Henri Israël Reinbold, maître maçon, et (1708) Marie Rosine Rothenbach, veuve du pâtissier Nicolas Litsch – luthériens


Originaire de Benderothen (Benderoth en Basse-Saxe), le tailleur de pierres Henri Israël Reinbold épouse en février 1708 Marie Rosine Rothenbach, veuve de Nicolas Litsch. Il devient bourgeois en mars 1708 et tributaire chez les Maçons quelques jours plus tard. Les Quinze l’autorisent en 1711 à faire son chef d’œuvre bien qu’il soit marié. Henri Israël Reinbold demande en avril à faire son chef d’œuvre qu’il présente une quinzaine de jours plus tard. Les examinateurs qui relèvent plusieurs défauts demandent au candidat de revoir une partie de son travail. Comme les corrections leur donnent toute satisfaction, ils reçoivent le candidat maître sans restriction.
Henri Israël Reinbold meurt en 1722 en délaissant quatre filles. L’actif modeste (335 livres) ne suffit pas à payer le passif de 441 livres. La veuve Marie Rosine Rothenbach meurt en 1724 en délaissant une fille de son premier mariage et quatre de son deuxième.

Maisons en propriété
1715, rue de la Fonderie (III 341, actuel n° 6), acquise de son beau-père, le maçon Philippe Biber


Originaire de Benderothen (Benderoth en Basse-Saxe), le tailleur de pierres Henri Israël Reinbold épouse en février 1708 Marie Rosine Rothenbach, veuve de Nicolas Litsch

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 187, n° 839)
1708. Eod. [Mittwoch den 29. febr.] Seind nach 2.mähl. Proclamation, ehl. copulirt worden Heinrich Israël Reinbold der ledige Steinhauer wohnhaft Reinbold b. und Leinenw. Zu Benderothen ehl. Sohn und fr Maria Rosina, weÿl. Niclauß Litschen gew. burgers u. Pastetenbecks Hinterl. wittib [unterzeichnet] Heinrich Israel Reinbold als Hoch Zeiter, Maria Rosina Litzin (i 186)

Fils de contremaître au chantier des charpentiers, le pâtissier Jean Nicolas Litsch épouse en 1700 Marie Rosine Rothenbach, fille du chantre Samuel Rothenbach (et belle-fille du maçon Philippe Biber)
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 106)
1700. Mittw. d. 21. April wurd. nach ord.tlichen außruff. copulirt Johann Niclaus Litsch d. led. Pastetenbeck v. B. allhier Hanß Niclaus Litschen des B. v. Waßer Meisters auff hießiger Statt Zimmerhoff ehl. sohn v. J. Maria Roßina weil. Hn M. Samuel Rothenbach geweßenen Cantoris beÿ dießer New. Kirch. nachgelaß. ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Nicolaus Litsch Als Hochzeiter, Maria rosina rothen bächin Als hoch Zeiterin (i 105)

Henri Israël Reinbold devient bourgeois en mars 1708 par sa femme Marie Rosine Rothenbach (le nom de localité de Benderothen est raturé et se lit à peu près Bindenwenden, Rothenbach est transcrit Rockenbach)

1708, 4° Livre de bourgeoisie p. 769
Heinrich Israel Reinbold d. Maurer V. Bindenwenden*, empfangt d. burgerrecht V. seiner Fr. Maria Rosina Rockenbachin p 2. GoldR. 16. ß. wird beÿ E. E. Zunfft der Maurer dienen. Jur. d. 10. Martÿ 1708.

Henri Israël Reinbold devient tributaire chez les Maçons quelques jours plus tard

1708, Protocole des Maçons (XI 234)
Dienstags den 17.to Aprilis 1708. (f° 66) Neu Zünfftiger – Heinrich Israel Reinbold, erscheind vnd producirt schein auß der Cancelleÿ auch d. St. St. Stall und H. den Mstr Vnterschrieben bescheind d. er den 10.to Martÿ A° 1708. Vor einen burger angenommen, bittet Ihne auch Vor i. Zünfftig. aufzunehmen.
Erk. und gegen erlag der gebühr Willfarth [in margine :] Pf. 1 lb, Zfft 1 lb 5 ß, Zfftsch. u. büttel 4 ß, 2 lb 9 ß

Les Quinze autorisent Henri Israël Reinbold à faire son chef d’œuvre bien qu’il soit marié. (Quoique les documents manquent, l’affaire doit avoir suivi sa procédure habituelle : comme la demande est contraire au règlement, le Corps des maçons renvoie le pétitionnaire aux Quinze qui accordent la dispense d’autant plus facilement que les Maçons n’ont aucune objection)

1711, Protocole des Quinze (2 R 115)
(f° 60) Sambstags den 7.t Martÿ 1711. Heinrich Israel Reinboldt Ce. E. E. Zunfft der Maurer – Heinrich Israel Reinboldt der Maurer und burger allhier per Kun. gtra. E. E. Zunfft der Maurer Ober meister, weilen principalis das Meisterstück im verheuratheten stand Zumach. willens, alß bittet underth. ihne dispensando ein solches gnd. Zu erlauben.
H. Citatus præsens setzt die dispensation Zu Mghh. bittet aber der laden eingedenck zu sein. Erk. Wirdt gegen erlag 1 lb d in dießer sach dispensirt.

Henri Israël Reinbold demande en avril 1711 à faire son chef d’œuvre qu’il présente une quinzaine de jours plus tard. Les examinateurs qui relèvent plusieurs défauts demandent au candidat de revoir une partie de son travail. Le deuxième examen satisfait pleinement les examinateurs qui reçoivent Henri Israël Reinbold maître sans restriction

1711, Protocole des Maçons (XI 246, chefs d’œuvre)
Heinrich Israel Reinbold, 11.a, 12.a et b
(f° 11-v) Freÿtags den 17.ten Aprilis A° 1711 seind die Vier pro dieses Jahr geordnet: und geschworene Meisterstück schauer abermahlen zusammen Kommen.
Heinrich Israel Reinbold, der Verheurathete Maurer und Steinhauer, bescheind und meldet, daß Ihme Von Vnßern gnäd. Herren den XV.rn gegen erlag 1. lb. d. in die handwerckslad, gnäd. vergönstiget worden seÿe, das Meisterstück zu machen, bittet derowegen Ihme das Maaß darzu zugeben.
Erkand und Willfarth.

(f° 11-v) Sonnabends den 2.ten Maÿ A° 1711 ist in in gegensein die Hoch Edelgeachten Herrn Obmann & Von denen offt und Vielgerührten Vier beaÿdigten Meisterstückschawern nächstegemelten Heinrich Israel Reinbolds, des Maurers und Stheinhawers, Prob: und Meisterstück Zum 1.t mahl besichtigt v. folgendermaßen befunden worden.
Der Erst: ander: und dritte Stock – In diesen Stöcken seind die Schneckentritt gantz Vngleich außgemeßen, in dem allezeit einer breiter alß der ander.
der Kleine auftrag – Dießer ist gantz und gar Verwerflich, Vrsach, weilen 1° in der ersten Stockhöhe zween tritt zuwenig, maßen Sie darüber herauß stechen sollen, 2. Weilen Er überhäng gemacht, so nicht bräuchig, 3. Weilen der Kleine aufftrag so weit Vom Schnecken und 4.to Weilen die Stafflen über das dach hinauß gehen.
Der große Auftrag – Ist Zufragen, Warumb Er den fahnen ahne thuren angeditten und warumb Er wider ordnung den hindern gäbel an den baw gemacht.
Der Große Schnecken auftrag – In diesem seind in den Stafflen zween tritt Zuwenig, Vnd daß dahero, weilen Er den Zweÿten Vor den Ersten Stock genommen.
Erk. daß derselbe den Kleinen auftrag, beneben dem großen Schnecken auftrag, anderster machen soll, und Wann solches geschehen, so soll alß dann auch gesprochen werden was recht sein wird.

(f° 12-v) Mittwoch den 6.to Maÿ, A° 1711. hat hierüber gedachter Heinrich Israel Reinbold, den Stuckmeister, Ihro herrn Er. dem herrn Obmann und denen Vier geschworenen Meisterstück schawern das Jenige, so Er nachzubeßern gehabt, Vorgelegt, mit freundlicher bitt, daßelbige zu examiniren, und darauf zusprechen was recht ist.
Alldieweilen nun der besichtigung sich eraügnet, daß solches der gebühr nach Verbeßert worden, alß ist darauff Erk. daß derselbe nicht allein Vor ein Meister auf und angenommen, sondern auch Würcklichen Von dato an das Völlige Meisterrecht genüßen und deßen berechtiget sein solle.
Le vendredi 17 avril 1711 se sont réunis les quatre examinateurs jurés des chefs d’œuvre nommés pour l’année en cours.
Le maçon et équarrisseur célibataire Henri Israël Reinbold comparaît en disant que les Quinze de cette ville l’ont autorisé à faire son chef d’œuvre à condition de verser la somme d’une livre dans la caisse du Corps des maçons. Il demande ensuite qu’on lui donne les mesures.
Décision, accord.

(traduction) Le samedi 2 mai 1711, en présence de l’honorable prévôt, les susdits quatre examinateurs jurés des chefs d’œuvre nommés pour l’année en cours ont inspecté pour la première fois le chef d’œuvre qu’a réalisé ledit maçon et équarrisseur Henri Israël Reinbold et ont noté ce qui suit.
Premier, deuxième et troisième étage – L’escalier de ces étages a des marches de dimensions inégales du fait que l’une est toujours plus large que la précédente.
Petit projet – Il est absolument mal fait du fait que 1) il manque deux marches au premier palier puisqu’elles le dépassent, 2) il a fait des surplombs contrairement à la coutume, 3) le petit projet dépasse de beaucoup l’escalier et 4) les marches vont au-delà du toit.
Grand projet – Demander pourquoi il a dessiné un drapeau sur les portes et pourquoi il a représenté le pignon arrière du bâtiment contrairement au règlement.
Grand projet d’escalier – Il manque deux marches à l’escalier du fait qu’il a mis le deuxième étage avant le premier.
Décision, le candidat doit refaire le petit projet et le projet de grand escalier. Une fois que ce sera fait, on délibérera en décidant ce que de droit.

Le mercredi 6 mai 1711, le susdit candidat Henri Israël Reinbold a présenté le travail qu’il devait refaire au prévôt et aux quatre examinateurs jurés en les priant de l’inspecter et de conclure ce que de droit.
Comme l’inspection a montré que le travail a été amélioré comme il se doit, ils ont décidé que le candidat non seulement est reçu maître mais qu’il jouira de ce jour de toutes les prérogatives d’un maître et qu’il pourra les exercer.

Henri Israël Reinbold meurt en 1722 en délaissant quatre filles. La veuve déclare qu’elle n’a passé aucun contrat de mariage avec le défunt et qu’il n’a pas non plus été dressé d’inventaire après la mort de son premier mari dont elle a eu une fille, citée à l’inventaire pour conserver ses droits. Les experts estiment la maison 325 livres. La masse propre à la veuve est de 15 livres. L’actif de la succession s’élève à 335 livres, le passif à 441 livres. L’inventaire cite les biens dont la jouissance revient d’une part à Marie Madeleine Adam née Litsch et d’autre part à Philippe Biber, beau père de la veuve

1723 (16.4.), Me Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 6) n° 59
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, so weÿl. der Ehrengeachte Meister Heinrich Israel Reinbold geweßener Steinhauer und Maurer auch burger allhier Zu Straßburg nach seinem den 1. Martÿ des nechsthin gelegten 1722.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödt. hintritt, Zeitlichen hinder sich verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehrengeachten Meister Joseph Nagels Schumachers und burgers allhier als geschwornen Vogts Mariæ Ester, Catharinæ Barbaræ, Mariæ Salome und Annæ Rosinæ der Reinboldtin, aller 4. des Verstorbenen seel. mit hernach ernandter seiner Kinder und ab intestato Verlaßener Erben, inventirt durch die tugendsame Fraw Mariam Rosinam Reinboldin gebohrne Rothenbachin, die hinderlaßene Wittib mit beÿstand Meister Johann Jacob Spöttnagels bürstenbinders und burgers allhier, deroselben geordneten Vogts, wie auch Annam Elisabetham Litschin Ihr der Wittib mit Weÿl. dem Ehren und Vorgeachten herrn Johann Niclaus Litschen Pastetenbecken und burgers alhie, deroselben ersterem Ehevogten seel. ehelich erzeugte tochter – So beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein des Ehrengeachten Meister Georg Andres Roth.bachs Schuemachers v. b. alh. der Wittib tochter ersterehe erbettenen beÿstandts auff Freÿtag den 16. Aprilis A° 1723.
Bericht wegen dießer Verlassenschafft. Es ist hiebeÿ mit wenigem Zuberichten daß alß man Zu gegenwärtiger Inventation geschritten und nach der Eheberedung gefraget, die hinderbliebene Wittib Zur antwort ertheilet, daß Sie weder mit dero letsterm noch erstem Ehevogten seel. eine Eheberedung auffgerichtet auch auff absterben Ihres erstern Ehemanns seel. deßelben Verlassenschafft, indeme sie sehr gering ware, nicht inventiret worden seÿe, dahero mann dann das Jenige, was Von Ihro der Wittib in die Ehe gebrachten und wehrender Ehe ererbten Posten annoch in natura Vorhanden, deroselben wiederumb Vor ohnverändert Zugeschrieben, auch dero tochter erster Ehe Von Ihrer Großmutter und baasen seel. ererbtes Guth separirt, übriges alles aber unter einer Massa Vor theilbahr inventirt.

In einer in der Statt Straßburg ane der so genandten Claræ gaß gelegenen in dieße Verlassenschafft gehörigen und hernach beschriebenen behaußung befunden word. wie volgt.
Eigenthumb ane einer behaußung (T.) Eine behaußung, höfflein, hoffstatt mit allen Gebäuen, begriffen, rechten, Zugehörden v. Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg an St. Claræ Gaß auff dem Roßmarckt, einseith neben Schreckischen Erben, anderseit neben einem Stall dem Spital gehörig, hinden auff (-) stoßend, so über hernach stehende unter denen theilbahren passivis enthaltene daroben hafftende beschwerde eigen und durch (die Werckmeistere) inhalt Abschatzungs Zeduls Vom 16. Apr. hus. ai. Abschatzung pro 325. lb.
Wie der Verstorbene dißes hauß Von Mstr. Johann Philipp Biber, Maurern v. Steinhauern deßelben Stieff Schwähern wehrender dißer Ehe ane sich erkaufft, weißet i. teutsch pergamenter Kauffbrieff mit der statt Straßb. anhang. Cancelleÿ Contract Insigel Verwahret dat. den 9. Aprilis A° 1715. Weiter 3. Verschied. pergam. Kauffbrieff mit ermeltem anhang. Ins. corroboriret, de datis 25. Aprilis 1708. 29. Junÿ 1693. et 14. 8.bris 1675. mit alten N° 1 et 2 bemerckt und dabeÿ gelaßen.
– Abschatzung d. 16.t april aô 1723. Auf begehren Weÿland des Ehrenhafften bescheidenen Meister Ißrael Heinrich Reinbod gewesenen Maurer und Steinhauer Seel: hinter laßene wittib und Erben ist Eine behausung allhie in der Stadt Straßburg auf dem Roß Marckt im Klaren Gäßel geleg. Einseits neben Hannß Georg Stoll anderseits neben Einem Stifft: hauß Zum Spithal gehörig, welche behaußung Stuben, Kammer, Küchen, gewölbter Keller, höffel und bronnen sambt aller gerechtig Keit wie solches durch der Stadt Straßburg Geschworene Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb Sechs Hundert und Fünffzig Gulden. Bezeuchnus durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths so der Wittib unverändert, 14, Silbergeschmeids, 6 ß, Summa summarum 15. lb
Sa. haußraths so theilbar 10, Sa. theilbaren behaußung 325 lb, Summa summarum 335 lb – Schulden 441 b, Theilbares passiv onus 106. lb
Pro Nota. So Viel nun dieße letztere Von Frauen Dorotheæ Adamin gebohrner Litschin seel. herrührende Erbschafft betreffen thut, so hat solche Meister Niclaus Litsch der Waßer Zimmermann und burger allhier deroselben eheleiblicher bruder, nach inhalt hievorn angezogenen Theilregisterleins lebtägig Zugenießen deme auch Sie die tochter als deßen Enckelin, indem er solche außgelieffert, Verglichener maßen Jährlichen 100 pfund und 10 schilling pfenning Wÿdem Zinß davon reichen muß, die Großmütterliche Nahrung aber haben seithero beede eltern Zwar genoßen, allweilen sie aber mehrern theils in deme, was hievornen davon in Ergäntzung gebracht und dann einen wenig annoch vorhandenen hausrath stehet, alß hat man d. geringen zu der nahrung und weitläuffigkeit zuvermeiden, Jeede dißem Inventario à parte einzuverleiben, Vor ohnnötig erachtet.
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Mstr. Johann Philipp Biber, der ältere Steinhauer und Maurer auch burger allhier der Wittib Stieff Vatter lebtägig Zugenießen. Vermög sonderbahrer über Ihro der Wittib, Von weÿl. frauen Maria Elisabetha gebohrner Bimmlerin letztmals obgedachten Meister Johann Philipp Bibers des ältern geweßener ehelicher haußwürtin, dero geliebten Mutter seel. in Anno 1715. ererbte Nahrung, durch Herrn Notarium Johann Lobstein gefertigten Designat. Sie Frau Biberin Ihro ane dem Roßmarckt in der Bischoffsgaßen allhier einseit neben Hn Galles dem Meelmann anderseit neben dem Landspergischen hoff gelegenen und hinden auff gedachten Landtspergischen hoff stoßenden behaußung, davon man weÿl. Hn M. Samuel Silberradts geweßenen Pfarrherrn in der Neuen Kirch seel. hinderlaßener frau Wittib und Erben Jährl. 3. lb. 5 ß Zu Zinnß Zureich. und in Capital abzulößen mit 65. lb (…)

Marie Rosine Rothenbach meurt en 1724 en délaissant une fille de son premier mariage et quatre de son deuxième. L’actif de la succession s’élève à 362 livres, le passif à 464 livres. La valeur de la maison est reprise de l’inventaire ci-dessus

1724 (29. 7.bris), Me Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 8) n° 86
Inventarium und beschreibung aller der Jenig. Haab und Nahrung, so weÿl. die tugendsame Frau Maria Rosina, gebohrne Rothenbachin Meister Heinrich Israel Reinboldts gewes. Steinhauers und Maurers auch burgers allhier zu Straßburg seel. hinderlas. wittib nun auch seel. nach Ihrem den 22.ten Septembris dießes lauffenden 1724.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt, Zeitlichen hinder sich verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren dee abgeleibten seel. hinderlas. Vier töchtere und ab intestato Verlaßener Erben wie auch deroselben respectivé erbettenen beÿstandts und geschwornen Vogts – So beschehen Straßb. den 29. 7.bris A° 1724.
Die abgeleibte seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. Jungfrau Annam Elisabetham Litschin der Verstorbenen seel. mit weÿl. Hn Joh: Niclaus Litschen gewes. bastetenbeck und burgers allh. ihren erstern Ehemann längst seel. erzeugte tochter, so in die 24. Jahr alt und beneben M. Joh: Joachim Ratzen dem Schneid. v. burg. allhier ihres Mutters seel. Schwagern als hierzu insond.heit erbettenen beÿstand Zugehen waar
2. Mariam Ester, 3. Catharinam Barbaram, 4. Mariam Salome und 5. Annam Rosinam die Reinboldtin, dieße 4 mit eingangs gedachtem Mr Heinrich Israel Reinboldt ihrem letstern Ehemann seel. erzeugte 4. Kinder deren geschworner Vogt M. Joseph Nagel der Schumach. so dießem geschäfft im nahmen seiner Vogts Kind. persönlich abwartete, Also alle 5. der Verstorbenen fr. seel. erzeugte töchtere und ab intestato Verlaßene Erben.

In einer in der Statt Straßburg ane dem Claræ Gäßlein gelegenen in dieße Verlassenschafft gehörigen und hernach beschriebenen behaußung befunden word. wie volgt.
Eigenthumb ane einer behaußung. Eine Behaußung, höfflein, hoffstatt mit allen Gebäuen, begriffen, rechten, Zugehörden v. Gerechtigkeiten geleg. allhier Zu Straßb. an St. Claræ Gaß auff dem Roßmarckt, eins. neben Schreckischen Erben, anderseit neben einem Stall dem Spithal gehörig, hinden auff (-) stoßend, so über hernach stehende unter denen passivis enthaltene daroben hafftende beschwerden eig. v. dermalen, wie in Iohro der Verstorbenen seel. letztern haußwürths auch seel. Verlassenschafft Invent: de A° 1723. dh. d. St. Straßb. geschwornene werckleuthe angeschlagen dabeÿ gelaßen word. nemblichen pro 325. lb.
Wie er der abgeleibt. seel. letsterer Ehemann dießes hauß Von Meister Joh. Philipp Bibern, Maurern v. Steinh. deßelben Stieff Schwähern wehrend. seiner Ehe ane sich erkaufft, weißet i. teutscher pergamentiner Kauffbrieff mit der St. Straßb. anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel Verwahret datirt d. 9. aprilis A° 1715. dabeÿ dreÿ verschiedene perg. Kauffbrieff, mit ermeltem anhangendem Insigel corroboriret, de datis 25. aprilis 1708. 29. Junÿ 1693. et 14. 8.bris 1675. mit alten N° 1 et 2 bemerckt und dabeÿ gelaßen.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Bericht über dieße Verlassenschafft. Zuwißen seÿe hiermit demnach aus eingangs gedachten Meister Heinrich Israel Reinboldts, der Verstorbenen seel. letstern haußwürths, auch seel. durch mich Notarium Langen in Verwichenem 1723.ten Jahr auffgerichteten Verlassenschafft Inventario ersehen, daß die as deßelben Theilbahren Verlassenschafft Zubezahlen seÿend Schulden die theilbare Achtiv Nahrung gedachten Inventarÿ Anschlag nach fol: 29. fac: 2.da umb 106. lb übertreffen (…)
Sa. hausraths 36, Sa. Silbers 10 ß, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 325. Summa summarum 362. lb – Schulden 467 lb, In Vergleichung, Onus passivorum 105. lb
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Mstr. Johann Philipp Biber, der ältere Steinh. v. Maurer auch burger allh. Verstorb. Stieff Vatter lebtägig Zugenießen. Vermög sonderbahrer über Ihro der abgeleibten seel. v. weÿl. fr. Maria Elisabetha gebohrner Bimlerin letztmals obgedachten Meister Joh. Philipp Bibers des ältern gewes. ehelicher hßwürtin, dero geliebten Mutter seel. in A° 1715. ererbte Nahrung, dh. H. Not.m Joh. Lobstein gefertigt. Designation hat Sie Frau Biberin Ihro ane dem Roßm. in der Bischoffsgaßen allhier eins. neben Hn Galles dem Meelmann, and.seit neben dem Landspergischen hoff gelegene undt hind. auff gedachten Landtspergischen hoff stoßende behaußung, davon man weÿl. Hn M. Samuel Silberradts gewes. Pfarrh. in d. Neuen Kirch seel. hinderlaßener frau Wittib und Erben Jährl. 3. lb. 5 ß Zu Zinnß Zureich. und in Capital abzulößen mit 65. lb oberwehntem Ihrem hinterbliebenen Wittiber alßo zu einem lebtägig. Wÿdemb verordnet (…) in der bischoffsgaß (…)
Im Jahr 1724 (…) den Ersten Aprilis, Abendts Zwischen Sechs und Acht Uhren in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in einer, Von der Frauen Disponentin bewohnenden, in dem sogenanten Claræ gäßlein auff dem Roßmarckt gelegenen Behaußung dero obern Stueben mit denen Fenstern in besagtes gäßlein außehend (…) persönlich kommen und erschienen die Ehren und Vorgeachten Meister Heinrich Israel Reinboldts, geweßenen Steinhauer und Maurers auch burger allhier zu Straßburg nun seeligen, hinderblieben Wittib, Zwar blöden undt Krancken Leibs (…) Johann Daniel Lang


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.