12, rue des Chandelles
Rue des Chandelles n° 12 – IV 405 (Blondel), N 913 puis section 60 parcelle 25 (cadastre)
Démolie par la Ville (service d’assainissement), début 1907
Elévations et plans (rez-de-chaussée, sous-sol, étages) des n° 12 (à droite, 14 (au milieu) et 16 (à gauche), relevés du service des Monuments historiques (© DRAC Grand-Est, cotes DAR 482 B 036 002 et 001)
La maison qui comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière doit dater de la même époque que ses voisines : le n° 16 porte le millésime 1551, le n° 14 celui de 1575. Elle figure au Livre des communaux de 1587 au nom du pelletier Jacques Mittel ; l’encorbellement de quinze pieds de long avance de trois pieds et demi. Elle revient à son fils pelletier puis à la mort de sa veuve au jardinier Paul Heydel qui habite au Marais Vert. Le tourneur Jean Martin Eberlin en devient propriétaire en 1676 puis le peignier Jean Philippe Reinthaler qui la vend à son père Laurent Reinthaler en 1701 quand il quitte Strasbourg pour s’établir à Landau. Elle revient par héritage aux peigniers Jean Frédéric Reinthaler puis à son gendre Frédéric Auguste Kretschmann. Sa valeur reste stable (400 livres en 1712, 450 en 1770). L’aiguilletier Jean Frédéric Stammler qui l’acquiert en 1770 y fait sans doute des réfections notables puisque sa valeur minimale passe à 600 livres en 1779. Il passe en 1792 un accord avec son voisin au sud (ensuite n° 14) concernant la fosse d’aisances sous le bâtiment arrière du voisin et une fosse à fumier.
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 188 (© Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée en maçonnerie, deux étages en bois et un encorbellement. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est celle à droite du repère (f) : porte d’entrée et fenêtre au rez-de-chaussée, une grande ouverture à chacun des deux étages, toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour (O) représente le bâtiment (1-4) sur rue, le bâtiment arrière (2-3) relié au premier par les galeries (3-4) au nord. Le mur (1-2) sépare la cour de celle de la maison au sud (n° 14).
La maison porte d’abord le n° 8 (1784-1857) puis le n° 12.
Cour O
Coupe et élévation sur cour (© DRAC Grand-Est, cote DAR 482 B 036 003)
La propriété devient au XIX° siècle une maison de rapport. Christophe Henri Stammler achète une maison aux Grandes Arcades. Les deux maisons contiguës (n° 12 et 14) comptent parmi les plus mal entretenues de la ville comme le mentionne le rapport au conseil municipal qui vote le 9 mars 1903 leur achat ainsi que celui du n° 16 sur les fonds de la Caisse d’assainissement. Malgré le rapport du conservateur des monuments historiques, la démolition commence en décembre 1906.
Galerie et porte (© DRAC Grand-Est, cotes DAR 482 B 036 004 et 006)
novembre 2020
Sommaire
Cadastre – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1606 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Jacques Mittel, pelletier, et (1565) Anne Dentzel – luthériens | ||
1600* | h | Henri Mittel, pelletier, et (1591) Marie Bapst – luthériens et Jean Henri Mittel, imprimeur, et (1627) Marguerite Kempffer – luthériens |
1650* | adj | Paul Heydel, jardinier, et (1641) Marie Burger d’abord (1634) femme du jardinier Urbain von Bœrsch puis (1678) Ursule von Simbsheim d’abord (1656) femme du jardinier Jean Lix – luthériens |
1676 | v | Jean Martin Eberlin, tourneur, et (1674) Agnès Disterin puis (1677) Susanne Schweinlin – luthériens |
1694 | v | Jean Philippe Reinthaler, peignier, et (1694) Marie Madeleine Garing – luthériens |
1701 | h | Laurent Reinthaler, peignier, et (1653) Marie Grossheinrich puis (1659) Marie Strintz – luthériens |
1712 | h | Jean Frédéric Reinthaler, peignier, et (1692) Marie Elisabeth Kohler – luthériens |
1745 | h | Frédéric Auguste Kretschmann, peignier, et (1735) Marie Elisabeth Reinthaler – luthériens |
1777 | v | Jean Frédéric Stammler, aiguilletier, et (1766) Marie Madeleine Dannenberger puis (1780) Marie Madeleine Klein – luthériens |
1810 | h | Christophe Henri Stammler, épinglier puis fabricant de tissus métalliques, et (1808) Susanne Madeleine Kratzeisen, (1821) Frédérique Steinmetz puis (1840) Louise Mélanie Heusch |
1844 | v | Gabriel Schrameck, revendeur, et (1820) Rosette Koch |
1864 | h | Isaac Schrameck, marchand de meubles, et (1852) Dina dite Odile Weill |
1900 | h | Elie Weill, marchand, et (1876) Léonie Rosalie Schrameck |
1903 | v | Ville de Strasbourg |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation :
400 livres en 1712, 450 livres en 1770, 600 livres en 1769
(1765, Liste Blondel) IV 405, Fréderic Kreschmann
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Stammler, 2 toises, 1 pied et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 913, Stammler, Christophe Bernard – maison, sol – 1,55 are
Locations
1718, (cave) Jean Daniel Huck, brasseur à la Hallebarde
1783, Susanne Schott veuve du charron Ulric Dannenberger
1813, Marie Madeleine Muller veuve du perruquier Jean Nicolas Gaspari
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 150-v
La maison appartient en 1587 au pelletier Jacques Mittel qui paie 7 sols 4 deniers pour un encorbellement de 15 pieds de long en saillie de 3 pieds ½, une porte de cave inclinée de 7 pieds 9 pouces en saillie de 3 pieds, une marche en pierre de 6 pieds de long et 1 pied ½ de large
Die Gaß nach der Beckenknecht Stuben zum Heiligen Liecht genandt
Jacob Mittel der Kürßner hatt Oben ein Vsstoß 15 schu lang, vnd 3 ½ schu herauß, Vnden ein lehenete Kellerthüer 7 schu 9 Zoll breÿt, vnd 3 schu herauß, Ein besezter Tritt 6 schu lang vnd 1 ½ schu breÿt, Bessert &, vij ß iiij d
Description de la maison
- 1712 (billet d’estimation traduit) La maison qui comprend une cave voûtée, un passage latéral et un bâtiment arrière est estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 800 florins
- 1770 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière où se trouvent plusieurs poêles, chambres et cuisines, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
2° arrondissement ou Canton nord – Rue de la Chandelle
nouveau N° / ancien N° : 15 / 8
Stamler
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages mauvais en bois et avance
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 21 f° 263 case 4
Stammler, Christophe Henry à Strasbourg
Schrameck, Gabriel, md de meubles, grand rue N° 48 (1845)
N 913, maison, sol, R. des chandelles 8
Contenance : 1,55
Revenu total : 99,81 (99 et 0,81)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 21 / 17
fenêtres du 3° et au-dessus : 2 / 2
Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1015 case 1
Schrameck, Gabriel, Marchand de meubles, grand rue 74
1901 Weil Elias Ehefrau Leonie Rosalie geb. Schrameck in Barr
1904 Stadt Strassburg
(ancien f° 763)
N 913, maison, sol, Rue des chandelles 12
Contenance : 1,55
Revenu total : 99,81 (99 et 0,81)
Folio de provenance : (263)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 21
fenêtres du 3° et au-dessus : 2
Cadastre allemand, registre 32 p. 387 case 5
Parcelle, section 60, n° 25 – autrefois N 913
Canton : Heiligenlichtergasse Hs N° 12
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,12
Revenu : 1000
Remarques : VI, 10 – B.U. II, 1907, 7
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IV, Rue 110 Rue de la Chandelle p. 187
8
Pr. Stammler, J. Fred. épinglier – Miroir
lo. Hammerer, Ignace, domestique – Moresse
lo. Edenwaldt, Jean, journalier – Manant
(ajout) lo. Roesler, Marie Dorothée, Couturière
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Heiligenlichtergasse (Seite 58)
(Haus Nr.) 12
Knorr, Zimmermann. 01
Engelmann , Tagner. 3
Relevé d’actes
Propriétaire porté au Livre des communaux de 1587, Jacques Mittel épouse en 1565 Anne, fille du drapier Ulric Dentzel de Nördlingen.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 80-v n° 16)
1565. Vmb 9 Vhren den 26 Martÿ sind Eingesegnet worden Jacob Mittel, Bastian Mittels selig sohn von Straßburgk vnd Anna Ulrich Dentzels selig. des Tuchmachers von Nörling. verlassene tochter (i 94)
La maison revient au pelletier Henri Mittel qui épouse en 1591 Marie, fille de Jean Bapst
Mariage, cathédrale (luth. p. 191)
1591. Dominica Vocem Jucunditatis. 9. Maÿ. Heinrich Mittel der Kürsner vnd Maria Hansen Bapst des Schneiders tochter (i 99)
Le pelletier Henri Mittel hypothèque la maison au profit des tailleurs Jean Pootz et Jean Bapst
1608 (xvj Martÿ), Chancellerie, vol. 378 (Registranda Meyger) f° 141-v
(Inchoatum in Proth. fol: 125.) Erschienen Heinrich Mittell d. kirschner burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vnnd Inn gegenwertig kheit hannß Pootz vnnd hannß Bapst beder schneÿdern vnnd burgern Zu Straßburg offentlich verÿehen, demnach Jetzgenante bede hannß Pootz vnnd hannß Bapst für Ine den Bekhenner inn der Müntz Alhie vmb 75 pfund pfenning Straßburger unverscheidenlich Als bürg. vnd selbst schuldnern sich obligirt vnnd verbund. das hierauff ermelt Bekhenner für sich vnd All seiner erb. gedachte seine bede Bürg. vnd Ihre erb. obbgehörtt Bürgschafft halben (…)
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt Hauß, hoffestatt, höfflin vnd hindhauß mit Allen Ihren geb. & Inn d. Statt Straßburg beÿ der Beck. knecht stuben, Im hellen liecht. gaß. einsit neb. hannß Götz dem kremern and.sit neb. hannß Geörg dem schloßer, hind. vff wendling Rühlen den Babÿerer stoßend, dauon iij lb xv ß d Ablösig mit Lxxv lb d h Friderich held. Itel ij lb x ß d Ablösig mit L lb d Martin Rup dem Zirckellschmidt, Item j lb v ß gelts Lößig mit xxv lb Andreß Dieffenbech. It. ij lb x ß wid.kheüffig mit L lb Christoffell Betz dem schneÿd.
Les frères pelletiers Henri Mittel et Jacques Mittel passent une obligation au profit de Jean Henri Rüttlinger, marchand à Zurich. Chacun hypothèque sa maison rue des Chandelles.
1610 (ut spâ [xviij Januarÿ]), Chancellerie, vol. 390 (Registranda Meyger) f° 46-v
(Inchoat. in Proth. fol: 42.) Erschienen Heinrich vnd Jacob Mittell gebrüder kirschner burger zu Straßburg
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn hannß Heinrich Rüttlingers des handelsmanns Zu Zürich offentlich verÿehen – schuldig sigent 203 guldin vnd dreÿ orth
Und zu mehrer sicherheit hatt Heinrich Mittel zu und.pfand eingesetzt vnd vgt. hauß, hoffestatt, höfflin vnd hind.hauß, mit Allen Ihren geb. & gel. In d. St. St. hind. d. Kürschner Zunfftstuben In der heÿlig. liechtergaß, einsit hannß Götz, And.sit hanns Jörg Schlosser, hind. vff h. wendling Kühlen stoßend, davon gnd. iij lb xv ß d gelts Ablößig mit Lxxv lb d Friderich held. It ih lb x ß gelts Lösig mit L lb Christoffll Berga, It ij lb & ß Ablößig mit L lb h. Laurentio Serningern It. ij lb x ß gelts Ablößig mit L lb hannß Bapst den schneÿd. vnd ij lb x ß gelts, stnd L lb hanß Ratt dem schneider sunst eÿgen
Item Jacob Mittel gibt, hauß hoffestatt, vnd höfflin, geleg. in derselb. heÿlig. Liechts gaß, einsit Daniel Khammer And.sit Mathÿß Schalcken hind. vff J. hanß Heinrich Voltz. stoßend, davon xv gl glts Ablößig mit iij C x gl hanß Daniel Widden, It. j lb v ß gelts Lösig mit xxv lb d Ulrich Rauch, So dann soll sie verhafftet vmb xxxviij lb d Jacob Knoderer
Le registre mentionne le tailleur Jean Bapst et sa fille veuve du pelletier Henri Mittel
1614 XV (2 R 42) Heinrich Mittels Wittib. 26. (Hanß Bapst der Schneid. vnd sein dochter Heinrich Mittelß des Kürßners s. wittib)
Veuve, Marie Bapst hypothèque la maison au profit du tisserand Elie Streich
1615 (xxj. Decembris), Chancellerie, vol. 418 (Registranda Meyger) f° 541
(Inchoat. in Proth. fol. 457.) Erschienen Maria Bäpstin weÿland Heinrich Mittell des Kürschners burgers Zu Straßburg selig witwe mit beÿstand & herrn Valentini Büchelers des Notarÿ burgers Zu Straßburg Ihres vogts
hatt bekhandt vnd Inn gegenwertigkheit Elias Streich. des Leinenwebers burgers Zu Straßburg offentlich verÿehen, demnach ermeld Elias Streich mit und nebent Simon Rininger dem Küffer Inn der Müntz Alhier vmb xxx ij lb beÿ d. St. Straßburg Müntz vnuer: Bürg word.
Zum vnd.pfd einges. vnd v.legt, hauß, hoffestatt vnd höfflin mit Allen Ihren geb. & gelg. Inn d. St. St. hind. d. Kürschner Zunfft stuben einseit n. Hannß Götz dem Altgewand. And.seit n. dem schloßer, hind. vff hanß Caspar Kheners behausung stoßend, dauon gnd ij lb x ß gelts Ablößig mit L lb Christoph Betzen dem Steinschneÿd. Mehr seind sie verhafftet vmb Lxxxv lb d. herrn Friedrich held. It. vmb xxxij lb x ß d doctori Laurentio Serming.
Marie Bapst hypothèque la maison au profit d’Isaïe Kneulé
1616 (ut spâ [j. tag februarÿ]), Chancellerie, vol. 421 (Registranda Meyger) f° 57
(Inchoat. in Prot. fol. 58.) Erschienen Maria Bäpstin wÿland Heinrich Mittell des Kirschners burgers Zu Straßburg s. witwe mit beÿstand herrn Valentini Büchelers Notarÿ Alhie Ihres Vogts
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit Esaias Cneülin burgers Zu Straßburg – schuldig seÿe 85 guldin
Zum vnderpfandt eingesetzt vnd verlegt. hauß, hoffestatt höfflin vnd hind. hauß mit Allen Ihren geb. & geleg. Inn d. St. St. hind. d. Kirschner Zunfftstub, einseit n. hanß Götz dem Altgewand. And.seit neb dem schloßer hind. vff hannß Caspar Kheners behausung stoßend, dauon gend ij lb ß d gelts Abloßig mit L lb Christoph Betza dem schneÿd artztet, Mehr sind sie verhafftet vmb Lxxxv lb herrn Friderich hold. Item vmb Lxxv lb d Ane die Müntz, It. Vmb xxxij lb x ß d doctori Laurentio Serming. Item vmb xxxij lb Auch Ane die Müntz So dann vmb vj lb d Mariæ Mittelin ihr d. Bekhennerin dochter, Sunst ledig eyg.
Assistée de son fils imprimeur Henri Mittel, Marie veuve de Henri Mittel hypothèque la maison au profit des enfants du pasteur Jean Siebenzieher
1622 (ut spâ. [xiij. Novembris]), Chancellerie, vol. 446 f° 482
(Inchoat. in Prot. fol. 346.) Erschienen Maria, wÿland Heinrich Mittels des Kirschners selig. witwe, mit beÿstand Julius Kleÿber Kirschners burgers Zu Straßburg Ihres vogts vnd hannß Heinrich Mittell Buchdruckers Ihres Sohns,
hatt bekhandt vndt In gegenwärtigkheit h. Ulrich Retzlob burgers Zu Straßburg Als Vogt wÿland Johann Süben Zühers pfarrers Im Westrich hind. lassenen Khind. – schuldig seÿe L lb gelts
vnderpfand, hauß, hoffstatt, höfflin vnd hind. hauß, mit Allen Ihr. geb. glg. Inn d. St. St. Inn d. heÿlig. liechtergaß, einseit neben Jacob N. den Borenmach. And. seit n. hannß Götz witwe, hind. vff hanß Caspar Khenner stoßend, dauon gnd. iiij lb v ß geld loß. mit Lxxx lb h Friderich Held. Mehr eind sie verhafftet vmb L. lb doctori Laurentio Serning, Item vmb L lb Frantz Guischard
[in margine :] Erschienen die hierinn ermeldte Debitrix mit beÿstand ihres vogts, auch obgedacht An einem, So dan Niclauß Würmblin der jünger alß Ehevogt Mariæ Sÿbenzieherin am andern theil (…) Geschehen in beisein hannß Heinrich Mitels ihr Debitricis eheleiblich. sohns vnd Claus Würmblin deß altern den 20. Aprilis Anno 1633.
(vide in Regist: 1635. fol. 234.)
Assistée de son fils Henri Mittel, Marie Bapst hypothèque la maison au profit de Georges Lauginger
1622 (xxiiij. Decembris), Chancellerie, vol. 446 f° 591
(Inchoat. in Prot. fol. 421.) Erschienen Maria Bäpstin weÿland Heinrich Mittell des Kirschners s. witwe, mit bstd. Julius Kleÿber des Kirschners burgers Zu Straßburg Ihres Vogts, Peter Heÿd Kirschners Ihre Khund. vogts vnd hannß Heinrich Mittell Buchtruckers Ihres Sohns
hatt in gegensein h. Georg Laugingers burgers Zu Straßburg – schuldig seÿe 500 pfund
vnderpfand hauß, hoffestatt vnd höfflin, Auch hind. hauß, mit Allen Ihr. geb. & geleg. Inn d. St. St. Inn d. hellen liechtergaß, einseit neben hanß oßwald dem Kieffer, anderseit neben Jacob Ruff vornen auch* hind. vff hannß Caspar Khrener stoßend
[in margine :] Erschienen Maria Pabstin die Debitrix mit beÿstand ihres vogts Julÿ Kleibers vnd ihres sohns hannß Heinrich Mittels an j. So dan herr Niclauß von Türckheim als deß herren Creditoris see. nachgelaßener dochter Elisabethen Ehevogt am 2. theil (…) Act. den 15. Julÿ 629.
Marie, veuve de Henri Mittel vend du lard et du beurre sur un étal du marché aux occasions. L’enquête montre que la marchande est déclarée revendeuse à la Mauresse. Comme plusieurs membres du Magistrat élèvent des protestations, l’assemblée décide de demander à la marchande de trouver un autre endroit pour son étal.
1636, Protocole des Quinze (2 R 61)
Maria, Heinrich Mittels wittib. hatt speck und Ancken vnder der Kleinen Erbißlauben feÿl. 176.
(f° 176-v) Mittwoch den 17. Augusti. – Beede H. XV. Mr proponiren p. H. Frantzen, hatten H policey richter berichten laßen daß Maria, Heinrich Mittels wittib under der kleinen Erbißlauben neben anderen gerümpel wahr auch speck vnnd Ancken feÿl habe, deßen sie vermuthlich keine erlaubnus, vnnd dargiebe meine g. herren die XV. gepürlich einsehen haben solte. Als nun soiie besagte wittib deßwegen hierauff erfordert vnnd gehört worden hatt sich so viel Zwar befunden das sie das grempen werck zu treiben befragt, gestalte sie bereits die Mörin Zunfft vber deie 20. Jahr erhalten, wie allererst vor ettlich tagen den Articul uff der stuben wider hören ablesen, es hätte aber inmittelst verschiedene Regiments: vnnd Rhatherren de novo den übelstand an dießem Ort allegirt, dahero man stelle, ob nicht Ihr in namen meiner herren p. XV. knecht anzuzeigen, sich vmb einen andern orth, Zu feil haberig dergleichen wahr vmb zu sehen ?. Erkandt Quod sic.
Jules Kleiber, tuteur de la veuve de Henri Mittel, demande que la veuve soit dispensée de rembourser 14 livres à la Monnaie à cause de son grand âge et de sa pauvreté
1642 (2 R 65) Heinrich Mittels Wittiben Vogt umb Nachtrags nachlauß in der Müntz. 262.
(f° 262) Sambstags den 1. 8.bris – Heinrich Mittels Wittiben Vogt, Julius Kleÿber, bitt wegen Ihres hohen Alters vnd aüßersten dürfftigkeit, Vmb gn. Nachlaß noch restirender 14. lb 17 ß 4 d Nachtrags so Sie d. Müntz Schuldig. Erkandt, Obere Müntz Herren bedenckens.
[in margine :] N. dieße Sach ist wid. an die dreÿ remittirt worden
Les Conseillers et les Vingt-et-Un admettent Marie, veuve de Henri Mittel, octogénaire comme pensionnaire pauvre à l’hôpital
1649, Conseillers et XXI (1 R 132)
Maria Hanß Heinrich Mittelß haußfr. 119.
(f° 119-v) Mittwochs den 18. Julÿ – Maria Hanß Heinrich Mittelß alhie We. vff 80. Jahr alt, bittet umb die arme pfrund im Spithal. Erk. soll aufgenommen werden.
L’imprimeur Jean Henri Mittel épouse en 1627 Marguerite Kempffer, fille du marchand de cuir Hermann Kempfer
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 79)
1627. Dom. XXI Trin: 14. 8.bris. Hannß Heinrich Mittel der Kupffertrucker, Heinrich Mittel des gewesenen Kürschners allhie Sohn, Vndt Jr. Margreth Herman Kempfers burgers Vnndt lederkremers allhie dochter. Copulatio 22. 8.bris Z. J. S. Peter (i 41)
Proclamation, cathédrale (luth. p. 243) 1627. Doîca 21 Trin: 14 8.bris Hannß Heinrich Mittel der Kupffertrucker, Heinrich Mittel des Kürschners e. sohn, und J. Margreth Herman Kempfer des handelsmanns tochter. Eingesegnet zum J. S. P. montag 22. 8.bris (i 126)
Jean Henri Mittel demande à plusieurs reprises un privilège pour imprimer un calendrier
1644 Conseillers et XXI (1 R 127) Hannß Heinrich Mittel der Kupffertrucker. 34. [pt° gelts]
1649 Conseillers et XXI (1 R 132) Hanß Heinrich Mittel [vmb privilegium Calender zu trucken] 93. 99. 174. 178.
1654 Conseillers et XXI (1 R 137) Hanß Heinrich Mittel. 156. [Buchdrucker, umb Calender]
1655 Conseillers et XXI (1 R 138) Hanß Heinrich Mittel. 12. 16. [vmb privilegium Calender zu trucken]
1656 XV (2 R 74) Hanß Heinrich Mittel. 201. [offerirt Calender]
La maison revient au jardinier Paul Heydel, fils du receveur de Saint-Marc Paul Heydel. Il se marie en 1641 avec Marie Burger qui avait épousé en premières noces le jardinier Urbain von Bœrsch en 1634.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 14-v)
1641. Dominica XIV Trinitatis. Paulus Heidel der garttner, hr. Pauli Heidels deß schaffners Zu St. Marx e. Sohn vnndt Maria Urbani Von Börsch des garttners v. burgers wittib. Eingesegnet eodem et ibidem [d. 4. octobt. J.S. peter] (i 19)
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 95, n° 19)
1634 (-) April. Urban Bersch der gartner, Jungfr. Maria Andreas Burgers des gartners tochter. Aurel. (i 49)
Paul Heidel se remarie en 1678 avec Ursule von Simbsheim qui avait épousé en 1656 Jean Lix fils de Jean : contrat de mariage, célébration. Le marié est assisté de son gendre tonnelier Jean Keck
1678 (8. Junÿ), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 51) n° 18
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten und wohlachtbahren Herrn Paul Heÿdeln, Garttnern ane Steinstraßn burgern alhier zu Straßburg, Als hochzeitern an einem
So dann der Viel Ehren: und Tugendreichen Frawen Ursula gebohrner von Simbßheim weÿl. deß Ehrenhafften herrn hannß Lixen hannßen Sohns geweßenen Gartners Underwagnern, Burgers alhier nunmehr seel. hinderlaßenen Wittib, Als hochzeitterin, Andern theils
So beschehen Sambstags den 8. Junÿ Anno 1678 [unterzeichnet] Paulus Heÿdel Alß Hochzeÿter beken wie ob Stet, Johannes Keck als tochterman Kieffer, Abraham heÿdel als sohn GUW (auff der hochzeiterin seithen) Jacob Schell alß schwager
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 183)
1678. Paulus Heidel der Gartner vndt Ursula, Hans Lixen des Gartners nachgelaßene Wittib (i. 94)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 278 n° 26) Sonnt. III. Trinitatis 16. Iunÿ. Hr. Paulus Heÿdel der Gartner ahn Stein Straß v. burger allhie, V. Fr. Ursula, h. Hanß Lixen gewes. Gartners Vnder Wagnern Vndt burgers allhier nachgelas. Wittib. Eingesegnet Zu St. Aurelien Donnerst. 27. Junÿ (i 292
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 131)
1656. Hans Lix Hans Lixen des gartners sohn, J Ursula Matern von Sÿmbsh. tochter. 29. Jan. Zu St. Aurelien (i 68)
Paul Heydel meurt en 1682 en délaissant trois enfants ou leurs représentants. L’inventaire est dressé dans une des maisons dont il est propriétaire au Marais Vert
1682 (10. 9.br), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 4) n° 24
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güettere, Ligender vnd Vahrender, so weÿl. der Ehrenvest und Wohlvorgeachte H. Paulus Heÿdel, Geweßener Garttner Ane Steinstraß vndt burger Zu Straßburg nunmehr seelig, nach seinem den 11.ten Octobris dießes Zuend lauffend. 1682.sten Jahrs Genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß abgeleibten Sohns, dochter vnd Enckel auch Ehe: vnd Geschworner Vögte, wie dieselbe ane nechstfolgendem Blatt alle benambßt und beschrieben, vorgenommen vnd ersucht, durch die Ehren und tugendsame Fraw Ursulam Heÿdelin gebohrne von Simbßheim, die hinderlaßene wittib mit beÿstand H hanß v. Fridolßheim Jacobs Sohn G. U. W. burgers alhier, Ihres geschwornen Vogts (…) Actum und angefangen Dienstags den 10. Novembris Anno 1682.
Der Verstorbene herr Paulus Heÿdel seelig hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie Volgt 1. Estlich Michaeln, Margaretham, Abraham und Paulum die Heÿdele, Weÿl. Paul Heÿdels deß Jüngern geweßenen Garttners Vnderwagnern vnd burgers Alhier nunmehr seel. hinderlaßene Vier Kinder, Als deß Abgeleibten Enckel, deren Geordnet vnd Geschworner Theil Vogt H. Hanß Hügel, Garttner in Steinstraß, welcher beneben H Johann Kecken, Küffern alß derselben Curatori Ordinario dißel Geschäfft von Anfang biß Zu end persönlich beÿgewohnt, vor einen, 2. Mehr die Ehren vnd Tugendsame Fraw Anna Mariam Heÿdelin, H. Johann Kecken, Küeffers und burgers alhier, ehelich geliebte haußfraun als die dochter mit beÿstand erstgedachts Ihres haußwürths, Vor den Andern, 3. So dann den Ehrenhafften Abraham Heÿdeln, Garttner Underwagnern vnd burgern alhier Als des Verstorbenen Sohn, Vor den vbrigen und dritten Stammtheil, so vor sich selbsten Zugegen. Alle mit assistentz deß Ehrenvest vnd rechtsgelehrten H. Johann Friderich Redwitz Notarÿ Publici und burgers allhier
Copia des Heuraths Verschreibung, pge. in Proth. B. fol. 51 et sqq
Vergleich Zwischen der Fraw Avec und Erben wegen deß von Ihro Wittib geforderten Leÿdt Kleÿdes und Abstands Theilbahren Gutts (…) Actum dinstags den 22. Xbris aô 1682.
In einer alhier Zu Straßburg in der Vorstatt Underwagern nahe dem Closter St. Marx Gelegener vnd in dieße Verlaßenschafft gehörig. behaußung befund. worden wie volgt
(f° 31) Hültz und Schreinwerck. In der Kuchen, Im Haußöhren, In dem Nebens hauß in der Stub, In der Stub Cammer, O der hindern Kuchen, Im hindern Stockh in der obern Stuben, In der Stub Cammer, In der Nebens Cammer, Auff dem Stall in d. Knechts Cammer, In der Nebenß Cammern, Auff dem gang
Im Gartten hauß in der Berg herren Gaß, in der stuben, Inn der Kuchen, Im undern haußöhren
In der Fraw Wittib beÿ St: Margrethen gelegener behaußung. Auff dem obern Kasten, In der obern Wohnstuben, In der Stub Cammer, Im ober hauß öhren, In der und. Wohnstub, In der Kuchen, Im Keller, Auff der Obern Bühne, Im undern haußöhren. Im Nebens hauß, Im Keller im Sterbhauß
In H. Kecken deß T.rmanns hauß – Im Krautt Keller
(f° 38) Eÿgenthumb ane Häüßern und Gärtten (W.) Item hauß, höfflein vnd hoffstatt, Scheür und Ställ in der Statt Straßburg Vorstatt Vnderwagnern, Oben Ann St. Aurelien Gaß, beÿ S. Margrethen Closter (…)
(W.) Item hauß, hoffstatt, höfflein, Scheür und Ställ in der Statt Straßburg Vorstatt Vnderwagnern, in St. Aurelien Gaß, beÿ S. Michaels Bühl gelegen (…)
(E.) Item dreÿ häüßlein under einem dach so hiebevor vier geweßen, mit dero hoffstätten und Gebäwen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden vnd Gerechtigkeiten, Gelegen in der Statt Straßburg Auch in dero Vorstatt in dem Grünen bruch, einseit neben hannß Vixen deù Salpetersieder, Anderseit neben (-) hinden vff einen hiehero gehörigen Gartten stoßend so freÿ ledig, eigen gewürdiget per 27 lb 10 ß (…)
(E.) Item der halbe theil für ohngetheilt ane einem hauß vnd hoffstatt sampt dem höfflein vnd Stall in der Vortatt Straßburg im Grünen burch, beÿm hundtshoff in einem nicht durchgehenden gäßlein (…)
(E.) Item ein Gartten, ohngefehr anderthalben Acker Großn Gelegen alhier in der Statt Straßburg im Grünen bruch (…)
(E.) Item eine Behaußung auch in dem Grünen bruch gelegen (…)
(E.) Item ein Garttenhaüßlein welches H. XIII. Johann Philipp Müln seel vff vorher beschribenen Gartten bawen laßen (…)
(E.) Item ein Gartten vngefehr vff ein Acker Grundts Groß geachtet sampt einem Bohrhäüßlein über der einfarth im Grünen bruch (…)
(E.) Item ein hauß, hoff, hoffstatt vnd Bronnen beÿ dem Roßmarckh un der Krebßgaßen (…)
(f° 42) Eigenthumb ane Ligenden Güttern
(f° 97) Ergäntzung der Fraw Wittib unveränderten Gutts. Auß den über derselben in die Ehe Gebrachte Unveränderte Nahrung, durch mich Notarium in aô 1678 auffgerichtetem Inventario
Assisté de son gendre Jean Keck, Paul Heydel vend la maison au tourneur Jean Martin Eberlin. En marge, quittance remise en 1695 au peignier Jean Philippe Reinthaler
1676 (18. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 581
Paulus Heÿdel Gartner ahne Steinstraß, mit beÿstand Johann Keckhen deß Kieffers seines dochtermanns
in gegensein hannß Martin Eberlins deß trähers, mit assistentz Philipp Dischters deß trähers
hauß, höfflein, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten alhier in der h. Lichtergaßen einseit neben Christmann Lorentzen deß Kärchel Ziehers nunmehr seel. nachgelaßener wittibin anderseit neben der Samblung Hartlieb Kurtzlieb hinden uff Samuel Goltbach den Metzger stoßend gelegen – umb 750 fl.
[in margine :] Erschienen Anna Maria, gebohrne Heÿdelin, deß hievor gemelts Paul Heÿdels nun sel. leibliche tochter, und deß auch vorgemeldt Johannis Keck. nun seel. nachgelaßene wittib mit beÿstand H. Abraham Heÿdelß, Ihres leiblich. bruders und Vogts, hat in gegensein Johann Philipp Reinthalers deß Kammachers alß ietzmahligen besitzers deß hierin verschriebenen haußes (quittung) Act. d. 19.ten May 1695.
Fils du revendeur Martin Eberlin, Jean Martin Eberlin épouse en 1674 Agnès Disterin, fille du potier Philippe Dister : contrat de mariage, célébration
1674 (7. Sept.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 14) n° 52
Eheberedung – zwischen dem Erbahr vndt bescheÿdenen Mr Hannß Martin Eberlin hohltrehern vnd burgern alhie Zu Straßb. des Ehrengeachten Martin Eberlin Krämer v. burg. alhie Ehelich. Sohn, alß dem Bräutigamb an einem,
So dann der Ehren vndt tugendsamen Jfr. Agneß dießerin deß Ehren geacht. Philipß dießers haffenmach. v. burgers alhie seel. nachgelaßenen ehelich. dochter alß der Hochzeiterin am andern theim
mit Consens wißen vndt willen auch beÿstandt vnd vnderhandlung der Ehrengeacht, Achtbahren vnd Ehrenhafft. H. hannß Brüchel Schneiders deß hochzeiters Vetter vff sein hochzeiterin so dann vff d. Jungfr. hochzeiterin seith hannß Gol, Schreiners Ihres vogts v. Philipß diesters Ihres bruders deß hohltrehers v. burg. alhier
Actum in einer ohnfern dem roßmarckh nahe beÿ der Winsticher Zunfftstuben gelegenen Zum Weißen rößel genandten behaußung auff Montag den 7. septemb. A° 1674. [unterzeichnet] Ich Hanß Martin Eberlin als hochzeiter bekenn wie obsteth
Mariage, cathédrale (luth. f° 184)
1674. Dom : XVIII post Trinit : Zum 2. mahl Johann Martin Eberlin der dreher Weiland Martin Eberlin des Krämers* u. Burgers alhie ehelicher Sohn. Jfr. Agnes Weiland Philipp Disters gewesenen Haffenmachers u. Burgers alhier nachgelaß. ehel. T. Donnerstags den 29.t 8.bris, Münster (i 186)
Agnès Dister meurt en 1676, son fils et seul héritier peu après elle. La succession revient donc au veuf. L’inventaire est dressé rue des Chandelles dans une maison qui appartient à la mère du veuf. La succession s’élève à 50 livres.
1677 (12.2.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 9) n° 387
Inventarium v. Beschreibung Aller d. Jenig. Haab, Nahrung vndt güthere, Keinerleÿ außgenommen, so weÿlandt die tugendsame Agnetha Düsterin, deß Ehrsamen und bescheÿdenen Hannß Martin Eberlins, hohlträhers, burgers alhie gewesene eheliche haußfraw, beÿ ihrem den 7. 9.bris deß abgewichenen 1676.sten Jahrs beschehenem seelig. Absterben Zeitlichen verlaßen, Welche verlaßenschafft anfenglichen zwar dero mit erstgedachtem ihrem haußwürth ehelich gezeugtem Söhnlin Hannß Martin genant, erblich Zugestand, Alweÿlen ab. es das Kindt gleich inner 3. woch. seiner mutter seeligen durch den Zeitlich. todt nachgefordert, So ist nunmehr die gantze Verlaßenschafft Ihme dem wittibern anheim gefallen (…) Actum Montags den 12. febr. A° 1677.
So in einer in d. heÿlig. Liechtengaß alhier Zu Straßb. ligenden vndt deß wittibers muttern Zuständigen behaußung befund. worden, wie volgt.
Abzug in diß. Inventarium. Sa. haußraths 13, Sa. werckzeugs 30, Silbers 3, g. Ring. 1, Baarsch 2. Summa summarum 50 lb
Jean Martin Eberlin se remarie en 1677 avec Susanne Schweinlin, fille du tonnelier Jean Jacques Schweinlin : contrat de mariage, célébration
1677 (6.3.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 14) n° 70
Eheberedung – entzwischen dem Ehrsam v. Bescheÿdenen Hannß Martin Eberlin, Hohlträhern vnd burgern allhier als dem hochzeiter, ane einem
So dann der tugendsamen Jungfrauen Susanna Schweÿnlinin, weÿl. deß Ehren: v. vorgeachten Hannß Jacob Schweinlins, Küblers alhie seel. hinderlaßener ehelich erzielten dochtern, Alß Hochzeiterin andern theilß
So beschehen inn Straßburg uff dinstag den 6. Martÿ A: 1677 [unterzeichnet] Hanß Martin Eberlin als Hochzeiter, Inn nahmen H. Hanß Geörg Kagers d. Jungfr. hochzeiterin Vogts /:so schreybens ohnberichtet:/ attestirt erpettener maßen, Marx fleÿschlin als schwager
Mariage, cathédrale (luth. f° 42, n° 28)
1677. Fest: Paschatis. Zum 2. mahl Johann Martin Eberlin der Hohldreher und Burgers alhier. Jgfr. Susanna Weiland Joh: Jacob Schweinel geweßenen kübers u. Burgers alhie nachgelaß. ehel. T. Dienstags den 26.t April. Münster (i 43)
Jean Martin Eberlin hypothèque la maison au profit de Jean Louis Scherer, secrétaire à l’hôpital.
1693 (26.3.), Chambre des Contrats, vol. 565 n° 227-v
hans Martin Eberlin, der Hohltreher
H.. Johann Ludwig Scherers, Mittelschreibers des Mehrern Hospitalß, schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, Eine behaußung, höfflein, mit allen deren Gebäuen, recht. und Zugehördt, allhier in d. h. Liechtengaß, einseit neben einer behaußung der Stifftung Hartlieb genandt Kurtzlieb gehörig, and. seit neben Christoph Lorentzen, dem Tabackbereiter, Zum theil, auch neben dietrich Kautzen dem Schuhmacher und Andres Härlin dem Paßmentirer, hind. auff H. Johann Philipps Zeisolff den handelßmann stoßend gelegen.
Jean Martin Eberlin vend la maison moyennant 400 livres au peignier Jean Philippe Reinthaler
1694 (30. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 566 n° 745
Hans Martin Eberlin, der hohltreher
Johann Philipp Reinthalers, deß Kammachers, und Mariæ Magdalenæ Garingin
hauß, höfflein, hoffstatt, mit allen deren Gebaüen, begriffen, weithen, Zugehördt. Recht. und Gerechtigkeit. allhier in der heÿlig. Liechtergaß, einseit neben Christoph Lorentzen dem Tabackbereiter /:zum theil, zum theil auch neb. Dietrich Kautzen dem Schuhmach. und Andres Härlin, dem Paßmentmacher:/ anderseit neben d. Samblung hartlieb genandt Kurtzlieb, hind. auff Hn Johann Philipß Zeisolff, den handelßmann stoßend geleg., welche behaußung annoch umb 325 lb (Capital so dann umb 75 lb verhafftet), in übrig. aber ferner nichts herauß zu geben schuldig sein solle
Fils du peignier Laurent Reinthaler, Philippe Reinthaler épouse en 1694 Marie Madeleine Garing, fille du potier municipal Tobie Garing
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 50 n° 297)
1694. Dom: XVII post Trinit. seÿnd Zum I. außgeruffen worden Johann Philipp Rheinthaler Kammacher, Lorentz Rheinthalers auch Kammachers, und burgers allhier ehelicher Sohn, Jfr. Maria Magdalena weil. hr. Tobias Garings gewesenen Alten Statt Kachlers und burgers nachgel. Tochter Seÿnd copulirt worden den 13. Octob. [unterzeichnet] Johann Philipus Reinthaller als Hochzeiter, m [der Hochzeiterin Handzeichen], Lorentz Reinthaller Alß vatter (i 49)
Le compagnon Philippe Reinthaler est mis à l’amende pour avoir dit des paroles trop vives.
1693, Protocole des Peigniers (XI 296)
Johann Philipp Rheinthaler der Kammacher
(f° 76-v) Freÿtags den 3. Aprilis Anno 1693. – Philipp Reinthaler der Gesell würd vorgestellt, daß Er am vergangenen Sontag sich mit worten übereilet und besagt, ob er dann wegen der Laußboßen seinem bruder umb schawen soll, es seÿ Ihm nur umb ein Suff Zuthun, umb deßwillen Er 7 ß b d Straff Zuerlegen schuldig sein ist aber auf gebettene Moderation auf 5 ß d gesetzt.
Les examinateurs mettent en garde Philippe Reinthaler que les outils avec lesquels il fait son chef d’œuvre sont défectueux
> (f° 82-v) Donnerstags den 22. Julÿ Anno 1694. – Johann Philipp Rheinthaler der Kammacher, Welcher sich Zum Meisterstück angegeben seinen geschmidten Zeüg, Zu vorhabendem Werckzeug, sampt dem Probierstück, Worauf die besichtigung vorgenommen, der Probier zeug aber Zimlich schlecht befunden worden, daß schneideißen und spitz feÿl zu dinn und schmal geschmid, dahero Ihme freÿgestelt ob Er solches verbeßern oder auf sein gefahr behalten wollen.
Ane Statt Hern Lorentz Rheinthalers deß Meisterstückers vatters, ist herr Daniel Böhm Zur Schaw geommen, welcher auch dem herrn ober meister handtreuw abgelegt.
Les examinateurs relèvent des défauts au chef d’œuvre que présente Philippe Reinthaler mais ils le reçoivent maître le 23 août 1694 en lui demandant de ne pas trop montrer son travail pour que d’autres ne refassent pas les mêmes erreurs.
(f° 83) Montags den 23. Augusti Anno 1694. – Joh: Philipp Rheinthaler sein verfertigtes Meisterstück, bitt besichtigung, und nach befindung Ihn für einen Ehrlichen Meister Zuerkennen.
Hierauff ist die schaw vorgenommen und obwohlen sich einige fehler, Insonderheit der Nißzeüg Zu weit, die Seegen ungleich, und an der spitz felg* auch ein fehler sich befunden, ist doch daß Meisterstück für passierlich angenommen, iedoch aber daß Er wegen solchen fehler 3. lb Zur Correction erlegen solle, bitt moderation, ferner Erkandt, und auf die helffte gesetzt, iedoch daß Er daß Meisterstück nicht viel weißen solle, darmit nicht von ander solche fehler außgebracht werden möchten.
Tobie Schiffer se plaint de Philippe Reinthaler mais l’affaire est ajournée parce que le défendeur est absent
1693, Protocole des Peigniers (XI 296)
(f° 93) Sonntags den 9. Junÿ 1697 – Tobias Schiffer meldet, daß Er mit Johann Philipp Rheinthaler in streit gerathen, weilen aber derselbe nicht gegenwertig, solle Er solches allein Zur nachricht angeben haben.
Le corps des peigniers se plaint que Philippe Reinthaler ne respecte pas leur accord d’après lequel ils se sont répartis la présence sur les marchés de la campagne. Comme Philippe Reinthaler ne veut rien entendre, les peigniers proposent de faire ratifier leur accord par les Quinze.
(f° 103) Montags den 18. Maÿ Anno 1699. – Frantz Verius Namen gesambter Meisterschafft Contra Johann Philipp Reinthaler obwohlen gesampte Meisterschafft umb deß gemeinen bestens willen sich Verglichen umb der Märck Zu Looßen, darmit die Marck nicht überzogen, und ie einer der andere Verderben möge Er denoch die Märck ohne underscheid gebrauche.
Ille, sagt es tringe Ihn die noht die Märckte Zu gebrauchen, dieweilen Er alhier weder am Stand, noch in seinem hauß nichts Verkauffen Können, daß brod Zu haben, da andere die Krämer ane der Hand, beÿ welchen sie Ihre wahren Vertreiben können und über daß geben sie den Nadlern Ihre wahr auch die Märck wann sie dießelbe nicht selbst besuchen wollen, und wann Es gleich Versprechen, können sie es doch nicht halten.
Erkand, weilen Er sich nicht Submitiren will, als ist für gut angesehen worden die Confirmation deß gemachen Vergleichs beÿ unßern gn. Herrn den XV. Zu suchen
Les peigniers reprochent le même jour à Philippe Reinthaler d’acheter de la corne hors de la ville. Il répond qu’il ne fait pas autrement que d’autres et qu’il a passé un accord avec son père et son frère. Les peigniers répondent que les accords ne sont pas interdits à condition qu’ils soient passés avant l’achat. Ils condamnent Philippe Reinthaler à une amende qu’il refuse de payer puisqu’il estime n’avoir pas enfreint le règlement.
(f° 104) Idem Contra eundem, daß Er außwendig horn ein kauffe und alhier ein oder denn andern feÿl biete, und verkaufft da Er doch wann Er Horn nicht gebraucht solche ins gemein handwerck geben soll.
Ille sagt daß Er ein mehrers nicht thue als was anden auch Verübt. dann es seÿen andere gemeiner da einer dem andern Verkaufft, als seÿe Er auch mit seinem Vatter und bruder in gemeinschaft.
Hierauff ist Von E. E. Meisterschafft die erleüterung beschehen, daß nicht Verbotten das Zwen dreÿ oder mehr gemeinschafft machen iedoch daß solches beschehe ehe ein oder der andere ins land reißt, und so bald die horn anhero gebracht, als dann Vertheilt und was solcher gestalt nicht Vertheilt wird, denen geschwornen Einkauffere und keinen andern Meistern feÿl gethan werden solle.
Dannenhero Erkand, daß beklagter sich hienfüro der ordnung gemäß beÿ der in ordnung gesetzten straff, sich zu Verhalten, und weilen Er die gegenwertige Handwerck kosten verursacht auch Klagenden Obermeister mit harten worten sehr schümpfflich angezäpfft, als soll er die Handwerck kosten Zu leiden und 7 ß 6 d straff zu erlegen auch dem in Nahmen deß handwercks Klagenden Obermeistern umb Verzeichung zu Bitten schuldig sein.
Hatt die abbitt erstattet, und Zugleich moderation gebetten, Erkandt, ist der straff erlaßen und soll allein die handwercks kosten leiden.
Ille sagt, Er gebe nichts Er gehe solches nicht ein, Er hette nichts Verbrochen.
Les peigniers qui sont désormais quatorze se sont répartis les marchés de la campagne pour ne pas s’y rendre à plusieurs à grands frais. Philippe Reinthaler n’a pas donné son approbation bien que la part qui lui est échue soit avantageuse, il a en outre manqué de respect envers le prévôt des peigniers Spielmann. Philippe Reinthaler objecte qu’un tel partage n’est pas coutumier, qu’il n’y a pas participé et qu’il doit quitter son étal aux Arcades. Les peigniers répondent qu’il a vendu son étal à la Couchette, que s’il doit quitter son étal la faute en revient à sa femme qui ne s’entend avec personne et qu’il reste de nombreux marchés libres, outre-Rhin, en haute Alsace, à Obernai, à Barr et à Bischwiller. La commission propose de ratifier l’accord passé entre les peigniers et de demander à Philippe Reinthaler de ne pas s’entêter à le refuser. L’amende des peigniers est levée mais Philippe Reinthaler devra régler les frais de procédure. Les Quinze approuvent la proposition.
1699, Protocole des Quinze (2 R 103)
E.E. Meisterschafft der Strehlmacher Ca. Joh: Philipp Reinthaler
(f° 162-v) Sambstags den 23. May 1699 – noîe E.E. Meisterschafft der Strehlmacher ersch. Johann Friderich Edel geschworner per S. Cit. per schedam Johann Philipp Reinthaler den Strehlmacher Pplen beruhten, daß Sie wegen der Jahrmärckt auffm Landt sich eines Gewißen verglichen vnd darumb Getrost haben, so Gegner allein nicht eingehen wolle, bitten deßwegen Zu mehrerm bericht Deputationem. Kun. principalis præsens berichtet Zuvorderist das er beÿ dem Looß nicht gewesen und bittet seine Verantwortung schrifftlich Zu thun, term. ord. S. aller weitläuffigkeit vorzukommen setzts Zur Deputation. Erk. Gebettene Deputation auff sie Obere Handwercks Hh. willfahrt.
(f° 174) Sambstag den 6. Junÿ 1699. – Obere Handwercks Herren laßen per Herrn Friden proponiren daß E.E. Meisterschafft der Strehlmacher ohnlängst wider Johann Philipp Reinthaler den Strehlmacher geklagt, daß derselbe den Vergleich, so Sie wegen der Jahrmärckt auffm Landt unter einander Gemacht, nicht eingehen wolle, vnd deßwegen umb eine deputation die auch willfahrt worden Gebetten habe. Alß man nun solche Vorgenommen seÿen im nahmen der Meisterschafft Frantz Verius, Johann Friderich Edel undt H. Niclaus Hetzel erschienen, welche beditten, daß die Meisterschafft sich sehr vermehrt habe, undt Sie dergestalten häuffig auff die Jahrmärck Zusammen kämen daß Sie einander ruiniren müßten, deßwegen Sie sich mit einander unterredet und die marckh unter sich Zu verloosen vor gut angesehen hetten, und die Meister, deren an der Zahl Vierzehen, alle, außgenommen beklagter Reinthaler erschienen seÿen, vndt obwohlen derselbe ein gutes Looß bekommen, so habe er doch damit sich nicht vergnügen, noch solchen vergleich eingehen wollen, dahero man die Obere handwercksherren Zu hilff Genommen, welcher sich dannoch nicht weisen laßen wollen, sondern vielmehr unartig angestellt und allen respect, in specie gegen herrn XV. Spihlmann verlohren habe, also daß man demeselben Zwar 7 ß 6 d straff angesetzt doch aber wider nachgelaßen hat.
Worauff man den Reinthaler auch angehört, welcher gesagt, daß (1) dergleichen losung nie gebräuchlich gewesen, (2) Er deroselben nicht beÿgewohnt, (3) einen schlechten standt unter der Erbislauben habe, und drauff stehe, daß Er solches auff Johannis quittiren müßen, Hingegen Andere Meister gute Ständt undt noch im Hauß gute loßung hetten. Auff welches Jene replicirt daß beklagter selbsten daran schuldig seÿe, und baldt beÿ der Pfaltz baldt beÿm Spanbeth und anderen Orthen seinen Standt gehabt, aber damit marchandirt undt Selbigen verkaufft habe, daß Er aber dießen unter der Erbis Lauben quittiren müße, habe derselbe die schuldt niemandt als seiner frawen Zu Zu schreiben als welche sich mit niemandt betragen könne, neben dem hette derselbe noch viel märck über Rhein, undt im Obern Elsaß, einen Zu Barr, Einen Zu Ober Ehehnheim undt Einen Zu Bischweiler, die Er nach belieben gebrauchen möchte, womit er doch sich nicht Consentiren wolle, so lediglich darumb gestehe, daß weilen Er mit seiner frawen übel le* Er sich hin und wider desto beßer divertiren könne. Worauff man dem Rheinthaler Zu gemüth geführt, daß, weilen das absehen Zu unterhaltung des handwercks Ziehlet, es eines gute Sach und die übrige 13. Meister damit zu frieden seÿen, er sich solchem vergleich conformiren solte. So aber alles beÿ demselben nichs verfangen wollen, woraus man gesehen, daß Selbiger ein Widerspänstiger Kopff ist, Zumahlen da es nur bis weÿhenachten wehren solle, und sonderlich Zum besten der armen Meister angesehen ist, dahero man davor gehalten, daß es beÿ dem Gemachten vergleich verbleiben, vnd beklagter Reinthaler demeselben nach Zu Kommen, angewießen, jedoch die straff der 7 ß 6 s nachgelaßen, die auffgegangene 14 ß unkosten aber wider vor die Obere handwercks hh. gewießen werden könte. Erk. Bedacht gefolgt.
1693, Protocole des Peigniers (XI 296)
(f° 108) Montags den 8. Martÿ Anno 1700. – Wegen Johann Philipp Rheinthaler ist Erkandt, wie seinem erbieten nach Er deme so Er deme schuldige Satisfaction geben die deßwegen Ihme angelegte scheltwort ex officio aufgehalten sein solen.
Sollen aber deßwegen vom Schumacher Zu Schlettstatt und Von H. Caspar schein bringen, daß Sie mit Ihme Zufriede seÿen.
Laurent Reinthaler expose que son fils Philippe Reinthaler qui s’est établi à Landau a conservé son droit de bourgeoisie mais que la maîtrise lui demande d’acheter un droit. Elle confirme qu’il doit s’inscrire comme maître de la campagne.
1693, Protocole des Peigniers (XI 296)
(f° 111-v) Montags den 20. Xbris Anno 1700 – Lorentz Rheinthaler, bringt an, daß sein Sohn Johann Philipp Reinthaler, sich nach Landau begeben, aber sein burgerrecht noch bißhero behalten die Meisterschafft aber alhier wolle Ihme obligiren uneracht Er daß Meisterstück alhier gemacht sich beÿ hiesiger Laden aufs Newe einzukauffen.
Erkand, sein Meisterstück gelt alhie, so lang als Er alhier Meister seÿe, aber ane andern orthen nicht, umb deßwillen Er gleich wie aller orthen üblich sich als ein Landmeister beÿ hiesiger Laden einzukauffen schuldig sein solle und Zwar zwischen hier und ostern.
Philippe Reinthaler se plaint qu’il cotise à la fois à Strasbourg et à Landau où le maître du corps de métier lui a interdit d’avoir un employé. Les peigniers de Strasbourg estiment que le maître de Landau a outrepassé ses droits. Le contrevenant devra compenser les frais du plaignant au lieu de payer une amende.
(f° 112-v) Mittwochs den 19. Januarÿ Anno 1701 – Johann Philipp Rheinthaler der ietzmahlen zu Landau wohnhaft Kammacher bringt Vor und an Er seÿe Zwar alhier mit unkosten Meister worden, sich aber nacher Landau begeben, deßentwegen Ihme Zugemuthet worden, sich alhier ein zukauffen*, auch Von den obern Handwercks Herrn Ihne biß ostern dilation geben worden, Nichts desto weniger aber wolle Ihn sein Rentmeister Zu Landau nicht paßiren, auch kein gesellen zukommen laßen, so lang und viel biß Er sich alhier werde einkaufft haben.
Hierauff ist nach reiffer überlegung, und vielen ein: und gegenreden, nach beschehener umbfragen Erkandt, daß Hanß Jacob Hautt der Meister Zu Landau gefehlt daß Er aus eigener Authorotät Klägern gehalten und dardurch daß gesind wegschlagen und weilen Zwar in Articuln nicht versehen, sondern allein ein übliche gewohnheit seÿn daß die Landmeister sich ein kauffen müßen auch ein underschied darinn Zu machen daß Kläger sein Meisterstück alhier gemacht, und Consequenter beÿ hiesiger laden bereits incorporirt, dahero Ihme ein fernerer einkauffung nicht zugemuthet werden konne, iedoch darmit doch der vorgebrachten gewohnheit kein abbruch beschehe, soll Er pro pare sich gutwillig einkauffen daß Vor gegangen aber beeder seits ex officio compensirt und aufgehaben sein und beede theÿl mit einander fried: und freündlich mit einander Zu betragen schuldig sein sollen.
Hierauff offerirt Er 2 fl. für den einkauf zu geben darbeÿ Er auch iedoch E. E. Handwerck ohne præjudiz darbeÿ gelaßen worden.
Weilen aber der beklagte obgemelter maßen eigenthätig gefreffelt dahero straffbar seÿe, umb deßwillen solle Er ane statt der straff, dem Kläger ane seinen unkösten 1 lb d beÿ Zutragen schuldig sein solle. und soll beederseiths scharff injungirt werden nicht wider handwercks gebrauch sich unterscheiden und Zwar beÿ straff der einmäsigung. ane den handwercks Kosten aber soll ieder theÿl die helffe leiden
daß Lorentz Rheinthaler gesagt, Hannß Nicklaus Hetzel habe nach Landaw geschrieben was er gewolt, hiengegen aber Hetzel Zugefahren es rede solches kein Ehrlicher Mann, ist Erkand daß Er Hetzel 5 ß d straff zu erlegen schuldig sein solle, nach gebettener moderation ist solches auff die helffte remittirt.
(f° 117) Sambstags den 5. Novembris Anno 1701. – Wegen Johann Philipp Rheinthaler ist Erkandt, daß Er innerhalb Vierzehen tagen seine wegen seines Jungen habende sach auß zu machen schuldig sein solle. Was wegen der weiber Ihrem geschwätz gemeldet worden, ist Erkand wofern mehr einer etwas davon gedencken würd Ihme 3 lb d Straff abgefordert werden sollen.
Litige entre Philippe Reinthaler, peignier à Landau, et François Verius le jeune qui lui a acheté ses outils. François Verius est mis à l’amende pour avoir travaillé à Strasbourg alors qu’il n’avait pas encore obtenu son congé à Landau.
(f° 128-v) Mittwochs den 7. Februarÿ Anno 1703 – Erstlich würd ein geschrieben Von Johann Philipp Reinthalern Kammachern zu Landau sub dato d. 1. Februarÿ Anno 1703. verleßt, deß inhalts daß Ihme Frantz Verius der Jünger seinen werckzeug p. 53. fl. abgekaufft und welcher innerhalb dreÿ tagen der Kauff nicht halten soll 10. rthler einkauff geben, So Er als ein Ehrlicher Meister Verius aber als ein Ehrlicher gesell Zu halten versprochen weilen Er nun den Kauff nicht halte, begehre Er die 10 Rthaler oder in Verbleibung deßen halte Er ihne nicht für redlich.
Ille ist nicht geständig daß der Kauff vmb 53. fl. sondern nur umb 40. fl beschehen über daß seÿe kein Zeit bestimmet, und Rheinthaler gar wol Zufrieden geweßen, daß Er Ihme deß gelt Von hie hinunder schicken wolle, auch Ihme darüber das gelegt vor das thor zu Landau hienauß gegeben und Kundschafft hernach geschickt.
Frantz Verius der älter deßen Vatter melde daß der Kauff in beÿsein 2 Ehrlicher Männer getroffen worden wann dieselbe obrigkeitlich abgehört was dieselbe außsagen.
Hierauff würd Frantz Verius d. Jünger nochmahlen befragt, ob Er sich verscholten daß Er in dreÿen Tagen daß gelt geben wollen.
Ille negirt solches mit fernerm Vermelden Er habe beÿm Kauff gesagt wann Er das gelt darunden bekommen könne wolle ers Ihme geben, als Ers aber drunden nicht bekommen können habe Er Zu Rheinthalern gesagt, Er wolle hierauf nach Straßburg und daß geld geben darmit Er Zufrieden geweßen, iedoch daß Er seine Creditores Zu gedult weißen wolle damit Sie die inhandliche Pfand so lang behalten und nicht Verkauffen biß Er daß gelt bringe so Er auch gethan darüber Er Ihme daß geleÿt Vor thor gegeben und Kundschafft Nach geschickt. Er habe sich gar nicht verscholten, alß Er aber anhero gekommen habe Rheinthalers Vatter den Kauffgericht Zu laßen wollen Er habe auch Vernommen daß Rheinthaler umb einen andern werckzeüg geschrieben da Er sich beÿm Verkauff gesagt daß Er das Handwerck gäntzlich übergeben woll, umb deß willen die Sach alßo Verblieben und hat hierauff dieße seine Verantwortung die wahrheit zu sein mit handtrew bekräfftigt.
Hierauff ist Erkand, weilen der Junge Verius ohne Kundschafft und gruß anhero gekommen und über 4 wochen die Ihme erlaubt, gewesen noch ferner fort gearbeitet da Er doch Zu Landau noch nicht beuhrlaubt und dennoch alhie gearbeitet alß solle Er für iede woch 3 ß 4 d straff zu erlegen und weilen Vorgebrachte Klag und Verantwortung nicht einstimmlich als soll Er schuldig sein innerhalb Monats frist ein Attestatum verschaffen, wie der Kauff Vorgangen, als dann ferner ergehen solle was recht ist.
Bitt wegen der Straff umb gnad, ferner Erkand ist die straff auff 10 ß d gesetzt Zu Landau Sollen Verhört werden Hanß Jacob Horb Kammacher Zu Landau und Michael von Hipßheim hutmacher zu Edighoffen deßwegen im Nahmen deß handwercks ane E. E. Raht Zu Landau geschrieben werden solle.
François Verius injurie Philippe Reinthaler
(f° 130) Lorentz Rheinthaler Cont: Frantz Verium daß Er seinen Sohn Johann Philipp Rheinthalern s.v. einen Schelmen und dieb gescholten.
Ille sagt Er wolle erwarten, was für ein Attestatum kommen wird, Er habe gesagt weilen Er seinem Sohn 13. fl. mehr für den werckzeüg erfordert halte Er Ihnen nicht beßer oder wie geklagt.
Erkandt weilen mann scheltwort nicht ohne beßerung Vorbeÿ gehen laßen könne als soll Verius 6 ß d. straff zu erlegen schuldig sein auch beneben dem Sohnsteder* 1 ß d auflag entrichten.
Le corps de métier n’a rien à objecter à la vente. Il condamne François Verius pour injures et Philippe Reinthaler pour avoir tardé à réagir
(f° 134) Montags den 27. Augusti Anno 1703. – In Sachen Johann Philipp Rheinthaler deß Kammachers Zu Landau, Contra Frantz Verium Kammachers gesellen alhier puncto gekaufftem Werckzeugs ist der Zu Landau gehaltene Zeügen, Außsag sub dato d. 28. Februarÿ Anno 1703. Verleßt und der inhalt befunden, daß der Kauff umb 53. fl. getroffen der verkäuffer als ein Erhlicher Meister d. Käuffer aber als ein Ehrlicher gesell Zu halten Versprochen.
Frantz Verius d älter berufft sich auf Ehrlicher Meister welche Von Lorentz Rheinthaler deß Verkäuffers Vattern gehört haben daß Er nicht Zu geben wolle daß sein Sohn seinen werckzeug Verkauffe.
Daniel Böhn sagt hinüber daß Lorentz Rheinthaler Zuvor gesagt Er laße nicht Zu daß Sein Sohn seinen werckzeug Verkauffe.
Hanß Niclauß Hetzel sagt ein gleiches, Hanß Philipp Heÿlig wiße Nichts darvon wie auch
Hans Jacob Schwob gleicher gestalt.
Erkand, daß mann sich wegen deß Kauffs und bedingten Reükauffs beÿm handwerck nichts anzunehmen habe, sondern würdene gehörige orthen gestellt Verweisen.
Daß aber Verius d. Jünger wie die Zeugen außsage Zu erkennen gibt sich verschalten und Er anietzo nicht abredig sein kan sich beÿ seinem Ehrlichen Namen verpfändet Zu haben aber beÿ der Costen anklag nicht geständig sein, sondern sich mit handtreu als solle Er Verius beneben den unkosten so der Verschaltung entzogen willen 2 lb d straff Zu erlegen schuldig sein.
Weilen aber Klagender Johann Philipp Rheinthaler beklagten Verio Kundschafft geschickt, da doch der Kauff lang zuvor geschloßen worden und doch nachgehends erst gescholten auch die Zeugen außsag welche bereits den 28. februarÿ beschehen biß hiehero hinderhalten 1703. Alß soll Er, daß Er nach ertheÿlter Kundschafft erst gescholten, da Er doch wann Er etwas wider Ihn gehabt hette die Kundschafft nicht ertheÿlen sollen gleicher gestalt 2 lb d straff zu erlegen schuldig sein.
Verius bitt umb gnad. Erkand ist ihme die straff auff 1 lb 10 ß d gesetzt nach fernerer moderation ist die straff auf 1 lb s gesetzt.
Rheinthaler aber ist auf 1 lb 10 ß d gesetzt.
Marie Madeleine Garing femme de Philippe Reinthaler vend la maison à son père Laurent Reinthaler en confirmation d’un accord passé entre les parties le 22 janvier 1701
1708 (25.10.), Chambre des Contrats, vol. 581 f° 608
(400) Maria Magd: geb. Garingin Joh: Philipp Rheinthalers Kammachers haußfr:
in gegensein Lorentz Rheinthalers Kammachers, daß er Joh: Philipp besagtem seinem Vatter bereits den 22. Januarÿ 1701 verkaufft maßen auch Dießer für sich und seine EE nachkommen erkauft zu haben
hauß hoff hoffstatt hinterhäußlein mit allen deren Gebäuden, begriffen & in der heÿligen Liechter gass allhier neben der Haußerischer Wittib anderseit neben Frantz (-) tabacb: hinten auf Göbelische wittib und E.E. stoßend – (um 250, 75 und 75 pfund capitalien verhafftet) nichts ferners heraus geben soll
Les experts estiment la maison à 400 livres à l’inventaire dressé en 1712 après la mort de Laurent Reinthaler. Par un accord joint à l’inventaire, Jean Frédéric Reinthaler acquiert la maison moyennant 500 livres
Jean Frédéric Reinthaler termine son apprentissage auprès de son père en 1684.
1684, Protocole des Peigniers (XI 296)
(f° 40-v) Sonntags den 23. Julÿ Anno: 1684 – Friderich Rheinthaler wird von seinem Vatter Lorentz Rheinthaler seiner lehrzeit ledig und looßgesprochen.
Jean Frédéric Reinthaler fait son chef d’œuvre après avoir obtenu une dispense des Quinze. Les outils sont approuvés le 22 mars 1692.
(f° 72-v) Sambstags den 22. Martÿ Anno 1692. – Hans Friderich Rheinthaler der Ledige Kammacher auf dispensation der herren XV. und will das Meisterstück aufgenommen haben, producirt seinen geschmideten Werckzeug und hat nach Verleßener ordnung angelobt.
Jean Frédéric Reinthaler épouse en 1692 Marie Elisabeth Kohler, fille du fondeur d’étain Jean Georges Kohler
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 39, n° 246)
1692. Eodem [Dom. IX Post Trinit:] seÿen Zum 1. mahl außgeruffen worden Johann Friderich Reinthaler, lediger Kammacher, Lorentz Rheinthaler, auch Kammachers und burgers allhier ehl. S. Jfr. Maria Elisabetha weÿl. Johann Georg Kohlers geweß. Zinngießers und burgers allhier nachgel. eheliche Tochter, Seÿnd copulirt Worden den 29. Julÿ [unterzeichnet] Johan Fridrich Reinthaller als hochzeit Er, m, der Hochzeiterin Handzeichen (i 39)
Jean Nicolas Hetzel rapporte que Jean Frédéric Reinthaler a déclaré que la corne partagée entre les peigniers ne vaut rien. L’affaire n’a pas de suite.
1684, Protocole des Peigniers (XI 296)
(f° 87) Montags den 37. Junÿ Anno 1695 – Hans Niclaus Hetzel Klagt contra Johann Friderich Rheinthaler, daß Er beÿ Jüngst geschehener Abtheilung mit dieße Formalien Herauß gebracht, Sie, die Einkäuffere Verkauffen die Horn die Keinen Kr. wehrt seÿn.
Erkand, soll Rheinthaler seinen Schilling ligen laßen und die sach ex officio aufehaben seÿn.
Jean Frédéric Reinthaler loue une cave à Jean Daniel Huck, brasseur à la Hallebarde
1718 (9.8.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 419-v
Johann Friedrich Rheinthaler Kammacher
in gegensein Johann Daniel Huck biersieders zum Spieß
einen gantzen keller unter sein Rheinthalers allhier in der heÿlig. Lichtergaß, einseit neben Paul Friedrich Kammen dem kutscher Ehevögtl. weis anderseit neben Bögnern dem kübler liegend. Wohnbehausung, auff vier jahr lang, anfangend auff Weÿhnachten 1718 – um einen jährlichen Zinß nemlich 5 pfund
[in margine :] hierinnen stehender entlehnter in gegensein H. Joh: Friedrich Ösingers U.J.Lti und Referenten beÿ E.E. Kleinen Raths, all sein auß hierinnen stehender lehnungs recht (cedirt), den 1. Augusti 1720
Jean Frédéric Reinthaler et sa femme Marie Elisabeth Kohler se lèguent mutuellement leurs biens.
1733 (25.2.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 289) n° 19
Codicillus reciprocus, Mr Johann Friderich Rheinthalers, des Kammachers und Frauen Mariæ Elisabethæ gebohrner Köhlerin, beeder Eheleuthe und burgere allhier
persönlich kommen und erschienen sind, der Ehrenachtbare Meister Johann Friderich Rheinthalers, des Kammachers und beneben Ihme die Ehren und tugendsahme Frau Maria Elisabetha gebohrne Köhlerin, beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg Von Verlÿhung göttlicher Gnaden gesundt gehend und stehender Leiber, auch guter richtiger Sinnen und Verstandts (…)
auff Mittwoch den 25. febr. abends Zwischen 5. und 6. Uhren Anno 1733. [unterzeichnet] Johann Fridrich Reinthaler, mER, Frauen Mariæ Elisabethæ Rheinthalerin gandzeichen
Jean Frédéric Reinthaler, assisté de son gendre aiguilletier Daniel Wahl, et Marie Elisabeth Kohler hypothèquent la maison au profit du cordonnier Jean Michel Lœffler
1742 (2.6.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 259
im nahmen Johann Friedrich Reinthalers des kamm: machers deßen tochtermann Daniel Wahl der Nadler und besagten Reinthalers Ehefrau Maria Elisabetha geb. Kohlerin mit beÿstand ihrer schwester tochtermanns Johann Daniel Faurbach des schuhmachers und Johann Michael Löfflers des schuhmachers ihrer schwester tochtermanns
in gegensein Georg Jacob Strauß des buchbinders- schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, höfflein und hoffstatt cum appertinentis in der hellen Lichtergaß einseit neben Johannes Peichler dem soldner, anderseit neben der Braunischen wittib, hinten auff H. Dr Saltzmännin der wittib – als ein während ihrem Ehestand erkaufftes guth
Frédéric Auguste Kretschmann au nom de son beau père Jean Frédéric Reinthaler et Marie Elisabeth Kohler assistée de son fils Jean Frédéric et de son gendre Jean Jacques Rinck hypothèquent la maison au profit de la mineure Anne Marie Biehner
1743 (25.1.), Chambre des Contrats, vol. 617 f° 27-v
Friedrich August Kretschmann der kammacher als mandatarius seines schwähers Johann Friedrich Reinthaler senioris kammachers, so dann erstgemelten Reinthaler Ehefrau Maria Elisabetha geb. Kohlerin mit assistentz ihres Sohns Johann Friedrich Reinthaler jun. ebenmäßigen Kammachers und ihres tochtermanns Johann Jacob Rinck des kieffers
in gegensein Johann Jacob Bollender des Strumpffstrickers als vogts Jgfr Annæ Mariæ Biehnerin – schuldig seÿen 100 lb
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt cum appertinentis ane der heÿligen Lichtergaß, einseit neben Johann Biehler dem Einspänniger, anderseit neben der Braunischen Wittib, hinten auff den Saltzmännischen erben – als ein vätterliches erbguth
Les mêmes hypothèquent la maison au profit du cordonnier Conrad Mohr
1744 (21.8.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 448-v
Johann Friedrich Kretschmann der Kammacher als mandatarius seines schwähers Johann Friedrich Reinthaler sen. kammacher und ged. Reinthalers Ehefrau Maria Elisabetha geb. Kohlerin mit beÿstand ihres Sohns Johann Friedrich Reinthaler jun. kammachers und ihres tochtermanns Johann Jacob Rinck des kieffers
in gegensein Conrad Mohr des schuhmachers – schuldig seÿen 55 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt cum appertinentis in der heÿligen lichtergaß, einseit neben Johann Biechler dem Einspänniger, anderseit neben der Braunischen wittib, hinten auff den Saltzmännischen erben – ihme Reinthaler als ein vätterlichen erbguth
Jean Frédéric Reinthaler vend la maison qui lui provient de son père à son gendre peignier Frédéric Auguste Kretschmann et à sa fille Marie Elisabeth Reinthaler contre son entretien et celui de sa femme Marie Elisabeth Kohler : vente provisoire devant notaire et acte officiel passé à la Chambre des Contrats
1745 (29. Martÿ), 94 Z 81 (Pièces produites à la Chambre des Contrats)
Persönlich erschienen der Ehrengeachte Meister Joh. Friderich Reinthaler der ältere Kammacher und burger allhier Zu Straßburg dießer Hatt beÿ gesundem verstand freÿ anngezeigt und Zu vernehmen gegeben, Waßmaßen Er Zu beförderung Seines beßen Nutzens willen
Seine eigenthümliche Behaußung mit deroselben Zugehörigen Rechten gelegen allhier Zu Straßburg ane der Heyligen Lichtergaßen, welche Ihme beÿ weÿland Mr Lorentz Reinthalers auch gewesenen Kammachers und auch burgers allhier Seines geliebten vatters Seel. Verlaßenschafft erbichen Zugekommen, einseit neben Johannes Pühler dem Einspenniger, anderseit neben diebold Bronn des Tapezierers allhier hinderlaßenen wittib hinden auff weÿl. H. Doct. Saltzmanns Seel. wittib, Meister Friderich August Kretschmann auch Kammacher und Frauen Maria Elisabeth Kretschmännin gebohrner Reinthalerin beeder Eheleuthen und ebenmäßigen burgern allhier Seinem Tochtermann und Tochter vmb den anschlag der 800 Pfund Pfenning Käufflichen eigenthümlichen überlaßen, Welche verkauffte behaußung aber annoch H Paul Reißeißen dem Goldarbeiter vor 250 lb dem Mehrern Hospital vor 75 lb Straußen dem buchbinder vor 100 lb Conrad Mohren dem Schuhmacher vor 50 lb verpfändt, Sunst ledig und eigen, Welche auf dem Hauß stehende Capitalien Käuffere Zu übernehmen und Verkäuffern schadloß zu halten verspechen, die restirende 325 Pfund Pf. wollen die Käuffere Jahrs a dato mit vier pro Cento dem Verkäuffern verzinßen (…)
beÿ diedem verkauff aber wurde unter den Parthen insonderheit abgeredt verglichen und bedungen, daß Käuffer schuldig und verbunden sein solle den Verkäuffer und seine Ehefrau Maria Elisabetha Reinthalerin gebohrne Kohlerin Ihren Elltern und Schwieger Elltern lebtägig beÿ Sich Zu haben und Zu behalten und dieselbe durch in allem /:außer die Kleidung und weisgezeug:/ gebührend zu alimentiren und Zu verpflegen (…) – Straßburg den 29. Martÿ 1745. T. Johannes Marbach Notarius publicus juratus
1745 (29.3.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 214-v
Johann Daniel Wahl der Nadler als mandatarius Johann Friedrich Reinthaler des ältern kamm: machers
in gegensein sein Reinthaler tochtermanns und tocher Friedrich August Kretschmann des kamm: machers und Mariæ Elisabethæ geb. Reinthalerin
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane der heÿligen Lichter gaß, einseit neben Johannes Pichler dem Einspänniger, anderseit neben weÿl. David Bronn des tapezierers wittib, hinten auff weÿl. H. Dr Saltzmanns Fr wittib – als ein Vätterlichen erbguth (um 250, 75, 100 und 50 pfund verhafftet, geschehen um 325 pfund)
wobeÿ expressé verabscheidet worden, daß die käuffer schuldig und verbunden seÿn sollen den verkäufer und deßen ehefrau Maria Elisabetha geb. Kohlerin lebtägig beÿ sich zu nehmen (…) anbeÿ ihnen die hintere stub zu ihrer wohnung lebtägig einzuräumen um einen jählichen zinß von 8 gulden
Fils d’un tondeur de drap de Berlin, Frédéric Auguste Kretschmann épouse Marie Elisabeth Reinthaler en juin 1735
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 131-v n° 490)
1735. Eod. Mittw. d. 1. Jun. sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet word. Friderich August Krätschmann der Ledige Kamm Macher von Berlin, weÿl. Martin Krätsch Manns geweßenen b. v. tuchscherers daselbst nachgel. ehel. Sohn v. Jungfr. Maria Elisabeth Joh: Friderich Rheinthalers b. v. Kamm Machers alhier ehl. Tochter [unterzeichnet] Friedrich August Kretschmann als hochzeiter Zeichnet also o, Maria Elisabetha Reinthalerin als hochzeiterin (i 136)
Il devient bourgeois par sa femme fin juillet 1735
1735, 4° Livre de bourgeoisie p. 1022
Friderich Augustus Krätschmann d Kamm macher Von Berlin geb. erhalt d. b. von seiner ehefr. Maria Elisabetha Rein Thalerin umb d: alt. b. will beÿ E E Zunfft Zum Spiegel dienen Jur. eodem [27.ten Julÿ 1735]
Frédéric Auguste Kretschmann hypothèque la maison au profit du cordonnier Conrad Mohr
1746 (10.1.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 15
Johann August Krestchmann der kammacher
in gegensein Conrad Mohr des schuhmachers – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein, hoffstatt ane der heÿligen Liechtergaß einseit neben Johannes Pühler dem Einspänniger, anderseit neben der Bronnischen wittib, hinten auff weÿl. H. Dr Saltzmanns Fr. wittib – als ein am 29. Martÿ 1745 erkaufftes guth
Nouvelle hypothèque entre les mêmes
1748 (26.3.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 306-v
Friedrich August Kretschmann der kamm:macher
in gegensein Conrad Mohr – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt ane der heÿligen Liechtergaß, einseit neben Johannes Biehler dem Einspänniger, anderseit neben weÿl. David Bron des tapezirers wittib, hinten auff weÿl. H. Dr. Saltzmanns Fr. wittib
Peignier à Lauenburg en Basse-Saxe, Laurent Reinthaler cède les droits qui lui sont advenus dans la succession de ses parents Jean Frédéric Reinthaler et Marie Elisabeth Kohler à son beau frère et sa sœur Frédéric Auguste Kretschmann et Marie Elisabeth Reinthaler
1755 (14.4.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 28) s.n.
Summa Ersuch: Undt berechnung, Innhaltend All dasjenige so dem Ehrs: Lorentz Reinthaler dem Kammacher und burger zu Lauenburg inn Unter Sachßen gelegen so wohlen auff weÿl. fr. Maria Elisabetha Reinthalerin geb. Kohlerin deßen Mütter seel. in A° 1746 alß auch Mr Johann Friedrich Reinthalers Sen.is Kammachers und burgers zu Straßburg seines vatters seel. in A° 1748 beschehenen tödlichen hintritt für anerstorbenes Ererbtes gehörig und derßelbe ahn den auch Ehrs: Mr Frid: August Kretzschmar den Kammacher wie auch fr. Maria Elisabetha Kretzschmarin geb. Reinthalerin deßen eheleibliche schwester und Schwager zu prætendiren berechtiget
Frédéric Auguste Kretschmann s’adresse aux Quinze pour une affaire traitée dans la partie manquante du registre
1760, Protocole des Quinze (2 R 172)
Friderich August Kretschmann Ca. E. E. Meisterschafft der Kammacher
(p. 141) Sambstags d. 15. Martÿ – Idem [Froereisen] nôe Friderich August Kretschmann des burgers und Kammachers Ca. E. E. Meisterschafft der Kammacher Obermeister producirt wiedrigen bescheid vom 12. hujus recessirt ut supra [bittet um verzeichnuß]. Erk. ut modo [verzeichnuß]
(p. 143) Sambstags d. 22. Martÿ – Idem [Froereisen] nôe Friderich August Kretschmann des burgers und Kammachers Ca. E. E. Meisterschafft der Kammacher Obermeister prod. unterth. Implorations schrifft juncto petito samt beÿl. sub N° 1, bitt Deput. Faust recessirt ut modo [bitt Copiam et ad primam post]. Froereisen ut modo [Obtinuit]
Frédéric Auguste Kretschmann meurt sans postérité en 1769 en laissant des héritiers inconnus lors de la confection de l’inventaire. Les experts estiment la maison 450 livres. La masse propre à la veuve est de 174 livres, celle des héritiers présente un déficit de 15 livres. L’actif de la communauté s’élève à 492 livres et le passif à 1 299 livres.
1770 (28.2.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 39) s.n.
Inventarium über Weiland Herrn Friedrich August Kretschmann geweßenen Kamm-Machers und burgers Zu Straßburg seel. Verlaßenschafft, aufgerichtet in Anno 1770. – nach seinem am 28. Novembris des letzt abgewichenen 1769.sten jahrs aus dießer Xelt genommenen Abschied hie Zeitlichen verlaßen hat. Welche Nahrungs Verlaßenschafft (…) auf zuvor geschehenes Ansuchen Erfordern und Begehren sowohlen frauen Mariæ Elisabethæ Kretschmännin gebohrner Reinthalerin der dißorts hinterbliebenen Wittib mit Herrn Johann Friderich Reinthaler dem Kammacher und burger alhier ihrem Bruder verbeÿstandet (…) So beschehen alhier in der Königlichen Stadt Straßburg auf Mittwoch den 28. Hornung Im Jahr 1770.
Benennung der Erben. Des verstorbenen seel: ab intestato verlaßene Erben solle /:in Ermanglung einiger weder Ab: noch aufstamender Linie vorhandener Noth-Erben:/ seÿn seine zweÿbändige Schwester welche sich dermalen in Berlin aufgehalten haben sollen, deren Nahmen aber wie auch der dermahlige Arth ihres eigentlichen Aufenthalts, und ob sie annoch im Leben oder etwa Kinder hinterlaßen haben mag, hat man bis dahero noch nicht in gewiße Erfahrung bringen können. Unterdeßen aber ist in derer Præsumptiv Erben Nahmen zugegen gewesen, der Wohl Ehren und Großachtbare Herr Philipp Jacob Baldner, Perruquier u. b. alhier E. E. Kleinen Raths dermahliger beÿsitzer, als vermög Extractus Ehrengedachten Kleinen Raths memorialis de dato 23.ten dieses Monaths aus deßen Mittel hierzu insonderheit deputirt und abgeordnet
In einer alhier Zu Straßburg ane der Heiligenliechter Gaß gelegenen in dißortige theilbare Nahrung gehöriger Behausung hat sich befunden als (…)
Ergäntzung, laut des über beeder gewesener Ehepersohnen einander zugebrachte Nahrungen durch weÿl. H. Not. Johann Marbach unterm 6. Aprilis 1747 errichteten Inventarii
Waaren und Werckzeug Zum Kamm macher Handwerck gehörig
Eigenthum ane einer Behausung. Nemlichen eine behausung, höflein und hoffstatt, mit allen deroselben übrigen begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten so gelegen alhier ane der sogenannten Heiligen liechter Gaß, einseit neben Herrn Johann Georg Kuch, dem becker herberg-Vater, 2.s. neben Johann Bühler gewesenen Einspännigers alhier hinterl. Erben, hinten auf Saltzmännische Erben stoßend, so von allen ohnablößigen Boden Zinßen und oneribus freÿ leedig und eigen, Soviel aber die auf solcher behaußung hafftende verzinßliche Capitalia betreff. werden solche hieunter beÿ denen Passiv Schulden eingetragen Zuersehen seÿn. Diese Behaußung und Zugehörde ist durch (die Werckmeister) vermög deren gefertigten und beÿ dieses Invent: Concept verwahrlich liegenden Abschatzung scheins de dato 7. Marty 1770. dem jetzmahligen wahren Werth nach angeschlagen und gewürdiget worden vor 900 fl. oder 450 lb. Darüber besagt ein in alhies. C. C. stb. gefertigter deutscher pergamentenes [sic] Kaufbrief, so datirt den 29. des Monaths Martÿ 1745 mit deroselben anhangendem Insiegel verwahret, ausweißend wie und auf was Art solche behausung ane den Verstorbenen und deßen nunmahlige Wittib gelanget, so beÿ gegenw. Inventur mit Lit. A. notirt worden. Ferner ein älterer dito mit dito de dato Straßb. den 25. Octobris 1708. mit Lit. B. bezeichnet, vorhin aber mit N° 1 marquirt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der dißorths hinterbliebenen Wittib ohnveränderten Vermögens Sa. Haußraths 26, Sa. Silbers 1, Sa. Schulden 50, Sa. der Ergäntzung 97, Summa summarum 174 lb
Diesemnach wird auch derer Præsumptiv Erben ohnverändertes Guth verzeichnet, Sa. Kleidung 11, Sa. der Ergäntzung 23, Summa summarum 34 lb – Schulden 50 lb, Passiv onus 15 lb
Endlichen so komt auch die Verzeichnuß der Gemein verändert und Theilbaren Nahrung, Sa. hausraths 31, Sa. Waaren und Werckzeugs zum Kammacher handwerck gehörig 7, Sa. Silbers 10 ß, Sa. Eigenthums ane einer behßg. 450, Sa. Schuld 3, Summa summarum 492 lb – Schulden 1299 lb, Passiv onus 807 lb – Endliches Passiv onus loco der beschluß summa 648 lb
– Abschatzung Vom 7. Martz. 1770. Auff begehren Weil. Friderich gretzman ist eine behausung alhier in der Statt Strasburg in der hellichte gaß gelegen Einseits Neben H. Kuch ander seits Neben den H. biller und hienden auff Den Saltzmenschen hoff Stosent gelegen, solche behausung besteht in Forder und hiender gebeÿ warinnen Ettlichen Stuben Kammern und Kichen Dar jber ist der dach Stuhl mit breitziglein belegt, hat auch ein gewölbten Käller und hoff, Von uns unterschribnen der Statt Straßburg Geschwornen Werckmeister Nach vorheri geschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit Dem Jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und Vmb Nein hundert gulden [unterzeichnet] Werner, Huber
L’inventaire de la succession de Marie Elisabeth Reinthaler dressé par Jean Ellès figure dans la collection de Jean Daniel Ensfelder
1772 (2.4.), Not. Elles (6 E 41, 1339) n° 521
Inventarium über Weiland Frauen Mariä Elisabethä Kretschmännin gebohrner Reinthalerin, auch Weiland Meister Friderich August Kretschmanns, geweßenen Kamm machers und burgers alhier seel. hinterbliebener Wittib nun auch seel. Verlaßenschafft, den 2.ten Aprilis 1772. errichtet
Dieses Inventarii Conceptum findet sich in meiner des unterschriebenen Notarii Schreibstub, Straßburg den 3. Aprilis 1772. Joh: Daniel Ensfelder, Not. Jur.
Marie Elisabeth Reinthaler meurt en 1772 en délaissant un frère, une sœur et ses neveux issus de sa sœur Marie Madeleine. Le prix d’estimation de la maison est repris de l’inventaire précédent puisqu’il n’y a eu aucune réfection. L’actif de la succession s’élève à 567 livres, le passif à 1 117 livres. Une adjudication infructueuse de la maison est jointe à l’inventaire.
1772 (2.4.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 627) n° 14, signé Elles
Inventarium über Weiland Frauen Mariä Elisabethä Kretschmännin gebohrner Reinthalerin, auch Weiland Meister Friderich August Kretschmanns, geweßenen Kamm machers und burgers alhier seel. hinterbliebener Wittib nun auch seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1772. – nach ihrem am 17. Martÿ jüngsthin aus dießer Welt genommenen tödlichen hintritt hie Zeitlichen verlaßen hat. (…) So geschehen alhier in der Königlichen Stadt Straßburg auf Donnerstag den 2.ten Aprilis im Jahr 1772.
Benamsung der Erben. Der Verstorbene seel. ab intestato verlaßene rechtsmäßigen Erben sind in Ermanglung einiher Noth Erben ihre hinterbliebene Geschwisterde und respectivé Schwester Kinder als 1° H. Johann Friderich Reinthaler, Kammacher und Burger alhier so zugegen, In den Ersten dritten Stammtheil. 2.do Weiland frauen Mariä Magdalenä Wahlin gebohrner Reinthalerin seel. mit auch Weiland Mstr Johann Daniel Wahl gewesenen Nadler und burger alhier ehelich erzeugt nach tod verlaßene Kinder vor den Zweÿten dritten Stammtheil, Namentlich a) Mstr Johann Daniel Wahl, Kamm Macher und Inwohner Zu Börnen in Sachsen b) Mstr Johann Friderich Wahl, verburgerter Nadler alhie Zu Straßburg hiebeÿ gegenwärtig, c) Johann Jacob Wahl so die Wirtschaft erlernet deßen dermahlige Auffenthalt aber dißorts unkekant ist. In welcher Zween Abwesenden Wahlischen Söhne Namen beÿ diesem Geschäfft anwesend war S. T. Herr Johann Martin Schweitzer, E. E. Kleinen Raths dermaliger wohlmeritirter beÿsitzer, als vermög Extractus Ehrengedachten Kleinen Raths Memorialis vom heutigen tag auß deßen Mittel hierzu insonderheit deputirt und abgeordnet, d) Frau Maria Elisabetha Hetzelin gebohrne Wahlin Mstr. Joh: Philipp Hetzel Kammachers und burgers alhier Ehefrau unter deßen assistentz Zugegen, e) Jfr. Maria Salome Wahlin so majorennis In deren Namen erstged. Mstr. Hetzel ihr Schwager agirt hat. So dann in den letzten dritten Stammtheil 3.tio Frau Margaretha Rinckin gebohrner Reinthalerin herrn Johann Jacob Rinck, Kiefer meisters und burgers alhier Ehegattin unter deßen Verbeistandung zugegen
In einer alhier Zu Straßburg ane der Heiligenlichter Gaß gelegener in dißortige theilbare Nahrung gehöriger Behausung hat sich befunden als (…)
Eigenthum ane einer Behausung. Nemlichen eine behausung, höflein und hoffstadt, mit allen deroselben übrigen begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten so gelegen alhier zu Straßburg ane der sogenannten Heiligen liechter Gaß, einseith neben Weiland Herrn Johann Georg Kuch gewesenen becker herberg Vater seel. hinterlaßener Wittib und Erben, 2.s. neben längst Weiland H. Johann Bühler gewesenen Einspännigers alhier seel. hinterlaßene Erben und hinten auf Saltzmännische Erben stoßend, so von allen ohnablößigen oneribus oder Boden Zinßen befreÿet und außer darauf haftenden hieunten eingetragenen Passiv Capitalien freÿ, leedig und eigen. Da nun diese Behausung und Zugehörde erst den 7. Martÿ 1770. Zu Weiland Mstr Friderich August Kretschmanns der Defunctæ Ehemann seel. Verlaßenschaffts Inventur durch löbl. Stadt Straßburg herrn Bau Inspectoren und den herrn Werckmeister des Zimerhofs dem wahren Werth nach gewürdiget worden vor 900 Gulden, seithero aber nicht die geringste Verbeßerung darinn vorgegangen, so hat man es um Erspahr. fernerer Kosten beÿ solchem Anschlag heutiges tags gelaßen, dahero hier in Auswurf 450 lb. Darüber besagt ein in alhiesig löbl. C. C. stub. gefertigter deutscher pergamentener Kaufbrief, de dato 29. Martÿ 1745 mit deroselben anhangendem Insiegel verwahret, belehrend wie diese behausung auf die nun Verstorbene beede Kretschmännische Ehepersohnen gekommen mit altem Lot. A. bezeichnet.
Series rubricarum hujus Inventarii. Sa. Haußraths 101, Sa. Silbers 9, Sa. goldener Ringe 1, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 450, Sa. Schulden 3, Summa summarum 567 lb – Schulden 1117 lb, Passiv onus 549 lb – Endliches Passiv onus loco der beschluß summa 648 lb
(Versteigerung der Behausung) Im Jahr 1772 Donnerstag den 11. Junÿ (…) Nachdeme sich nun niemand gefunden der einiges Gebott zu thun Lust bezeugte, Als ist beliebet worden diese Versteigerung auf eine andere Zeit Vorzunehmen. Geschehen auf Tag Monath und Jahr wie Eingangs gedacht in obangetegter behausung
Les héritiers de Marie Elisabeth Reinthaler vendent la maison à l’aiguilletier Jean Frédéric Stammler et à sa femme Marie Madeleine Dannenberger moyennant 875 livres
1777 (7.7.), Chambre des Contrats, vol. 651 n° 237
Mr Johann Friedrich Wahl der nadler vor sich selbst und auch innahmen seiner schwester Jfr Maria Salome Wahl der großjährigen wie auch nahmens seines bruders Johann Daniel Wahl des zu Birna in Sachßen etablirten kammacher, Fr. Maria Salome geb. Reinthalerin Mr Johann David Herrmann des metzgers ehefrau, Fr. Maria Margaretha geb. Reinthalerin Mr Johann Jacob Rinck des kieffers Ehefrau, Fr. Maria Magdalena geb. Reinthalerin Mr Johann Georg Michel des schloßers eheliche hausfrau, Fr. Maria Elisabeth geb. Wahlin Mr Johann Philipp Hetzel des kammachers Ehefrau, samtliche als erben weÿl. Mariæ Elisabethæ geb. Reinthalerin auch weÿl. Friedrich August Kretschmann gewesten kammachers Ehefrau
in gegensein Mr Johann Friedrich Stammler des nadlers und Mariæ Magdalenæ geb. Dannenbergerin unter assistentz Mr Philipp Jacob Dannenberger des wagners ihres leiblichen bruders und Johann Friedrich Lux des schloßers ihres geschwisterdes Kinds
sie Wahlischen geschwistrigen zu einem Stammtheil, sie Rinckin zu einem anderen stammtheil und übrige Frauen zu dem dritten stammtheil, einer behausung, höfflein und hoffstatt mit all deren gebäu, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der heiligen liechter gaß, einseit neben H. Actuario Büchler, anderseit neben der Kuchischen wittib, hinten auff H. Prof. Oberlin – um 500 fl. 150, 200 verhafftet, geschehen um 900 gulden
1756, Miroir, Protocole des aiguilletiers (XI 296)
L’apprendti Jean Frédéric Stammler devient compagnon
(f° 28.b) Donnerstags den 2. Septembris 1756 – Lehrjunger als Gesellen angenommen
Philipp Jacob Grießbach, Georg Friderich Grießbach, Johann Friderich Wahl, Johannes Bradfisch und Johann Friderich Stammler alle fünff Nadler Lehrjunger von hier gebürthig stehen vor, und bitten daß mann Sie schencken und als Ehrliche gesellen auff und annehmen wolle.
Erkanndt, gegen Erlaag Zehen thaler vor jeden der Fünff vor bestreitung der uncosten, jedoch ohne das Stecken Recht, in ihrem behegren gewillfahrt von welcher sambtlichen Summ der Fünffzig thaler, Zwölf gulden abzuziehen, wavor Johann Friderich Bentzin von Steinsberg der älteste Schenck gesell und Christian Friderich Burges von Meißthal der jüngste Schenck gesell, die Petenten ordnungs mäßig zu schencken sich anerbothen.
Jean Frédéric Stammler s’inscrit à l’année d’épreuve en janvier 1764. Après avoir obtenu une dispense, il est admis en avril à faire son chef d’œuvre
(f° 42.b) Dienstags den 17. Januarÿ 1764. – In die Muthjahr eingeschrieben
Johann Friedrich Stammler, der ledige Nadlergesell von hier gebürtig, bittet ihn in die Muthjahr einzuschreiben.Worauf ihm in seinem Begehren gewillfahret, und die darüber besagende Artickel abgelesen worden, Wobei er declarirt, seine Muthjahr bei H. Johann Friderich Kopp verarbeiten Zu wollen.
(f° 43.b) Sambstags den 14. Aprilis 1764. – Muthjahr erlaßen
Johann Friedrich Stammler, der ledige Nadlergesell producirt Bescheid gnäd. Hh. der XV. vom 7. hujus, Krafft welches er gegen Ersetzung derer Unkosten und Erlag drei Pfund Pfenning halb Löbl. Stadt und halb dieser ehrsamen Meisterschafft heimfällig, von der übrigen Muthzeit Zu dispensiren, und Zu dem Meisterstück Zu admittiren seÿe, bittet Verzeichnuß.
Erkannt, ist Petent der Muthzeit haben ausgethan, und Zur Meisterstück: Aufnahm admittirt worden.
(f° 44) Eodem. – Meisterstücks Aufnahm
Nächstgedachter Stammler bittet ihm zu erlauben, das Meisterstück Verfertigen zu dörfen.
Erkant, vermög vorstehenden Bescheids willfahrt
(f° 44) Sambstags den 28. Aprilis 1764. – Werckzeugs Besichtigung
Offterwähnter Stammler stehet vor und bittet, man mögte seinen Werckzeug Zu dem Zu verfertigen habenden Meisterstück besichtigen.
Hierauf wurde selbiger besichtiget, und in allem vor gut befunden.
Les Quinze dispensent Jean Frédéric Stammler de faire toute son année d’épreuve avec l’accord du corps de métier. Les Quinze délivrent une expédition de leur décision.
1764, Protocole des Quinze (2 R 176)
Johann Friderich Stammler ca. E.E. Meisterschafft der Nadler
(p. 167) Sambstags d. 24.ten Martii 1764. – Froereisen nôe Johann Friderich Stammler des ledigen Nadler gesellen Von hier C. E. E. Meisterschafft der Nadler Obermeister prod. unterth. Implorations schrifft juncto petito samt beÿl. N° 1 und bitt Deputationem. Freundt nôe ged. Meisterschafft bitt similiter Deput: und setzt übriges dißeitiger Obermeister ohn præjuditz der artickel gegenerisch petitum Zu Ew: Gn: Erk. Deputatio willfahrt.
(p. 260) Sambstags d. 7. Aprilis 1764. – Iidem [Obere Handwercks Hh] laßen per Eundem [Secretarium] referiren, es habe Johann Friderich Stammler der ledige Nadler gesell Von hier C. E. E. Meisterschafft der Nadler Obermeister den 24. Martii Jüngst Mghh. eine unterth. Implorations schrifft samt beÿl. N° 1 übergeben, juncto petito, Hochdieselbe gnädig geruhen möchten ex gratiâ Zu erkennen, daß Implorant von der übrigen Muthzeit Zu dispensiren und auszuthun, einfolglichen ihn ohne fernern aufschub Zu dem Meisterstück gnädigst Zu admittiren.
Auf geschehene Weißung habe der Implorant contenta Memorialis et petiti wiederholet. Nôe Imploratische Meisterschafft seÿen vorgestanden Frantz Meÿer, als Obermeister, welcher declarirt, daß Zwar der Artickel erfordern, daß Ein Meisters sohn ein jahr vermuthe, so habe dannoch E. E. Meisterschafft nichts darwieder, wann MGhh. dem Imploranten dispens geben wolten, Weßwegen Er auch seines orts die sach lediglich hochdenenselben anheim stelle.
Die Hh. Depp. hätten sowohl wegen erstgedachter des Obermeisters gethanen declaration als auch wegen des dem Imploranten Zugelegten Lobs, daß er sich jederzeit sehr wohl aufgefürt, der meinung seÿn wollen, daß der Implorant gegen ersetzung der Uncosten und erlag 3 lb d pro dispensatione halb löbl. Statt und halb Imploratischer Meisterschafft heimfällig, von der übrigen Muthzeit zu dispensiren, sofort Zu dem Meisterstück zu admittiren seÿe. Erkandt, bedacht confirmirt.
(p. 266) Sambstags d. 7.ten Aprilis 1764. – Froereisen nôe Johann Friderich Stammler in aîs C. E. E. Meisterschafft der Nadler Obermr. auch in âis b. Communication Sententiæ. Erkannt, Communicatio willfahrt
Bescheid. In Sachen Johann Friderich Stammler, des ledigen Nadler gesellen Von hier Imploranten ane einem, entgegen und wieder E. E. Meisterschafft der Nadler Obermr. Imploraten, am andern theil. Auf producirte unterthänige Implorations schrifft mit beÿl. Sub N° 1 juncto petito, Wir geruhen Zu erkennen, daß der Implorant von der übrigen Muthzeit Zu dispensiren und auszuthun, einfolglichen ihn ohne fernern aufschub Zum Meisterstück Zu admittiren, des Imploratischen Obermeister beÿ gebettener, bewilligter und beseßener Deputation gethane declaration dießer des Imploranten petitum Zu unßerer Erkandtnus setze, auch all übrig der Parthen angehörtes vor und anbringen ist der Hh. Depp: angelegten relation nach Erkandt, daß der Implorant gegen ersetzung der Uncosten und erlag 3 lb d halb löbl. Statt und halb Imploratischer Meisterschafft heimfällig, von der übrigen Muthzeit zu dispensiren, sofort Zu dem Meisterstück zu admittiren seÿe.
Jean Frédéric Stammler devient tributaire au Miroir en juillet 1764.
1764, Protocole de la tribu du Miroir (XI 278)
(f° 182) Dienstags den 24. Julii 1764 – E. Leibzünfftiger
Johann Friderich Stammler, Meisters Johannes Stammlers, des hiesigen burgers und Schneiders ehelicher Sohn, ist nach vorgelegtem Stallschein vom 14. Maji jüngsthin gegen Erlag 2 lb 13 ß 4 d leibzünfftig als Nadler meister angenommen worden. dt. & prom. obed. (dt 2 mb 13 ß 4 d)
Fils de tailleur, Jean Frédéric Stammler épouse en 1766 Marie Madeleine Dannenberger, fille du charron Ulric Dannenberger : contrat de mariage, célébration
1766 (17.3.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 740) n° 277
Eheberedung – Zwischen dem Ehren und Vorgeachten herrn Joh: Friderich Stammler, dem leedigen Nadler Meister und Burgern allhier Zu Straßburg, H. Johannes Stammlers Burgern allhier ehelich erzeugtem Sohn als dem Herrn Breutigam Ane einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jungfer Mariä Magdalenæ Dannenbergerin Hn Johann Ulrich Dannenbergers Wagners undt burgers allhier ehelich erzeugten tochter als der Jungfer hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg (…) auff Montag den 17.den Martÿ Anno 1766. [unterzeichnet] Johann Friedrich Stammler, Maria Magdalena Dannenbergerin
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 2-v, n° 19)
Im Jahr 1766 seÿndt (…) Mittwoch den 21. Maji copulirt worden Johann Friederich Stammler lediger Nadler meister undt burger alhier, Meister Johannes Stammlers Schneiders vndt burgers alhier vndt seiner ehel. haußfr. Maria Salome geb. Wittmännin ehel. Sohn vndt Jfr. Maria Magdalena, Meister Johann Ulrich Dannenbergers Wagners vndt burgers alhier vndt seiner ehelichen haußfrauwen Salome geb. Schottin ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Friedrich Stammler als Hochzeiter, Maria Magdalena Dannenbergerin als Hoch Zeiterin (i 5 – proclamation, Temple-Neuf f° 38)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison au faubourg de Cronenbourg (faubourg de Saverne). Les apports du mari s’élèvent à 55 livres, ceux de la femme à 270 livres.
1766 (19.6.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 724) n° 594
Inventarium über des Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Friderich Stammlers des Nadlers und der Ehren und tugendsamen Frauen Mariä Magdalenä Stammlerin gebohrener Dannenbergerin beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1766. – vermög der vor mir unterschriebenem geschwornen Notario errichteten Heüraths Verschreibung vom 17. Martÿ 1766. Vor unverändert Vorbehalten haben, (…) So Beschehen in Straßburg in Præsentia Hn Johannes Stammlers des Schneiders und Burgers allhier des Ehemanns geliebten H Vatters, und Herrn Johann Ulrich Dannenbergers Wagners und Burgers allhier der Ehefrauen Herrn Vatters auf Donnerstag den 19.den Junÿ Anno 1766.
In einer allhier Zu Straßburg ae der Cronenburger Straaß gelegener und in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen Behausung befunden Worden Wie folgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns in die Ehe gebracht Vermögen. Sa. haußraths 25, Sa. Werckzeugs und Wahr Zur Nadler Profession gehörig 62, Sa. Silbers 23, Sa. baarschafft 4, Summa summarum 415 lb – Darzugelegt die Ihme Vermög der Eheberedung gebührige Helffte ane hieunden beschriebenen Haussteuren 63, Beträgt also des Manns völlig in die Ehe gebrachte Nahrung dem vero pretio nach benantlich 478 lb, Schulden 423, Nach solchem abzug 55 lb
Dießemnach folgt nun der Frauen völlig in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 91, Sa. Silbers 16, Sa.goldener Ring 17, Sa. Baarschafft 82, Summa summarum 207 lb – Darzu gerechnet die Ihro gebührige Helffte ane denen haussteuren so antrifft 63, Der Frauen völlig in die Ehe gebracht Vermögen in vero pretio 270 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 325 lb
Marie Madeleine Dannenberger meurt en 1779 en délaissant cinq enfants. Les experts estiment la maison 600 livres. La masse propre aux héritiers est de 347 livres. L’actif du veuf et de la communauté s’élève à 1 153 livres, le passif à 1 820 livres
1779 (21.4.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 738) n° 1064
Inventarium über Weÿland der Ehren: und Tugendsamen frauen Mariä Magdalenæ Stammlerin geb. Dannenbergerin, des Ehren und Vorgeachten Herrn Joh: Friedrich Stammlers, Nadlers und burgers allhier zu Straßburg geweßener Ehefrauen nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1779. – als dieselbe Dienstags den 6. Aprilis dießes laufenden 1779.ten Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen Verwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt hie Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen und begehren obgedachten des hinterbliebenen Wittibers, Wie auch des Ehren und vorgeachten Herrn Joh: Heinrich Reißingers Schuhmachers und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Joh: Friderichs, Emanuel Gottfried, Susannæ Catharinæ, Annä Mariä und Joh: Christian derer Stammlern, aller 5. der Verstorbenen seel. mit nachgemeltem Ihren hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeugter Kinder und ab intestato Zu 5 gleichling. Portionen und Stammtheilen Verlaßene Erben, ersucht und inventirt (…) So geschehen in Straßburg auff Mittwoch den 21. Apr. A° 1779.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Heÿligen Lichtengaß gelegener und in dieße Verlaßenschafft gehöriger behaußung befunden worden wie folgt.
Ergäntzung der Erben Wehrender Ehe abgegangener unverändert Guths. Vermög Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuth einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen A° 1766. durch mich unterschriebenen Not. auffgerichtet
Eigenthum ane einer Behaußung. Nemblichen eine Behaußung Höfflein und hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der heiligen Lichtengaß Einseith neben Hn Joh: Michael Büchler J.V. Lto und Actuario beÿ löbl. Policeÿ Gericht, anders. neben weÿl. N. Kuchen des geweßenen Becker herrberg Vatters nachgelaßener Wittib hinden auf H. M. Oberlin stoßend, so ausser hernach gemelten passiv Schulden freÿ leedig eigen und durch (die Werckmeistere) laut Abschatzungs Zeduls vom 3. Maÿ 1779. angeschlagen pro 1200 fl. oder 600 lb. Hierüber sagt ein in allh. C. C. stub errichteter und mit deri anfgetruckten Insiegel verwahrter teutscher pergamentener Kffbr. datirt den 7. Julÿ A° 1777.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Kinder und Erben unverändert Nahrung, Sa. haußraths 62, Sa. Silbers 5, Sa. Goldener Ring 5, Sa. Schulden 37, Erg. rest 236, Summa summarum 347 lb
Dießemnach wird nun auch des Wittibers unverändert und theilbar Guth unter einer Mass beschrieben maßen der Kinder und Erben Vogt auf die theilbare Nahrung renunciren und solche dem Wittiber tam active quam passive allein übelaßen wird, Sa. haußraths 64, Sa. Werckzeug und waar Zur Nadler profession gehörig 355, Sa. Silbers 7, Sa. baarschafft 55, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 600, Sa. Schulden 69, Summa summarum 1153 lb – Schulden 1820 lb, Nach deren Abzug 667 lb
Mehr Schulden als Nahrung dem Stall tax nach 319 lb
Jean Frédéric Stammler se remarie avec Marie Madeleine Klein, fille du maréchal ferrant Jean Jacques Klein : contrat de mariage, célébration
1780 (28.1.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 614) n° 200
Eheberedung – der Ehrengeachte Herr Johann Friderich Stammler, verwittweter Nadlermeister und Burger alhier, als Hochzeiter an einem Teil
So dann die Tugendsame Jungfrau Maria Magdalena Kleinin, des weiland H. Johann Jacob Klein gewesenen hies. B. u. Hufschmidts mit seiner hinterbliebenen Wittwe Frau Maria Dorotea geb. Schmidhennerin ehelich erzeugte einzige nunmehr großjährige Tochter, als Hochzeiterin, beiständlich H. Joh: Jacob Klein des Gastgebers zum roten Löwen und burgers alhier, an dem andern Teil
auf Freÿtag den 28. Jänner in dem Jahr nach Christi Geburt 1787 [unterzeichnet] Johann Friderich Stammler als hochzeiter, Maria Magdalena Kleinin als hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 10, n° 9)
Im Jahr Christo 1780 den dritten Aprill Nachmittags um dreÿ Uhr sind (…) copulirt und ehelich eingesegnet worden Johann Friderich Stammler, Nadler und burger allhier wittwe, der vorher in die Ehe gelebet mit weÿland Frau Maria Magdalena geborener Dannenbergerin und Jungfer Maria Magdalena Kleinin weÿland Johann Jacob Klein geweßenen Hufschmidts und burgers allhier und Frauen Mariæ Dorotheæ gebohrner Schmidthennerin eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Friedrich Stammler als Hochzeiter, Maria Magdalena Kleinin als Hochzeiterin (i 11)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari. Les apports du mari s’élèvent à 641 livres, ceux de la femme à 64 livres.
1780 (24.4.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 601) n° 358
Inventarium über H. Johann Friedrich Stammler, des Nadlers, und Fraun Maria Magdalena geborner Kleinin beder Eheleut und burger alhier zu Straßburg in die Ehe gebrachtes vermögen, auffgerichtet A° 1780 – in ihren den 3. laufenden Monats und Jahrs mit einander angetrettenen Ehestand gebracht, und& laut des dritten Artickels ihrer den letztverfloßenen 28. Jänner vor dem unterschriebenen Notario aufgerichteten Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten haben. (…) So geschehen in hienach inventirter an der heiligen Lichtergasse gelegenen behausung, in fernerem beiseÿn des ehrenvesten und wohlgelehrten H. Joh: Georg Klein des geistlichen Seminarii Mitglieds der Ehefrau ohneins ältisten H Bruders und von ihr hiezu erbetenen beistandts auf Montag den 24. Aprill vormittag in dem Jahr nach Christi Geburt 1780.
(f° 8) Eigenthum an einer Behaußung. (M.) Nämlich i. beh. hofstatt u. höflein m. allen deren Gebäud, Begriffen, Weithen, Zugehörd. u. Rechten gelegen in hiesiger Stadt an der heiligen: Lichter-gasse, 1. S. neben H. Lt Joh. Michael Büchler, dem Policeischreiber, 2. S. neb. weil. H. Kuch, des gew. Bäckerherbergvaters Wb. u. Erben hinten auf S.T. H. Jeremias Jacob Oberlin, Prof. publ: extraord: so auser hernach eingetragenen darauf haftenden Passiv-Capitalien, frei und eigen, sofort ohnnachteiliger massen hier um den in hernach angeführter summarischer berechnung angesetzten Preis gerechnet das ist 2400 fl. Hierüb. sind 2. perg. in hies. C.C.St. verf. teutsche Kbr. vorh. deren ersterer v. 29. März 1745 m. deren anh. der 2.te ab. v. 7 Julÿ 1777. M. deren aufgedr. Ins. verwahret
Wittums-Verfangenschaft der Kinder erster Ehe. Nämlich die oben fol. (-) genannte Frau Dannenbergerin hat von ihres seligen Ehemanns Verl. kraft der mit demselben d. 12. 8.bris 1735. vor H. Not. Joh: Daniel Lang errichteten Eheberedung und nach Masgab des darüber durch vorberürten H. Not. Langheinrich in dem Jahr 1774. auffgerichteten Vergleichs Abrechnung und Erörterung zu der diesortigen Kinder als Enckel halben theil lebenslang zu geniesen 307 lb
Wittum der Ehemanns. Nämlich der Ehemann ist seiner seliben verstorbenen, ersten Ehegattin weiland Fraun Maria Magdalena gebohrner Dannenbergerin gesamte Verlaßenschafft kraft deren d. 9. Februarii a° 1767 vor oftgemeltem H. Not. Langheinrich gesetzmäsig gestifteten Codicills Zweiten Punkts (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns in die Ehe gebrachtes Guth, Sa. Hausrats 349, Sa. Waaren u. Werckzeugs 1271, Sa. Silbers 60, Sa. baarschaft 13, Sa. Eigentums an I. beh. 2400, Sa. der activ Schulden 171, Summa summarum 4269 fl. – Schulden 3627 fl, nach deren abzug 641 fl.
Diesemnach wird der Frau in die Ehe gebrachtes Vermögen verzeichnet. Sa. Hausrats 101, Sa. Silbers 27, Sa. goldener Ringe 25, Sa. baarschaff 2, Summa summarum 217 fl. – haussteuren 64 fl
Des Manns Kinder erster Ehe Patengeld, Johann Friedrich gehörig welcher d. 12. Febr. 1767 getauft, Emmanuel Gottfried zuständig, so d. 10. Dec. 1772 getauft, Anna Maria gebührig die d. 8. Dec. 1777 getauft, Johann Christian eigen, der d. 4. April 1779 getauft
Susanne Schott veuve du charron Ulric Dannenberger meurt en 1783 chez son gendre dont les enfants sont ses seuls héritiers. L’actif de la succession s’élève à 403 livres, le passif à 40 livres.
1783 (19.7.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 604) n° 459
Inventarium über Weiland Fraun Susanna Dannenbergerin geb. Schottin, des längst weil. H. Johann Ulrich Dannenberger, gewesene, hiesigen Burgers und Wagners nunmehr auch verstorbene Wittwe, Verlaßenschafft, aufgerichtet 1783 – nach ihrem den letztverfloßenen 18. Junius aus dießer Welt genommenen seligen Abschied, Zurückgelaßen hat. Welche Verlaßenschafft auf Ansuchen Meisters Johann Heinrich Rüssinger des jüngern, Schumachers und burgers dahier, als geordneten und geschworenen Vogts Weiland Fraun Maria Magdalena geb. Dannenbergerin mit H. Johann Friedrich Stammler, dem hiesigen Burger und Nadlermeisters ehelich erzeugter noch lebender vier minderjähriger Kinder, namentlich Johann Friderich 16 ½ Jahr alt, Emanuel Gottfried 10 ½ Jahr alt,, Anna Maria 5 ½ Jahr alt, so dann Johann Christian 4 Jahr alt, als diesortiger Enckel und zu gleichen Teilen ohntestirt hinterlaßener Vier Erben
So geschehen in Straßburg in vorgenannten Stammlers ane der heiligen-Liechter-gasse gelegener eigenthümlicher, diesorts umsonst bewohnter behausung, auf Sambstag den 19. Julius vormittag in dem Jahr nach Christus Geburt 1783
Sa. Hausrat 18 lb, Sa. Silbers 1 lb, Sa. goldene Ringe 1 lb, Schuld 382 lb, Summa summarum 403 lb – Schulden 40 lb, nach deren abzug 363 lb, Wittumsgut 245 lb, – Stallsumm 608 lb
Wittum. Nämlich die Erb-laßerin hat aus ihres Eingangs erwöhnten verstorbenenn Ehemanns Vermögens-Nachlaßenschaft, kraft der darüber d. 9. Junii 1774. durch nun Weiland H. Not. Joh: Daniel Langheinrich alhier verfertigten Abrechnung und Erörterung (…)
Jean Frédéric Stammler passe un accord avec son voisin enseignant Simon Müller. La fosse d’aisances sous le bâtiment arrière de Simon Müller restera commune. Les anciennes latrines seront transformées en fosse à fumier dont Stammler réglera un tiers des frais et bénéficiera d’un tiers du produit. – Original en allemand et traduction fournie lors de l’enregistrement
1792, ssp. enregistré le 12 février 1811 (original joint à la vente de 1844)
Vertrag Zwischen H. Stammler dem Nadler u. Simon Müller dem Informator, beeder burgere in Straßburg gemeinschaftliches s.v. Privet betreffend, auffgerichtet d. 21. Junii 1792.
Da von langer Zeit her H. Stammler u. die vor Ihme besitzer seines Hauses waren mit mir Simon Müller u. denen, die vor mit besitzer meines Hauses waren, ein gemeinschaftliches Recht an demjenigen Gewölb oder x.v. Privet hatten, welches unter meinem Hinter Hauß ist, neben H. Stammlers Hinterhaus, so soll solches fernerhin vor uns und unsern Nachkommen dabeÿ verbleiben.
Ferner haben wir beÿderseits entschlossen, das bisherige s.v. Privet zu einer Mistgrube Zubereiten zu lassen, welches auch geschehen, an den Bau u. Veränderungs: Kösten, will ich, nach Abrede 2/3 bezahlen u H. Stammler 1/3. Was den Sitz des sv. Privets in jedes Hauß betrifft, soll jeder in seinem hause auf seine besondere Kösten erhalten, sollte an dem Gewölb etwas schadhafft werden, u. Ausbesserung nöthig haben, so will ich 2/3 der Kösten u. H. Stammler soll 1/3 der Kosten bezahlen.
Weil aber diese Mistgrube in meinem Hause ist, und ich bisher alle beschwerlichkeiten, die mit den Bauen verbunden sind, auf mir hatte. u. ich auch alle beschwerlichkeiten die mit dem Außfuhren verbunden sind, übernehmen muß, wie es auch bisher war, u. H. Stammler bißher 2/3 und ich 1/3 der Ausführungs: Kösten bezahlen so soll künfftig aus angeführten Ursachen 2/3 des erlösten Geldts vor den Mist mir gehören u. H. Stammler soll 1/3 bekommen.
Solches oben stehende soll vor uns und unsern Nachkommen jederzeit getreulich gehalten werden, welches wir auch mit unsern eigenhändigen Unterschriften bestätigen
Convention entre le Sr Stamler epinglier et le Sr Simon Muller instituteur, les deux habitans de Strasbourg, concernant la fosse d’aisance, dont ils sont propriétaires par indivis, celle convention faite e 21 juin 1792.
Le sieur Stamler et ses prédécesseur ayant depuis longues années possedé en commun avec moi Simon Muller et mes prédécesseurs une fosse d’aisance sous ma maison de derrière à côté de la maison de derrière du Sr Stamler, il est convenû que cette possession et jouissance commune sera continuée.
Nous sommes convenus en outre de convertir en fosse d’engrais la partie qui jusqu’à présent a servi de lieu d’aisance. Les frais de cette opération seront supportés à raison de 2/3 par moi et à raison d’un tiers par le Sr Stamler.
Quant aux lieux d’aisances à établir dans chaque maison, chacun payera separement les frais d’établissement mais au cas que le fosse d’aisance ait besoin de quelques réparations j’en supporterai les frais pour 2/3 et le Sieur Stammler en payera 1/3. Et attendu que cette fosse d’engrais se trouve dans ma maison, et que je suis chargé des désagrémens de la batise et de l’évacuation et comme Mr Stamler a payé précédement 2/3 des frais d’évacuation et moi un tiers, il est convenû que je recevrai deux tiers du produit de la vente des fumiers et le Sr Stamler un tiers. Ainsi fait et conclu – Pour traduction conforme à l’original allemand, Strasbourg le 12 février 1811 – Enregistré à Strasbourg le 12 février 1811 N 187.
Jean Frédéric Stammler meurt en 1807 en délaissant trois enfants de son premier mariage et six du deuxième
1807 (8.5.), Strasbourg 9 (anc. cote 15), Not. Bossenius n° 345, 3247
Inventaire de la succession de Jean Frédéric Stammler épinglier – à la requête de Marie Madeleine née Klein la veuve en secondes noces, plus Emanuel Geofroi Stammler, épinglier, tant en son nom qu’en celui de tuteur, Abraham Redslob, marchand comme subrogé tuteur d’Elisabeth Salomé née le 28 septembre 1788, Catherine Madeleine née le 11 décembre 1790 et Jean né le 11 janvier 1798, Plus Dle Anne Marie Stammler, majeure, assitée d’Emanuel Geofroi Stammler son frère, plus Me Daniel Ehrenfreid Stoeber, Notaire Impérial commis pour représenter Jean Chrétien Stammler, garçon boulanger présentement sous les drapeaux au 36° régiment d’Infanterie de ligne et Frédéric Guillaume Stammler, majeur d’ans dragon au deuxième régiment, enfin le Sr Christophe Henri Stammler, épinglier tant en son nom et qu’en celui de Jean Georges Stammler, garçon épnglier héritiers pour un 9° de leur père, procréés les trois premiers du premier lit avec Anne Madeleine née Dannberger et les six autres en secondes noces avec Marie Madeleine Klein
au domicile du défunt rue des chandelles n° 8 et ci après inventoriée
propres de la veuve, meubles 114 fr, argenterie 39 fr, dettes actives 150 fr, remplacement 395 fr, déduire 15 fr, reste 379 fr, total général 683 fr
propres aux héritiers, garde robe 66 fr, argenterie 30 fr
Maison, Une maison petite cour appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des chandelles N° 8, d’un côté Georges Seyter, boucher, d’autre le Sr Müller instituteur, derrière M Wengler notaire et en partie le Sr Mohr cocher. Loués, la partie occupée par la femme du nommé Thiss journalier moyennant 50 fr, celle occupée par le Sr Redslob relieur 100 fr, La partie occupée par la veuve Moser 30 fr, Et celle par la présente succession 40 fr, ensemble 220 francs de revenu faisant en capital 4400 fr. La propriété constatée par deux contrats de vente passés par devant le Juge de la Cour épiscopale a Strasbourg le 3 août 1543 et le 8 février 1582 plus contrat de vente à la Chambre des Contrats les 29 mars 1745 et 7 juillet 1777
remplacement 3715 fr, déduire 2905 fr, reste 809 fr, total général 5306 fr, dettes passives 4409 fr, reste 815 fr
communauté : meubles 447 fr, outils 234 fr, marchandises 455 fr, total général 1137 fr, passif 5090 fr, déficit 3953 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 102 F° 149-v du 18.5.
Autre inventaire du même. Les enfants du premier lit sont au nombre de quatre.
1809 (1.9.), Strasbourg 9 (anc. cote 17), Not. Bossenius n° 441, 4215
Inventaire de la succession de Jean Frédéric Stammler épinglier décédé le 30 janvier 1807 – à la requête d’Emanuel Geofroi Stammler, marchand épinglier, en son nom et en qualité de tuteur actuel et de Jean Abraham Redslob, négociant ,subrogé tuteur de Catherine Madeleine Stammler née le 11 décembre 1790 & Jean Stammler le 11 janvier 1798
Anne Marie Stammler & Jean Chrétien Stammler, garçon boulanger, les deux majeurs, plus à la requête de Daniel Ehrenfried Stoeber, notaire commis pour représenter Jean Frédéric Stammler, caporal à la 102° demi brigade de Ligne par jugement du 1 septembre 1809, commis aussi pour représenter Frédéric Guillaume Stammler, majeur, dragon au deuxième régiment, Plus Jean Christophe Henri Stammler, épinglier, & Jean Georges Stammler, garçon épiglier, enfin Daniel Hoeltzel tourneur tuteur et de Daniel Klein menuisier subrogé tuteur, Marie Madeleine Klein veuve en secondes & dernières noces du défunt, ladite veuve interdite de l’administration de ses biens par jugement du 12 juin 1809 – héritiers chacun pour un 10° du défunt, procréés les quatre premiers du premier lit avec Anne Madeleine née Dannberger, les six autres en secondes noces de Marie Madeleine Klein
au dernier domicile rue des Chandelles n° 8 jusqu’à l’époque de la réception à l’hopital civil
meubles 473 fr, argenterie 40 fr, garde robe 33 fr, outils 70 fr, marchandises d’épinglerie 234 fr
Immeubles propres aux héritiers. Savoir une maison petite cour appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue des Chandelles n° 8, d’un côté Georges Seiter boucher d’autre le Sr Müller instituteur, derrière M Wengler notaire en partie et le Sr Mohr cocher, estimée 4400 fr. La propriété est établie par Jugement de la cour épiscolpale de Strasbourg le 3 août 1543, par acte du 8 février 1582, vente à la Chambre des Contrats le 29 mars 1745 et 7 juillet 1777, total 4400 fr
passif propre 4490 fr, passif de la communauté 4604 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 113 F° 47 du 9.9.
La maison revient par adjudication devant le tribunal civil au cohéritier Christophe Henri Stammler, épinglier
1810 (13.8.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 57, n° 27
Par devant Jean Samuel Silberrad juge au Tribunal de Première Instance, commissaire en cette partie, vente et adjudication dont la teneur suit. Cahier des charges d’une maison sise à Strasbourg rue des Chandelles n° 8 (…) ; Ladite maison dépend de la succession de Jean Frédéric Stammler, épinglier, et appartient à 1. Emanuel Geoffroi Stammler maître épinglier, 2. Catherine Madeleine Stammler, 3. Jean Stammler, ces deux mineurs délaissés par Jean Frédéric Stammler, épinglier, ayant pour tuteur ledit Emanuel Geoffroi Stammler et subrogé tuteur Abraham Redslob marchand ; 4. Anne Marie Stammler fille majeure domiciliée à Strasbourg, 5. Jean Chrétien Stammler, garçon boulanger, 6. Jean Frédéric Stammler, capitaine à la 42° demi brigade de ligne au service de France, 7. Théodore Guillaume Stammler, dragon au 2° régiment au service de France, ces deux absents représentés par Daniel Ehrenfried Stoeber notaire, 8. Christophe Henri Stammler, épinglier, 9. Jean Georges Stammler, garçon majeur, lesquels en qualité d’héritiers de leur père le sont pour moitié, l’autre moitié appatient à Marie Madeleine Klein la veuve en secondes noces du défunt, laquelle étant interdite a pour tuteur Daniel Hölzel, tanneur – droits de propriété établis par l’inventaire dressé par Me Bossenius le 8 mai 1807
Vente ordonnée par jugement du 29 mars, rapport d’experts du 9 avril, estimée 6000 fr ; Jacques Joseph Momy avocat avoué demeurant rue de la Nuée bleue n° 21, fait le 17 mai 1810
Me Schuler – Ddéclaration de command du 13 juillet au nom de Christophe Henri Stammler, épinglier
une maison sise à Strasbourg rue des Chandelles n° 8 ; composé de deux bâtiments, cour, cave, grenier et autres aisances, appartenances et dépendances, d’un côté Georges Seyter boucher, d’autre d’autre le Sr Müller instituteur, derrière M Wengler notaire en partie et le Sr Moser cocher
Adjudication préparatoire du 29 juin – Adjudication définitive du 13 juillet, moyennant 6100 francs
Inventaire après décès d’une locataire, Marie Madeleine Muller veuve du perruquier Jean Nicolas Gaspari
1813 (3.3.), Strasbourg 2 (37), Not. Knobloch n° 6068
Inventaire de la succession de Marie Madeleine Muller veuve de Jean Nicolas Gaspari perruquier – à la requête de 1. Jean Herr, bacquetier, tuteur de Jean Nicolas Gaspari 17 ans, 2. Samuel Regnard Weber, receveur général des hospices civils de Strasbourg, au nom de Marie Madeleine et Philippe Jacques pensionnaires à l’hospice des Orphelins – en présence de Gabriel Menegoz employé a la préfecture du Bas Rhin subrogé tuteur de Jean Nicolas Gaspari
dans la maison mortuaire rue des Chandelles n° 8 appartenant au Sr Stammler au troisième étage bâtiment de derrière éclaité sur la cour
mobilier 375 fr, dettes actives 54 fr – passif 841 fr
Immeuble. Une petite boutique avec ses dépendances sise à Strasbourg près les grandes boucheries, d’un côté Jean Frédéric Wahl épinglier, d’autre le Sr Frick trippier, derrière aux grandes boucheries – chargé d’une rente foncière de 2,40 fr envers la Ville de Strasbourg, propriété établie à l’inventaire des apports dressé par Saltzmann le 27 vendemiaire 4, estimée 2400 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 121 F° 183-v du 12.3.
Christophe Henri Stammler et Louise Melanie Heisch vendent la maison au revendeur Gabriel Schrameck et à sa femme Rosette Koch moyennant 8 100 francs
1844 (15.2.), Strasbourg 10 (102), Me Zimmer n° 5071
Ont comparu Mr Christophe Henri Stammler, propriétaire & Mad° Louise Melanie Heisch son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes, demeurant ensemble à Strasbourg (vendent)
au Sr Gabriel Schrameck, revendeur, & à D° Rosette Koch sa femme, demeurant ensemble en la même ville, grand rue N° 42, ladite femme également autorisée à l’effet de ce qui suit par son dit mari
Une maison consistant en bâtiment de devant, bâtiment latéral & bâtiment de derrière, avec cour, cave & autres appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue des Chandelles N° 8, tenant d’un côté au Sr Claude Seguin, de l’autre au Sr Lazare Jacob par derrière en partie à la propriété du dit Sr Seguin & en partie à celle des héritiers de Mr Wengler. Sont comrpis dans la vente (…) tous les poêles & fourneaux qui s’y trouvent avec leurs tuyaux & pierres.
Etablissement de la propriété. L’immeuble présentement vendu dépendait de la communauté de biens qui avait existé entre feu Mr Jean Frédéric Stammler & De Madeleine Klein, père et mère de Mr Stammler, comparant, ce dernier en possédait un 18° indivis pour l’avoir recueilli dans la succession du dit défunt son père dont il était héritier pour un 9° & il a acquis la totalité du même immeuble de ses cohéritiers & de ladite De sa mère suivant procès verbal d’adjudication sur licitation dressé à l’audience des criées du tribunal civil de Strasbourg le 13 juillet 1810 & déclaration de command reçue au Greffe du même tribunal le même jour, moyennant le prix de 6100 francs (…). Les vendeurs déclarent que la propriété sur la tête des précédens possesseurs de l’immeuble présentement vendu est constatée par deux contrats de vente passés devant le juge de la cour épiscopale de la Ville de Strasbourg les 3 août 1543 & 8 février 1582 & par trois autres actes de vente passés en la Chambre des Contrats de la même ville les 18 mai 1676, 29 mai 1745 & 7 juillet 1777.
Charges & conditions (…) de se conformer aux convention arrêtées entre M Stammler père du comparart & le Sr Simon Müller cidevant propriétaire de l’immeuble possédé aujourd’hui par le Sr Seguin & par suile desquelles les frais des réparations de la fosse à engrais se trouvant sous la maison de derrière dudit Sr Seguin à cause de la maison de derrière dépendant de l’immeuble présentement vendu sont à supporter pour un tiers par le propriétaire de ce derner immeuble, lequel a droit par contre à un tiers du produit de la vente de l’engrais, le tout ainsi qu’il résulte d’un acte sous seing privé en date du 21 juin 1792 dont l’original ainsi que la traduction, enregistrée à Strasbourg le 12 février 1811 fol° 187. est joint aux présentes – Prix, 8100 francs
acp 319 (3 Q 30 034) f° 98
Gabriel Schrameck épouse Rosette Koch en 1820
1820 (8.8.), Strasbourg 2 (47), Me Weigel n° 594
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Gabriel Schrameck, matelassier à Strasbourg fils d’Abraham Schrameck, matelassier, et de feu Rachel Wahl
Rosette Koch âgée de 26 ans, fille de Samuel Koch, commerçant à Wolffisheim, et de Sare Koch
Enreg. 148 f° 157 du 10.8.
Gabriel Schrameck meurt en 1854 en délaissant pour seul héritier son fils Isaac.
1854 (8.5.), Strasbourg 9 (105), Not. Becker n° 6339
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Gabriel Schrameck et Rosette Koch
Etat de fortune – Ont comparu 1° Rosette Koch, demeurant à Strasbourg, veuve du Sr Gabriel Schrameck, en son vivant matelassier en lad. ville, agissant tant à cause de la communauté de biens qui a existé entre elle & son défunt mari, qu’en qualité de donataire en usufruit de la moitié de la succession de feu sondit mari en vertu d’une donation passée devant led. M Becker le 16 avril 1844 dûment enregistrée, 2° Et M. Isaac Schrameck, revendeur demeurant à Strasbourg, habile à se dire et porter seul & unique héritier de feu son père led. Sr Schrameck. Lesquels comparants voulant constater tant activement que passivement & d’une manière authentique l’état de la fortune de feu led. Sr Schrameck ont fait préalablement les observations suivantes.
Observations préliminaires. Mad. Schrameck & feu led. Sr Schrameck s’étaiet mariés à Strasbourg & les conditions civiles de leur union avaient été établies par leur contrat de mariage passé devant M° Weigel notaire à Strasbourg le 8 août 1820
acp 429 (3 Q 30 144) f° 78 du 8.5. (succession déclarée le 8 mai 1854)
Communauté. Meubles estimés 11.633, argent comptant 200, loyers 195
Une maison sise à Strasbourg rue des Chandelles N° 8 estimée à 8100
Une Maison sise à Strasbourg rue du Bain-aux-Plantes N° 20 estimée 8000
Passif 7865, reprises 400 francs
Rosette Koch meurt en 1864. Isaac Schrameck devient seul propriétaire de la maison
1864 (26.4.), M° Noetinger
Inventaire de la succession délaissée par Rosette Koch veuve Gabriel Schrameck, vivant marchand de meubles à Strasbourg, décédée le 31 octobre 1863, dressé à la requête d’Isaac Schrameck, revendeur à Strasbourg
acp 532 (3 Q 30 247) f° 34-v du 27.4. (succession déclarée le 27 avril 1864)
Il dépend de ladite succession, mobilier 250, fonds social 15.800
moitié d’une maison rue du Bain-aux-Plantes N° 38
moitié d’une maison rue des Chandelles N° 14
Le marchand de meubles Isaac Schrameck épouse en 1852 Dina Weill dite Odile Weill, d’Obernai
1852 (9.2.), Not. Becker (minutes en déficit), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 543 (2766) n° 23 du 27 février 1852
Mariage – Monsieur Isaac Schrameck, marchand de meubles, fils majeur du sieur Gabriel Schremeck aussi marchand de meubles, et de Dame Rosette Koch sa femme avec lesquels il demeure à Strasbourg
Mademoiselle Dina Weill dite Odile Weill, fille majeure du Sieur Jacques Weill propriétaire et de Dame Marie Weill sa femme tous demeurant à Obernai
acp 407 (3 Q 30 122) f° 32-v du 16.2. Becker
stipulation de régime de communauté de biens réduite aux acquêts réserve d’apports et héitages
Les apports du futur consistent en une valeur mobiliere de 1090 francs
Les apports de la future consistent 1) en une somme de 10.000, 2) un mobilier estimé à 1091
Donation par les conjoints Schrameck au futur époux leur fils acceptant d’une maison située à Strasbourg Grand rue N° 42, 500 de revenu en capital 10.000
Lors du partage dressé en 1900 (référence à l’acte ci-dessous), la maison revient à leur fille Léonie Rosalie qui épouse en 1876 Elie Weill, marchand à Epfig
1876 (28.8.), M° Holtzapffel
Ehevertrag – Elias Weil, Handelsmann zu Epfig großjähriger Sohn des Eigenthümers Cerf Weil wohnhaft alda & der verstorbenen Rosalie Bloch
Leonie Rosalie Schrameck, großjährige Tochter des dahier wohnhaften Möbelhädlers Isaac Schrameck & dessen Ehefrau Dina genannt Ottilia Weill
acp 655 (3 Q 30 370) f° 12-v n° 2757 du 30.8. – Annahme der auf die Errungenschaft beschränkten Gütergemeinschaft mit Vorbehalt der Kleider & Schmuck
Der Bräutigam bringt in Ehe 1). baares Geld 24.000 Mark, 2) Mobilien im Werthe von 1600, Summa 25.600.
Schenkung unter Lebenden als Erbvorschuss durch die Eltern der Braut zu Gunsten ihrer annehmenden Tochter 1. in baarem Geld 20.000 Mark, 2) Mobilien beschrieben & angeschlagen zu 1190, Summa 21.190
Le conseil municipal approuve le 9 mars 1903 l’achat de trois maisons contiguës à la charge de la caisse d’assainissement
1902, Dossier rue des Chandelles n° 12-14 (96 MW 93)
Acten betreffend Heiligenlichtergasse 12 & 14 – Sanierungsfonds
1903 (9 mars) – Extrait des séances du Conseil municipal. Ordre du jour. Acquisitions immobilières pour l’assainissement. Le rapporteur propose que la Ville acquière les maisons 12 et 14, rue des Chandelles d’Elie Weill de Barr, agissant au nom de sa femme Léonie Rosalie Schrameck moyennant 22.000 marks. Elles comptent parmi les plus mal entretenues de la ville aux dires de l’inspecteur de la Commission contre les logements insalubres. La Caisse de maladie a récemment porté plainte à cause de la mauvaise hygiène qui y règne. Le prix est très raisonnable puisque le Service d’architecture estime les immeubles sis sur une surface de 225 mètres carrés à 33.000 marks. Les loyers s’élèvent à 1600 marks.
La Ville pourra aussi acheter le n° 16 qui appartient au maître tailleur Pierre Geyer, demeurant sur place avec sa femme Cunégonde Oberlé. Le Service d’architecture estime la maison à 16.000 marks, les propriétaires en demandent 20.000 marks, ce qui ne paraît pas exagéré puisque le bâtiment est en bon état (181 marks le mètre carré). Le rapporteur demande au conseil d’approuver la dépense de 42.000 marks sur la caisse d’assainissement.
Le Conseil municipal approuve la proposition à l’unanimité.
Affaires locatives et baux conservés dans le même dossier
1902 – Le maire demande au propriétaire de faire des réparations
1903 – Courrier à la société d’assurances
1903 – Dispense de raccorder les maisons à démolir aux canalisations
1903 – Courrier à la dame Martin Knorr, locataire principale des n°s 12 et 14.
Liste des locataires et montant des loyers
1903 – Rapport de la Commission contre les logements insalubres. Les locataires de la maison arrière (n° 12-14) sont mis en demeure de quitter les logements insalubres
1903 (octobre) – Etat des baux. Dédommagement à verser à la dame Knorr pour résiliation de bail
1904 – Réparations à faire dans différents logements. Devis
Le maire écrit à la direction des contributions directes en lui faisant part des logements désaffectés qui ne produisent plus aucun revenu
Nouvelles résiliations de bail
1904 – Charles Seiter demeurant 92, rue de la Ziegelau, prend à bail un logement de deux pièces et cuisine au 14, rue des Chandelles – Requête sur le loyer
1904 – La veuve Thérèse Weber, demeurant 9, rue de l’Ail, prend à bail un logement de deux pièces et cuisine au 12, rue des Chandelles moyennant un loyer de 39 marks
1905 – Le sieur Christmann prend à bail un entrepôt au 12, rue des Chandelles moyennant un loyer de 10 marks
1905 – Le maire signifie son congé au charpentier Martin Knorr – Requêtes du locataire
1903-1904 – Rapport de la Commission contre les logements insalubres sur le logement au deuxième étage du n° 14 – Autre rapport sur des logements dans différentes maisons voisines
La Ville achète par acte administratif les maisons n° 12 et 14 d’Elie Weil et Léonie Rosalie Schrameck, demeurant à Barr
1903 (27.3.) Dossier rue des Chandelles n° 12-14 (96 MW 93)
27.3.1903. Kauf vor dem unterzeichneten Dr Schwander, Bürgermeister der Stadt Straßburg, daselbst wohnhaft, als Urkundsperson ist in dessen Amtszimmer zu Straßburg am 27. März 1903
Zwischen der Gemeinde Straßburg, vertreten durch den Beigeordneten Alexander Dominicus, wohnhaft zu Straßburg, handelnd auf Grund des im Auzsuge begehefteten Gemeindebeschlusses vom 9. März 1903, einerseits
und Herrn Eigentümer Elie Weil sowie dessen von ihm ermächtigten Ehefrau Leonie Rosalie geb. Schrameck, beisammen wonhaft in Barr, anderseits, nachstehender Kaufvertrag geschlossen worden.
Die Ehefrau Weil, von ihrem Ehemann miterschienenen Ehemann dazu ermächtiget, verkaufft hiemiit zu vollem Eigentum unter Gesamthaftung gegen Störungen, Hypotheken, Nießbrauch und sonstige Rechte an die dies annehmende Stadt Straßburg die nachbezeichneten Anwesen
Bezeichnung. 1) Das Anwesen zu Straßburgn Heiligenlichtergasse Nr 12. bestehend aus Vorder: Neben: und Hintergebäude, Hof, Rechten und Zubehör, begrenzt einerseits von dem nachstehend unter 2. genannten Anwesen Heiligenlichtergasse Nr 14 anderseits dem Anwesen Salomon, vorn besagte Gasse. Im Eigentumsbuch für die Stadt Straßburg steht das Anwesen auf Blatt 174 auf Weil Elie, Eigenthümer, Ehefrau Leonie Rosalie geb. Schrameck in Barr mit der Bezeichnung Nr 1 Flur N 913 Heiligenlichtergasse 12, Hof und Wohnhaus mit 55 qm Fläche.
2) Das Anwesen zu Straßburg Heiligenlichtergasse Nr 14, bestehend aus Wohnhaus mit Hintergebäude, kleinem Hof, Brunnen, Rechten und Zubehör, begrenzt einerseits von dem vorsthenden unter 1 genannten Anwesen Heiligenlichtergasse Nr 12 anderseit dem Anwesen Notter, vornen besagter Gasse. Im Eigentumsbuch für die Stadt Straßburg steht das Anwesen auf Blatt 174 auf Weil Elie, Eigenthümer, Ehefrau Leonie Rosalie geb. Schrameck in Barr mit der Bezeichnung Nr 2 Flur N 914 Heiligenlichtergasse 14, Hof und Wohnhaus mit 94 qm Fläche. Auf der beigefügten Skizze des städtischen Bauamts sind die beide Anwesen blau umrändet. Dieselbe sollen im jetzigen Zustand, Umfang und Begrenzung mit Ausschluss jeder Haftung für Beschaffenheit und Flächenmeß, jedoch einschließlich sämtlichen den Eheleuten Weil gehörigen Zubehör übergehen.
Eigentumsnachweis. Zufolge Teilung vertrags errichtet vor Notar G. F. Loew, hier, am 19. März 1900, betreffend Teilung der Gütergemeinschaft von des Nachlasses des verstorbenen H. Isaak Schrameck erhielt dessen Tochter Leonie Rosalie, mit Herrn Elie Weil verheuratet in Errungenschafts gemeinschafft zufolge Ehevertrag vom 28. August 1876 vor vorgenanntem Notar Loew die beiden Anwesen Heiligenlichtergasse 12 und 14 zu vollem Eigenthümlich zugeteilt auf deren Namen dieselbe unter den 20 April 1900 in den Eigentumsbuch der Stadt Straßburg eingetragen worden.
1° das Anwesen HeiligenlichtergasseNr 12 hatte Herr Isaak Schrameck von seinen Eltern geerbt, dem am 12. November 1853 dahier verlebten Herrn Gabriel Schrameck und der am 31. Oktober 1863 verstorbenenn Frau Rosette gebohrne Koch. Ehegatten Schrameck-Koch haben während ihrer Ehe von Herrn Henri Stammler, Gutsbesitzer und dessen Gattin Frau Luise Melanie Heisch in Straßburg gekauft, laut einer Urkunde vor Notar Zimmer daselbst am 15. Februar 1844 errichtet, überschrieben in hiesigem Hypothekaenamt den 20. Märtz darauf, Band 412 Nr 27 und zwar zum bezahlten Preis von 8000 M.
2) Das Anwesen Heiligenlichtergasse N° 14 hatte Herr Schrameck Vater währender der Ehe erworben von Herrn Claude Séguin, umherziehenden Zuckerbäcker in Straßburg wohnhaft gewesen in einer Versteigerung auf Übergebot am Civilgericht erster Instanz zu Straßburg den 2. Juli 1852. und infolge einer bei diesem Gericht den 5. desselben Monats übergebenen Verkaufs-Erklärung überschrieben am hiesigen Hypothekenamt den 3. September desselben Jahrs im Bande 553 Nr 39.
Bedingungen (…) – Kaufpreis 22.000 Mark