8, rue des Echasses
Rue des Echasses n° 8 – V 60 (Blondel) – N 1225 puis section 64 parcelle 38 (cadastre)
Reconstruite par le revendeur Pierre Labelly, 1758
Façade (mai 2014) – Ferronnerie (août 2012)
La maison appartient au XVII° et au XVIII° siècle à des artisans ou de petits marchands parfois aisés qui possèdent une autre maison. Elle a un rez-de-chaussée occupé par un atelier surmonté de deux étages avant même qu’elle ne soit « construite à neuf de fond en comble » (1758) en pierre. Elle comporte depuis lors des éléments architecturaux caractéristiques de l’époque : chaînage, appuis de fenêtres galbés, bandeaux entre les différents niveaux. Le serrurier Chrétien Litti charge le maître maçon Antoine Klotz d’aménager un atelier au rez-de-chaussée en 1768.
L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Les dessins préparatoires au plan-relief de 1830 montrent à droite du repère (e) un rez de chaussée surmonté de deux étages et un étage mansardé, ce qui correspond au volume actuel. Une deuxième porte a été ajouté depuis lors sur la gauche de la façade.
La cour (E) montre la façade arrière entre (1) et (4), un petit bâtiment accessoire au nord entre (4) et (3), un autre plus bas à l’ouest entre (3) et (2) et enfin le mur de la maison voisine au sud entre (2) et (1).
La maison porte d’abord le n° 3 (1784-1857) puis le n° 8.
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 78
Elévations, cour E
septembre 2013
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1660 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
Georges Herrmann, tourneur, et (1659) Elisabeth Schott – luthériens Jean Georges Köhnlin, tourneur, et (1675) la précédente puis (1694) Marguerite Græff – luthériens | |||
1696 | v | Mathias Hermes, maître d’école, notaire, et Anne Marie Schützenberger – catholiques puis indivis entre (a) Anne Marie Hermes et (1707) Nicolas Jacquemin, revendeur (b) Marie Eve Hermes et (1709) Mathias Hibach, tailleur (c) Anne Rosine Hermes et (1716) François Pierson, soldat | |
1736 | h | Anne Marie Hermes et (1707) Nicolas Jacquemin, revendeur – catholiques | |
1751 | v | Pierre Labelly, revendeur, et () Marie Catherine Olinet – catholiques | |
1770 | v | Chrétien Litti, serrurier et (1746) Anne Catherine Olinet – catholiques | |
1790 | v | Martin Litti, serrurier, et (1774) Catherine Langlois – catholiques | |
1798 | h | Marie Anne Catherine Litti et (1796) Louis Victor Laudier, capitaine | |
1798 | v | Michel Wiederroder, grainetier, et (1770) Anne Barbe Günther – luthériens | |
1801 | v | Georges Flamm, serrurier, et (1793) Marie Barbe Colot | |
1827 | v | Wenceslas Kirtschmars, serrurier, et (1812) Jeannette Gœrner | |
1838 | v | Bernard Kœhl, serrurier | |
1859* | Jacques Fey, serrurier | ||
1893* | Constant Jules Fey |
(1765, Liste Blondel) V 60, Pierre Labelly
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Ledig, 4 toises, 2 pieds et 4 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 1225, Kirschmars, Venceslas, serrurier – maison, sol – 0,78 are, (ensuite) Koehle Bernard
Locations
1692, Antoine Heinrich, menuisier, et Marie Salomé Pipp
1703, Christmann Dautel, avocat
1751, François Rousseau, menuisier
1758, Jean Georges Linder, maître de pension
1763, François Barthelemy, prêtre
1766, Claude François de Chavasine, marchand
1837, (atelier) Bernard Kœhl, serrurier
Localisation sur le plan Blondel (1765)
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1774, Préposés au bâtiment (VII 1416)
Les Préposés au bâtiment font comparaître Graufel, maçon du sieur Litti, qui a transformé le toit sans retirer la gouttière. Ils donnent deux mois au propriétaire pour la supprimer
(f° 121) Dienstags den 8. Novembris 1774. M Litti Schloßer, Mr Graufel Maurer – Mr Graufel der Maurer wurde vorbeschieden und wider ihn klagend angebracht, daß er an Mr Litti, des Schloßers behausung das tach über gangen ohne den daran in das Steltzen Gäßel fallende Ausschuß Naach weg zu machen.
Beklagter mit Mr Litti erscheinend sagend Zur verantwortung, daß der Ausschuß Naach zugemacht werden solle. Erkannt, Wird Meister Litti Zweÿ Monat zeit gegeben den Ausschuß Naach völlig wegmachen zu laßen.
Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)
Le maître maçon Antoine Klotz rapporte les travaux que le serrurier Chrétien Litti l’a chargé de faire dans sa maison rue des l’Echasse : aménager un atelier de serrurier au rez-de-chaussée vers la rue, poser une chaudière à lessive à droite de la cour.
(p. 169) Sambstags d. 27. Septembris 1768 – Mr Christian Littÿ der Schloßer will in seiner im Steltzengäßlin gelegenen Behaußung au rez-de-chaussée auf das Keller gewölb gegen der gaß eine Schloßers werckstatt mit Eß und Camischoß setzen, das rohr mitten durchs gebäu, von allem holtz entfernt.
Ferners im Hof lincker hand einen Bauchofen mit einem Caminschoß setzen, das rohr im hauptgebäu gegen der Zunfft Stube Zur Steltz biß über das Tach hinaus führen Von allem holtz entfernt. Erkannt Willfahrt. Mr Klotz
Protocole de tribus
1746, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 104)
La maison doit un cens de 4 sous pour une fenêtre qui donne dans la cour du poêle des Echasses. Nicolas Jacquemin a l’intention de murer la fenêtre et demande à ne plus le verser. Le tribunal accepte sous la réserve de vérifier que le cens est bien dû pour la fenêtre
Donnerstag den 2.ten Junÿ Anno 1746 ist ein Quartal Gericht gehalten
(f° 3-v) Nicolas Jaquemind der Fastenspeishändler welcher hinter E.E. Zunfft der Steltz wohnet Zinnß und Jährlichen auf Joh. Bapt: Von Einem in seinem hauß befindlichen und in der Zunfft Hoff außsehenden Fenster 4. ß d. Zinnß Zureichen hat, stehet Vor und bittet weilen Er das fenster zumauren zulaßen gesinnet, Ihme den Jährl. Zinß Zuerlaßen.
Erkand solle biß Joh. Bapt: nächstkünfftig das fenster Zumauren und auch auf solche zeit die jährlich gereichte 4 ß d Zinnß Zum letzten mahl zu bezahlen schuldig seÿn, es seÿe dann daß Ihme Von E.E. Zunfft erwießen würden daß die Jährlich gereichte 4. ß d. nicht Von solchem fenster sondern Von etwaß anders herrührig.
1770, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 13) f° 254
Michel Wiederrother comparaît devant le tribunal des boulangers pour avoir vendu du pain au-dessous du tarif
(f° 28-v) Kauffgericht Gehalten den 30.ten Octobris 1770
Straff – Georg Hirschel d. geschw. Rieger Klagt Cra Michael Wiederrother den frantz. Weißbecken, daß derselbe 6. brod, so dam Tax nach 13. s betragen, um 12. s, also 1. s unterm Tax verkaufft, requirirt bek. nach dem Articul, abzustraffen.
Bekl. ist der Anklag in soweit geständig, daß Er bekunt 6. brod vor 12. s verabfolgen haben zu laßen er seÿe aber in Meÿnung geweßen, solch abgeholte brod seÿen Vor Erlenholtz dem Rubenoch Würth, dem Er 1 s rükständig Verblieben, deßhalb Er um absolution gebetten.
Nach angehörter Klag, Verantwortung v. gehaltener Umbfrag, Ist Erk. seÿe bekl. in 12. ß Straff v. in die Heutige Gerichts Costen zu condemniren.
Description de la maison
- 1749 (billet d’estimation traduit) La maison comporte un atelier de menuiserie à côté de l’entrée, une petite cuisine à l’arrière, le premier étage comprend un poêle, deux chambres, une cuisine et un vestibule, le deuxième étage un poêle, deux chambres, une cuisine et aussi un vestibule, le vieux comble est couvert de tuiles creuses, il y a encore une petite cour et une cave voûtée. Le tout est estimé à mille cinq cents florins.
Atlas des alignements
2° arrondissement ou Canton nord – Rue des Echasses
nouveau N° / ancien N° : 5 / 3
Flamm
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 21 f° 365 case 1
Koehl, Bernard à Strasbourg
N 1225, R. des échasses 3, maison, sol
Contenance : 0,78
Revenu total : 117,41 (117 et 0,41)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 23 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus : 9 / 7
Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1221 case 1
Koehl, Bernard
1859 Fey, Jacques, serrurier à Strasbourg
1893/94 Fey Constanz Julius
N 1225, Rue des echasses 8, maison, sol
Contenance : 0,78
Revenu total : 117,41 (117 et 0,41)
Folio de provenance : (365)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 23
fenêtres du 3° et au-dessus : 9
Cadastre allemand, registre 31 p. 502 case 3
Parcelle, section 64, n° 38 – autrefois N 1225
Canton : Stelzengasse, Hs Nr. 8 – Stelzengäßchen
Désignation : Hf, Whs. u. NG / Hf. Whs.
Contenance : 0,88
Revenu : 900 – 1400
Remarques :
compte 2152
Fey Constant Julius
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton V, Rue 145 des Echasses (p. 260)
(maison n°) 3
Pr. Littig née Olinet Catherine – Marechaux
lo. Littig née Langlois – Marechaux
VII 1295, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants
(maison n°) 3
P. Mad. Catherine Littig née Olinet séparée de son Mary – Marechaux
L. Catherine Littig née Langlois Ve – Marechaux
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Steltzengasse, I. Rev. J. 8, Von Münstergasse gr. Nrn. r., ungr. l.
(Haus Nr.) 8
Hagenstein, Schlosserm. 0
Amann, Schuhmacherm. 1
Fey, Lehrerin a. D. 2
Trepp, Tagnerin. 3
Walter, Schulzmann. 3
Relevé d’actes
La maison appartient à Elisabeth Schott qui épouse en premières noces le tourneur Georges Herrmann en 1659 et en deuxièmes Jean Georges Köhnlin en 1675
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 105, n° 34)
1659. den 26.ten Junÿ. Zum 2.mahl Georg Herrmann der Treher und Bürger alhier und Jfr. Elisabeth Weilandt Hannß Schotten gewesenen Schwartzbecken hinterlassene ehel. Tochter. Montags den 4.ten Julÿ Schmidtst: Münster, Adler. (i 106)
Le tourneur Jean Georges Köhnlin originaire d’Œttingen épouse la veuve de Georges Herrmann en 1675 et devient bourgeois. Après la mort de sa femme qui délaisse deux filles, il se remarie en 1694 avec Marguerite Græff
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 9 n° 43) 1675 – Zum 2. mahl hannß Georg Kuenlin der dreher Weiland Johann Kuehnlin Geweßenen Leinenwebere Zu Ötthingen nachgelaßener ehel. Sohn, Elisabeth, Weiland Georg Hermann geweßenen drehers u. Burgers alhier nachgelaßene Wittib. Donnerstags den 9.ten 7.br. Münster (i 10)
1675, 4° Livre de bourgeoisie p. 421
Johann Georg Höhnle der Träher von Öttingen, empfangt das burgerrecht von seiner haußfrawen Elisabetha Hermännin p. 8. goltR welche Er beÿ der Cantzleÿ erlegt hatt, ist zuvor ledig standts gewesenen und will Zu den Zimmerleüthen dienen. Jur. 29. 7.br. 1675.
Compte que rend le tuteur des enfants de Georges Herrmann
1688 (10.4.), Me Lang (Jean Régnard, 29 Not 22) n° 215
Rechnung Mein Philipp Jacob Erhards jetzmahlig. Schaffners des Closters zu St. Margarethen und Agneßen alhie in Straßb. noch ohnentledigten Vogts Frawn Elisabethæ von Carben gebohrner Hermännin, Herrn Johann Friderich von Carben Goldarbeither und burgers allhier ehelich. haußfr., und weÿl. Frawen Catharinæ Flachin gebohrner Hermännin, Johann Flach des Knöpff. v. b. alhier gewesener haußfr., beeder eheleiblicher Schwestern als weÿl. Meister Georg Hermanns gewesenen hohlträhers und burgers alhier mit Fr. Elisabetha gebohrner Schottin, deßelb. hind.bliebener Wittib welche diß mahls ane Meister hannß Georg Köhnlin, auch hohlträher und burger alhier verheurathet, erzeugter Töchter inhaltend was Ich ihrentweg. vom 10.ten Aprilis A° 1688 biß den 10.ten Aprilis A° 1688 vögtlicher weiße eingenommen und hingeg. widerumb außgegeb. habe.
Elisabeth Schott rédige son testament
1690 (2.5.), Me Kitsch (Jean, 1 AH 6296)
(Testament) Demnach heut dato den 2. Maÿ a° 1690. fraw Elisabetha Schottin, hannß Georg Kühnlins, trehers eheliche haußfr. ein Testamentum solenne inscriptis clausis so herr Johann Tromer Not. publ. weilen sie schreibens ohnberichtet war, in Ihrem nahmen underschrieben vnd v.sigelt, mir Not° requisito (…) verlegt
in H Emanuel Dietschi des ältern Knöpffmachers in d. erstern Schuhmach. gegen dem Bickischen hauß und d. Schuhmach. zunfft gaß gelegenen behaußung in einem Kleinen stüblein gad. hoch in Herr XV.er Joh: Balthasar Krauthen hinderhauß stoßend
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 49-v)
1694. Eodem [Dom. XV. post Trinit.] seÿnd Zum I. außgeruffen worden Meister Johann Georg Kähnlen der hohldreher und burger Jfr Margaretha Hr. Valentin Gräffen deß ältern birstenbinders, und burgers allhier eheliche Tochter [unterzeichnet] Johan Georg Köhnlin als hochzeiter, margräda Gräffin als bodenzinßin (i 49)
Jean Georges Kœnlin loue au nom de sa femme Elisabeth Schott la maison au menuisier Antoine Heinrich et à Marie Salomé Pipp
1692 (30. Jun.), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 442
Hanns Georg Könlin, der Hohltreher, alß ehevogt Fr. Elisabethæ gebohrner Schottin [unterzeichnet] Hanß Georg Köhnlin
in gegensein Antoni Henrich Schreiners und Mariæ Salome gebohrner Pippin [unterzeichnet] H anthoine Henrÿ, Mari saalome biben
entlehnt Eine Behaußung mit deren zugehördten allhier im Steltzen Gäßlein einseit neben Hn. – Lempen dem apothecker anderseit neben der Käsischen wittib und hind. auff die Zunfft Stub zur Steltzen stoßend gelegen, auff ein Jahr lang von Michaelis diß jahrs anzurechnen umb einen gewißen Zinß nemblich 15 pfund
Jean Georges Kœhnlin hypothèque deux maisons (Grand rue et rue des Echasses) au profit de Balthasar Frédéric Saltzmann, pasteur au Temple Neuf, pour payer son gendre par alliance Jean Frédéric von Carben
1693 (18. Xbr.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 800-v
Hannß Georg Köhnlin, der Hohltreher
in gegensein Hn Johann Rudolph Saltzmanns J.U. Ddi und E.E. großen Raths Advocat et Procuratoris im Nahmen /:tit:/ Hn Balthasar Friderich Saltzmanns S.S. Theol. Lic. und Pfarrherrn in der Neuen Kirchen allhier seines Hn vatters – schuldig seÿe 225 pfund, Zu dem Ende Er damit ein theil wegen derjenig. forderung so H. Johann Friderich von Carben der Goldarbeiter als Erb ged. Köhnleins Stieff Enckels an Ihne zu thun gehabt
unterpfand, Hauß, Hoffstatt, Höfflein, sambt allen deren gebaüen, rechten, Zugehördten und Gerechtigkeiten allhier ahne der Obern Straßen gegen weil. H. XV. Balthasar Krauten seel. behaußung über, einseit ist ein Eckh ahne der Freÿburger gaß, anderseit neben weÿl. Hn Mathiæ Strohmen gewesenen Hochfürstl. Wirtenbergischen Raths hinterlassenen Wittib und Erben hinden auff die Freÿburger Zunfft Stub stoßend gelegen, darvon gehend jährlich term. Jacobi Apostoli 8 ß d. Allmend gelds Gemeiner Statt von dem Steinern gang
So dann noch ein Hauß, hoffstatt, Höfflein sambt derer gebaüen, rechten, Zugehördten und gerechtigkeiten allhier am Steltzen gäßlein einseit neben H. Andreas Lempen E.E. großen Raths beÿsitzer anderseit neben weÿl. H, Rathherr Käßen sel. Wittib und Erben, hinden auff die Zunfft Zur Steltzen stoßend gelegen, darvon gehend jährlich 4 ß d ged. Zunfft zur Steltzen von Zweÿen steinern Köpffern
Jean Georges Kœhnlin meurt en 1706 en délaissant cinq enfants de son dernier mariage. L’inventaire est dressé dans sa maison Grand rue.
Jean Georges Kœhnlin vend 450 livres la maison à Mathias Hermes, maître d’école de la cathédrale
1696 (7.4.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 222
Johann Georg Köhnlin der hohltreher
in gegensein H. Matthiæ Hermes, Schulmeisters im Münster allhier
hauß, höfflein, sambt dero hofftätten, und allen deren Gebaüen, begriffen, weith. recht. und Zugehördt. allhier im Steltzengäßlein, einseit neben Hn andreß Lempen, dem Apotecker und E.E. großen Raths alten beÿsitzer, anderseit neben Henrich Kasten dem Schuhmacher, hinten auf d. Zunffthauß zur Steltzen stoßend gelegen, von welcher behaußung gehend. jährlich 4 ß Zinnß weg. zweÿer Steinern Köpffer ged. Ers. Zunfft zur Steltzen – umb 450 pfund
[in margine :] Marg: geb. Gräfin hierinnen besgten Künhleins wittib etwa nunmehr ahn Joh: Martin Hafner hohltrehern verheürathet (in gegensein) Nicolas Jacquemin, Tabach: und Anna Margaretha Hermeßin (quittung) den 23. martÿ 1717
Mathias Hermes, originaire de Mosterhausen dans l’archevêché de Trèves, devient bourgeois par sa femme Anne Marie Schützenberger. L’inscription dans le livre de bourgeoisie par achat est interrompue et reportée un peu différemment dans le livre de bourgeoisie par mariage.
1696, 4° Livre de bourgeoisie p. 674
H: Mathias Hermes, schulmeister im Münster auß dem Ertzstifft Trier, H: Mathiæ Hermes Vogts daselbst Ehl: sohn, empfangt das burgerrecht Von Anna Maria, weÿl. Hanns Wolff Schützenbergers geweß: Mühlartzten, hint: tochter seiner jetzigen haußfraw sampt 2. Kindern gratis, wird auch beÿ E.E. Zunfft der Fischer dienen, Juravit d. 5. Ejusd. 1696
1696, 3° Livre de bourgeoisie p. 1171
H: Mathias Hermes, schulmeister im Münster von Mosterhaußen auß dem Ertzstifft Trier H: Mathiæ Hermes Vogts daselbst Ehl: sohn [interrompu, voir IV° livre]
Anne Marie Schützenberger, femme du notaire Mathias Hermes, meurt en 1701. Elle délaisse trois filles. Les experts estiment la maison 275 livres. La somme finale de la succession s’élève à 207 livres
1702 (4.7.), Me Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 4)
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen haab, Nahrung undt Güethere, so weÿland die viel Ehren und tugendsahme fraw Anna Maria gebohrne Schützenbergerin deß Wohl Ehrenvest und Rechtsgelehrten Herrn Matthiæ Hermes, Notarÿ publici jurati Procuratoris beÿ E. hochwürdigen Consistorio et Practici, burgers allhier Zu Straßburg gewesener frawen Eheliebstin, nunmehro seeligen, nach ihrem den 3.ten Novembris deß zurückgelegten 1701.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt, Zeitlichen hinterlaßen, welche auf ansuchen, erfordern und begehren deß Herrn Johannis Schweitzers Eines Ehrsahmen Großen Rathß Nunmahligen beÿsitzers alß geordnet und geschworenen Herrn Curatoris Jungfrawen Annä Mariä, Mariä Evä und Annä Rosinä der Hermeßinen dreÿer der seelig abgeleibten mit dem hinterbliebenen Herrn Wittiber ehelich erziehlter töchter und ab intestato Erben – Actum in der Königl. freÿen Statt Straßburg den 4.ten Monats tags Julÿ Anno 1702.
Bericht über dießen Inventarium. Auff dem von dem Herrn wittiber beÿ antritt dießer Inventur gethaner Nachricht, ist weder Eheberedung, Inventarium noch anderer Contract Zwischen ihme und der seeligen frawen uffgerichtet worden, deßentwegen dann dieße gegen wärtige verlassenschafft nach hießiger löblicher statt wohlhergebrachten observantz beschrieben und die abtheÿlung eingerichtet worden (…)
In einer in der statt Straßburg ane der Steltzengaß gelegenen in dieße Verlassenschafft gehörigen behaußung befunden worden
Holtz und Schreinwerck. In der obern stum Cammer, In der Cammer A
Eÿgenthumb ane einer behaußung. Item ein hauß, höfflein sambt dero hoffstätten und allen deren selben gebäwen, begriffen, weithen rechten und Zugehörden, gelegen allhier zu Straßburg in der Steltzengaß einseit neben S.t. herrn Andreä Lempen E.E. Großen Rathß beÿsitzern, anderseit neben Meister Niclauß Lambert dem Schneider, hinten vf E.E. Zunfft Zur Steltzen stoßend, von welcher behaußung gehend Jährlichen 4 ß Zinnß wegen Zweÿer steinerne Köpffer, gedachter Ehrsamen Zunfft Zur Steltzen, Sodann 8. lb. Jährlich Zinnßes, Meister Johann Georg Köhl dem hohlträher und burger allhie fällig vf den 7.ten Aprilis, ablößig mit 200. lb, sonsten freÿ ledig und eÿgen, und ist solche, wie der Zu mein deß Notarÿ Inventarÿ concept geschickten Abschatzungs schein sub dato 8° Februarÿ 1702 weißet durch der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistern ordnungs mäßig angeschlagen vor und umb 275. lb. Abgezogen obige beschwährden restirt annoch so allhier außzuwerfen 75. lb. Hierüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg Cancelleÿ Contract Innsigel verwahrt subdato Septimo Aprilis 1696. Im übrigen aber Kein fernerer bericht noch Document beÿ gegenwärtiger Inventation sich befunden.
– Abschatzung Mittwoch d: 8. febr. 1702. Auff begehren deß Ehr hafften und bescheidenen Herr Mathias härmer Notharius behaußung alhie in der statt Straßburg im stältzen Gäßell, Ein seitz Neben Herr Rathherr Lemppen, ander seitz neben Niclauß Lumbberth dem Schneider, hinden auff Einer Ehrsamen Zunfft der stältzen stoßendt, welche behaußung sambt hoff und einen Gewölbten Keller auch übrig. begriff zu Gehör und Gerechtigkeit, Wie solches in der besichtigung befunden und dem jetzigen Preiß nach angeschlagen, Vor und umb Fünff hundtert Fünffzüg Gulden. Bezeugnus der Statt Straßburg geschworne Werckhleuth, Joseph Lauttenschlager Werckmeister deß Münsters, Jacob Staudacher Werckh Meister des Maur hofs. Johan Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmerhoffs
Directorium. Sa. hausrathß 86, Bibliotheca 6, Silbergeschmeid 6, Gold. ring 3, baarschafft 15, Eÿgth. an i. behaußung 75, Activor. 24, S.S. 216 lb – Sa. mentionirter Passivorum 9 lb, Uber abzug solcher Passiv schulden 207 lb
Hieran gebührt allforderistens dem herrn wittiber vor die Leibthat zum vorauß 10 lb
Verbleibt alß dann zu vertheÿlen übrig 197. lb
Summa finalis hujus Inventarÿ 207. lb
Mathias Hermes, notaire et procureur de l’Officialité, meurt deux ans plus tard. La somme finale de la succession s’élève à 144 livres
1703 (25. 7.br), Me Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 4)
Inventarium und beschreibung aller derjenig. haab, Nahrung undt Güether, so weÿland der Wohl ehrenvest und Rechtsgelehrte Herr Matthÿas Hermes gewesener Notarius juratus publicus, Einer hochfürstlichen Officialität wohlbestellter Procurator ordinarius et Practicus, und burger allhier Zu Straßburg nunmehr seeliger, nach seinem den 4.ten Septembris dießes Lauffenden 1703. Jahrs auß dießem müheseeligen Leben genommenen tödlichen hientritt, Zeitlichen hinterlaßen, welche auf großgünstiges ansuchen, erfordern und begehren deß wohl Edelvest, hochachtbaren und weißen Herrn Johannis Schweitzers E. E. Großen Rathß alten beÿsitzers alß geordnet und geschworenen Herrn vogts Jungfrawen Anna Maria, Mariä Evä und Rosinä der Hermeßin. mit auch weÿland frawen Anna Maria gebohrner Schützenbergerin ehelich erziehlten und hinterlassener dreÿer töchter und ab intestato Erben – Geschehen in Straßburg den 25.ten Septembris 1703.
In einer in der Statt Straßburg ane dem Steltzengäßlein gelegenen in dieße Verlassenschafft gehörigen behaußung befunden worden
Eÿgenthumb ane einer behaußung. I. hauß, höfflein sambt dero hoffstätten und allen deren selben gebäwen, begriffen, weithen rechten und Zugehörden, gelegen allhier in der Statt Straßburg ane der Steltzengaß I.s. neben S.t. herrn Andreä Lempen deß beständigen regiments der Herren XXI. regiments der Herren XXI. hochansehnlichen beÿsitzern, 2.s. neben Meister Niclauß Lambert dem Schneidern, hinten vf E.E. Zunfft Zur Steltzen stoßend, von welcher behaußung gehend Jährlichen 4. ß. Zinnß wegen Zweÿer steinerner Köpffer, gedachter Ehrsamen Zunfft Zur Steltzen, So dann 8. lb. Jährlichen Zinnßes Meister Johann Georg Köhnlein dem hohlträher und burger allhie zu Straßburg, fällig Jährl. vf den 7.ten Aprilis, ablößig mit 200. lb, Sonsten freÿ ledig und eÿgen, und ist solche, wie d. Zu mein deß Notarÿ Inventarÿ Concept geschickten Abschatzungs schein sub dato 8° febr: 1702 weißet durch der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistern ordnungs mäßig angeschlagen vor 275. lb. Abgezogen obige beschwehrden restirt annoch so allhier außzuwerfen 75. lb. Hierüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg Cancelleÿ Contract Innsigel verwahrt subdato Septimo Aprilis 1696. Im übrigen aber Kein fernerer bericht noch Document beÿ gegenwärtiger Inventation sich befunden.
Haußrath, In d. Cammer A, In der Cammer B, In der wohnstuben, Im Contor, In d. stub Cammer, In der Kuchen, Im haußöhren
Norma hujus invent. Sa. hausrathß 89, Früchten 7, Silbergeschmeid 6, Guldene ring 3, baarschafft 18, Eigenthum einer behaußung 75, Summa summarum 200 – Summa inventirter passivorum 56 lb, Uber abzug solcher Passivorum, Conclusio finalis Inventarÿ 144 lb
Sépulture, Saint-Laurent (cath. p. 44)
1704. Hodie 15 Septembris mortuus est Mathias Hermes procuratoris huius ciuitatis subitanea morte correptus ætatis 44 annorum sepultusque est solemniter in cæmeterio ordinario extra portam (i 45)
Le tuteur des enfants Hermes loue la maison à l’avocat Christmann Dautel
1703 (Xbr) Chambre des Contrats, vol. 576 f° 517
Hr. Joh: Schweitzer Exs. alß vogt weÿl. Hn. Mathiæ Hermes geweßenen Not. publ. 3 KK.
in gegensein Hn. Christmann Dautels Jurium practici auch Not. publ.
entlehnt, obiger Curanden behaußung allhier im steltzengäßlein einseit neben Niclaus Lambert schneidern anderseit neben H, XXI.ger Lempen hinten auf d. Zunfthauß zuer Steltzen stoßend gelegen niacht davon außgenommen, auf vier jahr lang anfangend auf weÿhn. 1703 – um einen jährlichen Zinß nemlich 27 pfund
La fille aînée Anne Marie Hermes se marie en 1707 avec le revendeur Nicolas Jacquemin originaire de Cheniménil près d’Epinal. L’inventaire des apports est dressé dans la maison rue des Echasses dont la femme est propriétaire du tiers
Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 242)
1707. Hodie 20.a Junÿ a me infra scripto sacro matrimonii Vinculo copulati sunt Nicolaus Jacquemin Parochianus noster ex chenimenil oriundus in Lotharingia habitans hac in urbe et civus ejusd. urbis ac popifex Tabaci, et Anna Maria Hermes filia defuncti Hermes olim in hanc Parochia Ludi Magistri (signé) N Jaquemin, Anna Maria hermesin (i 122)
Inventaire des apports
1707 (7. 7.br), Me Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 29) n° 27
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, so der Herr Nicolas Jaquemin Grämer und burger alhier zu Straßburg und die Viel Ehren und tugendsahme fraw Anna Maria gebohrne Härmeßin beede Eheleuth undt burgere zu Straßb. einander für unverändert in den Ehestand zugebracht, welche Nahr. der ursach halben, damit man sich künfftiger Zeit, wegen der in Ihrer auffgerichteten Eheberedung verglichenen Ergäntzung darnach zu reguliren haben möchte – Actum in fernerer præsenz /:S.T:/ herrn Johann Schweitzers E.E. groß. Rhats alten beÿsitzers der Ehefr. noch zur Zeit ohnentledigten Vogts, Donnerstags den 7.ten 7.br. Anno 1707.
Nota. Die Zwischen Eingangs gemelten beeden Eheleuthen auffgerichtete Heüraths Verschreibung ist Vor mir den 26.t Aprilis A° 1707 verschrieben zubefinden.
In einer alhier Zu Straßburg ane dem Steltzengäßlein gelegener der Ehefr. Zum theil gehöriger behaußung befunden worden, wie volgt
Im Wahren Cammerl., In der undern Wohnstub, Im Stub Cämmerl., In der Kuchen
Eÿgenthumb an einer behaußung. (F.) Item I. dritter Theil für ungetheilt von und ane hauß, hoff und hoffstatt s. anderen de. Gebäwen, begriffen, Weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßb. ane dem Steltzengäßl. I.seith neben H. Andreæ Lemppen XV.n deß beständigen Regiments, anderseit neben Niclaus Lambert dem Schneider, hinden auff E.E. Zunfft Zur Steltzen stoßend. Von der gantzen behaußung Gehen Jährlichen 4. ß. Zinnß wegen Zweÿer steinern Köpffer, Ehrenged. Zunfft Zur Steltz, So dann 8. lb. Jährlichen Zinnß lößig un Hg. mit 200. lb Mr. Johann Georg Köhnlein dem hohlträher und burgern allhie, sonsten ist dieselbe ledig und eigen, Es ist aber dießer behaußungs Antheil alhier nicht zu æstimiren, sondern wann derselbe stehender Ehe verkaufft werden solte, dem kauffß. nach Zu ergäntzen verabschieder worden. Und sagt darüber j. teutscher perg. Kbr. mit der St. St. Cancelleÿ Contract Innsigel verwahrt, de dato 7. Aprilis A° 1696, welchen H Rath. Schweitzer Vögtlicher weiße in verwahrung hat.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Deß Ehemanns unverändert Gutt. Sa. haußraths 29, Sa. der Wahren Zum Tabackhandel gehörig 205, Sa. der Schulden 12, Summa summarum 248 lb
Der Ehefrawen unverändert Vermögen, Sa. haußraths 100, Sa. silber geschirr und Geschmeids 6, Sa. Guldener Ring 3, Sa. baarschafft 2, Eigenthumb an einer behausung o, Summa summarum 112 lb – Schuld vide supra
1705, 3° Livre de bourgeoisie p. 1257
Nicolas Jacquemin der Kauffmann, V. Espinal auß Lothringen, Nicolas Jacquemin des ackermanns daselbst sohn, erkaufft das burgerrecht p. 2. goldR. 16. ß wird beÿ E.E Zunfft Zum Spiegem dienen J. d. 9. 9.bris [1705]
La deuxième fille Marie Eve Hermes se marie en 1709 avec Mathias Hibach, tailleur originaire de Schonach en Forêt-Noire : célébration, accession à la bourgeoisie
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 80)
1709, Die trigesima Septembris Anni 1709 honestus Matthias Hippach es Schonach oriundus Constantiensis diœcesis et pudica puella Maria Eua Hermes Argentinensis (…) Matrimonio Iuncti Sunt (signé) Mathis hibbach (i 48)
1709, 4° Livre de bourgeoisie p. 776
Mathiß Hibach der schneider Von Freÿburg, Joh: georg Hibach schneiders daselbst Sohn, empfangt das burgerrecht Von seiner Fr: Maria Eva Hermeßin pro 2. GoldE. 16. ß Wird beÿ den schneidern dienen. Jur. d. 9. Dito [X.bris] 1709.
Mathias Hibach et Marie Eve Hermes hypothèquent leur tiers de maison au profit du remueur de grains Jean Georges Schauer
1710 (13.1.), Chambre des Contrats, vol. 583 f° 26
Mathis Hibach schneid. und Maria Eva geb. Hermeßin beÿständlich Nicolas Jacmain parfumeur u. Joh: Georg Schauer Kornwerffers [unterzeichnet] hibbach
in gegensein H Joh: Schweitzers E. E. G. R. beÿsitzers alß vogts Rosina hermeßin – schuldig seÿen 20 pfund
unterpfand, ein dritter theil ahm hauß c. appert. allhier ahm Steltzengäßlein, einseit neben H. XV. Lemp anderseit neben einem würt hinten auf die Steltz
Anne Rosine Hermes, troisième fille, se marie en 1716 avec François Pierson, soldat originaire de Chaumont-devant-Damvillers ; contrat de mariage
1716 (28.8.), Me Humbourg (6 E 41, 38)
Contrat de mariage – François pierçon dit Chaumont Archer de la Marechaussée d’alsace natif de Chaumont devant Danviller Diocese de Verdun veuf de Madeleine Le Gay
Anne Rosine Hermes fille de feu Mathias Hermes viuant notaire et Bourgeois de Cette ville et Anne Marie Schutzenbergerine assistée du Sr Nicolas Jacquemin Marchand son beau frère et tuteur
ledit futur époux a declare avoir un enfant procréé de son premier mariage qui est aagée de 10 ans et demie actuellement a Mouraucourt Paroisse de Besonvaux Diocese de Verdun avec sa grand mere nommée Anne Carin veuve feu Didier Le Gay (signé) piersont, hermersin
Mariage, Saint-Laurent (cath. f° 28-v)
1716. Die nonâ Mensis Septembris sacro matrimonii Vinculo copulati sunt honestus Franciscus Pierson dictus chaumont viduus annæ Rosinæ le quay ex Parochia Sancti marci et pudica virgo anna Rosina filia in Dnô defuncti Mathiæ Hermes et Annæ Mariæ Schitzenberin parochiana nostra (signé) francois piersont, anarosina hermes (i 30)
Marie Eve Hermes, abandonnée de son mari Mathias Hibach, vend son tiers de maison à sa sœur Anne Marie Hermes femme de Nicolas Jacquemin
1716 (2.4.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 193-v
(250) Maria Eva Hibbachin geb. herrmeßin so unbevögtigt und vom mann verlassen beÿständlich Jacob Fajard silberarbeiters
in gegensein Annæ Mariæ gebohrner hermesin beÿständlich Niclaus Jacquemin handelsmanns ihres ehevogts
ihren dritten theil für unvertheilt ahn hauß höfflein sambt dero hofstätt und allen deren gebäuen, begriffen, weithen, rechten und zugehörden im Steltzen gäßlein, einseit neben S.T. H. Andres Lemp XV.ern anderseit neben Pommier dem würt hinten auff die Steltz – davon man 4 ß zinß wegen zweÿer köpfer gedachter Zunft bezahlt – um 250 R und 20 lb verhafttet – geschehen um 188 pfund
Anne Rosine Hermes veuve de François Pierson hypothèque son tiers de maison au profit du fabricant de tabac Jean Daniel Streicher le jeune
1735 (28.3.), Chambre des Contrats, vol. 609 f° 244-v
Fr. Anna Rosina geb. Hermeßin weÿl. François Pierson gewesten cavalier de la Marechaussée d’Alsace hinterlassenen ohnbevögtigte wittib mit beÿstand ihres schwagers Nicolas jacquemin des grempen
in gegensein Johann Daniel Streicher des Jüngern tabackbereiters – schuldig seÿe 75 pfund
unterpfand, die ohnvertheilt tertz (corrige : helffte) einer Behausung, höffleins und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten im Steltzengäßlein, einseit neben dem würths haus a la neuve ville Terrainischer wittib und Kinder gehörig anderseit neben weÿl. S.T. H. H. Ammeister Andreas Lemp Frau wittib und Erben hinten auff das zunfft hauß zur Steltz – davon gibt man ged. zunfft wegen zweÿ steinerner Köpffer 4 ß ane zinnß – als ein von ihrem vatter weÿl. Mathias Hermes Schuelmeister im Münster der obbeschriebene behausung am 7. apr. 1696 erkaufft hatte ererbtes guth deßen übrige zwo tertzen aber ihrer schwester obged. Jacquemin ehefrauen Anna Maria geb. Hermes zugehörig
Anne Rosine Hermes veuve de François Pierson vend son tiers de maison à sa sœur Anne Marie Hermes femme de Nicolas Jacquemin
1736 (15.3.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 279-v
Fr. Anna Rosina geb. Hermes weÿl. François Pierson gewesten Cavalier de la Maréchaussée d’Alsace ohnbevögtigte wittib mit beÿstand ihres geschwistrigkinds Johann Mathias Schmidtmeÿer des Rauchwaarhändlers
in gegensein ihres schwagers und Schwester Nicolas Jaquemin des grempen und Annæ Mariæ gebohrner Hermes
Einen dritten theil für ohnvertheilt ahne einer Behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, rechten und gerechtigkeiten im Steltzen gäßlein, einseit neben würthshauß a la neuve ville Terrainische wittib und erben gehörig anderseit neben weÿl. S.T. H. ammeister Andreas Lempen erben hinten auff das zunfft hauß zur steltz – davon soll man besagter zunfft wegen zweÿer steinerer Köpffer 4 ß ahne zinß – als ein von ihrem vatter weÿl. Mathias Hermes Schuelmeister im Münster der obbeschriebene behausung am 7. apr. 1696 erkaufft hatte ererbtes guth – um 75 pfund verhafftet, geschehen um 125 pfund
Nicolas Jacquemin et Anne Marie Hermes hypothèquent la maison au profit du fabricant de tabac Jean Daniel Streicher le jeune
1736 (15.3.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 281
Nicolas Jaquemin der gremp und Anna Maria geb. Hermes mit beÿstand ihres geschwistrigkinds H. Johann Mathias Schmidtmeÿer Rauchwaarhändlers und ihres geschwistrigkinds ehemanns H. Johann Willhelm Pröbster auch Rauchwaarhändlers
in gegensein Johann Daniel Streicher des jüngern tabackbereiters – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, Eine Behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, rechten und gerechtigkeiten im Steltzen gäßlein, einseit neben dem würthshauß a la neuve ville Terrainische wittib und erben gehörig, anderseit neben weÿl. S.T. H. Ammeister Andreas Lempen Erben hinten auff das Zunfft hauß zur steltz – davon gibt man besagter zunfft wegen zweÿer steinerer Köpffer 4 ß ahne zinß – als ein theils ererbt theils erkaufftes guth
Nicolas Jacquemin et Anne Marie Hermes hypothèquent la maison au profit de le fondation Frœreisen
1741 (3.8.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 386
Nicolas Jaquemin der fastenspeishändler und Anna Maria geb. Hermes mit beÿstand ihrer geschwistrig kinder H. Mathias Schmidtmeÿers und H. Johann Wilhelm Pröbsters beede Veechhändler
in gegensein H. Johann Michael Lorentz S.S. Theol. D. et Prof. Cap. Thom. Canonici und dermahligen rectoris Universitatis so im nahmen des fisci froereiseniani – schuldig seÿen 150 lt
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt cum appertinentis ane dem steltzen gäßlein einseit neben dem wirthshauß à la neuve ville anderseit neben H. Rathh. Wolff, hinten auff E.E. Zunfft zur Steltz
Nicolas Jacquemin et Anne Marie Hermes hypothèquent la maison au profit du fripier et manant Antoine Morel
1748 (13.8.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 590
Nicolas Jaquemin der fastenspeishändler und Anna Maria geb. Hermeßin mit beÿstand François Rousseau des schreiners und Mathieu Bourdot des fastenspeishändlers ihren tochtermänner
in gegensein Antoine Morel des schirmers und fripier – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt ane dem Steltzengäßlein, einseit neben dem withshauß à la Neuville, anderseit neben Johann Adam Sultzer dem schloßer, hinten auff E.E. Zunfft zur Steltz – davon gibt man besagter zunfft 4 ß ane zinß
Anne Marie Hermes femme du revendeur Nicolas Jacquemin meurt en 1749. Elle délaisse cinq enfants. L’inventaire est dressé dans une maison de location au Marché Neuf. Les experts estiment la maison 750 livres. La masse propre au veuf s’élève à 69 livres, celle de la défunte à 394 livres. L’actif de la communauté est de 604 livres, inférieur au passif de 1 093 livres.
1749 (5. 9.bris), Me Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 324) n° 547
Inventarium über Weÿland der tugendsamen Frauen Annæ Mariæ Jacquemin gebohrner Hermeßin, Herrn Nicolaus Jacquemin, des Fastenspeißhändlers und burgers alhier zu Straßburg gewesener Ehefrauen nunmehro seel. Verlassenschafft – nach ihrem den 14.ten Sept. dieses annoch lauffenden 1749.ten Jahrs aus dießer Zeit und Welt genommenen tödlichen Hintritt hie Zeitlichen verlaßen – So beschehen Straßburg den 5.ten Novembris anno 1749.
Denominatio hæredum. Die abgeleibte Frau seel. hat ab intestato zu ihren rechtsmäßigen Erben verlaßen alß, 1. Frau Mariam Elisabetham Bourdot gebohrne Jacquemin, Weÿl. Mathieu Bourdot gewesenen fastenspeishändlers und b alh. zu Straßburg hinterbliebene Wittib, diesem Geschäfft unter beÿstand H. Johannes Lazarus Meelhändlers und b. alh. persönlich abwartend, 2. Fr. Mariam Evam Rousseau gebohrne Jacquemin, Mstr Frantz Rousseau des Schreiners und b. alh. Ehefrau, beÿständlich ermelten ihres Ehevogts hiebeÿ persönlich zugegen, 3. Anthoin Jacquemin, den leedigen Glaser so 32 ½ Jahr alt mithin majorennis und ebenfalls in eigener Persohn der Inventur beÿwohnte, 4. Jean Nicolas Jacquemin, so unter dem löbl. Regiment der königlich. frantzösischen Canonier engagiret und abwesend ist, In deßen Nahmen aber S.T. Herr Johann Wilhelm Berga E.E. Kleinen Raths dermahliger beÿsitzer als in Krafft Extractus vom 4.ten Nov. 1749. aus Ehrenermeltem Kleinen Raths Mittel hierzu in specie abgeordneter herr Deputatus erschienen, 5. Jgfr. Annam Catharinam Jacquemin, so 26. Jahr alt folglichen majorennis ist, welche mit assistentz H Pierre la Belly der fastenspeishändlers und b. alhier, der Inventur persönlich beÿwohnte. Also alle fünff der Verstorbenen seel. mit Eingangs ermeltem dem nunmahlig. hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlte Kinder und zu 5. gleichen portionen und Antheilern ab intestato Verlaßene Erben.
[Joint, procuration] Jean Nicolas Jaquemin Soldat canonier au Regiment Royal artillerie Bataillon de Godechard compagnie de Villiers en garnison actuellement en cette ville (de La fere sur oise)
In einer allhier zu Straßburg ane dem Neuen Marckt gelegener gemeiner Stadt Pfenningthurn eigenthümlich zuständiger behausung befunden worden wie folgt
Eigenthum ane einer Behaußung (E.) Nehmlich 1/3.ter theil vor unvertheilt von und ane einer behaußung Hoff und Hoffstatt samt anderen dero Gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden, Recht und Gerechtigkeiten, alhie zu Straßburg am Steltzengäßlein einseit neben Sieur N. Finas dem Triateur 2.s neben herrn – Sultzer dem Schloßer und hinten auf E.E. Zunfft Zur Steltz stoßend gelegen, Von welcher gantzen behaußung man jährl. besagter Zunfft zur Steltz 4 ß Zinnß wegen zweÿer steinerer Köpffer reicht Ansonsten aber ist dieselben außer denen hiernach unter denen passivis eingetragen befindlicher darauf versicherter Capitalien gegen männiglichen freÿ, leedig und eigen, und durch (die Werckmeistere) vermög deroselben Schrifftlich ad Conceptum gelieferter Abschatzung vom 8.ten Nov. 1749. æstimirt und angeschlagen worden pro 1500. fl. oder 750. lb. Abgezogen obermelten bodenzinß so zu doppeltem Capital gerechnet antrifft 8. lb, So verbleibt ane solchem Anschlag annoch übrig 742. lb. Und macht daran die hier außzuwerffende tertz 247. 6. 8. Die übrige zwo tertzen solcher behaußung haben beede im Leben gewesene Eheleuth wehrender Ehe mit einander erkaufft, und finden sich hernach unter der theilbaren Nahrung samt denen darüber besagtenden Documentis beschrieben
Eigenthum ane einer Behaußung (T.) Nehmlichen 2/3.te theil vor unvertheilt von und ane vorher beschriebener behaußung Hoff und Hoffstatt samt perge hievornen usque adverta, und durch (die Werckmeistere) vermög deroselben Schrifftlich ad Conceptum gelieferter Abschatzung vom 8.ten Nov. 1749. æstimirt und angeschlagen worden pro 1500. fl. oder 750. lb. Wovon abzuziehen ist obiger bodenzinß so zu doppeltem Capital gerechnet antriffend 8. lb, Welchemnach an solchem Hauß Anschlag annoch übrig verbleibt 742. lb. Und thun daran die zween dritte Theil so hier in Außwurff zu bringen seÿn 494 lnb 13 ß 4 d. Diese zween dritte theil haben beede im Leben gewesene Eheleuth wehrend ihres geführten Ehestand erkaufft, der übrige eine dritte theil aber ist denen Erben, als ein von der Verstorbenenn ihrer Mutter seel. erert und in die Ehe gebrachte Guth als ohnverändert zuständig, und hievornen unter dero übrigen Nahrung beschrieben. Darüber und Zwar erstlich über einen 3.t theil besagt und ist vorhanden i. teutscher pergamentener in alhies. C.C. Stub gefertigter Kauff brief mit deren anhangenden größern Secret. Insiegel verwahret datirt den 2. Aprilis 1716. Ferners ein dergleicher Kauffbrieff über den andern dritten theil besagend aus alhiesiger C.C. Stub de dato 15. Martÿ 1736., Weiters ein teutscher pergamentenen Kauffbrieff in allh. C.C. Stub gefertigt über die völlige behaußung besagend mit deren gräßen anhangenden Insigel corroborirt und den 7. aprilis 1696 datirt.
– Abschatzung Vom 8.ten 9.bris 1749. Auff begehren Nicolas Jacqmin deß gressier ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg im Steltzen gäßlein, einseit neben Mons. finas dem Traiteur, anderseit neben Sultzer dem Schloßer und hinten auff E:E: Zunfft Zur Steltzen stoßend gelegen, solche behaußung hat vornen neben dem Eingang eine Schreiner Werckstatt und hinten daran ein Küchel, auff dem Ersten stockh ist eine stube, Zwo Kammeren ein Kuchen und ein haußöhren, auff dem Zweÿten stock ist eine stube, zwo Kammeren, eine Küche und auch ein haußöhren, darüber ist ein alter tach stuhl mit hohl und breit Ziegel gedeckt, auch ein höffel ein gewölbter Keller, Von uns den unterschriebenen der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistern nach Vorher beschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Werth nach æstimirt und angeschlagen worden vor und umb Ein Tausend und Fünff Hundert Gulden [unterzeichnet] Johann Jacob Biermeÿer statt Lohner, Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Werner Werckmeister
Ergäntzung der hinterbliebenen wittibers wehrender Ehe abggangenen ohnveränderten Guths, Zufolg (…) durch längst Weÿl. Herrn Notarium Joh: Heinr. Langen Sen: seel. sub dato 7.ten Sept. 1707. aufgerichteten Inventarii
Norma hujus inventarii. Copia Eheberedung, von Not. Lang d. 26. aprilis 1707
Bericht gegenwärtigen Inventarii
des hinterbliebenen Wittibers ohnverändert Vermögen, Sa. Haußraths 10 ß Sa. Ergäntzung 218, Summa summarum 219 lb – Schuld 150. lb, Nach solchem abzug 69. lb
Diesemnach so wird auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. Haußraths 20, Sa. Silbers 1, Sa. Goldenen rings 1, Sa. Eigenthums ane einer behausung 247, Sa. der Schuld 150, Summa summarum 421 lb – Schulden 27 lb, Nach deren Abzug 394 lb
Endlichen so wird auch die gemein und theilbar Verlassenschafft beschrieben, Sa. haußraths 33, Sa. Waaren zum fastenspeiß handlung 26, Sa. Silbers 2, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 494, Sa. Schulden 46, Summa summarum 604 lb – Schulden 1093 lb, Compensando, Theilbar passiv onus 489 lb
Endlich passiv onus loco der Stall summa 25. lb
Zweiffelhaffte Schulden in die theilbare Nahrung zugeltend 48 lb
Nicolas Jacquemin et ses enfants vendent 1 100 livres la maison au revendeur Pierre Labelly et à Marie Catherine Olinet
1751 (4.5.), Chambre des Contrats, vol. 625 f° 232
der burger Nicolas Jaquemin der fastenspeishändler, vor sich und im Nahmen seines Jüngern Sohns, Nicolas Jaquemin, Canonier unter dem Löblichen Regiment Royal Artillerie, Bataillon de Godechar, und deßen übrigen Knder, frau Maria Elisabetha, gebohrne Jaquemin Weÿland unsers burgers Mathieu Boudot, gewesten Fastenspeishändlers Wittib, Frau Maria Eva gebohrne Jaquemin, François Rousseau des Schreiners und burgers allhier Ehefrau, beÿständlich ihres Ehemanns, unser burger Antoine Jaquemin, der Leedige Glaßer, und Jungfrau Anna Catharina Jaquemin
in gegensein unsers Burgers Pierre Labelly ebenmäßigen fastenspeishändler und Mariæ Catharinæ gebohrner Olinet
Eine behausung, hoff und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, Weithen, Zugehörden und rechten, allhier ane dem Steltzen: gäßlein, einseit neben Antoine Finot dem traiteur, anderseit neben Johann Adam Sultzer dem Schloßer, hinten auf E.E. Zunfft zur Steltz stoßend gelegen, davon gibt man Jährlich 4. ß. Zinß erstgemeldter Zunfft wegen zweÿer steinernen köpffer – als ein respe. erkaufft und ererbtes guth – um 150 lt, 150 und 250 verhafftet (übernohmen) – beschehen um 450 pfund
Pierre Labelly loue la maison au menuisier François Rousseau
1751 (17.5.), Chambre des Contrats, vol. 625 f° 251-v
Pierre Labelli der fastenspeishändler
in gegensein François Rousseau des schreiners
entlehnt, eine behausung samt deren zugehörden und rechten ane dem Steltzengäßlein, einseit neben Antoine Finot dem traiteur, anderseit neben Johann Adam Sultzer dem schloßer, nichts davon ausgenommen – auff 6 nacheinander folgenden jahren auff innstehenden Johannis Baptistæ anfangend, um einen jährlichen Zinß nemlich 80 gulden
Pierre Labelly loue la maison construite à neuf au maître de pension Jean Georges Linder
1758 (18.5.), Me Humbourg (6 E 41, 99)
Bail de 2 années qui commencent à la St Jean Baptiste prochaine – Sr Pierre Labely marchand
au Sr Jean Georges Linder Maître de pensions
la maison du Sr Bailleur Scitué en cette ville rue des Echasses construite a neuf de fond en comble avec toutes ses appartenances et dépendances sans la moindre réserve ni exception et dans laquelle led. Bailleur établira un Chaudron pour la Lescive fera separer la Cave en deux parties avec des Lattes et convertira le poele la chambre et une partie de la cuisine en une Sale et mettre au surplus le tout en bon état – moyennant un loyer annuel de 300 livres
Pierre Labelly loue la maison au prêtre François Barthelemy
1763 (13.9.), Chambre des Contrats, vol. 637 f° 464
Pierre Labelli der lichtermacher
in gegensein H. François Barthelemi des priesters
entlehnt, seine in dem Steltzengäßel gelegene behausung nicht davon außgenommen – auff 6 nacheinander folgenden jahren, um einen jährlichen Zinß nemlich 75 gulden
Pierre Labelly loue la maison au marchand Claude François de Chavasine
1766 (13.5.), Chambre des Contrats, vol. 640 f° 295
Pierre Labellÿ der lichtermacher
in gegensein Claude François de Chavasine des handelsmanns
lehnung vor 6 nacheinander folgenden jahren anfangens auff innstehenden Joannis Baptistae eine behausung cum appertinentis im Steltzengäßel – um einen jährlichen Zinß nemlich 55 pfund
Pierre Labelly et Marie Catherine Olinet vendent 2 125 livres la maison au serrurier Chrétien Litti et à Anne Catherine Olinet (leur beau frère et sœur respectifs)
1768 (14.1.), Me Humbourg (6 E 41, 129)
Sr Pierre labely Marchand graisier et Marie Catherine Olinet assistée du Sr Joseph Olinet son frere marchand
au Sr Chrétien Litti serrurier et Anne Catherine Olinet assistée du Sr François Olinet son cousin aussi marchand
la maison desd. Sr et De Labely Scituée en cette ville rue des Echasses, L’auberge a l’enseigne da la Ville neuve d’une part Sr Soultzer d’autre, par derrière la tribu dite poele des vitriers avec toutes ses appartenances droits et dépendances – moyennant 8500 livres tournois
hypothèque leur maison scituée en cette ville au coin de la rue des Juifs et de celle du tonnelet rouge le Sr Müller Boulanger d’une part dans la rue des Juifs Et le Sr Kolb d’autre dans la rue du tonnelet rouge
Autre vente entre les mêmes devant la Chambre des Contrats, pour 2 000 livres
1770 (10.11.), Chambre des Contrats, vol. 644 f° 523
Pierre Labelli der Fastenspeishändler und Maria Catharina geb. Olinet
in gegensein Christian Litti des schloßers und Catharina geb. Olinet
eine behausung hoff und hoffstatt mit allen deren übrigen zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Steltzengäßlein einseit neben Antoine Finot dem traitteur anderseit neben H. Rathh. Johann Adam Sultzer dem schloßer hinten auff E.E. zunfft der Steltz – als ein den 4. maÿ 1751 erkaufftes guth – um 150, 150 verhafftet – 1700 pfund
Le serrurier Chrétien Litti a épousé en 1746 Anne Catherine Olinet veuve du serrurier Joseph Grangé : contrat de mariage, célébration, accession à la bourgeoisie
1746 (29. 8.br), Me Laquiante (6 E 41, 996)
(Contrat de mariage, communauté partageable par moitié) Sr Christian Liti serrurier fils majeur de Melchior Liti vivant cordonnier a Soultz en Basse alsace et de Anne Marie Seigerine ses Père et mère, et
Dlle Anne Catherine Olinet veuve en premières nopces de deffunt Joseph Granger Maître serrurier Bourgeois de cette ville (promettent de se prendre devant l’église catholique) (signé) liti
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 348)
Hodie 22 Augusti Anni 1747 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt honestus Juvenis Christianus Litti faber serarius ex Sultz hujus Diœcesis oriundus filius Melchioris litti defuncti sutoris et civis ibidem et Annæ Mariæ Saegerin superstitis Conjugum Et dna Catharina olinet vidua defuncti Josephi Grangé civis et fabri serarii ambo parochiani nostri (signé) chrsitian liti, olinete (i 184)
1747, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 314
Christian Litti der schloßer von sultz im untern Elasaß geb. erhaltet das burgerrecht Von seiner Ehefrau Anna Catharina, weÿl. Joseph Grangé des gewest. burgers u. schloßers allhier hinterbl. wittib umb den alten burger schilling, will beÿ E:E: Zunfft der schmidt dienen jur. eod [6. 9.br 1747]
Inventaire des biens que possèdent Chrétien Litti et Anne Catherine Olinet, dressé pour cause de dettes. L’actif de la femme s’élève à 690 livres. L’actif de la communauté et est de 2 917 livres, le passif de 4 025 livres.
1773 (11.10.), Me Fické (J. Charles, 6 E 41, 766) n° 551
Inventarium über Meister Christian Liti des Schloßers und fraun Annæ Catharinæ gebohrner Olinet, beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg dermalen habende und besitzende Vermögenschafft auch dagegen zu bezahlen stehende Passiv Schulden – auf Ansuchen und begehren der hierortigen ehefraun, die wegen von dem Ehemann contrahirter Schulden mit beÿhülfe S.T. Herrn Friderich Jacob Röderer Cancellariæ substituti et Procuratoris vicarii alhier ihres ane Vogts statt erbettenen herrn beÿstandts zu beschütze und möglicher Überkommung, ihres in die Ehe gebrachten und wehrend derselbe ererbten eihenen Guthe das Beneficium Cessionus et jus Prælationis gerichtlich zu erlangen gemüßiget ist – so beschehen Straßburg den 14.ten octobris 1773.
Bericht zu diesem Inventraio, der nächst vorher copeÿlich einverleibte Ehe Contract enthalt zwar, die Vorsehung nicht, daß jedes des Eheleuthe einbringend und ererbend Vermögen vor unverändert vorbehalten und bedungen worden. Weil jedoch aber in den Fällen (…)
(f° 9) Eigenthum an Häusern (F.) Näml. die helfte vor unvertheilt von und an einem häußlein und hoffstatt samt allen überig. deßelben Gebäuden begriffen Weithen Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten, geleg. alh: zu Straßburg in dem so genannten Schwabenländel (…)
(M. et F.) Näml. eine behausung hoff und hoffstatt mit allen deren überig. Gebäuden begriffen, Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten geleg. alh. zu Straßburg an dem Steltzen Gäßlein, eins. neben Weil. H. Antoine Finot des gewesenen Gastgebers Zur Stadt Belfort hinderl. Fraun Wb. und Erben, anders. neben H. Joh: Adam Sultzer dem Schloßer und Exsenatori alh. hinten auf E.E. Zunft zur steltz stosend, Solche behausung ist auser denen darauf versichert stehenden und hernach eingetragenen Kauffschillings Capitalien, geg. männigl. freÿ ledig eigen Und wird dermalen hier um den näml. Preis angesetzt wie selbige Kraft hiernach allegirter Contract Verschreibung im Jahr 1770 erkauft worden das ist pro 4000 fl. oder 2000 lb. Darüber ist besagend vorhanden I. in alhies. C. C. Stube errichtet und auf Pergament ausgefertigte Kauffverschreibung de dato 10.d 9.bris 1770.
Ergäntzung der Ehefraun währender ehe abgegangenen eigenen Guths, Nach anleitung des über Weÿland Meister Joseph Grangée des gewesenen frantzösischen Schloßers und burgers allhier zu Straßburg, Ihr der Ehefraun ersten Ehemanns seeligen Verlassenschafft durch Herrn Notarium Frantz Heinrich Dautel sub dato 11.ten Martii 1746. errichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der Ehefraun eigenen angebracht und ererbten Guths, Sa. haußraths 120, Sa. Werckzeugs zur Schloßer Profession 149, Sa.Silbers und dgl. Geschmeids 9, Sa. Goldener Ring 1, Sa. Eigenthums ane einem häußlein 100, Sa. der Ergäntzung 341, Summa summarum 721 lb – Schuld 31 lb, Nach deren Abzug 690 lb
die übrige haabschaft als dem Mann gehörig in beschreibung gesetzt, Sa. haußraths 103, Sa. gemachter Schloßer arbeit 13, Sa. silbers 35, Sa. Eigenthums an einer behausung 2000, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 750, Sa. Schulden 15, Summa summarum 2917 lb, Schulden 4025 lb, In Vergleichung (passiv onus) 1108 lb – Zweiffelhaffte und verlohrne Schulden 884 lb
Copia der Eheberedung (…) – passé le 29 octobre 1746, Laquiante Not. royal
Compte que rend Chrétien Litti à sa pupille Marie Catherine Langlois femme Litti
1775 (1.8.), Me Fické (6 E 41, 785) n° 216
Rechnung Mein Christian Litti des Schloßers und burgers alhier als geordnet und geschworenen Vogts ehemaliger Jungfraun Mariæ Catharinæ Langlois jetzt verheuratheter Litti weiland Pierre Langlois des gewesenen Fastenspeishändlers mit längst weiland Fraun Maria Anna geb. Labelli in erster Ehe erzeugter Tochter, Inhaltend und ausweisend alles dasjenige, was ich vögtlicher weis für dieselbe vom 9. feb. 1761 bis den 1.ten aug. 1775 eingenommen und dagegen ausgegeben auch sonsten verhandelt habe – Erste und zugleich letzte Rechnung dieser Vogteÿ
Catherine Olinet veuve de Chrétien Litti meurt en 1793 sans enfant. Elle a nommé par testament pour ses héritiers ses neveux et nièces. L’inventaire est dressé dans la maison qu’elle a vendue à la veuve de Jean Martin Litti. Elle possède au quartier des Souabes une maison qui lui provient de ses parents
1793 (3.6.), Strasbourg 4 (2), Me Schaaff n° 181 & Enregistrement N° 216 (enregistré 6.6.)
Inventarium über Weiland Fraun Catharina Lydi geb. Olinet auch weil. burgers Johann Christian Lÿdi gewesenen Schloßers dahier nachgelaßener Wittib Verlassenschafft, aufgerichtet Anno 1793 im 2. der fränckischen Republick – Fr. Catharina Litty geb. Olinet nach ihrem den 9. feb. 1793 jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hinscheiden hier zeitlichen verlaßen
die Entseelte hat vermög ihres am 25. aug. 1792 N° 60 vor mir Notario errichteten Testamenti nuncupativi zu Erben instituirt und Verlaßen mit Namen 1. burger Joseph Olinet Handelsmann dahier dero bruder,
2. des burgers Peter Hagios hohldrehers dahier ihres Neveu erzeugt und annoch erzeugende Kinder, deren würcklich am Leben sind a) Peter so 15 Jahr alt, b) Maria Francisca so 8 Jahr alt, c) Martin so 7 Jahr alt, d) Frantz Georg so 6 Jahr alt, e) Frantz Ludwig so 4 Jahr alt und f) Frantz Ignatz so 1 Jahr alt,der Hagios, In deren Namen der burger Johann Georg Valentin als derer beeidigte Vogt, So dann
3. Weiland burgers Johann Martin Litty geweßten Schlossers dahier mit frau Maria Catharina geb. Langlois erzeugte Kindere mit Namen 1) Jgfr. Maria Catharina so 17 Jahr alt, 2) Jgfr. Maria Anna so 16 Jahr alt, 3) Joseph so 12 Jahr alt, 4. Vincent so 8 Jahr alt und 5) Martin so 5 Jahr alt die Litty, deren geordnet und geschworenen Vogt ist burger Joseph Transperger, Schlosser dahier
Copia testamenti, Frau Catharina Lydi geb. Olinet weiland Herren Christian Lydi gewesenen Schloßers nachgelaßene Wittib, (vermacht) 3. ihres verstorbenen bruders weiland Herrn Andreas Olinet geweßten huissier nachgelaßene Tochter Namens Ursulæ Olinet dermalen zu Augspurg sich aufhaltend ihrer Nièce, 4. ihres noch lebenden bruders Herrn Joseph Olinet Handelsmanns und Activ burgers dahier, 5. Weiland Herrn Martin Lÿdi mit Frauen Catharina geb. Langlois erzeugten Kindern, 6. herrn Peter Hagios des Holdrehers Kinderen, 7. weiland herrn Peter Joseph Hagios gewesenen Amts Sergenten ihres verstorbenen Neveu hinterbliebenen erzeugten Kindern – geschehen in einer ane dem Steltzengäßlein gelegenen obgenannten weiland Martin Lÿdi geweßen Schloßers nachgelaßener Wittib und Erben eigenthümlich zuständigen von Ihro testirerin zum theil Lehnungsweiße bewohnenden behausung deren auf dem ersten stock sich befindlichen mit denen Fenstern in gedachtes Gäßlein aus sehenden wohnstuben, den 25. aug. 1792, Not. Johann Daniel Schaaff
So geschehen in einer ane dem Steltzengäßlein N° 3 gelegenen Weil. burgers Johann Martin Litty geweßten Schloßers nachgelaßener Wittib und Erben eigenthümlich zuständigen von diesorts Erblaßerin zum theil Lehnungsweiße inne gehabten behaußung, angefangen den 16. feb. 1793
Eigenthum an einer behausung, Neml. 1. kleine behaußung und hoffstatt, ehemals zu den drei Bouteillen genannt, samt übrigen deren begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier ane dem sogenannten Schwabenländel ohnweit des frantzösischen hospithals einseit neben bürger Ludwig Neßler anderseit neben burger Daniel Fritz zimmermann und hinten auf ged. Neßler stoßend gelegen und mit N° 48 bezeichnet, hier um den Preiß wie solches verkaufft worden, in Anschlag gebracht wird mit 2560, Hierüber hat sich dermalen nichts schriftliches Vorgefunden
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. Hausräthl. Mobilien 1451, Sa. Silbers und dgl. Geschm. 67, Sa. baarschafft 316, Sa. Eigenthums an 1.r behaus. 2560, Sa. activ schulden 9082, Summa summarum 13 479 Livres, Schulden 1221, Nach deren Abzug 12 258 Liv.
Wovon aber ferner wegzurechnen die von der fr. Erblaßerin Verordneten Legata (…), Beschluß summa 12 258 Liv., Zweiffelhaffte und verlohrne Cap. 144 – den 3. junÿ 1793
[Joint] Anno 1793 Montags den 25. feb. erschienen vor uns Leonard Marchand Friedens Richter des zweiten Gerichts Bezircks der Gemeinde zu Straßburg der burger Friedrich Jacob Roederer Secretarius der Friedens und Vermittlungs Kammer des districts Straßburg alls von nun weiland Catharina geb. Olinet weiland des bürgers Christian Litti gewesenen Schloßers hinterlassenen, am 9. hujus verstorbenener Wittib, in ihrem vor Notario Johann Daniel Schaaf am 25. aug. 1792 errchteten und am 11. gegenwärtigen Monats februarii registrirten Testamento nuncupativo (…) da nun in diese Verlassenschafft eine kleine behausung allhier ane dem Schwabenländel gelegen, ehemals zu den dreÿ Bouteillen genannt, und dermalen mit N° 48 bezeichnet, sich befindet, welche unter denen im 17. Artickel gedachten testaments eingesetzten dreÿen Stammerben benantlich (…), nicht gemeinschaftlich behalten noch weniger in dreÿ theil getheilt werden kann, als hat er Conparent zu deisem End obbementen burger Olinet und beede Vögte vor uns kaufen laßen (…) in der ersten Versteigerung um die summ von 700 Livres aus gerufen werde (…)
– [Joint au 181] Enregistrement N° 165, Auf Ansuchen burgers burger Joseph Olinet Handelsmanns dahier dero bruder, und burgers Joseph Transperger, Schlossers als geordnet und geschworenen vogts weil. Martin Litti geweßten auch Schlossers hieselbst mit fr. Maria Catharina geb. Langlois erzeugter nachgelaßener 5 Minderjähriger Kinderen, wie auch burgers Johann Georg Valentin huissier bei dem friedens Richter des zweiten Gerichts bezircks der Gemeinde Straßburg als beeidigten Vogts des burgers Peter Hagios hohldrehers erzeugter Kinderen, samtliche als testaments Erben Weiland Fraun Catharina Litti geb. Olinet auch weiland burgers Christian Litti gewesenen Schloßers hieselbst hinterbliebene Wittib, ihrer respe. Schwester und Baaße wie auch burger Friedrich Jacob Roederer Secretarii der Vermittlungs Kammer des districts Straßburg als Executoris obgedachter Erblaßerin errichteten Testamenti nuncupativi
die in obgedachter Fraun Litti Wittib Verlassenschafft gehörig alhier ane dem sogenannten Schwabenländel ohnweit des frantzösischen Hospithals N° 48 gelegene behaußung ehemals zu den drei Bouteillen genannt, samt Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten es. neben bürger Ludwig Neßler as. neben Friedrich Greise* Metzger modo Daniel Fritz zimmermann und hinten auf gedachten Neßler stoßend gelegen, einer freiwilligen Versteigerung ausgesetzt – ausgerufen für und um 700 Liv., Worauf gebotten burger Joh: Carl Seiler Gastgeber zum ballhauß dahier 720 Liv:
Enregistrement N° 169, Zwote Versteigerung, den 12. Martii, sich dermalen Niemand præsentirte der einiges Gebott gethan
Enregistrement N° 176, Dritte Versteigerung, den 19. Martii, burgers Georg Heinrich Reiber des Seilers 1600 livres
Enregistrement N° 186, Vierte Versteigerung, den 2. Aprill, bürgerin Maria Anna Acker der Ledigen großjährigen gethane Gebott der 2380 Livres, beiständlich bürgers Georg Mattjias Lydi Emploié im Nieder rheinischen Département dahier declarirte sowohl für sich als Namens Ihrer jüngern Schwester der bürgerin Francisca Acker dahier gethan zu haben
Enregistrement N° 197, Fünfte Versteigerung, den 16. Aprill, bürger Joh: Georg Kapp Harpffenist / Harpffenmeister, 2560 Livres
– Revision & Partage de la Succession de feu la Citoyenne Catherine Olinet veuve de feu Chrétien Lydi en son vivant Serrurier (…), après que le testament de ladite feue Catherine Olinet Veuve Lydi a été déclaré nul, Que la succession par elle delaissée sera partagée par portion égale entre les représentans de feue Anne Marie Labelli née Olinet pour une part, La Republique comme étant aux droits d’Ursule Olinet icelle représentant André Olinet son pere pour la seconde part, Les Représentants d’Agathe Hagios née Olinet pour la troisième part & le Citoyen Joseph Olinet pour la quatrième & derniere part
En Conformité de ce Jugement Arbitral enregistré le 12 germinal dr. rendu exécutoire par le President du Tribunal du district de Strasbourg le 14 du même mois, la succession dont s’agit être être partagée en quatre portions égales Sçavoir
1. Marie Catherine Langlois veuve de feu Martin Lydi serrurier comme représentant son ayeule Anne Marie Olinet femme Labelli sœur de la testatrice pour un quart, laquelle dite Marie Catherine Lidy née Langlois est encore morte le 8 Messidor dernier et a delaissé pour ses héritiers ses 5 enfants mineurs, savoir a) Marie Catherine agée de 18 ans, b) Marie Anne agée de 17 ans, c) Joseph agé de13 ans, d) Vincent agé de 9 ans et e) Martin agé de 6 ans, Auxquels a été nommé tuteur le Citoyen Joseph Transperger serrurier,
2. La Republique française comme entrant dans tous les droits d’Ursule Olinet fille majeure emigrée comme représentante son Pere Andrés Olinet frere de la Testatrice,
3. Les Représentans Enfants et petits Enfants de feu Agathe Hagios née Olinet sœur de lad. Testatrice ensemble pour un quart Scavoir a) Pierre Hagios tourneur en cette commune, b) les enfants de feu Joseph Hagios et de Barbe née Hering sa veuve 1) Marie Catherine Hagios agée de 23 ans ainsi majeure, 2) Joseph Hagios agé de 9 ans auquel a été nommé Tuteur le Citoyen François Antoine Spinner cordonnier,
4. Le citoyen Joseph Olinet Marchand Quincailler Frere de la défunte Testatrice pour le dernier quart
Catherine Olinet femme séparée quant aux biens de Chrétien Litti vend la maison à Marie Catherine Langlois veuve Litti (sa nièce)
1790 (6.5.), Chambre des Contrats, vol. 664 f° 124-v
Fr. Catharina Litti geb. Olinet Christian Litti des ehemaligen schusters quo ad bona geschiedene ehefrau unter assistentz H. Lt. Johann Joseph Bitschnau des procuratoris
in gegensein Fr. Mariæ Catharinæ verwittibter Litti geb. Langlois beÿständlich Joseph Tronsperger des schloßers
eine schloßer behausung, höfflein, hoffstatt, bronnen mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Steltzengäßlein, einseit neben Sr de Clermon controlleur de la poste aux lettres anderseit neben H. Sultzer dem jungen schloßer meister hinten auff die Zunfft stub zur Steltz – samt dem zur schloßer profession gehörigen werckzeuch schiff und geschirr – um 9000 lit
Le serrurier Martin Litty, originaire de Retschwiller près de Soults-sous-Forêts, épouse Catherine Langlois en 1774 : contrat de mariage, célébration, accession à la bourgeoisie, inventaire des apports
1774 (5. 7.br), Me Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 389
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehrengeachte Martin Littÿ, der leedige Schloßer weiland Hannß Georg Littÿ des geweßenen ackersmanns und burgers in Röschweÿler fleckensteinischer Herrschafft hinterlaßener ehelicher Sohn so majorennis und ohnbevögtigt, als Hochzeiter ae einem,
Und die viel Ehren und tugendsahme Jgfr. Catharina Langlois Hn Pierre Langlois des Sattlers und burgers allhier ehelich erziehlte tochter unter assistentz dießes Ihres geliebten Vatters als hochzeiterin ane dem andern theil – auf Montag den 5. Septembris Anno 1774 [unterzeichnet] Johanß Matin Litti als Hoch zeitter, Catharina Langlois als Hoschzeitterin
Mariage, Saint-Louis (cath. p. 15)
Anno 1774 die 12 mensis Septembris (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannis Martinus Litty, ab anno parochianus noster, filius legitimus majorennis Defuncti Georgi Litty aratoris, et Annæ Mariæ Dalmenin conjugum in pago Soultz hujus Diœcesis Commorantium et Maria Catharina Langlois filia minorennis petri Langlois Ephipparium opificis vidui Mariæ Annæ Labely conjugum in hac parochia Commorantius, adfuerunt testes petrus Labely ciuis et mercator hujus urbis nec non avus sponsæ (signé) Johann Martin Litti, marie Catherine Langlois
(Litty corrigé en Litti) [in margine :] Cette correction a été faite en exécution d’un jugement du tribunal civil du 29 floreal an 12.
Accession à la bourgeoisie : livre des inscriptions et registre de traitement des demandes
1774, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) p. 114
Johann Martin Litti der Schloßer von Sultz gebürtig erhalt das burgerrecht von seiner Ehefrauen Maria Catharina Peter Langlois deß Schloßers und burgers allhier ehel. Tochter, umb den alten burger schilling, Will dienen beÿ EE. Zunfft der Schmidt, Juravit den 22.ten 7.bris 1774.
VI 286 bis, (f° 128) Schmidt. N 36, d. 10 Sept. 1774
Joh Martin Litti der Schloßer gebürtig von Roschweiler Georg litti des b. u. tagners
Verlobt mit Maria Catharina, Pierre Langlois des courriers u. b. alhie
die Schein geben an die ehel. geburt cath. Rel. die gehörige stadt stall caution geleistet wie auch deß. sponsæ stall gebühr in richtigkeit
500 R baar gelds hat bewieß. deß. Eigenth. mit Eÿd erhärtet auch 100 fl. 8 ß beÿm P.col deponirt
Impl. bittet E G unterthenig ihn a Sponsa um d. a b ß. des b. rechts Zu vertröst.
a Sponsa um d. a. b ß.
Inventaire des apports, dressé dans la maison de Chrétien Litty rue des Echasses
1780 (17.3.), Me Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 345) n° 1166
Inventarium über Herrn Johann Martin Litti des Schlossermeisters und Fraun Mariä Katarinä gebohrner Langlois, beeder Eheleute und burgere alhier zu Strasburg einander für ohnverändert in die Ehe gebrachte Nahrungen – einander in ihre im September 1774. angetrettenen Ehestand für ohnverändert zugebracht haben (…) weilen dieselbe in ihrer Vor Herrn Not° Joh: Friderich Lobstein unterm 5.ten gedachten Monats und Jahrs errichteten Eheberedung das in die Ehe bringende und wähend deoselben ererbende Gut, las unverändert Vorbehalten
So geschehen alhier zu Straßburg in fererer Gegenwart H Joseph Olinet, des handelsmanns und hiesigen burgers, als der Ehefraun H beistands in einer ane dem Stelzen Gäßlein gelegenen Hn Christian Litti dem Schloßer u. hiesigen burger Eigenthümlich zuständigen behausung, auf Freitag den 17.den Märtz im Jahr 1780.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns als unverändert in den Ehestand gebrachtes Gut, Sa. silber 16, Sa. baarschafft 300, Summa summarum 316 lb
Solchemnach werden auch der Ehefraun Vor unverändert in die Ehe gebrachte Mittel, Sa. hausraths 101, Sa. Silbers 19, Sa. goldener Ringe 13, Sa. baarschafft 2750, Summa summarum 2884 lb
beeder Eheleute Einbringen 3200 lb
Jean Martin Litty meurt en 1787 en délaissant six enfants. L’inventaire est dressé dans la maison rue des Echasses. La masse propre à le veuve s’élève à 225 livres, celle du défunt à 129 livres. L’actif de la communauté s’élève à460 4 livres, le passif à 90 livres
1788 (18.2.), Me Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 832) n° 1077
Inventarium über Weil. Mr Johann Martin Littÿ, des geweßenen burgers und Schloßers allhier zu Straßburg nun seel. Verlassenschafft – nach seinem den 15. Octobr. des letztabgewichenen 1787.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt Zeitlichen verlaßen hat. Welche Succession auf gebührene Ansuchen Erfordern und Begehren der hinterbliebenen Wittib beÿständlich H Joseph Oliné des Handelsmanns und burgers alhier (…) – So geschehen allhier Zu Straßburg auf Montags den 18. Februarii Anno 1778
Der abgeleibte hat ab intestato Zu Erben verlassen als folgt. 1° Mariam Catharinam so den 3. Aug. 1775 Zur Welt gebohren, 2° Mariam Annam Catharinam, die d. 4. Martii 1777 gebohren worden, 3° Joseph Martin Bonaventuré so den 13. July 1780. dieses Tages licht erblicket, 4° Vainsin Catharinam so den 15. July 1783 erzeugt worden, 5° Jean Jacques Dominique Joseph, so den 6. Septembris 17885. an die Welt gebracht worden, und 6° Jean Martin Laurent Simon welcher den 21. Octobris 1787 Zur Welt gekommen, Alle sechs sind des abgelebten mit Frauen Catharina gebohrner Langlois der hinterbliebener Wittib ehelich erzeugte Kinder und zu gleichen portionen und antheilen Verlaßene Erben, dero geordnet und geschworener Vogt ist Meister Frantz Joseph Transperger der burger und Schloßer allhier welcher auch in solchem qualitæt diesem Geschäfft beigewohnet
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Steltzengäßlein gelegenen behaußung so die dießortige Wittib Lehnungsweißes weise bewohnet befunden worden als folgt
Bericht und Vergleich gegenwärtiger Verlassenschafft (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ Der Wittib ohnverändert Vermögen, der Wittib unverändert Nahrung 150 lb, activ schuld 75, Summa summarum 225. lb
Dießemnach wird auch der Erben unverändert Gut verzeichnet, Sa. Kleÿdung 20 lb – Schulden 150 lb, In Vergleichung 129. lb
Endlich wird auch die übrige vorhandene Mass beschrieben, Sa. Hausraths 79, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 10, Sa. goldener Sackuhr 6, Sa. leeren Faß 7, Sa. Waar Eisen und Werckzeug Zur Schloßer profession gehörig 142, Sa. Schuld 216, Summa summarum 460 lb – Schulden 93 lb, Nach deren Abzug 367 lb
Stall Summa 246 lb
Marie Catherine Langlois hypothèque la maison au profit de ses enfants
1793 (10.6.), Chambre des Contrats, vol. 670 n° 473 enreg. 11.6. F°
bu. Maria Catharina geb. Langlois weil. des bu. Johann Martin Litti des schloßers wittib beiständlich bu. Johann Conrad Wörner des schneiders
in gegensein bu. Joseph Tronsperger des schloßers als vogt ihrer Litti mit ihrem obbemelten ehemann erzielten 5 kinder namens Maria Catharina, Maria Annan Joseph Vincent, Catharina und Johann Martin der Litti, 2118 livres
unterpfand, eine ane der Steltzengäßlein gelegen mit N° 3 bezeichnete behausung einseit neben dem bu. Clermont anderseit neben den Sultzerischen erben
Inventaire après le décès de Marie Catherine Langlois veuve de Jean Martin Litti. La succession compte deux maisons, celle de la rue des Echasses est estimée 8 500 livres tournois
1794, 10.7. (22 mess. 3), Strasbourg 6 (9), Me Laquiante n° 10 bis – Enregistrement de Strasbourg, acp 28 F° 96-v du 8 vend. 3
Inventaire à la requête de la C. Marie Catherine Litti fille mineure, de la Cit. Marie Anne Litti, aussi fille mineure de feu le Cit. Jean Martin Litti vivant maître serrurier et de feu la Cit. Marie Catherine Langlois, décédée aud. Strasbourg le 8 du mois courrant agissant sous l’autorisation du Cit. François Josephe Transperger maître serrurier leur tuteur et curateur établi par la justice et aussi à la requête dud. C. Transperger en qualité de tuteur de Joseph Litti, de Vinciane Litti et de Martin Litti mineurs de feu les conjoints Litty, tous cinq enfants et seuls héritiers
meubles dans le poele du premier étage, Dans la chambre attenante, Dans un petit poel de la Mansarde, Dans une Petite chambre attenante, Dans une autre petite chambre auxd. mansard., Dans le vestibule, Au grenier, Dans la cuisine, Dans la cave
Biens immeubles, une maison Scize aud. Strasbourg Rue des Echasses N° 3 appartenances et dépendances d’un côté aux héritiers Sultzer d’autre aux héritiers Clermont, estimée par le C. Stotz maçon et C. Dippel charpentier a 8500 livres
Item une autre maison Size en cette commune quartier du pont couvert N° 23 estimée 2800 fr
meubles meublants 560, 350, 647 et 740 lb, dettes actives 12 865 lb, passif 5464 lb
La maison est cédée par enchère passée le 29 germinal VI devant le juge de paix (voir la vente ci-dessous). L’acquéreuse est une des héritières, Marie Anne Catherine Litti qui a épousé en l’an IV Louis Victor Laudier
1796 (20 prai. 4), Strasbourg 6 (14), Me Laquiante n° 2 – Enregistrement de Strasbourg, acp 40 F° 162 du 21 prai. 4
Contrat de mariage du 3 juin 1796 – Cit. Louis Victor Laudier Capitaine au 4° régiment des sapeurs adjoint aux adjudants de la place de Strasbourg fils majeur de feu le C. Nicolas François Laudier, marchand fabriquant de cette commune, et de feue la Cit. Marie Thérèse Ducloux
la Cit Marie Anne Catherine Litti fille mineure de feu C. Jean Martin Litti Serrurier de cette commune et de feu Cit. Anne Catherine Langlois
(enregistrement, revenu industriel 75 livres)
Marie Anne Catherine Litti femme de Louis Victor Laudier cède la maison au grainetier Michel Wiederroder et à l’aubergiste Jean Adam. Ce dernier transmet immédiatement ses droits sur la maison à Michel Widerroder
1798 (24 vend. 7 ou 15 8.br 1798), Strasbourg 6 (19), Me Laquiante n° 10 – Enregistrement de Strasbourg, acp 63 F° 172-v du 4 brum. 7
Echange – cit. Marie Anne Litty epouse du cit. Victor Laudier officier retiré demeurant à Strasbourg d’une part et
le C.en Michel Wideroder Marchand grainetier et le C.en Jean Adam aubergiste à la Cigogne
1. la C. Laudier cede aux Cit. Wideroder et Adam une maison à deux étages manzardes formant un étage bâtie en pierre de tailles cour Cave voutée appartenances et dépendances Scize en cette commune rue des Echasses N° 3, d’un côté C. Rouvray d’autre héritiers Sultzer derrière C. Wohlfart pardevant à la rue, ainsi que la cit. Laudier l’a acquise de ses Cohéritiers Suivant enchere faite en la justice de paix du second arrondissement de la commune de Strasbourg le 29 germinal an dernier confirmé par le Tribunal Civil du département du bas Rhin le 13 prairial
Item (terres au ban de Griesheim)
2. La Cit. Laudier réserve à la C. Rebouillat née Litty a sœur la juissance [sic] du second étage de la maison par elle cédée jusqu’au 1. nivose prochain, estimée 13 000 livres (le corps de biens à Griesheim estimé 6000 livres, soulte 7000 livres)
– acte joint, 1. bru. 7 (acp 63 F° 173 du 4 brumaire 7) Jean Adam aubergiste
cede à Michel Wideroder marchand grainetier
sa part et portion faisant la moitié dans la maison appartenances et dépendances rue des Echasses pour 2500 livres
Le boulanger Michel Widenroder, originaire de Musberg en Wurtemberg, épouse en 1770 Anne Barbe Günther native de Barr : contrat de mariage, célébration, accession à la bourgeoisie
1770 (10.3.), Me Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 586) n° 54
Eheberedung – persönlich erschienen seÿen der Ehrengeachte Michäel Wiedenroder, ldiger Beck von Mußberg im Würtembergischen gebürtig, weiland Wolfgang Wiedenroder, des gewesenen burgers und Ackersmanns daselbst mit Anna Catharina gebohrner Metzgerin seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugter majorenner Sohn als Hochzeiterer ane einem,
So dann die tugendsame Jungfrau Anna Barbara Güntherin, von Barr Straßburger Herrschaft gebürtig, Andreas Günther des Schneiders und burgers alda mit weiland Margaretha gebohrner Müllerin seines gewesenen Ehefrauen ehelich erzeugte Großjährige Tochter als hochzeiterin am andern Theil – So geschehen alhier Zu Straßburg, im Jahe 1770, auf Sambstag den 10. Mertz Nachmittags – [unterzeichnet] Michael Wiederoder als Hochzeiter, Anna Barbara Güntherin Als braut
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 169-v)
Im Jahr 1770 Mittwochs den 13. Junii wurden (…) copulirt und eingesegnet, Michael Wiederrother, lediger Beck von Mußberg, Stutgrdter: Amts im Würtembergischen, weÿl. Wolffgang Wiederrothers gewesenen Ackers Manns und burgers daselbst, und Anna Catharina Metzgerin deßen hinterlaßener Wittib ehl. erzeugter Sohn, und Jgf. Barbara Güntherin, Andreas Günthers, Schneiders und burgers in Barr mit Weÿl. Fr. Margaretha Müllerin ehl. erzeugte Tochter [unterzeichnet] Michael Wiederoder Als hochzeiter, Anna Barbara Güntherin als hochzeiterin (i 178)
Accession à la bourgeoisie : livre des inscriptions et registre de traitement des demandes
1770, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 16-v
Michel Wiederrother der beck von Müntzberg im Würtenberg. und deßen Ehefr. Maria Barbara geborne günderin von Barr, erhalten beede das burgerrecht, der Ehemann um den neuen burger schill. die Ehefrau aber wohl verhaltens weg. gratis. Wollen dienen beÿ EE. Zunfft d. becker. Jur. eodem. [20. Junÿ 1770]
VI 286 bis, (f° 133) Becker N° 41 et 42. de 2.ten Junÿ 1770
Michel Wiederroder der leedige beck Von Mußberg Stuttgarter Oberamts gebürtig und deßen sponsa Barbara, Andreas Günthers deß burgers Zu Barr eheliche tochter, Erweißen durch scheine ihre eheliche geburt, Augsb: Conf: geleistete stall bürgschafft, Vertröstung deß Zunfft rechts beÿ E.E. Zunfft der becker und deß sie Sponsa 3. jahr beÿ deß seel. Hrn Professoris Lincken nach gelaßener fr. Wittibin als magd gedienet, Von dannen Zu H. Joh: Georg Gräff dem burger alhier dero tochtermann in diensten gestretten, beÿ welchem dieselbe 6 jahr in Continuo Verblieben, wie auch deßen handtreülich ged. Hrn Gräffen fr. Eheliebstin Versichert. Die Imploranten haben 1000 fl. bahr geld Vorgewießen, den aÿd deß wahren Eigenthumbs angelegt, und 150. fl. nach ordnung beÿ dem burger prothocoll deponirt.
Bitten diesem nach und Zwar der Sponsus umb den neüen burger schilling, die Sponsa aber wohl verhaltens wegen Gratis in hiesiges burger recht zu recipiren.
Vertröstet der Sponsus umb den Alten burger schilling, Sponsa Gratis
Barbe Günther est l’unique héritière de la servante Susanne Marie Günther, morte célibataire à Strasbourg, dont les biens n’ont pas suffi à payer les frais d’enterrement
1776 (13.12.), Me Beguin (6 E 41, 1464) n° 353
erschienen Mr Michael Wideroder der beck, anzeigend daß weiland Susanna Maria Güntherin die allhier in diensten gestandene ledige und unverburgerte Magd den 9. dieses Monats das Zeitliche mit dem Ewigen verwechselt und Fr. Barbaram Wideroderin geb. Güntherin sein des Comparenten Ehefrau zu ihrer einigen Beneficial Erbin ab intestato ane Vermögen aber weiter nichts hinterlassen habe dann die um und ane ihrem Leib gehörig geweßte Kleidung und weiß gezeug und einige wenige haußraths-Posten deren Werth zu bestreitung der, durch ihn den Comparenten ausgelegter Leichen Kösten beÿ weitem nicht hinreichend seÿe
Le grainetier Michel Widerroder meurt en l’an VIII en délaissant un fils. L’inventaire est dressé rue des Petites Boucheries (aujourd’hui de la Haute-Montée). La masse propre à la veuve s’élève à 1 750 francs, celle des héritiers est un passif de 150 francs. L’actif communauté est de 8 230 francs, le passif de 1 650 francs.
1800 (19 brum. 9), Strasbourg 7 (13), Me Stoeber n° 1604 A, 1625 – Enregistrement de Strasbourg, acp 76 F° 33 du 22 brum. 9
Inventarium über weÿl. Michael Wiederroder fruchthändlers Verlassenschafft, derselbe ist gestorben den 28. floreal 8 und hat zu deßen Universal Erben hinterlassen Heinrich Wiederroder den leedigen Gastgeber so bald 21 Jahr alt deßen mit der hinterbliebenen Wittib Anna Barbara Günther erzeugten sohn – Eheberedung
in einer an der Kleinen Mezzig N° 180 gelegen und diesorts Lehnungsweiße bewohnenden behausung
Eigenthum an einem Garten, Nemlich ein Garten so ungefahr ½ acker gros und einem darin befindlichen Gartenhäußlein mit allen Zugehörden gelegen vor allhiesigem Judenthor gegen der Promenade neben dem Lotzbeckischen Gartenplatz, so von der Nation aquirirt worden und verlehnt an b. Mariam Magdalenam geb. Steinhelbert weÿl. bs Jacob Friedrich Flach Gastgebers Wittib vor 150, in capital 3000 fr
berechnung, der Wittib vermögen, activ schulden 150 fr, ergäntzung 1600 fr, summa summarum 1750 fr
der Erben vermögen, kleidung 30 fr, schulden 150 fr
das teilbare vermögen, hausrath 330 fr, garten 3000 fr, gülten von liegende güther 490 fr, summa summarum 8230 fr, schulden 1650 fr, In Vergleichung 6580 fr
Acte de notoriété d’après lequel aucun inventaire n’a été dressé
1806 (15.7.), Strasbourg 7 (48), Me Stoeber n° 773, 8010
Notoriété – que Michel Wideroder Boulanger est décédé à Strasbourg le 28 floréal 8, qu’il n’a été fait aucun inventaire, qu’il a délaissé pour seul et unique héritier Jean Henri Wideroder fils majeur demeurant à Strasbourg
La veuve Barbe Günther vend 10 000 francs la maison au serrurier Georges Flamm et à Marie Barbe Colot
1801 (13 ventose 9), Strasbourg 6 (24), Me Laquiante n° 1224 – Enregistrement de Strasbourg, acp 77 F° 83 du 13 vent. 9
De Barbe Günther veuve de feu le cit. Michel Videroder marchand grennetier en cette ville Et le cit. Georges Henry Videroder aubergiste en cette ville son fils unique héritier du Cit. Michel Videroder (signé) Wiederrod, Viederoder
au cit. Georges Flamm serrurier et Marie Barbe Colot
Une Maison a deux Etages mansardes formant un Etage batie en pierres de taille Cour cave voutée appartenances & dépendances Scise en cette ville Rue des Echasses N° 3, d’un côté veuve Rouvray d’autre les héritiers Sultzer derrière le Cit. Volfart devant la rue, acquis de feu Dame Marie Anne Litti épouse du Cit. Victor Laudier officier retiré suivant Echange devant le notaire soussigné le 4 vendemiaire 7 – moyennant 10 000 francs
les cit. vendeur et venderesse ont affefté spécialement un Jardin d’environ un Demi arpent sis hors la porte des Juifs près de la promenade appelée cydevant Contades d’un côté Cit. Engelhard d’autre cit. Lotzbeck devant la promenade derrière les Glacis
Georges Flamm, originaire de Fribourg en Brisgau, a épousé en 1793 Marie Barbe Collot originaire de Wissembourg
Mariage, Strasbourg (n° 327) Cejourd’hui 24 juin 1793 (…) Georges Flam, serrurier agé de 39 ans domicilié en cette ville Rue du dôme, natif de fribourg en Brisgau, fils de feu mathias flam, cultivateur audit lieu, et d’agathe Beck, de l’autre part Marie Barbe Xavier Collot, cuisinière, agée de 40 ans, domiciliée en cette ville, native de Weissembourg, Département du Bas Rhin, fille de Nicolas collot, chantre audit lieu et de feue Catherine müller (…) 1° l’acte de naissance de Marie Barbe Xavier collot portant qu’elle est née à Wissembourg le 3 février 1753 (…) Georges flam n’a pu produire son acte de naissance à cause de la guerre (signé) georg flam, Maria Barbara xaveria Collot (i 25)
Jean Georges Flamm meurt sans héritier en 1837
1837 (22.11.), Strasbourg 8 (66), Me G. Grimmer n° 6292 – Enregistrement de Strasbourg, acp 254 F° 91 du 29.11.
Déclaration tenant lieu d’inventaire de Jean Georges Flamm, ancier serrurier – à la requête d’Agathe Gehr vivant de ses revenus légataire universelle en vertu du testament passé devant Me G. Grimmer le 10 février 1825 enreg le 14 juin 1837 F° 31, que son oncle ledit Sr Flamm est décédé le 13 juin dernier
Georges Flamm vend 9 000 francs la maison au serrurier Wenceslas Kirtschmars et à Jeannette Gœrner
1827 (10.2.), Strasbourg 1 (50), Me Rencker n° 5035 – Enregistrement de Strasbourg, acp 182 f° 112-v du 12.2.
Georges Flamm, serrurier
à Wenceslas Kirtschmars, serrurier, et Jeannette Goerner
une maison à deux étages, mansardes formant un étage batie en pierre de taille, cour, cave voutée, attelier de serrurier, appartenances & dépendances, situé à Strasbourg rue des Echasses n° 3, d’un côté le Sr Friedel d’autre les héritiers Sultzer devant la rue de l’Echasse derrière le Sr Wohlffart – acquise de la veuve et héritiers Videroder par acte Me Laquiante le 13 ventose 9 – Flamm est seul propriétaire en vertu du testament de feu son épouse passé devant Me Anrich le 21 mars 1797 enreg. le 27 mars 1820 – moyennant 9000 francs
Wenceslas Kirtschmars a épousé Jeannette Gœrner en 1812
1812 (4.4.), Strasbourg 5 (35), Me F. Grimmer n° 7541 – Enregistrement de Strasbourg, acp 119 F° 103-v du 11.4.
Contrat de mariage – Wenceslas Kirtschmars serrurier demeurant rue des Flancs n° 28 fils majeur de feu Mathias Kirtschmars prévot à Kirwitz arrondissement de Tropau dans la Silésie autrichienne et d’Anne née Hawerland
Madeleine Jeannette Goerner 19 ans fille de feu Christophe Goerner serrurier et de Marie Madeleine née Letourné
apports de la future épouse, 2000 fr
Wenceslas Kirtschmars et Jeannette Gœrne louent une boutique au serrurier Bernard Kœhl
1837 (24.7.), Strasbourg 8 (66), Me G. Grimmer n° 6146 – Enregistrement de Strasbourg, acp 251 F° 77 du 25.7.
Bail de 2 ans 3 mois à commencer le 25 courant – Venceslas Kirtschmar, serrurier, et Jeannette Madeleine Goerner
au Sr Bernard Koehl, serrurier
une boutique de serrurier au rez de chaussée de la maison appartenant au bailleur située à Strasbourg rue des Echasses n° 3, la cave au dessous de la boutique pour charbons, au troisième étage dans la maison un petit magasin & à côté droit commun dans la cour & à la pompe ensemble avec les autres locataires – moyennant un loyer annuel de 450 francs
Wenceslas Kirtschmars meurt en 1838 en délaissant six enfants. l’inventaire est dressé dans une maison rue des Bouchers
1839 (23.3.), Strasbourg 7 (93), Me Boersch n° 988 – Enregistrement de Strasbourg, acp 267 F° 29-v du 1.4
Inventaire de la succession du Sr Wenceslas Kirtschmars, serrurier décédé le 16 décembre 1838, à la requête de 1. Jeannette Goerner veuve et tutrice légale de 1) Isidore Kirtschmars 19 ans, 2) Joseph Amand 17 ans, 3) Constance 13 ans et 4) Jeannette Malvina 2 ans, ses quatre enfants mineurs, 2. Virginie Melanie Kirtschmars, majeure, 3. Louise Jeannette Kirtschmars majeures – en présence de Jean Adam Joseph Sonntag, maître de langues à Strasbourg subrogé tuteur – Contrat de mariage passé devant Me Grimmer le 4 avril 1812
en la maison rue des Bouchers n° 20
Wenceslas Kirtschmars et Jeannette Gœrner vendent la maison au serrurier Bernard Kœhl
1838 (8.11), Strasbourg 7 (93), Me Boersch – Enregistrement de Strasbourg, acp 263 F° 75 du 19.11.
Cahier des charges n° 651 du 13 novembre, adjudication n° 702 – Wenceslas Kirtschmar, serrurier demeurant rue des Bouchers n° 20 agissant par Jeannette Goerner son épouse
à Bernard Koehl, serrurier
Désignation de l’immeuble à vendre, une maison à deux étages, mansardes formant un étage batie en pierres de taille avec cour, cave voûtée et atelier de serrurier, appartenances, droits et dépendances sise à Strasbourg rue des Echasses n° 3, d’un côté le Sr Friedel autre les héritiers Sultzer devant donnant sur la rue des Echasses derrière sur la propriété du Sr erch – Etablissement des titres de propriété, acquis sur Georges Flamm, serrurier, par acte Me Rencker le 10 février 1827, Flamm acquis avec Marie Barbe Colot des veuve et héritiers Videroder par acte Me Laquiante le 13 ventose 9, Sr Flamm seul propriétaire par testament de son épouse Marie Barbe Colot passé devant Me Anrich le 21 mars 1797 enreg. 27 mars 1820 institué légataire universel, Sr Videroder acquis par échange passé devant Me Laquiante le 24 vend. 7 – moyennant 13 100 francs