3, rue des Bains
Rue des Bains n° 3 – X 67 (Blondel) O 1055 puis section 28 parcelle 25 (cadastre)
Appelée Steckenhoff d’après son propriétaire (1670-1738) Gérard von Stœcken
Façades (octobre 2024, août 2007), portail (août 2007)
La maison se trouve à la fin du XVI° siècle sur un terrain qui comprend aussi le n° 5 de la rue Neuve (rue Prechter). L’orfèvre Sébastien Wagner la conserve quand il vend en 1601 la maison rue Neuve. Toutes deux ont à nouveau le même propriétaire, Jean Ritter, de 1611 à 1619. La veuve de Jean Ritter, remariée avec le marchand Jonas Hammerer, vend la maison rue Neuve en conservant à nouveau celle de la rue traversière. Docteur en droit et professeur à l’université, Gérard von Stœcken en devient propriétaire dans les années 1670, d’où le nom de Steckenhoff. Ses héritiers vendent la maison composée de quatre bâtiments à Daniel Krieg, batelier et inspecteur des bateaux royaux, qui la réunit à la maison à l’arrière donnant sur le quai des Pêcheurs. Son petit-fils Jean Krieg répare le pan de bois du premier étage en 1780. Le brasseur Jacques Frédéric Schmidt achète en 1798 la propriété dont l’avant donne sur le quai et l’arrière dans la rue traversière, appelée grand et petit Steckenhoff (1825). Ses descendants la conservent jusqu’à aujourd’hui.
Plan-relief de 1727 (Musée historique). La maison à pignon et sa voisine sur la droite ont l’aspect actuel.
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 91 (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, les façades sur rue se trouvent à gauche de (p) : deux fenêtres, une porte, une autre fenêtre puis la porte cochère au rez-de-chaussée, deux étages à cinq fenêtres chacun, toiture à trois lucarnes dont l’une doit comporter un treuil. Le deuxième bâtiment à pignon sur rue a deux fenêtres et une porte au rez-de-chaussée, deux étages à deux fenêtres et deux fenêtres superposées dans le pignon. La cour Q à l’arrière du bâtiment principal montre la façade (1-2) du bâtiment principal sur rue à deux étages de galeries, la façade (2-3) du bâtiment à pignon sur rue, les bâtiments arrière (3-4) et ceux (4-1) à droite de la cour. La cour Q qui sépare le bâtiment à pignon sur rue du voisin à l’ouest montre sa façade ouest (1-4) dont le rez-de-chaussée est aménagé en remise, le bâtiment arrière (3-4), le mur aveugle de la maison voisine et la porte (1-2) vers la rue.
Les deux maisons adjacentes portent d’abord les n° 6 (bâtiment de droite) et 6-bis (bâtiment de gauche) de la rue Traversière (1784-1857) puis le n° 3 de la rue des Bains.
Cours P et Q – Vue prise vers 1942 (AMS cote 1003 W 2, 1004)
Photographies avant rénovation (2002, dossier de la Police du Bâtiment)
façades, bâtiment nord, bâtiment sud, bâtiment est
Jacques Frédéric Schmidt transforme les bâtiments en 1853, ce qui en porte le revenu de 63 à 121 francs, les fenêtres jusqu’au deuxième étage passent de 21 à 27, trois fenêtres apparaissent au troisième étage. Les élévations de la cour P montrent qu’un nouveau bâtiment est construit au fond de la cour.
Les bâtiments sont réhabilités en 2002-2003. Le bâtiment sur rue qui s’affaisse vers l’arrière est redressé après démontage de la toiture. Onze nouveaux logements remplacent les quatorze anciens sans confort.
Cour, façade nord (bâtiment de 1853), angle nord-est, angle nord-ouest, angle sud-est, angle sud-ouest (2007, 2015)
Plan du rez-de-chaussée avant et après travaux (dossier de la Police du Bâtiment)
janvier 2024
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment dossier I, dossier II – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1587 (voir auparavant la maison voisine) à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
1586 | v | Sébastien Wagner, orfèvre, et (1580) Marie Hollinger, d’abord (1571) femme du marchand épicier Garnier Franck, puis (v. 1600) Marie Falck, remariée (1612) avec le docteur en droit Jean Helffenstein – luthériens |
1611 | v | Jean Ritter, tailleur puis receveur, et (1582) Brigitte Geck d’abord (1675) femme du tailleur Jean Barstadler, puis (1610) Elisabeth Herbst, remariée (1620) avec le marchand Jonas Hammerer – luthériens |
1675* | adj | Gérard von Stœcken, docteur en droit, et (1666) Marguerite Kamm puis (1671) Elisabeth Kob, d’abord (1656) femme du marchand Tobie Stædel remariée (1685) avec Jean Balthasar Kraut – luthériens |
1738 | v | Jean Daniel Krieg, batelier, et (1705) Marie Madeleine Kübler – luthériens (au suivant par Jean Daniel Krieg, batelier, et (1731) Anne Marie Helck – luthériens) |
1761 | h | Jean Krieg, tonnelier et brasseur, et (1752) Susanne Marguerite Meyer – luthériens les héritiers Marie Madeleine Krieg et (1774) Jean Jacques Schafflützel, tanneur – réformé et luthérienne Susanne Marie Krieg et (1781) Jean Zisig, sellier – luthériens Jean Krieg, tonnelier et brasseur, et (1794) Marie Susanne Schott – luthériens |
1798 | v | Jacques Frédéric Schmidt, brasseur, et (1791) Marie Elisabeth Gutermann – luthériens |
1825 | h | Jacques Frédéric Schmidt, brasseur, et (1820) Anne Marguerite Rothenbach (au suivant par Jacques Frédéric Schmidt, brasseur, et (1849) Sophie Caroline Trumpff puis (1859) Emma Kurtz) |
1931 | h | Charles Auguste Schmidt, marchand, et (1892) Emilie Diehl |
1944* | h | Jean Jung, avocat, et (1920) Simone Schmidt |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 375 livres en 1705 (les estimations ultérieures comprennent aussi la maison quai des Pêcheurs)
(1765, Liste Blondel) X 67, la veuve de Daniel Krieg
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Sotterer Wittib, 13 toises, 0 pied et 8 pouces (avec X 66)
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 1055, Schmitt, Jacques Frédéric – maison, sol – 3,1 ares
(maison de gauche), O 1056, Schmitt, Jacques Frédéric – maison, sol – 0,84 are
Livres des communaux
Voir l’article au 5, rue Prechter qui ne forme alors qu’une propriété avec le bâtiment rue des Bains
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1780, Préposés au bâtiment (VII 1419)
Les préposés autorisent le maçon Walter, au nom des héritiers du gourmet Jean Krieg, à réparer le pan de bois au premier étage de la maison dite le vieux Steckenhoff et à crépir le rez-de-chaussée.
(f° 43-v), Dienstags den 11. Aprilis 1780 – Weil. Johann Krieg Weinstichers Erben
Mr Walther der Maurer nôe weiland Johannes Krieg, gewesenen Weinstichers Erben bittet zu erlauben an dero behausung zum alten Steckenhoff genannt an der Neuengaß gelegen im Ersten Stockwerck ein Stuck riegelwand so schadhaft ausbeßern, und unten her verwerfen zu laßen. Erkannt, Willfahrt.
Description de la maison
- 1725 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment adjacent et deux autres maisons, le tout estimé avec le puits à la somme de 750 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
4° arrondissement ou Canton est – Rue Traversière
nouveau N° / ancien N° : 3 / 6
Schmitt
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages mauvais en bois
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 25 f° 364 case 3
Schmitt Jacques Frédéric brasseur à la tête noire, quai des pêcheurs n° 77
O 1055, Maison, sol, R. traversière 6
Contenance : 3,10
Revenu total : 64,61 (63 et 1,61)
Folio de provenance :
Folio de destination : 364, R.on
Année d’entrée :
Année de sortie : 1856
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 21
fenêtres du 3° et au-dessus :
O 1055, maison
Revenu total : 121,61 (120 et 1,61)
Folio de provenance : 364. Aug.
Folio de destination :
Année d’entrée : 1856
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 27 / 22
fenêtres du 3° et au-dessus : 3 / 2
1856, Augmentations – Schmitt Jacques Frédéric f° 364, O 1055, Maison, revenu 57, augmentation de construction, achevée en 1853, imposable en 1856, imposée en 1856
Cadastre napoléonien, registre 25 f° 364 case 2
Schmitt Jacques Frédéric brasseur à la tête noire, quai des pêcheurs n° 77
O 1055, Maison, sol, R. traversière 6-b
Contenance : 0,84
Revenu total : 63 (63 et 0,43)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 30 / 24
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre napoléonien, registre 27 f° 1201 case 2
Schmitt Jacques Frédéric brasseur, Quai des pêcheurs 15
O 1056, Maison, sol, Rue Traversière 3
Contenance : 0,84
Revenu total : 63,43 (63 et 0,43)
Folio de provenance : (364)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 10
fenêtres du 3° et au-dessus :
O 1055, sol
Contenance : 3,10
Revenu total : 3,94
Folio de provenance : 1202-I
Folio de destination :
Année d’entrée : 96/97
Année de sortie :
Cadastre napoléonien, registre 27 f° 1202 case 1
Schmitt
O 1055, Maison, sol, Rue Traversière 3
Contenance : 3,10
Revenu total : 121,61 (120 et 1,61)
Folio de provenance : (364)
Folio de destination : Gb (maison) – 1201-II (sol)
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 27
fenêtres du 3° et au-dessus : 3
Cadastre allemand, registre 30 page 361 case 6
Parcelle, section 28, n° 26 – autrefois O 1055.p, 1056
Canton : Quergasse Hs N° 3 / Neubadgasse / Rue des Bains – 1569
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 3,52
Revenu : 1500 – 2200
Remarques : 1931 d. c. 5
(Propriétaire), compte 1084
Schmidt Karl August
1931 Schmidt Charles Auguste sa veuve & Schmidt Simone
1944 Schmidt Simone o. G. geschiedene Ehefr. des Jung Joh.
(3641)
Cadastre allemand, registre 30 page 361 case 5
Parcelle, section 28, n° 25 – autrefois O 1027, 1028, 1055.p
Canton : Fischerstaden Hs N° 15 – Neubadgasse N° 3 – 1569
Désignation : Hf, 3 Whs – sol 4 maisons
Contenance : 5,13 / 8,65
Revenu : 3900 – 4500 – 6000
Remarques : 1931 aug. c. 6
(Propriétaire), compte 1084 (supra)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton X, Rue 366 Neuve [Rue 366 Traversiere Neuve dite Uberzwerch Gass] p. 524
6
Loc. Baarfuss, Jacob – Invalide
Loc. Rauscher, Catherine Veuve de Manant – Manante
Loc. Sigfrid, Michel – Manant
Loc. Griff, Antoine – Manant
Loc. Schmidt, Michel – Manant
Loc. Rösselmeyer, Catherine Veuve de Manant – Manante
Loc. Schenin, Elisabethe Veuve de Manant – Manante
Loc. Meyer, Marguerite fille – Manante
Loc. Sigfrid, Catherine fille – Manante
Loc. Schneider, Catherine Veuve de Manant – Manante
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Neubadgasse (Seite 121)
(Haus Nr.) 3
Allombert, Eisendreher. 0
Hatt, Wwe. 0
Kaps, Wwe. 0
Eggermann, Tagner. 1
Heim, Pfeifendreher. 1
Heydt, Tagnerin. 1
Mertz, Schieferdecker 1
Notter, Klempner. 1
Springmann, Schreiner. 1
Weber, Pfeifendreher. 1
Hatt, Schreiner. 2
Heitz, Maurer. 2
Horsch, Schreiner. 2
Walter, Tagner. 3
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 644 W 95)
3, rue des Bains (1884-1969)
Charles Schmidt charge en 1907 l’entrepreneur C. Widmann d’aménager six nouveaux cabinets d’aisance dans le bâtiment au fond à droite de la cour.
Sommaire
- 1884 – Le maire notifie la rentière Marguerite Schmitt (demeurant 15, quai des Pêcheurs) de faire ravaler la façade du 3, rue Traversière – Rien n’a été fait, la façade est très sale, novembre 1884. Le notaire Schmidt (demeurant à Barr) déclare en juin 1885 au nom des héritiers Schmidt (la veuve étant décédée en novembre 1884) que les travaux seront faits avant le printemps 1886 aussi bien au 15, quai des Pêcheurs qu’au 3, rue Traversière – Le maire accorde deux mois de délai – Travaux terminés, août 1885.
- 1885 – Le maire constate que Ch. Wiedmer a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire – Demande – Autorisation
- 1889 – Le maire notifie la rentière veuve Boch née Schmitt de faire ravaler la façade du 3, rue Traversière – Le maire accorde un an de délai – Travaux terminés, juillet 1890.
- 1894 – L’entrepreneur en bâtiment G. Mayer (1, rue des Jardins) demande l’autorisation de réparer le crépi – Autorisation – Travaux terminés, juin 1894.
- 1889 – Le maire notifie le notaire Schmitt de Barr de faire ravaler la façade du 3, rue Traversière – Le maire accorde un délai – L’entrepreneur en bâtiment G. Mayer (1, rue des Jardins) demande l’autorisation de réparer le crépi – Autre demande par Schmitt – Autorisations accordées d’une part à l’entrepreneur d’autre part au propriétaire – Le crépi est réparé, septembre 1899 mais la façade n’est pas encore repeinte
1900 – Le peintre en bâtiment E. Bieth (19, quai des Pêcheurs) demande de reporter le délai de juin à juillet – Travaux terminés, septembre 1900 - 1895 – Le maire notifie le sieur Heim de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique, à savoir 7 fenêtres, 3 soupiraux et une trappe – Rappel, 1898 – La trappe est supprimée, juin 1899 – Travaux terminés, octobre 1900
- 1901 – Le maire notifie le notaire Schmitt de Barr de faire ravaler la façade du 3, rue Traversière – Le propriétaire déclare que le ravalement a eu lieu en juin 1900. Le maire fait observer que le crépi se détache. – Travaux terminés, octobre 1901
- 1907 – L’entrepreneur C. Widmann demande au nom de Ch. Schmidt l’autorisation d’aménager six nouveaux cabinets d’aisance au 3, rue des nouveaux Bains – Dessin (bâtiment au fond à droite de la cour) – Autorisation – Travaux terminés, juillet
- 1907 – Le maire notifie Charles Schmitt (demeurant 4, rue des Veaux) de faire ravaler la façade du 3, rue Traversière – L’entrepreneur Widmann (1, rue Saint-Louis) demande un délai en arguant que le propriétaire a fait faire d’importants travaux intérieurs. – Le maire accorde un an de délai à deux reprises – Travaux terminés, juin 1909.
1909 – L’entrepreneur demande l’autorisation de réparer le crépi – Autorisation - 1898 – Commission contre les logements insalubres. Propriétaire, notaire Schmidt à Barr – Rez-de-chaussée, locataire Allombert (4 pièces et cuisine), une des pièces humide devra être lambrissée.
1908, propriétaire Charles Schmitt, demeurant 4, rue des Veaux – Travaux à faire en trois points
1916, Commission des logements militaires – Travaux à faire en 19 points dans différents logements. Les travaux sous (III) sont faits, les autres ne peuvent être imposés.
1919, Nouvelle liste en sept points. Le propriétaire déclare que les logements seront rénovés quand ils seront vacants. - 1933 – Le maire constate que Félix Schiff a fait poser sans autorisation une antenne de T.S.F. entre le 3, rue des Bains et le 14, rue Prechter – Demande – Accord
1934 – Charles Warm demande l’autorisation de suspendre une antenne de T.S.F. entre le 3, rue des Bains et le 12, rue Prechter appartenant à la Ville – Accord - 1957 – La dame Schmidt (demeurant 4, rue des Veaux) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique pour crépir la façade
1969 – L’entreprise Barthelmé et Fils (28, rue du Barrage à Schiltigheim) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 1572 W 748)
3, rue des bains (2002-2003)
Denis Jung fait réhabiliter les bâtiments au nom de l’indivision Jung en 2002-2003. Le bâtiment sur rue qui s’affaisse vers l’arrière est redressé après démontage de la toiture. Onze nouveaux logements remplacent les quatorze anciens sans confort. L’escalier extérieur qui donne accès au premier étage est remplacé par un nouveau plus commode.
Sommaire
- 2002 (février) – Déclaration de travaux par Denis Jung au nom de l’indivision Jung (4, rue des Veaux) pour aménager 13 lucarnes, 7 vasistas et un escalier dans la cour
Description des travaux. Le bâtiment sur rue s’affaisse vers l’arrière. Les pans de bois et les solives seront redressés après démontage de la toiture. Les bâtiments comprenaient quatorze logements sans confort. Une fois les travaux terminés, il y aura onze logements (sept de trois pièces, trois de deux pièces et un d’une pièce). L’escalier extérieur qui donne accès au premier étage sera remplacé par un nouveau qui prenne en compte le décalage des étages entre les deux bâtiments.
L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Observations du service départemental d’incendie
2002 (avril) – Le maire ne s’oppose pas aux travaux
Suivi des travaux. Le gros œuvre se termine, octobre 2002. Travaux terminés, novembre 2003
Dessins, lucarne, escalier extérieur, vues axonométriques, plan des différents niveaux avant et après travaux, coupes – Photographies en photocopie
Relevé d’actes
La maison est inscrite au nom de l’orfèvre Sébastien Wagner dans le Livre des communaux (1587).
Les titres cités à l’appui de la propriété dans l’inventaire dressé en 1704 sont les actes suivants de 1611 et 1639 et la cession du 25 février 1647.
Les héritiers de Sébastien Wagner et de sa femme Marie Hollinger vendent la maison à Jean Ritter, receveur de l’abbaye de Marmoutier, et au tailleur Jean Heuff
1611 (ut spâ [xviij Septembris]), Chancellerie, vol. 395 (Registranda Kügler) f° 312-v
Erschienen herr Maximilianus Erhart offener Notarius alls Curator bonorum wyld. H Bastian Wagners selig. gemeyn erben für die Zweÿtheil So dann herr Paulus Hollinger Inn nammen sein V von weg. gemeÿn erben Fr. Marien Hollingerin seiner lieben schwester sel. für den drittheÿl Verkhauffen (…)
H Hannß Rüttern Maurßmünsterisch Schaffner V hanns Heuffen Schnÿder Inen v Iren erben
huß hoffestatt Gärttlin V Stallung m. all. Ir gebeu geleg. Inn d. vorstatt Inn Crutenaw Inn der Neuwen gaßen einsyt hanns Jungen dem Schiffmann stoßend and.syt hannß Jungen dem Schiffmann od. seyn. erben, stoßt hind. vff H Michael Kandten Fünffzehn. welche verhafft für 485 zu xv batzen hauptgutt verseß V Marzal bitz vff dato dem verpfend. (…)
V Wiewol solche Behaußung neben einer hinder dem Münster gegen der Becker Stuben geleg. *fft Verhafftet für iiij C lb Schilling Zu* soll doch hannß Jacob schwartz solche Summ vber sich Zins V dieß. Behausung von dißen beschwerd ledig (…) der khauff vber solche beschwerd. für 82 pfund pfenning 10 schilling
Elisabeth, veuve de Jean Ritter et remariée avec Jonas Hammerer, et ses enfants hypothèquent la maison au profit de Henri Steudel et d’Israël Dieffenbecher, receveurs de l’abbaye de Marmoutier.
1628 (ut spâ [29. Feb:]), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 113-v
Erschienen Elisabeth weiland Hannß Ritters gewesenen Schaffners im Maßmünster hoff seeligen Wittib, an ietzo mit Jonas Hammerern Verheurathet, mit beÿstand Hr Christoph Axtern Ihrer mit ermeltem Ritter erzielter fünff Kinder Vogts, vnd hr. hannß Georg Kürßners des Notarÿ alß Vogts Annæ Mariæ Weiland Philipps Ritters gewesenen vergicht schreibers seeligen Wittiben
hatt in gegensein herrn Heinrich Steüdels vnd hr Israel Dieffenbechers beÿder des herrn prælaten Von Maßmünster Schaffner vnd Gewalthaber – schuldig seÿe 550 gulden (…)
Vnderpfand 950. fl. So sie vff einer Behausung in Crautenaw in der Newen gaßen stehen hatt Welche ietzmalen Nicolaus Gerbelius Kaüfflichen an sich gebracht vnder Welchen 950. fl. Ihro der Bekennerin 550. fl. Widembs weiß Verfangen, daß überig ermelten Ihren Kindern Zustendig, Hannß Jacob Rittern der Bekennerin Stieffsohn betreffend (…)
Le marchand Jonas Hammerer et Elisabeth Herbst hypothèquent la maison et une autre rue des Tonneliers au profit de Dorothée Hatt, veuve du boucher Jérémie Fischer
1637 (20. Septembris), Chambre des Contrats, vol. 478 f° 731-v
Erschienen herr Jonas Hammerer der Handelßmann burger Zue Straßburg, vndt beneben ihme Elisabetha Herbstin sein eheliche haußfraw vndt Sie Eheliebstin mit beÿstand ihres Eheleiblichen Brudern Johann Herbsten deß Goldtschmidts undt Zachariæ Rosers deß schneiders ihres Schwagern, alß beeder hierzu insonderheit erbetener nechsten Verwanthen
haben in gegenwärtigkeit Dorotheæ Hattin, weÿ: Jeremiæ Fischers deß Metzgers see. Wittiben, mit beÿstandt ihres geordneten Vogts herrn Jacob Kipsen großen rhats Verwanthen alhie – schuldig seÿen 200 lb
zu Vnderpfand eingesetzt und verlegt hauß, hoffstat, höfflin, Stallung und gärtlin mit allen andern ihren gebäwen & alhie in Crautenaw undt der Newen gaßen einseit neben Hannß Meÿer dem Metzger, anderseit neben (-) hinden vff weÿland herrn Michel Lampen fünff Zeheners see: Erben stoßend, So zuuor verhafftet vmb 25. lb. Nachtrag hannß Philipps Spiegel dem Barbierer sonst eÿgen,
So dann soll ferner Vnderpfand sein Ein Vierter theil uhme dem Bekenner für vngetheilt gebürendt An eim Vorder undt hindeahuß, hoffstat, höfflin undt Stallung auch allen andern deren gebäwen undt Zugehörden alhie in der küeffer gaßen, vnt Zur dauben genannt, einseit neben Peter Bexen deß handelsmanns seel. Erben, anderseit neben Hannß Schneller dem Küeffer hinden vff hanß Knauffen den harpffenisten stoßend, daran der Vberige theil seinen miterben Zustendig
Vndt Zu noch mehrern sicherheit seindt auch erschienen herr Walter Lienhardt der handelßmann burger Zue Straßburg sein deß Debitoris Schwager (…) zu rechen Bürgen dargeben
Elisabeth Herbst, femme de Jonas Hammerer, hypothèque la maison au profit de Jean Louis Kob. L’obligation figure parmi les titres mentionnés à l’inventaire dressé en 1704, ce qui mène à conclure que le créancier est devenu propriétaire de l’immeuble.
1639 (19. Novemb.), Chambre des Contrats, vol. 483 f° 846
Erschienen Fr. Elisabetha Herbstin, herrn Jonæ Hammerers deß Handelßmanns und burgers Zu Straßburg eheliche haußfraw, mit beÿstandt H Johann Herbsten deß Goldtschmidts und hanß Georg Ritters ihres respectiué eheleiblichen Brudern und Sohns, alß hierzu insonderheit erbettener nechsten verwanthen
hat in gegenwärtigkeit herrn Johann Ludwig Koben auch handelßmanns und Burgers alhie – schuldig worden 85 lb
dafür in specie Vnderpfand sein soll Ein Behaußung sampt dem hoff, Stallung, undt garten, auch allen anderen ihren gebäwen & gelegen in der Statt Str. Vorstatt Crautenaw undt der Newengaßen, einseit neben der Bekennerin hauß selbsten, Vnd anderseit neben Sixt Baldtner Fischern hinden vff herrn Michel Lampen XV.ers seel: Erben stoßend, so Zuuor v.hafftet vmb 200. lb. Dorothea Hattin dauid Speners deß handelßmanns alhie haußfrawen
La maison revient à Elisabeth Kob, fille du marchand Jean Louis Kob, et à son mari Gérard von Stœcken (voir la note après l’acte ci-dessous).
Catherine, veuve du garçon batelier Jean Martin Scherer, vend au professeur de l’université Gérard von Stœcken une maison à côté de la sienne. La venderesse s’y réserve le droit d’habitation sa vie durant.
1680 (19.1.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 47-v
Catharina, weÿl. hannß Martin Scherer deß Schiff Knechts nunmehr seel. nachgelaßene wittib mit beÿstand Daniel Ruopen deß Schuhmachers ihres Vogts
in gegensein Christmann Kammen deß Saÿlers im nahmen deß Edel- hochgelehrten herren Gerhard Von Stöckhen U.I.D. et Pandectarum Professoris publici beÿ hießiger wohlöbl. Universität, mit Consens deß großen Gemeinen Allmosens zu St. Marx
hauß hoffstatt höfflein und Keller mit allen deren Gebäwen, begriffen, Rechten und zugehördten alhier in der Vorstatt Krautenau in der Newen Gaßen am fischer Staden, einseit neben Herren M. Johann Henrich Christen Diacono der Pfarrkirchen zu st. Wilhelm anderseit neben dem herrn Käuffer selbsten, hinden uff (-) stoßend gelegen – umb 50 fl.
und ist dabeÿ Verglichen worden, daß die Verkäufferin in dem Verkaufften hauß Zeit ihres Lebens ein stüblein, Kuchen und Kämmerlein so gut Sie anietzo darinnen Zubefinden ohne Zinnß Zu bewohnen auch nach ihrem belieben in gedacht stüblein und Kämmerlein eine Arme fraw doch ohne Kinder umb ein Zinnßlein so Sie die Verkäufferin behalten mag uff Zunehmen berechtiget sein solle
La maison est décrite dans l’inventaire dressé en 1704 après la mort d’Elisabeth Kob, fille du marchand Jean Louis Kob, mariée en premières noces avec le marchand Tobie Stædel, en deuxièmes avec le docteur en droit Gérard von Stœcken et en troisièmes avec le marchand Jean Balthasar Kraut, à la rubrique « usufruit Stœcken ».
Les enfants de Gérard von Stöcken, conseiller juridique de la ville de Spire, Marie Elisabeth von Stöcken, femme du marchand Jean Daniel Wetzel de Worms et Marie Salomé von Stöcken vendent en qualité d’héritiers de leur père à Jean Daniel Krieg, inspecteur des bateaux royaux, deux maisons contiguës dans la rue Neuve traversière face aux nouvelles casernes, appelées cour Stœcken (Stöckenhoff). L’arrière des maisons est contigu à celle des acquéreurs.
1738 (27.2.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 121-v
weÿl. S.T. H. Fünffzehners Johann Gerhard von Stöcken hinterlassener sohn H. Johann Gerhard von Stöcken J.V.Lti und Consulent beÿ der Freÿen Reichstatt Speÿer, ferner H. XXI. Johann Daniel Wetzel als curator Fr. Maria Elisabetha geb. Stöcken H. Philipp Christian Hoffmann des handelsmanns zu Worms Eheliebstin, so dann Jfr. Maria Salome von Stöcken von dem selben und ged. Hoffmann (…) bevollmächtigt
in gegensein H. Johann Daniel Krieg Inspectoris über die königliche Schiff
zweÿ nebeneinander liegende häußer, zween höffen, dero hoffstatt sambt bronnen und allen übrigen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten in der Vorstatt Krauttenau und der überzwerchen Neuengaß gegen denen neuen Cazernes über, einseit neben Johann Jacob Schüßler dem seÿler anderseit neben Johann Georg Tritschal dem Meelmann hinten theils auff H. käuffer theils Diebold Hügel dem schiffmann ehevögtl. weiß, theils weÿl. H. Rathh. Adam Clerc, der Stöckische hoff genannt – als ein von anfangs benannten ihrem H. vatter seel. ererbtes guth – um 1150 pfund
Fils du batelier Jean Jacques Krieck, le batelier Jean Daniel Krieck épouse en 1705 Marie Madeleine, fille de l’orfèvre Isaac Kübler
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. f° 112)
1705. Mittwoch d. 11. Martÿ sind nach dispensi 2.ten p.clamôn am Sonnt. Reminisc. für beydemahl Zugleich in der N. Kirch Zur Ehe eingesegnet worden Joh. Daniel Krieck der led. schiffmann weÿl. hanns Jacob Kriecken, deß schiffmanns, v. Ursulæ Buchin s. Ehefrauen seel. nachgel. Ehl. Sohn, Und Jgfr. Maria Magdal. H. Isaac Küblers deß Silberarbeiters und burg.s und fr. Anna Salome Gerausin s. Ehfr. Ehl. tochter (i 116)
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 153-v, n° 11)
1705. Mittw. den 11. Martÿ Sind nach ordentl. proclam. copulirt Johann Daniel Krieg der Led. Schiffmann u. b. allhie weÿl. hanß Jacob Kriegen, deß Schiffm. u. burgers allhier nachgelaßener ehl. Sohn, und Jfr. Maria Magdalena H. Isaac Küblers deß goldschmidts u. burgers alhie ehl. Tochter [unterzeichnet] johan daniel Krieg als hocht Zeiter, Maria Magdalena Küblerin als hochzeiterin (i 153)
Jean Daniel Krieg et Marie Madeleine Kübler se lèguent mutuellement leurs biens et font différent legs à leurs enfants.
1733 (2.5.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 61) n° 606
Codicillus reciprocus respectivé Dispositio inter liberos Hn Johann Daniel Kriegen Vornehmen Schiffmann und burgern alhier et uxoris. 1733
Zuwißen daß auff Sambstag den 2.ten Maÿ Anno 1733 Nachmittag Zwischen 4. und 5. Uhren (…) der Ehren: und wohl vorgeachte H. Johann Daniel Krieg Vornehme Schiffmann und die Ehren und tugendsahme frau Maria Magdalena Kriegin gebohrne Küblerin beede Eheleute bürgere alhier, durch die Gnade Gottes auffrecht gesund gehend und stehender leiber auch richtiger Sinnen gutter Vernunfft und verstands
Jean Daniel Krieg meurt en 1749 en délaissant deux enfants ou leur représentant. La maison qui donne à la fois sur le quai et sur la rue neuve traversière est décrite en un seul article qui mentionne le titre d’achat de la maison avant et celui de la maison arrière. La masse propre à la veuve est de 1 829 livres, celle des héritiers de 188 livres. L’actif de la communauté s’élève à 5 787 livres et le passif à 1 252 livres.
1749 (15.12.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 371) n° 369
Inventarium über Weÿland des Wohl Edlen Großachtbahren Wohlweißen Herrn Johann Daniel Kriegen des geweßenen Wohlbestelten Inspectoris derer Königlichen Schiffe und E.E. großen Raths allhier Zu Straßburg wohlverdienten beÿsitzers nunmehr seeligen Verlaßenschafft, aufgerichtet Anno 1749. – als derselbe Freÿtags den 21.ten Novembris dießes zu end eilenden 1749.ten Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt nach solch seinem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt zeitlichen hinter sich verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren (…) durch die Wohl Edle und Tugendbegabte Frau Mariam Magdalenam Kriegin gebohrene Küblerin die hinterbliebene Frau Wittib mit assistentz des Wohl Edlen großachtbahren und Wohlweisen Herrn Christoph Andreas Lurtzing Königlichen Postmeisters allhier und E.E. grosen Raths alten wohlverdienten Assessoris ihres ane Vogts statt erbettenen beÿstandts – So beschehen in Straßburg auf Montag den 15.ten Decembris et seqq. Anno 1749.
Der in Gott seelig entschlaffene Herr Rathherr hat sowohl ab intestato als per Testamentum zu seinen Erben verlaßen Wie folgt 1° Weÿland herrn Johann Daniel Kriegen, des Jüngern gewesenen Schiffmanns und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen hinterlaßenen mit Frauen Anna Maria gebohrener Helckin seiner hinterlaßenen dermalen ane Herrn Johann Jacob Soderer, Ehemaligen Bierbrauer und burger allhier verheuratheten Wittib, ehelich erzeugten Sohn, nahmens Johannem Krieg, welcher 17 Jahr alt und das Kieffer handwerck erlernt deßen geschworner Vogt Herr Johann Friedrich Ströhlin vornehmen Apothecker und E. E. Kleinen Raths Jetzig wohlverdienten beÿsitzer, welcher aber uxorio nomine hiebeÿ interessiret dahero in seinem Nahmen zu einem Theilvogt erbetten worden Herr Johann Diebold Ulrich, Bernhards Sohn, der Schiffmann und burger allhier (…) und beÿ dießem geschäfft mit und beneben seinem Curando persönlich erschienen
2.do So dann Frau Mariam Magdalenam Ströhlinin gebohrene Kriegin Herrn Johann Friedrich Ströhlin, vornehmen Apotheckers, E. E. Kleinen Raths jetzig wohlmeritirten Assessoris Frau Eheliebste, welche mit beÿhilff Wohlgemelten ihres geliebten Eheherrn in Persohn dem geschäfft abwartete, Also beede deß abgeleibten Herrn Rathherr seel. mit Eingangs wohlernanter Frauen Maria Magdalena gebohrener Küblerin seiner hinterbliebenen Frau Wittib ehelich erzeugte Frau Tochter und Enckel auch sowohl per Testamentum als ab intestato Zu Zweÿen gleichen portionen und Stammtheilen Verlaßene rechtmäßige Erben
In einer allhier zu Straßburg ane dem Fischerstaden gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden Worden wie folgt
(f° 12) Eigenthum ane Häußern. (T.) Erstl. eine Behaußung, bestehend in Vorder und Hinterhauß sambt dero Hoffstätten, Höffen, einem kleinen gärtlein. bronnen und allen übrigen dero gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau am Fischerstaden einseit. das Vorderhaus neben Johann Daniel Helck, dem Schiffmann, anderseit neben Johann Jacob Helck dem auch Schiffmann, das hinderhaus aber in der überzwerchen neuen gaß gegen denen neuen Cazernen über einseit neben weÿl. Johann Jacob Schüßlers des Seÿlers Erben, anderseit neben Johann Jacob Debes dem Meelmann auch hinden Zum theil auf Vorgedachten Johann Jacob Helck, dem Schiffmann und zum theil auf weÿl. Herrn Adam Le Clerc seel. Erben stosend sogegen männiglichen freÿ ledig eigen und durch (die Werckmeistere) vermög überschickter Schrifftlicher Abschatzung Vom 10.ten Decembris 1749 angeschlagen pro 1100 lb. Über das vorderhaus ist vorhanden ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhiesiges Cancelleÿ Contract Stub auffgerichtet und mit dero anhangendem Insiegel corroboriret de dato 21.ten Aprilis Anno 1708. Dabeÿ ein alter auch allda gefertigtes und mit ermeltem Insiegel bekräfftigter teutscher pergamenter Kauffbrieff de dato 20. Januarÿ 1636. So dann besagt über das hinder haus einen wohlermeltes Contract Stub auffgerichtetes und mit dero anhang. Insiegel Verwahrtes teutscher pergam. Kauffbrieff datirt den 27.ten Februarÿ Anno 1738. Dabeÿ ferner ein alter teutscher pergam. Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhang. Contract Insiegel corroboriret datirt den 16.ten Septembris Anno 1611. Wie auch eine teutsche pergam. Cessio in solutum mit vorgemeltem Insiegel bekräfftiget de dato 25.ten Februarÿ Anno 1647. Sampt noch etlichen anderen schrifftlichen Documentis.
(E.) It. der halbe theil vor ohnvertheilt von und ane einem Häußlein ane dem Schiffleutstaden in dem Schwerdtgäßlein
(W.) It. der halbe theil vor ohnvertheilt von und ane einer Behaußung Jenseit des Stadens Oberhalb der Schindbrucken beÿ dem Gerten fisch (…)
Ergäntzung der Frau Wittib angegangenen ohnveränderten Guths. Inhalt Inventarÿ Eingangs gedachter beeder Geweßener Ehegatten einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen durch Weÿland Herrn Notarium Andream Schmidt Längst seel. in Anno 1705. auffgerichtet hat mann der hinterbliebenen Frau Wittib Zu Ergäntzen wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Copia heuraths Verschreibung – Copia Testamentum nuncupativi
Der Frau Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. Silbers 15, Sa. godenen Rings 2, Sa. Antheils ane einer Behaußung 625, Sa. Gülth von liegenden güthern 9, Sa. Schulden 30, Erg. Rest 1127, Summa summarum 1829 lb
Dießemnach wird auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. Kleydung und Weißen gezeugs 81, Sa. Antheils ane einer Behaußung 93, Erg. Rest 63, Summa summarum 238 lb – Schulden 50, Detrahendo verbleibt 188 lb
Endlichen wird nun auch das verändert und theilbahr guth beschrieben, Sa. haußraths 160, Sa. Wein und Lährer Faß 249, Sa. Silbergeschirr und Geschmeids 304, Sa. goldener Ring und geschmeids 121, Sa. baarschafft 2544, Sa. pfenningzinß hauptgüter 400, Sa. Eigenthum ane einer Behaußung 1100, Sa. Schulden 907, Summa summarum 5787. lb – Schulden 1252, Nach deren Abzug 4535 lb
Stall Summa et Conclusio finalis Inventarÿ 6553 lb
Copia der Eheberedung – Zwischen dem Ehrenthafften Herrn Daniel Kriegen dem ledigen Schiffmann Weÿland herrn hanß Jacob Kriegen auch gewesenen Schiffmanns und burgers alhier seligem hinterlaßenem Sohn mit beÿstand herrn Caspar Meÿers Capitains und herrn Abraham haÿnen Bährenwirts beeder anverwanden als Bräutigamb an einem, So dann der Ehren und Tugendsamen Jungfrauen Magdalene, herrn Isaac Küblers Silberarbeiters und burgers alhier ihres geliebten Vatters, mit beÿstand deßelben wie auch herrn Philipp Küblers E. E. Großen Raths alten beÿsitzers als der hochzeiteron am andern theil – So herrschafft und Verhandelt in der Königlichen Statt Straßburg, Mittwoch den 7. Januarÿ anno 1705, Andreas Schmidt Not. publ. jur. ac Civis Argent.
Abschatzung Von 10.ten Xbris 1749. Auff begehren Weÿland Herrn Johann Daniel Kriecken Eines Ehrsamen großen Raths alten beÿsitzers und Schiff Capitaine seel. hinterlaßenener fraw Wittib, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg am untern Schiffleuth Staden, einseit neben Johann Daniel Helcken dem Schiffmann, anderseit neben Johann Jacob Helcken auch Schiffmann und hinten auff die Newgaß stoßend gelegen, Welche Vornen neben dem Eingang eine Stube und Kleine Kammer, auff dem Ersten stockh eine Stube, ein Stub Kammer ein Kuchen und haußöhren hat darüber ist ein Tachstuhl mit breit Ziegel, doppelt gedeckt, worunter Zwo besetzte bühnen, es befinden sich auch Zweÿ nebens gebäwlein mit halben tächern mit breit Ziegel, gedeckt: Worunter die gäng eine Stube und etliche Kammeren, Ferner ein hintergebäw Welches einen Alten und bawfälligen tachstuhl hat mit breit Ziegel, doppelt gedeckt, worunter etliche Stube, Kammeren und Küchen, das Vorder und hintergebäw haben zween geträhmte Keller, es befinden sich auch zween höff, und Zween bronnen Wavon einer Gemeinschaftlich. Von uns den unterschriebenen der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistern nach Vorher beschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Werth nach æstimirt undt angeschlagen Worden Vor und umb Zweÿ Taußend und Zweÿ hundert Gulden.
Der Zweÿte begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg in dem Schwert Gäßel (…)
Der dritte begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg ane dem Staden beÿ dem Gouvernement (…)
Marie Madeleine Kübler meurt en 1762.
1762 (26. 9.bris), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 266) n° 888
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güther, ligender und fahrender, keinerleÿ davon ausgenommen, so weil. die hoch Ehren und hochtugendbegabte Frau Maria Magdalena gebohrene Küblerin, auch weil. des wohl Ehren Vesten Großachtbaren wohlweißen H. Johann Daniel Kriegen, geweßenen wohlbestellten Inspectoris derer Königlichen Schiffe und E. E. Großen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers und vornehmen burgers allhier Zu Straßburg seel. hinterbliebene Frau Wb. nun auch seel. nach Ihrem Montags den 1.ten diesses Monaths und Zu end eilenden 1762.sten jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt, Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen Straßburg Donnerstags den 25. 9.bris Anno 1762.
Die Verstorbene Frau Rathherrin seelig hat per Testamentum Zu Erben Verlassen wie folgt. 1° weÿl. herrn Johann Daniel Kriegen, des Jüngern gew. Schiffmanns und brs. allh. nunmehr seel. mit der Viel Ehr und tugendsamen Frauen Anna Maria geb. Helckin so letzthin mit weil. H. Joh: Jacob Soderer gew. Bierbrauer und br. allhier verehelicht gewesen, ehelich erzeugter Sohn, Herrn Johannes Krieg, den Kiefer, Weinhändler und burgern allhier, Enckel, welcher beÿ diesser Inventur præsens war, in die eine helffte
So dann die hoch Ehren und hoch tugendbegabte Frau Mariam Magdalenam gebohrene Kriegin S. T. Herrn Johann Friedrich Ströhlin, vornehmen Apotheckers, E. E. Grosen Raths Jetzig wohlverdienten beÿsitzers und vornehmen burgers allhier Zu Straßburg quo ad thorum et mensam geschiedene Frau Eheliebstin, mit assistentz H. Benjamin Waltzen vornehmen Handelsmanns und burgers allh. Welche beede diesser Inventur in persohn beÿgewohnt, In den übrigen halben theil
Dieße beede der Verstorbenen Frauen Rathherrin seel. obwohlen ab intestato dannenhero aber per Testamentum Clausum eingesetzte Frau Tochter Und Eckel, Erben
Copia Testamenti solennis in scriptis Clausi
Eigenthum ane Häußern. Der halbe theil vor unvertheilt von und ane 1.r Behaußung
Jenseit des Stadens Oberhalb der Schindbrucken beÿ dem Gerten fisch (…)
It. ein dritter theil vor ohnvertheilt von und ane 1.r Behaußung, bestehend in Vorder und Hinterhaus sampt dero Hoffstätten, Höffen, kleinen gärth. bronnen und allen übrigen deren Gebäuden, Begriffen, weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier ane der Vorstatt Krautenau und deren Fischerstaden, 1.s. das Vorderhaus neben H. Johann Daniel Helck, 2 s. neben H. Johann Jacob Helck, beeden Schiffmänneren, das Hinterhaus aber ane der überzwerchen neuen gaß gegen denen neuen Cazernen über 1.s. neben Herrn Johann Leonhard Röderer dem schwartz und schönfärbern auch E. E. grosen Raths alten beÿsitzern 2. s. neben Johann Jacob Debus dem Meelmann auch hinten Zum theil neben Vorgemeltem H. Johann Jacob Helck dem Schiffmann und zum theil neben H Johannes Winter dem Schiffmann und Fr. Anna Catharina Freÿin der Barbiererin stosend sogegen männigl. freÿ ledig eigen und zufolg hievor angeregter Abschatzung gewürdiget pro 1000 lb. Woran der diessortige dritte theil in auswurf Zubringen mit 333
Die übrige zween drittetheil sind hernach in Widem gehörig. Über das vorderhaus ist vorhanden 1. teutsch perg. Kfbr. in allh. C. C. stb. gef. mit deren anhgd. Ins bekr. datirt den 21. Aprilis 1708. Dabeÿ 1. perg. Kfbr. allda gef. datirt den 21. Aprilis 1708. Dabey i. a. perg. Kfbr. allda gef. datirt den 20. Januarÿ A° 1636. So dann weiset über das hinter haus 1. teutsche perg. Kfbr. in allh. C. C. stb. gef. und mit deren anhgd. Ins. verw. dedato 27.sten Februarÿ 1738. Dabeÿ ferner 1. teutsch perg. Kfbr. dedato 16.ten 7.bris A° 1611 wie auch 1. perg. Cessio in solutum allda gef. dedato 25. Februarÿ A° 1647. sampt anderem schrifftlichem Bericht
(Widem) It. zwen dritte theil vor ohnvertheilt von und ane der hievor fol: (-) fac: umständlich beschriebenen behaußung gelegen allhier ane der Vorstatt Krautenau und deren Fischerstaden & so æstimirt pro 1000. daran diesse zween dritte theil auswerffen 666. Die hierüber besagende Documenta sind hievor umbständlich beschrieben
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 149, Sa. leerer Faß 1, Sa. goldener Ring und geschmeid 83, Sa. baarschafft 425, Sa. Eigenthum ane Häußern 833, Sa. Gülthen von liegenden güthern 9, Sa. Activorum 2650, Summa summarum 4224. lb – Stall Summa 5052 lb
Widum Welchen die Frau Rathherrin seelig Zeit lebens genossen. Nemlichen es hat nun weiland S. T. Herr Johann Daniel Krieg (…) crafft seines Testamenti nuncupativi §° 3.tio seine gesamte Verlaßenschafft allein mit ausnahm derer Kinder gebührender Legitimæ seiner hinterbliebenen Fr. W. nun auch seel. zu einem lebtägigem Widem Genuß Verordnet
Copia Testamenti
Abschatzung Vom 10.ten Dec 1762. Auff Begehren Weil: Maria Magdalena Krigin Geborne Kiblerin S: T: hiender Lasene Erben ist eine behausung Allhier in der Statt Strasburg An dem Fischer Staden Einseits Neben Jacob Helg dem Schif Man Anderseits Neben Daniel Helg Dem Elldteren und hienden Auff Die Iber Zwerch Gas Stosent Gelegen, Solches Gebeÿ besteht in einem Forder und Hiender gebeÿ Worinen Ettliche Stuben Kamern und Kichen Dar Iber seindtt die dach Stiell mit breidt Ziglein belegt hat auch Zweÿ Hoff Zweÿ brunen und Zweÿ Getrembte Keller. Von uns Vnterschribnen der Statt Strasburg Geschworne Werck Meister Nach Vorhero Geschehener besichtigung mit Aller Ihre Gerechtigkeit Dem Jetzigen Wahren Wert Nach æstimirt und Angeschlagen Worden Vor Vnd Vmb Zweÿ Thausent Gulden
Der Zweite Begriff (…) [unterzeichnet] Werner, Huber
Marie Madeleine Kübler meurt à l’âge de 81 ans. Les témoins de l’acte sont Jean Krieg, son petit-fils, et Isaac Kübler, son neveu.
Sépulture, Saint-Nicolas (luth. reg. 1758-1772, f° 24-v n° 134)
1762. Montag d. 1. Novembr: morgens früh ein Viertel vor 2 uhr starb Frau Maria Magdalena Kriegin weÿl. herrn Joh: Daniel Kriegen gewesenen Inspectoris über die König. Schiff und E. E. Großen Rath alten beÿsitzers nachgelaßene Frau Wittib. Wurde begraben Mittwoch d. 3. Nov: nach mittag um 2. uhr nach gehaltener Leichen predigt Zu St. Nicol. auff S. Galli. Alt 81 Jahr 3 Monat und 12 tage. Eltern weÿl. Herr Isaac Kübler geweßener Silber-Arbeiter v. B. alhier vnd Frau Anna Salome geb. Geraußi, [unterzeichnet] Johannes Krieg als Enckel, Isaac Kübler bruders Kind (i 27)
Jean Krieg, petit-fils de la défunte, rachète de sa tante Marie Madeleine Krieg, femme du pharmacien Jean Frédéric Strœhlin, les parts de la maison dont il devient suel propriétaire
1763 (16.6.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 266) Joint au n° 888 du 26 sept. 1762
(Inventarium über Frau Mariä Magdalenä gebohrener Küblerin, H. Johann Daniel Kriegen, Frau Wb. Verlaßenschafft)
(f° 9) Anlangend die Rubric Eigenthum ane Häußern und Gültguth
Erschienen ane dato zu end gemeld vor mir offenbarem geschwornem Notario und Zu dießem Geschäfft adhibirtem Inventir schreibern Frau Maria Magdalena gebohrene Kriegin, S. T. Herrn Johann Friedrich Ströhlins, vornehmen Apotheckers, E. E. Großen Raths Jetzig wolverdienten beÿsitzers und burgers allhier quo ad thorum et mensam geschiedene Ehefrau, dahero beÿständlichen Herrn Benjamin Waltzen des Handelsmanns und burgers allhier, hierzu erbetten ane Einem
So dann Herr Johannes Krieg, der Weinhändler undt burger allhier andern theils, beede dißorts sowol ab intestato als per testamentum instituirte Erben dieselbe, und Zwar Frau Rathherrin Maria Magdalena Ströhlinin bekande wie das Sie Vor sich und ihre Erben auffrecht fest unwiederrufflichen in unvertheiltem Erbe
Ihme herrn Johannes Kriegen, ihrem Neveu und Miterben
ihro sowol Vätter: als Mütterliche anerstorbenen eigenthümliche helffte von und ane der behaußung, bestehend in forder: und hinterhauß, sambt deren Höffen, Hoffstätten, Kleinen gärtlein, bronnen undt allen übrigen Gebäuden, Begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier ane der Vorstatt Krautenau und deren Fischerstaden, einseit das fordere haus neben Herrn Johann Daniel Helck, anderseit neben Herrn Johann Jacob Helck, beeden Schiffmänneren, das hindere Haus aber, so der Steckenhoff ins gemein genand, ane der überzwerchen Gaß gegen denen neuen Cazernen über, einseit neben Herrn Rathherrn Johann Leonhard Röderer dem Schwartz: und Schönfärbern, anderseit neben Johann Jacob Debus, dem Meelmann, auch hinten Zum theil neben vorgemeltem Herrn Johann Jacob Helcken, den Schiffmann und Zum theil neben H. Johannes Winthern, dem Schiffmann, undt Frau Annam Catharinam Freÿin gebohrene Brionin, die Barbiererin stösend so gegen männiglichen freÿ ledig und eigen
Ferner ihr unvertheilte Elterliche helffte von und ane der unvertheilten Helffte (…)
So geschehen Straßburg auff Donnerstag den 16. Junÿ anno 1763
Le compagnon tonnelier Jean Krieg fait son chef d’œuvre dont les examinateurs sont satisfaits. Il est reçu maître.
1752, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 423) Donnerstags d. 27. Julÿ 1752. ist Johann Kriegen des Ledigen von hier gebürthigen Kieffers Meisterstück Zum ersten mahl besichtiget und von den Herren Schauern referirt worden daß in der 1.t schau weiter nichts befunden als einige kleine außfüglein, so gar von keiner Consequentz welches zu bezeugen sie sich unterschrieben Johann Philipp Strohl, Johann Heinrich Löchner, Johann Jacob Stamm
Dienstags d. 8. Augusti 1752. ist Johann Kriegen des leedigen Kieffers Meisterstück Zum 2.t Mahl besichtiget und von den Herren Schauern referirt worden daß Sie durchaus nichts weder wieder die Garckel, noch Böden einzuwenden, sondern alles in gutem Stand befunden unterschrieben Johann Philipp Strohl, Johann Heinrich Löchner, Johann Jacob Stamm
Mittwochs d. 16. Aug. 1752. ist Johann Kriegen des Ledigen Kieffers meisterstück Zum Letzten mahl besichtiget und von den Herren Schauern referirt worden, daß Sie die Haupt Reiff ein wenig zu schmahl seÿen, So aber von keiner Consequentz, weßhalben Sie jhn vor ein Meister erkanden, doch daß er wegen außfüglein in erster schau 10 ß d straff erlegen soll unterschrieben Johann Philipp Strohl, Johann Heinrich Löchner, Johann Jacob Stamm
Fils de Daniel Krieg, Jean Krieg épouse en 1752 Susanne Marguerite Meyer, fille du blanchisseur Jean Michel Meyer, de la Robertsau : contrat de mariage, célébration
1752 (18.7.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 78) n° 1255
Eheberedung – entzwischen H Johannes Krieg, leedigen Kiefer und biersieder, weÿl. H Johann Daniel Krieg geweßenen Schifmans vnd burgers allhier zue Straßburg, mit fraun Anna Maria gebohrener Helckin Ehelich erzeugtem und nach tod verlaßenem Sohn als hochzeiter ane Einem
So dann der Ehren und tugendsahmen Jgfr. Susannæ Margarethæ Meÿerin Hn Joh: Michael Meÿer bleichers in der Ruprechtsau vnd burgers zu gedachtem Straßb. mit frauen Mariæ Margarethæ gebohrener Hoffsäßin Ehelich erzielten tochter als der hochzeiterin am andern theil
(mit beÿstand) und zwahr auf seiten des hochzeiters T. Herr Friderich Ströhlin Vornehmer apothecker deßen geschworner vnd annoch ohnentledigter Vogt, vnd H Johann Jacob Soderer weinhändler deßen Stieffvatter, so dann auf der Jgfr hochzeiterin seiten H Johann Michael Meÿer, dero vatter obgedacht Herr Johann Leonhard hoffsäß, Kieffer vnd weinhändler, dero Großvatter, so dann H Johann Jacob Ulrich schifmans dero Vetter alle burgere allier
Actum in der Königlichen Statt Straßburg Dienstags den 18.ten Julÿ anno 1752. [unterzeichnet] Johann Krieg als Hochzeiter, Susanna Margaretha meÿerin als hoch zeiterin
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 183 n° 28)
aô 1752. d. 6. sept. Seind nach zweymahliger Ausruffung so Dom: XIII. u. XIV nach Trinitatis geschehen, in der Kirche Zu S. Wilhelm ehelig copulirt und eingesegnet worden Johannes Krieg, lediger Kieffer und burger alhier, weÿl. Johann Daniel Kriegen des Jüngern geweßten Schiffmann und burgers alhier, u. Anna Maria Helckin ehl. Sohn,
Jungfrau Susanna Margaretha H Johann Michael Meyers, bleichers und burgers allhier u. Maria Margaretha Hoffsäßin ehel. Tochter [unterzeichnet] Johannes Krieg als Hochzeiter, Susanna Margaretha Meÿerin als hochzeiterin (i 187)
Marchand de vin et gourmet, Jean Krieg meurt en 1773 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison entière à 900 livres. La masse propre à la veuve est de 2 033 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 1 441 livres, le passif 1 871 livres.
1773 (7. 7.bris), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 766) n° 548
Inventarium über Weÿland des Wohl Ehren und vorachtbahren Herrn Johannes Krieg gewesenen Weinstichers, Weinhändlers nunmehro seeligen Vermögens Nachlaßenschafft aufgerichtet im Jahr 1773. – nach seinem Sonntags den 4. Augusti dieses 1773.sten Jahrs aus dießem zeitl. Weltleben genommenen tödl. Hintritt verlassen hat, Welche Vermögens Nachlaßenschafft (…) andern theils der Viel Ehren und tugendbegabten Fraun Susannæ Margarethæ geb. Meyerin der hinterbliebenen Frau Wittib, hiebey mit Tit. H. Joh: Jacob Diemert, dem Beck und E: E: großen Raths alten wohlverdienten Beÿsitzer verbeÿstandet – So beschehen Straßburg auf Dienstag den 7.ten 7.bris im Jahr 1773.
Des Herrn Defuncti ab intestato verlaßene Erben sint mit Nahmen und 1) Jungfer Maria Magdalena, so bereits 18 Jahr erreicht, 2) Jungfrau Susanna Maria, so etwa 12 Jahr erlangt, 3) Johannes in das 8.te Jahr gehend, die Krieg, alle dreÿ desselben mit Eingangs benannter Frau Susanna Margaretha geb. Meÿerin seiner Ehefrau und nun hinterlaßener Wittib ehel. erzeugte Kinder Zu 3. gleichtheilig Portionen. In deren Nahmen dann hiebeÿ Zugeg. war, der auch schon Eingangs ged. Herr Johannes Helck der Schiffmann und br. alhier
Bericht. Da die beschaffenheit der heutiges tags vorhandene Mittel sich deut. in denen Umständen erzeiget, daß in Ansehung des H. Defuncti ansehnl. Einbringen und gethaner großmütterl. Erbschafft die Ergäntzung davon, wegen starcke Einbußen, nicht auch zugleich Anfangs, genugsame Überzeugung gehabt, daß kein theilbar Guth vorhanden seÿe (…)
In einer alhier Zu Straßburg an dem Fischer Staden gelegenen hieher eigenthümlich gehörigen behaußung, sich befunden wie folgt.
Eigenthum ane Häußern. Erstl. I. behausung bestehend in Vorder Nebens und Hinter Gebäuen, nebst 2. Höfen, Gemeinschaft des bronnens, samt allen überig. derselben Gebäuden, Begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, geleg. alh. Zu Straßburg an der Vorstadt Krautenau, vornen an dem Fischerstaden, einseith neben H. Thiebold Helck, dem Schiffmann, anderseith neben H. Joh: Daniel Helck, dem ebenmäßigen Schifmann und geschworner Haagknecht, hinten auf die überzwerche neue Gaß, gegen der Cazern stosend, eins. neben Mstr Haller dem Kiefer anders. neben N. Wildenmuth dem fastenspeiß händler, so mit keinem real onus verhaft, noch sonsten ver hypothecirt sondern gegen männigl. freÿ ledig eig. und ist solcher gantze Begriff dermalen durch (die Werckmeistere) vermög dererselben unterm 2. 7.bris jüngst schrifft. ausgestellter und beÿ dem Concept dieses Inv. verwahrt. aufbehaltener Abschatzung gewürdiget und æstimirt worden pro 1800 fl. oder 900 lb. Diese Behausung cum appertinentiis wie vorbeschrieben, rühret aus Weil. S. T. Herrn Joh: Daniel Krieg: gew. Inspectoris über die königl. Schiff und E. E. grosen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers, und auch Weil. Fraun Maria Magdalena geb. Küblerin, des H. Defuncti geehrten Groß Eltern Verlaßenschafft her, und zwar sind demselben diese objecta nach erstbemelter seiner im Jahr 1762. verstorbenen Frau Groß mutter durch die feder H. Not. Frantz Heinrich Dautels von S.T. Fraun Maria Magdalena Ströhlin geb. Kriegin S.T. H. Joh: Heinrich Ströhlin, hochfürstl. Baadischen Hoff: Kammer raths und Exsenatoris dahier Frau Eheliebstin seiner geerhrten Frau Tante und Mit Erbin im ohnvertheilten Erbe eigenthümlich cedirt und überlaßen worden.
Ansonsten aber besag. darüber folgende in alhies. C. C. Stube erricht: und so weiters ausgefertigte Kaufbrief und Zwar über den vordern Begriff am Fischer staden de dato 21.ten Aprilis 1708. und über den hintern Begriff, so eigent. 2. Häußlein ausweiset, und von alters her der Stecken hoff genannt worden, eine andere Kauff Verschreibung de Dato 27.sten Februarÿ 1738.
It. die helfte vor unvertheilt von und ane einem häußlein am Schiffleuth Staden im so genannten Schwerdgäßel (…)
(f° 11) Eigenthum an einer Bleich samt Gebäuen. Nämlich ein vierter Theil an der helffte oder ein 8.ter Theil am Gantzen vor unverändert (…) gelegen in der Ruprechtsau an der Oberau (…)
Ergäntzung der Frau, Wittib wehrender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Nach Anleitung der hienach allegirten über der Fraun Wittib Einbringen (…)
Series rubricarum hujus Inventarii. Der Hinterbliebenen Fraun Wittib unveränderten Vermögens, Sa. haußraths 25, Sa. Silber und dergleichen Geschmeids 12,Sa. goldener Ring 14, Sa. Eigenthums an einer Bleich samt Gebäuen 238, Sa. Eigenthums ane liegenden güthern 35, Sa. der beßerung oder des Schaufel Rechts 100, Sa. der Ergäntzung 1625, Summa summarum 2033 lb
Diesemnach so wird auch der Erben unveränderten und die theilbare Verlaßenschaft unter einer Mass in Beschreibung gesetzt. Sa. Haußraths, Sa. Werckzeugs Zur Kiefer Profession gehörig 3, Sa. des Weins, Eßig und Leeren Faß 96, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 75, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 51, Sa. Eigenthums ane Häusern 1050, Sa. Schulden 39 Summa summarum 1441 lb – Schulden 1871 lb, In Vergleichung 430 lb
Beschluß und Stall Summa 1623 lb
Copia der Eheberedung (…) Straßburg Dienstags den 18. Julii Anno 1755., Johann Jacob Oelinger Notarius juratus
Susanne Marguerite Meyer meurt en 1774. La valeur de la maison est reprise de l’inventaire précédent. La succession s’élève à 5 976 livres.
1774 (8.7.), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 767) n° 569
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren: und tugendbegabten Fraun Susannæ Margarethæ Kriegin gebohrener Meÿerin, auch weiland Herrn Johannes Krieg, gewesenen Weinstichers, Weinhändlers und burgers alhier Zu Straßburg hinterlaßener Wittib nun auch seel. Vermögens: Nachlaßenschaft, aufgerichtet im Jahr 1774. – nach ihrem Dienstags den 17.den May dieses 1774.ten Jahrs, aus dießer Zeitlichkeit genommenen tödlichen Hientritt verlaßen hat (…) Wobeÿ dann allvorderist Frau Anna Maria Soderin gebohrner Helckin Weiland herrn Johann Jacob Soder, gewesenen biersieders Zum Mohrenkopf und burgers alhier hinterlaßene frau wittib, ihr der Kinder und Erben Frau Großmutter, und Jungfrau Maria Magdalena Kriegin die hierorts älteste tochter (…) vorgewiesen und angezeigt haben – So beschehen Straßburg auf Freÿtag den 8.ten Julÿ 1774.
Der Frau Kriegin seligen ab intestato verlaßene Erben sind mit Nahmen und 1° Jungfrau Maria Magdalena, so bereits 19 Jahr erreicht, 2° Jungfrau Susanna Maria, so etwas über 13 Jahr erlegt, 3° Johannes in das 9.te Jahr gehend, die Krieg, alle dreÿ derselben mit Weiland herrn Johannes Krieg dem gewesenen Weinstichers und burgern alhier ihrem bereits in die Ewigkeit vorgegangenem herrn Eheliebstien seel. erzeugte Kinder Zu dreÿ gleichlingen Portionen vnd diese sind wie schon eingangs ermelt mit Herrn Johannes Helck dem Schiffmann und Burger allhier nach Ordnung bevögtiget, welcher auch diese Inventur veranstallet und derselben beÿgewohnt hat
In einer alhier Zu Straßburg an dem Fischer Staden gelegenen hieher eigenthümlich gehörigen behaußung, sich befunden wie folgt.
(f° 10) Eigenthum ane Häußern. Erstlich eine behaußung bestehend in Vorder Nebens und Hinter Gebäuen, nebst 2. Höfen, Gemeinschaft des bronnens, samt allen überigen derselben Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg an der Vorstatt Krautenau, vornen an dem Fischerstaden, 1.seith neben H. Thiebold Helck, dem Schifmann 2 seith neben Herrn Joh: Daniel Helck, dem ebenmäßigen Schifmann und geschwornen Haagknecht, hinten auf die überzwerche neue Gaß gegen der Cazern stosend 1.seith neben Mstr Haller dem Kiefer 2. seith neben N. Wildenmuth dem fastenspeiß händler, so mit keinem real onus verhaft, noch sonsten verhypothecirt, sondern gegen männiglichen freÿ ledig eigen und wird solcher gantze Begriff welcher in anno 1773. beÿ der Verstorbenen Frauen Ehemanns seel. Verlaßenschafts Inventur durch die alhiesigen Herren Werckmeister angeschlagen worden pro 900 lb dermalen ohnnachtheilig dem vermuthlichen wahren Werth nach æstimirt und angesetzt vor 2500. Diese Behausung cum appertinentiis kommett aus Weiland S. T. Herrn Johann Daniel Krieg: gewesenen Inspectoris über die königl. Schiffe und E. E. grosen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers auch weÿl. Fr. Mariæ Magdalenæ gebohrener Küblerin, beeder gewesener Eheleute hierortiger Erben von vätterlicher Seite Uhr Groß Eltern Verlaßenschafft her, und zwar ist solche im Jahr 1762. als nach Absterben der ermelten Fr. Uhrgroß Mutter ihr der Erben verstorbenen Herrn Vatter durch die feder Herrn Notarii Frantz Heinrich Dautels von S.T. Fraun Mariæ Magdalena Ströhlin gebohrener Kriegin S.T. H. Joh: Friederich Ströhlin, hochfürstl. Baadischen Hoff: Kammer Raths und Exsenatoris dahier Fr. Eheliebstin seiner geerhrten Fr. Tante und Mit Erbin im ohnvertheilten Erbe eigenthümlich cedirt und überlaßen worden.
Ansonsten aber besagen darüber folgende in alhiesiger C. C. Stube erricht: und so weiters ausgefertigte Kauffbrieff, und Zwar über den vordern begriff am Fischer Staden de dato 21.ten Aprilis 1708. und über den hintern Begriff, so eigentlich 2. Häußlein ausweiset und von alters her der Steckenhoff genannt worden eine andere Kauf Verschreibung de Dato 27.sten Februarÿ 1738.
It. die helfte vor unvertheilt von und ane einem häußlein am Schiffleuth Staden im so genannten Schwerdgäßel (…)
(f° 11) Eigenthum an einer Bleich samt Gebäuen. Nämlich ein vierter Theil an der helffte oder ein 8.ter Theil am Gantzen vor unverändert (…) gelegen in der Ruprechtsau an der Oberau (…)
Summarischer Calculus, Sa. haußraths 412, Sa. Werckzeugs Zur Kiefer Profession gehörig 13, Sa. Weins, leerer faß und bütten 427, Sa. Silbers und dergl. Geschmeids 278, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 119, Sa. Eigenthums an häußern 2650, Sa. Eigenthums an einer Bleich 500, Sa. beßerung ane einem liegenden Lehen Guth 75, Sa. pfenningzinß hauptgüter 1500 Summa summarum 5976 lb
Fille des précédents, Marie Madeleine Krieg épouse en 1774 le tanneur réformé Jean Jacques Schafflützel : contrat de mariage, célébration
1774 (7. 8.br), Not. Fické (6 E 41, 774) n° 246
Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehren und Achtbaren herrn Johann Jacob Schaflützel, dem ledigen Weißgerber und Saffian fabricanten auch burgern alhier Zu Straßburg, herrn Joh: Ulrich Schaflützel, des ebenmäßigen Saffian Fabricanten und wohlangesehenen burgers hieselbst mit Frain Maria Magdalena gebohrner Schulerin, ehelich erzeugtem Sohn,
So dann die Viel Ehren und tugendbegabte Jungfrau Mariæ Magdalenæ Kriegin, weiland Herrn Johannes Geörg Krieg, des gewesenen Weinhändlers und geschwornen Weinstichers auch burgers allhier mit nun auch weiland Frauen Susanna Margaretha gebohrene Meÿerin ehelich erziehlt hinterlaßener tochter
behausung am brandein end
[unterzeichnet] Johann Jacob Schaflützel als hochzeiter, Maria Magdalena Kriegin als hochzeiterin
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 198)
Im Jahr 1775, den 23. und 30. April, als an beeden Sonntägen Quasimoso und Misericord. seind sowohl in unserer Evangelisch. Kirche Zu St. Wilhelm, als auch in der Reformirten Kirche Zu Wolfsheim Ordnungsmäßig ausgerufen und Dienstag den 2. Maji mit Erlaubnus Ihro Gnaden Regierenden Herrn Ammeisters in der Jungfer Braut Behaußung ehelich eingesegnet worden Herr Johann Jacob Schafflützel, der ledige Weisgerber und Safian: fabricant, und burger allhier, Herrn Johann Ulrich Schafflützel, Nestlers und Safian: fabricanten, und burgers allhier, mit Frau Maria Magdalena Schulerin seiner Ehefrauen, ehelich erzeugter Sohn, und Jungfer Maria Magdalena Kriegin, weÿl. Herrn Johannes Krieg, gewesenen Weinstichers und burgers allhier, mit weÿl. Frau Susanna Margaretha Meÿerin, seiner Ehefrauen ehelich erzeugte Tochter, solches bezeugen [unterzeichnet] Johann Jacob Schafflützel als hochzeiter, Maria Magdalena Kriegin Als Hochzeiterin (i 207)
Le tiers de la maison figure à l’inventaire de leurs apports dans une maison qui appartient aux parents du marié rue du Coin Brûlé. Ceux du mari s’élèvent à 649 livres, ceux de la femme à 2 187 livres.
1775 (18.8.), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 768) n° 606
Inventarium über des Wohl Ehren und achtbaren Herrn Johann Jacob Schaflützel, des Weißgerbers und Saffian Fabricanten, wie auch der viel Ehren und tugendbegabten Fraun Maria Magdalena gebohrener Kriegin, beeder Eheleuthe und Burger alh. Zu Straßburg einander vor unverändert in die Ehe zu: und eingebrachte Vermögenschaften auffgericht im Jahr 1775. – in ihren den 2.ten Maÿ jüngst angetrettenen Ehestand einander vor unverändert Zu und eingebracht haben (…) So beschehen Straßburg in fernerer Gegenwarth H: Johannes Helck des Schiffmanns und Burgers alh. der Ehefrauen annoch ohnentledigten Vogts und hierzu erbettenen beÿstands, auf Freÿtag den 18.ten Augusti 1775.
In einer alhier Zu Straßburg, an dem sogenannter brandenend gelegener des Ehemanns geliebten Eltern Zuständiger behausung sich befunden hat, wie folgt
In einer alhier Zu Straßburg an dem Fischer Staden gelegenen hieher eigenthümlich gehörigen behaußung, sich befunden wie folgt.
Eigenthum ane Häußern. (F.) Erstl. ein 3.ter theil vor unvertheilt von und ane Einer behaußung bestehend in Vorder Nebens und Hinter Gebäuen, nebst 2. Höfen, Gemeinschaft des bronnens, samt allen übrigen derselben Gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alh. Zu Straßburg an der Vorstatt Krautenau, vornen an dem Fischerstaden, 1.seit neben H. Diebold Helck, dem Schiffmann, 2 seit neben Hrn Joh: Daniel Helck, dem ebenmäßigen Schiffmann und geschwohrnen Haagknecht, hinten auf die überzwerche neue Gaß gegen der Cazern stosend, 1.seit neben Mstr Haller dem Kiefer 2. seit neben N. Wildenmuth dem Fastenspeiß händler, so mit keinem real onere verhaft, noch sonsten verhypothecirt, sondern gegen männiglichen freÿ, ledig eigen und wird solcher gantze Begriff dermalen ohnnachtheilig dem vermuthlichen wahren Werth nach æstimirt und angesetzt vor 2500. lb. Woran dann der Ehefraun gebührige 3.te Theil hier in Auswurf antrift 833. 6. 8. Diese Behausung cum Appertinentiis kommet aus Weÿland S. T. H. Joh: Daniel Krieg: gewesenen Inspectoris über die königliche Schiffe und E. E. grosen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers, auch weiland Fraun Mariæ Magdalenæ gebohrener Küblerin, beeder gewesener Eheleute hierortiger Ehefrau vätterlicher Seite Uhr Groß Eltern Verlaßenschaft her, und zwar ist solche im Jahr 1762. als nach Absterben der ermelten Frau Uhr Grosmutter H. Johannes Krieg, der Ehefrauen leiblichen Hrn Vatter durch die Feder H: Notarii Frantz Heinrich Dautels, von S.T. Fraun Mariæ Magdalena Ströhlin gebohrener Kriegin, S.T. H. Joh: Friederich Ströhlin, hochfürstlich Baadischen Hoff: Kammer Raths und Exsenatoris dahier Fraun Eheliebstin, seiner geerhrten Fraun Tante und Mit Erbin im ohnvertheilten Erbe eigenthümlich cedirt und überlaßen worden.
Ansonsten aber besagen darüber folgende in alhiesiger C. C. Stube erricht: und so weiters ausgefertigte Kaufbrief, und Zwar über den vordern begriff am Fischer Staden de dato 21.ten Aprilis 1708. und über den hintern Begriff, so eigentlich 2. Häußlein ausweiset, und von alters her der Steckenhof genannt worden, eine andere Kauf Verschreibung de Dato 27.ten Februarii 1738.
(F.) It. die helfte vor unvertheilt von und ane einem häußlein am Schiffleuth Staden im so genannten Schwerdgäßel (…)
(F.) Eigenthum an einer Bleich samt Gebäuen. Nämlich ein vierter Theil an der helffte oder ein 8.ter Theil am Gantzen vor unverändert (…) gelegen in der Ruprechtsau an der Oberau (…)
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns eingebrachter Vermögenschaft, Sa. haußraths 36, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 22, Sa. golden Geschmeids 38, Sa. baarschaft 563, Summa summarum 649 lb
Diesemnach so wird auch der Ehefraun zue und eingebrachte Haab und Gütherschaft in beschreibung gesetzt, Sa. haußraths 173, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 225, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 79, Sa. Baarschafft 79, Sa. Eigenthums an häußern 883, Sa. Eigenthums an einer Bleich 166, Sa. beßerung ane einem liegenden Lehen Guth 25, Sa. pfenningzinß hauptgüter 500, Sa. Schuld 54, Summa summarum 2187 lb
Haussteuren 165 lb, Woran jedem Ehegatten vermög des Ehe: Contracts die gleichtheilige halbschied gebührig und anfällig ist mit 82 lb
Jean Jacques Schafflützel est reçu tributaire chez les Tanneurs en 1775
1775, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 359)
(f° 168-v) Mittwochs den 13. Decembris 1775. Aufnahm der Neuzünffigen
Johann Jacob Schaflützel der ledige Weißgerber, Herrn Joh: Ulrich Schaflützel, des Nestlers und burgers alh. ehelicher Sohn, R. R. legt Bescheinigung von löblicher Statt Stall unterm 18.ten Aprilis 1775. ertheilt, mit dem Ansuchen vor, ihme das Recht eines Leibzünftigen zu bewilligen
Erkannt, Wie angesucht, gegen Erlag der Gebühr willfahrt (3 lb 12 ß 5 d)
Inventaire dressé en 1823 après la mort de Jean Jacques Schafflützel
1823 (30.8.), Strasbourg 8 (36), M° Roessel n° 9270
Inventaire de la succession de Jean Jacques Schafflützel, chamoiseur, décédé le 19 juin dernier – dressé à la requête de 1. Marie Madeleine Krieg la veuve
Anne Marie Schaffützel veuve de Henri Schott brasseur, Marie Sophie Schafflützel femme de Frédéric Ziesig carossier, Marie Madeleine Schafflützel majeure d’ans, les trois enfants du défunt
dans une maison rue du Coin bûlé n° 5 – Contrat de mariage reçu M° Fické le 7 octobre 1774
Titres et papiers, 5) inventaire de la succession de Marie Salomé Wagner fille majeure, dressé par M° Ubersaal le 20 août 1812, dont le défunt a succédé pour moitié – moitié de la maison située en cette ville rue des Drapiers n° 7 évaluée à 6000 fr, que cette maison est échue de la succession de sa sœur Marie Madeleine Wagner veuve de Jean Michel Risch ménuisier, de laquelle elle était héritière universelle suivant inventaire de sa succession dressé par M° Ubersaal le 26 mai 1806.Il existe sur cette maison un acte passé à la Chambre des Contrats le 20 juillet 1786 et M° Übersaal le 17 pluviose 5 et délibération de l’administration municipale de Strasbourg du 5 pluviôse 5, l’autre moitié de la maison appartient à Jean Jacques Schmidt, pasteur de l’église de St Pierre le Jeune, et Marguerite Salomé Lichtenberger, légataires pour moitié, la qualité de légataires établie par acte de M° Übersaal le 10 juillet 1810 enreg. 25 juillet 1812
6. liquidation de la succession de Marie Madeleine Schuler veuve de Jean Ulric Schaflützel mère du défunt pae M° Lederlin le 24 avril 1787, prix de la maison rue du Coin brûlé 2500 florins
Propres, la moitié d’une maison rue du Coin brûlé n° 5 estimée 400 fr et la moitié d’une maison rue des Drapiers n° 7 estimée 3000 fr
garde robe 113 fr, reprises 6685 fr, ensemble des biens propes 13.798 fr
Communauté, meubles 1220 fr, or et argent 3135 fr, vins 660 fr, numéraire 11.338 fr, créances hypothécaires (77.566) 100.705 fr, ensemble 117.060 fr – passif 59.498 fr (dot de Mlle Schafflützel 1211 fr)
– Inventaire des apports Fické 18 août 1775, le tiers d’une maison située à Strasbourg au quai des Pêcheurs n° 70 vendue à Jacques Frédéric Schmidt, brasseur, et Marie Elisabeth Gutermann par acte reçu M° Stoeber le 5 floréal 6
le 6° d’une maison à Strasbourg quai des Bateliers ruelle du Glaive vendue également mais la veuve ignore à qui
le 24° d’une blanchisserie située à la Robertsau vendue de même
vacation du 9 septembre
acp 164 acp (3 Q 29 ) f° 138-v du 13.9.
Susanne Marie Krieg épouse en 1781 Jean Zisig. Le tiers de la maison figure à l’inventaire de ses apports dressé la même année
Le tonnelier et brasseur Jean Krieg épouse en 1794 Marie Susanne Schott, fille du brasseur Chrétien Schott
1794 (19 ventôse 2), Not. Stoeber n° 481
Eheberedung – persönlich erschienen der bürger Johannes Krieg, lediger Kiefer und bierbrauer weiland Johannes Krieg gewesenen Kiefers und weinhändlers mit auch weiland Frauen Susanna geborener Meÿerin erzeugter Sohn als Hochzeiter so großjährigen Alters
und Jungfer Maria Susanna Schottin, bürgers Christian Schott des bierbrauers in Zwoter Ehe mit weiland Fraun Maria Magdalena geborner Rödererin ehelich erzeugte Tochter als Braut unter authorisation solches ihres geiebten Vatters am andern theil
Straßburg den 19. Julÿ in Zweiten Jahr der Republick
[unterzeichnet] Johannes Krieg als hochzeiter, Maria Susanna Schott las Hochzeiterin
Marie Madeleine Krieg femme du chamoiseur Jean Jacques Schafflützel, Susanne Marie Krieg, femme du sellier Jean Ziesig, et le brasseur Jean Krieg vendent en qualité d’héritiers de leur père la maison au brasseur Jacques Frédéric Schmidt et à sa femme Marie Elisabeth Gutermann
1798 (5 floréal 6), Strasbourg, Not. Stoeber n° 1070
persönlich erschienen 1° bürgerin Maria Magdalena gebohren Krieg, brs Johann Jacob Schafflützel Saphian fabricanten allhier Ehefrau unter deßen authorisation, 2° bürgerin Susanna Maria geb. Krieg, bürgers Johannes Ziesig Sattlers allhier Ehefrau unter deßen authorisation und 3° Johannes Krieg, bierbrauer allhier, diese haben
in Gegensein brs. Jacob Friderich Schmidt, bierbrauers und Fr. Maria Elisabeth geborener Guttermann (verkauft)
der ihnen den Comparenten Zuständigen sogenannter grosen und kleinen Steckenhof gelegen in hiesiger Gemeinde dero Vorstadt Krautenau am Fischerstaden N° 70 bestehend in dreyen neben einander gelegenen behausungen, dreÿ höfen hoffstatt und brönnen mit allen Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden und Rechten einseit neben Johann Daniel Helck Schiffmann anderseit neben diebold Holf beeden Schiffleuten, Vornen auf den Fischerstaden hinten auf die überzwerche neue gaß gegen der neuen Cazernes Ziehend, so ledig eigen und Zweÿ neben einander gelegene Gebäuen einseit neben Joseph Feineiel* anderseit neben Wildermuth auf die überzwerche neuegaß gegen der neuen Cazernen ziehend so auch ledig eigen, und ihnen den Verkäufern von ihrem Vatter weil. b. Johannes Kreig gew. Kiefer und Weinsticher alhier zugekommen – um die Summ der 15.000 livres – Straßburg den 5. floréal im sechsten Jahr der Republick
Enregistrement, acp 60 F° 125 du 15 flo. 6
Garçon brasseur au service de Jean Jacques Rœderer, brasseur à l’enseigne de la Tête Noire, Jacques Frédéric Schmidt, originaire de Diedelsheim en Palatinat, épouse en 1791 Marie Elisabeth Gutermann, fille du relieur Jean Daniel Gutermann : contrat de mariage, célébration
1791 (15.2.), Not. Bremsinger (6 E 41, 1534) n° 62
Eheberedung – kommen und erschienen der Ehrbahre H. Jacob Friederich Schmitt, der bei hn Joh: Jacob Röderer dem bierbrauer zum Mohrenkopf in arbeit stehende bier und Kiefer Knecht, Weÿland H. Joh: Benjamin Schmitt des im leben gewesenen burgers und Kiefermeisters zu Diebolsheim in der Pfalz mit Annä Mariä Klingerin dessen hinterbliebene Wittwe erzeugter Eheliche Sohn, unter verbeÿstandung Hn Frantz Langenbacher des buchbinders und H. Joh: Heinrich Dutt des Kiefers bede burgere allhier welche hier zugegen, als Hochzeiter ane einem
So dann die Ehr und tugendsame Jungfrau Maria Elisabetha Gutermännin, H. Joh: Daniel Guttermann des burgers und buchbinders mit fraun Mariä Salome Gebohrener Goriä desen Ehefrau ehelich erzeugter tochter als hochzeiterin, unter verbeÿstandung H Joh: Jacob Gutermann dero Bruder und dero bemelten Eltern am andern Theil
So geschehen Straßburg den 15. Hornung 1791 [unterzeichnet] Jacob friederich schmidt als hochzeiter, Maria Elisabeth Guttermännin als Hochzeiterin
acp 1 (vol. 2) f° 11-v du 17.2. – réserve d’apports et d’héritages, communauté partageable par moitié, le dernier vivant aura la jouissance de tous les biens du prémourant
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 21-v n° 31)
Im Jahr 1791 wurden Tertio Pentecostes und Trinitatis förmlich proclamirt und den 20. Junii Nachmittags, ehelich eingesegnet Jacob Friedrich Schmidt lediger Kiefer des weÿl. Johann Benjamin Schmidt Kiefers und burgers in diedelsheim, Chur Pfältzischer Jurisdiction mit Frau Anna Maria Schmidtin gebohrner Jörgerin ehelich erzeugter Sohn, 31. Jahr alt, und Jungfrau Maria Elisabeth Gutermännin des Johann Daniel Gutermann, buchbinders und burgers allhier, mit Frau Maria Elisabeth Gutermännin geborner Goriin ehelich erzeugte tochter 31 Jahr alt [unterzeichnet] Jacob Friederich schmidt als hochzeiter, Maria Elisabetha Guttermännin als Braut (i 110)
Leur fils Jacques Frédéric Schmidt épouse en 1820 Anne Marguerite Rothenbach, originaire de Wasselonne. Les parents du futur époux font donation de l’auberge à la Tête Noire à leur fils.
1820 (20.7.), Strasbourg 15 (28), M° Lacombe n° 5688
Contrat de mariage – Jacques Frédéric Schmidt, brasseur, fils majeur de Jacques Frédéric Schmidt, brasseur, et de Marie née Guthermann
Anne Marguerite Rothenbach de Wasselonne, fille mineure de Jean Jacques Rothenbach, marchand, et de Marie Catherine née Trumpff
le Sr et D° Schmidt en considération du futur mariage, font donation à Jacques Frédéric Schmidt futur époux et Anne Marguerite Rothenbach
de la brasserie ayant pour enseigne la tête Noire située à Strasbourg quai des Pêcheurs n° 77 consistant en maison de devant, bâtiment latéral et de derrière où est établie la brasserie, lequel bâtiment de derrière donne dans la rue Neuve où elle porte le n° 74, cour, écurie, avec appartenances et dépendances d’un côté le Sr Zabern facteur, de l’autre le Sr Simon grainier & en partie Haidel, derrière d’un côté Sr Vicecamp d’autre Jacques Schaub – sont aussi compris dans la présente vente les ustensiles, alambics, cuves et tonneaux servant à l’exploitation de ladite brasserie savoir (…), estimés 2000 fr – pour 45.000 francs
acp 148 (3 Q 29 683) f° 128 du 29.7. – communauté d’acquêts, réserve d’apports
usufruit au survivant des biens du prédécédé, réductible à moitié en cas d’existence d’enfants. Les conjoints Schmitt constituent en dot au futur époux une somme de 6000 francs et un trousseau de 800 francs
Les conjoints Rottenbach constituent en dot à la future épouse une somme de 2400 francs et un trousseau de 1000 francs
Don matutinal du futur à la future d’une somme de 1000 francs à lui reversible en cas de prédécès sans enfant. Les conjoints Schmitt vendent au futur une brasserie ayant pour enseigne la tête noire située à Strasbourg quai des pêcheurs N° 77 avec toutes ses dépendances ainsi que différents ustensiles, alambics, cuves et tonneaux servant à l’exploitation de ladite brasserie, pour 45.000 francs payables avec intérêts à 3,5 pour cent à la succession des père et mère Schmitt après le décès de ces derniers. Ils entreront en jouissance au premier octobre prochain
Inventaire dressé après la mort de Jacques Frédéric Schmidt père
1833 (19.11.), Strasbourg 8 (nouv. cote 53), M° G. Grimmer n° 4638
Inventaire de la succession de Jacques Frédéric Schmidt, propriétaire décédé le 28 juin 1833 – dressé à la requête de Marie Elisabeth Guttermann, à cause de la communauté établie par contrat de mariage reçu M° M° Bremsinger le 15 février 1791, du testament reçu M° Grimmer soussigné le 30 août 1828 enregistré le 27 août courant
à la requête de 1. Jacques Frédéric Schmitt fils, brasseur en son nom et subrogé tuteur de ses deux sœurs Marie Salomé Schmitt et Marguerite Frédérique Schmitt, 2. Louis Frédéric Ettlinger, batelier père et tuteur légal de 1) Louis Frédéric, 2) Charles Frédéric, 3)Salomé, 4) Marguerite Frédérique, 5) Daniel Charles Ettlinger, issus de son mariage avec Marie Salomé Schmitt, 3. Louis Schützenberger, brasseur, père et tuteur légal de Frédéric Louis issu de son mariage avec Marguerite Frédérique Schmitt
dans une maison quai des Pêcheurs n° 70
meubles 844 fr, garde robe 147 fr, créances actives 52.000 fr
acp 221 (3 Q 29 936) f° 135-v du 29.11.
Inventaire dressé après la mort de Marie Salomé Guthermann
1840 (27.1.), Strasbourg 8 (anc. cote 69), M° Zeyssolff n° 211
Inventaire de la succession de Marie Salomé Guthermann, veuve de Jacques Frédéric Schmidt, décédée le 10 janvier 1840 en une maison quai des Pêcheurs n° 70 – dressé à la requête de I. Jacques Frédéric Schmidt, brasseur, en son nom et tuteur subrogé des enfants de ses deux sœurs défuntes 1. Marie Salomé Schmidt épouse du Sr Ettlinger et 2. Marguerite Frédérique Schmidt épouse de Louis Schützenberger ces deux filles de la défunte, et mandataire de Charles Frédéric Ettlinger, ouvrier brasseur à Bar le Duc chez MM. Rouyer-Maret, marchands brasseurs,
II. Louis Frédéric Ettlinger, batelier, tuteur légal de ses deux enfants a) Marguerite Frédérique et Charles Daniel, III. Louis Frédéric Ettlinger, pontonnier à la 7° compagnie du bataillon des Pontonniers en garnison à Strasbourg, IV. Salomé Ettlinger, fille majeure, V. Louis Schützenberger, brasseur, tuteur légal de Frédéric Louis son enfant mineur, tous héritiers de Marie Salomé Guthermann leur mère et ayeule – testament reçu M° G. Grimmer le 30 août 1828 enregistré le 20 janvier dernier
en une maison quai des Pêcheurs n° 70
acp 275 (3 Q 29 990) f° 36-v du 30.1. – Prisée du mobilier 1342, argent comptant 690, créances actives 7000
Jacques Frédéric Schmitt et Marie Elisabeth Guttermann vendent à Jacques Frédéric Schmitt et à Anne Marguerite Rothenbach les maisons dites au grand et au petit Steckenhoff sises 70, quai des Pêcheurs et 6 et 6 bis rue Traversière
1825 (6.9.), Strasbourg 8 (40), M° G. Grimmer n° 702
Jacques Frédéric Schmitt père, ancien brasseur, et Marie Elisabeth Guttermann
à Jacques Frédéric Schmitt leur fils brasseur à la Tête noire et Anne Marguerite Rothenbach
les maisons & bâtimens connus sous l’ancienne dénomination du grand et petit Steckenhoff situés en la ville de Strasbourg au Faubourg de la Krautenau quai des Pêcheurs n° 70 où il y a une porte /:ayant une porte cochère et une autre issue:/ dans la rue Traversière marquée des n° 6 et 6 bis consistant
1. en trois maisons contiguës, trois cours, aires de maisons et puits, cette propriété de Xavier Gerber marquée du n° 69, d’autre celle de Thiébaut Helk fils, devant le quai des Pêcheurs, derrière sur la rue Traversière vers les casernes dites quartier des Pêcheurs
2. en deux autres maisons également contiguës attenant à la propriété du Sr Meyer officier retiré, de l’autre côté à Hanns, derrière la rue Traversière vers le quartier des Pêcheurs
acquis de Marie Marguerite Krieg épouse de Jean Jacques Schlaflützel, chamoiseur, et Susanne Marie Krieg épouse de Jean Ziesig, carossier, et Jean Krieg brasseur, suivant acte reçu M° Stoeber le 5 floréal 6 – moyennant 10.000 francs
Enregistrement, acp 174 F° 156 du 7.9.
Jacques Frédéric Schmidt, mari d’Anne Marguerite Rothenbach, meurt en 1871
1871 (30.8.), M° Momy
Notorietäts Akt bestätigend daß Jakob Friedrich Schmidt, Eigenthümer in Straßburg den 10. August 1870 [sic] gestorben sei
acp 596 (3 Q 30 311) f° 144 du 1.9.
Décès, Strasbourg (n° 2140)
Acte de décès. Le 18 août 1871 (…) ont comparu Guillaume Frick, âgé de 42 ans, brasseur, ami du défunt domicilié à Strasbourg, et Auguste Münch, âgé de 32 ans, lithographe, ami du défunt, lesquels nous ont déclaré que
Jacques Frédéric Schmidt âgé de 75 ans, né à Strasbourg, rentier, époux de Anne Marguerite Rothenbach, domicilié à Strasbourg, fils de feu Jacques Frédéric Schmidt, brasseur et de feu Marie Elisabeth Gutermann, est décédé le 17 août 1871 à deux heures du soir en la maison quai des pêcheurs 15 (i 100)
Anne Marguerite Rothenbach meurt en 1884 en délaissant trois enfants, Marguerite Frédérique veuve du brasseur Abraham Théodore Boch, Jacques Frédéric Schmidt, directeur de brasserie à Paris, et Charles Auguste Schmidt, notaire à Barr
1885 (30.3.), Strasbourg 8 (127), Gustave Edouard Loew n° 16.841
Offenkunde – Sind erschienen (…) erklärten und bezeugten, sie haben Frau Anna Margaretha Rothenbach, Wittwe des Eigenthümers und vormaligen Bierbrauers Jacob Friderich Schmidt von Straßburg genau gekannt und sie wissen bestimmt als Offenkund daß dieselbe zu Strassburg, Fischerstaden Nr 15, am 27. November 1884 intestat verstorben ist
daß nach deren Absterben kein Inventar errichtet worden ist und daß sie als einzige Erben hinterlaßen hat je zum drittel ihre drei Kinder 1) Frau Margaretha Friederike Schmidt in Strassburg wohnend, gewerblose Wittwe des ehemaligen Bierbrauers Herrn Abraham Theodor Boch, 2) Herrn Jakob Friedrich Schmidt, Direktor einer Bierbrauerei in Paris, rue Larrey N° 1 wohnhaft, 3) und Herrn Carl August Schmidt, Notar in Barr wo er wohnt
acp 760 (3 Q 30 475) f° 75-v du 9.4.
Jacques Frédéric Schmidt épouse en 1849 Sophie Caroline Trumpff
1849 (19.5.), Strasbourg 8 (72), M° Zeyssolff n° 4330
Contrat de mariage, 19 Mai 1849 – Ont comparu Mr Jaques Frédéric Schmidt, brasseur domicilié et demeurant à Strasbourg, fils majeur de M. Jaques Frédéric Schmidt, brasseur et de D° Marie Marguerite Rothenbach, son épouse demeurant en la dite ville, M. Schmidt stipulant en son nom personnel du consentement de ses père et mère comme futur époux d’une part
Madlle Sophie Caroline Trumpff, fille mineure de M. Jean Daniel Trumpff brasseur et de D° Sophie Caroline Boesswillwald, son épouse avec lesquels elle demeure et est domiciliée à Strasbourg, Mlle Trumpff procédant en son nom du consentement et sous l’autorisation de ses père et mère, comme future épouse d’autre part
Article. VIII. M. Schmidt futur époux déclare qu’il apporte en mariage
Une Maison avec brasserie, tous droits appartenances et dépendances sise à Strasbourg quai des pêcheurs N° 77 à l’enseigne de la tete noire (…)
acp 383 (3 Q 30 098) f° 36 – régime de la communauté
Donation par les conjoints Schmidt au futur époux leur fils ce acceptant 1° Un trousseau mobilier évalué à 2969, 2° meubles et ustensiles servant à l’exploitation de la brasserie ci après décrite évalués à 10.000
Donation par les père et mère de la future épouse lui constituant en dot 1° un trousseau mobilier 4492, 2° une somme de 5507 (total) 10.016
Le futur époux se constitue en dot une maison avec brasserie quai des pêcheurs 77 que lui est advenue au moyen de la donation par partage anticipé le 16 mai 1849 par acte reçu Zeyssolff
Donation par le futur à la future en cas de son prédécès sans enfant d’une somme de 3000 francs
Donation mutuelle par les futurs époux au survivant d’entre eux de la jouissance viagère et gratuite de tous les biens meubles et immeubles qui appartiendront au survivant
Jacques Frédéric Schmidt, alors brasseur à Montrouge, se remarie en 1859 avec Emma Kurtz
1859 (18.6.), M° Zeyssolff (minutes en déficit)
Contrat de mariage entre 1) Jacques Frédéric Schmidt, brasseur à Montrouge près Paris, veuf avec deux enfants de Sophie Caroline Trumpf d’une part
2) Emma Kurtz, célibataire fille de Charles Guillaume Kurtz, pasteur à Lingolsheim et de feu Julie Wilhelmine Beck sa femme
acp 479 (3 Q 30 194) f° 50 du 22.6. – Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur époux consistent en une valeur de 285.114, le passif s’élève à 848.306
Les apports de la future épouse consistent en une valeur de 18.090
Donation par le futur à la future de l’usufruit de tout ce dont la loi lui permet de disposer et par la future au futur de l’usufruit de toute la succession
La maison revient au marchand Charles Auguste Schmidt, fils des précédents, qui épouse en 1892 Emilie Diehl puis à leur fille Simone Schmidt qui épouse en 1920 l’avocat Jean Jung dont elle divorce huit ans plus tard.
Jean Daniel Krieg, batelier, et (1731) Anne Marie Helck – luthériens
Fils du batelier Daniel Krieg et de Marie Madeleine Kübler, le batelier Jean Daniel Krieg épouse en 1731 Anne Marie Helck, fille du batelier Jean Helck et d’Anne Marie Hetzel : contrat de mariage, célébration
1731 (6.2.), Not. Rith (6 E 41, 950)
Eheberedung – zwischen dem ehrbahr und bescheidenen Jungen Gesellen Johann Daniel Kriegen Herren Daniel Kriegen des schiffmanns dahier mit frawen Maria Magdalena gebohrener Küblerin seiner eheliebsten ehelich erzeigtem Sohn als hochzeitern ahn einem mit beÿstand erstged. seines geehrtisten H Vatters und fraw Muettern,
sodann der Viel: ehr und tugendsamben Jungfrawen Anna Maria Helckin H. Johannes Helcken auch schiffmanns hier selbst mit weÿl. frawen Anna Maria gebohrener Hetzlerin seiner j.teren haußfraw seel. ehelich erzeigter Jungfer Tochter als hochzeiterin
Actum Straßb: den 6.ten Februarÿ 1731. [unterzeichnet] Johann Daniel Krieg als hoh Zeitter, Anna Maria helckin als hochzeittrin
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 129 n° 5)
Mittwoch d. 28. febr. 1731. seind nach 2.maliger außrufung Domin. Reminisc. et Oculi in der Kirch Zu S. Wilhelm ehlich eingesegnet worden Joh: Daniel Krieg, der ledige Schifman v. b. H. Daniel Kriegen Schifmans v. b. b Fr. Mar. Magd. geb. Küblerin ehelicher Sohn,
v. Jfr. Anna Maria, Hans Helcken deß Schifmans v. b. v. Anna Mar. Hetzelin eheliche dochter [unterzeichnet] Johann Daniel Krieg derJünger als hohzeitter, Anna maria helckin als hochzeitterin (i 31)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison de Jean Helck. Ceux du mari s’élèvent à 126 livres, ceux de la femme à 427 livres.
1731 (6.8.), Not. Rith (6 E 41, 950)
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen haab und nahrung, so schiffer Johann Daniel Krieg jun. und Anna Maria geb. Helckin bede eheleüth einander für ohnverändert in den ehestand zugebracht Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen haab und nahrung, so schiffer Johann Daniel Krieg jun. und Anna Maria gebohrene helckin bede eheleüth einander für ohnverändert in den ehestand zugebracht, welches alles der ursach damit mann sich Künfftig ratione der ergäntzung haben möchten ordnungs mäßig ersucht, jnventirt und beschriben (…) So beschehen Straßb. Montags den 6.ten aug. 1731.
So in einer ahm fischer staden gelegener H. Johann Helcken Zuständigen behaußung befunden worden
Norma hujus inventarÿ. des ehemanns nahrung, Sa. haußraths 90, Sa. silbers 16, Sa. baarschafft 31, Sa. activorum 22, Summarum 161 lb – Detrahe passivum mit 25, verbleibet 136 lb
der frawen Nahrung, Sa. haußraths 81, Sa. Silbers 7, Sa. gold. ringen 7, Sa. baarschafft 13, Sa. activorum 318, Summarum 427 lb
Haussteuren 40 lb
Jean Daniel Krieg meurt en février 1736 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé dans la maison qui appartient au père de la veuve. La masse propre à la veuve est de 88 livres, celle des héritiers de 84 livres. L’actif de la communauté s’élève à 558 livres et le passif à 167 livres.
1736 (22.6.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 30) n° 985 (937)
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab Und Nahrung, so Weÿlandt H. Joh: Daniel Krieg der geweßene schiffmann und burger allhier Zue Straßburg, nach seinem d. 22. Februarÿ dießes fortlauffenden 1736.ten Jahrs aus dießer welt genommenem seel. hientritt, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß wohl Ehrenvesten und großachtbahren H. Isaac Küblers, Silberarbeiters und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Johannis und Mariæ Magdalenæ der Kriegen, beede deß abgeleibten sel. mit hernach gemelter seiner hinderbliebenen wittib Ehelich erzielter Kinder und ab intestato Verlaßene rechtmäsig Erben fleißig Inventirt und ersucht durch die Ehren und tugendsahme frau Annam Mariam gebohrne Helckin, die hinterbliebene Wittib, beÿständlich H. Johann Jacob Helcken auch schiffmanns Ihres geschwornen Curatoris (…) Actum Straßburg Freÿtags d. 22. Junÿ 1736.
In einer allhier Zue Straßburg ane dem fischer Staaden gelegenen und der Wittib Vater seel. eÿgenthümblich Zuständigen behausung sich befunden Wie Volgt
Ergäntzung der Wittib ermanglenden Unveränderten guts. Vermög Inventarium illatorum in anno 1731. durch hrn Not.o Geörg Philipp Riethen auffgericht, hat mann der Wittib als manglend zu ergäntzen, wie volgt
Series rubricarum. Der Wittib Vermögen, Sa. haußraths 19, Sa. Silbers 3, Sa. Goldene Ring 3, Sa. baarschafft 51, Sa. Schulden In die Nahrung 25, Sa. Ergäntzung (27, abzug 1, restiren) 25, Summa summarum 88 lb
Der Erben vätterlich guth, Sa. haußraths 50, Sa. Silbergeschmeids 10, Sa. baarschafft 1, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 22, Sa. Ergäntzung (26, abzug 1, Remanet) 24, Summa summarum 109 lb – Schuld 25, Nach deren Abzug 84 lb
Die Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 24, Sa. Geschirrs Zum Schiff fahren 9, Sa. Weins 12, Silbergeschmeids 11, Sa. Goldenen rings 10 ß, Sa. baarschafft 500, Summa summarum 558 lb – Schulden 167, Conferendo 391 lb
Conclusio finalis Inventarÿ et Stall summa 64 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen Straßburg den 6. Februarÿ Im Jahr 1731, Geörg Philipp Rith, Not.
Anne Marie Helck se remarie en 1744 avec le brasseur Jean Jacques Soder qui a épousé en premières noces Anne Marguerite Fischer en 1721 et en secondes noces Salomé Rinck en 1729.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 91-v)
1721. d. 5. Nov. seind Ehelich eingesegnet worden Johann Jacob Soder der ledige Burger Kieffer vndt Bierbrauer weiland her Johann Jacob Soders gewesenen Biersieders vndt Burgers allhie, nachgelaßener Ehelicher Sohn vndt Jungfrau Anna Margaretha Hn Georg Fischers Burgers vnd Gastgebers allhier Eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Soder als hoch Zeitter, Anna Margareth fischerin als hochzeitterin (i 94)
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. f° 227-v) 1721. Eodem d. 6. 9.bris seind auch nach gleicher ausruffung in Tplo D Sen. Petri ehelich eingesegnet Joh: Jacob Soder der ledige bierbrauer Kiefer v. b. patris eiusdem n[omi]nis et Status relictus filius v. Annæ Ursulæ Schlehenackerin v. Jgfr Anna Margaretha Georg Fischers Würths v. gastgebers Zum guldenen Lamb v. b. v. Annæ Barb. Schwendin eheliche dochter (i 235)
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 20-v, n° 14)
Eodem die 24. Aug. 1729 seind nach gleicher ausrufungen in der Kirch Zu St. Wilhelm ehelich eingesegnet H Joh: Jacob Soder der bierbrauer Würth Zum Morenkopf, burger v. witwer, weiland Annæ Margar. Fischerin ehemann v. Jfr Salome, Abraham Rincken deß gartners v. b. v. weiland Mariæ Schärin eheliche dochter [unterzeichnet] Johann Jacob Soder als hoch Zeider, salmö rinckin als hochzeiterin (i 22)
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 129 n° 17)
aô 1744 den 22. Julÿ Seind nach Zweÿmahliger ausruffung nemlich Dom. VI. et VIII. Trinitatis in der Kirch Zu S. Wilhelm ehl. copulirt und eingesegnet worden H. Johann Jacob Soder der Bier Sieder wittwer und burger allhier und Fr. Anna Maria weÿl. Johann Daniel Kriegen deß jüngern gewesenen Schiffmanns und burgers allhier nachgelaßene wittib [unterzeichnet] Johann Jacob Soder Als Hoch Zeider, Annamaria kriegin Als hoch Zeidrin (i 135)
Compte que rend le pharmacien Jean Frédéric Strœhlin de la tutelle des biens qui appartiennent au tonnelier Jean Krieg, fils de Jean Daniel Krieg et d’Anne Marie Helck
1752, Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 375) n° 480
Rechnung Mein Johann Friderich Ströhlin, Apotheckers und E: E: kleinen Raths alten beÿsitzers als geordnet: und geschwohrnen vogts Johannis Kriegen, Ledigen Kieffers Weÿland Herrn Johann Daniel Kriegen des jüngern geweßenen Schiffmanns und burgers allhier nunmehr seel. hinterlaßenen, mit Frauen Anna Maria gebohrener Helckin ehelich erzeugten Sohns, inhaltend alles dasjenige was Ich Von Anno 1749. als da Ich Zu dießer Vogteÿ gekommen biß den 6.ten Maji Anno 1752. ermelten meines Curandi halben eingenommen und hingegen wieder außgegeben habe. Erste Rechnung dießer Vogteÿ