Rue des Mineurs n° 13 – II 199 (Blondel), N 195 bis, N 93 (1873) puis section 72 parcelle 18 (cadastre)

Reconstruite vers 1745, Philippe Henri Hügel, chanvrier (maître d’ouvrage)
Reconstruite en 1860, Pierre de Bourdeau d’Andejos, médecin major (maître d’ouvrage)

Le numéro 13 est le bâtiment à trois étages. Vue du sud (image Fabien Romary, Archi-wiki), vue du nord (juin 2017)

Le terrain de la maison fait partie de la maison qui donne sur le Faubourg de Pierre, inscrite au nom du jardinier Jean Schott dans le Livre des communaux (1587). Plusieurs terrains en sont détachés. Celui sur lequel sera construit le n° 13 (parcelles 199 et 200 du plan Blondel) est bien localisé depuis 1636, l’obligation passée par le jardinier Jean Schott stipulant que le capital est remboursé en 1685 par le propriétaire d’alors, Thiébaut Hügel qui hérite de son père Michel Hügel la maison vendue en 1654 par Jean Schott. Il s’agit d’une petite maison pourvue de dépendances qui est estimée à 90 livres en 1713. Le chanvrier Philippe Henri Hügel recueille la maison dans la succession de son père, il vend une partie du terrain (parcelle III 200, futur n° 15) et reconstruit sa maison, estimée à sa valeur réelle (1 250 livres) lors de l’inventaire dressé après son engagement dans les troupes. Elle est estimée à 450 livres en 1752 à la mort du compagnon charpentier Simon Petzinger qui l’a achetée en 1747. La maison comprend cinq poêles et cinq cuisines selon l’estimation dressée en 1782. Le tisserand Jean Georges Krebs l’achète en 1783, son petit-fils la revendra en 1847.

Plan-relief de 1727. La maison est celle à pignon à côté de la grande cour dont une partie correspond au terrain vendu en 1745. Un bâtiment dans la cour a dû se détacher de la maquette. (Musée historique, cliché Thierry Hatt)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 7 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve à droite du repère (m’’) : bâtiment à demi-toit et deux fenêtres à chaque niveau, puis bâtiment à une seule ouverture et portail donnant sur la cour. La cour E représente en (1-2-3) le bâtiment à gauche du portail (5-6), la maison principale (3-4) à rez-de-chaussée, un étage et toiture à deux niveaux d’ouvertures. Les bâtiments (4-5-6-7) se trouvent au fond de la cour dont le côté droit (à l’est) se termine par un mur de clôture. Le plan représente en hachures les nouveaux bâtiments dont les élévations manquent.
La maison porte d’abord le n° 19 (1784-1857) puis le n° 13.

Cour E – Plan

Plan du terrain cédé par la Ville en 1860 (dossier du n° 11, cote 923 W 38)

Le médecin major Pierre Bourdeau d’Andejos achète successivement en 1860 la maison sise 27, Faubourg de Pierre dont une partie du terrain lui servira à bâtir le 11, rue des Mineurs puis l’immeuble sis 13, rue des Mineurs. Il construit au n° 11 une maison à rez-de-chaussée et deux étages et au n° 13 une autre à rez-de-chaussée et trois étages dans un style qui rappelle celui du dix-huitième siècle. Le bâtiment sur rue (n° 13) est terminé et assuré en mars 1861, les deux ailes à l’arrière vont être construites. D’après le cadastre, la maison avait 20 ouvertures jusqu’au deuxième étage avant travaux, 49 et 23 ouvertures au troisième et au-delà après travaux (1863). Pierre Bourdeau d’Andejos vend en 1865 le n° 13 en conservant le n° 11 qui a des servitudes d’ouvertures au profit de l’immeuble vendu.
La maison est légèrement endommagée par le bombardement du 25 septembre 1944. La Société civile immobilière du Faubourg de Pierre fait réparer en 1953 le bâtiment de six logements.

Millésime 1860 à l’angle coupé (image Roland Burckel, Archi-wiki)
Façade principale et coupe longitudinale (architecte Jean Fritz, dossier de la Police du Bâtiment)

avril 2025

Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1582 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

		Jean Schott, jardinier, et (1565) Marguerite Siffert – luthériens
1589	v	Jean Bentz, jardinier, et (1579) Barbe Kobler, d’abord (1568) femme du jardinier Jean Blæs, puis (1602) Agnès Müssel – luthériens
1619	h	Jean Schott, jardinier, et (1619) Agnès Müssel, veuve de Jean Bentz (ci-dessus) – luthériens
1654	v	Michel Hügel, jardinier, et (1634) Marguerite von Altenheim, d’abord (1624) femme du jardinier Paul Schott – luthériens
1670*	h	Thiébaut Hügel, remueur de grains, et (1664) Antoinette Schieler puis (1689) Anne Marie Scheer, veuve de Jean Jacques Weber, forestier à la Ganzau – luthériens
1721*	h	Jean Hügel, chanvrier, et (1704) Marie Catherine Andrès – luthériens
1742*	h	Philippe Henri Hügel, chanvrier, et (1729) Elisabeth Mathis – luthériens
1747	v	Simon Petzinger, compagnon charpentier, et (1739) Elisabeth Sebastian, d’abord (1727) femme de l’apprêteur de tabac Jean Martin Zæpffel – luthériens
1782	h	Jean Jacques Petzinger, compagnon charpentier, et (1773) Rosine Salomé Gœtz – luthériens
1783	adj	Jean Georges Krebs, tisserand, et (1772) Susanne Dorothée Baum – luthériens
1825	h	Georges Jacques Krebs, tisserand, et (1813) Christine Schwegler puis (1823) Salomé Bauer
1847	v	Frédéric Guillaume Scherf, boucher, et (1815) Sophie Reinhardt puis (1838) Catherine Salomé Krebs d’abord (1813) femme du boucher Jean Daniel Held
1860	v	Pierre de Bourdeau d’Andejos, médecin major, et (1839) Elisabeth Clémence Attala Boudhors
1865	v	Wulfran Mühe, prêtre († 1879)
1871	v	Frédéric Auguste Reumann, commis négociant, et (1868) Gertrude Wencker (enfant en 1860 avec Auguste Adolphe Zerling) remariée (1881) avec le capitaine Joseph Obach
1893	v	Frédéric Charles Schaaff, libraire, propriétaire, et (v. 1880) Henriette Mathilde Ammel
1926*	h	Frédéric Auguste Schaaff, docteur en médecine
1932*	v	La Presse réunie de quotidiens d’Alsace et de Lorraine
1942*	v	Alfred Victor Birckicht
1952*	v	Société Civile Immobilière du faubourg de Pierre

Maison détachée (1620-1637)

1620	v	Christophe Feurabend, revendeur de fruits, et (v. 1612) Appolonie Würth, remariée (1627) avec le journalier Balthasar Seifrid – luthériens
1635*	h	Jacques Gensel, revendeur, et (v 1633) Marguerite Feurabend – luthériens
1637	v	Jean Schott (supra)

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 90 livres en 1713, 450 livres en 1758, 500 livres en 1782

(1765, Liste Blondel) II 199, Simon Pfetzinger
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Betzinger Wittib, 7 toises, 4 pieds et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 195, Krebs, Georges Jacques – maison, sol – 1,75 are puis N 195 bis

Locations

1743, Balthasar Geissbaur, saucissier

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450), f° 460-v
Le jardinier Jean Schott règle 7 sols 8 deniers pour sa maison au Faubourg de Pierre (dont l’arrière donne dans la rue dite Heimburgergass, ensuite rue des Mineurs)

Aber in Steinstraßen.
Hanß Schott der Garttner hatt an seinem Hauß ein Ausstoß xxij schu lang iij schu herauß, Oben darüber ein Staucher xiij schu lang, ix Zoll herauß, Ein lehenende Kellerthüer v schu breÿt vj schu herauß, Bessert für das Niessen,vij ß viij d.

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1779, Préposés au bâtiment (VII 1418)
Les préposés autorisent le charpentier Vogt à poser un nouveau linteau au rez-de-chaussée de la maison qui appartient à la veuve Marie Elisabeth Petzinger rue des Mineurs

(f° 304-v) Montags den 20. Septembris 1779. – Fr. Maria Elisabetha Petzingerin Wittib
Idem [Mr Vogt der Zimmermann] nôe. Frauen Maria Elisabetha Petzingerin Wittib bittet Zu erlauben an dero in der Bergherren Gaß gelegenen behausung au Rez de chaussée eine Schwöll einziehen Zu laßen. Erkannt, Augenschein.

(f° 314) Mittwochs den 22. Septembris 1779. folgener Augenschein eingenommen – Fr. Maria Elisabetha Petzingerin Wittib
In der Bergherrengaß an Frauen Maria Elisabetha Petzingerin behausung, welche eine neue Schwöll ein ziehen laßen möchte. Erkannt, Willfahrt.

1788, Préposés au bâtiment (VII 1423)
Les préposés autorisent le maçon Fessler à réparer le crépi de la maison qui appartient au tisserand Jean Georges Krebs rue des Mineurs

(f° 159-v) Dienstags den 7. Octobris 1788. – Joh: Georg Krebs Leinenweber
Weiland Mr Fäßler, des Maurers Wittib nomine Johann Georg Krebs, des Leinenwebers, bittet zu erlauben an deßen behausung in der Bergherrengaß N° 15. den bestich ausbeßern Zu laßen. Erkanndt, Abweisung

Description de la maison

• 1713 (billet d’estimation traduit) La maison comprenant un bûcher et des écuries est estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 180 florins
• 1782 (billet d’estimation traduit) La maison comprend cinq poêles, cinq cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1000 florins
• 1825 (rapport d’experts)

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

1° arrondissement ou Canton ouest – Rue des Mineurs

nouveau N° / ancien N° : 6 / 19
Krebs
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages en bois médiocre état
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 59 case 4

Krebs, Georges Jacques à Strasbourg
Scherff, Frédéric Guillaume (père) boucher rue des Jardins 13 (1849)

N 195-b, maison, sol, R. des mineurs 19
Contenance : 1,75
Revenu total : 90,91 (90 et 0,91)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 25 / 20
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 254 case 2

Scherff, Frédéric Guillaume (père) rue des Jardins 29
1861 de Bourdeau d’Andejos, Pierre, médecin major rue des mineurs 13
1867 Mühé, Wolfram, prêtre à la Robertsau
1873 Reumann, August, Eigenthümer, Bergherrenstraße N° 13

N 195-b, Maison, sol, Rue des mineurs 13
Contenance : 1,75
Revenu total : 90,91 (90 et 0,91)
Folio de provenance : (59)
Folio de destination : démolie
Année d’entrée :
Année de sortie : 1861
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 25
fenêtres du 3° et au-dessus :
1861, Diminutions – Scherff F.ic Guillaume f° 254, N 195.b, maison, revenu 90, démolie en 1860, supp. en 1861

N 195-b, Maison, Rue des mineurs 13
Revenu total : 440,91 (440 et 0,91)
Folio de provenance : C.on Nlle
Folio de destination : zerstört
Année d’entrée :1866
Année de sortie : 1871
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 49 / 39
fenêtres du 3° et au-dessus : 23 / 17
1866, Augmentations – de Bourdeaux d’Andejos f° 254, N 195.b, maison, revenu 440, construction nouvelle, achevée en 1863, imposable en 1866, imposée en 1866
(N.B., maison n° 11 – 1870, Augmentations – de Bourdeau d’Andejos Pierre f° 254, N 195, maison, revenu 374, nouvelle construction, achevée en 1867, imposable en 1870, imposée en 1870

N 195-b, Maison, Bergherrengasse 13
Revenu total : 440,91 (440 et 0,91)
Folio de provenance : Rectif.
Folio de destination :
Année d’entrée :1875
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 54 / 43
fenêtres du 3° et au-dessus : 23 / 18

Cadastre napoléonien, registre 24 f° 312 case 2

Reumann August
1884 Obach Josef, Kapitän im 1.sten Artillerie-Regiment zu Bourges
94/95 Schaaf Friedrich Karl, Buchhändler

N 93, Hofraum, Haus, Bergherrengasse 13
Contenance : 1,75
Revenu total : 440,91 (440 et 0,91)
Folio de provenance :
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 54 / 43
fenêtres du 3° et au-dessus : 23 / 18

Cadastre allemand, registre 32 page 626 case 4

Parcelle, section 71, n° 18 – autrefois N 93
Canton : Bergherrengasse Haus N° 13
Désignation : Hf, Whs NG
Contenance : 1,75
Revenu : 2500 – 2800
Remarques :

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1910), compte 3275
Schaaf Karl Friedrich
gelöscht 1911

(Propriétaire à partir de l’exercice 1910), compte 3276
Schaaff Friedrich Karl und Ehefrau
1923 Schaaff Charles Emile* pour ⅓ et copropriétaires
1926 Schaaff Frédéric Auguste docteur en médecine
1932 La Presse réunie de quotidiens d’Alsace et de Lorraine
1942 Birckicht Alfred Victor
1952 Société Civile Immobilière du faubourg de Pierre
(377)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Le répertoire s’arrête au n° 18

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Bergherrengasse (Seite 12)

(Haus Nr.) 13
Wolf, Kaufmann. 01
Blümer, techn.-Eisb.-Sekr. 2
Meissner, Postsekretär. 2
Mucher, Private. 2
Tubach, Wwe. 3
Vuagniaux, Zeichner. 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 923 W 39)

13 rue des Mineurs (1860-1992)

Le maître maçon Schaub demande en 1860 au nom du propriétaire Bourdeau d’Andejos l’autorisation de construire un nouveau bâtiment pourvu d’un balcon et d’un socle ainsi que de modifier les croisées du rez-de-chaussée et du premier étage. L’angle que le propriétaire souhaite couper se trouve à l’arrière de l’alignement de même que le balcon.
La maison est légèrement endommagée par le bombardement du 25 septembre 1944. Ernest Fritsch, mandataire de la Société civile immobilière du Faubourg de Pierre, demande en 1953 l’autorisation de réparer le bâtiment de six logements endommagé par faits de guerre (architecte Jean Fritz, entreprise Seybold, rue de l’Anneau à Cronenbourg). L’architecte Guy Hauptmann transforme les combles selon les plans qui ont été refusés en 1983.

Comptoir populaire pour l’industrie, le commerce et l’agriculture (1921)
Agence Globus (Eugène Burger, vente d’immeubles et de fonds de commerce, 1932)
Revue illustrée Der Sonntag (1934)

Sommaire

• 1860 – Le maître maçon Schaub (4, quai Saint-Jean) demande au nom du propriétaire Bourdeau d’Andejos l’autorisation de construire un nouveau bâtiment pourvu d’un balcon et d’un socle ainsi que de modifier les croisées du rez-de-chaussée et du premier étage, selon le plan joint (manque).
  Remarque de l’agent voyer « L’angle dbc (maison n° 13, voir le plan) que le pétitionnaire désire couper sera en retrait de l’alignement et le balcon projeté sur ce pan coupé serait dans l’intérieur de la propriété du Sr de Bourdeau d’Andejos. ». Remarque de l’ingénieur municipal « Les encadrements des baies à modifier conserveront leur saillie actuelle. Le socle aura au maximum 0 m 10 de saillie sur le nu du mur. »
• 1889 – L’entrepreneur A. Mertz (16, rue du Faubourg de Pierre) demande au nom du propriétaire Christophe, maître serrurier, l’autorisation de réparer le crépi et de repeindre la façade. – Autorisation de ravaler le n° 13 – En marge, Travaux terminés non au n° 13 mais au n° 15
• Commission contre les logements insalubres – 1905. Les logements sont bien tenus. Les cabinets d’aisance ne sont pas assez aérés, ils ne sont pas raccordés aux canalisations – Th. Wagner atteste que les travaux seront faits avant juin 1906.
  Commission des logements militaires, 1915. Remarques en 10 points. 1917, Logement Mucker
  1921. Plainte du locataire Catin (deuxième étage). La Police du Bâtiment classe la plainte
• 1917 – La commission de santé de la place constate qu’une pièce du logement Mucker au troisième étage de la maison qui appartient à Schaaf (demeurant 5, rue Brûlée) ne répond pas aux prescriptions de sécurité – Visite des lieux – Courrier au propriétaire – La pièce ne sert plus de chambre à coucher, octobre 1917
• 1921 – Le Comptoir populaire pour l’industrie, le commerce et l’agriculture demande l’autorisation de poser une enseigne – Autorisation – L’enseigne est posée.
• 1932 – Eugène Burger (1, rue d’Or) demande l’autorisation de poser une enseigne Agence Globus (vente d’immeubles et de fonds de commerce) – Autorisation
• 1934 – La Police du Bâtiment constate que la Revue illustrée Der Sonntag a posé sans autorisation une enseigne – Le gérant Camille Rothe demande l’autorisation de poser l’enseigne – Autorisation
  1940 – L’enseigne est retirée
• 1945 – La maison est légèrement endommagée par le bombardement du 25 septembre 1944. Certificat de sinistré accordé à Marie Antoinette Birckicht
• 1950 – Rapport d’incendie dû à une cheminée fissurée dans les locaux occupés par les établissements Robin (2, rue Paul Janet) – La Police du Bâtiment demande aux établissements Janet de faire faire des travaux (la cheminée repose sur des poutres en bois)
• 1953 – L’architecte J. A. Fritz (3, rue de l’Observatoire) demande de régulariser une construction faite sans permis de construire. Le bâtiment sinistré par faits de guerre menaçait de s’effondrer, les cheminées étaient en mauvais état.
  Ernest Fritsch, mandataire de la Société civile immobilière du Faubourg de Pierre, demande l’autorisation de réparer le bâtiment de six logements endommagé par faits de guerre, sis section 72 parcelle 18 (architecte Jean Fritz, entreprise Seybold, rue de l’Anneau à Cronenbourg) – Dessins – Extrait du plan cadastral. Mention manuscrite « La demande de permis de construire a été retournée à l’architecte Fritz par les service du M.R.L. avec la mention Exempt du permis de construire ».
• 1960 – Le locataire Louis Siat est incommodé par les odeurs provenant du dépôt de mazout qui appartient au sieur Haas (11, rue des Mineurs) – Après visite des lieux, la Police du Bâtiment demande à Haas de trouver un autre emplacement pour son mazout. – Le dépôt a été déplacé.
  1962 – Plainte de même nature par Louis Siat et Dillenseger. – La Police du Bâtiment déclare que l’affaire ne relève pas de sa compétence.
• 1976 – L’entreprise Schœttel et Fils (7, place Saint-Florent) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique
• 1982 – L’entreprise Pariente (72, avenue des Vosges) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique
• 1984 – François Lotz et Vincent Lotz, notaires associés à Pfaffenhoffen demandent un certificat d’urbanisme pour l’immeuble sis 13, rue des Mineurs, appartenant à la société B.G.K dont le siège se trouve 14, rue du Cormoran à Souffelweyersheim
• 1986 – Le maire délivre à Guy Hauptmann (74, rue Principale à Weinbourg) un certificat selon lequel la construction est antérieure à 1860.
• 1988 – La Direction Départementale de l’Equipement saisit le procureur de la République d’une infraction au code de l’urbanisme. Le sieur Garner, propriétaire des combles, projetait de les vendre au sieur Masseran qui a déposé une demande de permis de construire pour les aménager. Le permis a été refusé en février 1983. Suite à une nouvelle demande, le permis a été accordé en septembre 1983 mais le sieur Masseran ne s’est pas porté acquéreur. Les conjoints Pulfermüller ont acheté le bien qu’ils ont revendu en 1985 aux conjoints Bazin. L’architecte Hauptmann l’a acquis et aménagé avant de le vendre à la dame Stell en 1986. Les travaux du sieur Hauptmann ont été faits sans permis selon les plans qui ont été refusés en 1983.
• 1992 – Le maire délivre à l’Agence Europe (1, avenue des Vosges) un certificat selon lequel la construction est antérieure à 1860.

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Relevé d’actes

Le terrain fait partie de la maison qui donne sur le Faubourg de Pierre, inscrite au nom du jardinier Jean Schott dans le Livre des communaux (1587).

Jean Schott fils de Paul épouse en 1565 Marguerite, fille de Nicolas Siffert le vieux
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 47)
1565. Dominica LXX. Hans Schott paulus Schotten Son, Margreth Claus Siffriden des alten verlassene dochter, Sind Zu S. Aurelien Ingesegnet worden (i 27, février – pas à Sainte-Aurélie)

Le jardinier Jean Schott et Marguerite, fille du jardinier Nicolas Siffert, vendent au jardinier Jean Bentz et à sa femme Barbe la maison au Faubourg de Pierre donnant en partie sur la rue dite Heimburgergass

1589 (vts [xxv Octobris]), Chancellerie, vol. 264 (Registranda Kügler) f° 364-v
Erschienen Hannß Schott der gartner vnd Margred sein eheliche husfr. wÿland Claus Syferd des gartbers selig. dochter haben vnver. verkaufft
hanns Bentz gartnern vnd Barbeln seiner hußfr. weÿl. Paulus Koblers Zu schiltingk. selig. dochter Inen v Ir erben
hoff huß hoffestatt scheur Ställ m. all. Iren gebeu & geleg. In der S S voorstatt Inn Steinstraß einsyt neb. hanns dannenberg. d. wagner and.seyt neben Martin (-) dem Schloßer stosent hinden vff hanns dannberger v zum theil vff d. heymburger gaß. Dauon gnd Zwey pfund pfenning bodenzinß den halb. vff Johannis Baptiste vnd der vbrig halbtheÿll vff d heylig wyhenach. tag fallen Andres dieffenbech. Inn Schaffners wÿß, Mehr 10 guldin glts vff S Michels tag losig m 200 guld. Sw frawen Barblen herrn Melchior Junÿ Rectors der vniuersitet hußf. Item Achthalb guldin glt vff S. Jergen tag ablosig m. 150 guld. Sw Wyld Pauli groß. d. gartners selig. erben, So dann dritthalb guld. gelts vff sannt Mathys tag widerkheuffig mit 15. g Sw hanns wedler Kannengießern v dann Zwen guld gelts vf S helenen widerlosig m 40 guldin Straßburger werung d. Armen weÿß. kindern Sonst eÿg V all Rht & der Khouff bescheh vmb 219 pfund pfenning SW.

Jean Bentz le jeune épouse en 1579 Barbe, veuve de Jean Blæs.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 257)
1579. Dominica Septuagesima. Hans Bentz der Jünger vnd Barbara Hansen Blesÿ nachgelaßne Wittwe. Eingesegnet am Zinstag den 23. Februarÿ (i 134)

Le jardinier Jean Blæs épouse en 1568 Barbe, fille de Paul Kobler, de Schiltigheim
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 103)
1568. Dominica Trinitatis. Hansen Blähs d. gartner vnnd Barbara Coplers paulus v.lassne dochter von Schilcken. Eingesegnet vff Zinstag den 22. Junÿ vmb 9 vhr (i 55)

Le jardinier Jean Bentz se (re)marie en 1602 avec Agnès, fille du jardinier Mathias Müssel
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 161)
1602. Dominica 1. Adventus 28. Novemb. Hans Bentz d. gartner, Agnes Matthes Müsels des gartners Tochter. Zins. d. 7. decemb. eingesegnet (i 85)

Accord entre Jean Bentz le jeune et son beau-frère Adolphe Ohl, mari de Marie Bentz, au sujet de la succession de leur mère et belle mère Barbe Kobler
1606 (xxxj tag Martÿ), Chancellerie, vol. 366 (Registranda Meyger) f° 113
Erschienen Hannß Bentz der Jünger gartner burger Zu Straßburg
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit Ohl Adolff gartners Ane Steinstraß burgers Zu Straßburg Als eheuogt Marien Bentzin seines schwagers offentlich verÿehen
das Ihme khein gerechtigkeit gebüre Ane hienachgeschrib. gütter, so d. derselbig. gütter ermelter Marien Bentzin nach wÿland Barbell Koblerin Ihrer Mutter vnd schweÿger selig. Absterben mit dem looß Zugefallen
[in margine :] disse verschreibung Ist vß geheÿß beÿd. parth. wid. cassirt und abgethan word. Act. 22. Aprilis anno 1606.

Jean Bentz le jeune et sa femme Marthe Siffert d’une part, Adolphe Ohl et sa femme Marie Bentz d’autre part vendent leurs parts de maison à leur père et beau père Jean Bentz l’aîné

1608 (xviij tag Junÿ), Chancellerie, vol. 378 (Registranda Meyger) f° 293-v
(Inchoat. in Proth. fol: 249) Erschienen Hannß Bentz der Jünger Gartner Ane Steinstraß burger Zu Straßburg vnd Martha Sifridtin sein Eheliche Haußfrauw, So dann Ohl Adolff Auch gartner vnder wagnern Alhier Zu Straßburg vnnd Maria Bentzin sein Ehewürthin obgemelter Ehegemechten Schwager und schwester
haben unverscheidenlich verkaufft vnd Zu khauffenn geben Hannß Bentzen dem Eltern gartner Ane Steinstraß burgern Zu St: Ihrem Vatter vnd schwäher So Auch Zu gegen
den drittheil Ane dem Wÿdem, so ermelten kheüffer Vonn Weÿland Barbaræ Käbterin seiner Erster Haußfrauw selig vffgericht vnd Vermacht Vndd Also ermelten Verkäufferen Vermög vffgerichten Codicilli verfang. vnnd affectiert, vonn vnnd Ane Hiernach geschriben Hauß vnd Hoff vnd Anderthal Ackern Inn Khönigßhoffenn, daran der Zweÿtheil Ime Kheüffer Zuuor für ungetheilt Zustendig, Vnd Alles Recht & Also das & Vnnd Ist dißer Khauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 345 pfund
Vnnd sindt die gütter Nemmlich Hoff, Hauß hoffestatt, Scheür Ställ mit Allen Ihren & gelegen Inn der Vorstatt Straßburg Ane Steinstraß einseit nebent Jacob Hausell Andersit nebent Hannß Dannenbergers Witwe vnd Erben hinden vff dieselbig Witwe vnd Erben stoßend, Davon gondt Zweÿ pfund Ehrschätiges Zinß dem Barfüsser Closter Alhier, Mehr x gl gelts Ablössig mit 200 guldin Straßburg Werung Vrban Roßenberg. Inn Vogts weÿs, Item ij x ß d gelts Stendt Inn Hauptgutt mit L lb d Johann Luscher Alß Vogt Samuel Graners Khinder, Item dritthalben guldin gelts, Widerkhoüffig mit 50 guldin bemelt Werung, Hannß Wädell selig witwe Vnd Erben, Item ein pfund & gelts lössig mit xx lb d dem Weÿsen Hauß Allhier So dann j lb d widerlössig mit xxv lb dem Blatterhauß Allhier Zu St: Sunst ledig vnd Eÿg.

Jean Bentz l’aîné et Agnès Müssel vendent au journalier Jean Kilian et à sa femme Marguerite Schneider une maison rue des Mineurs à côté de leur grange. Le contrat mentionne les charges qui reviennent à l’acheteur et celles que conservent les vendeurs.

1608 (xxj tag Junÿ), Chancellerie, vol. 378 (Registranda Meyger) f° 295-v
(P. fol. 32.) Erschienen Hannß Bentz der elter gartner burger Zu Straßburg, vnnd Agneß Müsselerin sein eheliche Haußfr. hab. (verkaufft)
Kilians hannsen dem taglöhner burgern Zu Straßburg vnd Margred Schneÿderin seiner ehelich. haußwürthin
hauß vnd hoffestatt mit Allen Ihren gebeu & gelegen Inn d. vorstatt Straßburg Ane d. Steinstraß Inn des Berckherren gaß einseit neben weÿland Hannß Dannenbergers wagners selig. erb. And.sit neben der Verkhöuffern scheüren, hind. vff gemeldtes hannß dannenbergers Behausung stoßend, Dauon gnd. ij ß d. Ane Zweÿ Pfund dem Parfüsser Closter Alhier, davon die vbrig j lb xviij ß d die verkhoüffer von Ihrer Behausung darnebent geleg. Zu geben pflichtig, Sunst freÿ ledig vnd eÿg. Vnd obwol Ihr d. verkhoüffer Behausung darneben geleg. noch ferner verhafftet vmb 200 guldin geg. Vrban Rosenberg Inn Vogts wÿß, Mehr 50 pfund pfenning geg. Samuel Graners erb., Item 50 guldin gegen Hannß Wädells selig erb. Item xx lb d hauptgutt geg. dem Weÿsen Hauß Allhier, Vnd dann xxv lb geg. dem Platterhauß (vide supra fol: 294), So haben doch mehr genante Verkäufferern solche hauptgütt. Alle vff Ihr vorbehaltene Behausung darnenen geleg. gewisen vnd geschlag. dieselb. Järlich ohne der Kheuffere od. Ihren erben Zuthun cost vnd schaden Zu verzinsen vnd Abzuricht. gelopt vnd versproch. (…) Vnd Alles Rht & Also d & Vnd Ist disser Khauff vber hieuorbestimpte ij ß d erschätzigs Zinß Zugang. vnd bescheh. für vnd vmb 150 pfund
Hiebeÿ sind gewesen Hannß Bentz d. Jüng. Adolff Huck d. Jung, Hannß Bernhard alle dreÿ gartner hannß Murr schuomach.

Jean Bentz l’aîné hypothèque sa maison au Faubourg de Pierre au profit du maître des grains Josias Schoner

1612 (ut spâ [xxviij Tag Aprilis]), Chancellerie, vol. 399 (Registranda Meyger), f° 226
(Inchoat. in Proth. fol: 183.) Erschienen Hannß Bentz der Elter gartner Ane Steinstraß burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn Josias Schoners des Korn meisters der Statt Speicher Alhie – schuldig seÿe 59 pfund
Zum vnderpfand verlegt hoff, hauß, hoffestatt, scheür vnd Stall mit Allen Ihren gebeuwen & gelegen Alhier In der vorstatt St. Ane Steinstraßen einseit nebent Hannß Dannenbergers des wagners seligen witwe, Andersit neben Jacob heusell dem Schuemacher, stoßend hinden vff die heimburger gaß, dauon gend ij lb d gelts bodenzinß dem Barfüßer Closter Alhie, Mehr x gl. gelts Ablößig mit ij X gl Straßburger vff Michaelis fallend, frauwen Barblen Melchioris Junÿ Alhie selig. witwen, Item dritthalben guldin gelts Lösig mit 50 guldin hannß wedlin dem Khanttengießer, Item zwen guldin gelts Lösig mit 50 guldin dem Platterhauß Alhie, So da Zwen guldin gelts widerlösig mit 50 guldin werung de Armen weÿsen Khinden Alhie

Jean Bentz l’aîné hypothèque sa maison au Faubourg de Pierre au profit d’Anne Bernhard

1616 (ut spâ [xiiij. Marty]), Chancellerie, vol. 423 (Registranda Kügler) f° 63
(Inchoat. fo: 61) Erschienen hannß Bentz der Eilter gartner
hatt in gegensein Ol hanß gartner alls geschwornen vogts Annen hanns Bernhards des gartners dahier Mit beÿstand deßelben – schuldig sein 15 Pfund pfenning Straßburger
dafür Vnderpfand sein soll hoff huß hoffestatt Scheur vnd Stall mit allen and. Ihren gebewen geleg. Inn der vorstatt ane Steinstraß In des Bergherren gaß einseyt neben Gabriel Buren Tagners seligen witwe anderseyt neben der Almend stoßend hind. vff Kilians hanßen gartner, dauon geh. Ein pfund pfenning Bodenzinß etwan dem Barfußer, Jetz der Schulen
[in margine :] Erschienen Adolff huß alls Ehevogt Annen der Schuld glaubigerin hat mit beÿstand ol hanß Ihres bitzher geweßenen vogts In gegensein hannß Bentzen des Schuldbekenners vnnd Agneß seiner hußfr. (…) den xxv. tag Octobris A° 617

Agnès, veuve de Jean Bentz, se remarie en 1619 avec le jardinier Jean Schott

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 298)
1619. Dominica Quinquagesima. Hans Schott der Gartenmann, Hans Schotten hinterlaßener Sohn, Agnes Hans Bentzen des Gartners hinderlaßene Witwe. Eingesegnet Mittwoch 15. febr.

Jean Bentz et sa sœur Marie , femme d’Adolphe Ohl, délivrent 40 livres à leur belle-mère Agnès Müssel, veuve de Jean Bentz et femme du journalier Jean Schott
1619 (ut spâ [xxix. Junÿ]), Chancellerie, vol. 436 (Registranda Meyger) f° 343
(Inchoat. in Prot. fol. 234.) Erschienen hannß Bentz der gartner und Maria Bentzin bede geschwüstrige, Ohl Adolff haußfrauw
haben bekandt vnd In gegenwertigkheit Agneß Müsselin wÿland hannß Bentzen gartners selig witwe Jetz hannß Schott des taglöhners haußfr. Ihrer stieffmutter mit beÿstandt Jetzgemelts Ihres ehemanns vnd Martzolff Müssell gartners Ihrer Zweÿ. Khind. geschwornen vogt
erlegt, 40 pfund d für die Anspruch Ihres mütterlich. Erbs gerechnet

Jean Schott le jeune et Agnès Müssel hypothèquent au profit du fossoyeur Jean Sigel une maisonnette qui jouxte leur propriété et donnne dans la rue des Mineurs

1626 (7. decembris), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 740-v
Erschienen hannß Schott d. Jung gartner An Steinstraß vnd Agneß Müßlerin sein eheliche haußfraw mit beÿstandt Martzolff Mußlers garttners Vnd. wagner ihres eheleiblichen Bruders, Adolff Haußen garthners in Steinstraß, ihrer beed. nechsten v.wanthen
haben in gegensein hannß Sigels deß Todtengräbers Zun Gutenleüten alhie – schuldig seÿ xxv. lb
Vnderpfand Ein Porhäußlin an Steinstraß ins Bergherren gaß. neben Jacob haußlers deß schloßers wittib vnd 2.seit neben dem Schuldbekennern selbsten, hind. vff Christoff Feürabends deß obsgrempen wittib stoßend gelegen

Jean Schott le jeune et Agnès Müssel, assistée de son fils Laurent Bentz, hypothèquent la maison rue des Mineurs au profit de Marie, fille de l’aubergiste Jacques Trens. En marge, quittance remise en 1685 au propriétaire Thiébaut Hügel, remueur de grains

1636 (ut spâ [20. Janua:]), Chambre des Contrats, vol. 474 f° 55-v
Erschienen Hanß Schott d. jüng. gartner An Steinstraß und Agneß Müßler sein eheliche haußfraw, mit beÿstand Mathiß Treschers deß Maurers und Lorentz Bentzen ihres sohns, alß hierzu insond.heit erbetener nechsten v.wanthen
haben in gegensein Mariæ weÿl. Jacob* Trensen gewesenen Würths s: Zum Sternenberg nachgelaßener dochter Vogts Georg Schellen garthners und. wagner – schuldig seÿen L. lb
dafür Vnderpfand sein soll hoff, hauß, hoffstat scheur und Ställ mit allen Andern ihren gebäwen & alhie in d. Bergherrengassen An Steinstraß neben Martin Dannenberger dem Wagner & ist ein eck, hind. vff Jacob N. von Bischeim beÿ hönheim davon gehen Jarß 16 ß bod.zinß der Schulen alhie
[in margine :] Erschienen Diebolt Hügel Gartner Vnderwagner alß Ehevogt Annæ Voltzin hatt in gegensein Diebolt Hügels deß Kornwerffers alß ietzigen Possessoris hierinn gedachten verkäuffers bekhannt (…) Act. 2. Febr: 1685.

Agnès, femme du jardinier Jean Schott, vend la maison rue des Mineurs au jardinier Michel Hügel. Les vendeurs s’y réservent le droit d’habitation dans un logement. L’acte du 18 janvier qui fait mention d’un laudème au profit de l’Université est précédé d’un acte non terminé du 13 janvier dans lequel il n’était pas question du laudème.

1654 ([13. Jan.]), Chambre des Contrats, vol. 516 f° 31-v
Erschienen Agneß hannß Schotten Gartners ahne Steinstraßen eheliche Haußfrau mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts und Lorentz Bentzen deß Gartners und Martin Dannenbergers deß Wagners
in gegensein Michel Hügelß deß Gartners ahne Steinstraßen
hauß, Hoff, Hoffstatt, Scheur, Ställ mit allen deren Gebäwen alhie in der Vorstatt in der Berckherren Gaß, einseit neben dem Allmend, anderseit neben Georg Heischen dem Sattler, hinden Uff Martin Dannenberger stoßend gelegen davon gehen iährlichen 1 lb 2 ß nach Innhalt deß heut dato von H Hannß Caspar Erhardten alß nachgemelts Schulschaffners eingenhändig gefertigten und vorgelegten Scheins ewiges erschätziges Erblehen Zinnß der Schulen alhie [non terminé]

1654 (18. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 516 f° 47-v
Erschienen Agneß hannß Schotten Gartners ahne Steinstraß, Eheweib mit beÿstand erstermelfts ihres Ehevogts wie auch Martin Dannenbergers deß Wagners ihres dochtermanns und Mathiß Tröschers deß Maurers ihres Vettern, beed. alß deroselben hierzu erbettener nechster Verwanthen
in gegensein Michel Hügelß Gartners ahne Steinstraß
die Beßerung und Erb gerechtigkeit vff hauß, hoff, hoffstatt, Scheur, Ställen, mit allen deren Gebäwen alhie ahne Steinstraß in der Bergherren Gaß, einseit neb. Georg Heisch. dem Sattlern, anderseit neben Jacob Metzgern dem hoff Knecht vff dem Maurhoff, hind. vff obgemeldten Martin Dannenberger stoßend geleg., von solcher Behaußung gehnd iahrs vff Joh. Bapt: und weÿhenacht. 1 lb 2 ß /:alß der ietzige Schulschaffner Sie berichtet hatt:/ ewigs erschätzigs erblehnungß Zinnßes der hoh. Schulen alhie deßweg: auch durch den Käuffern der Erschatz gerichtet und dargeg. für der hoh. Schulen Erbbestand angenohmen und eingeschrieb. word., Ferners seÿe die Beßerung und die Erb gerechtigkeit noch verhafftet umb 50. lib Capital und 10. lib. Zinnß Michael Voltz dem iüngen Gartnern und. wagner; Item umb 25. lib hauptgelt und 3 lib 15 ß davon erschienene zinnß Fr; Jacobeæ Meÿerin – umb 46. lb
dabeÿ ist dem Käuffern alß ein stuckh deß Kauffschillings noch ferners eingedingt, (…), Fürs Andere, so soll die Verkäufferin und ihr Ehemann sampt und sonders ihr lebenlang in der obbeschriebenen Behaußung, die undere stub, kammer und hauß Ehren sampt einem für Sie selbst bedörffig. Platz in d. Scheuren ohne Zinnß Zu bewohnen haben, (…)
[in margine :] Erschienen Martin Dannenberger der wagner, alß Ehevogt Christinæ der beÿden verkauffend. und verstorbenenn Eheleuth eheleiblich. dochter hatt in gegensein deß Käuffers (quittung) Act. 6. aug: a° 1657*

Fils du jardinier Thiébaut Hügel, Michel Hügel épouse en 1634 Marguerite, veuve du jardinier Paul Schott.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 182)
1634 Eadem [Dom. XXIII. Trinit. 9. 9.bris] Michael Hügel der gartner dieboldt Hügel deß gartners v. burgers alhier ehelicher Sohn vnd Margaretha Paulus Schotten gewesenen burgers v gartners nachgelaßene Wittwe. Cop. 18. 9.bris Zu J. St. Peter (i 93)

Fils de Paul Schott, Paul Schott épouse en 1624 Marguerite, fille du jardinier Jonas von Altenheim
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 37 n° 80)
1624. Dom: 12. Trinit: 15. Augusti. Paulus Schott der Gartner Paul Schotten des Gartners hinderlaßener Sohn, Fr: Margaretha, Jonas von Altenen des Gartners Eheliche Tochter. Eingesegnet Zinst. den 24. Aug: (i 20)

La maison revient à son fils Thiébaut Hügel

Thiébaut Hügel épouse en 1664 Antoinette, fille du marchand Wolfgang Schieler
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 142 n° 25)
1664. Dominica Rogationum 15. Maÿ. Diebold Hügel der Kornwerffer, Michael Hügel, deß Garttners vndt Burgers allhie, ehl. Sohn, Vndt Fr. Anthonetta, Weÿl. Hrn Wolffgang Schieler, deß Handelß Manns Vndt Burgers allhier nachgelaßene ehl. Tochter. Copulavi inn Matutinis Mont. 23. Maÿ (i 154)

Antoinette Schieler meurt en 1687 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé dans la maison rue des Mineurs, que l’inventaire ne décrit pas. L’actif de la succession s’élève à 85 livres, le passif à 5 livres.

1687 (15.3.), Not. Reeb (Jean Pierre, 45 Not 1) n° 95
Inventarium über Weÿland der Tugendsamen Frauen Anthonet Schielerin deß Ehrsam und bescheidenen Diebolt Hügels Kornwerffers und burgers allhier Zu Straßburg Ehelich geweßener haußfrawen seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1687.
Inventarium unnd beschreibung aller und Jeder hab und Nahrung Keinerleÿ außgenommen so weÿland die tugendsame Fraw Anthonet Schielerin deß Ehrsam und bescheidenen Diebolt Hügels Kornwerffers und burgers allhier Zu Straßburg Eheliche haußfraw seelig nach Ihrem den 18. Aprilis nechß abgelegten 1687. Jahrs aus dießem müheseeligen leben genommenen tödlichen hintritt hinderlaßen, welches alles auf freundliches Erfordern und begehren deß Ehrsam und bescheÿdenen Johann Diemars deß Seÿlers und burgers allhier alß geordneten Vogts Johann und hanß Michel Hügels der abgeleibten Fraw seel. mit vor und nachbenambsten Ihren hinderbliebenen wütwer Ehelich Erzeigt und hinderlaßenen beeder Kinder, Ersucht durch berührten diebolt Hügeln den wütwer (…) Actum in Königlicher freÿen Statt Straßburg Sambstags den 15. Martÿ Anno 1687.
In einer in der Statt Straßburg in der bergherren gaßen gelegenen behaußung befunden worden wie volget
Directorium. Volgt nun die Inventation und beschreibung der Verlaßenschafft so sambtlichen Theÿlbar ahne sich selbsten, Sa. haußraths 23, Sa. Silbergeschmeids 3, Sa. guldener ring 2, Sa. baarschafft 56, Summa summarum 85 lb – Schulden 5 lb, Nach deren Abzug, Conclusio finalis Inventarÿ 79 lb

Thiébaut Hügel se remarie en 1689 avec Anne Marie Scheer, veuve du forestier à la Ganzau Jean Jacques Weber : contrat de mariage, célébration
1689 (17.4.), Not. Reeb (Jean Pierre, 45 Not 2)
Eheberedung – zwischen dem Ehrsam und bescheÿdenen Diebolt Hügeln dem Kornwerffer und burger allhier Zu Straßburg alß dem hochzeiter ahne einem
So dann der Tugendsamen frawen Anna Maria Gebohrener Scheerin Weÿland des Ehrsam und bescheÿdenen Hannß Jacob Webers Geweßenen weÿdmanns und försters auff der ohnfern der Statt Straßburg entlegenen Ganßaw auch burgers alhier Zu Straßburg hinderlaßenen Wütib alß der hochzeiterin sm andern theÿl
Beschehen vnd verhandelt seind dieße ding in Königlicher freÿen Statt Straßburg In beÿsein Meister Johannes Diamars deß Seÿlers und burgers allhier deß Hochzeiters Kinder Erster Ehe vogts auff des hochzeiters seithen vnd dann auff der fr. hochzeiterin seiyen Bastian Leßers deß Metzigers Zu Auwen Ihres Vettern und Mr Niclauß Augspurgers deß schneiders und burgers allhier Ihres erbetenen beÿstandts, Sonntag den 117.ten Aprilis Anno 1689. [unterzeichnet] diebold hügl

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 15-v)
1689. Auff Heute Mittwoch d. 11. Maji ist Zu S Wilhelm copulirt worden Theobald Hügel der Burger vndt Kornwerffer alhier Wittiber, vndt Fr. Anna Maria Wld. Hanß Jacob Webers deß Straßburgischen Jägers vnd Wild Schützen auff der Ganßaw vndt Burgers in der Ruprechts Aw hinderlaßene wittib [unterzeichnet] diebold hülg hoh zeiter, A der Hochzeiterin handzeichen (i 16 – Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune f° 16-v)

Anne Marie Scheer, fille du cultivateur Gaspard Scheer de Nonnenweier, devient bourgeoise par son mari trois mois après son mariage
1689, 4° Livre de bourgeoisie p. 558
Anna Maria Scherin Von Nonnenweÿer, Caspar Scheren gewesten Ackersmanns daselbst tochter, empfangt das burgerrecht p. 2. gold fl. und 16. ß welche bereits Ihr nunmahligen Ehemann Dieboldt Hügel der Kornwerffer, beÿ erhebung der Hoch Zeit ordnung beÿ der Cantzleÿ erlegte, wird beÿ E. E. Zunfft der Lucernen dienen. Jur: den 22. Aug. 1689.

Anne Marie Scheer meurt en 1713 en délaissant pour unique héritier son frère Chrétien Scheer, apprêteur de tabac. Les experts estiment à 90 livres la maison à côté de laquelle se trouve un très petit jardin. La masse propre à l’héritier s’élève à 87 livres. L’actif de la communauté et du veuf s’élève à 112 livres, le passif à 85 livres.

1713 (27.7.), Not. Goldtbach (6 E 41, 230) n° 113
Inventarium über Weÿland der Tugendsamen Frawen Annæ Mariæ Hügelin gebohrener Scheerin deß Ehrsam und bescheidenen Diebold Hügels, deß Kornwerfers und Burgers allhier Zu Straßburg gewesener Ehelicher haußfrawen nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1713. (…) nach ihrem den 28.ten Junÿ dieses fortlaufenden 1713. Jahrs aus dießer Welt genommenen Tödtlichen hintritt, Zeitlichen Verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und Begehren deß Ehrengeachten Christian Scheerern deß Taback Bereiters und Burgers allhier, der Abgeleibten seel. Eheleiblichen Bruders und ab intestato nachgelaßenen eintzigen Erbens, Vorgenommen (…) Actum Straßburg den 27.ten Julÿ A° 1713.

In einer allhier Zu Straßburg in der Vorstatt Steinstraß ane der Berherrengaßen gelegenen und hernach beschriebenen behaußung befunden wordenn wie folgt
Eigenthumb ane einer behaußung. Item j hauß, höfflein und hoffstatt mit allen Gebäuwen, begriffen, Weithen, Zugehörden, rechten und gerechtigkeit, gelegen allh. Zu Strbg. in der Vorstatt Steinstraß, ane d. Bergherrengaßen, 1.s. neben H. Johann Leonhard Pfähler dem Handelß M. v. b. allhier, 2.s. neben Mr hannß Jacob Schallen dem Sattler u. B. allh. und hinden auf ein Allmend Gäßlein stoßend, davon gehet Jahrs auf Martini 1. lb d. boden Zinnß der hohen Schuel allhier, macht Zu doppeltem Capital gerechnet in hauptgut 50 lb d. sonsten freÿ Ledig und eigen und durch der Statt Straßburg Geschworne Werckmeistere vermög der beÿ dem Concept befindlichen Abschatzung Vom 24.ten Julÿ A° 1713. über Vorgeschribene Beschwerd angeschlagen pro 40. lb.
It. j. gar Klein Gärtlein nicht gar ein halb Viertzel halber groß, mit Zweÿen Obsbäumen so ane Vorstehender behaußung gelegen æstimirt pro 8 lb. Über Vorstehende Behaußung vnd Gärtlein hat sich dißmahlen nichts schrifftliches befunden.
Ergäntzung deß Erben unveränderten Guths, Vermög Inventarÿ über die Verstorbene seel. und Ihrem hinterbliebenen Wittiber durch weÿl. herrn Johann Petro Reeben Notarium publicum practicum seel. in Anno 1691. auffgerichteten und Gefertigten Zugebrachten Nahrungen
Forma hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
Deß Erben Unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 20, Sa. goldener Ring 2, Sa. Ergäntzung (64, Abzug 1, Restiert annoch) 63, Summa summarum 87 lb
Dießemnach Wird nun nicht allein des Wittibers Unverändertes Vermögen sondern auch zugleich das Theilbahre Gutt under einer Rubric beschrieben, Sintemahlen der Erb aug solche tam active quam passive Wohlbeächtlicjen Verzug gethan und selbige dem Wittiber überlaßen, Sa. haußraths 51, Sa. blumen auf dem veld 11, Sa. Guldener Ring 1, Sa. Lehengüttern 15 ß, Sa. Eigenthums ane Einer behaußung 48, Summa summarum 112 lb – Schulden 85 lb, Deß Wittibers restirendes Vermögen 26 lb
Beschluß summa 114 lb
Abschatzung den 24.ten Julÿ 1713. Auff begehren deß Ehrenhafften und bescheidenen herrn Diebolt hügel Kornwerffer ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in der Bergherren Gaßen gelegen, Einseit neben herrn Johann Leonhard Pfähler dem handelßmann Anderseith neben herrn hannß Jacob Scholl Sattler hinden auff ein allmend geßel stoßend. Welche behaußung holtz hauß, neben Ställ, Hoff, Hoffstatt, sambt aller Ihrer recht: und Gerechtigkeit sich durch der Statt Straßburg Geschworne Werckhleuthe in der Besichtigung befunden und Jetzigem Preiß nach angeschlagen wird Vor und umb Ein Hundert und Achtzig Gulden. Bezeichnus der Statt Straßburg Geschwohrne Werckhleuthe, Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhoffs.
It. j. Kl. Gärtl mit 2. obs bäumen p. 8. lb

Le remueur de grains Thiébaut Hügel hypothèque la maison au profit du chanvrier Jean Hügel

1713 (2.9.), Chambre des Contrats, vol. 586 f° 495
Diebold Hügel Kornwerffer
in gegensein Joh: Hügel hänfers – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, seine behaußung c: appert: in der Bergherren gas, einseit neben Leonhardt Pfäler anderseit neben Joh: Jacob Scholl hinten aufs allmend

Thiébaut Hügel vend la maison au mesureur de sel André Pauli moyennant 350 livres (la vente sera ensuite résolue, la maison ne figure pas à l’inventaire des biens qui appartiennent au chanvrier et mesureur de sel André Paulus et à sa femme Anne Marguerite Schwab en 1724)

1720 (28.8.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 417-v
(400) Diebold hügel Kornwerffer
in gegensein Andreas pauli Saltzmessers
hauß und platz mit allen gebäuden, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten in der bergherren gass einseit neben Joh. Scholl dem sattler anderseit neben. H. Leonhardt Pfäler hinten auf Joh. Jacob Sarger – davon gibt man 1 lb ane bodenzinß der hohen schuel – um 50 pfund verhafftet, geschehen um 350 pfund

Thiébaut Hügel lègue à son fils Jean et à sa bru Marie Catherine Andrès cinquante florins chacun pour les bienfaits qu’il a reçus d’eux. Le testament est passé rue des Mineurs alors que le codicillant est alité
1721 (9.3.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 26) n° 4
Codicill – Persönlich kommen und erschienen seÿe der Ehrsame Diebold Hügel Kornwerffer vndt burger alhier ohnpäßlich v. krancken leibß in einem bette ligendt Jedoch von gnad. gottes gut richtigen Sinnen vndt verstandts wie daßelbe ab seinen deut. geführt red genugsam abzunehmen (…)
Dießem nach vndt vor daß ander als weilen Johannes Hügel der Seÿler v. burg. alhie sein codicillatoris leiblicher Sohn, wie auch Maria Catharina Andreßen deßen ehelich haußfraw mit ihme Codicillatori in seinen alter *lager viel mühe haben dennoch aber allen geneigt willen v auffwarth ihm erzeig. v. erwiß. thun, alß woll d Er der Vatter denenselben zu einer recompens (…) 100 gulden oder Einen Jeden deroselben 50 gulden (…)
Bescheh. in einer alhie Zu Straßb. an d. Steinstraß in der Bergherren gaß gelegenen behaußung der obern stube mit den fenstern in berührter gaß außsehend (…) Sonntagß d. 9. Marty abends zwisch. 4. 5. vndt 6. Uhren A°1721.
H, Diebold Hügels handzeichen

L’inventaire de la succession de Thiébaut Hügel n’est pas conservé
1721, Not. Brackenhoffer (Jean, répert. 65 Not 2) n° 1
Inventarium über Weÿl. Diebold Hügels geweßenen Kornwerffers seel. Verlassenschafft

La maison revient à son fils Jean Hügel

Jean Hügel fils de Thiébaut épouse en 1704 Marie Catherine, fille du batelier Jean Philippe Andrès
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 126-v)
1704. In Festo Paschatos & Dominica Quasimodogeniti proclamati sunt. Johannes Hügel der ledige Seiler allhie, Theobald Hügel deß Kornwerffers und Burgers allhier Ehl. Sohn, Vnd Jfr. Maria Catharina weÿland Johann Philipp Andreß gewesenen Schiffmanns und Burgers allhier nachgel. Ehl. Tochter. Copulavi sunt Mitwoch d. 22. Aprilis [unterzeichnet] Johannes Hügel als hoch Zeiter, Maria Catharina Andeßin als hoch Zeiterin (i 133)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison de Jean Joachim Zentgraff face au poêle des Tailleurs. Ceux du mari s’élèvent à 134 livres, ceux de la femme à 121 livres.
1705 (13.6.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 71) n° 640
Inventarium und Beschreibung aller d. jenigen Haab, Nahrung und Güethere, so der Ehrenhafft und Achtbahre Meÿster Johannes Hügel, der Hänffer und die Tugendsame Fraw Maria Catharina Hügelinin gebohrne Andreßin beede Eheleuth und burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebracht, welche der ursachen allweilen in ihr beed. Eheleute mit einander auffgerichteten Eheberedung außtrucklichen versehen, daß einem jeden theil seine in die Ehe bringende Nahrung unverändert sein (…) So bescheh. den 13.ten Junÿ A° 1705.
In einer in d. Statt Straßburg geg. E. E. Zunfft d. Schneid. Zunffstub. gelegenen, von herrn Johann Joachim Zentgraff S.S. Theologiæ doctore et Professore eines E. Wohlehren Kirch. Convents Præside bewohnend. behaußung
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns in die Ehe gebracht ohnverändert eigenthümlich Guth, Sa. haußraths 31, Sa. Werckzeugs Zum hanffmachen Handwerck gehörig 65, Sa. Silbers 2, Sa. baarschafft 32, Sa. Schuld 2, Summa summarum 134 lb – deme beÿzufügen die ane denen haussteuren Ihme gebührige Zween dritt theil 18 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 29, Sa. Silbers 2, Sa. Goldenen Rings 6, Sa. baarschafft 34, Summa summarum 121 lb – Darzu gelegt die deroselben ane der haussteuren Zukommende tertz mit 9 lb

Le chanvrier Jean Hügel meurt en 1733 en délaissant trois enfants. La maison dont on n’a trouvé aucun titre est hypothéquée au-delà de sa valeur. La masse propre à la veuve est de 105 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 23 livres, le passif 124 livres.

1733 (12.6.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 13) n° 272
Inventarium über Weÿl. Johann Hügel, geweßenen Hänffers und Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1733.
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so Weÿl. der Ehrenachtbare Meister Johannes Hügel, geweßener Hänffer und Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 12.ten Januarÿ dieses Zuend gemelten Jahrs genommenen Tödtlichem hientritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen deß Ehrengeachten Mr Johann Georg Zimmers, des Zimmermanns und burgers allhier alß geschwornen Vogts Johann Michael, deß auff der Wanderschafft sich befindlichen ältesten Sohns und Jgfr Mariæ Elisabethæ, die Tochter, Sodann des Ehrenhafften Philipp Heinrich Hügels Tagners und burgers allhier des mittleren Sohns, alßo alle dreÿ des verstorbenen seel. mit seiner hinterlaßenen wittib ehelich erzeugter und ab intestato Zu Erben Verlaßener Kinder fleißig inventirt und ersucht durch die Tugendsame Frau Mariam Catharinam geborhne Andresin, die hinterbliebene Wittib beÿständlich hrn Johann Jacob Braunen, goldarbeiters und burgers allhier, (…) So beschehen in Straßburg auff Freÿtag den 12. Junÿ A° 1733.

Eigenthum ane einer behaußung. Nemlichen ein hauß, höfflein und hoffstatt auch gärtlein mit allen gebäuen, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeit, gelegen allhier Zu Straßburg in der Vorstatt Steinstraß ane der Bergherren gaßen, ein Seith neben Barthel Neumeÿer, dem Nagelschmidt, 2. Seit neben hrn Joh. Leonhard Pfähler dem handelßmann hinden Zum theil auff ged. H. Pfähler und Johann Schollen den Sattler stosend, davon gehen Jahrs auf Weÿhenachten der hohen Schuhl allhier 1. lb d. Erblehen Zinnß, thut Zu dopp. Cap. gerechnet 40 lb d. It. 6. lb Zinß hrn M Joh: Melchior Eschelauer Præcept. super. Gymnasÿ allhier, uxor. nom. Jahrs auff den 28. Aug. lösig in Cap. mit 150. lb. d. It. 4. lb Zinß Hrn Joh: Michael Hügel handelßmann Zu Landau, widerlösig in hauptgut mit 100. lb. machen also die darauff hafftenden onera auß 290. lb, weylen nun dieses hauß nichts so viel alß onerirt werth seÿe, so hat man solches nicht nach ordnung wollen anschlagen laßen sondern um erspahrung der unkosten gegen denen beschwerden rechnen und passiren lassen. Über Vorstehende Behaußung hat sich dißmahlen nichts schrifftliches befunden.
Ergäntzung der Wittib abgegangenen unveränderten Guths, Inhalt Inventarÿ über beeder gewesener Eheleut einander in den Ehestand gebrachte Nahrung in Anno 1705. durch Weÿl. herrn Notarium Johann Reichard Langen seel. auffgerichtet ist dder Wittib alß abgangen
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unverändert Vermögen betreffend, Sa. haußraths 6, Sa. Silbers 12 ß, Sa. goldener Ring 2, Sa. Ergäntzung 51, Sa. Activ Schuld 45, Summa summarum 105 lb
Der Erben guth, Sa. haußraths 23, Sa. Anschlags der behaußung o, Summa summarum 23. lb – Schulden 124, In Compensatione 101 lb
Stall summ 4 lb

Marie Catherine Andres, assistée de son fils Jean Michel Hügel, hypothèque la maison au profit du jardinier Jean Roth

1740 (23.5.), Chambre des Contrats, vol. 614 n° 295
Fr. Maria Catharina geb. Andreßin weÿl. Johann Hügel hänffers ohnbevögtigte wittib mit beÿstand ihres sohns Johann Michael Hügel des küblers
in gegensein Johannes Roth des garttners ahne Steinstraß – schuldig seÿen 50 gulden
unterpfand, Eine Behausung, höfflein, Gärttlein und hoffstatt mit allen gebäuden, zugehörden und rechten in der Vorstatt Steinstraß ahne der Bergherren gaß, einseit neben weÿl. Johannes Scholl des Sattlers erben, anderseit neben H. Johann Leonhard Pfäler dem handelsmann, hinten auff Johann Jacob Sarger den Kärchelzieher

La maison revient à son fils Philippe Henri Hügel qui épouse en 1729 Elisabeth, fille du vigneron de Dorlisheim Jean Mathis. Le mariage est célébré sans proclamation à Dorlisheim parce que les parties se sont connues charnellement.

Mariage, Dorlisheim (luth. p. 62, n° 5)
1729. Montag d. 22. Augusti sind ohne ordentliche proclamation weilen sie sich Vor ihrer Ehe fleischlich mit einander vermischet, auff erlaubnus u. mitgetheilten schein Ihro Gnad. deß Regierend. h. Ammeisters S.T. H. Brackenhoffers Zu Straßburg, copulirt und zusammen gegeben word. Philippus Henricus Hügel der Hänffer Zu Straß. mstr. Joh: Hügels b. u. Hänffers zu gedachten Straßburg Ehelicher Sohn u. Elisabeth geb. Matthißin wld. Joh: Matthissen b. u. Reebmans allhie Ehel. tochter. [unterzeichnet] Philipp Heinrich Hügel als hochzeiter, Elisabethä mathisin als hoch Zeiterin, Maria Cathrin Hüglerin Als Mutter deß Hoch Zeiters (i 31)

Elisabeth Mathis devient bourgeoise par son mari quatre mois après son mariage.
1730, 4° Livre de bourgeoisie p. 955
Elisabetha Mathißin Von dorlisheim geb. erhalt d. b. von ihrem ehemann Philipp Heinrich Hügel b. undt Hänfer umb die tertz d. alt. b. will beÿ E E Zunfft d: Möhrin dienen. Prom. d. 21.t Jan. 1730.

Philippe Henri Hügel et Elisabeth Mathis hypothèquent la maison au profit du paveur Jean Frédéric Sigfried

1742 (27.4.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 202
Philipp Heinrich Hügel der hänffer und Elisabetha geb. Mathißin mit beÿstand Nicolaus Oberlin des kieffers und Johann Georg Bilgers dem schuhmacher beede ihrer vettern
in gegensein Johann Friedrich Sigfrid des Pflästerers- schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, eine behausung, hoff und hoffstatt cum appertinentis in der Vorstatt Steinstraß in der bergherren gaß, einseit neben H. Pfäler dem älten handelsmann, anderseit neben Jacob Sarger dem kärchelzieher, hinten auff gedachten H. Pfäler – als ein elterliches erbguth

Philippe Henri Hügel et Elisabeth Mathis hypothèquent la maison au profit du jardinier Jean Roth et du tisserand Jean Jacques Lohmüller

1742 (12.11.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 568
Philipp Heinrich Hügel der hänffer und Elisabetha geb. Mathißin mit beÿstand Nicolaus Oberlin des kieffers und Johann Philipp Wirth Nadlers beede ihres vettern
in gegensein Hanß Roth G.A.St. und Hanß Jacob Lohmüllers des leinenwebers – schuldig seÿen 150 pfund, woran H. Roth 100 pfund und H. Lohmüller 50 pfund
unterpfand, zwo neben einender stehende behausungen hoff und hoffstatt cum appertinentis ane der Steinstraß in der Bergherrengaß, einseit neben H. Pfäler dem ältern specirer, anderseit neben N. Schell dem Sattler, hinten auff besagten H. Pfähler – als ein elterliches erbguth

Le chanvrier Philippe Henri Hügel loue une partie de la maison au saucissier Balthasar Geissbaur

1743 (11.1.), Chambre des Contrats, vol. 617 f° 9
Philipp Heinrich Hügel der hänffer
in gegensein Balthasar Geißbaur der bratwurstmachers
entlehnt, In einer dem entlehner eigenthümlich gehörigen in der bergherren gaß in der Vorstatt Steinstraß gelegenen behausung unten auff dem boden eine stub, kuchen, zwo kammeren so dann platz im keller – auff 9 nacheinander folgenden jahren auff anfangend auff nächst künfftigen Annunciationis Mariæ um einen jährlichen Zinß nemlich 24 gulden

Philippe Henri Hügel et Elisabeth Mathis hypothèquent la maison au profit d’Anne Catherine Gerhard

1745 (20.3.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 188-v
Philipp Heinrich Hügel der hänffer und Elisabetha geb. Mathißin mit beÿstand Johann Peter Forschet sattlers und Johann Jacob Brodau schuhmachers
in gegensein Annæ Catharinæ Gebhardin mit beÿstand ihres bruders Friedrich Gebhard des schneiders – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, zwo neben einander stehenden behausungen, hoff und hofstätte cum appertinentis in der Vorstadt Steinstraß ane der Bergherren gaß, einseit neben H. Pfäler dem ältern specirer, anderseit neben N. Scholl dem sattler, hinten auff ermelten H. Pfäler – ihme Hügel als ein elterliches erbguth

Le chanvrier Philippe Henri Hügel obtient le droit de revendeur
1745, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 259)
(f° 70-v) Mittwochs den 19.ten Maÿ Anno 1745 – Leibzünfftiger Hänffer, so das Grempen Recht erhalten
Philipp Heinrich Hügel, der dißorts Leibzünfftige Hänffer bittet um ertheilung des Grempen Rechts
Erkandt, gegen Erlag der Gebühr willfahrt. Zalte vor das grempen Recht 1 lb 10 ß, Und einschreib Geld 2 ß, Summa 1 lb 12 ß

Philippe Henri Hügel et Elisabeth Mathis hypothèquent la maison au profit du tisserand Jean Jacques Lohmüller

1746 (27.6.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 476
Philipp Heinrich Hügel der hänffer und Elisabetha geb. Mathißin mit beÿstand Nicolaus Oberlin des kieffers und Johann Peter Forget des sattlers beede ihrer vettern
in gegensein Johann Jacob Lohmüller des leinenwebers – schuldig seÿen 25 pfund
unterpfand, eine behausung, hoff und hoffstatt ane der Vorstatt Steinstraß in der Bergherren gaß, einseit neben der Grießbachischen wittb, anderseit neben H. Johann Jacob Leonhard Pfäler dem specirer, hinten auff denselben

Philippe Henri Hügel et Elisabeth Mathis font dresser l’inventaire des apports dans une maison qu’ils occupent à titre de locataires
1747 (20.1.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 318) n° 439
Inventarium über Philipp Heinrich Hügel, des Hänffers und Frauen Elisabethæ Hügelin gebohrner Matthißin, beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebrachter Nahrung, auffgerichtet Anno 1747. – So beschehen in der Königl. Stadt Straßburg in fernerer Gegenwarth Meister Johann Jacob Lohmüller, des Leinenwebers und burgers allhier Ihres hierzu in specie erbettenen beÿstands auff Freÿtag den 20. Jan. A° 1747
In einer allhier zu Straßburg ane der Steinstraß gelegener und von mehrgedachten beeden Eheleuthen lehnungs weiß bewohnender behaußung befunden worden wie folgt

Philippe Henri Hügel et Elisabeth Mathis font dresser un inventaire pour obtenir la séparation de biens après que le mari s’est engagé dans les troupes. La maison, estimée à 1200 livres, a été reconstruite à neuf pendant le mariage. La masse propre au mari est de 20 livres, celle de la femme de 3 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 296 livres, le passif à 834 livres.

1747 (26.4.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 318) n° 448
Inventarium über Philipp Heinrich Hügel, des Hänffers und Frauen Elisabethæ, gebohrner Matthißin, beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg dermahlen besizende Nahrungen auch Passiva, auffgerichtet Anno 1747. (…) welche der Ursachen alldieweilen der Ehemann vor etlichen Tagen sich unter das löbliche in Königlich frantzösischen Kriegsdiensten stehende Schweitzer Regiment Salis engagiret und Sie beede Eheleuthe anietzo beÿ E. E. Kleinen Rath allhier um Separationem bonorum unterthänig einzukommen gesonnen auf ihr beeder Eheleuth ansuchen – So beschehen in der Königlichen Stadt Straßburg in ferneren beÿseÿn Meister Johann Michael Hügel, des Kübl. als des Ehemanns leiblichen bruders auf desselben, So dan auf der Ehefrauen Seithen, Meister Joh: Jacob Lohmüller, des Leinenwebers derenselben erbettenen beÿstands beeder bürgere allhier auff Mittwochs den 29. apr. Anno 1747

In einer allhier zu Straßburg ane der Steinstraß gelegener dißorts lehnungs weiß bewohnender behaußung befunden worden, wie folgt
Eigenthum ane einer behaußung. (T.) Nemlichen das Dominium utile oder die Erblehungs Gerechtig Keit und melioration von und ane einer behaußung höfflein und hoffstatt auch Gemeinschafft eines bronnens, mit allen deroselben begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtig Keiten, gelegen allhier Zu Straßburg in der Vorstatt Steinstraß ane der Bergherren Gaß, einseith neben Catharinæ gebohrener Galsterin, Weÿland Balthasar Geißbauer geweßener bratwürstmachers und burgers allhier hinterlaßener Wittib, anderseit neben der ehemahlen Surgerischen behausung, hinten auff H. Johann Leonhard Pfähler, den ältern Specirer stoßend, davon gibt man Jährlich auf Weyhenachten der hohen Schuhl allhier als Domino directo 10 ß ane Erblehen Zinnß, sonsten aber ist dieße behaußung quoad Dominium utile über hernach eingetragene passiv Capitalia gegen männiglich freÿ ledig und eigen, und hieher ohnpræjudicirlich außgeworffen worden vor 1250. lb. Nota, dieße behaußung ist steheder Ehe gantz neu aufferbauen worden
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns guth, Sa. Haußraths 19, Sa. Silbers 1, Summa summarum 20. lb
Diesemnach wird auch der Ehefrauen ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. 3 lb
Endlichen folgt auch die Beschreibung des gemeinen Verantwortung und theilbaren Guths, Sa. haußraths 40, Sa. Silbers 5, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1250, Summa summarum 1296 lb – Schulden 834, Nach deren Abzug 461.

Philippe Henri Hügel et Elisabeth Mathis vendent la maison au compagnon charpentier Simon Petzinger et à sa femme Elisabeth Sebastian moyennant 1 050 livres

1747 (1.9.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 583
Philipp Heinrich Hügel der hänffer und Elisabetha geb. Mathißin
in gegensein Simon Petzinger des zimmgesellen und Elisabethæ geb. Sebastianin
das das dominium utile oder die erblehnugs gerechtigkeit und melioration einer behausung, hoffs, gemeinschafft eines bronnens und hoffstatt samt allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten in der Vorstatt Steinstraß ane der Bergherengaß, einseit neben Balthasar Geißbaur des bratwurstmachers wittib, anderseit neben Georg Philipp Bickel dem viehhändler, hinten auff Leonhard Pfäler den ältern Specirer – der hohen schul in recognitionem dominÿ directi 10 ß ane erblehenzinß – dem Ehemann als ein vätterliches erb: und seithero neu erbautes guth – um 1050 pfund

Fille du journalier manant Jean Georges Sebastian, Marie Elisabeth Sebastian se marie en 1727 avec l’apprêteur de tabac Jean Martin Zæpffel
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 89, n° XXVI) 1727. Dominica XX et XXI Trinit. proclamati sunt Johann Martin Zäpffel der ledige Tabackbereiter v. burger alhie, Johann Martin Zäpffel deß Tabackbereiters v. burgers alhier Ehel. Sohn, vnd Jfr Maria Elisabetha, Johann Georg Sebastian deß Taglöhners v. schirmers alhie ehel. Tochter, copulati sunt Mittw. d. 5. Novembr. [unterzeichnet] Johann Martin Zäpffel als hochzeiter, Maria Elisabetta sebastianin als hochzeiter (i 93)

Marie Elisabeth Sebastian devient bourgeoise par son mari un an après son mariage
1728, 4° Livre de bourgeoisie p. 946
Maria Elisabeth Sebastianin erhalt d: b: Von ihrem ehemann Martin Zäpfel b. und tabackbereiter allhier umb die tertz d. alt: b. will beÿ E. E. Zunfft d: Möhrin dienen. Prom. eodem [16.ten octob. 1728.]

Jean Martin Zæpffel et Marie Elisabeth Sebastian se lèguent mutuellement leurs biens alors que le mari est malade
1734 (14.10.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 61)
Codicillus reciprocus Johann Martin Zäpffel des Kärchelziehers und burgers alhie et uxoris
Zuwißen daß auff Donnerstag den 14.t 8.bris A° 1734. abends zwischen 5. und 6. Uhren in einer alhier Zu Straßburg im grünen bruch gegen den Reüther Ställen beÿ dem hundshoff gelegenen Mstr Melchior Kleinen dem huffschmied und burger alhier eÿgenthümblich zuständigen behaußung dero obern Stuben die fenster auff gedachte Ställe und bruch außsehend, Johann Martin Zäpffel Kärchelzieher und fraw Maria Elisabetha geb. Sebastian, bede Eheleute und bürgere alhier Er der Mann Zwar Kranck und unpäßlichen leibs, dannenhero auff einem bett liegend, Sie die fraw aber gesund gehend und stehenden leibs (…)
x des Codicillanten handzeichen, Maria Elisabetta Sebastianin

Fils du charpentier Conrad Petzinger de Dudenhofen en juridiction de Hanau, Simon Petzinger épouse en 1739 Marie Elisabeth Sebastian, veuve de l’apprêteur de tabac Jean Martin Zæpffel (le registre de bourgeoisie manque pour cette période)
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 155)
1739. Dominica XIV et XV. Trinitat. proclamati sunt Simon Petzinger, der burger und Zimmergesell, Cunrad Petzinger deß Zimmer Manns v. burgers Zu Dudenhoffen, Hanawischer Herrschafft ehel. Sohn Und Fr. Maria Elisabetha geb. Sebastianin Weÿl. Johann Martin Zäpffel geweßenen tabackbereiters v burgers alhie nachgelaßene Wittib. Copulati sunt Mittw. d. 9. Septemb. [unterzeichnet] Simon Petziger als hoch zeien, Maria Elisabetha Zäpflerin als hochzeiterin (i 159)

Le contrôleur de la tribu de la Mauresse fait grief à la femme de Simon Petzinger d’avoir cherché à vendre une robe. Elle répond que la robe qu’elle avait seulement en dépôt n’était pas à vendre. Le conseil de la tribu la relève de l’accusation, elle doit cependant régler les dépens.
1746, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 259)
(f° 130) Montags den 14.ten Februarÿ Anno 1746
Johann Simon Wörter, der frippier Rüger, Klagt wieder Simon Petzingers, des Zimmer Gesellen und burgers allhier Ehefrau daß ohnerachtet sie das Gümpelrecht nicht habe sich dennoch unterstanden ein Kleÿd auf dem baarfüser platz feÿl zu haben, Zum beweiß deßen er ihro der Rock davon hinwegenommen und auff die Zunfft gelüffert bittet sie an die Verwürckte Straff Zu Condemniren.
Beklagte Zugegen sagt zu ihrer Verantwortung, es habe Anna Maria Hauserin eines hiesigen taglöhners Wittib gedachtes Kleÿd ihro der Beklagten auf den baarfüser Platz gebracht, mit bitt solches ihro aufzuheben, aber nicht zu Verkauffen, welches Letztere sie auch sich nicht in Sinn Kommen Laßen, maßen sie wohl gewußt habe daß ihro nicht erlaubt seÿe etwas so einen gulden werth Zu verkauffen, und beharrte darauff quästionirtes Kleÿd nur in Verwahr genommen Zu haben.
Der Ankläger replicirte, daß er selbsten gesehen, daß Zween Juden um solches Kleÿd gemarckt haben, welches die beklagte aber geläugnet, wohl aber gestanden daß die beeden Juden dieses Kleÿd selbsten aufgedeckt und besehen, Sie ihnen aber alsobald beditten habe, daß sie es nicht Verkauffe dörffe, bittet dahero den Ankläger mit seinem Begehren abzuweißen.
Nach angehörter Klag und Verantwortung wurde Erkandt seÿe die Beklagte dermahlen von der angestellten Klag zu absolviren und hiemit gerichtlich zuwarnen, Künfftighin beÿ ohnausbleiblicher straff nicht mehr wieder Ordnung zu gümpeln,; für dieses mahl aber dem Rüger und ankläger 3 ß für seine Mühe zu erlegen. dedit alsobald dem Rüger die 3 ß gegen Extradirung des weggenommenen Rocks.

Simon Petzinger meurt en 1752 en délaissant deux enfants. Les experts estiment la maison à 450 livres. L’actif de la succession s’élève à 442 livres, le passif à 291 livres.

1752 (16.12.), Not. Lang le jeune (Jean Daniel, 26 Not 4) n° 50-b
Inventarium über Weÿland des Ehrsamen und bescheidenen Simon Betzingers geweßten Zimmermanns und Burgers allhier nun seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1752. – nachdeme derselbe in dem Monath Julio jüngsthin von dem lieben Gott auß dießer Welt angefordert worden, Zeitlichen hinder sich verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren der Ehren und tugendsamen Frauen Maria Elisabetha gebohrener Zäpffelin Sebastianin deßelben hinterlaßener Wittib, beÿständlichen herrn Andreæ Stahlen, Steinmetzen und burgers allhier ihres hierzu erbettenen beÿstandts wie auch Mstr Lorentz Meÿers, Burgers und Nagelschmidts allhier als geschwornen Vogts, sein des Verstorbenen mit gedacht seiner Ehegattin geweßten und nunmahliger Wittib ehelich erzeugter Zweÿer Kinder und ab intestato Erben inventirt durch Sie die hinderlaßene Wittib selbsten wie auch Mariam Magdalenam Zäpfelin, der Wittib mit weÿl. Johann Martin Zäpffel ihrem gewesten erstern Ehemann ehelich erzeugte tochter – So beschehen Zu Straßburg auff Sambstag den 16.ten Decembris Anno 1752.
Der Verstorbene seelig hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt. 1. Johann Jacob Betzinger, so das Eilffte Jahr seines Alters würcklich zurückgelegt hat, 2. Evam Margaretham Betzingerin, so biß Zukünfftige Faßnacht das Zehende Jahr ihres alters erreichen wird, Beede des Verstorbenen seel. mit Eingangs ged. seiner geweßten Ehefrau und jetzmahligen Wittib ehelich erzeugt Kinder. Deren geschworner Vogt auch Eingangs ged. Mstr. Lorentz Meÿer, burger und Nagelschmitt allhier

In einer allhier zu Straßburg ane der Bergherren Gaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft eigenthümblich gehörigen und hernach beschriebenen behaußung befunden worden, wie folgt
Eigenthum ane einer behaußung. (T.) Nembl. eine behaußung, Höffl. und Hoffstatt mit allen deroselben begriffen Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtig Keiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane der Bergherren Gaß, einseith neben Philipp Jacob Geißbauer dem bratwurstmachers, anderseith neben Philipp Bickel dem viehhändler und hinten auff H. Rathherrn Pfähler stoßend, so über Zehen Schilling, welche man dem Stifft Zur hohen Schuhl allhier jährl. auf Weyhenachten Zu I. ehrschätzigen ewigen Zinnß zu reichten schuldig eigen und durch (die Werckmeistere) vermög deroselben ad conceptum gelüfferten Abschatzung schrifftl. de dato 11.ten hujus mensis et anni hiehero angeschlagen worden für und umb 900 Gulden oder 450. lb. Wavon aber abzuziehen, der dem Löbl. Stifft Zur hohen Schuhl jährl. u. zu ewigen Zeiten Zureichen seÿende ehrschätzigen Zinnßen von 10. ß d doppeltem Capital gerechnet antreffen 20. lb. Daß alßo ane sothanem hauß pretio hiehero annoch auszuwerffen sind 430. lb. Die über solche behaußung besagende Documenta sollen sich hierbeÿ gethanes Anzeig nach die Kinder d Joh: Heinrich Hügels des Hänffers und ehemaligen Verkäuffers dießer behaußung, oder aber in ein oder des andern H. Procuratoris beÿ E. E. Kleinen Rath, allwo dießer behausung halben lange Zeit litigiret Worden handen und Verwahrung befinden.
(f° 8-v) Series rubricarum hujus Inventarii. Bericht wegen dießer Verlaßenschafft. Nachdem ich der Notarius gleich anfangs und vor angetrettener Inventur nach beeder geweßter Ehepersohnen mit einander auffgerichteter Eheberedung befragt, alleine in Antword erhalten daß dieselbe weder einige Ehepacta noch sonsten eine Deposition errichtet hätten (…)
Sa. Kleÿdung und weißer Gezeug, so umb ane des verstorbenen seel. leib gehörig war 5 lb
So dann wird auch die übrige Nahrung unter einer Rubric als theilbar beschrieben, Sa. haußraths 10, Sa. Silbers 1, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 430, Summa summarum 442 lb – Schulden 291, Nach deren Abzug 150 lb
Stall Summa 156 lb

La tribu de la Mauresse refuse en février 1756 d’accorder le droit de revente à la veuve de Simon Petzinger. Elle argue un an plus tard que son premier mari était tributaire à la Mauresse. Le droit lui est accordé en mars 1757 après avoir prouvé que son deuxième mari était bourgeois.
1756, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 261)
(f° 299) Dienstags den 10.ten Februarÿ Anno 1756 – Gesucht aber abgeschlagene Vertröstung zum Gümpel Recht
Simon Petzinger, des gewesenen Zimmer: gesellen und burger alhier hinterlaßene Wittib, bittet ihro die Vertröstung zu dem Zunft: und Gümpel Recht zu ertheilen.
Erkandt weilen die hiesige Gümpel Käufer bereits weit übersetzet, Als wird die Implorantin mit ihrem begehren abgewiesen.

(f° 391-v) Dienstags den 2.ten Februarÿ Anno 1757 – begehrter Vertröstungs Schein zum Zunft: und Gümpel Recht
Simon Pfetzinger, des gewesenen Zimmer: gesellen und burger alhier hinterlaßene Wittib, deren ersterer Ehe Mann Martin Zäpffel, gewesener Kärchelzieher dißorts Leibzünfftig gewesen, begehret die Vertröstung Zum Zunft: und Gümpel Recht, inn ansehung sie sich mit nichts anders Zu ernähren weiß.
Erkandt, wofern die Implorantin schriftlich erweißen wird, daß ihr letzterer Ehe Mann, auch burger gewesen, so seÿe ihro Zu Wilfahren, dedit protocoll geld 2 ß

(f° 392-v) Dienstags den 8.ten Martÿ Anno 1757 – Neue Leibzünfftige Gümpel Käufflerin
Maria Elisabetha, weiland Simon Pfetzinger, gewesenen Zimmer: gesellen und burger alhier hinterlaßene Wittib, welche E. E. Zunfft der Zimmerleuth quittirt, producirt Schein von allhiesiger Stadt Stall de dato 24.sten Februarÿ 1757 bittet um Ertheilung des Zunft und Gümpel Käufler Rechts. Erkandt, gegen Erlag der Gebühr willfahrt promisit et dedit für das Zunft recht 5 ß, für as Gümpel Käufler Recht 8 ß 4 d, und für die Einschreib Gebühr 2 ß, Zusammen 15 ß 4
So dann für das Findling hauß 1 ß

Elisabeth Sebastian, veuve du charpentier Simon Pfetzinger, meurt en 1782 en délaissant une fille de son premier mariage et un fils du second. Les experts estiment la maison à 500 livres. L’actif de la succession s’élève à 517 livres, le passif à 419 livres.

1782 (16. Hornung), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 345) n° 1191
Inventarium über Weiland Fraun Elisabethä Pfetzingerin geb. Sebastianin, lezthin weil. Simon Pfezinger, des gewesenen Zimmermanns und Burgers alhier Zu Strasburg hinterlaßener Wittwe Verlaßenschaft, aufgerichtet Anno 1782.
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab u. Guter, so weil. Fr. Elisabetha Pfetzingerin geb. Sebastianin, lezthin weil. Simon Pfezinger, des gewesenen Zimmermanns und Burgers alhier Zu Strasbg. zurückgelaßene Wittwe nach ihrem am 7.ten hujus aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt, Zeitlichen verlaßen hat (…) So geschehen alhier zu Strasburg in Ir. an der Vorstadt Steinstras in der bergherrengaß gelegenen, hiehero gehörigen u. hierunten beschriebenen behausung, auf Samstag den 16. Hornung, im Jahr 1782.
Die selig Verstorbene hat ohntestirt Zu Erben Verlaßen 1.mo Frau Maria Magdalena Kleinin, geborne Zäpfelin, H Joh: Jakob Klein, des hiesigen Burgers und Gimpelkäuflers Ehefrau, der defunctæ in erster Ehe mit längst weil. Martin Zäpfel,dem gewesenen tabackbereiter und burger hieselbst, ehelich erzeugte tochter, so unter assistentz gedachten ihres Ehemann dieser Inventur beiwohnte, in die eine, Und 2.do Johann Jakob Pfetzinger, den hiesig. Verburgerten Zimmermann und in Zweit- und lezter Ehe, mit Eingangs gedachtem Simon Pfetzinger, ehelich erzeugten Sohn, als welcher diesem Verlaßenschafft geschäft ebenfalls in Person abgewartet, in die andere Hälfte gedachter ihrer leiblichen Mutter, der diesorts sel. Verstorbenen Nachlaßenschaft.

Eigentum an einer Behausung. Nämlich ([biffé] das Dominium utile oder die Erb lehnungs gerechtigkeit und Melioration Von und ane) eine behausung, Hoff, Gemeinschaft des Bronnens, und Hoffstatt, samt allen derselben Begriffen, Weiten, Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhie Zu Strasburg in der Vorstadt Steinstraß, an der Bergherrengaß, 1.s. neben H. Georg Ludwig Bickelhaub, dem Kiefer und Weinhändler, 2.s. neben Joh: Daniel Fleischmann dem bratwurstmacher, u. hinden auf gedachten Herrn Bickelhaub stosend, davon ist man der Hohen Schule alhier in recognitionem domini directi 10. ß ane Erblehenzinß, Jahrs auf Weihenachten Zu entrichten pflichtig, sonst aber der beeden diesortige, Erben Außage nach, frei ledig, eigen und wurde durch (die Werckmeistere) Vermög der Zu dieses Inventarii concept geliefferten schriftliche Abschatzung Vom 21. hornung 1782. angeschlagen für 1000 fl. oder 500 lb. Abgezogen obige Erblehenzinß, so zu doppeltem Kapital gerechnet antrifft 20 lb, daß also an dem Anschlag sothanen Hauses annoch hier auszuwerfen übrig Verbleibeten 480. lb
Wie die diesorts Verstorbenen nebst ihrem auch abgelebten zweiten Ehemann sel. die Vorbeschriebene behausung mit Consens besagter hohen Schule als Domini directi Herrn Pflegeren Von Philipp Heinrich Hügel dem Hänfer und Elisabetha geb. Mathisin, beeden burgerl. Eheleuten hieselbsten Käuflichen an sich gebracht, besagt ein teutsch. pergam. in alhiesig. Kanzlei Kontractstub ausgefertigter, u. mit derselben anhangendem Insiegel Versehener Kaufbrief d. d. 1. sept. 1747.
Series rubricarum hujus Inventarii. Hierauf wird nun Eingangserwähnt Erb: und Verlaßenschafft Vor und an sich selbst beschrieben, Sa. Haußraths 36, Sa. Silbers 1, Sa. Eigenthum ane vorhererwähnter behaußung 480, Summa summarum 517 lb – Schulden 419 lb – Beschluß und Stallsumme 98 lb
Abschatzung Vom 21.ten Hornung 1782. Auf begeren Weÿland Maria Elisabetha Pfetzingerin, gebohrene Sebastianin ist Eine behausung alhie in der statt strasburg in der Bergherren gas gelegen, Einseÿts neben Danjel fleischmann, dem wurstmacher, ander seÿts und Hinten auf johan Ludwig bickelhaub stoßend gelegen, solche behausung bestehet in fünff stuben fünff Kuchen und Etlichen Kammeren, darüber ist der dachstuhl mit breid Zigel belegt, hat auch Ein getremter Keller und Hoff. Von uns unterschriebenen der statt strasburg geschworene Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und um Ein Tausend gulden [unterzeichnet] Hueber, Kaltner WMstr.

Marie Madeleine Zæpffel, femme du fripier Jean Jacques Klein, cède sa moitié de maison à son demi-frère Jean Jacques Pfetzinger

1782 (26.3.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 345) Joint au n° 1191 du 16 févr. 1782)
(f° 7) Cessio und Übernahm der in diesortige Succession gehörigen behaußung.
Vor mit dem unterschriebenen hiesig Löbl. Stadt Strasburg offenbaren geschwornen Notario, als zu weil. Fraun Elisabethä Pfetzingerin geborner Sebastianin, lezthin weiland Simon Pfezinger, des gewesenen Zimmermanns und Burgers alhier Zu Strasburg zurückgelaßener nun auch abgelebten Wittwe, Verlaßenschaft und Erörterungs geschäft adhibirtem Inventirschreiber ist an heute hernach gesetztem tag persönlich erschienen, Frau Maria Magdalena Kleinin, geborne Zäpfelin, H Johann Jakob Klein, des hiesig Verburgerten Gimpelkäuflers Ehegattin, gedachter Erblaßerin eheleibliche Tochter und Zur hälfte Erbin angeregter Erb- und Verlaßenschaft, diese hat unter Verbeiständung ihres Ehemanns
in Gegensein H. Johann Jakob Pfetzinger, des Zimmermanns und hiesigen burgers, ihres einbändigen Bruders und Zur andern Hälfte Miterbens, freiwillig angezeigt und bekandt, daß sie demselben in unvertheiltem mütterlichen Erbe eigenthümlich cedirt, abgetretten und übergeben, welcher auch auf änhliche Weise übernommen Zu haben geständig ware
die Hälfte Vor unvertheilt Von und ane einer in mehrerwähnte Succession gehörigen Behausung, Hoff, Gemeinschaft des Bronnens, und Hoffstatt, samt allen derselben Begriffen, Weiten, Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg in der Vorstadt Steinstras, an der Bergherrengaß, Einseit neben H. Georg Ludwig Bickelhaub, dem Kiefer und Weinhändler, anderseit neben Joh: Daniel Fleischmann dem bratwurstmacher, und hinden auf gedachten Herrn Bickelhaub stosend, welche Behausung außer dem darauf aftenden Erblehenzinß, den man alljährlich auf Weihenachten der Hohen Schule alhier in recognitionem domini directi Zu entrichten pfichtig, frei ledig, eigen – vor und um 500 Pfund Pfenning Straßburger, die Völlige behausung also zu 1000 Pfund Pfenning gerechnet
Actum Straßburg auf Dienstag den 26. Märtz im Jahr 1782.
Transcrit à la Chambre des Contrats, vol. 656 f° 145-v le 3 avril 1782

Quittance du prix
1782 (26.3.), Chambre des Contrats, vol. 656 n° 132-v
Fr. Maria Magdalena Kleinin geb. Zäpfelin H. Johann Jacob Klein des gimpelkäufflers ehefrau
in gegensein H. Johann Jacob Pfetzinger des gimpelkäufflers ihres einbändigen bruders
daß diejenige 1000 gulden so sie ane cessions schilling ab der diesen ihrem bruder vor H. Not. Lichtenberger in unvertheiltem erb cedirt aus mütterlichen verlaßenschafft herrührig ane der vorstatt Steinstraß und dero Bergherren gaß, einseit neben H. Georg Ludwig Bickelhaub dem kieffer anderseit neben Johann Daniel Fleischmann dem bratwurstmacher hinten auff gedachten H. Bickelhaub, quittirt

Jean Jacques Petzinger (ici Hetzinger) s’inscrit en 1768 aux années d’épreuve puis en 1771 au chef d’œuvre qu’il ne présente pas. Il est reçu tributaire en 1773 en qualité de compagnon charpentier.
1768, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 29, 33)
(f° 13-v) Mittwoch den 4.ten Maii 1768
Johann Jacob Hetzinger, der leedige Zimmer gesell von hier gebürtig stehet vor und bittet, ihne in die gewohnliche Muthjahr einzuschreiben.
Nach gehaltener Umfrag wurde Erkannt, Seÿe dem Comparenten in seinem Begehren zu willfahren. Nach abgelesener Erlanntnuß declarirte derselbe die Muthjahre beÿ Mr Johann Leonhard Haas und Mr Valentin Haas zu verarbeiten.

(f° 23-v) Dienstag den 5.ten Februarÿ 1771
Joh: Jacob Petzinger, der leedige Zimmergesell von hier gebürtig, stehet vor und bittet, weilen er nach Ordnung seine Muthjahr verarbeitet ihme Zu erlauben, den Riß Zum Meisterstück aufzunehmen.
Nach gehaltener Umfrag wurde Erkannt, Seÿe dem Comparenten in seinem Begehren zu willfahren.

1773, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 33)
(f° 122) Dienstags den 28. Septembris 1773 – Neuzünfftiger
Erschienen Joh: Jacob Pfetzinger, der Zimmer Gesell, producirt Stallschein de dato 19.den Junii 1773. bittend, ihme vermög desselben beÿ dieser Ehrs. Zunfft als einen Zünftigen Zu recipiren sub oblato præstanda Zu præstiren.
Erkannt, Willfahrt, Juravit.

Accord entre Jean Jacques Petzinger et sa mère au sujet de la succession de sa sœur Eve Marguerite Petzinger
1772 (12.Xmon.), Not. Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 589) n° 254
Abrechnung Welche zwischen weiland Simon Petzinger, des gewesenen Zimmermanns und Burgers alhier seel. hinterbliebener Wittib, Fr. Maria Elisabetha geborner Sebastianin, als Mutter ane einem,
So dann dero Sohn Johann Jacob Petzinger dem ledigen Zimmergesellen, so längst majorennis am andern Theil,
in Ansehung dessen anerstorbenen vätterlichen Guths, nun was derselbe bis daher auf Rechnung empfangen hat (…)
Nach Außweiß des über der Parthen obbenamsten resp. Mariti und Vatters seel. Verlaßenschafft durch nun weiland H Johann Daniel Lang gewesenen J.U. Ltum & Notarium publicum academicum am 16. Dec. 1752. auffgerichteter Inventarii, und eines in Conformitæt desselben beÿ E. Löbl. Vogteÿ Gericht am 14. Febr. 1753. Zwischen Mr Lorentz Meÿer dem hiesigen burger und Nagelschmitt tutorio nomine vorerwehnten Johann Jacob Petzinger des Sohns und deßen verstorbenen Schwester Nahmens Eva Margaretha Petzingerin, deren Erbs portion ihrer vorberührter bis daher im Witwenstand verbliebene Mutter, als ab intestato hinterlaßene einiger Erbin eigenthümlich angefallen:/ ane einem, So dann ihr der Petzingerischen Wittib und Mutter m andern Theil getroffenen Vertrags

Jean Jacques Petzinger épouse en 1773 Rosine Salomé Gœtz, fille de l’horloger Jean Philippe Gœtz : contrat de mariage, célébration
1773 (8.1.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 351
Eheberedung – persönlich erschienen Johann Jacob Petzinger, leediger Zimmergesell, weiland Simon Petzinger, geweßenen ebenmäßigen Zimmergesellen und burgers allhier seel. nachgelaßener ehelich erzielter Sohn, unter authorisation Mr Lorentz Meÿers des Nagelschmids und burgers alhier seines annoch ohnentledigten Vogts, als Hochzeiter ane einem
So dann Jungfer Rosina Salome Götzin, Johann Philipp Götz, des Uhrenmachers und burgers allhier ehelich erzeugte Tochter, mit Zuziehung dießes ihres Vatters und unter fernerer autorisation Mr Joh: Daniel Kuntz des Gürtlers und Burgers alhier dero geordneten Vogts, als hochzeiterin ane dem andern theil
Atum alhier Zu Straßburg, in mein des Notarii gewohnlicher Schreibstube, auf Freÿtag den 8. Januarii Anno 1773. [unterzeichnet] Johann Jacob Petzinger Als Hochzeiter, x der Hochzeiterin Handzeichen

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 184)
In dießem 1773. Jahr sind nach 2 maliger ordentlicher proclamation Zur ehe eingesegnet worden Mittw. d. XII. Maÿ morgens nach der bettstund Johann Jacob Petzinger, burger und Zimmergesell allhie, weÿl. Simon Petzingers geweß. burgers und Zimmergesellen alhier hinterl. ehelicher Sohn mit Jgfr. Rosina Salome Götzin Johann Philipp Götz burgers und groß uhrmachers alhier eheliche dochter [unterzeichnet] Johann Jacob Petzinger als Hochzeiter, x der hochzeiterin hdzch (i 188)

Rosine Salomé Gœtz fait dresser un état de sa fortune pour devenir bourgeoisse
1773 (28.4.), Not. Lobstein (6 E 41, 840)
Designatio Alles deßen was Jgfr. Rosina Salome Götzin Johann Philipp Götz des Uhrenmachers tochter welche sich mit Johann Jacob Petzinger dem leedigen Zimmgesellen weÿl. Simon Petzels auch gew. Zimmergesellen sohn ehelichen versprochen und zu dem Ende bereits den 8. Januarÿ 1773 vor mir Notario den Ehe Contract mit demselben passirt hat auch dermalen beÿ E.m allhiesigen hochlöbl. Magistrat um das Burgerrecht in unterthänigkeit einzukommen willens ist eigenthümlich in Vermögen hat
Summarischer Calculus, hausrath 202 lb, silbergeschmeid 6 lb, baarschafft 50 lb, activ schulden 27 lb, Summa summarum 286 lb

Originaire de Bouxwiller, Rosine Salomé Gœtz devient bourgeoise par son mari : registre des inscriptions, traitement des demandes. Elle est reçue à titre gratuit après avoir présenté un certificat du chirurgien Kützelbach chez lequel elle était en service.
1773, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) p. 84
Rosina Salome geborne Götzin von Buchsweiler verheurathet an Johann Jacob Pfetzinger dem Zimmergesellen und Burgern allhier erhalt das burgerrecht wohl verhaltens wegen gratis, will dienen beÿ E E Zunfft der Zimmerleuth, prom. eod. [19. Junÿ 1773]

(VI 286 bis) p. 489 Zimmerleuth N 16 d. 6. Maÿ 1773.
Rosina Salome, Mstr Joh: Philipp Götz des hießigen uhrenmacher mit weÿl. Maria Magdalena stengerin ehelich erzeugte tochter, verlobt mit Joh: Jacob Pfetzinger d. ledigen Zimmergesellen b. Sohn alhier
durch vorgelegte schein weißet sie ihre Eheliche geburth aug. Conf. Zugethan, ihres sponsi Stall gebühr un richtigkeit
ihre Vermögenschaft bestehet in haußraths mobilien, Silbergeschmeids wie auch in baarschafft u. activ schuld. dem wahren währd nach Estimation 286 lb 2 ß 6 d. welche pasation coram Notario Lobstein d. 30. april 1773 geschehen, woruber comparent. des wahren u. ohnverpfänd. Eigenthums mit Einer handtreu erhärtet auch 100 fl. beÿm b. Prot. deponirt
Implor. bittet E G unterthänig weillen sie 7 und ein halb Jahr ohn unterbrochen beÿ H Kützelbach b. u. chirurgo allhier in dinsten gestand. währender Zeit, from, getreu u. tugendsam auffgeführt, wie solches nach dem Attestat laudet deß comparenter mit Einer handtreu bekräfftiget hat, sie wohlverhaltens weg. gratis in E. G. b. recht gnädigst auff u. anzunehmen
Recepta gratis

Jean Jacques Petzinger quitte la ville en abandonnant ses trois enfants
1786, Conseillers et XXI (1 R 269)
Johann Jacob Betzinger des Zimmergesellen Kinder, welche derselbe böslich verlaßen, sich aber wieder hier eingefunden, sollen provisorisch in Waysenhaus beÿgehalten, die bestrafung deselben aber einer deputation zur berathschlagung aufgetragen werden. 28. Seÿe derselbe dem Proc. fisci geschrieben zu geben, um beÿ Rath gegen ihn zu Klagen. 51.

(p. 28) Montag den 30. Jänner 1786. – stift Waÿsenhaus bittet festzusezten wie die Eltern so ihre Kinder böslich verlaßen so daß dieselben dem Waÿsenhaus anheim fallen, zu bestrafen die Betzingerischen und Diemerischen Kinder sind in deßen beÿzubehalten
Osterrieth nôe Hn Benedict Heinrich Marbachs [-] des Waysenhauses Schaffners prod. unterth[änig -] und bitten samt beil. A. B. C. D. E. F pt° [-] Johann Jacob Betzingers des Zimmerge[sellen und] Jacob Diemer des Schwartzbeckens, beid[e -] wegen malitioser Verlaßung ihrer [-]ordung sie es Künftighin in derglei[chen Fällen] gehalten worden.
Das Memoriale ist folgender Innh[alts. M.] Ghh. In Gefolg hier mitkommender Erkanntnis löbl. Policeigerichts vom 24. Dec. j. soll unterschriebener ex commissione der Hochverordneten Hh Pfleger Löbl. Stift Weÿßenhauses die Ehre haben E. G. in Unterthänigkeit vorzutragen, daß Johann Jacob Betzinger des Zimmergesellen und b. allhier mit Maria Salome geb. Götzin ehelich erzielte dreÿ Kinder da sich der Vater unter dem Vorwand, daß er auf beiden Seiten gebrochener, derohalben ohnvermögens, sich und seine Kinder zu erhalten, derohalben ohnvermögens sich und seine Kinder zu erhalten, mit dem Gesuch, in den hiesigen Mehrern Hospital begegeb, daselbst als armer Pfründer aufgenommen Zu werden, die Mutter aber, nach Erkanntniß E. E. Großen Raths de anno 1784. noch acht Jahr in dem Arbeitshaus aus zuhalten hat, vermög Decreti von G. B. dem reg. H. Ammeister de dato 12. August 1785. bis Zu Austrag der Sache inn Hiesiges Waÿßenhaus erkannt, daselbst aufgenommen und darinn bis daß die Hochansehnlichen Hh. Pfleger gedachten Hospitals nach geraumer Untersuchung sein des Vaters Umstände denselben dieser Gutthat unwürdig erkannten, erhalten worden.
den 23. Augusti d. a. als am zweiten tag nachdem er aus dem Hospital fortgeschickt und ihm von seiten löbl. Stift Weÿsenhauses, seine kinder auch wieder zugeführt worden, schickte er dieselben mit hier sub it. C. angebogenem Brief, wieder in das Waÿsenhaus, worinnn die hochverordnete Hh. Pfleger die selben unterdeßen, bis sie bevögtiget und über deren Vaters umstände und Aufenthalt genungsame Kundschaft wird eingezogen [we]rden seÿn, Zu behalten befohlen haben. Da aber von des [Va]ters Aufenthalt nichts Zu erfahren war, so wurde [der]oselben Vogt erlaubt beÿ E. G. und ihre Aufnahm und [Unter]haltung förmlich anzuhalten, welcher bitte er auch [-] Decreti vom 3. Sept. jedoch nur usque ad reditum Patris [-]isve relaxationem gewähret worden.
[-] Kaum war es ruchbar daß die Kinder nun Kraft eines von E. G. gegebenen Decreti in dem Waysenhaus zu bleiben hätten, so lief der Vater hier auch wieder öffentlich herum ja er trieb seine Unverschämtheit so weit, daß er sich sogar unterstunde, seinen Knaben aus dem Waÿsenhaus zu sich in das bierhaus abholen laßen zu Wollen, Worauf die Hochverordnete Hh. Pfleger dem Procuratori fisci aufgetragen wider denselben so wie ach wider Johann Jacob Diemer den Schwartzbecker und B. hieselbst wegen ihrer malitiosen Desertion die nöthigen und sonst gewöhnlichen Poursuiten zumachen, obschon letzterer in seiner Verhör behaupten wollte, er habe sein Kind nicht verlaßen indem deßelbe vor einem Ja[hr] schon nicht mehr beÿ ihm, sondern beÿ seines Vogts Bruder H Caspar Ober dem Ohlmann gewesen, wie weit aber [er] oder Mr Johann Daniel Ober der hiesige burger und [frant]zösiche Becker des Kindes Vogt, welcher beÿ E. G. um die [An]nahm Inaac Diemers seines Pupillen in das evange[lische] Waÿsenhaus gegen Einbringung seines Curanden Ver[mögens]

La maison de Jean Jacques Pfetzinger est vendue par adjudication judiciaire le 20 août 1783 à Jean Georges Krebs (voir les inventaires ultérieurs et la vente de 1847).

Originaire de Durlach en margraviat de Bade, Jean Georges Krebs épouse en 1772 Susanne Dorothée Baum, fille du tisserand André Baum : contrat de mariage, célébration
1772 (3.8.), Not. Haering (6 E 41, 1378) n° 617
Eheberedung – persönlich erschienen Johann Georg Krebs leediger Leinenweber, weiland Adam Krebs geweßenen Leinenwebers und burgerlichen Einwohners in Durlach Margräfflich badischer herrschafft, mit frau Barbara geb. Beckerin ehelich erzeugter Sohn als hochzeiter, beÿständl. Mr Johann Jacob Fuchs Lwbers u. b. allh. an einem
Sodann die Ehren und tugendsame Jungfrau Susanna Dorothea Baumin, Mr Andreas Baum Lwbers und Frau Rosinä geb. Frohnerin beeder Eheleute u. burger alhier ehel. erzeugte Tochter, als Braut, an dem andern theil
So beschehen Straßburg Montags den dritten Augusti im Jahr der Gnaden 1772 [unterzeichnet] Johann Georg Krebs als hochzeiter, Susanna Dorothea Baumin als hoch Zeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 184-v)
In dießem 1773. Jahr sind nach 2 maliger ordentlicher proclamation Mont. d. 17. Maÿ vor XI. matut: Zur ehe eingesegnet worden Georg Krebß der ledige Leinenweber Meister undt burger alhie weÿl. Adam Krebß geweß. leinenwebermeisters und burgers Zu durlach hinterlaßener ehel. Sohn mit Jgfr. Susanna Dorothea Baumin Andreas Baumen burgers und leinenweber meisters alhie ehelichen dochter [unterzeichnet] Johann Georg Krebs als Hochzeiter, Susanna Dorothea Baumin als hochzeiterin (i 189)

Jean Georges Krebs fait dresser un état de sa fortune pour devenir bourgeois
1773 (4.5.), Not. Haering (6 E 41, 1380) n° 291
Verzeichnus Johann Georg Krebs von durlach gebürtig hießigen Leinenweber Meisters derzeit besiztender Vermögenschafft
Garn Waar Werckzeug 543 fl.

Jean Georges Krebs devient bourgeois par sa femme à l’ancien tarif : registre des inscriptions, traitement des demandes
1773, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 82-v
Johann Georg Krebs, Leinenweber von Durlach gebürtig erhalt das burgerrecht von seiner Ehefrauen Susanna Dorothe, Andreas Baum des Leinenwebers und Burgers allhier ehel. tochter umb den alten burger schilling, will dienen beÿ E. E. Zunfft der tucher. Jur. eod. [22. Maÿ 1773]

(VI 286 bis, p. 491) Tucher. N. 18 d. 8. Maÿ 1773.
Joh: georg Krebß des Leinenwebers von Durlach gehörig adam Krebß des webers u. b. daselbst ehelich erzeigt sohn, Verlobt an Annam Dorotheam andreas baum des b. u. Leinenwebers alhier eheliche tochter
seine schein weißen an die eheliche geburt augsb. Conf. Zugethan, geleistete statt stall caution wie auch seines sposæ stall gebühr in richtigkeit, sein Vermögenschafft bestehet in gestück haußräth. mobilien werckzeug deren Estimation dem wahren wärth nach 543. fl. 9 ß 9 d welche pasation coram notario Häring d. 4.ten hujus mensis et anni geschehen worüber Comparent d. wahren u. ohnverpfändt Eigenthumb mit Einer handtreu bekräftiget, auch 100 fl. beÿm b. Prot. deponirt. Implor. bittet E G unterthänig ihn ob favorem sponsæ um d. a b s gnädigst das b. recht Zuvertrösten
Receptus um d. a. b. s.

Jean Georges Krebs meurt en 1805 en délaissant quatre enfants

1805 (1 messidor 13), Strasbourg 9 (anc. cote 14), Not. Bossenius n° 255, 2390
Inventaire de la succession de Jean Georges Krebs, tisserand décédé le 5 ventôse dernier – à la requête de la veuve Susanne Dorothée née Baum, tutrice naturelle de Catherine Salomé âgée de 16 ans, Georges Jacques Krebs tisserand et Jean Henri Krebs garçon cordonnier, Susanne Dorothée Krebs trois majeurs – en présence de Chrétien Keller tisserand subrogé tuteur, héritiers de leur père procéés avec la veuve
dans la maison mortuaire faisant partie de la présente succession
meubles 415 fr, outils 778 fr, argenterie 23 fr
Immeuble, Savoir une maison et cour avec toutes autres appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des mineurs N° 19, d’un côté le Cit. Lobstein sellier, de l’autre le Cit. Fleischmann saucissier, derrière led. Cit. Lobstein – chargée d’une rente emphythéotique de 2 fr payable annuellement à la recette de l’Université protestante en cette ville ; rapportant Le logement au rez de chaussée occupé par le Cit. Rohrer tisserand 65 fr, le logement occupé par lad. veuve au premier étage 50 fr, enfin les petits logements occupés au second étage par Barbe Baum et Catherine Dambach filles 40 fr, estimée 155 fr de revenu en capital 3100 fr, acquis par adjudication au petit sénat de cette ville le 20 août 1783
total 4317 fr, déduire habits appartenant aus enfants seuls 82 fr, reste 4235 fr
Enregistrement, acp 97 F° 6-v du 10 mess. 13

Susanne Dorothée Baum meurt en 1824 en délaissant trois enfants ou leurs représentants

1825 (4.5.), Strasbourg 9 (anc. cote 49), M° Hickel n° 1847
Inventaire de la succession de Susanne Dorothée Baum veuve de Jean Georges Krebs, tisserand, décédée le 20 novembre dernier – dressé à la requête des enfants petits enfants 1. Georges Jacques Krebs, serrurier en son nom et subrogé tuteur des enfants mineurs Krucker, 2. Georges Krucker boulanger, tuteur légal de Jacques, Paul Frédéric, Jean Geoffroi et Caroline issus de son mariage avec Susanne Dorothée Krebs, 3. Catherine Caroline Krebs épouse de Daniel Held trippier
dans la maison rue des Mineurs n° 19
Titres et papiers, enchère à la Chambre des Contrats le 20 mars 1783 de la maison au Faubourg de Pierre rue des Mineurs appartenante à Jean Jacques Pfetzinger fripier pour 1250 florins à Jean Georges Krebs, deux tiers transmis aux quatre enfants Georges Jacques, Jean Henri garçon cordonnier, Susanne Dorothée et Catherine Caroline, Jean Henri est décédé sans laisser d’héritier, de sorte qu’il dépend de la succession de la veuve 9/24
garde robe 224 fr, numéraire 50 fr, rapport 3126 fr
9/40 d’une maison rue des Mineurs n° 19 estimée 2100 fr
ensemble 5500 fr, passif 450 fr
Enregistrement, acp 173 F° 57-v du 10.5.

Georges Jacques Krebs rachète les parts de ses cohéritiers et devient seul propriétaire de la maison. Le rapport d’experts est joint à l’acte.

1825 (19.11.), Strasbourg 9 (anc. cote 49), M° Hickel
Cahier des charges n° 1939 du 21 septembre, Licitation – 1. Georges Jacques Krebs, tisserand demeurant rue des Mineurs n° 19 tant en son nom que subrogé tuteur des enfants Krucker, 2. Catherine Salomé Krebs épouse de Daniel Held, trippier demeurant rue du Jeu des Enfants n° 47
qu’ils sont propriétaires par indivis avec Jacques, Paul Frédéric, Jean Geoffroi & Caroline Krucker, enfants mineurs de Georges Krucker boulanger, demeurant Faubourg Blanc n° 82 et de Susanne Dorothée Krebs, de la maison ci-dessous décrite – jugement du 30 juin dernier et rapport d’experts, estimée 4700 fr le 16 août et jugement entérinant le rapport d’experts le 23 août
à Georges Jacques Krebs
Désignation de la maison, une maison avec cour appartenances & dépendances située à Strasbourg rue des Mineurs n° 19, d’un côté les héritiers de Daniel Fleischmann, de l’autre et par derrière la propriété du Sr Lobstein sellier. – Etablissement de la propriété, acquis par Jean Georges Krebs leur pere et grand père acquise devant le Grand Sénat le 20 août 1783 moyennant 1250 florins ou 2469 francs, grevée d’une rente laudémiale & annuelle de 1 florin ou 1 franc 90, mais cette rente a été rachetée ainsi que le droit de laudème suivant la déclaration des comparants. Ladite maison dépendait de la communauté de Jean Georges Krebs et Susanne Dorothée Braun, deux tiers sont avenus aux quatre enfants Georges Jacques, Jean Henri garçon cordonnier, D° Krucker et D° Held, aux trois 6° qui leur étaient échus ils ont réuni trois quart du 6° de Jean Henri Krebs, décédé – adjudication préparatoire n° 1977 du 5 novembre, adjudication définitive n° 1995 moyennant 4750 francs
– Rapport d’experts du 16 août – François Louis Madler, Philippe Jacques Hennenberg, Jean Chrétien Arnold architecte (…) qu’elle consiste en un bâtiment sur la rue à droite lieux au fond bâtiment formant aile mais que sa construction, distribution et superficie ne permettent aucun partage, avons de suite pris le détail du bâtiment sur la rue qui renferme au rez de chaussée en entrant cage d’escalier deux chambres et cuisine, dessous cave sous solives, Premier étage cage d’escalier, quatre chambres et cuisine, dessus comble à la mansarde contenant * deux chambres et cuisine couvert à tuile doubles, bâtiment en aile rez de chaussée attelier de tisserand, premier étage galerie dessus comble couvert à tuiles simples 4700 fr –
acp 175 (3 Q 29 890) f° 163 du 26.11.

Le tisserand Georges Jacques Krebs épouse en 1813 Christine Schwegler, native de Kœnigsbach en Bade
Mariage, Strasbourg (n° 369)
Acte de mariage, célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 28 octobre 1813, George Jacques Krebs, majeur d’ans, né en légitime mariage le 30 mai 1774 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Tisserand, fils de feu Jean Georges Krebs, tisserand décédé en cette ville le 5 Vendémiaire an XIII et de Susanne Dorothée Baum, ci présente et consentante
Christine Schwegler, majeure d’ans née en légitime mariage le 11 février 1773 à Koenigsbach, Grand Duché de Bade, domiciliée à Strasbourg, fille de feu Jean Frédéric Schwegler, tisserand décédé à Koenigsbach le 2 novembre 1782 et de Judith Reinhard (…) ladite épouse produit un acte de consentement de sa mère au présent mariage passé par devant le Magistrat de Koenigsbach le 24 décembre 1810. (signé) George Jacques Krebs, Christina Schwäglerin (i 43)

Christine Schwegler meurt en 1821 en délaissant des héritiers collatéraux
1822 (9.2.), Strasbourg 9 (anc. cote 44), M° Hickel n° 929
Inventaire de la succession de Christine Schwegler, femme de Georges Jacques Krebs, tisserand, décédée le 31 décembre dernier – dressé à la requête de I. le veuf, II. Frédéric Schwegler, tisserand à Koenigsbach, Grand Duché de Bade, en son nom et mandataire de 1. Judith Reinhard sa mère demeurant à Koenigsbach, veuve de Jean Frédéric Schwegler, tisserand, 2. Catherine Schwegler femme de Bernhard Lambrecht, cultivateur à Koenigsbach, 3. Charlotte Schwegler femme de Daniel Waeldé cordonnier, 4. Christianne Schwegler veuve de Laurent Neumann à Irmselshausen, royaume de Bavière (procuration à Kleinleibstadt) frères et sœurs de la défunte, III. Georges Adam Schwegler, tisserand audit lieu, la D° Reinhard veuve Schwegler héritière pour un quart de sa fille et les autres de leur sœur germaine – mariés en 1814 sans contrat de mariage
dans une maison rue des Mineurs n° 19 appartenant à la veuve Krebs née Baum à titre de loyer
acp 156 (3 Q 29 871) f° 47 du 12.2. – garde robe 124 fr – mobilier de la communauté 1334 fr, argent comptant 202 fr, dettes actives 234 fr, total 1997 francs

Georges Jacques Krebs se remarie en 1823 avec Salomé Bauer, originaire d’Oberbronn
1823 (3.1.), Strasbourg 9 (anc. cote 45), M° Hickel n° 1121
Contrat de mariage – Georges Jacques Krebs, tisserand de Strasbourg veuf en premières noces de Christine Schwegler sans enfant
Salomé Bauer, fille majeure de Chrétien Bauer, cordonnier, et d’Elisabeth Eber demeurant à Oberbronn
acp 160 (3 Q 29 875) f° 191-v du 4.1. – réserve d’apports, communauté d’acquets partageable par moitié au décès de l’un d’eux
Usufruit au survivant de la succession du prédécédé, droit de survie par le futur à la future d’une somme de 300 francs. Le futur se constitue en propre en meubles, argent et créances 5481 francs
et la future en meubles, argent et créances la sommme de 1998 francs, plus 16 ares de terre en deux pièces ban d’Oberbronn

Salomé Bauer meurt en 1839 en délaissant un fils. L’inventaire décrit les deux tiers de la maison qui font partie de la communauté. La rente perpertuelle et laudémiale au profit de la fondation St Thomas est éteinte par un acte de 1825.

1839 (30.12.), Strasbourg 9 (76), M° Becker n° 507
Inventaire de la succession de Salomé Bauer décédée le 30 août 1839 – dressé à la requête de Jean Georges Jacques Krebs, tisserand, veuf de la défunte son épouse en secondes noces, contrat de mariage reçu M° Hickel le 3 janvier 1823, Donataire en usufruit, père et tuteur légal de Jacques son enfant mineur procréé avec la défunte, en présence de Jean Jacques Lehmann, tisserand, subrogé tuteur
dans une maison appartenant au Sr Krebs rue des Mineurs n° 19 où la défunte est décédée
acquisition des deux tiers indivis d’une maison par acte reçu M° Hickel, cahier des charges, adjudication du 19 novembre 1825, Catherine Salomé Krebs épouse de Daniel Held, tripier, le tuteur des enfants mineurs Susanne Dorothée Krebs vivante épouse de Georges Grucker, boulanger ont vendu au Sieur Krebs deux tiers indivis de la maison où il est procédé, située à Strasbourg rue des Mineurs n° 19 pour 3170 francs, M. Krebs était déjà propriétaire du tiers indivis – Certificat du 21 septembre 1825 par M. Wieger, receveur de la Fondation St Thomas constatant que la rente perpertuelle et laudémiale de 2 francs dont la maison était grevée au profit de la Fondation de la Haute Ecole a été rachetée par le Sr Krebs ledit jour pour 67 francs. Par acte passé à la Chambre des contrats le 20 août 1783 l’immeuble ci dessus a été adjugé à Jean Georges Krebs père du réquérant – Inventaire de Susanne Dorothée Braun mère du réquérant veuve de Jean Krebs, dressé par M° Hickel le 4 mai 1825
acp 274 (3 Q 29 ) f° 45 du 3.1. – Garde robe de la défunte 145
Mobilier de la communauté 4258

Georges Jacques Krebs meurt en 1840 en délaissant un fils.

1840 (17.11.), Strasbourg 9 (78), M° Becker n° 964
Inventaire après le décès de M. Georges Jacques Krebs, en son vivant tisserand à Strasbourg où il est décédé le 2 novembre 1840
L’an 1840 le mardi 17 novembre à trois heures de relevée, A la requête du S. Guillaume Scherf, boucher, demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de tuteur de Jacques Krebs, enfant mineur délaissé par le Sr Georges Jacques Krebs, en son vivant tisserand à Strasbourg et Dame Salomé Bauer son épouse défunte (…) ledit mineur Jacques Krebs seul habiles à se dire et porter héritier dud. Sr Georges Jacques Krebs son père mais seulement sous bénéfice d’inventaire, conformément à l’article 461 du Code civil. En présence de Jean Jacques Lehmann, tisserand demeurant en cette villen agissant en qualité de subrogé tuteur dud. mineur
dans une maison appartenant à la succession, rue des Mineurs n° 19 à Strasbourg où M. Krebs est décédé le 2 novembre courant
N° 1171, continuation et clôture du 28 avril 1841 – Titres et papiers (…) Les notaires soussignés ont procédé à la réquisition du comparant au recolement des Titres et papiers décrits dans l’Inventaire tant de la communauté de biens d’entre M. Krebs et son épouse défunte Salomé Bauer que de la succession de cette dernière dressé par led. M° Becker en date au commencement du 30 décembre 1839 (…) 2° Les dix neuf pièces de la Cote troisième se sont également trouvées en nature. Elles forment le titres de propriété d’une maison propre au défunt Sr Krebs située à Strasbourg rue ses mineurs N° 19. Le requérant déclare qu’il était dû lors du décès du Sr Krebs pour loyer de lad. maison une somme de 33 francs
acp 283 (3 Q 29 998) f° 10-v du 20.11. – garde robe 210, mobilier indivis entre le défunt et son fils comme héritier de feue sa mère Salomé Bauer 157, argent comptant 814 francs
acp 286 (3 Q 30 001) f° 93-v du 3.4. (vacation du 28 avril), description des titres et papiers, mobilier de la succession 3101, créances recouvrées 2951
acp 290 (3 Q 30 005) f° 71-v du 8.9. (vacation du 4 septembre), établissement de l’actif et du passif, actif 16.583, passsif 4980, reste 11.552

Le serrurier célibataire Jacques Krebs hypothèque la maison au profit de Salomé Bœrsch

1846 (1.12.), Strasbourg 7 (103), M° Reiss n° 814
Obligation, 1.er Xbre 1846 – comparu Le sieur Jacques Krebs, majeur, célibataire, serrurier, demeurant et domicilié à Strasbourg, rue des mineurs Numéro 19, Lequel a reconnu devoir légitimement
à Melle Salomé Boersch, majeure, célibataire, demeurant et domiciliée à Strasbourg, marais Kageneck, rue de Moll, Numéro 21, à ce présente et acceptant, tant en son propre nom qu’en celui de son frère M. Daniel Boersch, jardinier cultivateur demeurant avec elle, un capital de 2000 francs, pour prêt de pareille somme (…)
Gage, savoir Une Maison avec cour, appartenances & dépendances, sise à Strasbourg rue des mineurs marquée du N° 19, tenant d’un côté aux héritiers du Sieur Fleischmann, de l’autre côté et par derrière à la propriété du Sieur Lobstein sellier, par devant ladite rue.
Titres de propriété. Cette maison appartient au débiteur Sieur Krebs pour l’avoir héritée dans la succession de son père le Sieur Georges Jacques Krebs en son vivant tisserand à Strasbourg y décédé le 2 novembre 1840, ainsi qu’il est constaté par l’inventaire dressé sur la succession de ce dernier le 17 du même mois de novembre, enregistré. Le Sieur Georges Jacques Krebs père l’avait acquise lui même sur ses cohéritiers suivant adjudication dressée sur licitation par M° Hickel, alors notaire en cette ville le 19 novembre 1825. Ledit notaire Hickel commis par jugement du tribunal civil de première instance séant à Strasbourg le 23 août de la même année.
Elle dépendait de la communauté de biens qui avait existé entre entre le Sieur Jean Georges Krebs, grand père du débiteur et D° Susanne Dorothée Baum qui l’avaient achetée du Sieur Jean Jacques Pfetzinger, vivant fripier à Strasbourg, suivant procès verbal d’adjudication dressé au cidevant grand Sénat de cette ville le 20 août 1783 moyennant 2469 francs dont 1777 francs ont été payés suivant quittance passée à la cidevant chambre des contrats de la ville de Strasbourg le premier octobre 1793, dûment enregistrée, Quant au surplus il a été également payé depuis longues années ainsi que le débiteur le déclare.
Ladite maison était grevée d’une rente laudémiale et annuelle d’un franc 97 centimes, mais elle a été rachetée ainsi que le droit de laudème lui-même suivant la déclaration dud. Sr Krebs.
L’acquisition de cette maison ayant été faite par les époux Krebs, susnommés, pendant la communauté de biens qui avait existé entre eux a tourné pour deux tiers au profit du mari et pour un tiers au profit de la femme ainsi que le voulaient les lois alors en vigueur. Le Sieur Jean Georges Krebs étant décédé, ses deux tiers sont avenus aux quatre enfants qu’il a délaissés, savoir 1° Georges Jacques Krebs père du débiteur, 2° Jean Henri Krebs, garçon cordonnier décédé depuis, 3° D° Susanne Dorothée Krebs épouse du Sieur George Krucker, boulanger à Strasbourg & 4° à Catherine Salomé Krebs épouse du Sieur Daniel Held, tripier à Strasbourg, soit à chacun un 6° dans la totalité de ladite maison. A ces trois 6° qui leur étaient échus, le Sieur Georges Jacques Krebs et les Dames Krucker et Held ont réuni trois quarts du 6° du sieur Jean Henri Krebs dont ils étaient héritiers pour cette fraction, de sorte que chacun d’eux participait alors dans ladite maison pour cinq 24°. La D° Krucker étant morte a laissé ses cinq 24° à ses quatre enfants qui en sont héritiers chacun pour un quart, ces enfants sont 1° Jacques, 2° Paul Frédéric, 3° Jean Geoffroi & 4° Caroline Krucker. La Dame veuve Krebs a recueilli un 24° dans ladite maison dans la succession de son fils Jean Henri Krebs, dont elle était héritière pour un quart, ce qui joint au tiers qui lui appartenait à cause de la communauté de biens qui a existé entre elle et son dit mari portait ses droits dans la maison à neuf 24. Ces neuf 24 sont échus par suite de son décès par portions égales au Sieur Krebs père du comparant, à la D° Held & aux mineurs Krucker conjointement 9/24. En y ajoutant les 15/24 qui leur sont avenus comme on vient de voir, on trouve un total de 24/24.

Jacques Krebs hypothèque la maison au profit de Caroline Beck veuve du passementier Geoffroi Wolff et du jardinier cultivateur Abraham Bœrsch

1847 (20.2.), Strasbourg 7 (103), M° Reiss n° 923
Obligation, 20 février 1847 – A comparu Le Sieur Jacques Krebs, majeur, célibataire, serrurier, demeurant et domicilié à Strasbourg, rue des mineurs Numéro 19, Lequel a par les présentes déclaré et reconnu devoir légitimement
1° à Mad° Caroline Beck veuve du sieur Geoffroi Wolff vivant passementier à Strasbourg elle y demeurant et domiciliée rue des orfèvres N° 23, ci présente et acceptant la somme principale de 3000 francs
2° Et à Mr Abraham Boersch, jardinier cultivateur demeurant et domicilié à Strasbourg marais Kageneck rue de Moll N° 21 pour lequel ci présent stipule et accepte le Sieur Tobie Werner, pensionnaire de l’Etat, demeurant et domicilié en ladite ville rue du chaudron N° 8 celle de 500 francs, Ensemble 3500 francs, pour prêt de pareille (…)
hypothèque, savoir Une Maison avec cour, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg rue des mineurs marquée du N° 19, tenant d’un côté aux héritiers du Sieur Fleischmann, de l’autre et par derrière à la propriété du Sieur Lobstein sellier, par devant ladite rue.
Titres de propriété. Cette maison appartient au débiteur Sieur Krebs pour l’avoir héritée dans la succession de son père le Sieur Georges Jacques Krebs, vivant tisserand à Strasbourg, y décédé le 2 novembre 1840, ainsi qu’il est constaté par l’inventaire dressé sur la succession de ce dernier par M° Becker qui en a gardé minute et un collègue, notaires à la résidence de Strasbourg, le 17 du même mois, enregistré. Le Sr Georges Jacques Krebs, père l’avait acquise lui même sur ses cohéritiers suivant adjudication dressée sur licitation par M° Hickel, alors Notaire en cette ville le 19 novembre 1825. Ledit notaire Hickel, commis par jugement du tribunal civil de première instance séant à Strasbourg le 23 août de la même année.
Elle dépendait de la communauté de biens qui avait existé entre entre le Sr Jean Georges Krebs, grand père du débiteur et D° Susanne Dorothée Baum qui l’avaient achetée du Sr Jean Jacques Pfetzinger, vivant fripier à Strasbourg, suivant procès verbal d’adjudication dressé au cidevant grand sénat de cette ville le 20 août 1783 moyennant 2469 francs dont 1777 francs ont été payés suivant quittance passée à la cidevant chambre des contrats de la ville de Strasbourg le premier octobre 1793, dûment enregistrée, Quant au surplus il a été également payé depuis longues années ainsi que le débiteur le déclare.
Ladite maison était grevée d’une rente laudémiale et annuelle d’un franc 97 centimes, mais elle a été rachetée ainsi que le droit de laudème lui-même suivant la déclaration du Sr Krebs.
L’acquisition de cette maison ayant été faite par les époux Krebs pendant la communauté de biens qui avait existé entre eux a tourné pour deux tiers au profit du mari et pour un tiers au profit de la femme, ainsi que le voulaient les lois alors en vigueur. Le Sr Jean Georges Krebs étant décédé, ses deux tiers sont avenus aux quatre enfants qu’il a délaissés, savoir 1° Georges Jacques Krebs père du débiteur, 2° Jean Henri Krebs, garçon cordonnier décédé depuis, 3° D° Susanne Dorothée Krebs épouse du Sr George Krucker, boulanger à Strasbourg et 4° à Catherine Salomé Krebs épouse du Sr Daniel Held, tripier à Strasbourg, soit à chacun un 6° dans la totalité de ladite maison. A ces trois 6° qui leur étaient échus, le Sr Georges Jacques Krebs et les Dames Krucker et Held ont réuni trois quarts du 6° du Sr Jean Henri Krebs dont ils étaient héritiers pour cette fraction, de sorte que chacun d’eux participait alors dans ladite maison pour cinq 24°. La D° Krucker étant morte a laissé ses cinq 24° à ses quatre enfants qui en sont héritiers chacun pour un quart, ces enfants sont 1° Jacques, 2° Paul Frédéric, 3° Jean Geoffroi et 4° Caroline Krucker. La D° veuve Krebs a recueilli un 24° dans ladite maison dans la succession de son fils Jean Henri Krebs dont elle était héritière pour un quart, ce qui joint au tiers qui lui appartenait à cause de la communauté de biens qui a existé entre elle et son dit mari portait ses droits dans la maison à neuf 24. Ces neuf 24 sont échus par suite de son décès par portions égales au Sieur Krebs père du comparant, à la D° Held et aux mineurs Krucker conjointement 9/24. En y ajoutant les 15/24 qui leur sont avenus comme on vient de voir, on trouve un total de 24/24.

Jacques Krebs hypothèque la maison au profit de Philippe Jacques Knoderer

1847 (30.3.), Strasbourg 7 (104), M° Reiss n° 974
Obligation, 30 Mars 1847 – A comparu Le Sieur Jacques Krebs, majeur, célibataire, serrurier, demeurant et domicilié à Strasbourg, rue des mineurs N° 19, Lequel a par ces présentes déclaré et reconnu devoir légitimement
à Monsieur Philippe Jacques Knoderer, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg rue des veaux N° 21 ci présent et acceptant, la somme principale de 5000 francs, pour prêt de pareille (…)
hypothèque, savoir Une Maison avec cour, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg rue des mineurs marquée du N° 19, tenant d’un côté aux héritiers du Sieur Fleischmann, de l’autre et par derrière à la propriété du Sieur Lobstein sellier, par devant ladite rue.
Titres de propriété. Cette maison appartient au Sr Krebs pour l’avoir héritée dans la succession de son père le Sieur Georges Jacques Krebs, vivant tisserand à Strasbourg, y décédé le 2 novembre 1840, ainsi qu’il est constaté par l’inventaire dressé sur la succession de ce dernier par M° Becker qui en a gardé minute et un collègue, notaires à Strasbourg, le 17 du même mois, enregistré. Le Sieur Georges Jacques Krebs, père, l’avait acquise lui même sur ses cohéritiers suivant adjudication dressée sur licitation par M° Hickel, alors notaire en cette ville le 19 novembre 1825. Ledit notaire Hickel commis par jugement du tribunal civil de première instance séant à Strasbourg le 23 août de la même année.
Elle dépendait de la communauté de biens qui avait existé entre entre le Sr Jean Georges Krebs, grand père du débiteur et Dame Susanne Dorothée Baum qui l’avaient achetée du Sieur Jean Jacques Pfetzinger, vivant fripier à Strasbourg, suivant procès verbal d’adjudication dressé au cidevant grand sénat de cette ville le 20 août 1783 moyennant 2469 francs dont 1777 francs ont été payés suivant quittance passée à la cidevant chambre des contrats de la ville de Strasbourg le premier octobre 1793, dûment enregistrée, Quant au surplus il a été également payé depuis longues années ainsi que le débiteur le déclare.
Ladite maison était grevée d’une rente laudémiale et annuelle d’un franc 97 centimes, mais elle a été rachetée ainsi que le droit de laudème lui-même suivant la déclaration du Sieur Krebs.
L’acquisition de cette maison ayant été faite par les époux Krebs pendant la communauté de biens qui avait existé entre eux a tourné pour deux tiers au profit du mari et pour un tiers au profit de la femme, ainsi que le voulaient les lois alors en vigueur. Le Sieur Jean Georges Krebs étant décédé, ses deux tiers sont avenus aux quatre enfants qu’il a délaissés, savoir 1° Georges Jacques Krebs père du débiteur, 2° Jean Henri Krebs, garçon cordonnier décédé depuis, 3° D° Susanne Dorothée Krebs épouse du Sr George Krucker, boulanger à Strasbourg et 4° à Catherine Salomé Krebs épouse du Sieur Daniel Held, tripier à Strasbourg, soit à chacun un 6° dans la totalité de ladite maison. A ces trois 6° qui leur étaient échus, le Sieur Georges Jacques Krebs et les Dames Krucker et Held ont réuni trois quarts du 6° du Sieur Jean Henri Krebs dont ils étaient héritiers pour cette fraction, de sorte que chacun d’eux participait alors dans ladite maison pour cinq 24°. La Dame Krucker étant morte a laissé ses cinq 24° à ses quatre enfants qui en sont héritiers chacun pour un quart, ces enfants sont 1° Jacques, 2° Paul Frédéric, 3° Jean Geoffroi et 4° Caroline Krucker. La D° veuve Krebs a recueilli un 24° dans ladite maison dans la succession de son fils Jean Henri Krebs dont elle était héritière pour un quart, ce qui joint au tiers qui lui appartenait à cause de la communauté de biens qui a existé entre elle et son dit mari portait ses droits dans la maison à neuf 24. Ces neuf 24 sont échus par suite de son décès par portions égales au Sieur Krebs père du comparant, à la D° Held et aux mineurs Krucker conjointement 9/24. En y ajoutant les 15/24 qui leur sont avenus comme on vient de voir, on trouve un total de 24/24.

Jacques Krebs hypothèque la maison au profit de la rentière Madeleine Sophie Asar et du tailleur Philippe Jacques Straus

1847 (9.6.), Strasbourg 6 (76), M° Striffler n° 3481
Obligation, du 9 Juin 1847 – A comparu Le Sieur Jacques Krebs, majeur, célibataire, serrurier, demeurant et domicilié à Strasbourg, rue des mineurs N° 19, Lequel a par ces présentes déclaré et reconnu devoir légitimement
à Mademoiselle Marie Madeleine Sophie Asar, rentière et à Monsieur Philippe Jacques Straus, tailleur d’habits, les deux demeurant à Strasbourg ci présents et acceptant, savoir à Mademoiselle Asar la somme principale de 6000 et à Monsieur Strauss celle principale de 1000 francs, Ensemble 7000 francs
hypothèque, savoir Une Maison avec cour, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg rue des mineurs marquée du N° 19, tenant d’un côté aux héritiers du Sieur Fleischmann, de l’autre et par derrière à la propriété du Sieur Lobstein sellier, par devant ladite rue.
Titres de propriété. Cette maison appartient au Sr Krebs pour l’avoir hérité dans la succession de son père, le Sieur Georges Jacques Krebs, vivant tisserand à Strasbourg, y décédé le 2 novembre 1840, ainsi qu’il est constaté par l’inventaire dressé sur la succession de ce dernier par M° Becker qui en a gardé minute et un collègue, notaires à Strasbourg, le 17 du même mois, enregistré. Le Sr Georges Jacques Krebs, père l’avait acquise lui même sur ses cohéritiers suivant adjudication dressée sur licitation par M° Hickel, alors Notaire en cette ville le 19 novembre 1825. Ledit notaire Hickel, commis par jugement du tribunal civil de première instance séant à Strasbourg le 23 août de la même année.
Elle dépendait de la communauté de biens qui avait existé entre entre le Sr Jean Georges Krebs, grand père du débiteur et D° Susanne Dorothée Baum qui l’avaient achetée du Sieur Jean Jacques Pfetzinger, vivant fripier à Strasbourg, suivant procès verbal d’adjudication dressé au cidevant grand sénat de cette ville le 20 août 1783 moyennant 2469 francs dont 1777 francs ont été payés suivant quittance passée à la cidevant chambre des contrats de la ville de Strasbourg le premier octobre 1793, dûment enregistrée, quant au surplus il a été également payé depuis longues années ainsi que le débiteur le déclare.
Ladite maison était grevée d’une rente laudémiale et annuelle d’un franc 97 centimes, mais elle a été rachetée ainsi que le droit de laudème lui-même suivant la déclaration du Sieur Krebs.
L’acquisition de cette maison ayant été faite par les époux Krebs pendant la communauté de biens qui avait existé entre eux a tourné pour deux tiers au profit du mari et pour un tiers au profit de la femme, ainsi que le voulaient les lois alors en vigueur. Le Sr Jean Georges Krebs étant décédé, ses deux tiers sont avenus aux quatre enfants qu’il a délaissés, savoir 1° Georges Jacques Krebs père du débiteur, 2° Jean Henri Krebs, garçon cordonnier décédé depuis, 3° D° Susanne Dorothée Krebs épouse du Sr George Krucker, boulanger à Strasbourg et 4° à Catherine Salomé Krebs épouse du Sieur Daniel Held, tripier à Strasbourg, soit à chacun un 6° dans la totalité de ladite maison. A ces trois 6° qui leur étaient échus, le Sr Georges Jacques Krebs et les Dames Krucker et Held ont réuni trois quarts du 6° du Sr Jean Henri Krebs dont ils étaient héritiers pour cette fraction, de sorte que chacun d’eux participait alors dans ladite maison pour cinq 24°. La D° Krucker étant morte a laissé ses cinq 24° à ses quatre enfants qui en sont héritiers chacun pour un quart, ces enfants sont 1° Jacques, 2° Paul Frédéric, 3° Jean Geoffroi et 4° Caroline Krucker. La D° veuve Krebs a recueilli un 24° dans ladite maison dans la succession de son fils Jean Henri Krebs dont elle était héritière pour un quart, ce qui joint au tiers qui lui appartenait à cause de la communauté de biens qui a existé entre elle et son dit mari portait ses droits dans la maison à neuf 24°. Ces neuf 24° sont échus par suite de son décès par portions égales au Sieur Krebs père du comparant, à la D° Held et aux mineurs Krucker conjointement 9/24. En y ajoutant les 15/24 qui leur sont avenus comme on vient de voir, on trouve un total de 24/24.

Jacques Krebs expose la maison aux enchères. Le boucher Frédéric Guillaume Scherf s’en porte acquéreur.

1847 (24.11.), Strasbourg 7 (104), M° Reiss n° 1267
Adjudication, 24. 9.bre 1847 – A la requête et en présence de Mr Henri Engelhard, avoué près le tribunal civil de première instance de Strasbourg, demeurant et domicilié rue du fil N° 6, agissant en qualité de mandataire du Sieur Jean Jacques Krebs, célibataire, majeur, serrurier, demeurant et domicilié à la Robertsau, quartier rouge N° 367, banlieue de Strasbourg aux termes d’une procuration (…). Il sera procédé (…) à la vente par enchère publique au plus offrant & dernier enchérisseur sous les charges, clauses et conditions ci après établis, d’une maison dont la désignation va suivre, savoir
Immeuble à vendre. Une Maison avec cour, droits, aisances, appartenances & dépendances, le tout situé à Strasbourg rue des mineurs marquée du N° 19, tenant d’un côté aux héritiers du Sieur Fleischmann, de l’autre côté & par derrière à la propriété du Sieur Lobstein sellier, par devant ladite rue.
Origine de la propriété. Cette maison appartient au Sieur Krebs pour l’avoir hérité dans la succession de son père le Sieur Georges Jacques Krebs en son vivant tisserand à Strasbourg, y décédé le 2 novembre 1840, ainsi qu’il est constaté par l’inventaire dressé sur la succession de ce dernier par M° Becker, notaire à Strasbourg, le 17 du même mois de novembre, enregistré. Ledit Sr Georges Jacques Krebs père l’avait acquise lui-même sur ses cohéritiers suivant adjudication sur licitation dressée par M° Hickel, alors notaire à Strasbourg le 19 novembre 1825, ledit notaire Hickel commis par jugement du tribunal civil de première instance séant à Strasbourg le 23 août de la même année.
Elle dépendait de la communauté de biens qui a existé entre entre le Sr Jean Georges Krebs, grand père du mandant susnommé & D° Susanne Dorothée Baum, qui l’avaient achetée du Sr Jean Jacques Pfetzinger, vivant fripier à Strasbourg, suivant procès verbal d’adjudication dressé au cidevant Grand Sénat de cette ville le 20 août 1783 moyennant 2469 francs dont 1777 francs ont été payés suivant quittance passée à la cidevant Chambre des Contrats de la ville de Strasbourg le premier octobre 1793 (…)
Ladite maison était grevée d’une rente laudémiale & annuelle d’un franc 97 centimes, mais elle a été rachetée ainsi que le droit de laudème lui-même suivant la déclaration du comparant.
L’acquisition de cette maison ayant été faite par les époux Krebs, susnommés, pendant la communauté de biens qui avait existé entre eux a tourné pour deux tiers au profit du mari & pour un tiers au profit de la femme ainsi que le voulaient les lois alors en vigueur. Le Sieur Jean Georges Krebs étant décédé, ses deux tiers sont avenus aux quatre enfants qu’il a délaissés, savoir 1° Georges Jacques Krebs père du mandant, 2° Jean Henri Krebs, garçon cordonnier décédé depuis, 3° D° Susanne Dorothée Krebs épouse du Sr George Krucker, boulanger à Strasbourg & 4° D° Catherine Salomé Krebs épouse du Sr. Daniel Held, tripier à Strasbourg, soit à chacun un 6° dans la totalité de ladite maison. A ces trois 6° qui leur étaient échus, le Sieur Georges Jacques Krebs & les Dames Krucker & Held ont réuni trois quarts du 6° du sieur Jean Henri Krebs, dont ils étaient héritiers pour cette fraction de sorte que chacun d’eux participait alors dans ladite maison pour cinq 24° La D° Krucker étant morte a laissé ses cinq 24° à ses quatre enfants qui en sont héritiers chacun pour un quart, ces enfants sont 1° Jacques, 2° Paul Frédéric, 3° Jean Geoffroi & 4° Caroline Krucker. La Dame veuve Krebs a recueilli un 24° dans ladite maison dans la succession de son fils Jean Henri Krebs, dont elle était héritière pour un quart, ce qui joint au tiers qui lui appartenait à cause de la communauté de biens qui a existé entre elle & son dit mari portait ses droits dans la maison à 9/24. Ces 9/24 sont échus par suite de son décès par portions égales au Sieur Georges Jacques Krebs père du mandant, à la D° Held & aux mineurs Krucker conjointement avec 9/24. En y ajoutant les 15/24 qui leur sont avenus comme on vient de voir, on trouve un total de 24/24, ainsi que le tout est expliqué au procès verbal d’adjudication du 24 novembre 1847 sus allégué. (…) Les enchères seront ouvertes sur la mise à prix de 8000 francs
Après plusieurs mises & surmises, cette maison a été portée au prix de 8550 francs outre les conditions de l’enchère par Mr Frédéric Guillaume Scherf, boucher domicilié & demeurant à Strasbourg rue des bouchers & rue des jardins N° 13
acp 363 (3 Q 30 078) f° 90 (cahier des charges) – acp 367 (3 Q 30 082) f° 31 (adjudication)
N° 1140 – Procès verbal d’enchère, 21 juillet 1847 (…) Les enchères seront ouvertes sur la mise à prix de 10.000 francs (…) Et après avoir attendu deux heures sans que le requérant se soit présenté ni personne pour lui nous avons continué à vaquer à nos affaires ordinaires
N° 1158 – Procès verbal de retrait d’enchère, 4 août 1847 – Henri Engelhard mandataire de Mr Jacques Krebs
acp 364 (3 Q 30 079) f° 9-v retrait
Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 473 (2699)

Frédéric Guillaume Scherf épouse en 1815 Sophie Reinhardt
1815 (10.3.), Strasbourg 3 (40), M° Übersaal n° 692, 6843
Sr Frédéric Guillaume Scherf, boucher, fils du Sr Guillaume Scherf, boucher avec D° Ursule Boeckel
Dlle Sophie Reinhardt, fille de feu Matthias Reinhardt, culottier avec feue D° Anne Marie Bohnert

Frédéric Guillaume Scherf (ici Jean Frédéric Scherf) se remarie avec Catherine Salomé Krebs, veuve de Jean Daniel Held
1838 (18.12.), Strasbourg, M° F. Grimmer (minutes en déficit)
Mariage avant célébration entre Jean Frédéric Scherf, boucher à Strasbourg, fils de Jean Guillaume witiberf et d’Ursule Becker sa veuve survivante
et Catherine Salomé Krebs veuve Held fille de Jean Georges Krebs et de Suzanne Dorothée Braun conjoints décédés à Strasbourg où elle demeure
acp 264 (3 Q 29 979) f° 71-v du 24.12. Stipulation de communauté d’acquêts partageable par moitié à sa dissolution
Les apports du futur époux sont constatés par deux états estimatifs enregistrés cejourd’hui
Donation mutuelle entre les futurs au survivant d’eux de l’usufruit viager d’une part d’enfant des biens meubles et immeubles que délaissera le prédécédé

Jean Daniel Held épouse en 1813 Catherine Salomé Krebs
1813 (24.7.), Strasbourg 8 (7), M° Roessel n° 1382
Jean Daniel Held, boucher, fils de Clément Held, trippier, et de Catherine Dorothée Schwing
Catherine Salomée Krebs, fille majeure de feu Jean Georges Krebs, tisserand issue de Susanne Dorothée Baum
Enregistrement acp 123 F° 15 du 26.7.

Jean Frédéric Guillaume Scherf meurt en 1865 en délaissant un fils de sa première femme (d’autres actes concernant les conjoints Scherf seront présentés dans la notice d’une de leurs maisons)
1865 (4.10.) M° Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Jean Frédéric Guillaume Scherf, vivant boucher, et Catherine Salomé Krebs sa femme et de la succession du Sr Scherf décédé le 17 juillet 1865
à la requête de la veuve, comme commune en biens, en vertu de son contrat de mariage reçu Grimmer notaire le 18 décembre 1838 et comme usufruitière d’une part d’enfant, 2) Frédéric Guillaume Scherf, tripier à Strasbourg, son fils issu du premier mariage avec Sophie Reinhart
acp 546 (3 Q 30 261) f° 61 du 6.10. (Décès 152. 20, succession déclarée le 14 Xbre 1865) Communauté, Mobilier 266, argent 900, mobilier propre 340
acp 547 (3 Q 30 262) f° 9 du 24.10. (vacation du 21 octobre) Créances 21.946, argent 2000
Une maison rue du Fil N° 7
Une maison rue des Jardins N° 29
Passif de la communauté 10.076, passif de la succession 1328
Récompenses sues à la communauté 3830. Reprises en nature de la veuve 10.479,autres reprises 14.315, reprises du défunt en nature 12.491

Guillaume Scherf et Catherine Salomé Krebs vendent la maison au médecin major Pierre de Bourdeau d’Andejos moyennant 8 000 francs

1860 (15.5.), Strasbourg 10 (141), Louis Frédéric Zimmer n° 13.544
Vente, 15 mai 1860. – ont comparu M. Guillaume Scherf, boucher, & Dame Catherine Salomé Krebs son épouse agissant sous son autorisation, demeurant & domiciliés ensemble à Strasbourg, ladite Dame veuve en premières noces du S. Daniel Held, en son vivant tripier en la même ville, Lesquels ont, par ces présentes, vendu avec la garantie solidaire entre eux (…)
à M. Pierre de Bourdeau d’Andejos, chevalier de la légion d’honneur, médecin major de première classe au 6° Régiment d’artillerie Pontonniers en garnison à Strasbourg, demeurant & domicilié en cette ville, acquéreur ci présent & acceptant
Une Maison avec cour & autres appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue des mineurs N° 13 autrefois N° 18, tenant d’un côté & par derrière à M. l’acquéreur même, de l’autre côté au Sr Engel serrurier & pardevant a ladite rue. Cet immeuble est vendu dans l’état où il se trouve (…).
M. Scherf a fait l’acquisition dudit Immeuble du Sr Jacques Krebs célibataire majeur, serrurier, demeurant à la Robertsau banlieue de Strasbourg, aux termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Reiss, alors notaire à Strasbourg le 24 novembre 1847, transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 29 novembre de la même année volume 473 N° 123. Le prix de cette acquisition était de 8550 francs (…). Le Sr Krebs avait recueilli ledit Immeuble dans la succession du Sr George Jacques Krebs en son vivant tisserand à Strasbourg son père dont il était le seul héritier ainsi que [cela] résulte de l’inventaire de cette succession dressé par M° Becker, notaire à Strasbourg, le 17 novembre 1840. Ledit Sr George Jacques Krebs avait recueilli huit 24° dudit Immeuble dans les successions de ses père & mère & dans celle de son frère, tous ci après nommés, & il avait acquis huit 24° de sa sœur la dame Scherf née Krebs, comparante, & les huit 24° restans de Jacques Grucker, Paul Frédéric Grucker, Jean Geoffroi Grucker et Caroline Grucker ses neveux & nièce tous alors mineurs, demeurant à Strasbourg aux termes d’un procès verbal d’adjudication sur licitation dressé par M° Hickel, alors notaire à Strasbourg le 19 novembre 1825. M° Hickel a été à ce commis suivant jugement rendu par le tribunal civil séant à Strasbourg le 23 août de la même année. Cette acquisition a eu lieu pour le prix de 4750 francs (…). Ladite maison dépendait autrefois de la communauté de biens qui a existé entre entre le Sr Jean George Krebs tisserand & D. Susanne Dorothée Baum, en leur vivant conjoints à Strasbourg, père & mère desdits Sr Georges Jacques Krebs, et D° Scherf & grand père & mère des enfants Grucker, pour l’avoir acquise durant leur union de Jean Jacques Pfetzinger, vivant fripier à Strasbourg, aux termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par le cidevant grand Sénat de la ville de Strasbourg le 20 août 1783. Ledit Sr Jean George Krebs, père, étant décédé, les deux tiers qui lui appartenaient dans les biens de ladite communauté d’après les lois alors en vigueur sont échus à ses enfants Sr Georges Jacques Krebs susnommé, Sr Jean Henri Krebs, garçon cordonnier à Strasbourg, dame Susanne Dorothée Krebs épouse de George Grucker boulanger en la même ville et D° Scherf née Krebs alors épouse dudit S. Held, soit à chacun un 6° dans la totalité dudit immeuble. Ledit Sr Jean Henri Krebs étant aussi décédé, trois quarts de sa part audit immeuble sont échus à les trois frères et sœurs susnommés & le dernier quart à sa mère la dite D° Krebs née Baum. Ladite Dame Grucker née Krebs est également décédée & a transmis les parts héritées par elle dans les successions de son père et de son frère susnommés à ses enfants les quatre mineurs Grucker, ses seuls & uniques héritiers. La D° Krebs née Baum qui possédait un tiers dudit immeuble comme ayant participé pour pareille portion dans ladite communauté d’entre elle et feu son mari & qui avait recueilli un quart de la part que possédait son fils défunt Jean Henri Krebs, dans la succession de ce dernier, était alors propriétaire de neuf 24° dudit immeuble. Cette Dame étant pareillement décédée, sa part de l’immeuble en question est avenue aux dits Sr Jean Georges Krebs & Dame Scherf, ses enfants & héritiers chacun pour un tiers & aux dits enfants mineurs Grucker ses petits enfants ensemble pour le dernier tiers. Par suite de ces différens décès l’immeuble dont s’agit appartenait lors de la vente faite ci dessus à George Jacques Krebs pour huit 24° à ce dernier, pour pareille portion à la Dame Scherf & pour autant aux mineurs Grucker, ainsi que le tout est expliqué au procès verbal d’adjudication du 24 novembre 1847 sus allégué.
Le même immeuble était grevé d’une rente foncière au profit de la Haute Ecole de Strasbourg mais qui a été rachetée ainsi que cela est constaté au même procès verbal d’adjudication. Les époux Scherf déclarent sous les peines de la loi que ledit immeuble leur appartient encore en toute propriété et qu’il n’est grevé d’aucune dette, rente, privilège ni hypothèque quelconques. Cette vente est faite & acceptée pour le prix de 8000 francs
acp 488 (3 Q 30 203) f° 43-v du 16.5.

Originaire de Castetpugon dans les Basses-Pyrénées, Pierre Dandejos (rectifié en de Bourdeau d’Andejos) épouse en 1839 Elisabeth Clémence Attala Boudhors
Mariage, Strasbourg (n° 33)
Du 28° jour du mois de janvier 1839 à dix heures du matin Acte de mariage, de Pierre Dandejos +, majeur d’ans, né en légitime mariage le 12 septembre 1808 à Castetpugon /Basses Pyrénées/ domicilié de droit à Castetpugon, docteur en médecine Aide major au 11° Régiment d’artillerie en garnison en cette ville, fils de feu Jean Dandejos, ancien offcier décédé à Castetpugon le 13 mars 1815 et de Jeanne Tourné, domiciliée à Castetpugon
et de Elisabeth Clémence Attala Boudhors, majeure d’ans, née en légitime mariage le premier juillet 1809 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de Pierre Henri Boudhors, Directeur de l’hôpital civil de cette ville et de Elisabeth Josephine Mieusset conjoints domiciliés en cette ville ci présents et consentants (…) le dit époux produit un acte de notoriété sur sa naissance dressé par Jean Bacaresse Juge de paix du Canton de Garlin /Basses Pyrénées/ le 18 octobre 1826 homologué par le tribunal civil de première instance séant à Strasbourg le 18 décembre dernier, un acte de consentement de sa mère au présent mariage passé devant M° Toulet, notaire à Garlin le 26 décembre 1831 dument enregistré, il produit en outre une permission de mariage qui lui a été délivrée à Paris le 7 du mois courant par le Ministre secrétaire d’Etat au Département de la guerre.
[in margine :] + de Bourdeau D’andejos. Cette Rectification a été ordonnée par Jugement rendu par le Tribunal civil séant à Strasbourg en date du 2 mars 1841 transcrit sur le registres de mariage de ladite ville de 1841, Registre suppl. folio 1

Registre de population 600 MW 361 (1850 sqq, i 73)
de Bourdeau d’andejos, Pierre, Castepugon, basses pyrénées 1808, h.m., Médecin major en retraite de 1° classe, Cath., français (à Strasbourg) de rechef dep. 1860 venant de Toulouse
id. née Boudhors, Elisabeth Clémence Attala, Strasbourg 1809, f.m., son épouse, Cath
id. Jean Arthur, Valence (Drôme) 18 J 1844, g. son fils (à Str. depuis) 3 9.br 59 (Observations) Cens. 24 févr. 1864.
Rue des Mineurs 11

Pierre de Bourdeau d’Andejos fait donation de la quotité disponible de ses biens à sa femme
1870 (23.8.), M° Koerttgé n° 1800
Schenkung durch Peter de Bourdeau d’Andejos, früher medecin major zu Straßburg
zu Gunsten seiner bei ihm wohnhaften Ehefrau Clemence Attala Boudhors des vollen Eigenthums seines ganzen Nachlasses. Bei Vorhandensein von Kindern reduzirt sich diese Schenkung auf ein Viertel in Eigenthum und ein Viertel in Nutznießung
Gestorben am 9. Juli 1878
acp 682 (3 Q 30 397) f° 7-v n° 2632 du 24.7.1878

Les conjoints Bourdeau d’Andejos consentent au mariage de leur fils à Bordeaux
1876 (4.3.), M° Pierron
Einwilligung ertheilt durch Peter de Bourdeau, Oberarzt erster Klasse in Ruhestand und Elisabeth Clemence Atala Boudhors seine Ehefrau zu Versailles domizilirt zur Zeit in der Ruprechtsau wohnhaft zur Verehelichung ihres Sohns Johann Arthur de Bourdeau ohne Gewerb zur Zeit in Bourdeaux aber wohnhaft in Versailles mit Fräulein Maria Rosalie Helene Réjou ohne Gewerb in Bourdeaux
f° 55 du 17.3. M° Pierron 17.3. Einwilligung ertheilt durch Elisabeth Clemence Atale Boudhors Ehefrau von Peter de Bourdeau, Arzt erster Klasse in Ruhestand in Versailles (Seine et Oise) zur Verehelichung ihres Sohns Johann Arthur de Bourdeau de Andejos in Bourdeau mit Fräulein Helene Maria Rosalie Réjou daselbst
acp 648 (3 Q 30 363) f° 44 du 4.3.

Pierre de Bourdeau d’Andejos meurt à la Robertsau en 1878 en délaissant un fils
1878 (20.7.), Strasbourg 10 (186), Frédéric Antoine François Pierron n° 1999
Inventar vom 20. Juli 1878. – Inventar 1) der Gütergemeinschaft welche zwischen Herrn Peter de Bourdeau d’Andijos, Militär-Artzt erster Klasse in Ruhestand, Ritter der Ehrenlegion und Frau Elisabeth-Clémence-Atala Boudhors dessen überlebender Wittwe, bestanden hat 2) und der Hinterlassenschaft des genannt de Bourdeau d’Andijos in der Ruprechtsau bei Straßburg den 9. Juli 1878 gestorben.
Im Jahr 1878 Sambstag den 20. Juli um zwei Uhr Nachmittags, auf Ansuchen 1) der Frau Elisabeth Clémence Atala Boudhors wohnhaft in der Ruprechtsau, Wittwe des Herrn Peter de Bourdeau d’Andijos im Leben geweßenen Militär-Artzt erster Klasse in Ruhestand, Ritter der Ehrenlegion, handelnd in ihrem persönlichen Namen a) wegen der Gütergemeinschaft welche ohne Ehevertrag zwischen ihr und ihrem verstorbenen Ehegatten bestanden hat, b) wegen der Ergäntzungen in Geld sie dieselbe auf besagte Gütergemeinschaft zu erhaben hat für ihr gehörige Liegenschaften welche während den Ehestand veräußert worden, sowie auch die Zurücknahmen in Natura derjenigen ebenfalls ihr gehörigen Liegenschaften welche würcklich noch vorhanden sind, c) als Schenknehmerin eines vierten Theils in Eigenthum und eben soviel in lebenslänglicher Nutznießung ohne Bürgschaft der ganzen Hinterlassenschaft ihres verstorbenen Ehegatten laut Schenkungs akt unter Ehegatten durch H. Körttge damals Notar in Straßburg Vorgänger des unterzeichneten Notars den 23. August 1870 (…), d) wegen der testamentarischen Verfügung welche der Verstorbene zu ihren Gunsten getroffen hat durch welche er dieselbe ermächtiget auf ihre Eigenthumsrechte in seiner Verlaßenschafft (…)
2. des Herrn Johann Arthur de Bourdeau d’Andijos ohne Stand in Bordeaux wohnhaft, in seiner Eigenschaft als einiges Kind und Erbe des verstorbenen, herrn d’Andijos aus dessen Ehe derselbe entsprossen ist mit der überlebenden Wittwe (…)
errichtet worden in dem Sterbhause, weißes Quartier N° 47 in der Ruprechtsau
acp 682 (3 Q 30 397) f° 8 n° 2635 du 24.7. (Bd. 64 Bl. 12 N° 161 – Nachlasserkl. Bd 198 N° 9) Schenkung reg. Bd. 682 N° 2632
Gemeinschaft. Mobilien, Möbel geschätzt zu 1790.
acp 686 (3 Q 30 401) f° 53-v n° 104 du 8.1.1879 (vacation du 8 janvier 1879) Gütergemeinschaft (Übertrag 1790) Mobilien 2437, Summa 2437
Forderung an de Dietrich et Cie 10.468, Rückständiger Gehalt 1800, hinterlegte Gelder 795. Eisenbahnactien et Obligationen 82.860, Leibrente 435 verfallener Zins 160, Current Geld 2400, die Wittwe schuldet als Entschädigung 64.000, Ersatzforderung der Wittwe 69.280

Testament du défunt par lequel il lègue à sa femme ses objets mobiliers
1878 (20.7.), M° Pierron
Hinterlegung betreffend des des eigenhändigen Testaments von Peter de Bourdeau d’Andejos in Straßburg am 9. Juli 1878 gestorben und hinterlegt bei Notar Pierron laut Ordnung vom 17. Juli l. Mts.
acp 680 (3 Q 30 395) f° 40-v n° 2397 du 24.7.

Enregistrement de Strasbourg, ssp 176 (3 Q 31 675) f° 100-v du 24.7.
10.5.1877
Eigenhändiges Testament des hieselbst am 9. Juli 1878 verstorbenen Peter de Bourdeau d’Andejos, worin derselbe verfügt daß seine Ehefrau gegen den Schatzwerth alle Mobiliarobjekte die an seinem Tode vorhanden sind auf Anrechnung ihrer Rechte sowohl an der Gemeinschafft wie am Nachlaß übernehmen kann.
Hinterlegt bei Notar Pierron laut Urkunde vom 20. Jli 1878.
Nachlass Erkl. Bd. 128 Bl. 9. vum 8.1.79 – Tabelle Bd. 64 Bl. 12 N° 161

Partage de la succession
1879 (8.3.), Strasbourg 10 (187), Frédéric Antoine François Pierron n° 2447
Theilung des Nachlasses des verlebten Peter de Bourdeau d’Andejos
sind erschienen 1) Frau Elisabeth Clémence Atala Boudhors wohnhaft in der Ruprechtsau, Bannweile von Straßburg, Wittwe des Herrn Peter de Bourdeau d’Andijos im Leben geweßenen Militär Artzt erster Klasse in Ruhestand, Ritter der Ehrenlegion, handelnd in ihrem persönlichen Namen a) wegen der Gütergemeinschaft welche ohne Ehevertrag zwischen ihr und ihrem verstorbenen Ehegatten bestanden hat, b) wegen der Ersatzforderungen in Geld welche dieselbe auf besagte Gütergemeinschaft zu erhaben hat für ihr gehörige Liegenschaften welche während den Ehestand veräußert worden, c) als Schenknehmerin eines vierten Theils in Eigenthum und eben soviel in lebenslänglicher Nutznießung ohne Bürgschaft der ganzen Hinterlassenschaft ihres verstorbenen Ehegatten laut Schenkungsact zwischen Ehegatten durch den damaligen Notar Körttge in Straßburg Vorgänger des unterzeichneten Notars den 23. August 1870 errichtet (…), d) wegen der testamentarischen Verfügung welche der Verstorbene zu deren Gunsten getroffen hat, durch welche er dieselbe ermächtiget auf ihre Eigenthumsrechte in seiner Verlaßenschafft (…)
2. Herr August Moritz, ehemaliger Advokat in Straßburg wohnhaft, in seiner Eigenschaft als Bevollmächtigter des Herrn Johann Arthur de Bourdeau d’Andijos ohne Stand in Bordeaux wohnhaft (…) in seiner Eigenschaft als einiges Kind und Erbe des verstorbenen, Herrn Peter de Bourdeau d’Andijos aus dessen Ehe derselben entsprossen ist mit seiner Comparentin überlebenden Wittwe, Sowue diese Eigenschaften bestätigt sind durch das Inventar des Nachlasses des Verstorbenenn Herrn Peter de Bourdeau d’Andijos durch den unterzeichneten Notar den 20. Julÿ 1878 errichtet (…)

acp 689 (3 Q 30 404) f° 6 n° 1006 du 13.3. – Gütergemeinschaft. Activ Masse. 1) Möbel und Getüch 4228, 2) Forderung an de Dietrich et Cie 10.468, 3) Rückständiger Gehalt 1800, 4) hinterlegte Gelder 795. 5) Eisenbahnactien et Obligationen 21.600, 6) 11.248, 7) 20.076, 8) 9926, 9) 11.100, 10) 8910, 11) 435, 12) verfallener Zins 160, 13) Ersatzforderung der Wittwe an die Gütergemeinschaft 64.000, 14) current Geld 2400, 15) Zinsen der Obligationen 874, zusammen 168.023
Passiv Masse 1) Ersatzforderung der Wittwe 69.280, 2) andere Passiv 3635, Summa 72.915 – Bleibt Activ-Ueberschuß 95.108
Nachlass. Activ Masse. 1) die Hälfte des Gemeinschafft mit 47.554, 2) Kleider 194, Summa 47.748
Davon ab das im Erbverzeichnis angeführte Passiv mit 1806, bleibt Activ-Ueberschuß 45.941, wovon der Wittwe ein Viertel in Eigenthum mit 11.485 und ein Viertel in Genuß mit 11.485, zusammen 22.970 – Bleibt dem de Bourdeau Sohn 22.970
Rechte der Parteien und Ueberlieferungen (…)

Attale Boudhors, veuve de Pierre de Bourdeau d’Andejos, demeurant à Versailles puis à Herxheim en Palatinat, révoque des dispositions testamentaires en faveur de Marguerite Gerlach de Herxheim, veuve de Michel Günther, et de ses enfants
1893 (1.6.), M° Lauterbach
Erklärung wonach Frau Attala Boud’hors Rentnerin von Versailles seither zu Herxheim in der Rheinpfalz z. Z. hier, Wittwe des dahier verlebten Oberarztes I. Cl. Peter de Bourdeau d’Andejos
die von ihr vor dem Königl. kaiserl. Notar Josef Gienen zu Landau am 9. Februar 1881 für Margaretha Gerlach in Herxheim, Wittwe von Michael Günther, und für deren 5 Kinder als Barbara, Katharina, Margaretha, Anna und Apollonia Günther errichtete Rentenbestellung als unwirksam widerruft und zugleich die deren bestimmte Rente im Beitrage von 300 Franks jährlich auf des Armen & Krankenhaus Herxheim bei Landau auf immer überträgt.
acp 874 (3 Q 30 589) f° 36 n° 1084 du 2.6.

Pierre de Bourdeau d’Andejos et Elisabeth Clémence Attala Boudhors vendent la maison qu’ils ont reconstruite au prêtre Wulfran Mühe. Les vendeurs conservent la maison voisine qui a des servitudes d’ouvertures au profit de celle vendue.

1865 (16.12.), Strasbourg 1 (178), Alfred Ritleng (fils) n° 4365
16 décembre 1865. Vente pour 53.300 francs – ont comparu Monsieur Pierre de Bourdeau d’Andejos, médecin major de première classe en retraite, Chevalier de la légion d’honneur et Madame Elisabeth Clemence Attala Boudhors son épouse de lui autorisée, domiciliés et demeurant à Strasbourg, lesquels ont déclaré vendre avec la garantie solidaire de droit (…)
A Monsieur Wulfran Mühe, Prêtre domicilié et demeurant à la Robertsau banlieue de Strasbourg ici présent et acceptant
Une Maison sise à Strasbourg rue des Mineurs N° 13 avec tous ses droits, appartenances et dépendances, composée de quatre corps de bâtimens contigus élevés en majeure partie sur caves avec rez de chaussée, trois étages et un grenier, cour et pompe, d’un côté les vendeurs, de l’autre le sieur Engel serrurier. Sont compris dans la vente douze poêles en fayence avec leurs accessoires.
Origine de la propriété. Les vendeurs sont devenus propriétaires de cet Immeuble pour l’avoir acquis de M. Guillaume Scherf, boucher et de Dame Catherine Salomé Krebs son épouse veuve en premières noces du Sr Daniel Held, suivant contrat passé devant M° Zimmer notaire à Strasbourg le 15 mai 1860 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de ladite ville le 24 du même mois Vol. 815. N° 28 et inscrit d’office Vol. 761. N° 17.
Monsieur Scherf avait fait l’acquisition dudit Immeuble du Sr Jacques Krebs célibataire majeur serrurier demeurant à la Robertsau banlieue de Strasbourg aux termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Reiss alors notaire à Strasbourg le 24 novembre 1847, transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 29 novembre de la même année volume 473 N° 123. Le Sr Krebs avait recueilli ledit Immeuble dans la succession du Sr George Jacques Krebs en son vivant tisserand à Strasbourg son père dont il était le seul héritier ainsi que cela résulte de l’inventaire de cette succession dressé par M° Becker notaire à Strasbourg le 17 novembre 1840. Ledit Sr George Jacques Krebs avait recueilli huit 24° dudit immeuble dans les successions de ses père et mère et dans celle de son frère, tous ci après nommés, et il avait acquis huit 24° de sa sœur la dame Scherf née Krebs et les huit 24° restans de Jacques Grucker, Paul Frédéric Grucker, Jean Geoffroi Grucker et Caroline Grucker ses neveux et nièce tous alors mineurs, demeurant à Strasbourg aux termes d’un procès verbal d’adjudication sur licitation dressé par M° Hickel alors notaire à Strasbourg le 19 novembre 1825. M° Hickel a été à ce commis suivant jugement rendu par le tribunal civil séant à Strasbourg le 23 août de la même année. Cette acquisition a eu lieu pour le prix de 4750 francs (…) Ladite maison dépendait autrefois de la communauté de biens qui a existé entre entre le Sr Jean George Krebs tisserand et dame Susanne Dorothé Baum en leur vivant conjoints à Strasbourg, père et mère desdits Sr Georges Jacques Krebs, et D° Scherf et grand père et mère des enfants Grucker pour l’avoir acquise durant leur union de Jean Jacques Pfetzinger vivant fripier à Strasbourg aux termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par le cidevant grand Sénat de la ville de Strasbourg le 20 août 1783. Ledit Sr Jean George Krebs, père, étant décédé, les deux tiers qui lui appartenaient dans les biens de ladite communauté d’après les lois alors en vigueur sont échus à ses enfants Sr Georges Jacques Krebs susnommé, Sr Jean Henri Krebs, garçon cordonnier à Strasbourg, dame Susanne Dorothée Krebs épouse de George Grucker boulanger en la même ville et D° Scherf née Krebs alors épouse dudit S. Held, soit à chacun un 6° dans la totalité dudit immeuble. Ledit Sr Jean Henri Krebs est aussi décédé, trois quarts de sa part audit immeuble sont échus à les trois frères et sœurs susnommés et le dernier quart à sa mère la dite D° Krebs née Baum. Ladite Dame Grucker née Krebs est également décédée et a transmis les parts héritées par elle dans les successions de son père et de son frère susnommés à ses enfants les quatre mineurs Grucker, ses seuls et uniques héritiers. La Dame Krebs née Baum qui possédait un tiers dudit immeuble comme ayant participé pour pareille portion dans ladite communauté d’entre elle et feu son mari et qui avait recueilli un quart de la part que possédait son fils défunt Jean Henri Krebs, dans la succession de ce dernier était alors propriétaire de neuf 24° dudit immeuble. Cette Dame étant pareillement décédée, sa part de l’immeuble en question est avenue aux dits Sr Jean Georges Krebs et Dame Scherf ses enfants et héritiers chacun pour un tiers et aux dits enfants mineurs Grucker ses petits enfants ensemble pour le dernier tiers. Par suite de ces différents décès l’immeuble dont s’agit appartenait lors de la vente faite ci dessus à George Jacques Krebs pour huit 24° à ce dernier, pour pareille portion à la Dame Scherf et pour autant aux mineurs Grucker, ainsi que le tout est expliqué au procès verbal d’adjudication du 24 novembre 1847 sus allégué.
Le même immeuble était grevé d’une rente foncière au profit de la Haute Ecole de Strasbourg mais qui a été rachetée ainsi que cela est constaté au même procès verbal d’adjudication. Les vendeurs actuels déclarent enfin que la Maison présentement vendue a été reconstruite en majeure partie par eux tant sur le terrain de l’ancienne Maison par eux acquise en vertu du titre sus relaté que sur la partie du terrain d’une autre maison par eux acquise en vertu de contrat passé devant M° Zimmer notaire le 4 avril 1860.
Conditions de la vente. (…) Les vendeurs déclarent qu’aucune servitude quelconque ne grève l’immeuble par eux présentement vendu, qu’au contraire il en existe à son profit grevant l’immeuble voisin qui est encore leur Propriété et consistant en trois ouvertures à chacun du premier deuxième et troisième Etage de la Maison vendue ayant vue et prenant leurs jours sur l’autre Immeuble des vendeurs, ouvertures établies par ces derniers dans l’intérêt même de la Maison vendue et qui demeurent et demeureront définitivement acquises à ladite Maison, les ouvertures ont les dimensions suivantes. Savoir Celle du premier étage a une hauteur de 75 centimètres sur une largeur de 20 centimètres. Celle du deuxième étage a une hauteur de 30 centimètres sur une largeur de 50 centimètres. Celle du troisième étage a une hauteur de 30 centimètres sur une largeur de 50 centimètres. Les vendeurs déclarent et reconnaissent en outre que tous les murs de cette maison sont mitoyens. (…) Le prix de la Présente vente est en outre fixé à la somme de 53.300 francs (…) Etat Civil des vendeurs. Monsieur et Madame Bourdeau d’Andejos déclarent qu’ils n’ont point fait de contrat de mariage et qu’en conséquence leur union est régie par le système de la communauté légale.
Police d’assurance. Compagnie Française du Phénix. N° 440.11, 12 mars 1861, Durée dix ans, Mr de Bourdeau d’Andejos – sur une maison sise à Strasbourg rue des mineurs N° 13 composée de quatre bâtiments formant carré et dont l’un fait face à la rue, élevés de rez de chaussée sur cave voûtée et non voûtée, trois étages et comble, compris les poêles de fayence et de fonte et tous autres objets immeubles par destination, 60.000 francs. Les deux ailes de derrière vont être construites.
acp 549 (3 Q 30 264) f° 13 du 20.12.

Fils du négociant Paul Mühe de Strasbourg, Auguste François Marie Wulfren Mühe meurt à l’âge de 53 ans à la Robertsau.
Décès, Strasbourg (n° 1619) Strassburg am 21. Juni 1879. Vor dem unterzeichneten Standesbeamten erschienen heute der Hausbesitzer Anton Aloïs Linder wohnhaft zu Oberehnheim (Unter-Elsass) zur Zeit sich hierselbst auffhaltend, und zeigte an, daß sein Schwager der ledige Priester August Franz Marie Wulfran Mühe, 53 Jahr alt, katholischer Religion, wohnhaft zu Ruprechtsau, geboren zu Strassburg, Sohn der verstorbenen Eheleute Paul Mühe, Kaufmann, und der Franziska Henriette geb. Hoffmann, zu Ruprechtsau, rothes quartier 21 am 21. Juni des Jahres 1879 Morgens um sechs Uhr verstorben sei (i 238)

Wulfran Mühe meurt en délaissant un frère négociant à Lille et une sœur mariée à Obernai
1879 (28.7.), Strasbourg 1 (210), Alfred Ritleng aîné n° 10.964
Theilung über Auguste François Marie Wulfran Mühe Verlassenschafft
28. Juli 1879. Theilung – sind erschienen 1. Frau Marie Mühe, verbeiständete und ermächtigte Ehegattin des Herrn Aloyse Linder, Gutsbesitzer mit welchem sie in Oberehnheim wohnt, 2. Herr Jean Baptiste Vetter, Notariatsgehülfe in Straßburg wohnhaft, handelnd in der Eigenschaft als Bevollmächtigter des Herrn Honoré Mühe, Kaufmann in Lille wohnhaft laut Vollmacht (…)
Frau Linder geborne Mühe und Herr Honoré Mühe einzige Erben je für die Hälfte ihres verstorbenen Bruders Herrn Auguste François Marie Wulfran Mühe, bei Leben Priester gestorben in der Ruprechtsau, Gemarkung Straßburg den 21. Juni letzthin, sowie diese Eigenschaften übrigens aus einem vor dem unterzeichneten Notar Ritleng am 9. Juli currentis errichteten einregistrirten Notorietäts Akte hervorgehen
Welche in gedachten Eigenschaften den unterzeichneten Notar Ritleng ersucht haben zur Liquidation & Theilung der vom Nachlasse ihres obengenannten verstorbenen Bruders Herrn Auguste François Marie Wulfran Mühe herrührende Werthschaften zu schreiten was folgendeweise geschah
acp 693 (3 Q 30 408) f° 69-v n° 1518 du 30.7. (Sterb Erkl. vom 1.8.79 Bd 180 N 198)
Masse, 1) Forderung an Gertrud Wencker Wittwe Reumann zu Straßburg laut Kaufvertrag (…) 24.000, 2) Forderung an Bauunternehmer Joseph Herrmann 8800, 3) Forderung an August Georg Bruckmann 4000, 4) baares aGa=eld 361, zubehörden 37.600
Frau Linder erhält (…)
Unvertheilt bleibt 1) ein Haus mit Zubehör zu Ruprechtsau roth Quartier N° 21, erhalten laut Theilung vor Notar Ritleng vom 8. März 1858, 2) Mobilien
Die Theilungsgenossen sind übereingekommen der Franziska Schaeffer ehem. Dienstmagd des Erblassers eine lebenslängliche jährliche Pension von 400 Mark zu liefern

Acte de notoriété qui établit les héritiers du défunt
1879 (9.7.), Strasbourg 1 (210), Alfred Ritleng aîné n° 10.950
Offenkunde, 9. Juli 1879 – (…) den Herrn August Franz Maria Wolfran Mühe, bei Leben Priester in Ruprechtsau, Gemarkung Strassburg wohnhaft, genau gekannt zu haben und zu wissen, daß er in besagter Ruprechtsau am 21. Juni 1879 ohne testamentarische Verfügungen getroffen zu haben gestorben ist, daß er weder Ascendenten noch Descendenten hinterlassen hat und daß er als einzige Erben je für ein Hälfte seine zwei hernach genannten Geschwister hinterlassen hat, nämlich
1° Frau Marie Mühe, Ehefrau des Herrn Aloyse Linder, Eigenthümer mit demselben in Oberehenheim wohnhaft und 2. Herr Honoré Mühe, Kaufmann wohnhaft in Lille
acp 691 (3 Q 30 406) f° 35 du 10.7.

Notoriété relative à Wulfran Mühe et Marie Adélaïde Mühe
1882 (2.12.), Strasbourg 1 (222), Alfred Ritleng aîné n° 12.023
2. Dezember 1882 Notorietät [bilingue] (…) avoir parfaitement connu Monsieur Auguste François Marie Wulfran Mühe et Mademoiselle Marie Adélaïde Mühe majeure, les deux domiciliés à Strasbourg & savoir
1° que Mademoiselle Marie Adélaïde Mühe est décédée en état de célibat à Beauvais le 24 mai 1878 sans avoir fait de dispositions testamentaires et en laissant pour seuls et uniques héritiers
A. pour un tiers Monsieur Auguste François Marie Wulfran Mühe, son frère, Prêtre demeurant à la Robertsau Banlieue de Strasbourg
B. pour un tiers Madame Marie Mühe sa sœur épouse de Monsieur Aloyse Linder, propriétaire demeurant à Obernai
C. & pour un tiers Monsieur Honoré Mühe son frère Négociant demeurant à Maison Altfort
2° Que Monsieur Auguste François Marie Wulfran Mühe, Prêtre demeurant à la Robertsau Banlieue de Strasbourg est décédé à la Robertsau le 21 juin 1879 en état de célibat sans avoir fait de dispositions testamentaires et en laissant pour seuls et uniques héritiers
A. pour moitié Madame Linder née Mühe sa sœur susnommée
B. & pour moitié Monsieur Honoré Mühe son frère susnommé
ainsi que ces qualités résultent d’ailleurs d’un acte de notoriété dressé par le soussigné Notaire Ritleng le 9 juillet 1879 enregistré
3° qu’après le décès de Mademoiselle Marie Adélaïde Mühe & de Monsieur Auguste François Marie Wulfran Mühe il n’a été dressé aucun inventaire
4° qu’il existe une Rente française (…)
8° que lmadite Dame Linder née Mühe Marie est mariée avec Mr Aloyse Linder sous le régime de la communauté réduite aux acquêts (…) suivant contrat passé devant M° Carbiener notaire à Geispolsheim le 21 août 1878

Wulfran Mühe vend la maison au rentier Frédéric Auguste Reumann et à Gertrude Wencker moyennant 30 000 francs

1871 (9.11.), Strasbourg 1 (189), Alfred Ritleng aîné n° 7395
9 novembre 1871. Vente pour 30.000 francs – A comparu Monsieur Jean Baptiste Vetter, Principal clerc de Notaire, domicilié et demeurant à Strasbourg, agissant en Qualité de mandataire spécial de M.sieur Wulfran Mühe, Prêtre domicilié à Strasbourg demeurant à Mimmenhaussen, Grand duché de Baden (…) Lequel en qualité qu’il agit, a déclaré vendre avec la garantie de droit de la part de son mandant
à Monsieur Frédéric Auguste Reumann, Rentier, et à Madame Gertrude Wenckert, son Epouse de lui autorisée, domiciliés & demeurant à Strasbourg, acquéreurs solidaires, ici présent et acceptant
Une Maison sise à Strasbourg rue des Mineurs N° 13 avec tous ses droits, appartenances et dépendances, d’un côté Msieur de Bourdeau d’Andejos, de l’autre Monsieur Engel Serrurier.
Origine de la propriété. Monsieur Mühe a acquis cette Propriété de Monsieur Pierre de Bourdeau d’Andejos, médecin major en retraite et de Madame Elisabeth Clemence Attala Boudhors son épouse de Strasbourg, aux termes d’un contrat passé devant le soussigné notaire le 13 décembre 1865, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 2 février Volume 910 Numéro 273. Les titres de propriété antérieurs sont énumérés dans le contrat passé devant le soussigné notaire Ritleng qui vient à l’instant d’être relaté. (…) M. Vetter déclare qu’aucune servitude ne grève, sa connaissance, la maison vendue, qu’au contraire il en existe au profit de ladite maison grevant l’immeuble voisin et consistant en trois ouvertures à chacun du premier deuxième et troisième Etage de la Maison présentement vendue ayant vue et prenant leur jour sur l’autre Immeuble, ouvertures créées par Monsieur Bourdeau d’Andejos lui-même alors propriétaire des deux immeubles et qu’il a stipulé dans son contrat de vente à Monsieur Muhe comme étant définitivement acquises à la Maison dont s’agit.
Ces ouvertures ont les dimensions suivantes. Savoir Celle du premier étage a une hauteur de 75 centimètres sur une largeur de 20 centimètres. Celle du deuxième étage a une hauteur de 30 centimètres sur une largeur de 50 centimètres. Celle du troisième étage a une hauteur de 30 centimètres sur une largeur de 50 centimètres. Les comparants déclarent et reconnaissent en outre que tous les murs de cette maison sont mitoyens – La vente est en outre faite moyennant le prix de 30.000 francs (…) Il est bien entendu que l’indemnité pour dégâts causés par le Bombardement est expressément réservée à M. Muhe et que les acquéreurs devront, au besoin, lui prêter leur concours pour l’aider à la toucher.
Déclaration des parties. Au sujet de la Portion de l’immeuble détruite par l’effet du Bombardement de la ville de Strasbourg. Ventilation du prix. Les comparants déclarent que la Maison présentement vendue a été en grande partie détruite par l’effet du Bombardement de la ville et que les dommages ont été évalués par expertise de la commission des Indemnités à la somme de 22.000 francs Il est produit à l’appui de cette déclaration un certificat du Maire de ladite ville qui sera remis à Monsieur le receveur de l’enregistrement du Bureau des actes civils de Strasbourg
acp 600 (3 Q 30 315) f° 138 n° 2370 du 13.11.

Le commis négociant Frédéric Auguste Reumann épouse en 1868 Gertrude Wencker, fille du maréchal ferrant Louis Wencker de Schaffhouse-sur-Zorn
1868 (15.12.), Strasbourg 4 (129), Auguste Weiss n° 1113
Mariage du 15 décembre 1868 – Ont comparu M. Frédéric Auguste Reumann, fondé de pouvoir de la maison de commerce Schneider et Schmitt, demeurant et domicilié à Strasbourg, fils majeur de feu M. Jacques Reumann, en son vivant restaurateur à Strasbourg et de Dame Catherine Salomé Roederer son épouse
stipulant comme futur époux, d’une part
Mademoiselle Gertrude Wencker, sans profession demeurant et domiciliée à Strasbourg, née à Schaffhausen, Fille majeure et légitime de feu M. Louis Wencker, en son vivant maréchal ferrant à Schaffhausen et de Dame Thérèse Kirst son épousen Stipulant comme future épouse, D’autre part
acp 579 (3 Q 30 294) f° 43 du 16.12. Stipulation du régime de communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritagess
Les apports du futur époux consistent 1) en une somme de 62.000, 2) mobilier 6000 francs
Les apports de la future épouse consistent en un mobilier estimé à 1000 francs

Acte de notoriété qui établit que Frédéric Auguste Reumann est mort sans délaisser d’ascendant ni de descendant.
1878 (25.10.), Strasbourg 1 (210), Alfred Ritleng aîné n° 10.712
Notorietät – (…) Frédéric Auguste Reumann, bei Leben Handlungsgehülfe & Eigenthümer zu Straßburg wohnhaft genau gekannt zu haben und zu wissen daß er zu Straßburg am 17. October 1878 gestorben ist und daß er weder Ascendenten noch Decendenten die Vorbehaltsrechte an seiner Erbschaft haben hinterlassen hat
acp 684 (3 Q 30 399) f° 21 du 28.10.

Frédéric Auguste Reumann institue pour héritière universelle sa femme qui est envoyée en possession de la succession le 18 janvier 1879
1878 (23.10.), Strasbourg 1 (210), Alfred Ritleng aîné
Hinterlegung des eigenhändigen Testaments des am 17. ds. Monats zu Straßburg verstorbenen Handlungsgehülfen Friedrich August Reumann, heute Bd. 177 Bl. 74 N° 3 registrirt
acp 684 (3 Q 30 399) f° 17-v n° 3345 du 24.10.

acp 684 (3 Q 30 399) f° 89 du 25.1.1879 – Ritleng n° 10.806, 24. Januar Hinterlegung der Grosse einer gerichtlichen Ordonnanz vom 18. laufenden Januar betreffend Besitz-Anweisung in dem Nachlass des Herrn Friedrich August Reumann von Straßburg an seiner Wittwe Gertrud Wencker

Enregistrement de Strasbourg, ssp 177 (3 Q 31 676) f° 74 n° 5393 du 24.10.
16. November 1869, Testament des Friedrich August Reumann Handlungsgehülfe in Straßburg, wonach derselbe seine Ehefrau Gertrud Wencker zu seiner Universallegatarin einsetzt – Gesorben 17. November 1878
Hinterlegt laut Act registrirt Bd 984 Bl. 17 bei Notar Ritleng d. A.
Stbfallerklärung Bd. 128 N° 68 – Strbf. Tab Bd. 64 Bl. 136 N° 140

Gertrude Wencker veuve de Frédéric Auguste Reumann reconnaît Marie Amélie Gertrude Zerling, née à Paris en 1860 d’Auguste Adolphe Zerling.
1878 (20.1.), Constant Schmitz
Anerkennung durch Gertrud Wencker Wittwe von Friedrich August Reumann, Eigenthümer zu Straßburg, daß das im Standesamt Paris auf den Namen Maria Amelie Gertrud Zerling, geboren zu Paris am 23. März 1860 eingetragene Kind, ihre natürliche Tochter ist, erzeugt mit August Adolph Zerling.
acp 684 (3 Q 30 399) f° 83-v n° 196 du 21.1.
[in margine :] Ritleng senior

Le capitaine Joseph Obach, en garnison à Bourges, épouse en 1881 Gertrude Wencker, veuve de Frédéric Auguste Reumann. Elle apporte en mariage la maison rue des Mineurs. Contrat de mariage, célébration

1881 (2.9.), Strasbourg 1 (217), Alfred Ritleng aîné
2 Sept. 1881 Ehevertrag [bilingue] – ont comparu Monsieur Joseph Obach, Capitaine au premier Regiment d’artillerie en garnison à Bourges où il est domicilié d’une part
& Madame Gertrude Wencker, rentière, domiciliée & demeurant à Strasbourg, veuve de Monsieur Frédéric Auguste Reumann en son vivant propriétaire demeurant en ladite ville, d’autre part
Article 6. La future épouse déclare apporter en mariage 1° Une maison sise à Strasbourg rue des mineurs N° 13 composée de rez de chaussée & trois étages, appartenances & dépendances, d’un côté M.Walcher, de l’autre M. Christoph.
origine de la propriété. Cette maison depend de la communauté de biens qui a existé entre entre Madame la future épouse & feu Monsieur Reumann son époux en premières noces aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Weiss lors notaire à Strasbourg le 15 décembre 1868 pour avoir été acquise par eux durant cette communauté de Monsieur Wulfram Mühe, prêtre demeurant à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente reçu par le soussigné notaire Ritleng aîné le 9 novembre 1971, enregistré & transcrit. Au décès de Monsieur Reumannn susnommé arrivé à Strasbourg le 17 octobre 1878 Madame la future épouse sa veuve est devenue seule propriétaire de la totalité de la dite maison en sa qualité de légataire universelle de son dit mari aux termes du testament olographe de ce dernier en date à Strasbourg du 16 novembre 1869 enregistré & déposé après l’accomplissement des formalités légales en l’étude du soussigné notaire Ritleng suivant acte reçu par ce denrier notaire le 23 octobre 1878, enregistré. Madame la future épouse a été envoyée en possession du dit legs universel en vertu d’une ordonnance de Monsieur le Président du tribunal impérial régional séant à Strasbourg en date du 18 janvier 1879 dont la grosse est demeurée annexée à la minute d’un acte de dépôt reçu par le soussigné notaire Ritleng le 24 dudit mois de janvier enregistré, ladite maison évaluée à une somme de 60.000 francs ou 48.000 Marks
acp 716 (3 Q 30 431) f° 79 n° 1986 du 3.9. – unter Annahme der auf Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaft
Einbringen der Braut, ein Haus zu Straßburg in der Bergherrengasse N° 13, geschätzt zu 48.000, Ausstattung 9600, baares Gelt 4000, Summa 61.600 – Passiv 5400.
Gegenseitihe eventuelle Schenkung 1. Seitens des Bräutigams der Braut der Nutznießung von 4800 M, 1. Seitens der Braut dem Bräutigam der Nutznießung von 24.000 M

Mariage, Strasbourg (n° 504)
Strassburg am 3. September 1881. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der frantzösische Artillerie Hauptmann Joseph Obach, katholischer Religion, geboren den 18. September des Jahres 1830 zu Strassburg,n wohnhaft zu Bourges (Frankreich), ehelicher Sohn des verstorbenen Drechslers Joseph Obach zuletzt wohnhaft zu Strassburg und der Marie Anna Richert, ohne Beruf, wohnhaft zu Straßburg
2. die Gertrud Wencker, ohne Beruf, katholischer Religion, geboren den 4. März des Jahres 1837 zu Schaffhausen (Unter Elsaß), wohnhaft zu Strassburg, Wittwe des Kaufmanns Friedrich August Reumann zu Strassburg gestorben den 17. October 1887, Tochter der Verstorbenen Eheleute Ludwig Wencker, Schmied und der Therese Kirst, der Vater zuletzt wohnhaft zu Straßburg, und die Mutter zuletzt zu Schaffhausen (i 7)

Strasbourg 1 (216), Alfred Ritleng aîné n° 11.518. 29 Juin 1881.
Déclaration – a comparu Madame Gertrude Wencker, rentière, veuve de Monsieur Frédéric Auguste Reumann en son vivant propriétaire demeurant, à Strasbourg. Laquelle pour se conformer aux prescriptions des circulaires de Monsieur le Ministre de la Guerre du 17 décembre 1843 et du 18 février 1875 a dans la vue du mariage projeté entre elle et Monsieur Joseph Obach, Capitaine au premier Regiment d’artillerie en garnison à Bourges où il est domicilié d’une part
Madame veuve Reumann née Wencker apportera en mariage et se constituera en dot les valeurs dont la désignation suit. 1. Une maison sise à Strasbourg rue des mineurs N° 13 composée de rez de chaussée & trois étages, appartenances & dépendances, d’un côté M.Walcher, de l’autre M. Christophe (…)

Joseph Obach et Gertrude Wencker hypothèquent la maison au profit du propriétaire Aloyse Linder d’Obernai

1884 (7 & 14.7.), Strasbourg 1 (226), Alfred Ritleng aîné n° 12.415
7 & 14 Juli 1884. Schuldbekenntnis – sind erschienen Herr Joseph Obach, in Ruhestand versetzter Capitän der Artillerie und seine von ihm ermächtigte Ehefrau Gertrude geborne Wencker, Wittwe in erster Ehe des Herrn Frédéric Auguste Reumann, beisammen in Straßburg wohnhaft, Welche andurch anerkannt haben rechtmäßig und solidarisch mit einander
dem hier anwesenden und Gegenwärtiges annehmenden Herrn Aloyse Linder, Gutsbesitzer in Oberehnheim wohnhaft, schuldig zu sein eine Hauptsumme von 2400 Mark für Darlehen einer gleichen Summe (…)
Unterpfand, nämlich Ein Wohnhaus belegen zu Straßburg Bergherrengasse N° 13 bestehend in Bodengeschoß und drei Stockwerken, Zubehörungen und Abhängigkeiten begrenzt auf einer Seite durch Herrn Valcher auf der andern durch Herrn Christophe.
Eigenthumsnachweise. Dieses Haus rührt von der Gütergemeinschaft her, welche zwischen Frau Obach und ihrem verlebten Ehemann in erster Ehe Herrn Reumann, Zufolge ihres Ehevertrag des vormaligen Notars Weiss zu Straßburg von 15. Dezember 1768 bestanden hatte, indem sie dasselbe während dieser Gemeinschaft erworben haben von Herrn Wulfran Mühe, Priester wohnhaft in Strassburg, auf Grund eines durch den unterzeichneten Notar Ritleng den Aeltern am 9. November 1871 aufgenommenen Kaufvertrag, enregistrirt und überschrieben. Beim Absterben der Herrn Reumann hieoben genannt, geschehen zu Straßburg am 17. October 1878 wurde die künftige Ehefrau allein Eigenthümerin des ganzen Hauses in ihrer Eigenschaft als Universallegetarin ihres genannten Ehemanns, auf Grund des eigenhändigen Testaments dieses Letztern de dato Straßburg den 16. November 1769, einregistrirt und nach Erfüllung der gesetzlichen Formalitäten in die Amtstube des unterzeichneten Notars Ritleng hinterlegt nach Urkunde dieses Notars vom 23. October 1878, einregistrirt.
Frau Obach wurde in Besitz dieses Universallegates eingewiesen nach Ordnung des Herrn Präsidenten des kaiserlichen Landgerichts von Strassburg vom 18. Januar 1879 wovon die vollziehbare Ausfertigung an der Urkunde eines durch des unterzeichnetn Notar Ritleng am 24. des besagten Monats Januar aufgenommenen Hinterlegungsaktes beigeheftet geblieben ist.
Herr Mühe hatte dieses Besitzthum erworben von Herr Pierre de Bourdeau d’Andejos, médecin major en retraiye und von Frau Elisabeth Clémence Attala Boudhors dessen Ehefrau von Straßburg auf Grund eines Vertrages errichtet vor dem unterzeichneten Notar Ritleng vom 16. Dezember 1865, einregistrirt und im Hypothekenamte von Strassburg überschrieben den 2. Januar nachher Band 910 Nr 273.
Die Eheleute de Bourdeau d’Andejos sind Eigenthümer des besagten Besitzthums geworden, um dasselbe erworben zu haben von Herrn Guillaume Scherf, Metzger und Frau Catherine Salomé Krebs seine Ehefrau Wittwe in erster Ehe des Herrn Daniel Held zufolge Vertrag errichtet vor Notar Zimmer zu Straßburg den 15. Mai 1860 einregistrirt und im Hypothekenamte der beagten Stadt überschrieben den 24. des nemlichen Monats Band 815 Nr 28 und von amtswegen eingeschrieben Band 701 Nr 17. Herr Scherf hat besagtes Besitzthum erworben von Herrn Jacques Krebs großjährig ledig, Schlosser, zu Ruprechtsau Bannweile Straßburg wohnhaft, zufolg eines Versteigerungs Protokolles errichtet durch Notar Reiss damals Notar zu Straßburg den 24. November 1847 im Hypothekenamte besagter Stadt überschrieben den 29. November des nämlichen Jahres Band 473 Nr 123. Herr Krebs hatte hat besagtes Besitzthum ererbt im Nachlasse des Herrn Georg Jacob Krebs, bei Leben Weber zu Straßburg seines Vaters, von welchem er einziger Erbe war, wie solches hervorgeht aus dem Inventar dieses Nachlasses errichtet durch Notar Becker zu Straßburg den 17. November 1840. Hypothekar Verhältnisse (…), Feuerversicherung (…) Civilstand der Schuldner. Die Eheleute Obach erklären daß sie verheirathet sind unter dem Rechtsbestand der auf die Errungenschaft beschränkten Gütergemeinschaft, laut ihren vor dem unterzeichneten Notar Ritleng am 2. September 1881 errichteten Ehevertrags

Autre hypothèque entre les mêmes

1887 (23.2.), Strasbourg 1 (234). Alfred Ritleng aîné n° 13.056
23 Februar 1887. Schuldbekenntnis – sind erschienen Herr Joseph Obach, in Ruhestand versetzter Artillerie Kapitän, und seine von ihm ermächtigte Ehefrau Gertrude geborene Wencker, Wittwe in erster Ehe des Herrn Frédéric Auguste Reumann, beisammen in Straßburg wohnhaft, Welche andurch anerkannt haben rechtmäßig und solidarisch miteinander schuldig zu sein
dem Herrn Aloyse Linder, Gutsbesitzer in Oberehnheim wohnhaft, für welchen gegenwärtig ist und annimmt Herr Jean Baptiste Vetter, Eigenthümer zu Strassburg wohnhaft eine Hauptsumme von 2800 Mark für Darlehen einer gleichen Summe (…)
Unterpfand, nämlich Ein Wohnhaus belegen zu Straßburg, Bergherrengasse N° 13 bestehend in Bodengeschoß und drei Stockwerken, Zubehörungen und Abhängigkeiten begrenzt auf einer Seite durch Herrn Walcher auf der andern durch Herrn Christophe.
der Eigenthumsnachweis ist angeführt in einer zwischen Herrn Linder und Eheleuten Obach am 7. und 14. Juli 1884 vor unterzeichnetem Notar errichteten Obligation. Hypothekar Verhältnisse (…), Feuerversicherung (…) Civilstand der Schuldner. Eheleute Obach erklären daß sie verheirathet sind unter dem Rechtsbestand der auf die Errungenschaft beschränkten Gütergemeinschaft, laut ihrem vor dem unterzeichneten Notar Ritleng am 2. September 1881 errichteten Ehevertrags

Nouvelle hypothèque entre les mêmes

1890 (8.11.), Strasbourg 1 (249) Alfred Ritleng aîné n° 14.642
28 November 1890. Schuldbekenntnis – sind erschienen Herr Joseph Obach, in Ruhestand versetzter Artillerie Kapitän und seine von ihm ermächtigte Ehefrau Gertrude Wencker, Wittwe in erster Ehe des Herrn Friedrich August Reumann, beisammen in Straßburg wohnhaft, Welche andurch anerkannt haben rechtmäßig und solidarisch miteinander schuldig zu sein
dem hier gegenwärtigen und dies annehmenden Herrn Aloys Linder, Gutsbesitzer in Oberehnheim wohnhaft, Eine Hauptsumme von 100 Mark für Darlehen einer gleichen Summe (…)
Unterpfand, nämlich Ein Wohnhaus belegen zu Straßburg, Bergherrengasse N° 13 bestehend in Bodengeschoß und drei Stockwerken, Zubehörungen und Abhängigkeiten begrenzt auf einer Seite durch Herrn Walcher auf der andern Seite durch Herrn Christophe.
Eigentums Herkunft. der Eigenthumsnachweis ist angeführt in einer zwischen Herrn Linder und Eheleuten Obach durch Notar Ritleng den Ältern am 7. und 14. Juli 1884 errichteten Obligation. Hypothekarische Lage (…), Versicherung gegen Feuerschaden (…) Civilstand der Schuldner. die Eheleute Obach erklären daß sie verheiratet sind unter dem Rechtsbestand der auf die Errungenschaft beschränkten Gütergemeinschaft, laut ihrem vor dem unterzeichneten Notar Ritleng am 2. September 1881 errichteten Ehevertrag

Gertrude Wencker fait des legs à différentes personnes parmi lesquelles ses petits-enfants, et institue sa fille Amélie Fritz pour sa légataire universelle
1890 (23.12.), Ritleng aîné
Testament der zu Strassburg am 11. Dezember 1890 verlebten Gertrud Wencker, Ehefrau des Pensionärs Obach, wonach folgenden Legaten ausschreibt
Ihrem Patenkinde Emil August Fritz eine Summe von 500 Franken
den Kindern ihrer Tochter Amalie Zerlig zu Mülhausen eine Summe von 24.000 Franken
Ihrem Ehemann vermachte sie durch Ehevertrag eine lebenslängliche Rente von jährlich 1500 Franken. Sie wünscht, daß demselben ihre Tochter hinreichendes Mobiliar überlasse um wohnen zu Können,
Ferner vermacht sich dem Eugen Pfeiffer, aber nur für den Fall, daß er seine Studien nicht beendet hätte eine 3 jährige Rete von jährlich 600 Franken
Zu ihrer Universalerbin hat dieselbe ihre Tochter Amalie Fritz eingesetzt
Privat Urkunde vom 14. Mai 1887.
acp 835 (3 Q 30 550) f° 68-v n° 3244 du 30.12. (Tab. Bd. 76 Bl. 185 N° 97 – Sterbf. Erkl. v. 15 9 94 Bd 213 N° 321, Hinterlegt bei Notar Ritleng sen. den 23. dezbr 1890)

Les héritiers de Gertrud Wencker, à savoir sa fille Amélie Zerling femme d’Albert Fritz de Rouen, et ses frères et sœurs, vendent la maison au libraire Charles Schaaff

1893 (31.1.), Alfred Ritleng aîné
Zwangsversteigerung des nachbeschriebenen Hauses, gehörend zum Nachlasse der dahier am 11. Dezember 1890 verstorbenen Gertrud Wencker, Ehefrau von Joseph Obach, Hauptmann außer Dienst in Nancy. Dieselbe hinterließ als Erben 1. ihre natürliche anerkannte Tochter Amelie Zerling, Ehefrau von Albert Fritz zu Rouen
2. ihre Geschwister a) Joseph Wencker, Spezereihändler hier, b) Therese Wencker, Wittwe Emil Schmutz hier, c) Sophie Wencker, Ehefrau des Ackerers Joseph Wendling in Schaffhausen, d) Xaver Wencker, Ackerer in Oberschäffolsheim, e) Georg Wencker zu Paris, f) Ludwig Wencker in Welland (Nord Amerika)
Besitz, Genuß & Steuren vom 25. Dezember 1892 an
Karl Schaaf, Buchhändler hier
Zuschlag, section N n° 93 Ein dahier Bergherrengasse N° 13 gelegenes Wohnhaus mit Hof, An und Zubehörden von 1 a 75 Fläche um 36.200 Mark
acp 868 (3 Q 30 583) f° 66 n° 3322 du 4.2.

Le dossier de la Police du Bâtiment mentionne que Charles Schaaff, propriétaire de la maison, habite 5, rue Brûlée. Frédéric Charles Schaaff, fils de l’horticulteur Frédéric Charles Schaaff, meurt dans sa maison rue Brûlée en 1924 à l’âge de 72 ans. Sa femme Henriette Mathilde Ammel est morte trois ans plus tôt en 1921. Le mariage n’a pas eu lieu à Strasbourg.

Décès, Strasbourg (n° 491)
Strasbourg le 2 mars 1921. Par devant l’Officier de l’Etat-Civil soussigné a comparu aujourd’hui Monsieur Auguste Schaaff, docteur en médecine demeurant à Strasbourg àl’hôpital civil, a déclaré que Madame Henriette Mathilde Schaaff née Ammel épouse de Frédéric Charles Schaaff, rentier, âgée de 66 ans 6 mois de religion protestante, demeurant à Strasbourg, 5, Rue Brûlée, née à Strasbourg fille de feu Charles Auguste Ammel et de Henriette née Borzer, demeurant à Strasbourg, est décédée à Strasbourg, 5, Rue Brûlée le 21 mars de l’année 1921 à sept heures trente minutes (i 176)

Décès, Strasbourg (n° 997)
Strasbourg le 14 avril 1924. Par devant l’Officier de l’Etat-Civil soussigné a comparu aujourd’hui Monsieur Théodore Wagner, entrepreneur demeurant à Strasbourg 10 Quai Kléber, a déclaré que Monsieur Frédéric Charles Schaaff, rentier, veuf de Mathilde Schaaf, née Ammel, âgé de 72 ans 7 mois de religion protestante, demeurant à Strasbourg, 5, Rue Brûlée, né à Strasbourg fils de feu Frédéric Charles Schaaff, horticulteur, et de feue Elisabeth née Zabern, demeurant en dernier lieu à Strasbourg, est décédé à Strasbourg, 5, Rue Brûlée le 14 avril de l’année 1924 à cinq heures (i 305)

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Maison détachée (1620-1637)

Jean Schott et Agnès Müssel vendent une maison rue du heimburger (contiguë à la leur) au revendeur de fruits Christophe Feurabend et à sa femme Appolonie Würth

1620 (ut spâ [xix. Aprilis]), Chancellerie, vol. 439 (Registranda Meyger) n° 224
(P. fol. 234.) Erschienen Hannß Schott der gartner Ane Steinstraß burger Zu Straßburg vnd Agneß Müsselin sein ehelich haußfr. mit beÿstand Martzolff Müssell vnd Adolff hauß beder gartner Ane Steinstraß ihr Agneß nechster verwanth (verkaufft)
Christoff Feürabent dem obß grempen burgern Zu Straßburg und Appolonia Würthin seiner ehelichen haußwürthin So Auch bede Zugeg.
hauß, hoffestatt vnd höfflin mit Allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn der Vorstatt Straßburg Ane Steinstraß Inn der heÿmburger gaß, einseit nebent Jacob heÿmen dem küffer, anderseit neben dem Verkäufern hinden vff hannß Dannenbergers des wagners seligen witwe stoßend, dauon gend Vier schilling pfenning boden Zinß der schuelen Alhie, sunst ledig vnd eÿgen, Vnd Ist dißer Kauff Zugang. vnd beschehen für vnd vmb 100 pfund
es soll Auch der gäbell so zwüschen Verkäuffern vnd keüffer Jezo steht deßgleichen der nach Inn gemein gantz und gar sein vnd Inn gemein hinfüro gehalten werden, Ferner sollen die Verkäuffere ein fenster lädell so Inn dißen hoff geth Zuvergettern schuldig sein
[in margine :] Erschienen Hanß Schott der Verkäuffer an j. So dan deß Keüffers witwe Apollonia, vnd ihr ietziger haußwürth Balthasar Seÿfridt am 2. theil (Nachtrag) Act. den. 2. Aprilis 630.
(vide Reg. 1622. fol. 568.)

Christophe Feurabend et sa femme font baptiser un fils en 1613, puis d’autres enfant à partir de 1617
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 30 n° 70) 1613. Mont. d. 24. Maÿ P. Christoph Furabend d. gart.man, M. Appolonia, I. Johannes (i 19)
Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 261) 1617. Eodem [7 Septembris] Stoffel Feyrabend der Tagner, Apollonia, Christophorus (i 134)
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 255 n° 120) 1620 Dnica VI. Trinit. 23. Julÿ. p. Christoph Feÿrabend der obßgremp, M Appolonia, I Christoph (i 121)

Le journalier Christophe Feurabend achète le droit de bourgeoisie en décembre 1617. Comme son mariage ne se trouve pas à Strasbourg et qu’un enfant a été baptisé en 1613, on peut supposer qu’il a perdu le droit de bourgeoisie en se mariant hors de la ville.
1617, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 790
Stoffel Feir Abent d. Tagner Auß dem (F*)ehrbach kaufft d. Burgkrecht mit beÿstand hammen hanßen deß Meisters * Züchten vnd Conrad schwartz deß schneiders vnd wüll Zu Morin dienen Actum den 11 10.bris 1617

Le journalier Balthasar Seifrid épouse en 1627 Appolonie, veuve de Christophe Feuerabend
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 65) 1627. Dominica 1. Epiphanias 7. Jan: Balthasar Seÿfridt j tagner vndt Appolonia Christophel Feÿerabends gewesenen burgers vndt obskrempen nachgelaßenee Wittwen (i 34)

Christophe Feurabend et Appolonie Würth hypothèquent la maison au profit de Robert Mütz de Frankenthal

1621 (xv. Martÿ), Chancellerie, vol. 443 (Registranda Meyger) n° 166-v
Erschienen Christoff Feür Abent der Obßgremp burger Zu Straßburg vnd Appolonia würthin sein eheliche haußfr.
haben in gegensein herrn Roberth Mütz von Franckenthal – schuldig seÿent 7 Reichsdaler
vnderpfand, hauß, hoffstatt vnd höfflin mit All Ihren geb. & gelg. Inn d. St. St. Ane Steinstraß, Inn d. heÿmburg gaß einseit neben Jacob heÿenn dem küffer, and. seit n hanß Schott, hind. vff hanß dannenberger des wagners s. witwe stoßend, dauo, gnd iiij ß d L. lb ermeltem hanß Schott
(diße Verschreibung Ist vß geheiß beder parthen cassirt weil der contract zurückgangen. Actum 16. Martÿ 1621.)

Christophe Feurabend demande d’être relevé d’une amende pour avoir acheté une charretée de pommes
1621, Conseillers et XXI (1 R 103)
Christoph Feurabendt vmb nachlaß d. straff wegen obs grempen frevels. 18. 20. vide Grempen ordnung.
(f° 18) Montag den XXIX Januarÿ. – Christoph Feurabendt obs gremp vmb nachlaß straff vnd burgschafft
Christoph Feurabendt der obs gremp sambt seiner frawen vbergibt supplôn vnd rhat ein fußvolck, dorin er meldt wie er ein Karch mit obs vberhaupt gekaufft vnd von den Sibner Knechten angaben, auch Zehen fr straff abgefordert * alß etliche burg. von Benfenden, auch etlich sack mit öpffel gekaufft u deßweg. auch ge* vnd gestrafft worden für die er burg worden vnd also 21 lb straff geben muse. Nun* Kan wolbehalten d. er von der ordnung nit gewüst, sey auch nie do uon abgewisen, d. gewehret werden sondern seyen wol Sibnerknecht do bey gestanden v soll geschwig. So hab er auch die burgschafft versprochen, aber nit gewust was es bedeuttet. Bitt derwegen, vmb erlassung der straff dan* er sovil nit** oder doch Zu milten vnd d. er ein Jars frist erlegen darff
H Rosenberg sagt d. er sein Zunfft brud. do die ordnung jerlich abgeleßen werden er Ziehe aber vber * nit her ist wie wol Ime solches vnd.sagt Also gantz uil Zu entschuldig. Erk. Man sol bey Siben Zucht. erkündig. v nach befundung gepuerlich abstraff. H Ganß, H Schotterlin Zeugen an H. Bauer* *ch

(f° 19-v) Mittwoch den XXXI Jan. – Grempen frembde freueln, Straff nachgelaßen

Le revendeur Christophe Feurabend hypothèque la maison au profit du marchand Jean Raoul Stupanus

1622 (ut spâ. [xxj. Decembris]) Chancellerie, vol. 446 (Registranda Meyger) f° 583-v
(Inchoat. in Prot. fol. 416.) Erschienen Christoff Feürabent der Kremp burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwärtigkheit h. hannß Rudolff Stupani handelßman burgers Zu Straßburg – schuldig seÿen 25 pfund
Zu vnderpfand eingesetzt vnd verlegt, Hauß, hoffstatt, höfflin Vnd gerechtigkeit des brunnens mit Allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn der Vorstatt Straßburg Inn Steinstraß, Im heimburger gäßlin, einseit hannß Schotten, And. seit Geörg heischen den Satler, hinden vff N: N: dem wagner, dauon gnd. 4 ß d bodenzinß Inn das parfüeßer Closter

Jean Schott cède à Christophe Feurabend une bande de terrain le long d’un bâtiment

1622 (xv. Decembris), Chancellerie, vol. 446 (Registranda Meyger) n° 568-v
(Inchoat. in Prot. fol. 406.) Erschienen Hannß Schott gartner Inn Steinstraß Vnd Burger Zu Straßburg (verkaufft)
Christoffel Feürabent dem grempen burgern Zu Straßburg
dreÿ Schuoh breÿth Ane sein des Verkäuffers höfflin Vndt so lange das bäulin Ist für freÿ ledig vnd eÿg. & Vnd Alles Recht & Also & Vnd Ist disser Khauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 11 pfund
[in margine :] dieses Kauff vnd seines Nachtrags halben ist auch der Vergleichung in Reg. 1620. fol. 224. dahero Zuuor stehen Act. 2. Aprilis 630.

Appolonie Würth, veuve du marchand de fruits Balthasar Syfrid, hypothèque la maison au profit de son beau-fils Michel Syfrid

1634 (3. Decembris), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 748
Erschienen Apollonia Würthin weÿ: Balthasar Sÿfridts gewesenen obßgremppen see: alhie wittib, mit beÿstand Conrad Schwartzen deß schneiders ihres Vogts
hatt in gegensein Michel Sÿfriden ihres Stieffsohns vogts hanß Conrad Sÿfried. gartners in Steinstraß – schuldig seÿ. L. lb St
dafür in spê. Und.pfand sein soll hauß vnd hoffstat alhie An der Steinstraß. in der heimburger gaß, neben hanß Schot & Georg heischen, Satler, hind. vf Martin Dannenberger den wagner, dauon gehen Jarß 4 ß bod.zinß der Schulen alhie

La maison revient à son gendre Jacques Gensel de Nagold en Wurtemberg qui acquiert le 18 mars 1634 le droit de bourgeoisie par sa femme Marguerite, fille de Christophe Feurabend (le mariage ne se trouve pas non plus à Strasbourg)

1634, 4° Livre de bourgeoisie p. 137
Jacob Genßel von Nagel Auß dem Württenbergerland Empfangt d. Burgkrecht Von Margareth weÿl. Christoph Feur Abendt gewesenen Burgers Alhie hind.laßenen Tochter wüll Zur Morin Zünfftig sein den 18.t Martÿ 1634.

Baptême d’un enfant en juillet 1634
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 149)
1634. 24. Julÿ. P Jacob Ginsel d. obßkremp M. Margaretha, I. Christoffel (i 79)

Jacques Gensel demande l’autorisation de reprendre le droit de vendre des fruits que détenait son beau-père Balthasar Seyfrid.
1634, Protocole des Quinze (2 R 60)
(f° 97) Sambstag den 10. Maÿ – Jacob Gänsel umb des Opßgrempenwerck.
Jacob Gänsel Erschienen, producirt p. M. Eggen Ein Schein von Einer Ehrs. Zunfft Zur Möhrin, bescheint damit das sein Schweher Balthasar Seÿfridt verstorben, bitt an deßen stell Ihme daß Obßgrempen werck Zu Zulaßen. Beÿ der vmbfrag darfür gehalten daß beÿ den Obßgrempen das werck vff ein gewiße Zahl nicht weniger alß beÿ denn übrig. grempen gesetzt worden, dahero Erkanndt, des vff geschlag. wie es hiemit bewanth in mittelst das geschefft In bedacht genommen werden solle. Mr

Jacques Gensel et Marguerite Feurabend vendent la maison au tricoteur de chausses Martin Schnell

1637 (14. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 478 f° 665-v
(vide infra fol. 798.) Erschienen Jacob Gänßel der Obßgrempp burger alhie und Margaretha Feürabendtin sein eheliche haußfr.
haben in gegensein Martin Schnellers deß hosenstrickers (verkaufft)
hauß, hoffstat und höfflin mit allen alhie in der heimburger od. Bergherren gaß An d. Steinstraß, neben Georg heischen Sattler, & hanß Schoten gartner, hind. vff Martin Dannenberger den Wagner dauon gehen Jahrß 4 ß d bod. Zinß d. Schulen alhie (vide in Regist. 1634 fol. 748. et in Regist. 1636. fol. 838) – per 100. lb

Martin Schnell revend quelques mois plus tard la maison au jardinier Jean Schott. Jacques Gensel renonce au droit de préemption qu’il s’était réservé

1637 (27. Octobris), Chambre des Contrats, vol. 478 n° 798
(Protocollat. fol. 87. fa. 2) Erschienen Martin Schneller der Hosenstricker burger Zue Straßburg
hat in gegenwärtigkeit Hannß Schotten gartners in der Steinstraßen auch burgers alhie (verkaufft)
hauß, hoffstat und höfflin, mit allen andern Ihren gebäwen & alhie in der Heimburger oder Bergherren gassen, An der Steinstraßen, neben dem Kauffer selbsten & Georg Heüßen dem Sattler hinden vff Martin Dannenberger den Wagner stoßend gelegen, davon gehen Jarß Vier schilling d Bodenzinß der Schulen alhie (…) vff sich genommen, geschehen und zugangen für undt vmb 130. lb
Vber daß ist auch erschienen Jacob Gänßel der Obßgrempp und burger alhie der hat vff den Vorkauff so ihme vff dißes hauß Verschrieben gäntzlich verzug und handt abgethan
Dabeÿ geweßen Lorentz Bentz gartner An Steinstraß sein deß Käuffers Stieffsohn