10, rue de l’Epine


Rue de l’Épine n° 10 – VII 318 (Blondel) – O 14 puis section 13 parcelle 40 (cadastre)

Nouvelle façade, 1768, maître d’ouvrage Joseph Müeg, baquetier, maître maçon Jean Lingenhœlin


Façade vue de l’impasse du Paon (septembre 2016) – Premier étage (juin 2024)

Le boulanger Georges Kracker vend en 1586 la maison au tonnelier Georges Binder au nom duquel elle figure dans le Livre des communaux (1587). L’encorbellement (22 pieds de long) doit s’étendre sur toute la façade. Propriétaire depuis 1599, le tailleur Jean Wagner accorde en 1616 à son voisin (à l’Echelle d’Or, actuel n° 8) le droit de faire reposer un escalier en bois au premier étage dans le pignon mitoyen. Ses fils Jean Barthelémy et Jean Nicolas Wagner se partagent la maison en 1636, l’un jouissant du rez-de-chaussée et l’autre du premier étage. La veuve du cordonnier Jean Bernard Pracht, propriétaire depuis 1664, lègue la jouissance viagère de la maison à son deuxième mari Jean Georges Werner. Le baquetier Joseph Müeg achète la maison en 1732. Il demande en 1768 l’alignement à suivre pour construire sa maison. Le maître maçon Jean Lingenhœlin expose la même année les travaux qu’il va faire pour Joseph Müeg. La fausse clé de l’arcade centrale porte le millésime 1768. La nouvelle façade comprend des chaînages, un cordon au-dessus des arcades du rez-de-chaussée, des bandeaux entre les étages. Les fenêtres des trois étages ont des linteaux moulurés et des appuis galbés. La maison revient à Jean Læmmermann et à Marie Madeleine Müg, nièce de Joseph Müeg.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 169 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve entre (l-m) : trois arcades dont une porte au rez-de-chaussée, trois étages à trois fenêtres chacun, toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour N représente l’arrière (4-1) de la façade sur rue, le bâtiment intermédiaire (3-4) et le bâtiment arrière (2-3), le mur (1-2) clôt la cour au nord.
La maison porte d’abord le n° 5 (1784-1857) puis le n° 10.


Cour N – Fausse clé millésimée (17-68, en bas) – Fausse clé moulurée de l’arcade

La maison appartient de 1835 à 1853 au bottier et cordonnier Jean Chrétien Haas puis au commis négociant Jules Massé (1853-1903). En 1912, l’architecte Auguste Müller transforme le bâtiment arrière de Charles Dillmann pour y aménager un dépôt de lait puis convertit deux fenêtres en devanture.


Bâtiment arrière, plan et élévation (1912) – Nouvelles devantures (1912, dossier de la Police du Bâtiment)

Façade, grande lucarne non réalislée (1994, dossier de la Police du Bâtiment) – Etages (juillet 2012)

avril 2025

Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment dossier I, dossier IIRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1582 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Georges Kracker, boulanger, et (1586) Agnès Duringer, d’abord (1583 ) femme du tailleur de pierres Léonard Schneider – luthériens
1586 v Georges Bender, tonnelier, et (1568) Salomé Haas – luthériens
1599 v Jean Wagner, tailleur, et (1595) Marguerite Müller – luthériens
1636 h (copropriétaires) Jean Barthelémy Wagner, vitrier, et (1630) Eve Humbis puis (1634) Marie Cléophée Sandrock – luthériens
Jean Nicolas Wagner, tailleur, et (1637) Esther Schalck – luthériens
1664 v Jean Bernard Pracht, cordonnier, et (1664) Susanne Bœhm – luthériens
1697 h Jean Georges Werner, cordonnier, et (1674) Susanne Dürr, (1679) Anne Marie Mehl puis (1697) Susanne Bœhm veuve de Jean Bernard Pracht – luthériens
(héritiers) André Bœhm, chaudronnier, et (1672) Salomé Schwartz – luthériens
Jean Jacques Bœhm, cordonnier, et (1678) Catherine Schrimpff – luthériens
1732 v Joseph Müeg, baquetier, et (1723) Marie Salomé Schwartz – luthériens
1780 h Jean Læmmermann, baquetier, et (1747) Marie Madeleine Müeg – luthériens
1795 h (copropriétaires) Abraham Læmmermann, soldat, et Isaac Læmmermann (ci-dessous)
h Isaac Læmmermann, baquetier, et (1806) Catherine Barbe Mertz
1835 v Jean Chrétien Haas, bottier et cordonnier, et (1829) Sophie Henriette Bær puis (1832) Madeleine Dorothée Heywang d’abord (1821) femme de Jean Gabriel Suck puis (1826) de Jean Henri Daniel, tailleurs
1853 v Jules Massé, commis négociant, Eugénie Massé et Fanny Massé, lingères
1862 h Jules Massé, commis négociant, et (1852) Catherine Andrès puis (1889) Anne Victoire Muntz
1903 v Albert Neubert, employé au théâtre, et (1914) Emma Madeleine Diroff
1910 v Charles Dillmann, marchand de lait, et Joséphine Weber
1942 Erwin Breustadt et son épouse
1950* v Jules Sorg, technicien de radio, et son épouse

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 475 livres en 1714, 750 livres en 1732, 300 livres en 1767

(1765, Liste Blondel) VII 318, Joseph Müeg
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Lemmermann, 3 toises, 2 pieds et 9 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 14, Haas, Chrétien, cordonnier – maison, sol – 0,97 are

Locations

1691, 1697, Pierre Fournier, marchand de tabac
1702, Simon Terrain, traiteur
1724, Joseph Müeg, tonnelier (futur propriétaire)
1727, Jean Daniel Borst, perruquier
1730, Jean Paul Zahle, cordonnier, et Marguerite Maurer
1828, Philippe Chrétien Taubert, tonnelier

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 224-v
Le tonnelier Georges Binder doit 18 sols pour sa maison, à savoir un encorbellement (22 pieds de long, saillie de 3 pieds 9 pouces), deux marches dallées (5 pieds de long, saillie de 3 pieds ½), une porte de cave à ciel ouvert avec un muret vertical (10 pieds de large, saillie de 4 pieds)

Anderseite Dornßgaßen wider Herauff
Georg Binder der Küeffer hatt oben an seinem hauß einen Vsstoß xxij schu lang, iij schu ix Zoll herauß, Mehr Zween besetzter Tritt v schu lang, iii+ schu herauß, Ein offene Kellerthüer mit auffrechten Meürlin, x schu breÿt, vnd iiij schu herauß, Bessert für das Niessen, xviij ß. x d.

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1712, Préposés au bâtiment (VII 1385)
Le cordonnier Jean Georges Werner est autorisé à remettre un pieu à l’endroit où il y en avait déjà un, devant sa maison face au Paon

(f° 86-v) Mittwochs den 28. Sept. 1812. – Joh: Georg Werner
Ingleichem wurde Hannß Georg Werners, dem Schuhmacher erlaubt, wieder einen pfahl vor seiner gegen der Pfawen über gelegenen behaußung und Zwar an denjenigen ort, wo vor diesem schon einer gestanden ist, setzes Zulaßen.

1737, Préposés au bâtiment (VII 1397)
Le marchand Jean Daniel Bressler se plaint du tonnelier Joseph Müeg qui pose des baquets à côté de sa maison en obstruant le passage et qui l’insulte quand il lui fait une remarque à ce propos. Les préposés ordonnent que Joseph Müeg enlève les baquets ou que la ville s’en charge

(f° 113-v) Montag den 18. Martÿ 1737. – Joseph Müeg
An Joseph Müegen des Küblers Hauß in der Dorns Gaß, wieder welchen H Johann Daniel Breßler der handelsmann sich beschwehrt, daß er seine Stibich neben deßen hauß stelle, und jhme dardurch die durchfuhr sperre, auch über das, so er jhm etwas darüber sagt, mit groben worten begegne. Erkannt, solle selbige schleünigst hienwegthun, oder durch der Statt fuhren Hinweggeführt werden.

1768, Préposés au bâtiment (VII 1413)
Le baquetier Müeg demande l’alignement à suivre pour construire sa maison. Les préposés ordonnent à l’inspecteur des bâtiments d’indiquer les limites et de rendre un rapport.

(f° 14-v) Dienstags den 12.ten Aprilis 1768 – N.N. Müeg
N.N. Müeg der Kübler in der dornengaß bittet um anweißung der flucht nach welcher er sein allda stehendes hauß bauen solle. Erkannt, Solle der H. Bau Inspector Ihme aus stecken und rapport darüber abstatten.

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

Le maître maçon Lingenhœlin expose le travail à faire pour le baquetier Joseph Müeg rue de l’Epine, à savoir une buanderie au rez-de-chaussée derrière l’atelier, à chacun des premier, deuxième et troisième étages un poêle donnant dans la rue et une cuisine à l’arrière, les tuyaux étant toujours à bonne distance des pièces en bois

( f° 161) Dienstags d. 19.ten Julÿ 1768. – Joseph Müeg, de Kübler, will in seiner ane der Dorlißgaß gelegenen behaußung unden auf dem Boden Hinder der werckstatt eine Bauch Kuch mit einem Bauch offen und Caminschoß machen laßen, das rohr am Steineren geben hinauf, auf dem Ersten, Zweÿten und dritten Stock, jedes mahl gegen der gaß eine Stub und hinten daran eine Kuch, mit Herdt und Caminschoß, die rohr am Steinernen Gebel Hinauff, alles Von allem holtz entfernt. Erkannt Willfahrt. – Mstr Lingenhölin.

Description de la maison

  • 1714 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment arrière, un passage latéral, une petite cour, une cave voûtée, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 950 florins
  • 1732 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment arrière, poêles, chambres, chambre à soldats, petite cuisine avec fourneau et évier, cave voûtée, bûcher, petite cour, estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1500 florins
  • 1767 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un atelier de baquetier, deux poêles, deux vestibules où se trouvent le fourneau et la hotte, deux chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec la cour, le puits, appartenances et dépendances à la somme de 600 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue de l’Epine

nouveau N° / ancien N° : 5 / 5
Laemmermann
Rez de chaussée et 3 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 7 case 2

Haas Chrétien, rue de l’épine N° 5 à Strasbourg
Massé Jules, Eugénie et Fanny rue de l’Epine 5 (subst. pr 1854)

O 14, Maison, sol, R. de l’épine 5
Contenance : 0,97
Revenu total : 108,50 (108 et 0,50)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 20 / 16
fenêtres du 3° et au-dessus : 7 / 6

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 376 case 1

Massé Jean Eugène et Fanny 1864
1864 Massé Jules, propriétaire
1902 Massé Julius, Handlungscommis und Ehefrau Katharina geb. Andres in Gütergemeinschaft

O 14, Maison, sol, Rue de l’épine 10, Dornengasse
Contenance : 0,97
Revenu total : 108,50 (108 et 0,50)
Folio de provenance : (7)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 20 / 16
fenêtres du 3° et au-dessus : 7 / 6

Cadastre allemand, registre 29 page 150 case 8

Parcelle, section 13, n° 40 – autrefois O 14
Canton : Dornengasse Haus N° 10
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,97
Revenu : 1100 – 1900 – 2100
Remarques : 1914 Umbau

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1942), compte 805
Masse Jules et son ép.
1905 Neubert Albert
1911 Dillmann Charles et son épouse
clos 1942

(Propriétaire à partir de l’exercice 1942), compte 6085
Breustadt Erwin et son épouse
1950 Sorg Jules, constructeur de radio et son épouse à la Montagne-Verte
(3905)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 243 Rue de l’Epine p. 395

5
Pr. Laemmermann, Jean, Tonnelier – Tonneliers
loc. Sieffermann, J. George – Tailleurs
loc. Stoess, Pierre – empl. au péage Roy. – Privilégié

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Dornengasse (Seite 26)

(Haus Nr.) 10
Plazierungs-Bur. d. Strassb. Kellner-Ver. (Schaaf). 0
Bossler, Installateur. 1
Muschel, Reisender. 1
Burg, Pfandvermittlerin. 2
Klein, Tagner. 2
Neubert, Plakatanschl. E 3
Neubert, Theaterdiener. E 3
Kilius, Schmied. 4

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 782 W 81)

10, rue de l’Epine (1889-1968)

En 1912, l’architecte A. Müller transforme le bâtiment arrière de C. Dillmann pour y aménager un dépôt de lait puis convertit des fenêtres en devanture.
Bureau de placement Anne Kraft (1899) puis Charles Schaaf (1904)

Sommaire
  • 1889 – Le maire notifie J. Masse, demeurant sur place, de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1889
  • 1895 – Le maire notifie le sieur Masse de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique (deux fenêtres au rez-de-chaussée, un soupirail, une porte de cave) et une trappe. – Rappel, 1897- Travaux terminés, mai 1899
  • 1899 – Anne Kraft (bureau de placement Kraft) qui a transféré ses locaux du 7, rue d’Austerlitz au 10, rue de l’Epine demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – La saillie de l’enseigne déjà posée est trop importante. Une lanterne municipale est fixée à la maison – L’enseigne est posée à plat et une nouvelle enseigne perpendiculaire est plus petite. – Autorisation – Dossier classé, décembre 1899
  • 1904 – Charles Schaaf (bureau de placement spécialisé dans l’hôtellerie et la restauration) demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Il demande de déroger au règlement, le maire refuse – Autorisation – L’enseigne réglementaire est posée, août 1904.
  • 1908 – Le service des incendies intervient pour un feu dans une chambre au troisième étage (propriétaire Neubert) – La Police du Bâtiment constate que l’ouverture de la cheminée n’est pas réglementaire – Travaux terminés, novembre
  • 1912 (janvier) – L’architecte A. Müller (15, rue du Dôme) demande l’autorisation de transformer le bâtiment arrière dans la propriété de C. Dillmann (demeurant 25, rue Sainte-Hélène) pour y aménager un dépôt de lait – Autorisation – Travaux terminés, juin 1912 – Dessin (plan, élévation, coupe), calcul statique
    1912 (mai) – Le même demande l’autorisation de transformer des fenêtres en devanture – Autorisation – Dessin (élévation du rez-de-chaussée, coupe) – Permis d’occuper les locaux, août
  • Commission contre les logements insalubres. 1906, les logements sont bien tenus, les cabinets d’aisance raccordés aux canalisations
    Commission des logements militaires, remarques en six points – Travaux terminés, mai 1916
  • 1946 – J. Sorg (Radio J. Sorg) demande que Georges Beck (enseignes, 38, rue de la Griesmatt au Neuhof) soit autorisé à poser une enseigne lumineuse – Le maire refuse d’accorder l’autorisation puisque l’immeuble se trouve dans un secteur protégé par la nouvelle législation sur les monuments historiques.
  • 1968 – Le sieur Sorg est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique
    1978 – Propriétaire, Jules Sorg, demeurant 9, rue Clovis à la Montagne-Verte

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 925 W 90)

10, rue de l’Epine (1994, modification d’aspect, refusé)

Emmanuel Jacquemin et Eve Sorg demandent l’autorisation d’aménager les combles (lucarne et verrière) dans la propriété d’Armand Sorg (demeurant 13, rue des Alouettes à Lingolsheim). L’architecte des Bâtiments de France Jacques Ernest émet un avis défavorable, il propose deux petites lucarnes côté rue et éventuellement une grande lucarne côté cour.

Sommaire
  • 1994 (avril) – Emmanuel Jacquemin et Eve Sorg demandent l’autorisation d’aménager les combles et d’ajouter une lucarne dans la propriété d’Armand Sorg (demeurant 13, rue des Alouettes à Lingolsheim). Les travaux consistent à remplacer les tuiles, à aménager une lucarne et une verrière. – Plan cadastral de situation, dessins
    L’architecte des Bâtiments de France Jacques Ernest émet un avis défavorable, il propose deux petites lucarnes côté rue et éventuellement une grande lucarne côté cour – Le maire n’autorise pas les travaux

Autres dossiers
10, rue de l’Epine (2003, châssis de toit) cote 1572 W 944
10, rue de l’Epine (2003-2004, ravalement) cote 1601 W 275


Relevé d’actes

La maison appartient en 1586 au boulanger Georges Kracker

Georges Kracker épouse en 1586 Agnès, veuve du tailleur de pierres Léonard Schneider
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 41 n° 130)
1586. Quasi modo geniti. Georg Kracker, der beck, vnd Agnes Leonhard Schneiders des steinmetzen nachgelaßne witwe, eingesegnet 18. Aprilis (i 45)

Léonard Schneider épouse en 1583 Agnès, fille de Loup Duringer, tailleur à Wissembourg
Mariage, cathédrale (luth. p. 75)
1583. Leonhard Schneider der Steinmetz, vnd Agnes Wolf Duringer des Schneiders Zu Weißenburg tochter. Eingesegnet Montags den 29.ten Aprilis. (i 40)

La maison est inscrite dans le Livre des communaux (1587) au nom du tonnelier Georges Binder.
Georges Kracker et Agnès, veuve de Léonard Schneider, et le fils de Leonhard Schneider vendent à Georges Binder et à sa femme Salomé la maison comprenant un bâtiment avant et un bâtiment arrière.

1586 (8. Decembris), Cour épiscopale, vol. 240 (Registranda Kügler) f° 254
Erschienen Jörg Kracker der Brottbeck burg. Zu Straßburg v. Agnes sein hußfr. Wÿland lienhardt Schneÿders des Steinmetz. selig. witwe für sich, So dann Jacob heÿn der Schnÿder burg. Zu S. alls geschworner vogt lienhardt bemelt. Ehegemechd lienhard schnyders vnd Agnesen Sun vogtlich wÿß von weg. desselb. verkaufft unverscheidenlich
dem Erbaren Jorg Bünder Khuffer burger Z. S. vnd Salome sein hußfr. H Jost hassen do[chter] so gegenwärtig vestiglich Khauffe
Zweÿ heußer ein vorders v. hinders mit Iren hoffestett. v hofflin darzwüsch. auf all and. Ihren gebey & geleg. In der SS In dorngaß, einsyt H Johann Peter Bittelbrun and.syt Conrad Morand. des Malers selig. witwe v Erben stossent hind. vff Ulrich meerfelder, dauon gohnd Ein Pfund Ein schilling vff Johannis Baptistæ loßig mit 50 guld. SW d. herrn vicarien hoherstifft S. So dan 10 pfund pfenning glt losig mit 200 pfund pfenning herrn Michel Ziegell All Jar vff den heÿlig. wyhenacht. tag. Alle Jar sunst eÿg. & all Rht & der Khauff bescheh. vmb 135 Pfund pfenning

Originaire de Blaubeuren, Georges Bender épouse en 1568 Salomé, fille de Josse Haas.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 107)
1568. Dnica Trin: XVIII. Jörg Bender von Blawbeüren Jungfraw Salome Jost hahßen dochter. Sind eingesegnet vff Zinstag den 26. Octob. hora nona. Außgang vff dem weinmarck in meister Jost Haßen des Kieffers behausung (i 57)

Le tonnelier Georges Bender, originaire de Blaubeuren, devient bourgeois par sa femme Salomé, fille de Josse Haas, une semaine après son mariage.
1568, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) f° 314
Georg Bender von blawbeüren der küeff. hatt das burgkrecht Empfang. von Jungfraw Salome häsin h. Jost hasen docht. seiner Ehfraw. und dient Zu den Kieffern, Eod. die [4.t Nouemb.]

Le curateur de Salomé Haas, veuve de Georges Bender, et le tuteur des enfants Bender vendent la maison au tailleur Jean Wagner

1599 (14. Julÿ), Chancellerie, vol. 321 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 61-v
Hannß Wagner des Schneids Kauffbrieff vber ein behaußung In Dornsgaßen
Erschienen Daniel Haaß der Küeffer Als geordneter vnd geschworner vogt Salome Häsin weiland Georg Benders des Küeffers selig hinderlaßener Wittiben Christoph Bub der Küeffer als geschworner vogt ermeltes Georg Benders vnd Salome Häßin ehelich erzeugten Kinder mit beÿstandt Georg Hasen des dreÿers vff dem Pfenningthurn
vnd haben in gegensein hanß Wagners des schneiders mit beÿstand Mathis Stettners des Stein schneiders (verkaufft)
Zweÿ heuser ein vorders vnd hinders mit Ihren hoffstetten vnd höfflin darzwischen, Auch allen andern gebeuwen weiten rechten vnd Zugehörden gelegen alhie In der Statt Straßburg in dorngaßen einseit neben Johann Peter Bittelbron dem Procuratori des großen Rhats anderseit neben Christoph von Sichen dem handelsmann hinden vff dieboldt Braunen stoßend, dauon goteth* Zwen gulden gelts vff Johannis. Bapt: Jhärlichs mit 50 guld. Straßb: wherung abzulösen den Hrn vicarien hoher Stifft Straßburg, vnd dan Zehen pfund pfenning gelts vff den heilig. weihenachttag fallend mit 200 pfund pfenning widerkeüffig Michael Ziegel Schaffnern Zu St. Stephan, Item Jörg Krackhern dem haußbecken 3. lib. 15 ß Jährlichs vff weihenachten mit 75 lib d abzulösen, sonst ledig vnd eigen, vnd Ist dißer Kauff über obgemelte beschwerden Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 100 pfund pfenning
[in margine :] Auff Montag den 2. Februarÿ Anno & 1623 Ist in der Cancelleÿ erschienen Meyster Hanß Wagner der Schneyd. vnd Burger alhie vnd hatten quittung von herrn Theobald Fünters als ehevogt weÿland H Michael Ziegels seligen Tocht. (…) empfangen
Kauffverschreybung Hans Wagners uber sein behausung in Dorngassen, Georg Bänder der Kieffer wittwe und erben, Salome Hasin die wittwe. 129. (vol. 424, Gemein Contract Buch 1599)

Originaire d’Augsbourg, le tailleur Jean Wagner épouse en 1595 Marguerite, fille de Nicolas Müller, vigneron à Marbach en Wurtemberg.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 38 n° 97)
1595. Dominica 4. post pasch: 18. Maÿ. Hannß Wagner von Augspurg d. schneÿd. vndt Margreta, Clauß Müller des Rebmans Zu Marbach Im Würtenberg. landt tochter. Eingesegnet Zinstag den 27. Maÿ. (i 40)

Le tailleur Jean Wagner, originaire d’Augsbourg, achète le droit de bourgeoisie en juin 1595.
1595, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 593
Hans Wagner v. Augspurgk der Schneider Khoufft mit beÿstandt Marthenn Wincklers daß burgerrecht vndt will Zun Schneidern dienen Actum den 23. Junÿ 95.

Jacques Müg, propriétaire de la maison voisine dite à l’Echelle d’Or (actuel n° 8) s’accorde avec son voisin Jean Wagner qui lui accorde le droit de faire reposer un escalier en bois au premier étage dans le pignon mitoyen au-delà de la moitié dont il est propriétaire. Les parties conviennent aussi des conditions que Jean Wagner ou ses successeurs devront respecter s’ils rehaussent leur maison.

1616 (ut spâ [17. Aprilis]), Chancellerie, vol. 423 (Registranda Kügler) f° 86-v
(Inchoat. fo: 83) Erschienen herr Jacob Müg burger Zu Straßburg ane eim
So dann hanns Wagner Schnyder am andern theÿl,
haben beÿde partheÿen gegen einander bekhant Vnd offentlichen verÿehen demnach sie nachburen zweÿ heüsser nebent einander Inn der S S Inn dornßgaß & gelegen dieweyl dann sie beyde Ein gemeynen Steÿnin gebell vnd er Herr Jacob Müg Vor der Zeyt Inn seiner Behußung Zum guldin leÿter genant ein hültzin Schnecken Eines stocks hohe Vffbuwen laßen Aber Ime solchen gemeÿnen gebell Zu wÿth ynbrechen vnd vber den halben scheyt kommen, dadurch hanns Wagner sich deßen beschwerdt, damit sie dann inn guter frydlicher nachburschafft verplÿben, Deren halben beÿde parteÿen durch vnderhandlung des Ehrenhafften hanns Schuemacher Werckmeÿster vff dem Murhoff vnnd Niclaus München Werckmeÿster vff dem Zimmerhoff Steh deß halben nachburlich vnd freündtlich verglichen Inn diß Wÿß,
Nemblich das der hültzin Schnecken wie herr Jacob Müg denselben Inn seiner Behüßung ane obmelten gemeÿnen Gebel vßbuwen laßen fürbaß dabeÿ verplyben,
Dagegen aber weÿl oberhalben dem gemeÿnen Gebell herr Jacob Mug ein besondern eygen Gebell hatt, Wann dann hanns wagner seine erben und nachkommen Inn Khunfftigem Ir Behußung höher füren wolten, Alls dann sie fug vnd macht haben sollen ane der Mitten des Gebels ein pfÿler Stocks hohe ÿnschrotten Zu laßen vnnd den buw vff den pfiler Zu legen auch (kein) wythere gerechtigkeit Inn sein herr Jacob Mügen eygenen gebell Zusuchen noch zuholen, Sonders hiemit beÿde parthyen Inn * versproch. freündelich vor*lich verglychen

Jean Wagner meurt en délaissant quatre fils. L’actif de la succession s’élève à 953 livres, le passif à 190 livres. La maison revient pour moitié à Jean Barthelémy Wagner et à Jean Nicolas Wagner. Le poêle du rez-de-chaussée revient à Jean Nicolas, celui du premier étage à Jean Barthelémy.

1636 (17.5.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 4)
Inventarium vndt beschreibung aller Haab vnd nahrung, so weÿl. die Ehren: vndt tugendsame fraw Margaretha Müllerin, auch weÿl. deß Ehrenhafften Mr Hannß Wagners, Schneiders vndt burgers alhie Zue Straßburg hinderlaßene wittib nunmehr beede seel. nach ihrem auß dießer weldt tödtlichen hinscheiden hinder Ihre v.laßen, welche vff freündliches ansuchen erfordern vndt begehren deß Ehrenwürdig. vndt wohlgelehrten H M. Johann Georg Wagners, Pfarrers Zu Reschwog, Mehr deß Ehrenhafften Mr Hannß Mathÿs wagners, Schneiders vnd burgers alhie Zue Straßburg, Ferners deß Ehrengeacht. H Hannß Barthel Wagners, Glaßkremers, burgers alhie, vnndt dann deß Ehrenhafften Mr Simon Kellers, auch Schneiders burgers alhie Zu Straßburg, als Hannß Niclaus Wagners deß Jüngsten Sohns, so noch ledigen standt, geschwornen vogt, alle vier der abgestorbenen fren seel. Söhn vndt ab intestato hinderlaßener nechster Erben – So beschehen In beÿsein deß Ehrenhafften Mr Niclaus Schwartz * Schneids. burgers Zu Straßburg, d. frn seel. geweßenen vnd noch ohnentledigten vogts, vff dinstag den 17.ten Maÿ A° 1636.

Inn hernachgeschribener in dieße Erbschafft gehörig. behaußung befunden worden wie volgt. Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, In der Cammer C, Cammer D, Inn der Cam. E, In d. Obern stuben, Vor derß. stuben, vnd. im Gewölbe, Inn d. Kuchen, Inn d. Stub Cammer, Inn d. vnder stuben, Im hauß öhren, Im Keller
Eigenthum vnndt beßerung ahne heußern. Item 2 heuß. j vorders vndt j. hinders mit ihren hoffstatten vnndt hofflein darzwischen auch allen andern iren gebeuwen begriffen weit. Zugehörd. vnndt gerechtigkeit. gelegen in d. Statt Straßb. in d. dorngaßen einseith neben. Jacob Eckel dem Kiefer anderseith neben Caspar Emmerich dem handelsmann, hind. vff Sh. Peter Bexen, den handelsman alhie stoßend, dauon gehen Jährlich 2 fl. gelts Straßb. wehr. vff Joh: Bptæ Zu Singichten in den Gurtlerhoff alhie, stont in hauptgut mit 50. fl. bemelt. wehr. abzulößen, mehr 5 lb d gelts Herrn Joachim Brackenhoffern 15.er alhier Jahrs vff Michaelis von 100 lb. d Capt. sonsten vld. dieße besch. freÿ ledig v eigen hieher pro 350 lb. d
Laut j. teutschen Perg. Kauffbrieff mit weil. h. Jacob Kugl: Notÿ Cont.um seel. anhangend. Not. Insigel Sub dato 8. Xbr a° 1586. mit altem N° 6 et New. N. 9 sig. Ferners s. dabeÿ v.hand, j Perg. teutscher abgelöster Zinßb. mit besagts Notÿ Insigel Sub dato 8. Xbr 1586. sig. mit Altem N° 33 et New. N. 9 gleich dem vorig. sig.
Sa. haußraths 88, Sa. Werckzeugs Zum handwerckh gehörig 10 ß, Sa. Silbergeschirrs 20, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 468, Sa. Eigenthums vndt Beßerung ahne häußern 350, Sa. schuldt 25, Summa summarum 953 lb – Schulden 190 lb, Nach deren Abzug 763 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1047. lb
Behaußung. Die Behaußung Ist Hannß Bartheln vndt Hannß Niclaußen vberlaß. worden vmb 600. lib. s. (…) Beÿ Vbergebung d. Behaußung Ist v.glich. wann Solche von den beed. brüd. so solche ietzmahlen annehmen, entwed. gar od. einß. theil wid. v.kaufft werd. soltte, als dann der vberig. beede brüeder od. Ire erb. den vorkauff in ietzigem preiß, wofern Kein haupt bauw darinn geführt würdt haben solle (…)
Hannß Barthel soll volgende gemach Inhaben, die vord. oberstub vndt Stub Cammer, die Kammer vber dieß stub vnd Kamer d. ober bühn vnd. dem dach
Hannß Niclauß soll Innen hab. die vnd. stub Stub Cammern vndt Kuch, d. holtzhauß die 2. Cammern in einand. im hind. hauß v deß Knechts Kammer
die vberige hind. gemach, wie auch die lang Cammer im vord. hauß, d. hoff v. d. gewolb wie auch die heimlichkeit sollen gemein sein
d. Keller soll vndschlag. vnd Jed. d. halb. theil daran haben.
Weil H Ludwig Krug Wittwen diener von Baßel bißhero in den Messen alle Zeit die Oberstub Innen gehabt, vndt ettwan 8. tag alhie v.pleibt, soll Hannß Barthel vnd deß beÿ hannß Niclauß. in seiner stub. auß vnd eingeh. vndt in den Meßen Zu deßelben ankunfft auß seiner Stuben weichen

Le vitrier Jean Barthelémy Wagner épouse en 1630 Eve, fille du vitrier Chrétien Humbis (Humpès)

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 90)
1630. Dominica 14. Trinit. den 29 Aug. Hans Barthel wagner d. Schneid. hans wagner des Schneiders vnd burgers alhie Sohn, vnd J. Eua Christian Humpes des glaßkremers vnd burgers alhie hinderlaßne dochter. Eingesegnet den 6. 7.br (i 96)

Jean Barthelémy Wagner se remarie en 1634 avec Marie Cléophée, fille de Jean Sandrock, employé des Quinze : contrat de mariage, célébration
1634 (7.4.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 44)
Eheberedung – zwischen dem Ehrenhafften Johann Bartholome Wagnern Glaß Händler, burgern alhie Zue Straßburg ane einem
vnd der Ehren: vndt tugendtsammen Jungfrauen Mariæ Cleopheen Sandrockin, weÿland deß Ehrenhafften H Hannß Sandrocks, geweßenen Fünffzehen Knechts burgers alhie seeligen hinderlaßener dochter, am Andern Theil
So beschehen vndt verhandelt in deß heÿligen Reichs freÿen Statt Straßburg auff Montag den Siebenden tag deß monaths Aprilis Im Jahr deß Herren, Alß mann Zahlte, 1634.

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 158)
1634. Johann Bartholome Wagner d. Glas krämer, Hans Wagners des Schneid.s v. burg.s Alhie Nachgelassener Sohn v. Jgfr. Maria Cleophe, Hans Sandrocks gewesenen 15 Knechts alhie Nachgelaßene dochter. Eingesegnet Zu St. Thomas, Montags d. 21. Aprilis (i 164)

Marie Cléophée Sandrock, assistée de sa mère Véronique Kraussler, fait dresser l’inventaire de ses apports, soit 99 livres.
1634 (7.6.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 2) n° 30
Inventarium vber Der Ehrn: undt Tugendsamen Frauwen Mariæ Cleopheen Sandrockin, weÿlandt deß Ehrenhafften Herrn Hannß Sandrocks, gewesenen Fünffzehen Knechts, burgers alhie Zu Straßburg, seeligen hinderlaßener dochter haab vndt Nahrung, so Sie dem Ehrenhafften H Hannß Barthel Wagnern, Glaß Kremers burgern alhie Zu Straßburg Ihrem haußwürth in die Ehe Zugebracht – (…) welche durch die auch ehren vndt tugendsame fraw Veronicam Kraußlerin, obehrnermeldts Herrn hannß Sandrocks seel. hinderlaßene wittib, ihr liebe fr. Mutter geeügt vnd gezeigt – Beschehen vff Sambstag den 7.ten Junÿ A° 1634.
Sa. haußraths 70, Sa. Silbers Geschmeidts 19, Sa. der Guldenen Ring 9, Summa summarum 99 lib

Le tailleur Jean Nicolas Wagner épouse en 1637 Esther, fille du sénateur Mathias Schalck.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 199 n° 43)
1637. Domin: 1. Adventus 3. X.bris 1. vice vnd Dom: 2. Adv. 10 Eiusdem 2. vice. Hans Niclauß Wagner der Schneid., Hans Wagner des Schneiders vnd Burgers alhie hinderlaßener Sohn und Jfr. Esther, H. Matthis Schalcken, Alten Großen Raths verwandten alhie hinderlaßene Tochter. Mont. d. 11. Decembris Zu S. Claus (i 212)
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 211-v) 1637. Eâdem [Domin: 1. Adventus 3. 10.br] Hannß Niclauß Wagner, Schneider, Hannß Wagners Schneiders vndt burgers alhie nachgelaßener Sohn, Jungfr. Esther, weÿl. h. Matthæi Schalcken, Alten Großen Raths verwandten hinderlaßene tochter. Eingesegnet Montag 11. 10.bris. St Niclauß (i 218)

Barthelémy Wagner hypothèque sa moitié de maison au profit de Jean Michel Heus, assesseur des Treize

1640 (16. Septemb:), Chambre des Contrats, vol. 485 n° 482
Erschienen Hanß Barthel Wagner der Glaßkhremer vnd burger alhie bekannte
in gegensein des Ehrenuesten, Fürsichtig vnd wolweißen Herrn hannß Michael Heüßen XIII.ers – schuldig seÿe 62.Lib.
dafür in specie Vnderpfand sein soll der halbe theil ihme für unvertheilt gebührend ahne hauß höfflin vnd hoffstatt sampt allen deren gebäwen geleg. alhie in der dorlißgaßen neben der Guldenen Leiter && hannß Meÿgern hinden vff Peter Bexen stoßend, dauon gehet Jährlich 2. fl. bodenzinß dem Gürtlerhoff alhie, Item 10. fl. gelts hannß Pforten dem Barbierer lößig mit 200. fl. sonst ledig eÿg. Wie. Vnd gehört der Überig Halbe theil Niclaus wagnern seinem brudern

Appolonie Wicker, veuve du pasteur Jean Georges Wagner, frère des propriétaires, fait dresser l’inventaire des biens de son mari dans la maison. L’acte contient une copie du contrat de mariage passé en 1623 alors que le défunt était pasteur à Birkenhördt près de Landau

1640 (11.5.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 9) n° 13
Inventarium vndt beschreibung aller Haab vndt nahrung, so weÿlandt der Ehrwürdig vndt wohlgelehrt Herr M. Johann Georg Wagner, Pfarrherr Zu Seßenheim [surcharge Roschwoog] burger Zue Straßburg nunmehr seeliger, nach seinem aus dießer weltt tödtlichem hinscheiden hinder ihme verlaßen, welche die Ehren: vndt tugendsame fraw Appolonia Wieckherin sein hinderlaßene wittib, mit rath, hülff vndt beÿstandt deß Ehrnwürdig vndt Wohlgelehrten herrn M. Johann Georg Leoparths, Helffers Im Münster, burgers alhie, Ihres erbettenen vndt geschwohrnen vogts, vf freundliches ansuchen erfordern vndt begehren, deß Ehrenvesten vnd wohlachtbahren herrn Pauli Lewbrandts, Sollicitatoris, burgers alhie Zue Straßburg, amß Mariæ Ursulæ, Annæ Margarethæ, Annæ Dorotheæ, Susannæ Catharinæ vndt Johann Philipßen, aller 5. deß ietz abgeleibten herrn seel. mit obernandter seiner hind.laßenen wittwen ehelich erziehlter Kinder, vndt ab intestato nechster Erben geschwornen Vogts – So Beschehen vff Montag den 11. Maÿ A° 1640.

Eheberedungs Copeÿ – zwischen dem Ehrwürdig vnd wohlgelehrt. H. M. Johanni Georgio wagnern, der Zeit Pfarrerrn Zu Bürckenhördt beÿ Bergzabern geleg. Mr Hanß wagners desß Schneiders burgers Zue Straßb. ehelichen sohn, als dem Breutigam an einem, So dann der Züchtig Jfr. Appolonien wickerin, weÿl. Balthaßar wickers von Niderschopff. beÿ Offenburg geleg. hinderlaßenen dochter als der hochzeiterin andern theils (…) Bescheh. vnd verhandelt in der Löbl. freÿ. Reichs statt Straßb. Sonntag den 9. Martÿ Im Jahr deß H. Als man Zahlte 1623. Valentin Pühler, Nots.
Inn einer alhie in d. Statt Straßburg in d. dornsgaßen gelegenen behaußung, so hanß Barthel vndt hannß Niclauß Wagnern, beeden brüdern burgern alhie eigenthümlichen zuständig, Ist befund. worden wie volgt
Inn d. Cammer A, vor dießer Cammer
In Peter Weÿlern deß Schreiners burgers alhie Zu Straßburg auch in der dornßgaß. geleg. ist befund. word.
Ergäntzung der Wittwen unveränderten Guths, Auß der vber d. Wittwen in die Ehe Zugebrachter nahrung auffgerichteter Designation
Der Wittwen unverändert Gutt, Sa. haußraths 8, Sa. Guldener Ring 2, Sa. Ergäntzung 10, Summa summarum 21 lb
Der Erben unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 21, Sa. Silbers 2, Sa. Guldenen Rings 18 ß, Sa. Bibliothec 2 Sa. Pfenningzinß hauptgutts 100, Sa. Schuld. 44, Sa. d. Ergäntzung 27, Summa summarum 198 lb
Die Theilbare Verlaßenschafft betreffend, Sa. haußraths 9, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 50, Sa. heußlins 10, Sa. Schuld 244, Summa summarum 313 lb – Schulden 97 lb, Nach deren Abzug 206 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 436 lb

Jean Barthelémy Wagner sollicite en vain un poste de messager auprès du Magistrat
1645, Conseillers et XXI (1 R 128)
(f° 24) . Hanß Barthol Wagner vm d. Einspänniger dienst
Hanß Barthol Wagner vberreicht per Egem vnder. Supplication bitt vm d. Vacirend. Einspänniger Dienst. Erk. Soll Ihme sein begehren ablehnen.

Jean Barthelémy Wagner demande qu’on lui remettre le legs du docteur Wogeser pour pouvoir entretenir ses huit enfants.
1650, Protocole des Quinze (2 R 69)
(f° 194-v) Sambstag den 14. 7.bris – Hanß Barthol Wagner per M. E. dt. Supplicat: bitt ihme gegen 60 ß d. th. Zinß die Ihme Dr Wogeßer cedirt wonicht vf einmahl doch nach vnd nach Zu erhaltung seiner 8. Kind. g. abstatten Zu laß. Erk. für Obere Bawherren gewieß. die haben 15. lb. v.willigt. Hat Schein empfang.

Jean Barthelémy Wagner hypothèque la maison au profit d’Appolonie, veuve du pasteur Jean Georges Wagner

1651 (13. martÿ), Chambre des Contrats, vol. 510 f° 229-v
Erschienen hannß Barthol Wagner der Glaß krämer
hatt in gegensein Fr. Apoloniæ weÿl. H. M. Joh: Georg Wagners geweßenen Pfarrers zu Gÿsenheim und Röschwog, nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin, mit beÿstand H Johann Conrad Rauch. Sibner Gerichts Procuratoris ihres Curatoris und Johann Steinen deß Schneiders sein H. M. Wagners mit ihro Fr. Apolonia ehelich erziehlter Kind. Vogts – schuldig seÿe 50. lib. von vätterlich. Erbschafft
in spê. der Vätterlich. alhie in dornßgaß. neben der guldenen lilien gelegener und von ihme hannß Barthol sampt nachgemeldtem hannß Niclaus umb 600. lib. angenohmener Behaußung herrührend. Capital Rests (…)
hiebeÿ Zeigte sie dero wagnerisch. wittib und d. Kind. Vogt an, daß sie ahne sein hannß Bartholß Brudern hannß Niclauß wagnern den Schneidern nichts mehr zu fordern sondern derselbe sampt seinem halben theil mehrberührter Behaußung von ihnen ohnansprüchig seÿe

Jean Barthelémy Wagner hypothèque la maison au profit du diacre Jean Schmid

1659 (17. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 524 f° 365-v
Erschienen Hannß Barthol Wagner der Glaß Krämer alhie
in gegensein H. M. Johann Schmiden Diaconi der Pfarr Kirchen zum Alten St: Peter – schuldig seÿen 25. Pfund
Unterpfand sein sollen Zweÿ häüßer, ein Vorders Und hinders mit dero hoffstätten, höfflin, Vnd allen übrig. Gebäwen & alhie in der Dornsgaßen einseit neben der herberg Zur guldinen Lilien anderseit neben H. Hannß Adolff Kirchhoffern dem handelßmann, hinden vff H Peter Bexen den handelßmann stoßend geleg. davon gehendt Jahrs 2. fl. 2 ß dem Gürtler hoff, Mehr seÿen solchen häußer (…) verhafftet

Jean Barthelémy Wagner hypothèque sa moitié de maison au profit de Jean Daniel Wurtz

1660 (ult. Decembris), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 1029
Erschienen Hannß Barthol Wagner der Glaßkrämer
in gegensein H Johann Daniel Wurtzen – schuldig seÿen 15. lb
Unterpfand sein soll die helffte ahne einer behaußung und allen dero Gebäwen alhie in der ([biffé] Dorliß [corrigé en]) Dorns Gaßen einseit neben der Herberg Zur Guldinen Lilien, anderseit neben Fr Ursulæ Kirchhofferin geleg. welche Gantze behaußung zuvor umb 50. lb Fr Johannæ Reichardischer Wittibin, so dan umb 50. lb Michael Zenntgraffen dem Golt Arbeitern Verhafftet

Le tuteur d’Esther, veuve de Jean Nicolas Wagner, et Wendelin Haes, au nom de sa femme Susanne Ursule Wagner, seule héritière du défunt, vendent la moitié de la maison au cordonnier Jean Bernard Pracht. En marge, quittance par les frères et sœurs, héritiers de Jean Bernard Pracht, en 1675.

1664 (8. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 529 f° 619-v
(Prot. fol. 60.) Erschienen Hannß Jacob Haubenstrickher der Würth Zum Ochßen alß Curator Esther, weÿl. Hannß Niclaus wagners deß Schneiders nunmehr seel. nachgelaßener Wittib /:welche im mehrern hospital verpfründt und ohnrichtigen haubts seÿe:/ mit beÿstand Wendling Häßen deß Schiffmanns alß Ehevogts Susannæ Ursulæ Wagnerin ihr Ester eheleiblich. dochter und einig. Kindts /:so anietzo in die Kindbett begriffen seÿe:/
in gegensein hannß Bernhard Prachten deß Schuhmachers, mit beÿstand hannß Prachten deß Schuhmachers seines eheleiblich. Vatters
die helffte Ihro Ester für ohnvertheilt gebührend ahne hauß, höfflin, hoffstatt, hinderhäußlin und allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie in der dornßgaßen, einseit neben der herberg Zur guldinen lilien, anderseit neben weÿl. H Hannß Adolph Kirchhoffers deß Handelßmanns seel. wittib hind. vff H Peter Bexen den handelßmann stoßend gelegen. ahne welch. behaußung die übrige helffte hannß Barthel wagners, obgemelts hannß Niclaußen eheleiblich. bruders Creditoren gehörig, Zumahlen die gantze Behaußung umb 50. fl. straßb. wehr. dem Gürtlerhoff, dießer Verkauffte halbe theil aber absonderlich umb 50 lib Margarethæ Pfortin und umb 33 lib weÿl. H Gabriel Waldeckhß deß Goltarbeiters seel. Wittibin verhafftet (übernohmen) – umb 104 Pfund
[in margine :] Erschienen Hannß Jacob Pracht der Schuemacher, Hannß Martin Pracht der Schuhmacher, Anna Maria Prachtin Samuel Hellbeckhß deß Kürschners eheleibliche haußfrau mit beÿstand erstgedachts ihres Ehevogts, Jacob Küffel der Schwartzbeckh alß Ehevogt Mariæ Salome Prachtin, Maria Magdalena, Friderich Geringß des Schuhmachers Eheweib mit beÿstand erstgedachts ihres Ehevogts und dann Hannß Georg Öhrle der Schuhmacher alß Vogt Andreæ und Mariæ Ursulæ der Prachtische Geschwisterd, haben in gegensein hannß Bernhard Prachten deß Käuffers bekannt, daß Sie die Prachtische Geschwisterd. Von Ihme dem brudern umb obige 70. lb, so dero Vatter ahne sich erhandelt, in Vertheilung Vätterlicher Verlassenschafft befriedigt worden seÿen (…), Act. 9. febr: 1675

Marie Cléophée femme de Jean Barthelémy Wagner, vend l’autre moitié de la maison à Jean Bernard Pracht.

1664 (8. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 529 f° 621
(Prot. fol. 60.) Erschienen Maria Cleophe, Hannß Barthol Wagners /:so præsens war:/ Eheweib, mit assistentz Samuel Frewdenbergs ihres Curatoris, wie auch der Ehrenvest- weÿßen H Marx Philippß Haanen und H. Ludwig Schlehenackhers beeder alß aus E.E. Kleinen rhats mittel hierzu insonderheit Deputirte
in gegensein hannß Bernhard Prachten deß Schuhmachers, mit beÿstand hannß Prachten deß Schuhmachers seines eheleiblich. Vatters, bekannt, daß Sie Maria Cleophe mit [beÿstand] ihres Ehe: und Vogts, füenemblich der vff nach beschriebener behaußung haußhelffte collocirte ältern hÿpothecarien und der herren Rhats Deputirten Gutachten
die helffte obernanntem Hannß Barthol Wagnern gebührend ahne hauß, höfflin, hoffstatt, hinderhäußlin mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten, alhie in der dornßgaßen einseit neben der herberg Zur guldinen Lilien, anderseit neben weÿl. H Hannß Adolff Kirchhoffers deß Handelßmanns seel. Wittibin, hind. vff H Peter Bexen den handelßmann stoßend gelegen. Ahne welch. behaußung die übrige helffte dem Käuffern, in Krafft auch heut dato in der Cancelleÿ Contractstuben vffgerichtete Kauffverschreibung gehörig, Zumahlen die gantze Behaußung umb 50. fl. straßb. wehr. dem Gürtlerhoff verhafftet (übernohmen) – umb 180 Pfund
[in margine :] Erschienen Hannß Jacob Pracht und Hannß Martin Pracht beede Schuhmacher, Anna Maria Prachtin, Samuel Hellbeckhß deß Kürschners eheweib mit beÿstand erstgedachts ihres Ehevogts, Jacob Küffel der Schwartzbeckh alß Ehevogt Mariæ Salomeen Prachtin, Maria Magdalena, Friderich Geringß des Schuhmachers Eheweib mit assistentz erstgemelts ihres Ehevogts und dann Hannß Georg Öhrle der Schuhmacher alß Vogt Andres und Mariæ Ursulæ der Pracht., alle alß obg. H hannß Bracht. deß Cessionarÿ nunmehr seel. nachgelaßene Kinder und Erben, haben in gegensein hannß Bernhard Prachten deß Käuffers bekannt (quittung), Act. 9. febr: 1675

Fils du cordonnier Jean Pracht, Jean Bernard Pracht épouse en 1664 Susanne, fille de l’aubergiste André Bœhm
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 271-v n° 17) 1664. Domin: 22. et 23 seind vor ersten und andern mahl ausgeruff. word. Hanß Bernhardt pracht der Burg. vnd Schuhmacher alhie Johannis prachten deß Burg.s und Schuhmachers alhie ehelicher Sohn undt Jungfr. Susanna, weÿl. Andreæ Böhm, deß gewesenen Burger vnd Biersieders alhie Zur gulden Ketten, hinderlaßene Eheliche Tochter, Copulirt Zu St: Claus 17. 9.bris nach gehaltener Bettstund. (i 290)

Les ayants-droit de Jean Nicolas Wagner vendent à l’orfèvre Gabriel Waldeck une créance assise sur la maison

1665 (24. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 531 f° 376
Erschienen hannß Jacob Haubenstrickher der Würth Zum Ochßen alß Curator Esther weÿl. hannß Niclaus Wagners deß Schneiders nunmehr seel: nachgelaßener Wittibin /:welche im mehrern Hospital verpfründet und ohnrichtig haubts seÿe:/ mit beÿstand Wendling häßen deß Schiffmanns alß Ehevogts Susannæ Ursulæ Wagnerin ihr Ester eheleiblich. dochter und einig. Kindts an einem,
Mehr H Gabriel Waldeck der Goltarbeiter alß Vogt Fr. Susannæ Henrichin seiner Großmutter, am andern,
So dann hannß Bernhard Pracht der schuhmacher am tritten theil, Zeigten an und bekannten freÿ gutwillig offentlich, dEmnach eingangß gemelte Ester, ersternannter Fr. Susannæ, aus der am 20. 8.bris a° 1628 i, der Cancelleÿ Contractstuben vffgerichteter obligation 33. lib. 6 ß 8 d Capital schuldig und dafür daß darinn beschriebene Pfenningthurns Capital in specie in subsidium aber Weÿl. hannß wagners deß Schneiders alß deß erst. Debitoris übrige haab und güter (verhafftet seÿe)
die helffte ahne der, aus vorernannte hannß wagners Verlassenschafft herrührender alhie in dornßgaß gelegener Behausung Krafft der am 8.ten X.br a° 1664. in der Cancelleÿ Contractstuben verfaßte Kauffverschreibung obgedachten Prachten verkaufft und denselben die ihr Susannæ hinderständige 33. lib. 6 ß 8 d

Jean Bernard Bracht et sa femme Susanne hypothèquent la maison au profit de Jean Martin Bœhm, brasseur qui fait son tour de compagnon. Les héritiers du créancier remettent quittance en 1681.

1675 (8. Febr.), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 57-v
Hannß Bernhard Bracht der Schuhmacher und Susanna sein Eheweib und Zwar dieselbe insonderheit mit beÿstand herrn Gerhard Lefers deß biersieders Zur Ketten ihres Stieff Vatters und Andres Böhmen deß Kupfferschmidts ihres eheleiblichen bruders alß deroselben hierzu erbettenen nechster Verwanther
in gegensein Sebastian Ebingers deß Kieffers alß Vogts hannß Martin Böhmen deß uff der Wanderschafft begriffenen ledigen biersieders – schuldig seÿen 150. lb
unterpfand, eine behaußung mit allen deren Gebäwen und Zugehördten alhier in der Dorngaßen, einseit neben herrn Johann Philipp Henrici dem handelßmann, anderseit neben der Kirchhofferischen wittibin, hinden uff herrn Peter Bexen den handelßmann und alten Großen Rhathsverwanthen stoßend gelegen, davon gehend iährlichen j. lb d dem Gürtler hoff
[in margine :] Erschienen Andres Böhm der Kupfferschmidt, hannß Jacob Böhm der Schuhmacher, beÿde für sich selbsten, Sebastian Ebinger der Kieffer alß Vogt Friderich Böhmen des ledigen Kieffers, Anna Catharina Lefferin hannß Georg Nagels deß biersieders Eheweib, Hannß Caspar Eisenschmidt der Zinngießer alß Vogt Daniel Leffers deß ledigen biersieders, so dann Sie ins gesambt wegen Abraham Böhmen deß Kieffers so kranckheit halben nicht außgehen könne, alle weÿl. deß hierinn gedachten Schuldglaubigers so uff der wanderschafft verstorben seÿe, nachgelaßene Erben (quittung) Act. 7. 9.br a° 1681.

Jean Bernard Bracht et sa femme Susanne hypothèquent la maison au profit de la fondation Schenckbecher

1684 (3.6.), Chambre des Contrats, vol. 554 f° 234-v
Hannß Bernhard Bracht der Schuhmacher Undt Susanna sein Eheweib Undt zwar dieselbe insonderheit mit beÿstand Andres Behmen deß Kupferschmidts und Hannß Jacob Böhmen des Kupferschmidts und hanns Jacob Böhmen des Schuhmachers Ihrer Eheleiblichen brüder
in gegensein des Edel from undt wohlweißen Herrn Johann Philipp Schmidts des beständigen Regiments der H. XV. als obmanns Undt des Edel Vndt hochgelehrten herrn Joh: Alberti Sebizi Med. Doct. et Professoris hießiger wohllöbl. Universität alß Pfleger meisters Und des Ehrenvest hochwohlgelehrten Herrn Johann Schragen XV.en Secretarÿ alß Schaffners deß Stipendÿ Schenckbecheriani aller dreÿ hierzu insonderheit deputirter – schuldig 100 fl. â 15. batzen oder 60. Xr.
unterpfand, hauß, hoffstatt höfflein, hinderhauß mit allen deren gebäwen, begriffen, rechten undt zugehördt allhier in der dornsgaß einseit neben H. Johann Philipps Henrici dem handelßmann anders. neben weÿl. hannß Adolph Kirschhoffers des handelßmanns seel. Erben, hinden uff herrn David Andres König dem handelßmann stoßend gelegen

Jean Bernard Pracht loue une partie de la maison au marchand de tabac Pierre Fournier

1691 (3.8.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 659
Hannß Bernhard Pracht Schuhmacher
in gegensein Pierre Fournier deß Tabac händlers [unterzeichnet] pierre fournie
verlühen, Erstlich eine Stub Vornen uff die Gaß auff dem ersten boden sambt der Cammer und Kuch daran, So dann Oben im hauß ezine bühn zum Tabac in einer allhier in der dornßgaß zwischen Marix Blasse und – boschen Ehevögtlicher weiß gelegen, auff ein Jahr lang von Johann B. angehend umb ein Jährlich Zinnß benandlich 13 Pfund

Jean Bernard Pracht et Susanne Bœhm hypothèquent la maison au profit du brasseur Jean Henri Obrecht

1693 (24. Xbr.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 810
hanß Bernhard Pracht, d. Schuhmach. und Susanna gebohrne Böhmin und Zwar dieselbe mit beÿstand hans Andres Böhmen, deß Kupfferschmids, und Hans Jacob Böhmen deß Schuhmachers Ihrer beeden leiblich. brüder
in gegensein H. Joh: Henrich Obrechts deß Bier Sieders, Zur guldenen Ketten – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, hauß, höfflein, hoffstatt, hind. haüßlein mit allen deren gebaüen, begriffen. recht. und Zugehördt, allhier in d. dornegaß, einseit neben d. herberg Zur guldenen Gilg, anietzo à la table royal genandt, and. seit neben H. Michael Bosch d. Parchet händler, hind. auff Hn Johann Leonhard Kueffen den handelßmann stoßend gelegen

Susanne Bœhm, veuve de Jean Bernard Pracht, loue une partie de la maison au marchand de tabac Pierre Fournier (voir aussi plus haut)

1697 (2.7.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 314-v
Susanna geb. Behmin weÿl. hanns Bernhard Prachten, gewesenen Schuhmachers seel. Nachgelaßene Wittib mit beÿstand H. Johann Heinrich Obrecht des Biersieders Zur guldenen Ketten ihres Curatoris [unterzeichnet] Susanna brachtin
in gegensein Pierre Fournj Marchand du Tabac en poudre und Schirms Verwanthen allhier [unterzeichnet] pierre fournie
entlehnt, In Ihrer allhier in der dornen gaß einseit neben dem würths hauß zur Gilg, anderseit neben hn Michael Boschen, dem Barchet Krämer gelegenen wohnbehaußung Nach foldende Gemach und Bequemlichkeiten, Nemblich ein Schnecken hoch droben auff die gaß, ein Stub, Stub Kammer und Küchen, im Höffel Platz zu ein paar fuder holtz, Ferner die oberste Bühn auch auff die Gaß sehend, alles auff dreÿ Jahr lang Von nechst Verschienen Joh. Bapt: dieses Jahrs angehend, umb einen Jährlichen Zinns, Nunmehr 15 Pfund

Susanne Bœhm, veuve de Jean Bernard Pracht, hypothèque la maison au profit de la fondation Schenckbecher

1697 (19. 8.bris), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 496
Susanna geb. Böhmin, weÿl. hans Bernhard Prachten, gewesenen Schuhmachers sel. nachgelaßene Wittib, mit beÿstand Hn Johann Heinrich Obrechts deß Biersieders Zur Ketten, ihres curatoris und hans Jacob Böhmen deß Schuhmachers Ihres leiblich. bruders [unterzeichnet] Susanna brachtin
in gegensein H. Philipß Albrecht Weseners deß beständig. Regiments der Hn. XV. beÿsitzers alß Pfleger Meisters der Schenckbecherischen Stifftung und Hn Johannis Schragen, schuldig seÿe 75 pfund
unterpfand, hauß, höffel, hoffstatt, und hind.haüßel, mit allen deren Gebaüen, recht. und Zugehörd. allhier in der Dornsgaßen, einseit neben dem würthshauß zur guldenen Gilg., anderseit neben H. Michael Boschen, dem jüng. Ehevögtlich. weiland, hind. auff Hn Joh: Leonhard Kuff. stoßend geleg., davon gehend jährlich auff Johannis Baptistæ 1 lb 1 ß Zinß dem Gürttlerhof allhier ablösig mit 50 guld. Ferner (…)
[in margine :] (in gegensein) Joseph Müg, des Küblers, als proprietarÿ obbeschriebener behaußung, beÿ deren erkauffung er dießes capital zu zalen übernommen, den 24. Jan. 1735

Susanne, veuve de Jean Bernard Pracht, se remarie avec le cordonnier Jean Georges Werner : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire (la minute n’étant pas conservée), célébration
1697, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Eheberedung – H Hanß Georg Werners Schumach:
vnd Fr. Susannæ Hanß Bernhard Prachten Schumach: Wb.

Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Vnd Achtbarn H. Johann Georg Wernern, Schumachern Vndt Burgern Zu Straßburg, alß dem Bräutigamb ahne einem, So dann der Ehren vndt tugendsammen Frauen Susannæ gebohrner Böhmin Weÿland Meister Johann Bernhard Prachten geweßenen Schumachers vndt Burgers alhie nunmehr seemil. Nachgelaßener Wittib alß der Hochzeiterin am andern theil – Straßburg am 9. Octobris 1697, Jacob Christoph Pantrion Notarius

Mariage, cathédrale (luth. f° 81-v n° 430)
1697. Mittw. d. 30. 8.br wurd. nach Zweÿmahliger außruffung copulirt Johann Georg Wernern der schuhmacher v. B. allhier v. fr. Susanna, weil. Johann Bernhardt Prachten geweßenen schuhmachers v. B. allhie nachgelaß. Wittwe [unterzeichnet] Hans Görg werner Als hoch Zeitter, Susanna brachtin ams hochzeiterin, Johann Martin Rüger als schwager, Johann Heinrich obrecht als vogt (i 81)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari (dont une maison rue du Maroquin) s’élèvent à 446 livres, ceux de la femme (dont la maison rue de l’Epine) à 336 livres.

1697 (27. Xbr.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 5)
Inventarium und Beschreibung aller Haab vnd Nahrung, so der Ehrenhaffte vnd bescheidene H. Johann Georg Werner, Schuemacher vnd burger alhier zu Straßburg, vnd die Ehren: und tugendsame Fraw Susanna Wernerin gebohrne Böhmin beede Eheleüth, alß Crafft ihrer mit einander auffgerichteter Eheberedung für unverändert beederseits Zusammen gebracht haben (…) Actum Freÿtags den 27.ten Decembris Anno: 1697.

Ane Haußrath Hültzen vnd Schreinerwerck. In d. Holtz Kammer, In d. Knecht Kammer, In d. Kammer B, In d. Soldaten kammer, Im Lederstübel, In der Wohnstuben, Im obern Haußöhren, Im vndern Stübel, Im vndern Haußöhren, Im Keller
Eigenthumb ane einer behaußung (M.) It. hauß, höfflein, hoffstatt, mit allen deren gebeuwen, weiten, rechten Zugehörd. vnd Gerechtigkeiten, Gelegen alhier Zue Straßburg, inn der Kurbengaßen (…)
(Fr.) It. hauß, höfflin, hoffstatt, vnd hinderheüßel, mit allen deren Gebeüwen, begriffen. Weiten, Rechten, Zugehörden vnd Gerechtigkeiten, Geleg. in hießig. Statt Straßburg inn der dornsgaßen, eins. neb. dem würths hauß Zur Guldenen Gilg, and. s. neben H Michel Boschen Jun: Barchethändler Ehevögtlich Weiß, hinden vff H Johann Leonhard Kueff, den Specerirer stoßend, davon Gehen Jährlichen 1 lb 1 ß Zins dem Gürtler hoff alhier, inn hauptgut lösig mit 25 lb d Straßburg. wehrung, Ferner 2 lb 3 ß Zinß, Jahrs vff weÿhenachten, weÿl. H Joh: Phil. Reinharts geweßen Müntz Verwalters alhie seel. Erben, modo H Johann Bronnen Med: Doctori Ehevögtlich weiß in haubtguth lösig mit 53. lb. Item 2 lb d Zinß Jahrs vff Erasmi der Schenckbecherisch. Stifftung in haubtguth lösig mit 53 lb, Ferners 2 lb d. Zinß Jahrs vff Bonifacÿ, Gedachter Stifftung in hauptgut wid. lößig mit 50. lb d. Weiters 3. lb d Zinß Jahrs vff Lucæ gedachter Schenckbecherischen Stifftung lösig in Capital mit 75. lb vnd dann 2. lb 10 ß d Zinß H Johann Heinrich obrechten biersieder Zur Ketten vnd burgern alhier Jahrs vff den 1. Decembris in hauptgut wid.lößig mit 50. lb d Sonsten freÿ ledig vnd eigen, vndt Ist dieße behaußung beÿ der frawen vorigen haußwürths Mr Johann Bernhard Prachten sel. Verlaßenschaffts Inventation alhie æstimirt word. pro 1000 Guld. beÿ welchem anschlag es nun ad interim Jedoch allerseits ohne gefährliche præjudiz falls dieselbe höher od. geringer verkaufft werd. solte, gelaßen, thut über abzug vorherbeschehener beschwerd. noch 195. lb.
Darüber vnd Zwar über der halbe theil vorgemeldter behaußung besagt i. Perg. Kauffbrieff, mit der Statt Straßburg Contract Insigel bewahrt, datirt den 8. 10.bris Anno 1664. Vber die andere helffte aber sagt i. fernere Perg. Kauffbrieff datirt ernnandten 8. 10.bris Anno 1664. beede mit N° 1. notirt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns Unverändert Guth, Sa. haußraths 36, frucht 31, Wein v. vaß 31, Leder 215, Silber 3, Ring 6, barsch. 84, Eigenth. ane einer behaußung 37, activa 93, Summar. 803. – Passiva 357, Rest 446 lb
der Fr. Nahr. Sa. haußraths 117,Silber 6, ring 22 baarschafft 8, Eÿgenth. ahne einer beh. 195, Summa summarum 349 lb – Passiva 13, Rest 336 lb

Jean Georges Werner a épousé en premières noces en 1674 Susanne, fille du cordonnier Jacques Dürr
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 179-v n° 31)
1674 [Dom. 1. post Trinit.] Zum 2 mahl Johann Georg Werner, der ledige Schumacher Weiland Johann Philipp Werners geweßenen Schmachers u Burgers alhie nachgelaß. ehel. Sohn, Jfr. Susanna, Weiland Hr Jacob Dürren geweßenen Schumachers u. Burgers alhie nachgelaßene tochter, Donnerstags de, 9. Julÿ Münster (i 182)

Jean Georges Werner se remarie en 1679 avec Anne Marie Mehl, fille du cordonnier Jean Mehl : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen und bescheidenen Meister Hans Georg Wernern, burgern und Schuemachern, Wittwern, als hochzeiter, an Einem, So dann d. Ehren und tugendsahmen Jungfr. Annæ Mariæ Meelin, des weÿl. Ehrenhafften und vorgeachten H Hans Meelen, geweßenen burgers und Schuemachers alhie nachgelaßene ehelich dochter alß d. hochzeiterin andern theils sich begeben – So geschehen in Straßb., Sontags d. 11. Maÿ Anno 1679. Johann Georg Jäger, Nots. Collat. Georg Christoph Stromer, Not. publ.

Mariage, cathédrale (luth. f° 68-v n° 38)
1679. Dom: 2 post Trinit. Zum 2 mahl Johann Georg Werner der Schumacher und Burger allhie, Jfr. Anna Maria Weiland hr Johann Meehler geweßenen Schumachers u. Burgers alhie nachgelaß. ehel. T. Donnerstags den 10.ten Julÿ im Münster (im 71

Anne Marie Mehl meurt en 1697 en délaissant deux fils. L’inventaire est dressé dans la maison rue du Maroquin. La masse propre au veuf est de 399 livres, celle propre aux héritiers de 218 livres. L’actif de la communauté s’élève à 195 livres, le passif à 641 livres
1697 (20.2.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 4)
Inventarium über Weÿland der Ehren: und Tugendsamen frawen Annæ Mariæ Wernerin gebohrner Meelin, des Ehrenhafft: vnd achtbahren Meister Johann Georg Werners, Schuemachers vnd burgers alhier geweßener haußfr. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1697. – nach ihrem Sontags den 14.ten Octobris Jüngsthin Aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche auf freundliches ansuchen, erfordern vnd begehren des Ehren vorgeachten vnd Kunstreichen Herrn Philipp Jacob Merlen Waxpoßierers vnd burgers alhier, alß geordnet und geschworenen Vogts Johann Georg vnd Johann Philipp der verstorbenen frawen seel. mit obgemeltem ihren hinterbliebenen Wittwer ehelich erzeugter Kind. vnd ab intestato verlaßener nechster Erben, inventirt (…) Actum Mittwochs den 20.t Februarÿ, Anno 1697.
Eheberedungs Copeÿ – Copia Codicills

In einer alhie In der Statt Straßburg inn der Curbengaßen gelegenen vndt in dieße verlaßenschafft gehöriger behausung ist befunden worden wie folgt.
Ane Hültzen vnd Schreinerwerck. Auff der obern bühn, In der Kammer A, In d. Soldaten kammer, In der obern Stuben, Im hindern obern Hauß Ehren, Im hauß Ehren vor der obern Stuben, In der Wohnstuben, Im Keller
Eigenthumb ane einer behaußung des Wittwers unverändert. Item hauß, höfflein, hoffstatt, mit allen deren gebeüwen, Weiten, Rechten Zugehörd. vnd Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg in der Curbengaß. (…)
Schulden auß dem Erben Zubezahlendt. Erstlichen soll mann Susannæ Wernerin des Wittwers inn erster ehe erzeugten dochter für Mütterlich guth laut auffgerichteten Kind. Vertrags, vom 11.t Junÿ Anno 1679.
Ergäntzung des Wittwers unveränderten Guths, Auß dem über Eingangs gemelter beder Eheleut in den Ehestand zugebrachte Nahrung durch weÿl. H Johann Georg Jäger, Notum.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Wittwes vnverändert Guth, Sa. haußraths 36, Sa. Werckzeugs Zum Schuemacher handwerck gehörig 1, Sa. Leerer vaß 2, Sa. Silbers 6, Sa. Eigenth. ane einer behaußung 37, Sa. Ergäntzung 443, Summa summarum 527 lb – Schulden 128, Nach deren Abzug 399 lb
Der Erbin unverändert Guth, Sa. haußraths 26, Sa. Silbers 6, Sa. Guldenen Ring 5, Sa. Schuld 40, Sa. Ergäntzung 140, Summa summarum 218 lb
Die theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 53, Sa. früchten 18, Sa. Weins vnd leren Vaß 14, Sa. leders 95, Sa. Silbers 1, Sa. guldenen Rings 1, Sa. baarschafft 12, Summa summarum 195 lb – Schulden 641 lb, Mehr Schulden als guth 445 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 260 lb
Eheberedung (…) So geschehen in Straßb., Sontags d. 11. Maÿ Anno 1679. Johann Georg Jäger, Nots. Collat. Georg Christoph Stromer, Not. publ.
Codicillus – 1680 (…) vor weÿl. H: Johann Georg Jägerin Notario publico (…) erschienen seind der Ehrsam und bescheidene Mr hanß Georg Werner, Schuhmacher, und beneben Ihme die Ehren und tugendsahme Fraw Anna Maria Wernerin, gebohrne Meelin, beede Ehegemächte und burgere alhier Zu Straßb. von d. Gnaden Gottes gesunden gehend vnd stehenden Sie die fr. aber dabeÿ hoch Schwangern Leibs (…) So geschehen in Straßburg in eingangen ernanten H. Notarÿ Jägers Wohnbehausung in Straßb. ohnfern dem Würthshauß zum schwartzen Adler geleg. unden in d. Scheibstuben mit den Fenstern auff die Gaß gehend, Sontags den VI° 8.br. A.C.

Jean Georges Werner loue une partie de la maison au traiteur Simon Terrain

1702 (20.7.), Chambre des Contrats, vol. 575 f° 296-v
Joh: Georg Wörner schuemacher
in gegensein Simon Tairain traitteur à la table Royale (signé) Terrein
entlehnt, in sein Wörners allhier in der Dornsgaßen einseit neben dem entlehner selber anderseit neben Frantz Wörner pastetenbecken hinten auf Hn. Leonhard Kuefen handelsmann stoßend gelegener behaußung denjenigen theil deß Kellers welchen der entlehner bereiths in augenschein genommen auf 3 jahr lang anfangend auf Joh. Bapt: 1702 – In specie soll dem entlehner erlaubt seÿn durch den hoff deß tages in den keller zu gehen – 3 pfund

Susanne Bœhm meurt en 1714 en délaissant pour héritiers son frère Jean Jacques et les enfants de son autre frère Jean André Bœhm. Les experts estiment à 475 livres la maison rue de l’Epine dont le veuf a la jouissance viagère. La masse propre au veuf est de 666 livres, celle propre aux héritiers de 266 livres. L’actif de la communauté s’élève à 387 livres, le passif à 182 livres

1714 (18.7.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 32)
Inventarium und beschreibung aller Haab, Nahrung und Güeter, so weÿl. die Ehren: vnd tugendsame Fraw Susanna Wernerin gebohrne Böhmin, des Ehrenhafften und vorachtbaren H. Johann Georg Werners, Schumachers vnd burgers alhier geweßene Haußfraw nunmehr seel. nach ihrem Mitwochs den 27. Junÿ Jüngsthin, aus dießem mühesamen leben genommenen tödlich. ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern vnd begehren der abgeleibten frawen seel. theils ab intestato vnd theils per Testamentum verlaßener Erben, wie solche am folgendem folio ordentlichen benambßet, inventirt (…) So beschehen in Straßburg, Mittwochs den 18.ten Julÿ 1714.
Die abgeleibte Fraw seelige hat theils ab intestato theils per Testamentum Zu Erben verlaßen wie volgt. Erstlich weÿl. Meister Andres Böhmen, geweßenen Kupfferschmids vnd burgers alhier ihres bruders seel. hinderlaßenen Söhne vnd dochter, Nahmentlichen Annam Catharinam, Johann Michael und Johann Böhmen, so alle noch lediger stands, dero geschworner vogt H Michael Schwartz Kupferschmid und burger alhie, welcher benebens obgemelter seiner vogts dochter, weilen die beede Söhne auff der Wanderschafft begriffen, dießen Inventation Persönlichen beÿgewohnet, vor ein halben theil
vnd dann H Johann Jacob Böhmen, Schuhmacher vnd burgern alhier, auch der verstorbenen Frauen seel. Brudern, vor den übrigen halben theil, welcher gleichfalls dieser Inventur auch In Persohn abgewartet
Eheberedungs Copeÿ – Copia Testamenti nuncupativi

In einer alhie Zu Straßburg In der Curbengaßen gelegener, vnd in dieße verlaßenschafft gehöriger behaußung ist befund. worden wie volgt
Hültzen vnd Schreinerwerck. Auff der bühnen, In d. Cammer A, Vor dieser Cammer, In der Soldaten Cammer, Im hindern Stockh, Auff der bühnen, Im hindern Stübel, In der vordern Wohnstub, Im vordern hauß öhren, Im holtzhauß, In der vndern Stuben
Eigenthumb ane einer behaußung (W.) Item hauß, hoffstatt vnd höfflein, mit allen deren gebeuwen, begriffen, weiten, rechten, Zugehörd. vnd Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg, in der Kurbengaßen (…)
(E.) Item i. hauß, hoffstatt vnd höfflein sampt einem hinderhaußlein, mit allen deren gebeüwen, begriffen. weiten, Rechten, Zugehörden vnd Gerechtigkeiten, geleg. alhier Zu Straßburg, in der dornsgaß., eins. neben Herrn N. Saltzmann dem handelßmann, anders. neben herrn Frantz Wernern dem Pastetenbecken, hinden auff H. Johann Leonhardt Kueffen, den handelßmann stoßend, davon gehen Jährlichen 1 lb 1 ß d. Zins dem Gürtlerhoff alhier in hauptgut lösig mit 25 lb d Straßburg. wehrung, Item 2 lb 3 ß Zinß, Jahrs vff Weÿhenachten, H Johann Braunen Med: Doctori vnd altem Großen Raths verwanthen alhier, uxorio nomine in haubtguth lösig mit 53. lb d. Item 2 lb d. Zinß Jahrs vff Erasmi der Schenckbecherisch. Stifftung in haubtguth lösig mit 53 lb, Item 2 lb d. Zinß Jahrs vff Bonifacÿ, Gedachter Stifftung in hauptgut wid. lößig mit 50. lb d. Weiters 3. lb d Zinß Jahrs vff Lucæ, gedachter Schenckbecherischen Stifftung lösig in Cap. mit 75. lb vnd dann 2. lb 10 ß d Zinß Herrn Johann Heinrich obrechten, löbl. Statt Straßburg wohlverordneten Kornmeister Jahrs auff den 1. 10.bris in Capital ab.lößig mit 50. lb d. Sonsten freÿ ledig vnd eig. durch vorerwehndte der Statt Straßburg Geschwornen Werckmeister laut dero überschickten Scheins über vorstehende beschwerd. annoch æstimirt p. 172 lb. Vnd besagen über vorstehende behaußung vnd Zwar allemahl über den halben theil davon Zween vnderschiedene Perg. Kauffbrieff, mit der Statt Straßburg Cancelleÿ Contractstuben Anhang. Ins. verw. dedato 8. 10.bris 1664
Ergäntzung des Wittwers unveränderten Guths, Außdem über eingangs gemelter beeder Eheleuthe in den Ehestand Zugebrachte Nahrung durch Jacob Christoph Pantrion Notarium in Anno 1697. auffgerichteten Inventario
Series Rubricarum. Des Wittwers vnverändert Guth, Sa. haußraths 71, Sa. Werckzeugs Zum Schuemacher handwerck gehörig 1, Sa. der vaß 6, Sa. des Silbers 2, Sa. der Guldener Ring 2, Sa. der baarschafft 11, Sa. des Eigenthumns ane einer behaußung 500, Sa. der Ergäntzung 158, Summa summarum 755 lb – Schulden 88, Nach deren Abzug 666 lb
Der Erben unverändert Guth, Sa. haußraths 70, Sa. Silbers 4, Sa. goldenen Ring 8, Sa. des Eigenthums ane einer Behaußung 172, Sa. Ergäntzung 9 ß, Summa summarum 266 lb
Die Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. Mobilien 41, Sa. des leders vnd Schue 79, Sa. der Wein vnd vaß 66, Sa. Silbers 12 ß, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 200, Summa summarum 387 lb – Schulden 182 lb, Nach deren Abzug 195 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1226 lb
Eheberedung (…) Straßburg am 9. Octobris 1697, Jacob Christoph Pantrion Notarius
Copia Testamenti – 1703. (…) auff Montag den 19. Monatstag Novembris abends Zwischen Sechs vnd Sieben Uhren beÿ Zweÿen hellbrennenden liechtern, Jacob Christoph Pantrion Notarius
Abschatzung den 21. Julÿ: anô: 1714. Auff begehren, deß Ehrenhafften, vnd bescheiten H Hanß Görg Wehrner, ist Eine behaußung, alhier in der Statt Straßburg in der Kurben gassen (…)
Der Ander begriff ist auch Alhie in der Statt Straßburg, Inn der Dorles gassen gelegen, Ein seitz Neben H: Frantz Werner, Ander Seitzs Neben H: N: Saltzman hinden Auff: H: Kuffen Stossent: Welche behaußung, Hoff, Hoffstatt, hinder gebeÿ, Nebengang, höffel, Ein Gewölbter Keller, wie solches durch der Statt Straßburg geschworen werckhleüthe sich in der besichtigung befudnen vnd dem Jetzigen preiß Nach angeschlagen wirt Vor Vnd Vmb Neun Hundtert Vnd Fünffzig Gulten. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschworen werckhleuthe, Jacob Staudacher werckh Meister des Maur hofs. Jacob schuller Werck Meister des Zimmer hoff, Michel Ehrlacher Werck Meister deß Minsters

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 700 florins (450 livres) sur un total de 2 400 florins. Les préposés ne tiennent pas compte de la déclaration faite peu avant la mort de Susanne Bœhm mais réduisent la somme à payer eu égard que la maison a été estimée à un prix élevé.
1714, Livres de la Taille (VII 1175) f° 97-v
(Schuhmacher, F. N° 1356) Weÿl. Fr. Susannæ gebohrner Böhmin, Hannß Geörg Wörners Schuhmachers und burgers alhier geweßener Ehel. Haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Pantrion.
Concl. fin. Inv. ist fol. 118, 1226. lb. 9 ß 3 d, die machen 2400. fl. verstallte 1700. fl. alßo Zu wenig 700 fl. worunder 400. fl. theilbar und 300. fl. ohnverändert guht begriffen
Von welchen 300. fl. der Nachtrag gerechnet wird auff acht Jahr alß von ohnverändertem Guht in duplo macht à 18. ß d – 7 lb 4 ß
und auch auff Sechs Jahr in simplo trifft à 9 ß – 2 lb 14 ß
Ferner von 400. fl. Theilbahren Guht auff Sechs Jahr in duplo macht à 1. lb. 4. ß – 7 lb 4 ß
und auff vier Jahr in simplo thut à 12. ß – 2 lb 8 ß
Extat kein Stallgeltt
So tun die angelegte Gebott – 1 lb 4 ß
So dann ist vor die abhandlung – 1 lb 7 ß 6 d – Summa 20. lb. 18 ß 10. d
Es hat Zwahr der Wittiber den 6° Junÿ currentis Anni sich 500. fl. laßen Zuschreiben auch die Gebühr darvor anbeÿ Zugleich erlegt, weilen aber die Frau bald daraufhien nehmlichen den 27° ejusdem verstorben, alß hat man dißorts keine reflexion auf solchen Zugang gemacht, sondern vielmehr den Nachtrag von der Völligen biß dahien ohn verstallten Summa Vorstehender maßen nach Ordnung angesetzt
In ansehung die behaußung wie der Wittiber und Erben erwießen von den Werckmeistern Zimlich hoch angeschlagen worden, alß haben auf suppliciren der Interessenten die Herren Dreÿ ane dem angesetzten Nachtrag nachgelaßen Zweÿ Jahr in duplo und Zweÿ Jahr in simplo machen zusammen 6. lb. 6. ß, remanet 14. lb
dt. 12° Septembr. 1714.

La maison revient pour moitié en propriété au chaudronnier André Bœhm qui épouse Salomé Schwartz en 1672.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 227 n° 8)
1672. Dominica L.gesima 18. Febr. Andreas Böhm der Kupfferschmidt Weÿl. Hr Andreas Böhmen gewesenen Burgers Vnd Biersieders Zur Guldenen Ketten allhie nachgel. ehl. Sohn Vndt Jfr. Salome Michael Schwartzen deß Kupfferschmidts vndt Burgers allhier Ehl. Tochter, Copulavi Donnerst. 29. Febr. (i 239 – proclamation Saint-Nicolas f° 288 n° 3)

L’autre moitié de maison revient à Jean Jacques Bœhm qui épouse en 1678 Catherine Schrimpff, fille du cordonnier Jean Georges Schrimpff : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrenhafft und bescheidenen Meister Hans Jacob Böhmen, dem ledigen Schuhmacher, weÿland deß Wohl Ehrenvest und vorachtbaren Herrn Andreæ Böhmen, gewesenen Biersieders Zur Ketten, und Burgers alhie Zu Straßburg seligen, mit der wohl Ehren und Tugendsamen Frawen Catharinæ Ruprechtin ehelich erzeügtem Sohn ane Einem, So dann der Ehrenzuchtig und tugendsamen Jungfrawen Magdalenæ, weÿland deß Ehrenhafft und Achtbaren Meister hans Georg Schrimpffen, geweßenen Schuhmachers und auch weÿland der Ehren: und Tugendsamen Frawen Ester Brandin, beeder Ehegemächt und Burgere Zu gerührtem Straßburg seeligen hinterbliebene eheleiblicher dochter, am andern theÿl (…) Beschehen seind dieße ding in obgedachter deß heÿligen Reichs Freÿen Statt Straßburg Montags den 8. Monats tag Julÿ Anno 1678 [unterzeichnet] hans Jacob Böhm Als hoh Zitter, Gerhardt Lafer Als Stieffbruder, Andreas Böhm Als brudter, Magdalena schrimpffin als hochzeiterin

Mariage, cathédrale (luth. f° 58-v n° 34)
1678. Dom 9. post Trinit. Zum 2 mahl Johann Jacob Böhm, Schumacher Weiland Andreß Böhmen gewesenen Biersieders u. Burgers alhier nachgelaß ehel. Sohn, Jfr. Maria Magdalena Weiland Johann Geörg Schrimpffen geweßenen Schumachers u. Burgers alhier T. Donnerstags den 8.t Aug. Münster (im 61)
Proclamation, Saint-Nicolas (luth. f° 3-v n° 20) 1678. Dom IX et X Trinit. Hans Jacob Böhm, der ledige Schuhmacher vndt Burger weÿland Andreæ Böhmen deß Biersieders Zur Ketten nachgelaßener ehelicher Sohn und Jungfr. Maria Magdalena weÿland Hans Georg Schrimpffen deß Burgers vnd Schuhmachers alhier nachgelaßene eheliche Tochter. Copul. Donnerst. 8. August Im Münster (im 7)

Marie Madeleine Schrimpff meurt en 1716 après avoir institué pour héritiers ses cousins Michel Bœhm, chaudronnier à Lahr, et Anne Marie Hirsch. L’inventaire est dressé dans une maison rue des Tonneliers. L’actif de la succession s’élève à 92 livres, le passif à 101 livres.
1716 (4.6.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 36)
Inventarium und beschreibung aller Haab und Nahrung, so weÿl. die Ehren: und tugendsame fraw Maria Magdalena Böhmin gebohrne Schrimpffin, des Ehrenhafften Meister Johann Jacob Böhmen Schuemachers vnd burgers alhie Ehefraw nunmehr seel. nach ihrem Sontags den 26.t Aprilis Jüngsthin aus dießem mühesamen leben genommenem tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche auf Ansuchen Sein des hinterlaßenen Wittwers, mit beÿstand H Johann Michael Arnolts des weinhändlers und burgers alhier, Nach deme ihme von löbl Statt Stall der ordnung Gemäß das Inventar darin Zu überlieffern angekündet worden inventirt (…) Actum In der Königlich Statt Straßburg, Donnerstags den: 4.° Junÿ1716.
Die Fraw seelige hat per Testamentum Zu Erben verlaßen Meister Michael Böhmen, Kupfferschmidt vnd Burgern Zu Lahr, vnd Fraw Annam Mariam gebohrne Hirschin, beede Eheleute als dero Vettern vnd Baase, Jedem zum halben theil, In dero Nahmen weilen Sie nicht allein abweßend sondern auch ohnverburgert, der Ehrenvest Vorachtbahr und Weise Herr Caspar Schmidn E.E. grossen raths Alter: vnd der Zeit E.E. Kleinen raths beÿsitzer dießem geschäfft der ordnung gemäß beÿgewohnt,
Es haben aber nachgehends vorherhemelte instituirte Erben alß Sie den todfalls vnd die Erbs institution erfahren, sich laut eines auß der Stattschreibereÿ Lahr Gefertigten Attestati expresse erklärt, mit dießer Erbschafft im geringsten nichts /:außer waß ihnen prælegatu geordnet word.:/ zu schaffen Zu haben sondern sich deren gäntzlich Zubegeben, vnd durchauß Kein Prætension daran Zumachen, damit der Wittwer deßen bluts freünd sie auch sind, vielleicht wegen der Ergäntzung nicht allzusehr beschwehret vnd dadurch ruinirt werden möge.

In einer alhie Zu Straßburg In der Küffergaßen gelegenen behaußung ist befund. word. wie volgt.
Summarische Beschreibung, Sa. Schue vnd Werckzeuge 10, Sa. Silbers 1, Sa. Guldenen Ring 1, Summa summarum 92 lb – Passiva 101 lb, Übertreffen also die vorhandene Passiva, Morgengaabe vnd Ergäntzung nicht darund. gerechnet, die Gantze Verheurathet mit vmb 9 lb
Wÿdemb, So H. Johann Georg Werner der Schumacher noch Zeit lebens Zu genießen, nach deßen absterben aber das Eigenthum eingangs gemeltem Johann Jacob Böhmen modo deßen Creditoren, weilen er seiter ertruncken anheim fallt. Solches bestehet In der Helffte einer behaußung inn der dornsgaßen gelegen, welche aber seithero von besagtem Böhmen meistentheils versetzt vnd verschiedene Capitalia darauff auffgenommen worden, also daß daran wenig übrig bleiben vnd nach geendigtem Wÿdumbs weis durch ordentlichen ersuchung sich eingeben wird zum bericht
Copia Testamenti – die Ehren und tugendsame Fraw Maria Magdalena Böhmin gebohren Schrimpffin, auch endts gemelten Notarien Zu sich sambt nachgemelten Zeüg erfordern laßen, die wir dann Krancken vnd schwachen leibs vff einem Bette ligend (…) Zum Andern, will sie Anna Catharina Schlumppin Gebohren hirschin ihrer Schwester dochter So Zu St. gallen verheurathet (…) 4. vermacht sie ihrer Andern Schwester dochter Anna Maria Böhmin gebohren Hirschin Zu Lahr (…) Beschehen vnd verhandelt in Straßburg in einer alhier Zu Straßburg in der Kuttelgaßen Gelegenen behaußung (…) Dienstags den 21.ten April 1716. Jacob Christoph Pantrion
Copia der Eheberedung (…) Straßburg Montags den 8. Monats tag Julÿ Anno 1678

Jean Jacques Bœhm qui a quitté la ville désespéré est retrouvé mort à Freistett. Il délaisse une fortune de 29 livres
1716, Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 37)
Verzeichnuß Aller der Jenigen Nahrung, So Johann Jacob Böhm der geweßene Schuemacher vnd Burger alhier Zu Straßburg, nach deme er vor ungefehr etlich Monaten, Sich desperater weiße absentirt, vnd folgends ohnfern Freÿstatt in dem Rhein todt gefunden worden, hind. sich Verlaßen, durch Herrn Johann Michael Arnolden deßen Schwagern Consensu E. E. Vogteÿ Gerichts, mit Zu Ziehung herrn Johann Zieglers des Keufflers vnd resp° deßen Haußfrawen den 28.ten 7.bris 1716. distrahirt worden, Wie folgt.
Summa summarum aller Nahrung 32 lb. Davon ist wider außgeben vnd bezahlt worden wie volgt 3 lb, Nach solchem abzug 29 lb

Rechnung Johann Michael Arnolds, ietzmahligen Gastgebers Zur Guldenen Roßen, inhaltend, was ich Seither Johann Jacob Böhmen des ertrunckenen Schumachers vnd burgers zu Straßburg todfall, Nemblich von Michaelis 1716. angerechnet, ane Gemeinschafftlichen Zinßen Auß der Rothischen behaußung In der Küeffergaßen eingenommen, dargegen wider außgeben habe.

Jean Georges Werner loue une partie de la maison dont il a la jouissance viagère au tonnelier Joseph Müeg

1724 (23.11.), Chambre des Contrats, vol. 598 f° 535-v
Hannß Georg Wörner der ältere schumacher
in gegensein Joseph Müeg des küblers
entlehnt, In seiner wÿdumbs weiß lebtagig genießenden allhier in der dornen: gaß neben H. Carl Friedrich Saltzmann dem handelsmann einseit, anderseit neben H. Rathh. werner gelegenen behausung in dem vordern hauß Einen auff die gaß gehenden unterschlagenen Keller, Ferner eine stiege hoch Stueb, Kuchen, und Stuebkammer, so dann die oberste bühn, und endlich im hinderhauß ein kellerlein auff dem boden unten 4 nacheinander folgenden jahren anfangend nächstkünfftigen weÿnachten fürwährenden jahr – um einen jährlichen Zinß nemlich 42 gulden

Jean Georges Werner loue une partie de la maison dont il a la jouissance viagère au perruquier Jean Daniel Borst

1727 (30.8.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 507-v
Johann Georg werner der Jüngere Schuemacher in nahmen seines vatters Johann Georg werner des ältern auch schuemachers
in gegensein Johann Daniel Borst Peruquenmachers
In sein des Verlehners wÿdumbs: weiß lebtägig zu genießen habenden einseit neben H. Rathh. Werner Pastettebeck anderseit neben H. Carl Friedrich Saltzmann handelsmann ux: noe: gelegene behausung Unten auff dem boden Stueb Stuebkammer und Kuchen, Ferner zwo stiegen hoch zwo Kammeren, weither eine kleine bühn unten im hoff ein holtzhauß und einen unterschlagenen Keller, auff ein jahr lang anfangend von nächst kommenden Michaelis um 36 gulden

Jean Georges Werner loue une partie de la maison dont il a la jouissance viagère au cordonnier Jean Paul Zahle et à sa fiancée Marguerite Maurer

1730 (27.3.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 153
Johann Georg Wörner Schuemacher
in gegensein Johann Paul Zahle auch schuemachers und deßen verlobter Margarethæ Maurerin beÿständlich ihres sponsi
In einer ihm dem verlehner mit lebtägigem wÿdums genuß verfangener allhier in der dornengaß einseit neben H. Rathh. Frantz wörner Pastettenbeck anderseit neben H. Carl Friedrich Saltzmann dem handelsmann ux: noe. gelegener behausung Unden auff dem boden Stueb Stuebkammer und Kuchen eine Stiege hoch zwo in den hoff sehende Kammern zwo stiegen hoch eine kleine Bühn ein ohnbeschlüßiges holtzhauß im hoff einen kleinen unterschlagenen keller – auff 5 nacheinander folgenden jahren angehend auff Joh. Baptistæ fürwährenden jahrs – um einen jährlichen Zinß nemlich 33 gulden

Jean Georges Werner meurt en 1732 en délaissant une fille célibataire de son premier mariage et un fils du deuxième. Les experts estiment la maison rue de l’Epine à 750 livres. L’actif de la succession s’élève à 900 livres, le passif à 244 livres.

1732 (4.3.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 61)
Inventarium und beschreibung aller Haab v. Nahrung so weÿl. der Ehrenhafft und vorachtbare Meister Johann Georg Werner der ältere geweßener Schumacher und Burger alhier Zu Straßb. nunmehr seel. nach seinem den Eilfften Februarÿ jüngsthin aus dießem mühesamen Leben genommenen tödt. ableiben Zeit. verlaßen, welche auf freund. ansuchen erfordern und begehren der Ehren und tugendsamen Jfr. Susannæ Wernerin, so majorennis und unbevögtigt, jedoch mit beÿstand des Ehren v. vorgeachten H. Johann Würtzen Schum. v. burgers Zu Straßb. ihres Vettern, So dann deß Ehren v. vorgeachten H. Johann Werner ebenmäßig Schum. v. burgers alhier vor sich selbsten, beede des abgeleibten seel. in Zwoen Ehen ehel. erzeugt respe: Tochter und Sohn und ab intestato verlaßene Erben ersucht durch Sie die Erben (…) So beschehen Straßb. den 4.ten Martÿ Anno 1732.

In einer alhier zu Straßburg in der Urbans gaß gelegener und in dieße Verlaßenschafft gehöriger behausung ist befunden worden wie volgt.
(f° 7) Eigenthumb ane einer Behaußung. It: Hauß, Hoffstatt und Höfflein in der Kurbengaß (…)
(Wÿdemb) It: hauß, hoffstatt v. höfflein, mit allen deßen geb. begriffen v. Zugehörd. geleg. alh. in der dornsgaßen, i.s. neb. H. Saltzmann handelßm. 2.s. neb. hr Rathh. Frantz Wernern, hinden auf d. Kuffische behauß stoßend, davon gehen jährl. 1 lb 1 ß d. Bod. Zins dem gürtlerhoff alhier, It. 2 lb 3 ß Zinß, vff boren Hr. Joh: Leonh. Kuffen uxorio nomine ablösig in hauptg mit 53. lb. It. 2 lb d. auf Erasmi der Schenckbecher. Stifftung lösig in Cap. mit 53 lb, It. 2 lb auf Bonifacÿ, ged. Stifftung ablößig in hauptgut mit 50. l. It.3. lb weiters dahin auff Lucæ Jahrs abl. mit 75. lb. vnd dann 2. lb 10 ß d. dißer Verlaßensch. selbsten Jahrs auf den 1. X.br. in Capital mit 50. lb. sonsten eigen durch der Statt Str. geschworne Werckmeistere über abzug vorherige beschwerd. annoch angeschlagen pro 278. Vnd besagt über vorstehende behaußung vnd Zwar allemahl über die helffte davon 2. unterschied. pergam. Kauffbrieff m. d. C.C.st. anhang. Ins. verwahrt. beede datirt d. 8. X.br. 1664.
Series Rubricar hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 120, Sa. leders 23, Sa. der Wein und leeren vaß 20, Sa. Silbers 6, Sa. guldenen ring 2, Sa. Pfenningzinß hauptguths 300, Sa. Eigenthums ane einer behausung 425, Sa. der Schulden 2, Summa summarum 900 lb – Schulden 244 lb, Nach solchem abzug 671 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1078 lb
Abschatzung d. 7. Martÿ aô 1732. Auff begehren Weÿl. des Ehrenhafften und bescheidenen Hannß geörg Werner gewesenen Schumachers seel. hinterlaßene Erben, ist eine behausung allhie in der Statt Straßburg in der dorles gaßen gelegen, Einseits Neben Frantz Werner, anderseits Neben H. Friderich Carl Salsmann handelßmann, hinden auf die Kufische Erben stoßend, welche behausung hinder gebäu, Stuben Cammer, Soldaten Cammer, Küchel, hauß Ehren, Mit herd und Waßerstein gewölbtes Keller, holtz: Cammer und Klein höffel sambt aller gerechtig Keit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigen preiß Nach angeschlagen wird Vor und Umb Ein Tausendt und Fünf Hundert gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Abschatzung d. 22. febr: aô 1732. Auff begehren Weÿl. des Ehrenhafften und bescheidenen Hannß geörg Werner gewesenen Schumachers seel. hinterlaßene frau Wittib und Erben, ist eine behausung allhie in der Statt Straßburg in der Kurben gaßen gelegen

Michel Bœhm, chaudronnier à Bouxwiller, seul héritier de Jean Jacques Bœhm et de ses frères et sœurs morts sans enfant, vend la maison au baquetier Joseph Müeg

1732 (10.6.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 277
Michael Böhm der Kupfferschmidt zu Buchsweiler
in gegensein Joseph Müg des Küblers
Eine Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der dornsgaß neben der zur guldenen Lilien genannten H. Friedrich Carl Saltzmann uxorio nomine zuständigen behausung anderseit neben Rathh. Frantz Werner dem Pastetenbeck hinten auff H. Johann Leonhard Khueff den handelsmann – ihme zufolg des von weÿl. Fr. Susannæ geb. Böhmin auch weÿl. Johann Georg Werner des ältern schuemachers hausfrau am 19. 9.bris 1703 vor H. Not. Jacob Christoph Pantrion auffgerichteten Testaments als derselben zu einem 6. theil instituirten Erben, ferner als hæredi ab intestato seiner ohne Kinder verstorbenen geschwisterden und von ged. Wernerin zu zweÿ 6.ten theilen ernannten Erben Anna Catharina und Johannes der Böhmen, so dann als hæredi substituto und zugleich ab intestato weÿl. Johann Jacob Böhm des Schuemachers und von ged. Wernerin pro semisse instituirten Erben – 254 ausmachende capitalien verhafftet, geschehen um 672 pfund

Joseph Müeg et Marie Salomé Schwartz hypothèquent quelques mois plus tard la maison au profit de l’amidonnier Jean Philippe Meyer.

1732 (19.8.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 358
Joseph Müg Kübler und Maria Salome geb. Schwartzin und ihres geschwistrig Kindts Johannes Meÿer des Säcklers
in gegensein hannß Philipp Meÿer des Amlungmachers – schuldig seÿen 300 pfund
unterpfand, Eine Behausung hindergebäu höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der Dornsgaß neben der zur guldenen lilien genannen H. Friedrich Carl Saltzmann dem handelsmann ux: noe. zugehörigen behausung anderseit neben H. Frantz Werner Exsenatore und Pastetenbeck hinten auff H. Johann Leonhard Kuhff den handelsmann – als ein am 10. Junÿ jüngst erkaufftes guth

Fils de Daniel Müg de Heiligenstein, Joseph Müeg fait son apprentissage de 1713 à 1716 chez le baquetier Jean Hœnisch
1713, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 393)
(f° 195) Dienstags den 1. Augusti Anno 1713
Herr Johannes Hönisch nimbt Crafft scheins von den obern Handwercks Herren zum Lehrjungen an Joseph Mieg von heÿligenstein weÿl. Daniel Miegen geweßenen burgers Zu heÿligenstein hinderlaßenen ehelichen Sohn willens denselben 3. Jahr nechst nach einander folgend das Kübler handwerck Zulehren, gibt Lehrgeldt 30. fl. und der Fr. pro discretione in specie ducat wo von die helffte gleich an die übrige helffte aber beÿ endigung der Lehrzeith richtig bezahlt werd. solte, die Lehrzeith gehet an auff Jüngst Verfloßene Joh. Bapt: und endiget sich wieder auff solchen Termin 1716. seind des Jungen bürgen für das Lehrgelt und hinweg lauffen, Joh: Leybold, Bratwurstmacher und Joh: Geörg Mieg Kübler beede burgere alhier die Versprechen wie gebräuchig dt. pro inscriptione 7 ß 6 d und pro Zunfft schreiber und büttel 2. ß 6 d.

(f° 295-v) Dienstags den 16. Junÿ Anno 1716
Hr. Joh: Hönisch Kübler und burger allhier stellet vor Joseph Mieg von Heilig.stein gebürtig Weÿl. Daniel Müg. Rebmans und burgers daselbst. ehelichen sohn, Berichtet daß deß Jung. Lehrzeith auff Nechst Künfftige Joh. Bapt: tag Zu end gienge und weilen beede theil mit einander Zufrid. als bathen sie umb Gerichtliche Loß Zehlung. Erkandt Willfahr, Zahlt Vor das Ledigsprechen 7 ß. 6. d. Vnd pro Zunfftschrbr. et büttel 2. ß 6. d.

Joseph Müeg s’inscrit en février 1721 pour faire son chef d’œuvre
(f° 472) Dienstags den 4. Februarÿ Anno 1721
Joseph Müeg der Kübler Geßell Von heiligenstein gebürthig wurde auff sein ansuchen Zu verfertigung des Kübler Meisterstücks eingeschrieben Zahlt werckstatten Zinß j lb. 10. ß d. vnd pro Zunfftschreiber vndt Büttel 2. ß 6. d

Il demande en septembre 1722 de louer l’emplacement pour réaliser le chef d’œuvre. La tribu répond qu’il n’a pas terminé sa période de travail
(f° 524-v) Mittwoch den 2. Septembris Anno 1722
Joseph Müeg der kübler gesell Von Heiligenstein gebürtig stehet Vor bittet Ihme zu erlauben auff den Platz Zu gehen umb das Meisterstück Zu verfertigen nach examination der sache Erkant Weilen Er allererst den 4. Febr. Anno 1721 sich hat einschreiben laßen alßo Ihme noch beÿ anderthalb Jahren ane Verarbeithung seiner Zeit mangelt. derselbe auch sich bereits beÿ dem dritten Meister auffhält, da Er doch beÿ einem oder Zweÿen Meistern nach Articuls seine Zeit Verarbeiten solle, daß Ihme in seinem begehren nicht Willfahrt Werden solle.

Joseph Müeg fait appel à la décision. Les Quinze doivent décider si le pétitionnaire qui est originaire de la juridiction de Strasbourg et a fait son apprentissage en ville doit être considéré comme un étranger et doit donc terminer sa période de travail. Les Quinze déclarent qu’est étranger celui qui n’a pas le droit de bourgeoisie. Ils permettent cependant au pétitionnaire, moyennant une taxe, de présenter son chef d’œuvre puisqu’il n’y a eu aucun chef d’œuvre de baquetier l’année en cours.
1722, Protocole des Quinze (2 R 126)
(p. 356) Sambstag d. 26. Sept. 1722 – Joseph Müeg Ca. E. E. Zunfft der Kieffer
Iidem [Ober Handwerck herren] laßen ferner per Eundem [hrn Secretarium Kleinclaus] referiren, Es habe Joseph Müeg, der Kübler Gesell Von Heÿligenstein gebürtig C. E. E. Zunfft der Kieffer eine Appellations Klag sambt beÿlag Lit. A. d. 5. huj. eingelegt, Ille ließt solches ab, undt füget beÿ, nachdem der bek. Zunfftmeister hierauff umb Deputation angeruffen, solche auch willfahrt und beseßen worden, seÿe neben dem Imploranten erschienen deßen Vatter Hans Georg Müeg burger und Kübler allhier, Welcher beÿgesetzt, daß Keiner so allhier gelernt die Jahr Zu Verarbeithen jemahlen seÿe angehalten word. und rede der Articul nur von Frembden. Nomine gedachter Zunfft seÿen Zugegen geweßen Johann Flach alß Zunfftmeister, undt Simon Keüffer der Kübler, welche geantwortet, es seÿe nur allein die Frag, ob der Implorant so allhier gelernt, und in der Statt Jurisdiction gebohren, alß ein Frembder anzusehen seÿe ? deren erörterung Sie Mgh. überlaßen haben wolten.
Auff seithen der Hh. Depp. halte man davor daß nach Disposition allhiesiger Ordnungen, alle diejenige, so das Burgerrecht allhier nicht würcklich genießen, vor frembd anzusehen, und Zu erachten seÿn, Weilen aber dieses Jahr noch Kein Kübler das Meisterstück allhier gemacht, alß Vermeine man daß der Implorant gegen erlag 2. lb. halb der Statt undt halb der Zunfft Zu dem Meisterstück dispensando admittirt und gelaßen werden könte, die genehmhaltung Zu Mgh. stellend. Erk. bedacht gefolgt.

Joseph Müeg présente son chef d’œuvre. Les examinateurs qui y relèvent plusieurs défauts lui interdisent de prendre un apprenti pendant deux ans.
(f° 527) Sambstags den 24.ten 8.bris Anno 1722 ist Joseph Muegen des leedigen Von Heiligenstein gebürtigen Küblers Meisterstücks in Vier stücken bestehend geschawt worden, und referiten die dreÿ Herren schawmeistern Primo Von der ablangen bütt, dieselbe henckt auff einseit oben ein ¼ Zoll Zuschmahl unten ane einem End Zu Kurtz die Boden fuegen treffen beÿ einem Meßerruck nicht überein, unten umb ein Meßerruck Zu schmahl, seÿe unten und oben ohnfleißig abgeschnitten, ferner ist ein daug darinnen so Ihne haben heißen herauß thun. Welche eine maaßer hat ahne etlichen Orthen seÿe sie der holtz dicke Zustarck ahne andern Zu schwach. Secundo die Gölt betrifft, so seÿe solche Zunieder und gar ohnfleißig außgemacht. Tertio der Eÿmer ist Zu eng oben und unten umb ein Meßerruck und Verriben Quarto das ständel ist Zu nieder sonsten aber gut. Wegen Welcher fehler sie Ihme Zweÿ Jahr ohne gesind Zu sein angesetzt so Ihme aber den Herrn XV. alß obmann auff demüthiges Bitten nachgelaßen auch Ihme zu ferner* seinem guthen Vorhaben gratulirt worden.

Joseph Müeg fait dresser un état de sa fortune pour accéder à la bourgeoisie
1722 (5.11.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 31) n° 821
Designatio derjenigen Nahrung Welche der Ehrsamme und bescheidene Meister Joseph Müeg der noch ledige Kübler von Heiligenstein gebürthig, dermahlen eigenthümlichen besitzet und der ursachen halben weilen derselbe Vorhabens ist, beÿ hießigem hochlöblichen und hochweißen Magistrat alß unserer Gnädigen Obrigkeit umb erlangung deß burger rechtens unterthänige ansuchung Zuthun (…) Actum in der König: Statt Straßburg Donnerstags den 5.ten Novembris Anno 1722.

Fils du vigneron Daniel Müeg et de Barbe Frey de Heiligenstein, Joseph Müeg épouse en 1723 Marie Salomé Schwartz, fille du barbier Gabriel Schwartz : contrat de mariage, célébration
1723 (26.1.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 40) n° 631
Eheberedung – zwischen dem Ehrsammen und bescheidenen Meister Joseph Müegen dem Ledigen Küblern Von heÿligenstein gebürtig, Weÿl. deß Ehrsammen Daniel Mügen geweßenen burgers und Reebmanns Zu Heiligenstein mit Barbara gebohrne Freÿin ehelich erzeugtem und nachgelaßenem Sohne, alß Hochzeitern ahne Einem
So dann der Ehren und tugendhafften Jungfr. Mariæ Salome gebohrner Schwartzin, Weÿl. Herrn Gabriel Schwartz geweßenen Barbierers, Zollers und Gastgebers Zu Graffenstatten, burgers allhier Zu Straßburg mit Weÿl. Frawen Anna Margaretha gebohrner Meÿerin ehelich erzeugten und nachgebliebenen tochter, alß der hochzeiterin am andern theil
Geschehen in der Königl. Statt Straßburg in persönlicher gegenwart Herrn Philipp Meÿers Schiffmanns auff sein deß hochzeiters, so dann herrn Michael Kecken bierbrauers, der Hochzeiterein geschwornen Vogts und erbettenen beÿstandts (…) Dienstag den 26.ten Januarÿ Anno 1723. [unterzeichnet] Joseff müegh als hoh Zeitter, Maria Sallome Schwartzin alls hocj Zeitterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 7-v)
1723, Mittwoch d. 17. febr. sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet word. Joseph Müeg der ledige Kübler Von Heiligenstein, weÿl. Daniel Müeg gewesenen b. v. Rebmanns daselbst nachgel. ehl. Sohn v. Jgfr. Maria Salome, weÿl. Gabriel Schwartz gewesenen barbierers v. Zollers zu Gravenstad. nachgel. ehl. Tochter [unterzeichnet] Joseff Muegh als hochzeiter, Maria Salome Schwartzin als hochzeiterin (i 11)

Joseph Müeg devient bourgeois par sa femme deux semaines après son mariage (3 mars)
1723, 4° Livre de bourgeoisie p. 889
Joseph Müg der Kübler Von Heiligenstein geb. erhalt das burgerrecht Von seiner ehefr. Maria Salome weÿl. Gabriel Schwartz des gewesenen chirurgi Zu grafenstaden und burgers allhier Hinderlaßener Tochter, umb die tertz des alte, burger schillings, will beÿ E. E. Zunfft der Kiefer dienen. Jur. den 3.ten Martÿ 1723.

Joseph Müeg devient tributaire chez les Tonneliers une semaine plus tard (9 mars)
1723, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 393)
(f° 500) Dienstags den 9. Martÿ Anno 1723 – Meister Joseph Mieg Zunfftrecht der Kübler erhülte, auff sein ansuchen und producirten burgerschein vom 3.ten ejusdem alß ein fremder gegen erlag 2. lb 1 ß 8 d. das Zunfftrecht, alß leibzünfftiger, Zahlt auch vor die Zue den Feuer Eÿmern geordnete 10. ß, et pro inscriptione 2. ß 6. d
(f° 5-v) Montags den 9. Martÿ Anno 1723
Meister Joseph Müeg, der Kübler erhielte auff sein ansuchen und producirten burgerschein, Vom 3.t Ejusdem alß ein frembder gegen erlag 2. lb 1 ß 8 d das Zunfftrecht, alß Leibzünfftig, Zahlte auch für die Zu den Feuer Eÿmern geordnete 10. ß et pro inscriptione 2. ß 6. d

Litige entre Jean Hœnisch et Joseph Müeg relatif au tarif de transport du bois
(f° 215) Mittwochs den 1. Decembris 1728.
H. Johann Hönisch der Kübler stehet Vor Klagt Ca. Mstr. Joseph Müeg auch Küblern, sagend, daß als er Vor ohngefähr 4. wochen mit etlichen Kübler Meistern Von waßlenheim gegangen, hätten ihme dieselbe Vorgehalten er gebe mehr fuhr lohn Vom Holtz und dieses wäre nicht recht, obged. Müeg welcher auch mit gegangen sagte er wolte das den der donner erschlien der die 2. ß welche Von jhme gegeben worden, darumb daß er nicht beÿ der Laden erschienen, eingenommen worden und daß sie demselben auff der Seelen Vorbrenneten. Reus Zugegen ist der Anklag nicht geständig, will solches erwießen Haben. Erkannt, soll kläger die Zeugen deßwegen Vorstellen.

Joseph Müeg et Marie Salomé Schwartz font donation de leur maison, en s’en réservant la jouissance viagère, à Jean Læmmermann et à Marie Madeleine Müeg (leur nièce). Jean Læmmermann est originaire de Höfen près de Nuremberg, Marie Madeleine Müeg est fille du cordonnier Jean Jacques Müeg de Heiligenstein.

1747 (5.6), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 284) n° 199
Eheberedung Zwischen dem Ehrenachtbaren Johannes Lämmermann dem ledigen Kieblern, des Ehrsamen Martin Lämmermanns des Ackersmanns und frauen Barbaræ gebohrner Vogelin, beeder Eheleuth und burgere Zu Höffen, beÿ Nürnberg ehelich erzeugtem Sohn als dem Hochzeitern, mit assistentz Herrn Johann Andreæ Huthen, vornehmen Handelsmanns und Meister Johann Georg Eberspergers des Küblers und burgers allhier zu Straßburg ane Einem,
So dann der tugendgezierten Jungfrauen Mariæ Magdalenæ Mügin, des Ehrengeachten Johann Jacob Mügen des Schuhmachers und frauen Magdalenæ gebohrner Schnäbelin, beeder Eheleuth und burgere zu Heÿligenstein Straßburg: Herrschafft ehelich erzeugter tochter als der hochzeiterin, mit beÿstand vorgedachts ihres eheleiblichen Vatters und des Wol Ehrengedachten meister Joseph Mügen des Küblers und burgers allhier ihres vettern am andern theil
7. Ist Ihr der beeden Mügischen Eheleuthen [Joseph Müg und Maria Salome Schwartzin], und Zwar mit beÿstand wie vorschon gemeld, wille, daß ihre ane der dornsgaß allhier gelegene behaußung, Höfflein, hinderhauß und Hoffstatt, mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten, einseit neben weÿl. herrn Frantz Wörners des geweßenen basteten becks und E. E. Großen Rhats allhier beÿsitzers seel. frau wittib und Erben, anderseit neben herrn Friderich Carl Saltzmanns des handelsmanns hinden auff herrn Johann Leonhard Kuffen, den ebenmäßigen handelsmann allhier stoßend, auff ihr beeder Mügischer Eheleuthe absterben zugehörig seÿn solle, daß aber Sie beede Mügische Eheleuth biß an ihren tod darinnen ohne einige einrede der beeden verlobten zu disponiren die freÿe macht und gewalt haben, auch dahero im fall ihrer Nothurfft biß an Zwölf hundert Gulden darauff Zu entlehnen, und davor die völlige behaußung zu einem sichern unterpfandt darzusetzen berechtiget seÿn sollen (…)
So geschehen allhier Zu Straßburg auff Montag den 5.ten Junÿ A° 1747. [unterzeichnet] Johannes Lämmermann Als hochzeiter, Maria Magdalena Mugin als hoch Zeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 260-v, n° 1000)
1747. Mittwoch den 21. Jun. seind nach ordentl. Proclamation Ehl. copul. u. eingesegnet worden Johannes Lämmermann der led. Kübler und burger allhier, Martin Lämmermanns Ackermanns u. b. in Höffen beÿ Nürnberg Ehl. Sohn u. J. Maria Magdalena, Johann Jacob Müegen schuhmachers u. b. zu Heiligenstein Barrer Herrschafft Ehl. tochter [unterzeichnet] Johannes Lämmermann Als Hochzeitern Maria Magdalena Mügin als hochzeiterin
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 63 n° 345) 1747 – Mittwoch den 21. Junii seind nach zweÿmaliger ordentl. proclamation und Ausruffung zu St. Thomæ u. in d. neuen Kirch in der Neuen Kirch copulirt und eingesegnet worden Johannes Lemmermann Lediger Kübler Martin Lemmermann ackermanns und burger zu Höffen beÿ Nürnberg ehel. Sohn und Jungfr. Maria Magdalena Müegin, Johann Jacob Müeg Schuhmachers und burgers zu Heiligenstein ehel. tochter (i 64)

Jean Læmmermann de Nuremberg loue le 21 mars 1747 l’atelier pour faire son chef d’œuvre qu’il présente fin mai. Les examinateurs relèvent des défauts mineurs pour lesquels il doit payer deux livres. Il est reçu maître.
1747, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 467) Dienstags d. 21. Martÿ 1747.
Johannes Lämmermann der Ledige von Nürnberg gebürthig Kübler Laßt sich Zum msterstück einschreiben undt producirt Lehrbrieff dedato nürnberg d. 8.t feb. 1745. Zahlt werckstatten Zinnß 3. lb pro protoc. 5. ß d.

(f° 498-v) Donnerstags d. 29. Maÿ 1747 – ist Johann Lämmermanns des Ledigen von Nürnberg gebürthigen Küblers meisterstück besichtiget und v. den Hh. Schauern referirt worden, daß die bütt oben über beede Eck um 1 messerrucken Zu kurtz und die unter Lange ebenfalls um 1 scheitzer rucken Zu kurtz seÿe auch stoßte die boden fueg um 1 scheitzer rucken nicht auff die handthaben fueg und befind. sich 3. kleine einfugen daran, der Eÿmer hätte inwendig ein wolff, die Golt seÿe nichy geheb gedeckt und inwendig schlecht versiegelt daß ständel aber in allen maßen* umb 1 scheitzer rucken Zu klein. ohnerachtet solcher fehlern weilen solche von keiner Consequentz wurde Er Zwar vor ein meister Erkandt, doch daß Er 2 lb d straff erlegen wolle, welches wohl XV. Schenck als obmann auch also Confirmirt worden.

Jean Læmmermann, natif de Fürth près de Nuremberg, achète le droit de bourgeoisie le 5 juin 1747
1747, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 291
Johannes Lämmerman der ledige Kübler meister Von Fürth beÿ Nürnberg gebürtig, erhaltet das burgerrecht umb den Neuen burger schilling u: will beÿ E. E. Zunfft der Kieffer dienen. juravit d. 5.ten Junÿ 1747.

Il devient tributaire cheez les Tonneliers le 13 juillet suivant.
1747, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 499-v) Dienstags d. 13. Julÿ 1747. Mstr Johannes Lämmermanns der Kübler producirt schein vom 5.ten hujus, von Löbl. Cantzleÿ und der Statt Stall unterschrieben, begehrt Leibzünfftig Zu werden. Erkant wie gebetten Zahlte als ein frembder 3 lb 5 ß pro feur Eÿmer 10 ß p. protoc. 5 ß d.

Marie Madeleine Müeg devient bourgeoise par son mari en juillet 1747.
1747, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 297
Fr. Maria Magdalena Müegin Von Heiligen stein Mstr Johannes Lämmermanns burgers u. Küblers Ehefrau erhaltet das burgerrecht weg. wohlverhaltens gratis, will beÿ E: E: Zunfft der Kieffer dienen. prom eod. [24. jul. 1747]

Marie Salomé Schwartz meurt en 1767 en délaissant pour héritiers testamentaires les trois enfants du frère de son mari, parmi lesquels la femme de Jean Læmmermann. Les experts estiment la maison entière à 300 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 021 livres, le passif à 315 livres.

1767 (3.11.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 271) n° 1078
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ ausgenommen, so Weÿl. die Ehren und tugendsame Frau Maria Salome gebohrene Schwartzin, des Ehrengeachteten Meister Joseph Mügen des Küblers und burgers allhier Zu Straßburg nun seel. nach Ihrem den 2.ten Martii des abgewichenen 1766. Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen allhier Zu Straßburg auff Donnerstag den 3. 9.bris A° 1767.
Die Abgeleibte seel. hat per Testamentum Clausum Zu Erben verlaßen wie folgt, 1° die Ehren und tugendsame Frau Mariam Magdalenam gebohren Mügin, des Ehrenachtbaren Mr Johannes Lämmermanns des Küblers und burgers allhier Ehegattin so beÿständl. deßelben diese Inventur in person abgewartet, in den einen dritten Stammtheil, 2.do Johann Jacob Müg, den ledigen Schuhmacher von Heiligenstein Barrer Banns gebürtig, dermalen in die Frembde sich befindend, in den Zweyten dritten Stammtheil, 3° die Tugendsame Frau Mariam Salome geb. Mügin, Mr Joh: Georg Maulers des Becken und Wirth Zu gedachtem Heiligenstein, Haußfrau welche mit und neben Ihrem Ehemann beÿ dießer Inventur anweßend geweßen, In deßen und Vorgedachten Joh: Jacob Mügen Nahmen als welche allhier ohnverburgert zugegen War ST. H. Joh: Heinrich Beck E. E. Großen Raths alter und E. E. Kl. Raths jetzig. wohlverdienter beÿsitzer, als aus Zu dießem Geschäfft (…) insonderheit deputirt, dieße in den letzten dritten Stammtheil, Beede eingangs gemeldeten Wittibers Leiblichen Bruders Kindern und per Testamentum clausum instituirte Erben.
Bericht. Demnach man nach beschehener Inventur Zur separation der beeden nun zertrennten Eheleute unveränderte Nahrung schreiten wolle, meldeten die beede Erbinnen unter assistentz wie obgemelt, daß Sie ihren lieben Vatters bruders den Wittiber mit einer Ersuchung des Verstorbenen unveränderten Guths im geringsten nicht betruben, sondern jetzo wie vorhin in ruhigem Genuß und besitz, wie ihme ohnedem in vorhergehendem Testamento clauso Zugedacht worden biß an seinen zeitlichen tod laßen wolten (…)

In einer allhier zu Straßburg ane der Dornsgaß gelegenen Zum theil in doese Verl. gehörigen behaußung folgender maßen sich befunden.
Eigenthumb ane einer Behaußung. Nehml. die unvertheilte Helffte Von und ane j.r beh. Höffl. v. H. bestehend. in Vorder: und Hinterhauß, Höffl. v. Hoffstatt mit allen derselben Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier ane der Dornsgaß j.s. neben der beh. Zur guld. Lilie genand, dato weÿl. H. Fried. Carl Saltzmanns gewes. handelßmann und brs. allh. hinterlaßenen Erben Zuständig, 2.s. neben weÿl. H. Frantz Werners des gewes. Pastetenbecks und E. E. Gros. Raths alten Wohlverordienten beÿsitzers und burgers allh. seel. nachgelas. Erben, hinten auff Sr. Daneglo den handelßmann stoßend so freÿ ledig und eigen und Zufolg der mit Notario Von dem H. Bau Inspectore Werner und Hn Zimmer werckmeistern Hubern Zum Concept eingeschickten schrifftlichen Abschatzung vom 9.ten 7.br. A° 1767. æstimirt und angeschlagen pro 3000 lb. Daran die dißortige helffte in Außwurf thut 150. lb. Die andere Helffte solcher Beh. ist Frn. Mar. Magd. Lämmermännin geb. Mügin der einen Mit Erbin in crafft Ihrer Ehebered. de A° 1747. paragrapho 7° eigenthümb. verschriben und sagt über die völlige beh. ein perg. Kffbrieff in allhies. C. C. stub gef. und m. d.en anh. Ins. corroborirt datirt den 16. Jan. A° 1632.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Folgt nun hierauff die beschreibung der Verl. vor und ane sich selbsten, Sa. Haußraths 56, Sa. weins b. leerer faß 45, Sa. Silber Geschmeids 15, Sa. gold. ring 4, Sa. Pfzß hpgt. 750, Sa. Antheils ane j. behaußung 150, Summa summarum 1021. lb – Schulden 315, Nach Abzug deren 706 lb – Stall Summa 516 lb
Abschatzung Vom 9. 7.bris 1767. Auff begehren Herrn Joseph Michael, des Küblers, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in der dornen Gäßel gelegen einseits neben Herr Huth dem handels Mann, ander seÿts neben Fr. Mossedein witt. und Hinten auff Herr Dangelo stoßend Gelegen, solche behaußung bestehet in einer Küblers Werckstatt, ferner in Zweÿ stuben, Zweÿ hauß öhren worinnen Herdt und Camminschoß, vnd Zweÿ Kammeren, darüber ist der dachstuhl mit breitzieglen belegt Hatt auch einen Gewölbten Keller, Hoff und Bronnen Von uns den unterschriebenen der Statt Straßburg Bau Inspector, und Werckmeister Nach Vorhero geschehener besichtigung mit aller Ihrer gerechtigkeit dem Jetzigen werth nach æstimirt und angeschlagen worden Vor und um Sechs Hundert Gulden, Werner, Huber.
Copia der Eheberedung (…) Straßburg den 2. Junÿ Anno 1731. Johann Jacob Ölinger, Notarius juratus

Jean Læmmermann et Marie Madeleine Müeg hypothèquent la maison au profit du cabaretier Jean Jacques Strohmeyer

1768 (27.8.), Not. Humbourg (6 E 41, 131)
Obligation – Jean Laemmermann Baquetier et Marie Madeleine Müg assistée de Joseph Müg baquetier et Mathias Göpp cordonnier
au Sr Jean Jacques Strohmeyer Cabaretier au Cigne d’Or 1000 florins ou 2000 livres tournois
hypothèque leur Maison consistant en deux corps de logis L’un sur le devant L’autre sur le derrière appartenances et Dépendances en cette ville Ruë de l’Epine led. Sr Huth d’une part La Damle Mosseder d’autre et par derrière sur le Sr Dangelo laquelle maison appartient à la débitrice pour 3 quarts et à la caution pour un quart (Joseph Müg)

Jean Læmmermann hypothèque la maison au profit de la maîtrise des Tonneliers

1774 (12.3.), Chambre des Contrats, vol. 648 f° 108-v
Johann Lämmermann der küblermeister
in gegensein H. Johann Lucas Schaaff als obermeister und Franz Xaveri Specht alß landenmeister E.E. Meisterschafft und gesellschafft derer kübler – schuldig seÿen 100 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden ane der Dornens gaß, einseit nebenH. Huth dem handelsmann, anderseit neben H. Not. Schatz, hinten auff H. Dangelo den handelsmann

Liquidation de la succession de Joseph Müeg suite à l’inventaire (non conservé) qui en a été dressé par François Henri Dautel en août 1780.
1783 (20.3.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 560) n° 372
N° 372. 20. Martÿ 1783. Summarischer Calculus über Weÿland Meister Joseph Mueg, im Leben gewesenen Küblers und burgers allh: Zu Straßburg Verlaßenschafft, nach Anleitung des hierüber durch weiland Herrn Notarium Frantz Heinrich Dautel den 11. Augusti 1780. auffgerichtet: und expedirten Inventarÿ, mit aufgerechneter verglichener beßerung gefertigt

Joseph Müeg de maladie consomptive le 17 mai 1780 à l’âge de 84 ans
Sépulture, cathédrale (luth. f° 127 reg. 1775-1784, n° 23)
Im Jahr 1780 Mittwoch den 17. Maji Morgens Zwischen Acht und Neun Uhr starb an einer auszehrenden Alters Kranckheit Joseph Mühg, gewesener Kübler meister und burger allhier weiland Fr. Maria Salome gebohrener Schwartzin hinterbliebener Wittwer, weiland Johann Daniel Mühg, gewesenen burgers und Reebmanns in Heiligenstein und weiland Fr. Maria Barbara gebohrener Freÿin hinterlassener ehelicher Sohn, dessen Leichnam wurde an der darauf folgenden Freÿtag den 19. ejusdem Abends um vier Uhr auf dem Gottes Acker Sti Galli mit Christlichen Ceremonien Zur Erde bestättiget, Seines Alters 84 Jahre Zween Monath seniger Eien Tag [unterzeichnet] Johannes Lämmerman als verwander, Johannes Lämmermann Junior Als Verwandter (i 132)

Liquidation de la succession de Marie Madeleine Müeg suite à l’inventaire (non conservé) qui en a été dressé par François Henri Dautel en août 1780. L’acte est ratifié par Jean Læmmermann et ses huit enfants.
1783 (10.5.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 560) n° 376
N° 373. 10. May 1783. Summarischer Calculus über Weiland Fraun Mariæ Magdalenæ Lämmermännin geborner Müegin Meister Johannes Lämmermann des ältern Küblers und burgers allhier Zu Straßburg im Leben geweßener Ehefrau Verlaßenschafft, nach Anleitung des darüber durch weiland Herrn Notarium Frantz Heinrich Dautel Anno 1780. auffgerichtet: und expedirten Inventarÿ gefertigt.
Der Acht Kinder und Erben unverändert Mütterlich Guth
Diesen Summarischen Calculum nun haben die Interessenten nahmentlichen Meister Johannes Lämmermann der Vater, Meister Johannes Lämmermann der Sohn, Frau Maria Magdalena Steinmetzin geborne Lämmermännin, unter der Autorisation ihres Ehemanns, Meister Johann Georg Steinmetz des Säcklers und Burgers allhier, ferner Jungfrau Maria Salome und Jungfrau Maria Margaretha, beÿde majorennes Lämmermannische töchtere, mit beÿstand Herrn Philipp Jacob Dietsch, der Schwartzbecken und Burgers allhier, So dann Herr Johann Balthasar Stoltz, der Schneider Meister und auch Burger hieselbsten, als geschworner Teil- vogt Johann David, Johann Christian, Abraham und Isaac derer Vier jüngerer Lämmermannischen Kinder, nach beschehener Ableßung, gäntzlichen approbirt und anbeÿ dem hinterbliebenen Wittiber vnd Vater die samtliche sowohl unverändert als theilbahre Activ-Mass um vorher ausgeworfenen Preiß eigenthümlichen entschlagen (…) Actum Straßburg den 16.ten May Anno 1783.

Marie Madeleine Müeg meurt de fièvre pulmonaire le 31 mai 1778 à l’âge de 50 ans
Sépulture, cathédrale (luth. f° 77-v reg. 1775-1784, n° 21) Im Jahr 1778 Sonntags den 31. Maji Morgens bald nach acht Uhr starb an einem hitzigen Brust Fieber Frau Maria Magdalena Lämmermännin gebohrene Mühin, weiland Johann Jacob Müh, gewesenen Schuhmachers und burgers in Heiligenstein und weiland Frauen Maria Magdalena gebohrener Schnäbelin hinterlassene eheliche Tochter, Meister Johannes Lämmermanns, Küblers und burgers allhier gewesene eheliche hausfrau, Derselben Leiche wurde an den darauf folgenden Montag den ersten Junii Abends um Fünf Uhr auf dem Gottes Acker Sti Galli mit Christlichen Ceremonien Zur Erden bestättiget, Ihres Alters 50 Jahre Neun Monath und Sechs Tage [unterzeichnet] Johannes Lämmerman als emann, Johannes Lämmermann Als Sohn, Joh: Georg Steinmetz als Tochtermann (i 82)

Le messager Jean Georges Steinmetz et Marie Madeleine Læmmermann, assistée de son père Jean Læmmermann, hypothèquent la maison au profit du marchand Jean Georges Schertz

1786 (12.12.), Chambre des Contrats, vol. 660 f° 447
Johann Georg Steinmetz der einspanniger und hauptkanten E.E. Zunfft zum Spiegel und Maria Magdalena geb. Lämmermännin unter assistentz Johannes Lämmermann ihres leiblichen vatters und bruders
in gegensein H. Johann Georg Schertz des handelsmanns – schuldig seÿen 500 lit
unterpfand, eine behausung samt zugehörden ane der Dornsgaß, einseit neben Mr Reÿger dem buchbinder, anderseit neben H. Mainone, hinten auff H. Mainone und Grasseli – der mitschuldnerin von ihrer mutter seel. erben und prælegatsweis überkommen

Abraham Læmmermann, soldat aux armées, et Isaac Læmmermann acquièrent par licitation les parts de leurs frères et sœurs.

1795 (7 ventose 3), Strasbourg 3 (5), Not. Schweighaeuser n° 241
Johannes Lämmermann Kübler, Maria Magdalena Steinmetzin geb. Lämmermännin Joh. Georg Steinmetz Säcklers Ehefrau, Maria Salome Lämmermännin weÿl. Christian Kobert gewesenen Hohldrehers Wittib beiständlich des burgers Philipp Jacob Dietsch hiesigen becks, die leedige Maria Margaretha Lämmermännin mit beÿstand des brs. Johann Georg Siffermann hiesigen Schneider, Johann David Lämmermann Pastetenbeck und Johann Christian Lämmermann Gastgeber
des bürgers Johann Gottfried barthel Handels-Manns als ernannt und beeÿdigten Curatoris des burgers Abraham Lämmermann welcher als Volontaire zu Vertheidigung des Vaterlands abweßend ist, wie auch in præsentia Isaac Lämmermanns Küblers ihr derer Comparenten beeder jüngerer majorenner bruder
dreÿ vierte theile für unvertheilt Von und Ane einer behaußung Hoff, Hoffstatt und bronnen mit all deren übrigen Zugehörden, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten, Wovon die überige Quart beeden Käufern ohnehin schon eigenthümlich zuständig gelegen An der dorns-Gaß mit N° 5 bezeichnet, einseit neben Carl Chenevet anderseit neben neben weÿl. Georg Friedrich Reÿgers Wittib und Erben hinten auf den bürger Grasellÿ stoßend, (um) 2400, 1000, 1000, 1400, 240 zusammen um 6040 Livres verhafftet mithin zu dißorts verkauften dreÿ vierte theilen um 4530 Livres verlegt und 10.470 Livres (15.000 Livres)
Enregistrement, acp 31 F° 97-v du 9 vent. 3

Isaac Læmmermann devient ensuite seul propriétaire de la maison. Il épouse en 1806 Catherine Barbe Mertz, fille du cordonnier Michel Mertz

1806 (30.5.), Strasbourg 7 (29), Not. Stoeber n° 1133
Contrat de mariage – est comparu en personne le Sr Isaac Laemmermann, Baquetier, fils majeur des défunts Sr Jean Laemmermann vivant Baquetier et de feu D° Marie Madeleine née Müg, comme futur époux d’une part
et Dle Catherine Barbe Märtz, fille du Sr Michel Merz, Cordonnier en cette ville et de D° Anne Catherine née Noll, sous l’autorisation dud. son pere comme future épouse de l’autre part
Fait lu et passé et Interpreté en langue allemande à Strasbourg le 30 May 1806
Enregistrement, acp 99 F° 200 du 9.6.

Contrat de mariage de la locataire Salomé Dorothée Kobert, fille de Marie Salomé Læmmermann, avec le négociant Philippe Frédéric Liebich
1810 (4.12.), Strasbourg 4 (38), Not. Stoeber n° 1181
Contrat de mariage – Philippe Frédéric Liebich négociant fils majeur de Philippe Chrétien Liebich, ancien marchand pelletier et de feu Marie Marguerite née Ziegenhagen
Salomé Dorothée Kobert fille majeure de feu Guillaume David Chrétien Kobert tourneur et de Marie Salomé née Laemmermann
dans la demeure de la fiancée rue de l’Epine n° 5
Enregistrement, acp 116 F° 15-v du 7.12.

Isaac Læmmermann loue une partie de sa maison au tonnelier Philippe Chrétien Taubert

1828 (3.7.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 57 F° 21-v
24 juin dernier, Bail de 6 années à commencer aujourd’hui – Isaac Laemmermann, propriétaire à Strasbourg
à Philippe Chrétien Taubert, tonnelier et baquetier
les parties suivantes de sa maison sise rue de l’Epine n° 15 savoir, le rez de chaussée composé d’un atelier et d’une échoppe, au second étage deux chambres dont l’une donne sur la rue et l’autre vers la cour, et une cuisine. Au troisième étage un balcon ou platte forme donnant vers la cour servant d’emplacement au depot des bois et autres matériaux. Au quatrième étage deux chambres dont l’une donne sur la rue et l’autre vers la cour. Plus le grenier dont la maison est surmonté. La cave à l’exception d’une petite partie qui en est séparée par des lattes. La jouissance commune avec les autres locataires de la cour, du puits et des commodités – moyennant un loyer annuel de 384 francs

Catherine Barbe Mertz, veuve d’Isaac Laemmermann, et son fils unique Charles Auguste Laemmermann vendent la maison au bottier et cordonnier Jean Chrétien Haas et à sa femme Madeleine Dorothée Heywang

1835 (28.7.), Strasbourg 3 (85), Me Kratz n° 356
1. Charles Auguste Laemmermann, marchand linger, 2. Catherine Barbe Mertz veuve d’Isac Laemmermann, baquetier
à Jean Chrétien Haas, bottier cordonnier, et Madeleine Dorothée Heywang
une maison à trois étages à facade en pierre, petite cour, maison de derrière, pompe, appartenances et dépendances située à Strasbourg rue de l’Epine n° 5, d’un côté Martin Schmidt ci devant Riva et Chenevé, de l’autre la maison Furrer, derrière la maison Graselly aujourd’hui Simonis – ladite maison appartient à Charles Auguste Laemmermann comme seul héritier de feu Isac Laemmermann son père qui était en pleine possession de ladite maison depuis plus de 40 ans – pour 11.300 francs
Enregistrement, acp 233 F° 42 du 6.8.

Jean Chrétien Haas épouse en 1829 Sophie Henriette Bær
1829 (16.9.), Strasbourg 9 (anc. cote 57), Me Hickel n° 3256
Contrat de mariage – Jean Chrétien Haas, cordonnier fils de feu Jean Georges Haas, tisserand, et de Catherine Marguerite Judenfeind sa veuve d’une part
Sophie Henriette Baer fille majeure de feu Daniel Baer, employé au bureau des logements militaires, et de Marie Madeleine Otto sa veuve d’autre part
Enregistrement acp 196 (3 Q 29 911) f° 83 du 21.9. communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié au décès de l’un d’eux, usufruit au survivant de la succession du prédécédé
Le futur se constitue en propre en mobilier et composé 620 francs
et la future en pareille valeur 1513 francs
Don de survie par le futur à la future de 200 francs

1829 (16.9.), Strasbourg 9 (anc. cote 57), Me Hickel n° 3255
Consentement par Marguerite Madeleine Otto veuve de Jean Daniel Baer, employé au bureau du génie militaire, au mariage de sa fille Sophie Henriette Baer avec Jean Chrétien Haas, cordonnier en la même ville
Enregistrement, acp 196 F° 77 du 17.9.

Sophie Henriette Bær meurt en 1832 en délaissant deux enfants
1832 (7.6.), Strasbourg 9 (anc. cote 63), Me Hickel n° 4187
Inventaire de la succession de Sophie Henriette Baer femme de Jean Chrétien Haas, cordonnier à Strasbourg décédée grand rue de l’Eglise n° 10 décédé le le 2 mai dernier – à la requête 1. du veuf père, 2° de Chrétien Emile et Caroline Sophie Haas ses enfants mineurs représentés par leur père – en présence de François Charles Baer, commis négociant subrogé tuteur
en une maison sise à Strasbourg grand rue de l’église n° 10
propres de la défunte, garde robe 114 fr, effets mobiliers 466 fr, ensemble 580
biens de la communauté, meubles 93, dettes actives 421 fr, total 514 – dettes passives 360 fr – il existe un contrat de mariage passé devant le notaire sus désigné le 16 septembre 1829
acp 210 (3 Q 29 925) f° 170 du 14.6. (table 27 folio 13)

Chrétien Haas se remarie en 1832 avec Madeleine Dorothée Heywang, fille naturelle de Marie Madeleine Heywang épouse du serrurier Jean Michel Reiss et veuve du tailleur Jean Henri Daniel, de Barr. Les conjoints ont passé un contrat de mariage devant le notaire Schwind de Barr le 9 septembre 1832 (voir l’inventaire).
Mariage, Strasbourg (n° 328)
Du 27° jour du mois de septembre 1832 à dix heures du matin. Acte de mariage de Chrétien Haas, majeur d’ans, né en légitime mariage le 17 Germinal an IX à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Cordonnier, veuf de Sophie Henriette Baer, décédée en cette ville le 2 mai dernier, fils de feu Jean Georges Haas, tisserand décédé en cette ville le 16 novembre 1818 et de Catherine Marguerite Judenfeind domiciliée en cette ville, ci présente et consentante, et de Madeleine Dorothée Heywang, majeure d’ans, née hors le mariage le 19 Nivôse en VII à Heiligenstein (Bas-Rhin) domiciliée à Barr (Bas-Rhin) veuve de Jean Henri Daniel tailleur décédé à Barr le 26 novembre 1829 fille de feu Marie Madeleine Heywang, Epouse de Jean Michel Reiss, serrurier décédé à Barr le 30 septembre 1830 (i 16)

Madeleine Dorothée Heywang épouse en 1821 à Strasbourg Jean Gabriel Suck
Mariage, Strasbourg (n° 68)
Acte de mariage, célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 28 février 1821. Jean Gabriel Suck, majeur d’ans, né en légitime mariage le 25 février 1792 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Tailleur d’habits, fils de feu Jean Gabriel Suck, maçon décédé à Haguenau (Bas-Rhin) le 20 juillet 1816 et de feu Brigitte Regin décédée à Strasbourg le 17 juin 1817
Madeleine Dorothée Heywang, née hors le mariage le 18 Nivôse an VII à Heiligenstein (Bas-Rhin), domiciliée à Strasbourg, fille de Marie Madeleine née Heywang, demeurante à Barr (Bas-Rhin), ci présente et consentante (signé) jean Gabriel Suck, Magdalena Dorothea Heÿwang (i 36)

Le tailleur d’habits Jean Gabriel Suck meurt en décembre 1825 à Barr
Décès, Barr (n° 92)
Déclaration de décès faite en la Maison commune de Barr le 22 décembre 1825. Jean Gabriel Suck Epoux de Madeleine Dorothée née Heywang, âgé de 33 ans neuf mois 26 jours né à Strasbourg, Tailleur d’habits domicilié à Barr, mort en cette mairie le jour d’hier 21 du mois Courant à sept heures du matin dans la maison située au N° 77 section A, fils de feu Jean Daniel Suck, vivant maçon à Strasbourg et de feue Brigitte Régin. Premier déclarant, Jean Jacques Heywang pagé de 42 ans, boucher, oncle par alliance du défunt, deuxième déclarant Jean Michel Reiss, âgé de 63 ans, serrurier beau-père par alliance du défunt (i 25)

Madeleine Dorothée Heywang se remarie en décembre 1826 avec Jean Henri Daniel, originaire de Mettmann dans l’arrondissement d’Elberfeld
Mariage, Barr (n° 36)
Acte de mariage célébré à la Maison commune de la Ville de Barr (…) à onze heures du matin le 7 décembre 1826, Jean Henri Daniel, majeur d’ans, né en légitime mariage le 23 mai 1786 ) Mittmann Cercle d’Elberfeld, Royaume de Prusse, domicilié à Barr, tailleur d’habits, fils de Hilaire Daniel, maçon domicilié à Gerresheim Pays susdit, consentant au présent mariage par acte du 5 octobre dernier ci joint et de feu Barbe Brückmann décédée audit Gerresheim le premier décembre 1822,
et Madeleine Dorothée Heywang, Veuve en premières noces de Jean Gabriel Suck vivant tailleur d’habits décédé en cette ville le 21 décembre dernier, née hors le mariage le 18 Nivôse de l’an VII de la République (7 janvier 1799) à Heiligenstein, domiciliée à Barr, fille de feu Marie Madeleine Heywang, femme de Jean Michel Reiss, serrurier en cette ville, elle y domiciliée, ci présente et consentante (i 16)

Jean Chrétien Haas et Madeleine Dorothée Heywang hypothèquent la maison au profit du marchand de poisson Georges Artzner

1840 (27.10.), Strasbourg 3 (88), Me Kratz n° 1048
Obligation, 27 octobre 1840 – furent présens Le sieur Jean Chrétien Haas, Bottier cordonnier et D° Madeleine Dorothée Heywang, son épouse, de lui dument autorisée à l’effet des présentes, conjoints demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels ont par ces présentes renconnu et déclaré devoir conjointement et solidairement de bonne et légitime dette
à Mr Georges Artzner, marchand de poissons, demeurant et domicilié à Strasbourg, Créancier, ce présent et acceptant à son profit, la somme de 1000 francs pour prêt de pareille somme
hypothèque. Une maison à trois étages à façade en pierre, petite cour, maison de derrière, pompe, appartenances et dépendances, le tout situé à Strasbourg rue de l’épine N° 5, d’un côté la maison Marin et Schmidt cidevant Riva et Chenevé, de l’autre côté la maison Furrer, donnant par derrière sur la maison Grasselly aujourd’hui Simonis. Les conjoints Haas ont acquis cette maison du Sr Charles Auguste Laemmermann, marchand linger, et de D° Catherine Barbe Mertz veuve du Sr Isaac Laemmermann, vivant baquetier demeurant à Strasbourg, aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Kratz, notaire soussigné et son collègue le 28 juillet 1835 enregistré et transcrit au bureau des
hypothèques de Strasbourg le 22 août suivant volume 297 numéro 23 avec inscription d’office du même jour volume 243 N° 512, ledit contrat portant quittance du prix. Cette acquisition a eu lieu moyennant le prix de 11.300 francs (…). Les débiteurs déclarent sous les peines de droit dont l’importance leur a été démontrée, que ladite maison leur appartient encore auxdits titres en toute propriété et qu’elle n’est grevée d’aucune dette, privilège ni hypothèque quelconque que (…)

Jean Chrétien Haas et Madeleine Dorothée Heywang hypothèquent la maison au profit du libraire Charles Auguste Bœckel

1848 (13.3.), Strasbourg 10 (110), Louis Frédéric Zimmer n° 7006
Obligation, 15 Mars 1848 – Ont comparu Monsieur Jean Chrétien Haas, bottier cordonnier et Dame Madeleine Dorothée Heywang, son épouse, de lui autorisée à l’effet des présentes, conjoints demeurant & domiciliés à Strasbourg, lesquels ont par ces présentes déclaré devoir bien et légitimement
à Monsieur Charles Auguste Boeckel, libraire, demeurant et domicilié à Strasbourg, ce présent et acceptant, la somme principale de 5000 francs pour prêt de pareille somme
hypothèque. Une maison avec cour, maison de derrière, pompe, appartenances et dépendances, le tout situé à Strasbourg rue de l’Epine N° 5, d’un côté la maison Marin & Schmidt cidevant Riva et Chenevé, de l’autre côté la maison Furrer, donnant par derrière sur la maison Grasselly aujourd’hui Simonis. Cette maison a été acquise par les époux Haas du sieur Charles Auguste Laemmermann, marchand linger, et de Dame Catherine Barbe Mertz veuve du Sieur Isaac Laemmermann en son vivant baquetier, tous deux demeurant à Strasbourg suivant contrat de vente contenant quittance subrogatoire passé devant M° Kratz, alors notaire à Strasbourg le 28 juillet 1835. Les conjoints Haas débiteurs certifient sous les peines de droit que l’immeuble susdésigné n’est grevé d’aucune dette, rente privilège ni hypothèque qà l’exception d’une somme de 1000 francs (…) et qu’il leur appartient encore en toute propriété

Autre obligation entre les mêmes

1852 (3.5.), Strasbourg 10 (121), Louis Frédéric Zimmer n° 9484
Obligation, 3 Mai 1852 – Ont comparu Mr Jean Chrétien Haas, bottier et cordonnier, et Dame Madeleine Dorothée Heywang, son épouse, qu’il autorise à l’effet des présentes, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels comparans déclarent devoir bien et légitimement
à Mr Charles Auguste Boeckel, libraire, demeurant et domicilié à Strasbourg, créancier, ce présent et acceptant, la somme principale de 3000 francs pour prêt de pareille somme
hypothèque. Une maison avec cour, maison de derrière, pompe, appartenances et dépendances, le tout situé à Strasbourg rue de l’épine N° 5, d’un côté Mr Ensfelder, de l’autre Mr Gradwohl, par derrière Mr Simonis. Les débiteurs déclarent sous les peines de droit que ledit immeuble leur appartient encore en toute propriété et qu’il n’est grevé d’aucune dette, rente privilège ni hypothèque à l’exception d’une somme principale de 5000 francs due à Mr Boeckel comparant (…)

Jean Chrétien Haas meurt en 1861 en délaissant un fils de son premier mariage
1861 (16.5.), Strasbourg 6 (90), Henri Eugène Roessel (jeune) n° 3689
Inventaire de la succession de M. Jean Chrétien Haas en son vivant bottier & cordonnier demeurant à Strasbourg où il est décédé le 7 mai 1861 & de la communauté de biens qui a existé entre entre feu M. Haas & de la dame Madeleine Dorothée Heywang sa veuve survivante demeurant à Strasbourg.
L’an 1861 le 16 Mai à deux heures de relevée en la maison mortuaire sise à Strasbourg place Saint-Pierre-le-Jeune n° 6, à la requête & en présence de 1) Mad° Madeleine Dorothée Heywang, veuve de M. Jean Chrétien Haas en son vivant bottier & cordonnier demeurant à Strasbourg, elle demeurant et domiciliée en la même ville, agissant tant à cause de la Communauté de biens réduite aux acquêts qui a existé entre entre elle & feu son mari aux termes de leu contrat de mariage reçu M° Schwind, alors notaire à Barr le 9 septembre 1832 qu’à cause des reprises & créances qu’elle est en droit d’exercer contre la dite communauté de biens, 2) M. Chrétien Emile Haas, pasteur du culte évangélique, demeurant à Strasbourg, ce dernier fils unique du défunt M. Jean Chrétien Haas issu du mariage de M. Haas père avec dame Sophie Henriette Baer son épouse en premières noces & habile à se dire et porter seul et unique héritier de son père sus nommé
acp 499 (3 Q 30 214) f° 3 du 18.5. (succession déclarée le le 7 juin 1861) Communauté, créances 10.117, Extances 470, mobilier 473 – Passif 4297
Succession, garde robe 117

Jean Chrétien Haas et Madeleine Dorothée Heywang vendent la maison au commis négociant Jules Massé ainsi qu’aux lingères Eugénie Massé et Fanny Massé

1853 (1.6.), Strasbourg 10 (124), Louis Frédéric Zimmer n° 10.089
Vente, 1° Juin 1853. ont comparu Mr Jean Chrétien Haas, bottier cordonnier, et Mme Madeleine Dorothée Heywang son épouse qu’il autorise à l’effet des présentsn les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg, Lesquels ont, par les présentes, vendu (…)
à 1) Mr Jules Massé, commis négociant, 2) Mlle Eugénie Massé & 3) Mlle Fanny Massé, ces deux dernières lingères en jouissance de leurs droits, tous demeurant et domiciliés à Strasbourg, acquéreurs solidaires, ci présents et acceptant chacun pour un tiers indivis
Une maison avec cour, maison de derrière, pompe, appartenances et dépendances, située à Strasbourg rue de l’épine N° 5, tenant d’un côté à la propriété de Mr Ensfelder, de l’autre à celle de Mr Gradwohl, et par derrière à celle de Mr Simonis. Cet immeuble est vendu dans l’état où il se trouve actuellement sans en rien excepter ni réserver avec tout ce qui y a, de droit ou par destination, nature immobilière, y compris huit poêles avec tuyaux et pierres, dont quatre en fonte et quatre en faïence, un chaudon à lessive et les stores aux fenêtres, plus les accessoires pour la suspension du linge sur la terrasse et la gloriette qui se trouve sur cette dernière.
Etablissement de propriété. Les époux Haas sont devenus propriétaires de ladite maison pour en avoir fait l’acquisition de M Charles Auguste Laemmermann, marchand linger, demeurant à Strasbourg, lequel a vendu avec le concours de D° Catherine Barbe Mertz, sa mère, veuve du Sr Isaac Laemmermann, en son vivant baquetier en la même ville, aux termes d’un contrat de vente contenant quittance subrogatoire passé devant M° Kratz, alors notaire à Strasbourg, le 28 juillet 1835 transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 22 août suivant volume 297 numéro 23 et inscrit d’office le même jour vol. 243 N° 512. Cette acquisition a eu lieu moyennant le prix de 11.300 francs (…). Quant à l’établissement de propriété antérieur, il a été déclaré dans le contrat de vente du 28 juillet 1835 susrelaté que le dit Sr Charles Auguste Laemmermann en était seul propriétaire en sa qualité d’unique héritier de M. Isaac Laemmermann, son père, & que ce dernier en était en pleine possession depuis plus de quarante ans. De cette déclaration les époux Haas se sont contentés et les acquéreurs actuels s’en contentent de même. Les époux Haas certifient sous les peines de droit, que la maison présentement vendue leur appartient encore en pleine propriété et qu’elle n’est grevée d’aucune dette, rente, privilège ni hypothèque à l’exception (…) Prix. La présente vente est faite et acceptée moyennant le prix de 15.000 francs. A valoir sur cette somme les époux Haas reconnaissent avoir reçu comptant des acquéreurs celle de 7000 francs (…)
acp 419 (3 Q 30 134) f° 99-v du 3.6.

Jules Massé épouse en 1852 Catherine Andrès, native d’Oberschæffolsheim
1852 (14.6.), Strasbourg 10 (122), Louis Frédéric Zimmer n° 9541
Contrat de mariage dt 14 Juin 1852 – Ont comparu 1° Mr Jules Massé, commis négociant demeurant et domicilié à Strasbourg, né en cette ville le 9 janvier 1824 du légitime mariage de M. Joseph Léopold Massé, capitaine en retraite, chevalier de la légion d’honneur et de D° Françoise Joséphine de Lépine son épouse, les deux demeurants à Strasbourg, futur époux, d’une part
2° Madlle Catherine Andrès en jouissance de ses droits, lingère demeurant et domiciliée à Strasbourg, née à Oberschaeffolsheim le 11 janvier 1829 du légitime mariage de feu M. Valentin Andrès vivant journalier et de feue D° Reine Thomas, future épouse, d’autre part
acp 410 (3 Q 30 125) f° 72-v du 15.6. – Stipulation du régime de communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié, avec constitution de l’usufruit sur la tête du survivant, de la moitié appartenant au prédécédé
Apports du futur époux, 1) inscription de rente à 4 ½ % 207, à 3 % 50, 2) créances 1000, 3) argent comptant 2800, 4) mobilier 83
Apports de la future épouse, objets mobiliers d’une valeur de 555
Donation mutuelle au survivant des futurs de l’usufruit de toute la succession du prédécédé

Jules Massé rachète les parts d’Eugénie Massé et de Fanny Massé

1862 (15.10.), Strasbourg 6 (91), Henri Eugène Roessel le jeune n° 4087
Licitation du 15 octobre 1862. – Ont comparu M. Jules Massé, commis négociant & D° Catherine Andrès son épouse qu’il autorise pour tout ce qui suit, 2) Mlle Eugénie , 3) & Mlle Marie Fanny Massé, les deux célibataires majeures lingères autrefois propriétaires, Tous demeurant et domiciliés à Strasbourg, Lesquels ont par les présentes déclaré que M. & Mesdlles Massé sont copropriétaires par indivis chacun pour un tiers en vertu des titres ci après relatés, d’une maison avec cour, maison de derrière, pompe, appartenances & dépendances située à Strasbourg rue de l’Epine N° 10, ancien N° 5, tenant d’un côté à la propriété de M. Ensfelder, de l’autre à celle de M. Gradwohl & par derrière à celle de M. Simonis. Que voulant sortir de cette indivision mesdlles, Eugénie Massé & Fanny Massé vendent cèdent et abandonnent en toute propriété par forme de licitation (…)
à M. Jules Massé, susnommé, déjà propriétaire de l’autre tiers, ce dernier ci présent et acceptant
Les deux tiers indivis appartenant à Mesdelles Massé dans la maison ci-dessus désignée, indivise avec M. Jules Massé, propriétaire de l’autre tiers, Ensemble tout ce qui dans la dite maison tient à cloux, chaux & chevilles, réputé immeuble soit par nature soit par destination. Sont en outre Compris dans la présente vente neuf poêles en porcelaine & en fonte avec leurs tuyaux & pierres, un chaudon à lessive, les stores aux fenêtres & les accessoires pour la suspension du linge.
Les parties déclarent que M & Mesd. Massé ont acquis l’immeuble présentement licité chacun pour un tiers indivis du Sr Jean Chrétien Haas, bottier-cordonnier, & Madeleine Dorothée Heywang sa femme, demeurant à Strasbourg suivant contrat passé devant M° Zimmer & son collègue notaires à Strasbourg le premier juin 1853, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 14 juin de la même année Vol. 568 N° 8 & inscrit d’office vol. 588 N° 32 dont le prix se trouve quittancé dans ce contrat & le surplus en a été payé depuis ainsi que M. Massé déclare le savoir parfaitement. Les époux Haas étaient propriétaires du dit immeuble pour en avoir fait l’acquisition de M Charles Auguste Laemmermann, marchand linger, demeurant à Strasbourg, lequel a vendu avec le concours de D° Catherine Barbe Mertz sa mère, veuve du Sr Isaac Laemmermann, en son vivant baquetier en la même ville aux termes d’un contrat de vente contenant quittance subrogatoire passé devant M° Kratz alors notaire à Strasbourg le 28 juillet 1835 transcrit au bureau des hypothèques le 22 août suivant vol. 297 N° 23 & inscrit d’office vol. 243 N° 512. Le prix de cette vente se trouve partie quittancé dans le contrat même & le surplus en a été payé (…). Quant à l’établissement de propriété antérieure, il a été déclaré dans le contrat de vente du 28 juillet 1835 sus relaté que le dit Sr Charles Auguste Laemmermann en était seul propriétaire en sa qualité d’unique héritier de M. Isaac Laemmermann son père & que ce dernier en était en pleine possession depuis plus de quarante ans.
Déclare M. Jules Massé que l’acquisition qu’il a faite par le contrat prérelaté d’un tiers indivis de ladite maison a eu lieu durant la communauté de biens qui a existé entre entre lui & sa femme comparante & que l’acquisition faite aujourd’hui des deux tiers du même immeuble a lieu également durant cette même communauté établie par contrat de mariage reçu par ledit M° Zimmer le 14 Juin 1852. – Au moyen des présentes M. Jules Massé se trouve seul propriétaire du dit immeuble – Cette licitation a eu lieu pour le prix & la somme de 12.000 francs pour les deux tiers de l’immeuble licité
acp 515 (3 Q 30 230) f° 30-v du 23.10.

Jules Massé et Catherine Andrès hypothèquent la maison au profit d’Eve Mann, veuve du transporteur Frédéric Kuntz

1876 (10.4.), Strasbourg 10 (180), Frédéric Antoine François Pierron n° 208
Obligation, 10 April 1876. – Sind erschienen H. Jules Massé, Handelsgehülfe, und Frau Catharina Andrès, seine Ehegattin die er ermächtiget, mit einander in Strassburg wohnhaft, welche hiemit erkennen rechtmäßig schuldig zu sein
An Frau Eva Mann, in Strassburg wohnhaft, Wittwe des H. Friedrich Kuntz, im Leben Gewesenen Transport Unternehmer, Gläubigern hiezugegen und annehmend, die Hauptsumme von 4000 Franken oder 3200 Mark
Hypothekarischer Pfand. Ein Wohnhaus mit Hof, Hintergebäude, Brunnen, Zugehörden und Dependenzien in Strassburg gelegen, Dornengasse n° 10, früher n° 5, einseits Eigenthum Ensfelder, anderseits Eigenthum Gradwohl und hinten Eigenthum Simonis.
Eigenthums-Recht. Die verpfändete Liegenschaft gehört dem H. Massé eigenthümlich nämlich, Er hat einen unvertheilten dritten Theil des Hauses erkauft, mit seinen Schwestern den Fräulein Eugénie Massé und Fanny Massé, Ankäuferinnen der zwei andern unvertheilten Drittel von den Ehegatten Johann Christian Haas, Schuhmacher, und Magdalena Dorothea Heywang, in Strassburg laut eines Vertrags vor Notar Zimmer, in Straßburg, mittelbarer Vorgänger des unterschriebenen Notars, am ersten Juni 1853 passirt, im Hypothekenamt von Strassburg überschrieben, den 14. desselben Monats, Band 568 n° 8, mit official Einschreibung Band 588 n° 32. Der Preis dieses Ankaufs ist theilweise in Gedachtem Akte quittirt, und der Ueberrest wurde seither gänzlich ausbezahlt. Zufolge eines Kaufvertrags vor Notar Roessel dem Jüngern in Straßburg den 15. Oktober 1862 passirt, hat H. Massé licitationsweise von seinen zwei obgenannten Schwestern Fräulein Massé die Zwei denselben eingehörigen unvertheilten drittel des gedachten Hauses, erkauft, vermittelst dem Preise von 1200 Franken, auf welche Summa die Ehegatten Massé erklären noch eine Saldosumm von 6000 Franken zu schulden. Seitdem gehört die verpfändere Liegenschaft gänzlich dem H. Massé. Für die früheren Eigenthumsrechte auf diselbe berufen sich die Parteien auf den erwähnten Kauffverschreibung vom 15. Oktober 1862, worin dieselben aufgestellt sind. (…) Subrogation (…) Feuerschaden Versicherung (…)
Civil und Hypothekestand. Die Ehegattin Massé erklären und bestätigen daß sie beide in erster Ehe unter dem Regim der Gütergemeinschaft verheirathet sind, laut ihres Ehevertrags vor genanntem Notar Zimmer am 14. Junÿ 1852 passirt

Catherine Andrès meurt en 1878 en délaissant quatre enfants

1878, Strasbourg 8 (103), Gustave Edouard Loew
2. Mai 1878. Erbverzeichnis Nachlass Catharina Andres Ehefrau Julius Masse
Inventar, sind erschienen 1) Herr Julius Masse, Handlungsgehülf zu Straßburg wohnend, handelnd a) wegen der nach Inhalt Ehevertrags vor dem damaligen Notar Zimmer dahier vom 14. Juni 1852 zwischen ihme und seiner verstorbenen Gattin Frau Katharina Andres bestehenden auf die Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaft, b) wegen des ihm auf Grund dieses Ehevertrags auf sein Lebenzeit zustehenden Nutzgenusses an der seiner Frau gehörige Hälfte der Gütergemeinschaft, c) wegen des ihm darin auf seine Lebenszeit geschenkten Nutzgenusses am halben Nachlasse seiner Gattin und d) als Vater von und über seine drei Kinder aus der Ehe mit seiner genannten Gattin Namens 1) Joseph Julius Masse, geboren den 5. Oktober 1857, 2) Valentine Juliette Masse, geboren den ersten November 1860, 3) Katharina Lina Masse, geboren den 10. Juni 1863,
2) Frau Julie Bertha Masse, wohnhaft zu Straßburg, früher Gattin des Restaurateurs Herrn Karl Emil Hoffman daselbst, von welchem sie unterm 6. September vorigen Jahrs durch die hiesigen Standesbeamten zufolge eines die Scheidung aussprechenden Urtheils des hiesigen kaiserlichen Landgerichts vom 11. April vorigen Jahres geschieden wurde,
die drei minderjährigen Masse und die geschiedene Frau Hoffmann einzig zu gleichen Vierteln erbberechtigt in dem Nachlasse der verstorbenen Frau Massen geborene Andres, ihrer Mutter und 3) Anton Zinck, Schreiner zu Straßburg wohnend, handelnd als durch Familienbeschluß (…) ernannter Nebenvormund der besagten Mündel.

Vorbemerkungen. I. Ableben der Frau Masse. Frau Masse starb zu Strassburg den 23. Januar 1878. II. Ehevertrag (…). III. Erbschaft durch Herrn Masse (…)
VI. Anwesen. Ein Haus mit Hof, Hintergebäude, Pumpe, An- und Zugehörden, gelegen zu Strassburg, Dorngasse n° 10, früher n° 5, einseits Herr Ensfelder, anderseits Herr Gradwohl und hinten Herr Simonis. Herr Massé kaufte dieses Anwesen mit den Weißnäherinen Fräulein Eugenie und Fanny Masse dahier von der hiesigen Schuhmacherseheleuten Herrn Johann Christian Haas und Frau Magdalena Dorothea Heywang, laut Vertrags vor dem damaligen Notar Zimmer dahier vom ersten Juni 1853, überschrieben am Hypothekenamte Strassburg den 14. desselben Monats, Band 568 n° 8. Später kaufte er durch Urkunde des damaligen Notars Rössel jung dahier vom 15. Oktober 1862 der beiden Fräulein Masse ihre Antheile um 1200 Franken ab und gelangte so ins Alleineigenthum.
acp 678 (3 Q 30 393) f° 50-v du 6.5. (Tab. Bd. 64 Bl. 2. N° 4 – Stbf. E. Bd. 126 N° 184) Ersatzforderungen a) des Nachlasses laut Ehevertrag 444, b) des Wittwers gehörig nachgewiesen 15.202
Gütergemeinschaft 1) Mobilien 768, 2) baares Geld 60, 3) Gehaltrückstand 120, 4) Meithrückstand 66, 5) Forderung gegen Frau Hoffmann für vorgeschossene Ehescheidungskosten 647, 6) Liegenschaft, Ein Wohnhaus in Straßburg Dornengasse N° 10, 7) Passiva 9912
Nachlaß, I. Kleider 60, II Ersatzansprüche 444, III. Rückbringen durch Frau Hoffmann laut Ehevertrag vor Notar Diemer in Brumath vom 13. Januar 1876 M 2941, Frau Masse die Hälfte mit 1740

Jules Massé consent au mariage de son fils tapissier Joseph Jules Massé à Paris
1884 (5.3.), Strasbourg 8 (122), Gustave Edouard Loew n° 15.766
Consentement par M. Jules Massé, commis négociant à Strasbourg veuf de D° Catherine Andrès, son épouse défunte, à son fils Mr Joseph Jules Massé, Tapissier demeurant à Paris, 62, Rue Chapon (3° arrondissement) avec Delle Emma Marie Dorffner, ouvrière à la manufacture de Tabacs à Pantin demeurant audit Pantin chez ses parents 27, rue de Paris.
acp 744 (3 Q 30 459) f° 98 du 6.3. – Einwilligung durch Julius Massé, Handlungs commis hier & dessen Ehefrau Catharina Andres in die Ehe ihres Sohnes Joseph Julius Massé, Tapezierer zu Paris, mit Emma Marie Dorffner daselbst

Jules Massé, veuf avec trois enfants de Catherine Andrès, se remarie en 1889 avec Anne Victoire Muntz, originaire de Rosheim
1889 (9.3.), Strasbourg 10 (226) Frédéric Pierron n° 9931
Ehevertrag, 9. März 1889. – Herr Julius Massé, Handlungsgehülfe, Wittwer mit drei Kindern von Frau Katharina Andres & Sohn der Eheleute Joseph Leopold Massé, Hauptmann in Ruhestand, Ritter der Ehrenlegion und der Frau Franziska Josephine von Lépine, beide in Strassburg verstorben, als Bräutigam einerseits
und Fräulein Anna Viktoria Muntz, ledig, ohne Gewerbe, Tochter der zu Rosheim wohnenden Ehegatten Herrn Michael Muntz, Ackerer & Frau Luise Wolff, als Braut, anderseits
acp 813 (3 Q 30 528) f° 73 n° 4709 du 11.3. – Annahme der Errungenschaft Gemeinschaft. Von der Gemeinschaft bleiben die Kleider, das Leibenweißzeug und die Schenckgegenstände ausgeschlosse
Die Braut bringt in die Ehe ein verschiedene Fahrnisgegenstände die angeschlagen sind zu 475
Der Bräutigam bringt in die Ehe ein I. Mobilien geschätzt zu 317, II. Ein Haus und Zubehör zu Strassburg Dornengasse N° 10, III. Eine Forderung an Johann Ludwig Knoerr zu Straßburg 4600, das Eheeinbringen des Bräutigams ist mit 8762 belastet
der überlebende Ehegatte soll die lebenslängliche Nutznießung der Antheile des zuerststerbenden in die Gemeinschaft haben
Schenkung auf Todesfall, der Bräutigam schenckt der Braut eine Summe von 4000 Mark in vollem Eigenthum. Die Braut schenkt dem Bräutigam die lebenslängliche Nutznießung ihres gantzen Sondervermögens
Die Brautleute erkennen Anna Munz geboren in Rosheim am 17. Oktober 1887 als ihr Kind an

Jules Massé et Anne Victoire Muntz hypothèquent la maison au profit du comptable Jules Bloch

1899 (26.10.), M° Hammann
Obligation – Julius Massé, Handlungsgehülfe Wittwer I. Ehe von Katharina Andres & Anna Viktoria Muntz, Eheleute in Strassburg
zu Gunsten von Julius Bloch, Buchführer in Straßburg über ein Darlehen von M 3400
Pfand, ein Haus Dornengasse N° 10, Straßburg
Das Kapital soll verwendet werden bis zum Belaufe vom M 3200. zur Auszahlung der Schuld an Frn Maria Wittwe Friedrich Kuntz in Straßburg laut Obligation Notar Pierron hier vom 10. April 1876, wofür p. Bloch deren Rechte eingesetzt wird.
acp 961 (3 Q 30 676. II) f° 8-v n° 3702 du 31.10.

Jules Massé meurt en 1903 en délaissant quatre enfants (Valentine Juliette Massé étant morte) de son premier mariage

1903 (22.6.), Gustave Edouard Loew n° 37.289
Inventar über den Nachlass des zu Straßburg wohnhaft gewesenen und daselbst am 4. Juni 1903 verstorbenen Eigenthümer Julius Massé
auf Anstehen von 1) Anna Viktoria Muntz, Wittwe des Erblassers, handelnd a) wegen der zwischen ihr und ihrem verstorbenen Ehemann laut Ehevertrag Pierron hier vom 9. März 1889 bestandenen Errungenschaft gemeinschafft, b) als Nutznießerin des Anteils des Erblassers an der Errungenschaft gemeinschafft auf Lebenszeit laut Artikel eins obigen Ehevertrags, c) Als Vermächtnisnehmerin einer Summe von 4000 M aus dem Nachlass laut art. 5. des ob. Ehevertrags, d) als Vermächtnisnehmerin des verfügbaren Teils aus dem Nachlasse des Ehemanns laut eigenhändigen Testaments desselben vom 6. Januar 1900
2. Eugen Bermont, Geschäfftagent hier, Testamentsvollstrecker laut obigem Testament
Der Erblasser wird beerbt von 1) seiner Wittwe zu 8/32. und 12/32 das ist 20/32
2) seinen Kindern a) Julius Joseph Massé, Aufseher in der Tabakmanufaktur zu Pantin (Frk.), b) Katharina Lina Massé, Ehefrau des Garnisons Verwaltungsinspektors Leopold Lukas Wosch, zu Pfalzburg, c) Julie Berta Massé, Ehefrau Paul Weigell, Stationsassistent zu Neudorf, d) Anna Massé noch minderjährig unter der elterlichen Gewalt der bei 1) genannten Mutter, zusammen 12/32 oder je 3/32

acp 1011 (3 Q 30 726. I) f° 93 n° 946 du 23.6. (Tab. Bd. 85 Bl. 119 N° 207 – Erb. Erkl. 24/VIII.03 279/250) Gemeinschafft. 1) Mobilien 400, 2) Baargeld 35
acp 1012 (3 Q 30 727. III) f° 89 n° 949 du 8.7. (Fortsetzung vom 4. Juli n° 37.356) Miete für die Zeit vom 1.II 1903 bis 14.II 1903, 246, rückständig 44, Zusammen 293
Forderung an Meyer Blum Handelsmann in Rosheim 1200 und Zins 51, zusammen 1251
Ersatzleistung durch 1) den Erblasser für die laut Ehevertrag eingebrachten während der II. Gütergemeinschaft bezahlten Schulden 480, 2) die erste Gütergemeinschaft für zu deren Entlastung bezahlte Schulden (1-10) 184, Sparkassengelt 9
Schulden der Gütergemeinschaft, Ersatzforderungen I. des Erblassers 465, II. der Wittwe 100
Nachlass,1) Garde robe 21, 2) Mobilien 267, zusammen 288
3) Vergütungen durch 1) die erste Gütergemeinschaft 66 und 76, 2) durch die Kinder I. Ehe für bezahlten Kosten 4, 3) durch die Kinder I. Ehe Joseph Julius und Julie Bertha Massé für deren bezahlten Anteil an den Begräbniskosten ihrer Mutter 83, 4) durch den Nachlass der I Ehefrau für Habschaftssteuren zur Last deren Kinder 60, 5) durch die Kinder I Ehe für deren bezahlten Anteil an den Habschaftssteuren ihrer Schwester Valentine Juliette Massé 38, zusammen 330.
Rückbringen der Erben 1) durch Ehefrau Weigell 2941 laut Ehevertrag Diemer in Brumath vom 13. I. 1876) ½ 1470, 2) durch Frau Wosch dieselbe erhielt bei der Verheiratung als Erbvorschuß a) Mobilien 280 b) Baargelt 1920
Liegenschaften, 17/32 ungeteilt von Stadt Strassburg Flur 13-40, 0,97 A Hofr. Whs Dornengasse 10, E.N. Kauf vom 1. Juni 1853. vor Notar Zimmer hier und Roessel hier vom 15. X. 1862 und ererbt aus dem Nachlasse der ersten Ehefrau und der Tochter Valentine Juliette Massé
Forderungen durch 1) Frau Wosch 1600, 2) Frau Weigell 1600 laut Theilung amt. Notars vom 4. IX 1889, 3) Abraham Weil-Levy und Nathan Weill hier laut vorst. erwähnter Theilung 1600, 4) Frau Wosch obgenannt 1600, 5) Frau Weigell obgenannt 1600 laut Cession amt. Notars vom 10. XI 1899, 6) bez. Kosten der Hypothekenerneuerung 16, Summa 8016
Begräbnuskosten 253, Ersatzleistungen (1-6) 1722, weitere Begräbnuskosten 214
Sparkassengeld durch die Wittwe erhoben 250
Die Wittwe erklärt ferner noch daß während der II. Ehe zur Entlastung des Erblassers an Dr Müller hier für ärztliche Behandlung des Erblassers während seines Wittwenstandes bezahlt wurden 160.

La veuve et les enfants de Jules Massé vendent la maison à Albert Neubert, employé au théâtre

1903 (6.8.), Gustave Edouard Loew n° 37.513
Versteigerung – 1. Anna Viktoria Muntz in Straßburg Wittwe Julius Massé, Eigenthümer als Legatarin am Nachlass ihres Ehemanns auf Grund eigenhändigen Testaments vom 6. Januar 1900 und als Inhaberin der elterlichen Gewalt ihrer Tochter Anna Massé
2. Joseph Julius Massé, Aufseher in der Tabakmanufaktur in Pantin, 3. Julie Berta Massé, Ehefrau Paul Weigell, Stationsassistent in Neudorf, 4. Katharina Lina Massé, Ehefrau Leopold Lukas Wosch, Garnisons Verwaltungsinspektor in Pfalzburg, einzige Erben von Julius Massé gestorben hier am 4. Juni 1903, die nähere Erb Eigenschaften sind bezeichnet in einem Inventar reg. 23. Juni 1903 Bd. 1011 Bl. 93 Nr 996
Bedingungenen, Genuß und Steuren am 1. Oktober 1903. Aufgeld 10 %. Die Auflassung muß spätestens einen Monat nach der Versteigerung erfolgen entweder zu Gunsten des Steigerers oder eines dritten, den dieser mitbringt. Die Versteiglasser können sie davon abhängig machen, daß der ganze Preis nebst Aufgeld bezahlt ist
Es erfolgt ein Zuschlag von Albert Neubert, Theaterdiener hier, um M. 22.400.
bezüglich Flur 13 Nr. 40, 0,97 A ein Wohnhaus mit Hof Hintergebäude Dornengasse N° 10 in Straßburg
acp 1014 (3 Q 30 729. I) f° 90-v n° 1589 du 11.8.

Albert Neubert hypothèque la maison au profit du gérant Jules Bloch

1905 (31.5.), Charles Lauterbach n° 29.733
Schuldbrief – Albert Neubert, Theaterdiener in Strassburg
für Julius Bloch, Geschäfftsführer in Straßburg über baar 7000 M.
Pfand, Wohnhaus Dornengasse N° 10 hier Flur O Nr. 14
acp 1042 (3 Q 30 757. III) f° 83 n° 970 du 3.6.

Albert Neubert hypothèque la maison au profit du gérant Jules Bloch et d’Eugénie Levy, veuve d’Aron Bloch

1906 (14.9.), Charles Lauterbach n° 31.654
Schuldbrief – Albert Neubert, Theaterdiener in Strassburg
zu Gunsten 1) Julius Bloch, Geschäfftsführer hier Steinstraße 25 über baar 5000 M. 2) Eugenie geb. Levy Rentnerin hier Steinstraße 25 Wittwe von Aron Bloch über baar 5000, Summa 10.000 M
Hypothekenbestellung für Nebenlasten 40.000 M. auf Wohnhaus Dornengasse N° 10
acp 1060 (3 Q 30 775. III) f° 19-v n° 1317 du 15.9.

L’employé municipal du théâtre Albert Neubert épouse en 1914 à l’âge de quarante-cinq ans Emma Madeleine Diroff, fille du menuisier Adolphe Diroff de Schiltigheim
Mariage, Strasbourg (n° 463) Strassburg am 30. April 1914. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der städtische Theaterdiener Eduard Albert Neubert, evangelischer Religion geboren am 9. Januar des Jahres 1869 zu Strassburg, wohnhaft zu Strassburg Barbaragasse 7, Sohn des verstorbenen städtischen Plakataufschlagers Philipp Eduard Neubert und seiner verstorbenen Ehefrau Maria Julie gebornen Mayer, zuletzt wohnhaft in Straßburg
2. die Emma Magdalena Diroff, ohne Beruf, evangelischer Religion, geboren den 27. Juni des Jahres 1877 zu Schiltigheim, Klein Riedel 9, Tochter des verstorbenen Schreinermeisters Adolf Diroff, zuletzt wohnhaft in Schiltigheim und seiner Ehefrau Sophie gebornen Merkel wohnhaft in Schiltigheim [unterzeichnet] Albert Neubert, Emma Neubert geborne E Diroff (i 39)
[in margine :] † 31 mars 1920, N. 832

Albert Neubert habite jusqu’en 1912 au 10, rue de l’Epine. Il meurt le 31 mars1920. Sa veuve revient en 1940 de Monge-Eyzerac (Dordogne).
Ficher domiciliaire (603 MW 615)
Neubert, Städtisch Theater diener – Emma née Diroff 27.6.77
Albert, 9.4.69, Straßburg, (Religion) ev. († 31.3.20)
Frau seit 30.4.14 Emma Diroff 27.6.77 Schiltigheim, ev.
Kinder August Eduard Albert 18.7.16, hier, ev.
(Wohnungsverhältnis) Dorneng. 10
1.7.12. Barbarag. 7. – Doirisse
1.7.14. Knoblochgasse 15 – Lt Anm*
25.9.18. Gustav Dorestraße 2 II Städtischer Wohnungk / 3.10.18
30.8.40 zurück v. Monge-Eyzerac,Wohnbeibnh.

Albert Neubert, employé au théâtre célibataire, vend la maison au marchand de lait Charles Dillmann et à sa femme Joséphine Weber moyennant 29 000 marks

1910 (4.10.), Charles Lauterbach
Verkauf – Albert Neubert, Theaterdiener, ledig, hier
an Carl Dillmann, Milchhändler und Josephine Weber, hier, je zur Hälfte
Stadt Strassburg. Flur 13 Nr 40, 0,97 ar Hof, Wohnhaus Dornengasse N° 10, Preis M. 29.000.
hierauf übernehmen Käufer folgenden Hypotheken 1. an Julius Bloch, Geschäftsführer hier laut Eintr. 311. Mai 1905,4000, 2. an denselben laut Eintr. vom 14. September 1906, 5000, 3. an Eugenie geb. Levy Rentnerin hier Wittwe des Kaufmanns Aron Bloch 5000. Der Rest ist bar an den Verkäufer bezahlt
acp 1101 (3 Q 30 816. I) f° 75 n° 1594 du 11.10.


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.