35, rue des Bouchers
Rue des Bouchers n° 35 – IX 50 (Blondel), P 1483 puis section 16 parcelle 4 (cadastre)
Anciens bâtiments démolis en 1971, nouveau bâtiment construit en 1972
Le numéro 35 est le premier bâtiment blanc (rez-de-chaussée à parement de grès, surmonté de trois travées)
Ancien bâtiment, démoli en 1971, la devanture de gauche date de 1904, les deux petites lucarnes de 1912 (Police du Bâtiment 233 MW 303)
La maison comprend au XVII° siècle un bâtiment avant et un bâtiment arrière, son puits est commun avec celui de la maison à l’ouest. Elle appartient au maréchal ferrant Jean Adolphe Gesensohn puis (1662) au marchand de chevaux Henri Eissen et revient par héritage au boucher Abraham Hansmetzger qui l’échange contre une autre maison dans la même rue avec le notaire Jean Louis Scherer en 1714. Le boucher Jean Henri Pfeffinger l’achète par enchère judiciaire en 1719. Il est autorisé en 1720 à faire passer un tuyau d’évacuation des eaux usées à travers le rempart. A la mort de sa veuve en 1748, la maison avant comprend un rez-de-chaussée et deux étages ainsi qu’un étage sous les combles, le bâtiment arrière qui est ancien comprend un logement, les chambres pour militaires et les dépendances (écurie et fenil). Le boucher Jean Daniel Weiler achète la maison par enchère judiciaire en 1763, il est autorisé la même année à jouir d’un terrain communal devant sa porte de cave pour y descendre commodément son vin. Il est autorisé à poser de nouvelles croisées en 1774 et à agrandir la porte qui donne dans son jardin à l’arrière de sa maison en 1781.
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 249
rue des Bouchers et rue des Jardins
L’Atlas des alignements (années 1820) signale un rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue est celle entre les repères (r-s) , deux fenêtres et une porte cochère au rez-de-chaussée, deux étages à quatre fenêtres chacun, toiture à deux niveaux de lucarnes et ouverture à treuil. La cour U montre la façade arrière (6-7) du bâtiment rue des Bouchers, le bâtiment du milieu (1-2-3), le bâtiment arrière (3-3) vers la rue des Jardins puis les bâtiments (4-5-6) dépendant de la maison voisine à l’ouest. Le bâtiment arrière donne dans la rue des Jardins en (a’-b’), le bâtiment du milieu en (b’-c’). Seul le bâtiment avant est le même que sur le plan Blondel de 1765 ; le bâtiment du milieu occupe l’emplacement de l’ancienne cour et une pièce du bâtiment arrière, ce qui permet de conclure que le bâtiment du milieu a été construit entre 1765 et 1830.
La maison porte d’abord le n° 17 (1784-1857) puis le n° 35.
Cour U – Lucarnes construites en 1912, devanture selon un premier projet et devanture réalisée (Police du Bâtiment 233 MW 303)
Le menuisier Georges Weichsel abaisse de 45 centimètres les deux appuis de fenêtre au rez-de-chaussée en 1868. Son fils ébéniste Albert Weichsel transforme le rez-de-chaussée en 1904. Le projet initial consiste à remplacer les deux fenêtres et la porte cochère par deux devantures identiques, le projet réalisé remplace les deux fenêtres par une nouvelle devanture et transforme la porte cochère en deuxième devanture. Albert Weichsel installe en 1905 une machine à moteur dans son atelier au premier étage du bâtiment du milieu. Il fait construire en 1912 des lucarnes dans les combles pour mieux éclairer et aérer les pièces d’habitation. André Meyer fait aménager en 1960 un logement dans les combles du bâtiment avant puis remet en état le bâtiment du milieu en 1967. Le préfet accorde en octobre 1969 à la Société civile immobilière Porte de l’hôpital l’autorisation de démolir les trois bâtiments pour les remplacer par une construction neuve de 44 logements qui portent la surface habitable de 398 à 677 mètres carrés. Les anciens bâtiments sont démolis en décembre 1971, le nouveau est terminé en décembre 1972. Le permis de construire fait l’objet en 1976 d’un avenant concernant les places de stationnement.
Nouveau bâtiment, façades rue des Bouchers et rue des Jardins (dossier de la Police du Bâtiment 899 W 407)
Bâtiment du milieu (1967, Police du Bâtiment 233 MW 303)
septembre 2017
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1624 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
Jean Scheller | ||
v. 1635 | h | Jean Adolphe Gesensohn, maréchal ferrant, et (1633) Elisabeth Scheller – luthériens |
1641 | v | Henri Eissen, marchand de chevaux, et (1622) Salomé Frey – luthériens |
v. 1675 | h | Abraham Hansmetzger, boucher, et (v. 1662) Salomé Eissen – luthériens |
v. 1700 | h | Isaac Hansmetzger, boucher, et (1695) Susanne Marie Bilger – luthériens |
1714 | v | Jean Louis Scherer, notaire, et (1695) Marie Salomé Hamm – luthériens |
1719 | adj. | Jean Henri Pfeffinger, boucher, et (1694) Marie Marguerite Hetzel puis (1714) Marie Salomé Strass, veuve du pasteur Jean Jacques Schneider – luthériens |
1734 | h | Jean Georges Wild, bailli du bailliage de Schœneck, et (1734) Marie Salomé Strass ci-dessus – luthériens |
1750 | h | Jean Henri Pfeffinger, boucher, et (1732) Anne Marie Fischer – luthériens |
1763 | adj. | Jean Daniel Weiler, boucher, et (1738) Marie Salomé Kamm – luthériens |
1781 | h | Jean Daniel Weiler, boucher, et (1762) Marguerite Salomé Schneegans – luthériens |
1785 | v | Abraham Hansmetzger, boucher, et (1781) Marie Madeleine Klein – luthériens |
1828 | v | André Subbinger, maître maçon, et (1799) Anastasie Bœhrer |
1842 | h | Salomé Subbinger et Emilie Elisabeth Subbinger, Salomé Subbinger seule (1852) |
1863 | h | François Joseph Subbinger, ébéniste, et (1830) Victoire Wehrlin |
1870* | Georges Weichsel, menuisier | |
1904* | h | Georges Albert Weichsel |
1927* | h | Weichsel, Auguste Albert et son épouse née Réganet |
1947* | André Meyer, docteur en droit, et son épouse née Kessler |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1 250 livres en 1748
(1765, Liste Blondel) IX 50, Jean Daniel Weyler
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Rath. Weÿler, 13 toises, 2 pieds et 10 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1483, Subbinger, François Joseph, veuve du maçon quai des Bateliers 25 – maison, sol, cour – 2,9 are / Subbinger André
Locations
1701, Salomon Funck, soigneur de chevaux
1734, Jean Pierre Sommer, boucher
1801, Jean Jacques Hansmetzger, boucher, et Marie Salomé Dollinger
1824, Philippe Chrétien Taubert, baquetier
Livres des communaux
Livre des loyers communaux, cote VII 1466 (1673-1741) f° 700-v
Le loyer dû pour le tuyau d’écoulement des eaux dans le fossé communal en traversant le rempart est porté au livre des loyers suivant la décision des préposés aux affaires foncières
Herr Johann Heinrich Pfeffinger der Metzger solle Von einem dohlen in seinem Stall hinder seiner in dem Metzger Gießen Liegenden behaußung, so in dem jnnern Graben durch die Stattmaur Gehet, jährlichen auf Michaelis und A° 1720. I.mo L. Prot. de 1720. f. 88-b, 7 ß 6 d
(Quittungen 1720-1741)
Neuzb fol 737-b
Livre des loyers communaux, cote VII 1472 (1741-1802) f° 737-b
alzb. 700-b
Joh: Heinrich Pfeffingers Erben sollen von einem dohlen in Ihrem Stall, hinder Ihrer in dem Metzger gießen Liegenden behaußung so in dem Inneren Graben durch die Stattmaur gehet, Jahrs auf Mich. (id est 29. Sept. – 8. Vendemiaire) 7 ß 6 d
Metzger Gießen
(Quittungen 1741-an 10)
C 369
Jetzt hr. Joh: Daniel Weiler v. 136.b, 965.a
Abraham Hansmetzger
Préposés aux affaires foncières (Bauherren)
1719, Préposés aux affaires foncières, VII 1388
Jean Henri Pfeffinger demande en avril 1719 l’autorisation de faire passer un tuyau d’évacuation des eaux usées à travers le rempart. Il y est autorisé en septembre 1720 moyennant un loyer annuel de 7 sous 6 deniers
(f° 175-v) Dienstags den 25. Ejusd. [apr. 1719] H. Johann Heinrich Pfeffinger pt° dohlens
Fernerer augenschein eingenommen an Herrn Heinrich Pfeffinger des Metzgers im Metzgergießen, ohnfern dem Spithalthor liegenden behaußung, woselbst Er in dem hintern Stall einen dohlen, welcher über den hinter der Statt mauren befindlichen weeg gehen, mit einem Gewölb Versehen vnd nachgehendts durch dieße maur in den innern Graben gerichtet werden solle, damit sowohl das waßer im Hoff, im Stall und s.v. unrath im Secret dadurch Könte hierauß geleitet werden. Erk. bedacht.
1720, Préposés aux affaires foncières (VII 1389)
(f° 88-v) Donnerstags den 5. Ejusd. [Sept.] H. Johann Heinrich Pfeffingers pt° dohlens
Herr Johann Heinrich Pfeffinger wurde angezeigt, daß Er Künfftighien von dem jenigen dohlen welchen Er in Seinem Stall hinten Seinen in dem Metzgießen liegenden behaußung machen, vnd in den innern Graben durch die Stattmaur richten laßen, Jährlichen auff Michaelis und A° 1720. I.mo 7 ß 6 d Zinß abrichten solle, Welches Er acceptirt.
1763, Préposés aux affaires foncières, VII 1410
Jean Daniel Weiler est autorisé à jouir d’un terrain communal devant sa porte de cave pour y descendre commodément son vin, eu égard qu’à cet endroit la rue est très large et que la circulation n’en sera pas entravée
(f° 63-v) Dinstag den 8. Martÿ 1763. Joh: Daniel Weiler
Ferner Augenschein eingenommen beÿ Johann Daniel Weiler dem Metzger in dem Metzgergießen, welcher gebetten ihm Zu erlauben 2 schuh in der breite auß das Allmend und 6. in der länge, vor seiner Kellerthür, solches in der nemlichen ebenerdes Pflasters Zu verbauen, damit er ohne gefahr sein wein einkellern könne, Es hat sich befunden, daß die Kellerthür der Maur Zugleich steht, und weilen die gaß an selbigem orth an dem breitesten ist, selbig eines weegs hierdurch könne Versperret werden, Erkandt wird dem imploranten in seinem begehren willfahrt.
1774, Préposés aux affaires foncières (VII 1416)
Jean Daniel Weiler est autorisé à poser de nouvelles croisées
(f° 77-v) Dienstags den 5. Julii 1774. Hr. Rathh. Joh. Daniel Weiler
Mr. Johann Friedrich Osterrieth, der Zimmermann, nôe. Herrn Rathh. Johann Daniel Weiler, des Metzgers bittet zu erlauben an deßen im Metzgergiesen gelegener behausung neue Creutzstöck einzuziehen. Erkannt, Willfahrt.
1781, Préposés aux affaires foncières (VII 1419)
Jean Daniel Weiler est autorisé à agrandir la porte qui donne dans son jardin à l’arrière de sa maison
(f° 263-v) Dienstags den 7. Augusti 1781. Hr Joh. Daniel Weiler, Metzger – Mr Leonhard Haas, der Zimmermann nôe. Hrn. Johann Daniel Weiler des Metzgers bittet zu erlauben an deßen behausung an dem Metzgergiesen gelegen, hinten auf die Garten gaß stoßend, die hintere thür in besagter Garten gaß zu erweitern. Erkannt, Willfahrt.
Description de la maison
- 1748 (billet d’estimation traduit) la maison comprend à gauche de l’entrée un petit poêle, une cuisine et un passage vers la cour, au premier étage un poêle, une chambre et un vestibule où se trouve un fourneau, au deuxième étage deux chambres et un vestibule, l’étage sous comble est dallé, le toit est couvert de tuiles plates, les deux pignons sont en pierre, le bâtiment arrière qui est ancien et en mauvais état comprend une chambre d’officier, une chambre de serviteur, une écurie et un fenil, vers la cour un poêle, une cuisine et une petite chambre, le puits se trouve dans l’écurie, la cave est solivée, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 2 500 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
3° arrondissement ou Canton Sud – Rue des Bouchers
nouveau N° / ancien N° : 33 / 17
Hansmetzger
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages médiocres en bois
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 28 f° 430 case 2
Subbinger, André, veuve du maçon
P 1483, maison et cour, sol, Rue des bouchers 17
Contenance : 2,90
Revenu total : 199,51 (198 et 1,51)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 55 / 44
fenêtres du 3° et au-dessus : 1 / 1
Cadastre napoléonien, registre 27 f° 822 case 2
Subbinger, André, veuve du maçon
1863 Subbinger François Joseph, propriétaire Quai des bateliers 21
1870 Weichsel, Georges, Menuisier
P 1483, maison, sol, Rue des bouchers 35
Contenance : 2,90
Revenu total : 199,51 (198 et 1,51)
Folio de provenance : (430)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 55 / 44
fenêtres du 3° et au-dessus : 1 / 1
Cadastre allemand, registre 29 p. 183 case 4
Parcelle, section 16, n° 4 – autrefois P 1483
Canton : Metzgergießen und Hinter den Mauren Hs. N° 35 u. 7 – Rue des Bouchers et rue des Jardins
Désignation : Hs, Whs. u N.G. – sol, 3 maisons et bât. acc.
Contenance : 3,53
Revenu : 2450 – 2550 – 3100
Remarques : 1906 Neubau
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1913), compte 1303
Weichsel, Georg Albert
Weichsel, Georg i. aufgl. Gg. u. R. und Ehefr. d. Erben
1905 Weichsel, Georg Albert
gelöscht 1913
(Propriétaire à partir de l’exercice 1913), compte 1304
Weichsel, Georg Albert Ehefr.
1913 Weichsel, Georg Albert
1927 Weichsel, Auguste Albert et son épouse née Réganet
clos 1947
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1947), compte 6246
Meyer, André, doct. en droit et son épouse née Kessler en c.d.b.
(2919)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IX, Rue 311, Quartier des Bouchers p. 464
17
Pr. Hansmetzger, Jacques – Bouchers
loc. Hansmetzger, Abraham – Bouchers
loc. Wassermann, Melchior – Manant
loc. Stricher, André – Manant
Registres de population
(1795) 11° section, Quay des Bateliers N° 16 (registre 600 MW 11) – légende
17
Pr. Hansmetzger, Jacques – Bouchers
loc. Hansmetzger, Abraham – Bouchers
loc. Wassermann, Melchior – Manant
loc. Stricher, André – Manant
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Metzgergiessen (Seite 113)
(Haus Nr.) 35
Weichsel G., Rentner E 0
Weichsel, Schreinerm. 01
Beck, Wäscherin. 1.
Steiner, Notariatsgeh. 2.
Müller, Tagner, H 0
Frhr v. Sparren Steueramts Assistent. H 1
Hansmann, Monteur. H 2
Herthfelder, Arbeiter, H 2
Kieffer, Schuhmacherm. H 2
Müller, Tagner, H 3
Syrzisko, Schneiderm. H 3
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 233 MW 303)
Rue des Bouchers 35 (1868-1971)
Georges Weichsel abaisse de 45 centimètres les deux appuis de fenêtre au rez-de-chaussée en 1868. Son fils ébéniste Albert Weichsel pose une devanture en 1904. Il fait installer en 1905 une machine à moteur dans son atelier au premier étage du bâtiment du milieu. Il fait poser en 1912 des lucarnes dans les combles pour mieux éclairer et aérer les pièces d’habitation. L’entrepreneur de pompes funèbres Marius Weichsel pose une enseigne en 1939. Des locataires se plaignent à plusieurs reprises à partir de 1950 que le propriétaire André Meyer ne fait pas faire les réparations indispensables. Suite à une nouvelle plainte, la Police du Bâtiment conclut en 1959 que le bâtiment arrière sur la rue des Jardins devrait être remis en état ou mieux démoli. André Meyer fait aménager en 1960 un logement dans les combles du bâtiment avant. Il remet en état le bâtiment du milieu en 1967. Le maire déclare insalubre le bâtiment arrière en août 1967. Nouvelle propriétaire des lieux, la Société civile immobilière Porte de l’hôpital dépose un dossier de démolition des trois bâtiments pour y construire un bâtiment neuf en portant la surface habitable de 398 à 677 m². Le préfet accorde l’autorisation de démolir en octobre 1969. La démolition est terminée en décembre 1971.
Sommaire
- 1868 – Le propriétaire Weichsel demande l’autorisation d’abaisser de 45 centimètres les deux appuis de fenêtre au rez-de-chaussée – L’agent voyer note que la maison est alignée et qu’elle n’a pas d’encorbellement
- 1868 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du propriétaire Weichsel que le plombier Fries soit autorisé à faire une prise pour environ deux becs.
1873 – Idem, que le plombier Lepain soit autorisé à faire une prise pour environ trois becs. - 1885 – Les entrepreneurs Schoop et Mayer (39, rue des Bouchers) demandent au nom du propriétaire Weichsel l’autorisation de réparer le crépi au 35, rue des Bouchers – Autorisation – Travaux terminés, août 1885
- 1886- Le maire notifie le menuisier Georges Weichsel de faire ravaler la façade du 7, rue des Jardins (Hinter der Mauern) – Le propriétaire demande un délai qu’accorde le maire
1887 – Les entrepreneurs Schoop et Mayer (39, rue des Bouchers) demandent au nom du propriétaire Weichsel l’autorisation de réparer le crépi au 7, rue des Jardins – Autorisation – Travaux terminés, juin 1887 - 1889 – Le maire notifie le menuisier Georges Weichsel de faire ravaler la façade du 35, rue des Bouchers – Travaux terminés, octobre 1889
1888 – Les entrepreneurs Schoop et Mayer demandent l’autorisation de faire un raccord aux canalisations – Dessin – Autorisation
1893 – Les entrepreneurs Schoop et Mayer (39, rue des Bouchers) demandent l’autorisation de réparer le crépi au rez-de-chaussée du 35, rue des Bouchers – Autorisation – Travaux terminés, juillet
1894 – Le maire notifie le menuisier Georges Weichsel de faire ravaler la façade du 7, rue des Jardins – Le maire accorde un délai – Travaux terminés, août 1895
1895 – Les entrepreneurs Schoop et Mayer (41, rue des Bouchers) demandent au nom du propriétaire Weichsel l’autorisation de réparer le crépi au 7, rue des Jardins – Autorisation – Travaux terminés, juillet - 1897 – Le maire demande au maître menuisier Weichsel de se conformer au nouveau règlement de 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent vers la voie publique aux fenêtres du rez-de-chaussée et à trois soupiraux – Rappel, 1898 – Travaux terminés, janvier 1899
- 1904 – Le maire notifie le menuisier Georges Weichsel de faire ravaler la façade du 7, rue des Jardins – Son fils et héritier Albert Weichsel qui est entré en possession de l’immeuble le 14 juin 1904 demande un délai
1904 – L’entrepreneur G. Mayer demande l’autorisation de poser une devanture – Autorisation, juin 1904 – Dessins
1904, juillet – Nouveau projet – Autorisation – Dessins – Calcul statique
Les travaux de maçonnerie sont en cours (juillet), de peinture (août). Les travaux sont terminés, septembre
1905 – L’entrepreneur G. Mayer demande l’autorisation de réparer le crépi au 35, rue des Bouchers – Autorisation – Travaux terminés mais le mur n’a pas été peint - 1905 – Albert Weichsel (Menuiserie, ébénisterie, magasin de cercueils) demande l’autorisation de poser une enseigne plate – Autorisation – L’enseigne en saillie de 30 centimètres est posée selon le règlement
- 1908 – Albert Weichsel demande l’autorisation d’installer un moteur dans son atelier – L’inspection du travail donne son accord – Autorisation accordée à Albert Weichsel, domicilié 18, quai des Bateliers – Travaux terminés, août 1908 – Dessin (l’atelier se trouve au premier étage dans le bâtiment du milieu)
- 1911 – La Police du Bâtiment constate que le peintre Louis Meyer a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire au 35, rue des Bouchers – Demande – Autorisation
- 1912 – Albert Weichsel demande l’autorisation d’installer des lucarnes dans les combles pour mieux éclairer et aérer les pièces d’habitation – Autorisation (architecte, Charles Nadler, demeurant 1, rue des Jardins) – Dessin – Travaux terminés conformément aux demandes de la Police du Bâtiment, juillet 1913
- Commission contre les logements insalubres – Un locataire se plaint que son logement dans les combles du bâtiment latéral est humide
1906 – Les logements sont en bon état (propriétaire, Weichsel, 8, rue Sainte-Madeleine), les murs qui donnent dans la cour devraient être ravalés ainsi que les pignons
1912 – Les travaux dans le bâtiment qui donne dans la rue des Jardins peuvent attendre que les canalisations soient posées
1915 – Commission des logements militaires – Les cabinets d’aisance doivent être raccordés aux canalisations
1922 – Le locataire Roth élève des lapins sur une terrasse qui donne dans la rue des Jardins. Il réduit le nombre de lapins, les clapiers sont bien tenus. Les clapiers sont supprimés, janvier 1926. - 1926- Albert Weichsel demande l’autorisation d’installer une machine dans son atelier qui se trouve dans la cour – L’inspection du travail donne son accord – Autorisation – Dessin – Travaux terminés, juin 1927
- 1939 – L’entrepreneur de pompes funèbres Marius Weichsel (menuiserie, ébénisterie) demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation – L’enseigne est posée
- 1940 – Le locataire Alfed Grummich se plaint de son installation électrique – Travaux terminés
- 1943 – Marius Weichsel demande l’autorisation de poser une enseigne en forme de drapeau – Autorisation – Photographie – L’enseigne est posée, mars 1944
- 1950 – La locataire Louise Storck se plaint que son logement dans le bâtiment du milieu est humide. Le propriétaire (l’avocat André Meyer, 5, place Kleber) refuse de faire les réparations. La Police du Bâtiment constate que le logement est humide et délabré. Elle écrit au propriétaire en lui donnant un mois pour faire faire les réparations
1950 – Le propriétaire transmet une facture de l’entrepreneur Joseph Seybold concernant divers travaux de réfection
1951 – La même locataire se plaint des cabinets d’aisance. Le propriétaire déclare que la plaignante néglige de le nettoyer. La Police du Bâtiment établit un rapport, les cabinets d’aisance dans le bâtiment du milieu sont inutilisables. – Travaux terminés, janvier 1952
1954 – Un locataire se plaint de la cheminée qui est ensuite remise en état.
1956 – Le locataire Dentinger se plaint de son logement. La Police du Bâtiment estime qu’il s’agit de réparations locatives – Nouvelle plainte, la Police du Bâtiment écrit au propriétaire – Travaux terminés, août 1957 – La Police du Bâtiment rédige un rapport sur l’écoulement des eaux dans la propriété Meyer composée de trois bâtiments et conclut qu’il est urgent de raccorder les bâtiments au tout-à-l’égout – Les travaux terminés en avril 1957 se limitent au raccordement à la fosse existante – Travaux terminés, avril 1958
1957 – Le locataire Oberhausser se plaint des canalisations et de l’escalier en mauvais état dans le bâtiment arrière. La Police du Bâtiment écrit au propriétaire – Travaux terminés, février 1958 - 1959 – Le propriétaire André Meyer est autorisé à occuper la voie publique pour faire crépir la façade
- 1959 – Le locataire Pierre Audifax se plaint de son logement. Il quitte les lieux peu après
- 1960 – Le propriétaire André Meyer crée sans autorisation préalable un logement dans les combles. Il charge l’architecte Jean Fritz (3, rue de l’Observatoire) de constituer le dossier – Demande de permis de construire. Extrait du plan cadastral. Le logement à créer dans le bâtiment rue des Bouchers donne sur la cour – Dessins – Description, devis – La direction départementale du ministère de la construction accorde dérogation au décret concernant la hauteur des pièces (la cuisine a 2,19, les autres pièces entre 2,08 et 2,32 mètres) – Arrêté portant permis de construire accordé à André Meyer (42, rue de Verdun) le 20 novembre 1961 – Travaux terminés, décembre 1961 – Certificat de conformité
- 1959 – Clémence Heintzien, locataire de la maison arrière sur la rue des Jardins, se plaint du plancher qui risque de s’effondrer. La Police du Bâtiment se rend sur les lieux le 26 janvier 1960. La maison arrière comprend une cave, un rez-de-chaussée et un étage, la toiture à deux versants est couverte de tuiles plates. Les murs de la cave sont en briques, les façades sont en briques à pans de bois. Les planchers sont inclinés, les murs présentent des fissures. Le plafond des cuisines s’est en partie effondré. « Les pièces donnant sur la courette sont très sombres. Le soleil n’y pénètre jamais, le bâtiment du milieu de la même propriété étant implanté à moins de 2 mètres. L’accès à la cave se fait par l’extérieur. Un puisard de cour, aménagé à proximité de la porte d’accès à la cave, est bouché et les eaux de pluie des tuyaux de descente inondent la cave. D’une façon générale, le bâtiment en question est très vétuste et d’importants travaux de remise en état seraient nécessaires si le propriétaire désire conserver cette bâtisse. La démolition intégrale après évacuation serait souhaitable. »
Le propriétaire André Meyer demande une visite des lieux avec un représentant de la Police du Bâtiment. Comme il ne s’est pas présent au rendez-vous, la Police du Bâtiment lui adresse le rapport du 26 janvier. Le propriétaire dénonce le bail à effet immédiat. - 1965 (janvier) – Marius Weichsel retire son enseigne
- 1967 (août) – André Meyer dépose une demande de permis de construire pour faire des travaux de consolidation et de réparations sans modifier la structure ni l’aspect en remplaçant les pans de bois remplis de briques par une maçonnerie en briques (bâtiment du milieu) – Extrait du plan cadastral de situation – Dessins – Le maire transmet le dossier avec avis favorable au directeur départemental de la Construction qui donne son accord – Arrêté portant permis de construire, 9 septembre 1967 – Les travaux sont en cours (septembre 1967), achevés (mai 1968)
- 1967 (juillet) – Rapport sur l’insalubrité du bâtiment arrière occupé par deux familles sur demande du service d’hygiène sociale. La Police du Bâtiment constate que le propriétaire n’a pas réalisé son intention de reconstruire le bâtiment suite au rapport de 1960. La visite qui a lieu avec l’architecte du propriétaire le 3 août 1967 conclut à l’état d’insalubrité. Le propriétaire dénonce le bail à effet immédiat en rappelant qu’il a déjà fait de même en 1960. La Ville reloge les locataires en octobre 1967
- 1969 – Propriétaire de l’immeuble, Jean-Pierre Kiehl (demeurant 17, rue Frédéric au Neudorf) autorise Marcel Blaess à poser une enseigne. L’entrepreneur de pompes funèbres Marcel Blaess (Pompes funèbres alsaciennes) demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire et une inscription sur devanture – Autorisation
- 1969 (juin) – Dossier de démolition, propriétaire S.C.I. Porte de l’hôpital (siège, 17, rue Frédéric au Neudorf), bâtiments comprenant 6 logements sur 400 m². Observation « Il s’agit de très anciennes constructions construites avec des matériaux traditionnels : pierres, briques, bois, couverture en tuiles plates. Ces bâtiments ne menacent pas de s’écrouler mais nécessiteraient l’investissement d’une forte somme d’argent pour assurer une bonne habitabilité des locaux. ». La surface habitable sera portée de 398 à 677 m². Le maire transmet le dossier avec avis favorable au préfet – Extrait du plan cadastral de situation – Dessins (élévations, coupe – Photographie du bâtiment rue des Bouchers – Le préfet accorde l’autorisation de démolir.
1971 (décembre) – La démolition est terminée
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 899 W 407)
Rue des Bouchers 35 (1972-1996)
Suite à la déclaration d’achèvement transmise en décembre 1972, la Police du Bâtiment constate que la construction ne correspond pas aux plans. Un accord intervient au sujet des places de garage manquantes. Le maire transmet en mars 1976 au préfet avec avis favorable l’avenant au permis de construire un bâtiment de 44 logements, accordé le 8 janvier 1970. Le préfet donne son accord en juin 1976.
Une société de traitement des eaux occupe le local commercial en 1992, une auto-école en 1996.
Sommaire
- 1975 (novembre) – Description du projet (gros œuvre, menuiserie, appartements)
1975 (décembre) – Jean-Pierre Kiehl et Yvette Metz (17, rue Frédéric au Neudorf) demandent un avenant à un permis de construire un bâtiment de 44 logements – Dessins
1976 (mars) – Le notaire Paul Albrecht délivre une attestation selon laquelle neuf places de stationnement seront affectées au 65, rue des Bouchers dans le garage à 100 places sis rue des Jardins (section 16 n° 70) – Le maire transmet au préfet avec avis favorable l’avenant au permis de construire accordé le 8 janvier 1970 – Le préfet donne son accord le 5 juin 1976
1976 (juin) – Les travaux sont achevés conformément à l’avenant
1979 – Le maire délivre un certificat de conformité - 1972 – Le maire transmet à la Direction départementale de l’équipement la déclaration d’achèvement des travaux reçue le 5 décembre – Une note d’avril 1973 constate que le bâtiment ne correspond pas aux plans
- 1992 – La Police du Bâtiment constate que la société O.R.T.E. (Office régional de traitement des eaux) a posé sans autorisation une enseigne – Demande – Photographie
Bail commercial entre la S.C.I. Porte de l’hôpital représentée par M. Kiehl et Mme Metz d’une part et l’établissement O.R.T.E. représenté par Jean-Marc Lang
La Police du Bâtiment refuse le projet en arguant que l’enseigne ne s’intègre pas à la façade, elle propose des lettres détachées – L’enseigne est déposée, mai 1993 - 1996 – Le préfet demande au maire si les locaux dans lesquels Roland Müller projette d’exploiter au 35, rue des Bouchers une succursale à son établissement d’enseignement de la conduite sis à Marmoutier est conforme aux prescriptions réglementaires – Rapport du maire
1996 (août) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable à la demande de poser une enseigne lumineuse – Arrêté du maire – Photographie – L’enseigne est posée
Relevé d’actes
La maison appartient en 1630 aux veuve et héritiers de Jean Scheller puis en 1635 à sa fille Elisabeth Scheller épouse du maréchal ferrant Jean Adolphe Gesensohn.
Fils de maréchal ferrant, Jean Adolphe Gesensohn épouse Elisabeth Scheller en 1633.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 91)
1633 Eodem [Domin. Cantate] Hans Gesesohn, der Huffschmidt, weiland Jacob Gesesohns des huffschmidts alhie hindl. ehel. sohn vnd Jgfr. Elisabeth, Weiland Johann Scheller des würths Zur apfel hnderl. ehel. tochter (i 180)
Jean Adolphe Gesensohn demande aux préposés aux affaires foncières à reprendre le poste qu’occupait son père au pont sur le Rhin quoiqu’il ait déjà été attribué. Il est invité à présenter sa demande quand un poste sera vacant.
1635, Préposés aux affaires foncières, (VII 1346)
(f° 3) Donnerst. 29.t Januarÿ – Hannß Adolff Gesesohn Umb conferirung des Reinbruckwerckß
Hannß Adolff Gesesohn der Jung, huffschmidt, Vmb conferirung deß Reinbruckwercks so sein Vatter Zuuor gehabt. Ist ein vnbillich begehren, daß man Einen der schon etlich Jahr daßelbig rechtmäßiger weiß gehabt, solcher entziehen solle derhalt Erkanth, abgeschlagen, da Aber einer abgeht mag er sich gleich anderen darumb anmelden Ihme angesetzt 31 deß.
Jean Adolphe Gesensohn et Elisabeth Scheller hypothèquent la maison au profit du marchand de chevaux Henri Eissen
1638 (ut supra [20. Julÿ]), Chambre des Contrats, vol. 480 f° 539-v
Erschienen Hannß Adolff Gessesohn der Hueffschmidt burger Zue Straßburg und Elisabeth Schellerin sein eheliche haußfraw, mit beÿstandt hannß Banthels deß Grempen und herrn Adam Schneider beeder burgern alhie, alß ihrer hier zu insonderheit erbettener nechster Verwanthen
haben in gegenwärtigkeit Henrich Eÿsens deß Roßhändlers burgers Zu Straßburg schuldig seÿen 300. Lib. d.
dafür in specie Vnderpfand sein soll Hauß vnd Hoffstat, mit allen andern ihren gebäwen & alhie im Metziger güessen, neben Jacob Mölling & Balthasar Krausen beeden Metzgern, hinden vff der Statt Ringmaur stoßendt, so Zuuor verhafftet umb 300. lb ihme dem gläubiger selbsten
Elisabeth Scheller assistée de son mari Jean Adolphe Gesensohn vend la maison composée d’un bâtiment avant et d’un bâtiment arrière au marchand de chevaux Henri Eissen
1641 (10. Novemb.), Chambre des Contrats, vol. 487 f° 710-v
(Prot. fol. 132. & seq. – vide Cessiones vff Jacob Kammen, Michael Schreibeisen und Daniel Keßelmeÿern in a° 1641 & 1642. bescheh.) Erschienen Elisabeth Schellerin, hannß Adolph Geßesohns deß hueffschmidts undt burgers alhie ehelich haußfr. mit beÿstand ietztgemeldten ihres Eheuogts wie auch H Johann Jacob Kammen E. Ers. Kleinen rhats Advocati und procuatoris undt H Adam Schneiders burgern alhie alß ihrer hierzu erbettener verwanthen
hatt in gegenwärtigkeit Henrich Eißen deß Roßhändlers auch burgers alhie
Zweÿ häußer Ein Vord.s und ein hinders mit ihren hoffstätten und höfflin darzwischen, scheur, Stallung, sambt Bronnen und heimlich (s. v.) gemach mit allen and.en deren gebäwen, Welche beede letstere stuck mit Balthasar Kraußen den eltern Metzg. und burgern alhie gemein, alhie im Metzger güeßen einseit neben erstgemeldtem Krauß. and. seit Christoff Mölling. Metzg. hind. vffs Allmend gegen d. Statt Innern graben stoßend gelegen – per 1000. lib
Originaire de Franconie, Henri Eissen au service de l’aubergiste au Cheval épouse en octobre 1622 Salomé Frey, fille de jardinier, et devient bourgeois quelques semaines plus tard
Mariage, Saint-Guillaume (luth. n° 35)
1622. Dnîca XVIII et XIX, 20 et 27. oct. Heinrich Eisen ein Hausknecht Zum Gaul Michel Eisen des Barbierers Zu Gernbrunn in Franckenlandt, so Anspachisch, sohn, J. Salome, Martin freyen des Garttnerbotts ht t. Aderant sponsæ pater (i 312)
1622, 4° Livre de bourgeoisie p. 50
Heinrich Eÿßen Von Gerenbron d. haußknecht Empfangt d. Burg. recht von Salome Martin Freÿen deß Garttners In d. Krauttenaw dahiner vnd will zu freÿburg. dienen. Actum 30. 10.bris 1622
Le marchand de chevaux Henri Eissen hypothèque la maison au profit de la veuve Marguerite Kamm
1660 (4. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 969
Erschienen Henrich Eisen der Roßhändler
in gegensein H Johann Paul Graseckhs der Statt Renthmaÿsters alß Vogts Fr. Annæ Margarethæ Kammin, wittibin – schuldig seÿe 150 Pfund
Unterpfand sein soll hauß, hoffstatt, höfflin mit allen deren Gebäwen, Begriffen, weÿth., Zugehördten und Gerechtigkeit. im Metzger Gieß. einseit neben Christoph Mölling anderseit neben Georg Krauß. beed. Metzgern, hind. hatt solche Behaußung einen Außgang vff die alte stattmaur
Henri Eissen se porte garant de son beau frère le professeur Gérard von Stœcken et hypothèque sa maison
1668 (28. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 535 f° 291-v
Erschienen Johann König der Ferber
in gegensein deß Edel hochgelehrte, H Gerhardi von Stöckhen V.I.D. Professoris auch EE Collegiat Stiffts Zu St. Thomä Canonici – schuldig seÿe 100 Pfund pfenning, daß Er, damit, seine beede Schwestern Annam Margaretham und Barbaram vff nachgemelter Behaußung umb ihren daran gehabt Erbtheil außweißen möge
Unterpfand sein soll Ein Ferbhauß mit seinem hinderhaüslin auch allen deren Gebäwen Begriffen Zugehördten und Gerechtigkeiten, alhie in Vorstatt an Steinstraß, ist einseit ein Eckhauß an d. Raÿffgaßen, anderseit neben Valentin Würtzen dem Schreinern, hind. vff hannß Veltin Bahnen den leinenwebern stoßend gelegen, davon gehen iahrs 6 lib. empfangt der H Schaffner Zum Jung. St. Peter, so seÿe solche Behaußung auch noch umb 30. lib. H Johann Paul König Diaconi und Schulmaÿstern Zu Sunthaußen des Debitoris eheleiblichen Brudern verhafftet
Deß. Zur mehrern Versicherung so ist hiebeÿ auch persönlich erschienen Henrich Isen deß Debitoris Schwäher, Und hatt sich für diße Schuld (verbürgt) beÿ Verhafftung aller seiner haab und Güter soviel hierzu von nöth. in spe. seiner Behaußung alhie im Metzger Gießen, einseit neben Christoph Molling dem Metzgern anderseit neben hannß Georg Kraußen dem Metzgern hind. vff die Statt Maur stoßend gelegen
Henri Eissen meurt en janvier 1674 en délaissant huit enfants. Les experts estiment la maison 750 livres. L’actif de la succession s’élève à 867 livres, le passif à 126 livres.
1674 (4.2.), Me Oesinger (David, 37 Not 24) n° 2
Inventarium und Beschreibung aller und jeder Haab Nahrung und güthere, so weÿl. der Ehrengeachte H Heinrich Eißen burg. Alhier Zu Straßb. nach dem derselbe den 18. Januarÿ Jüngsthin Gottes Vätterlichen willen nach, dieße welt gesegnet, hinder Ihme Verlaßen, welche auf beschehenes freundliches erfordern Vnd begehren deßelbst hinderblienen Erben wie auch deren resp. Ehe: vndt Vögte auch erbettenen und deputirten H. beÿstandts hernach benant fleißig ersucht – So beschehen Straßburg Mittwoch d. 4. Februarÿ 1674.
Der abgeleibte H. seel. hat Zu Erben ab intestato, Seine Söhn vnd döchter hinderlaßen benantlich. 1. Fr. Salome H. Abraham Hanß Metzgers burgers vnd Metzgers auch E. E. Kl. raths alhier, ietz mahlig. beÿsitzer, ehelich. haußfr. 2. H hanß Heinrich Eißen, burg. vnd Gasthalter auff d. Metzg. Zunfft stuben alhier, 3. H. Hannß Carlen Eißen burg. vnd Gastgeber Zu dem Spieß alher, 4. Hanß Georg Eißen, bürg. Vnd duchscherern Zu Collmar, Ane deßen Statt auß E. E. Kleinen Raths mittel erbetten worden, der Ehrenvest, fürsichtig vnd weiße H. David Ösing. der Jünger Nots u. Cr* vnd deßelben ietzmalig. beÿsitzer, 5. Fr. Margaretham H. Johann Königs burgers vnd Schönferbers alhie, Eheliche haußfr. mit beÿstand desselben, 6. Fr. Cleophe, H. Johann Börnen deß Schuhmachers vnd burgers alhier Eheweib, mit beÿstand deßen. 7. Fr. Johannam H hanß Jacob Fischers, Postilionen und burgers alhie haußfr. wie auch 8. Jungfr. Catharinam deren geschworner Vogt H. Daniel Pfeffinger burger Gerber und lederbereiter alhiern So alle biß auff gemelter Hannß Jacob Fischern beÿ d. Inventation Zugegen geweßen.
In Einer in dem Metzger gießen alhie gelegenen vnd in dieße Verlaßenschafft gehörigen Behaußung, ist befunden worden wie volget
In der Cammer A, Vff m hind.sten stöckel
Eigenthumb ane Häußern. It. 2. häußer j. vorder: vnd j hind. hauß mit Ihren hoffstätten vnd höfflin dar zwischen, stallung sambt d. gerechtigkeit deß mit Balthasar Kraußen gemeinen habend. bronnens, vnd heimblichkeit., mit allen andern deren gebeuen, begriffen, weithen, rechten, Zugehördten vnd gerechtigkeiten, im Metzg. gießen, 1.s. neben Georg Krauß. dem Metzgern anderseit neben Christoff Mölling dem Metzger, hind. vffs Allmendt geg. der Statt Innern graben gelegen, So freÿ ledig vnd Eigen, Vnd hiehero æstimirt worden pro 750. Daüber weißt ein pergamentiner Kauffbrieff mit d. Statt Straßb. Cantzleÿ Contractstuben anhangend. Innsigel verwahrt, deß. datum d. 5. 9.bris A° 1645. signirt mit alt. N° 1 vnd dabeÿ gelaßen.
Abzug In dieses Inventarium. Sa. haußraths 27, Sa. haußraths 750, Sa. schuld 90, Summa summarum 867. lb – Schulden 126 lb, Conclusio 740 lb
Abraham Hansmetzer, charcutier et marchand de bestiaux, a épousé Salomé Eissen.Leur premier enfant baptisé à Saint-Nicolas est Susanne en 1663, le deuxième Isaac en 1666.
Baptême, Saint-Nicolas (luth. f° 203, n° 22) 1663. dom. paschatis, war der 19. Aprilis, haben tauffen laßen Abraham Hanß metzger der Kottler, od. pferd händler, und Salome sein eheliche haußfr. eine Junge tochter welche Susanna ist genannt worden ( i 210)
Baptême, Saint-Nicolas (luth. f° 228, n° 30) 1666. dom. Misericordi. welcher war der 29. Aprilis, haben tauffen laßen Abraham Hanß metzger der Kottler, od. pferd händler, und sein Fr: Salome ein Jung Sohn, welcher Isaac ist genannt worden ( i 235)
Le tondeur de drap Jean Georges Eissen, demeurant à Colmar, vend son huitième de la maison à son beau frère le boucher Abraham Hansmetzger
1674 (22. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 311
Hannß Georg Eißen der duchscherer burger Zue Collmar
in gegensein Herrn Abraham Hannßmetzgers deß Metzgers und E.E. Kleinen Rhats beÿsitzers seines Schwagers
Einen achten theil demselben für ohnvertheilt gebührend, ahne hauß, Hoffstatt, hoff und allen übrigen deren Gebäwen, begriffen undt Zugehördten alhier im Metzgergießen, einseit neben Georg Kraußen anderseit neben Christoph Mölling beeden Metzgern, hinden uff die Stattmaur stoßend gelegen, welche gantze Behaußung annoch umb 100. R. dem Käuffern selbsten Verhafftet – umb 237 Gulden
[in margine :] zum bericht. Der hierinngemeltte Käuffer hatt Vier siebende theil den 14. Maÿ a° 1675. ahn sich erkaufft und Vorhin noch 1/7.ten theil ahn sich gebracht gehört ihme also nunmehr /:außgenohmen, Hannß Carl Eÿsens nachgelaßener Kinder daran habende 1/7. theil:/ die gantze behaußung für dißmahl dem bericht nach Zu, dann den übrig. achten theil haben Sie under ein ander geerbt, daß es ietzo siebentheil seind.
Abraham Hansmetzger hypothèque la maison au profit de Gérard von Stœcken. En marge, quittance accordée en 1693 à sa veuve Salomé Eissen, assistée de son fils Nicolas Hansmetzger
1676 (13. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 337
Herr Abraham Hannßmetzger der Metzger und E.E. Kleinen Rhats alter beÿsitzer
in gegensein Christmann Kammen deß Saÿlers im nahmen deß Edel hochgelehrten Herrn Gerhard Von Stöckhen U.I.D. et Pandect. Profess. publ. beÿ hießiger wohl löbl. Universität – schuldig seÿe 150. lb
unterpfand, hauß, hoffstatt mit allen deren Gebäwen und zugehördten alhier im Metzgergießen, einseit neben Georg Kraußen und anderseit neben Christoph Mölling beeden Metzgern hinden uff die Statt Maur stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein Salome gebohrner Eÿsin deß auch hierinn geml. debitoris nunmehro seel. hind.laßener wittib mit beÿstand H. Abraham Kreuchels deß Metzgers und E.E. großen raths alten beÿsitzers und Niclaus Hannß Metzger auch Metzgers ihres leiblichen Sohns (quittung) Act. d. 7. Jul. 1693.
La maison revient à son fils Isaac Hansmetzger qui épouse en 1695 Susanne Marie Bilger, fille d’aubergiste
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 51-v)
den 12. Octobris A. 1695. seind copulirt worden Isaac hanßmetzger lediger Metzger alhie H. Abraham hanßmetzgers burgers v. metzgers auch E. E. Kleinen Raths alten beÿsitzer, hinterlassener ehelicher Sohn, J. Susanna Maria H. Johann Bilgers gastgebers v. burgers alhie eheliche tochter [unterzeichnet] Isaac Hanß Metzger alß hochzeiter, Susanna Bilgerin Als hochzeiterin (53)
Isaac Hansmetzger hypothèque la maison composée de deux bâtiments au profit de Philippe Kübler, assesseur au Grand Sénat
1700 (29.7.), Chambre des Contrats, vol. 573 f° 426
Isaac hans Metzger der Metzger
Hn Philipß Küblers, E.E. großen Raths beÿsitzers, 400 pfund
unterpfand, Zweÿ haüßer Nemblich ein Vorder und ein hinderes, mit allen Gebaüen Recht. und Zugehördt. allhier im Metzgergieß. einseit neben Niclaus Kammen, den Metzger anderseit neb. hanß Georg Kochen dem Portner im spital, hind. ein außgang geg. d. Stattmaur habend geleg.
Isaac Hansmetzger loue une partie de la maison avant au soigneur de chevaux Salomon Funck
1701 (26.7.), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 399
Isaac Hannß Metzger der Metzger [unterzeichnet] Isaac Hanß Metzger
in gegensein Salomon Funcken des Pferdartzten Und burgers allhier
entlehnt, in sein Isaac Hannß Metzgers allhier im Metzgergießen gegen der Frauen Hauß Scheür über gelegenen wohn behaußung nachfolgende gemach und bequemlichkeiten, Nemblich im hindersten Stöckel gegen d. Statt Maur hinaus Ein Stüblein, Haußehrlein darbeÿ, So zur Küchen dient, oben darüber eine Cammer Und Haußehrlein, über ged. Cammer ein bühnlein, Mehr die Helffte am Gärttlein auff d. Statt Maur, gegen ged. Hinderhäußlein über, So dann die helffte am Keller Undter ged. Häußelin, so unterschlagen, + /:+ und endlich Platz im stall für ein od. zweÿ pferdt aufs höchste, doch das keines röthig und Wurmsig seÿe:/ alles auff fünff jahr lang Von Joh. Bapt: dieses 1701.sten Jahrs angehend – darbeÿ Verglichen, daß der entlehner die entlehnte Gemach und bequemlichkeiten für sich und seine Hausfrau allein gebrauchen und wed. seinen Tochtermann noch Tochter noch sonst iemand frembdes beÿ sich Nehmen befugt sein soll – um einen jährlichen Zinß nemlich 9 pfund
Isaac Hansmetzger devient échevin à la tribu de la Fleur en 1708
1708, Conseillers et XXI (1 R 191)
Sambstags den 29.ten Xbris 1708. – Isaac Hanß Metzger würdt Schöff Zur Blumen. 204.
Isaac Hansmetzger meurt en 1728 en délaissant six enfants issus de sa veuve. La masse propre à la veuve est de 4 302 livres, celle des héritiers de 2 147 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 886 livres, le passif à 6 267 livres.
1729 (8.3.), Me Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 31) n° 954
Inventarium über Weÿland des Ehrenfesten, Fürsichtig und Weißen herrn Isaac Hannßmetzgers geweßenen metzgers und E: E: Kleinen Raths alten beÿsitzers alhier zu Straßburg nunmehro Seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1729. – nach seinem am 4.ten 7.bris des letzt abgelegten 1728.sten Jahrs genommenen tödlichen hientritt hie Zeitlichen verlaßen, wie Solche Verlaßenschafft auf freundfleißiges ansuchen undt begehren deßelben hinterlaßenen und am nechst folgender blatt benambter Kinder und Erben, auch dero Ehe und geschwornene Hh. Vögte und H. Deputati heut dato ordnungs mäßig inventirt undt ersucht durch Frau Susannam Mariam Hannßmetzgerin gebohrne Bilgerin die hinterbliebene wittib mit hülff und beÿstand Hn Johann David Papeliers des Handelßmanns alhier Ihres geordnet und geschworenen Herrn Vogts – So beschehen Straßburg den 8.ten Martÿ Anno 1729.
Der Verstorbene seel. hat Zu Kinder und Erben Verlaßen wie Volgt. 1.mo Frau Susannam Mariam H. Johann Philipp Winthers des Metzgers undt burgers alhier geliebte Ehegattin so beÿde gegenwärtig. 2.do Frau Mariam Salomem H. Mathiä Schmidtmeÿers des Fechhändlers undt burgers allhier eheliche haußfrau mit assistentz deßelben, beÿde præsentes. 3. Johannem den Metzger, so anjetzo außer dem land, allein in legitimam, und weilen derßelb Frembd und ohnverburgert ist beÿ E. E. Kleinen Rath in deßen Nahmen unterthänig erbetten und Gnädig Deputirt worden S. T. H. Gottfried Klock der Föchhändler wohlgedachten E. E. Kleinen Raths jetzmahliger beÿsitzer welcher dem geschäfft in Persohn abgewartet. 4. Fraw Mariam Elisabetham Hn Johann Michael Gegler des Metzgers und burgers allhier Ehefrau auch beÿde gegenwärtig. 5. et 6. H. Isaac und Hn Abraham beede Leedige Metzgere, deren Geschworner Vogt ist herr Friderich Hannßmetzger Metzger und burger allhier, Alle præsentes. Alle Sechs aber gebohrne Hannßmetzger so der Verstorbene Hr seelig mit Veohergemelter seiner nunmahlig hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlt und per Testamentum Zu ungleichen portionen und antheÿlern Zu Erben Verlaßen.
Copia der Eheberedung, Copia Testamenti nuncupativi, Copia der Nach Disposition
Ane Höltzen und Schreinwerckh. Auf der bühn, In der Camin Cammer, In der Nebens Cammer, Im Haußöhren, In der Wohnstub, Auff der Schäffereÿ, In der Stub Cammer, Auff der Bühn Cammer, In der Magd Cammer, In der Knechts Cammer
(f° 5) Eigenthumb ane Häußern. Eine behaußung, bestehend un zweÿen Vorder behausungen neben einander Hoff, Hoffstatt, Stallungen sampt allen begriffen, Weithen, Zugehördden, Rechten v gerechtigkeiten, Allhier ane dem Metzgergießen (…)
Item ein Wohnhäußlein samt Scheurl. v. Stallung außerhalb der Statt Straßburg beÿ dem Wickhäußlein (…)
Eigenthum ane einem Metzigbanck. (E.) Ein Metzig banck allhier zu Straßburg unter der Großen Metzig (…)
Ergäntzung der Frau Wittib abgegangenen unveränderten Guths. Vermög Inventarii über beeder geweßener Eheleuth einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen durch Weÿl. H. Andream Schmidt Not. publ. et pract A° 1695 gefertiget
Summa summarum der Frau Wittib unveränderten Guths 4302 lb
Summa summarum der Erben Völligen Vermögens 2247 lb – Schulden 100 lb, Verbleibt 2147 lb
Summa summarum Verändert und theilbaren Guths 2886 lb – Schulden 6267 lb, In Compensatione 3381 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 2818 lb
Isaac Hansmetzger et Susanne Marie Bilger d’une part et le notaire Jean Louis Scherer et Marie Salomé Hamm d’autre part échangent leurs maisons, toutes deux sises rue des Bouchers
1714 (5.4.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 222
(3000) Maria Salome geb. Hammin beÿständlich H. Johann Ludwig Scherers Not: publ: ihres mariti einßen und anderen theils hr. Isaac hanß Metzger metzger und Susanna Maria geb. Bilgerin
nemlich übergeben Sie die Schererische Eheleuth ihnen Isaac hanß Metzgerischen Eheleuthen tauschweiß ihre behaußung bestehend in zweÿen vorderen behausungen neben ein ander hoff hoffstatt stallung sambt allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten im metzgergießen einseit neben der Zunfftstueb Zuer blumen anderseit neben Joh: Daniel Wurtz sen: handelsmann hinten auf der Statt ringmaur und gibt mann von beden haußeren jährlich 2 lb erschätzigen zinß der Ottonischen Stifftung, Item 5 ß 4 d erblehen zinß dem Stifft St Thomæ – um 1250, 1500 und 1000 verhafftet
Dahingegen übergeben sie Isaac hanß Metzgerische beede Eheleuth ihnen Schererische beeden Eheleuthen tauschweiß zweÿ haußer ein vorderes und ein hinteres mit ihren hoffstätten und höfflein darzwischen Stallungen gemeinschafft des bronnens und heimlichkeiten mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten im metzger gießen einseit neben Ezechiel Schlegel anderseit neben Mathis Koch jun. hinten aufs Allmend gegen der Stadt innern graben
daß sie Isaac hanß Metzgerische eheleuthe obige auf dem Schererischen eingetauschten hauß stehende onera und Capitalien übernehmen hingegen aber Sie Schererischen Eheleuth ihnen Isaac hanß Metzgerische Eheleuthen annoch 750 bezahlen sollen
La maison du notaire Jean Louis Scherer est vendue par enchère judiciaire le 29 mars 1719 au boucher Jean Henri Pfeffinger qui a épousé en 1694 Marie Marguerite Hetzel, fille de tanneur : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrenhafften Hannß Heinrich Pfeffinger dem Leedigen Metzger, Weÿland des Ehrenvest und vorgeachten herrn hannß Heinrich Pfeffingers geweßenen Metzgers und burgers allhier Zu Straßburg Seeligen nachgelaßenem Sohn, als dem hochzeiter an einem, So dann der Ehren und tugendreichen Jungfrawen Mariæ Margarethæ des Weÿland Wohl Ehrenvest und Hochachtbahren Herrn Georg Hetzels gewesenen Rothgerber auch Lederhändlers und burgers allhier seeligen hinderlaßener Tochter, alß der Jungfrau hochzeiterin am andern Theil – So beschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff Donnerstag den 17. Augusti Anno 1694.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 45-v, n° 239)
Heüt den 17. Nov. 1694. ist (…) nach ordentlich. p.clamation eingesegnet worden Johann Heinrich Pfeffinger der ledige Metzger weÿl. Heinrich Pfeffingers gewesenen burgers undt Metzgers alhier nachgelaßener ehelicher Sohn, und Jfr. Maria Margaretha weÿl. H. Geörg Hetzels burgers und Rothgerbers nachgelaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Heinrich pfeffiger als hochzeiter, Maria Margareda Hetzlerin als hochzeiter (i 48, proclamation Ste Aurélie f° 27-b)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 103 livres, ceux de la femme à 814 livres
1695 (31.5.), Me Rohr (Daniel, 46 Not 2) n° 71
Inventarium und beschreibung aller der jenigen Haab undt Nahrung, so der Ehren und Wohlvorgeachte Herr Johann Heinrich Pfeffinger Metzger undt die Viel Ehren und Tugendreiche fraw Maria Margaretha Pfeffingerin gebohrne Hetzelin beede Eheleuthe undt burgere allhier zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebracht vnd vermög auffgerichteter Eheberedung für unverändert vorbehalten haben – Actum in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in fernerem gegensein der viel Ehren vnd tugendsamen frawen Barbaræ Fruedin gebohrner Hällbergerin deß Manns, So dann der auch Viel Ehren und tugendreichen frawen Barbara Hetzelin gebohrner Judin der frawen Eheleiblichen Mutter mit beÿstand deß Wohl Ehrenvesten, fürsichtig vndt Weißen herrn Johann Wilhelm Reichardt E. E. Großen Raths alten Wohlverdienten beÿsitzers vndt vornehmen burgers allhier Ihres geschwornenn herrn Curatoris Dienstags den 31. Maÿ Anno 1695.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Deß Manns unverändert Vermögen, Sa. Hausraths 70, Sa. Silber Geschirr und Geschmeids 6, Sa. baarschafft 6, Summa summarum 82 lb – ist noch ferner Zusetzen, die Zwo terten so Ihme ane den haussteuren gebührig so thut 20 lb, (summa) 103 lb
Der Frawen unverändert Guth, Sa. haußraths 186, Sa. Frucht 6, Sa. Silber Geschirr vnd Geschmeids 24, Sa. Guldener Ring 22, Sa. baarschafft 573, Summa summarum 814 lb
– Ist ferner Zurechnen eine Tertz ane den hernach specificirten haussteuren so thut 10 lb, (Summa) 824 lb
Marie Marguerite Hetzel meurt en 1714 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé dans leur maison faubourg de Cronenbourg. La masse propre au veuf s’élève à 1 077 livres, celle des héritiers à 3 963 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 142 livres, le passif à 2 366 livres
1713 (21.8.), Me Rohr (Daniel, 46 Not 33) n° 1125
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güttere, Liegender und Vahrender Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿland die Viel Ehren und Tugendreiche Fraw Maria Margaretha Pfeffingerin gebohrne Hetzelin des Ehren und Wohl vorgeachten Herrn Johann Heinrich Pfeffingers Metzgers und burgers allhier geweßene Ehegattin nunmehr seel. nach ihrem den 11. Aprilis instehenden 1713.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren vnd wohlvorgeacht, herrn Samuel Hetzel Rothgerber vnd Lederbereiter auch burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Johann Friderichs vnd Annæ Margarethæ der abgeleibten frau seel. mit vorernanntem Ihrem Eheliebsten erzeugten beeder Kinder vnd ab intestato nachgelaßener Erben – So beschehen alhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff Montag den 21. Augusti Anno 1713
In einer allhier Zu Straßburg ahne der Cronenburgerstraßen gelegenen vnd in diese Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung sich volgender maßen befunden.
Ane Höltzen und Schreinerwerck. Auff der Bühn, In der Obern vordern Stub, In der Obern vordern Stub Cammer, In der Nebens Cammer, Im obern Haußöhren, In der obern Kuchen, Im newen Hoff Stüblein, Vor dießem Stübel, In der Wohn Stub, In der undern Kuchen, Im Kuchen Cämmerlein, In der Unschlitt Cammer, In des Knechts Cammer, In des officiers Stub, In des officiers Knechts Cammer, Im Keller
(f° 22) Ergäntzung, Vermög Inventarÿ in Anno 1695. durch mich Notarium auffgerichtet
(f° 24) Nach besag Special Theil Registerleins vber dasjenige so der herr Wittiber beÿ weÿl. herrn Johann Michel Fruden geweßenen leedigen Metzgers vnd burgers allhier Zu Straßburg seines halb bruders seel. Verlaßenschaffts Abtheilung, für einen dritten theil erb: und Eÿgenthumben vberkommen, durch weÿland herrn Notm. Andream Schmiden seel. in Anno 1704. gefertiget
(f° 30) Copia der Eheberedung (…) So beschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff Donnerstag den 17. Augusti Anno 1694.
(f° 32-v) Copia Eines Attestati Welches Herr M. Johann Geörg Holtzberger treweÿfferig vnd wohlverordneter Diaconus in der Newen Kirchen allhier als der Verstorbenen fraw seel. geweßenen beichtvatter Vber das was dieselbe Ihme kurzt vor dero seel. Absterben mündlichen befohlen vnd nach Ihrem tödlichen ableiben Zu vollenziehen geordnet, gefertiget
(f° 35-v) Eÿgenthumb ane Einer Behaußung vndt Metzigbanck. (E.) Item Eine behaußung in der Cronenburgerstraßen ane der newen Zeilen (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Herrn Wittibers Nahrung betr. Sa. haußraths 56, Sa. Schiff und geschirrs 4, Sa. Leerer Vaß 6, Sa. Silbers 2, Sa. baarschafft 13, Sa. Eÿgenthumbs ane Metzger bänck 484, Sa. Eÿgenthumbs ane liegenden güthern 375, Sa. Ergäntzungs rests 134, Summa summarum 1077 lb
Der Erben unverändert Vermögen betr. Sa. Haußraths 102, Sa. Leerer Vaß 2, Sa. Silbers 4, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 350, Sa. Eÿgenthumbs ane i. behaußung 1225, Sa. beßerung ane lehengüthern 2 ß, Sa. Ergäntzungs rests 2232, Summa summarum 3963 lb
Die Theilbare Verlaßenschafft betr. Sa. haußraths 132, Sa. Schiff und geschirrs 9, Sa. Viehe 90, Sa. Haw 20, Sa. dürrer häuth 40, Sa. Früchten 37, Sa. Wein und leerer vaß 145, Sa. Silbers 83, Sa. Goldener Ring 22, Sa. baarschafft 295, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 995, Sa. Eigenthums ane j. häußlein 125, Sa. Eigenthums ane liegenden güthern 50, Sa. Activ Schulden 95, Summa summarum 2142 lb – Schulden 2366, In Compensatione 224 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 4816 lb – Ohngewißen Pfenningzinß hauptgüter so wden Wittiben vor unverändert gehörig 865 lb, Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüter so den Erben gehörig 60, Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüter so theilbar 686 lb, Ungewiße vndt verlohrene Schulden in des H Wittibers unveränderte Nahrung zugeltend 206, Zweiffelhaffte Schulden in der Erben unveränderte Nahrung zugeltend 166 lb, Zweiffelhaffte Schulden in die theilbare Verlaßenschafft zugeltend 1164 lb
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 3 400 florins (1 700 livres) sur un total de 11 600 florins (5 800 livres)
1714, Livres de la Taille (VII 1175) f° 69-v
(Blum, F. N° 1219) Weÿl. Fr. Mariæ Margarethæ gebohrner Hetzelin Heinrich Pfeffingers Metzgers und burgers alhier geweßener Ehel. Haußfrauen Verlassenschafft inventirt H. Not. Rohr.
Concl. fin. Inv. ist fol. 157, 4816. lb 17 ß 5 ½ d. darzu gelegt wegen der für Zweiffelhafft eingebrachte Capitalien und Schulden præter propter eine tertz mit 1000. lb (zusammen) 5816. lb 17 ß 5 ½ d, die machen 11 600. fl, verstallte nur 8200. R.
Wovon der Nachtrag gerechnet wird auff acht Jahr in duplo macht à 10. lb 4 ß, 81 lb 12 ß
Und auch auff Sechs Jahr in simplo trifft à 5 lb 2 ß, 30 lb 12 ß
Extat das Stallgelt pro 1713 mit 13 lb 13 ß
Gebott, 2 ß 8 d
Abhandlung 5 lb 18 ß 6 d, Summa 131. lb 18 ß 2 d
ane Hieüberstehendem Nachtrag haben die Herren Dreÿ nachgelaßen Zweÿ Jahr in duplo und Zweÿ Jahr in simplo, macht 30. lb 12. ß, remanet 101. lb 6 ß 2 d
Vermög Erkantnus Gnädiger Herren der Fünffzehen vom 16. Junÿ 1714. ist die völlige Summa ferner moderirt worden ad 75. lb
dt. 22° Junÿ 1714.
Jean Henri Pfeffinger obtient des Quinze une réduction de l’arriéré que les préposés de la Taille lui ont demandé de régler en arguant que ses biens fonciers outre-Rhin ne lui ont rien rapporté pendant la guerre, que les capitaux placés à la campagne rapportent peu, que mille florins correspondent à des créances véreuses, que les frais funéraires sont sous-évalués et la maison surévaluée.
1714, Protocole des Quinze (2 R 118)
(f° 155) Sambstags den 9. Junÿ 1714. Johann Heinrich Pfeffinger pt° Stallgeldts
Saltzm. noîe Joh: Heinrich Pfeffinger deß burgers allhier prod. und.th. Memoriale vnd bitten wegen abgeforderten abzugs. Erk. ahne die Obere Stallherren gewießen.
(f° 167) Sambstags den 16.t Junÿ 1714. Iidem [Obere Stallherren] laßen durch H. Secretarium Friden referiren, daß Johann Heinrich Pfeffinger der burger und Metzger gegenwärtiges Underth. Memorial vbergeben innhaltend, daß Zwar der Statt Stall ihnen einen nachtrag von 101 lb 6 ß 2 d darunder ein Stallgelt begriffen annoch fordere, es weren aber in der inventirten Verlaßenschafft 1) 21 matten vber Rhein gelegen, welche der gantzen krieg durch fourragirt wurden begriffen, 2) seine meiste capitalia auff dem land armen vnd Er nicht vber 500. fl. davon in der Statt hatte vnd die meiste Zinß davon außstünden, 3) beÿ 1000 fl. falsch schulden außstünden, vnd von solchen wenig zuhoffen weren. 4) der Inventir schreiber nur 300 fl. Zu leich vnd anderen nöthigen vnkosten auffgesetzt hette, da doch dieselbe über 600 sich belauffen, so auch 5) das reeb: vnd wohnhauß in der Cronenburger straß Zimlich hoch angeschlagen seÿe, mit vndth. bitt nach abzug deß Stallgelts, das übrige wegen geforderten nachtrags auff ein leidentliches Zu moderiren, angesehen kein Metzger allhier seÿe, der den Krieg über so viel verlohren habe.
Alß man herrn Stall schreiber hierüber vernehmen, habe derselbe berichtet, daß 3000 lb d schuldig alß zweiffelhaffte ins Inventarium gebracht worden weren, so die Hh. dreÿ vor ein tertz guth geachtet wie Er aber remonstrirt, daß davon nichts zu hoffen were, so seÿe ihme der nachtrag vor Zweÿ jahr in duplo und von 2 jahr in simplo nachgelaßen worden so 30. lb 12 ß außtrügen, 2) streckte das Stallgeld der 13. lb 12 ß so Er noch schuldig vnd er ob benambster Summ 3) were es auch wahr, daß von einigen Capitalien 20 jahr Zinß außstünden, sondern liegen von denen, so jenseith Rheins stehen, da mann nicht wußte, ob etwas Zuhoffen, deme Implorant nach dieses beÿgefügt, daß auch 1000. fl. für fleisch darunder begriffen so Er für velohren schätzte mit nehmlicher unterthäniger bitt, ihne noch fernere moderation gn. gedeÿen Zu laßen, Zumahlen die aber rheinische matten vom waßer sehr verderbt worden weren, und weren deß Kriegs viel jahr lang wenig nutzen Er davon gehabt hette.
Auff seithen der Hh. Deputirte habe mann darvor gehalten daß die gethane forderung der 101. lb 6 ß 2d auff 75. lb moderirt vnd daß vbrige nachgelß. werden könten. Erk. bekant.
Jean Henri Pfeffinger se remarie avec Marie Salomé Strass, fille de pasteur et veuve du pasteur Jean Jacques Schneider qu’elle a épousé en 1710 : contrat de mariage, célébration à Wolfisheim
1714 (24.4.), Me Courtz (6 E 41, 461) n° 53
Eheberedung – zwischen dem Wuhl Ehrenhafft und Vorgeachten Herrn Johann Heinrich Pfeffinger, Vornehmen burger, Metzgern und Wittibers Zu Straßburg, alß Hochzeitern, an Einem,
So dann der Edlen, Viel Ehr und Tugendreichen frauen Maria Salome gebohrner Straußin, Weÿl. deß Wohl Ehrwürdig und Wohlgelehrten herrn Joh: Jacob Schneiders geweßenen Pfarrers Zu Kolbßheim hinterlaßener Wittib, alß der fraw Hochzeiterin, andern Theils
Dritten, hatt der Herr Hochzeiter Zur fernerer bezeigung seiner aufrichtigen affection gegen der fraw hochzeiterin deroselben Zu Einem Wiedumb ad dies vitæ Zu genießen Vermacht und hiemit Versprochen 1000 Reichthaler oder 1500 f. in Geld, so dann Einen eigenthümlichen Metzigbanck unter der Kleinen Metzig Von seinen allda habenden fünff bäncken, benantlichen den ohneins Vordersten, mit aller Zugehörd auch den Sechenten theil deß Häußleins darüber und Kellers darunter, dergestalten, daß nach seinem zu erst beschehenden Zeitlichen ableiben sie frau hochzeiterin solche 1500. f. Capital neben erstbeschriebenen Metzigbanck und zugehörden die Tage ihres lebens genießen, da aber dießelbe sich anderwärtig und Zwar nicht an einem metzger wiederumb Verheÿrathen also den banck nicht selbst genießen würden deßelben Erben obligirt seÿn sollen ihro Vor seolen genuß deß bancks Jährlichen 20 Gulden Zu reichen und Zu bezahlen
So geschehen Straßburg den 24. Aprilis Anno 1714.
Mariage, Wolfisheim (luth. n° 2)
Anno 1714. den 3. Julÿ sind eingesegnet worden der ehrenveste und wolachtbare Herr Joh: Heinrich Pfeffinger burger und Metzger in Straßburg und die Wohl Edle Viel Ehr und Tugendreichee Frau Maria Salome Schneiderin gebohrne Straßin deß weÿland Herrn M. Johann Jacob Schneidern sel. geweßenen treu Eÿfferig. Pfarrers Zu Kolbsheim hinterlaßene Wittib. T. Johann Straß Pastor loci (i 186)
Veuf, le pasteur de Kolbsheim Jean Jacques Schneider épouse Marie Salomé Strass et meurt quelques semaines plus tard
Mariage, Wolfisheim (luth. n° 1)
Anno 1710. d. 18. febr. am tage Concordiæ seind eingesegnet worden der Ehrwürdig und wohlgelehrte Herr Herr M. Johann Jacob Schneider h. t. treueÿfferiger Pfarrh. und seelsorger der Evang. Gemeinde Zu Kolbsheim und Jgfr. Maria Salome mein Johann Straßen h. t. Evang. Pfarrherrn allhier in Wolfsheim ehel. tochter. T. Johann Straß Pastor loci (i 182)
Marie Salomé Strass devient bourgeoise en août 1714
1714, 4° Livre de bourgeoisie p. 805
Maria Salome Straßin Von hier, h. Johann Straß Pfarrer Zu Wolffsheim tochter, emp: das Burgerrecht Von Ihrem Mann Joh: Heinrich Pfeffinger, p. 2. Gold. fl. 16 ß Wird Zur Blum dienen. P. d. 11. Dito [Aug.] 1714.
Jean Henri Pfeffinger meurt le 14 novembre 1729. Son inventaire après décès non conservé est dressé le 15 décembre suivant par Wolffgang Courtz (voir la référence lors de la révision de 1742). Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 3 100 florins (1 550 livres) sur un total de 12 400 florins
1730, Livres de la Taille (VII 1177 ) f° 13-v
Blum F N° 5133 – Weÿl. H. Heinrich Pfeffinger gewesenen Metzger und burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Courtz.
Concl. Fin. inv. ist Fol. 190-v, 6557 lb 6 ß 4 s
Abgezogen wegen des Nachtrags die außständige Zinnße und Klitterschulden, angesehen selbige Von dem Verstorbenen nicht genoßen Worden, th. fol. 180, 315 lb 5 ß 11 s, restirt 6242 lb 2 s
die machen 12 400 fl. Verstallte allein 9300. fl. alßo zu Wenig 3100. fl.
Wovon der Nachtrag gerechnet wird auff acht Jahr in duplo à 9 lb 6 ß, 74 lb 8 ß
Und auff Sechs Jahr in simplo a 4 lb 13 ß 27 lb 18 ß
Extat kein Stallgeld
Gebott ,2 ß
Abhnaldung, 6 lb 17 ß 6 d, Summa 109 lb 5 ß 6 d
Auf der Wittib suppliciren nachgelaßen 23 lb 5 ß, Rest 86 lb 6 s
Stallgeltt pro 1730. 15 lb 6 ß (Summa) 101 lb 6 ß 6 d
Fernerer Nachlaß 4 lb 13 ß, Rest 96 lb 13 ß 6 d
dt. 14° Augusti 1730.
La veuve de Jean Henri Pfeffinger intente devant les Quinze une action pour qu’une amende lui soit remise
1731, Protocole des Quinze (2 R 137)
Weÿl. Heinrich Pfeffingers gewesenen Metzgers hinderlaßenen Wittib Ca. E. E. Zunfft Zur Bluhm
(p. 377) Sambstag den 24. Novembris 1731. Moss. noe Johann Martin Beck Weÿl. Joh: Heinrich Pfeffingers Wittib [-] wiederspricht gegenth. producta [-] übrigen Actis per pura gratia jn [-] Ihre Klag noch nicht bewießen haben [-] abs. ref. Expensis. Nomine Comparen[-] botten und bitt ut modo. /:Ille dem [-] angelegt. Erkandt, Soll beÿ geld gebo[tten werden.]
(p. 433) Sambstag den 5. Januarÿ 1732. Moss. nôe Weÿl. Heinrich Pfeffingers gewesenen Metzgers hinderlaßenen Wittib Knecht Peter Sommers prod. E. E. Zunfft Zur Bluhm bescheid mit beÿlag Lit. A. von welchem Implorant an Mgh. appellirt, bitt unterthänig dieße Appellation gnädig Verzeichnen Zu laßen und Weil der Herr Tresorier das Contrarium Von der Klag in prima relatione den Imploranten Von der handtreu und Von der Straaff gnädig Zubefreÿen. Erkandt, Wird dieße Appellation Verzeichnet, und soll den Gegentheil Verkündt werden.
Procès verbal d’après lequel les biens provenant de Marie Marguerite Hetzel ont été remis à ses enfants
1732 (3.4.), Me Oelinger (J. Jacques, 35 Not 20) n° 769 (728)
Abtheilungs Concept Über Weÿland der Viel Ehren und tugendsahmen fr. Mariæ Margarethæ Pfeffingerin geb. Hetzelin des nunmehro auch weÿl. H. Johann Heinrich Pfeffingers geweßenen Metzgers und burgers allhier zu Straßburg geweßener Erstern Ehefraun beeder nun seel. Verlaßenen und mit einander erziehlter 2. Kinder hernach gemelt, beÿ ged. Ihres Vatters seel. Verlaßenschafft in lüfferung erhaltenes Mütterliches guth auffgerichtet in Anno 1732.
Procès verbal de vérification de l’opération précédente, ordonnée par décision du Grand Sénat rendue le 14 juin 1732
1733, sd. (après 1732), Me Rith (6 E 41, 956, comptes)
Summarische berechnung deß Jenigen, waß weÿl. Frawen Margarethæ Pfeffingerin gebohrener Hetzelin seel. mit nunmehro auch weÿl. H. Johann Heinrich Pfeffinger geweßenen Metzger und burger allhier Zu Straßburg nun auch seelig in erster ehe erzeigten zweÿen Kinderen nahmentlich. herrn Johann Friderich Pfeffinger dem Metzger und ebenfalls burger allhier, und frawen Anna Margaretha gebohrner. Pfeffingerin, noch über daß jenige, was denen selben jn Natura gelüffert ahne Mütterlichem guth per rest gebührig. so nach ersehung derer darzu nöthigen documenten zu volg des den 14. junÿ A° 1732 beÿ E. E. großen rath ergangenen bescheids, durch uns unterzogenen Zu dießer Examination denominirte ohnpartheÿische Notarios unßers des halben abgelegten eÿds gemäß nachfolgender maßen ersucht und befunden worden [unterzeichnet] Joh: Brackenhoffer Not. juratus – T. Rith Not.
Vermög Inventarÿ über weÿl. frawen Mariæ Margarethæ Pfeffingerin gebohrener Hetzelin dießer Kinder Mutter seel. Verlaßenschafft durch nunmehro auch verstorbenen, H. Notarium Daniel Rohren seel. jn A° 1715. expedirt
Die ergäntzung der eben Vätterl. guts betreffend wleche Herr Not. Ölinger und zwar wie er meldet auß der ursach, weilen die außweißung der Mütterlichen nahrung nich in forma auß Vätterlich. ohnveränderten mitlen wie es hätte seÿn sollen sondern zugleich auch mit theilbahrer baarschafft also auß Zweÿen differenten Corporibus geschehen ist (…)
Marie Salomé Strass se remarie en troisième noces avec Jean Georges Wild, bailli du bailliage de Schœneck originaire de Heilbronn : contrat de mariage, célébration à Wolfisheim par le père de la mariée. Jean Georges Wild est devenu bourgeois quelques jours avant son mariage en s’inscrivant à la tribu de la Fleur
1734 (30.6.), Me Courtz (6 E 41, 461) n° 32
(Eheberedung) zwischen S. T. H. Johann Georg Wilden p. t. assess. beÿ E. Löbl. Policeÿ gericht in Straßburg und ambt Schafner der Herrschafft Schöneck, alß dem H. Hochzeiter an einem,
So dann der Wohl Edlen und tugendreichen Frauen Mariä Salome Weÿl. Herrn Johann Heinrich Pfeffingers gewesenen Metzgers alhier hinterlaßenen fr. Wittib als die frau hochzeiterin am andern
Straßburg auf den 30. Monaths Tag Junÿ Anno 1734. [unterzeichnet] Johann Georg Wild, als Hochzeiter, Maria Salome pfeffingerin als hochzeiterin, Johann Straß h. t. Evang. Pfarrer un Wolffisheim des Hochzeiterin Vatter, Johann Andreas Keifflin Jur: Pract: alß der Frau Hochzeiterin Curator, Philipp Jacob Straß alß hochzeiterin bruder
Mariage, Wolfisheim (luth. n° 5)
Anno 1734 d. 21. Julÿ wuden alhier in offentl. christl. Kirche eingesegnet S. T. H. Johann Georg Wild, p. t. Assessor beÿ E. Hochlöbl. Policeÿ gericht in Straßburg auch Hochadel. Schafner und burger daselbst weÿl. H. Georg Caspar Wilden geweßten Guldenschreibers in Heilbron ehel. Sohn, und Frau Maria Salome weÿl. H. Johann Heinrich Pfeffingers, Metzgers in Straßburg hinterlaßene fr. Wittib gebohrne strasin [unterzeichnet] Johann Georg Wild alß hochzeiter, Maria Salome pfeffingerin geborne straßin als hochzeiderin (i 14)
1733, 4° Livre de bourgeoisie p. 998
H. Johann Georg Wildt Ambtschafner in d. Herrschafft schöneck Von Heÿlbron geb. erhalt d. b. Ex Speciali gratiâ umb den alten bs. will beÿ E. E. Zunfft d. Blum dienen. Jur. d: 27.ten Maÿ 1733.
(Suite de l’affaire portée devant les Quinze en 1731) Jean Georges Wild déclare avoir prêté de l’argent au boucher Pierre Sommer en se réservant une part sur les bénéfices éventuels. Il estime que l’amende que lui a infligée la tribu des Bouchers est due aux mauvaises dispositions du conseiller Klein contre lui. L’enquête fait ressortir que Pierre Sommer ne serait qu’un homme de paille. Les Quinze décident d’annuler l’amende qu’aucun règlement ne justifie mais infligent une autre amende au plaignant pour être intervenu dans des affaires propres aux bouchers
1734, Protocole des Quinze (2 R 142)
Joh: Georg Wild Ca. E. E. Zunfft Zur Blum
(p. 313) Sambstags den 25. Octobris 1734. Christ. noê Joh: Georg Wild Amptschaffner C. E. E. Zunfft Zur Blum H. Zfft Mr prod. Zfft bescheid von welchem Ppal an Mghh. appellirt, bitt Verzeichnus und [-]enden laßen ad primam
(p. 354) Sambstag den 20. Novembr. 1734. Christ. noê Joh: Georg Wild Cit. E. E. Zunfft Zur Blum H. Zunfft Mr auff interponirte App. Vom 23. 8.bris prod. App. Klag junctis petitis undt beÿlag Lit. A. Fuchß bitt Deput. et Facta Relat. die Sach beÿ der Sent. à quâ Zulaßen. Ref. Exp. Christ. bitt auch Deput.. Erk. Deput. willfahrt.
(p. 367) Sambstag d. 27. Novembr. 1734. Joh: Georg Wild Ca. E. E. Zunfft Zur Blum
Iidem [Obere Accis Herren] laßen ferner per me referiren, daß nachdeme H. Joh: Georg Wild der Ambtschaffner und E. Löbl. Policeÿ Gerichts Assessor Weÿld. (-) Pfeffingers des geweßenen Metzgers Wittib geheurathet, derselbe Peter Sommer dem burger undt Metzger allhier, wie er vorgibt, Geld vorgeschoßen, und dabeÿ stipulirt wann an der Metzig profit ausfalle so solle Er, Sommer, Ihme seinen antheil daran ane statt des Interesse geben, Es habe aber E. E. Zunfft Gericht Zur Bluhm den 20. 8.bris jüngst diesen Wilden Vorgestellt und angeklagt, daß er an seiner Frawen Metzig annoch theil habe, undt auff deßen angehörte Verantwortung Erkandt, Seÿen dem Hn beklagten 5. lb straaff anzusetzen, und demselben beÿ 20. lb d Verbotten an der Metzig Künfftighien einigen Antheil Zu haben, Welchen bescheid H Wild d. 25. 8.bris jüngst beÿ Mgh. contra E. E. Zunfft Zur bluhm H. Zunfft Meister Vorgelegt, und davon an dieselbe appellirt, auch darauff den 20. hus. eine sehr weitläuffige Appellations Klag mit beÿlag sub Lit. A. producirt, darinnen er Viele facta Vorbringt Zu Zeigen daß H Rathh. Klein der Zunfft Meister aus passion wieder Ihme agire, und endtlich bitt Zu erkennen, daß in erster Instantz übel und incompetenter geurtheilet, wohl appellirt, dahero die Sententia à quâ zu Cassiren und Zu annulliren, der Appellant Von deren jnhalt gäntzlich Zu absoluiren, Hiengegen den H.Zunfft Meister in alle unkosten Zu condemniren, anbeÿ demselben Obrigkeitlich und Zwahr beÿ hoher Straaff Zu jnjungiren den Principalen alß Zudiener, über Welchen der Jeweilige Zunnft Meister, mithin H Gegner, Keine Jurisdiction habe, und dergleichen passionirten Extractionibus Zu verschonen, und daß solches E. E. Zunfft Zur Bluhm Articul-buch Zu Künfftiges Befelgung, eingezeichnet werde.
E. E. Zunfft Zur Bluhm habe hierauff Deput. und Manutenenz des ergangenen bescheidts ref. exp. gebetten. Beÿ Willfahrt und beseßener Deputation habe der Appellant nochmahl hoch versichert, daß Weder er noch seine Ehefrau sich mit dem was in das handwerck lauffe meslire, sondern er hatte nur dem Sommer einigen Vorschuß an gelt gethan, und loco jnterese thue Sommer ihme Rechnung was an daß Metzig profitirt, nur gebe Ihme theil daran, und werde der H. Zunfft Meister Keinen Articul Vorweiß. Können dardurch dießes Verbotten. H Rathh. Klein alß Zunfft Meister und H. Mehler Jun. hätten hierauff geantwortet, der Appellant oder Vielmehr deßen Ehefrau Kauffen das hew und Vieh ein und treibte das handwerck mit und neben Peter Sommern welcher in deren hauß wohne, undt eigentlich nur deren Krecht seÿe, und hätten sie gesehen daß erst Kürtzlich des Appellanten Ehefrau einen Beambten Viehhändler das Gelt für aberkaufftes Vieh gegeben, welches aber der appellant bestädig geläugnet außer dem letzten umbstand, daß deßen Ehefrau dem Beambten Viehhändler gelt außbezahlt, welches darumb geschehen, weilen Sommer damahl nicht hier geweßen. Man habe hierauff die Appellaten befragt ob Sie einen Articul haben welcher Verbiethe daß Keine burger einem Metzger auf angeregte weiß gelt Vorschießen solle, da selbige sich auff Verschiedene Articul beruffen, welche aber wie man beÿ deren ableßung gefund. auff deßen Casum gantz nicht applicabel.
Beÿ dießen Umbständen Vermeine man daß der Appellant Zwahr von der Ihme angesetzten straaf zu absolviren, jedoch anbeÿ auch Ihme beÿ 10. lb straaff Zu Verbiethen, daß Weder Er noch seine Frau weder directe noch indirecte denen Metzgeren in deren handwerck Keinen Eingriff thun, undt deßelben gäntzlich müßig gehen sollen. Jedoch steht Zu Mghh. was sie erkennen wollen. Erk bedacht gefolgt.
Marie Salomé Strass annule l’accord de société qu’elle a passé avec Jean Pierre Sommer le 10 avril 1733, elle lui loue un étal de boucher aux Petites Boucheries et un logement dans sa maison arrière
1734 (20.12.), Chambre des Contrats, vol. 608 f° 481
Fr. Maria Salome geb. Straßin H. Johann Georg Wild Löbl. Policeÿ gerichts assessoris ehefrau
Johann Peter Sommer der Metzger
wie daß sie am 10. apr. 1733 miteinander auffgerichtete gemeinschafft der Metzig wieder auffgehoben (…), entlehnt Einen ihr eigenthümlich zuständig allhier unter der kleinen Metzig einseit neben ihr selbst anderseit neben Daniel Pfeffinger dem metzger hinten auff den Rindshäutergraben gelegenen Metzigbanck, beneben zweÿen guthen kupffernen waagschaalen, deren eisenene Ketter und waag balcken, 33 und einen halben pfundt ahne mößin gewicht in 7 stücken, ihre antheil an einem halben Centner und zween viertels Centnern eißern gewicht, so sie mit Daniel Pfeffinger gemeinschaftlich besitzet wie auch einem ihr gehörigen Kensterlein
Ferner in iher allhier an dem Metzgergießen einseit neben Mathis Koch anderseit neben Daniel Koch beeden Metzgern, hinten auff die Stattmaur stoßenden Behausung, im hinderhauß eine Stiege hoch eine Stueb, Kuchen zwo stiege hoch die Knechts Kammer, die Unschlitt Kammer, dem gemeinschaftlichen gebrauch der Mägdkammer, platz im Keller, stallung, gemeinschaft des hoffs und einen theil des untersten haubühn, maßen die verlehnerin den theil an der stieg biß an den unterschlag derselben undern haubühn wie auch die gantze Obere haubühn sich vobehaltet – auff 9 nacheinander folgenden jahren vom 18. hujus anfangend
Révision et liquidation des biens qui ont appartenu à Jean Henri Pfeffinger. Le défunt a eu un fils et une fille, réduite à la légitime, de son premier mariage et deux fils du deuxième. Le défunt a légué la maison, les étaux de boucher et des prés à ses trois fils, ce qui excède ses droits puisqu’un tiers de la maison appartient en propre à la veuve
1742 (12.5.) Me Oelinger (J. Jacques, 35 Not 44)
Revisions: Erörter: Abtheil vnd Außweißungs Concept Über Weÿland deß Ehren Vesten Vndt Großachtbahren Herrn Johann Heinrich Pfeffingers E. E. Zunfft zur Bluhm geweßenen Schöffen Zunfft meister Metzgers vnd burgers allhier zu Straßburg seel. Verlassenschafft auffgerichtet in anno 1742 – schon den 14. 9.bris 1729. das Zeitliche mit dem Ewigen Verwechßelte Vnd Vber deßen Verlaßenschafft den 15.ten Decembris dicti anni ein ordentlich. Inventarium durch herrn Notarium Wolffgang Courtzen errichtet worden, dannach der Erörter, Abtheil und Außweißung gedachter seiner Verlaßenschafft, Ursachen die Zweÿ Kinder Erster ehe wegen Ihres Zuerfordern habenden Mütterlichen guths Vnd den davon geforderten Interesse mit der frau Wittib vnd der Zweÿen andern Kinder Letzter vnd Zweÿter Ehe H. Vogten so wohl allhier beÿ E. E. großen Rath als auch Zu Colmar au Conseil souverain d’Alsace litigirent, in anstand verblieben, demnach aber beederseits parthen solche Kostbahren vnd Verdrießliche process Vmb die alte harmonie fried vnd Einigkeit wieder herzustellen mit einander auf gehaben Vnd sich grösten theils ane die Unterm 17.ten et 18.ten Augusti 1737 ergangene Große Rats bescheid halten wollen, So seind endlichen die hinterbliebene frau Wittib Maria Salome gebohrne Straßin vnd S. T. Herrn Johann Georg Wilden Exsenatoris nunmahlige Fr. Eheliebste mit assistentz deßelben wie auch der Vier Kinder, Enckeln und Erben (…) Actum vnd angefangen den 2.ten Februarÿ vnd vollendet den 12.te Maÿ Anno 1742
Der Verstorbenen Selig hat per Testamentum Zu seinen rechtsmäßigen erben verlaßen wie volgt 1. Herrn Johann Friderich Pfeffinger, den Metzger und burger allhier, in den Ersten Vierten Stammtheil, 2. Frau Annam Margaretham Roedererin gebohrne Pfeffingerin, Hn Johann Christoph Roederers des Metzgers Vnd burgers dahier geschieden gewesene Ehefrau Vnd zwar nur in Legitimam in den Uberrest solchen Stammtheils aber Ihro mit gemelt Ihrem Ehemann Ehelich erziehlte Zweÿ Kinder Margaretham Salome und Joh: Friderich die Roederer Zu Zweÿ gleichen portionen Vnd antheilern und seind dieselbe bevögtigt mit obermelten H. Johann Friderich Pfeffinger angesehen aber Er selbst hiebeÿ Interessirt, so hat such T. S. H. Johann Friderich Faust J. U. Ltus Vnd procuratoris vicarius alß deren geschwornen theilvogt hierzu erbetten laßen. Oben bemerckte Zweÿ Kinder hat der abgeleibte seelig in Erster Ehe mit weÿl. fraun Maria Margaretha Hetzelin Ehelich erzeugt
3. et 4. H. Johann Heinrich und Johann Daniel die respê Verheurathete vnd noch noch leedig Metzgere, welche dermahlen annoch bevögtiget mit S. T. Herrn Philipp Jacob Straßen dem allhießigen handelsmann In den dritten und Vierdten Stammtheil und seind dieselbe aus letzterer vnd Zweÿter Ehe von fraun Maria Salome gebohrner Straßin die Wittib entsproßen. Alßo alle Vier des abgeleibten in zween Ehen Ehelich erzielte Kinder Vnd Enckele in ungliehcen portionen und antheiltern Verlaßene Erben
Extractus Aus den Zwischen den beeden Nun Zertrennten Ehepersohnen den 24.ten Aprilis 1714 errichteten Ehepachen gefergtigt
(f° 35) Eÿgenthumb ahne Metzigbäncken, so der Erben Unverändert (…)
Eÿgenthumb ahne einer behaußung so theilbar. Nemblichen eine behaußung hoff v. hoffstatt sampt deren zugehörden und gerechtigkeiten alhier Zu Straßburg im Metzgergießen einseit neben Daniel Kochen und anders. neben Mathias Kochen beeden Metzgern geleg. hinten auff der Statt allmend Inntern graben stoßend, so vber 7 ß 6d so mann Jahrs der Statt Str. von dem dohlen zu reichen schuldig leedig und eigen, und fol. 176.a æstimirt pro 1500. lb. Solche behausung nebst den fol. (-) beschriebenen Metzigbäncken und Matten hat der herr seel. seinen dreÿen söhnen Erst: und anderer Ehe pro 4000 lb prælegirt. Nota. Nun scheint Zwahr, weilen dem Verstorbenen H Pfeffinger seel. nur Zwo tertzen eÿgenthümblich daran gebührig seind Er auch nicht der fr. Wittib tertz oder die gantze behausung prælegiren Konnten bevorab da sie diese Wittib Vi Testamenti Ihren dritten theil nicht mit præ vnd legirt, allein weilen Sie in publicatione Testamenti fol. (-) fac. (-) gemeldet, daß sie beÿ Ihres Eheherrn seel. Letzten willens verordnung acquiesciren wolle, weniger daß sie sich Ihren dritten theil haußes vmb Künfftighien darüber Zu disponiren reservirt, so würd sie den prælegatarÿs auch Ihro tertz daran entschlagen müßen, der in deßen entstehung wurden die prælegatarÿ anderwärtige Satisfaction pt° der Völlig prælegirten behausung Verlangen, In ansehung des auß wertenden preißes aber, Würd mann sich noch Zur Zeith Jedoch niemanden sein Recht daruch benommen ane ubrigen anschlag halten Vnd derselbe 1500 lb
Modifications apportées à l’acte ci-dessus
1743, Me Koch (Matthias, 6 E 41, 510) s.n.
Notanda und respe. Correctio, des so rubricirten und von Hn. Joh: Jacob Ölinger Not: publ: et pract: allhier gefertigten Revisio: Erörter: Abtheil: und Außweißung über Weÿl. herrn Johann Heinrich Pfeffingers E. E. Zunfft zur Blum geweßenen Schöffen, zunfft-Meisters, Metzgers v. burgers allhier seel. Verlassenschafft, auffgerichtet A° 1742 revidirt v. corrigirt durch unterschriebenen A° 1743
Jean Frédéric Pfeffinger, issu du premier mariage, cède sa part de la maison à sa belle-mère Marie Salomé Strass épouse de Jean Georges Wild moyennant 350 livres
1746 (16.3.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 368), Joint au n° 283 du 28 févr. 1749
Zuwißen seÿe hiemit daß ane zu end stehendem dato vor mir unterschriebenem offenbahrem geschwornem Notario persönlich erschienen Herr Johann Friderich Pfeffinger, der ältere, Metzger und burger allhier Zu Straßburg
Zeigte in gegensein Frauen Mariä Salome Wildin, gebohrner Straßin Herrn Johann Georg Wild, E: E: großen Raths alten und E: E: kleinen Raths jetzig Wohl Wohl verdienten beÿsitzers Frauen Eheliebstin seiner Vielgeliebten Stieffmutter an, Wie daß Er Herr Johann Friderich Pfeffinger der ältere vor sich seine Erben und Nachkommen Ihro Frauen Rathherrin Wildin (verkaufft)
Zween Neuendtetheil Vor ohnvertheilt von und ane einer behaußung, hoff, und hoffstatt, mit allen deren gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Metzgergießen, einseit neben herrn Johann Jacob Winter dem ältern, anderseit neben herrn Daniel Koc, beeden Metzgern, hinden auf das Allmend der Statt innern Grabens stoßend, Von welcher gantzen behaußung mann Jährlichen wegen einem dohlen der Statt Pfenningthurn 7 ß 6 d allmend Zinß zureichen schuldig, so seind auch jetzt Verkauffte Zween Neuente theil der Käufferin mit Lebtägigem Wÿdem Verfangen, – und Ihme als ein demselben Verordnetes Vätterliches Prælegat eigenthümlich zuständig, Von welcher gantzen behaußung der Käufferin selbstt als Mit participantin ane Ihres Erbern Ehegatten Weÿland herrn Johann Heinrich Pfeffingers geweßenen Metzgers und burgers allhier seel. Theilbare Verlaßenschafft Ein dritter theil, So dann Ihren beeden mit dem selben ehelich erzeugten Söhnen als des Verkäuffers halb brüdern herrn Johann Heinrich und herrn Johann Daniel denen Pfeffingern, beeden Metzgern und burgern allhier, die übrige Vier neuntetheil auch zu Vätterlichen Prælegaten und Ihrer Frau Mutter der jetzigen Käufferin Lebtägig genuß – vor und umb 700 Gulden – So beschehen in Straßburg den 16. Martÿ 1746. – Johann Rudolph Dinckel Notarius publicus
Acte de même teneur passé à la Chambre des Contrats
1746 (18.3.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 208-v
Johann Friedrich Pfeffinger der metzger
seiner Stieffmutter Fr. Maria Salome geb. Straßin H. Johann Georg Wild E. E. großen Raths alten beÿsitzers und EE. kleinen Raths dermalen beÿsitzers ehefrau
zweÿ 9.te theil vor unvertheilt ane einer behausung, hoff und hoffstatt mit allen derselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten im Metzgergießen, einseit neben Johann Jacob Winter dem älterenn anderseit neben Daniel Koch beede metzgern, hinten auff das Allmend der stadt innern graben – von solcher gantzen behausung gibt mann hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen einem dohlen 7 ß 6 ane allmend zinß – zweÿ 9.te theil der Fr. Käufferin mit lebtägigem wÿdem verfangen – als ein vätterlichen prælegat, die übrige theile aber theils der Fr. Käufferin selbst theils ihren zween söhnen des verkäufers hallbändigen brüdern Johann Heinrich und Johann Daniel denen Pfeffinger – um 350 pfund
Marie Salomé Strass meurt en 1748 en délaissant deux fils issus de son deuxième mariage avec Jean Henri Pfeffinger. Les experts estiment la maison 1 250 livres. La masse propre au veuf s’élève à 607 livres, celle des héritiers à 62 livres. L’actif de la communauté s’élève à 4 563 livres, le passif à 1 907 livres
1748 (28.2.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 368) n° 283
Inventarium über Weÿland der Hoch Edlen, Hoch Ehren und hoch tugendbegabten Frauen Mariä Salome Wildin gebohrner Straßin des hoch Edelgebohrnen und hochgelehrten herrn Johann Georg Wild, E: E: großen Raths alten und E: E: kleinen Raths jetzig Wohl verdienten beÿsitzers, auch hochmeritirten Ambtmanns des Ambts Schmieheim jenseit Rheins gewesener hertzgeliebter Frauen Eheliebstin nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1748. – als dieselbe Dienstags den 23.ten Januarÿ dießes Lauffenden 1748.sten Jahrs dießes Zeitliche in das Ewige Verwechßelt – So beschehen in Straßburg auf Mittwoch den 28.ten Februarÿ et seqq. Anno 1748.
Die Abgeleibte Frau Rathherrin seelige hat Zu Ihren Erben ab intestato Verlaßen Wie folgt. 1.mo Herrn Johann Heinrich Pfeffinger den Metzger und burgern alhie, Welcher mit und beneben Frauen Anna Maria Pfeffingerin gebohrner Fischerin, seiner geliebten Ehegattin in Persohn beÿ dem geschäfft erschienen, So dann 2.do Herrn Johann Daniel Pfeffinger, den Jungern, auch Metzger und burgern allhier, Welcher ebenmäßig beneben Fraun Catharina Magdalena Pfeffingerin gebohrner Lempin seiner Eheliebstin dem geschäfft persönlichen beÿgewohnt. Also beede der in Gott ruhenden Frauen Rathherrin seeligen in Zweÿter Ehe mit auch Weÿland herrn Johann Heinrich Pfeffinger, dem geweßenen Metzger und E. E. Zunfft der Blum Schöffen und Zunfft Meistern längst seeligen ehelich erzeugte Söhnen und ab intestato Zu Zweÿen gleichen portionen und Stammtheile Verlaßene Erben
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Metzgergießen gelegen Zum theil in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden, wie folgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der officiers Stub, In der Magd Cammer, In der hindern Stub, In der obern Vordern bühn, In der obern Vordern Kammer, In dem obern haußöhren, In der Bett Cammer, In der Wohnstub, In der schwartz getüch Cammer, In der Kuchen, (f° 8) In der Stub Cammer, In der undern Stub, Im Keller
(f° 15) Antheil ane einer behaußung (E.) Fünff Neundetheil Vor ohnvertheilt Von und ane einer behaußung, hoff, und hoffstatt, mit allen deren gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, Gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Metzgergießen einseit neben herrn Johann Jacob Winter dem ältern Metzger, anderseit neben herrn Daniel Koch auch Metzger, hinden auf das allmend der Statt innern Grabens stoßend, Von dießer gantzen behaußung gibt mann Jährlichen wegen einem dohlen der Statt Pfenningthurn 7 ß 6 d allmend Zinß sonsten ist dieselbe gegen männiglichen freÿ Ledig eigen und über Vorstehendes onus durch (die Werckmeistere) vermög überschickter Schrifftlicher Abschatzung Vom 28.ten Februarÿ 1748. angeschlagen pro 1235. lb. Machen daran die hiehero gehörige fünff neunte theil 686. 2. 2 2/3. Über die gantze behausung welche der seelig Verstorbenen Frauen Rathherrin Zweÿter Eheherr, Weÿl. herrn Johann Heinrich Pfeffinger geweßenen Meister nun seel. in der mit Ihro geführten Ehe erkaufft und alßo Ihro der Frauen Rathherrin seel. als Mit participantin ane deßen theilbahrer Succession eine tertz oder dreÿ Neuntetheil daran eigenthümlichen gebührig, ist Vorhanden ein teutscheer pergamenter Ganth kauffbrieff mit E. E. Kleinen Raths der Statt Straßburg anhangendem Insigel corroboriret de dato 29.ten Martÿ Anno 1719. mit Altem Lit. A. notirt.
Die übrige hiehero gehörige zween Neünte theil eind in wehrender dießer Ehe von H. Johann Friderich Pfeffingern dem ältern, Metzger und burgern allhier, der Fraun Rathherrin seel. Stieffsohn erkaufft und den 18.ten Martÿ 1746. in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub Verschrieben, auch Krafft hie oben eingetragenen Vergleichs denen Erben für ohnverändert Weilen der davor bezahlte Kauffschilling Ihne hernach in Ergäntzung abzug gebracht, überloffen worden.
(f° 16) Anthei ane Metzigbäncken (E.) der drittethil für ohnvertheilt von und ane dritthalben Metaizbäncken alhier unter der Kleinen Metzig gelegen (…)
Ergäntzung des Herrn Wittibers abgegangen ohnveränderten Guthsn Inhalt Inventarÿ über eingangs gedachter beede geweßener Eheleuthe in die Ehe gebrachte Nahrung durch Weÿland Jerrn Notarium Wolffgang Courtz nun seel. in Anno 1737 auffgerichtet und durch Herrn Notarium Matthiam Koch expedirt
Wÿdemb Welchen die in Gott seelig entschlaffene Frau Rathherrin wegen Ihrer Stifff Enckel weÿland Frauen Annä Margarethä Rödererin gebohrner Pfeffingerin seeligen mit herrn Johann Christoph Röderer dem Metzger und burgern allhier ehelich erziehlter Zweÿer Kinder Lebtägig genoßen hat. Es hat Weÿland herr Johann Heinrich Pfeffinger, E: E: Zunfft der Blum geweßenen Schöff, Zunfft Meister, Metzger und burger allhier der Frauen Rathherin seel. Zweÿter Eheherr auch seel. in seinem mit und beneben seiner hinterbliebenen Frau Wittib den 19.ten Septembris Anno 1729. vor Notario und gezeigen auffgerichteten Testamento nuncupativo (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
Des Herrn Wittibers ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 3, Sa. Silbers 27, Sa. goldenen Ring 2, Sa. Schulden 18, Erg. Rest 499, Summa summarum 607 lb
Dießemnach wird auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 204, Sa. Weins und leerer Vaß 35, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 30, Sa. Goldener Ring 64, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 50, Sa. Antheils an einer behaußung 686, Sa. antheils ane Metzigbäncken 329, Sa. Eigenthumb ane Matten 119, Sa. Schuld 350, Summa summarum 1870 lb – Schulden 1807, Nach deren Abzug 62 lb
Endlichen Wird nun das gemein, Verändert und theilbar Guth beschrieben, Sa. haußraths 57, Sa. Chaise 3, Sa. Weins 24, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 47, Sa. Viehes 12, Sa. baarschafft 70, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 2421, gülth 14, Sa. Schulden 1912, Summa summarum 4563 lb – Schulden 1907, Detrahendo Verbleibt 2655 lb
Gantze Verlaßenschafft et Conclusio finalis Inventarÿ dem Stall anschlag nach 3678 lb
Zweiffelhaffte und Verlohren Schulden in das Erben zugeltend 1178 lb
– Abschatzung den 28. februarÿ A° 1748. Auff begehren S. T. deß Hoch und Wohl Weißen Herrn Georg Wild E: E: großen Raths Alten beÿsitzers, ist eine behaußung allhier in der statt Straßburg in dem Metzger Geißen einseit neben Johann Koch dem Metzger, an Jacob Winter auch Metzgern und hinten auff die alte Statt Maur stoßend gelegen, Von uns unterschriebenen Werckhleuthen beschrieben und angeschlagen worden, Es befindet sich Vornen im Eingang linckerhand Ein Stüblein und Küchel und ein gang um hoff, auff dem ersten Stock ein Stub, ein Kammer und Ein Haußöhren, darinn ein herd, auff dem Zweÿten stockh Zwo Kammeren und ein haußöhren, der dritte boden unter dem Tach ist besetzt, darüber ein alter Tach stuhl mit breit Ziegeln gedeckt, hat beÿderseits steinerne Giebel. Es befindet sich auch ein alt schlecht hinder gebäw, hat ein officiers Stub, und Knechts Kammer, Wie auch Stallung und Häwbühn, gegen dem Höfflein eine Stub, Küchen und Kämmerlein. Im Stall ist ein bronnen, und hat auch einen gebälckten Keller. Im Hoff ist Ein Klein nebens Stüblein und auch Küchen, Welche behaußung mit allen Ihren begriffen und gerechtigkeiten Wie solche sich in der besichtigung befunden ist durch der statt Straßburg geschwornen Werekhleuthe, dem Jetzigen Preiß nach angeschlagen Worden Vor und umb Zweÿ Taußen und Fünff Hundert Gulden [unterzeichnet] Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister vnd stat Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters
Copia der Eheberedung (…) Straßburg auf den 30. Monaths Tag Junÿ Anno 1734. Wolffgang Courtz – Coll. den 12. mart. 1738. Matthias Koch
Jean Georges Wild cède aux deux fils de sa femme la part d’immeubles qu’elle a acquise de Jean Henri Pfeffinger
1748 (21.3.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 368) Joint au n° 283 du 28 févr. 1749
(Inventarium über Weÿland Frauen Mariä Salome Wildin gebohrner Straßin herrn Johann Georg Wild Frauen Eheliebstin nunmehr seel. Verlaßenschafft)
Zuwißen seÿe hiemit, nachdeme gegenwärtige Verlaßenschafft völlig inventirt gewesen, und mann Zur Examination und Untersuchung beederseitz ohnverändert Vermögens schreiten, mithien daßelbe Von der theilbaren Nahrung separiren Wollen, dabeÿ aber sich geäüßert, daß die in Gott seelig entschlaffene Frau Rathherrin und nunmahlig. hinterbliebenen herrn Wittibers in wehrender Ehe Von Ihrem Stieffsohn herrn Johann Friderich Pfeffingern dem älterin Metzger und burgern allhier
Zween neundetheil Vor ohnvertheilt Von und ane der in dem Metzger gießen allhier Liegenden Sterb behaußung, wie auch Einen dritten theil für ohnvertheilt Von und ane denen unter der Kleinen Metzig allhier Liegenden dritthalben Metzigbäncken und dann einen drittentheil für ohnvertheilt Von und ane Ein und Zwantig tagen Matten in dem Willstätter bann über Rhein gelegen, Welches alles dieselbe Zeit Lebens Wÿdembs Weiß Zu genießen berechtiget ware und allererst anjetzo nach Ihrem Absterben besagten Ihrem Stieffsohn als ein Vätterlich Prælegat heimgefallen wäre Laut Zweÿer in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub unterm 18.ten Martÿ 1746. et 14. Octobris 1747. verrichteten Kauffbrieff erkaufft auch die davor stipulirte Kauffschillinge zusammen antreffend 1925 Pfund pfenning mir renunciation Ihres daraufff Zuerforderen gehabten Lebtägigen genußes gleichbalden baar außgelieffert und bezahlt habe, alßo und dersgstalten daß dieße erkauffte antheiler haußes, Metzigbänck und Matten, als ein durante Matrimonio acquirirtes Guth in die Theilbare Nahrung und davon dem hinterbliebenen Herrn Wittiber die helffte eigenthümlich gebührig wäre, dargegen aber die beede herren Söhne und Erben sich vernehmen laßen, daß in ansehung die übrige antheilere angeregter behaußung, Metzigbänck und Matten Ihnen theils als Vätterliche Prælegata und theils als Mütterlich ohnverändert Guth eigenthümlich zuständig (…) alß hat der hinterbliebene Herr Wittiber (…) declariert und erkläret, daß Er Ihnen denen beeden herren Söhnen und Erben vorermelte in wehrender Ehe erkauffte Antheilere Haußes, Metzigbänck und Matten gegen Einschießung de davor bezahlten 1920 Pfund pfenning in die theilbare Nahrung als Mütterlich ohnverändert Guth Erb: und Eigenthümlich cediren abtretten und überlaßen (wolle) – So beschehen in Straßburg den 21. Martÿ Anno 1748. Johann Rudolph Dinckel, Notarius publicus
Jean Daniel Pfeffinger cède à son frère aîné Jean Henri Pfeffinger sa part indivise à la maison moyennant 950 livres
1750 (24.4.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 368) Joint au n° 283 du 28 févr. 1749
(…) persönlich erschienen alß Zu Weÿland Frauen Mariä Salome Wildin, gebohrner Straßin seel. Verlaßenschafft Inventation und Abtheillung in specie requirirtem Notario derselben hinterlaßene beede ehelich erziehlte Herren Söhnen und Erben Nahmentlich Herr Johann Heinrich Pfeffinger und Herr Johann Daniel Pfeffinger, der Jung, beede Metzgere und burgere allhier, zeigten an, Wie daß Sie Ihre biß dato ohnvertheilt beseßene behaußung, hoff, und hoffstatt, mit allen deren gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Metzgergießen, einseit neben herrn Johann Jacob Winter dem ältern Metzger anderseit neben herrn Daniel Koch auch Metzger, hinden auf das Allmend der Statt innern Grabens stoßend, Von welcher gantzen behaußung mann Jährlichen wegen einem dohlen der Statt Pfenningthurn 7 ß 6 d allmend Zinß zureichen hat, auch ein dritter theil derselben derer comparenten herrn Stieffvatter S. T. Herrn Johann Georg Wild, E: E: großen Raths alten und E: E: Policeÿ gerichts jetzig Wohl verdienten beÿsitzern mit Lebtägigem wÿdembs genuß verfangen, Sonsten aber gegen Männiglichen freÿ Ledig und eigen und theils von Ihrer Mütterl. Erbschafft theils aber Von Vätterlichen Prælegaten herrühret, in das Künfftige alßo länger ohnvertheilt Zubehalten nicht gesinnet, dannenhero der Jüngere Sohn Herr Johann Daniel Pferringer vor sich und seine Erben Seine ohnabgetheilte helffte ane besagter Behausung
seinem ältern Herrn Bruder Herrn Johann Heinrich Pfeffinger in ohnvertheilten Elterlichen Erb eigenthümlich käufflichen cedirt und überläßen – vor und umb 950 Pfund – So beschehen in Straßburg den 24.ten Aprilis Anno 1750.
Jean Henri Pfeffinger épouse en 1732 Anne Marie Fischer, fille d’aubergiste et fabricien de Saint-Pierre-le-Vieux : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire de 1762, célébration. La mère du marié accorde à son fils l’habitation dans une partie de la maison moyennant un loyer annuel
Copia der Eheberedung – entzwischen dem Wohl Ehren und Wohlgeachten herrn Johann Heinrich Pfeffinger, ledigen Metzgern, weÿland des Wohl Ehren und Wohlachtbaren herrn Johann Heinrich Pfeffingers geweßenen Viehehändlers, Metzgers und burgers alhier mit der Wohl Ehren und tugendreichen Frauen Maria Salome geb. Straßin, deßen geweßter zweÿten Frauen Eheliebstin und nachgelaßenen Frau Wittib, so dermahlen mit dem Wohl Edlen großachtbahren und weißen Herrn Johann Georg Wilden, E. E. großen Raths alten und eines löbl. Vogteÿ gerichts nunmahligen Wohlmeritirten Assessore und vornehmen burgern allhier in ehel. bande stehet, ehelich erzeugtem Sohn, als dem herrn bräutigamb ane einem, So dann der Viel Ehren und tugendgezierten Jungfrauen Anna Maria Fischerin des Wohl Ehren Vest Großachtbahren und weißen herrn Johann Joachim Fischers, bierbrauers Zur Ketten und E. E. Raths beÿsitzers (eheliche Tochter)
10.dens hat des herrn bräutigambs werthgelehrtiste Frau Muttern mit geneigtistem Consens Ihres nunmahligen herrn Eheliebsten sich dahin liebreichen erkläret und verbindlich gemacht, dießem Ihrem Sohn, dem herrn bräutigamb den jenigen Metzig banck unter der kleinen Metzig alhier gelegen warauff derselbe würcklichen das Fleisch verkauffet, wie auch in der ane dem Metzgergießen alhier gelegenen behaußung /:warinnen Sie die Frau Mutter wohnet und daran Ihro die tertz eigenthümlichen zustehet:/ eine Stube, eine Küche, Zwo Kammern und noch ferner die Magd und Knechts Kammer, so beede von einander unterschieden seind und gemeinschaftlich verbleiben sollen, mehr oben darüber eine Holtzbühn Zusambt der daran sich befindlichen Cammer, deßgleichen die halbe häubühn, den halben Stall und den halben Keller im hintern hauß umb einen jährlichen Zinns von 120 gulden – Geschehen und verhandelt seind dieße ding in der königlichen Statt Straßburg auf Dienstag den 17. Februarÿ im Jahr (…) 1739
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 173-v)
Mitwoch den 22. April. seind nach Zweÿmahliger proclamationen ehelich copulirt und eingesegnet worden H. Joh: Heinrich Pfeffinger Lediger Metzger und burger alhier weÿl. H. Joh: Heinrich Pfeffingers gewesenen Metzgers und burgers alhier hinterl. ehel. Sohn und Jfr. Anna Maria H Joh: Joachim Fischers burgers und bierbrauers auch E. E. großen Raths alten beÿsitzers und wohlmeritirten fabric Pflegers beÿ dieser gemeinde ehel. tochter [unterzeichnet] H. Heinrich Pfeffinger als hochzeiter, Anna Maria Fischerin als hochzeiterin (i 176)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari inventoriés dans la maison rue des Bouchers s’élèvent à 1354 livres, ceux de la femme dans l’auberge à la Chaîne à 975 livres
1739 (27.4.), Me Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 67) n° 594
Inventarium über des Wohl Ehren und wohlgeachten Herrn Johann Heinrich Pfeffingers, Metzgers, wie auch der Viel Ehren und tugendgezierten Frauen Annä Mariä Pfeffingerin gebohr. Fischerin, beeder Ehepersohnen und burgere alhier einander in die Ehe zugebrachte Nahrung, auffgerichtet Anno 1739 – allweilen in d. selben den 17. Februarÿ 1739. mit einander auffgerichteter Eheberedung §° 5. ausdrucklichen Versehen, daß einem jedem derselben seine in die Ehe bringende und wehrenden Ehestand ererbende Nahrung ein freÿn eigen ohnverändert u. vorbehaltenen guth seÿn u. bleiben – So beschehen Zu Straßburg in beÿsein u. persönl. Gehenwart des wohl Edl. Großachtbahren u. weißen H. Johann Georg Wilden E. E. Großen Raths Alten und eines löbl. Vogteÿ Gerichts dermalig wohlmeritirten Assessoris d. wohl Ehren und tugendbegabten Fr. Maria Salome Wildin gebohrner Straßin, deßelben Frauen Eheliebstin des H. Ehemann Fr. Mutter wie auch des wohl ehrenvest großachtbahren u. weißen H. Johann Joachim Fischers E. E. großen Raths auch löbl. Vogteÿ gerichts alten wohlmeritirten beÿsitzers und d wohl erhen und tugendbegabten De. Catharinä Fischerin gebohrner Röschin d. Ehefrauen gel. eltern,u. Zwar soviel d. Ehefrauen zugebrachtes guth betrifft auf Montag d. 27. Aprilis was aber des Ehehr. Zugebrachte Nahrung betrifft auf Mittwoch den 6. Maji un fernerer Gegenwart des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren H. Philipp Jacob Straßen Vornehmen burgers und Handelsmanns alhier deßelben geweßenen und noch ohnentledigten H. Curatoris, anno 1739
In einer allhier Zu Straßburg ane der lang. Straß u. Kettengaß d. Ehefrauen gel. Eltern Zuständigen bierbrauer behaußung Zur Ketten genand, befunden worden wie folgt
(f° 10) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Herrn Johann Heinrich Pfeffingers des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Guth. In einer ane dem Metzgergießen gelegenen, deßelben geliebten Fr. Mutter Zum theil eigenthümlich zuständigen, theils aber Von deroselben Wÿdembs weiß bewohenenden behaußung befunden worden wie folgt, Sa. haußraths 99, Pferd per se, Rindviehe 523, Beßerung im hoff, Stroh, Bohnen Meel und Magsamen, Silbergeschirr 150., Goldene Ring 8, baarschafft 160, Schulden 193, Summa summarum 1182 lb – Und dann hierzu gerechnet die haussteuren 172, – Des Ehemanns in die Ehe gebrachtes guth 1354 lb
Dießemnacb wird auch der Fraun Pfeffigerin in die Ehe gebrachtes Guth beschrieben, Sa. haußraths 187, Sa. Silbers 59, Sa. Golder Ring 40, Sa. baarschafft 516, Summa summarum 82 lb – Deme beÿzufügen deroselben haussteuren 172, Der Ehefraun in die Ehe gebrachte Mittel und Effecten 975 lb
Jean Henri Pfeffinger et Anne Marie Fischer hypothèquent la maison et les étaux de boucher au profit de François Œsinger, conseiller à la régence de Linange-Hardenbourg
1754 (29.11.), Chambre des Contrats, vol. 628 n° 497-v
H. Johann Heinrich Pfeffinger der metzger und Anna Maria geb. Fischerin mit beÿstand ihrer brüder H. Johann Joachim Ficher des bierbrauers und H. Lt. Johann Georg Fischer
in gegensein H. Lt. Johann Friedrich Oesinger des Ritterschafftlichen advocati als mandatarii seines vatters H. Frantz Oesinger hochgräfl. Leiningen Hardenburgischen Regierungs raths – schuldig seÿe 750 pfund
unterpfand, erstlich eine behausung, hoff und hoffstatt cum appertinentis am Metzgergießen, einseit neben Johann Jacob Winther dem ältern anderseit neben Daniel Koch beede metzger, hinten auff die Allmend – davon soll mann hiesiger Stadt Pfenning Thurn 7 ß 6 ane allmend zinß
ferner der halbe theil für ohnvertheilt ane dritthalben metzig bänck unter der kleinen metzig wie auch ane einem 6. theil von denen auf sechs dergleichen bäncken gebauten klein häußlein und dem darunter befindlich geträmtes kellerlein, zweÿ dieser bänck neben Johann Daniel Pfeffinger anderseit neben Johann Friedrich Pfeffinger dem jüngern
der dritte banck einseit neben Johann Friedrich Fruth, anderseit neben auf das waßer leitenden steeg, hinten auff den Rindshäutergraben – davon soll mann 6 ß 8 d. löbl: Stadt Pfenning Thurn
Jean Henri Pfeffinger et Anne Marie Fischer font dresser l’inventaire de leurs biens pour que la femme puisse demander le bénéfice de cession. La maison est estimée au prix auquel le mari l’a acquise de son frère. Les biens de la femme sont estimés 2 532 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 3 872 livres, le passif à 5 484 livres.
1762 (12.2.), Me Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 800) n° 269
Inventarium über Johann Heinrich Pfeffingers, des Metzgers und Fr. Annä Mariä Pfeffingerin gebohrner Fischerin beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg dermahlen besitzende activ: et Passiv Nahrung, auffgerichtet in Anno 1762. – alldieweilen sein des Ehemanns jetzige Nahrung mit mennigfältigen Passivis behafftet ist, dahero der Ehefrauen den 19.ten Xbris letzt abgewichenen 1761. Jahrs beÿ E. E. Kleinen Rath ein Monath Zeit ad producirenden Inventarium angesetzet worden, inmaßen Sie daselbsten das Beneficium Cessionis in Unterthänigkeit Zu suchen gesonnen ist, auf Ansuchen ihr Fr. Annä Mariä Pfeffingerin geb. Fischerin der Ehefrauen mit assistentz S. T. Hn Johann Friderich Fischers Jurium Candidati ihres Hn Bruders, umb Salvirung ihres ohnveränderten eigenthümlichen Guths willen, und Zwar zufolg E. E. Kleinen Raths bescheids vom 27. Jan. jüngsthien, als wozu Sie aller opposition ohngeachtet authorisirt worden, ersucht und inventirt – Actum allhier Zu Straßburg auff Freÿtag den 12.ten Februarÿ anno 1762.
Bericht in gegenwärtig activ et passiv Nahrungs Inventarium gehörig. Es ist die Ehefrau wie vorher aus dem Eingang schon erhaltet (…)
Copia, beeder Ehepersohnen d. 17. Februarÿ Anno 1739. vor weiland H. Notario Johann Daniel Lang senior einander errichteter heuraths Verschreibung
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Metzger gießen gelegenen und in dieße Nahrung gehörigen behausung befuden worden wie folgt.
(f° 8) Eigenthumb ane einer behaußung. Nemblichen eine behaußung, hoff und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörddn und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Metzger gießen, einseit neben Friderich Hoffet dem Metzger, 2. seit neben Georg Friderich Hans Metzger dem auch Metzger hinten auf deas allmend der Statt inneren Grabens stoßend, wovon man jährlichen wegen einem dohlen der Statt Straßburg Pfenningthurn 7 ß 6 d Allmend zinß Zu reichen hat, sonsten aber außer hernach eingetragenen darauf hafftenden Passiv Capitalien gegen männiglichen freÿ leedig eigen und dißorths ohnpræjudicirlichen angeschlagen worden wie selbige die helffte Von Hn Johann Daniel Pfeffinger dem Metzger v. b. alhier des mariti Bruder erhalten pro 2000 lb. Ane dießer behaußung werden 5.te theil in Weil. Frauen Mariä Salome Wildin gebohrner Straßin, nun auch weil. H. Johann Georg Wild E. E. Großen Raths geweßenen alten beÿsitzers und Ambtmanns des Ambts Schmieheim jenseith Rheins geweßenen frauen Eheliebstin als des dißorthigen mariti Fraun Mutter seeligen Verlaßenschafft gehörig und Zwar theils als ein Von w. H. Johann Friderich Pfeffinger dem ältern gewes. Metzger und b. dahier dero stieff Sohn seel. den 18. Martÿ 1746. erkaufftes und in allhießiger C. C. Stub Verschriebenes Eigenthumb und theils als ein in Zweÿter Ehe mit weil. H. Johann Heinrich Pfeffinger, ihrem geweßenen Ehemann seel. erlangten theilbares Guth, wovon in dem über Ihr Weil. Fr. Rathh. Wildin seel. Verheurathet mit durch H Notarium Joh: Rudolph Dinckel errichteten Inventario de A° 1748. à fol. 88. fac: j.ma usq. ad fol: 91 fac: 2.da ein mehrerns Zu ehen. Die übrige 4/9.te theil sothaner behaußung waren dem dißorthigen marito und Hn Johann Daniel Pfeffinger dem Metzger und burger dahier deßen eheleibl. H. bruder schon ohnehin als ererbt vätterlich Guth geständig, Und hat Er h. Johann Daniel Pfeffinger dem diortigen Ehemann solche seine Vätter: als Mütterl. Antheiler bei Mütterl. Verlaßenschafft Abtheilung wie eine schon Edelbemelter Hn Not. Johann Rudolph Dinckel vorgenommene Cession maßgeben soll, käufflich überlaßen, wadurch alßo dieße gantze behaußung theils Erbs und theils Cessions weiße an dem Ehemann gekomme,. Über die völlige behaußung meldet ein teutscher pergamentene Ganth Kauffbrieff mit E. E. Kleinen Raths der Statt Straßburg anhangendem Insigel Verwahret de dato 29.ten Martÿ A° 1719. mit altem L. A. notirt
(f° 9) Antheil ane Metzig bäncken (…)
Ergäntzung der Ehefrauen wehrender Ehe abgegangenen ohnveränderten Guths, Innhalt des über beeder Eheleuthe einander vor ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen durch weil. H. Notarium Joh: Daniel Lang seniorem seel. in Anno 1739. errichteten Inventarÿ
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Ehefrauen ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 147, Sa. silbers 32, Sa. goldener Ring 24, Sa. Schulden 100, Sa. des Ergäntzungs Rests 1729, Summa summarum 2032 lb – darzu kommet ferner was dero Ehemann Ihro Krafft voreingetragener Eheberedung paragrapho 8.vo einem lebenslängl. Vorwÿdumb verschrieben hat 500 lb, Belaufet alo der Ehefr. dermahlen zu erfordern habendes Vermögens (…) auff 2532 lb
Des Ehemanns ohnveränderter und Theilbar Guth, Sa. hausraths 291, Sa. lährer faß 20, Sa. Silbers 36, Sa. goldener ring 24, Sa. Eigenthums ane j. behaußung 2000, Sa. antheils ane Metzigbäncken 1500, Summa summarum 3872 lb – Schulden 5484 lb, In Compensatione 1611 lb
Copia der Eheberedung (…) in der königlichen Statt Straßburg auf Dienstag den 17. Februarÿ im Jahr 1739
Anne Marie Pfeffinger meurt en 1776 en délaissant un fils au service de l’armée de Pologne et une fille célibataire. L’inventaire est dressé dans la maison d’Abraham Schwing rue Sainte-Elisabeth. L’actif s’élève à 1 162 livres, le passif à 622 livres
1776 (27.9.), Me Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 821) n° 761
Inventarium über Weiland der Viel Ehren: und Viel tugendgezierten Frn Annä Mariä Pfeffingerin geb. Fischerin H. Johann Heinrich Pfeffingers des Metzgers und burgers allhier zu Straßburg geweßenen geschiedener Ehefrauen nun seel. Verlaßenschafft errichtet in Anno 1776 – nach Ihrem Donnerstags den 12.ten dieses Monaths Septembris und Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen – So beschehen alhier Zu Straßburg auf Freÿtag den 27.ten Septembris Anno 1776.
Der Verstorbenen Fr. seel. ab intestato Verlaßenen Erben seind. 1.mo H. Georg Friedrich Pfeffinger, Adjudant in Königl. Polnischen diensten, so majorennis vnd ohnbevögtigt welcher in selbst eigener Persohn bei dießer Verlaßenschafft Inventur erschienen, In den Ersten Zweÿten Stammtheil, Und dann 2.do Fr Catharina Salome Pfeffingerin so gleichfalls majorennis und ohnverburgert, mit assistentz S. T. H. Johann Georg Fischers J. Cti. und E. E. Großen Raths wohlbestellten Actuarÿ auch Vornehmen burgers allhier dero H. Oncle Vätterl. Seithe bei dießer Verlaßenschafft Mandatario zugegen war, In den Zweÿten und letzten Stammtheil. Beede seind der Verstorbenen Fr. seel. mit schon erwehntem Hn Johann Friderich Pfeffinger dem Metzger und burger allhier Ihrem geschiedenen Ehemann ehelich erziehlte Kinder und ab intestato Zu Zween gleichlingen portionen und antheilern Verlaßene Erben
Copia der Verstorbenenen Fr. Verschloßenen Codicilli Vom 12. Octobris 1772.
In einer alhier Zu Straßburg ane der St Elisabethen Gaß gelegener und in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung befunden worden, als folgt.
Schulden aus dieser Verlaßenschafft Zu bezahlend – It. Abraham Schwing dem Sandführer solle man für ¼.tek Jahr hauszins biß Michaelis h. a. gerechnet, 4. 5.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 87, Sa. Silbers und dergelichen Geschmeids 9, Sa. goldenen rings 2, Sa. Processus 1062, Summa summarum 1162 lb – Schulden 622 lb, Nach solchem abzug 540 lb
Prælegaten 519 – Conclusio finalis Inventarÿ 540 lb – Stall Summ 327 lb
La maison de Jean Henri Pfeffinger est vendue par enchère judiciaire en 1763. L’acquéreur, Jean Daniel Weiler, ne figure pas dans la maison portée au registre de la Chambre des Contrats
1763 (s. d. [21.1.]), Chambre des Contrats, vol. 637 f° 35-v
Ganthkauff vom 13. Januarÿ 1763 – in sachen Johann Heinrich Pfeffinger des metzgers falliment betreffend
[sans nom d’acheteur]
ist deßen behausung in dem Metzgergießen, einseit neben Johann Friedrich Hoffert, anderseit neben Georg Friedrich Hanßmetzger beede metzger, hinten auff den stadt graben und einen dohlen – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 7 ß 6 d, umb 3220 fl.
Fils de boucher, le boucher Jean Daniel Weiler épouse en 1738 Marie Salomé Kamm, fille de boucher : contrat de mariage, célébration
1738 (14.3.), Me Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 53) n° 202
Eheberedung Zwischen H. Johann Daniel Weiler, dem Ledigen Metzger, weÿl. H Balthasar Weilern gewesenen Metzger und burgers allhier seel. nachgelaßenem ehelichem Sohn als hochzeiter mit beÿstand H. Caspar Weiler Metzger und burgers allhier seines bruders ane einem
So dann Jgfr Mariæ Salomeæ Kammin Weÿl. hrn Abraham Kammen gewesenen Metzger und burgers alhier seel. nachgelaßenen ehelichen tochter, als der Jgfr hochzeiterin, mit beÿstand H Joh: Daniel Pfeffinger, Metzgers, Ihres geschwornen Vogts, H Johann Friderich Kammen, mignatur mahlers Ihres bruders auch H Joh. Friderich Zentler Metzgers Ihres Vettern am andern theil
Actum Straßburg auff Freÿtag den 14. Martÿ Anno 1738 [unterzeichnet] Johann Daniel Weiler Als hoch zeiter, Maria Salomea Kammin Als hoch zeiteren
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 39 n° 8)
1738. Mittwoch den 23. Apr. seind nach zweÿmahl geschehener proclamation in der Evangel. Pfarrkirch Zu St. Nicl. in der Ehestand eingesegnet word. Joh: Daniel Weÿler der ledige Metzger u. Burger allhier, Weil. Balthasar Weilers geweßt. Metzg. u. burger. allhier hinterlaßener ehl. Sohn und Jgfr. Maria Salome Weil. Abraham Kammen geweßten Metzgers und Burgers allhier hinterlaßene ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Daniel Weiler als hochzeiter, Maria Salome Kammin als hochzeiterin (i 41)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 93 livres, ceux de la femme à 197 livres
1738 (8.5.), Me Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 25) n° 521
Inventarium über Herrn Johann Daniel Weiler, Metzgers und Frauen Mariæ Salome gebohrner Kammin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander vor unverändert zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1738 – und crafft der Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten haben
So beschehen in Straßburg auff Donnerstag den 8. Maÿ A° 1738.
des Ehemanns in die ehe gebrachtes Vermögen, Sa. Silbers 6, Sa. baarschafft, Summa summarum 93 lb
diesemnach folget auch der Ehefrauen Zugebrachte Nahrung, Sa. haußraths 27, Sa. goldenen Rings 15, Sa. Silbers 15, Sa. baarschafft 139., Eigenthümblich Antheil ane einem Metzigbanck ohne anschlag, Summa summarum 197 lb
Jean Daniel Weiler et Marie Salomé Kamm cédent leur maison en avancement d’hoirie à leur fils Jean Daniel
1781 (14.2.), Me Zimmer (6 E 41, 1451) n° 374
herr Johann Daniel Weiler der Metzger und E. E. Grosen Rath alten beÿsitzer und Maria Salome geb. Kammin
herrn Johann Daniel Weiler dem ebenmäßigen Metzger ihrem Sohn en avancement d’hoirie das ist auf Rechnung künftiger Ehelicher Erbschaft eigenthümlich cedirt abgetreten und überlaßen hätten
eine behausung hoff und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten ane dem Mezgergiesen, einseit neben Frau Hoffertin der verwittibten Metzgerin anderseit neben herrn Heinrich Weiler dem Metzger hinten auf das Allmend der Stadt innern Grabens – auser 7 schilling und 6 Pf. welche man wegen einem dohlen jährlich löbl. Stift Pfenningthurn zu reichen hat (ledig und eigen)
4. Solle er hr. Weiler der Sohn und Cessionarius berührte behaußung samt zugehörden von Mariä Verkündigung necht zu geniesen haben
5. Solle er herr Rathh. Weiler und deßen Ehegattin so lang bede oder auch nur eines derselben am leben seÿn wird die auf dem boden besagter behaußung befindliche Wohnung bis ane das Ende ihres Lebens und des letztlebenden unter ihnen ohne entgeld zu nutzen und zu geniesen berechtiget – um 5000 gulden
Jean Daniel Weiler épouse en 1762 Marguerite Salomé Schneegans
1762 (9. 7.br), Me Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 833) n° 171
Eheberedung – Zwischen dem Wohl Ehren: und Wohl vorachtbahrn Herrn Johann Daniel Weiler, dem leedigen Metzgern des Wohl: Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Johann Daniel Weilers, des Metzgers und burgers alhier mit der viel Ehren und viel tugendgezierten Fraun Maria Salome gebohrner Kammin seiner Frauen Eheliebstin ehelich erziehltem Sohn, als dem Herrn bräutigamn ane einem,
So denn der Viel tugendgezierten Jungfrauen Margaretha Salome Schneeganßin des Wohl Ehrenvest und großachtbahrn, auch weißen Herrn Johann Valentin Schneegannß, des Metzgers und E. E. Großen Raths alten wohlverdienten Herrn beÿsitzers, auch wohlangesehenen burgers allhier, mit der Viel Ehren und Viel tugendsamen Frauen Anna Maria gebohrner Wöhrelein, seiner Frauen Ehegattin ehelich erzeugten Jungfer tochter als der Jungfer Hochzeiterin ane dem andern Theil – So beschehen den 9. Septembris Im Jahr 1762 [unterzeichnet] Johann Daniel Weiler Als hochzeiter, Margaretha Salome Schneeganßin Als Hochzeiterin
Daß Vorstehende Heuraths: abrede mit allerseitigen belieben alß tractirt abgehandelt und beschloßen worden bescheint ratione officÿ nesbt beÿsetzung gewohnlichen Notariat: Insigels und Nahmens Unterschrift Straßburg dato ut supra, Johann Friderich Lobstein Notarius juratus
Jean Daniel Weiler vend la maison 2 500 livres à Abraham Hansmetzger et à sa femme Marie Madeleine Klein
1785 (10.3.), Chambre des Contrats, vol. 659 f° 129
H. Johann Daniel Weiler der metzger
in gegensein H. Abraham Hannßmetzger des metzgers und H. Johann Daniel Schützenberger des bierbrauers, so nahmens H. Hannßmetzger Ehefrau Mariæ Magdalenæ geb. Kleinin
eine behausung, hoff, hoffstatt bronnen stallung mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten, denen jalousie, läden, kunstöffen, zweÿ steineren trög, dem bauchkeßel, liegerlig, die eißerne thür au rés de chaussée die communication steeg so H. Kamm hat machen laßen, den parquettirten böden in dem Metzgergießen, einseit neben H. Heinrich Weiler dem metzger, anderseit neben der verwittibten Fr. Hoffetin, hinten auff die gaß – um 5000 gulden
Fils de boucher, Abraham Hansmetzger épouse en 1781 Marie Madeleine Klein, fille de brasseur : contrat de mariage, célébration
1780 (1. Xbr), Me Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 286) n° 673
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen seÿen, Herr Abraham Hanßmetzger der ledige Metzger, Weÿland herrn Friderich Hanßmetzgers des gewesenen Metzgers und frauen Catharinæ Dorotheæ gebohrner Mähnin beeder Ehepersonen und burgere allhier nun seeliger ehelich erzeugtter Sohn, mit beÿstand herrn Johann Daniel Isenheim, des versilbert Zinn Knöpff und Pfedt Zeugmachers und Herrn Johann Jacob Hanßmetzgers des Metzgers beeder burgere allhier und respectivé Vettern und bruders ane Einem
So dann die Viel Ehren und tugendsame Jungfrau Maria Magdalena Kleinin, weÿland herrn Joh: Melchior Kleinen geweßenen bierbrauers und burgers allhier seeligen mit der Ehr und tugendsamen frauen Anna Catharina gebohrner Bickelhaubin seiner hinderbliebenen Wittib, welche nunmehro an herrn Johann Daniel Schützenbergern den bierbrauern und burgern allhuer Verehelicht ehelich erzeugte und hinderlaßene tochter, mit assistentz herrn Johann Jojackim Fischers, des Gastgebers und burgers allhier ihres geschwornen vogts
So geschehen allhier Zu Straßburg auff Freÿtag den Ersten Decembris Anno 1780 [unterzeichnet] Abraham Hanßmetzger Als Hochzeiter, Maria Magdalena Kleinin Als hochzeiterin
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 89)
Im Jahr 1781 (seind) Mittwoch den 14. ejusdem [Februarii] ehelich eingesegnet worden Herr Abraham Hanßmetzger der ledige Metzger und burger allhier, weÿl. Herrn Friderich Hanßmetzger gewesenen Metzgers und burgers allhier, mit weÿl. Catharina Dorothea Mähin ehelich erzeugter Sohn, und Jungfer Maria Magdalena Kleinin weÿl. Herrn Johann Melchior Klein gewesenen Kiefers und Weinhändlers alhier mit Anna Catharina Pickelhaubin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Abraham Hanßmetzger als Hochzeiter, Maria Magdalena Kleinin als hochzeiterin (i 92 – procl. Saint-Nicolas f° 39 n° 4)
Inventaire après décès de Marie Salomé Dollinger femme du boucher Jean Jacques Hansmetzger, dressé dans la maison
1801 (5 germ. 9), Strasbourg 4 (31), Me Roessel n° 477
Inventarium über Inventarium und beschreibung all derjenige Güther und Vermögenschafft so weÿl. Maria Salome Dollinger br. Joh. Jacob Hansmetzger des Metzgers Ehefrau nach ihrem den 27. frimair lauffenden 9. jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt – auff ansuchen des Wittibers als ab seiten der Erblaßerin Maria Salome Dollinger vermög ihre vor weÿl. Joh. Friedrich Greis den 16. nivose an 4 errichtet und durch Not. Stoeber als besitzer Greis’scher notariat acten expedirt und collationirt eingesetzt und hinterlassenen Universal Erben
in der Sterbbehausung ane dem Metzgergiesen N° 17, Abraham Hansmetzger eigenthümlich gehörig
hausrath 511 fr
Eigenthum ane einem Metzig: banck. Nemlich ein metzig banck unter der grosen Metzig, der dritte lincker hand bei dem Eingang gegen dem Spithal Gäßel, anderseit neben Daniel Winter mezger anderseit neben andres hochdörfer auch metzger und hinten an die metzig steeg stoßend, hiesiger commune ane bodenzinß 2 fr, æstimirt und angeschlagen pro 1800 fr
summa summarum 2311 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 77 F° 152 du 9 germ. 9
La veuve d’Abraham Hansmetzger loue une partie de sa maison au baquetier Philippe Chrétien Taubert
1824 (4. 8.br), Enregistrement de Strasbourg, ssp 51 – ssp du 20 septembre dernier
Madeleine Hanzmetzger veuve d’Abraham Hanzmetzger propriétaire à Strasbourg
bail à Philippe Chrétien Taubert baquetier en la dite ville
le magasin dans sa maison rue des bouchers N° (-) et le grenier à foin pour un loyer annuel de 124 francs, le bail fait pour cinq années qui commenceront le premier janvier prochain – le St Taubert promet de laisser le pont qui conduit au magasin inférieur et qu’il a établi à la disposition du propriétaire, évalué à 15 francs
La veuve et les enfants d’Abraham Hansmetzger vendent la maison 8 700 francs au maître maçon André Subbinger et à sa femme Anastasie Bœhrer
1828 (10.6.), Strasbourg 4 (67), Me Hatt n° 4126
1. Marie Madeleine Klein veuve d’Abraham Hansmetzger, boucher, 2. Abraham Hansmetzger fils, boucher, et Catherine Marguerite née Kretzinger, 3. Marie Madeleine Hansmetzger épouse de Jean Henri Christmann, marchand pelletier, 4. le Sr Christmann mandataire de Frédéric Hansmetzger, militaire absent, 5. Caroline Hansmetzger, célibataire majeure – [Procuration :] Frédéric Hansmetzger pontonnier au 1° bataillon 1° compagnie de présent en garnison en cette ville, Me Lacombe le 20 mars 1812
à André Subbinger, maître maçon, et Anastase Boehrer
une maison avec cour pompe, écurie, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Bouchers n° 17, d’un côté la veuve Fünfrock, d’autre le Sr Boeswillwald boulanger, derrière la rue du Jardin + /+ autrefois fossé des Orphelins/ où elle porte n° 2 et sur laquelle elle a deux issues par une porte cochère et par une petite porte – acquis par le défunt Hansmetzger et la veuve par acte passé à la Chambre des contrats de cette ville le 10 mars 1785 – moyennant 8700 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 189 F° 177 du 13.6.
Originaire de Marmoutier, André Subbinger épouse en 1799 Anastasie Bœhrer native de Sélestat
Mariage, Strasbourg (n° 19)
Cejourd’hui 20 vendémiaire l’an VIII de la République française une et indivisible (…) André Subinger, âgé de 19 ans, maçon, domicilié en cette commune depuis 18 mois mais natif de Marmoutier, Chef lieu de Canton du département du Bas Rhin, fils mineur de Michel Subinger, maçon audit lieu d’Anne Marie Mettling (…) d’autre part Anastase Böhrer, âgée de 18 ans, aussi domiciliée en cette commune depuis 2 ansn ative de Selestadt Chef lieu de Canton du département susdit fille mineure de Dominique Boehrer pêcheur au dit lieu et d’Ursule Andrès
de l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 30 novembre 1779 de l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 21 décembre 1780 (signé) andreas subbinger, anast sie böhrer (i 13)
André Subbinger meurt en 1834 en délaissant un fils, une fille et une petite-fille issue d’un deuxième fils
1834 (7.5.), Strasbourg 4 (79), Me Hatt n° 8026
Inventaire par déclaration – André Subbinger, maître maçon, décédé le 12 avril 1834 – selon le testament reçu par la notaire soussigné le 3 juin 1822 enreg. avec les présentes, la veuve a l’usufruit viager de la moitié de la fortune – à la requête de 1. Anastasie Böhrer la veuve, 2. Joseph Subbinger, menuisier, 3. Salomé Subbinger, majeure se portant fort d’Elisabeth Subbinger enfant mineure de feu André Subbinger et Elisabeth Winné, les enfants et petits enfants du défunt – mariés sans avoir passé de contrat de mariage
Immeubles. 1. une maison, cour, pompe, écurie, appartenances et dépendances rue des Bouchers n° 17 entre la veuve Fünfrock et le Sr Böswilwald, derrière la rue des Jardins où elle porte le n° 2, acquis suivant acte reçu par le soussigné notaire le 10 juin 1828
2. une autre maison située à Strasbourg quai des Bateliers n° 25, acquise à la barre du Tribunal le 2 octobre1823
3. une maison et dépendances à Strasbourg rue des Bouchers n° 46 connue sous l’enseigne des Sept Souabes, acquise à la barre du Tribunal le 1 octobre 1831 et déclaration de command du 4 octobre, chacune estimée à 400 fr de revenu ou 8000 fr de capital
communauté, meubles 134 fr, garde robe 66 fr, ni argent ni dettes actives
Enregistrement de Strasbourg, acp 225 F° 10-v du 16.5.
Lors du partage anticipé que consent Anastasie Bœhrer à ses enfants et à sa petite-fille, la maison quai des Bateliers revient au fils et celle rue des Bouchers aux deux autres héritières
1842 (13.7.), Strasbourg 15 (72), Me Lacombe n° 3485
Partage anticipé – Ont comparu Dame Anastasie Bohrer, veuve du Sieur André Subbinger en son vivant maître maçon, demeurant et domiciliée à Strasbourg d’une part
M. Joseph Subbinger, menuisier demeurant et domicilié à Strasbourg
Madlle Salomé Subbinger, majeure, sans profession, demeurant et domicilié en cette ville
Mad. Emilie Elisabeth Subbinger, sans profession, demeurant et domiciliée à Strasbourg, mineure émncipée (…) En son nom d’autre part
Lesquels sur la proposition de Mme veuve Subbinger ont procédé par les présentes tant au partage anticipé des biens appartenant à cette Dame qu’au partage des biens dépendant de la succession de son mari feu le Sieur André Subbinger, à cet effet il a été préliminairement exposé ce qui suit.
M. André Subbinger est décédé à Strasbourg le 12 avril 1834. L’inventaire de sa succession et de la communauté de biens qui avait exsité entre lui et sa veuve survivante a été dressé par M. Hatt alors notaire en cette ville le 7 may 1834. Cet inventaire a été fait à la requête 1° de Mad. veuve Subbinger ayant agi à cause de la communauté légale qui existait entre elle et son mari à défaut de contrat anténuptial, et encore en qualité de légataire de l’usufruit viager de la moitié de la succession de son mari en vertu du legs qui lui a été fait par testament reçu par M Hatt le 3 juin 1822 enregistré, 2° de M. Joseph Subbinger, de Mlle Salomé Subbinger et de Mlle Emilie Elisabeth Subbinger cette dernière par représentation de M. André Subbinger fils son défunt père, tous trois en qualité d’héritiers pour un tiers de M. André Subbinger leur père et aïeul (…) Mais la communauté se trouvait être propriétaire de trois maisons sises à Strasbourg l’une quai des batelier n° 25, l’autre rue des bouchers n° 17 et la troisième aussi rue des bouchers n° 46. La maison rue des bouchers n° 46 a été vendue par contrat reçu par Me Lacombe le 20 avril 1837 (…) à Joseph Herrmann, chaudronnier et à Marie Séraphine Heinrich sa femme demeurant à Strasbourg
Par son contrat de mariage reçu par Me Hatt alors notaire à Strasbourg le 4 janvier 1830 enregistré, M. François Joseph Subbinger a reçu en dot de ses père et mère en avancement d’hoirie une somme de 7000 francs, en outre 2000, Joseph Subbinger doit donc un rapport de 9000 francs
Masse active, elle se compose (…) 2° d’une Maison sise à Strasbourg rue des bouchers N° 17 tenant d’un côté à la propriété du sieur Sauer, de l’autre à celle de M. Boeswilwald, par devant la rue, par derrière la ru des jardins, évaluée à un revenu locatif annuel sans distraction des charges de 1200 francs faisant au denier vingt 24 000 francs
3° d’une Maison sise en la même ville quai des bateliers n° 25 tenant d’un côté à M Kuhn, de l’autre à Rhein par devant le quai par derrière M. Schoettel, évaluée à un revenu locatif annuel sans distraction des charges de 1200 francs faisant au denier vingt 24 000 francs
Lots et abandonnements (…) I. M. Joseph Subbinger, 2° La maison avec ses droits appartenances et dépendances sise en cette ville quai des bateliers N° 25 estimée 24 000 francs (…)
II. Aux Dlles Salomé Subbinger ey Emilie Elisabeth Subbinger, 2° la Maison avec ses droits appartenances et dépendances sise en cette ville rue des bouchers N° 17 estimée 24 000 francs
acp 300 (3 Q 30 015) f° 60
Liquidation des biens d’Anastasie Bœhrer, morte en 1847
1847 (18.8.), Strasbourg 9 (96), Me Becker n° 3606
Liquidation et partage de la succession de De Anastasie Bohrer, veuve du Sieur André Subbinger en son vivant maître maçon à Strasbourg où elle est décédée le 26 mars 1847
Sont comparus 1° le sieur Joseph Subbinger, maître menuisier 2° Dlle Salomé Subbinger majeure, sans profession, agissant en qualité d’héritiers chacun pour un tiers, de De Anastasie Bohrer, veuve du Sieur André Subbinger, Marie maçon, leur mère,
3° Dlle Emilie Elisabeth Subbinger majeure, sans profession, agissant en qualité d’héritière pour le dernier tiers de ladite défunte sa grand mère, parreprésentation de feu le sieur André Subbinger fils, son père, tous trois demeurant à Strasbourg
Observations préliminaires. Ledit sieur Subbinger, père et grand père des comparans, est décédé à Strasbourg le 12 avril 1834. L’acte de liquidation et et partage de sa succession a été dressé le 13 juillet 1842 par Me Lacombe notaire à Strasbourg. Par ce même acte sa veuve a donné aux comparans à titre de partage anticipé la nue-propriété de sa part aux immeubles de la communauté, lesquels consistaient en deux maisons sises à Strasbourg quai de bateliers N° 25 et rue des bouchers n° 17 et dont l’usufruit viager lui a appartenu jusqu son décès en vertu du testament de son mari (…)
Emilie Elisabeth Subbinger devenue majeure ratifie la donation que lui a faite sa grand-mère
1847 (15.4.), Strasbourg 15 (81), Me Lacombe n° 5674
Acceptation de donation – Furent présens. Mad. Emilie Elisabeth Subbinger, célibataire majeure d’ans demeurant et domicilié à Strasbourg. Laquelle a déclaré que M Lacombe notaire soussigné lui a donné communication d’un acte reçu par lui le 13 juillet 1842 enregistré portant partage anticipé par donation entre Dame Anastasie Bohrer veuve du Sr André Subbinger d’une part, et M. Joseph Subbinger menuisier demeurant et domicilié à Strasbourg, Mad Salomé Subbinger majeure d’ans sans profession demeurant et domicilié à Strasbourg et Mlle Emilie Elisabeth Subbinger comparante, laquelle était alors encore en âge de minorité mais émancipée (…)
Emilie Elisabeth Subbinger meurt en 1852 après avoir institué pour légataire universelle sa tante Salomé Subbinger
1852 (3 Xbr), Strasbourg 9 (102), Me Becker n° 5685
Notoriété – (…) avoir parfaitement connu Melle Emilie Elisabeth Subbinger, majeure sans profession, domiciliée à Strasbourg et savoir qu’elle est décédée en cette ville le 24 octobre 1852 en état de célibat. Qu’après son décès il n’a point été dressé d’inventaire. Qu’elle n’a point laissé d’héritiers auxquels la loi accorde une réserve. Et qu’en conséquence le legs universel qu’elle a fait au profit de Dlle Salomé Subbinger, majeure, sans profession demeurant à Strasbourg, sa tante aux termes de son testament olographe en date du 2 août 1852 peut recevoir sa pleine en entière exécution, l’original dudit testament mis au rang des minutes dudit Me Becker le 25 octobre denier.
acp 415 (3 Q 30 130) f° 50-v du 7 Xbr
Procès verbal après que Salomé Subbinger a passé une promesse de vente avec le baquetier Jacques Taubert
1852 (8 Xbr), Me Noetinger
Procès verbal de comparution de Jacques Taubert baquetier à Strasbourg à l’effet de faire passer vente par Salomé Subbinger majeure à Strasbourg
d’une Maison sise à Strasbourg rue des Bouchers n° 27 au prix de 26 000 francs et comparution de ladite Dlle Subbinger mais pour n’en passer acte que six mois après le décès d’Elisabeth Emilie Subbinger, dans la succession de laquelle a été recueillie ladite maison, à quoi le St Taubert se refuse, et se réserve de faire assigner la Dlle Subbinger devant le tribunal de Strasbourg
acp 415 (3 Q 30 130) f° 60-v du 9 Xbr
Inventaire de biens dressé après la mort d’Emilie Elisabeth Subbinger. Sa tante et légataire Salomé Subbinger devient ainsi seule propriétaire de la maison rue des Bouchers
1853 (19.4.), Strasbourg 9 (103), Me Becker n° 5850
Etat de fortune (inventaire par déclaration) d’Emilie Elisabeth Subbinger
A comparu Mlle Salomé Subbinger, majeure sans profession demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de légataire universelle de Dlle Emilie Elisabeth Subbinger sans profession, domiciliée à Strasbourg où elle est décédée le 24 octobre dernier aux termes de son testament olographe en date du 2 août 1852 déposé au rang des minutes de Me Becker le 25 octobre 1852 en exécution d’une ordonnance de M. le président du tribunal civil de Strasbourg
Masse active. Objets mobiliers 297, créances 917, 1015, 910, loyers 60
Art. 3. Partie d’une maison à Strasbourg. La moitié indivise d’une maison avec cour écurie puits, jardinet, aisances & dépendances située à Strasbourg, rue des bouchers N° 17 tenant d’un côté au Se Perrin architecte de l’autre au Sr Perrin employé, derrière sur la rue des jardins. La seconde moitié indivise de cette maison ayant appartenu à la comparante lors du décès de la défunte, celle-ci est maintenant propriétaire de la totalité de cet immeuble. Cette moitié indivise de maison est devenue la propriété de la défunte pour lui avoir été attribuée aux termes 1. d’un acte passé devant Le Lacombe notaire à Strasbourg le 13 juillet 1842, 2° d’un acte contenant approbation & ratification du premier passé devant ledit Me Becker le 13 juillet 1848 (…). Cette moitié de maison est évaluée à raison d’un loyer annuel de 600 francs à un capital de 12 000 francs
Total de la masse active 15 200 francs. Masse passive 13 017 francs
acp 418 (3 Q 30 133) f° 68 du 20.4.
Consentement du 21 avril – par Salomé Subbinger, fille majeure à Strasbourg agissant en qualité de légataire universelle d’Emilie Elisabeth Subbinger célibataire à Strasbourg suivant testament olographe en date du 2 août 1842 enregistré le 26 octobre 1852, à l’exécution du testament de cette dernière et à ce que le Sr Charles Vinet dentiste à Strasbourg agissant au nom et comme administrateur des biens de Marie Elisabeth Pauline Vinet issus du mariage avec Pauline Lips légataire particulière pour une somme de 8000 francs
et Victoire Subbinger fille mineure de Joseph Subbinger menuisier et de Victoire Wehrlen son épouse à Strasbourg, ce dernier agissant au nom de Joseph Subbinger fils ouvrier menuisier à Paris et encore comme administrateur légal de Marie et Joséphine Subbinger légataires particuliers pour une somme de 4000 francs
acp 418 (3 Q 30 133) f°74 du 22.4.
Salomé Subbinger meurt en 1861 après avoir légué ses biens à son frère François Joseph Subbinger
1861 (20.11.), Strasbourg 10 (146), Me Zimmer (Louis Frédéric) n° 14 267
Déclaration tenant lieu d’inventaire de la succession de Salomé Subbinger, fille majeure domiciliée à Strasbourg où elle est décédée le 15 septembre 1861
A comparu Mr François Joseph Subbinger, propriétaire, demeurant et domicilié à Strasbourg agissant comme habile à se porter seul héritier de Dlle Salomé Subbinger, sa sœur décédée à Strasbourg où elle avait son domicile
maison 400, rente due l’Etat 2367
Maison à Strasbourg. Une maison avec cour, pompe, écuries & autres appartenances et dépendances, sise à Strasbourg, rue des bouchers N° 35 autrefois N° 17, tenant d’un côté à M. Perrin architecte, de l’autre à M. Perrin, maître d’hotel, par derrière à la rue des jardins n° 7. Cet immeuble a été évalué sans distraction des charges à raison d’un revenu annuel de 1300 francs à un capital de 26 000 francs
Loyers 200 francs. Total de la mase 29 467 francs
Ladite maison appartenait à la défunte Dlle Subbinger savoir la moitié pour lui avoir été attribuée par ses cohéritiers dans les biens et valeurs provenant de la succession d’André Subbinger en son vivant maître maçon à Strasbourg & de la communauté de biens qui a existé entre ce dernier et De Anastase Böhrer sa veuve défunte ses père et mère, aux termes d’un acte contenant partage & donation à titre de partage anticipé dressé par Me Lacombe alors notaire à Strasbourg le 13 juillet 1842 & d’un acte d’approbation et ratification de ce partage dressé par Me Becker notaire à Strasbourg le 13 juillet 1848.
Et l’autre moitié pour l’avoir recueillie dans la succession de Dlle Emilie Elisabeth Subbinger, majeure, domiciliée à Strasbourg, sa nièce dont elle était légataire universelle aux termes de son testament olographe en date à Strasbourg du 2 août 1852 enregistré à Strasbourg le 26 octobre 1852 (…) déposé en l’étude dudit Me Becker suivant acte dressé par lui le 25 octobre 1852. Cette moitié de maison a été abandonnée à ladite Dlle Emilie Elisabeth Subbinger en vertu des actes de partage & ratification sus allégués. Enfin ladite maison a été acquise par M André Subbinger père durant la communauté de biens qui a existé entre lui & sa femme défunte en vertu d’un contrat passé devant Me Hatt notaire à Strasbourg le 10 juin 1828.
Masse passive 12 440 – Balance 17 027 francs
acp 504 (3 Q 30 219) f° 41-v du 21.11.
L’ébéniste François Joseph Subbinger épouse en 1830 Victoire Wehrlin, originaire de Sélestat
1830 (4.1.), Strasbourg 4 (70), Me Hatt n° 5173
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – François Joseph Subbinger, ébéniste, fils d’André Subbinger, maître maçon, et d’Anastasie Boehrer
Victoire Wehrlin fille majeure d’Antoine Wehrlin, propriétaire, et de défunte Anne Marie née Lambla à Schlestadt
Enregistrement de Strasbourg, acp 197 F° 188 du 14.1.
1830, 21 janvier – Consentement par André Subbinger, maçon, et sa femme, au mariage de leur fils François Joseph Subbinger, ébéniste à Strasbourg avec Victoire Wehrling fille majeure à Strasbourg
Enregistrement de Strasbourg, acp 198 F° 7-v du 21.1.
Marie Victoire Wehrlin fait dresser un inventaire après sa demande de séparation intentée contre son mari François Joseph Subbinger
1853 (21.6.), Strasbourg 10 (124), Me Zimmer n° 10 114
Inventaire de séparation entre François Joseph Subbinger, Marie Victoire Wehrlin
L’an 1853 le 21 juin à la requête de Dame Marie Victoire Wehrlin demeurant et domiciliée à Strasbourg, épouse de M. François Joseph Subbinger, menuisier en la même ville, agissant en conséquence d’un jugement rendu par le tribunal civil séant à Strasbourg le 6 juin 1853 qui avant de faire droit à la demande de séparation de biens qu’elle avait été intentée à son mari, a ordonné qu’il soit préalablement procédé à l’inventaire de leur avoir respectif, 2) Et comme autorisée à la poursuite de ses droits & actions en vertu d’une ordonnance rendue par le président dudit tribunal le 2 mai de la même année
Contrat de mariage passé devant Me Hatt le 4 janvier 1830
en la maison sise en cette ville quai des bateliers n° 25
acp 420 (3 Q 30 135) f° 57 du 23.6., Communauté, meubles 1012
acp 420 (3 Q 30 135) f° 94-v du 5.7. – 4 juillet, Reprises de Mde Subbinger 10 160, reprises de M. Subbinger 7000
Passif de la communauté 21 660
Masse propre du Sr Subbinger, meubles 1012, maison quai des bateliers n° 25 estimée 24 000, passif 29 460
Masse propre à M. Subbinger. I. Activement, 2° d’une maison avec bâtiment de devant & de derrière bâtiments latéraux cour & autres appartenances & dépendances, sise à Strasbourg quai des bateliers N° 25, tenant d’un côté à M. Kuhn, de l’autre à M. Rhein & par derrière à M. Kuhn-Schoettel, laquelle maison est estimée par M. Subbinger à un capital de 24 000 francs. Cette maison a été abandonnée à M. Subbinger par sa mère et ses sœurs suivant acte contenant partage de la succession de feu son père dressé par M. Lacombe alors notaire à Strasbourg le 13 juillet 1842.
acp 421 (3 Q 30 136) f° 52 du 26.7. – 21 juillet. Par jugement rendu par le tribunal civil de Strasbourg le 11 juillet 1853 le Sr Subbinger a été condamné à payer à son épouse la somme de 10 160. Par suite il abandonne à son épouse toue les objets mobiliers de la communauté estimés 1012
Pour assurer le service de ces intérêts aux créanciers desdites sommes et pour exécuter le dit jugement, le Sr Subbinger charge & déllègue son épouse de payer sur le loyer annuel de 1200 francs la somme de 965 francs
François Joseph Subbinger et Marie Victoire Wehrlen hypothèquent leurs deux maisons au profit du dentiste Charles Vinet
1862 (14.1.), Strasbourg 10 (146), Me Zimmer (Louis Frédéric) n° 14 359
Obligation – Ont comparu Mr François Joseph Subbinger, propriétaire, et De Marie Victoire Wehrlen, son épouse séparée quant aux biens, agissant sous son autorisation, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg (devoir)
à Mr Charles Vinet dentiste demeurant et domicilié à Strasbourg créancir, la somme de 2000 francs
hypothèque, 1) Une maison avec bâtimens de devant & de derrière, bâtimens latéraux, cour et autres appartenances et dépendances, sise à Strasbourg quai des bateliers n° 21 tenat d’un côté, de l’autre et par derrière à la propriété de la Ville de Strasbourg
2) Et une maison avec cour, écuries et autres appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des bouchers n° 35, tenant d’un côté à M. Louis Perrin architecte, de l’autre à M. Perrin, maître d’hotel par derrière à la rue des jardins où elle porte le n° 7.
Ces deux immeubles appartiennent à M. Subbinger savoir (…)
2) Et la seconde maison pour l’avoir recueillie dans la succession de Dlle Salomé Subbinger, fille majeure domiciliée à Strasbourg, sœur de M. Subbinger, comparant, dont il est le seul héritier ainsi que cele se trouve constaté par un acte tenant lieu d’inventaire de la dite succession dressé par Me Zimmer soussigné le 20 novembre 1861. Cette dernière maison appartenait à Mlle Subbinger, la moitié pour lui avoir été abandonnée après le décès de son père par le partage du 13 juillet 1842 sus allégué, et l’autre moitié pour l’avoir recueillie dans la succession de sa nièce Dlle Emilie Elisabeth Subbinger dont elle était légataire universelle aux termes du testament olographe de cette dernière en date du 2 août 1852 enregistré à Strasbourg le 26 octobre 1852 (…) déposé en l’étude dudit Me Becker le 25 octobre 1852. La Dlle Salomé Subbinger a été envoyée en possession de son legs par ordonnance de M. le président du tribunal civil de Strasbourg en date du 21 décembre 1852. Ladite moitié de maison a été abandonnée à la Dlle Emilie Elisabeth Subbinger en vertu des actes de partage & ratification sus allégués. Enfin ladite seconde maison a été acquise par M Subbinger père durant ladite communauté de biens en vertu d’un contrat passé devant Me Hatt notaire à Strasbourg le 10 juin 1828.
1864 (22.3.), Me Zimmer
Consentement par François Joseph Subbinger propriétaire et Victoire Wehrlin sa femme à Strasbourg au mariage de leur fille Léontine Victoire Subbinger avec Théodore Duboff secrétaire au ministère à St Petersbourg
acp 531 (3 Q 30 246) f° 21 du 22.3.