfelder (2144)
P 79, Hofraum, Haus, Weissthurnstrasse 28
Contenance : 2,10
Revenu total : 163,09 (162 et 1,09)
Folio de provenance :
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 17 / 14
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre allemand, registre 31 p. 155 case 2
Parcelle, section 50, n° 62 – autrefois P 79
Canton : Weißthurnstraße Hs N° 28 / 827
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,84
Revenu : 1700 – 1900
Remarques
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1914), compte 1897
Bosch Emil Ehefrau geb. Ensfelder
(gelöscht 1914)
(Propriétaire à partir de l’exercice 1914), compte 64
Evangel. Gesellschaft zur Förderung der innern Mission
1922 Société evangélique de Mission intérieure Strasbourg
1943 gelöscht
(Propriétaire à partir de l’exercice 1943), compte 6134
Evangelisch-Lutheranische Landeskirche
1947 Société Evangélique de Strasbourg (Mission intérieure) à Strasbourg
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton I, Rue 6, Rue du fauxbourg Blanc f° 11
64
Pr. Ehrlenholtz, J. Frederic, Sellier – Taneurs
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Weissthurmstrasse (Seite 194)
(Haus Nr.) 28
Würgel, Spezereihdl. 0
Sonnenmeter, Anw.- Geh. 1
Susslick, Eisb.-Schaffn. 2
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 789 W 72)
Faubourg National n° 28 (1889-1987)
Le tribunal condamne en 1898 Gustave Ensfelder à payer une amende de trente marks pour avoir refusé de rehausser une cheminée : les travaux seront faits en 1909 après de nouvelles plaintes. Emile Bosch charge en 1904 l’entrepreneur Widmann de modifier la devanture. L’épicier Léon Würgel fait poser un store en 1905 ; il s’inquiète en 1913 que la maison est étayée de toute part à cause de travaux chez les voisins. La maison est endommagée lors du bombardement aérien le 25 septembre 1944. L’hôtel Pax (sis aux n° 24-26) projette en 1959 d’établir un passage sur la parcelle du n° 28 mais les travaux n’ont pas lieu. Il agrandit en 1986 sa cuisine sur la parcelle.
Le magasin est occupé par les épiciers Charles Heitz (1897), Georges Riedel (1904), Léon Würgel (1904) puis Eugène Oster (1914), le marchand de cycles Victor Modler (1921) puis Auguste Fend (1938) qui tient ensuite un bazar puis un établissement d’apiculture (1963).
Bijoutier Isidore Bernstein (1928) puis Hermann (1932)
Sommaire
- 1889 – Le maire notifie Gustave Ensfelder, domicilié sur place, de faire ravaler la façade – Le propriétaire qui a l’intention de transformer la maison à l’occasion du mariage de sa fille demande de reporter le ravalement – Le maire accorde un an de délai – Travaux terminés, juillet 1890.
- 1897 (avril) – Dossier suite à un courrier du commissaire de police. Le sieur Heitz demande l’autorisation de poser une machine automatique, fixer deux hampes et de suspendre des marchandises – Droits à verser
1897 (juin) – L’épicier Charles Heitz déclare payer des droits depuis deux ans, c’est-à-dire depuis son entrée dans le magasin, pour une petite étagère, trois petites hampes et pour suspendre des marchandises – Le maire répond que les droits qu’il vient d’accorder ont trait à deux hampes et non trois. - 1898 (janvier) – Jacques Roth, locataire au troisième étage du 26, rue du Faubourg National, se plaint de la fumée provenant de la cheminée du n° 28. – La Police du Bâtiment constate que la cheminée est au niveau des fenêtres du plaignant. Le voisin Ensfelder devra rehausser la cheminée. – Jacques Roth réitère sa plainte en mars – Gustave Ensfelder estime que le règlement ne l’oblige pas à modifier la cheminée. La Police du Bâtiment établit le contraire, croquis à l’appui – Gustave Ensfelder argue que son voisin a aménagé un nouveau logement dans les combles – Comme Gustave Ensfelder refuse de supporter les frais des travaux, la Police du Bâtiment suggère à Joseph Roth de les payer. – Le tribunal condamne Gustave Ensfelder à payer une amende de 30 marks. – Joseph Roth déclare ne pas avoir les moyens de faire les travaux.
- 1901- Le maire notifie Gustave Ensfelder, domicilié sur place, de faire ravaler la façade – L’entrepreneur Widmann (1, place Saint-Louis) demande l’autorisation de réparer le crépi – Autorisation
- 1904 – La Police du Bâtiment constate que Georges Riedel a posé sans autorisation une enseigne sur l’encorbellement et deux vitrines – Il répond que seule la disposition des objets est nouvelle – La Police du Bâtiment constate qu’elle n’a délivré aucune autorisation – Autorisation de poser quatre enseignes et deux vitrines – Georges Riedel déclare supprimer les enseignes qui font de la publicité pour les fabricants sans augmenter ses ventes – Nouvelle autorisation pour deux vitrines seulement
- 1904 – L’entrepreneur Widmann (1, place Saint-Louis) demande au nom d’Emile Bosch l’autorisation de poser une devanture – Le maire autorise Emile Bosch à faire modifier la devanture (septembre 1904) – Travaux terminés, novembre 1904 – Dessin
- 1904 – Léon Würgel (produits des colonies, épicerie fine et vins, 18, rue du Jeu-des-Enfants) demande une autorisation pour une lampe électrique déjà posée par l’Electricité de Strasbourg – La Police du Bâtiment répond que l’objet posé sur l’encorbellement excède la saillie maximale – L’Electricité de Strasbourg intercède en faveur du pétitionnaire – La Police du Bâtiment refuse de créer une exception – L’objet est retiré, mars 1905
- 1905 (mai) – Léon Würgel demande l’autorisation de poser un store – Autorisation – Le store est posé, août 1905
- 1907 – Le sieur Schmid occupe la voie publique devant le 28, rue du Faubourg National
- 1906 – Henri Rund, locataire au troisième étage du 26, rue du Faubourg National se plaint d’être incommodé par les fumées provenant du n° 28. – Le maire demande à Emile Bosch de rehausser la cheminée – Emile Bosch déclare que la disposition est la même depuis plus de cent ans – Le maire Schwander écrit qu’il ne peut être dérogé au règlement – Emile Bosch qui habite au 18, allée de la Robertsau est absent – La cheminée n’est pas rehaussée, octobre 1907
- 1908 – Léon Würgel demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse – La Police du Bâtiment dresse un croquis – Autorisation – Libellé, Asbach Cognac
- 1909 (juillet) – Le maire notifie Emile Bosch (demeurant 6, rue Geiler) de faire ravaler la façade – Le ravalement a eu lieu, août 1909
- 1909 – Nouvelle plainte de Henri Rund – Le maire demande de rehausser la cheminée à Emile Bosch (demeurant 22, Roseneck, ensuite rue du Général de Castelnau) qui réitère ses arguments – L’entrepreneur Widmann demande une visite des lieux – La cheminée a été rehaussée, mai 1909
1909 – L’entrepreneur Widmann (1, place Saint-Louis) demande l’autorisation de ravaler la façade – Autorisation – Travaux terminés, mai 1909. - 1911 – Léon Würgel demande l’autorisation de poser une étagère (planche) sous l’encorbellement pour présenter des légumes. Croquis – Autorisation – L’objet est retiré
1912 – La Police du Bâtiment constate que Léon Würgel a posé trois enseignes sans autorisation (panneaux publicitaires pour Maggi et le café Négus)
L’Entreprise générale de torréfaction Negus (Negus Caffee-Gross-Rösterei, 18, rue Brûlée) demande au commissaire de police l’autorisation de faire poser le panneau sur l’encorbellement – Autorisation
Camille Scheibel, représentant de la société Maggi (boulevard de Schirmeck, ensuite boulevard de Lyon) demande l’autorisation de poser un panneau publicitaire – Autorisation
1913 – Léon Würgel fait part à la Police du Bâtiment qu’il a retiré l’enseigne Cognac Asbach - 1913 – Léon Würgel déclare que sa maison est étayée de toute part à cause de travaux chez les voisins. – La Police du Bâtiment répond que le bâtiment voisin (appartenant à la société de la Croix bleue) en est au premier étage et que tout danger est écarté
- 1914 (janvier) – Eugène Oster déclare avoir retiré l’enseigne posée par Léon Würgel.
1914 (juin) – Eugène Oster demande l’autorisation de poser une enseigne à son magasin d’alimentation - 1974 – Le peintre en bâtiment J. Arnheiter (11, rie Finckwiller) demande l’autorisation de ravaler la façade – Autorisation
- 1921 – Le marchand de cycles Modler demande l’autorisation de poser deux panneaux publicitaires (marques Michelin et Dunlop) – La Police du Bâtiment constate que la saillie dépasse les limites autorisées
1924 – Les Ponts-et-Chaussées sollicitent l’avis de la Ville avant de statuer sur la demande de Modler d’installer sur le trottoir une pompe à essence sur chariot mobile – Le service compétent ne soulève aucune objection
1924 – Victor Modler demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire. Dessin (fourche et roue de vélo, hauteur 1,40 mètre) - Commission contre les logements insalubres. 1904, rien à signaler
1906, le propriétaire du 17, rue de la Course grevé d’une servitude d’écoulement des eaux provenant du 28, rue du Faubourg National demande une visite des lieux. La servitude s’éteint puisque les cabinets d’aisance sont raccordés aux canalisations.
Commission des logements militaires, 1915. Rien à signaler
1926 – La Police du Bâtiment estime que la plainte de la locataire Seligmann n’est pas fondée (locataire principal, Modler)
1929 – La locataire Florine Seligmann se plaint que les cabinets d’aisance sont mal entretenus et se bouchent – La Police du Bâtiment note que l’affaire concerne le propriétaire ou le principal locataire - 1928 – La Police du Bâtiment constate que le bijoutier Isidore Bernstein a posé une vitrine sur le trottoir – Demande – Autorisation de poser une enseigne perpendiculaire et une vitrine
1932 – L’horloger Hermann doit régler les redevances - 1938 – Le marchand de cycles Auguste Fend demande l’autorisation de poser trois enseignes plates (sur la façade et de chaque côté de l’encorbellement) – Autorisation
1941 – Auguste Fend (marchand de cycles et de jouets) demande l’autorisation de modifier les enseignes (libellé Bazar Aug. Fend) – Accord - 1945 – La maison est endommagée lors du bombardement aérien le 25 septembre 1944. Certificat de sinistré accordé à Auguste Fend
- 1950 – Auguste Fend (Bazar, souvenirs, cycles, parfumerie, jouets) demande l’autorisation de poser deux vitrines – Accord – Le même demande l’autorisation de suspendre une cigogne en bois – Autorisation
1953 – La Police du Bâtiment constate qu’Auguste Fend a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire – Autorisation
1960 – Auguste Fend retire l’enseigne en forme de cigogne - 1959 – Emile Forster, gérant de la société Hôtel Pax (24-26, rue du Faubourg National) dépose une demande de permis de construire sous la direction de l’architecte Jean Sorg (22, rue Richard Wagner) avec l’autorisation du propriétaire, la Société évangélique de Strasbourg. Les travaux consistent à établir un passage derrière l’escalier de service pour relier les couloirs latéraux au deuxième et au troisième étage. – Plan de situation
Le ministère de la construction émet un avis favorable – Permis de construire accordé le 8 septembre 1959 – Le permis de construire est périmé sans que les travaux aient été exécutés - 1962 – La Société évangélique de Strasbourg est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique pour peindre la façade
- 1963 – L’établissement d’apiculture Auguste Fend demande l’autorisation de poser une enseigne en lettres détachées – Même demande par G. Muller (Lumina plexi, 14, rue d’Obernai) – Autorisation
- 1986 (18 novembre) – La Police du Bâtiment constate que des travaux ont lieu sans autorisation
1986 (26 novembre) – La société anonyme Hôtel restaurant Pax, agissant par Robert Dollinger, demande l’autorisation d’agrandir sa cuisine. Propriétaire, Société évangélique mission intérieure (SEMIS), 16, rue de l’Ail – Plan cadastral de situation – Photographies
1986 (décembre) – Mme W. Siegrist, propriétaire du 30, rue du Faubourg National (demeurant rue du Schnokeloch) donne son accord pour édifier un mur
1987 (février) – Le gros œuvre est terminé – Travaux terminés, mars 1987 - 1985 – Le maire demande à l’hôtel Pax de faire ravaler la façade. Robert Dollinger répond que l’hôtel sis 24-26, rue du Faubourg National n’occupe pas le n° 28. – Même courrier adressé à la Société évangélique de Strasbourg mission intérieure
1987 (janvier) – Arrêté portant injonction de ravalement
1986 (septembre) – La société Mariano (rue Lignée à Vendenheim) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique
1987 (mai) – La société Buck (rue de la Grotte à Griesheim) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique – Travaux terminés, juin 1987
Relevé d’actes
La maison est inscrite dans le Livre des communaux (1587) au nom du couvent Saint-Jean à l’Île verte. Son receveur Erasme Wachter la vend en 1594 au boulanger Jean Spetter, jusqu’alors locataire, et à sa femme Véronique Heig. Elle comprend deux bâtiments, deux petites cours, l’arrière donne dans la rue de la Course.
1594 (xviij tag Julÿ), Chancellerie, vol. 293 (Registranda Meyger) f° 241
(P. fol. 273) Erschienen der Fürnem herr Eraßmus Wachter disser Zeit Schaffner des hauses Zu Sant Johann Zum grienen Wörd Zu St. Hatt verkaufft
dem Erbarn Hannß Spetter Brottbeck, vnd Veronica Heÿgin seiner ehelich. haußfrauwen Hannß Peter Eberlin dem Seÿler vnd Marien Anewaldin seiner Ehegemaheln, So alle Zugeg.
Zweÿ heüser, Ein Vorders vnd Hinders, mit Iren hoffestetten, Zweÿen höfflin vnd Schopff holtzhauß, Ouch allen Iren gebeuwen geleg. Inn der Voorstatt Straßburg, vnder Wagnern, gegen der Ellenden herrberg hinüber, Einsit Zum theil neben Friderich Braun dem weißbecken, vnd Zum theil Marx Rothen dem gartner, Andersit neben Michels Hucken dem gartner, Hinden vff die Renn gaß. stoßend, da sie auch einen vßgang haben, Dauon gond v. guldin gelts, ablesig mit C guld. St. Werung vff Sant Methardts tag, den Hauß Zu Sant Johann Zu m Grienen Wörd, Mehr j lb d glts Lösig mit xxv lb d vff (-) den herren Zu Alten Sant Peter alhie, Item x ß d glts stond Inn hauptgut x lb d vff Sant Ulrichs tag, den Cartheusern, Item Zwen guldin gelts, widerkhöuffig mit 50 gulden St. vff Allen heÿlig. tag, dem Barfusser Closter, Vnd dann Ein guldin gelts ablosig mit 20 guldin, derselbig Werung vff den dreÿzegend. tag Maÿ fallend, Sant Margred Closter alhie, Jäh. & Vnd alles Rht & Vnd were disser Khouff Vber Vorbestimpte beschwerd. so sie Khöuffer Zu Verzinsen vber sich nemmen & Zugang. vnd beschh. Für vnd vmb 490 Pfund
Jean Spetter originaire de Stuttgart épouse en 1576 Véronique, fille de Jean Hug, sans doute de Gengenbach
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 84 n° 13)
1576. Hanß Speter, Hanß Speter Son vonn Stutgarten vnd veronica Hanß Hügen von Gengen Nachgelaßene tochter (i 44)
Jean Spetter achète le droit de bourgeoisie le 4 mai 1577
1577, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 277
Hanß Spötter von Stuttgarthen der beck hatt das Burgkrecht Kaufft und dient Zu den Becken, Eod. die [4. Maÿ a° 1577]
Jean Spetter et le cordier Pierre Eberlé hypothèquent la maison au profit du fils mineur de Philippe Reisseissen. L’acte est annulé lors de la vente ci-dessous passée en 1599.
1596 (vts [letst. Julÿ]), Chancellerie, vol. 303 (Registranda Meyger) f° 168-v
(Inchoat. in Proth: fo: 189.) Erschienen Hannß Spötter d. Schwartzbeck So dann Hannß Peter Eberlen d. Seÿler beede Burgere Zu Straßburg
Haben, bekhandt vnnd Inn gegenwertigkheit Hanß Schetzell des Huffschmÿtts auch burgers Zu Straßburg, Als Vogts Philips Reicheÿsen selig. Sun – schuldig sig. 50. Pfund
Zum vnderpfand ÿngesetzt vnd verlegt, Zweÿ heüser Ein Vorders vnd ein hinders, Mit Iren hoffestett. Zweÿen höfflin, Schopff vnd holtzhauß Auch Allen And. Iren gebeuwen & geleg. alhie Inn d. Voorstatt vnd. wagnern, geg. d. Ellenden h.berg hinüber, einsit Zum theil nebent Friderich Braun dem weißbecken vnd Zum theil Marx Rothen dem gartner, and.sit nebent Michell Hucken dem gartner hind. vff die Rhenngaß. stossend, Dauon gond fünff guld. gelts Ablösig mit 100 guld. Straßburg. Werung den hauß Zu Sant Johann Zum grinen wörd, Mehr Ein Pfund Pfenning gelts, Lösig mit 25 Pfund & den herren Zum Altten Sant Peter alhie, Item Zehen schilling Pfenning gelts, wid.khöuffig mit 10 Pfund Pfenning, den Cartheüsern Item Zwen guld. gelts, stod Inn Hauptgut 50 guld. Straßburg. werung dem Barfüsser Closter alhie, Vnd dan Ein guldin gelts lösig mit 20 gumd. derselbig werung, Sant Margred Closter alhie, Jarlich. wie man sagt
[in margine :] Disse gegenwertige Verschreibung Ist cassirt vnd Abgethan, vß geheiß Hannß Schätzell des Glöubigers vonn Wegen Eines Neuwen getroffenen Contracts prout in Reg. 99. fol: 332. Act. den 27. tag Decembris Anô 99
Jean Spetter et sa femme Véronique Heyg vendent la maison avec le consentement du cordier Jean Pierre Eberlé au boulanger Jean Kohler. Le bâtiment servant de boulangerie est vendu avec la moitié d’un nouveau bâtiment et l’usage commun des dépendances (cour, écurie, puits et latrines)
1597 (xix tag Septemb.), Chancellerie, vol. 309 (Registranda Meyger) f° 243-v
(P. fol. 164.) Erschienen Hannß Spetter der Haußbeck burger Zu St. Vnd Veronica Heÿgin sein eheliche haußfrauw Inn beÿein auch mit gutten Wissen willen vnd gehell Hannß Peter Eberlin des Seÿlers, Haben (verkaufft)
Hannß Kholer dem Brotbecken, Burgern Zu St.
Ein Becken behausung, mit allen begriffen Zugehörd vnd gerechtigkeit, Sampt dem halben theil des Neuwen Buwells, gegen dem Bachhauß Ouch gerechtigkeit beder gemeÿnen Höfflin, Stellen, Bronnens vnd Profeÿs, darzu den Vordern vnd hindern gemeÿnen Inn vnd vßgang, gelegen Inn der Voorstatt Straßburg, vnder Wagnern, Vornenher vff Peter Eberlen den Seÿler obgedacht gegen der Ellend. Herrberg Hinüber, hinden Inn die Renngaß, Einseit nebent Friderich Braun dem Weißbeck vnd Zum theil Marx Rothen dem gartner, Andersit nebent Michell Hucken auch gartner, hinden vff die Renngaß stoßend, Dauon gond nachuolgende beschwerden, so der khöuffer obgedacht Zubezalen vnd Zuuverzinsen vber sich genommen, Als x ß d gelts Ablösig mit x lb s vff Sant Ulrichs tag fallen, den Cartheusern Mehr Zwen guldin gelts Losig mit 50 guldin St. Werung, vff Aller Heilig. tag dem Barfüsser Closter, Item so sindt sie noch Hafft für ein Schuld 50 pfundt pfenning Inn Jahrs frist Zubezalen, hannß Schätzell dem Huffschmÿtt, vnd dann Erasme Wachtern Schaffnern Zu Sant Johann Zum Grunen Wörd Zu halben theil Zu genissen Zielen Zubezalen 117 Pfund 17 schilling vnd 6 pfenning & wie man sagt & vnd alles Rht & Vnd ist disser khauff vber disse hieuorbestimpte beschwerden Zugang. vnd bescheh. für vnd vmb 245 Pfund 17 schilling vnd 6 pfenning Straßburger
(vide in prot. 94. fol. 273)
Le boulanger Jean Kohler épouse en 1597 Anne, fille de Jean Jacob d’Offenheim
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 54-v n° 49)
1597. Hans Koler der Beck J. Anna Jacobs Hansen tochter Von Offenheim 3. Octobris (i 57)
Le boulanger Jean Kohler vend la moitié indivise du nouveau bâtiment à Jean Pierre Eberlen, propriétaire de l’autre moitié
1599 (xxvij tag Decembris), Chancellerie, vol. 321 (Registranda Meyger) f° 332
(Inchoat. In Proth. fol. 337.) Erschienen Hannß Kholer der Brotbeck burger Zu St. Hatt für sich & verkaufft
Hannß Peter Eberlin dem Seÿler, Burgern Zu St. So Zugeg. Ime & Khouffe
das halb theil für vngetheilt Ane einem Neuw gebeuwenen heüßlin vnd Keller mit allen begriffen vnd Zugehörd, sampt dem Gengell, bitz vff den fünffen Balcken xiiij, Werckschuh lang, vnd daran das vberig halb theil Ime dem Khäuffer Zuuor für vngetheilt Zugehöret, gelegen Inn Ir beder Partheÿen gerechtigkeitn alhie Inn der Voorstatt Straßburg Vnder Wagnern, gegen der Ellend. Herberg über vff Friderich Braunen des Weißbecken Nachkom stoßend, Vnd Ist disser Verkhauff vnd Kauff Zugang. vnd bescheh. für vnd vmb 100 pfund pfenning
(vide in proth. 97. fol. 164. – Postea pthum fol. 362)
Jean Kohler et sa femme Anne hypothèquent leur maison au profit du tailleur Gui Kohler
1601 (Andern tag Octobris), Chancellerie, vol. 335 (Registranda Meyger) f° 311-v
(Inchoat. in Proth. fol: 313.) Erschienen hannß Kholer d. Brotbeck burger Zu Straßburg, Vnnd Anna sein eheliche haußfraw, Hab. sich Vnver: für sich Verschriben
Gegen Veit Kholer schneid. burger Zu Straßburg, demselbig Zu Zinsen 2 pfund vnd 10 schilling pfenning gelts Ablösig mit 50 pfund pfenning Straßburger
Vonn Vff vnd Abe hauß, hoffestatt, höfflin vnnd Stall sampt dem Bachhauß geleg. Inn der Statt Straßburg, Vnder wagnern gegen d. Ellend. Herrberg hinüber geleg. einsit Zum theil nebent Friderich Braunen des Weißbeckh selig. Erben vnnd Zum theil Marx Roth dem gartner, Andersit nebent Michell Huck stoßend gind. vff die Renngaß vornenher vff hannß Peter Eberlin den Seÿler, dauon gond x ß d gelts ablösig mit x lb d den Cartheüsern, Mehr zwen guldin gelts Losig mit L gld Straßburg werung, dem Barfüsser Closter, Sunst eÿg.
[in margine :] Erschienen Veit Kholer hatt in gegensein hanß Kholers vnnd Anna seiner haußfrawen wie Auch Burckhardt Güttel Ir Anna geschwornen Vogts (…) Quitt. Act. 22. Februarÿ Anno 1602.
Jean Kohler et sa femme Anne établissent un cens sur leur maison au profit du tailleur Gui Kohler
1601 (vt spâ [Andern tag Octobris]), Chancellerie, vol. 335 (Registranda Meyger) f° 312
(Inchoat. in Proth. fol: 313.) Erschienen hannß Kholer d. Brotbeck burger Zu Straßburg, Vnnd Anna sein eheliche haußfraw, Hab. sich Vnver: für sich Verschriben
Gegen Veit Kholer schneid. burger Zu Straßburg, demselbig & seinen Erben Zu Zinsen iij lb viiij ß gelts Ablösig mit Lxviij lb d Straßburger
Vonn Vff vnd Abe hauß, hoffestatt, höfflin vnd Stall sampt dem Bachhauß geleg. In d. St. St. Vnd. wagnern geg. der Ellend. Herrberg hinüber & prout supra, dauon gond x ß d gelts Lösig mit x lb d den Cartheüsern, Mehr zwen guldin gelts wid.kheüffig mit L guld Straßburg werung, dem Barfüsser Closter, So dann ij lb x ß d gelts stond L lb d hauptgutt Veit Kholern obgedacht Sunst eÿg.
[in margine :] Erschienen Veit Kholer hatt in gegensein hanß Kholers vnnd Anna seiner haußfrawen wie Auch Burckhardt Güttel Ir Anna geschwornen Vogts (…) Quitt. Act. 22. Februarÿ Anno 1602.
Jean Kohler et sa femme Anne, assistée de son père Jean Jeckel d’Offenheim, cèdent la maison à leur cousin Gui Kohler en paiement de 120 livres
1602 (xxij tag Februarÿ), Chancellerie, vol. 342 (Registranda Meyger) f° 91-v
(Inchoat. in Proth. fol: 106.) Erschienen Hannß Kholer der Brotbeck burger Zu Straßburg Vnnd Anna sein eheliche haußfrauw, mit beÿstand gutt wüß, will und gehell Burckhardt Güttell des Beck burgers Zu Straßburg, Ir Anna geschwornen Vogts Ouch Jeckells Hannß von Offenh. Vnnd Hannß Müllers weinstichers burgers Alhie derselbig. Anna Vatters Vnd Vetters, Haben Unver: für sich & Einer freÿen unwiderrufflich gaben mit hernach er Zelt. condition vnd geding, Ane statt vnnd Zur bezahlung 120 pfund pfenning so bemelte ehegemechd hannß kholer vnd Anna Veit Kholern dem schneÿder burger Zu Straßburg (…) schuldig worden
denselbig Veit Kholer, Irem Vettern übergeben vnnd Zugestellt
Hauß, hoffestatt, höfflin vnnd Stall, sampt dem Bachhauß, geleg. Inn d. St. St Vnder Wagnern, gegen der Ellenden Herrberg hinüber, einsit neben Friderich Braunen des Weißbecken selig Erben vnnd Zum theil Marx Roth. dem gartner Andersit neben Michell Hucken stoßend hind. vff die Renngaß, Vnnd vornenher vff Hannß Peter Eberlin den Seÿler, Davon gond nachuolgende beschwernüß so obgedacht Veit Kholer über sich genommen Als x ß d gelts, ablösig mit x lb. d. dem Cartheüsen, Mehr Zwen guldin gelts Losig mit L guldin Straßburg Werung dem Berfüsser Closter, vnnd dann seindt sie noch hafft für ein schuldt 11 pfund pfenning H Erasmo Wachtern geweßenen schaffner Zu sant Johann, wann man sie fordert Zuerleg. Vnd thun hieuor bestimpte beschwernüß mit sampt sein Veit Kohlers 120 pf pfenning schuldt Auch Allen Versessen Zinß Zusammen gerechnet 170 pfund vnd 6 schilling pfenning Straßburger
(Vide in Reg: 1601. fol: 311)
Originaire de Kirchberg près d’Ulm, Gui Kohler achète le droit de bourgeoisie le premier septembre 1573
1573, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 221
Veitt Koler von vnder Kirchberg beÿ Ulm der schneider hatt das burgkrecht Kaufft und dient Zu den schneidern Eod. die [den Ersten Septembris A° & Lxxiij]
Gui Kohler et sa femme Barbe font baptiser des enfants de 1574 à 1587. Un acte de 1600 indique que sa femme s’appelle Barbe Thomann
Baptême, cathédrale (luth. f° 17) 1574. Donnerstag den 5 Augusti. P. Veit Coler Schneider. M. Barbar. I. Margareth (i 19)
Baptême, cathédrale (luth. f° 36-v) 1587. Sontags 27t. [Aug.] Vit Koler Schneid.s vnd Barbara, Hans M[ichael] (i 38)
1600, Chancellerie, vol. 327 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 39-v
Veith Kohler der Schneider vnd Barbara Thommennin, beede ehegemechde
Gui Kohler qui a été emprisonné l’année précédente pour injures doit renoncer dans les quinze jours à son droit de bourgeoisie. Après avoir obtenu plusieurs délais, il demande que la peine soit commuée en amende, en arguant qu’il a huit enfants et que la tribu l’empêche de travailler. Les Conseillers et les Vingt-et-Un nomment une commission qui examinera l’affaire.
1593, Conseillers et XXI (1 R 72)
(f° 124) XXI. Februarÿ. – Veit Koler vmb Begnadigung
Veit Koler d. schneider p. Lt. Hüenerer vbergibt ein supplôn darin er m. h. erkümert auß der ursachen er v.schinnens Jars Inhafft kohmen wegen etlicher reden Zu v.thadigung des Bubenhoffers vnd dan d. er dem Comenthur huren Zuförderlich* haben soll, vnd daruff Ihme vor Rhat d. bescheid worden In 14. tag. sein Burgerrecht vffzusagen, er hab aber danach* d. Aidgenossen vnd anderer Intercession vnd.schiedlich dilationes erhalten da der letzt termin bey Ostern außgeht, mitler weÿl seÿ Ihme auch d. handtwerck von d. Zunfft nid.gelegt. Nun hab er 8 lebendig Kinder vnd seÿ *icht die handlung m. h. schwerer fürgebracht dan sie an Ihr selbst geschäfft bitt Ihme solche straff In ein gelt straff vff 50. lib.d. Zuverwanden. Erkandt. Man soll sein handlung vffsuch. vnd bedenck. H. Schilling, H. Volck
Gui Kohler paie cinq livres à Jean Kohler pour frais de construction
1603 (vt spâ [xxv. Maÿ]), Chancellerie, vol. 346 (Registranda Meyger) f° 197-v
(Inchoat. in proth. fol: 147.) Erschienen Hanns Kholer der Brottbeckh burger Zu Straßburg
Htt bekhandt vndt Inn gegenwertigkheit Veit Kholers des Schneÿdes, burgers Zu St. seines Vettern Offentlich verÿehen
das Jetzgemelter Veit Kholer Ime Hanß Kholer heüt dato erlegt vnd bezalt hatte 5 Pfund d Straßburger für sein hannß Kholers forderung des Buw costens so ane obgenanter Behausung angewendet
Gui Kohler assisté de son cousin Jean Kohler vend la maison au cordier Jean Pierre Eberlin
1603 (xxv tag Maÿ), Chancellerie, vol. 346 (Registranda Meyger) f° 197
(P. fol. 146.) Erschienen Veit Kholer der Schneÿder, burg. Zu St. Mit beÿstand & Hans Kholers des Beckh. des Vettern, Hatt (verkaufft)
Hanß Peter Eberlin dem Seÿler, Burgern Zu St.
Hauß, Hoffestatt, Höfflin Vnd Stall, mit lallen Iren gebeuwen geleg. Inn der St. St. Vnder Wagnern, gegen der Ellenden Herrberg. hinüber, einsit etwan neben Friderich Braunen, Jetz Jörg Lorentz dem Weißbeck. Vnd Zum theil Marx Rothen dem garttner, Andersit neben Michell Hucken dem gartner, stoßend hinden vff die Renngaß, vnd Vornenher vff den Khöuffer selbst, Davon gond Zehen schilling Pfenning glts ablosig mit x lb d vff Sant Ulrichs tag fallend den Cartheüsern beÿ St. Item Zwen guldin gelts Losig mit 50 guldin St. Werung vff Aller Heÿlig tag dem Barfüsser Closter alhie & vnd alles Rht & Also d. & Vnd Ist disser Khauff vber hievor bestimpte beschwerd. so der Kheuffer vber sich nimpt Zugang. vnd bescheh. für vnd vmb 153 Pfund vnd 15 schilling pfenning Straßburg.
(vide ct. in Reg. 602. fol: 92. Et in Proth: 97 fol: 164)
Originaire de Künsbach, le cordier Jean Pierre Eberlin acquiert le droit de bourgeoisie par sa femme Marie, fille du boulanger Jean Anwald. Le mariage doit avoir lieu à Sainte-Aurélie dont le registre de mariage manque entre 1587 et 1600.
1592, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 685
Hans Peter Eberlin von Künspach ein seÿler, hatt von Maria w Hanß Anwalden deß Beck. s. docht. das Burckrecht empfang. vnnd will Zur Morin dienen Act. 22. Aprilis A 92
Le cordier Jean Pierre Eberlin se remarie en 1601 avec Susanne, fille d’Ulric Kammerer
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 3 n° 14)
1601. Den 17. Novembris sind eingesegnet word. Hans Peter Eberlin der Seÿler vnd Susanna Ulrich Kammerers S. Hinderlaßene tochter (i 2)
Il se remarie en 1617 avec Barbe Monn, veuve du chef de chantier Jean Schumacher
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 35 n° 5)
1617. 29. Aprilis seind nach ordentlicher außruffung eingesegnet worden Hans Peter Eberlin der (-)t und burger alhie vnd Barbara männin [hanns] Schumachers deß Werckmeisters wittwe (i 18)
Le tailleur de pierres Jean Schumacher épouse en 1607 Barbe, fille de Georges Monn, originaire d’Ermatingen (canton de Thurgovie)
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 105)
1607. Doîca Quinquages. 15. Februarÿ. Hans Schumach. ein steinmetz, Barbara, Jerg Monnin von Ermatring. Hind.lassene dochter. Eingesegnet d. 23. Februarÿ (i 102)
Le cordier Ulric Kammerer dépose 60 livres à la Tour aux deniers au nom des trois enfants de Jean Pierre Eberlin et de feue Susanne Kammerer
1623, Préposés au bâtiment (VII 1338)
Vogteÿ geldt angelegt, Hans Peter Eberlins des Seÿlers
(f° 53) Sambstag den 5. Februarÿ – Ulrich Cammerer der Seÿler, als vogt hans Peters, Susannæ vndt Barbaræ, Hans Peter Eberlins des Seÿlers mit weÿland Susannæ Cammererin seeligen ehelich erzeugter Kinder hat ins Vogteÿ geldt ergelegt 60 h.
Haben ihnen darumb Zu kauffen geben 3 h. Vff Convers. Pauli fallendt, fol.130.
La maison revient à son fils Jean Pierre Eberlin qui épouse en 1628 Aurélie Roth, veuve du charron Jean Adolphe Obelé
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 73 n° 15)
1628. den 20.t Octobris Sind nach ordentlicher ausruffung ehelichen eingesegnet Worden Hans Peter Eberlin der Seÿler, Peter Eberlins des gewesenen Seÿlers alhie hinderlaßener ehelicher Sohn, Vnndt Aurelia Rothin Hans Adolphs Obele S. des gewesenen wagners hinderlaßene Wittwe (i 38)
Jean Adolphe Obelé épouse en 1619 Aurélie, fille du jardinier Jacques Roth
Mariage, cathédrale (luth. p. 92)
1619. Johann Adolph Obele der wagner, H Hans Obele beÿsitzer des grosen Rahts sohn, vnd J. Aurelia Jacob Rothen des gartners tochter, eingesegnet Zinstag den 20. 9.bris (i 51)
Jean Pierre Eberlin, assisté de son ancien tuteur Ulric Kammerer, hypothèque la maison au profit du potier d’étain Antoine Füssel
1628 (2. Feb:), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 56
Erschienen hannß Peter Eberlin d. seÿler burg. alhie
hatt in gegensein Anthoni Füeßels deß Kannengüeßers Auch burgers Zu St. – schuldig seÿe 100. Pfund
Vndpfand hauß vnd hoffstat & mit allen Andern Zugehörd. alhie in d. Vorstat Vnder Wagner gegen der Ellend. herberg hinüber neben Georg Lentz dem Weißbecken j. vnd 2. seit neben Michel Hucken deß gartners s. wittib hind. vff die Renngaß stoßend gelegen, vnd ist diß hauß Zuuor hafft. umb 100. fl. dem Johanniter Closter alhie, Mehr gehen dauon x ß d Jahrs in die Carthauß, Item 2 ß gelts der Schuelen Alhie, Item 2. fl. gelts dem Stifft Alten S. Peter sonst ledig eÿg.
dabeÿ geweßen Ulrich Cammerer d. seÿler sein Debitoris noch ohnentledigter Vogt vndt hanß Bleß Eckhardt der Küeffer
Jean Pierre Eberlin hypothèque la maison comprenant trois bâtiments au profit des enfants mineurs de Georges Nagel, ancien pasteur de Dorlisheim
1628 (viij. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 131-v
Erschienen hannß Peter Eberle d. Seÿler burger Zu Straßburg
hatt in gegensein hannß Bläß Eckhard des Küeffers burgers Zu Straßburg Als vogt wÿlandt h Georg Nagell geweßenen pfarrers Zu doroltzheim selig. Khund. – schuldig seÿen 100. pfundt pfenning
Unterpfand, dreÿ heüßer Alß ein vord. mittel vnd hind. hauß, sampt höfflin vnd Brunnen, geleg. Inn d. St. St. Vnder wagnern, geg. der Ellend. herrberg. vber einseit neb. Georg Lentz Weÿßbeck. and. seit Michell huckh. witwen, hind. vff die Renngaß stoßend. dauon gnd. 2. lb 10. ß geld loß. mit 50. lb. den Johannßen herren Zum grün. wörd, Mehr 2 guld. gelt dem Stifft Zum Alt. S. Peter, It. 2. gld gelts Inn die schuol, It 10. ß gldt lös. mit x lb In die Carthauß, So dann seind sie verhafftet vmb 600. lb d sein des Bekhenners geschwistrig. Sunst ledig, eÿgen
Jean Pierre Eberlin se remarie en 1634 avec Anne, veuve du revendeur Jean Reinhard
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 96)
1634. 15. Eiusdem [Septembr:] S. Aurel. Johannes Petrus Eberlin der Seÿler allhier Anna Johann Reinhardts des gewesenen Krämers allhier nachgelaßene Wittib (i 50)
Jean Reinhard épouse en 1624 Anne, fille du jardinier Jean Braunstein l’aîné
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 4)
1624. Dominica vocem Jucund. den 2. Maÿ. Hans Reinhart der Handelsmann, Christoph Reinhart des Glaß Krämers alhie Sohn, vnd Jungfr Anna Hans Brunstein des Eltern vnd gartners alhie tochter Eingesegnet den 31. Maÿ (i 4)
Conventions réciproques entre Jean Pierre Eberlin et Anne Braunstein
1634 (9. Decembris), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 757-v
Erschienen Hanß Peter Eberle der Seÿler, burger Zu St. und Anna Braunsteinin sein eheliche haußfr. beede gesund. leibs gut Sinnen wie & Zeigten An, demnach sie beede bißhero einander alle eheliche lieb erwisen, solches auch noch fürbaß so lang der liebe Gott sie im leben beÿsamen lassen würde, Zuthun gemeint, Alß wolten sie vnd einß daß Ander mit wÿdemben bedencken (…)
Anne Braunstein veuve du revendeur Jean Reinhard fait dresser l’inventaire des biens qu’elle apporte en mariage à Jean Pierre Eberlin
1635 (13. 8.br), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 3) n° 36
Inventarium vber der Ehren: undt tugendsahmen Frauwen Annæ Braunsteinin, Weÿlandt Johann Reinhardts, geweßenen Kremers, burgers alhie Zu Straßburg seel. Hinderlaßener Wittwen Haab vnndt Nahrung, so Sie dem Ehrenhafften Hanß Peter Eberlin, Seÿlern und auch burgern alhie Zu Straßburg, Ihrem jetzigen Lieben Haußwürth Inn die Ehe Zugebracht, Auffgerichtet 1635. (…) Beschehen vff Mittwoch den 13.ten 8.bris A° 1635.
Inn einer alhier in d. St. Straßburg vorstatt vor dem Zollthor geg. d. Garttner Zunfftstuben vber gelehenen behaußung, so hannß Peter Eberlin, dem Seÿler burgern alhie eigenthümlich zuständig Ist befund. word. wie volgt.
Oben auff ein haußöhren, Inn d. Obern Stuben
Sa.rum Anschlags deß haußraths ist 200, Sa. der Wahren 250, Sa. deß Silbers und Geschmeids 19, Sa. d Gulenen Ring 12, Sa. d. Baarschafft 19, Sa. der Schulden 3, Summa summarum 504 lb
Jean Pierre Eberlin vend le bâtiment arrière donnant dans la rue de la Course au boulanger Michel Jelin
1636 (ut spâ [6. Januarÿ]), Chambre des Contrats, vol. 474 f° 13-v
(Protocollat. fol. 131.) Erschienen Hanß Peter Eberlen d. Seÿler alhie
hatt in gegensein Michel Jelins deß schwartzbecken auch burgers Zu St. bekannt (verkaufft)
daß Bach holtz: und hinderhauß, sampt dem hof, soweit sich die gebäw erstrecken von sein Eberlins vorderhauß, so alles beÿ einander alhie Under Wagner, neb. Georg Lentzen dem Weißbecken und Andreß Rohten den gartner && neben Urias Hucken dem gartner gelegen hind. vf die Renngaß stoßend, dergestalt, daß der verkäuffer hinden den Außgang hingegen der Käuffer auch vornen den Außgang haben und behalten, auch der Bronn gemein sein und in gemeinen costen erhalten werd. solle, von welchem vorder: und hind. hauß ins gemein Jährlich vf (-) gehen 5 fl.. gelts St. w. dem Johanniter Closter alhie in hauptgut mit 100. gld. besagter werung Abzulößen, Item 1. lb ewigs gelts vff (-) dem stifft Alt. S. Peter, It. I. lb d ewigs gelts vff (-) der Schulen alhie, Mehr X. ewigs gelts vff (-) S. Margrethen Closter, und dan X ß ewigs gelts vff (-) der Carthausen alhie sonst ledig eÿgen (…) so der käuffer vf sich genommen, geschehen per 443. lb
[in margine :] Erschienen der verkeuffer hatt in gegensein deß keuffers s: wittib Aurelia mit beÿstand hans (-)recken deß Gremp. ihres vogts (…) Quittirt & Act. den 4. 9.bris 1636.
Erschienen der Verkeüffer in gegensein deß Keuffers ehelich. Nachkommen, hannß hellbergers deß Schwartzbeck. bekannt (…) Act. d. 6. octob. 1643.
Jean Pierre Eberlin vend le restant (l’avant) de la maison au sellier Euchaire Frédéric Schübler
1637 (14. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 478 f° 669-v
(Protocollat. fol. 63.) Erschienen hannß Peter Eberlen der Seÿler Burger Zue Straßburg (verkaufft)
Euchario Friderich Schübler den Sattler auch burgern alhie
Ein Vorder hauß, hoffstat vndt höfflin, sampt der gerechtigkeit deß gemeinen Bronnens auch allen anderen Ihren gebäwen & alhie Vnder Wagner gegen der Ellenden Herbergen Vber, neben Georg Lentzen dem Weißbecken ein: und anderseit neben Urias Hucken dem gartner, hinden vff Michel Jelin deß Schwartzbecken see. wittib stoßendt, Von welchem, wie auch gedachts Jelins see. hauß ins gemein Jährlich vff Medardi gehen 5. fl. gelds Straßburger Wehrung dem Johanniter Closter Alhie in Hauptgut mit 100. fl. besagter Wehrung abzulösen, Item Ein Pfund ewig. gelts vff (-) dem Stift Alten S. Peter hiehero für 20. lb. Item Ein Pfundt d. weigs gelts vff (-) der hohen Schulen alhie hiehero ebenmäßig für 20. lb, Item Ein Pfund d. ewigs gelts vff (-) der hohen Schulen alhie hiehero ebenmäßig für 20. lb, Mehr X ß ewigs gelts vff de (-) der Carthaußen alhie, hiehero für 10. lb hauptgut gerechnet – vber obangegebene vndt Zum halbentheil hiehero gehörige beschwerde, so der Käuffer vff sich genommen Zugangen vndt beschehen für unnd vmb 1313 gulden
[in margine :] (…) in gegensein deß Käuffers mit beÿstandt H Christoph Scheublers deß Notarÿ seines Bruders – Act. 30. octob. a° 1649.
Fils du notaire Euchaire Schübler, Euchaire Frédéric Schübler épouse en 1636 Jeanne, fille du boulanger Jean Schott
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 187-v)
1636. Eod. [Domin: V. Epiph. d. 7. Februarÿ] Eucharius Friderich Scheübler, Sattler, H. Eucharÿ Schüblers Notarÿ vnnt Burgers alhie hinderlaßener Sohn Jungfr. Johanna, Hannß Schotten, Burgers vnd Scharzbecken alhie Eheliche Tochter Eingesegnet dinstag d. 16. Februarÿ S : Thoman (i 194)
Euchaire Frédéric Schübler hypothèque la maison au profit des enfants mineurs du procureur Ulric Redslob
1649 (30. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 504 f° 750
Erschienen Eucharius Friderich Scheübler der Sattler Und Burger Zue Straßburg mit beÿstand H. Christoph Scheüblers deß Notarÿ seines eheleiblich. Bruders
hatt in gegensein H. Johann Jacob Redwitzen deß Notarÿ alß Vogts Carl und Jacob weÿl. H Ulrich Retzlobs geweßenen Statt gerichts Procuratoris alhie mit auch weÿl. Ursula Vinterin beÿder nunmehr seel. erziehlter Söhn, mit beÿstand hannß Georg Retzlobß ihr der beÿden Vogts söhn Bruders – schuldig seÿen 100. fl., damit Er Mariam Oberlin hannß Matthiß Bären eheliche haußfraw wegen Vff nachgeschriebener Behaußung gehabten außstandts Vollendts befriedigen möge
darfür in specie Vnderpfand sein soll ein hauß hoffstatt, höfflin, mit allen deren Gebäwen, alhie in d. Vorstatt Und.wagner gegen der Elend. herberg hienüber einseit neb. Georg Lentzen dem Weißbeckh, anderseit neben Urias Huckhen dem Gartner hind. vff Michael Jelin deß Schwartzbeckh. seel. wittib stoßend geleg. davon wie auch erstgedachts Jelins wittibin Behaußung gehen Jährlich. ins gemein Vff Medarti 5. fl. wehr. dem Johanniter Closter ablößig mit 100. fl. berührter wehr. Item 1. lib ewigs gelts dem stifft alt. St: Peter, Mehr 1. lib ewigs gelts der Schulen alhie, Weiter 10. ß ewigs gelts dem Closter St Margareth. Und Agneßen und dann 10. ß der Carthauß
Euchaire Frédéric Schübler est élu échevin à la tribu des Tanneurs
1654 Conseillers et XXI (1 R 137)
Eucharius Friderich Scheibler. 186. [Schöffen vorstellung, E. E. Zunfft der Gerber]
Euchaire Frédéric Schübler se remarie avec Marguerite, veuve du jardinier Jean Hügel, assesseur au Petit Sénat et marguillier de Sainte-Aurélie : contrat de mariage, célébration. L’épouse est assistée de son fils jardinier Jean Hügel et de son gendre charron Jean Holder
1668 (1. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 535 f°
468
(Prot. fol. 48 – Eheberedung) Erschienen H. Eucharius Friderich Scheübler der Sattler alß hochzeiter, mit assistentz H. Christoph Scheübler Notarÿ und Kleinen Rhats verwanthens seines eheleiblichen Bruders, an Einem,
So dann fr. Margaretha, weÿl. H Hannß Hügels gewesenen alten Kleinen Rhats Verwanthens nunmehr seel. nachgelaßene Wittib alß hochzeiterin, mit assistentz Abraham von fridolßheim des Jüngern Gartners Und. wagners ihres Curatoris, hannß hügels gartners ahne Steinstraß ihres eheleiblichen Sohns und hannß holder des wagners ihres dochtermanns am andern theil
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 158)
1668. Mittw. den 5.t Novembris St: Aurelien H. Eucharius Friderich Scheübler der Sattler, alhie vndt Fr. Margaretha H Hans Higels des Gartners v. Kirchenpflegers wittib (i 82, procl. Saint-Pierre-le-Vieux f° 143 n° 30)
Jean Hügel épouse en 1628 Marguerite, fille de Jacques Bœler
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 70 n° 11)
1628. Den 15. Julÿ Seind nach Ordentlicher ausruffung ehelichen Eingesegnet worden Hans Hügel der Gartner, Gall Hügels des gartners vndt Burgers alhie ehelicher Sohn, vndt F. Margaretha Jacob Bölers S. des gewesenen gartners nachgelaßene eheliche Tochter (i 38)
La maison revient à son fils Samuel Schübler qui épouse en 1668 Anne Marie, fille du tanneur Jean Henri Reffolt
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 68-v)
1668. Dncâ XXVI Trinit. d. 25. Nov. Samuel Schübler der Sattler, Eucharii Friderich Schübler, Sattler vnd Burgers alhie Ehelicher Sohn, J. Anna Maria Johann Heinrich Reffolt, Rothgerber v Burgers allhie Eheliche Tochter. Copulirt Mont. d. 23. Nov. Zu St Thome (i 73, procl. Saint-Pierre-le-Vieux f° 143 n° 32)
Le sellier Samuel Schübler loue une partie de la maison au tisserand Georges Frédéric Knobloch
1687 (3.4.), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 175
Samuel Schübler, der Sattler
in gegensein Georg Friderich Knoblochs, deß wollenwebers
entlehnt, In seiner in der Vorstatt Under wagner, einseit neben hans Nonnenmann, dem Becken, anderseit neben (-) dem Garttner Hind. auff H. Johann Hellberger, E.E. großen Raths beÿsitzer stoßend. behaußung, Erstlich auff dem Boden, die werckstatt, Stub und Küchen, wie auch d. hinder stübel Mehr auff den ersten Stock, eine Cammer, die Lange genandt, auff den Zweÿten stock Zwo Cammern und eine bühne, Ferner i. Cammer über vorgenandten hinder Stübel, wie auch d. hind.ste Keller, So dann Ihme und hans Jacob Kauthen dem wagner, welcher die übrige Gemach und Gebäu in lehnung hat, ins Gemein den genuß deß hoffs, und bronnens, wie auch einer Zu einlogirung ihrer beeder Soldaten auff dem dritten bod. destinirten Cammer, und der Obersten bühnen, auff ein Jahr lang – umb einen jährlichen Zinß nemblich 9 pfund pfenning
Samuel Schübler loue une partie de la maison au cordier Jean Joachim Farrenschon
1693 (1.2.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 79-v
Samuel Schübler der Sattler [unterzeichnet] Samuel Schibler
in gegensein hans Joachim Farrenschon, deß Seÿlers, mit beÿstand Joachim Gerolds, deß Caminfegers seines bißherigen Vogts
verlühen, In Einem an der vorstatt Und. wagner, einseit neb. hans Nonnenmann dem weißbecken, anderseit neben Jacob Lorentzen dem wagner gelegenen behaußung alle diejenige Gemach und Gelegenheit so biß dahero Georg Friderich Knobloch der wollenweber ingehabt, auff dreÿ Jahr lang von Annunc. Mar. dieß jahrs an zu rechen, umb 12 pfund jährlich. Zinßes
Samuel Schübler passe un contrat de mariage avec Anne Marie Rosa, fille du tanneur Jean Philippe Rosa
1696 (1.10.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 59) n° 82
Eheberedung Zwischen Herrn Samuel Schübler dem Sattler vnd Burgern allhier beÿständlich herrn D. Johann Paul Schüblers E.E. Großen Raths dißmahls E. E. Kleinen Raths als Constoffler wohlmeritirten beÿsitzers vnd herrn Sebastian Ranspachs Weißbeckens seines respectivé Nahen anverwanthens vnd Schwagers, als Hochzeiter ane Einem
So dann Jgfr. Annæ Mariæ Roßain weÿl. herrn Johann Philipp Roßa geweßenen Rothgerbers vndt burgers allhier seel ehelich erzeigt vnd hinderlaßenen tochter als der Jgfr. hochzeiterin mit Assistentz H Christmann Röderers auh Rothgerbers vnd Lederbereiters allhier deroselben geschwornen Vogts, andern theils
6. Verspricht vndt verschreibt der herr hochzeiter seiner liebwerthen Jungfer Gespons, Zu einem lebtägigen Wÿdumb sein eÿgenthümbliche in der Weißenthirnstraß gelegene behaußung, dergestalt, daß Sie solche die Tag lebens ruhiglich nach Wÿdumbs recht vnd nach der Statt Straßburg Wÿdumbs brauch vnd ordnung Zubewohnen, Zu nutzen vnd Zugenießen völligen fug, möge vnd macht haben solle
Actum in der Königl. freÿen Statt Straßburg Montags den 1. 8.bris Anno 1696 [unterzeichnet] Samuel Schübler Als hochzeitter beken Wie ob steth, + der hochzeiterin Zeichen
Samuel Schübler hypothèque la maison au profit de l’aumône Saint-Marc
1697 (1.4.), Chambre des Contrats, vol. 569 n° 191-v
H. Samuel Schübler, Sattler
in gegensein H. Johann Paul Tromers, Notarÿ Publ. und Oberschreibers zu St. Marx, daß Er Schübler dem großen allmoßen zu St Marx schuldig seÿe 100 pfund
unterpfand, Ein Vordere behaußung, hoffstatt und höfflein, mit allen deren gebaüen, Recht. und Zugehördt. allhier in der Vorstatt Underwagnern geg. der Elenden Herberg über, einseit neben hans Nonnenmann dem weißbeck. anderseit neb. Jacob Lorentz. dem wagner, hind. auff Georg Eckards deß hauß feurers wittib stoßend geleg.
[in margine :] (in gegensein) Johann Daniel Höllbeck des Kürßners als Tochtermanns hierinn ged. Schüblers des Schuldners (Quittung), den 14. sept. 1711
Samuel Schübler meurt en 1713 en délaissant cinq enfants ou leurs représentants. L’inventaire est dressé dans la maison de la veuve de son fils au Faubourg blanc. L’actif de la succession s’élève à 998 livres, le passif à 85 livres
1713 (10.7.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 33) n° 1111, 1112
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab vnd Nahrung, so Weÿland der Ehrenvest und Wohlvorgeachte Herr Samuel Schübler geweßene Sattler vnd burger allhier Zu Straßburg nunmehr seelig, nach seinem den 5. Julÿ instehenden 1713. Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des abgeleibten seeligen hinderlaßener Kinder vnd Erben, alle beneben deroselben Ehe: vnd geschwornem Herrn Theilvogt nach diesem Titulo Inventarÿ ordentlich benahmßet (…) So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff Montag den 10.ten Julÿ A° 1713.
Der abgeleibte seelig Hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt 1. die Viel Ehren und Tugendreiche fraw Annam Mariam Fröreißin gebohrne Schüblerin, des Ehren vnd vorachtbahren Herrn Abraham Fröreißen Schuhmacher vnd Burgers allhier Eheliebsten Welche auch beneben Ihren Ehemann dem Geschäfft in persohn beÿgewohnet. 2. die Ehren: und tugendsame Fraw Annam Christinam Lumpin gebohrne Schüblerin, des Ehrsam: und bescheidenen Herrn Johann Jacob Lumpen Zimmermann vnd burgers allhier haußfrau, so ebenfalls sambt Irem haußwürth beÿ der Inventation præsens war. 3. Weÿland des Ehrengeachten herrn Friderich Schübler geweßenen Sattler vnd burgers allhier seel. mit der Ehren: und tugendsamen frawen Aurelia gebohrner Saumin ehelich erzeigt: vnd nach todt verlaßenes Söhnlein Johann Samuel genant, so bevögtiget mit dem Ehren: und Wohlvorgeachten herrn Johann Daniel Hellbeckh Kürßner vnd burgern allhier, weilen derselbige hiebeÿ selbsten uxorio nomine interessiret als ist in dießen ane sein des vogts stelle der Edle Wohn Ehrenveste Großachtbahre fürsichtig vnd hochweiße herr Johann Geörg Gießbach vornehmer Banquier vnd E. E. Grosen Raths jetzmahls wpiansenhliche Beÿsitzer Burger allhier Zum Theilvogt besprochen vnd constituirt worden, welcher auch beneben des Kindts Mutter persönlich anweßend geweßt. 4. die Ehren: und tugendsame Fraw Annam Margaretham Frießein gebohrne Schüblerin, des Ehrenachtbarn Herrn Johann Daniel Frießen, Hohltreher vnd burgers allhier Ehegattin, welche beede auch der Inventation in persohn abgewarthet. 5 die Viel Ehren: und Tugendbegabte Frau Susannaù Hellbeckin gebohrne Schüblerin, obgedachts Herrn Johann Daniel Hellbecks Kürßners vnd burgers allhier haußwürthin, so auch neben Ihrem Eheliebsten dem Geschäfft persönlich erschienen beÿgewohnet, Alle fünff des verstorbenen seel. nachgelaßene respective Kinder vnd Enckel auch Zugleichen theilen Erben.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Weißenthurn Straß gelegenen vnd des Sohns Seeligen nachgelaßenen Wittib vnd Erben eÿgenthümblich Zuständigen behaußung sich Volgend.er maßen befund.
Auff der Obern Bühn, In der Soldaten Cammer, In der Cammer A, Vor dießer Cammer, In der Wohnstub, In der Stub Cammer, Im mittlern Haußöhren, In der Cammer B, In der Untern Stub, Im Keller
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 106, Sa. Leerer Vaß 16, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 20, Sa. Goldener Ring 10, Sa. baarschafft 4, Sa. Activ Schulden 841, Summa summarum 998 lb – Schulden 85, Nach deren Abzug, Conclusio finalis Inventarÿ 912 lb
N° 1112 Theil Concept
Samuel Schübler meurt à l’âge de 74 ans le 5 juillet 1713
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. registre 1698-1713, f° 136)
Anno 1713. d. 5. Julÿ ist morgens zwischen 7 vnd 8 vhr gestorben H Samuel Schübler der Burger vndt Sattler allhier s. alters 74 Jahr 5 Monat vnd ist folgend. 7. Julÿ nachmittag vmb 2 Uhr Zu S. Gallen x.stich begraben word. [unterzeichnet] Johann Jacob Lumb Als dochter Mann, Johan Daniel Frieß Als dochter Man (i 137)
Samuel Schübler cède sa maison à son fils Frédéric (voir l’inventaire des apports ci-dessous). Frédéric Schübler épouse en 1709 Aurélie, fille du cordier Christophe Saum
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 62, n° 15)
1709. Mittw. den 6 Febr. wurden nach geschehener Zweÿmahliger außruffung Copulirt u. Zur Christl. ehe eingesegnet Friderich Schübler der ledige Sattler u. burger alhier, H. Samuel Schüblers deß Sattlers u. burgers ehl. Sohn v. Aurelia H. Christoph Saumen des Seilers u burgers alhier ehl. Tochter [unterzeichnet] Friederich Schubler als hoch Zeider, Aurelia Saumin als Hochzeiterin (i 63)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison que Samuel Schübler a cédée à son fils pour 1 000 livres. Les apports du mari s’élèvent à 193 livres, ceux de la femme à 339 livres.
1709 (21.5.), Not. Lang (Jean Henri, 28 Not 2) n° 46
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab vnd Nahrung, so der Ehren Vorgeachte Herr Friderich Schübler der Sattler vnd die Ehren: vnd Tugendsame Fraw Aurelia gebohrne Saumin, beede Eheleuth vnd Burgere alhier einander für unverändert in die Ehe gebracht, welche Nahrung der Ursach halben, damit man sich künfftiger Zeit der Ergäntzung halben darnach Zu reguliren haben möchte, vorgenommen (…) Actum in præsentia H Samuel Schüblers Sattlers deß Ehemanns Eheleiblichen Vatters vnd H. Christoph Saumen Seÿlers der Ehefr. Eheleiblichen Vatters, den 21 Maÿ 1709.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Weißenthurnstraß gelegenen vnd in deß Ehemanns un Veränderte Nahrung gehöriger Behaußung befund. worden wie Volgt
Eÿgenthumb ane einer behaußung (M.) Item hauß, hoff, hoffstatt vnd höfflein sampt der Gerechtigkeit eines bronnens, auch allen anderen deren gebäwen, begriffen, weithen, rechten, Zugehördten vnd Gerechtigkeiten, gelegen alhier zu Straßburg in der Vorstatt Underwagnern, gegen der Elenden Herberg hienüber, einseith neben hannß Georg Nonnenmann dem Weißbecken, 2.s neben Joachim Farrenschon dem Seÿler, hinden auff Hannß Jacob Eckert den Schwartzbecken stoßend, vnd ist dieße Behaußung wie solche dem Ehemann von deßen Vatter Käufflich überlaßen worden hiehero æstimirt per 2000 fl.. Darüber Vorhanden ein teütscher perg. Kbr. auß alhies. C. Contractstub, auch mit dero anh. Contract Ins. Verw. datirt den 14. Monatstag August 1637. mit N° 1 notirt, sampt noch verschied: perg. Kauffbr. welche deß Manns Vatter annoch in handten. Hiebeÿ ist abgeredt Vnd verglichen daß wann dieße Behaußung Verkaufft werden solte, dem Kauffschilling nach ergäntzt werden solle
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Deß Ehemanns unverändert Vermög. Sa. haußraths 48, Sa. der Wahren, Leder vnd Werckzeugs Zum Sttler handwerck gehörig 202, Sa. Silbers 4, Sa. Baarschafft 5, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 1000 lb, Summa summarum 1261 lb – Schulden 1067, Nach deren Abzug 193 lb
Der Ehefrau unverändert Vermögen, Sa. haußraths 161, Sa. Silbers 7, Sa. goldenen ring 11, Sa. der baarschafft 159, Summa summarum 339 lb
Haussteuren 58 lb, daran gebüren dem Ehemann Zwo tertzen 38 lb, vnd der Ehefrauen die übrige tertz 19 lb
Inventaire des outils et des marchandises que Samuel Schübler cède à son fils Frédéric
1709 (18.2.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 21) n° 793
Designatio derjenigen Wahr, Leder vnd Werckzeigs welche ane Zu endt stehendem dato Herr Samuel Schübler Sattler deßen Sohn Friderich Schüblern auch Sattler vnd burgern allhier eÿgenthümblich Vberlaßen
Sa. 202 lb, Sig. d. 28. Feb: A° 1709
Frédéric Schübler meurt en novembre 1712 en délaissant un fils. Les experts estiment la maison à 500 livres. La masse propre à la veuve est de 502 livres, celle propre à l’héritier de 384 livres. L’actif de la communauté s’élève à 203 livres, le passif à 439 livres
1713 (7.2.), Not. Lang (Jean Henri, 28 Not 3) n° 91
Inventarium über Weÿl. deß Ehrengeachten Friderich Schüblers Geweßenen Sattlers und Burgers alhier zu Straßburg seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1713.
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab vnd Nahrung, so Weÿl. der Ehrengeachte Friderich Schüblers geweßener Sattler und Burger alhier zu Straßburg nunmehr seelig, nach seinem den 21. 9.bris: des nechstabgelegten 1712. Jahrs genommenen tödlichen ableiben Zeitlich. verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehrengeachten herrn Johann Daniel Hellbeckh Kürßners vnd burgers allhier,als geordnet: vnd geschworenen Vogts Samuel Schübler, deß Verstorbenen seel. mit hernach gemelter seiner hinderbliebenen Wittib Ehelich erzeügten Söhnleins, auch ab intestato nachgelaßenen Eintzigen Vnd rechtmäsigen Erbens, Vorgenommen, ersucht vnd inventirt, durch die Ehren: und tugendsame fraw Aurelia gebohrne Saumin die Hinderbliebene Wittib, beÿständlich deß Ehrenvesten vnd Vorachtbahren herrn Johann Jacob Vogts, Kieffers Vnd Weinhändlers, auch burgers allhier, Ihres geschwornen Curatoris vnd Vogts (…) Actum Mittwochs den 7.ten Februarÿ A° 1713.
Copia der Eheberedung
In einer allhier Zu Straßburg ane der Weißenthurn Straß gelegenen vnd in dieße Verlaßenschafft gehöriger Behaußung befunden worden wie volgt
Höltzen: und Schreinwerck. In der Cammer A, Im haußöhren, In der Kuchen, Im Keller
Eÿgenthumb ane einer behaußung (E.) Item hauß, hoff, hoffstatt und höfflein sampt der Gemeinschafft eines bronnens, auch allen anderen deren gebäwen, begriffen, weithen, rechten, Zugehördten, vnd Gerechtigkeiten alhier zu Straßburg in der Vorstatt Underwagnern oder Weißthurn straß gegen der Elenden herberg hienüber gelegen, einseith neben hannß Georg Nonnenmann dem Weißbecken, anderseith neben Joachim Farrenschon dem Seÿler, hienden Zum theil auff hannß Jacob Eckert den Schwartzbecken vnd Theils auff die Renngaß stoßend, vnd ist dieße behaußung über der hernach beÿ den passivis stehenden Kauffschilling Ledig und eigen, vnd durch der Statt Straßburg geschworne Werckmeistere, Vermög einer ad Conceptum überlüfferter Abschatzung vom 28. Januarÿ 1713. angeschlagen pro 500. lb. Darüber Vorhanden ein teütscher perg. Kbr. auß alhies. C.C.stub auch mit dero anh. Ins. Verw. datirt den 14. Aug. 1637. mit N° 1 notirt sampt noch Undersch: Kauffbr.
Ergäntzung der Wittib manglenden unveränderten Gutts. Auß den über beeder geweßener Ehepersohnen in die Ehe gebrachten Unveränderten Vermögens durch Eingangs gemelten Notarium in Anno 1709. auffgerichteten Inventario Zugebrachter Nahrung
(f° 1-v) Hierauff Volgt die Inventation und Beschreibung der Verlaßenschafft an: vnd vor sich selbsten. Vnd Erstlichen der Wittib unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 21, Sa. Silbergeschmeids 3, Sa. Goldener Ring 3, Sa. Baarschafft 5, Sa. Schulden 37, Sa. Ergäntzung 430, Summa summarum 502 lb
Würd auch deß Söhnleins und Erben unveränderter Vermögen beschrieben, Sa. Kleÿder und Weißgezeugs 20, Sa. Werckzeugs vnd gemachte Wahr 30, Sa. Silber 2, Sa. baarschafft 3, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 500, Sa. Ergäntzung (164, abzug 252, mehr bezalt 87), Summa summarum 556 lb – Schulden 941 lb, In Compensatione 384 lb
Endlichen wird auch das gemein verändert und theilbar gutt beschrieben, Sa. haußraths 33, Sa. Wein vnd Leerer vaß 23, Sa. Leder und gemachte arbeit Zul Sattler handwerck gehörig 57, Sa. Silbers 1, Sa. Schuld 87, Summa summarum 203 lb – Schulden 439, Übertreffen also solche Passiv Schulden die theilbare Nahrung umb 236 lb
Abschatzung den 28.ten Januarÿ. 1713. Weÿland deß Ehrenhafften und bescheidenen herrn Friderich Schetler Sattler seel: hinderlaßen Fraw wittib und Erben ist eine Behaußung allhier in der Statt Straßburg in der Weißenthurn Straßen gelegen, einseith neben Joachim Pfarensohn dem Seÿler anderseith neben hannß Georg Nonnenmann dem Ohlmann, hinden auff hannß Jacob Beckert den Schwartzbeckhen stoßendt. Welche Behaußung, durch gang für die Gemein neben gebaw werckstatt gewölbter Keller, hoff hoffstatt und Gemeiner Brunnen, sambt aller Ihrer recht: und Gerechtigkeit durch der Statt Straßburg Geschworene Werckmeistere Jetzigem Preiß nach angeschlagen wird, Vor und umb Eintaußendt gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschwohrne Werckhleuthe [unterzeichnet] Jacob Staudacher werckh Meister des Maur hofs, Andreas Waffenschmid Zimmer Mann des Zimmer hoffs
Jean Frédéric Schübler meurt à l’âge de 36 ans le 21 novembre 1712
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. registre 1698-1713, f° 131-v) Anno 1712. d. 21. Nov. ist abends vmb 5 vhr gestorben Johann Friderich Schübler der Burger vnd Sattler allhier seines alters 36 Jahr 11 Monat vnd ist folgend. 24. nachmittag vmb 4 Uhr Zu S. Gallen x.stich begraben word. [unterzeichnet] Johann Jacob Lumb Als dochter Mann, Johan Daniel Frieß Als schwager (i 137)
Le fils et héritier Jean Samuel Schübler meurt le 22 novembre 1713. La maison revient donc en totalité à sa mère
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. registre 1698-1713, f° 140) Anno 1713. d. 22. Nov. ist vormittag zwischen 9 vnd 10 vhr ein Söhnlein mit Nahmen Johann Samuel Schübler s. alters 3 Jahr 9 Monat 8 Tag dessen Eltern waren Friderich Schübler pm gewesenen Burgers vnd Sattler allhier vnd Aurelia Saumin vnd ist folgend. 24. Nov. vormittag vmb 9 Uhr Zu S. Gallen x.stich begraben word. [unterzeichnet] hans Caspar Erleholtz als stiefvater, Samuel Schübler als Pfetter (i 160)
La veuve Aurélie Saum se remarie en 1713 avec le sellier Jean Gaspard Ehrlenholtz, originaire de Kandern dans le haut margraviat de Bade : contrat de mariage, célébration
1713 (17.11.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 59) n° 734
Eheberedung zwischen Herrn Johann Caspar Ehrlenholtz leedigen Sattler vnd burger allhier Zu Straßburg, Michael Ehrlenholtz Ackersmann vnd burger Zu Canter hochfürstl. Margraffbaaden durlachischer herrschafft, mit der Ehren: vnd tugendsamen frawen Margaretha gebohrner Margetin ehelich erzeigtem Sohn als dem hochzeiter beÿständlich herrn Daniel von Fridolßheim Garttner vnderwagners vnd E. E. Kleinen Raths alten wohlverdienten Beÿsitzers vndt herrn Johann Jacob Eckerdt haußfeurers beeder burgere allhier ane Einem
So dann Frawen Aurelia Schüblerin gebohrner Saumin, weÿl. herrn Friderich Schübler geweßenen Sattler vnd burgers allhier seel. nachgelaßenen Wittiben als der fr. Hochzeiterin mit assistentz Herrn Johann Jacob Vogten Kieffers vnd herrn Johann Daniel Hellbecken Kürßners beede burgere allhier vnd deroselben respectivé vogts vnd Schwagers, andern Theils
Actum Straßburg Freÿtags d. 17. 9.br. A° 1710. [unterzeichnet] hanß Casper Erliholtz Als hochzeiter, Aurelia Schüblerin gebohrne Saumin als hochzeiterin bekene wie vorsteht
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 41)
Anno 1713. d. 29. Nov. seind Ehelich eingesegnet Word. Johann Caspar Erlenholtz der ledige Sattler Michael Erlenholtz Burgers Vnd Ackermanns Zu Cander in der Obern Marggraffschafft Ehelicher Sohn, Undt fraw Aurelia weilandt Johann Friderich Scheubler gewesenen Sattlers und Burgers allhier nachgelaßene Wittib [unterzeichnet] Hanß Caspar Erliholtz alls hoch Zeiter, Aurelia Schüblerin als hochzeiterin (i 43)
Jean Gaspard Ehrlenholtz devient bourgeois par sa femme trois semaines après son mariage
1713, 4° Livre de bourgeoisie p. 801
Johann Caspar Ehrlenholß der Sattler Von Kander, Michael Ehrlenholß burgers daselbst sohn, empfangt das burgerrecht von seiner Fr: Aurelia Schüblerin, p. 2. Gold fl. 16. ß wird beÿ den Gerbern dienen. Jur. d. 20. Dito [Xbris] 1713.
La maîtrise des selliers autorise le 26 août Jean Gaspard Ehrlenholtz à présenter son chef d’œuvre. Les examinateurs qui relèvent de nombreux défauts le 21 septembre lui demandent d’améliorer son travail. Ils lui demandent une nouvelle fois d’améliorer son travail le 6 novembre.
1713, Protocole de la tribu des Tanneurs (selliers, XI 370, 1692-1727)
(f° 182) Sambstag den 26. August Anno 1713 – Hannß Caspar Ehrlenholtz der leedige Sattler Gesell, weÿl. Michel Ehrlenholtz geweßenen Ackermanns vnd burgers Zu Cander hochfürstlich Marggraff Baden durlachischer herrschafft ehelicher Sohn, producirt geburth vnd tauffschein auch Lehrbrieff, bat vmb vergönstigung das Meisterstück verfertigen Zu dörffen
Erkandt Willfahrt, würde Ihme so balden die ordnung vorgelesen vnd volgende dreÿ werckstatten eine darauß Zuerwöhlen, die stück daselbst Zumachen vorgeschlagen, als Geörg Jacob Tüllig, Jacob Schell vnd Johann Philipp Linckh
(f° 183) Donnerstag den 21. Septembris A° 1713. hat Hannß Caspar Ehrlenholtz der leedige Sattler gesell in beÿsein Herrn XV. Lampen als Obmanns vnd der vier Schaw meistern sein verfertigt Meisterstück behawen vorgestellt vnd vmb die besichtigung gebetten
Die Vier Schaw Meistern referirten den Reit Sattelbaum belangend, seÿe der Äffter krumb eingestellt und etliche stücklein eingesetzt auch ein stuck daran breiter als das andere vnd ungleich in der deicke allemassen Zimmlich ungleich vnd der baum inwendig viel zu eng, das wider riß nicht dieff genug solte nebens beßer außgearbeithet sein, ein steeg liege höher vnd wäte auch dicker als die andere, die vordern Bausch ungleich und der Kopff Zu hoch, so habe auch der baum beÿ Zweÿ Zwerchfinger, die dritte maß nicht
Ane dem Fuhr Sattelbaum wäre der äfften auch krumb eingestellt, voller löcher vnd grüben, alle maßen ungleich, eine stütz gantz verwerfflich, weilen nicht nur schlecht holtz darbeÿ, sondern auch ein stücklein eingeflickt, ein Lappen länger als der andere, die andere stütz unfleißig gefügt, deßgleichen auch die Krumbflügel mit leim und Steegspähnen verschmiret vnd sehr unformlich, Zu dick vnd inwendig voller gruben, am Kopff die fugen Krumb vnd ein stücklein eingeschoben, der baum vornen vmb Zween Zwerchfinger Zu eng, das Widerriß Zu seücht vnd der gantze baum nicht grad auch einer seiths dicker als auff der andern.
Erkandt werden zwahr die stuck außzumachen erlaubt, jedoch soll der Stucl Meister der angezeigte fehler bestmöglichst verbeßern vnd die Bäum ahn Sie beändert werden,, den Schaw Meistern, umb sehen u Können ob vnd wie Sie verbeßert worden, nochmahlen vorweißen, so auch beschehen vnd nachgehends vor gut Erkand worden seindt.
dt. 8 ß Vflaggeld, 2 ß Scriba, 1 ß bittel
(f° 185) Montag den 6. Novembris Anno 1713. hat Caspar Ehrlenholtz in præsentia herrn XV. Lempen als Obmanns vnd der vier Schaw Meistern sein Meisterstück völlig außgemacht vorgestellt vnd besichtigen laßen.
Den Reit Sattel belangend seÿe ane der deckel der Kopff zu weit ausgeschnitten, die nath ane dem äffter Krumb, die schnautz gehe Zu weit vor dahero wären die taschen vornen Zu kurtz, die Sitz Zu blumb, ein hinder bausch dieffer darunden vnd weiter hinden als der andere, einwendig hätten die strüpffen vnd vorder Zeug rucken sollen anderster angeschlagen sein, die steigleder rucken seÿn auch Zu weit dahinden vnd daß Küßen Zu klein.
Das Reit gezeig am leder zu dünn, das Kopffstück nicht genug gespalten, das naßband wie auch am vorderzeig die strumpffen vnd das Mittelstück Zu Kurtz, die gurth unfleißig genehet, die hulfftern nicht gleichling gestept ein huffter Kapp Krumb, die hulffter riehmen Zu schlooch vnd de Böden an den hülfftern ungleich.
Am fuhr Sattel solten die hinderbausch vnden beßer verwarth vnd die laschen hinden höher stehen, haben Zimmlich falten, daß Küßen vnd die Beintaschen inwendig zu kurtz, auch unsauber genehet.
Das Kummet seÿe vornen Krumn vnd hinden höher als vornen auch einerseiths weiter hienauff gereÿet als vf der andern.
Erkand am Reit Sattel soll ein ander Küßen gemacht, die vorderzeig und strupffen rincken außwencfig angeschalgen am Reitzeig sonderlich am Zaum ein ander naßband vnd Kopffstuck, am vorderzeig längere strupffen und ein anderer Schweiffschmetz*, die hulfftern noch ein mahl gestept vnd auch längere strupffen, vnd stärckere riehmen, am Kommet das hindere theil niedriger gemacht, auch ehe vnd bevor ermelte fehler verbeßert und die stuck nochmahlen durch die Schaw Meistere allein besichtiget werden, nicht außgehenckt werden.
dt. 8 ß Vflaggeld, 2 ß Scriba, 1 ß bittel
Jean Gaspard Ehrlenholtz est reçu tributaire le 20 décembre 1713
1713, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 358)
(f° 82-v) Mittwoch den 20. Decembris Anno 1713 – Hannß Caspar Ehrlenholtz der Sattler vnd burger allhier Michael Ehrlenholtz des Ackermanns vnd burgers Zu Kander ohnweit Baßel ehelicher Sohn, stehet vor producirt burger Schein vom 20. Decembris A° 1713. Bat vmb das Zunfftrecht. Erkand Willfahrt
1713, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 358)
Zalte Zur gebühr 1 lb 5 ß
ferner wegen der feür Eÿmer 1 lb 5 ß
vor den Pfenningthurn 1 lb
Zur feürspritz 6 ß
Spendirte 12 ß
Jean Gaspard Ehrlenholtz prend part pour la première fois au conseil des selliers. Il vers outre son écot une amende pour avoir injurié ses examinateurs.
1714, Protocole de la tribu des Tanneurs (selliers, XI 370, 1692-1727)
(f° 186) Donnerstag den 11. Januarÿ Anno 1714 – Johann Caspar Ehrlenholtz der Sattler vnd Burger allhier stehet vor, bat vmb den Meistersitz. Erkandt weilen in dem abgeleßenen Bericht des gefertigten Meisterstücks sich Zimmlich fehler gefunden auch Implorant sehr malhonneste wider die Schaw Meistere geredet, als soll er Vorderist neben gebühren der abbitt auch 3. lb d straff erlegen, als dann in dem begehren Willfahrt sein, hats gethan, ergo Willfahret
[in margine :] dt. 8 ß Vflaggeld, 2 ß Scrib. 1 ß bittel – dt. 3 lb d.
Jean Gaspard Ehrlenholtz meurt le 31 décembre 1753 à l’âge de 68 ans
Sépulture, Sainte-Aurélie (luth. reg. du diacre 1751-1774, f° 15) 1754. Montag den 31. Decembr. [1753] Mittags zwischen 7* und 8* starb Herr Joh: Caspar Ehrlenholtz der burger v. Sattler alhier seines alters 68 Jahr v. 25 Tag wurde Mittwoch den 2. Jenner nach(dem vmb) 1. uhr Zu S. Aureliæ gehaltener leichen Predigt Zu S Galli Christl. gebrauch nach Zur Erd bestattet [unterzeichnet] Johannes Ehrlenholtz als Sohn, Johann Friderich Ehrlenholtz als Sohn (i 15)
Aurélie Saum meurt en décembre 1754 en délaissant trois fils. L’actif de la succession s’élève à 3 135 livres
1755 (20.1.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 259) n° 596
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿl. die Viel Ehren und tugendsame Frau Aurelia gebohrne Saumin weÿl. des Wohl Ehrenachtbaren und wolvorgeachteten Herrn Johann Caspar Ehrlenholtz des geweßenen Sattlers und burgers allhier Zu Straßburg seel. hinderlaßene Wittib nunmehr auch seel. nach ihrem den 16.ten Decembris des letztabgewichenen 1754.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen allhier Zu Straßburg auff Montag den 20. Januarii A° 1755.
Die abgeleibte seel. Hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt 1. Herrn Johann Ehrlenholtz, dem Gastgebern Zum Weinstock und burgern allhier welcher in persohn dießer Inventur abgewartet, 2. Herrn Johann Friderich Ehrlenholtz den Sattlern und Burgern allhier, so auch dießer Inventur persönlich erschienen beÿgewohnt, So dann Herrn Isaac Ehrlenholtz den ledigen Scribenten so majorennis, beÿ dießer Inventur præsens, alle dreÿ wie eingangs gemeld, der verstorbenen seel. eheleibliche Kinder und ab intestato Zu gleichlingen portionen Erben
Copia der Verstorbenen seeligen auffgerichteten Dispositionis inter Liberos
In einer allhier ane der Vorstatt Weißenthurn straß gelegenen hievor gemeldeten mittlern Sohn Zugehörigen Behaußung folgender maßen sich befunden
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 145, Sa. Weins und Leerer Faßen 128, Sa. Silber v geschmeids 33, Sa. Goldener Ringen 9, Sa. Pfgzß hptgth. 2650, Sa. Schulden 258, Summa summarum 3135 lb – Stall Summa 2055 lb
Zweiffelhaffte und verlehrenen Schulden 162 lb
Aurélie Saum meurt le 16 décembre 1754 à l’âge de 66 ans d’une fièvre de poitrine
Sépulture, Sainte-Aurélie (luth. reg. du pasteur 1733-1768 f° 102 n° 15) Montag den 16. Dec: 1754. Vormittag ¼ nach 10 Uhr starb an einem hitzigen Bustfieber sanfft und seelig Fr: Aurelia Ehrlenholtzin, geb. Saumin weÿl. H Joh: Caspar Ehrlenholtz, gewesenen Sattlers und Burgers allhier hinterlaßene wittib, wurde Mittwoch den 18. ejusdem darauff nachmittag umb 1 Uhr auff vorher von mir unterschriebenen Ihrem beichtvatter in der Aurelien Kirch gehaltene Kurze leichenpredigt auf dem Gottes Acker St Gallen ehrlich Zur Erden bestattet Ihres alters 66 Jahr 9 Monath und 14 tag Gott verleÿhe & [unterzeichnet] Johannes Ehrlenholtz als Sohn, Johann Friderich Ehrlenholtz als Sohn, Isaac Ehrlenholtz als Sohn mpria. (i 105)
Jean Gaspard Ehrlenholtz et Aurélie Saum font donation de leur maison à leur fils Jean Frédéric lors de son mariage avec Dorothée Lix en 1753
1753 (25.4.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 285) n° 296
Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehrenachtbaren meister Johann Friderich Ehrlenholtz dem ledigen Sattlern, herrn Johann Caspar Ehrlenholtz, des ebenmäßigen Sattlers und frauen Aureliæ gebohrner Saumin, beeder Ehepersonen und burgere allhier Zu Straßburg ehelich erzeugtem Sohn alls dem Hochzeitern ane Einem
So dann der Viel Ehren: und tugendsamen Jungfrauen Dorothea Lixin herrn Abraham Lixen, des gartners unter Wagnern und burgers allhier mit weÿl. frauen Anna gebohrner von Friedolßheim, seiner geweßenen Ehegattinin nunmehr seel. ehelich erzeugter Tochter, der Jungfer Hochzeiterin andern theil
Zum Siebenden, haben des Hochzeiters geliebte Eltern Herr Johann Caspar Ehrlenholtz und frauen Aurelia gebohrne Saumin und Zwar dießer besonders beÿständlich hievor eingangs auch gemeldeten herrn Johann Saumen und herrn Johann Ehrlenholtzes, ihres respectivé bruders und Sohns hiemit wißend und wohnbedächtlichen declarirt, daß die beede Eltern vor sich und ihre Erben ihme hochzeitern und seinen Erben ihre eigenthümliche und in währender ihrer Ehe Zum theil erbaute Behausung, mit deren Gebäuden und Hoffstatt, auch allen übrigen ihren Zugehörden gelegen allhier ane der weißenthurn straßen einseit neben herrn Caspar Obern dem weißbecken anderseit herrn Daniel Eckertn des geweßenen Schwartzbecken allhier hinderbliebene Wittib und Erben stoßend gelegen, so freÿ ledig und eigen umb die Summ Von 3500 Gulden hießig current hiemit eigenthümlichen dergestalten verschrieben und abgetretten haben wolten, daß er solchen Cessions schilling Künfftiger Zeit in ihr derer Eltern, da sie Gott von dießer welt abforderte, verlaßenschaffte, a proportion, als es erfordert wird, einzuschießen schuldig seÿn solle, In deßen aber und biß dahin solle er Hochzeiter und Sohn oder deßen Erben ihnen Eltern beneben deme, daß sie diejenige Gemach, bühnen und Keller, in welchem sie dato wohnen, und was sie inhaben, alßo daß der Sohn und seine Erben nebst denen andern gemachen nur einen fruchtkasten, und halben theil Kellers besitzen solle, Zeit ihres lebens innbehalten und freÿ genießen sollen (…)
Geschehen allhier Zu Straßburg auff Mittwoch den 25. Aprilis anno 1753 [unterzeichnet] Johann Friderich Ehrlenholtz als hochzeiter, Dorothea Lixin als hochzeiterin
Célébration
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 209-v n° 11)
1753. Mittwoch den 6. Junÿ sind nach Zweÿmahliger proclamation (…) ehelich copulirt v. eingesegnet worden H Johann Friderich Ehrlenholtz der ledige Sattler v. burger H Johann Caspar Ehrlenholtz burgers b. Sattlers allhier ehelicher Sohn v. Jgfr. Dorothea H Abram Lix burgers v. Gartners UW eheleibliche tochter [unterzeichnet] Johann Friederich Ehrlenholtz als hochzeiter, Dorothea Lixin als hochzeiterin (i 215)
Jean Frédéric Ehrlenholtz est reçu tributaire le 13 décembre 1753
1753, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 359)
(f° 36) Donnerstag den 13. Decembris A° 1753 – Johann Friderich Ehrlenholtz der Sattler Johann Caspar Ehrlenholtz Sattler und burger allhier ehelicher Sohn stunde Vor mit producirung Stallscheins de dato 23. Julii A° 1753 und bate ihn als eines Zünftigen Sohn in das Zunftrecht aufzunehmen.
Erkannt gegen Erlag der Gebühr willfahrt
(dt. 1 lb 16 ß 2 d Zunft, 5 ß 10 d spend.)
(dt. 2 lb 2 ß, 2 ß Scriba, 1 ß büttel, zusammen 2 lb 5 ß)
Jean Frédéric Ehrlenholtz et Dorothée Lix meurent successivement en 1813 et 1812 en délaissant trois enfants ou leurs représentants. Jean Frédéric Ehrlenholtz a légué la maison à sa fille Salomé, veuve de l’huilier Jean Daniel Cottler
1814 (20.6.) Strasbourg 4 (44), Not. Stoeber aîné n° 282
Inventaire de la succession de Jean Frédéric Ehrlenholtz, propriétaire décédé le 29 novembre dernier et de Dorothée Lix, décédée le 6 décembre précédent – à la requête de Salomé Ehrlenholtz veuve de Jean Daniel Cottler huilier, Marguerite Ehrlenholtz épouse de Louis Steiner négociant, Sophie Ehrlenholtz épouse de Charles Steiner négociant, Abraham Ehrlenholtz, fabricant de cuirs demeurant à Leer arrondissement d’Emden département de l’Ems oriental, représenté par Louis Saum négociant (Procuration rue Osterstrasse quartier 12 n° 132) – la D° Cottler pour un tiers, les D° Steiner conjointement pour un tiers par représentation de Jean Ehrlenholtz sellier leur père et Abraham Ehrlenholtz pour un tiers héritiers de leur père et grand père respectif
Par testament reçu Stoeber notaire à Strasbourg le 6 prairial 11, le Sr Ehrlenholtz a légué à sa fille la veuve Cottler la maison à lui appartenante sise au fauxbourg blanc n° 64, d’un côté Caspar Ober huilier, de l’autre Daniel Balsinger boulanger, aboutissant sur Jean Jehlé, pour 6000 fr
meubles 553 fr, créances 6000 fr
terres à Strasbourg en quatre pièces 600, 400, 1200, 400 et 14, autres total 8800 fr, ensemble 15.183 fr
Enregistrement, acp 124 F° 166 du 22.6.
L’huilier Jean Daniel Cottler épouse Salomé Ehrlenholtz en 1783. Les parents du marié lui font donation de leur maison face à l’église Saint-Pierre-le-Vieux.
1784 (1.4.), Not. Stoeber (6 E 41, 1260) n° 174
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehrenachtbare H. Johann Daniel Kottler, lediger Ohlmüller, Herrn Johann Daniel Kottler Ohlmüllers und wohlverdienten fabric Pflegers der Evangelischen Gemeinde zum alten St Peter auch burgers alhier mit Fraun Maria Barbara geborener Neulingerin ehelich erzeugter Sohn als hochzeiter unter autorisation deßen geliebten H. Vaters an einem,
und die tugendgezierte Jungfrau Salome Ehrlenholzin, H. Johann Friderich Ehrlenholz des Sattlers und burgers allhier mit Fraun Dorothea geborener Lixin ehelich erziehlte tochter als Braut unter autorisation dero geehrten Herrn Vaters am andern theil
Neuntens, hat des hochzeiters H. Vater, ihme dem breutigam unwiderruflich verschrieben und als ein wahres Eigenthum Zugesagt seine allhier zu Straßburg an de Langen Straß gegen der alten St Peter Kirch über gelegenen behaußung, hof, hoffstatt, Seiten gebäu und Garthen mit allen dero Zugehörden, Rechten und besonders die Ohlgerechtigkeit ein seit neben Meister Frank dem Kiefer and.seit neben Fraun Merkelin Wittib hinten auf die Gastbehausung zum Springbrunnen Ziehd. gelegen, so über dreÿ Gulden bodenzinß und die gewohnliche beschwerden ledig, eigen, samt allem zum Ohlwesen gehörigen Schiff und Geschirr nichts ausgenommen, dergestalten jedoch deß Er Hochzeiter dafür erst nach beeder Eltern tod 4500 Gulden einzuschießen schuldig, aber auch wieder seinen Erbtheil daran zu erfordern berechtiget seÿn solle
Straßburg Donnerstags den ersten Aprill 1784 [unterzeichnet] Johann Daniel Cottler, Salome Ehrlenholtzin
Célébration
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 20, n° 13)
Im Jahr 1784 den 11. Maÿ, sind nach ordentlichen Domin: jubilate und Cantate geschehenen proclamationen in den h. Ehestand eingesegnet worden H Johann Daniel Cottler, der Ledige Ohlmüller und burger alhier H. Daniel Cottler, Ohlmüllers und burgers alhie, auch Fabrickpflegers bey der Gemeine Zum Alten St. Peter und Fr. Maria Barbara, gebohrner Neumingerin ehel. Sohn und Jungfr. Salome Hn Johann Friderich Ehrlenholtz Sattlers und burgers alhie, und Fr. Dorothea gebohrner Lixin, ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Daniel Cottler als Hochzeiter, Salomee Ehrlenholtzin als Hochzeiterin (i 21, proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux f° 37)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 855 livres, ceux de la femme à 1 179 livres.
1784 (16.8.), Not. Stoeber (6 E 41, 1248) n° 399
Inventarium über Herrn Johann Daniel Kottler, des jüngern Ohlmüllers und Fraun Salome geb. Ehrlenholtzin, beeder Ehepersohnen und burgeren allhier einander in die Ehe Zugebrachte Nahrungen, aufgerichtet Anno 1784. – einander in ihren Mittwochs den 12.ten May diesen Jahrs angetrettenen Ehestand Zugebracht haben, (…) weil dieselbe in der vor mir Notario den 1. Aprilis diesen Jahrs aufgerichten Eheberedung §° 3.tio ihres Einbringens halben ein unverändert und vorbehalten Gut stipulirt haben
So geschehen in der allhier Zu Straßburg an de Langenstras gelegenen, des Ehemanns elterlichen u. dißorts bewohnenden behsg. in Gegensein H. Johann Daniel Kottler des Ohlmüllers und fabricpflegers der Evangelischen Gemeinde zum alten St. Peter wie auch Fr. Mariä Barbarä geb. Neulingerin beeder Eheleuthen u. Brn. allhier des Ehemanns geliebter Eltern so dann H. Johann Friedrich Ehrlenholtz des Sattlers und Fr. Dorothea geb. Lixin beeder Ehegatten u. brn. allhier der Ehefrau geliebten Eltern Montags den 16.ten Aug. 1784.
Norma hujus inventarÿ. des Ehemanns Vermögen, Sa. hausrath 159 lb, Sa. Silbers 36 lb, Sa. Gold Rings 1 lb, Sa. baarschafft 513 lb, Summa summarum 710 lb – Und wann dazu gerechnet wird die Helfte an hernach beschriebenen hßstr. anlangend 144 lb, So zeigt sich daß des Ehemanns völliges Vermögen anlangt 855 lb
Diesemnach wird der Ehefr. eingebrachtes Gut beschrieben, Sa. hausraths 217 lb, Sa. Silbers 27 lb, Sa. Gold. Ringen 146 lb, Sa. baarschaft 626 lb, Sa. Frucht auf der Kast 18 lb, Summa summarum 1034 lb – Und wann dazu gerechnet wird die Helfte an nachbeschriebenen hßst. anlangend 144 lb, So ergibt sich daß der Ehefr. gesamtes Vermögen sich belauft auf 1179 lb
Jean Daniel Cottler meurt en 1796 en délaissant trois enfants
1797 (1 compl. 6), Strasbourg 7 (10), Not. Stoeber n° 1399
Inventarium über Weÿl. burgers Johann Daniel Cottler des jüngern gewesenen ohlmüllers so den 18. Junÿ 1796 a. st. mit tod abgegangen Verlaßenschafft, aufgerichtet den 28. Thermidor im 6.t Jahr, derselbe hat zu deßen Erben verlaßen 1. Salome Cottler so den 19. Junÿ 1783 zur Welt gekommen, 2. Daniel Cottler so den 23. Martii 1789 geboren worden und 3. Maria Magdalena Cottler so den 17. Junÿ 1792 gezeugt worden, alle dreÿ des abgeleibten mit seiner Wb: Salome geb. Ehrlenholtz erzeugte Kinder, – in præsentia b. Johann dürr Fischkäufer als Vormund der minderjährigen Kinder
in einer an der langenstras N° 73 gelegenen und des Verstorbenen Vater b. Johann Daniel Cottler dem ältern vormalige öhlmüllers zuständigen u. dißorts lehnungsweiße bewohnenden behausung
Ergäntzung durch mich Notarium den 16. August 1784 aufgerichtetn Invÿ.
Norma hujus inventarii, der Erben unverändert Vermögen, hausrath 1012 fr, silbers 100 fr, Geschmuck 5 lb, Ergäntzung 2612 fr, summa summarum 3728 fr – Schulden 400 fr, vorbleiben 3328 fr
das gemein Verändert und theilbare Gut, hausrath 773 fr, Waar zum ohlwesen gehörig 1272 fr, baarschafft 2232 fr, summa summarum 4277 fr – Schulden 5869 fr, passiv onus 1592 fr
Enregistrement, acp 63 F° 80 du 7 vend. 7
Salomé Ehrlenholtz veuve de Jean Daniel Cottler vend en 1816 la maison à son gendre commis négociant Théophile Keller et à sa fille Marie Salomé Cottler
1816 (29.3.), Strasbourg 10 (61), Not. Zimmer n° 4376, 7194
Salomé Ehrlenholtz veuve de Jean Daniel Cottler marchand huilier
à Théophile Keller son gendre commis négociant et Marie Salomé née Cottler sa fille
une maison avec droits appartenances et dépendances sise à Strasbourg fauxbourg blanc n° 69, d’un côté la maison du Sr Daniel Ober, de l’autre celle de la veuve Baltzinger boulanger, lequel immeuble a été légué à la venderesse par Jean Frédéric Ehrlenholtz son père, propriétaire, en vertu d’un testament reçu M° Stoeber le 6 prairial 11 enregistré 10 décembre 1813
art. 5, la D° venderesse se réserve à son profit la jouissance personnelle et viagère dans ladite maison vendue de deux appartements au premier étage qui donnent sur la rue, d’une cuisine au premier étage, de trois chambres au premier étage qui ont vue sur la ruelle des Boulangers d’une cave fermant à clef et séparée en lattes,,moyennant un loyer annuel de 150 francs – pour 6000 francs
enregistré f° 6 du 1.4.
Théophile Keller épouse Salomé Cottler en 1813
1813 (25.6.), Strasbourg 4 (43), Not. Stoeber aîné, n° 2509
Contrat de mariage – Théophile Keller, commis négociant, fils majeur de Chrétien Keller, tisserand et dr Salomé Klingler
Salomé Cottler, fille majeure de Daniel Cottler, marchand de houille et de Salomé Erlenholtz
en la demeure de la mère de la fiancée grand rue n° 74
Enregistrement, acp 122 F° 162-v du 28.6.
Théophile Keller meurt en 1853 en délaissant quatre enfants
1853 (6.7.), Strasbourg 10 (125), Not. Zimmer
Inventaire de la succession de M. Théophile Keller, en son vivant propriétaire domicilié à Strasbourg où il est décédé le 25 mai 1853
L’an 1853 le 6 juillet à une heure de relevée, à la requête 1. de Dame Marie Salomé Cottler, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Théophile Keller, en son vivant propriétaire en la même ville, agissant 1) à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié qui a existé entre elle et feu son mari, 2) comme créancière de ladite communauté & même de la succession dudit défunt à raison de ses reprises & conventions matrimoniales 3) et comme Donataire de l’usufruit gratuit et viager de la moitié de la succession de son mari, le tout aux termes de leur contrat de mariage dressé par M° Stoeber l’aîné alors notaire à Strasbourg le 25 juin 1813
2) de M. Charles Keller, épicier, 3) de M. Frédéric Keller, ébéniste, 4) de Dame Caroline Keller épouse de M. Jean Auguste Charles Ritter, chimiste, ci présent & autorisant son épouse à l’effet de ce qui suit, 5) et de Mad. Adèle Keller, majeure et jouissant de ses droits, tous demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesdits Sr Charles Keller,Sr Frédéric Keller, Dame Ritter & Dlle Keller habiles à se dire et porter seuls héritiers chacun pour un quart de M. Théophile Keller leur père défunt sus nommé comme étant nés de son mariage avec ladite D° Keller née Cottler leur mère
en la maison mortuaire faubourg national N° 69
Actif de la communauté. 7) Et une maison avec cour, pompe, appartenances & dépendances, sise à Strasbourg faubourg national N° 69 tenant d’un côté à M. Baltzinger, de l’autre à M. Rohmer & par derrière à M. Kuhn. Cette maison qui était uniquement occupée lors du décès de M. Keller par sa famille, a été estimée par les acquéreurs sans distraction des charges à un capital de 12.000 francs. M. & Mad Keller ont acquis ledit immeuble de D° Salomé Ehrlenholtz, domiciliée à Strasbourg, veuve de Jean Daniel Cottler, en son vivant marchand d’huiles, aux termes d’un contrat par devant M° Zimmer père alors notaire à Strasbourg le 29 mars 1819 pour le prix de 6000 francs que la Dame Keller a décompté dans la succession de ladite D° veuve Cottler venderesse, sa mère dont elle était héritière pour moitié ainsi que cela résulte d’un partage dressé par M° Hickel alors notaire à Strasbourg le 9 septembre 1829. Le même immeuble a été légué à la D° veuve Cotler par son père le Sr Jean Frédéric Ehrlenholtz, en son vivant propriétaire à Strasbourg suivant son testament public reçu en présence de témoins par M° Stoeber l’ainé alors notaire à Strasbourg le 16 prairial an onze enregistré le 10 décembre 1813, pour le prix de 6000 francs sur lequel elle a retenu sa part héréditaire & elle a payé le surplus à ses cohéritiers
acp 421 (3 Q 30 136) f° 17 du 12.7. (succession déclarée le 28 juillet 1853 N° 1560) Communauté, meubles estimés 1428, argent comptant 500, créances 26.646
Succession, garde robe 374
acp 421 (3 Q 30 136) f° 51-v du 26.7. (vacation du 23 juillet) Total de la communauté mobilière 38.983, rapport de la D° Keller 5000, autres créances sur le Sr Kammerer 18
25 ares de terres à la Robertsau au canton Woerthgasse 880
Une maison à Strasbourg faubourg National N° 69 estimée à 12.000
Reprises de la D° Keller 14.578, de M. Keller 6814, Masse passive de la communauté 21.416
Succession, reprises 6814, bénéfice de la communauté 17.732, garde robe 376
Lors de la liquidation, la maison est attribuée au fils épicier Charles Keller
1854 (5.8.), Strasbourg 10 (127), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 16.676
Liquidation et partage de la communauté de biens qui a existé entre entre Théophile Keller et Marie Salomé Cottler
Ont comparu 1° Mad. Marie Salomé Cottler, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Théophile Keller, en son vivant propriétaire en la même ville, agissant 1) à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié qui a existé entre entre elle et feu son mari, 2) comme créancière de ladite communauté à raison de ses reprises & avantages matrimoniaux, 3) et comme usufruitière de la moitié de la succession de feu M. Keller, le tout aux termes de leur contrat de mariage dressé par M° Stoeber l’aîné alors notaire à Strasbourg le 25 juin 1813
2° M. Charles Keller, épicier, 3° Mad. Caroline Keller épouse de M. Jean Auguste Charles Ritter, chimiste, 4° ledit M. Ritter agissant tant pour autoriser son épouse à l’effet de ce qui suit qu’en qualité de mandataire de M. Frédéric Keller, menuisier domicilié à Strasbourg, actuellement en voyage pour Buenos Ayres (…), 5° et Madlle. Adèle Keller, majeure sans état, ces quatre derniers comparans . Lesquels comparans, avant de procéder à la donation à titre de partage anticipé que Mad. veuve Keller fera ci-sprès à ses enfants et au partage des biens en valeur dépendant tant de ladite communauté que de la succession de feu M. Keller ont exposé ce qui suit
I. Conventions matrimoniales entre Mr et Mad° Keller et renonciation par cette Dame à la donation dont il va être question
II Décès de M. Keller et inventaire après ce décès (…)
Enfin il dépend encore de ladite communauté 1) Une maison avec cour, pompe, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg faubourg national N° 69 tenant d’un côté au Sr. Baltzinger, de l’autre au Sr Rohmer et par derrière au Sr Kuhn. Les parties estiment cette maison sans distraction des charges à un capital de 12.000 francs. M. & Mad. Keller ont acquis ledit immeuble de D° Salomé Ehrlenholtz, domiciliée à Strasbourg, veuve de Jean Daniel Cottler, en son vivant marchand d’huiles, aux termes d’un contrat par devant M° Zimmer père alors notaire à Strasbourg le 29 mars 1819 pour le prix de 6000 francs que la Dame Keller a décompté dans la succession de ladite D° veuve Cottler venderesse, sa mère dont elle était héritière pour moitié ainsi que cela résulte d’un partage dressé par M° Hickel alors notaire à Strasbourg le 9 septembre 1829. Le même immeuble a été légué à la D° veuve Cotler par son père le Sr Jean Frédéric Ehrlenholtz, en son vivant propriétaire à Strasbourg suivant son testament public reçu en présence de témoins par M° Stoeber l’ainé alors notaire à Strasbourg le 16 prairial an onze enregistré le 10 décembre 1813, pour le prix de 6000 francs sur lequel elle a retenu sa part héréditaire & elle a payé le surplus à ses cohéritiers
Donation par forme de partage anticipé (…) 2) Et la moitié de la maison susdésignée, sise à Strasbourg faubourg national N° 69
II. M. Charles Keller a droit à la somme de 12.000 francs. Pour le remplir, les autres parties lui abandonnent la maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg faubourg national N° 69
acp 432 (3 Q 30 147) f° 33 du 8.8. La D° Keller a touché depuis le décès de con mari de Charles Keller son fils la somme de 5000 francs
Communauté, masse active 43.539, dont à déduire les reprises de la veuve 14.578 et celles du défunt 6814 (total 21.392), reste 22.143
Il dépend de la communauté Une maison faubourg National N° 69 estimée à 12.000 et 25 ares de terres à la Robertsau au canton Woerthgasse laquelle reste indivise 6000
Abandonnements, à la veuve, la maison
Charles Keller meurt célibataire d’apoplexie le 12 juin 1865 en délaissant pour héritiers sa mère, son frère et ses deux sœurs
1865 (17.10.), Strasbourg 10 (154), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 16.302
Notoriété (…) 1) qu’ils ont parfaitement connu Mr Charles Keller en son vivant marchand épicier à Strasbourg, 2) que ledit Mr Keller est décédé à Strasbourg le 12 juin 1865, célibataire et ab intestat, 3) qu’après son décès il n’a pas été dressé d’inventaire, 4) et qu’il a laissé pour seuls héritiers a) pour un quart sa mère Mad° Marie Salomé Cottler, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Théophile Keller, en son vivant propriétaire en la même ville, b) et pour les trois quarts restants des frère & sœurs Mad. Caroline Keller épouse de M. Jean Auguste Charles Ritter, chimiste, Madlle. Adèle Keller majeure sans état, tous demeurant et domiciliés à Strasbourg, et Mr Frédéric Keller, menuisier actuellement en Amérique domicilié à Strasbourg
acp 546 (3 Q 30 261) f° 90 du 18.10.
Décès, Strasbourg (n° 1189)
Acte de décès. Le 12 juin 1865 ont comparu Charles Ritter, âgé de 61 ans, chimiste, beau-frère du défunt, domicilié à Strasbourg (…) lesquels nous ont déclaré que Charles Keller, âgé de 49 ans, né à Strasbourg, Négociant, non marié, domicilié à Strasbourg fils de feu Théophile Keller Négociant et de Marie Salomé Cottler domiciliée à Strasbourg est décédé le 12 juin 1865 à trois heurs du marin en la maison Faubourg National 30 [in margine :] apoplexie (i 142)
Les héritiers de Charles Keller vendent la maison au marchand épicier Gustave Ensfelder et à sa femme Julie Emma Mühlbacher
1865 (17.10.), Strasbourg 10 (154), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 16.303
Vente du 17 octobre 1865. Ont comparu 1) Mad° Marie Salomé Cottler, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Théophile Keller, en son vivant propriétaire en la même ville, 2) Mad. Caroline Keller épouse de M. Jean Auguste Charles Ritter, chimiste, demeurant et domiciliés à Strasbourg, 3° ledit M. Ritter agissant tant pour autoriser son épouse à l’effet de ce qui suit qu’en qualité de mandataire de M. Frédéric Keller, menuisier domicilié à Strasbourg, se trouvant présentement en Amérique (…) 4) et Mlle. Adèle Keller, en jouissance de ses droits demeurant et domiciliée à Strasbourg lesquels ont vendu (…)
à Mr Gustave Ensfelder, marchand épicier et D° Julie Emma Mühlbacher son épouse agissant sous son autorisation, acquéreurs solidaires
Une maison avec cour, pompe, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg faubourg national N° 28 tenant d’un côté à M. Baltzinger, de l’autre à M. Voltz & par derrière au S. Neunreiter. Cette maison est vendue dans l’état où elle se trouve actuellement (…) y compris tous les poêles, tous les rayons, tiroirs et comptoirs dans le magasin & tous les chantiers dans la cave
Etablissement de la propriété. Ledit immeuble dépendait de la communauté de biens réduite aux acquêts qui a existé entre entre Mad. veuve Keller et feu son mari sus nommé, et appartient pour moitié à Mad° Keller et pour moitié à la succession de M.Keller, dans laquelle cette moitié a été recueilie par M. Charles Keller, en son vivant marchand épicier à Strasbourg & Mad. Ritter, M. Frédéric Keller et Mlle Keller, les quatre seuls et uniques héritiers chacun pour un quart de feu M. Keller, ainsi que cela se trouve constaté par l’inventaire de la succession de ce dernier, dressé par M° Zimmer soussigné le 6 juillet 1853. Pour faciliter le partage de la succession de M. Keller père, Mad. veuve Keller a fait donation à ses quatre enfant sus nommés de la moitié de la maison susdésignée en vertu d’un acte reçu par M° Zimmer, soussigné, le 5 août 1854.
Par ce même acte les enfants de feu M. Kelle père ont procédé au partage de la succession de ce dernier et des biens qu’ils avaient reçus de leur mère par donation à titre de partage anticipé, le tout avec le concours et consentement de Mad° veuve Keller, et par l’effet de ce partage, la maison entiète a été abandonnée à M. Charles Keller leur fils et frère susnomme.
M. Charles Keller étant décédé à Strasbourg le 12 juin 1865, sans postérité, un quart de la moitié de ladite maison qu’il avoit reçue de sa mère à titre de partage anticipé,a fait retour légal en faveur de cette denière, en vertu de l’article 747 du code Napoléon. L’immeuble vendu appartient donc aujourd’hui, savoir 1) pour un quart de la moitié ou 3/32 de la totalité à Mad. veuve Keller à titre de retour légal, 2) pour trois quarts des 28/32° restants ou pour 7/32 à la même Dame veuve Keller comme héritière pour un quart de son fils défunt, faisant ensemble 11/32, 2) Et pour 7/32 à chacun de ses frère et sœurs sus nommés comme héritiers pour un quart chacun de M. Charles Keller leur frère défunt, soit ensemble 21/32. Les qualités des vendeurs se trouvent constatées par un acte de notoriété dressé pat M° Zimmer, soussigné, à la date d’aujourd’hui, qui sera soumis à l’Enregistrement en même temps que le présent acte.
L’immeuble vendu appartenait à M. e Mad Keller père et mère pour l’avoir acquis de D° Salomé Ehrlenholtz, domiciliée à Strasbourg, veuve de Jean Daniel Cottler, en son vivant marchand d’huile à Strasbourg, aux termes d’un contrat passé devant M° Zimmer père alors notaire à Strasbourg, le 29 mars 1819. Le prix de de cette acquisition a été décompté dans la succession de ladite D° Cottler, sa mère dont elle était héritière pour moitié ainsi que cela résulte d’un partage dressé par M° Hickel alors notaire à Strasbourg le 9 septembre 1829. Le même immeuble a été légué à la D° veuve Cotler par son père le Sr Jean Frédéric Ehrlenholtz, en son vivant propriétaire à Strasbourg suivant son testament public reçu en présence de témoins par M° Stoeber l’ainé, alors notaire à Strasbourg, le 16 prairial an onze enregistré le 10 décembre 1813, pour le prix de 6000 francs sur lequel elle a retenu sa part héréditaire et elle a payé le surplus à ses cohéritiers.
Etat hypothécaire. Les vendeurs certifient que ledit Immeuble leur appartient encore en toute propriété et qu’il n’est grevé d’aucune dette, rente, privilège ni hypothèque (…) Prix 25.000 francs
acp 546 (3 Q 30 261) f° 89-v du 18.10.
Gustave Ensfelder épouse Julie Emma Mühlbacher en 1865
1865 (30.9.), Strasbourg 10 (154), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 16.273
Contrat de mariage – ont comparu 1° M. Gustave Ensfelder, marchand épicier demeurant et domicilié à Strasbourgn né en cette ville le 21 mars 1839 du légitime mariage de M. Frédéric Edouard Ensfelder propriétaire & D° Christine Madeleine Bochinger son épouse demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg stipulant comme futur époux
2° Melle Julie Emma Mühlbacher, en jouissance de ses droits, demeurant et domiciliée à Strasbourg, née en cette ville le 13 septembre 1843 du légitime mariage de M. Georges Théodore Mühlbacher, charron et e D° Marguerite Wilhelmine Kümmerlen, son épouse, les deux demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg, stipulant comme future épouse
3° M. Ensfelder et Mad. Ensfelder née Bochinger, agissant sous son autorisation, les deux susnommés et qualifiés, avec indication de leur demeure, stupulant à cause de la constitution de dot qu’il vont faire ci après au futur leur fils 4° Et M. Mühlbacher et Mad. Mühlbacher née Kümmerlin son épouse agissant sous son autorisation, les deux susnommés et qualifiés, avec indication de leur demeure, stupulant à cause de la constitution de dot qu’il vont faire ci après à la Dlle future leur fille
acp 546 (3 Q 30 261) f° 44-v du 2.10. Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages. Le survivant aura l’usufruit des biens ed la communauté
Donation par les conjoints Ensfelder au futur leur fils, ce acceptant, d’une valeur de 4296 francs
Donation par les conjoints Mühlbacher à la future leur fille ce acceptant en avancement d’hoirie un mobilier et argent comptant, le tout montant à 5520 francs
Donation réciproque par les futur époux au survivant d’eux de l’usufruit viager de toute la succession, réductible à moitié en cas d’existence d’enfants
acp 546 (3 Q 30 261) f° 44 du 2.10. – M° Zimmer 30 septembre – Consentement par Christine Madeleine Bochinger épouse de Frédéric Edouard Ensfelder propriétaire à Strasbourg au mariage de Gustave Ensfelder son fils épicier à Strasbourg avec Julie Emmma Mühlbacher au dit lieu
La maison est ensuite inscrite au cadastre au nom du menuisier Emile Bosch et de sa femme Emma Ensfelder dont le mariage a lieu en 1890.
1890 (3.4.), M° Lauterbach
Ehevertrag – Emil Bosch, Bauschreiner hier, großjähriger Sohn von Johann Friedrich Bosch, Bauschreiner und Emilie Bohnert hier
Emma Ensfelder, gewerblos hier, großjährige Tochter von Gustav Ensfelder, Rentner & Julie Mühlbacher
acp 827 (3 Q 30 542) f° 32-v n° 144 du 11.4. – Errungenschaft Gemeinschaft. Lebenslängliche Nutznießung des Überlebenden am Antheil des Zuerststerbenden der Gütergemeinschaft. Kleider pp persönlich
Einbringen der Braut. Forderung auf Friderich Lauck, Bäcker und Karoline Frey hier laut Obligation des amt. Notars vom 25 IX 1889, M. 10.000.
Schenkung an die Braut durch ihre Eltern als Vormpfang, die eine Hälfte auf der väterlichen die andere auf der mütterlichen Nachlaß I. einer Schuldforderung auf August Emil Schmidt, Goldschläger und Eva Metz, Eheleuthe hier, von 4000 M laut Akt des amt. Notars vom 10. IX 1885 – Verschiedene Mobiliargegenstände geschätzt zu 6342 (zusammen) M. 10.347
Schenkung an dem Bräutigam durch dessen Eltern als Vorempfang auf deren Nachläße je zur Hälfte eines Betrages von 14.000 aus den Werthschaften des Bauschreinergeschäftes, welches der Vater betreibt
Gegenseitige Schenkung der lebenslänglichen Nutznießung am gantzen Nachlass des Zuerststerbenden auf die Hälfte herabzusetzen bei Vorhandensein von Kindern, bei Vorhandensein von Ascendenten, erleidet obige Schenkung keine Herabsetzung & wird sogar den diesen vorbehaltenen Pflichttheil in sich schließen