9, rue de l’Arc-en-Ciel
Rue de l’Arc-en-Ciel n° – VI 29 (Blondel) puis O 392, section parcelle (cadastre)
La maison et celle au nord (n° 11) forment une seule propriété de 1587 à 1677 puis de 1714 à 1743, anciennement appelées zum Dintenhörnlin (à l’Encrier).
Balconnet et mascaron sans doute dus au secrétaire des Quinze Daniel Raimbaut Friderici (milieu XVIII°)
Réunie au n° 7 depuis 1899
Les n° 7 et 9 (septembre 2024), le n° 9 (octobre 2007), les n° 11 et 9 (avril 2015)
Propriétaire de plusieurs bâtiments au nord (voir 10, rue des Pucelles), Henri Buchsner vend en 1587 au messager Charles Kürsner une maison dite zum Dintenhörnlin (à l’Encrier) à côté de celle qu’il conserve, aussi nommée zum Dintenhörnlin. Le bâtiment a notamment une avance de vingt-cinq pieds de long en saillie de trois pieds d’après le Livre des communaux (1587). Marthe Krafft, femme du pasteur Gaspard Klee, passe en 1644 un accord avec son voisin revendeur Jean Jacques Judi (maison au sud, ensuite n° 7) concernant la vidange de leur fosse commune. Le cordonnier Jean Cappel règle en 1696 l’écoulement des eaux avec son voisin Thiébaut Vix (maison à l’arrière). La maison appartient de 1714 à 1730 à Jean Nicolas Schwendt, secrétaire des Treize puis bailli de Barr ; il la réunit à celle au nord qui lui appartenait déjà par deux ouvertures en 1714 et une troisième en 1717. Arnaut Lagardelle cède à titre précaire en 1738 au receveur Fischbach un emplacement dans la cour (maison au sud). Le secrétaire des Quinze Daniel Raimbaut Friderici vend la maison du nord en 1743 à Guillaume Henri de Haindel. C’est sans doute lui qui transforme la façade en y ajoutant un balconnet et un mascaron représentant Aurore. La maison appartient à partir de 1760 à Etienne Daudet, successeur du précédent dans sa fonction de secrétaire des Quinze, puis à partir de 1787 au receveur François Antoine Pettmesser.
Plan-relief de 1727. La maison se trouve sous la quatrième toiture de la rue de l’Arc-en-Ciel, deuxième rue à partir de la gauche (Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 78 (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un rez-de-chaussée, deux étages en maçonnerie et un petit balcon. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve à gauche de (n) : porte et deux fenêtres au rez-de-chaussée, deux étages à trois fenêtres dont celle à balconnet au milieu du premier étage, étage sous combles et toiture à un niveau de lucarnes. La cour O représente l’arrière (3-4) de la façade sur rue et le mur (1-2) du voisin au fond de la cour.
La maison porte d’abord le n° 5 (1784-1857) puis le n° 9.
Cour O – Le rez-de-chaussée des n° 7 et 9 avant et après travaux (1899, dossier de la Police du Bâtiment)
Le fabricant de portefeuilles François Lampès achète de son voisin Fischbach (actuel n° 7) la mitoyenneté du mur pour faire construire un troisième étage. Il n’est cependant pas autorisé à exécuter son projet puisque la hauteur dépasserait le maximum réglementaire. Emilie Débès et sa voisine veuve de Chrétien Frédéric Kirchner, propriétaire du n° 11, résilient en 1879 des servitudes réciproques. Charles Supper acquiert en 1895 le n° 7 puis en 1899 le n° 9 qu’il réunit en une seule propriété pour agrandir le restaurant qu’il exploite au n° 7. Les étages prennent désormais leur entrée par le n° 9.
L’A.F.U.L. de l’Arc-en-Ciel fait rénover les bâtiments sis 7 et 9, rue de l’Arc-en-Ciel sous la direction des architectes Denu et Paradon, en supprimant un édicule dont l’étage dépend de l’immeuble voisin n° 11. Les travaux sont terminés au printemps 1989, sauf le rez-de-chaussée en février 1991. La société Musical Box fait aménager en 1990 le rez-de-chaussée en bar (enseigne L’Arc-en-Ciel puis café concert L’Arlequin, Karaoké).
Elévations des n° 7 et 9 – Coupe du n° 7 (Atelier Beau, 1987) – Plan cadastral (dossier de la Police du Bâtiment)
Mascaron (image de Brigitte Parent Répertoire des mascarons – Rez-de-chaussée et étage (septembre 2024),
octobre 2024
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment dossier I,dossier II – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1586 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Henri Büchsner et (1576) Agathe Gremp von Freudenstein – luthériens | ||
1587 | v | Charles Kürsner, trompette, et Dorothée puis (1593) Anne Heintz – luthériens |
1604 | v | Anne Müller, veuve de Jean Bernard Ringelstein, au service du comte de Mansfeld |
1620* | h | Jean Adolphe Ringelstein, docteur en médecine, et (1618) Marthe Krafft, remariée (1635) avec Gaspard Klee, pasteur à la Robertsau – luthériens |
1655 | v | Jean Wagner, menuisier, et (1608) Barbe Reichweiger puis (1640) Madeleine Huber – luthériens |
1667 | v | Barbe Scheid, femme (1653) du diacre Jean Philippe Koch puis (1668) du receveur Jean Jacques Schœtterlin – luthériens |
1677 | v | Jean Cappel, cordonnier, et (1675) Einbeth Welsch puis (1691) Rosine Lenck – luthériens |
1714 | v | Jean Nicolas Schwend, secrétaire puis bailli, et (1698) Anne Catherine Rosalie Rothfuchs – catholiques |
1730 | v | Arnaut Lagardelle, maître maçon, et (1718) Jeanne Bouillon puis (1732) Marie Catherine Reine Marchand – catholiques |
1737 | v | Daniel Raimbaut Friderici, licencié en droit, et (v. 1726) Marie Marguerite Greuhm – luthériens, convertis (1732) |
1760 | adj | Etienne Daudet, licencié en droit, et (1724) Geneviève Félicie Gayet – catholiques |
1787 | v | François Antoine Pettmesser, receveur, et (1753) Marie Elisabeth Silberrad – catholique et luthérienne convertie |
1797 | v | Joseph Calame, marchand de vins, et (1790) Dorothée Salomé Meyer, (1797) Marie Idou puis (1824) Marie Marguerite Anastase Hommel – catholiques |
1830 | h | Jean Baptiste Hommel, pharmacien à Obernai, et (1787) Françoise Thiébaut Louise Rieffel – catholiques |
1834 | v | Marie Catherine Angélique Coqueugniot, femme (1819) du major Joseph Bohn |
1842 | v | Egide Théodore Holtzapffel, négociant, et (1823) Hélène Eléonore Jacobée Thomassin puis (1843) Caroline Henriette Elisabeth Serard |
1845 | v | Georges François Lampès, relieur, et (1844) Barbe Siefert |
1863 | v | Marie Elisabeth Ebner, couturière, célibataire (1834-1925) |
1873 | v | Emilie Débès épouse (1882) Edouard Schoellhammer, ingénieur, veuf de Justine Lang puis l’héritière Georgette Olympe Schœllhammer-Débès |
1895 | v | Camille Glück, ingénieur, et (1858) Victoire Nagel |
1899 | v | Charles Supper, serrurier, et (1875) Julie Hertel |
1902 | h | Aloïse Henny, agent d’assurances, et (1902) Sophie Supper |
1930* | v | Jules Schmitt et Marie Bastian |
1952* | Guillaume Trudersheim, maître poêlier, et son épouse |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 300 livres en 1708, 730 livres en 1773
(1765, Liste Blondel) VI 29 M. Daudet
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Dotée Wittib, 3 toises, 3 pieds et 11 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 392, Bohn, Angélique, veuve rue de l’Arc en ciel 5 – maison, sol – 0,84 are
Locations
1779, Etienne Damien Ricard, intéressé dans les affaires du Roi
1809, 1803, Joseph Hommel, receveur des contributions
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 104-v
Le trompette et messager Charles Hartmann règle 8 sols pour sa maison dite à l’Encrier, à savoir une avance (25 pieds de long, saillie de 3 pieds), une plate-forme en pierre (4 pieds ½ de long, 14 pouces de large), une marche (5 pieds de long, deux pieds de large), un escalier de cave (4 pieds de long, saillie de trois pieds) et un chenal en bois.
Dintenhorn Gaß Sanct Steffans Plan zu, Ein seitten
Carle Harttmann der Trometer vndt Einspenniger hatt vor seinem hauß zum Dintenhörnlin genandt, oben ein Vsstoß 25 schu lang und 3 schu heraus, Vnden ein steinerin Tritt 4 ½ schu lang vnd 14 Zoll breÿtt, Mehr ein staffel 5 schu lang vnd 2 schu breÿt, Item ein Kellersteg 4 schu lang und 3 schu herausser, sampt einem hültzenen Nach, Soll & bessert & viij ß d
Préposés au bâtiment (Bauherren), Protocole des Quinze
1714, Préposés au bâtiment (VII 1386)
Le secrétaire des Treize Jean Nicolas Schwendt qui vient d’acheter la maison demande l’autorisation d’ouvrir des communications avec la sienne (une porte au premier étage et une autre au deuxième étage). Les préposés renvoient l’affaire aux Quinze.
(f° 79-v) Mittwochs den 22. Augusti 1714. Herr Secretarius Joh: Nic: Schwendt pt° durchbruchs
Augenschein eingenommen in Herrn Johann Niclaus Schwendten, den Herren dreÿ Zehen Secretarÿ, in der Regenbogen gaßen gelegenen behausung, darinnen Er im Undern stock eine thür 7. schuhe hoch und 3. schuhe breit und in dem 2. stock in der Stuben beÿm offen auch eine thür von gleicher höhe in das oben daran dem Stephans plan Zu gelegene erhandelte Nebens Hauß Zubrechen gesinnet ist, und umb deßen gn. permission bereits beÿ den herren fünffzehen angesucht hatt. Erk. Soll deren beschaffenheit den Herren Fünffzehen referirt werden.
1714, Protocole des Quinze (2 R 118)
Les préposés rapportent qu’une des ouvertures se trouve dans le bûcher de l’entrée et à l’étage derrière le fourneau. La commission constate que les droits à régler dans de tels cas s’élèvent à dix ou vingt sols, elle propose cependant par grâce spésiale le tarif de cinq sols l’ouverture. Jean Nicolas Schwend demande trois semaines plus tard de régler un capital plutôt qu’une taxe annuelle. Les Quinze accèdent à sa demande moyennant quarante florins en argent comptant.
(f° 236) Sambstag den 1. Septembris – H. XIII. Secretarius Schwendt pt° einigen Durchbrüch
Die Ober Bawherren laßen durch Herrn Secretarium Friden referiren, daß H. XIII. Secretarius Schwendt sich beÿm protocoll angemeldet habe, und beduten, daß Er wüllens were einigen durchbruch in einer allererst ahne sich erkaufften behaußung Zumachen. Nach dem mann Ihne ferner darüber gehört, und die sach wohl untersucht worden, hätte mann gefunden, daß Er im eingang unten im holtz hauß auf der lincken handt ein tühren dreÿ schuhe breit und siben schuhe hoch, wie auch oben in einer wohnstub hindter dem Ofen ein solche thür von gedachter breite und höhe machen Zu laßen verlangte. auf seithen der herren Deputirten hätte mann gut befundten, daß mann die protocolla auf schlagen solle, umb zu sehen Wie mann in dergleichen fällen Zu Verfahren pflegte, Welches dann auch geschehen, und darinnen klar gefundten habe, daß andere Zehn, fünffzehen biß Zwantzig schilling in solchen fällen jährlich bezahlt haben, doch halte mann darvor, daß vor Imploranten einige Consideration Zu haben, doch daß Er Zwar nicht so hoch alß andere angesetzt werden, sondern nur 5 ß von jeder thür jährlich bezahlen solle, die genehmhaltung Zu Mghherren stellend. Erkandt beliebt
(f° 277-v) Sambstag den 22. Septembris – H. XIII. Secretarius Schwendt pt° 2.er Durchbrüchen angesetzte gebühr
Iidem [Ober Stall herren] laßen durch Eundem [Herrn Secretarium Friden] reassumiren, Waß jüngst Wegen H. XIII. Secretarÿ Johann Niclauß Schwendten puncto angesetzter gebühr Von 2.en durch brüchen erkandt worden, und anbeÿ berichten, daß seith dem derselbig gegenwärtiges Memoriale eingelüffert, inhaltend daß Er sich unterthänig bedancke vor die gnädige Vergünstigung der quæstionirten durchbrüch wie auch vor daß, weilen man Ihme einen leÿdentlichen Zinnß hat ansetzen wollen, anbeÿ unterthänig bidten, weilen die behaußung mit keinen dergleichen beschwerdten verhafftet, die sach dahin gnädig einzurichten, damit ahne statt Zinßes Ihme ein gewüßes quantum für ein und allemahl Zuerlegen angesetzt werden möchte. Alß man Von der sach geredt, habe man sich wohl erinnert, daß einige præiudicia vorhandten weren, daß dergleichen Zinß, ehe sie in daß Zinß buch eingetragen worden, angekaufft worden weren, Welche Zinnß nach dero auf dem Pfenningthurn sich befindenten ordnungen entweder in barem geldt mit doppeltem Capital, oder in Pfenningthurns Capitalien mit vierfachen Capital, oder Pfenningthurns Zinnßen mit dreÿfachen Zinnßen bezahlt werden Könten, da nun die frag seÿe, ob man dem Imploranten in seinem begehren willfahren wollen solchen falls Wann Er es in barem gelt bezahlen wolte, wurde es auf 40. fl. Zu stehen Kommen, dann 10 ß in Capital 20 fl. und inn doppelt Capital 40 fl. außträgten, dahinstellend Ob Mghherren Ihme in seinem begehren willfahten und die wahl überlaßen wollen. Erkandt beliebt.
1717, Protocole des Quinze (2 R 121)
Le secrétaire Schwend demande l’autorisation de faire une ouverture entre ses deux maisons dans une cheminée à la française. Les préposés constatent q’il a fait une demande comparable en 1714 et proposent le même tarif.
(p. 177) Sambstag d. 10. April 1717. – H. XIII. Secret. Schwend pt° durchbruchs
Iidem [Obere Baw herren] laßen per Eundem [Secretarium Kleinclaus] proponiren daß ged. Herr Secret. Schwend umb einen Augenschein angesucht, undtr berichtet daß Er aus seiner Wohnbehausung in der Regenbogen gaß gelegen einen durchbruch in sein allhiesiges neben hauß machen Zu laßen willens seÿe, beÿ eingenommenem augenschein habe man gefund. daß gemelter durchbruch auff dem stock gegen gemelter Gaß in einer Frantzösischen Camin Cammer in dem Liecht 7 Schuh hoch und 2 schuh 10 Zolll breit gemacht werden solle, und alß man ferner hievon geredet habe man sich erinnert daß Herr Implorant in a° 1714. bereiths 2. dergleichen durchbrüch hette machen laßen Ihme aber vor jedem ein jährliches Zinß von 5 ß angesetzt worden seÿen Zu Mgh. stellend, Ob Sie Ihme in seinem begehren willfahren anbeÿ aber auch 5 ß jährlich gemeiner Statt wegen dieser erlaubnus Zu bezahlen, ansetzen wollen.
Description de la maison
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
4° arrondissement ou Canton Est – Rue de l’arc-en-ciel
nouveau N° / ancien N° : 9 / 5
Callame
Rez de chaussée et 2 étages médiocres en maçonnerie et petit balcon
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 25 f° 138 case 1
Bohn Angelique veuve rue de l’arc en ciel N° 5
Holtzapffel, Egide Théodore, Négt. rue des Veaux 18 (substit. pour 1845)
Lampès Georges François, Subst. 1849
O 392, Maison, sol, R. de l’arc en ciel 5
Contenance : 0,84
Revenu total : 108,44 (108 et 0,44)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 21 / 17
fenêtres du 3° et au-dessus : 5 / 4
Cadastre napoléonien, registre f° 138 case 1
1865 Lampès Georges François
1865 Ebner Marie Elisabeth
1875 Debès Emilie volljährig
1887/88 Schoellhammer, Eduard die Frau Emilie Debes
1890/91 Debes Georgette Olympe, Fräulein
97/98 Glück Camille Wittwe Viktorine Nagel
1900 Supper Karl, Schlosser
O 392, Maison, sol, Rue de l’arc en ciel 9
Contenance : 0,84
Revenu total : 108,44 (108 et 0,44)
Folio de provenance : (138)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 21 / 17
fenêtres du 3° et au-dessus : 5 / 4
Cadastre allemand, registre 30, page 329 case 9
Parcelle, section 25, n° 51 – autrefois O 392
Canton : Regenbogengasse N° 9
Désignation : Hf, Whs
Whs e. n. a. T. (Skizze 52)
Contenance : 0,91
Revenu : 1000 – 1300 (zu Parz. 51 [sic]
Remarques :
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1952), compte 1226
Supper Karl d. Erben und Wwe
1904 Henny Alois Ehefr.
1930 Schmitt Jules et son épouse Marie née Bastian
1952 Schmitt Jules négociant à Kœnigshoffen
(3671)
(Propriétaire à partir de l’exercice 1952), compte 6655
Trudersheim Guillaume, maître poêlier et son épouse
(4075)
(Partie indivise)
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1910), compte 647
Kirchner Christ. Fried. Ww.
1904 Braun Andreas u. Ehefr.
1911 Picard Ludwig Witwe
1942 Baron de Seebach August Hans Robert Hans Georg, Rentner, sa veuve
(Propriétaire à partir de l’exercice 1910), compte 750
Lepain Wilhelm u. Ehefr.
1927 Lepain Guillaume sa veuve
1943 Klein Rudiger
(2375)
(Propriétaire à partir de l’exercice 1921), compte 4379
Matthes Paul graveur épouse Marie Anne née Martin à Strasbourg
1923 Klotz Georgine sans profession à Strasbourg
1939 Klotz Jeanne
(2395)
1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)
Canton VI, (198) Rue de L’arcenciel
5
Pro. M. Bettmesser, Conseiller et Receveur, demeurant à Molsheim
loc: L’abbé Duverné, Benoit Prébandé à la Cathédrale – privilegié
loc: Bettmesser, François ant. Baillÿ – privilegié
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton VI, Rue 198 de l’Arcanciel, p. 279
5
Pro. Bettmesser, Conseiller et Receveur, demt. à Molsheim
loc: Duverné, Benoit Prébandé à la Cathédrale – Clergé
loc: Bettmesser, François Joseph Bailli – privilegié
Registres de population
(1795) cote 600 MW 7
7° section, Rue de l’Arc en Ciel N° 5
Dom: Ferdinand Mougeat, 35, Officier de Santé, Strasb
M Victoire Mougeat, 51, Sa Mere accoucheuse, Saverne, 1760
Frid: Salomé Wickersheim, 30, Cuisiniere, Strasb
Registres de population
(1795) cote 600 MW 19 p. 45
4° Arrondissement, VII° Section, rue de L’arc en Ciel N° 5
Calam, Joseph, Md. de vin, C.en actif, 44, Bonhomme – dep. 20 ans
Ideou, Marie, son épouse, 28, Epfig – 10 ans
Calam, M.rie Anne, fille, 7, Strasbourg
Steinheber, Catherine, Servante, 29, Strasbourg
Wilm, Salomé, id., 29, Strasbourg
Scopetz, Bernard, Cap. 62 182 Brigade, 75, Prague en B.me
Hougard, Nicolas, Eleve du génie, 18, Sarrebourg – 15 Jours
(7)
Deguerin, Sébastien, Officier de santé, 27, Rambervillé – 1. niv.
Faubin, Lt. de la 15 ½ Brigade, 30, Päris – le 29. dud.
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Regenbogengasse (Seite 135)
(Haus Nr.) 9
Riehl, Schriftsetzer. 3
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 642 W 282)
7-9 rue de l’ Arc-en-ciel (1860-1991, dossier I) Le début du dosser qui a trait au n° 7 n’est pas analysé ici.
Le propriétaire Lampès demande en 1860 l’autorisation de surélever le n° 9 d’un étage selon le dessin. Comme la hauteur dépasse le maximum réglementaire, le projet est rejeté sauf si le nouveau mur était en retrait de la façade.
C. Supper et l’entreprise veuve G. Bendler sont autorisés en décembre 1899 de réunir les deux maisons en une seule pour agrandir le restaurant exploité au n° 7. L’entrée des locataires aura lieu par le n° 9. Les travaux sont terminés fin mars 1900. – Dessin (plan du rez-de-chaussée avant et après travaux, coupe). A. Henny qui demande en 1906 l’autorisation de continuer à exploiter le débit de boissons fait transformer les cabinets d’aisance. Un litige avec le voisin (n° 12) reste en suspens au sujet de l’entretien du mur qui serait mitoyen (1911-1914).
L’A.F.U.L. de l’Arc-en-Ciel (17, rue du Marais-Kageneck, président Pierre Eberhardt) dépose en 1987 une demande de permis de construire pour rénover les bâtiments sis 7 et 9, rue de l’Arc-en-Ciel sous la direction des architectes Denu et Paradon (21. rue du Général Uhrich à Strasbourg). La porte du rez-de-chaussée et la toiture sur cour seront modifiés. Les deux parties du logement au troisième étage (n° 9) séparées par le palier seront réunies en y adjoignant le palier. L’ancien local commercial au rez-de-chaussée sera transformé en deux logements. Il est prévu de démolir le bâtiment de 2,72 m² qui comprend au rez-de-chaussée des cabinets d’aisance et à l’étage une salle d’eau dépendant de l’immeuble voisin n° 11. Les escaliers seront restaurés de même que la cheminée à trumeau au premier étage du n° 9. Les travaux sont terminés au printemps 1989, sauf le rez-de-chaussée en février 1991.
Sommaire
- 1899 – Déclaration signée par la veuve Weichert et Léonie Grünenwald. L’escalier a été démoli, il est à craindre que la cuisine s’effondre – La Police du Bâtiment constate que l’entrepreneur Bendler (4, rue des Pionniers) fait des travaux intérieurs sans autorisation sous la direction de l’architecte Dachert aux 7-9, rue de l’Arc-en-Ciel.
1899 (décembre) – L’entreprise veuve G. Bendler demande l’autorisation de réunir les deux maisons en une seule pour agrandir le restaurant exploité au n° 7. Le vestibule et l’escalier du n° 7 sont supprimés, les habitants entreront par le n° 9. Les cabinets d’aisance du n° 7 supprimés pour agrandir la cuisine sont transférés dans la cour – C. Supper est autorisé à faire faire des transformations, 15 décembre 1900 – Les travaux sont terminés, hormis les peintres et les tapissiers, mars 1900. Tous les travaux sont terminés, 31 mars. – Dessin (plan du rez-de-chaussée avant et après travaux, coupe) - 1900 – Dossier ouvert après un courrier du commissaire de police. C. Supper demande l’autorisation d’agrandir son restaurant au 7-9, rue de l’Arc-en-Ciel – Note de la Police du Bâtiment. Les transformations qu’elle a ordonnées sont exécutées
- 1906 (janvier) – Dossier ouvert après un courrier du commissaire de police. Le sieur Henny demande l’autorisation de continuer à exploiter le débit de boissons aux 7-9, rue de l’Arc-en-Ciel – Rapport de la Police du Bâtiment. Les locaux ne satisfont pas aux prescriptions ministérielles du 24 mars 1890. La hauteur du local est de 2,55 ou 2,93 mètres au lieu de 3,50 mètres. La cuisine est trop sombre pour servir à un restaurant. Les cabinets d’aisance qui sont mal tenus au moment de la visite se trouvent sous la cage d’escalier dans la cour.
1906 (août) – A. Henny transmet les plans des cabinets d’aisance à la demande de la préfecture – Plans sur calque – Le maire répond que les cabinets satisferont aux prescriptions du moment où ils seront raccordés aux canalisations – Autorisation d’établir des cabinets d’aisance aux 7-9, rue de l’Arc-en-Ciel, propriété de A. Henny (juillet 1907) – Dessin joint à l’autorisation – La cloison devant les cabinets manque, août 1907. Le propriétaire objecte qu’un point d’eau et un bassin se trouvent à l’endroit où devrait être la cloison. Le maire déclare que la cloison n’est pas nécessaire si les portes des cabinets ont un système automatique de fermeture. – Travaux terminés, dossier classé, octobre 1907 - Page de titre, N° 9 verbunden mit N° 7 (N° 9 raccordé au n° 7)
- 1860 – Le propriétaire Lampès demande l’autorisation de surélever le n° 9 d’un étage selon le dessin (non joint) – Rapport de l’agent voyer. Le propriétaire a l’intention de convertir un étage mansardé en étage ordinaire. Comme la hauteur dépasse le maximum réglementaire, le projet est rejeté sauf si le nouveau mur était en retrait de la façade.
- 1891 – Le maire notifie le notaire Lœw (10, rue des Pucelles), gérant d’Edouard Schœllhammer, de faire ravaler la façade du n° 9 – Travaux terminés, octobre 1891
1895 – Le maire notifie le notaire Lœw de faire ravaler la façade du n° 9 – Travaux terminés, décembre 1895
1898 – Le maire notifie Victorine Glück (demeurant 9, rue de Bischwiller) de faire ravaler la façade du n° 9 – Travaux terminés, octobre 1898 - 1895 – Le maire notifie le gérant Schorong (demeurant au Roseneck) de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant deux volets et deux soupiraux qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique – Rappel, 1898 – Travaux terminés, décembre 1898
- 1911 – Le propriétaire A. Henny se plaint que des fragments de crépi tombent dans sa cour en se détachant du pignon du n° 11 appartenant à Guillaume Lepain – La Police du Bâtiment constate les faits et écrit à Guillaume Lepain, demeurant 14, rue des Cordonniers. Rappels. Le maire envoie un dernier avertissement en juillet 1913. Guillaume Lepain déclare qu’il a fait ravaler la façade deux ans auparavant. Nouvelle demande du maire mentionnant qu’il ne s’agit pas de la façade – Courrier de A. Henny au maire, juin 1914 – Nouvelle visite des lieux. Paul Matthes, nouveau propriétaire du n° 11, déclare que le crépi est à la charge de son voisin puisque le mur est mitoyen et se plaint que son rez-de-chaussée est humide du fait de son voisin
1914 – Rapport de la Police du Bâtiment qui constate que l’humidité est due à un tuyau défectueux dans les cabinets d’aisance du n° 9. Croquis
1919 – Le maire envoie à Aloïse Henny (demeurant 23, rue Sleidan) un courrier qui reste sans effet. Le locataire du rez-de-chaussée ne se plaint pas, le dossier est classé - 1915. Commission des logements militaires (7-9, rue de l’Arc-en-Ciel). Remarques en sept points – Travaux terminés, avril 1916
1917 – La dame Winter qui exploite le restaurant se plaint que le fourneau est en mauvais état. La Police du Bâtiment se rend sur place, constate que le fourneau est utilisé normalement et que l’eau de pluie s’infiltre dans des pièces – Le maire en fait part à la Commission des logements militaires - 1921 – Rapport de l’agent de police Eugène Inninger, contresigné par trois témoins. Georges Winter exploite au 9, rue de l’Arc-en-Ciel une pension dont une cheminée en tôle donne dans la cour du 4, rue des Pucelles. Georges Winter a fait remplacer six mois auparavant à la demande du signataire l’ancienne cheminée en tôle par une nouvelle dont s’échappe de la suie. – Georges Winter fait régulièrement nettoyer la cheminée, les voisins ne se plaignent plus
- 1942 – Le locataire Oscar Brotz (7, rue de l’Arc-en-Ciel, deuxième étage) se plaint que le propriétaire Jules Schmitt, demeurant 2 chemin du Schnockenloch, ne fait pas faire les travaux au titre de dommages de guerre. – La Police du Bâtiment n’a pas qualité pour intervenir puisque le logement n’est pas insalubre.
- 1951 – Rapport des pompiers. Fausse alerte, des fumées se sont accumulées à cause d’un mauvais tirage dans le logement de Mme Muller au 7, rue de l’Arc-en-Ciel. Le tuyau est raccordé à une autre cheminée.
- 1959 – La Fédération des Locataires du Bas-Rhin se plaint au nom d’Henri Muller de fumées dues à une cheminée défectueuse au 7, rue de l’Arc-en-Ciel. Propriétaire, Guillaume Trudersheim, demeurant 7, rue des Charpentiers – La Police du Bâtiment constate les faits, écrit au propriétaire qui fait faire des travaux
- 1966 – F. Trudersheim (demeurant 6, rue des Charpentiers) est autorisé à poser un échafaudage devant les 7-9, rue de l’Arc-en-Ciel – L’entreprise Th. Weber (rue de Sarlat au Neudorf) est autorisée à occuper la voie publique pour ravaler la façade
- 1980 – Le maire demande au propriétaire Guillaume Trudersheim de faire ravaler la façade – Raymond Heurteaux (demeurant 5, rue de Saales) demande une subvention au nom de sa tante Marie Trudersheim – Devis de l’entreprise générale de peinture A. Strub S.A. (133, route du Polygone au Neudorf) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Marie Trudersheim est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique – Le maire accorde la subvention – Les travaux sont terminés, décembre 1981 – Le maire fait verser la subvention, février 1982
- 1987 – Le notaire Jean-Marie Ohnet de Rœschwoog demande des renseignements d’urbanisme relatifs au 9, rue de l’Arc-en-Ciel appartenant aux conjoints Pierre Michel
1988 – Le géomètre Pierre Bardel (70, boulevard de Reuilly à Paris XII) demande des renseignements d’urbanisme - 1987 – Dossier. L’A.F.U.L. de l’Arc-en-Ciel (17, rue du Marais-Kageneck, président Pierre Eberhardt, terrain appartenant aux conjoints Marcel Eberhardt demeurant 28, rue des Coquelicots à Strasbourg) dépose une demande de permis de construire pour rénover les bâtiments sis 7 et 9, rue de l’Arc-en-Ciel (le rez-de-chaussée transformé en logement change de destination, la porte du rez-de-chaussée et la toiture sur cour seront modifiés), Architectes, Denu et Paradon (21. rue du Général Uhrich à Strasbourg) – Dessins de l’Atelier Bleu architecture
Description des travaux. Les deux parties du logement au troisième étage (n° 9) séparées par le palier seront réunies en y adjoignant le palier. L’ancien local commercial au rez-de-chaussée sera transformé en deux logements. Il est prévu de démolir le bâtiment de 2,72 m² qui comprend au rez-de-chaussée des cabinets d’aisance et à l’étage une salle d’eau dépendant de l’immeuble voisin n° 11. Les escaliers seront restaurés de même que la cheminée à trumeau au premier étage du n° 9.
Statuts de l’Association Foncière Urbaine Libre de l’Arc-en-Ciel rédigés le 11 juillet 1987 par Gilles Colet, notaire à la résidence de la Petite-Pierre, entre les conjoints Pierre Eberhardt et Marie Madeleine Deru, mariés suivant contrat de mariage passé en 1954 d’une part, et les conjoints Marcel Eberhardt et Alice Offner, mariés suivant contrat de mariage passé en 1984, d’autre part. Les immeubles de l’association sont 1) celui sis rue des Veaux section 24 n° 10, appartenant aux conjoints Pierre Eberhardt et 2) ceux sis 7 et 9, rue de l’Arc-en-Ciel section 25 n° 50 et 51, appartenant aux conjoints Marcel Eberhardt.
Photographies – Rapport du service des incendies – Rapport de la commission de sécurité – L’architecte des Bâtiments de France Chantal Lavillaureix émet un avis favorable sous conditions – Le maire transmet avec avis favorable la demande du directeur départemental de l’équipement.
1987 (18 décembre) Le maire accorde le permis de construire (portant l’adresse du siège de l’A.F.U.L. 17, rue du Marais-Kageneck)
1988 (janvier) – Déclaration d’ouverture de chantier
Suivi des travaux – Travaux en cours, mars 1988 – Charpente et couverture, juin 1988 –Travaux intérieurs, août, octobre 1988 – Ravalement, décembre 1988 – Travaux en voie d’achèvement, sauf le rez-de-chaussée, avril 1989 – Aménagement du rez-de-chaussée, février 1991 – Travaux terminés conformément aux dessins, mars 1991
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 892 W 276)
7-9 rue de l’ Arc-en-ciel (1990-1996, dossier II)
La société Musical Box charge en 1990 les architectes Webanck et Saulnier d’aménager le rez-de-chaussée en bar. Le maire autorise en mars 1991 les transformations bien que le Service d’hygiène émette un avis défavorable pour ne pas augmenter les nuisances sonores dans le quartier Saint-Etienne. La réception finale a lieu en juillet 1991. Philippe Debès est autorisé à exploiter un débit de boissons au rez-de-chaussée et au sous-sol des 7-9, rue de l’Arc-en-Ciel en y transférant une licence de quatrième catégorie. L’exploitation passe au nom de Didier Webank en 1992, de Bernard Kern en 1993 puis d’Anne Marie Vogt en 1993. L’enseigne L’Arc-en-Ciel devient alors L’Arlequin (café concert L’Arlequin, Karaoké).
Sommaire
- 1990 – Demande d’aménagement intérieur (bar) aux 7-9, rue de l’Arc-en-Ciel pour la société Musical Box en constitution (77, allée de la Robertsau). Propriétaire Marcel Eberhardt, rue des Coquelicots à Cronenbourg
Description des travaux par les architectes Webanck et Saulnier (6, rue des Juifs) – Dessins - 1990 – Philippe Debès, demeurant 77, allée de la Robertsau, demande l’autorisation d’exploiter un débit de boissons. La Brasserie Schützenberger y transférera une licence IV
1991 (janvier) – Rapport de la commission de sécurité
1991 (février) – Le Service d’hygiène émet un avis défavorable pour ne pas augmenter les nuisances sonores dans le quartier Saint-Etienne en se référant au décret du 5 mai 1988 et à l’arrêté préfectoral plus restrictif du 12 mars 1990.
1991 (mars) – Le maire prend un arrêté portant permis de construire (changement de destination)
1991 (mai) – Le préfet autorise Philippe Debès à exploiter le débit de boissons de quatrième catégorie l’Arc-en-Ciel (transfert de la licence des Deux Colonnes, 42 rue de Zurich à Strasbourg par la Grande Brasserie de la Patrie Schutzenberger) au rez-de-chaussée et au sous-sol des 7-9, rue de l’Arc-en-Ciel
Les travaux sont presque terminés, mai 1991. La réception finale ne donne lieu à aucune observation, juillet 1991
1991 (septembre) Rapport de la commission de sécurité (nombre de personnes, 90) - 1992 (mars) – Le préfet autorise Didier Webank, demeurant 6, rue des Juifs, à exploiter le débit de boissons de quatrième catégorie l’Arc-en-Ciel en qualité de directeur général de la S.A. Musical Box
- 1992 (septembre) – La société Litewka demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse à double face – Photographie (rez-de-chaussée du n° 7) – L’architecte des Bâtiments de France Jacques Ernest émet un avis défavorable
- 1993 (août) – Bernard Kern, demeurant 70, rue de Saint-Dié, demande l’autorisation d’exploiter le débit de boissons de quatrième catégorie l’Arc-en-Ciel – Rapport de la commission de sécurité – Le préfet accorde l’autorisation
- 1994 – Anne-Marie Vogt, demeurant 3, impasse des Fleurs à Schiltigheim, demande l’autorisation d’exploiter le débit de boissons de quatrième catégorie L’Arlequin, anciennement l’Arc-en-Ciel – Rapport de la commission de sécurité – Le préfet accorde l’autorisation
1994 – Jean-Luc Matern, gérant de la s.à.r.l. L’Arlequin, demande l’autorisation de faire poser une enseigne lumineuse par Ede Néon (199, route du Polygone) – Photographie du rez-de-chaussée – L’architecte des Bâtiments de France Jacques Ernest émet un avis défavorable - 1995 – Le Trésor public demande à la Communauté Urbaine de Strasbourg de passer en non valeur la participation de la société Musical Box pour manque de cinq emplacements de stationnement
- 1995 – Anne-Marie Vogt demande l’autorisation de prolonger l’heure d’ouverture de son débit de boissons Bar Karaoké tous les jours sauf le lundi
- 1994 – La Police du Bâtiment constate que le bar L’Arlequin a posé sans autorisation une enseigne plate et une lampe – Jean-Luc Matern dépose une demande – Photographie de l’enseigne (Café concert L’Arlequin, Karaoké) – L’architecte des Bâtiments de France Charles Fileppi émet un avis favorable – Le maire délivre l’autorisation – La clause 4 de l’autorisation n’a pas été observée (la lampe et son fil ne sont pas de la même couleur que la façade)
- 1996 – Le préfet fait suivre la plainte d’un riverain contre le débit de boissons L’Arlequin. Courrier de sept pages du locataire Marc Petit
Relevé d’actes
La maison est inscrite au nom du trompette Charles Hartmann dans le Livre des communaux (1587), en fait Charles Kürsner.
Le voisin Henri Buchsner (voir 10, rue des Pucelles) vend la maison dite zum Dintenhörnlin (à l’Encrier) à côté de celle qu’il conserve, aussi nommée zum Dintenhörnlin, au messager Charles Kürsner. Le vendeur s’engage à faire grillager les trois fenêtres qui donnent dans la propriété vendue.
1587 (uts [Erst. Maÿ]), Chancellerie, vol. 248 (Registranda Kügler) f° 187-v
Erschienen der Edell vest Heinrich Buchßner, So dann der fürneme herr Daniel Birtsch offner Notarius burger Zu Straßburg Als Volmechtiger Anwald v gewalthaber Gemeÿner erben des Edlen hochgelehrten herrn Ludwig Grempen vonn freüdensteins der Rechten doctor (…) verkaufft
dem Erbaren Carle Kürßner der SS Einspennig. Ime
huß hoffestatt v hofflin m all and. Iren gebeuwen genant Zum dintenhörlin geleg. Inn der SS Inn Sant Anthongen gassen, einseit neben einer behausung auch Zum dintenhörlin genant dem Verkhouffern Zustendig andersÿt Stoffell Schottloß dem dreÿ Jeckers kremer hinden auch vff Michell Schwartzen dem Zimmermann für freÿ ledig eÿg. v alles Rht der Khouff bescheh. vmb 300 guld. SW
vnd ist Inn dißem verkhouff sonderlich bedung. Nach dem der verkhöüffer noch in verkhouffte behußung Zum Dinttenhörnlin dreÿ Fenster oder tag lichter gegen den Jetzverkhoufften höfflin her haben, das die Khouffere Ire erben oder nachkommen solche liechter vnd fenster vnd getteren versehen das daselb heruß niemant steÿgen noch etwaß werffen oder schütten mochte Alles vngeuorlich
Charles Kürsner de Königsberg déclare qu’il est cavalier et trompette depuis sa jeunesse, qu’il a été six ans au service du margrave Charles comme le montre son congé. Il demande à entrer au service du Magistrat. Jean Schletz de Kettenheim témoigne en sa faveur. L’assemblée l’admet au service du Magistrat.
1576 Conseillers et XXI (1 R 47)
Einspenniger. Carl Kürßner von Künnigsperg, Velt Trommeter. 440.
(f° 440) 1. Augusti – Carl Kürßner von Künnigsperg, Velt Trommeter. Einspenniger.
Carle Kürßner von Künsperg übergibt p. supplicationem seÿn begehren daß er von Jugent auff sich für eÿn Reütter vnnd Velt Trommeter gebrauchen lassen, Sechs Jahr lang Margraf Carlen gedient v.mög seines ehrlichen abschieds, begehre d.enhalb. mh. diensten vnd Iren für eÿnen einspennig. Anzunemmen, Zeigt Hanß schletzis* von Kettenh. an d. es ein ehrlicher gesell, seÿn luck Wohl verdretten könne vnd mh. nicht vbell Anstünde.
Erkant Man soll Inen Annemmen, vf den Imbißen vff die stub bescheid. vnd Ihnen Zuuerhören. H. Kniebiß, Schach
Charles Kürsner, messager et trompette du Magistrat, demande l’autorisation de se rendre à Durlach.
1577 Conseillers et XXI (1 R 49)
(f° 366) XIX Junÿ. – Carl Kürßner Einspenniger.
Carl Kürßner meiner hn einspennig. vnd trommetter beg. p. Büttelbron erlaubnus ghen durlach. Erkant, Ist ihne erlaubt, h. Kniebes
Autres mentions de Charles Kirsner dans les registres du Magistrat
1577, Conseillers et XXI (1 R 49), Carl Kürßner soldner. 617.
1581, Conseillers et XXI (1 R 54), Carle Kürsner vmb erlaubnus. 6. Carl Kürßner der Einspänniger. 113.b
1584, Conseillers et XXI (1 R 59),
Carl Kürßner trommetter uff der Geroltzischen hochzeit. 532. 551-552.
1601, Conseillers et XXI (1 R 80),
Carl Kirsner Trometter Pferdt erlassen wochentlich 12 ß und jerliche frucht geordnet. 232.
1604, VII 1319 Bauherren
Vogteÿ geldt angelegt, Carl Kürsners des Einspännigers sohns. 33. des Trometters sohns. 164.
Le soldat Charles Kirsner fait baptiser Rosine en 1588 et Henri Guillaume en 1592, issus de sa femme Dorothée.
Baptême, Saint-Guillaume (luth. f° 66 n° 122)
1588. Donnerstag 13. Nouemb. Carle Kirßner ein Soldner, Dorothea – Rosina – Herr Wilhelm Waldeck, Fr. Agatha Junckher Heinrich Buxners haußfraw, Fr. Rosina h Friderich von Gottesheims haußfraw, wonet ietzt Zu Gedern (i 73)
Baptême, Saint-Guillaume (luth. f° 45-v n° 16)
1592. Dinstag 15. Febr. Carle Kirßner d. Soldner, Dorothea – Heinrich Wilhelm – J. Heinrich Bixing, H Michel Bering. Notarius, J. Martha Frantz Krugen des Soldners tochter (i 284)
Le trompette Charles Kürsner épouse en 1593 Anne, fille du tailleur Jean Heintz de Neuravensburg près du lac de Constance
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 49 n° 66)
1593. Dominica 20. Trinitatis. Carle Kürßner ein soldner vnd Trometer alhie vnd Anna Hanß Heintz deß schneiders selig. Zu Neuen Rauenspurgk am bodensee tochter. Confirmatio facta 13. Nouembr. (i 51)
Les enfants de feu le trompette Charles Kürsner (Jean Philippe Kürsner, vitrier à Mosbach et les mineurs Henri Guillaume et Jean Philippe) vendent la maison à Anne Müller, veuve de Jean Bernard Ringelstein en son vivant au service du comte de Mansfeld.
1604 (vt spâ [5. Martÿ]), Chancellerie, vol. 350 (Registranda Kügler) f° 91-v
Erschienen Herr Michel Beringer offner Notarius alls beuelchaber hanns Philips Kurßner glaßer v burger Zu Moßbach, So dann hannß Rychwagen der Schryber alls geschworner Vogt Carle Friderichs v Heinrich Wilhelmen bmelts hans Philips gebrüder weÿl. Carle Kürßner der S S Trometers selig Söhn, haben (verkaufft)
Fr. annen Müllerin weÿland hannß Bernhard Rÿngelstein Grafelicher Mannsueldischer Dieners selig. Witwe Mit beÿstand Martin Eckherin des Baders Im Speÿrbad Ires geschwornen vogts
huß hoffstatt v hoff* mit all Iren gebeud genant Zum Dintenhernlin In d. S S Inn S Antonie gaß geg. d.. behußung Zum Kolben genant hern Michel Beringern Zustendig hinüber einsyt neben herrn Ludwig grempen vonn Freündensteins der Rechten doctor auch der S S Rath v Advocaten selig. erben andersyt neben Christmann Jude dem Tyriackremer stoßend hinden vff hannß Roth* den Schreyner, davon gnd Achthalb. gulden glts vff vns. fr. tag verkhündung losig mit j C lb SW dem Edell vesten Christoffel Leyterman wonhafft Zu pferingh. vnd 5 guld gelts losig m. j. C gp SW vff d. xv Maÿ d. Armen sondersiechen Sunst ledig eÿg v All Recht & der Khauff vber solche beschwerd Zugang vmb 380 pfund 15 schilling
La maison revient au docteur en médecine Jean Adolphe Ringelstein qui épouse en 1618 Marthe, fille du préposé aux eaux Wiprecht Krafft
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 146-v)
1618. 7. Decemb. H. Johannes Adolphus Ringelstein Medicinæ Et philosophiæ doctor, J. Martha, Weiprecht Krafft des Wasser Meisters Tochter (i 151)
Marthe, veuve d’Adolphe Ringelstein, se remarie en 1635 avec Gaspard Klee, pasteur à la Robertsau
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 30-v)
1635. Dominica XIII. post. Trinit. Hr. M. Casparus Klee Pfarrer der Ruprechtsau, Fr. Martha weiland hr. Johann Adolph Ringelsteins der artzneÿ Doctoris hinderlaßene eheliche Wittib. v. Aug : on d. Ruprechtsau (i 32)
Originaire de Gerolzhausen (Gerolzhofen, voir ci-dessous), Gaspard Klee qui est alors pasteur de Schnersheim épouse Susanne, veuve du marchand de bois Marc Alban Ruckus
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 63 n° 59)
1594. M. Casparus Klee von Geroltzhausen im francken landt pfarrer Zu Schnersheim vnd Susanna Marx Alban Ruckus des holtzhendlers witfraw. Eingesegnet Zinstag den 3. septem. (i 34)
Originaire de Worms, Marc Alban Ruckus épouse en 1576 Susanne Hochfelder, fille de Jean Henri de Hochfelden
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 69-v n° 2)
1576. Marx Alban Ruckus von Worms *under Burger Zu oberberckheim vnd J. Susanna Hochefelderin weiland herrn hans Heinrichs von Hochfelden hinderlaßene tochter (i 235)
Notice biographique dans le répertoire des pasteurs de Bopp
(Bopp, n° 2750) Kaspar Klee, Mag.
° Gerolzhofen (Franken, Bayern) 10. Aug. 1565, Sohn von Nikolaus Klee und Margaretha Sachs. x 1) 1594 Susanna Margaretha Hochfelder Wittwe Ruckhus, † 26 Jan. 1620, 2) 1621 Kunigund Spach, Wittwe von Frantz Pfeuring, Schaffner, † 1635, 3) 1635 Martha Krafft Wittwe Johann Adolph Ringelstein † 1744, 4) 1645 Anna Margaretha Israel Wittwe des Malers Johann Kemptern geb. 1582, † 20 Nov. 1658.
stud. in Straßburg, Mag. 1590. 1590-1595 Pfarrer in Quatzenheim und in Schnersheim, mußte fort, als Schnersheim katholisch wurde. War einige Jahre im Schloß des Marx von Eckwersheim in Stotzheim. 1596-1602, Pf. in Fegersheim, mußte fort als Fegersheim gleichfalls katholisch wurde, 1603-1648 Ph. in Ruprechtsau, alters halber entlassen, † 13. Jan. 1652.
Verfasser einer Schrift, Wegweiser zu dem ewigen seligen Leben, Straßburg 1603. Diese Ausgabe enthält eine Selbstbiographie, 2. Aufl. 1619.
Ferner Verfasser von dem Werk Geistlicher Immengarten, Straßburg 1603.
Siehe 1) Johannes Rebhan, Progr. fun. 61. Argent. 1652, 2) Hermann Beck, Kaspar Klee von Gerolzhofen, Halle 1901, 3) Friedrich Federlin, Kaspar Klee (1565-1652) Lebensbild eines alten elsässischen Pfarrers, Straßburg 1905, 4) Auch Sitzmann, II. S. 35
Ein Lebenslauf auch in der Bücherei der Oberlausitzer Gesellschaft der Wissenschaften, Görlitz (Archiv 28/383) – Siehe auch Straßburger Stadtarchib Serie VI, 136 N° 2
Gaspard Klee, pasteur à la Robertsau, se remarie avec Cunégonde, veuve de François Beuring, receveur au service de la famille de Landsperg et auparavant de l’imprimeur Charles Kieffer
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 61 n° 33)
1621. Dncis IX et X. p. Trin, 26 Julÿ & 5 Aug. H. M. Caspar Klee, pastor Rupertinus, fr. Künigung, h. Frantz Beurings gewesenen Schaffners im Landtsperger hoff wittwe. Hatt Sie Zuvor Carl Kieffer den Buchtrucker gehabt. Confirmaô facta in Insula Rup.tina Mont. 6. Aug. (i 301)
Originaire d’Oschatz en Saxe (Misnie), François Beuring (Beierin) épouse en 1598 Marguerite, fille du pêcheur Frédéric Lamp.
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 132-v n° 16)
1598. in eod. die [Dominica Cantate] Frantz Beierin von oßschartz aus Meissen Landspergisch. schafner, h. Frantzen Beierin daselbst Son, vnd J. Margaretha Friederich Lampen deß fischers selig. tochter. Confirmatio facta 23 Maÿ (i 298 )
Il se remarie en 1618 avec Cunégonde Spach, veuve de l’imprimeur Charles Kieffer
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 290 n° 51)
1618. Dom: 12 post Tr: d. 23. Aug. Frantz Bäuring der Schaffner, Künngund Spachin Weiland Hr. Caroli Küeffer deß Buchtruckers selig. wittwe, Ingesegnet d. 1. Septembris (i 150)
L’imprimeur Charles Kieffer épouse en 1606 Cunégonde, fille d’Ulric Spach
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 161 n° 58)
1606. Carolus Küeffer d. Jung. ein truckerher* Kunigund, vlrich Spachen Hind.lassene Tochter (i 100)
Marthe Krafft, femme du pasteur Gaspard Klee, passe un accord avec son voisin revendeur Jean Jacques Judi (maison au sud, ensuite n° 7) concernant la vidange de leur fosse commune.
1644 (21. febr.), Chambre des Contrats, vol. 493 f° 122
Erschienen fraw Martha Kräfftin, deß ehrwürdig und Wohlgelehrten herrn M. Caspar Kleen Pfarrers in Ruprechtsaw eheliche haußfr. mit beÿstand erstgemeldts ihres Ehevogts, an einem,
So dann hannß Jacob Judÿ burger und Krämer alhie am Andern theil, Zeigten an und bekannten gegen einander freÿ offentlich,
demnach Ihr Fr. Kräfftin Behaußung Zum dintenhörnlein genannt Und sein hannß Jacob Judÿ behaußung neben einander in d. Anthonien Gäßel gegen dem hauß Zum Kolben genannt, ein gemein Cloac mit einander hetten, Alß waren beede Parten für sich und alle Ihre Nachkommende, Zu Verhüetung alles Künfftigen Streits dahien mit einander freündlich und Nachtbarlich Verglichen Worden, daß der Jenige theil so ieder Zeit am ersten befindl. wirdt, daß es eine Notthurfft seÿe angezogenes Cloac außführen Zu laßen, derselbe vffs fürderlichst die Waßen Meÿster Zubestellen befug, Folgendts Er hannß Jacob Judÿ Vnd seine Nachkommen solche außführung durch Ihr hauß vnd höfflein gestatten, Vnd in betrachtung solcher beschwerd, Er und seine Nachkommen ahne denen Jedeßmahligen Vncosten es seÿe ahne Wein, Brot, Liechter, gelt Vndt andern, so denen Wasen meÿstern gegeben werd. muß, nur einen drittentheil, Sie Fr. Kräfftin aber vndt Ihre Nachkommen die Vberige Zwen dritte theil Zu leid., auch beÿdetheil Vndt Ihre Nachkommen daß nicht mit Ungebührlichem einschütten die heimlichkeit allzubaldt ohn notwedig angefüllt Vnd Verstopfft, oder ein hauß gegen dem andern mit all Zu viel Persohnen Vbersetzt, Sondern mügliche gleichheit in solchen stucken gehalten Werden möge, gute Vffsicht Zuthun schuldig sein solle
Le pasteur Gaspard Klee se remarie en 1645 avec Anne Marguerite, veuve de Jean Kemptner, peintre et receveur au service des comtes de Linange
Mariage, cathédrale (luth. p. 486)
1645. Domin: 2. Trinitatis. Herr M. Casparus Klee, Pfarrer in d. Ruprechts aw, vnd Fr. Anna Margaretha H. Johann Kemptners deß geweßenen mahlers, vnd gräfflichen Leininigschen Schaffners nachgelaßene Wittib, Eingesegnet In der Ruprechts Aw (i 248)
Gaspard Klee est démis de ses fonctions parce qu’il est trop âgé pour assurer la prédication. Les Conseillers et les Vingt-et-Un règlent sa rémunération le 13 mars. Il demande le 18 novembre davantage de moyens.
1648, Conseillers et XXI (1 R 131)
(f° 30-v) Montag d. 13. Martÿ – H. Caspar Klee Pfarrer In der Ruprechtsauw. – Pfarr Ampt in der Ruprechtsaw
H. XIII.er Zeÿsolff H. XIIIer Reißeÿßen vnnd h. Abraham von Frideltzheim laß. per H. Stattschreiber referiren, d. sie vor H. Caspar Kleen Pfarrern In d. Ruprechtsaw persohn mit Einander gesprochen vnnd gefund. d. d. gantze geschäfft auff zwen finger beruhen thue (1) Ob er In hac decrepita senectate seines Ampts Zu erlaßen oder nicht ? Hatt sich erinnert waß E. E. Kirchen Convent deßweg. beÿ Mh. haben anbring. daß es nemlich scandalos d. dißer Mann predig. In dem Er an d. crafften deß gemuthß gäntzlich abgenommen vnnd deßweg. darvor gehalten Mann werde Ihme anzeigen muß d. Mh. seines getragenen Amptß In gnad. Ihnen erlaß. Alldieweil Er aber wenig. lebenß mittel In dem Er seine bestallung Welche an sich selbst Zwar guth In vilen* Jahren nicht völlig genoßen Alß seÿe darvor gehalt. word. Man werde Ihme ad dies vitæ Ein gd. geldt müßen Zukomm. laßen vnnd hatt man vor guth angesehen man solte Ihme die 50. fl. auß d. Müntz die 20. fr. früchten halb weitzen v. Rocken vnd dan d. vierlin Wein so Er bißanhero gehabt Jährlich Zukommen laß. Werde Ursach hab. Mh. vor diße gnade zu dancken (2) Wan Er nun werdt resignirt haben Wie Zu anderweriger bestellung dißer pfarr füeg werdt Zugelangen sein? Hett sich auß alt. Protocollis informirt vnnd gefund. d. man an dißen orth gleich wie beÿ and. Dorffschafften pflege etliche auffzustell. vnnd nach Verricht. prob predigt nachgehendtß Zur Wahl Zu schreiten, Welcher nun die maiora haben werdt der soll Pfarrer vnnf dabeÿ Verbund. sein in loco Zo wohnen vnnd soll Zu solchen Endt d. Schumeister seine behausung raumen, damitt d. kunfftige Pfarrer dieselbige bezeigen konne. Vor seine bemühung soll Er interims weiß hab. 100 fl, 75 fl. soll auß dem Neuwen allmußen genommen werd. die vbrige 25. fl. soll sie gemein Ihme beytrag. vnnd der 6 fr. frucht welche die gemein dem schulmeister Jahrlich gelieffert Vnd Ein Vierling Wein Von St Stephan. (…)
(f° 141-v) Sambstag d. 18. Nouembr.
Mr Casparus Klee geweßener Pfarrer In d. Ruprechtsaw Vberreicht per Egen vnd.ge supplication berichtet Er In seinem Hohen alter nichts Zuleb. Bitt Vm fernere gedeÿliche Hülff müß. sonsten In seinem hohen alter Mangel leid. Soll auffgeschlagen Vnnd Ihme sein gd. besoldung gevolgt werd.
1651 Conseillers et XXI (1 R 134), H. Caspar Klee Ca. Stifft St. Stephan. 106. 125. 197.
1652 XV (2 R 70) M. Caspar Kleen wittib. 282. 297. (Pfenningth. Cap. erhandlung)
1658 Conseillers et XXI (1 R 141) Weÿl. Caspar Kleen Wittib weg. deß Steinbockischen Legats. 258.
Félicité, veuve du vitrier Gabriel Waldmann, Marthe, veuve du tailleur Jean Friderich, Anne Marie, femme du fabricant de chausses Jean Louis Butta de la Petite Pierre, et Jean Treumer, cordonnier à Bâle, vendent la maison à Jean Wagner l’aîné, assesseur au Grand Sénat, déjà propriétaire de la maison voisine (au nord, ensuite n° 11).
1655 (2 Jan.), Chambre des Contrats, vol. 517 f° 2-v
Erschienen Felicitas, weÿl. Gabriel Waldmanns deß Glasers seel: wittib, mit consens hannß Moosen deß Sigristen Zum alten St. Peter ihres Vogts, Ferners Martha, weÿl. hannß Friderichß deß Schneiders seel: Wittibin, mit beÿstand H Christoph Boppe deß Schneiders ihres Vogts und hannß Friderich Friedrichß deß Schneiders ihres eheleiblich. Sohns, Weiters Jacob Wagner der Käuffler alß Vogt Annæ Mariæ, hannß Ludwig Butta deß hosenstrickhers Zu Lützelstein Eheweibs, Vnd dann Sie alle Zugleich im nahmen und vff ratification Johann Träumers deß Schuhmachers Zu Basell
haben in gegensein H Hannß Wagners deß ältern E.E. groß Rhats Beÿsitzers
bekannt demnach vff ihr der vorgemelter Persohnen Behaußung alhie in St. Anthonien Gaß., einseit neben ihme H Wagnern, anderseit neben hannß Jacob Judÿ dem Krämern, hind. vff weÿl. H Johann Conrad Gaßoldts geweßenen Pfarrers Zu Liechtenaw seel. Erben stoßend gelegen, nicht allein der Pflegereÿ der Roth. Kirch 100. fl. wehr. Capital und davon von Pfingst. a° 1652. exclusive verfallene Zinnß und Marzahl sondern auch Er H Wagner 150. fl. wehr. hauptgut und davon seit Mariæ verkündigung a° 1652. exclusive vertagte zinnß und Marzahl Zue erfordern hetten, darbeneben die Behaußung bawloß und nach gestalt ietzig. läufften und gemeinem Vnwerth der häußer, also beschaffen were, daß sie keine beßerung vff sich trage, Alß wolten Sie solche Behaußung, ihme H Wagnern, hiemit eigenthümlich abgetretten, eingeraumbt, und Er dießelbe angenohmen haben, Jedoch mit dem Anhang, sollß obgemelter Johann Träumer dißen bestand nicht ratificiren wolte, demselben solche Behaußung innerhalb den nechstkünfftigen Zweÿen jahren mit abstattung Zinß, bawcost. und übernahm der Capital beschwährdten anzunehmen vorbehalten sein solle.
L’acquéreur est menuisier d’après le mariage de son fils relaté ci-dessous.
Originaire de Möckmühl, Jean Wagner épouse en 1608 Barbe, fille du menuisier Jean Reichweiger. Un fils Jean Jacques naît en 1609.
Mariage, cathédrale (luth. p. 214)
1608. Dominica 22 Trinitatis. Hans Wagner der schreiner von Meckmuel vnd Barbara Hans Reichweiger des schreiners dochter( i 111)
(Hans Jacob, 23. Julÿ 1609 f° 158-v, i 169)
Natif de Möckmühl près de Heilbronn, Jean Wagner devient bourgeois par sa femme l’année suivante
1609, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 906
Hanß Wagner, der schreiner von Möckmüel bey halbrun, Empfahet daß Burgerrecht Von Barbara hanß Reichwag deß schreiners Alhie dochter vnd wüll Zu den Zümmerleüth. dienen Actum den 4 Maÿ Ao 1609.
Employé à l’accise, Jean Wagner se remarie en 1640 avec Madeleine, fille du pasteur de Saint-Guillaume Jean Huber. Une fille Marie Madeleine naît en 1642.
Mariage, cathédrale (luth. p. 437)
1640. Domin. 4. Trinitatis. Hanß Wagner der Ungelts beampter vndt Burger allhie, vndt Jungfraw Magdalena, Herrn Iohannis Huberi geweßenen pfarers zu St. Willhelm allhie nachgelaßene eheliche Tochter. Eingesegnet Im Münster, Zinst. den 7. Julÿ (i 223)
(Maria Magdalena, 14. Junÿ 1642, f° 184-v, i 189
Mentions du menuisier Jean Wagner dans les registres du Magistrat
1616, XV (2 R 44) Hanns Wagner. 123. 128. 130. 153. 163. 192. 195. (Orgelmacher Israel Gellinger vnd Dieterich Wagner gtra Hans Wagner den Schreiner)
1617, XV (2 R 45) Hanns Wagner. 72.
1619, Conseillers et XXI (1 R 101) umb Rhatsbotten dienst, Hans Wagner. 118.
1632, XV (2 R 59) Hannß Wagner. 58. (visirer im vngelt)
1633, Conseillers et XXI (1 R 115) Hanß Wagner der schreiner. 128. (pt° intercessionalibus an E. E. Rhat der Stadt oringen)
1634, XV (2 R 60) Hannß Wagner visirer im vngelt. 118. 123. 133.
Fils de Jean Wagner, menuisier et employé à l’accise, Jean Jacques Wagner se marie en 1640 avec Marie, fille du menuisier Jean Weckenmann
Mariage, cathédrale (luth. p. 435)
1640. Dncâ Cantate 3. Maÿ] Hans Jacob Wagner der Schreiner Hanß Wagners des Schreiners vnd Vngelts beampten allhier Ehelicher Sohn, vndt Jungfraw Maria H. Hanß Weckenmanns deß geweßenen Zimmermans vnd Burgers allhie nachgelaßene eheliche tochter. Eingesegnet Im Münster Mont. den 11. Maÿ (i 222)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 49-v)
1640. Eodem [Dncâ Cantate 3. Maÿ] Jacob Wagner der Schreiner Johann Wagner des Ungelters Ehelicher Sohn, J. Maria H. Johann Weckmann des Zimmerman v. beÿsitzer des Kleinen Rhats hinderlaßene tochter. Mont. 11. Maÿ, Münster. (i 51)
Marie Madeleine Wagner, assistée de son demi-frère menuisier Jean Jacques Wagner et de son cousin Jean Huber, pasteur de Saint-Guillaume, vend deux maisons contiguës à Barbe, veuve du diacre Jean Philippe Koch
1667 (13. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 534 f° 347-v
(Prot. fol. 23.) Erschienen Maria Magdalena Wagnerin mit assistentz hannß Jacob Wagner deß Schreiners ihres halb Bruders und geschwornenn Vogts, wie auch deß wohl Ehrwürdigen wohlgelehrten H M. Johann Hubers Pfarrherrn der Kirch Zu St. Wilhelm und Senioris deß Stiffts St Stephan ihres Vettern
in gegensein Fr. Barbaræ weÿl. H M. Johann Philipß Koch geweßenen Diaconi der gedacht. Kirch. Zu St. Wilhelm und Canonici deß besagten Stiffts St Stephan nunmehr seel: hinderlaßener wittibin, mit beÿstand deß hoch Ehrwürdig hochgelehrten H. Balthasar Scheid. SS. Theol. Doct. & Ling. orient. Professori und H Johann Jacob Scheid. deß Apotheckers beed. ihrer eheleiblich. Brüder
Zweÿ häußer neben einend. mit ihren höfflin hoffstätten, Bronnen und allen übrig. Gebäuden, Begriffen, Zugehördten, und Gerechtigkeiten alhie in der Anthonier Gaß. einseit neben dem Scavelitzkÿsch. hoff, anderseit neben weÿl. hannß Jacob Judÿ des haffenmachers seel. Kind. hinden Zum theil uff den Scavelitzkÿsch. hoff, theilß vff Ruprecht Andreß. den Posamentmachern stoßend gelegen, und Zum Dinttenhörnlin genannt – umb 500 Pfund pfenning
Fils du messager Pierre Koch, Jean Philippe Koch qui est alors pasteur à Mittelbergheim épouse en 1638 Eve, fille du préposé au sel Théophile Goll
Mariage, cathédrale (luth. p. 417)
1638. Dom. III. 27. Jan. H. M. Joh: Philippus Koch Pfarrer Zu Mittelbercken, Peter Kochen des Einspännigers allhie n. Sohn, Vndt J. Eua H Theophili Golÿ Saltz Verwalters Vndt Burgers alhie Tochter, Eingesegnet Mont. 4. Febr
Devenu diacre à Saint-Guillaume, Jean Philippe Koch se remarie avec Barbe, fille du marchand Balthasar Scheid.
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 24-v n° 13)
1653. Dnica VIII et IX Trinitatis, prid. Cal Augusti et 7. eius. H. M. Johann Philipp Koch, Diaconus beÿ S. Wilhelm vnd Jfr. Barbara H. Balthasar Scheiden gewesenen Handels Manns alhie nachgel. Tochter H. Dn Hebr, etiam Græcæq: Liguæ Prof Schwester Cop: Zinst. 9. Aug. (i 28 – Proclamation cathédrale p. 555 n° 9, 9. aug. St. Wilhelm, Maurerstub, Thiergarten, i 304)
Notice biographique de Bopp
(Bopp, n° 2832) Johann Philipp Koch, Mag.
° Straßburg 13. Juli 1608, Sohn von Peter Koch, Einspänniger und Dorothea Stoetz. x 1) 1639 Eva Goll, Salzverwalterstochter † 16. Okt. 1652, 2) 1653 Barbara Scheid, Handelsmannstochter
stud. in Straßburg vom 7. Apr. 1629-1634, Bacc. 1629, Mag. 1631. Aufnahme ins Seminar 1634 bis 1640. Ord. am 4. Juli 1641.
1634-1638 Pfarrer in Ober- und Mittelhausbergen
1638-1652, Pfarrer in Mittelbergheim I
1652-1667, Diakon in Straßburg St Wilhelm II, † 30 April 1667
Programma fun. 68 und Leichenpredigt Univ. Bibl. Heidelberg 6/21, 13/6, 7
Barbe Scheid, veuve du diacre Jean Philippe Koch, se remarie en 1668 avec Jean Jacques Schœtterlin, receveur du collège et de la fabrique de Saint-Guillaume
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 76-v n° 17)
1668. Dnicis III. et IV. Trinit. 7/14 Junÿ. Herr Johann Jacob Schötterlin des Collegÿ vnd d. fabric Zt St. Wilhelm alhie auch E. Ehrw. Capituls Zu St Steffan Schaffner, vnd Fr. Barbara (Scheidin) Wlnd herrn M. Johann Philipp Kochen, geweßenen Diaconi beÿ unserer Kirch nachgel. Wittib, Copulati permissa Magistratus in ædibus (i 56)
Barbe Scheid, femme du receveur Jean Jacques Schœtterlin, assistée de son frère Balthasar Scheid et du tuteur de ses enfants Jean Henri Metzger, hypothèque les deux maisons au profit de son frère pharmacien Jean Jacques Scheid
1669 (28. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 536 f° 338
Erschienen Fr. Barbara Scheidin, H Johann Jacob Schötterlins Capitul Schaffners Zu St. Stephan und Schaffner deß Collegÿ Wilhelmitani eheliche haußfrau, mit assistentz deß hoch Ehrwürdig- hochgelehrten H Balthasar Scheiden S.S. Theol. Doct. et Linguarum orientalium Professoris ihres H Bruders und deß Ehrenvest- Fürsichtig- Weÿsen H Johann Henrich Metzgers E.E. groß. Raths Beÿsitzers ihres Kind. Vogts
in gegensein H Hannß Jacob Scheiden deß Apotheckers auch ihres eheleiblich. Bruders – schuldig seÿe 260 Pfund pfenning, für Sie, vff nachgeschriebener ihrn ohnveränderten häußern außbezahlten Kauffschillingß rests und außgelegter baw Costen
Unterpfand, Zweÿ häußer neben einand. mit ihren höfflin, hoffstätten, Bronnen und allen übrig. Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhier in der Anthonier Gaßen, einseit neben dem Schavelitzkÿschen hoff, anderseit neben weÿl. hannß Jacob Judÿ deß haffenmachers seel. Kind. hind. zum theil vff den Schavelitzkÿschen hoff und theilß vff Ruprecht andreß des Posamentmachern stoßend gelegen, und zum dientenhörnlin genannt
Barbe Scheid, veuve du préposé à l’accise Jean Jacques Schœtterlin, vend la maison du sud au cordonnier Jean Cappel et à sa femme Einbeth Welsch
1677 (22. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 699
Erschienen Fraw Barbara, weÿl. herrn Johann Jacob Schütterlins geweßenen dreÿers im Vmbgelt nachgelaßene Wittib, mit beÿstand herren Christian Breuningß U.I. Ddi und E.E. Großen Rhats Vice Procuratoris ihres Curatoris
in gegensein Johann Kappelß deß Schuhmachers und Einbeth Welschin mit assistentz herrn Mathis Kochen E.E. Kleinen Rhats beÿsitzers, Andreæ Welschen SS Theol. Stud. und Hannß Bernhardt Trautmanns deß Schuemachers
hauß, höfflein, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, rechten und gerechtigkeiten alhier in der Anthonier Gaßen einseit neben der Verkäufferin selbst anderseit neben weÿl. hannß Jacob Judÿ des Grempen nunmehr seel. nachgelaßenen Erben hinden Zum theil uff hannß Caspar Lindenmeÿer den Schreiner und theils uff (-) stoßend gelegen – umb 550. fl.
Les acquéreurs hypothèquent trois semaines plus tard la maison au profit du receveur Georges Rehm
1677 (12. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 734-v
Johann Kappel der Schuhmacher und Einbeth sein Eheweib, und Zwar dieselbe insonderheit mit assistenz der Ehrenvest- und weÿsen herrn Mathis Kochen und herrn Daniel Dürningers beÿder alß aus E.E. Kleinen Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu insonderheit deputirte
in gegensein herrn Johann Schmidts Schaffners deß Großen gemeinen allmosens zu St Marx, im nahmen herrn Georg Rhemen amt. Schaffners daselbst – schuldig seÿen 200. lb daß dieselbe damit nach beschriebene behaußung erkauffen und bahr bezahlen können
unterpfand, hauß, hoffstatt, höfflein mit allen deren Gebäwen und Zugehördten, alhier in der Anthonier Gaßen Zwischen Frawen Barbara Schütterlinin Wittibin und hannß Jacob Judÿ des Grempen seel. Erben
Fils du cordonnier Jean Jacques Cappel, Jean Cappel épouse en 1675 Einbeth, fille du cordonnier Conrad Welsch
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 251-v n° 7)
1675. Eâd. Dcâ [Invocavit 21. Februarÿ] Johannes Kappel der Schuomacher, Weÿl. Hanß Jacob Kappell, Burgers vnd Schuomachers allhie, nachgelaß. ehel. Sohn, Vndt Jfr. Einbetha Weÿl. Conrad Welschen geweßenen Schuomacher s vndt burgers allhier, nachgelas. ehl. Tochter. Copulavi Eod. die [Donnerst. 15. April] (i 265)
Jean Cappel se remarie en 1691 avec Rosine, fille du journalier Jean Lenck de Zell en Saxe
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 28 n° 144)
den 14 Nov. St. N. A° 1691 ist von mir (…) nach ordentlicher proclamation copulirt word. Johannes Cappel der burger v. schuhmacher allhie, mit Jgfr. Rosina, weÿland Johann Lencken deß taglöhners Zu Cell Chur Sachsischer Herrschafft, nachgelaßene ehl. Tochter [unterzeichnet] Ich hans Kappel als hochzeiter, Rosinæ Lenckin handzeichen o (i 30)
Originaire de Schneeberg en Saxe (dans les Monts métallifères), Rosine Lenck devient bourgeoise par son mari trois semaines après son mariage
1691, 4° Livre de bourgeoisie p. 606
Rosina Lenckin Von schneeberg auß Sachsen weÿl. hannß Lencken gewesten taglöhners daselbst nachgel. tochter, empfangt das burgerrecht von Johann Cappeln d. schumacher ihrem jetzmahlig. Ehemann p. 2. gold. fl. 16 ß. so sie bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt ist Zu Vor ledig. standts geweß. vnd wird Zu E. E. Zunfft der schumacher dienen promis. d. 8. Xbr. 1691
Jean Cappel meurt en 1708 en délaissant des héritiers collatéraux. Les experts estiment à la somme de 300 livres la maison dont l’inventaire cite les titres de 1677 et de 1587. L’actif de la succession s’élève à 199 livres, le passif à 63 livres.
1708 (17.9.br), Not. Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 10)
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung so weÿland der Ehrengeachte und bescheidene Meister Johann Kappel geweßener Schuhmacher und burger Zu Straßburg, nach seinem den 11.ten octobr: dießes lauffenden 1708. Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen Hientritt, Zeitlichen hinderlaßen, Welche auff ansuchen erfordern und begehren deren nach dem Eingang dießes Inventarÿ benambßter Erben ab intestato (…) durch die Viel Ehren und tugendsame Frau Rosinam Lenckin die hinderlaßene Wittib mit beÿstand deß Ehrenvest und Vorgeacht. Herrn Daniel Reiniche deß Schneiders und Verordneten Gant Käufflers deroselben geschwohren Vogts geeÿgt und gezeÿgt – Geschehen Straßburg den 13.ten Nov: 1708.
Der Seelig verstorbene Mann hat ab intestato Zu Erben hinderlaßen alß Volgt. 1° Weÿland Martin Abraham Kappel deß geweßenen Schuhmachers und burgers allhier mit auch weÿland Frauen Barbara Kiefferin seiner erstern haußfrauen seeligen in erster ehe erziehlte 3. Kinder, namblichen Johann Daniel, Ledigen Schuhmacher, Secundo Isac auch Schuhmacher so majorennis und ohnbevögtigt und 3.tio Barbara Kappelin so auch annoch ledigen standts und majorennis, In deren 3.en Vorgemelten geschwisterden nahmen, so majorennes, gedachter Daniel Kappel hier gegenwärtig erschienen, Ferner Joh: Hanß Jacob und Catharinam dieße dreÿ deß Seelig Verstorbenen Manns Obgedachtem Abraham Kappels, mit fraun Catharina Sippin seiner Zweÿten haußfrawen erziehlte 3. Kinder, In dero Nahmen H. Abraham Werner der Schuhmacher und burger allhier deroselben geschworner Vogt, hier beÿweßned war, alle vorstehende Sechs stieff und geschwisterige deß seeligen manns geschwister Kinder in einem Vierdten Stammtheÿl
2. Hannß Ulrich Ruckstuhl den ledigen Schuhmacher, herrn Hannß Ulrich Ruckstuhls deß schumacher und burgern allhier mit Weÿland Frauen Barbara Kapplerin seiner geweßenen erstern haußfrauen, deß Seelig Verstorbenen, manns leiblichen schwester ehelich erziehlten Sohn, Vor und in deßen nahmen erstgedachter sein Vatter beneben H Abraham Reben* deßelben Vogt, dießer Inventation abgewartet hat, auch in einem achten Stammtheÿl
3. Hanß Peter, lediger Schuh Knecht und Jgfr. Dorotheam Koppelin geschwisterte deß weÿland H. Hannß Peter Kappels deß geweßenen Schuhmachers und burgers allhier, mit auch Weÿland Frauen Magdalena Hammerbachin seiner erstern haußfraw erziehlte 3. Kinder, deß seeligen Manns bruders Kinder, In deren Nahmen H. Jeremias Schmidt der Schuhmacher und burger allhier Zu deroselben geschworner Vogt, allhier Zugegen war, in einem 8.ten Stammtheil
4. Fr. Ursulam gebohrene Kappelin, Herrn Hannß Friderich Schnabels Informatoris privati und burger allhier eheliche haußfr. deß seelig. Verstorbenen, manns leibliche schwester, auch in einer achten Stammtheÿl, so beede beÿwesend waren
Alle Vier Vorhergehende stämme Zu Vier gleichlingen portionen und antheilern
Anjetzo folgen die einbändige Geschwisterde 5. weÿland H. Jacob Kappels, auch Schuhmachers und burgers Zu Straßburg nunmehr seeligen mit Weÿland frauen Barbara gebohrener Feiglerin ehelich erziehlte 2. Töchter nemblichenen Fr. Barbaram so an herrn Jacob Badern den Schuhmacher und burger, allhier Verheurathet und Fr. Annam Mariam Weÿland Johannes Fisel deß gewesenen Schuhmachers und burgers allhier wittib in i. achten Stammtheÿl
6. Isaac Kappel den Schuhmacher Zu Augßpurg Wohnhaft, dießer soll gestorben seÿn und Keine Kinder hinderlaßen haben, In deßen nahmen und Zu der Statt Interesse der Wohl Ehrenvest Großachtbare und weiße herr Johann Christian Hornuß auß E. E. Kl. Raths mittel hieher deputirt und Zugegen geweßen
7. Weÿland Fr. Marthäen geborner Kappelin so Zu Pfaffenhoffen in der Pfaltz Wohnhaft, In deren nahmen Ob Edel ermelter H. Rath. hierzugegen
So dann 8. Fr. Ursula gebohrne Kappelin, Weÿl. H. Velden Dürren geweßenen fischers und burgers allhie hinderlaßener Wittib, dero Vogt obgedachter H. Ruckstuhl, alle acht deß seeligen Manns ab intestato hinderlaßene stamm Erben in 8. gleichlingen portionen und antheÿlen
Eÿgenthumb ane einer behaußung. Item ein hauß, hoffstatt, höfflein undt nebens gänglein mit allen deren gebäuwen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden undt gerechtigkeiten gelegen allhier in der Statt Straßburg, ane St. Antonier gaßen vulgo Regenbogen gaßen genannt vor alhers hero Zum dintenhörnlein einseith neben einer behausung auch Zum dintenhönlein genannt, S. T. Hern Schwenden, wohlbestellten secretario deß beständigen Regiments der Unßerer alten Gnädigen herren der XIII anderseith neben herrn Johann Braunen, dem Musicanten, hinten auff herrn Dieboldt Fixen dem würth und Gastgebern beÿm Spitthal Mühlgießen, vndt vornen vff die gedachten Antonier gaß stoßendt, davon gehen Jahrs 10. lb d. Zinß termino Martini Frawen Maria dorotheam weÿlandt herrn (-) Güntzers deß geweßenen weinhändlers vndt burgers Zu Straßburg nun mehro seeligen hinderlaßener Frawen wittibin, ablößig in haubtgutt mit 200 lb. d., sonsten freÿ ledig vnd eÿgen, vnd ist dieße behaußung wie sie den 13. Novembris 1708. durch der Statt Straßburg geschwohrne Herren Werckmeisteren lauth deß Zu mein deß Notarÿ in handen habenden Concept Inventarÿ dem jetzigen preiß nach, angeschlagen umb 350. lb. d, über solche darauff stehende beschwerde hiehero außzuwerffen vor 150. lb,
hierüber besagt ein teutscher pergamentiner Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Innsiegel verwahret deßen datum der 22.ten Octobris Anno Christi 1677. mit No. 1. Notirt. Ferner ein alter teutscher pergamentiner Kauffbrieff, auch mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Innsiegel verwahrt datirt den 1. Maÿ 1587. auch mit altem Nr 1 bemerckt und nach beschehener besichtigung darbeÿ gelaßen.
Summa hujus Inventarÿ. 1. Haußraths 44, Werckzeug 4 ß, Silber und Gold. Ring 4, Eÿgenthum an 1. behaußung 150, Summa summarum 199 – Passiva 63, bleibt annoch 135 lb
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins (50 livres) sur un total de 200 florins. Les héritiers non bourgeois doivent en outre régler le droit de détraction.
1708, Livres de la Taille (VII 1174) f° 64
(Schuhmacher, H., N. 118) Weÿl. Meister Johann Kappels geweßenen Schuhmachers und burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Schatz.
Concl. fin. Inv. ist fol. 26, 117. lb. 16. ß 11. d, die machen 200. fl. Verstallte nur 100 fl, Also Zu wenig 100. fl.
Warvon der Nachtrag gerechnet wird auff acht jahr in duplo thut à 6 ß d, 2 lb 8 ß
Und auch auff Sechs jahr in simplo, macht à 3 ß. d., 18 ß
Extat kein Stallgertt
Gebott 1 ß 4 d.
So dann für die Abhandlung 5. ß 6. d – Summa 3. lb. 12 ß 10. d.
Abzug. Isaac Kappel Schuhmacher Von Augspurg und Martha gebohrne Kapplerin von Pfaffenhoffen aus der Pfaltz alß dißorts frembd und ohnverburgerte Erben, haben von 14. lb. 10. ß. 2. d. ane Abzug zu erlegen, 1. lb. 9. ß.
Weilen nun Hieüber befindlicher maßen die helffte der Nahrung nicht Verstallt worden, alß wird der Straff wegen das Geschäfft an Unsere Gnäd. Herren die Fünff Zehen verwiesen.
Vermög Erkantnus der Obern Stall Herren Vom 23° Februarÿ 1710. so wohl der Straff, alß auch Nachtrags gäntzlichen befreÿet und erlaßen worden, solchem nach ware neben obigem Abzug Zuentrichten
das Stallgeld pro 1709. mit 1. lb. 10. ß
für die angelegte Gebott 4. ß
und dann die Abhandlung gebühr mit 5. ß 6. d, summa 1. lb. 19. ß 10. d
dt. omnia d. 26° Mart. 1710.
Le cordonnier Jean Ulric Ruckstuel cède sa part de maison à l’apprêteur de tabac Jean Jacques Graffenstaden
1708 (7.Xbr), Chambre des Contrats, vol. 581 f° 681
(15) Joh: Ulrich Ruckstuel schuemacher [unterzeichnet] rugstuhl
in gegensein Joh: Jacob Graffenstaden tabacm:
d. eÿgenthumb seiner völligen portion so Er von weÿl Joh: Koppel schuem. ererbt in specie der behaußung c. appert: in der Regenbogen gass, darvon der genueß Rosinæ seiner wittib gehörig – umb 15 pfund
Le tisserand Jean Conrad Grünnagel cède sa part au même
1709 (19.1.), Chambre des Contrats, vol. 582 f° 24
Joh: Conrad Grünnagel leinenweber [unterzeichnet] +
in gegensein Joh: Jacob Graffenstaden tabacmachers
verkauft das Eigenthum seiner volligen portion so Er von weÿl. Joh: Kappel schuemachern ererbet in Specie seinen antheil Eÿgenthums der behaußung c. appert: in der regenbogen gass daran der genues Rosinæ seiner wittib gehörig
Ursule Cappel, femme du précepteur Jean Frédéric Schnabel, cède sa part au même
1713 (3.4.), Chambre des Contrats, vol. 586 f° 211-v
(11) Ursula geb. Kappelin beÿständlich Joh: Friedrich Schnabels informatoris privati ihres Ehevogts
in gegensein Joh: Jacob Graffenstaden Tabacmachers
d. eÿgenthum ihrer völligen portion so Sie von weÿl. Joh: Kappel schuemacher ererbt in specie ihren antheil eigenthums der behaußung c. appert: in der Regenbogen gass daran der genuss Rosina ihrer geschweig gehörig – um 11 pfund
Jean Jacques Graffenstaden cède ses parts à Jean Nicolas Schwend, licencié en droit et assesseur des Treize. En marge, autre cession par Anne Barbe Cappel, femme du cordonnier Jean Jacques Bader
1714 (23.7.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 516-v
(50) Johann Jacob Graffenstaden Tabacbereiter
in gegensein herrn Johann Niclaus Schwend U.J. Licentiati Und des geheimen Collegÿ der herrn dreÿzehen
diejenige antheiler Eigenthumbs ahne einer behaußung cum appertinentis in der regenbogengaß neben ihme hrn Licentiato Schwenden gelegen wie der Graffenstad. solche vermög Cancelleÿ Contact verschreibungen vom 7. Decembris 1708, 19. Januarÿ 1709 und 3. Aprilis 1713 käufflich an sich gebracht und außer desjengen widums genußen welches Rosina Kappelin geb. Lenckin lebtägig darauff hat – 50 pf
[in margine :] (30) Johann Jacob Bader der Schuemacher alß Ehevogt Annæ Barbaræ geb. Cappelin in beisein derselben So dann Er Bader im Nahmen Isaac Cappels Schuemachers ihres zu Augspurg
ermelten hern dreÿezehen Secretarÿ Schwend
zween achte theÿl für ohnvertheilt des Eÿgenthumbs ahne hieneben beschriebener behaußung cum appertinentÿs außer des hierinn Wÿdums genußes – um 30 pfund den 27. Julÿ
D’autres héritiers cèdent au même Jean Nicolas Schwend trois huitièmes de la maison dont la veuve Rosine Lenck a la jouissance viagère (l’acquéreur est propriétaire de la maison voisine au nord depuis 1699)
1714 (2.8.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 533
(45) Isaac Cappel Schuemacher, Item Ursula Dürrin Wittib geb. Gottschaldin so bevögtiget mit beÿstand hn Heinrich Kuehff handelßmanns, Ferner Johann Georg Dürr Schuemacher alß Ehevogt Dorothea geb. Cappelin welche Unpäßlichkeit halber nicht außgehet, So dann Jeremias Schmidt der Schuemacher im Nahmen Johann Peter Cappels auch Schuemachers so in d. frembde vor welchem Er auch zu stehen Und endlich Abraham Wörner auch Schuemacher alß Curator Catharinæ Cäppelin
in gegensein Herrn Johann Niclaus Schwenden U.J. Licentatj Und des geheimen Collegÿ der herrn dreÿzehen Secretarÿ
Ins gesambt dreÿ achte Theil für Unvertheilt Eÿgenthumbs ahne einer behaußung cum appertinentÿs in Regenbogen gaß neben Ihme hrn Licentiato Schwenden gelegen Wie sie solche von weÿl. Johann Capplen Schuemacher seel. Erblich erhalten und außer den Wÿdumsgenußes welchen rosina Kappelin geb. Lenckin darauff hat – um 45 pfund
Jean Nicolas Schwend passe un accord avec Rosine Lenck, veuve de Jean Cappel, relatif à la jouissance de la maison
1714 (19.12.), Chambre des Contrats, vol. 572 (Protocoles) f° 53
herr Johann Niclaus Schwendt U.J. Licentiatus Und des geheimen Collegij der herren dreÿzehner allhier Wohlbestellter Secretarius ahn einem
so dann Rosina geb. Lenckin Weÿl. Johann Koppels gewesenen Schuemachers nun seel. Wittib mit beÿstand Daniel Renichen Ganthkäufflers Ihres Curatoris am andern theÿl
demnach Er herr dreÿzehen Secretarius Schwendt das Eÿgenthumb Von einer allhier in der Regenbogen Gaß einseit neben ihme hrn Schwendt selbsten anderseit neben Habrechtischer Wittib liegender behaußung ahne sich erhandelt, davon Sie Kappelische Wittib den lebtägigen Genuß hat,
alß haben ged. beede Parthen guthwillig und wohlbedächtlich Und zwar Sie ged. Wittib mit consens ged. Ihres Vogts sich folgender Massen verglichen
Nemblich so soll Sie Kappelische Wittib in bem. Ihme hrn XIII. Secretario nun mehro eÿgenthümlich gehörigen hauß die Zeith Ihres lebens zu genüßen Und bewohnen haben die Unterste Stueb, Cammer darbeÿ Und dem gemeinschaftlichen genuß von dem Höfflein, So dann so obligirt sich Er herr dreÿzehen Secretarÿ über solches deroselben annoch alle Jahr so lang Sie leben wird Und zwar a° 1715 auff Joh: Bapt. das erste mahl 5 pfund in baarem geld zu geben Und solches richtig Im übrigen so renunciret Sie ged. wittib auff alle ansprach so Sie hette haben können od. mögen auff ged. hauß
Fils du prévôt de Blienschwiller du même nom, le licencié en droit Jean Nicolas Schwend et sa femme Anne Catherine Rosalie Rothfuchs deviennent bourgeois à titre gratuit le 25 octobre 1698 (l’épouse est la fille de François Thiébaut Rothfuchs ; le mariage n’est célébré ni à Strasbourg, ni à Blienschwiller ni à Barr)
1698, 4° Livre de bourgeoisie p. 704
H: Niclaus Schwend von Blienschweiler J. V. Lic: H. Niclauß schwenden des Reichsschultheisen daselbst Ehl. sohn, und Anna Catharina Rosalia Rothfuchßin seine haußraw empfangen das burgerrecht durch auß gratis, vnd werden beÿ E. E. Zunfft Zum Spiegel dienen. Jur: d. 25. Dito [8.bris] 1698.
Jean Nicolas Schwend est élu échevin à la tribu du Miroir en 1698, secrétaire des Treize en 1702 puis bailli de Barr en 1717
1698, Conseillers et XXI (1 R 181) Johann Niclauß Schwend würdt Schöff Zum Spiegel. 359.
1699, Conseillers et XXI (1 R 182) Niclauß Schwend würdt Ober handwercks herr. 39. Idem würdt Allmend herr. 45.
1702 Conseillers et XXI (1 R 185), herr Nicolaus Schwend schwört auff die ordnung Eines XIII. secretarii 241.
1702 XIII, 3 R 58 (1702), H. Rathherr Niclauß Schwend würdt Secretarius beÿ dem Collegio der herren dreÿzehen. 101.
1709 Conseillers et XXI (1 R 192), Herr Sr Joh: Niclauß Schwend in abweßenheit H. Syndici Regÿ wohnt der Umbfahrt beÿ. 5.
1710 Conseillers et XXI (1 R 193), herr Schwend secetarius beÿ dem Collegio der herrn dreÿ Zehen würdt ernennet der Ammeister Vmbfahrt ahne statt herrn Syndici Hatzels beÿzuwohnen. 8.
1711 Conseillers et XXI (1 R 194), H. Secretarius Schwendt würdt deputirt ahne statt herrn Syndici Hatzels der Ammeister vmbfahrt beÿzuwohnen. 5.
1717 Conseillers et XXI (1 R 200), H. Secretarius Schwend würdt Ambtmann Zu Barr. 151. schwört auff seine Commission. 152.
1728-1729 Bauherren VII 1393, Herrn Johann Niclaus Schwenden falliment betr. 206.
François Nicolas Schwendt, bailli d’Erstein, hypothèque au nom de son père Jean Nicolas Schwendt, avocat au Conseil souverain d’Alsace et bailli de Barr, de sa mère Marie Catherine Rothfuchs et de ses frères Jérémie Rémi Ignace et Joseph Pierre Schwendt la maison au profit de Marie Salomé Beza, veuve de l’assesseur des Treize Jérémie Adam Leitersperger
1726 (4.7.), Chambre des Contrats, vol. 600 f° 312
H. Lt. Franciscus Nicolaus Schwendt Advocatus zu Collmar und Ambtmann zu Ehrstein als mandatarius seines Vatters H. Lt. Johann Nicolaus Schwendt Advocaten au Conseil souverain d’Alsace und Ambtmanns des Straßburgischen herrschafft Barr seiner Frau Mutter Fr. Maria Catharina geb. Rothfuchßin und dero beÿden Söhnen H. Jeremiae Remigio Ignatio und H. Joseph Peter denen Schwendten (…) producirten mandati bevollmächtigt
in gegensein H. Johann Philipp Leitersperger JVLti und Exsenatoris als bevollmächtigter seiner Groß Mutter S.T. Frau Maria Salome geb. Bezain weÿl. S.T. H. Jeremias Adam Leitersperger gewesten alten Ammeisters dreÿzehners und Scholarchæ – schuldig seÿen 2 Marck und 2/5 eines Marcks goldts de 22 Karats de fin
unterpfand, zweÿ neben einander liegende häußer hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahn der Regenbogen: oder antonier gaß, einseit neben H. Reich von Platz anderseit neben NN wittib hinten auff Schauer den Kornwerffer und ged. H. Reich
Jean Nicolas Schwend meurt à Barr en mars 1728 en délaissant neuf enfants. La masse propre à la veuve est de 3 863 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 3 123 livres, le passif 11 561 livres. Le contrat de mariage allégué n’est pas joint à l’inventaire.
1728 (18.6.), Barr (6 E 2, 132) n° 40
Inventarium uber Weÿl: tit: deß Hoch Edel Vesten und hoch Gelehrten Herrn Johannis Nicolai Schwenden Juris Lti und geweßenen Ambtmans der Herrschafft Barr Zeitliche Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1728.
Inventarium und Beschreibung aller und Jeeder Liegend: und fahrender haab Nahrung und Güthern wie auch schulden und gegen schulden überall nichts davon außgenommen so weÿl. tit. der Hoch Edel Vesten und hoch Gelehrte Herrn Johann Nicolaus Schwend Juris Ltus und geweßener Ambtman der Herrschafft Barr nach seinem den 4. Verfloßenen Monats Martÿ, auß dießer Mühesamen welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf begehren der Edel viel Ehr und tugendreichen frawen Mariæ Catharinæ Rosaliæ Rothfuxin der hinterbliebenen fraw wittib mit beÿstandt deß wohl Edel Vesten und hoch Gelehrten herrn Frantz Joseph Jäger Juris Lti und E. E. Kleinen Raths der Statt Straßburg Jetzmahligen beÿsitzers deren geschwornen Vogts eines, So dann S.T. deß hoch Edelgestreng. und hochgelehrten herrn Francisci Nicolai Schwenden Jetzmahligen hochverordneten Syndici des hochlöbl. Ritterschafft im Undern Elsaß sowohl Vor sich alß auch im Nahmen und alß Anwalds H Francisci Ignatÿ Josephi Remigÿ und Francisci Antonÿ Schwendten seiner herren Brüdere, Zufolg producirter Procuration vom 15. verfloßenen Martÿ wie auch h Johann Specht E. E. E. E. Kleinen Raths Alten beÿsitzers als Verordnet und Geschworner Theÿlvogt Georgÿ Laurentÿ, Ludovici, Mariæ Annæ und Felicitas d. schwenden, sampt Neün des Verstorbenen herrn seel. mit ged. seiner hinterlaßenen fr. wittib ehelicher Jung. Söhne und tochter andern theils (…) Actum Barr 28. Junÿ 1728.
Copia der Zwischen Eingangs gedachten beeden geweßenen Eheleuten auffgerichteter Heuraths Verschreibung, vide beÿlag dedato 23.ten Januarÿ 1698.
Ergäntzung der Fr: Wittib ermanglenden Ohnveränderten Guth. Nach besag Theilregisters de Anno 1710. darinnen dasjenige was Ihro der Fr. Wittib beÿ Weÿl. S: T: Herr, Frantz Theobald Rothfuchsen J. Lti und Hochwürdigen Thomb Capituli hoher Stiff Straßburg Hochmeritirten Ambtman und tit: fr. Annæ Catharinæ Rothfixin gebohrenr Reÿßin beÿder Ehegattin als Ihren geliebten Elter, seel. Verheurathet mit abtheilung Erblich Zugekommen beschrieben (…) Sa. 3599, Summa summarum der Wittib ohnveränderten Vermögens 3863 lb
Dießmnach wird das Vätterlich ohnverändert Vermögen sowohl als auch das gemeine theilbare guth in einer Mass inventirt und beschriben. Sa. Haußraths 281, Wein 126,Faß 44, Viehe 29, Silber 128, Goldener ring 4, Bücher
Eÿgenthumb ane einer behausung. Eine behaußung samt aller Zugehörden rechten und gerechtigkeiten in der Regenbogen gaß Zu Straßburg gelegen einseit neben H. Von Reich anderseit neben N.N. hinten auff gedachten Herrn von Reich und Zum theÿl N. Schawerder Kordorffer Zinst Jährlichen Gemeiner Statt Straßburg 10 ß d so entweden mit doppeltem Capital in baarem Geld oder in Pfenningthurns Capitalien, mit Vierfachem Capital oder in Pfenningthurn Zinnßen mit dreÿfachen Zinnßen ablößig æstimirt vermög Abschatzung de dato 22.ten Martÿ 1728. pro 1500.
Eigenthumb ane Liegende Gütheren 912, Schulden 68, Summa summarum sambtlich hievor beschriebenen Theilbarer Verlaßenschafft 3123 lb. – Schulden 11.561. lb, Übertreffen also die theilbahre Passiva die theilbare Activ Nahrung umb 8437 lb
Nicolas Schwendt meurt à Barr le 4 mars 1728. Son corps est inhumé dans le chœur de l’église en présence de ses fils François Nicolas, bailli d’Erstein et Rémi Ignace, capitaine au régiment de Picardie
Sépulture, Barr (cath. f° 37)
Anno Domini 1728. 4.a Martÿ mortuus est Nobilissimus Clarissimus ac Consultissimus D. D. Nicolaus Schvvend, J.V. L. in Alsatiæ Curiæ Advocatus jubilatus, Satrapa Ditionis Barrensis, subdelegatus Regii Intendentis Superioris et Inferioris Alsatiæ inclytus Cleri Amicus (huic plurimum commendandus) sacramentis pœnitentiæ Eucharistiæ et extremæ Unctionis munitus et a me infra scripto Parochi in Barr sepultus est in Choro pro more D.D. Prædecessorum Ecclesiæ ejusdem loci, præsentibus testibus Nobilissimo, Clarissimo ac Consultissimo D. E. Francisco Nicolao Schvvend J.U.L. in supremâ Christianissimi Regis Alsatiæ Curiæ Francorum Advocato, satrapâ in Ehrstein et Equestrus officiis Alsatiæ Syndicô ac Nobili et Strenuo Dno Remigio Ignatio Schvvend Subcentirione in Regiâ Legione Picardicâ eius filÿs qui una mecum subscripserunt ( 39)
Outre les deux fils ci-dessus, Jean Nicolas Schwendt a quatre fils prêtres.
Kammerer, Répertoire du clergé
4715. Rémi Schwendt, ° 17 septembre 1705, Saint-Etienne de Strasbourg
étud. rhét. août 1721, de Strasbourg (UES 22)
c. Hipsheim, 1732-1755 (diacre G 5179/1. 26)
préb. du grand Chœur à la cathédrale, 22.3.1755 (Grandidier, Als. ecclés. tabl. 2.bis)
† 25 mai 1781, Saint-Laurent de Strasbourg
4712. François Antoine Schwendt, ° 16 octobre 1708, Saint-Etienne de Strasbourg
étud. 23.7.1728, de Strasbourg (UES 26)
titre sacerdotal 28.11.1732, clerc du séminaire de Strasbourg (6 E 41, 50)
vic. Nordhouse, 1733-1734
vic. Niedernai, 1734-1735
c. Rumersheim, 1735-1742
† 15 mars 1742, D Rumersheim, pierre tombale (Würry 134)
4713. François Louis Schwendt, ° 11 juillet 1716, Saint-Etienne de Strasbourg
étud. log. 9.11.1733, de Strasbourg (UES 33)
titre sacerdotal 4.3.1739, par son père syndic de la noblesse de Basse-Alsace (6 E 41, 61)
vic. Hipsheim, 1741-1742
c. Rumersheim, 1742-1744
c. Elsenheim, 1744-1755
c. Saverne, 1756-1763
can. et schol. Saverne, rés. 29.9.1763 (6 E 41, 111)
préb. du grand Chœur à la cathédrale, 29.6.1762 (Grandidier, Als. ecclés. tabl. 2.bis)
† 16 juillet 1792, Strasbourg
4711. Elie Félix Schwendt, ° 21 juillet 1721, Saint-Etienne de Strasbourg
étud. log. 12.11.1737, de Strasbourg (UES 39)
préb. du grand Chœur à la cathédrale, 22.5.1743 (Grandidier, Als. ecclés. tabl. 2.bis)
et préb. de la Toussaint (G 4915, 145) 1743
sur l’état des ecclés. non-conformistes, 24.5.1792, domicilié à Strasbourg (1 L 1558)
émigré (FR 155) † 30 avril 1795, Strasbourg
Devenue propriétaire de la maison lors de l’adjudication judiciaire des biens de son mari, Marie Catherine Rosalie Rothfuchs, veuve de Jean Nicolas Schwendt, vend la maison au maître maçon Arnaut Lagardelle
1730 (1.7.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 303-v
Fr. Maria Catharina Rosalia geb. Rothfuchßin weÿl. H. Johann Nicolaus Schwendt gewesten JLti und Straßburgischen Ambtmanns der herrschfft Barr hinterlassenen wittib mit beÿstand H. Lt. Johann Ludwig Freund procuratoris vicarÿ ihres curatoris ad lites
in gegensein Arnauld la gardelle des Maurers Steinhauers
Eine Behausung Nebenshauß zween höff Bronnen Stallung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der Regenbogen oder Antonier gaß, einseit neben H. Baron Reich von Platz anderseit neben weÿl. Jacob halbbrecht zinngießers seel. wittib hinten auff ged. H. Reich von Platz zum theil theils Johann Georg Schauer den Kornwerffer, mit außer dem am Schauerischen hauß gebäun servitute dominante fluminis – ihro als ein ahne allhiesiger ganth als letzt und meistbietenden adjudicirtes guth eigenthümlich zuständig – um 1630 pfund capital beladen, geschehen um 870 pfund
Arnaut Lagardelle et Marie Catherine Reine Marchand vendent la maison à Daniel Raimbaut Friderici, licencié en droit et commis à la chancellerie
1737 (24.10.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 731
Arnaud La Gardelle der Maurer Steinhauer und Maria Catharina Regina geb. Marchand
in gegensein H. Daniel Reinbold Friderici J.V.Lti und Commissarÿ Cancellariæ
Eine Behausung, Nebens hauß, zween höffen, Bronnen, Stallung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten in der Regenbogen: oder Anthonier: gaß, einseit neben H. Friedrich Philipp Fischbach adel: schaffner, anderseit neben H. baron Reich von Platz, hinten auff eben denselben – (um 500 und 500 pfund capitalien beladen) als ein am 1. julÿ 1730 erkaufftes guth – maßen sich der käuffer mit oberwehnten beeden capitalien nicht beladet dahingegen die verkäuffer verkauffte Häußer innerhalb dreÿ monathlicher frist davon zu befreÿen – um 2500 pfund
Daniel Raimbaut Friderici et Marie Marguerite Greuhm hypothèquent les deux maisons contiguës au profit de la fondation Saint-Nicolas-aux-Ondes
1738 (20.3.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 180
H. Daniel Reinbold Friderici J.V.L. und Cancellariæ Commissarius und Maria Margaretha geb. Greumin mit beÿstand ihrer brüder H. Johann Heinrich Greum E.E. großen Raths beÿsitzers und hochgräffl: Leiningen: harttenburgischen Cammer Rath wie auch H. Johann Greum des Apotheckers
in gegensein hiesigen Stiffts Sti Nicolai in Undis Schaffneÿ Substituti H. Christian Hänel als mandatarÿ H. Pflegern – schuldig seÿen 1500 pfund, die sie H. Arnold La Gardelle dem architecte ahne kauffschillings heutigen tags entrichtet haben und zur melioration hiernach beschriebener behausung
unterpfand, zweÿ nebeneinander liegende aus jetzigem vorschuß von 1000 pfund ahne kauffschilling befreÿte theils reparirt: und meliorirt: theils noch ferner zu melioriren vorhabende Behausung zween, höfen, Bronnen, stallung und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten im Regenbogen: oder Anthonier gaß, einseit neben H. Friedrich Philipp Fischbach adelischem schaffner, anderseit neben H. Baron Reich von Platz, hinten auff eben denselben – als ein am 24. Octobris 1737 erkaufftes guth
Daniel Raimbaut Friderici et Marie Marguerite Greuhm hypothèquent les deux maisons contiguës au profit de Mechtilde Defauves femme de Henri François Malherbe, commissaire à l’extraordinaire des guerres
1741 (20.11.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 566-v
H. Lt. Daniel Reinbold Friderici Commissarius beÿ Löbl. Cantzleÿ und Maria Margaretha geb. Greuhmin mit beÿstand ihres bruders Johann Daniel Greuhm des handelsmanns und ihres Neveu H. Andreas Greuhm Apothecker
in gegensein Fr. Mechtildis geb. Defauves H. Henry François Malherbe Commissaire à l’extraordinaire des guerres eheliebestin welche in deßen namen erschienen beÿständlich ihres bruders H. Pierre Joseph Defauves des handelsmanns – schuldig seÿen 350 pfund oder 1400 livres
unterpfand, zweÿ nebeneinander liegende häußer, zween höffen, bronnen, stallung und hoffstatt cum appertinentis in der Regenbogen oder Antonien gaß, einseit neben H. Philipp Friedrich Fischbach adelischen schafner, einseit neben H. Baron Reich von Platz, hinten auf denselben – als ein am 24. 8.bris 1737 erkaufftes guth
Autre hypothèque au profit de Jean Thomas Frœlich, receveur de la fondation Saint-Marc
1744 (13.2.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 58-v
H. Lt. Daniel Reinbold Friderici Commissarius beÿ Löbl. Cantzleÿ allhier deßen eheliebstin Fr. Maria Margaretha geb. Greuhmin unter assistentz H. Philipp Christian Greuhm lieutetenant unter dem Löbl. Regiment Royal Baviere und H. Johann Daniel Greuhm courtier allhier beede ihrer brüder
in gegensein des Stiffts St. Marx schaffners H. Lt. Johann Thomas Frölich – schuldig seÿen 3000 fr.
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt cum appertinentis ane der Regenbogen: gaß, einseit neben H. Baron von Haindel, anderseit neben H. Fischbach adelischen schaffner, hinten auff N. Marié dem tapezirer und andere pesohnen – als ein am 24. Octobris 1737 erkaufftes guth
La maison est vendue par enchère judiciaire le 22 octobre à 1760 (voir l’inventaire de 1773) à Etienne Daudet.
Natif de Montpellier, il obtient le droit de bourgeoisie à titre gratuit le 21 février 1724.
1724, 3° Livre de bourgeoisie p. 1343
H. Stephan Daudet weÿl. H. Daudet Von Montpelier Hinterlaß. sohn erhalt das burgerrecht gratis, will beÿ E. E. Zunfft d: Kieffer dienen, Jur. d. 21.ten feb. 1724.
Fils de l’entrepreneur des fortifications Jacques Daudet, Etienne Daudet épouse en 1724 Geneviève Félicie Gayet, fille du capitaine Charles Gayet : contrat de mariage, célébration
1724 (24.4.), Not. royal Robert (6 E 41, 42)
Mariage, 24 Auril 1724. – furent presens le Sieur Estienne D’audet Licencié en droit et *arpenteur des Eaux et Forets de la basse alsace, demeurant a Strasbourg rüe des Juifs paroisse Saint Etienne fils de deffunt le sieur Jacques D’audet vivant architecte du Roy et Entrepreneur des fortifications de Strasbourg et dépendances et de Damoiselle Marguerite D’aine jadis Son Epouse et a present Sa veuve ses Pere et Mere de la ditte Dame sa mere a Ce presente ayant le Consentement à l’effet de son futur Mariage cy après Stipulé pour Luy et en son nom D’une part
Et Damoiselle Geneuieue felix Gayet fille de deffunt Charles Gayet Vivant Cheuallier de l’ordre militaire de Saint Louis ayde major et Capitaine des portes de ladite ville et de Dame Marie prudence Chaumont demeurant aud. Strasbourg chez Monsieur de St Romain Chevalier de St Louis Capitaine des portes de ladite ville rüe du Gouuernement Paroisse St Louis, Ladte Damoiselle assistée dud. sieur de Saint Romain pour elle et en son nom d’autre part
Led. sieur futur époux a pris et prend la ditte Damoiselle future Epouse avec les biens droits et Effets qui luy appartiennent et Luy Sont Echeus par le deces des dits Sieur et Dame ses Pere et Mere Consistants Scauoir En une maison et ses dépendances scize en cette ville rue Medar Gass au bas de la rüe des Veaux presentement occupée par le Sieur Aual fayencier qui en rend 120 Liures de loyer par An, acquise par led. deffunt Sieur Gayet du Sieur Meder cy devant Lieutenant de la Mareschaussée et Juge Royal de la Citadelle et des forts de la Ville de Strasbourg moyennant 6000 Liures tournois entièrement payées et dont le Contrat a été passé au greffe de la Contract Stub de cette ville le 12 octobre 1720
Mariage, Saint-Louis (cath. p. 335)
Hodie prima die Mensis May anno 1724 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt honestus dominus stephanus daudet commorans in parochia sancti stephani filius domini Jacobi daudet architectoris Regii et fortificationum hujusce civitatis directoris defuncti et Margaritæ daime et domicella genofeva felicitas gayet parochiana nostra filia dominici caroli gayet equitis ordinis militaris sancti ludovici majore secundi et portarum argentinensium capitanei defuncti et maria prudentia haumon defunctæ (signé) D’audet, genevieve felicité gayet (i 177- proclamation Saint-Etienne f° 197-v i 200)
Etienne Daudet devient tributaire à la tribu de l’Echasse le premier mai 1724
1724, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 103)
(p. 269) Mittwoch den 16. Martÿ Anno 1724 – Herr Stephan Daudet, weÿland herrn Jacob Daudet geweßenen Königlichen Baumeisters von Montpelier gebürtig ehl. Sohn erscheint und prod: Cantzleÿ Stall undt Pfenning thurns Schein de 21. Februarÿ 1724. und 16. Martÿ Anno 1724. bittet umb das Zunfft- und Stuben recht, Erkant wird demselben in seinem petito gegen Erlag der gebühr willfahrt Juravit
Etienne Daudet est nommé secrétaire de la Chambre de police en 1725, secrétaire des Quinze en 1752 (en remplacement de Daniel Raimbaut Friderici) et receveur de l’Œuvre Notre Dame en 1763.
1725 Obere Cancelley Herren, 1725-1739 (4 R 34)
H Lt. Stephan Daudet dem Policeÿ: Schreiber wird ein Bestallungs brieff auffgesetzt. 15 (den 15. 8.bris 1725). Derselbe erhalt eine addition. 89. Vide infra.
1752, Conseillers et XXI (1 R 235)
H Lt. Stephan Daudet wird zu einem unter Secretario gnädig. Hh. der XV. erwehlet Werden zu seÿn, berichtet. 50. Schwöret auff seinen bestallungs brieff. 52.
1763 Conseillers et XXI (1 R 246)
H. Lt. Stephan Daudet bißheriger 2.ter XV.er Secretarius Wird Zu einem Schaffner löbl. Stiffts Frauenhaußes unanimiter erwehlet. 112. es schwört derselbe auff denen in pleno abgeleßenen bestallungs brieff. 120.
1764 (9.1.), Not. Langheinrich (6 E 41, 743) p. 196
zwischen S.T. herrn Stephan Daudet J.V.Lto und Wohl Verdientem Schaffnern des löbl. Stift frauen haußes und S.T. frauen Felicitas Daudet geb. Gayet
So dann S.T. frauen Anna Catharina geb. Breuerin weÿl. S.T. Hn Frantz Joseph Weÿdmanns Es Hoch Ehrwürdigen thomb Capituls hoher Stifft Straßburg Wohlverdienten hr. Oberschaffners seel. nachgelaßener fr. Wittib unter assistentz S.T. Ihro gnaden herrn Joh: Georg Langhans J. Cti. hoch Verdienten regirenden H. Ammeister und des geheimen Collegii derer H. XIII hochansehnlichen Assessoris am andern theil,
auf folgende 9 jahr Lehnung getroffen, dero eigenthümlich gehörige allhier ane der Regenbogengaß, einseit neben Hn Baron Von hahndel anderseit neben H. Schaffner fischbachs seel. Wittib gelegene behaußung – auf 9 nacheinander folgenden jahren auf den 1. Januarÿ dießes 1774 Ihren Anfang genommen – um 270 livres oder 135 fl.
Etienne Daudet meurt en 1773 en délaissant deux filles. Outre les titres de propriété de la maison, l’inventaire mentionne deux autre actes, l’un du Petit Sénat en date du 17 avril 1696 qui règle l’écoulement des eaux avec son voisin Thiébaut Vix (maison à l’arrière), l’autre passé le 30 avril 1738 par Arnaut Lagardelle avec le receveur Fischbach qui cède à titre précaire un emplacement dans la cour (maison au sud). Les experts estiment la maison à 750 livres. La masse propre à la veuve est de 2 337 livres, celle des héritiers de 437 livres. L’actif de la communauté s’élève à 5 101 livres et le passif à 3 224 livres.
1773 (21. 8.bris), Not. Dinckel (J. Frédéric, 8 Not 1) n° 6
Inventarium über Weÿland des Wohl Edel und Hochachtbahren Herrn Stephan Daudet, des Löbl. Stiffts Frauenhaußes geweßenen wohlbestellten Schaffners und vornehmen burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft, aufgerichtet Anno 1773. – nachdeme derselbe donnerstags den 16. Septembris dießes lauffenden 1773. Jahrs dießes Zeitlichen mit dem Ewigen verwechßelt (…) auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren der viel Ehren und tugendsahmen Frauen Genovevæ Felicitatis Daudet gebohrner Gayet der hinterbliebenen Frau Wittib mit Assistentz herrn Frantz Tobiä Rohmer gedachten Löbl. Stiffts Frauen haußes Underschreiber und burgers allhier Ihres hierzu in specie erbettenen Hn beÿstands (…) So geschehen in Straßburg in fernerm beÿstand S.T: Herrn Johann Thomä Aquinatis Laquiante, Königlichen Notarÿ und vornehmen burgers allhier als des Defuncti ernennten Executoris Testamenti auf donnerstag den 21. Octobris et sequenti Anno 1773.
Der Verstorbene seeliger hat zu seinen Erbinnen sowohl ab intestato als per Testamentum verlaßen als volgt, 1° Frau Mariam Franciscam gebohrene Daudet ST. Herrn Frantz Anthoni Mariä Epplen von Hörtenstein, Ihro Excellenz des herrn Grafen von Königsegg Rothenfells Wohlbestellten Ober Ambtmann zu Immenstadt im Allgeü Frau Eheliebste, in deren Nahmen hierbeÿ erschienen S.T. Herr Ludwig Daudet wohlbestellter Saltzverwalter und vornehmer burger allhier (…) wie auch weilen dieselbe allhier ohnbevögtigt und in Teutschland wohnhaft ist, herr Georg Joseph Peter Behr, E: E: kleinen Raths jetziger Beÿsitzer, als aux wohl deßelben Mittel hierzu abgeordneter H. Deputatus welcher erstere mit und beneben dem Hn Deputato seiner Frn Principalis Interesse hierbeÿ beobachtet, So dann 2.do Frau Mariam Ludovicam gebohrne Daudet, ST. Herrn Francisci Chippel, Advocat au Parlement de Metz et Interessé dans les affaires du Roy zu Straßburg wohnhaft Frau Eheliebstin, welche mit und beneben Ihrem Ehehern in Persohn dießem Geschäfft abgewartet
Alßo beede des verstorbenen seeligen mit vorgedachter seiner hinterbliebenen Frau Wittib ehelich erziehlte Frau töchtere (…)
Pro Nota, Es hat der Abgelebte heroseeliger mit vorbesagter seiner hinterbliebenen frau Wittib annoch einen H. Sohn und Zwo Frauen Töchtere erzeugt, nemlichen herrn Franciscum Josephum, Religiosum Ordinis St Bernardi zu Neuburg, Frau Laurentiam Felicitatem, Closterfrau in dem Closter Visitationis Stæ Mariæ allhier und Frau Victoriam genannt Rosalia, Closterfrau in dem Closter deren Annonciades royales Zu Neufchateau, welche ins gesamt aber weilen sie durch Ihr gethane Gelübde auf die Zeitliche Güthere renuncirt, dermahlen nicht mehr erbfähig, so hier zur Nachricht angemerckt wird.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Fronhoff gelegenen dem Löbl. Stifft Frauenhaus Zuständigen mithien in diese Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung befunden worden als folgt.
Eigenthum ane einer behaußung. (T.) Nem. eine Behaußung, höfflein und hoffstatt, mit allen deroselben Gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg ane der Regenbogengaß 1.s neben H. Baron von Händel vorhien, modo Hn von Neuenstein, 2.s neben Hn N. Fischbach hochadellichem Schaffnern, hinden zum theil auf Frau von Streit zum theil auf N. Marié, den Tapezierer und zum theil auf noch mehrern Persohnen stoßend, so gegen männiglichen freÿ ledig eigen, und durch (die Werckmeister) vermög überschickter Abschatzung vom 29.t 8.bris 1773 angeschlagen umb 750. Darüber ist vorhanden I. teutscher pergamentener Ganthkauffbrieff mit E: E: Kleinen Raths allhier anhangendem Insiegel corroborirt de dato 22. 8.bris A. 1760. Dabeÿ 2 alte in allhieß. C C Stub gefertigte teutsche pergamentene Kauffbrieff, mit dero anhangendem Insiegel verwahret de datis 22. Junÿ A. 1699 et 13. Junÿ A. 1667. Ferner Extractus aus E: E: kleinen Raths der Stadt Straßburg Memoriali vom 17. Aprilis 1696 über einen tach so in dießer behaußung befindlich, wie auch des ehemahl. Nachbarn Diebold Vix des wirths Abführung des Regen waßers /und des Wassers vom untern Waßerstein/ durch solchen Nach besagendt. So dann ein von Hn Lagardelle dem vormahligen besitzer dießes hauß in Franz. Sprach eigenhändig ausgestellten Schein, daß derselbe Frn. Schaffner Fischbachin ein klein Plätzlein im höfflein precario eingeraumet de dato 30. Julÿ 1738.
Ergäntzung der Frau Wittib abgegangenen ohnvertheilten Guths, Inhalt der hieoben copialiter eingetragenen Eheberedung
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Copia der Eheberedung – Copia Testamenti solemnis inscriptis
Der Frau Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. Schuld 500, Erg. rest 1837, Summa summarum 2337 lb
Dießemnach wird auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. Kleidung und Weißen gezeugs 62, Sa. Schulden 500, Summa summarum 437 lb
Endlichen wird nun auch das gemein, verändert und theilbahr Guth beschrieben, Sa. hausraths 402, Sa. Weins und Lähre Faß 369, Sa. Silbergeschirr und Geschmeids 307, Sa. Golden geschmeids 37, Sa. Pfenningzinß hauptguths 600, Sa. Eigenthumbs ane einer behausung 750, Sa. Schulden 2635, Summa summarum 5101 lb – Schulden 3224 lb, Detrahendo verbleibt 1877 lb – Stall Summ 3326 lb
La veuve Daudet loue toute la maison à Ricard (Etienne Damien Ricard), intéressé dans les affaires du Roi
1779 (12.7.), Not. Laquiante (6 E 41, 1072) n° 24
Dépôt de bail – Je soussigné veuve Daudet assitée de M Philipe Werner Mre tailleur
à M Ricard interessé dans les affaires du Roy
la maison rue de l’arc en ciel en son entier, moyennant un loyer annuel de 331 livres tournois, le 10 juillet 1779
Geneviève Félicité Gayet veuve d’Etienne Daudet et sa fille femme Chippel vendent la maison à François Antoine Pettmesser, conseiller aulique et receveur de l’évêché de Strasbourg moyennant 3 100 florins (1 550 livres strasbourgeoises)
1787 (9.8.), Chambre des Contrats, vol. 661 f° 327
H. Frantz Tobias Rohmer der unterschreiber löbl. Stiffts Frauenhaußes Schaffneÿ vor und innahmen D° Genevieve Félicité Daudet geb. Gaÿet weÿl. H. Lt. Stephan Daudet obbemelten löbl. Stiffts Schaffners wittib und D° Chippel der Fr. verkäufferin tochter
in gegensein H. Joseph Wilhelm des weinhändlers vor und innahmen H. Frantz Antoni Pettmeßer des hochfürstlichen hoff cammer raths und schaffners des bistumbs Straßburg zu Molßheim wohnhafft
eine besagter D° Daudet zuständige behausung, höfflein, hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten nebst 2 gegoßenen öffen und denen vorfenstern ane der Regenbogengaß, einseit neben den Fischbachischen geschwisterden, anderseit neben H. Baron von Neuenstein, hinten auff H. Hartmann den musicum – um 3100 gulden
Fils de Jean Philippe Pettmesser, François Antoine Pettmesser qui est alors comme son père greffier au bailliage de la Wantzenau épouse en 1753 Marie Elisabeth Silberrad, fille du receveur Jean Silberrad, nouvelle convertie : contrat de mariage, célébration
1753, Not. Lang le jeune (Jean Daniel, 26 Not 5) n° 36
Eheberedung – entzwischen del Wohl Edlen und Hochachtbaren Herrn Francisco Antonio Pettmesser wohlbelobten Amtschreibern des Ambts Wantzenau allhier wohnhaft, weÿl. des auch wohl Edlen und hochachtbaren H. Johann Philipp Pettmesser, geweßten ebenmäßigen Amtschreibers ermelten Ambts wantzenau seel. mit der Viel Ehren und tugendgezierten Frauen Anna Maria gebohrener Kornmännin seiner geweßen Viel geliebten Ehegattin und nach todt hinterlaßenen wittib, ehelich erzeugtem Herrn Sohn als dem Bräutigamb ane einem
So dann der wohl Ehren und mit vielen tugenden gezierten Jungfrauen Maria Elisabetha Silberradin weÿl. des wohl Edlen Rechts wohlgelehrten und Großachtbahrn H Johann Silberrads des Schenckbecherischen und andern Stifftungen geweßten wohlverordneten Schaffners auch wohlverdienten dreÿers auf allhiesiger Löblicher Statt Pfenningthurn, mit der wohl Edlen Viel Ehr: und tugendgezierten Frauen Catharina Margaretha gebohrener Beÿerbachin seiner geweßenten werthesten Eheliebstin und nunmahligen Frau Wittib ehevogt erzeugte Jungfrau tochter, als der Hochzeiterin ane dem andern theil
[unterzeichnet] F. A. Pettmesser als hochzeiter, Maria Elisabetha Silberrad als hochzeiterin
Mariage, Saint-Louis (cath. p. 16)
Hodie 21 Mensis augusti anni 1753 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt dominus franciscus antonius Pettmesser tabularius Baillivii ex vanzenau filius Defuncti Dni Johannis philippi pettmesser et dominæ Johannæ Mariæ Kornmann uxoris superstitis, et domicella Maria Elizabeth Silberad Neo Conversa, filia defuncti Dni Johannis Silberrad et Dominæ Margarethæ Baierbach uxoris superstitis Testes adfuserunt (…) (signé) f. A. Pettmesser, Maria Elisabeth Silberrad (i 10)
Conversion de Marie Elisabeth Silberrad
Répertoires des convertis d’après les protocoles du Convent ecclésiastique (cote 1 AST 89)
335) Silberradinn, Jfr. Maria Elisabeth, H. Johann Silberrads, Schaffners beÿ der Schenckbecherischen Stiftung Tochter, nachher verheÿrathet an Hn Pettmeßer, Amtschreiber zu Gambsen und Pettenhofen.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue Sainte-Hélène qui appartient à Nicard, beau-frère du mari
1753 (27.9.), Not. Lang le jeune (Jean Daniel, 26 Not 4) n° 58
Inventarium über des Hoch Edlen und Wohlachrbahren Herrn Francisci Antonii Pettmeßers, wohlbelobten Ambtschreibern des Ambts Wantzenau und der Viel Ehren und tugendgezierten Frauen Mariæ Elisabethæ gebohrener Silberradin, beeder Eheleuthe allhier zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1753. – Straßburg den 27. Septembris 1753.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Hellenen Gaß gelegenen und Von S..T. Hn Lt Nicard als des Eheherrn Hn Schwagers bewohnenden Behaußung befunden worden wie folgt
In einer sich Zu Wantznau befindendner vnd von Hn Frantz Antoni Pettmesser bewohnender Behaußung hat sich befunden wie volget
La maison revient à l’épouse lors de la liquidation suite au divorce
1794 (11 fruct. 2), Molsheim (3), Not. Woog n° 116
Liquidation – Cit. François Antoine Pettmesser, demeurant à Dorlisheim et
Cit. Marie Elisabeth Silberrath femme divorcée du dit Pettmesser demeurant à Molsheim – pour terminer tous différends entre les parties pour raison d’apports réclamés par ladite Cit. Silberrath lesdits apports en mariage et tout ce qui a été hérité par elle, (…) une somme de 24.000 livres, en remplacement de laquelle somme le Cit. Pettmesser cède
à la Cit. Silberrath
savoir 1. une maison et dépendances située à Strasbourg dans la rue dite [texte tronqué] ensemble tous les fourneaux (…) lesquels meubles avec la maison estimés à 10.000 livres
la moitié de biens situés au ban de Griesheim pour 5500 livres
Marie Elisabeth Silberrad, femme divorcée de François Antoine Pettmesser, expose la maison aux enchères puis l’en retire
1797 (25 prairial 5), Strasbourg 7 (34), Not. Stoeber n° 895
auf Ansuchen burgerin Maria Elisabetha geb. Silberrad brs Frantz Antoni Pettmeßer zu Dorrlisheim wohnhaft geschiedener Ehefrau beÿständlich burgers Johann Heinrich Meiner Schaffner des Stiffts zur hohen schul ihres neveu
zu einer öffentlicher und freiwilliger Versteigerung der ihro eigenthümlich zuständigen behausung höffleins und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden und Rechten an der Regenbogengaß N° 5, einseit neben neben fr. falckenhoffer geb. fischbach anderseit neben den Neuensteinischen Erben hinten auf bilger den Schloßer
b. Wilhelm 6050 lb, burger Nicolas François Pilot 25 prairial 5
den 2. Messidor – den 9 Messidor 6450 br. Johann Maria Gerber Maurer
Elle vend quelques mois plus tard la maison au marchand de vin Joseph Calame
1797 (2 thermidor 5), Strasbourg 1 (13), Not. Lacombe n° 7
Marie Elisabeth Silberad femme divorcée C. François Antoine Pettmesser ancien receveur du ci devant Eveché de Strasbourg demeurant à Molsheim assistée du C. Jean Henri Meinel receveur de la fondation de la hote Ecole demeurant à Strasbourg son neveu
au C. Joseph Calame Marchand de vin
La maison appartenant a la venderesse rue de l’Arc en Ciel n° 5, d’un côté les sœurs Fischbach d’autre le C. Neuenstein par derrière le C. Hartmann meunier, ainsi que la C. Pettmesser l’a acquis de la veuve Daudet à la Chambre des Contrats le 9 aout 1787, laquelle maison a été cédée par led. Pettmesser à la venderesse en payement de ses apports suivant acte de liquidation qui a suivi l’acte de leur divorce déposé chez M° Woog à Molsheim le 11 fructidor 2 – pour 4000 livres
Enregistrement, acp 53 f° 114 du 11 thermidor 5
Natif du Bonhomme en Haute-Alsace, Joseph Calame épouse en 1790 Dorothée Salomé Meyer, fille du perruquier Jean Henri Meyer : contrat de mariage, célébration
1790 (4. 9.br), Not. Laquiante (6 E 41, 1119) n° 8
Contrat de mariage – furent presens le Sr Joseph Calame cit. actif de cette ville fils majeur de Jean Baptiste Calame bourgeois boulanger au bonhomme et de feu Catherine Simon
Dlle Dorothée Salomée Meyer fille majeure de Jean Henri Meyer, perruquier et de feue Salomée Metzger
Etat apport de la future épouse, non estimés
communauté partageable par moitié
Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 32)
Hodie 8. Novembris Anni 1790 (…) sacro matrimonii vinculo conjuncti fuerunt in facie Ecclesiæ Josephus Calame filius majorennis Johannis Baptistæ Calame et Marieæ Catharinæ Simon defunctoril conjugum in Bonhomme diœcesis Basiliensis, parochianus ad Stum Petrum juniorem ex unâ et Dorothea Salome Metzger quondam Conjugum Parochiana anteâ ex alterâ paribus (signé) joseph Calam, dorotea Salome Meÿer (i 34)
Dorothée Salomé Meyer meurt en délaissant deux enfants
1797 (29 messidor 5), Strasbourg 1 (13), Not. Lacombe n° 4
Inventaire de la succession de Dorothée Salomé née Meyer femme de Joseph Calamme, décédée le 26 Germinal dernier – à la requête de Joseph Calame Cit. français en qualité de Mary et commun en biens de (la défunte) son épouse et du C. Jean Frédéric Klinghammer employé aux effets militaires en qualité de curateur de Marie Anne Genevieve et de Joseph Galame, enfants mineurs seuls héritiers de la défunte – Contrat de mariage reçu Laquiante notaire à Strasbourg le 4 novembre 1790
masse active 1587 li
Immeuble, Un jardin situé hors la porte des Pêcheurs attenant au Glacis estimé par le C. Renard jardinier à 1600 livres
Enregistrement, acp 53 f° 92-v du 2 ther. 5
Joseph Calame se remarie avec Marie Idou, fille du tonnelier frontal Idou d’Epfig près de Sélestat
1797 (4 compl. 5), Strasbourg 1 (13), Not. Lacombe n° 46
Contrat de mariage – C. Joseph Calame marchand de vin, veuf de Salomée Meyer d’une part
et Marie Idou, fille majeure de feu François Idu tonnelier a Epffig et de Jeanne Dolde demeurant à Strasbourg
le futur déclare apporter en mariage, ce qui est constaté par l’inventaire dressé après la mort de son épouse par ledit notaire le premier thermidor 5, plus la maison qu’il a acquis devant le même notaire le 2 thermidormaison acquise devant led. notaire le 1 thermidor
Enregistrement, acp 54 f° 75 du 4 comp. 5 – revenu industriel 100 livres
Anne Marie Idou meurt en délaissant trois sœurs.
1801 (11 ventôse 9), Strasbourg 14 (13), M° Lex n° 973
Inventaire de la succession de Cit. Anne Marie Idu son épouse décédée à Strasbourg le 27 brumaire dernier – à la requête des Cit. Joseph Calamme, marchand de vin, en qualité de veuf et usufruitier sa vie durante des biens délaissés par feu (son épouse) et Elisabeth Idu fille majeure demeurant a Epffig sœur de la défunte représentée par Jean Spielmann son beau frère cabaretier domicilié a Schlestadt et comme mari et légitime administrateur des biens de Marie Anne jdu son épouse enfin de Marguerite Idu sœur de la défunte femme du Cit. Algeyer cordonnier demeurant à Epfig héritières présomptives pour moitié
Contrat de mariage reçu Lacombe notaire à Strasbourg le 4 complémentaire 5 (…)
dans la maison appartenante au veuf rue de l’Arc en Ciel N° 5
propres de la défunte, linge 633 fr, garde robe 768 fr, boiserie 18 fr, batterie de cuisine 108 fr, cave 378 fr, bijoux 226 fr, total du mobilier 2295 fr
numéraire 120 fr employé a l’acquittement des frais funéraires, dettes actives 600 fr, passif 6154 fr
Enregistrement, acp 77 F° 93 du 16 vent. 9
Joseph Calame se remarie avec Marie Marguerite Anastase Hommel, fille du pharmacien d’Obernai Jean Baptiste Hommel
1804 (30 thermidor 12), Strasbourg 14 (25), M° Lex n° 4292
Contrat de mariage – Joseph Calamme marchand de vin, veuf de Marie Idu
Marie Marguerite Anastase née Hommell, native d’Oberenheim, fille majeure de Jean Baptiste Hommell, Pharmacien, et de Marie Salomé Reysser, de l’avis de Joseph Laurent Hommell homme de lettres en cette ville et de Georges Antoine Hommell Lieutenant d’ordre des douanes nationales en cette ville ses frères
apports du futur époux, une Maison et dépendances sise en cette ville Rue de L’arc en Ciel n° 5, d’un côté le soussigné notaire, de l’autre le Sr Fischbach négociant devant lad rue derrière la D° Christen née Bodani
Plus une maison sise dans la Grand Rue n° 89, d’un côté le Sr Ehrlenholtz le vieux de l’autre une maisonnette de St Pierre
Plus un jardin de la contenance d’environ 45 ares situé à la porte des Pêcheurs attenant aux Glacis, d’un côté les Glacis de l’autre la veuve Bauer, devant la chaussée de la Rubrechtz: au, derrière la Rivière de la Brüsche
Enregistrement de Strasbourg, acp 93 F° 71 du 10 fruct. 12
Marchand de vins à la Robertsau, Joseph Calame loue la maison à Joseph Hommel receveur des contributions à Bischheim au Saum
1809 (10.6.), Strasbourg 15 (9), M° Lacombe n° 936
Bail 3 de années consécutives qui commencent à courir de ce jour – Joseph Calame marchand de vin à la Robertsau
à Joseph Hommel receveur des contributions demeurant à Bischheim au Saum
la cave entière qui se trouve sous la maison appartenante au Sr Calamme sise en cette ville rue de l’Arc en Ciel n° 20, moyennant un loyer annuel de 30 francs
Enregistrement, acp 112 F° 36 du 13.6.
Nouveau bail entre les mêmes
1813 (27.3.), Strasbourg 15 (17), M° Lacombe n° 2986
Bail de 3 années à commencer le 1 courant – Joseph Calame propriétaire
à Joseph Hommel receveur des contributions demeurant à Bischheim au Saum
la cave entière qui se trouve sous la maison appartenant au Sr Calame sise en cette wille rue de l’Arc en ciel n° 5, moyennant un loyer annuel de 30 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 122 F° 16-v du 29.3.
Joseph Calame meurt en 1815 en délaissant une fille
1815 (8.3.), Strasbourg 15 (20), M° Lacombe n° 3957
Inventaire de la succession de Joseph Calamme, rentier décédé le 14 février 1815 – à la requête de Marguerite Anastase née Hummel la veuve, Marie Anne née Calamme épouse de Julien François Vaudouer rentier à Nantes (Loire inférieure) seul enfant unique héritière
Contrat de mariage reçu M° Lex le 30 thermidor 12 – (Procuration) demeurant à Nantes route de Paris n° (-)
Immeuble de la succession, une maison sise à Strasbourg rue de l’Arc en Ciel n° 5, acquise par contrat reçu M° Lacombe le 2 thermidor 5, estimée 10 000 fr
plus un jardin avec maison et dépendances appelée Petit moulin situé hors la porte des Pêcheurs en bas du glacis a gauche, point estimé
dans le logement du défunt rue de l’Arc en Ciel n° 5 – salle au rez de chaussée, chambre au premier sur le derrière, salon sur le devant, chambre à côté, pièce sur le devant, au second, pièce sur le derrière 2087 fr, mansardes, grenier, cuisine au rez de chaussée, total 3038 fr, autres meubles 1686 fr, créances 12.650 fr ; passif 19.860 fr
acp 127 (3 Q 29 842) f° 121 du 16.3. – meubles et effets, évalués à 4725, créances 12.685, une maison à Strasbourg 10.000, total 27.410.
Un jardin avec maison & dépendances, non évalué
Marie Anne Calame, femme de Julien François Vaudouer, cède la maison à la veuve Marguerite Anastase Hummel
1815 (11.5.), Strasbourg 15 (20), M° Lacombe n° 4033
Liquidation et arrangement, à la requête de Marguerite Anastase née Hummel veuve de Joseph Calamme, propriétaire à Strasbourg, et de Marie Anne née Calamme épouse de Julien François Vaudouer, rentier demeurant à Nantes (Loire inférieure) fille du défunt
actif, Immeuble, la maison située à Strasbourg rue de l’Arc en Ciel n° 5, d’un côté le notaire Lex, de l’autre le Sr Fischbach, derrière les Sr Schott et Versacchi, estimée 10.000 francs
la jardin situé hors la porte des Pêcheurs estimé 10 000 fr
cession de la D° Vaudouer à veuve, la maison et dépendances rue de l’Arc en Ciel n° 5 pour 10.000 fr
acp 128 (3 Q 29 843) f° 18-v du 17.5. – L’actif est de 36.206 francs, le passif y compris les reprises de la veuve de 23.612, reste 12.593.
Les droits de la veuve sont fixés tant pour ses apports que pour ses prétentions en vertu du testament du défunt à 11.651 francs. Pour la remplir, il lui est assigné des meubles et argent la communauté pour 1651, et pour les 10.000 francs restants la Dame Vaudouer lui cède la maison
Marguerite Anastase Hummel institue pour héritier son frère Jean Baptiste Hummel, pharmacien à Obernai
1830, M° Bremsinger
4 février 1830 – Testament de Marguerite Hummel veuve de Joseph Calamme, Marchand de vins à Strasbourg où elle est décédée le jourd’hui, par lequel elle lègue à l’église St Etienne de Strasbourg 200 francs, au petit Séminaire de Strasbourg 200 francs, à l’hôpital d’Obernay 600 francs, plus aux pauvres honteux 600 francs, à Aloyse et Salomé Hummel 194 francs que lui doit leur père, à Barbe Viegenwald sa servante 300 francs et des meubles pour 300, plus elle legue le surplus de sa succession à son frère Jean Baptiste Hummel, Pharmacien à Obernay
acp 198 (3 Q 29 913) f° 195 du 2.4.
Fils du pharmacien d’Obernai, Jean Baptiste Hommel épouse en 1787 Françoise Thiébaut Louise Rieffel, fille du sénateur François Antoine Rieffel de Rosheim
Proclamation, Obernai (cath. f° 254-v n° 20)
Anno Domini 1787 die vero 17 Mensis Septembris (…) joannen Baptistam Hommel D. Johannis Baptistæ Hommel, pharmacopolæ et Mariæ Salome Reÿs civium ac conjugum hujatim filium solutum dimisi ad Dominum Meltzheim parochum in Rosheim quatenus per eum Matrimonio jungi valeat cum Francisca theresia ludovica Rieffel defuncti D. Francisci antonii Rieffel dum viveret senatûs assessoris et Franciscæ Theresiæ Braun conjugum civium in rosheim filiam solutam parochianæ ditæ parochiæ rosheim
Le mariage ne se trouve pas dans la paroisse Saints-Pierre-et-Paul de Rosheim dont Meltzheim est curé (cote 2 E 411, 3) ni dans la paroisse Saint-Etienne. Il a peut-être été célébré à Osthoffen où François Louis Rieffel était curé.
Jean Baptiste Hommel (Hummel) et Françoise Louise Rieffel vendent la maison à Marie Catherine Angélique Coqueugniot veuve du major Joseph Bohn
1834 (29.8.), Strasbourg 2 (77), M° Weigel n° 8485
Jean Baptiste Hommel ou Hummell, pharmacien à Obernai, et Françoise Louise Rieffel
à Marie Catherine Angélique Coqueugniot veuve de Joseph Bohn, major en retraite
une maison avec ses droits, aisances, appartenances & dépendances située à Strasbourg rue de l’Arc en Ciel n° 5, d’un côté la veuve Dexter, de l’autre le Sr Fischbach, devant la rue de l’Arc en Ciel, derrière les Sr Schott et Verzacchi
Titres de propriété, recueilli dans la succession de sa sœur Marguerite Hummell veuve de Joseph Callamme, marchand de vin, dont il est légataire universel par testament reçu M° Bremsinger le 4 février 1830 enregistré le 2 avril suivant, ladite maison appartenait à la D° Calamme par abandonnement de la communauté, suivant liquidation partage dressé par M° Lacombe le 11 mai 1815 entre la veuve Calamme et Anne Marie Calamme femme de Julien François Vaudouer, rentier à Nantes, celle ci née d’un premier mariage du Sr Calamme. Ce dernier l’a acquis de Marie Elisabeth Silberrad femme divorcée de François Antoine Pettmesser, ancien receveur du ci devant Evéché de Strasbourg demeurant à Molsheim, par acte passé devant M° Lacombe le 2 thermidor 5 transcrit au bureau des hypothèques vol. 2 n° 74. La maison appartenait à la D° Pettmesser comme lui ayant été cédée par son mari en paiement des reprises et apports, suivant liquidation qui a suivi le divorce devant M° Woog à Molsheim le 11 fructidor 2. Le Sr Pettmesser l’a acquise de Geneviève Félicité Gayet veuve d’Etienne Daudet, receveur de l’Œuvre Notre Dame, par acte passé à la Chambre des Contrats le 9 août 1787 – Prix, 6000 francs
Enregistrement, acp 227 F° 1 du 8.9.
Originaire de Montabaur en principauté de Nassau (Palatinat), Joseph Bohn épouse en 1819 Marie Catherine Angélique Croqueugniot
1819 (16.9.), Strasbourg 14 (63), M° Lex n° 1211
Contrat de mariage – Charles Joseph Bohn, major de la légion de la Haute Saône en garnison à la Citadelle, natif de Montabaur principauté de Nassau, fils majeur d’André Bohn, propriétaire, et de Marie Thérèse de Babo
Marie Catherine Angélique Croqueugniot fille majeure de Lazare Claude Croqueugniot, ancien colonel sous inspecteur aux revues des troupes, chevalier de la Légion d’Honneur, de l’ordre militaire de Pologne et de celui héréditaire de la Noblesse, et de Marie Catherine Postel de la Dolerie
au domicilie du futur époux rue de l’Arc en Ciel n° 20
Enregistrement, acp 144 F° 134-v du 24.9. – régime de la communauté avec réserve d’apports
Joseph Bohn meurt en 1832 en délaissant trois enfants
1832 (16.5.), Strasbourg 2 (73), M° Weigel n° 7626
Inventaire de la succession de Joseph Bohn, major en retraite, chevalier de la Légion d’Honneur, décédé le 18 avril dernier – dressé à la requête de 1. la veuve Marie Catherine Angélique Coqueugniot, mère et tutrice légale de ses trois enfants 1. Léontine Valérie née le 19 juin 1826, 2. Claude André Léonce né le 27 juillet 1823, 3. Ignace né le 22 mars 1832, en présence de Victor Joseph Descolins, subrogé tuteur, qui a renoncé à la communauté suivant déclaration au greffe du tribunal le 11 de ce mois
en la demeure du decujus rue de l’Arc en Ciel n° 20
Contrat de mariage reçu M° Lex le 16 septembre 1819, garde robe 451 fr, bibliothèque, objets 385 fr, ensemble 552 fr, créances actives 149 fr, argent 225 fr, totalité 1388 fr, passif 1130 fr
acp 210 (3 Q 29 925) f° 63 du 19.5.
Marie Catherine Angelique Coqueugniot hypothèque la maison au profit du chef d’escadron en retraite Jean George Behaghel
1841 (11.3.), Strasbourg 11 (34), Charles Keller n° 1331
Obligation, 11 Mars 1841 – A comparu Mad. Marie Catherine Angelique née Coqueugniot veuve de M. Joseph Bohn, vivant major en retraite, elle propriétaire demeurant & domiciliée à Strasbourg, laquelle a reconnu devoir légitimement
à M. Jean George Behaghel, chef d’escadron en retraite demeurant en la même vimmen à ce présent et acceptant, Une somme de 1400 francs pour pareille qu’il a prêtée à l’instant (…)
hypothèque, Une Maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de l’arc en ciel N° 5 tenant d’un côté à la D° veuve Dexter, de l’autre au Sr Fischbach, pardevant la rue de l’arc en ciel & parderrière des Srs Schott et Verzachi.
Cet immeuble appartient à la débitrice en pleine & incommutable propriété au moyen de l’acquisition qu’elle en a faite durant son veuvage suivant contrat portant quittance du prix passé devant M° Weigel alors notaire à Strasbourg le 29 août 1834 transcrit aux hypothèques le 19 septembre suivant Vol. 285 N° 97. Mme Veuve Bohn déclare ledit immeuble franc de tous privilèges et hypothèques hormis une somme de 2700 francs due à M. Ritter suivant obligation passée devant M° Boersch notaire en cette ville. Quant à l’hypothèque légale qui résulte contre elle au profit de ses enfants elle déclare que cette hypothèque est de nulle importance attendu la renonciation faite par la débitrice en qualité de tutrice desdits enfants à la succession de feu M. Bohn leur père
Autre hypothèque entre les mêmes
1841 (15.5.), Strasbourg 11 (34), Charles Keller n° 1409
Obligation, 15 mai 1841 – A comparu Mad. Marie Catherine Angelique née Coquengniot veuve de M. Joseph Bohn, vivant major en retraite, elle propriétaire demeurant et domiciliée à Strasbourg, laquelle a reconnu devoir légitimement
à M. Jean George Behaghel, chef d’escadron en retraite demeurant en la même ville, à ce présent et acceptant, Une somme de 2000 francs pour pareille qu’il a prêtée à l’instant (…)
hypothèque, Une Maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de l’arc en ciel N° 5 tenant d’un côté à la D° veuve Dexter, de l’autre au sieur Fischbach, pardevant la rue de l’arc en ciel et parderrière des Sieurs Schott et Verzaghi.
Cet immeuble appartient à la débitrice en pleine et incommutable propriété au moyen de l’acquisition qu’elle en a faite durant son veuvage suivant contrat portant quittance du prix passé devant M° Weigel alors notaire à Strasbourg le 29 août 1834 transcrit aux hypothèques le 19 septembre suivant Vol. 285 N° 97. Mme Veuve Bohn déclare ledit immeuble franc de tous privilèges et hypothèques hormis 1° Une somme de 2700 francs due à M. Ritter suivant obligation passée devant M° Boersch notaire en cette ville et 2° Une autre de 1400 francs due à M Behaghel suivant obligation du 11 mars dernier, susrelatée. Quant à l’hypothèque légale qui résulte contre elle au profit de ses enfants elle déclare que cette hypothèque est de nulle importance attendu la renonciation faite par la débitrice en qualité de tutrice desdits enfants à la succession de feu M. Bohn leur père
Marie Catherine Angelique Coqueugniot expose la maison aux enchères puis l’en retire
1842 (30.5.), Strasbourg 13 (57), M° Arbogast n° 941
30 Mai 1842. – A comparu D° Marie Catherine Angelique née Coqueugniot veuve de M. Joseph Bohn, vivant major en retraite, à Strasbourg, elle domiciliée demeurant & demeurant à Strasbourg, laquelle a déclaré qu’étant intentionnée de vendre publiquement & par enchère volontaire la maison ci après désignée, elle a fait publier par les feuilles de la ville de Strasbourg qu’il serait procédé aujourd’hui en l’étude du dit M° Arbogast à l’adjudication définitive, s’il y a lieu de ladite maison
Description de l’immeuble à vendre. Une Maison avec droits, aisances, appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue de l’Arc en ciel N° 5 tenant d’un côté à la Dame veuve Dexter, de l’autre au Sieur Fischbach, pardevant la rue de l’arc en ciel & parderrière (-)
Etablissement de la propriété. Madame la comparante déclare qu’elle est légitime propriétaire de la maison sus décrite pour en avoir fait l’acquisition de M. Jean Baptiste Hommel ou Hummel, pharmacien & de Françoise Louise Rieffel, conjoints à Obernai, aux termes d’un contrat de vente reçu M° Weigel qui en a gardé la minute, lors notaire, & son collègue le 29 août 1834, enregistré & transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 19 septembre suivant Vol. 285 N° 97. Cette maison appartenait en propre à M. Hummel comme l’ayant recueilli dans la succession de sa sœur D° Marguerite Hummel veuve de feu M. Joseph Calamme, vivant marchand de vin à Strasbourg qui a institué M. Hummel son légataire universel par son testament public reçu M° Bremsinger, lors notaire à Strasbourg, prédécesseur immédiat dudit M° Arbogast le 4 février 1830, enregistré le 2 avril suivant. Les conjoints Hummel ont déclaré au contrat susallégué reçu M° Weigel que la D° Calamme était décédée sans avoir laissé d’héritiers de réserve. La D° Calamme était devenue propriétaire de ladite maison au moyen de l’abandonnement qui lui en a été fait en paiement de ses reprises & remplois qu’elle avait à exercer sur la communauté qui avait subsisté entre elle & son mari & de sa part de la succession de ce dernier, ainsi qu’il résulte de l’acte de liquidation et partage de ladite succession, reçu par M° Lacombe fils, notaire à Strasbourg, le 11 mai 1815 enregistré fait entre ladite D° veuve Calamme & D° Marie Anne Callamme, épouse de M. Julien François Vaudouer, rentier à Nantes, fille née d’un premier mariage dudit Sr Joseph Callamme. Ce dernier avait acquis la dite maison de D° Marie Elisabeth Silberrad, femme divorcée du Sr François Antoine Pettmesser, ancien receveur du cidevant éveché de Strasbourg, demeurant à Molsheim contre paiement comptant suivant contrat passé devant le M° Lacombe, lors notaire à Strasbourg le 2 thermidor an V, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 15 Ventôse an VIII Volume 2. N° 74. Cette maison a été par le Sieur Pettmesser cédée à son épouse en paiement de ses reprises & apports inexistants suivant acte de liquidation qui a suivi leur divorce dressé en l’étude de M° Woog, Notaire à Molsheim le 11 Fructodor an II. Enfin le St Pettmesser l’avait acquise de D° Genevieve Félicité Gayet, veuve d’Etienne Daudet, vivant receveur de l’Œuvre notre Dame de Strasbourg suivant acte passé à la ci devant Chambre des Contrats de cette ville le 9 août 1787.
Clauses et conditions (…)
sur la mise à prix de 14.000 francs (…) M. Chrétien Auguste Arnold, architecte demeurant & domicilié à Strasbourg qui a porté le prix de l’enchère à 15.000 francs
N° 942. 31 Mai 1842. fut présent D° Camille Marie Cécile Foderé veuve de Mr Auguste Antoine Pradar, vivant rentier, ladite Dame demeurante à Strasbourg (déclare) faire une surmise de 300 francs
N° 961. 13 juin 1842. (…) mise à prix de 14.400 francs, M) Louis Prosper Auguste Eschbach, avocat, professeur suppléant à la faculté de droit de Strasbourg y domicilié, qui a porté le prix de l’enchère à 16.400 francs
Et à l’instant Madame Bohn a déclaré que ladite maison n’étant pas enchérie à sa véritable valeur, elle entend profiter de la faculté qu’elle s’est réservée par l’article 17 des clauses conditions de la retirer de l’enchère
acp 299 (3 Q 30 014) f° 10-v (adjudication préparatoire), f° 51 (retrait)
Compte de tutelle rendu aux deux enfants Bohn
1842 (5. 9.br), Strasbourg 11 (36), M° Keller n° 1984
(Compte de tutelle, enfants de Joseph Bohn et Catherine Angelique Coqueugniot)
Récépissé, 5 9.b. 1842. furent présent M. Prosper Eschbach, avocat demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire spécial de Mad. Marie Catherine Angelique Coqueugniot, veuve de M. Joseph Bohn, décédé major en retraite à Strasbourg, elle autrefois domiciliée en la même ville mais demeurant actuellement à Paris suivant procuration passée devant M° Joussaud et son confrère notaires à Paris le 7 octobre 1842 (…) annexé à l’Inventaire de la succession de D° Catherine née Postelle veuve de M. Claude Lazare Coqueugniot, vivant inspecteur aux revues, domicilié à Strasbourg dressé par M° Keller l’un des notaires soussignés, cejourd’hui 5 novembre 1842
Et M. Jean Baptiste Dauvais, officier de la légion d’honneur Commandant de place à la Citadelle de Strasbourg, agissant tant comme mandataire que comme curateur de 1° Melle Marie Léontine Bohn, fille majeure de 20 ans, sans état demeurant à Paris, 2° et de M. Claude André Léonce Bohn, mineur de 19 ans, élève à l’école militaire de St Cyr, les deux issus du mariage de M. Joseph Bohn susdénommé avec sa veuve, émancipés par cette dernière au contenu de deux actes reçus par le juge de paix des cantons Est et Ouest de la Ville de Strasbourg en dates des 27 mai et 19 septembre 1842
acp 305 (3 Q 30 020) f° 13 du 12.12. – le 10 décembre – Récépissé par Jean Baptiste Dauvais curateur de Claude André Léonce Bohn mineur émancipé, au profit Prosper Eschbach mandataire de Marie Catherine Angélique Croqueugniot veuve Joseph Bohn
Marie Catherine Angelique Coqueugniot veuve de Joseph Bohn vend la maison au négociant Egide Théodore Holtzapffel
1842 (16.9.), Strasbourg 11 (36), M° Keller n° 1935
Vente 16. 7.b. 1842. – A comparu Mme Marie Catherine Angelique née Coqueugniot veuve de M. Joseph Bohn, décédé major en retraite à Strasbourg, elle, propriétaire demeurant en la même ville, laquelle a par ces présentes vendu & transporté en toute propriété
à Egide Théodore Holtzapffel, négociant demeurant à Strasbourg, à ce présent, acceptant
Une Maison avec appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue de l’Arc en ciel N° 5, tenant d’un côté à la D° veuve Dexter, de l’autre au Sieur Fischbach, pardevant la rue de l’arc en ciel & parderrière les Srs Schott & Verzachi.
Sont compris en la vente 1° six glaces estimées l’une dans l’autre à 130 francs la pièce & ensemble à 720 francs, 2° quatre miroirs estimés l’un dans l’autre à 30 francs la pièce & ensemble 120 francs, 3° quatre poeles avec accessoire dont l’un en fonte les autres en fayence estimés à raison de 50 francs la pièce à 300 francs, 4° une chaudière en cuivre pour lessive estimée à 120 francs, 5° et les bois servant de chantiers à la cave estimés à 240 francs, Tous ces objets se portant à une estimation totale de 1500 francs, placés en ladite maison.
La propriété de la susdite maison est avenue à Mme Bohn au moyen de l’acquisition qu’elle en a faite de M. Jean Baptiste Hummel, pharmacien à Obernai & de D° Françoise Louise Rieffel suivant contrat portant quittance du prix, passé devant M° Weigel, alors notaire à Strasbourg le 29 août 1834, transcrit aux hypothèques de Strasbourg le 19 septembre suivant Volume 285 N° 97. M. Hummel tenoit le dit immeuble de feu D° Marguerithe Hummel sa sœur, décédée veuve du Sr Joseph Calamme vivant marchand de vins à Strasbourg et dont il était seul héritier & légataire universel aux termes du testament public que la dite Dame a fait devant M° Bremsinger alors notaire à Strasbourg et en présence de quatre témoins le 4 février 1830, enregistré. La Dame veuve Calamme en étoit elle-même propriétaire au moyen de l’abandonnement qui lui en a été fait dans l’acte de liquidation & partage de la succession de son mari, ledit acte reçu par M° Lacombe lors notaire à Strasbourg le 11 mai 1815 & fait sans soulte ni retour. Enfin le Sr Joseph Calamme avait acquis la dite maison de D° Marie Elisabeth Silberrad, femme divorcée du Sr François Antoine Pettmesser, ancien receveur du Ci devant éveché de Strasbourg, suivant contrat portant quittance du prix, passé devant le même notaire Lacombe en présence de témoins le 2 thermidor an V, transcrit aux hypothèques de Strasbourg le 15 Ventôse an VIII Vol. 2. N° 74. – (…) Cette vente est faite moyennant une somme de 16.500 francs, dont 15.000 francs pour l’immeuble & le surplus pour les objets mobiliers
acp 303 (3 Q 30 017) f° 30-v
Egide Théodore Holtzapffel vend la maison au relieur Georges François Lampès et à sa femme Barbe Siefert
1845 (3.7.), Strasbourg 1 (97), M° Rencker n° 18.458
Vente 3 Juillet 1845. – a comparu M. Egide Théodore Holtzapffel, négociant demeurant à Strasbourg, lequel a déclaré vendre avec sa garantie contre tous troubles et hypothèques
au Sr Georges François Lampes, relieur & à D° Babette Siefert son épouse de lui autorisée, domiciliés ensemble à Strasbourg à ce présent, acceptant
Une maison avec appartenances & dépendances située en cette ville rue de l’arc en ciel N° 5, tenant d’un côté à la veuve Dexter de l’autre au Sr Fischbach, pardevant la rue de l’arc en ciel & parderrière aux Srs Schott & Verzachi.
Cette maison est venude telle qu’elle se comporte avec toutes les servitudes actives et passives qui peuvent en dépendre, ainsi que le Sr Holtzapffel l’a acquise de D° Angelique Coqueugniot veuve du S. Joseph Bohn de Strasbourg, en vertu du Contrat passé devant M° Keller & et son collègue notaires en Cette ville le 17 septembre 1852, enregistré et transcrit. Dans cette vente sont Compris les objets mobiliers ci après désignés
cinq glaces estimées à 100 francs l’une, à 500 francs
deux miroirs estimés à 20 francs l’un, à 40 francs
six poeles avec tuyaux & pierres à 50 francs pièce, à 300 francs
une chaudière à lessive, 120 francs
les chantiers à la cave à 100 francs
Ensemble de l’estimation 1060 francs (…) La par rapporte vente est faite moyennant la somme de 12.000 francsn savoir pour l’intelligent 10.940 francs & pour les meubles 1060 francs
acp 337 (3 Q 30 052) f° 92-v
Originaire de Francfort-sur-le-Main Georges François Lampès épouse en 1844 Barbe Siefert, fille du journalier Jean Siefert
1844 (10.5.), Strasbourg 14 (118), M° Ritleng n° 14.665
10 Mai 1844. Mariage – furent présens Mr François Lampes ouvrier relieur domicilié à Strasbourg, fils majeur du Sr Georges Lampes marchand épicier domicilié à Francfort sur Main & de D° Marguerite Fritsch sa femme d’une part
& Demoiselle Babette Sieffert fille majeure de feu le S. Jean Sieffert, journalier & de D° Catherine Julig sa veuve, domiciliés ensemble à Strasbourg d’autre part
acp 323 (3 Q 30 038) f° 15 – régime de la communauté d’acquets
Les apports du futur consistent en outils et ustensiles servant à l’exploitation de sa profession d’une valeur de 1000 francs
Les apports de la future consistent en une somme de 2000 francs et en objets mobiliers évalués 1838 francs
Donation par le futur en cas de survie d’une somme de 1500 francs
Donation réciproque par les futurs époux au profit du survivant d’eux de l’usufruit viager de toute leur succession
Le fabricant de portefeuilles François Lampès achète de son voisin Fischbach (maison au sud) la mitoyenneté du mur pour faire construire un troisième étage
1859, Enregistrement de Strasbourg, ssp 130 (3 Q 31 629) f° 30 du 21.9.
du 18 septembre 1859. Vente dont copie suit
Le soussigné F. Lampes, fabricant de portefeuilles, et Dame B. Siefert, propriétaires de la maison sise à Strasbourg rue de l’arc en ciel N° 9 voulant faire construire un 3° étage de sa maison de derrière et latérale, où se trouve la cage d’escalier et ayant besoin à cet effet d’être propriétaires de la mitoyenneté de l’intégralté du pignon séparatif de sa maison et ce celle du Sr Fischbach, propriétaire de la maison sise dans ladite rue N° 7.
M. Fischbach cède aux dits conjoints Lampès la mitoyenneté dudit pignon qui appartenait exclusivement au cédant. Les conjoints Lampes cèdent également à Mr Fischbach la partie d’exhaussement la mitoyenneté de la partie nouvellement construite. Cette partie du pignon figurant sur le dessin a.b.c.d. est fixée à la somme de 324 francs 65 c dont la moitié aux conjoints Lampes fait 162 francs 32 Et la partie nouvellement construite par les conjoints Lampes est fixée à la somme de 72 francs 17 c dont la moitié de la mitoyenneté cédée à M. Fischbach est de 36 francs 08. Reste à payer par cet échange conjoints Lampes à Mr Fischbach 126 francs 24. la somme de 126 francs 24 dès que l’exhaussement du pignon sera achevé
Georges François Lampès et Babette Siefert hypothèquent la maison au profit d’Aloyse Chevalier, curé à Oberbronn. En annexe, police d’assurance.
1862 (26.4.), Strasbourg 15 (106), M° Momy (Hippolyte) n° 8031
Obligation du 26. Avril 1862 – Ont comparu Monsieur Georges François Lampes, relieur portefeuilliste & dame Babette Siefert son épouse de lui autorisée domiciliés & demeurant à Strasbourg, Lesquels ont par ces présentes reconnu devoir solidairement entre eux & l’un d’eux pour le tout
a Monsieur Aloyse Chevalier, curé demeurant & domicilié à Oberbronn pour lequel est ici présent, stipule & accepte Mr Joseph Antoine Benjamin Hertzog, ci présent et acceptant, demeurant & domicilié à Strasbourg, la somme principale de 4000 francs pour prêt de pareille somme
hypothèque, Une maison avec appartenances et dépendances, située en cette ville rue de l’Arc en Ciel N° 5 ancien et 9 nouveau, tenant d’un côté M. Schwaederlé, de l’autre à M. Fischbach, devant la rue, par derrière le Sr Dipper et consorts (…)
Etablissement de propriété. Les époux Lampès déclarent qu’ils sont légitimes propriétaires de l’immeuble ci-dessus hypothéqué pour l’avoir acquis de M. Egide Théodore Holtzapffel, négociant domicilié à Strasbourg en vertu d’un contrat de vente passé devant M° Rencker et son collègue notaires à Strasbourg le 3 juillet 1845 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 5 juillet 1845 Vol. 435 N° 45 et inscrit d’office le même jour Vol. 429 N° 233. – Situation hypothécaire (…)
Police d’assurance. Compagnie d’assurance générale contre l’incendie. n° 27.626, renouvellement de pol. N° 19.677. M Lampes, 15 octobre 1852. Somme assurée 22.000 Prime annuelle 9,45
Monsieur Lampes, Relieur, agissant pour son compte comme propriétaire
1° 21.000 francs 1) une maison d’habitation sise audit Strasbourg rue de l’arc en ciel N° 5 laquelle maison est élevée sur cave de rez-de-chaussée, deux étages, mansardes & grenier, ainsi que bucher & buanderie qui se trouvent dans la cour de ladite maison. L’assuré déclare que le bâtiment est construit en Pierre & bois où la pierre prédomine, couvert de tuiles
1864, Officier de l’état civil
Légitimation par suite du mariage d’entre Georges François Lampès relieur et de Barbe Siefert à Strasbourg de Eugénie Louise Lampès née le 14 8.re 1842
acp 533 (3 Q 30 248) f° 66-v du 13.6.
1868 (22.8.), M° Momy
Consentement par Georges François Lampès relieur et Barbe Seifert sa femme à Strasbourg au mariage de leur fille Louise Eugénie Lampès célibataire à Strasbourg avec Louis Bangratz employé à Strasbourg
acp 571 (3 Q 30 286) f° 150 du 24.8.
Georges François Lampès et Babette Siefert hypothèquent la maison au profit du colonel en retraite Charles Gabriel Beaudet de Morlet
1863 (7.8.), Strasbourg 15 (110), M° Momy (Hippolyte) n° 9051
Obligation du 7. Août 1863 – Ont comparu Mr Georges François Lampes, relieur portefeuilliste & D° Babette Siefert son épouse qu’il autorise domiciliés & demeurant ensemble à Strasbourg, Lesquels ont par ces présentes reconnu devoir solidairement entre eux & l’un d’eux pour le tout
a Monsieur Charles Gabriel Beaudet de Morlet, colonel du Génie en retraite, commandeur de l’ordre Impérial de la légion d’honneur, pour lequel est ici présent, stipule et accepte Mr Jean Baptiste Léon Mengus, aspirant notaire, demeurant à Strasbourg, se portant fort de mondit Sr de Morlet, la somme principale de 3000 francs pour prêt de pareille somme
hypothèque, Une maison avec appartenances et dépendances, située en cette ville rue de l’arc en ciel N° 5 ancien et 9 nouveau, tenant d’un côté M. Schwaederlé, de l’autre à M. Fischbach, devant la rue, par derrière le Sr Dipper et consorts (…)
Etablissement de la propriété. Les époux Lampès déclarent qu’ils sont légitimes propriétaires de l’immeuble ci-dessus hypothéqué pour l’avoir acquis de M. Egide Théodore Holtzapffel, négociant domicilié à Strasbourg en vertu d’un contrat de vente passé devant M° Rencker et son collègue notaires à Strasbourg le 3 juillet 1845 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 5 juillet 1845 Vol. 435 N° 45 et inscrit d’office le même jour Vol. 429 N° 233. – Situation hypothécaire (…)
Police d’assurance. Compagnie d’assurance générale contre l’incendie. n° 38.250, renouvellement de pol. N° 27.626, 28.045. M Lampes, 30 avril 1852. Somme assurée 22.000 Prime annuelle 10,75
Monsieur Lampes, Relieur, agissant pour son compte comme propriétaire
1° 25.000 francs sur une maison d’habitation sise audit Strasbourg rue de l’Arc en ciel N° 9 élevée sur cave de rez-de-chaussée, deux étages, mansardes & grenier, ainsi que sur un bucher & buanderie qui se trouvent dans la cour, la profession de relieur est exercée dans cette maison. L’assuré déclare que le bâtiment est construit en pierre & bois où la pierre prédomine, couvert de tuiles
Georges François Lampès et Babette Siefert vendent la maison à Marie Elisabeth Ebner
1863 (26.8.), Strasbourg 6 (92), Henri Eugène Roessel n° 4335
Vente du 26 Août 1863. ont comparu M. Georges François Lampès, relieur fabricant de portefeuilles et articles de ce genre et Dame Babette ou Barbe Siefert, sa femme qu’il autorise pour tout ce qui suit, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg, Lesquels ont par ces présentes vendu, cédé et abandonné (…)
A Demoiselle Marie Elisabeth Ebner, propriétaire, demeurant et domiciliée à Strasbourg, ci présente et acceptant
Une maison à rez de chaussée, deux étages et mansardes sur le devant ayant quatre étage sur le derrière, bâtiment de derrière, cage d’escalier et corridors, cour, droits, appartenances et dépendances, située à Strasbourg rue de l’arc en ciel nouveau N° 9 ancien N° 5, d’un côté M. Schwaederlé, de l’autre M. Fischbach, devant la rue et derrière le Sr Dipper. Tel que cet immeuble se poursuit et se comporte sans en rien excepter ni réserver (…) Sont compris en outre dans la présente vente Huit poêles avec tuyaux et pierres, une cheminée française, les volets et jalousies, les placards, deux glaces et une console.
Déclarent les vendeurs qu’ils ont acquis l’immeuble présentement vendu de M. Egide Théodore Holtzapffel, négociant demeurant alors à Strasbourg, actuellement à Paris, suivant contrat de vente passé devant M° Rencker et son collègue, alors notaires à Strasbourg le 3 juillet 1845 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 5 juillet 1845 Vol. 435 N° 45 et inscrit d’office le même jour Vol. 429 N° 233. Cette vente, en ce qui concerne l’immeuble en faisant l’objet a eu lieu pour le prix de 10.940 francs sur lequel les vendeurs déclarent encore devoir la somme de 8000 francs qui fera l’objet de la délégation ci-après.
M. Holtzapffel avait lui-même acquis la dite maison de Dame Marie Catherine Angélique née Coqueugniot, propriétaire demeurant à Strasbourg, veuve de M. Joseph Bohn, major en retraite demeurant aussi à Strasbourg, suivant contrat de vente passé devant M° Charles Keller, notaire à Strasbourg le 16 septembre 1842. Dans ce dernier contrat l’établissement de propriété antérieure de ladite maison se trouve indiqué comme suit. La propriété de la dite maison est avenue à Mad. Bohn au moyen de l’acquisition qu’elle en a faite de M. Jean Baptiste Hummel pharmacien et Dame Françoise Louise Rieffel, son épouse demeurant à Obernai, suivant contrat de vente portant quittance du prix, passé devant M° Weigel, alors notaire à Strasbourg le 29 août 1834, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 19 septembre suivant Vol. 285 N° 97. M. Hummel tenait le dit immeuble de feu Dame Marguerite Hummel sa sœur, décédée veuve du Sr Joseph Calamme, vivant marchand de vins à Strasbourg et dont il était seul héritier et légataire universel aux termes d’un testament public que la dite Dame a fait devant M° Bremsinger, alors notaire à Strasbourg et en présence de quatre témoins le 4 février 1830, enregistré. La D° veuve Calamme en était elle-même propriétaire au moyen de l’abandonnement qui lui en a été fait dans l’acte de liquidation et partage de la succession de son mari, ledit acte reçu par M° Lacombe, alors notaire à Strasbourg, le 11 mai 1815 et fait sans soulte ni retour. Enfin le Sr Calamme avait acquis la dite maison de D° Marie Elisabeth Silberrad, femme divorcée du Sr François Antoine Pettmesser, ancien receveur du ci devant éveché de Strasbourg suivant contrat portant quittance du prix, passé devant le même notaire Lacombe en présence de témoins le 2 thermidor an V (20 juillet 1797) transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 15 Ventôse an VIII Vol. 2. N° 74 (6 mars 1800).
Se rapporte encore à la propriété de la dite maison une convention faite entre M. Lampès et M. Fischbach, voisin de la maison présentement vendue, contenant ventes réciproques de la mitoyenneté des pignons séparatifs des deux propriétés. Cette convention faite double à Strasbourg le 18 septembre 1859 portant la mention suivante, Enregistré à Strasbourg le 21 septembre 1859 f° 30 (…) – Cette vente est faite et acceptée en outre pour le prix de 20.000 francs (…)
Déclarent les époux Lampès qu’ils sont mariés en premières noces sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts suivant contrat de mariage passé devant M° Ritleng père, notaire à Strasbourg le 10 mai 1844 et qu’ils ne sont et n’ont jamais été chargés de tutelle ou de fonctions emportant hypothèque légale
acp 524 (3 Q 30 239) f° 73-v du 28.8.
Marie Elisabeth Ebner n’habite pas la maison. La police d’assurance relevée plus loin la cite sous le simple prénom de Marie sous lequel elle figure dans le registre de population
Registre de population 600 MW 374 (1850 sqq) i 52
Ebner, Marie, Strasbourg 34, f. couturière, catholique, française
Place Kléber N° 11 (délogée) 25 mars 1858
rue du Savon N° 6 / 3
Marie Elisabeth, dite Marie Ebner naît en 1834, fille du maçon Joseph Ebner
Naissance, Strasbourg (n° 1366)
Déclaration faite à l’hotel de ville de Strasbourg (…) le 8 septembre 1834, de la naissance d’un enfant dont le sexe a été reconnu féminin, né en légitime mariage le 7 du mois courant à cinq heures du matin et nommé Marie Elisabeth,. Déclarant Joseph Ebner, âgé de 50 ans, Maçon. Père de l’enfant, le susdit déclarant, mère Marie Ursule Spitz. L’accouchement a eu lieu en la maison N° 45 grand’rue
[in margine :] † le 22-XI-1925 N° 2850. (i 10)
Marie Elisabeth Ebner meurt en 1925
Décès, Strasbourg (n° 2850)
Le 22 novembre 1925 à sept heures 45 minutes est décédée en son domicile 3 Rue des Pucelles Marie Elisabeth Ebner, née à Strasbourg le 7 septembre 1834, sans profession, fille de Joseph Ebner et de Marie Ursule Spitz, décédée célibataire. Dressé le 23 novembre 1825 sur la déclaration de Marie Béhé, 46 ans, servante domiciliée en cette commune, 3, Rue des Pucelles (i 259)
Marie Elisabeth Ebner vend la maison à Emilie Débès. En annexe, police d’assurance
1873 (13.11.), Strasbourg 8 (88), Gustave Edouard Loew n° 5601
(Acte bilingue en deux colonnes) A comparu Mademoiselle Marie Elisabeth Ebner, propriétaire demeurant et domiciliée à Strasbourg, Laquelle a par les présentes déclaré vendre et abandonner en toute propriétaire (…)
à Mademoiselle Emilie Débès, sans état, demeurant à Strasbourg, ici présente et acceptant
Une maison à rez de chaussée, deux étages, mansardes sur le devant, ayant quatre étage sur le derrière, bâtiment de derrière, cage d’escalier et corridor, cour, droits, appartenances et dépendances, située à Strasbourg rue de l’arc en ciel N° 9, ancien N° 5, d’un côté Mr. Schwaederlé de l’autre Mr. Fischbach, devant la rue derrière le Sr Dipper. Sont compris dans la vente Au rez de chaussée un poêle en faience avec cors et pierre, au premier étage deux poêles en faience avec cors et pierre, au troisième étage deux poêles en faience avec cors et pierres,
Etablissement de la propriété. Mad.elle Ebner est propriétaire de l’immeuble vendu pour l’avoir acquis de Mr Georges François Lampès, relieur fabricant de portefeuilles et dame Babette ou Barbe Siefert, sa femme demeurant ensemble à Strasbourg aux terme d’un contrat de vente reçu par M° Roessel jeune et son collègue notaires à Strasbourg le 26 août 1863, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le premier septembre 1863 Volume 954 N° 25 et inscrit d’office le même jour au Vol. 848 N° 158. Cette vente a eu lieu moyennant le prix de 20.000 francs (…). Les époux Lampès étaient propriétaires de l’immeuble dont s’agit pour l’avoir acquis de Mr. Egide Théodore Holtzapffel, négociant demeurant alors à Strasbourg, actuellement à Paris, suivant contrat de vente passé devant M° Rencker et son collègue, alors notaires à Strasbourg le 3 juillet 1845 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 5 juillet 1845 Vol. 435 N° 45 et inscrit d’office le même jour Vol. 429 N° 233. Cette vente a eu lieu moyennant le prix de 10.940 francs sur lequel les vendeurs déclarent encore devoir la somme de 8000 francs. Mr. Holtzapffel avait lui-même acquis la dite maison de Dame Marie Catherine Angélique née Coqueugniot, propriétaire demeurant à Strasbourg, veuve de Mr. Joseph Bohn, major en retraite, demeurant aussi à Strasbourg, suivant contrat passé devant M° Keller, notaire à Strasbourg le 16 septembre 1842. Dans ce dernier contrat la propriété antérieure de ladite maison se trouve établie comme suit. La maison est avenue à Mad. Bohn au moyen de l’acquisition qu’elle en a faite de M. Jean Baptiste Hummel pharmacien et de Dame Françoise Louise Rieffel, son épouse demeurant à Obernai, suivant contrat portant quittance du prix, passé devant M° Weigel, alors notaire à Strasbourg le 29 août 1834, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 19 septembre suivant Vol. 285 N° 97. M. Hummel tenait le dit immeuble de feu Dame Marguerite Hummel sa sœur, décédée veuve du Sr Joseph Calamme, vivant marchand de vins à Strasbourg et dont il était seul héritier et légataire universel aux termes d’un testament public que la dite Dame a fait devant M° Bremsinger, alors notaire à Strasbourg en présence de quatre témoins le 4 février 1830, enregistré. La dame veuve Calamme en était elle-même propriétaire au moyen de l’abandonnement qui lui en a été fait dans l’acte de liquidation et partage de la succession de son mari par acte reçu par M° Lacombe alors notaire à Strasbourg le 11 mai 1815 fait sans soulte ni retour. Enfin le Sr Calamme avait acquis la dite maison de dame Marie Elisabeth Silberrad, femme divorcée du Sieur François Antoine Pettmesser, ancien receveur du ci devant éveché de Strasbourg suivant contrat portant quittance du prix, passé devant le même notaire Lacombe en présence de témoins le 2 thermidor an V, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 15 Ventôse an VIII Vol. 2. N° 74.
Se rapporte encore à la propriété de la dite maison vendue une convention faite entre Mr. Lampès et Mr. Fischbach alors voisin de la maison présentement vendue, contenant ventes réciproques de la mitoyenneté des pignons séparatifs des deux propriétés. Cette convention faite double à Strasbourg le 18 septembre 1859 portant la mention suivante, Enregistré à Strasbourg le 21 septembre 1859 f° 30 (…) – Prix 24.000 francs
Situation hypothécaire et Etat Civil. Madlle Ebner déclare que la maison présentement vendue est entièrement franche et libre de toutes dettes hypothèques généralement quelconques. Qu’elle est célibataire et n’est et n’a jamais été chargée d’aucune fonction emportant hypothèque légale
Police d’assurance. Compagnie du Soleil. Mme Ebner Marie, 25 août 1873, N° 27.113
1° 30.000 francs sur une propriété occupée par des locataires en garni sise à Strasbourg Rue de l’Arc en ciel N° 9 composée de deux corps de bâtiments reliés entre eux par la cage d’escalier & élevés l’un partie sur cave, de Rez de chaussée, deux étages & greniers & partie sur cave, de Rez de chaussée quatre étages & comble, & l’autre de trois étages & greniers, le tout construit en pierres, briques & bois couvert en dur, y compris la valeur de la pompe & de toutes les dépendances.
2° 15.000 francs pour la garantie du recours des voisins.
acp 621 (3 Q 30 336) f° 79-v du 21.11.
Emilie Débès hypothèque la maison au profit du marchand Gustave Adolphe Bergmann
1879 (2.9.), Strasbourg 8 (107), Gustave Edouard Loew n° 15.515
Obligation , 2. September 1879 – ist erschienen Fräulein Emilie Débès, großjährig, wohnhaft zu Straßburg, dieselbe bekant hiermit
an den mitanwesenden, dieses annehmenden herrn Gustav Adolph Bergmann, früheren Kaufmann, wohnhaft zu Straßburg, ein darlehen von 8000 Mark zu schulden
Specialhypothek. Ein haus mit Erdgeschoß, zwei Stockwerken und Mansarden nach vorn, vierstöckiges hintergebäude, Hof, Rechten, An- und Zugehörd, gelegen zu Straßburg Regenbogengasse N° 9, früher 5, einerseits herr Schwaederle, anderseit herr Fischbach, vorn die Gasse, hinten Herr Dipper
Es erklärt Fräulein Debes, daß sie das Anwesen von der Eigenthümerin fräulein Marie Elisabeth Ebner in Straßburg kaufte, laut Vertrags vor dem unterzeichneten Notar vom 13. November 1873, überschrieben am Hypothekenamte hierselbst den 21. Januar folgenden Jahres Band 1464 Nr 49, mit amtlicher Einschreibung Band 1166 Nr 91
Emilie Débès et sa voisine Caroline Schœnlaub, veuve de Chrétien Frédéric Kirchner, propriétaire du n° 11, annulent les servitudes entre leurs propriétés. Emilie Débès fermera l’ouverture qui donne dans sa cheminée et fera s’écouler les eaux pluviales et ménagères par son terrain
1879 (5.11.), Strasbourg 8 (107), Gustave Edouard Loew n° 11.680
5 November 1879. Dientbarkeiten-Beseitigung – sind erschienen 1) frau Karolina Schoenlaub, Rentnerin, wohnhaft zu Strassburg, Wittwe des dortigen Kaufmanns herrn Christian Friderich Kirchner, einerseits, und
2) Fräulein Emilie Debes, großjährige Rentnerin wohnend zu Straßburg, anderseits, dieselbe tragen vor
Frau Kirchner ist Eigenthümerin des hauses mit Erdgeschoß, zwei Stockwerken und Speicher nebst Hof, Seitengebäude und Zugehörden, gelegen zu Straßburg Regenbogengasse N° 11, vorher 6, einerseits fräulein Fabry früher herr Momy, anderseits fräulein Debes, früher fräulein Ebner und herr Lampes, hinten herr Dipper und fräulein Fabry, welches Anwesen frau Kirchner von der familie Schwaederle kaufte, laut Vertrags vor Notar Heinrich Eugen Roessel zu Straßburg vom dreizehnten August 1867 überschrieben am hiesigen Hypothekenamte den 23. desselben Monats Band 1118 Nr. 25.
Fräulein Debes besitzet ihrerseits das an das vorige Anwesen anstoßende haus mit Erdgeschoß, zwei Stockwerken und Mansarden nebst Seiten- und Hintergebäude, hof, Rechten und Zugehörden, Regenbogengasse N° 9, vorher 5, zu Straßburg, einerseits Frau Kirchner, vorher die familie Schwaederlé, anderseits herr Fischbach, hinten Herr Dippert. Welches Anwesen Fräulein Debes von der Rentnerin Fräulein Maria Elisabeth Ebner zu Straßburg kaufte, laut Vertrags vor den unterzeichneten Notar vom 13. November 1873 überschrieben am besagten Hypothekenamte den 21. Januar 1874 Bd. 1464 Nr. 49.
Seit mehrere Jahren hat der vor einem frantzösischen Kamin im Saale des erstern Stocks im hause der frau Kirchner kommende Rauch seinen Ausgang ins freie durch einen ausschließlich zum Hause der Fräulein Debes gehörigen Kamin, in welcher er durch der Scheidemaur der beiden Anwesen in der Höhe des erstern Stocks befindliche Öffnung gelangt.
Anderseits aber läuft das vom Anwesen der fräulein Debes abfließende Dach-, Spül- und sonstiges Wasser vom Hofe des frl. Debes in den hof der frau Kirchner, zwar durch eine in der Scheidemauer der beiden Anwesen im gleicher Höhe mit der Erden befindliche Öffung.
Diese Sachlage begründere beiderseitige dienstbarkeiten. Um solche zu beseitigen, vereinbaren nun die frauen Erschienenen
1) Fräulein Debes ist berechtigt, auf ihre Kosten die fragliche Rauchabzugsöffnung in der Scheidemauer vermauren zu lassen, so daß der Rauch vom frantzösischen Kamin oder jedem andern Heizungs apparat, welcher frau Kirchner in ihren Hause errichten möchte, nicht mehr durch der Kamin des frl. Debes abzieht.
2) Frau Kirchner hat auf ihre Kosten in ihrem hause für den fraglichen Rauchabzug einen neuen Kamin herrichten zu lassen.
3) den Wasserablauf betreffend, ist fräulein Debes auf ihre Kosten verbunden, bis zum ersten Januar Künftigen Jahrs die in die Scheidemauer befindliche Wasseablaufsöffnung zu vermauren und in ihrem eigenen Anwesen einen Ablauf des Wassers direkt nach der Gasse herzustellen.
4) In folge des Vorstehenden erlöschen die zwei obigen dienstbarkeiten für immer. Für die Registrierung schätzen die Parteien das jährliche Einkommen jeder dienstbarkeit auf zwei Mark.
Reg. Band 696 Bl. 64
Native de Strasbourg Emilie Débès épouse en 1882 Edouard Schoellhammer, veuf sans enfant de Justine Lang
1882 (14.1.), Strasbourg 8 (115), Gustave Edouard Loew n° 13.761
14 Januar 1882. Ehevertrag – sind erschienen 1) Herr Eduard Schoellhammer, Ritter der Ehrenlegion, Ingénieur außer dienst, Eigenthümer wohnhaft zu Straßburg, kinderloser Wittwer von seiner verlebten erster Gattin frau Justine Lang, handelnd als künftiger Ehegatte, einerseits und
2. Fräulein Emilie Debes, großjährig, wohnhaft daselbst, handelnd als künftige Ehegattin, anderseits
Artikel fünf. Herr Schoellhammer bezeichnet als sein Einbringen das große Anwesen zu Straßburg Langstraße N° 142, vorher 7, bestehend in Vorderhaus mit Erdgeschoß, worin zwei große Läden, und drei Stockwerken, Mansarden mit Belvedere, Speicher, in Seiten und Hintergebäuden, Pferdestall, Remise, Brunnen, drei höfen, Rechten An: und Zugehörden. Das Anwesen wurde während der zwischen h. Schoellhammer und seiner ersten Gattin bestandenen Gütergemeinschaft gekauft
$ 3484
Artikel sechs. Fräulein Debes bezeichnet als ihr Einbringen
acp 721 (3 Q 30 436) f° 94-v n° 3667 du 23.1. – 1) Annahme der gesetzlichen Gütergemeinschaft
2) der Bräutigam bringt zur Ehe in Straßburg in der Langstraße N° 142 gelegenes Wohnhaus mit Zugehör (…) die Schulden betragen Kaufpreisrest mit 64.000, Nachlass der ersten Ehefrau mit 32.705 woran dem Bräutigam die Nutznießung zustehet, (zusammen) 96.706
3) die Braut bringt zur Eben Mobilien geschätzt zu 7378, baares Geld mit 16.000, Stadtobligationen auf Paris und Lyon 932, eine 3% Obligation der Paris-Lyon Mittelmeerbahn 300 (zusammen) 24.610
Ein hieselbst in der Regenbogengasse N° 9 gelegenes Wohnhaus (…) 8000 M
4) Auf Todesfall schenkt die Braut dem Bräutigam die lebenslängliche Nutznießung ihres *igen Nachlasses
Mariage, Strasbourg (n° 41)
Strassburg am 18. Januar 1882. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Eigenthümer Eduard Schoellhammer, evangelischer Religion, geboren den 22. November 1808 zu Straßburg, daselbst wohnhaft, Wittwer der Christine Lang, gestorben zu Strassburg den 26. November 1866, Sohn der verstorbenen Eheleute Johann Adam Schoellhammer, Kunstgärtner, und der Margaretha Salome Schaeff, der Vater wohnhaft zuletzt zu Strassburg und die Mutter zu Rappoltsweiler (Ober Elsaß)
2. die Magdalena Emilie Debes, ohne Beruf, katholischer Religion, geboren den 18. Dezember des Jahres 1841 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg, eheliche Tochter des verstorbenen Bäckers Johann Debes zuletzt wohnhaft zu Straßburg und der Marie Josephine Bernhard, ohne Beruf wohnhaft zu Strassburg
Edouard Schœllhammer, âgé de 78 ans, adopte la fille naturelle de sa femme, Georgette Olympe Débès née à Colmar le 6 juin 1864
1886 (15.6.), Strasbourg 8 (133), Gustave Edouard Loew
Offenkunde – (…) daß sie 1. Herrn Eduard Schoellhammer, Eigenthümer wohnend in Straßburg, erstehelicher Wittwer von Frau Justine Lang, 2. dessen bei ihm wohnende zweite Gattin Frau Madeleine Emilie Debes, mit welcher er sich am 18. Januarÿ 1882 auf der Bürgermeisterei Straßburg verehelicht hat, 3. Fräulein Georgette Olympe Debes, großjährig wohnend daselbst gut kennen, sowie auch wissen
1. daß Herr Schoellhammer, welcher Fräulein Debes an Kindesstatt anzunehmen gedenkt, in seinem 78. Jahre steht, nach dem er dem 22. November 1808 in Straßburg geboren ist, daß er weder aus erster noch zweiter Ehe ein Kind hat, dem Fräulein Debes während ihrer Minderjährigkeit mindestens sechs Jahre lang Pflege und Unterstützung hat angedeihen lassen, sowie daß er einen guten Ruf besitzt
2. daß Frau Schoellhammer gleichfalls einen guten Ruf genießt, kein eheliches Kind hat und dem Fräulein Debes seit ihrer Geburt ununterbrochen Pflege und Unterstützung hat angedeihen ließ
3. daß Fräulein Debes 21. Jahr alt, nämlich zu Colmar den 6. Juni 1865 geboren ist
Ferner ist erschieben die genante Frau Schoellhammer geboren Debes, dieselbe erklärt hiemit unter Ermächtigung seitens ihres mitanwesenden Gatten ihre Einwilligung dazu, daß Herr Schoellhammer das Fräulein Debes an Kindesstatt annehme
acp 776 (3 Q 30 491) f° 95-v du 19.6.
Emilie Débès meurt en 1888 en délaissant pour héritiers testamentaires chacun pour moitié son mari et sa fille.
1889 (8.2.), Strasbourg 8 (147). Gustave Edouard Loew n° 20.765
Inventar errichtet nach dem Ableben der zu Strassburg wohnhaft gewesenen und daselbst am 26. August 1888 verstorbenen Frau Emilie Débès, lebend Gattin des auch daselbst wohnenden Herrn Eduard Schoellhammer, Ritter der Ehrenlegion, Ingenieur außer dienst und Eigenthümer
Im Jahr 1889 am 8. Februar um neun Uhr Morgens zu Straßburg, Regenbogengasse N° 9, Auf Ansuchen von 1. Genanntem Herrn Schoellhammer, handelnd eigenen Namens a) wegen der Errungenschaftgemeinschaft, welche auf Grund ihres vor dem unterfertigten Notar am 14. Januar 1882 errichteten Ehevertrags zwischen ihm und seiner verstorbenen genannter Gattin bestanden hat, b) als Universallegatar zu einer Hälfte am Nachlasse seiner genannten Gattin laut deren olographischen Testament vom 20. Juli 1874 in gemäßheit einer Verfügung des Kaiserlichen Landgerichts in Straßburg vom 7. September des verfloßenen Jahres, gemäß einer Urkunde des unterfertigten Notars Loew vom 29. desselben Monats auf dessen Amtstube hinterlegt
2. Fräulein Georgette Olympe Débès, volljährig, ohne Gewerbe in Straßburg wohnhaft, handelnd als Universallegatarin zur andern Hälfte am Nachlasse der genannten Frau Schoellhammer ihrer natürlichen Mutter welche sie anerkannt hat zufolge dem obenerwähnten Testament der Erblasserin
Ehevertrag (…) IV. Ein Haus mit Zubehör zu Straßburg Regenbogengasse N° 9, einerseits Kirchner, anderseits Drescher vorn die Straße hinten Dischner. Erkauft von der Eigenthümerin Fräulein Maria Elisabeth Ebner zu Straßburg, laut einer Urkunde des Notars Loew vom dreizehenten November 1873 überschrieben beim Hypothekenamte hier den 24. Januarÿ darauf Band 1464 Nummer 49, der Erwerbpreis erklärte die Braut bezahlt zu haben
Testament der Verlebten. Mein Testament. Ich vermache meiner natürlichen Tochter Georgette Olympe Débès, geboren zu Colmar den 6. Juni 1865 den ganzen theil meines Vermögens worüber ich zu ihren Gunsten gesetzlich verfügen darf, den ganzen Ueberrest meines Vermögens vermache ich zu vollem Eigenthum dem früheren Ingenieur Herrn Eduard Schoellhammer, wohnend in Straßburg, welchen ich zu diesem Zwecke als meinen Universallegatar einsetze
acp 813 (3 Q 30 528) f° 5 n° 4433 du 16.2. (Sterbefall erklärt v. 16.2.89, Bd 157 N° 541) Mobilien der Gemeinschaft 694, der Erblasserin 3777, Kleider 611, am Todestag war an baarem Geldt vorhanden 960
Die Erben der Ehefrau Schoellhammer nehmen in Natur zurück a) der noch in Natur vorhandene Mobilien und Kleider b) das in die Ehe eingekaufte Haus zu Straßburg Regenbogengasse N° 9,
Für Eheienbrigen 1. baarees Geld 16.000, 2. Schätzungswert der in die Ehe eingebrachte nicht mehr vorhendenen Mobilien 3601, 3. Schätzungswert der nicht mehr vorhendenen Werthpapiere 1232, zusammen 20.833
Ersatzforderung des Ehemanns 23.295 – Passivmasse der Gemeinschaft 1979n ferner ein Betrag von 154, Beerdigungscosten 2240.
Victoire Nagel, veuve de l’ingénieur civil Camille Glück, fait vendre par adjudication forcée la maison qui appartient à Georgette Olympe Schœllhammer-Débès. La créancière s’en porte acquéreuse.
1895 (26.8.), Charles Lauterbach
N° 18.407. Zwangsversteigerung betrieben durch Viktoria Nagel, ohne Gewerbe, Wittwe des Civilingenieurs Camille Glück, wohnhaft in Strassburg
gegen Georgette Olympia Schoellhammer-Debes, ledig, großjährig, ohne Gewerbe, wohnhaft in Nanzig
Zuschlag an die vorgenannte betreibende Gläubigerin
folgender Liegenschaft. Ein Wohnhaus mit Erdgeschoß und zwei Stockwerken, Mansarden und vierstöckigem Hintergebäude, Hofraum und Zubehör, Grund und Boden, Rechten und Dependenzien gelegen zu Strassburg Regenbogengasse N° 9, eingetragen im Cataster unter Section O 392, 392 mit einem Flächeninhalte vom 0,84 qm
erhalten laut Theilung vor Notar hier vom 11. Februar 1889. Besitz, Genuß und Lasten sofort
acp 903 (3 Q 30 618, II) f° 10 n° 2006 du 3.9.
Originaire de Mulhouse, l’ingénieur Camille Glück épouse à Lyon en 1858 Victoire Nagel, originaire de Strasbourg et demeurant avec ses parents à Lyon (référence)
Mariage, Lyon III (n° 525)
Le premier septembre 1858 à dix heures du matin (…) s’est présenté Mr Glück Camille, Ingénieur demeurant à Arles (Bouches du Rhône) rue de la Poissonnerie* N° 12 né à Mulhouse, arrondissement d’Altkirch (Haut Rhin) le 22 janvier 1831 (libéré de la classe 1851) fils majeur et légitime de Mr Jean Jacques Glück, propriétaire demeurant à Mulhouse, lequel a donné son consentement au présent mariage par acte reçu M° Cla* et son collègue notaires au même lieu le 18 du présent mois, enregistré le même jour, et de défunte dame Christine Dietrich décédée à Mulhouse le 21 octobre 1833
Et Mademoiselle Victoire Nagel sans profession demeurant en la compagnie de ses père et mère en cet arrondissement rue des Trois Pierres N° 100 née à Strasbourg (bas-Rhin) le 19 novembre 1828, majeure et fille légitime de Mr Laurent Nagel Employé et de dame Salomé Staat son épouse, lesquels ont donné leur consentement au dit mariage par acte reçu M° Piaton et son collègue Notaires à Lyon le 16 août dernier, enregistré le 18 du même mois (…) ont formellement déclaré avoir passé un contrat de mariage reçu M° Piaton notaire à Lyon le 26 Août dernier (i 266)
Victoire Nagel consent au mariage que son fils ingénieur Charles Edouard Glück se propose de contracter avec Pauline Jeanne Bal à Paris
1890 (24.12.), Charles Lauterbach
Einwilligung durch Victoire Nagel, Rentnerin zu Straßburg Wittwe des Ingenieurs Camille Glück, in die Ehe ihres Sohnes Karl Eduard Glück, Civil-Ingenieur zu Paris mit Pauline Johanna Bal zu Paris
acp 835 (3 Q 30 550) f° 64-v du 27.12.
Mariage, Paris XVII (n° 873)
L’an 1891 le 24 juin à dix heures er demie du matin, acte de mariage, de Charles Edouard Gluck, né le 7 avril 1859 à Nimes (Gard), ingénieur civil domicilié rue Lemercier 76, fils majeur de Camille Gluck, décédé, et de Victoire Nagel sa veuve rentière, demeurant à Strasbourg (Alsace) consentant par acte devant M° Lauterbach notaire à Strasbourg le 24 décembre dernier, d’une part, et de Pauline Jeanne Bal, née le 20 janvier 1863 à Paris, sans professionn domiciliée rue Lemercier 76, fille majeure de Louis Félix Bal, fabricant de cames, et de Sophie Charlotte Meunier, son épouse demeurant rue Anthony 10, consentatnt par acte devant M° Portefin notaire à Paris le 8 janvier dernier, d’autre part (…) ont déclaré qu’il n’a pas été fait de contrat de mariage, reconnaissant pour leur fils en vue de légitimation Bal Edouard Gaston fils naturel reconnu de Pauline Jeanne né le 19 novembre 1885 et reconnu le 8 septembre 1889 par Charles Edouard Gluck, 2° Paul Camille Maurice, fils naturel reconnu de Pauline Jeanne Bal et de Charles Edouard Gluck né le 16 mai* 1887, tous deux dans le premier arrondissement de Lyon (Rhône) et reconnus dans cet arrondissement (i 2)
Victoire Nagel lègue des biens mobiliers à sa servante Albertine Riehl.
1903, Charles Lauterbach
27. September 1899, n° 22.453 – Testament der dahier am 4. Juni 1903 verlebten Viktoria Nagel Wittwe des Mechanikers Camille Glück hier lautend wie folgt
Ich vermache meiner Dienstmagd Albertine Riehl, wann sie bis zu meinem Tod in meinen Diensten bleibt, um sie für ihre gute Verpflegung und Besorgung zu belohnen, 1. eine Summe von 800 M, 2. alle Gegenstände, die sich in ihrem Mägdzimmer befinden als Bett, Schrank, Kommode, Nachttisch, Waschtisch, Stühle, Umhänge, 3. meine wollene Röcke und Unterröcke, Jacquettes, fischus, 8 weiße Unterröcken meine silberne Brosche, ein Rebblatt bildend, ein goldener Ring mit falschem Diamant, ein Ring mit Ametist, meine Brille, Schirme, Armbänder, Schuh, Pantoffeln u. meine weiße Wüsche, die sich im Kasten nicht befindet. Ich widerrufe alle anderen Testamente
acp 1017 (3 Q 30 732. I) f° 8 n° 1749 du 29.8. (Tab. Bd 85 Bl. 125 N&& 34, S.f. v. 4. XI. 03 284/386)
Victoire Nagel meurt le 4 juin 1903 au domicile du portier Florent Kapp au 7, rue des Dentelles
Décès, Strasbourg (n° 1479)
Strassburg am 4. Juni 1903. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Pförtner Florenz Kapp, wohnhaft in Strassburg Große Spitzengasse 17, und zeigte an, daß die Rentnerin Viktoria Glück, geborene Nagel, 74 ½ Jahre alt, evangelischer Religion, wohnhaft in Strassburg, geboren zu Strassburg, Wittwe von Kamillus Glück, Civilingenieur, Tochter des verstorbenen Seidenwebers Lorentz Nagel, zuletzt zu Nancy, Frankreich, wohnhaft und seiner verstorbenen Ehefrau Salomea geborenen Stadt, zuletzt hier wohnhaft, zu Strassburg in des des Anzeigers Wohnung am 4. Juni des Jahres 1903 vormittags um neun Uhr verstorben sei (i 38)
Victoire Nagel veuve de Camille Glück vend la maison au serrurier Charles Supper et à sa femme Julie Hertel
1899 (27.10.), Charles Lauterbach
Verkauf – Viktoria Nagel, Rentnerin, Wittwe Camill Glück, Civilingenieur, hier
an Karl Supper, Schlosser, und Julie Hertel, Eheleute in Straßburg
Stadt Strassburg, O 392, 392, 0,84 qm Wohnhaus in Erdgeschoß, 2 Stockwerken mit vierstöckigem Hintergebäude, Hof & Zubehör in der Regenbogengasse N° 9
Erworben laut Versteigerung Lauterbach 26 August 1896.
Genuß & Steuren sofort. Preis 24.000, woran baar bezalt 16.000
acp 961 (3 Q 30 676. II) f° 2-v n° 3683 du 28.10.
Charles Supper et Julie Hertel contractent une dette pour acheter la maison au profit d’Emile Lux, demeurant à Forstfeld
1899 (20.10.), M° Loew
Nr 32.129, Obligation – Karl Supper und Julie Hertel Eheleut hier
zu Gunsten Emil Lux, Eigenthümer in Forstfeld, zur Zeit in Oberbronn sich aufhaltend, über ein Darlehen von 16.000 M
Pfand, ein Wohnhaus Regenbogengasse N° 7 hier
und ein Wohnhaus daselbst N° 9 welche die Schuldner demnächst erwerben werden
acp 960 (3 Q 30 675. II) f° 92-v n° 3591 du 26.10.
Ils hypothèquent un mois plus tard la maison au profit dudit Emile Lux
1899 (9.12.), M° Loew
Hypothekenbestellung – Karl Supper, Schlosser und Julie Hertel, Eheleute hier. Laut Urkunde Loew vom 30. october 1899 sollten sie
dem Eigenthümer Emil Lux in Forstfeld einer Schuldverschreibung über ein mit 4 ¼ pro Cto verzinsliches Darlehen von 16.000 M
Unterpfand, das Anwesen in Straßburg Regenbogengasse N° 9, section O 392 und 292 mit 0,84 ar
acp 961 (3 Q 30 676. II) f° 91 n° 4204 du 8.12.
Originaire de Still près de Mutzig, Charles Supper qui demeurait à Graffenstaden épouse à Illkirch en 1875 Julie Hertel, native d’Ulm, dont les parents demeurent à Schwarzach en Bade
Mariage, Illkirch (n° 12)
Den 9. April 1875 um sechs Uhr des Abends, Heirathsurkunde offentlich abgeschlossen im Gemeindehause zu Illkirch von Carl Joseph Supper, geboren zu Still (Unter Elsaß) den 27. Oktober 1846 (…) von Beruf Schlosser wohnhaft zu Grafenstaden, großjähriger Sohn von Ludwig Supper, Steinbrecher verstorben zu Still den 1. Januar 1858 und von dessen Wittwe Maria Anna Kauffmann alt 65 Jahr, wohnhaft zu Still, hier anwesend und einwilligend
und von Juliana Hertel, geboren zu Ulm den 12. Februar 1852, von Beruf Köchin, wohnhaft zu Straßburg, großjährige Tochter von Anton Hertel, Weber wohnhaft zu Schwarzach Großherzogthum Baden hier anwesend und einwilligend und von dessen Ehefrau Magdalena Kleinhans verstorben zu Schwarzach den 28. Dezember 1866 (i 7)
Ficher domiciliaire (602 MW 765)
Supper, Karl (+ 31/5.00, Karl Josef) 28/10.46 Still, K(atholisch)
Frau Juliana geb. Hertel (+ 27/10.02) 12.2.51 Schwarzach, K
Kinder, Sophie 20.2.76, Straßburg, todt 6/8.76
Ludwig Carl 9/878 Straßburg, todt 27/11. 78
(Wohnung) Still
23.6.76 Blindeng. N° 10 Lung
27.8.73 unb.
20.11.73 Grünerbruch 15, Mock
3/4.76 Renngaße 16, Lix
30/9.76 Langstraße N° 6
24.6.77 Langstraße 104. Mthr.
27.6.85 Langstraße 9, Manuel
31.8*.87 Allerheiligengasse 4, Beyer
3.11.87, Jungferngasse 5
6.4.92 Regenbogengasse 7
Charles Supper meurt dans sa maison le 21 mai 1900
Décès, Strasbourg (n° 1328)
Strassburg am 21. Mai 1900. Vor dem Standesbeamten erschienen heute die ledige gewerblose Sophie Supper wohnhaft in Strassburg Regenbogengasse 9 und zeigte an, daß der Schlosser Karl Supper, 53 Jahre 7 Monate alt, katholischer Religion, wohnhaft in Straßburg geboren zu Still, Unter-Elsass, Ehemann von Julie geborener Hertel, Sohn der verstorbenen Eheleute Joseph Supper, Landwirt und Marie Anna Kauffmann zuletzt in Still wohnhaft gewesen, zu Straßburg in der Anzeigenden Wohnung am 21. Mai des Jahres 1900 vormittags um ein Uhr verstorben sei (i 99)
Julie Hertel meurt le 27 octobre 1902
Décès, Strasbourg (n° 2561)
Strassburg am 27. Oktober 1902. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Versicherungsbeamte Alois Hennÿ, wohnhaft in Strassburg Regenbogengasse 7 und zeigte an, daß Julie Supper geborene Hertel, 50 Jahre 7 Monate alt, katholischer Religion, wohnhaft in Straßburg geboren zu Schwarzach, Baden, Wittwe des Schlossers Karl Supper, Tochter des Webers Anton Hertel zu Schwarzach wohnhaft und dessen verstorbenen, Ehefrau Magdalena geborene Kleinhans, zuletzt in Schwarzach wohnhaft gewesen, zu Straßburg in des Anzeigers Wohnung am 27. Oktober des Jahres 1902 vormittags um halb ein Uhr verstorben sei (i 242)
La maison revient à leur fille Sophie Supper qui épouse en 1902 Aloïse Henny, agent d’assurances natif de Grendelbruch
Mariage, Strasbourg (n° 493)
Strassburg am 17. Mai 1902. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Versicherungsbeamte Aloys Henny, katholischer Religion, geboren am dritten August des Jahres 1873 zu Grendelbruch /:Unter-Elsass:/ wohnhaft zu Strassburg Regenbogengasse 7, Sohn des verstorbenen Bauunternehmers Andreas Henny und seiner verstorbenen, Ehefeau Luise geborenen Untrau, beide zuletzt in Grendelbruch
2. die Sophia Supper, ohne Beruf, katholischer Religion, geboren am 30. März des Jahres 1877 in Strassburg, wohnhaft in Straßburg wie oben, Tochter des verstorbenen Speisewirthes Karl Joseph Supper, zuletzt wohnhaft in Strassburg und seiner Ehefrau Juliane geborenen Hertel wohnhaft in Strassburg (i 97)
Aloïse Henny et Sophie Supper hypothèquent la maison au profit de Madeleine Bastian, femme divorcée d’Auguste Lienhart
1902 (10.11.), M° Loew
N° 36.312. Schuldbrief – Alois Henny, Versicherungsbeamter zu Straßburg und dessen Ehefrau Sophie Supper
zu Gunsten von Magdalena Bastian, geschiedene Ehefrau August Lienhart zu Straßburg über ein baares Darlehen von 9000 Mark
Pfand, zwei Häuser zu Straßburg Regenbogengasse N° 7 N° 9
acp 1005 (3 Q 30 720. I) f° 16 n° 2540 du 13.11.