4, rue de l’Arc-en-Ciel
Rue de l’Arc-en-Ciel n° 4 – VI 5 (Blondel), O 398 puis section 25 parcelle 83 (cadastre)
Maîtres d’ouvrage, Joseph Graff (1757 et suiv.) et Joseph Auguste Jean Baptiste Richard Praz (1781-1783)
Façade (août 2017), portail (avril 2015)
Elévation sur rue (1995, dossier de la Police du Bâtiment)
Voisine de la maison dite A la cornue (zum Kolben) au nord, la maison comprend un bâtiment avant, un bâtiment arrière et des bâtiments accessoires. Le médecin Daniel Rixinger l’acquiert en 1628, ses héritiers la revendent en 1650 au remueur de grains Jean Georges Merckel. Les préposés aux feux rendent une sentence la même année, une convention relative au chenal a lieu en 1652. Le notaire et receveur de familles nobles Jean Breu en devient propriétaire par héritage en 1701 et acquiert en 1726 la voisine A la cornue. Il est autorisé à ouvrir deux communications entre les deux maisons, l’une dans les écuries et l’autre dans le bâtiment avant, en arguant que dans les temps anciens il s’agissait d’une seule propriété. Il lègue la maison à son fils Jean Sigefroi Breu, lui aussi receveur de familles nobles, qui cède ses biens à ses créanciers en 1757. Le remueur de grains Joseph Graff ferme les ouvertures qui faisaient communiquer la maison avec sa voisine et acquiert (maison A la cornue) en 1763 une portion de cour il doit faire des améliorations puisque la valeur minimale de la maison passe de 1 000 livres en 1742 à 1 500 livres en 1772 et en 1780. L’avocat Joseph Auguste Jean Baptiste Richard Praz y fait de nouvelles transformations qui portent sa valeur à 2 250 livres en 1785. C’est sans doute lui qui met la façade au goût du jour en lui donnant son aspect actuel : porte cochère à fronton, bandeaux entre les étages, encadrements de fenêtre à linteau orné d’une fausse clé. On sait en tout cas que le maître maçon André Müller est autorisé à agrandir une croisée en 1781.
Plan-relief de 1725, l’actuel n° 4 est le quatrième bâtiment à partir de la maison d’angle (© Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Dessins préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 80, plan, élévations sur rue
L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et deux étages en pierre de taille. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue est la deuxième à droite du repère (m). Au rez-de-chaussée, une des fenêtres actuelles est alors une porte ; il pourrait s’agir de la croisée agrandie en 1781 pour le compte de Joseph Auguste Jean Baptiste Richard Praz. La cour G représente la façade postérieure (1-2) du bâtiment sur rue, le bâtiment arrière (3-4), celui (2-3) à gauche et celui (4-1) à droite de la cour. La cour H en triangle qui doit correspondre à l’achat de 1763 est bordée de la façade postérieure (1-2) du bâtiment arrière, d’un édicule (1-3) au sud et du mur (2-3) qui sépare la cour de celle du voisin.
La maison porte d’abord le n° 22 (1784-1857) puis le n° 4.
L’inspecteur des travaux Pierre Valentin Boudhors acquiert en 1786 la maison qui revient à sa fille Gertrude Rosalie Boudhors, femme de l’architecte du roi Jean Jacques Schuler. Le restaurateur Joseph Félix Bastia en devient locataire en 1835, le limonadier Jean Baptiste Hauswald propriétaire en 1862. Guillaume Rinkenbach y transfère en 1911 sa fabrique de cartonnage. La Société civile immobilière propriétaire de l’immeuble procède à une réfection générale des intérieurs en 1994.
Façade arrière, bâtiment arrière, coupe (projet), coursive avant travaux
plan du rez-de-chaussée avant travaux (1995, dossier de la Police du Bâtiment)
janvier 2018
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment, dossier I, dossier II – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1621 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
1621 | adj | Michel Philippe Lung, notaire, et (1616) Anne Klein remariée (1626) avec le boulanger Josse Edelmann – luthériens |
1628 | v | Daniel Rixinger, docteur en médecine, et (1609) Catherine Stædel, veuve de Jean Christophe Zeyssolff – luthériens |
1636 | v | Philippe Jacques de Montreux-Chavanatte, cornette (vente résolue) |
1650 | v | Jean Georges Merckel, remueur de grains et (1646) Marie Daul, remariée (1675) au chef des travaux Philippe Lump – luthériens |
1696 | v | Jean Philippe Schmidt, assesseur des Quinze, et (1658) Anne Catherine Hepp – luthériens |
1701 | h | Jean Breu, notaire, et receveur, et (1687) Anne Marguerite Beck, (1698) Anne Catherine Schmidt, (1706) Anne Marie Boch et (v. 1716) Susanne Nægelin – luthériens |
1742 | h | Jean Sigefroi Breu, receveur, et (1736) Marie Salomé Reisseissen puis (v. 1738) Rebecca Françoise Bassy – luthériens |
1757 | v | Joseph Graff, remueur de grains, et (1754) Marie Madeleine Meyer – catholiques |
1773 | h | Jean Georges Pulvermüller, boucher, et (1773) Marie Madeleine Meyer veuve du précédent – catholiques |
1781 | v | Joseph Auguste Jean Baptiste Richard Praz, avocat († 1783), et Angélique Caron – catholiques |
1786 | v | Pierre Valentin Boudhors, inspecteur des travaux, et (1777) Gertrude Meng – catholiques |
1828 | h | Jean Jacques Schuler, architecte du Roi, et (1808) Gertrude Rosalie Boudhors |
1852 | v | Frédéric Emile Simon, lithographe, et (1837) Julie Wilhelmine Knoderer |
1862 | v | Jean Baptiste Hauswald, limonadier, et (1842) Marie Madeleine Hæberlé |
1867 | v | Jean Henri Fischbach |
1881* | v | Catherine Henriette Vonseel et (1907) le marchand Ernest Frédéric Stoll |
1901* | v | Jean Ehstand, entrepreneur de constructions, et Anne Wehr |
1913* | v | Guillaume Rinkenbach, fabricant de cartonnage, et Line Bingenheimer |
1923* | v | Jules Marie Schneider et son épouse née Biess |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 350 livres en 1696, 1050 livres en 1705, 750 livres en 1715, 1000 livres en 1742, 1500 livres en 1772, 2250 livres en 1785
(1765, Liste Blondel) VI 5, Joseph Graff
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 398, Schuler, Jean Jacques, ex architecte, Robertsau – maison, sol – 2,4 are
Locations
1786, Joseph Neltner négociant
1786, marquis de Lutre
1810, Philippe Léopold de Günderode, capitaine
1835, Joseph Félix Bastia, restaurateur
Livre des loyers communaux
Le loyer dû pour les communications entre les deux maisons est porté aux registres des loyers. Il s’éteint en 1757 quand les deux propriétés redeviennent indépendantes et que les ouvertures sont fermées
1673, Livre des loyers communaux VII 1465 (1673-1741) f° 264-v
Herr Johannes Brew Ex Senator, soll von einem Acht Schuh hoch und Sechs Schuh breiten durchbruch in dem hinterhauß Seiner in der Regenbogen gaß liegenden wohnung, welcher auß dem Stall in den Reuberischen Hoff, durch eine zweÿ schuh dicke maur gebrochen worden Jahrs auf Joh: Baptæ und laut der herren XV. Erk. vom 8. Martÿ 1727. Anno 1728. i.mo, 1 lb 5 ß
(Quittungen, 1730-1741)
Neuzb fol 333
1741, Livre des loyers communaux VII 1471 (1741-1802) f° 333
alzb. 264-b
H. Joh: Sigfrid Breu ([corrigé en] Joh: Sigfrid Breu) exsenator solle von einem 8. schuh hoch: und 6. schuh breiten durchbruch in dem Hinterhauß seiner in der Regenbogengaß liegenden wohnung, welcher auß dem Stall in den Reuberischen hoff, durch eine 2. schuh dicke maur gebrochen worden Jahrs auf Joh: Bapt., 1 lb 5 ß
(1741-1757, clos)
Protocole des Quinze – Préposés aux affaires foncières (Bauherren)
1727, Protocole des Quinze (2 R 132)
Après avoir acquis la maison dite A la cornue (zum Kolben) voisine de la sienne, Jean Breu demande l’autorisation d’ouvrir deux communications entre les deux anciennes propriétés. Il excipe d’un contrat de location daté de 1342 qui mentionne des ouvertures fermées par la suite. Le chef des travaux et les chefs de chantier qui se sont rendus sur place ont constaté qu’une ouverture de huit pieds sur sept a été percée à travers un mur de trois pieds d’épaisseur dans les écuries, l’autre ouverture de sept pieds sur trois dans le mur pignon fait communiquer une chambre et un poêle dans le bâtiment avant. La commission relève que la visite n’a pas mis en évidence d’anciennes ouvertures entre les deux propriétés et que l’acte de 1342 n’est pas probant puisque les communications ont été interdites en 1552 seulement, elle est cependant d’avis d’autoriser les ouvertures en indiquant qu’un loyer compris entre 10 et 25 sols s’applique dans des cas comparables. Jean Breu demande dix jours plus tard une réduction de loyer que les Quinze refusent d’accorder en renvoyant à leur première décision.
Herr Johann Brew Exs. pt° durchbrüch in der Regenbogengaß
(p. 39) Sambstag d. 8. Feb. 1727. Moss. nôe Johann Brew Exsenatoris pord. Und.th.Mem. undt bitten mit Beÿlag Lit. A. umb gnädige permission in seiner Nebens Wohnung einen durchbruch machen Zu dörffen, bitt demuthig nach deßen jnhalt. Erkandt, Ober Baw herren.
(p. 85) Sambstag d. 8. Martÿ 1727. Herr Johann Brew Exs. pt° durchbrüch.
Iidem [Ober Baw herren] laßen ferner per Eundem [H.Secret. Kleinclaus] referiren, daß H. Johann Brew Exsenator den 8. Febr. jüngst ein Und.th.Memoriale undt bitten mit Beÿlag Lit. A eingelegt, darinnen er Zu Vernehmen gibt, daß die beede Wohnungen Weÿl. H. Rathherr Räubers, und die seinige neben einander in der Regenbogen Gaß gelegen, Vor Zeiten einem possessori allein gehörig gewesen, Wie dann auch in der Sub Lit. A. beÿligenden Lehnung Verschreibung über erstgedachte Wohnung d. 28. Junÿ 1342. auffgerichtet, befindlich daß sie genennet werden, eine Hoffstatt mit Zweÿen Häußern Zum Kolben genant, so darauff gebawen, unter einem dach Ziehend auff den Garthen neben St. Anthon Hoffmaur, Nun seÿen Zwahr einige Zeit lang eben solche Zweÿ wohnungen Von Zweÿ verschidenen proprietarÿs bewohnet geweßen, deßwegen dann auch der innwendige durchgang und die Communication geändert, undt eine Maur dar Zwischen geführt worden, Anjetzo aber da er auch denjenigen Antheil Von obbeschriebener hoffstatt, welchen herr Rath. Räuber und seine Erben im besitz inngehabt an sich erkaufft, und sie sambtliche hoffstatt mit beeden Wohnungen bewohnen und genießen möchte, seÿe Ihme wieder ein durchbruch und Communication inwendig der Gebäwen höchst nöthig, mit demuthiger bitt, Mgh. geruhen wolten Zu permittiren, daß Wieder eine Communication und durch bruch Zwischen solcher seiner hoffstatt gemacht Werden dörffe.
Auff geschehene Remission habe man mit Zuziehung der herrn dreÿ des Pfenningthurns, Herrn Lohners undt der beeden Werckmeister den Augenschein eingenommen und ersehen, daß der eine durchbruch aus H. Brewen hinder hauß worunder der Stall ist, aus dem Stall in den Reuberischen hoff durch eine dicke Maur Von dreÿ schuh gebrochen, und acht schuh hoch und sechs Schuh breit eingerichtet, der Zweÿte aber in ged. H. Breun Vorder hauß aus seiner Cammer in die Reiberische stub, durch einen steinern Gebel gebrochen und Sieben Schuh hoch und dreÿ schuh breit gemacht Worden (vid. den beÿ denen Acten liegend. procès verbal). Alß man hierauff den Imploranten noch ferner gehört, habe er sich auff den jnhalt seines Memorialis bezogen mit den beÿsatz, daß er in seinem bißherigen wohnhauß nur eine Finstern Winckel habe, umb ein pferdt Zu stellen, dahingegen wann Ihme die verlangte Communication erlaubt würde, er sich des in den andern hoff befindlichen Stalls würde bedienen Können.
Auff seithen der Hh. Depp. habe man Zwischen beeden Häußern Kein Zeichen eines schon alten durchbruchs beÿ obgangeregtem Augenschein bemercken können, da doch der Implorant durch die beÿlag Lit. A. beweißen wollen, daß schon ehedeßen eine Communication Zwischen beeden Häußern quæstionis gewesen seÿe. Deme seÿe nun wie Ihm wolle, so habe der H. Implorant deßwegen Weder jus ad rem noch jus in re, umb so daweniger alß die Von Ihme allegirte Lehnungs Verschreibung schon den 28. Junÿ 1342. gemacht worden, da die Zusammenbrechung der Häußer noch nicht Verbotten war, dahiengen der derentwegen gemachte Obrigkeitliche Verordnung erst d. 5. Martÿ 1552. herausgegeben und d. 30. Julÿ 1582. ferner erlaubet indeßen aber die Communication, soferne auch eine Zwischen beeden Häußern gewesen sein solle, wiederumb abgeschnitten worden. Man halte aber dafür, daß dem Imploranten die verlange beede thüren in obbemelter breithe und höhe durch zubrechten und Zu machen erlaubt Werden Könte, jedoch mit dem beding, daß er Von jeder thür 1 lb 5 ß bodenzinß Gemeiner Statt Pfenningthurn jährlich Zu entrichten und Zu bezahlen schuldig sein solte. die protocolli Mghh. der XV. de annis 1714 fol. 236.b und 1725. pag. 319. gebten maaß, daß Von dergleichen durchbrüchen 10. 15. 20. biß 25. ß jährlich zu bezahlen angesetzet worden. Zu Mgh. stellend, was sie dißfalls gnädig erkennen wollen. Erkandt, bedacht durchaus gefolgt.
(p. 92) Sambstag d. 15. Martÿ 1727. pt° durchbruchs – Fuchß noê H. Joh: Brew Exs. prod. Undth. Memoriale und bitten pt° bodenzinß bitt die ihme angesetzte 1. lb 5 ß bodenzinß von jeder Thür deren Zweÿ, welche ihme heut 8 tag angesetzt worden in gnaden zu moderiren. Erkandt, Wird es beÿ ergangenen bescheid gelaßen.
1727, Préposés aux affaires foncières (VII 1392)
Même affaire traitée préalablement par les préposés aux affaires foncières. Le rapport, signé par Jean Pierre Pflug, se trouve parmi les pièces annexes. Après avoir fait mention du loyer (une livre 5 sols), le secrétaire Jean Christophe Kleinclaus l’a contresigné
(f° 135) Dienstags den 4. Ejusdem [Februarÿ 1727] Herr Rathherr Johannes Brew wegen durchbruchs
Herr Rathherr Johannes Brew berichtet, daß Er von Friderich Reibers Erben ein Hauß in der Regenbogengaß, Zum Kolben Genannt, und neben seinem gelegen, an sich erkaufft, und weilen sich in seinen Documenten erzeiget, daß diese Zweÿ Häußer Hiebevor eine Communication mit einander Gehabt, die jhme jetzund wieder dienen Könte, als bittet er Ihme solche wiederumb Zuerlauben. Erkant wird an die Herren XV. Verwießen
(f° 140-v) Mittwochs den 19.ten Febr. seÿnd folgende augenschein eingenommen worden – Herr Johannes Brew wegen durchbruchs
Anfänglichen und Zwar in beÿsein Herrn XV. Secretarÿ Johann Christoph Kleinclaußen, in Herrn Rathherrn Johannes Brewen von Friderich Reibers Erben erkaufften, in der Regenbogengaß gelegen, und Zum Kolben Genannten behaußung, in deren Hindern Hoff er durch den Stall seiner bewohnenden darneben, Gelegenen behaußung einen durch Von 8. Schuhe hoch und 6. schuhe breit, So dann eine andere Communication Vermittelst einer 3. schuhe breit und 7. schuhe hohen Thür Von einer Stuben Ged. Reiberischen fordern Haußes, in eine Kammer seines schon Vorhergehabten Haußes Zumachen, umb erlaubnus gebetten, so er auch umb so ehender Zuerhalten Verhoffet weilen schon Vor Altem, wie auß seinen Documentos erweißlich, diese beede Häußer einem proprietario Zu gehöret, und Communication mit einander Gehabt haben.
(VII 27) N° b. 90 – In Sachen H. Johann Breÿen E. E. großen rahts alter rathherr ist durch die Hochverordnete ober bauherren und treÿer deß Pfenningthurn ein augenschein eingenohmen worden in der rëgen Bogen Gaß ein seits deß H. Breÿen Hauß ander seits deß ge Kaufften reiberischen Hauß so Zweÿ turchbrüch betrëffent, der eine soll auß deß H. Breÿen hinter hauß worunder der stall ist, auß dem stall in dem reiberischen Hoff durch ein ticke mauer von Zweÿ schu gebrochen werden und solle der turch bruch Hoch sein acht schu breit sechs schu, In deß H: rahtherr Breüen seinen Vorder Hauß solle auß seiner Kammer in die reiberische stuben ein turch bruch gemacht werden so durch einen steinereren gëbell soll gebrochen werden siben schu hoch und treÿ schu breÿt. straßburg den 19:febr: 1727. Johann Peter Pflug Wërck Meister deß Mauer hoffs
Auß Erkantdtnuß Mghherren der fünffzehen Vom 8.ten Martÿ 1727. solle herrn breüen obbeschriebene Zween durchbrüch in bemelter Größe machen Zu laßen erlaubt sein, jedoch mit dem anhang, daß er von jedem Gemeiner statt Pfenningthurn Ein Pfundt fünff schilling alß ein bodenzinß Jährlich zu Bezahlen schuldig sein solle. T. Johann Christoph Kleinclauß XV.en Secretarius.
(v°) den 31.t Martÿ 1728. ist hierüber stehende Erkandtnus auf Herrn Lt Schwender des Amptmanns Zu Ehrstein gethanes ansuchen durch herrn Bernhard Bender, den dreÿer Knecht, in copia, deßen haußhälterin zugestellt worden, welche versprochen, obged. Ihrem Herrn noch dießen Abend solche zuzustellen, damit beÿ vorhabender Inventation das onus der benanten behaußung Kan annectirt und den Erben deßhalben bericht mitgetheilt werden kan. T. Pfenningthurn.
1776, Préposés aux affaires foncières (VII 1417)
Le maçon Jacques Hertelmeyer est autorisé au nom du propriétaire Jean Jacques Pulvermüller à repeindre la maison
(f° 96) Montags den 29. Julÿ 1776 – Joh. Jacob Pulvermüller
Mr Jacob Härtelmeÿer, nôe. Johann Jacob Pulvermüllers, des Metzgers bittet zu erlauben deßen ane der Regenbogengaß gelegene behausung anstreichen zu laßen. Erkannt, Willfahrt.
1781, Préposés aux affaires foncières (VII 1419)
Le maçon André Müller est autorisé au nom du propriétaire Praz à agrandir une croisée à condition de supprimer un chenal
(f° 221-v) Dienstags den 8. Maji 1781. – H. Rathh. Praz
Mr Andreas Müller der Maurer, nôe. Herrn Rathh. Praz, bittet zu erlauben an deßen behausung ane der Regenbogen Gaß gelegen die Kreutzstöck gröser zu machen zu laßen. Erkannt, Willfahrt mit dem Anhang den Ausschuß Naach weg zu machen.
Description de la maison
- 1705 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant, un passage latéral, un bâtiment arrière et un puits, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 2 100 florins
- 1715 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant, un bâtiment latéral et un bâtiment arrière, un passage latéral, des écuries, une cave solivée et un puits, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 500 florins
- 1742 (billet d’estimation traduit, maison décrite avec la voisine A la cornue) Le bâtiment avant comprend une grande cave voûtée, au rez-de-chaussée le vestibule, à gauche une grande salle, au premier étage un poêle, une chambre à cheminée, cuisine, vestibule, au troisième étage à nouveau un poêle, une chambre à cheminée et un vestibule, plus haut deux greniers, le comble est en partie encore couvert de tuiles creuses, deux pigons en pierre
le bâtiment latéral comprend à gauche au rez-de-chaussée la buanderie et une cuisine dépendant du bâtiment arrière, au premier deux chambres et un poêle, ensuite un passage partant du bâtiment avant, à l’étage mansardé deux chambres à demi-toit, les poutres dans le mur arrière reposent sur une solive et un pilier de sorte qu’il n’y a pas de mur coupe-feu plus haut
le bâtiment arrière comprend au rez-de-chaussée un poêle, une chambre, un cabinet, un vestibule, au premier étage un poêle, une chambre à alcôve, une chambre à cheminée, plus haut deux greniers à grains, un comble (verschweld) dont un niveau est en pierre et l’autre en bois ainsi qu’une cave voûtée,
un jardin, une vieille écurie et un passage sur piliers, chacun étant couvert d’un demi-toit, au-dessus de mauvais greniers, le tout estimé avec les appartenances et dépendances à la somme de 7 000 florins - 1785 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière où se trouvent plusieurs poêles, deux cuisines, une chambre à cheminée à la française et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, il y a aussi un puits, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 5 500 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
4° arrondissement ou Canton Est – Rue de l’arc-en-ciel
nouveau N° / ancien N° : 4 / 22
Boudhors
Rez de chaussée et 2 étages bons en pierre de taille
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 25 f° 142 case 1
Schuler Jean Jacques, architecte à la Robertsau
Simon, Emile, lithographe rue de l’Arc en Ciel n° 22 (Soub. pr. 1854)
O 398, maison, sol, R. de l’arc en ciel 22
Contenance : 2,40
Revenu total : 289,25 (288 et 1,25)
Ouvertures, portes cochères, charretières :1
portes et fenêtres ordinaires : 50 / 40
fenêtres du 3° et au-dessus : 9 / 7
Cadastre napoléonien, registre 26 f° 135 case 2
Simon, Emile, lithographe
1864 Hauswald, Jean Baptiste, limonadier, rue de la Gare
1868 Fischbach, Jean Henri
1881 Vonseel, Katharina Henriette
1901 Estand, Johann, Bauunternehmer und Ehefrau Anna geb. Wehr in Gütergemeinschaft
O 398, maison, sol, Rue de l’arc en ciel 4
Contenance : 2,40
Revenu total : 289,25 (288 et 1,25)
Folio de provenance : (142)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :1
portes et fenêtres ordinaires : 50 / 45 / 36
fenêtres du 3° et au-dessus : 9 / 9 / 7
Cadastre allemand, registre 30 p. 332 case 8
Parcelle, section 25, n° 83 – autrefois O 398
Canton : Regenbogengasse Hs N° 4 – Rue de l’Arc en ciel
Désignation : Hf, Whs u. N.G. – maison et bât. acc.
Contenance : 2,46
Revenu : 2800 – 2500 – 1700
Remarques : 1910, Berufung
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1913), compte 344
Ehstand Johann u. Ehefrau
(1310)
(Propriétaire à partir de l’exercice 1913), compte 4010
Rinkenbach Wilhelm Fabrikant zu ½ u. Ehefr. Line geb. Bingenheimer zu ½
1923, Schneider Jules Marie et son épouse née Biess
(3713)
1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)
Canton VI, (198) Rue de L’arcenciel
22
pro. Boudhor ancien Inspecteur des batimens de cette ville
Loc. Neltner, François Joseph, Negt. – Miroir
Loc. Mad. La Comtesse de Lantilhac – Noblesse
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton VI, Rue 198 de l’Arcanciel p. 280
22
pro. Boudhor, Ancien Inspecteur des Btmens de cette ville
Loc. Neltner, François Joseph – Miroir
Loc. de Lantilhac Comtesse – Noblesse
Registres de population
(1795) 7° section, Rue de l’Arc en Ciel N° 22 (registre 600 MW 7) – légende
Pre. Valentin Boudhors, 42, Architecte, Strasb
Gertrude Mengson, 41, Sa femme, Wantzenau, 1779
Alexandre Boudhors, 15, fils, Strasb
Rosalie Boudhors, 13, fille, id
Madeleine Claus, 48, Servante, Wantzenau, 1771
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Regenbogengasse (Seite 134)
(Haus Nr.) 4
Herrmann, Schuhmm. 0
Ehstand, Bauunternehm. E 1
König, Pensionär. 2
Schwendhelm, Maurer H 2
Glasser, Schlosser, H 3
Koch, Schreiner. H 3
Maeder, Schlosser, H 3
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 892 W 272)
Rue de l’Arc-en-Ciel n° 4 (1894-1996)
Le marchand de fer Charles Herter occupe les locaux (1894 1899). La fabrique de cartonnages Rinkenbach quitte le 2, rue Sainte-Barbe et installe ses ateliers au 4, rue de l’Arc-en-Ciel à l’automne 1911. On trouve aussi le tailleur Henri Zimmerlé (1920-1941), le peintre Erdmann (1920) et le magasin de matériel radioélectrique Voltex (1937). Le Commissaire général de la ville autorise en 1942 le propriétaire à réparer un pilier endommagé dans la cage d’escalier au titre des dommages de guerre. Pierre Schneider vend en 1995 l’immeuble à la société Seidac (Société d’Equipement d’Initiatives et d’Actions Concertées).
Sommaire
- 1894 (août) – Le maire notifie le rentier Treser, demeurant à Molsheim, de faire ravaler la façade 4, rue de l’Arc-en-Ciel – Henriette Vonseel demande un an de délai en déclarant qu’elle a repeint la maison à l’huile en 1885 et que la façade semble propre. Le délai ayant été refusé, elle déclare faire faire les travaux en octobre. La veuve Jean Treser écrit en octobre à l’adjoint Holtzapffel pour que l’amende dont sa fille fait l’objet soit levée puisque les travaux sont terminés. La Police du Bâtiment note que la façade a été peinte à l’huile
- 1894 (octobre) – La Police du Bâtiment constate que le marchand de fer Charles Herter a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire – Demande – Autorisation – L’enseigne a été rehaussée à 3 mètres mais a toujours une saillie de 85 centimètres au lieu des 50 accordés – L’enseigne perpendiculaire est transformée en enseigne plate, janvier 1695
- 1895 – Le maire demande à la veuve Treser de se conformer au nouveau règlement du 30 novembre 1891 en supprimant trois volets qui s’ouvrent vers la voie publique au rez-de-chaussée et deux volets de soupiraux.
- 1897 (décembre) – Dossier – Le sieur Leclerc se plaint que le fosse d’aisances de la maison 4, rue de l’Arc-en-Ciel n’est pas étanche. Aucun constat ne peut avoir lieu tant que la fosse n’est pas vide. La Police du Bâtiment note en mars 1898 que le revêtement de la fosse est défectueux. Le maire demande à la veuve Treser de prendre les mesures nécessaires. Les travaux sont terminés, juin 1898
- 1898 (décembre) – Dossier. Le locataire Dürrenberger se plaint de son installation de chauffage – Une inspection des lieux conclut que la plainte n’est pas fondée.
- 1899 – Le comptable municipal fait remarquer que la veuve Herter est en faillite
- 1911 – Deux voisins du n° 6 (Mme Niehns et le prêtre catholique Kieffer) se plaignent du bruit qui provient de la fabrique de cartonnages Rinkenbach installée au 4, rue de l’Arc-en-Ciel. La Police du Bâtiment note que la fabrique installée au rez-de-chaussée n’est pas soumise à autorisation puisqu’elle ne comprend pas de machines hydrauliques ou électriques et qu’elle emploie moins de dix personnes – Le maire invite le fabricant Rinkenbach à prendre des mesures, il répond en faisant remarquer qu’il n’a fait l’objet d’aucune plainte pendant les vingt ans que sa fabrique se trouvait au 2, rue Sainte-Barbe.
Le locataire Kieffer réitère en décembre 1911 sa plainte concernant les bruits depuis que la fabrique s’est installée en octobre. La Police du Bâtiment qui s’est rendue sur les lieux conclut que la plainte ne relève pas de sa compétence.
1912 (février) – Dossier. Le locataire Kieffer a porté plainte contre son voisin – La Police du Bâtiment note que le fabricant a éloigné les machines du mur qui le sépare de la maison n° 6 et que les nuisances sont minimes et ne sont pas de sa compétence. Elle répond au commissaire général en ce sens. Le dossier est classé en septembre 1912. - 1914 – Le fabricant Rinkenbach demande l’autorisation d’installer dans le bâtiment arrière deux machines à papier à moteur électrique qui étaient jusqu’à présent mues par les ouvriers – L’inspection du travail donne son accord en joignant les conditions à respecter. Croquis des lieux (état préparatoire, état définitif) – Autorisation – Les machines sont installées juillet 1914
1914 (octobre) – Nouvelle plainte du locataire Kieffer (n° 6) – L’inspecteur du travail attribue le bruit au mauvais état de certaines machines, il fait remarquer que le règlement n’est pas respecté si le bruit dure jusquà 10 heures et demie du soir – La situation s’améliore une fois les machines réparées – La Police du Bâtiment se rend dans l’atelier Rinkenbach et demande au commissaire central si on peut considérer que le fabricant remplit toutes les dispositions de l’autorisation accordée en avril 1914 au cas où le plaigant se pourvoirait en justice. Le commissaire général écrit le 6 juillet 1915 au plaignant Kieffer que le fabricant Rinkenbach satisfait à toutes les prescriptions techniques et administratives. - 1920 – Le commissaire central autorise Henri Zimmerlé à poser une inscription Tailleur pour civils et militaires. La Police du Bâtiment constate que les dimensions de l’enseigne ne sont pas réglementaires – Autorisation de poser l’enseigne à 2,60 au lieu des 3 mètres réglementaires, à condition que la saillie sont ramenée de 50 à 35 centimètres
- 1920 – Le peintre Erdmann demande l’autorisation de poser une enseigne en bois et une enseigne sur verre. La Police du Bâtiment note que l’enseigne dissimule une des plus belles parties de la façade, elle se fonde sur le règlement du 23 novembre 1910 relatif à l’aspect local pour en demander le déplacement
- 1915 – Commission des logements militaires. Certains travaux (blanchir la buanderie et l’atelier) sont reportés après la fin de la guerre. Les cabinets d’aisance de l’atelier de cartonnage servent un moment de vestiaire
- 1937 – Le magasin Voltex (matériel radioélectrique de qualité) demande l’autorisation de poser une enseigne ronde (Radiola) – Autorisation – L’enseigne est posée
- 1938 – L’entreprise de construction Guri et Meyer demande l’autorisation d’occuper la voie publique devant la maison Schneider 4, rue de l’Arc-en-Ciel pour en réparer le crépi – Accord
- 1941 – Le tailleur Zimmerlé informe la Police du Bâtiment qu’il a retiré son enseigne
- 1942 – Le Commissaire général de la ville (Oberstadtkommissar) délivre un bon d’engagement pour faire les réparations nécessaires au titre de dommages de guerre (architecte Charles Wolff, entreprise Guri et Meyer 4 rue des Balayeurs)
L’entreprise Guri et Meyer demande au nom du propriétaire Jules Schneider l’autorisation de remplacer un pilier qui menace de s’écrouler et de faire des travaux accessoires – Dessin
La Police du Bâtiment rédige un rapport. Deux piliers porteurs fissurés dans la cage d’escalier qui n’assurent plus la portée doivent être remplacés par de nouveaux, en plaçant des traverses en fer au premier étage. L’entrepreneur a ensuite demandé une autre visite après avoir constaté que la maçonnerie du mur de droite (vers le n° 2) dans lequel les traverses doivent être fixées est en mauvais état. – Travaux terminés, décembre 1942 - 1950 – Jules Schneider se plaint des cheminées mitoyennes avec le n° 6 (direction de l’œuvre Sainte-Odile) qui sont en mauvais état – Les cheminées sonrt réparées, novembre
- 1968 – François Schneider (domicilié 23, rue Ehrmann) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique pour repeindre la façade
- 1983 – Le précédent propriétaire étant mort en 1973, Pierre Schneider de Bischheim demande que les factures pour le puits d’aération lui soient adressées
- 1995 – Pierre Schneider transmet la facture concernant des tuiles remplacées en novembre 1994 avec l’accord de l’architecte de la Police du Bâtiment
1995 (août) – Pierre Schneider informe la Police du Bâtiment qu’il a vendu l’immeuble à la société Seidac (Société d’Equipement d’Initiatives et d’Actions Concertées, 4, rue de l’Industrie à Mundolsheim).
1996 – La société Seidac informe la Police du Bâtiment qu’elle n’est plus propriétaire de l’immeuble
1996 – Notification de changement de débiteur, nouveau propriétaire, de Michiel, à Illkirch – Georges de Michiel demande des explications concernant la facture du puits d’aération (ouverture sur la voie publique en saillie de plus de 20 centimètres). Le puits a été bouché suite aux travaux.
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 1198 W 1563)
Rue de l’Arc-en-Ciel n° 4 (1995-1996)
La Société civile immobilière d’attribution du 4 rue de l’Arc-en-Ciel acquiert l’immeuble en 1995 et le réhabilite.
Sommaire
- 1995 (14 octobre) – Copie de l’acte passé devant Martin Diener, notaire à Strasbourg, pour créer la société civile immobilière d’attribution du 4 rue de l’Arc-en-Ciel comprenant des caves au sous-sol, plusieurs locaux au rez-de-chaussée, deux appartements au premier étage, deux appartements au deuxième étage, plusieurs petits appartements et une coursive au troisième étage, des combles et des greniers perdus
1995 (octobre) – L’architecte Henri Kubler (à Ottrott) transmet une déclaration de travaux exemptés du permis de construire pour réhabiliter les bâtiments : plans et notice
1995 (décembre) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable
1995 (décembre) – Henri Kubler transmet la caution de compensation de places de stationnement (180 282 francs)
Relevé d’actes
Anne Klein femme du boulanger Josse Edelmann vend au docteur en médecine Daniel Rixinger la maison qui comprend un bâtiment avant, un bâtiment arrière et une écurie. D’après les titres ultérieurs, l’acquisition a eu lieu le 13 mars 1621 devant le Petit Sénat (vente par subhastation)
1628 (28. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 234-v
Erschienen Anna Kleinen mit beÿstand Jost Edellman des Weÿßbecken Alhie Ihres ehemanns vnd hanß Bernhardt Jungen des kremp Auch burgern Alhie (verkaufft)
hn Daniel Rixinger medicinæ doctori des Wahr Zugeg. herr Benedict hemerlin Auch medicinæ doctor
hauß, hoffstatt Stall vnd hinderhauß, geleg. In d. St. St beÿ S. Steffans Plan hinder der herrberg Zur Jungfr. einseit J: Philips Cunradt Joamen and. seit einer behausung Zum Kolben genant Würdt stoßend, Dauon gend 9 pfund gelts lößig mit 200 pfund d Margret Weÿland Dieboldt Braunen s. Witwen vff Michaelis (…) Vnd dann 175 pfundt weÿland Michell deüerer s. Wittwe Apoloniæ Eßenbergerin (…) Vnd ist der Khauff beschehen vber die beschwerden, so der Käuffer vff sich genommen für und umb 425 pfund
[in margine :] vide dieser 175. lb halber Imbreuiaturas cancellariæ de A° 1631. fol: 11
Fille du charron Martin Klein, Anne Klein épouse en 1616 le notaire Michel Philippe Lung, fils de tailleur. Elle se remarie en 1626 avec le boulanger Josse Edelmann.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 273)
1616. Michael Philips Jung ein Notarius, Blesi lung. des schneiders e. hind.lassener sohn, Anna, Martin Kleinen des wagners e. hind.lassene tochter. Eingesegnet Zinst. d. 6. Feb. (i 141)
Proclamation, cathédrale (luth. f° 37) 1616. Michael Philips Lung der Notarius, blesius lungen des Schneiders e. sohn, vnd J. Anna Martin Kleinen des wagners e. tochter. eingesegnet zum Jungen S. Peter zinstag den 6. februarÿ (i 23)
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 144)
1626. Domin. LX.a 1. vice. Jost Edelman der weißbeck Vnd Burg. alhie vndt Anna, Michael Philipps Lungen des Notarÿ vnd burgers alhie hinterlaßene Witwe. Zinst. post 40.æ zu St. Claus (i 157)
Le docteur en médecine Daniel Rixinger épouse en 1609 Catherine Stædel, veuve de Jean Christophe Zeyssolff
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 277, n° 744)
1609. Sontag den 2. Januarÿ. Daniel Rixinger d. Artzneÿ Doct. vnd p.fessor alhier vnd Catharina Johann Christoph Cÿsolffen Alhier Nachgelaßene Wittib, Eingesegnet Zinstag 14. Januarÿ (i 284)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 213) 1609. Dominica 1. post Epiphan. 8. Januarÿ. H. Daniel Rixinger Medicinæ Doctor & professor F. Catharina Stedlerin H. Johann Christophori Zeisolffen hinderlaßene Wittib, Eingesegnet im Münster (i 111)
Fils de Daniel Rixinger, docteur et professeur de médecine et de philosophie, chanoine à Saint-Thomas, Daniel Rixinger épouse en 1634 Anne Marie Capeller de Worms
Mariage, cathédrale (luth. p. 334)
1634. Doîca 16. febr. H. Daniel Rixinger, H. Daniel Rixingers med. et philosophiæ doct: vnd profess. probst Zu St. Thoman n. sohn, vnd J. Anna Maria H. Andreas Capeller, burger meister Zu Worms n. tochter, eingesegnet Zinstag 25. febr. (i 177)
Les héritiers de Daniel Rixinger, professeur à l’université, vendent la maison à Philippe Jacques de Montreux-Chavanatte
1636 (13. Januarÿ), Chambre des Contrats, vol. 474 f° 36
Erschienen weÿ: H D Daniel Rixinger gewesenen professoris see: in alhieige hohen Schulen nachgelaßene Erben im namen H Daniel Rixinger für sich selbsten, Item H M. Johann Friderich Bentz alß Eheuogt Mariæ Rixingerin, Mehr H Johann Carel Ringler alß Vogt weÿ: H. D. Benedict Hämmerlens see: Kindern Vnd dann H Gabriel Waldeck d. Goldarbeiter Alß Vogt auch weÿ: Israel Hämmerlens see. Kindern (verkaufft)
Hrn Philipps Jacob Monstraler von Schauenoth
Ein Vorder und hinderhauß, hoffstat und höfflin, mit Allen and.en ihren gebäwen & alhie vff S. Steffans plan in der Bümpernannts gassen, neben Jrn. Philipp Conrad Johamen von Mundholtzheim & neben einem hauß Zum Kolben genannt, hinden vff erst besagte behausung stoßend gelegen, dauon gehen Jährlich vff Michaelis 9. lb Zinß, weÿ: Diebold Braunen see. Kindern in hauptgut mit 200. lb d abzulösen, So dann seind dise häuser Auch noch verhafftet umb 300. lb. d. Jost Edelmann alß Vogt (-) – so der käuffer vff sich genommen, zugangen per 200. lb
Philippe Jacques de Montreux-Chavanatte achète le droit de bourgeoisie avec sa mère et ses deux sœurs
1630, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 849
Jr. Phillips Jacob Monstraler von Schaheneck, kaufft d. Burg. recht für sich sein fraw Mueter vnd seine Zwo Schwestern vmb d. Altt. burg. recht Nämblich 32. goldt gld. Will Zum hoh. Steg Zünfftig sein, den 21. 8.bris 1630.
Véronique de Kettenheim, veuve de Philippe Jacques de Montreux-Chavanatte, sa fille Marie Elisabeth et Philippe Jacques, cornette du capitaine Quad de Landscron, vendent leur part à une maison rue des Echasses en 1634.
Le contrat de 1636 a été résolu à une date inconnue d’après la vente de 1650.
Anne Marie Cappeller veuve de Daniel Rixinger fait son testament en 1674 en instituant pour héritière sa nièce Anne Marie Thom
1674, Not. Auenheim (Wolfgang Régnard von, 1 Not 4)
persönlich erschienen, die thugendsame fraw Anna Maria Rixingerin gebohrne Capellerin, Weÿl. Herrn Daniel Rixingers hinderlaßene Wittib, die, wan, wegen nun ettliche tag hero Ihr starck Zusetzender leibes blödigkeit, kranck Vnd bettlegerig, doch aber wie auß dero reden, anzeugungen Und gebärd, solches wohl Zu Vernehmen war, beÿ gutter Vernunfft, Sinnen Vnd Verstand
(…) darnach Vnd Vor daß Andere, Will Sie Testirende, So wohl die Anno 1664. /:Ihres behelttens Vnder dem 21. Junÿ:/ von herrn Notario Medlern auffgerichtete letzten Willen Verordnung, alß auch sonderlich, das in Anno 1673. sub dato d. 16. Jenner in Notarij Johann Jacob Redwitzen hauß auffgerichtete Testamentum nuncupativum Vnd was sie sonsten Testirt haben möchte Cassirt, abgethan Vnd Widerruffen haben (…)
vor das dritte (…) hiemitt fraw Annam Mariam Gaßoldin gebohrne Thomin, Ihrer geliebten fraw Schwester Seel. Tochter (…) Zu Ihrer Einigen Erbin aller Ihrer Verlaßenschafft (…)
Vierdens (wann) Erstgemelte Anna Maria Gaßodin Ihren Todfall nicht erleben solte, so seÿe Ihr Will Vnd meinung daß Vor erwehnte alle Ihre Verlaßenschafft auff fraw Johanna Dieboldin gebohrne Hugwarthin Ihre liebe fr. Schwester (…)
Anno 1674, auff Montag den 28.ten Christmonat
Les héritiers de Daniel Rixinger vendent la maison au remueur de grains Jean Georges Merckel et à sa femme Marie Daul. Les vendeurs remettent aux acquéreur le titre de 1628 et un autre, dressé par le Petit Sénat, en 1621
1650 (11. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 508 f° 1000
(Protocoll. fol. 206.) Erschienen weÿl. H Daniel Rixingers Med. Doct. et Professor alhie seel. nachgelaßene Erben nemlich der Ehrenvest Und Hochgelehrte H. Nicolaus Junt Stattschreiber alhie alß Ehe Vogt fr. Mariæ Rixingerin, Mehr weÿl. Fr. Annæ Rixinger seel. Erben benantlich. H. Johann Jacob Bentz U. I. Candidatus für sich selbsten, mehr H hannß Georg Rosa der Seidensticker alß ehe Vogt Annæ Valeriæ Hämmerlerin Vnd dann H. Gabriel Waldeckh der Goltarbeiter alß Vogt Jungfr. Helenæ Hälmerlerin, Mehr fr. Margaretha Rixingerin seel. Erb. benantlich H. Johann Georg Stoll der Renthmaÿster alhier alß Vogt ihr Margarethæ mit weÿl. H. Benedict Hämmerlin Med. Doctore et Professore alhie seel. ehelich erzeugter treÿer Kinder und dann H. Hannß Conrad Gaßold der Notarius alß Vogt Fr. Annæ Mariæ Rixingerin weÿl. H Daniel Cappellerin nunmehr seel. nachgelaßener wittibin,
haben in gegensein hannß Georg Merckhels deß Kornwerffers deß Stiffts St Stephan alhie Und Mariæ Dalin beÿder Eheleuth mit beÿstand Veltin Daulen deß Kornwerffers deß Stiffts alt. St Peter ihres resp. Schwähers und Vatters vndt hannß Kilians deß Schneiders alhie
hauß, hoffstatt, höfflin Stallung Und Hind.hauß mit allen deren Gebäwen & alhie beÿ St. Stephans plan Und.halb dem Regenbogen in der Regenbogen gaßen neben ([biffé] weÿl. Jr Philipß Conrad Johamen von Mundolßheim XV.ers alhie seel. nachgelaßener Wittibin) & neben einer Behaußung zum Kolben genannt weÿl. Hn Philipß Jacob Bernhold. Obrist. seel. Erben gehörig Und hind. vf ernant. Behaußung zum Kolben stoßend geleg. davon gehet Jahrs vff Michaelis 9 lib gelts ablößig mit 200.lib. Margarethæ weÿl. diebold Braunen seel. wittib nachgelaßener Wittibin nunmehr seel. Erben, welchen zinnß anietzo Andreas Schell empfangt, sonsnetn für freÿ, ledig vnd eig. Vndt ist dißer Kauff über angezogene Beschwärdt so die Kauffende Eheleuth übernohmen haben Zugangen umb 150. lb
auch darauff den Kauffenden Eheleuth. hiebeÿ einlüfferten einen pergamentinen am 13. Martÿ A° 1621. gefertigt. und mit deß Kleinen Rhats anhangendem Kleinern Secret Insigel Verwarth. Kauffbrieff wie auch eine am 28. Aprilis A° 1628. mit der Statt Straßburg anhangendem Contract Insigel außgefertigte Kauffverschreibung
[in margine :] diße 9. lib Jährlichs Zinnß seind mit 200. lb hauptguts abgelößt und ist der Käuffer dafür am 25. Martÿ 1656. quittirt worden wie die in weÿl. H. Hÿlarÿ Meÿers seel. Protocollo de A° 1576. fol. 53. fac. 1 et 2. befindliche Quittung mit mehrem außweißt.
Originaire d’Ettenheim en Bade, le réparateur de moulins Jean Georges Merckel épouse en 1646 Marie Daul, fille d’un remueur de grains
Mariage, cathédrale (luth. p. 496)
1646. Domin. Cantate. Hannß Georg Merckel Von Ettenen, der Mühlartzt, Hannß Merckel des geweßenen Müllers Zu Ettenen Sohn, Vnd J: Maria: Veltin Daulen des Kornwerffers vndt Burgers allhie eheliche tochter. Im Münster, Mont. 4. Maÿ (i 252)
Jean Georges Merckel acquiert le droit de bourgeoisie quelques jours plus tard en s’inscrivant à la tribu de la Lanterne
1646, 4° Livre de bourgeoisie p. 234
Hanß Geörg Merckhel Von Ettenheim der Mühlartzt, empfahet d. burgerrecht von seiner haußfrawen Maria, Veltin daulen, des Kornmeßers vnd burgers alhie dochter, vmb 8 Goldtf. ist ledigen standts gewesen vnd würdt Zur Lucern dienen. Jur. den 19. Maÿ 1646.
Le remueur de grains Jean Georges Merckel hypothèque la maison au profit de son beau père Valentin Daul
1656 (25. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 518 f° 205-v
Erschienen hannß Georg Merckhlin der Kornwerffer Und Burger Zu Straßburg
in gegensein Veltin Daulen deß Kornwerffers seines Schwähers – schuldig seÿen 200. lb
Unterpfand sein sollen, Zweÿ häußern ein Vorders Vnd ein hinders mit allen deren Gebäwen Und Zugehördten alhie vff dem Stephans plan Und.halb dem Regenbog. in der Regenbog. gaßen einseit neben der Bernholdisch. fr. Wittib and.seit neben Jrn Philipß Friderich Streiffen, hind. auch vff die Bernholdische fr. Wittib stoßend gelegen
Veuve, Marie Daul se remarie en 1675 avec le chef des travaux Philippe Lump
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 109)
1675. Dominic. Trinit. 14 et 15, den 5. et 12. 7.bris. Hr Philips Lump den Statt Lohner Vndt Fr. Anna Maria, Herrn Hanß Geörg Merckel des Kornwerffers nachgel. Wittib (i 72)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 257, n° 51) 1675. Dom. XIV Trinit. 5. 7.bris. H. Philipps Lump den Statt lohner Vndt Burgern allhier Vndt Fr. Anna Maria, Weÿl. hrn Hanß Geörg Merckel Kornwerffers vnd Burgers allhie nachgelaßene Wittib. Eingesegnet Zu St. Wilhelm 16. 7.br (i 270)
Marie Daul fait son testament en 1695
1695 (12. 7.br), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6296), Protholollum secundum, 1 AH 6295
Testament – Fraw Maria Daulin des Ehrenvesten und Vorgeachten Herrn Philipp Lumpen gewesenen Stattlohners auff allhießigen Luxhoff
Marie Daul veuve du chef des travaux Philippe Daul meurt en 1696 en délaissant quatre enfants issus de son premier mariage avec Jean Georges Merckel. L’inventaire est dressé dans sa maison rue de l’Arc-en-Ciel. Les experts estiment la maison 650 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 677 livres, le passif à 787 livres
1696 (26.4.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 5779) n° 483
Inventarium undt beschreibung aller undt Jed. Haab undt Nahrung, so weÿl. die viel Ehrn: und tugendsahme fraw Maria Daulin, auch weÿl. des Ehrenvest. vorgeacht. herrn Philipp Lumpen, gewes. Stattlohners burgers alhier Zu Straßburg seel. nachgelaßene Wittib nach Ihrem d. 31. Martÿ Jüngsthien tödtlich genommenen hienscheid. hind. Ihro v.laß. welche Nachlaßenschafft, auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehrengeacht. herrn Hannß Georg Merckels, Kornwerffers burg.s alhier Zu Straßburg, so anwesendt, ferner des Ehrwürdig. Wohlgelehrte. herrn M. Johann Michael Merckels, Pfarrers Zu Beerstett undt Olvißheim, burgers Zu gedachten Straßburg, mit beÿstand des wohl Ehrenvest Rechts wohlgelehrt. Hn Johann Friderich Redwitz Not. Jurato u. vornehmen Practici, weiters des Ehrengeacht. Hannß Heinrich Merckels, Küeffers burg.s alhier, so auch geg.wärtig mit assistentz des Edel Vest fürsichtig. wohlkgelehrt. und wohlweiß. herrn M. Joh: Mich. Rebhans alten Groß. Raths beÿsitzers alhier, Undt dann weÿl. d. Ehren: undt tugdt. sahmen frawen Annæ Mariæ Merckelin, des Ehrengeachten H. Emanuel Wehners d. ältern haußfewrers burgers alhie gewes: ehelich. haußfr. seel. nachgelaßener 4. Kind. benantlichen d. Ehrenhafftt Emanuel Wehners des Jüngern burgers, Zu mehrgedachten Straßburg, Item der Ehren undt tugendsamen Annæ Catharinæ Wehnerin des Ehrenhafft. Christoph Braunen weißbeck. burgers allda ehelich haußfr. mit beÿstandt deßelben, wie ingleich. des Ehrengeacht. Hanß Jacob Löschmeÿers, haußfeurers burg.s alhier als geordnet: u. geschwornen, Vogts Jungfrauen Barbaræ undt Salome Weherin, dieße 4. Wehnerische Kind. in beÿsein d. Vatters, mit hülff und beÿstandt des Wohl Ehrenvest. undt Rechts Wohlgelehrten herrn Christmann Daudels Not. publ. und vornehmen Practici, aller 4. Stamm d. verstorb. fr. seel. in erster Ehe mit dem Ehrengeacht. Herrn Hannß Georg Merckeln, Kornwerffern burg. alhie erzeugte Kinder und Enckel undt ab intestato nachgelaßeneer Erben – Welches bescheh. in Straßb. Donnerstags d. 26.ten Aprilis anno 1696.
Inn einer inn der Statt Straßburg inn der Reegenbogengaß am Stephans plan Gelegenen hiehero gehörigen hernacher beschriebenen eÿgenthümblichen wohn behaußung hatt sich befunden Wie volgt
Eÿgenthumb ane Häußern. Erstl. Hauß, Hoff, Hoffstatt undt höffl. in der Antonier Gaßen (…)
Item Hauß, Hoff, Hoffstatt stallung u. hinderhauß mit allen andern Ihren gebäwen, begriff. weiten, Rechten, Zugehördten undt Gerechtigkeiten In der Statt Straßburg ohnfern St. Stephans plan, underhalb dem Regenbogen in der sogenanten Antonier Gaßen, einseit neben H. Friderich Raübern Hoßenstrickern und E. E. wohllöbl. Policeÿ gerichts alten beÿsitzern u. burgern alhier and. s. neb. H. Johann Philipp Johamen wohlmeritirten jetzmahligen Stett meistern u. XIII.n auch Cancellario beÿ hießig. Wohl löbl. universität welche behaußung Zum Kolben genant, hinden auf gedachte Zum Kolben genante behaußung stoßendt so freÿ Ledig und eÿg. u. hiehero wie solche den 3. Xbr. aô 1682. durch die geschworne Werckmeister angeschlagen worden wieder æstimirt pro 350. lb. Darüber sagt ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßb. anhangenden Contract Insiegel vwahret welch. datirt den 11. 9.br. aô 1650. sig. mit altem N° 1 auch nach beschehener Vorlegung darbeÿ gelaßen. Dabeÿ ein alter Pergamentenen Kauffbrieff mit ermelter Statt Straßb. Kleinern anhangendem Secret Insiegel v.wahrt dat. den 13. Mart. 1621. u. sig. mit altem N° 1, ferner 1. alter Pergamentener Kauffbrieff mit mehrgerührter Statt Str. anhangendem Contract Insiegel dat. d. 28. Aprilis 1628. und signirt mit Nris 85. et. 2. Welche beede Letztere brieff sich beÿ dießer gegenwärtigen Verlaßenschafft befunden.
Wÿdemb, So die Verstorbene Fr. seelig von Weÿl. H. Johann Georg Merckeln Ihrem ersten Hauß würth seligen Vermög den 4. febr. 1673. mit selbigem vor weÿl. Notario Nicolao Reeben seeligen auffgerichteten Codicilli reciproci § Zum andern (…)
Norma hujus Inventarii. Copia Testamentum nuncupativi. Copia Nach Disposition
Sa. haußraths 241, Sa. Lehrer Vaß 10, Sa. Silber geschirrs und geschmeids 174., Sa. Guld. Ring. 42., baarschafft 124. Eigenthum ane heußern 450., Schulden 633, Summa summarum 1677 lb – Schulden 787 lb, Über abzug bevorstehend. Schulden so zu bezahlen verbleibt annoch ane dieß. Verlaßenschafft übrig nemlichen 890. lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1663 lb
Abhandlung des Eÿgenthumbs ane Haüßern. Die Sterb behaußung & alldort wird das gantze folium und die volgendte seit von wort zu wort beschrieb.
Les héritiers de Jean Georges Merckel et de Marie Daul vendent la maison 850 livres aux enfants de feu Jean Philippe Schmidt, assesseur des Quinze
1696 (27.7.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 401
weÿl. Anna Maria geb. Merckelin nun weil. mit Emanuel Wehner dem haußfeurer erzeugten Kinder respect. deren Vogt Anna Catharina Wehnerin, Christoph Braunen, deß weißbecken haußfrau, mit beÿstand ihres Ehevogts, Emanuel Wehner, der jüngere haußfeurer für sich selbsten, und Jacob Löschmeÿer auch haußfeurer alß vogt obged. Annæ Mariæ noch ledig. zweÿ Kinder, mit beÿstand auch ged. Wehners deß ältern deren leiblich. Vatters, Ferners hans Georg Merckel der Kornwerffer, H. M. Johann Michael Merckel Pfarrh. zu Bärstätt und Olvisheim, und Johann Henrich Merckel der Küffer, alle alß weil. Johann Georg Merckels, deß ältern auch gewesenen Kornwerffer und Mariæ Daulin beed. Eheleuthe sel. nachgelaßene Kinder und Erben
in gegensein H. Johann Philipp Schmids, und Hn Johann Friderich der Schmiden Gebrüdere, So dann Jgf. Maria Esther, Jgf. Susannæ, Jgf. Annæ Catharinaæ und Jgf. Mariæ Salome der Schmidinnen, mit beÿstand H. M. Johann Michael Rebhans, E.E. großen Raths alten beÿsitzers Ihres H Curatoris, alle alß weÿl. Hn Johann Philippß Schmids, deß beständigen Regiments der H. XV. gewesenen beÿsitzers sel. nachgelaßenen leiblicher Söhne und töchter
hauß, höfflein, Stallung und hinderhauß, mit allend ren hoffstätt. auch allen übrigen deren gebaün, rechten und zugehördt. allhier beÿ St Stephansplan, underhalb dem Hauß Zum Regenbogen in der Regenbogen gaß einseit neben /:tit:/ Hn Johann Philipß Joham von Mundolßheim Stättmeister anderseit neben d. behaußung zum Kolben genandt H. Friderich Raübern dem hosenstricken und alt. beÿsitzer E. löbl. Policeÿ gerichts gehörig, hind. auff ged. behausung stoßend geleg. – umb 850 pfund
Fils de receveur, Jean Philippe Schmidt épouse en 1658 Anne Catherine Hepp, fille du docteur en médecine Jean Gaspard Hepp
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 35-v)
1658 Dnc. Eâdem [XXIV. Trin. d. 21. Nov.] H. Johann Philipp Schmid, Weiland H. Johann Schmiden Schaffner vnd burger allhier nachgelaßener Eheliche Sohn, Jungfr. Anna Catharina, Weiland H. Johann Caspar Heppen Doctoris Medicinæ nachgelaßene Eheliche Tochter. Copulirt Mont. d. 29. Nov. Zu St. Thoman (i 39)
La maison revient à Anne Catherine Schmidt lors du partage de la succession par le notaire André Schmidt (voir la référence à l’inventaire dressé en 1705). Anne Catherine Schmidt épouse en 1698 le notaire Jean Breu
L’assesseur au Grand Sénat Jean Breu hypothèque la maison au profit du fourbisseur Jean Jacques Borst
1715 (24.9.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 693
hr. Joh: Breu E.E. G. Raths beysitzer
in gegensein Joh: Jacob Borst schwerdfegers – schuldig seÿe 500 pfund
unterpfand, sein hauß c. appert: in der Regenbogen gass, einseit neben H. XV.ers Denner anderseit neben H. Reubern hinten auf ihn Reubern
Jean Breu acquiert en 1727 la maison voisine A la cornue (zum Kolben, actuel n° 6) et obtient le droit de faire deux ouvertures de communication entre les deux maisons (voir la décision des Quinze). Il meurt en 1742 après avoir légué la maison moyennant 1 500 livres à son fils Jean Sigefroi Breu qui a épousé en 1736 Marie Salomé Reisseissen, fille d’orfèvre. Jean Breu assure le logement à son fils lors du contrat de mariage
1736 (31.3.), Not. Koch (6 E 41, 498) n° 28
(Eheberedung) zwischen dem Wohl Edlen, großachtbahr und Wohlgelehrten Herrn Johann Siegfried Breu, J.U. Candidato und verschiedener hoch Adel. famillien wohlverordnetem Schaffner, deß und Wohll Edel, Weiß, großachtbahr und rechtsgelehrten Herrn Johann Breu, Notarii Publ. et Pract. und verschiedener hoch Adel. famillien wohlverordneten Schaffners, auch E.E. großen Raths alten v. E.E. Kleinen Raths jetzmahlig wohlmeritirten beÿsitzers auch vornehmen burgers allhier mit Weÿl. der Edlen, Viel-Ehr und Tugendbegabten Frauen Anna Catharina gebohrner Schmidin Ehelich erzeugtem herrn sohn, als dm herrn bräutigam an einem,
So dann der Edlen Viel Ehren und Tugendgezierten Jungfrauen Mariä Salome Reißeißin des Wohl ehrenvest und Kunstreichen herrn Johann Paul Reißeißen, Vornehmen Goldarbeiters und burgers allhier mit Weÿland der Edlen Viel Ehr: und tugendbegabten Frauen Anna Maria, gebohrner Keckin ehelich erzeugter Jungfer Tochter
Zum Fünfften hat des Hn hochzeiters H. Vatter zu bezeugung seines, gegen beeden hochzeit. Persohnen tragenden auffrichtigen Liebe, seinem Hn Sohn, beneben seinem bereits außgeliefferten Mütterl. Guth zu einer Ehesteur versprochen (…) So dann übergibt er ihme v. deßen Erben freÿ v. ohne Endgeldt so lang er H. Vatter im Leben Verharren wird, ruhig zu besitzen und zu bewohnen, den gantzen hinten Stock mit allen darinn befindl. Gemachen, keines davon außgenommen, in dem sogenandten Rüberischen Nebens hauß, ane der Regenbogen gaß gelegen, Welche Wohnung der H. Hochzeiter schon etl. jahr hero ruhig beseßen v. genoßen, v. also fernerhin, wie gesagt, genießen solle, Mit dem fernern Anhang, Wann der Allerhöchste des H. brautigams Hn Vatter aus dießer welt abfordern solle, seine eigenthümliche Wohn behausung, Vordern v. hinderen Stock, wie solche die Mauren begriffen, um den Preiß von 3000 gulden mehr ged. Wehrung kaüfflich anzunehmen, solche in gemeiner Erbschafft einzuschießen, v. daran ams ein Mit Erb wider pro rata zu participiren, jedoch aber auch der Fr. Mutter, so sie alß dann noch im Leben, den ihro im vordern stock verschriebenen Wÿdum außzuhalten schuldig seÿn solle – auff samstang den 31. Mart. 1736
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 12-v, n° 59)
1736 – Mittwoch d 29. August. sind nach Zweymaliger ordentlicher proclamation und außruffung so Zu St. Thomæ geschehen und in der Neuen Kirch, auß Erlaubnus des Regirend. Herrn Ammeisters Zu Hauß copulirt Worden, H. Johann Sigfridt Breu J.U. Candidatus, Adelicher Schaffner und burger allhier H Johann Breu EE Grosen Raths alten beÿsitzers und Adelichen Schaffners ehelicher sohn Und Jungfr. Maria Salome H. Johann Paul Reiseisen Vornehmen burgers allhier eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Siegfriedt Breu, Maria Salome Reißeißin alls hochzeiderin (i 14)
Marie Salomé Reisseissen meurt après avoir institué son mari légataire universel. L’inventaire est dressé rue de l’Arc-en-Ciel. La masse propre au veuf s’élève à 2 225 livres, celle des héritiers à 1 154 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 629 livres, le passif à 2 133 livres
1738 (20.5.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 469) n° 119
Inventarium über Weÿland der Edlen, viel Ehr: und tugendsahmen Frauen Mariä Salome Breuin gebohrner Reißeißin, des Wohl Edlen Wohlgelehrt v: Großachtbahren H. Joh: Siegfrid Breu J. U. Candidati und verschiedener hochadelicher familien Wohlverdienten Schaffners v. burgers allhier zu Straßburg geweßener Frau Eheliebstin, nunmehr seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1738. – nach ihrem Sambstags den 25. Januarÿ dieses Lauffenden 1738.ten Jahrs beschehenen tödtlichen Ableiben hie Zeitlichen Verlaßen – So geschehen in der Königlichen Statt Straßburg auff Dienstag den 20.sten des Monaths Maji A° 1738.
Die Verstorbenen Frau Seelig hat per Testamentum Nuncupativum Zu Erben Verlaßen als folgt. 1. S. T. Herrn Johann Paul Reißeißen vornehmen Goldarbeiter und burger allhier Zu Straßburg und Zwar nur in Legitimam und 2° In den Überrest, was nach Abzug solcher Legitima, Wie auch desjenigen, Was Ihr ein hinterbliebenen Herrn Wittiber Zufolg eines am 28.ten Augusti A° 1736. Vor mir Not° v. gezeugen Auffgerichteten Convention gebührig, diejenige Persohnen welche der hinterbliebene H. Wittiber entweder mit oder ohne Testament Zu seinen Erben verlaßen Wird.
Und weilen ob Ehrengedachter H. Johann Paul Reißeißen beÿ dem geschäfft nicht erschienen, auch keinen Mandatarius Constituirt, als ist Zufolg Es En Großen Raths bescheidts de dato 10. Maji jüngst S. T. H. Christoph Friderich Städel Vornehmer handelsmann v. Es En Großen Raths allhier Wohlverdienter beÿsitzer als hierzu ex officio nominirt beÿ dem Geschäfft Zugegen gewesen.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Regenbogen Gaß gelegenen, hiehero nicht gehörigen behaußung ist befunden worden als folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Cammer A, In der Cammer B, Auff dem Frucht Casten, In der Cammer C, In der obern Vordern Stub, In der obern Vordern Stub Cammer, In der obern Camin Cammer, In der Wohn Stub, In der Wohn Stub Cammer, In dem untern Hauß Ehren, In der Kuchen, Zu Nieder Ehenh.
(f° 25) Ergäntzung des Herrn Wittibers wehrender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Vermög Inventarÿ (…) durch mich unterschriebenen Notm. in Anno 1737. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung, Copia Convention, Copia Testamenti nuncupativi
Des Herrn Wittibers Eigenthümliches Vermögen. Sa. haußraths 244. Sa. Lährer faß 7. Sa. Viehes 13. Sa. Schiff und geschirr Zum fuhrwerck gehörig 13. Sa. Bibliothec 30. Sa.Silber geschirr und Geschmeids 78. Sa. goldener ring 43. Sa. baarschafft 96. Sa. Pfenningzinß hauptgüter 311. Sa. Eigenthums ane Reeben 25. Sa. Gülth von liegenden güthern 115. Sa. Schulden 168. Sa. Ergäntzung (2385, Abgang 556, Compensando) 1829, Summa summarum 2975 lb – Schulden 750, Compensando verbleibt 2225 lb
Diesemnach wird auch der Erben unveränderte Nahrung beschrieben. Sa. haußraths 133. Sa. Silber geschirr und Geschmeids 35. Sa. goldener Rings 194. Sa. baarschafft 104. Sa. Gülth von liegenden güthern 12 ß. Sa. Schulden 816. Sa. Ergäntzung (20, Abgang 1, Compensando verbleibt) 18, Summa summarum 1304 lb – Schulden 150, Detrahendo verbleibt 1154 lb
Endlichen wird auch das gemein, verändert und theilbar Guth beschrieben. Sa. haußraths 14. Sa.bachmehls 7. Sa. Weins und bütten 67. Sa. Viehes 3. Sa. baarschafft 74. Sa. Pfenningzinß hauptgüter 380. Sa. Schulden 1081, Summa summarum 1629 lb – Schulden 2057 lb, In Compensatione 428 lb
Endl. Beschluß v. Verstallungs summa 2133 lb
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 2 200 florins (1 100 livres) sur un total de 4 200 florins
1738, Livres de la Taille (VII 1178), f° 331
(Weinsticher F., N° 7737) Weÿl. Fr. Mariæ Salome gebohrner Reißeißin H. Joh: Sigfried Breüen Adel. Schiffmann und burgers alhie Ehel. Hausfrau Verlaßenschafft inventirt H. Not. Koch.
Concl. Fin. Inv. ist fol. 202. 2951- 2- 6
Gehet ab so der Schwährvatter nicht gelüffert 817- 4- 9, restirt 2311- 17- 9
die machen 4200. fl. Verstallte allein 2000. fl. Zu wenig 2200. fl.
Weilen Sie aber nur Zweÿ Jahr in der Ehe alß wird der Nachtrag gerechnet auf Zweÿ jahr in duplo thut à 6 lb 12 ß, 13 lb 4 ß
Und auff Zweÿ Jahr in simplo à 3 lb 6 ß, 6 lb 12 ß
Ext. Stallgelt 1738, 4 lb 7 ß
Gebott, 2 ß 4 d
Abhandlung 3 lb 7 ß 6 d
Summa 27 lb 12 ß 10 d
dt. 22. Sept. 1738.
Receveur de familles nobles, Jean Sigefroi Breu se remarie avec Rebecca Françoise Bassy. Ils font dresser l’inventaire de leurs apports. Les apports du mari s’élèvent à 3 548 livres, ceux de la femme à 1 339 livres.
1739 (14.7.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 470) n° 140
Inventarium über des Wohledlen, Großachtbar und Wohlgelehrten Hn Johann Siegfried Breu Jur: u. Cand. und verschiedener hochadelicher Familien wohlverdienten Schaffners v. der wohl Edlen, viel Ehr und tugendbegabten Fr. Rebeccæ Franciscæ gebohrner Bassÿ, beeder Eheleuth und Burgern allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet A° 1739. – und sich vermög ihres mit einander auffgerichteten Ehe contracts §° 6.to vor unverändert vorbehalten haben
So geschehen in der Königlichen Statt Straßburg in fernerem in gegenseÿn S. T. Herrn Joh: Carl Hammerers Jur. U. Lti et Pract. auch E. E. großen raths wohlmeritirten beÿsitzers als der Ehefrauen erbettenen Hn Assistenten auf Dienstag d. 14.ten das Monaths Julii A° 1739.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Regenbogen gelegenen von beeden Eheleuthen bewohnenden behaußung ist befunden worden als folgt.
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Herrn in den Ehestand gebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 1064, Sa. frucht und mehls 33, Sa. Wein v. lähren faß 227, Sa. Viehes 95, Sa. Schiff und geschirrs 26, Sa. fuhrwercks 67, Sa. Bibliothec 50, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 426, Sa. Goldener Rings 522, Sa. baarschafft 610, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 703, Sa. Eigenthums ane liegende güther o, Sa. Gülth von liegenden güthern o, Sa. Schulden 470, Summa summarum 4298 lb – Schulden 750, Nach deren Abzug 3548, Wÿdum
Diesemnach Wird auch der Ehefrau in den Ehestand gebrachte Nahrung beschrieben Sa. haußraths 207, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 106, Sa. goldener Ring 369, Sa. baarschafft 156, Sa. pfenningzinß hauptgüter 369, Sa. Zehenden o, Sa. Schulden 130, Summa summarum 1339 lb
Catalogus librorum Johannis Siegfridi Breu Argentinensis ad annum 1740.
Le parrain de leur premier enfant est Frédéric Louis Bassy, bailli des bailliages de Liechtenau et de Willstätt en juridiction de Hesse-Darmstadt
Baptême, Temple-Neuf (luth. f° 196, n° 744)
1739. Freÿt. den 25.ten Dec. abends umb 4. uhr ist H Johann Sigfried Brey hochadel. Schaffners u. Juris Candidati Eheliebste Fr. Rebecka Francisca geb. Bassyin eines söhnl. geneßen, so Sonnt. darauff getaufft und Johann Sigfried genannt worden. Patr. waren S. T. H. Joh: Sebastian Otto Hochfürstl. Heßen Darmstädtischer Geheimer Rath, S. T. H. Friderich Ludwig Bassÿ Heßen darmstädtischer Regierungs Rath u. Amptmann der beden ämpter Liechtenau u. Wildtstät, H. Carl Hammerer J. V. Lic. u. E. E. gr. Rath wohlmeritirter beÿsitzer, die hochwohlgeb. Fr. Eleonora Sidonia von Rathsenhaußen Zu Ehenweyer geb. Johamin von Mundolßheim (i 198)
(f° 272, n° 843) 1741, 2. Octobris, Francisca Rebecca (…) Patr. war abwesend H. Johann Heinrich Hünneth burgermeister und Vornehme Handelsmann Zu Gefreeß hochfürtsl. Marggräff. brandenburg. Bareüthisch. Herrschafft gegenwärtig aber H. Johann Daniel Stædel Vornehmer Banquier, Kauffmann u. b. alhier (i 275)
(f° 330, n° 1077) 1743 d. 28. Januarÿ, Christian Ludwig (i 334)
Rebecca Françoise Bassy meurt en 1744 en délaissant un fils et une fille. Les héritiers déclarent la maison selon sa valeur d’acquisition, soit 2 000 livres. La masse propre au veuf s’élève à 8 158 livres, celle des héritiers à 1 360 livres. L’actif de la communauté s’élève à 4 904 livres, le passif à 9 415 livres
1745 (26.4.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 476) n° 294
Inventarium über Weÿl. der Wohl Edlen: Viel Ehr: v. tugendbegabten fr. Franciscæ Rebeccæ Breuin geb. Bassy, des Wohl Edlen: großachtbahren Weiß v. wohlgelehrten H. Joh: Siegfrid Breu J. U. Cand. Hoch Adel. Sch.rs E. E. Gr. Raths alten Wohlverd. beÿsitzers v. vornehmen b. allhier zu Straßb. gewes. fr. Eheliebstin nunmehr seel. Verlt. – nach ihrem d. 28. Aug. des nächsthingel. 1744.ten Jahrs beschehenen tödl. Ableiben hie Zeitl. Verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen v. begehren d. ane hernach folgendem fol° benandter Erben geschw. H. Vogts inventirt v. ersucht, dh. den hinterbl. H. Wr. wie auch H. Joh: Friderich Goll den Scrib., Cathar. Nonnenmännin, Mariam Ursulam Nonnenmännin wie auch Mariam Ester Gernerin alle 4. Domestiquen – So geschehen v.angefangen auff Montag d. 26.ten Aprilis A° 1745.
Die Verst. Fr. seel. Hat ab intestato Zu Erben verlaßen als volgt. 1. Johann Siegfried Breu, so ohngef. 4. Jahr alt und Franciscam Rebeccam Breuin so ohngef. 3 ½ Jahr alt beede d. Verst. Fr. seel. mit eingangs ihrem H. Eheliebsten v. nunmehr hinterbl. H. Wr. ehel erz. K. K. v. Erben zu 2. gleichen antheilen, In D° Nahmen d. Wohl Ehrwürdig Wohlgelehrte b. großachtbahre H. M. Joh: Breu, treu eif. Pfarr. Zu Obenheim v. b. allh. Zu Straßburg als d° geordnet und geschworenen Vogts beÿ dem geschäft erschienen
In einer allh. Zu Straßb. ane d. Reegenbogen gelegenen hiehero gehörigen behauß. ist befund. word. als folgt.
(f° 29) Eigenthum ane Liegende güthern. (T.) It. I. Garten so 13 toises 4 schuh in der Länge in d. Vorstatt ane Crautenau ohnfern d. Alten Zu d. Pfarreÿ St Stephan gehörigen begräbnus (…)
(f° 32) Eigenthum ane Häußern. (W.) Erstl. ein Vorder: v. hinterhaus mit allen deren Gebäuwen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden v. gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg nahe beÿ dem St. Stephans plahn, in d. Regenbogengaß, 1. s. neben hernach beschriebener behaußung, 2. s. neben S. T. H: XXI. Frantz Anthoni Denner hinten auff vorgedachte behaußung stossend, hinten auff Vorgedachte behaußung tochter, v. gibt man Jährl. 1. lb 5 ß d. der Statt Straßburg Pfenningthurn: wegen einer auß diesem in d. andere hauß durchgebrochenen Thür, so lang biß dieselbe wieder Zugemauret wird, sonsten freÿ ledig v. eigen v. über obige beschwerde beÿ Weÿl.S. T. Hn Joh: Breuen Sen: gew. H. adel. Schaffners, Not: Publ: v.E.E. gr. Raths A. Wohlverdienten beÿsitzers v. b. allhier seel. Verlaßenschafft Inventur A° 1742. in außwurff gebracht worden pro 2000. lb. Darüber bes. i. teut. perg. Kbr. in allh: C. C. stub gef. mit der. anh: Ins: Verw: d. d. 27.ten Junÿ 1696. samt noch andern schrifftl. bericht.
(W.) Item eine in einem Vorder und hinterhauß bestehende behaußung allh: Zu Straßb: in der Regenbogengaß (…)
(f° 39) Ergäntzung des Hn Wittibers Wehrender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Nach Inhalt Inventarii über beder durch den Zeitl Tod getrenneten Eheleuth einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen besagend durch mich Not. A° 1739. gefertiget
Series rubricarum hujus Inventarii. Copia der Eheberedung – Copia Codicilli
des Hn Wittibers Eigenthümliches Vermögen, Sa. Lähren faß 30, Sa. Fuhr Werck 12, Sa. Bibliothec 20 Sa. Silbers 165, Sa. goldenen Ring 88, Sa. baarschafft 125, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1029, Sa. Eigenthums ane häußern 4500, Sa. Eigenthums ane liegende güthern 40, Sa. Gülth von liegenden güthern 290, schulden Schulden 138, Sa. Ergäntzung (6393, Abgang 2086, Rest) 4306 Summa summarum 10 716 lb – Schulden 2558, Nach deren Abzug 8158 lb
Dießemnach wird auch der Erben eigenthümliche Nahrung beschrieben, Sa. Kleidung und weiß gezeugs 79, Sa. Silbers 37, Sa. goldenen Ring 133, Sa. Eigenthums ane Zehenden 95, Sa. Schulden 280, Sa. Ergäntzung 732, Summa summarum 1360 lb
Endlichen wird auch das gemein verändert v. theilbar guth beschrieben, Sa. Haußraths 355, Sa. Früchten auf dem Casten 688, Sa. Weins v. d. Lähren Faß 489, Sa. Pferds v. Küh 29, Sa. Kutschen und Reitgeschirrs 3, Sa. Bibliothec 5, Sa. gewehrs 5, Sa. Hew v. ohmet 14, Sa. Silbers 96, Sa. goldenen Ring 22, Sa. baarschafft 615, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 939, Sa. Eigenthums ane Liegende güthern 88, Sa. Gülth von liegenden güthern 611, Sa. Schulden 1808, Summa summarum 4904 lb – Schulden 9415 lb, In Vergleichung 4510 lb
Beschluß und Verstallungs summa 5007 lb
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1731 sqq. f° 110-v, n° 696)
1744. Freÿt. d. 28. Aug. abends um 7. Uhren ist am friesel verstorben S. T. fr. Rebecca Francisca Breuin geb. bassy S. T. Herrn Joh: Sigfrid Breuen E E grosen Raths allhier alten beÿsitzers geweste fr. Eheliebstin und Sonnt. darauff nach gehaltener leichpr. in der Neuen Kirchen auff den Gottes Acker S. Helenæ begaben worden. Æt. 30. jahr und 12. tag. (i 114)
Jean Sigefroi Breu hypothèque la maison au profit du teinturier Jean Jacques Rœderer
1749 (29. 7.bre), Not. Humbourg (6 E 41, 82)
Sr Jean Sigfrid Breu Conseiller au Magistrat de cette ville
devoir au Sr Jean Jacques Roederer teinturier, 3000 Livres tournois
hypothèque, une maison Scituée en cette ville ruë de L’arc-en-ciel d’un côté M le Quinze Denner et le Sr débiteur luy même, d’autre par haut vis à vis le nommé Meyer mesureur de bled et par bas aussi sur luy même
La faillite de Jean Sigefroi Breu, assesseur au Grand Sénat et l’un des trois préposés de l’Accise, donne lieu à de longues procédures dont les pièces sont conservées. Il abandonne ses biens à ses créanciers. La maison mise à prix 1 500 livres ne trouve pas acquéreur en 1757. Un acte signé de l’acquéreur Joseph Graff énumère les différents titres qui lui ont été rémis. Outre les actes de vente, on trouve une sentence des préposés généraux au feu le 24 avril 1716, un procès verbal des mêmes préposés le 11 novembre 1650 et une convention à propos du chenal le 12 janvier 1652.
1757, Not. Schumacher (6 E 41, 1384 puis 1385 à 1387) n° 6
Protocollum über Herrn Johann Sigfrid Breu, Adelischen Schaffners, Es. En. Grosen Raths alten beÿsitzer und ietzmaligen dreÿers des Umgeld haußes in Straßburg Credit: Geschäft angefangen Anno 1757 bis 1761 gehend
Anno 1757. den 8. Februarÿ hat H. Rathherr Breu seinen Hh. Creditoribus, all sein Vermögen nebst dem darüber gezogenen Etat ane Zahlung ihrer Forderungen übergeben, wobeÿ H. Freÿ Prediger Breu, deßen H. Bruder und H. Advocat Claude zu Commissariis, H. Schafner Göring aber zum Syndico Massæ erwöhlet, auch solches alles nebst anderen damit Verglichenen schriftlich aufgesetzet, beeder seiths unterschriebenenen und dieser aufsatz den 7.den Xbris darauf beÿ Hn Humbourg del hiesigen Königlichen Notario deponirt worden
(f° 8) 3. demnach auch herr Freÿprediger Breu unterm 25. junÿ 1757 als disortiger Credit Mass eine in der Regenbogen gaß gelegene behaußung um den Preis von 4700 R an sich ersteigert, gedachte behaußung aber der Ordnung in dem Versteigerungs Procès verbal zufolg sich bishero noch nicht in allhiesigen Cantzleÿ Contract Stuben behörig zugeschreiben laßen
(Documenta) Mobilien Verkauf
Versteigerungs Procès verbaux vom 26. mart. 1759 das breuische haus und Güther zu Ensißheim – den 7. feb. 1768 guth zu Niederehnheim – den 16. dec. 1758 Gültguth zu Gugenheim – Gültguth zu Fürdenheim
Herrn Schaffner Görings General-Syndicat Rechnungs-Concept über H. Rathherr Breuen Credit Geschäft angefangen Anno 1757 bis 1770 gehend
Zuwißen Kund und Offenbahr seÿe hemit, demnach herr Johann Sigfried Breu eines Ehrsahmen großen Raths Alter beÿsitzer auch Jetztmahliger dreÿer des Allhießigen Umgeldhausses deßen samtliches Vermögen seinen herren Creanciers zu deren befried: und bezahlung Assignirt und angewiesen und dieselbe solch Abandonnement des Biens auch alßo acceptirt und angenommen, alß worüber der unterm 8. Februarÿ 1757 coram Domino Notario Regio Humbourg passirte Acte besaget, welchen auch die meiste und gröste Anzahl dießer heren Schuldgläubiger eigenhändig unterschrieben, vermög welchen dieselbe mich unterschriebenen zu einem Syndico Massæ mit zuziehung S.T. H. M Johann Breuen wohlbestellten Freÿ Predigers und herrn Licentiat Ignace Nicolas Claude Advocaten beÿ E.m hohen Königlichen Rath zu Collmar allhier wohnhaft zu bevollmächtigte ernannt (…), mich verordnet, die in dieße Mass gehörige zweÿ häußer samt Zugehörden in der Regenbogengaß allhier gelegen offentlich unter nachfolgende Conditionen zu versteigern, alß Nemblichen und zum Ersten, betreffend die Abtheilung dießer häußer solle in dem neben herrn XV.er Denner gelegenen hauß diejenige thür so in den hintern hoff und Garthen gehet auf dießes hauses Steigerers Cösten zugemacht, auch das darneben befindliche Fenster auß dem seinigen vergrembßt werden und solle der über und darneben sich befindliche Altan auch weggethan und abgerißen werden, weiter solle der in dem ersten Stock dieser beÿden häußer auch sich befindliche Altan auf des andern haußes Steigerers Cösten abgerißen, die darinn aber befindliche durchgebrochene thür auf Gemeinschaftliche Cösten zugemaurt werden, auch solle derjenige Steigerer des ersten hauses neben Edelgemeltem herrn XV.er Denner keine fug noch Macht haben, in deßen benachbarten hoff Keinen s.v. Urin, Waßer oder sonsten etwas zu schütten oder zu werffen, wiedrigen falls er obligirt seÿn solle, deßen samtliche in dießen hoff gehende Fenster auf seine Cösten zu vergrembßen, wohl aber solle Ihme erlaubt seÿn den Naach: oder tachtrauff in des zweÿten hauß Steigerers hof fallen zu laßen und solle des zweÿten haußes Steigerer weilen der erstere den alten auff seine Cösten abreißen muß, den darunter sich befindlichen Schopff auff seinen UnKosten abbrechen, auch solle der Steigerer des großen haußes nicht fug noch Macht haben, des Kleinen Haußes fenster in deßen Hoff und Garthen gehend zu verbauen oder Ihme den tag dadurch zu benehmen, 4. vor die Verfertigung des Plan Abschatzungs Gebühr, Außruffer lohn, Affiches und andere Cösten
Erstlichen eine behaußung hoff hoffstatt samt hinter hauß und bronnen mit allen deßen begriffen, weithen, Rechten, zugehörden und Gerechtigkeiten nebst deme was darinn sich nied und Nagelfest befindet gelegen alhier in der Regenbogengaß ohnweit dem Stephans Plan einseit neben herrn XV.r Denner anderseit neben seiner hiernachfolgender in dieße Mass gehörigen behaußung vornen in die Regenbogengaß außsehend und hinten in einen hoff und Garthen in dieße Mass gehörig, angeschlagen vor und um 3000 fl. – den 27. maÿ 1757, fruchtlos
Item eine behaußung hoff hoffstatt Gärthlein Stallung und außfahrt in das Steingäßlein sambt bronnen und übrigen deßen begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten auch was sich nied und Nagelfest befindet, gelegen allhier in der Regenbogengaß ohnweit des Stephans Plahns einseit neben einer in dieße Mass gehörigen behaußung anderseit neben Sr Perrin financier vornen auf die Regenbogengaß und hinten theils auff gedachter herrn Perrin Garthen theils auff herrn Pfarrer Gambßen Stiffts hauß und theils mit dem thor und Stall in das Steingäßlein gehend, æstimirt ad 4500 fl. – um 4520 fl. H. Philipp Jacob Dürr den 27. maÿ 1757
den 6. junÿ das erstere Hauß 2800 R., fruchtlos, die zweÿte behaußung fruchtlos
den 18. junÿ – den 25. junÿ, das 1. hauß 3020 fl., H. Joseph Graff Kornwerffer, die zweÿte 4700 fl, H. M. Johannes Breu wohlselbsten Freÿ Prediger
[Denière liasse de documents] Designation derer Documenten über Häußer und Gültgüther besagent sub dato 1. mart. 1757 – Über die Eÿgentumbl. behaußung in der Regenbogen Gaßen neben H. XV. Denner und as. neben mir selbsten darüber besagen
Ein Kaufbrieff de A° 1696 von weÿl. Joh: Georg Merckels des Kornwerffern hinterlassenen Kinder an weÿl. H. XV. Schmidten meines H Groß Vatters seel. beede Söhn und 4 töchtern vor 850 den 27. julÿ erkaufft
wobeÿ eine Convention vom 15. maÿ 1717 zwischen weÿl. H. XIII. Denner nachmahligen Ammeister und H. Not. Johann Breu Parente als tochtermann weÿl. XV. Schmidt und über nehmern der behaußung pt° des gäbels, daß die Maur an gedachter Dennerischen behaußung gemein sein solle von beeden theilen in duplo verfertigt und unterschrieben, Ferners Ein Kleines Raths bescheid vom 13. junÿ 1716
der Obernfeuerherren bescheid vom 24. apr. 1716
Extractus feur augenscheins protocollj vom 26. X*br 1654
Kaufbrieff über die behaußung vom 11. 9.br 1650
Kauffverschreibung vom 28. apr. 1628
Kauffverschreibung vom 13. mart. 1621
alia Conventio pt° des Naaches vom 12. jan. 1652
Kauffverschreibung de A° 1576
[in margine :] die Documenta seind mir dato von Schaffner Göring alß Syndico Massæ von stück zu stück wohlaußgeaüssert worden 30. junÿ 1757 [unterschrieben] Joseph Graff
Über die Räuberische Wohnbehausung, Erstlichen ein Kaufbrieff vom 8. Januarÿ 1727 woraus ersichtl. wie solche behaußung durch die Räuberische Erbs Interessenten a Parentem für 3000 lb
Verkauff in A° 1742 aber Jure Cessionis auff mich erlanget
Ferners Ein Kaufbrieff vom 6. Novembris 1679 wie H. Friedrich Räuber solche von H. Frantz Ludwig Zorn von Bulach und H. V. Hüffel anwaldt H. Ulricum Obrecht Hist. Eloq. Prof: P. O. vor 1950 fl. erhandelt
Item ein Kaufbrieff de dato 14 X.br 1644 besagend wie Frh. Philipp Jacob von Bernhold Commendant zu Rheinfelden solche behaußung von den Zornischen geschwisterten für 1200 fl. an sich erhandelt
Kauffverschreibung de dato 3. 8.br 1618 wie Frh. Hugo Friedrich Zorn von Bulach solche behaußung vor und um 650 lb an sich erhandelt
Ein werckmeister Spruch de 1. aug. 1566
Ein anderer vom 17. jan. 1566
Ein dritter von Joh: Bapt. 1563
Ein vierter vom 4. junÿ 1558
Ein Kauffverschreibung vom 16. maÿ 1550
13 pergamentene Coram nobis brieffe de A.is 1342, 1359, 1361, 1364, 1366, 1368, 1375, 1396, 1457, 1576, 1618
Ein Feur bescheid vom 5. apr. 1727
dreÿ Streitische, La Chapellische und Rathsamh. Lehnungen in besagte behaußung
H. Baron von Haindels lettres d’achapt et donation de laditte maison
[in margine :] die Documenta seind mir dato von Schaffner Göring alß Syndico Massæ von stück zu stück wohlaußgeaüssert worden 11. julÿ 1757 [unterschrieben] M Breu
(liasse 1385, premier paquet) Weÿl. Frauen Franciscæ Rebeccæ Breuin geb. Bassy mit S.T. Herrn Rathherrn Johann Sigfrid Breuen erzeugte verlaßene zweÿ Kindern und erben namentlich Johann Sigfried und Francisca Rebecca die Breuen so mit S.T. Herrn Magister Johann Breu dermaligen wohlverdienern Freÿ Prediger bevögtiget haben ane vorgedachten herrn Rathh. Breu ihren herrn Vatter zu erfordern – Rechnungen
(liasse 1386) Zorn von Plobsheim forderungen
(liasse 1387) suite
(liasse 1388) n° 11, Revision und Abtheilung des zwischen der breuischen Credit Masse eines so dann den bochischen Geschwistrigen und Sachsischen erben andern theils Gemeinschaftlich gewesten Gülttguths zu Gugenheim vom 20 und 2. 7.br 1758
Le syndic de la masse Breu vend la maison 1 650 livres au remueur de grains Joseph Graff qui devra fermer les ouvertures autorisées en 1727
1757 (5.7.), Chambre des Contrats, vol. 631 f° 173
H. Johann Philipp Göring der adelische Schaffner als syndicus massæ H. Rathh. Johann Sigfried Breu samtliche creditorum
in gegensein Joseph Graff des kornwerffers
eine behausung, hoff, hoffstatt, hinterhauß und bronnen mit allen begriffen, rechten und gerechtigkeiten ane der Reegenbogengaß, einseit neben H. Pfarrer Breu, anderseit neben S.T. Herrn XV. Denner, hinten auff gedachten Pfarrer Breu
der käuffer ist auch verbunden, den altan am hintern hauß auf seine cösten abbrechen, die darunter befindliche thür zumauren, die über dem altan befindlichen samtliche fenster mit graden eisernen stangen vergrembßen zu laßen, ihme soll auch nicht erlaubt seÿn gewäßer noch viel weniger Urin oder sonsten etwas, es mag nahmen haben wie es will, heraus zu schütten oder zu werffen, was aber das unter dem altan befindliche fenster wie auch die neben dem gang in das neben haus gehende thür anbelangt, solle auf gemeinschafftlichen cösten zu gemaurt werden – um 1650 pfund
Joseph Graff fait son apprentissage de remueur de grains chez son père de 1747 à 1748. Il devient tributaire à La lanterne le 6 juillet 1752
1747, Protocole de la tribu de la Lanterne (XI 211)
(f° 199) Heüth Dato den 13. feb. 1747 – Johann Georg Graff d. Kornwerffer dahier bittet Ihme seinen sohn Joseph Graff von dato Ein Jahr lang das Kornwerffer handwerck beÿ Ihme Zu Erlehren in die Lehr zu schreiben. Erkannt Willfahrt.
(f° 234-v) Heuth dato den 6. Julÿ 1752 – Joseph Graff producirt Statt Stallschein Crafft deßen Er als burgers sohn sich dießes orthß Vndter denen Kornkäuffern, Verlangt Zünfftig Zu werden, Bittet Ihme in solcher qualitæt Zu recipiren.
Erkannt Willfahrt gegen Erlag der Gebühr.
Fils de remueur de grains, Joseph Graff épouse en 1754 Marie Madeleine Meyer, fille de boucher
Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 324)
Hodie 7 Maÿ Anni 1754 (…) sacro Matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Josephus Graff argentinensis fructuum vendilator filius legitimus Joannis Georgii Graff civis hujus urbis et fructuum vendilatoris, et defunctæ Catharinæ Rauschmeyer olim conjugum in parochia SS. Petri Junioris hujus urbis Commorans, et Maria Magdalena Meyer Argentinensis filia legitima Nicolai Meyer Civis et Lanionis hujus urbis et Annæ Mariæ Angerin Conjugum parochiana nostra – (signé) Joseph graff, Maria Magdalena Meÿerin (i 165)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison proche de l’aubergiste au Chapelet (rue du Parchemin). Ceux du mari s’élèvent à 639 livres, ceux de la femme à 725 livres
1754 (9.7.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 710) n° 153
Inventarium über des Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Joseph Graff Korn Werffers des allhießigen hohen Thumb Capituls und der Viel Ehren und tugendgezierten frauen Mariä Magdalenæ Graffin gebohrner Meÿerin beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1754. – und sich vermög der mit einander Vor mir Unterschriebenem Notario unterm 12.sten Februarÿ dießes lauffenden 1754.sten Jahrs errichteten Eheberedung Vor unverändert Vorbehalten haben – So beschehen in beÿseÿn Hn Joh: Georg Graff ebenmäßigen Kornwerffer des Ehemanns geliebten Vatters und Hn Joh: Niclaus Meÿers Metzgers der Ehefrauen eheleiblichen Vatters beede burgere alhier in Straßburg auf Dienstag den 9.ten Julÿ A° 1754.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Rosen Krantz gelegenen und in dieße zugebrachte Nahrung nicht gehörige behaußung befunden Worden Wie folgt
Wÿdembs Verfangenschaft Welche Hr Joh: Georg Graff des Ehemanns geleibter Hr Vatter von weÿl. fraun Annä Catharinæ Graffin gebohrner Rauschmeÿerin seiner Ersten Ehefraun seel. zu genießen hat. Zufolg eines von Hn Joh: Rudolph Dinckel Not° publ. et practico d. 19. Julÿ 1754. gefertigten Attestatÿ
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 220, Sa. Wein und Faß 21, Sa. Silbers 36, Sa. goldenen Rings 6, Sa. baarschafft 303, Summa summarum 588 lb – Darzugelegt desselben gebührige Helffte ane denen Haussteuren 51, des Manns gesambte Nahrung 639 lb
Diesemnach wird nun auch der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 307, Sa. Silbers 31, Sa. goldener Ring 22, Sa. baarschafft 1313, Summa summarum 674 lb – Hierzu ist ferner zu rechnen der Ihro gebührige halbe Teil ane denen verhrten Haussteuren 51, der Frauen völlig in die Ehe gebrachten Vermögen 725 lb
Joseph Graff hypothèque la maison au profit d’André Lavalette, chef de cuisine au service de M. de Bellombre
1757 (5.7.), Chambre des Contrats, vol. 631 f° 174-v
Joseph Graff der kornwerffer
in gegensein H. Andreas Lavalette chef de cuisisne beÿ H. De Belombre – schuldig seÿe 600 pfund
unterpfand, eine behausung, cum appertinentis ane der Reegenbogengaß, einseit neben H. Pfarrer Breu, anderseit neben S.T. Herrn XV. Denner, hinten auff gedachten Pfarrer Breu
Joseph Graff et son voisin le pasteur Jean Breu, propriétaire de la maison à la Cornue, passent un accord en 1763. Jean Breu s’engage à démolir le bâtiment qu’il vient de construire mais aura le droit d’édifier une galerie en la garnissant d’un grillage. Il cède une partie de sa cour à son voisin Joseph Graff qui devra la fermer d’un mur de 11 pieds de haut sans pouvoir y édifier de bâtiment plus haut
1763 (14.2.), Chambre des Contrats, vol. 637 f° 68
auf ansuchen H. Johannes Breÿ des freÿpredigers und Joseph Graf des kornwerffers, nachstender kauf
Aus eines hochpreißlichen Cammergerichts der statt Straßburg memoriali de Anno 1759. Dienstag den 29. maÿ. H. Faust noe. H. freÿpredigers Johannes Breü contra Joseph Graf producirten vergleich bescheint daß die parthen sich in eine amicable composition eingelaßen bitt unterthänig dieses vergleich homologationem confirmationem und verzeichnuß (…)
1. solle H. freÿprediger Breu seine neu angefangene gallerie samt dem nebens altan und darunten befindlichen schopff wie auch das unter der gallerie befindliche gebäudlein auf seinen uncosten abzubrechen,
hingegen aber alle materialen als holtz, stein, eisen && vor sich zu behalten berechtiget seÿn, doch solle H freÿprediger Breu ohnbenommen seÿn die aus seinem hauß gegen H. Graffen hoff angefangene kleinen gallerie biß ane den neuen Graffischen eckpfeilen, welcher dem Graffischen haus eigenthümlich zuständig seÿn soll, zu behalten, jedoch daß H. freÿprediger Breü solche gallerie mit einem eisernen gegitter auf seinen cösten schließen damit nicht aus einem hauß in das andere gestiegen werden könne,
2.do, cedirt und überläßt H. freÿprediger Breü dem H. Graff einen theil seines höffleins zu eigenthum welchen H. Graff auf seinen kösten mit einer 11 frantzösischen schuh hohen maur vom unteren stallpfosten biß an das in die gesteckten holtz welches 7 frantzösischen schuh von dem eck des Breuischen hauses abstehet und von diesem biß an den eckpfeiler Graffischen hauses zu zu schließen, anbeÿ aber nicht berechtigt seÿn solle in diesem cedirten höflein einigen gebäu höher zu führen als die 11 schuh hohe maur, noch auch einen schweinstall dahin zu setzen, auch keinen altan zum blumen gewächs und sonsten über solchem höflein zu construiren, hier nächst solle H. Graff ferner berechtiget seÿn in dieser neu zu construirenden maur so ihme H. Graff allein zugehörig seÿn solle zweÿ lufftlöcher deren jedes anderthalb schuh hoh und anderthalb schuh breit und von der end 7 schuh ab stehen soll zu machen, derselbige verbindet sich ferner den naach von seinem tach wie er dermahlen in das cedirte höfflein gefallen also herum zu leiten, daß er an vorgedachten eckpfeilen in H. Pfarrer Brau gerechtigkeit herab gehe auch gedachtem naach, ferner auf seinen kösten zu unterhalten, wogegen H. Pfarrer Breu obligirt seÿn solle dieses dach waßer wie auch das in dem cedirten antheil des höffleins fallende regenwaßer und durch seinen hoff auszuleiten, (3. soll H. Graff dem H. Pfarrer Brau 500 gulden bezahlen)
Joseph Graff meurt en 1772 sans postérité. Les experts estiment la maison 1 500 livres. La masse propre à la veuve est de 710 livres, celle des héritiers de 494 livres. L’actif de la communauté s’élève à 3 654 livres, le passif à 4 081 livres.
1772 (3.7.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 861) n° 97
Inventarium über Weiland des Wohl Ehren Vest und Großachtbaren Hn. Joseph Graff, des gewesenen Dom: Capitul. Kornwerfers und E. E. großen Raths alten Beÿsitzers auch burgers alhier nunmehro seel. Verlaßenschaft, auffgerichtet in Anno 1772. – nach seinem Sambstag den 20.ten Julii gegenwärtigen 1772.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt nach sich Verlaßen, Welche Vermögens Nachlaßenschafft auf freundliches ansuchen und begehren des Verstorbenen Hn Rathh. seel. ab intestato Zu Erben Verlaßener und diesem Titulo Inventarii gleich nach benamßter geschwisterde und Geschwister Kinder, wie auch deren resp. beÿständer und Vögten, so dann der Viel Ehren und Tugendbegabten Frauen Mariæ Magdalenæ Grafin gebohrner Meÿerin der hinterbliebenen Fraun wittib selbsten (…) – So beschehen alhier Zu Straßburg in fernerem beÿseÿn S. T. Hn Joh: Wilhelm Berga, des von Ihro Gnaden dem regierenden Herrn Ammeister aus E. E. Kleinen Raths Mittel hierzu ernannten Deputati, in einer ane der Regenbogen Gaß gelegener hiehero eigenthümlich gehöriger und hernach mit mehrerem beschriebener behaußung Montag den 13.ten Julii Anno Christi 1772.
Der Verstorbene H. Rathherr seel. hat ab intestato Zu seinen rechtsmäßigen Erben verlaßen 1° Joh: Georg Graff, den taglöhner und Schirmern alhier seinen halbbruder, welcher hiebeÿ persönlich zugegen seine eigene Interesse besorget, vor den ersten achten Stammtheil.
2° Weil. Fraun Magdalenæ Gärtnerin gebohrnee Grafin seiner halb Schwester, mit auch Weil. Joh: Jacob Gärtner, dem gewesenen taglöhner und Schirmern alhier ehelich erzeugt hinterlaßene Vier Töchtere, dißorts Geschwister Kinder, Namens und a) Frau Catharinam Helmerin, gebohrne Gärtnerin, Joh: Martin Helmer des Seilers und burgers alhier Ehefrau, welche unter assistentz dieses ihres Ehemanns sothanem Erb: Geschäft persönlich abgewartet, b) Jungfrau Barbaram Gärtnerin, so majorennis, c) Jungfrau Margaretham Magdalenam Gärtnerin, so gleichfalls volljährigen Alters, d) Jungfrau Catharinam Elisabetham Gärtnerin, so ebenfalls majorennis, Welche dreÿ letzteren unter beÿstand Hn Philipp Heinrich Martin, des Scribenten, solchem Geschäft persönlich beÿgewohnt, diese Vier jure repræsentationis vor den andern achten Stammtheil.
3.tio Hn Joh: Peter Graff den Kornwerfer und burgern alhier, seinen zweÿbändigen bruder, vor den dritten achten Stammtheil.
4.to Hn Frantz Joseph Graff, den Seiden Knopfmacher und burgern alhier, seinen halbbruder, welcher hiebeÿ persönlich Zugegen auch seinen eigenen Nutzen beobachtet, vor den vierten achten Stammtheil.
5.to Frau Barbaram Logelin gebohrner Graffin, Frantz Michael Logel des Leinenwebers und burgers alhie Ehefrau seine halb: Schwester, welche unter dem Ansehen dieses ihres Ehemanns sothanem Erb: Geschäft persönlich beÿgewohnet und dabeÿ ihre eigene Interesse besorget Zum fünften achten Stammtheil..
6.to Frau Catharinam Barbaram Lemardelé gebohrne Grafin, Hn Antoine Lemardelé, des Souffleur in dem alhiesigen frantzösischen Comedie Ehefrau seine ebenmäßig ½ Schwester, welche mit erstgedachtem ihrem Marito verbeÿstandet, sothanem Erb Geschäft persönlich abgewartet und dabeÿ ihren eigenen Nutzen beobachtet, Zum sechsten achten Stammtheil.
7.mo Ferdinandum Graff, den leedigen auf der Wanderschaft befindlichen Kiefer, seinen Halbbruder, Vor den siebenden achten Stammtheil, und
8.vo Jgfr. Mariam Grafin seine halb: Schwester& so 19. Jahr alt in den acten und letzte achten Stammtheil. Dieser beÿden letzteren geordnet und geschworener Vogt ist obgedachter H. Johann Peter Graf Kornwerfer und burger alhier. Angesehen aberderselbe hiebeÿ in eigener Peson interessiret, so ware in solcher beÿden Curanden Namen hiebeÿ gegenwärtig H. Joh: Michael Schäffern den Kiefer, Weinhändler und burger alhier, welcher in qualitate derenselben geschwornen Theil: Vogts auch hiebeÿ deroselben Nutzen bestens besorget. In ansehung derer unter obbenanmßten Erben befindlicher ohnverburgerter Persohnen waren als Deputirten hiebeÿ gegenwärtig S. T. H. Johann Wilhelm Berga, Also alle acht des verstorbenen Hn Rathh. seel. Zweÿ und einbändige Geschwisterde und Geschwister Kindern auch ab intestato Zu acht gleichlingen portionen und Stammtheilern verlaßene Erben.
(f° 8) Eigenthum ane einer behausung. (T.) Nemlich eine behausung, hoff, hoffstatt, Hinterhauß und bronnen sambt allen deroselben begriffen, Weiten, Zugehördten, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg ane der Regenbogengaß, einseit neben H. Joseph Wilhelm dem Kiefer und Weinhändlern anderseit neben Weil. H. XV. Denners hinterlaßener Frau Wittib und Erben, hinten auf gedachten H. Wilhelm stoßend, so gegen männiglicher freÿ leedig eigen, und demalen durch (die Werckmeistere) zufolg derselben schriftlich ausgestellten und beÿ dieses Inventarii Concepto verwahrlich liegenden Abschatzungs Scheins de dato 15. Julii 1772. gewürdiget und angeschlagen worden vor und um 3000. fl. oder 1500. Hierüber besagt und ist vorhanden ein teutscher pergamenten in alhiesiger C. C. Stub gefertigter und mit deroselbe anhangendem Insiegel verwahrter Kaufbrieff de dato 5.ten Julii 1757. meldend, wie der verstorbene H. Rathh. seel. sothane behausung von H. Joh: Phil. Gering dem adelichen Schafner als Syndico H. Rathh. Breÿen Credit massæ eigenthümlichen an sich gebracht. So dann melden darüber annoch vier andere dergleichen Kaufbrieff de datis 27. Julÿ 1696, 11.ten 9.bris 1650, 28.ten Aprilis 1628. und 13.ten Martii 1625. Nebst noch verschiedenen anderen dabeÿ gebundenen papierenen Schriften.
(f° 8-v) Ergäntzung der Fraun Wittib währender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Nach Anleitung des über beeder nun zertrennter Ehepersohnen einander in den Ehestand Zugebrachte Vermögenschaften durch Hn Notarium Joh: Daniel Langheinrich am 9.ten Julii 1754. auffgerichteten Inventarii
(f° 13-v) Series rubricarum hujus Inventarii. Copia der Eheberedung
Der Fraun Wittib unverändertes Vermögen, Sa. haußraths 35, Sa. Silbers 22, Sa. goldener Ring. 12. Sa. der Schuld 100, Sa. der Ergäntzung ist deductis deducendis 540, Summa summarum 710. lb
Dießemnach so wird auch der Erben unveränderte Vermögenschaft beschrieben, Sa. haußraths 56, Sa. leeren Faß 2, Sa. Silbers 21, Sa. guldenen Rings 3, Sa. der Ergäntzung 510, Summa summarum 594. – Schulden 100 lb, Nach deren Abzug 494 lb
Endlichen so wird auch die gemein und theilbare Verlaßenschafft beschrieben, Sa. haußraths 121, Sa. Weins und leeren Faß 81, Sa. Silbers 7, Sa. Eigenthums ane einer behausung 1500, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1450, Sa. Schulden 494, Summa summarum 3654 lb – Schulden 4081 lb, In Vergleichung 426 lb
Beschluß und Stallsumma 639 lb
Le journalier Jean Georges Graff et Barbe Graff, femme du tisserand Jean Georges Laugel, vendent leur part de maison à Marie Madeleine Meyer, veuve de Joseph Graff, usufruitière de l’immeuble
1772 (22.10.), Chambre des Contrats, vol. 646 f° 490-v
Johann Georg Graff der schirmer und taglöhner und Barbara Laugelin geb. Graff Franz Michael Laugel des leinenwebers Ehefrau alß erben weÿl. H. Exsenatoris Joseph Graff gewesten dom capitulischen kornwerffer ihres halb bruders
deßen hinterbliebenen wittib Mariæ Magdalenæ Gräffin geb. Meÿerin alß wÿdumnießerin beÿständlich H. Johann Jacob Schultz des gastgebers ihres schwagers
d. vierten theil so bereits abgetheilt von und ane einer summ von 4696 pfund, ferner
zweÿ sechste theil vor unvertheilt von und ane einer behausung, hoff, hoffstatt, hinterhaus und bronnen nebst allen mit allen deroselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Regenbogen gaß, einseit neben H. Joseph Wilhelm dem kieffer und weinhändler, anderseit neben weÿl. H. XV Denners seel. hinterl. Fr. wittib u. erben, hinten auff gedachten H. Wilhelm – außweis und erörterung register durch Not. Johann Friedrich Schäff auffgerichtet – um 5000 gulden
Barbe Catherine Graff femme du juriste Antoine Lemardelé, Catherine Gærtner femme du cordier Martin Helmer et Catherine Elisabeth Gærtner, femme du menuisier Mathias Andres vendent leur part de maison à Marie Madeleine Meyer
1772 (24.10.), Chambre des Contrats, vol. 646 f° 496
Fr. Barbara Catharina Lemardelé geb. Graffin H. Anton Lemardelé des practici Ehefrau, Fr. Catharina Helmerin geb. Gärtnerin, Martin Helmer des seilers Ehefrau, Jungfer Barbara und Margaretha Gärtnerin, so dann Fr. Catharina Elisabetha Andreßin geb. Gärtnerin Mathis Andres des schirmers und schreiners Ehefrau, alß erben H. exsenatoris Joseph Graffen ihres halbbruders und respective oncle
in gegensein deßen hinterbliebenen wittib Mariæ Magdalenæ Gräffin geb. Meÿerin alß wÿdumnießerin, beÿständlich H. Johann Jacob Schultz des gastgebers ihres schwagers
die antheile ane des Erblaßers seel. verlassenschaft Inventario alß vorgewießenen lieffer, außweiß und erörterung register vor Not. Johann Friedrich Schäff errichtet, zweÿ sechste theil vor unvertheilt von und ane einer behausung, hoff, hoffstatt, hinterhaus und bronnen nebst allen mit allen deroselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Regenbogen gaß, einseit neben H. Joseph Wilhelm dem kieffer und weinhändler anderseit neben weÿl. H. XV Denners seel. hinterl. Fr. wittib u. erben, hinten auff gedachten H. Wilhelm – um 650 gulden
Marie Madeleine Meyer se remarie avec le boucher Jean Georges Pulvermüller
1773 (28.6.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 873) n° 81
(Eheberedung) H. Johann Georg Bulfermüller, der ledige Metzger und burger alhier, Weil. H. Joh: Georg Bulfenmüllers des gewesenen Metzgers und burgers alhier mit der Viel Ehr: und tugendsamen Fraun Mariæ Salome gebohrner Ehehaldin, so dermalen ane den Wohl Ehrenvest und Großachtbaren Hn Johannes Rohmann, den ebenmäßigen Metzger und Es. En. grosen Raths alhier alten wohlverdienten beisitzers verehelichet, ehel. erzeugter Sohn, beÿständlich erst Ehrengemelten seines Hn. Stiefvaters, als hochzeiter an einem,
So dann die Viel Ehren und tugendbegabte Frau Maria Magdalena Graffin gebohrene Meÿerin, Weil. Hn. Joseph Graff des gewesenen Dom: Capitul. Kornwerffers und Es. En. großen Raths alten beÿsitzers hinterbliebene Wittibin, als die Frau hochzeiterin am andern Theil, beÿständlich des Wohl Ehren vest und großachtbahren Hn Joh: Jacob Schultz des gastgebers zum Kaÿser und Es. En. grosen Raths dermaligen wohlverdienten beÿsitzers – den 28. Juni Anno 1773 [unterzeichnet] Johann georg bulfer Müller als hochzeiter, Johannes Rohmann als Vetter, Maria Magdalena Graffin als hochzeiterin
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 1 842 livres, ceux de la femme à 4 045 livres dont la maison rue de l’Arc-en-Ciel pour trois quarts en propriété et un quart en usufruit
1773 (17.11.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 862) n° 120
Inventarium über Herrn Johann Georg Bulfermüller, des Metzger und Fraun Mariæ Magdalenæ gebohrner Meÿerin beeder Eheleuthe und burgers alhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Vermögenschaften, auffgerichtet in Anno 1773. – in ihren vor einigen Monahen angetrettenen Ehestand vor unverändert Zu Ÿ eingebracht hben.
So beschehen alhier Zu Straßburg in fernerem beÿseÿn aus Wohl Ehrenvest: und Großachtbahren H. Johannes Rohmann, des Metzgers und Exsenatoris auch angesehenen burgers alhien des Ehemanns Stiefvaters, wie auch Wohl Ehren vest und großachtbahrren H. Joh: Jacob Schultz des Gastgebers Zum Kaÿßer und Es En großen Raths dermaligen wohlverdienten beÿsitzers aucgh angesehenen burgers alhier der Ehefraun Schwagers und hierzu erbettenen beÿstandt, in einer ane der Regenbogen Gaß gelegenen, der Ehefraun Zum theil eigenthümlich zuständiger und hernach mit mehrern beschrienen behaußung, auff Mittwoch den 17.ten Novembris& Anno 1770.
Eigenthum ane einer Behausung (F.) Nämlich dreÿ vierte theil vor ohnvertheilt von und ane einer Behausung, hof, hoffstatt, hinterhauß und bronnen mit allen deroselben Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg ane der Regenbogen gaß, einseit neben H. Joseph Wilhelm, dem Kiefer und Weinhändler, anderseit neben weil. H. XV. Denner seel. hinterlaßener Fr. Wittib und Erben, hinten auf gedachten H. Wilhelm stosend, so gegen männiglichen freÿ, ledig und eigen. und hier in keiner Anschlag zu bringen beliebt worden also hier, o. Ane vorher beschriebener behaußung ist der dißortigen Ehefrau beÿ H. Joseph Graff, gewesenen Dom Capitul Kornwerffers u. E. E. großen Raths alhie alten Wohlverordneten beÿsitzers, ihres erstern Ehemanns seel. Verlaßenschafft: Erörterung als mit Participantin der theibaren Massæ die Helfte eigenthümlich zugefallen, so dann hat dieselbe von Johann Georg Graff, dem Taglöhner und schirmer allhier, Fr. Catharina Hellmerin geb. Gärtnerin, Joh: Martin Hellmer, des Seilers und burgers alhier Ehefraun, Jfr. Barbara Gärtnerin, Jfr. Margaretha Magdalena Gärtnerin, Jfr. Catharina Elisabetha Gärtnerin, Fr. Barbara Logelin geb. Graffin, Frantz Michael Logel, des Leinenwebers und burgers alhier Ehefraun und Fr. Catharina Barbara Lemardelé geb. Graffin hn. Anthoine Lemerdelé, des Souffleurs in der allhiesigen frantzösischen Comoedie Ehefraun, allen dießen als zur Helfte Erben obgemelten ihres erstern Eheherrn seel. vermittelst des in allhiesiger C. C. Stub errichteten Wÿdems Erb: und Verkaufs einen vierten theil ebenfals eigenthümlich an sich gebracht, den übrigen Vierten theil aber hat dieselbe lebtägig Zu geniesen, so sich hernach in dem Widem behörig beschrieben befindet. Ansonsten ist darüber besagend vorhanden ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhiesiger C. C. Stub gefertigter und mit deroselben anhangenden Insiegel verwahrter Kauffbrieff de dato 5.ten Julÿ 1757. So dann melden darüber annoch vier andere dergleichen Kaufbrief de datis 27. Julÿ 1696, 11.ten Novembris 1650, 28.ten Aprilis 1628 und 13.ten Martii 1621, Nebst noch verschiedene andere dabeÿ gebundenen Papierene Schrifften.
Wittum, So die disortige Ehefrau lebtägig Zu genieße berechtiget. Es hat nämlich dieselbe nach Inhalt der mit Weil. H. Joseph Graff, dem gewesenen dom Capitulischen Kornwerffer und Exsenatore auch burgers allhier, ihrem erstern Ehemann seel. errichteten Eheberedung (…)
So dann in den Vierten Theil vor ohnvertheilt von und ane einer behausung (…) ane der Regenbogen Gaß [ut supra]
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns in die Ehe gebrachte Vermögenschaft. Sa. hausraths 3, Sa. silbers 38, Sa. goldenen Ring 52, Sa. der baarschafft 750, Sa. der Schuld 998 lb, Summa summarum 1842 lb
Diesemnach wird auch der Ehefraun völlige in die Ehe gebrachte Vermögenschaft beschrieben. Sa. hausraths 533, Sa. leeren Faß 64, Sa. Silbers 142, Sa. goldenen Ring 43, Sa. der baarschafft 763, Sa. Eigenthums ane einer behaußung o, Sa. der Pfenningzinß hauptgüter 2532, der Schulden 2891, Summa summarum 6972 lb – Schulden 2926 lb, Nach solchem Abzug 4045 lb
François Ferdinand Graff céde sa part de maison à Marie Madeleine Meyer
1776 (22.11.), Chambre des Contrats, vol. 650 f° 354
Franz Ferdinand Graff der ledige aber großjährige hußar unter dem löbl. regiment Esterhasi
in gegensein Fr. Mariæ Magdalenæ geb. Meÿerin verwittibte Graffin dermahlen an H. Georg Pulvermüller dem metzger vereheliget
alß erben weÿl. H. exsenatoris Joseph Graff gewesten dom capitulischen kornwerffers, seines halbbruders zugefallenen einen stamm theil, Invent. Not. Schaeff – 3. aus dem antheil der ihme an einer gemeinschafftlichen behausung, hoff, hoffstatt, hinter haus und bronnen nebst deroselben übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Reegenbogengaß, einseit neben H. Joseph Wilhelm dem weinhändler, anderseit neben weÿl. H. Denner wittib und erben, hinten auff mehrgedachten H. Wilhelm
Séparée en biens de son mari, Marie Madeleine Meyer meurt sans postérité en 1780. L’estimation de la maison dont 13/16 appartiennent à la succession est reprise de l’inventaire dressé après la mort de Joseph Graff. La masse propre au veuf s’élève à 1778 livres, celle des héritiers à 5630 livres. L’actif de la communauté s’élève à 3523 livres, le passif à 4462 livres (la suite du curriculum vitæ de Jean Georges Pulvermüller se trouve à sa maison rue du Puits)
1780 (2.11.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 879) n° 97
Inventarium über Weiland Frauen Mariæ Magdalenæ Bulfermüllerin gebohrner Meÿerin, herrn Johann Georg Bulfermüllers, des Metzgers und burgers dahier Zu Straßburg zu Tisch und Zu bett geschieden geweßener und nunmehr Verstorbenen Ehefrauen seel. Verlaßenschafft, errichtet Anno 1780 – nach ihrem den 24.ten Octobris jüngst erfolgten Absterben hinterlaßen hat, Welche Verlaßenschafft ad requisitionem erstgedachten des hinterbliebenen Wittibers und Herrn Georg Friderich Nenters, Notarii publici jurati et Practici, als desselben ad hoc angesprochenen beÿstands (…), nicht nur durch den Wittiber sondern auch Fr. Maria Barbara gebohrne Meÿerin, Herrn Exsenatoris Johann Jacob Schultz, des Gastgebers und burgers allhier Frau Eheliebste, als der defunctæ Schwester und deroselben tochter Frau Maria Magdalena gebohrne Schultzin, Herrn Doctoris Frantz Joseph Besnard Fraun Ehegattin, ingleichem Agatha Windin, die dienstmagd von Ebersmünster gebürtig
Geschehen allhier Zu Straßburg in hernach inventirter hiehero Zum theil gehörigen Behaußung an der Regenbogengaß, wie auch in Herrn Exsenatoris Johann Jacob Schultzen Gastbehausung zum Römischen Kaÿßer an der Fasanengaß gelegen, als woselbsten die defuncta wehrend ihrer Separation von dem disortigen Wittiber sich aufgehalten hat, angefangen Donnerstags den 2. Novembris Anno 1780.
Der Verstorbenen seelig per Testamentum Verlaßene Erben sind, Erstlich Fraun Mariæ Barbaræ gebohrner Meÿerin, der Defunctæ noch lebende Schwester, mit Herrn Johann Jacob Schultz, dem Gastgeber und burgern allhier, wie auch E.s E.n Grosen Raths alten beÿsitzers ehelich erzeugte Zween Söhne und der Frauen Tochter, alle in den ersten zweÿten Stammteil, das ist in die helffte dieser Verlaßenschafft und zwar 1° H. Nicolaus Schultz, der ältere Sohn, in einen dritten theil dieses Erstern Zweÿten Stammtheils, 2. Hr Frantz Joseph Schultz, der jüngere Sohn auch in einen dritten theil solches Ersten zweÿten Stammteil, dieser beeder annoch minorenner Schultzischer Söhne geordneter Vogt ist Herr Johann Peter Graff, der dom Capitulische Kornwerffer und burger allhier (…), 3° Fraun Mariæ Magdalenæ gebohrner Schultzin, Herrn Frantz Joseph Besnard, Medicinæ Doctoris und Leibartzts beÿ Ihro Hochfürstlichen durchlaucht dem Printzen Maximilian von Zweÿbrücken Ehegattin, der tochter, samtliche bereits lebender und noch in Zukunfft etwa erzeugende eheliche Kinder, in der letztern dritten Theil doeses Ersten Zweÿten Stammtheils. Von dieser Schultzischen Fraun Tochter sind dermalen Keine Kinder am Leben (…). Pro nota. Wie aus dem Vierten Paragrapho des von der Defunctæ Verschloßen errichteten Testamenti zu sehen (…)
Zweÿtens, gehen disorts zu Erb: Fraun Annä Mariä, gebohrner Meÿerin, der Defunctæ abweßender Schwester, mit Johann Jacob Stahl, dem von hier sich absentirten burger und Goldarbeiter ehelich erzeugte Zurückgelaßene Kinder, in den zweÿten und letzten Stammtheil, das ist in die übrige Helfte dieser Verlaßenschafft und zwar 1° Jfr. Maria Francisca Stahlin in einen fünfften theil dieses Zweÿten Stammtheils, 2. Jfr. Catharina Barbara Stahlin, in einem fünfften theil dieses Zweÿten Stammtheils 3. Jfr. Maria Magdalena Stahlin, auch in einen fünfften theil solchen Zweÿten Stammtheils 4. Jacob Stahl, gleichfalls in einen fünfften theil dieses Zweÿten Stammtheil, so dann 5. Catharina Salome Stahlin, in den letzten fünfften theil dieses Zweÿten Stammtheils. Dieser 5 minorennen Stahlischen Kinder geordnet: und geschworener vogt ist mehrbenahmster herr Exsenator Johann Jacob Schulz, der Gastgeber und burger allhier, Weilen aber derselbe beÿ diesem Verlaßenschaffts Geschäffts anderwärts interessiret ist, als ware hiebeÿ für solche Stahlische Kinder als Theilvogt Zugegen Herr Philipp Jacob Greiß, Notarius publicus juratus und Greffier beÿ löbl. Ammeister hauß Audientz auch burger allhier
Declaratio Herrn Exsenatoris Johann Jacob Schultz puncto der Vorher eigetragenen Von der Defuncta errichteten Nach Disposition (…)
(f° 13 v) Eigenthümlicher Antheil ane Häußeren. Erstlich 13. Sechzehende Theil vor ohnvertheilt von und ane einer Behaußung, Hof, Hoffstatt, Hinterhaus und bronnen mit allen deroselben Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg ane der Regenbogen gaß einseit neben herrn Joseph Wilhelm, dem Kiefer und Weinhändler, anderseit neben weÿland Hn. XV. Denner seel. hinterbliebenen Fraun Wittib und Erben, hinten auf gedachten H. Wilhelm stosend, so gegen männiglich freÿ, ledig und eigen. Diese behaußung ist in weÿl. Hn. Joseph Graff gewesenen Dom Capitulischen Kornwerfers und E.E. Großen Raths alten beÿsitzers auch burgers dahier, der defunctæ erstern Ehemanns seel. Verlaßenschaffts Inventario de Anno 1772. folio 86. fac 1.a durch hiesiger Löbl. Stadt geschworene Werckmeistere gewürdiget, Wobeÿ es auch dermalen auf eingeholte Erlaubnis der Herren Dreÿ Löbl. Stadt Stalls wieder gelaßen worden pro 1500. lb. Thun die hiehero gehörige 13. 16.te theil 1218 lb.
An vorherbeschriebener behaußung ist der defunctæ beÿ vorbenahmsten ihres erstern Ehemanns seel. Verlaßenschafft: Erörterung als Mitparticipantin der theibaren Massæ die Helfte eigenthümlich zugekommen, ferner hat dieselbe von Johann Georg Graff, dem Taglöhner und schirmer allhier, Fr. Catharina Hellmerin geb. Gärtnerin, Joh: Martin Hellmer, des Seilers und burgers alhier Ehefraun, Jfr. Barbara Gärtnerin, Jfr. Margaretha Magdalena Gärtnerin, Jfr. Catharina Elisabetha Gärtnerin, Fr. Barbara Logelin geb. Graffin, Frantz Michael Logel, des Leinenwebers und burgers alhier Ehefraun und Fr. Catharina Barbara Lemardelé geb. Graffin hn. Anthoine Lemerdelé, des Souffleurs in der allhiesigen frantzösischen Comoedie Ehefraun, allen dießen als zur Helfte Erben vorbenambsten weÿl. Hn. Exsanatoris Joseph Graffen seel. Verlaßenschafft, vor dieser Ehe annoch in ihrem Wittwenstand vermittelst des in allhiesiger Cantzleÿ Contract stub errichteten Wÿdems Erb: und Verkaufs einen vierten theil eigenthümlich an sich gebracht, so dann hat sie die Verstorbene während dieser Ehe von Ferdinand Graff, dem ledigen Kiefer, so sich dermalen in königlich frantzösischen Kriegsdiensten befinden soll, einen 16.ten theil käuflich übernommen, worüber gleichfalls in hiesiger Cantzleÿ Contract stub eine ordentliche Wÿdems Auskaufung den 22. Novembris 1776 errichtet worden ist.
Die übrige dreÿ 16.te theil an vorherbeschriebener gantzer Behaußung hat dieselbe bis an ihren Tod Wÿdems weiße genoßen und sind H. Johann Peter Graff, dem dom: Capitulischen Kornwerfer und burger alhier, herrn Frantz Joseph Graff, dem Seidenknopff macher und burger alhier und Jfr. Maria Graffin, als der Defunctæ erstern Ehemanns seel. theils voll: und theils halbbändigen Geschwisteren und Erben für ohnvertheilt gehörig.
Sonsten ist über die gantze behaußung vorhanden ein deutscher pergamentener Kauffbrieff in allhiesiger Cantzleÿ Contract stub gefertiget und mit deroselben anhangenden Insiegel verwahret sub dato 5.ten Julÿ 1757 meldend, wie der verstorbene hr. Rathh. Graff seel. solche behaußung von hn. Joh: Philipp Göring, dem adelischen Schafner, als Syndico hn Rathh. Breuen Credit: Massæ eigenthümlich an sich gebracht hat. So dann sind annoch hierüber vorhanden vier alte dergleichen Kaufbriefe de datis 27. Julÿ 1696, 11.ten Novembris 1650, 28.ten Aprilis 1628 und 13.ten Martii 1621, wobeÿ noch verschiedene andere papierene Schrifften gebunden.
(E.) Item ein dritter Theil vor ohnvertheilt von und ane einer Behaußung, Hoff, Hoffstatt und Hinterhauß mit allen deren Begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg an dem Finckweiler ohnfern der Schaffeneÿ des Stifts St. Marx (…)
(f° 14-v) Antheil ane einem Metzigbanck. (E.) (…)
(f° 20) Wittum Welchen die Verstorbene seelige von weÿland H. Joseph Graff, dem gewesenen dom Capitulischen Kornwerffer und Exsenatore auch burgers allhier, gewesenen erstern Ehemann seel. bis an ihrem tod genoßen
(f° 22) Ergäntzung des hinterbliebenen Wittibers ehrend dieser Ehe abgegangenen ohnveränderten Guths. Zufolg des über beÿder nun Zertrennter Eheleuth einander vor ohnverändert in den Ehestand gebracht Nahrungen durch Herrn Notarium Johann Friedrich Schäff A° 1773 errichteten Inventarii (…)
(f° 27 v) Series rubricarum hujus Inventarii. Des Wittibers ohnverändert Guth. Sa. hausraths 13 ß, Sa. silbers 7 lb, Sa. goldenen Ringe 10 lb, Sa. der Schuld 998 lb, Sa. des Ergäntzung Rests 760 lb, Summa summarum 1778 lb
Der Erben ohnverändert Vermögen. Sa. hausraths 152 lb, Sa. leeren Faß 14 lb, Sa. silbers 32 lb, Sa. goldenen Ring 3 lb, Sa. der baarschafft 23 lb, Sa. der Pfenningzinß hauptgüter 2100 lb, Sa. des eigenthümlichen Antheils ane Häußern 1352 lb, Sa. des eigenthumlichen Antheils ane einem Metzigbanck 56 lb, Sa. der Schulden 258 lb, Sa. des Ergäntzung Rests 3229 lb, Summa summarum 7223 lb – Schulden 1593 lb, Nach solchem Abzug 5630 lb
Das theilbahre Guth, Sa.hausraths 40 lb, Sa.Wein und leeren Faß 98 lb, Sa.Pferds 5 lb, Sa. des Silbers 1 lb, Sa. des Golds 5 ß, Sa. der baarschafft 407 lb, Sa. Pfenningzinß hauptguths 2250 lb, Sa. der Schulden 720 lb, Summa summarum 3523 lb – Schulden 4462 lb, Compensando 939 lb – Beschluß summ 7770 lb, Stall Summ 7212 lb
Zweiffelhaffte schulden in der Erben unverändert Nahrung zugeltend 525 lb, in die theilbare Nahrung zugeltend 232 lb
Copia der Eheberedung. (…) den 28. junÿ 1773 Not. Johann Friedrich Schaeff
Copia Weÿl. Frauen Magdalena geb. Meÿerin (…) am 9. sept. 1780 in des unterschriebenen Notarii Schreibstub deponirten Testamenti, den 9 herbstmonat 1780
Copia Codicilli, zu sich in die ane der Fasanengaß allhier gelegenen zum Kaÿßer geschildete Gastbehausung berufen, den 11. Weinmonat 1780, Not. Phil. Jacob Greis
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 7 900 florins (3 950 livres) sur un total de 13 900 livres
1781, Livres de la Taille (VII 1180) f° 287-v
Blum N° 5053 – Weÿl. Fr. Mariæ Magdalenæ geb. Meÿerin Joh: Georg Pulvermüller des metzgers und burgers allhier zu tisch und bett geschiedene geweßene Ehefraun Verlassenschafft jnventirt H not. Greiß.
Concl. final. jnvent. Ist fol. 259. 7770 lb. 5 ß davon gehet aber ab wegen dem a 4. pro Cento angelegten Capital und nicht genoßener activ schulden 978 lb. Verbleibt 6792 lb die machen 13 600 R. verstallte 5700 R. zu wenig 7900 R.
Wovon nachtrag 6 Jahr in duplo a 23 lb 10 ß, 142 lb 4 ß
und 4 Jahr in simplo 47 lb 8 ß
Ext. Stallgeldt 1781, 9 ln 18 ß
Geb. 2 ß 6 d
Abhandlung 12 lb 2 s 6 s (zusammen) 211 lb 15 ß
das simplex nachgelaßen restiret 164 lb 7 ß
dt. 28. febr. 1781.
Les héritiers de Marie Madeleine Meyer vendent la maison 16 400 livres tournois, soit 4 100 livres strasbourgeoises, à Joseph Auguste Jean Baptiste Richard Praz
1781 (17.4.), Chambre des Contrats, vol. 655 f° 175
Sr. Jean Pierre Graff grenetier du Grand Chapitre de cette ville tant en son nom qu’en qualité de tuteur établi par la justice aux deux enfants mineurs de Jean Jacques Schultz ancien assesseur du Grand Sénat et cabaretier à l’enseigne de l’Empereur, Sr François Joseph Graff, marchand boutonnier, Dlle Anne Marie Graff majeure sous l’assistance dudit Joseph Graff son frère, Sr Philippe Jacques Greiss, greffier chez M. l’ammeistre régent en qualité de tuteur nommé au partage au nom des cinq enfants mineurs de Jean Jacques Stahl, orfèvre, et Anne Marie née Meÿer leurs père et mère absents depuis nombre d’années, enfin le Sr Schultz en qualité de tuteur naturel de De Marie Madeleine Schultz épouse de François Joseph Bernard le médecin sa fille et des enfants nés et à naître
à M. Joseph Auguste Jean Baptiste Richard Praz, conseiller au grand Sénat de cette ville, dernier enchérisseur
une maison, cour, puit, avec toutes ses appartenances, droits et dépendances en cette ville rue dite Arc en ciel d’un côté les héritiers de M. Denner membre de la Chambre de M les XV, d’autre le Sr Joseph Wilhelm le tonnelier et marchand de vin, derrière ledit Wilhelm – provenant tant de la succession de Mlle Madeleine Pulvermüller née Meyer que de feu Sr Joseph Graff, grenetier du Grand Chapitre des quelles Sr Pierre, Joseph et Dlle Marie Anne Graff frères et sœurs dudit Sr Joseph Graff sont intéressés pour 32 16° dans ladite maison dont la Dlle Pulvermüller avoit la jouissance sa vie durante, 13 16° aux mineurs héritiers par testament de Dlle Pulvermüller – moyennant 16 400 livres
L’avocat Joseph Auguste Jean Baptiste Richard Praz et sa femme Angélique Caron, tous deux originaires de Besançon, acquièrent le droit de bourgeoisie en 1774 en s’inscrivant à la tribu des Pelletiers : registre d’inscription et registre de traitement. Le mari est reçu à titre gratuit eu égard à ses études et sa femme par recommandation
1774, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) p. 121
Joseph Augustin Jean Baptiste Richard Praz J.V. Lt. u. adv. au Conseil et ejus uxor Angelique geb. Caron von Besançon, erhalten beede das burgerrecht und zwar jede person gratis wollen dienen beÿ EE. Zunfft der Kürßner Jur et promis. den 15.ten X.br 1774.
(VI 286 bis) p. 164. Kürschner, N° 30 et 31. d. 14 Xbre 1774
Joseph Augustin Jean Baptiste Richard Praz J. U. Ltum et advocat beÿ E. Hohen Königlichen Rath Zu Colmar und desen Ehefrau Angelique gebohrne Caron beede Von besançon gebürtig
die Scheine beweisen ihre ehrl. geburt, cath. Rel. die gehörige stadt stall caution geleistet 1000. fl. baar gelds, haben sie bescheiniget desen Eigenthumb sie mir handtreulich das Eÿdes stant angelobet auch 150 fl. beÿm b. Prot. deponirt.
der Maritus bitt E. G. unterthänig ihn ob favorem studiorum u. die ehefrau aber hoher Recommandations wegen gratis in E.G. b. recht auff und anzunehmen.
Maritus ob favorem Studiorum et uxor per Rec. gratis gegen erlag 24 fl in d. armen hauß Zugeben – dedit
Joseph Augustin Jean Baptiste Richard Praz et Angélique Caron hypothèquent la maison au profit du marchand Jean Schœttel
1782 (27.5.), Chambre des Contrats, vol. 656 f° 215
M. Joseph Augustin Jean Baptiste Richard Praz, licencié ez loix et conseiller du Grand Sénat, et Angélique née Caron, assistée de Henry Dominique Thibaut Guerin licencié ez loix, et Sr Jean Hechler tous deux assesseurs au Petit Sénat
devoir au Sr Jean Schöttel, marchand, 6000 livres tournois
hypothèque, une maison avec toutes ses appartenances, droits et dépendances en cette ville rue de l’Arc en ciel, d’un côté les veuve et héritiers de M. Denner vivant XV, d’autre le Sr Joseph Wilhelm marchand, derrière ledit Sr Wilhelm
Veuve de Joseph Augustin Jean Baptiste Richard Praz mort le 20 mars 1783, Angélique Caron fait vendre des meubles
1783 (26.6.), Not. Zimmer (6 E 41, 1431) n° 585
Registre de Vente de différens Meubles et Effets appartenant à Dame Angelique Praz née Caron, Veuve de feu Mr Joseph Augustin Jean Baptiste Richard Praz, en son vivant Conseiller du Roi, Assesseur au Siege Prevotal de la Marechaussée d’Alsace et ancien Senateur au grand Senat de cette Ville de Strasbourg dressé l’An 1783
Sépulture, Saint-Etienne (cath. f° 182)
Anno Domini 1783 die 20 Martii obiit sacramentis Ecclesiæ munitus Josephus Augustinus Joannes Baptista Richardus Praz, Regis Consiliarius nec non Senatus Majoris argentinensis Consiliarius Maritus superstitis Dominæ Aneglinæ Caron, Cujus Corpus die Sequenti in Ecclesiam parochialem delatum, per Solutis suffragiis ac precibis Ecclesiæ Parochiali as Sanctum Petrum Juniorem hujus Civitatis est – præsentibus testibus Francisco Antonio Kuhn Cive hujato ædituo nostro et Francisco Le Maire defunctæ famulo (i 191)
Angélique Caron meurt sans postérité en 1785. Les experts estiment la maison 2 250 livres. L’actif de la succession s’élève à 10 326 livres, le passif à 15 910 livres.
1785 (7.2.), Not. Zimmer (6 E 41, 1434) n° 663
Inventaire de la succession de feu Dame Marie Angelique Praz née Caron, à son decès Veuve de Monsieur Joseph Augustin Jean Baptiste Richard Praz en son vivant Conseiller du Roi Assesseur au Siege Prevotal de la Marechaussée d’Alsace et ancien Senateur au grand Senat de cette Ville de Strasbourg, dressé l’An 1785. – après son decès arrivé en cetted. Ville le 20 janvier 1785. Lesquels Biens, après que les scellés apposés de la part de Messieurs les Magistrats de cette ville sur les Effets de lad. succession ont eté reconnus sains, saufs et entiers, et levés, ont eté inventoriés à la Requête du Sr Jean Joseph Bronner, Receveur du Clergé et bourgeois de cette ville, en qualité d’exécuteur testamentaire nommé par le Testament de feu lad. Dame, ainsi qu’à celle du Sr Jean Joseph Bitschnau Licencié ès Loix et Procureur vicaire au Magistrat de cette ville, en qualité de Curateur établi par justice à la succession de feu lad. Dame, montré et enseignés par Dame Jeanne Charlotte née Gaulard, veuve du Sr Jean Richard Praz vivant Interéssé dans les affaires du Roi, Mère de feu led. St. Joseph Augustin Jean Baptiste Richard Praz, plus par Marie Anne Mercier femme de Chambre, Elisabeth Gerard Cuisiniere et François Le Maire Domestique, ces trois derniers au service de la Defunte – Fait et commencé audit Strasbourg en Presence du Sr Charles François Alexis Joseph Gaultier de Clermont, Controleur des Postes et bourgeois de cette ville, assistant de lad. De Praz née Gaulard, le 7° février 1785.
Feu lad De Praz a delaissé pour ses seuls et uniques héritiers suivant l’article 4° de son Testament mistique déposé à Me Lacombe Notaire Royal (…) savoir Dlle Geneviève Lefevre sa mère jusqu’à Concurrence de sa Legitime et quant à la Remanence de ses Biens, la Defunte a nommé et institué ses frères et sœurs présentement existants ou leurs Enfants a leur defaut par souche, attendu que chacun de ses frères et sœurs doit avoir une portion égale dans sa succession. La Defunte a neanmoins excepté son frère Marie Caron présentement aux Indes, lesquel doit se contenter pour sa portion héréditaire de ce qu’il peut devoir à feu lad De sa sœur dont il n’aura aucun compte à rendre ni à pretendre à lad. Succession.
Ces héritiers étant absens et leur noms, qualités demeures en nombre inconnus, il a eté établi par justice pour Curateur le Sieur Jean Joseph Bitschnau denommé au Procès verbal du présent Inventaire
Trouvés dans une Maison située en cette ville de Strasbourg Ruë de l’Arc en Ciel appartenances à lad. succession et portés ci après ainsi que’il suit
Meubles. Aux Greniers, Au troisième Etage, Dans l’appartement de feu led Dame, Dans différents Endroits, Dans le vestibule, Dans la Chambre des Domestiques, Dans la salle à côté, Dans l’antichambre, Dans la chambre à coucher dans la maison sur le derrière, Dans le cabinet à côté à droite, Dans la Chambre à gauche, Dans la Chambre des Domestiques, Dans la salle au rez de chaussée, Dans la cour, Dans la cuisine, Dans une petite Chambre dans la cour, Dans la buanderie
(f° 14) Propriété de deux Maisons appartenantes à lad. Succession. Premierement une Maison, 2 petites cours, Puits, avec toutes ses appartenances Ruë dite Pfundzoller Gass (…)
Plus une Maison Cour et Puits avec touts ses appartenances, droits et dépendances située en cette Ville de Strasbourg, Ruë de l’Arc en Ciel, d’un côté la De Veuve et les héritiers de feu Mr Denner vivant l’un de Messieurs les Quinze de cette ville, de l’autre côté le Sr Joseph Wilhelm, Tonnelier Marchand de vins et bourgeois de cette ville, par derriere aboutissants sur led. Sr. Wilhelm, lad Maison franche et quitte de toutes Rentes foncières et Redevances à l’Exception des sommes principales sur Elle affectées et détaillées ci après dans de Dettes passives, a été estimée par lesd. Sr Experts jurés de cette ville conformément aux susd. Billets d’estimation du 1° Mars 1785. à la somme de 11 000. La propriété de lad° Maison est constatée par un acte passé à la Chambre des Contrats de cette ville le 17 avril 1781. Suivant l’acte passé devant M° Lacombe, Notaire royal residant en cette ville le 23 mars 1779. De Praz née Goulard auroit la Jouissance sa Vie durante de lad° Maison scituée Ruë de l’Arc en Ciel mais par la convention passée devant le Notaire soussigné le 16 juin 1783. étant ensuite de l’Etat sommaire de la succession de feu mond. Sr. Praz, lad. De Praz née Goulard a volontairement renoncé à cette jouissance, Pour Mémoire
(f° 17-v) Etat sommaire du présent Inventaire. Copie du testament mistique
Total des Meubles 3913, Total des Vins et Tonneaux 733, Total de l’argenterie 326, Total de l’Or et des bijoux 93, Total de l’argent comptant 460, Total de la Propriété de deux maisons 15 000, Total d des dettes actives 20 768, Total général 41 295 livres tournois – Dettes passives 63 641, les dettes passives excedent les Biens de lad. succession de la somme de 22 346 lb
Copie du testament mistique. Je soussigné Marie Angelique Caron veuve de Mr Joseph Augustin Jean Baptiste Richard Praz vivant Conseilleur du Roy juge de la Marechaussée de la basse Alsace demeurant à Strasbourg (…) Strasbourg le 10 juillet 1784.
Abschatzung Volm 15. Mertz 1785. Auf begeren Weÿland Madame Engelique Braz gebohrene Negaron ist Eine behausung alhier in der statt strasburg in der Regen bogen gas gelegen Ein seÿts neben Madame Denner, anderer seÿts und Hinten auf Herr Willhelm dem Kieffer meister stoßend gelegen solche behausung bestehet in forder Nebens und Hinter gebäu, worinnen Etliche stuben, Zweÿ Küchen, fransoisch Kamien Zimmer und Etlichen Kammeren, darüber seÿn die dachstühl mit breid Zigel belegt hat auch Ein getremter Keller Hoff und brunen, Vor und um Fünff tausend fünff Hundert gulden
Der Zweÿte begriff (…), Von uns unterschriebenenen der statt strasburg geschwornen Baujnspector und Werckmeistere und Vorhero geschehener besichtigung mit aller ihrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen Vor und um Zweÿ Tausend gulden [unterzeichnet] Boudhors architecte, Kaltner Wkmr.
Sépulture, Saint-Etienne (cath. f° 33-v)
Anno Domini 1785 die 20 Januarii obiit sacramentis Ecclesiæ munita Da Angelica Caron annos nata 45 circiter, vidua Joannis Baptistæ Richard Josephi Augustini Praz in majore Argentinensi senatu olim assessoris ac non Consiliarii tribunalis marescallici, cujus corpus in Ecclesiam parochialem primo delatum persolutis ibidem precibus ac Suffragiis Ecclesiæ Collegiatæ ad S. Petrum Juniorem hujus Civitatis est – præsentibus testibus Francisco Antonio Kuhn Cive hujato ædituo nostro et Francisco Le Maire defunctæ famulo (i 38)
L’exécuteur testamentaire de Marie Angélique Caron expose sans résultat la maison aux enchères
1785 (4.6.), Not. Lacombe (6 E 41, 198) n° 12
Procès verbal – le Sr Jean Joseph Bronner receveur du clergé de Strasbourg en qualité d’exécuteur testamentaire de Marie Angélique Caron décédée veuve de Jean Baptiste Richard Praz conseiller au siege prevotal de la basse alsace par testament mistique du 10 juillet 1784 deposé même jour, publié le 2 janvier dernier a déclaré qu’il depend de la succession de la veuve de Praz
deux maisons scavoir l’une scituée dans la rue de l’Arc en ciel aboutissant sur la De veuve Danner, d’autre au Sr Wilhelm tonnelier devant sur le rue derrière le Sr Vilhelm
Et l’autre sise rue dite Pfundzoller: cass d’un côté la maison du chapitre St Pierre le jeune et Sr Gratzmeyer d’autre et derrière Joseph Tisserant avec leurs appartenances et dépendances
1. la maison rue de l’Arc en ciel, néanmoins a laisser la De Praz la mère le tems convenable pour se procurer un logement et deloger attendu qu’elle occupe un appartement dans la maison de derrière le tout sans rétribution ny loyer
2. la maison rue dite Pfundzoller, l’acquéreur sera tenu de continuer le bail qu’ont Mre les Barons de Ladsperg [sic], mises à 22 000 et 11 000 livres
personne ne s’est présenté – le 14 juin, personne ne s’est présenté
L’inspecteur des travaux Pierre Valentin Boudhors s’en rend adjudicataire moyennant 4 817 livres : acte passé devant un notaire royal et transcription à la Chambre des Contrats
1786 (11.4.), Not. Lacombe (6 E 41, 202)
21 et 27 enreg. Chambre des Contrats le 15 mai 1786 – 192, Not. royal Lacombe, 11 avril 1786 et acte du 12 avril 1786
auff ansuchen H. Peter Valentin Boudhors des bau inspectors, nachstehender steigerungs procès verbal
Sr Jean Joseph Bronner, receveur du clergé, en qualité d’exécuteur testamentaire mandataire de De Marie Angélique Caron veuve de M. Jean Baptiste Richard Praz, conseiller au siège prevotal de la Basse Alsace, testament mystique souss. 10 juillet 1784 déposé même jour, ouvert le 22 janvier dernier
à Pierre Valentin Boudhors, inspecteur des bâtiments de la ville de Strasbourg
qu’il dépend de la succession une maison située dans la rue de l’Arc en Ciel criée 19 000 livres, d’un côté la De veuve Denner, d’autre le Sr Wilhelm tonnelier, derrière ledit Sr Wilhelm – pour 19 270 livres
1786 (15.5.), Chambre des Contrats, vol. 660 n° 192, Not. royal Lacombe, 11 avril 1786 et acte du 12 avril 1786
auff ansuchen H. Peter Valentin Boudhors des bau inspectors, nachstehender steigerungs procès verbal
Sr Jean Joseph Bronner, receveur du clergé, exécuteur testamentaire mandataire de De Marie Angélique Caron veuve de M. Jean Baptiste Richard Praz, conseiller au siège prevotal de la Basse Alsace, testament mystique souss. 10 juil. 1784 déposé même jour, ouvert le 22 janv. dernier
à Pierre Valentin Boudhors, inspecteur des bâtiments de la ville de Strasbourg
qu’il dépend de la succession une maison située dans la rue de l’Arc en Ciel d’un côté la De veuve Denner, d’autre le Sr Wilhelm tonnelier, devant la rue derrière le Sr Wilhelm – moyennant 19 270 livres
Pierre Valentin Boudhors loue le premier étage de la maison au négociant Joseph Neltner
1786 (14.6.), Not. Lacombe (6 E 41, 202) n° 50
Bail de 6 années à commencer à la St Jean prochaine – M. Pierre Valentin Boudhors architecte de la ville de Strasbourg
au Sr Joseph Nelltner négociant en cette ville
Scavoir le premier étage tant de devant que de derrière et chambre de la maison qui appartient au Sr bailleur en cette ville rue de l’arc en ciel n° 22, Plus les mansardes du bâtiment de devant un bucher donnant dans la cour, Plus la moitié de la grande Cave donnant sur la rue séparée par des lattes, Plus une petite cave dans l’aile droite du bâtiment de derrière, l’usage commun du grand grenier de devant de la buanderie et autres aisances de ladite maison – moyennant un loyer annuel de 662 livres
Il en loue le deuxième étage au marquis de Lutre
1786 (21.6.), Not. Lacombe (6 E 41, 202) n° 58
Bail de 2 années à commencer à la St Jean prochain – M. Pierre Valentin Boudhors architecte de la ville de Strasbourg
à M le Marquis de Lutre Chevalier de l’Ordre Royal et Militaire de St Louis pour lequel M François Fleuret ancien professeur de l’école royale et militaire et pensionné du roy
Scavoir le second étage tant du bâtiment de devant que de derrière de la maison a lui appartenant en cette ville rue de l’arc en ciel n° 22 sans en rien excepter ny reserver, Plus les mansardes donnant sur le bâtiment de derrière, Plus une partie de la Cave donnant sur le devant séparée par des lattes prenant jour sur la cour, un bucher sur le bâtiment de derrière, l’usage commun des cours, buanderie, puit, greniers et autres aisances de ladite maison – moyennant un loyer annuel de 480 livres
[in fine :] Joseph Nelltner négociant accepté du Sr Boudhors pour quatre années commençant à courir à la St Jean prochaine, le 21 mai 1788
Pierre Valentin Boudhors fait son apprentissage de tailleur de pierres chez l’inspecteur des travaux Samuel Werner de 1768 à 1772. Pierre Valentin Boudhors est nommé inspecteur des travaux le 11 février 1775
1768, Protocole de la tribu des Maçons (XI 239)
Freÿtags den 15.ten Aprilis 1768.
(f° 223-v) Eingeschriebener Steinmetz Lehrjung (dt. 1. lb dn findl. hauß 1 ß)
H. Pierre Boudhors Emploÿirter Auff dem Canal und Landstraßen stehet vor vnd bittet Peter Valentin Boudhors seinen sohn Zu H. bau Inspector Werner in die Lehr Einzuschreiben, die Lehr Zeit ist angegangen auff Letzt verfloßenen St. Andreas tag, wie beÿ der Ehrsamen Steinmetzen hütt, er auch auff fünff Jahr ohne Lehrgeld eingeschrieben worden.
Erkandt, gegen Erlag der gebühr Willfahrt.
Protocole de la tribu des Maçons (XI 240) Dienstags den 29.ten Decembris 1772
(p. 108) Außgethaner Steinmetz Jung (Dt Außth. geld 1 lb, findl. hs 3 ß, Accepit H. Zunfftmstr.)
Peter Valentin Boudhors, Hn Pierre Boudhors Employé auff dem Canal und Landstraßen cit. erziehler Sohn stehet Vor und bittet, weilen er den 15. Aprilis 1768. Zu H. bau Inspector Werner, seith dem 30.ten Novembris 1767 auf Fünff Jahr lang in die Lehr eingeschrieben worden, und deßen Lehrzeit nunmehro verfloßen derselbe auch auf der Steinmetzenhütt das Lehrjahr würcklichen entlaßen Ihne dießorths beÿ E. E. Gericht gleichfalls aus der Lehr auszuthun.
Erkandt, wird auf den von Seithen seines Lehrherrn gegen dem H. Zunft meister seinetwegen bezeugte Zufriedenheit dem Comparenten in seinem begehren gegen Erlag der Gebühr willfahrt.
Pierre Valentin Boudhors épouse en 1777 Gertrude Meng, fille du meunier de la Wantzenau : contrat de mariage, célébration
1777 (18.12), Not. Dinckel (J. Frédéric, 8 Not 1) n° 16
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehrenvest und wohlvorachtbahre Herr Peter Valentin Boudhors, wohlbestellter bau Inspector allhier, des Ehrenvest und wohlvorachtbahren herrn Peter Boudhors, Inspectoris derer Brücken und Landstraßen und burgers allhier Zu Straßburg, mit der Ehren und tugendsahmen frauen Maria Gertruda Boudhors gebohrner Spitzin seiner Ehegattin, ehelich erziehlter großjähriger Sohn alß Bräutigamb ane einem,
So dann die Viel Ehren und tugendbegabte Jungfrau Gertruda Mengin Weÿland des Ehren und Wohlvorachtbahren herrn Andreä Meng des geweßenen Müllers auf der Wantzenauer Mühl und burgers in der Wantzenau mit der Viel Ehren und tugendsamen Frauen Gertruda Mengin gebohrner Muthßin seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlte Minderjährige tochter als Jungfer braut ane dem andern theil – auf Donnerstag den 18. Decembris 1777 [unterzeichnet] Boudhors, gertruda Meng
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 157)
Anno 1777 die 30 Decembris (…) sacro Matrimonÿ vinculo conjuncti fuerunt D. petrus Valentinus Boudhors Architector, filius Dni petri Boudhors inspectoris pontium et viarum Regiorum et Gertrudis spitz conjugum parochianus noster et Gertrudis Meng filis soluta defuncti andreæ Meng Molitoris et Gertrudis Mueth conjugum dum vivent ille in Wantzenau commorantium (signé) Boudhor, Gertrudis Meng (i 166)
Valentin Boudhors devient échevin à la tribu des Maçons
1781, Conseillers et XXI (1 R 264)
H. Valentin Boudhors löbl. Statt Bau Inspector wird schöff beÿ E. E. Zunft der Maurer. 460.
Le Magistrat demande en 1789 la démission de Pierre Valentin Boudhors pour rétablir les finances de la Ville.
Inventaire après décès d’un locataire, le capitaine Philippe Léopold de Günderode
1810 (8.5.), Strasbourg 14 (44), Not. Lex n° 4320
Inventaire de la succession de M Philippe Leopold de Günderode Capitaine retiré du ci devant régiment de Royal Baviere décédé le 22 avril dernier – à la requête de Joseph Götschi, receveur principal des droits réunis de la ville de Vissembourg y demeurant, en qualité de mandataire de De Marie Antoinette de Günderode son épouse seule et unique héritière de son père, Marie Elisabeth Schlerentzhauer fille majeure en service chez le défunt comme menagère
rue de l’Arc en Ciel n° 22 maison du Sr Boudhors architecte de la commune de Strasbourg au second étage
mobilier 1463 fr, numéraire 851 fr, capitaux 10 711 fr, total 13 026 fr, passif 1058 et 89 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 114 F° 151 du 14.5.
1816 (5.10.), Strasbourg, Not. Lex
Consentement par Pierre Valentin Boudhors propriétaire et Marie Gertrude Meng au mariage de leur fils Pierre Alexandre Boudhors négociant à Dambron avec Benoite Gillaume majeure de Charlier
Enregistrement de Strasbourg, acp 131 F° 133 du 7.10.
Pierre Valentin Boudhors fait dresser un acte après la mort de sa femme à la Wantzenau le 7 décembre 1827. Les biens sont partagés entre les cinq enfants de la défunte. La maison rue de l’Arc-en-Ciel revient à sa fille Gertrude Rosalie Boudhors femme de l’ancien architecte Jean Jacques Schuler
1828 (14.7.), Strasbourg 10 (78), Me Zimmer n° 348
Déclaration tenant lieu d’inventaire, liquidation et partage – Déclaration tenant lieu d’inventaire, liquidation et partage – 1. Pierre Valentin Boudhors, ancien inspecteur des bâtiments de la ville de Strasbourg propriétaire à la Wantzenau canton de Brumath, veuf de Gertrude Meng décédée en son domicile à la Wantzenau le 7 décembre dernier, en son nom et mandataire de son fils cadet Pierre Charles Louis Boudhors, capitaine au 22° régiment d’infanterie de ligne, Chevalier de l’ordre royal et militaire de St Louis en garnison à Larochelle (Charente inférieure), 2. François André Boudhors, chef de bataillon du génie militaire, Officier de la Légion d’Honneur, Chevalier de l’ordre royal et militaire de St Louis, ingénieur de la place de Lafère, 3. Pierre Alexandre Boudhors, ingénieur ordinaire des Ponts et Chaussées de l’arrondissement de Vannes (Morbihan), 4. Gertrude Rosalie Boudhors épouse de Schuler, ancien architecte du roi à Strasbourg, 5. Pierre Henri Valentin Boudhors, directeur de l’hôpital civil – Contrat de mariage dressé par le notaire Dinckel 19 décembre 1777
propres de la défunte créance 593 fr, habits 300 fr, immeubles à la Wantzenau moulin revenu de 2516 fr, total 106 592 fr à déduire le passif 33 000 fr
communauté meubles 415 fr, literie 216 fr, linge 342 fr, argenterie 108 fr, total 38 439 fr – total de la communauté 38 439, plus immeubles 82 739 francs
Gertrude Rosalie femme Schuler
immeubles de la communauté, 1. une maison à porte cochère composée d’un rez de chaussée de deux étages et d’une mansarde surmontée de greniers ayant cour, caves et puits avec toutes ses autres aisances, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de l’Arc en Ciel n° 22, entre la maison Bloechel (ci devant Wilhelm) et Leberl (ci devant veuve Denner), devant la rue, derrière la maison Bloechel, section GG 79 estimée 21 600 fr – (Origine de la propriété) adjudication de la succession de Marie Angélique Caron veuve de Jean Baptiste Richard Praz Me Lacombe 11 avril 1786
un jardin avec petite maison d’habitation, cour, grange, écurie, étable pour vaches, loges pour porcs, volaille puits et ruchers, appartenances et dépendances formant enclos fermé à cloison en planches et en partie par une haie contenant avec un terrain en dehors environ 50 ares situé à la Ruprechtsau canton dit : Aubruck ou Gepp sur la droite n° 12 la maison section E XIV n° 196 le jardin avec terrain n° 206 jusque 210, d’un côté le chemin, d’autre la propriété de Gabriel Peroth, devant le chemin, derrière les héritiers Marschall et Keckguth, estimé 3000 fr – (Origine de la propriété) Echange des conjoints Schuler comparants Me Lacombe 26 août 1812, Schuler acquis de la ville de Strasbourg 18 mai & et 8 nov. 1809, les bâtiments d’exploitation auraient été construits par les conjoints Boudhors postérieurement ainsi que le déclarent les parties respectives
Enregistrement de Strasbourg, acp 190 f° 83 du 15.7.
Pierre Valentin Boudhors meurt en 1831
1831 (9.7.), Strasbourg 10 (84), Me Zimmer n° 1036
Inventaire par déclaration – Pierre Valentin Boudhors, ancien inspecteur des bâtiments de la ville de Strasbourg en dernier lieu propriétaire à la Wantzenau décédé le 19 juin 1831 – à la requête de 1. Pierre Alexandre Boudhors, ingénieur des Ponts et Chaussées à Vesoul, Haute Saône, 2. Gertrude Rosalie Boudhors épouse de Jean Jacques Schuler, ancien architecte du roi à Strasbourg, 3. Pierre Henri Valentin Boudhors, directeur de l’hôpital civil, 4. Pierre Charles Louis Boudhors, chef de bataillon au 65° régiment d’infanterie de ligne chevalier de St Louis en garnison à Arras Pas de Calais, en son nom et mandataire de François André Boudhors, chef de bataillon du génie en retraite officier de la Légion d’Honneur et Chevalier de St Louis demeurant à Paris rue Neuve des Bons Enfants hôtel de Bruxelles
meubles 1249 fr, récolte 2194 fr, comptant 366 fr, mobilier 4010 fr
immeubles à la Wantzenau 27 000 fr, passif 14 950 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 204 f° 164 du 15.7.
Fils de tanneur, l’architecte Jean Jacques Schuler épouse Gertrude Rosalie Boudhors en 1808
Mariage, Strasbourg (n° 212)
L’an 1808, le 6° jour du mois de juillet (…) Jean Jacques Schuler âgé de 33 ans, Architecte au Palais impérial, né en cette ville le 1 mars 1775, y domicilié, majeur, fils de feu Jean Henri Schuler, chamoiseur, décédé en cette ville le 29 vendémiaire an V (…) et de Marie Salomé Baldner, ci présente et consentant, Et Gertrude Rosalie Boudhor, âgé de 25 ans, née en cette ville le 11 septembre 1782, y domiciliée, majeure, fille de Pierre Valentin Boudhor, Ingénieur de ponts et chaussées, architecte de la Ville de Strasbourg, et de Gertrude Meng, ci présente et constantante (signé) Jean Jacques Schuler, gertrude Rosalie Boudhors (i 3)
Jean Jacques Schuler loue la maison au restaurateur Joseph Félix Bastia
1835 (11.8.), Strasbourg 15 (58), Me Lacombe n° 257
Bail pour 3, 6 ou 9 ans à commencer le 24 juin – Jean Jacques Schuler, propriétaire & architete
à Joseph Félix Bastia, restaurateur
la maison appartenant au Sr Schuler sise à Strasbourg rue de l’Arc en Ciel n° 22 d’un côté la maison de M. Blöchel, d’autre celle Mde veuve Lebel sauf les réserves ci après ébablies. Les localités louées sont Le rez de chaussée, le premier étage & le second étage en entier du bâtiment de devant, de derrière & des deux bâtiments latéraux
la cave qui se trouve sous le bâtiment de devant ainsi que le petit caveau à côté de la cuisine au rez de chaussée, quatre mansardes dont une dans l’aile droite & trois dans le fond. Les écuries. Le grenier de la maison de derrière en entier. Le grand grenier de la maison de devant sera commun entre le Sr Bastia et le propriétaire.
Les réserves de M Schuler sont La cave de derrière & le grenier au dessus au grand grenier de la maison de devant plus les mansardes du bâtiment de devant & le troisième étage de l’aile gauche.
Il est observé que le Sr Bastia du consentement du Sr Schuler a fait dans la maison louée les changements suivants 1. Au premier étage il a converti une cuisine en chambre & a supprimé une alcove qui se trouve dans une chambre de ce même étage deux au rez de chaussée il a fait établir une grand cuisine – moyennant un loyer annuel de 1500 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 233 F° 57 du 13.8.
Gertrude Rosalie Boudhors meurt en 1847
1847, Enregistrement de Strasbourg, ssp 100 (1879) f° 68-v
le 13 8.br. ssp du 14 7.br 1847 – Testament – Je soussignée Gertrude Barbe Schuler née Boudhors voulant donner une preuve de mon affection particulière à mon Epoux Jean Jacques Schuler ordonne par les présentes qu’à mon décès il sera mon héritier pour la jouissance de la moitié de mes biens que je délaisserai
Jean Jacques Schuler partage les biens de sa femme avec ses cinq enfants. La maison propre à la défunte rue de l’Arc-en-Ciel revient en nue-propriété aux efants et en usufruit au veuf
1847 (24. 9.br), Strasbourg 15 (82), Not. Lacombe n° 5889
Partage anticipé – Ont comparu M. Jean Jacques Schuler, ancien architecte du Roi demeurant et domicilié à la Robertsau banlieue de Strasbourg d’une part
M. Jacques Hyppolite Napoléon Schuler, horticulteur, M. Frédéric Eugène Schuler, tonnelier, M. Henri Victor Schuler peintre, M. Charles Achille Appolodore Schuler menuisier, tous demeurant et domiciliés à la Robertsau banlieue de Strasbourg, M. Louis Auguste Schuler sous Inspecteur des Forêts à Châlons sur Marne, en qualité de seuls enfants et uniques héritiers de Gertrude Rosalie Boudhors leur mère décédée épouse dudit Sieur Jean Jacques Schuler susqualifié, ensemble d’autre part
Lesquels en vue des donations et partages qui feront l’objet du présent acte ont préliminairement exposé ce qui suit. Mad. Schuler née Gertrude Rosalie Boudhors est décédée à la Robertsau le 4 octobre 1847. Il n’a point été dressé d’inventaire de sa succession ni de la communauté de biens légale, à défaut de contrat de mariage, qui avait existé entre elle et M. Schuler son époux survivant, les parties toutes majeures et animées d’ailleurs du meilleur accord ont cru pouvoir s’abstenir de la formalité d’un inventaire
Première opération. Masse active. 1° Un bien da campagne la Robertsau canton Goeb (…)
2° Un jardin avec Maison d’habitation canton dit ameisenkoepfel
3° Un petit jardin la Robertsau
Indivision. M. M. Schuler fils ont recueilli dans la succession de Mad. Schuler leur mère, une Maison sise à Strasbourgn Rue de l’Arc-en-ciel n° 22, d’un côté le Sr. Bloechel, de l’autre les héritiers Lebel. Cet immeuble était un propre de défunte Dame Schuler qui l’avait recueilli dans la succession de Madame Boudhors sa mère. M. M. Schuler fils conviennent de laisser quant à présent cet immeuble indivis entre eux. Ladite Maison est chargée d’une dette de 4400 francs en vertu de deux obligations passées devant Me Zimmer notaire à Strasbourg l’une le 14 janvier 1831 l’autre le 21 mai 1839.
Deuxième opération. Donation par M. Schuler père (…)
5° M. Schuler père donateur se réserve l’usufruit viager de la maison sise en cette ville Rue de l’arc en ciel N° 22 qui est un bien personnel de ses enfans, il ne se réserve néanmoins cet usufruit qu’aux charges et conditions suivantes qu’il promet d’accomplir. I° Il remplira toutes les obligations imposées par la loi à l’usufruitier, II° Il acquittera les impositions foncières et celles des portes et fenêtres dont cet intelligent est et sera chargé à l’avenir, III. Il acquittera les primes d’assurance de l’intelligent, IV. Il servira aux Sr créanciers l’intérêt du capital dont cet immeuble est grevé hypothécairement.
Charles Achille Appollodore Schuler emprunte un capital à François Philippe Kœnig. La maison sert de garantie
1848 (27.1.), Strasbourg 15 (83), Not. Lacombe n° 5969
Obligation – A comparu M. Charles Achille Appollodore Schuler, Menuisier demeurant et domicilié à Strasbourg extra muros à la Robertsau (devoir)
au Sr François Philippe Koenig, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg, payant de ses deniers ou l’acquit et à la décharge de M. Jacques Hyppolite Napoléon Schuler, horticulteur, et Louis Auguste Schuler, peintre, les deux demeurant et domiciliés à la Robertsau, la somme principale de 3000 francs
M. M. Jacques Hyppolite Napoléon Schuler et Louis Auguste Schuler se reconnaissent débiteurs solidaires de Mr Koenig (hypothèquent) Les deux cinquièmes indivis d’une Maison sise à Strasbourg rue de l’arc en ciel N° 22 tenant d’un côté à M. Bloechel de l’autre aux héritiers Lebel.
2° Un bien de campagne consistant en un jardin de la contenance de trois hectares, une Maison d’habitation (…)
Henri Victor Schuler et Hélène Kræmer hypothèquent leur part de maison au profit de l’entrepreneur Philippe Mengès
1850 (26.7.), Strasbourg 15 (86), Not. Lacombe n° 7278
Obligation – Ont comparu M. Henri Victor Schuler, peintre et pépiniériste, et Hélène Kraemer son épouse demeurant ensemble et domiciliés à la Robertsau banlieue de Strasbourg (devoir)
à M. Philippe Menges, entrepreneur de travaux demeurant à la Robertsau, la somme principale de 2480 francs
(hypothèquent) Banlieue de Strasbourg, Territoire de la Robertsau. Environ 60 ares de jardin pépinière sis à la Robertsau canton dit Goeb (…)
M. Schuler déclare que cet immeuble est sa légitime propriété en vertu 1° d’un acte passé devant Me Lacombe notaire à Strasbourg le 24 novembre 1847 (…) contenant partage des biens dépendant de la communauté qui avait existé entre M. Jean Jacques Schuler et dame Gertrude Rosalie Boudhors père et mère des débiteurs, 2° aux termes d’un acte de partage dessé par Me Burtz le 26 avril 1850 enregistré.
Ville de Strasbourg. Le cinquième indivis en nue propriété seulement d’une Maison sise en cette ville Rue de l’arc en ciel N° 22 tenant d’un côté à M. bloechel de l’autre aux héritiers de M. Lebel. M. Schuler déclare que ce cinquième indivis dans ledit immeuble lui est avenu dans la succession de feu Mad. Schuler née Gertrude Rosalie Boudhors, sa mèren dont il a été héritier pour un cinquième.
Charges et situation hypothécaire. Le Sr Schuler annonce que la maison Rue de l’arc en ciel N° 22 est grevée de l’usufruit viager qui en appartient à M. Jean Jacques Schuler, père en vertu de l’acte déjà relaté reçu par Me Lacombe le 24 novembre 1847
Charles Achille Apollodore Schuler et Mme Barbe Lesire cèdent leur part à la nue-propriété de la maison à Ignace Xavier Aloyse Klein et à Henri Théophile Rœderer
1850 (4.9.), Strasbourg 15 (86), Not. Lacombe n° 7307
Ont comparu M. Charles Achilles Apollodore Schuler, Menuisier, et Mme Barbe Lesire de son mari assistée et autorisée à l’effet des présentes, les deux demeurant et domiciliés à la Robertsau banlieue de Strasbourg (vendre)
à M. Ignace Xavier Aloyse Klein et M. Henri Théophile Roederer, les deux propriétaires demeurant et domiciliés à Strasbourg
La nue propriété du cinquième indivis d’Une Maison composée d’un bâtiment de devant ayant porte cochère, bâtiment de derrière bâtiment latéral, de deux cours appartenances et dépendances située à Strasbourg rue de l’arc en ciel où elle porte le n° 22, donnant par devant sur ladite rue, par derrière et d’un côté sur la propriété de M. Bloechel et tenant de l’autre côté à la propriété des héritiers Lebel. Pour lesdits acquéreurs y réunir l’usufruit dudit cinquième lors du décès de M. Schuler père ci après dénommé et qualifié, usufruitier à vie de la totalité dudit Immeuble (…) Etablissement de la propriété et situation hypothécaire. La totalité de la maison sus décrite dépend de la succession de feu Madame Gertrude Rosalie Boudhors, décédée épouse de M. Jean Jacques Schuler, ancien architecte à Strasbourg, laquelle avait elle-même recueilli cet immeuble dans la succession de Madame Boudhors sa mère. Feu Madame Schuler a délaissé pour seuls et uniques héritiers dans la proportion d’u cinquième chacun ses cinq enfants issus de son mariage avec Mr Jean Jacques Schuler son époux survivant, ces enfants nommés 1. Charles Achille Appolodore Schuler le comparant vendeur, 2. Jacques Hyppolite Napoléon Schuler, horticulteur, 3. Frédéric Eugène Schuler, menuisier, 4. Henri Victor Schuler, peintre, 5. Louis Auguste Schuler, sous inspecteur des forêts à Châlons sur Marne, tous majeurs d’ans. Par Acte passé devant Me Lacombe notaire à Strasbourg le 24 novembre 1847 M. Jean Jacques Schuler père et ses cinq enfants sus dénommés ont procédé entre eux à la liquidation et au partage des biens et valeurs qui dépendaient de la communauté de biens qui a existé entre les époux Schuler père et de la succession de feu Mad. Schuler née Boudhors. M. Schuler père a fait donation à titre de partage d’ascendant à ses enfants, de sa part dans les immeubles de la communauté, en vue de cette donation les fils Schuler sont convenus de laisser indivise entre eux la Maison sise à Strasbourg rue de l’arc en ciel N° 22 des autres parts décrite, laquelle était un propre de leur défunte mère. M. Schuler père comme conditions et charges de la donation qu’il a faite à ses enfants et du partage qui a été le complément, s’est réservé l’usufruit viager de la dite Maison sise à Strasbourg de l’arc en ciel N° 22. M. M. Schuler fils ont accepté cette condition et se sont obligés à l’exécution de cette charge, M. Schuler père s’est de son côté obligé 1° de remplir toutes les obligations imposées par la loi à l’usufruitier, 2° d’acquitter les impositions foncières et des portes et fenêtres et les primes d’assurance contre l’incendie pendant toute la durée de l’usufruit, 3° de servir aux créanciers l’intérêt d’un capital de 6000 francs dont ledit immeuble était alors et est encore aujourd’hui grevée hypothécairement du chef de Madame Schuler née Boudhors et de la communauté entre elle et son mari (…) (…) Prix 3600 francs
1851 (15.2.), Me Flach
Cahier des charges clauses et conditions pour parvenir à la vente d’une Maison rue de l’arc-en-ciel N° 22 dépendant de la succession de Gertrude Rosalie Boudhors décédée épouse de Jean Jacques Schuler, ancien architecte à Strasbourg
acp 398 (3 Q 30 113) f° 92 du 18.2.
Jacques Hippolyte Napoléon Schuler et Thérèse Kiehli cèdent leur part à la nue-propriété de la maison à Eliacin Aaron et à Jacques Strauss
1851 (6. Xbr), Strasbourg 15 (87), Not. Lacombe n° 7925
Ont comparu M. Jacques Hipppolyte Napoléon Schuler, horticulteur et Dme Thérèse Kiehli son épouse, les deux demeurant et domiciliés à la Robertsau banlieue de Strasbourg (vendre)
à M. Eliacin Aaron licencié en droit et Jacques Strauss, négociant, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg
nue propriété rue de l’arc en ciel N° 22
La nue propriété du cinquième indivis d’une maison composée d’un bâtiment de devant ayant porte cochère, bâtiment de derrière bâtiment latéral, de deux cours appartenances et dépendances située à Strasbourg rue de l’arc en ciel où elle porte le n° 22, donnant par devant sur ladite rue, par derrière et d’un côté sur la propriété de M. Bloechel et tenant de l’autre côté à la propriété des héritiers Lebel. Pour le Sr acquéreur y réunir l’usufruit dud. cinquième lors du décès de M. Schuler père ci après dénommé et qualifié, usufruitier à vie de la totalité dudit Immeuble (…) Etablissement de la propriété et situation hypothécaire. La totalité de la maison sus décrite dépend de la succession de feu Mad. Gertrude Rosalie Boudhors, décédée épouse de Monsieur Jean Jacques Schuler, ancien architecte à Strasbourg, laquelle avait elle-même recueilli cet immeuble dans la succession de Madame Boudhors sa mère. Feu Mad. Schuler a délaissé pour seuls et uniques héritiers dans la proportion d’u cinquième chacun ses cinq enfants issus de son mariage avec Mr Jean Jacques Schuler son époux survivant, ces enfants nommés 1. Frédéric Eugène Schuler tonnelier, 2. Charles Achille Appolodore Schuler menuisier, 3. Jacques Hyppolite Napoléon Schuler, le comparant vendeur, 4. Henri Victor Schuler, peintre, 5. Louis Auguste Schuler, sous inspecteur des forêts à Châlons sur Marne, tous majeurs d’ans. Par acte passé devant Me Lacombe notaire à Strasbourg le 24 novembre 1847 M. Jean Jacques Schuler père et ses cinq enfants sus dénommés ont procédé entre eux à la liquidation et au partage des biens et valeurs qui dépendaient de la communauté de biens qui a existé entre les époux Schuler père et de la succession de feu Mad. Schuler née Boudhors. M. Schuler père a fait donation à titre de partage d’ascendant à ses enfants, de sa part dans les immeubles de la communauté, en vue de cette donation les fils Schuler sont convenus de laisser indivise entre eux la Maison sise à Strasbourg Rue de l’arc en ciel N° 22 des autres parts décrite, laquelle était un propre de leur défunte mère. M. Schuler père comme conditions et charges de la donation qu’il a faite à ses enfants et du partage qui a été le complément, s’est réservé l’usufruit viager de la dite Maison sise à Strasbourg de l’arc en ciel N° 22.M. M. Schuler fils ont accepté cette condition et se sont obligés à l’exécution de cette charge, M. Schuler père s’est de son côté obligé 1° de remplir toutes les obligations imposées par la loi à l’usufruitier, 2° d’acquitter les impositions foncières et des portes et fenêtres et les primes d’assurance contre l’incendie pendant toute la durée de l’usufruit, 3° de servir aux créanciers l’intérêt d’un capital de 6000 francs dont ledit immeuble était alors et est encore aujourd’hui grevée hypothécairement du chef de Madame Schuler née Boudhors et de la communauté entre elle et son mari (…) (…) Prix 4000 francs
acp 405 (3 Q 30 120) f° 48 du 10.12.
Frédéric Eugène Schuler et Elisabeth Jehlin cèdent leur part à la nue-propriété de la maison à Baruch Meyer
1851 (30. 8.br), Strasbourg 15 (87), Not. Lacombe n° 7895
Ont comparu M. Frédéric Eugène Schuler, Tonnelier et De Elisabeth Jehlin son épouse, les deux demeurant et domiciliés à la Robertsau banlieue de Strasbourg (vendre)
à M. Baruch Meyer négociant demeurant et domicilié à Strasbourg Grand rue n° 146
La nue propriété du cinquième indivis d’une maison composée d’un bâtiment de devant ayant porte cochère, bâtiment de derrière bâtiment latéral, de deux cours appartenances et dépendances située à Strasbourg rue de l’arc en ciel où elle porte le n° 22, donnant par devant sur ladite rue, par derrière et d’un côté sur la propriété de M. Bloechel et tenant de l’autre côté à la propriété des héritiers Lebel. Pour le Sr acquéreur y réunir l’usufruit dud. cinquième lors du décès de M. Schuler père ci après dénommé et qualifié, usufruitier à vie de la totalité dudit Immeuble (…) Etablissement de la propriété et situation hypothécaire. La totalité de la maison sus décrite dépend de la succession de feu Mad. Gertrude Rosalie Boudhors, décédée épouse de Monsieur Jean Jacques Schuler, ancien architecte à Strasbourg, laquelle avait elle-même recueilli cet immeuble dans la succession de Madame Boudhors sa mère. Feu Madame Schuler a délaissé pour seuls et uniques héritiers dans la proportion d’u cinquième chacun ses cinq enfants issus de son mariage avec Mr Jean Jacques Schuler son époux survivant, ces enfants nommés 1. Frédéric Eugène Schuler le comparant, 2. Charles Achille Appolodore Schuler menuisier, 3. Jacques Hyppolite Napoléon Schuler, horticulteur, 4. Henri Victor Schuler, peintre, 5. Louis Auguste Schuler, sous inspecteur des forêts à Châlons sur Marne, tous majeurs d’ans. Par acte passé devant Me Lacombe notaire à Strasbourg le 24 novembre 1847 M. Jean Jacques Schuler père et ses cinq enfants sus dénommés ont procédé entre eux à la liquidation et au partage des biens et valeurs qui dépendaient de la communauté de biens qui a existé entre les époux Schuler père et de la succession de feu Mad. Schuler née Boudhors. M. Schuler père a fait donation à titre de partage d’ascendant à ses enfants, de sa part dans les immeubles de la communauté, en vue de cette donation les fils Schuler sont convenus de laisser indivise entre eux la Maison sise à Strasbourg rue de l’arc en ciel N° 22 des autres parts décrite, laquelle était un propre de leur défunte mère. M. Schuler père comme conditions et charges de la donation qu’il a faite à ses enfants et du partage qui a été le complément, s’est réservé l’usufruit viager de la dite Maison sise à Strasbourg de l’arc en ciel N° 22.M. M. Schuler fils ont accepté cette condition et se sont obligés à l’exécution de cette charge, M. Schuler père s’est de son côté obligé 1° de remplir toutes les obligations imposées par la loi à l’usufruitier, 2° d’acquitter les impositions foncières et des portes et fenêtres et les primes d’assurance contre l’incendie pendant toute la durée de l’usufruit, 3° de servir aux créanciers l’intérêt d’un capital de 6000 francs dont ledit immeuble était alors et est encore aujourd’hui grevée hypothécairement du chef de Madame Schuler née Boudhors et de la communauté entre elle et son mari (…) (…) Prix 3900 francs
acp 404 (3 Q 30 119) f° 60 du 4.11.
Ignace Xavier Aloyse Klein, Henri Théophile Rœderer et Henri Victor Schuler cèdent leurs parts à la nue-propriété de la maison au lithographe Emile Simon
1852 (11.8.), Me Charles Noetinger
Ont comparu Monsieur Ignace Xavier Aloyse Klein, célibataire majeur propriétaire demeurant è Strasbourg, agissant tant en son nom personnel qu’aun nom et comme mandataire de Monsieur Henri Victor Schuler peintre et pépiniériste et de Madame Hélène Kraemer son épouse qu’il autorise demeurant ensemble à la Robertsau banlieue de Strasbourg (…), Monsieur Henri Théophile Roederer propriétaire et Madame Eléonore Scher, son épouse qu’il autorisé demeurant ensemble à Strasbourg, Monsieur Baruch Meyer négociant et Madame Marie Mayer son épouse qu’il autorise demeurant ensemble en la même ville
à Monsieur Emile Simon, lithographe demeurant à Strasbourg ci présent et acceptant
La nue propriété des trois cinquièmes indivis d’une maison composée d’un bâtiment de devant ayant porte cochère, bâtiment de derrière bâtiment latéral, de deux cours appartenances et dépendances située à Strasbourg rue de l’arc en ciel où elle porte le n° 22 donnant par devant sur ladite rue par derrière et d’un côté sur la propriété de M. Bloechel et tenant de l’autre côté à la propriété des héritiers Lebel. Pour ledit acquéreur réunir l’usufruit à la nue propriété lors du décès de Monsieur Schuler père ci après nommé. (…)
Etablissement de la propriété. La totalité de la maison susdécrite dépendait de la succession de Madame Gertrude Rosalie Boudhors, décédée épouse de Monsieur Jean Jacques Schuler ancien architecte à Strasbourg, laquelle avait elle-même recueilli cet immeuble dans la succession de Madame Boudhors sa mère. Madame Schuler a délaissé pour seuls héritiers ses enfants 1. M. Charles Achille Appolodore Schuler menuisier, 2. M Jacques Hyppolite Napoléon Schuler, horticulteur, 3. M. Frédéric Eugène Schuler tonnelier, 4. M. Henri Victor Schuler, peintre et 5. M. Louis Auguste Schuler, sous inspecteur des forêts à Chalons sur Marne, chacun de pour un cinquième. Par acte passé devant Me Lacombe notaire à Strasbourg le 24 novembre 1847 M. Jean Jacques Schuler père a fait donation à titre de partage anticipé à ses cinq enfants de sa part dans les immeubles de la communauté qui avait existé entre lui et sa défunte épouse sous la condition expresse que la maison susdécrite resterait affectée à l’usufruit viager du donateur, cette condition ayant été acceptée par Messieurs Schuler fils, Monsieur Schuler père s’est obligé de son côté 1) à remplir toutes les obligations imposées par la loi à l’usufruit, 2) à payer les impositions foncières et des portes et fenêtres et les primes d’assurance contre l’incendie pendant toute la durée de l’usufruit, 3) à servir aux créanciers l’intérêt d’un capital de 6000 francs dont la maison est grevée du chef de Madame Schuler née Boudhors et de la communauté entre elle et son mari (…)
Messieurs Klein et Roederer comparants sont devenus conjointement propriétaires du 5° indivis de la maison appartenant ou ayant appartenu en nue propriété à Monsieur Charles Achille Appolodore Schuler au moyen de l’acquisition qu’ils en ont faite de ce dernier et de Dame Barbe Lesire son épouse suivant contrat passé devant Me Lacombe le 4 septembre 1850 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 13 dudit mois volume 515 n° 92 (…) M. Baruch Meyer a acquis le cinquième indivis par lui présentement vendu de M. Frédéric Eugène Schuler et de Dame Elisabeth Jehlen son épouse aux termes d’un contrat de vente passé devant M. Lacombe susdit le 30 octobre dernier enregistré et transcrit au bureau des hypothèques le 16 novembre suivant volume 532 n° 53 (…) Prix 13 800 francs – Fait et passé à Strasbourg l’an 1852 les 11 et 12 août
acp 412 (3 Q 30 127) f° 45 du 13.8.
Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 553 (2775) n° 7, du 17 août 1852
Eliacin Aaron et Jacques Strauss cèdent leurs parts à la nue-propriété de la maison au lithographe Emile Simon
1852 (13. 7.bre), Me Charles Noetinger
Ont comparu Monsieur Eliacin Aaron licencié en droit et Monsieur Jacques Strauss négociant les deux demeurant è Strasbourg (vendre)
à Monsieur Emile Simon, lithographe demeurant à Strasbourg ci présent et acceptant
La nue propriété d’un cinquième indivis d’une maison composée d’un bâtiment de devant ayant porte cochère, bâtiment de derrière bâtiment latéral, de deux cours appartenances et dépendances située à Strasbourg rue de l’arc en ciel sur laquelle porte le n° 22 donnant par devant sur ladite rue par derrière et d’un côté sur la propriété de Monsieur. Bloechel et tenant de l’autre côté à la propriété des héritiers Lebel. Pour ledit acquéreur réunir l’usufruit à la nue propriété lors du décès de Monsieur Schuler père ci après nommé. (…)
Etablissement de la propriété. La totalité de la maison susdécrite dépendait de la succession de Madame Gertrude Rosalie Boudhors, décédée épouse de Monsieur Jean Jacques Schuler ancien architecte à Strasbourg, laquelle avait elle-même recueilli cet immeuble dans la succession de Madame Boudhors sa mère. Madame Schuler a délaissé pour seuls héritiers ses enfants 1. Monsieur Charles Achille Appolodore Schuler menuisier, 2. Monsieur Jacques Hyppolite Napoléon Schuler, horticulteur, 3. Monsieur Frédéric Eugène Schuler tonnelier, 4. Monsieur Henri Victor Schuler, peintre, 5. Monsieur Louis Auguste Schuler, sous inspecteur des forêts à Chalons sur Marne, chacun de pour un cinquième. Par acte passé devant Me Lacombe notaire à Strasbourg le 24 novembre 1847 Monsieur Jean Jacques Schuler père a fait donation à titre de partage anticipé à ses cinq enfants de sa part dans les immeubles de la communauté qui avait existé entre lui et sa défunte épouse, sous la condition expresse que la maison susdécrite resterait affectée à l’usufruit viager du donateur, cette condition ayant été acceptée par Messieurs Schuler fils, Monsieur Schuler père s’est obligé de son côté premièrement à remplir toutes les obligations imposées par la loi à l’usufruit, secondement à payer les impositions foncières et des portes et fenêtres et les primes d’assurance contre l’incendie pendant toute la durée de l’usufruit, troisièmement à servir aux créanciers l’intérêt d’un capital de 6000 francs dont la maison est grevée du chef de Madame Schuler née Boudhors et de la communauté entre elle et son mari (…)
Messieurs Aaron et Schwartz comparants sont devenus propriétaires conjointement du 5° indivis de la maison ayant appartenu à Monsieur Jacques Hypolite Napoléon Schuler au moyen de l’acquisition qu’ils en ont faite de ce dernier et de Dame Thérèse Kiehlé sa femme suivant contrat passé devant Me Lacombe le 6 décembre dernier transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 12 dudit mois volume 534 n° 65 (…) Prix 4600 francs – Fait et passé à Strasbourg l’an 1852 le 13 septembre
acp 413 (3 Q 30 128) f° 18 du 15. 7.bre Flach subst. Noetinger
Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 550 (2779) n° 79 du 18 septembre 1852
Jean Jacques Schuler loue à Emile Simon la maison dont il a l’usufruit
1852 (26 8.br), Me Charles Noetinger
Bail – Jean Jacques Schuler, ancien architecte à Strasbourg agissant en qualité d’usufruitier de la maison ci après décrite, pour 22 ans du 25 décembre 1852
à Emile Simon, lithographe à Strasbourg, nu propriétaire de ladite maison, savoir
Une Maison sise à Strasbourg rue de l’arc en ciel N° 22 moyennant un loyer annuel de 1100 francs
acp 414 (3 Q 30 129) f° 36 du 28 8.br
Louis Auguste Schuler cède sa part à la nue-propriété de la maison au lithographe Emile Simon qui en devient ainsi seul propriétaire
1852 (26 8.br), Me Charles Noetinger
A comparu Monsieur Jean Jacques Schuler, ancien architecte et propriétaire demeurant à Strasbourg agissant au nom et en qualité de mandataire de Louis Auguste Schuler, son fils inspecteur des eaux et forêts demeurant à Besançon (vendre)
à Monsieur Emile Simon, lithographe demeurant à Strasbourg ci présent et acceptant
La nue propriété du cinquième indivis d’une maison composée d’un bâtiment de devant ayant porte cochère, bâtiment de derrière bâtiment latéral, de deux cours appartenances et dépendances située à Strasbourg rue de l’arc en ciel sur laquelle porte le n° 22 donnant par devant sur ladite rue par derrière et d’un côté sur la propriété de Monsieur. Bloechel et tenant de l’autre côté à la propriété des héritiers Lebel. Pour ledit acquéreur réunir l’usufruit à la nue propriété lors du décès de Monsieur Schuler père comparant. (…) La totalité de la maison dépendait de la succession de Madame Gertrude Rosalie Boudhors, décédée épouse de Monsieur le comparant, laquelle avait elle-même recueilli cet immeuble dans la succession de Madame Gertrude Meng sa mère vivante épouse de Monsieur Pierre Valentin Boudhors aux termes d’un acte de partage et liquidation dressé par Me Zimmer notaire à Strasbourg le 14 juin 1828. Madame Schuler a délaissé pour seuls héritiers ses enfants 1. M. Charles Achille Appolodore Schuler menuisier, 2. Monsieur Jacques Hyppolite Napoléon Schuler, 3. Frédéric Eugène Schuler tonnelier, 4. Monsieur Henri Victor Schuler, peintre, 5. Monsieur Louis Auguste Schuler, sous inspecteur des forêts à Besançon, chacun de pour un cinquième. Par acte passé devant Me Lacombe notaire à Strasbourg le 24 novembre 1847 Monsieur Jean Jacques Schuler père a fait donation à titre de partage anticipé à ses cinq enfants de sa part dans les immeubles de la communauté qui avait existé entre lui et sa défunte épouse, sous la condition expresse que la maison susdécrite resterait affectée à l’usufruit viager du donateur, cette condition ayant été acceptée par Messieurs Schuler fils, Monsieur Schuler père s’est obligé de son côté 1° à remplir toutes les obligations imposées par la loi à l’usufruit, 2° à payer les impositions foncières et des portes et fenêtres et les primes d’assurance contre l’incendie pendant toute la durée de l’usufruit, 3° à servir aux créanciers l’intérêt d’un capital de 6000 francs dont la maison est grevée du chef de Madame Schuler née Boudhors et de la communauté entre elle et son mari (…)
Monsieur Simon ayant déjà acquis les trois cinquième indivis de ladite maison de Monsieur Ignace Xavier Aloyse Klein et consorts à Strasbourg aux termes d’une vente passée devant Me Noetinger soussigné le 11 et 12 août dernier et le derner cinquième de Messieurs Aaron et Schwartz de Strasbourg en vertu d’une vente passée devant le même notaire le 13 septembre dernier, est aujourd’hui nu propriétaire de la totalité de la maison susdésignée (…) Prix 4600 francs
Et à l’instant Monsieur Schuler en son nom personnel vend en toute propriété comme chose à lui appartenant à Monsieur Simon ce acceptant Tous les poêles se trouvant dans la maison sus désignée avec les tuyaux et pierres, les glaces, à lexception d’une au rez de chaussée, d’une avec console au second étage et de deux autres avec consoles au troisième étage (celle du second étage se trouvant dans le logement actuellement occupé par Monsieur Schuler père), Plus les pots économiques, les plateaux et rayons dans les cuisines, les chantiers et séparations dans la cave (…) moyennant 200 francs – Fait et passé à Strasbourg l’an 1852 le 26 octobre
acp 414 (3 Q 30 129) f° 34-v du 27 8.br
Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 555 (2776) n° 44, le 29 octobre 1852
Le lithographe Frédéric Emile Simon épouse Julie Wilhelmine Knoderer en 1837
Il vend la maison au limonadier Gustave Jean Baptiste Hauswald et à sa femme Madeleine Heberlé
1862 (24.12.), Strasbourg 13 (88), Not. Flach (Jean Georges) n° 4838
A comparu M. Emile Simon, lithographe, Chevalier de la Légion d’Honneur, demeurant et domicilié à Strasbourg
à M. Gustave Jean Baptiste Hauswald, limonadier, et à Mad. Madeleine Heberlé son épouse qu’il autorise, demeurant ensemble à Strasbourg
Désignation. Une maison composée d’un bâtiment de devant ayant porte cochère, bâtiment de derrière, bâtiment latéral, de deux cours, appartenances et dépendances, située à Strasbourg rue de l’Arc en ciel où elle porte le n° 4, donnant par devant sur la dite rue par derrière et d’un côté sur la propriété des héritiers Lebel. Tel et dans l’état où l’immeuble se trouve et comporte en ce moment avec tous ses fourneaux et leurs tuyaux qui s’y trouvent
Etablissement de la propriété. La maison ci-dessus décrite dépendait autrefois de la succession de feu Mad. Gertrude Rosalie Boudhors, décédée épouse de M. Jean Jacques Schuler, ancien architecte à Strasbourg, laquelle avait elle-même recueilli cet immeuble dans la succession de Mad. Gertrude Boudhors sa mère. Feu Mad. Schuler a laissé pour seuls héritiers, dans la proportion d’un 5° chacun ses cinq enfants issus de son mariage avec M. Jean Jacques Schuler son époux survivant, ces enfants nommés 1. Frédéric Eugène Schuler, 2. Charles Achille Appolodore Schuler menuisier, 3. Jacques Hyppolite Napoléon Schuler, horticulteur, 4. Henri Victor Schuler, peintre, 5. & Louis Auguste Schuler, sous inspecteur des eaux et forêts à Chalons sur Marne. Par acte passé devant Me Lacombe notaire à Strasbourg le 24 novembre 1847 M. Jean Jacques Schuler père et ses cinq enfants sus nommés ont procédé entre eux à la liquidation et au partage des biens dépendant de la communauté qui avait existé entre les époux Schuler et de la succession de Mad. Schuler née Boudhors. M. Schuler père fit donation à titre de partage anticipé à ses enfants de sa part dans les immeubles de la communauté. En vue de cette donation les fils Schuler sont convenus de laisser indivise entre eux la maison sise à Strasbourg rue de l’arc en ciel N° 4 décrite plus haut, laquelle était un propre de leur défunte mère. M. Schuler père comme condition et charge de la donation qu’il a faite à ses enfants et du partage qui en a été le complément s’est réservé l’usufruit viager de ladite maison, condition qui a été acceptée par les enfants donataires. Cette propriété était grevée hypothécairement (…)
Par contrat passé détect Me Lacomble notaire à Strasbourg le 4 septembre 1850 transcrit au bureau des hypothèques le 13 septembre 1840 vol. 515 n° 92, M. Charles Achille Apollodore Schuler, menuisier, et Mme Barbe Lesire son épouse demeurant à la Robertsau banlieue de Strasbourg ont vendu le cinquième qu’ils possédaient en propriété dans ladite maison à M. Ignace Xavier Aloyse Klein et à M. Henri Théophile Roederer, propriétaires à Strasbourg pour le prix de 3600 francs (…). Par contrat passé devant ledit M. Lacombe le 30 octobre 1851 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 6 novembre 1841 vol. 532 n° 53, M. Frédéric Eugène Schuler, tonnelier et De Elisabeth Jehlen son épouse, demeurant à la Robertsau, ont vendu leur cinquième indivis dans ladite Maison à M. Baruch Meyer négociant à Strasbourg Grand rue n° 146 moyennant un prix de 3900 francs (…). Par contrat passé devant ledit M. Lacombe le 6 décembre 1851 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 12 décembre 1851 vol. 534 n° 65, M. Jacques Hipppolyte Napoléon Schuler, horticulteur et dame Thérèse Kiehli son épouse demeurant à la Robertsau banlieue ont vendu leur cinquième dans ladite maison à M. Eliacin Aaron, licencié en droit, et à Jacques Strauss, négociant, les deux demeurant à Strasbourg moyennant le prix de 4000 francs (…).. Par contrat passé devant M. Noetinger et son collègue notaires à Strasbourg les 11 et 12 août 1852 transcrit au bureau des hypothèques le 10 septembre même mois vol. 553 n° 7, M Henri Victor Schuler peintre et pépiniériste et Mad. Hélène Kraemer son épouse demeurant à la Robertsau banlieue de Strasbourg (…), Monsieur Henri Théophile Roederer propriétaire et Mad. Eléonore Scher, son épouse, M. Baruch Meyer négociant et Mad. Marie Mayer son épouse ont vendu les trois cinquièmes leur appartenant indivisément à M. Simon, le vendeur, moyennant uun prix de 4600 francs (…). Par contrat passé devant M. Noetinger le 13 septembre 1852 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 18 du même mois vol. 550 n° 70, M. Eliacin Aaron et Jacques Strauss sus nommés ont vendu à M. Simon le cinquième qu’ils avaient acquis de M. Jacques Hippolyte Napoléon Schuler pour le prix de 4600 francs (…). Enfin par contrat passé devant M. Noetinger le 26 octobre 1852 transcrit au bureau des hypothèques volume le 29 du même mois vol. 555 n° 44, M. Louis Auguste Schuller, inspecteur des eaux et forêts à Besançon, a vendu son cinquième à M. Simon moyennant un prix de 4600 francs (…). Par suite de ces acquisitions partielles dont nous venons de parler, M. Simon est devenu propriétaire de la totallité en nue propriété de ladite maison et y a réuni la jouissance par le décès de M. Schuler père usufruititer arrivé le 3 septembre 1859. – Prix, 36 000 (dont 1000 francs payés comptant des deniers des acquéreurs et 26 000 francs des deniers de Jean Jacques Stotz, propriétaire à Strasbourg)
Etat civil du vendeur. Déclare M. Simon qu’il est veuf en premières noces de Mad. Julie Wilhelmine Knoderer et tuteur légal des enfants mineurs issus du mariage
acp 517 (3 Q 30 232) f° 49-v du 27.12.
Jean Baptiste Hauswald épouse Marie Madeleine Hæberlé en 1842
1842 (29.12.), Strasbourg 4 (96), Me Lauth n° 354
Contrat de mariage – M. Jean Baptiste Hauswald, limonadier de sa profession mais n’exerçant pas encore pour son compte, demeurant et domicilié à Strasbourg fils majeur & légitime de M. Jean Baptiste Joseph Hauswald, cafetier & limonadier, et de dame Catherine Luttenberger son épouse demeurant et domiciliés à Strasbourg d’une part
Demoiselle Marie Madeleine Haeberlé, demeurant chez ses père et mère, fille mineure & légitime de M. Jean Louis Haeberlé, boucher, & de dame Marie Madeleine Frick son épouse demeurant et domiciliés à Strasbourg
communauté d’acquets – donation par les père et mère du futur à ce dernier acceptant d’une somme de 2000 francs
Donation par les père et mère de la future à cette dernière acceptant de divers meubles et effets mobiliers estimés 1830 francs
Donation par le futur à la future dans le cas où elle lui survivait d’une somme de 600 francs
Donation éventuelle par le prémourant des futurs époux au survivant d’eux de l’usufruit viager réductible en cas d’existence d’enfant de tous les biens meubles et immeubles qui composeront la succession du prémourant
acp 305 (3 Q 30 020) f° 66
Gustave Jean Baptiste Hauswald et Madeleine Heberlé vendent la maison à Jean Henri Fischbach
1867 (9.3.), Me Flach
Gustave Jean Baptiste Hauswald, limonadier, et Madeleine Heberlé sa femme
à Jean Henri Fischbach, propriétaire à Strasbourg
une maison sise à Strasbourg rue de l’Arc en ciel N° 4, moyennant 54 000 francs
Origine, vente Flach le 24 Xbre 1862
acp 561 (3 Q 30 276) f° 63-v du 12.3.
Catherine Henriette Vonseel, propriétaire ultérieure de la maison, épouse en 1907 le marchand, originaire de Tübingen. Le mariage est dissous le 19 août 1912 par jugement du tribunal de Colmar
Mariage, Strasbourg (n° 55) Straßburg am 19. Januar 1907. der Kaufmann Ernst Friedrich Stoll, evangelischer Religion, geboren am 15. Novembris des Jahrs 1871 Zu Tübingen (Württenberg), wohnhaft zu Strassburg Neudorf, Sankt Urban 20, Sohn des verstorbenen Klempnermeisters Ernst Gotthilf Stoll und seiner verstorbenen Ehefrau Emma Friederika gebohrner Betz, neide zuletzt wohnhaft in Tübingen
die Rentnerin Katharina Henriette Vonseel, evangelischer Religion, geboren am 6. Januar des Jahres 1864 zu Straßburg, wohnhaft in Straßburg Allerheiligengasse 8, Tochter der verstorbenen ledigen Rentnerin Katharina Vonseel, zuletzt wohnhaft in Straßburg
Randvermerk. durch das am 30. Juli 1912 rechtskräftig gewordenen Urteil des k. Oberlandgerichts in Colmar (Oberelsaß) ist die Ehe zwischen dem Ernst Ludwig Stoll und der Katharina Henriette Stoll geb. Vonseel geschieden worden. Straßburg den 19. August 1912.