54, rue des Bouchers (ancien)
Rue des Bouchers n° 54 (ancien) – IX 22 (Blondel), P 1465 (cadastre)
Maître d’ouvrage, Jean Schreibeissen (1762), démolie en 1841
Aquarelle de Frédéric Jacques Weiss, vers 1830 (coll. part., planche XVI de Strasbourg, éd. Contades)
Le n° 54 est la maison du milieu
La maison formait l’angle de la rue des Bouchers et de la place du Corbeau avant sa destruction en 1841 pour élargir la route nationale. Elle formait une seule propriété avec sa voisine vers la rue des Bouchers (IX 23 sur le plan Blondel) avant le partage de 1695. Elle appartient à des barbiers (1695-1760) puis à des marchands (1760-1775 et à partir de 1792). Le marchand Jean Schreibeissen l’acquiert 3 000 livres en 1760. Les préposés l’autorisent en 1762 à construire à l’aplomb de son encorbellement d’après l’alignement de la maison Saum (maison IX 26). C’est pourquoi la maison n’est plus alignée avec la voisine (IX 23) sur le plan Blondel de 1765. Jean Schreibeissen construit une façade au goût du jour. Le maître maçon Michel Hatzung rend compte en août 1763 des travaux.
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 250 (© Musée des Plans-relief)
L’Atlas des alignements (clos en 1829) signale un rez-de-chaussée et trois étages bons en pierre de taille que représentent les élévations préparatoires au plan-relief de 1830. La façade sur rue se trouve entre les repères (b’), (c’) rue des Bouchers (cinq arcades et trois étages à cinq fenêtres) et (c’), (d’) place du Corbeau (une arcade et trois étages à une fenêtre), le tout surmonté de deux niveaux de greniers ; comme le représente l’aquarelle de Frédéric Jacques Weiss peinte vers 1830. La maison expropriée pour cause d’utilité publique en 1840 pour élargir les abords du pont du Corbeau appartient alors au pharmacien Henri Ignace Legrand qui la vend l’année suivante à l’Etat en s’en réservant les matériaux. La majeure partie du sol de la maison fait aujourd’hui partie de la voie publique. Le terrain figure au tableau indicatif du cadastre mais a été supprimé du plan définitif dressé après la démolition.
Comme le signale Adolphe Seyboth à la page 440 de l’édition en français, une partie du bâtiment a été transportée au 4 rue des Cheveux (VII 108) où on peut toujours voir trois des arcades et le monogramme JSCH. Il n’est pas certain que tous les éléments aient servi à construire la façade rue des Cheveux puisque les étages sont disposés différemment que sur la gravure de 1830 et que les fenêtres ne sont pas surmontées d’une moulure.
Partie de la façade montée au 4, rue des Cheveux, en particulier les trois arcades du rez-de-chaussée
Cartouche aux initiales JSCH
octobre 2014
Sommaire
Cadastre – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1647 à 1842. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
Charles Betz | ||
Anne Marie Verius femme en secondes noces (1660) de Jean Georges Schneider, en premières (1637) du cordonnier Philippe Meyer – luthériens | ||
1674 | v | Jean Charles Verius, brasseur, et (1649) Madeleine Geckler – luthériens |
1695 | v | Jean Christophe Sommer, barbier, et (1689) Susanne Elisabeth Olter – luthériens |
1698 | v | Jean Daniel Kopp, barbier, et (1683) Anne Barbe Hohenbuch femme (1675) en premières noces d’Albert Hellmond – luthériens |
1713 | v | Jean Georges Preusser, barbier, et (1713) Catherine Ursule Sachs – réformé et luthérienne |
1747 | h | Jean Geoffroi Preusser, barbier, et (1750) Catherine Marguerite Meyer, remariée (1762) au chirurgien Guillaume Christophe Jérôme Westphal – luthériens |
1760 | v | Jean Schreibeissen, marchand, et (1746) Anne Barbe Fischer auparavant (1726) femme de Jean Louis Bauer puis (1738) Jean Pierre Schneegans – luthérien |
1768 | v | Jean Seber, domestique puis marchand de fer, et (1760) Marguerite Elisabeth Zipff puis (1768) Sophie Dorothée Wild – luthériens |
1775 | adj | Isaac Jund, aubergiste, et (1761) Marie Barbe Schneegans – luthériens |
1792 | v | Pierre Mayno, célibataire – catholique, puis Mayno et compagnie |
1802 | h | Philippe Engelhard, marchand, et (1787) Marguerite Frick – catholiques |
1824 | v | Charles Lauth, docteur en médecine, et (1825) Caroline Henriette Pauline Kern |
1826 | v | Jean Jacques Habert, capitaine en retraite, et Charlotte Reiffinger |
1832 | v | Henri Ignace Marie Louis Legrand, pharmacien, et Marie Catherine Meyer veuve de Jean Henri Schmidt |
1841 | v | Etat |
(1765, Liste Blondel) IX 22, Jean Schreibeissen
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Juntt Wittib, 7 toises, 0 pied et 10 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1465, Legrand, Henri, pharmacien – maison, sol – 1 are (ligne barrée)
Locations
1680, André Schœn, cordonnier, et Agnès Kræuchel
1689, Jean Christophe Sommer, barbier (futur propriétaire)
1696, Jean Michel Bürcklin, marchand épicier
1716, Jean Kast, marchand
1728, Joseph Barbelin, employé à la halle
1729, Jean Léonard Ziesig, chirurgien et perruquier
1732, Frédéric Théophile Seupé, chirurgien
1740, Jean Geoffroi Spiller, chirurgien (maison), veuve de Jean Charles Schæffer, marchand de fer (boutique), Jean Geoffroi Debus (étal)
1745, Marie Dorothée Buck veuve du chirurgien Jean Geoffroi Spiller
1770, Joseph Daller, maître d’écriture
1772, Jean Daniel Schleber, marchand farinier
1837, Charles Philippe Marchand, juge au tribunal civil, et Caroline Victoire Hugard
Localisation sur le plan Blondel (1765)
Livres des communaux
Livre des loyers communaux, VII 1472 (1741-1802) f° 730
La rente établie par les préposés au bâtiment en 1762 est inscrite au registre des loyers au nom de Jean Schreibeissen puis de Jean Seber, Marie Barbe Jund, Mayno et compagnie
Johannes Schreibeißen der biersieder soll vor die erlaubnus den überhang an seinem hauß jenseit der Schindbruck gegen der Viehgaß Zu unterbauen Jahrs auff Michaelis und A° 1764. I.mo l. Pr: 1762. fol: 29-b, 1 lb
[in margine :] id est 29. Sept – 8. Vendemiaire
1764-an 10 (dont : 1775 Joh: Sebert redit Mass pro 1772. 1773. et 1774)
C. 362
modo Johannes Sebert, Eisenhändler
modo Fr. Maria Barbara Jundin geb. Schneegansin, Weil. Isaac Jund, gewesenen Gastgebers Wit. laut Ganth Kauffbriefs de 1. Martii 1775
[in margine :] Mayno et Comp.
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1762, Préposés au bâtiment (VII 1410)
Jean Schreibeissen (maison IX 22) demande l’autorisation de construire à l’aplomb de son encorbellement en suivant l’alignement de la maison Saum (maison IX 26). Il est autorisé, moyennant une rente foncière, d’occuper un terrain de 46 pieds de long et 5 pieds 6 pouces de large. C’est l’alignement que représente le plan Blondel de 1765 : la maison n’est plus alignée avec la voisine (IX 23) qui en a été détachée en 1698
(f° 20-v) Mittwochs den 5. Maÿ 1762. Johannes Schreibeißen – An Johannes Schreibeißen des biersieders hauß jenseit der schindt bruck im Metzgergießen, so umb erlaubnus angehalten seinen überhang nach einer Von H: Saum des weinhändlers hauß daselbst jhme außzusteckhenden flucht zu unterbauen und auff das Allmendt heraus zu fahren. Erkannt, Soll H. Werner einen Kleinen Riß Von dem alignement der häußer und überhang alda machen und p.duciren.
(f° 29-v) Montags den 13. Julÿ 1762. Johannes Schreibeißen – (Augenschein eingenommen) An Johannes Schreibeißen des biersieders hauß jenseit der Schindtbruck im Metzgergießen, welches umb erlaubnus gebotten seinen überhang so 46. sch. lang und 5. sch. 3. Zoll breit nach dem Von H. Werner dem bau Inspectori darüber gemachten Riß zu unterbauen. Erkannt willahrt gegen erlag 1 lb d. jährlichen bodenzinßes und mit condition daß er das eck neben dem feiglerischen hauß wie in dem plan gezeichnet abrunden solle.
1763, Préposés au bâtiment (VII 1410)
Georges Frédéric Feigler (maison IX 21), propriétaire de la maison voisine, se plaint que Jean Schreibeissen ne suit pas le plan prévu
(f° 64) Dinstag den 8. Martÿ 1763. H. Feigler C.a Schreibeißen – H. Lt. Feigler bringet vor daß er H. Schreibeißen nicht anhalten Kan seinen baw nach dem gemachten riß fort zu führen, will deßenthalben Ewer Gnaden auctoritæt gehorsambst implorirt haben. Erkannt seÿen die beÿde abriß zu produciren undt Schreibeißen ad proximam zu beschicken.
Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)
Le maître maçon Michel Hatzung rapporte aux préposés aux feux les travaux que fait faire Jean Schreibeissen dans sa maison à l’avant de la rue des Bouchers face à la rue des Bestiaux (aujourd’hui rue d’Austerlitz). Il fait poser un chaudron à lessive contre le pignon arrière, un tuyau au premier étage dans le poêle sur la droite et dans la cuisine à l’arrière, il fait en outre installer une cheminée au premier et au deuxième étage à la sortie de l’escalier.
(p. 17) Freÿtags den 26.ten Augusti 1763 – H. Johannes Schreibeißen der burger und Weinhändler allhie will in seiner in dem Vordern metzger gießen am Eck gegen der Viehgaß über gelegenen behaußung unten auf den rez de chaussée am hindern gäbel einen Bauch Keßel mit einem gewölb und Caminschoß setzen, der Camin schooß in das alte Camin, welches im gäbel hinauf gehet einführen.
Auf dem ersten stock rechter hand eine stube gegen dem Metzgergießen, hinden daran eine Kuche mit herd und Camin schooß das Rohr mitten durch das gebäu Von allem holtz entfernt.
Auf dem nemlichen stock am austritt der Steeg ein Vor Camin mit einem gewölb wohl versehen, das rohr mitten durchs gebaü von allem holtz entfernt, sodann im Zweÿten stock das nemliche, wie im erstem, Erkannt Willfahrt. Mr Hatzung
Description de la maison
- 1783 (billet d’estimation traduit) la maison comprend une boutique, arrière boutique, six poêles et deux cuisines, plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, en outre une cave solivée et un puits, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 3 000 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
3° arrondissement ou Canton Sud – Rue des Bouchers
nouveau N° / ancien N° : 2 / 54
Engelhardt
Rez de chaussée et 3 étages bons en pierre de taille
(Légende)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IX, Rue 311, Quartier des Bouchers (p. 468)
(maison n°) 54
loc. Sattler, Xavier, Marchand – Miroir
Relevé d’actes
Jean Charles Verius, brasseur à l’Agneau, cède au cordonnier Philippe Meyer un capital assis sur la maison Betz au-delà du pont des supplices (pont du Corbeau)
1649 (16. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 504 f° 719-v
Erschienen Hannß Carl Verius Biersieder Zum Schaff,
hatt in gegensein Philipß Meÿer deß Schuhmachers
die jenige 75. lib. so Ihme vff der Betzisch. ienseit der Schindbruckh gelegenen Behaußung in Capital gebühret – umb 45. lib
Jean Büchel cède au cordonnier Philippe Meyer un capital assis sur la maison Betz
1652 (22. Sept.), Chambre des Contrats, vol. 512 f° 565-v
Erschienen Johann Büchel mit beÿstand H Johann Schatzen deß handelßmanns und E.E. Kleinen Rhats Beÿsitzers seines noch ohnentledigt. Vogts,
hatt in gegensein Philipß Meÿers deß Schuhmachers
33 lib. 6 ß 8 d vff der Betzische ienseit der Schindbruckh gelegenen Behaußung für ohnansprüchig ledig und eig. – umb 20. lib
Le tuteur des enfants de Charles Betz loue une partie de la maison au barbier Jean Christophe Moscherosch
1661 (17. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 526 f° 427-v
Erschienen H Gerhard Walter, der handelßmann, im nahmen Weÿl. Caroli Betzen sel. Erben und Erbnehmen, mit beÿstand H Alexand. Römers deß Schuhmachers
in gegensein H Hannß Christoph Moscherosch deß Barbierers
in der Betzisch. Jenseit der Schindbruckh gelegene Behaußung, die Jenige Gemach so weÿl. H Philipp Meÿer der Schuhmach. nunmehr seel. bewohnt gehabt, verlüh. habe, vier Jahr lang von bevorstehend. Joh. Bapt: angerechnet umb einen iährlich. Zinnß benantlich. 25. Pfund pfenning
Anne Marie, Marthe et Paul Hellwig donnent quittance d’un reliquat de prix d’achat de la maison à Anne Marie Verius veuve de Jean Georges Schneider
1670 (17. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 537 f° 358-v
Erschienen Michael Glitz d. Säckhler alß Ehevogt Annæ Mariæ Hellwigin, H Jacob Habrecht der zinngißer alß Ehevogt Marthæ Hellwigin, Vnd H Paul Hellwig der Goltarbeiter für sich selbst, alle treÿ Geschwisterde
in gegensein Fr Annæ Mariæ weÿl. H Hannß Georg Schneiders geweßenen alten großen Rhatsverwanthens nunmehr seel. hinderlaßene wittibin mit assistentz H Hannß Ludwig Schneiders E.E. Sibner Gerichts Beÿsitzers ihres Curatoris und hannß Carl Veriußen Biersieders Zum Sternen ihres eheleiblich. Bruders
50. lib. vff der alhie Jenseit der Schindbruckh gelegenen, Carl Betzischen Behaußung außständig. Kauffschillingß rests antheil – umb 25. Pfund
Anne Marie Verius épouse en premières noces en 1637 le cordonnier Philippe Meyer puis en 1660 Jean Georges Schneider
Mariage, Temple-Neuf (luth. p. 398)
1637. dominica. I. Trin. 11. Junÿ. Philips Meÿer der Schuemacher Vndt J. Maria Gißbrecht Vergus tochter eingesegnet Mont. 19. Junÿ (i 204)
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 114, n° 41)
1660. Dominicâ XXIII. Trinitatis. 25. 9.bris. Hn Hannß Georg Schneÿdern E. Ehrs. Großen Raths alten Beÿsitzern, Vndt Burgern allhier, Undt Fr. Anna Maria Hn. Philippi Meÿers, Burgers v. Schuemachers allhie nachgelas. Wittib. Ex Ampliss. Magistratus Indulti. Copulavi, Zum Spiegel, Mont. 30. 10.br (i 126)
Le fils et le gendre de Marie Bronn née Roser cèdent un capital assis sur la maison à Anne Marie Verius veuve de Jean Georges Schneider
1670 (17. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 537 f° 361-v
Erschienen H M Martinus Baldner Pfarrer Zu Hördt und Daniel Bär d. Kürßner alß Fr. Mariæ Bronnin wittibin gebohrner Roserin ihrer resp: Muter und Schwig. alß sie sagten mündliche Befelchhaber
in gegensein Fr. Annæ Mariæ weÿl. H Hannß Georg Schneiders geweßenen alten groß. Raths verwanthens nunmehr seel. hinderlaßene wittibin mit assistentz H Hannß Ludwig schneiders E.E. Sibner Gerichts Beÿsitzers ihres Curatoris und hannß Carl Veriuß. deß Biersieders Zum Sternen ihres Bruders
50. lib. vff der alhie Jenseit der Schindbruckh gelegenen Carl Betzisch. Behaußung außständig. Kauffschillings rests antheils, so bißhero so viel alß ohnzinnßbahr geweß. seÿen – umb 25. pfund
L’ammestre Dominique Dietrich donne au nom de sa femme Marguerite Kugler quittance d’un capital assis sur la maison à Anne Marie Verius veuve de Jean Georges Schneider
1670 (27. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 537 f° 527-v
Erschienen der Edel- Vest- hochweÿß- hochgelehrt Herr dominicus Dietrich dißer Statt alter Ammaÿster und treÿzehener alß Ehevogt Fr. Margarethæ Dietrichin gebohrner Küglerin
in gegensein Fr. Annæ Mariæ Weÿl. H Hannß Georg Schneiders geweßenen alten groß. Rhats Verwanthens nunmehr seel. hinderlaßene wittibin, mit assistentz H Hannß Ludwig Schneiders Sibner Gerichts Beÿsitzers ihres Curatoris
geg. 15. lib. bahr erlegt. Gelts alle der Fr. Ammaÿsterin umb 25. lib. vff der Carl Betzisch. alhie Jenseit der Schindbruckh. gelegen Behaußung habend. und bißhero ohnzinnßbahr gestandnen Capitals
Autre quittance d’un capital assis sur la maison
1670 (27. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 537 f° 529
Erschienen H Bernhard Walter d. handelßmann und alter kleinen Rhats Verwanther alß Vogt Catharinæ Stiglerin, Vnd H Hannß Philipß Kob der handelßmann alß Vogt Annæ Mariæ Büchlerin, weÿl. H Hannß Jacob Büchels deß eltern gewesenen handelßmanns nunmehr seel. hinderlaßene Erben
in gegensein ut supra [Fr. Annæ Mariæ Weÿl. H Hannß Georg Schneiders geweßenen alten groß. Rhats Verwanthens nunmehr seel. hinderlaßene wittibin, mit assistentz H Hannß Ludwig Schneiders Sibner Gerichts Beÿsitzers ihres Curatoris]
demnach H Büchel in seinem lebzeiten selbsten benantlich. am 6. 9.br. a 1669. seine vff der Carl Betzisch. alhie Jenseit der Schindbruckh. gelegen Behaußung gehabte 33. lib. 6 ß 8 d ohnzinnßbahren Capitals, H. Ammaÿstern Dominico dietrich umb 20. lib. übergeben gehabt, Er H Ammaÿster dietrich aber solche Übergab resignirt, So hette gemelte Fr. Schneiderin 20. lib. in bahrem Gelt erlegt, Und solch. capital ahne sich gelößt
Anne Marie Verius veuve de Jean Georges Schneider vend la maison à son frère Jean Charles Verius, brasseur à la Montagne étoilée (zum Sternenberg)
1674 (19. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 153-v
Fr. Anna Maria weÿl. H. hannß Georg Schneiders EE. großen Rhats alter Beÿsitzers nunmehr seel. nachgelaßene wittib, mit beÿstand H. hannß Ludwig Schneiders deß Weißbeckhen und alten statt gerichts Beÿsitzers Ihres Curatoris, Gießbrecht Veriußen deß Salpetersieders Ihres eheleiblichen Bruders und Carl Meÿers deß Schuhmachers Ihres Stieff sohns
in gegensein hannß Carl Veriußen deß Biersieders Zum Sternenberg auch Ihres eheleiblichen Bruders
hauß hoffstatt mit allen deren Gebäwen Begriffen, Zugehördten, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten alhier im Metzgergießen, einseit neben hannß Georg Feÿhelers dem Waffenschmidt anderseit neben Friderich Schollen dem Sattlern, hinden uff H Isaac Bitto den handelßmann Zum theil und theils Uff die herberg zum Gertenfisch stoßend gelegen und von alters her die Betzische Behausung genannt, Welche Behaußung noch umb 100. goltgulden, Weÿl. H Jeremiæ Ursini Not: nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, Item umb 100. gold fl. der Fabric St. Aureliæ, Item umb 100. goltR. H. Dominic Dietrichen dießer Statt alten Ammaÿster und XIII., Item umb 100. goldR. dem Waÿsenhauß, Item umb 100. goldR. der Samblung Zum Thurn, Item umb 100. fl. Straßburger wehrung weÿl. H. Hannß Michael Zeißolffs XV. nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, Item umb 200. lb hannß Michael Süeßen dem Schneider Vögtlicher weißen So dann umb 50. lb, Weÿl. H.M. Johann Bronnen gewesenen Pfarrers Zum alten St. Peter nun auch seel. nachgelaßenen Erben Verhafftet – umb 797 lb (3250 fl.)
[in margine :] Es sind auch die Zeißolffische 100. fl. straßburger wehrung durch den Käuffer abgelöst, derselbe dafür am 5.ten Julÿ a° 1678. quittirt und Ihm die Zeißolffische hierumb gehabte Gerechtigkeit cedirt worden, wie in weÿl. herrn Hÿlarÿ Meÿers alß damahls deß bischofflich. hoffs geweßenen contractuum Notarÿ nun längst seel. Protocollo extensivo de a° 1556. fol. 373. zu befinden.
Jean Charles Verius a épousé en 1649 Madeleine Geckler, fille de boucher : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedungs Copeÿ – zwisch. dem Ehrenhafften v. achtbahren H Hannß Carol Verius biersieder und burgern alhie als bräuttigamb ane Einem, vnd dann der Ehren und tugendsahmen Jungfrawen Magdalenæ Gäcklerin deß Ehrs. Michael Gäcklers Metzgers und burgers alhie Ehelichen tochter als hochzeiterin and. theils – Welches alles bescheh. v. v.handelt inn deß heil. Reichs freÿ. Statt Straßb. inn d. Policeÿ stub. Donnerstags den 12. Monats tag Aprilis Im Jahr deß herrn als mann Zahlte 1649. Daß nun diße Eheberedung auß weÿl. Caspari Medlers Meines Vatters seel. protocollo 4.to v.fertiget, Actum d. 7. Februarÿ 1679, Johann Friderich Medler
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 1048-v, n° 3)
1649. Dominica Cantate Hans Carlen Verius der Biersieder und burger allhie Gißbrecht Verius gewesener Salpeter und burger allhie Ehelicher Son Und Jungfr. Magdalena, Michel Geckler des Metzgers und burgers allhie eheliche tochter. Mont. Clauß (i 255)
Le marguiller de Sainte-Aurélie donne quittance d’un capital dû d’après un titre de 1571 à Jean Charles Verius
1677 (23.4.), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 348
Herr Daniel Voltz E.E. Großen Rhats beÿsitzer und Herr Abraham Von Fridolßheim Gartner Vnderwagner beede alß Pfleger der Fabric Zu St. Aureliæ mit beÿstand herrn Johann Thomä Tromers Notarÿ alß Fabric alß Fabric schaffners
in gegensein Hannß Carl Veriuß deß biersieders Zum Sternenberg
bekannt, daß Er Verius, besagter Fabric, 200. fl. Straßburger wehrung in bahrem gelt erlegt, und dadurch die iährlichen term. Apoloniæ Zu Zinß Verfallene 10. fl. gedachter Wehrung, so Er Verius Von seiner alhier im Metzgergießen, einseit neben hannß Georg Feÿlers deß Waffenschmidts Wittibin, anderseit neben Friderich Schollen deß Sattlers nachgelaßenen Kindern gelegener behaußung Vermög einer sub dato 8. Febr a° 1571. durch weÿl. herren Hÿlarium Meÿern alß des bischoff. hoff damahls geweßenen Contractuum Notarium nunmehr sel uffgerichteter Zinnß Verschreibung schuldig geweßen, abgelöst, wider gekaufft und dadurch solche behaußung dießer beschwährdt alledingß liberirt habe
François Raoul Mollinger donne au nom de sa femme Dorothée Ursinus quittance d’un capital dû d’après un titre de 1516 à Jean Charles Verius
1677 (2. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 568
herr Frantz Rudolph Mollinger E.E. Kleinen Rhats beÿsitzer alß Vogt fr. Dorotheæ Mollingerin gebohrner Vrßinin, mit beÿstand herrn Johannis Ursini U.I. Ddi und der Statt stall Schreibers, seines Schwagers
in gegensein hannß Carl Verjus deß Biersieders Zum Sternen
bekannt, deß Er Verjus Ihme herrn Mollinger 100. GoltR. im bahrem gelt erlegt, und darurch die iährlichen term. Jacobi apostoli Zu Zinnß Verfallene 4. fl. so derselbe Vermög eines Latinischen pergamentinen 10.t. Calend. Febr: A° 1516. mit deß bischofflich. hoffs anhangend. Insigel durch weÿl. herrn Jacobum Schmidt alß gedachten hoffs damahls geweßenen Contractuum Notar. nunmehr seel. uffgerichteten Zinnßbrieffs, Von seiner alhier Jenseit der Schindbruckhen in dem Metzger Gießen Zwischen Friderich Schollen deß Sattlers wittibin und hannß Georg Feÿheler deß Waffenschmidts nachgelaßenen Erben, gelegenen behaußung, schuldig geweßenen, abgelöst, widergekaufft und dardurch erwehnte behaußung dießer beschwärd gäntzlich liberirt habe
Le receveur du béguinage à la Tour (zum Thurn) donne quittance d’un capital dû d’après un titre de 1561 à Jean Charles Verius
1677 (18. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 602
Herr Philipp Jacob Erhardt alß Schaffner der Samblung Zum Thurn
in gegensein hannß Carl Verius deß Biersieders Zum Sternenberg
bekannt, daß derselbe, besagter Samblung die Jenige 200. fl. Straßburger wehrung, so derselbe per rest, Von seiner alhier Jenseit der Schindbruckh im Metzger Gießen Zwischen Weÿl. hannß Georg Feÿhlers deß Waffenschmidts und Friderich Schollen des Sattlers wittibin gelegener behaußung, Vermög der am 19. May A° 1561. durch Weÿl. herrn Hÿlarium Meÿer alß deß bischofflichen hoffs damahls geweßenen Contractuum Notarium nunmehr seel. uffgerichteter Zinnß Verschreibung iährlichen term. Urbani Zu Verzinnßen schuldig geweßenen, abgelöst habe, auch alle davon Verfallene Zinnße richtig abgestattet worden seÿen, derowegen Er Erhard in schaffners weiß besagten Verius sambt deßen behaußung bester form rechtens quittire
Madeleine Geckler meurt en 1678 en délaissant huit enfants. D’après la note préliminaire, le veuf a hérité de biens de sa sœur Anne Marie veuve de Jean Jacques Schneider et de sa cousine Apolonie veuve du sellier Adam Meichsel. La succession comprend l’auberge à la Montagne étoilée, une maison voisine et une troisième rue des Bouchers. L’actif de la succession et la conclusion finale de l’inventaire s’élèvent à 3 883 livres.
1679 (6.2.), Me Stoeffel (Jean Christophe, 57 Not 2) n° 5
Inventarium undt beschreibung Aller undt Jeder Haab undt Nahrung, Keinerleÿ außgenommen, so weÿland die Ehren und tugendsame Fraw Magdalena Veriußin gebohrne Gäcklerin, deß Ehren vorgeacht und wohlachtbahren herrn hannß Carl Verÿ biersieders Zum Sternenberg, burgers Zue Straßburg ehelich geliebte haußfraw nunmehr seel., nach ihrem Freÿtags den 20.t Decembris deß abgelegten 1678.ten Jahrs Göttlichen willen nach genommenen tödlichen hinscheiden, hinterlaßen, welches alles auf freundliches ansuchen erfordern Vnd begehren des Ehrengeachte und Achtbahren H Hannß Jacob Verÿ biersieders Zur Carthaunen und burgers alhie deßgleichen der Ehren und tugendsahmen frawen Magdalenæ Pickin, gebohrne Veriußun, deß Ehrengeachte undt achtbahren H Georg Picken biersieders Zum bären burgers zu erwehntem Straßburg geliebte haußfrauen mit assistentz rstgedachts Ihres haußwürths, ferner der Ehren und tugendsahmen frawen Annæ Ursulæ Rödererin gebohrne Veriußin, deß auch Ehrenhafft und achtbahren H Joh: Röderers, Küefers und biersieders ebenmäßig burgers alhier ehelich geliebter Ehefraun, beÿständlich erstgemelts ihres Ehevogts, Und dann deß Ehren vorgeachten und wohlachtbahren herrn Clade Hannß Metzgers deß Metzgers und burgers in ermeltem Straßburg, alß hannß Carls, Michaels, Philipßen, Mariæ Salome und Annæ Margarethæ noch ledige Kinder geschwornen Vogts, aller acht der ietzt verstorbenen frawen seel. mit erstgedachtem ihrem hinderbliebenen Wittwer ehelich erzeugter Kinder und ab intestato hinderlaßener nechster Erben – So beschehen auff Donnerstag den 6. Februarÿ Anno 1679.
Eheberedungs Copeÿ (…) Actum d. 7. Februarÿ 1679, Johann Friderich Medler
Vergleich wegen Hieobenbeschriebener Verlassenschafft. Zuwißen, demnach eingangs erwehnte beede Ehegemächte Ihr einand. für unv.ändert Zugebrachte Nahrung Zur Zeitlichen v.heürathung nicht beschreib. laß. in auffgericht. Ehepactis auch versehen, was Sie inns Künfftig von Ihren linien hero ererben od. legats weiß überkommen werd. eiem Jed. v. seinen Erb. ein freÿ unv.ändt. v. vorbehalt. Guth sein und pleiben solle, so hat sich d. H. W. Jedoch freÿwillig dahin erkläret wiewohl er Wehrend. Ehestandts von seiner Schwester Fr. Annæ Mariæ, weÿl. H hannß Jacob Schneid. E. E. großen Raths alhie beÿsitzers hind.plibener Wittwen seel. ein Zimbliche Nahrung ererbt, die v.storbene fr. seel. von ihrer baaß. Apoloniæ weÿl. Adam Meichsels geweßenen Sattlers und burgers alhie seel. hind.laßener W. stehend. ehe auch geerbt und ietzmahlen Zuergäntz. were (verglichen)
Inn einer alhie inn der Statt Straßburg Vorstatt inn der Cronenburger straßen inn der Newen Zeilen gelegener und Zum Sternenberg genandter bier behaußung so uch in dieße Verlassenschafft gehörig und hernachbeschrieben, Ist befunden worden wie volgt
Ane Hültzen: und Schreinerwerckh. Inn der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der obern Stuben, In der Cammer D, Im obern haußöhren, Im vord.n Hauß Kämmerlin, und. Im vordern Stübel, Inn der Gaststuben, Inn d. Kuchen, Im Keller
Eÿgenthumb und beßerung ane häüßern. Erstlich die bier behaußung zum sternenberg genandt inn der Statt Straßburg vorstatt vor dem Speÿrthor (…)
Item j. alte behaußung zum guldinen Schaff genannt, hoff, hoffstatt undt gemeinschafft des bronnens in der Statt Straßb. vorstatt vor dem Speÿethor (…)
Item j. behaußung mit allen rechten Zugehörden weith. recht. und gerechtigkeit gelegen alhie in der Statt Straßb. Jenseit der Schindbrucken am Metzgergießen, i.s. neben hannß Jacob Knoderern Sattlern v. burgern alhie, 2.s. neben (-) feiglers deß waffenschmidts v. burgers alhie seel. hind.laßene wittib und Erben hinden auff die herberg Zum gertenfisch alhier stoßendt. Davon gehen Jährl. auff Philippi Jacobi 4. lb 4 ß Zinnß H. Dominic diethrichen Altten amstr. und 13.nern alhie, seindt inn hguth. abzulößen mit 100. Gold fl. thun 105. lb. Ferner 4. lb 4 ß geltd Jährl. auff Inventionis Crucis dem waÿßenhauß alhie seind in hg. abzulößen mit 100. goldR. thun ebenmäßig 105. lb. Sonsten über dieße beschwerde durch die geschwornen Werckmtr. alhie angeschlagen p. 690. lb. Darüber sagt i. t. Perg. Kbr. mit d. Statt Straßb. anhang. Cancelleÿ Contr. Insigel verwahrt deß. dat. den 19.ten Martÿ A° 11674. mit N° 8 signirt. Ferners darbeÿ 3. vnd.schiedlich abgelößte Zinßbrieff und schrifftlicher bericht
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 283, Sa. der früchten, malß und hopffen 317, Sa. Schiffmanns zum Küffer und biersied. handwerckh gehörig 60, Sa. Weins, bier und vaß 67, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 83, Sa. guldinen Ring 14, Sa. bahrschafft 531, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 743, Sa. beßerung ane häußern 1667, Sa. d. Schulden 113, Summa summarum 3883 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 3883 lb
Inventaire des biens d’un locataire de la maison, le cordonnier André Schœn, et de sa femme Agnès Kræuchel
1680 (17.3.), Me Redwitz (Jean Frédéric, 43 Not 2) n° 18
Inventarium über Meister Andreß Schönen des Schuhmachers und Frawen Agneß Kräuchlin beede Eheleuth vnd burger alhier, jetzmahlen habende Nahrung und schuldige Passiva
In einer ahne dem Metzger Gießen alhier Gelegenen, Von den beeden Eheleuthen lehnungsweiß bewohnenden vnd H Hannß Carl Verio dem Biersieder Zum Sternenberg vnd burgers alhier eigenthümlich zuständiger behaußung befunden
Jean Charles Verius partage le mobilier entre ses enfants
1686 (22.2.), Me Stoeffel (Jean Christophe, 57 Not 5) N° 8
Abtheÿlungs Concept über daß jenige so Herr hannß Carl Verius der Älter geweßene biersieder zum Sternenberg burger alhier seinen acht Kindern ane mobilien eigenthümlichen cedirt und überlaßen
Theil Register darinnen Waß H: Hannß Jacob Verio dem Jüngern Jetzmahligen biersiedern Zur Carthaunen burgern Zu Straßburg Von dem jenigen haußrath welchen seine Liebe Mutter fr. Magdalena Veriusin gebohrne Gäcklerin H. Hannß Carl Verÿ des ältern biersieders Zum Sternen berg haußfrau seelig Verlaßen ersternanndter H Hannß Carl Verius der älter seinen samtlichen Kindern freÿ willig cedirt und abgetretten, Vor einen Theil erblichen Zugefallen, Zu befinden in Anno 1686.
Zuwißen daß auff dato Wie hernach stehet inn dem bierhauß Zum Sternen berg vor dem Speÿrthor Persönlich erschienen seind der Ehrengeachte und wohl achtbahre H hanß Carl Verius der älter geweßener biersieder Zum Sternen berg burger Zu Straßburg ane einem, und H Hannß Jacob Verius biersieder Zur Carthaunen burger Zu Straßburg, ferner fraw Magdalena Pickin gebohrne Veriusin mit assistentz H Georg Picken biersieders Zum bähren burgers alhier Ihres haußwürths, Mehr fraw Anna Ursula Rödererin gebohrne Veriusin H. Johann Röderers biersieders Zum Wildenmann burgers alhie Eheweib beÿständlich ersternandt Ihres Ehevogts, Weiters H hannß Carl Verius der Jünger jetzmahliger biersieder Zum Sternen berg, H. Michael Verius, Kupfferschmidts, fraw Anna Margaretha Kammin gebohrne Veriusin, H. hannß Jacob Kammen würths und Gastgebers Zur Blummen, burgers alhier haußfrau mit beÿstandt erstgesagts Ihres Ehemanns und dann H Hannß Jacob Rohback weißbeck und burger alhie alß geschwornner theil vogt hannß Philipps und Jungfrawen Mariæ Salome Veriusin beeder geschwüstert, ane statt H: Georg Picken biersieders Zum Bähren, Ihres Geschwornenn Vogts, alle ab Ehren besagtes H: hannß Carl Verÿ des ältern mit Ehren gedachter Fr Magdalena seiner haußfrawen seel. ehelich erzeugte hinderlaßene vier döchter und vier Söhn am andern – Actum und angefangen auff Dienstag den 22. Januarÿ und inn etlichen tagen hernacher absolvirt Anno 1686.
Jean Charles Verius loue la maison au barbier Jean Christophe Sommer
1689 (20. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 509-v
H. Hannß Carl Verius der Alter, biersieder
in gegensein H. Johann Christoph Sommers deß barbierers
entlehnt, Alle diejenige Gemach und commoditæt so H. Christoph Moscherosch der barbierer über die Zwantzig Jahr in Lehenung gehabt ahn einer behaußung allhier ienseit der Schindbrucken gegen der Herberg Zum Raben gelegen, uff Neun Jahr lang Von künfftig Weÿhnachten an gerechnet, umb einen Jährlichen Zinnß 25 Pfund
darbeÿ geweßen hannß Jacob, Carl und Hannß Michel Verius, Gebrüd. deß Veleÿhers Söhn und Georg Pick dochtermann [unterzeichnet] hans Carl Vergen, Johann Christoff Sommer, Hannß Jacob Verus, Carl Verius, hanß Michel Verius, Georg Pöck)
Les héritiers Verius vendent la maison au barbier Jean Christophe Sommer et à sa femme Susanne Elisabeth Olter d’une part et au sellier Chrétien Bort et à sa femme Anne Ursule Krieger d’autre part qui se la partagent. La maison Sommer (1 042 pieds carrés d’après l’apentage) est celle qui figurera sous le n° 22 au plan Blondel, la maison Bort (632 pieds) sous le n° 23. La limite est un pilier marqué aux initiales des parties. Une partie des étages de la maison Bord repose sur les fondations de la maison Sommer
1695 (14.5.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 317-v
Magdalena geb. Veriußin, H. Georg Picken des Biersieders zum schwartzen Bähren haußfrau, mit beÿstand Ihres Ehevogts, Anna Ursula geb. Veriußin, H. Johann Röderers deß bier Sieders zum Wilden Mann haußfrau, hans Michael Verius der Kupfferschmid, Maria Salome geb. Veriußin Joh: Joachim Kammen deß Gerbers und Lederbereiters haußfrau, Anna Margaretha geb. Veriußin, hans Jacob Kammen deß würths auff der garttner stub Und. wagnern haußfrau, So dann Sie alle auch im Nahmen und von wegen Johann Philipß Veriußen, deß ledigen Kieffers und Biersieders Ihres leiblich. Bruders, welcher bereits vor Zehn jahren auff die wand.schafft sich begeb. und majorennis, vor welchen Sie alle ins gesamt und insond. heit de rato & grato caviret
in gegensein H Johann Christoph Sommers deß barbierers und wundsartzts und Susannæ Elisabethæ Olterin, wie auch H. Christian Borden, deß Sattlers und Annæ Ursulæ geb. Kriegerin
hauß, hoffstatt mit allen deren Gebäuen, Begriffen, Zugehördt. Recht. Weithen und gerechtigkeit allhier im Metzgergießen einseit neben weÿl. hans Georg Feÿelers gewesenen waffenschmids sel. Erben anderseit neben weil. hans Jacob Schallen gewesenen Sattlers sel. nachgelaßene Kinder, hinten auf H. Isaac Bitto den handelßmann Zum theil, und Zum theil auff die herberg Zum gertenfisch stoßend gelegen, und von alters her die Betzische behaußung Zum Greÿffen genandt, welche behaußung zu vorhin umb 100 GoldR. Cap., Item umb 100 GoldR. Capital (verhafftet) sonst geg. männiglich freÿ ledig und eÿgen seÿe /:und obwol Sie eingangs gemeldter Veriußische Geschwistrige noch einen Bruder nahmens Johann Carl Verius Biersieder Zum Sternenberg sel. so habe doch d.selbe vermög deß zwisch. den Verkaüffern und Ihnen getroffenen und von H. Joh: Christoph Stöffel Notario außgefertigt. Vergleich an solche Behausung nichts zu fordern:/ – umb 2100 pfund
Dabeÿ zu wißen, daß die beede Kauffende Parteÿen sich weg. Abtheilung der erkaufften behaußung mit einander verglich. haben alß folgt, Nemblich Es soll Sein Bordten et uxor. erkauffter antheil deß haußes und. auff der Straß anheben, einseit an obged. Schollischen Kind. behaußung, alßo daß die gantz Feur Maur neben ermelten Schollischen hauß Ihnen Bord. allein gehörig und Er selbige auff seinen Kosten Zu erhalten schuldig sein solle, anderseits aber endet sich deßen gerechtigkeit und antheil unden auff d. Straß an demjenigen Pfeiler in welchen die buchstaben J. C. S. einseits und C. B. anderseits eingehauen Zu find. seind, und obwohlen auff dem Ersten, Zweÿten und dritten Stockwerck, die Riegelwand weiter herauß auff H. Sommers fundament gehet, so soll doch solcher Platz ihme Borden & uxori eÿgenthümlich zugeschrieben, und die Riegelwand auff ermeldten dreÿ Stockwercken nicht geändert sondern in Ihrem stand gelaßen, und auff gemeinen Costen von dato an Und.halten werden, hingegen bleibt d. übrige hauß gleich auff der Straßen von ermeldten mit buchstaben I.C.S. einseits und mit C.B. anderseits bezeichneten Pfeiler an, wie auch der Keller under H. Bord lad. so weit und breit die Kellerthür ist, einseit und anderseit biß an d. feÿhelerisch. lad., so anietzo hans Jacob Fautel der sattler in ([biffé] Lehnung) hat, von dem fundament an mit sambt der Feur Maur und allen darinn begriffenen losamenten auch übrigen darin stosend Keller, Sein Sommers und deßen haußfrau Eÿgenthum, und hat Er die Feur Maur an der Feÿhelerischen behaußung auff seinen Costen allein Zu erhalten, Betreffend aber die dreÿ Frucht Kästen, über der Gemeinen Riegelwand, sollen selbige herrn Sommer et uxoris zu guth zu vergrößerung Ihres haußes jedoch allein auff Ihre Kosten geändert und so weit alß der Sparen an den tachfenster gezeichnet erweitert, und eine gerade lini biß auff die an dere seite gezog. werd. alßo daß d. eine tachfenster auff die Straß H. Bord., d. hind.e tachfenster auff d. tach gehend H. Sommer Eigenthublich Zusteh. soll
[in margine :] und befindet sich nach der Geschwornen Werckmeister darüber verfertigt. riß, daß H. Sommer 1042 quadrat Schuh, H. Borden aber 632 quadrat Schuh gehörig
[in margine :] Erschienen H. Johann Carl Verius, der Biersieder Zum Sternenberg und Johann Michael Verius der Kupfferschmid, beede für sich selbsten, H. Johannes Röderer der Biersieder zum wilden Mann, alß Ehevogt Annæ Ursulæ geb. Veriußin, H. Johann Joachim Kamm, der Gerber und Lederbereiter, alß Ehevogt Mariæ Salome geb. Veriußin und Johann Jacob Kamm der würth zum Geist, alß Ehevogt Fr. Margarethæ gebohrne Veriußin, alle an einem, So dann H. Georg Pick, Biersieder zum schwartzen Bähren alß Ehevogt Magdalenæ geb. Veriußin, am andern theil, haben angezeigt und bekandt, demnach Ihnen beed. Johann Carl und Johann Michael den Veriußischen Brüdern und Ihme Röderer und beeden Kammen alß Ehe vögte der Veriußischen Schwestern, wie auch Ihme Georg Picken gleich falls alß Ehevogten deß in vorstehender Verschreibung gemeldten Johann Philipp Veriuß ihres bereits vor 13. jahren verzogenen bruders respect. Schwagers Nahrung von E.E. Kleinen Rath Zuerkandt und Sie darein Vermög bescheids vom 26.t Februarÿ jüngst gegen Verpfanden Ihrer haab und güther in genere et specie immittirt worden, Alß hätten Sie gesambte Geschwistrige deßen gantz Nahrung und. sich vertheilt (…), den 4. Jun. 1697
Jean Christophe Sommer, originaire de Kœnigsberg en Prusse, épouse en 1689 Susanne Elisabeth Olter, fille d’orfèvre : célébration, accession à la bourgeoisie
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 168-v)
1689. Dom: I. Adventus. Zum 2. mahl Ht Joh: Christoph Sommer Barbierer Von Königsberg in Preußen Weiland Hn Christoph Sommers auch Barbierers u. Wundartzts alda nachg. ehl.. Sohn, Jfr. Susanna Elisabetha Weiland H, Joh: Teobald Olter geweßenen Burgers u. Silberarbeiters nachg. ehl: T. Mittw. den 8.t 10.br: N. Kirch. (i 170)
1689, 4° Livre de bourgeoisie p. 563
H. Joh: Christoph Sommer der Barbierer Von Königsberg auß Preußen, weÿl. H. Christoph Sommers gewesenen burgers und barbierers daselbst nach. ehl. sohn, empfangt das burgerrecht Von Susanna Elisabetha Olderin, hiesiger burgerin seiner Jetzmalig. haußfrawen p. 2. goldR. 16. ß. so er bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt, ist Zu Vor ledig. standts geweßen, Vnd wird beÿ E: E: Zunfft der Lucern dienen. Jur: den 21. Xbris 1689
Jean Christophe Sommer et Susanne Elisabeth Olter hypothèquent la maison au profit de Madeleine Strohm veuve de Jean Philippe Ursinus, secrétaire à la Tour aux Deniers. En marge, quittance délivrée à Jean Daniel Kopp, propriétaire ultérieur
1695 (21.5.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 330-v
H. Johann Christoph Sommer, der Barbierer und Wundartzt und Susanna Elisabetha Olterin, und Zwar dieselbe mit beÿstand H. Johann Theobald Olten deß Silberarbeiters und Johann David Kuntzen deß Meßerschmids Ihres leiblich. bruders und Schwagers
in gegensein H. Johannes Braun Medicinæ Doctoris alß Curatoris Fr. Mariæ Magdalenæ geb. Strohmin weil. H. Johann Philippß Ursini gewesenen Secretarÿ deß Pfenningthurns sel. nachgelaßene Wittib – schuldig seÿen 375 pfund, daß Sie damit den Kauffschilling hernach beschriebenen special und.pfands so viel abstatten können
unterpfand, Eine behaußung, mit allen deren Gebäuen, Recht und Zugehördt. allhier am Metzgergieß. einseit neben Christian Borden den Sattlern deßen behaußung zuvor zu dieser gehört und eodem dato verkaufft word. anderseit neben den Feÿhlerisch. Erben, bewohnt anietzo hans Jacob Faudel der Sattler, hind. auff d. würthshauß zur Gerttenfisch und H. Isaac Bitto stoßend geleg.
[in margine :] (…) in gegensein Hn Johann Daniel Koppen des Barbierers und Wundartzts alß ietzigen Besitzers der hierin Verpfändeten Behaußung (Quittung) den 31. maÿ 1701
Jean Christophe Sommer et Susanne Elisabeth Olter hypothèquent la maison au profit du chirurgien et barbier Jean Henri Moses
1695 (20.6.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 389-v
H. Johann Christoph Sommer der barbierer und Wundartzt und Fr. Susanna Elisabetha geb. Olterin und Zwar dieselbe mit beÿstand H. Johann Theobald Olters des Silberarbeiters und Johann David Kuntzen deß Meßerschmids ihres respect. leiblich. bruders und Schwagers
in gegensein H. Johann Henrich Moses des barbierers und Wundartzts, daß Sie beede Eheleuthe Ihme Moyses schuldig seÿen 200 pfund [unterzeichnet] Johann Heinrich Mosis
unterpfand, Eine behaußung mit allen deren Gebäuen, Rechten und Zugehördten allhier am Metzgergießen einseit neben Christian Borden dem Sattler deßen behaußung Zuvor zu dießer gehört und eodem dato mit Verkaufft worden, anderseit neben den Feÿgelerischen Erben, bewohnt anjetzo Hans Jacob Faudem, der Sattler, hinden auff d. Würthshauß Zum Gertenfisch und Hn Isaac Bitto den Handelßmann stoßend gelegen
Jean Christophe Sommer loue une partie de la maison (en particulier le deuxième étage) au marchand épicier Jean Michel Bürcklin. Le locataire pourra établir sa boutique dans une partie du rez-de-chaussée
1696 (15.3.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 155
H. Johann Christoph Sommer der barbierer und Wundartzt
in gegensein H. Johann Michael Bürcklin des Specereÿhändlers
In sein Hn Sommers allhier im Metzgergießen gelegenen Wohn und barbier behaußung, Nachfolgende Gemach Und bequemlichkeiten, Nemblich Zweÿ Stiegen hoch alle die auff demselben boden sich befindliche Gemach nichts davon außgenommen, Ferner die gemeinschafftliche Sodaten Cammer, oben über ged. gemachen umb die soldaten beeden theilen ein logirt werd. daran zu legen, So dann Platz beÿ ged. soldaten Cammer und zwischen der Maur zum Holtz, Wie auch noch ein Platz vier stiegen hoch, auch zum holtz, so ohnbeschloßen, und Endlichen die zweÿ obersten bühnen über einander, alles auff Neün Jahr lang von Nechst innstehend. Johann: Bapt. an zu rechnen, umb einen Jährlichen Zinnß Nemblich 30 pfund alle Jahr auff ged. termin und A° 1697 zum Ersten mahl richtig und ohnfehlbar abzustatten
darbeÿ verglichen, daß der jenige gang welcher zweÿ stiegen hoch beÿ den Entlehnten gemachen mit latten soll zugemacht werden zu des Entlehners sicherheit für Eins, Fürs Ander, so Verspricht der H. Verleiher dem Entlehner zu seiner Handlung unden zwischen der haußthür und derjenig stub so ietzund ein schreiner bewohnt, einen laden mit Zweÿ Schwibbög., darvon der eine schon im stand auff solche weiß wie sich beede theile mit einander unterredet haben, Machen zu laßen, Drittens soll wohl vorgemelter laden, alß auch der Jenige theil Kellers, welcher unter ged. Schreiners Stub ist, und würcklich unterschlagen und beschloßen, auch unter der lehnung und obged. Zinnß begriffen sein, Vierdens, so behaltet sich der H. verleiher bevor, Wann er Wein bekommt, denselben durch den Verlühenen in seinen Keller, es seÿ in faßen oder auff andere Weiß, hinab zu thun
Inventaire des biens qui appartiennent à Jean Christophe Sommer et à sa femme Susanne Elisabeth Olter, après qu’ils ont vendu la maison
1698 (13. 7.br), Me Kolb (Jean Pierre, 23 Not 1) n° 45
Inventarium und beschreibung aller der Jenig. haab und Nahr., so Hrn Johann Christoph Sommer barbierer und fr. Susannæ Elisabethæ gebohrner Olterin beed. Eheleuth und burgern alhier Zu Straßb. eigenth. zuständig – Actum in der Königl. freÿ. Statt Straßb. Sambstag d. 13. 7.bris: A° 1698.
Inn einer alhier in der Satt Straßb. im Metzger giesen ohnfern der haubtwacht gelegenen von beed. Eheleuth. bewohnend. behauß. ist befund. worden wie volgt.
Summarischer Calculus. Sa. haußrath 22, Sa. Werckzeug und Instrument. zue barbier Kunst gehörig 2, Sa. Silbers 14, Sa. goldener Ring 18, Sa. baarschafft 197, Sa. Schuld. 29, Summa summarum 283. – Sa. der Schuld 3, Nach Abzug deßen 280. lb
Jean Christophe Sommer et Susanne Elisabeth Olter vendent la maison au chirurgien et barbier Jean Daniel Kopp
1698 (1. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 555-v
H. Johann Christoph Sommer der Barbierer Und wundartzt und Fr. Susanna Elisabetha geb. Olterin, mit beÿstand H. Johann Theobald Olters, des Silberarbeiters ihres respectivé leibichen Bruders Und Schwagers
in gegensein H. Johann Daniel Koppen des Barbierers und wundartzts
eine abgetheilte Behaußung sambt dero hoffstatt, anjetzo eine Barbier Behaußung ist, mit allen deren Gebaüen, Begriffen, Weithen, Rechten, Zugehördten Und gerechtigkeiten, wie solche Sie Verkäufern Von denen Veriusischen Erben an sich erkaufft, vermög Kauff respectivé abtheilungs Brieffs vom 14. Maÿ 1695. Und gelegen allhier im Metzgergießen einseit neben denen Feÿelerischen Erben anderseit neben Christian Borden dem Satter hind. zum theil auff H. Isaac Bitto dem Handelsmann theils auff die Gast herberg zum Gertenfisch stoßend, Und ist Von alters die jetzt verkauffte Behaußung beneben ged. Bord. hauß, so vor diesem ein Hauß war, die Betzische Behausung zum greiffen genandt, welches jetzt verkauffte Barbierhauß umb 124 Und ½ Gold fl. vermög in ged. brieff befindlich abtheilung (ferner umb 500 lb, 375 lb und 200 lb Capitalien Verhafftet),
Ferner einen gartten, Fünff Virtzel groß, Vor dem Metzgerthor einseit neben H. Joh: Claude Beausire Vergichtschreibern anderseit neben (-) Hetzel dem Gartenmann, vornen auff die Allmend, wie auch Und. stoßend gelegen, darvon d. grund und bod. gemeiner Statt gehörig, Und dahin Jährlich 2 lb 7 ß 6 d zu bodenzinß zu reichen hat – umb 300 pfund
Jean Daniel Kopp a épousé la veuve d’Albert Hellmond (Hellmann). Le barbier Albert Hellmond, originaire d’Unterschöpfen en Franconie, épouse en 1675 Anne Barbe Hohenbuch, fille de barbier : contrat de mariage passé à la Chambre des Contrats, célébration, accession à la bourgeoisie (tribu de la Lanterne)
1675 (18. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 289-v
H. Albrecht Hellmond den Barbierer Burger Zu Straßburg alß hochzeiter mit beÿstand H. Friderich Schellen deß Silberarbeiters an einem
So dann Jungfraw Anna Barbara weÿl. Zachariæ Hohenbuchs geweßenen Barbierers nunmehr seel. nachgelaßene eheliche dochter alß hochzeiterin mit assistentz H. Johann Carl Koppen auch Barbierers alhier Ihres Curatoris am andern theÿl
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 253, n° 15)
1675. Sonnt. Exaudi 16. Maÿ. Hn Johann Albrecht Hellmann den Barbirern Weÿl. Hn Johann Hellmann Ihr Hoch Gräffl. Gnaden Von Hatzfeld gew. Hoff Barbierers Vndt Burgers Zu Under Schöpffen in Francken nachgel. ehl. Sohn, Vndt Jfr. Anna Barbara, Weÿl. Hrn Zachariæ Hohenbuch gewes. Barbierers Undt Wundartzten auch Burgers allhie nachgel. ehl. Tochter. Copulavi Donnerst. 27. Maÿ (i 266)
1675, 4° Livre de bourgeoisie p. 417
H. Johann Albrecht Hellmann d. barbierer aus Francken empfangt das burger Recht von seiner haußfr. Anna Barbara hohenbuchin per 8 goltR. welche Er beÿ d. Cantzleÿ erlegt hatt, ist Zuvor ledig. standts gewesen will Zur Lucernen dienen Jur. 23. Junÿ 1675.
Jean Daniel Kopp, barbier natif de Strasbourg, épouse en 1683 la veuve d’Albert Hellmann
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 195-v)
1683. Octobris, d. 18. H. Joh. Daniel Kopp der ledig. barbierer H. Joh. Carl Koppen barbierers v. burgers alhie ehl sohn Fr. Anna Barbara H Joh. Albrecht Helmans barbirers v. Wundartztes hinterl. W. (i 197)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qu’ils louent du chapitre Saint-Pierre-le-Jeune dans la petite rue de l’Eglise
1684 (7.4.), Me Redwitz (Jean Frédéric, 43 Not 4) n° 98
Inventarium über H. Johann Daniel Koppen des Barbierer und Wundartzts wie auch frawen Annæ Barbaræ gebohrner Hohenbuchin, beeder Eheleuth vnd burgere alhier, einander in den Ehestand, für unverändert Zugebrachte Nahrungen, uffgerichtet in Anno 1684 – crafft der Zwischen Ihnen vffgerichteten Eheberedung, sich für unverändert reservirt und vorbehaltten – So beschehen in fernerem beÿweßen, frawen Jacobeæ herrn Johann Carl Koppen des barbierers und Wundartztes alhier ehelicher haußfrawen, als des herrn leiblich. Mutter, Zu Straßburg d. 7. Aprilis A° 1684.
Pro Nota. Die Eheberedung, welche eingangs Gedachte beede Eheleuth ante Nuptiæ mitt einander vffgerichtet, und darvon droben Meldung beschehen, Ist datirt den 19. 7.br. Anno 1683.
In einer alhier Zu Straßburg ane dem Kirchgäßel beÿ der Kleinen Metzig Gegen dem Pfenningthurn Gelegenen, dem Stifft Jung. St. Peter alhier eigenthümlich gehörig. und von den beeden Eheleuthen in lehnung habenden wohn behaußung befunden.
In der Cammer A, Vor dieser Cammer, In der Obern Stuben, Vor dießer Stuben, In der Soldaten Kammer, In der Cammer B, In der Undern: oder barbier Stuben, In der Kuchen, Im Keller
(F.) Sa. anschlags der Vaß und Weins, welche der frawen für unverändert zuständig 31, Silber geschirr und Geschmeids 73, Guldener Ring 33, baarschafft 111, Schuld 25, (…) Summa summarum 546 lb
(M.) Kleidung, Sa. Werckzeugs, Instrumenten vnd andern so Zur barbier: und Wund Artzeneÿ gehörig 62
Jean Daniel Kopp hypothèque la maison au profit de Luc Sébastien Ritter, pasteur de Saint-Nicolas et chanoine à Saint-Thomas
1701 (2.6.), Chambre des Contrats, vol. 574 n° 284
H. Johann Daniel Kopp der Barbierer Und Wundartzt
in gegensein /:tit:/ Herrn Lucæ Sebastian Ritter Pfarrhn. zu St Niclaus und Canonici zu St Thomæ -schuldig seÿe 300 pfund
unterpfand, Eine Barbier Behaußung mit allen deren gebaüen, rechten und Zugehördten, allhier am Metzgergießen einseit neben Christian Borden dem Sattler anderseit neben denen Feÿhelerischen Erben hinden auff d. Würthshauß zum Gertenfisch Und Hn. Isaac Bitto Handelßmann stoßend gelegen
Anne Barbe Hohbuch, veuve de Jean Daniel Kopp acquiert le tiers de maison qui est avenue en héritage à Marie Marguerite Kopp femme du farinier Georges Fuchs
1710 (8.8.), Chambre des Contrats, vol. 583 f° 489
Fr. Anna Barbara geb. Hohbügin weÿl. H. Johann Daniel Koppen gew. Barbirers und Wundartzts mit beÿstand hrn. Nicolaj Anthonÿ Flachen Med. Doct. und Practicÿ wie auch dreÿer des Pfenningthurns ihres H. Curatoris einßen
und andern theils Maria Margaretha geb. Koppin hr. Georg Fuchßen des meelmanns haußfrau
ein dritter theÿl ahne der im Metzgergießen gegen der großen Viehgaßen über einseit neben denen Figlerischren Erben einseit neben denen bardtischen Erben gelegenen Koppischen barbier behaußung cum appertinentÿs von obgedacht. H. Koppen Ihrem leiblichen bruder beneben anderen Sachen erblich zugekommen, darvon aber Ihro Koppischer Wittib als dero geschwistrigen der lebtägige genuß gebühret, alß haben Sie beede Frauen miteinander Verglichen, Nemblich und zum ersten so cediret und übergibt sie Fuchßische hausfrau Ihro Fraun Koppin das eÿgenthum obbem. tertz ged. behaußung mit deren zugehörden und gerechtigkeiten also daß das bem. Eÿgenthum mit dem genuß hiermit consolidirt – um 500 pfund
Anne Barbe Hohenbuch veuve de Jean Daniel Kopp meurt en 1714 dans la maison qu’elle a cédée l’année précédente à Geoffroi Preusser. Elle a institué par testament ses héritiers collaréraux dont la femme de Geoffroi Preusser. sa succession s’élève à 2 395 livres
1714 (18. Xbris), Me Rohr (Daniel, 46 Not 35) n° 1227
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so Weÿlandt die Viel Ehren: und tugendreiche fraw Anna Barbara Koppin gebohrne Hohenbuchin auch weÿlandt deß wohl Ehren vesten, Großachtbahr und Kunsterfahrenen herrn Johann Daniel Koppen geweßenen berühmten Chirurgi und vornehmen barbierer auch burgers allhier zu Straßburg hinderlaßene fraw Wittib, beede nunmehr seelig, nach Ihrem den 12.ten Decembris dießes zu end eilenden 1714.ten Jahs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren, der abgeleibten fraw seeligen per Testamentum instituirte Erben – So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in fernerem gegensein des wohl Edel vest hochgelehrt: und hochachtbahren herrn Nicolai Anthonÿ Flachen hocherfahrenen Medicinæ Doctoris und vornehmen Practici, auch wohlansehnlichen dreÿers des Pfenningthurns burgers allhier Zu ermeltem Straßburg, der abgeleibten fraw seeiigen gewesenen geehrtesten Herrn Vormundts, Dienstags den 18.t Decembris Anno 1714.
Die nun in Gott ruhende Fraw seelig hat per Testamentum Zu Erben instituirt undt verlaßen wie volgt. 1. Die Viel Ehren und tugendreiche fraw Catharinam Ursulam Preüßerin gebohrne Sachsin des Ehrenvest und Wohlvorgeachten Herrn Gottfried Preüßer Kunsterfahrenen Chirurgi undt barbierer burgers allhier Zu Straßburg geliebte fraw Ehegattin, welche auch beneben dero Eheherrn dem Geschäfft persönlich beÿgewohnt. 2. Die Viel Ehren und tugendreiche fraw Annam Mariam Schweickhäußerin gebohrne Schmidin, des Ehren und Vorachtbahren herrn Johann Daniel Schweickhäußer Würths Zum Wildenmann und burgers allhier haußfrau, beÿ der Inventation in persohn erschienen. 3. die Ehren und tugendsahme Jungfrau Mariam Elisabetham Schmidin, Weÿlandt gerrn Marci Schmiden gewesenen barbierers und Wundartzts auch burgers Zu Bischweiler seeligen nachgelaßene Tochter, welche beneben dem Ehrenvesten und Kunstreichen Herrn Philipp Dietrich Kußler barbierer und auch burgern Zu ermeltem Bischweiler Ihrem verlobten herrn brautigamb præsens war, 4. die Ehren und tugendsahme Jungfraw Annam Catharinam Schmidin, 5. die Ehren : und tugendbegabte Jungfraw Evam Magdalenam Schmidin So dann 6. die Ehren und tugendgezierte Jungfraw Mariam Margaretham Schmidin, So dann die Ehren und Tugendgezierte Jungfraw Mariam Margaretham Schmidin, dieße dreÿ der Ehrenachtbahren herrn Cornelÿ Schmidts der zeit Waag Meisters und burgers zu mehr erwehntem Bischweiler eheliche Töchtere, welche auch beneben der ältern Tochter in persohn zugegen geweßen. Und weilen die vier letztere Stämme allhier ohn verburgert als ist in dero Nahmen der Edle Wohl Ehrenveste, fürsichtig, wohlweiß und wohlgelehrte Herr Johann Gerhard von Stöcken E.E. großen Rhats alten anjetzo aber E.E. Kleinen Raths ane Constofflers statt wohlmeritirte Assessor, als auß wohlgedachts E. Kleinen Raths Mittel in specie hierzu deputirte herr Beÿ dem Geschäfft erschienen.
Alle Sechß der abgeleibten frau weeligen Schwester Töchtere und zugleichen portionen und Stämmen Erben
Copia Testamenti nuncupativi
Copia Nachdisposition
In Einer allhier Zu Straßburg ane dem Metzgergießen gelegenen Vormahls der verstorbenen frawen seel. anjetzo aber obgedachtem herrn Gottfrid Preußen eÿgenthümlich zuständigen behausung sich volgender maßen befunden
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. Haußraths 262, Sa. Leere Vaß 1, Sa. Silbers 132., Sa. guldener Ring 49, Sa. baarschafft 354, Sa. Pfenningzinß hauptguths 2000 Sa. Schulden 55, Summa summarum 2854 lb – Schulden 459 lb, Nach deren Abzug 2395 – Conclusio finalis Inventarÿ 2706 lb
N° 1228 – Abtheilungs Concept
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les héritiers non bourgeois doivent régler un droit spécial de succession.
1715, VII 1175 – Livres de la Taille f° 121
(Lucern, F. N° 1456) Weÿl. Frauen Annæ Barbaræ gebohrner Hohenbuchin auch Weÿl. H. Johann Daniel Koppen geweßenen Chirurgi barbiers und burgers alhier hinderlaßener Wittib Verlassenschafft inventirt H. Not. Rohr.
Concl. fin. Inv. ist fol. 75, 2706. lb. 5. ß 3. d, die machen 5400. R, dieselbe verstallte Hiengegen 6000. fl.
Extat das Stallg. pro 1714, 9 lb
Gebott 4 ß
Abhandlung 3. lb 2 ß 6 d, Summa 12. lb. 6. ß 6 d.
dt. 17. april. 1715
Abzug. Jungfrau Maria Elisabetha weÿl. Hn Marci Schmidten geweßenen barbierers zu Bischweÿler hinderlaßene dochter soll von angefallenem Erbe und prælegaten d. 485. lb den Abzug erlegen mit 48. lb. 10. ß 2 d
Ingleichem Hn Cornelÿ Schmidts des Waagmeisters allda dreÿ döchter sollen von 780. lb. ane Abzug 78. lb. 6 d
So dann Johann Christian Burger Gastgeber Zom Schwartzen bähren daselbst soll von 50. lb. d. Legat, 5. lb
Summa d. Abzüge 131. lb. 10. ß 8 d
vide hernacher fol. 194.
Anne Barbe Hochenbuch veuve de Jean Daniel Kopp vend 2 500 livres la maison au barbier Jean Georges Preusser et à sa fiancée Catherine Ursule Sachs en se réservant un droit d’habitation
1713 (17.2.), Chambre des Contrats, vol. 586 f° 97-v
(2369) frau Anna Barbara geb. hochbüchin weÿl. H. Joh: Daniel Kopp wundtartzts und operatoris in hießigem mehreren hospithal wittib beÿständlich S.T. H. Nicolai Antoni flach Medicinæ Doctoris und Practici ihres H. Curatoris
in gegensein Joh: Gottfriedt Preußers deß ledigen Barbierers und Jungfr; Cath: Ursulæ Sachßin seiner sponsæ beÿständlich Georg Friedrich Keck zinngießers
ihre behaußung hoffstatt sambt der Gerechtigkeit der barbier stueb mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier ohnweit der Schindbruck, einseit neben Noë Weber seÿlern anderseit neben deren feiglerischen E. E. hinten auff den Gertenfisch, 124 pfund und einen halben Goldgulden capital (so die käuffer) übernehmen – geschehen um 2369 pfund
worbeÿ verglichen, daß die Käuffere die frau verkäuferin die zeith ihres lebens in dießer behaußung und zwar in deren Zimmeren welche Sie bereits innen hat im mittleren stock wohnen lassen wie auch eine Cammer oben im hauß und den kleinen keller
Jean Geoffroi Preusser auquel l’assemblée des barbiers a remis un certificat de future admission sollicite auprès des Quinze le droit de présenter son chef d’œuvre après s’être marié
1712, XV (2 R 116)
(f° 319-v) Sambstags den 24. Decembris – K. noîe Joh: Gottfried Preißers des ledigen Barbierers Cit. per Sched. E.E. Meisterschafft der Barbierer Alt meister Johann Jurgens, weil principalis ohnlängst des burger rechts post copulationem vertröstet worden und nunmehro Meister werd. will, alß bittet unterth. ihme das Meisterstück nach ordnung auffzugeben undt Ihne ad examen zu admittiren. S. Citatus præs. bittet zu mehrerm bericht deputationem. K. priora. Erk. gebettene Deputation willfahrt. Obere handwercks Hh.
Geoffroi Preusser expose aux Quinze que l’assemblée des barbiers lui a remis un certificat de future admission comme réformé mais qu’elle refuse qu’il présente son chef d’œuvre. Il déclare en outre avoir servi quatre ans et demi dans la boutique du barbier Kopp. Les barbiers répondent que leur refus est motivé par le trop grand nombre des gens du métier mais qu’ils n’ont rien contre la personne du pétitionnaire. Preusser argue que d’autres ont été récemment reçus barbiers, qu’il a l’intention d’épouser une des héritières Kopp et que la boutique est ancienne. Les Quinze lui accordent une dispense moyennant quatre livres.
1713, XV (2 R 117)
(f° 2) Mittwochs den 11. Januarÿ 1713. Gottfried Preißer Ca. E.E. Meisterschafft der Barbierer – Obere Handwercks Hh. laßen per Herrn Friden proponiren es habe vor einigen tagen Gottfried Preißer der ledige Barbierer anbringen laßen daß nach dem Er, als ein der Reformirten Religion Zugethaner, das Burger Rechtens vertröstet word. Er sich beÿ EE. Meistersch. umb d. Meisterst. Zu machen gebührendt angemeldet habe, so ihme aber abgeschlagen worden seÿe. Vndt alß man Ihne ferner angehört, habe derselbe beditten, daß Er in der Koppischen Barbierstub 4 ½ jar servirt habe vndt gleiche gnad wie ander zu erhalten verhoffe. Noê. der Meisterschafft hätten H. Wildt und H. Gratz beditten, Sie wüßten sich wohl Zu errinnern daß es die Meinung gehabt habe, daß der Numerus der Barstuben auff 20. reducirt werden solte, vndt wan den Imploranten in seinem begehren willfahrt werden solte, die anzahl nimmermehr verringert werden würde, zumahlen weilen die frw. Koppin keine Rechtsmäßigen Erben habe, vndt der Barbierer mehr als Zu viel Hier weren, Sie hette, sonsten wider des Klägers person nichts einzuwenden, sondern wolten nur gebetten Haben, Sie beÿ dero articles undt Zwar beÿ dem 14.t gn. Zu manuteniren. Worauff Cläger replicirt undt auff 2. præjudicia als auff H. Mustingers und H Strickers sich beruffen deren der erste der H. Gallus der ander aber H. Londen Barbierstub erhalten hette, (2) die Jenige person so Er heyrathen wolle, der Fr. Koppin einige Erbin, undt nechste anverwanthin seÿe. Solchem nach habe man die bemelte Zweÿ Meister allein genommen undt ihnen remonstriret daß weilen es eine alte Barbier Stub seÿe Sie nicht viel außrichten werden, darauff Sie gesagt daß Sie es Mggherrn überlaßen, undt nur Gebetten haben wolten, der Laden in besten eingedenckh Zu seÿn, deßwegen zu Mghherrn stünde, Ob Sie dem jmploranten gegen erlag 4. lb. in seinem begehren dispensando Willfahren wollen. Erk. Bedacht gefolgt.
Le barbier et chirurgien réformé Jean Geoffroi Preusser, originaire d’Eiffingen dans le comté de Diez (près de Limbourg), épouse en 1713 la luthérienne Catherine Ursule Sachs : contrat de mariage, célébration, accession à la bourgeoisie
1713 (17.2.), Chambre des Contrats, vol. 586 f° 99-v
Eheberedung – persönlich erschienen Johann Gottfried Preüßer beÿständlich Friderich Kecken Zinngießers alß hochzeiter einßen,
v. andern theils Jfr. Catharina Ursula Sachßin beÿständlich H Nicolai Anthoni Flach. Med. Doctoris vnd Practici, alß Sponsæ
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 136, n° 9)
Mitwoch post Ocul. d. 22. Martj 1713. seind nach Zweÿmahliger offentlichen Außruffung in der Pfarrkirchen zu St. Nicol. in Straßburg Ehelich copulirt Vnd eingesegnet worden, H Gottfriedt Preußer, Ref. Relig. der ledige Barbierer Vnd Chyrurgus alhier, Johann Preußers deß Metzgers Undt burgers Zu Eÿffingen in der Graffschafft Dietz, Ehelicher Sohn, Vnd Jfr. Catharina Ursula Sachßin, weÿl. Wilhelm Sachßen, geweßenen Schreiners und burgers alhier hinterlassene Ehel. tochter, welches bezeugen [unterzeichnet] Gott Friedt Preusser alß hochzeiter, Catharina Ursla sachsin als hochzeiterin (i 140)
1713, 4° Livre de bourgeoisie p. 796
H. Gottfried Preußer barbierer Von Eiffingen, Johannes Preußer Metzgers daselbst sohn, epf. das burgerrecht Von s. Fr: Catharina Ursula Sachßin pro 2. gold fl. 16. ß. Wird Zur Lucern dienen. Jur. d 3. Dito [Aprilis] 1713
Inventaire après décès d’un locataire, le marchand Jean Kast
1716 (11.9.br), Me Rohr (Daniel, 46 Not 40) n° 1357, 1361
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung, so Weÿl. der Ehren V. Wohlvorgeacht Herr Johannes Kast geweßen handelßmanns und burgers allhier nunmehr seel.
In einer allhier ane dem goldgießen gelegenen H. Joh: Gottfried Preußer eÿgenthümlich zuständigen behaußung sich Volgender maßen befunden
1361, Verkauff und Looß Registerlein
Jean Geoffroi Preusser meurt en 1727 en délaissant deux fils. Les experts estiment la maison 1 200 livres. La masse propre à la veuve s’élève à 357 livres, celle des héritiers à 1 151 livres. L’actif de la succession s’élève à 304 livres, le passif à 1 029 livres.
1728 (13.4.), Me Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 56)
Inventarium und beschreibung aller Haab, Nahrung und güetere, so weÿland der Ehrenvest vorachtbar und Kunstgelehrte Herr Johann Gottfried Preußer, geweßener wohlberühmter barbierer und wundartzt auch burger allhier zu Straßburg nunmehr seel. nach Seinem den 1. 9.bis Nechst verstrichenem 1727.sten Jahrs aus dießem mühesamen leben genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche vff freundliches ansuchen, erfordern und begehren des Ehren vorgeacht und Wohlachtbahren Hern Johann Samuel Schallen, Satlers und burgers alhie, alß geordnet und geschworenen Vogts Johann Gottfried und Johann Friderich Breüßers des verstorbenen seel. mit hernach benandter seiner hinderbliebenen wittib ehelich erzeügter Söhne und ab intestato verlaßener Erben, ersucht, durch die viel Ehren und tugendreiche Fraw Catharinam Ursulam Preüßerin gebohrne Sachßin die hinderlaßene fr. wittib mit assistentz des auch Ehren vorgeachten Harrn Johann Philipp Astheimers weinhändlers und burgers alhie dero geodneten Curatoris (geäugt und gezeigt) – So beschehen in Straßburg, Dienstags den 13. Aprilis 1728.
Eheberedungs copeÿ (…) mit unserm anhangend. Cancelleÿ Contract Insigel verwahren laßen, welche auffgerichtet word. ist am 17. tag des Monats febr. Anno 1713.
In einer allhier zu Straßburg ane dem Metzger Gießen gelegenen und in dieße Verlassenschafft gehöriger behaußung ist bedunden worden, wie folgt
Höltzen: und Schreinwerck. Auff der bühn, In der Kräuter Cammer, In der Magd Cammer, In der Gesellen Cammer, Vor dießer Cammer, In der so genandten Haßen Cammer, Im kleinen Stübel, Im zweÿten Hauß Ehren, In der Mittlern Stub, In der barbier Stub, In der Kuchen, Im Keller
(f° 12) Eigenthumb ane einer behausung (W.) Ein halber theil vor ungetheilt von Vnd ane einer behaußung hoffstatt und bronnen samt allen ihren gebäwen, begriffen, weiten, rechten, Zugehörd. u. Gerechtigkeiten, gelegen allh. Zu Straßburg ohnweit der Schindbruck, 1.s neben Meister Joh. Noæ Weber, dem Seÿler, 2.s neben H N. Feÿler dem Specirer, hinten auff das Würths hauß Zum Gertenfisch stoßend. Davon Nemblichen von der gantz. behausung gehen Jährl. 5. lb 4 ß 4 d Zinß resp. dem Waÿßenhauß und denen Wormserischen Erben so nunmehr H. Joh. Ernst Beck dero Schaffner empfangt, ist in hpt. Guth abzulösen mit 124. ½ Gold Gulden th. in courant Geld dem Zinß nach à 4 pro Cento gerechnet 130. lb 10. ß, Ferner 26. lb Zinß auff Joh. Bapt: Fr. Maria Elisabetha Cusslerin gebohrner Fischerin et Consorten, der Fr. Wittib Geschwüstrig Kindern, in haupt Guth ablößig mit 650. lb. Sonsten ledig und eigen, durch die Geschwornen Werckmeister, allh. Vermög Schatz Zeduls de dato 16. Aprilis. 1728. über vorstehende beschwerden zu hiehero gehörig helffte æstimirt 209. lb 15. ß.
Darüb. und Zwar üb. das gantz hauß an welchem die übrige helffte denen Erben Zuständig bes. i. teutsch. perg. in allhießiger C. C. Stub gefert. u. mit dero anhang. Ins. verw. datirt den 17. febr. 1713. Darbeÿ ferners ein alter Perg. Kbrief, auch mit der Contractstub anhang. Innsigel bekräfftiget, datirt den 1. 7.bris 1698.
(f° 13) Eigenthumb ane einer behaußung So der Erben unverändert (E.) Item der halbe theil vor vngetheilt ane Hauß, hoffstatt und bronnen /:davon der übrige halbe theil in der Wittib unveränderten Nahrung gehörig:/ gelegen alhie zu Straßburg in dem Metzger gießen, einseit neben Johann Noæ Weber dem Weber, dem Seÿler, anders. Herrn (-) Feigler dem Specirer, hinten auff den Gertenfisch stoßend. Und gehen von der gantzen behausung Jährlichen 5. lb 4 ß 4 d Zinß zu ungleichen theilen dem alhießigen Waÿßenhauß und resp. denen Wormserischen Interessenten, so dermahlen H Schaffner Beck empfang ist in Haupt Guth abzulösen mit 124. ½ Gold Gulden, theils in Courrant Geld dem Zinß nach gerechnet à 4 pro Cento 130. lb 10. ß, Item 26. lb Zinß auff Johannis Bapt: Frauen Mariæ Elisabethæ Cußlerin gebohrner Fischerin et Consorten, der Wittib Geschwüstrig Kindern und Anverwanthen, in hauptguth ablößig mit 650. lb. Sonsten ledig und eigen, durch der Statt Straßburg Geschwornen Werckmeister über vorstehende beschwerden vermög der übersandten und beÿ mein des Notarÿ Concept befindlichen Schatz Zeduls de dato 16. Aprilis. 1728. annoch æstimirt 419. lb 10. ß. Daran gebühret denen Erben wie bereits oben erwehnt die helffte, macht so hiemit auß zu werffen 209. lb 15 ß.
Vnd besagt über Hie vorgeschriebene gantze Behaußung cum appertinentiÿs ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contractstuben gefertiget und mit deroselben anhang. Insigel verwahrt. datirt den 17. Februarÿ 1713. weißet welcher gestalten der verstorbene Herr seel. vnd die fraw wittib obiges barbierhauß noch ante nuptias Zu gleichen antheiler, von weÿl. Frauen Anna Barbara Koppin gebohrner Hochbuchin seel. ane sich erhandelt. Darbeÿ ferners ein alt. Perg. Kbrief 1. 7.bris 1698.
(f° 16) Ergäntzung, Laut Inventarÿ (…) zugebrachter Nahrungen, durch weÿl. herrn Daniel Rohren notarium seel. den 4. Decembris 1713. auffgericht
(f° 19) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Fraw Wittib unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 50, Sa. der Instrumenten, Schiff v. Geschirrs zur barbier Kunst gehörig 8, Summa des Silbers 3, Sa. der Guldenen Ring 10, Sa. des Eigenthums ane einer behaußung 209, Sa. der Activ Schulden, Summa summarum 357 lb
Dießem nach würd auch der Erben unverändert guth beschrieb. Sa. haußraths 24, Sa. der leeren Vaß 8, Sa. der Instrumenten, Schiff v. Geschirrs zur barbier Kunst gehörig 4, Summa des Silbers 23, Sa. der goldenen Ring 6, Sa. des Eigenthums ane einer behaußung 209, Sa. der Ergäntzung 949, Summa summarum 1226 lb – Schulden vide fol. 12.b, Nach solchem abzug 1151 lb
Endlichen volgt auch die Consignation des Gemein, Veränderten und theilbaren guths, Sa. hausraths 56, Sa. der Wein und Vaß 14, Sa. der Silbers 7, Sa. der Schulden 224, Summa summarum 304 lb – Schulden 1029 lb, Übertreffen also die Theilbahre Passiva die theilbare Verlassenschafft umb 725 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 758 lb
La veuve de Jean Geoffroi Preusser loue une partie de la maison à Joseph Barbelin, employé à la halle
1728 (15.3.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 106-v
weÿl. H. Gottfried Preußer gewesten Chirurgi wittib Catharina Ursula geb. Sachßin so ohnbevögtigt beÿständlich Johann Samuel Schall Sattlers
in gegensein Joseph Barbeling Kauffhaußknechts
In ihrer allhier ahm Metzger gießen ohnfern der haubtwacht einseit neben Noa weber anderseit ist ein Eck hinten auff H. Feiglerin Büttner Specirer gelegenen behausung Eine stiege hoch Stueb Kammer Kuchen, zweÿ stiegen hoch eine Kammer, In dem großen Keller rechter hand die gantze seith, die erste bühn zum holtz zu legen – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend von nächst kommenden Joh. Baptistæ fürwährenden jahrs, um einen jährlichen Zinß nemlich 48 gulden
Catherine Ursule Sachs meurt en 1729. L’actif de la succession s’élève à 710 livres, le passif à 222 livres. En pièce jointe, un contrat de location au profit du barbier Zisig
1729 (22.8.), Me Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 59)
Inventarium und beschreibung aller Haab Nahrung, so Weÿl. die Viel Ehren und tugendbegabte Frau Catharina Ursula Preißerin gebohrne Saxin auch weÿland des Wohl Ehrenvesten und Kunsterfahren Herrn Johann Gottfried Preisers gewesenen Chirurgi und burgers alhier hinterlaßene Frau Wittib nunmehr seel. nach ihrem den 12. Augusti jüngsthien aus dießem mühesahmen leben genommenen tödlichen ableiben, zeitlichen verlaßen, welche auff freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren, des Ehren vorgeachten und Wohlachtbahren Herrn Johann Samuel Schallen, Sattlers und burgers allh. Zu Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts Johann Gottfried und Johann Friderich Preißers, der abgeleibten Fr. seel. mit hie vorernandten ihrem zuvor verstorbenen Haußwürth ehelich erzeugter Söhn und ab intestato verlaßener Erben ersucht – So beschehen in Straßburg Montags den 22. Augusti Anno 1729
In einer allhier zu Straßburg ane dem Metzger Gießen gelegener und in dieße Verlassenschafft gehöriger behaußung ist befunden worden, wie folgt
Höltzen: und Schreinwerck. Auff der bühn, In der Kräuter Cammer, In der Schwartzen thuch Cammer (…)
(f° 13-v) Eigenthumb ane einer behausung. Item hauß, hoffstatt und bronnen mit allen deßen rechten, begriffen, Zugehörd. u. Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg in dem Metzger Gießen, einseit neben Meister Johann Noæ Weber dem Seÿler, anderseit Herrn Johann Georg Feÿler, dem Specirer, hinden auff den Gertenfisch stoßend. Davon gehen Jahrs 5. lb 4 ß 4 d Zinß, zu ungleichen theilen dem alhießigen Waÿßenhauß und resp. denen Wormserischen Interessenten, so H Schaffner Beck empfang, ist in Haupt Guth abzulösen mit 124. ½ Gold fl., theils in Courrantgeld, dem Zinß nach gerechnet, à 4 pro Cento 130. lb 10. ß, Item 24. lb. Zinß auff Johannis Baptistæ Herrn Cornelÿ Schmiden, wagmeisters zu bischweiler dreÿen döchtern Nahmentlichen Annæ Catharinæ, Evæ Magdalenæ und Mariæ Margarethæ Schmidin der Fraw seel. Schwester Kindern Jährlichen auff Annunciationis Mariæ ablößig in restirenden Capital, weilen die Fraw seel. tempore Viduitatis 50. lb abgelöst, mit 600 lb. Sonsten ledig und eigen, durch d. Statt Straßburg geschwornen Werckmeister über Vorgeschriebene onera nach Absterben H Johann Gottfried Preußers der Fraw seel. Zuvor verstorbenen Ehemanns seel. beÿ deßen Verlassenschaffts Inventur den 16. Aprilis. 1728. æstimirt, darbeÿ es auch dermahlen mit rechnung der vff erwehnte behausung bezahlte 50. lb, wieder gelaßen Worden Per 259 lb
Vnd besagt über Vorstehende Behaußung ein teütscher Perg. Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contractstuben gefertiget, und datirt den 17. Febr: 1713. Darbeÿ ferners ein alter teutsch. Perg. Kauffbrief in ermelter Contractstuben gefertiget, und datirt den 1. 7.bris 1698. befindlich
(f° 18) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 170, Sa. der Instrumenten, Schiff v. Geschirr auch Med: zur barbier K: gehörig 18, Summa des Silbers 38, Sa. der Guldenen Ring 20, Sa. der baarschafft 18, Sa.des Eigenthums ane einer behaußung 259, Sa. der Schulden 146, Summa summarum 710 lb – Schulden 222 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 487 lb
(Joint) Straßburg d. 24: 8.bris 1729. der acort wegen der Preußrischen barbierstub ist folgenter gestalt mit herrn Zißig dem barbirer und Chirurgus getroffen Word Erstlich hat er unden auff dem boden die barbier stub Küch den fordern Kleinen Keller gleich Wan man die stiegen hin ab Kombt die bauch Küch aber ist mit den haußleuthen ins gemein,
Zweitens hat er auff dem 2.ten stock Zweÿ Kammer und Eine stub, auff dem 3.ten stock wan man die stiege hin auff kombt noch Eine Kamer
3.t die biehnen im hauß Wie sie von der seel. frau Preußerin gebraucht worden alle ohne was H Barbelin, in seinem Zinß hat auß genohmen
4.ten Verspricht Er Jährlich darvor 80. fl. mit dem anhang alle Zeit Ein Viertel Jähigen Zinß Vor auß Zu bezahlen, umb diß Vogts seiner sicherheit, so bald aber 2 Zinß zusammen Kämen will der Vogt nicht mehr an die lehnung gebunden sein
5.t Verspricht Johann Samuel Schall als Vogt 9 Jahr lehnung mit dem anhang daß der Preußischer Sohn Johann Gottfried in den 2 letzten Jahren als gesell in der barbierstub servieren Soll
Le tuteur des deux enfants Preusser loue la boutique de barbier et d’autres localités de la maison au chirurgien et perruquier Jean Léonard Ziesig (le contrat correspond à celui joint à l’inventaire)
1729 (24.10.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 490-v
Johann Samuel Schall der Sattler als geschworner vogt weÿl. Johann Gottfried Preußer gewesten Chirurgi mit auch weÿl. Fr. Catharina Ursula geb. Sachßin erzeugt und nachgelaßener zweÿ Kinder Johann Gottfried Preußer Barbiergesellen und Johann Friedrich Preußer mit beÿstand und zuziehung zu letst verstorbenen Preußerischer wittib gewesten vogt H. Johann Philipp Astheimer des weinhändlers
in gegensein Johann Leonhard Ziesig des Chirurgi und Perruquenmachers
In der Preußerischen allhier im Metzger: gießen gegen der Hauptwacht über einseit neben Johann Noâ Weber dem Seÿler anderseit neben Feigler dem Specirer hinten auff die gastherberg zum gerttenfisch gelegenen Barbierbehausung unten auff dem boden die Barbier stueb die Kuchen den vordern kleinen gleich under ahn der Kellerstieg befindlichen keller, den gemeinschaftlichen gebrauch der bauchkuchen, Ferner zwo stiegen hoch zwo Kammern und eine Stueb, weither dreÿ stiegen hoch gleich wann mann hinauff kombt eine Kammer so dann alle Bühnen, und alßo alles Barbeling der Kauffhauß knecht lehnungsweiße besitzet – auff 8 nacheinander folgenden jahren anfangend von nächst kommenden 1. nov. fürwährenden jahrs, um einen jährlichen Zinß nemlich 45 gulden
Registre de vente des meubles devant la maison
1729 (2. 9.br), Me Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 60)
Verkauff Register Über Weÿland Frauen Catharinä Ursulä Preißerin gebohrner Saxin, auch weÿl. H. Johann Gottfried Preißers, geweßenen Chirurgi und burgers allh. zu Straßburg seel. hinterlassener Fr. Wittib nunmehr auch seel. nach tod verlaßene und distrahirte Mobilia
(…) auf ansuchen erfordern und begehren, des Ehren vorgeachten Herrn Johann Samuel Schallen, Satlers und burgers Zu Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts Johann Gottfried und Johann Friderich Preüßers, der abgeleibten frawen seel. mit vorernandten ihrem zuvor verstorbenen haußwürth ehelich erzeugter Söhn, (…) vor dem Sterbhauß im Metzger gießen
Mittwochs den 2. Novembris Anno 1729
Le tuteur des deux enfants Preusser loue la maison au chirurgien Frédéric Théophile Seupé
1732 (29.6.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 299-v
Johann Samuel Schall, Sattler als geschworner Vogt weÿl. Johann Gottfried Preußer gewesten Chirurgi mit auch weÿl. Fr. Catharinæ Ursulæ geb. Sachßin erzeugter zweÿer Kinder Johann Gottfried Preußer, Barbiergesellen, und Johann Friedrich Preußer
in gegensein H. Friedrich Gottlob Seupé auch Chirurgi
Entlehnt, die Preußische allhier im Metzgergißen gegen der hauptwacht über einseit neben Johann Noë Weber dem seÿler anderseit neben H. Fiegler dem Specirer hinten auff die Gastherberg zum Gerttenfisch, mit allen derselben gebäuden, begriffen, zugehörden und rechten – auff 9 nacheinander folgenden jahren anfangend von Michaelis fürwährenden jahrs, um einen jährlichen Zinß nemlich 64 pfund
Le tuteur rend compte de la gestion des biens qui appartiennent à ses pupilles. La maison qui était auparavant louée à Jean Léonard Zisig et à Barbelin est occupée depuis la Saint-Michel 1732 par Frédéric Théophile Seupé
1738 (9.2.), Me Oelinger (J. Jacques, 35 Not 36) n° 1111 (1065)
Rechnung Mein Johann Samuel Schallen, Sattlers und burgers allhier zue Straßburg, als geordnet und geschworenen vogts weÿland herrn Johann Gottfried Preußers gewesenen Chirurgi und Wundartzten auch burgers zu gedachtem Straßburg mit nun auch weÿland Catharinæ Ursulæ Preußerin gebohrner Saxin seiner hinterbliebener Wittib erziehlter zween Söhnen Nahmens herrn Johann Gottfrieden leedigen Chirurgi undt Johann Friderichen leedigen Sattlergesellen, Innhaltend undt außweißend alles das Jenige, was ich Ihrentwegen Von Annunciationis Mariæ 1732 biß den 1° februarÿ 1738. Eingenommen Und hingegen wieder außgegeben habe. Zweÿte Rechnung dißer Vogteÿ.
Corpus Jährlich Zugewarten habenden hauß laaden und Kasten Zinnßes so meinen beeden Vogts Söhnen Ins gemein gehörig. Erstlichen gibt Hr Friderich Gottlob Saupé der Chirurgus und burger allhier Zue Straßburg von der gantzen den beeden Curanden eÿgenthümblich zuständigen Elterlichen behaußung im Metzgergießen nahe beÿ der Hauptwache gelegen, quartaliter und auf Weÿhenachten 1732. erstmals Zu bezahlen, vor einen Jährlichen Zinnß 128. fl. oder 64. lb
Nota Vorhien und zwahr biß auf Michaelis 1732 war dieße behaußung Von Zween beständern bewohnet, Vnd davon Johann Leonhard Zÿßig der barbierer und peruquenmacher der eine war, so zu Jährlichen zinße richte 40 lb. der andere aber hat geheißen Hr Barbelin und gab ane haußzinnß 24 ln (zusammen) 64 lb
Le tuteur des enfants Preusser loue la maison au chirurgien Jean Geoffroi Spiller
1740 (29.10.), Chambre des Contrats, vol. 614 f° 528
H. Johann Samuel Schall der sattler als vogt der Preußerischen kinder Johann Gottfried Preußer des barbiergesellen und Johann Friedrich Preußer des Sattlersgesellen
in gegensein H. Johann Gottfried Spiller des Chirurgi
entlehnt, Eine Barbiergerechtigkeit im Metzgergießen einseit neben Johann Noë Weber dem seÿler anderseit neben H. Feigler dem Specirer hinten auff gastherberg zum gerttenfisch – auff 4 nacheinander folgenden jahren anfangend von jüngst verfloßenen Michaelis – um einen jährlichen Zinß nemlich 64 pfund
Le tuteur rend son dernier compte de la gestion des biens qui appartiennent à ses pupilles. La maison est louée au chirurgien Jean Geoffroi Spiller, une boutique à la veuve du marchand de fer Jean Charles Schæffer et un étal à Jean Geoffroi Debus
1744 (14.7.), Me Oelinger (J. Jacques, 35 Not 45) n° 1334 (1290)
Schlußrechnung Inhaltendt Was nun weÿland Johann Samuel Schall Sattler und burger allhier Zue Straßburg, Unßer geliebter Vatter seel. alß geweßener Vogt H. Johann Gottfried Preußen leedigen Chirurgi und H. Johann Friderich Preußen ledigen Sattlers beeder Gebrüdere von Weÿhenachten 1741. biß den 14. Julÿ 1744 alß seinem absterben Ihrentwegen Eingenommen Und hingegen wieder außgegeben, Von deßen hinterbliebenen Kindern und Erben abgelegt.
Corpus Jährlich Zugewarten habenden hauß Zinnß der beeden Preußerischen Hh. brüdern ins gemein gehörig. Erstlich Zalt Hr Joh: Gottfriedt Spühler der Chirurgus modo deßen hinterbliebene wittib von der völligen am Metzgergießen nahe beÿ der Hauptwacht gelegenen behaußung Jährlich auf Weÿhenachten verfallend 128. fl. oder 64. lb
It. 4. lb 10. ß d reicht auch vierteljährig weÿl. H Johann Carol Schæfer deß Eißenhändlers allhir seel. hinder laßene fr. Wittib, von einem zu vorher erwehnter behaußung gehörigem und Ihro verlehntem laaden thut deß Jahrs 18. lb
It. Joh: Gottfried debus, modo deßen hinterbliebene Wittib ane Jährlichem Stand zinnß loco der ehemahligen zu lüfern gehabten 8. lb d dermahlen und Zwahr seith Ostern 1744. inclusive nur 6. lb
Le chirurgien Geoffroi Preusser loue la maison à Marie Dorothée Buck veuve du chirurgien Jean Geoffroi Spiller, à l’exception de la boutique louée à la marchande de fer Schæffer
1745 (15.2.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 86-v
H. Gottfried Preußer der Chirurgus
in gegensein Fr. Mariæ Dorotheæ geb. Buckin weÿl. H. Johann Gottfried Spiller des Chirurgi wittib, mit beÿstand ihres vatters Johann Philipp Buck des schreiners
verlehnt, die Preußerische im Metzgergießen gegen der hauptwacht über einseit neben Johann Noe Weber dem seÿler anderseit neben H Johann Georg Feigler dem Specirer hinten auff der Gastbehausung zum Gertenfisch stoßend gelegen barbierbehausung, nichts davon als den an Schäfferischen wittib verlehnte Eisen laden nebst einem vor dem hauß befindlichen stand ausgenommen – auff letzt abgewichenen weÿhnachten – um einen jährlichen Zinß nemlich 64 pfund
Le sellier Jean Frédéric Preusser cède la moitié de la maison à son frère Jean Geoffroi moyennant 1 450 livres
1747 (1.4.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 237
Johann Friedrich Preußer der sattler
in gegensein seines bruders H. Johann Gottfried Preußer des chirurgi
die unverheilte helffte ane einer behausung und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehör und rechten im Metzgergießen, einseit neben Noe Weber des seÿlers wittib, anderseit neben H. Johann Georg Feigler dem handelsmann, hinten auff die Gastbehausung zum Gertenfisch – die andere helffte aber dem Cessionnario gehörig – um 124 gulden verhafftet, geschehen um 1325 pfund
L’acquéreur loue le même jour une partie de la maison au vendeur. Le contrat pévoit des clauses au cas où le propriétaire souhaiterait habiter lui-même la maison
1747 (1.4.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 239
H. Johann Gottfried Preußer de chirurgus
in gegensein seines bruders Johann Friedrich Preußer des sattlers
verlühen, in sein des verlehners eigenthümlich im Metzgergießen einseit neben Noe Weber des seÿlers wittib, anderseit neben H. Johann Georg Feigler dem handelsmann gelegenen behausung das theil keller so jetzo Gilet dem schneider inne hat, das eisenladen, der gemeinschaftliche gebrauch der bauchkuchen, die zimmer im ersten stock bestehend in stub, stub kammer und küchen, die hinterste kammer im dritten stock, so dann die zweÿ oberste bühnen, falls aber der verlehner das hauß bewohnen wollte, so solle der entlehner statt der stub und stub kammer im ersten stock in der hinteren kammer im dritten stock haben im zweÿten stock und die erste kammer im dritten stock – auff 18 nacheinander folgenden jahren, anfangend auff auff nächst künfftigen Johannis Baptistä – um einen jährlichen Zinß nemlich 90 gulden
Jean Geoffroi Preusser hypothèque la maison au profit de l’ancien aubergiste Abraham Wibmar pour en régler le prix d’achat
1747 (6.4.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 244-v
H. Johann Gottfried Preußer der chirurgus
in gegensein H. Abraham Wibmer des vormaligen gastgebers, zu bezalung des cessions schillings der helffte hiernach beschriebener behausung – schuldig seÿe 825 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt cum appertinentis im Metzgergießen einseit neben weÿl. Noe Weber des seÿlers wittib, anderseit neben H. Johann Georg Feigler dem handelsmann, hinten auff die Gastbehausung zum Gertenfisch – theils als ein vätterlichen erb theils als ein von ermelten seines bruder ihme am 1. hujus cedirtes guth (…) sein bruder Frédéric Preußer der sattlermeister
Jean Geoffroi Preusser demande à la tribu de la Lanterne d’enregistrer l’apprentissage qu’il a fait auprès de son père
1729, Lanterne (XI 211)
Dienstags den 20. Decembris 1729
Johann Gottfried Preußer erscheint bitt auff Mich: 1726. bereits beÿ seinem vatter seel. außgestandener Lehrjahr verschreibung. Erkand willfahrt (dt. 1 l 10. ß)
Jean Geoffroi Preusser épouse en 1750 Catherine Marguerite Meyer, fille de l’aubergiste à la Ménagerie : contrat de mariage, célébration
1750 (22.1.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 425) f° 164
(Eheberedung) ent zwischen dem Ehrenvest, Großachtbahr und Kunsterfahren, herrn Johann Gottfried Preußer dem Ledigen Chirurgo und burgern allhier Zu Straßburg, Weÿland des Ehrenvest, großachtbahr und Kunsterfahrenen herrn Johann Gottfried Preußers, auch geweßenen berühmbten Chirurgi und burgers allhier mit auch Weÿland der Viel Ehren und tugendbegabten Frauen Catharina Ursula gebohrner Sachßin, beeder längst seeligen ehelich erzeugten hinterlaßenem Sohn als dem herrn bräutigamb an einem,
So dann der Viel Ehren: und tugendreichen Jungfrauen Catharina Margaretha Meÿerin, Weiland des Ehrenvest und Wohl Vorachtbahren herrn Johann Theobald Meÿers geweßenen Gastgebers Zum Thiergarthen und burgere allhier, mit auch Weÿland der Viel Ehren und tugendbegabten Frauen Maria Margaretha gebohrner Bahlin, beeder nunmehr seeligen ehelich erzeihlter hinterlaßener tochter als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern Theil – So beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 22. tag des Monats Januarÿ in dem Jahr als mann nach der Gnadenreichen und allein Seeligmachenden Geburth unßers Einigen Erlößers und heÿlandes Jesu Christi Zahlte 1750. [unterzeichnet] Johann Gottfried Preusser [lat.] als Hochzeiter, Catharina Margaretha Meÿerin als Hochzeiterin
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 99, n° 3)
1750. Mittw. den 25. Febr. wurden nach zweÿmahl vorher geschehener Proclamation, in der Evangelischen Pfarrkirche Zu St. Nicolai, in den Stand der H. Ehe eingesegnet Herr Johann Gottfried Preusser, der ledige Chirurgus und burger allhie, weÿl. H Johann Gottfried Preusser, geweßten Chirurgi und burgers allhie Hinterlassener ehel. Sohn, und Jgfr. Catharina Margaretha Meÿerin Weÿl. H. Johann Theobald Meÿer, geweßten Gastgebers und burgers allhie hinterl. ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Gottfried Preußer als Hochzeiter, Catharina Margaretha Meÿerin als hochzeiterin (i 101)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari
1750 (15.10.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 373) f° 420
Inventarium über des Ehren Vest, Großachtbahr und Kunsterfahrenen herrn Gottfried Preußers berühmbten Chirurgi und der viel Ehren und tugendbegabten Frauen Catharinä Margarethä Preußerin, gebohrner Meÿerin, beeder Ehegatten und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen – welche der ursachen alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe den 22. Januarÿ jüngst mit einander auffgerichteten heuraths Verschreibung expresse enthalten, daß eines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle – So beschehen in Straßburg in fernern beÿsein S.T. herrn Isaac Ottmanns Medicinæ hocherfahrenen Doctoris und berühmten Practici, der Ehefrauen noch ohnentledigten Herrn Curatoris auf Donnerstag den 15.ten Octobris Anno 1750.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Metzgergießen gelegenen dem Eheherrn eigenthümlich zuständigen hieunden eingetragenen behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung (H.) Eine behaußung und hoffstatt sambt der gerechtigkeit der barbierstub mit allen übrigen deren gebäuen, begriffen, weithen, Rechten, zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ohnweit der Schindbruck ane dem Metzgergießen, einseit neben Johann Heinrich Weber dem Seÿler, anderseit neben herrn Johann Georg Feigler dem handelßmann, hinden auf den gertenfisch stoßend, so über die hernach beÿ dene Passivis beschriebene darauff hafftende Capitalia freÿ Ledig eigen und dißorths mit allerseith zum belieben ohne anschlag gelaßen. Welchergestalten herr Johann Gottfried Preußer der Chirurgus und Jungfer Catharina Ursula gebohrne Sachßin seine damahlige Sponsa des Eheherrn geliebte Eltern dieße behaußung Von Frauen Anna Barbara gebohrner hochbuchin Weÿland herrn Johann Daniel Kopp gewesenen Wundartzten und operatoris in hießigem Mehren Hospithal nachgelaßener Wittib ane sich erkaufft, weißet ein teutscher pergamentener in allhiesiger Cancelleÿ Contract Stub gefertigter Kauffbrieff, mit dero anhangendem Insiegel corroborirt, de dato 17.ten Februarÿ Anno 1713. Und hat der Eheherr an solcher behausung die eine helffte von gedachten seinen geliebten Eltern ererbet, die andere helffte von seinem bruder Herrn Johann Friderich Preüßer Ledigem Sattler in Anno 1746. Käufflich angenommen
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn in die ehe gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 147, Sa. Vasorum et instrumentorum Zur Chirurgie und barbier kunst gehörig 85, Sa. Bibliothec 122, Sa. Silbers 53, Sa. baarschafft 20, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung Nihil, Sa. Schulden 83, Summa summarum 313 lb – Darzu ist zu rechnen die Ihme gebührige helffte ane denen haussteuren 69. lb, des Eheherrn völlig in die Ehe gebracht gut 582. lb – Schulden 2481. lb
Dießemnach wird nun auch der Ehefrauen in die ehe gebrachte Nahrung beschrieben. Sa. haußraths 55, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 44, Sa. Goldener Ring und Geschmeids 67, Sa. baarschafft 630, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 500, Summa summarum 1296 lb – Hierzu Kombt ferner der Ihro gebührig halbe theil ane denen verehrten haussteuren 69, Der Ehefrauen Völligen in die Ehe gebracht Vermögen 1365. lb
Jean Geoffroi Preusser hypothèque la maison au profit du banquier Jean de Turckheim
1753 (1.6.), Me Humbourg (6 E 41, 89)
Obligation – Sr Jean Godefroy Preusser Bourgeois chirurgien de cette ville y demeurant
au Sr Jean de Turckheim Banq.r Bourgeois de cette ville, 800 livres tournois
hypothèque sa maison avec ses appartenances droits et dépendances Scituée en cette ville Egout des Bouchers, la veuve Feigler March.de Epicière d’une part henry Weber Cordier d’autre et par derrière le cabaret de la Carpe bridée
Inventaire des biens de Jean Geoffroi Preusser et de Catherine Marguerite Meyer qui demande le bénéfice de cession. La maison y est portée pour une valeur de 2 500 livres
1756 (16.8.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 387) n° 673
Inventarium über Herrn Gottfried Preußers des Chirurgi und Frauen Catharinä Margarethä Preußerin gebohrner Meÿerin beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg dermahlen besitzende activ und passiv Nahrung, aufgerichtet Anno 1756. – welche der Ursachen alldieweilen sein herrn Preußers habende Nahrung mit Zimblichen Passivis behafftet und dahero Sie Frau Catharina Margaretha Preußerin gebohrne Meÿerin die Ehefrau unter assistentz S. T. Herrn Philipp Jacob Boch J U. Ddi und hießiger Cancelleÿ Verwanthen, Ihres geordnet und geschworenen herrn Curatoris ad Lites beÿ E. E. kleinen Rath das Beneficium Cessionis unterthänig Zusuchen gesinnet – So beschehen in Straßburg auf Montag den 16. Augusti Anno 1756.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Metzgergießen gelegen in dieße Nahrung gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung (M.) Eine behaußung und hoffstatt, sambt der barbierstub, mit allen übrigen deren gebäuen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ohnweit der Schindbruck ane dem Metzgergießen, einseit neben Johann Heinrich Weber dem Seÿler, anderseit neben Weÿland herrn Johann Georg Feiglers, des handelßmanns seel. Erben, hinden auf die Gast behaußung zum Gertenfisch stoßend, so Vor freÿ Ledig und eigen dißorths ohnpræjudicirlich angeschlagen pro 2500. lb. Welchergestalten herr Johann Gottfried Preußer, der Chirurgus und Jungfer Catharina Ursula gebohrne Sachßin, seine damahlige Sponsa, des Ehemanns geliebte Eltern dieße behaußung Von Frauen Anna Barbara gebohrner hochbuchin, Weÿland herrn Johann Daniel Kopp, gewesenen Wundartzten und operatoris in hießigem Mehren Hospithal nachgelaßener Wittib ane sich erkaufft, weißet ein teutscher pergamentener in allhiesiger Cancelleÿ Contract Stub gefertigter Kauffbrieff, mit dero anhangendem Insiegel corroborirt, de dato 17.ten februarÿ Anno 1713. Woran der Ehemann Von gedachter seinen seinen geliebten Eltern die helffte ererbet, die andere helffte aber von seinem bruder Herrn Johann Friderich Preüßer Ledigem Sattler in Anno 1746. Käufflich angenommen.
Ergäntzung der Ehefrauen angegangenen ohnveränderten Guths. Vermög Inventarÿ (…) durch mich Notarium in Anno 1750. aufgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung – Der Ehefrauen ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 38, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 17, Sa. Schulden 100, Sa. Erg. 1290, Summa summarum 1446 lb
Dießemnach wird nun auch des Ehemanns ohnverändert und theilbare Nahrung unter einer Massa geschrieben. Sa. haußraths 93, Sa. Vasorum et instrumentorum Zur Chirurgie und barbier kunst gehörig 54, Sa. Silbers 31, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 2500, Sa. Schulden 40, Summa summarum 2748 lb – Schulden 4160 lb, des Ehemanns Passiv onus dem billichen Preiß nach 1411 lb
Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden in des Ehemanns Nahrung zugeltend 74
Margarethä Salome Preußerin des noch lebenden Töchterlein Pfetter, Göttel und andere geschenck
Jean Geoffroi Preusser meurt quelque temps plus tard. Sa veuve se remarie avec le chirurgien Guillaume Christophe Jérôme Westphal, originaire de Königslutter en Basse Saxe : contrat de mariage, célébration. Le registre de bourgeoisie de l’année n’est pas conservé
1761 (4.11), Me Dinckel (6 E 41, 426) n° 360
(Eheberedung) zwischen dem Wohl Ehrenvest und Kunsterfahrenn Herrn Hieronÿmo Wilhelm Christoph Westphal, dem Ledigen Chirurgo Von Königsluther hochfürstlich Braunschweig Wolffenbüttelischer Herrschafft gehörig, Weÿland des hoch Edlen und hochgelehrten Herrn Carl Westphal geweßenen bestmeritirten Advocati daselbst seeligen hinterlaßenen ehelich erzeugtem Sohn, als dem herrn bäutigamb ane einem
So dann die Wohl Ehren und tugendbegabten Frauen Catharina Margaretha Preußerin gebohrener Meÿerin, Weÿland des Wohl Ehrenvest und Kunsterfahrenen herrn Johann Gottfried Preußers, geweßenen Chirurgi und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen hinterlaßener Frau Wittib als der Frauen hochzeiterin ane dem andern theil – So beschehen in Straßburg auff Mittwoch den 4. Novembris Anno 1761. – [unterzeichnet] Hieronymus Wilhelm Christoph Westphal als hochzeiter, Catharina Margareth Preusserin gebohrne Mäyerin als hochzeiterin
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 169-v, n° 1)
1762. Mittwoch d. 20. Jan. wurde nach Zweÿmahliger Außruffung in der Evangelischen Pfarr Kirche Zu S. Nicolai Ehelich eingesegnet Herr Wilhelm Christoph Hieronÿmus Westphal Chirurgus v. burger allhier, w. Hn Carl Urban Westphal gew. Advocat beÿ dem Cammer Gericht Ihro Hochfürstl. durchl. Herren Hertzogs Zu braunschweig Wolffenbüttel und burgers in Königslutter hinterl. Ehelicher Sohn, v. Fr. Catharina Margaretha geb. Meÿerin weÿl. H. Johann Gottfried Preußers gew. Chirurgi v. burgers hinterlassener Wittib [unterzeichnet] Wilhelm Christoph Hieronÿmus Westphal, als Hochzeitern Catharina Margaretha Preusserin als hochzeiterin (i 172)
Inventaire des apports dressé dans une maison de location rue Dauphine (actuelle rue d’Austerlitz)
1762 (28.1.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 400) n° 924
Inventarium über des Wohl Ehrenvest und Kunsterfahrenen Herrn Hieronÿmi Wilhelm Westphal, des Chirurgi und der Wohl Ehren: und tugendbegabten Frauen Catharinä Margarethä Westphalin gebohrner Meÿerin, beeder Ehepersohnen und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen augferichtet Anno 1762. – welche der Ursachen alldieweilen in Ihr beeder Ehepersohnen mit einander aufgerichteten heuraths Verschreibung expresse enthalten daß eines Jeden in die Ehe gebrachte Nahrung ohnverändert in den Ehestand Zugebracht – So beschehen in Straßburg, auf Donnerstag den 28. Januarÿ Anno 1762.
In einer allhie Zu Straßburg ane der Viehegaß gelegenen in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden als folgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 2, Sa. Vasorum et instrumentorum Zur Chirurgie gehörig 57, Sa. Silbergeschmeids 29, Sa. goldenen Rings 6, Sa. Pfenningzinß hauptguth 518, Summa summarum 613 lb – Schulden 194 lb, Hierzu Komt die Ihme ane denen verehrten haussteuren gebührige helffte 49, Belaufft sich also des Eheherren völlig in die Ehe gebracht Vermögen 468 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 208, Sa. Vasorum et instrumentorum Zur Chirurgie gehörig 67, Sa. Wein und lährer faß 6, Sa. Silbergeschmeids 9, Sa. goldenen Rings 70, Sa. baarschafft 312, Sa. Schulden 200, Summa summarum 875 lb – Dazu ist zu rechnen die Ihro zuständigen helffe ane denen verehrten haussteuren 49, Beträgt demnach der Ehefrauen gesamte in die Ehe gebrachte Nahrung 924 lb
Catherine Marguerite Meyer meurt en 1774 en délaissant un fils de son deuxième mari. L’inventaire est dressé dans une maison de location rue Dauphine
1774 (30.3.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 418) n° 1297
Inventarium über Weÿland der Wohl Ehren: und Viel Tugendbegabten Frauen Catharinä Margarethä Westphalin gebohrner Meÿerin, des Wohl Ehrenvest und Kunstefahrnen Herrn Hieronÿmi Wilhelm Christoph Westphal, berühmten Chirurgi und burgers allhier zu Straßburg geweßener frauen Eheliebstin nunmehr seeligen Verlassenschafft aufgerichtet Anno 1774 – nach deme dieselbe Mittwochs den 16. Februarÿ dießes laufenden 1774 Jahrs dießes Zeitliche mit den Ewigen verwechßelt, nach solch ihrem seeligen Absterben Zeitlichen hinter sich verlaßen, welche verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren vorgedachten Hn Hieronÿmi Wilhelm Christoph Westphal, des hinterbliebenen Hn Wittibers, wie auch des Ehren und Wohl vorachtbahren herrn Johann Jacob Christianus des Kupferschmidts und besamten beÿ Em. Löbl. Schirmgericht auch Burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Friderich Ludwig Westphal der seelig Verstorbenen mit vorernanntem Ihrem hinterbliebenen Hn Wittiber ehelich erziehltem einigen Söhnleins und ab intestato nachgelaßeneen rechtsmäßigen Universal Erben ersucht – So beschehen in Straßburg auf Mittwoch den 30. Martÿ Anno 1774.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Dauphine gaß gelegenen in dieße Verlassenschafft nicht gehörigen behaußung befunden worden als folgt
Ergäntzung, Inhalt Inventarÿ (…) durch mich Notarium in Anno 1762. aufgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
Des Herrn Wittibers ohnverändert Vermögen. Sa. haußraths 7 ß, Sa. Vasorum et instrumentorum Zur Chirurgie gehörig 17, Sa. Silbers 1, Erg. Rest 408, Summa summarum 428 lb – Schuld 25 lb, Nach deren Abzug 403 lb
Dießemnach wird auch des Erben ohnverändert Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 92, Sa. Vasorum et instrumentorum Zur Chirurgie gehörig 16, Sa. Silbers 1, Sa. goldenen Ring 13, Sa. Schuld 25, Erg. Rest 589, Summa summarum 738 lb
Endlichen wird nun auch das gemein, verändert und theilbar guth beschrieben, Sa. haußrath 106, Sa. Vasorum et instrumentorum Zur Chirurgie gehörig 19, Sa. Wein und Lährer Faß 137, Sa. Silbers 16, Sa. Goldenen Rings 12, Sa. Schulden 425, Summa summarum 717 lb – Schulden 1018 lb, In Vergleichung 301 lb
Stall Summ et Conclusio finalis Inventarÿ 840 lb
Catherine Marguerite Meyer veuve de Jean Geoffroi Preusser vend 3 000 livres la maison au brasseur Jean Schreibeissen
1760 (13.5.), Chambre des Contrats, vol. 634 f° 157
Fr. Catharina Margaretha geb. Meÿerin weÿl. Johann Gottfried Preußer des Chirurgi wittib beÿständlich H. Isaac Ottmann E.E. grosen raths beÿsitzer
in gegensein H. Johannes Schreibeißen des bierbrauers
eine behausung und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten am Metzgergießen, einseit neben Heinrich Weber dem seÿler, anderseit neben den Feiglerischen erben, hinten auff H. Johann Geold den gastgeber zum theil, zum theil den Büttnerischen erben – als ein in ihrem verstorbenen Eheherren falliments mass so ihr tam active quam passive entschlagen worden – um 3000 pfund
Le marchand de vins Jean Schreibeissen vend 5 650 livres la maison au marchand Jean Seber
1768 (6.9.), Chambre des Contrats, vol. 642 f° 529
H. Johann Schreibeißen der weinhändler
in gegensein H. Johann Seber des handelsmanns
eine behausung und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, rechten und gerechtigkeiten am Metzgergießen, einseit neben – Weiß dem seiler, anderseit neben denen Feiglerischen erben, hinten zum theil auff Johann Gerold dem gastgeber zum theil auff – Güthel dem schumacher – als ein d. 13. may 1760 erkaufftes guth, davon gibt mann hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lt ane bodenzinß – um 5650 pfund
Jean Seber, originaire de Schleusingen en Saxe, épouse en 1760 Marguerite Elisabeth Zipff, fille d’apprêteur de tabac : contrat de mariage, célébration à Kehl avec la permission de l’ammestre
1760 (2.8.), Me Zimmer (6 E 41, 1444) n° 2
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehrengeachte Johannes Seeber, der ledige burger allhier zu Straßburg, weÿl. Johann Caspar Sebers gewesenen Forstmeisters Zu Schleußingen, in Sachßen ehelich erzeugt und hinterlaßener Sohn als brautigam ane einem
Und die Ehren und tugendsame Jungfrau Margaretha Elisabetha Zipffin, Meister Johann Georg Zipff des tabackbereiters und burgers allhier mit weÿl. Fr. Anna Catharina geb. Guttermännin ehelich erziehlte tochter, als Hochzeiterin ane dem andern theil – So geschehen alhier Zu Straßburg (…) Sambstags den 2. Augusti Anno 1760. [unterzeichnet] Johannes Seber Als Hochzeiter, Marigretha Elisabetha Zipfin als hochzeiterin
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. f° 229-v)
1760. d. 6. augusti. Seind in der Kirche in dem dorff Kail, nach dem Sie, auf gnädige Erlaubnuß des Regirenden Herren Ammeisters, allhie in der Kirche zu St Wilhelm am IX.ten Sonntag nach Trinitatis, war d. 3.ten Augusti Zum ersten und andern mahl zugleich ausgeruffen worden, Zur Ehe eingesegnet Worden Johannes Seber, ledigen Herrenbedienter allhie, Weÿl. Johann Caspar Sebers geweßenen Forstmeisters Zu Schleußingen in Sachßen, nachgelaßener ehl. Sohn und Jungfrau Margaretha Elisabetha, Johann Georg Zipff, tabackbereiters und burgers allhie, ehl. Tochter. (i 235)
Jean Seber est reçu à la tribu du Miroir au titre de domestique
1760, Miroir (XI 278)
Donnerstags den 2. Octobris 1760
Leibzünfftiger – Johannes Seber der Herren bediente von Schleißingen gebürtig, ist auff producirten Cantzleÿ und Stallschein vom 11.ten augusti letzthien, gegen Erlag dreÿ Pfund Zehen schilling Leibzünfftig auf und angenommen worden, dt. et prom. obed.
Marguerite Elisabeth Zipff meurt en 1767 en délaissant une fille. L’inventaire est dressé dans la maison de l’ammestre Dietrich au marché aux Chevaux (place Broglie). La masse propre au veuf s’élève à 662 livres, celle de la défunte à 837 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 013 livres, le passif à 1 412 livres
1767 (21.2.), Me Zimmer (6 E 41, 1409) n° 152
Inventarium über Weÿland Fr. Margarethæ Elisabethæ Seberin gebohrner Zipffin H. Johannes Seber, des burgers alhier zu Straßburg gewesener Ehefraun nunmehr seeligen Verlassenschafft auffgerichtet Anno 1767. – nach Ihrem den 19. 9.brid des verfloßenen 1766.sten Jahrs in Paris genommenen tödlichen Hintritt, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlassenschafft auf Ansuchen und Begehren des hinterbliebenen Wittibers, und Meister Philipp Albrecht Krieger des Glasers und burgers alhier, als geordnet und geschworenen Vogtss des gleich nach siesem Eingang benannten ab intestato hinterlaßenen einigen Erben, inventirt – So geschehen alhier Zu Straßburg auf Sambstag den 21. Februarÿ 1767
Die Verstorbene seelig hat ab intestato Zu univesal Erbin hinterlaßen, Nemlichen Margaretham Magdalenam Seberin so sechs Jahr alt und mit dem hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeugt worden
In einer alhier Zu Straßburg ane dem Roßmarckt gelegener J. G. H. Stättmeister von Dietrich eigenthümlich zuständigen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 4) Bericht und respective Vergleich wegen gegenwärtiger Verlassenschaft. Deswegen ist zu berichten daß nach dem Innhalt der vor mir Notario den 2. Aug. 1760. errichteten und hernach einverleibter Eheberedung §° 3° beederseits in die Ehe gebrachte Nahrung ordnungs maßig hat inventiy werden sollen. Diese Inventur wurde aber unterlaßen. Statt derselben declarirten beede Eheleuth vor mir Not° worin deroselben in die Ehe gebrachtes Guth Summarisch bestanden und wie auf begebenden fall es damit gehalten werden solle. Deroselben hierbeÿ producirte und auf begehren verblibene Declaration wurde auch würcklich den 9. Novembris 1764. von mir Notario verzeichnet, aber nur von dem hinterbliebenen Wittiber unterschrieben (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Wittibers unveränderten Vermögens, Ergäntzung 700 lb – Schulden aus des Wittibers unveränderten Nahrung zubezahlend 37 lb, Nach deren Abzug 662 lb
Diesemnach wird auch des Kinds und Erben unverändert Vermögen beschrieben. Sa. Kleidung 100, Sa. Schulden 57, Sa. Ergäntzung 700, Summa summarum 837 lb
Endlichen wird auch dasjenige so theilbar beschrieben, Sa. haußraths 47, Sa. Silbers 5, Sa. goldener Ring 18, Sa. Pfgzins und deren hauptgüter 800, Sa. Eigenthums ane Matten 91, Sa. Schulden 52, Summa summarum 1013 lb – Schulden 1412, In Vergleichung, theilbares Passiv onus 398. lb – Stall Summ 1101 lb
Zweiffelhaffte activ Schuld in der Erbin unveränderte Nahrung zugeltend 103. lb
Copia der Eheberedung – (…) Sambstags den 2. Aug. Anno 1760. – Johann Friderich Zimmer
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 300 florins (750 livres)
1767, VII 1180 – Livres de la Taille f° 57
Spiegel N° 1890 – Weÿl. Fr. Margarethæ Elisabethæ geb. Zipffin, Johannes Seber des burgers allhier geweßenen Ehefrauen Verlassenschafft jnvent. H. Not. Zimmer.
concl. final. Invent. ist fol. 38.b, 1101 lb 15 ß davon gehet aber wieder ab wegen den a 4 pro Cento angelegten Capitalien und nicht genoßener activ schuldt 212. lt. Verbleibt 889 lb 15 ß, die machen 1800 fl. Verstallte 500 fl. Zu wenig 1300. fl. Wovon nachtrag 6. Jahr in duplo a 3 lb 18 ß, 23. lb 8 ß.
und 4 Jahr in simplo, 7 lb 16 ß
Ext. Stallgeldt 1765, 2 lb 2 ß
Geb. 2 ß 6 d
Abhandlung 1 lb 18 ß (Summa) 35 lb 7 ß 6 d
der nachtrag auff die helffte moderirt restirt 19 lb 15 ß
dt. 11. 9.bris 1767
Jean Seber, tributaire au titre de domestique, demande le droit de faire le commerce de fer. La tribu refuse parce qu’il n’a pas appris le métier. Il s’inscrit comme apprenti auprès de Jean Conrad Sengenwald et présente à nouveau sa demande quelques mois plus tard. La tribu oppose un nouveau refus parce que l’apprentissage n’a pas la durée réglementaire. Jean Seber s’adresse aux Quinze qui autorisent la réception moyennant une taxe perçue pour moitié par la tribu et pour moitié par la Ville
1768, Protocoles du Miroir (XI 279)
Freitags, den 19. Augusti 1768. (f° 10) Abweisung – In Sachen Johannes Seber, des als Herrenbedienten den zweiten Octobris 1760 dißorts leibzünfftig angenommenen hiesigen burgers, auf deßen heute getanes geziemendes bitten, ihme Zu erlauben, den Eisenhandel führen zu dörfen, ist nach gehaltener Umfrag Erkannt worden, daß der Implorant wegen nicht erlernter Handlung mit seinem wieder Ordnung laufenden begehren schlechterdings abzuweisen seÿe.
Freitags, den 10. Novembris 1768 (f° 14) Abweisung – Johannes Seber stehet vor und bittet, ihn in betrachtung seiner Umstände, welche dißorts nicht unbewußt seÿn werden, aus der Lehr aus zuthun. Hr Joh. Conrad Sengenwald, der hiesige burger und Handelsmann, als dessen Lehrherr, ex officio hierzu gefordert, begehret ein gleiches. Woraufhin nach eingesehenen dißortigem Protocoll, Inhalt dessen besagter Hr Sengenwald den genannten Seber als Handelslehrjung erst den 4.ten Octobris jüngsthin einschreiben laßen. Erkannt worden, daß Hr Sengenwald mit seinem frühzeitigen und wieder Ordnung laufenden begehren abzuweisen seÿe.
Montags, den 12. Decembris 1768 (f° 16) Eisenhändler ex gratia – Hr Johannes Seber stehet vor, producirt Ghh. der XV. bescheid vom 26. Novembris jüngsthin, krafft deßen erkannt worden,
daß der Implorant gegen Erlag der ordentliche Gebühren und Zwölf Pfund d pro dispensatione, halb löbl. Statt, halb imploratischer Zunft heimfällig, ex speciali gratia, mit Consens und begehren seines Lehrherrn, von der ihm manglenden Lehrzeit zu befreien, und loos zu sprechen, sofort als Eisenhändler bei dieser ehrsamen Zunft auf: und anzunehmen seÿe.
Bittet um Verzeichnuß solchen bescheides und in befolgung deßen, ihn als Eisenhändler zu recipiren.
Nach abgelesenen producto Erkannt, Willfahrt. prom. obed.
Jean Seber se remarie avec Sophie Dorothée Wild, fille du bailli de Schmieheim outre Rhin et bourgeois de Strasbourg : contrat de mariage, célébration au domicile de la mère de l’épouse
1768 (7.12.), Me Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 586) n° 45
(Eheberedung) persönlich erschienen, der Wohl Edle und wohl Vorachtbahre Herr Johannes Seber, der Handelsmann, wittiber und burger allhier als hochzeiter ane einem,
So dann die Wohl Edle und Viel tugendgezierte Jungfer Sophia Dorothea Wildin, weiland S. T. Herrn Johann Georg Wild, geweßenen Wohlverordneten Amtmann Zu Schmieheim, Rust und anderen Orthen jenseith Rheins, wie auch E.E. Großen Raths allhier alten wohlverdienten herrn beÿsitzers seel. mit S.T. Frauen Catharina Salome gebohrner Andrein seiner hinterbliebenen Frauen Wittib ehelich erzeugte Tochter, unter assistentz herrn Johann Daniel Pfeffingers, Metzgers und burgers alhier, ihres annoch ohnentledigten Vogts, alß Hochzeiterin ane dem andern theil – Actum den 7. Decembris Anno 1778. [unterzeichnet] Johannes Seber als brautigam, Sophia Dorothea Wildin als braut
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 124, n° 174)
Im Jahr Christi 1768, donnerstags den 8. Decembris nachmittag umb vier uhr wurden nach vorhergegangenen ordentl. proclamationen, welche auff Dom. I. et II. Adventus geweste, auff Erlaubnus des Regierenden Hn. Ammeister d. d. 26.ten Novembris 1768. in der Jgf. Braut Fr. Mutter Behaußung copuliert und ehl. eingesegnet H. Johannes Seber, burger handelsmann und Wittiber allhier, welcher in der ersten Ehe gelebet hat mit weÿl. Fr. Margaretha Elisabetha gb. Zippfin, und Jungfrau Sophia Dorothea Wildin weÿl. S.T. Hn Johann Georg Wilden, gewesenen Hochadel. Amtmanns über dem Rhein, auch E. E. großen Rahs alten Beÿsitzers und burgers allhie, mit Fr. Catharina Salome gb. Andrein ehl. erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johannes Seber als brautigam, Sophia Dorothea Wildin als braut (i 131)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison que le mari a acquise juste avant son mariage. Les apports du mari sont estimés 3782 livres, ceux de la femme 4394 livres
1769 (3.5.), Me Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 581) n° 160
Inventarium über des Wohl Edel und Ehrengeachten Herrn Johannes Seber, des Handelsmanns, und der Wohl Edlen und tugendbegabten Frauen Sophiæ Dorotheæ geborener Wildin, beeder Ehegatten und burgern alhier zu Straßburg in die Ehe zusammengebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1769. – auch sich Krafft der mit einander am 7. Decembris 1768. vor mir unterschriebenen Notario aufgerichteten Eheberedung paragrapho tertio vor unverändert Vorbehalten haben – So beschehen alhier in der Königlichen Stadt Straßburg, und einer daselbst ane dem Metzgergiesen gelegenen, dem dißortigen Marito eigenthümlich zuständigen Behaußung, in beÿseÿn und persönlicher gegenwart Frauen Catharinæ Salome geborner Andrein, weiland H Johann Georg Wild, gewesenen Amtmanns Zu Schmieheim, Rust und andern jenseit Rheins gelegenen orten, wie auch Exsenatoris alhier seel. hinterbliebenee Wittib, und Johann Jacob Stubers des burgers und Paßmentirers als der dißortigen Ehefrauen geliebter Fr. Mutter und resp. ad hunc actum angesprochenen beÿstands, auf Mitwoch den 3. Maÿ im Jahr 1769.
Margarethæ Magdalenæ Seberin des Mariti Töchterleins erster Ehe Pathen-Geschencke
Eigenthum ane einer behausung (M.) Nemlich eine behausung und Hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, begriffen, Rechten und Gerechtig Keiten, gelegen alhier Zu Straßburg ane dem Metzgergießen, einseit neben N. Weis dem Seiler, anderseit neben denen Feiglerischen Erben, hinten zum theil auf H Johann Gerold den Gastgeber zum Gertenfisch, und theils auf M. N. Güthel dem Schuhmacher stossend, davon man jährlich löbl. Stadt Pfenningthurn 1. lb. d ane bodenzinß Zu reichen pflichtig, sonsten aber außer denen hernach passivé eingetragenen 3500 lb d. Capital freÿ, ledig, eigen und hieher ohnpræjudicirlich ausgeworffen um denjenigen Preiß, wie solches disseitiger Maritus in seinem Witwenstand Kurtz vor dem Eintritt in diese seine Zweÿte Ehe von H Johannes Schreibeisen, dem Handelsmann und burgern ahie Kauflich angenommen, nemlich vor 5650. Über dieses Immobile besagt ein teutscher pergamentene Kaufbrieff in alhiesiger Cantzleÿ Contract Stub gefertigt, und mit deren aufgetrucktem Insigel Versehen, de dato 6. Septembris 1768. Ferner meldet darüber ein daselbst ausgefertigter teutscher pergamentener Kaufbrieff mit dern anhengenden Contractuum Sigillo bekräfftiget de dato 13. Maÿ 1760. woraus ersichtlich, daß vorbenamster Hr Schreibeisen quæstionirte behausung von Fr. Catharina Margaretha geborener Meÿerin weiland H Johann Gotfried Preußer, des gewesenen burgers und Chirurgi hinterlassener Wittib Kauflich acquirirt habe.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn in die Ehe gebrachten unveränderten Vermögens, Sa. Haußraths 1280, Sa. waren zur Eisenhandlung gehörig 2947, Sa. Fuhrwercks 142, Sa. Silbers und Geschmeids 50, Sa. goldenen Ringen und Geschmeids 174, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 500, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 5650, Sa. Schulden 174, Summa summarum 13 368 lb – Schulden 7609 lb, Nach deren Abzug 3758, Wann nun dazu gerechnet wird (die) haussteuren 23. lb, So erhellet daß der Eheherr in die Ehe gebrachter unverändert Vermögen sich zusammen belauffe auf 3782 lb
Diesemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebracht unverändert Guth beschrieben, Sa. Haußraths 1133, lb Sa. Silbers und geschmeids 82, Sa. goldenen Ringen und Geschmeids 400, Sa. baarschafft 2254, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 500, Sa. Eigenthums ane liegenden güthern -, Summa summarum 4371 lb. – Darzu gelegt die ihro vermög der Eheberedung ane deren hernach eingetragenen Haussteuren zugehörige helffte mit 23. lb, Einfolglich bestehet de Ehefrauen (…) unverändertes Guth sammenthafft in 4394 lb
Nota. Betreffend weiland H Johann Georg Wild gewesenen amtmanns verschiedener hochadelicher orten, E.E. grosen Raths alten und E.E. Kl. Raths letztmaligen beÿsitzers und burgers alhier der Eingangs gemeldten Ehefrauen leiblichen H Vatter seel. Verlassenschafft, so ist aus dem darüber am 21. Juny* 1759. durch H Notarium Joh: Daniel Langheinrich aufgerichteten Inventarii ersichtlich (…)
Jean Seber cotise en outre à la tribu des Maréchaux pour pouvoir faire commerce de fer
1769, Maréchaux XI 139 (1754-1770)
Donnerstags den 20.ten Aprilis Anno 1769
Neuer Geldzünfftiger – H. Johannes Seber, der Handelsmann und burger allhier, stehet vor und bittet man wolle Ihn dißorths als einen Geldzünfftigen der mit Eißen handelt, auf und annehmen. Erkannt Willfahrt, dt. 3. lb. d
Jean Seber hypothèque la maison au profit de Jean Valentin Schneegans
1769 (14.9.), Chambre des Contrats, vol. 643 f° 652
H. Johann Seber der handelsmann
in gegensein H. Johann Valentin Schneeganß E.E. Großen Raths dermahl. beysitzer – schuldig seÿe 1500 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane dem Metzgergießen, einseit neben N. Weiß dem seiler, anderseit neben denen Feiglerischen erben, hinten auff H. Johann Gerold den gastgeber
Inventaire des biens de Jean Seber et de Sophie Dorothée Wild qui demande le bénéfice de cession. La maison y est portée à sa valeur d’achat. Les biens de la femme sont estimés à 4 140 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 12 682 livres, le passif de 15 819 livres.
1769 (2.10.), Me Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 581) n° 169
Inventarium über Herrn Johann Seber, des Handelsmanns und Frauen Sophiæ Dorotheæ geborner Wildin, beeder Ehegatten und burgern alhier zu Straßburg dermalen tam active quam passive besitzende Nahrungen, auffgerichtet Anno 1769. – welches samtliches Vermögen, nach dem die auf ansuchen einiger dißeitiger Schuldglaubigern und zuvor ob ferias aus Erkantnus Ihro Gnaden des regirenden herrn Ammeisters vom 30. Septembris jüngst angelegte Obrigkeitliche Sigilla (…), in absentia gedachten Mariti ad requisitionem der Ehefrauen, welche ad hoc mit S. T. H. Johann Friderich Lobstein Notario publico jurato et Practico verbeÿständet, angesehen dieselbe albereits puncto ihres Beneficii Cessionis gehörigen Orten ansuchung gethan – So beschehen alhier in der Königlichen Stadt Straßburg in einer ane dem Metzgergiesen gelegenen in diese Massam gehörige Behaußung
Ane Höltzen und Schreinwerck. Im Keller, Im obern haußöhren, In der obern Cammer N° 2, in der Schwartz Getüch Cammer, In der Zweÿten Stub Cammer des 2.ten Stocks, In der Ersten Stub Cammer des 2.t Stocks, In der wohnstub des 2.t Stocks, Im Haußöhren des zweÿten Stocks, In der Magd Cammer des 2.t Stocks, In der Stub Cammer des ersten Stocks, In der Wohnstub des ersten Stocks, Im grosen Zimmer Neben der Wohnstub des 1.t Stocks, In der Kuchen, Im haußöhren des ersten Stocks, Im Laden, Im untern haußöhren, In der bauch Kuchen, Im Comptoir
(f° 9-v) Eigenthum ane einer behausung (M. et T.) Nemlich eine behausung und Hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, begriffen, Rechten und Gerechtig Keiten, gelegen alhier Zu Straßburg, ane dem Metzgergießen, einseit neben N. Weis dem Seiler, anderseit neben denen Feiglerischen Erben, hinten zum theil auf H Johann Gerold den Gastgeber zum Gertenfisch, und theils auf M. N. Güthel dem Schuhmacher stossend, davon man jährlich löbl. Stadt Pfenningthurn 1. lb. d ane bodenzinß Zu reichen pflichtig, sonsten aber außer denen hernach passivé eingetragenen Capitalien freÿ, ledig, eigen und hieher ohnpræjudicirlich ausgeworffen um denjenigen Preiß, wie solches disseitiger Maritus in seinem Witwenstand Kurtz vor dem Eintritt in diese seine Zweÿte Ehe von H Johannes Schreibeisen dem Handelsmann und burgern ahie Kauflich angenommen, nemlich vor 5650. Über dieses Immobile besagt ein teutscher pergamentene Kaufbrieff in alhiesiger Cantzleÿ Contractstub gefertigt, und mit deren aufgetrucktem Insigel Versehen, de dato 6. Sept. 1768. Ferner meldet darüber ein daselbst ausgefertigter teutscher pergamentener Kaufbrieff mit dern anhengenden Contractuum Sigillo bekräfftiget de dato 13. Maÿ 1760. woraus ersichtlich daß vorbenamster Hr Schreibeisen quæstionirte behausung von Fr. Catharina Margaretha geb. Meÿerin weiland H Johann Gotfried Preußer des gewesenen burgers und Chirurgi hinterlassener Wittib Kauflich acquirirt habe
(f° 21.-v) Ergäntzung der Ehefrauen abgegangenen unveränderten Guths. Nach Außweiß der über eingangs benahmster Eheleuth durch mich (…) den 3. Maÿ 1769. et seqq. aufgerichteten Inventarii
(f° 25) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
der Ehefrauen unveränderten Vermögens, Sa. Haußraths 816, Sa. Silbers 66, Sa. goldenen Ringen, Uhr und Geschmeids 246, Sa. baarschafft 4, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 500, Sa. Sa. 250, Sa. Eigenthums ane liegenden güthern -, Sa. Ergäntzungs rests 2264, Summa summarum 4140 lb.
Nota. Betreffend weiland H Johann Georg Wild gewesenen amtmanns verschiedener hochadelicher orten, E.E. grosen Raths alten und E.E. Kl. Raths letztmaligen beÿsitzers und burgers alhier der Eingangs gemeldten Ehefrauen leiblichen H Vatter seel. Verlassenschafft, so ist aus dem darüber am 21. Juny* 1759. durch H Notarium Joh: Daniel Langheinrich aufgerichteten Inventarii ersichtlich (…)
Diesemnach wird auch des Ehemanns unverändert und theilbar Nahrung unter einem Titul beschrieben, Sa. hausraths 625 Sa. waren zur handlung gehörig 4893, Sa. Fuhrwercks 13, Sa. Silbers und Geschmeids 45, Sa. goldenen Rings 96, Sa. baarschafft 240, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 500, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 5650, Sa. Schulden 618, Summa summarum 12 682 -b – Schulden 15 819 lb, In Compensatione 4137 lb
Margarethæ Magdalenæ Seberin des Mariti Töchterleins erster Ehe Pathen-Geschencke
Jean Seber loue une partie de la maison au maître d’écriture Joseph Daller
1770 (1.2.), Me Humbourg (6 E 41, 137)
Bail à loyer pour 3 années qui commencent à la Notre dame 25. mars prochain – le Sr Jean Seber Marchand de fers
au Sr Joseph Daller maître d’Ecriture Demeurant en cette ville
Tous les appartements du premier étage de la maison du Sr Bailleur rue dite Egout des bouchers y compris la cuisine et tout ce qui depend dud. Etage prenant jour sur la rue et dans la cour, une partie de cave fermant a clef pour 10 à 12 mesures de vin, une chambre dans la manzarde pour Garde meubles et linge sale prenant jour sur la rue et une chambre à côté pour le bois, l’usage en commun de la buanderie du grenier pour sécher le linge et autres aisances communes dans lad. maison – 120 livres
Jean Seber hypothèque la maison au profit du boulanger Jean Georges Zwicker
1771 (2.8.), Chambre des Contrats, vol. 645 f° 352
H. Johann Seber der handelsmann
in gegensein H. Johann Georg Zwicker dem weißbecken – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand eine behausung cum appertinentis ane dem Metzger gießen, einseit neben N. Weiß dem seÿler, anderseit neben denen Feiglerischen erben, hinten auff H. Johann Gerold den gastgeber und anderen particularen – als ein von besagten H. Schreibeißen erkaufftes guth
Jean Seber loue une partie de la maison au marchand farinier Jean Daniel Schleber
1772 (12. 7.br), Me Lacombe (6 E 41, 147)
Bail de 2 années consécutives qui commencent à courir à la St Michel prochaine – Sr Jean Seber marchand de fer
à Jean Daniel Schleber marchand farinier
un logement dans la maison du Sr Bailleur scituée en cette ville au Metzgergießen aboutissant sur N Engel marchand épicier d’autre N. devant la rue derrière la Carbe bridée, consistant ledit logement savoir
En une boutique au rez de chaussée, trois chambres au troisième étage, une cuisine et une petite chambre attenante à l’escalier du troisième étage, Plus une chambre au quatrième étage et une partie de la cave qui se trouve séparée par des lattes et enfin l’usage commun avec les autres locataires de ladite maison des greniers et de la buanderie pour la lescive – moyennant un loyer annuel de 298 livres tournois
Registre de vente d’effets qui appartiennent à Sophie Dorothée Wild
1772 (30. 7.br), Me Dinckel (6 E 41, 435) n° 77
Verzeichnuß Frauen Sophia Dorothea Seberin geb. Wildin zurückgelaßene Effecten
als dieselbe von hier hinweg begeben in Ihrer behaußung ane dem Metzgergießen Liegend und zurück gelaßen
Jean Seber, ancien négociant à Strasbourg et aubergiste à Kehl, proteste contre la vente aux enchères au cours de laquelle l’acquéreur a déclaré avoir offert une somme supérieure à celle qu’il souhaite donner
1774 (28.1.), Me Lacombe (6 E 41, 153)
Déclaration et protestation – Sr Jean Seber cy devant négociant à Strasbourg présentement aubergiste à Kehl
que la maison qui luy appartenait en cette ville vis à vis le Corbeau ayant été mis en vente et publié à la chambre de Subhastations de cette ville le 1er avril dernier, Il s’est trouvé a la publication et adjudication qui en a été fait près de 20 personnes entre lesquelles étoit le Sr Stribeck courtier de la ville de Strasbourg (…) porté à la valeur de 11 000 florins après quoi led. Stribeck a offert 11 050 florins, ledit Stribeck dit qu’il s’etoit trompé et qu’il entendoit n’encherir qu’a 10 050 florins (il a été allumé un) troisième feu sans que personne ne se soit présenté, resté au Sr Stribeck pour 11 050 florins
La maison est vendue aux enchères en mars 1775 au profit de Marie Barbe Schneegans veuve de l’aubergiste Isaac Jund (belle-fille de l’ancien propriétaire Jean Schreibeissen)
1775 (13.3.), Chambre des Contrats, vol. 649 f° 105-v
Ganthkauffbrieff – ist die Johannes Sebert dem ehemaligen Eißenhändler zuständige geweste behausung und hoffstatt ane dem Metzgergießen, einseit neben Lorentz Weis dem seiler, anderseit neben N. Engel dem italiener, hinten auff den Gerten fisch, davon gibt man d. löbl: Stadt Pfenning Thurn 1 lt ane bodenzinß
Maria Barbara Jundin geb. Schneeganßin weÿl. H. Isac Jund gewesten gastgebers hinterbliebenen wittib, als letzt und meistbietende um 8510 gulden
Isaac Jund, aubergiste au poêle des Gourmets, épouse en 1761 Marie Barbe Schneegans, fille de brasseur : contrat de mariage, célébration
1761 (29.4), Me Haering (6 E 41, 1376) n° 242
(Eheberedung) der Ehrenveste und Wolvorgeachte Hr. Isaac Jund, leediger Gastgeber, auf der Weinsticher Zunfft Stuben, weiland deß Wol Ehrenvesten und Großachtbaren Hrn Isaac Jund im Leben geweßenen gastgebers auff dermeldter Zunfft Stuben und vornehmen burgers alhier, mit auch weiland der Viel Ehren und tugendbegabten Frauen Maria Susanna gebohrnee Kuntzin ehelich erzeugte Sohn, als Hochzeiter an einem,
So dann die Viel Ehren und tugendgezierte Jungfrau Maria Barbara Schneeganßin, weiland des Wol Ehrenvesten und Großachtbaren Herrn Johann Peter Schneeganß, gewesenen biersieders und vornehmen burgers alhier mit der Viel Ehren und tugendbelobten Frau Anna Barbara gebohrner Fischerin, dermalen des Wol Ehren vesten und Großachtbaren Herrn Johannes Schreibeißen, biersieders zur Cartaun und Vornehmen hiesigen brs Frau Eheliebste, ehel. erzeugte Jfr. Tochter als braut an dem andern Theil – So beschehen Straßburg Mittwochs den 29. Aprilis Im Jahr 1761. [unterzeichnet] Isaac Jundt als hochzeiter, Maria Barbara Schneeganßin Als Hochzeiterin
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 165, n° 15)
1761. Mittwoch den 27. Maji, wurden nach zweÿmahliger Außruffung in der Evangelischen Kirche Zu S. Nicolai ehelich eingesegnet H. Isaac Jundt, Gastgeber v. burger allhie, weÿl. H. Isaac Jundt gew. Gastgebers v. burgers allhie hinterl. ehelicher Sohn, v. Jgf. Maria Barbara Schneeganßin, weÿl. herrn Johann Peter Schneeganß gew. bierbrauers v. burgers allhier hinterl. ehl. Tochter [unterzeichnet] Isaac Jundt als hochzeiter, Maria Barbara Schneeganßin als hochzeiterin (i 167)
Marie Barbe Schneegans loue une partie de la maison au négociant Pierre Mayno. Le bail est reconduit à plusieurs reprises
1776 (9.3.), Me Lacombe, 6 E 61, 161 n° 20
Bail – De Marie Barbe née Schneegans veuve du Sr Isaac Jundt aubergiste au poel des vigerons asssitée du Sr Jean Pierre Schneegans, brasseur son père – bail pour 6 années à commencer à Notre Dame de mars courrant
à M Pierre Mayno, négociant
tout le rez de chaussée de la maison qui luy appartient en cette ville faisant le coin de l’égout des bouchers vis à vis la rue Dauphine, plus le second étage de ladite maison en entier, plus une place dans la cave qui est la portion qui se trouve à droite en entrant par la maison sans chantiers, plus deux chambres dans la mansarde dont l’une pour serrer le linge et l’autre pour y coucher un domestique, plus l’usage commun du puit, de la buanderie et des greniers pour les lessives – moyennant un loyer annuel de 470 livres tournois
le 4 juillet 1781, (…) prolongé de 6 années, moyennant 470 livres tournois
le 2 août 1786, Sr Jean Melchior Sattler, négociant pour et au nom du Sr Mayno preneur que depuis le deces de la De veuve Jundt bailleuse le Sr Jean Sébastien Weiss, hôte à l’esprit tuteur des mineurs de la défunte auroit cédé audit Mayno le premier et second étage de la maison mentionnée audit bail pour 300 livres qui ajouté aux 500 livres précédentes font un loyer annuel de 800 livres
le 2 avril 1788, Sr Jean Jacques Keck, marchand libraire, tuteur établi aux enfants mineurs Jundt, bailleurs, et Sr Sattler et cie négociants, prolonger le bail de 6 années moyennant un loyer annuel de 800 livres
Marie Barbe Schneegans meurt en 1783 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison 3 000 livres. L’actif de la succession s’élève à 15 255 livres, le passif à 200 livres.
1783 (24.11.), Me Roederer (6 E 41, 914) n° 53
Inventarium über weÿl. viel und tugendbegabten Fr. Mariæ Barbaræ Jundin gebohrner Schneeganßin auch weÿl. des Ehrenvest und wolvorgeachten H. Isaac Jundt gewesten gastgebers auff E. E. Zunfft der Weinsticher und Mit Schoffen auf E.E. Zunfft der Freiburger, verlassenschafft – nach ihrem dienstags d. 28. 8.br jüngst aus dieser welt genommenen tödlichen hintritt, auf ansuchen H. Johann Sebastian Weiß des gastgeb. zum Geist und Mitschöffen auff E. E. Zunfft der Freiburger geordneter und geschworener vogt derer kinder – durch (…) Ludovicä Sainctclair von hier und Anna Catharina Gundelfingerin von Mümpelgard gebürtig beede disortige dienstmägden (geäugt und gezeigt)
Die verstorbene hat ab intestato zu Erben verlassen, 1. H. Isaac Jundt der led. hndlsm. welcher am 10. feb. 1764, 2. Jgfr Maria Barbara Jundt die am 3. julÿ 1767 und 3. Jgfr Maria Salome Jundin so den 22. 8.br. 1769 an diese welt gekommen, mit auch eingangs ihrem am 22. hornung 1771 in die ewigkeit vorangegangenen Eheherrn in deren namen ihrem oncle H. Johann Sebastian Weiß
in einer ane dem Metzgergiesen gelegen in die verlassenschafft gehörigen behausung
Eigenthum ane einer behausung Nemli. 1. Behßg. höffl. und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Metzger Giesen 1.s neben Lorentz Weis dem seiler 2.s neben H. Wilhelm Massa dem Italienischen hinten auff das Wirthshauß zum Gertenfisch geschildet, auf d. 29. sept. 9. wegen Unterbauung des Überhangs 1 lt ane bodenzinß – abschatzung d. 11. dec. 1783 pro 4000 R, abgezogen obiges real onus der 1 lt ane bodenzinß zu doppelten capital anlangend 80 fl. verbleibt 3920 fl. oder 1460 lt. Darüber Ganthfkfbr. ded. 1. mart. 1775 so am 13. ejusdem dem Contractuum Protocollo F° 105.b einverleibt worden, Ferner Kaufbrieff inn hiesiger C. C. Stb, ded. 6. sept. 1768
Eigenthum ane einem Garten und Gartenhauß. Nemli. Garten und Gartenhauß mit allen deßen übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten außerhalb der stadt Straßburg zwischen denen beeden Juden und Fischer thoren im sogenannten beckenwäldel 1.s neben weÿl. H. Augustin Hugard des gewesten Hdlms. erben, 2.s neben H, N. Longho dem Hdlm. vornen auf I. Almentgaß und hinten auf das Wasser – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn auf den 28. Augusti & 11. Novembris wegen in zweien malen eingezaunten Alment zusammen 19 ß 10 d ane bodenzinß – abschatzung vom 11. dec. 1783, 300 fl. der garten aber also ohngefehr ½ Ar. gros mit allen darinn stehenden bäumen, taxirt für 50 fl. Langt also beedes an 350 R, Abgezogen obigen ane bodenzinß der 19 ß 10 d zu doppeltem Capital gerechnet mit 17 fl. 3 ß 4 d bleiben also 270 fl. 6 8. Darüber kfbr. datirt d. 13. Augusti 1782
– Abschatzung vom 11.t Decembre 1783. Auf begeren weÿl. Fr. Maria Barbara Jundin geb. schneegantzin ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg im Metzger gißen gelegen einseit neben H. Weiß dem seÿler anderseit neben H Masard dem handelsmann hinten auf die gastbehausung zum gerdenfisch stoßend gelegen, solche behausung bestehet in einem ladten und ladtenstube ferner in 6 stuben zweÿ kuchen und etlichen kammeren darüber ist der dachstuhl mit breidzigel belegt hat auch ein getremter Keller und brunen, (angeschlagen) vor und um 3000 gulden
Der zweÿte begriff auch alhier in der statt Straßburg vor dem fischer thor und becken Wältell gelegen einseit neben H. Longo dem handelsmann anderseit neben H. Hugard dem handelsmann hinten auf den Mühl gießen stoßend gelegen, solcher begrif bestehet in einem garten Häußlein und nebens gebäulein worinnen ein sall zweÿ stub eine kuche und etliche kammeren darüber seÿn die dachstühl mit breidzigel belegt hat auch einen thiele wand mit steinerne und höltzerne pfösten umgeben (angeschlagen um) 300 gulden. [Unterzeichnet] Boudhors archit. Kaltner wkmr Götz wkmr
hausrath 298 lb, wein und faß 1727 lb, silber und dg. geschmeid 166 lb, goldene ringe und dg. geschm. 143 lb, Pfenningzß. 10 555 lb, behausung 1460 lb, liegende güther 135 lb, gülten von lieg. gütern 108 lb, activorum 526 lb, Summa summarum 15 255 lb – Schulden 200 lb, Nach solchem abzug 15 055 lb, praelegata 978 lt
Liegende güther Mittelhausbergen
Testamentum, in ihre eigenthümlich an dem Metzger giesen gegen dem Gasthauß zum Raben über gelegenen behausung berufen, in der einer steegs hoch obiger behausung befindlichen eckstuben mit denen fenstern auf der straß aussehend – den 24. Octobris 1783, Roederer, Not.
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 3 600 florins (1 800 livres)
1784, VII 1180 – Livres de la Taille f° 344-v
Freÿburger N° 151 – Weÿland Fr. Mariä Barbarä gebohrner Schneeganßin auch weÿland H Isaac Jund, des gewesenen Gastgebers und burgers alhie hinterbliebene wittib Verheurathet mit inventirt Hr Not. Röderer.
Conclusio fin: Invent ist fol. 141, 14 757 lb. 6 11/28 d die machen 29.500. Verstallte 25 900 fl. also Zuwenig 3600 fl. Er hat aber die Verstorbene erst in A° 1780 ihre Mutter geerbet und da sie über dieses bis anhero schon eine ansehnliche Summe verstallet hat, so wird der
Nachtrag nur vor Vier Jahr in duplo gerechnet à 10. lb. 16. ß des Jahrs mit 43. lib. 4 ß
und vor dreÿ jahr in simplo à 5 lb 8 ß mit 16 lb. 4 ß
Anzuetzen seÿn
Extat Stalleld pro 1784, 38 lb 17 ß
Gebott 2 ß 6 d
Ahnadlung 25. lb 18 ß 6 s
Summa 124. ln 6 ß
Auf gethanes bitten ist der gesamte Nahtrag auf die Helfte moderirt worden gehet demnach ab 29. lb 14 ß
verbleibt 94 lb 12 ß
dt 14° Aprilis 1784.
Le tuteur des enfants Jund rend compte de sa gestion. La maison est louée à Mayno, Sattler et compagnie
1786 (30.6.), Me Schaaff (6 E 41, 915) n° 49
Rechnung mein Johann Sebastian Weiß gastgebers zum Geist auch Mitschöffen auf E.E. Zunff der Freiburger als gegenwärtigen weÿl. des Ehrenvest: und wolvorgeachten H. Isaac Jundt des gastgebers auf E.E. Zunfft der Weinsticher und Mitschöffen auf ged. E.E. Zunfft der Freiburger mit auch weÿl. der viel Ehr und Tugendgebten Fr. Maria Barbara geb. Schneeganßin hinterlassenen H. Sohn Fr. und Jfr Töchter mit Namen H. Isaac Jundt des ledigen dermalen in Franckfut am Maÿn in condition stehenden handlungs beflissenen, Fr. Maria Barbara Keckin geb. Jundtin H. Johann Jacob Keck des handelsmanns hieselbst dermaligen Fr. Ehgattin und Jgfr. Maria Salome Jundtin, Inhaltend All das jenige was ich in gesagter Qualitæt seit d. 12. oct. 1775 bis ultimo Junÿ 1786
Bericht (…) durch weÿl. H. Not. Johann Richard Häring Inventirt
Eigenthum ane einer behausung. Wegen der fol. 93.b et seq. General theil register beschriebenen ane dem Metzgergiesen dahier gelegen und dannoch in natura vorhandene behausung /:Mayno Sattler et Comp. handelsleuthe dahier verlehnt:/
Eigenthum ane einer behausung und garten der Fol. 94.b et seq. auser der stadt zwischen den beiden Juden und Fischer Thoren in dem sogenanten beckenwäldel gelegenen Garten und Gartenhauß ist auch in Natura vorhanden und ware anfäng. an Mad. Leblanc laut lehnung sub signatura privata vom 4. mart. 1784 auf 1 jahr verlehnt vor 100 R
Auf Ostern 1785 verlehnte solchen garten weiter an H. Schneider employé beim Ritter Directorio lt lehnung sub signatura privata auf 1 jahr bis Ostern 1786 vor 106 R
(° 15.v) Haußzinßen, H Mayno et Comp. hansdelsleute, vor die behausung im Metzgergiesen seit 25. mart. 1784 bis 25. mart. 1786 für 2 jahr à 400 R, 800 R
Ane Gartenzinßen (ut supra)
Autre compte de tutelle. La maison est toujours louée au même locataire
1787 (31.10.), Me Schaaff (6 E 41, 916) n° 83
Rechnung. Mein Maria Magdalena Weisin geb. Jundtin weÿl. H. Johann Sebastian Weiß gewesten gastgeber zum Geist wittib Inhaltend all dasjenige was mein verstorbene Ehemann als geordneter und geschworener vogt weÿl. H. Isaac Jundt gewesten Gastgebers auff E.E. Zunfft der Weinsticher mit auch weÿl. Fr. Maria Barbara geb. Schneeganßin ehelich erzeugt hinterlassenen sohns Fr. und Jfr. töchter mit Namen H. Isaac Jundt des ledigen handlungs beflißenen, Fr. Maria Barbara Jundtin H. Johann Jacob Keck des handelsmanns Ehegattin und Jfr. Maria Salome Jundtin seit 30. junÿ 1786 als dem schluß seiner erstern abgelegten vogteÿ annoch eingenommenen und ausgegeben
zinß 400 fl. Neml.400 zinß richten H. Mayno Sattler et Comp. handelsleuthe dahier jährl. auff Annunciationis Mariæ von der denen dreÿ Curanden annoch gemeinschafftlich vor ohnverändert zuständigen behausung am Metzgergiesen ohnnachtheilig in Cap. zu 5 pC° gerechnet anlangend 8000 fl. Darüber redet die in vorige Rechnung F° 28 allegirte Lehnung und acten vom 9. mart. 1776, 4. julÿ 1781 und 2. aug. 1786
zinß 75 fl. Nemlich 75 fl. zinß gibt dermalen H. Johann Jacob Keck der handelsmann als übernehmer der mit H. Gottfried Eckel dem glashändler getroffenen Lehnung von dem denen dreÿ Curanden auch vor ohnverändert eigenthümlich zuständig vor den beeden Juden und Fischerthoren in dem sogenannten beckenwäldel gelegenen Garten und Gartenhauß alle jahr auf Ostern ohnpræjudicirlich in hauptgut à 5 pC° geben 1500 fl. Darüber besagt die in vorige Rechnung angezogene mit obgedachtem H. Eckel getroffene Lehnung de dato 24. maÿ 1786
Troisième compte de tutelle
1788 (21.10.), Me Schaaff (6 E 41, 917) n° 112
Rechnung mein Johann Keck handelsmann als geordneter und geschworener vogt weÿl. des Ehrenvest: und wolvorgeachten H. Isaac Jundt des gastgebers auf E.E. Zunfft der Weinsticher und Mitschöffen auf ged. E.E. Zunfft der Freiburger mit auch weÿl. der viel Ehr und Tugendgebten Fr. Maria Barbara geb. Schneeganßin hinterlassenen jüngste Fr Tochter mit Namen Fr Maria Salome Goldenbergin geb. Jundtin H Johann Peter Goldenberg des handelsmanns Ehegattin. Inhaltend All das jenige was ich in gesagter Qualitaet seit d. 31. oct. 1787 bis 10. octobr. 1788
Corpus der 3 Jundt’schen geschwisteren jährlich habenden haußzinses und deßen hauptguth
Neml. 400 fl. zinß reichen H. Mayno Sattler et Comp. handelsleuthe auf Annunciationis Mariæ und zwar alle 6 maÿ zur helffte von der gemeinschaftlichen behausung am Metzgergiesen die darüber besagende Lehnung und übrige documenten sind in vorheriger Rechnung angezogen behausung /:Mayno Sattler et Comp. handelsleuthe dahier verlehnt:/
Corpus. Neml. 75 fl. zinß wegen von H. Eckel übernommenen Lehnung wie in vorherigen Rechnung gemelt vor die gemeinschaftlichen Garten und Gartenhauß vor dem Judenthor Jahrs auf Ostern, 1500 lt
Ane hauß zinßen It zalten H. Mayno et Cie handesleuthe von der in Lehnung habenden gemeinschaftlichen behausung im Metzgergiesen seit Michaelis 1787 bis dahin 1788, zu der gehörigen tertzen ane 400 mit 133 lt
Ane Gartenzinß It wegen derer von H. Eckel übernommenen Lehnung des gemeinschaftlichen gartens denn pro Ostern 1788 verfallenen zinß für 1 ha, zur tertz 75 lt mit 25 lt
Le marchand Isaac Jund, copropriétaire de la maison, fait dresser en 1800 après son mariage avec Amélie Salomé Hey l’inventaire de ses apports où figure la maison rue des Bouchers vendue en 1792
1800 (5 compl. 8), Strasbourg 9 (anc. cote 8), Me Dinckel n° 910 – Enregistrement de Strasbourg, acp 75 F° 136 du 9 vend. 9
Inventarium über des b. Isaac Jundt handelsmanns dahier und der b. Amelia Salome heÿ deßen Ehegattin einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, vor der hiesigen Municipal verwaltung den 6. nivose jüngst sub n° 249, miteinader den 7. maÿ 1792 angetrettenen ehestand, vor weÿl. b. Schaaff den 12. apr. 1792 passirte Eheberedung
des Ehegatten in die Ehe gebrachtes gut, hausrath 2138 fr, silber 1045 fr, gold. ring 1722 fr, Baarschafft 2336 fr
der Ehegattin handlungs fonds 80 152 fr
Eigenthümliche Antheiler ane einer behausung und Güther, Erst. der dritte theil vor ohnvertheilt von und ane einer behausung samt zubehörden allhier zu Straßburg ane dem Metzger gießen, einseit neben weÿl. Lorentz Weis Seilers wittib anderseit neben b. Joseph Wilhelm Maßa hiesigen handelsmanns Creditmaß hinten auf den Gertenfisch, wurde an Peter Maÿno den handelsmann dahier den 7. aug. 1792 A. St. verkauft um 6333 fr, die gantze behausung zu 19 000 francken geschätzt
Gültguth, zu Fürdenheim, summa 6353 fr, Gulten von liegende güther ohne estimation, Eigenthum an Reeben Mittelhausbergen
Wÿdums verfangenschaft weÿl. H. Johannes Schrebeisen dißortig gewesen Stiefgrosvater von weÿl. Anna Barbara geb. Fischer hierorts Grosmuter 10 000 fr
Summa des Ehegatten zugebrachtes guth 103 740 fr
zweiffelhaffte pfenningzinß hauptgüter der Ehegattin zuständig 4000 fr, zweiffelhaffte activ schulden so dem Ehegatten zuständig 2400 fr
Les héritiers Jund vendent la maison 19 000 livres tournois (qui correspondent à 4 750 livres strasbourgeoises) au négociant Pierre Mayno
1792 (7.8.), Strasbourg 6 (3), Me Laquiante n° 8 & 9
M. Isaac Jundt Negociant en qualité d’héritier de feu De Marie Barbe Schneegans veuve de Jacques Keck libraire, M. Jean Pierre Goldenberg négociant agissant ces deux derniers scavoir ledit Keck tant en son nom et qu’au nom de Marie Barbe Jundt son epouse et led. S. Goldenberg tant en son nom et qu’au nom de De Marie Salomé Jundt toutes deux héritieres conjointement avec le Sr Jund leur frere de lad. feue Dme Jundt
à M Pierre Meyno Negociant et Cit. de cette ville
une Maison appartenances et dépendances située dans cette ville dans le Metzgergießen d’un côté a veuve du Sr Laurent Weis cordier d’autre la masse de M Joseph Guillaume Massa, parderrière a l’auberge de la Carpe bridée pardevant la rue, chargée rente foncière de 4 livres que lad. maison paye annuellement a la tour au pfenning 19 000 livres tournois
Jean Pierre Mayno meurt célibataire en 1801 dans sa maison rue des Veaux
1801, Décès, Strasbourg (an 10, f° 57, n° 221)
Mayno, Jean Pierre, agé de 58 ans, mort le 1° nivose, 4° arrondt. apolplexie – Acte de décès de Jean Pierre Mayno, décédé hier premier nivose à onze heures du matin, agé de 58 ans, Negiciant, né en cette ville, demeurant rue des veaux n° 19, fils légitime & non marié de feu François Mayno, Négociant et de feue Catherine Venino. Sur la déclaration à moi faite par Joseph Arroy agé de 25 ans negociant et par Henri François Barrois agé de 40 ans, inspecteur des Domaines, lesquels ont dit être neveux du défunt (i 58)
Les héritiers de Pierre Mayno et Philippe Engelhard dissolvent la société qui a existé entre les deux parties. Philippe Engelhard rachète les deux maisons de la société
1802 (18 thermidor 10), Strasbourg 1 (23), Me Lacombe n° 2921
Dissolution de société – sont comparus Dme Marie Catherine Mayno veuve de Philippe Claude Fabry en son vivant Négociant à Strasbourg, Dme Sophie Mayno Epouse du Cit. François Gabriel Fabry conseiller de préfecture à Geneve, Le Cit. Joseph Arroy Negociant à Strasbourg Et Dme Françoise Arrnoy Epouse du Cit. François Hott Barrois inspecteur des Domaines et de l’Enregistrement de lui ci present autorisée, héritiers de feu Pierre Mayno leur frere et oncle d’une part
Et le Cit. Philippe Engelhard Négt. à Strasbourg d’autre part
Lesquels Comparants ez nom et qualité qu’ils agissent ont dit qu’il y a eu société entre feu le Cit. Mayno et le Citoyen Engelhard constracée par l’acte de leur association reçu par le soussigné Notaire le 12 aoust 1790. et que la mort du Cit. Mayno arrivée dans le courrant de la presente année a operé sa dissolution en conséquence de laquelle les parties sont convenû et ont arreté entre eux les articles suivants.
1° Les héritiers du Cit. Mayno renoncent au Benefice du contrat de société passé entre le Cit. Mayno et le Cit. Engelhard et declarent qu’à compter de ce jour ils n’y ont plus aucune pretention et reconnoissent que tous les Effets et marchandises ainsi que tous les registres et Livres dud. Commerce sont la propriété du Cit. Engelhard seul.
2° Le Cit. Engelhard cessera de faire usage de la raison de commerce de Mayno et Compagnie (…)
3° Les héritiers Mayno cedent et abandonnent au Cit. Engelhard ce acceptant les maisons de commerce dont l’une sise en cette ville vis-à-vis du Corbeau au Metzger giesen d’un côté la veuve de Laurent Weis d’autre Joseph Guillaume Massa par derrière l’auberge de la Carpe bridée et par devant led. Metzgergiesen,
Et l’autre sise en la même ville rue dite Kuppel gass N° 2 aboutissant d’un côté à (-) de l’autre à (-) et derrière aux Ecuries de l’auberge de l’homme rouge et de la maison du Cit. Giles maître de langue, pour par le Cit. Engelhard les avoir et posseder et en jouir ainsi et de même que feu le Cit. Mayno le pouvait (…)
4° Les cession, abandon et renonciation cidessus sont faits pour et moyennant le prix et somme de 36 000 francs, savoir les dites deux maisons pour 26 000 francs et le surplus pour 10 000 francs
Originaire de Bruchsal, Philippe Engelhard habite Strasbourg depuis environ 1785. Il épouse Marguerite Frick de Rouffach : contrat de mariage, célébration à Rouffach d’après la proclamation de mariage
1787 (19.3.), Me Lacombe (6 E 41, 205) n° 58
Contrat de mariage – Sr Philippe Engelhard marchand à Strasbourg fils majeur de Jean Georges Engelhard, boulanger à Bruchsal Eveché de Spire, et de feu Marguerite née Kutsch
Dlle Marguerite Frick fille de Hubert Frick, teinturier à Rouffach, et de Marie Barbe Bucher
Proclamation, Saint-Laurent (cath. p. 67)
Anno Domini 1787, Decimo Septembris Cum Dispensatione unica tantum facta proclamatione in nostra parochiali Ecclesia nullo detecto impedimento D.um Philippum Engelhart majorennis Solutum oriundum ex Bruchsal Diœcesis spirensis, Commercie Causa à duabus annos in parochia mea Commorantem Dimisi ad p. R. D. Franciscum ostertag parochum in Ruffach Diœcesis Basiliensis quatenus per cum matrimonio jungi valeat Cum Della margaretha frick filiam minorennem dni huberti frick tribuni plebis et Dnæ Barbaræ Buecher Conjugum ibidem (i 36)
La tribu du Miroir remet à Philippe Engelhard un certificat de future admission en novembre 1784. Il est reçu bourgeois en mars 1785 et entre à la tribu du Miroir en juin
1784 (18. 9.br), Miroir (XI 279)
(f° 324) Vertroestung – Hr Philipp Engelhard, der von Bruchsal gebürt. Statt-Lieutenants Sohn, stehet vor. Producirt gesiegelten glaubwürdigen Lehrbrief vom 20. 7.bris jüngsthin. Kraft dessen er die Handlung bei dasigem H. Leopold Adam Bellosa erlernet hat. Bittet um den zu Erlangung des hiesigen burgerrechts benötigten Vetrostungsschein. Nach eingesehenen producto, erkannt, willfahrt
1785, Livre de bourgeoisie 1783-1787 (VII 1559) f° 72-v
H. Philipp Engelhard der ledige handelßmann Von Bruchsal gebürtig H Johann geörg Engelhard des burgers und becken auch rathherrn daßelbst H sohn erhalt das burgerrecht vmb den Neuen burger schilling will dienen zue E.E. Zunfft Zum spiegel juravit den 19.t Martÿ 1785
1785, Miroir (XI 280) a. Conseil
Dienstags, den 14. Junii 1785
(f° 5) Leibzünfftiger – H. Philipp Engelhard als Handelsmann auf produciren Kanzlei- u. Stall-schein vom 19. März letzthin, gegen Erlag 15. vor das Zunftrecht und 100. wegen nicht in hiesiger Stadt erlernter Handlung. prom. Führet Taback und Speditions-Handlung (dt. 15-, 100-, 1.4. Findl.)
Le manufacturier Philippe Engelhard et Marie Marguerite Frick qui habitent alors à Molsheim exposent la maison aux enchères puis la retirent de la vente
1823 (8.4.), Strasbourg 4 (55), Me Hatt n° 932
Procès verbal d’enchère – Jacques Benjamin Engelhardt, négociant, au nom ses père et mère Philippe Engelhard, manufacturier à Molsheim et Marie Marguerite née Frick
Désignation de l’immeuble, une maison à trois étages et mansardes batie en pierres, puits, caves voutée, circonstannces, aisances, appartenances et dépendances située à Strasbourg rue des Bouchers n° 54, d’un côté M. Toussaint, d’autre le Sr Weiss cordier, derrière la maison Lindenbach et la carpe bridée – Etablissement de la propriété, acquis sur Pierre Mayno, négociant son ci devant associé par acte Me Lacombe le 18 thermidor 10. Cette maison étant grevée 1) d’une rente perpétuelle de 1000 francs au profit de l’éveché de Strasbourg exigible annuellement au 1er may, selon un acte devant Me Bossenius le 11 mai 1808 et d’un acte de dernière volonté passé devant Me Hassenforder à Rouffach le 21 octobre 1818, 2) d’une rente annuelle de 4 francs due à l’hôpital civil
mise à prix 4000 francs – le 19 avril retiré de l’enchère
Nouvelle enchère un an plus tard. La maison ne trouve pas preneur
1824 (8.4), Strasbourg 4 (59), Me Hatt n° 2045 – Enregistrement de Strasbourg, acp 170 F° 136-v du 19.11.
Adjudication préparatoire – Jacques Benjamin Engelhard, commis négociant à Strasbourg, mandataire de ses père et mère Philippe Engelhard, manufacturier à Molsheim, et de Marguerite Frick
une maison à trois étages puits, autres circonstances, aisances, appartenances et dépendances située à Strasbourg rue des Bouchers n° 54, d’un côté M. Toussaint, d’autre le Sr Weiss cordier, derrière la maison Lindenbach et la carpe bridée – à Engelhard père qui l’a acquis des héritiers Pierre Mayno son ci devant associé de commerce par acte Me Lacombe le 18 thermidor 10
mise à prix 4000 fr, personne ne s’est présenté
Charles Lauth, avocat et docteur en médecine, se rend acquéreur de la maison
1824 (16.11.), Strasbourg 4 (59), Me Hatt n° 2045 – Enregistrement de Strasbourg, acp 170 F° 136-v du 19.11.
Jacques Benjamin Engelhard, commis négociant à Strasbourg, mandataire de ses père et mère Philippe Engelhard, manufacturier à Molsheim, et Marguerite Frick (…) que par adjudication préparatoire Me Hatt des 8 et 10 avril 1823 il a été exposé ladite maison aux enchères publiques, mise à prix 4000 fr, personne ne s’est présenté
à Charles Lauth, avocat et docteur en médecine
une maison à trois étages puits, autres circonstances, aisances, appartenances et dépendances située à Strasbourg rue des Bouchers n° 54, d’un côté M. Toussaint, d’autre le Sr Weiss cordier, derrière la maison Lindenbach et la carpe bridée – à Engelhard père qui l’a acquis des héritiers Pierre Mayno son ci devant associé de commerce par acte Me Lacombe le 18 thermidor 10 – moyennant 10 650 francs
Charles Lauth épouse en 1825 Caroline Henriette Pauline Kern, fille de professeur de la faculté de droit
1824 (25.5.) Strasbourg 3 (71), Me Schreider n° 2040 – Enregistrement de Strasbourg, acp 168 F° 87-v du 2.6.
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Charles Lauth avocat et docteur en droit demeurant quai St Thomas n° 12 veuf sans enfant de Caroline Lauth, fils de Thomas Lauth, Chevalier de la Légion d’Honneur, docteur et professeur à la faculté de médecine de l’Académie de Strasbourg & au séminaire protestant de la même ville, et de Marie Madeleine Grauel
Caroline Henriette Pauline Kern née le 21 pluviose 13 (10 février 1805) fille mineure de Charles Henri Kern, conseiller de préfecture, professeur de la faculté de droit de l’Académie de Strasbourg, et de Susanne Salomé Kratz, demeurant grand rue n° 14
Charles Lauth et Caroline Henriette Pauline Kern vendent la maison au capitaine en retraite Jean Jacques Habert, auparavant domicilié à Mulhouse
1826 (25.3.), Strasbourg 3 (74), Me Schreider n° 2781 – Enregistrement de Strasbourg, acp 177 F° 176-v du 1.4.
Charles Lauth, avocat et docteur en droit, et Caroline Henriette Pauline Kern
à Jean Jacques Habert, Chevalier de la Légion d’Honneur capitaine en retraite
une maison à trois étages, puits, aisances, appartenances et dépendances située en la ville de Strasbourg rue des Bouchers n° 54, d’un côté M Toussaint, d’autre le Sr Weiss cordier, derrière la maison Lindenbach et la Carpe Bridée – acquise de Philippe Engelhardt, manufacturier à Molsheim, et de Marie Marguerite Frick par acte Me Hatt le 16 novembre 1824 transcrit au bureau des hypothèques volume 173 n° 36, ledit Engelhard l’a acquise des héritiers du Sr Mayno, négociant ci devant associé en commerce par acte Me Lacombe le 18 thermidor 10, en même temps que la liquidation de la société qui existait entre lesdits Mayno et Engelhard – moyennant 15 000 francs
Jean Jacques Habert et ses deux filles vendent la maison acquise pendant la communauté avec Charlotte Reiffinger à Henri Ignace Marie Louis Legrand, pharmacien à Barr
1832 (20.6.), Strasbourg 12 (125), Me Noetinger n° 4207 – Enregistrement de Strasbourg, acp 211 f° 21-v du 28.6.
Jean Jacques Habert, capitaine en retraite Chevalier de la Légion d’Honneur, en son nom et mandataire de 1. Catherine Habert, majeure sa fille actuellement à Bar le Duc et 2. Marie Anne Habert, majeure sans profession
à Henri Ignace Marie Louis Legrand, pharmacien à Barr
Désignation. Une maison à trois étages, puits, aisances, appartenances, dépendances sise en la ville de Strasbourg rue des Bouchers n° 54, d’un côté M Toussaint, d’autre le Sr Weiss cordier, derrière la maison Lindenbach & la Carpe bridée. Etablissement de la propriété, acquis par M Habert et feu Charlotte Reiffinger de Charles Lauth, juge de paix, et Caroline Henriette Pauline Kern, par acte reçu Me Schreider le 25 mars 1826 transcrit au bureau des hypothèques volume 189 n° 64, le Sr Lauth l’a acquis de Philippe Engelhardt, manufacturier à Molsheim, par acte Me Hatt le 16 novembre 1824 transcrit au bureau des hypothèques volume 173 n° 36, ledit Engelhardt acquis de M. Magnus, négociant, par acte Me Lacombe le 18 messidor 10 – moyennant 25 500 francd
[Cahier des Charges du 1 juin n° 4148, mise à prix 22.000 francs, sans suite]
Fils d’un habitant de Liège, Henri Ignace Marie Louis Legrand a épousé Catherine Meyer d’après l’acte de notoriété dressé en 1850
1850 (12.3.), Strasbourg 11 (45), Me Keller n° 4597
Notoriété – (…) avoir connu parfaitement M. Jean Baptiste Legrand en son vivant rentier à Liège où il est décédé dans le courant de l’année 1825. Que parmi les enfants par lui delaissés se trouve M. Henri Ignace Marie Louis Legrand pharmacien retiré demeurant à Strasbourg. Qu’il n’a point été fait d’inventaire après ledit décès mais que la succession du défunt a été partagée à l’amiable entre les héritiers aux termes d’un acte passé devant Me Barthels notaire à Tongres. Que mondit Sr Henri Ignace Marie Louis Legrand a pareillement hérité pour portion de De Gertrude Kaesmacher sa tante maternelle veuve de M. le Colonel Barere décédée à Aix la Chapelle en l’année 1828. Enfin les comparans ont affirmé en leur âme & conscience savoir très bien que dans le courant de l’année 1832 mondit Sr Legrand fils a reçu à Strasbourg en différentes fois jusqu’à la concurrence d’une somme de 28 000 francs provenant des susdits héritages & formant pour lui bien pour sujet à reprise contre la communauté qui existoit alors entre lui & De Catherine née Meyer son épouse décédée à Strasbourg dans le courant de l’année dernière aux termes de leur contrat de mariage passé devant Me Carnari alors notaire à Barr.
Native de Barr, Marie Catherine Meyer meurt en 1849. Elle a épousé en première noces Jean Henri Schmidt, pharmacien à Barr, et en secondes Henri Louis Marie Ignace Legrand
Décès, Strasbourg (n° 1156)
Le 17 juin 1849 ont comparu (…) lesquels nous ont déclaré que Marie Catherine Meyer agée de 49 ans née à Barr (Bas Rhin) Epouse de Henri Louis Marie Ignace Legrand, ancien phrmacien et veuve en premières noces de Jean Henri Schmidt Pharmacien à Barr, domiciliée à Strasbourg fille de feu Daniel Meyer et de feu Marie Catherine Speckel est décédée le 17 juin 1849 à cinq heures du matin en la maison quai St Nicolas N° 2 (i 79)
Inventaire après décès d’un locataire, Charles Philippe Marchand, juge au tribunal civil
1837 (12.12.), Strasbourg 13 (52), Me Bremsinger n° 8140 – Enregistrement de Strasbourg, acp 255 F° 47-v du 18.12.
Inventaire de la succession de Charles Philippe Marchand, juge au Tribunal Civil, décédé le 29 novembre 1837, à la requête de Caroline Victoire Hugard la veuve, unique héritière, contrat de mariage devant Me Bremsinger le 10 juillet 1828, décédé sans laisser d’enfants
dans les appartements et localités faisant partie d’une maison en cette ville rue des Bouchers n° 54
Henri Ignace Marie Louis Legrand vend en juin 1841 la maison à l’Etat pour élargir la route nationale aux abords du Pont du Corbeau après que le tribunal a rendu un jugement pour cause d’utilité publique. Il se réseve les matériaux de la maison jusqu’en août de la même année
1842 (28.3.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 380 n° 96, Préfecture du Bas-Rhin
Préfecture du Bas-Rhin. Route royale Numéro Quatre. Acquisition de propriétés par l’Etat. Cejourd’hui 24 juin 1841, pardevant nous, préfet du département au Bas-Rhin, et en vertu d’une autorisation du Ministre des travaux du Rhin du 15 dernier, s’est présenté Monsieur Henri Ignace Marie Louis Legrand, Pharmacien demeurant à Strasbourg agissant en son propre et privé nom, lequel a déclaré vendre, céder, transporter en toute propriété
à l’Etat
les biens immeubles dont la description suit. Une maison à trois Etages, sise en la ville de Strasbourg Rue des Bouchers N° 54, tenant d’un côté à Monsieur Toussaint, de l’autre au sieur Weiss, cordier, aboutissant sur le maison Lindenlaub et l’hotel de la Carpe bridée, dont la démolition est nécessaire pour l’élargissement des abords du Pont du Corbeau sur l’Ill, route royale Numéro quatre – moyennant la somme de 60 000 francs (…) Il est fait réserve par le sieur Legrand des Matériaux de toutes espèces, y compris les volets, portes & jalousies a provenir de la démolition de ladite maison à condition d’en opérer la démolition à ses frais dans le délai de six semaines à partir de la date d’aujourd’hui. Le vendeur nous a déclaré & nous avons vérifié 1° Que la maison dont s’agit a été acquise du sieur Habert, Jean Jacques, Capitaine en retraite à Strasbourg & de Marie Anne Habert sa fille Suivant contrat passé devant Me Charles Noetinger Notaire à Strasbourg le 20 juin 1832 folio 21 verso, 2° Quel immeuble vendu été acquis par ledit sieur Habert durant la communauté qui a existe entre lui et feu Dame Charlotte Redinger son épouse de Monsieur Charles Lauth Juge de Paix en cette ville & Dame Caroline Henriette Pauline Kern son épouse le 25 mars 1826. 3°Quel Monsieur Lauth & son épouse avaient eux-mêmes acquis la maison vendue du Sr Philippe Engelhard manufacturier à Molsheim et de son épouse le 16 novembre 1824. 4° Quels conjoints Engelhardt étaient propriétaire de cette maison pour en avoir fait l’acquisition de feu Monsieur Mayno Négociant en cette Ville le 18 thermidor an dix.
Extrait du jugement d’expropriation du 24 novembre 1840. Le tribunal civil de première Instance de l’arrondissement de Strasbourg département du Bas-Rhin a Rendu je jugement suivant sur la réquisition de M le procureur du Roi. Vu la réquisition du Procureur du Roi, L’ordonnance du Roi du 18 avril dernier qui déclare d’utilité publique les alignements de la route Royale de première Classe Numéro quatre dans la traverse de Strasbourg aux abords du Pont du corbeau. Vu l’arrêté de Monsieur le Préfet du Bas-Rhin en date du 19 novembre dernier, les différentes pièces jointes et l’article 14 de la loi du 17 juillet 1833. Attendu qu’il résulte des pièces produites que les formalités prescrites par l’article deux du titre premier de la loi citée ont été remplies, Le tribunal déclare exproprié pour utilité publique le sieur Legrand, Henri Ignace Marie Louis, Pharmacien, de la maison rue des bouchers Numéro 54. Jugé et prononcé en audience publique de la première Chambre du tribunal civil de première Instance de l’arrondissement de Strasbourg séant en cette ville au palais de Justice le 24 novembre 1840.
Henri Ignace Marie Louis Legrand expose aux enchères les matériaux de la maison qu’il vient de vendre à l’Etat. L’acte est suivi d’un procès verbal qui constate qu’aucun amateur ne s’est présenté
1841 (4.7.), Strasbourg 11 (34), Me Keller n° 1476
Cahier des charges du 4. Juillet 1841 – a comparu M. Henri Ignace Marie Louis Legrand, pharmacien demeurant à Strasbourg. Lequel a dit qu’ayant fait annoncer par la voie des journaux la vente aux enchères des matériaux de la maison dont il a fait cession à l’Etat pour cause d’utilité publique et sise en cette ville rue des bouchers N° 54 près le nouveau pont du Corbeau, il requiert ledit Me Keller notaire de rédiger le Cahier des charges clauses & conditions sous lesquelles il sera procédé à ladite Vente, ce qui a eu lieu comme suit.
Description de l’Immeuble à démolir et dont les matériaux feront l’objet de ladite Vente. Une maison composée de trois étages, non compris le rez de chaussée les mansardes & les greniers, sise à Strasbourg rue des bouchers N° 54, d’un côté le Sr Toussaint, de l’autre au Sr Weiss, par devant ayant la façade en pierres de taille sur la rue des bouchers et par derrière le Sr Jung & autres propriétaires dont les maisons doivent être pareillement démolies pour cause d’utilité publique. Sont compris dans les Matériaux à démolir toutes les croisées, portes, Volets, séparations de caves, une pompe ayant robinet en Cuivre et en un mot Tout ce qui constitue l’immeuble susdésigné dans l’état où il se trouve au jour de la vente.
Procès verbal – Douze juillet 1841. A comparu Ignace Marie Louis Legrand pharmacien demeurant à Strasbourg. (…) vente publique des matériaux à provenir de la démolition d’une maison composée de trois étages, non compris le rez de chaussée les mansardes et les greniers, sise à Strasbourg rue des bouchers N° 54, d’un côté le Sr Toussaint, de l’autre au Sr Weiss, par devant ayant la façade en pierres de taille sur la rue des bouchers et par derrière le Sr Jung & autres propriétaires dont les maisons doivent être pareillement démolies pour cause d’utilité publique. Sont compris dans les Matériaux à démolir toutes les croisées, portes, Volets, séparations de caves, une pompe ayant robinet en Cuivre et en un mot Tout ce qui constitue l’immeuble susdésigné dans l’état où il se trouve au jour de la vente.
Mais après avoir attendu depuis les dix heures du matin jusqu’à midi sans que personne se soit présenté pour enchérir, l’on a levé la séance et de tout ce que dessus a été dressé le présent procès verbal