12, rue Déserte


Rue Déserte n° 12 – I 164 (Blondel), P 185 puis (1872 P 140, ensuite section 48 parcelle 9 (cadastre)

Maîtres d’ouvrage, Jacques Siefert et Daniel Reybel, 1872
Démolie en 2024


Façade et portail en mai 2014 – Façade étayée (mai 2024) peu avant sa démolition

La maison appartient en 1591 au jardinier Adam Veltin (ou Valentin Adam selon les actes) puis à ses ayants droit jusqu’en 1658. Les actes ultérieurs citent une convention de 1612 relative à un chenal. Le jardinier Jacques Schott puis ses ayants droit en sont propriétaires de 1658 à 1848. La maison à l’angle de la rue de la Course en est détachée en 1754 par les héritiers d’Anne Riehl, veuve de Jacques von Fridolsheim. La maison comprend alors une habitation à deux logements et un bâtiment servant de grange, remise et écurie.


Plan-relief de 1727 (Musée historique). La rue Déserte au premier plan, à gauche de l’arbre à l’angle de la rue de la Course. La maison à porte cochère se trouve après l’arbre

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 105 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée et un étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve de part et d’autre du repère (k’) : premier bâtiment à porte et petite fenêtre au au rez-de-chaussée, étage à deux fenêtres, toiture à deux niveaux de lucarnes. Le bâtiment (k’-l’) comprend une grande porte cochère, des ouvertures sur deux niveaux, une toiture à lucarnes. La cour F montre l’arrière (5-6) du premier bâtiment sur rue (habitation) et l’arrière (4-3) du bâtiment (k’-l’). Le bâtiment (1-2) se trouve au fond de la cour, (1-6) à gauche (ouest) de la cour, (2-3) à droite (est, façade arrière du bâtiment voisin).
La maison porte d’abord le n° 8 (1784-1857) puis le n° 12.


Cour F
Plan lors de la transformation du rez-de-chaussée (1892, dossier de la Police du Bâtiment)

La veuve de Thiébaut Schott vend la maison indivisément à Jacques Siefert et à Daniel Reybel en 1848. Les bâtiments sont détruits lors du siège de 1871 puis reconstruits en 1872. Le revenu des anciens bâtiments était de 25 francs, celui du nouveau de 188 francs. Daniel Siefert, fils de Jacques, devient à nouveau seul propriétaire en 1890. Lui-même et puis son fils restent maraîchers en louant diverses localités (menuisier Gœtz puis tonnelier Othon Niederbühl en 1892, cordonnier Louis Grab en 1896, entreprise Jules Lœwengart du n° 14 en 1812). Albert Kahn charge en 1935 l’architecte Louis Somogyi de transformer un entrepôt. Charles Durr fait remettre en 1947 les bâtiment en état au titre des dommages de guerre par l’architecte Oscar Burger. Il tient dans les locaux un commerce de cycles et accessoires en gros jusqu’en 1964. Ses héritiers souhaitent acquérir en 1973 les bâtiments sis 7 et 8, petite rue de la Course frappés d’alignement mais les propriétaires déclinent les offres d’achat.
La façade conservée lors des démolitions pour le compte du Crédit Agricole disparaît à son tour en 2024.


Plan du rez-de-chaussée, de l’étage, façade sur cour (1935), façade et coupe (1947) dossier de la Police du Bâtiment
Volets (juin 2016)

septembre 2024

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1586 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Valentin Adam (Adam Veltin), jardinier, et (1565) Marguerite, veuve de Jean Nortz, puis (1585) Catherine Lersch*, veuve de Michel Goos – luthériens
1621 h Mathias Schertzer, jardinier, et (1621) Marie, veuve du gourmet Etienne Wickersheim – luthériens
1650* h Nicolas Klein, jardinier, et (1650) Marguerite Schertzer – luthériens
1658 v Jacques Schott, jardinier, et (1655) Aurélie Sieffert puis (1675) Salomé Sieffert, d’abord (1664) femme de Thiébaut Scheer – luthériens
1690* h Thiébaut Federlin, jardinier, et (1681) Marie Schott – luthériens
André Riehl, jardinier, et (1695) Marie Schott, d’abord (1681) femme de Thiébaut Federlin – luthériens
1735 h Daniel von Fridolsheim, jardinier, et (1715) Anne Riehl, remariée (1733) avec le jardinier Abraham Heydel – luthériens
1754 h Jacques von Fridolsheim, jardinier, et (1757) Anne Kauffer – luthériens
1779, 1805 h Jacques von Fridolsheim, jardinier, et (1779) Marie von Fridolsheim, d’abord (1770) femme de Thiébaut Schott – luthériens
1831 h Thiébaut Schott, jardinier, et (1809) Marguerite Fridolsheim
1848 v (copropriétaire pour ½) Jacques Siefert, jardinier cultivateur, et (1825) Barbe Wægel
Daniel Siefert, jardinier cultivateur, et (1863) Madeleine Wurtz puis (1868) Marie Salomé Peter (copropriétaire en 1868, seul propriétaire en 1890)
1848 v (copropriétaire pour ½) Daniel Reybel, jardinier cultivateur, et () Salomé Wægel
(héritiers de Daniel Reybel, 1879) a) Marie Reybel, veuve du jardinier cultivateur Georges Voltz († 1887) puis son héritière Salomé Nessmann
b) Salomé Nessmann
(1888) Etablissement des Diaconesses, légataire de Salomé Nessmann
(héritier de Salomé Wægel, 1888) Daniel Siefert, ci-dessus
1896 h Charles Daniel Siefert, jardinier cultivateur, et (1896) Marie Catherine Rettig
1932* v Jules Levy, négociant à Odratzheim, et (1914) Suzanne Levy
1935* v Albert Kahn, négociant, et son épouse née Dreyfuss
1950* v Charles Durr, représentant de commerce

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 600 livres en 1725 (avec la maison d’angle), 375 livres en 1735, 250 livres en 1755

(1765, Liste Blondel) I 164, Jacques Fridolsheim
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Jacob Friedelser, 10 toises, 3 pieds et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 185, Schott, Thiébaut, cultivateur – maison, sol, cour, bâtiment – 3,8 ares

Description de la maison

  • 1755 (billet d’estimation traduit) La maison comprend deux poêles, deux cuisines, une alcôve et plusieurs dépenses, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, on trouve aussi une grange, remise et écurie, un puits commun, le tout estimé avec la cour, autres appartenances et dépendances à la somme de 500 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

1° arrondissement ou Canton ouest – Rue Déserte

nouveau N° / ancien N° : 2 / 8
Fridolsheim Jaques
Rez de chaussée et 1° étage médiocre en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 23 case 2 (biffée, voir ensuite cases 3 et 4)

Schott, Thiébaut
Sieffert Jacques et Reibel Daniel Jardinier, substitution 1850

P 185, sol, maison, bât. et cour
Contenance : 3,80
Revenu total : 51,98 (50 et 1,98)
Folio de provenance :
Folio de destination : 22-3, 22-4
Année d’entrée :
Année de sortie : 1858
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 10
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 23 case 3

Sieffert Jacques rue déserte 8

P 185.p, sol, cour, bât. et maison rue déserte 8
Contenance : 1,90
Revenu total : 25,99 (25 et 0,99)
Folio de provenance : 22
Année d’entrée : 1858
Ouvertures, portes cochères, charretières : ½
portes et fenêtres ordinaires : 5
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 23 case 3

Reybel Daniel à Strasbourg rue déserte 8

P 185.p, sol, cour, bât. et maison, rue déserte 8
Contenance : 1,90
Revenu total : 25,99 (25 et 0,99)
Folio de provenance : 22
Année d’entrée : 1858
Ouvertures, portes cochères, charretières : ½
portes et fenêtres ordinaires : 5
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 95 case 1

Reybel Daniel
1875 Reybel Daniel & Sieffert Daniel, Jeder zur Hälfte, Seelosgasse N° 8

P 185.p, sol, cour, bât. et maison, Rue Déserte 2
Contenance : 1,90
Revenu total : 25,99 (25 et 0,99)
Folio de provenance : (22)
Folio de destination : démolie
Année d’entrée :
Année de sortie : 1871
Ouvertures, portes cochères, charretières : ½
portes et fenêtres ordinaires : 5
fenêtres du 3° et au-dessus :
Diminutions – 1871, Maisons détruites pendant le blocus – Reibel Daniel f° 95, P 185, revenu 25

P 185.p, sol, cour, bât. et maison, Seelosgasse 2
Revenu total : 188,99 (188 et 0,99)
Folio de provenance : Nb
Folio de destination :
Année d’entrée : 1876
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 22 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 95 case

Sieffert Jacques
1869 Sieffert Daniel

P 185.p, sol, cour, bât. et maison, Rue Déserte 2
Contenance : 1,90
Revenu total : 25,99 (25 et 0,99)
Folio de provenance : (22)
Folio de destination : démolie
Année d’entrée :
Année de sortie : 1871
Ouvertures, portes cochères, charretières : ½
portes et fenêtres ordinaires : 5 / 4
fenêtres du 3° et au-dessus :
Diminutions – 1871, Maisons détruites pendant le blocus – Sieffert Daniel f° 95, P 185, revenu 25

Cadastre napoléonien, registre 24 f° 135 case 2

Reibel Daniel & Sieffert Daniel
1891/92 Sieffert Daniel
1897/98 Siefert Karl Daniel

P 140, Hofraum, Haus, Seelosgasse (12)
Contenance : 4
Revenu total : 190,08 (188 et 2,08)
Folio de provenance :
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 22 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus :
Augmentations – 1875, Reybel & Sieffert (Daniel) f° 95-I, P 185, maison, revenu 188, Neubau, achevée en 1872, imposable en 1875, imposée en 1875

Cadastre allemand, registre 31 page 120 case 4

Parcelle, section 48, n° 9 – autrefois P 140
Canton : Seelosgasse Hs. N° 12 – Rue Déserte N° 12 – Kl* 2377
Désignation : Hf, Whs u. N.G.
Contenance : 4,06
Revenu : 1225 – 1900
Remarques :

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1932), compte 3469
Siefert Karl Daniel
1930 Siefert Charles Daniel et son épouse
rayé 1932

(Propriétaire à partir de l’exercice 1932), compte 5449
Levy Jules négociant à Odratzheim et son épouse Suzanne née Levy en communauté de biens
rayé 1935

(Propriétaire à partir de l’exercice 1935), compte 3175
Resch Paul Friedrich Albert und Ehefrau
1923 Feuerstein Caroline marchande de combustibles
1927 Kahn Albert négociant et son épouse née Dreyfuss
1938 Kahn Alain Simon & Kahn Margueritte Blanche
clos 1950

(Propriétaire à partir de l’exercice 1949), compte 6431
Durr Charles représentant de commerce
1260

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton I, Rue 8 Rue de Seeloss (p. 20)

8
Pr. Fridolsheim, Jacques l’ainé – Jard. f. bl.
loc. Fridolsheim, Jacques, le cadet – Jard. f. bl.

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Seelosgasse (Seite 159)

(Haus Nr.) 12
Baer, Geschäftsführ. 0
Fath, Wwe. Pensionärin. 0
Niederbühl, Küfermstr. 02
Siefert, Gärtner. 1
Siefert, Rentner. E 1

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 684 W 198)

Rue Déserte n° 12 (1884-1991)

Le maraîcher Daniel Sieffert charge en 1892 l’entrepreneur de transformer l’ancien atelier du menuisier Gœtz au rez-de-chaussée. Le tonnelier Othon Niederbühl, anciennement 56, Grand rue, s’établit dans la maison en 1892. Le cordonnier Louis Grab pose une enseigne en 1896. Le maraîcher Siefert fait faire en 1907 de nouveaux cabinets d’aisance et une salle de bain. Ihlefeld n’est pas autorisé en 1908 à entreposer de l’huile minérale au rez-de-chaussée du bâtiment arrière servant de grange. L’entreprise Jules Lœwengart (14 rue Déserte) a un entrepôt au n° 12 (1912).
Le local commercial est occupé (1933-1938) par la société Alpha T.S.F. Albert Kahn charge en 1935 l’architecte L. Somogyi de transformer un entrepôt.
Charles Durr charge en 1947 l’architecte Oscar Burger de remettre les bâtiment en état au titre des dommages de guerre. Il tient dans les locaux un commerce de cycles et accessoires en gros (1952) jusqu’au 31 décembre 1964. Ses héritiers souhaitent acquérir en 1973 les bâtiments sis 7 et 8, petite rue de la Course frappés d’alignement mais les propriétaires déclinent les offres d’achat.

Sommaire
  • 1884 – Le maire notifie le maraîcher Daniel Sieffert (demeurant sur place) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, novembre 1884
  • 1892 (juin) – Le tonnelier O. Niederbühl demande l’autorisation de transférer son enseigne en fer blanc du 56, Grand rue au 12, rue Déserte – Autorisation
  • 1892 (juin) – Le maire constate que l’entrepreneur Ortelli fait des travaux non autorisés dans la propriété du maraîcher Daniel Sieffert sise 12, rue Déserte, il transforme l’ancien atelier du menuisier Gœtz et un logement au rez-de-chaussée
    1892 (juillet) – Daniel Siefert demande l’autorisation de faire des transformations – Autorisation, juillet 1892 – Travaux terminés, août 1892 – Dessin du rez-de-chaussée – Droits réglés pour des aménagements intérieurs
  • 1896 – L’entrepreneur A. Wagner (21, rue Déserte) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour repeindre la façade – Autorisation – Travaux terminés en moins d’une semaine, mai 1896.
    1896 (avril) – Le maire notifie le maraîcher Daniel Sieffert (demeurant sur place) de faire ravaler la façade – La façade est repeinte à l’huile mais pas le pignon gauche visible de la rue, octobre
  • 1895 – Le maire notifie le sieur Niederbühl de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant quatre volets de soupiraux qui s’ouvrent sur la voie publique. – Signification remise à Othon Niederbühl, mars 1895 – Pas de travaux, octobre 1895 – Travaux terminés, décembre 1896.
  • 1896 – Le cordonnier Louis Grab demande l’autorisation de poser une enseigne – La Police du Bâtiment constate qu’il n’y a pas encore d’enseigne. – Autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – L’enseigne est posée, février 1897
  • 1901 (mai) – Le maire notifie le maraîcher Daniel Sieffert (demeurant sur place) de faire ravaler la façade – Le propriétaire a réparé le crépi sans ravaler la façade, novembre. – Le maire envoie un courrier de rappel, août 1902 – Le propriétaire demande un délai. Les parties conviennent de repeindre le rez-de-chaussée et de réparer le crépi des étages. – Travaux terminés, novembre 1902.
  • 1904 – Le maire demande de recouvrir la fosse d’aisances – Pas de travaux, mai 1905
  • 1905 – La veuve Klein, propriétaire du 13, petite rue de la Course fait grief à son voisin Siefert (12, rue Déserte) d’avoir entouré sa fosse d’aisances d’un mur qui intercepte la lumière de son vestibule et de sa cage d’escalier. La Police du Bâtiment constate qu’il s’agit en fait d’un mur de 1,80 mètre autour de la fosse d’aisances récemment remise en état, à plus de deux mètres de la propriété Klein – Le maire répond à la plaignante que la Police du Bâtiment n’a pas d’objection à faire, qu’il s’agit d’une affaire privée entre propriétaires.
  • 1907 – Le propriétaire Siefert demande l’autorisation d’établir de nouveaux cabinets d’aisance et une salle de bain – Autorisation – Travaux terminés, juillet 1907 – Dessin – Droits réglés pour des aménagements intérieurs
  • 1908 – La veuve J. Arnheiter (peintre en bâtiment, 11, rue Finckwiller) demande au commissaire de police l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique. Le commissaire transmet au maire – Autorisation – Travaux terminés, mai 1908
  • 1908 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Le sieur Ihlefeld demande l’autorisation d’entreposer entre 250 ou 280 kg d’huile minérale au 12, rue Déserte – Rapport. Le local se trouve au rez-de-chaussée du bâtiment arrière servant principalement de grange, raccordé au bâtiment d’habitation. Le local dont les cloisons sont en bois ne se prête pas au stockage de liquides d’autant moins qu’il est au même niveau que la cour.
  • 1910 – Rapport d’intervention des pompiers. Un incendie s’est déclaré dans une cuisine – La Police du Bâtiment n’a pas de remarque à faire.
  • 1912 – L’entreprise Jules Lœwengart (Quincaillerie, menuiserie et fournitures diverses – Eisanwaren- und Schreinerei – Bedarfsartikel, Julius Löwengart, 14-a rue Déserte) demande l’autorisation de poser une enseigne en émail au 12, rue Déserte où se trouve son entrepôt. Croquis de l’enseigne (Eisenwaren Julius Löwengart Bau-Mobilienbeschläge, Kelleisten soit quincaillerie – Jules Lœwengart – Ferrures de bâtiment et de meubles, doucines) – Autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – L’enseigne est posée, septembre 1912.
  • 1920 – Le maraîcher Ch. Siefert se plaint que le tuyau de descente de son voisin Friedolsheim (n° 14) rend le pignon humide, ce qui provoque des moisissures dans une chambre à coucher – L’affaire est classée puisqu’il n’y a pas de nouvelle plainte
  • Commission contre les logements insalubres. 1905. A. Michel (13, petite rue de la Course) se plaint des mauvaises odeurs dues aux trois chevaux et aux deux vaches de son voisin Siefert depuis qu’un raccord commun a été fait aux canalisations dans la propriété du plaignant. – Rapport. Michel a raccordé les cabinets des étages à la fosse commune, le maraîcher Sieffert qui a besoin du fumier pour servir d’engrais demande à être dispensé du raccordement. – Le service d’architecture déclare que le cabinet du rez-de-chaussée (maison Michel) ne peut être raccordé à la fosse qu’en établissant une cloison.
    1905. Travaux à faire en deux points. Le logement n’est presque plus humide depuis que le locataire l’aère régulièrement.
    1906. La Police du Bâtiment estime que la plainte du locataire Scheldt est très exagérée
    1905. Le voisin Michel se plaint de son voisin (écoulement des eaux ménagères, puits sans écoulement, étables à volailles)
    1924. L’Union des syndicats des locataires d’Alsace et de Lorrain demande au nom de René Schult, locataire de Charles Sieffert, de visiter le logement pour déterminer s’il est insalubre. – La Police du Bâtiment répond que rien ne permet de déclarer insalubre le logement sis au deuxième étage.
  • 1932. Le locataire Schuh se plaint que la toiture est défectueuse – La Police du Bâtiment constate que la toiture est en mauvais état – Le maire demande à Jules Levy fils, demeurant à Odratzheim, de faire des réparations. – Les travaux provisoires sont terminés, février 1933
  • 1933 – La Police du Bâtiment constate que la société Alpha T.S.F. a posé une enseigne sans autorisation – Demande de poser une enseigne perpendiculaire, texte Radio LL – Autorisation
  • 1935 – Albert Kahn (demeurant 10-a rue du Vingt-deux-novembre) demande l’autorisation de transformer un entrepôt au 12, rue Déserte sous la direction de l’architecte L. Somogyi (11, rue du Hohneck au Neudorf) – Autorisation – Dessin, coupe – Suivi des travaux. Le gros œuvre est terminé, il n’est pas possible de contrôler les sous-poutres qui sont recouvertes de plâtre, octobre 1935 – Réception finale sans observation, décembre 1935
  • 1935 – Le maire notifie Joseph Muller (19, rue Vauban) de régler son droit d’enseigne
  • 1935 – La Police du Bâtiment constate que la société Alpha a posé sans autorisation une enseigne lumineuse. Le directeur répond que l’enseigne appartient à la société Super-radio
    Le gérant de Super-radio s.à.r.l. demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse à double face (inscription, Blaupunkt Radio) – Autorisation
  • 1938 – La société Alpha qui est en liquidation judiciaire est redevable de droits d’enseigne
  • 1947 – L’architecte Oscar Burger (13, rue Ohmacht) dépose une demande de permis de construire au nom de Charles Durr (commerçant demeurant rue Saint-Florent à Cronenbourg) au titre des dommages de guerre. Les travaux sont confiés à l’entreprise Simon (5-a, rue de Rosheim) – Dessin (façade sur rue, coupes). Plan de situation – Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme délivre le permis de construire, 27 octobre 1947 (remise en état d’une habitation) – Le maire prend un arrêté portant permis de construire, 24 décembre 1947 – Suivi des travaux. Les murs du rez-de-chaussée sont en construction, mars 1948. Ils sont au niveau des combles, avril 1948. Les travaux sont terminés, septembre 1948.
  • 1948 – L’entreprise Charles Biltz (charpentes, couvertures, ferblanterie) demande au nom de la dame Friedolsheim, propriétaire du n° 14, de faire signifier à son voisin Durr qu’il lui est interdit d’ouvrir des fenêtres vers sa propriété dans le mur en construction. – La Police du Bâtiment fait observer qu’il s’agit de jours de souffrance réglementaires.
  • 1952 – Charles Durr ( établissements Veldur, cycles et accessoires en gros, 12, rue Déserte) demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire à double face (Veldur Cycles en gros). Autorisation à double taxe, l’enseigne se trouvant à moins de 3,50 mètres du sol – L’enseigne est posée, mars 1952
  • 1957 – L’entreprise di Pol (126, route de Mittelhausbergen à Cronenbourg) demande au nom de Charles Durr l’autorisation d’occuper la voie publique pour crépir la façade
    1958 – Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme délivre un certificat de conformité suite à son arrêté du 12 décembre 1947
    1965 – Charles Durr informe la Police du Bâtiment qu’il cesse d’exploiter son commerce le 31 décembre 1964. L’enseigne est enlevée, février 1965.
  • 1973 – Suzanne Kandel (31. route de Saverne à Oberhausbergen), demande un certificat d’urbanisme pour l’indivision Charles Durr (28, rue Saint-Florent), section 48 n° 9. – Plan de situation – Même demande par le cabinet immobilier Mutschler (2, place Broglie)
    1973 (octobre) – R. Kandel écrit à la Police du Bâtiment qu’il a proposé de racheter les bâtiments sis 7 et 8, petite rue de la Course qui se trouvent en avant de l’alignement légal pour les incorporer à sa propriété. Les propriétaires Lang et Wianny ont déclaré qu’ils ne souhaitaient pas vendre.
    1973 (septembre) – Henri Thomas demande un certificat d’urbanisme (section 48 n° 9)
    1974 (juillet) – Le notaire Pierre Albrecht (4, rue de l’Eglise) demande une notice de renseignements en ajoutant qu’il n’est pas question de démolir et de reconstruire le bâtiment – Le maire transmet la demande au directeur départemental de l’équipement.
  • 1980 – Le Crédit Agricole demande la date à laquelle le bâtiment a été achevé pour déterminer la taxe additionnelle. – Le maire répond que la reconstruction partielle a été terminée en 1948.
  • 1991 – L’entreprise Cou-zi-fer (164, route de Brumath à Mommenheim) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique

Relevé d’actes

La maison appartient en 1591 à Valentin Adam

Originaire d’Illkirch, Valentin Adam devient bourgeois par sa femme Marguerite, veuve de Jean Nortz, en novembre 1565
1565, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 260
Adams Velttin von Illkirch, hatt das burgkrecht Empfang. von Margreth weÿland norts hansen des garthners sellig. wittwen seiner Ehfraw vnd dient Zu den garthnern vnd. wagner Act. samstag den 24.ten Nouembris 65.

Valentin Adam (« Adams Veltin ») épouse en 1585 Catherine, veuve de Michel Goos
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 106 n° 10)
1585. den 22 Junÿ sind eingesegnet Adams Veltin vnd Catharina Michael Gosen Hinderlaßene wittwe (i 55)

Comme Michel Goos le jeune épouse en 1572 Aurélie, veuve d’Ulric Jud, la veuve ci-dessus doit être celle de Michel Goos l’aîné qui fait baptiser en 1579 une fille Barbe.
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 76 n° 3)
1572. Michael gooß der Junge vnd Aurelia Juden Ulrichs verlassene wittwen, wonen vnder den wagnern (i 40)

Baptême, Sainte-Aurélie (luth. p. 428 n° 32)
1579. den 7. Junÿ ist getaufft Barbara, michael goß des eltern tochter gefetter geweßen Michael welcker, Agnes Simon welckers nachgelaßenee tochter, Ursula Steffan morgend haußfraw (i 214)

Adam Veltin et sa femme Catherine, veuve de Michel Goss, mariés depuis environ cinq ans, passent des conventions matrimoniales par lesquelles le mari assure à sa femme la jouissance viagère de sa maison rue de la Course dont sa femme sera propriétaire du tiers.

1591 (uts. [xxj Jan.]), Chancellerie, vol. 276-I (Registranda Kügler) f° 36-v
(Inchoat. fo. 42.) Erschienen Adam Veltin d. gartner burg. Zu Straßburg Ann eim
So dann Catharin sein eheliche husfrouw wÿland Michel Goosen des gartners seligen witwe mit beÿstand bewilligung Martin Schretters des Ältern Ires geschwornen vogts Am Anderntheil
haben beide Partheien gegen einander bekhant vnd offentlichen verÿehen, d. vor Fünff Jaren vngeuorlich Alls sie beide ehegemecht einander ehelichen verheürat word. mitt Irer beider vnnd hernach geschribener gegenwertig dazumall, vff sein Adams Veltin Lorentz Clein des Alt. Claus heffell vnd Lux Clein aller drei gartner vnnd vff Ir Catharina seitten obbemelts Ires vogts vnd Wilten Diebolds erbettener freund* wollbedechtlich Abgeredt
Zum Andern were domal Zwisch. Innen beredt vnnd angenommen word. das Adams Veltin Catharin seiner hußfr. Zu einem rechten wydem vermach. vnd ordnen soll denn Zweiytenteil Ime gebürende Ane hoff, hus, hoffestatt, Scheur, Stall vnd gartlein mit Allen & geleg. Inn vnd. wagner Inn d. S. St. Inn Renngaßen einseit neb. Lorentz Cleinen, And.seit hanns von Bers, hind. vfs Allmend, daran d. vberig driteil Ir Catarin v.meg diser eheberedung Auch Zustendig dageg. vnnd hinwider hat obbemelte Catharin Ime Adams Veltin Zu einem recht. wid. sein lebenlang Zunießen vermacht vnd geordnet denn drittentheil so Ir Inn crafft diser verschreibung gebüret, Alls daß nach Iren einsen vnnd beider absterben, d. letstlebend. obbeschhribene behußung samtlich rüewiglichenn Inhaben bewonen & so lang es Inn leben, eigennthumb Aber derselben Ires ieden erben vorbehalten sein

Catherine Lersch (nom dont la lecture est incertaine), veuve d’Adam Veltin et les héritiers d’Adam Veltin, dont le jardinier Mathias Schertzer, passent une convention relative au paiement de cent florins

1618 (9. Marty), Chancellerie, vol. 429 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 14-v
Cessio vnd vbergab ane bezalung einer mehrern Summa vber 70 gulden Hauptguts auff einer Behausung vnder den Wagnern alhie so Jacob Kauffman der Seyler In handen
Erschienen Hans Voltz Gartner als vogt Catharinæ Lerschin* weÿland Adam Veltins selig. Wittwen vnd Mathys Schertz. auch Gartner bede burg. welche als zum theil ein erb Adam Veltin vnd als vogt Aureliæ Goossin Hanß Schweden wittwen vnd beneben Ine Hanß Voltzen, als befelchaber aller vbrig. Adams Veltins selig. Erben
haben in gegenwertigkeyt Georg Knörrers Burg.s alhie bekant,
Nachdeme Jetzernanten Adam Veltin selig. witwen vnd erben vorgedacht 100 guld. Straßburg. gehörig so Jerlichs auff Mariæ Verkundung mit funff gulden Straßburg. wehrung verhafftet worden, von vnd abe einer Behausung alhie vnd. den wagnern geg. d. Ellenden Herberg vber geleg. welche Jacob Kauffman der Seyler diser Zeyt vnd. handen davon aber treysig gulden hievon erlegt vnd ane dem Zinß so*uil abgelegt wird also noch 60 gulden haupguts darauff außstendig (…)

Fils du jardinier du même nom, Mathias Schertzer épouse en 1621 Marie, veuve d’Etienne Wicker
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 48 n° 20)
1621. den 18 septembr. ist nach ordentlicher außruffung eingesegnet Matthis, Matthis Schertzers Sohn vnd Maria Stephans Wickers hinderlaßene widwe (i 25)

Etienne Wickers est cité sous le nom d’Etienne Wickersheim, gourmet, dont la veuve a épousé Mathias Schertzer et la fille Catherine le jardinier Thiébaut Mœtschel
1626 (28. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 249-v
(Inchoat. in Prot. fol. 137) Erschienen Diebold Mötschel d. gartner vnder Wagner
bekante in gegensein Mathiß Schertzers auch gartners alhie, daß er von demselben zugenüegen empfangen habe, i C. xiiij gld. & 15. bz. so er Schertzer ihme Mötschel alß Ehevogt Catharinen weÿ: Steffan Wickerß deß weinstichers see, töchter
vff seiner behausung in der Renngaßen, so er Mötschel an ietzo eigenthümlich innhat, vnd sonsten von sein Schertzers hausfrawen obgedachts Wickers see. wittiben weg. schuldig geweßen q.tirt

Originaire d’Auenheim, le gourmet Etienne Wickersheim achète le droit de bourgeoisie en juin 1612 en s’inscrivant à la tribu des Gourmets
1612, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 766
Stäffan Wückerßheim von Auwenheim khaufft d. Burgerrecht will Zu den Weinstichern dienen den 9. Junÿ a° 1612.

1626, Conseillers et XXI (1 R 108) Mathis Schwab contra Mathis Schertzer. 218. (pt° Forderung)
1628, Conseillers et XXI (1 R 110) Matthis Schwab contra Matthis Schertzer. 34.

Mathias Schertzer rembourse un capital garanti sur sa maison d’après les dernières volontés de Valentin Adam

1630 (21. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 467 f° 338
Erschienen weÿland Michel Becholdts von Geispitzheim nachgelaßene Erben, benantlichen Matthis Becholdt für sich selbsten, vnd Claus Offner daselbsten alß Ehevogt Margareth Becholdtin
haben in gegensein Matthis Schertzers deß Gartners vnder Wagnern Burgers Zu Straßburg bekannt,
demnach er Schertzer ihnen den genanten Erben, vermög weÿl. Adams Veltin gewesenen Gartners vnd Burgers alhie vfgerichten Letzten willens noch per Rest wegen sein Schertzers Behaußung allhie In der Vorstatt vnder wagnern vnd in der Renngaßen, neben dauid Voltzen Ein vnd Anderseit Georg Kleinen hind. auch vff nechstgemelten Kleinen stoßend gelegen 46 Pfund (…) für vnd vmb 26 Pfund

Marguerite, fille de Mathias Schertzer, assistée de son tuteur André Mœtschel et de son beau-frère Jean Kress, hypothèque la maison au profit de Mathias Roth le jeune. En marge, quittance remise en 1659 à Jacques Schott, propriétaire de l’immeuble hypothéqué.

1650 (6. febr:), Chambre des Contrats, vol. 507 f° 135-v
Erschienen Jungfr. Margaretha weÿl. Mathiß Schertzers Gartners under Wagner nunmehro seel. nachgelaßene eheliche dochter, mit beÿstand Andreß Mötschelß Gartners und. Wagner ihres Vogts und hannß Kreß. Gartners alda ihres Schwagers
hatt in gegensein Mathiß Rothen deß iüngern Gartners und. wagner alß Vogts Mathiß Roth deß ältern Gartners alda in letzter Ehe erziehlter Kind. – schuldig seÿen 75. lib.
Underpfand sein soll hauß hoff hoffstatt, Scheur, Ställ, Garten mit allen deren Gebäwen in der Seeloßgaß und. Wagner neben David Voltzen dem ältern ein: und anderseit neben Weil. Georg Kleinen wittib, hind. auch vff Sie stoßend gelegen, davon gehend ohngefährd 5 ß N.N.
[in margine :] (…) in gegensein Jacob Schotten Gartners Vnder Wagner alß ietzig. Possessoris hierinn geschriebenen Vnd.pfandts – Act. d. 26. febr. A° 1659.

Marguerite, fille de Mathias Schertzer, épouse en 1650 Nicolas Klein, fils du marguillier Georges Klein
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 125 n° 6)
1650. Claus Klein H Georg Kleinen s. gewesen Kirchenschöffen, J. margreth Mathis Schertzers s. gartners tocht., Zinst. 19. Martii Zu St Aurelien (i 65)

Marguerite, femme de Nicolas Klein, vend la maison à Jacques Schott, jardinier aux Charrons, dont les ayants droit resteront propriétaires jusqu’en 1848

1658 (ult. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 391
(Protocoll. fol. 61.) Erschienen Margaretha Claus Kleinen Gartners und.wagner Eheweib: mit beÿstand ersternannts ihres Ehevogts, wie auch hannß Kreß. Gartners alda ihres Vettern
in gegensein Jacob Schotten Gartners und. wagner, mit beÿstand David Schielen deß ältern und Andreß Sÿfridts beede Gartner alda
hauß, hoff, hoffstatt, Scheur, Stallung, Gärtlin, mit allen übrig. deren Gebäwen & alhie in der Seelosgaß. einseit neben weÿl. Georg Kleinen seel: wittibin, anderseit neben Michael Voltz. Davids Sohn, hind. vff vorermelte Kleinische wittib stoßend geleg., davon gehend iahrs 5 ß bodenzinß der hoh. Schuhl alhie, so seÿe solche Behaußung auch noch verhafftet umb 75. lib Abraham von Fridolßheim Gartern und. wagnern, Item umb 62. lib. 10. ß Fr. Susannæ Bronnerin, sosnt. geg. männiglich. für ohnverhafftet, Vnd were solche Verkauff und Kauff, vber gemelte Beschwärdten daran der Käuffer gewieß. word. ist welche Er auch übernohmen (…) geschehen umb 87 Pfund

Fils du jardinier du même nom, Jacques Schott épouse en 1655 Aurélie, fille du jardinier Paul Sieffert
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 130 n° 12)
1655. Jacob Schott, Jacob Schotten deß gartners sohn, J. Aurelia Paulus Syfferts s. hinterl. tocht. (i 68)

Aurélie, femme de Jacques Schott, meurt le 5 novembre 1674.
Sépulture, Sainte-Aurélie (luth. f° 13)
1674. Aurelia, Jacob Schotten fr. starb donnerst. 5. 9.bris h. 3. vesp: (i 14)

Jacques Schott se remarie en 1675 avec Salomé, veuve de Thiébaut Scheer
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 164 n° 34)
1675 Eodem [d. 1. Julÿ] Jacob Schott der Gartner vnd burger alhie, vnd Salome diebolt Scheren gewesenen gartners hindl. witwe (i 165)
Proclamation, Sainte-Aurélie (luth. p. 173) 1675. Eodem [Donnerst. den 8.t Julii] Zum Alten St: Peter. Jacob Schott der Gartner vnd Burger alhie, vndt Salome Diebold Scheren des Gartners v. Burgers seel. wittib (i 89)

Fille du jardinier André Sieffert, Salomé Sieffert épouse Thiébaut Scheer en 1664.
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 148)
1664. Diebold Scheer, Diebold Scheeren des Gartners Sohn vnd Jfr. Salome, Andres Seüfferts des Gartners Tochter. Zinst. den 16.t Febr: St: Aurelien (i 77)

La maison revient à sa fille Marie Schott qui épouse en 1681 le jardinier Thiébaut Federlin, fils de Jean Federlin

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 189)
1681. Donnerst. den 17. Febr. St: Aurel: Diebold Federlin der Gartner, hans Federlins des Gartners S. Jfr. Maria, Jacob Schotten des Gartners nachgel. Tochter (i 97)

Marie, veuve de Thiébaut Federlin (ici Vætterlin), se remarie en 1695 avec André Riehl, fils du jardinier Thiébaut Riehl
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 28-v)
Uff heut Mittwoch den 24. Februarÿ 1695. seind nach Zweÿmahlig. außruffung eingesegnet worden Zu St Aurelien Andreas Riehl der ledige gartner thieboldt Riehlen des gartners v. burgers alhie ehelich. Sohn, v. Fraw Maria, weÿland diebold Vätterlins gewesenen garttners vnd burgers alhie hinderlaßene Wittwe [unterzeichnet] Andreß Riehl Als hoch Zeiter, Maria Vätterlin als hochzeiterin + (i 30)

André Riehl fils de Thiébaut et Marie Schott font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient en partie à l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 176 livres sans la maison, ceux de la femme à 142 livres. Marie Schott a la jouissance des biens qui appartiennent à son fils en premières noces

1695 (21.4.), Not. Marbach (Jean Frédéric, 32 Not 9) n° 252 [b]
Inventarium über deß Ehrsam und bescheidenen Andreæ Riehlen Diebold Sohns Garttners underwagnern und der Ehren und tugendsahmen frawen Mariæ Schöttin beeder Eheleuth vnd burgere Zu Straßburg, einander in den Ehestand Zugebrachte ligend und vahrenden haab vnd Nahrung auffgerichtet Anno 1695 – durch dieselbe mit Zuziehnung der Ehrengeachten Diebold Riehlen diebolds Sohn vnd hans Kauffers beeder Garthnere und burgers allda deß Manns Vatters vnd der frawen noch ohnentledigten Vogts geäugt vnd gezeigt (…) Beschehen in vorgemelter Statt Straßburg Donnerstags den 21. Aprilis neüen Calenders Anno 1695.

Wÿdumb der frauwen gehörig, Vermög der von weÿland diebold Federlin gewesenen Garthner underwagnern und burger zu Straßburg seeligen auffgerichteten Codicilli sie die Ehefrau als deßen hinderbliebene Wittib lebtägig zu nutzen und zu genießen
Wÿdumb So die frauw krafft deß den 10. Februarÿ Anno 1695. beÿ E. E. vogteÿgerichten vertrags Zu ihres Söhnlein Erster Ehe erreichenden achtzehen Jährigen alters Zu nutzen und Zugenißen berechtiget
Forma Hujus Inventarÿ. Deß Manns in Ehestand gebrachtes Vermögen vnd dabeÿ erstlichen haußrath alls holtz: vnd ferderwerck, leinwath vnd getüch Kleÿder 76, früchten 34, blumen auf dem veld 8, vÿhe 30, geschirr Zum veldtbuwen gehörig 10, tüngung 8, baarschafft 8, Summa summarum 176 lb
Volgt auch der frauwen vor unverändert in Ehestand gebrachte Nahrung, Haußrath 213, früchten 153, Wein und faß 11, blumen auf dem veldt 29, wÿhe 80, Schiff und geschirr Zim veldbau gehörig 21, stroh 5, Tüngung 21, Silbergeschmeidt 6, Guldene Ring 13, Eÿgenthumb Einer behaußung o, Eÿgenthumb liegender veltgüther, lehengüetter o, Summa summarum 556 lb – Schulden 413, Nach deren Abzug 142
Eÿgenthumb einer behaußung so der frawen gehörig. Item hauß, hoff, hoffestatt, Scheür, Ställ und gärthlein mit allen der gebeüwen begriffen, weith. Rechten und gerechtigkeit gelegen in der Statt Straßburg vorstatt underwag. in der Seloß gaßen eins. &
Nota der frawen behausung vnd liegende veldgüeter sein aus diebold federlins deren Erstern Ehemanns seel. Verl. Inv: concepto de A° 1694. auffgerichtet auffzuschreiben mit N 221 signirt

André Riehl fils de Thiébaut meurt en 1726 en délaissant une fille. Les experts estiment à 600 livres la maison dont les titres de propriété sont l’acte de 1658 et une convention de 1612 relative au chenal. La masse propre à la veuve est de 1 313 livres, celle propre aux héritiers de 1 198 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 053 livres, le passif à 393 livres.

1726 (21.2.), Not. Mader (6 E 41, 685) n° 562
Inventarium über Weÿland des Ehrengeachten H. Andreä Riehlen Diebolds Sohns Geweßenen GUW und burger Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet, Anno 1726.
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güttere, Liegend und fahrender, verändert und unveränderter, so Weÿland der Ehrengeachte H. Andreß Riehl, Dieboldts Sohn, Gewesener Garthner unterwagnern und burger allhier Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem Freÿtags den 1.ten Februarii dießes mit Gott angefangenen 1726.ten Jahrs beschehenen tödtlichem Ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft dann auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der tugendsahmen Frauen Annä von Fridolßheim gebohrener Riehlin, deß Ehrengeachten Daniel von Fridolßheim, Hn Daniels Sohns, ebenmäßig Garthners unterwagnern und burgers allhier Ehefraun und deß verstorbenen seel. mit hernach gemelter seiner hinterlaßenen Wittib ehelich erzeügt und nachgelaßener tochter und einziger Erbin, Inventirt und ersucht durch die Viel Ehr: und tugendsame Frau Mariam Riehlin gebohrene Schottin, die hinterbliebene Wittib mit beÿstand deß Ehrsahm: und bescheidenen Jacob Schotten guw. und burgers allhier, deroselben Geordnet und Geschwornen Curatoris (…) So geschehen in der Königl. Statt Straßburg auff Donnerstag d. 21.t Februarÿ 1726.

In einer in der Statt Straßburg ane der vorstatt unterwagnern in der Renngaßen ohnferm beÿm Bäumel gelegenen in diese Verlaßenschafft gehörigen behaußung ist befunden worden wie folgt.
Ane Höltzen: und Schreinwerck. In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In deß Knechts Cammer, In der Wohnstub, In der Stub Cammer, In der Kuchen, In der Wittib behaußung, Im Keller
Eigenthum ane einer Behaußung (W.) Erstl. i. Hauß, Hoff, Hoffstatt, Scheür, Ställ und Gärthl. m. allen dero übrigen Gebäuwen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen in d. Statt Straßb. vorstatt unterwagnern, in d. Seeloßgaß, so ein eck, I.s neben der Erbin, 2.s neben Hanß Lixen W. und hinden auff ged. Erbin gelegen, und vornen auff die Seeloß und renngaß stoßend, so uber 5. ß d Jährl. bodenzinß der Hohen Schuhl allhier leedig und eigen und durch der Statt Straßb. geschworne Werckmeistere Crafft einer beÿ mein Notarii Concept befindl. Abschatzung Sub dato 1.t Martii 1726. angeschlagen pro 600. lb. Dauon abgezogen obige beschwerd. so in ohnvorgreifflichem Capital thut 5 lb. restirt also abe dem anschlag solcher behausung annoch 595 lb. Darüber bes: i: teutsch. perg. Kffbr. m. d. St. Straßb. C. C. st. anhang. Inns. vw: dat. d. 31. Aug. 1658. Dabeÿ gebund. i. perg. v.gleich und v.zugs brieff, wegen eines Nachs m: wohl ermelter St. Straßb. angehenckt. C. C. Inns. vw. deßen datum d. 3.ten Aprilis A° 1612. beede mit Litera A. bemerckt und darbeÿ gelaßen.
(E.) Item eine behaußung, Hoff, Hoffstatt, Scheüt und Stallung, mit allen deren übrigen Gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehördten und Gerechtigkeiten in d. Statt Straßb. vorstatt unterwagnern ane der renngaßen (…)
Ergäntzung der Wittib unveränderten Guths, Vermög Inventarÿ über alles das Jenige was beede nun zertrennte Eheleute einander in den Ehestand Zugebracht, durch Weÿl. herrn Johann Friderich Marbachen, Notm. publ. in Anno 1695. gefertiget
Abzug über gegenwärtige Verlaßenschafft. Der Wittib unverändert Guth, Sa. Haußraths 57, Sa. Lehrer Vaß 1, Sa. Silbergeschmeids 4, Sa. Goldener Ring 6, Sa. Eigenthums ane Einer behaußung 590, Sa. Eÿgenthums ane Liegenden güthern 564, Sa. der Beßerung ane Lehen güttern 7, Sa. der Ergäntzung (375, Abzug 231, Nach deren Abzug) 144, Summa summarum 1375 lb – Schulden 62 lb, Nach deren Abzug 1313 lb
Der Erbin unverändert Guth, Sa. 55, Sa. Lehrer vaß, Sa. Silber geschirr und Geschmeid 5, Sa. Goldenen Rings 1, Sa. der Baarschafft 19, Sa. der Pfenningzinß hauptgüter 150, Sa. Eigenthums ane Einer Behaußung 365, Sa. Eigenthums ane liegenden Güttern 628, Sa. beßerung ane lehengüthern 30, Sa. Ergäntzung (742, Abzug 493, Compensando) 249, Sa. Schuld 62, Summa summarum 1568 lb – Schulden 370 lb, Nach deren Abzug 1198 lb
Das verändert undt Theilbahr Guth, Sa. Haußraths 96, Sa. Früchten auff dem Kasten 25, Sa. Früchten und lehren vaß 96, Sa. Blumen auf dem feld 2, Sa. Pferd und Rind Vÿhes 17, Sa. Schiff und Geschirrs 17, Sa. des Tabacks 23, Sa. Heü Stroh und boßen 3, Sa. Schleiffhanffs 11, Sa. Thüng und beßerung 2, Sa. Silber geschmeidts 13 ß, Sa. Eigenthums ane Liegenden Güttern 359, Sa. Beßerung ane Lehengüttern 2, Sa. Beßreung ane der Erbin behaußung 370, Sa. Schulden 24, Summa summarum 1053 lb – Schulden auß der Theilbahren Nahrung 393 lb, verbleibt 649 lb

Marie Schott veuve d’André Riehl meurt en 1735 en délaissant une fille. Les experts estiment la maison à 375 livres. L’actif de la succession s’élève à 1575 livres, le passif à 110 livres.

1735 (6.9.), Not. Mader (6 E 41, 690) n° 851
Inventarium über Weÿl. der Ehr: und tugendsammen Fr. Mariä Riehlin gebohrener Schottin, auch Weÿl. deß Ehrengeachten H. Andreß Riehlen geweßenen GVW. und burgers Allhier Zu Straßburg seel. nachgelaßener Fr. Wittib nunmehro auch seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in A° 1735 (…) nach Ihrem Freÿtags den 15. Julÿ dießes lauffenden 1735. Jahrs aus dießer Mühesammen Welt genommenen tödl. hientritt Zeitl. Verlaßen, welche Verlaßenschafft dann auf freundl. Ansuchen Erfordern und begehren, der Ehren und tugendtsammen Fr. Annæ von Fridolßheim gebohrener Riehlin Auch Weÿl. deß Ehrenvesten herrn Daniel von Fridolßheims geweßenen gvw. und der Kirchen Zu St. Aureliä Wohlverordneten Pflegers nachgelaßener Fr. Wittib, mit beÿstandt S. T. Herrn Joh: Lobsteins Not. publ. und berühmten Practici, der Verstorbenen Fr. seel. mit auch Weÿl. H. Andreß Riehlen obgedacht Ehelich erzeugter Tochter und ab intestato nachgelaßener Einiger Erbin – So beschehen allhier in der Königl. Statt Straßburg auff dienstag den 6. 7.bris 1735.

In einer allhier in der Königl. Statt Straßburg und dero Vorstatt underwagnern ane der St. Aureliä Gaßen gelegenen in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung ist befunden worden wie volgt.
Eigenthumb ane einer Behaußung. Eine Behausung, Hoff, Hoffstatt, Scheur, Stallung und Gärthlein, mit allen dero übrigen Gebäuden, Begriffen, Weithen, rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen in der Statt Straßburg Vorstatt Underwagnern in der Seelosgaßen, so ein Eck, 1.s. neben Andras Lix Hß. Sohns geweßenen guw. hinderlaßenen Kindern, 2.s. neben der Renngaß, hinten auf die dießorths Erben stoßendt, so über 5. ß. d. Jährl. boden Zinnß der hohen Schuhlen allh. freÿ, leedig und Eigen und ist solche Behaußung durch der St. St. geschworene Hh. Werckmeistere Crafft einer beÿ mein Notarÿ Concept befindl. Schrifftl. Abschatzung Sub dato 3. 9.bris Anno 1735. angeschlagen pro 375 lb. davon gehet ab obige beschwehrt so in ohnvergreiffl. Capital macht 10. lb. Nach solchem Abzug verbleibt darahn annoch übrig, benandt. 365. lb.. Darüber besagt i. teutscher perg. Kbr. in der St. Str. C. C. St. anh. Ins. verwahret und datirt den 31. Aug. Anno 1658. Darbeÿ gebund. i. perg. Vergl. vnd Verzugs brieff, wegen eines Nachs m. wohlermelter C. C. anh. Insiegel verwahret deßen datum der 3. Aprilis A° 1612. beede m. alt Lit. A. bemerckt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 102, Sa. Silbers 4, Sa. Goldtener ring 5, Sa. der baarschafft 481, Sa. Eigenthums ane einer behausung 365, Sa. Eigenthums ane liegenden güthern 604, Sa. der beßerung ane lehen güthern 10, Summa summarum 1575 lb – Schulden 110 lb, Nach solchem abzug 1464 lb
Darzue gelegt hernach beschriebener Wÿdmbs 180 lb, Conclusio finalis Inventarÿ 1648 lb

Le jardinier Daniel von Fridolsheim fils de Daniel épouse en 1715 Anne Riehl, fille du jardinier André Riehl : contrat de mariage, célébration
1714 (15.10.), Not. Mader (6 E 41, 693)
Eheberedung – zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Daniel Von Friedolßheim deß ledigen Gartners deß Ehrenvesten und Wohlgeachten herrn Daniel Von Friedolßheim Gartner unter Wagnern und burgers allhier Ehelich erzeugtem Sohn, alß dem Bräutigams ane einem
So dann der Tugendsamen Jungfrauw Anna, des Ehrengeachten Andreß Riehlen Gartners unter Wagnern Ehelich erzeugter Jungfr. Tochter alß der Jungfern hochzeiterin am andern Theil sich begeben
Und ist solches alles Zugangen und beschehen auff Montag den 15. Octobris Anno 1714.

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 77)
1715. Mittwoch d. 30. Januar: wurden nach zweÿmaliger Proclamation Ehl. copulirt Daniel von Fridolsheim der ledige gartner, H. Daniel von Fridolsheim, burger v. gartners allh. Ehl. Sohn, undt Jgfr. anna, Andreas Rielen burgers v. gartners allh. Ehl. tochter [unterzeichnet] Daniel Von Fridolsheim als hohzeiter, Anna Rieling als hoh Zeiterin (i 78)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue Sainte-Aurélie. Ceux du mari s’élèvent à 619 livres sans la maison, ceux de la femme à 472 livres.
1715 (1.3.), Not. Mader (6 E 41, 671) n° 193
Inventarium über deß Ehrsam und bescheidenen Daniel von Friedolßheim, Herrn Daniels Sohn, Garthners Unterwagnern und der Tugendsahmen Frawen Annä von Fridolßheim gebohrner Riehlin beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in den Ehestandt zugebrachter Nahrungen – und vermög der mit einander auffgerichteten Eheberedung sich vor ohnverändert vorbehalten haben – Actum und angefangen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in fernerm gegensein der Ehrenvesten, Ehren und vorgeachten herrn Johann Daniel Von Fridolßheimb des Ehemanna leiblichen H. Vatters und Hn Andres Riehlen der frawen Leiblichen Vatters, beeder alß hier zu in specie erbettener herren beÿständern, Auff Freÿtag den 1. Martÿ 1715.

In Einer in der Statt Straßburg ane der St. Aurelien Gaßen gelegenen in beeders seiths Nahrung Nicht gehörigen behaußung Ist befunden worden, wie Volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, deß Mannß in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. Haußraths 171, Sa. Schiff und geschirrs 53, Sa. der Wein und Vaß 21, Sa. der Früchten und Mehl 55, Sa. der blumen auf dem Veld 24, Sa. der Gebeßerten Acker 72, Sa. Hew und stroh 30, Sa. Pferdt Rind Viehe und Schwein 164, Sa. Silbergeschmeid 26 ß Sa. deß Goldenen Rings 3, Sa. der baarschafft 22, Summa summarum 619 lb
der Frawen in den Ehestand gebrachte Nahrung, Sa. Haußraths 271, Sa. Schiff und geschirrs 15, Sa. der Früchten 29, Sa. der blumen auf dem Veld 6, Sa. der Gebeßerten Acker 41, Sa. Ohmet und Stroh 6, Sa. der Schwein 18, Sa. Silbergeschmeid 1, Sa. Goldener Rings 13, Sa. der baarschafft 69, Summa summarum 472 lb

Le notaire Mader dresse en 1733 l’inventaire (non conservé) après la mort de Daniel von Fridolsheim

1733 (Not. Mader (répert. 6 E 41, 664-1) n° 756
Inventarium über H. Daniels Fridolsheim Jun: GVW. seel. Verlassenschafft

Anne Riehl se remarie en 1733 avec le jardinier Abraham Heydel : contrat de mariage, célébration
1733 (26.10.), Not. Mader (6 E 41, 694)
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Herrn Abraham Heÿdel Garthner unter Wagnern und burgern allhier Zu Straßburg alß dem Bräutigamb ane einem,
So dann der Ehr: und tugendsamen Frauen Annä Von Fridolßheim gebohrner Riehlin Weÿland des Ehrenvesten Herrn Daniel Von Fridolßheim geweßenen Garthners und burgers daselbst auch der Kirchen Zu St. Aureliæ wohlverdienten Kirchenpflegers seel. Nachgelaßener Frau Wittib am andern theil
So geschehen in der Königlichen Statt Straßburg auff Montag den 26. 8.bris Anno 1733 [unterzeichnet] Abraham Heÿdel als hochzeiter, Anna Von fridulheim geboren Rielen als hohzeiterin

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 136)
1734. Mittwoch d. 13. Januarÿ sind nach Zweÿmahliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet worden, H. Abraham Heÿdel burger v. Gartner und Fr. Anna geb. Riehlin weÿl. H. Daniel von Friedolßheim gewesenen burgers v. Gartners wie auch Kirchen Pflegers dieser Evangelischen Kirch hinterlaßene Wittib [unterzeichnet] Abraham Heÿdel als hochzeiter, anna Riehlin als hochzeiterin (i 139)

Inventaire des apports connu par le répertoire du notaire
1734, Not. Mader (répert. 6 E 41, 664-1) n° 787-a
Inventarium illatorum über Abraham Heÿdels gGVW und fr. Annæ geb. Riehlin

Fils du jardinier du même nom, Abraham Heydel épouse en 1715 Anne, fille du jardinier Jean Lix : contrat de mariage, célébration
1715 (9.4.), Not. Mader (6 E 41, 693)
Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen und bescheidenen Abraham Heÿdel, deß Wohl Ehren vesten weiß und Wohlvorgeachten Herrn Abraham Heÿdel Gartners unter Wagneren und E. E. Großen Raths Wohlverdienten beÿsitzers ehelich erzeugtem Sohn, alß dem Bräutigam ane Einem
So dann der Ehr: und tugendsamen Jungfrau Annä Lixin, Weÿl. deß Ehrengeachten Hanß Lixen Gartners unter Wagneren seel. Nachgelaßener Tochter, alß der Jungfraw Hochzeiterin am andern theil
So geschehen auf Dienstag den 9. Aprilis 1715 [unterzeichnet] Abraham Heÿdel als hoch Zeÿter, Anna lixen als hohzeÿtern

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 77)
1715. Mittw. d. 6. Febr: wurden nach Zweÿmaliger Proclamation Ehl. copulirt Abraham Heÿdel, lediger gartner, herrn Abraham Heÿdels, E. E. großen Raths beÿsitzers v. gartners allh. Ehl. Sohn, und Jgfr. Anna, weÿl. H. Johanns Lüxen burgers vnd gartners allh. hinterl. Ehel. Tochter [unterzeichnet] Abraham Heÿdel als hoch Zeÿter, Anna Lixen hoch Zeÿteren (im 79)

Anne Riehl meurt en 1754 en délaissant trois filles. Elle lègue à Jacques von Fridolsheim sa maison rue Déserte que les experts estiment à 250 livres. L’actif de la succession s’élève à 8 473 livres, le passif à 478 livres.

1754 (9.12.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1161) n° 873
Inventarium über Weiland der Ehren und Tugendsamen Frauen Annä gebohrner Riehlin, letzmals Herrn Abraham Heÿdel, Garthners unterwagnern und burgers allhier zu Straßburg geschiedener Ehefrauen seeligen verlassenschafft – nach ihrem Freÿtags den 29.ten Novembris dieses zu end lauffenden 1754.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt, zeitlichen verlaßen, welche verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren dero selben in erster Ehe mit auch weiland dem Ehren vesten und vorachtbaren Herrn Daniel von Fridolsheim geweßenen Garthner unterwagnern und wohlverdientem Kirchenpfleger zu St: Aureliæ, ihrem den 30.ten Januarii des 1733.ten Jahrs verstorbenen ehemanns seelig ehelich erziehler und noch lebender beeder Frauen Töchter (…) – so beschehen und angefangen, Straßburg Montags den 9.ten Decembris et sqq: A° 1754.
Die abgeleibte seelig hat sowohl ab intestato als per Testamentum zu Erben verlaßen, wie folgt. Erstlichen Frau Annam Mariam Vögtin gebohrne von Fridolsheim, Herrn Johann Friderich Vogt des Holtz händlers und burgers allhier Ehefrau, Zweitens weiland Frauen Margarethæ Heÿdelin gebohrne von Fridolsheim, Herrn Daniel Heÿdel GUW und burgers allhier, Ehefrauen mit demselben ehelich erziehltes Söhnlein, Daniel genannt, deßen geordnet und geschworener Vogt ist Herr Abraham von Fridolsheim, der Zeit garthner ane Steinstraß u. b. alhier, So dann Drittens Frau Mariam Salome Renchertin gebohrne von Fridolsheim, Herrn Johann Rencherts Guw. und burgers allhier Ehegattin, Alle dreÿ der abgeleibten seeliger respe. noch lebende Frauen Töchter und Enckel und sowohl ab intestato als per Testamentum verlaßene Erben

In einer allhier zu Straßburg dero Vorstadt unter wagnern am St. Aureliæ gaß gelegenen und nicht in diese verlassenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, In der Kammer sub Lit: A, In der langen Kammer, In der Obern Stub, In der obern Kuchen, In dem obern Haußöhren, In der Meelkammer, In der Soldaten stub, Im untern Haußöhren, In der Magd Kammer – Ane Bett und Ferderwerck, In der behaus. so h. Renchert bewohnt, In der behaus. ane der Seelosgaß so hr. Heÿdel bewohnt
(f° 10) Eigenthum ane Häusern. ([in margine :] Jacob von Fridolsheim dem leedigen garthner legirt) Erstlichen eine behausung, hoff, hoffstatt, scheur und stallung wie auch der gemeinschafft eines Bronnens mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg dero vorstadt unter wagnern ane der Seelosgaß, einseit neben hernach folgender behausung, 2.s neben weiland Andreas Lix Hanßen Sohn gew. Guw. und burger allhier seeligen Erben, hinten auf weÿl. Herrn Johann Jacob oberlin, den Sattlern stosend gelegen, davon man jährlich der hohen Schuhl allhier 5. ß ane boden Zinnß Zu reichen Verbunden, es ist aber derselbe durch (die Werckmeistere) ausweislich des Zu mein Not. Concept gelieferten Abschatzung Zed. vom 25. Januarÿ A° 1755 vor freÿ ledig und eigen taxirt worden pro 250. lb So nun erwehnter Boden Zinß Zu doppeltem Capital gerechnet antreffen 10 lb Davon abgezogen wird, so restiren auszuwerffen 240. lb. Darüber besagt i. teut. perg. Kaufbr. mit der St. Str. C. C. stb. anh. Ins. verw. und datirt den 31. Aug. A° 1658. mit altem Lit. A. bemerckt und dermalen wieder dabeÿ gelaßen. Ferner i. perg. Vergleich und Verzugsbrief wegen eines Naachs mit wohlermelter St. St. C. C. anh. Insiegel best. deßen datum der 3. Aprilis A° 1612. auch mit altem Lit. A. signirt und dermalen wieder dabeÿ gelaßen.
Item eine behausung dero vorstadt unterwagnern ane der Renngaß gegen dem bäumel (…)
Die helffte vor ohnvertheilt von und ane einer Kl. behausung und hoffstatt auch allen denen übrigen gebäuden begriffen weiten, Rechten, zugehörden und Gerechtigkeiten allhier zu Straßburg dero Vorstadt unter wagnern ane der Renngaß gegen dem Armen sünder hauß einseit neben Hannß Rinck Sebastians Sohn gvw. et cons. anderseit neben Diebold Lix, diebolds Sohn dem ältern auch G. allda, hinten auff dießen stoßend gelegen, so freÿ ledig eigen und durch vorgedachten herrn Lohner und die Herren Werckmeister inhalt obigen Abschatzung Zeduls angeschlagen pro 75 lb. Mithin zu disortige helffte 37. 10. Die übrige Halffte dieser behausung ist denen beeden noch lebenden Frauen Töchtern vor vätter und dem Enckel im nahmen seiner mutter seelig von mütterlich guth zu gleichen antheilern eigenthümlich zuständig. Über die völlige behausung meldet laut perg: Ganth-Kaufbrief mit E.E. Kl. Raths anhang. Ins. verw. dedato 4.ten Aprilis A° 1731
([in margine :] hat Fr. Vogtin erhalten)
(f° 110) Item die Erblehens gerechtigkeit oder Dominum utile einer behausung, Schopff scheur und stallung ane St. Aureliæ Gaß (…)
Antheil ane I. Landguth. Neml. 25-192. theil vor ohnvertheilt von und ane i. Landgut das Schnackenloch oder von alters hero das Schaumannsbrüchlein genannt (…)
Garthen. Neml. Ein Garthen so anderthalb acker groß, darunter 3. Vierztel eigen und dreÿ Viertzel lehen, außer allhießiger Statt dero weißenthurn an der Cartheußer werb Kghb. (…)
(f° 21) antheil ane einer Scheur. 1/5. theil Von und ane einer Scheur auch allen deren zugehörden und gerechtigkeiten allhier gegen dem fort blanc über (…)
(f° 30) das Zweÿte Stücklein gegen Hn Marchal Garthen in dem Fridolsheimischen Garthen, so 4. Ar. groß unterhalb der Spithal mühl Vor dem Judenthor (…)
Abzug gegenwärtigen Inventarii, Sa. hausraths 276, Sa. Schif und geschirrs zum Feld u. Ackerb. gehörig 85, Sa. Pferd s. deren geschirrs wie auch rind: und andern viehes 152, Sa. deren Früchten auf der Kast 37, Sa. deren Früchten in der Scheur 101, Sa. Tabacks 230, Sa. Hanfs 30, Sa. Zwiblen und Knoblauchs 21, Sa. Heu, ohmay und Strohs 34, Sa. der beßerung im Hof und auf dem feld 72, Sa. blumen auf dem feld 39, Sa. Wein und Faß 555, Sa. Silbers 4, Sa. Goldener Ring 8, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 2215, Sa. Eigenthums ane Häußern 1729, Sa. antheils ane einer Scheur 23,, Sa. antheils ane einem Landguth 144, Sa. eines garthen 120, Sa. Eigenthums ane liegende güthern 2408, Sa. beßerung ane lehengüthern 22, Sa. Schulden in das Erb zugeltend 60, Summa summarum 8473 lb – Schulden aus dem Erbe zu bezahlend 478 lb – Stall summ 7183 lb
Copia Testamenti solemnis inscripti
Abschatzung vom 25.ten Januarÿ 1755. Auf begehren weiland Fraun Annä Heÿdelin gebohrner Riehlin seelig hinterlassener Erben ist eine behausung allhier in der Renngaß beÿ dem Armensünderhaus gelegen, einseit neben Hanns Rinck, anderseit neben diebold Lix und hinten ebenfalls auf beÿde vorhergemelte stoßend, Solche behausung bestehet in zweÿen stuben, zweÿ Küchen, einer Stub kammer und etlichen Hauskammern, darüber ist der Dachstuhl mit breitziegeln belegt, hat auch einen getrehmten Keller, Von uns der unterschriebenen der Stadt Straßburg geschwornen Werckmeistern, nach vorhero beschehener besichtigung mit aller ihrer Gerechtigkeit dem jetzigen wert nach, æstimirt und angeschlagen vor und um Ein hundert Fünffzig Gulden (…)
Der dritte Begriff ist auch allhier in der Stadt Straßburg in der Seelosgaß gelegen, ein seit neben denen Erben selbsten anderseit neben Michael Reÿbels andresen sohns wittib und hinten auf Herrn Oberlin den Sattler stosend, Solche behausung bestehet in Zweÿen Stuben, Zweÿen Küchen, einer Stub kammer und etlichen Hauskammeren. Darüber ist der dachstuhl mit breit Zieglen belegt, hat auch zween getrehmte Keller, Ferner befindet sich dabeÿ eine Scheur, schopf, und Stallungen gemeinschaftlicher bronnen und hoff, von uns den unterschriebenen der Stadt Straßburg geschwornen Werckmeistern nach vorherig geschehener besichtigung mit aller ihrer Gerechtigkeit dem jetzigen werth nach æstimirt und angeschlagen worden vor und um 500 Gulden (…) [unterzeichnet] Jacob Biermeÿer Lohner, Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Werner Werckmeister

Fils de Jean Thiébaut von Fridolsheim et de Marie Drens, Jacques von Fridolsheim épouse en 1757 Anne Kauffer, fille du jardinier Jean Kauffer : contrat de mariage, célébration
1757 (16.11.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1224) n° 588
Eheberedung zwischen dem Ehrsamen und bescheidenen Jacob Von Fridolßheim, leedigem gvw. und b. dahier weÿl. Hanß Diebold Von Fridolßheim, gew. GVW und burgers dahier, mit auch weÿl. fr: Maria geb. Drenßin, nun beeder seel. ehelich erzeugtem Sohn, alß dem hochzeiter, unter assistenz H. Jacob drenß, GVW. und b. dajier seines Vettern, ane einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jgfr. Annä Kaufferin, weÿld. Johannes Kauffer gew. GVW. und burgers dahier mit auch weÿl. Fr. Anna geb. Federlin nun beeder seel. ehelich erzeugter Tochter, alß der Jgfr. hochzeiterin beÿständlich Hn Rathh. Theobald Von Fridolßheim und Andreæ Federlin beeder gvw. ihrer respe. Vettern und vogts, am andern theil gepflogen
Endlichen und Zum Siebenden, hat der hochzeiter seiner geliebten Jgfr. Braut wohlmeinand Zu gestanden und Verwilliget Wann Er dem willen Gottes nach Vor Ihro dießes Zeitliche gesegnen würde, daß Sie so dann seine allhier Zu Straßburg ane der Seelosgaß gelegene behaußung, hoff, hoffstatt, Scheur und stallung mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weiten, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten einseit neben H. Johann Friderich Vogt dem holtzhänder ehevögtl. weiß, 2.s neben weiland Andreas Lix Hanßen S. gew. Guw. Erben, hinten auf weÿl. Hn Oberlin, deß geweßten Sattlers seel. Verlaßenschafft stoßend gelegen, so über 5. ß dem Stifft hoher Schul Zu geben habenden Bodenzinß gegen männiglich leedig und Eigen Zu besitzen, Zu bewohnen, Zu nutzen und Zugenießen berechtiget
So beschehen Straßburg Mittwochß den 16.ten 9.bris A° 1757.
[unterzeichnet] + des hochzeiteres handzeichen, Anna Kaufferin

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 225-v n° 22)
1757. Auß special erlaubnuß Ihro Gnaden Regirenden Herrn Ammeisters sind den 2. v. 3.ten advent. außgerufen und Mittwoch den 14. Decembr. copulirt worden, Jacob von Fridolßheim der burg. v. gartner, weÿland Theobald von Fridolßheim deß burg. v. Gartners nachgelaßener ehl. Sohn und Jgfr. Anna weil. Hanß Kaufers deß burg. v. Gartners nachgel. tochter [unterzeichnet] + Jacob von Fridolßheim alß hochzeiter, Als hochzeiderin Anna Kaufferin (i 232)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari (non décomptée). Les apports du mari s’élèvent à 478 livres sans la maison, ceux de la femme à 124 livres.

1758 (19.1.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1174) n° 1091
Inventarium über des Ehrsam und bescheidenen Jacob von Fridolßheim GVW. und der Ehren und tugendsamen Frauen Annä von Fridolßheim gebohrener Kaufferin, beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen aufgerichtet in Anno 1758. (…) welche der ursachen, alldie weilen in Ihrer vor mir Notario den 16.ten 9.bris erstgemelten jahrs auffgerichteten Eheberedung §° 4.to wohlbedächtlich abgeredet und Verglichen, daß einem jeden sein in die Ehe bringendes Vermögen, Ihme und seinen Erben vor ohnverändert verbleiben solle – So beschehen Straßburg Donnerstags den 19.ten Januarÿ A° 1758 in fernerem beÿseÿn H. Andreä Federlin gvw und brs allhier der Ehefr. noch ohnentledigten Vogts

In einer allhier Zu Straßburg dero Vorstatt unterwagnern ane der Seelos gaß gelegenen dem Ehemann zugehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthum ane einer Behaußung (M.) Nembl. Eine Behausung, hoff, hoffstatt, Scheur und Stallung wie auch gemeinschafft eines Bronnens mit allen deren gebäuden, begriffen, weiten, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg dero Vorstadt unterwagnern ane der Seelosgaß, j.s. neben h. Joh: Friderich Vogt dem holtzhändler und b. dahier, ehevögt. weiß, 2.s neben weÿl. Andres Lix Hanßen S. gew. guw. seel. Erben, hinten auf weÿl. H Johann Jacob oberlin, des Sattlers und b. allhier seel. Verlassenschafft stoßend gelegen, davon man jährl. der hohen Schuhl allhier 5. ß ane bodenzinß Zu reichen Verbunden, sonsten gegen männiglich freÿ leedig und eigen. Darüber besagt i. teutscher perg. Kfbr. mit der St. Str. C. C. Stb. anh. Ins. verwahrt, datirt den 31. Aug. A° 1658. mit altem Lit. A. bemerckt. Ferner j. perg. Vergleich und Verzugsbrief wegen i.s Naas mit vorgemelter St. St. anh. Ins. bestärckt deßen datum der 3. Aprilis A° 1612., auch mit altem Lit. A. signirt. Welche briefschafften Vorgedachter Hr Johann Friderich Vogt in Verwahrung hat Und hat Er der Ehemann solche behausung und dero Zugehörde von weÿl. Fr. Anna gebohrner Riehlin letztmahls H. Abraham Heÿdels gvw. und burgers dahier geschiedener Ehefr. seel. legats weiße erhalten.
(f° 12) Series Rubricarum hujus Inv. Des Ehemanns Vermögen betr. Sa. haußraths 102, Sa. Schiff und geschirrs zum fled und Ackerbau gehörig 41, Sa. Pferd samt deren Geschirrs 102, Sa. Früchten auf der Kast 72, Sa. Tabacks 53, Sa. Zwieblen 7, Sa. Heu, Ohmat & Strohs 28, Sa. Beßerung im Hof und auf dem feld 27, Sa. Silbers 2, Eigenthum ane einer Behaußung (-), Eigenthum ane liegenden Güthern (o), Summa summarum 468 lb – Haussteuren 9, Des Ehemanns eigenthümbl. Vermögen 478 lb
Dießemnach wird auch der Ehefr. in die Ehe gebrachtes Guth consignirt und beschrieben, Sa. haußraths 96, Sa. beßerung auf dem Feld 5, Sa. Silbers 2, Sa. goldener Ring 4, Sa. baarschafft 4, Sa. blumen auf dem feld 7, Eigenthum ane liegenden Gütheren (o), beßerung ane Lehen Güthern (o), Summa summarum 120 lb – Haussteuren 9, So wäre der Ehefrn. eigenthümlich Guth, so viel davon geschätzt u. angeschlagen worden 130 lb – Schulden 6, Nach deren Abzug 124 lb

Jacques von Fridolsheim et sa femme Anne Kauffer font donation de la maison à leur fils Jacques lors de son contrat de mariage en s’en réservant la jouissance leur vie durant.
Jacques von Fridolsheim épouse Marie von Fridolsheim, veuve de Thiébaut Schott le plus jeun
e

1779 (18.5.), Not. Stoeber (6 E 41, 1260) n° 63
Eheberedung – persönlich erschienen Jacob von Fridolßheim led. gvw. Jacob von Fridolßheim gvw. mit Fraun Anna geb. Kauferin ehelich erzeugter Sohn als Hochzeiter unter authorisation solchen deßen Vaters an einem
Sodann Frau Maria Schottin gebohrene von Fridolßheim, weiland Diebold Schott des jüngern gew. guw. u. bre. allhier hinterbliebene Wittib, beÿständ. herrn Abraham von Fridolßheim gvw. u. EE. grosen Raths alten wohlansehnlichen beÿsitzers der geehrtesten Oncle als hochzeiterin an dem andern theil
Zum Siebenden, will des hochzeiters Vater demselben eigenthümlich verschreiben und Zuwenden die allhier Zu Straßburg dero Vorstadt unterwagnern an der Seelosgaß gelegene behaußung, Hof, Hofstatt, Scheur, Stallung mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weiten, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten einseit neben weiland H. Johannes Lix andresen Sohn des mittlern gvw. Erbin, anderseit neben H. Johann Friderich Vogt des holtzhändlers Ehefraun hinden auf Andreas Renchert guw. und Consorten stoßend gelegen, davon man jährl. der hohen Schuhl 5 ß Zu geben verbunden sonsten über den Vingt° ledig eigen, jedoch so daß der hochzeiter verbunden seÿn solle, nach beeder Eltern tod, da ihme der besitz solcher behausung erst zu kommt, 2000 Gulden in die elterliche verlaßenschafft Zu conferiren, woran ihme selbsten sein Erbentheil zu gut komen solle (…)
Straßburg Dienstags den 18. Maÿ A° 1779 [unterzeichnet] Jacob Von Friedols heim als hochzeiter, Anna Maria schotttin als hochzeirin

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 207)
Anno 1779 Mittwoch den 2. Junÿ seind nach ordentlichen festo Pentec. et festo S.S. Trinit. geschehenen Proclamationen in den Heil. Ehestand eingesegnet worden Jacob von Fridolsheim der ledige Gartner allhie Jacob von Fridolsheim Gartner Unterw. und burgers allhie ehel. Sohn und Fr. Anna Maria gebohrene von Fridolsheim weÿl. Theobald Schott jun. deß geweßenen Gartner Unterw. und burgers allhie hinterl. wittib [unterzeichnet] Jacob von Frid ols heim als hochzeiter, Anna Maria schottin als hochzeiterin (i 215)

Jacques von Fridolsheim et Marie von Fridolsheim font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison Schott au Marais Kageneck. Ceux du mari s’élèvent à 148 livres sans la maison, ceux de la femme à 2 882 livres.
1779 (7.7.), Not. Stoeber (6 E 41, 1239) n° 145
Inventarium über des Ehrenachtbaren Jakob von Friedolsheim, des jüngern GVW und der Ehren und tugendbegabten Fraun Mariæ von Friedolsheim geborener von Friedolsheim, beder Eheleute und Burgere alhier einander in den Ehestand Zugebachte Nahrungen, aufgerichtet Anno 1779; in ihrem Mittwochs den 2. junÿ jüngst angetrettenen Ehestand (…) in ihren Mittwochs den 2.ten Junii jüngst angetrettenen Ehestand Zugebracht. Welche der Ursachen, aldieweil in ihrer vor mir Notario den 18. May lezthin aufgerichteten Eheberedung, Paragrapho tertio verabredet worden, daß alles dasjenige, so sie einander in din Ehestand Zubringen werden, einem Jedem und seinen Erben ein unverändert und vorbehalten Gut seÿn solle – So geschehen in beiseÿn Jakob von Friedolsheim des ältern GUW. und Fraun Annä geb. Kauferin beder Eheleuten, des Ehemanns geliebter Eltern und Hn Andreä Lix des ältern auch G. allda und b. alhier, der Ehefraun Schwagers und erbettenen Beistands, Strassburg Mittwochs den 7.ten Julii 1779.

In einer alhier zu Straßburg dero Vorstadt Unterwagnern in dem Kagenecker Bruch gelegenen Eingangs gemeltem Hn. Rathherrn Schott Zuständigen und diesorts Lehnungs Weiße bewohneden Behausung befunden worden, wie folgt
liegende güther 21 stück, beßerung ane lehengüthern 5 stück
(f° 14) Norma hujus inventarii, des Ehemanns eingebrachten Vermögen, Sa. hausraths 13 lb, Sa. Pferd und deßen Geschirrs 63 lb, Sa. Früchten auff der Kast 25 lb, Sa. Silbers 8 lb, Summa summarum 111 lb – Haussteuren 37 lb, des Ehemanns eingebrachres Vermögen 148 lb
Diesemnach wird der Ehefrau eingebrachtes Gut verzeichnet Sa. hausraths 244 lb, Sa. Schiff u. Geschirr zum Feld und Ackerbau 47 lb, Sa. Hand u. Scheuren geschirrs 9 lb, Sa. Pferd s. Geschirr 83 lb, Sa. Frucht auf der Kast u. Meel 16 und 16 lb, Sa. Heu und Stroh 30 lb, Sa. Holz und Wellen 4 lb, Sa. Wein 15 lb, Sa. Silber Geschmeids 11 lb, Sa. goldener Ring 7 lb, Sa. Baarschaft 213 lb, Sa. Capitalien 2300 lb, Sa. Blumen auf dem Feld wie auch Garten waaren 199 lb, Sa. Beßerung auf dem Feld 125 lb, liegende güther &, Lehen Güter & Summa summarum 3324 lb – Schulden 478 lb, Nach deren Abzug 2845 lb, Haussteuren 37 lb, unverändertes Gut 2882 lb
Wÿdems Verfangenschaft Welche Frau Margaretha geb. Riehlin dermalen Andreas Nortz, des jüngern GUW u. b. alh. Ehefrau der disortigen Ehefrau Stief Mutter lebtägig zu geniesen hat

Fille d’Abraham von Fridolsheim et de sa première femme Anne Barbe von Fridolsheim, Marie von Fridolsheim épouse en 1770 Thiébaut Schott auquel son père fait donation d’une maison au Marais Kageneck : contrat de mariage, célébration
1769 (9.11.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1226) n° 893
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen der Ehrsam und bescheidene Diebold Schott lediger Gartner des Wohl Ehrenvesten und Vorachtbahren Herrn Theobald Schott gvw. und E. E. kleinen Raths alten beÿsitzers wie auch wohlverdienten Kirchenpflegers zu St Aureliæ auch burgers allhier mit der Viel Ehren und tugendsamen Fraun Salome gebohrener Drenßin ehelich erzeugter Sohn, als Hochzeiter unter assistentz seines gedachten Herrn Vatters, ane einem,
So dann die Ehren und Tugendsamen Jungfrau Maria von Fridolßheim weiland Herrn Abraham von Fridolßheim Hrn. Abraham Sohns geweßenen Gartners unterwagnern und burgers dahier in erster Ehe mit auch weiland Fraun Anna Barbara geb. von Fridolßheim nun beeder seelig ehelich erzeugte Tochter als Hochzeitherin

Endlichen und Zum achten haben des Hochzeithers geliebte Eltern demselben noch ferner zustanden und verwilliget, daß Er hochzeiter und die seilige die mütterliche an dem Kagenecker bruch gelegene Behausung als welche nach der Fraun Mutter Absterben Ihme Hochzeiter als ein grosväterlich Legat zukommt
Straßburg Donnerstags den 9. Novembris Anno 1769, in des Hochzeiters vätterlichen behausung
unterzeichnet Dieboldt Schott als hochzeiter, Maria Von friedoß heim als hohzeireinn

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 95 n° 5)
Anno 1770 Mitwoch den 28. Februarÿ seind nach ordentlichen Dominica Sexagesima et Quinquagesima geschehenen Proclamationen in den Heil. Ehestand eingesegnet worden Theobald Schott der leedige Gartner allhie H. Theobald Schott E. E. Großen Raths Wohlmeritirten beÿsitzer und burgers allhie ehel. Sohn und Jgfr. Anna Maria von Fridolsheim weÿl. H. Abraham von Fridolsheim geweßenen Gartner unterw. und burgers allhie hinterl. ehel. tochter [unterzeichnet] diebold Schott als hochzeiter Anna Maria Von fridolß heim als hochzeiterin (i 100)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison de son père au Marais Kageneck. Ceux du mari s’élèvent à 375 livres sans la maison, ceux de la femme à 2 656 livres.
1770 (30.5.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1213) n° 1703
Inventarium über des Ehrsam und bescheidenen Diebold Schott des jüngern gew. gvw. und der Ehren und tugendsamen Frn. Mariä Schottin geb. von Fridolßheim beeder Eheleute und Burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, aufgerichtet Anno 1770. (…) einander in Ihrem Mittwochs den 28.ten Februarÿ jüngst angetrettenen Ehestand Zugebracht, Welche der Ursachen, aldieweilen in ihrer vor mir Notario den 9.ten 9.bris des abgewichenen 1769.sten Jahres auffgerichteten Eheberedung S° 4.to unter andern wolbedächtlich abgeredt und verglichen, daß alles dasjenige, so Sie einander in den Ehestand Zubringen werden, einem jeden und seinen Erben ein frei ohnverändert vnd vorbehalten Gut seÿn und bleiben solle. – So geschehen in persönlichem beiwesen Hrn Theobald Schott gvw. und E. E. Grosen Raths dermalen wolverdienten beisitzers auch Kirchenpflegers Zu St. Aureliä des Ehemanns eheleiblichen Hrn Vaters wie auch Hrn Johs. Lix Andresen Sohns des mitlern gvw. und brs. dahier, der Ehefrn. Hrn Oncle und noch ohnentledigten Hrn Vogts Straßburg Mittwochs den 30.sten Maji Anno 1770.

In einer allhier Zu Straßburg dero Vorstadt unter Wagnern an dem Kageneckerbruch gelegenen des Ehemanns mit Verlühen* behausung befunden worden wie volgt
(F.) 1/3.ter Theil von und ane 1/3.theil, das ist 1/6.t theil eines vormaligen Gartens auserhalb Stadt Straßburg (…)
Wittums Verfangenschaft, Welche Fr. Margaretha geb. Riehlin ermalen Andres Nortz des jüngern gvw. und brs alhie Ehefr. der diesortigen ihro Stief Mutter lebtägig zu genießen berechtiget ist. In Krafft der Zwischen deroselben und deren Vatter selig. vor mir Notarii den 28.sten Maji A° 1757. auffgerichteten Eheberedung §° 7.mo hat Er Ihro in lebtägigen Wittums: Genuß concediret (…)
(f° 13) Abzug gegenwärtigen Invÿ. Des Ehemanns Vermögen, Sa. haußraths 14, Sa. schiff und geschirr Zum feld und Ackerbau gehörig 23, Sa. Pferd u. deren Geschirrs 33, Sa. Früchten auf der Kast 42, Sa. heu und Stroh 14, Sa. Weins 4, Sa. Silbergeschmeids 14, Sa. Leerer faß 4, Sa. Bluhmen auf dem feld 13, Sa. Beßerung auf dem feld 28, Summa summarum 319 lb – Haussteuren 56, Des Ehemanns Vermögen 375 lb
Dießemnach wird auch der Ehefr. in den Ehestand gebracht guth consignirt und beschrieben, Sa. haußraths 197, Sa. Silbergeschmeids 11, Sa. goldener Ring 6, Sa. Baarschafft 86, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 300, Sa. Bluhmen auf de feld 9, Sa. Beßerung auf dem feld 4 , Eigenthum ane liegender güter, Beßerung ane liegender lehen gütern, Sa. der activ schuld 1, Summa summarum 2617 lb – Haussteuren 56, So wäre Ihr der Ehefr. in den Ehestand gebrachtes und angeschlagenes Guth benandl. 2673 lb – Schulden 16, Nach deren Abzug 2656 lb

Thiébaut Schott meurt en 1777 en délaissant un fils et un enfant posthume. La masse propre à la veuve est de 2 584 livres, celle propre aux héritiers de 177 livres. L’actif de la communauté s’élève à 322 livres, le passif à 638 livres.
1778 (27.1.), Not. Stoeber (6 E 41, 1238) n° 91
Inventarium über Weiland des Ehrenachtbaren Diebold Schott des jüngeren gewesenen Gartners unter wagnern und Burgers allhier Verlaßenschafft aufgerichtet Anno 1778 verlassenschafft – nach seinem donnerstags den ii. Sept. des abgewichenen 1777.gst Jahrs aus dieser welt genommenen tödl. Hintritt Zeitl. verlaßen, welche verl. auf geb. Ansuchen, Erfordern u. Begehren der Ehren u. tugendsamen Frauen Mariä Schottin geb. v. Fridolßheim der hinterblieb. Wb. unter Assistentz H. Andreä Lix des ältern GvW. u. Brs. allh. den sie ane Vogststatt hierzu angesprochen, wie auch des Abgeleibten mit ihre der Wittib erzeugten Söhnleins Nahmens Daniel so den 4.t Weinmonat 1772 zur Welt gebornen als ab intestato nebst dem unter der Wb. Herzen liegenden Posthumo verlaßener Erben geordneter u. geschwornen Vogts H. Michael Voltz GvW. u. Brs allh. inventirt und ersucht – So geschehen Straßburg Dienstags d. 27. Jan: 1778.

In einer allhier zu Straßburg dero Vorstadt Unterwagneren ane dem Kagenecker bruch gelegenen des Verstorb. Herrn Vater zuständigen u. dißorts Lehnungsweiße bewohnenden Behausung befunden worden wie folgt
Ergäntzung der Fraun wittib abgegangenen ohnverändertn Guths. Nach Anleitung des über beeder nun zertrennter Eheleut einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen durch weil. H. Not. Joh: Daniel Stöber seel. d. 30. Maÿ 1770 auffgerichtet. Invent.
liegende güther (18 stück)
beßerung ane lehengüthern (5 stück)
Norma hujus inventarÿ. Der Wittib ohnverändert Vermögen, Hausrath 29 lb, Silbern Geschmeids 3 lb, Goldener Ring 2 lb, Baarschafft 1 lb, Pfenningzß. u. derer Hauptgüter 1800 lb, Eigenthum ane liegenden Güthern 520 lb, Beßerung ane lehengüthern 1 lb, activ Schuld 75 lb, Erg. rest 152 lb, Summa summarum 2584 lb
Dießemnach wird auch der Erben ohnverändert Gut taxirt und beschrieben, Hausrath 34 lb, Schiff und Geschirr 14 lb, Silbern Geschmeids 3 lb, Baarschafft 1 lb, Erg: rest 200 lb, Summa summarum 252 lb – Schulden 75, Nach deren Abzug 177 lb
Endlichen wird auch das gemein verändert und theilbar Gut specificirt und beschrieben, Hausrath 35 lb, Schiff und geschirr zum Feld u. Ackerbau gehörig 9 lb, Pferd s. deren Geschirr 34 lb, Fruchten auf der Kast 75 lb, Taback 58 lb, Heu und Stroh 11 lb, Zwiebel und Knoblauch 3 lb, Weins 2 lb, Silbers 6 ß, Goldener Ring 1 lb, Sa. activorum 57 lb, Blumen auf dem Feld 11 lb, Beßerung auf dem Feld 22 lb, Summa summarum 322 lb – Schulden 638 lb, Theilbar Passiv Onus 315 lb – Stall summ 2029 lb
Copia der Zwischen beeden geweßten Eheleuten zur Zeit ihrer Verheurathung auffgerichteter Eheberedung. (…) Straßburg Donnerstags d. 9. nov. 1769.
Wÿdems Verfangenschaft welche Frau Margaretha geb. Riehlin dermahlen Andreas Nortz des jüngern Gvw. u. brs. allhier Ehefrau der Wb. Stiefmutter lebtägig zu genießen berechtiget ist

Compte que rend Michel Voltz à son pupille Daniel Schott, fils de Thiébaut Schott et de Marie von Fridolsheim, remariée avec Jacques von Fridolsheim
1791, Not. Stoeber (6 E 41, 1266) n° 119
Rechnung deßen So ich Michael Volz Gartner und burger allhier als Vogt weiland H. Diebold Schott gew. Gartners und burgers allhier mit Fraun Maria geborner von Fridolsheim dermalen H. Jacob von Fridolsheim des Jüngern Gartners u. brs. allhier Ehefraun erzeugten Sohns Daniel Schott, so den 4. Weinmonat 1772. Zur Welt gekommen seit A. 1777. als des Curandi Vaters absteben bis Weÿhnachten 1791 verrichtet eingenommen u. ausgegeben habe – Erste Rechnung dießer Vogteÿ

Anne Kauffer veuve de Jacques Fridolsheim meurt en 1805 en délaissant deux enfants. Son fils réunit ainsi la jouissance de la maison à sa nue-propriété.

1805 (14 floréal 13), Strasbourg 7 (21), Not. Stoeber n° 2038, 6536
Vente de meubles par les héritiers d’Anne Kauffer veuve de Jacques Fridolsheim rue dite Seelosgass N° (-) – à la requête de Jacques Fridolsheim jardinier et Salomé Fridolsheim femme d’Abraham Fridolsheim jardinier héritiers de leur mère décédée le 24 germinal dernier
total de la vente 450 fr, reste 369 fr après déduction des frais
Partage des terres 9 pièces, tenus à bail 8 pièces, total de la masse 4851 fr

Jacques de Fridolsheim meurt en 1832 en délaissant deux filles. Il légue sa maison rue Déserte à Marguerite de Friedolsheim, veuve du jardinier cultivateur Thiébaut Schott

1832 (21.1.), Strasbourg 10 (85), M° Zimmer n° 1192
Inventaire de la succession de Jacques de Friedolsheim, jardinier cultivateur décédé le 13 août dernier – à la requête de 1. Marie de Friedolsheim veuve en premières noces de Jean Thiébaut Schott le jeune, jardinier cultivateur, veuve en secondes dudit Jacques de Friedolsheim, jardinier cultivateur, avec lequel elle était commune en biens suivant contrat de mariage reçu Stoeber père notaire à Strasbourg le 18 mai 1779, et des enfants héritiers du Sr de Friedolsheim, 2. Marie de Friedolsheim femme de Christophe Müntzer ancien boucher, 3. Marguerite de Friedolsheim veuve de Thiébaut Schott, jardinier cultivateur – Testament olographe du 15 juin 1830 enregistré le 19 août F° 82 -en la demeure du défunt rue Déserte n° 8

reprises en nature, 4,15 arpents de jardin partagé en 15 lots dont celui appartenant à D° veuve est le 6° à partir de la haie, d’un côté la veuve Jean Wunder, de l’autre le Sr Walter jardinier, derrière Jacques Schoellhammer, devant le jardin du ci devant moulin Hetzel. Titres antérieurs des pièces susdésignées, partage du 15 décembre 1783, contenance totale environ 3 ha 25 ares 64 ca
maison à Strasbourg, a laissé à titre biens propres une maison sise en cette ville rue Déserte mais en vertu du Testament olographe il a légué cette maison à la veuve Schott pour 4000 fr
acp 207 (3 Q 29 922) f° 194-v du 24.1. garde robe 32, meubles de la communauté 1100
acp 215 f° 89 du 24.1. (vacation du 29 janvier 1833) communauté, céréales 381, créances 2542, total du mobilier 4025
Immeubles 27,50 ares terre et pré ban de Strasbourg, évalués à un capital de 1600, total de l’actif 5625 – Passif y compris remploi à la veuve 16.252 francs
masse pour à la veuve de Fridolsheim, objets mobiliers et immeubles 14.269 mais elle doit récompense à la communauté 947, reste 13.321. Après avoir absorbé toute la communauté la dite veuve a encore à répéter contre la succession de son mari 7695
la masse pour du défunt se réduit à un ha 42 ares 50 de terres labourables en 8 pièces, 3850, il a été vendu depuis le décés dudit défunt 13 ares 42 de terre à Schiltigheim pour 325, la veuve a prélevé suivant transaction devant M° Zimmer le 5 janvier 1833 dix ares de terre ban de Strasbourg
Cette succession comprend de plus en propre une somme de 4000 francs que la veuve Schott fille du défunt a à y verser pour prix de sla maison propre au défunt qu’il lui a léguée a avec cette condition par son testament olographe du 15 juin 1830 enregistrée le 19 août 1831. Divers autres immeubles ont été légués à ladite veuve Friedolsheim par le même testament à charge de remplir les conditions onéreuses à lui imposées par le contrat d’acquisition qu’il en a faite de la D° Fridolsheim sa sœur par devant M° Grimmer notaire le 30 décembre 1807. – Total de la succession 8175 francs
Par contrat de mariage, abandon à la veuve de Jacques de Fridolsheim departs dans les biens meubles et immeubles de la communauté ci dessus indiqués dont la valeur en total est de 5625 francs
Dettes passives à payer à différents particuliers 2694, meubles propre au défunt 3850, vente de la terre à Schiltigheim 825, total 6869. De cette manière les prétensions de la veuve de Fridolsheim se réduisent à 6451 et elle y renonce expressément
Partage de ladite succession

Transaction entre les héritières
1833 (5.1.), Strasbourg 10 (87), M° Zimmer n° 1439
Transaction – 1. Marie de Friedolsheim veuve en premières noces de Thiébaut Schott le jeune veuve en secondes noces de Jacques de Fridolsheim les deux jardiniers cultivateurs, Contrat de mariage reçu M° Stoeber le 18 mai 1779, 2. Marie de Friedolsheim femme de Christophe Muntzer, ancien boucher, 3. Marguerite de Friedolsheim veuve de Thiébaut Schott, jardinier cultivateur, les deux dernières seules et uniques héritières pour moitié de la succession de Jacques de Friedolsheim leur père, Marguerite de Friedolsheim en outre légataire universelle et particulière suivant testament olographe du 15 juin 1830 enregistré le 19 août 1831 f° 82 déposé pour minute à M° Zimmer
le défunt a légué en outre à la veuve Schott en vertu du même Testament sa maison sise en cette ville rue Déserte n° 8 à charge de payer 4000 fr
délivrance Marguerite de Fridolsheim du legs particulier – renonciation pure et simple par Marguerite de Friedolsheim au legs universel et s’en tenir au legs particulier
Enregistrement de Strasbourg, acp 214 f° 198 du 9.1.

Marguerite Fridolsheim épouse Thiébaut Schott en 1809

1809 (17.6.), Strasbourg 7 (29), Not. Stoeber n° 2036, 9110
Contrat de mariage – est comparu en personne le Sr Thiebauld Schott, garçon cultivateur, fils de feu le Sieur André Schott fils de Thiebauld vivant Jardinier en cette ville et de feu D° Salomé Schott sa veuve autorisé du Sr Daniel Schott, cultivateur en cette ville, son tuteur,
et Dlle Marguerite Fridolsheim, fille majeure d’ans du Sr Jacques Fridolsheim Cultivateur en cette ville et de D° Anne Marie Fridolsheim ses père et mère, agissant sous l’authorité dudit son pere
Fait lu passé et interpreté en langue allemande à Strasbourg ce 17 juin 1809 (signé) diebold Schott als Hochzeitter, Margreda Früdolsheim als braut
Enregistrement, acp 112 F° 62 du 27.6.

Inventaire des apports
1811 (7.2.), Strasbourg 7 (27), Not. Stoeber n° 2369
Inventaire des apports de Thiébaut Schott cultivateur et de Marguerite Fridolsheim, suivant leur Contrat de mariage dressé le 17 juin 1809
dans la maison petite rue de la course n° 11
la femme, meubles 896 fr, bijoux 27 fr, grains 120 fr, cheval 144 fr, numéraire 36 fr, paille 30 fr, bois de chauffage 6 fr, semailles 139 fr, ensemble 1398 fr
le mari, meubles 174 fr, argenterie 75 fr, gains 268 fr, fagots 6 fr, semailles 71 fr, numéraire 250 fr, immeubles non estimés, total 844 fr
maison, le tiers indivis d’une maison, cour, grange, écurie, puits et petit jardin avec appartenances et dépendances sise en cette ville au fauxbourg blanc vis à vis la rue d’aurelie, d’un côté les héritiers de Jean Frédéric Pfeffinger brasseur de l’autre les héritiers Strohl aboutissant sur les mêmes -dont on doit à la fondation des hautes écoles 2 fr par an – acquis à la Chambre des Contrats le 18 octobre 1717 et transaction à ladite chambre le 13 juillet 1698, les deux autres tiers appartiennent à André Schott et Daniel Schott ses deux frères
biens ruraux en 21 pièces à Strasbourg, à Schiltigheim en 1 pièce, à titre de bail 9 pièces
Enregistrement, acp 116 F° 112-v du 13.2.

Thiébaut Schott meurt en 1819 en délaissant trois enfants
1819 (16.10.), Strasbourg 4 (49), Not. Stoeber aîné n° 4820
Inventaire de la succession de Thiébaud Schott, jardinier cultivateur décédé le 8 août dernier – à la requête de Marguerite Fridolsheim la veuve, commune suivant contrat de mariage reçu Stoeber notaire en cette ville le 17 juin 1809 en son nom et comme mère et tutrice légale de Marguerite âgée de 8 ans, Thiébaut âgé de 7 ans et Salomé âgée d’un an – en présence de Daniel Fridolsheim, jardinier cultivateur demeurant rue Déserte n° 7 subrogé tuteur
dans la maison rue Déserte n° 8
propres, meubles 123 fr, argenterie 44 fr, garde robe 105 fr, ensemble 272 fr, immeubles 276 ares 25 en 17 pièces estimés 4320 fr, à Schiltigheim 400 fr, remploi 3042 fr, ensemble 7862 fr
le 6° indivis d’une maison, cour, grange, écurie, jardin, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue Fauxbourg Blanc n° 24, d’un côté Abraham Odino et la veuve André Schott, de l’autre la maison curiale de Ste Aurélie, derrière rue Ste Aurélie – de la totalité de la maison on paye à l’hôpital civil annuellement 8 fr, échue dans la succession de Salomé Wunderer veuve d’André Schott jardinier, sa mère et Marguerite Fridolsheim veuve de Thibaut Wunderer jardinier grand mère a la jouissance viagère par contrat de mariage reçu Stoeber le 29 décembre 1785 estimé 1000 fr
propres de la veuve, meubles en nature inventaire M° Stoeber 7 février 1812, dettes actives 300 fr, remplacement 418 fr
communauté mobilier 1306 fr, 20 ares de prés 300 fr, ensemble 1609 fr, passif 5885 fr
rectification masse du défunt 6595 fr, déduire 300 fr, reste 6295 fr, communauté 1585 fr, dettes 2846
Enregistrement, acp 145 f° 1 du 23.10.

Marguerite de Friedolsheim, veuve de Thiébaut Schott hypothèque la maison au profit de la Caisse des veuves des ministres protestants de la confession d’Augsbourg

1840 (5.12.), Strasbourg 10 (97), Me Zimmer n° 3780
5. Decembre 1840. Obligation – a comparu D° Marguerite de Friedolsheim, demeurant à Strasbourg, veuve du Sieur Thiebaut Schott, jardinier cultivateur, laquelle reconnaît devoir bien & légitimement
à la Caisse des veuves des ministres protestants de la confession d’Augsbourg, en la ville de Strasbourg, cette caisse administrée & représentée actuellement par M. Chrétien Théophile Kopp, ministre du culte protestant près la paroisse évangélique de Ste Aurélie à Strasbourg, demeurant en cette ville, à ce présent et acceptant, au profit de cette caisse, la somme de 4000 francs pour prêt de pareille somme
hypothèque, savoir 1° Une Maison, avec cour, grange, écurie, et tous autres appartenances & dépendances, située à Strasbourg, rue deserte N° 8, entre Daniel Friedolsheim & la veuve Eissenbeis, par derrière M Abraham Heidel
2. section H XIV N° 3 (…)
Ces immeubles appartiennent à la D° veuve Schott savoir, les articles premier, deux, quatre et cinq pour lui avoir été légués par son père le Sr Jacques de Friedolsheim, en son vivant jardinier cultivateur à Strasbourg, suivant testament olographe du 15 juin 1830, enregistré à Strasbourg le 19 août 1831 fol. 82, recto (…) et déposé audit M° Zimmer par acte du 23 dudit mois d’août. L’Inventaire de la succession dudit Sr de Friedolsheim, dressé par ledit M° Zimmer le 21 janvier 1832 et jours suivants constate que sur les 4000 francs (…)

Marguerite Friedolsheim et (sa fille) Salomé Schott, femme du brasseur Edouard Gardien, passent une hypothèque au profit de l’agent de change François Ehrmann. Marguerite Friedolsheim engage sa maison rue Déserte

1841 (17.2.), Strasbourg 4 (93), Me Hatt n° 12.834
Du 17 Février 1841. Obligation – Ont comparu 1° Dame Marguerite Friedolsheim, veuve du Sieur Thiébaut Schott jardinier cultivateur à Strasbourg où elle demeure et est domiciliée et 2° le sieur Edouard Gardien, brasseur et Dame Salomé Schott son épouse qu’il assiste et autorise à l’effet de ce qui suit demeurant et domiciliés en la même ville, Lesquels ont reconnu et déclaré devoir de bonne et loyale dette conjointement et solidairement
à Monsr. François Ehrmann, agent de change demeurant à Strasbourg ci présent et acceptant, la somme de 1500 francs pour prêt de pareille somme
A. Biens hypothéqués par la veuve Schott. Ville et Ban de Strasbourg. 1° Une maison, avec cour, grange, écurie, aisances, appartenances & dépendances, rue deserte N° 8, entre Daniel Friedolsheim et la veuve Eissenbeis, par derrière Abraham Heidel
2. section B N° 22 vingt ares de terres au canton Lazarethfeld (…)
Déclare la veuve Schott que ces biens lui appartiennent en toute propriété pour lui être avenus dans les successions de ses pere et mère, ce dont elle prometd e justifier à première demande
B. Bien hypothéqué par la femme Gardien (…)

Les mêmes passent une hypothèque au profit de Marguerite Elisabeth Kopp, veuve du juge Charles Guillaume Lentz. Marguerite Friedolsheim engage sa maison rue Déserte.

1842 (3.1.), Strasbourg 4 (95), Me Hatt n° 13.547
Du 3. Janvier 1842. Obligation de 5000 fs. – ont comparu Dame Marguerite Friedolsheim, veuve du Sr Thiébaud Schott, en son vivant jardinier cultivateur à Strasbourg où elle demeure & est domiciliée, Le Sieur Auguste Edouard Gardien, Brasseur & Aubergiste, & Dame Salomé Schott, son épouse qu’il autorise aux effets ci après, demeurant et domiciliés en la même ville, Lesquels ont reconnu devoir de bonne & légitime dette conjointement & solidairement
à Dame Marguerite Elisabeth Kopp, veuve de Mr Charles Guillaume Lentz, en son vivant juge de paix à Niederbronn, elle demeurant et domiciliée à Strasbourg, ci présente et acceptant, la somme de 5000 francs pour prêt de pareille somme
hypothèque, Biens appartenant à Dame Schott. Ville de Strasbourg. 1. Section AA N° 124. Une maison, avec cour, grange, écurie, droits, aisances, appartenances & dépendances, rue deserte N° 8, entre Daniel Friedolsheim & la veuve Eissenbeis, par derrière Abraham Heydel
2. section A X N° 16-20 vingt ares de prés au canton dit Gliesberg (…)

Les mêmes passent une hypothèque au profit de François Joseph Martha. Marguerite Friedolsheim engage sa maison rue Déserte.

1843 (2.2.), Strasbourg 12 (159), Me Noetinger n° 15.401
2 Février 1843. Obligation – ont comparu 1° D° Marguerithe Friedolsheim, veuve du Sieur Thiébaud Schott, en son vivant jardinier cultivateur à Strasbourg où elle demeure rue Séegasse N° 8, lisez rue déserte N° 8, 2° Et le sieur Auguste Edouard Gardien, brasseur et D° Salomé Schott, sa femme qu’il autorise à l’effet des présentes, demeurant ensemble à Strasbourg, Lesquels ont par les présentes déclaré et reconnu bien et légitimement devoir
à Mr François Joseph Martha, propriétaire demeurant à Strasbourg créancier ci présent et acceptant, Une somme principale de 6000 francs pour prêt de pareille somme
hypothèque, A. Biens appartenant à la veuve Schott. 1° Une maison, avec cour, grange, écurie, et tous autres accessoires et dépendances, située à Strasbourg rue deserte N° 8, entre Daniel Friedolsheim et la veuve Eissenbeis, par derrière M. Abraham Heydel
2. Section H XIV N° 3 trente cinq ares de terre situé au ban de Strasbourg canton dit Lazarethfeld (…)

Marguerite Friedolsheim hypothèque la maison au profit de Louise Adam

1844 (10.2.), Strasbourg 12 (165), Me Noetinger n° 18.269
10 février 1846. Obligation – A comparu Dme Marguerite Friedolsheim, veuve du Sr Thiébaud Schott, de son vivant jardinier cultivateur à Strasbourg où elle demeure rue déserte N° 8, Laquelle a par ces présentes reconnu devoir bien & légitimement
à Mlle Louise Adam, ouvrière demeurant à Strasbourg, ci présente et acceptant, la somme principale de 1000 francs pour prêt de pareille somme
hypothèque, Une maison, avec cour, grange, écurie, et tous autres accessoires, aisances, droits et dépendances, située à Strasbourg rue deserte N° 8, d’un côté Daniel Friedolsheim, de l’autre la veuve Eissenbeis, par derrière M. Abraham Heydel. La Dame veuve Schott déclare que cet immeuble lui appartient en pleine propriété et qu’il est franc et libre de tous privilèges et hypothèques, à l’exception de la créance de 4000 francs dot il va être question ci après (…) Elle déclare que cet immeuble est hypothéqué avec d’autres en faveur de la Caisse des veuves des ministres protestants de la confession d’Augsbourg de la ville de Strasbourg pour sureté d’une somme principale de 4000 francs suivant obligation passée devant M° Zimmer et son collègue notaires à Strasbourg le 5 décembre 1840

Marguerite Friedolsheim, veuve de Thiébaut Schott, vend la maison pour moitié à Jacques Siefert et pour moitié à Daniel Reybel, tous deux jardiniers cultivateurs

1848 (4.10.), Strasbourg 12 (175), Charles Noetinger n° 20.481
4. 8.b. 1848. Vente – A comparu Dame Marguerite Friedolsheim veuve du Sr Thiébaut Schott, vivant jardinier cultivateur demeurant à Strasbourg, rue déserte N° 8, laquelle a, par ces présentes, vendu et abandonné en toute propriété (…)
au Sr Jacques Siefert, jardinier cultivateur, demeurant en cette ville, marais Kageneck N° 18, et au Sr Daniel Reybel, aussi jardinier cultivateur, demeurant en cette ville, rue basse des payens N° 19, les deux ici présents & acceptant, comme acquéreurs solidaires,
Une maison avec cour, grange, écurie & tous autres accessoire, aisances, droits, appartenances & dépendances, située à Strasbourg, rue déserte N° 8, tenant d’un côté à Daniel Friedolsheim, de l’autre à la veuve Eisenbeis & par derrière à M. Abraham Heidel. Cette maison & ses dépendances sont vendues dans l’état où le tout se trouve, poursuit & comporte présentement (…) & avec les objets suivants, savoir les volets & jalousies se trouvant accrochés à la maison vendue, la chaudière, les crèches & rateliers des écurie, la treille devant la maison & les pierres se trouvant dans la cour.
Le venderesse déclare que le dit immeuble est sa propriété incommutable pour lui avoir été légué par son père, Jean Jacques Friedolsheim en son vivant jardinier cultivateur en cette ville par testament olographe daté à Strasbourg du 15 juin 1830 enregistré à Strasbourg le 19 août 1831 f° 82 (…) conformément à l’ordonnance par le Président du tribunal civil de première instance de cette ville du 17 août 1831. enregistré. Elle déclare d’ailleurs que son père n’a délaissé que deux enfants, savoir la venderesse & Anne Marie Friedolsheim, veuve du Sr Jean Christophe Müntzer, en son vivant boucher en cette ville où elle demeure, & que le Sr Friedolsheim son père avait lui-même recueillui ladite maison dans la succession de son père Jacques Friedolsheim aïeul de ladite venderesse. – Cette vente a en outre été faite et conclue moyennant le prix de 9500 francs
acp 375 (3 Q 30 090) f° 81

Jacques Sieffert épouse en 1825 Barbe Wægel
1825 (14.6.), Strasbourg 4 (60), Me Hatt n° 2378
Contrat de mariage – Jacques Sieffert, jardinier cultivateur, fils majeur de feu Jacques Sieffert, jardinier cultivateur, et de Marguerite Baur
Barbe Waegel fille d’André Waegel, jardinier cultivateur, et de Salomé Wunderer
Enregistrement, acp 173 F° 149 du 16.6. – communauté d’acquets partageable par moitié

Jacques Siefert meurt en 1874 en délaissant un fils. Il est propriétaire de la maison sise 35, rue du Marais Kageneck.
1874 (8.6.), Strasbourg 4 (140), Charles Lauterbach n° 1440
Inventarium 1) des Nachlasses des H. Jacques Siefert, bei Lebzeiten Ackergärtner zu Strassburg woselbst er starb am 12. Dezember 1873
Heute den 8. Juni 1874 um neun Uhr Morgens zu Straßburg in der Amtsstube des unterzeichneten Notars, Auf Anstehen von I. der Frau Barbe Waegel, ohne Gewerb, zu Straßburg, Seelosgaße N° 2 wohnend, Wittwe des verlebten Ackergärtners H Jacques Sieffer handelnd in ihrem eigenen Namen 1° wegen der zwischen ihr und ihren verstorbene Ehemann bestandenen, auf die Errungenschaft beschränkten Gütergemeinschaft, 2° wegen der Ersatzansprüche und Forderungen, welche sie gegen die besagte Gütergemeinschaft oder den Nachlass ihres Mannes etwa geltend zu machen hat, In Gemäßheit ihres Ehevertrags errichtet vor H. Hatt einer der Vorsteher unterzeichneten Notars am 11. Juni 1825, II. dem H. Daniel Sieffert, Ackergärtner zu Straßburg wohnende, großjähriger und einziger Sohn der gewesenen Eheleute handelnd als einziger Erbe seines Vaters
Kriegs Entschädigung. Während des bombardement wurden sowohl die den Eheleuten Sieffert zugehörenden Mobilien sowie die Gebäude des von der Errungenschaft damals abhängenden und zu Straßburg im Kageneckerbruch N° 35 gelegenen Hauses verbrannt und zerstört (…)
acp 628 (3 Q 30 343) f° 53 n° 2358 du 11.6. (Sterbefall erklärt 9/6 1874) Gütergemeinschaft, 1 ha 59 Feld Bann von Straßburg, 17 Ar 25 Wiese
Geld 217, Schuldforderungen 14.446, Ersatzforderung der Wittwe 12.657
Nachlass, 92 Ar 53 Feld Bann Straßburg, schuldige Kriegs Entschädigung 2960
Sparkassenbüchlein der Gemeinschaft 1000
acp 628 (3 Q 30 343) f° 53-v n° 2359 du 11.6. – Theilung, 8. Juni 1874 n° 1441
Liegenschaften (…) – Mobiliar Masse, Geld 217, ungetheilte Feldstücke 4200, Schuldforderungen 14.446, (Zusammen) 18.863
Passiv Masse, Ersatzforderung der Wittwe 12.657 (Rest) 6206, die Hälfte 3103

Barbe Wægel meurt en 1879
1879 (11.2.), Strasbourg 4 (151), Charles Lauterbach n° 5405
Inventar ueber den Nachlass der zu Straßburg am 26. November 1878 verstorbenen Barbe Waegel Wittwe des Ackergärtners Jacques Sieffert
Heute den 11. Februar 1879 um neun Uhr Morgens zu Straßburg in der Amtsstube des unterzeichneten Notars, Auf Anstehen von H. Daniel Sieffert, Ackergärtner zu Strassburg wohnend, handelnd als einziger Erbe seiner zu Strassburg am 26. November letzthin verstorbenen Mutter der Frau Barbe Waegel Wittwe des Ackergärtners Jacques Sieffert bei Lebzeiten zu Straßburg wohnend
Immöbel. Bann Strassburg (…) Eigenthumsherkunft (…) Was der Ueberrrest des Artickels vier betrifft, erklärt der Requirent seine verstorbene Mutter habe denselben geerbt im Nachlasse ihres Zu Straßburg ohne Kinder gestorbenen Bruders André Waegel
acp 687 (3 Q 30 402) f° 35-v n° 632 du 17.2. (Sterbefall erklärt Bd. 149 N° 24 vom 21/4.79) Grundstücke (1-23) Mobilien und Garderobe geschätzt zu 150, baares Geld 1920, Sparkassenbüchlein 800, Schuld Forderung Langlois 2400, Enteignungsbeschädigung 519

Jacques Sieffert et Barbe Wægel font donation du tiers de leur maison à leur fils Daniel Sieffert lors de son mariage avec Madeleine Wurtz, originaire de la Robertsau
1863 (6.8.), Strasbourg 8 (75), Gustave Edouard Loew n° 583
Du 6 Août 1863. Contrat de mariage – Ont comparu le sieur Daniel Sieffert, jardinier, fils majeur du sieur Jacques Sieffert, jardinier & de Barbe Waegel époux avec lesquels il demeure & est domicilié à Strasbourg, procédant de l’agrément de ses père & mère, ici présent, comme futur époux d’une part
Delle Madeleine Wurtz, majeure, fille du sieur Jean Martin Wurtz, laboureur & de feue D° Catherine Rapp, son épouse décédée demeurant et domicilié avec son père à la Robertsau, ban de Strasbourg, stipulant du consentement de son père ici présent comme future épouse d’autre part
Article 7. En considération de ce mariage, les époux Sieffert font par les présentes donation entre vifs & irrévocable au futur époux leur fils acceptant avec reconnaissance
Du tiers d’une maison & jardin consistant dans la maison de derrière, sise à Strasbourg marais Kageneck N° 35 ancien 18 (…)
acp 524 (3 Q 30 239) f° 31 du 8.8. Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Ls apports du futur époux consistent en un mobilier estimé à 170 francs
ceux de la future épouse consistent 1) mobilier estimé 360, 2) 1 h 62 a 15 terre à la Robertsau, 3) le tiers de 21 ares terre dit lieu
donation par les conjoints Sieffert au futur époux leur fils, ce acceptant, 1) du tiers d’une maison rue du marais Kageneck N° 35, [donation par le Sr Wurtz à sa fille] 2) 20 ares de terre ban de Strasbourg au canton Raad, lesdits immeubles estimés à un revenu de 180 francs
Donation par le futur à la future de l’usufruit de sa maison et par la future au futur de l’usufruit des 40 ares de terre im Raad

Madeleine Wurtz meurt en 1867, sa fille peu de temps après elle.
1867 (9.9.), Strasbourg 8 (79), Not. Gustave Edouard Loew
Inventaire des successions de feus 1° D° Madeleine Wurtz, épouse du sieur Daniel Sieffert jardinier à Strasbourg, y décédée le 27 juillet 1867 2° Daniel Sieffert son enfant âgé de quinze jours, y décédé le 5 août suivant.
L’an 1867 le 9 septembre à deux heures de relevée, en la maison mortuaire à Strasbourg rue Déserte N° 2
A la requête et en présence de 1° Sieur Daniel Sieffert, jardinier demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant 1) à cause de la communauté de biens qui a existé entre lui & feue D° Madeleine Wurtz son épouse décédée, 2) en raison de l’exercice de ses reprises contre cette communauté, 3) à cause des avantages de survie que lui a assurés la future épouse en vertu de leur contrat de mariage ci après analysé, 4) en qualité d’héritier pour moitié de feu Daniel Sieffert son enfant décédé
2° sieur Jean Martin Wurtz, laboureur demeurant et domicilié à la Robertsau, ban de Strasbourg, agissant en qualité d’héritier pour moitié du dit Daniel Sieffert son petit fils.
La D° Sieffert est décédée en délaissant pour seul et unique héritier son enfant susnommé. Et ledit enfant décédé après sa mère a délaissé pour seuls et uniques héritiers pour moitié son père & pour l’autre moitié don grand père le sieur Wurtz corequérant
Meubles et objets mobiliers. Chambre à coucher, Cuisine, Chambre de la bonne, Grenier, Cave
acp 566 (3 Q 30 281) f° 51-v du 16.9. (succession déclarée le 11 janvier 1868) Communauté, mobilier 720 – succession, garde robe 123
un ha 91 a 75 terre à la Robertsau, le tiers de 21 ares 20 terre audit ban
Renonciation par le veuf à l’usufruit de 40 ares de terre lui résultant de son contrat de mariage
Partage des immeubles dépendant de la succession. Il est attribué au Sr Sieffert section D 52, D 556, E 337, D 1022, D 1421, E 89, D 407, D 406
Il reste dans l’indivision le tiers de 21 ares de terre
Le mobilier sera partagé verbalement entre eux

Daniel Siefert se remarie en 1868 avec Marie Salomé Peter, originaire de Handschuheim. Les parents du marié font un échange avec leur fils qui devient propriétaire de la moitié indivise de la maison rue Déserte.

1868 (27.2.), Laurent Hoffherr (minutes en déficit)
Contrat de mariage – Daniel Siefert, jardinier à Strasbourg, veuf sans enfant de Madeleine Wurtz d’une part, fils de Jacques Siefert et de Barbe Waegel à Strasbourg
Marie Salomé Peter, célibataire à Handschuheim, fille de Jean Peter, laboureur et de Marie Catherine Urban sa femme d’autre part
acp 570 (3 Q 30 285) f° 25 du 2.3. stipulation du régime de communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent, mobilier estimé à 170, deux chevaux, voitures et ustensiles de labour estimés ci 500
1/3 d’une maison à Strasbourg Marais Kageneck n° 35
20 ares de terres ban de Strasbourg au canton Uebergiess
38 ares de etrres à la Robertsau au canton Staubenfeld
11. 50 terres dit canton
27. 30 terres canton Grosspitzwoerth
Echange entre Daniel Siefert futur époux et les conjoints Siefert, ses père et mère susdénommés, par lequel les conjoints Siefert cèdent à Daniel Siefert leur fils
les parts et portions leur appartenant avec Daniel Reybel, jardinier à Strasbourg, et ce indivisément, d’une maison sise à Strasbourg ue Déserte N° 2, la part estimée à un revenu de 120 francs&
et reçoivent en contre échange de Daniel Sieffert leur fils le tiers de la maison Marais Kageneck n° 35, estimé à un revenu de 180 francs, cet échange est fait sans soulte eu égard au mariage
Les apports de la future consistent dans la parts et portions de la succession indivise de son père dont elle est héritière pour un 6° constaté par inventaire reçu Lobstein notaire à Truchtersheim le 8 février 1868
Donation par la veuve Peter à la future épouse sa fille, ce acceptant, 1) d’un trousseau estimé à 1937 francs dont 1337 francs par avancement de la succession de son père et 400 francs donnés par la mète
2) moitié de 9 ares terres ban d’Ittenheim, moitié de 29 60 terres dit ban, 13 10 terres dit ban. Les parts et portions d’immeubles donnés par la veuve Peter estimés à un revenu annuel de 50 francs
Donation par le futur à la future à titre de don matutinal, en cas en survie d’une somme de 400 francs et par la future au futur de la jouissance du lit nuptial
Donation par le futur à la future en cas de survie 1) de la propriété de la moitié de la maison rue Déserte N° 2 et des deux chevaux, voitures et outils de labour apportés en mariage, à charge de verser dans sa succession une somme de 4500 francs et de la jouissance des 20 ares de terres ban de Strasbourg canton Uebergiess.

Daniel Reybel fils de Daniel, propriétaire avec sa femme Salomé Wægel de l’autre moitié indivise, meurt en 1879 en délaissant pour héritières sa sœur Marie Reybel, veuve du jardinier cultivateur Georges Voltz, et sa nièce Salomé Nessmann, fille de son autre sœur Salomé Reybel. L’acte mentionne que les bâtiments ont été reconstruits à la place des anciens détruits lors du bombardement de la ville.

1879 (27.2.), Strasbourg 4 (151), Charles Lauterbach n° 5457
Inventar ueber dem Nachlass des zu Straßburg am 13. Februar 1879 verstorbenen Ackergärtners H. Daniel Reybel Sohn von Daniel dem Jüngeren
Heute den 27. Februar 1879, Neun Uhr mittags zu Straßburg in der Amtsstube des unterzeichneten Notar, Auf Anstehen 1. der Frau Salome Waegel, zu Straßburg wohnend, gewerblose Wittwe des verlebten Daniel Reybel Sohn von Daniel dem Jüngeren, handelnd in nachbemelten Eigenschaften 1. wegen der zwischen ihr und ihrem verstorbenen Ehemann in Ermanglung eines Ehevertrages bestandenen gesetzlichen Gütergemeinschaft, 2. Als Schenknehmerin der lebenslänglichen unentgeltlichen und cautionsfreie Nutznießung am sämmtlichen, durch den Verstorbenen am Tage seines Ablebens hinterlassenen Mobilier und Mobiliar Vermögen, auf Grund einer Schenkung unter Ehegatten errichtet durch den früheren Notar Grimmer zu Straßburg am 25. Januar 1866
2. der Frau Maria Reÿbel zu Strassburg wohnend, Wittwe des verlebten H Georg Voltz, 3. der Fräulein Salomé Nessmann, volljährig ohne Gewerbe, ebenfalls zu Straßburg wohnhaft, die gedachten Wittwe Voltz geborne Reybel und Fräulein Nessmann fähig sich als einzige Erbinnen zu tragen, jede zur Hälfte am Nachlasse des gedachten zu Straßburg am 13. Februar letzthin verstorbenen Ackergärtners H. Daniel Reybel Sohn von Daniel dem Jüngeren, nämlich a) die Wittwe Voltz als Schwester des gedacht Verstorbenen, b) die Fräulein Nessmann, als Nichte des verstorbenen, vermöge Repräsentaton ihrer Mutter Salomé Reybel, verlebte Wittwe des H. Abraham Nessmann und Schwester des Verstorbenen

Inhalt der Schenkung. Par devant M° Georges Louis Frédéric Grimmer (…) a comparu le sieur Daniel Reybel, jardinier cultivateur demeurant et domicilié à Strasbourg rue déserte N° 8, lequel fait par les présentes donation entre vifs pour le cas où il viendrait à décéder avant la dame Salomé Waegel son épouse demeurant avec lui, à ladite dame son épouse, présente et acceptant sous l’autorisation de son mari, de l’usufruit gratuit et viager avec dispense de fournir caution, de tous les biens meubles et immeubles que le donataire délaissera au jour de son décès (…) L’an 1866 le 26 janvier
(22. Juli 1879) Gütergemeinschaft. Immöbel. Bann Strassburg (…)
Wohnhaus. die getheilte Hälfte einer Wohnbehausung sammt Scheune, Stallung, Schoppen, Hof, Rechten und Zubehörden, zu Straßburg, Seellosgaße N° 12 gelegen, einerseits Adolphe Friedolsheim, anderseit H. Klein vorn die Gasse, hinden der gadachte Adolph Friedolsheim. Die heute daselbst bestehenden Gebäude worden errichtet und neu aufgebaut, an Stelle der durch das Bombardement der Stadt Strassburg zerstörten Gebäuden eines besitzthums, welches die Eheleut Reybel und der Ackergärtner Jacob Siefert zu Straßburg, gemeinschaftlich und in ungetheilter weise erworben haben von Marguerite Friedolsheim Wittwe von Thiébaut Schott, zu Strassburg, auf Grund eines Kaufes errichtet durch Notar Noetinger zu Strassburg am 4. October 1848 überschrieben im Hypothekenamte zu Strassburg am 17. desselben Monates October Band 485 N° 119.
Sondergüter des Verstorbenen (…)
acp 687 (3 Q 30 402) f° 84-v n° 927 du 5.3. (Sterbefall erklärt Bd. 130 N° 209)
acp 693 (3 Q 30 408) f° 56-v n° 1468 du 25.7. (Fortsetzung vom 22. Juli) Gemeinschaft. 35 Parzellen im Bann Straßburg und die Hälfte eines Hauses dahier Seelosgasse N° 4
Nachlass, 5 Parzellen im Bann Straßburg, B 319 17,45 Ar Feld Bann Schiltigheim canton Heiligenacker in der Heiligenzweitel, zugefallen laut Theilung vor Notar Grimmer dahier vom 26. Februar 1844.
Ersatzforderungen der Wittwe 13.316, des Verlebten 5863, welche compensirt worden bis auf den die Wittwe zukommenden betrag von 7453.
Gemeinschaftsmobilien 1275, baares Geld 1200, Ausstände 42, auf der Sparkasse 828 und 842, Rest Enteignungsbeschädigung 1460
Forderung des Nachlass für Rest der Enteignungsbeschädigung 706
Expropriation kosten durch die Wittwe bezahlt 242, Kleider des Nachlasses 41, Leichenkosten 516, Nachtrag zu den Ersatzforderungen der Wittwe 200
acp 696 (3 Q 30 411) f° 83-v n° 2512 du 15.11. (Fortsetzung vom 12. November) Gemeinschaft. Mobilien 2536, baares Geld 320, Schuldorderungen 2870
3 Parzellen im Bann Straßburg
Bann Oberhausbergen, 27,75 Ar Reben erworben laut Urkunde Grimmer vom 17. Dezember 1853
Nachlass, ein Haus hier St. Johannesstaden N° 18
23 Parzellen Feldgüter im Bann Straßburg
Bann Mittelhausbergen, 4,65 Ar Reben, Bann Oberhausbergen, 12,16 Ar Feld, Bann Schiltigheim 1,60 Ar Feld, Ersatz Forderung derselben 275, Garde robe des Verstorbenen 122.

Daniel Reybel lègue l’usufruit de ses biens à sa veuve (voir l’inventaire ci-dessus)
1879, M° Grimmer
25. Januar 1866 – Schenkung – Daniel Reybel Gärtner und Salome Waegel
acp 687 (3 Q 30 402) f° 45 du 19.2.

Marie Reybel, veuve de Georges Voltz, meurt en 1887 en délaissant pour unique héritière sa nièce Salomé Nessmann (qui devient ainsi propriétaire du quart de la maison)

1888 (9.1.), Antoine Keller
Erbverzeichnis über den Nachlass der dahier den 31 Dezember 1887 verstorbenen Maria Reybel, Wittwe von Georg Voltz, auf Ansuchen der einzigen Intestaterbin Salome Nessmann, ledig, ohne Gewerb in Straßburg.
Eheleute Reybel Voltz waren laut Ehevertrags Lauth Notar hier vom 31. März 1845 verheirathet. Der Ehemann starb am 10. September 1857 und wurde Inventar errichtet vor Notar Grimmer den 25. November 1857. Durch eigenhändigen Testament vom 26. November 1887, hinterlegt bei dem amtierenden Notar laut dessen Urkunde vom 2. Januar 1888 hat die heutige Universalerbin die Diakonissen Anstalt zur Universalerbin eingesetzt

acp 797 (3 Q 30 512) f° 46-v n° 3654 du 12.1. – Mobilien 392.
Folgt offene Vollmacht durch p. Nessmann für den Fall sie bei den späteren Verhandlungen nicht anwesend sein könne zu ihrer Vertretung
acp 798 (3 Q 30 513) f° 7-v n° 3973 du 4.2. (Fortsetzung vom 2. Februar) Baar Geld 863, Sparkassenforderung 800
13.000 M 4 % Pfandbriefe der hiesigen Bodencredits Serie III
4000 M 3 ½ .% Pfandbriefe der Frankfurter Hypothekenbank
Forderung der Eheleute Johann Vetter und Maria Mathis in Koenigshofen 1600
Immobilien. Bann Schiltigheim 17,48 Ar Feld, Bann Straßburg A 1634 14,50 Ar Feld, A 1377, B 1615, A 1409, L 64, F 5, G 922, Bann Schiltigheim E 345
Immobilien deren Vorhandensein unsicher, Bann Straßburg Garten Heydengarten, Fald Burgfeld
Ein Wohnhaus mit Erdgeschoß & 1 Stockwerk, Scheur, Hof & Zugehörden gelegen dahier Küßstraße N° 11
Bann Straßburg C 1, F 76, B 350, A 35, 36; B 141 B 51, A 11, B 340, A 1378, B 929, B 918, A 2382, B 976
Die Verstorbene hat zu ersetzen a) 28, b) 883, Forderung 432, Kriegentschädigung, jährliche Rente von 35 – Passiva, p.m.
Unvertheilten Antheil am Nachlass ihres dahier den 13. Februar 1879 verstorbenen Bruders Daniel Reybel, Sohn von Daniel, Ackergärtner, Gatte von Salome Waegel, ½ in Nackeigenthum da die Wittwe die lebenslängliche Nutznießung hat. Über diesen Nachlass wurde Inventar errichtet vor Notar Lauterbach den 27. Februar 1879 reg. Bd. 687 Bl. 84 N°927 und Band 393 Bl. 56 Nr 1468 woselbst die Werthe bereits näher beschrieben. Die Nutznießerin ist nun Zeither den 20. Januarÿ 1888 ebenfalls verstorben, so daß sich die Nutznießung nun mit dem Nackteigenthum vereinigt.

Salomé Wægel (propriétaire du quart de la maison) lègue ses biens à Daniel Siefert
1888 (6.2.), Charles Lauterbach
Testament der zu Strassburg wohnhaft gewesenen und verlebten am 30 Januar 1888. Salome Reybel, Wittwe des verlebten Daniel Reybel, in welchen sie ihr ganzes Vermögen vermacht dem Daniel Siefert, Seelosgasse N° 12, im Falle seines Ablebens von seinen Kindern – Privatakt vom 2. November 1886
acp 799 (3 Q 30 514) f° 4-v n° 3646 du 9.2.
acp 799 (3 Q 30 514) f° 4-v n° 3645 du 9.2. Hinterlegung des nachregistrirten Testaments

Partage des biens de Daniel Reybel et Salomé Wægel entre Daniel Sieffert et Salomé Nessmann
1888 (28.3.), Charles Lauterbach
Liegenschaften von der Gütergemeinschaft Daniel Reybel Sohn von Daniel und Salome Waegel
Theilung zwischen Salome Nessmann, großjährig, ledig, ohne Gewerbe in Straßburg und Daniel Sieffert, Ackergärtner hier, des folgenden denselben ungetheiltengehörende Liegenschaften, welche dieselbe zur hälfte besitzen. Es werden zwei gleiche Loos gebildet und es fallen zu (…)
Die sämmtlliche erwähnten Liegenschaften rührten her von der gesetzlichen Gütergemeinschaft bestanden zwischen den verstorbenen Eheleuten Daniel Reybel Sohn von Daniel d. j. Ackergärtner und Salomé Waegel, diese Gütergemeinschaft wurde aufgelöst durch das Ableben des Ehemanns hier am 12. Februar 1879 verstorben (…) beerbt wurde derselbe für die eine Hälfte durch seine Schwester Marie Reybel Wittwe von Georg Voltz hier, & für die andere Hälfte durch seine Nichte Frl. Salome Nessmann vorgenannt als Erbvertreterin ihrer Mutter Salome Reybel Wittwe von Abraham Nessmann hier, einer Schwester des Daniel Reybel
Wittwe Voltz starb hier am 31. Dezember letzthin und hat als einzige Erben ihre Nichte Salome Nessmann hinterlassen
Genannte Salome Waegel, Wittwe Reybel, starb ohne Vorbehaltserben am 30. Januar letzthin und hat gemäß Testaments auf dier Amtstube des amt. Notars hinterlegt laut Urkunde desselben vom 6. Februar 1888 genannten Daniel Sieffert zum Universalerben eingesetzt
acp 800 (3 Q 30 515) f° 72-v du 4.4.
acp 807 (3 Q 30 522) f° 76 du 18.10. (Berichtigung vom 5. Oktober)

Salomé Nessmann fait donation de ses biens à l’établissement des Diaconesses contre son entretien le restant de sa vie

1888 (12.4.), Antoine Keller
Schenkung durch Salome Nessmann, großjährig, Rentnerin hier
an die Diakonissen Anstalt zu Straßburg
1) der der genannten Schenkgeberin auf Grund Theilung, registrirt Band 800 Bl. 72 N° 78 zugetheilten Liegenschaften im Bann Straßburg gelegen, und zwar blos der ungetheilten Hälfte davon und
2) des ungetheilten Viertels an der getheilten Hälfte einer Wohnbehausung sammt Scheune, Ställen, Schoppen, Hof, Rechten und Zubehör, gelegen zu Straßburg Seelosgasse N° 12
Der frühere Eigenthumsnachweis ist in der oben erwähnten Theilung angegeben.
Das unter 2 genannte Immöbel gehörte gleichfalls zur besagten Gütergemeinschaft Reybel Waegel, wurde aber zwischen den in genannter Theilung erwähntem Sieffert und der Schenkgeberin Nessmann in Ungetheiltheit belassen. Diese Schenkung fand tall unter folgenden Lasten und Bedingungen 1) die Diakonissen Anstalt tritt sofort in Besitz und Genuß unter sofortigen Uebernahm der Steuren, 2) die Diakonissen Anstalt muß die Schenkgeberin aufnehmen und sie für ihr ganz Lebensdauer pflegen.
Die Ermächtigung der zuständigen Behörd zur Annahm dieser Schenkung durch die Anstalt bleibt nachzusuchen
acp 801 (3 Q 30 516) f° 3-v n° 259 du 13.4.

Partage du mobilier qui a appartenu à la communauté entre Daniel Reybel et Salomé Wægel
1890 (7.2.), Strasbourg 4 (181). Charles Lauterbach
Theilung der Mobilienwerthe herrührend 1. der gesetzlichen Gütergemeinschaft bestanden zwischen Daniel Reybel Sohn von Daniel, Ackergärtner & dessen Ehefrau Salomé Waegel hier bestanden hatte, 2. des Nachlasses des genannten Daniel Reybel
auf Anstehen von 1. Daniel Sieffert, Ackergärtner hier, 2. der Diakonissenanstalt hier, 3. Salome Nessmann, Rentnerin hier
Daniel Reybel starb am 13 Februar 1779 und wurde beerbt von a) Marie Reybel Wittwe Georg Voltz seiner Schwester, zur Hälften b) Salome Nessmann seiner Nichte zur Hälfte
Seiner Ehefrau hatte er durch Schenkung Grimmer vom 25. Januar 1866 den Nützen seines Nachlasses vermacht. Erbverzeichnis des amt. Notars vom 29. Februar, 22 und 23 Juli 1879.
Genannte Wittwe Voltz starb am 31. Dezember 1887 nach dem sie durch Testament, hinterlegt bei Notar Keller am 2. Januar 1888 die Diakonissenanstalt zur Universalerben eingesetzt hatte
Wittwe Reybel starb am 30. Januar 1887 nach dem die durch Testaments hinterlegt beim amt. Notar am 6. Februar 1888 genannten Daniel Sieffert zum Universalerben eingesetzt

acp 824 (3 Q 30 539) f° 86-v du 15.2. (Sterbefall erklärt 29.6.88 Bl. 159 N° 164 & vom 27.7.88 Bd 156 N° 229) Gütergemeinschaft. Aktiv Masse 1. Mobilien welche im Besitz der Frau Sieffert geblieben der Schätzungswerth zu 1275, 2 baares Geld 1200, 3. folgende durch Fr. Reibel eingezogene und jetzt durch Sieffet zu verrechnende Beträge, Forderung Loewenguth 20, Forderung Sali 21, Enteignungsbeschädigung 1460, Sparkassendepot 828, Total der durch Sieffert zu verrechnenden Beträge 4805
4. Sparkassenbuch bezogen durch die Erben der Fr. Reybel 842, Summa 5684.
Passiv Massen die durch due Wittwe bezahlten Enteignungskosten 99, Ersatzforderungen der Wittwe 7653 (summa) 7753, Passiv überschuß 2104, zu tragen zu ½ dem Nachlass der Wittwe & zu ½ durch den Nachlass der Wittwe mit 1052
Nachlass Daniel Reybel. Activ Masse, die durch die Wittwe bezogenen und jetzt durch die Wittwe zu verrechnenden Enteignungskosten 706, Kleider durch die Wittwe verbraucht 41, Summa 748
Passiv Massen durch die Wittwe bezahlte Enteignungskosten 47, ½ des Passivüberschußes der Gemeinschafft 1052 (Summa) 1100 – Passiv überschußes 352
Einzelne Rechnungen (…)

L’établissement des Diaconesses vend au jardinier cultivateur Daniel Sieffert le quart de la maison qui lui est avenu par la donation faite à son profit par Salomé Nessmann. L’acquéreur devient ainsi seul propriétaire de la maison. L’acte relate en détail la propriété de l’immeuble depuis la vente de 1848.

1890 (7.2.), Strasbourg 4 (181). Charles Lauterbach n° 13.351
Lizitations-Verkauf – Erschien Frau Henriette Adème Lobstein, Rentnerin, Wittwe des praktischen Arztes Heinrich Theodor Schneider wohnhaft in Strassburg, handelnd in ihrer Eigenschaft als Präsidentin des Verwaltungsraths der Evangelischen Diakonissenanstalt zu Straßburg, woselbst sie Sanct-Elisabethengasse N° 2 und 4 ihren Sitz hat und welche Anstalt durch Regierungs-Dekret vom 6. November 1856 als Wohltägigkeitsanstalt anerkannt wurde, Frau Wittwe Schneider noch als Vertreterin und Schatzmeisterin besagter Anstalt, dieselbe verkaufft (…)
An h. Daniel Sieffert, Ackergärtner wohnhaft in Strassburg, zugegen und annehmend,
das ungetheilte Viertel und überhaupt sämmtliche der Diakonissenanstalt gehörenden Antheile von einer Wohnbehausung sammt Scheune, Stallungen, Schoppen, Hof, Rechten und Zubehörungen gelegen in der Stadt Strassburg Seelosgasse N° 12 einsit und hinten Wittwe Adolph Friedolsheim anderseits h. Klein vorn besagte Gasse.
Eigenthumsherkunft. Die Parteien erklären was folgt. Die besagte Wohnbehausung, früher getheilte Hälfte einer größeren Liegenschaft, war durch 1. Eheleute Daniel Reybel Sohn von Daniel dem Jüngern Ackergärtner und Salomea Waegel für eine Hälfte, 2. Jakob Sieffert Ackergärtner für die andere Hälfte, alle zu Straßburg, ungetheilterweise erowrben worden von Margaretha Friedolsheim Wittwe von Theobald Schott in Strassburg, zufolge Kaufakt vor Notar Noetinger in Strassburg vom 4. Oktober 1840, überschrieben im Hypothekenamte Zu Straßburg den 17. desselben Monats Band 185 N° 49, Wozu jedoch bemerkt wird, daß die zur Zeit bestehende Gebäulichkeiten an Stelle der durch das Bombardement der Stadt Strassburg im Kriege 1871 durch Brand zerstört, errichtet worden sind.
Die obige Wohnbehausung gehörte Folge dieser Erwerbung Für eine ungetheilte Hälfte zur gesetzlichen Gütergemeinschaft welche zwischen den genannten Eheleuten Reyben Waegel bestanden hat. Für die andere ungetheilte Hälfte in die auf die Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaft welche Zwischen Jakob Sieffert und seiner Ehefrau Barbara Waegel auf Grund ihres durch Notar Hatt zu Straßburg am ersten Juni 1825 errichteten Ehevertrag bestanden hat.
Die besagte Gütergemeinschaft Reybel Waegel wurde aufgelöst durch das Ableben des Ehemanns Daniel Reybel, welcher zu Strassburg am 13. Februar 1879 starb, nachdem er durch Schenkungsakt vor Notar Grimmer in Strassburg vom 25. Januar 1866, registrirt zu Straßburg den 19. Februar 1879 seiner Ehefrau, für den eingetretenen Fall ihres Ueberlebens die lebenslängliche Nutznießung seines ganzen Vermögennachlasses geschenkt hate. Er wurde in Ermanglung von Erben in auf- und absteigender Linie beerbt, Für die eine Hälfte durch seine Schwester Maria Reybel Wittwe von Georg Voltz in Straßburg, Für die andere Hälfte durch seine Nichte Salomea Nessmann ledig Rentnerin daselbst als Erbvertreterin ihrer Mutter Salomea Reybel Wittwe von Abraham Nessmann in Straßburg welche eine Schwester des Daniel Reybel war, wie alles dies bestätigt ist durch das Inventar über besagte Gütergemeinschaft und gedachten Nachlass vor dem amtierenden Notar vom 27. Februar 1879. Der Antheil des Daniel Reybel an obiger Wohnbehausung, nämlich zwei ungetheilte Achtel gingen sonach über auf Wittwe Georg Voltz ein Achtel und auf Salomea Nessmann ein Achtel. Wittwe Georg Voltz starb ohne Hinterlassung von Vorbehaltserben zu Straßburg den 31. Dezember 1887. Sie hat durch ihr eigenhändigen Testament vom 26. November 1887 nach Erfüllung der hierfür nöthihen Förmlichkeiten in die Amtsstube des Notars Dr. Keller in Strassburg hinterlegt als Urschrift zufolge dessen Hinterlegungsakte vom 2. Januar 1888, die Diakonissenanstalt zu ihrer Universalerbvermächtnißnehmerin vorbehaltlich verschiedener Partikularlegate eingesetzt. Die einzige gesetzliche Erbin der Wittwe Voltz war Salome Nessmann und diese hat in den Vollzug gedachten Testaments eingewilligt durch eine Urkunde vor Notar Dr. Keller vom 9. Januar 1888. Durch kaiserlichen Erlaß vom 6. Juli 1888, wovon eine Abschrift einer Urkunde vor genannten Notar Dr Keller vom 6. August 1888 beiliegt, wurde die Diakonissenanstalt zur Annahm gedachter Vermächnisses ermächtiget und Frau Schneider, als Vertreterin derselben Anstalt hat der Vemächniß angenommen durch denselben Akt vor Notar Dr Keller vom 6. August 1888. In Folge dessen ging das Achtel welches der Wittwe Voltz gehörte, auf die Diakonissenanstalt über.
Es starb dann zu Straßburg am 30. Januar 1888 Salomea Waegel Wittwe Reybel ohne Hinterlassung vonn Vorbehaltserben. Durch ihr eigenhändiges Testament vom 8. November 1886n in Vollziehung einer Verordnung des kaiserlichen Amtsgerichts zu Straßburg vom 31. Januarÿ 1888 als Urschrift in die Amtsstube des unterzeichneten Notars hinterlegt zufolge Hinterlegungsakt errichet durch ihn am 6. Februar 1888 hat sie dem Daniel Sieffert ihr gantzes Vermögen außer einigen Partikularlegaten vermacht. hierdurch ging das Viertel, welches der Salome Waegel Wittwe von Daniel Reibel an obiger Wohnbehausung gehörte, auf Daniel Sieffert über.
Salomea Nessmann hat ihr Achtel an gedachter Wohnbehausung welches sie von ihrem Oheim Daniel Reybel ererbte, der Diakonissenanstalt geschenkt zufolge Urkunde vor Notar Dr Keller in Straßburg vom 12. Aprilis 1888 und nach dem diese Anstalt durch kaiserlichen Erlaß vom 80 Februar 1889 zur Annahme dieser Schenkung ermächtiget worden war, fand die Annahme durch Wittwe Schneider für die Diakonissenanstalt statt zufolge Urkunde vor Notar Dr. Keller vom 9. März 1889. Eine Ausfertigung dieser Schenkungs- Annahmeurkunde wurde in Hypothekenamte zu Straßburg den 25. März 1889 Band 2445 N° 37 überschrieben. Gedachte Schenkung geschah unter keiner weiteren Last als diejenige, daß die Schenkgeberin in gedachter Anstat aufgenommen, darinn solange sie lebt, verpflegt und ihr Alles zum Lebensunterhalt Nöthige liefert werde. Durch gedachte Schenkung wurde die Diakonissenanstalt nun auch Eigenthümerin des Achtels welcher der Salomea Nessmann an besagter Wohnbehausung gehörte, welches sie mit dem ihr im Nachlass der Wittwe Voltz zugekommenen Achtel vereinigte, so daß die Diakonissenanstalt Eigenthümerin wurde im Ganzen von einem ungetheilten Viertel besagter Wohnbehausung, welcher Antheil hierdurch dem Miteigenthümer Sieffert abgetreten wird.
Diejenige ungetheilte Hälfte obiger Wohnbehausung, welche Zur Gütergemeinschaft Sieffert Waegel gehörte wurde durch die Eheleute Sieffert Waegel dem H. Daniel Sieffert ihrem Sohne tauschweise abgetreten im Ehevertrage dieses Letzteren mit seiner Ehefrau Maria Salome Peter errichtet durch Notar Hoffherr in Straßburg den 27. Februar 1868 überschrieben im Hypothekenamte zu Straßburg den 14. April 1868 Band 1149 N° 77. H. Daniel Sieffert wurde in Folge dieses Tausches Eigenthümer der zwei Viertel welche seine Eltern in Ungetheiltheit an gedachter Wohnbehausung gehört haben. Mit denselben vereinigte er das Quart welches ihmù durch Salomea Waegel Wittwe von Daniel Reybel vermacht wurde, und folglich ist er heute Eigenthümer von drei ungetheiltten Quart besagter Wohnbehausung. Es gehört demgemäß obige Wohnbehausung zu ungetheiltem Eigenthum der Diakonissenanstalt für das durch sie hierdurch erkaufte Quart und dem h. Sieffert für die andere drei Quart.
Verzicht. Soeben erschien auch Frl. Salomea Nessmann, großjährig, unverehelicht, Rentnerin wohnhaft zu Straßburg in Diakonissenhaus. Welche, nach dem sie Voranstehendem Vorlesung erhalten hatte, erklärte daß sie hierdurch ausdrucklich auf das Widerrufungsrecht verzichtet, welches auf Grund der oben angeführten Schenkungsakt mit Annahm zustehen kann (…) – Kaufpreis 6000 Mark
Ermächtigungsangabe. Die Diakonissenanstalt wurde zum Abschluß vorstehendem Verkaufes ermächtigt durch einen Beschluß des Ministeriums für Elsass-Lothringen Abtheilung Justiz und Cultus vom 9. November letzthin, welcher beigebogen ist einem Kaufvertrages passirt vor dem unterzeichneten Notar den 15. Januar abhin.
acp 824 (3 Q 30 539) f° 86 du 15.2.

Daniel Siefert et Marie Salomé Peter dont donation de la maison à leur fils Charles Daniel lors de son mariage avec Marie Catherine Rettig, native de Hangenbieten.

1896 (16.1.), Joseph Allonas
Ehevertrag – Karl Daniel Siefert, Ackergärtner hier, Sohn der zu Straßburg wohnenden Eheleute Daniel Siefert, Ackergärtner und Maria Salome Peter
und Maria Catharina Rettig, ledig, ohne Gewerbe in Hangenbieten, Tochter der zu Hangenbieten wohnenden Eheleute Jakob Rettig, Landwirt und Catharina Kraencker
acp 907 (3 Q 30 622) f° 56 n° 4357 du 21.1. Art. 1. annehmen der Errungenschaft gemeinschafft Art. 11498, 1499 C… Art. 2. Vorbehalt der Kleider und Schmucksachen, Art. 4 [sic]. Schenkung durch die Eltern des Bräutigam an denselben
I. Stadt Strassburg, ein Besitzthum bestehend aus Wohnhaus auf Keller und Erdgeschoß zwei Stockwerken und Speicher, Hof, Scheune, Stall, Schuppen, Rechten, Zubehör in der Seelosgasse N° 12, section P N° 140, 140 mit 4 Ar Fläche
Ferner zwei Pferde, Wagen, Pflug mit Geschirr
II. Bann Straßburg section B 874, A 789, A 221, A 193, A 249, A 283, 284, A 552, 553, A 363.p, B 598, 599, M 847, 848, A 1738, 1739, B 1322, B 793, A 189, A 218, B 1104, A 1740, L 812, 813, Bann Mittelhausbergen Flur 8 n° 102 (Gesamtfläche 433,77 Ar). Betrag des Hauses 1300, der Grundstücke hier 630, der Reben in Mittelhausbergen 20 (Summa) 1950, x 20, 39.000. Besitz und Genuß sofort (…) Schenkgeber behalten für sich und das Ueberlendnde Wohnung vor, Art. 4. ist Sondergut des Schenkgebers (…)
Art. 5. Schenkung durch die Eltern der Braut an dieselbe unter der Verpflichtung den Werth in den Nachlass des Erststerbenden zu Verrechnen 1) Mobilien geschätzt 530, 2) Geld 2000, 3) Immöbel Bann Hangenbieten section D 115, 116, D 347, 348, D 598, A 15, D 592, E 357, E 404, Bann Breuschwickersheim B 1088/91, Betrag 240, x 20, 4800 M, Besitz, Genuß und Steuren sofort
Art. 6. Schenkung durch den Bräutigam an die Braut für den Fall des Vorabsterbens des obigen Wohnhauses gegen eine geldlast von 1600 Mark zu verrechnen in seinem Nachlass und zahlbar in zweÿ gleichen Terminen
Art. 7. Für den Fall der Auflösung der Ehe ohne Kinder steht dem Ueberlebenden den Genuß an der ganzen Gemeinschaft
Art. 8. gegenseitige Schenkung zu Gunsten des Ueberlebenden einer Summe von 6000 Mark in vollem Eigenthum
acp 928 (3 Q 30 643) f° 39 n° 1698 du 2.7.1897 – den 29. Juni, Berichtigung der Ehevertrags – Parzelle B 598/599 gehört den Eugen Siefert Gastwirt in Neudorf laut Ehevertrag Mossler vom 30/5 1896, an deren Stelle (B 928, 976) Flur 7 212

Marie Salomé Peter meurt en 1896 en délaissant deux fils
1897 (18.5.), Joseph Allonas
Theilung der Verlaßenschafft der Maria Salome Peter lebend Ehefrau Daniel Siefert Ackergärtner in Strassburg, gest. den 25. September 1896. auf Anstehen I. des Wittwers Daniel4. laut Verkauf Not. Amann in Oberschaeffolsheim v.13.3.1893, 808, Siefert, Seelosgasse N° 12, wegen der Errungenschaft Gemeinschaft bestanden laut Ehevertrag des damaligen Notars Hoffherr hier vom 24. Februar 1868, II der beiden Kinder der Erblasserin 1. Karl Daniel Siefert, Ackergärtner hier 2. Eugen Siefert, Gastwirt zu Neudorf
acp 926 (3 Q 30 641) f° 18 du 19.5. (E.E. vom 6.3.1897 Bd. 231 N° 548) Inventar nicht errichtet. Die im Ehevertrag getroffenen wechselseigigen Verfüngungen auf Todesfall sind teilweise durch Vorabsterben der Frau und teilweise durch die hiernach aufgestellte Vermögenslagen* gegenstandlos geworden
a) Ersatzforderungen des Nachlasses 1. für geschenkte Mobilien laut Ehevertrag 1069, 2. für geschenktes Geld laut Ehevertrag 480, 3. laut Verkauf des amt. Notars vom 29 Dezember 1893 für 10 a 20 Osthoffen 400, 4. laut Verkauf Not. Amann in Oberschaeffolsheim vom 23 Maertz 1893, 800, 5. laut Versteigerung Not. Amann vom 20 April 1893. 107, 6. laut Theilung Not. Amann vom 9. Juli und 17. August 1894, 225, 7. für mütterliches Erbteil 120, Summa 3202
b) Ersatzforderungen des Wittwers, 1. für zur Ehe gebrachte Mobilien laut Ehevertrag 536, 2. laut Theilung des Notars Lauterbach vom 7. Febr. 1890, 8118, 3. für veräusserten Liegenschaften, a) Not. Lauterbach vom 5. May 1884, 480, b) Not. Keller vom 13. Februar 1888, 1863, c) Not. Keller vom 27 Februar und 5. März 1888, 2420, d) 800, e) 985, f) 1000, g) 459, h) 2200, Summa 18.863.
Ersatzforderungen des Nachlasses, a) laut Ehevertrag des Sohns Karl Daniel Siefert vor dem amt. Notar vom 16 Januar 1896 Hälfte des Anschlagspreises des zum Sondergute des Ehemann gehörigen, verschenkten Liegenschaften ad 39.655, 19.827
b) laut Ehevertrag des Sohnes Eugen vor Notar Mossler vom 30. Mai 1896, 1) sondergütliche Liegenschaften des Ehemanns zur Hälfte 5080, 2) sondergütliche Liegenschaften der Erblasserin zur Hälfte 1410
I. Errungenschaft gemeinschaft, a) Forderungen 160, 812, 511 (Summa) 1587
b) Immobilien Bann Straßburg 1) Flur 2 149, 1100, 2) Flur 5 12, 700, 3) Flur 5 19, 400
2) Ersatzleistung des Wittwers Siefert laut Licitation des Hauses Seelosgasse N° 12 vor Notar Lauterbach vom 7. Febr. 1890, 6000 – Total 9798
Passiv, Ersatzforderungen des Nachlasses, 3230, des Wittwers 18.863 – Total 22.068 – Passiv Übeschuß 12.277 M
II. Nachlass 1) Garderobe 60, 2) Ersatzforderung 3202, 3) Ersatzforderung des Wittibers wie vor 1401, 4) Rückbringen der beiden Söhne 25.500 und 26.500 – Total 60.672
Passiv, Ersatzleistung an den Wittwer 24.907 – Überschuß 35.764
Zuteilungen (…)

Propriétaire inscrit au cadastre à partir de 1932, Jonas dit Jules Levy épouse Suzanne Levy à Odratzheim en 1914. Jules Levy est déporté par le convoi 61 à Auschwitz où il meurt le 2 novembre 1943 (liste, pierre commémorative )

Mariage, Quatzenheim (n° 5) Quatzenheim am 26. Mai 1914
Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Handelsmann Jonas Levy, israelitischer Religion, geboren am 2. Oktober 1887 zu Odratzheim, wohnhaft zu Odratzheim, Sohn des Handelsmanns Salomon Levy und seiner Ehefrau Henriette Levy geborner Meyer, wohnhaft zu Odratzheim
2. die ledige gewerblose Susanna Levy, israelitischer Religion, geboren am 2. Februar des Jahres 1893 zu Quatzenheim, wohnhaft zu Quatzenheim, Tochter des Handelsmanns Samuel Levy und seiner Ehefrau Rosalie Levy geborner Levy, wohnhaft zu Quatzenheim


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.