24, rue du Vieil Hôpital
Rue du Vieil Hôpital n° 24 – VI 267 (Blondel), O 152 puis section 19 parcelle 57 (cadastre)
Détruite par le bombardement aérien du 11 août 1944
La maison se trouvait à l’emplacement de l’arbre de droite
Le tisserand Georges Müller ne doit aucun cens à la Ville pour les deux marches en pierre qui se trouvent devant sa maison d’après le Livre des communaux (1587). Il cède quelques années plus tard la maison au revendeur Pierre Mey. Le ceinturier Jacques Roth en est propriétaire de 1600 à 1634 puis le peignier Jean Frédéric Reinthaler jusqu’à sa mort. Ses héritiers la cèdent au revendeur Daniel Gütel qui en est propriétaire de 1675 à 1694. La maison appartient au XVII° siècle aux brossiers Jean Philippe Feuchter (1707-1734), Jean Meyer (1734-1784) puis Philippe Jacques Nagel. Elle comprend deux logements d’après les billets d’estimation (1734, 1781). Il est probable que le troisième étage ait été ajouté entre 1781 et 1830.
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 177 (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) indique que la maison a un rez-de-chaussée et trois étages dont le dernier est en pan de bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade est la quatrième à droite du repère (s) : fenêtre et porte d’entrée au rez-de-chaussée, trois étages à deux fenêtres chacun, toiture à un niveau de lucarnes.
La maison porte d’abord le n° 5 (1784-1857) puis le n° 24.
La maison appartient de 1810 à 1839 au cordonnier Jean Lang. Barbe Apffel l’achète en 1841 et meurt l’année suivante après l’avoir léguée à sa nièce qui épouse le tailleur d’habits Corneille Frédéric Ferber, usufruitier jusqu’à sa vente en 1872. Elle n’est pas modifiée par la suite. Le bombardement aérien du 11 août 1944 la détruit entièrement. Le sol est réuni à la voie publique.
avril 2023
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Dossier du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1595 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Georges Müller, tisserand, et (1556) Catherine Kades, d’abord (1545) femme du tisserand Jean Christ, puis (1599) Sara Herrmann – luthériens | ||
1594 | v | Pierre Mey, marchand de fer, et (v. 1594) Barbe Heuer – luthériens |
1600 | adj | Théophile Goll, docteur en droit, et (1589) Eve Glosner – luthériens |
1600 | v | Jacques Roth, ceinturier, et (1599) Barbe Freuder – luthériens |
1634 | v | Jean Frédéric Reinthaler, peignier, et (1629) Susanne Schmierer, (1634) Marguerite Dürrwanger puis (1647) Cléophée Klein – luthériens |
1675* | h | Daniel Hammerer. orfèvre, et (1660) Appolonie Güntzer puis (1672) Marguerite Reinthaler – luthériens |
1675 | v | Daniel Gütel, revendeur, et (1675) Anne Marie Jost d’abord (1674) femme du cordonnier Nicolas Simon, puis (1689) Susanne Fluck – luthériens |
1694 | v | Emanuel Ostertag, ceinturier, et (1693) Marie Salomé Bilger – luthériens |
1706 | v | Jean Mittmann, menuisier, et (1693) Marthe Hirschel – luthériens |
1707 | v | Jean Philippe Feuchter, brossier, et (1701) Susanne Græff – luthériens |
1734 | v | Jean Meyer, brossier, et (1732) Dorothée Luther, d’abord (1731) femme du brossier Jean Jacques Spœttnagel – luthériens |
1786 | h | Philippe Jacques Nagel, brossier, et (1768) Marguerite Salomé Meyer puis (1794) Marguerite Salomé Haas – luthériens |
1805 | v | Samuel Schultz, sellier, et (1800) Christine Dorothée Anderegg |
1810 | v | Henri Lang, cordonnier, et (1804) Catherine Barbe Rieth |
1839 | v | Charles Louis Henri Heylandt, pasteur, et (1808) Sophie Dorothée Starck |
1841 | v | Barbe Appfel, femme de Pierre Rivet puis (1814) de François Joseph Ammerich, employé au grand pont du Rhin, veuf de Catherine Huber |
1842 | h | Corneille Frédéric Ferber, tailleur d’habits et (1843) Elisabeth Apffel |
1872 | h | Corneille Frédéric Ferber, cheminot puis comptable, et (1870) Guillemette Vogt |
1878 | v | Henri Usemann, receveur des postes puis marchand épicier, et (1872) Catherine Lutz |
1900* | v | Charles Hemmerlé, chauffeur, et (1875) Marie Anne Ludwig puis (1897) Louise Reff, d’abord (1881) femme du cheminot Joseph Burger |
1906* | Emile Fischer | |
1910* | Jacques Hirsch, rentier, et copropriétaires | |
1910 | Antoine Stauder, facteur de ville, et (1901) Marie Richert |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 400 livres en 1734, 450 livres en 1781
(1765, Liste Blondel) VI 267, Jean Meÿer
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Meÿer, 2 toises, 1 pied et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 152, Lang, Henri, rue de l’Hôpital 5 – maison, sol – 0,4 are / Apfel Lisette
Locations
1735, Jacques von Zabern, fabricant de boutons argentés
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 53
Le tisserand Georges Müller ne doit aucun cens à la Ville pour les deux marches en pierre (1 pied 9 pouces de long, 1 pied de large) devant sa maison
Spittalgäßlin die Ein Seitten
Georg Müller der Weber hatt vor seinem Hauß 2 steinerin Tritt, Jeder 1 schu 9 Zoll lang, Vndt i schu breÿt, Ist nichts darfür gerechnet, o.
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1660, Préposés au bâtiment (VII 1356)
Geoffroi Stœsser se plaint des mauvaises odeurs et du risque d’incendie dus au peignier Jean Frédéric Reinthaler qui contrevient au règlement puisqu’il a une presse à corne dans sa maison. Jean Frédéric Reinthaler répond qu’il a enlevé la presse en apprenant que Geoffroi Stœsser allait s’en plaindre mais objecte que d’autres peigniers ont aussi chez eux des presses qui font courir de plus grands risques. Les préposés ajournent leur décision.
(f° 127-v) Donnerstags den 29.. dito [Martÿ] – Gottfried Stößer Ca. Hanß Friderich Reinthaler, Horn Preß
H. Gottfried Stößer Ca. Hanß Friderich Reinthaler, klagt d. er wider ordnung eine Horn Preße in seinem hauß halte, welches den benachbarten vnd Ihme theils wegen vblen gestancks, theils aber wegen deß fewrs vnleid: vnd beschwerlich. Reus hette kein Preß mehr da, sondern da er gehört d. sich H Stoße darab beschwere, hette er solche hienweg gethan, wiewohl vbrige Streelmacher gleiche Pressen in Ihren heüßern haben, da daß fewrs halben mehrere gefahr alß bej Ihme. Erk. Bedacht
Description de la maison
- 1734 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un poêle, un vestibule où se trouvent le fourneau et l’évier, au-dessus une chambre et un petit cabinet, sous les combles la chambre à soldats, au rez-de-chaussée un petit poêle, un vestibule où se trouvent le fourneau et l’évier, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 800 florins
- 1781 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un atelier, un petit poêle, deux cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 900 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
3° arrondissement ou Canton sud – Rue de l’hôpital
nouveau N° / ancien N° : 9 / 5
Lang
Rez de chaussée et 2 étages en maçonnerie le 3° étage médiocre en bois
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 25 f° 41 case 4
Apfel Lisette, R. de l’hôpital N° 5
O 152, Maison, sol, Rue de l’hôpital 5
Contenance : 0,40
Revenu total : 45,21 (45 et 0,21)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 11
fenêtres du 3° et au-dessus : 4
Cadastre napoléonien, registre 26 f° 190 case 1
Apfel Lisette, épouse de Faber Frédéric
1880/81 Usemann Heinrich Postschaffner
1900 Hemmerle Karl, Heizer, und Ehefrau Luise geb. Reff in Gütergemeinschaft
O 152, Maison, sol, Rue de l’hôpital 24
Contenance : 0,40
Revenu total : 45,21 (45 et 0,21)
Folio de provenance : (41)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 11
fenêtres du 3° et au-dessus : 4
Cadastre allemand, registre 30 p. 226 case 5
Parcelle, section 19, n° 57 – autrefois O 152
Canton : Altspitalgasse N° 24
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,40
Revenu : 300 – 450
Remarques
(Propriétaire), compte 525
Hemmerle Karl und Ehefrau in Gg
1906 Fischer Emil u. Ehefr.
1910 Hirsch Jakob, Rentner in Strassburg u. Miteigentümer
1911 Stauder Anton u. Ehefrau zu ½
(3941)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton VI, Rue 166 De l’hopital p. 308
5
Pr. Nagel, Ph. Jq. brossetier – Miroir
lo. Bauer, Geofroid – Cordonnier
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Spitalgasse (Seite 165)
(Haus Nr.) 24
Hemmerle, Heizer. E 012
Müller, Klempner. 2
Oberle, Tagner. 3
Martin, Koch. 4
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 232 MW 21)
Rue du Vieil-Hôpital 24 (1884-1944)
Le propriétaire Henri Usemann, receveur des postes puis marchand épicier, habite 9, rue Thiergarten (1884 et 1895, ravalement de la façade). La maison est entièrement détruite par le bombardement aérien du 11 août 1944.
Sommaire
- 1884 – Le maire notifie le receveur des postes Henri Usemann de faire ravaler la façade – Henri Usemann, demeurant 9, rue Thiergarten, déclare avoir fait ravaler la façade en 1879 suite à une injonction, soit moins de dix ans auparavant – Le maire rappelle que les façades doivent toujours être en bon état et accorde un an de délai – Il refuse d’accorder un délai supplémentaire en 1885 – Travaux terminés, novembre 1885
1889 – Le maire notifie le receveur des postes Henri Usemann de faire ravaler la façade – Le propriétaire déclare l’avoir ravalée en 1885 – Comme la façade est encore en assez bon état, le dossier est classé - 1895 – Le maire notifie le marchand épicier Henri Usemann, demeurant 9, rue Thiergarten, de faire ravaler la façade – Travaux terminés, décembre 1895
1897 – Le maire notifie Henri Usemann de faire ravaler la façade – La façade a été repeinte à l’huile, octobre 1897 - 1898 – Le locataire Bentz se plaint de son logement. La Police du Bâtiment constate que l’escalier est en mauvais état, qu’il n’y a pas de porte au cabinet d’aisance sous l’escalier, ni de plaque sous le fourneau et que le plancher de la cuisine demande des réparations – Le maire écrit au propriétaire Usemann qui fait faire les travaux
- 1895 – Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant une trappe dans le corridor – Rappel en 1898. Henri Usemann déclare avoir agrandi la porte de cave. Comme la trappe ne se trouve pas dans un passage, il demande à reporter les travaux jusqu’à ce qu’il ait raccordé les cabinets d’aisance aux canalisations. – Le maire renonce à faire modifier la trappe dont la porte une fois ouverte empêche la chute, 1899.
1900 – Le maire notifie le propriétaire de supprimer les volets de deux soupiraux qui s’ouvrent vers la voie publique – Travaux terminés, septembre 1901 - 1902 – Le maire notifie Charles Hemmerlé de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1902
1906 – Le maire notifie Emile Fischer de faire ravaler la façade – Le maire accorde un délai – Travaux terminés, septembre 1907 - Commission contre les logements insalubres, 1898. Réparer l’escalier, blanchir les cabinets d’aisance, le couloir et la cage d’escalier
Répartitions à faire suite à la plainte du locataire Bentz (voir plus haut)
Les cabinets d’aisance sont raccordés aux canalisations, 1907
1908, 1913, rien à signaler
1915, Commission des logements militaires, remarques en quatre points - 1945. La maison est entièrement détruite par le bombardement aérien du 11 août 1944. Certificat de sinistré accordé à Marie Stauder
Dossier de la Police du Bâtiment (233 MW 2281)
La veuve d’Antoine Stauder déclare le 19 août 1944 que sa maison a été entièrement détruite par le bombardement aérien du 11 août 1944.
Stadt Strassburg, Dienststelle Dv. VI Mi., Aktenzeichen Nr. 29
Akte betr. Totalschaden 11. Aug. 1944, Altspitalgasse 24
W. Stauder Anton
Quartier : Place de la Cathédrale
Stadt Straßburg, Amt für Sofortmassnahmen bei Bomben- und Brandschaden
Ortsgruppe : Vorm Münster
Anwesen : Altspitalgasse Nr 24
Register Nr. 29
Fliegerschaden vom 11.8.1944
Anmeldung von Fliegerschaden an Gebäuden
Der Unterzeichnete meldet hiermit den nachstehenden Fliegerschaden an und bittet um dessen Feststellung
Anwesen : Altspitalgasse Nr. 24
Eigentümer : Witw. Anton Stauder, Hechtenstr. 5
1. Gebäudebeschrieb : Vorderhaus miit Geschäfft
2. Beschädigte Gebäudeteile :
3. Durch welche Kriegeinwirkungen ist der Schaden verursacht worden ? Sprengbomben
4. Art der Schäden : durch Sprengbomben ganz zusammengestürzt
5. Anzahl der vorhandenen Wohnungen usw.
Wohnungen 3, unbewohnbar
Geschäfte 1
Werkstätten –
Garageräume –
Stallungen –
Grund, weshalb unbrauchbar bezw. unbenutzbar – ganz zusammengestürzt
Ich versichere, die obigen Angaben nach bestem Wissen und Gewissen gemacht zu haben. Es ist mir bekannt, dass falsche Angaben bestraft werden.
Strassburg, den 19. 8. 1944
Unterschrift : Witwe Anton Stauder
Dossier du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme
ADBR, cote 424 D 18, dossier NV 617 Z
Le facteur de ville Antoine Stauder et sa femme Marie Richert, mariés à Illkirch-Graffenstaden le 25 octobre 1901, achètent la maison le 25 février 1910. Ils louent suivant contrat du 11 avril 1933 tout le bâtiment (fonds d’épicerie au rez-de-chaussée, habitation aux premier, deuxième et troisième étages, mansardes) pour un loyer annuel de 6 600 francs. Le bâtiment est détruit jusqu’au rez-de-chaussée lors du bombardement aérien du 11 août 1944.
Le délégué du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme autorise le 19 septembre 1950 la veuve Stauder, demeurant à Strasbourg 5, rue Heckler, à transférer ses droits aux indemnités afférents à l’immeuble sinistré sur un appartement situé au quatrième étage à droite de l’immeuble sis à Strasbourg boulevard d’Anvers n° 83. La vente a lieu le 21 mai 1951. Le montant définitif de l’indemnité s’élève à 2 981 303 francs (2 décembre 1955).
- 1945 (21 septembre) – Dossier NV 617 Z, Dossier de destruction.
Propriétaire. Marie Stauder née Richert née le 12 août 1878 à Steinbourg (Bas-Rhin) sans profession demeurant 5, rue Heckler, veuve d’Antoine Stauder, mariée sous le régime de communauté de biens selon contrat du 22 décembre 1925
Mandataire. Antoine Stauder, inspecteur des postes, demeurant 5, rue Heckler
Immeuble sinistré, 24, rue du Vieil-Hôpital (section 19 n° 57) entièrement détruit jusqu’au rez-de-chaussée lors du bombardement aérien le 11 août 1944.
Immeuble d’habitation comprenant un local commercial au rez-de-chaussée, acquis par contrat de vente du 25 février 1910, loué en entier le premier septembre 1939 (fonds d’épicerie au rez-de-chaussée, habitation aux premier, deuxième et troisième étages, mansardes) pour un loyer annuel de 6600 francs, suivant contrat du 11 avril 1933.
Assuré auprès de la compagnie Rhin et Moselle pour 60.000 francs - 1946 – Certificat du Livre foncier. L’immeuble section 19 n° 57, sis rue du Vieil-Hôpital n° 24 contenant 40 centiares, sol et maison, à Strasbourg, feuillet 1279, est inscrit depuis le 15 mars 1911 au nom d’Antoine Stauder, facteur à Strasbourg pour moitié et de Marie Octavie Stauder née Richert pour moitié.
- 1950 (19 septembre) – Dossier NV 11.154. Autorisation de transfert. Le délégué du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme autorise Mme Stauder demeurant à Strasbourg 5, rue Heckler à transférer ses droits aux indemnités afférents à l’immeuble sinistré à Strasbourg 24, rue du Vieil-Hôpital sur un appartement situé au quatrième étage à droite de l’immeuble C 3 sis à Strasbourg boulevard d’Anvers n° 83
- 1955 (2 décembre) – Notification du montant définitif d’une indemnité immobilière, 2.981.303 francs
- 1951 (30 juin) – Tribunal cantonal, service du livre foncier. Numéro du registre de dépôt 1191/51. Le 25 juin 1951, M. Stauder Antoine, sa veuve Marie Octavie née Richert, sans profession à Strasbourg a été inscrite comme propriétaire des immeubles désignés ci-après (…) ayant appartenu jusqu’alors à l’Etat français (M.R.U.). Il existe un règlement de copropriété établi à la date du 19 octobre 1950.
Section 93 n° 140/1. Propriété d’étage, boulevard d’Anvers n° 9., 2 ares 78 centiares, sol, maison comprenant part en indivision forcée de 9 et 9 centièmes pour cent (9,09 %) à la superficie, la cave portant le n° 4 au sous-sol, l’appartement situé à droite au quatrième étage, se composant d’une entrée, trois pièces, cuisine, salle de bains et W.C.,le grenier portant le n° 8 aux combles, désigné dans l’acte de vente du 21 mai 1951
section 93 n° 1, rue de Rotterdam et rue de Bruxelles, 61 ares 26 centiares sol – Feuillet 4549 - 1951 (21 mai) – Convention de vente par devant le préfet, le secrétaire général de la préfecture et le délégué général du Bas-Rhin du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme vendent à la veuve Antoine Stadler née Marie Octavie Richert, bénéficiaire d’une indemnité de reconstruction fixée à 3.0008.013 francs, la copropriété en indivision des immeubles d’Etat dits du boulevard d’Anvers.
Origine de propriété. L’Etat a acquis les terrains sus visés de la Ville de Strasbourg à l’amiable par acte administratif en date du 13 novembre 1948. Il est inscrit au Livre foncier de Strasbourg, feuillet 4389, sous le nom de l’Etat français – Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme. Ils ont fait l’objet du procès verbal d’arpentage n° 2646 du 17 mai 1950. – Prix 3.020.741 francs. Différence entre le montant de l’indemnité de reconstitution et le prix de vente, soit 3.070.741 – 2.291.303 = 39.439 francs payables comptant par l’acquéreuse (enregistré volume 1531 folio 15 n° 173 le 31 mai 1951). - Acte de mariage n° 41. Antoine Stauder, facteur de ville, né le premier octobre 1876 à Wissembourg (Bas-Rhin) demeurant à Illkirch-Graffenstaden, fils d’Antoine Stauder et de Barbe Becht son épouse
et Marie Octavie Richert, cuisinière née le 12 août 1878 à Steinbourg (Bas-Rhin), demeurant à Illkirch-Graffenstaden, fille de Joseph Richert et d’Anne Marie Kieffer son épouse
ont contracté mariage à Illkirch-Graffenstaden le 25 octobre 1901
Pour extrait conforme le 9 mars 1951. - Du 22 décembre 1925. Ehevertrag vor dem unterzeichneten Notar Jacques Hartmann mit dem Amtsitze zu Strasbourg, sind erschienen Herr Antoine Stauder, facteur, und dessen gewerblose von ihm gehörig verständete Ehefrau Marie geborene Richert beisammen in Strasbourg, Altspitalgasse N° 24 wohnend (…)
Relevé d’actes
La maison est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom du tisserand Georges Müller. Originaire de Nuremberg, il épouse en 1556 Catherine Kades, originaire de Rotenurg, veuve du tisserand Jean Christ avec lequel elle s’est mariée en 1545.
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 5)
1545. Eod. die [3. Maÿ] p.clamaui Hans cristin ein weber, Catharina Cristians Cades (-) von Rotenburg. Und [altera die] 10. Maÿ confirmaui [-] (i 7)
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 80-v n° 325)
1556. Dnica 10. post Trinit. Gerg Müller von Nurenberg, Kettrin Cadesin Hans Cristen wittib (i 85)
Georges Müller devient bourgeois par sa femme le 18 août 1556
1556, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104), p. 119
Jerg Müller von Niernberg der weber hat daß burgrecht entpfangen von Katerina Kadessin hanß Chrischman von Rotenburgs witwe seiner eliche haußfraw. vnd dient Zu den duchern Act. 18. Augusti A° & Lvj
Georges Müller demande que le menuisier Jean Doll soit autorisé à lui livrer du bois de 60 pieds de long qu’il conserve devant la porte Sainte-Elisabeth. Les Quinze donnent leur autorisation en se référant à une affaire semblable consignée au folio 100 du registre de l’année précédente.
1582, Protocole des Quinze (2 R 12)
(f° 24-v) Sambstag den X Martÿ – Georg Müller
Georg Müller der weber pringt für, Er bedörffe Zu einem nodtwendigen Baw fünff Lx.schuhige höltz die konne er weder bey seinem holtzherrn da er ander holtz genommen noch sonst so dürr finden, wie es vonnöth. So habe aber hanß Doll Zimmermann ettlich vnd sonderlich solch holtz druß vor dem Elsbetter thor ligen, welchs Ime ohne das hinweg gebotten worden, der wolts Ime vmb ein pillich gelt Zustellen, wafern er von mein herren bewilligung hette derwegen sein vnd.thenig pitt, Ime darunder gn. Zu willfahren vnd ein schein mitt Zutheillen, das hanß doll Ime solch holtz möge Zukauffen geben, mitt *chung & Als aber der h Amr. für meine herren begert, Ist die frag eingestelt bitz darnach.
(f° 26) Georg Müller
Vff Georg Müler obstehend begeren Ist auß ferndig.protocoll gelesen waß Ludwig Führen dem Zimmerman bewilligt fol. 100 vnnd Erkandt Man soll Georg Müller Inn seinen begeren auch willfahren, also d. der groß bawholtz Zoll dauon abgerichtet werde. Bawh.
Georges Müller et Catherine Kades font leur testament. La femme exclut son fils Samuel, issu de son premier mariage avec Jean Christ, qui a disparu depuis dix-huit ans après s’être montré ingrat. Leur fille Marguerite veuve du notaire Pantaléon Botsch et ses trois enfants sont leurs héritiers.
1595 (22.t Novembris), Chancellerie, vol. 301 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 121-v
Testament vnd letste Willen Georg Mullers des Leÿnenwebers vnd Catharinæ Kadessin beder Ehegemechd
Erschienen Georg Müller der Leÿnenweber vnd Catharina Kadessin bede ehegemecht bede sond.lichen aber sie die fraw hohen alters Jedoch nach gelegenheÿt angeregten Jres alters, aber gesunds gehends vnd stehends leÿbs guter verständiger sinn wisses vnd verstands, vnd haben Zuerkennen geben nachdeme sie Catharina von weÿland Hanß Christen Ihrem ehern haußwurt selig. einen sohn Samuel genant erzeügt, der vor achtzehen Jaren verzog. also sie nit wissen ob d. noch Im leben od. nit, sich aber Jed. Zeÿt geg. Inen beden also ohngehorsam erzeÿgt das sie Ine allerdings von Ihrer Verlaßenschafft außzuschließ. genugsame und wolbefuegte Ursach hetten vnd sie bede bey vnd mit einander auch ettliche Kind. erzeigt, deren aber mehr nit davon noch ein eintzige dochter Margaretha weÿland Panthaleon Borschen des Notarÿ seligen hind.laßene Wittib im leben, dieselbe aber von Jetzernantem Ihrem ehelich. haußwürt selig. treÿ Kind. erzeugt so ich In leben vnd Inen beden eheleuth mit* lehrung. als angeregte Ir Tochter angenommen* vnd lieb also das sie lebens nichts seh. noch wunschen mochten
Georges Müller fait après la mort de sa femme un nouveau testament par lequel il ordonne différents legs. Il le révoque en 1610
1599 (7. Februarÿ), Chancellerie, vol. 321 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 16
Testamentum nuncupativum Herrn Georg Mullers Rhatsbewandten
Erschienen H Georg Müller Rhatsbewand. hatt Zue erkennen geben, nachdem er hie** den 22 Novemb. verschinen wehrung.* Zahl 95.st Jahrs neben weÿland Fr. Catharina Cadesin seiner ehelich. haußfr. seligen sein letst. willen auffgerichtet Zeÿdhero dieselb nach dem willen Gottes Zeytlichen welts abgang. mittels allerhand ursachen sich begeben, das er solchen seinen letst willen Zuend. vnd abzuthun, bewegt
[in margine :] Erschienen Hr Georg Müller Zeÿgt an das er auß erheblichen vnd vernunfftig verg*ssig ursachen entschlossen dieses sein Testament gantzlich widerumb Zu cassiren und abzuthun, wie er auch dasseln allerdings Cassire, auffgehoben und verrechnet haben solle, das solches nit mehr gelten sond. sein docht. als die ohne das die nechste ab intestato sein eintzige erben sein soll, Actum Montag den 16. Julÿ Ao 1610.
Le drapier et conseiller Georges Müller se remarie en 1599 avec Sara, fille du vitesseler Adam Hermann
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 115-v n° 333)
1599. T. Adventus 2. Decemb: H. Geörg Müller d. thuch. Rahtherr vnd Sara, Adam Herman des Rahtsbott. alhie Nachgelaßene tocht. Eingesegnet Zinstag 11. Decemb. Im früegebett. (i 118)
Georges Müller assure à sa femme Sara Herrmann avec laquelle il est marié depuis six mois un droit d’habitation dans sa maison
1600 (7. Junÿ), Chancellerie, vol. 327 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 50
H. Georg Müllers deß Rathherrn vnnd Sarae Hermännin seiner haußfrauwen Codicill vnd Wÿdembs verschreibung
Erschienen H. Georg Müller der Rathherr vnnd Sara Hermännin deßelben eheliche haußfrauw beede ehegemechd gesundes gehenden, stehenden Leibs, guter vernunfft vnd verstenndiger Sinn (…)
Als vor einem halben Jahr sie beede durch sonderer schickung deß Allmechtigen sich ehelich. mit einander verheurathet, bedten sie beÿ verglichener Heuraths abred vnd einander sich vorbehalten
Nemblichen so wehre Ihr beeder endtlich Lieber will, beuelch vnd meinung, d. wan nach dem willen deß Allmechtigen Er Herr Georg Müller vber kurtz oder langh vor Ihr Sare seiner haußfrawen die schuld der Natur bezalen würde d. vff solchen fall sie fraw Sara die vndere Stube die Kuchen darahn das webstüblin darneben, den Webkeller vnder gemeldter Stuben, das Kellerlin vnder der Kuchen, die Cammer oben auff neben der grossen Stuben, Ohne dieselbige Stube vnd vor derselbigen Cammer Im Hauß ehren den Platz für die Z* Kensterlin vnd hackstock wie dieselben stehen dann die obere vber nechst gemeldter Cammer darinnen sie ihren haußrhath hat, wie ingleich die halbe Bühn Zu Lagerung nothwendig. beholtzung alle Ir dem vordern Stock seiner ietz bewohnenden behausung, Ihr lebenlangh vnd die Zeÿt über sie Im witwenstandt verpleiben rechts wÿdems weÿse, Innhaben nutzen nießen vnd von sein Georg Müllers erben darinnen ohngehindert gelassen (…)
Johann Saltzmann Rhatschreÿber mpp.
[in margine :] Extractum fecit p. Codicillatrice 3. Martÿ 1603. – L. E. pro dno Georgio extr. fecit 24. Aprilis Aô 1610.
Le tisserand Georges Müller et sa femme Catherine vendent la maison au marchand Pierre Mey et à sa femme Barbe. Une clause stipule que le voisin Gaspard Roth (actuel n° 22) est tenu de ne pas priver de jour la fenêtre qui donne dans sa cour
1594 (xj tag Septembris), Chancellerie, vol. 293 (Registranda Meyger) f° 297
(P. fol. 338.) Erschienen der Ersam Georg Müller der Lynen Weber, Burger Zu St. Vnd Catharinen sein eheliche haußfrouw, Haben (…) Verkaufft
Peter Meÿg dem handelßman, burgern Zu St. Vnd Barbeln seiner ehelich. haußfrauwen, So bede zugeg.
Hauß hoffestatt vnd höfflin, mit Iren gebeuwen & gelegen alhie Inn der St. St. Im Spittell gäßlin, Einseit nebent Erhardt Teüschner dem Guffenmachern Vnd Andersit nebent Caspar Roth dem Gürttler, hinden Josias Mitman vnd Jacob Bur bede Schreyner stoßend, Für ledig vnd eÿg. # (# Als vff bemelts Caspar Rothen Seiten* ein Tagfenster vnd Liecht, Inn diß Jetzverkhoufften höfflin gerichtet, das demselbig Caspar Rothen vor der Zeit Angedingt desselbig Liecht nit Zuverbawen, Sonder Zu Ewigen Zeiten also desselbig Verpleiben Zulaß) vnd alles Rht. & Also d & der Khouff Zugang. vmb 725 guldin Straß werung
Originaire de Francfort, le marchand de fer Pierre Mey devient bourgeois par sa femme Barbe, fille du boulanger Jonas Heuer le 19 septembre 1594.
1594, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 718
Peter Meÿ vonn Franckhfurtt, der Eÿssenkremer, empfahet daß burgerrecht vonn Barbara W Jonæ Heurenn des beckhenn seligenn dochter, vndt will Zul Spiegell dienen Actum denn 19.t Septemb A° 94.
Le marchand Pierre Mey et sa femme Barbe font baptiser un enfant en février 1595 (les mariages du Temple-Neuf manquent de 1591 à 1596)
Baptême, cathédrale (luth. p. 28)
1595. den 13. Februarÿ. P. peter Meÿ der Handelsmann. M. Barbara, I. Peter. Compatres Hans Hugwardt, Johannes Strohecker, Susanna Veltin porteßen tochter (i 30)
Pierre Mey et sa femme Barbe hypothèquent la maison au profit du sachetier Georges Koch et de sa femme Anne
1596 (xv tag Aprilis), Chancellerie, vol. 303 (Registranda Meyger) f° 91
(Inchoat. in Proth. fol: 91.) Erschienen Peter Meÿg. der Handelßmann, burger Zu St. vnd Barbell sein eheliche haußfrauw
Haben bekhandt vndt Inn gegenwertigkeit Jörg Kochen des Secklers, Burgers Zu Straßburg vnd Annen seiner ehel. hausfrauw, seiner ehelich. haußwürthin – schuldig sigent 100 Pfund Pfenning
Zum vnderpfand ÿngesetzt vnd verlegt, Hauß hoffestatt vnd höfflin Mit allen Iren gebeuwen & geleg. Inn der Statt Straßburg Im Spittall gaßlin, einseit nebent Erhardt Trüschner dem Guffenmacher, vnd Andersit nebent Caspar Roth dem gürttler, hinden vff Josias Mitman vnd Jacob Bur bede Schreÿnern stoßend, vnd davon sindt sie noch hafft vnd vnderpfand für ein Schuld 450 guldin Zu zielen Zubezalend Jörg Müller dem Leÿnen Weber, vmb den sie erkhaufft
Accord selon lequel Pierre Mey s’engage à payer 70 florins dus par Georges Müller sur le prix de la maison
1598 (22. Febr:), Chancellerie, vol. 314-II (Imbreviaturæ Contractuum) f° 24-v
Bekandtnüs vnd Versicherung Nôe Geörg Müllers vber 70 fl. Str. w. von Peter Meÿer
Erschienen Peter Meÿ der Krämer vnnd burger alhier
Hatt in gegenwertigkheit Mr Geörg Müllers deß Leinenwebers alhie angezeigt und bekandt
demnach er Ihme Mr Görgen Ein Behausung alhie In Spittalgeßlin neb. Erhardt Dauschen die ein vnd Anderseit neben Caspar Rhoten dem gürttler geleg. In Aô 94. für freÿ ledig vnd eigen vmb 725 fl. Str. W. aberkhaufft
Le revendeur Pierre Mey et sa femme Barbe fille du boulanger Jonas Heiger hypothèquent la maison au profit du négociant Jean Weitz. Le docteur en droit Théophile Goll se porte garant du débiteur
1599 (xv Martÿ), Chancellerie, vol. 323 (Registranda Kugler) f° 81-v
(Inchoat fo: 99.) Erschienen Peter Maÿ der Kremer vnd barbell sein eheliche hußfr. wÿland Jonas heÿger des Brottbecks seligen docht. Mit beÿstand vnd verwilligung Gabriel Suters Brottbecken Irer vettern Haben bekhant
Inn gegensein Herrn Johann Weÿtz gewerbßman burger alhie demselb. vffrecht vnd redlicher schulden schuldig sein 50 pfund pfenning Straßburger
dafür Vnderpfand sein soll huß hoffestatt v. höfflin mit Iren gebeud geleg. Inn der SS Im Spittel geßlin einseyt Erhart Tuscher Guffenmacher andersyt Caspar Roth gürttler stoßend hinden vff hanns Beren dem Schreÿner, Dauon gond Zehen guld geld losig mit 200 guldin Zu fünffzehen batzen Jorg Koch dem Secklern, Mehr dritthalben guldin gelt loßig mit 50 guld. SW h. Jorg Müllers beÿsitzer der herren des grossen Raths sunst ledig eÿg.
Vnd Zu noch mehrer sicherheit Ist erschÿnen der Erenuest hochgelert Herr Theophilus Goll der Rechten Doctor hatt sich für sich & nebst d hauptschuldner unuer .Zum Rechten Bürgen, Mit: v. selbst schuldner ernant
Théophile Goll le jeune devient propriétaire de la maison hypothéquée (voir la vente ci-dessous). Il épouse en 1589 Eve, fille de Philippe Glosner d’Offenbourg
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 100-v, n° 333)
1589. 2. Trinitatis. Theophilus Golius der Rechten doctor und Eva H. Philips Glosners Zu Offenburg nachgelaßene dochter, eingesegnet 23. Junÿ (i 110, proclamation cathédrale p. 160)
Théophile Goll et Eve Glossner meurent successivement en délaissant six enfants. Le veuf était héritier de deux autres morts après leur mère. L’inventaire est dressé en février 1611 dans la maison d’Israel Spach rue des Charpentiers. La masse propre à la femme est de 1 282 livres, celle du mari 845 livres. L’actif de la communauté s’élève à 657 livres, le passif à 2 457 livres.
1611 (13.2.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 14) n° 366
Inventarium über Weÿlandt deß Ehrenvesten hochgelehrten herrenn Theophili Gollen beed. Rechten Doctoris vnd burgers alhie Zu Straßburg seelig Verlaßenschafft auffgerichtet, dabeÿ auch daß Verkhouff vnnd Looßregister Angeregter Verlaßenschafft Zubefind., 1611
Inventarium Aller haab v Nahrung so weÿlandt der ehrenveste vnd hochgelehrt herr Theophilus Goll beed. rechten Doctor, burger Zu Straßburg seelig /.vnd die ehren v tugendreiche Fr. Eua Gloßnerin beder ehe gemechten./ nach seinem tödtlichen hinscheÿd. hind. Ihme Verlaßen, So vff erford. deß ehrenvesten hochgeehrt. H Nicolai Gerbelÿ deß Jüng. burgers Zu Straßburg alß geschwornen vogts Theophili, hanß Conrad, Appolonien, hanß Jacob, hanß fridrich, vnd wolff Reinhardt Aller sechßen geschwisterden obehrengedachter beed. ehegemächd seelig nachgelaßener Kind. v rechte erben, da an der fr. selig. todt Zweÿ Kind, mit Nahmen Elisabeth v hanß Balthasar todes verfahren v abgangen. durch der h. D. seelig der erster nach seiner haußfr. seelig v.storben, geerbt worden, Durch Agneß Volckin die dienerin so langer Zeit beÿ den bed. v.storbenen ehegemächd gedienet, v nach Ihrem Absterben Inn diensten Verpliben, mit beÿstandt der ehren b tugendreichen frawen Anna Dürckin deß herrn selig mutter, v Appolonien gloßnerin der Fr. selig vatters schwester v nechster baaßen (…) Actum und Angefangen Inn beÿsein d. Ehrenuest. hochgelehrten v. fürgeracht. Paulo schilling der recht. Doctoris, deß abgestorbenen seelig schwagers, herr Michaels Beringers Notarÿ b H Georg höfflins bed. beÿsitzer d. herren deß cleinen raths (…) vff Mittwoch d. 13.t Februarÿ 1611.
Inn einer behausung In d. St. St. In d. Bimpernants gaß geleg deß D. Israhel Spach. wittib Zustend. beh.
In d. Cammer A, In d. Cammer B, In d. Cammer C, In d. Cammer D, Vor d. Cammer D, In d. Großen Stuben, In d Stuben In d. Garten sehendt, In d. Stub Cammer, Im Stüblin neben diß. Cammer, In d. Cammer E, Inn d. Obern Kuch. Vor d. Kuch. Vnd. In deù Speiß Cammerlin, Vor dem Speiß Cammerlin, In d. Kuch Im hoff, Im Garten, In deß Hn seel: Studier Stuben, Im Keller, Im Stall – Bibliothec, 40. lb
Ligende Güetter, It: ein halber theil Ane einer behausung sampt Ihren gebäuwen In d. Statt Offenburg geleg. In d. Miltter gaßen (…)
Abzugk dises gegenwärtig Verlaßenschafft Erstlichen d. frawen seelig Vnuer And. Gutt, Ane haußrath 22, Ane Silber geschirr und Geschmeid 21, Ane guldiner Ring und Ketten 163, Pfenningzinß hauptgütter 588, Güter Zinß 100, Anschlag d. gültten 247, Anschlag ligend. gütter 140, Summarum 1282 lb
Deß herrn seeligen Unveränd. gutt, Anschlag haußraths 241, Silber geschirr und Geschmeids 59, Bibliothec 20, Pfenningzinß hauptgütt 525, Summa summarum 845 lb
Theilbar gutt, Anschlag haußraths 30, Silber geschirr und Geschmeid 60, guldiner Ring 36, Baarschafft 13, Bibliothec 20, Schulden sammenthafft 1673 darunder aber Allein so man für gewiß 495, Summarum 657 lb – Schulden 2457 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 354 lb
Deß Eruest vndt Hochgelehrt. Herrn D. Teophilus Goll. selig Soll mein vnderschribenen Vogt Kindern Hanß Niclausen vnndt Susannæ herrn Heinrich Engleß mit seiner ersten haußfrauw seligen ehelich erziehlten Khindern, so Ich Ihme Gollen seeligen In Namen derselben auff Johannis Baptistæ Anno 1609. für gestreckt (…)
Jean Théophile Goll le jeune vend la maison au ceinturier Jacques Roth et à sa femme Barbe Freuder
1600 (4. feb.), Chancellerie, vol. 327 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 5-v
Khauffbrieüe Jacob Rhoten des Gurtlers vber ein Behausung Im Spittal gäßlin gelegen
(Extendirt wie in dem Contractbuch de Anno 1600 folio 138. Zubefinden.) Erschienen herr doctor Theophilus Gollius der Jünger vnnd
hatt in gegenwertigkeyt Jacob Rhoten deß Gürtlers vnd Barbare Freüderin seiner ehelichen haußfr. (verkaufft)
Hauß Hoffstatt vnd höfflin mit Aller Iren gebeuwen begriffen weit. recht. vnd Zugehörden gelegen alhie Inn Straßb. In Spittalgäßlin einseit neben Erhardt Theüßer dem Guffenmacher vnd anderseit neben Max Mecher dem Gürtler hind. vff Josias Mutteman vnd Jacob Bauren bede Schreÿner stoßend allerdings freÿ ledig vnd eÿgen (…) bekhant das der Khauff zugang. vnd beschehen für vnd vmb 375. lb.
Actum Montags den 4. feb. 600 in p.sentia Bernhard Freüders deß Kheüffers Schwager
Le ceinturier Jacques Roth épouse en 1599 Barbe, fille du tuilier Georges Freuder
Mariage, cathédrale (luth. p. 60)
1599. Sonntags den 29. Iuly den 8. Trinitatis. Jacob Rott der gurtler, Barbara Jorg freÿders des Zieglers n g dochter (i 33)
Barbe, veuve de Jacques Roth passe un accord avec l’orfèvre Gabriel Waldeck, tuteur de ses sept enfants
1629 (10. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 464 f° 167-v
Erschienen Fr. Barbara weÿ: Jacob Rothen deß gürtlers burgers s: alhie wittib, mit beÿstand H Ulrich Rettzloben eines Ers. Statghts. p.curatoris ihres Vogts
hatt in gegensein H Gabriel Waldeck. deß goldtarbeiters, auch burg.s Alhie alß Ihr Barbaræ Jüngerer Kindern namens Catharin, Barbara, Caspar, Margreth, Marthan, Susann vndt Ursulæ Vogts bekannt
demnach sie die Mueter, v.mög ihres in Gott ruhend. haußwürths s: vfgericht. Codicills vnd Letzten willens, Alle vnd Jede ihr der Kindern Väterlich Anerstorb. Erbschafft ad dies vitæ Zugenießen hat, welches sich Zwar, v.mög Inventarÿ fol. 60. vff 582. lb 7 ß 10 ½ erstreckht, aber darzu nach die beßerung von hörmann Müllers erkaufften behausung, so thut 62. lb komen Also sichs in allem 644. lb belaufft, daß sie die usufructuaria für solchen wÿdem loco assecurationis verlegt, Erstlich ihren dritentheil An dreÿ Viertetheil, So dan Einen driten theil ihro für vngetheilt gebürend An den in Inventario fol. 49. fac. 2. et fol. 50. specificirten heüsern
Barbe Freuder veuve de Jacques Roth et le tuteur de ses enfants vendent la maison au peignier Jean Frédéric Reinthaler et à sa femme Marguerite
1634 (22. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 380
(Protocollat. fol. 63. fa. 2.) Erschienen weÿ: Jacob Rohten deß Gürtlers see: alhie wittib Barbara Frewderin mit beÿstand ihres vogts hanß Georg Reimbold. Klein Vhrenmachers vnd Gabriel Waldeck, d. goldtarbeiter, alß vogt ermelts Rohten s: Kindern, mit beÿstand H Johann Georg Marbachen vnd H Jonæ Stören Alß vß eines Ehr: grossen Rahts mitel hierzu insond.heit deputirt (verkaufft)
hanß Friderich Rheinthaler dem Streelmacher auch burger alhie vnd Margrethen deß. Ehefr.
hauß hoffstat vnd höfflin, mit allen and. ihren gebäwen & alhie im Spitahl gäßlin, neben Pancratz Kellermann dem Schneid. & neben Marx Locher dem gürtler, hind. vff Samuel Ruppen Schuhmacher stoßend gelegen, so ledig, eÿgen, Vnd were diser Kauff geschehen per 975. fl. a 15. bz.
Fils du peignier Jean Frédéric Reinthaler, Jean Frédéric Reinthaler épouse en 1629 Susanne, fille du menuisier Joseph Schmierer.
Mariage, cathédrale (luth. p. 273)
1629. Dominica 8. Trin: 26. Julÿ. Hans Friderich Rheinthaler der Streelmacher, Friderich Rheinthaler des Streelmachers sohn, und J. Susanna Joseph Schmirers des schreiners tochter, eingesegnet Montag 3. Aug: (i 141)
Jean Frédéric Reinthaler se remarie en 1634 avec Marguerite, fille du boulanger Balthasar Dürrwanger.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 156)
1634. Eadem [Dom. L 16. Feb.] Hanß Friderich Reinthaler der strelmacher v. burg. alhie vnd J. Margaretha Balthasar Dürrwanger deß schwartzbecken vnd burg. alhie eheliche Tochter. Cop. 24. Febr. Zu J. St. Peter (i 80)
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. f° 52) 1634. Item [Dom. Qnq. & Invocavit] Hannß Friderich Rheinthaler, Strälmacher v. burg. alhie und J. Margaretha Balthasars Dürrwangen Schwartzbecken vnd burgers alhie eheliche Tochter cop. dienst. den 25. Febr. Zu J. S. Peter
Jean Frédéric Reinthaler délivre à sa fille Marguerite les biens provenant de sa deuxième femme Marguerite Dürrwanger, morte en délaissant deux enfants dont le plus jeune est mort
1663, Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 2) n° 14
Zuwißen daß auff tödtliches Ableiben weÿl. fr. Margarethæ Dürrwangerin H. Hannß Friderich Rheinthalers Strehlmachers undt Burgers alhie Zu Straßburg Zweÿten haußfr. sel. dero Verlaßenschafft In beÿsein der darzu gehörigen Persohnen ordentlich Inventirt, vndt ein Inventarium darüber auffgerichtet auch nachgehendts weilen ihre mit einander erziehle vndt hinderlaßene Zweÿ Kind. deren daß Jüngste in mittelst Zeitlich vnd todtes verblich. noch Jung und Vnerzog. wahren den 18. 7.bris A° 1647. beÿ E.E. Vogteÿ gericht ein Vertrag Zwisch. gedacht. H. hannß Friderich Rheinthalern vndt seiner Kind. Vogt auffgerichtet und gehöriger Orthen Confirmirt worden Crafft deßen nuhn der Wittiber undt Vatter weg. Jungfr. Margaretha Rheinthalerin seiner dochter Mütterlichen Guths mit gewißer Condition biß zu ihrem Acht Zehende Jahr zu usufruiren gehabt, benantlich 92. lb. Nach dem nuhn ersterwehnte Jfr. Margaretha Rheinthalerin Kurtz verruckter Zeit ihre 18. Jahr erreicht (…)
Ausgefertigt in duplo den 5. 8.bris 1663.
Jean Frédéric Reinthaler se remarie en 1647 avec Cléophée Klein, fille du boucher Charles Klein
Mariage, Temple-Neuf (luth. p. 511)
1647. Domin : 14. Trinitatis. Hannß Friderich Rheinthaler der Strehlmacher Vnd Burger allhier Vnd J: Cleophe, Hanß Carlen Kleinen, Metzigers Vnd Burgers allhie eheliche Tochter. Im Münster Mont. den 27. Sept: (i 260)
Testament par lequel Jean Frédéric Reinthaler, malade, fait des legs à ses enfants, dont Marguerite procréée en premières noces [sic], et à Sabine, Philippe Jacques, Balthasar et Cléophée, nés de sa femme Cléophée Klein
1663 (3.12.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 17) n° 143
Codicill Herrn Hannß Friderich Rheinthalers Strehlmachers vndt Frawen Cleophe Kleinin beed. Ehegemächd vndt Burgern Alhie Zu Straßburg
NB. dieße Letsten Will ist den 22 Augusti A° 1667. Wider Cassirt Word. Wie hierin mit mehrerm Zu ersehen
Persönlich kommen und erschienen Ist, der Ehrengeachte H. Hanß Fridrich Rheinthaler Strehlmacher, vndt beneben Ihme die Ehren: vnd tugendsame Fr. Cleophe Kleinin beede Ehegemächd vndt Burgere Alhie Zu Straßburg, Er H. Codicillator Schwachen Vndt Krancken, Sie Fr. Codicillatrix aber gesunden gehend vndt stehend. Leibs, Jedoch aber beede von verliehung Göttlicher Gnad. gueten reichtigen Verstandt s vndt vernünfftiger Sünnen (…)
Drittens, Verschafft Er Codicillator Margarethæ Rheinthalerin seiner Ältisten in Erster Ehe erziehlt. dochter (…)
Beÿ den Vierdten hat Er Sabinæ Rheinthalerin seiner auß Jetzig. Ehe erzehlt (…) Ingleichem Vnd Zum Fünfften Philipps Jacob Rheinthalern seinem Eltern Söhnlin (…)
Ebenmäßig vndt beÿ dem Sechsten Verschafft Er auch Balthasar Rheinthalern seinem Jüngern Söhnlin (…)
Siebendens prælegirt Er auch Cleophe Rheinthalerin seinem Jüngsten döchterlin (…)
Hievorgeschriebene ding Alle Seindt Zugang. Vndt bescheh. In Straßb. in Einer In der Judengaßen geg. dem Fürstl. Pfaltz Büschweillerisch. Hoff über gelegenen undt herrn Christoph Waltern Frstl. Würtenbergischen Cammer Rath Zu Stuckhardt eigenthümlich zuständig. behaußung dero Mitlern Wohnstuben mit den fenstern in gedachte gaß außsehendt – Donnerstags den 3.ten Xbris A° 1663
Cléophée Klein meurt en 1674 en délaissant un fils, Philippe Jacques Reinthaler. L’inventaire est dressé dans sa maison rue de l’Hôpital. L’actif de la succession s’élève à 432 livres, le passif à 19 livres.
1675 (13.2.), Not. Schatz (Jean Jacques, 50 not 5) n° 329
Inventarium vndt Beschreibung der Jenigen Haab undt Nahrung, so weÿlandt die Ehren: undt tugendsame Fraw Cleophe Kleinin, auch weÿlandt deß Ehren: und vorgeachten Herrn Johann Friderich Rheinthalers, geweßenen Streelmachers v. burgers in Straßb. hinderplibene wittib nunmehr seelige nach Ihrem am 24. Novembris deß Jüngsthin gelegten 1674.gste Jahrs beschehenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, vndt auf ansuchen, erfordern vndt begehren Ihr der Verstorbenen Fraw seeligen nachgelaßenen eintzigen Sohns vndt per Testamentum eingesetzten Erbens Philippß Jacob Rheinthalers geschwornen Vogts, des Ehrenvesten Kunstreichen Herrn Daniel Hammerers, Silberarbeiters v. burgers alhie vorgenommen vndt ersucht (…)
Actum vnd angefangen in fernerer gegenwärtigkeit frawen Annæ Marien Lobsteinin gebohrner Kleinin, Weÿland Herrn Andreæ Lobsteins geweßenen Gastgebers Zum bockh nun seeligen hinderlaßener fraw Wittib als eine von den Substituirten fideisommiss Erben. Sambstags den 13. Februarÿ Anno 1675.
Copia Testamenti nuncupativi
In einer alhie in der Statt Straßburg ane dem Spittalgäßel gelegenen in diße Erbschafft zum theil eÿgenthümblichen gehörigen behaußung befund. wie Volgt
Auff der Bühnen, In der Cammer A, Vor dißer Cammer, In der Cammer B, Vor dißer Cammer, In der Stuben, Im Keller
Eÿgenthumb an einer behaußung. Item d. halbe theil an einer behaußung, hoffstatt und höfflein, sampt allen anderen deßen gebäuwen, rechten, zugehördten v. gerechtigkeiten, gelegen alhie in der Statt Straßburg, im Spittelgäßel, einseith dem Kappenmacher, anderseith neben Valentin Gräffen, den bürstenbinder, hinden vff Matern Moscherosch den Schuhmacher stoßend, welche behaußung freÿ, ledig eÿgen, vndt ist solcher halbe theil hiehero angeschlag. p. 150. lb. d. Darüber besagt i. teutsche Pergament. Kauff Verschreibung mit der Statt Straßburg anhangendem Contract Insiegel verwahrt, datirt den 22. Maÿ A° 1634. mit N° 3 signirt undt ist d. übrige halbetheil solcher behaußung dem Sohn undt Erben und frawen Margaretha Rheinthalerin, herrn Daniel Hammerers Silberarbeiters Ehewürthin seiner einbändigen Schwester Zuständig.
Wÿdemb. Es hatt die endschlaffene fraw seelige, Krafft deßen am 27. Augusti A° 1670 beÿ Einem löblichen Vogteÿgericht getroffenen Vergleichs deß Sohns vndt Erben Vätterliche ererbte Nahrung, gegen deßelben alimentation (…)
Series rubricarum, Haußrath 73, Früchten 11, Silber geschirr v. geschmeidt 21, Guldine Ring 13, Baarschafft 120, Eÿgenthumb ane einer beh. 150, Schulden 43, Summa summarum 432 lb – Schulden 19 lb, Nach deren Abzug 413 lb
Summa finalis 501 lb
La maison revient pour moitié à Marguerite Reinthaler qui épouse en 1672 l’orfèvre Daniel Hammerer. Fils du marchand Sébastien Hammerer, il s’est marié en premières noces avec Appolonie Güntzer en 1660.
Mariage, cathédrale (luth. f° 114-v, n° 12)
1660. den 11.ten Martÿ. Zum 2.mahl Daniel Hammerer Silberarbeiter h Sebastian Hammerers handelßmanns ehel. Sohn, Jfr. Appolonia Adam Güntzers des küfers undt Burgers alhie ehel: Tochter. Dienstags den 20. Mart: Spiegel, Münster hhrstub (i 116)
Mariage, cathédrale (luth. f° 59, n° 52)
1672. Dom: XXIII post Trinit: Zum 2.mahl Daniel Hammerer Silberarbeiter Vndt Burger alhie, Jfr. Margaretha Johann Friderich Rheinthalers * Streelmachers u. Burgers nachgelaß. ehel: T. Donnerstags den 23.t 9.bris Münster
Daniel Hammerer vend au nom de sa femme Marguerite Reinthaler et de son beau-frère Jean Philippe Reinthaler la maison au revendeur Daniel Gütel et à sa femme Anne Marie moyennant 500 livres
1675 (25. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 650-v
Herr Daniel Hammerer der Silber Arbeiter alß Ehevogt Margarethæ Hammererin gebohrner Rheinthalerin und alß Curator hannß Philipp Rheinthalers seines Schwagers
in gegensein Daniel Güetels deß Grempen und Annæ Mariæ beÿder Eheleuth und Sie beÿde Eheleuth mit beÿstand H. Johann Träßers deß Ballenbinders
hauß, hoffstatt höfflin, mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten alhier im Spittal Gäßlein, einseit neben hannß Jacob Kellermann dem Kappenmacher, anderseit neben Veltin Gräffen dem Bürstenbinder, hinden uff Matern Moscherosch den Schuemacher stoßend gelegen – umb 500 pfund
Fille du cordonnier Jean Guillaume Jost, Anne Marie Jost épouse en 1674 le cordonnier Nicolas Simon puis en 1675 le cordonnier Daniel Gütel, fils de Jean Gütel
Mariage, cathédrale (luth. f° 183-v n° 60)
1674. Dom. 22. post Trinit. Zum 2. mahl Niclauß Simon der Schneider Weiland Michael Simons gewesenen Balliers auf der Rheinbrucken nachgelaßener ehel. Sohn, Jfr. Anna Maria Weiland Johann Wilhelm Josten gewesenen Schumachers u. Burgers alhier nachgelaß. T. Donnerstags den 26.ten 9.bris Münster (i 186)
Mariage, cathédrale (luth. f° 4-v, n° 18)
1675. Dom. 1. post Trinit. Zum 2. mahl Daniel Gütel der Schumacher, Johann Gütel Schumachers und Burgers alhie ehel. Sohn, Anna Maria Weiland Niclaus Simon gewesenen Grempen u. Burgers alhie nachgelaß. Wittib. Donnerstags den 17. Junÿ. Münster (i 6)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports, ceux du mari s’élèvent à 102 livres, ceux de la femme à 294 livres.
1675 (21.6.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 9) n° 56
Inventarium undt Beschreibung aller und Jeeder, Haab Nahrung vndt güethere, So der Ehrengeachte Mr Daniel Gütel Schuhmacher, vndt die Ehren und tugendsame Fr. Anna Maria Jostin beede Ehegemächte vndt burgere alhie zu Straßburg alß ein eügen, Vnverändert vndt Vorbehalten guth Zusammen in den Ehestand gebracht haben (…) beschehen in d. Statt Straßburg, Montags d. 21.ten Junÿ A° 1675.
Abzug in dießes Inventarium gehörig. Deß Ehemanns Zugebracht guth, Sa. haußraths 24 Sa. Baarschafft 68, Summa summarum 102 lb
Der Ehefrauen Zugebrachte Nahrung, Sa. haußraths 128, Sa. Silbergeschmeids 14, Sa. guldener Ring 9, Sa. Baarschafft 20, Schuld 18, Summa summarum 192 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 294 lb
Jean Daniel Gütel se remarie en 1689 avec Susanne, fille du charpentier Martin Fluck
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 213-v, n° 3) 1689. Februarius d. 9. Hanß Daniel Gütel Kremb v burger v. Jgfr, Susanna Martin Flucken deß Zimmermanns und burgers hinterl. Tochter (i 215)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari, inscrite pour une somme de 337 livres. Les apports du mari s’élèvent à 497 livres, ceux de la femme à 124 livres.
1689 (6.5.), Not. Reeb (Jean Pierre, 45 Not 2) n° 146
Inventarium über die Jenige beederseits Nahrungen so der Ehrengeachte Meister Daniel Güttel der Grempp und die Ehren undt tugendsame Fraw Susanna Fluckhin beede Eheleuth und burgere allhier zu Straßburg einander für vnverändert in den Ehestandt Zugebracht auffgerichtet Anno 1689. – in Ihrem den 9. Februarÿ Jüngst angetrettenen Ehestand Crafft auffgerichteter Eheberedung für unverändert in den Ehestand Zugebracht (…) Actum in königlicher freÿer Statt Straßburg In fernerem beÿsein deß Ehrengeachten Meister hanß Wilhelm Josten deß tuchmans deß Mans Kinder Erster Ehe vogten vnd meister Hannß Martin Kurtzels deß Zimmermanns der Frawen noch ohnentledigten vogts, Donnerstags den 6. Maÿ 1689.
Inn einer in der Statt Straßburg in der Spithal gaß stehender dem Mann und deßen Kindern Eÿgenthümblich gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
Eÿgenthumb einer Behaußung dem Mann gehörig. Item Hauß hoffstatt vnd hofflein mit allen deren gebeuwen begriffen weithen rechten Zugehörden und gerechtigkeiten allhier in der Statt Straßb. und deren spithal Gaßlein einseit neben (-) dem Nestler anderseit neben denen Kellermannischen Erben, so freÿ ledig und eÿgen und æstimirt wie Sie in weÿland frwen Anna Maria Jostin deß manns Erster haußfrauen seel. Verlaßenschaffts Inventario auch geschehen Jedoch mit vorbehalt wann solche Künfftiger Zeiy verkaufft und ein mehrers darauß Erlost werden würde der darfür erloßende Kauffschilling guth gemacht werden solle, Nämblichen 337 lb 10 ß.
Darüber besagt ein Pergamentene Kauffverschreibung mit der Statt Straßburg anhangendem Contract Insiegel verwahrt und datirt d. 25. 8.bris 1675. signirt mit N° 1. Dabeÿ ferner noch Zween Pergamentene Kauffbrieffe unter der Statt Straßburg Contract Insiegeln verwahrt sub datis 11. 7.bris 1594 und 4. febr. 1600 alle mit N° 1 bezeichnet. Ferner findet sich herbeÿ dreÿ Extractus aiß E. E. Kleinen Raths Memorial
Directorium. Und Erstlichen des Manns für unverändert in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. Wein und vaß 8, Wahren, Schiff und geschirr zum Gremppen werckh gehörig 22, Silber geschirr und Geschmeid 24, Guldene Ring 12, baarschafft 144, Eigenthum einer Behaußung 337, Summa summarum 760 lb – Schuld 12, Nach deren Abzug 747 lb, Theil sein Daniel Güttels des Manns Kinder Erster Ehe Mütterliche Nahrung 250, Nach deren Abzug 497 lb
Hierauff würd nun auch der frauen für unverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 78, Guldene ring 14, baarschafft 11, Schulden 17, Summa summarum 124 lb
Daniel Gütel hypothèque la maison au profit des deux enfants issus de son premier mariage avec Anne Marie Jost. En marge, quittance remise à Emanuel Ostertag
1693 (5.6.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 435
Erschienen Daniel Güthel, der Kremp
hat in gegensein Johann Wilhelm Josten, deß Schuhmachers seines Schwagers, alß Vogts weil. Annæ Mariæ Jostin sein Güthels haußfr. sel. mit demselb. in deßen erster Ehe erzeugter Zweÿ Kinder, angezeigt und bekandt, demnach Er Güthel ged. seiner Kinder Mütterlich gesambtes Guth salva legitima ad dies vitæ Zu genüßen befugt, maßen solches ged. seine haußfr. sel. Ihme solches in dem von H. Joh: Peter Reben Notario auffgerichtet. Codicill §. 2. verschafft, solches sich nach inhalt sein Güttels Inventarÿ der in die Zweÿte Ehe zugebrachte Nahrung fol. 50. b. auff 250 lb belauffet
versichert Auff seine eÿgenthümliche Zween dritte theile ane hauß, hoffstatt und höfflein mit allen deren Gebaüen begriffen, recht. und Zugehördt. allhier in dem Spitahlgäßlein, einseit neben Johann Rauscher dem Nestler and. seit neben den Kellermännisch. Erben hinten auff dei Saurische Erben stoßend gelegen, Zumahl. die übrige tertz denen bedittenen Kind. eÿgenthümlich gehörig
[in margine :] Erschienen hierin gemeldter Johann Wilhelm Jost alß Güthelischer Kinder v. Eh Vogt, hat in gegensein Emanuel Ostertags, deß jüng. Gürttlers, und Mariæ Salome Bilgerin, deß Ehelicher haußfraun, angezeigt und bekandt demnach hierin gemeldter Daniel Güthel verstorben und darauff Er Ostertag vnd seine haußfrau die hierinn ermeldte am Spitalgäßlein gelegene behausung erkaufft
Daniel Gütel et Elisabeth Fluck hypothèquent la maison au profit de Susanne Goll, veuve Gambs, au nom de laquelle son fils Jean Bechtold. En marge, quittance remise à Emanuel Ostertag en 1694.
1693 (5.6.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 435-v
Erschienen Daniel Güthel, der Kremp und Susanna gebohrne Fluckin, und Zwar dieselbe mit beÿstand Martin Flucken, deß Zimmermanns Ihres bruders, und Jacob Stangen deß Krempen Ihres Schwagers
haben in gegensein Fr. Susannæ Gambßin, gebohrner Gollin, mit beÿstand H. Johannis Bechtolds Ihres leiblich. Sohns – schuldig seÿen 75 Pfund
unterpfand, Zween dritte theil ane hauß, höfflein, und. deren hoffstätten allhier im Spitalgäßlein, einseit neben Johann Rauscher dem Nestler, anderseit neben den Kellermännischen Erben, hind. auff die Saurische Erben stoßend gelegen, welche 2/3. haußes deß debitoris Kindern i. Ehe zu vorhin umb 250 lb weg. ihres Mütterlichen. guth verhafftet
[in margine :] Erschienen hierin gemeldter H. Bechtold alß seiner Anzeig nach von hierin benambsten fr. Creditrice seiner leiblichen Mutter mündlich bevollmächtiger, hat in gegensein Emanuel Ostertags des jüngern Gürttlers als jetzmahligen besitzers hierin gemeldten im spitahlgäßlein gelegenen haußes (Quittung), den 6. Decembr. 1694.
Le tuteur des enfants issus des deux mariage de Daniel Gütel vend la maison au ceinturier Emanuel Ostertag et à sa femme Marie Salomé Bilger
1694 (4.Xbr), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 692
hans Wilhelm Jost, der Schuhmacher und hans Martin Küntzel, der Zimmermann alß weÿl. Daniel Güthels, gewesenen Grempen sel. Kinder 1. und 2. Ehe Vögte
hatt in gegensein Emanuel Ostertags deß jungen Gürttlers und Mariæ Salome gebohrner Bilgerin
hauß, hoffstätt, höfflein, mit allen deren Gebaüen, begriffen, weithen, zugehördt. rechten und Gerechtigkeit allhier im Spitalgäßlein, einseit neben H. Johann Jacob Kellermanns deß Kappenmachers sel. wittib und erben, anderseit neben H. Valentin Gräffel dem Bürstenbinder hind. auff weÿl. H Matern Moscherosch gewesenen Schuhmachers sel. Wittib stoßend gelegen, welche behaußung umb 225 lb (und umb 75 lb Capital) verhafftet – umb 115 pfund
Les acquéreurs hypothèquent la même jour la maison à l’aubergiste Jean Jacques Bilger
1694 (4.Xbr), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 693
Emanuel Ostertags der Jüngere Gürttler und Maria Salome gebohrne Bilgerin und Zwar dieselbe mit beÿstand Johann Conrad Besthorn, deß Kieffers Ihres Stieffvatters und H. Carl Baldners deß Goldarbeiters, Ihres Vetters
hatt in gegensein hans Jacob Bilgern, deß würths – schuldig seÿe 200 pfund, daß Sie damit hernach beschriebene behaußung hab. erkauffen und den Kauffschilling bezahl. können
unterpfand, hauß, hoffstätt, p perge auß immed. vorstehend. verschreibung
Fils du ceinturier Emanuel Ostertag l’aîné, Emanuel Ostertag épouse en 1693 Marie Salomé, fille du tonnelier André Bilger : contrat de mariage, célébration
1693 (5.2.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 5892)
Eheberedung – zwischen dem Ehrenhafften Emanuel Ostertagen, dem Jüngern Gürtlern, deß Ehrengeachten herrn Emanuel Ostertags, deß eltern auch gürtlers burgers alhier Zu Straßburg ehelichen Sohns, als hochzeitern an einem
So dann der Ehren: undt tugendsahmen Jungfrauen Mariæ Salome Bilgerin, des Ehrenhafften herrn Andres Bilgers, gewesenen Küeffers auch burgers Zu besagten Straßburg seel. nachgelaßenen eheleibl. tochter, der Jungfrauen hochzeiterin am andern theil
welches beschehen inn Straßburg Sonntags den 15. Februarÿ Anno 1693. [unterzeichnet] Emudel ostertag als hoch zeider, Maria Salome bilgerin als hochzeiterin
Protholollum secundum, 1 AH 6295
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 45-v)
1693. Auff erstbemelten Mittwochs [d. 15. Aprilis] seind ebenmäßig nach Zweÿmahlig Proclamation copulirt worden Emanuel Ostertag deß Gürtlers b. B. alhier v. Fr. Elisabeth geb. von Zürch eheleiblicher Sohn nahmens Emanuel Ostertag led. Gürtler, vnd J. Maria Salome Wld. Andreæ Bilgers deß Kieffers u. B. alhier und Fr. Maria geb. Baldnerin eheliche Tochter [unterzeichnet] Emanuel Ostertag Alß hoch Zeiter, Maria Salome bilgerin als braut (i 46)
Emanuel Ostertag et Marie Salomé Bilger hypothèquent la maison au profit du mineur Abraham Koch
1702 (12.7.br), Chambre des Contrats, vol. 575 f° 380
Emanuel Ostertag gürtler u. Maria Salome geb. Bilgerin
in gegensein Hn Joh: Schmids Actuarÿ beÿ löbl. Schirmgerichts allhier alß vogts Abraham Kochen deß ledigen haußknechts – schuldig seÿen 25 pfund
unterpfand, der debitorum behaußung cum appertinentiis allhier im spithalgäßlein einseit neben Rauscheren nestleren hinten auf Weÿl. Matern Moscheroschs schuemachers wittib stoßend gelegen
Worbeÿ ferners erschienen Maria geb. Baldnerin Joh: Conrad Besthorns Kiefers haußfr: mit beÿstand u. Consens erwehnten ihres mariti, die hat sich wegen obigen Capitals verbürget (…) unterpfand, seÿn solle Dero behaußung allhier ahm Staden einseit neben T. Hn. Ulrich Friden XV.en Secretario anderseit neben der Fischerstub hinten auf besagte stueb stoßend gelegen
Emanuel Ostertag meurt en 1722 en délaissant pour héritiers ses deux sœurs et son frère. L’inventaire est dressé dans une maison louée rue du Maroquin. La masse propre à la veuve est de 958 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 32 livres, le passif à 950 livres
1722 (16.Xbr), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 9) n° 200
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und güethere, so weÿland der Ehrengeachte Meister Emanuel Ostertags, der geweßene Gürtler und burger allhier Zu Straßburg nunmehr seelig, nach seinem den 5.ten Junÿ dießes Zuend lauffenden 1722.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt,, Zeitlichen verlaßen (…) durch sie Ehreen : und tugendsame frau Mariam Salome ostertagin gebohrne bilgerin, die Hinterbliebene Wittib mit beÿstand des Ehren und vorgeachten Herrn Johann Christoph Strintzen, des Kieffers und Weinhändlers auch burgers allhier dero geschwornen Vogts (…) geäugt und gezeigt – So beschehen in Straßburg auf Mittwoch den 16.ten Decembris Anno 1722.
Der abgeleibte seeliger hat Zu seinen Erben ab intestato verlaßen wie volgt. 1.mo Frau Jacobe Schneider gebohrne Ostertagin Weÿland Mr Severin Schneider des geweßenen Spenglers undr burgers allhier hinderlaßene Wittib, so ohnbevögtigt, so sich in Persohn eingefunden, 2.do Frau Annam Barbaram Marquartin, gebohrne Ostertagin, weÿland Meister Johann Georg Marquarts des gewesenen Gürtlers vnd buerg.s allhier hind.lassener Wittib, welche ebenmäßig ohnbevögtigt, dahero sich beÿ dem geschäfft allein eingestelt und dann 3.tio Mr Johann Georg Ostertag, den Gürtler und nunmahligen Patroll gänger und burger allhier, welcher sich beÿ dem geschäfft in selbst eigener Persohn eingefuden, Alßo alle dreÿ des Verstorbenen seeligen eheleibliche Geschwisterde und ab intestato verlaßene Erben
In einer allhier Zu Straßburg ane der Kurbansgaß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung befunden worden, wie volgt
Ergäntzung der Wittib ermanglenden ohnveränderten guths. Nach besag Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuthe vor ohnverändert einander in die Ehe gebrachte Nahrungen durch nun auch wÿland Herrn Christmann Dautel Notm. publ. in Anno 1694. gefertiget
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Wittib ohnverändert Guth, Sa. Schulden 50, Sa. Ergäntzung (909, Angang 1, Nach solchem abzug) 907, Summa summarum 958 lb
Der Erben ohnverändert und das Theilbahr Guth, Sa. haußraths 21, Sa. Werckzeugs und gemachter Wahr Zum Gürtler handwerck gehörig 11, Summa summarum 32. lb – Schulden 982, Passiv onus 950 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 958 lb – Stall Summ 8 lb
Copia der Heuraths verschreibung – zwischen dem Ehrenhafften Emanuel Ostertagen, dem Jüngern Gürtlers, des Ehrengeachten herrn Emanuel Ostertags des ältern gürtlers und burgers alhier Zu Straßburg ehelichem Sohn, als hochzeitern an einem, So dann die Ehren: und tugendsahmen Jungfrawen Mariä Salome Bilgerin Weÿland des Ehrenhafften Herrn Andres Bilgers, gewesenen Küefers auch burgers allhier seeligen nachgelaßenen eheleiblicher tochter der Jungfrauwen hochzeiterin am andern Theil (…) Beschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Sontags den 15. Februarÿ Anno 1693, Johann Kitsch Nots. publ. Juratus
Copia Codicilli reciproci – 1693 (…) Sontag den 3. Monatstag Maÿ Nachmittags Zwischen Ein und Zweÿ Uhren (…) in einer in allhiesiger Vorstatt das Kegeneckerbruch genant gelegenen und Hannß Geörg Löschmeÿern dem Haußfeurern eigenthümlich zuständigen Behaußung Zur Sonnen in der Obern Vorgern Stuben deren fenstern auff der Straßen ansehend persönlich erschienen seind der Ehrengeachte Herr Emanuel Ostertag Gürtler und Frau Maria Salome gebohrne Bilgerin beede Verburgerte Eheleuthe auch dahier, gesunder, gehend: Und stehender Leiber – Christmann Dautel, Not. Reg. jurat.
Emanuel Ostertag vend la maison au menuisier Jean Mittmann moyennant 500 livres
1706 (16.1.), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 40
(500) Emanuel Ostertag jun: Gürtler
in gegensein Joh. Mittmanns Kleinschreiners
Hauß Hoffstatt Höfflein mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. Gerechtigkeiten allhier im Spithalgäßlein einseit neben Kellermännischer wittib u. EE anderseit neben Valentin Gräfen bürstenbinder hinten auf die Moscheroschische wittib stoßend gelegen – um 225 und 200 pfund verhafftet, beschehen um 75 pfund
Fils du menuisier Philippe Mittmann, Jean Mittmann épouse en 1693 Marthe, fille du marchand de poissons Jean Jacques Hirschel
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 37-v, n° 193)
den 5. Aug. A° 1693. sind Von mir (…) nach orrdentlicher proclamation eingesegnet word. Johann Mittmann, der ledige Klein schreiner Philipp Mittmanns, deß burgers v. Kleinschreiners allhie ehl. Sohn, v. Jgfr. Martha Joh: Jacob Hirschels, fischhändlers v. E.E. Groß. Rhats verwanth. alhie ehl. Tochter [unterzeichnet] Johannes Mittmann Alß Hochzeter, Martha Hirschlin als hochzeitero, (i 40)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue du Maroquin. Les apports du mari s’élèvent à 100 livres, ceux de la femme à 144 livres.
1693 (17. 7.br), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 25) n° 827
Inventarium und Beschreibung aller vndt Jeder Haab vndt Nahrung, so der Ehrsam und bescheidene Johannes Widmann, Kleinschreiner vndt die Ehren und Tugendsame Fraw Martha Hirschelin H Johann Jacob Hirschels, Vischers V. E. E. Großen Rhats nunmahligen Wohlmeritirten Beÿsitzers Eheleibliche dochter beede Eheleutt vndt Burgere alhier einander in den ohnlängst mitteinander angetrettenen Ehestand für Unverändert Zugebracht haben (…) Actum in d. Königlichen Freÿen Statt Straßburg in fernerem beÿsein auff seitt sein des Manns Fr. Ursulæ gebohrner Knörin H. Philipp Widmann, Kleinschreiners vndt burgers allhier Ehelichen haußfr. Auf Ihr frawen Martha seitten aber deß Ehrenvest Fürsichtig Vndt Weißen Herrn Johann Jacob Hirschels E. E. Großen raths alhier jetzmaligen wohlmeritirten Beÿsitzers vnd d. Viel Ehren vnd Tugendbegabten Fraw Salome gebohrne Baldnerin beed. Eheleütte v. Burgere alhier Ihr d. fr. geliebt. leiblich. Elttern, Donnerstags d. 17. 7.bris Anno 1693.
In einer der Statt Straßburg in der sogenannten Kurbengaßen gelegenen vndt hiehero nicht gehörigen Behaußung ist befunden worden wie volget
Haußrath L 68, F 102, Silber geschirr und Geschmeid M 4, F 4, Guldenen ringen F 8, Baarschafft M 28, F 28, Summa summarum M 100 lb, F 144 lb
Jean Mittmann vend la maison au brossier Jean Philippe Feuchter et à sa femme Susanne Græff
1707 (14.4.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 279-v
(650) Joh: Mittmann Kleinscheiner
in gegensein Joh: Philipp Feuchters bürstenbinders u. Susannæ geb. Gräfin [unterzeichnet] Johann pillps fichter
Hauß hoffstatt Höfflein mit allen deren & allhier im Spithalgäßlein, einseit neben Joseph Meÿer säckler anderseit neben Joh: Rauscher nestler hinten auf die Moscheroschische EE stoßend – 200 und 200 pfund capitalien und 250 pfund
Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit de Marthe Gross, veuve Græff (leur belle mère et mère respective, voir l’inventaire de 1701)
1707 (14.4.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 280-v
immediate supra stehende Feuchtische eheleuthe [Joh: Philipp Feuchter bürstenbinder u. Susanna geb. Gräfin]
in gegensein Marthæ Gräfin wittib geb. Großin beÿständlich Joh: Heinrich Käuffers schreiners dero Curatoriis, schuldig seÿen 350 pfund zu erkauffung infra versetzten behausung
unterpfand, perge ut immediate supra ibi Hauß usq. ad eÿgen
Fils du tonnelier Hugues Quirin Feuchter, Jean Philippe Feuchter épouse en 1701 Susanne Græff, fille du brossier Sébastien Græff : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire à l’inventaire après décès, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen den Ehrenhafften Johann Philipp Feuchter dem leedigen bürstenbinder weÿl. des Ehrenachtbaren Mrs Hugo Quirini Feuchters gewesenen Kiefers und burgers alhier Zu Straßburg nachgelaßenem eheleibl. Sohn, als dem Bräutigamb ane einem, So dann der Ehrenzüchtig und tugendreichen Jungfr. Susanna Gräffin weÿl. des Ehren Vorgeachten Sebastian Gräffen des geweßenen Bürstenbinders und burgers Zu ermeltem Straßburg seel. hinterbl. eheleibl. dochter als der Jungfer Hochzeiterin am andern theil – Und seind diese ding Zugang in der Königl. Statt Straßburg Dienstags d. 4. des Monats Januarÿ Anno 1701, ausgefertigt abdr d. 20. Aprilis A° 1734. Johann Marbach Notarius publ. jur.
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 113-v n° 557)
1701. Mittw. d. 19. Jan. wurden nach ordentl. außruffung copulirt Johann Philipp Fichter d. led. Bürstenbind. und B. alhier Weil. Hugo Quirini Fichters des geweß. Kieffers v. B. alhier nachgelaß. ehel. Sohn v. J. Susanna weil. Sebastian Gräffen des geweß. Bürstenbinders v. B. allhier nachgelaß. ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Philip fichter Ahls Zeitter Susanna Gäffin alß hochzeitterin (i 113)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue du Vieil hôpital. Les apports du mari s’élèvent à 41 livres, ceux de la femme à 189 livres.
1701 (12.3.), Not. Winckler (Elie, 61 Not 21) n° 5
Inventarium und Beschreibung aller Haab und Nahrung, So der Ersame Meister Johann Philipp Feüchter, Bürstenbinder, und die Ehren und tugendsahme fraw Susanna, gebohrne Graffin beede Eheleuth und burgere zu Straßburg in Ihrem Mittwoch den 12. Monatstag Januarÿ Jüngst angetrettenen Ehestand, Krafft auffgerichteter Heüraths Verschreibung einander für unverändert Zugebracht (…) Actum Straßburg in beÿsein Meister Johann Friderich Gräffen Bürstenbinders der Ehefrawen Bruders und Fr. Martæ Gräffin gebohrner Großin dero Eheleiblichen Mutter, Sambstags den 12. Martÿ Anno 1701.
In einer in der Statt Straßburg ane dem Spithelgäßel gelegenen behausung befunden worden wie folgt
Ehemann, Sa. Kleÿdung und weißen gezeugt, 34, Silbergeschmeid 9, Guldin Rings 2, baarschafft 1, Sa. Werkzeugs Zum Bürstenbinder handwerck gehörig 3
Ehefrau, Silbergeschmeid 7 lb, baarschafft 60, Guldin Rings 7
Des Ehemanns unveränderte Vermögen 41 lb
Der Ehefrau unveränderte Nahrung 189 lb
Jean Philippe Feuchter meurt en 1734 en délaissant des héritiers collatéraux. Les experts estiment la maison à 400 livres. La masse propre à la veuve est de 641 livres, celle propre aux héritiers de 96 livres. L’actif de la communauté s’élève à 277 livres, le passif à 715 livres
1734 (20.4.), Not. Brackenhoffer (Jean, 3 Not 16) n° 291
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen liegend: und fahr., verändert und ohnverändert Haab und Nahrung, Schuld. und gegenschulden, nichts außgenommen, so weÿl. der Ehrenhafft und bescheidene Meister Johann Philipp Feuchter, der gewesene Bürstenbinder und Burger alhier Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 4.t hujus aus dieße Zeit und welt genommenen töd. hintritt hie Zeit. Verlaßen, welche Nahr. Verl. (…) ersucht und inventirt nach dem die hinterbl. wittib frau Susanna Feuchterin geb. Gräffin, beÿständlich H Johann Frid. Gräffen, Bürstenbinders und Burgers hieselbst ihres Bruders (geäugt und gezeigt) – Actum Straßburg Dienstags d. 20.t Aprilis Anno 1734.
Der Verstorbene seel. Hat Vermög seines auffgerichteten und hernach eingetragenen testaments Zu seinen Erben denominirt und 1. Johann Georg Feuchter Gastgeber Zur goldenen sonnen und burger alhier seinen lieben Bruder vor den Ersten, 2. Hugo Quirinum Feuchter den säckler und burger alhier, und Johann Friderich Feuchter den in der frembde sich befindl. Seÿler gesellen vor den Zweÿten undt 3. Johann Samuel Feuchter, Peruquenmacher und burger alhier, Vor den 3.ten Stammtheil, Vor welchen Erben aber H Johann Georg Feuchter seithero verstorben und deßen Erbsratum dannenhero übrig instituirte Erben anheimgefallen, auch solle Johann Friderich Feuchter der Seilergesell gleichfalls nichtmehr beÿ leben seÿn, dannenhero allein Mr Hugo Quirinus Feuchter und Johann Samuel Feuchter zugegen waren
In einer allhier Zu Straßburg im Spitahlgäßlein gelegenen und in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung befund. worden
Eigenthumb ane i. Behauß. (T.) Nemblichen eine Behaußung und hoffstatt mit all übrig. dero begriffen weiten Rechten Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen alh. Zu Straßburg andem Spitahlgäßlein 1. s. neben Carl Sonnmann dem Säckler und Burger alhier, 2. s. neben Johann Adam Schwartz dem Weißbecken hinten auff die Moscheroschische Erben, modo Christian Wolffgang Egulus den Schuhmacher stoßend, davon gibt man jährl. 12 lb d ad 4. p. C° gerechnet Zinß Johann Georg Dürren dem geweßenen Schwartzbecken und burgern alh. ablöß. in Capital mit 300 lb. sonsten vber freÿ leedig und eigen, und vermög scheins Von denen HH. Werckmeister dedato 12. Apr: 1734. æstimirt und angeschlagen Vor und umb 400 lb. Also nach abzug solcher beschwerden hier annoch auszuwerffen 100 lb. Darüb. besagt i. teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhiesuger CC. stub verfertiget und mit deroslben anhangenden größ. Insiegel verwahret datirt den 14.ten April: 1701. des Inhalts welchergestalten der verstorbene seel. und seiner hinterbl. wittib solche von Johann Wittmann d. Kleinschreiner eigenthümbl. an sich erkaufft haben. Ferner j alter pergament. Kauffbrieff, auch aus alh. Cantzleÿ Contract stub gefertiget und mit deroselben angehenckt. Insiegel vers. s.d: 16. Jan. 1706. Und dann noch 1. alter Perg. Kauffbrieff aus ermelter C.C.stub de dato 4. febr. A° 1600.
Ergäntz. der Erben währender Ehe abgegangenen ohnveränderten Guths. Vermög eines über d. verstorbenen seel. und der hinterbl. wittib einander in d. Ehestand Zugebrachte Nahrungen durch weÿl. H. Eliam Winckler Notarium publ. et practicum alhier seel. sub dato den 12.ten Martÿ A° 1701. auffgerichtet
Series rubricarum. Der Wittib ohnveränd. Nahr. Sa. haußraths 17, Sa. der Faß 6 ß, Sa. des Silbergeschirrs und Geschmeids 10, Sa. der Goldenen Ring 2, Sa. der Schulden 40, Sa. der Restireden Ergäntzung 571, Summa summarum 641 lb
Der Erben ohnverändert Nahr. Sa. haußraths 32, Sa. Silbegeschirrs 1 ß, Sa. Goldener Ring 12, Sa. der restirenden Ergäntzung 91, Summa summarum 136 lb – Passivorum 40, Solchemnach restirt annoch 96 lb
Die theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 69, Sa. Faß und bütten 3, Sa. Waaren undŸ Werckzeug 81, Sa. Silbergeschirrs und Geschmeids 8, Sa. baarschafft 14, Sa. Eigenthumb an 1. behausung 100, Summa summarum 277 lb – Summa passivorum 715, Übertreffen also die theilbare Nahrung umb 438 lb
Verstallung Summ 298 lb
Copia der Eheberedung (…) in der Königl. Statt Straßburg Dienstags d. 4. des Monats Januarÿ Anno 1705
Copia auffgerichteten Testamentum nuncupativum reciproci, Vide mein des Not: protocoll. extens. N° 2. fol: 89.
Abschatzung dem 12. Aprill: 1734. Auff begehren weilandt deß achtbahren und bescheitenen Meister Johann Pflip Fichter deß geweßenen Bürstenbinders seel. hinder Laßnen frau wittib und Erben ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg in der spitall gaßen gelegen ein seits Neben Carll sonnen Mann, anderseits Neben Johann Adam schwartz dem weißbecken, hinden auff NN. stoßent welche behausung Stube, haus Ehren worinnen der herdt und waßer Stein, oben darauff Cammer und Nebens Kämmerlein ein Kammer under dem tach soltaten Cammer unden auff den botten ein stübell hauß Ehren worinen der herdt und waßer stein gewölbtes Kellerlein sambt aller gerechtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschworne wërckleuth sich in der besichtigung befundten und Jëtzigem Preÿß nach angeschlagen wirdt Vor und Umb Acht Hundert Gulten Bezeichnuß der Statt Straßburg geschworne werckleuthen [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Registre de vente mobilière
1734 (25.5.), Not. Brackenhoffer (Jean, 3 Not 16) n° 293
Verkauff Register vnd zum theil abtheil. concept über denjenigen Haußrath und übrige fahrende Haab, so weÿl. Mr Johann Philipp Feuchters geweßenen Bürstenbinder und Burger alhier Zu Straßburg nach tod (…) vor der Sterbbehausung im Spittalgäßlein offentl. distrahirt worden, auffgerichtet in A° 1734
Susanne Græff institue pour héritiers ses sœurs et neveux. Le testament est dressé impasse des Trois gâteaux dans la maison qui appartient à la veuve de Georges Christophe Heberlin.
1735 (24.1.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 28) n° 335
Testamentum – persönlich kommen vndt erschienen ist die ehr: vndt tugendbegabte fraw Susanna Feuchterin gebohrne Gräffin, weÿl. H Joh: Philipp Feuchters geweßenen Bürstenbinders vnd burgers alhier Zu Straßburg seel: hinterlassene Wittib, von der gnade gottes aufrecht gesunden gehend vndt stehend. leibß auch darbeÿ guter richtiger Sinnen vnd verstandts (…)
Dießemnach vndt vor das andere, weilen Sie fraw testirerin sich wohl errinnert daß Sie in Anno 1728. den 3. febr. nebst ihrem verstorbenen Ehemann seel: ein testament vor mir notario vndt gezeug bereits auffgerichtet (…) gäntzl. revocirt abgethan vndt widerruff. haben (…)
Endlichen und Zum Sechsten die weilen die institutio hæredum oder die einsetz vnd benennung der Erben eines Jeden du recht beständigen testaments fürnembsten fundament vnd grundvest ist (…) als will die fraw testiererin Zu ihren rechten wahren vndt ohngeweiffelten Erben ihrer Verlaßenschafft (…) hiemit instituirt ernannt vndt eingesetzt haben benantlich vnd Erstlichen fr. Marthan Schadin gebohrne Gräffin, Joh: Schaden des weißgerbers vndt burgers alhier eheliche haußfr. in einen Völligen Vndt wieder die Helffte eines vierdt. Stamm theilß vndt dero dochter Martha Mendelin geb. Schadin, hanß Michel Mändels deß fischers vndt burg. alhier ehefr. in die andere helffte eines vierdt. Stammtheils,
weithers Fr. Mariam Salome Wittmännin gebohrne Gräffin Jacob Wittmanns des Bürstenbinders vnd burgers alhue ehefr. Vor einen völligen viertten Stamm theil
Vnd dann H. Joh: Friderich Gräffen deß Bürstenbinders vndt burgers allhier ihres bruders dreÿ leibliche Söhn, nahmens H Joh: Friderich Gräffen, Cantzelisten in Buchßweiler, H. Joh: Daniel Gräffen, Bedienten beÿ Ihro hochfürstl. durchl. Herrn Hertzogen Von Birckenfeld vndt Zweÿbrücken, vnd dan H Philipp Jacob Gräffen burgern allhier, alle dreÿ ins gesambt ebenfalß in einen viertt. Stammtheil (…)
Beschehen in einer alhier Zu Straßburg ane dem Schiffleuth Staden im Hänffer gäßlein gelegenen Hrn Georg Christoph Heberlin dem Kuttler Eigenthümlich zuständigen behaußung dero stuben Stüblein mit denen fenstern in eim höfflein undt in ein gartlein außsehend (…) Montagß d. 24. Januarÿ Anno 1735. abendtß Zwisch. fünff vndt sechß vhren [unterzeichnet] Susanna fichtren
Autre testament par lequel elle casse le précédent
1736 (26.7.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 28) n° 426
Testamentum – persönlich Kommen vndt Erschienen ist die ehr: vndt tugendbegabte fraw Susanna gebohrne Gräffin, weÿl. H Joh: Philipp Feuchters geweßenen Bürstenbinders vndt burgers alhier Zue Straßburg hinterlassene Wittib, durch die gnade gottes aufrecht gesund. gehend vndt stehenden leibß auch darbeÿ guter richtiger Sinnen vnd vernunfft (…)
wie daß Sie sich errinnere daß Sie in Anno 1735. den 24. Januarÿ ein Testamentum nuncupativum vor mir notario vndt gezeug bereits auffgerichtet (…) gäntzlich cassirt abgethan vndt widerruff. haben (…)
Actum in einer alhier Zu Straßburg ane dem roßmarckh ane der Krebßgaß gelegenen mir Notario eigenthümlich zuständig. behaußung dero untern Stuben mit denen fenstern auff besagt. Roßmarckh und in die Krebßgaß aissehen (…) Donnerstagß den 26. jm&& A° 1736. [unterzeichnet] Susanna fichrin
La veuve et les héritiers testamentaires de Jean Philippe Feuchter vendent la maison au brossier Jean Meyer et à sa femme Dorothée Luther
1734 (19.7.), Chambre des Contrats, vol. 608 n° 273
weÿl. Johann Philipp Feuchter des Bürstenbinders Wittib Susanna geb. Gräffin die ohnbevögtigt zu sein versicherte beÿständlich Johannes Ehrmann des Courtier, ferner ged. Gräffin vermög eines vor H. Not. Johannes Brackenhoffer am 3. feb. 1728 auffgerichteten Testamenti reciproci §° 8. instituirte Erben nahmens Hugo Quirinus Feuchter der Säckler, Johann Samuel Feuchter des Peruquenmachers
in gegensein Johannes Meÿer des Bürstenbinders und Dorotheæ geb. Lutherin
fünff 6.te theil für ohnvertheilt ahne einer behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, zugehörden und gerechtigkeiten ahne dem Spithal: gäßlein, einseit neben Carl Sonnenmann dem Säckler anderseit neben Johann Adam Schwartz dem weißbecken hinten auff die Moscheroschische Erben modo Wolffgang Christian Egelus schuemacher – der wittib zu einer, Johann Samuel Feuchter zur zweÿten tertz, Hugo Quirinus Feuchter zu einem 6.t theil und deßen verschollenen bruder Johann Friedrich Feuchter dem seÿler auch zu einem 6.t theil – auff den fueß von 600 pfund
[in margine :] Hugo Quirinus Feuchter der Säckler als hæres universalis præsumptus ab intestato seines verschollenen bruders Johann Friedrich Feuchter ledigen Seÿlers den er krafft von E.E. Kleinen Rath am 16. sept. jüngst ertheilter Erkanntnus ausgebürgt – auch hierbeÿ erschienet Susanna Feuchterin geb. Gräffin der wittib als usufructuaria jetzt verkaufften 6.t theil haben in gegensein Johannes Meÿer (verkaufft) Einen 6.t theil für ohnvertheilt ahne hergegen beschriebenen im Spithalgäßlein liegender behausung und zugehörden um 50 pfund – den 1. Octobris 1734
Fille du brossier Jean Georges Luther, Catherine Dorothée Luther épouse en 1731 le brossier Jean Jacques Spœttnagel, veuf : contrat de mariage, célébration
1731 (16.5.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 75) n° 692
Eheberedung – Zwischen dem Ehrengeachten Mr Johann Jacob Spöttnagel, Bürstenbinder und burgern alhier als bräutigamb ane einem
So dann der Ehren und tugendreichen Jfr. Catharinæ Dorotheæ, des auch Ehrengeachten Mr Joh: Georg Luthers, Bürstenbinders und burgers alhier dochter als der Hochzeiterin andern theil
So beschehen in Straßb. d. 16.ten Maÿ A° 1731 [unterzeichnet] Johan Jacob spöttnagel hoch Zeiter, Catharina dorodea lutherin als hochzeitterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 94-v n° 346)
1731. Mittw d. 22. Aug. sind nach Geschehener 2.maliger Proclamation ehelich Copulirt v eingesegnet word. Joh: Jacob spöttnagel der bürstenbinder b. v. wittiber allhier v. Jgfr. Cathar. Dorothea, Joh: Geörg Luthers b.v . bürstenbinders ehm. Tochter [Unterzeichnet] Johann Jacob spöttnagel als hoch Zeter, cattrina dortea lutterein als hochzeiterin (i 99)
Jean Jacques Spœttnagel meurt en 1732 en délaissant pour héritier son père Martin Spœttnagel, boucher à Colmar. L’inventaire est dressé dans une maison rue du Vieil-hôpital. L’actif de la succession s’élève à 221 livres, le passif à 208 livres
1732 (5.5.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 38) n° 1158
Inventarium über Weÿl. des Ehrengeachten Meister Johann Jacob Spöttnagels gewesten Birstenbinders und Burgers alhier Zu Straßburg nunmehro seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1732. – nach seinem am 4.ten Febr. jüngsthin genommenen tödlichen hintritt ohne Verlaßung Kinder und leibes Erben hie Zeitlichen verlaßen, wie solche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehrengeachten Mstr. Martin Spöttnagels, Metzgers und burgers Zu Collmar des Verstorbenen seel. leibl. Vatters und diß orths einigen Erben, und weillen dießer frembd und ohnverburgert als ist beÿ Einem Ehrsamen Kleinen Raths allhier in deßen nahmen unterthänig erbetten und gnädig deputirt worden der Ehrenvest Fürsichtig und weiße herr Lucas Schaaff E.E. Kl. Raths jetzmahliger beÿsitzer, so dem geschäfft in Persohn abgewarttet, heut dato ordnungsmäßig inventirt und ersucht durch die Ehren und tugendsahme frau Catharinam Dorotheam Spöttnagelin gebohrne Lutteri, die hinterbliebene Wittib, mit hülff und beÿstand H Johann Gottfried Cossac des Säcklers und burgers alhier, ihres geordnet und geschworenen Curatoris, So dann ferner mit assistentz S. T. H. Johann Jacob Kößlers Practici (…) So beschehen Straßburg den 5.ten Maÿ Anno 1732.
Copia der Eheberedung – Bericht in gegenwärtig Inventarium gehörig
In einer allhier Zu Straßburg ane der Spithalgaß gelegenen nicht hieher gehörigen behaußung und dero inhabenden Lehengemächern folgender maßen befunden
Haußrath, Höltzen und Schreinwerck. In der obern fordern Cammer, In der Soldaten Cammer, Im obern Stübel, In der Wohnstub, Im obern Haußehren
Sa. haußraths 154 (W 4, T 149), Wahren und Werckzeug Zum Bürstenbinder handwerck gehörig, T. 56, Sa. Silbers 22 (W 7, T 18), Sa. Goldener Ringe, W 6, baarschafft, Schulden T 20, Summa summarum 221 lb – Schulden 208 lb, Nach deren Abzug 13 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 194 lb
Catherine Dorothée Luther se remarie en 1732 avec le brossier Jean Meyer, originaire de Colmar : contrat de mariage, célébration
1732, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 12) n° 739
Eheberedung – Johann Meÿer, ledigen bürstenbinders
und Frauen Catharinä Dorotheä Spettnagelin gebohrner Lutherin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 108 n° 399)
1732 Eod. [Mittw. d. 22. 8.br] sind nach Geschehener 2.maliger Proclamation ehelich Copulirt v eingesegnet word. Joh: Meÿer der Ledige bürstenbinder von Colmar, Elias Meÿers b. v. Wullenfärbers daselbst ehl. Sohn v. Fr. Cathar. Dorotheä weÿl. Joh: Jacob spöttnagels geweß. v. b. bürstenbinders nachgel. wittib [unterzeichnet] Johannes Meÿer als hochzeiter, cattrina dortea spöttnagel als hochzeiterin (i 112)
Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la veuve de Jean Jacques Spœttnagel à se remarier avant la fin de son deuil avec le brossier Jean Meyer, comme il ne reste que six semaines sur les dix mois prescrits. La pétitionnaire doit verser deux livres à la caisse de l’Aumône.
1732 Conseillers et XXI (1 R 215)
Cath. Dorothea Spöttnagelin erhalt Dispensation in der Zeit der Trauer. 337.
(p. 337) Sambstag d. 11.ten 8.bris – Lt. Mosseder Nomine gegenwärtiger Frawen Catharinæ Dorotheæ Weÿland Johann Jacob Spöttnagels gewesenen burgers und Bürstenbinders hinterlaßene Wittiben mit beÿstand ihres vogts Johann Gottfried Kosacks des Secklers producirt unterthäniges Memoriale und Bitten mit Beÿlagen Sub Litis. A et B umb gnädige Dispensation in der Zeit der trauer handelt innhalts. Ist bekandt, Wird der Implorantin in Ansehung deroselben Zur Zeit der Vorhabenden Copulation an den durch die ordnung gesetzte Tempore luctus der Zehn monath nur noch sechs wochen fehlen Werden, folglichen keine Confusio Sanguinis Zu beförchten ist, sich an Johann Meÿer den ledigen Bürstenbinder Von Colmar gebürtig Zu Verheürathen Obrigkeitlioch Erlaubt und ihro die dazu nöthige Dispensation, gegen erlag Zweÿ pfund pfenning in das gemeine Allmoßen, Willfahrt. Deputati H. Rth. Lichtel und H. Rth. Dietrich.
Jean Meyer fait dresser l’état de sa fortune (pour devenir bourgeois). Il présente 250 livres en argent comptant
1732 (15. 7.br), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 68) Designationes
Zuwißen seÿe hiermit daß auff heut dato Zu End gemelt Vor mir unterschriebenem offenbahren und geschwornem Notario persönlich kommen und erschienen der Ehrsame Johannes Meÿer Bürstenbinder Von Collmar gebürtig, so verlobt an Fr. Catharinam Dorotheam Spettnagelin gebohrner Lutterin weÿl. Meister Johann Jacob Spettnagels geweßenen Bürstenbinder und burgers alhier seel. nachgelaßener wittib hat mir vorgewießen und baar vorgesetzt in Gangbahren Gold: und silbernen Sorten die Summ von 250 Pfund pfenning Straßburger (…) Straßburg den 15.ten Septembris Anno 1732.
Jean Meyer devient bourgeois par sa femme le 22 novembre 1732
1732, 4° Livre de bourgeoisie p. 991
Johannes Meÿer d. birsten binder von Colmar geb. erhalt d. b. von seiner ehefr. Catharina Dorothea weÿl. Johann Jacob Spetnagels Hint. Wtb. vmb den alt. bs. will beÿ E E Zunft Zum spiegel dienen Jur. d. 22.t 9.b. 1732
Jean Meyer, sachetier et huissier de la tribu des Fribourgeois, loue la maison à Jean Jacques von Zabern, fabricant de boutons argentés
1735 (14.11.), Chambre des Contrats, vol. 609 f° 732
Johannes Meÿer der Säckler und Büttel beÿ E.E. Zunfft der Freÿburger
in gegensein Johann Jacob von Zabern des versilbert Knopff und Pferdzeugmachers mit beÿstand ihres Schwähers Johann Friedrich Schweighäußer des Rheinzollers
entlehnt, Eine dem verlehner eigenthümlich zuständige im Spitalgäßlein einseit neben dem verlehner anderseit neben Johann Baldner dem Gürttler gelegene Behausung nichts davon ausgenommen – auff 6 nacheinander folgenden jahren von nächstkommenden weÿhnachten angefangen – dafern aber des verlehners sohn Johann Meÿer lediger säckler vor endigung dießer 6 jährigen lehnung sich selbsten allhier setzen und verlehntes hauß besitzen solle (…) – um einen jährlichen Zinß nemlich 60 pfund
Jean Meyer et Dorothée Luther hypothèquent la maison au profit du cordonnier Daniel Heiligenmeyer
1736 (15.11.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 889
Johann Meÿer der Bürstenbinder und Dorothea geb. Lutherin mit beÿstand ihres vatters Johann Georg Luther und ihres bruders Johann Georg Luther Junioris beeder Bürstenbinder
in gegensein Daniel Heilgenmeÿer des schuhmachers und Susannæ geb. Bruderin – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, Eine Behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten am Spithal: gäßlein einseit neben Carl Sonnenmann dem Säckler anderseit neben Johann Adam Schwartz den weißbecken hinten auff Wolffgang Christian Egelus dem schuemacher – als ein am 19. Julÿ und 1. Octobris 1734 erkaufftes guth
Jean Meyer et Dorothée Luther hypothèquent la maison au profit de la succession Moscherosch
1769 (16.3.), Chambre des Contrats, vol. 643 f° 173
Johann Meÿer der bürstenbinder und Catharina Dorothea geb. Lutherin mit beÿstand Johann Daniel Haaß des kammachers und Philipp Jacob Nagel des bürstenbinders
in gegensein Johann Stephan Geÿler des kieffers als executor Moscheroschischen testamenti der Gottesheimischen kinder antheil nemlich Fr. Margaretha Magdalena Meÿerin geb. von Gottesheim, Jfr. Catharina Salome von Gottesheim weÿl. Fr. Elisabetha geb. von Gottesheim mit N.N. Ehrmann dem perruckenmacher erziehlten 2 kinder Catharina Elisabetha und Maria Magdalena und dann Anna Salome geb. von Gottesheim N. Schneiders des Informatoris ehefrau – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane dem Spithalgäßlein, einseit neben David Datt dem säckler, anderseit neben Johann Koringer dem dreher, hinten auff N. Lang dem schumacher
Jean Meyer et Dorothée Luther hypothèquent la maison au profit du sachetier Georges Daniel Redslob
1780 (26.6.), Chambre des Contrats, vol. 654 n° 255-v
Johannes Meÿer der bürstenbinder und Dorothea geb. Leutherin unter assistentz Gottfried Meÿer des bürstenbinders ihres leiblichen sohns und Andreas Wagner des g.u.w.
in gegensein H. Georg Daniel Redslob des säckler meisters – schuldig seÿen, 100 gulden
unterpfand, ihre eigenthümlich zuständige behausung ane dem Spithalgäßlein, einseit neben Jacob Mathis dem obstkrämpen, an° Mr Gorringer dem dreher hinten auff N. Lang den schuhmacher
Jean Meyer meurt en 1781 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison à 450 livres. La masse propre à la veuve est de 550 livres. L’actif des héritiers et de de la communauté s’élève à 559 livres, le passif à 817 livres
1781 (9.5.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 424) n° 1447
Inventarium über Weÿland des Ehren und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Meÿers, des geweßenen Bürstenbinders und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1781.
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so Weÿland der Ehren und Wohlvorachtbahre Herr Johann Meÿer, der geweßene bürstenbinder und burger allhier Zu Straßburg nunmehr seeliger, nachdeme derselbe Sontags den 11. Martÿ dießes Laufenden 1781. dießes zeitliche mit dem Ewigen Verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen hinter sich verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Viel Ehren: und tugendsahmen Frauen Catharinä Dorotheæ Meÿerin gebohrner Lutherin, der hinterbliebenen Wittib mit assistentz des Ehren: und Wohlvorachtbahren herrn Johann Abraham Thalwitzers des Bürstenbinders und Burgers allhier Ihres erbettenen beÿstands, wie auch des Abgelebten seeligen mit besagter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlter Sohns und Töchtere als deßelben ab intestato nachgelaßener Rechtmäßiger Erben auch respectivé dero Ehevogts und erbettenen beÿstands (…) So beschehen in Straßburg auf Mittwoch den 29. Maji Anno 1781.
Der Seelig Verstorbene hat Zu seinen Erben ab intestato Verlaßen, wie folgt. 1.mo Frrau Annam Margaretham Haaßin gebohrene Meÿerin, Weÿland Herrn Johann Daniel Haaß des gewesenen Kammachers und burgers allhier nunmehr seeligen hinderlaßene Wittib, welche mit assistentz Herrn Jacob Schuler des Rothgerbers und Lederhändlers, auch burgers allhier, Ihres erbettenen beÿsitzers in Persohn dießem geschäfft beÿgewohnt, 2.do Frau Mariam Salome Nagelin gebohrene Meÿerin Herrn Philipp Jacob Nagel des Bürstenbinders und burgers allhier geschiedene Ehefrau, welche sich in Person beÿ dießem geschäfft eingefunden und vorgedachten Herrn Jacob Schuler den Rothgerber und Lederhändler auch burgern allhier Zu Ihrem beÿstand erbetten. 3.tio Frau Mariam Dorotheam Wagnerin gebohrene Meÿerin Herrn Andreä Wagner des Gartenmanns und Burgers allhier Ehefrau, Welche mit beÿhülff gedachten Ihres Ehevogts in Persohn Zugegen ware, So dann 4.to Herrn Johann Gottfried Meÿer, den Bürstenbinders und burgern allhier, welcher in selbst eigener Persohn dießem Geschäfft abwartete. Alßo alle vier des seelig verstorbenen mit Eingangs gedachter Frauen Catharina Dorothea Meÿerin gebohrner Lutherin seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlte Sohn und Töchtere und ab intestato Zu Vier gleichen portionen und Stammtheilen Verlaßene Rechtmäßige Erben.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Spithalgäßlein Liegenden in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hierunden eingetragenen behaußung befunden Worden wie folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung (E.) Nemlichen eine behaußung und hoffstatt, mit allen deroselben gebäuen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen alljier Zu Straßburg ane dem Spithalgäßlein einseit neben Matthiß, dem Fastenspeishändler, anderseit neben weÿl. Joh: Koringer des hohldrähers Wittib und Erben, hinden auf Irrmann den Schumacher stoßend, so vor freÿ Ledig und eigen durch (die Werckmeistere) vermög überschickter Schrifftlicher Abschatzung Vom 10.ten Maji 1781. angeschlagen vor 450. Darüber ist vorhanden ein Teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub auffgerichtet und mit dero anhangendem Insiegel corroboriret über erkauffte Fünff Sechstetheil an solcher behaußung besagend de dato 19. Julÿ Anno 1734. deme annectirt die Kauffverschreibung über den erkaufften übrigen einen Sechstentheil derselben d dato 1. 8.bris ejusdem Anni
Ergäntzung der Wittib abgegangenen ohnveränderte, Guths, Vermög Inventarÿ über beeder geweßenen Eheleuth einander für ohnverändert in den Ehestand Zusammengebrachte Nahrungen durch weÿland Herrn Notarium Christoph Michael Hoffmann seeligen in Anno 1733. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
Der Wittib ohnverändert Vermögen, Schuld 25, Erg. 525, Summa summarum 550 lb
Dießemnach wird nun auch der Erben ohnverändert und theilbare Nahrung, Weilen Keine Errungenschaft ausfält unter einer Massa beschrieben, Sa. haußraths 41 Sa. Werckzeugs Zum Bürstenbinder handwerck gehörig 52, Sa. Silbers 19 ß, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 450, Sa. Schulden 14, Summa summarum 559 lb – Schulden 817 lb, In Vergleichung 258 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 550 lb – Stall Summ 292 lb
Copia der Eheberedung (…)
Abschatzung Vom 10.ten Maÿ 1781. Auf begeren Weÿland Herr johanes Meÿer dem gewesenen birstenbinder ist Eine behausung alhir in der statt strasburg in der spital gas gelegen, Ein seÿts neben Weÿland Johanes Kohringer dem gewehsenen Dreher Meister, anderer seÿts neben Herr Mathis dem fasten speishändler und Hinten auf den ulmergraben stosend gelegen, solche behausung bestehet in Einer Werckstatt, ferner in Einer stube zweÿ Kuchen und Etlichen Kammeren darüber ist der dachstuhl mit breitziegel belegt hat auch Ein gewöbten Keller. Von uns unterschriebenen der statt strasburg geschworenen Werckmeister und Vorher gewesener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und um Neun Hundert gulden [unterzeichnet] Hueber W Mster, Götz Wmstr. Kaltner WMstr.
Les héritiers exposent la maison aux enchères. La cohéritière Marie Salomé Meyer, femme du brossier Philippe Jacques Nagel est la dernière enchérisseuse.
1785 (27.12.), Not. Lederlin (6 E 41, 913) n° 78 (Chambre des Contrats, vol. 660 f° 333-v)
Frau Maria Margaretha Haaßin geb. Meÿerin weil. Johann Daniel Haaß geweßenen Kammachers wittib beÿständlich Johann Gottfried Meÿers ihres bruders hernach gemeldt, ferner Frau Maria Salome geb. Meÿerin Philipp Jacob Nagels des Bürstenbinders, So dann Johann Gottfried Meÿer der bürstenbinder samtliche als übernehmern Weÿl. Johannes Meÿers geweßenen bürstenbinders ihres Vatters seel. Vermögens Nachlassenschafft, daß die gesonnen seÿen der in ihres Vatters Verlassenschafft gehörigen behaußung durch eine freiwillige offene Versteigerung feil zu bieten
ihre in deren Vätterlichen Verlassenschafft gehörige behausung gelegen ane dem Spithalgäßlein einseit neben H. Matthis dem Fastenspeishändler anderseit neben H Köhringers des drehers wittib und erben, hinten auff verschiedene nachbars häußern, ausgerufen worden pro 1100 fl.
1110 fl. hr Dahlwitzer [unterzeichnet] Johann Abraham Thalwitzer)
den 16. Januarÿ, 1220 fl. Fr. Nagelin
Marguerite Meyer veuve du peignier Jean Daniel Haas vend deux tiers de la maison à sa sœur Marguerite Salomé, femme de Philippe Jacques Nagel, qui devient seule propriétaire
1786 (1.9.), Chambre des Contrats, vol. 660 f° 333-v
Fr. Maria Margaretha Haaßin geb. Meÿerin weÿl. Johann Daniel Haaß des kammachers wittib beÿständlich Johann Gottfried Meÿer des birstenbinders ihres bruders
ihrer schwester Fr. Margarethæ Salome Nagelin geb. Meÿerin Philipp Jacob Nagel des birstenbinders ehefrau
zweÿ dritte theil vor unvertheilt von und ane einer behausung und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Spithalgäßlein, einseit neben Jacob Mathis dem obskrempen, anderseit neben Mr Kohringer des drehers wittib und erben, hinten auff Mr Lang des schuhmachers wittib und erben – woran der übrige zweite theil der cessionaria als mitübernehmerin ihres vatters weÿl. Johannes Meÿer verlassenschafft – die gantze gerechnet um 1220 gulden, die zweÿ dritte theil um 813 gulden
Philippe Jacques Nagel et Marguerite Salomé Meyer hypothèquent la maison au profit de Marie Madeleine Meyer veuve Haas
1786 (18.9.), Chambre des Contrats, vol. 660 f° 349
Philipp Jacob Nagel dem birstenbinder und Margaretha Salome geb. Meÿerin unter assistentz Johann Gottfried Bader des schuhmachers und Christoph Schöning des birstenbinders
Fr. Maria Magdalena Haßin geb. Meÿerin ihrer schwester respective schwagerin, 100 gu
unterpfand, die der Ehefrau als ein unverändertes guth eigenthümlich zuständige behausung samt zugehörden ane dem Spithalgäßlein, einseit neben Jacob Mathes dem obskrempen, anderseit neben der Kohringische wittib, hinten auff die Langische wittib und erben
Les Quinze accordent une dispense à Philippe Jacques Nagel pour qu’il puisse présenter son chef d’œuvre avant d’avoir terminé ses années d’épreuve. Le pétitionnaire déclare que sa mère est morte depuis sa première demande, ce qui l’oblige à s’établir. Les Quinze délivrent une expédition de leur jugement.
1768, Protocole des Quinze (2 R 179)
(p. 402) Sambstags den 20. Augusti 1768 – Philipp Jacob Nagel Ca. Bürstenbinder
Claus nôe Philipp Jacob Nagel des ledigen Bürstenbinders von hier gebürtig Ca. E. E. Meisterschafft der Bürstenbinder Obermeister prod. untherth Memoriale und bitten samt beÿl. Lit. A puncto dispensationis von der übrigen muthzeit und bitt Deput. Froereisen bit Cop. et T. O. obt.
(p. 425) Sambstags den 3. Septembris 1768 – Nagel Ca. Bürstenbinder
Claus Sen. nôe Phil. Jacob Nagel in aîs Ca. E. E. Meisterschafft der Bürstenbinder Ober Mr auch in aîs erhalt productum vom 20. Aug. jüngst und bitt Deput. Froereisen prod. unterhth. Excetiones juncto petito und bitt similiter Deputationem. Erkandt, Deputatio.
(p. 434) Sambstags den 10. Septembris 1768 – Nagel Ca. Bürstenbinder
Iidem [Obere Handwercks Hh,] laßen per Eundem [H Secretarium Stædel] referiren, es habe Philipp Jacob Nagel der ledige Bürstenbinder Ca. E. E. Meisterschafft der Bürstenbinder Obermr. d. 20. Aug. jüngst ein untherth Memoriale samt beÿl. sub Lit. A übergeben juncto petito Zu erkennen, daß er von der übrigen Muthzeit zu dispensiren und Zum Meisterstück Zulaßen seÿe.
d. 3. huj. habe Imploratische Meisterschafft gebetten in Exceptionibus gegnerischen Imploranten mit seinem widerrecht. begehren ref exp. ab: und an die ordnung zu verweißen.
Auf geschehene Weißung habe der Implorant præsens seinem Memoriale annoch beÿgesetzt, daß während dem, daß dieße sache beÿ Mghh. anhängig, seine Mutter verstorben und er dadurch einiger maßen in die nothwedigkeit gesetzet worden, seine eigene hauß haltung anzufangen, überdas wäre er anjetzo mit seinem bisherigen Meister und respectivé Schwiegervatter völlig ausgesöhnet, und seÿe es demselben eben so viel als Ihme Imploranten angelegen, daß er Zum Meisterstück gelange.
Nôe Imploratischer Meisterschafft seÿen vorgestanden Daniel Schaaf, als ober: und Gottfried Krauß als untermeister, welche declarirt, daß des Imploranten mündlich gethanes Vorbringen der wahrheit gemäß seÿe, Weßwegen sie auch die entscheidung dieser sach lediglich Mghh wolten überlaßen haben.
Die Hh. Depp. welche in betrachtung gezogen daß es nur umb eine dispens von 4 monat Zu thun, die Imploratische Meisterschafft nun auch sich nicht mehr wiedersetze, hätten dafür gehalten daß der Implorant gegen ersetzung der uncosten und erlag 3 lb halb löbl. Statt, und halb Imploratischer Meisterschafft heimfällig, von der noch manglenden Muthzeit Zu dispensiren und Zu dem Meisterstück der Bürstenbinder zu admittiren seÿe. Erkandt, Bedacht confirmirt
(p. 474) Montags d. 26. Septembris 1768.
Claus nôe Phil. Jacob Nagel in aîs Ca. E. E. Meisterschafft der Bürstenbinder auch in aîs, bitt Communic. Sent: Erkannt Willfahrt
Bescheid – Sambstags den 10. Septembris 1768. In Sachen Philipp Jacob Nagel des ledigen Bürstenbinders gesell Imploranten ane eim entgegen und wieder E.E. Meisterschafft der Bürstenbinder Obermeister. Imploraten am andern theil. auf producires untherth Memoriale mit beÿl. sub Lit. A juncto petito, Wir geruheten Zu erkennen, daß der Implorant von der übrigen muthzeit zu dispensiren und Zum Meisterstück Zulaßen seÿe, übergebene Exceptiones, mit bitten den Imploranten mit seinem widerrechtlichen begehren refusis expensis ab: und an die ordnung zu verweißen.
Gebettene, bewilligte und beseßene Deputation, auch all übrig der Parthen angehörtes vor und anbringen, ist der Hh Depp. abgelegten relation nach Erkandt, daß der Implorant gegen ersetzung der uncosten und erlag 3 lb pro Dispensatione halb löbl. Statt, und halb Imploratischer Meisterschafft heimfällig, von der noch manglenden muthzeit Zu dispensiren und Zu dem Meisterstück der Bürstenbinder zu admittiren seÿe.
Fils du pêcheur Jean Georges Nagel, Philippe Jacques Nagel épouse en 1768 Marguerite Salomé Meyer : contrat de mariage, célébration
1768 (16.8.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 613) n° 61
Eheberedung – zwischen dem ehrbaren Philipp Jacob Nagel, dem ledigen bürstenbindergesell, des weiland Joh: Georg Nageln gewesenen hiesigen Burgers und Fischers, mit seiner hinterbliebenen Wittib Maria Ursula gebohrner Burckardin ehelich erzeugtem und nach tof hinterlaßenem jüngsten großjährigen Sohn, als dem Hochzeiter an einem theil
so dann der Tugendsamen Jungfrau Margaretha Salome Meÿerin, Meisters Johannes Meÿer des ältern bürstenbinders und burgers allhier mit Frau Catarina Dorothea gebohrner Lutherin ehelich erzielten mittlern Tochter, beiständlich dieses ihres Vaters, als Hochzeiterin
So geschehen in Straßburg in mein Notarii Schreibstub an der Spitzengaß gelegen auf Dienstag den 16. Augstmonats vormittags im Jahe 1768 [unterzeichnet] Philipp Jacob Nagel als hochzeiter, Margaretha Salome Meÿerin als Hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 115-v n°163)
1768. Mittwochs den 26. Octobris wurden nach Dom. XX und XXI post Trinit: geschehene ordnungsmesiger Proclamation ehelich copulirt und Christlich eingesegnet, Philipp Jacob Nagel lediger bürstenbinder Von hier, weiland Joh: Georg Nagels, gewesenen Fischers und burgers allhier, mit weÿl. Frau Anna Ursula gebohrne Burckardin nachgelaßener ehelicher Sohn und Jgfr. Margar: Salome Meÿerin, Johannes Meÿers, bürstenbinders und Burgers allhier mit Frau Catharina Dorothea gebohrner Lutherin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Philipp Jacob Nagel Als hochzeier, Margaretha Salome Meÿerin als Hochzeiterin (i 123)
Philippe Jacques Nagel devient tributaire au Miroir le 21 septembre 1768
1768, Protocole de la tribu du Miroir (XI 279)
(f° 12) Mittwochs, den 21. Septembris 1768 – E. Leibzünfftiger
Philipp Jacob Nagel, des seil. Joh: Georg Nagel geweßenen hies. b. u. Fischers nachgel. jüngster ehr. Sohn, ist auf vorgelegten Stallschein vom heutigen Tag gegen Erlag Zwei Pfund 13 ß 4 d leibzünfftig als bürstenbindermeister aufgenommen orden. prom. obedentiam
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison qui appartient à Jean Geoffroi Ringler rue de l’Ancre. Les apports du mari s’élèvent à 8 livres, ceux de la femme à 134 livres.
1768 (18.11.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 593) n° 114
Inventarium über Philipp Jacob Nagel, des Bürstenbindermeisters und Kränzleinmachers und Fraun Margarethä Salome geborener Meÿerin, beder Eheleut und Burger allhier Zu Straßburg, einander Vor unverändert Zugebrachtes Vermögen, aufgerichtet in dem Jahr 1768. – in ihre den 31. Octobris Jüngsthin mit einander angetrettene Ehe Zugebracht und vermög des dritten Puncts ihrer den 16. Augusti dieses Jahrs vor mir Notario auffgerichteten Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten haben
So geschehen in Straßburg auf einer an dem Änkergäßlein gelegenen H Joh: Gottfried Ringler, dem Paßmentirermeisters ehevögtlicher weis eigenthümlich zuständigen, dißorts Lehnungs weis bewohnenden Behausung in fernerem beisein Johannes Meyer des ältern ebenmäßigen Bürstenbindermeisters, der Ehefrau geliebten Vaters las ihres hierzu erbettenen beistands, auf Freÿtag den 18. Novembris nachittag Anno 1768
Folgt nun hierauf die Besch. des beders. beibr. an sich selbst, u. Zwar anfängl. Des Manns in die Ehe gebr: Verm: Sa. haußraths 4, Sa. Silbers 15 ß, Summa summarum 8 lb
Zuletzt Wird der Ehefrau zugebrachtes Gut verzeichnet, Sa. haußraths 75, Sa. sil. Geschmeids 41, Sa. baarschafft 48, Sa. Activ schullld 5, Summa summarum 134
Haussteuren 25 lb
Marguerite Salomé Meyer meurt en 1794 en délaissant une fille. La maison est estimée à son prix de cession, soit 2 440 livres tournois. La masse propre à héritière s’élève à 337 livres. L’actif de la communauté et du veuf s’élève à 1657 livres, le passif à 346 livres
1794 (4 brumaire 3), Strasbourg 10 (2), Not. Heus n° 187
Inventarium über Weiland Fraun Margarethæ Salome Nagel, geborner Meÿer des Bürgers Philipp Jacob Nagel, Bürstenbinders alhier Zu Straßburg geweßter Ehefraun Verlaßenschafft, auffgerichtet im dritten Jahr der Francken Republick – nach ihrem den 10.ten vendemiaire dieses laufenden Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt Zeitlichen verlaßen (…) So geschehen Zu Straßburg in einer ane dem Spithal gäßlein dermalen die Schamhafte Gaß genannt, gelegenen mit N° 5 bezeichenten in diese Verlaßenschafft gehörigen Behausung den 4. Brumaire im dritten Jahr der einigen und untheilbaren Francken Republick.
Die Verstorbene hat mit eingangs gemeltem hinterbliebenen Wittiber nachbenannte Tochter Ehelich erzogen und ab intestato Zu ihrer einigen Erbin hinterlassen. Namentlich Jungfer Margaretha Salome Nagel so großjährig welche unter Verbeistandung des Bürgers Johannes Bruder Handelsmanns und dermaligen Commendant des alhiesigen Veteranen Corps dieses Geschäfft beigewohnet
Copia beeder geweßter Ehepersonen vor Burger Not. Saltzmann den 16. Aug. 1768. mit einander auffgerichteter Eheberedung
Hierauf folgt nun die Beschreibung Eingangs gedachter Verlaßenschafft Vor und ane sich selbsten. Des Wittibers unveränderten Vermögens, Sa. haußraths 19, Ergäntzung, durch burger Notarium Saltzmann unterem 18. Novembris 1768. auffgerichteten Inventarii 76 livres
Diesemnach wird auch der Erbin unveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 381
Eigenthum ane einer Behaußung, so der Erbin unverändert. Nemlichen Eine Behaußung und Hoffstatt mit all deren Begriffen, Gebäuden, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, alhier Zu Straßburg ane dem Spitahgäßlein, dermalen die Schamhafte Gaß genannt, mit N° 5 bezeichnet, einseit neben Jacob Mathiß dem obsgrempen, anderseit neben weil. N. Köhringer geweßenen Drähers Wittib und Erben und hinten auf N Anton den Schuhmacher stoßend gelegen, so auser del darauf haftenden und hienach beschriebenen passiv Capital ledig und eigen und wird solche ohnpræjudicirlich für die nemliche summ, wie selbige der dißorts Verstorbenen als Elterlicher Succession Erbs Cessionsweise eigenthümlichen überlaßen worden, hiehero gewürdiget vor 2440 livres. Über Zween dritte theil von sothaner Behaußung besagt eine in allhiesiger Contract Stub passirte Erbscession sub dato 1. Septembris 1786. der übrige dritte theil aber ist der defuncta als Mit übernehmerin ihres Vatters weil. Johannes Meÿers Verlaßenschafs Zuständig
Ergäntzung (289, abzuziehen 1373, In Vergleichung 1083), Summa summarum 2821 Livres – Schulden 2483, Deducendo verbleiben 337 Livres
Endlich wird auch die Beschreibung des gemein und theilbaren guths, Sa. hausraths 336, Waar und Werckzeug zur Bürstenbinder profession gehörig 238, Schuld 1083, Summa summarum 1657 Livres – Schulden 346, Deducendo verbleiben 1311 Livres
Copia der Eheberedung (…)
Enregistrement, acp 29 F° 91-v du 28 brum. 3
Philippe Jacques Nagel se remarie en 1794 avec Marguerite Salomé Haas, fille du peignier Jean Daniel Haas
1794 (5 brumaire. 3), Strasbourg 10 (6), Not. Heus n° 106
Eheberedung – persönlich erschienen der Bürger Philipp Jacob Nagel, Pürstenbinder und Wittiber alhier, als Hochzeiter ane einem
So dann Jungfrau Margaretha Salome Haaß, weiland Bürgers Johann Daniel Haaß geweßten Strehlmachers hieselbst mit Fraun Maria Margaretha gebohrner Meÿer ehelich erzeugt hinterlaßene Großjährige Tochter unter assistentz des Bürgers Johann Daniel Jung Paßmentirers dahier als Hochzeiterin andern theils
unterschrieben zu Straßburg den 5.t Brumaire im dritten Jahr der einigen und untheilbaren Francken Republick [unterzeichnet] Philipp Jacob Nagel, Margareda Salome Hasin
acp 28 f° 198 du 5 bru. 3 – il n’y a pas de désignation des apports. Les futurs se donnent au survivant l’usufruit de la moitié des biens du prémourant, plus le futur fait donation à la future de 200 livres
est comparu le futur époux qui a déclare que son revenu n’excède pas 75 livres
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du mari, estimée à 2 800 livres tournois. L’actif du mari s’élève à 4 267 livres, le passif à 3 800 livres. Les apports de la femme se montent à 201 livres.
1795 (22 floreal 3), Strasbourg 10 (2), Not. Heus n° 218
Inventarium über Bürger Philipp Jacob Nagel, des Bürstenbinders, und Fraun Margarethæ Salome geborner Has, beeder Eheleute alhier Zu Straßburg, einander für ohnverändert in die Ehe zugebrachte Nahrungen auffgerichtet im dritten Jahr der Francken Republick – der ursachen alldieweilen in ihr beeder Eheleuthe Vor mir Notario den 5. Brumaire letzthin, auffgerichteten Eheberedung paragrapho secundo expresse enthalten, daß jedem theil und seinen Erben seine in die Ehe bringende und während derselben ererbende Nahrung ein frei eigen ohnverändert und vorbehalten Guth seÿn und bleiben (…) So geschehen Zu Straßburg in einer ane dem Hospithal gäßlein gelegenen mit N° 5 bezeichneten Behausung den 22. Floreal im dritten Jahr der einigen und untheilbaren Francken Republick.
Eigenthum ane einer Behaußung (M.) Nemlichen Eine Behaußung und Hoffstatt mit all deren Begriffen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, alhier Zu Straßburg ane dem Spitahgäßlein gelegen, mit N° 5 bezeichnet, einseit neben Jacob Mathiß dem Obsgrempen, anderseit neben weiland Burger Köhringers geweßten Drehers Wittib und Erben und hinten auf Burger Anton, den Schuhmacher stosend gelegen, so auser del darauf haftenden und hienach beschriebenen passiv Capital ledig und eigen und hierero ohnpræjudicirlichen gewürdiget vor 2800 livres. Sothane Behausung hat der dißorts Ehemann Von einer Tochter erster Ehe Margareth Salome Nagel, der großjährigen alhier Zufolg der über Weiland Fruaen Margareth Salome Nagel gebohrner Meÿer, ihre Mtter Verlaßenschafft durch mich Eingangs gedachten Notarium den 6. Brumaire dieses Jahres gefertigt und approbirten auch den 28. ejusdem ordnungsmäßig Enregistrirten summarischen Calculi Cessions weis Eigenthümlichen überkommen
Series rubricarum hujus Inventarÿ Des Ehemanns in die Ehe zugebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 327, Sa. der Waar und Werckzeug zur Bürstenbinder profession gehörig 1100, Sa. Silbers 40, Sa. Eigenthums ane einer Behaußung 2800, Summa summarum 4267 Livres – Schulden 3800, Deducendo Verbleibet 487 Livres
Diesemnach wird auch der Ehefraun in die Ehe gebrachtes Guth beschrieben, Sa. haußraths 1072, Sa. Silbers 15, Sa. goldenen Rings 12, Sa. der Baarschafft 1400, Summa summarum 2499 Livres
Philippe Jacques Nagel et sa fille vendent la maison au sellier Samuel Schultz
1805 (15 nivôse 13), Strasbourg 13 (20), Not. Bremsinger n° 2156, 2165, 2173, 2178, 2183, 2193, Adjudication
Philippe Jacques Nagel brossier et Marie Salomé Blaettel née Nagel sa fille
à Samuel Schultz sellier
Une Maison circonstances et dépendances scise en cette ville rue de l’hopital n° 5, d’un côté Jacques Mathis rentier, de l’autre Michel Jost tourneur, devant lad. rue derrière le Sr Westermann – acquis à la Chambre des Contrats le 1 septembre 1786
criée 5400 francs, le 17 frimaire 13 – 2525 Frantz
Enregistrement, acp 95 F° 102 du 22 nivôse 13
Samuel Schultz et Dorothée Andrech vendent la maison au cordonnier Henri Lang et à sa femme Catherine Barbe Rieth moyennant 5 800 francs
1810 (2.10.), Strasbourg 5 (32), Not. F. Grimmer n° 6533
Samuel Schultz, sellier, et Dorothée née Andrech
à Henri Lang cordonnier et Catherine Barbe née Rieth
une maison avec tous ses bâtiments, appartenances, droits, aisances et dépendances située en cette ville rue de l’Hôpital n° 5, d’un côté Jacques Mathis fruitier, de l’autre Michel Jost tourneur, derrière Martin Antoni et les héritiers André Westermann – acquis par adjudication définitive devant M° Bremsinger les 27 et 24 frimaire 13, transcrit au bureau des hypothèques volume 22 n° 49, moyennant 5800 francs
Enregistrement, acp 115 F° 146 du 8.10.
Henri Lang épouse en 1804 Catherine Barbe Rieth, de Ribeauvillé
1804 (3.1.) Mariage, Ribeauvillé (f° 4-v) Du 7° jour du mois de Nivôse L’an XII° Acte de mariage de Henry Lang, Garçon cordonnier âgé de 25 ans 4 mois né et domicilié à Strasbourg fils de feu Isaac Lang, Cordonnier et de deffunte Anne Marie Westermann vivants conjoints audit Strasbourg et de Catherine Barbe Rieth, âgée de 34 ans 7 mois née et domiciliée à Ribeauvillé fille majeure de Jean Nicolas Rieth maréchal ferrant et de Catherine Rosine Krebs citoyens conjoints audit Ribeauvillé (signé) Heinrich Lang, Catharina Barbara Rieth (i 8)
Registre de population 600 MW 67, Rue de L’Hopital N° 5, p. 384 (i 46)
Lang, Henrÿ, 1771, Cordonnier, Strasbourg, (auparavant) même rue 30 – Entré 1811
id. née Rieth, Cath. Barbe, 1771, Ep. Ribeauvillé, (à Str depuis) l’an XII
id. Cath. Barbe, XIII, Strasbourg
id. Louise Catherine, 1809, Strasbourg – dél. vis à vis la place d’armes 26
id. Henrÿ, 1811, Strasbourg
Henri Lang et ses trois enfants vendent la maison à Sophie Dorothée Starck femme du pasteur Charles Louis Henri Heylandt moyennant 4 000 francs
1839 (24.4.), Strasbourg 10 (95), Me Zimmer n° 3169
1. Henri Lang, ancien cordonnier veuf de Catherine Barbe Rieth, 2. Barbe Lang femme de Valentin Lobstein, cordonnier, 3. Louise Lang fille de boutique chez M. Stammler épinglier, 4. Henri Lang, cordonnier
à Sophie Dorothée Starck épouse de Charles Louis Henri Heylandt, pasteur à Hunawyhr (Haut Rhin) pour laquelle accepte François Louis Klauhold, avoué
une maison avec toutes aisances et dépendances située à Strasbourg rue de l’Hôpital n° 5, d’un côté le Sr Dubessi fruitier, de l’autre le Sr Hummmel boulanger, derrière le Sr Spreng tamissier – acquis par Henri Lang et Catherine Barbe Rieth de Samuel Schultz, sellier, et Dorothée Andrich suivant acte devant M° Jean Frédéric Grimmer le 2 octobre 1810, échue aux trois enfants et héritiers, le Sr Schultz en était propriétaire par adjudication sur Philippe Jacques Nagel, brossier, et Marie Salomé Blaettel née Nagel, reçue M° Bremsinger le 8 nivôse 13 (28 décembre 1804) et 15 du même mois de nivose (5 janvier 1805) – moyennant 4000 francs
Enregistrement, acp 268 f° 7 du 26.4.
Charles Louis Henri Heylandt épouse Sophie Dorothée Starck en 1808
1808 (18.6.), Strasbourg 12 (20), Not. Wengler n° 3280
Contrat de mariage – Charles Louis Henri Heylandt, ministre du culte protestant à Mühlbach dans la vallée de Münster, fils de Georges Henri Heylandt, ministre du culte à Münster, et de Marie Madeleine Kienlin
Sophie Dorothée Starck demeurant à Strasbourg fille de Jean Georges Starck, courtier de marchandises, et de Sophie Dorothée Würtz
Enregistrement, acp 106 f° 80-v du 18.6.
Sophie Dorothée Starck vend la maison à Barbe Appfel veuve de François Joseph Ammerich, employé au grand pont du Rhin moyennant 4 200 francs
1841 (18.5.), Strasbourg 10 (98), Me Zimmer n° 3927
Vente 18 Mai 1841. a comparu Mme Sophie Dorothée Starck demeurant à Hunawyhr épouse dûment autorisée à l’effet des présentes de M. Charles Louis Henri Haylandt pasteur au dit Hunawyhr (…) Laquelle a vendu
à Dame Barbe Appfel veuve du Sr François Joseph Ammerich, en son vivant employé au grand pont du Rhin à Strasbourg, demeurante en cette ville, ci présente et acceptant
Une maison avec tous ses accessoires & dépendances, sise à Strasbourg rue de l’hôpital n° 5, entre le Sr Dubessé fruitier et le Sr Hummel, boulanger, par derrière le Sr Spreng, tamissier. (…) sont au surplus compris dans la présente vente les poêles se trouvant dans ladite maison et appartenant à la D° venderesse.
Mme Heylandt a acquis cet immeuble du Sieu Henri Lang, ancien cordonnier veuf de D° Catherine Barbe Rieth, de D° Barbe Lang épouse du Sr Valentin Lobstein cordonnier de Dlle Louise Lang, fille de boutique & de M. Henri Lang cordonnier tous de Strasbourg, suivant contrat de vente passé devant M° Zimmer soussigné le 24 avril 1839. Led. Sr. Henri Lang et feu Catherine Barbe Rieth sa femme avaient acquis ladite maison du Sr Samuel Schultz sellier & de D° Dorothée Andrich conjoints à Strasbourg suivant contrat de vente passé devant M° Jean Frédéric Grimmer alors Notaire en cette ville le 2 octobre 1810. Après la mort de la femme Lang née Rieth, sa moitié dans la maison est échue à ladite femme Lobstein, à ladite Dlle Lang & audit Sr Henri Lang fils, tous trois comme seuls enfants & héritiers de ladite défunte. Le Sr Schultz s’était rendu propriétaire de ladite maison suivant procès verbal d’adjudication dressé à la requête du Sr Philippe Jacques Nagel, brossier et de Marie Salomé Blaettel née Nagel demeurant à Strasbourg par M° Bremsinger alors Notaire en cette ville le 8 nivôse an XIII (29 décembre 1804) & 15 du même mois de Nivôse (5 janvier 1805). (…) L’entrée en jouissance est fixée au 25 décembre 1840 – prix, 4200 francs
acp 287 (3 Q 30 002) f° 47 du 21.5.
Veuf de Catherine Huber, François Joseph Ammerich épouse en 1814 Anne Barbe Apffel, originaire de Wissembourg et veuve de Pierre Rivet : contrat de mariage, célébration
1814 (6.7.), Strasbourg 15 (19), Not. Lacombe fils n° 3461
Contrat de mariage – François Joseph Ammerich veuf de Catherine Huber, employé au grand pont du Rhin demeurant entre le grand et le petit Rhin
Anne Barbe née Apffel veuve de Pierre Rivet, employé aux hôpitaux militaires
apports 679 fr, en meubles
Enregistrement, acp 124 F° 199 du 11.7.
Mariage, Strasbourg (n° 136)
Acte de mariage célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dxi heures du matin le 7 juillet, François Joseph Ammerich, majeur d’ans, né en légitime mariage le 20 novembre 1772 à Strasbourg domicilié en la Mairie de Strasbourg, Préposé au pont de la bascule, veuf de Catherine Hueber décédée en cette Mairie le 6 juin année dernière, fils de feu Mathias Ammerich journalier en cette ville de de Françoise Horeitter, et Anne Barbe Apffel, majeure d’ans, née en légitime mariage le 20 février 1774 à Wissembourg, (Département du Bas-Rhin) domiciliée à Strasbourg, veuve de Pierre Rivet, portier à l’hôpital civil d’Anvers (Deux Nethes) y décédé le 21 floréal XII fille de feu Jean Apffel, boulanger à Wissembourg et de feu Marie Elisabeth Adrian (signé) fraizel josep ammerich, Anna Barbara Rieffel (i 4)
François Joseph Ammerich meurt en 1840 en délaissant six enfants de son premier mariage
1840 (19.12), Strasbourg 15 (68), M° Lacombe n° 2753
Inventaire à la requête d’Anne Barbe Apffel, veuve en secondes noces de François Joseph Ammerich, employé au Grand Pont du Rhin décédé le 26 novembre 1840, Contrat de mariage reçu M° Lacombe notaire à Strasbourg le 6 juillet 1814 entre François Joseph Ammerich alors veuf de Catherine Huber et Anne Barbe Apffel veuve de Pierre Rivet – 2. Madeleine Ammerich épouse d’André Kieffer père, propriétaire, 3. André Kieffer, mandataire de Charles Ammerich, tonnelier à Benviller, 4. François Louis Ammerich, cordonnier, en son nom et mandataire de son frère Georges Ammerich, cordonnier à Metz, 5. Antoine Ammerich, menuisier, 6. Elisabeth Ammerich, majeure, héritiers pour 1/6 de leur père
décédé en sa demeure près du Grand Pont du Rhin
Enregistrement de Strasbourg, acp 283 F° 90 du 21.12.
Liquidation correspondante
1841 (11.5.), M° Lacombe
Liquidation et partage des biens dépendant de la communauté qui a existé entre entre François Joseph Amrich, employé à Strasbourg décédé le 26 novembre 1840, et Anne Barbe Apffel, sa veuve en secondes noces, 2° de la succession de ce dernier, à la requête 1° de ladite veuve Amrich, agissant tant à cause de la communauté de biens qui a existé entre entre elle et son mari que commme usufruitière d’une partie de ses biens, 2° Madeleine Amrich épouse d’André Kieffer, propriétaire à Strasbourg, 3° Charles Amrich tonnelier à Benwiller, 4° François Louis Amrich, cordonnier à Strasbourg, 50 Jean Georges Amrich cordonnier à Metz, 6° Antoine Amrich menuisier à Strasbourg, 7° Elisabeth Amrich fille majeuree à Strasbourg, ces sic derniers enfants du défunt et ses héritiers chacun pour un 6°
acp 287 (3 Q 30 002) f° 33 du 14.5. – Masse active de la communauté. Elle se compose 1° de mobilier et effets mobiliers pour 1874, 2° de créancess actives pour 5137, total de l’actif 7011
Dont il y a liieu de déduire 1° les reprises de la veuve 3179, 2° les reprises des héritiers 633, le passif 235, ensemble 4047, déduction faite il reste 2963, dont la moitié à chaque ayant-droit
Masse active de la succession. Elle se compose 1° des reprises du défunt 633 2° de la moitié de la communauté 1481, Total 2014
Aux termes du contrat de mariage reçu Lacombe le 10 juillet 1844 la veuve a droit à la jouissance de la moitié de la part du défunt dans les biens de la communauté 740. Reste à partager 1373
Droits de la veuve. Elle a droit 1° à ses reprises 3179, 2° à la moitié de l’actif de la communauté 1481, 3° à l’usufruit dont il a été question ci-dessus et qui est évalué à 740, ensemble 5410 francs (…)
Anne Barbe Apffel meurt en 1842 après avoir institué sa nièce Elisabeth Apffel pour sa légataire universelle
1842, M° Grimmer (minutes en déficit)
5 janvier 1842. Testament par lequel Anne Barbe Apffel, veuve François Joseph Ammerich, vivant employé des douanes, elle à Strasbourg, révoquant le testament qu’elle a fait devant M° Grimmer le 4 juin 1841, institue pour sa légataire universelle sa nièce Elisabeth Apfel, demoiselle de comptoir à Strasbourg à charge de payer les legs particuliers suivants
1° à Elisabeth Ammerich, belle fille de la défunte en cette ville 1000 francs, elle donne à la même D° Elisabeth Ammerich le droit d’habitation dans une maison de la défunte rue de l’Hôpital N° 5 et ce pour huit ans après le dit décès, enfin son armoire en sapin gris & divers effets mobiliers à son usage
2° à Antoine Ammerich menuisier à Strasbourg frère de la précédente 100 francs 3° à Sophie Apffel nièce de la défunte à Wissembourg la somme de 100 francs 4° à Guillaume Apffel boulanger à Bobenthal 200 francs 5° à Jacques Apffel boulanger à Wissembourg aussi frère de la testatrice 700 francs 6° & à son neveu Joseph Dubessy mercier à Strasbourg 200 francs, ces cinq deriers legs payages dix années à dater du jour du décès, sans intérêts
acp 302 (3 Q 30 017) f° 15 du 13.9.1842 (décès du 8. 7.bre 1842)
Native de Wissembourg, Elisabeth Apffel épouse en 1843 Corneille Frédéric Ferber, originaire de Bouxwiller
1843 (14.4.), Strasbourg 13 (58), Me Arbogast n° 1267
14 Avril 1843. Contrat de mariage – Sont comparus Le Sr Cornélius Frédéric Ferber, tailleur d’habits, demeurant et domicilié à Strasbourg, fils majeur & légitime de M. Cornelius Ferber, bonnetier & de D° Susanne Mertz, conjoints demeurant à Bouxwiller, agissant pour lui & en son nom comme futur époux d’une part
Et Delle Elisabeth Apffel, fille majeure d’ans, sans état demeurant & domiciliée à Strasbourg, fille légitime de M. Jacques Apfel, boulanger demeurant à Wissembourg, & de feu Elisabeth Bubeck, agissant pour elle & en son nom comme future épouse d’autre part
acp 309 (3 Q 30 024) f° 5-v – Communauté d’acquets. Les apports du futur époux consistent en un mobilier évalué 1000 francs
Ceux de la future épouse en un mobilier estimé 811
une maison rue de l’hôpital N° 5
Donation par les futurs au survivant d’eux de l’usufruit viager de la succession
Corneille Frédéric Ferber et Elisabeth Apfel hypothèquent la maison au profit de Nicolas Olry, professeur à la faculté des lettres
1843 (15.4.), Strasbourg 13 (58), M° Arbogast n° 1268
15 Avril 1843. Obligation de 1000 fr. – Sont comparus Le Sr Cornélius Fréderic Ferber, tailleur d’habits, Et Dlle Elisabeth Apfel, majeure d’ans, sans état, les deux demeurant & domiciliés à Strasbourg, Lesquels ont par les présentes déclaré & reconnu devoir bien & légitimement
à M. Nicolas Olry, professeur à la faculté des lettres de Strasbourg, demeurant & domicilié en cette ville, ci présent et acceptant, La somme principale de 1000 francs
Mlle Apfel hypothèque spécialement Une maison avec droits & dépendances sise à Strasbourg rue de l’hôpital N° 5 entre le Sr Dubessi fruitier & le Sr Hummel boulanger par derrière le Sr Spreng tamissier. (…) La Dlle Apfel déclare qu’elle est légitime propriétaire dudit immeuble pour l’avoir recueilli dans la succession de D° Anne Barbe Apfel sa tante, veuve de François Joseph Ammerich qui l’a instituée sa légataire universelle aux termes de son testament reçu M° Grimmer notaire à Strasbourg le 5 janvier 1842 enregistré le 13 septembre suivant. Que néanmoins ledit legs universel n’a eu lieu qu’à la charge de divers legs particuliers montant ensemble à la somme de 1600 francs, mais qu’à l’exception de cette somme ledit immeuble est franc & libre de toutes dettes, privilèges & hypothèques. Ladite veuve Ammerich avait acquis ledit immeuble de D° Sophie Dorothée Starck, épouse de M. Charles Louis Henry Haylandt pateur à Hunawyr (Haut Rhin) aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Zimmer notaire à Strasbourg le 18 mai 1840, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 3 juin suivant Vol. 371 N° 76, lequel contrat porte quittance du prix de vente
Corneille Frédéric Ferber et Elisabeth Apfel hypothèquent la maison au profit de Marie Aglaé Julienne de Rheinwald veuve de Nicolas Olry
1850 (10 7.br), Strasbourg 13 (64), Not. Flach n° 616
Du 10 septembre 1850. Obligation de 500 fr. – Ont comparu Le Sr Cornélius Fréderic Ferber tailleur d’habits & D° Elisabeth Apfel sa femme de lui dûment autorisée & autorisée demeurant & domiciliés à Strasbourg, Lesquels ont par les présentes déclaré devoir bien & légitimement
à D° Marie Aglaé Julienne de Rheinwald veuve de M. Nicolas Olry, en son vivant professeur à la faculté des lettres de Strasbourg, elle demeurant & domiciliée en cette ville ci présente et acceptant, La somme principale de 500 francs
hypothèquent spécialement Une maison avec droits et dépendances sise à Strasbourg rue de l’hôpital N° 5 entre le Sr Dubessi fruitier & le Sr Hummel boulanger par derrière le Sr Spreng tamissier. (…) La codébitrice D° Ferber est devenue propriétaire de la maison ci dessus hypothéquée pour l’avoir recueillie dans la succession de D° Anne Barbe Apfel sa tante, veuve de François Joseph Ammerich vivant employé au grand pont du Rhin, laquelle l’a instituée sa légataire universelle aux termes de son testament reçu M° Grimmer notaire à Strasbourg le 5 janvier 1842 enregistré le 13 septembre suivant (…)
Nouvelle obligation entre les mêmes
1852 (15.4.), Strasbourg 13 (65), Not. Flach n° 1134
Du 15 avril 1852. Obligation de 500 fr. – Ont comparu Le Sr Cornélius Frédéric Ferber tailleur d’habits et sous son autorisation D° Elisabeth Apfel demeurant ensemble à Strasbourg, Lesquels ont par les présentes déclaré devoir bien & légitimement
à Madame Marie Aglaé Julienne de Rheinwald veuve de M. Nicolas Olry, vivant professeur à la faculté des lettres à Strasbourg où elle demeure & est domiciliée, La somme principale de 500 francs
hypothèquent spécialement Une maison avec droits & dépendances sise à Strasbourg rue de l’hôpital N° 5 entre le Sr Dubessi fruitier & le Sieur Hummel boulanger pardevant la rue par derrière le Sr Spreng. (…) La codébitrice D° Ferber est devenue propriétaire de la maison cidessus hypothéquée pour l’avoir recueillie dans la succession de D° Anne Barbe Apfel sa tante, veuve de François Joseph Ammerich vivant employé au grand pont du Rhin dont elle était la légataire universelle aux termes du testament de cette dernière reçu par M° Grimmer notaire à Strasbourg le 5 janvier 1842 enregistré le 13 septembre suivant (…)
Elisabeth Apfel meurt en 1853 en délaissant deux enfants, Elise et Corneille Frédéric
1853 (22.8.), Strasbourg 13 (65), Not. Flach n° 1691
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Cornélius Frédéric Ferber, tailleur d’habits, et Elisabeth Apfel sa femme et de la succession de cette dernière décédée à Strasbourg le 2 juin dernier
L’an 1853, le lundi 22 août à deux heures de relevée. A la requête de Mr Cornélius Frédéric Ferber, tailleur d’habits, demeurant à Strasbourg agissant I° en son nom personnel à cause de la communauté de biens qui a existé entre entre lui & D° Elisabeth Apfel sa femme défunte en vertu de leur contrat de mariage passé devant M° Arbogast alors notaire à Strasbourg le 14 avril 1843, II° comme usufruititer de lad. D° Apfel sa femme défunte en vertu de l’article 7 du dit contrat de mariage, III° & comme père & tuteur de Cornélius Ferber âgé de 9 ans & de Marie Elise Ferber âgée de 2 ans & demi, ses deux enfants mineurs procréés avec ladite son épouse défunte, lesdits mineurs habiles à se dire et porter héritiers chacun pour moitié de lad. D° Ferber née Apfel leur mère. En présence de M. Philippe Apfel marchand de farine demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de subrogé tuteur desdits mineurs
dans une maison sise à Strasbourg,, grand rue n° 142 où Mad. Ferber née Apfel est décédée le 2 juin dernier
Immeubles. Une maison avec droits & dépendances sise à Strasbourg rue de l’hôpital N° 5, entre le Sr Dubessi, fruitier & le Sr Hummel, boulanger par derrière le Sr Spring. Cet immeuble a été recueilli par la D° Ferner née Apfel dans la succession de sa tante Anne Barbe Apfel dont elle a été légataire universelle aux termes du testament de cette dernière reçu par M° Grimmer, notaire à Strasbourg le 5 janvier 1842
acp 422 (3 Q 30 137) f° 26-v du 25.8. (succession déclarée le 25 9.vre 1853 N° 1706) Communauté, mobilier estimé 777, Indemnité due à la communauté par la succession 1600
Une maison à Strasbourg rue de l’Hôpital N° 5
Remploi dû au veuf par la communauté 1000, remploi dû à la succession 1111 – Passif de la communauté 2200
Succession, garde robe 137
Elise Ferber cède ses droits à son frère Corneille Frédéric
1872 (2.3.), M° Flach (minutes en déficit)
Abtretung von dem Bevollmächtigtern von Elise Ferber, volljährig in Straßburg
an Cornelius Friderich Ferber, Buchhalter in Straßburg ihren Bruder
von dem ganzen Nachlass sowohl in Mobilien als im Immobilien bestehend, welches von ihrer Mutter Elisabeth Apffel Ehefrau von Cornelius Friedrich Ferber, Schneider in Straßburg im Jahre 1853 gestorben herrühret, von welcher Sie *e der Hälfte und ihr Bruder vin der andern Hälfte ist, für 1200 Franken
acp 603 (3 Q 30 318) f° 64-v n° 803 du 7.3.
Elise Ferber obtient le consentement de son père pour se marier à Marseille avec Auguste Lamotte
1872 (16.3.), M° Flach (minutes en déficit)
Respekt Akt durch welchen Elisa Ferber, volljährig in Marseille ihrem Vater Cornelius Friedrich Ferber, Schneider in Straßburg die Einwilligung zur Ehe mit August Lamotte begehrt
acp 603 (3 Q 30 318) f° 87 n° 922 du 18.3.
1872 (16.3.), M° Flach
Einwilligung von Cornelius Friedrich Ferber, Schneider in Straßburg zur vermählung seiner Tochter Elisa Ferber mit August Lamotte beide in Marseille
acp 601 (3 Q 30 316) f° 106-v du 18.3.
Seul propriétaire de la maison, le cheminot Corneille Frédéric Ferber épouse Guillemette Vogt en 1870
Mariage, Wissembourg (n° 23)
Le 21 juin 1870 à trois heures du soir, Acte de mariage de Ferber, Corneille Frédéric, âgé de 26 ans, né à Strasbourg le 27 juillet 1844, employé de chemin de fer domicilié à Paris, fils majeur de Corneille Frédéric Ferber, âgé de 59 ans, tailleur d’habits à Strasbourg, ci présent et consentant, et de feu Elisabeth Eléonore Apffel, domiciliée à Strasbourg y décédée, et de Vogt, Guillemette, âgée de 21 ans, née à Wissembourg le 30 janvier 1849, domiciliée à Wissembourg, file majeure de Jean Vogt, âgé de 55 ans, boulanger, domicilié à Wissembourg ci présent et consentant et d’Elisabeth Reinschmidt, âgée de 50 ans, domiciliée à Wissembourg, ci présente et consentante (i 14)
Corneille Frédéric Ferber et sa femme Guillemette Vogt, nus-propriétaires, et Corneille Frédéric Ferber, usufruitier, hypothèquent la maison au profit du docteur en médecine Guillaume Weisgerber
1875 (9.4.), Strasbourg 4 (142), Not. Charles Lauterbach n° 2178
9. April 1875, Schuldbekenntnis für 4000 M. – Erschienen Herr Cornelius Friderich Ferber, Schneidermeister Wittwer von Fr. Elisabeth Apfel wohnhaft in Strassburg und Herr Cornelius Friderich Ferber Sohn, Fabrikant und seine von ihm hierzu ermächtigte Ehefrau Fr. Wilhelmine Vogt, wohnhaft beisammen in Weissenburg, welche hiermit bekennen solidarisch unter einander schuldig zu sein
an Herrn Wilhelm Weisgerber, Doktor der Medizin, wohnhaft in Rappoltsweiler, für welchen hier gegenwärtig ist und annimmt Herr Johann Georg Flach, ehemaliger Notar wohnhaft in Straßburg, die Hauptsumme von 4000 Mark (…)
Unterpfandrecht an Einem Hause mit Bodengeschoß und drei Stockwerck gelegen Zu Straßburg Spitalgasse N° 24 früher 5, einerseits Jacob Kümmerlen andererseits Herr Dubesi. (…) Die Schuldner erklären daß obiges Haus ihr Eigenthum geworden ist auf folgende Weise. Es fiel der verstorbenen Ehefrau des Hn Ferber, Vater, zu, in ihrer Eigenschaft als Universallegatarin ihrer Tante, Fr. Anna Barbara Apfel, Wittwe von Frantz Joseph Ammerich in Strassburg laut deren Testament errichtet vor Notar Grimmer daselbst am 5. Januar 1842. BeimAbsterben der Fr. Ferber gebohrnen Apfel, fiel heachtes Haus ihren beeden Kindern zu, dem Komparenten Cornelius Friderich Ferber Sohn, und dessen Schwester Elisa Ferber, die Nutznießung der Häflte des Hauses war aber dem Hn Ferber Vater durch seine Ehefrau vermacht worden. Laut eines Uebertrags von Erbrechten errichtet vor Hn Flach dem damaligen Notar in Straßburg am 7. März 1872 hat die genannte Fr. Elise Ferber ihre sämmtliche Erbrechte an dem Nachlasse ihrer Mutter an ihrem Bruder den genannten Hn Ferber Sohn cedirt und übertragen vermittelst der im Akte quittirten Preise von 1200 Franken oder 950 Mark. Demnach steht gedachtes Haus heute das Eigenthum des Hn Ferber Sohn, die Nutznießung der Hälfte desselben steht aber seinem Vater zu.
La maison qui appartient à la société Deutschlé et Ferber de Wissembourg à laquelle elle a été cédée par Corneille Frédéric Ferber est vendue par expropriation forcée au receveur des postes Henri Usemann
1878 (3.9.), Strasbourg 4 (150), Not. Charles Lauterbach
Lastenheft 31 August 1878 N° 5041 – Carl Lauterbach, Notar im Amtssitze zu Straßburg, hierzu gerichtlich committirt auf Grund des nacherwähnten Urtheiles, Errichtet auf folgender Weise das Lastenheft und stellt die Bedingungen auf unter welchen er zur Versteigerung schreiten wird von dem nackten Eigenthum des hiernach beschriebenen zum Falliment der Firma Deutschlé & Ferber in Weissenburg gehörigen Hauses nämlich
I. Erwähnung des die Versteigerung verodnenden Urtheiles. Nach Erreichung des durch Advokat-Anwalt Kaufmann zu Straßburg, auf Anstehen des H. August Schorong, als Syndic des gedachten Fallimentes bethätigten Gesuches und auf Grund eines Urtheiles erlassen am 13. August 1878, hat das Kaiserliche Landgericht zu Strassburg die oeffentliche Versteigerung verordnet des nackten Eigenthums der in der Bittschrift bezeichenten und hiernach beschriebenen Wohnbehausung (…)
II. Beschreibung des zu versteigernden Immöbels. Ein Wohnhaus mit Bodengeschoß und drei Stockwercke sammt Rechten und Zubehörden zu Straßburg, Spitalgasse N° 24 früher N° 5 gelegen einerseit Jacob Kümmerlin, anderseits H Dubessi, eingetragen in Cataster section O Nr 152, Ansatzpreis 4000 Mark, Grundsteur 15 Mark
Eigenthums-Herkunft. Dieses Immöbel gehörte eigenthümlich der Frau Anna Barbara Apfel, Wittwe von Frantz Joseph Ammerich und fiel der Frau Elisabeth Apfel bei Lebzeiten Ehefrau von Cornélius Frederic Ferber zu Straßburg in vollem Eigenthum zu in der Eigenschaft als Universal Legatarin der Wittwe Ammerich auf Grund deren Testaments errichtet durch Notar Grimmer zu Straßburg am 5. Januarÿ 1842. Die Frau Ferber starb zu Straßburg am 2. Juni 1853, hinterlassend für einzige Erben ihre zwei Kinder 1. H. Cornelois Friderich Ferber Sohn, Fabricant, 2. Frau Elise Ferber ohne Gewerbe und zwar blos in necktem Eigenthum, indem die Frau Ferber ihrem Ehemann die lebenslängliche und unentgeltliche Nutznießung an ihren sämmtlichen Nachlass zugesichert hat, auf Grund ihres Ehevertrag errichtet durch den früheren Notar Arbogast zu Strassburg am 14. April 1843, sowie dies erhellet aus einem Inventar errichtet durch Notar Flach zu Straßburg am 22. August 1853. Laut einer Cession aufgenommen vom gedachten Notar Flach am 7. März 1842 hat die obengenannte Elise Ferber an ihren Bruder vorgedachten H. Cornelius Friderich Ferber Sohn ihre sämmtliche Erbrechte an dem Nachlasse ihrer Mutter cedirt und übertragen, und in Folge wurde H. Ferber Sohn alleiniger Besitzer des nackten Eigenthums des obenbeschriebenen Wohnhauses, welches nackte Eigenthum durch ihn auf die Firma Deutschlé und Ferber überging. – Kaufbedingungen (…)
acp 682 (3 Q 30 397) f° 93-v du 3.9.
N° 5075. 20. September 1878. – Versteigerung (…) wurde das fragliche im Lastenhefte bezeichnete Immöbel in die Versteigerung ausgestzt und ausgerufen auf den Ansatzpreis von 4000 Mark (…) wurden mehrere Gebote gemacht, das letzte und höchste im Betrage von 4780 Mark durch H Heinrich Usemann, Postschaffner zu Straßburg wohnend
acp 683 (3 Q 30 398) f° 41 du 28.9.
Originaire de Berna dans la paroisse de Küppen en Prusse, Henri Usemann épouse en 1872 Catherine Lutz, native d’Ingwiller
1872 (8.5.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 156 (3 Q 31 655) f° 91 du 8.5.
Einwilligung von August Usemann und Johanna Böhmer seiner Ehefrau in Berna zur vermählung ihres Sohns Heinrich Usemann, Post beamter in Straßburg mit Catharina Lutz in Ingweiler
Mariage, Strasbourg (n° 376)
Du 16° jour du mois de mai l’an 1872. Acte de mariage de Jean Henri Usemann majeur d’ans, né en légitime mariage le 14 décembre 1844 à Berna paroisse de Küppen (Prusse), domicilié à Berna, employé des postes, fils de Jean Théophile Auguste Usemann, épicier, et de Jeanne Christine Boehmer, conjoints domiciliés à Berna, et de Marguerite Lutz, majeure d’ans, née en légitime mariage le 8 décembre 1847 à Ingwiller (Bas Rhin) domiciliée à Strasbourg sans profession, fille de feu Henri Lutz, cultivateur décédé à Ingwiller le 19 février 1871 et de Catherine Kirschmann, sans profession domiciliée à Ingwiller, ci présente et consentante (…) il n’a pas été fait de contrat de mariage (i 27)
La maison est portée au cadastre à partir 1900 au nom du chauffeur Charles Hemmerlé. Originaire de la Robertsau, il épouse en 1875 Marie Anne Ludwig, native de Diebolsheim, qui meurt en 1896. Il se remarie en 1897 avec Louise Reff, native de Bischwiller, qui a épousé en 1881 le cheminot Joseph Burger dont elle divorce en 1896.
Mariage, Strasbourg (n° 455)
Den 10. Juli 1875 um zehn Uhr ds Morgens, Heiraths-Urkunde von Carl Hemmerle, geboren zu Straßburg den 22. Februar 1853 (…) Heizer, wohnhaft zu Ruprechtsau, Stadtbann Strassburg, ehelicher volljähriger Sohn von Michael Anton Hemmerle, Straßenwart zu Ruprechtsau hier gegenwärtig und einwilligend, und von Gertrud Haegelé zu Strassburg gestorben den 15. November 1856 und von Maria Anna Ludwig, geboren zu Diebolsheim (Unter Elsass) den 30. Mai 1852 (…) ohne Gewerb, wohnhaft zu Straßburg, volljährige eheliche Tochter von Johann Ludwig, Ackerer zu Diebolsheim wohnhaft, hier gegenwärtig und einwilligend und von Maria Anna Sigwald zu Diebolsheim gestorben den 27. April 1867
Décès, Strasbourg (n° 1940)
Straßburg am 17. August 1896 Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Heizer Karl Hemmerle, wohnhaft zu Ruprechtsau Himmerichweg 2, und zeigte an, das seine Ehefrau Maria Anna geborene Ludwig, 44 Jahre alt, katholischer Religion wohnhaft zu Straßburg, geboren zu Diebolsheim, Unter-Elsass, Tochter des verstorbenen Ackerers Johann Ludwig zuletzt hier und dessen verstorbenen Ehefrau Maria Anna Sigwalt, zuletzt in Diebolsheim wohnhaft gewesen zu Straßburg am 17. August des Jahrs 1896 Vormittags um vier uhr verstorben sei (i 192)
Mariage, Strasbourg (n° 512)
Straßburg am 5. Juni 1897 Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Heizer Karl Hemmerle, Wittwer von Maria Anna Ludwig, katholischer Religion, geboren den 22. Februar des Jahres 1853 zu Straßburg wohnhaft zu Straßburg Sohn des verstorbenen Straßenwärters Michael Anton Hemmerle und dessen verstorbenen Ehefrau Gertrud geborne Naegele, beide zuletzt wohnhaft Zu Straßburg 2. die Gewerblose Luise Reff, geschiedene Ehefrau von Joseph Burger, hier geschieden den 19. Mai 1896, katholischer Religion, geboren den 15. Maertz des Jahres 1861 zu Bischweiler (Unter-Elsaß) wohnhaft zu Strassburg Tochter des Tuchwebers Heinrich Reff und dessen Ehefrau Magdalena geborne Graeff beide zuletzt wohnhaft zu Bischweiler (i 169)
Mariage, Bischwiller (n° 10)
Bischweiler am 8. März 1881. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der ledige Rangier an der Eisenbahn Joseph Burger, 23 Jahr alt geboren den 3. Dezember 1857 zu Straßburg Bezirks Unter-Elsass, wohnhaft zu Neudorf N° 24 Stadtbann Straßburg, Sohn des zu Straßburg verstorbenen Dominikus Burger und dessen gewerblose Wittwe Christine geborene Drexel, 2. die ledige Dienstmagd Luise Reff, 20 Jahr alt, katholischer Religion, geboren den 15. März 1861 zu Bischweiler, Kreis Hagenau (Unter-Elsass) wohnhaft zu Bischweiler in der Berggasse N° 11, Tochter des Tuchwebers Heinrich Reff und dessen gewerblose Ehefrau Magdalena geborene Graeff beide wohnhaft zu Bischweiler in der Berggasse N° 11
[in margine :] Durch rechtskräftiges Urtheil des kaiserlichen Landgerichts zu Straßburg vom 19. Mai 1896 ist die Ehe zwischen dem Joseph Burger und der Luise Burger geborene Riff aufgelöst worden. Bischweiler den 7. Juli 1896. (i 10)