30, rue des Hallebardes
Rue des Hallebardes n° 30 – VI 152 (Blondel), O 269 puis section 20 parcelle 9 (cadastre)
Le tourneur Jean Samuel Blanck fait reconstruire en partie la maison en 1751.
Détruite par le bombardement aérien du 25 septembre 1944, reconstruite avec les maisons voisines.
Bâtiment actuel, le n° 30 occupait la moitié du passage (deuxième arcade) et partageait la suite de la façade avec le n° 32
La rue des Hallebardes après les bombardements, les n° 32 et 30 détruits sur la gauche (AMS, cote 1 Fi 108, 49)
Façade et coupe (dessins de l’architecte Théo Berst, dossier du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme)
La maison qui a un encorbellement de 20 pieds 3 pouces de long en saillie de 3 pieds est inscrite au nom de Josse Weidmann dans le Livre des communaux (1587). Le notaire Jean Leimner l’achète en 1599. L’orfèvre Sixte Lederer la cède en 1639 avec tous ses biens à l’orfèvre Jean Herbst contre son entretien. Le serrurier Jean Jacques Ernst en est propriétaire de 1696 à sa mort en 1713. La maison appartient ensuite au tourneur Jean Samuel Blanck qui la reconstruit en grande partie pendant son deuxième mariage, sans doute en 1751 quand les préposés l’autorisent à faire diverses transformations, notamment à prolonger jusqu’à la maison voisine l’étage sous combles qui n’occupe que la moitié de la largeur. La maison comprend trois poêles et deux cuisines en 1757, trois poêles et trois cuisines en 1787 à la mort de la femme du boutonnier d’étain Jean Daniel Isenheim.
Plan-relief de 1727, début de la rue des Pâtissiers (Fladergass), la rue du Sanglier débouchant sur la gauche (Musée historique, cliché Claude Menninger, © Inventaire général, ADAGP 2006)
Dessins préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 183, élévations (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée en maçonnerie, trois étages en bois et un encorbellement. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade est la deuxième à droite du repère (t) : deux portes séparées par une fenêtre au rez-de-chaussée, trois étages à trois fenêtres chacun, toiture à deux niveaux de lucarnes.
La maison porte d’abord le n° 12 de la rue des Pâtissiers (Fladergass, 1784-1795), le n° 41 de la rue des Hallebardes (1795-1857) puis le n° 30.
La maison appartient au tailleur Louis Locker (1846-1863) puis au commerçant Joseph Weiller d’Odratzheim, établi à Strasbourg depuis 1859. La société formée en 1864 entre le teinturier Adolphe Appell et Georges Theis est domiciliée dans la maison. Joseph Weiller opte pour la nationalité française à Saint-Dié, il vend l’immeuble en 1877 au tailleur Georges Kleber.
Le rez-de-chaussée est occupé au début du XX° siècle par un commerce de café en gros. Le propriétaire fait remplacer la corniche au pied du toit par une nouvelle en 1908. La veuve du passementier Edouard Fuchs loue le rez-de-chaussée à son voisin de gauche (n° 32) à partir en 1932. Les bâtiments sont entièrement détruits lors du bombardement aérien du 25 septembre 1944. La reconstruction est faite d’un seul tenant avec les maisons voisines et celles qui donnent sur la place de la Cathédrale. Un passage vers l’impasse de la Cathédrale est aménagé sous le nouveau bâtiment (en partie sur le sol de l’ancien n° 30 qui se trouvait ainsi que le n° 32 à gauche du passage).
Plan du premier étage – Murs des bâtiments à reconstruire (dessins de l’architecte Théo Berst, dossier du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme
décembre 2023
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1591 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Josse Weidmann, tailleur, et (1551) Chrétienne Kremer – luthériens | ||
1594 | h | Christophe Siess, coutelier, et (1589) Anne Weidmann – luthériens |
1596 | v | Hermann Kurtz, luthier, et (v. 1595) Elisabeth, veuve du luthier Pierre Ulner, puis (1597) Agathe Kallhard – luthériens |
1599 | v | Jean Leimner, notaire, et (1597) Anne Hennigk – luthériens |
1610* | v | Pierre Hahn, tailleur, et (1598) Marie Faulhaber – luthériens |
1622 | v | Sixte Lederer, orfèvre, et (1613) Marguerite Meder – luthériens |
1639 | h | Jean Herbst, orfèvre, et (1632) Marguerite Beinheim puis (1641) Jacqueline Pfort – luthériens |
1667* | h | Geoffroi Herbst, orfèvre, et (1680) Madeleine Voltz – luthériens |
1684 | v | Abraham Büchel, marchand épicier, et (1681) Catherine Merckel – luthériens |
1690 | v | Adam Mey, marchand, et (1654) Salomé Reinthaler – luthériens |
1695 | h | Frédéric Mey, marchand, et (1694) Catherine Heckler – luthériens |
1696 | v | Jean Jacques Ernst, serrurier, et (1692) Marie Dorothée Schopp puis (1704) Elisabeth Carol, remariée (1715) avec Jean Henri Kieffer – luthériens |
1714 | v | Jean Samuel Blanck, tourneur, et (1714) Marie Salomé Sebitzius puis (1735) Cunégonde Sebitzius, veuve de l’orfèvre Guillaume Schmidt – luthériens (les héritières) Marie Madeleine Blanck et (1745) Jean Conrad Roos, fourbisseur – luthériens Marie Salomé Blanck et (1766) Jean Chrétien Hübschmann, orfèvre – luthériens |
1771 | v | Jean Daniel Isenheim, boutonnier d’étain, et (1759) Anne Diemer, veuve du pasteur André Meyer – luthériens |
1795* | h | Jean Daniel Isenheim, boutonnier d’étain, et (1796) Marie Madeleine Spinlein |
1835 | v | Antoine Séraphin Weygand, officier puis propriétaire, et (1816) Marguerite Antoinette Zannotta |
1846 | v | Louis Locker, tailleur, et (1846) Albertine Krauss |
1863 | v | Jacques Weiller, commerçant, et (1855) Marie Anne Lang |
1877 | v | Georges Kleber, marchand de chaussures, et (1856) Reine Beck |
1897 | v | Lucien Douvier, commerçant, et (1897) Joséphine Louise Weibel |
1899 | v | Edouard Fuchs, passementier, et (1883) Marie Thomas puis (1890) Marie (Jeanne Blanche) Barthelémy |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 800 livres en 1704 et en 1757, 700 livres en 1787.
(1765, Liste Blondel) VI 152, les héritiers Samuel Blanck
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Isenheim, 2 toises, 5 pieds et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 269, Weygand, Séraphin Antoine, rue des Hallebardes 41 – maison, sol – 0,68
Locations
1763, Jean Daniel Klein, orfèvre
1773, Charles Philippe Kremer, orfèvre
1800, Emmanuel Isenheim, orfèvre
1864, Adolphe Appell, teinturier
1872, Charles Mœhrlé, tailleur
Livres des communaux
158,7 Livre des communaux (VII 1450) f° 73
Le tailleur Josse Weidmann régle 16 sols pour sa maison rue des Pâtissiers (20 pieds 3 pouces de long), à savoir un encorbellement (saillie de 3 pieds), une marche en pierre (5 pieds de long, 15 pouces de large), un banc en pierre (4 pieds ½ de long, 1 pied ½ de large), une porte de cave inclinée (5 pieds de large, saillie de 5 pieds ½).
Fladergaß die Einseiten gegen Sanct Jacobs Capell über, Oben vom Eckh angemeßen
Jost Weidmann der Schneider hatt vor seinem hauß 20 schu 3 Zoll lang, Oben ein Vsstoß 3 schu herauß, Mehr ein steinerin Tritt 5 schu lang, vndt 15 Zoll breÿt, Ein steinen Benckhlin 4 ½ schu lang vndt 1 ½ schu breÿt, ein ligende Kellerthüer 5 schu breÿt 5 ½ schu herauß, Soll Allmendt sein vnd bleiben, Bessert für das Niessen, xvj ß d
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1751, Préposés au bâtiment (VII 1404)
Le tourneur Jean Samuel Blanck est autorisé le 4 mars à refaire ses combles, à poser de nouvelles fenêtres et à prolonger jusqu’à la maison voisine l’étage sous combles qui n’occupe que la moitié de la largeur, à condition de ne pas remplacer les poutres de son encorbellement. Les préposés autorisent trois semaines plus tard son charpentier à travailler devant la chapelle Saint-Laurent. Ils infligent le 31 août une amende de 50 livres au charpentier Jean Michel Kientz qui a posé de nouvelles poutres dans l’encorbellement. L’amende est réduite de moitié une semaine plus tard.
(f° 69-v) Donnerstags den 4. Martÿ 1751. seÿnd folgende augenschein eingenommen worden – Joh: Samuel Blanck
An Johann Samuel Blanck des Trähers Hauß an der flader Gaß, so einen Überhang hat, worauf er einen Neüen dachstul, und ferner in die Wände Neüe fenster Zumachen auch das Obere Stöckel auf dem dach, so nur die Helffte des Haußes nimmt*, biß ane des Nachbarn Hauß Zu Continuiren willens, und deßwegen um erlaubnus gebetten. Erkannt Willfahrt doch mit Verbott Neüe Bälcken in den Überhang einzuziehen.
(f° 74) Dienstags den 23. Ejusdem – Joh: Samuel Blanck
Johann Samuel Blanck der Träher bitt um erlaubnus auf 6. Wochen Lang beÿm Münster auf seithen Lorentzen Capell Zimmern Zulaßen. Erkannt Willfahrt gegen erlag 1. lb d Zinß. dt. Eodem.
(f° 114-v) Dienstags den 31. Ejusdem [Augusti 1751] – Joh: Michael Kientzel
Johann Michael Kientzel der Zimmermann wird vorgestellt, und Zu rede gesetzt, daß er Johann Samuel Blanck dem träger Neüe Balcken in den Überhang gezogen, ohnerachtet jhme solches am 4. Martÿ 1751. beÿ eingenommenem Augenschein Außtrucklich Verbotten worden. Citatus sagt Zu seiner entschuldigung, es seÿ in seiner abweßenheit, da er auf dem Land ware, geschehen, daß seine Gesellen, Ohnwißend seiner, die balcken eingezogen. Bittet deßwegen um gnad. Erkannt solle Beklagter deßwegen 50. lb. straff erlegen. vide Inf. 116.b
(f° 116-v) Dienstags den 7. Septembris 1751. – Joh: Michael Kientzel
Johann Michael Kientzel der Zimmermann bittet um Gnädige moderation der jhme am 31. August Letzthin angesetzten 50. lb. straff. Erkannt, wird auf 25. lb. d moderirt. dt. den 29. 9.bris 1751. 25. lb
1771, Préposés au bâtiment (VII 1414)
Jean Daniel Isenheim est autorisé à remplacer le seuil en pierre de sa cave par un revêtement triparti en chêne.
(f° 118-v) Dienstags den 26. Novembris 1771 – Hr. Johann Daniel Isenheim
Hrn. Johann Daniel Isenheim, dem Pferdzeug Mr wird erlaubt statt der steinernen Schwölle, so derselbe an dem Keller vor seinem in der Fladergaß gelegenen Haus liegen hat, einen eichenen dreÿlings dielen zu legen.
Description de la maison
- 1757 (billet d’estimation traduit) La maison comprend trois poêles, deux alcôves, deux cuisines, un atelier et plusieurs dépenses, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, item une petite buanderie et un puits à pompe, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1600 florins
- 1787 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une boutique, trois poêles, trois cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec le puits, autres appartenances et dépendances à la somme de 1400 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
3° arrondissement ou Canton Sud – Rue des hallebardes (en partie)
nouveau N° / ancien N° : 23 / 41
Isenheim
Rez de chaussée en maçonnerie et 3 étages médiocres en bois et avance
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien O 269, registre 25 f° 98 case 4
Weygand, Séraphin Antoine rue des hallebardes N° 41 Locker, Louis, tailleur, Subst° 1849
O 269, Maison, sol, R. des hallebardes 41
Contenance : 0,66
Revenu total : 108,34 (108 et 0,34)
Folio de provenance : (98)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 14 / 11
fenêtres du 3° et au-dessus : 9 / 7
Cadastre napoléonien, registre 26 f° 161 case 1
Locker, Louis, tailleur, 1864
1964 Weiller, Jacques, Négociant
1879 Kleber Georg, Schuhhändler
98/99 Fräulein Weibel Josephine Luise
1900 Fuchs Eduard, Posamentier
O 269, Maison, sol, Rue des hallebardes 30
Contenance : 0,66
Revenu total : 108,34 (108 et 0,34)
Folio de provenance : (98)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 14 / 11
fenêtres du 3° et au-dessus : 9 / 7
Cadastre allemand, registre 30 p. 251 case 9
Parcelle, section 20, n° 9 – autrefois O 269
Canton : Spießgasse Hs N° 30
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,64
Revenu : 1400 – 1700 – 1900
Remarques : 1906 Neubau
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1909), compte 420
Fuchs Eduard
gelöscht 1909
(Propriétaire à partir de l’exercice 1909), compte 421
Fuchs Eduard und Maria
1909 Fuchs Eduard Witwe
(1519)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton VI, Rue 168 de Flader (p. 329)
12
Pr. Isenheim Jean Daniel, Boutonnier – Marechaux
lo: Isenheim Jean Emanuel, idem – Marechaux
lo: Birkenstock, Ursule, Veuve
lo: Follerin, Marie Salomée Veuve – Moresse
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Spiessgasse (Seite 164)
(Haus Nr.) 30
Kuntz, Kaffeegesch. 0
Fuchs, Kaufmann. E 1
Bolberitz, Wwe. 2
Bolberitz, Hebamme. 2
Koehl, Schneidermstr. 3
Bret, Wwe. 4
Riwal, Maler. 4
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 815 W 79)
30, rue des Hallebardes (1885-1988) – La reconstruction après guerre est traitée au dossier 19 à 21 place de la Cathédrale
Le propriétaire fait remplacer la corniche au pied du toit par une nouvelle en 1908. La maison comprend un encorbellement. Le boucher Edouard Rauscher (propriétaire du n° 32) demande que la fenêtre qui donne vers sa propriété soit à nouveau grillagée. La maison est entièrement détruite lors du bombardement aérien du 11 août 1944. La reconstruction est faite d’un seul tenant avec les maisons voisines et celles qui donnent sur la place de la Cathédrale. Un passage vers l’impasse de la Cathédrale est aménagé sous le nouveau bâtiment (en partie sur le sol de l’ancien n° 30 qui se trouvait ainsi que le n° 32 à gauche du passage).
Le local commercial à droite du passage est occupé par le magasin Châtelaine. Celui de gauche par Plaisirs de France qui cesse son activité en 1972, remplacé par Roche-Bobois (meubles d’aujourd’hui, 1973) puis par Sport 2000 (commerce en franchise Lacoste, 1985) qui fait poser une nouvelle devanture dont la base est agrandie.
Commerce, Joseph Sichel (café en gros à Francfort-sur-le-Main, 1902)
Sommaire
- 1885 (août) – Le maire notifie Georges Kleber (demeurant 18, grande rue de la Grange) de faire ravaler la façade (note qui renvoie à l’autorisation ci-dessous, septembre 1885)
1885 (septembre) – les entrepreneurs A. Schoop et G. Meyer demandent au nom du sieur Kleber l’autorisation de faire un raccord aux canalisations municipales – Autorisation – Dessin - 1887 – Le maire notifie Georges Kleber (demeurant 18, grande rue de la Grange) de faire ravaler la façade – Georges Kleber répond en joignant une facture du ravalement qu’il a fait faire par l’entrepreneur Seinder en 1881 – Le maire accorde un an de délai. – Travaux terminés, juin 1888.
1891 – Nouvelle notification – Travaux terminés, octobre 1891.
1891 – L’entrepreneur Emile Widmann (1, rue Saint-Louis) demande au nom du notaire Lœw l’autorisation de réparer le crépi aux 30 et 32, rue des Hallebardes – Autorisation (le n° 30 appartient au cordonnier Kleber, le n° 32 au notaire Lœw) – Le n° 30 a été repeint, au n° 32 le crépi est réparé sans être repeint, juillet 1891. - 1894 – La Police du Bâtiment constate qu’Eugène Münch a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire à 2,70 mètres de haut. – Demande accompagnée d’un croquis – Autorisation. L’enseigne est réglementaire (à trois mètres de haut)
- 1897 – Le maire notifie Reine Kleber (demeurant 18, grande rue de la Grange) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1897
- 1901 – La sage-femme Bolberitz demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation – L’enseigne est posée.
- 1902 – Joseph Sichel (café en gros à Francfort-sur-le-Main) qui souhaite ouvrir son magasin le premier juillet demande l’autorisation de poser une enseigne. La Police du Bâtiment constate qu’une grande enseigne plate et un drapeau publicitaire sont déjà en place et qu’une enseigne perpendiculaire est prévue. Le maire répond que l’enseigne fixée à l’encorbellement ne peut être autorisée. Joseph Sichel déclare que l’enseigne perpendiculaire sera fixée sous l’encorbellement au même endroit que la précédente. – Le drapeau publicitaire temporaire a été retiré. – Autorisation. L’enseigne perpendiculaire fait toujours une saillie de 1,15 mètre. Elle est retirée (septembre) puis remise en place de façon réglementaire (mars 1903).
- 1908 – L’entrepreneur Charles Nadler (1, rue des Jardins) demande au nom de la demoiselle Fuchs l’autorisation de remplacer la corniche au pied du toit par une nouvelle – Autorisation – Dossier classé, juillet 1908
1908 (juin) – Le même demande au commissaire de police l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique. Le commissaire transmet au maire qui accorde l’autorisation. - 1909 – Le maire notifie la veuve Fuchs née Barthelmey (demeurant sur place) de faire ravaler la façade – La veuve Fuchs demande sur papier à en-tête en français (Ed. Fuchs, Spécialités de passementeries pour meubles et nouveautés) un délai qu’accorde le maire – Travaux terminés, juillet 1910.
- 1923 – Le boucher Edouard Rauscher (propriétaire du n° 32) demande que la fenêtre du n° 30 soit réglementaire et que le chenal soit nettoyé. La Police du Bâtiment constate que la fenêtre n’est plus garnie d’un grillage, ce qui permet de jeter des immondices – Le maire écrit à la veuve Fuchs (8, rue des Etudiants) qui fait poser un grillage.
- 1938 – Le locataire René Schalck fait part à la Police du Bâtiment que les fenêtres de la cage d’escalier donnant vers l’impasse de la Cathédrale sont dépourvues de vitres. La Police du Bâtiment constate que les cabinets d’aisance qui donnent sur l’escalier sont en bon état mais la lumière et l’air leur parviennent de façon indirecte. Quelques marches abîmées devront être réparées ainsi que le crépi. – Travaux terminés, juin 1939.
- 1945 – La maison est entièrement détruite lors du bombardement aérien du 11 août 1944. Certificats de sinistré accordés à Auguste Kuhn (deuxième étage) et Charles Bergaut.
- 1957 – Le magasin Plaisirs de France demande l’autorisation de poser une enseigne au-dessus de la devanture (dessin) – Autorisation
Autre demande pour une enseigne sous le passage (dessin) – Autorisation
1957 – Les Machines et Frigorifiques d’Alsace (7, rue Jacques Peirotes) demandent l’autorisation de poser une enseigne au-dessus de la devanture (dessin) (texte, Mafrigal) – Autorisation - 1959 – La Police du Bâtiment constate que le magasin Trouvailles (2, Passage de la Cathédrale) a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire et une lampe – Demande – L’architecte des Bâtiments de France demande de déposer l’enseigne qui cache la vue sur la cathédrale. – L’enseigne est retirée.
- 1959 – Marcel Dollé (magasin Châtelaine, 30, rue des Hallebardes) demande l’autorisation de poser deux enseignes perpendiculaires (dessin ratifié par la société civile immobilière de la place de la Cathédrale et l’architecte des Bâtiments de France) – Autorisation
1965 – Le même demande l’autorisation de suspendre un arbre de Noël en bois pendant les fêtes. Dessin – Accord verbal. L’objet est retiré, janvier 1966.
1966, 1967 – Même demande - 1966 – L’administrateur de sociétés Charles Ernwein retourne un avis de paiement, l’immeuble n’étant pas géré par ses bureaux.
1967 – Plaisirs de France informe la Police du Bâtiment que l’enseigne sous le passage est retirée. - 1968 – Gillette Schies (demeurant rue de la Première Armée) demande l’autorisation de transformer le magasin Plaisirs de France. Devis de Debras et Fils (à Sarralbe, Moselle), nouvelles devantures. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation (arrêté portant permis de construire) – Travaux terminés, juillet 1968.
- 1968 (juin) – La Police du Bâtiment constate que la boutique Anik Robelin a posé sans autorisation une enseigne en lettres détachées – Demande déposée par Plaisirs de France – Autorisation
1971 – Le maire autorise Plaisirs de France a faire une vente sous forme de liquidation (27 mai 1971)
1971 (juillet) – Plaisirs de France demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse. Dessin – Le propriétaire demande de poser un auvent au-dessus de l’éclairage – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable à cause des exigences du propriétaire.
1971 (septembre) – Nouvelle demande, le propriétaire ayant renoncé à ses exigences. Dessin – Autorisation, – L’enseigne est posée - 1971 – Le magasin Châtelaine demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse. – Refus pour raison d’esthétique. – Le pétitionnaire demande la raison précise du refus. Le service des Monuments historiques a interdit les enseignes en saillie dans la rue des Hallebardes – Le maire demande de déposer l’enseigne – Il informe l’architecte des Bâtiments de France que l’enseigne est toujours en place malgré plusieurs injonctions. L’architecte des Bâtiments de France déclare ne pas avoir de moyen légal à l’encontre du propriétaire.
- 1972 – Le maire autorise Plaisirs de France, meubles Adler, à faire une vente sous forme de liquidation pour cessation de commerce – Photographie (local à gauche du passage)
- 1973 – Roche-Bobois (Meubles d’aujourd’hui) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse en lettres détachées. Dessin – Autorisation – L’enseigne est posée
- 1984 – Avis de paiement pour le puits de descente, adressé à la société civile immobilière Place de la Cathédrale (Charles Ernwein, 26, rue de la Mésange), ancien débiteur, S.C.I. Place de la Cathédrale, 81 avenue de la Forêt-Noire. Nouveau débiteur, agence Emile Bintz (21, rue des Francs-Bourgeois)
- 1986 – Le notaire Francis Hofmann (Wasselonne) demande des renseignements d’urbanisme (30-32 rue des Hallebardes, section 20 n° 12
- 1985 – Roland Mary (Valenciennes) dépose au nom de Sport 2000 une demande de permis de construire pour transformer la devanture sous la direction de BED (109, quai André Citroën, Paris XV) – La Police du Bâtiment émet un avis favorable au projet modifié – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable assorti de conditions – La Direction départementale du Travail ne fait pas d’objection
Notice de sécurité (commerce en franchise Lacoste)
Notice descriptive des travaux d’agencement, magasin Lacoste
1986 (11 mars) – Le préfet délivre le permis de construire
1986 (18 mars) – Déclaration d’ouverture de chantier
Suivi des travaux. L’ancienne enseigne est déposée, la nouvelle devanture dont la base est agrandie est posée. L’aménagement intérieur est en cours, avril 1986. Les travaux sont terminés conformément aux plans, juin 1986.
Rapport de la commission de sécurité, juillet 1986.
1986 (31 juillet) – Déclaration d’ouverture d’un établissement recevant du public
1986 (mai) – Demande de poser une enseigne lumineuse double en drapeau (Lacoste). L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable – Autorisation, août 1986. - 1988 – Le magasin Chatelaine avertit la Police du Bâtiment qu’elle ne remplacera pas une des deux enseignes qui a été volée.
1988 – L’agence Emile Bintz demande à la Police du Bâtiment de lui délivrer copie de l’autorisation pour l’enseigne Chatelaine. La Police du Bâtiment répond que l’autorisation a été refusée en 1971, l’enseigne illicite étant seulement tolérée.
Autres dossiers
Modification des devantures (2000-2003), cote 1572 W 646 30
Peinture (refus, 2005) cote 1624 W 717 30
Dossier du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme (ADBR, cote 424 D 428)
Dossier NV 2814 Z
La veuve d’Edouard Fuchs, née en 1866, dépose en 1953 une demande de participation financière de l’Etat pour la maison sise 30, rue des Hallebardes dans laquelle est exploitée une boucherie. L’immeuble est grevé depuis 1932 d’un pacte de préférence au profit du maître-boucher Edouard Rauscher, puis (1935) Oscar Wetzel et sa femme Auguste Kettel et ensuite (1939) Paul Meyer et sa femme Jeanne Blettner.
Les bâtiments ont été détruits lors du bombardement aérien du 25 septembre 1944. Le locataire Paul Meyer avait réaménagé le rez-de-chaussée à ses frais. Les bâtiments sont considérés comme sinistrés à 100 % par décision du 17 décembre 1953. Comme ils ont été transformés et modernisés à plusieurs reprises, aucun abattement n’est retenu pour vétusté bien qu’ils soient antérieurs à 1840. – Dessins reconstitués (élévation, coupe, plan des différents niveaux).
Pièces principales
- Demande de participation financière de l’Etat.
Fuchs, Marie, née le 23 juin 1866, Lièpvre, H.R., nationalité française, veuve d’Edouard Fuchs, mariée le 5 juillet 1890 à Liepvre, régime de communauté de biens réduite aux acquêts, sans profession, demeurant 1, rue des Echasses
Bien sinistré. maison d’habitation avec magasins, rue des Hallebardes n° 30 à Strasbourg, (mode d’exploitation) boucherie, (cause du sinistre) bombardement septembre, 1 7.bre 44. presque complètement détruite
Acheté vers 1899 d’un Mr Douvier décédé. (Assurance) assuré autrefois plus depuis qq années
Je déclare sous la foi du serment que je suis propriétaire des biens faisant l’objet de cette demande. Strasbourg le 6 février 1953. - Copie par extrait. Feuillet N° 2966 du livre foncier de Strasbourg
Fuchs Edouard, passementier, sa veuve Marie Jeanne Blanche Barthelémy, sans profession à Strasbourg
Section I, Propriété / Abteilung I, Eigentum
(article) 3, section 20 n° 9, Rue des Hallebardes No. 30, 64 centiares, sol, maison
Inscriptions, 30 septembre 1908, Dessaisine-saisine (Ann. 1063, signé Fisenne)
Section II, Charges et restrictions au droit de disposer / Abteilung II, Lasten und Verfügungsbeschränkungen
(1), immeuble grevé 2, 3 – 23 juillet 1932. Restriction au droit de disposer découlant d’un pacte de préférence valable jusqu’au 15 juillet 1942 au profit d’Edouard Rauscher, maître-boucher à Strasbourg, conformément à l’acte de constitution du 30 juin 1932 (Ann. 708)
(2) 22 mars 1935. Le pacte de préférence garanti par la restriction au droit de disposer sous N° 1 est cédé à Oscar Wetzel, maître-boucher à Strasbourg et à son épouse Auguste née Kettel, en communauté de biens (Ann. 413)
(3) 22 mars 1939. Le pacte de préférence garanti par la restriction au droit de disposer sous N° 1 est de nouveau cédé à Paul Meyer, maître-boucher à Strasbourg et à son épouse Jeanne née Blettner, en communauté de biens (Ann. 231)
(4) 9 mars 1948. Restriction au droit de disposer au profit de Paul Meyer, maître-boucher-charcutier à Strasbourg et son épouse Jeanne née Blettner, en communauté de biens, découlant du pacte de préférence valable jusqu’au 31 décembre 1955 contenu dans l’acte de renouvellement de bail du 7 octobre 1947 (Ann. 208)
Copie par extrait (…) Strasbourg le 17 février 1950 - Evaluation immobilière. Procès verbal de vérification. 8 avril 1984
Origine du sinistre, bombardement aérien du 25 septembre 1944
Immeuble considéré comme sinistré à 100% par décision C. L. E. n° 1590 du 17/12/53
Profondeur des fondations ont été relevées après sondage N’a pas été retenue la démolition exécutée sur chapitre Mise en état des sols et la voûte de cave remplacées par I.P.N. et remplissage surcharge 500 kg, magasin - Propriété de Mme Vve Fuchs, rue des Hallebardes 30, Strasbourg
Description générale
Dégâts au rez-de-chaussée. Le locataire M. Meyer avait exécuté à ses frais l’aménagement du rez-de-chaussée, son architecte M. Joseph Rech a compris dans le dossier de la propriété 32, rue des Hallebardes également les dégâts à l’aménagement des locaux loués par M.Meyer situés sur la propriété N° 30
Base de calcul (…)
Abattement. Les abattements ne sont pas appliqués. La maison est construite avant 1840 mais a été transformée et modernisée à plusieurs reprises. Elle était en bon état d’entretien. Les murs étaient sur les 3 côtés mitoyens en briques 40 cm, en pans de bois enduit sur rue depuis le premier étage. - Dessins (3 février 1950, signés par l’architecte Théo Berst). Façade sur rue, Coupe A-B, plans des différents niveaux (sous-sol, rez-de-chaussée, 1°, 2°, 3°, 4° et 5° étages), plan de situation – Ilot place de la Cathédrale. Plan des fondations
Relevé d’actes
La maison est inscrite au nom de Josse Weidmann dans le Livre des communaux (1587)
Originaire d’Elfeld en Hesse (aujourd’hui Eltville), le tailleur Josse Weidmann épouse en 1551 Chrétienne, fille de Nicolas Kremer
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 34-v)
1551. Dnica 9 post Trinitatis. Jost Weidman von Elfeldt Christin Cremerin Claus Cremers v.lassne dochter (i 38)
Baptême, cathédrale (luth. f° 167-v)
1562. Ostertag. p. Jost Weÿdemans schneÿder, M. Christina, J. Anna (i 181)
Josse Weidmann devient bourgeois par sa femme en août 1551.
1551, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 67
Jost wydtman von Ellueldt Inn Hessenn der schneÿder hatz burgerecht Empfangen von Christyn weyllandt claus kremers deß mollers noch gelaßene dochter seyner Efrouwen vnd dient Zun schneidernn. act. den funff vnd zwentzigsten Augustÿ an° 51.
Josse Weidmann, son fils tailleur Nicolas Weidmann et sa fille Marie Jacqueline femme de l’orfèvre Jean Bündelé vendent leurs parts de maison à leur fille et sœur respective Anne et à son mari coutelier Christophe Siess
1594 (6. Mart.), Chancellerie, vol. 291 (Registranda Kügler) f° 82-v
Erschienen Jost wÿdman der Schnÿder, Mehr Niclaus wÿdman der Schnÿder sein Son, Item Hanns Bündele goldschmid vnd Maria Jacobe sein eheliche hußfr. bms Niclaus wÿdmans schwester haben vnuer. verkaufft
Christoffell Sieß dem Meßerschmidt v. Annen seiner hußfr. vnd geschwusterd. schwester
die Zweÿtheyl vnd Zweÿ dritheyl am dritheyl von v. ane huß hoffestatt m. all. Iren gebeu gelegen Inn der SS Inn Fladergaß einsyt hanns Semmich* Schneydern and.seyt Niclaus Wÿdman stoßend hind. vff Johann Ulberger Werckmeister, davon Ein dritheil am dritheyl bemelter Annen der Kheufferin Zuuor Zustendig davon gnd samthafft fünff guldin glts vff den heylig. drei könig tag losig mit 100 goldguld. dem großen gemeyn Allmuß, Item Zwen gold. gld. Sonst ledig vff Marie geburth losig m. 25 pfund pfenning SW den H. vicarien* hohen* xiiij ß iiij d losig mit xxj lb vff Johann Baptist H Ulrich Spachen der Medicin doctor, It. vj ß gelts vff S Adolffs tag ablosig mit vj lb d pfund Mötscheln der Medicin doctor, It. vj ß gelts vff S Adolffs tag ablosig m vj ld d Philip Mötschelin dem Maler, So dan verhafftet für 50 pfund pfenning für Mutterlich Erb obmt Niclaus Weydman Marien v. Annen geschwüsterden Sunst ledig eÿg.
[in margine :] der Khauff für ledig eÿg iij C xxxij lb x ß beschwerd so 177 lb d Rest noch 155 lb 11 ß
Le coutelier Christophe Siess épouse Anne Weidmann en 1589
Mariage, cathédrale (luth. p. 156)
1589. Dominica Paschatos 30. Martÿ. Christoph Süß der Meßerschmidt vnd Anna Jost Weidmanns des Schneiders tochter. Eingesegnet Montags den 7.t Aprilis (i 81)
Christophe Siess et sa femme Anne hypothèquent la part qu’ils ont acquise au profit des vendeurs Nicolas Weidmann et Marie Jacqueline Weidmann
1595 (13.t Octobris), Chancellerie, vol. 298 (Registranda Kügler) f° 369-v
(Inchoat. fo: 429.) Erschÿnnen Christoffell Sieß Meßerschmidt vnd burger Zu Straßburg, vnd Anna sein eheliche Hußfrouw
Habenn Inn gegensein Hannß Bündtelin Goldtschmidts vnd burg. alhie vnnd Marien Jacoben sein ehegemechd Ihres Schwagers vnd Schwester – schuldig sein 39 pfund, darund. aber begriffen 16 Pfund 16 schilling Pfenning so sie vonn Niclauß Weÿdman Schnÿders Ihres Schwagers vnd Bruders wegen Zu bezahlen vber sich genommen vndt vor der Zeÿt Zubezahlen verfallen
dafür Vnderpfand sein sollen die Zweÿtheÿl, vnd Zweÿ dreÿttheyl am drittheÿl den verkhöüffern für vngetheÿlt gebürende, Vonn vnd Ane Huß vnd hoffestatt, mit allen Andern Iren gebeüwen begriffen, Wÿthen, rechten vnd Zugehörden, gelegen Inn bemelter vnßerer Statt Inn d. Fladergaß, einseÿt neben einer behaußung dem Werck vnser fruwen Münster Zustendig, bewont dißer Zeÿtt Hannß Semich der Schnÿder and.seÿt neben Niclauß Weÿdman dem mit verkhoüffer stoßend hinden vff hannß Thoman Ulbergern Werckhmeÿstern, Ane Welchen Huß vnd hoffestatt, d. vberige drittheÿl Am drittheÿl bemelt. Annen d. khöufferin Zuuor Zustendig, Dauon gondt sammethafft 50 guldin gelts vff den Heÿligen dreÿ könig tag ablösig mit 100 guldin Inn goldt (…) dem großen gemeÿnen Almusen, Item Zwen guldin gelts, Straßburg. vff Mariæ geburth, ablösig mit 20 pfund Pfenning denn Vicarien hoher stifft Straßburg, Mehr 14 schilling 4 pfenning gelts, Wid. khöuffig mit 21 pfund pfenning Ulrich Spachen der Medicin doctorn, vff sanct Johannis Baptisten tag Zu Singithen, Weÿther 6 schilling Pfenning gelts vff Sanct Adolffs tag fallendt, Wid.lösig mit 6 pfund pfenning Philips Mötschlin dem Moler, Vnnd sindt ouch noch verhafftet vnd vnd.pfandt für 28 pfund 9 schilling pfenning obemeltenn hannß Bindtelin vnd Marien Jacoben Zuuor Zustendig, Sunst freÿ ledig eÿgen
Le tuteur de Christophe, fils des défunts Christophe Siess et Anne Weidmann, vend la maison au luthier Hermann Kurtz
1596 (22. Maÿ), Chancellerie, vol. 302 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 38
Kauff Herman Kurtzen des Lutenmachers vber ein haus In Flad.gaß
Erschienen hans Bendele d. goldschmidt als geschworner vogt Christoffels w. Christoff Sieß. deß Meßerschmidts vnd Annen Weidmannin beed. selig. hind.laßenen Kinds mit beÿstandt hanß Weihermüllers deß schreiners gedachts Kinds nechster V.wandter vögtlicher weiß verkaufft
Herman Kurtz. dem Lutenmach. der mit beÿstandt H Georg Sprung. vnd hans Ketting. deß Lutenmach. Zugeg. Ihme & vestiglich verkaufft
eine behaußung vnd hoffstatt, sampt derselben begriffen gebewen weiten vnd gerechtigkeiten gelegen alhie In d. Fladergaß neben Gall Lucken dem schaffner ein vnd and.seit einem hauß der fabric alhie gehörig, hind. vff Bernhard Fritschen stoßend, dauon gehen Jharlich vf d. h. dreÿ König tag fünff guld. St. w. dem großen Allmußen Zu St. Marx alhier mit 100 goldtgulden lösig, Mehr zwen guldin & 15. batzen vff Mariæ geburt den deputaten höher Stifft alhie, mit 25. lb. d. wid.keüffig, So dann Jharlich sechs schilling vf Adolphi Philips Mitschele dem Mahler mit 6 pfund pfenning ablößig, Weiter so ist diße behausung Ihme Bendele verhafftet für 50 pfund pfenning die er d. Keüffer Ihme Bendele vff Michaelis Zukommenden 98. Jahrs erlegen vnd hiezwisch. vnd biß vfgemeldte Zeit vnd ziehl v.zinsen auch den Zinß Jährlich vff Michaelis reich. soll, sonst ledig vnd eig. vnd darauf alles Recht Vnd bekand d. d. Kauff über abzug vorgesetzten beschwerdten Zugang. vnd beschehen für vnd vmb 176 pfund
Originaire de « Flosdorf » en juridiction de Juliers, Hermann Kurtz devient bourgeois par sa femme Elisabeth, veuve du luthier Pierre Ulner
1594, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 719
Hannß Kurtz Vonn Floßdorff Ihnn Lanndt Zu Gilch gelegen ein Lauttenmacher, hat das burgerecht empfang von Elisabetha, Weÿland Peter Ulner deß Lauttenmachers s. wittib seiner haußrawen und will Zun Zimmerleütt. dienen Actum denn 4.ten Nouemb. 94
Le luthier Pierre Ulner et sa femme Elisabeth font baptiser un enfant en 1584.
Baptême, cathédrale (luth. f° 8 n° 54) 1584. Dienstags 25.t Junÿ Peter Ulners Lautenmachers vnd Elisabethen, Petrus, Comp. Peter Schrantz der Küfer, Caspar Dickel der Kranmeister vnd Susanna Caspar Kratzschmers helfers tochter (i 8)
Enfants de Hermann Kurtz et de sa femme Elisabeth
Baptême, cathédrale (luth. f° 53)
1596. den I. Sonntag nach Epiphanias. Herman Kurtz der lautenmacher. M. Elisabeth, I. Catharina, compatres (…) i 54
Hermann Kurtz se remarie avec Agathe, fille du batteur d’or Martin Kallhard
Mariage, cathédrale (luth. p. 21)
1597. Dominica 10 post Trinitatis den 30. Julÿ. Herman Khurtz der lauten macher, Agada Martin Khalhardt deß goldtschlagers tochter, eingesegnet den 16. Augusti (i 13)
Herrmann Kurtz légue l’usufruit de ses biens à sa femme Agathe Kallhard.
1610 (21.2.), Not. Strintz (Daniel, Protocole 58 not 62, A n° 365)
(f° 119-v) Codicill Hermann Kurtzen lauttenmachers vnnd burgers Zu Straßburg
Im dem Jahr Alß man von vnsers einigen herren vnd Erlösers Jhesu Christi geburth Zaltte 1610 (…) vff Mittwoch den 21. Februarÿ zwüschen Acht vnd Neün Uhren vormittenttag (…) persönlich erschienen ist Herman Kurtz der lauttenmacher vnnd burger Zu Straßburg, gesundes gehendß vnd stehendes leibß auch gutter Verstendiger sinnen Vernunfft gespräch vnnd wissens (…)
dieweil dann Zum Vierten vnnd letzten Agatha Kallhartin sein Codicillatoris haußfr. Ihme Herman Kurtzen Ihrem hauswürth, Inn Ihrem heüt dato vnd In diser stunden vffgerichtem testamento den Nutz vnd Nieß Aller Ihrer Unverändertten vnd theilbaren güter d. gestaltt d wo fern er herrmann Kurtz Ane eÿgenthumb mangell leid. solte, daß er die widems Verfangenschaft vmb ettwaß, Jedoch mit vorwissen und bewilligung der obrigkeit Anzugreiffen macht haben solle, verordnet, derowegen so will er ferner Kurtz d. Codicillator gemelter Agatha Kallhartin Aus* zu einem widem Alle seine haab nahrung vnd güetter (…) ihr lebenlang Inn rechtenn widems weiß Zubesitzen
Inn sein Codicillatoris behaußung Inn der Kurbengassenn vff einer seit. Neben Peter N. dem grempen vnd vff der Andern seitten David Huober denn schreiner gelegenen, deren oberstuben gegen der gassen sehendt
Hermann Kurtz retire à la Tour aux deniers un capital au titre des tutelles
1614, Préposés au bâtiment (VII 1329)
(f° 28) Sambstag 12.t Febr. – Vogteÿ geldt abgelöst – Herman Kurtz als vogtt hat hieuor vffkhundet Jetzo empfangen hauptgut in summa 29 h, mehr noch j capital 29 h d, für ¼ Jar martzal 14 ß 6 d (zusammen) 28. 14. 6
hat bede vrkhund. gelieffert da mit erlössett, Nam barthel bertsch das gelt Zu beysein herman kurtz.
Hermann Kurtz et sa femme Agathe vendent la maison au notaire Jean Leimner et à sa femme Anne Hennigk
1599 (24 Novemb.), Chancellerie, vol. 323 (Registranda Kugler) f° 288-v
Erschienen Herman Kurtz Luthenmacher burger alhie, vnnd Agatha sein haußfrauw Martin Kallharts des goldtschlagers alhie eheliche dochter mit beÿstandt deßelben
Haben Inn gegensein Herrn Johann Leimners Notarÿ vnd Anna Hennigkin seiner ehegemahlin (verkaufft)
hauß vnnd hoffstatt mit allen and.en Iren gebeuwen gelegen In d. St. Straßburg Inn Fladergaßen einsit neben herr Gall Lucken Schaffners behaußung, and.seit einer behaußung dem Werck vnser Frawen Münster Zustendig, stoßend hinden vff Volenberger Werckmeÿster, dauon gondt 5 guldin Straßburger Werung vff der heÿligen dreÿ König tag, ablösig mit 100 goldguldin Jeder goldguldin zu xv ß d gerechnet dem Closter Zu S Marx, Item Zwen guldin Straßburger vnd Mariæ v.kundung Wid.ablößig mit 50 guldin zu 15 batzen den Prebendarien hoher stifft Straßburg, Item 6 schilling pfenning gelts vff Adolffi Wid.khouffig mit 6 pfund pfenning Philipps Mutschel Malern, Item 3 pfund 16 schilling 6 pfenning gelts Wid.khouffig mit 76 pfund 10 schilling Hanns Bindel Goldschmidt vögtlicher weÿß, sunst ledig eÿgen Wie man sagt vnd alles recht & der Khauff vber die beschwerden, daran die Khouffer gewÿßen vnd vber sich genommen, beschehen vmb 237 pfund
[in margine :] der Khouff für ledig eÿgen vmb viij C gld St. W. Beschwerden j Lxxxij Lib x ßd
Originaire d’Enns en Autriche, Jean Leimner épouse en 1597 Anne, fille du procureur Gaspard Hennigk
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 106, n° 33)
1597. Dominica vi post Trinitatis. Johannes Leimner von Enß in Ostereich der Notarius vnd Jungfrau Anna Caspar Henigkhen procurators am Stattgericht hinterlaßene tochter, Eingesegnet im Münster den 19. Julÿ (i 57, pas dans les registres de la Cathédrale)
Jean Leimner devient bourgeois quelques jours après son mariage en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
1597, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 744
Johannes Leimner von Enß Inn Österreich d. Notarius, empfahet d. Burg. von Anna Weÿlandt Caspar Hennick. selig. dochter seiner ehelich. Haußfr. vnd will Zun Mörin diehnen, Act. den 26.t Julÿ 97.
Les Conseillers et les Vingt-et-Un nomment Jean Leimner rédacteur d’inventaires après son examen, selon le principe que plus il y a de notaires, plus les bourgeois ont de choix. Il prête serment le 28 septembre 1597.
1597, Conseillers et XXI (1 R 76)
(f° 374-v) Mittwoch den III. Augusti – Johann Leimner vmb beneficium inventandi.
Johann Leimner vbergibt supplôn vnd bitt d. m Hn Ime d. beneficium inventandi p$ hab* examinirt wolten wid. fahren lassen. vertrostet er seines fleißig. dienst, mag auch leid. d. seine H bei denen er funff Jar gewessen H. Stillkraut v. Rosenberg, seines verhaltens gefragt werd.
Erkant die Cantzley Hhn sollen Ihne examiniren wan er den besteht Kan man Ihne annhmen, wo nit werd. sie sich wolwissen Zuenthalten.
(f° 460-v) Mittwoch den XXVIII Septembr. – Joann Leimner hatt beneficium inventandi erhalten
H. Stattschbr. referirt wie neben Jacob * vnd h. Hochfeld. einen Notar. so Jungs vmb d. beneficium inventandi angesucht vnd ad examen Zugelassen word. examinirt word. vndt also befunden d. er wol mag Zugelassen werd. sonderlich d. Kein gewisse anzahl vndt man Jed: Zeit dafur gehalten Je mehr der Notarien seyen, es die burg. am besten haben vnd leid.lichsten gehalten werd. Dorumb sie meinen man soll Ihne Zulassen.
Erkant Ist Zugelassen, hatt die ordnung geschworen.
Jean Leimner et Anne Hennigk hypothèquent la maison au profit du tailleur Georges Schœnenberger
1600 (xxvij tag Septembris), Chancellerie, vol. 327 (Registranda Meyger) f° 259
(Inchoat. in Proth. fol: 277.) Erschienen Herr Johann Leÿmner Notarius Burger Zu Straßburg Vnd Anna Hennickerin sein eheliche Haußfraw, Wÿland Caspar Hennickers Fürsprecher Am Stattgerichts selig. dochter
Haben bekhandt vndt Inn gegenwertigkheit des Erbaren Jörg Schönenbergers Schneÿders Burgers Zu St. – schuldig sigent 50 Pfund pfenning Straßburger
Vnd deßen Zu Mehrer sicherheit Sind Persönlich erschienen der Ehrenhafft Herr Hieronimus Hatten der Weißgerber Vndt Balthazar Wildermöhr, Schneider, burgere zu St. Haben sich für sich mit sampt Ime dem Bekhennern Zu Recht. Bürg. mit vnd selbst schuldner vnver. gesetzt vnd gemacht
(…) deßen zu mehrer Vorgewisserung ÿngesetzt Hauß Vnd hoffstatt mit Iren gebeuwen gelegen Inn der St. St. Inn der Fladergassen, anderseit nebent einer Behausung Vnser Frauwen Werck Zugehörig bewohnt hanß Semmich der Schneÿder Lehns Wiß, Anderseit neben Barthell Kallhardt der Goldtschlager, hinden vff hanß Thoman Vlberger den Werckmeister stoßend, Dauon gond 6 schilling pfenning gelts Philips Mütscheln dem Brieffmaler, Item v guldin gelts Ablosig mit C goldtguldin Zu Sant Marx, Item ij guldin gelts, Losig mit L guldin den Herrn Vicarien Im Gürtler Hoff, Item Achthalben guldin gelts Widerkhouffig mit C L guldin Johann Pintelin dem Goldtschmÿdt, Inn Vogts wiß, So dann ist sie noch hafft vnd vnderpfandt für ein Schuld 112 pfund vnd 10 schilling Zu Zielen Zubezalend, Herman Khurtz dem Lauttenmacher Alle Jahr
Jean Leimner et Anne Hennigk hypothèquent la maison au profit de Paul Hennigk, fils du procureur Gaspard Hennigk.
1601 (xxiij tag Martÿ), Chancellerie, vol. 335 (Registranda Meyger) f° 107
(Inchoat. in Proth. fol: 149.) Erschienen Johann Leÿmner Notarius burger Zu Straßburg, Vnnd Anna Hennickerin sein eheliche haußfrauw mit beÿstandt Balthazar Wildermehr schneÿders burgers Zu Straßburg Ires schwagers, Haben sich für sich & verschriben
Gegen Paulus Hennicker wÿland Caspars Hennickers des Procurators Inn Stattgericht Alhie selig Sune, Von dessen weg. Zugeg. wahr herr Hieronimus Hatten den Weißgerber burger zu Straßburg seines geschwornen Vogts demselbig seinem Vogt sun Zu Zinsen 5 guldin gelts ablösig mit 100 guldin Straßburger Werung
Vonn Vff Vnnd Abe Hauß vnnd hoffestatt, mit Iren gebeuwen & geleg. Inn der Statt Straßburg Inn der Fladergassen einsit neben einer behausung Vnser frauwen werck Zugehörig, bewohnt hannß Semmich d schneÿder Andersit nebent Barthell Kallharth dem goldtschlager, hinden vff hannß Thoman Vlberger den Werckmeister stoßend, Dauon gond Sechs schilling pfenning gelts Philipß Mutschlern dem Brieffmahler, Item v guldin gelts ablösig mit 100 gold guldin Zu Sant Marx, Item Zwen guldin gelts Lösig mit 50 guldin den herren Vicarien Inn gürtler hoff, Mehr Achthalben guldin gelts wid.khöuffig mit 150 guldin Johann Püntelin dem goldtschmÿdt Inn Vogts weÿß, So dann sindt sie noch hafft vnd vnderpfandt für ein schuld 112 pfund vnd 10 schilling d Zu Zÿlen zubezahlend, Herman Kurtz dem Lautenmacher Alle Jahr, Sunst eÿg
Nouvelle hypothèque au profit de leur beau-frère et frère respectif Paul Hennigk
1602 (19. Augusti), Chancellerie, vol. 343 (Registranda Kügler) f° 371
(Inchoat. fo: 376.) Erschienen Herr Johann Leimner offner Notarius, vnd Frauw Anna Henninken sein Ehegemahel,
Haben Inn gegensein Pauli Hennigken Ires Schwagers vnd brud.s mit beÿstand Herrn Jheronimi Hatten der Herren des großen Raths Beÿsitzers seines geschwornen vogts – schuldig sigen 100 guldin Straßburger Werung gelühens gelts
dafür Vnderpfand sein soll Hauß vnnd hoffestatt mit allen and.en Iren gebeuwen gelegen Inn der St. St. In Flad. gassen, einsit Barthel Kallart den Goldschlag. and.seit einer behausung dem Werck unser Fr. Münster Zustendig, stosst hinden vff Hans Thoman Ulberger, Werckmeÿstern, dauon gond 5 guldin gelts ablößig mit 100 goldguldin dem Closter Zu S Marx, Item j lib j ß d gelts ablößig mit xxv lib d den Vicarien hoher Stifft Straßburg, Item vj ß d gelts ablößig mit vj lib d Philips Mütscheln Molern, So dann iij lib xvj ß vj d gelts losig mit Lxxvj lib x ß d Hans Bindele Goldschmidt vogtlich wÿß, Item 5 guld. gelts ablösig mit 100 guld. St. W. obbemeltem Paulo Heÿnigken dem Schuldgloubig. Vnnd seind auch noch v.hafft für lxij lib x ß Herman Kurtzen dem luthenmach. Zülswÿß Zubezalen Sunst ledig eÿgen
Hiebeÿ sindt gewesen Caspar Schönauwer Kürßner vnd Balthasar Wild. mehr Schnÿd. als verwandte darzu gebetten
Jean Leimner est candidat au poste de greffier de Marlenheim (ce n’est pas lui qui sera nommé). Le notaire Paul Rosenbrecher demande en 1615 que lui soient confiés les actes de feu Jean Leimner.
1605 Conseillers et XXI (1 R 84) Marlenheimische Gerichtschreiberey bestellen [Six Krafftberger Schreiber beurlauben]. 310. 318. 320. [Johann Leimner Notarius] 326.
1608 Conseillers et XXI (1 R 87) Johann Leymner [der Notarius] contra Offenburg. 249.
1615 Conseillers et XXI (1 R 96) Paul Rosenbrecher [Notarius] vmb Johann Leymners Protocolla. 198. 335.
La maison appartient ensuite au tailleur Pierre Hahn (cité comme propriétaire en 1610)
Pierre Han épouse en 1598 Marie, fille du boulanger Georges Faulhaber, de Beckelsberg (sans doute Bickelsberg près de Rosenfeld en Wurtemberg)
Mariage, cathédrale (luth. p. 39)
1598. den 9. Trinitatis. Peter Han der schneider, Maria Jerg fulhaber deß Becken Zu Beckelsberg n.g. tochter (i 22)
Gaspard Medler dépose un capital au nom de Marie Faulhaber, veuve de Pierre Hahn, et Jean Wag au nom de ses deux fils Jean Guillaume et Jean Georges.
1622, Préposés au bâtiment (VII 1337)
(f° 170-v) Donnerstag den 18. Julÿ 1622 – Vogteÿ geldt angelegt
Caspar Medler Notarius alß vogt Mariæ Faulhaberin, Weÿland Peter Hahnen Schneiders Wittib, So dann Jacob Wag bemelter eheleüt mit einander ehelich erzeugten Söhn mit nahmen hans Wilhelm vndt hans Georgen geodneter Vogt hat ins Vogteÿgeld anglegt 450 ln
Haben Ihn darumb Zukauffen geben 22 lib 10 ß Jährlich Vff Jacoby fallend. – Ing. fol. 193
(f° 289) Sambstag den 30. Novembr. – Vogteÿ geldt angelegt
Caspar Medler, Notarius, alß vogt Mariæ Faulhaberin, Weÿland Peter Hahnen des Schneiders seel. Wittib, So dann Jacob Wag alß Vogt Hanß Wilhelmen vndt Hanß Georgen, gemelter beeder Ehe Persohnen ehelich erzeügten Kinder, haben ins gemein für ihre Vogts Persohnen die Wittib vnd Kinder erlegt 225 h
Haben Ihnen darumb zu kauffen geben 11 h 5 ß vff Catharinæ fallend. – Ingeschr. fo. 258
La veuve et les enfants de Pierre Hahn vendent la maison à l’orfèvre Sixte Lederer et à sa femme Marguerite Meder
1622 (17. Maÿ), Chancellerie, vol. 444 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 41-v
Kauffverschreybung Sixt Lederers des goldschmidts vber sein Behausung
(Extendirt wie In dem Contract buch de Anno 1622. folio 78. Zubefind.) Erschienen Maria Peter hanen des schneids. wittib mit beÿstandt H Caspari Medlers deß Notÿ. Ihres geordneten vogts, So dann Jacob Wag der schneider alß vogt em.ten hanen see: nachgelaßener Kindern mit namen M Johann Wilhelm vndt Johann Georg der hanen, deren einer alß erstermter Johann Wilhelm selbst Zugegen
bekannten H Sixt Lederers des goldschmidts vnd Margarethen Mederin beed. ehegemechdten (verkaufft)
Ein behaußung, hoffstat, sampt allen and.n Zugehörd. vnd gerechtigkeit. alhie in Fladergaßen j.seit neb. H hannß Semich alten großen Rhats V.wanthen, 2.seit Barthel Linck dem glaßmahler, hind. vff Hanß Bernhard Ulberger den Wurtz Krämer stoßend gelegen, dauon gehen Jahrß 5 fl. wehr. vff Trium Regum dem Allmosen zu S Marx in hauptgut mit 100 fl. wehrung, So dan 2 fl. wehrung dem Gürtlerhoff vff Mariæ geburth in capital mit 50 fl. wehrung abzulösen, sonst ledig eÿgen Vnd were diser Kauff Zugang. für ledig vnd vnbeschwerth vmb 1200 fl.
Geschehen in beisein H M. Georgÿ Mentelÿ, H Hannß Diebold Vogels deß goldtschmidts Freÿtags den 17. Maÿ 1622.
Originaire de Langenzenn en Franconie (margraviat d’Ansbach), l’orfèvre Sixte Lederer achète le droit de bourgeoisie le 24 décembre 1605
1605, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 708
Sixtus Lederer der Goldtschmidt von Langen Zehen Inn francken kaufft d. B. mit beÿstand Isaac Herbsten deß goldschmidts Will Zut steltzen dienen Act 24. decemb: 605
Sixte Lederer épouse en 1613 Marguerite, fille de Matthieu Moder, de Neumühl près de Kehl
Mariage, cathédrale (luth. p. 14)
1613. Dominica 18. Trinitatis den 3. Octobris. Sixt Lederer der goltschmid von langen Zen aus der margrafschaft Anspach vnd Margaretha Matthes Moders von newen müel nachgelaßene tochter, eingesegnet Montag den 11. 8.bris (i 12)
Sixte Lederer hypothèque la maison au profit des trois filles mineures de l’imprimeur Chrétien Würstmann
1623 (3. 9.bris), Chancellerie, vol. 451 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 231-v
Schuldbekantnuß Christiani Wurßman der Buchtruckers seligen 3. Tochtern vber 50 lib.
Erschienen Sixt Lederer der goldtschmidt
bekandte in gegensein Christoff Schawmans deß Jüngern Müntzbot. alhie Alß vogts Christiani Würstmanns deß buchtruckers see: nachgelaßener dreÿer töchtern, vnd ihr der vogtstöchtern eheleiblichen Muter – schuldig word. 50 pfund
dafür Vnd.pfand hauß vnd hoffstat mit allen Zugehörd alhie in der Fladergaß neben hannß Emich groß. Raths v.wanth. s: Erben 2.seit Barthel Lincken glaßmaler, hind.vff hanß Bernhard Ulberger stoßend gelegen, dauon gehen Zuuor 5 fl. St. Wer. vff Trium Regum dem Allmosen Zu St Marx in hauptgut mit 100 fl. besagter wer.
Âgé de soixante-cinq ans et hors d’état de gagner sa vie, Sixte Lederer fait donation de ses biens tant meubles qu’immeubles à l’orfèvre Jean Herbst contre son entretien. L’acte est dressé en présence de Marguerite Beinheim, femme du donataire.
1639 (Ersten Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 483 f° 562
(Leibgeding) Erschienen herr Johann Herbst der Goldtschmidt burger Zu Straßburg, An einem,
So dann Sixt Lederer auch Goldtschmidt und burger alhie, Am Andern theil, Zeigten an und bekannten freÿ gutwillig offentlich, demnach Er Sixt Lederer vff die 65. seines Alters und dahero seine tägliche Nahrung und Underhaltung mit seiner handarbeit nit mehr zu gewinnen Vermöge,
Alß heten Sie sich heut dato, in besein Herrn Tobiæ Franckenbergers Goldarbeiters und Zachariæ Roßers deß schneiders beed. Burgere alhie, alß hierzu Von beeden Parten insonderheit erpetener Underhandlern, eines Leibgedings vffrecht dahien verglichen, Nemblichen soll Er Herr Herbst ihne Lederer zu sich in seine Behaußung nemmen (.inmaßen derselb albereith Zweÿ Jahr lang darinnen sein Herbsten costen geweßen.) demsemben die tag seines Lebens (…)
Hingegen vnd für solche Pfrundt vnd vnd.haltung hat Er der obgemelte Sixt Lederer ihme herbsten hiemit eÿgenthümblichen vbergeben vnd Zugestellt alle seine ietzt habend vnd Künfftig bekommende, ligend vnd fahrende haab vnd güetere, wo die geleg. vnd anzutreffen sein werden, es seÿ an häußen, hausraht, Werckzeug oder wie daßelbige namen haben mag
Darbeÿ geweßenen Margreth Beinheimin obernt. Herbsten haußfr.
Fils de l’orfèvre Isaac Herbst, Jean Herbst épouse en 1632 Marguerite, fille de Jean Beinheim
Mariage, cathédrale (luth. p. 313)
1632. doîca 13. Trin: 26. Aug: Johan Herbst der Goltschmidt H. Isaac Herbst deß Goltschmidts vnd Beysitzer deß großen Raths Sohn, Vnd J. Margreth Johan Beinheims tochter, eingesegnet Zinstag 4. 7.brsi (i 161)
Jean Herbst est nommé contrôleur de la Monnaie en 1639
1639, Protocole des Quinze (2 R 63)
Wardenampt würdt Johann Herbst vberlaßen. 198. Johann Herbst der Newe Wardin vmb Jahrgelt. 200.
Jean Herbst se remarie en 1641 avec Jacqueline, fille du barbier Jean Pfort
Mariage, cathédrale (luth. p. 450)
1641. Domin: XVI. Trinitatis. Johann Herpst der Goldschmidt allhie vnd Jungfraw Jacobe, H Johann pforten deß gewesenen Barbierers auch eines Ehrsamen Großen Raths alten beÿsitzers, nachgelaßene eheliche tochter. Eingesegnet Im Münster den 19. Octob. (i 230)
Autres mentions de Jean Herbst dans les registres du Magistrat
1636, Conseillers et XXI (1 R 119) Johann Michel Mann Contra Abraham vnd Johann Herbst. 10. (Statt Breÿsach intercedirt)
1648, Protocole des Quinze (2 R 67) Johann Herbst der Goldarbeiter umb frücht, wein. 103.
1653, Protocole des Quinze (2 R 71) Johann Herbst Ca. Steltz Zunfft. 55. 59. 65. 77. 82.
(f° 82) Sambstag den 14. Maÿ –
1665, Protocole des Quinze (2 R 82) Wartin. 90. [Johann Herbsten Wartinschafft Zue Hagenaw]
Jean Herbst rembourse le capital d’une rente assise sur la maison d’après un acte de 1489.
1671 (19. Aug:), Chambre des Contrats, vol. 538 f° 566-v
Erschienen Herr hannß Georg Rhem Oberschreiber deß Gemeinen Allmosens zu St Marx, im nahmen herrn Georg Rhemen als Schaffners alda,
in gegensein herrn Johann Herbsten deß Silberarbeiters, mit beÿstand Johann Hammerers deß Glaßers seiner Kindter Vogts
bekannt, daß Er Herbst besagtem Allmoßen 100. Golt fl. erlegt und dadurch die Jenige von seiner allhier in der Fladergaßen Vermög eines latinischen pergamentinen sub dato 2. Idus Januar. und. 5. Idus Martÿ anno 1489. durch weÿl. herren Johann Spüllen alß des bischofflichen hoffs damahlig gewesenen Contractuum Notarium nun längst seel: uffgerichteten Zinnßbrieffs dabeÿ befindlicher transfix, In Compensatione termino trium Regum Zu Zinnß gefallende 5. Gold fl. abgelößt
Jean Herbst hypothèque la maison au profit d’Anne Marguerite Kob
1672 (29. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 410-v
H. Johann Herbst der Silberarbeiter, mit beÿstand Johann Hammerers deß Glasers seiner Kinder Vogts
in gegensein des Ehrenvest- fürsichtig- weÿsen herren Johann Philipp Schmidten E.E. Großen Rhats beÿsitzers alß Curatoris Jungfr. Annæ Margarethæ Kobin – schuldig seÿe 100. Pfund
Unterpfand, hauß hoffstatt mit allen deren Gebäwen begriffen und Zugehördten allhier in der Fladergaßen einseit neben Einer behaußung der Fabric des Münsters gehörig, anderseit neben herren Johann Philipp Braunen Stallschreibern, hinden uff Michael Marquart den Gürtler stoßend gelegen
Jean Herbst l’aîné hypothèque la maison au profit de son fils Jean Herbst. Les trois autres enfant de Jean Herbst l’aîné ratifient l’acte en 1678.
1676 (21. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 793
Herr Johann Herbst der Silberarbeiter
in gegensein Johann Hammerers deß Glasers alß Vogts Johann Herbsten deß Jüngern, daß Er der Vatter Ihme dem sohn schuldig seÿe 100. lb
unterpfand, huß, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen und Zugehördten alhier in der Fladergaß einseit neben Einer behaußung der Fabric deß Münsters gehörig anderseit neben Sigmund Schallmann dem Silberarbeitern, hinden uff Michael Marquart den Gürtler stoßend gelegen
[in margine :] Erschienen hierinn gemelter Johann Hammerer alß curator Johann Herbsten, hat in gegensein Herrn Johann Büchels deß Handelsmanns bekannt, daß er (vorstehende Obligation cedirt und übergeben habe), Hierbeÿ sind Zugegen geweßen Veronica Herbstin, hannß Jacob Greißbachß deß Gerbers Eheweib mit beÿstand ihres Ehevogts, Dorothea gebohrne Herbstin H. hannß Jacob Windisch deß haußfeurers eheliche haußfrau mit assistentz ietztgemelts ihres Ehevogts und dann Gottfried Herbst der silberarbeiter, alle dreÿ deß debitoris eheleibliche Kindern Zeich. an d. Sie von obiger schuld genugsame wißenschafft hetten, welche auch so bald die hypothecirte behaußung Versilbert wird bezahlt oder nach des Vatters seel. Zeitlichen hintritt für aller theilung zuvorderist richtig gemacht – Act. 7. 8.b a° 1678
La maison revient à son fils orfèvre Geoffroi Herbst qui épouse en 1680 Madeleine, fille du sénateur Jean Adam Voltz.
Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 92 n° 540)
1680. Eodem [Dom. Miseric. et Jub. d. 25. April et 2 Maÿ] H Gottfried Herbst d. ledige Silberarbeiter, weÿl. H Joh. Herpst. Silberarbeiters undt burgers allhier auch beÿ hiesig. Müntz wardeiners ehelich sohn, Jfr. Magdalena weÿl. H Johann Adam Voltzen .E .E Groß. Raths beÿsitzers eheliche tochter. Cop. St. thomæ 6. Maÿ (i 48, procl. cathédrale f° 79)
Geoffroi Herbst hypothèque la maison au profit du marchand Jean Büchel pour payer à l’orfèvre Jean Herbst, de Stockholm, le prix de la maison qui lui a été cédée en 1676.
1680 (16. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 668-v
Gottfried Herbst der Silberarbeiter
in gegensein Herren Johann Büchels deß handelßmanns seines Schwagers, daß Er demselben über die resp. am 21. 7.br ao° 1676 und dabeÿ befindlicher Cession vom 7. 8.br 1678 Verschriebene 100. lb noch ferners 200 lb theils bahr gelühenen Gelts daß Er damit Johann Herbsten den Goltarbeiters Zu Stockholm Vollendts wegen hiernach beschriebener angenohmener behaußung auß weißen können, theils so Ihme herrn Bücheln ehevögtlicher weiße uff erwehnter behaußung gebühren
unterpfand, Hauß, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen und zugehördten alhier in der Fladergaß, einseit neben einer behaußung der Fabric deß Münsters gehörig, anderseit neben Sigmund Schawmann dem Silberarbeiter, hinden uff Michael Marquart den Gürtler stoßend gelegen
Geoffroi Herbst vend la maison au marchand épicier Abraham Büchel le jeune
1684 (26.6.), Chambre des Contrats, vol. 554 f° 272
Gottfried Herbst der Silberarbeiter
in gegensein H. Abraham Büchels deß Jüngern Specirierers mit beÿstand herrn Johann Zengels deß handelßmanns
hauß, hoffstatt mit allen deren gebäwen begriffen weithen zugehördten rechten und Gerechtigkeiten alhier in der Fladergaß, einseit neben einer behaußung der Fabric deß Münsters gehörig, anderseit neben Sigmund Schalmann dem Silberarbeiter hinden uff Michael Marquart den Gürtler stoßend gelegen – umb 500. lb
Fils du marchand du même nom, Abraham Büchel épouse en 1681 Catherine, fille du sénateur Chrétien Merckel : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrenvest vnd Achtbahren herrn Abrahamb Bücheln, Ledigen handelßmann, des Ehrenvest, fürsichtig und weißen herrn Abraham Beüchels des ältern E. E. großen Rahths alten beÿsitzers v vornehmen handelßmanns allhie Zu Straßburg, mit weÿl. der Viel Ehren v tugendreichen frawen Annæ Büchelin gebohrener Meÿerin, Ehelich erzeigtem Sohn, als dem hrn Bräutigamb ane einem, So dann de Viel Ehren vnd Tugendreichen Jungfrauen Catharina Mercklinin, weÿl. des auch Ehrenvest fürsichtig v weißen herrn Joh: Christmann Mercklins E. E. Großen Raths geweßenen alten beÿsitzers nunmehr seel. mit dier Viel Ehren und tugendreichen frawen Cleophea Mercklinin gebohrener Stauderin ehelich erzeugten Tochter, als der Jungfrau Hochzeiterin am anden theil (…) Beschehen in des heÿligen Reichs freÿen Statt Straßburg Donnerstags den 21. Aprilis Anno 1681
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 15 n° 14)
1681. Fest. Pentecost. Abraham Büchel der Jünger Handelsmann alh. Hr Abraham Büchels deß Handelsmanns vnd E.E. Großen Raths alten Beÿsitzers Ehelicher Sohn vnd Jungfr. Catharina weiland Hn Christman Mercklins E.E. Großen Raths alten Beÿsitzers vnd beÿ dieser Kirchen wolver* nachgelaßene tochter. Copul. Zu St Niclaus Donnerst. 2. Junÿ (i 16, procl. cathédrale p. 93)
Inventaire dressé en 1702 après la mort d’Abraham Büchel. Il en manque l’intitulé. La masse propre à la veuve s’élève à 3 362 livres, celle des héritiers à 1 753 livres. L’actif de la communauté est de 5980 livres, le passif de 4 336 livres.
1702, Not. Rohr (Daniel, 46 Not 8)
Inventarium über Abraham Büchel Verl. [manque l’intitulé]
(f° 18) Eÿgenthumb ahne Häußern (W.) Erstlichen ein Kleine behaußung, in der Vorstatt Krautenaw in der Kleinen Viehegaßen (…)
(W.) It. noch eine Kleine behaußung, in der vorstatt Krautenaw in der Kleinen Viehgaß (T.)
It. eine behaußung und hoffstatt ahne der Obern straß beÿ der Sterinern bruck (…)
(f° 19) Eÿgenthumb ahne Liegende güthern. (W.) Erstlichen ein gartten der hemmelsgartten genannt über St. Johannis Gießen so 2 Acker groß
Ergäntzung der Fraw Wittib ermanglenden unveränderten Vermögens. Inhalt Inventarÿ über deroselben in den Ehestand zugebrachte Nahrung in Anno 1681. durch Herrn Johann Philipp Schüblerin Notm. publ. expedirt. Erstlichen befindet sich das der frau wittib, beÿ weÿland herrn Johann Christmann Mercklins E. E. Großen Rhats alten beÿsitzers Ihres herrn Vatters seel. verlaßenschaffts abtheilung pro rato erblichen angefallen
Copia der Eheberedung (…) Beschehen in des heÿligen Reichs freÿen Statt Straßburg Donnerstags den 21. Aprilis Anno 1681
Copia Testamenti – 1682 (…) den 9. August newen Calenders (…) in einer allhier Zu Straßburg in der großen Kirchgaß gelegener vnd ernanntem Herrn Notario Schüblern seel. eÿgenthümblich zuständiger behaußung, Persönlich kommen und erschienen sind der Ehrenvest Herr Abrahamb Büchel handelßmann v beneben Ihme die Viel Ehren v Tugendreichee Frawn Catharina Mercklinin beede Ehegemächs burgere Zu Straßburg gesunden gehend v stehenden Leiber (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Fraw Wittib Nahrung betr., Sa. haußraths 81, Sa. leerer Vaß 2, Sa. Silber Geschirr vnd geschmeids 38, Sa. Guldener Ring und Geschmeidts 31, Sa. der baarschafft 73, Sa. Pfenningzinß hauptguths 75, Sa. Eigenthumbs ane häußern 22, Sa. Eigenthumbs ane liegender güther 35, Sa. Activ Schuld 1, Sa. Ergäntzung 3000, Summa summarum 3362 lb
Der Erben Vermögen belangend, Sa. haußraths 110, Sa. leerer Vaß 28, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 67, Sa. guldener Ring und geschmeids 19, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 55, Sa. Eigenthumbs ane häußern 80, Sa. der Gülthen 14, Sa. Eigenthumbs liegender güthere 42, Sa. Ergäntzungs Rests 1335, Summa summarum 1753 lb
Das Theilbahre Guth belangend, Sa. haußraths 76, Sa. Wein, Eßigs, brandenweins und leere Vaß 414, Sa. Wahren wie auch Schiff und geschirrs 1958, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 31, Sa. guldenen Rings 10 ß, Sa. Baarschafft 1603, Sa. Pfenningzinß hauptguths 166, Sa. Eigenthums einer behaußung 455, Sa. Activorum 1274, Summa summarum 5980 lb – Schulden 4336, Nach deren Abzug 1644 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 6760 lb
– Summarische berechnung und respective Lüfferung Vber Fr. Mariæ Magdalenæ Kraußin gebohrner Klugin H. Johann Reinhard Kraußen Pfarrers zu Naßau Saarbrücken Eheliebstin annoch habend Großelter und Mütterlichen Guths, Welches Weÿl. H. Abraham Büchel geweßener handelßmann und burger alhier seel. dero geweßenen Vogts administrirt
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 3 000 florins (1 500 livres) sur un total de 10 500 florins
1703, Livres de la Taille (VII 1173) f° 182-v
(Kieffer, F. 149.a, N° 750) Weÿl: H. Abraham Büchels deß geweßenen Specierers undt Burgers allhie Verlassenes Vermögen, jnventirt Nots: Rohr.
Concl: fin: Inv: ist fol: 189.b 6760. lb, die machen 13.500. fl. hiengegen verstallte derselb allein 10.500 fl und also 3000 fl Zu wenig.
Von obigen 10.500 fl. stehet nun daß Stallgelt pro 1703. auß thut 17. lb 2 ß
Nachtrag von nicht verstallten 3000 fl. vor Acht jahr in duplo macht à 9 lb d, 54 lb
Und pro Fünff jahr in simplo thut à 4 lb 10 ß, 22 lb 10 ß
Item so ist vor gebott 2 ß 8 d
So dann vor abhandlung deß verlaßenschafft: und Geberbs inventarÿ 8 lb 2 ß 6 d, summa 101 lb 17 ß 2 d
dt. 1. Aug: 1703.
Abraham Büchel vend la maison à Salomé, veuve du marchand épicier Adam Mey moyennant 500 livres
1690 (3. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 594
H. Abraham Büchel der Handelßmann
in gegensein Fr. Salome weÿl. Adam Meÿen deß Specereÿ Hendlers hinderlaßener Wittib mit beÿstand Lorentz Reinthalers deß Strehlmachers Ihres Vogts und H. Frantz Reinthalers E.E. Großen Rhats beÿsitzers
Eine behaußung und Hoffstatt mit allen deren Gebäwen und zugehördt. allhier in der fladergaß einseit neben Steffen Schecki dem Liechtermacher anderseit neben Sigmund Schellmann dem Silberarbeiter hinden uff Michael Marquart den Gürttler stoßend gelegen – geschehen umb 550 Pfund
Le marchand Adam Mey épouse en 1654 Salomé, fille du peignier Frédéric Reinthaler
Mariage, cathédrale (luth. p. 566 n° LV)
1654. Eodem [Sonnt. 26. Trin: 19. 9.br) H Adam Meÿ der handelsmann vnndt burger alhier vnndt J. Salome weilandt H. Friderich Reinthalers des burgers vnndt Streelmachers auch E. Ers. Großen Raths beÿsitzers hinderlaßene Eheliche Tochter. Zinst. 28. 9.br Münster, Spiegell H.stub (i 316)]
Salomé Reinthaler, veuve d’Adam Mey, vend la maison à son fils épicier Frédéric Mey moyennant 550 livres.
1695 (31.1.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 62
Fr. Salome geb. Reinthalerin weil. H. Adam Meÿen, gewesenen Specereÿ händlers sel. nachgelaßene Wittib mit beÿstand H. Lorentz Reinthalers, deß Kammachers, ihres leiblich. bruders und Vogts
in gegensein H. Friderich Meÿen, deß Specereÿ händlers Ihres leiblich. Sohns (unterzeichnet) Friderich Maÿ
Eine behaußung und hoffstatt mit allen deren Gebäuen und zugehörden allhier in der Fladergaß, einseit neben Stephan Jacqui den Liechtermacher anderseit neben H. Sigmund Schallmann den Silberarbeiter hinten auf Michael Marquart den Gürttler stoßend gelegen – umb 550 pfund
Frédéric Mey épouse en 1694 Catherine, fille de Georges Heckler, sénateur et chef du chantier de l’Œuvre Notre Dame
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 49-v, n° 293)
1694. Eodem [Dom. XV. post Trinit.] seÿnd Zum 1. mahl außgeruffen worden. Hr. Friderich Maÿ lediger Spezierer, Weil. hr Adam Meÿen gewesenen Spezierers und burgers allhier nachgel. ehl. Sohn, Jgr Catharina weil. Herrn H. Georg Häcklers E. E. Großen Raths gewesenen beÿsitzers, auch Werckmeisters beÿ der Frawen Werck allhier nachgel. ehl. Tochter. Seÿnd copulirt worden den 29. 7.br (unterzeichnet) Friedrich Maÿ als Hochzeiter, Catharina Heckherin als hochzeitrin (i 49)
Frédéric Mey vend la maison au serrurier Jean Jacques Ernst et à sa femme Marie Dorothée Schopp (ici Scob)
1696 (12.5.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 285-v
H. Friderich Meÿ, der Specereÿhändler
in gegensein Johann Jacob Ernsten, deß Schloßers und Mariæ Dorotheæ geb. Scobin
Eine behaußung und Hoffstatt mit allen deren gebaüen, begriffen, weithen, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten allhier in der Fladergaß, einseit neben Stephan Jacquj dem Liechtermacher anderseit neben Sigmund Schallmann, dem Silberarbeiter hinten auf Weÿl. Michael Marquart des Gürttlers seel. Wittib stoßend gelegen – umb 600 pfund
Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit du cornette Daniel André Wid
1696 (12.5.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 286-v
Johann Jacob Ernsten, der Schloßer und Maria Dorothea geb. Scobin und zwar dieselbe mit beÿstand H. Samuel Christoph Flechtners des Kaüfflers und hans Georg Thorwarths des Schneiders beeder ihrer Vettern
in gegensein Hn Jacob Christoph Pantrions, Not. Publ. alß Administratoris bonorum Hn Daniel Andreæ Wids Cornets unter dem Roßischen regiment zu Pferd, schuldig seÿen 500 pfund, daß Sie damit hernach beschriebene behausung haben erkauffen und bezahlen können auch Würcklich bezahlt haben
unterpfand, Eine behaußung und Hoffstatt perge ex immediate vorstehende verschreibung
Fils du marchand de vins Jean Christophe Ernst, Jean Jacques Ernst épouse en 1692 Marie Dorothée, fille du tailleur Jean Philippe Schopp : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedung (…) zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Meister Hannß Jacob Ernsten, Schloßern undt Burgern alhier Zue Straßburg, als Hochzeitern an einem: So dann der Ehrn: und tugendsamen Jungfrawen Mariæ Dorotheæ Scopin weÿland des Ehrenhafft: undt Achtbahen Meister Hannß Philipp Scope, geweßenen Schneiders vndt Burgers alhie seel: nachgelaßener eheleiblichen Tochter alß hochzeiterin andern theils auff Freÿtag den 10. Octobris anno 1692 vor weÿland herrn Johannes Grünwaldt Notario publ. und burgern alhier nunmehr seel: sich begeben (…) So geschehen in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg, Montags den 7. Aprilis anno & 1704, Johann Ludwig Scherer
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 32, n° 201)
1692. den 19. post Trinit. Seind Zum 1. mal außgeruffen word. Hanß Jacob Ernst der Schloßer, Weÿland Johann Christoph Ernsten gewesenen Weinhändlers und burgers Nachgel. Ehelicher Sohn, Jgfr Maria Dorothea, weÿl. Hannß Philipp Schoppen Schneiders und burgers nachgelaßene eheliche T. (unterzeichnet) Johann Jacob Ernst als hochzeiter, M D der hochzeiterin Zeichen (i 32)
Jean Jacques Ernst devient tributaire chez les Maréchaux
1692, Protocole de la tribu des Maréchaux XI 147 (Serruriers 1692-1704)
(f° 7-v) 1692. den 27. Octobris Handwerck gehalten – Joh: Jacob Ernst der Schloßer erscheint, meldet sich, verlangt inn die Meisterschafft geschrieben Zu werden, weilen Er nicht allein das Meisterstück gemacht, sondern auch sich verehlichet. Erkannt wann Er die gebühr wie ein andere gegeben hatt, auch geben wird, als solle Er angenommen seÿn hatt Zu geben 2. lb. d. Dtt. solche dato.
1695, Protocole de la tribu des Maréchaux XI 147 (Serruriers 1692-1704)
wieder Dietrich Crackerich undt Hannß Jacob Ernsten
Marie Dorothée Schopp (Scob) meurt en 1704 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison à 800 livres. La masse propre au veuf est de 9 livres, celle propre aux héritiers de 284 livres. L’actif de la communauté s’élève à 436 livres, le passif à 449 livres
1704 (4.9.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 14)
Inventarium und Beschreibung aller Haab vnd Nahrung, so weÿland die Ehren: vnd tugendsame fraw Maria Dorothea Ernstin, gebohrne Scopin, des Ehrenhafft: vnd Achtbaren Mstr. Johann Jacob Ernsten, Schloßers vnd burgers alhier geliebte haußfrau nunmehr seel. nach ihrem dinstags den 19.en Februarÿ Jüngsthin aus dießem mühesamen leben genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen, erfordern, v. begehren des Ehrenhafften Mstr. Johann Heinrich Büeckels, Schwarzbecken vnd burgers alhier, als geordnet und geschworenen Vogts Mariæ Dorotheæ, Mariæ Magdalenæ, vnd Johann Jacobs, der Ernsten, der verstorbenen frawen seel. mit obermeltem ihrem hinterbliebenen witwer ehelich erzeügter Kind. vnd ab intestato verlaßener Erben inventirt (…) Act: Straßburg den 4. 7.bris 1704.
In einer alhie Zu Straßburg inn der Fladergaßen gelegener, vnd in dieße Verlaßenschafft gehöriger Behausung ist befund. worden wie volgt.
Eigenthumb ane einer behaußung (T.) Item hauß v. hoffstatt mit allen deßen gebäwen begriffen, weithen rechten, zugehördten und gerechtigkeiten geleg. alhier Zu Straßburg in der Fladergaßen einseith neben Andres Nawer dem schneid. anderseit neben Stephan Jaquis dem Krempen hinden auff ein allmend gäßel stoßend. Davon gehen Jahrs 20. lb d Zinß à 4 pro Cento H Daniel Andres Widen In capital ablößig mit 500 lb d, Sonsten allerdings freÿ ledig vnd eigen durch die geschwohrne Werckmeister allhier über vorstehende beschwehrten annoch æstimirt per 300. lb. Und besagt über hievorgeschriebene behaußung ein teutscher Perg: Kauffbrieff mit d. Statt Straßb. Cancelleÿ Contract stuben anh. Insigel verwahrt, datirt den 12. Maÿ A° 1696. Innhaltend welcher gestalten diese behaußung v. H. Friderich Meÿer dem Specereÿ händler erhandelt worden.
Ergäntzung der Erben unveränderten guths. Auß dem über der fraw seel. in den Ehestand Zugebrachte Nahrung durch H Johann Grünwald Notarim seel. auffgerichteten Inventario de Anno 1692. hat mann denen Erb. Zuerg.
Series rubricarum. Des Wittwers unverändert Guth, Sa. Ergäntzung 59 lb – Schulden 50, Nach solchem abzug 9 lb
Der Erben unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 51, Sa. Silbers 3, Sa. guldenen ring 9, Sa. Schulden 50, Sa. Erg. 170, Summa summarum 284 lb
Das theilbahre Verlaßenschafft, Sa. hausraths 34, Sa. Silbers 3, Sa. Eisen und gemachte arbeit wie auch werckzeug Zum Schloßer handwerck gehörig 60, Sa. Eigenthumbs ane einer behausung 30, Sa. Schuld. 38, Summa summarum 436 lb – Schulden 449 lb, Übertreffen also die Schulden auß der theilbaren Verlaßenschafft Zubezahlend die theilbare Nahrung vmb 13 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 280 lb
Eheberedung (…) auff Freÿtag den 10. Octobris anno 1692 vor weÿland herrn Johannes Grünwaldt Notario publ. und burgern alhier
Abschatzung den 3 7.bris aô 1704. Auff begehren des Ehrenhafften und bescheidenen Meister Hanß Jacob Ernst Schloßer ist eine behausung alhie in der Statt Straßburg in der Flader gaßen gelegen einseits Neben Meister Andres Neuenwerdt schneider, anderseits Neben Stephan Jacquis Kremb hinden auff ein Almengäßlein stosendt Welche behausung sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem Preiß Nach angeschlagen wird Vor und Umb Ein tausendt und Sechs Hundert gulden. Bezeichnus durch der Statt Straßburg geschworene Werckhleuth, Jacob Staudacher Werckh Meister des Maur hofs. Johan Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmerhoffs
Jean Jacques Ernst se remarie en 1704 avec Elisabeth Carol, fille du cordonnier Jean Jacques Carol : contrat de mariage non conservé, célébration
1704, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Eheberedung – Joh: Jacob Ernsten Schloßers, vnd Jft Elisabethæ Carolin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 148, n° 694)
1704. Mittw. d. 15. 8.br wurd. nach ordent. außruff. copulirt Johann Jacob Ernst d. Schloßer v. Burger allhie vnd J. Elißabetha, weil. Joh: Jacob Carlen des gewesenen Schuhmachers u. Burg. allhier nachgelaß. ehl. T. (unterzeichnet) Johann Jacob Ernst Alß hochzeiter, Elisabtha Carlin alß hochzeiter (i 147)
Elisabeth Carol fait son testament alors qu’elle est près d’accoucher. Elle nomme pour héritiers ses enfants ou à défaut sa sœur Salomé Carol, femme du tailleur Jacques Heyer.
1706 (22.1.), Not. Redwitz (Jean Frédéric, 43 Not 9) f° 26
Testament – Zuwißen, daß auff Freÿtag den 22. Januarÿ A° 1706. nachmittag Zwischen 3. vnd 4. Uhr, in mein Notarÿ ahne der großen Stadelgaß gelegenen eigenthümlichen behaußung (…) persönlich erschienen Fraw Elisabetha, gebohrne Carlin, Meister Johann Jacob Ernsten des Schloßers vnd burgers allhier Ehegattin, Zwar hochschwangern doch aber von Gottes gnad vnd barmhertzig Keit Gesund, Gehend vnd stehenden leibs, auch Richtigen Sinnen vnd gutter vernunfft (…)
3. ad basiin et fundamentum hus. Testamenti, setzt vnd ernennt Sie Zu dero Künfftigen Erben, vorderist dero lieben Kinder vnd Leibs Erben, wann sie deren eines vnd mehr hinderlaßen würde, Zugleichen portionen, im fall Sie aber, ohne ehelich Kinder dieser Welt q.ttiren solte, So solle dero Leibwerthen Schwester, Fraw Salome gebohrne Carlin Philipp Jacob Heÿer des Schneiders vnd burgers alhier eheliche hausfraw dero einige vnd wahre Erbin sein
Jean Jacques Ernst et Elisabeth Carol hypothèquent la maison au profit du marchand Jean Kirn.
1708 (1.3.), Chambre des Contrats, vol. 581 f° 181
Joh: Jacob Ernst Schlosser u. Elisabetha geb. Carlin beÿständlich Philipp Jacob Heÿers schneiders u. Joh: Jacob Hellers schuemachers
in gegensein H Joh: Kirn handelsmanns – schuldig seÿen 150 lb
unterpfand, ihre behaußung in der fladergass allhier, einseit neben andres Nauer anderseit neben Daniel osterrieth hinten auf andres friedel stoßendt
Jean Jacques Ernst meurt en mai 1713 en délaissant une fille de son premier mariage et deux de sa veuve. L’inventaire est dressé dans la maison. La masse propre à la veuve est de 263 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 522 livres, le passif à 923 livres
1713 (12.7.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 36) n° 17
Inventarium über Weÿland Meister Johann Jacob Ernsten, geweßenen Schloßers und Burgers zu Straßburg seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1713.
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab vnd Nahrung, so weÿland Meister Johann Jacob Ernst, gewesener Schloßer vnd burger alhier zu Straßburg nach seinem den 19.en Maÿ jüngst aus dießer welt genommenem tödlichem ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft, auf freundliches ansuchen, erfordern vnd begehren des Verstorbenenn in erst: vnd anderer Ehe erzeugter Kinder, wie auch dero geschworner Vögte (…) ersucht und inventirt, durch die Ehren und tugendsame Fraw Elisabetham Ernstin gebohrene Carlin die hinderbliebene Wittib mit assistentz deß Ehrengeachten Meister Joachim Köpge, Schloßers und burgers alhier, Ihres geschwornen Curatoris (…) geäugt und gezeigt (…) Actum Montags den 12. Junÿ Anno 1713.
Der Verstorbene hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie volgt. 1.mo Jungfr. Mariam Dorotheam Ernstin, deß abgeleibten in erster Ehe mit weÿl. Fr. Maria Dorothea Ernstin gebohren Scopin seel. erzeugter dochter, dero geschworner Vogt H Johann Caspar Großer, Schloßer und burger alhier dem geschäfft persönlich beÿgewohnt
2.do Annam Elisabetham vndt 3.tio Susannam Mariam die Ernsten, diese beÿde des verstorbenenn in Zweÿter Ehe mit Eingangs gemelten fr. Elisabetha Ernstin gebohrner Carlin erzeügte döchterlin, deren gewesener Vogt der Ehrengeachte Meister Johann Geörg Ernst Nagelschmidt und burger allhier, welcher dem geschäfft von anfang biß Zu end abgewartet, Alßo alle dreÿ deß verstorbenen Zu dreÿen gleichen portionen und Antheilern ab intestato nachgelaßene rechtmäßige Erben.
Copia der Eheberedung
In einer alhier Zu Straßburg inn der Fladergaß gelegener, vnd in dieße Verlaßenschafft gehöriger Behausung befunden worden wie volgt.
Ane Hültzen: und Schreinwerck, Auf der Bühn, In der Cammer A, In dem obern stübel, In der Cammer B, In dder Wohnstub, In der Stub Cammer, In der Kuchen, Im undern haußöhren, Im Keller
Eigenthumb ane einer behaußung. Item eine behauß. vnd hoffstatt, m. allen dero gebäwen, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten v. gerechtigkeiten geleg. alhier Zu Straßb. in der Fladergaß. geg. der Behaußung zum hawer gen. 1.s n. Daniel Osterrieth dem Schuhm. 2.s n. Andres Nawer dem Schneider hinden uf ein Andreß Fridel den Gürtler stoßend, davon gehen Jahrs 20. lb d. Zinß à 4 pro Ct° H. Daniel Andres Widten, In Capital lößig m. 500 lb. d, vnd über dise beschwerd. durch der St. St. geschw. Werckleüth, vermög einer apud Conceptum befindlicher schrifftl. Abschatzung, hiehero æstimirt per 400. lb. Darüber vorh. i. perg: Kb. m. d. St. St. C. C. Ins. verw. datirt d. 12. Maÿ A° 1696. Darbeÿ 3. untersch. perg. Kaufb. aus wolgemelter Contractst. deren d. 1.ne dat. d. 31. Jan: 1695. der andere d. 3.t 9.bs 1690 vnd der dritte d. 20.t Junÿ 1684.
Ergäntzung der Wittib ermanglenden unveränderten Gutts. Auß dem über derselben in dieße Ehe Gebrachte unveränderte Nahrung durch Christoph Philipp Webern den Notm. den 11. Aug. A° 1705. auffgerichtetem Inventario ist mangelnd befunden worden wie Volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unverändert Gutt, Sa. haußraths 19, Sa. Silbergeschmeids 1, Sa. Guldener Ring 6, ss Schulden 5, Sa. Ergäntz. (197, Abzug 10, Rest) 186 lb, Summa summarum 263 lb
Dießemnach wird auch der Erben unverändert vnd Zugleich das theilbar Gutt, als womit sich die Wittib nicht Zubeladen resolvirt, beschrieben, Sa. haußraths 50, Sa. Werckzeugs v gemachte Arbeit Zum Schloßer handw. gehörig 40, Sa. Silbegeschmeids 2, Sa. Guldin Rings 4, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 400, Sa. Schulden 25, Summa summarum 522 lb – Schulden 923 lb, Übertreffen also diz Passiv Schulden die Theilbare Activ Nahrung umb 400 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 263 lb
Elisabeth Carol se remarie en 1715 avec Jean Henri Kieffer. Elle meurt en 1725 en délaissant trois enfants de son premier mariage (inventaire)
Elisabeth Carol vend la maison au tourneur Jean Samuel Blanck et à sa femme Marie Salomé Sebitzius moyennant 1 250 livres
1714 (30.6.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 456
(1250) Elisabetha Ernstin wittib geb. Carlin beÿständlich Joachim Köpge schlossersb ihres Curatoris und Philipp Jacob heiger schneiders ihres Schwagers (unterzeichnet) köpcke
in gegensein Joh: Samuel Blanck hohldrehers und Mariæ Salome geb. Sebiziußin
ihre behaußung hoffstatt mit allen gebäuen, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten in der fladergass gegen der behaußung zuem hauer genant, einseit neben Daniel osterrieth anderseit neben andres Nauer hinten auf andres fridel – um 500, 200 und 100 pfund verhafftet, geschehen um 450 pfund
Les acquéreurs hypothèquent quelques mois plus tard la maison au profit du docteur en médecine Henri Nicolai
1714 (25.10.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 765
Joh: Samuel Blanck Kunst und hohldreher und Maria Salome geb. Sebiziußin beÿständlich H. Joh: Georg Then Med. Dris und Practici wie auch H Joh: heckhelers Med. Dris und Practici
in gegensein H. Heinrich Nicolai Med: Dris und Practici – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, eine behaußung hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten in der Fladergass gegen der behaußung zuem Hauer genannt, einseit neben Daniel osterrieth anderseit neben andres Nauer hinten auff Andreas Friedel
Fils du tourneur du même nom, Jean Samuel Blanck épouse en 1714 Marie Salomé, fille du docteur en médecine Jean Paul Sebitzius
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 258 n° 1113)
1714. Mittwoch den 11.t Apr. Sind nach 2. mähl. Proclamation ehel. copulirt worden Joh: Sam. blanck der ledige bein und Silber dräher, weÿl. Johann Samuel Blancken gewesen b. und Hohldrähers hinterl. ehel. Sohn und J. Maria Salome, weÿl. H Joh: Pauli Sebitzÿ gewesenen Medic. d. und Practici allhier, nachgel. ehl. tochter (unterzeichnet) Johann Salomé Blanck als hoh Zeiter, Maria Salome Sebiziusin als hochzeiterin (i 257)
1720, Protocole des Quinze (2 R 124)
EE Handwerck der Dreher, Samuel Blanck und Simon Dalubers pt° mulctæ
1721, Protocole des Quinze (2 R 125)
E.E. Meisterschafft der Dreher
Samuel Blanck, Simon Dallüber von New Limbach
1734, Protocole des Quinze (2 R 142)
Johann Samuel Blanck Dreher 75. 86. 98. 102. 110, Gesellen 98.bis 103
L’inventaire dressé en 1735 après la mort de Marie Salomé Sebitzius n’est pas conservé.
1735, Not. Mader (répert. 6 E 41, 664-1) n° 824
Inventarium über Maria Salome Blanckin geb. Sebitziußin H. Joh: Samuel Blancken des Silberdrähers Ehefrau seel. Verlassenschafft
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 300 florins (150 livres) sur un total de 1 700 florins
1735, Livres de la Taille (VII 1178) f° 60-v
Zimmeleüth. F. N. 6722 – Weÿl. Mariæ Salome gebohrner Sebitziussin H Johann Samuel Blancken des Kunst und Silbertreher auch burgers alhier Ehel. Haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Mader.
Concl. Fin. Inv. ist fol. 105.b, 840 lb 16 ß 8 s
darzu gelegt die fol. 96. passivé eingebrachte 200 lb, Summa 1040 lb 16 ß 8 s
die machen 2000. fl. Verstallte 1700 fl. Zu wenig 300 fl.
Nachtrag Sechs Jahr in duplo à 18 ß, 5 lb 8 ß
Und Vier Jahr in simplo à 9 ß, 1 lb 16 ß
Ext. Stallgeltt pro 1735. 3 lb 18 ß
Gebott 3 ß
Abhandlung 1 lb 5 ß 6 d, Summa 12 lb 10 ß 6 s
Nachgelaßen 3 lb 12 ß, rest 8 lb 18 ß 6 d
dt. 18. Julÿ 1735
Jean Samuel Blanck se remarie en 1735 avec Cunégonde Sebitzius, veuve de l’orfèvre Guillaume Schmidt : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen den Ehren undt wohlvorachtbahren auch Kunstreichen Herrn Johann Samuel Blacnken Silberdrehern und burger, allhier Zu Straßburg als dem herrn Bräutigamb ane Einem, So dann der Viel Ehren vnd tugendbegabten Frauen Kunigundæ Schmidin gebohrner Sebitziußin, weÿland des Ehren und vorachtbahren herrn Wilhelm Schmids geweßenen Silberarbeiters und burgers zu ermeltem Straßburg seeligen nachgelaßener Wittib als der Frau hochzeiterin am anden theil (…) So beschehen und verhandelt seÿnd dieße dingen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Donnerstag deb 22. Septembris als man Zalte nach Unßers Einigen Erlösers und Seeligmachers Jesu Christi gnadenreichen geburth und Menschwerdung 1735. unterzeichnet Johann Samuel Blanck als hoch Zeiter, Kunigunda Schmidin als hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 139 n° 525)
1735. Mittw. d. 5. 8.br. sind nach 2. maliger Proclamation ehelich copulirt v. eingesegnet word: H Joh: Samuel Blanck der Kunst v silber dreher, wittiber v. b. alhier v. fr. Kunigunda, weÿl. H. Wilhelm Schmidten gewesenen b. v. silber Arbeiter nachgel. Wittib (unterzeichnet) Johann Samuel blanck als hochzeiter, Kunigunda Schmidin als hochzeiterin (i 143)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du mari. Ceux du mari s’élèvent à 2 373 livres, ceux de la femme à 389 livres.
1736 (15. 8.br), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 32) n° 1025 (977)
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, So der Ehrenvest und wohl vorachtbahre H. Johann Samuel Blanck Silbertreher undt die Viel Ehren und tugendsahme frau Kunigunda gebohrne Sepiziusin, beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg, einander in Ihren ohnlängst angetrettenen Ehestandt zugebracht und sich deren jedes, vermög Ihrer mit einander aufgerichteten Eheberedung vor unverändert vorbehalten (…) Actum in fernerer gegenwart S. T. fraun Kunigundæ Sepiciusin gebohrne Reichßhofferin der Ehefrauen Eheleiblichen Frau Mutter, Straßburg d. 15. octobris 1736.
In einer allhier Zue Straßburg ane der Fladergaß gelegenen und dem Ehemann eÿgenthümblich Zuständigen behaußung sich befunden als volgt
Eÿgenthumb ahne einer Behaußung (M.) Eine behaußung vnd hofstatt mit allen deren ubrigen gebäuwen, rechten zugehörden vnd Gerechtigkeiten allhier Zue Straßburg, ane der fladergaß, eins. neben H Andreas Nauert dem schneider vnd E. E. großen rats alten beÿsitzer, anderseith neben Daniel osterried den Schuhmacher, vnd Hinten auf Daniel Grünwaldt des Gürtlers seel. nachgelaßene wittib stoßend gelegen, und seÿe solche behaußung herrn Lt. Ludwig Christian Nicolai in Capital Jahrs auf Michael a 4 pro Cento Verzinnßlich annoch Verhafftet pro 200. lb. d
Nota. solches Capital war 500 lb d. Es hat aber der Eheherr wehren seines Wittibenstands vnd Zwahr den 29. Junÿ 1736. 300 lb davon abgeführt also daß nur noch obige 200 lb stehen bleiben, Item ferner weÿland ST Herrn Heinrich Albrecht Nicolai gewesenen Med. Doctoris et professoris publ. ordinary seel. nachgelaßenem söhnlein auch in hauptgut Jahrlich à 4 p Cto auf Michaelis verinteressirt 200 lb v, Zusammen 400 lb d, sonsten frey leedig v. Eigen. Und wird dieße behaußung ohnpræjudicirlich hier außgeworffen und angeschlagen pro 1100 lb d, So verbleibt außzuwerffen 700 lb. Nota weÿland hrn Rath. Joh: Jacob Spielmann geweßenen apothecker seel. Fr. Wittib hatte auch ane Capital auf solcher behausung 200. lb d stehen gehabt, so aber der Eheherr auch wehrender wittiben standt den 5. aug. 1736. abgelöst 29. Darüber meldet ein In allhießiger Cantzleÿ Contractstube gefertigter Pergamentener Kauffbrieff sub dato 30. Junÿ 1714.
Series Rubricarum. Des Ehemanns Nahrung, Sa. haußraths 307, Sa. holtz v werckzeugs Zum treher handw. gehörig 44, Sa. Waaren 1073, Sa. frucht vnd Meel 19, Sa. Wein v Leerer vaß 52, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 24, Sa. goldener Ring vnd geschmeids 24, Sa. baarschafft 831, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 237, Sa. der Gülthen 44, Sa. Eigenthums ane einer behausung 700, Sa. Schulden 291, Summa summarum 3354 lb – Schulden 984, Nach deren Abzug 2369 lb, Darzu Kommet die th. Ime ane den haussteuren gebührige helffte so ist 4, Des Ehemanns Vermögen 2373 lb
Der Ehefrau Nahrung, Sa. haußraths 94, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 33, Sa. guldener Ring vnd geschmeid 102 lb, Sa. baarschafft 155, Summa summarum 385 lb – Adde die Ihro gebührige helffte haussteuren 4 lb, der Ehefrau Nahrung 389 lb
Samuel Blanck rembourse à l’aumône Saint-Marc un capital garanti sur la maison par un titre de 1601
1736 (10.7.), Chambre des Contrats, vol. 610 n° 649
des Allmoßens zu St Marx Schaffner H. Lt. Johann Thomas Frölich von dasigen H. Pflegeren bevollmächtigt
in gegensein Samuel Blanck des silberdrähers
nach besag einer vor Not. Johann Hilario Meÿer am 25. Aprilis 1601 aufgerichteten zinß kauffverschreibung einen auff weÿnachten jeden jahrs verfallenden mit 100 Pfund in hauptguth ablößigen reditum Annuum auff einer ane der Flader gaß einseit neben w. S.T. H. Fünffzehners Daniel Richshoffers seel erben anderseit neben H. Rathh. Andreas Knauert hinten auff das Allmend gäßlein beÿ dem Saltzhauß stoßend gelegen, ehedeßen weÿl. Johann Pick dem silberarbeiter eigenthümlich zuständig und nach deßen todt obgedachten Samuel Blanck als als letzt und meistbietenden ahne hiesiger ganth adjudicirten behausung stehen und bißher zu fordern gehabt
Partage des habits provenant de la succession de Marie Salomé Sebitzius
1737, Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 35) n° 1080 (1033)
Vertheilung der von Weÿl. fraun Mariæ Salome Blanckin gebohrener Sebitziußin H. Johann Samuel Blanckhen des Silberdrehers vnd burgers allhier zu Straßburg geweßener Ehefraun seel. Jgfer Mariæ Magdalenæ und Jgfer Mariæ Salome der Blanckhen Ihren zwoen döchtere prælegirten Kleÿdung und Weißengezeugs. Act. d. 24. febr. 1739
Compte de la succession de Marie Salomé Sebitzius
J. Jacques Oelinger (35 Not 29) n° 1080 (906-b)
Summarischer Calculus Über Weÿland fraun Mariæ Salome Blanckin gebohrener Sebitziußin, Herrn Johann Samuel Blanckhen deß Kunst und Silberträhers auxh burgers allhier zu Straßburg geweßener Ehefraun seel. Verlaßenschafft, nach Anleitung des darüber in anno 1735 aufgerichteten Inventarÿ mit aufgerechneter gewohnlichen Und etwas Verglichener Überbeßerung gefertigt – den 12. sept. 1735
1741, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 103)
Mittwoch den 1.ten Maÿ Anno 1741
Wieder Johann Samuel Blancken den Silberträher
Marie Cunégonde Sebitzius meurt en 1757 en délaissant deux fils de son premier mariage et un du deuxième. Les experts estiment à 800 livres la maison qui a été presque entièrement reconstruite pendant la deuxième communauté. La masse propre au veuf est de 1 081 livres, celle propre aux héritiers de 871 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 107 livres, le passif à 906 livres
1758 (1.3.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 69) n° 1634
Inventarium über Weÿland der Edlen und viel Ehr: und wohl tugendbegabten Frauen Kunigunda Blanckin geborner Sebitziusin des wohl Ehrenvesten, weißen und vorachtbaren auch Kunstreichen herrn Johann Samuel Blanck, Silberdrehers und E. E. großen Raths jetzmalig wohlverdienten beÿsitzers, acuh vornehmen burgers allhier Zu Straßburg gewesener Frau Eheliebstin nunmehr seeligen Verlaßenschaft, auffgerichtet in Anno 1758. – nach ihrem den 3. Julÿ des abgewichenen 1757.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt, zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und begehren Sowohl des Herrn Wittibers selbsten als auch des abgeleibten seel. in zwoen Ehen ehelich erzeugter Kinder und ab intestato zu gleichen Portionen und Antheilen verlaßener Rechtmäsiger Erben (…) inventirt und ersucht durch den herrn Wittiber, wie auch frau Mariam Magdalenam Roosin gebohren Blanckin und Jgfr. Mariam Salomeam Blanckin, deßelben in erster Ehe ehelich erzeugte Zwo Töchtere (…) So Geschehen in der Königlichen Stadt Straßburg Mittwochs den 1. Martÿ Anno 1758.
Die abgeleibte Frau Rathherrin seel. hat ab intestato Zu Ihren rechtmäsigen Erben verlaßen wie folgt. 1. S.T. Herrn Wilhelm Schmidt den Handelßmann und Burgern allhier, welcher beÿ dem Geschäfft persönlich erschienen in den ersten dritten Stammtheil, 2.do Herrn Johann Philipp Schmidt, leedigen Knöpffmacher so majorennis vor sich und in seinem Namen, welcher auch præsens war, in den Zweÿen dritten Stammtheil, diese beede Söhne hat die verstorbene Frau Rathherrin in Erster Ehe mit weiland H. Wilhelm Schmidt gewesenen Silberarbeiter und burgern allhier ehel. erzeugt
So dann 3.tio Johann Friderich Blanck leediger Hohltreher, so über 21. Jahr alt mithin nach hiesigen Statuten majorennis, welcher aber von Herrn Johann Gottfried Werner, dem allhiesig verburgerten Schuhmacher assisitirt in den dritten letzten Stammtheil in letzter Ehe mit Eingangs gemelten H, Wittiber ehelich erzeugt. Alle dreÿ aber zu gleichen Portionen und antheiler verlaßene Rechtmäsige Erben.
Copia der Eheberedung – Copia Codicilli
In einer allhier Zue Straßburg ane der Fladergaß gelegenen und dem Ehemann eÿgenthümblich hieher gehörigen behaußung sich befunden als volgt
(f° 23) Eigenthum ahne einer Behaußung (W.) Neml. eine Behaußung Höflein und hofstatt allhier Zue Straßburg ane der Fladergaß, einseith neben Frau Glockin der Vöghändlerin und anderseith neben weiland Daniel Osterried des Schuhmachers Wittib, hinten auf N. N. den frippier stoßend gelegen, so gegen männiglichen auser denen unter denen Passivis stehenden Capitalien freÿ ledig und eigen, und ist dieselbe vermög einer zu dem Concept gelieferten schriftlichen Abschatzung vom 19. Septembris 1757 durch (die Werckmeistere) æstimirt und angeschlagen worden pro 800 lb. Diese behausung ist in des Herrn Wittiber erster Ehe erkauft worden, weilen dieselbe dreÿ auß solcher Ehe ehelich erzeugte aber nach iher Mutter verstorbenen Kindern Joh: Samuel, Joh: Daniel v Joh: Michael die Blancken geerbt, so participirt derselbe proprio daran 13/15.te theil, frau Maria Magdalena Rooßn geb. blanckin u. Jgfr. Maria Salome Blanckin die zwo töchtere aus 1.ter Ehe 2/15.theil, dieselbe ist stehender dieser zertrennten Ehe fast gantz neu aufgebauen worden, weswegen auch die derenthalben angewandte Bau Cösten infra folio facie (-) des H. Wittibers Erg. Abzug beigelegt Zubefinden.
Darüber meldet ein in allhiesiger C. C. Stub gefertigter Kauffbrief sub dato 30. Junÿ 1714.
Ergäntzung des Herrn Wittibers abgegangen unveränderten Guths Nach Anleitung Inventari Illatorum de 1736.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des H. Wittibers Vermögen, Sa. haußraths 52, Sa. Waar und Werckzeugs Zu der Treher profession gehörig 189, Leerer vaß 10, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 16, Sa. goldener Ring 23, Sa. der baarschafft 34, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 137, Sa. der Gülthen von liegenden güthern 14, Sa. Eigenthumbs ane einer behausung 800, Sa. Schulden o, Sa. Ergäntzung (1773 abzug 1607, restiret) 166, Summa summarum 1445 lb – Schulden 363, Nach deren Abzug 1081 lb
Der Herren Erben anerstorbenen Mütterlich guth, Sa. haußraths 75, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 24, Sa. goldenen Ring und dergleichen Geschmeids 39, Sa. baarschafft 9, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 285, Sa. der Schulden o ; Sa. Ergäntzung (727, abzug 289, restiret) 437 lb, Summa summarum 871 lb
Die gemein unverändert und theilbare Verlaßenschafft betreffend, Sa. haußraths 84, Sa. des zum treher handwerck gehörigen holtz vnd waaren 118, Sa. frucht 10, Sa. Weins vnd leeren vaßen 55, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 6, Sa. Goldenen rings 14 ß, Sa. baarschafft 247, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 475, Sa. Schulden 109, Summa summarum 1107 lb – Schulden 906 lb, Nach deren Abzug 200 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 2267 lb
Wÿdemb Welchen der hr. Wittiber von der frauen defunctæ seel. lebtägig Zu genießeb
(f° 52) Wÿdemb Welchen der hr Wittiber von weÿland fraun Mariæ Salome Blanckin gebohrner Sebitziusin deßen ersten frau Eheliebstin seel. theils mit gewißer Zeith vnd theils lebenslänglich Zu gneißen hat
Copia Codicilli, persönlich erschienen die viel Ehren vnd wohl tugendbegabte Frau Kunigunda Blanckin gebohren Sebitziußin, des Ehrenvesten großachtbahren weißen und Kunsterfahrenen herrn Johann Samuel Blanck berümbten Silbertrehers vnd E. E. großen Raths allhier Zu Straßburg wohlansehnlichen burgers dahier frau Eheliebstin, zwahr etwas schwach vnd Krancken leibs dahero auf einem bette liegend (…) Actum in einer allhier zu Straßburg ane der fladergaß gelegenen vnd der frau Codicillirerin Ehegatten eingangs gemelt eigenthümlich zuständigen behaußung dero vordern wohnstuben mit denen fenstern auf die Gaß außsehende (…) Dienstags den 18. Januarÿ Nachmittags zwischen 3, vier vnd fünff uhren Anno 1757, Johann Jacob Oelinger, Notarius juratus
Copia der Eheberedung (…) Straßburg Donnerstag den 22. Septembris 1735.
Abschatzung vom 19.ten 7.bris 1757. Auff begehren Herrn Johann Samuel Blanck E: E: Großen Raths Alter beÿsitzer, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg inn der Flader gaß gelegenen, einseits Neben Herrn Ostridt dem Schumacher, Anderseits Neben Frau glockin und hindten auff N.N. dem frippié stoßent, solche Behaußung bestehet in dreÿ Stuben, Zweÿ Stub Kammern Zweÿ Küchen, eine Werckstatt und Etliche Hauß Kammeren, dar über ist der dachstuhl mit breit Zieglen belegt, Hat auch einen gewölbten Keller, eine Kleine Bauch Kuchen und Gumpbronnen. Von Uns den Unterschriebenen der Statt Straßburg geschwornen Werck Meistern, nach vorhero beschehener besichtigung, mit Aller Ihrer gerechtigkeiten dem Jetzigen Wahren Wert nach Estimirt und angeschlagen Worden Vor und Umb. Ein Tausent Sechs Hundert Gulden. [unterzeichnet] Ehrlacher Werck Meister deß Munsters, Werner Hueber
Samuel Blanck est élu échevin à la tribu des Charpentiers
1752 Conseillers et XXI (1 R 235)
Samuel Blanck wird beÿ E. E. Zunfft der Zimmerleuth Zum schöffen erwehlet. 257.
Les deux filles et uniques héritières de Jean Samuel Blanck sont dispensées de faire dresser un inventaire des biens de leur père
1762 (8.11.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 71) n° 1660
Designatio desjenigen Vermögens, welches nun weÿland S.T. Herr Johann Samuel Blanck E. E. großen Raths allhier Zu Straßburg geweßener wohlverdienter beÿsitzer, Silber und Kunstdreher, nach seme derselbe den (-) dieses nun zu end laufenden 1757.ten Jahrs das zeitliche mit dem Ewigen verwechselt mithin seeligen von hinnen geschieden Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft Zwahr hiesiger Statt ordnung gemäß durch deßen zwo frau vnd Jgfr. tochter auch Zugleichen Theilen respe. Erbinnen, Nahmentlich frau Mariam Magdalenam Rooßin gebohrene blanckin weÿland H Johann Conrad Rooß gewesenen Schwerdfegers und burgers allhie Zu Straßburg hinterbliebene Witt. die ältere tochter vnd Jgfr. Mariam Salomeam blanckin so majorennis die Jüngere tochter beede vor sich und in Ihem Nahmen dem Stalltax nach solt Inventirt vnd des Inventarÿ Expedition auf löbl. abhandlung eingeliefert werden, allein demnach aber Sie die Zwo tochter vnd Erbinnen Mündlichen versicherten, daß Sie Zwahr weÿland fraun Künigundæ blanckin gebohrener Sebitziußin ihres Hn Vatters Zweÿter vor demeselben verstorbene Ehefrau Verlaßenschaffts Inventarium de 1758. denen wohlansehnlichen herren dreÿ der Statt Stall pro dispensatione dermahliger verlaßenschaffts Inventur vorgelegt, so Sie es seÿe aber ohne weitere bemerkung der reproduction gedachten Inventarÿ de 1758. der würcklichen dießeitigen anderwärtigem Inventur dennoch Mündlichen entladen (…)
Actum den 8. Novembris et sequentibus diebus anno 1762.
La maison revient pour moitié à Marie Madeleine Blanck qui épouse en 1745 le fourbisseur Jean Conrad Roos, fils du pasteur Jean Conrad Roos de Bodersweier : contrat de mariage, célébration
1745 (22.4.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 77) n° 1085
Eheberedung – zwischen dem Ehren und vorgeachten Herrn Johann Conrad Rooßen Seeligen Schwerdfeger, weÿland des Wohl Ehrwürdig und Wohlgelehrten herrn Johann Conrad Rooß, geweßenen treu eÿferig Evangelischen Pfarrherren Zu Boderseÿher, Fürstlich heßen damstättischer Jurisdiction nunmehr seel. mit der Viel Ehren und Wohl tugendbegabten Fraun Ursula gebohrner Zinnßnerin Ehelich erziehltem und nach tod Verlaßenem Sohn, als dem hochzeiter ane einem
Sodann der Wohl Ehren und tugendreichen Jungfrauen Mariæ Magdalenæ Blanckin, des Ehrenvesten Wohl vorgeachten und Kunstreichen Herrn Johann Samuel Blancken
und seÿnd vorhergeschriebene Ding Zugangen und beschehen In der Königlichen Statt Straßburg Donnerstags den 22.ten Aprilis Anno 1745. unterzeichnet Johann Conrad Roos als hochzeuder, Maria Magdalena Blanckin alß hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 242 n° 926)
Anno 1745 Eod. [mittw d. 21. Jul.] seind nach ordent. Proclamation Ehl. copul. v. eingesegnet worden H Johann Conrad Rooß der led. Langmeßer schmidt u. b. allhier weÿl. H Johann Conrad Roß gewes. ev. Pfarrers Zu Bodersweyer nachgelaß. Ehl. Sohn und J. Maria Magdal. H Johann Samuel Blanck Kunsterfahrnen silberdrähers u. b. allhier Ehl. Tochter (unterzeichnet) Johann Conrad Roos als hochzeuder, Maria Magdalena Blanckin als hochzeiterin (i 247)
Marie Madeleine Blanck femme de Jean Conrad Roos et Marie Salomé Blanck louent la maison à l’orfèvre Jean Daniel Klein
1763 (24.1.), Not. Laquiante (6 E 41, 1013)
Bail pour 9 années qui commencent à la Notre Dame de mars prochaine – Dlle Marie Madeleine Blanc veuve de Jean Conrad Rooß fourbisseur assitée de Antoine Hetzel tourneur, Dlle Marie Salomé Blanc fille majeure assitée de Jean Daniel Busch licencié ez loix, Les deux Dlles comparantes etant les deux seules filles et héritières délaissées par deffunts Sr Samuel Blanc leur père tourneur
à Jean Daniel Klein M° orphevre de Strasbourg
les places et appartements qui font la majeure partie de la Maison qu’elles ont hérité dud. Sr leur père et qui est Scise en cette ville rue des flancs tels qu’ils sont cy après détaillés Scavoir 1° la boutique du Retz de chaussée, Item tous les appartements du premier étage, Item au troisième étage un poele La chambre y attenante et une autre chambre, Item les deux chambres a la mansarde, Item une cave séparée des autres, Item l’usage commun des greniers pour la lescive ainsy que celuy de la pompe, Les Dlles bailleuses se réservant tout le reste pour leurs habitation – moyennant un loyer annuel de 240 livres tournois
Marie Madeleine Blanck veuve de Jean Conrad Roos meurt sans enfant et délaisse pour unique héritière sa sœur Marie Salomé femme de l’orfèvre Jean Chrétien Hübschmann
1766 (24.10.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 270) n° 1042
Designatio deßjenigen Vermögens, welches nun Weÿl. die Viel Ehren und tugendreiche Frau Maria Magdalena gebohrene Blanckin längst Weÿl. H. Joh: Conrad Rooßen, des geweßenen Schwerdfegers burgers allhier zu Straßburg seel. nachgelaßene Frau Wittib nun auch seel. nach Ihrem den 18.ten Martÿ dieses laufenden 1766. Jahres tödlichen Hinscheiden Zeitlichen verlaßen, welches ane Dato Zu End gemeldt mit Zuziehung H. Joh: Georg Lederlin, dießer Statt geschwornen Käufflers nach dero nunmehro Frau Maria Salome Hübschmännin geb. Blanckin der Verstorbenen Frauen seel. leibliche Schwester und ab intestato nach tod verlaßene einige Erbin mit assistentz H Joh: Christian Hübschmanns des Goldarbeiters und burgers allhier Ihres H. Eheliebsten (…) inventirt. So beschehen Straßburg auff Freÿtag den 24. Octobris Anno 1766.
In der allhier Zu Str. ane der Spießgaß gegen dem Hauergäßlein über gelegenen zum halben theil hiehero gehöriger beh. hat sich folgender maßen befunden als (…)
Sa. haußraths 79, Sa. Silbers 14, Sa. Goldener Ring und dergleichen Geschmeids 12, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 331, Sa. Gülth von liegenden güthern 28
Antheil ane einer Behaußung. Nahmlichen die helffte vor unvertheilt von und ane i.r Beh. Höfflein v. Hoffstatt mit allen deren Begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier ane der Fladergaß gegen dem hauergäßlein über, j.s. neben Fr. Agnes geb. Schmidin, Joh: Daniel Glocke des föchhändlers v. b. allh. verlaßener Ehefr. 2.s. neben N Henri, dem Bratwurstmachern, hinden auff andres Häffelin den frippier stoßend, so ledig eigen und nach außweiß des über weÿl. herrn Samuel Blancken geweßenen Kunst und Silberdrehers und E. E. Großen rhats alten wohlverdienten beÿsitzers v. b. allh. seel. 2.ter hsfr. Verl. durch H Notn Johann Jacob Oelinger in A° 1757. gefertigten Inv. fol. 96. fac: 2.do æstimirt und angeschlagen wobeÿ man in so mehr, als durch des nachbaren auffgeführt Gebäude der tag in der fordern Kuchen seithero verbauet worden, jedoch mit Großgünstiger Genehmhaltung derer Hh. dreÿ der Stadt Stall gelaßen hat 800, wovon hiehero die helfftte gehörig ist 400. Darüber meldet j. teut. perg. Kaufvsch. in allhies. C. C. st. gef. v. mit deren anh. Ins. vw. datirt den 30.ten Junÿ a° 1714 dabeÿ verschiedene ältere Kffbr. von unterschiedenen datis befindlich, und ist der andere halbe th. der Fr. erbin zuständig
Sa. antheils ane j. behausung 400, Schulden 25, Summa summarum 891 lb – Schulden 128 lb, Nach deren Abzug 762 lb. Davon hat die verstorbene seel. folgendes mündlichen legirt 18 lb – Stall Summa 762 lb
La maison revient pour moitié puis en entier à Marie Salomé Blanck qui épouse en 1766 l’orfèvre veuf Jean Chrétien Hübschmann : contrat de mariage, célébration
1766 (21.1.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 286) n° 494
Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehren Vesten und Kunsterfahrenen Herrn Johann Christian Hupßmann, dem Goldarbeitern, wittibern und burgern allhier Zu Straßburg, als dem herrn Hochzeitern, ane Einem
So dann der Viel Ehrn: und tugendreichen Jungfrauen Mariæ Salome Blanckin, weÿl. des Wohl Ehrenvesten, Großachtbaren und weißen herrn Samuel Blancken, geweßenen berühmten Kunst: und hohldrehers, auch E. E. Großen rhats alten wohlverdienten beÿsitzers und burgers allhier seeligen nachgelaßener Jungfer Tochter, als der Jungfer Hochzeiterin am anden theil
Straßburg auff Dienstag den 21. Januarii Anno 1766 (unterzeichnet) Christian Hübschmann als Hochzeiter, Maria Salome Blanckin als Hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 39)
Im Jahr 1766 sind nach ordentlich geschehener offentlichen Proclamation Dominicaa Cantate et Jubilate oder dom. III. et IV. post Pascha auf gegebene Erlaubnus von J. gn. dem regierenden Herrn Ammeister dedato 18.t Aprilis Sonntags den 27. Aprill in der Jungfer Hochzeiterin behaußung copulirt und ehelich eingesegnet worden herr Johann Christian Hübschmann burger und Goldarbeiter allhier Wittwer und Jungfer Maria Salome Blanckin weÿl. Herrn Samuel Blancks geweßenen Kunst drehers und E. E. großen Raths allhier alter beÿsitzers wie auch weÿl. Frau Maria Salome gebohrner Sebiztiusin hinterlassene eheliche Tochter (unterzeichnet) Johann Christian Hübschman als Hochzeiter, Maria Salome Blanckin als Hochzeiterin (i 43)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient à l’épouse. Les apports du mari s’élèvent à 583 livres, ceux de la femme à 1 785 livres.
1766 (18. 8.br), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 270) n° 1040
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon ausgenommen, so der Wohl Ehrenvest und Kunsterfahrene Johann Christian Hübschmann, der Goldarbeiter und die Viel Ehren und tugendreiche Frau Maria Salome gebohrene Blanckin, beede Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebracht und sich crafft der vor mir Notario errichteten Eheberedung §° 4.to vor unverändert vorbehalten haben (…) So geschehen allhier Zu Straßburg auff Sambstag den 18. 8.br. Anno 1766 In fernerer Gegenwart des Wohl Ehrenachtbaren und Kunsterfahrenn herrn Johann Heinrich Wiegels des Goldarbeiters und burgers allhier des Eheherrn Kinder Erster ehe geschwornen Vogts.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Fladergaß gelegenen, und hernach beschriebenen behaußung folgender maßen sich befunden.
Antheil ane einer Behaußung. (F.) Neml. die helffte vor unvertheilt von v. jr. Beh. Höfflein v. hoffstatt m. allen deren begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allh. ane der Fladergaß gegen dem hauergäßl. über, j.s. neben Fr. Agnes geb. Schmidin, Joh: Daniel Glocken des ausgetrettenen föchhändlers v. b. allh. verlaßene Ehefr., 2. s. neben N. Henry dem bratwurstmacher, hinden auf Andres Häffelin, den frippier stoßend, so ledig eigen und ohnpræjudicirlichen æstimirt pro 1500 lb. d. daran die helffte hoehero außmacht 750 lb. Darüber und Zwar über die gantze beh. meldet j. teut. perg. Kff verschreibung in allhies. C. C. stub gef. v. m. deren anh. Ins. vw. datirt den 30.ten Junÿ A° 1714, dabeÿ verschiedene ältere Kffbr. von unterschiedenen datis. Und ist der ander halbe theil u. vor offermeldeter ihrer schwester seel. verl. gehörig,welchen nun dißorts Ehefr ererbet hat.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn Vermögen betreffend. Sa. haußraths 333, Sa. Leerer Faßen 7, Sa. goldener Ring und Geschmeid 944, Sa. Schulden 73, Summa summarum 1358 lb – Schulden 806 lb, Dazugelegt die ane denen haussteuren demselben gebührige helffte so thut 31 lb, des Eheh. Zugebracht Vermögen 583 lb
Der Ehefrauen in die Ehe gebracht Guth anlangend, Sa. hausraths 359, Sa. leeren Faßen 8, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 86, Sa. goldener Ring 165, Sa. baarschafft 5, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 331, Sa. Gülth von liegenden güthern 96, Sa. Antheils ane einer behaußung 750, Sa. Schulden 25, Summa summarum 1828 lb – Schulden 75, Nach deren Abzug 1753 ln Darzugerechnet die andere Helffte ane denen haussteuren 31 lb, Der Ehefrauen in die Ehe gebracht Vermögen 1785 lb
Marie Salomé Blanck meurt en 1770 après avoir institué son mari légataire universel de ses biens. Sa cousine et héritière présomptive Marie Elisabeth Blanck, femme du tourneur Jean Georges Kolb, ratifie le testament. L’actif de la succession s’élève à 1 828 livres, le passif à 927 livres.
1770 (2.3.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 274) n° 1184
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon ausgenommen, so weÿland die Viel Ehren und tugendsame Frau Maria Salome gebohrene Blanckin, des wohl Ehrenachtbarn und Kunsterfahrenen Herrn Johann Christian Hübschmanns, des Goldarbeiters und burgers allhier zu Straßburg geweßene Eheliebstin nunmehr seelige, nach ihrem den 24.ten Januarÿ dießes angefangenen 1770.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren vorwolermelt des herrn Wittibers, als der verstorbenen Frauen seel. über Abzug deren legaten in crafft indulti testandi c* intituirte Erben fleißig inventirt und ersucht durch Ihne auf Zuvorhin ane Ihne und Jgfr. Margaretha Elisabeth Hübschmännin seine Tochter erster Ehe beschehene gebührende Verlesung des gewohnlichen articuls Eÿds, Äugens und Zeigens (geäugt und gezeigt) So geschehen allhier Zu Straßburg auf Freÿtag den 2.ten Martÿ 1770.
Bericht In gegenwärtig Inventarium gehörig. Demnach beÿ der den 17.ten Jan. A° 1770 beschehenen Apertur und Publication des verstorbenen Frauen seel. erichteten und hievor in copia eingetragnen testamenti solemnis, wie aus dem darüber dressirten und ebenfalls hievor in copia gehenden actu Zu sehen, Frau Maria Elisabetha gebohrene Blanckin, Mr Johann Georg Kolben des hohldrehers und burgers allhie Ehefrauen dei damalige præsumptiv Erbin unter beÿstand ihres mariti und Herrn Johann Friderich Schaffen, Notarii publici jur. et practici alhier ihre Erklärung über angeregtes testament und beÿgelegenen Schedam ausgesetzt gehabt, so ließ dieselbige unter beÿstand vorgemeld durch Sieur Humbourg huissier Royal acte unterm 3.ten Martÿ und darinn andeuten, wie daß sie wider ihrer Fr. Baasin dißorts verstorbenene Fr. Hübschmännin sel. errichtetes testamentum clausum im geringesten nichts einzuwenden habe (…) Actum Straßburg den 5.ten Martÿ A° 1770.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Fladergaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung folgender maßen sich befunden.
Eigenthum ane einer Behaußung. Neml. j. Beh. Höffl. v. hofstatt mit allen deren begriffen weithen, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier ane der Fladergaß gegen dem hauergäßl. über, j.s. neben Frau Maria Salome geb. Reichlinin H. Isaac Küblers des goldarbeiters v. b. alhier Ehegattin als Glockischer tochter Testaments Erbin, 2. s. neben N. Henry dem bratwurstmacher, hinden auf Andres Häffelin den frippier stoßend, so ledig eigen und wie solche beÿ weÿl. Fr. Mariæ Magdalenæ geb. Blanckin, auch weÿl. H. Joh: Conrad Roßen gewes. Schwerdfegers v. b. allh. hinterbliebener Wittib see. Verl. Zufolg des durch mich notm. in A° 1766 vergriffenen Concepts angeschlagen worden, wieder also jedoch auff genehmhaltung wohlverdienter herren dreÿ der Stadt Stall, æstimirt pro 800 lb. Darüber meldet j. teut. perg. Kff verschreibung in allhies. C. C. stub gef. v. m. deren anh. Ins. v.wahrt datirt den 30.ten Junÿ A° 1714, dabeÿ verschiedene ältere Kffbr. von unterschiedenen datis.
Der Fünff noch lebenden Kinder erster Ehe Pfetter Göttel und Geschenck gelts betreffend. Nach besag darüber beeder nun Zertrennter Ehepersohnen einander Zur Zeit ihrer Veheürathung errichteten und durch mich Ntm. in A° 1766 gefertigten Invii.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 322, Sa. Werk zum Goldarbeiten gehörig 6, Sa. Wein und Leerer Vaß 11, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 47, Sa. Goldener Ring 128, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 475, Sa. Gülth von liegenden güthern 28, Sa. Eigenthum ane einer behaußung 800, Sa. activ schuld 9, Summa summarum 1828 lb – Schulden 927, Nach deren Abzug 900 lb
Gleich auszuliefernde Legata 119 Sa. dieser nach des H. Wittibers als Niesers todfall auszliefern destinirte Legate 539 – Stall Summa 1422 lb
Copia der Eheberedung (…)
Copia Testamenti clausi (…) Zu Straßburg den 14. Octobris 1769
Les héritiers de Marie Salomé Blanck vendent la maison au boutonnier d’étain Jean Daniel Isenheim moyennant 2 250 livres
1771 (19.10.), Chambre des Contrats, vol. 645 n° 463
Fr. Maria Elisabetha geb. Blanckin H. Johann Georg Kolb des hohldrehers ehefrau, H. Johann Heinrich Wiegel der goldarbeiter als geordneter und geschworener vogt weÿl. H. Johann Christian Hübschmann gewesten goldarbeiters hinterlassenen 5 minorennen kinder
in gegensein H. Johann Daniel Ißenheim des Zinnknopffmachers
eine behausung, bronnen und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Fladergaß gegen dem Hauergäßlein über einseit neben N. Henriot dem wurstmacher, anderseit neben H. Kübler dem goldarbeiter hinten auff Andreas Häffelin den altgewänder – um 2250 pfund
94 Z 68 – Aus Ihro Gnaden des regierenden Herrn Ammeisters der Statt Straßburg Haus Memoriali de anno 1771. Donnerstag den 17. Octobris (…) weiland Frauen Mariæ Salome Hubschmännin gebohrner Blanckin hinterlassene behausung
Fils de l’ouvrier de fabrique du même nom, Jean Daniel Isenheim épouse en 1759 Anne Diemer, veuve du pasteur André Meyer : contrat de mariage, célébration
1759 (23.2), Not. Dinckel (6 E 41, 426) n° 310
Eheberedung – entzwischen dem Ehrenvest und Wohlvorachtbahren herrn Johann Daniel Isenheim, dem Ledigen Versilbert Pferdzeug: und Knöpffmachern auch burgern allhier Zu Straßburg, Weÿland des Ehrenvest und Kunsterfahrnen Herrn Johann Daniel Isenheim, des geweßenen Silberarbeiters und burgers allhier, mit auch Weÿland der viel Ehren: und tugendbegabten Frauen Maria Cleophe gebohrener Dietschin beeder nunmehr seeligen ehelich erzeugtem Sohn, als dem herrn Bräutigamb ane einem
So dann der Wohl Ehren: und Tugendbegabten Frauen Anna Meÿerin gebohrener Diemerin, Weÿland des Wohl Ehrwürdig und Wohlgelehrten Herrn Magister Andreæ Meÿers geweßenen wohlverdienten Pfarrers der Evangelischen Gemeind zu Preuschwickersgei und burgers allhier nunmehr seeligen hinterlaßener Frau Wittib, als der Frauen hochzeiterin ane dem andern Theil
So geschehen in Straßburg auf Freÿtag den 23. Februarÿ Anno 1759. (unterzeichnet) Johan Daniel Isenheim Als hochzeiter, Anna Meÿerin Als hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 369-v n° 1373)
1759. Sontag d. 18. Martÿ sind nach ordentliche proclamation ehl. copulirt und eingesegnet worden H Johann Daniel Isenheim der ledige Zinn Knopffmacher weÿl. H Joh: Daniel Isenheim Silber Arbeiters und b. alh. ehel. Sohn und d. Anna weÿl. H. M. Andreas Meÿers pfarrers Zu beuschwickersheiml hinterl. wittib (unterzeichnet) H Daniel Isenheim Als hoch Zeeter, Anna Meÿerin Als hochzeiterin (i 375)
Anne Diemer veuve du pasteur de Breuschwickersheim André Meyer fait vendre des meubles. – André Meyer est le fils du cordonnier Laurent Meyer et de Marie Madeleine Würtz (Lorentz Meÿer Schuemacher und Maria Magdalena geb. würtzin, mit beÿstand ihres sohns H. M. Andreas Meÿer S.S. Theol. Studjosi, Chambre des Contrats, 1729, f° 218-v). D’après Bopp, il est immatriculté à Strasbourg le 23 octobre 1716, candidatus philosophiæ le 22 mars 1717, maître le 20 février 1719, diacre à Plobsheim (1732), pasteur à Rothau (1732-1737) puis à Breuschwickersheim (de 1737 à sa mort en 1753). Sur Anne Diemer, voir plus bas son inventaire après décès.
1755 (11.6.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 51) n° 1056
Mittwoch den 11.ten Junÿ Anno 1756. hat Fr. Anna Meÿerin gebohrne Diemerin weÿl. H. Mr Andreas Meÿer, gewesenen Pfarrers zu Breuschwickersheim nachgelaßene Fr. Wittib folgende hausraths posten durch H. Philipp Jacob Schützenberger den geschwohrnen Käufler und deßen Ehefraun in einer an dem drusengäßel gelegenen behaußung offentlich verkauffen und vesteigern laßen
Jean Daniel Isenheim loue une partie de la maison à l’orfèvre Charles Philippe Kremer.
1773 (5.10.), Not. Laquiante (6 E 41, 1049) n° 10
Lehnung auff 6 jahr lang welchen die ihren anfang nehmen werden auf künfftigen Weÿnachten – H. Johann Daniel Isenheim Zinnknopffmacher
an tit. Hrn Carl Philipp Kremer des Silberarbeiters
Eine in des H. verlehners allhier in der fladergaß liegenden behausung befindlichen wohnung im zweÿten stock, bestehend in stub und stub Kammer, Kuchen und einer Kammer darneben wie auch zweÿ kleinen Kammer, vier Stegen hoch und einer kleinen Kammer dreÿ steegen hoch
Mehr den laden nebst der Eß worinnen sich in der sogenannten bauch Kuchen befindet
Item ein holtzhauß mit Latten unter der Steeg und einen Platz zu den Kohlen neben dem holtzhauß in der höhe wie auch einen Keller nebend des herrn Verlehner eigenen anstoßend – um einen jährlichen Zinß nemlich 120 gulden
Jean Daniel Isenheim et Anne Diemer font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 2651 livres, l’actif de la femme est de 177 livres, le passif de 384 livres. En annexe, accord passé par Jean Daniel Isenheim et son beau-fils boutonnier d’étain Jean Frédéric Meyer
1775 (16.11.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 419) n° 1332
Inventarium über des Ehrenvest und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Daniel Isenheim des versilbert Pferdzeug: und Knöpffmachers und der Viel Ehren: und tugendbegabten Frauen Annä Isenheimin gebohrener Diemerin beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, aufgerichtet Anno 1775. – in Ihren im Monath Martio Anno 1759 angetrettenen Ehestand einander für ohnverändert Zugebracht, welche der ursachen alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteten Eheberedung expresse enthalten, daß eines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle (…) So beschehen in Straßburg, in fernerm beÿsein des Wohl Edlen und Rechsgelehrten Herrn Johann Friderich Greiß, Notarii jurati publici und Practici der Ehefrauen erbettenen herrn Assistenten auf Donnerstag den 16. und Sambstag den 18. Novembris Anno 1775, auch Freÿtags den 5. Januarÿ Anno 1776.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Fladergaß gelegenen in wehrender dießer Ehe erkaufften und also in beeder Eheleuthe theilbahre Nahrung gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung (M.) Nemlichen eine Behaußung, höfflein, gemeinschafft des Bronnens und Hoffstatt mit allen übigen deren begriffen, Weithen, Zugehörden, echten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Hauergäßlein (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 72, Sa. Lährer Faß 33, Sa. Silbergeschmeids 39, Sa. Goldenen Rings 4, Sa. Eigenthums ane einer behaußung, Nihil, baarschafft 2500, Summa summarum 2651
Dießemnach wird nun auch der Ehefrauen gehörigen in die Ehe gebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 115, Sa. Lährer Faß 19, Sa. Silbergeschmeids 8, Sa. Goldener Ring und Geschmeids 33, Sa. Eigenthumbs ane liegenden güthern Nihil, Summa summarum 177 – Schulden 384 lb, Passiv onus 206 lb
Vor mir unterschriebenem offenbahrem geschwornem Notario in Löbl. Statt Straßburg seind ane Zu end gemeltem dato persönlich erschienen Herr Johann Daniel Isenheim der versilbert Pferdzeug: und Knöpffmacher auch burger allhier ane einem, So dann herr Johann Friderich Meÿer der Ledige ebenmäßig versilbert Pferdzeug: und Knöpffmacher auch burger allhier deßen Stieff Sohn ane dem andern theil, anzeigend welcher gestalten Sie nachstehenden accod unter sich getroffen, beschloßen auch stäth und Vestzuhalten abgeredet und Versprochen haben, Nemblichen und Zum Ersten so verspricht und obligirt sich er Herr Isenheim gedachtem Herrn Meÿer seinem Stieffsohn, umb deßen Glück und Wohlfahrt zubefördern und demsemben ein bequemes Etablissement zu verschaffen (…) den 5. Septembris Anno 1770.
Anne Diemer meurt en 1787 en délaissant deux enfants de son premier mariage et un fils du veuf. Les experts estiment à 700 livres la maison rue des Hallebardes. La masse propre au veuf est de 3 074 livres, celle propre aux héritiers présente un passif de 213 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 096 livres, le passif à 4 305 livres
1787 (4.5.), Not. Anrich (6 E 41, 1511) n° 313
Inventarium über Weiland Fraun Annæ Isenheimin gebohrner Diemerin, herrn Johann Daniel Isenheim, Senioris, des versilbert Pferdzeug: und Zinnknopffmachers auch burgers dahier Zu Straßburg im Leben gewesene Ehefrau nun seeligen Nachlaßenschafft, errichtet im Jahr 1787 – nach ihrem den 8.ten Märtz jüngsthin aus dieser Welt genommenen tödlichen hinscheiden hie Zeitlichen verlaßen hat (…) durch den Wittiber und die anwesende Erben wie auch Magdalenam Spinnlein die dienstmagd von Markirch gebürtig (geäugt und gezeigt). So geschehen auf freitag den 4.den May 1787. Nachmittags in einer allhier Zu Straßburg an dem St. Thomäloch gelegenen von der Defunctæ zum theil lehnungsweiße bewohnt gehabten, herrn Sebastian Antoni Klotz dem Jüngern hiesigem Maurer: und Steinhauermeister eigenthümlich Zuständigen behausung und tags darauf in der ane der fladergas gelehenem in gegenwärtige succession gehöriger daher hernach mit mahrerm beschrienenem hauß
Die abgelebte Frau seelige hat ausweislich des hernach copialiter inserirten Testamenti mistici zu ihren rechtmäßigen Erben verlaßen. Ihre drei in zwöer Ehen erzeugte Kinder, nahmentlichen und 1. herr Daniel Herrmann Meÿer, den hiesigen Burger und Silberarbeiter, so dermalen abwesend, zu einem Völligen dritten theil, das ist zu drei neunten theilen ihrer Verlaßenschafft. Indeßen Nahmen bei diesem Geschäfft erschinen Herr Rathherr Frantz Anton Riehl der Schneider und Burger allhier, als zufolg Curatorÿ vom 30. Aprilis jüngst deßelben bestellten und beeidigter Curator, ferner war zu mehrer Sicherheit, weilen sein aufenthalt gäntzlichen ohnbekannt, gegenwärtig eingangs gemeldeter Herr Johann Jacob Kirstenstein, der hiesige burger und Silberarbeiter, welche beede deßen Interesse bestens besorgt haben. 2.do Jungfrau Annam Catharinam Meÿerin, so großjährigen Alters und ihrer eigenen rechten auch hierzu anfangs dieser Inventur von Herrn Johann Daniel Schaaff Notario jurato und practico verbeiständet, in persohn gegenwärtig, zu fünff 9. theilen ihrer Succession, nachgehends aber von Herrn Notario Johann Daniel Lauth, diese beede der Verstorbenen seeligen mit längst weiland herrn M. Andreas Meÿer, dem gewesenen Pfarrer zu Breuschwickersheim und Burger allhier zu Straßburg ehelich erzielte Kinder,
3.tio herrn Johann Daniel Isenheim, juniorem den versilbert Pferd: Zeug und Zinnknopffmacher auch hiesiger Burgern welcher ad Legitimam oder zu einem Neunten theil ihrer Verlaßenschafft reducirt, so daß die an seiner rechtmäsigen Erbs: portion übrig bleibende Zwen Neuente theile seiner Vorgedachter Halbschwester Zufallen und gebührig sein sollen, persönlichen zugegen, dieser der Defunctæ seeligen mit dem vorbenannten hierseitigen Hrn Wittiber ehelich erzeugter Sohn.
Copia der Eheberedung (…) den 23. Februarÿ 1759, J. Rudolph Dinckel Notarius
Copia des von der Verstorbenen fraun seeligen errichteter Testamenti mystici (…) so geschehen Straßburg auf Montag den 27. Martÿ 1786, Copia Actus Depositionis (…) zu soch in ihre allhier Zu Straßburg am thomanloch im Goller-Gäßlein gelegenen behausung berufen laßen (…), Schweighäuser Notarius mit handzug.
Eigenthum ane Häußeren. (W.) Nemlichen eine Behausung, Höflein, Gemeinschafft des Bronnens und hoffstatt mit allen dero übrigen Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg im Hauer-Gäßel (…)
(T.) Erstlichen eine Behausung, Bronnen und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten, allhier Zu Straßburg ane der fladergas gegen dem hauer Gäßlein über gelegen, einseit neben H. Birckenfeld, dem Schneidermeister, anderseit neben herrn Kübler, dem Gold Arbeiter, hinten auf Herrn Haifle des gewesenen frippier zurückgelaßene Wittib und Erben stoßend, so gegen Männiglich frei leedig, eihen, auch mit keiner Dienstbarkeit noch mit sonsten einiger Beschwehrde beladen, und auweislich einer von (den Werckmeistern) unterschriebenen und diesem Concept jungirten Abschatzung vom 12. Maÿ 1787. æstimirt worden für und um die summ von 1400 fl. oder 700 lb. Darüber meldter ein teutscher pergamentener in hießiger Cantzlei Contract Stub gefertigter und mit dero aufgedrucktem Innsiegel verwahrter Kauf Brief d. d: 19.ten 8.bris 1771. so mit N° 2 bezeichnet.
(T.) Item eine Behausung, Hof, Scheur, Stallung, Garthen und hoffstatt samt allen Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten wie auch trott und trotthaus im dorf Itenheim (…) 162 pfund
Ergäntzung des Herrn Wittibers währender Ehe abgegangenen ohnveränderten Guths
(f° 35) Rubricarum series. Des Wittibers ohnverändert vermögen, Sa. hausraths 16 lb, Sa. leeren faßen 19 lb, Sa. silbers 9 lb, Sa. goldenen rings 1 lb, Sa. des Eigenthums ane einer behausung 450 lb, Sa. Schulden 75 lb, Ergäntzung 2502 lb, Summa summarum 3074 lb
Diesemnach wird der Kinder und Erben unverändert Guth, Sa. hausraths 22 lb, Sa. leeren faßen 1 lb, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 1 lb, Sa. Eigenthums ane liegenden gütheren 895 lb, Sa. der Schulden 67 lb, passib Ergäntzung (716), Summa summarum 987 lb – Schulden 1201 lb, Compensando 213 lb
Endlichen so wird auch die gemein und theilbare Nahrung beschrieben, Sa. hausraths 30 lb, Sa. wein und leeren Faßen 47 lb, Sa. Früchten auf der Kast 6 lb, Sa. Strohes 7 lb, Sa. blumen im feld 23 lb, Sa. Schaafen 3 lb, Sa. Silbers und Geschmeids 8 ß, Sa. baarschafft 32 lb, Sa. Eigenthum ane häusern 862 lb, Sa. Eigenthums ane liegenden gütheren 30 lb, Sa. pfenningzinß hauptgüter 311 lb, Sa. schulden 742 lb, Summa summarum 2096 lb – Schulden 4305 lb, theilbares passiv onus 2209 lb – Stall summa 615 lb, Conclusio finalis 650 lb
voir Summarische berechnung – Producta – Notanda
Abschatzung vom 12.t Maÿ 1787. Auf begeren Herr johann Danjel jsenheim dem Zinnknopffmacher ist Eine behausung alhie in der statt straßburg in der fladergaß gelegenn Ein seÿts neben Herr Birgenfeld dem schuender Meister anderseÿts neben Herr Kübler dem goldarbeither und hinten auf frau häufle Wittib stosend gelegen solche behausung bestehet in Einer boutique ferner in dreÿ stuben dreÿ Küchen und Etlichen Kammeren, darüber ist der dachstuhl mit breidzigel belegt, hat auch Ein gewölbter Keller und brunen, Vor und um Ein Tausend Vier Hundert gulden
Der Zweÿte begriff ist auch alhier in der statt straßburg im Hauergäßell gelegen Ein seÿts neben Herr Gebhard, anderseÿts neben Meister burand dem goldarbeither, und Hinten auf Herr ambtmann Weinborn stosend gelegen, solche behausung bestehet in vier stuben vier Küchen und Etlichen Kammeren darüber ist der dachstuhl mit breidzigel belegt hat auch Ein gewölbter Keller Hoff und gemeinschafftlichen brunen. Von uns unterschriebenen der statt straßburg geschwohrnen Baujnspector und Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen Vor und um Neun Hundert gulden [unterzeichnet] Boudhors architecte, Kaltner WMstr, Klotz WMstr
Fille de Nicolas Diemer, laboureur à Handschuheim, et de sa femme Catherine Bürckel, Anne Diemer a épousé en premières noces le pasteur André Meyer et en deuxièmes Jean Daniel Isenheim. Elle meurt le 8 mars à l’âge de 68 ans, son corps est inhumé le 10 au cimetière Sainte-Hélène
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. n° XIX. 1785-1788 f° 27-v)
Im Jahr 1787 donners-tags den 8. Märtz Vormittags Zwischen Acht und Neun Uhr starb allhier an einem Bust-Fieber Frau Anna Isenheimin geborne Diemerin, weÿland Niclaus Diemers geweßenen Ackermanns und burgers in Handschuheim und weÿland Frau Catharinä geborner Bürcklerin eheliche Tochter. Sie war verheurathet in erster Ehe mit weÿland Herren Magister Andreas Meÿer geweßenen evangelischen Pfarrer Zu Breuschwickersheim, in der andern Ehe aber mit dem noch lebenden Herrn Johann Daniel Isenheim versilbert Zinn- Knöpf- und Pferd-Zeugmacher und burger allhier. Sambstags darauf den 10 Märtz Nachmittags wurde sie, nach um halb zweÿ Uhr gehaltener Leichen-Rede in der Prediger Kirch, auf den Gottes-Acker Stæ Helenæ Zur beedigung gebracht. Ihres Alters 68 Jahr 2 Monath und 8 Tage (unterzeichnet) Johann Daniel Isenheim als Ehemann, Johann Daniel Isenheim als Sohn (i 31)
Jean Daniel Isenheim l’aîné rachète les parts de la maison
1789 (20.7.), Not. Anrich (6 E 41, 1511) Joint au n° 313 du 4 mai 1787
Vor mir zu weÿl. Fraun Anna Isenheimin geb. Diemerin herrn Johann Daniel Isenheim senioris des versilbert Pferdzeug: und Zinnknopffmachers Verlassenschaffts Inventur Abtheil und Erörterung erschienen Jfr. Anna Catharina Meÿerin der defunctæ in erster ehe mit längst weÿl. herrn M. Andreas Meÿer dem gewesenen Pfarrer zu Breuschwickersheim großjährige tochter unter assistentz Herrn Johann Daniel Lauth Notarii publici und practici und H. Frantz Antoni Riehl der schneidermeister und Exsenator als beeÿdigter Curator Daniel Herrmann Meÿers des von hier ausgetrettenen burgers und Silberarbeiters, der verstorbenen auch in erster Ehe mit H. Pfarrer Johann Andreas Meÿer erzeugten Sohns, so dann herr Johann Daniel Isenheim junior ebenmäßiger versilbert Pferd: Zeug und Zinnknopffmacher der defunctæ seelig zwote Ehe mit obernannten Johann Daniel Isenheim seniore ihrem hinterbliebenen wittiber erzeugt mehrjähriger sohn, in der abgelebten seelig mit ermeldetem dero hinterbliebenen wittiber gehabte theilbare Nahrung gehörige immobilia woran besagtem Wittiber zwo tertzen Jungfer Anna Catharina Meÿerin fünf 27. Daniel Herrmann Meÿer dreÿ 27. und Johann Daniel Isenheim juniori ein 27.
dem wittiber Johann Daniel Isenheim seniori
Erstlichen eine tertz an der fol: 217.b Inventarÿ beschriebenen dahier an der Fladergas gegen gegen dem hauer Gäßlein über gelegenen hoffstatt und behausung, bronnen wie auch allen übrigen deren Gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten woran seith der in anno 1771 dem 19.t Octobris um 4500 fl. beschehene acquisition nichts verbeßert worden, einseit neben H. Birckenfeld dem Schneidermeister anderseit neben Hrn Kübler dem Goldarbeiter auf Ansuchen Hrn Haifle des frippier wittib und erben, die gantze behausung zu 4500 gulden gerechnet, 1500 fl.
Item (behausung zu Ittenheim) – Item eine terz vor unvertheilte an der fol: 223-a Inventarÿ beschriebenen halben zwischen feldts (…) – den 20 Julÿ 1789
La maison revient à son fils Jean Daniel Isenheim qui épouse en 1796 Marie Madeleine Spinlein, originaire de Sainte-Marie-aux-Mines
1796 (20 frimaire 5), Strasbourg 2 (4), Not. Meyer n° 552
Eheberedung – burger Johann Daniel Isenheim der Zinn Knopffmacher des burgers Johann Daniel Isenheim mit Weÿl. Anna geb. Diemer sohn majorennis
Maria Magdalena Spinlein weÿl. Adam Spinlein mit weÿl. Francisca Marchal Eheleuthen zu Markirch tochter so Majorennis (unterzeichnet) Spenlein
Enregistrement acp 44 F° 11-v du 29 frimaire 5 – revenu industriel 150 livres
Inventaire dressé dans la maison après la mort du locataire Emmanuel Isenheim
1800 (17 brumaire 9), Strasbourg 10 (15), M° Zimmer n° 184, 572
Inventarium über weÿl. bürgers Emanuel Isenheim Wittibers und vormahligen Silberarbeiters Verlassenschafft, nach seinem den 8. Brumaire jüngst aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt
der Verstorbene hat in ermanglung erzeugter Kinder ab intestato zu Erben verlaßen wie folgt 1. bürger Johann Daniel Isenheim, Zinn versilbert Knopffmacher des defuncti Leiblicher bruder,
2. weil. Fraun Ursula geb. Isenheimin mit auch weÿl. bürger Leonhard Dollinger dem Kuttler erzeugte 7 Kinder und Enckel Namentlichen 1. burger Leonhard Dollinger den Eisenhändler in dem ersten 7.t theil, 2. weil. Fraun Ursula geb. Dollinger mit bürger Johannes Wehrlen dem beck erzeugte 5 Kinder Namentlichen 1) Frau Salome geb. Wehrlen des bürgers Martin Jung becken Ehefrau, 2) Fraun Maria Magdalena geb. Wehrlen des bürgers Theobald Kuhn des Meelmanns Ehefrau, 3) Anna Maria Wehrlen die ledige großjährige, 4) Johannes Wehrlen so 14 Jahr alt, 5) Friedrich Wehrlen so 12 Jahr alt, welcher beede minderjährigen geschworner Vogt ist bürger Samuel Friedrich Stuber der musichändler, 3. fr. Cleopha geb. Dollingerin burgers Samuel Stuber musichändlers Ehefrau unter assistentz ihres Ehemanns, 4. Fr. Salome geb. Dollingerin des bürgers Johann Jacob Metzger Ehefrau unter verbeÿstandung ihres Ehemanns, 5. weÿl. Fraun Maria Magdalena geb. Dollingerin mit bürger Christoph Frick dem Kuttler erzeugte zwei Kinder Nammentlich 1) Israel Frick so 17 jahr alt und 2. Maria Magdalena Frickin so 15 jahr, 6. Fr. Maria Elisabetha geb. Dollingerin des bürgers Johann Christoph Kohler Ehefrau, 7. Frau Maria Dorothea geb. Dollingerin bürgers Jacob Roos des Silberarbeiters Ehefrau, so dann
3. weil. Fraun Maria Salome geb. Isenheim mit auch weÿl. bürger Michael Linck gewesten Kutter in erster ehe erzeugte 4 Kinder 1) burger Michael Linck holdreher, 2) Emanuel Linck silberarbeiter so abwesend, 3) Johann Daniel Linck Metzger so auch abwesend in welchen abwesenden Namen bürger Johannes Hauser der Kuttler dero Stiefvater als geordnet und geschworener Curator und 4) Fr. Maria Salome geb. Linckin burgers Johann Jacob Gruber Metzgers Ehefrau, samtlcher aber des verstorbenen leibliche Geschwüster und respectivé Geschwüster Kinder
in einer ane der Fladergaß gelegenen mit N° 12 bezeichneten behausung
hausrath 370 pf, silber und golden Geschmeid 116 pf, Summa summarum 162 pf
Enregistrement, acp 76 f° 38 du 25 brum. 9
Le boutonnier Jean Daniel Isenheim meurt en délaissant deux enfants
1817 (12.2.), Strasbourg 8 (17), M° Roessel n° 3991
Inventaire de la succession de Jean Daniel Isenheim, boutonnier décédé le 9 février 1816 – à la requête de Marie Madeleine Spinlein la veuve, mère et tutrice légale de Marie Madeleine Salomée âgée de 19 ans et Charles Daniel âgé de 10 ans, en présence de Samuel Frédéric Stuber, marchand de musique subrogé tuteur
en une maison rue des Hallebardes n° 41
Contrat de mariage reçu M° Mayer le 20 friimaire an 5, pas d’inventaire des apports
de la succession de son père Jean Daniel Isenheim boutonnier d’étain, une maison sise en cette ville rue des Hallebardes n° 41, d’un côté le Sr Oppermann sellier de l’autre le Sr Taegermann relieur, aboutissant sur Mde Rettermeyer – Iedit père a acquis la maison par acte passé à la Chambre des Contrats le 19 octobre 1771 – rapporte en loyer, la Dlle Perlascar paie du rez de chaussée 96 fr, le Sr Faer du 1er étage 120 fr, le cordonnier Adeloff du second 96 fr, le troisième occupé par la veuve 72 fr, ensemble 384 fr, en capital 7680 fr
communauté meubles 253 fr
propres meubles 97 fr, garde robe 56 fr, créances 1839 fr, total 1992 fr
Enregistrement, acp 133 F° 11 du 13.2.
Madeleine Salomé Isenheim devient seule propriétaire de la maison après la mort de son frère. Elle la vend au négociant Antoine Séraphin Weygand
1835 (27.7.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 295, n° 79
Strasbourg, Me F. Grimmer du 11.7. ; Enregistrement de Strasbourg, acp 233 f° 15-v du 217.
Marie Madeleine Salomé Isenheim, majeure
à Antoine Séraphin Weygand ci devant négociant
une maison avec puits droits, aisances, appartenances sise à Strasbourg rue des Hallebardes n° 41 ci devant rue dite Fladergass n° 41, d’un côté M Oppermann sellier, de l’autre la veuve Taergermann, devant la rue, derrière la propriété du Sr Rang boucher – sont encore compris trois fourneaux et les doubles fenêtres pour les trois étages
Etablissement de la propriété. La maison vendue provient de Jean Daniel Isenheim, boutonnier d’étain, aieul de la Dlle Isenheim devenu propriétaire par acte passé à la Chambre des Contrats le 19 octobre 1771, par liquidation dressée par M° Anrich le 1 février 1790 elle est échue à Jean Daniel Isenheim, boutonnier, fils du sus dénommé et père de Dlle venderesse. D’après inventaire dressé par M° Roessel le 12 février 1817, il parait que cette maison est entrée dans la communauté avec Marie Madeleine Spinlein, suivant contrat de mariage reçu M° Mayer le 20 frimaire 5. M. Isenheim fils a délaissé pour seuls et uniques héritiers ses deux enfants la Dlle venderesse et Charles Daniel né le 27 décembre 1821. Charles Daniel Isenheim est mort en laissant pour seuls et uniques héritiers sa mère et sa sœur, Le 18 juin 1824 la veuve Isenheim est décédée en laissant pour seule et unique héritière la venderesse suivant inventaire dressé le 12 février 1817 et acte de notoriété dressé par M° Grimmer le 9 courant – pour 10.000 francs
Originaire de Weiterswiller près de Bouxwiller, l’ancien militaire Antoine Séraphin Weygand épouse en 1816 Marguerite Antoinette Zannotta
Mariage, Strasbourg (n° 449)
Acte de mariage, célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 14 novembre 1816. Antoine Séraphin Weygand, majeur d’ans né en légitime mariage le 7 décembre 1775 à Weitersviller (Bas-Rhin), domicilié à Strasbourg, Militaire retraité et pensionné, fils de feu Antoine Weygand, pensionnaire de l’état décédé à Rhinau (Bas Rhin) le 7 Floréal an cinq de la République française et de feu Rosine Metz, décédée audit lieu le 7 Germinal an trois de la République française, Marguerite Antoinete Zannotta, majeure d’ans, née en légitime mariage le 12 juin 1782 à Strasbourg, fille de feu Jean Adam Zannotta, fabricant de chandelles décédé en cette ville le 25 Thermidor an deux de la République française et de feu Barbe Delisle, décédée en cette ville le 7 ventôse an trois de la République française (…) Et de suite lesdits époux ont déclaré reconnaître Auguste Séraphin Weygand, né d’eux en cette ville le 9 novembre 1814 et inscrit dans nos registres le lendemain (signé) Antoine Qeraphin Weygandt, Marguerite antoinette Zannotta (i 7)
1847 (24.2.) M° Grimmer
Consentement par Antoine Séraphin Weygand propriétaire à Strasbourg au mariage de son fils Auguste Séraphin Weygand négociant à Paris avec Victorine Duport de Bruxelles
acp 358 (3 Q 30 073) f° 22 du 24.2.
Testament olographe
1854 (11.11.), M° Grimmer (minutes en déficit)
Dépôt du testament olographe d’Antoine Séraphin Weygand, officier en retraite à Strasbourg, ledit testament en date du 25 juillet 1854, enregistré ce jourd’hui
acp 434 (3 Q 30 149) f° 92-v du 11.11.
Enregistrement de Strasbourg, ssp 118 (3 Q 31 617) f° 76-v du 11.11.
Testament du 25 juillet 1854 – Je soussigné Antoine Séraphin Weygand, officier en retraite à Strasbourg, lègue en toute propriété à Thérèse Weygand, ma ménagère, si elle sera encore à mon service lors de mon décès, la somme de 500 francs
Antoine Séraphin Weygand meurt en 1854 en délaissant quatre enfants (la fille qui a renoncé à la succession ne figure pas parmi les héritiers)
1854 (6.11.), M° Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire de la succession délaissée par Antoine Séraphin Weygand, propriétaire décédé hors la porte d’Austerlitz de Strasbourg le 29 septembre dernier, dressé à la requête de I) Auguste Seraphin Weygand fabricant de bougies à Paris agissant tant en son nom pour que comme mandataire de 1° Joseph François Weygand, rentier à Fegeleen (Hollande), 2° Alphonse Constant Weygand, Maître de piano à Lima (amérique méridionale), 3° Sophie Weygand épouse d’Auguste Cousette, cantinier au 9° d’artillerie à Lafère, II) Xavier Weygand, sous-lieutenant au 3° lanciers à Lunéville
acp 434 (3 Q 30 149) f° 77 du 7.11. (succession déclarée le le 10 mars 1855) Il dépend de la succession un mobilier estimé à ci 968
acp 435 (3 Q 30 150) f° 13 du 18.11. (vacation du 13 novembre) 47 ares de terre ban de Strasbourg
une maison route de Colmar
une maison ban de Strasbourg canton Schurmfeld
créances 3643, passif 724
[in margine :] Vu la minute. Il s’est trouvé une pièce contenant trois quittances données par M. Burger pour dot de son épouse aujourd’hui dame Courette (…)
Déclaration dans laquelle figurent tous les héritiers
1857 (2.4.), M° Grimmer (minutes en déficit)
Déclaration par le mandataire de 1) Charles Weygand, sous-lieutenant au 3° lanciers à Pont-à-Mousson, 2) Auguste Seraphin Weygand fabricant de bougies à Paris, 3) Joseph François Weygand, rentier à Fegelen, 4) Alphonse Constant Weygand, Maître de piano à Lima, 5) Sophie Weygand épouse d’Auguste Coussette, cantinier au 9° d’artillerie à Lafère,
que par suite de la renonciation faite au greffe du tribunal civil de Strasbourg le 6 novembre 1854 par Antoinette Thérèse Weygand épouse de Reinier van Eibergen Santhagen, négociant à Amsterdam, à la succession d’Antoine Séraphin Weygand propriétaire à Strasbourg décédé le 29 7.bre 1854 les sus dénommés ont seuls droit au prix d’un immeuble vendu à Jacques Willmann, tapissier à Strasbourg par acte reçu Grimmer le 27 février 1857.
acp 459 (3 Q 30 174) f° 14 du 7.4.
Antoine Séraphin Weygand et ses enfants vendent la maison au tailleur Louis Locker et à sa femme Albertine Krauss
1846 (22. 7.br), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 448 (2673) n° 92 – M° G. L. F. Grimmer
ont comparu Monsieur Antoine Séraphin Weygand propriétaire demeurant et domicilié hors la porte d’Austerlitz de la Ville de Strasbourg et en sa banlieue et Madame Anne Marie Sophie Weygand veuve de Monsieur Ambroise Burger, commis négociant à Strasbourg elle demeurant et domiciliée hors ladite porte d’Austerlitz, agissant tant en son nom que comme mandataire de 1° de Monsieur Auguste Seraphin Weygand négociant à Paris suivant procuration (…), 2° de Monsieur François Xavier Weygand, Marechal des logis à l’école Royale de cavalerie de Saumur (…), 3° de Monsieur Ferdinand Georges Weygand négociant à Amsterdam (…), 4° Enfin de Melle Antoinette Thérèse Weygand épouse dument autorisée de Monsieur Reinier van Eibergen Santhagens directeur d’une Compagnie d’assurances demeurant et domicilié ensemble à Amsterdam (…) lesdits Comparans Monsieur Weygand et Dame Burger se portant encore solidairement fort et responsables d’Adolphe Weygand né le 12 juillet 1827 leur fils et frère respectif qu’il ratifiera les présentes lors de sa majorité et à ses frais, lesquels (ont vendu)
à Monsieur Louis Locker maître tailleur d’habits et sous son autorisation Dame Albertine Krauss sa femme demeurant et domicilié ensemble à Strasbourg acquéreurs ci présens et acceptant
une maison Rue des Hallebardes n° 41 d’un côté la propriété de Monsieur Oppermann sellier de l’autre celle de Monsieur Gerhardt boucher devant ladite Rue et derrière la propriété de Monsieur Mang boucher. Sont compris dans cette vente cinq foureaux et la double fenêtre pour les trois étages ainsi et dans l’etat où cette maison se poursuit et se comporte actuellement (…)
Etablissement de propriété. L’immeuble présentement vendu dépend de la communauté de biens qui a existé entre entre Monsieur Weygand Comparant et dame Antoinette Marguerite Zannotta sa femme défunte pour avoir été par eux acquis durant leur mariage de demoiselle Marie Madeleine Salomé Isenheim majeure célibataire à Strasbourg suivant contrat de vente passé devant le soussigné notaire Grimmer le 11 juillet 1835 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 27 du même mois volume 295 numéro 79 moyennant le prix de 10.000 francs dont 4000 francs ont été quittancés dans le contrat et pour ce qui regarde les 6000 francs restans Monsieur Weygand a justifié aux acquéreurs de leur acquittement. Lors du décès de Mlle Weygand née Zannotta arrivé le 7 avril 1845 la moitié dudit immeublee a elle appartenant est avenu à ses six enfants susnommés, ses seuls et uniques héritiers ainsi declaré. Dans le contrat d’acquisition des Epoux Weygand ci-dessus relaté il est dit que la demoiselle Issenheim a recueilli ledit Immeuble dans la succession de son frère Charles Daniel Issenheim boutonnier à Strasbourg et de sa grand mère dame Marie Madeleine Spinlein veuve de Jean Daniel Issenheim boutonnier d’étain en ladite ville dont elle est la seule et unique héritière ainsi qu’il appert des Inventaires dressés par M Roessel vivant notaire à Strasbourg le 12 février 1817. Situation hypothécaire (…) Prix, moyennant le prix principal de 10.300 francs (…)
Fait et passé à Strasbourg en l’étude de M° Grimmer l’an 1846 le 15 septembre
acp 352 (3 Q 30 067) f° 61-v
Originaire de Bischheim, Louis Locker épouse en 1846 Albertine Krauss, fille du cordonnier Jean Geoffroi Krauss
1846 (6.1.), Strasbourg 12 (168), Me Noetinger n° 18.218
Contrat de mariage – Ont comparu M. Louis Locker, ouvrier tailleur demeurant à Strasbourg, fils majeur de M. François Locker, aubergiste à Bischheim au Saum, y demeurant et de D° Salomé Schneebeger ssa femme stipulant comme futur époux sous l’assistance et consentement de son père à ce présent d’une part
Et Delle Albertine Emilie Krauss, sans état, demeurant à Strasbourg, fille majeure de M. Jean Geoffroi Krauss, cordonnier et de D° Marguerite Salomé Muntz conjoints demeurant à Strasbourg, stipulant comme future épouse, sous l’assistance et consentement de son père, ci présent
acp 344 (3 Q 30 059) f° 19 – régime de communauté d’acquêts
Les apports de la future épouse consistent en meubles, objets mobiliers estimés 1000 francs
Donation par le futur époux à la future épouse à titre de don matutinal de 300 francs
Donation mutuelle par les futurs époux au profit du survivant d’eux de l’usufruit viager des biens délaissés par le premier mourant.
Le futur époux fait apport d’une somme de 500 francs
Albertine Krauss meurt en 1862 en délaissant deux fils
1863 (2.3.), M) Noetinger
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Louis Locker, propriétaire et Albertine Emilie Krauss sa femme à Strasbourg et de la succession de cette dernière décédée le 20 octobre 1862. Dressé à la requête du veuf, agissant comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Noetinger le 6 janvier 1846 et comme usufruitier de la moitié de la succession en vertu du même acte et comme père et tuteur de Louis Albert et Alfred Jules Locker
acp 519 (3 Q 30 234) f° 79 du 5.3. (succession déclarée le 16 avril 1863) Communauté, Mobilier estilé 1687
Une Maison à Strasbourg rue des Hallebardes N° 38, 15.000
moitié d’une maison rue du Maroquin N° 19, 4000
reprises de la défunte 2492, reprises du veuf 500 – Passif 14.616
Succession, garde robe 303, reprises en nature, mobilier 245, reprises 2892, bénéfices de la communauté 3031
Louis Locker et le tuteur de ses deux enfants vendent la maison au négociant Jacques Weiller
1863, M° Noetinger
17 avril 1863 – Cahier des charges pour parevenir à la vente d’une maison sise à Strasbourg rue des Hallebardes N° 30 à la requête de Louis Locker de Strasbourg
acp 521 (3 Q 30 236) f° 35 du 24.4.
4 mai 1863. Adjudication définitive – à la requête de I. Louis Locker, propriétaire à Strasbourg, II. Eugène Gutfreund, ouvrier en papiers peints à Strasbourg, comme subrogé tuteur de Louis Albert Locker et Alfred Jules Locker, les deux enfants dudit Sr Locker et de feue Albertine Emilie Krauss sa femme
au profit de Jacques Weiller, Négociant à Strasbourg, moyennant 22.600 francs, payables savoir 9000 francs entre les mains de Chrétien Linden propriétaire et Thérèse Kuhn sa femme à Strasbourg, créanciers suivant obligation reçue Noetinger le 2 juillet 1853, et le surplus au Sr Locker d’après liquidation et la part des enfants à leur majorité. Jouissance du 25 juin 1893. Impôts du premier juillet 1963.
acp 521 (3 Q 30 236) f° 83 du 8.5.
une maison sise à Strasbourg rue des Hallebardes N° 30
Commerçant originaire d’Odratzheim, Jacques Weiller épouse en 1855 Marie Anne Lang, de Scharrachbergheim
Mariage, Odratzheim (n° 3)
Le 23 octobre 1855 à cinq heures du soir. Acte de mariage de Weiller Jacques, célibataire âgé de 27 ans né à Odratzheim le 3 novembre 1827, commerçant domicilié à Odratzheim fils légitime et majeur de Weiller Isaac, âgé de 53 ans, commerçant à Odratzheim ci présent et consentant ,et de May Rose âgée de 54 ans, ménagère à Odratzheim ci présente et consentante
et de Lang Marie Anne célibataire âgée de 32 ans née à Scharrachbergheim (Bas-Rhin) le 5 avril 1823, domiciliée à Raon l’Etape (Vosges) fille légitime et majeure de feu Lang Jost âgé de 76 ans, commerçant domicilié à Raon l’Etape y décédé le 5 mars 1853 et de feue Braunschweig Philippine âgée de 70 ans, rentière domicilié à Raon l’Etape (…) il a été fait (contrat de mariage) le 20 octobre 1855 devant monsieur Ihlé notaire à Westhoffen (signé) Jacques Waltern M. Lang (i 3)
Babette est leur premier enfant qui naisse à Strasbourg en 1859.
Naissance, Strasbourg (n° 462)
Acte de naissance. Le deux mars 1859 à dix heures du matin (…) a comparu Jacques Weiller, âgé de 31 ans, négociant domicilié à Strasbourg lequel nous a présenté un enfant du sexe féminin né à Strasbourg le premier mars 1859 à quatre heures du soir en la maison N° 2 quai Kellermann et nommé Babette fille de lui déclarant et de Marie Anne Lang son épouse (i 3)
Jacques Weiller opte en son nom, celui de sa femme et de ses enfants pour la nationalité française à Saint-Dié en juin 1872.
Archives nationales BB 31, 488
Traités du 10 mai et du 11 décembre 1871. Options pour la nationalité française
Le 30 juin 1872, par-devant nous, Maire de la commune de Saint-Dié, canton et arrondissement dudit (Vosges), est comparu M. Weiller Jacques, né à Odratzheim (Bas-Rhin) le 27 septembre 1827, lequel (…) a déclaré opter pour la nationalité française, qu’il entend conserver, tant en son nom personnel qu’en celui de sa femme et de ses enfants
1° Marie Anne Lang née à Scharrachbergheim (Bas Rhin) le (-) avril 1823,
2° Weiller Jules né à Odratzheim (Bas Rhin) le 27 7.bre 1856,
3° Weiller Paulin né à Odratzheim le 26 novembre 1857,
4° Weiller Babelle née à Strasbourg (Bas Rhin) le 1° mars 1859,
5° Weiller Augustine, id. le 30 juin 1860,
6° Weiller Joséphine, id. le 23 janvier 1864,
7° Weiller Lucien, id. le 1° novembre 1865,
8° Weiller Adrienne, id. le 25 mai 1867.
[N.B. Babelle est mis pour Babette]
Jacques Weiller loue la maison au teinturier Appel
1870, Enregistrement de Strasbourg, ssp 155 (3 Q 31 654) f° 2-v du 1.12.
7. November 1865. Lehnung wie folgt Zwischen den unterschriebenen 1) Jakob Weiller, Eigenthümer in Straßburg
2) H Appel Sohn, Färber in Straßburg
ist folgendes bestimmt worden, Hr Jakob Weiller verlehnt an Hn Appel Sohn, welcher es annimmt, das Magasin und hinter Magasin, eine Wohnung im dritten Stock bestehend in vier Zimmer, Bühn, Keller und ein Zimmer im vierten Stock in dem Hause Spiesgasse N° 30, welche localitäten der Lehner erklärt zu kennen, für eine Frist von neun Jahren, welche anfängt vom Johannistag 1866. Die Lehnung ist gemacht für einen jährlichen Zins von 1100 Franken wovon das erste Termin zahlbar ist den Michaelis Tag 1866 (…)
La société entre le teinturier Adolphe Appell et Georges Theis a son siège dans la maison.
1864, Enregistrement de Strasbourg, ssp 140 (3 Q 31 639) f° 56 du 24.9.
12 septembre 1864. Société – Entre les soussignés 1° M. Adolphe Appell, teinturier, et 2° Georges Theis, les deux demeurant à Strasbourg, a été convenu ce qui suit, savoir
Art. 1. Il est formé par les présentes une société en nom collectif ayant pour objet la fabrication de divers produits servant à la teinture.
Art. 2. La raison sociale sera Appell et Theis, chacun des associé aura la signature sociale. Le domicile de la société sera établi rue des hallebardes N° 30.
Art. 3. Les associés fourniront par moitié tous les fonds nécessaires à l’établissement de leur industrie. Chaque année le premier janvier il era fait un inventaire général qui sera porté sur un livre ad hoc et qui sera signé par chacun des associés.
Art. 4. Les bénéfices et les pertes seront partagés par parts égales entre les associés.
Art. 5. La durée de la société sera de 15 années qui commenceront le 18 avril 1864 pour finir à pareil jour de 1879. A l’expiration de la société la liquidation sera faire en commun par les deux associés.
Art. 6. Si l’un des associés venait à décéder (…)
Art. 9. Un extrait des présentes sera déposé au greffe du tribunal de commerce à Strasbourg ainsi que l’exige le loi.
Jacques Weiller, commerçant à Saint-Dié, loue la maison au tailleur Charles Mœhrlé
1872, Enregistrement de Strasbourg, ssp 156 (3 Q 31 655) f° 61 du 13.3.
18. December 1871. Pacht wie folgt zwischen Jakob Weiler, Kaufmann in St Dittel
und Karl Moehrlé, Schneider in Straßburg
Hr Weiler verpachtet an Hr Moehrlé ein Haus in Straßburg, Spiessgasse N° 30 gelegen, bestehend in einem Magazin, vier Stöcken, jeder Stock mit vier Zimmern und Küchen, für eine Frist von drei, sechs oder neun Jahre vom ersten März 1872, für eine jährliche Pacht von 2400 Franken (…)
Im Fall der Lehner nicht vom ersten März an von dem Magazin und dem dritten Stock die Nutznießung haben kann, so kan er auch die Pacht verzichten und der Verlehner ist gebunden ohne das voraus bezahlte 100 zurück zu erstatten
Jacques Weiller de Saint-Dié vend la maison au marchand de chaussures Georges Kleber, demeurant rue de la Grange
1877 (2.10.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 1725 (3887) n° 15, M° Constant Schmitz
N° 451. Kaufvertrag – Erschienen I. Herr Jacob Weiller, Kaufmann in Saint Dié wohnhaft, Eineseits und
II. Herr Georg Kleber, Schuhhändler zu Straßburg Stadelgasse Nummer 18 wohnhaft, andererseits, zwischen denen folgendes Vertrag zustande gekommen ist,
nämlich, der erstgemelte Herr Weiller verkauft und überläßt zum vollem Eigenthum dem letztgenannten Herrn Kleber, welcher acceptirt, das nachbeschriebene Immöbel als
Ein Wohnhaus mit allen An- und Zubehörden gelegen zu Straßburg in der Spießgasse unter N° 30 und begrenzet einerseits von Herrn Carl Fuchs, andererseits von Herrn Dutant. Eigenthumsherkunft. Herr Weiller erklärt, daß er das vorbeschriebene Immöbel erworben habe von Herrn Louis Locker Eigenthümer in Strassburg wohnhaft und dessen Kindern erzeugt in der Ehe mit seiner verlebten Ehefrau Albertine Emilie Kraus auf Grund eines Licitations protokolles aufgenommen von dem früheren Notar Noetinger zu Straßburg am 4. Mai 1863. Bedingungen und Währschaften (…).
acp 669 (3 Q 30 384) f° 87 n° 3539 du 25.9. – Besitz und Genuß vom 29. September 1877 und Uebernahme der Steuern vom selben Tag. Der Kaufpreis beträgt 27.200 Mark, worauf baar bezahlt 5600 Mark. Der Rest ist zahlbar in 9 Terminen wovon der Erste verfällt am 25. März 1876 mit Zins 5% von Tage des Besitzantrittes – Errichtet zu Straßburg in der Amtsstube des Notars am 25. September 1877
(Hypothèques, répertoire n° 244, case 622. Weiler, Jacques, comm. à Odratzheim puis à Strasbourg, St Dié)
Originaire de Pirmasens en Palatinat, Georges Kleber épouse en 1856 Reine Beck, native de Bœrsch
Mariage, Strasbourg (n° 625)
Du 27° jour du mois de décembre 1856 à dix heures du matin. Acte de mariage de George Kleber, majeur d’ans, né en légitime mariage le 4 octobre 1827 à Pirmesens (Bavière rhénane) domicilié à Strasbourg, Cordonnier, fils de feu George Kleber, tisserand décédé à Ingouville (Seine inférieure) le (-) août 1830 et de feu Catherine Horst décédée à Coblence (Bavière rhénane) le 25 juin 1820 et de Reine Beck, majeure d’ans, née en légitime mariage le 26 septembre 1826 à Boersch (Bas-Rhin) domiciliée à Strasbourg, blanchisseuse, fille de Michel Beck, boucher, absent depuis plus de seize ans dont le domicile est inconnu, et de feu Marie Odile Ducret décédée à Boersch le 9 novembre 1841 (…) il n’a pas été paséde contrat de mariage (signé) Kleber, Reine Beck (i 46)
Registre domiciliaire, 600 MW 338 (i 203)
Kleber, George, Pirmasens 27, g / h.m. Cordonnier, luth., bavarois, (à Str. depuis) 52, ant. g rue 108, marié le 27 Xbr 56
Beck, Reine, Boersch 28, f. blanchisseuse, cathol., français, (à Str. depuis) 44, ant. finckwiler 60
Kleber née Beck, Boersch 26, f.m., sa femme, cathol., français, (à Str. depuis) 44
Pfeiff, Caroline, Pirmasens 41, f. servante, Bavière, (à Str. depuis) 15 Juin 57 – p.p. ses foyers
r. de la fontaine 12, (délogé) 25 Juin 57 – même rue 5/16, (délogé) 30 mai 59 – grand rue 53, (délogé) 25 mars 63 – r. de la grange 18
600 MW 415 (table, i 121)
Kleber, Georges, cordonnier – gr. rue 108, rue fontaine 12, 5 (16), gd rue 53, rue de la grange 18
Kleber née Beck, Reine, rue fontaine 12, 5 (16), gd rue 53, rue de la grange 18
Georges Kleber institue sa femme sa légataire universelle
1894 (18.4.), M° Keller
Testament des am 14. ds. Mts dahier gestorbenen Georg Kleber, wodurch derselbe seiner Ehefrau Regina Beck seinen ganzen Nachlass zu Eigenthum vemacht.
Privaturkunde vom 15. Mai 1867, hinterlegt bei Notar Keller vom 18. April 1894.
acp 885 (3 Q 30 600) f° 95-v n° 345 du 19.4. (Erbsch. Erkl. vom 11.11.94 Bd. 213 N° 360)
Notoriété constatant que rien ne s’oppose au testament puisque le défunt n’a laissé ni ascendants ni descendants.
1897 (20.9.), M° Mossler
Offenkunde bestätigend, daß Georg Kleber, Schuhmacher em 14. April 1897 [sic] zu Straßburg verstorben ist, weder Ascendenten noch Descendenten oder Vorbehaltserben hinterlassen hat und daß demzufolge dem Vollzuge seines eigenhändigen Testaments vom 16. Mai 1867, welches zufolge Anordnung des Amtsgerichts Straßburg in der Schreibstube des Notars Keller hinterlegt wurde, als dadurch er seiner heutigen Wittwe Regina Beck als Universalerbin einsetzte, nichts im Wege steht.
acp 930 (3 Q 30 645, II) f° 42 n° 2220 du 27.9.
Reine Beck veuve de Georges Kleber vend la maison à Joséphine Louise Weibel
1897 (25.3.), M° Mossler
Verkauf – Regina Beck, Schuhhändlerin in Straßburg Wittwe Georg Kleber
an Josephine Luise Weibel, großjährig ohne Gewerbe in Straßburg
Stadt Strassburg O 269, 269, 0 a 66 Wohnhaus mit Erdgeschoß in welchem eine Spezereihandlung betrieben wird, 3 Stockwerken, Mansardenzimmer, Hof und Zubehör Spießgasse N° 30
erkauft durch Eheleute Kleber-Beck laut Act des Notars Schmitz hier vom 25. September 1877 um 17.200 M. Ehemann starb hier am 21. April 1894 und setzte seine Wittwe als Universallegatarin ein laut eigenhändigen Testaments vom 15. Mai 1867 hinterlegt bei Notar Keller 18. April 1894.
Genuß und Steuren sofort. Preis M. 26.800, baar bezahlt 2000, sind angewiesen an (…)
Commerçant originaire de Hersbach (commune de Wisches), Lucien Douvier épouse en 1897 Joséphine Louise Weibel
Mariage, Strasbourg (n° 709) Straßburg am 31. Juli 1897. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Kaufmann Lucien Douvier, katholischer Religion, geboren den 31. August des Jahres 1866 zu Hersbach Gemeinde Wisch (Unter-Elsaß) wohnhaft zu Straßburg, Sohn des Bäckers Alexander Douvier, wohnhaft zu Hersbach und dessen verstorbenen Ehefrau Amalia geborene Boulangeot zuletzt wohnhaft zu Hersbach,
2. die gewerblose Josephine Luise Weibel, katholischer Religion, geboren den 16. Juli des Jahres 1873 zu Straßburg wohnhaft zu Straßburg, Tochter des Kaufmanns Wilhelm Weibel und dessen Ehefrau Caroline Josephine geborne Himmelsbach beide wohnhaft zu Straßburg
[in margine :] Durch Verfügung des Polizeipräsidenten in Strassburg vom 27. Oktober 1942 führt die Ehefrau anstelle des bisherigen Familiennamens den Familiennamen Daubner. Strassburg den 30. April 1943. (i 119)
Le représentant de commerce Lucien Douvier et Joséphine Louise Weibel hypothèquent la maison au profit de la veuve et des légataires de Charles Werner
1897 (31.12.), M° Allonas
Schuldbrief und Annahme – Lucien Douvier, Handlungsreisender, und Josephine Luise Weibel in Straßburg
zugunsten von I. Adele Rehn, Rentnerin in Straßburg, Wittwe des Rentners Karl Werner, eigenen Namens und als Nutznießerin des Nachlasses ihres Ehemanns und II. die Universallegataren ihres Ehemanns laut Testament reg. 13. März 1891 hinterlegt beim amtierenden Notar den 29. Dezember 1891, 1) Karl Werner, Maler in Straßburg, 2) Bertha Werner, großjährig ohne Gewerbe in Straßburg, 3) Ernestine Werner, Ehefrau Georg Martzloff früher in Schweighausen zur Zeit in Straßburg, 4) August Werner, Metzger in Straßburg, für das nackte Eigenthum, 12.800 Mark, angewiesen im Verkauf des Notars Mossler hier vom 25. März 1897 und geschuldet laut Obligation des Notars Schmitz hier vom 27. März 1883, Vertrag Roessel vom 8. Mai 1862.
Pfand, ein Haus zu Straßburg Spießgasse 30
beigetreten Adolph Weill, Schuhhändler in Hagenau, welcher die in obigem Kauf Mossler vom 25. März 1897 zu seiner Gunsten enthaltene Anweisung von 4000 M. gemäß Obligation Schmitz hier vom 28. November 1881 annimmt.
acp 935 (3 Q 30 650) f° 7 n° 4797 du 3.1.1898
Le passementier Edouard Fuchs achète la maison en 1899.
Fils du passementier Charles Fuchs, Edouard Fuchs épouse en 1773 Marie Thomas, fille du cordonnier Laurent Thomas : contrat de mariage, célébration. Il apporte en mariage une partie de la maison sise 28, rue des Hallebardes
1883 (6.4.), Strasbourg 8 (119), M° Gustave Edouard Loew n° 14.897
Ehevertrag – sind erschienen 1) Herr Eduard Fuchs, Posamentier, wohnend zu Straßburg, großjähriger Sohn des gewesenen Posamenties herrn Karl Fuchs in Straßburg und dessen verstorbenene Gattin frau Margareth Bourgeois, handelnd als Künftiger Ehegatte, einseits
2) fräulein Marie Thomas, ohne Stand, wohnend zu Straßburg, großjährige Tochter des verlebten Schuhmachers herrn Lorenz Thomas in Straßburg und dessen noch lebdender Wittwe frau Franziska Ducret, Rentnerin, wohnend daselbst, handenld als künftige Ehegattin mit Genehmigung ihrer mitanwesenden Mutter, anderseit
3) die soeben bezeichnete Frau Wittwe Thomas, miterschienen wegen der Schenkung, welche sie der Braut, ihrer Tochter, machen will, drittenseits
Artikel sechs. Der Herr Bräutigam bezeichnet als sein Einbringen 1) seinen unabgetheilten Antheil, bestehend in 19/128.tel ane dem Hause mit An- und Zugehörden zu Straßburg, Spießgasse N° 28, wovon 71/128.tel seinem Vater, 19/128.tel seiner Schwester Fräulin Marie Fuchs und der Rest mit 19/128.tel seiner Schwester fräulein Emma Fuchs zusteht
acp 736 (3 Q 30 451) f° 80 du 9.4. 1) Annahm des Systems der Errungenschaft Gemeinschaft
2) der Bräutigam bringt zur Ehe a) 191/28 Antheil an dem Wohnhause Spießgasse 28, b) baares geld und Forderungen 12.000, c) seinen Antheil in der Gemeinschaft mit seinen 2. Geschwistern betriebenen Posamentiergeschäften
3) die Braut bringt zur Ehe a) Mobilien geachtet zu 2480, b) Forderung an Georg Kleber 400 (zusammen) 2880
4) die genante Mutter der Braut schenkt derselben eine Forderung ane die Eheleuthe Michel Herrmann und Anna Meyer in Oberhausbergen laut Urkunde Lauterbach von 30. Mai 1879 im Betrage 2000 Mark
5) Auf Todesfall schencken sich die Brautleute gegenseitig die lebenslängliche Nutznießung des Eheeinbringens
Mariage, Strasbourg (n° 163)
Strassburg am 7. April 1883. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Posamentirer Eduard Fuchs, katholischer Religion, geboren den 8. September des Jahres 1850 zu Strassburg, wohnhaft zu Strassburg, ehelicher Sohn des Posamentirers Carl Fuchs, wohnhaft zu Strassburg und der verstorbenen Margaretha Bourgeois, zuletzt wohnhaft zu Straßburg
2. die Francisca Maria Thomas ohne Beruf, katholischer Religion, geboren den 11. September des Jahres 1854 zu Strassburg wohnhaft zu Strassburg, eheliche Tochter des verstorbenen Schuhmachers Lorentz Thomas, zuletzt wohnhaft zu Strassburg und der Maria Francisca Ducret, wohnhaft zu Strassburg (i 72)
Marie Thomas meurt en 1888 en délaissant une fille
1888 (4.12.), M° Loew
Erbverzeichnis über dem Nachlass der dahier den 4. Oktober 1888 verstorbenen Marie Thomas Ehefrau des Posamenters Eduard Fuchs
Einzige Erben ist die Tochter Bertha Fuchs, minderjährig unter Vormundschaft ihres Vaters. Laut Ehevertrag vor dem amt. Notar vom 6. April 1883 bestand zwischen Eheleuten Thomas-Fuchs Errungenschafts Gütergemeinschaft und steht dem überlebenden Wittwer nach demselben die lebenslängliche Nutznießung des Einbringens der Verstorbenen
acp 810 (3 Q 30 525) f° 41-v n° 3568 du 12.12. (Erb. Erkl. vom 5.3.89 Bd. 158 N° 568) Nachlass, Mobilien 2490, Kleider 120
Gemeinschafft, baar Geld 320, Sparkasenforderung lt. Büchlein 7, Geschäftsausstande 1548, Miethzinse 36, Waaren 1400
Ein Wohnhaus mit Erdgeschoß und 3 Stockwercken, zwei Höfen, Keller & Zubehörden, 3,20 ar, gelegen dahier Hauergasse N° 13
Passiva 12.706
Rücknahme des Nachlasses 1) Eingebrachte Mobilier, 2480, eingebrachte Forderung an Eheleuth Kleber 400, Herrmann 200 (zusammen) 4880
Rücknahme dess Wittwers in Natur, Hausantheil Spießgasse N° 28 dahier 18/128, Ersatzforderung des Wittwers 14.736
Activforderung der Gemeinschafft, Zinsen der Sonderforderungen des Nachlasses 48
Décès, Strasbourg (n° 1293) Strassburg am 17. Mai 1907. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Eigenthümer Eugen Fuchs, wohnhaft zu Strassburg Kaiser Friedrichstraße 8, und zeigte an, daß der Rentner Eduard Fuchs, 56 Jahr 8 Monat alt, katholischer Religion, geboren zu Strassburg, Ehemann von Marie geborner Barthelemy, Sohn der verstorbenen Eheleute Karl Fuchs, Posamentier und Margaretha Bourgeois, zuletzt wohnhaft zu Strassburg, zu Straßburg Spachallee 2 am 6. Mai des Jahres 1907 vormittags um neun Uhr verstorben sei (i 54)
Edouard Fuchs se remarie en 1890 à Liépvre (Haut-Rhin) avec Marie Barthelémy (voir le dossier du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme)
Guillaume Schmidt, orfèvre, et (1712) Cunégonde Sebitzius
1710, Protocole des Quinze (2 R 114)
Wilhelm Schmidt von Lübeck, 269, 281-b
Natif de Lübeck, l’orfèvre Guillaume Schmidt fait dresser un état de sa fortune en juillet 1711.
1711 (20.7.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 66)
(Verzeichnus) Zuwißen daß Vor mir (…) Notario Persönlich erschienen H. Willhelm Schmid, der ledige Silberarbeiter gebürtig Von Lübeckh, weÿl. H Nicolai Schmiden, gewesenen Silberarbeiters und burgers daselbst ehl. Sohn, hat volgendes in Vermögen darüber Er mir die Würckliche handtreu præstirt und abgelegt
(…) Summarum 184 lb
Sigl. Straßburg den 20. Julÿ 1711 (unterzeichnet) Wilhelm Schmidt
Guillaume Schmidt achète le droit de bourgeoisie en août 1711
1711, 3° Livre de bourgeoisie p. 1281
H. Wilhelm Schmid der silberarbeither Von Lübeck, weÿl. H. Niclaus schmid auch gew: silberarbeithers hint. sohn erkaufft d. burgerrecht p. 6. Gold fl. 16. ß. wird Zur Steltz dienen. Jur: d. 19. aug. 1711
Fils de l’orfèvre Nicolas Schmidt, Guillaume Schmidt épouse en 1712 Cunégonde, fille du médecin Melchior Sebitzius : contrat de mariage, célébration
1712 (21.3.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 5) n° 10
Eheberedung – zwischen dem Ehren Vesten und Kunstreichen Herrn Wilhelm Schmiden dem Ledigen Silberarbeitern und Burgern alhie, alß dem herrn Bräutigam an einem
So dann der Viel Ehren: und tugendreichen Jungfer Kunigundæ, weÿl. des Hoch Edel Vest und Hochgelehrten Herrn Melchior Sebitzÿ, geweßenen weitberümbten Doctoris Medicinæ et Professoris alhier nunmehro seel hinterlassener ehel. tochtern alß der Jungfer hochzeiterin andern theil
So beschehen und Verhandelt in dießer Königlichen freÿen Statt Straßburg den 21. Martÿ Anno 1712.
(Répertoire 65 not 12, f° 93-v sqq) Eheberedungen, So nicht unterschriebenen worden
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 134 n° 772)
Anno 1712 den 6. Aprilis seind nach geschehener ordentlicher ausruffung in der Kirch St Thomas ehelich eingesegnet worden H Wilhelm Schmid, der ledige Silberarbeiter von Lübeck, weÿl. H Niclaus Schmiden gewesenen Goldschmid daselbst hinderlaßener ehel. Sohn und Jungfr. Kunigunda weÿl. H Melchioris Sebitzÿ gewes. Med. Doct. und beÿ löbl. Universitæt alhie Prof. Publ. und deß Collegiat Stiffts Zu St. Thomas Canon. hinderlaßene ehel. Tochter (unterzeichnet) Wilhelm Schmidt als hochzeiter, Künigunda Sebiziusin als hochzeiterin (i 136)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports (non conservé)
1712, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 44
Inventarium über Herrn Willhelm Schmiden des Silberarbeiters und frauen Kunigundæ geb. Sebiziusin beeder Eheleuth in die Ehe gebrachte Nahrung
Guillaume Schmidt meurt en 1720 en délaissant deux fils. L’inventaire est dressé dans une maison rue Mercière. L’actif de la succession s’élève à 144 livres, le passif à 1 319 livres.
1720 (2.8.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 10) n° 409
Inventarium über Weÿland Hn Wilhelm Schmiden, gewesten Silberarbeiters und burgers alhier zu Straßburg nunmehro seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1720.
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, nichts davon ausgenommen, so weÿl. Hr Wilhelm Schmid, gewester Silberarbeiter u. burger alhier nunmehro seel. nach seinem am 17.ten Maÿ Jüngsthien genommenen tödlichen hientritt hie Zeitlichen verlaßen, wie solche Verlaßenschafft auf freund fleißiges ansuchen und begehren, Hn Johann Pickhen des Silberarbeiters und burgers alhier als geschwornen Vogts, Willhelmen und Joh. Philipps, beeder Schmiden, so der abgeleibte seel. mit hernach Vermelter seiner hinterbliebenen frau Wittib ehel. erzielt u. ab intestato Zu gleichen portionen u. Antheilen Zu Kinder u. Erben Verlaßen, heut dato ordnungsmäßig inventirt u. ersucht, durch Fr. Kunigundam gebohrne Sebiziusin die hinterbliebene wittib mit hülff und beÿstand Hn Johann Albrecht Eisenmanns, Apotheckers, ihres geschwornen Curatoris (…) So beschehen Straßburg den 2.ten Augusti Anno 1720.
In einer allhier zu Straßburg ane der Krähmergaß gelegenen Lehn behaußung befunden wie folgt
Haußrath. Schrein und höltzenwercks. Cammer A, Cammer B, ober Stub, vor dießem Gemach, im obern Hind.haus, Wohnstub, Officier stub
Haußrath W 28, E & T 64, Leerer Faß, T 13 Werckzeug Zum Silberarbeiter Profession gehörig 30, Schulden in der Wittib unverändert Vermögen Zugeltend 75
Conclusio finalis Inventarÿ, übertreffen die sogenannte Passiv Schulden beede Activ massas so alhier loco der Stall summ dienet umb 669 lb
Schulden, Item Weÿl. Johann Joachim Röcklingers gewesten Kachlers u burgers alhier hinterlaßener Erben soll man vor 5 Jahr hauß Zinns, 64 lb
Ohnvorgreifflich Summarischer Calculus, Summa Hausraths 64, Leere vaß 13, Werckzeug 30, Silber 31, Goldene Ringe 3, Summa 144 lb – Schulden 1319, Abgezogen übertreffen die Theÿlbare Passiv Schulden die gantze sogenannte Theÿlbahre Activ massam um 1175 lb
Copia der Eheberedung (…) unterzeichnet Wilhelm Schmid als Hochzeiter, Künigunda Sebiziusin als Hochzeiterin