9, rue du Chaudron
Rue du Chaudron n° 9 – V 166 (Blondel), N 1169 puis section 63 parcelle 36 (cadastre)
Façade vers 1780, maître d’ouvrage Jean Frédéric Ensfelder
Le n° 9 est la première maison à droite (octobre 2012)
Rez-de-chaussée et étages (juin 2019)
Située à côté du bâtiment d’angle zum Kessel qui a donné son nom à la rue du Chaudron, la maison appartient pendant plusieurs décennies au cordonnier François Meyss puis (1656) à son héritier le farinier Nicolas Gass. Le notaire Philippe Henri Theus y a son étude de 1667 à sa mort en 1697. Le boulanger d’origine franconienne Georges Ensfelder acquiert pour 775 livres en 1700 la maison qui restera une boulangerie jusqu’en 1989, exploitée par la famille Ensfelder jusqu’à la fin du XIX° siècle. Il doit y avoir fait des travaux puisqu’elle est estimée en 1735 à une valeur minimale de 900 livres ; la plaque conservée dans la cour (craquelin de boulanger, millésime 1732 et monogramme GE) en témoigne. On trouve en 1760 plusieurs poêles, deux cuisines, un four voûté et une cave voûtée. Son petit-fils Jean Frédéric Ensfelder installe en 1770 un fournil dans la cour d’après le compte rendu qui figure dans le registre des Préposés aux feux. Comme le même registre ne rapporte aucune autre construction, il faut supposer que la façade caractéristique des années 1780 (draperies en feston aux allèges des fenêtres) est un simple habillage d’un bâtiment ancien. Le rez-de-chaussée en pierre de taille à refends est comparable au 8, rue de l’Ecurie (1781). Le cordon entre le premier et le deuxième étages est sculpté d’une alternance d’oves et boudins. Celui entre les deuxième et troisième étage est dans l’alignement des chapiteaux des pilastres crépis qui encadrent la façade. La corniche est soutenue par des modillons en console.
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, cour E, îlot 185 (© Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la deuxième à gauche du repère (f) : deux fenêtres, une porte et une troisième fenêtre au rez-de-chaussée ; trois étages à quatre fenêtres chacun, toiture à un niveau de lucarnes. La cour E représente l’arrière (6-1) du bâtiment sur rue, le bâtiment (1-2-3) à l’angle sud-ouest de la cour, le bâtiment (3-4) faisant suite, celui (4-5) au fond et (5-6) à l’est de la cour, ce dernier portant des galeries comme le bâtiment sur rue.
La maison porte d’abord le n° 5 (1784-1857) puis le n° 9.
Portrait d’Emile Ensfelder assis dans la cour, plaque sculptée (1732 G. E., repris d’Archi-Wiki)
Plan lors de la construction d’une nouvelle cheminée (1921, dossier de la Police du Bâtiment)
Le maître boulanger Ensfelder fait abaisser en 1887 d’environ 20 centimètres les appuis de deux fenêtres au rez-de-chaussée. Le boulanger Laurent Schœttel fait faire une nouvelle cheminée à son four en 1921. Le boulanger Georges Winckelsass fait poser en 1922 une pétrisseuse électrique. Le bâtiment est légèrement endommagé par le bombardement aérien du 11 août 1944.
La boulangerie d’abord exploitée par Emile Ensfelder puis Laurent Schœttel est reprise en 1922 par Georges Winckelsass. Le dernier boulanger est Emile Winckelsass qui meurt en 1989.
juillet 2019
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1613 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
François Meiss, cordonnier, et (1601) Sabine Reinthaler, veuve du cordonnier Frédéric Kieffhaber, puis (1635) Marie Engelhard, veuve du tonnelier Gaspard Leher – luthériens | ||
1656* | h | Nicolas Gass, farinier, et (1655) Anne Speyrer – luthériens |
1664 | v | Jean Frédéric Reinthaler, peignier, et (1629) Susanne Schmierer, (1634) Marguerite Dürrwanger puis (1647) Cléophée Klein – luthériens |
1667 | v | Philippe Henri Theus, notaire, et (1658) Anne Madeleine Geiger puis (1668) Odile Ganther – luthériens |
1698 | v | Jean Adam Führer, tailleur, et (1689) Ursule Diemer, veuve du tailleur Michel Braun, puis (1697) Marie Salomé Gastelius – luthériens |
1700 | v | Georges Ensfelder, fournier, et (1695) Marie Dorothée Hüffel puis (1704) Dorothée Pracht, veuve du tailleur Georges Frédéric Eberlin – luthériens |
1735 | h | Georges (Georges Chrétien) Ensfelder, fournier, et (1726) Anne Marie Schweigheusser – luthériens |
1764 | h | Jean Frédéric Ensfelder, boulanger, et (1763) Catherine Salomé Schall, veuve du batelier Jean Daniel von Zabern – luthériens |
1807 | h | Jean Ensfelder, boulanger, et (1799) Catherine Salomé Zeys |
1843 | h | Frédéric Edouard Ensfelder, boulanger, et (1830) Chrétienne Madeleine Bochinger |
1866 | h | (Théodore) Emile Ensfelder, boulanger, et (1866) Eugénie Sophie Bochinger |
1895* | v | Laurent Schœttel |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 900 livres en 1735 et en 1760
(1765, Liste Blondel) V 166, George Chrétien Ensfelder
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Mentzfelder, 4 toises, 3 pieds et 4 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 1169, Ensfelder, Jean Frédéric – maison, sol – 2,6 ares
Locations
Jean Daniel Graffenauer, orfèvre, et (1728) Marie Dorothée Ensfelder
Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)
1770, Préposés aux feux
Le maître maçon André Stahl rapporte les travaux que le fournier Jean Frédéric Ensfelder l’a chargé de faire au rez-de-chaussée du bâtiment arrière : aménager un fournil voûté et une boulangerie dont la cheminée se trouve à l’angle du bâtiment latéral et du bâtiment arrière.
(p. 218) Freÿtags den 28.ten Septembris 1770. Johann Friderich Ensfelder der haußfeurer will in seiner im Keßelgäßel gelegenen becken behaußung hinden im hoff au rez de chaussée eine Bach Kuchen und Bachstube machen, die Bach Kuchen gewölbt, davon das rohr außerhalb im hof in dem Eck Vom nebens und hinden gebäu an einem liegenden riegelstein über das dach hinaus geführt worden, Von allem holtz entfernt. Erkannt Willfahrt. Mr Stahl
Description de la maison
- 1760 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, deux cuisines et plusieurs cabinets, en outre un fournil et un four voûté, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le puits commun, estimée avec toutes ses appartenances et dépendances à la somme de 1 800 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
2° arrondissement ou Canton nord – Rue du Chaudron
nouveau N° / ancien N° : 9 / 5
Ensfelder
Rez de chaussée et 3 étages bons en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 21 f° 346 case 1
Ensfelder, Jean, propriétaire, rue du chaudron n° 5 à Strasbourg
N 1169, maison, sol, rue du chaudron 5
Contenance : 2,60
Revenu total : 217,35 (216 et 1,35)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 40 / 32
fenêtres du 3° et au-dessus : 5 / 4
Cadastre napoléonien, registre 23 f° 950 (1202) case 1
Ensfelder Jean, Propriétaire
1868, Ensfelder Théodore Emile, boulanger
1895/96 Schoettel Lorenz, Bäcker
(ancien folio 950)
N 1169, maison, sol, Rue du Chaudron 9
Contenance : 2,60
Revenu total : 217,35 (216 et 1,35)
Folio de provenance : (346)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 40 / 32
fenêtres du 3° et au-dessus : 5 / 4
Cadastre allemand, registre 32 p. 464 case 4
Parcelle, section 63, n° 36 – autrefois N 1169.p
Canton : Kesselgäschen Hs Nr 9
Désignation : Hf, Whs u. N.G. (e.n.a. T.)
Contenance : 1,82
Revenu : 1900 – 2500
Remarques :
(Propriétaire), compte 3390
Schoettel Lorenz
(3730)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton V, Rue 136 du Chaudron, p. 255
5
Pr. Ensfelder, Jean Frederic, Boulanger – Boulangers
lo. Duchein, Joseph, Marguillier chez les recollets
lo. Krug, Jacob, tailleur – tailleurs
lo. Düringer, Diebold, farinier – Lanterne
lo. Graffenauer, Dorothe Veuve – Miroir
lo. Pabst, Joseph, journalier
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Kesselgässchen (Seite 77)
(Haus Nr.) 9
Schöttel, Bäckerm. E 01
Schmaltz, Korbmacher. 02
Schmitt, Pensionär. 2.
Meier, Schneiderm. 3.
Beck,Tagnerin. H 1
Beyer, Wwe. H 2
Beyer, Tagner. H 2
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 676 W 59)
Rue du Chaudron 9 (1866-1990)
Le propriétaire du 5, rue des Orfèvres est autorisé à titre provisoire en 1884 à raccorder sa propriété aux canalisations de la rue du Sanglier en passant par le 9, rue du Chaudron. Le maître boulanger Ensfelder fait abaisser en 1887 d’environ 20 centimètres les appuis de deux fenêtres au rez-de-chaussée. Suite à une visite des lieux après un feu de cheminée, Emile Ensfelder déclare que la poutre en bois est à distance réglementaire du four depuis les réparations remontant à 1553 ou 1554. Le boulanger Laurent Schœttel fait faire une nouvelle cheminée à son four en 1921. Le maître boulanger Georges Winckelsass fait poser en 1922 une pétrisseuse électrique. Le bâtiment est légèrement endommagé par le bombardement aérien du 11 août 1944.
La boulangerie d’abord exploitée par Emile Ensfelder puis Laurent Schœttel est reprise en 1922 par Georges Winckelsass. Le dernier boulanger est Emile Winckelsass qui meurt en 1989.
Autre dossier coté 1539 W 997, nouvelle devanture (2001-2002)
Sommaire
- 1866 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier Bedicam fils soit autorisé à faire une prise pour environ deux becs au nom du propriétaire Ensfelder.
- 1884 (septembre) – A. Metzner demande l’autorisation de raccorder sa propriété sise le 5, rue des Orfèvres aux canalisations à l’intersection de la rue du Sanglier à travers celle qui appartient au maître boulanger Ensfelder. Le commissaire faisant fonction de maire expose les conditions dans lesquelles le raccordement provisoire est possible – Travaux terminés, novembre 1884. Le commissaire constate qu’A. Metzner n’a déposé aucune demande officielle – Demande – Autorisation – Dessin
1884 (novembre) – Le maître boulanger Ensfelder a fait raccorder sans autorisation sa propriété aux canalisations. [voir ci-dessus] - 1887 – L’entrepreneur Th. Bischoff (2, rue des Lentilles) demande au nom du maître boulanger Ensfelder, propriétaire du 9, rue du Chaudron, l’autorisation d’abaisser d’environ 20 centimètres les appuis de deux fenêtres au rez-de-chaussée. Travaux terminés, les volets des soupiraux sont supprimés, août 1887.
1887 (novembre) – Emile Ensfelder demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation – L’enseigne est posée, février 1888. - 1893 – Visite des lieux après qu’un incendie a eu lieu dans la boulangerie, Croquis – Le maire demande au boulanger Ensfelder de remplacer une poutre en bois par une nouvelle en fer. Récépissé de remise à Schœttel. Emile Ensfelder objecte que la poutre en bois est à distance réglementaire du four depuis les réparations remontant à 1553 ou 1554 et que sa compagnie d’assurance refuse de prendre en charge les frais supplémentaires. Le dossier est classé
- 1895 – Le maire notifie le propriétaire Schœttel de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique. – Travaux terminés, décembre 1896
- 1897 – Le tailleur Stœckel demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation. L’enseigne a été posée à 2,70 mètres du sol. La Police du Bâtiment demande qu’elle soit rehaussée à la hauteur réglementaire de 3 mètres. Elle est déplacée mais fait une saillie de 40 centimètres au lieu de 25. – L’enseigne est réglementaire, février 1898.
- 1901 – Le maire notifie le propriétaire Laurent Schœttel, maître boulanger, de faire ravaler la façade – Le propriétaire demande un délai jusqu’à ce que la ville ait fait poser les canalisations dans la rue – Comme les canalisations ne sont pas encore posées, il demande l’année suivante un nouveau délai qui lui est accordé en égard que la façade est en pierre. Nouveaux délais, 1903, 1904
1906 (août) – L’entrepreneur Hegenhauser (34, rue Oberlin) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique – Ravalement terminé, septembre 1906 - 1906 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police qui demande un rapport sur la boulangerie. L’atelier dans le bâtiment arrière a 2,50 mètres de haut. La cour ne fait cependant que 3,50 au lieu des 5,00 réglementaires. Le préfet autorise en avril 1907 Laurent Schœttel de continuer à exploiter la boulangerie.
- 1921 – Glasser, propriétaire d’une maison rue des Orfèvres, signale qu’un feu de cheminée s’est déclaré dans la boulangerie Schœttel. – Rapport des pompiers – Le boulanger Laurent Schœttel fait faire une nouvelle cheminée, autorisation. La nouvelle cheminée est terminée, l’ancienne subsiste, juin 1921. Le ramoneur Wandres délivre un certificat – Dessin
- 1922 (juillet) – Le préfet autorise Georges Winckelsass à continuer d’exploiter le boulangerie
Le maître boulanger Georges Winckelsass demande l’autorisation de poser une pétrisseuse électrique. L’inspecteur du travail ne formule pas d’objection – Autorisation. La machine est installée, octobre – Dessin - Commission contre les logements insalubres. 1903. Propriétaire, Schœttel, demeurant sur place. La chambre des apprentis est bien tenue.
1904, plâtre du plafond à refaire
1902, le locataire Hummel doit quitter son logement. Il en loue un autre en face
1906, repeindre la cage d’escalier, refaire le plâtre au plafond de la cuisine
1915, Commission des logements militaires, remarques en 9 points. Mme Schœttel demande d’établir une priorité aux réparations comme son mari qui s’est cassé le bras et la jambe est à l’hôpital. - 1935 – La société Dentzler et Gamling demande au nom du boulanger Georges Winckelsass l’autorisation de remplacer l’ancienne enseigne par une enseigne lumineuse – Autorisation.
- 1937 – Le commerçant Gorena (fleurs en gros) demande l’autorisation de poser une ligne de téléphone entre le n° 9 et son magasin au n° 4 – Accord
- 1941 – L’entrepreneur Lutz et Schulberg (1, Grande rue de la Course) est autorisé à occuper la voie publique pour réparer le four de boulanger
- 1945 – Certificat de sinistré accordé à Georges Winckelsass pour son bâtiment endommagé par le bombardement aérien du 11 août 1944
- 1951 – Le boulanger Winckelsass demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse en reprenant le cadre de celle d‘avant guerre – Croquis
- 1967 – Rapport des pompiers, accumulation de fumée. Propriétaires, Emile Winckelsass, demeurant sur place, et Liliane Brencklé née Winckelsass à Schiltigheim – Le conduit de fumée est réparé, mai 1968
- 1968 – Le maire demande au propriétaire de faire ravaler la façade – Le ravalement est terminé, octobre 1968
- 1977 – Emile Winckelsass demande l’autorisation de poser une enseigne en fer forgé éclairée par deux lampes pour remplacer une enseigne lumineuse – Maquette, élévation – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation – L’enseigne est posée, novembre 1977
Emile Winckelsass meurt par accident le 3 avril 1989. Le magasin est ensuite fermé (note sur un bordereau de taxe pour l’enseigne)
Relevé d’actes
La maison appartient dans les années 1610 au cordonnier François Meiss. Originaire de « Hohstett » en Westrich, il épouse en 1601 Sabine Reinthaler, veuve du cordonnier Frédéric Kieffhaber, et devient bourgeois quelques mois plus tard
Mariage, cathédrale (luth. p. 83)
1601. Dominica Septuagesima den 8. Februarii Frantz Meiss der schumacher von Hehstett in Westrich vnd Sabina Friderich Kieffaber deß schuemachers nachgelaßene witwe (i 44)
1601, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 795
Frantz Meÿß der schumach. von Hochstett Inn dem Westerrich Pürtig empfahet daß burg: Von sabina Reintalerin friderich Küeffhabers deß gewesenen schumachers seligen witwe, will Zun schumachen dienen hatt kein Nahrung angeben. Actum 5. May 1601.
Originaire de Velden près de Nuremberg, Frédéric Kieffhaber épouse en 1599 Sabine, fille du cordonnier Jean Reinthaler, et devient bourgeois quelques jours plus tard.
Mariage, cathédrale (luth. p. 56)
1599. Dominica den 13. Maÿ. Friderich Kieffaber der schuemacher von valn* beÿ Nurnberg, sabina Hans Reinthaler des schumachers dochter (i 31)
1599, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 768
Friderich Küeffhaber, v. Veld. Inn d. Nürenbergschafft, d. Schumach. empfahet d. Burg: Von Sabina, Hannß Rheinthalers deß Streellmachers tochter, gibt sein nahrung vff 100. fl. an, Und will Zu den Schumachern dienen. Act. vts. [den 29. Maÿ 99.]
François Meiss se remarie en 1635 avec Marie Engelhard, veuve du tonnelier Gaspard Leher. Originaire de Grünstatt en Palatinat, il épouse en 1600 Marie, fille du tonnelier Laurent Engelhard, et devient bourgeois quelques jours plus tard
Mariage, cathédrale (luth. p. 361)
1635. Doîca Trin: 24. Maÿ. Frantz Meÿß der schuemacher vnd Maria Caspar Lähern des Küffers n. wittwe. eingesegnet montag j. Junÿ (i 185)
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 140-v n° 42)
1600. Caspar Leer von grienstatt ein Kiffer, Maria Lorentz Engelharts d. schumachers Tochter. Zinst. d. 14. Julÿ eingesegnet (i 74)
1600, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 783
Caspar Löhr, von Grünstatt der Küffer empfangt d. Burg. vonn Maria Lorentz Engelhardts des Schumachers dochter, seiner Haußfr. vnd will Zu den Küeffern diehnen gibr sein nahrung vff 40 fl. an Act. den 21. Julÿ 1600.
François Meiss délègue l’acquéreur de régler les sommes qu’il doit à Barbe Reinthaler demeurant en Silésie du chef de sa première femme Sabine Reinthaler
1630 (21. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 468 f° 589
(Protocollat. fol. 77.) Erschienen Frantz Meiß der Schuhmacher, burg. zu St. (…)
(…) Act. 7. Martÿ 1635. N.B. Rest noch fünffthalben hundert guld. welche er Käuffer zugegen mit bewilligung des Verkäuffers, so auch gegenwärtig H Friderich Reinthaler vnd seiner Schwester Barbara so zum Zilz in der Schlesien seßhaft fünffhalben hundert fl. von sein Käuffers Fr. seeligen Sabina Reinthalerin ererbt Zuerlegen schuldig
Les trois frères de Sabine Reinthaler donnent quittance à Nicolas Gass des sommes dont François Meis avait la jouissance viagère du chef de sa femme Sabine Reinthaler
1658 (20. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 149-v
Erschienen H. Hannß Fridrich Rheinthaler der Streelmacher, H. Andreas Gebhard Rheinthaler der Schuhmacher, Hannß Paulus Rheinthaler der Strählmacher Gebrüder Vnd Susanna Rheinthalerin, ihr Schwester mit beÿstand Hannß Stiglers deß Weißbeckhen, ihres Ehevogts
in gegensein Hannß Niclaus Gaßen deß Meelmanns als weÿl. Frantz Maÿßen deß Schuhmachers seel. testamentlichen Erbens, mit beÿstand Abraham Öhlingers deß buchbinders
bekannt, daß Sie die Rheinthalerische Vier Geschwisterde, Von Ihme Gaßen, diejenige 22. lb 3. ß 3 d ahne 44. lb. 6 ß 6 d welche 22 lb 2 ß 3 d Weÿl. H Friderich Rheinthaler geweßenen großen Rhats Verwanther, ihr der Rheinthalerischen Vatter seel. von weÿl. Sabina Rheinthalerin seiner Schwester gedachts Frantz Maÿsen ersten Eheweib seel. geerbt, Und Gemelter Frantz Maÿs die tags seines lebens Wÿdems weiß Zu genüßen gehabt, albereit in Februario A° 1657. (…) empfangen haben
Les héritiers Reinthaler cèdent à Nicolas Gass, héritier testamentaire de François Meiss, des sommes dont le défunt avait la jouissance viagère
1658 (20. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 150-v
Erschienen H. Hannß Fridrich Rheinthaler der Strählmacher, H. Andreas Gebhard Rheinthaler der Schuhmacher, Hannß Paulus Rheinthaler der Strählmacher, Susanna Rheinthalerin, Hannß Stiglers deß Weißbeckh. Eheweib mit beÿstand erstgedachts ihres Ehevogt, Frantz Rheinthaler der Schuhmacher, Lorentz Rheinthaler, der Strählmacher, H. Gabriel Stöber der Kürßner alß Ehevogt Agneßen, Und H. Adam Meÿder Specereÿhändler alß Ehevogt Salomeen Rheinthalerin, alle für sich und selbsten, und im Nahmen Hannß Carl Rheinthalers deß Strählmachers und Burgers Zu Leipzig
in gegensein Hannß Niclauß Gaßen deß Meelmanns als Weÿl. Frantz Maÿsen deß Schuhmachers seel. testamentlichen Erbens, mit beÿstand Abraham Öhlingers deß buchbinders
bekannt, daß Sie, Von demselben, diejenige 22. lb 3. ß 3 d ahne 44. lb. 6 ß 6 d welche 22 lb 2 ß 3 d Weÿl. Barbara Rheinthalerin, Georg hornen deß Kürßners Zum Ziltz in Schleßien an der Polnischen Gräntzen geweßenen Eheweib Von weÿl. Sabina Rheinthalerin ihrer Schwester gedachts Frantz Maÿsen erstern Eheweib seel. geerbt, Und besagter Maÿß die tags seines lebens Wÿdems weiß Zu genüßen gehabt (…) empfangen haben
Originaire de Hettenrodt en Palatinat, cousin et héritier de François Meiss, le farinier Nicolas Gass épouse en 1655 Anne Speyrer, fille de boulanger : contrat de mariage, célébration. Il devient bourgeois quelques jours après son mariage.
1655 (27. feb.), Chambre des Contrats, vol. 517 f° 142
(Eheberedung) Erschienen Hannß Niclaus Gaß Von Hettrodt in Westrich in die Graffschafft Oberstein gehörig, so sich alhier burgerlich nid.zulaß. gewillt, alß hochzeiter, mit beÿstand Andreß Gebhard Rheinthalers deß Schuhmachers alhie im nahmen Frantz Maÿßen deß Schuhmachers seines deß Hochzeiters Vettern alß Welcher Leibßblödigkeit halb. nicht außgeh. Können Und ihre hierzu befelcht hette wie auch Lorentz Löfflers deß Müllers vf der Edlen Zornen Mühlen an einem,
So dann Jungfr. Anna weÿl. hannß Speÿrers geweßenen Schwartzbeckhens alhie nunmehr seel. hinderlaßene eheliche dochter alß hochzeiterin, mit beÿstand Roman Mentzers deß Grempen alhie ihres Vogst, und H. M. Andreæ Bardten Pfarrers Zu Lampertheim wie aucg Mathiß Spechten deß Speÿrbaders alhie am andern theil
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 71)
1655. Dominica Reminiscere. Johann Niclaus Gaß der Müller Von Hettrott Gräfflicher Obersteinischer Herrschafft, Niclauß Gaßen, gewesenen burgers und Baursmanns daselbsten hinterlaßener ehelicher Sohn, Vndt Jungfr. Anna Hanß Speÿrers geweßenen Burgers Vnd Schwartzbecken alhier hinderlaßene eheliche Tochter. Copulabantur Dienst. 20. Martÿ zum J. St. Peter (i 82)
Proclamation, cathédrale (luth. f° 23) 1655. Mehr Zum 2. mal Sont. Reminisc. d. ii Martÿ, Johann Niclaus Gaß, der Müller, Von Hettrott, auß der Graffschafft Oberstein im Westrich gelegen, Weilandt Nicolai Gaß, des Burgers und Baursmanns daselbst hinterlaßener ehelich. Sohn, vnd J. Anna, Weilandt Johann Speirer des Burgers vnd Schwartz Becken allhier hinterlaßene eheliche Tochter. Dienst. 20. Mart. Freÿburg. J. St. Peter. Hh. Stub (i 24)
1655, 4° Livre de bourgeoisie p. 299
Hannß Niclaus Gaß der Meelmann Von Hetteratt auß der Graffschafft Oberstein empfangt d burgerrecht von seiner haußfr. Anna Weÿl. Johann Speÿrers deß Schwartzbecken alhie dochter vmb 8 goldt fl. ist ledigen standts gewesen, würd Zur Lucern dienen, jur. den 2. April. 1655.
Le revendeur Nicolas Gass vend la maison 125 livres au peignier Jean Frédéric Reinthaler, assisté de son beau père le boucher Charles Klein.
1664 (28. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 529 f° 251-v
(Prot. fol. 18.) Erschienen hannß Niclaus Gaß der Kremp, mit assistentz H Georg Weÿbels deß Steinmetz. und alten Kleinen rhats Verwanthens
hatt in gegensein hannß Friderich Rheinthalers deß Strählmachers, mit beÿstand Carl Kleinen deß Metzgers seines Schwähers und H Andres Gebhard Rheinthalers deß Schuemachers seines Bruders
hauß, hoffstatt, Gärtlin mit allen deren Gebäwen, Begriffen Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie im Keßelgäßlin, einseit neben hannß Bachen dem Schuhmachern, anderseit neben (-) Stamlerin hind. Zum theil vff die Kräuchelische theilß vff die Gastelische Behaußung stoßend gelegen, welche Behaußung umb 100. lib. H. Andreæ Brackhenhoffern ietzt regirenden Ammeistern, Item umb 200. lib. der Samblung zum Innenheim verhafftet (übernohmen) – umb 125. lib
Jean Frédéric Reinthaler et Cléophée vendent la maison 475 livres au notaire Philippe Henri Theus
1667 (23. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 534 f° 191
(Prot. fol. 10.) Erschienen hannß Friderich Reinthaler der Strählmacher und Cleophe sein eheliche haußfrau und Zwahr Sie Cleophe insonderheit mit assistentz Carl Kleinen, deß Metzgers ihres eheleiblichen Vatters und Andreß Lobsteins deß würths Zum Bockh ihres Schwagers
in gegensein H. Philipß Henrich Thej Notarÿ mit beÿstand dauid Beüters deß Ohlmanns
hauß hoffstatt höfflin gärtlin sampt der Gemeinschafft des bronnens mit allen derem Gebäwen, Begriffen Zugehörten Rechten und Gerechtigkeit, alhie in Keßelgäßlein einseit neben hannß Bachen dem Schuhmachern and.seit neben Annæ Mariæ Stammlerin hinden Zum theil uff die Kraÿchlische theils uff die gastelische Behaußung stoßend gelegen, welche Behaußung umb 100. lib H Andreæ Brackhenhoffern dißer Statt alten Ammäystern und Treÿ Zehenern Item umb 200. lib. der Samlung zum Innenheim verhafftet (übernohmen) – umb 175. lib
La maison figure à l’inventaire dressé après la mort de Philippe Henri Theus. Sa veuve et ses filles vendent la maison 750 livres au tailleur Jean Adam Führer
1698 (10.6.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 347
weÿland Hn Philipp Henrich Theus gewesenen Notarÿ Publicj nun seel. Nachgelaßene Zwo Töchter Und einzige Erben, Nahmentlich Fr. Anna Magdalena weÿland H. Samuel Oelingers des Specirirers seel. nachgelaßene Wittib mit beÿstand Hn Dionysÿ Schöpffen auch Specierers ihres Curatoris, So dann Jfr. Maria Salome so würcklich majorennis mit beÿstand H. Johann Carl Leopard des jüngern Notarÿ Publicj, Ihres Vogts
in gegensein Johann Adam Führers, des Schneiders mit assistentz H. Johann Schüblers, auch Notarÿ Publicj
Hauß, Hoffstatt, Höfflein, Gärttlein sambt der Gemeinschafft des Bronnens, mit allen deren übrigen gebaüen, Begriffen, Zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten allhier im Keßelgäßlein, einseit neben weÿl. Hans Bachen, des Schuhmachers seel. Erben anderseit neben H. Josiæ Bitschen dem Goldarbeiter, hinden auff H. Johann Joachim Storcken den goldarbeiter zum theil, theil auff weÿl. H. Johann Melchior Erhards gewesenen Silberarbeiters nun seel. Wittib und Erben stoßend gelegen
dan obwolen ged. Hauß Fr. Ottilia geb. Gantherin obged. H. Notarÿ Thej hinter laßener wittib mit widem Verfangen, so ist dieselbe hierbeÿ Persönlich erschienen Und Zwar mit H. Johann Ludwig Scherers Not. Publ. ihres Vogts, Und hat hierbeÿ expresse Verzug gethan auff ged. widem Und genuße des Haußes – geschehen Umb 750 pfund
Les acheteurs hypothèquent quelques jours plus tard la maison au profit du précepteur Israël Dieterlin et du fabricant de pâtés Jean Daniel Boch
1698 (4.7.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 420
Johann Adam Führer der Schneider und Maria Salome geb. Gasteliußin, und Zwar dieselbe mit beÿstand H. Johannis Schüblers Notarÿ Publ. und H. Johann Jacob Braunen deß Goldarbeiters Ihrer beeder Vettern
in gegensein H. M. Israël Dieterlin, Præceptoris Classici und H. Johann Daniel Bochen, deß Pastetenbecks – schuldig seÿen, 750 pfund
unterpfand, hauß, hoffstatt höfflein, Gärttlein, sambt allen deren Gebäuen, recht und Zugehördt. allhier im Kößelgäßlein, Einseit neben Weÿl. hanß Bach deß Schuhmachers sel. Erben and. seit neb. H. Josiä Bitsch den Goldarbeiter hind. auff H. Johann Joachim Storcken d. Goldarbeiter zum theÿl theils auff weil. H. Johann Melchior Erhard gewesenen Silberarbeiters sel. Wittib Und Erben stoßend gelegen,
Ferner derjenige widem, so weÿl. H. Marx Philipp Hahnen gewesenen Barbierers und E:E: Kl. Raths beÿsitzer sel. wittib Fr. Anna Valeria geb. Hämmerlin ad dies vitæ nach Inhalt deß von H. Elia Wincklern Notar. außgefertigt. attestati zu genieß. für ihr obbemeldten correæ portion auff 674 lb belauffend
Originaire de Ziegenhain en Hesse, le tailleur Jean Adam Führer épouse en 1689 Ursule Diemer, veuve de Michel Braun, et devient bourgeois quelques jours plus tard
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 12, n° 57)
Heut den 1 Junÿ 1689 ist (…) copulirt word., Joh: Adam Führer der ledige schneider auß Hoßen, Jost Führers deß schneiders daselbst ehl. Sohn, mit Fr. Ursula, Weÿland Joh: Michael Braunen, deß schneiders v. burgers allhier nachgelaßener wittib [unterzeichnet] Johann adam führer als hochzeiter, Ich Ursula fuhrmann alls hochzeiterin (i 14)
1689, 4° Livre de bourgeoisie p. 554
Johann Adam Führer, Von Ziegenheim auß Heßen der schneider Jost Führers des schneiders daselbst sohn, empfangt das burgerrecht Von Ursula, Weÿl. Joh: Michael Braunen gewesenen burgers und Schneiders allhier hinterlaß. Wittib, seiner jetzmahlig. Haußfrauen p. 2. gold.R. 16. ß so Er bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt, ist Zuvor ledig. standes geweßen und wird Zu E.E. Zunfft der schneider dienen, Jur. den 11. Junÿ 1689.
Le tailleur Michel Braun épouse Ursule, fille du boulanger Michel Diemer
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 39, n° 12)
1677. zum 2. mahl Johann Michael Braun der Schneider und Burger alhier, Jfr. Ursula, Michel Diemers des S[chwartz]becken und Burgers alhie ehel. T. Donnerstags den 15. Febr: (i 40)
Jean Adam Führer se remarie en 1697 avec Marie Salomé Gastelius, fille de vitrier
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 76-v, n° 409)
1697. Mittw. 20. Mart. wurd. nach Zweÿmahl. außruffung copulirt Johann Adam Führer, der B. v. Schneider allhier, V. Maria Salome, Weil. Emanuel Gastelÿ des B. v. Glaßers allhie nachgelaß. ehel. Tochter [unterzeichnet] Johan Adam führer Als hochzeiter, Maria Salame Goßeliuß als hochzeiterin (i 76)
Jean Adam Führer et Marie Salomé Gastelius vendent la maison 775 livres au fournier Georges Ensfelder et à sa femme Marie Dorothée Hüffel
1700 (15.2.), Chambre des Contrats, vol. 573 f° 110
Johann Adam Führer der Schneider Und Maria Salome geb. Gasteliußin mit beÿstand Hn Johann Schüblers Not. Publicj
in gegensein Georg Endsfelders des Haußfeurers Und Mariæ Dorotheæ geb. Hüffelin mit beÿstand Johann Martin Rügers des Schuhmachers [unterzeichnet] Gorg Ensfelter als Keüffer, Maria dorothea Ensfellrin
Hauß, Hoffstatt, Höfflein gärttlein, sambt der Gemeinschafft des Bronnens mit allen deren übrigen Gebaüen, Begriffen, Zugehörden, Rechten Und Gerechtigkeiten allhier im Keßelgäßlein, einseit neben Weÿl. Hans Bachen des Schuhmachers seel. Erben anderseit neben Josia Bitschen dem goldarbeiter hind. auff Johann Joachim Storcken d. Goldarbeiter zum theil theils auff Johann Schmid. den Silberarbeiter stoßend gelegen – umb 150 Capital Verhafftet, zugegangen umb 625 pfund
Fils du tailleur Jean Ensfelder de Flachslanden en Franconie, le fournier célibataire Georges Ensfelder devient bourgeois en octobre 1694 puis tributaire chez les Boulangers
1694, 3° Livre de bourgeoisie p. 1137
Georg Enßfelder der haußfeurer von Flachßland Joh. Enßfelders des schneiders daselbß Ehl. sohn empfangt das burgerrecht gratis, ist annoch ledigen standts und Wird Zu E.E. Zunft der becken dienen. Jur. d. 11. 8.bris 1694.
1715, Registres annuels de la Taille (VII 1208) f° 162
Becker – Georg Enßfeldt. Jur. [1]9. 8.br. 94
Georges Ensfelder épouse en 1695 Marie Dorothée Hüffel, fille de boulanger
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 52-v, n° 310)
1695. Dom: III. post Epiphan. seÿndt außgeruffen worden Georg Enßfelder lediger Haußfeurer, Johannes Enßfelders, Schneiders, und burgers, Zu Flachßlandt Fürstl. Anspachischer herrschafft ehelicher Sohn, Jfr. Maria Dorothea, weiland Georg Hüffelß, gewesenen Weißbecken, und burgers allhier, nachgel. ehel. tochter.Seÿn copulirt Worden den 2. febr. deßen seÿn Zeugen [unterzeichnet] görig Ensfelder as hochzeiter, Maria Dorothe huffein alls hochzeiterin (i 52)
Il se remarie en janvier 1704 avec Dorothée Pracht, veuve du tailleur Georges Frédéric Eberlin qu’elle avait épousé en 1700
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 141, n° 666)
1704. Mittw. d. 16. Jan. wurd. [nach] ordtlichen außruffung copulirt Georg Enßfelder, der Burger v. schwartzbeck allhier Vnd Fr. Dorothea, weil. Georg Friderich Eberlins, des geweß. Schneiders v. Burg. allhier nachgelaß. Wittib, [unterzeichnet] Georg Enßfelter alß hochzeiter, dorotea eberlin als hochzeiterin (i 140)
Fils de tailleur, Georges Frédéric Eberlin épouse en 1700 Dorothée Pracht, fille de cordonnier
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 65-v n° 19)
Heute Mittwochs den 20. Octob. 1700 seind nach Zweÿmahliger außruffung in der Pfarrkirchen Zu S Niclaus in Straßb. copulirt und eingesegnet worden Georg Friderich Eberlin der ledige Schneider und burger alhier, weÿland Johann Jacob Eberlin, geweßenen Schneiders und burgers alhie nachgelaßener ehelicher Sohn, und Jfr. Dorothea Bracht, Johann Martin Bracht deß Schuemachers und burgers allhier eheliche Tochter,[unterzeichnet] Georg Friderich Eberlin schneider als hochzeiter, Dorothea Prachtin als hochzeire (i 69)
Inventaire des apports de Georges Frédéric Eberlin et de Dorothée Pracht
1700 (3. 9.br), Not. Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 3)
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, so der Ehrsam und Vorgeachte Meister Geörg Friderich Eberlin, der Schneider und die viel Ehren und Tugendsahme fraw Dorothea gebohrne Prachtin beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestandt zusammen gebracht (…) in beÿsein d. Ehren und tugendsamen frawen Annä Ursulä gebohrneer Claußin herrn Johann Martin Prachtens deß Schuhmachers und burgers Zu gedachtem Straßburg ehelicher haußfrauen der frawen leiblicher Mutter in Straßburg den 3. Novembris 1700. Summa des Manns gantzen Vermögens, 27 lb
der Frawen Zubringen war an Hausrath 59, Silber geschirr und Geschmeidt 4, Guldene Ring 9, Baarschafft 5, Summarum 79 lb
Georges Ensfelder et Dorothée Pracht font dresser l’inventaire de leurs apports où figure la maison rue du Chaudron. Les apports du mari s’élèvent à 235 livres, ceux de la femme à 197 livres.
1704 (3.3.), Not. Scherer (Jean Louis, 53 Not 2)
Inventarium über Mstr Georg Enßfelders, deß Haußfeürers und Frawen Dorotheæ Eberlin, gebohrner Prachtin, beeder Eheleuthe und burgere alhier zu Straßburg für ohnverändert Zugebrachte Nahrung, auffgerichtet in Anno 1704. – einander jnn ihren ohnlängst angetrettenen Ehestand, vermittelst deren auffgerichteter Heuraths Verschreibung für ohnverändert Zugebracht haben (…) Actum in der Königl. Freÿen Statt Straßburg, jn fernerem beÿweßen H: Gottfried Hempels Specerirers und burgers alhier der frawen annoch ohnentledigten Vogts, Mont. d. 3. Martÿ Anno 1704.
Ahne Haußrath So jnn einer jm Keßelgäßlein gelegenen und hernach beschriebener behausung sich befund.
Haußrath (M 130, F 119), Schiff und geschirr (zum Becken Handwerck gehörig 4), Brennholtz (M 3), Früchten, Meel und Kleÿen (M 20), Wein, Leere Faß und bütten (M 13), Silber (M 5, F 10), Guldene Ring (F 12), baarschafft (M 22, F 5)
Eigenthumb ane einer behausung (M.) Eine behaußung, hoffstatt, höfflein u: Gärthlein, sampt Gemeinsch: des bronnens, mit allen deren übrig. Gebeüen, begriffen, Weith. Zugehörd. Rechten u. Gerechtigkeit alhier in d. St. St. im Kößelgäßl. geleg. 1.s neb h: Joachim Ratzen dem schneid. 2.s. neb. h. Josiæ Bitschen dem Goldarbeiter, hind. Zum theil auff H. Joh: Joachim Storcken den Goldarb. u. Zum theil auff Hn N. Schmitt den Silber arbeit. stoßend, davon gehen jahrs 7 lb 10 ß d Zinnß auff Joh: Baptæ H. M. Joh: Güntzlin præceptori jnferioris Gymnasÿ ist in hptg. Abzulöß 150. lb, Ferner 20. lb. Zinß jahrs auff Annunc: mar: od. 25. lb Martÿ Hn Joh: Phil: Lauthen dem Müller Zu Illkirch, so widerzulöß. mit 500 lb. sonsten freÿ ledig u. eigen, und über Abzug vorstehend. onerum ohnvorgreifflich hiehero angeschlagen umb 75. Darüber besagt j. teutsch perg. Kffbr. mit d. St. St. C. C. stub anhang. Insiegel vwahrt sub dato 15. febr. 1700. mit N° 1 notirt, Ferner i. dgl. Kffr. mit ermelter C. C. stub Ins. becräfftiget, datirt d. 10. Junÿ 1698. Mehr j. Perg. teutsch. Kffbr: m. besagter C C. stub Ins: verwahrt de dato 23. Martÿ 1667. Weiter i. dgl. perg. Kffbr. mit viel bes. Ins. besiegelt, Ingleichen i. perg. Kffbr. m des bischoffl. hoffs Ins : verwahrt, Item i. perg. ablosungs brieff m. des mehren hospitals alhie großem Ins. corroborirt, datirt am 28.ten Martÿ a° 1584. Item 3. perg. spruchbrieff sampt noch 2 alt. perg. brieff. So dann j. Kl. Rhats bescheid über i. gemeinen Gäbel besagend, de dato 29. 7.bris 1627. publicirt d. 1. 8.bris gemelt. Jahrs, alles mit N° 1 notirt und dabeÿ gelaß.
Summa Eigenthumbs ane j. behaußung 75, Schulden (M 7)
Summa summarum aller des Manns für ohnverändert in die Ehe gebrachte Nahrung 289 lb – Schuld 45, Nach deren Abzug 235 lb
(F.) Wÿdumb. Item hatt Fraw Maria Salome Ernstin weÿl. Mstr Johann Jacob Eberlin des schneiders seel W. ad dies vitæ von Ihme Zugenießen welches nach dero seel. Ableiben hiehero fällig
Summa summarum der Frawen in d. Ehestand Zugebrachter Gantzer Nahrung 197 lb
Georges Ensfelder et Dorothée Pracht hypothèquent la maison au profit de l’armurier manant Michel Lohr et de sa femme Anne Marie Witz
1723 (19.6.), Chambre des Contrats, vol. 597, 334
Georg Enßfeldter der haußfeurer Dorothea geb. Prachtin beÿständlich ihren beeden Schwäger H. Johann dürrbach Schuelmeisters und Cantors zu St Aureliæ und Daniel Meÿer des Schirmbotten
in gegensein Michael Lohr des waffenschmidts und Schirmers und Annæ Mariæ geb. Witzin – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, Eine Behausung hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten im Keßel: gäßel, einseit neben Johann Jacob Ratz dem Schneider anderseit neben N. Becker dem Schuemacher hinten auff joh: Michael Maul den Silberarbeiter zum theil theils aber auff H. Johann Georg Finx den Juwelierer
L’inventaire dressé en 1728 après la mort de Dorothée Pracht n’est pas conservé.
1728, Not. Mader (répert. 6 E 41, 664-1) n° 638
Inventarium über Frauen Dorothea Ensfelderin geb. Prachtin Georg Enßfelders des Haußfeurers Ehefrau seel. Verlassenschafft
Georges Ensfelder meurt en février 1735 en délaissant trois enfants de ses deux mariages successifs. Les experts estiment la maison 900 livres.
1735 (17.3.), Not. Mader (6 E 41, 689) n° 848
nventarium über Weÿl. des Ehrengeachten H. Georg Enßfelder, geweßenen Haußfeürers und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1735. – nach seinem Sontags den 27. Februarÿ des mit Gott angefangenen 1735. Jahrs beschehenen tödtlichem bleiben, Zeitlichen verlaßen (…) So geschehen in der Königlichen Statt Straßburg auff Donnerstag den 17. Martÿ Anno 1735.
Der Verstorbene Herr seeligen hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt. 1. den Ehrengeachten Georg Christian Enßfelder, Haußfeürer und bürger allhier, so dießer Inventation in Persohn abgewartet. 2. die Viel Ehr: und tugendbegabte Frau Mariam Dorotheam Graffenauerin gebohrne Enßfelderin des Wohl Ehrenvesten und Kunstreichen Herrn Johann Daniel Graffenauer, Goldarbeiters und burgers allhier frau Eheliebste, welche mit beÿstand deßelben Hiebeÿ erschienen. 3. Johann Philipp Enßfelder, den ledigen Becken, welcher mit assistentz des Wohl Ehrenvest und Wohlgelehrten herrn Johann Durrbach Ludimoderatoris und Schuhl meisters der Kirchen Zu St: Aureliæ, seines geordnet und geschwornen Vogts Zugegen gewesen, Alle dreÿ deß Verstorbenen Herrn seeligen in Erst und anderer Ehe erzeugt undt Nachgelaßene Kinder und ab intestato Erben, Zugleichen portionen undt antheilen.
In Einer in der königlichen Statt Straßburg ane dem Kößelgäßlein gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung ist befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane einer behaußung und Gädlein. Neml. 5/6.theil Vor ohnvertheilt Von und ane Einer behaußung, Hoff, Hoffstatt m: Allen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörd. und Gerechtigkeiten gelegen Allhie Zu Straßburg ane dem Kößelgäßlein, i.s. neben H. Jacob Ratzen dem schneider, 2.s. neben meister Joh: Wolffgang Becker dem Schuemacher hinden auff H. Jacob Maullen den Silberarbeiter stoßendt gelegen, so freÿ, leedig und Eigen und ist die völlige behaußung durch der St. St. geschworne herrn Werckmeistere Vermög einer beÿ mein Notarÿ Concept befindl. Schriftl. Abschatzung Sub dato 15. Martÿ 1735. angeschlagen worden pro 900. lb. Macht hiehero Vor 2/6. theil
Darüber besagt ein teutscher perg: Kbr. in Allh. C. C. St. gefertiget, und m: dero anhangendem Insiegel Verwahretn datirt den 15. Februarÿ 1700. m: a: N° 1 notirt und dißmahlen wieder dabeÿ gelaßen, darbeÿ ferner i. älterer perg. Kbr. auch ein Allhießiger Cantzleÿ Contract Stub gefertiget und m. dero anhangendem Insiegel verwahret datirt den 10.ten Junÿ A° 1698. auch m. N° A notirt.
It. Ein Gädlein ane der Prediger Kirch gelegen (…)
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins (50 livres) sur un total de 1 700 florins
1735, Livres de la Taille (VII 1178) f° 32-v
Becker. F., N. 6583.- Weÿl. Georg Enßfelder geweßenen Haußfeurer und burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Mader.
Concl. Fin. Inv: ist Fol. 31, 837- 8- 8-
darzugelegt die Fol. 27. passivi eingebrachte 30. Summa 867- 8- 8
die machen 1700. fl. Verstallte nur 1600. fl. alßo Zu wenig 100 fl.
Warvon der Nachtrag gerechnet wird auff 8 Jahr in duplo à 6 ß d macht – 2 lb 8 ß
Und auff 6 Jahr in simplo à 3 ß – 18 ß
Extat kein Stallgeltt
Gebott – 2 ß
Anhandlung – 1 lb 2 ß 6 d, Summa 4 lb 10 ß 6 d
dt. 4° May 1735.
Marie Dorothée Ensfelder, femme de l’orfèvre Jean Daniel Graffenauer, et le boulanger Jean Philippe Ensfelder cèdent leurs parts de la maison à leur frère Georges Chrétien Ensfelder moyennant 1 500 florins
1735 (24.3.), Not. Mader (6 E 41, 689) Joint au n° 848 du 17 mars 1735
Kundt und Zuwißen seÿe Jedermänniglichen in Crafft dießer (…) persönlich erschienen und kommen seind die Viel Ehr: und tugendreiche Frau Maria Dorothea Graffenauerin gebohrne Enßfelderin, des Wohl Ehrenvesten und Kunstreichen Herrn Johann Daniel Graffenauer Goldarbeiters und burgers allhier frau Eheliebste, mit beÿstand deßelben, So dann Johann Philipp Enßfelder der ledige Beck, mit assistentz des Wohl Ehrenvesten und Wohlgelehrten herrn Johann Durbach Ludimoderatoris und Schul meisters der Kirchen Zu St: Aureliæ, seines geordnet und geschwornen Vogts,
die haben in gegensein des Ehrengeachten Georg Christian Enßfelders Ihres respectivé bruders und Schwagers (…) Eÿgenthumblichen cedirt und übergeben hätten
Ihre Habende antheiler ane einer behaußung, Hoff, Hoffstatt und bronnen mit allen deren übrigen gebäuen begriffen weithen rechten Zugehördten und gerechtigkeiten allhier in der Statt Straßburg ane dem Kößelgäßlein gelegen einseit neben H. Johann Jacob Ratzen dem schneider, 2.seit neben Meister Johann Wolffgang Becker dem Schumacher hinden auf Herrn Jacob Maulen den Silberarbeiter stoßendt, so freÿ, ledig undt eigen und ist diese Cessio und übergab der gantzen behaußung geschehen Vor und umb 3000 Gulden
so geschehen in Straßburg den 24. Martÿ 1735
Georges Chrétien Ensfelder termine son apprentissage auprès de son père en mars 1717
1717, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 9)
(f° 244-v) Mittwochs den 17. Martÿ – Siegelgeltt, 5. ß d dt.
Georg Ensfelder der Haußfeürer erscheünt mit seinem Sohn Georg Christian Ensfelder, undt bittet selbigen weilen die Lehrzeit Vorbeÿ, Gerichtlich leedig Zue sprechen. Erk: willfahrt auff erlag der Gebühr so 8 ß d vor alles.
Georges Ensfelder termine en juin 1725 son apprentissage d’huilier auprès d’Ulric Gœnner
(f° 437) Mittwochs den 20.ten Junÿ 1725 – Siegelgeltt, 5 ß
Georg Enßfelder von hier, welcher beÿ Hn Ulrich Gönner das ohlweßen Erlernt ist dato der Lehr ledig gesprochen worden.
L’huilier Georges (Georges Chrétien) Ensfelder épouse en 1726 Anne Marie Schweigheusser, fille d’aubergiste : contrat de mariage, célébration. L’acte de mariage porte le métier de fournier.
1726 (21.3.), Not. Mader (6 E 41, 694)
(Eheberedung) Persönlich kommen und erschienen der Ehrsame und bescheidene Georg Christian Enßfelder, der ledige ohlmann des Ehrengeachten Herrn Georg Enßfelder, Haußfeurers und burgers allhier Ehelich erzeugter Sohn, alß dem Bräutigam ane Einem,
So dann der Tugendsamen Jungfer Anna Maria Schweighaüßerin des Ehrengeachten herrn Daniel Schweighaüßers würths und Gastgebers auch burgers allhier Ehelich erzeügter Tochter, alß der Jungfer Hochzeiterin am andern theil
So Geschehen in Straßburg auff Donnerstag d. 21. Martÿ 1726. [unterzeichnet] Georg Christian Ensfelder Als hoch Zeÿter, Anna Maria Schweickheußerin alls hochzeiterin
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 80-v n° X)
1726. Dominica I et II Trinitat. proclamati sunt Georg Christian Enßfelder, der ledige Haußfeurer v. burger alhie, Georg Endßfelder, deß Haußfeurers v. burgers alhier ehel. Sohn Vnd Jgfr. Anna Maria, Daniel Schweigheußers deß Gastgebers v. burgers alhie Ehel. Tochter, Copulati sunt Mittw d. 3. Julÿ [unterzeichnet] Georg Christian Esfelder Als hochzeÿter, Anna Maria Schweickheußerin alls hockzeiterin (i85)
L’inventaire des apports n’est pas conservé
1726, Not. Mader (répert. 6 E 41, 664-1) n° 546
Inventarium illatorum über Georg Christians Enßfelders Ohlmanns und fr. Anna Maria geb. Schweighäußerin
Georges Chrétien Ensfelder devient tributaire chez les boulangers le 4 septembre 1726.
1741, Registres annuels de la Taille (VII 1251) f° 180-v
Becker – Georg Christian Enßfelder, ins. 4. 7.br: 1726 – 4. lb 7 ß
Chrétien Ensfelder est autorisé en 1727 à exploiter la boulangerie établie au Linsenmeyerhoff rue Hannong
Georges Chrétien Ensfelder et Anne Marie Schweigheusser hypothèquent la maison au profit d’Anne Marie Riedler
1739 (17.7.), Chambre des Contrats, vol. 613 f° 341-v
Georg Christian Ennßfelder der haußfeurer und Anna Maria geb. Schweighäußerin mit beÿstand ihres bruders Johann Daniel Schweighäußer des sattlers und ihres schwagers H. Johann Daniel Graffenauer des goldarbeiters
in gegensein Jfr. Annæ Mariæ Riedtlerin so mehrjährig und ohnbevögtigt – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder und hinderhauß, hoff und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten in dem Keßelgaßlein beÿ der gooldschmidtsgaß einseit neben Johann Jacob Ratz dem schneider, anderseit neben Johannes Becker dem schuhmacher, hinten auff Johann Michael Maul den silberarbeiter – um 300 pfund versetzt – als ein in seines vatters seel. weÿl. Georg Ennßfelder des haußfeurers verlaßenschafft theilung übernommenes guth
Le fournier Georges Chrétien Ensfelder hypothèque la maison au profit de l’orfèvre Joachim Kirstenstein
1740 (18.8.), Chambre des Contrats, vol. 614 f° 405
H. Georg Christian Enßfelder der haußfeurer
in gegensein H. Joachim Kirstenstein des silber arbeiters – schuldig seÿe 150 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff, gemeinschafft des Bronnens und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten im Keßelgäßlein, einseit neben Friedrich Ratz dem schneider, anderseit neben Johannes Becker dem schuhmacher, hinten auff Michael Maul den silberarbeiter
L’orfèvre Jean Daniel Graffenauer, beau frère du propriétaire, meurt dans la maison en 1743 en délaissant un fils. La masse propre à la veuve est de 721 livres, celle des héritiers de 33 livres. L’actif de la communauté s’élève 876 livres et le passif à 651 livres.
1743 (15.2.), Not. Papelier (41 Not 3) n° 66
Inventarium über Weÿland des Wohl Ehrenvest und Kunstreichen Herrn Johann Daniel Graffenauers geweßenen Goldarbeiters und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet anno 1743. – nach seinem den 22.ten Septembris des Zurückgelegten 1742.ten Jahrs aus dießer Zeit und Welt genommenen tödl. Hintritt hie Zeitlichen verlaßen hat, welche Nahrungs Verlaßensch. heut dato auf freundlfleißiges ansuchen erfordern und begehren des wohl Ehren und Vorgeachten Herrn Niclaus Bastians des Burgers dahier als geordnet und geschworenen Vogts Johann Daniel Graffenauers des Verstorbenen seel. mit hienach gemelter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlt und ab intestato verlaßenen eintzigen Söhnleins und Erbens, Ordnungsmäßig Inventirt und ersucht, durch die Viel Ehren und tugendbegabte Frau Mariam Dorotheam Graffenauerin gebohrne Enßfelderin die hinterbliebene Wittib beÿständlich herrn Georg Christian Ensfelder des haußfeurers und burgers allhier ihres Bruders – So beschehen Straßburg auff Freÿtag den 15.ten febr. 1743.
Copia der Eheberedung
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Keßelgäßlein gelegenen in diese Verlt. nicht gehörigen behaußung folgender maßen befunden als (…)
Haußrath (W 20, E 14, T 42), Leere Faß (W 2 ß, R 2), Werckzeug zur gold arbeiter profession gehörig (T 11), Silber und dergl. Geschmeids (W 9, T 63), Goldene Ring ( W 6, T 13) Baarschafft (T 17), Pfenningzinß hauptgüter (T 687)
Eigenthumb ane einem Gädlein. (W) Ein gädlein hinter der Prediger Kirch allhier (…)
Schulden (W 112, T 37), Ergäntzung (E 18)
Sa. des Erben ohnveränderten Vermögens 33 lb
Schulden (Item H. Georg Christian Ensfelder dem haußfeurer und burger allhier der Wittib eheleibl. bruder vor 3 Monath biß Annunc: Mariæ Verseßenen hauß Zinnß 4. 10) W 30, E 112, T 650
Der Wittib Ergäntzung 694, Abzug 91, Rest 602 – Summa summarum der Wittib ohnveränderten Nahrung 751 lb – Schuld , Nach solchem abzug 721 lb
Endlichen kommet auch das gemein und theilbahren guth in beschreibung, Summa summarum 876 lb – Schulden, In Vergleichung 225 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 867 lb
Fils d’orfèvre, Jean Daniel Graffenauer épouse Marie Dorothée Ensfelder en 1728 : contrat de mariage, célébration
1728 (10.6.), Not. Mader (6 E 41, 694)
Eheberedung – Zwischen dem Ehrenvesten und Kunstreichen Herrn Johann Daniel Graffenauer dem Ledigen Goldarbeitern und burgern allhier Zu Straßburg alß dem Brautigamb ane Einem
So dann der Ehren und Tugendsamen Jungfer Mariä Dorotheä Enßfelderin der Ehrengeachten Georg Enßfelder Haußfeurers und burgers allhier Ehelich erzeugter Tochter alß der Jungfer Hochzeitterin am andern theil
So Geschehen in Straßburg auff Freÿtag den 10. Junÿ Anno 1728. [unterzeichnet] Johann Daniel graffenauer als hochzeiter, Maria dorothea Ensfelderin als hochzeitterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 61, n° 216)
1728. Eod. [Mittw. d. 30. Junÿ] sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet word. H. Joh: Daniel Gravenauer der Ledige Goldarbeiter v. b. alhier, H. Joh: Sigmund Gravenauers b. v. Goldarbeiters ehel. Sohn, v. Jungfr. Maria Dorothea H. Geörg Friderich Enßfelders b. v. haußfeurers ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Daniel Graffenauer, Maria Dorothea Ensfelderin als (i 64)
Accord entre Jean Philippe Ensfelder et son frère Georges Chrétien Ensfelder au sujet du prix de la maison
1745 (23.3.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 200-v
Johann Philipp Enßfelder der ledige und mehrjährige haußfeurer
in gegensein seines bruders Georg Christian Enßfelder des haußfeurers
demnach er Johann Philipp Enßfelder auf seines erstgemelten bruder an dem Keßelgäßlein einseit neben Jacob Ratz dem schneider, anderseit neben Johann Becker dem schuhmacher, hinten auff N. Maul den silberarbeiter gelegenen behausung laut eines vor H. Not. Abraham Kolb ane cessions schilling 300 pfund (schuldig seÿe)
Georges Chrétien Ensfelder et Anne Marie Schweigheusser hypothèquent la maison au profit de l’orfèvre Joachim Frédéric Kirstenstein
1748 (19.9.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 664-v
Georg Christian Enßfelder der haußfeurer und Anna Maria geb. Schweigheußerin mit beÿstand ihres bruders Johann Daniel Schweigheußer des sattlers und ihres vettern Johann Daniel Faurbach
in gegensein H. Joachim Friedrich Kirstenstein des silberarbeiters – schuldig seÿen 200 lb
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff, gemeinschaft des bronnens und hoffstatt im Keßelgäßeln, einseit neben H. Rathh. Immelin dem silberarbeiter anderseit neben Johannes Becker dem schuhmacher, hinten auff Michael Maul den silberarbeiter
Georges Chrétien Ensfelder et Anne Marie Schweigheusser hypothèquent la maison au profit du docteur en médecine Jean Geoffroi Saltzmann
1749 (17.11.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 673
Georg Christian Enßfelder der haußfeurer und Anna Maria geb. Schweighäußerin mit beÿstand Emanuel Müller des kieffers und Johann Daniel Faurbach des schuhmachers
in gegensein H. Johann Gottfried Saltzmann Med. Dris und Practici – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinder hauß, hoff, gemeinschafft des bronnens und hoffstatt im Keßelgäßlein, einseit neben N. Wenger dem silberarbeiter, anderseit neben Carl Schultz dem schuhmacher, hinten auff Michael Maul den silberarbeiter
Les contrôleurs de la tribu des Charpentiers font grief à Georges Chrétien Ensfelder de fabriquer des chevilles. Il répond qu’il travaille pour le compte de deux menuisiers, Gui Kærcher et Nicolas Elstett. Le Conseil de trribu ne lui inflige pas d’amende mais le condamne aux dépens
1757, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 32)
(f° 213) Freÿtags den 29. Aprilis 1757 – Mstr Joh: Friderich Dürr vnd Mr Sebastian Andriß beede der respê teutschen und frantzösischen Schreinern Ober Meister, Klagen Contra Mr Geörg Christian Endsfelder den Schwartzbecken vnd burgern dahier, daß derselbe dem Schreiner handwerck großen eingrif thue und in groser quantitæt Zelten nægel Verfertige, so wieder Ordnung, bitten abstrafung, ref. Exp.
Beklagter ist Zwahr der anklag geständig, Jedoch habe er dießelbe allerdings nicht auf wucher* gemacht, sondern zween Schreiner selbsten, als Mr Veitt Kärcher vnd Mr Niclaus Elstätt haben beÿ ihme bestellt, so hart* habe er derselbe mehrere verfertigt, allermaßen Er noch da Von auf der bühn Liegen habe, bitt abs. ref. Exp.
Erkandt es seÿe der Beklagte ex speciali gratia der straf * enthalten Jedoch aber in die Gerichts Costen Zu Condemniren, Ueber dem * sich nicht mehr be*en zu laßen.
Georges Chrétien Ensfelder et Anne Marie Schweigheusser hypothèquent la maison au profit du notaire Mathias Koch.
1759 (17.7.), Chambre des Contrats, vol. 633 f° 233-v
Georg Christian Ensfelder der haußfeurer und Anna Maria geb. Schweigheußerin mit beÿstand Emanuel Müller des kieffers und Johann Daniel Fauerbach des schuhmachers
in gegensein H. Not. Mathias Koch – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane dem Keßelgäßel, einseit neben Carl Schultz dem schuemacher anderseit neben Abraham Wegert dem silberarbeiter hinten auff die Maulische wittib
Georges Chrétien Ensfelder meurt en 1759 en délaissant 4 enfants et des petits-enfants issus de sa fille aînée. Les experts estiment la maison 900 livres. Les héritiers laissant la masse à la veuve, l’actif de la succession s’élève à 986 livres, le passif à 1 220 livres.
1760 (13.3.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 497) f° 621
Inventarium über Weÿland des Ehrenachtbaren H. Georg Christian Ensfelders Geweßenen Haußfeurers und burgers alhier zu Straßburg nunmehr seelig. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1760. – nach seinem Freÿtags den 31.ten Aug. des ohnlängst zurückgelegten 1759.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödl. Hintritt, hie Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf gebührendes Ansuchen nicht nur allein der Ehren und tugendsamen Frau Annä Mariä Enßfelderin gebohrner Schweighäuserin der dießorts hinterbl. Wb. beiständlich des Ehrengeachten H. Johann Daniel Faurbachs Schuhmacher meisters und burgers alhier sondern auch des Verstorbenen seelig ehelich. erzeugter, theils ohnbevögtigten Söhne, theils seiner minderjährigen Kinder geordnet und geschworenen Vogts (…) So beschehen Straßburg Donnerstags den 13.den Martÿ 1760.
Den Verstorbenenn seelig Zu erben sind fähig Seine mit eingangs ged. deßelben hinterbl. Wb. erzeugte KKr. und ais einer Verstorbenen Tochter entsproßene Enckel benandl. 1. Weil. Fr. Annä Mariä geb. Enßfelderin seel. mit H. Johann Georg Rothen dem Jüngern Weißbecken und Bs. alhier ehelich erzielte 5. KK. Nahmens a) Maria Elisabetha, b) Johann Georg, c) Maria Salome, d) Anna Maria so dann e) Maria Dorothea, Welche mit H. Johann Daniel Schweighäuser Sattler und b. alhier bevögtigt sind, der auch in ihrem Nahmen dießer Inventur beÿgewohnt hat
2.do H. Johann Daniel Enßfelder, ohnbevögtigt, Juris Practicus hierbeÿ selbsten anweßend, 3.tio Johann Friderich Enßfelder lediger Haußfeurer: Voll Jährigen Alters, beÿ dießem Geschäfft zugegen, 4.to Jgfr. Catharina Dorothea, so 20 Jahr alt, 5.to Jgfr Maria Margaretha, in dem 17. Jahr ihres Alters und dann 6.to Georg Christian, welcher 11 Jahr erlebet, dießer dreÿ Enßfelderischen Kinder geordnet und geschworener Vogt ist H. Johann Philipp Enßfelder Haußfeurer und burger alhie, welcher Von Anfang biß Zu End gegenwärtiger Inventation abgewartet hat
In einer alhier Zu Str, ane dem Kößel Gäßlein gelegenen hiehero eigent. gehörigen behaußung ist befunden worden als folgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck. In d. Hintern Cammer, In d. Wohnstb. Im hßeren, Im Keller
Eigenthum an einer Behaußung. Neml. eine behaußung Hoffstatt, höflein und hintergebäud, samt der gemeinschafft des bronnens mit allen deren übrigen Gebäuden, begriffen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten, ahl. im Kößelgß. i.s neb. H. Schultz dem Schuhemr. 2.s neb. H. Wenger dem Silber Arb. hinten auf die Maulische fr. Wb. stoßend gelegen, so über hernach eingetragene Passiv Capitalien frei leedig eigen u. dergelstalten dh. (die Werckmeistere) Zufolg deren Zu mein Notarÿ Concepto vom 21. febr. jüngst gelieferten schrifftl. Abschatz. angesch. worden 1800. fl, 900. lb. Hierüber meldet ein T. perg. Kfbr. aus alh. C. C. St: gef. m. d. anh. größ. Ins. verw. d. d. 15. febr. 1700 weisend wie Georg Ensfelder d. hßfeurer u. Maria doroth. geb. Huffelin des verst. seel. Eltern ged. behß. erk. aus deren Verl. sie ihm eigenthl. überl. word. seÿ. wie die fr. Wb. d. 3. mindj. Kr. Hr. Vogt hiebej ber:
Ordnung gegenwärtig. Invÿ. Hierauff folget die Beschreibung Eingangs gedachter Verlaßenschafft Vor v. ane sich selbsten als Welche Zufolg vorhergeschriebener Verzicht der hinterbliebenen Wittib allein gehörig, Sa. Haußraths 62, Sa. Werckzeugs auch Schiff und geschirr Zum Beckenhandw. gehörig 2, Sa. Saur Krauts v. derer Bütten 4, Sa. Silbers 6, Sa. Goldenen Ring 10, Sa. Eigenthum ane I. behaußung 900, Summa summarum 986 lb – Schulden 1220 lb, In Vergleichung 233 lb
Copia der Eheberedung (…) So geschehen in der königlichen Statt Straßburg auff donnerstag den 21. Martÿ Anno 1726. – Philipp Jacob Mader
Abschatzung, Vom 21.ten Februarÿ 1760. Auff begehren Weÿlandt Herrn Georg Christian Entzfelder deß Geweßenen Hauß: Feurer Seeligen Hinterlaßener Frau Wittib und Erben ist eine Behaußung allhier jn der Statt Straßburg jn dem Kößel Gäßlein Gelegen, ein seÿts Neben Herrn Schültz dem Schuh Macher, ander seÿts Neben Herrn Wenger dem Silber Arbeiter, und Hinten Auff Frau Maullin Wittib stoßend, solche Behaußung bestehet jn Etichen Stuben, Zweÿ Küchen und Etliche Hauß Kammeren, Ferner befindet sich eine Bach: Stub, und Bach Hauß, Welches Gewölbt, dar über ist der dach stuhl mit breit Zieglen belegt, hat auch ein Gewölbten Käller, Hoff und Gemeinschaftlichen Brunnen. Von Uns der Unterschriebenen der Statt Straßburg Geschwornen Werck Meister, Nach Vorher Geschehener Besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Wahren Werth Nach æstimirt und angeschlagen Worden, Vor und Umb Ein Thausent Acht Hundert Gulden [unterzeichnet] Ehrlacher Würcklich deß Meinsters, Werner, Huber
La veuve Anne Marie Schweigheusser cède la maison et les outils de boulanger à son fils Jean Frédéric Ensfelder moyennant 2 000 livres en s’y réservant le droit d’habitation
1764 (6.9.), Chambre des Contrats, vol. 638 et n° 606, Not. Joh. Richard Häring, 3.11.1763 (6 E 41, 1379 n° 123)
auff ansuchen Johann Friedrich Ensfelder des schwartzbecken, nachstehener vertrag
Frau. Anna Maria Ensfelder geb. Schweighäußerin weiland herrn Georg Christian Ensfelders geweßenen hausfeurers Wb. beiständl. ihres bruders H. Johann Daniel Schweighäußer Sattlers
ihres sohns H. Johann Friedrich Ensfelder leedigen Schwartzbecken volljährigen alters – auf abschlag künfftigen mütterlichen Erbes zum voraus abtretten
Eine behausung, hoffstatt, höfflein und hinter gebäud, samt der Gemeinschafft des bronnens mit allen deren übrigen Gebäuden, begriffen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten im Kößelgäßel, einseit neben H. Johann Carl Schultz dem Schuhmacher anderseit neben H. Abraham Wenger dem silberarb.r hinten auf der Maulischen Frau Wb. und E. – um 150, 450, 300, 200, 50 lb verhafftet also sammenthafft um 1150 lb capitalien verpfändet – ihr als ein von deren kindern und Encklen den 1. april. 1760 vor H. Not. Kochen cedirtes eigenthum zuständig ist – 2000 pfund die behausung nebst der überlassung schiff und geschirr zum beckenhandwerck gehörig gerechnet
anbeÿ hat sich die mutter den lebenstägigen freÿen Sitz im hinern Stübel auf dem ersten Stock und zweÿer dabei befindl. Kämmerlein wie nicht weniger platz im großen keller
Jean Frédéric Ensfelder termine son apprentissage auprès de son père le 20 septembre 1753
1753, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 11, 12, 13)
(f° 98-v) Donnerstags den 20. Septembris 1753 – Johann Friderich Enßfelder, der beÿ seinem Vatter Geörg Christian Enßfelder dem Schwartzbecken dahier das handwerck erlernet ist der Lehr ledig gesprochen worden.
Jean Frédéric Ensfelder devient tributaire le 22 décembre 1753
1753, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 12)
(f° 192) den 22. Decembris 1763 – Neuzünfftiger Meisters Sohn, dt. 1. lb 15. ß
Joh: Friderich Enßfelder, weÿl. Christian Enßfelder abgel. Haußfeurers v. bs allhier nachgel. ehel. Sohn, prod. Stallschein, will Zünfftig werden v. das Haußfeurer handwerck treiben, bittet um Gerichtl. Reception. Erk. Willfahrt.
Les contrôleurs font grief au fournier Jean Frédéric Ensfelder de cuire du pain blanc. Il répond que la farine lui en a été livrée, les contrôleurs prouvent le contraire. Il est condamné à payer une amende.
1753, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 13)
(f° 41) Mittwochs den 14. Augusti – Iidem [die Riegere Klagen] Cra. Friderich Enßfelder den Haußfeurer daß derselbe Wider Ordnung v. Articul Weiß Boll Brod bache v. Verkauffe, worüber er sonderheitl. den 3. hujus betroffen v. gerüget worden requiriren Straff nach dem Articul.
Bekl. zugegen sagt Zur Verantwortung, daß ihme zu sothanen Weißen Leiblen die Er bache das Meel überschickt werde, dahero Er nicht straffbar.
Ist aber durch die Rieger das Gegentheil überwießen.
Erk. seÿe Bekl. in 5. lb. d Straff v. in 2 ß Gerichts Costen Zu Condemniren.
Nach deme Er um Gnad gebetten ist die Straff ad 2 lb 10 ß moderirt worden.
Jean Frédéric Ensfelder épouse Catherine Salomé Schalln veuve de Jean Daniel von Zabern : contrat de mariage, célébration
1763 (8. 9.br), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 41)
Heuraths: Verschreibung H. Joh: Friderich Ensfelder ledigen Haußfeurers und
Fr. Catharina Salome von Zabern geb. Schallin Wittib de dato 8. 9.br 1763.
Protocollirt fol. 654.b et seq. und expedirt per me ad 4. fol. compresse sub sigillo und Eingefärbt türkisch. Papier. Marbach Nots.
den 22. Junÿ 1810 obiger Heuraths Verschreibung Minute habe auf begehr. H. Ensfelder Employé à la police H. Not. Übersaal zugestellt, beÿ gelegenheit des absterbens obged.. Fr. Ensfelderin
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 263-v, n° 24)
Mittwoch den 23. Novembris 1763 wurden in der Kirche Zu St. Wilhelm ehelich copulirt (…) Johann Friderich Ensfelder, der ledige Schwartzbecker und burger allhier, weiland Christian Ensfelders gewesenen Schwartzbeckers und burgers alhier mit fraw Anna Maria Gebohrne Schweighäuserin ehelich erzeugter und nach tode hinterlassener Sohn, und frau Catharina Salome gebohrne Schallin weiland Johann Daniel von Zabern gewesten Schiffmanns und burgers allhier hinterlassene eheliche Wittib [unterzeichnet] Johann Friderrig Ensfelder als Hochzeitter, Catharina Salome Von Zabern als hochzeiterin (i 267) – Proclamation, Temple-Neuf (luth. p. 442-v, i 48)
Fille de maroquinier, Catherine Salomé Schall épouse en 1759 le batelier Jean Daniel von Zabern : contrat de mariage, célébration
1759 (17.7), Not. Dinckel (6 E 41, 426) n° 315
Eheberedung – entzwischen dem Ehren: und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Daniel von Zabern, dem Jüngern, Ledigem Schiffmann und burgern allhier Zu Straßburg, Weÿland des Ehren: und Wohlvorachtbahren Herrn Andreä von Zabern geweßenen Schiffmanns und burgers allhier mit auch Weÿland der Viel Ehren: und tugendbegabten Frauen Anna Margaretha gebohrner Wiedemännin beeder nunmehr seeligen ehelich erzeugtem Sohn, als dem bräutigamb ane einem,
So dann der Viel Ehren: und tugendbegabten Jungfrauen Catharina Salome Schallin, des Ehren: und Wohlvorachtbaren herrn Johann Heinrich Schall des Carduaners und burgers allhier mit der Viel Ehren: und tugendbegabten Frauen Anna Catharina gebohrneer Pfundin ehelich erzielter tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg auf Dienstag den 17. Julÿ Anno 1759. [unterzeichnet] Johann Daniel von Zabern als Hochzeiter, Catharina Salome Schallin als hochzeitrin
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 223, n° 23)
Anno 1759. d. 26.t Septembr. Seind in der Kirche Zu S. Wilhelm, nach zweÿmahliger Ausrufung so am XIV. und XV. Sonntag nach Trinitatis daselbsten geschehen, Zur Ehe eingesegnet worden, Johann Daniel Von Zabern, lediger Schiffer und burger allhie Weÿl. Andres Von Zabern geweßenen Schiffmanns und burgers allhie und Annæ Margarethæ Wiedenmännin nachgelaßener ehel. Sohn und Jungfr. Catharina Salome, Johann Heinrich Schallen vormahliger Carduaners und Burgers allhuer und Annæ Catharinæ Peterin ehelige Tochter [unterzeichnet] Johann Daniel Von Zabern als Hochzeiter, Catharina Salome Schallin als hochzeiterin (i 228)
Le cordonnier Jean Daniel Fauerbach et sa femme Marie Elisabeth Metz font vendre des objets mobiliers devant la maison de Jean Frédéric Ensfelder rue du Chaudron
1772 (13.4.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 627) n° 15
auf Ansuchen herrn Johann Daniel Fauerbachs Schumachers und burgers alhir und deßen Ehefraun Maria Elisabetha geb. Metzin hernachbeschriebene Ihnen eigenthümlich gehörige hausräthliche Mobilien vor einer alhier ane dem Kößelgäßlein gelegenen herrn Joh: Friedrich Ensfelder dem Schwartzbecken zuständigen becken behausung offentlich versteigert
Anne Marie Schweigheusser meurt en 1781 en délaissant quatre enfants et une petite-fille issue de sa fille aînée. L’actif de la succession s’élève à 580 livres, le passif à 250 livres.
1781 (19.9.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 559) n° 345
Inventarium über Weÿland Fraun Annä Mariä Ensfelderin geb. Schweighäußerin, längst weÿl. H. Georg Christian Ensfelders geweßenen Schwartzbecks u. b.s allh: Zu Straßb. nachgelaßener Wb. Verlaßenschafft, auffgerichtet im Jahr 1781 – nach ihrem den 22. Aug. laufenden 1781.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödl. hintritt hier Zeitl. verlaßen, welche Nahrungs: Verlaßenschafft dato zu end stehend auff Ansuchen der Verstorbenen seel. ehelich erzeugter Herren Söhne, Frauen Töchtere und Jgfr: Enckelin als ab intestato hinterlaßener (…) Erben – So geschehen Straßburg auf Mittwoch den 19.ten Sept: 1781.
Die Verstorbene hat ab intestato zu Erben verlaßen Ihre mit eingangs benanntem geweßenen Ehemann erzeugte Herren Söhne, Frauen Töchtere und Aus einer Verstorbenenn Tochter entsproßene Jungfer Enckelin, benantlichen 1° Weÿl. fraun Annæ Mariæ Rothin geb. Ensfelderin mit Herrn Joh: Georg Roth dem Weis: beck u. b. allh. ehelich erziehlte majorenne und unbevögtigte tochter Nahmens Maria Elisabetha Rothin, welche beiständl. ihres Vorbenannten Vaters persohnl. Zugegen, 2.do Herrn Johann Daniel Ensfelder Notarium jur: publ. und Verschiedenen hoch Adelicher Familien wohlbestellten Schaffner auch burgern allh. hiebeÿ anweßend, 3. H. Johann Friedrich Ensfelder Schwartzbeck und burger hieselbsten beÿ dießem Geschäfft zugegen, 4. Frau Catharinam Dorotheam Robertin geb. Ensfelderin Herrn Joh: Friedrich Robert des Kunstdrehers u. b. allh: Fr. Eheliebste unter der Autorisation ihres Ehemanns Zugegen, 5.to Frau Margaretham Salome Schollin geb. Ensfelderin H. Joh: Daniel Scholl Sattlermeisters und burgers allhier Ehefrau, welche beneben solchem ihrem Ehemann beÿ dieser Inventur erschienen ist Und dann 6.to H. Georg Christian Ensfelder, Weißbeck und Burger allhier Zu Straßburg ebenfalls persönlich gegenwärtig
Copia der Defunctæ auffgerichteten Dispositionis inter Liberos
In einer allhier zu Straßburg ane dem Keßelgäßlein gelegenen von der verstorbenen bewohnten behaußung sich befunden hat Wie folgt
hausrath 26 lb, silbers 2 lb, goldene ringe 2 lb, Pfenningzinß hauptgüter 550 lb, Summa summarum 580 lb – Passiva 250 lb, compensando 330 lb – Stall summa 240 lb
Letzten willen in mein des Notary ane der dorns-gaß gelegenen behausung und zwar in deren auf dem boden befindlichen meiner ordinarÿ Schreibstub, Johann Daniel Schweighäußer den 17. Martÿ 1769
Jean Frédéric Ensfelder et Catherine Salomé Schall hypothèquent la maison au profit du notaire Jean Daniel Ensfelder (leur frère et beau frère respectif)
1784 (17.5.), Chambre des Contrats, vol. 658 f° 197-v
Johann Friedrich Ensfelder der schwartz beck und Catharina Salome geb. Schallin unter assistentz Johann Schäffer des schwartz becken und Johann Jacob Bäer des schloßermeisters
in gegensein H. Johann Daniel Ensfelder notarii publici jurati ac practici – schuldig seÿen 300 gulden
unterpfand, eine behausung samt Zugehörden ane dem Keßelgäßlein, einseit neben H. Wencker, anderseit neben Fr. Schatzen, hinten auff H. Cladÿ und Marchand
Catherine Salomé Schall meurt en 1810 en délaissant une fille de son premier mariage et un fils du veuf
1810 (28.6.), Strasbourg 3 (34), Not. Übersaal n° 1194, 5444
Inventaire de la succession de Catherine Salomé Schall épouse de Jean Frédéric Ensfelder décédée le 5 du présent mois – à la requête de 1. le veuf, 2. Anne Catherine Zabern épouse de Jean Jacques Baer, serrurier, fille du premier lit de la défunte avec Daniel Zabern batelier et 3. Jean Ensfelder boulanger en second mariage
Contrat de mariage devant Me Marbach le 8 novembre 1763 (joint, inventaire des apports)
dans une maison située en cette ville rue du chaudron n° 5 appartenant au fils
propres du veuf, meubles 106 fr, argenterie 52 fr, créances 592 fr, remploi 750 fr, apports inventaire des apports reçu Marbach le 14 mai 1764, total des biens propres 2442 fr
propres des enfants, meubles apportés 374 fr, argenterie 146 fr, garde robe 135 fr, donation au contrat de mariage 140 fr, contrat de vente de la maison rue du chaudron n° 5, 1185 fr, remploi 759 fr, total des propres 1980 fr, déduire don matutinal 592 et 759 fr, reste 628 fr
communauté, meubles 292 fr, les enfants doivent 759 fr, remploi du veuf 1832 fr, déficit 780 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 115 F° 15 du 29.6.
Jean Frédéric Ensfelder et Catherine Salomé Schall cèdent la maison à leur fils boulanger Jean Ensfelder et à sa femme Catherine Salomé Zeys moyennant 7900 francs
1807 (28.11.), Strasbourg 3 (52 B), Not. Übersaal n° 2003, 4047
Jean Frédéric Ensfelder ci devant Boulanger et Catherine Salomé Schall
à Jean Ensfelder boulanger et Catherine Salomé Zeys
La maison appartenante au Sr Ensfelder père comme lui étant avenue dans la succession paternelle située en cette ville rue du Chaudron n° 5, d’un côté celle de Jean Weis peignier d’autre celle de Jacques Kirchner serrurier derrière sur la maison du Sr Drens négociant et sur celle du Sr Fritz orfèvre – moyennant 7900 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 104 F° 47-v du 30.11.
Jean Ensfelder épouse en 1799 Catherine Salomé Zeys, fille d’aubergiste
1799 (24 fructidor 7), Strasbourg 7 (28), Not. Stoeber n° 459 (773)
Eheberedung – erschienen Burger Johannes Ensfelder, lediger Beck alhier, Burgers Johann Friderich Ensfelder, becken alhier mit Burgerin Catharina gebohrner Schallin ehelich erzeugter Sohn, als Hochzeiter ane eim, unter assistentz dieses seines Vaters
so dann die Burgerin Catharina Salome Zeÿß, die ledige weiland burgers Johann Andreä Zeÿß geweßenen Gastgebers alhier mit auch weiland der burgerin Anna Maria gebohrner Hebenstreitin ehelich erzeugte Tochter beiständlich burgers Johann Daniel Zeÿß, Secretaire en Chef bei hiesiger Municipalitæt ihres bruders als braut am andern theil
Geschehen alhier Zu Straßburg den 24. fructisor im 7. Jahr der Fränckischen einen und unzertrennichen Republick.
Enregistrement de Strasbourg, acp 69 F° 169 du 3 compl. 7
Catherine Salomé Zeys meurt en janvier 1829 en délaissant trois fils. La succession comprend la maison rue du Chaudron et deux autres à la Robertsau
1829 (4.4.), Strasbourg 8 (47 nouv. cote), Me G. Grimmer n° 2678
Déclaration tenant lieu d’inventaire des biens délaissés par Catherine Salomé Zeys femme de Jean Ensfelder, boulanger, décédée le 4 janvier dernier – à la requête de Jean Ensfelder le veuf, tuteur naturel de Frédéric Charles 18 ans, Jean Théodore Ensfelder, 24 ans étudiant en théologie, Frédéric Edouard Ensfelder 23 ans boulanger – en présence de Ferdinand Charles Gabriel Mattes, tonnelier et marchand de vins subrogé tuteur
Contrat de mariage reçu Stoeber père le 24 fructidor 7 (7 novembre 1799)
immeubles, 1. une maison située à Strasbourg rue du Chaudron n° 5, d’un côté Jean Weiss peignier, d’autre Jacques Kirchner serrurier, derrière la maison du Sr Drens, négociant et celle du Sr Fritz orfèvre – acquis de Jean Frédéric Ensfelder ancien boulanger et de Catherine Salomé Schall ses père et mère par acte reçu Me Ubersaal le 28 novembre 1807
2. une maison, grange, écurie, cour, jardin et un terrain y attenant, appartenances et dépendances située à la Robertsau canton dit Hinterort n° 63, d’un côté la chaussée, d’autre le jardin Heyd (et terres à la Robertsau), acquis de Conrad Henri Zacharie Molck, officier de santé, et de Marie Sophie Clady suivant acte reçu Me Roessel le 28 mars 1817
5. une maison et dépendances située à la Robertsau canton dir Hinterort ou Beulenwoerth n° 56 consistant en maison de maitre, maison de fermier ou jardinier, cour, grange, écurie et jardin formant un enclos de la contenance superficielle d’environ 60 ares, d’un côté Jean Hagenstein, devant la rue communale, d’autre André Schultz, derrière la veuve et héritiers Jean Jacques Vogt, acquis de Salomé Mathys veuve de Jean Jacques Vogt, cultivateur, par acte reçu Me Lex le 29 janvier 1824
garde robe 120 fr, mobilier 467 fr, créances 6500 fr total de l’actif de la communauté 6967 fr – passif, pour mémoire
Enregistrement de Strasbourg, acp 194 F° 55-v du 11.4.
Jean Ensfelder cède sa part de maison à son fils Frédéric Edouard
1843 (28.6.), Me Zeyssolff (minutes en déficit, acte non transcrit)
Donation entre vifs à titre de partage anticipé par Jean Ensfelder père boulanger à Strasbourg
à ses trois enfants issus de son mariage avec Catherine Salomé Zeyss son épouse décédée et comme tels héritiers chacun pour un tiers dans la succession de leur mère savoir Jean Théodore Ensfelder, ministre du culte protestant à Dossenheim, Frédéric Edouard Ensfelder, boulanger et Frédéric Charles Ensfelder Marchand de papier les deux à Strasbourg
I. à Frédéric Edouard Ensfelder
les trois 6° indivis avec ses fils d’une maison sise à Strasbourg rue du Chaudron N° 5, ladite moitié évalués à un revenu annuel de 450 francs
Le Sr Ensfelder donataire se réserve la jouissance gratuite sa vie durant de la moitié ed la maison et dépendances qu’il vient de donner à son fils. Cette donation faite à charge par le Sr Edouard Ensfelder de payer à ses deux fères codonataires une somme de 3000 francs au jour du décès de M. Ensfelder père avec intérêts
acp 311 (3 Q 30 026) f° 83-v du 3.7.
Théodore et Frédéric Charles Ensfelder cèdent leurs parts de maison à leur frère Frédéric Edouard Ensfelder qui en devient ainsi seul propriétaire
1843 (29.6.), Me Zeyssolff (minutes en déficit, acte non transcrit)
Vante par 1° le mandataire de Théodore Ensfelder, ministre du culte protestant et Caroline Henriete Oertel conjoints à Dossenheim, 2° Frédéric Charles Ensfelder Marchand de papier et de Marie Elisabeth Goenner son épouse à Strasbourg
à Frédéric Edouard Ensfelder, boulanger à Strasbourg
des deux 6° indivis avec l’acquéreur propriétaire des quatre autres 6° d’une maison sise à Strasbourg rue du Chaudron N° 5 moyennant la somme de 6000 francs. Le Sr Ensfelder acquéreur propriétaire des quatre autres 6°, savoir d’un 6° pour en avoir fait héritage dans la succession de sa mère décédée, trois 6° en vertu de l’abandonnement à lui fait par son pète en vertu de la donation pré alléguée
acp 311 (3 Q 30 026) f° 84 du 3.7.
Frédéric Edouard Ensfelder épouse en 1830 Chrétienne Madeleine Bochinger, fille de tisserand
1830 (4.6.), Strasbourg 10 (82), Me Zimmer n° 819
Contrat de mariage – Frédéric Edouard Ensfelder, garçon boulanger né le 29 octobre 1805 (7 brumaire 14) fils de Jean Ensfelder, boulanger, et de feu Catherine Salomé née Zeyss
Christine Madeleine Bochinger née le 7 août 1804 (19 thermidor 12) fille de feu Jean Bochinger, tisserand, et Christine Madeleine Lutz actuellement épouse de Jean Daniel Goenner
Partage des biens de Jean Ensfelder après la mort de Jean Ensfelder en août 1849
1849 (29. 7.br), Strasbourg 10 (114), Not. Zimmer subst. par Burtz n° 8034
Partage – Ont comparu 1. M. Jean Théodore Ensfelder, pasteur protestant demeurant et domicilié à Dossenheim, 2. M. Frédéric Edouard Ensfelder, boulanger, 3. M. Frédéric Charles Ensfelder marchand de papier, ces deux derniers demeurant et domiciliés à Strasbourg, tous trois agissant ès présentes comme seuls enfants & uniques héritiers pour un tiers chacun de leur père feu Mr Jean Ensfelder, en son vivant boulanger à Strasbourg où il est décédé le 12 août dernier. Lesquels voulant sortir de l’indivision qui a existé entre eux relativement aux biens meubles et immeubles qui dépendaient de la succession dudit sieur Jean Ensfelder ont requis M° Burtz substituant M° Zimmer de transcrire ci après les lots tels qu’ils s’en sont fait l’attribution amiable
acp 387 (3 Q 30 102) f° 60 Succession 1) meubles estimés 814, 2) créances 12.079, 3) argent comptant 1000, 4) immeubles une maison à Schiltigheim rue Schlittweg N° 231 estimée 2800, 5°Rapport 1816, total 18.507
Attributions (…)
Christine Madeleine Bochinger meurt en 1866 en délaissant quatre fils
1866 (19.6.), Strasbourg 10 (156), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 16.652
Inventaire 1) de la communauté de biens qui a existé entre Frédéric Edouard Ensfelder ancien boulanger et feue Dame Christine Madeleine Bochinger son épouse défunte et 2) de la succession de cette dernière décédée en son domicile à Strasbourg le 14 mars 1866.
L’an 1866, me Mardi 19 juin à deux heures de relevée à la requête de I) M. Frédéric Edouard Ensfelder, ancien boulanger demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en son nom personnel 1) à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts et partageable par moitié qui a existé entre lui et feue dame Christine Madeleine Bochinger son épouse défunte aux termes de leur contrat de mariage passé devant Me Zimmer notaire ci après nomme le 4 juin 1830. 2) à cause des avantages matrimoniaux résultant à son profit du contrat de mariage susallégué, 3) et à cause des reprises en deniers qu’il peut avoir à exercer sur ladite communauté pour biens propres aliénés ou dénaturés pendant le mariage et des reprises en nature des biens propre encore existants.
II) M. Frédéric Edouard Ensfelder, pasteur à Tieffenbach canton de la Petite Pierre, demeurant et domicilié au dit lieu, III) M. Théodore Emile Ensfelder, boulanger, IV) M. Charles Eugène Ensfelder, artiste, V) M. Gustave Ensfelder, épicier, ces trois demeurant et domiciliés à Strasbourg,
M.M. Frédéric Edouard Ensfelder fils, Théodore Emile Ensfelder, Charles Eugène Ensfelder et Gustave Ensfelder agissant en leurs noms personnels comme issus du mariage de M. Frédéric Edouard Ensfelder père requérant avec feue dame Christine Madeleine Bochinger son épouse défunte dont ils sont habiles à se dire et porter seuls héritiers chacun pour un quart
Héritages. La défunte dame Ensfelder a en outre recueilli 1) dans la succession de son père Jean Bochinger vivant tisserand à Strasbourg 32/66 d’une maison située à Strasbourg rue des roses impasse St Thomas N° 4 (…)
Indemnité. Aux termes d’un acte de donation entre vifs à titre de partage anticipé dressé par ledit M. Zeyssolff le 28 juin 1843, M. Jean Ensfelder père du veuf a fait donation à ce dernier des trois 6° indivis d’une maison sise à Strasbourg rue du chaudron N° 5, à charge de payer à ses deux frères Jean Théodore Ensfelder et Frédéric Charles Ensfelder une somme de 6000 francs
Par contrat de vente reçu par ledit M° Zeyssolff le 29 juin 1843 M M Jean Théodore Ensfelder et Frédéric Charles Ensfelder ont vendu à M. Ensfelder veuf les deux 6° leur appartenant dans ladite maison moyennant le prix de 6000 francs payés des deniers de la communauté Ensfelder-Bochinger
M. Ensfelder veuf ayant recueilli le dernier 6° de cette maison dans la succession de sa mère, il s’ensuit qu’il est propriétaire de la totalité de cet immeuble qu’il reprendra
acp 554 (3 Q 30 269) f° 99-v du 20.6. (succession déclarée le 13. 7.bre 1864)
Communauté. maison 1598, créances 31.200, argent 600
Succession, garde robe 254, reprises 20.054, bénéfice de la communauté 11.347
Frédéric Edouard Ensfelder fait donation de la maison à son fils boulanger (Théodore) Emile Ensfelder lors de son mariage avec Eugénie Sophie Bochinger, fille de brasseur
1866 (2.10.), Strasbourg 10 (157), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 16.786
Contrat de mariage – Ont comparu 1. M. Théodore Emile Ensfelder, boulanger, demeurant et domicilié à Strasbourg, né à Strasbourg le 28 août 1834 du légitime mariage de M & Mad Ensfelder ses père et mère ci après nommés, stipulant comme futur époux
2. Melle Eugénie Sophie Bochinger, mineure sans état, demeurant et domiciliée à Strasbourg, née en cette ville le 23 février 1846 du légitime mariage de M. & Mad. Bochinger ci après nommée, stipulant comme future épouse
3) M. Frédéric Edouard Ensfelder, père, ancien boulanger demeurant et domicilié à Strasbourg veuf de Mad. Christine Madeleine Bochinger sa femme défunte, agissant ès présentes à cause de la donation qu’il va faire ci après en faveur du Sr futur son fils
4° et Mad. Sophie Salomé Dietsch demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Jean Frédéric Bochinger, en son vivant brasseur en le même ville agissant ès présentes pour assister et autoriser la Dlle future sa fille à cause de la délivrance d’une partie de sa portion paternelle qu’elle va faire en sa faveur
Article six. En considération du futur mariage, M. Ensfelder père donne et constitue en dot à M. Ensfelder, futur époux, son fils, ci acceptant avec dispense de rapport en nature, Une maison boulangerie avec appartenances et dépendances, sise à Strasbourg rue du Chaudron n° 9 entre M. Dipper et la veuve Schott, par derrière les Sr Pierrot & Auffinger. Cette maison appartient à M. Ensfelder père pour avoir recueilli un 6° dans la succession de sa mère De Catherine Salomé Zeyss décédée épouse de M. Jean Ensfelder, alors boulanger à Strasbourg, pour avoir reçu trois 6° de son père ledit Jean Ensfelder en vertu d’un acte contenant donation à titre de partage anticipé, dressé par Me Zeyssolff alors notaire à Strasbourg le 28 juin 1843 et pour avoir acquis les deux 6° restant du même immeuble de ses deux frères M. Jean Théodore Ensfelder, pasteur portestant à Dossenheim et M. Frédéric Charles Ensfelder, propriétaire à Strasbourg aux termes d’un contrat passé devant ledit M° Zeyssolff le 29 juin 1843. Ces deux derniers avaient eux-mêmes recueilli les deux 6° indivis du dit immeuble dans les successions de leur mère sus nommée de laquelle Dame M. Ensfelder père comparant & ses deux frères étaient seuls héritiers chacun pour un tiers ainsi que le tout se trouve constaté dans l’inventaire de la succession de Mde Ensfelder née Ensfelder dressé par Me Zimmer oussigné le 19 juin 1866. (…) Le prix de la maison donnée est fixé définitivement à la somme de 22.000 francs que le futur s’oblige de rapporter à la succession de son père donateur, sauf à y prendre sa part héréditaire lors de la liquidation de cette succession
acp 557 (3 Q 30 272) f° 6-v du 3.10.