11. Marché aux cerises
Marché aux cerises n° 11– IV 319 (Blondel), O 202 (cadastre)
Anciennement zum Mohrenkopff (à la Tête de Maure) – Démolie en 1856
Élévations du Vieux-Marché-aux Cerises avant démolition, 1855. Le numéro 11 est à droite du bâtiment jaune (Cabinet des Estampes).
Propriété du notaire Valentin von Meistertzheim en 1587, la maison longue de 18 pieds 3 pouces a un auvent aussi long qui avance beaucoup sur le communal (plus de dix pieds). Elle comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière séparés par une petite cour. Les maisons de part et d’autre appartiennent à l’Œuvre Notre Dame. D’après les actes de la fin du XVII° siècle, elle s’appelait anciennement zum Mohrenkopff (à la Tête de Maure). Elle appartient aux fripiers Tobie Strintz (1602), Maurice Bender (1620) et Nicolas Heyder (1638) puis au tonnelier Mathias Zehler (1649-1662). Le cordonnier Jean Lohrer l’achète en 1696 et l’hypothèque par deux fois au profit d’Anne Madeleine Ensel, veuve du professeur de grec Georges Frédéric Heupel, qui s’en rend adjudicataire en 1731. Elle la vend en 1745 à Mathias Widershoven, employé à la Monnaie et perruquier, mais la transaction est résolue. Elle meurt en 1766 à l’âge de quatre-vingt-seize ans en délaissant pour héritière sa petite-nièce Marie Salomé Ensel, femme du cordonnier Georges Frédéric Schwing, qui supprime en 1768 sa porte de cave et cède à la ville un terrain de 4 toises, 5 pieds et 2 pouces. Les héritiers de Georges Frédéric Schwing vendent en 1855 la maison à l’Œuvre Notre Dame qui la fait démolir en 1856 avec d’autres pour y construire un nouveau bâtiment où l’Etat établit l’école militaire de santé (voir le 4, rue du Maroquin).
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 179, Marché aux Cerises (entre k et l) (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la quatrième à gauche du repère (l) : porte et fenêtre au rez-de-chaussée, trois étages à deux fenêtres chacun, toiture à un niveau de lucarnes. La cour R représente l’arrière (1-2) du bâtiment sur rue et le bâtiment arrière (3-4).
La maison porte le n° 11 du Marché aux Cerises ou de la place du Château.
Cour R
Terrain que Georges Frédéric Schwing cède à la Ville en 1768 (AMS, cote VII 1413)
Le Marché aux Cerises après démolition des maisons (Photographie de Charles Winter, Musées de Strasbourg)
Même endroit, avril 2015
novembre 2021
Sommaire
Cadastre – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1601 à 1856. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Valentin von Meistertzheim, notaire, et (1587) Ursule Vetter – luthériens | ||
1600 | v | Philippe Strintz, fripier, et (1598) Barbe Künlin, remarié (1628) avec Anne Engelhard, veuve du gainier Josse Schwanfelder – luthériens |
1602 | v | Tobie Strintz, fripier, et (1577) Chrétienne Weissensteiger, d’abord (1577) femme du corroyeur Guillaume Haan, puis (1589) Barbe Schmidt – luthériens |
1620 | v | Maurice Bender, tailleur et fripier, et (1612) Susanne Bussler – luthériens |
1638 | v | Nicolas Heyder, fripier, et (1607) Aurélie Leh puis (1628) Susanne Ferin, d’abord (1624) épouse du cordonnier Daniel Blümin – luthériens |
1649 | v | Mathias Zehler, tonnelier, et (1641) Marthe Brackenhoffer puis (1662) Anne Marie Malck, d’abord (1646) femme du tonnelier Martin Heus – luthériens |
1662 | v | Susanne Rixinger et (1632) Tobie Braun, fripier, puis (1640) Jean Melchior Heintz, menuisier (vente résolue en 1671) – luthériens |
1671 | v | Jean Michel Diebold, messager puis chandelier, et (1641) Anne Marie Klein – luthériens |
1696 | v | Jean Lohrer, cordonnier, et (1679) Cléophée Osterried – luthériens |
1731 | v | Anne Madeleine Ensel et (1691) Antoine Lind, cordonnier, puis (1709) Georges Frédéric Heupel, enseignant, d’abord (1696) mari de Jacqueline Faust – luthériens |
1745 | v | Mathias Widershoven, employé à la Monnaie et perruquier, et (1728) Elisabeth Rondouin puis Odile N (vente résolue) – catholiques |
1766 | h | Georges Frédéric Schwing, cordonnier, et (1762) Marie Salomé Ensel – luthériens |
1795* | h | Jean Martin Schwing, chandelier puis appariteur, et (1795) Catherine Salomé Borst |
1810* | h | (indivision) Frédéric Schwing, tonnelier, célibataire Elisabeth Salomé Schwing, et (1827) Frédéric Auguste Dettweiler, boulanger |
1855 | v | Œuvre Notre Dame |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 330 livres en 1689, 550 livres en 1709, 650 livres en 1729, 900 livres en 1766
(1765, Liste Blondel) VI 319, Mde Heumpel
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Schwing, 2 toises, 3 pieds et 7 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 202, Schwing, Georges Frédéric, Vieux Marché aux Cerises 11 – maison, sol – 0,83 are / Dettwiller Frédéric, boulanger, Place du Broglie 12
Locations
1696, Mathias Hermès, maître d’école de la paroisse de la cathédrale
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 65
Valentin von Meistratzheim (Meistertzheim) règle 1 livre 18 sols pour sa maison qui fait 18 pieds 3 pouces de long, à savoir un auvent de même longueur en saillie de 10 pieds 9 pouces, une plate-forme en pierre en saillie de 10 pieds ½, une autre plate-forme (4 pieds 15 pouces de long, un pied de large), cinq sièges en pierre (l’un a 2 ½ pieds de long et 15 pouces de large, l’autre 3 pièces de long et 14 pouces de large), une porte de cave (7 pieds ½ de long et 5 pieds de large).
Am Obßmarck von der Herberg Zum Hürtzen herauff nach dem Münster zu
Veltin von Meistratzheim hatt vor seinem Hauß 18 schu 3 Zoll lang, Oben ein Wettertach auch so lang, Vnd 10 schu 9 Zoll herauß, Vnden ein steinerin Tritt 10 ½ schu herauß, Mehr ein Tritt 4 schu 15 Zoll lang, vnd j schu breÿt, Item Zwen steinerin sitz der Eine 2 ½ schu lang, Vnd 15 Zoll breÿt, der Ander 3 schu lang vnd 14 Zoll breÿt, Ein Kellerthüer 7 ½ schu lang vnd 5 schu breÿt, Soll Allmendt sein vndt bleiben, Bessert für das Niessen, j lb xviij ß d
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1768, Préposés au bâtiment (VII 1413)
Le chandelier Frédéric Schwing supprime sa porte de cave et cède à la ville le terrain (4 toises, 5 pieds, 2 pouces) pour une somme de 85 florins 8 derniers
(f° 26) Dienstags den 14. Junii 1768 – Friderich Schwing
Friderich Schwing der Lichtermacher bittet um bezalung eines Platzes, so Er an seinem Haus auf dem alten Kirschen Marck woran er eine Kellerthür hinweg gemacht, zu Allmend hat liegen laßen. Erk: soll der Platz abgemeßen und bezalt werden.
(f° 47) Dienstags den 18. 8.bris 1768. – H. Werner der baw Inspector prodicirt vier abriß derer Plätze von vier vorstehenden Kellern, welche folgende Persohnen haben zuwerffen laßen und von jhrem eigenthum verlohren, wofür sie schadloß zu halten sind, als
Eleonora Borstin auf dem alten Kirschmarckt verliehrt 5 q. Cl: 2 sch. 6 z., ist in dem 6.ten Canton und thut a 17 fl. 5 ß. – 94 fl. 7 ß. 11 d.
Friedrich Schwing alda verliehrt 4 Cl. 5 sch. 2 z. und thut a 17 fl. 5 ß. – 85 fl. 8 d
H. Herrmann der Apothecker in der Spießgaß von 3 Cl. und tht. a 17 fl. 5 ß. – 52 fl. 5 ß
Johannes Kieffer der beck neben dem Rubenloch verliehrt 4 q. Cl: in dem 4.ten Canton und thut à 12 fl. – 48 fl.
Description de la maison
- 1729 (billet d’estimation traduit) La maison qui a un vieux bâtiment arrière comprend plusieurs poêles, chambres, petite cuisine, vestibules dans l’un desquels se trouvent le fourneau et l’évier, petite cave sous solives, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1300 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
3° arrondissement ou Canton sud – Rue du vieux marché aux Cerises
nouveau N° / ancien N° : 8 / 11
Schwing
Rez de chaussée et 3 étages médiocres en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 25 f° 78 case 2
Dettwilller, Frédéric, boulanger place du Broglie N° 16
1856 Œuvre Notre Dame à Strasbourg
O 202, maison, sol, vieux marché aux cerises 11
Contenance : 0,83
Revenu total : 72,43 (72 et 0,43)
Folio de provenance :
Folio de destination : démolie
Année d’entrée :
Année de sortie : 1858
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 15 / 14
fenêtres du 3° et au-dessus : 6 / 5
1858, Diminutions – Œuvre Notre Dame f° 78, O 202, maison, revenu 72, Démolition, supprimée en 1858
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton VI, Rue 176 dite Kirschen Marck Marché aux Cerises (p. 320)
Pr. Schwing, Frédéric, Fabriq. de chandelles – Moresse
lo. Grüner, Felix, Domestique – Manant
Relevé d’actes
La maison est inscrite en 1587 au Livre des communaux au nom de Valentin von Meistertzheim.
Le notaire Valentin von Meistertzheim épouse en 1587 Ursule, fille du vitrier municipal Melchior Vetter.
Mariage, cathédrale (luth. p. 161)
1567. Suntag den 12. Jeners. Veltin von Meistertzheim, Notarius, Ursula Melchior Vetters Stat glasers selig. Dochter. Eingesegnet montag dn 28 Jener hora 9. (i 83)
Valentin von Meistertzheim se porte candidat aux fonctions de préposé à l’accise en 1599 et de garde-bois en 1600.
1599 Conseillers et XXI (1 R 78)
Ungelter dienst bestellen. 87. 279. Veltin von Meistersheim. 101. Thomas Scheich. 105. Erasmus Bettman. 106. Peter Grindel. 111. Peter Knorrer würd Ungelter. 295.
1600 Conseillers et XXI (1 R 79)
Holtzdienst, Samuel Hubertus. 273. Veltin von Meistertzheim. 273.
Valentin von Meistertzheim vend la maison au musicien Philippe Strintz et à sa femme Barbe Künin. Un des témoins est Philippe Strintz, père de l’acquéreur
1600 (8. Martÿ), Chancellerie, vol. 328 (Registranda Meyger) f° 84-v
Erschienen H Veltin von Maystratzheim hatt für sich & verkaufft
Philips Strintzen dem Jüngern Spylman v. Barbara Cünin seiner hußfr. Inen
Zweÿ heüßer ein Vorder v ein hinder mit Iren hoffestätten v hefflin dar Zwisch. auch all and. Iren gebeud. gelegen Inn der S S Inn der opsgaß. Zubeyden* seyt neben heüsern vnßer Fr. Werck Zustendig stoßend hind. vff herrn Ambrosium Trauschen vnd Zum theyl hanns Decken schumacher Dauon gnd. iij ß iiij d boden Zinß vff dionisÿ den herrn vicarien oder deputaten des Chors hohen stifft St. Mehr Zehen guld. glts SW vff Marie verkhündung loßig mit 200 guld. deßelb. Werung Sunst sein freÿ ledig eÿg. V alles Recht der Khouff bescheh. vber solch. beschweden für 700 guld. SW
Hiebeÿ V mit sind gegenwärtig geweß. Philips Strintz des kheuffers vatter, Sambson Strintz Michel Schuman wurtzhändler
Le fripier Philippe Strintz épouse en 1598 Barbe, fille du charretier Michel Künlin
Mariage, cathédrale (luth. p. 33)
1598. Auf Ostern. Philips Struntz der altgewender, Barbara Michael Kunlin des holtz Kargers h. g. tochter (i 19)
Baptême, cathédrale (luth. f° 12)
1599. dominica cantate den 6. May, P Philips struntz der alt gewendt M Barbara, I Hans Philips, Susceptores Michael Schumern* der wurtzgremer, Martinus hieß des * gewendter, Fraw Martan H Dieboldt Hießen wurts Zum Hirschorn witwe (i 13)
Le musicien Philippe Strintz le jeune et sa femme Barbe Künlin hypothèquent au profit des enfants mineurs du boulanger Jacques Gerlach la maison sise rue des Fruits et la moitié d’une maison rue des Cerceaux (propre à l’épouse)
1601 (24.Martÿ), Chancellerie, vol. 333 (Registranda Kügler) f° 134
(Inchoat. fo: 150.) Erschienen Philips Strintz der Jünger Spilman vnnd Barbell Cünin seine eheliche Haußfrauwen
Haben Inn gegensein des Ehrenhafften Herrn Georg Bochen, Brotbeckens als geschwornen Vogts, Wÿland Jacob Gerlachs des Brotbeckens seligen Kind. – schuldig seÿen 50 pfund pfenning Straßburger gelühens gelts
Zum vnderpfand ÿngesetzt hernach geschribenen heüßer Nämblich
Zweÿ Heüßer ein vord. vnd ein hind. mit Iren hoffstätten vnd höfflin dar Zwüschen auch allen and.n Iren gebeuwen gelegen In d. St. Straßburg Inn d Opsgassen Zu beden seitten neben Heüsern dem Werck unser Frauwen Münster Zustendig stoßend hinden Zum theÿl vff Ambrosium Trauschen vnd Zum theÿl vff Hans Becken Schuhmach. Davon gond 3 schilling vier pfenning bodenzinß den herrn Vicarien des Chors hoher Stifft Straßburg So dann Zehn guldin gelts vff Mariæ v.khündung fallend, ablößig mit 200 guldin Straßburger, h. Johann Scheÿden d. rechten Licentiaten, Vnnd seind auch noch v.hafftet für 600 gulden Straßburger, daran alle Jar vf Mariæ V.khündung 40 guldin mit sampt dem Zinß erlegt werd. sollen, Veltin von Meÿstratzheim, Sunst freÿ ledig eÿgen,
Item den halben theÿl bemelten Ehegemechen für unvertheilt gepürende, ane Hauß vnd Hoffstatt mit allen and.n Iren gebeüwen gelegen In d. Voorstatt ane Steinstraß Inn der Reÿffgaßen einseit neben dem Reÿffbad, andersit Arbogast Goppen des Schloßers seligen Wittwe vnd Erben stoßend hinden vff der Stattgraben, für freÿ ledig eÿg. wie man sagt, daran der vberig halb theÿl Marien Cünen obbemelter Barbeln Schwester Zustendig
Hiebeÿ geweßen Lienhardt Cünen der Holtzkarch. obbemeler Barblen brud.
[in margine :] Erschienen herr Georg Boch hatt Inn gegensein hanns Eÿßelharts Altgewender alles Jetzigen besitzers der ver vnderpfanden Behußung (…) den xxv tag Januarÿ 1606.
Le musicien Philippe Strintz le jeune et Barbe Künlin vendent au fripier Tobie Strintz et à sa femme Barbe la maison rue des Fruits, comprenant un bâtiment avant et un bâtiment arrière séparés par une petite cour
1602 (14. Junÿ), Chancellerie, vol. 343 (Registranda Kügler) f° 286
Erschienen Philipp Strintz der Jünger Spielman, burg. alhie vnd Barbara Cünlerin sein haußtraw, mit beÿstand Philipps Strintzen des eÿltern Ihres lieben vatters vnd Schwagers
Haben In gegensein Thobia Strintzen Altgewenders vnd Barbeln seiner haußfrau (…) v.kaufft
Zweÿ Heußer ein vord.s vnd ein hinds. mit Iren hoffstätten vnd höfflin dar Zwüschen auch allen and.n gebeuwen gelegen In d. St St. In Opsgassen, Zu beÿd. seiten neben heusern dem Werck vnser Fr. Münster Zustendig stost hind vff Ambrosium Trauschen v. Zum theil Hans Weber Schumacher, Davon gnd dreÿ schilling 4 pfenning boden Zins vff dÿonisii fallend den H vicarien des Chors hoher Stifft Straßburg, Item Zehen guldin geltts vf Mariæ v.khündung fallend, ablösig mit 200 guld. Straßburg. Jungfrauwen Clar Annen Scheÿdin deren vogt h Johann Scheÿden d. rechten licentiat Ir bruder, Vnd sindt auch noch v.hafft für 250 guld. Straßburg werung, doran vff Marie v.khündung 1603 (…) Veltin von Meÿstratzheim, Sunst für freÿ ledig eÿgen Vnd alles recht. der Khauff vber obbestimpte beschwerd. daran die Kheuffere gewÿssen vnd über sich genommen Zugangen vnd beschehen vmb 380 guldin Straßburg. Werung
(vnd d. Khauf für ledig eÿgen vmb xj C gl. St. ) vide Aô 1600 fol. 97.
Fils du fripier Martin Strintz, Tobie Strintz se marie en 1577 avec Chrétienne Weissensteiger, fille de Gui Weissensteiger de « Bach » près de Riedlingen en Wurtemberg, veuve du corroyeur Guillaume Haan qu’elle a épousé en 1570
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 100 n° 13)
1570. den 23. Maÿ sind Ehlich eingesegnet worden Wilhelm Haan der lederbereÿter, vnd Christina weissensteigerin Veit weissensteigers tochter Von Baach beÿ Riedlingen (i 115)
Mariage, cathédrale (luth. p. 285)
1577. Sontag den 9. Decemb. Tobias Strintz, Martin Strinntzen deß altgewent Sun, Christina, Wilhelm Han, des Lederbereitt. hind: Witwe, wontt im seyler geßle (i 145)
Tobie Strintz se remarie en 1589 avec Barbe, fille du tonnelier Michel Schmidt
Mariage, cathédrale (luth. p. 163)
1589. Dominica X. post Trinitatis 3. Augusti. Tobias Strüntz der Altgewänder, vnd Barbara Michel Schmid des Küfers nachg. tochter, Eingesegnet Montags den 11.ten Augusti (i 85)
Le fripier Tobie Strintz et sa femme Barbe hypothèquent la maison au profit de Marie, fille de Georges Wasmuth.
1604 (22. Martÿ), Chancellerie, vol. 350 (Registranda Kügler) f° 107-v
(Inchoat. fo: 112.) Erschienen Thobias Strintz Altgewender burger Vnnd Fr. Barbara sein ehegemahl
Haben in gegensein Philips Strintzen des Eyltern Altgewenders Als geschwornen Vogts Marien, weÿland Jörg Waßmüths burgers alhier seligen dochter – schuldig seÿn 60 pfund pfenning
dafür Vnderpfand sein sollen Zweÿ heüßer ein Vorders vnd ein hinders mit Iren hoffstetten vnd höfflin auch allen and. Iren gebeuwen gelegen Inn d. St. St. Inn d. Opßgaßen Zu beden seiten neben heüßern dem werck Vnser frauwen Münster Zustendig, stoßend hinden vff Ambrosium Trauschen vnnd Zum theil Hannß Webern Schumachern, dauon gond Zuuor dreÿ schilling 4 pfenning bodenzinß den Herren Vicarien des Cohrs hoher Stifft Straßburg, Mehr 10 guldin gelts widerlheuffig mit 200 gudlin Straßburg. Jungfrauwen Clarannen Scheidin deren vogt H Johann Scheid der Rechten Licentiat Ir Brud. Vnnd seind Auch noch verhafftet für 480 guldin Straßburger daran Alle Jar vff Mariæ Verkündung 40 guldin mit sampt gepürenden Zinß erlegt werden sollen Veltin von Meÿstratzheim seligen Erben
Tobie Strintz et Barbe Schmidt passent un contrat alimentaire avec le fripier Maurice Bender qui devient locataire de la maison
1616 (xij. Octobris), Chancellerie, vol. 421 (Registranda Meyger) f° 427-v
(Inchoat. in Proth. fol. 452) Erschienen Thobias Strintz burger Zu Straßburg vnd Barbara Schmÿdtin sein eheliche haußfr Ane eim
So dann Moritz Bender der Altgewend. burg. Zu Straßburg Am And. theil
Vnnd haben bede parth. sich eines leibgedings mit einander Vereinbaret Vnd Verglich. Inn Weÿß vnd alß wie hernacher volgt, Nammlich Zum ersten so hatt obgenannter Moritz Bender bemelte ehegemechd vff vnd Angenommen dieselbe gebürlich. mit eß. vnd trincken zu Versehen (…)
dagegen Vnd hinwiderumb, weil er Moritz Bender Inen der bed. ehegemechd für Aberkhauffte Waar 200 pfund d schuldig worden, so sollen die selbige ij C lb nach der ehegemechd Absterb. Ime Moritz eÿgenthümblich für vnd Ane statt diesses leibgedings Verpleÿb. Vnd wurd ermelt. Moritz Mitler Zeit Auch die heußliche Wohnung beÿ Inen den ehemechd. haben Inn Ihrer behausung Inn s. Obß gaß. Alle Jahr vmb 2 gl. Str: Werung Jährlichs Zinßes
Le cordonnier Guillaume Haan hypothèque au profit du marchand Jean Beucher le quart de la maison, héritée de sa mère Chrétienne Weissensteiger, dont son beau-père Tobie Strintz a la jouissance viagère.
1616 (ut spâ [xxj. Decembris]), Chancellerie, vol. 423 (Registranda Kügler) f° 247
(Inchoat. fo: 243) Erschienen Wilhelm haan Schumacher
hatt in gegensein herrn hans Beuchers handelsmann bekhant demselb wyther vber die 100 pfund pfenning, deren lut* zwo vnderschidenliche verschreybungen vffgericht die einen datum den xxv. Aprilis 1618. der andere den xxj martÿ Anno 1609. demselben vffrechten vnd redlichen schulden schuldig 35 pfund pfenning (…)
dafür Vnderpfand sein soll Ein Vierdtertheÿl Ime dem Schuldbekhenner wie er sagte gebürend ane dem eÿgenth. vnd wÿdems Verfangenschaft ane allen dem haab vnd güttern ligenden vnd varenden keine Vßgenommen So Wÿland Christina Wÿßensteygerin sein liebe Mutter Verlaßen vnd Inn dem darüber vffgerichten Inventation in specie Zubestand* So vnßer burger Tobias Strintz der Altgewender sein Wilhelm hanen Stieffvatter sein leben lang zuniß. welcher vierdentheÿl dißer wÿdems Verfangenschaft wyther verhafftet für obermelt 100 pfund
L’inventaire des biens de Tobie Strintz est dressé en 1622 après sa mort. Il délaisse de son premier mariage avec Chrétienne Weissensteiger une fille Barbe, épouse du tailleur Matthias Lederlin, en outre ses enfants adoptifs Susanne Haan, épouse du cordonnier Philippe Weinschenck, Jean Georges Haan et les enfants de Guillaume Haan. La veuve Barbe Schmidt est assistée de son curateur le relieur Conrad Mauskopff. L’inventaire est dressé dans une maison rue des Fruits. La masse propre à la veuve est de 15 livres, celle propre aux héritiers de 4 livres. L’actif de la communauté s’élève à 589 livres
1622 (21. Aug.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 27) f° 530
Inventarium Aller Haab v Nahrung so weÿland d. Ehrenhafft v fürnehm Tobias strintz Altgewender vnd burger Zu Str. nach seinem tödlich. hinscheÿden hinder Ihme verlaß. d° vff erfordern v. begehren frawen Barbaræ strintzin, Matthÿß Lederlin deß schneid. vnd burgers Zu St. haußfr. mit beÿstand deßelbigen weÿland obgemelt. tobiæ strintzen s =: mit Christina wissensteigerin seiner erst. haußfr seeligen erzeügt ehelich docht., ferner frauwen Susannen Hänin, obgemelts Christinæ wissensteig. erzeügter v von* obgenanten tobiam strintz adoptirten dochter, Philipß weinschencken deß schumachers burgers Zu St. ehegemahlin mit beÿstand erstgemeldt Ihreß hußwürts, Weitter herr Johann Georg Kurschner Notarius Alß Ane sein vorgemelts Philipß weinschenck. geschwornen theilvogts Annen, Wilhelm v Elisabeth Weÿland Wilhelm hanen deß schumachers obgemelts tobiæ strintz. angewünschten sohns selig. Kind. So dan H Johann Bölers Notarÿ alß geschworner theilvogt weÿl. Petri hanen des schneiders vorgemelt Zu seiner v Wilhelm seinen bruders v Zugleich Johann Mehrgemelts tobiæ strintz. adoptirten sechs selig. Kind. Mit nahmen hans Wilhelm Johann Georg hanen gebrüd. vnd dan hans Wilhelm dselbß gegenwrtig, Aller obgemelts tobiæ strintzen selig ehelich erzeügt v angewünschten döchter deselß brud. v. also seiner Vermög vffgerichtete Ein*schafft hind.lassener erben, Durch frawen Barbaram schmidin die wittib mit beÿstand des Ehrenhafft Conrad Maußkopffs buchbünders burgers Zu st. Ihreß geschwornen vogts (…) Actum v. angefang. Mittwoch d. 21.t August. aô 1622.
NB die eheberedung wie (…) vffgericht Codicill sollen am J. einverleibt werden
Inn einer behausung In d. Statt Straßburg vnd. d. opst gaß geleg.
Auff dem obersten boden, nichts. Auff dem andern bod., Inn d cammer B, Inn d obern stub., Inn dem hind. cleinen Stüblin
Abzug Inn dises Inventarium. Der frawen Wittib unverändert gutt, Sa. haußraths 8 ß, Sa. Silbergeschmeid 2, Sa. guldener ring 13, Sa., Summa summarum 15 lb
der Erben Unverändert gutt, Sa. haußraths 2, Sa. Silbergeschirrs 2, Summa summarum 4 lb
Theylbar gutt, Sa. haußraths 42, Sa. Silbergeschirrs 16, Sa. guldener ring 7, Sa. baarschafft 21, Sa. Schulden 502, Summa summarum 589 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 610 lb
Tobie Strintz et Barbe Schmidt vendent la maison au fripier Maurice Bender
1620 (ut spâ [viij Martÿ]), Chancellerie, vol. 439 (Registranda Meyger) f° 145-v
(P. fol. 161.) Erschienen Thobias Strintz der Altgewend. burger Zu Straßburg vnd Barbara Schmÿdtin sein eheliche haußfrauw (verkaufft)
Moritz Bender dem Altgewend. bürgern Zu Straßburg vnd Susanna Breüßlerin seiner ehelichen haußwürthin So bede Zugeg.
hauß, hoffstatt, höfflin vnd hind. hauß, mit Allen Ihren gebeu. geleg. Inn d. St. St. vff dem fronhoff Inn d. Obß Gaß. Zu bed. seÿth. neben heüßern dem werck Vnßer Fr: münster gehörig bewohnt Ulrich Höner d. Sÿgrist vnd anderseit neben Gabriel Burger schreÿner hind. vff Caspar dorn den schuomacher stoßend, dauon gend v batz Bod. Inn gürtlerhoff Mehr x gd geld lösig mit ij C gl Werung vff Mariæ Verkündung wÿland Martin Trausch s. witwen, sunst ledig eÿg. Vnd Alles Recht & Also das & Vnd Ist dißer Khauff vber obgehörtte beschwerd. so die Kheüffere vff sich genommen Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 450 pfund
(vide in Regist: de Ann. 1628. fol: 467 et in Regist. de Anno 1632. fol. 407.)
Originaire de Holzgerlingen (près de Böblingen en Wurtemberg), le tailleur Maurice Bender achète le droit de bourgeoisie en mars 1612
1612, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 766
Mauritz Bender der Schneider von Holtzgerlin khaufft d. Burgerrecht mit Beÿstandt Theobaldt Schwenden* vnd hanß Adolph Müllern d. Schneider wüll Zu den Schneidern dienen Actum den martÿ aô 1612.
Il épouse le 8 mars 1612 Susanne, fille du pasteur Georges Bussler
Mariage, cathédrale (luth. p. 279, n° 24)
1612. Dominica Reminiscere den 8. Martÿ. (M)oritz Binder der schneider und Susanna Jerg Büßler pfarrer zu Krant* n.g. tochter vnd geweßene pfarrer zu Bußler (i 143)
Baptême de leur fils Alexandre en août 1613.
Baptême, cathédrale (luth. f° 16)
1613. Augustus. Dominica IX. Trinitat: den 1. Augusti Parens Moritz Bender der Schneider und Susanna sein fraw. Infans, Alexander, Patr. Geörg Rott der Schuhmacher vnd (i 17)
Le fripier Maurice Bender hypothèque la maison au profit du farinier Michel Klein. En marge, quittance accordée au revendeur Jean Michel Diebold et à sa femme Anne Marie en 1675.
1633 (ut spâ. [11. Julÿ]), Chambre des Contrats, vol. 471 f° 338-v
Erschienen Moritz Bend. der Altgewänder, burger Zu St.
hatt in gegensein Michel Kleinen deß Meelmanns haußfrawen Annæ – schuldig seÿen L. lb
dafür Vnderpfand sein soll hauß, hoffstat und höfflin mit allen andern ihren gebäwen & geleg. alhie in der Obßgaßen, beederseits neben Häuser dem Werck vnser Frawen Münster Zuestendig, hinden vff Caspar Dörner den schuhmacher stoßend so Zuuor auch verhafftet vmb 200. fl. wer. weÿ: Martin Trauschen s. wittib, So gehen Jährlich auch davon 5 bz. bodenzinß im Gürtlerhoff
[in margine :] Erschienen der Ehrenvest hochgelehrte herr Johann Georg Grad U. I. D und E. E. groß. Rhats Advocatus et Procurator, alß deme die hierinn gedachte 50. lb (…) gehörig hatt in gegensein hanß Michael Dieboldt deß Kremp alß iezigen Possessoris herinngedachter behausung und Anna Maria beÿder Eheleuth mit beÿstand Johann Friderich Dieboldts statt trompeters ihres eheleiblichen Sohns (quittung) Act. 28. Junÿ a° 1675
Maurice Bender vend la maison au fripier Nicolas Heyder et à sa femme Susanne. En marge, quittance donnée par Maurice Bender au nom de son fils défunt Frédéric.
1638 (19. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 479 f° 235
(Protocollat. fol. 34.) Erschienen Moritz Bend. d. Altgewänd.
hatt in gegensein Niclauß Heÿders deß Alt geweders auch burgers alhie und Susannæ seiner ehelichen haußfr. (verkaufft)
hauß und hoffstatt sampt den hind. hauß mit allen and. ihren gebäwen & Alhie hinderm Münster in der Obsgass, beed.seits neben Häusern dem werck vnser Frawen Münster zuständig, hind. vff Barthel Hocken dem Hosenstricker stoßend, dauon gehen Jährlich 5. bz. bodenzinß dem Gürtlerhoff, It. 10. fl. w. gelts vff Mariæ V.kündigung H D Niclaus Acker in hauptgut mit 200. fl. wer. abzulöß. So seind sie auch noch verhafftet umb 100. fl. It. vmb 100. lb d. weÿ: Tobiæ Braunen Kindern, Mehr umb 100. lb d Martin dieterlen dem Meelman vmb 100. lb Philipp Strintzen dem Bütel Zur Mörin, So dann umb 163. lb. 15 ß sein deß verkäuffers Kind. für ihr Mütterlich Gut (…) vf sich genommen, geschehen per 81. lb
[in margine :] Erschienen Moritz Bender der Verkäuffer, hatt in gegensein deß Käuffers bekannt, demnach sein Benders Sohn hanß Friderich Bender mit todt abgangen, undt dahero der Vater denselben geerbt (…) Act. den 13. Januarÿ Anno 1640.
Originaire de Winterbach près de Schorndorf en Wurtemberg, Nicolas Heyder épouse en 1607 Aurélie, fille du jardinier Sébastien Leh et de Marguerite Nessmann : contrat de mariage, célébration
1607 (x tag Augusti), Chancellerie, vol. 370 (Registranda Meyger) f° 349
(Inchoat. in Proth. fol: 293. – P. fol. 438 postea [Eheberedung]) Erschienen Niclaus Heÿder vonn Winterbach beÿ Schorendorff der schneÿd. mit beÿstandt & Mathÿß Hammen des schneiders burgers Zu Straßburg seines guttenn freündts Ane eim,
So dann Trely Bastian Lehen des gartners vnd. Wagner burgers Zu Straßburg dochter mit beÿstandt jetzgemelts Ihres vatters vnd Margred Neßmännin Ihrer Mutt. Am Andern theil
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 108-v, n° 56)
1607. Niclaus heider schneider Von Schorndorff J. Aurelia Löß bastian des gartners tochter. 29. Septemb. (i 111)
Nicolas Heyder qui sait lire et écrire est élu commissionnaire de Nuremberg de préférence au passementier Sébastien Rœderer
1625, Conseillers et XXI (1 R 107)
Nürnberger Bott von Newen angenommen. Niclaus Heider der Schneider. 106.
(f° 106-v) Sambstag den XIV May
Niclaus Heider d. Schneider bitt umb ein Bottenbuchs so Michel Benner* der alte Bott nach Nürnberg eine seit A° 1599 gebraucht mit anzeug d. er die burg. Zu Nürnberg wol Kenne auch sch.ben v lesens wol erfahren.
Sebastian Roderer Paßmentirer der hab eh 17 Jar Zu Nürnberg aufgehalten vnd doher bey den Burgern wol bekant Kan auch sch.ben u lesen Bitt Ime obgedachte buchs werd*. Zulassen.
Ego bericht d sie beide auch bey mir gewessen, aber mit fleißherum* gewesen d. es ein solch werck so ein continuations auf sich hatt vnd bißterg*. er vil* vnttererl* lanndt*, sonsten hab d. Schneid. auch von alten Botten ein gutt Zeugnus, sey auch h Glasern dem Rhatthen bekant, der gibt auch ein gutt Zeugnus sonderlich der Mechtegkeit vnd gutten leynutts. Erk. Man soll Niclaus Heider die buchs geben Jedoch d. er wie herkommen 2 bürg stelle.
Nicolas Heyder se remarie en 1628 avec Susanne Ferin, fille du blanchisseur Jean Ferin de la Robertsau, qui s’est mariée en 1624 avec le cordonnier Daniel Blümlin
Mariage, Robertsau (luth. n° 183)
1621. Dom. 18. et 19. a Trinit. Haben sich bei Vns in Rupr. Aw p.clamiren laß. Daniel Blümlin, Bartholome Blümlins des Blegers sohn der Schumacher Vnd Susanna Hanß Ferin olim des Blegers Hinderlassene tochter, Hanß Hagsteins stiftochter (i 127)
Mariage, Robertsau (luth. n° 253)
Anno 628. Dom. Septuag. et Sexag. Haben sich bei vns p.clamiren laß. Niclauß Heÿder der Nürnberger bott vnd Susanna Daniel Blümlin Schumachers hinderlaßene wittbe (i 132)
Le tuteur des quatre enfants de Nicolas Heyder vend la maison composée de deux bâtiments au tonnelier Mathias Zehler
1649 (18. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 503 f° 280
(Prot. fol. 94.) Erschienen Niclaus Clauß der Seÿler Vnd Burger Zu Straßburg alß Vogt weÿl. Niclauß heÿdters deß Allgewänders seel. nachgelaßener Vier Kinder, mit beÿstand H Johann Wolffgang Heßlers vnd H Alberti Weßners beed. E.E. geweßen. Rhats Beÿsitzere wie auch H. Jeremiæ Tromers deß Vergicht schreibers vnd Adam Ferichs deß Schuhmachers beeder alß der Vogts Kinder Verwanth.
hatt in gegensein Mathiß Zehlers deß Küblers alhie mit beÿstand hannß Michael Brandhoffers auch Küblers Vndt Burgers alhie
Zweÿ häuser ein Vorders vnd ein hinders mit deren hoffstätten vnd höfflin auch allen andern ihren Gebäwen & alhie hinder dem Münster an der Obßgaßen mit beeden seiten neb. häußern der Fabric deß Münsters Zugehörig, hind. Vff Barthol Hockhen deß außgetrettenen hosenstrickers Behaußung stoßend gelegen, davon gehnd Jährlichen 3 ß 4 d in den Gürtler hoff alhie, Mehr 10. fl. wehr. vf Mariæ Verkündung in hauptgut mit 200. fl. ermelter Wehrung abzulößen H. Nicolao Agern Med: Doct: So dann ist diße Behaußung noch Verhafftet vmb 50. lb. H Valentin Jäger alten groß. Rhats Verwanth. (übernohmen) – umb 225. lib
Mathias Zehler épouse en 1641 Marthe fille du tonnelier Jean Michel Brackenhoffer
Mariage, cathédrale (luth. p. 446)
1641. Festo Paschalis. Matthias Zöler, der Kübler vndt Burger allhie, vnd Jungfraw Martha, Hanß Michel Brandhoffers, Küblers vnd Burgers allhie hinderlaßene eheliche Tochter. eingesegnet Im Münster Mont. den 21. Junÿ (i 228)
Veuf originaire de Renchen, Mathias Zehler devient bourgeois par sa femme une semaine après son mariage
1641, 4° Livre de bourgeoisie f° 202
Matthiß Zöler der Kübler von Renchen Empfangt daß Burgerrecht von seiner Haußfrauwen Martha weÿl. Michel Brandhoffers deß küblers Hinderlaßene dochter vmb 8 gold fl. Ist ein wittwer gewesen vnd wirdt Zu den Kieffern dienen. Jur. den 1. Julÿ 1641.
Mathias Zehler hypothèque la maison au profit du béguinage du Troisième ordre. En marge, quittance accordée au chandelier Jean Michel Diebold en 1675.
1660 (15. 10.bris), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 999-v
Erschienen Mathiß Zeller der Kübler
in gegensein H. Johann Schmidten alß Schaffners der Samblung Zur tritten Regul – schuldig seÿen 100. lb
Unterpfand sein sollen, Zweÿ häußer ein Vorders und ein hinders mit dero hoffstätten und allen Gebäwen, Begriffen, weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten, alhie hinder dem Münster an der Obß Gaßen, Zu beeden seithen neben Häußern der Fabric deß Münsters gehörig, hinden uff Barthol Hockhen deß außgetrettenen hoßenstrickhers Verlaßene Behaußung stoßend gelegen, davon gehend iährlichen 3 ß 4 d. in den Gürtler hoff allhie, Item 10. fl. wehr. uff Mariæ Verkündigung, lößig mit 200. fl. ermelter wehrung Hn Nicolao Agerio Med. Doctoris, so seÿe dieße behaußung auch noch umb 50. lib H Valentin Jägern alten Großen Rhats Verwanthen Verhafftet
[in margine :] (…) in gegensein hannß Michael Diebolts deß lichtermachers alß ietzigen Possessoris hierin in specie hypothecirter Häußer (quittung) Act. 22. Martÿ a° 1675.
Marthe Brandhoffer meurt en 1662 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé dans la maison au marché aux Cerises ou rue des Fruits selon sa description. La masse propre aux héritiers s’élève à 100 livres. L’actif de la communauté s’élève à 169 livres, le passif à 145 livres
1662 (26.8.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 31) f° 25
Inventarium vndt Beschreibung Aller vndt Haab und Nahrung, so weÿl. die Ehren: und tugendtsame Fraw Martha Brandhofferin, deß Ehrenhafften Mr Mathÿs Zehlers Küblers vndt Burgers alhie haußfraw nunmehr seel. nach Ihrem dinstags den 27.t Maÿ aus dießer welt tödtlichen hinscheÿden hinder Ihro verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern vndt begehren deß auch Ehrenhafft vndt Achtbahren H hannß Michael Brandhoffers, Statt Küblers vndt Burgers alhier, alß Hannß Martins vndt Annæ Mariæ, beeder geschwüsterdt vndt der ietz abgeleibten frn. seel. mit obernandtem Ihrem hinterpliebenenem wittwer ehelich erzeugter Kind. vndt ab intestato hinderlaßene nechster Erben geschwornen vogts (…) So beschehen auff Donnerstag den 26.t Augusti A° 1662.
Inn einer alhie in der Statt Straßburg auff dem Kirschen marck gelegener behaußung so auch in dieße verlaßenschafft gehörig vndt hernach beschrieben, Ist befunden worden wie volgt
Auff der obern Bühnen, Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, Inn der Cammer C, Inn der Wohnstuben
Eÿgenthumb vndt Beßerung ane einer vordern vndt hindern behaußung, so theilbahr. Item Zweÿ häußer ein Vorders vndt ein hinds. mit deren hoffstätten vnd höfflin, auch allen andern begriffen, weithen, rechten, Zugehörd. vndt gerechtigkeiten, gelegen alhie in d. Statt Straßburg hinder dem Münster, an d. obs gaßen, Zu beeden seithen neben heüßern d. Fabric deß Münsters gehörig, hinden vff Barthel Hocken deß außgetrettenen Hoßenstricker vndt Burgers verlaßene Behaußung stoßendt, dauon gehen Jährlichen vff Joh. Bapt: 3 ß d in den Gürttlerhoff alhie, Item 10 fl. wehrung vff Mariæ v.kündung H Nicolao Aggern Medicinæ Doctori Burgern alhie in hauptguth lößig mit 200 fl. berührter wehrung, thun 105 lb. Item 2 lb 10 ß d Zinß Jährlich. vff Johannis Baptistæ ertged. Veltin Jegers, altten Großen Raths v.wanthen alhie seel. Erben ablößig mit 50 lb, Item 5 lb Zinß dem Stifft Zur Rothen Kirchen Jährlichen vff weÿhenacht seindt in hauptgueth abzulößen mit 100 lb. Sonst ledig eigen, angeschlagen p. 75. lb. Darüber vorhanden j. t. Perg. Kauffbr. mit d. St. Straßb. anhangend. Contract Insigel deßen dat. den 18.t Ap.lis A° 1649.
Ergäntzung der Erben unveränderten Guets (…) Item von Ihrer Mutter seel. gleich vberig. Ihren geschwüsterd. Item von Ihrer led.waiß verstorbenen Schwester Catharina, Item von H hannß Michael Brandthoffern Ihren brud.
Der Erben unverändert Gueth,Sa. Haußraths 16, Sa. Silbers 15 ß, Sa. Guldiner Ring 3, Sa. der Ergäntzung 79, Summa summarum 100 lib
Die Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 78, Sa. holtz, reÿff vndt gemacht vnd ohnaußgemachten geschirrs wie auch werckzeugs Zul Küglers handwercks gehörig 12, Sa. Guldinen Ring 1, Sa. Eigenthumbs vnd beßerung ane einer behaußung 75, Summa summarum 169 lib – Schulden 145, Nach deren Abzug 23 lib.
Conclusio finalis Inventarÿ 124 lib
Mathias Zehler se remarie en novembre 1662 avec Anne Marie Malck, fille du pêcheur Etienne Malck de Niederhausen en Bade, qui avait épousé en 1646 le tonnelier Martin Heus
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 124 n° 51)
1662. Dominica XXVI Trinitatis 23. Novembris. Matthiß Zeller Kübler undt Burgern allhie und Anna Maria Weÿl. Martin Heußen deß Küblers vndt Burgers alhie nachgelaßene Wittib. Copulavi Mont. 1. 10.bris (i 140)
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 29)
1646. Dominica IV. Trinitatis 21 Junÿ. Martin Heus der Kübler alhie Vnd Jfr Anna Maria Stephani Malck des Fischers von Niderhausen nachg. Eheliche Tochter. Copulirt 29. Junÿ J S Peter (i 38)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports au Petit marché aux Chevaux (ensuite rue de la Mésange) dans une maison propre à l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 16 livres, ceux de la femme à 202 livres.
1665 (19.8.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 35) n° 15
Inventarium über Deß Ehrenhafften Mr Mathÿs Zehlers, Küblers und Burgers Zu Straßburg, Zu der Ehren und tugendsamen fren Annæ Mariæ Malgin, seiner ietzigen lieben hfrn. in die Ehe gebrachte Nahrung auffgerichtet 1665. – Zu der Ehren und tugendsamen fren Annæ Mariæ Malgin, weÿl. deß Ehrenhafften Mr Martin Heußen, auch geweßenen Küblers vndt Burgers alhier hinderlaßener Wittwen, seiner ietzigen lieben hfrn, als Crafft Ihrer mitt einander auffgerichteter Eheberedung ein unverändert Guth, in den Ehestandt Zugebracht (…) So beschehen In fernerem beÿsein H Hannß Michael Brandhoffers vnd H Bernhard Schlögels beed. Kübler v. Burgere alhie Ihr beÿderseits in vorigen Ehen ehelich erzeugter Kind. geschworner Vögten Sambstags den 19. Aug A° 1665.
Inventariul über Der Ehrn: vndt Tugendsammen Frawen Annæ Mariæ Malgin Zu dem Ehrenhafften Mr Mathÿs Zehmern, Küblern vndt Burgers Zu Straßburg, Ihrem ietzigen lieben haußwürth in die Ehe zugebrachte Nahrung auffgerichtet 1665.
Inn einer alhie Inn der Stadt Straßburg, ane dem Kleinen Roßmarcjh neben d. Meÿßen gelegenen Behausung, so der frn. gehörig, Ist befunden worden, wie volgt
Auff der Bühnen, Inn der Cammer A, Vor dießer Cammer, Inn der Cammer B, Inn der Wohnstuben, Inn der Stub Kammer, Im Obern haußöhren, Im Nebens Kämmerlein, Im Keller
Eÿgenthumb vnd Beßerung ane einer Behaußung. Item hauß hoffstatt vndt höfflin am Kleinen Roßmarck (…)
Deß Manns Nahrung, Sa. haußraths 156, Sa. deß Werckzeugs wie auch holtz, Reÿff bandt, gemacht vndt ohngemachter arbeith Zum Kübler handwerck gehörig 12, Summa summarum 169 lb – Schulden 152 lb, Nach deren Abzug 16 lb
Der Frawen Nahrung, Sa. Haußraths 78, Sa. deß Werckzeugs, holtz, Reÿff bandt, gemacht vndt ohngemachter arbeith Zum Kübler handwerck gehörig 17, Sa. Slibers 10, Sa. Guldinen Ring 11, Sa. der Baarschafft 28, Sa. Eÿgenthumbs vnd beßeung ane einer behaußung 100, Sa. Schulden 15, Summa summarum 261 lb – Schulden 59 lb, Nach deren Abzug 202 lb
Wÿdem, Wie in dem über weÿl. Marthan Bradnhofferin Mr Mathÿs Zeglers voriger hfren seel. verlaßenschafft auffgerichtetem Inventario (…)
Wÿdem Vermög einer von Jeremia Ursino Notario verfertigten Summarischen Abrechnung wegen weÿl. Martin Heußen der fren vorigen haußwürths seel. Verlaßenschafft
Le tuteur des enfants de Mathias Zehler vend la maison à Susanne, veuve du fripier Melchior Heintz. Une mention marginale rapporte la résolution de la vente faute de paiement en 1671.
1662 (20. X.bris), Chambre des Contrats, vol. 527 f° 648
(Prot. fol. 54) Erschienen H hannß Michael Brandhoffer der Statt Kübler alß Vogt weÿl. Mathiß Zellers deß Küblers seel. Kind.
in gegensein Susannæ weÿl. hannß Melchior Heintzen deß Altgewänders seel. nachgelaßener wittibin, mit beÿstand Christian Mohren deß Schneiders ihres Curatoris und Tobiæ Braunen deß Altgewänders ihres eheleiblich. Sohns
Zweÿ häußer ein vorders und ein hinders mit deren hoffstätten und höfflin, auch allen andern ihren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten, alhie hinder dem Münster an der Obstgaßen Zu beÿden seiten neben häußern der Fabric deß Münsters gehörig. hind. vff Barthel hockh. deß außgetrettenen hosenstrickhers verlaßene Behaußung stoßend gelegen, davon gehen iahrs 3. ß 4. d. in den Gürtlerhoff alhie, Item 10. fl. straßb. weh. iährlich. termino Annunciationis Mariæ lößig mit 200. fl. ermelter Wehr. H. Nicolao Agerio Med. Doct. so seÿe solche Behaußung auch noch umb 50. lib. weÿl. H Valentin Jägers geweßenen groß. Rhats Verwanthens seel. Erben dann umb 100. lib. der roth. Kirch. verhafftet, sonst ledig und eig. Und were dießer Verkauff und Kauff über gemelte Beschwärden deren die Kauff frau gewiß. word. ist (…) umb 125. lib.
[in margine :] Es hatt die hierinn Verkauffende Vogt, Vermittelst eines beÿ E. E. Kleinen Rhat am 30.t 8.bris ergangenen, und den 4.ten /:beÿdes Jüngsthin:/ publicirten bescheidts beschienen, dieweilen die hierinn gedachte Käufferin den Kauff Versprochener maßen nicht manuteniren einfolgig den restirend Kauffschilling nicht abtragen Können, daß nach besag angelegten Sentenz, seinen Curandis daß hauß widerumb adjudicirt worden seÿe, Ist derowegen Gegenwärtige Kauffverschreibung durchstrich. und die darauf gefertigte brieff entsigelt word. Act. d. 16. 9.br A° 1671.
Fille du fondeur de pichets Jean Bernard Rixinger, Susanne Rixinger épouse en 1632 le fripier Tobie Braun. Elle se remarie en 1640 avec le menuisier Jean Melchior Heintz, originaire d’Idstein en Hesse
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 122-v)
1632. Dominica 9. Trinitatis d. 29. Johann. Tobias Braun, der Altgewender, Tobias Braunen deß Altgewenders, vnd Burgers alhier hinderlaßener Sohn vnd Jungfraw Susanna, Hans Bernhard Rixingers deß Kantengießers vndt Burgers alhie nachgelaßene dochter. S. Thoman (i 129)
Mariage, cathédrale (luth. p. 439)
1640. Domin. 15. Trinitatis. Hanß Melchior Heintz der Schreiner, Caspar Heintzen deß geweßenen Burgers zu Ittstein nachgelaßener Ehelich. Sohn, vnd Susanna Tobiæ Braunen Altgewenders Vnd Burgers allhie nachgelaßene Wittib, Eingesegnet Im Münster Mont. den 21. Septemb. (i 224)
Originaire de Werschdorff (Wörsdorf près d’Idstein), Jean Melchior Heintz devient bourgeois par sa femme deux semaines après son mariage
1640, 4° Livre de bourgeoisie p. 196
Hannß Melchior Heintz Von Werschdorff d. Schneider Empfangt d. Burgerrecht Von seiner haußfrauwen Susanna, weÿl. Tobie Braunen deß Alttgewenders seel. Wittib vmb 8. goldtguld. Ist ledig. Stands vnd wüll Zu der Mörin Zünfftig sein den j. 8.bris Aô 1640.
Jean Melchior Heintz meurt en 1657 dans une maison rue des Pâtissiers (actuelle rue des Hallebardes) en délaissant pour héritiers les enfants de sa sœur Anne Marguerite Heintz et d’Etienne Bimburg, employé à la Monnaie de Worms. La masse propre à la veuve est de 627 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 787 livres, le passif à 630 livres.
1657 (20. 8.br), Not. Schübler (Christophe, 55 Not 8) n° 22 (594)
Inventarium undt Beschreibung aller Haab undt Nahrung, so weÿland der Ehrsame vnd bescheidene Johann Melchior Heintz gewesene altgewandter vnd burger allhie, welcher den 7.ten Julÿ Instehend. Jahrs todlich. verblichen hinderlaßen, So auff erfordern vnd begehren, deß verstorbenen seelig per Testamentum nominirte vnd ahne Nachgemeltem folio benembster Erb, Crafft vorgelegten gewalts gevollmächtigten Gewalthabers deß Ehrenvesten fürsichtig vnd weiß. H Johann Michel Henning E. E. Großen Raths beÿsitzers vnd burgers in Straßb. durch die Viel ehren vnd tugendreiche Fr. Susannam Rixingerin die hinderbliebene wittib, mit beÿstand deß Ehrenhafft. H. Christiani Moren, Schneidern Ihes geschwornen vogts, geäugt vnd gezeigt (…) Actum vnd angefang. Dienstags den 20.ten Octobris 1657.
Der verstorbene seel. hat p. Testamentum Zue Erben verlaßen wie volgt 1. Anna Margaretha Heintzin seine Schwester mit Stephan Bimburg Müntzer gesellen, ietziger Zeit Zue Wormbs sich enthaltend, erzeügte Sohn vnd dochter, welche den todtfall erlebt, Nahmens Hannß Melchiorn vnd Anna Margaretha, welche beede der Inventation beneben vor Ehrengedachtem Ihrem gevollmächtigten H Gewalthaber in Persohn beÿgewohnt
Inn einer Inn der Statt Straßburg in der Fladergaßen gelegenen vnd dem Stifft Frawen Münster Zuständigen behaußung ist befunden word. Wie Volgt
Auff der obern Bühn, Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, Inn der Cammer C, Inn der Cammer D, vor dieser Cammer, Inn der Wohnstub, Im obern haußöhren, Inn der vndern stuben, Im vndern Kuchen, Im Keller
Ergäntzung d. Wittib unveränderten guets, vermög Inventur vber der Wittib in den Ehestand Zugebrachte Nahrung, durch H Casparum Medlern Notarium im Augusto 1640. vffgerichtet
Schulden aus dem Erben (…) It. hatt die wittib Thobia Braunen Ihrem Inn erster Ehe erzeugtem Sohn, Inhalt Inventarÿ vber Thobiæ Braunen gewesenen Altgewenders Ihres ersten haußwürths seeligen Verlaßenschafft durch H Casparum Medlern Notarium in Anno 1636. vffgerichtet
Abzug Inn dißes Inventarium. der Wittib unverändert guet, Sa. haußraths 77, Sa. Silbergeschirrs 5, Sa. Goldenen ring 10, Sa. Erg. (629, gehet ab 40, Pleibt) 588, Summa summarum 652 lb – Schulden 54 lb, Pleibt 627 lb
Der Erben unverändert, Theilbar Guet, Sa. haußraths 118, Sa. Frucht 3, Sa. Wein vndt Leeren vaß 140, Sa. Wahren 428, Sa. Silbergeschirrs 64, Sa. guldinen Ring 5, Sa. baarschafft 14, Sa. Schulden 3, Summa summarum 787 lb – Schulden 630, Rest 156 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 750 lb
– Ich Stephan Binborck, der Zeut bestellter Müntzer Gesell in des Heÿligen Reichs freÿ Statt Wormbs bekenne hiermit offentlich, vnd thue Kundt Jedermänniglichen, Nachdem ich glaubwürdig berichtet worden, daß mein Geehrt: und Geliebter Schwager der Ehrengeachte und Vornehme Herr Hannß Melchior Hängen, gewesener Burger und Altgewänder in der auch heÿligen reichs freÿ Statt Straßburg vor ohngefehr neun Wochen todes verblichen (…). Signat. Wormbs den 14.t Septembris im Jahr Christi 1657. bekene ich Steffen Binnborck wie ob stedt
Le tuteur des trois enfants de Mathias Zehler et de Marthe Brandhoffer vend la maison au chandelier Jean Michel Diebold
1671 (16. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 538 f° 751
(Prot. fol. 39. fol. 2.) Erschienen Herr hannß Michael Brandhoffer der Statt Kübler alß Vogt hannß Martins undt Annæ Mariæ, Mathis Zellers deß Küblers, mit Martha Zellerin gebohrner Brandhofferin nunmehr seelig ehelich erziehlter Kinder, mit beÿstand ersternannts ihres eheleiblichen Vatters
in gegensein hannß Michael Diebolts deß Liechtermachers
Zweÿ häußer ein Vorders undt ein hinders mit deren Hoffstätten und höfflin auch allen andern ihren Gebäuen, begriffen, weithen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhier hinder dem Münster an der Obßgaßen Zu beeden seiten neben häußern der Fabric deß Münsters gehörig, hinden uff Barthol Hockhen deß außgetrettenen Hoßenstrickhers Verlaßene Behaußung stoßend gelegen, davon gehen iahrs 3. ß 4. d. in den Gürtler hoff gelegen, Item 10. fl. straßburger wehrung iährlichen termino Annunciationis Mariæ lößig mit 200. fl. ermelter Wehrung weÿl. herrn Nicolai Agerÿ Med. Doct. nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin und Erben, so seÿe solche behaußung auch noch umb 50. lb H. Johann Georg Graden U.I.D. und E.E. Kleinen Rhats Advocato et Procuratori, so dann umb 100. lb der Rothen Kirchen Verhafftet (übernohmen) – umb 75. lb
Jean Michel Diebold et sa femme Anne Marie (Klein) hypothèquent la maison au profit de Jean Frédéric Theurer, receveur de l’Œuvre Notre Dame
1674 (30. April), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 253-v
Hannß Michael Diebolt der Lichtermacher und Anna Maria beÿde Eheleuth, und Zwar dieselbe insonderheit mit beÿstand hannß Michael Diebolts deß Trähers und Johann Friderich Diebolds Statt Trompeters beeder ihrer eheleiblichen Söhn, alß deroselben hierzu beruffener nechster Verwanther
in gegensein herren Johann Friderich Teurers alß Schaffners der Fabric deß Münsters – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, Zweÿ häußer ein Vorders und ein hinders mit allen deren Gebäwen und Zugehördten alhier hinder dem Münster ahn der Obs Gaßen Zu beÿden siten neben häußern der Fabric deß Münsters gehörig, hinden uff Barthol Hockh stoßend gelegen, davon gehend iährlichen 3. ß 4. d. in dem Gürtler hoff alhie, so seÿen solche häußer auch noch umb 50. lb Herrn Johann Georg Gradten U.I.D. und E.E. Großen Rhats Advocati et Procuratori, Item umb 100. lb der Rothen Kirch Verhafftet
Les experts estiment la maison, anciennenent dite zum Mohrenkopff (à la Tête de Maure) à la somme de 330 livres lors de l’inventaire dressé en 1689 après la mort de Jean Michel Diebold.
Sa veuve hypothèque la maison au marché aux Cerises au profit du syndic Christophe Güntzer.
1689 (3.3.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 120-v
Anna Maria gebohrne Kleinen weÿl. Johann Michael Diebolds, gewesenen Thurnbläser nachgelaßene Wittib, so ohnbevögtigt, mit beÿstand hans Michael diebolds deß hohltrehers und Johann Friderich diebolds, deß trompeters Ihrer beed. leiblich. Söhn
in gegensein H. Christoph Güntzers Jcti Königlichen Raths und Syndici auch dießer Statt Cancelleÿ Directoris – schuldig seÿe 150 pfund
unterpfand, Eine behaußung mit allen deren Gebäuen und zugehördt. allhier am Kirschmarck hind. dem Münster Zwischen Zweien d. fabric deß Münsters gehörig. behaußung. geleg. Zum Mohrenkopff genandt, darvon gehend jährlich 3 ß 9 d bodenzinß dem gürttler hoff allhier
La même somme de 330 livres est reprise en 1694 à l’inventaire d’Anne Marie Klein puisqu’il n’y a pas eu de travaux.
Les héritiers Diebold louent la maison à Mathias Hermès, maître d’école de la paroisse de la cathédrale.
1696 (27.1.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 48-v
Hans Michael Diebold der hohltreher für sich Und im Nahmen Johann Friderich Diebolds, des Statt Trompeters allhier seines leiblichen bruders
Hn Mathis Hermes des Schulmeisters im Münster alhier [unterzeichnet] Mathias Hermes
entlehnt, Eine behaußung sambt allen deren Gebaüen und zugehördten allhier in d. obsgaßen od. Kirschen Marckt, zum Mohrenkopff genandt, nichts darvon als eine Kammer im obersten stock unter dem dach, so sich die Verleiher vorbehalten, auß genommen, auff dreÿ Jahr lang von küfftig annunc. Mariæ dießes 1696.en Jahrs an zu rechnen, umb einen Jährlichen Zinnß Nemblich 20 pfund
darbeÿ expressé verglichen Erstlich daß der Entlehner den von dem Hauß schuldig. bodenzinß in 3 ß 4 d bestehend In d. Gürtler hoff der denselben zu erfordern ohne zu thun der Verleiher Jährlich richtig und ohnfehlbar abstatten solle, zu Andern, daß der entlehner den im Hauß befindlichen Waßer nach allzeit rein und sauber halten solle, damit die benachbarte deßwegen nichts zu klag. haben, drittens, Wann Zeit Wehrender lehnung die im Hauß sich befindenden s.v. Profeÿ solte nach Nothurfft müßen außgefühet werden, der Entlehner solche un Kosten auff sich zu leiden haben solle, doch nit mehr alß was dießer hauß betrift Maßen ged Profeÿ gemeinschafft mit dem benachbarten hauß ist
Le tourneur Jean Michel Diebold vend en son nom et en celui de son frère la maison au cordonnier Jean Lohrer moyennant 600 livres
1696 (17.2.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 103-v
Johann Michael Diebold der hohltreher für sich selbsten und vermög eines von hernach gemeldten seinen bruder eÿgenhändig geschrieben und underschriebenen Gewaldscheins constituirter mandatarius Johann Friderich Diebolds, deß Statt: und Feld Trompeters seines leiblich. Bruders
in gegensein Johann Lohrers, deß Schuhmachers mit beÿstand Peter Sauren, deß Schuhmachers, seines Schwagers
zweÿ Haüßer, Nemblich Ein vorderes und ein hinderes, mit deren hoffstätten und höfflein, auch allen anderen Ihren Gebaüen, Begriffen, weithen, Zugehördt und Gerechtigkeit, allhier hinder dem Münster an der Obst Gaßen zu beed. seit. neben haüßern der fabric deß Münsters gehörig, hinden auff Marx Schnepffen, den Seÿler Ehevögtlicher weiß, stoßend gelegen, darvon gehend jährlich 3 ß 4 s in den Gürttlerhoff allhier, zu bodenzinß – umb 600 pfund
L’acquéreur loue la maison au même Mathias Hermès
1696 (5.3.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 140-v
Johannes Lohrer der Schuhmacher
in gegensein Hn Mathiæ Hermes, Schulmeisters im Münster [unterzeichnet] Mathias Hermes
entlehnt, Eine Behaußung mit allen dern Gebaüen, recht. und zugehördt. allhier an der Obßgaßen oder Kirschen marckt, zum Mohrenkopff genandt geleg. nichts darvon außgenomm. auff ein Jahr lang von künfftig Annunc. Mariæ dies jahrs an zurechnen, umb ein Zinß nemblich 25 pfund
Fils du serrurier Jean Lohrer d’Ichenheim en Bade, Jean Lohrer épouse en 1679 Cléophée, fille du cordonnier Jean Michel Osterried : contrat de mariage, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen und bescheidenen Johann Lohrer von Ichenheim Fürst. Marggräff. Baadischer herrschafft dem Ledigen Schuhmacher, des Ehrenhafften Johann Lohrers Schloßers und burgers daselbsten ehelichen Sohn, alß dem Bräutigamb an einem, So dann der Erbaren tugendsamen Jungfrauwen Cleophe Osterriedin des weÿland Ehrsamen und bescheidenen Meister Jacob Osterriedts geweßenen burgers und Schuhmachers alhier Zu Straßburg seel. nachgelaßenen ehelichen dochter, alß der Jungfer Hochzeiterin anderen theils (…) Beschehen vnd verhandelt inn des Heÿl. Reichs freÿen Statt Straßburg Montags d. 21. Aprilis A° 1679., Johann Georg Jäger Nots.
Mariage, cathédrale (luth. f° 65, n° 15)
1679. Fest. Paschalis. Zum 2.mahl Johann Lohrer der Schumacher, Jo* des ältern Schloßers und Burgers zu Ichenheim fürstlich Mrgrffl: Baden-Badenischer Herrschafft ehel. Sohn, Jfr. Cleophe Weiland Jacob Osterrteds gewesenen Schuhmachers v. Burgers alhie nachgelaß: ehel: T. Dienstags den 1. Maji, Münster (i 66)
Jean Lohrer devient bourgeois par sa femme un mois après son mariage.
1679, 4° Livre de bourgeoisie p. 458
Johann Lorer der Schuhmacher Von Ichenheim, empfangt das burgerrecht von Cleophe, Jacob osterriethß deß Schuhmachers seel. dochter, seiner haußfr. p. 8. goldt fl. welche beÿ der Cantzleÿ erlegt word. seindt, ist vorhin ledig. standts gewesen, ut supra [4.t Junÿ 1679.]
Jean Lohrer meurt en 1706 en délaissant quatre enfants. L’inventaire est dressé dans la maison au marché aux Cerises que les experts estiment à 550 livres. La masse propre à la veuve est de 76 livres. L’actif de la communauté s’élève à 596 livres, le passif à 466 livres.
1706 (12. 8.br), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 16)
Inventarium undt Beschreibung aller Haab und Nahrung, so Weÿl. der Ehrenhaffte Meister Johannes Lohrer, geweßener Schuemacher vnd burger alhier seel. nach Seinem Montags den 19.ten Aprilis Jüngsthin, aus dießem mühesamen leben genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches Ansuchen, erfordern und begehren, des Abgeleibten seel. hinderlaßener Kinder vnd Erben, Wie auch dero resp° Ehe: vndt vögte, wie solche am folgendem folio benambstet, Inventirt, durch die Ehren: vnd tugendsame fraw Annam Cleophe Lohrerin gebohrne osterriedin, die Hinderlaßene Wittib, mit beÿstand des Ehrenhafften Mstr Johann Michel Mathißen Schuhmachers vnd burgers alhier, ihres Geschwornen vogts (…) geeügt vnd Gezeigt (…) Actum Straßburg, Dienstags den 12. 8.bris 1706.
Der abgeleibte seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen 1. Fr. Annam Cleopheam Zipßerin gebohrne Lohrerin, des Ehrenhafften Mr Christian Zipsers, Schuhmachers vnd burgers alhie Hausfrau, beiständlich ihres Ehevogts, 2. 3. et 4. Herrn Johann Jacob Lohrer, S. S. Theologiæ Studiosum, Johann Felix vnd Johann Lohrer, deren Geschworner vogt der Ehrenhafft Mstr Johann Osterried der Jünger Schuemacher vnd Burger alhier so dießem Geschäfft auch persönlich beÿgewohnt, Alle 4 des Verstorbenen seel. mit eingangs gemelter seiner Hinterlaßenen wittwen ehelich erzeügte Kinder vnd ab intestato Zu 4 gleichen portionen Verlaßene Erben.
In einer alhie Zu Straßburg ane dem Kirschenmarckt gelegener vnd in dieße Verlaßenschafft gehöriger Behausung ist befunden worden wie volgt
Eÿgenthumb ane einer behausung. Item hauß hoffstatt vnd Zugehörd mit allen deren Gebäuen, begriffen, Weiten, Rechten, Zugehörden vnd Gerechtigkeit. geleg. alhie Zu Straßburg ane dem Kirschenmarck, sonsten die Obsgaß gennandt, Zu beeden seiten neben heüßern der Fabric des Münsters Gehörig, hinden auff Marx Schnepffen en Seÿler stoßend. Davon Gehen Jahrs 2 ß 4 d bodenzinß dem gürtlerhoff alhier sonsten eig. durch der Statt Straßburg Geschworne Werckmeistere æstimirt vnd angeschlagen worden per 550. lb d. Vnd besagt über vorstehende behaußung ein teutscher Perg. Kbr. mit d. Statt Straßburg Cancelleÿ Contractstuben anhang. Ins. vnd datirt den 7. Februarÿ Anno. 1696.
Abzug. Der Wittib unverändert Guth. Sa. haußraths 12 lb, Sa. des Silbers 11 ß, Sa. d Guldenen ring 2, Sa. Pfenning Zinß hptgths 46, Sa. d. Erg. 15, Summa summarum 76 lb
Bericht wegen der Erben Unveränderten Nahrung. Alldieweilen der Wittib gegebenen auffrichtig wahrhafften Bericht nach, auch wie mann sich sonsten erkundiget, der Verstorbene seel. nicht das geringte In die Ehe gebracht, Weniger Von Seiner linien od. sonsten *chter etwas ererbt, alß hat deßen hinderlaßenen Kindern vnd Erben auch Kein unverändert vätterlich Guth Zugeschrieben werd. können.
Theilbar Guth, Sa. haußraths 24, Sa. Schue vnd Werckzeugs Zum Schuemacher handwerck gehörig 11, Sa. des Eigenthums ane einer Behaußung 550, Summa summarum 596 lb – Schulden 466 lb, Nach deren Abzug 119 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 206 lb
Copia der Eheberedung (…) Beschehen d. 21. Aprilis A° 1679., Johann Georg Jäger Nots.
Abschatzung den 2. Julÿ aô 1706. Weÿlandt des Ehrenhafften und bescheidenen Herrn Johannes Lohrer gewesenen schumachers seel. hinderlaßene fr. Wittib und Erben ist eine behausung alhier in der statt Straßburg hinder dem Münster auff dem Kirschen Marckt gelegen, einseits neben einer behausung Zum Hoch Löbl. Stifft frauwen hauß gehörig, ander seits auch auff Vorgedachtes frauenhauß hinden auff Marx schnepff seÿler stosendt Welche behausung sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und jetzigem preiß nach angeschlagen word Vor und umb Ein tausendt und Ein hundert Gulden. Bezeichnus durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe, [unterzeichnet] Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Johann Jacob Osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs.
La veuve et les enfants de Jean Lohrer hypothèquent la maison au profit de Richard Mockel, assesseur au Grand Sénat
1708 (14.5.), Chambre des Contrats, vol. 581 f° 349-v
weÿl. Joh: Lorers schuemachers wittib beÿständlich Hanß Michel Mathis schuemachers ihres vogts, Item Isaac Osterrith schuemacher alß vogt seiner minderjährig KKn, Christian Zipßer schuemacher alß ehevogt der verheurathetten Tochter
in gegensein H. frid: Reichards Mockers E.E. Großen Raths beÿsitzers alß vogts weÿl. Tobiæ Göbels schlossers wittib – schuldig seÿe 200 pfund
unterpfand, d. Lohrerische hauß allhier ahn dem Kirschenmarckt, ein und anderseit neben behaußungen der fabric des Münsters gehörig hinten auf d. Kurbengass – davon hat man 3 ß 4 d Jährlich in dem Gürtlerhoff zu bezahlen
La veuve et les enfants de Jean Lohrer hypothèquent la maison au profit d’Anne Madeleine Ensel, femme de l’enseignant Georges Frédéric Heupel
1710 (30.6.), Chambre des Contrats, vol. 572 (Protocoles) f° 27
Cleophe geb. Osterriedin Weÿl. Joh: Lorers Schuhmachers seel. hinterlassen Wittib beÿständlich Hanns Michel Mathis Schuhmacher Ihres Vogts, Item hn Johann Jacob Lorer SS. Theol. stud. so majorennis Und ohnbevögtiget, Item Anna Cleophe Lorerin Christian Zipfers Schuhmachers Haußfrau, So dann Isaac Osterried Schuhmacher alß Vogt Johann Lorers so des Schuemacher Handwerck lernet
in gegensein Frn Annæ Magdalenæ geb. Enselin hrn. M. Georg Friderich Heüpels Præceptor sup. Gymnasÿ haußfrauen mit beÿstand deßelben – 325 pfund
unterpfand, das Lohrerische Hauß mit allen gebaüen, rechten und Zugehörden allhier ahn dem Obs od. Kirschen Marckts beÿ dem Fronhoff ein: und anderseit neben Haüßern der fabric des Münster gehörig hinten auf die Curben gaß stoßend gelegen
Nouvelle hypothèque entre les mêmes parties.
1722 (14.9.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 554
Cleophe geb. Osterriedtin weÿl. Johann Lorers gewesten Schuemachers Wittib beÿständlich hannß Michael Matheß auch schuemachers ihres vogts
in gegensein Fr. Annæ Magdalenæ geb. Ennßlerin weÿl. H. Georg Friedrich Heupel gewesten Præceptoris Superioris Gymnasÿ Wittib von H. Friedrich Zentarov ihrem Curatore authorsirt – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, der debitricis eigenthümliche heffte ahne einer Behausung und hoffstatt cum appertinentÿs ahne dem Obst: oder Kirschen Marckt beÿ dem Fronhoff, ein: und anderseit neben einigen der Fabric des Münsters zuständigen häußern hinten auff St Urbans gaß, von solcher gantzen behausung gehen dem gürttlerhoff 3 ß 4 d zinnß
Anne Cléophée Osterrieth meurt en 1729 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison à la somme de 650 livres. L’actif de la succession s’élève à 337 livres, le passif à 460 livres.
1729 (15.6.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 59)
Inventarium und Beschreibung aller Haab und Nahrung so weÿland die Tugendsame Fraw Anna Cleophe Lohrerin gebohrne Osterriedin, auch weÿland Meister Johann Lohrers, geweßenen Schumachers und burgers alhier seel: hinderlaßene Wittib, nach ihrem den 30. Maÿ Jüngsthin aus dießem muhesamen leben genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen in Straßburg Mitwochs den 15. Junÿ 1729.
Die abgeleibte Fraw seelige hat ab intestato Zu Erben verlaßen, wie volgt. 1. Fraw Annam Cleopheam Zipßerin gebohrne Lohrerin, Meister Christian Zipßers, Schumachers v burgers alhier eheliche haußfrauw mit beÿstand deßelben, 2. Herrn Johann Jacob Lohrern, pro tempore wohlmeritirter Pfarrern der Evangelischen Gemeinde zu Bpfftzheim so Persönlich Zugeg. gewesen, vnd dann Johann Lohrer, so noch ledigen standes und Majorennisis, Jedoch mit beÿstandt Mr Isaac Osterrieds, Schuemachers vnd burgers alhie seines noch ohnentledigten vogts, Alle dreÿ der Abgeleibten frawen seel. mit eingangs erwehntem Mstr Johann Lohrern Schuemachern vnd burgern alhier längst seel. ehelich erzeugte dochter und Söhne und ab intestato verlaßene Erben
Extractus auß der Verstorbenenn Frawen seel. den 27. Martÿ 1720. vor mir unterschriebenem Notario auffgerichtetem Codicillo (…) zum andern, will dieselbe Ihrem jüngsten Sohn Johann Lohrer, dem ledig. Schuemacher auß gewißen erheblichen motiven Sonderlichen weilen dero ältister Sohn H Johann Jacob Lohrer p.t. Pfarrer zu Pfulgrießh. in Studÿs und anderer einer aufferziehung auch viel Jähriger underhaltung ein Nahmbhafftes gekostet, dero dochter Fraw Anna Cleophe Zipßerin gebohrne Lohrerin gleichfalls vielfaltige Guttatten genoßen und also beede gegen ersternandtem ihrem Jüngsten brud. einen mercklichen vorzug gehabt (…)
In einer alhie Zu Straßburg ane dem Kirschenmarckt gelegener: vnd Zum theil in dieße Verlaßenschafft gehöriger Behausung ist befunden worden wie volgt
In der obern Cammer
Eigenthumb ane einer behausung. Item Hauß vnd Hoffstatt, mit allen deren gebäwen, begriffen, Weiten, rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten geleg. alhier Zu Straßburg ane dem Kirschenmarckt Zu beeden seiten neben heüßern der Fabric des Münsters gehörig, hinden auff Martin Westerman den Schumacher stoßend. davon gehen Jahrs 3 ß bodenzinß dem Gürtlerhoff alhier, durch der Statt Straßburg geschworne Werckmeistere vermög überschickten vnd beÿ mein des Notarÿ Consept ligend. den 8. Junÿ 1729. datirten Schatz Zeduls über vorstehend beschwerd annoch æstimirt pro 639. lb. Davon ist aber abzuziehen nach folgende vff solcher behausung stehende beschwerde, so die verstorbene fraw seel. consensu E.E. Großen Raths vnd des von den Lohererisch. Kind. Vogten daselbsten erhaltenen Decreti oppignorandi Zu bezahlung der Witterlich passiv Schulden außgenommen, Nemblichen 13. lb 10 ß Zinß soll mann Frawen Annæ Margarethæ Heüppelin gebohrner Enselin, Weÿl. Herrn M. Georg Friderich Heüppels Gewesenen Præceptoris Superioris Gymnasÿ Hinderlaßener Wittwen, Jahrs vff Weÿhenachten ablößig in Capital mit 325 lb. Rest annoch ane vorstehendem anschlag 314 lb. Darüber besagt i. teutsch. Perg. Kbr. mit der Statt Straßburg Cancelleÿ Contract stuben anhang. Insigel verwahrt datirt den 7. Februarÿ Anno. 1696. Darbeÿ noch verschied. andere alt. Perg. Kauff: vnd abgelöste Zinßbrieff Zu find.
Series Rubricar. Sa. haußraths 18 lb, Sa. des Silbers 16 ß, Sa. der Guldenen ring 4, Sa. des Eigenthums ane einer Behaußung 314, Summa summarum 337 lb – Schulden 460 lb, Übertreffen also die Vorhandene Passiva die gantze Vorbeschriebene Verlaßenschafft vmb 122. lb
Abschatzung d. 8. Junÿ aô 1729. Auff begehren Weÿland der Viel Ehr und tugendsahmen frau Cleva Lorerin seel. hinterlaßene Erben ; ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg auff dem Kirschen Marckt gelegen, ein und anderseits Neben dem Hochlöbl. Stifft frauwen hauß zugehörig, hinden auff Martin Westerman Schumacher stosend Welche behausung alt hinder gebäu Stuben, Cammern Kuchel, hauß Ehren, einen mit einem herd und waßerstein und gebälcktes Kellerlein sambt aller gerechtig Keit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb Ein tausendt und dreÿhundert gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Les enfants et héritiers de Cléophée Osterrieth vendent par adjudication la maison à Anne Madeleine Ensel, veuve de l’enseignant Georges Frédéric Heupel (leur créancière) moyennant 800 livres. L’adjudication est confirmée par le Grand Sénat.
1731 (18.1.), Chambre des Contrats, vol. 605 f° 23
Erschienen weÿl. Johann Lohrer schuemachers mit auch weÿl. Cleophe geb. Osterriedtin seiner hinterbliebenen wittib erzeugt und hinterlaßenen Kinder und respe. mandatarius nahmens Fr. Anna Cleophe geb. Lohrerin weÿl. Christian Zipßer gewesten schuemachers hinterbliebene wittib mit beÿstand Johannes Barbant schuemachers ihres geschwornen Curatoris, Ferner in nahmen H. Johann Jacob Lohrer evangelischen Pfarrers zu Boffzheim, H. Johannes Winter Not. Publ. und adelischer Schaffner so dann Ernst Friedrich Kauffmann Paßmentirer als mandatarius Johannes Lohrer ledigen schuemachers so majorennis
in gegensein Fr. Annæ Magdalenæ geb. Ennßelin weÿl. H. M. Georg Friedrich Heupel, Præceptoris Superioris gymnasÿ wittib, beÿständlich ihres Curatoris H. Friedrich Zentarov vormahligen Pfaltz Bürckenfeldischen Raths (…) obrigkeitlich confirmirte versteigerung
Eine Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten hinder dem Münster ahne der Obst: gaß, ein und anderseit neben zweÿen der Fabric des Münsters zuständigen häußern hinten auff Matern Westermann den Schuemacher – davon soll man in den gürttler hoff 3 ß 4 ane bodenzinß – um den steigschilling nemlich 800 pfund
(94 Z 49) Confirmatio Adjudicationis der Lohrerischen ahn Fr. Annam Magdalenam Heupelin, geb. Ennßelin, die wittib umb 800 lb verkaufften behaußung – in d. C Contract Stub prod. d. 18. Januarÿ 1731.
Auß E. E. Großen Raths der Statt Straßburg Memoriali De anno 1730. Mittwoch d. 15. martÿ
Mosseder nomine Johann Lohrers jüngsten sohns vogts in actis vom 24.ten 7.bris jüngst, weil die Versteigerung geschehen, alß bitt ableßung des procès verbal undt die adjudication gnädigst Zu Confirmiren, facta relatione daß die behaußung quæstionis beÿ vorgehabter Versteigerung mit übernahm aller unkösten, wie nicht weniger des auff derselbigen hafftenden oneris von in Circa 8 biß 9 ß so jährlich dem Gürtlerhoff, alß ein bodenzinß zu entrichten ist, umb taußendt fünff Hundert undt fünffzig gulden zum ersten mahl außgeruffen, undt feÿl gebotten worden, beÿ außlöschung des dritten liechtleins aber Fr. Annæ Magdalenæ weÿl. H. M. Georg Friderich Heupels geweßenen præceptoris Classici hinderlaßener Wittib beÿständlich Johann Michael Dörren des Courtier, alß letzt undt meinst bietenden vmb taußend sechs hundert gulden adjudicirt worden seÿe. Ist Erkand, wirdt die geschehene adjudication obrigkeitlich cofirmirt, undt sollen der Kauff undt verkauff in der Contractstube verschrieben werden. J H Faber, Rathschrbr.
Fils de pasteur et professeur de grec au Gymnase, Georges Frédéric Heupel épouse en 1696 Jacqueline Faust, fille d’Isaac Faust
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 67, n° 372)
1696. Mittw. d. 11. Jul. wurden nach Zweÿmahligen proclamation copulirt M. Georg Friderich Heupel in dem Obern Gymnasio der Griechischen sprach Præceptor allhie, Hrn Johann Heupels Pfarrherrs Zum J. St Peter allhier ehel. sohn v. Maria Jacobe der H. Schr. Doct. v. älteten Professoris beÿ der hießig. Universität des Kirch.-Conv. Præsidis v. Probsten des Collegiat stiffts Zu St Thoman ehl. tochter [unterzeichnet] Georgius Fridericus Heupelius als hochzeiter, Maria Jacobäa Faustin als hochzeiterin, Isaacus Faustius als der Hochzeiterin Vatter, Johannes Heupelius Past. Neopatr. sponsi pater (i 66)
Il se remarie en 1709 avec Anne Madeleine, veuve du cordonnier Jean Antoine Lind
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 157)
1709. Dominica XL. et Reminiscere proclamati sunt H. M. Georg Friderich Heupel in dem hiesigen Obern Gymnasio der Griechischen Sprach Præceptor Und fr. Anna Magdalena, weÿl. H. Johann Anthonius Lind, gewesenen Schuemachers und Burgers allhier nachgelaßene Wittib. Copulati sunt Mittw. d. 27.t Febr. [unterzeichnet] L. Georgius Fridericus Heupel Sponsus, Ann Magd len lin als hß (i 163)
Fille du tenancier de l’auberge des garçons cordonniers, Anne Madeleine Ensel épouse en 1691 le cordonnier Antoine Lind, originaire de Langenschwalbach en Hesse (aujourd’hui Bad Schwalbach)
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 27, n° 163)
1691 Dom: 16. post Trinit: seind Zum 2. mal außgeruffen Word. Anthoni Lindt Schumacher Weiland Johann Lindts Waffenschmidts Zu langen Schwalbach fürstl. hessen: darmstett. herrschafft nachg. ehel. S. Jfr. Anna Magdalena hrn Mattheus Ensels Schumachers u. Stuben-Vaters bey den Schuknechten ehel. T. Seind Würcklich den 11.ten 8.bris copulirt worden [unterzeichnet] Anthoni Lindt hotz Zeiter, o der hochzeiterin Zeichen (i 27)
Anne Madeleine Ensel vend la maison au perruquier Mathias Widershoven. La vente sera ensuite résolue.
1745 (17.5.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 334-v
Fr. Anna Magdalena geb. Enßelin weÿl. H. M. Georg Friedrich Heupel gewesten Præceptoris primarÿ des obern gymnasÿ wittib mit beÿstand ihres Stieffsohns H. Johann Friedrich Heupel des Waÿßenschaffners
in gegensein Mathias Widershoven des perruckenmachers
eine behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß, höfflein und hoffstatt mit allen übrigen deroselben begriffen, weithen, Zugehörden und rechten hinder dem Münster ane der Obstgaß, ein und anderseit neben zweÿen der fabric des Münsters gehörigen häußern, hinten auff Matern Westermann den schuhmacher – davon reicht man in den gürtlerhoff 3 ß 4 d ane bodenzinß – als ein am 18. Januarÿ 1731 erkauftes guth – um 1900 pfund
Fils de l’employé pour le roi Jean Pierre Widershoven à Landau, Mathias Jacques Widershoven épouse en 1728 Elisabeth Rondouin : contrat de mariage, célébration.
1728 (15.7.), Not. Humbourg (6 E 41, 46)
Mariage – furent presens Le Sr Mathias Jacques Widershoffen Monnoyeur de La Monnoye Royale de Cette ville fils de deffunt Sr Jean Pierre Widershoven Employé dans Les Domaines du Roy a Landau et a son deces Monnoyeur de ladite Monnoye et Dle Marcquise Noël ses Pere et Mere, Majeur d’ans et pour luy d’une part
Et Dle Elisabeth Rondoüin fille de deffunts Sr Paul Rondoüin Entrepreneur dans les Ouvrages du Roy à Strasbourg et de Dle Elisabeth Le Comte Aussy ses Pere et Mere d’autre
Lesquelles Parties de L’avis et assistance et Consentement Sçavoir de la part (…) de Lad. Dle Elisabeth Rondoüin du Sr Urbain Rondoüin son oncle Paternel et son Tuteur et Curateur et de Dle Marguerite Assnet son épouse
Fait et passé aud. Strasbourg el Quinz° juillet 1728 (signé) widershouen, Elisabeth Rondoüin
Mariage, Saint-Etienne (cath. p. 18)
Hodie 8. die Mensis Novembris Anni 1728. (…) Sacro Matrimonii Vinculo in facie Ecclesiæ coniuncti fuerunt Mathias Wittershoffen, signator Monetalis Et filius defuncti Joannis Petri Wittershoffen, commorans in parochia S Laurentii Cathedralis Ecclesiæ, Et Elisabeth Rondouin filia defuncti Pauli Rondouin, Tignarii fabri dum viveret commorans un nostra parochia, adfuerunt Testes Urbanus Rondouin auunculus Sponsæ Et Mo*or negotiorum Regis, Michaelis Ruofé Dehangest Regius Consiliarius Judex et Custodiâ monatrarum argentinæ, Joannes Valentinus Beyerle Regius Consiliarius et Moderator monetarum et Andreas Dupré orinium structor qui omnes una mecun subscrisperunt (signé) widershouen, Elisabeth Rondoüin (i 11)
Employé à la monnaie royale, Mathias Widershoven devient bourgeois par sa femme le 15 mars 1732.
1732, 4° Livre de bourgeoisie p. 982
H. Mathæus widerhoven beambter in d königl. Müntz allhier undt sein ehefr. Maria Elisabeth Rondovin erhalt d. br. umb den alt. bs. wollen beÿ E E Zunfft d winsticher dienen Jur et prom. d. 15.ten Martÿ 1732.
Mathias Widershoven devient tributaire chez les Gourmets et maître perruquier en mars 1732.
1732, Protocole du corps des perruquiers (XI 175)
H Matthäus Widershoffer, beamter in der Königlichen Müntz, Perruckenmacher und burger
(f° 124-v) Mittwochs den 26. Martÿ 1732 – Eodem Erschiene H Matthäus Widershoffer, beamter in der Königlichen Müntz, Perruckenmacher und burger allhier, producirt Zunfft Schein vom 20.ten hujus bittet um das Meister recht. Erk. ird ihme das Meister Recht gegen der Ordinari gebühr accordirt.
Le corps des perruquiers fait grief à Mathias Widershoven d’avoir deux apprentis. Il déclare sous serment que Louis Moureau est simple pensionnaire.
(f° 140) Dienstags den 18. Januarÿ 1735 – Herr Matthäus Widerhoffen wird befragt, warum er Louis Moureau als einen Lehrjungen beÿ sich habe, da er doch noch einen habe, deßen Lehrzeit noch nicht aus, mithin Wieder die Articul handle.
Ille sagt, seÿe sein Costgänger und nicht sein Lehrjung, Welches gedachter Louis Moureau auff befragen auch außsagte.
Erk. wird Herr Widerhoffen Eÿdlich erhärten, daß er gedachten Moureau nicht als einen Lehr Jungen sondern als einen Costgänger beÿ sich habe, solle er von angestellter Klag absolvirt seÿn.
Ille præstit Juramentum in Continenti.
Perruquiers (IX 176), 1751-1766
(f° 34-v) Dienstags den 15. Januarÿ 1754. – Herr Matthäus Wiederhoffen gibt Vor, er seÿe in der Müntz geweßen, und hätte niemand gehabt, der ihn entschuldig. können. Erkandt, wird derselbe in 5 ß Straf condemnirt.
Elisabeth Rondouin meurt en octobre 1744 après avoir institué son mari légataire universel.
1744 (16 octobre), Not. Humbourg (6 E 41, 72)
Testament – fut presente Damle. Elisabeth Rondouin femme du Sr Mathias Jacques Widershoven m° Perruquier Bourgeois et Monnoyeur de La monnoye royale de cette ville y demeurant quay des Bateliers paroisse St Laurent, Laquelle infirme et malade de corps assise sur une Chaise a coté du fourneau dans un Poêle au premier étage prenant jour par devant sur la riviere de Brusche et à gauche encore vers le Pont neuf dit de L’Eveché, saine toutefois d’Esprit
Quatriemement donne et legue lad° testatrice a George et Jaques Bonvalot ses deux neveux du Chef dud Sr Widershoven son mary (…) la comme de 200 livres (…)
Cinquiemement La Testatrice ayant aujourd’huy obtenu de Monsieur le Consul ou Ammeistre regent de cette ville L’indult pour tester qui demeure ci joint et annexé et voulant user de la faculté et liberté à elle réservée par son Contrat de mariage passé avec led. Sr Widershoven son mary devant led. notaire soussigné le Quinz° juillet 1728, et n’ayant point d’héritiers nécessaires en lignes soit descendante ou ascendante, elle a fait créé nommé et institué comme elle fait crée nomme et institue pour so seul, vray et unique héritier le Sr Mathias Jacques son cher mary
(signé) E Rondouin
Sépulture, Saint-Laurent (cath. p. 246)
Anno Domini 1744 die 23 Octobris mortua est Elisabetha Rondouin uxor Jacobi Mathiæ Widershoven, Civis ac capillamentorum concinnatoris hujatis sacramentis Eucharistiæ et extremæ unctionis rité munita, cujus corpus die 25 ejusdem mensis et anno solito exequiarum ritu prius ad Ecclesiam parochialem delatum, persolutis ibi precibus ac suffragÿs consuetis, me infra scripto Vicario ad S Laurentium Eccl. Cath. Arg. funus comitante celebrante, ulterius delatum fuit ad Ecclesiam parochialem Sti Petri Junioris intra argentinam ibique (…) sepultum fuit in Cœmeterio eidem Ecclesiæ contiguo (i 127)
Les registres de la Taille mentionnent en 1769 que Mathias Widershoven est mort très pauvre à l’hôpital.
1769, Registres annuels de la Taille (VII 1262) f° 355-v
Weinsticher – 9. Wiederhoffen, Matthias, jur. 15. Mart: 1721, 2 lb 5 ß (rub. 3 ß 4 d dilat.
Sehr arm im Spital gestorben
Le perruquier Mathias Widershoven, remarié à Odile N., meurt à l’hôpital le 27 mars 1766.
Sépulture, Hôpital (cath. p. 137)
Anno Domino 1766, die 27 Martii mortuus est Mathias Wittenhöffer civis hujas capillamentorum concinnator ottiliæ N maritus, Sacramentis pœnitentiæ Eucharistiæ et extremæ unctionis rité munitus, sepultusque est ad sanctum urbanum (i 116)
Anne Marguerite Ensel meurt à l’âge de 96 ans rue Sainte-Madeleine dans une maison de l’Orphelinat en délaissant pour unique héritière la petite-fille de son frère, Marie Salomé Ensel, femme du cordonnier Georges Frédéric Schwing. Les experts estiment la maison à la somme de 900 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 526 livres, le passif à 2 124 livres.
1766 (21.5.), Not. Albert (Jean Georges 6 E 41, 843) n° 52
Inventarium über Weÿland Fraun Annæ Magdalenæ Heupelin, gebohrner Enselin, längst weÿland Herrn M. Georg Friedrich Heupels, gewesenen Præceptoris Primarii in dem Obern Gymnasio und burgers allhier zu Straßburg seeligen hinterlaßener Frauen Wittib, nun auch seeligen, Verlaßenschafft, aufgerichtet den 21.ten May Anno 1766. – nach ihrem am 5.ten gegenwärtigen Monaths May aus dießer Welt genommenen tödtlichen Hintritt hie Zeitlichen verlaßen (…) So geschehen allhier Zu Straßburg in der ane der Uthen oder so genanten Stæ Magdalenæ Gaß gelegenen, einem löblichen Stifft Waÿsenhauß Zugehörden Sterb: behausung auf Mittwoch den 21. tag des Monaths May Nachmittags im Jahr 1766.
Benennung der Erbin. Die Verstorbene seelig hat ab intestato Zu ihrer einzigen Erbin hinterlaßen Frau Mariam Salome Schwingin, gebohrne Enselin, Herrn Georg Friderich Schwigen des Schuhmachers und burgers allhier, Eheliebstin, als der defunctæ Bruders seeligen längst weÿland H. Johann Jacob Ensels gewesenen dahiesigen Schuhmachers Zurück gelaßene Enckelin, welche auch benebst vorgedachtem ihrem Ehemann diesem Geschäfft von anfang biß Zu End abgewartet
(f° 5-v) Eigenthum ane einer Behaußung. Neml. eine behaußung, Höfflein und Hoffstatt, sambt allen dero begriffen, Weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane dem alten Kirschen Marckt, beederseiths neben einer, Löbl. Stifft Frauen: Hauß Zuständigen behausung, und hinten auf Georg Steinmetz stoßend, gelegen, so freÿ, leedig und eigen, und vermög einer Zu dem Concept dieses Inventarii eingelieferten Abschatzungs: Zedels de dato 18.den Junÿ 1766. durch Löblocher Stadt geschwornen Herrn Werckmeistere dem billigen Werth nach hier angeschlagen worden vor und umb 1800 fl. oder 900 lb. Über dieße behaußung hat sich dermalen nichts schrifftliches vorhanden befunden.
(f° 8) Manuductio et Series rubricarum hujus Inventarii, Sa. Hausraths 25, Sa. Silbers 1, Sa. Pfenning Zinnße und dero Hauptgütere 600, Sa. Eigenthums ane einer behausung 900 lb, Summa summarum 1526 lb – Schulden 2124 lb, der Erbin passiv onus 598 lb
Anne Marguerite Ensel meurt de vieillesse. Les témoins sont son beau-fils Jean Frédéric Heupel et Georges Frédéric Schwing (mari de sa petite-nièce et héritière)
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1760-1775, f° 87)
Im Jahr 1766 Montags den 5. Maji nachmittag Zwischen dreÿ und vier Uhr starb an Alters- Blödigkeit, Frau Anna Magdalena Heupelin gebohrene Enselin, weiland Hn Magister Georg Friederich Heupel gewesenen Præceptoris Primarii des hiesigen Obern Gymnasii und Burgers allhier hinterbliebene Wittwe, Sie lebte Zum ersten mahl in der Ehe mit weiland Hn Antonius Linden gewesenen Burger und Schuhmacher alhier Von Anno 1694 bis 1701, in der Zweÿten Ehe aber von 1709 bis 1718, Der erblaste Leichnahm wurdt Folgenden Mittwoch den 7. ejusdem nach mittag um Zweÿ Uhr mit gehaltener Leichenrede in der Neuen Kirche auf dem Gottes-Acker Stæ Helenæ Zur Erde bestattiget, nachdem Sie in dieser Welt 96 jahre, 9 Monath und 9 tage gelebt hatte. Solches bezeugen Johann Friederich Heupel als de defunctæ Stieffsohn, Georg Friedrich Schwing als Verwanter (i 89)
Les Quinze autorisent Georges Frédéric Schwing à faire son chef d’œuvre l’année même.
1761, Protocole des Quinze (2 R 173)
Georg Friderich Schwing contra E.E. Zunfft der Schuhmacher
(f° 21) Sambstags d. 24. Januarÿ – Schwing Ca. Schuhmacher
Faust nôe Georg Friderich Schwing des ledigen Schuhknechts von hier Ca. E. E. Zunfft derer Schuhmacher H. Zunfftmeister producirt unterth. Memor. pt° des Meisterstücks junctis petitis, mit beÿl. Sub N° 1. und setzt Zur Abhandlung Froereisen, nôe Citati setzt gegenwärtiges Petitum Zu MGHhn facta prælectione ist Erk. daß der Implorant annoch in diesem Jahr Zu Verfertigung des Meisterstücks Zu admittiren, anbeÿ Ihme die übrige stück deßelben gegen Zweÿ paar Mans schuh gratiose Zu erlaßen seÿen.
(f° 27) Sambstags d. 31. Januarÿ – Schwing pt° commun: Sent.
Faust nôe Georg Friderich Schwing in acti Ca. E. E. Zunfft der Schuhmacher H. Zunfftmeister auch in actis bitt commun: Sent., Erk. Willfahrt.
Fils du cordonnier Jean Martin Schwing, Georges Frédéric Schwing épouse en 1762 Marie Salomé Ensel, fille du cordonnier Jean Jacques Ensel : contrat de mariage, célébration
1762 (16. Hornung), Not. Albert (Jean Georges 6 E 41, 849) n° 28
Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen Herrn Georg Friedrich Schwing dem leedigen Schuhmacher und Burgern allhier Zu Straßburg, Herrn Johann Martin Schwing, des auch Schuhmachers und E. E. großen Raths allhier wohlverdienten beÿsitzers mit Frauen Rosina, gebohrner Heinoldin, ehelich erzielten Sohn, als Hochzeitern ane einem,
sodann der Ehren und tugendsamen Jungfrauen Maria Salome Entzelin, weiland Meister Joh: Jacob Entzels gewesenen ebenmäßigen Schuhmachers und burgers allhier mit Frauen Maria Salome gebohrner Rödererin ehelich erzeugt und nachgelaßene Tochter, als Hochzeiterin am andern theil
Straßburg den 16. Hornung Im Jahr 1762. [unterzeichnet] Georg Friderich Schwing als Hochzeiter, Maria Salome Entzelin als Hochzeiterin
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 109-v n° 115)
1762. Mitwoch den 21. April seind nach zweÿmaliger ordentlicher proclamation und Außruffung Zu St. Thoma und alten St Peter Zu St Thoma copulirt und eingesegnet worden Georg Friderich Schwing Lediger Schuhmacher, herrn Johann Martin Schwing E. E. gr. Raths dermaligen Beÿsitzers, Schuhmachers und burgers allhier ehel. Sohn, und Jungfr. Maria Salome Entzelin, weil. Johann Jacob Entzel gewesenen Schuhmachers und burgers allhier hinterlaßene ehel. Tochter [unterzeichnet] Georg Friederich Schwing als Hochzeiter, Maria Salome Entzelin als hochzeiterin (i 112)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports rue Sainte-Madeleine dans une maison de l’Orphelinat (voir ci-dessus l’inventaire d’Anne Marguerite Ensel). Ceux du mari s’élèvent à 77 livres, ceux de la femme à 608 livres.
1762 (8.5.), Not. Albert (Jean Georges 6 E 41, 843) n° 30
Inventarium über Herrn Georg Friedrich Schwing, des Schuhmachers, und Frauen Mariæ Salome, geboherne Enselin, beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander in die Ehe zugebrachtes Vermögen, auffgerichtet den 8.ten May 1762. – und vermög ihrer unterm 16. Februarÿ dieses Jahrs auffgerichteten Eheberedung, sich vor ohnverändert und eigenthümlich vorbehalten haben (…) So Geschehen In der Königlichen Statt Straßburg in einer ane der Uthen, oder Stæ Magdalenen Gaßen hieselbst gelegenen löblichem Stift waÿsenhauß Zugehörigen Behausung in Fernerer Gegenwart Herrn Johann Martin Schwing, des Schuhmachers und E. E. großen raths dahier beÿsitzers, des Ehemanns Vaters, wie auch S. T. Herrn M. Johannes Röderers, wohlverdienten Præceptoris in dem allhießigen Gymnasium als der Ehefrauen Herrn Oncle und hier zu erbettenen Herrn beÿstands, den 8. Maÿ Im Jahr der gnaden 1762.
Mauductio & Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns eigenthümlichen Vermögen, Sa. Haußraths 11, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 14, Sa. Barschaft 1, Sa. Pfenningzinß haupt Guths 30, Summa summarum 77 lb
Hierauff folgt aich die Beschreibung der Ehefrauen in die Ehe gebrachten Vermögen, Sa. Haußraths 73, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 15, Sa. goldener Ring 17, Sa. der Baarschafft 2, Sa. Pfenningzinß haupt Güter 500, Summa summarum 608 lb
La maison revient à leur fils et unique héritier (qualité établie à l’acte de 1855) Jean Martin Schwing qui épouse en 1795 Catherine Salomé Borst. Jean Martin Schwing est chandelier puis appariteur à la faculté de médecine
Mariage, Strasbourg (n° 468)
Cejourd’hui 7° prairial l’an III de la République française une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part Jean Martin Schwing, âgé de 28 ans, fabriquant de chandelles, né et domicilié en cette commune, fils de George Frederic Schwing, cordonnier, et de feue Marie Salomée Enselé de l’autre part Catherine Salomée Borst, âgée de 25 ans, née et domiciliée en cette commune, fille de Jean Frédéric Borst, potier d’étain, et de feue Catherine Salomée Ballesin (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le premier décembre 1766 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 24 août 1769 (signé) jean Martin Schwing, Catherine Salome Borst (i 88)
Registre de population 600 MW 20 (1798) Place du Peuple N° 11, f° 86-v (i 47)
Schwing, Frédéric, Chandelier, Citoyen actif, 66, d’ici
Schwing, Martin, Chandelier, Citoyen actif, 29, d’ici
id. Borst Salomé, sa femme, 27, d’ici – 2 enf. mâles
Registre de population 600 MW 125 (1816 sqq) Place du Palais roÿal N° 11 p 486 (i 62)
Schwing, Jean Martin, 1766, Strasb. b. r., appariteur à la faculté de médecine
id/ Martin Fréder. né 4 flor. 4, 1795, b r. tonnelier, fils
id/ Elisabeth Salomé, du 28 brum. 13, 1804, fille – 28 août 1827, Marché aux Chevaux 16
Registre de population 600 MW 160, 1835 sqq f° 59 Place du Château N° 11 (i 22)
La maison revient pour moitié à leurs deux enfants comme l’établit la vente de 1855. Catherine Salomé Borst meurt en 1804, son mari à une date indéterminée (voir le mariage ci-dessous). Frédéric Schwing, tonnelier, est célibataire
Registre de population 600 MW 231, 1846 sqq f° 49 Place du Château N° 11 (i 19)
Schwing, Frédéric, 1795, Strasb. Prop. et cuvelier
Elisabeth Salomé Schwing épouse en 1827 le boulanger Frédéric Auguste Dettweiler
Mariage, Strasbourg (n° 318)
Acte de mariage célébré à l’hôtel de ville le 28 août 1827. Frédéric Auguste Dettweiler, Majeur d’ans, né en légitime mariage le 18 Messidor en IX à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Boulanger, fils de feu George Frédéric Dettweiler, boulanger décédé en cette ville le 3 juin 1816 et de Marguerite Barbe Borst domiciliée en cette ville ci présente et consentante, Elisabeth Salomé Schwing, Majeure d’ans, née en légitime mariage le 28 Brumaire an XIII à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de feu Jean Martin Schwing, bédeau à l’Ecole spéciale de médecine, et de feue Catherine Salomé Borst décédée en cette ville le 14 frimaire an XIII (…) ladite épouse déclare par serment qu’elle est dans l’impossibilité de produire les extraits de décès de son père et ceux de ses aïeul et aïeule paternels (signé) Frédéric August Dettweiler, Elisabetha Salome Schwing (i 39)
Frédéric Auguste Dettweiler meurt en 1853 en délaissant trois fils
1853 (18.10), Strasbourg 14 (141), Not. Ritleng n° 5768
18 8.br 1853. Inventaire communauté de biens qui a existé entre entre Frédéric Auguste Dettweiler et Elisabeth Salomé Schwing
L’an 1853 le 18 octobre à neuf heures du matin en la demeure ci après indiquée à Strasbourg Place du Broglie numéro 16 où est décédé le 10 mai dernier le sieur Frédéric Auguste Dettweiler, en son vivant boulanger en ladite ville
à la Requête et en Présence I. de Dame Elisabeth Salomé Schwing, veuve dudit sieur Frédéric Auguste Dettweiler, agissant tant en son nom personnel 1. à raison de la communauté légale qui a existé à défaut de contrat de mariage entre elle et son mari défunt, 2. et comme légataire d’un quart en propriété et du quart en usufruit de tous les biens meubles et immeubles composant la succession de son dit mari, aux termes du testament public de ce dernier, dressé par M Zeissolff notaire à Strasbourg le 8 mai 1853 enregistré, Que comme mère et tutrice légale de de Monsieur Jules Dettweiler et Alfred Dettweiler, ses deux enfants mineurs issus de son mariage avec feu sodit mari
II. de Monsieur Frédéric Dettweiler fils, boulanger, tous demeurant et demeurant à Strasbourg, ledit sieur Frédéric Dettweiler fils et les mineurs Jules Dettweiler et Alfred Dettweiler héritiers ensemble pour une moitié en propriété et pour un quart en nue propriété du Sr Frédéric Auguste Dettweiler leur père défunt soit pour un 6° en propriété et pour un 12° en nue propriété
et en présence de Monsieur Geoffroi Mattern, tonnelier, domicilié et demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de subrogé tuteur des deux enfants mineurs
Suit la description du mobilier. Rez de chaussée. Chambre de débit. Premier étage. Chambre d’habitation, Chambre à coucher, Chambre de derrière, Cuisine
Immeubles de la communauté 1. Une Maison avec cour, appartenances, aisances, circonstances et dépendances située à Strasbourg rue dite de la fonderie n° 1, appelée cidevant Claragaessel (…)
2. La moitié indivise d’une maison ayant autrefois pour Enseigne le bœuf à la Mode, sise à Strasbourg place du Broglie n° 15 (…)
Propres de la veuve existant. La moitié indivise d’une Maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg place de la Cathédrale N° 11, que la veuve Dettweiler déclare avoir recueillie dans la succession de ses père et mère
acp 423 (3 Q 30 138) f° 91 du 20.10. (succession déclarée le 22. 8.bre 1853) Communauté, mobilier estimé à 477, argent comptant 3333, un legs de 6000 francs fait au défunt par Jean Daniel Borst vivant potier d’étain à Strasbourg
Une maison rue de la fonderier N° 1, une maison Place du Broglie N° 15
Passif de la communauté 4000
Propre de la veuve, moitié d’une maison place dela Cathédrale N° 11
Garde robe du défunt 79 francs
Testament de Frédéric Auguste Dettweiler
1853, M° Zeyssolff
8 mai 1853, Testament de Frédéric Auguste Dettweiler, maître boulanger à Strasbourg, par lequel il lègue à Elisabeth Salomé Schwing son épouse le quart en propriété et le quart en usufruit de toute sa succession
acp 421 (3 Q 30 136) f° 81 du 6.8. (décès du 10 mai 1853)
Jean Frédéric Schwing et Elisabeth Salomé Schwing, veuve d’Auguste Frédéric Dettweiller, vendent la maison à l’Œuvre Notre Dame
1855 (12.5.), M° Zeyssolff (minutes en déficit) – Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 605 (2263) n° 104
N° 100. Cejourd’hui 23 mai 1855 a été présenté en ce bureau pour être transcrit l’acte de mutation dont la teneur suit.
Pardevant M° Louis Charles Zeyssolff (…) ont comparu Monsieur Jean Frédéric Schwing, célibataire, tonnelier, Dame Elisabeth Salomé Schwing, veuve de Monsieur Auguste Frédéric Dettwiller vivant boulanger, les deux domiciliés et demeurant à Strasbourg, lesquels ont par les présentes vendu en toute propriété sous la garantie solidaire de tous troubles dettes hypothèques privilèges et autres empêchements généralement quelconques
à l’Œuvre Notre Dame à Strasbourg pour laquelle stipule et accepte Monsieur Charles Coulaux, député au corps législatif, Maire de le Ville de Strasbourg où il demeure et est domicilié, à ce présent, Monsieur Coulaux autorisé à l’effet des présentes par délibération de la commission municipale de cette ville en date du 13 novembre 1854 et arrêté de Monsieur le Préfet du Bas-Rhin en date du 14 avril dernier dont une ampliation en forme est demeurée jointe et annexée après avoir été revêtue de la mention de l’annexe
une maison composée d’une maison de devant et arrière bâtiment, petite cour et toutes dépendances sise à Strasbourg rue du vieux marché aux cerises numéro 11, des deux côtés propriétés de l’Œuvre Notre Dame par derrière la maison de la Dame veuve Trenches, le tout d’une superficie de 73 mètres carrés environ. Cet immeuble est transmis tel quil se trouve et se comporte en ce moment sans réserve ni exception aucune mais avec tout ce qui y tient à cloux, chaux, chevilles et à ciment et est réputé avoir nature immobilière par la loi ou sa destination. (…)
Monsieur Schwing et Madame Dettwiller en sont propriétaires pour l’avoir recueilli dans la succession de leurs père et mère Jean Martin Schwing vivant fabricant de chandelles à Strasbourg dont ils sont seuls et uniques héritiers. Le défunt sieur Schwing en avait hérité de sa mère Dame Marie Salomé Enselin décédée épouse de Monsieur Georges Frédéric Schwing vivant cordonnier à Strasbourg dont il était l’unique héritier. La dame Schwing avait recueilli ledit immeuble dans la succession de sa grand’tante Dame Anne Madeleine Enselin veuve de Monsieur Georges Frédéric Heupel vivant précepteur au gymnase de cette ville, ainsi qu’il résulte d’un inventaire dressé de sa succession de la défunte par M° Albert notaire à Strasbourg le 21 mai 1766. Le tout constaté par un acte de notoriété reçu par M° Zeyssolff soussigné notaire qui en a la minute le 9 mai courant enregistrée. – moyennant le prix de 18.000 francs
acp 439 (3 Q 30 154) f° 99-v du 16.5.
Les matériaux provenant de sa démolition doivent être compris dans la vente ci-dessous qui ne mentionne pas l’adresse des bâtiments
1856, Maire
10. 8.br., approuvé le 23
Vente par la Ville de Strasbourg
des matériaux provenant de la démolition de trois maisons appartenant à l’Œuvre Notre Dame, rue du Maroquin
à Sébastien Boos, fabricant de chandelles et Jean Geiss revendeur, les deux à Strasbourg, moyennant 1710 francs
acp 454 (3 Q 30 169) f° 58-v du 29. 8.br
Les matériaux provenant de la démolition des maisons sises plus au sud sont vendus en novembre 1856.
1856 (27. 9.bre)
Maire 27. 9.bre 1856, approuvé le 17. Xbr.1856
Procès verbal d’adjudication des matériaux provenant de la démolition de maisons appartenant à l’Œuvre Notre Dame, à charge par les adjudicataires de payer 20 centimes par franc
la maison N° 5 place de la cathédrale à Adam Thiébaut, farinier, et Frédéric Ballis, propriétaire pour 760 francs
les maisons n° 7-10 à Jean Geiss propriétaire et Sébastien Boos fab. de chandelles à Strasbourg pour 5010 francs
acp 456 (3 Q 30 171) f° 43 du 5.1.1857