Maisons de Strasbourg

Étude historique sur les maisons de Strasbourg entre le XVI° et le XX° siècle

5, rue des Couples

Rue des Couples n° 5 – IX 111 (Blondel), O 733 puis section 17 parcelle 37 (cadastre)

Reconstruite en 1759, maître d’ouvrage Jean Wagner, marchand de vins

La maison et ses voisines (juillet 2007) – Façade (juin 2022)

La maison de 51 pieds qui comprend deux bâtiments contigus est soumise comme ses voisines à un cens communal après que la Ville a fait démolir les maisons du côté ouest en en améliorant l’éclairage et l’accès. Elle appartient en 1587 (Livre des communaux) à la veuve du savetier Pierre Vogel, pendant trente ans (1603-1635) au fabricant de bourses André Dürr puis à son créancier. La maison est à nouveau habitée par son propriétaire à partir de 1696 (Michel Fessenmeyer, vitrier, puis le revendeur Jean Georges Schneider, 1698). D’après le billet d’estimation joint à l’inventaire dressé en 1750 après la mort de son fils coutelier Jean Henri Schneider, elle comprend un rez-de-chaussée et trois étages. Le tonnelier et marchand de vins Jean Wagner l’achète en 1758 et la fait reconstruire l’année suivante. Il fait dresser un constat par des maîtres maçons en avril 1759 pour couper court aux dissensions qui s’élèvent avec son voisin. Le tracé de la rue est rectifié, chaque propriétaire devra verser un loyer annuel à la ville. Le bâtiment n’est pas encore achevé à la mort de Jean Wagner quelques mois plus tard. Il est estimé en 1774 à une valeur minimale de 1 500 livres, contre environ 500 livres pour l’ancien. Le marchand François Bianchi l’acquiert en 1777 pour la maison de commerce Sattler et Compagnie et cède deux ans plus tard ses droits à Pierre Mayno qui agit pour la même société. Le bâtiment sert de magasin d’après le recensement de 1789, il n’est pas habité selon les états dressés en 1795 et 1798. La société est dissoute en 1802, la maison est à nouveau habitée selon le registre ouvert en 1808 (AMS, cote 600 MW 85).

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 210 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et un étage en maçonnerie (on peut supposer que le rez-de-chaussée du plan ci-après vaut pour un sous-sol, le plancher étant plus bas que la rue). Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve à gauche de (e’’) : une porte, deux fenêtres, une porte voûtée et deux autres fenêtres au rez-de-chaussée, deux étages à six fenêtres, toiture à trois lucarnes sur un seul niveau (on remarquera que la façade a en fait sept fenêtres et non six, le dessin omet la travée de droite). La cour (I’) montre la façade arrière (1-2) sur l’impasse Günther.
La maison porte d’abord le n° 2 (1784-1857) puis le n° 5.

Cour (I’), plan – Plan d’arpentage (1968, cote 646 W 75)

Au XIX° siècle, la maison appartient notamment à la veuve du cordonnier Charles Straub et au négociant Louis Edouard Vierling. Le boucher Ferdinand Achard achète la maison en 1901 et fait installer l’année suivante un moteur électrique dans son atelier. La boucherie est transformée en débit de bière (enseigne Le Trou) en 1983 sous la direction de Daniel Steyer. Le permis de construire est accordé en janvier 1984, un avenant pour modifications intérieures en juillet 1984. André Meyer fait aménager en 1986 les combles en duplex avec le niveau inférieur en remplaçant les petites lucarnes par des vasistas vers l’impasse Gunther.

Façade avant et façade arrière impasse Gunther (Police du Bâtiment, 924 W 683)
Façade impasse Gunther, partie nord à gauche du passage, partie sud à droite

Façade sur rue – Toiture et fenêtres impasse Gunther (1985, dossier 924 W 683)

août 2025

Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1580 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

		Pierre Vogel, savetier, et (1574) Catherine Kirn, veuve de Jacques Horst de Boderweier – luthériens
1591	v	André Daul, prévôt de Wibolsheim, et Odile Welther (1603)
1603	v	André Dürr, fabricant de bourses, et Marie Bentzinger puis (1609) Barbe Moch – luthériens
1635	v	Jean Büchel, marchand corroyeur, et (1596) Marie Ulrich puis (1631) Madeleine Kopp, veuve du pasteur Joachim Wendland, remariée (1636) avec le fourbisseur Paul Hellwig – luthériens
1640*	h	Jean Charles Büchel, marchand de cuir, et (1633) Marie Ammerbach puis (1649) Marie Lamprecht – luthériens
1690*	adj	Balthasar Frédéric Saltzmann, pasteur de la cathédrale, et (1643) Susanne Schmidt – luthériens
1696	v	Michel Fessenmeyer, vitrier, et (1690) Marie Barbe Zentgraff – luthériens
1698	v	Jean Georges Schneider, revendeur, et (1685) Marie Madeleine Bœs puis (1719) Félicité Klein, d’abord (1700) femme du maçon Jean Jacques Ott – luthériens
1740	h	Jean Henri Schneider, coutelier, et (1715) Susanne Marguerite Beck – luthériens
1758	v	Jean Wagner, tonnelier et marchand de vins, célibataire, († 1759) – luthérien
1760	h	Jean Charles Verius, brasseur, et (1738) Anne Marie Mosseder – luthériens
1769	h	Jean Charles Verius, tonnelier et marchand de vins, et (1765) Susanne Marguerite Meyé – luthériens
1777	adj	François Bianchi, marchand, et (1765) Marie Félicité Acker – catholiques
1779	v	Jean Pierre Mayno, négociant, célibataire († 1801) – catholique
1802	h	Philippe Engelhard, marchand, et (1787) Marguerite Frick – catholiques
1810	v	Alexis Bourotte, employé militaire, et (1803) Victoire Rœmer, d’abord (1782) femme du chirurgien militaire Louis Marie Philibert Hodille, remariée (1825) avec l’officier François Joseph de Malezy – catholiques
1822	v	François Antoine Schweighæuser, marchand tapissier, et (1820) Marie Anne Eckstein puis (1829) Marie Joséphine Klein
1830	v	Jean Ferdinand Zeyssolff, marchand de vins, et (1809) Barbe Dahlen
1848	v	Charles° Georges Straub, cordonnier, et (1820) Madeleine Mischell
1855	h	Guillaume Pfitzinger, comptable, et (1855) Catherine Caroline° Straub
1868	v	Louis Edouard Vierling, négociant, et (1871) Anne Marguerite Serré
1892	v	André Joseph Popp, caissier, et (1889) Victorine Dettwiller
1899	v	François Grajewski, cordonnier, marchand de meubles, et Marie Rund puis (1899) Brigitte Strohmeier – catholiques
1901	v	Ferdinand° Henri Achard, boucher, et (1898) Emilie Voltz – luthériens
1906	v	Joseph Schmitt, boucher, et (1889) Cécile Achard
1951*	h	(copropriétaires) Camille Ferdinand Schmitt, boucher, et (1919) Berthe Alice Wolff Martin Zinglé, vétérinaire, et (1918) Aline° Jeanne Schmitt

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 400 livres en 1715, 350 livres en 1728, 250 livres en 1750, 1 500 livres en 1774

(1765, Liste Blondel) IX 111 Sr Wagner
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Meÿno, 5 toises, 3 pieds et 2 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 733, Zeissolff, Ferdinand, marchand de vin grand rue – maison, sol – 0,82

Locations

1587, Georges Fischer, charretier
1598, Christophe Sommer
1776, société Sattler et Compagnie

Livres des communaux

1562, Livre des loyers communaux VII 1445 (Zinßbuch C) f° O v°
La veuve de Pierre Vogel, puis le prévôt de Wiebolsheim André Daul, doit un cens annuel de 4 sols, rachetable moyennant 30 livres comme la ville a élargi la ruelle du Lévrier blanc après que plusieurs maisons ont été détruites par une explosion (décision en 1585).

Item xxxx ß d soll geben Peter Vogels witib (Andres Daul Schultz Zu Wibelßh.) von Ihren beden heußerern, In weissen windts gass. nidwendig dem Rapen, wie man Zum Kupelhoff ghet, vmb das durch versprenngung vnd abbruch etlicher heußer gegen vber, dieselb gaß hüpsch weiter worden, sie mehr tag vnd Sonn, auch ein freÿen Zugang, vnd Zufahrt, Zu Ihren heußeren bekommen, Doch Ihr vorbehalten solchen Zinß mit xxx lib. d. Ihrer gelegenheit nach ab Zulösen. Gefallt der erste Zinß Bartholomei Ao 86. Actum 12.ten Augusti 1585.
Jetz Görg Dürr bulg.macher
Jetz er auch. Bleibt wie vor
New 293.
Erlößt mit 30. lb. d. durch H. Lt Balthasar Friedrich Saltzmann Jetzig. Pfarrh. Im Münster den 18. 7.bris ao 1666.

1562, Livre des loyers communaux, VII 1446 (Zinßbuch D) f° 172
Même entrée dans le registre D. Le contribuable suivant est Jean Georges Dürr. Le pasteur Balthasar Frédéric Saltzmann éteint le loyer en versant le capital en 1666.

Item xxxx ß d soll geben Peter Vogels wittwe (Jetzt Andres Daul d. Schultheiß Zu Wibolsheim) von Ihren beiden heußerern In weissen windts gassen nidwendig am Rappen, wie man In den Kupelhof ghon will, für das durch versprengung vnd abbruch der heußer gegen vber, dieselb gaß hüpsch weiter worden, sie mehr tag vnd sonn, Auch ein freÿen Zugang vnd Zufahrt Zu Ihren heußeren bekommen, Doch Ihr vorbehalten solchen Zinß mit xxx lib. d Irer gelegenheit nach ab Zulösen. Gefallt der erste Zinß vff Bartholomei Ao 1586. Actum 12.ten Augusti 1585.
Jetzo Georg Dÿrr bulgenmacher
Jetz er auch. Bleibt wie vor
New 293.
Erlößt mit 30. lb. d. durch H. Lt Balthasar Friedrich Saltzmann Jetzig. Pfarrh. Im Münster den 18. 7.bris ao 1666.

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 387-v
Les enfants de Pierre Vogel de Bodersweier qui louent la maison au charretier Georges Fischer doivent 8 deniers pour un chenal en bois

In der Allmend Gaßen Darneben
Peter Vogels zu Boderßweÿher Kinder haben ein Hauß, da Georg Vischer der holtz Karcher Innen sitzt, daran ein hültzenen Naach, bessert für den Naach viij d.

1652, Livre des loyers communaux, VII 1461 (1652-1672) f° 293
Report du loyer dans le registre suivant, au nom de Jean Charles Beuchel puis Balthasar Frédéric Saltzmann qui rembourse le capital en 1666.

Hr. Lt. Balthasar Friderich Saltzmann Zuuor
Hanß Carl Beüchel, Soll gemeiner Statt Allmend Zinß Von seinem Hauß inn dem Kuppelgäßel, Jahrs vf Bartholomæi 1 lb 10 ß d
Ext: 50. 51. 52. Abgelöst in den 7.br 1666. Protocoll fol. 218
Alt. d. f. 172

Hanß Jacob Frantz Zuuor – Allmend Corpus
Idem Almend Zinßbuch fol. 142 144.b von gütern Jährlich Vf Martini 1 ß 7 d
1653, 1656, 1659
1660, 1664 v. Frantzen empf.
1663, 1666 von H. Saltzmann empf.
1667-1681

1741, Livre des loyers communaux, VII 1472 (1741-1802) p. 724
Le marchand de vins Jean Wagner doit 12 sols 6 deniers pour un terrain communal (171 pieds ½) réuni à sa maison. Les contribuables suivants sont Charles Verius, puis François Bianchi suivant vente par subhastation du 4 septembre 1777 puis Pierre Mayno et Compagnie suivant acte reçu par le notaire royal Lacombe le 29 septembre 1779.

H. Johannes Wagner der Weinhändler (Erben) solle Von 171 ½ Quadratschuhe eingezogenen Allmends an seinem Hauß an der Kuppelgaß, Laut Prot. de A° 1759. fol. 65. jahrs auf annunc: Mar. und A° 1760. I.mo, id est 25. Martii (5. Germinal), 12 ß 6 d
(Quittungen) 1760-an 10
C. 350
modo Carl Verius
jetzt Sr François Bianchi der Handelsmann laut Gantkaufsbriefs vom 4. Sept: 1777. v. supra 634-b
modo Sr Pierre Maino et comp. HdlsM. laut Cession vor M° La Combe Not.re Royal 29. 7.bre 1779
fol. 730.

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1598, Préposés au bâtiment (VII 1315)
Le prévôt de Wibolsheim, propriétaire de la maison qui appartenait à Pierre Vogel, demande aux préposés de recouvrer le loyer que lui doit Christophe Sommer. Le locataire répond qu’il s’acquitte régulièrement du loyer. Les préposés ajournent l’affaire. Quatre jours plus tard, Jacques Richting, tuteur des enfants de Pierre Vogel, et le prévôt André Daul font leurs dépositions.

(f° 25-v) Mittwoch den erst. Februarÿ
Christoffel Somer beschickt wegen des Schultheißen von Wibelsheim der Peter Vogels heuser im Newen Rappengeßlin hat, vnd befragt daß er Ihm schuldig für hauß Zinß, sagt geb Ihm all virtel Jar 25 ß seie Ihm nichs schuldig erheb mit Ihme verlaß heüt hie Zusein, od. biß sambstag gemeß*. Zuerscheinen, vnd diser Ansprach halben sich mit mein h. Zuuergleich. abdretten.
Erkandt er Christoff soll Ihn heruff bring. sobald er kombt, soll Ihm auch Kein Zinß geben so lang biß er Ihn heruff gepracht hat. Wills thun.

(f° 30) Sambstags 4. Februarÿ.
Jacob Richting Ist In Ao 85 Antzeigt worden dß. Peter Vogels heuser Im Rapengeßlin mein h. Järlich sollen 30 ß Zinß geben sollen, haben sie 8 tag bedacht erhalten derhalben Jetzo beschickt Ihme vnd andres Daulen Schultheiß Zu nachmalen antzeigt word. & Jacob Richting sagt es sei Ihm gleichwol vor Jaren vffgelegt aber seither nichts geheisch. worden haben Peter Vogels Kinder nichts, doch *olt er der haupt Summ 30 h. d. stehen wie Ihm Zuthun, Aber den Zinß wiß er nit Zuerleg. Andres Daul Schultheiß Zu Wibelßh. sagt hab Ao 92 das hauß erkaufft seie Ihm von diß 30 ß d andgelt Antzeigt word. hab auch 30 d an d. Kauff Sum Zubehalt. seine vrpittig von Ao 92 den Zinß Zu geben, wöllen mein h. den Kind.en etwas nachlaß. mög ers leid. & abdretten Erkandt Ist Jacob Richtings Antwort nit Zugering Angennommen, sondern Ihnen beden Antzeigt, das man sich ans hauß heben werd. mög sies Zwen mit einander mach. wie sie wöllen sollen mein herren de Ao 85 den Zinß erleg.
Der Schultheiß sagt seie sein theil vrpitig Zuerleg. von Ao 92 Jacob Richting sagt, er wiß nit das er beschickt word. seie nichts vbrigs da. Schultheiß sagt, er wölle sein theil erleg. Richting sein und.than den Kön man Zwing. Richting bittet den Kinderen etwas am Zinß nach Zulaßen & Bitten doch bede 14 tag dilation wollen sie sich vergleichen. Ist Zugelaß.

1666, Préposés au bâtiment (VII 1359)
Balthasar Frédéric Saltzmann rembourse le capital du cens annuel

(f° 218-v) Donnerstags den 20. Eiusdem [Mittwochs den 19. Sept.] – H. Lt. Saltzmann
H. Lt. Balthasar Friderich Saltzmann erlegt 30. lb.d. baar gelt, vnd will damit die 1. lb 10 ß Zinnß, so wegen anschaffung tagliechtes in dessen Hauß in der Weißen Wints oder Kuppelgaß biß anhero vermög Zinnßbuchs fol. 154. dem Zinnßmeister bezahlt werden mußern, abgelöst haben. Erkand wurd die Abloßung angenommen, hiengegen der Post in dem Zinßbuch außgethan.

Description de la maison

1715 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bûcher et une cave sous solives, estimée avec la cour, autres appartenances et dépendances à la somme de 800 florins
1728 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, vestibules, cuisines, petite cave, chambre à soldats, estimée avec appartenances et dépendances à la somme de 700 florins
1750 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un bûcher, au premier étage deux poêles, une alcôve, cuisine et vestibule, au deuxième étage un poêle, deux chambres cuisine et vestibule, le troisième étage est semblable au deuxième, le comble où se trouve la chambre à soldats a une double couverture en tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 500 florins
1774 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, une cuisine, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 3 000 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

Le propriétaire allégué est un des associés de la société liquidée en 1802.
4° arrondissement ou Canton est – Rue des Couples

nouveau N° / ancien N° : nouveau N° / ancien N° : 3 / 2
Aroy
Rez de chaussée et 1° étage bon en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 232 case 2

Zeissolff Ferdinand Md. de vin grand’rue
Zeissolff Barbe née Dahlen rue des Couples N° 2 (Subst. pr. 1848)
Straab Madeleine née Michel veuve, Subst. 1849

O 733, Maison, sol, R. des Couples 2
Contenance : 0,82
Revenu total : 54,43 (54 et 0,43)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 19 / 15
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 975 case 2

Straab veuve née Michel, Madeleine
1870. Vierling Louis Edouard négociant
93/94 Popp Andreas Josef Kassirer
1901 Grajowski Frantz Xaver Ehefrau Brigitta geb. Strohmeier
1902 Achard Ferdinand Heinrich, Metzgermeister in Straßburg und Ehefrau Emilie geb. Voltz in Gütergemeinschaft

O 733, Maison, sol, Impasse des Couples 5
Contenance : 0,82
Revenu total : 54,43 (54 et 0,43)
Folio de provenance : (232)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 19
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre allemand, registre 29 page 198 case 7

Parcelle, section 17, n° 37 – autrefois O 733
Canton : Kuppelhofhasse Hs N° 5
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,92
Revenu : 600 – 900 – 1000
Remarques :

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1951), compte 99
Achard Ferdinand Heinrich u. Ehefrau
1907 Schmitt Joseph, Ehefrau
1937 Schmitt Joseph et son épouse
1951 clos

(Propriétaire à partir de l’exercice 1951), compte 6564
Schmitt Camille Fernand, maître boucher et son épouse p. ½ et Zingle Martin son épouse née Schmitt p. ½
(3647)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IX, Rue 316 Rue des Couples p. 507

2
un magasin

Registres de population

Registre de population 600 MW 11 (1795), pas de page pour le 2, rue des Couples
600 MW 23 (1798) idem
600 MW 85 (1808 sqq) Rue des Couppel N° 2 p. 237 (i 203, liste des habitants)

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Kuppelhof (Seite 94)

(Haus Nr.) 5
Achard, Fleischhackerei. 0
Fehringer, Schuhmacher-Meister. 0
Lazarus, Briefträger. 1
Simon, Pensionär. 1
Naudascher, Schreinermr. 2

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 683 W 85)

5, rue des Couples (volume I, 1895-1986)

Le boucher Ferdinand Achard demande en novembre 1901 l’autorisation d’installer un moteur électrique pour entraîner plusieurs machines. L’autorisation ne peut être accordée parce que le local se trouve au-dessous du niveau de la rue selon l’ordonnance du ministre de l’intérieur applicable aux ateliers de boucherie en date du 18 novembre 1901. L’atelier est finalement aménagé au rez-de-chaussée en 1902.
Ferdinand Achard est autorisé en novembre 1902 à transformer une porte, percer une fenêtre, agrandir quatre soupiraux en façade et à aménager un fumoir au sous-sol, les travaux n’ont cependant pas lieu. La boucherie est reprise en 1908 par Joseph Schmitt qui fait aménager en 1928 une glacière à compresseur.
Les propriétaires Schneider et Meyer qui viennent d’acheter l’immeuble déposent en septembre 1983 au nom d’une s.à.r.l. en constitution (SAMA) une demande de permis de construire sous la direction de Daniel Steyer (1, rue des Lentilles) pour transformer en débit de bière un local voûté, en partie situé au sous-sol, qui servait de boucherie chevaline. Le permis de construire est accordé en janvier 1984, un avenant pour modifications intérieures en juillet 1984. Adrien Schneider est autorisé en 1983 à transférer et à exploiter la licence IV du débit de boissons Meiselocker (14, place Saint-Etienne). Le restaurant Le Trou ouvre en 1984, Adrien Schneider obtient en juillet une autorisation d’ouverture tardive. Il fait peindre en décembre 1984 une enseigne sur la suggestion de l’architecte des Bâtiments de France.

Sommaire

1896 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le propriétaire Popp soit autorisé à faire une prise pour environ dix becs – Autorisation
1895 – Le maire notifie le propriétaire Popp de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant quatre volets de soupiraux qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique, une porte ordinaire et une porte de cave – Travaux terminés, novembre 1897
1901 (novembre) – Le boucher Achard demande l’autorisation d’installer un moteur électrique pour entraîner plusieurs machines. Les locaux pour les employés (toilettes, vestiaire, lavabos) se trouvent en face au numéro 6 – Le commissaire de police transmet à l’inspection du travail. L’autorisation ne peut être accordée parce que le local se trouve au-dessous du niveau de la rue – Extrait de l’ordonnance du ministre de l’intérieur applicable aux ateliers de boucherie en date du 18 novembre 1901
Dossier ouvert après un courrier du commissaire de police. – Rapport de la Police du Bâtiment. Le sol du local se trouve 1,50 mètre au-dessous du niveau de la rue. Prescriptions à observer si l’autorisation était accordée – Le médecin d’arrondissement émet un avis défavorable – L’inspection du travail est disposée à accorder l’autorisation si le sol est rehaussé au niveau de la rue.
1902 (janvier) – L’entrepreneur de constructions Auguste Brion (11, rue Sainte-Aurélie) propose de rehausser le sol de 60 centimètres, de sorte qu’il se trouvera à 70 centimètres au-dessous de la rue. Les fenêtres vers la rue seront agrandies. Le sol et les murs jusqu’à une hauteur de 1,20 mètre seront revêtus d’un matériau étanche. – Coupe du local voûté avant et après travaux.
Le médecin d’arrondissement propose d’agrandir le local vers le haut
1902 (février) – Le même donne son accord pour que la moitié droite du local serve à hacher la viande si les prescriptions ministérielles du 18 novembre sont respectées. – L’inspection du travail énumère les conditions à respecter
La Police du Bâtiment fait remarquer que la hauteur moyenne (1,50 mètre) sera insuffisante si le sol est rehaussé au niveau de la rue comme l’exige la nouvelle ordonnance.
1902 (mars) – L’inspection du travail énumère d’autres conditions à respecter
L’entrepreneur Auguste Brion propose de nouveaux plans. L’atelier sera aménagé au rez-de-chaussée et non plus au sous-sol. – Le boucher Achard décrit le projet
1902 (avril) – Le boucher F. Achard est autorisé à aménager un atelier de boucherie
Suivi des travaux. Une cloison est supprimée (avril). Le plâtre est posé, l’aménagement commence (mai). La plupart des machines sont en place (juin). Les travaux sont terminés (juillet) – Dessins (élévations, plans, coupes)
1902 (septembre) – L’entrepreneur Auguste Brion transmet les plans d’un monte-charge
L’inspection du travail constate que le monte-charge ne correspond pas aux prescriptions.
1902 (octobre) – Ferdinand Achard est autorisé à installer un monte-charge – Travaux terminés, octobre – Dessin
1902 (novembre) – Ferdinand Achard demande l’autorisation de transformer une porte, percer une fenêtre, agrandir quatre soupiraux en façade et aménager un fumoir au sous-sol, de munir la porte d’un volet roulant
Ferdinand Achard est autorisé à transformer une porte, percer une fenêtre, agrandir quatre soupiraux en façade et à aménager un fumoir au sous-sol. – Dessin – L’autorisation est périmée sans que les travaux soient réalisés
1904 – Rapport relatif à un feu de cheminée
1908 – Le boucher Schmitt déclare reprendre la boucherie Achard (papier à lettres Ferdinand Achard, successeur de Lebeau)
1912 – L’entrepreneur Charles Nadler (successeur de G. Mayer, Schoop et Mayer, Derrière les murs n° 1) demande l’autorisation d’entreposer des matériaux sur la voie publique. Le commissaire de police transmet au maire – Autorisation – Dossier classé, octobre 1912
1913 – Le maire notifie le boucher chevalin Schmitt de faire ravaler la façade impasse Günther – Travaux terminés, novembre 1913
Commission contre les logements insalubres
1906. Les logements sont bien tenus – 1908. rien à signaler
(Sans date) La fille de la propriétaire Schmitt déclare que le pignon sur lequel s’appuient les cabinets d’aisance du voisin est humide. L’enquête montre que l’humidité provient de l’atelier de charcuterie au sous-sol.
1913. Joseph Schmitt (demeurant 6, rue des Couples) a ravalé la façade du n° 5
1928 – Joseph Schmitt demande l’autorisation d’aménager une glacière à compresseur – L’inspection du travail émet un avis favorable – Autorisation – Réception finale, mai 1928 – Dessin
1981 – Le maire demande à Robert Schmitt de faire ravaler la façade – Travaux terminés, septembre 1986
1983 – Les notaires associés Jean Limon et François Hirth (Truchtersheim) demandent un certificat d’urbanisme. L’immeuble se trouve dans le secteur sauvegardé et une zone d’intervention foncière. Le bâtiment doit être conservé et restauré
1983 – Adrien Schneider (gérant de la société S.A.M.A.) demande l’autorisation de transférer et d’exploiter la licence IV du débit de boissons Meiselocker du 14, place Saint-Etienne au 5, rue des Couples. Le préfet demande au maire un rapport sur les locaux. – La Police du Bâtiment déclare qu’un permis de construire est en cours d’instruction.
1984 (juillet) – Autorisation
1983 (octobre) – Rapport de la Commission de sécurité
1984 (avril) – Demande d’avenant au permis de construire
1984 (août) – Rapport de la Commission de sécurité
1984 (septembre) – Récépissé de déclaration d’ouverture d’un établissement recevant du public, classé en 5° catégorie (bar-pub Le Trou), effectif déclaré 45 personnes au sous-sol
1983 (septembre) – Les propriétaires Schneider et Meyer déposent au nom d’une s.à.r.l. en constitution une demande de permis de construire sous la direction de Daniel Steyer (1, rue des Lentilles)
Description du projet. Le local voûté, en partie situé au sous-sol, qui servait de boucherie chevaline sera transformé en débit de bière – Plan d’arpentage
1983 (octobre) – Les propriétaires sollicitent une dérogation à l’accès pour handicapés – Le service d’hygiène n’a pas d’observation à formuler
1983 (novembre) – L’architecte des Bâtiments de France Jacques Ernest émet un avis favorable – L’inspecteur du travail fait trois remarques
1983 (décembre) – Le maire transmet avec avis favorable le dossier au directeur départemental de l’équipement
1984 (janvier) – Le préfet accorde le permis de construire
1984 (février) – Les travaux sont en cours
1984 (mai) – Demande d’avenant au permis de construire (modifications intérieures) L’inspecteur du travail fait une remarque
1984 (juin) – L’architecte des Bâtiments de France Chantal Lavillaureix émet un avis favorable – Le service d’hygiène n’a pas d’observation à formuler – Le maire transmet avec avis favorable le dossier au directeur départemental de l’équipement
1984 (juillet) – Le préfet accorde l’avenant au permis de construire
Déclaration d’achèvement des travaux. En remarque, une grille de protection a été placée sans autorisation à l’entrée du caveau
Adrien Schneider dépose une déclaration d’ouverture au nom de la s.à.r.l. SAMA, bar-pub Le Trou
1984 (août) – La Commission de sécurité fait son rapport
1984 (septembre) – Récépissé de déclaration d’ouverture
1985 (août) – La grille de protection est toujours en place. L’architecte des Bâtiments de France donne son accord pour classer le dossier – La réception finale ne donne lieu à aucune observation
1984 (mai) – Rapport de la Commission de sécurité, les travaux étant achevés. L’établissement de troisième catégorie n’est pas soumis à autorisation de la part du maire.
1984 (juillet) – Adrien Schneider (restaurant Le Trou) sollicite auprès du préfet une autorisation d’ouverture jusqu’à trois heures du matin pour servir les clients à la sortie des cinémas. – Le préfet délivre l’autorisation, octobre 1984
1985 (janvier) – Adrien Schneider demande de renouveler l’autorisation – Autorisation, avril 1985
1984 (septembre) – La Police du Bâtiment constate qu’une enseigne peinte sur un panneau a été posée sans autorisation
1984 (octobre) – Adrien Schneider dépose une demande en joignant le consentement du propriétaire André Meyer – Photographies – Dessin
1984 (novembre) – L’architecte des Bâtiments de France Jacques Ernest émet un avis défavorable, l’enseigne étant trop grande
1984 (décembre) – La Police du Bâtiment constate que l’enseigne sur panneau a été remplacée par une autre peinte sur le mur – Adrien Schneider déclare avoir suivi la suggestion de l’architecte des Bâtiments de France en peignant l’enseigne et en posant une lampe de part et d’autre de la porte d’entrée.
1985 (avril) – Adrien Schneider dépose une demande – L’architecte des Bâtiments de France Chantal Lavillaureix émet un avis favorable
Arrêté portant autorisation de poser des enseignes en saillie sur le domaine public

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 924 W 683)

5, rue des Couples (volume II, 1985-1996)

André Meyer est autorisé en janvier 1986 à aménager les combles en duplex avec le niveau inférieur en remplaçant les petites lucarnes par des vasistas vers l’impasse Gunther et à remplacer l’ancienne cheminée par une nouvelle sous la direction de l’architecte Kamran Alamouti. Les travaux sont terminés en décembre. André Meyer et Adrien Schneider font peindre l’enseigne Le Trou au-dessus de la porte du bar. Le préfet accorde une autorisation d’ouverture tardive. Des riverains se plaignent de nuisances sonores (mai 1987) puis portent plainte (1990). L’ouverture tardive est reconduite.
Les exploitants suivants sont Bernard Ruhlmann (1990), André Meyer (1992), Cécile Lardillier (1994), Yves Bloch (1996).

Sommaire

1985 (novembre) – André Meyer dépose une demande de permis de construire pour aménager les combles en duplex avec le niveau inférieur en remplaçant les petites lucarnes par des vasistas vers l’impasse Gunther 5, rue des Couples, section 17 parcelle 35 (sic) sous la direction de l’architecte Kamran Alamouti (63 Boulevard Dostoïevski). L’ancienne cheminée sera remplacée par une nouvelle – Photographie de la façade, de l’impasse
1986 (janvier) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable ainsi que le directeur départemental de l’équipement
1986 (février) – Le préfet délivre le permis de construire
1986 (mars) – Déclaration d’ouverture de chantier. Les travaux sont en cours (mai), ils sont terminés conformément aux plans (décembre)
1986 (novembre) – André Meyer et Adrien Schneider demandent que Martine Missemer (8, rue de Zurich) soit autorisé à peindre l’enseigne Le Trou au-dessus de la porte du bar
1986 (octobre et novembre) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable
1986 (décembre) – Le maire délivre l’autorisation
1987 (février) – L’architecte des Bâtiments de France Chantal Lavillaureix fait dresser un procès verbal d’infraction, les travaux n’étant pas conformes à l’autorisation (menuiseries non peintes, pierre peinte, couleur non autorisée)
1987 (mai) – Le secrétaire Adam général adresse au maire Marcel Rudloff une note relative aux nuisances sonores dues au bar auquel le préfet a accordé à titre définitif une autorisation d’ouverture tardive malgré l’avis défavorable du maire – Les riverains ont posé une banderole Silence nous voulons dormir
1984 et 1988 – La commission de sécurité fait son rapport – Nouveau rapport, 1989
1989 – Adrien Schneider adresse au préfet une demande d’ouverture tardive suite à la nouvelle réglementation – Le préfet accorde pour un an l’autorisation d’ouverture jusqu’à quatre heures du matin en décembre 1989
1990 – La commission de sécurité constate que les sorties de secours sont fermées dans certains établissements de la ville
1990 – Bernard Ruhlmann (demeurant 20, rue de Thann au Neudorf) sollicite auprès du préfet l’autorisation d’exploiter le débit de boissons Le Trou. Le préfet demande au maire un rapport sur les locaux – La commission de sécurité fait son rapport – Le préfet autorise Bernard Ruhlmann à exploiter le débit de boissons Le Trou dans une salle au sous-sol en qualité de gérant de la s.à.r.l. SAMA (septembre 1990). – Le préfet autorise l’ouverture jusqu’à quatre heures pendant six mois (septembre 1990)
1990 (décembre) – Le préfet communique au maire une plainte déposée par les riverains pour tapage nocturne
1991 (janvier) – Bernard Ruhlmann demande que l’autorisation d’ouverture tardive soit renouvelée
1991 (décembre) – Idem – Le préfet accorde l’autorisation, mars 1992
1992 (juin) – André Meyer sollicite auprès du préfet l’autorisation d’exploiter le débit de boissons Le Trou. Le préfet demande au maire un rapport sur les locaux – La commission de sécurité fait son rapport – Le préfet autorise André Meyer à exploiter le débit de boissons Le Trou dans une salle au sous-sol en qualité de gérant de la s.à.r.l. SAMA (septembre 1992).
1992 (décembre) – André Meyer demande que l’autorisation d’ouverture tardive soit renouvelée – Le préfet accorde l’autorisation pendant un an (février 1993)
1993 (décembre) – Cécile Lardillier (demeurant 2, boulevard Clémenceau) sollicite auprès du préfet l’autorisation d’exploiter le débit de boissons Le Trou. Le préfet demande au maire un rapport sur les locaux – Le préfet autorise Cécile Lardillier à exploiter le débit de boissons Le Trou dans une salle au sous-sol en qualité de gérant de la s.à.r.l. Le Trou (mars 1994)
1994 (mars) – Le préfet accorde l’autorisation d’ouverture tardive pendant trois mois
1994 (avril) – Cécile Lardillier demande que l’autorisation d’ouverture tardive soit renouvelée – Le préfet accorde l’autorisation pendant un an (mai 1994)
1995 (février) – Nouvelle demande de renouvellement – Rapport de la commission de sécurité (mars 1995) – Le préfet accorde l’autorisation pendant trois mois (mai 1995)
1995 (mai) – Nouvelle demande de renouvellement –Le préfet accorde l’autorisation pendant six mois (août 1995)
1995 (novembre) – Nouvelle demande de renouvellement – Le préfet accorde l’autorisation pendant six mois (janvier 1996)
1996 (mai) – Yves Bloch (demeurant 6, rue Jacques Peirotes) sollicite auprès du préfet l’autorisation d’exploiter le débit de boissons Le Trou. Le préfet demande au maire un rapport sur les locaux – Le préfet autorise Yves Bloch à exploiter le débit de boissons Le Trou dans une salle au sous-sol en qualité de gérant de la s.à.r.l. Le Trou (juillet 1996)
1996 (septembre) – Yves Bloch demande que l’autorisation d’ouverture tardive soit renouvelée – Le préfet accorde l’autorisation pendant trois mois (octobre 1996)

Autres dossiers
5, rue des Couples (1987-1989, plaintes pour nuisances) cote 683 W 86

Relevé d’actes

La maison est inscrite dans le Livre des communaux (1587) au nom des enfants de Pierre Vogel, de Boderweier (près de Kehl).

Le savetier Pierre Vogel épouse en 1574 Catherine Kirn, veuve de Jacques Horst de Boderweier
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 110-v n° 21)
1574. [De, 4 Octobris] mitt diesen seind ehelich eingesegnet word. Peter Vogel der Schupletzer: vndt Catharina Kirnin Jacob Horst selig von Poderseiher nachgelaßne widwe (i 126)

Contrat passé entre le cordonnier Jacques Richting, tuteur des quatre enfants de Pierre Vogel, et la veuve Catherine Kirn
1584 (14.4.), Chancellerie, vol. 229 (Gemein Contract Buch) f° 33-v
Vertrag zwüschen Peter Vogels des schumachers selig. Wittwe und Kindern
(…) erschienen seindt vnsserer burgere Jacob Richting der schumacher als vonn vnns geordnettter vogt Catharinæ, Peters, Elisabethen, Mariæ vnd Jacobs, geschwüsterden, wÿland auch vnnsers burgers Peter Vogels des schumachers seligen hind. Lassener Kinder mitt Catharina Kürnin seiner Hinderlaßener Wittwe ehelichen erben ahn einem,
So dann Jetzgemellte Catharina Kürnin mit beÿstand Jeörg Reinbold Nagers des buchsenschmidts Ires geschwornen Vogts am andern theil, vnd haben vnns erzehlen vnd fürbringen Lassen,
Alß nach Absterben gedachts Peter Vogels vff sein des Kinder Vogts ansuchen vnd begeren vnnserer Statt gebrauch vnd Ordnung noch alle sein Peter Vogels hinderlaßene haab vnnd güetter Inuentiren (…) daß seinen vogtkindern vber abzug der schulden sammethafft mehr nicht dann 120. lb thutt Jedel Zum fünfften theil 24 lb vätterlichen erbs gebüren thätte, dieweÿl dann seidhero Jacob das Jüngste Kind mitt todt abgangen, die Mutter solchs geerbt vnd die vberigen vier Kinder Zum theil, noch Jung Namlich Catharin 14, Peter 8, Elisabeth 4 vnnd Maria 3 Jar allt (…)
Geb. Zinßtags den 14. Aprilis Anno & 1584.
Confirmirt Zinstags den 14. Aprilis Ao & 84.

Le tuteur des enfants de Catherine Kirn, issus du premier mariage avec Jacques Hurst et du deuxième avec Pierre Vogel, vend la maison rue du Lévrier blanc à André Daul de Wibolsheim. Le contrat porte en clause que la maison est chargée d’un cens annuel de trente sols dont le capital est rachetable, depuis que la rue a été élargie suite à la destruction des maisons détruites par la poudre.

1591 (14. Januarÿ), Chancellerie, vol. 276-II (Imbreviaturæ Contractuum) f° 3
Kauff Andres Daulen von Wibelßh. vber ein hauß Im weissen windgaßlin
(Extendirt in Volum. Contract. 1591.) Erschienen Jacob Richting der Schuhmacher als vogt Catharinen Hurstin weÿland Hurst Jacob. von Bodersweiher ehelich. dochter so er mitt Catharinen Kirnin erziehlt vnd als vogt Peters, Elßbeth. vnd Marien weÿland Peter Vogels des Schuhmachers mit ermelter Catharinen Kirnin erziehlter ehelicher Kinder, vnd hatt (…) verkaufft
Andres Daulen von Wibelßheim
Hauß vnd hoffstatt gelegen alhie In der Statt Straßburg ane dem staden Jenseit der preüsch. nidwendig dem Rappen, In dem weissen wind. gäßlin, einseit neben wendling Martin vnderkeüffer Im Kauffhauß, anderseit neben einer behausung ([biffé] Zum) neb. Kuppelhoff, Jonas Schonern dem Roßteuscher Zugehörig, hinden vff das Bonen gäßlin stoßend für allerdings ledig vnd eigen vnd alles Recht, dem Keuffern übergeben vnd bekhandt, das der Kauff Zugangen für vnd vmb 560 gulden
vnd dieweil vmb deßwillen die vorder gaß ettwas weitter word. dardurch das man die heüser so das Puluer versprengt hinweg geraumbt, haben vnsere herrn vff disse behausung Jarlich xxx ß geschlag. wann aber Ime dem vogt biß daher nichts gefordert word. were beÿ dissen Kauff bered. wofern In Künfftig. vber kurtz od. lang dem Keuffern solcher Zinß gefordert werd. solte, das Ime als dann die gemelte* 60 gulden an der Kauffsumm Abgehen solt vnd er die nicht Zuerlegen schuldig sein soll (…)
Chancellerie, vol. 272 (Gemein Contract Buch) f° 27

André Daul, prévôt de Wibolsheim, et sa femme Odile fille de Jean Welther vendent la maison sise ruelle du Cheval Bai (Rappengässlein) au fabricant de bourses André Dürr et à sa femme Marie, fille de Jean Bentzinger de Sasbach (en Bade). Le contrat passé à la Chancellerie figure dans le registre des minutes de 1603 et dans celui des expéditions de 1623.

1603 (vt spâ [9. Decembris]), Chancellerie, vol. 348 (Registranda Kügler) f° 377-v
Erschienen Andres Daul der Schultheys Zu Wybelßh. vnd Otilg. sein ehelichen hußfr. wÿland hans Welthers daselbs selig. docht. hab. vnv. verkaufft
Georg Dirren pullenmachern v Fr. Marien sein ehegemahell hanns Bentzingers Zu Sahßbach selig. Dochter Inen
huß v hoffestatt m all Iren gebeu geleg. Inn der SS Inn Rappen gäßlein einsyt neben Jonas Schoner and.seÿt Jerg Meÿgern Buchsenschmid stoßend hind. In der wÿß winden gessl v hatt auch ein vßgang In desselbig. gesselin, davon gnd j lb x sch d glt losig m xxx lb vnsern g herrn d. SS Alle Jar vff S Bartholomen tag. Sonst ledig eÿg. der Khauff vber solche beschwerd Zugang v bescheh. vmb 440 pfund pfenning
(vide in Prothocoll fol. 466.)
1623, Gemein Contract Buch f° 75 (KS 447)
Kauffverschreybung Georg Dirren Pulgenmacher vber Hauß
das vor weÿland Jacobo Kuglern vnseren gewesenen Notario Contarctuum, wie In desselben gehaltenen prothocollo de Anno & 1603. welches neben anderen prothocolles Zu vnserer Cancelley geluffert worden, folio 464. zu befinden, den Neundten Decembris Jetzermelten weheniger Zahl dridten Jars erschienen Ist Andreas Daul der Schuldtheÿß Zu Wybelßheim vnd In gegenwertigkeyt vnsers Burgers Georg Dürren des Bulgenmachers vnd Mariæ desselben ehelicher haußfrauwen, weÿland Hans Bentzingers Zu Saßbach hinderlaßener Tochter beden Ehegemechden (verkaufft) Hauß vnd hoffstatt, mit allen andern derselben gebewen, begriffen weythen, Zugehörd. recht vnd gerechtigkeytten In diser vnserer Statt In dem Rappen gaßlein einseÿt neben Jona Schonern anderseyt neben Georg Meÿgern dem Büchsenschmidt, hinden auff des weÿß windt gässlin stoßend gelegen, davon gehet ein pfundt Zehen schilling pfenning gelts auff Sanct Bartholomei Tag In hauptgut mit Treyssig pfund pfenning vnserner Statt abzulosen, sonst eygen, vnd were diser Kauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 440 pfund pfenning (…)

Originaire de « Bothicha », le fabricant de bourses Georges Dürr achète le droit de bourgeoisie le 26 août 1602.
1602, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 658
Georg Dirr von Bothicha d. Pullenmach. Kaufft mit beÿstandt, Hanns Königs deß Pullenmachers d. d. B. Will Zum Spiegel dienen, vnnd sein Nahrung für 400 fl. angeben, Act: 26 ditto [Aug.]

Georges Dürr et sa femme Marie hypothèquent la maison ruelle du Cheval Bai au profit du corroyeur Jean Büchel

1608 (x Februarÿ), Chancellerie, vol. 377 (Registranda Kügler) f° 51
(Inchoat. fo: 60.) Erschienen Jörg Dirr Bulgenmacher und Maria sein eheliche hußfr.
haben in gegensein hannß Beüchels lederbereÿters demselben schuldig sein 160 guldin für Wahr vnd gelühens gelts
dafür Vnderpfand sein soll huß v. hoffestatt mit allen andern Iren gebewen & gelegen Inn der SS Im Rappengaßlin einseyt Jonas Schonern andersÿt Jerg Meygers Buchßenschmid stoßend hinden Inn der wÿß wind gesslin, dauon gend j lb x ß d gelts wider kheüffig mit 30 pfund pfenning s SW Mehr 5 pfund gelts loßig mit j C lb d Andres Daulen Schultheÿß Zu Wÿbolßheim vnd sind auch wyther verhafftet für j C xv d d. bemeltem Andres daulen Zu Zylen Zubezal.

Georges Dürr se remarie avec Barbe Moch, originaire de Sankt Georgen en Wurtemberg
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 81 n° 18)
1609. den 3. Octobris seindt ehelich eingesegnett worden Jörg Dürr der Bulgenmacher vndt Burger alhie, vnndt Jungfraw Barbara Mochin von St. Jörgen im Würtenberger landt weÿlandt Jörg Mochs des handelsmanns vndt Burgers seligen daselbsten nachgelaßene dochter (i 90)

Georges Dürr et Barbe Mager hypothèquent la maison sise rue des Couples (Guppelgassen) au profit de Jean Büchel

1613 (ut spâ [v. Novembris]), Chancellerie, vol. 407 (Registranda Kügler) f° 305
(Inchoat. fol: 310.) Erschienen Georg Dürr der Bullenmacher vnd Barbara Magerin sein eheliche haußfrauw
haben In gegensein herrn Hanns Beüchels bekhant denselben schuldig sein 25 Pfund Pfenning Straßburg für erkhaufft Leder
dafür Vnderpfand hauß hoffestatt mit allen andern Iren gebeuwen & gelegen In der St. Straßb. In der Guppelgassen, einseÿt Jonas N anderseÿt Georg Meÿer Büchsenmach. stost hinden vff Bastian Metzig Schuhemachs. Dauon genth 10 guldin gelts Andreas Daul Schultheÿßen Zue Wÿbelßheim ablösig mit 200 guldin zu xv batz, Mehr 31 Pfund 10 schilling pfenning geltz widerkheüffig mit 30 pfund pfenning der Statt Straßburg, So dann noch weÿtters verhafftet für 160 guldin bemeltem hanß Büchel, Sunst ledig eÿgen

Georges Dürr et Barbe Moch hypothèquent la maison sise dans la ruelle près de la cour des Couples (beÿ dem Kuppellhoff) au profit du corroyeur Jean Ott. En marge, Jean Ott déclare en 1635 avoir été remboursé par Jean Büchel qui a accepté la maison

1615 (xxv. Maÿ), Chancellerie, vol. 418 (Registranda Meyger) f° 247-v
(Inchoat. in Proth. fol. 202.) Erschienen Jörg Dürr ein Bullenmacher burger Zu Straßburg vnd Barbell Mochin sein eheliche haußfr.
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit hannß Ott des Rothgerbers burgers Zu Straßburg – schuldig sigent 40 pfund pfenning für Aberkaufft Leder
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt hauß vnd hoffestatt, mit Allen Ihren gebewen & gelegen Inn d. St. St. Jensit d. Schindbruck. Inn einem gäßlin beÿ dem Kuppellhoff, einsit Jörg Meÿer dem büchsenschmÿd, And seit n. dem Kuppelhoff, hind. vff hannß Büchells behausung stoßend, dauon gend. j lb x ß gelts Abloß. mit xxx lb d St St. Mehr sind sie verhafftet Vmb j C v lb obgedachtem hannß Büchell, So dann vmb j C xxxx lb d Andres Daul dem schultheißen zu wibelßh.
[in margine :] Erschienen hannß Ott hierin gemelt bekannt In gegensein herrn hanß Büchels alß welcher diße behaußung an sich genommen zu seinem guten genügen erlegt darfür quittirt den 19. Augusti 1635.

Georges Dürr hypothèque la maison au profit du corroyeur Jean Büchel

1631 (ut spâ. [26. Julÿ]), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 391
Erschienen Georg Dürr der Bullenmach. burger zu St.
hatt in gegensein hanß Büchels deß Lederbereiters auch burgers alhie – schuldig seÿ 309. fl.
dafür Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstat, mit allen ihren gebäwen & alhie in d. Rappengaß neben Niclauß Nonnenmacher dem Büchsenschmidt & neben dem Kuppelhoff, hind. vff ein Allmend gäßlin, stoßend gelegen, dauon gehen Jährlich 30. ß d bod. Zinß d. St. St. So seind sie auch Zuuor noch verhafftet vmb 50. lb. Hanß N. Schultheiß Zu Eschaw, item vmb 105. lb in Zwoen posten dem Gläubiger selbsten, vnd dann vmb 40. lb d hanß Otto dem Rothgerber

La maison revient en 1635 (voir plus haut et plus bas en 1660 la référence à l’acte du 27 juillet 1635) à Jean Büchel qui épouse en 1596 Marie, fille du conseiller Sébastien Ulrich

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 34-v n° 6)
1596. Den 9. Martÿ sind Ehelich eingesegnet worden Hans Beichtel von Straßburg, der lederbereiter vnd Maria Ulrichin, Herr Sebastian Vlrich Raths v.wandten Eheliche dochter (i 42)

Jean Büchel se remarie en 1631 avec Madeleine, veuve du pasteur Joachim Wendland de Rhein-Bischofsheim (Bischheim am Hohen Steg)
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 161-v, n° 11)
1631. 7. Trinitatis. H. Hanß Beuchel der Lederbereiter vnd Burger alhie vnd Magdalena weiland Herrn Joachim Wendlandt gewesenen Pfarrers Zu Bischen Zum Hohensteg hinderl. witwe (i 175).

Devenue veuve, Madeleine Kopp se remarie en 1636 avec le fourbisseur Paul Hellwig
Mariage, cathédrale (luth. p. 385)
1636. Doîca 21. Trinit. 6 9.brid. H. paulus Hellwig der schwertfäger vnd Magdalena H. Hans Büchel ältern grosen Rathsverwandten n. witwe, eingesegnet montag 14. 9.bris (i 197)
Proclamation, Saint-Nicolas (luth. f° 191-v n° 41) 1636. Dom. 21. Trinit 6. Novembris prima, Dom. 22. Tr. 13. Eiusdem 2.a vice. H. Paulus Hellwich der Schwerdtfeger des Stattgerichts alhie beysitzer vnd Fr. Magdalena Koppin H. Hans Büchel alten Großen Raths Verwandt. alhie hinderlaßene wittib. Mont. d. 14. Novemb. im Münster (i 205)

La maison revient à Jean Charles Büchel, fils du marchand Jean Büchel, qui épouse en 1633 Marie, fille de farinier Pierre Ammerbach

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 169 n° 33)
1633. Dom 1. Aduentus. H Hanß Carl Beuchel, H. Hanß Beuchel des Handelsmans ehelich Sohn und Jungfr. Maria, Peter Ammerbach des meelmans vnd burger alhie ehelich. dochter (i 182 – proclamation Saint-Pierre-le-Vieux f° 20)

Bourgeois de Strasbourg, Jean Charles Büchel habite à Marlenheim
1645 (9. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 494 f° 404
Erschienen H hannß Jacob Büchel der iung. Burg. und Lederhändler alhie, mit beÿstand H Hannß Carl Büchelß Burgers Zu Straßburg Wohnhaft Zu Marlenheim seines Bruders
hatt in gegensein H Ludwig Schmidts Med. Doct. und Schirmbß Verwanthens alhie – Schuldig seÿen 150. Pfund pfenning
Vnd zu noch mehrern Versicherung so hatt sich obgmeldter H Hannß Carl Büchel hiefür Zum Burg. selbst schuldnern und selbst Zahlern ohnverscheidentlich gestellt
[in margine :] Erschienen d. Debitor in gegensein deß Wohl Ehrwürdig hochgelehrten H Balthasar Friderich Saltzmanns SS. Theol. licent. und Freÿ Predigers alhie alß deß abgeleibten H Creditoris seel. dochtermanns und ietzig. ehevögtlich. weiße Innhabers gegenwärtig. obligation auß der hierinn constituirten general hÿpothec, die darinn begriffene und alhie geg.der Metzig, zwischen H. Johann Kolben dem Biersiedern und Vincentz Lompergern dem Weißbeckhen gelegene behaußung, iedoch sine novatione Zum Special Unterpfand exprimirt, Act. 5. 8.br. a° 1648.

Jean Charles Büchel, corroyeur et bourgeois de Strasbourg, épouse en 1649 Marie, fille d’Etienne Lamprecht, manant de Marlenheim
Mariage, Wangen (luth. f° 83)
Anno 1649. Hans Carlen Büchel Läderbereiter vndt Burger in Straßburg vnndt Maria Stephan Lampertß deß Metzgers vnndt Schirms Verwandten in Marlenheim Eheliche Tochter. Außgeruffen Dominica Jubilate et Cantate. Eingesegnet (i 77)

Etienne Lamprecht, bourgeois de Phalsbourg et manant à Marlenheim, se remarie avec Susanne, fille du tisserand Jean Scherundio de Bockenheim (Sarre-Union)
Mariage, Wangen (luth. f° 83)
Anno 1649. Stephan Lamprechts Metzger vnd Burger Zu Pfaltzburg Jetzundt Schirms Verwandter Zu Marlenheim vnd Susanna Scherudin, weÿland Hanß Scherudions geweßenen Wollenwebers vnd burgers Zu Sarbockenheim hinderlaßene Wittib. Außgeruffen Dom: XV. et XVI. Eingesegnet Zinst. 25. 7.br (i 77)

Jean Charles Büchel emprunte de l’argent au prédicateur Balthasar Friedrich Saltzmann. Sa femme Marie, assistée du boucher Etienne Lamprechts son père, se porte garante.
1657 (26. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 522 f° 368
Erschienen Hannß Carl Beuchel der Lederberaÿter Burger Zu Straßburg
in gegensein deß Wohl- Ehrwürdig- hochgelehrt. H. Balthasar Friderich Saltzmanns S.S. Theol. Licentiati und Freÿ Predigers alhie
daß Er, demselben, nicht allein, die, in der am 9. Junÿ a° 1645. in der Cancelleÿ Contractstuben vffgerichteter obligation, beschribene und, vermittelst der von E.E. Stattgericht am 4.t febr. a° 1655. ertheilten Bescheÿds, albereit abgetheilte 150. lib Capital sambt 9 lib 10. ß davon biß vff den 9. Julÿ dißes Jahrs verfallenen noch ohnbezahlten Zinnß, und 3 lib. 13. ß 2 d vffgegangener Uncost., noch schuldig seÿen, sondern auch ehrengedachter H Lt. Saltzmann ihme hannß Carl Beucheln heut dato ferners 50. lib in bahrem gelt gelüh. habe (…), deßweg. dann, soviel die alte 150. lib. betrifft, es beÿ der in obligatione vom 9. Julÿ a° 1645. constituirt. general hypothec ohne einige schädliche Newerung, iedoch dergestalt, verbleiben, daß die darinn bißhero begriffene und gegen der groß. Metzig gelegene Behaußung, von solcher general hÿpothec excludirt und außgeschloßen (…), hingeg. aber, ahne deren statt, auß der in mehrallegirter obligation vom 9. Julÿ a° 1645. versehenen general hÿpothec, gleichwohl. sine Novatione, Zum special Unterpfand exprimirt sein solle hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, alhie im Spittalgäßlin, einseit neben hannß Georg Stiglern dem Krempen, anderseit neben weÿl. hannß Wilhelm Sauren deß Küeffers seel. wittib, hind. vff den Ulbergraben stoßend gelegen (…)
Und Zu noch mehrern Versicherung der gesamt. 200. lib Capital, so ist hiebeÿ persönlich erschienen Maria, deß Schuldners Eheweib, mit beÿstand Stephan Lamprechts deß Metzgers ihres eheleiblich. Vatters, wie auch Beniamin Buischart deß lederberaÿters, und Peter Friot deß huetmachers aller treÿ alß ihr Mariæ hierzu erbettener nechster Verwanther, die hatt sich für die gesampte 200. lib Capital und biß dießelbe sampt Zinnß Marzahl und Uncost. völlig werd. abgelößt sein, verbürgt

Le corroyeur Jean Charles Büchel, bourgeois de Strasbourg demeurant à Marlenheim, et sa femme Marie hypothèquent la maison au profit du pasteur Balthasar Friedrich Saltzmann

1659 (11. febr.), Chambre des Contrats, vol. 524 f° 130
Erschienen Hannß Carl Büchel der Lederbereiter Burger Zu Straßburg wohnhaft Zu Marlenheim, Und Maria sein eheliche Haußfraw, Vndt Sie Maria insonderheit mit beÿstand beniamin und Peter, der Buchard, Vatter und Sohns, beeder Lederbereiter ihrer Blutsfreünd, wie auch Peter Friots deß Hutmachers ihres Verschwägerten freündts alß deroßelben hierzu insonderheit erbettener nechster Verwanther
daß Sie beÿde Eheleuth dem Wohl Ehrwürdig Hochgelehrten H Balthasar Friderich Saltzmann S.S. Theol. Lto. auch Pfarrherrn im Münster uffrecht und redlich ohnverscheidentlich schuldig seÿen 150. lb Straßburger, Zu dem Ende bahr gelühenen gelts daß Sie damit, Ihre beede ältere respect. eheleib: und Stieff Söhn, Hannß Peter und hannß Carl die Büchel, umb ihre mütterlich Guth nach anleÿtung deß im Kinder Vertrags Buch de A° 1648. et seqq. fol. 42. et seq. befindlich. Kinder Vertrags, außlüffern mög.
zum special Unterpfand exprimirt sein sollen hauß, hoffstatt, mit allend eren gebäwen, alhie jenseit deß Stadens im Kuppelgäßlin einseit neben dem Kuppelhoff, anderseit neben Niclauß Nonnenmachers deß büchßenschmidts seel. Erben, hind vff daß Günther Gäßlein stoßend gelegen, davon gehend Jahrs 1 lb 10. ß. Bodenzinß gemeiner Statt, Mehr 2 lb. 13 ß. 6. d ablößig mit 53. lb 10. ß in weÿl. Daniel Steinbockhs Verlassenschafft,
ferners Hauß, Hoffstatt mit allen deren Gebäwen & alhie im Spithal gäßlin, einseit neben Hannß Georg Stiglern dem Grempen, anderseit neben Hannß Wilhelm Sauren dem Küeffer, hind. uff den Ulmergraben, stoßend gelegen, so Zuvor Verhafftet umb 200. lb d Ihme H Creditori selbsten

Marie Lampert meurt en 1659 en délaissant six enfants. L’inventaire est dressé à Marlenheim en présence du tuteur des trois enfants issus du premier mariage du veuf. Le titre qui établit la propriété de la maison rue des Couples est un contrat passé à la Chambre des Contrats le 27 juillet 1635 (le registre des minutes manque, l’acte n’est pas porté au registre des expéditions). L’acte mentionne les biens dont Madeleine Kopp, veuve de leur père, a la jouissance viagère et qui reviennent à ses deux beaux-fils Jean Charles et Jean Jacques Büchel. La masse propre au veuf est de 4 019 livres, celle propre aux héritiers de 125 livres. L’actif de la communauté s’élève à 814 livres, le passif à 2 185 livres

1660 (23. 8.br.), Not. Winter (Jean Christophe, 62 not 10) f° 19
Inventarium vnd beschreibung aller vnd Jeder Liegender v. vahrend., veränderter v. vnveränderter Haab Nahrung v. Güttern, So weÿl. die Ehren v. Tugendsame fraw Maria Lampertin, des Ehrengeachten herrn Johann Carle Büchels, burgers Zu Straßb. v. Innwohners Zu Marlenheim gewesene eheliche haußfraw, beÿ Ihrem bereits in A° 1659. den 23. Monatstag Augusti beschehenen seel. Ableiben verlaßen, Welches vf erfordern v. begehren dess Ehrenhafften herrn Sebastian Röderers, Rothgerbers v. burgers Zu Straßb. alß geordneten v. geschwornen vogts, Dorotheæ, Stephani, Isaac, Magdalenæ, Abraham, v. Susannæ der Verstorbenen seel. mit obernantem H. Johann Carl Bücheln dem hinterbliebenen wittiber ehelich erzeügter Kind. v. ab intestato hind.laßen Erben (…) Actum v. angefangen Zu Marlenheim in fernerem beÿsein des auch Ehrenhafften Martin Brodfisch, Rothgerbers v. led.bereiters deß H. wittibers 3. döchter erster Ehe geordneten vogts, Dienstags den 23. Octobris 1660 continuirt Zu Straßburg und expedirt Mense Majo 1661.

Inn einer inn dem Flecken Marlenheim negste am thor gelegener, v. dem H. wittiben für unverändert Zuständiger behaußung befunden worden Alß volgt
Vff der Obern bühn, Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, Inn d. Obern Stuben, Im Obern Küchel, Im Obern haußöhren, Inn der Vndern Stuben Cammer, Inn der vndern Stuben, Inn der Kuchen
Zu Straßburg In des hrn wittibers ane Spittahl gaßen gelegenen vnueränd.ter behaußung. Vff der Obern bühnen, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, Im Keller am Spittalgäßel
Eÿgenthumb ane Häuseren. (W.) Item Hauß und hoffstatt nid.wendig d. Schindbruck am Staden, im Günthers Gäßel (…)
(W.) Item Hauß, hoffstatt mit allen and.ern ihren gebäuwen, alhier im Kupelgäßel, neben Jonæ Schoners seel. Erben, Ein: und and.s. neben weiland Nicolai Nonnenmachers, des geweßenen Büxenschmids seel. Wittib und Erben & geleg. hinden vff ein Allmendgäßlein stoßend, davon gohndt der St. St. bodenzinß 30 ß d. Ferner 2 lb 17 ß gelts d. St. Str. Müntz, von Daniel Steinbockhs seel. confiscirten Verlaßenschafft herrühren, ablößig in hg. mit 57. lb ßd. sonsten ledig und eig. und hiehero angeschlag. die überbeßerung p. 300. lb d. Darüber besagt eine Papierin Kauffverschreibung in d. alhießiger Straßburgisch. Cantzleÿ Contractstuben gefertigt, datirt den 27. Julÿ a° 1635. signirt mit altem N° 235. darbeÿ gelaßen worbeÿ gebunden noch mehr andere Copeÿen und Papirin Extractus gemelter behaußung betreffend.
(W.) Item Hauß v. hoffstatt geg. d. Wilhelmer Kirch. hinüber im hellfeg. gäßel (…)
(W.) Item Hauß und hoffstatt ane Spittahl gäßlein (…)
(W.) Item 2 Häußer hoff, vnd hoffstatten, sambt einem alten Gerbhäußen, vnd Gerten vf etzlich Ackher grundts (…) geleg. Zu Marlenh. ane d. Straßen, nahe dem Weith. thor (…)
(W.) Item ein lährer Platz, darauf Zuuorhin hauß gestanden, geleg. Zu Westhofen, im Kirchgäßel (…) NB. diße behaußung welche ent Zwischen durch die Soldaten ganz ruinirt, vnd abgebroch. word. ist dem H. W. vnd seinem bruder hanß Jacob beuchel beÿ Thoma Vogels bgrs. Zu Westhof. in A° 1642. auß gangener Falliment sach (…)
(W.) Item ein lähre hoffstatt Zu Trenheim i.s. neben bockh hänßel (…)
Ergentzung des hrn wittibers unverändert. gutts vermög Inventarÿ über weiland frawen Mariæ Ammerbachin des H. Witt. erstern Ehefrau seel. v.laßenschafft durch mich Notm. in a° 1648. vffgericht
Abzug in hieuorgeschriben Inventarium gehörig. Des Wittibers unverändert gutt, haußrath 123, Lääre vaß 25, Silbergeschmeidt 15, Guldine Ring 4, d.z.h.gütter 884, Eigenthum ane Häuß. 1334, Eigenthums ane Liegenden guttern 556, Schulden 137, Ergäntzung (3389, abzug 1746, Rest) 1644, Summa summarum 4719 lb – Schulden 700 lb, verbleibt 4019 lb
Der Erben gutt, haußrath 6, Gulidne Ring vnd barschaaft 9, Schulden 75, Erg. 35, Summa summarum 125 lb
Theilbare gutt, haußrath 4, Wein vnd lähre 51, frucht 7, Pferd, wiehe, futer, wie auch Schiff und geschirr, sambt d. tungung Zum veldt vnd ackh. baw gehörig 65, Pfenningzinß hauptgüter h.gutt 37, Eigenthum ane ligenden Gütteren 118, Theilbare Beßerung ane des H. W. unveränderten Häußern Zu Marlenh. 290, Schulden in das Erbe Zugeltendt 240, Summa summarum 814 lb – Schulden 2185 lb Mehr theilbare Schuld. als theilbar gutt 1370 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 2982 lb
Widumb, So fraw Magdalena Koppin, weiland H. Johannis Müllers alten Großen R. v.wanthens, vnd geweßenen Gastgebers Zum Rappen seel. nachgelaßener Wittib ad dies vitæ genoßen. Es hat gedachte fr. Magdalena Koppin so von weiland H Johann Beucheln des H. W. Vatters seelig. Krafft d. Eheberedung ad dies vitæ Zugenießen gehabt In Capital 1000 gld. davon gedachten H Johann Carle vnd hanß Jacob beuchel die beede Söhn, Ihre d. Stiefmutter seel.
Bericht wegen der Ziegelischen und Gerlachischen Widumben

1666, Protocole des Quinze (2 R 83)
Martin Brathfisch. 154. [alß Hanß Carl Beuchels 3. Kinder Vogt, pt° Capitals]

Jean Charles Büchel hypothèque la maison au profit du béguinage à la Tour. Le tuteur des enfants de son premier mariage déclare n’avoir aucune prétension sur la maison

1661 (18. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 526 f° 360
Erschienen Hannß Carl Büchel der Lederberaÿter
in gegensein H. Johann Schmidts alß Schaffners der Samblung Zum Thurn – schuldig seÿe 100. lb
Unterpfand sein soll Eine behaußung mit allen deren Gebäwen, begriffen und Zugehördten alhie Jenseit des Staadens im Kuppelgäßlein, einseit neben dem Kuppelhoff anderseit neben weÿl. Niclaus Nonnenmachers deß Büchßenmachers seel. Wittib hind. uf ein Allmend Gäßlein stoßend geleg. davon gehend iährlich 30. ß d bodenzinß gemeiner Statt
Hierbeÿ ist persönlich erschienen Martin Bratfisch der Gerber eingangß gedachts Büchelß in erster ehe erziehlter Kinder Vogt, Zeigte an daß seine Vogts Kinder ahne Ihne den Vattern weg. ihres Müterlich. Guts keine Ansprach weniger ahne die vorbeschriebene behausung einige Prætension haben.

Le pasteur honoraire Balthasar Frédéric Saltzmann (au profit duquel l’immeuble avait été hypothéqué, voir plus haut) vend deux maisonnettes contiguës au vitrier Michel Fessenmeyer et à sa femme Marie Barbe Zentgraff

1696 (7.6.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 315
Johann Rudolph Saltzmann J.U. Ddus Und E.E. großen Raths Procurator et Advocatus im Nahmen Hn Balthasar Friderich Saltzmanns SS. Theolog. Licent. et Pastoris emeritj, seines leiblichen Hn Vatters
in gegensein Michael Fesenmeÿers des glasers und Mariæ Barbaræ geb. Zentgräffin [unterzeichnet] Michael fäßenmäÿer
Zweÿ Haüßlein Under einem dach neben einander /:sambt allen übrig. dern gebaüen, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten:/ allhier in der Kuppelgaß einseit neben diebold Feisten dem büchßenmacher anderseit neben neben Weÿland Hn Daniel Richshoffers E.E. großen Raths alten beÿsitzers seel. Wittib Und Erben, hinden auff d. Günther gäßel allwo sie auch einen ausgang haben, stoßend gelegen – umb 400 pfund

Fils du vitrier Jean Georges Fessenmeyer, Michel Fessenmeyer épouse en 1690 Marie Barbe, fille de l’orfèvre Michel Zentgraff
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 175)
1690. Dom: 15. post Trinit: Zum 2. mahl Michael Feßenmeÿer Glaser, Joh: Georg Feßenmeÿers Glaßers u. Burgers ehel. S. Jfr. Maria Barbara Weiland Hr. Michael Zentgrafens Goldarbeiters u. Burgers nachg. ehel. T. Mittw. den 13. 7.br. N. Kirch (i 176)

Michel Fessenmeyer et Marie Barbe Zentgraff vendent deux maisonnettes sous un même toit au revendeur Jean Georges Schneider et à sa femme Marie Madeleine Bœs.

1698 (9.6.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 340-v
Michael Fesenmeÿer der Glaser Und Maria Barbara Zentgräffin [unterzeichnet] Michael fäßenmäÿer, Maria barbara fäßenmäÿerin
in gegensein Johann Georg Schneiders des Grempen, Und Mariæ Magdalenæ geb. Bößin
Zweÿ Haußlein Unter einem dach neben einander sambt allen gebaüen, begriffen, weithen, zugehördten, rechten Und gerechtigkeiten, allhier in der Kuppelgaß, einseit neben diebold Feißen, dem Büchßenschiffter, anderseit neben weÿl. H. Daniel Richshoffers E.E. großen Raths alten beÿsitzers seel. Wittib Und erben hind. auff das Günter Gäßlein, allwo Sie auch einen ausgang haben, stoßend gelegen – umb 500 pfund

Fils du tourneur du même nom, Jean Georges Schneider épouse en 1685 Marie Madeleine, fille du batelier Martin Bœs.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 318)
1685. Domin: Eâd. [Dom: XIII. pot Trinit. 16. 7.bris] Johann Georg Schneider der hohlträher Johann Georg Schneiders deß burgers v. hohlträhers alhier ehl. Sohn, V. Jfr. Maria Magdalena, weÿl. Martin bößen deß burgers v. Schiffmanns Alhie Nachgel. ehl. tochter. cop. Mittw. 26. 7.bris (i 332)

Jean Georges Schneider et Marie Madeleine Bœs passent un accord avec leur gendre Jean Jacques Haas, apprêteur de tabac mari de Marie Madeleine Schneider
1712 (4.4.), Not. Baer (Christophe Evrard, 2 Not 7) n° 368 (numéro XIX° s.)
Vergleich zwischen dem Ehrsam undt Wohl bescheidenen Herrn Hannß Georg Schneidern Fasten speishändlern beneben der Ehren undt tugendsamen Frawen Mariæ Magdalenæ Schneiderin gebohrner Bößin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Inn Straßburg ahne Einem, So dann
dem Ehrsammen undt bescheidenen Hannß Jacob Haaßen Tabackbereütern Vnndt burgern alhier alß vorgedachter Eheleuth respectivé tochtermann andern Theils
demnach sich beede theil dahin erklärt, daß obwohlen Er H: Johann Georg Schneider beneben deßen haußfrau Maria Magdalene Schneiderin gebohrne Bößin, ahne gedachten Ihren dochtermann Hannß Jacob Haaßen wegen baar gelühenen Gelts noch ein Zimbliches Zuerfordern, beneben wegen Restirend Ererben den Kindts Gut, alß von deren tochter vnd ged: H: haasen geweßener frauen seel. verlaßenschafft Nahrung herrührend betreffendt, so Zwar ged: H Haaß Crafft Codicill lebtägig Zu genießen berechtiget (…)
Actum Straßburg den 4. Aprilis 1712.

Marie Madeleine Bœs meurt en 1714 en délaissant trois enfants. Les experts estiment à 400 livres la maison consistant en deux maisonnettes. La masse propre au veuf est de 97 livres, celle propre aux héritiers de 31 livres. L’actif de la communauté s’élève à 482 livres, le passif à 116 livres

1715 (25.4.), Not. Baer (Christophe Evrard, 2 Not 9) n° 458 (numéro XIX° s.)
Inventarium über Weÿl. der Ehren und Tugendsahmen Frauen Mariæ Magdalenæ Schneiderin gebohr. Bößin deß Ehren v. bescheid. H: Johann Georg Schneidern Grempen v: burgers alhier Inn Straßbg. geweß: Eheliebstin Verlaßenschafft auffgerichtet vnd verfertiget In Anno 1715. (…) nachdeme dieselbe Donnerstags 24: 8.bris verwichenen 1714:ten Jahrs Göttl. willen nach dieße welt gesegnet hinder Ihro verlaßen, (…) So beschehen alhier Inn d. König. freÿen Statt Straßburg Donnerstags den 25: Aprilis Anno 1715.
Die verstorbene seel. hatt ab intestato Irn Stamm Zu Erben hinderlaß. wie volgt. 1. H. Johann Georg Schneider Jun. der hohltreher undt Burger allhier alß älterest Sohn vndt Erster Stamm Erb, so verheurathet an Fr: Catharina Salome gebohrener Beÿerin, 2. H. Johann Heinrich Schneider, der ledige Meßerschmitt dießer alß Jüngere Sohn, 3. Andreas Schneider annoch ledigen Standts der Würtheÿ lernend, dießer Jüngste Sohn beÿständlich deßen geschwornen vndt beeidigten theilvogten, weilen sein bruder Jr. Georg Schneider sein geschworner Vogt nahmentlich H. Joh: Heinrich Schneidern burgern v. hohlträger allhier Inn Straßbg .

Inn Einer alhier Inn der Statt Straßbg ane dem Schiffleuth Staaden nahe dem sogenand. Kuppelhoff eigenthümbl. liegender behauß: sich befunden
Auff der obern bühnen, obere Kammer, Wohnstub, Stubkammer
Eigenthumb ahne Einer behaußung (T.) Item seine behaußung inn Zweÿen haußl. bestehet vndt hoffstatt samt allen der Gebäuwen, begriffen, weithen, Zugehördten, vnd Gerechtigkeiten gelegen alhier Inn der Statt Straßbg. ane dem Schiffleut stad. nahe dem sogenanndten Kuppelhoff einseith neben Joh. Albert dem Schuhm: 2.s neben Burckard lincken dem seÿler hinden auff Balthasar hatten hoßenstrickern stoßend gelegen, so gantz freÿ ledig undt Eigen, hiehero nach besag der Statt Straßbg. geschwornen Werckmeister außgefertigten Abschatz: Schein de dato d: 5. Martÿ 1715. æstimirt vor 400 lb. Darüber sagt ein teutscher Pergament. Kauffbrieff, auß der Statt Straßbg. Cancelleÿ Contract stuben de dato den 9.t Jan 1698 alhier mit N. i. sig. vnd dabeÿ gelaßen Ferner ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff, auß der Statt Straßbg. Cancelleÿ Contract stuben de dato den 7. Jun. 1696. alhier mit N° 2 sig. v. dabeÿ gelaßen.
Norma huius Inv: des wit: sein ohnv. G., haußr. 15 Silbergesch. 6 ß, Summa summarum 2 lb – passiva 100, , schulden Nachst. 97 lb
Auff solches Volgt nun auch d. Kind. v: Erb ohnv. Mut. G., haußrath 1, Silb. v. gesch. 4, activa 25, Summa summarum 31 lb
Endtl. vnd letzl. so wird nun auch d. gem. verändert. v. T. g. beschrieb. haußrath 26, leerer vaß 1, Wahren Zum Gremp. weß. geh. 42, Silbergeschm. 8, G: Ring 3, Eig. an i. beh: 400, Summa summarum 482 – Passiva 116, Nach solchem abzug 366 lb
Abschatzung den 5.t. Martz. anô 1715. Auff begehren, deß Ehrenhafften Vnd bescheiten H. Geörg Schneiter Kremp, ist Eine behaußung allhier in der Statt Straßburg, Inn der Kuppel gaßen gelegen, Ein seitz Neben Johannes Albert schuh Macher, Ander seitz, Neben, burckh hart Linckh, Seÿler, hinden Auff baltzer hart, Hoßenstrickher, Stoßend, welche behaußung, hoff, hoffstatt, holtz hauß Gebelckten Keller, Sampt Aller Ihrer Recht vnd gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschwohren werckh leüthe sich in der besichtigung befunden vnd dem Jetzigen preiß Nach angeschlagen wirdt Vor vnd vmb Acht Hunder: Gulden. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschwohren werckh leüthe. Jacob Staudacher werckh Meister des Maur hofs, Jacob schuller Werk Meister des Zimmer hoff, Michel Ehrlacher Werck Meister des Minsters

Jean Georges Schneider se remarie en 1719 avec Félicité Klein, veuve du maçon Jean Jacques Ott : premier contrat de mariage remplacé par un autre quatre mois plus tard, célébration
1719 (1.7.), Not. Baer (Christophe Evrard, 2 Not 13)
Eheberedung – zwischen dem Ehren v. Wohlbescheid. Johann Georg Schneidern dem ältern Krempen vnd wittibern, auch burgern allhier Inn Straßburg, alß hochzeitern ahne Einem,
So dann der Ehr v. tugendtsammen Fr. Felicitas gebohr. Kleinin, weÿl. deß Ehen v. bescheidenen Johann Jacob Otten geweß. Maurers v. burgers alhier Inn Straßburg hinterlaß. Wittiben, alß der fr: hochzeiterin Andern Theils
Actum Straßburg auff dienstag d. 1. Julÿ Anno 1719. [unterzeichnet] hanß görig schniedter als hoch Zeiter, felicidas Kleinen alß hochzeiterin, Johann Friederich Klein alß vogt, Johann Goerig Schneider der iunger dreher alß sohn
Cassirt durch Eine andere mit Einander auffgerichtete Eheberedung per Notm. Abraham Kolb.

1719 (8.11.) Not. Kolb (Abraham, 22 Not 24) n° 254
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten undt bescheidenen Hn Johann Georg Schneidter fastenspeishändlern, dem Wittiber vndt burgern allhier, hochzeitern ane Einem,
So dann der Ehren undt Tugendsamen Fr. Felicitas Ottin gebohrener Kleinin, weÿl. H. Joh: Jacob Otten des gewesenen Maurers undt Kempen auch burgers allhier seel. nachgelaßener Wittib, hochzeitterin am andern Theil
So beschehen Straßburg den 8.ten 9.bs anno 1719. [unterzeichnet] Hanß gerig schniedter, felicidas otten, Johann Friederich Klein alß vogt, Johann Goerig Schneider der sohan

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 167-v n° 19)
1719. Mitwoch den 22. Nov: 1719. seind Zu St. Nicol. in Straßburg nach Vorhergegangener Zweÿmahligen Außruffung offentlich in die Ehe eingesegnet vnd copulirt worden Johann Georg Schneider, der Kremp vnd burger alhier, Vnd Fr. Felicitas geb. Kleinin weÿl. Johann Jacob Otto gewesenen Krempen vnd burgers alhier nachgelaßene Wittib [unterzeichnet] hanß goerig schneider als hoch Zeidler, Felicdas ott Als hochzeiteri,n (i 172)

Originaire de Bopfingen en Souabe, Jean Jacques Ott épouse en 1700 Félicité, fille du revendeur Erard Klein : contrat de mariage, célébration
1700 (15. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 573 f° 573
(Eheberedung) hans Jacob Ott, der Maurer und Steinhauer, Von Boffingen im Schwabenland, alß hochzeiter, mit beÿstand Caspar Lindenmeÿers, deß Schreiners und burgers allhier an einem
So dann Jfr. Felicitas, weÿl. hans Erhard Kleinen, gewesten Krempen sel. Tochter, alß hochzeiterin, mit beÿstand Otto Becken deß Metzgers Ihres curatoris

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 101-v)
1700. Domin: XXIII et XXIV. post Trinitat. proclamati sunt Johann Jacob Ott, der Maurer vndt Steinhauer, gebürthig Von Bopfingen, Weyl. Johann Otten, geweßenen Maurers v. Steinhauers Zu Bopfing. nachgel. ehl. Sohn, v. Jfr Felicitas weyl. Ehrhardt Klein, geweßenen grempen vndt burgers alhie nachgel. eh. tochter copullati sunt Mittw. d. 24. 9.bris [unterzeichnet] hans Jacob Ott als hochzeiter felicidas klein als hochzeitren (i 104)
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 79-v n° 431) den 24. Novembr. 1700 ist nach geschehener p. clamation auch Zu St. Thomæ, Eingesegnet word. Zum Jung. S. Peter, Johann Jacob Ott, der ledige Maurer undt Steinhauer Weÿl. Johann Otten gewesenen burgers vndt Maurers Zu Bopffingen nachgelaßener ehelicher Sohn, undt Jfr Felicitas weÿl. Ehrhardt Kleinen gewesenen Krempen undt burgers allhier nachgelaßene eheliche tochter (i 82)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient à l’épouse au péage de la Bruche près des Ponts couverts. Ceux du mari s’élèvent à 933 livres, ceux de la femme à 370 livres.

1720 (18.4.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 20) n° 493
Inventarium und Beschreibung aller undt Jeeder Haab Nahrung undt güttere so H. Joh: Geörg Schneider der Fastenspeishändler undt fr. Felicitas gebohren Kleinin beeder Eheleuthe undt Burgere allhier Zu Straßburg, vermög dero mit einander auffgerichteten Eheberedung einander alß ohnverändert in diesen ihrem Ehestandt gebracht (…) So beschehen In der König. freÿen Statt Straßburg in fernerem beÿsein H. Joh: Friedrich Kleinen des Metzgers undt Burgers allhier der Ehefr. Vogt, vndt Fr. Susannæ Margarethæ Schneiderin gebohrner ottin deß Ehemanns Sohns fr. auff Donnerstag den 18.t aprilis aô 1720.
Inn einer allhier Inn der Statt Straßburg ane dem wasser Zoll ohnfern denen gedeckten bruckhen gelegen, undt hernach beschriebener der Ehefrauen allein eigenthümlich zuständiger behaußung Sich befunden alß volgt
Norma huius Inv: Des Ehe Manns inn den Ehestand Zugebr. ohnv. Eig. th. Naml., Sa. hausraths 87, der leerer faß 15 ß, des Silb. gesch. v. gesch. 38, d. gld. Ring 4, d. baarsch. 53 des Eig.thumbs ane j. behaus. 750, Summa summarum 933 lb
Auff solches volgt nun auch d. Ehefr. inn die Ehe Zugebr. ohnv. Eig.th. Guth, Sa. haußraths 14, d. frucht 3, des Silbers 7, d. gl. Rinng 9, d. baarsch. 30,d. Eig.th behaus. 150, d. haußraths 159, Sa. 370 lb

Jean Georges Schneider hypothèque la maison au profit de son fils Jean Henri

1722 (7.11.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 648
Erschienen hannß Georg Schneider, der gremp
hatt in gegensein seines Sohns, Hannß Heinrich Schneiders, des Meßerschmidts und burgers allhier – schuldig seÿe 75 Pfundt d. Straßb. für baar gelühenen geldts
in specie hypothecirt, Eine Behausung und Hoffstatt cum appertinentys allhieer in der Kuppelgaß, ahm Staden, einseith neben Burckhard Linck, dem Seÿler, anderseith neben Johannes N. dem Schuemacher und hinden auff das günther gäßlein stoßend gelegen, so freÿ ledig und eigen

Jean Georges Schneider meurt en 1728 en délaissant trois enfants ou leurs représentants. L’inventaire est dressé dans la maison au péage de la Bruche. Les experts estiment la maison à 350 livres. La masse propre à la veuve est de 74 livres, celle des héritiers de 414 livres. L’actif de la communauté s’élève à 260 livres et le passif à 96 livres.

1728 (4.3.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 21) n° 513
Inventarium undt beschreibung aller Haab undt Nahrung, so weÿl. der Ehrengeachte Johann Georg Schneider der geweste Gremp und burger allhier zu Straßburg nach seinem den 11. Februarÿ deß lauffenden 1728.ten Jahrs genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen welche auf ansuchen und begehren deßen ane nechst folgendem folio benambsten ab intestato Nachgelaßene Kindter undt Erben inventirt, durch die Tugendsame Fr. Felitatem gebohrene Kleinin des verstorbenen hinterbliebene Wittib beystandtlich Mstr Martin Luthers des Seÿlers ihres geschwornen Vogts auch burgers alhier (geeÿgt und gezeigt), So beschehen Straßburg auff Donnerstag den 4.ten Martÿ anno 1728.
Der Verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen 1. Weÿl. Mst. Hannß Georg Schneider gewesten hohldrähers undt Burgers alhier Zu Straßb. mit Fr. Catharina Salome gebohrener Beÿerin Ehelich erzielter undt hinderlaßene 4 dochter vndt 1. Söhnleins Nahmentl. Catharina Salome, Maria Magdalena, Anna Margaretha, Johann Georg undt Annam Mariam, so noch alle minorennes in dero Nahmen S. T. H. Johann Philipp Hüttell organist auch burger allhier deroselben geschworner H. Vogt Nebst der Kindter Mutter oben gemelt, dem geschäfft beÿgewohnt,
2. Mstr Joh: Heinrich Schneider den Meßerschmidt auch burgern allhier so Nebst Seiner Ehefr. auch præsens war, So dann 3. H. Andream Schneidern den Gastgebern undt Ebenmäßigen burgern allhier so gleichfalls Nebst deß. Eheliebsten dieser inventation in Persohn abgewartet
Also sein deß Verstorbenen, so Er in voriger Ehe mit weÿl. Fr. (-) gebohren (-) erziehlt und hinterlaßen, Enckell undt Söhne als ab intestato Erben Zue dreÿ gleichen Stammtheilen

Inn Einer allhier in der Statt Straßburg am wasser Zoll beÿ dennen gedeckten brucken gelegen, der wittib zuständiger undt hienach beschriebenen behaußung hat Sich befunden wie volgt
Ane Hültzenwerckh. Inn der Soldaten Cammer, In der Cammer A, Im Haußöhren
Eigenthumb ane häußeren (E.) It. I. behaußung undt hoffstatt sampt allen deren begriffen, weithen, Zugehörden undt gerechtigkeit auch allhier Zu Straßburg in dem Cuppell gäßlein gelegen 1.s Johannes altherr dem Schuhmacher 2.s neben Burckhardt Linckh dem seiller hinten auff das bintergäßlein stoßendt, undt ist sothane behaußung nach vor allegirter Abschatzung für ledig Eig. æstimirt undt abgeschätzt worden vor 700 fl. th. 350. lb. Darüber sagt 1. teutscher perg. Kauffbr. auß allhießiger Cancelleÿ Contract stub de dato den 7.t Junÿ Anno 1696. mit N° 2 signirt.
Ergäntzung der Wittib Ermanglenden ohnveränderten guths Vermög deß über Eingangs berührter beeder gewester Eheleuthen durch mich Notum in anno 1720. auffgerichtet
Summarischer Calculus oder respê Abzug dieses gegenwärtigen Inventarÿ. Der Wittib ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 43, Sa. Faß undt bütten 1, Sa. frucht 10 ß, Sa. Silbers 2, Sa. goldener Ringen 3, Sa. activorum 125, Summa summarum 177 lb – Schulden 103, Nach solchem abzug 74 lb
Der Erben Unter unverändertes Vermögen, haußraths 26, Silbers 14, gold. ring 1, Eigm. ane häusern 537, activ Schulden 37, Ergäntzung 67, Summa summarum 686 lb – Passiva 272, Nach solchem abzug 414 lb
das Theilbahre guth, haußrath 8, grempen wahren 3, baarschafft 34, activa 213, Summa summarum 260 lb – passiva 96 lb, Nach solchem abzug 163 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 639 lb
Wÿdemb die Wittib auß voriger undt dießer Ehe ad dies vitæ Zu genießen
Abschatzung den 12: Februarÿ 1728. Auff begeren deß Ehrenhafften und bescheitenen Johann Jörg schneiters seel. hinter Laßene frau wittib und Erben ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg gelegen, An dem obern waßer Zoll (…)
der Ander begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg in dem Cupell gäßlein gelegen einseits Neben Johannes altherr dem schumacher anderseits Neben burckhard Lind dem seiller hinten auff daß Ginter gäßlein stoßent welche behaußung, stuben, khammeren hauß Ehren Kuchen ein Klein Kellerlein soldaten khammer sambt aller gerëchtig keid wie solches durch der Statt Straßburg geschworene werckhleüthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem Preÿß nach angeschlagen wird vor und umb Sieben hundert Gulten Bezeignuß durch der Statt Straßburg geschworne Werckleüthe [unterzeichnet] Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug werck Meister deß Mauer hofs

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 200 florins (100 livres) sur un total de 1 200 florins
1728, Livres de la Taille (VII 1176) f° 202-v
Möhrin F. N. 4426 – Weÿl. Hannß Georg Schneider gewesenen Grempen und burgers alhie Verlaßenschafft inventirt H. Not. Kolb
Concl. Fin. Inv: ist Fol. 91.b 465 lb 19 ß 10 d, und nach dem Corrigirten 639 lb 19 ß 10 d, die machen 1200 fl. verstallt 900 fl. und die frau so noch a parte eingeschrieben 100 fl. also zu wenig 200 fl.
Warvon der Nachtrag gerechnet wird auf 8 Jahr in duplo à 12. ß d, macht 3. lb 12 ß
Und auf Vier Jahr in simplo à 6 ß, 1 lb 4 ß
Extat Stallgeltt für die Wittib pro 1720 biß 1727 inc. à 3 ß – 1 lb 4 ß
Gebott 2 ß
Abhandlung et pro correctione Inventarÿ 18 ß 6 d, Summa 7 lb 6 d
dt. 17. Aprilis 1728

Félicité Klein meurt en 1728 en délaissant des héritiers collatéraux. L’inventaire est dressé dans la maison dont elle a la jouissance au péage d’amont (obere Wasserzoll). L’actif s’élève à 148 livres, le passif à 10 livres
1728 (28.4.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 21) n° 514
Inventarium undt beschreibung aller Haab undt Nahrung, so weÿl. Fr. Felicitas Schneiderin, gebohrne Kleinin, weÿl. Johann Georg Schneiders deß gewesten Grempen vndt burgers allhier zu Straßb. nachgelaßene wittib nach ihrem Sonntags den 25.ten Aprilis dieses lauffenden 1728.ten Jahrs genommenen Tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen (…) Actum Straßburg auff Mittwoch den 28.ten Aprilis anno 1728.
Die abgestorbene seel. hat ab intestato Zu Erben Verlaßen alß volgt. 1. Fr. Catharinam gebohren Jentzgin, hanns Geörg Rooßen des Tagners undt Schirmers alhier Ehefrau, der abgeleibten Schwester dochter so beede præsentes waren, 2. Joh: Melchior Jentzgen der Schneider so Zu Treßden in Sachßen verheurathet undt abweßend, In welcher unverburgerter Nahmen der Ehrenvest wohlweiße undt Vorgeachte H. Joh: Ulrich Hammerer, Saÿller undt E. E. Kleinen Raths dermahlig. beÿsitzer als deputirter herr dem Geschäfft abgewartet, 3. weÿl. Hannß Georg Schuhmachers deß gewesten acker Manns Zu Eichstätt im Preißgaw verlaßendte 4 Kinder alß 2 Söhn und 2 döchter, deren Nahmen unbekandt undt der leib Eÿgenschafft Zugethan seÿn sollen, So dann 4.tens Andream Jentzgin weÿl. Andreæ Jentzgin des geweßenen Allmoßen Knechts und Schuhmachers vndt burgers alhier Zu Straßb. Nachgelaßenen Sohn, in deßen Nahmen Mstr Andreas güethell Schuhmacher desselben vogt dießer geschäfft beÿgewohnt, alle der verstorbenen& Schwester und bruders halb bruders und halb schwester Kindtes und ab intestato nachgelaßene Erben

In Einer allhier in Straßb. am obern Wasserzoll beÿ denen gedeckten brucken gelegenen undt der verstorb. seel. wÿdembs weiß bewohnter behausung hat sich befundten alß volgt.
Sa. haußraths 68, Sa.Grempen wahren 18, Frucht 15 ß, Sa. Silbers 5, Sa. goldenen Ring 6, Sa. Schulden 119, Summa summarum 148 lb – Schulden 10, Nach deren Abzug 138 lb – Conclusio finalis 138 lb
Wÿdemb so die verstorbene auß 1. und 2. Ehe lebtägig Zu genißen berechtiget war. Erst. nach inhalt weÿl. H Joh: Jacob Otten deß geweßten Maurers u. grempen alhier verlaß. Invent. durch auch nunmehro weÿl. H. Notm. Johann Friderich Öelinger
Copia Codicilli. 1728 (…) auff Mittwoch den 17. Martÿ Abends Zwischen Sechs undt Sieben uhren in Einer allhier in der Königlichen Statt Straßburg am obern wasserzoll beÿ denen gedeckten brucken gelegener von hernach bemelter Fr. Codicillantin bewohnenter Eck behaußung deren untern Stuben mit denen fenstern auff die gaß und gegen das wasser außsehendt (…) Persönlich kommen und erschienen die Tugendsame Fraw Felicitas Schneiderin gebohrne Kleinin, weÿl. Johann Jeörg Schneiders deß gewesten Grempen undt burgers allhier Hinderlaßene Wittib, durch dei gnade Gottes gesundt gehend undt stehenden leibs, auch guter richtiger Sinnen, Vernunfft und Verstandts (…) Demnach undt vor dans Andere Vermacht Sie Fr. Codicillantin ihrer werthesten baaß Fr. Catharinæ gebohrener Jeutzgin Hannß Geörg Roosen des Tagners dahier Ehefrau (…) Abraham Kolb Not.

Les préposés de la Taille font figurer la succession de Félicité Klein dans leur registre parce que les héritiers non bourgeois doivent régler le droit de détraction.
1728, Livres de la Taille (VII 1176) f° 208-v
Möhrin F. N. 4472 – Weÿl. Fr. Felicitas Kleinin auch weÿl. Johann Georg Schneider gewesene Grempen und burgers alhie hinderlaßener Wittib Verlaßenschafft inventirt H. Not. Kolb
Concl. Fin. Inv: ist Fol. 57.b 393 lb 3 ß, die machen 800 fl. verstallte auch so viel
Extat kein Stallgeltt
Gebott 1 ß 8 d
Abhandlung 10 ß 6 d, Summa 12 ß 2 d
Abzug. Fr. Catharina Hannß Georg Roßer des Schirmers alhier Ehel. haußfrau soll von 46. lb 2 ß 7 d. den Abzug erlegen mit 4 lb 12 ß 3 d
Und Johann Melchior dennskÿ der Schreiner Zu Dreßden von 13. lb 9 ß 7 d an gefallenem Erb 1 lb 7 ß
dt. omnis d. 22.t Maÿ 1728

Les héritiers de Jean Georges Schneider cèdent la maison à leur frère et oncle respectif Jean Henri Schneider

1740 (22.2.), Chambre des Contrats, vol. 614 f° 105
weÿl. Johann Georg Schneider des fastenspeishändlers hinterlassenen einer Sohn Andreas Schneider der gastgeber zum blauen Carpen, ferner weÿl. Johann Georg Schneider des hohldrähers hinterlassenen kinder Catharina Salome geb. Schneiderin Johannes Keller des hohldrähers mehrjährigen ehefrau, Maria Magdalena geb. Schneiderin Johann Martin Hornecker des schuhmachers eheweib mit beÿstand Johann Michael Ruop des jüngern hohldrähers ihres curatoris ad actum, weither eben dießer Ruop als vogt Anna Margaretha Schneider, so dann Johann Philipp Schmidt auch hohldräher mandatarius Johann Philipp Schöttel des organisten zu Münster im Gregorien: thal als vogt Johann Georg Schneider hohld: Lehrjungen und Anna Maria Schneider
ihres respective bruder vatters bruders und Miterben, ihnen vätterlichen und großvätterlichen verlassenschafft Johann Heinrich Schneider des Meßerschmids – am 10. hujus erkanntnus obrigkeitlich confirmirten versteigerung
zween dritte theil vor ohabgetheilt ane einer behausung und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehödenr, rechten und gerechtigkeiten ahne der Kuppelgaß ohnfern des Stadens und gasthaußes zum Rothen Männel einseit neben Friedrich Weber dem seÿler, anderseit neben Johannes Lobstein Rothmännels würth, hinten auff ein nicht durchgehendes Allmendgäßlein – (um 75 pfund capital verhafftet) Andreas Schneider zu einem, weÿl. Johann Georg Schneiders fünff kindern zum andern, ihme mit kauffendem Johann Heinrich Schneider zum übrigen dritten theil – auff den fuß von 855 pfund

Le coutelier Jean Henri Schneider épouse en 1715 Susanne Marguerite Beck, fille du boucher Othon Beck
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 145 n° 9) 1715. Mitwoch den 15. Maj. 1715. seind nach Vorhergegangener Zweÿmahliger offentlichen Außruffung in der Pfarrkirch Zu St. Nicol: in Straßburg ehelich copulirt vnd eingesegnet worden Johann Heinrich Schneider, der ledige Meßerschmidt, Johann Georg Schneiders deß Krempen Vnd burgers allhier Ehelicher Sohn, vnd Jfr. Susanna Margaretha Beckin, weÿl. Otto Becken, geweßenen Metzgers vnd burgers allhier hinterl. Ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Heinrich schneider als hochzeitter, Susanna Margaretha Beckin als hochzeiterin (i 149)

Jean Henri Schneider et Susanne Marguerite Beck hypothèquent la maison au profit du diacre Jean Georges Schweighæusser.

1743 (8.7.), Chambre des Contrats, vol. 617 f° 287-v
Johann Heinrich Schneider der Kurtzmeßerschmid und Susanna Margaretha geb. Beckin mit beÿstand ihres tochtermanns Johann Friedrich Pastorius des knopffmachers und ihres vettren Johann Conrad Mann
in gegensein Mr Johann Georg Schweigheußer Diaconi Senioris zu St Thomä auch canonici daselbst – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt cum appertinentiis ane der Kuppelgaß ohnfern des stadens und der gastbehausung zum rothen Männel, einseit neben Friedrich Weber dem Seÿler, anderseit neben Johann Lobstein dem wirth zum rothen Männel hinten auff ein Allmendgäßlein

Jean Heinrich Schneider meurt en 1750 en délaissant deux filles. Les experts estiment la maison à 250 livres. La masse propre à la veuve est de 311 livres, celle des héritiers de 318 livres. L’actif de la communauté s’élève à 229 livres et le passif à 1 075 livres.

1750 (6.6.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 22) n° 562
Inventarium über Weÿland deß Ehrengeachten Johann Heinrich Schneiders deß geweßten Meßerschmidts undt burgers dahier Zue Straßburg nun mehr seel. Verlassenschafft auffgerichtet Anno 1750.
Inventarium undt beschreibung aller Haab undt Nahrung, so weÿl. der Ehrengeachte Johann Heinrich Schneiders der geweßte Meßerschmidt undt burger dahier Zue Straßburg nach seinem den 10.ten Maÿ dieses 1750.ten Jahrs genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, welches [sic] Verlaßenschafft auf ansuchen undt begehren deßen hernach benambster beeder Töchter alß ab intestato Verlassenter Erben inventirt durch die Tugendbegabte fr. Susannam Margaretham Schneiderin gebohrene Beckin die hinterbliebene Wittib so ohnbevögtigt, beÿständlich H. Johann Balthasar Hatt deß Hoßenstrickers undt burgers dahier (…) Actum Straßburg auff Sambstag den 6. Junÿ 1750.
Der abgelebte seel. hat ab intestato Zue Erben Verlaßen wie volgt 1. Fr. Margaretham Dorotheam pastoriusin gebohrne Schneiderin H. Johann Friderich pastorÿ des Seidenhändlers undt Knöpffmachers Eheliebste so præsentes waren, So dann 2.t Jfr. Susannam Margaretham Schneiderin so 30 Jahr alt undt auch ohnbevögtigt mit assistentz Hn Andreß Schneiders deß gastgebers undt burgers dahier ihres Vatters seel. bruders, beede mit Eingangs ermelter hinderlaßene wittib ehelich erzielten Töchter, Zu gleichen antheillern

Inn Einer dahier Zu Straßburg in der Kuppel gaß gelegenen undt hernach beschriebener behaußung hat Sich befunden alß volgt
Eigenthumb ane Einer behaußung (E 1/3 so der verstorbene von seinem Vatter seel. Ererbt, T 2/3 die wehrender Ehe von deß verstorbenen mit Erben erkauft worden) Eine behaußung undt hoffstatt mit allen deren begriffen weithen zugehörden weythen undt gerechtigkeit gelegen dahier Zu Straßb. in der Kuppelgaß 1.s. Neben H. Johannes Lobstein dem gastgeber Zum Rothen männel 2.s. Friderich Weeber dem Seÿller Hinden auff das Gindergäßlein stoßend, welche vermög der geschwornen herren Werckmeistere Abschatzungs schein vom 1. Junÿ 1750. abgeschätzt [vor] vndt umb 500 gulden angeschlagen worden th. 250. lb. sonsten ist diese behaußung herrn Pfarrer Schweighäußer umb 500 fl. wie auch herrn Pfarrer Lobstein ebenfalls vor 300. fl ane Capital verpfändet die hernacher passivé eingetragen, übrigens seÿe diese behaußung freÿ ledig undt Eigen. Darüber und über die 2/3.te theill so der abgelebte seel. von seinen Mit Erben wehrender Ehe Erkaufft besagt 1. teutscher perg. Kbr. auß allhiesiger Cancelleÿ Contr. Stub de dato 22.t feb. 1740. m. dero anhangendem Innsiegell. Der übrige dritte theill war ihme dem verstorbenen seel. vins einen Eltern Erblichen anerwachsen.
Ergäntzung der Wittib Ermanglenden ohnveränderten guths, Vermög Inventarÿ illatorum (…) de aô 1715. durch Notm. Joh: Peter Kolb seel. verfertiget
Series rubricarum. der Wittib unverändertes Vermögen, Sa. haußraths 16, Sa. Silbers 4, Sa. Schulden 45, Sa. Ergäntzung 249, Summa summarum 311 lb
Demnach Wird auch der Erben unveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 8, Sa. werckzeugs Zum Meßerschmidt handwerck gehörig 5, Sa. Silbers 1, Sa. dritten theill ane einer behaußung 83, Sa. Ergäntzung 264, Summa summarum 363 lb – Schulden 45, Nach deren Abzug 318 lb
Volget auch die beschreibung des gemeinen Theilbahren guths, Sa. haußraths 10, Sa. der Wahr undt Standt Zum Meßerschmidt handwerck gehörig 1, Sa. Eigenthums ane Einer behaußung 166, Sa. activi 50, Summa summarum 229 lb – Schulden 1075 lb, theilbar passiv onus 846 lb
Beschluß summan Mehr Schulden dann guth 216 lb
(Codicill) erschienen der Ehrengeachte Johann Heinrich Schneider der Meßerschmidt undt burger dahier Zue Straßburg (…) So beschehen Straßburg (…) auff Mittwoch den 27. Septembris morgens Zwischen Zehen undt Eilff uhr anno 1747 ; Abraham Kolb, notarius
Abschatzung vom 1.ten Junÿ 1750. Auff begehren Weÿland Johann Heinrich Schneiders deß geweßenen Meßerschmidts seel. hinterlaßener Wittib und Erben, ist eine behaußung allhier Zu Straßburg in der Kuppelgaß, einseit neben herrn Lobstein dem Würth Zum rothen Männel, anderseit neben N. Weber dem Seÿler, und hinten auff gas Ginder gäßlein stoßend gelegen solche behaußung hat unten auff dem boden eine Holtz Kammer, auff dem Ersten Stock aber zwo Stuben, Ein Stub Kammer ein Kuchen und haußöhren, auff dem Zweÿten stock Eine Stube, zwo Kemmeren, Küchen und haußöhren, der dritte Stock ist dem Zweÿten gantz gleich, darüber ist der tachstuhl so mit breitziegeln doppelt gedeckt, worunter die Soldaten Kammer, unter dem hauß befindet sich ein geträhmter Keller. Von uns der unterschriebenen der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistern nach vorher beschehener besichtigung, mit aller Ihrer gerechtigkeit dem Jetzigen Werth nach æstimirt und angeschlagen Worden Vor und vmb Fünff hundert Gulden [unterzeichnet] Johann Jacob Biermeÿer stadtelohner, Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Werner Werckmeister

La veuve et les filles de Jean Georges Schneider hypothèquent la maison au profit du pasteur Jean Georges Schweighæusser.

1757 (7.2.), Chambre des Contrats, vol. 631 f° 30
Fr. Margaretha geb. Schneiderin weÿl. Johann Friedrich Pastorius des seidenknopffmachers wittib mit beÿstand Johann David Datt des säcklers, Jfr Maria Susanna Schneiderin beÿständlich Johann Balthasar Hatt des hoßenstrickers auch zugleich innamen ihrer mutter Susanna Margaretha geb. Beckin weÿl. Johann Heinrich Schneiderin des meßerschmidts Wittwe
in gegensein H. Not. Johann Daniel Schweighäußer, nahmens H. M. Johann Georg Schweighäußer des pfarrers und canonici zu St Thomas – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Kuppelgaß, einseit neben Johann Lobstein dem gastgeber zum rothen männel anderseit deßgleichen zum theil zum theil Johann Michael Weber dem knopffmacher, hinten auff das Güntergäßlein

Les deux filles de Jean Georges Schneider vendent la maison au tonnelier Jean Wagner

1758 (7.8.), Chambre des Contrats, vol. 632 f° 233-v
Fr. Margaretha Dorothea geb. Schneiderin weÿl. Johann Friedrich Pastorius gewesten seidenknopffmachers wittib beÿständlich H. Abraham Jund des seidenknopffmachers, Fr. Maria Susanna geb. Schneiderin Johann Daniel Froschhammer des meßerschmidts ehefrau
in gegensein H. Johann Wagner des kieffers weinhändlers
eine behausung und hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Kuppelgaß, einseit neben Johann Lobstein dem gastgeber, anderseit neben ged. Lobstein, hinten auff das Günther gäßlein – als ein elterliches erbguth – (um 300 lb verhafftet, geschehen um 370 pfund)

Jean Wagner répond à la tribu des tonneliers qui lui demande pourquoi il n’est pas bourgeois ni tributaire alors qu’il travaille pour le compte de sa mère
1740, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 413) Dienstags d. 14. Junÿ 1740 – Johannes Wagner der ledige Kieffer wurdte vorestellt und befragt, warum Er sich nicht burger undt Zünfftig machte in dem jedoch gewerb treibt
jlle sagte er treibe Kein Gewerb für sich undt hätte auch Kein eigen guth, seÿe demnach noch nicht willens solches Zu thun, so lang seine mutter die haußhaltung nicht übergeben wird. Erkandt sofern kein widrige Zeugnus wirdt vorgewendtet werden, solle selbiger in seinem weßen gelaßen werden.

La tribu des tonneliers porte l’affaire devant les Quinze. Jean Wagner prétend travailler pour le compte d’un marchand de Francfort. La tribu fonde sa plainte sur un règlement accordé en 1637 par les Conseillers et les Vingt-et-Un. Les Quinze renvoient l’affaire au Grand Sénat.
1742, Protocole des Quinze (2 R 151, notes 152)
(f° 237) Sambst. den 17. 9.bris
M. noê E. E. Z. d. Kieffer H. Zfftm. Ca. Joh: wagner led. burger, kieffer und weinhändler, Weil Cit. noch ô Zünfftig word. will alß prod. Ext. prot. b. dep. et f. rel. Zuerkennen d. cit. leibzünfftig werden müßen ref. exp.

(f° 244-v) Donnerst. den 22. 9.bris
Iid. [Obere Umbgeldts Herren] lect. mem. und prod. vom 17. hujus in s. E. E. Zunfft der Kieffer Ca. Johannes Wagner. nôe der Zunfft hat Johann Daniel Stamm beÿgesetzt, berufft sich auf ein decret Von gn. herren räth XXI. Vom 26. Januarÿ 1637 art. 6. fol. 139.
Bek. antwortet, er habe weder eig. feuer, noch liecht, auch kein eigen gewerb, er stehe in diensten beÿ einem nahmens Joh: moritz Adami Zu Ffurth legt Vor attestatum. Wann jhme seine mudter* commission gebe wein vor sich Zukauffen, so thue er es.
Stamm rep. gegner handle für sich, und habe Brandten Wein für sich gekaufft, auch d. er sein gehöre, eÿdlich erhärtet laut scheins, den er Vorgelegt. legt ferner Vor attestatum, d. er für sich handle
H. Dep. d. laut erwehnten Decreti die sach Vor E. E. großen rath gehörig, mit hien selbige dahin Zu Verweißen seÿe, reserv. exp. Erk. in plenum

Jean Wagner fait dresser le 18 avril 1759 un procès verbal par des maîtres maçons alors que lui-même et son voisin Jean Lobstein reconstruisent leur maison

1759 (18.4.), Not. Humbourg (6 E 41, 101)
Procès verbal – L’an 1759 le 18 avril à sept heures du matin, à la Requisition du Sr Frideric Charles Verius Marchand de vins, Bourgeois de cette ville y demeurant, le soussigné (notaire) s’est transporté dans la maison du Sr Jean Wagner aussi marchand de vin de cette ville Scituée dans la rue dite Kuppelhoffsgass, où etant, led. Sr Verius agissant pour et au nom dud. S. Wagner absent pour affaires de Son Commerce, (…) a dit et déclaré que led. Sr Wagner Etant en proces avec le Sr Jean Lobstein cabaretier a l’enseigne de l’homme rouge de cette d° ville par rapport au mur de separation de la maison que led. S. Wagner fait construire vis à vis de celle qu’il occupe dans lad. rue dite Kuppelhoffsgass, Et les choses qui doivent servir de preuve dans ledit proces pouvant deperir soit par accident ou autrement, il avoit fait appeler deux maitres massons de cette d° ville pour examiner le tout et en feroient leur rapport aud. Notaire
Sur quoy sont comparus le Sr Louis Müller et Jean Georges Grauffel tous deux maitres massons de cette ville, lesquels, après serment fait et presté entre les mains dud. notaire d’examiner les choses sans partialité et de faire leur rapport avec exactitude, se sont transportés sur les emplacemens ou l’on batit actuellement deux maisons l’une appartenante aud. Sr Wagner L’autre aud. Sr Lobstein Scituées L’une à coté de l’autre dans lad° rue du Kuppelhoff vis à vis de celle que le S.r Wagner y occupe actuellement, et apres avoir examiné avec attention tout ce qui peut les instruire pour faire leur rapport ils ont dit et declaré certiffié et attesté à tous qu’il appartiendra
1° que les fondations du pignon qui separe la maison du S. Wagner de celle du S. Lobstein, sont baties à plomb et ne sont pas liées avec les fondations du mur de face du S. Lobstein,
2° que dans la maison du S. Lobstein il y a dans le fond des lieux un mur d’une demie brique bati a neuf contre le pignon qui separe lesd° deux maisons,
3° que dans led. mur de searation il y a du coté de la maison du S. Lobstein deux montans ou jambages en pierre de taille, d’une porte de cave de cinq pieds six pouces de large dans œuvre, dans lesquels montans il y a des vestiges d’un gond, Et que l’Evasement de cette porte donne du coté de la maison du S. Wagner,
4° qu’au premier etage l’on trouve que dans le meme mur du coté du voisin dans la rue des petits enfants, il y avoit anciennement une porte que l’Evasement donne du coté de la maison du Sr Wagner,
5° que dans le Pignon du S. Wagner qui separe sa maison de celle du S. heim fabriquant de tabacs l’on voit une douzaine de tenons qui lioient le mur de separation desd. deux maisons des Sr Wagner et Lobstein et que dans le pignon dud. S. Lobstein du coté du Sr Heim il ne paroit aucun tenon,
6° que la poutre traversante de la maison du S. Lobstein donne environ six pouces dans le pignon ou mur de separation de cette maison avec celle dudit S. Wagner.
Et apres que lesd. Sr Müller et Grauffel eussent ainsi rapporté et declaré tant en allemand qu’en français les six articles cydessus, led. S. Verius aud. nom dud. S. Wagner a Requis led. Notaire d’en dresser le present procès verbal et de luy en donner acte pour servir et valloir ce que de raison.

Le marchand de vins Jean Wagner meurt célibataire le 3 juin 1759. L’inventaire est dressé dans la maison en construction. L’actif de la succession s’élève à 3 119 livres, le passif à 4 814 livres.

1759 (13.6.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 333) n° 777
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen liegend u. fahrender Haab Nahrung u. Güthere, so Weiland Herr Johann Wagner, der gewesene ledige Weinhändler u. b. alh. Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 3. Junÿ dieses laufenden 1759.sten Jahrs erfolgten tödl. hinscheiden hie Zeitl. verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen u. begehren des verstorbenen seel. respê Geschwisterde u. Geschwüster Kinder auch deroselben respê Vogt u. Theil Vogt als desselben ab intestato Verlaßener Erben, alle samt gleich nach dem Eingang dieses Inventarÿ ausführl. benamset (…) So beschehen in der Königl. Stadt Strasburg in fernerem beÿsein Tit. H. Joh: Daniel Bauch des Handelsmannss u. E. E. Grosen Raths alh. alter u. E. E. Kleinen Raths dermalig. wohlmeritirten Beisitzers als vermög Extractus aus Ehrenged. Kleinen Raths Memoriali d. d. 12. Junÿ 1759. aus deßelben Mittel hierzu in specie nominirten Deputati auf Mittwoch den 13. Junÿ et Seqq. Anno 1759.
Der verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt.
1. Frau Martham Hattin geb. Wagnerin, weil. H. Johann Hatten gewesenen bierbrauers u. b. alhier seel. hinterlassene Wittib, seine noch lebende ältere Schwester, welche mit assistentz S. T. Herrn Philipp Jacob Stædel, hochverordneten XV.rs des beständigen Regiments alhier: dem Geschäfft in Persohn beÿgewohnet in den ersten vierdten Stammtheil.
2. Weil. Frau Annæ Dorotheæ Veriußin geb. Wagnerin, auch Weil. H. Joh: Carl Verius gewesenen bierbrauers u. b. alhier seel. hinderlaßener Wittib seiner verstorb. ohneins ältern Schwester seel. mit ersternandtem ihren gewesenen Ehemann ehel. erzielt u. nach Tod verlaßene 3. KK. als dißirts Neveu u. Niece in der 2. vierdten Stammtheil nahmentl. 1) Herrn Johann Carl Verius der Weinhändler u. b. alh. in Person Zugegen gewesen, 2) Herrn Johann Friderich Verius der bierbrauer u. b. alhier so persönl. gegenwärtig war u. 3) Frau Mariam Salome Ottin geb. Veriußin, H. Johann Daniel Ott, des ohlmanns u. b. alh. Ehefrau welche mit beistand erstermelten ihres Ehemanns beÿ dem Geschäfft sich eingefunden
3. Weil. Frauen Annæ Margarethæ Rügerin geb. Wagnerin seiner verstorbenen ohneins jüngern Schwester seel. mit auch weil. H. Johann Georg Rüger gewesenen Kupferschmidt u. b. alh. ihren gewesenen Ehemann auch seel. ehel. erzeugter Sohn, Namens Johann Friderich Rüger, der Kupfferschmidt und burger Zu Bischweiler, des verstorbenen Neveu, so dem Geschäfft selbsten abgewartet, in den dritten vierdten Stammtheil, und dann
4. Johann Heinrich Wagner, den ledigen damalen auf die Wanderschafft sich befindl. Kiefer, seinen leibl. Bruder in den letzten vierdten Stamm Theil, deßen geschworner Vogt ist vorgedachter H. Joh: Daniel Ott der ohlmann u. b. alh. Alldieweilen aber derselbe uxorio nomine beÿ diesem Geschäfft interessiret, Als ist demselben Zu einem Theil Vogt constituirt worden H. Joh: Jacob Vogt der Schwerdfeger u. b. alh. welcher auch das gewohl. Juramentum beÿ E. E. Großen Rath alhier den 9. Junÿ 1759. würck. præstirt u. seines Curandi Interesse hiebeÿ observirt hat
Also alle Vier des verstorbenen H. Wagner zeel. respê. Frau Schwester, Bruder und Schwester Kinder und ab intestato Zu 4. gleichen Stammtheilern verlaßene Erben (…)

In einer alhier zu Straßburg ane der Kuppel Gaß gelegener und in diesortige Verl. gehörigen hiernach beschriebene behausung ist befunden worden wie folgt.
Ane Höltzen u. Schreinwerck. Auf dem Ersten Stock, In dem Zimmer rechter hand (…)
Eigenthum ane einer Behaußung u. einem begriff. Ertl. eine Behausung u. hoffstatt
ane d. Kuppelgaß einseit neben der Gastherberg Zum rothen Männel, anderseit neben dem Kleinen Kuppelhoff (…)
It. Ein begriff bestehend in einem Gebäu daran nichts fertig als den 2. Haupt Mauren samt einem Gäbel u. die Haupt Maur am ersten Stock + einseit u. anderseit neben H. Johannes Lobstein dem Gastgeber Zum *ier in besagter Kuppelgaß
rothen Männel u. b. alh. hinten auf das Kinder Gäßel stosend gelegen, so über hernach eingetragenes darauff hafftendes Passiv Capital gegen männiglich freÿ ledig u. eigen und durch vorbesagte Löbl. Stadt resp. H. Bau Inspectorem u. Hh. Werckmeister, vermög derenselben In dem Concept dieses gelieferten schrifft. Abschatzung d. d. 26. Junÿ 1759. æstimirt worden pro 600. fl. oder 300. Über die auf dem Platz dieses unausgebauten Hauses gestandene alte behausung besagt ein teutsch. pap. in alh. C. C. Stuben gefertigter Extractus de dato 7. Aug. 1758. mit dero vorgedruckten kleinern Insiegel verwahret meldend, was maßen der verst. H. Wagner seel. sothane nunmehr abgebrochene behausung von Fr. Margaretha Dorothea geb. Schneider weil. Johann Friderich Pastorius, gewesenen Seiden Knöpffmachers hinderlassene Wittib u. fr. Maria Susanna geb. Schneiderin, Joh: Daniel Fröschhammer des Meßerschmidts u. b. alh. Ehefrau Kauf. ane sich gebracht
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 546, Sa. leerer faß 81, Sa. Silbers 3, Sa. baarschafft 688, Sa. Eigenthums ane einer behausung u. einem begriff 1800, Summa summarum 3119 lb – Schulden 4814 lb, In Vergleichung 1694 lb

Fils du marchand de vins Jean Frédéric Wagner et de Marthe Meyer, Jean Wagner meurt le 6 juin 1759 à l’âge de 51 ans.
Sépulture, Saint-Nicolas (luth. f° 95 n° 26)
1759. Dingstag d. 3. Junii Abends um halb 8. uhr starb weÿl. Herr Johannes Wagner, lediger Weinhändler und burger allhier, wurde begraben Mittwoch d. 6. Junii nach um 2 uhr Nachmittag in der Kirche Zu S. Nicolai gehaltenen Leichenrede auff S. Galli. Alt 51 Jahr 4. Monat. 3. wochen v. 6. tag. Eltern waren weÿl. H Johann Friderich Wagner gew. Weinhändler v. burger allhier v. Fr. Martha geb. Meÿerin (i 97)

Lors du règlement de la succession, le marchand de vins Jean Charles Verius rachète les parts de ses cohéritiers et devient seul propriétaire de la maison

1760 (19.6.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 333) Joint au n° 777 du 13 juin 1759
Demnach weiland Herrn Johann Wagners, gewesenen ledigen Weinhändlers und burgers alhier Zu Strasburg ab intestato hinterlaßene Beneficial Erben, Nahmentlich 1° Frau Martha Hattin geborne Wagnerin, weiland Herrn Johann Hatt gewesenen bierbrauers und burgers alhier hinterbliebene Wittib, mit beistand Herrn Johann Jacob Vogt des Schwerdfegers und burgers alhier, 2° Weiland Frauen Annæ Dorotheæ Veriußin geborener Wagnerin, auch weiland Herrn Johann Carl Verius gewesenen bierbrauers und burger alhier ehelich erzeugte und nach Tod verlaßene Zween Söhn und eine Tochter mit Namen Herr Johann Carl Verius der Weinhändler Herr Johann Friderich Verius der bierbrauer beede burgere alhier und Frau Maria Salome Ottin geborne Veriußin, Herrn Johann Daniel Ott, des Ohlmanns und burgers alhier Ehefrau, beiständ. erstgedachten ihres Ehevogts, 3° Weiland Frauen Annæ Margarethæ Rügerin geborner Wagnerin mit auch weiland Herrn Johann Georg Rüger gewesenen Kupferschmidt und burgern alhier erzeugter Sohn Namens Herr Johann Friderich Rüger, Kupfferschmidt und burger Zu Bischweiler, samt und sonders sich entschloßen
die in oben ernannten Herrn Johann Wagner ihres respective Bruders und Oncle seeligen Verlaßenschafft gehörige alhier Zu Straßburg in der Kuppelgaß, ein und anderseit neben Herrn Johannes Lobstein dem Gastgeber und hinten auf das Günter Gäßel stosende Hoffstatt einer Behausung worauf die Zweÿ Haupt Mauren und beedeseitige Gäbel aufgebauen, samt aller anderen deren begriffen, Weithen, Rechten und Gerechtigkeitn benebst denen beÿ diesem Bau sich befindlicher gehauener Steinen und Blatter, Zu versteigern und Zu dem Ende auf vorher beschehene offentliche Ausrufung und Kundmachung durch die hiesige Wochenblättel eine freiwillige Versteigerung (…) 1° daß gedachte Hoffstatt außer 300 lb. d. welche Herr Pfarrer Schweighäußer dahier darauf stehen hat (…) und Zwölf Schilling Sechs Pfenning Boden Zinns so Löbl. Stadt Pfenningthurn jährl. auf Annunciationis Mariæ davon zu reichen freÿ ledig und eigen (…) um 600 gulden angesetzt word. (…) daß Herr Johann Daniel Bex der Courtier und Burger alhier beÿ Auslöschung des dritten Wax Liechtleins die letzte Mise von 1030 gulden hies. Curr. gethan, der aber hiebeÿ declarirt, daß er sothane Hoffstatt nicht für sich, sondern für Herrn Johann Carl Verius den Weinhändler und burger als dißortigen Eingangs gedachten Mit Erben ersteigert (…)
So beschehen Strasburg auf Donnerstag den 19. Junÿ Anno 1760

Vente correspondante passée à la Chambre des Contrats

1761 (17.1.), Chambre des Contrats, vol. 635 n° 10
H. Johann Friedrich Verius der bierbrauer vor sich selbst und als mandatarius weÿl. H. Johann Wagner des weinhändlers samtliche ab intestato hinterlassenen erben
seines bruders Johann Carl Verius des weinhändlers
acht neunte theil vor unvertheilt ane einer behausung und hoffstatt mit allen begriffen und rechten ane der Kuppelgaß ein und anderseit neben Johannes Lobstein, hinten auff das Kindergäßel stoßend, hoffstatt eine behausung worauf die zweÿ haupt mauren und beederseitig gäbel aufgebauen – davon gibt man auff Annunciationis Mariæ hiesiger Stadt Pfenning Thurn 12 ß 6 d – als ein von gedachtem Wagner ererbtes guth – um 204 pfund

Fils du brasseur du même nom, Jean Charles Verius épouse en 1738 Anne Marie, fille du tonnelier et marchand de vins Georges Samuel Mosseder : contrat de mariage, célébration. On trouvre d’autres actes les concernant dans la notice d’une maison qui leur appartient.
1738 (3.11.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 352)
Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Carl Verius, dem ledigen bierbrauer, Weÿland des Wohl Ehren: und Vorachtbahren Herrn Johann Carl Verius, gewesenen bierbrauers und burgers allhier Zu Straßburg, mit der Viel Ehren und Tugendbegabten Frauen Anna Dorothea gebohrner Wagnerin ehelich erzeügtem Sohn, als dem Bräutigamb ane einem:
So dann der Viel Ehren: und tugendgezierten Jungfrauen Annä Mariä Moßederin des Wohl Ehren und Vorgeachten Herrn Georg Samuel Moßeders, Kiefers und Weinhändlers allhier mit der Viel Ehren und tugendbegabten Frauen Margaretha Moßederin Reÿbelin ehelich erziehlter Tochter als der Jungfrau hochzeiterin ane dem andern Theil
Siebendens (…) Wÿdum seine allhier Zu Straßburg am Oberen Waßer Zoll beÿ den gedeckten Brucken gelegenen Zum Grünen Wald genandte bierbrauer behaußung (…)
So beschehen und verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Montags den 3. Novembris Anno 1738 [unterzeichnet] Johann Carl Verius alß hoch Zeitter, anna Maria Moßetterin als hoch Zeitterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 171-v n° 29)
1738. Mitwoch den 19. Nouembr: sind nach Vorhergegangener Zweÿmahliger Außruffung ehelich copulirt vnd eingesegnet worden H. Johann Carl: Verius der Ledige bierbrauer und burger allhie weÿl. H. Joh: Carl Verius gewesenen bierbrauers und burgers alhie ehelich hinterlaßener Sohn, und Jfr. Anna Maria H. Georg Samuel Moseders, burgers und weinhändlers alhie eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Carl Verius als Hochzeitter, Anna Maria Moßetterin als hochzeitterin (i 174)

Jean Charles Verius et Anne Marie Mosseder hypothèquent la maison au profit des enfants du frippier François Dubois

1761 (19.1.), Chambre des Contrats, vol. 635 f° 11
Johann Carl Verius der weinhändler und Anna Maria geb. Moßederin mit beÿstand H. Johann Jacob Moßeder des weinhändlers und Johann Daniel Bex des courtier
in gegensein François Dubois des altgewänders innahmen H. Guillaume Villame des lederhändlers als vogt sein Dubois 3 kinder erster ehe Alexander, Simon und Frantz Anthoni – schuldig seÿen 1000 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Kuppelgaß einseit und anderseit neben Johannes Lobstein hinten auff das Kindergäßel

Jean Charles Verius vend la maison à son fils Jean Charles Verius

1769 (7.9.), Chambre des Contrats, vol. 643 f° 641-v
H. Johann Carl Verius der weinhändler
seinem sohn H. Carl Verius auch weinhändler und Susanna Margaretha geb. Mäyein
eine behausung und hoffstatt mit allen deren begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Kuppelgaß, ein- u. and. seit H.Johann Lobstein dem gastgeber, hinten auff das Kintergäßel – davon soll man auf Annunciatonis Mariä hiesiger Stadt Pfenning Thurn 12 ß 6 d ane bodenzinß – um 1000 pf verhafftet, beschehen um 500 pfund&

Jean Charles Verius inscrit son fils Jean Charles pour qu’il fasse son chef d’œuvre
1763, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 165) Dienstags den 28. Junÿ 1763 – Meisterstück
H. Johann Carl Verius des Kieffer stehet vor mit Johann Carl Verius seinem Sohn, und bitet denselben Zum Meisterstück einzuschreiben. dt. Werckstatter zinnß 1 lb 10 ß, prot. 3 ß, findling 1 ß

Jean Charles Verius le jeune meurt en 1774 en délaissant deux filles. L’inventaire est dressé rue des Tonneliers près de la Grue (dans la maison de ses parents). Les experts estiment la maison à 1 500 livres. La masse propre à la veuve est de 1 540 livres. Comme la veuve renonce à la communauté, les biens des héritiers et de la communauté sont décrits en une seule masse dont l’actif s’élève à 1 673 livres et le passif à 4 650 livres.

1774 (28.7.), Not. Zimmer (6 E 41, 1419) n° 343
Inventarium über Weiland Carl Verius, des jüngern, gewesenen Kiefers und Weinhändlers auch Burgers alhier zu Straßburg Verlaßenschafft, aufgerichtet Anno 1774.
Inventarium und Beschreibung derjenigen Haab und Nahrung wie auch Passiv Schulden, sio Weiland Carl Verius, der jüngere, gewesener Kiefer und Wein Händler, auch Burger alhier Zu Straßburg, nach seinem den 19.ten Maji jüngst aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt hie Zeitlich Verlaßen hart, Welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Susannæ Margarethæ geborener Meÿein, der hinterbliebenen Wittib, beÿständlich Hn Joh: Carl Seiler, des Ball Meisters und burgers hieselbst, desgleichen Hn Joh: Jacob Mosseder des Kiefers und Weinhändlers auch hiesigen Burgers als des Defuncti hinderlaßener gleich nach diesem Eingang benandter Kinder und Beneficial Erben geordnet und geschworenen Vogts, inventirt (…) So geschehen alhier zu Strasburg auf Donnerstag den 28.ten Julii Anno 1774.
Der Verstorbene Hat ab intestato Zu seinen Beneficial Erben hinterlassen wie folgt. 1.mo Susannam Maria Veriusin, so 6 Jahr alt und 2.do Mariam Margaretham, sobald 5 Jahr erreichet, beÿde des Verstorbenen mit Eingangs gedachter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugte Kinder und ab intestato zu gleichen antheiler hinterlaßene Erben

In einer alhier Zu Straßburg unten an der Kiefer Gaß am Cran gelegenen hiehero noch Zur Zeit nicht gehörigen behausung, ist befunden worden wie folgt
(f° 13) Ergäntzung der Wittib währender Ehe veräuserten unveränderten Guts. Nach Masgab Inventarii über beeder nun Zertrennter Eheleute in den Ehestand gebrachte Nahrungen durch H. Notarium Joh: Friedrich Lichtenberger den 17. Februarÿ et seq. A° 1766 auffgerichtet
(f° 15) Widums Verfangenschaft in der Wittib unveränderte Nahrung Zugeltend. Nemlichen es hat deroselben leiblicher Vater Weil. Herrn Johann Zacharias Meÿe der gewesene Steinmetz Maurer Meister und burger alhier zu Straßburg seiner hinterbliebenen Wittib Fraun Susannæ Margarethæ gebohrerer Rußin (…)
(f° 15-v) Eigenthum ane Häusern. (W.) Namlich ein dritter theil ane der Haanen Gaß (…)
(f° 16-v) (T.) Nemlich eine Behausung und Hofstatt, mit allen deren Begriffen, Weiten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, alhier Zu Strasburg an der Kuppel Gaß Zu beÿden Seiten neben Hr Johannes Lobstein dem Gastgeber gelegen und hinten auf das Hinder Gäßlein stosend, so auser 12 ß. 6. ß Löbl. Stadt Pfenningthurn jährl. auf Annunciationis Mariæ zu reichen habenden Boden Zins und denen darauf haftenden hernach passive eingetragenen Capitalien, freÿ, ledig und eigen. Diese Behausung ist durch die Hieoben beÿ der Wittib unverändertem Haus-Antheil benandte Hhn Æstimatores inhalt deroselben auch allda angezogener schriftlicher Abschatzung gewürdiget worden vor 1500. lb. Wie solche Behausung beede geweßte Eheleute Von H. Joh: Carl Verius dem Weinhändler und burger dahier des Defuncti leib. Vater käuflich an sich gebracht weiset eine in allhiesiger C. C. Stub d. 7. Sept. 1769. passirt auf Pergament gefertigter und mit deroselben aufgedrucktem grösern Insiegel verwahrte Kauf-Verschreibung. So dann Zeigte die hinterbliebene Wittib an, daß nach dem Inhalt der zwischen ihro und ihrem Verstorbenen Ehemann errichteten hieoben copeÿich einverleibte Eheberedung §. 10. Johann (perge f° 4-b)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
Der Wittib unveränderten Vermögens, Sa. haußraths 5, Sa. Silber und Gescheid 3, Sa. goldenen Rings 13, Sa. Geschirrs Zum Kiefer handwerck gehörig 3, Sa. Antheil ane einer behaußung 716, Sa. Activ Schulden 75, Sa. der Ergäntzung 726, Summa summarum 1540 lb
Nach diesem wird auch der Beneficial Erben unverändert und die theilbare Nahrung und zwar weilen leztere von denen Passiv Schulden weit übertroffen wird, daher die Wittib bereits darauf verzug gethan und solche ihren denen Benef. Erben tam active quam passive überlaßen, unter einer Massa, Sa. haußraths 84, Sa. Schiff und geschirr Zum Kiefer Handwerck gehörig 10, Sa. Silber und Geschmeid 5, Sa. Gold. Geschmeids 14, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1500, Sa. Schulden 58, Summa summarum 1673 lb – Schulden 4650 lb, Compensando 2977 lb
Passiv onus loco der Stall Summ 1436 lb
Zweiffelhaffte und verlorene Schulden in der Beneficial Erben Massam Zugeltend 313 lb
Copia der Eheberedung (…) Freÿtag den 20. Decembris Anno 1765, Johann Friedrich Lichtenberger, Collationnirt Zimmer
Abschatzung Vom 19. aug. 1774. Auff begehren Weil. H. N. N. Ferius des gewesenen Kieffer Meisters ist Eine behausung alhie in der Statt Strasburg in der Kuppell gas gelegen Ein seits neben Weil. N.N. Lobstein hinderlasener Erben anderseits neben N.N. Edell dem gast geber Zum Rotten mendell und hienden auff ein allment Gaslein stosend Gelegen solche behausung besteht in Ettlichen Stuben Kamern und Eine Kichen dar jber ist der dach Stuhl mit breitziglein belegt, hat auch Ein gewelbten Keller. Von uns Unterschribnen der Statt Strasburg Geschwornen werck meister nach Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer Gerechtigkeit dem Jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und vmb Dreÿ Thausent Gulden [unterzeichnet] Werner, Hueber

Susanne Marguerite Meyé (ici Meyer) expose infructueusement la maison aux enchères sur la mise de 4 000 florins.

1774 (23.12.), Not. Zimmer (6 E 41, 1450) n° 305
Anno 1774, Freÿtags den 23. Decembris nachmittags, auf Ansuchen Fraun Susannä Margarethä gebohrener Meÿerin, weiland Johann Carl Verius des jüngern gewesenen Kiefers und burgers dahier hinterlaßener Wittib, beÿständlich H. Johann Carl Seiler des ballmeisters und bs. dahier, und nach vorhergegangener publication wurde mit Zuziehung mein des unterschriebenen Notarii
eine freiwillige Versteigerung der in gedachten Johann Carl Verius Verlaßenschafft und respective massam gehörig geweßte, ihro der Fr. Requirentin aber zufolg E. E. Großen Raths Erkandtnuß vom (-) hujus unter andern entschlagenen behaußung und hoffstatt mit allen deren begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der Kuppelgaß, zu beÿden Seiten neben H. Johannes Lobstein, dem Gastgeber und hinten auf das Hindergäßlein stoßend, so außer 12. ß. 6. d. Lbl. Stadt Pfenningthurn jährlich auf Annunciationis Mariæ zu reichen habenden bodenzinß und 1000 lb d. in Zweÿen Posten darauf hafftenden Capitalien freÿ leedig und eigen, unter nachfolgenden Bedingungen, in bemelter behausung vorgenommen als (…) ausgeruffen pro 4000 fl. Worauf, weilen sich Keine Steigerer eingefunden, Kein Gebott erfolget, daher dann die Versteigerung auf eine anderwärtige des Fr. Requirentin beliebige Zeit verleget

Marguerite Meyé hypothèque la maison au profit de l’imprimeur François Georges Levrault

1776 (16.2.), Chambre des Contrats, vol. 650 f° 49-v
Fr. Susanna Margaretha Veriusin geb. Meÿin weÿl. H. Carl Verius des weinhändlers wittib beÿständlich H. Johann Georg Rößel notarii publici jurati ac practici
in gegensein H. Franz Georg Levrault, buchdrucker der königlichen Intendance – schuldig seÿe 200 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden ane der Kuppelgaß einseit neben N. Röthel dem gastgeber, anderseit neben weÿl. Johann Lobstein des gastgebers erben, hinten auff ein Allmend gäßlein – davon gibt man löbl: Stadt Pfenning Thurn 12 ß ane Almend zinß

Susanne Marguerite Meyé loue la maison à la société Sattler et Compagnie pour laquelle stipule le marchand Jean Melchior Sattler

1776 (26.4.), Chambre des Contrats, vol. 650 f° 146-v
Fr. Susanna Margaretha Veriußin geb. Meÿe weÿl. H. Carl Verius des weinhändlers wittib beÿständlich H. Johann Heinrich Reinhard des kieffer meisters
in gegensein H. Johann Melchior Sattler des handelsmanns als der innahmen Satter et compagnie stipulirt
verlühen, einen keller unter einer ane der Kuppelgaß gelegen und ihre verlehnerin eigenthümlich zuständigen behausung vorfindig, deßen eingang in besagter Kuppelgaß welcher keller dermahlen lehr – auff 6 nacheinander folgenden jahren auff Johannis Baptistæ anzufangen, um einen jährlichen Zinß nemlich 20 gulden

Susanne Marguerite Meyé fait dresser l’inventaire de sa fortune. La valeur de la maison est reprise de l’inventaire de son mari. L’actif s’élève à 1 514 livres, le passif à 1 787 livres.

1777 (24.4.), Not. Roessel (Jean Georges, 6 E 41, 921) n° 9
Inventarium über Frauen Susannæ Margarethæ geborner Meÿein, Weiland Carl Verius des jüngern gewesenen Kiefers und Weinhdl. auch burgers alhier nachgelaßene Wittib dermalen besitzende Activ Nahrung und habende passiv-Schulden, aufgerichtet Anno 1777. Welches alles auf ihr Fr. Veriusin ansuchen, der ursachen halben, aldieweilen sich ein Schuldenlast hervor gethan und sie deßfalls ihre Mesures so gut alls gerichtlich Zunehmen sich gemüsiget siehet, inventirt und eersucht durch sie selbsten (…) So geschehen alhier Zu Straßburg und einen daselbst ane der Kuppelgaß gelegenen in diese Nahrung gehöriger und hernach beschriebener behaußung in fernerer Gegenwarth H. Joh: Joseph Bitschnau J.V. Lti & Proc. vic. als ihr Fr. Verius hierzu insonderheit erbettenen beistands den 24. apr. et Seq. Anno 1777.

Eigenthum ane einer Behaußung. Nemlich eine Behausung und Hofstatt, mit allen deren Begriffen, Weiten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, alhier Zu Straßburg an der Kuppel Gaß, einseit neben weÿl. H. Joh. Lobstein des gastgebers hinterl. KK. und Erben, anderseit neben H. Joh: Röthel den Gastgeber Zum rothen Männel und hinten auf das Hindergäßel stosend, so auser 12 ß. 6. ß Löbl. Stadt Pfenningthurn jährl. auf Annunciat. Mariæ zureichen habenden Boden Zins und denen darauf haftenden hernach passive eingetragenen Capitalien, freÿ, ledig und eigen. Welche Behausung beÿ des disorts gewesenen und Verstorbenen Ehemanns in Anno 1774 vorgenommenen Verlaßenschaffts Inventur durch hiesiger Stadt Hh. Schätzer, Zufolg Abschatzungs Zeduls sub dato 22. Aug. d. a. æstimirt und angeschlagen worden pro 1500. lb. Wie solche Bhsg dißortige Wittib und ihr verstorbener Ehemann von Joh: Carl Verius dem ältern Kiefer käuflich an sich gebracht, weiset eine in allh. C. C. stb. den 7. Sept. 1769. passirt auf Perg. gefertigte u. mit deroselben aufgedrucktem grösern Insiegel verwahrte Kfverschreibung.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 14, Sa. Silbers 2 ß, Sa. Eigenthum ane einer bhßg 1500, Summa summarum 1514 lb – Passiv Schulden 1787 lb, Compensando, passiv onus 272 lb
Activ Schulden so Zweiffelhafft 284 lb

Le tuteur des deux filles de Jean Charles Verius demande que ses pupilles soient reçues à l’Orphelinat après que leur mère a quitté la ville en les abandonnant. Les Conseillers et les Vingt-et-Un le renvoient à l’unanimité aux administrateurs de l’Orphelinat mais demandent que la mère soit poursuivie.
1778, Conseillers et XXI (1 R 261)
(f° 225.) Sambstag den 22.t Augusti 1778. – weil. Carl Verius des weinhändlers mit Susanna Margr. geb. Meÿin, so von hier entwichen, ehelich erzeugt Zweÿ Kinder, werden usq. ad reditum matris in das Waÿsenhauß recipirt, die Mutter aber ob malitiosam desertionem ihrer Kinder dem Procuratori fisci geschrieben gegeben.
Osterrieth nê weil. Carl Verius geweßten burgers und weinhändlers hinterlaßenen mit Susanna Margaretha geb. Meÿin ehelich erzeugter Zweÿer Kinder Vogts Johann Martin Christmann des burgers und schneiders prod. unterth. Memoriale und bitten samt beÿ. sub literis A biß E inclusivé puncto gnädiger aufnahm in das Waÿsenhaus.
H. general advocat Mogg erwehnet, da beede pupillen quæstionis Vatterloß und deren Mutter von hier entwichen, so seÿe selbige deren Waÿsen auch Zu æquipariren, Zweifle derhalben nicht, es werden Mghh. dieselbe usque ad reditum matris in das Waÿsenhauß Zu recipiren geruhen, deren Mutter aber ob malitiosam desertionem dem Procuratori fisci geschrieben geben wollen.
Dießemnach wurde vermittelst gehaltener umbfrag unanimiter Erkandt, wird Implorirender Vogt puncto gebettener aufnahm seiner pupillen in alhießiges waÿsenhaus an die dasige hochansehnliche Herren Pflegere usque ad reditum matris ad recipiendum gewießen, doch solle ged. Mutter propter malitiosam desertionem ihrer Kinder dem Procuratori geschrieben geben werden, umb seine requisitiones gehöriger orthen wieder sie einzugeben.
Depp. H. Rathh. Mathieu H Rathh. Götz.

La veuve de Jean Charles Verius demande à la tribu des Tonneliers un certificat pour bénéficier de l’aumône de Saint Marc.
1780, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 402-v) Dienstags den 13. Junii 1780 – Allmossen
Weÿl. Carl Verius jun: gewesenen Kiefers Wittib stehet vor, und bittet, weilen sie sich und ihre Zweÿ Kinder armuth halben nicht erhalten kan, ihro einen Schein Zum Allmosen Zu ertheilen.
Erkannt, wird die Implorantin des Allmosens würdig und bedürftig erachtet, dahero Ihro mit verlangtem Schein Zu Willfahren.

François Bianchi acquiert la maison par adjudication judiciaire le 4 septembre 1777 (voir le Livre des loyers communaux) au nom de la société de commerce Sattler et Compagnie (voir ci-dessous).
Il cède en septembre 1779 ses droits au négociant Jean Pierre Mayno

1779 (27.11.), Not. Lacombe (6 E 41, 175) f° 52
Cession du 29. 7.bre 1779 – fut present le sieur François Bianchi, bourgeois négociant de cette ville y demeurant, lequel a declaré céder (…)
au Sr Pierre Mayno Bourgeois négociant de la même ville y demeurant
L’Interêt qu’il a dans la société dont le contrat sous seing privé est déposé en l’étude dud. Notaire, le présent abbandon a datter du premier septembre Courrant jour auquel la Cloture de l’Inventaire de cette société a été signée par les associés d’Icelle
Cede pareillement led Sr Bianchi aud. S. Mayno sa part et portion dans une Maison située dans la Rue ditte Kuppelgass laquelle led. Sr Bianchi avoit achepté sous son nom mais des deniers et sous le Compte de lad° société dont le Commerce se Gere sous le nom de Sattler et Compagnie, n’y pretendant led. Sr Bianchi aucune part, portion ny interêt

Lors de la dissolution de la société, la maison reveint au négociant Philippe Engelhard

Jean Philippe Engelhard vend la maison à Victoire Rœmer femme d’Alexis Bourotte

1810 (21.4.), Strasbourg 2 (32), M° Knobloch n° 4545
Jean Philippe Engelhard négociant
à Victoire née Roemer épouse d’Alexis Burotte employé à l’hopital militaire (signé) victoire femme Bourotte nee Roemer
une maison avec appartenances et dépendances rue dite Kuppelgass n° 2, d’un côté les écuries de l’auberge ou pend pour enseigne l’homme rouge, de l’autre la maison de Gilet, derrière les écuries de ladite auberge et sur la maison Gilet – acquis par acte reçu M° Lacombe le 18 thermidor 10 – moyennant 8887 francs ou 9000 livres
Enregistrement, acp 114 F° 123-v du 24.4.

Fille de l’aubergiste Jean Georges Rœmer, Victoire Rœmer épouse en 1782 le chirurgien militaire Louis Marie Philibert Hodille, originaire de Saint-Claude : contrat de mariage, célébration
1782 (16. 8.bre), Not. Anrich (6 E 41, 1517) n° 198
Contrat de mariage – furent présens le Sieur Louis Marie Philibert Hodille chirurgien à l’Hopital militaire de cette dite ville fils de feû le Sieur Pierre Gabriel Hodille vivant jntendant de Monseigneur le Prince de Montbaray demeurant à Besançon en franche Comté procréé avec feüe D° Anne Thérèse née Parraud ses pere et mere, majeur d’ans, usant et jouissant de ses droits, par conséquent faisant, stipulant et agissant pour luy et en son nom d’une part
Er Demoiselle Justine Marguerithe Victoire Roemer fille mineure de feû le Sr Jean Georges Roemer bourgeois et aubergiste de l’auberge ou pend pour enseigne la ville de Vienne en cette même ville de Strasbourg et de D° Marie Catherine née Lautour agissant pour elle et en son nom d’une part, sous l’assistance et consentement de la dite D° sa mere cy présente

Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 543)
Hodie die 18 Novembris anno 1781 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Ludovicus Maria philibertus Hodille ex civitate Saint Claude dictâ in Comitatu Burgundiæ, ultrâ annum hic commornas, filius Dni petro Gabrielis Hodille Capituli Cathedralis Sti Claudii economi et annæ theresiæ peraud Conjugum Et helena justina Victoria Remer, filia Dni Remer mercatoris olim et civis hujatis Er Catharinæ Lautour Conjugum ambo commorantis in hâc parochiâ (i 277)

Victoire Rœmer se remarie en 1803 avec Alexis Bourotte, originaire d’Auxonne
1803 (29 nivose 11), Strasbourg 11 (5), M° Anrich n° 366
Contrat de mariage – furent présens le Citoyen Allexis Bourotte, Mathematicien demeurant en cette ville, fils légitime de feû le Citoyen François Bourotte vivant Marchand Caffetier à Auxonne département de la Cote d’or et de la Citoyenne Marie Lagrange ses pere et mere, faisant stipulant et agissant pour lui et en son nom Et
La Citoyenne Justine Marguerite Victoire Roemer Veuve de feû le citoyen Louis Marie Philibert Hodille ancien Capitaine Commandant de la Gendarmerie à Cheval pensionnaire à l’Hôteld es invalides à Paris, domiciliée présentement en cette ville, faisante stipulante et agissante pour elle et en son nom (…)
à Strasbourg le 29 Nivose an onze de la République française une et indivisible (signé) Bourotte, victoire née Roemer veuve hodille
Enregistrement, acp 86 F° 160-v du 2 pluv. 11

Victoire Rœmer se remarie en 1825 avec l’ancien officier François Joseph de Malezy
1825 (20.8.), Strasbourg 2 (58), M° Weigel n° 3858
Contrat de mariage – François Joseph de Malezy, ancien officier en retraite chevalier de l’ordre royal et militaire de Saint Louis demeurant à Strasbourg fils de Jean André de Malecy, régisseur des vivres, et de Marie Marcelline Kern conjoints à Strasbourg d’une part
et Victoire Hélène Justine Roemer veuve en secondes noces d’Alexis Bourotte, employé du génie militaire fille de Georges Roemer, marchand, et Catherine Lautour à Strasbourg
acp 174 (3 Q 29 889) f° 117 du 24.8. – réserve d’apports, habillemens et linges propres à chacun. Don de survie par le futur à la future de la propriété de tous ses biens et par la future au futur de l’usufruit de ses biens.
La future se constitue en propre en argent comptant et meubles une somme de 6000 francs et le futur des habits et linge de corps

Alexis Bourotte et Victoire Roemer vendent la maison au marchand tapissier François Antoine Schweighæusser moyennant 7 000 francs

1822 (25.11.), Strasbourg 4 (53), M° Hatt n° 673
Alexis Bourotte, ci devant employé à l’hôpital militaire, et Victoire née Roemer
à François Antoine Schweighaeusser, marchand tapissier
une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue dite Kuppelgass n° 2, d’un côté les écuries de l’auberge où pend pour enseigne l’homme rouge, de l’autre la maison de Gilet, avec toutes les cheminées françaises établies dans les chambres et au second étage un fourneau en fayence – acquis de Jean Philippe Engelhard, négociant, et de Marguerite née Frick suivant contrat reçu M° Knobloch le 21 avril 1810 – grevée d’une rente foncière annuelle de 2 fr 50 rachetable en capital de 50 fr – moyennant 7000 francs
Enregistrement, acp 160 F° 65 du 28.11.

François Antoine Schweighæuser épouse en 1820 Marie Anne Eckstein : contrat de mariage, célébration
1820 (13.12.), Strasbourg 15 (28), M° Lacombe n° 5793
Contrat de mariage – François Antoine Schweighaeuser, marchand tapissier, fils majeur de Jean Michel Schweighaeuser, vitrier, et de Françoise née Jappert son épouse audit lieu d’une part
et Marie Anne Eckstein, fille majeure procréée de Conrad Eckstein, tailleur à Strasbourg, et de Philippine Pintz, assistée de de Daniel Hubens emballeur à la douane à Strasbourg & Catherine grieb sa femme, ses qualités nom et prénom notifiés par le juge de paix du canton de Neubrisac le 2 décembre 1820
acp 150 (3 Q 29) f° F° 98-v du 21.12. portant réserve d’apports et communauté d’acquets, usufruit au survivant de la succession du prédécédé réductible en cas d’existence d’enfans, don matutinal par le futur époux à la future épouse de 600 francs dans le cas où elle lui survivra
La future épouse se constitue en dot 600 francs. Les conjoints Huben instituent la future épouse pour leur héritière universelle & lui donnent en dot un trousseau de 1200 francs

Mariage, Strasbourg (n° 360)
Acte de mariage célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 27 décembre 1820. François Antoine Schweigheusser, majeur d’ans, né en légitime mariage le 23 février 1789 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Tapissier en meubles, fils de Jean Michel Schweigheusser, vitrier en cette ville, et de Françoise Jappert ci présents et consentant
Marie Anne Eckstein, majeure d’ans, née vers le temps de la fête des rois au mois de janvier 1799 dans un village des environs d’Alexandrie en Piémont, domiciliée à Strasbourg, fille de Conrad Eckstein, originaire de Brisach (Haut Rhin) tailleur dans un régiment suisse, au service d’Espagne, et de feu Philippine Pintz, native de Caglari roïaume deSardaigne (…) ladite épouse produit un acte de normalement sur sa naissance, dressé par François Joseph Larger* juge de paix du canton de Neuf-Brisach le deux de ce mois, homologué par el tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg le 7 subséquent et déclare pae serment qu’elle est dans l’impossibilité de produire la preuve de l’absence de son père, faute de connaître le lieu de son dernier domicile et l’extrait de décès de sa mère (i 25)

Marie Anne Eckstein meurt en 1825 en délaissant un fils

1826 (7.1.), Strasbourg 4 (62), M° Hatt n° 2671
Inventaire de la succession de Marie Anne Eckstein femme de François Schweighaeusser, marchand tapissier, décédée le 27 août dernier – dressé à la requête du veuf commun e biens suivant contrat de mariage reçu M° Lacombe le 13 décembre 1820, comme père et tuteur légal de Martin Jérôme âge de 3 ans 9 mois – en présence de Daniel Huben, employe des douanes subrogé tuteur du mineur
dans une maison sise rue du Jeu des Enfants n° 65
Titres et papiers, 10. Alexis Burotte, employé du génie militaire, et Victoire née Roemer, ont vendu une maison en cette ville rue dite Kuppelgass n° 2 par acte reçu M° Hatt le 25 novembre 1822, estimée 6000 fr
immeubles de la communauté, une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue dite Kuppelgass n° 2, d’un côté l’écurie de l’auberge à l’homme rouge, del’autre la maison de Gilet, derrière l’écurie de ladite auberge
une maison et jardin à Stützheim ; communauté
revêtement propres du veuf 30.000 fr, propres de la défunte 2257 fr, communauté 18.870 fr, passif 20.662
acp 176 (3 Q 29 891) f° 133 du 17.1. – Propres de la défunte, garde robe 291 fr, bijoux 166 fr, don matutinal 6 fr, reprises 1200 fr, total 2257 fr
Communauté, meubles 1365 fr, créances 8000 fr, argenterie 111 fr, marchandises 394
une maison rue Kuppelgass 6000, total 15.870 – passif 20.662

François Antoine Schweighæusser se remarie en 1829 avec Marie Joséphine Klein
1829 (4.4.), Strasbourg, M° L’Ange (minutes en déficit)
Contrat de mariage – François Antoine Schweighaeusser, marchand tapisier demeurant à Strasbourg veuf avec un enfant d’une part
et Marie Joséphine Klein, fille majeure de François Ignace Klein, propriétaire et de Marie Anne Pfister conjoints demeurant en ladite ville d’autre part
acp 194 (3 Q 29 909) f° F° 39 du 7.4. – réserve d’apports et des habillemens propres à chacun, communauté d’acquets partageable par moitié au décès de l’un d’eux, usufruit au survivant de la succession du prédécédé lequel en cas d’existence d’enfant sera réduit à une part d’enfant
Le futur époux se constitue en pour ce qui est constaté par inventaire passé devant Lacombe le 13 décembre 1820 et par inventaire dressé pardevant Hatt le 7 janvier 1826. Plus en marchandises meubles créances et numéraire 14.500
Les père et mère de la future épouse lui constituent en dot en meubles et numéraire 6000 francs
Don de survie par le futur époux à la future épouse d’une somme de 6000 francs

François Antoine Schweighæusser meurt en 1841 en délaissant un fils de son premier mariage et trois enfants de la veuve
1841 (25.3.), M° Rencker
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre François Antoine Schweighaeusser, propriétaire décédé à Strasbourg le 19 avril 1841 et Marie Joséphine Klein sa femme & de la succession du défunt
à la requête de Marie Joséphine Klein la Veuve agissant tant en son nom à cause de la cette communauté et des avantages qui lui ont été assurés par son contrat de mariage reçu L’Ange le 4 avril 1829 que comme tutrice légale de ses trois enfants mineurs François Antoine Eugène, Marie Valérie Joséphine & Louise Adèle Simonette Schweighaeusser, Martin Jérôme Schweighaeusser mineur émancipé, tous à Strasbourg et héritiers chacun pour un quart du défunt leur père
acp 286 (3 Q 30 001) f° 31-v du 3.4. Prisée du mobilier de la communauté 2650
garde robe du défunt 505, numéraire 1063, créances actives 54.613
acp 286 (3 Q 30 001) f° 60 du 17.4. (vacation du 13 avril) Prisée des créances actives 70.613, capitaux propres au défunt 14.000
La communauté se compose en outre 1° deux hectares 60 ares de terres & prés ban de Strasbourg im Spittalfeld
2° une maison avec jardin au Contades im Spittalgarten
3° quatre parcelles de terres au même canton
4° une maison en cette ville place St Pierre le vieux n° 65-bis
5° une maison avec jardin sise à Dachstein, rue Lehgass
6° huit parcelles de terres ban dudit lieu
7° deux ares 50 de bois ban d’Ernosheim
8° pareiile contenance ban d’Ergersheim
Il est dû récompense par la communauté à la veuve d’une somme de 2576 et au défunt 36.266. La succession doit récompense à la communauté d’une somme de 8557
Description des titres & papiers

Le fils du premier mariage Martin Jérôme Schweighæusser meurt célibataire à Paris
1842 (2.6.), Strasbourg 1 (89), M° Rencker n° 16.411
2 Juin 1848. Inventaire des titres & créances dépendant la succession de Martin Jérôme Schweighaeusser
à la requête et en présence de Dame Marie Joséphine Klein, Veuve du Sieur François Antoine Schweighaeusser, en son vivant propriétaire domicilié à Strasbourg, agissant en qualité de tutrice légale de François Antoine Eugène Schweighaeusser, de Marie Valérie Joséphine Schweighaeusser & de Louise Adèle Simonette Schweighaeusser, ses trois enfants mineurs issus de son mariage avec ledit sieur François Antoine Schweighaeusser, lesdits trois mineurs habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers chacun pour un tiers du Sr Martin Jérôme Schweighaeusser leur frère consanguin issu du mariage du Sieur François Antoine Schweighaeusser avec Anne Marie Eckstein sa femme en premières noces
Et en présence de M. Jean François Buchlé, propriétaire domicilié à Strasbourg agissant en qualité de subrogé tuteur desdits mineurs
(…) succession dudit Sieur Martin Jérôme Schweighaeusser, commis négociant domicilié à Strasbourg, décédé à Paris dans sa 20° année le 24 mai dernier. L’inventaire des objets mobiliers, titres & papiers trouvés à Paris a été dressé par M° Vaussaud et son collègue notaires à Paris le 4 avril dernier & jours suivants
acp 299 (3 Q 30 014) f° 44 – Les créances actives établies par les titres analysés s’élèvenr à 19.086 francs

François Antoine Schweighæuser et Marie Joséphine Klein vendent la maison au négociant Jean Ferdinand Zeyssolff pour 8000 francs

1830 (28.4.), Strasbourg 12 (116), M° Noetinger n° 1996
François Antoine Schweighaeuser, tapissier, et Marie Joséphine Klein
à Ferdinand Zeyssolff, négociant
une maison avec appartenances droits et dépendances sise à Strasbourg rue des Couples n° 2, d’un côté l’écurie de l’auberge de l’Homme Rouge, de l’autre la propriété du Sr Gilet et l’écurie de ladite auberge derrière la maison dudit Sr Gilet
acquise de la communauté avec Anne Marie Eckstein sa première épouse d’Alexis Bourotte ci devant employé à l’hopital militaire de Strasbourg et de son épouse, par acte reçu M° Hatt le 28 novembre 1822 transcrit au bureau des hypothèques volume 154 n° 120. Ledit Bourotte l’a acquis de Jean Philippe Engelhart, négociant et son épouse, par acte reçu M° Knobloch le 21 avril 1810. La maison appartenait en toute propriété au vendeur par suite de la renonciation que son fils seul et unique héritier de sa première femme a faite à ladite communauté au Greffe le 10 mars dernier – pour 8000 francs
acp 199 (3 Q 29 914) f° 74-v du 3.5.

La maison est estimée à 6 000 francs lors de l’inventaire dressé en 1846 après la mort de Jean Ferdinand Zeyssolff.
Lors de l’adjudication des immeubles, la veuve Barbe Dahlen se rend propriétaire de la maison sise 2, rue des Couples.

1846 (30. Xbr), Strasbourg 12 (170), M° Noetinger n° 18.960
Cahier des charges, 30. X.bre 1846 – A la requête et en présence de 1° Madame Barbe Dahlen veuve de Mr Jean Ferdinand Zeyssolff, en son vivant marchand de vins à Strasbourg, elle y demeurant, agissant tant en son nom personnel, à cause de ma communauté de biens acquêts qui a existé entre entre elle et son défunt époux, 2° M. David Zeyssolff, marchand de vins demeurant à Mulhausen, agissant en qualité de mandataire 1° de Dame Sophie Zeyssolff épouse de Mr Pierre Dollfus, fabricant tous deux demeurant à Lapoutroie (…) 2° de Dame Julie Zeyssolff épouse du Sr mandataire de avec lequel elle demeure à Mulhausen (…), 3° de Dame Wilhelmine Zeyssolff épouse autorisée de Mr Joseph Celieres, Pharmacien demeurant ensemble à Bercy près Paris (…)
3° Er Mr Jean Baptiste Bürckel, propriétaire demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire de de D° Pauline Zeyssolff, épouse de M. Jean Etienne Vincent Yon Capmas négociant demeurant ensemble à Paris (…) Lesdites Dames Dollfuss, David Zeyssolff, Celieres et Capmas agissant es présentes en qualité de seules et uniques héritières chacune d’emmes pour un quart de la succession de feu ledit sieur Jean Ferdinand Zeyssolff leur père, qualité que leurs mandants n’ont cependant acceptée que sous bénéfice d’inventaire (…) Enonciation du Jugement qui a ordonné la vente. Sous la date du 16 novembre 1846 le tribunal civil de première instance de l’arrondissement a rendu sur requête présentée par M° Lederlin avoué près ledit tribunal au nom des héritiers Zeyssolff un jugement par lequel il a ordonné que par M° Noetinger Notaire à Strasbourg à ce commis il serait procédé à la vente par enchères publiquues (…) des immeubles ci-après désignés

Désignation des immeubles que les parties entendent vendre. 1° Une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des couples N° 2, d’un côté l’auberge à l’hommelet rouge de l’autre M. Koenig baquetier par devant la dite rue et par derrière une ruelle
2° Une maison avec aisances et dépendances sise à Strasbourg rue des couples N° 5 portant autrefois l’enseigne à la ville de Colmar tenant d’un côté à l’auberge de l’hommelet rouge de l’autre à Mr Hecht par devant la rue et par derrière à l’hôtel du corbeau
3° Section D Numéro 348 Un pré (…) au ban d’Erstein (…)
4° Section D Numéro 1004 (…) la moitié d’une maison d’habitation (…) à l’extrémité du village de Krautergersheim (…)
Etablissement de la propriété. 1° Mr Zeyssolff a acquis la maison rue des couples N° 2 de Mr François Antoine Schweighaeusser tapissier et de Dame Marie Joséphine Klein conjoints demeurant à Strasbourg suivant contrat de vente passé devant M° Noetinger l’un des soussignés notaires le 28 avril 1830 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 10 mai suivant Volume 235 N° 45. Cette vente a eu lieu pour et moyennant le prix de 8000 francs (…) Le Sieur Schweighaeusser l’avait acquise du sieur Alexis Bourotte, cidevant employé à l’hôpital militaire de Strasbourg et de son épouse suivant contrat reçu par M° Hatt et son collègue notaires en cette ville le 25 novembre 1822 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le deux décembre 1822 volume 154 N° 120. moyennant le pris de 7000 francs. Duquel prix (…) Mr Schweighaeusser a fait cette acquisition pendant son mariage avec Anne Marie Eckstein sa première femme mais après le décès de cette dernière son héritier a renoncé à la communauté qui avait été stipulée entre M. et Mde Schweighaeusser suivant acte dressé au greffe du tribunal civil de Strasbourg le 10 mars 1830. Et les conjoints Bourotte étaient propriétaires de cette maison pour l’avoir acquise du Sieur Jean Philippe Engelhart, négociant à Strasbourg et de son épouse suivant contrat reçu par M° Knobloch alors notaire en cette ville le 21 avril 1806, enregistré
2. Celle rue des couples Numéro 5 de Nicolas Schneider propriétaire et de Madeleine Lauffenburger conjoints demeurant à Strasbourg suivant acte sous signature privée en date du 21 avril 1829 portant la mention suivante, Enregistré à Strasbourg le 29 mai 1829 folio 16 recto (…) et annexé à un acte de ratification reçu par M° Hatt alors notaire audit lieu le 14 mai 1829 le tout transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 9 juin 1829 Volume 224 Numéro 89. Une partie du prix (…). Le sieur Schneider a acquis quatre cinquièmes de cette maison de Jean Henri Maechling (…)
N° 19.064, 4 février 1847.
N° 19.190, 31 mars 1847. Adjudication – I. la maison rue des couples N° 2 à la veuve Zeyssolff déjà propriétaire pour moitié, moyennant 8400 francs, moitié à déduire reste 4200 francs
II. la maison rue des couples N° 5 à Louis Joseph Lindner, clerc de notaire, lequel a déclaré avoir enchéri pour Jean Philippe Beck ancien Notaire à Strasbourg moyennant 13665 francs
acp 357 (3 Q 30 072) f° 96-v

Barbe Dahlen vend la maison moyennant 8 000 francs à Madeleine Michel, veuve du cordonnier Charles Straub.

1848 (20.3.), Strasbourg 12 (174), M° Noetinger n° 19.988
Vente Du 20 Mars 1848. a comparu Madame Barbe Dahlen, propriétaire demeurant à Strasbourg, veuve de M. Jean Ferdinand Zeyssolff, en son vivant négociant en cette ville, laquelle (a vendu)
à Dame Madeleine Michel, veuve de feu Charles Straub, en son vivant cordonnier à Strasbourg où elle demeure & à Demoiselle Caroline Straub sa fille encore mineure
Une maison à rez de chaussée & un étage, droits & dépendances, sise à Strasbourg rue des couples N° 2 entre M. Koenig cuvetier & l’écurie de l’auberge à l’hommelet rouge, donnant par devant et par derrière à la voie publique. Telle que cette maison existe aujourd’hui (…) Madame Zeyssolff est devenue propriétaire de cet immeuble tant comme ayant été commune en biens avec feu son mari qu’au moyen de la vente par licitation qui lui en a été faite par ses enfants héritiers de ce dernier, suivant procès verbal d’adjudication dressé par M° Noetinger le 4 février 1847 moyennant le prix de 8400 francs (…) inscription d’office faite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 2 mars 1847, par suite de la transcription opérée le même jour volume 82 N° 461. Et il dépendait de la communauté par suite de l’acquisition que feu M. Zeyssolff avait faite de François Antoine Schweighaeuser tapissier & Marie Joséphine Klein, sa femme demeurant à Strasbourg aux termes d’un contrat passé devant ledit M° Noetinger le 28 avril 1830, transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 10 mai suivant Vol. 235 N° 45. Ladite vente avait eu lieu pour le prix de 8000 francs. (…) A l’égard de la propriété antérieure on se réfère au cahier des charges dressé par led. M° Noetinger le 30 décembre 1846 où elle se trouve amplement établie – Et en outre cette vente est faite moyennant le prix de 8000 francs
acp 370 (3 Q 30 085) f° 56-v

Charles Georges Straub épouse en 1820 Madeleine Mischell, fille de l’ouvrier en tabac François Mischell
Mariage, Strasbourg (n° 261) Acte de mariage célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 28 septembre 1820. Charles Georges Straub, majeur d’ans, né en légitime mariage le 12 Frimaire an trois à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Cordonnier, fils de feu André Straub, maçon décédé en cette ville le 17 nivôse an cinq et d’Elisabeth Eisenmann, ci présente et consentante
Madeleine Mischell, majeure d’ans, née en légitime mariage le 12 Thermidor an cinq à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de François Mischell, ouvrier en tabac et de feu Catherine Kuhn, décédée en cette ville le premier mars 1809 (…) l’époux a déclaré ne savoir signer, Magdalena Mischel (i 12)

Charles Straub meurt en 1833 en délaissant une fille
1833 (18.7.), Strasbourg 8 (nouv. cote 52), G. Grimmer n° 4483
Inventaire par déclaration de la succession de Charles Straub, cordonnier décédé le 21 avril dernier, dressé à la requête de 1. Madeleine Michel la veuve demeurant audit Strasbourg, tant pour elle-même à cause de la communauté légale que pour Caroline Straub âgée de 5 ans leur fille mineure, 2. subrogé tuteur François Straub, menuisier
immeuble, une maison avec appartenances & dépendances sise une maison à Strasbourg rue des Filets n° 60 d’un côté Georges Stempel, de l’autre le Sr Ulrich batelier, derrière le jardin du Sr Arnold, estimée à 1500 fr., acquise par acte reçu Grimmer soussigné le 13 juillet 1829 transcrit au bureau des hypothèques vol. 226 n° 56
acp 219 (3 Q 29 934) f° 15-v du 24.7. ladite veuve avait été instituée légataire universelle de tous les biens de son mari par testament devant M° Hatt notaire à Strasbourg du premier mai 1826 ici enregistré le 18 de ce mois, mais vu la survenance d’enfant cette libéralité se réduit à un quart en propriété et un quart en usufruit pour laquelle portion la dite veuve déclare opter
la garde robe du défunt est prisée à 67 fr
la masse de la communauté se compose 1° de meubles et effets 74 fr, 2° d’une maison à Strasbourg rue des filets N° 60 estilée à un revenu annuel de 75 francs fazidznt un capital de 1500 francs. Il n’existe ni argent comptant ni dettes actives ni argent comptant – le passif est de 1200 francs

Registre de population (600 MW 96, 1815 sqq) Rue des Baquets à poissons N° 42, f° 213 (i 220)
Straub née Isenmann Elisabeth 1754, (auparavant) r. des 7 hommes 4 – E 29 9. br 19
id Charles George 1793 Cordonnier – dél. rue de l’Ecrevisse 23
id François 1792 Menuisier – id.
Straub née Mischell, Madel. 1797 Ep de Charles George, Strasbourg, dél. r. de l’Ecrevisse 23
(f° 215) Straub Ch. George 1795 Cordonnier, Strasbourg, (auparavant) rue d’Or, E. av. 1826, dél. Kraut. 156
id née Michel, Madeleine, Ep. 1797 Ep. Strasbourg

Registre de population 600 MW 99 (1815 sqq) Rue des Filets dit Hammengaesel, suite du n° 60 (p. 675) i 9, 12
Straub Ch. Georges, 1795, Cordonnier, Ammerschwyhr (à Str. depuis) 1817, (auparavant, Krautenau 156 – E. 8.bre 1829, dél. rue de l’Abreuvoir 18, décédé avril 33.
id. née Michel Madeleine 1797, Ep. Strasbourg
id. Mie Cath. Caroline 1828

La maison revient à Catherine Caroline Straub qui épouse en 1855 le comptable Guillaume Pfitzinger

Mariage, Strasbourg (n° 184)
Du 22° jour du mois de Mai 1855. Acte de mariage de Guillaume Pfitzinger, majeur d’ans, né en légitime mariage le 27 avril 1827 à Bischwiller (Bas-Rhin), domicilié à Paris (Seine), Employé à la comptabilité de la traction du chemin de fer de Paris à Orléans, fils de Michel Pfitzinger, boulanger, et de Eve Elisabeth Eichenlaub, conjoints domiciliés à Paris, et de Marie Catherine Caroline Straub majeure d’ans, née en légitime mariage le premier mars 1827 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, sans état, fille de Charles Georges Straub, cordonnier décédé à Strasbourg le 21 avril 1833 et de Madeleine Mischell, sans état domiciliée à Strasbourg, ci présente et consentante (i 17)

Guillaume Pfitzinger et Caroline Straub font dresser un cahier des charges pour vendre la maison. L’adjudication n’a pas lieu

1855 (9.11.), M° Noetinger
Cahier des charges à la requête de Guillaume Pfitzinger et de Caroline Straub sa femme à Strasbourg
pour parvenir à la vente d’une maison à Strasbourg rue des Couples N° 2
acp 444 (3 Q 30 159) f° 89 du 12.11.

Caroline Straub vend la maison au négociant Louis Edouard Vierling et à Anne Marguerite Serré, tous deux célibataires. L’acte mentionne deux servitudes, le partage des eaux avec un voisin et la pompe municipale dans la ruelle Gunter qui s’appuie contre la maison

1868 (22.10.), Strasbourg 1 (184), Alfred Ritleng (fils) n° 6124
Vente pour 16.000 francs – Est comparu Madame Marie Catherine Caroline Straub épouse assistée et autorisée de Monsieur Guillaume Pfitzinger propriétaire domicilié et demeurant à Strasbourg rue des couples N° 5, laquelle a par ces présentes déclaré vendre avec la garantie de droit
à Monsieur Louis Edouard Vierling négociant et à Mademoiselle Anne Marguerite Serré majeure d’ans célibataire domiciliés et demeurant tous deux à Strasbourg ici présents et acceptant
Une maison à rez de chaussée et un étage située à Strasbourg impasse des couples N° 5 (ancien N° 2) avec puis aisances appartenances et dépendances d’un côté M. Laroche, de l’autre M. Schmitt par devant l’impasse des couples par derrière l’impasse Gunther
Origine de la propriété. Madame Pfitzinger née Straub est devenue propriétaire de la moitié de cet immeuble pour l’avoir acquise conjointement avec Madame Madeleine Michel sa mère alors veuve de Charles Straub cordonnier à Strasbourg de Madame Barbe Dahlen veuve de M. Jean Ferdinand en son vivant négociant à Strasbourg aux termes d’un contrat passé devant M° Noetinger notaire à Strasbourg le 20 mars 1848 enregistré transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 3 avril suivant volume 484 N° 40. Madame Pfitzinger est devenue propriétaire de l’autre moitié de ce même immeuble en sa qualité de fille unique et seule héritiers de Mad. Straub née Michel sa mère, qualité dont elle s’oblige à justifier dans le délai de dix jours. Madame Zeyssolff était devenue propriétaire de tout l’immeuble tant comme ayant été commune en biens avec feu son mari qu’au moyen de la vente par licitation qui lui en a été faite par ses enfants héritiers de ce dernier, suivant procès verbal d’adjudication dressé par le dit M° Noetinger le 4 février 1847. Il dépendait de la communauté par suite de l’acquisition que feu M. Zeyssolff en avait faite de Monsieur François Antoine Schweighaeuser tapissier et Marie Joséphine Klein son épouse demeurant ensemble à Strasbourg aux termes d’un contrat passé devant le dit M° Noetinger le 28 avril 1830, enregistré transcrit au bureau des hypothèques de ladite ville le 10 mai suivant Vol. 235 N° 45. M. Schweighaeusser avait acquis ledit immeuble durant la communauté de biens qui a existé entre entre lui et feue dame Marie Eckstein son épouse en premières noces, du sieur Alexis Bourotte, ci devant employé à l’hôpital militaire de Strasbourg et de son épouse suivant contrat reçu par M° Hatt et son collègue notaires en cette ville le 25 novembre 1822 enregistré transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le deux décembre 1822 vol. 154 N° 120 et inscrit d’office le même jour vol. 154 N° 612. Les conjoints Bourotte étaient propriétaires de cette maison pour l’avoir acquise du Sieur Jean Philippe Engelhart, négociant à Strasbourg et de son épouse suivant contrat reçu par M° Knobloch alors notaire en cette ville le 21 avril 1806.
Cette maison quoiqu’ayant fait partie de la communauté qui a existé entre entre le S. Schweighaeusser et sa première épouse appartenait en toute propriété audit Schweighaeusser par suite de la renonciation que son fils mineur, seul héritier de sa première femme née Eckstein a faite à la dite communauté suivant acte dressé au greffe du tribunal de première instance de Strasbourg le 10 mars 1830, enregistré. – Conditions de la vente (…) Madame la venderesse et son mari déclarent qu’à leur connaissance il n’existe aucune servitude sur ladite Maison à l’exception d’une servitude concernant un partage d’eau de la Maison Höh et la position d’une Pompe impasse Günther appartenant à la Ville et adossée Contre la Maison vendue – La présente vente est en outre faite moyennant le prix de 16.000 francs (…)
Etat civil. Les vendeurs déclarent qu’ils sont mariés sans avoir fait de contrat de mariage, qu’en conséquence ils sont soumis au régime de la communauté légale
Police d’assurance. L’Urbaine N° 20.678, 25 juin 1868, durée 10 ans, M. Pfitzinger
1° 12.000 francs sur une propriété sise en cette ville Rue des Couples N° 5, élevé sur cave, de rez de chaussée, deux étages & greniers
2° 2000 francs sur meubles meublans, linge, lits, literie, effets d’habillement, glaces, pendules, tabeaux & ornemans, bois de chauffage, ustensiles & provisions de ménage
3° 1000 francs sur argenterie de table, montres & bijous. Les objets assurés par les articles deux & trois sont refermés dans la susdite propriété.
acp 576 (3 Q 30 291) f° 84-v du 22.10.

Louis Edouard Vierling épouse Anne Marguerite Serré : contrat de mariage, célébration
1871 (11.3.), Strasbourg 1 (187), Alfred Ritleng aîné n° 7154
Mariage, 11 mars 1871 – Ont comparu Monsieur Louis Edouard Vierling, commis négociant domicilié & demeurant à Strasbourg d’une part
& Demoiselle Anne Marguerite Serré, majeure demeurant & domiciliée en ladite ville
acp 597 (3 Q 30 312) f° 66-v n° 314 du 13.3. – die Eheleute nehmen die Gemeinschaft des artikels 1400 an.
Eventuelle Schenkung dem überlebenden des Eigenthums des Nachlasses

Mariage, Strasbourg (n° 362)
Du 15° jour du mois de mars 1871. Acte de mariage de Louis Edouard Vierling, majeur d’ans, né en légitime mariage le 16 mars 1829 à Strasbourg, négociant, fils de François Henri Vierling, horloger, et de Marguerite Elisabeth Schmidt, conjoints domiciliés à Strasbourg
et d’Anne Marguerite Serré, majeure d’ans, née en légitime mariage le 26 juillet 1822 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, sans profession, fille de feu Jean Serré, concierge à l’école d’artillerie, décédé à Strasbourg le 11 avril 1846 et de feu Marie Marguerite Wandergross, décédée à Strasbourg le 9 décembre 1830 (…) il a été passé le 11 de ce mois un contrat de mariage devant M° Ritleng aîné, notaire à Strasbourg (i 5)

Les parents du marié consentent au mariage
1871 (6.3.), M° Ritleng
Einwilligung von Frantz Heinrich Vierling Uhrenmacher und Margaretha Elisa Schmit Eheleuth in Straßburg zur vermählung von Ludwig Eduard Vierling ihr Sohn mit Anna Margaretha Serri beide in Straßburg wohnhaft
acp 596 (3 Q 30 311) f° 29 du 7.3.

Louis Edouard Vierling meurt en 1872 en délaissant pour héritiers sa veuve et ses parents.

1873 (4.3.), Strasbourg 1 (192), Alfred Ritleng aîné n° 8057
Inventar der Gemeinschaft die zwischen Ludwig Edouard Vierling und Anna Margaretha Serré existirt hat
L’an 1873 le 4 Mars à neuf heures du matin en la demeure ci après indiquée où est décédé le rpemier décembre 1872 Monsieur Louis Edouard Vierling. A la requête et en Présence I. de Madame Anne Marguerite Serré veuve de Monsieur Louis Edouard Vierling, en son vivant négociant domicilié et demeurant à Strasbourg, agissant A. à cause de la communauté de biens qui a existé entre elle et son défunt mari aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Ritleng aîné notaire à Strasbourg soussigné le 11 mars 1871 enregistré (…) B. et en qualité de donataire pure et simple de l’universalité des biens meubles et immeubles de son mari aux termes de l’article deux de leur contrat de mariage sus relaté, donation dont l’effet est réduit aujourd’hui à moitié par suite de l’existence des père et mère ci après nommés du défunt, héritiers réservataires de ce dernier chacun pour un quart, soit ensemble pour moitié
II. de M. Gustave Adolphe Vierling, fils, horloger demeurant à Strasbourg agissant en qualité de mandataire de M. François Henri Vierling père, horloger et de Dame Marguerite Elise née Schmidt son épouse demeurant à Strasbourg suivant procuration (…)
tel que le tout sera trouvé dans les lieux ci après désignés d’une maison située à Strasbourg impasse des Couples n° 5
Dépouillement des Papiers. Contrat de mariage
Communauté mobilière. Mobilier. Bureau, Salon, Chambre à coucher, Deuxième chambre à coucher, Salle à manger, Cuisine, Au grenier, Corridor, Cave
Succession immobilière. Elle se compose d’une maison à rez de chaussée et un étage située à Strasbourg Impasse des couples n° 5 avec puits, appartenances et dépendances. Origine de propriété. Cette maison appartient pour moitié au défunt et pour moitié à madame Vierling née Serré pour avoir été acquise ensemble par eux avant leur mariage de Caroline Straub épouse de Monsieur Guillaume Pfitzinger de Strasbourg, suivant contrat passé devant le soussigné notaire Ritleng aîné le 22 octobre 1868, enregistré et transcrit
acp 613 (3 Q 30 328) f° 64-v n° 1125 du 7.3. Gemeinschaft. Mobilien 3358, Ausstände 3022, Geld 594, ½ eines Hauses Kuppelgas N° 5 2995
Nachlas, Kleidung 594, 8000 geschuldet durch Lebens Versicherung La Nationale

Lors de la liquidation, les parties conviennent d’abandonner la maison à la veuve

1873 (30.5.), Strasbourg 1 (193), Alfred Ritleng aîné n° 3186
30. Mai 1873. – Liquidation et partage de la communauté de biens qui a existé entre entre Madame Anne Marguerite Serré et Monsieur Louis Edouard Vierling, en son vivant négociant domicilié et demeurant à Strasbourg et de la succession de ce dernier
à la requête et en Présence 1° de Madame Vierling née Serré ci-dessus dénommée et qualifiée, 2° et de Monsieur François Henri Vierling père, horloger et de dame Marguerite-Elise née Schmidt son épouse de lui autorisée domiciliés et demeurant à Strasbourg, père et mère de feu Monsieur Louis Edouard Vierling
Première Observation. Contrat de mariage de Mr et Mme Louis Edouard Vierling (…)
Deuxième observation, Décès de Mr Louis Edouard Vierling (…)
Troisième observation. Inventaire (…)
Quatrième observation. Maison de Strasbourg. Feu Monsieur Louis Edouard Vierling et Madame Vierling née Serré sa veuve survivante avaient acquis de compte à demi antérieurement à leur mariage une maison située à Strasbourg Impasse des couples n° 5 suivant contrat passé devant le soussigné notaire Ritleng le 22 octobre 1868, enregistré. Cette acquisition a eu lieu moyennant le prix de 16.000 francs à compte duquel les acquéreurs ont payé 10.000 francs comptant et sont restés devoir 6000 francs qui ont été soldés depuis ainsi que le déclare Madame veuve Vierling
Cinquième observation. Assurance sur la vie (…)
Sixième observation. Communauté (…)
Propres du défunt (maison) Origine de la propriété. Le défunt avait acquis cette moitié indivise de maison avec Madame veuve Vierling qui en a acquis avec lui l’autre moitié de Madame Caroline Straub épouse de Mr. Pfitzinger de Strasbourg, aux termes d’un contrat passé devant M+ Ritleng notaire à Strasbourg soussigné le 22 octobre 1868, enregistré et transcrit (…) Les parties sont convenues d’attribuer la maison située à Strasbourg impasse des couples numéro5 à Madame veuve Vierling née Serré à charge de payer à chacun des père et mère de son mari une somme de 2750 francs
acp 616 (3 Q 30 331) f° 79-v n° 2445 du 2.6. Nachlass. Ein Haus zu Straßburg Kuppelgassen N° 5 angeschlagen zu 22.000, ½ der Wittwe 11.000, 3/8 der nehmlichen als Erbin ihres Ehemanns 5500, 3/8 deren Eltern 5500 (…)

Anne Marguerite Serré meurt en 1891 après avoir institué pour son légataire universel le médecin militaire Frédéric Heberling

1891, M° Keller
22. Oktober 1890, Testament der zu Strassburg wohnhaft gewesenen und daselbst am 20. Oktober 1891 verstorbenen Anna Margaretha Serré, Wittwe des Kaufmanns Louis Edouard Vierling, lautend wie folgt
Ich vermache und schenke mein ganzes bewegliches und unbewegliches Vermögen aus was es bestehen wird wo es sich befinden mag und wie es mein Nachlass auspacht dem Oberstabarzt Dr Friedrich Heberling im 26. Husaren Regiment Kaiser Frantz Joseph in Schleswig in Garnison und setze ihn zu meinem Universallegatar ein.
acp 849 (3 Q 30 564) f° 37-v n° 2056 du 23.10.

Frédéric Heberling vend la maison au caissier André Joseph Popp et à sa femme Victorine Dettwiller

1892 (29.2.), M° Keller
Verkauf durch den Bevollmächtigten von Friderich Heberling, Oberstabarzt im 16.ten Husarenregiment zu Schleswig
an Andreas Joseph Popp, Kassierer, und dessen Ehefrau Viktorine Dettwiller, hier
eines Wohnhauses bestehend aus Kellerräumen, Erdgeschoß und einen Stockwerk, dahier Kuppelhofgasse N° 5.
Ererbt im Nachlasse der am 20. Oktober 1891 verstorbenen Anna Margaretha Serré, Wittwe von Ludwig Eduard Vierling laut Testaments vor dem amtierenden Notar vom 23. November 1891.
Besitz, Genuß sofort. Steuren vom 1. April 1892 an. Kaufpreis 13.500 M. davon baar bezahlt 5500
acp 854 (3 Q 30 569) f° 34 n° 5116 du 1.3.

Fils du comptable Philippe André Popp, le clerc de notaire André Joseph Popp épouse en 1889 Victorine Dettwiller, fille d’Alexandre Dettwiller, marchand et maire d’Oderen (Haut-Rhin)
1889 (4.4.), Strasbourg 1 (242). Alfred Ritleng aîné n° 13.873
9. April 1889, Ehevertrag – Erschienen Herr André Joseph Popp, Notariatsgehülfe wohnhaft zu Straßburg, großjähriger Sohn des herrn Philippe André Popp, früher Buchhalter und dessen Ehegattin Frau Marie Josephine Maechling, mit einander zu Strassburg wohnhaft Einerseits
Und Fräulein Victorine Dettwiller, wohnhaft in Oderen (Ober-Elsaß), großjährige tochter der verstorbenen Eheleute Alexandre Dettwiller, gewesener Kaufmann und Bürgermeister zu Oderen und Françoise geborner Claer, andererseits
acp 814 (3 Q 30 529) f° 73-v n° 181 du 11.4. annahme der zur Hälfte theibaren Errungenschafts gemeinschaft. Der überlebende Ehegatte hat die lebenslängliche Nutznießung der antheile des Zuerststerbenen an der Gemeinschaft
Von der Gemeinschaft bleiben die Kleider, das Leibweißzug und Schmuckgegenstände ausgeschlossen
Die Braut bringt verschiedene Wertpapiere und Schuldforderungen im Betrag von 12.000. Der Bräutigam bringt ein 8000

Victorine Dettwiller meurt en 1904 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé dans leur demeure 16, rue Schweighæuser.
1904 (17.2.), Ritleng aîné n° 22.402
Inventar über de, Nachlass der hier am 31. Januar letzthin verstorbenen Ehegattin Andreas Joseph Popp, Kassierer hier, Schweighäuserstraße 16 geb. Viktorine Dettwiller
Erben sind 1. der überlebende Ehemann für 2/8, 2. Sohn Andreas Joseph Heinrich Popp für 3/8, 3. Tochter Maria Georgette Popp geb. 12. Januar 1895 für 3/8.
acp 1021 (3 Q 30 736. II) f° 71-v n° 3349 du 19.2. Vorbericht. Errungenschaft Gemeinschaft nach Ehevertrag amt. Notar vom 9. April 1889 mit Bestimmung daß dem Überlebenden das Nießbrauch des Anteils des Verstorbenen an der Gütergemeinschaft zusteht.
Gütergemeinschaft. Aktiv 1. Haushaltungseinrichtung 3736, 2. bar Geld 695, 3. Conto courrent 472 und 585, 4. Forderungen 717 und 414, 5. Wertpapiere, 394 – 124, 390, 42, 255, 7, 107 und 179
Passiv a) Schulden 4043, 1920, Krankheitskosten 680, b) Ersatzforderung der Verstorbenen 12.000, vorhanden noch 5200, mithin bleiben 6800, hierzu kommen noch 240. Betrag eines Legats von ihrem Paten Claer zu Felleringen laut Testament Weber in Sankt Amarin 7040, b) des Wittwers nach Ehevertrag 8000, laut Theilung 1896, 17.642, laut Theilung 1897 3747, Summa 29.390
Nachlass a) Ersatzansprüche 7040, b) Akte von Wesserling 5000, c) Garderobe 1040, d) ½ Gesammt*
Verzeichnis der zur Gütergemeinschaft gehöriger Haushaltung mit 3736, der zum Nachlass gehörig Mobilien 1040

André Joseph Popp et Victorine Dettwiller vendent la maison à Brigitte Strohmeier, femme séparée quant aux biens du marchand de meubles François Grajewski

1899 (9.12.), M° Ritleng
Verkauf – durch Andreas Joseph Popp, Notariatsclerc und Viktorine Dettwiller, Eheleute in Straßburg
an Brigitte Strohmeier in Güter getrennte Ehefrau des Möbelhändlers Frantz Xaver Grajewski hier
Stadt Strassburg. Wohnhaus auf Keller mit Erdgeschoß,einem Stockwerk an- und zubehör in der Kuppelhofgasse N° 5
Kauf Keller vom 29. Februar 1892
Genuß und Steuren vom 19. September 1899. Preis 16.000 Mark wovon 3000 Mark bezahlt
acp 962 (3 Q 30 677) f° 67 n° 3306 du 11.12.

Originaire de Jarotschin en Prusse (aujourd’hui Jarocin en Pologne), François Grajewski, veuf de Marie Rund, se remarie en 1899 avec la cuisinière Brigitte Strohmaier, originaire de Hausen vor Wald en Bade (aujourd’hui partie de Hüfingen). Le mariage est dissous en 1904.
Mariage, Strasbourg (n° 302)
Strassburg am 8. April 1899. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Möbelhändler Franciscus Grajewski, Wittwer von Maria Rund, katholischer Religion geboren den 14. November des Jahres 1853 zu Jarotschin (Preussen), wohnhaft zu Strassburg, Sohn des Schuhmachers Stanislaus Grajewski, wohnhaft zu Jarotschin und dessen verstorbenen Ehefrau Franziska geb. Mistacker, zuletzt wohnhaft zu Jarotschin
2. die Köchin Brigitta Strohmaier, katholischer Religion, geboren den 25. April des Jahres 1858 zu Hausenvorwald (Baden), wohnhaft zu Strassburg, Tochter des verstorbenen Landwirths Johann Strohmaier und dessen verstorbenen Ehefrau Brigitta gebohren Vetter, beide zuletzt wohnhaft zu Hausenvorwald [unterzeichnet] Frantz Grojewski, Brigitta Graeuwki gebo Strohmeier
im Durch das am 24. August 1904. rechtskräftig gewordenen Urteil des Kaiserlichen Landgerichts in Strassburg ist die Ehe zwischen dem Franciscus Grajewski und der Brigitta Grajewski, geborenen Strohmaier geschieden worden. Strassburg den 26. September 1904. (i 117)

Henri Grajewski, fils du premier mariage de François Grajewski, né à Baden-Baden, meurt à l’âge de dix-neuf ans alors qu’il est mousquetaire en garnison à Strasbourg
Décès, Strasbourg (n° 1009)
Strassburg am 13. April 1898. Zufolge amtlicher Mitteilung des Königlichen Gerichts der 30. Militärdivision hieselbst al 12. Aprilis 1898 wird nach Streichung nebenstehender Vordruckes eingetragen, daß der ledige Musketier im Infanterie Regiment N° 172, Heinrich Grajewski, 19 Jahre 11 Monate alt, katholischer Religion, in Garnison zu Strassburg, geboren zu Baden-Baden, Sohn des Schuhmachers Frantz Xaver Grajewski hier wohnhaft und desse, verstorbenen Ehefrau Maria geborene Rund, zuletzt hier wohnhaft gewesen, zu Straßburg in der Niklauskaserne am elften April 1898 Nachmittags neun Uhr verstorben ist (i 238)

Inventaire dressé suite à la séparation de biens entre le cordonnier François Grajewski et Marie Rund
1893 (25.11.), M° Strasbourg 8 (171) Gustave Edouard Loew n° 25.749
Auseinandersetzung Gütergemeinschaft Frantz Grajewski und Maria Rund
sind erschienen herr Frantz Grajewski, Schuhmacher & seine von ihm ermächtigte Gattin frau Maria Rund, beide wohnend zu Straßburg, Steinring N° 58, dieselben bringen vor was folgt.
Durch rechtskräftiges Urtheil des Kaiserlichen Landgerichts Strassburg, zweite Civilkammer vom 26. Oktober 1893 wurde auf Klage der Ehefrau, die Gütertrennung zwischen Ehegatten Grajewski ausgesprochen, zu der Klägerin durch Beschluss des Kaiserlichen Landgerichts vom 7. Juli 1890 das Armenrecht bewilligt
acp 881 (3 Q 30 596) f° 35 n° 4009 du 1.12. – Verheiratung ohne Ehevertrag. Die Ehefrau bespricht den Ersatz ihrer Auslagen des Gütertrennungprozesses, für welche sie mangelt Masse nicht beliefert werden kann

Née à Freiolsheim près de Gagenau en Bade, Marie Rund meurt à l’âge de 48 ans le 5 septembre 1897
Décès, Strasbourg (n° 2290) Strassburg am 6. September 1897. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Schuhmacher Frantz Xaver Grajewski, wohnhaft zu Strassburg Dreizehnergraben 29, und zeigte an, daß seine Ehefrau Maria geborene Rund, 48 Jahre 8 Monate alt, katholischer Religion, wohnhaft zu Strassburg, geboren zu Freiolsheim (Baden), Tochter der verstorbenen Eheleute Ferdinand Rund, Schlosser und Maria Anna Bauer, zuletzt in Freiolsheim wohnhaft, zu Strassburg am 5. September des Jahres 1897 Nachmittag um zwei Uhr gestorben sei [unterzeichnet] Frantz Grajewski (i 20)

Brigitte Strohmeyer vend la maison au boucher Ferdinand Henri Achard et à sa femme Emilie Voltz

1901 (29.10.), M° Ritleng aîné n° 21.073
Verkauf mit Auflassung – Brigitte Strohmeyer in Güter getrennte Ehefrau des Möbelhändlers Frantz Xaver Grajewski in Strassburg
an Ferdinand Heinrich Achard, Metzgermeister und dessen Ehefrau Emilie Voltz in Strassburg las Gesammtgut
Stadt Strassburg Sektion O Nr. 733, 2 a 80, ein Wohnhaus auf Keller mit Erdgeschoß und einem Stockwerken, Rechten & Zubehörden in der Kuppelhofgasse N° 5
Erworben laut Akt des amtierenden Notars vom 9. XII 1899.
Besitz Genuß und Steuren sofort, jedoch behält sich die Verkäuferin ihre Wohnung bis am 31. März 1902 unentgeltlich vor Werth geschätzt auf 60 M. – Kaufpreis 20.000, hierauf sind baar bezahlt 12.000
acp 990 (3 Q 30 705. II) f° 84 n° 2518 du 30.10.

Fils du boucher Ferdinand Achard, Ferdinand Henri Achard épouse en 1898 Emilie Voltz, native d’Eckbolsheim
Mariage, Strasbourg (n° 47)
Strassburg am 18. Januar 1898. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Metzger Ferdinand Heinrich Achard, evangelischer Religion geboren den 17. Februar des Jahres 1874 zu Strassburg, wohnhaft zu Strassburg, Sohn des verstorbenen Metzgermeisters Ferdinand Achard wohnhaft zuletzt zu Straßburg und dessen Ehefrau Marie geborene Lenz, wohnhaft zu Straßburg, jetzige Ehefrau Lebeau
2. die gewerblose Emilie Voltz, evangelischer Religion, geboren den 14. November des Jahres 1870 zu Eckbolsheim (Unter Elsaß), wohnhaft zu Strassburg, Tochter des verstorbenen Gärtners Andreas Voltz und dessen verstorbenen Ehefrau Salome geborene Walther, beide zuletzt wohnhaft zu Strassburg [unterzeichnet] Ferdinand Achard, Emilie Achard geborene Voltz (i 47)

Ferdinand Henri Achard et Emilie Voltz vendent la maison à Cécile Achard, femme du boucher chevalin Joseph Schmitt (sœur du vendeur)

1906 (29.5.), M° Riff
Verkauf durch Ferdinand Heinrich Achard, Metzgermeister, und Emilie Voltz, Neudorf Polygonstrasse N° 134
an Cäcilie Achard hier Kuppelhofgasse 6, Gattin des Pferdemetzgers Joseph Schmitt
Straßburg Anwesen Kuppelhof N° 5, Wohnhaus mit Erdgeschoß und einem Stockwerk, Flur O Nr 733, 0,82 Ar, Whs Kuppelhofgasse N° 5
erworben laut Urkunde Ritleng senioris von 29. X 1904, um15.000, wovon bezahlt 1000 – Genuß vnd Steuren ab 1. IV 1906.
acp 1057 (3 Q 30 772. I) f° 17-v n° 601 du 5.6.

Originaire de Herrlisheim, Joseph Schmitt épouse en 1889 Cécile Achard, fille de Ferdinand David Achard
1889 (19.1.), Strasbourg 24 (67) Joseph Allonas n° 10.856
Ehevertrag – Ist erschienen 1) Herr Joseph Schmitt, Metzgergesell bei dem hiesigen Fleischer Weill-Moch zu Straßburg wohnhaft, gebürtig aus Herrlisheim, ehelicher lediger und großjähriger Sohn der zu Herrlisheim bei Bischweiler wohnenden Ackerseheleut, Georg Schmitt und Rosalie Kiestler, handelnd eigenen Namens als zukünftiger Ehegatte einer Seits
2) Fr. Caecilia Achard gewerblos Zu Straßburg allwo sie den 22. September 1870 geboren ist, bei nachgenannten Eheleuten Lebeau wohnhaft, eheliche & ledige Tochter des zu Straßburg verlebten Metzgers Ferdinand David Achard & dessen Wittwe Maria Lentz, letztere nun Gattin zweiter Ehe des Karl Viktor Lebeau, Metzger beisammen dahier wohnend, Frl. Achard handelnd eigenen Namens als zukünftige Ehegattin in beisein unter Beistand & Bevögtigung der genannten Eheleuten Lebeau in ihren Eigenschaften Frau Lebeau als Vormünderin & deren Gatte als Beivormund
acp 811 (3 Q 30 526) f° 24 n° 4054 du 18.1. – Annahme der Errungenschaft gemeinschaft nach Art. 1498 und 1499 des bürgerlichen Gesetzbuchs.
Von der Gemeinschaft bleiben die Kleider und das Leibweißgezeug ausgeschlossen
Die Mutter der Braut schenkt der Letzteren Mobilien im Werthe von 950 M
Die Braut bringt ihre Antheile am Nachlasse ihres Vaters welcher im Jahre 1883 gestorben ist, in die Ehe ein
Die Brautleute vereinbaren daß der überlebende Ehegatte die lebenslängliche Nutznießung der Anteile des Zuerststerbenden in der Gemeinschaft haben soll

Inventaire dressé après la séparation de biens en 1897
1897 (29.6.), Joseph Allonas n° 16.549
Inventar nach Gütertrennung zwischen Joseph Schmitt, Metzger in Strassburg Kuppelhofg. und dessen Cecilia Achard
acp 928 (3 Q 30 643) f° 38-v du 2.7. verheiratet gewesen mit Errungenschaft Gemeinschaft lat Ehevertrag des amtierenden Notars am 14. Januar 1889.
Auf Grund Urteil des Landgerichts hier vom 25. Mai letzthin. Die Ehefrau wird auf die Gütergemeinschaft verzichten
Ersatzansprüche der Frau. 4000 M. welche sie abschläglich auf die Erbschaft ihres Vaters Ferdinand David Achard in den Jahren 1889-1893 von ihrer Mutter ausgeliefert erhalten hat. Zur teilweisen Befriedigung dieser Summ tritt ihr Ehemann ihr ab Mobiliengegenstände einzeln geschätzt zu 736, sodaß ihr Ehemann schuldig bleibt M. 3264. zahlbar auf erstes Begehren mit 5 % Zins

La maison est inscrite à partir de 1951 aux nom de Camille Ferdinand Schmitt et d’Aline Schmitt

Fils des précédents, le boucher Camille Ferdinand Schmitt épouse en 1919 Berthe Alice Wolff
Mariage, Strasbourg (n° 1177)
Strasbourg le 29 juillet 1919. Par devant l’Officier de l’Etat-Civil soussigné ont comparu aujourd’hui dans le but de contracter mariage 1° Monsieur Camille Ferdinand Schmitt, boucher, de religion protestante, né le 11 mars 1892 à Schiltigheim (Bas-Rhin), demeurant à Strasbourg rue des couples 6, fils de feu Joseph Schmitt, boucher né à Herlisheim (Bas-Rhin) et de Cécile Achard née à Strasbourg, demeurant à Strasbourg
2° Mademoiselle Berthe Alice Wolff, sans profession, de religion protestante, née le 25 janvier 1896 à Strasbourg, demeurant à Strasbourg rue des bouchers 37, fille de Charles Godefroi Wolff, maître cordonnier né à Strasbourg et de Emilie Kiehl née à Strasbourg, demeurant à Strasbourg (signé) Camille Schmitt, Barthe Schmitt née Wolff (im 120)

Aline Jeanne Schmitt épouse en 1918 le vétérinaire Martin Zinglé, originaire de Griesbach près de Munster
Mariage, Strasbourg (n° 165)
Strassburg am 13. März 1918. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Kreistierarzt, doktor medicinae veterinariae Martin Zingle, evangelischer Religion geboren am 13. Oktober des Jahres 1883 zu Griesbach (Ober-Elsass), wohnhaft in Strassburg, Kuppelhof 5, Sohn des verstorbenen Landwirts Martin Zingle, zuletzt wohnhaft in Griesbach und seiner Ehefrau Maria geborenen Buhl wohnhaft in Griesbach
2. die Aline Johanna Schmitt, ohne Beruf, evangelischer Religion, geboren am 29. Dezember des Jahres 1898 zu Strassburg, wohnhaft in Strassburg Kuppelhof 6, Tochter des Metzgermeisters Joseph Schmitt und seiner Ehefrau Cäcilia geborenen Achard wohnhaft in Strassburg [unterzeichnet] Zingle Martin, Aline Zingle geb. Schmitt (im 228)