Jean Christophe Schneider, maître maçon, et (1736) Marie Salomé Gerold, veuve de Chrétien Steitz – luthériens


Originaire de Beinningen sur le Neckar, Jean Christophe Schneider se trouve à Strasbourg en 1734. Il est autorisé l’année suivante à faire son chef d’œuvre pour épouser la veuve d’un maître maçon. Il s’adresse aux Quinze parce qu’il ne détient pas les certificats nécessaires mais l’affaire se résout au cours de l’instruction puisque les pièces arrivent à Strasbourg. Il présente son chef d’œuvre en mars 1736. Comme les examinateurs relèvent un assez grand nombre de défauts, il accepte de revoir son travail. Il est reçu maître avec restrictions les quatre premières années (nombre de compagnons, apprenti).
Jean Christophe Schneider épouse en avril 1736 Marie Salomé Gerold, veuve du maître maçon Chrétien Steitz, devient bourgeois en juin et tributaire en septembre. Il s’adresse aux Quinze pour faire annuler la décision de la tribu des Maçons qui l’oblige à régler le droit de siéger que n’a pas acquitté le premier mari de sa femme. Il est mêlé aux affaires habituelles des maîtres maçons : travail chez des clients d’autres maîtres, injures à l’encontre de pairs, emploi (autorisé ou non) de compagnons en surnombre. Il est élu à différentes fonctions (maître adjoint en 1742, maître de tribu en 1744).
Des clients se plaignent de son travail, par exemple l’aubergiste au Canon Schneegans en 1739 ou Jean Daniel Pfeffinger en 1740. Certaines plaintes qui font l’objet de rapports d’experts (comme celles du perruquier Joseph Vivain en 1742 et du précepteur Philippe Jacques Hasslauer en 1756) l’obligent à reprendre son travail. Il est condamné en 1746 pour avoir remis une attestation de complaisance. Des compagnons portent plainte contre lui, comme Simon Kauffmann en 1773 auquel il ne donne pas de travail mais reproche de chercher du travail chez d’autres maîtres. Les Quinze le condamnent en 1773 à présenter ses excuses et à payer une amende pour désobéissance envers le prévôt ; il finit par présenter ses excuses mais refuse de payer l’amende.
Il a pour apprenti le fils Chrétien Steitz, fils du premier mariage de sa femme. Le tuteur se plaint des mauvais traitements que lui inflige son maître et beau père. Après une période probatoire, l’apprenti est autorisé à trouver un nouveau maître en 1741. Jean Christophe Schneider fait appel de cette décision auprès des Quinze mais est débouté de sa demande.
Il est chargé de construire la maison Sarré en 1753.
Jean Christophe Schneider meurt en 1775 en délaissant des héritiers collatéraux, dont les enfants de son frère Georges Philippe Schneider, maître maçon à Strasbourg. Sa veuve Marie Salomé Gerold meurt en 1777.

Maison en location
1736-1777, maison Zorn place des Moulins (auf dem Plönel, VIII 91 au plan Blondel, actuel n° 10)

Schneider (Jean Christophe, 1736, SPV f° 160-v)
Signature au bas de l’acte de mariage, Johann Christoph schneuder


Le compagnon équarrisseur Michel Hatzung originaire de Burghaslach porte plainte contre le compagnon tailleur de pierres Christophe Schneider, originaire de Beinningen sur le Neckar, qui prétend que les tailleurs de pierres ont davantage de compétences que les équarrisseurs. Les parties s’injurient et en viennent aux mains. Le conseil inflige une amende à Christophe Schneider qui a commencé la dispute.

Le compagnon Jean Christophe Schneider demande au Corps des maçons la permission de présenter son chef d’œuvre avant de se marier avec la veuve du maître maçon Chrétien Steitz. Le conseil lui demande de présenter préalablement ses certificats de naissance et d’apprentissage. Le préposé des maçons demande un mois plus tard à l’assemblée si l’un des maîtres a quelque chose à dire sur Jean Christophe Schneider mais aucun maçon ne fait de déclaration

1735, Protocole du corps des maçons (XI 242, 243, 1731-1749-1770)
Tables (IX 242) Schneider, Johann Christoph, 31.a, 32.b, 47.b, 49.a, 52.a, 56.b, 60.a, 63.a, 67.b, 69.b, 73.b, 74.b, 75.b, 76.a, 87.b, 88.b, 91.b, 94.a, 100.b, 101.b, 102.b, 106.b, 110.b, 113.b, 116.b, 124.b, 130.b, 137.a et b , 150.b, 155.a et b , 160.b, 161.b, 165.b, 167.a, 170.a et b , 171.b, 173.a, 175.b, 176.b, 179.a, 180.a, 181.b, 183.b, 187.b, 188.b, 189.b, 194.a, 196.b, 198.b, 200.a, 204.a, 206.a, 208.b, 210.a, 211.a et b , 212.a, 213.a, 214.b, 215.b, 217.a, 219.b, 221.a, 222.b
(IX 243) Schneider, Johann Christoph, 1.a, 3.a, 4.a, 6.b bis, 8.a et b , 11.b, 17.a, 20.a, 25.b, 27.a, 29.a, 30.a, 32.b, 34.b, 36.a, 37.a, 38.a, 42.a et b , 50.b, 53.a, 54.b, 57.a et b , 58.a, 60.a, 61.a, 66.b, 67.b, 71.a, 72.b, 75.a, 76.a, 77.a, 80.b, 82.a, 85.a, 87.b, 88.b, 105.a, 108.a, 117.a, 126.a

(f° 31.a) Montags den 19.ten Septembris 1735. – Johann Christoph Schneider Steinmetz vnd Maurergesell Von Binningen am Neckar hochfürstlichen Würtenbergischen herrschafft stehet vor und bittet, weilen er weÿlland Mstr. Christian Steitzen gewesenen Steinhauers und maurers alhie seel. hinderlaßen wittib Zu heurathen gesinnet ist, Ihme das meisterstück Zu erlauben und auffzugeben, erlegte dabeÿ die handwercks gebühr 15. ß.
Erkandt, soll derselbe Vorderistens seinen geburts und Lehrbrieff in forma probante et authentica beÿbringen, als wann ferner ergehend wird, was recht ist.

(f° 32.b) Donnerstags den 27. Octobris 1735. – Der Handwercks meister proponirte, daß Vor einigen wochen wegen Christoph Schneiders des Steinmetzen beÿ gnädigen Herren den Fünffzehen eine deputation beseßen, und derselbe dahin Vorwiesen worden, daß Er Vorderist glaubwürdig bescheinen soll, ob er das Steinhauer oder Steinmetzen handwerck erlernet habe, wan also ein oder dem andern meister etwas hievon bekandt, möchte und Könne ers melden.
Warauff dann nochmalen in gehaltener Umbfrag beschloßen worden, daß es beÿ voriger Erkandtnus seinen authentischen Lehrbrieff zu produciren Verbleiben wolle.

Jean Christophe Schneider qui ne détient pas les certificats s’adresse aux Quinze. L’affaire se résout au cours de l’instruction puisque les certificats arrivent à Strasbourg. Les Quinze confirment leur validité et autorisent Jean Christophe Schneider à présenter son chef d’œuvre à condition qu’il rembourse le Corps des maçons de frais de procédure

1735, Protocole des Quinze (2 R 143)
Joh: Christoph Schneider CA. E. E. Meisterschafft der Maurer
(p. 409) Sambstag d. 24. Sept. 1735. Moss. nôe Johann Christoph Schneider ledig. Steinmetzen und Maurer Cir. E. E. Handw. der Maurer Ober M. prod. Appellations Schrifft mit beÿlag Sub Lit. A. et B.
Gug, weil gegner weder geburth noch Lehrbrieff Vorzulegen hat, alß bitt Deput. et Facta relat. den bescheid gn. Zu confirmiren, ref. Exp.
Moss bitt auch Deput. und wie in producto. Erk. Deput. willfahrt.
(p. 441) Sambstag d. 5. Novembris 1735. Moss. nôe Johann Christoph Schneider Vom 24. Sept. jüngst ist des Impl. Lehrbrieff angekommen Welchen er producirt, bitt Cont. Deput. beÿ welcher der Maurer Ober Meister erscheinen möge. Erk. Wird Cont. Deput. Willfahrt.
(p. 453) Sambstag d. 19. Nov. 1735. Joh: Christoph Schneider CA. E. E. Meisterschafft der Maurer
Iidem [Obere Handwerck Herren] laßen ferner per Eundem [secretarium Kleinclaus] referiren, daß Johann Christoph Schneider der ledige Steinhawer C. E. E. Zunfft oder Handwerck der Maurer, Zufolg des ohnlängstens ergangenen Interlocuto d. 5. hujus seinen Lehrbrieff in behöriger form producirt undt darauff nochmahlen gebetten Ihne zum Meisterstück nunmehr zu admittiren.
Beÿ Continuirter Deputation hätten nomine ged. Handwercks Johann Jacob Pfundstein und Zacharias Meÿ geantwortet, daß weilen der Von dem Imploranten producirte Lehrbrieff guth, sie Wider Ihne ferner nichts ein Zu wenden hätten.
Auff seithen der Hh. Deputirten Vermeine man daß die von dem Imploranten geleistete parition Vor Sufficent anzunehmen, mithin selbiger nunmehr Zu Verfertigung des Meisterstücks Zu admittiren seÿe, jedoch daß er den Meisterstück die unkosten Zu refundiren schuldig sein soll. Die genehmhaltung Zu Mghh. stellen. Erkandt, bedacht gefolgt.
(p. 473) Sambstag d. 26. Novemb. 1735. Moss. nôe Johann Christoph Schneiders bitt Underth. umb gn. Comm des erhaltenen bescheids Ca. der Maurer. Erk. Willfahrt.
(p. 476) Sambstag d. 26. Novemb. 1735. – Bescheid. Sambstag den 1. 8.bris 1735. In Sachen Joh: Christoph Schneiders des ledigen Steinmetzen und Maurers, Appellanten, ane einem, entgegen und Wieder E. E. handwerck der Maurer und Steinhauer, Appellaten, am andern theil, Auff producirte Underth. Appellations Schrifft mit beÿlagen sub Lit. A et B und angehencktem bitten dispensando Zu erkennen und außzusprechen, daß Ihme, der eines Meisters willes heurathen das Meisterstück Zu Verfertigen erlaubt und auffgegeben werden möge, des Appellaten darüber gethane Verantwortung, juncto petito Deputationem Zu bewilligen et Facta relatione den Handwerck bescheid Zu confirmiren und den gegner mit seinem begehren abzuweisen refusis Expensis.
Bewilligte und beseßene Deputation, auch all übriges angehörte beeder seithige Vor : und Anbringen, Ist der Hh Deputirten abgelegten relation nach, mit Urthel Zu recht Erkandt, Wurd der Appellant einen authentischer Schein daß er entweder das Steinhauer oder das Steinmetzen handwerck Wie recht, erlernt, so solle alß dann ergehen was rechtens ist.

Jean Christophe Schneider demande en décembre 1735 aux examinateurs de faire son chef d’œuvre. Il présente un certificat de future admission à la bourgeoisie qui sera confirmé apès son mariage. Les examinateurs lui remettent le sujet d’examen à condition qu’il paie les arriérés de sa fiancée. Il présente son travail en mars 1736. Comme les examinateurs relèvent un assez grand nombre de défauts, ils lui donnent quinze jours pour parfaire son travail. Au lieu du compte rendu sur le chef d’œuvre corrigé, le protocole rapporte les déclarations du candidat. La commission reçoit le candidat maître en lui interdisant de former un apprenti pendant les quatre premières années et d’employer plus de quatre compagnons pendant ces quatre années.

1735, Protocole des Maçons (XI 246, chefs d’œuvre)
Joh: Christoph Schneider, 63.b, 64.b, 65.b
(f° 63.v) Donnerstags den 29.ten Decembris 1735. convenerunt die 4. pro hoc anno geordnete Meisterstück Schauer, nemblichen hr. Michael Erlacher, Werckmeister des Münsters, Meister Johann Niclaus Göbel, Steinhauer, hr. Joh: Peter Pflug, Werckmeister des Maurhoffs und Meister Johann Philipp Wörlen.
Johann Christoph Schneider, der Ledige Steinmetz und Maurer Gesell von Binningen am Neckar hochfürstl. Würtembergischer herrschafft gebürtig, stehet Vor, producirte Extractum aus Gnädiger Hh der XV. memoriali Vom 1.en Octobris 1735. et 19.ten 9.bris ejusdem anni Krafft deßen sein Lehrbrieff Vor sufficient angenommen und er Zu Verfertigung des Meisterstücks admittirt worden, jedoch daß er sich vordersambst des allhießigen burgerrechts Vertrösten Zulaßen und der Meisterschafft die Unkösten Zurefundiren schuldig seÿn solle.
Mehr ein Attestatum, Von H. Lt Faber, E. E. großen Raths dermahligem Actuario den 27.ten Decembris 1735. ertheilt, Crafft deßen er des allhießigen burgerrechts Von seiner Verlobten, Maria Salome, weÿ: Meister Christian Steitzen des geweßenen Steinhauers und Maurers hinderlaßene Wittib, auf bescheinigung Kirchgangs, umb den alten burger schilling Vertröstet worden, bittet dahero Ihme das Maaß auffzugeben.
Erkandt.Willfahrt und Ihme das in einem besondern Protocollo sich befindliche Maaß gegeben, mit dem Anhang, daß Er alles, was seine braut dem handwerck schuldig ist, zuvor bezahle.

(f° 64-v) Freÿtags den 23.ten Martÿ 1736 legte Johann Christoph Schneider, der Ledige Steinmetz und Maurer Gesell von Binningen am Neckar hochfürstl. Würtembergischer herrschafft gebürtig, in præsentia S.T. H. XV.er Von Stocken, Vor und im Nahmen S. T. H. XV. Johann Martin Schlitzwegs, des hochverordneten Hn Obmanns, denen 4. vor dießes Jahr geordneten Stück Schauern, benantl. hr. Michael Erlacher, H. Joh: Peter Pflugen, Meister Johann Niclaus Göbel und Meister Johann Philipp Wörlen, welches dann besichtiget, und folgendes dabeÿ zu andten befunden haben.
1. Die Kellersteeg belangend, so stehet solche mit dem Eingang der Schällung 8. schuh außer dem gehörigen Orth.
2. Die Seithen Mauren hinten am hoff, am Zweÿten und dritten stock, sind gegen dem ersten Stock umb Zweÿ Zoll zu weit.
3. Findet sich, daß das Portal sehr eng ist, indeme solches ane statt 7. schuh, biß 9. Schuh weit seÿn solte, und ist auch daßelbe in beÿden Rißen von ungleicher weithe und höhe.
4. Ist das Windungs stuck ane der gebrochenen Steeg ane dem Verstreckten brett beÿ den hintern Fugen umb 3. Zoll Zu Kurtz.
5. Ist der Außtritt des Schneckens am Zweÿen Stock 5 ½ tritt breit, es solte aber selbiger nur 2. tritt breit seÿn.
6. Sollte das auffrechte Fenster ane dem großen Aufftrag vom Schnecken angezeichnet seÿn, so der Stuck Meister aber nicht gemacht.
7. Findet sich daß der Grund Zur kleinen Steeg so lincker hand im hof stehet im 2.ten und 3.ten Stock anzuzeigen, vergeßen worden.
8. Seind die Paluster ane der Steeg ohngleich Von einander gesetzt, welches die Steeg unansehnlich machet, und derselben schädlich ist.
Worauff Erkandt, daß der stuck Meister Vorbeschriebene fehler entweder innerhalb 14. Tagen Zuverbeßern schuldig seÿn, in entschuldigung deßen aber Er Vier Jahr lang nur mit vier Gesellen Zuarbeiten und sechs Jahr lang Keinen Jungen Zulehrnen befugt seÿn solle. Ille wolle es weiter suchen.

(f° 65-v) Mittwochs den 28.ten Martÿ 1736. erschienen Vor Edelerwehnter Hr XV. Von Stocken, nomine des zu dießer Schau verordneten Hn Obmanns H. XV. Schlitzwegs, wie auch vorernandte 4. Hh. Meisterstück Schauer wieder beÿsammen.
Da dann hievorgedachter Johann Christoph Schneider, der Steinmetz gesell, sein Meisterstück nochmahlen Vorlegte und die letzthien ertheilte Erkandtnus, in Ansehung der Steitzischen Wittib, so Er Zuheurathen gesinnet und Ihres Sohns, in etwas Zu moderiren bathe, hätte sich damahlen übereilt, so Ihme aber leÿd wäre.
Worauff dann, in Ansehung seiner submission, wegen des Lehrjungen Ihme Zweÿ Jahr nachgelaßen, mithien derselbe ane statt Vorhien gesetzter Sechs Jahren, anjetzo nur Vier Jahr lang, ohne Jungen und auch dieße Vier Jahr über nur Vier Gesellen sich patientiren, nach deren Verfließung aber das Vollkommene Meisterrecht genießen solle, mit welcher Erkandtnus dann derselbe sich begnügen laßen.

(traduction) Le jeudi 29 décembre 1735 se sont réunis les quatre examinateurs jurés pour l’année en cours, à savoir le chef de chantier de l’Œuvre Notre Dame Michel Erlacher, l’équarrisseur Jean Nicolas Gœbel, le chef du chantier des maçons Jean Pierre Pflug et Jean Philippe Wœrlen.
Le compagnon maçon et tailleur de pierres célibataire Jean Christophe Schneider, originaire de Binningen sur le Neckar en pays de Wurtemberg, se lève, produit les extraits des registres des Quinze en date des premier octobre et 19 novembre 1735 d’après lesquels son certificat d’apprentissage a été homologué et sa candidature au chef d’œuvre acceptée, à condition d’obtenir un certificat de future admission à la bourgeoisie et de rembourser les frais du Corps des maçons.
Il produit en outre une attestation établie par le greffier du Grand Sénat Faber le 27 décembre 1735 d’après laquelle il sera reçu bourgeois à l’ancien tarif par sa femme Marie Salomé veuve du maçon et équarrisseur Chrétien Steitz une fois qu’il aura présenté son acte de mariage et demande qu’on lui donne les mesures du chef d’œuvre.
Sa demande est accueillie favorablement, on lui communique les mesures dans un document particulier, à la réserve qu’il règle au corps de métier les arriérés dus par sa fiancée.

Le vendredi 23 mars 1736, en présence de l’assesseur des Quinze von Stœcken, pour et au nom de l’honorable prévôt Jean Martin Schwlitzweck, les quatre examinateurs désignés pour l’année en cours, à savoir Michal Erlacher, Jean Pierre Pflug, Jean Nicolas Gœbel et Jean Philippe Wœrlen, ont inspecté le chef d’œuvre que présente le compagnon maçon et tailleur de pierres célibataire Jean Christophe Schneider, originaire de Binningen sur le Neckar en pays de Wurtemberg, et ont fait les objections suivantes.
1. L’escalier de cave, à savoir le début du coffrage, se trouve à huit pieds de l’endroit où il devrait être.
2. Les murs latéraux du deuxième et du troisième niveaux vers la cour ont deux pieds de plus que le premier niveau.
3. Le portail qui devait avoir de sept à neuf pieds est trop étroit, il n’a pas la même largeur ni la même hauteur sur les deux dessins.
3. Il manque trois pouces à la partie arrondie de l’escalier brisé, à savoir la planche allongée de la jointure arrière.
2. L’arrivée de l’escalier à vis au deuxième niveau a la largeur de cinq marches et demi alors qu’elle devait avoir deux marches de largeur.
6. La fenêtre verticale de l’escalier aurait dû figurer sur le grand projet, le candidat l’a omise.
7. Il a aussi omis le sol du petit escalier qui se trouve à droite de la cour aux deuxième et troisième niveaux.
8. Les balustres de l’escalier sont disposées à intervalles inégaux, ce qui nuit à son apparence et à sa qualité.
Étant donnés les susdits défauts, il a ensuite été décidé que le candidat devrait améliorer son travail dans les quinze jours et se contenter de quatre compagnons pendant quatre ans sans avoir le droit de former un apprenti avant six ans révolus. Il se propose de reprendre son travail.

Le mercredi 28 mai 1736 se sont réunis, le susdit assesseur des Quinze von Stœcken, au nom du prévôt et assesseur des Quinze commis pour le présent examen, ainsi que les quatre susdits examinateurs.
Le susdit compagnon équarrisseur a alors à nouveau présenté son chef d’œuvre ainsi que la décision récente d’après laquelle il se serait pressé parce qu’il est intentionné d’épouser la veuve Steitz et de venir en aide à son fils, ce qui s’est retourné contre lui.
Étant données les bonnes dispositions du candidat, il a été décidé de réduire de deux ans le délai de l’apprenti, c’est-à-dire qu’il lui est interdit de former un apprenti pendant les quatre premières années au lieu de six et qu’il ne pourra employer que quatre compagnons pendant lesdites quatre années. Passé ce délai, il jouira de toutes les prérogatives d’un maître. Le candidat a accepté les termes de cette décision.

Jean Christophe Schneider épouse en avril 1736 Marie Salomé Gerold veuve du maître maçon Chrétien Steitz : contrat de mariage, célébration

1736 (21.4.), Me Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 76) n° 863
Eheberedung Zwischen dem Ehrengeachten Johann Christoph Schneider ledigen Steinhauern und Maurern Von benningen am Neckar gebürtig alß hochzeittern ane einem,
So dann der Ehren und Tugendsahmen Frauen Mariæ Salome Steitzin gebohrner Geroldin weÿland Meister Christian Steitzen geweßenen Steinhauers Maurers und burgers alhier seel. nachgelaßener Wittib alß hochzeiterin am andern theÿl – So beschehen Straßburg den 21.ten Aprilis Anno 1736 [unterzeichnet] Johann Christoph schneuder, maria salomea steÿßin, Johann Joachim Gerold Statt Camminfeger alß Vatter

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 160-v)
1736. Dom: Miser. et Jubil. seindt außgeruffen Undt Mittwochs darauff den 25. april. Ehelich eingesegnet worden Johann Christoph Schneider der ledige Steinmetz V. Maurer Von Benningen am Neckar in dem Hertzogthumb Würtenberg Johann Georg Schneiders Weingärtners v. Burgers daselbsten Ehl. Sohn, undt frau Maria Salome gebohrne Geroldin vndt Christian Steitzen geweßenen Burgers Steinhauers und Maurers allhier hinterlaßene Witwe. [unterzeichnet] Johann Christoph schneuder Als Hochzeiter, Maria salome steÿßin als hochßeÿin (i 163)

Jean Christophe Schneider devient bourgeois par sa femme à l’ancien tarif en juin 1736

1736, 4° Livre de bourgeoisie p. 1034
Johann Christoph schneider d Maurer und Steinhauer Von bining. im wirtenbergisch. geb. erhalt. d. br. von sein: ehefr. Maria Salome Steitzin umb d: alt b. will beÿ EE Zunfft d: Maurer dienen, Jur. d: 18.ten Junÿ 1736.

Jean Christophe Schneider devient tributaire en septembre 1736

1736, Protocole de la tribu des Maçons (XI 236)
(f° 207) Donnerstags den 20.ten Septembris 1736. E. Neu Zünfftiger – Johann Christoph Schneider der Maurer und Steinmetz von Benningen im würtenbergischen stehet vor Undt bittet nebst producirten Scheins vom 18.t Junÿ 1736. umb das Zunfftrecht.
Erkannt, willfahrt gegen Erlag der gebühr.
dt. vor den Pfenningthurn 1 lb, Zunfftrecht 1 lb 5 ß, Einschreib gebühr 4 ß (zusammen) 2 lb 9 ß

Jean Christophe Schneider s’adresse aux Quinze pour faire annuler la décision de la tribu des Maçons qui l’oblige à régler le droit de siéger que n’a pas acquitté le premier mari de sa femme. Il présente à l’appui une décision du Petit Sénat en date du premier octobre 1735 d’après laquelle la veuve Steitz n’a pas à régler les dettes de son mari. Les Quinze confirment la décision du conseil des Maçons

1737, Protocole des Quinze (2 R 146)
Joh: Christoph Schneider C. E. E. Handw. der Maurer
(p. 24.) Sambstag den 19. Januarÿ 1737. Moss. nôe Johann Christoph Schneider b. und Steinmetzen Cit. E. E. Handw. der Maurer, ptod. bescheid wavon Ppal. an Mghh. appellirt, bitt Deput. et facta relatione g. Zu erkennen, daß er seines Ehevorfahren Johann Christoph Steitzen Schuld zu bezahlen nicht schuldig. Fuchß bitt auch Deput. et Facta relatione des bescheids g. manutenenz. Erk. Deput. willfahrt.
(p. 46) Sambstag d. 26. Januarÿ 1737. Joh: Christoph Schneider C. E. E. Handw. der Maurer
Iidem [Obere Handwerck Herren] laßen ferner per Eundem [secretarium Kleinclaus] referiren, daß Johann Christoph Schneider der burger und Steinmetz allhier contra E. E. Handwerck der Maurer und Steinmetzen, einen beÿ ged. Handwerck den 11. huj. ergangenen bescheid, besag welches Er Schneider, condemnirt worden, nebst seiner Einstandts Gebühr, auch die jenige Einstandts gebühr so Weÿl. Mr Johann Christian Steitz, deßen wittib er geheurathet noch schuldig bezahlen, widrigen falls er für untüchtig gehalten, und Ihme des Gesind gesperrt, auch Zu dem handwerck nicht gelaßen werden solle, biß und dann er Vollkommen parition geleistet haben wird.
Beÿ Mgh. producirt, Wavon an derselbe appellirt, umb Deputation gebetten, er Facta relatione Zu erkennen, daß er seines Ehe Vorfahren Schuld zu bezahlen nicht schuldig seÿe, Refusis Expensis.
Gedachtes E. Handwerck habe auch umb Deput. gebetten et Facta relatione des ergangenen bescheids gn. M Manutenenz ref. Expensis.
Beÿ bewilligt und beseßener Deputation habe der Appellant beÿgesetzt, Vor sich wolle er Zahlen, aber nicht Vor seinen Vorfahr, nach weßen todt die Sach Zu einem falliment gekommen, und seÿe sein nunmahlige Frau laut E. E. Kleinen Raths bescheid Vom 1. 8.bris 1735. dem er Vorgelegt, Von denen theilbahren Schulden absoluirt worden.
Nomine der Appellaten seÿen Vorgestanden Johann Quirin Berga, Joh: Martin Pfundstein und Johann Zacharias Maÿe, welche geantwortet, Andere so Wittweiber geheurathet, hätten Ihrer Vorfahren gebühren dem Handwerck auch bezahlt.
Auff seithen der Hh. Depp finde man daß wann die Appellation Ihres Handwercks halben an des Appellanten Ehefrau zu erfordern gehabt, sie es beÿ E. E. Kleinen Rath hätten suchen sollen, halte man alßo dafür daß der Sententiia â quâ zu confirmiren, der Appellant beÿ seinem erbiethen Zu laßen, übrigens aber zu absoluiren seÿe, Compensatis Expensiis. Die Genehmhaltung zu Mgh. stellend. Erkandt, bedacht gefolgt.

Jean Christophe Steitz qui habite une maison qui appartient aux Zorn place des Moulins (auf dem Plönel, VIII 91 au plan Blondel, actuel n° 10) pose des matériaux de construction sur le communal. Les préposés lui demandent de régler une taxe foncière mais il déclare préférer ne plus occuper le terrain. Il demande cependant quelques mois plus tard l’autorisation d’occuper un terrain un peu plus petit.

1739, Directeurs fonciers (VII 1398
(f° 138) Montags den 28. Ejusdem [Sept.] seÿnd folgende Augenschein eingenommen worden
An Christoph Schneiders des Maurers hauß beÿ der Dinsenmühl Vor welchem er das Allmendt 52. schuhe Lang und 12. schuhe breit mit steinen belegt, und deßen Keine erlaubnus gehabt. Erkannt solle Von Nutzung dieses Allmendts der Statt jährlich 4. lb Zinß Geben, und für das Verfloßene ein jahr nachtrage, und dieser bescheid jhme, Weillen er nicht erschienen, durch die Herren dreÿ angezeigt worden, welches den 30. Ejusdem geschehen. Schneider aber beschwehrte sich Höchlich sagend er müße den Heren Von Zorn, in deren Hauß er wohnet, einen starcken Hauß Zinß Geben, und Könne nicht entschließen, auch diese 4. lb, über sich Zu nehmen, Will Lieber den Platz raumen.
(f° 141-v) Dienstags den 3. Novembris 1739. Christoph Schneider – Christoph Schneider der Maurer declarirt auf MGHh. Erkantnus Vom 28. Septembris Letzthin, daß er mehr nicht Von dem Allmendt, seine Stein darauff Zulegen Verlange, als 24. schuhe Lang, und 10. schuhe breit, mit bitt, den jhme angesetzten Zinß nach billigkeit Zu moderiren. Erkannt wird der Zinß auf 6. R. Gesetzt und solle den Jahrgang Von Michaelis 1738. biß Michaelis 1739. nachtragen

Le maître maçon Philippe Jacques Zell se plaint que Jean Christophe Schneider travaille chez deux de ses clients, dont l’orfèvre Imlin, sans avoir obtenu son accord préalable. Le conseil des maçons demande au plaignant de prouver ses allégations.

1739, Protocole des Maçons (XI 236)
(f° 296) Dienstags den 28.t Aprilis 1739. Mr. Philipp Jacob Zell Contra Mr. Johann Christoph Schneider, daß er Ihme noch der arbeit gegangen, und in selbige eingestanden, nemblichen beÿ H. Immelin dem Silberarbeiter, beÿ deme er schon dreÿ tag gearbeitet, und nachgehends Ihme erst den Kunden abgesagt, und dergleichen habe er auch beÿ Frau Finxin gethan. Hr Immelin habe Ihme Jederzeit diese Arbeit Versprochen, er auch demselben Vorhin gearbeitet, nachgehends aber gesagt, sein Schwager habe Ihme auch deßwegen täglich ins hauß lauffe.
Erkandt, solle Klagender Zeller mit einig. glaubwürdigen Zeugen beweisen, daß beklagter Schneider dreÿ tag Zuvor in dem Immelinischen hauß gearbeitet, ehe er Ihr umb den Kunden gefragt, und solchenfalls der beklagte den articul mit 1 lb 10 ß beßern.

Les Quinze autorisent Jean Christophe Schneider à employer trois compagnons en surnombre pour réparer la maison de l’orfèvre Imlin

1739, Protocole des Quinze (2 R 148)
(p. 226) Sambstag d. 2. May 1739. Moss nôe Johann Christoph Schneider Maurers bitt Underth. umb gn. Erlaubnuß noch 3. Gesellen neben die Zahl zu H. Immelins reparation des haußes, so pressirt wird, halten zu dörffen.
Erk. Willfahrt, zu diesem baw allein.

Jean Christophe Schneider traite Zacharie Meyé de menteur pendant une séance du conseil en mettant en cause sa gestion financière. Le conseil lui demande de justifier ses allégations

1739, Protocole du corps des maçons (XI 242, 243, 1731-1749-1770)
(f° 75.b) Dienstags den 17. Martÿ 1739. – Mstr Johann Christoph Schneider hat wehrend handwerck mstr. Zachariam Meÿen ein Lugenmaul geheisen, auch eben denselben beschuldiget, Er Mstr meÿe habe E. .E handwerck überflüßige Unkosten gemacht.
Nach gehaltener Umbfrag Ist Erkandt worden, Er mstr Schneider solle ein solches beweisen, beklagter mstr Schneider gibt zu antworth Er wolle die Sache weiters suchen.

Litiges entre André Stahl et Jean Christophe Schneider à propos de travaux chez Schneegans, aubergiste au Canon

1739, Protocole des Maçons (XI 237)
(f° 26-v) Dienstags den 17. Novembris 1739. In Sachen Mr Andreas Stahlen Contra Mr Johann Christoph Schneider, producirt er Schneider einen schein von H Schneeganß den Carthaus biersieder, allweillen aber solcher schein nicht Clar, alß wird die sach mithin auch die den 15.en Septembris dem beklagten Conditionate angesetzte Straff in Suspenso gelaßen, und solle H schneegans nebst dem zimmermeister auff nechstes gericht anhero beschieden, und von Ihnen selbsten die beschaffeheit der sachen vernommen werden, und Kan auch Hr Stahl sein Conto, umb zusehen, wie offt Er da gearbeitet habe, mitbringen.

Jean Daniel Pfeffinger se plaint auprès de la tribu des Maçons de la porte d’entrée qu’a réalisée chez lui Jean Christophe Schneider. Le maçon se justifie en ajoutant que la femme du propriétaire donnait des ordres inappropriés. Le conseil nomme des experts.

1740, Protocole des Maçons (XI 237)
(44-v) Sambstags den 21.t Maÿ 1740. Hr Johann Daniel Pfeffinger habe vor Fünff wochen mit Johann Christoph Schneider Ein accord pro acht und Zwantzig Gulden wegen eines bogens an seinem hauß gemacht, solle acht schuh weit seÿn, die Schwell aber liege fünff Zoll tieffer als der innere boden, so daß man die thür nicht wohl auffmachen Kan und d. bogen seith nicht einmal sieben schuh weit, solle Ihme einen conto machen, bitte umb expers oder man mußte von derselben unter weg schneiden, welchen falls aber mann sodann hinein schlupffen konte.
Beklagter, der bogen ware verdingt nach dem platz, habe der nachbaren platz Zweÿ mahl gemeßen, und damit er den bogen desto hoher machen Könne, habe er die schwell umb etwas erniedrigt, wan er es machen wolte, wie Klägers fraw es begehret, wurdte der bogen Neun vndt Ein halben schuh weit, habe den bogen gemacht, wie er Ihme accordirt worden, ist gestendig auff acht schuh weit den bogen accordirt Zu haben, und werde sich weisen ob er dieße weite nicht habe, habe erst gestern Zweÿ gesellen dorten gehabt, und sein Klägers Ehefrau Ein stein durch seine gesell rücken Laßen, biß ane die Riegelwand, daß mann könne kaum das thor anschlagen.
Erkandt, Mr Philipp Wöhrle und Andreas Göbel Zu Expers ernandt, und solle Schneider den Zedul dem Klägern einlüffern.
Kläger, weilen das thor offen stehet, bittet heute noch den augenschein einzunehmen, Willfahrth.

Jean Christophe Schneider a pour apprenti Jean Chrétien Steitz son beau-fils (du premier mariage de sa femme). Le tuteur se plaint des mauvais traitements de son maître et beau père qui injurie et houspille l’apprenti, le menace de lui briser les membres et qui a déjà jeté vers lui des tenailles et des blocs de bois. Jean Christophe Schneider justifie sa sévérité et reproche à sa femme sa complaisance. Le conseil décide que l’apprenti restera chez son beau père qui devra cependant se comporter avec davantage de sollicitude de sorte qu’il n’y ait plus sujet de se plaindre

1740, Protocole des Maçons (XI 237)
(f° 55) Dienstags den 26. Julÿ 1740 – Johann Friederich Jäcklin der Gipßer als Vogt Johann Christian Steitzen stehet Vor und Klagt wider Mr Johann Christoph Schneider den Maurer undt Steinhauer seines Vogts sohns stieff Vatter und Lehrmeister, daß Er gedachten seinen Jungen und Stieffsohn sehr übel halte, bittet denselben Zu erlauben anderwerts in die Lehr, umb auszuernen zuthun.
Maria Salome gebohrne Geroldtin des Jungen eheleibliche Mutter und beklagten Ehefrau, wie auch der Jung selbsten, beklagen sich, daß beklagter den Jungen allzuscharff halte, und waß er arbeitet seÿe Ihme niemahlen recht, er schelte Ihn immer und heiß Ihn Gott behute Vnß, Zum bösen gehen, drohe auch öffters, Er wolle Ihn Lernen schlagen, Er wolle Ihme Ein Glied vom Leib entzweÿschlagen, vnd dergleichen, habe Ihne auch schon mit dem hebeißen geschlagen, und Klötz nach Ihme geworffen, daß wo er Ihme nicht entloffen wäre, Er Ihne arbeitseelig geworffen hatte.
Beklager Verantwortet sich, er muße den Jungen scharff halten, und Wolte Er denselben wohl Ziehen, wan die mutter Ihne nicht verderbte, Er thue Ihme keinen überdrang, begehrt den Jungen auß zu lehren, bittet aber der mutter anzubefehlen, daß Sie Ihme in nichts hinderlich seÿe, Wan Er denselben zum guten anziehen will.
Erkandt, soll der Jung seine Lehrzeit beÿ seinem Stieffvatter außhalten, und seine arbeit getreu verrichten, hingegen der Vatter den Jungen nicht allzuscharff sondern gelinder alß bißhero halten, solte aber wieder verhoffen ferner eine Klag wieder Ihn einlauffen, so solle ferner ergehen was rechtens seÿn wird.

Le tuteur réitère sa plainte un an plus tard. L’apprenti a quitté son beau père et s’est engagé dans l’armée ; son grand père a ensuite acheté son congé. L’apprenti veut bien continuer à apprendre le métier de maçon mais refuse de retourner chez son beau père, en déclarant qu’il se rengagera si on l’y oblige. Jean Christophe Schneider se justifie en déclarant que la mère et le grand-père de l’apprenti le gâtent. Le tuteur et le grand-père ont pris contact avec un maître qui acceptera de prendre chez lui l’apprenti. Le conseil autorise le changement de maître. Jean Christophe Schneider déclare que celui qui reprendra son apprenti ne peut pas être un maître honorable.

(f° 94) Mittwochs den 19.ten Julÿ 1741. Vollendts außlernender Steinmetz Jung – Johann Friderich Jäcklin der Gibser als Vogt Johann Christian Steitzen Klagt Wieder Mr Johann Christoph Schneider, den Steinmetzen und maurer, Sein des Vogts Sohns Stieffvatter und Lehrmeister, daß ohnerachtet demselben bereits vor einem Jahr von diesem Ehrsamen gericht anbefohlen worden, den Jungen gelinder zu halten, Er darnach solchen bescheid zuwieder, den Jungen so Erbärmlich, elend und Miserable tractirt, sogar mit Seÿlen und Stöcken geschlagen, und eingesperret habe, daß derselbe endlichen davon gelauffen, und soldat worden, und weilen Ihne sein großvatter würcklichen außgelößt ; der Jung aber Zu seinem Stieffvatter nicht mehr begehre, bittet er demselben einen andern meister zu geben, umb das handwerck vollends auß zu lernen.
Beklagter Verlange deßen beweißthumb, wann er den Jungen, der noch nicht Viel könne, habe ziehen wollen, seÿe er zu seinem großvatter geloffen, welcher nebst seiner mutter Ihne Verwehnet und Verderbt.
Johann Joachim Gerold Caminfeger des Jungen Groß vatter Zugegen, meldete daß Er dem Jungen als seinem Enckel den abschied mit Zehn Louis d’or würcklich erkaufft habe, Ihn aber Keines weegs Verderbe, sondern sich seiner annehmen müße.
Der Jung auch Zugegen bittet Ihme einen andern meister zu geben, könne ohnmöglich beÿ seinem Stieffvatter bleiben, Indeme er beÿ demselben nichts erlerne, und noch darzu barbarisch tractirt werde, und wan man Ihne wider Ziu seinem Stieffvatter Zu gehen nöthigen wolte, er wieder Soldat würdte.
Hierüber befragt, ob Sie Würcklich einen andern meister wisen, welcher den Jungen annehmen will.
Der Vogt meldete, daß Hr Erlacher in gegenwarth des Großvatters als Mr Seitzen Ihme Versprochen habe, den Jungen von Ihme solcher von E. E. Gericht Zuerkandt werdte, und Ihnen eingefallen dadurch geschehen, anzunehmen und vollendts außzulehren, welches auch Mr Steitz affirmirte
Worauff in gehaltener Umbfrag Erkandt worden, daß beÿ so bewanden umbständten Und da nicht nur einer sondern schon mehrere Klagen wider den Stieffvatter und Lehrmeister eingeloffen, hienechst auch keine hoffnung zu machen, daß derselbe den Jungen Künfftighin gelinder tractiren werdte, über dieses auch in denen articulen auß würcklichen Versehen, daß wan ein Lehrmeister seinen Lehrjungen nicht thätte, daß er Ihme thun solle, und daß der Lehrjung mit guter kundschafft Vor Meister und gericht Zu bringt, der meister als dann deme was das gericht erkennet gehorsam seÿn solle, der Jung dem H Werckmeister Erlacher, falls Er denselben anzunehmen gesinnet, Zu Erkandt seÿn solle, umb das handwerck beÿ Ihne vollendts auß zu lrenen
Beklagter wolle Klagen wo er reden dörffe, halte den vor Keinen rechtschaffenen meister, der seinen Jungen annehme, seÿe anjetzo erst das Zweÿtemahl, daß er beÿ gericht deßwegen vorgestanden.

Jean Christophe Schneider fait appel de cette décision auprès des Quinze. Il se justifie en rapportant des faits et demande qu’on lui rembourse tous les frais engagés pour son beau-fils. Les Quinze confirment la décision du Conseil des maçons en estimant qu’il y a suffisamment de preuves des mauvais traitements

1741, Protocole des Quinze (2 R 150)
Johann Christoph Schneider Ca Joh: Christian Seitzen Vogt
(p. 441) Sambstag d. 29. Julÿ 1741 – Johann Christoph Schneider Ca. E.E. Meisterschafft der Maurer
Moss. nôe. Johann Christoph Schneider Maurers und Steinhawers Ca. Joh: Christian Seitz des Maurers Lehrjung Vogt Johann Friderich Ledlin den Gÿpßer prod. Appl. Schrifft mit beÿlag Sib Lit. A. bitt Verzeichnuß und will ad I.am post Verkünden laßen. Erk. ut ante

(p. 514) Sambstag d. 9. Sept. 1741. Johann Christoph Schneider Ca Joh: Christian Seitz
Moss. nôe. Joh. Christoph Schneider Cit. Joh: Christian Seitz Vogt erhohlt App. vom 29. Julÿ und Recess vom 26. augusti jüngst. Christ. prod. Exceptiones. Moss bitt Cop. et Deput. Christ. laßt Copeÿ Zu. Erk. wird Copeÿ und Deput. willfahrt.

(p. 668) Sambstag d. 23. X.bris 1741. Johann Christoph Schneider Ca Joh: Christian Seitzen Vogt
Iidem [Obere Handwerck Herren] laßen weithers per Eundem [secretarium Kleinclaus] referiren, daß Johann Christoph Schneider der burger, Maurer und Steinhauer allhier beÿ E. E. Zunfft Gericht der Maurer den 19. Julÿ jüngst auff vorhergegangene Klag und Verantwortung dahien condeminirt worden, daß deßen geweßter Lehrjung und respectiué Stieffsohn, Johann Christian Steite Ihme, Schneider, weg: und H Johann Michael Erlacher, falls er selbigen anzunehmen gesinet, Zu erkandt sein solle, umb das handwerck beÿ Ihme Erlacher Vollendts aus zu lernen. Von diesem bescheid habe gedachter Schneider an Mghh. appellirt und in einem den 29. Ejusdem contr ged. Johann Christian Steitz Maurers Lehr Jungen Vogt Johann Friderich Jäcklin den Gÿpßer übergebenen Appellations schrifft mit beÿlag Sub Lit. A /:so erwehnter Zunfft gerichts bescheid ist.:/ Underthänig gebetten, den Gerichts bescheid dafern Zu reformiren, daß der Lehrjung seine Lehr Jahr beÿ Ihm, Appellanten, Vollendts außhalten fleißig arbeithen, und Keine wiederspenstigkeit in das Künfftige mehr erweisen dörffe, idque Ref. Expensis, Aus ursachen 1° nicht erwiesen, daß Er den Jungen so erbärmlich und elend miserabel tractirt, je gar mit Saÿlen und Stricken ängstige & er suche solchen Zur arbeit an: und Vom Müßiggang abzuhalten, dahiengegen die Mutter, und wie es in diesem stuck mit Ihro halten Ihne Zum Müßiggang gewohne, 2.do Alß der Jung einsmals müßig war, und Appellant Ihme gefragt, warumb er nicht arbeite, habe derselbe Ihme Zur Antwort gegeben, er wolle nicht arbeiten Er s.v. sch. auff seine arbeit, darauff Appellant demselben eine Ohrfeig gegeben, der Jung aber habe Ihne beÿ der peruque ergriffen, Er Appellant hätte so fort ein an der Wand gehangenes Saÿl genommen, willens den Jungen damit zu schlagen, und weil der Jung das Saÿl gehalten, habe er Ihme annoch ein paar Ohrfeigen gegeben, worauff der Jung davon geloffen & Vor Kürtzer Zeit habe Er, Appellant, Ihme dem Jungen, ein newes Kleid machen laßen, so Ihne beÿ 40. R. gekostet, mit diesem Kleÿd wolle der Jung nachdeme Er Ihne bißhero erzogen, anjetzo da er die große, und beste Kräfften habe zu arbeiten, und einigen nutzen Zu schaffen im stand, anders wo dienen, so Er, Appellant Zu leiden nicht schuldig, dann 3° des darauff gefolgten Monaths Sept. habe der Appellat beÿständlich seines Vogts Johann Jäcklins des gÿpßers Exceptiones producirt, juncto petito zu erkennen und außzusprechen, daß in I.a jnstantia wohlgesprochen, übel aber appellirt worden, mithin die Sententia â quâ Zu confirmiren und den Appellanten mit seiner wiederrechtlichen Appellation gäntzlich abzuweißen Refusis im Ambabus Causis Expensis. Dieße Exceptiones schrifft halte in sich eine weitlauffige Wiederlegung der in der Appellations Klag enthaltenen Puncten, welches alles aber in einem paar lauteren Geschwätz bestehe, ohne einige prob oder beweißthumb.
Auff begehrte, bewilligte und beseßene Deputation, seÿen die Parthen annoch mündlich gehöret worden, da der Appellant die Contenta seines Appellations Klag wieder hohlet, mit dem beÿsatz er habe den Jungen erzogen, wolle Ihme auch wieder haben, und außlehren, oder aber Er prætendire die an Ihne biß anhero angewendete unkosten.
Des Appellaten Vogt habe gesagt, Er beruffe sich auff den ergangenen Gerichts bescheid vom 26. Julÿ 1740. den Er vorgelegt, daraus erhellet daß E. E. Zunfft gericht der Maurer damahlen schon auff gleichmäßige Klag wegen üblen tractaments mit welchem der Appellant dem quæstionirten Jungen begegne ged. E. gericht Erkandt, daß Zwahr dieser Jung beÿ seinem Stieffvatter die Lehrzeit aushalten, und seine arbeit getrew Verrichten, Hingegen der Vatter den Jüngen nicht allzuscharff, sondern gelinder alß bißhero halten solle, solte aber Wieder Verhoffen ferner eine Klag wieder Ihne einlauffen, so solle ferner ergehen was rechtens sein werde.
Auff seithen der Herrn Deputirten Vermeine man daß der den 19. Julÿ jüngst ergangene Zunfft Gerichts bescheid zu confirmiren, der Appellant mit seinem begehren abzuweisen und in die auffgeloffene unkösten Zu condemniren seÿe, jn ansehung durch den Gerichts bescheid Vom 26. Julÿ 1740. genugsam erhellet, daß Appellant den Jungen übel tractirt und dißfalls gewarnet worden.
Die Genehmhaltung Zu Mghh. stellend. Erkannt, bedacht gefolgt.

Version définitive de la sentence des Quinze. Jean Christophe Schneider est condamné aux dépens

1742, Protocole des Quinze (2 R 151, notes 152)
Christoph Schneider Ca. Christoph Steitz
(p. 7, rapiarium p. 1) Sambstag d. 13.ten Januarÿ 1742. Moss. nôe Christoph Schneider der bitt umb g. Comm. bescheidts C. Joh: Christoph Steitz. Christ bitt similiter. Erk. Willfahrt
(p. 30) Sambstag d. 13. Janu. 1742. – Bescheid. Sambstag den 23. Xbris 1741. In Sachen Johann Christoph Schneiders des burgers Maurers und Steinhauers allhier, Appellanten, ane einem entgegen und Wieder Joh: Christian Steitzen Maurers Lehrjungen Vogt Johann Friderich Jäcklin burgern und Gÿpßern allhier, Appellaten, am andern theil, Auff producirte appellations Schrifft mit beÿlag sub Lit. A und angehencktem bitten den ergangenen Zunfft Gerichts bescheid vom 19. Julÿ jüngst /:laut deßen ged. Schneider dahien condemnirt worden, daß deßen geweßter Lehrjung und respectivé Stieff Sohn Joh: Christian Steitz Ihme Schneider, Weg und Johann Michael Erlacher, falls er selbigen anzunehmen gesinnet, zuerkandt sein solle, umb das Handwerck beÿ Ihme Erlacher, Vollendts auszulernen:/ Zu reformiren und zu erkennen, daß der Lehrjung seine Lehr Jahr beÿ Ihme, Appellanten, vollendts außgehalten fleißig arbeiten und Keine Widerspenstigkeit in das Künfftige mehr erweisen dörffe, idque Ref. Expensis. Exceptiones juncto petito Zu erkennen, und auß Zusprechen, daß in prima jnstantia wohl gesprochen, übel aber appellirt worden, mithin die Sententia â quâ Zu confirmiren und der Appellant mit seiner Wiederrechtlichen appellation gäntzlich abzuweisen seÿe Ref. Expensis im ambabus Causis.
Gebettene, bewilligte und beseßene Deputation, und all übriges angehörte Vor: und Anbringen Jst, der Hh Depp. abgelegte Relation nach Erkandt, daß der den 19.ten Julÿ jüngsthin ergangene Zunfft Gerichts: bescheid Zu confirmiren, der Appellant mit seinem begehren abzuweisen und in die auffgeloffene unkosten Zu condemniren, seÿe. Alß Wie hiemit respectivé confirmiren, abweisen und condemniren.

(p. 57, rapiarium p. 22) Sambstag d. 27. Januarÿ 1742. Christ. nôe Johann Christian Steitzen Vogt Cit. Christoph Schneider prod. unkosten Zettel bitt taxam eaque facta mit Schein und urkund ad exequendum zu Willfahren, nomine Con p. bitt des botten Relation. Ille cum* Citto in mund. Erk. Ober Handwerck Hh und solle dem gegner beÿ Gelt zur Conferenz Urkund werd.

(Rapiarium p. 27)
Iid. H. XV rec. und pord. Vom 27. us. in s. Christian Seitzen Vogts Ca. Christoph schneider den Maurer pt° Taxæ der unkosten, sothun 7 R 8 ß 6 d
Erkandt, Taxirt ad 6 R 6 ß 6 d undt mit schein undt urkundt willfahrt ad exequendum

Jean Christophe Schneider est élu à différentes fonctions : maître adjoint en 1742, maître de tribu en 1744. Il est condamné à une amende en 1759 pour tenue non réglementaire pendant une séance du Conseil

1739, Protocole du corps des maçons (XI 242, 243, 1731-1749-1770)
(f° 130.b) Sambstags den 5. Maÿ 1742.
Worauff man Zur Wahl geschritten, Zum Untermeister Mstr Johann Christoph Schneider erwehlet worden
(f° 155.a) Anno 1744. Freÿtags den 10. Aprilis
Mstr. Johann Christoph Schneider Zu einem Ober meister ernennet
(f° 66.b) Anno 1754. Sambstags de, 26. Januarÿ – Anstatt des letzt abgegangenen beÿsitzmeisters des gesell gebotts Mstr Andreæ Schrödters so catholischer Religion Ist zu observirung der alternativ Mstr Johann Christoph Schneider Evangelischer Religion per Majora erwehlet worden.

(f° 117.a) Sambstags den 2.t Junÿ 1759. – Mr Johann Christoph Schneider ist für Ein stubenrecht in 2 ß 6 d weillen er den rockknopff nicht Zu hatte verfallen.

Jean Christophe Schneider a remis au compagnon Joseph Zimmerlé une attestation pour qu’il puisse se rendre sans encombre au pèlerinage d’Einsiedeln. Le Conseil lui reproche d’avoir établi un certificat de complaisance qui pourrait présenter de sérieux inconvénients et lui inflige une amende

1746, Protocole des Maçons (XI 237)
(f° 266) den 9. Januarÿ – die buxengesellen beschwehren sich gleichfalls im nahmen der gantzen gesellschafft wieder die von Mr Johann Christoph Schneider den 28.ten Novembris 1745 Joseph Zimmerle einen Handlanger vor einen gesell außgestellte Kundschafft.
Mr. Schneider. Dieser mensch habe gesagt, er will auff Mariæ Einsiedlen, und Weilen Er ohne Kundschafft in der schweitz nicht fortkommen könne, auch sonsten nirgend passirt werdte, ohne Soldat Zu werden, und weilen Er Ihme Von Jugend auff, keine, die Kundschafft auch Ihne Zu Keinen gesell mache, Indeme die gesellen, wan Sie irgend wo Vierzehen tag arbeiten, Ihren Lehrbrieff weisen musen, habe er endlichen auff sein des menschen inständiges ansuchen Und Vermelden, daß sein gesell selbsten Ihne Zu Me Schneider umb die ertheilung einer Kundschafft geschickt, selbige Ihnen ertheilet.
Erkandt, Weilen durch diese Kundschafft Vile üble inconvenientien entstehen können, solle derselbe in 3. lb d straff condemnirt, anbeÿ Ihme verbotten seÿn, Keine Kundschafft mehr Zu geben.

Jean Christophe Schneider porte l’affaire devant les Quinze en estimant avoir été injustement mis à l’amende. Il déclare qu’il s’est laissé convaincre de délivrer cette attestation qui ne porte préjudice à personne. Les Quinze confirment la décision des Maçons en estimant que le maître a remis une attestation en contrevenant au règlement

1746, Protocole des Quinze (2 R 156)
Joh: Christoph Schneider, Maurer und Steinmetz
(p. 33) Sambstags d. 15. Januarÿ. dem [Mosseder] nôe Joh: Christoph Schneider, des Maurers und Steinmetzen Ca. E. E. Zunfft der Maurer Hn Zunfft meister, prod. Zunfftgerichts bescheid, von Welchem der Implorant an Mghh. appellirt, bitt Verzeichnuß und will post ferias dazu Verkünden laßen. Erkanndt Verzeichnet und soll dazu Verkünden laßen.
(p. 37) Sambstags d. 22. Januarÿ. Mosseder nôe Joh: Christoph Schneider Ca. E. E. Zunfft der Maurer Hn Zunfftmstr. auff appellation vom 15.t hujus prod. unterth. appellations schrifft, juncto petito, Freund bitt copiam et T. O. Obt.
(p. 116) Sambstags d. 19. Februarÿ. Freund nôe E. E. Zunfft der Maurer Hn Zunfftmstr in actis Ca. Joh: Christoph Schneider auch in actis, auff ggth. appellations schrifft vom 22. Januarÿ jüngst. prod. unterth. Exceptiones juncto petito. Mosseder citatus præsens bitt depp. Freund quoque Erkandt depp. Ober Handwercks Hhn.
(p. 126) Sambstags d. 26. Februarÿ. Obere Handwercks Herren laßen per me referiren, es habe Joh: Christoph Schneider, der maurermeister und Steinmetz, auch burger allhier beÿ Mghh. d. 15. Januarÿ jüngst einen Extractum aus E. E. Zunfft der Maurer Gerichts Memoriali vom 9. ejusdem Vorgelegt, Vermög welches derselbe aus ursach weilen er einem handlanger eine gesellen Kundschafft gegeben, in 3. lb d Straff condemnirt Worden seÿe, da nun aber besagter Mstr Schneider durch sothanen bescheid sich gravirt zu seÿn erachtet, als habe er d. 22. Januarÿ darauff eine unterth. appellations Schrifft angegeben, und darinn Vorgetragen, welch gestalten er, Implorant, in eine empfindliche Straff condemnirt worden, weilen er einem Maurer handlanger, umb daß er füglich nach Marien Einsidel Kommen möchte, seine andacht daselbst Zu verrichten, eine Kundschafft habe zukommen laßen. Er Verursachte solches nicht die geringste unordnung weder beÿ E. E. Zunfft der Maurer, noch auch beÿ dererselben Ehrsahmen handwerck, noch auch einiger hinderung an eines Meisters oder an eines gesellen arbeith In der Schweitz, an Verschiedenen orthen habe man deme genugsamne consideration Vor die Päß oder Passeports, Auff die Kundschafften im gegentheil bezeugen Sie schon freÿwilligkeit nach Wunsch, deßwegen seÿe auch eine Kundschafft begehrt worden, Welche derjenige, so sie erhalten, bald wieder mit sich zurück Zubringen Versprochen habe, dergleichen Kundschafft habe die Würckung nicht, daß man damit als ein Maurers gesell fortkommen könne, indeme auch im Lehrbrieff erfordert werde. Wann er, implorant, einige argwohn gehabtt hätte, daß dießer mensch die empfangene Kundschafft mißbrauchen würde, sollte er Sie niehmahlen Von Ihme erhalten haben. Er habe Sie Ihme auch abgeschlagen gehabt, es seÿe aber zum andern mahl ein Maurergesell, Welcher dießen handlanger ins besondere gekannt, Zu Ihme gekommen und ihne gebetten, demselben die begehrte Kundschafft zu geben, Wordurch er, implorant, sich denen endlich erbitten laßen, weilen nun aus dießem allen erhelle, daß er nichts übels habe thun wollen, noch gethan habe, sondern nur einen guthen Freund umb seine reÿß und Verrichtung ferner Andacht nach Marien Einsideln in guter meinung zu beförderen ihme eine Kundschafft anvertraut habe, einfolglich Keiner abstraffung Würdig seÿe, als ergehe sein unterth. bitten Mghh. geruhen wollte, ihn der angeschriebenen Straff in gnaden Zu befreÿen.
Auff seithen E. E. Zunfft der Maurer habe der daßige H Zunfftmeister d. 19. hujus seine unterth. Exceptiones eingegeben, und darinn Vorgestellt, es seÿ eine schlechte entschuldigung, wann gegenth. appellant seine wieder die artickel einem handlanger gegebene Kundschafft damit beschönen wolle, er habe dem handlanger damit zu seiner andacht im Marien Einsiedel behülfflich seÿn wollen, wann dießes angienge, Könnte man die artickel auff eine leichte arth eludiren. Die Unordnung, welche gegner dadurch gemacht, könne er noch weniger entschuldigen, indeme Ihme wohl bewußt, daß die gesellschafft nicht mehr aufflegen wollen, und sich ehender nicht besänfftigen laßen, biß H. Lohner Ihnen versichert, sie würden Satisfaction bekommen, und der verbrecher nach den artickeln abgestrafft werden. Wie könne übrigens gegner Versichert seÿn, daß der handlanger Ihme jemahlen die Kundschafft Zurükbringen, oder derselben nicht mißbrauchen werde. Ein Lehrbrieff seÿe nicht allemahl nöthig, indeme mancher das Vermögen nicht haben, solchen außfertigen Zu laßen, und man beÿ der Meisterschafft schon præsumire, es werde Keiner einem die Kundschafft geben, Wann er nicht Versichert seÿe, daß er ein gesell E. E. Zunfft Wiederspreche deßwegen gegentheiligen Kahlen entschuldigungen per generalia, mit bitten deputationem zu erkennen et factâ relatione den Zunfft bescheid gnädig Zu confirmiren, und den appellanten an die unkösten Zu condemniren.
Auff geschehene Weißung haben sowohl der appellant als der appellat contenta Ihrer bittschrifft und Exceptionen wiederhohlt, derer Hh. depp. meinung gehe dahin, Weilen der appellant wieder alle handwercks: ordnung gehandelt, daß derselbe straff fällig, weilen aber dennoch Keine gewiße straff determinirt, daß demselben die helfte der angesetzten straff nachzulaßen, ref. exp.
Erkannt, bedacht gefolgt.

Jean Christophe Schneider se plaint que son compagnon Simon Kauffmann l’a quitté sans donner son congé et que le maître maçon Jean Louis Müller l’emploie indûment. Le compagnon déclare que son maître arguait que le mauvais temps ne lui permettait pas de lui donner du travail et qu’il a donc été obligé de chercher à s’engager ailleurs. Jean Louis Müller témoigne qu’il a renvoyé le compagnon dès qu’il a appris qu’il n’avait pas donné son congé à son précédent maître mais que celui-ci a refusé de le reprendre. Le conseil décide que le compagnon doit retourner chez son précédent maître qui devra l’employer sans quoi il pourra chercher du travail ailleurs.

1746, Protocole des Maçons (XI 237)
(f° 270-v) Freÿtags den 18.ten Martÿ 1746 – Mr Johann Christoph Schneider Steinmetz allhier, Klagt wieder Simon Kauffmann den Steinhauer und maurergesellen, daß derselbe Verwichenen Donnerstag acht tag aus der arbeit gegangen, ohne feurabend genommen Zu haben, Und wieder Mr Johann Ludwig Müller, daß derselbe den gesell in arbeit auffgenommen, bitt beede und Zwar Jeden nach dem articul in 1. lb 10 ß straff Zu condemniren.
Der gesell sagt, Er habe den gantzen Winter nicht Zehen oder Zwölf tag beÿ dem Kläger arbeit gehabt, seÿe Verwichenen mittwoch zu Ihme dem Kläger gekommen, und habe umb arbeit angehalten, der Kläger aber gesagt, deßwegen des Kalten wetters Er Ihme nicht arbeit geben könne, warauff Er sein Lohn gefordert, und beditten, daß er sich gemüßiget sehe, sein brod anderswo durch arbeit zu suchen, bitt Ihn Zu absoluiren.
Mr Johann Ludwig Müller sagt Zu seiner Verantwortung, Er habe den gesellen müßig angetroffen, und weilen er Ihne umb arbeit gebetten, habe er Ihm solche accordirt, undt nachdeme Mr Schneider deßhalben sich beschwehret, habe er alßbalden den gesellen seiner arbeit dimittirt, und dem Mr Schneider Zugeschickt, dießer aber habe Ihn den gesell nicht mehr annehmen wollen, Vilmehr auß bloßer Eigensinnigkeit Ihne noch Zu beklagen erkühnet, bittet absolvirt Zu werden.
Erkandt, Solle Mr Schneider den gesellen wieder annehmen, Und denselben arbeit geben wo nicht demselben Erlauben anderswo arbeiten Zu laßen.

Jean Christophe Schneider est autorisé à occuper le communal devant sa maison place des Moulins moyennant une rente foncière

1746, Directeurs fonciers (VII 1402)
(f° 87-v) Donnerstags den 1. Decembris 1746. Joh: Christoph Schneider – Auf dem plänel ohnfern der dinßenmühl Vor Johann Christoph Schneiders des Maurers Hauß, welcher um erlaubnus gebetten auf einen 32. schuhe Lang und 9. schuhe breiten Allmendt Platz Vor besagtem hauß stein Zulegen. Erkannt Willfahrt, gegen 1. lb zinß des Jahrs, jedoch nur so Lang es Mghh. beliebet und mit dem Anhang, daß er den Zugang Zu daßigem brunnen freÿ laßen, und Keine stein nahe dabeÿ hauen solle.

Le maître de tribu Georges Michel Müller se plaint d’avoir fourni des plans au marchand Sarré pour sa nouvelle maison mais que la construction a été confiée à Jean Christophe Schneider. Le Conseil interdit à Jean Christophe Schneider de continuer les travaux tant que Müller n’aura pas été payé de son travail.

1753, Protocole des Maçons (XI 238)
(f° 187) Donnerstags den 22.ten Martÿ 1753. H. Zunfftmeister meldet, Er habe Hn. Saré den handelsmann allhier etliche Riß zu seinem Vorhabenden Gebäu in der münstergaß gemacht, und sonsten viele mühe derhalben gehabt, wafür Er 24. R. fordtere, Indeme nun Er H. Saré der Construction des Gebaues nicht Ihme H Klägeren, sondern Mr Christoph Schneider Zu kommen laßen seÿe billig, daß Ihne die gehabte mühewaltung belohnt werdte, bitt nach E.E. handwercks brauch Mr Johann Christoph Schneider Zu injungiren nicht ane dem gebäu Zu arbeiten biß und dann Er H. müller seine forderung halben wird befriediget seÿn.
Erkandt, seÿe Mr Johann Christoph Schneider Zu Inhibiren mit der arbeit an H. Saré Gebäu fortzufahren biß und so lang H. Müller seiner forderung halben befriediget seÿn wird, salvo tamen regressu et taxa wan sich H. Saré der forderung halber beschwehren solte.

Le contrôleur déclare que Jean Christophe Schneider emploie sans autorisation des compagnons en surnombre. Jean Christophe Schneider donne des explications pour certains d’entre eux et assure que l’ammestre Langhans lui a presque garanti qu’il avait le droit d’employer un grand nombre de compagnons. Le conseil demande au contrevenant de présenter des justificatifs

1753, Protocole des Maçons (XI 238)
(f° 197) Mittwochs den 20. Junÿ 1753 – Idem [Mr Zacharias Meÿe] Klagt Contra Mr Johann Christoph Schneider Steinmetz und Maurer daß in geschehener gesellen visite gefunden worden, daß er 20. gesellen habe, Und beÿ dem gesell gebott hat sich eräugnet, daß er 24. habe.
Ille Zugegen ist gestädig, daß er mehrere gesellen gehalten alß Ihme sonsten erlaubet, Er wäre befugt acht für sich zu halten, Einer habe er von H Gallay entlehnet, Einer wäre nur vier tag in arbeit gestanden und acht habe er von Johann Christian Steitzen wittib, über das habe Ihme herr Ammeister Langhannß Versprochen und quasi garantiret, mehrere gesellen als Ihme erlaubet, zu halten.
Erkandt, Wirdt der beklagte durch authentische Certificaten sein Exceptiones erweisen, soll als dann ergehen was rechtens.

Le précepteur Philippe Jacques Hasslauer se plaint auprès du Conseil des maçons du travail qu’a réalisé Jean Christophe Schneider. Le Conseil nomme des experts qui rédigent un rapport et décident que le maître maçon devra reprendre le travail de six points litigieux sur huit

1756, Protocole des Maçons (XI 239)
Experten – H. Philipp Jacob Haßlauer Informatoris und burgers allhier in streitigkeit deßen contra Mstr Johann Christoph Schneider den Steinmetzen
(f° 12-v) den 24.t Martÿ hat hochgebietender Herr Oberherr durch den büttel ansagen laßen daß hochderselbe auf Ansuchen H. Philipp Jacob Haßlauer Informatoris und burgers allhier in streitigkeit deßen contra Mstr Johann Christoph Schneider den Steinmetzen und Maurern H Georg Michael müller Und Mstr. Philipp Wöhrlen Zu Experten Ernennet habe (Experten, dt. 1 lb 10. ß)
(f° 15) Freÿtags den 30. Julÿ 1756. – H. Philipp Jacob Haßlauer burger und præceptor Klagt wieder Mstr Johann Christoph Schneider den maurermeister, Kläger Concludirt nach inhalt beÿligenden Memorialis beklagten anzuhalten das Jenige so darinn enthalten nach inhalt Riß und accords nöthige Zu verbeßern und instand Zusetzen, wie sichs gebühret.
Beklager verantworthet sich sagend, daß die arbeit alles nach maaßgebung des riß und accords Verfertiget worden, bittet dahero denselben von der anklag Zu absolviren.
Ist nach anhörung der Parteÿen Vorbescheidlich Erkandt, seÿe die gemachte arbeit durch H Georg Michael Mülmer und mstr. Philipp Wöhrlen alß ernannte Experten zu besichtigen, und als denn ihre relation und rapport schrifftlich von sich zu geben quo facto und nach ersehung deßelben ferner sprechen Zu können was rechtens.
(f° 26-v) Montags den 25.t Aprilis 1757. – H. Philipp Jacob Haßlauer burger und præceptor Klagt wiederholt seine Vnterm 30. Julÿ 1756. gethane Klag wieder mstr Johann Christoph Schneider den maurermeister, Wie daß beklagter anzuhalten all das Jenige, so in producirtem Memoriali enthalten, und nach inhalt accord und riß nöthig ist an seinem hauß Zumachen Und Zu Verbeßern, wie auch in den stand zu setzen, wie sich es gehöret, Zufolg welchen vorbescheids ordonnirt worden, daß die gemachte arbeit durch H Georg michael müller und mstr Philipp Wöhrlen als ernante Experten zu besichtigen Und als dann Ihre relation und rapport schrifftlich von sich zugeben, Welcher rapport und relation auch von besagten Experten von sich gegeben und dato producirt worden.
Beklagter Verbleibet auch beÿ seinen damahls genommenen Conclusionen, und verantwortung, dahin gehend, daß die arbeit völlig nach Maßgebung des rißes und accords Verfertiget worden dahero gebetten denselben von der Anklag Zu absolviren.
Ist nach eingesehener Experten Relation vom 10. Augusti Letsthin Zu recht Erkandt, Seÿe Klägern waß den Ersten puncten des rechaud belanget, mit seinem begehren abzuweisen, den Zweÿten puncten des offenthürels betreffend seÿe beklagter anzuhalten ein rechtes ordinars meisterhafftes offenthürel mit einer Ram Kloben Und fall von eisen blech in der Kuchen machen Zu Laßen, das Vorige aber Zu Verwerffen, den dritten puncten belangend, solle ebenfalls beklagter das schloß an der Kuchen thur in gutem brauchbaren stand zu setzen zu laßen, Und dan den virten articul angehend solle ebenmäßig Beklagter das frantzösische schoß an der Cammerthür in gehörigen und brauchbaren stand machen Laßen, Fünfftens die dreÿ Cammer thüren in der Mansard betreffend, solle ebenmäßig beklagter die Schlöser an jeder thür also andern laßen, daß an jeder thür ein besondere schlüsel gemacht und Jede besonder beschlüsig werde, so dann sechstens solle er ebenfalls die stuben thür auff den Boden anderst machen und in andern gehörigen standt verfertigen Laßen und hat derselbe deßwegen an der schreiner seinen regress zu suchen. wie auch Siebentes die eiserne stangen die über der der haußthür auff die gaß und auff der thür in den hoff belangen, wird Kläger mit seinem begehren deßwegen abgewiesen. Achtens seÿe beklagter ebenfalls Zu Condemniren annoch ein eisernes stängel in das Kellerloch gegen dem hoff, wie auch ein Keller Laden dahin machen zu Lasen, Endlich solle beklagter angehalten seÿn das loch Zum brunn fünff schuh dieff auszugraben, und vier schuh alle weg ins Liecht mit einem gemaurten Kasten Zu verfertigen, und seÿnd die Unkosten Zwischen dernen partheÿen nach beschehener Liquidation Compensirt.
(f° 28) H Philipp Jacob Haußlauer burger und Præceptor allhier Klagt annoch wieder mstr Johann Christoph schneider den maurermeister, wie daß beklagter 58. R. an denselben fordern thue, Von welchem geld doch die arbeit in dem ersten accord begriffen seÿe, also auch solche Ihne nicht schuldig, dahero gebetten ihren beklagten Von seiner anforderung abzuweisen.
Beklagter Zugegen Zur Verantwortung gesagt, Kläger wäre wehrendem bau von seinem accord abgewichen, und er Ihme mehrere arbeit Verfertiget, deßwegen auch die 58. R an denselben zu suchen, so er auch bittet denselben Zur Zahlung Zu Condemniren.
Ist nach anhörung der Partheÿen vorbescheidlich Erkandt, seÿe die außer den accord besondere prætendirte mehrere arbeit durch H Georg Michael müller und mstr Philipp Wöhrlen als Ernante Experten Zu besichtigen, und als dann ihre relation schrifftlich Von sich zu geben quo facto und nach ersehung deßelben ferner sprechen Zu können was rechtens.

Le compagnon Benoît Koch se plaint que Jean Christophe Schneider ne l’a pas payé au tarif officiel. Le Conseil des maçons condamne par contumace Jean Christophe Schneider à payer le compagnon selon le tarif et accorde des dommages et intérêts à proportion du retard de paiement

1773, Protocole des Maçons (XI 240)
(p. 147) Dienstags den 22.ten Junÿ (Klag) Benedict Koch, Steinhauergesell von Altesried aus dem Allgeÿ gebürtig ließ citiren Meister Johann Christoph Schneider den Steinmetz und burgern allhier, klagt wider denselben, daß da er vorige Woch Sechs tag beÿ ihme jedes mahl biß abends um Sieben Uhr gleich denen übrigen Gesell gearbeitet, gedachter Meister Schneider unter dem Vorband, daß er ihne Klägern nicht über den Feÿerabend hätte heißen arbeiten, ihme letst verwichenen Sambstag nur 4. ß 6 d des tags, das ist in allem 4 R 7 ß ane Lohn reichen wollen, weilen nun vermög deren Artickel einem jeden Gesell 5 ß d des tages ane Lohn ohne die Gebühr vor die Feÿrabend Stund Zukombt, als bittete beklagten Meister Schneider in die zahlung des Wochenlohns mit Innbegriff der feÿrabend Stunden mit 3 R 4 ß zu condemniren, anbeÿ denselben ferner anzuhalten daß er ihme für jeden tag so es dießer Ursach halben ahne Arbeit Zubringen muß ; gleichfalls den Lohn mit 5. ß d des tags Zu vergüthen schuldig und verpflichtet seÿn solle.
Citatus ist ohnerachtet das Gebott seiner Ehefrauen durch den büttel in Mund angelegt worden, dennoch nicht erschienen.
Erkandt, wird beklager Meister Schneider in contumaciam condemnirt, Klägern den geforderten Lohn laut der von Gn. Hh. den XV.rn in Anno 1753. ertheilten Artickeln des tags zu 5 ß und für jede Stund, so er über den Feÿerabend gearbeitet mit 8 d also in allem für Sechs tag 3 R. 4 ß zu bezahlen, sodann demselben ferner für jeden tag so er dißfalls so wohl gestern als heut schon versaumet hat und ins künfftige biß Zur beschehenden Zahlung annoch versaumen wird 5. ß idq. ref. esp. zu erlegen.

Jean Christophe Schneider porte l’affaire devant les Quinze. La commission confirme la décision des Maçons quant au salaire mais réduit le montant des dommages et intérêts

1773, Protocole des Quinze (2 R 184)
Johann Christoph Schneider Ca. Benedict Koch den Steinhauer gesell
(p. 354) Sambstags den 26. Junii 1773. – Rang nôe Mr Johann Christoph Schneider des Steinmetzen und burgers alhier Ca. Benedict Koch den Steinhauer gesell von Altesried aus dem Allgeÿ gebürtig producirt widrigen Gerichts bescheid E. E. Zunfft der Maurer vom 22. hujus wovon principalis an Erk. will appellirt und deßen Verzeichnus gebetten haben. Erlanndt, appellationis Verzeichnus.

(p. 407) Sambstags den 31. Augusti 1773. – Rang nôe Mr Johann Christoph Schneider in aîs Ca. Benedict Koch auch in aîs producirt unth. Implorations Klag junctis petitis et oblato samt beÿl. Lit. A. Osterrieth bitt Copiam et T. O. Obt.
(p. 475) Sambstags den 18. Septembris 1773 – Iidem [Ober Handwercks Hh.] laßen per Eundem [H Secretarium Stædel] referiren, es habe Mr Joh: Christoph Schneider der Steinmetz und burger alhier Ca. Benedict Koch den Steinhauer gesellen Von Altried d. 28. Junii einen widrigen Gerichts bescheid de dato 22. ejusdem prod. Vermög deßen er in contumciam condemnirt worden, Klägern den geforderten Lohn, laut der von Mghh. in aô 175. ertheilte Artickel des tags zu 5 ß und für jede stünd über den feur abend 8 d also in allem für 6 tag 3 R 4 ß Zu bezahlen, sodann deselben für jeden tag so er dießfalle versaumet und ins künffrige is zue beschehenden Zahlung noch versaumen wird, 5 ß idq. ref. exp. zu erlegen.
Nach gebettenen und erhaltene Verzeichnus, habe derselbe den 21. aug. h. eine appellations Klage sub lit A. übergeben, und gebetten Zu erkennen, daß in primâ instantia übel gesprochen, wohl appellirt worden, sofort die sententia a quâ ihrem völligen inhalt nach Zu infirmiren und anderwärtig zu sprechen seÿe, daß appellant unter seinem anerbiethen ihme dem appellaten für sechs tag, so er beÿ ihm gearbeitet Zu 3 ß 6 d des tags 2 R 1 ß Zu bezahlen, oder wie solches [-] nach Vorhergegangener besichtigung der von dem appellanten gemachten arbeit durch die gewohnliche gesellen schauer zu reguliren seÿn wird, bezahlen zu wollen, von allem mehreren, worinn derselbe condemnirt worden, zu [ab]solviren seÿe refusis utriusque Instantiæ expensis.
diesem entgegen habe appellat in Exceptionibus [-] vom 15.ten hujus gebetten, Zu erkennen, daß in er[ster In]stantz wohlgesprochen und übel appellirt wo[rden,] folglich die Sententia â quâ ihres völligen [Inhalts] Zu confirmiren seÿe, idq. ref. de huj. in[st. exp.] mit vorbehalt dißeitiger actionis inj[uriarum -] Auf geschehene Weißung habe der ap[pellant] contenta producto widerhohlt, appe[llaten] sich auf den inhalt seines Exceptio[nes -] (p. 477) die Hh. Depp. hätten mit besonderem unwillen wahrnehmen müßen, daß der appellant aus einem wahren pruritu litiganti den armen appellaten wegen 13. ß schuldigen und von E. E. Gericht der Maurer ihme Zugesprochenen lidlohn vor MGhh. gezogen, da doch der artickel clar daß einem Steinhauer gesellen, so lang er in arbeit stehet, des tags von dem Meister 5 ß gereicht werden sollen, weßwegen die Hh. Depp. dafür gehalten, daß Zwar in erster instantz puncto der 3. R. 4 ß Vor Lidlohn gesprochen die angesetzte und von dem [appellaten] begehrte Dommages et interêts auf 3 R. [zu moderiren] seÿen, welche beede Summen zusammen [6 ß 4 ß aus mac]hend, der appellant dem appellaten [sub ipsa execution]e refusis expensis zu bezahlen [schuldig seÿn solle. Erkan]dt, bedacht gefolgt.

(p. 535) Montags den 27. Sept. 1773. (Bescheid)
In Sachen Johann Christoph Schneider, des steinmetzen und burgers allhier, appellanten ane einem, entgegen und wider Benedict Koch, den Steinhauer gesellen Von Altried appellaten, am andern theil, auf producirten Gerichts: bescheid, vermög deßen der appellant in contumaciam condemnirt worden, dem appellaten den geforderten Lohn laut Artickels des tags Zu 5 ß und für jede Stünde über den Feÿerabend 8 d also in allem für 6 tag 3 R 4 ß Zu bezahlen, so dann deselben für jeden Tag, so er dieß fals versaumet, der ins künffrige is zur beschehenden Bezahlung annoch versaumen wird, 5 ß idque ref. Exp. zu erlegen. Interponirte und verzeichnete appellation, übergebene unterthänige appellations Klag mit beÿl. sub Lit. A. juncto petito, wir geruheten Zu erkennen, daß in primâ instantia übel gesprochen, wohl appellirt worden, sofort die sententia a quâ ihrem völligen Innhalt nach Zu infirmiren und anderwärtig zu sprechen [seÿe], daß appellant unter seinem anerbi[ethen ihme] dem appellaten für sechs tag, so er [beÿ ihm] gearbeitet, Zu 3 ß 6 d des tages [2 R 1 ß Zu] bezahlen, oder wie solches auch [nach Vorher]gegangener besichtigung der von [dem appellant]en gemachten arbeit durch d[ie gewohnliche] Gesellenschauer Zu reguliren [seÿn wird, be]zahlen zu wollen, von allem [mehreren, worinn derselbe condemnirt w[orden, zu] absolviren seÿe, refusis utriusque [Instantiæ expensis. -] (p. 537) vorgelegte Exceptiones samt beÿgefügtem bitten, wir geruheten zu erkennen, daß in erster Instanz wohl gesprochen, übel appellirt worden, folglich die sententa a quâ ihres völligen Innhalts Zu confirmiren seÿe, idque ref. et hujus inst. exp. mit vorbehalt dißseithiger actionis injuriarum gebettene, bewilligte und beseßene Deputation, auch all übrig der Parten angehörtes Vor: und Anbringen, ist der Herren Deputirten abgelegten relation nach Erkannt, daß Zwar in erster Instanz wohl gesprochen puncto der dreÿ Gulden, vier Schilling vor Liedlohn, die angesetzte und von dem appellaten begehrte dommages et interets aber auf 3. R. zu moderiren seÿen, welche beede summen Zusammen 6 ß 4 ß aus machend, der appellant dem appellaten sub ipsa executione, refusis in ambabus instantiis expensis zu bezahlen schuldig seÿn solle.

Les Quinze ont condamné Jean Christophe Schneider pour désobéissance envers le prévôt : il devra présenter ses excuses et payer une amende. Jean Christophe Schneider ne se rend pas à la séance à laquelle il a été convoqué. Il obtempère à la convocation suivante, présente ses excuses mais refuse de payer l’amende. Le conseil décide de poursuivre l’affaire.

1774, Protocole des Maçons (XI 240)
Johann Christoph Schneider schuldige Abbitte
(p. 183) Sontags den 9.ten dicti Mensis [Januarÿ] Meister Johann Christoph Schneider der Steinmetz wurde auf Ansuchen des Herrn zunfft meister citirt, um in gefolg des, den 4.ten Decembris letzthien beÿ Gnädigen Herren den Fünffzehen eingegangenen bescheids wegen dem gegen dem hochgebietenden Herrn Oberherrn bezeugtem Ohngehorsam, die schuldige abbitte deßhalben zuthun und um die aufgelaufene Uncosten warein er condemnirt worden Zuerlegen.
Ille ist ohnerachtet seiner Ehefrauen das Gebott durch der Zunfft Haubt Kanden angelegt worden dennoch nicht erschienen.
Erkandt, solle demselben beÿ nechster Gerichts Session sich einzufinden und erwehntem bescheid ein Genügen Zuleisten gebetten werden.
(p. 196) Dienstags den 12.ten Aprilis – Meister Johann Christoph Schneider, der Steinmetz allhier wurde abermahlen durch den herrn Zunfft meister vorbeschieden, um dem von Gnädigen Herren den Fünffzehen den 4.ten Decembris letzthin eingegangenen bescheids Parition zu leisten und wegen bezeugtem Ohngehorsam gegen dem hochgebietenden Herrn Oberherrn dermahlen beÿ E: E: Gericht abbitte zu Thun und due Uncosten Zubezahlen.
Nach deme derselbe erschienen, hat er Zwar die abbitte gethan, die Uncosten aber zu erlegen refusirt.
Dahero dem vorjährigen Herrn Zunfftmeister Herrn Rathherrn Guerin aufgetragen worden, die nöthigen Poursuitten zu machen, damit er Meister Schneider die aufgelauffene Uncosten ehestens zu entrichten obrigkeitlich angehalten werden möchte.

Jean Christophe Schneider meurt en 1775 en délaissant des héritiers collatéraux, dont les enfants de son frère Georges Philippe Schneider, maître maçon à Strasbourg. L’inventaire est dressé dans la maison place des Moulins. La masse propre à la veuve est de 436 livres, celle des héritiers de 317 livres. L’actif de la communauté est de 1 541 livres, le passif de 766 livres. Le défunt a fait son testament quelques semaines avant sa mort dans la maison place des Moulins, propriété des Zorn de Plobsheim

1775 (3.10.), Me J. Henri Thenn (6 E 41, 747) n° 238
Inventarium über Weÿland des Ehren und Wohlvorgeachten H. Johann Christoph Schneider geweßenen Steinmetzen und Maurer Meisters auch burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seelig Verlassenschafft, auffgerichtet Anno 1775. – nach seinem Mittwochß den 20.ten Septembris instehenden 1775.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hientritt zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehren und tugendsahmen frauen Mariä Salome Schneiderin gebohrner Geroldin, des hinterbliebenen wittib unter assistentz Hn Johann Jacob Gerold des Statt Caminfegers und burgers allhier ihres eheleiblichen bruders, den Sie ane Vogts statt zu ihrem beÿstand hierzu angesprochen, wie auch des Verstorbenen seelih nochlebende Schwester Verstorbener Brüder und Schwester seelig hinterlaßener Kinder – So beschehen Straßburg Donnerstags den 26. Octobris Anno 1775.
Der Verstorbene selig hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt. Erstlichen Weÿland Jacob Schneiders, geweßenen Weingärtners zu Benningen Ludwigsburger Oberamts Hertzoglich Würtenbergischer Herrschafft hinterlaßene ehelich erziehlte dreÿ Söhn 1. Christoph Schneider, Reebmann zu gedachten Benningen, 2. Johannes Schneider ebenmäßigen reebmann daselbst, 3. Johann Georg Schneider auch reebmann alda, welcher beÿ dießem geschäfft sowohl vor sich selbsten alß auch vorgedachten Christoph und Johann Schneider nebst Jacob Walter dem Kunstgärtners in der Hertzoglich Würtenbergischen Residentz Statt Stuttgard Zufolg producirten Vollmacht de dato Benningen den 16. Octobris 1775. alß Mandatarius zu gegen geweßen. Vor dieße dreÿ nechstbesagte wie auch herrn nachgemelte samtliche ohnverburgerte und abweßende Erbe, (…) der Ehrenvest und Wohl vorachtbare H Johann Michael Hirschel Fischen Käuffer und E. E. Kleinen raths dermahlen wohlverdienten beÿsitzers abgeordnet worden, welches auch in solcher qualitæt hiebeÿ erschienen.
Zweÿtens weÿland H Johann Schneiders geweßenen Schultheißen Zu Beihingen am Neccar Hertzoglich Würtenbergischer Herrschafft hinterlaßenen ehelichen Sohn und tochter 1. H. Johann Schneider, Schultheißen Zu gedachtem Beihingen in deßen Nahen Vorgemelten Johann Georg Schneider der reebmann zu Binningen (…) und 2. Frau Annam Mariam gebohrner Schneiderin Georg Friderich Kleiners des Zeugmachers zu Bidigheim an der Entz Würtenbergischer Herrschafft eheliche haußfrau.
Drittens weÿl. frauen Annä Mariä Hirtlerin gebohrner Schneiderin und auch weÿland Johann Marx Hirtlers dem geweßenen reebmanns Zu Hohenems Würtenbergischer Herrschafft hinterlassene ehelich erziehle zwo töchter 1. Jgfr. Margaretham Hirtlerin deren geordneter Pfleger oder Vogt ist Christoph Kühnle der reebmann zu mehrbesagtem Benningen, in dessen Nahmen offt vorgemeldter H Jacob Walter der Kunstgärtner zu Stuttgart und Johann Georg Schneider alß bevollmächtigter zugegen waren, 2. Jgfr. Dorotheam Hirtlerin so sich dißen orts in doensten befindet und unter assistentz erstgemelten Johann Georg Schneiders dießem geschäffr beÿwohnete.
Viertens weÿland Johann Caspar Schneiders, geweßenen Weingärters zu mehrgedachtem Benningen Würtenbergischer Herrschafft ehelich erziehlte hinterlassene dreÿ Kinder 1. Jacob Schneider den Ackersmann zu Romansweÿler beÿ Waßlenheim so in Persohn dießer Inventire beÿwohne, 2. Frau Mariam Barbaram gebohrne Schneiderin Matäus Maÿerle des Schulmeisters auf dem hertzoglich Würtenbergischen Lustschloß Solitut Ehefrau und 3. Johann Schneider ledigen ackersmann zu Zuffenhaußen Ludwigsburger Oberamts Würtenbergischer Herrschafft, deßen Pfleger der Vogt ist Jacob Stortz Reebmann zu mehrbesagtem Benningen in deßen Nahmen Vorgemelter H Jacob Walter der Kunstgärtner Zu Stuttgart und Johann Georg Schneider alß bevollmächtigte dem Geschäfft abwarteten.
Fünfftens weÿland H Georg Philipp Schneiders geweßenen Steinhauers und Maurer Meisters auch burgers allhier Zu Straßburg seelig in zwoen Ehen erziehlte dreÿ Söhne 1. Georg Philipp Schneider leedigen Steinhauer so sich schon viele Jahr in der fembdte befindet, deßen geordnet und geschworener Vogt H Georg Friedrich Walter der Steinmetz und Maurermeister auch burger dahier so hiebeÿ erschienen, 2. Johann Christoph Schneider leedigen Steinhauer so sich dermahlen in Königlichen frantzösischen Kriegs diensten unter dem Löblichen regiment Bouillon genand, befindet. Dieße beede Söhne hat gedachter H Georg Philipp Schneider seelig in erster Ehe mit weÿland frauen Anna Catharina gebohrner Huckin erziehlt und 3. Jacob Schneider, den derselbe in zweÿter Ehe mit fraun Maria Elisabetha gebohrner Tornariußin seiner hinterbliebenen Wittib erzeuget, deßen geordnet und geschworenen Vogts der dißorts abgeleibte seelig war, deme aber annoch beÿ seiner lebzeiten alß ein Streit Vogt Zu geordnet worden S.T. H. Johann Georg Rößel Notarius publ. jurat. und Practicus allhier, welcher auch annoch ohnentledigt und dießes Curandi Interresse biß daher besorget mithin in solcher qualitæt dießem geschäfft beÿwohnt
So dann Sechstens Annam Margaretham Walterin gebohrner Schneiderin Conrad alters des gärtners Zu Kornwestheim Würtenbergischer Herrschafft eheliche haußfrau, in deren Nahme dero ehelicher Sohn offt Vorgedachter H Jacob Walter der Kunstgärtner dißer Inventation abgewartet. Alle des Verstorbenen seelig noch lebende Schwester und Verstorbener Bruder wie auch Schwester seelig hinterlassene Kinder
Bericht gegenwärtigen Inventarÿ. Es seind beede im leben geweßte Eheleuth gegen end des Monaths Aprilis 1736. copulirt worden und weilen Sie in ihrer den 27. Aprilis erstbesagten Jahrs errichteten und vorher copeÿlich eingetagenen Eheberedung dero zweÿten puncten unter andern wohlbedächtlich abgeredet und verglichen, daß alles das jenige so Sie ane Zeitlicher Nahrung einander in den Ehestand Zubringen werden, einem Jeeder und seinen Erben Vor ohnverändert und vorbehalten seÿn, mithin das davon abgehende zu seiner Seit wieder ergäntz werden solle, so hätte auch dazumahlen das zusammen gebrachte Vermögen inventirt werden sollen, da aber solches ist unterlaßen worden, so hat man sich anietzo wegen der Hinterbliebenen Wittib ihres etwa in die Ehe gebrachte Nahrung nach dem über weÿland Meister Christian Seitz des geweßenen Maurers und Steinhauers auch burgers allhier zu Straßburg ihres erstern Ehemanns seelig Verlaßenschafft durch weÿland H Notarum Christoph Michael Hoffmann seelig den 28. Junÿ 1735. mithin ohngefähr Zehen Monath Vor ihrer dißortigen Verehelichung augerichteten den 5.ten et 7.ten Septembris solchen Jahrs auf löblicher Statt stall und beÿ Einem Löblichen Vogteÿ gericht abgehandelten und producirten Inventario zu richten Keine bedencken betragen (…)

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Plöhnel beÿ den Mühlen gelegenen dißorts Lehnungs weiß bewohnenden behaußung befunden worden, wie folgt
Abzug in gegenwärtig Inventarium. Der Wittib ohnveränderten Vermögens, Sa. hausraths 55, Sa. Silbers 7, Sa. goldener Ring 25, Sa. activ Schuld 25, Sa. Erg. 337, Summa summarum 436 lb
Dießemnach wird auch derer Erben ohnverändert guth beschrieben, Sa. hausraths 42, Sa. Ergäntzung 300, Summa summarum 342 lb – Schulden 25, Nach deren Abzug 317 lb
Endlichen folgt auch das gemein Verändert und theilbahr guth, Sa. haußraths 118, Sa. Schiff und geschirr wie auch Stein und Materalien Zur Steinhauer und Maurer profession 108, Sa. Leerer faß 3, Sa. silbers 21, Sa. der baarschafft 261, Sa. Pfenningzinß und deren hauptgüter 355, Sa. activ schulden 673, Summa summarum 1541 lb – Schulden 766 lb, Nach deren Abzug 774 lb
Stallsumm 668 lb
Copia der Eheberedung (…) den 21. Aprilis 1736, Christoph Michael Hoffmann
Copia des von dem Verstorbenen seelig vor mir Notario und gezeugen gestiffteten Codicilli (…) zu sich in eine allhier zu Straßburg ane dem Plöhnel beÿ denen Mühlen gelegener denen hochadelichen Herrn Zorn Von Plobßheim zuständigen Behaußung beruffen (…) in dem einer Steeg hoch befindlichen immer mit denen fenstern in den Hoff gegen dem Waßer zu außsehend zwar Krancken dahero zu bette liegenden Leibs jedoch aber von verleihung göttlicher gnade beÿ perfecten richtigen Sinnen Vernunfft und Verstand (…) – Straßburg Freÿtags de, 15. Septembris Anno 1775 Nachmittags zwischen zweÿ und dreÿ und Vier Uhr

Vente mobilière l’année suivante

1776 (18.3.), Me Stoeber (6 E 41, 1236) n° 12
Verkauf und Erlöß Register wie auch Erörterung Concept Weiland des Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Christoph Schneiders, gewesenen Steinmetzen und Maurermeisters auch burgers allhier zu Straßburg nunmehr seelig Verlaßenschafft

La veuve Marie Salomé Gerold meurt sans enfant en 1777 dans la même maison qui appartient aux Zorn. L’actif de la succession est de 1 027 livres, le passif de 276 livres.

1777 (13.6.), Me Stoeber (6 E 41, 1237) n° 67
Inventarium über Weiland der Ehren und tugendreichen Fraun Mariä Salome Schneiderin geb. Geroldin, auch weÿl. des Ehren und vorgeachten H. Johann Christoph Schneider gewesten Steinmetzen und Maurermeisters aucj brs. allhier hinterbliebener Fraun Wittib Verlassenschafft, auffgerichtet Anno 1777 – nach ihrem donnerstags den 5.ten Juny dieses laufenden 1777.gsten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen Hintritt verlaßen, Welche succession auff geziemendes ansuchen, Erforden und begehren der abgeleibten zufolg hernach copeÿlich einverleibten Testamenti solennis inscriptis clausi instituirten und hinterlaßenen Universal Erbens nahmens H. Johann Jacob Gerold Stadt Caminfegers u. brs allhier, so in Ehe begriffen mit Fr. Catharina Elisabetha geb. Abtin inventirt und ersucht durch ihne den Erb und Dorotheam Hirtlerin, welche beÿ der verstorbenen bis an der tod in diensten gestanden – So geschehen Straßburg Freÿtags den 13. Junÿ Anno 1777

In einer allhier Zu Straßburg auf dem Plönel gelegenen denen Edlen von Zorn Zuständigen und dißorts zum theil lehnungsweise bewohnenden behausung befundern worden wie folgt
Wÿdem, Welchen die Abgeleibte von ihrem verstorbenen Ehemann bis an dero Lebens Ende genoßen hat
Norma hujus inventary. Sa. hausraths 70 lb, Sa. Silber geschmeids 3 lb, Sa. pfenningzinß und deren hauptgüter 943 lb, Sa. activorum 11 lb, Summa summarum 1027 lb – Schulden 276 lb, nach deren abzug 751 lb – legaten 367 lb – Stall summ 836 lb
Copia des von deer abgeleibten mir den 28. Februarÿ 1777 verschloßen untertrauten Testamenti solemnis in scriptis (…) vor das andere setze zum wahren einzigen u. rechtsmäßigen Erben meiner nach Abzug kundlicher passiv-schulden u. hernach verschafften Legaten im Rest verbleibende Nahrung und Güther ein meinen nach lebenden geliebten bruder herrn Johann Jakob Gerold Stadt Kaminfeger und burger allhier (…). Drittens legire Jungfer Dorotheæ Hirtlerin welche bißher beÿ mir in diensten gestanden (…). Vierten vermache weiland H. Johann Joachim Gerold gewesenen Stadt Kalminfegers und burgers allhier meines bruders jetzlebende vier Kindern (…) Vor das Fünffte bestimme ich weil. Herrn Johann Georg Gerold gewesenen Stadt Kaminfegers u. burgers alhier meines gewesenen Bruders hinterlaßenen 4. Kindern (…) So dann Zum sechsten sollen H Johannes Gerold Gastgeber Zum Gertenfisch mein Neveu und H. Kammerer des weinhändlers Ehefrau meine Niece beede Geschwisterde (…)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.