Paul Roger Sibour, maître de langue, et (v. 1670) Esther de Mory – catholiques


Fils de Pierre Sibour, receveur des impôts, et de Renée Rogier, Paul Roger Sibour naît à Morlaix en Bretagne. Il s’établit en 1672 maître de langue à Tubingue où il publie plusieurs manuels de langue française. Il vient ensuite à Strasbourg où il se convertit le 10 mars 1686. Il achète le droit de bourgeoisie en septembre 1687 avec sa femme Esther de Mory. Louis XIV le pourvoit de la charge de secrétaire interprète de la Ville de Strasbourg par lettre patente du 19 septembre 1687 ; il prête serment devant les Conseillers et les Vingt-et-Un le 6 décembre 1687. Le Magistrat le charge en 1689 de traduire en français les privilèges que l’empereur a accordés à la Ville.
Paul Roger Sibour est nommé assesseur des Quinze en 1695, fonction qu’il résigne en 1700, puis assesseur des Treize en 1708. Il remplit en outre diverses autres fonctions (chambre de police, chambre d’économie, etc.). Il meurt le 3 septembre 1726 à l’âge d’environ 84 ans.

Maison en propriété
1687, rue du Tonnelet rouge (VI 84, actuel n° 8)

Enfants

  • Christophe, licencié en droit, épouse (1712) Henriette Marie Madeleine Bernard
  • Benigne Salomé, religieuse de la Visitation de Sainte-Marie à Strasbourg
  • Salomé Ester, épouse (1707) René Pin, trésorier des fortifications d’Alsace


Signatures au contrat de mariage de leur fils Christophe (ADBR, 6 E 41, 15) au bas d’un acte


La conversion de Sibour (10 mars 1686), relatée dans la lettre de provision, figure dans le registre tenu par les Jésuites.

1 AST 305 (Répertoire des convertis dressé par les Jésuites) p. 302, Le Sr de Sibour, 1686 mars 10

Originaire de Morlaix de Basse-Bretagne, le maître de langue Paul Roger Sibour et sa femme Esther de Mory achètent le droit de bourgeoisie en septembre 1687 en apportant trois enfants

1687, 4° Livre de bourgeoisie p. 531
H. Paulus Rogerius Sibour der frantzösisch. sprachmeister von Morlay aus Nider Britanien empfangt das burgerrecht & uxore Ester de Maury undt dreÿ Kinder gratis. Spiegel, Jur. 4. 7.br [1687]

Paul Roger Sibour produit le 10 novembre 1687 devant les Conseillers et les Vingt-et-Un sa lettre de provision pour la chambre de secrétaire interprète de la Ville de Strasbourg. La lettre donnée par le roi à Versailles le 19 septembre 1687 est transcrite, elle mentionne sa conversion à la religion catholique. Le syndic royal Güntzer, appuyé par le préteur royal, demande une enquête sur la vie et les mœurs de Paul Roger Sibour avant qu’il soit admis à prêter serment. Les préposés en chef de la Chancellerie rapportent le 6 décembre que Paul Roger Sibour était maître de langue à Tubingue avant de venir à Strasbourg et qu’il mène une vie modeste. Un certificat atteste qu’il est né à Morlaix, fils de Pierre Sibour, receveur des impôts, et de Renée Rogier. Paul Roger Sibour prête serment le même jour.

1687, Conseillers et XXI (1 R 170)
(p. 347) Montags den 10. Novembris 1687. – Rogerius Sibour prod: seine Königl. Commission de Secretaire interprete. provision de la charge de Secretaire interprete de la ville de Strasbourg pour le Sr Cibour
g. Erscheint H Paul Rogerius Sibour, prod: in seinem nahmen copiam seiner Königl. Commission de Secretaire interprete, deßen original des Reg. herrn Ammeisters Herr. in handen, bitt hierauff vntert. solchen ad protocollum Zu nehmen, und Ihme ein extractuml deßen umb die gebühr Zu Khommen Zulaßen. E Hierauff per herrn Syndicum die Königl. Lettres

Louis par la grace de Dieu Roy de france et de Navarre à tous Ceux que ces presentes Lettres verront Salut. iugeant necesssaire au bien de Notre service et à celuy de Notre ville de Strasbourg de pourvoir à La charge de Secretaire interprete du conseil de ladite ville, et pour cette fin de choisir une personne qui ait toutes les qualités requises pour la bien exercer, scavoir faisons qu’etant bien informés des sens, suffisance, capacité, probité, diligence, bonne conduite, fidelité et affection à notre service de Notre bien amé Sibour (p. 348) à iceluy pour ces causes, meme et en consideration de la conversion à La religion Catholique, apostolique et Romaine Nous avons donné et otroyé, donnons et otroyons par ces presentes signées de Notre main La charge de Secretaire interprete du conseil de Notred. ville de Strasbourg pour l’avoir, tenir et doresnavant exercer, en jouir et user parledit Sibour aux honneurs, authorités, prerogatives, franchises, Libertés, droits, fruits, profits, revenus et emolumens qui y appartiennent, tels et semblables dont jouissent ceux qui sont pourveus de pareilles charges et aux gages et appointemens qui y sont attribués Tant qu’il Nous plaira. Si donnons en mandement à Nos tres chers et bien amés Les preteurs, conseil et magistrat de Notred. ville de Strasbourg, que Leur etant apparu des bonne vie et moeurs, Religion Catholique apostolique et Romaine dudit Cibour, et de luy pris et receu le serment en tel cas requis et accoutumé, ils le mettent et (p. 349) instituent, ou fassent mettre et instituer de par Nous en possession de ladite charge de Secretaire interprete dudit conseil de La ville de Strasbourg et d’icelle ensemble des honneurs, authorités, prerogatives, franchises et Libertés, gages, droits et appointemens, fruits, profits, revenus et emolumens susdits, le fassent, souffrent et laissent jouir et user pleinement et paisiblement, cessant et faisant cesser tous troubles, et empeschement au contraire.
Mandons en outre aux receveurs de nos domaines d’Alsace et autres comptables qu’il appartiendra que les gages audit office de Secretaire Interprete dudit conseil de La ville de Strasbourg ils baillent payent et delivrent par chacun an audit Cibour aux termes et en la maniere accoutumée à commancer du jour et date des presentes rapportant lesquelles ou copie d’icelles dûement collationnées pour une fois seulement avec quittance dudit Cibour sur ce suffisante, Nous voulons tout ce que payé et delivré luy aura eté à L’occasion susdite etre passé et alloué en la depense de leur (p. 350) compte par tout où il apartiendra. car tel est notre plaisir, en temoin de quoy Nous avons fait mettre notre scel à cesdites presentes. Donné à versailles Le dix neufvieme jour de septembre L’an de grace 1687 et de Notre regne le 45. Signé Louis et sur le repli par Le Roy Le Tellier

Herr Syndicus Güntzer auf abgelesen und angehörtes Königl. Schreiben werde Zu Men herren stehen, ob Sie nach deßen Inhalt den Obern Cantzleÿ herren committiren wollen, Ihr den herrn Sibour vor sich bescheiden und befragen zu laßen wegen seines geführten lebens, Sötten, verheurathung und dergleichen damit auß so vorher gegangenes examen, über der sachen beschafenheit relation abgelegt, Zum gewonlichen serment Er admittirt, und einen extractus protocolli Ihme Zugestelt werden möge.
Herr Prætor Regius, der Stylus nur* vnd die formalitäten in dergleichen fällen seÿen in alle weg Zu beobachten, wann solches geschehen, werde auß der Relation mehrers Zu berechnen sein.
Erkand Wie in den Obern Cantzleÿ herren committirt das examen, wie es in dergleichen casu geschehen pflegt, vor die hand Zu nehùmen und ahn disem ort wieder darüber Zu referiren.
Hr XV. Johann Rishofer et Rath. Bosch

(p. 361) Sambstags den 6. Decembris 1687. – Obere Cantzleÿ herren legen Relation ab wegen gethaner Information über Sibour Secretaire interprete leben und wandel.
Herr Amstr. Fröreißen und XIII Mockel alß Obere Cantzleÿ referiren, es seÿe bekand, daß auf vorgelegte König. Commission von Paul Rogier Sibour burger alhier, welcher umb recipirung seiner Persohn in die charge eines Secretaire und interprete du conseil de la ville eingekhommen, die sach Zu dem Endt ahn die Obere Cantzleÿ herren gewießen worden, daß Sie sich gehörige testimones Zuvordrist vorweißen, wie auch de vitâ et moribus eius sich informiren möchten. Zufolg derselben Erkantnuß hätte das Sambtliche Collegium Sie beede dazu ernennet, Sibour vor Ihnen erschienen und sein testimonium schrifftlich vorgewießen, darüber sie Ihn gehört vnd seine außag demselben gemäß befunden, habe vorhin in Tübingen alß ein maistre de Langue françoise sich auch aufgehalten, seithero burger alhier worden, führe ein stilles weeßen, und Zweifelten Sie ohne gutem gericht nicht, herr Syndicus Güntzer hätte das testimonium alßbald von Ihnen empfangen, und werde noch mehrers deßweg. anjetzo berichten wollen. Das testimonium, so abgeleßen worden, lautet folgender gestalten
Paul Rogier Sibour bourgeois de Strasbourg, et y demeurant a eté procrée en légitime mariage de Maitre Pierre Sibour, receueur des impots et Billots en basse Bretagne et de Renée Rogier sa femme, et né à morlaix en ladite province, a eté baptizé au même lieu et faict professsion de La Religion Catholique apostolique et Romaine, en foy de quoy il s’est signé, et Monsieur de La Batie Maior de la ville de Strasbourg et Monsieur Obrecht Preteur Royal ont certifié de ses uie, moeurs et religion, comme il apparoit par leurs signatures cy dessous, fait audit Strasbourg le 18. jour de Novembne 1687. Sibour, La Batie, Obrecht &
Herr Syndicus Güntzer, nachdem man wie vorgemedt, in vitam et mores informirt gehabt, Er das abgelesene Attestatum Vorgelegt und solches vnverwerflich seÿe, alß stehen Zu Meinen herren die Königl. Lettres enregistriren, ein extractum protocolli Ihme geben, und ad præstadum juramentum anjetzo derselben herein Zu laßen.
Hr Prætor Regius, Er wiße nichts beÿ Zu setzen, Könne geschehen, wie allererst angesprochen worden.
Erkant, Solle die Königl. Commission M. herren Memoriali enregistrirt, Mr Sibour ein extract darauß gegeben, und derselbe anjetzo ad præstandum juramentum herein gelaßen werd. – jurauit.

L’intendant transmet au Magistrat un billet par lequel il demande que le sieur Sibour bénéficie des appointements du secrétaire interprète Kast. Le syndic royal déclare que Kast n’est pas secrétaire interprète mais qu’il fait simplement certaines traductions. Le préteur royal déclare que le trésorier royal doit verser son salaire à Sibour et charge le syndic royal de parler à l’Intendant pour qu’il cesse de se substituer à la Ville pour pourvoir des charges

1688, XIII (3 R 46)
(f° 21-v) Montag den 26. Januarÿ – Herr Sibour wird recommendirt zu Einem secretario interprete pro Herrn Kasten auf die Cantzleÿ
Es seÿe von hern Intendanten auch ein billet Ihne eingehändiget worden, dieses inhalts
i’ay receu une Lettre de Monseigneur de Louvois par laquelle il m’a fait l’honneur de me mander que s’il y a eu un secrétaire interprete dans le magistrat de Strasbourg que le sieur Sibour en doit auoir les appointemens et comme ie sçay que Le sieur Cast en faisoit les fonctions auparavant luy, vous voulés bien Monsieur que ie vous supplie de Me faire mettre en son lieu et place pour les appointemens que L’on m’a dit etre de six cents Livres, ci voys donne le bonjour de La grange Le 23. janvier 1688.
Herr Syndicus Güntzern Es seÿe Meinen herren sambtlich wißend, daß die sach also sich nicht verhalte, herr Cast habe die charge de secrétaire interprete de La Chancellerie nicht gehabt, sondern seÿe Zu den traductions gebraucht worden, wie vor Ihme andere auch, habe deßhalben auch auf keine ordnung beÿ Mein herren das jurament abgelegt. Ferners, seÿe Ihme niemahl so viel appointements gemacht, noch Zur Zeit auch nicht abgeschafft worden, sondern umb die gages Zusammen Zu Ziehen eines beÿ dem andern gelaßen, Er wolle herr Intendanten auch dieses remonstriren, werde verhoffentlich sich anders berichten laßen.
Herr Prætor Regius, waß herrn Sibour betrifft, hab Er seine Commission, welche herr Intendant Ihme Zuwegen gebracht, habe beÿ herrn Räthen und XXI darauf geschworen und sollen Ihme seine appointemens durch den Königl. tresorier gereicht werd. weilen herr Syndicus sich aber bemühen will, mit dem Intendanten außführlich hievor Zu reden, könne Er von Meinen herren Darumb nachdrucklich ersucht werd. In der Umbfrag gedruckten Meine gnädige Herren, daß den bedienten beÿ gemeiner Statt betrübt sein würden Zu sehen und Zu hören, daß Herr Intendant Zu officÿs leuthe nach seinem gefallen recommendiren, und commissiones beÿ hoff vor sie außbringen könne.
Erkant, Wird herr Syndicus ersucht wegen der Commission de grefier de La preuoté ahn Monseign. de Louvois Zu schreiben, und wegen Sibour mit Monsieur de La grange Intendanten Zu reden und von der charge genugsamen bericht Zu erstatten. Indeßem solle die provision du sieur Schwendeman enregistrirt werd.

L’interprète Sibour est chargé de traduire en français les privilèges que l’empereur a accordés à la Ville. Les Conseillers et les Vingt-et-Un évoquent ses différentes rétributions en argent et en nature.

1689, Conseillers et XXI (1 R 172)
(p. 44) Montag den 21.ten Februarÿ 1689. – Ubersetzung in das frantzösche der keÿß. und Königl. privilegiorum – Sibour interprete dazu zu gebrauchen – Bedacht der Herren Conservatorum privilegiorum – seine bestallung ab den Pfenningthurn und von den Stifftern

H. Ammeister Reiseißen, H. XV Storck und Ratherr Johann Goll laßen durch H. Syndicum Güntzern referiren, nachdem Meine Herren schon etlich mahl vor nöthig erachtet, daß die kaÿßerl. und königl. der Statt vor altem allergündigste gegönnte privilegia auß dem teutschen in das frantzoische übersetzt werden möchten inzwischen H. Rosier Sibour von Ihro königl. maÿst. die commission Eines Secretaire Interprete au conseil de la ville überkhommen, zu unterschiedlichen mahlen in gemein Statt geschäfften translationes gemacht, und Er jüngst umb ein gewißes appointement angehalten, alß hätten die gemelte Hh. Conservatores privilegiorum darüber deliberirt, Sibour in consideration gezogen, Ihn zu diesem werckh düchtig, und geschickt befunden, auch von deßen subsistentz geredet daß (p. 45) Er ohngefähr als Ein Substitutus Cancellariæ möchte gehalten, Ihme 150 fl. in geldt, 6. fuder holtz, 600 wellen, und 10. frtl. fruchten halb und halb geordnet werden, dergestalten, daß weilen beÿ dem Archiv von der völlig bestallung bißher 100 fl. menagirt worden, solche fürtherhin der pfenningthurn leiden, übrige 50 fl. und fruchten aber auf Stifftere, vor welche Er auch zu arbeiten schuldig sein solle, repartirt werden könten, damit der pfenningthurn dardurch in etwas verschonet bleibe, und umb soviel mehrers weilen auß gewißen Ursachen noch ferner mit Erlegung der 30 M. thaler vor Ihro königl. Maÿst. continuirt werden müßen, So viel hätten die Herrn conservatores vermeint, daß Er wohl verdienen würde, Ihme auch den ort zu seiner arbeit in der Archiv stub auf dem Neuen bauw außgesehen, und weilen es Ein bestallung Sach (p. 46) solche hieher bringen und zu Meiner g. hh. confirmation stellen wollen.
H. prætor Regius Obrecht sagt, Er wiße nichts sonderliches beÿzusetzen, des Sibour Lettre de provision seÿe ahn diesem ort abgeleßen worden, der Inhalt bekandt, daß Er als Secretaire Interprete beÿ der Statt sein solle, von Übersetzung der privilegiorum seÿe auch geredet worden, und die Erkantnus ahn diesem ort ergangen, daß man damit den anfang machen laßen solle, der modus bestünde darin, daß auf dem Neuenbau die arbeit berichtet würde, allwo die privilegien bücher in guter verwahrung verbleibeten, und könte von 2 Monaten oder zum 4.tel Jahr die arbeit durchgangen examinirt, und nachdem solche befunden wird, nöthiges dabeÿ anbefohlen werden hierauf wäre mehr nicht übrig gewesen als zu bedenckhen, wie Sibour möchte belohnt werden, da man das fixum darumb vorziehen wollen, weilen Er stuckweiß weit mehr fordern (p. 47) würde, Er habe in zwischen auch unterschiedene arbeit vor die Statt gemacht, deßwegen zu M. Hh. stehen werde, ob Sie Ihme darvor Eine Ergötzlichkeit zu Khommen laßen wollen, und das fixum zugleich placidiren.
Erkant, der Bedacht confimirt, die Repartitiones ahn die Hh. Pflegere beÿ den Stifftern gewiesen und solle das Erste quartal auff nechstkünfftig Annunciat. mariæ gereicht werd.

Paul Roger Sibour est nommé préposé général au trésor et assesseur des Quinze en 1695, assesseur à la Chambre de police et à la Chambre d’économie, préposé général à la Chancellerie en 1696. Il résigne ses fonctions chez les Quinze en 1700. Il est nommé assesseur des Treize en 1708, préposé à la Capitation et administrateur de Sainte-Marguerite en 1709, administrateur de la Maison du travail en 1712

1689, XIII (3 R 46) H. Rogier Sibour secretaire interprete sollicitirt sein appointement. 27. 77. (pages manquantes)
1690, Protocole des Quinze (2 R 94) Herr Paulus Rogerius Sibour als Secret. Interpr. umb Saltz. 107
1691, Protocole des Quinze (2 R 95) Mons. Sibour umb Saltzes. 233
1692, Protocole des Quinze (2 R 96) H Paul Rogerius Sibour umb Saltz. 232.
1693, Protocole des Quinze (2 R 97) Wegen Herrn Sibours pt° Saltzes. 177.
1694, Protocole des Quinze (2 R 98) Saltz Rechnung sub N° 50, 155 sub N° 51 f° 21, Paul Rogerius Sibour. 197.
1695 Conseillers et XXI (1 R 178) Bedacht wegen herrn Paul Rogerius Sibour Sibours, Laurentius Widerlöchers und Balthasar Hau. 17. Rathsitz und la Charge de Secrétaire Interprete seind compatibles. Rathsitz mit der Accis schreibereÿ nicht compatibles.
H. Paul Rogerius Sibour schwöhrt auff die XXI. und Rhats ordnung. 24.
H. Sibour wird XV. 55. ipse wird Ober Cassen herr. 59. wird Ober H. 175.
1696, Conseillers et XXI (1 R 179) H. XXI. Sibour Kombt in das Policeÿ gericht. 59. Idem wird assessor beÿ dem Oeconomie bedacht. ibid.
H. XXI. Sibour wird Ober Cantzleÿ H. 60.
Herr XXI. Sibour wird XV. 74.
1696, Protocole des Quinze (2 R 100) Introductio Herrn XV. Paul Rogerÿ Sibours. 97.
1700, Protocole des Quinze (2 R 104) H. XV. Paul Rogerius Sibour resignirt das XV Mstr Ambt. 5
1704, Protocole des Quinze (2 R 108) H Sibour pt° Reiß kösten. 349.
1708, Conseillers et XXI (1 R 191) H. XV. Paul Rogier Sibour würdt XIII. 193.
1709, Conseillers et XXI (1 R 192) H Paul Rogier Sibour XIII.r würdt Capitations herr. 45.
1711, Conseillers et XXI (1 R 194) Zu St. Margarethe würdt die Pflegereÿ durch H. XIII. Sibour ersetzt. 25.
1712, Conseillers et XXI (1 R 195)
deß Arbeithaußes Pflegereÿ würdt ersetzt mit H. XIII. Sibour. 120.
1714, Conseillers et XXI (1 R 197) H Paul Rogier Sibour würd beÿ Hh. Räth vnd XXI. Zum Churherrn gebracht. 140.

Paul Roger Sibour meurt le 3 septembre 1726 en délaissant trois enfants ou leurs représentants. Les experts estiment successivement la maison à 1 250 livres en 1726 puis 1 600 livres en 1728. L’actif de la succession s’élève à 1127 livres, le passif à 101 livres.

1726 (19.12.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 54)
Inventarium vnd Beschreibung aller Haab vnd Nahrung, so weÿland der Wohl Edel Vest, Hochgelehrt Fürsichtig und Hochweiße Herr Paulus Rogerius Sibour Wohlmeritirter XIII.er des beständigen regiments alhier nunmehr seel. nach seinem den 3.ten Septembris Jüngsthin aus dießem mühesamen leben genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern vnd begehren des verstorbenen H. XIII.ers Seel. hinderlaßene Erben, wie solche am folgendem folio benambßet ersucht, durch die Edle, viel Ehren vnd tugendreiche Fraw Ester Salome Pin gebohrne Sibourin die Fraw dochter alß eine von den Mit Erbin vnd Mons. Pin deo Eheherr beÿ Welchen der Herr 13.er seel. sich biß in sein absterben auffgehalten (…) geeügt und gezeigt (…) So beschehen in Straßburg, Donnerstags den 19. Decembris Anno 1726.
Der abgeleibte Herr XIII.er seel hat sowohl ab intestato alß per Testamentum resp° Zu Erben verlaßen, wie volgt. 1. S. T. Weÿland Hern Christoph Sibour J. U. Lic. und gewesenen wohl meritirten Syndici Zu Colmar sel. nachgelaßenen dreÿ Kinder Nahmentlichen Mariam Franciscam, Mariam Salome Franciscam und Paulum Renatum Christophorum die Sibour, so derselbe mit Frauen Heinrica Maria Magdalena gebohren Bernhardin erzeugt. In deren Nahmen Weilen Sie abweßend und ohnverburgert, der Wohl Ehren vest vnd vorachtbar H Frantz Matheus Zepffel, EE Kleinen Raths wohlmeritirter Assessor alß auß wohlermelts kleinen raths mittel hierzu Insonderheit verordneter Deputatus dießer Inventur beneben Mons. Jean Renault Procureur Veteran du Roy a la Marechaussée de la Province D’alsace alß von dießer Enckel Mutter obgemelt, Krafft von gewiesenen Mandati vom 23. 9.bris 1726. Zu dießem Inventations Geschefft biß auff fernere verordnung constituirten Mandatario beÿgewohnt
2. Fraw Benignam Salome Sibour, so in dem Closter Zu St. Stephan alhie, den Closter Frawen stand de la visitation de Ste Marie angenommen vnd längstens profess gethan, mithin wegen Ihes Erbtheils bereits völlig außgewiesen vnd Contentirt worden, also daß Sie ane dieße Verlaßenschafft nichts mehr zu fordern, sondern nur berichts weiß hiehero vermeldet würd.
vnd dann 3. Eingangsgemelte Fraw Ester Salome Pin, gebohrne Sibourin, Herrn Renati Pin, Gewesenen Tresorier des Guerres et Fortifications d’Alsace anietzo aber Königlichen bedienten a l’Intendance de cette Province, haußfraw mit beÿstand erstgemelts ihres Eheherrn und obgemelten H. Rathh. Zepffels alß Deputati weilen Sie auch ohnverburgert ist. Dieße und Obernandte Sibourischen Sohns Kinder krafft nachfolgenden Testamenti Zu 2. gleichen theilen verlaßene vnd instituirte Erben.

In einer alhie Zu Straßburg In dem rothen väßel gäßlein gelegenen, vnd in dieße Verlaßenschafft gehöriger Behaußung ist befunden worden, wie volgt.
Eigenthum ane einer Behausung. Item Hauß, hoffestatt, 2 Höfflein vnd bronnen mit allen deren gebeuwen begriffen, weiten, rechten zugehörd. und Gerechtigkeiten, gelegen alhie Zu Straßburg in dem rothen väßel gäßel, einseit neben H Johann Philipp Brandhoffer, dem biersieder, and. neben N. Preüßers des Mahlers hinderlaßenen Erben, hinden auff den löwensteinischen hoff stoßend. Davon gehen hinfürters von Zeit des Herrn 13.ern seel. tod angerehnet Jährlich à 15 pro C° 23. lb 4. ß 9. d Zinß Hern Renato Pin und Frauen Ester Salome Pin gebohrner Sibourin beeden Eheleuth. zu restirendem Capital abzulösen derentwegen Sie vnd vorstehende behausung versichert sein solle, mit 454 lb 17 ß 6 s. Sonsten eigen, über vorstehende beschwerd durch der Statt Straßburg geschworne Werckmeistere laut überschickten: und beÿ mein des Notarÿ Concept befindlichen Schatz Zeduls vom 11. Decembris 1726. annoch æstimirt Pro 725 lb 2 ß 6 d. Und besagt über Vorstehende behaußung ein teütscher Pergamenten Kauffbrieff mit d. St. Straßb. Cancelleÿ Contract stuben anhangendem Insigel datirt den 23. 7.bris 1687. Darbeÿ noch 12. andere alte teütsche Perg. Kauf: vnd Zinßbriefff von verschiedenen Jahren vnd Datis, theils mit des bischofflich. Hoff Zue Straßburg, theils mit der Cancelleÿ Contract stuben anhang: Insigeln verwahret befindlich, so alle Zu specificiren vor ohnhöthig vnd allzu weitlauffig erachtet word. Ferners finden sich noch 4. sonderbaren Paquets von allerhand Actis quittung vnd andere alten Scripturen mehr obiger behausung halben, Zusammen gebund.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. Haußraths 52, Sa. der leeren vaß 8, Sa. der Bibliothec 37, Sa. des Silbers 117, Sa. der baarschafft 63 / 127, Sa. des Eigenthums ane einer behausung 785, Summa summarum 1063 / 1127 lb – Schulden 101 lb, Legaten 137, Nach deren Abzug 323 / 387 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 961 / 1025 lb, Verstallungs Summ 869 / 933 lb
Copia Testamenti – Nous Paul Rogier Sibour, Bourgeois et Conseiller de la regence perpétuelle des Messieurs les Treize au Magistrat de la Ville de Strasbourg y demeurant dans la Maison a moy appartenante scize rue Rothfässelin gässelin jouissant par la grace de Dieu d’une assez bonne santé pour mon age avancé (…)
Aujourd’hui Vendredy 30° Jour de juillet (…) Moy Jean Robert Notaire royal (…) me suis transporté par deuers le sieur Sibour en sadite demeure ou estant au premier Etage de la d° Maison sur le devant prenant jour sur lad° Rue je l’aurois trouvé assis dans un fauteil près de sa table (…)
Abschatzung d. 11.t Xbris aô 1726. Auff begehren des Ehren Vesten und Vorachtbahren H Paul Rogier Sibourg gewesenen XIII. seel hinterlaßene Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg im roden fäßel gäßlein gelegen, ein seits Neben H. Brand hoffer biersieder, anderseits Neben den beischischen gewesenen Mahlers hinterlaßenen Erben hinden auf den Löwensteinisch hoff stoßend welche behausung Nebens gebäw, Nebens gang, Stuben, Cammeren, Kuch hauß Ehren gewölbter Keller Zweÿ höff und Zweÿ bronnen wovon einer gemein sambt aller gerechtigkeit wie solches durch de Statt Straßburg geschworene Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb Zweÿ tausend und Fünff hundert gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhofs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauerhoffs
Abschatzung dem 20: Meÿ 1728. Auff begehren weiland Herrn XIII. Sipurß hinter laßene Erben H. Rathherr Gelb alß theill vogt Über weiland H: Christoff sipurß geweßenen Sinticus Zu Colmar hinter Laßene 3: Kinter und Matam Bin alß tochter ist eine behaußung alhier in der Statt Straßburg gelegen Ein Seits Neben H. Prand hoffer dem Biersiter ander seits an die Preüschißen Erben hinden auff H: XV: Gintzhart vornen auff daß roht vëßell gäßlein welche behaußung bestehet in einem sehr schwachen gebëlck, der tachstull Von dem wurm Zimlich angestëckt und befinten sich in dem großen wohnhauß 3: stuben 2: chamin chamer 2 kleine chamer hauß Ehren worinen die stëgen ein gewölbter Keller mit einen Kleinen Nebenß Keller im höflin wor inen der bronn, der vater hoff ihm ein gang Lincker hant ein seiten gebeü mit einen halben tach worinnen 2 stuben und 2 kuchen ein chamer ist – oben dem thor 2 chameren auff der rechten seiten ein Neü gebeü mit einer Mansart wor innen 2 chamern seint ihm Ersten und antern stock 2 chamin chamern und 2 Gabinet auff dem botten ein hauß Ehren und steÿen ein Klein gewölbter Këller sambt aller gerechtig keit wie solches durch der Statt geschworne wërck Leüthe sich in der besichtigung befunten und Jetzigen Preiß nach angeschlagen wierd Vor und umb Treÿ Tausend und Zweÿ Hunttert gulden bezeichnuß der Statt Straßburg geschworne werckleüthe [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauerhoffs, Johannes Ritter Meister Zimmermann

Paul Roger Sibour meurt à l’âge d’environ 84 ans. Son gendre René Pin est témoin.

Sépulture, Saint-Etienne (cath. f° 179-v)
Anno Domini 1726 et tertià die Septembris mortuus est Paulus Rogerius Sibour Tredecim vir argentinensis, munitus sacramentis omnibus ætatis Suæ 84 circiter annorum (…) in cœmeterio ad Stum Nicolaum intra argentinam Sepultus fuit die 5. eiusdem mensis et Anni, præsentibus Testibus Joanne Theobaldo Reis Consule Regente et René Pin Genero ipsius defuncti (i 185)

Les Quinze réduisent au quart le droit de détraction que devraient payer les héritiers non bourgeois eu égard aux fonctions du défunt et à celles du gendre René Pin.

1727, Protocole des Quinze (2 R 132)
(p. 100) Sambstag d. 22. Martÿ 1727. – Mad° Pin pt° Abzugs
Obere Stall herrn laßen per me proponiren, Es seÿe bekandt daß weÿl. Herr Paul Roger Sibour, gewesener XIII. Vor etlichen Monathen dieses Zeitliche gesegnet, Er habe unter anderen auch Zu Erben hinterlassen D° Salome an Hrn Pin ehemaligen receveur der Fortifications gelter, undt nunmahlen von Hrn Intendanten bestellten Controlleur des Comptes des Communautés, Verheurathet, deren dann besag schrifftlichen Stallberichts 231. lb erblich Zugefallen, Weilen dieße Mad° Pin nun des burgerrechts Verheurathet so seÿ Ihro 23. lb d 6 d von denen H. dreÿ des Stalls für abzug gefordert word. Weithers Werde an die Sibourische Verlaßenschafft 16 lb 9 ß 6 d Verfallen Stallgelt, und an Weÿl. H Christoph Sibour gewesenen Syndic Zu Colmar 3. KK. alß ged. Hrn XIII. Enckel 10 ß für den Erbguld. und dann ferner wegen den H. Vatters alten Extantzen 8. lb 5 ß gefordert, Es hab sich aber ged. Mad° Pin beÿ denen hochverordneten Ober Stallherren angemelt und wegen sothanen 23. lb 2 ß 6 s abzug nachlass* begehrt, auch wegen der 8 lb 5 ß umb ein erglöckliche moderation gebetten, indeme sothane Kinder arm und was deßfalls bezahlt werden müßte, auff sie stellen* würde.
Auf seithen der Hh. Depp. Vermeine man daß Wegen des Abzugs für die Fraw Implorantin dieses Militire, daß dero seel. H. Vatter lange Zeit ein Mit Glied des hießigen beständigen Regiments gewesen, und dero Maritus in königlichen diensten stehe, folglich wegen des abzugs Ihro ein erglöcklicher Nachlass gedeÿen Könne, Zu Mghh. stellend, wie sie die Sach einrichten wollen. Erkandt werden die Angesetzte 23. lb 2 lb 6 d Abzug auf die quart moderirt.

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les héritiers non bourgeois doivent régler le droit de détraction. Le défunt réglait ses impositions sur une fortune déclarée de 4 100 florins alors que l’inventaire constate un montant de 2 000 florins

1726, Livres de la Taille (VII 1176) f° 98
Schuhmacher F. N. 4873 – Weÿl. H. XIII.er Pauli Rogerÿ Sibour, Verlaßenschafft inventirt H. Not. Pantrion.
Concl. fin. Inv. ist Fol. 38.b 1025 lb, die machen 2000 fl. verstallte hiengegen 4100 fl.
Ext. Stallgeltt pro 1725 & 1726, 15 lb
Gebott, 2 ß
Abhandlung, 1 lb 7 ß 6 s, Summa 16 lb 9 ß 6 s
Abzug. Weÿl. H Christoph Sibour gewesenen Syndici zu Collmar nachgelaßene 3. Kinder haben Von Groß Vätterl. Erbe den Erb gulden Zu erlegen mit 10 ß
dieselbe sollen ferner wegen des Vatters ane alten Extantzen 1712. mit 8 lb 5 ß
Frau Ester Salome Sibourin H Renati Pin Königl. Bedienten à l’Intendance Ehel. haußfrau soll von Vätterl. Erbe der 231. lb 6 ß den Abzug mit 23 lb 2 ß 6 s
Vermög Erkantnus G. Herren der XV. vom 22. Mart. 1727 ist Vorstehender abzug auf die quart moderirt worden, 5 lb 15 ß 7 ½ d
dt. 19° Martÿ 1727.

Ouvrages publiés par Paul Roger Sibour

  • Dialogues familiers françois & allemans, cy-devant connus & celebres sous le titre de Parlement. 3) édition, Strasbourg, 1676
  • Anleitung zu der franzoesischen Sprach, begreifend was anfaenglich, diese Sprach zuerlernen, am allernoethigsten sey […]. Erster Theil, Tübingen, 1676
  • Anleitung zu der frantzösischen Sprach, Anderer Theil, Tübingen, 1676
  • Fortsetzung deß VIII. Capitels deß andern Theils der Anleitung zur frantzösischen Sprach […], Tübingen, 1678

Bibliographie (Wikipedia), Silke Schöttle, Männer von Welt. Exerzitien- und Sprachmeister am Collegium Illustre und an der Universität Tübingen 1594-1819 (in Veröffentlichungen der Kommission für geschichtliche Landeskunde in Baden-Württemberg, Reihe B, Band 209). Stuttgart 2016, p. 526


Christophe Sibour, licencié en droit, et (1712) Henriette Marie Madeleine Bernard – catholiques

Christophe Sibour est nommé substitut aux affaires criminelles en 1699. Il résigne ses fonctions en 1712. Il est élu échevin chez les Cordonniers en 1706.

Préposés en chef de la Chancellerie, 1692-1725 (Obere Cancelley Herren, 4 R 33)
H Sibour wird Substitutus beÿ der Cantzleÿ p. 29 (1699). demselben als Vergichtschreiber würdt eine addition gemacht. 99 (1709).
1706, Conseillers et XXI (1 R 189) H. Christoph Sibour würdt Schöff beÿ den Schuhmachern. 247
1712 Conseillers et XXI (1 R 195) H. Lt. Christoph Sibour gew. Vergichtschreiber resignirt sein Schöffenambt vnd burgerrecht. 115.

Avocat en parlement et greffier en chef aux affaires criminelles de la ville de Strasbourg, Christophe Sibour épouse en 1712 Henriette Marie Madeleine Bernard, fille du syndic Claude Bernard de Colmar : contrat de mariage, célébration

1712 (9.9.), Not. Bidier Dutil (6 E 41, 18)
Mariage, 9° 7.bre 1712 – Furent presents Mr Christophle Sibour auocat en parlement Greffier en chef du criminel de la ville de Strasbourg, fils majeur de Mr Paul Rogier Sibour Conseiller a la chambre des Treize de ladite Ville, Et de Damle. Ester de mory son Epouse ses pere et mere d’une part,
et Dam.le Henriette Marie Madeleine Bernard fille majeure de M. Claude Bernard Sindic de la ville de Colmar et premier secrétaire de Monseigneur Le Pelletier de la Houssaye, Conseiller d’Etat Intendant d’Alsace et de l’armée du Rhin, Et de Dam.le Madeleine Mauchen son Epouse ses pere et mere d’autre part

Mariage, Saint-Louis (cath. p. 230)
Die 13 Mensis Septembris Anni 1712. (…) in facie Stæ matris Ecclesiæ desponsati sunt servatus de iure et more servandis Mr Christophorus Sibour, causarum Patronus ac Capitalium causarum secretarius, filius Dni Pauli Rogerÿ Sibour ex Tredecim virorum civitatis argentinensis et Esther de Mory Ex Parochia Sti Stephani, cum licentia sui parocho et Henrica Maria Magdalena Bernard, filia Mri Claudÿ Bernard Syndici Colmarienis Illustrissimi Dni Intendantis Alsatiæ primi secretarÿ et Dnæ Magdalenæ Mauchen ex parochia Sti Ludovici (i 123)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.