16, rue de l’Ecrevisse
Rue de l’Ecrevisse n° 16 – III 278 (Blondel), N 481 puis section 68 parcelle 62 (cadastre)
Millésime 1762, initiales JGF (Jean Georges Fendrich)
Nouvelle façade rue de l’Écrevisse et ajout d’un troisième étage en retrait vers les deux rues, Jean Daniel Gœnner, 1870
Démolie lors de la « rénovation urbaine de l’Ilot Broglie » (1972)
Autre adresse, 12, rue de Bischheim
Façade rue de l’Écrevisse (au milieu) avant démolition (1970, dossier de la Police du Bâtiment)
Façade rue de Bischheim vers 1930 (maison de droite à étage en retrait, AMS cote 1 Fi 146 et 1 Fi 91, fonds Spehner)
La maison sise rue de l’Évêque (ou rue de Bischheim) a une issue par une simple porte dans la rue de l’Écrevisse. Contremaître au chantier des charpentiers, Laurent Pfeffer la vend en 1596 au menuisier Jean Schwartz dont les ayants droit la conservent jusqu’en 1732. A la mort de Sébastien Schœttel, tisserand originaire d’Ittenheim qui a été élu contrôleur des tonneaux à la Grue, la maison assez délabrée est estimée à la somme de 300 florins (1676). Le billet d’estimation dressé en 1702 mentionne que la maison comprend un atelier, un bûcher et une cave voûtée. Elle appartient aux compagnons maçons Jean Klett puis Jean Georges Wacker de 1732 à 1760. Le remueur de grains Jean Georges Fendrich achète la maison en 1760 et la transforme comme le rapporte Adolphe Seyboth dans son ouvrage (p. 13, millésime 1762, initiales JGP à corriger en JGF) ; elle reste jusqu’en 1843 aux mains des descendants et ayants droit. Jean Jacques Braun charge en 1782 le maître maçon Maurice Engesser d’aménager une cuisine et un poêle au rez-de-chaussée rue de Bischheim, sans doute après avoir fait les travaux correspondants rue de l’Écrevisse en 1778. Il fait modifier en 1786 un encadrement de porte et deux croisées rue de l’Evêque.
Plan Blondel (1765, ADBR cote 2 L Plan 5) – Plan préparatoire au plan-relief (1830), la maison est en haut à droite, parcelle 278, cour P‘
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 57 (Musée des plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) porte que chacune des façades a un rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade rue de l’Écrevisse est la deuxième à droite du repère (a’) : deux bâtiments en aile entourent un mur donnant dans la petite cour (P’) qui représente l’aile nord (3-4), l’aile sud (1-2) et la façade (2-3) du bâtiment principal à deux étages et toiture à une lucarne. La façade rue de Bischheim se trouve à droite du repère (s) : rez-de-chaussée à porte d’entrée entre deux fenêtres, deux étages à trois fenêtres irrégulièrement réparties, toiture à deux niveaux de lucarnes.
La maison porte d’abord le n° 8 (1784-1857) puis le n° 16 rue de l’Écrevisse, le n° 10 (1784-1857) puis le n° 12 rue de Bischheim.
Coupe de la nouvelle façade rue de Bischheim et rue de l’Ecrevisse, 1870 (dossier de la Police du Bâtiment)
Jean Daniel Gœnner charge en 1870 le maître maçon Charles Biedermann de faire rue de l’Ecrevisse une nouvelle façade en briques et en pierre de taille, le troisième étage étant en retrait de 1,30 mètre et d’exhausser rue de Bischheim (rez-de-chaussée en maçonnerie, premier et deuxième étage en pans de bois) deux fenêtres au rez-de-chaussée et d’ajouter un troisième étage en retrait d’un mètre. Il fait convertir en 1873 une fenêtre en porte rue de l’Écrevisse. Le bombardement aérien du 25 septembre 1944 endommage légèrement la maison. Le préfet l’autorise en septembre 1970 la ville, devenue propriétaire de la maison, à la démolir pour la « rénovation urbaine de l’Ilot Broglie ». D’après le rapport dressé en août 1970, deux pièces de bois sculpté provenant d’un encadrement de fenêtre du n° 14 se trouvent aux premier et deuxième étages.
octobre 2022
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1596 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Laurent Pfeffer, charpentier, contremaître, et (1590) Anne Schmitt puis (1596) Sara Adolph – luthériens | ||
1596 | v | Jean Schwartz, charpentier, et (1594) Marie Reuchlin – luthériens |
1642 | h | Gaspard Braun, charpentier, et (1621) Marie Reuchlin, d’abord (1594) femme du charpentier Jean Schwartz puis (1638) Marguerite Huck – luthériens |
1638 | h | Sébastien Schœttel, tisserand, et Eve Münch, (1637) Gertrude Wincker, d’abord (1622) femme du jardinier Pierre Schütz, (1644) Marguerite Huck, d’abord (1638) femme du charpentier Gaspard Braun, (1655) Marie Knaus, d’abord femme (1611) du fabricant de chausses Jean Philippe Bentz, (1620) du remueur de grains Thiébaut Kieffer, (1637) de l’amidonnier Georges Heller et (1653) de l’amidonnier Jean Frickhœffer, puis (1666) Anne Nox, veuve du journalier Georges Sauser – luthériens |
1677 | h | Jean Georges Schœttel, tisserand, et (1657) Barbe Reisseissen – luthériens |
1713 | h | Jean Schœttel, tisserand, et (1711) Anne Marie Sattler – luthériens |
1732 | v | Jean Klett, compagnon maçon, et (1721) Marie Dorothée Rœderer – luthériens |
1735 | h | Jean Georges Wacker, compagnon maçon, et (1735) Marie Dorothée Rœderer veuve de Jean Klett – luthériens |
1760 | v | Jean Georges Fendrich, remueur de grains, et (1732) Catherine Riehl – catholique, luthérienne convertie |
1786 | h | Jacques Braun, remueur de grains, et (1760) Anne Marie Fendrich – catholiques |
1830 | h | Thaddée Thirion, juriste, employé des vivres, et (1803) Marie Barbe Braun |
1837 | h | Jean Jacques Félix Adam, avocat puis juge, et (1822) Marie Madeleine Chastaing |
1843 | b | Jean Daniel Gœnner, tisserand, et (1836) Sophie Caroline Stephan |
1869 | h | Jean Daniel Gœnner, menuisier, et (1866) Louise Caroline Bauer |
1905 | h | Daniel Emile Gœnner, boucher, et (1896) Marie Madeleine Noth |
1911* | v | Georges Riff, aubergiste, et (v. 1886) Marie Uhl |
1934* | h | Albert Riff, ferbantier, et (1913) Elisabeth Gasser |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 150 livres en 1676, 225 livres en 1702, 275 livres en 1713, 325 livres en 1735, 450 livres en 1784
(1765, Liste Blondel) III 278, Jean George Fenderich
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Fenrich, 7 toises, 1 pied et 10 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 481, Thirion – maison, sol – 0,87 are / Adam Jean Joseph fils juge / Kiener Daniel tisserand, rue des Roses
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1786, Préposés au bâtiment (VII 1422)
Le maître maçon Maurice Engesser est autorisé au nom du marchand de grains Jean Jacques Braun à modifier un encadrement de porte et deux croisées rue de l’Evêque
(f° 122-v) Dienstags den 18. Julii 1786 – Joh: Jacob Braun Kornkäufer
Mr Engeser der Maurer, nôe Joh: Jacob Braun, des Kornkäufers, bittet zu erlauben an deßen Behausung in der Bischoffs Gaß ein Thür Gestell und Zwei Kreutzstöck zu versetzen. Erkannt Willfahrt
Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)
Le maître maçon Bernard Rottler expose les travaux que le remueur de grains Jean Jacques Braun a l’intention de faire dans la maison rue de l’Ecrevisse : aménager une buanderie à gauche du rez-de-chaussée, au premier étage un poêle chauffé par un fournerau en fonte, au deuxième étage une cuisine et à l’arrière un poêle chauffé depuis la cuisine. Remarque, Jacques Braun n’est pas encore propriétaire de la maison.
1778, Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)
Joh: Jacob Braun 478, 629
(p. 478) Mittwochs den 23.ten Septembris 1778. – Johann Jacob Braun der Kornwerffer, will in seiner ane der Krebsgaß gelegenen behaußung in dem gebäud linckerhand auf dem rez de chaussée eine Bauch Küche machen den offen auf den gewölbten Keller setzen das rohr mit einem caminschooß wohl versehen am steinern gäbel hinaufführen, Im ersten stock eine stube mit einem eisernen ofen in welchen in dem zimmer eingefeurt wird und dessen blechene rohr in das camin der bauchküche gerichtet. Im Zweÿten stock ane der Steeg eine Kuche mit Heerd und caminschooß wohl versehen neben daran eine stube mit einem gegoßenen offen in den aus der Kuch eingefeurt wird, und deßen blechene rohr in das Kuchencamin gerichtet. Erkannt Willfahrt. Mstr. Rottler.
Le maître maçon Maurice Engesser expose les travaux que le remueur de grains Jean Jacques Braun a l’intention de faire dans la maison rue de l’Evêque : au rez-de-chaussée une cuisine où se trouve un fourneau et à côté un poêle chauffé depuis la cuisine.
(p. 629) Mittwochs den 8.ten Novembris 1786 – Mstr Braun der Kornwerffer will in seiner ane der Bischoffsgaß gelegenen behaußung auf dem rez de chaussée eine Kuche mit herd und Caminschoß wohl versehen machen das rohr am steinernen gäbel hinauf vom allem holtz entfernt, nebens eine stube inn die aus der Kuch eingefeurt wird.
der erste und zweitestock sind dem rez de chaussée durchaus gleich. Erkannt Willfahrt. Mstr Engesser.
Description de la maison
- 1676 (billet d’estimation traduit) La maison assez délabrée est estimée à la somme de 300 florins
- 1702 (billet d’estimation traduit) La maison qui comprend un atelier, un bûcher et une cave voûtée est estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 450 florins
- 1713 (billet d’estimation traduit) La maison qui comprend un atelier, un bûcher et une cave voûtée est estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 550 florins
- 1734 (billet d’estimation traduit) La maison qui comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibules, chambre à soldats, petite cave voûtée est estimée avec la petite cour et autres appartenances et dépendances à la somme de 650 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
2° arrondissement ou Canton nord – Rue de l’Evêque
nouveau N° / ancien N° : 12 / 10
Braun
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages médiocres en bois
(Légende)
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
2° arrondissement ou Canton nord – Rue de l’Ecrevisse
nouveau N° / ancien N° : 15 / 8
porte de derrière du N° 12 rue de l’Evêque
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages en bois médiocre état
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 21 f° 136 case 3
Kiener Daniel, tisserand, rue des Roses à Strasbourg
Goenner Jean Daniel, rue du jardin aux Roses N° 4 / rue du Bateau 7 (1845)
N 481, maison, sol, R de l’evêque 16
Contenance : 0,87
Revenu total : 72,45 (72 et 0,45)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 26
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre napoléonien, registre 22 f° 637 case 1
Remarque. Les reconstructions de 1870 ne figurent pas au cadastre.
Goenner Jean Daniel, rue de la Douane 3 / Bischheim 12 / Wittwe
1906 (2429) Goenner Emil Daniel Metzger in Straßburg
(ancien f° 385)
N 481, maison, sol, Rue de Bischheim 12
Contenance : 0,87
Revenu total : 72,45 (72 et 0,45)
Folio de provenance : (136)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 26
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre allemand, registre 32 page 546 case 5
Parcelle, section 68, n° 62 – autrefois N 481
Canton : Krebsgasse Hs N° 16 und Bischheimergasse Hs N° 12 / Rue de l’Ecrevisse, Impasse de Bischheim
Désignation : Hf, Whs u. N.G.
Contenance : 0,86 / 0,88
Revenu : 800 – 1500
Remarques : V.W. II 77 – I. 13.X / 86
(Propriétaire), compte 2265
Gönner Emil Daniel
1911 Riff Georg und Ehefr.
1934 Riff Albert ferblantier et son épouse
(3380)
1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)
Canton 3, Rue 77 de l’Eveque
10
Loc. Fritz Michel, ouvrier à la fonderie Royal
Loc. Fenrich, Barbe tricote pour le mnd. fille Bourgeoise
Loc. Frantz, Joseph, invalide
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton III, Rue 77 de Bischofsheim p. 105
10
Lo. Fritz Michel, Ouvrier à la fonderie Royale
Lo. Fenrich, Barbe tricoteuse
1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)
Canton 3, Rue 78 de L’Ecrevice
8, porte du N° 10 de la Rue de L’Evêque
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton III, Rue 78 de L’Ecrevice p. 106
2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, Maisons donnant dans la rue de L’Eveché
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Krebsgasse (Seite 84)
(Haus Nr.) 16
Rauel, Metzgermstr. 0
Goenner, Wwe. E 1
Mossmann, Schneiderm. 1
Mahler, Schreiner. 2
Goener, Metzger. 3
Bischheimergässchen (Seite 12)
(Haus Nr.) 2
Emser, Malermstr.
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 776 W 53)
Rue de l’Ecrevisse 16 et impasse de Bischheim 12 (1864-1973)
Partie 12, impasse de Bischheim
Le propriétaire Gœnner charge en 1870 le maître maçon Charles Biedermann de faire une nouvelle façade, en briques et en pierre de taille, dont le troisième étage sera en retrait de 1,30 mètre. Daniel Gœnner charge en 1873 l’entrepreneur Speich de convertir une fenêtre en porte rue de l’Écrevisse. Il manque plusieurs barreaux en fer en 1885 au balcon qui court sur toute la largeur de la façade au-dessus du deuxième étage côté cour rue de l’Ecrevisse. La Police du Bâtiment demande en 1906 de plâtrer la cloison en lattes qui sépare l’atelier de menuiserie donnant dans l’impasse de Bischheim de l’atelier de charcuterie donnant dans le rue de l’Ecrevisse. Le bombardement aérien du 25 septembre 1944 endommage légèrement la maison. Le préfet autorise en septembre 1970 la ville devenue propriétaire de la maison à la démolir pour la « rénovation urbaine de l’Ilot Broglie ». D’après le rapport dressé en août 1970, deux pièces de bois sculpté provenant d’un encadrement de fenêtre du n° 14 se trouvent aux premier et deuxième étages.
Artisans. Auguste Vonhoff, peintre (1922), Alfred Mühlhauser (1924) puis Joseph Müller (1928), fabricants de poêles
Sommaire
- 1864 – Le maître maçon Joseph Biedermann (demeurant 28, rue du Fort) demande au nom de madame Griendner l’autorisation de crépir le rez-de-chaussée. L’agent voyer note que la maison est alignée
1870 – Le maître maçon Charles Biedermann demande au nom du propriétaire Gœnner l’autorisation de faire une nouvelle façade en briques et en pierre de taille, le troisième étage étant en retrait de 1,30. – Dessin – L’agent voyer note que le premier et le deuxième étage seront en maçonnerie, le troisième étage en pan de bois. La hauteur totale ne dépasse pas la hauteur réglementaire - 1885 – Le directeur de l’usine à gaz Weill-Gœtz demande au nom du boucher Bur, locataire, que l’installeur Beck soit autorisé à faire une prise pour environ 3 becs du 16, rue de l’Écrevisse – Autorisation
- 1887 – Le maire notifie Louise Gœnner (demeurant sur place) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1887
1895 – Le maire notifie Louise Gœnner (demeurant sur place) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, décembre 1895 - 1896 – Le directeur de l’usine à gaz Weill-Gœtz demande au nom du locataire Schwarzwælder l’autorisation de faire une prise pour environ 5 becs. – Autorisation
- 1897 – Le maire notifie la veuve Gœnner (demeurant sur place) de faire ravaler la façade. La propriétaire déclare que le peintre a retardé plusieurs fois les travaux, le maire accorde un délai – Rappel l’année suivante – Travaux terminés, août 1898.
1905 – Le maire notifie Emile Gœnner (demeurant sur place) de faire ravaler la façade. Le propriétaire qui vient d’acheter la maison et y fait des réparations demande un an de délai qu’accorde le maire – Travaux terminés, octobre 1906 - 1906 (mai) – On informe la Police du Bâtiment que l’atelier de menuiserie aménagé depuis peu au rez-de-chaussée vers l’impasse de Bischheim ne correspond pas aux prescriptions et qu’il est seulement séparé de l’atelier de charcuterie par une cloison en lattes. La Police du Bâtiment constate en outre que le fourneau n’est pas réglementaire. Le maire donne quinze jours au propriétaire pour supprimer l’atelier ou le réaménager. – Rappel en juillet. Emile Gœnner déclare que l’atelier de menuiserie était exploité par feu son père. Il demande un délai que le maire accorde.
1906 (décembre) – Le fourneau est réglementaire, la cloison est toujours la même
1907 (avril) – La cloison n’est toujours pas plâtrée mais les ateliers ne sont plus utilisés. La cloison est plâtrée, octobre 1907 - Commission contre les logements insalubres. 16, rue de l’Écrevisse – 1902. Propriétaire, veuve Gœnner, demeurant sur place. Une pièce sombre au deuxième étage ne doit pas servir de chambre à coucher. Le propriétaire déclare avoir l’intention d’agrandir la fenêtre qui donne vers la cage d’escalier pour mieux éclairer la pièce et d’ouvrir une fenêtre vers la chambre voisine pour assurer l’aération. – Travaux terminés, août 1902
1906, la pièce sombre ne pourra servir de chambre à coucher que si la porte vers la pièce voisine est décrochée. Emile Gœnner adresse au maire un courrier sur la porte vitrée
1903. Premier, étage, Fleischer. Pas d’ouvrier.
1908. Le locataire Lienhard se plaint de vermine puis retire sa plainte
1910, 1911, Rien à signaler
Commission des logements militaires, 1915. Remarques en trois points. Travaux terminés, avril 1916.
1924. Un enfant est malade de diphtérie - 1922 – Le peintre Auguste Vonhoff (20, rue des Charpentiers) demande l’autorisation de poser une enseigne plate à son atelier 16, rue de l’Écrevisse et une autre à son domicile – Accord, l’enseigne est posée
- 1924 – Le fabricant de poêles Alfred Mühlhauser demande l’autorisation de poser une enseigne plate (Ofen und Herdenreparatur Werkstätte, Alfred Mühlhauser Krebsgasse N° 16, Repariren und reinigen von Ofen und Herden) et une enseigne perpendiculaire (libellé en lettres noires sur fond jaune, Repariren und reinigen von Ofen und Herden, Alfred Mühlhauser) – Autorisation
- 1928 – Le poêlier Joseph Müller déclare avoir retiré son enseigne perpendiculaire.
- 1945 – Le bombardement aérien du 25 septembre 1944 endommage légèrement la maison. Certificat de sinistré remis à Albert Riff (troisième étage)
- 1970 (15 août) – La ville dépose une demande de démolir le bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages sis 16, rue de l’Écrevisse et 12, impasse de Bischheim pour réaliser son « projet d’urbanisme ». « Observations. L’immeuble est dans un mauvais état général. A l’angle est de la façade impasse de Bischheim se trouvent au premier et au deuxième étage deux pièces de bois sculpté provenant du n° 14 et qui faisaient partie d’encadrement de fenêtre. Une faible quantité de tuiles anciennes peut faire l’objet de récupération. » – Plan cadastral de situation
Rapport, le 22 VII 70. « La descente sur les lieux a été effectuée le 21 VII 70. Il a été constaté qu’il s’agissait d’un bâtiment comportant un rez de chaussée et 2 étages + 1 étage en retrait. Il est mitoyen du 18, rue de l’Ecrevisse, 10 impasse de Bischheim, le 14, rue de l’Ecrevisse – 16, impasse de Bischheim ayant été précédemment démoli.
Il s’agit d’une construction partie en maçonnerie partie en pans de bois. L’immeuble est dans un mauvais état général. A l’angle est de la façade impasse de Bischheim se trouvent au 1° et au 2° étage 2 pièces de bois sculpté provenant du n° 14 et qui faisaient partie d’encadrement de fenêtre. Une faible quantité de tuiles anciennes peut faire l’objet de récupération. »
1970 (18 août) – Le maire transmet le dossier avec avis favorable au directeur départemental de l’équipement
1970 (8 septembre) – Le préfet accorde le permis de démolir
1973 (avril) – Le bâtiment est démoli
Le propriétaire Gœnner charge en 1870 l’entrepreneur Charles Bidermann d’exhausser deux fenêtres au rez-de-chaussée et d’ajouter un troisième étage en retrait d’un mètre des étages inférieurs. L’agent voyer note que le rez-de-chaussée est en maçonnerie, le premier et le deuxième étage en pans de bois.
Sommaire
- 1870 – Charles Bidermann demande au nom du propriétaire Gœnner l’autorisation d’exhausser deux fenêtres au rez-de-chaussée, d’ajouter un troisième étage en retrait d’un mètre des étages inférieurs et de crépir la façade – Dessin – L’agent voyer note que le rez-de-chaussée est en maçonnerie, le premier et le deuxième étage en pans de bois
- 1873 – L’entrepreneur Speich demande au nom du propriétaire Daniel Gœnner l’autorisation de crépir la façade rue de Bischheim et celle rue de l’Écrevisse, de convertir une fenêtre en porte rue de l’Écrevisse – Croquis – L’agent voyer note que les façades sont alignées
- 1885 – Le commissaire de police informe la Police du Bâtiment que le balcon au-dessus du deuxième étage côté cour rue de l’Ecrevisse est en mauvais état. Le balcon qui s’étend sur toute la largeur de la façade a un garde-corps dont il manque plusieurs barreaux en fer. – Le propriétaire a posé un grillage en fer.
- 1895 – Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique. – Travaux terminés, mars 1897
Relevé d’actes
La maison appartient jusqu’en 1596 au charpentier Laurent Pfeffer. Originaire de Saverne, il achète le droit de bourgeoisie en 1573. Il devient contremaître au chantier des charpentiers, fonction qu’il occupe déjà en 1584.
1573, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 223
Lorentz Pfeffer von Elßaß Zabern der Zÿmmerman hatt das burgkrecht Kaufft und dient Zu den Zÿmmerleüth. Act. d. 22.t octob. 73.
Mentions de Laurent Pfeffer dans différents registres
1584 VII 1300 Bauherren – Werckhöffen, Zechen vff den höffen. 20. (bis) 21. (Lorentz Pfeffer der Barlier). 23. 27. Visierung vff den hoffen gemacht. 48. Murhoff und an anderen wercken unordnung. 50-52.
1590 VII 1306 Bauherren – Lorentz Pfeffer der Ballier unfleißig. 94. pt° kremer hütten. 96.
Meßhüttlin. 107. 181. Lorentz Pfeffer der barlier. 212.
1591 Conseillers et XXI (1 R 68) – Michel Düringer contra Lorentz Pfeffern. 407. 416. Lorentz Pfeffer (Balier vff dem Zimmerhoff, vide Michel Diringer). 132.
1598 VII 1313 Bauherren – Lorentz Pfeffer vmb platz vffm Roßmarck. 233.
Le contremaître Laurent Pfeffer se marie en 1590 avec Anne, fille du boulanger Jean Schmitt d’Ebersdorf
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 426-v n° 30)
1590. Iubilate. Lorentz Pfeffer der polirer auff dem Zimmerhoff vnd Anna Johann Schmidts des becken von Ebersdorff hinterlaßene tochter. Eingesegnet Zu S. Thoman (i 221) Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 122 n° 387) 1590. Domin. Jubilate. Lorentz Pfeffer, der ballierer auff dem Zimmerhoff vnd Anna Hans Schmidt. des becken von Ebersdorff nachgelaßene tochter, eingesegnet d. 18. Maÿ (i 130)
Laurent Pfeffer se remarie en 1596 avec Sara, fille du jardinier Simon Adolph
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 39, n° 7) 1596. Dominica III. Post Epiphanias. Lorentz Pfeffer der polirer auff dem Zimmerhoff vnd Sara, Simon Adolphs des gartenmanns hinderlaßene tochter, Eingesegnet Montag auf Liechtless den 2. Februarÿ (i 48)
Le maître des rentes rapporte que les marchands et revendeurs se plaignent des chicanes de Laurent Pfeffer.
1600, Préposés au bâtiment (VII 1315)
Lorentz Pfeffer ballier vffm Zimmerhoff beclagt. 192.
(f° 192-v) Mittwoch 10.ten Xbr. – Lorentz Pfeffer ballier
H. Mathis Stöffelin hat antzeigt das der vom Zinßmr. vernommen das die frembd. Kauffleüth vnd Kremer hefftig vber Lorentz Pfeffer den Ballier vffm Zimmerhoff clag. das derselb sie mit den schäfften und Registern vffhalte, nit fürdere sie verhaiss. vnd schenck. Ihm dan wil, aber dan verschneide er vil holtz Zu untheür Zu dem Regalen, dadurch mein H. vnd frembde beschwerd werd. der Ist deßhalben für gestalt, vnd gehört, sagt were das vom Ihme reede, der werde fehlen, das es werde ihm nichts, die Meßhütter oder andere möchtens betteln vnd thun, er fordere Ihnen nichts, es seie Ihm verschinen Meß nichts word. wiß auch nit das mans Ihm hievor und.sagt, doch mag es lang sein, Ist Ihme genugsam und.sagt diß und dergleich müssig Zugehen, wo mans mehr erfahren werd. ein Anderst gegen Ihm für genomen derhalben soll er sorg Zum leicht han
La veuve de Laurent Pfeffer sollicite la permission de continuer à habiter le logement qu’elle occupait avec son mari pour mieux pouvoir rembourser ses dettes. Les préposés répondent que le logement n’était pas attaché à la fonction du défunt et que la veuve possède des maisons qu’elle loue.
1604, Préposés au bâtiment (VII 1319)
Lorentz Pfeffers des Palliers vffm Zimmerhoff witwe vmb wohnung. 89.
(f° 89-v) Mittwoch 6.t Junÿ – Lorentz Pfeffers des Palliers vffm Zimmerhoff witwe vnd dochter mit beÿstand Manng Biechlin und Ulrich Adams bitten weil er gestorben vnd Zimblich schuld. verlaß. so bitten sie, sie die witwe ein Jar od. etlich in solch heüßlin od. thürnlin wohnen Zu laß. Zu besserer vßbringung und Zalung d. schuld., deren Ist antzeigt das hauß gehör nit Zum dienst sondern stehe beÿ mein h. solches Zuuerlüh. wann sie wöllen, vnd könne man sie nit vertrösten sonder mög sie sich umbsehen weil sie selbst heußer Zuverlüh. hat.
Le tuteur de Philippe Pfeffer, fils du contremaître Laurent Pfeffer, rembourse seize florins dus au garde Michel Theurer sur une maison rue de l’Ecrevisse
1609 (vt spâ [11. Julÿ]), Chancellerie, vol. 384 (Registranda Kügler) f° 317-v
(Inchoat. fo: 340.) Erschienen Mang Büchele der Schnÿder alls geschwornen Vogts Philips Pfefferer Wÿland Lorentz Pfefferer Ballier vff dem Zimmerhoff seligen Sohn
hatt in gegensein Michael Theürers Guardi knecht – erlegt 16 pfund pfenning hauptgutt (…)
solche Zinß durch Jörg pfefferer Zimmermann alls er Ime ein Behußung vff dem Roßmarck Inn Krebßgaß gelegen abkhaufft gewÿßen worden
Laurent Pfeffer vend au charpentier Jean Schwartz la maison rue de l’Evêque, chargée d’une rente laudémiale envers le chapitre Saint-Pierre-le-Jeune. En marge, quittance accordée à Jean Schwartz en 1639 par le sergent Martin Heckhirn
1596 (Vts [xxix tag Septembris]), Chancellerie, vol. 303 (Registranda Meyger) f° 201-v
(P. fol: 216.) Erschienen Lorentz Pfäffer d. Zimmermann, burg. Zu Straßburg, Hatt für sich & Eines vffecht & verkaufft
Hanß Schwartz dem Zimmermann ouch Burgern Zu Straßburg, So Zu geg., Ime & vestiglich Khouffe,
Hauß, Hoffestatt, vnd höfflin Mit Iren gebeüwen & geleg. allhie Inn der St. Straßburg Am Roßmarckt, Inn Bischoffsgaß, einseit nebent einer Behausung dem Stifft Zum Jung. St. Peter Zugehörig, And.sit nebent Jörg Gartt dem Einspänniger, vnd Hind. Inn der Krepß gaß stossend, da sie auch einen außgang haben, Dauon gohnd 16 Schilling vnd 8 pfenning gelts, sie seÿen gleich Ewig, Ehrschätzig, fürbiettig, Inn Müntz od. geldt Ablösig, Wie die Brieff darüber sagend, solches außweisen, alß hetts d. Khöüffer über sich genommen, dem Stifft Zum Jung. St. Peter, So dann 5 Pfund d gelts Ablösig mit 100 Pfund d dem großen gemeÿnen allmusen Zu Sant Marx, Jährlich vff Weÿhenachten, Sunst ledig vnd eÿgen Vnnd alles Recht, Also das der Khouff vber hieuor bestimpte beschwerd. Zugang. & für vnd Vmb Vier hundert vnd Zehenthalben guld. St. werung
Hiebeÿ vnd mit sind gewesen die Ehrenvesten Hochgelehrtten vnd Ersamen H Lucas Eberlin d. Artzeneÿ doctor, Mathÿs Reÿbell der Steinmetz, obgements khöuffers Schwäger, Vnd Hanß Seÿler d. Zimmermann.
[in margine,] Erschienen Martin Heckhirn der löuffersbott hatt In gegensein hannß Schwartz. bekhandt, das Ane obgehörtten Kauffsumm erlegt (…) Act. 23. tag Octobris Anno xv C Lxxxxix.
Originaire de Wasselonne, Jean Schwartz épouse en 1594 Marie, fille du tailleur de pierres Matthias Reuchlin.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 62-v, n° 54)
1594. David X Post Trinitatis. Hans Schwartz von Wassel ein Zimmermann vnd Maria Matthis Reichlin des Steinmetzen tochter. Eingesegnet Montag den 12. Augusti (i 34)
Jean Schwartz devient bourgeois par sa femme deux mois après son mariage
1594, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104), p. 718
Hannß Schwartz vonn Waßlennheim ein Zimmermann, empfahet daß burgerrecht von Marien Marthenn Rheihlen deß Steinmetzen dochter vnndt will Zun Zimmer Leüttenn dienen Actum denn 19.t Octobris 94.
Laurent Pfeffer céde au sergent Martin Heckhirn 250 florins que lui doit Jean Schwartz sur le prix de la maison
1598 (xij tag Maÿ), Chancellerie, vol. 315 (Registranda Meyger) f° 133
(Inchoat. in proth. fol. 115.) Erschienen Lorentz Pfeffer der Zimmermann Burger Zu Straßburg, Hatt (verkaufft)
Martin Heckhinn dem Löufferßbott. Burgern Zu St.
Ein Schuld, Nemlich 250 guldin Straßburger Werung, So Er Lorentz Pfeffer vßstehen hatt, Vnd Ime Hannß Schwartz der Zimmermann, burger Zu Straßburg, Ane einem gekhoufften Hauß, alhie Am Roßmarckt, Inn Bischoffs gaß & gelegen, schuldig worden, Vermög Vffgerichter Verschreibung In Reg. 96. fol. 202.
(Vide in Reg. 96. fol. 202. – Vide et. 97. fol. 88)
Jean Schwartz hypothèque la maison au profit du docteur en médecine Luc Eberlin. Son beau-père Matthias Reuchlin se porte garant.
1600 (ix tag Octobris), Chancellerie, vol. 327 (Registranda Meyger) f° 265-v
(Inchoat. in Proth. fol: 279.) Erschienen Hannß Schwartz der Zimmerman Burger Zu Straßburg
Hatt bekhandt vnd Inn gegenwertigkheit des Ern Hochgelehrten Herrn Lucæ Eberlin der Artzneÿ doctoris Vnd Medici In Spittal alhie – schuldig sige 25 Pfund pfenning Straßburger
Zum vnderpfand ÿngesetzt, Hauß, hoffestatt vnd höfflin, mit allen iren geb. geleg. Inn d. Statt St. Am Roßmarckt Inn Bischoffs gaß, einsit neben einer Behausung dem Stifft Zum Jung. S. Peter Zugehörig vnd Anderseit neben Jörg Gart den Einspännig. Hinden vff die Krebß gaß stoßend, da sie auch einen vßgang habe, dauon gehnd xvj ß viij d glts dem Stifft Zum Jung. S Peter alhie, So dann v lb d gls Lösig mit C lb d dem grossen gemeynen Allmusen Zu Sant Marx, Mehr sindt sie noch hafft vnd verkäuffer für ein Schuldt 200 guldin Zu Zÿlen Zubezalend Martin Heckhern dem Löufferßbott. Wie man sagt,
Vnd Zu noch merer Vorgewisserung Ist auch Persönlich erschienen Mathÿs Reichell d. Steinmetz Burger Zu St. obgemelts Bekhenners Schwäher hat sich für sich & mit sampt Ime dem Bekhenner Zu einem Recht. Bürg. mit Vnd und selbst schuldner vnver. gesetzt
(Vide in Reg. 96 fol. 201 – Vide in Reg. 96 fol. 202)
Jean Schwartz hypothèque sa maison au profit de David Œsinger
1612 (xxj Aprilis), Chancellerie, vol. 400 (Registranda Kügler) f° 113-v
(Inchoat. fo: 127.) Erschienen Andreas Leffel der Murer vnd Hanß Schwartz der Zimmermann
haben in gegensein des Ehrengeachten herrn Dauid Ösingern bekhant – schuldig seÿen 35 Pfund Pfenning Per Rest an gelühenem gelt, so wie wegen Michel Keÿl dem Murer allß bürgen vnverscheÿdelich Zubezahlen vber sich genomen Zubezahlen
dafür Vnderpfand sein soll So Hanß Schwartz Verlegt Hauß hoffestatt vnd höfflin mit allen and. Ihren gebewen begriffen & gelegen In der Bischoffs gaßen vffm Roßmarckh einseÿt neben einer behausung vnser Frauwen werckh zugehörig, Anderseÿt Martin hoschen des Buchstaben gießers erben, stost hinden vff die Krebsgaßen, dauon genth 10 guld. gelts Ablesig mit 200 guld. St. Werung dem Almusen Zu Sanct Marx Mehr drithalben gulden gelts losig mit 50 guldin Herrn d. Lucas Eberlin, der Artzeneÿ doctoris, Item 10 guldin gelts Martin Heckhorn badern Im Speÿrbad, Stond Im Hauptgutt mit 200 guldin Straßburg. werung Abzulösen, So dann 16 schilling 8 pfenning Bodenzinß dem Schaffner Zum Jungen Sant Peter Sunst ledig eÿgen
Und Zu mehrer sicherheit ist erschÿnen Daniel Graner der Kurschner hatt sich ane gegen der Statt Straßburg wichsel, für Andreas Leffeln an obestimpter Sum weiter nicht dan allein für 35 guldin Zum rechten Bürgen, mit: und und selbst schuldner Vnverscheidentlich ernent vnd Inschreÿben laßen
Jean Schwartz et sa femme Marie, fille de Mattias Reichel, hypothèque une nouvelle fois la maison au profit de Luc Eberlin
1614 (xxvj Septembris), Chancellerie, vol. 413 (Registranda Kügler) f° 226-v
Erschienen hannß Schwartz Zimmermann vnd Marien sein eheliche hußfr. Wÿland Mathÿs Röüchels des Steinmetz selig. dochter
haben sich gegen dem Ehrwürdigen hochgelehrten herrn Lux Eberlin der Medicÿn doctorn Zub* j lb x ß loßig und xxv lb d
dafür Vnderpfand sein soll huß hoffestatt hefflin v hinderhuß mit all and. Iren geb. geleg. Inn d. S.S. vff dem Roßmarck Inn Bischoff gaß einsÿt neben herrn N. Spangenberger anderseit neben Martin heschen buchstaben gießer selig erben stoßend hind. vff die Krebßgaß, dauon gend fünff pfund glt loßig mit j C lb d S Marx Closter Mehr v lb d gelts loßig mit j C lb d Martin Eckher, Bader Im Spÿrbad sunst ledig eÿg. der Khauff für xxv lb
Marie (Reuchlin) veuve de Jean Schwartz se remarie en 1621 avec le charpentier Gaspard Braun, originaire de Trochtelfingen près de Nördlingen
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 331) 1621. Dom: 8. Trin, 22. Julÿ, Caspar Braun der Zimmermann Von Truchtelfing. beÿ Nördlingen, Maria Hans Schwartzen des Zimmermanns hinderlaßene Witwe. Eingesegnet Montag 30. Julÿ (i 170)
Gaspard Braun devient bourgeois par sa femme un mois après son mariage
1621, 4° Livre de bourgeoisie p. 39
Caspar Braun Von Drachtelfingen Beÿ Nördtling d. Zummerman Empfang d. Burg.recht Von Maria weÿland hanß Schwartzen Auch Zimmermanns selig. hind.laßene Wittib vnd dient Zu den Zimmerleuth Actum den 30. Augusti 1621
Gaspard Braun se remarie avec Marguerite, fille du jardinier Adolphe Huck
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 1-v) 1638. Dom. 2. Trinitatis. Caspar Braun der Zimmermann V. burger vndt Jungfr. Margaretha Adolph Hucken deß gartners nachgelaßene tochter. eingesegnet Montag d. 11. Junÿ JS Peter (u 2)
Le receveur de l’Orphelinat donne quittance à Gaspard Braun et à sa femme Marguerite Huck d’une somme léguée à l’Orphelinat par le baigneur Martin Heckhirn. L’acte est remplacé par un autre qui mentionne que le créancier était Jean Schwartz puis Gaspard Braun
1642 (25. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 489 f° 520-v
(cassirt weg. nachfolg. Verschreibung) Erschienen H. Johann Valentin Storckh Schaffner deß Waÿsenhaußes
hatt in gegensein Caspar Braunen deß Zimmer Manns und Margarethæ Huckhin seines ehelich. haußfrawen mit beÿstand Adolph Huckh Gartners ahne Steinstraß
demnach Er Braun besagtem Waÿsenhauß bißhero alle Jahr 10 guld. Straßb. Wehr. von vff und abe seinem alhie in Bischoffsgaß., neben H. Caspar Medlern dem Notario ein: und anderseit neben Paul Hardschmid. dem Haffen Macher, hind. vff die Krebßgaß alwo es auch ein Außgang hatt, stoßend gelegen vff Michaelis Zu Zinnß geraicht, so Weÿl. Martin Heckhirn der Speÿr Bader in crafft seines vor Weÿl. H. Urbano Rosenberg dem ältern geweßenen Notario seel. vffgerichtetem Testamento § Zum dritten dem weÿsenhauß legirt, Und aber solchen Zinnß ferner Zu geben nicht gelegen geweßen, Alß hette Er demselb. dem waÿsenhauß mit 200. guld. wehr. abgekaufft und abgelößt, also daß hauß solcher Beschwärdt allerdingß entledigt, maß. dann Er d. H. Schaffner solch hauptgelt mit consens der herren Pfleger zu gutem genügen würcklich empfang. zu haben bekandte
1642 (25. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 489 f° 521
Erschienen H. Johann Valentin Storckh Schaffner deß Waÿsenhaußes
hatt in gegensein Margarethæ Huckhin Caspar Braunen deß Zimmer Manns ehelich. haußfrawen, mit beÿstand erstegemeldts ihres Ehevogts und Adolph Huckh Gartners ahne Steinstraß ihres bruders bekannt
demnach etwan hannß Schwartz der Zimmer Mann hernach aber Er Braun, besagtem Waÿsenhauß alle Jahr Zehen gulden Straßb. Wehr. vff Michaelis von vff und abe seinem alhie in Bischoffsgaß., neben H. Caspar Medlern dem Notario ein: und anderseit neben Paul Hardschmid. dem Haffenmacher, hind. vff die Krebßgaß, allwo dieß hauß auch einen Außgang hatt, stoßend gelegenen hauß Zu raichen pflichtig, und von Weÿl. Martin Heckhirn dem Speÿr Badern in crafft seines vor Weÿl. H. Urbano Rosenberg dem ältern geweßenen Notario seel. vffgerichteten letzten willen, § Zum tritten, ins weÿsenhauß legirt word., Alß hette Er H. Schaffner mit consens der Hh. Pfleger daselbst Ihr Margarethæ huckhin solch. iährlich. Zinnß Zusampt. allen deß. recht. und Gerechtigkeiten gegen Ihme auß ihrem ohnverändert. Gut hiebeÿ bahr erlegt. 200 guld. Wehr. gäntzlich. cedirt
Marguerite Huck se remarie en 1644 avec Sébastien Schœttel.
Originaire d’Ittenheim, le tisserand Sébastien Schœttel achète le droit de bourgeoisie pour lui, sa femme et son enfant le 10 mai 1630.
1630, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 848
Sebastian Schottel Von Ittenheim der weber Erkhaufft d. Burg.recht für sich sein weib vnd Kündt vmb 20 goldguld. Wil Zünfftig beÿ den Tuchern od. webern den 10 May Aô 1630
Sébastien Schœttel d’Ittenheim, bourgeois de Strasbourg, est élu contrôleur des tonneaux à la Grue après la mort du précédent titulaire
1631, Protocole des Quinze (2 R 57)
(f° 6) Sambstag 19. Januarÿ – Sinner. Bastian Schottell
Oberungelthh. Heintzen Claus der Sinner seÿ verstorben, Ein Anderer an sein stell Zuerwöhlen, haben sich, wie vß dem Zoll Keller bericht worden, fünff darvmb gemeldet, mitt nammen Bastian Schottell Von Ittenheim, Michael Hornecker von Odolßhoffen, Martin Hummell von Botterßweÿher, Ohl Christmann Garttner vndt Hannß Geörg der Kupfferschmidt alle burger alhier, stehe Zu MH. wellchen Sie darzu bestellen wollen. Haben Sie vor Ihnen gehabt, Bastian Schottell für den stärckhern befunden. Erkandt, Soll Bastian Schottell angenommen sein, hatt Im Zollkeller die ordt. anzuhören vndt Zuschwören.
Le tisserand Sébastien Schœttel et sa femme Eve Münch font baptiser leur fils Jean Georges en 1633. Le nom de l’épouse est mentionné au contrat de mariage de Jean Georges Schœttel (voir plus bas).
Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 162)
1633, Eodem [13. 8.bris] Sebastian Schöttel, Lwb. Eva, K. Johann Georg (i 172)
Sébastien Schœttel épouse en 1637 Gertrude, veuve du jardinier Pierre Schütz : contrat de mariage, célébration
1637 (ut spâ [5. Aprilis]), Chambre des Contrats, vol. 477 f° 350-v
(Protocollatum fol. 113) Erschienen Bastian Schötel der Leinenweber Burger Zu St. alß hochzeiter An eim,
So dann Gertrud Peter Schützen deß gartners see. An Steinstraß alhie witib, alß hochzeiterin, mit beÿstand ihres Vogts Clauß Wolff deß gartners am 2. theil
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 237)
1637. Dom. Jubilate 30. April. Sebastian Schöttel d. Leinenweber v. burg. alhie v, Gertrut Peter Schützen gartners alhie Wittwe. Cop. 9. Maÿ Zu J St Peter (i 120)
Le jardinier Pierre Schütz épouse en 1622 Gertrude, fille de Gui Wincker de Gegenbach en Bade.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 349)
1622. Dom. 3. Trinit. 7. Julÿ. Peter Schütz der Garttner, Gertrudt Veit Wincker gewesenen Bürgers Zu Gengenbach hinderlaßene dochter. Eingesegnet Montag 15. Julÿ Im freÿgebeet (i 179)
Sébastien Schœttel épouse en 1644 Marguerite, veuve du charpentier Gaspard Braun
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 24)
1644. Dominica XVII Trinitatis 13. Oct. Sebastian Schöttel der Weber vndt burger allhie Vndt Margaretha Caspar Braunen des burgers vnnd Zimmermanns nachgelaßene Wittib. Copulirt 22. octob. Zinst. Alt. S Peter (i 31)
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 68) 1644. Dnca 17. Trinitatis 13. Octobr. Sebastian Schöttel Lienen Weber Burger allhie Margaretha Caspar Braunen des Zimmer Man vndt Burg.s alhier nachgelaßene Wittib. Zinst. 22. Oct. (i 69)
(Baptêmes, Saint-Pierre-le-Jeune, Maria 1646, Sebastian 1648, Maria 1653)
Le tisserand et contrôleur des tonneaux Sébastien Schœttel se remarie en 1655 avec Marie, femme délaissée par l’amidonnier Jean Frickhœffer. Marie Knaus avait épousé successivement le fabricant de chausses Jean Philippe Bentz en 1611, le remueur de grains Thiébaut Kieffer en 1620, le fabricant d’amidon Georges Heller en 1637 et le boulanger Jean Frickhœffer en 1653. Ce mariage a été dissous après qu’il est devenu notoire que Jean Frickhœffer avait déjà femme et enfant.
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 72-v n° 15)
1655. Dominica Jubilate. Sebastian Schöttel der Sinner am Gran Vnd Burger alhie Vndt Maria Johann Frickhöffers des Amlungmachers alhie Verlassenes Weib. Copulabant. Zinst d. 15.t Maÿ Zum Alt. Sct, Peter (i 84)
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 110 n° 14) 1655. Do. Jubil. 6. Maii. Sebastian Schöttel der leinweber v. Sinner, Maria von Hanß Johann Frickhöffer durch den Ordentlichen Richter geschieden. Zinst 15. (i 111)
Sébastien Schœttel se remarie en 1666 avec Anne (Nox), veuve du journalier Georges Sauser
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 157-v) n° 4)
1666. Dominicâ III. Epiphaniæ 21. Januarÿ Sebastian Schöttel der Sinner V. Burger alljie Vnd Anna Weÿl. Geörg Sausen deß Taglöhners Vndt Burgers allhie nachgelaßene Wittib. Copulavi Donnerst. 1. Feb. (i 173)
Susanne Braun, femme du tonnelier André Fritsch, vend un quart indivis de la maison à Sébastien Schœttel.
1673 (7. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 541 f° 393-v
Susanna Braunin, Andres Fritschen deß Küblers Eheweib, mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts
in gegensein Sebastian Schöttels deß Sinners am Grahn
Einen Vierten theil, deroselben für ohnvertheilt gebührend, ahne hauß höfflin hoffstatt und allen deren gebäwen begriffen Und Zugehördten alhier uff dem Roßmarckh in der Bischofs gaß, einseit neben hannß Blümel dem Corallenmacher, anderseit neben weÿl. Paul Hartschmidts deß haffenmachers nunmehr seel. nachgelaßener wittibin, hinden hatt erwehner behaußung einen Außgang in die Krebsgaß, welcher ietz Verkauffte Vierte theil insonderheit umb 50. fl. dem Großen Gemeinen Allmosen Zu St. Marx Verhafftet, so seÿe auch die ganze behaußung noch umb 33. fl. dem Stifft Jungen St. Peter Verbunden (pro rato übernohmen) – umb 20. lb
Anne Marie Nox meurt en 1676 en délaissant un fils, le journalier Jean Sauser, et les quatre enfants issus d’Anne Sausser et du journalier Jean Schorpach. Le veuf a droit à des reprises de sa précédente femme Marie Knauss. La maison dont le veuf a l’usufruit viager et qui appartient en partie aux deux enfants issus de Marguerite Huck figure à l’inventaire. Le titre relatif à la maison entière date de 1596. Les experts estiment la maison 150 livres. La masse propre au veuf est de 304 livres, celle des héritiers à 100 livres. L’actif de la communauté s’élève à 133 livres, le passif à 63 livres
1676 (30. 8.br), Not. Tromer (Jean Thomas, 64 not 9)
Inventarium vnnd Beschreibung Aller Haab, Nahrung vnnd güettere, ligend: vnnd Vahrender, Lehener vnd Eÿgener, Verändert vnd Unveränderter, Keinerleÿ dauon außgenommen noch hindergesetzt, so weÿland die Tugendsame Anna Maria Noxin deß Ehrengeachten Sebastian Schöttels Leinenwebers vnd Jetziger Zeit Sinnern am Gran auch burger alhie Zu Straßburg eheliche Haußfrau selig nach Ihrem Freÿtags den 13. 8.bris oder Weinmonaths dießes forth: vnnd Zu end lauffenden Jahrs beschehenen Tödlichen ableiben Verlaßen, Welche vff ansuchen erfordern vnd begehren Hanß Saußers Taglöhners vnd Burgers Zu Straßburg, für sich selbsten, So dann deß Ehrenvesten Wohlvorgeachten Herrn Eliæ Stösels Specereÿ händlers vnd Burgers Zu Straßburg alß geschwornen Curatoris Hannßen, Dieboldts, Georgen vnd Annen Geschwisterden weÿland Annæ Saußerin seeligen mit Hannß Schorpach Tagnern vnd Schirmbs Verwanthen alhie erbglaner* Vier Kinder, vnnd Ist gedachte Anna Saußerin seeligen Zwar biß Ann Ihro Absterben im burgerrecht verplieben diße vier Kinder aber sind gleich dem vatter ohnverburgert, obabgeleibter Frauwen seeligen Inn Voriger Ehe mit auch weÿland Georg Saußern Taglöhner vnd Burgern Zu Straßburg ehelich erbohrnen Sohns vnd dochter Auch dero Kindern vnd deßorts Encklin Zumahlen ab intestato nechster Erben, Andern Stamm Zum halben Theÿl (…) So beschehen vnnd Angefangen Inn wohlermelter Statt Straßburg auch fernern gegensein deß Wohl Ehrenvesten fürsichtig vnnd Weißen Herren Frantz Rudolph Mollingers, Holtzhändlers vnd Jetzigen Beÿsitzers E. E. Kleinen Raths auß wohlermelts Raths mittel Innahmen nechstberührter Schorpachischer Vier Kinder als frembder Erben hierzu gnädig deputirt, Montags den 30. Octobris oder Weinmonaths Anno 1676.
Ane Haußrath, So sich Inn hernach beschriebenner dem Wittwer für unverändert vnd ohngetheylt Zum halben Theÿl Eÿgenthümblich Zuständigen Inn der Statt Straßburg auch dero Vorstatt Inn sogenanten grünen Bruch gelegenen Behaußung befunden wie Volgt
In der Cammer A, In der Cammer B, Inn der Wohnstuben, Im haußöhren, Im Fordern Stüblin, Im vordern Haußöhren
Eÿgenthumb Ahne einner Behaußung (Widems Verfangenschaft) Item der Halbe Theÿl für Vngetheÿlt vonn vnnd Ahne einem Hauß, Höfflin vnd Hoffstatt mit Allen dero vbrigen gebäuwen, begriffen, weithen, Rechten vnd Zugehörden gelegen Inn der Statt Straßburg auff dem Roßmarckh vnd der so genannten Bischoffsgaßen, einseit neben Hannß Blümel dem Corallenmacher, Anderseith neben (-) Hinden hatt erwehnte Behaußung einen außgang Inn die Krebßgaß, vnnd gehen vonn der gantzen Behaußung Jährlichen vff (-) 16 ß 8 d Boden Zinß der Stifft zum Jungen St. Peter alhie so Inn Hauptgut doppel für ohnvergreifflich für 33. lb 6 ß 8 d. gerechnet würd, Ferner stehet vff gedachter Behaußung Ahne 100. lb d Capital welche mann der Stifft Zu St Marx alhie Schuldig war, hiehero Zur helffte 50. lb d. Darahn ermelter Stifft man 10. lb d die vorige 40. lb d. aber dem Wittwer alß der solch den Aprilis A° 1663. Innammen dißer seiner Zweÿer dorthien abgelößt vnd bezahlt Vnd Ist die gantze behaußung vonn der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistern Crafft vonn handen gegebenen Schrifftlichen vnd den Ersten Novembris Ao & 1676 datirten Scheins für ledig eÿgen angeschlagen vmb 150. lb. d. thut dißer unvertheilte halbe Theÿl 75 lb, Davon aber abzuziehen die helffte ahne obberührte 33. lb 6 ß d, daß Ist 16. lb 13 ß 4 ß, Vnd nechstgesetzte 50 lb, Macht Zusammen 66. lb 13 ß 4 d. Restiret noch so dießen Kindern gebührt vnd deßorths außzuwerffen 8. lb 6 ß 8 d.
Eÿgenthumb Ahne Häußern (W.) Item ein vierdtertheÿl für ungetheilt Vonn und Ahne hauß höfflin vnd Hoffstatt mit allen dero vbrigen gebäuwen begriffen weithen Rechten vnd Zugehörden gelegen Inn der Statt Straßburg vff dem Roßmarckh Inn der so genannten Bischoffsgaßen, einseit neben Hannß Blümel dem Corallenmacher, Anderseith neben (-) Hinden hatt erwehnte Behaußung einen außgang Inn die Krebßgaß, vnnd Ist dießer Vierdte theÿl Insonderheit noch verhafftet umb 25. lb Ahne 100. lb d Capital gehen dem gemeinen Allmoßen Zu St Marx Alhie, so dann gehen vonn der gantzen Behaußung auch noch Jährlichen vff (-) 16 ß 8 d hiehero Inn Hauptgut doppel für ohnvergreifflich für 33. lb 6 ß 8 d. dem gemelten Stifft des Wittwers beeden mitt Margaretha Huckin seeligen erbornen Kindern mit nahmen Diebolden und Frawen Anna Maria Hannß Caspar Braunen des Zimmermanns der vberige Vierten Theÿl sampt den beschwerden für vnbgetheilt gebührig
Vber dißen Wittwers vierdten (davon aber theÿl nachgemelte beede beschwerden der 29 lb 3 ß 4 s Abzuziehen, verpleibt *en Rest so alhie in Außwurff Zubringen 8 lb 6 ß 8 d) besagt ein Pergamentin Kauffbrieff mit der Statt Straßburg Contract Stuben Anhangendem Insiegel becräfftiget und datirt den 7. Julÿ Aô 1672. mit L.ra A. Über die gantze behausung aber besagt in Pergamentinen Kauffbrieff mit wohlermelter Statt Straßburg Contract Insigel becräfftiget deßen datum den 29. 7.bris 1596. mit N° 1 so sich aber anietzo nicht befunden
(W.) Item der halbe Theÿl für Ungetheilt von und ahne hauß hoff, hoffestatt
Inn der Statt Straßburg auch dero Vorstatt Inn grüen bruch (…)
Eÿgenthumb Ligender Veldtgütter (Inn Königshoffen bann)
Ergäntzung deß Wittwers Zugebrachten aber auch Zumahlen für unverändert vorbehaltenen Guths. Auß dem vber weÿland Mariæ Knaußin seiner nechst vorher verstorbenen haußfrauwen seeligen Verlaßenschafft durch Herrn Notarium Christoph Schüblern Jetzigen Alten Großen Raths verwanthen vffgericheten vnd den 9. Augusti A° 1665. datirten Inventario gezogen
Forma hujus Inventarÿ. deß Wittwers Unverändert Guth. Haußrath 46, Silbergeschirr 16, Pfenningzinß hauptgüter Hauptguth 40, Eÿgenthumb Ahne häußern 102 lb, Eigenthumb ligend güetter 11 lb, Lehengütter 12 lb, Ergäntzung 63, Wÿdembs Verfangenschaft 72, Summa summarum 364 lb – Abzuziehen, daßjenige, so derselbe seinen beeden mit weÿland Margaretha Huckin seeligen erzeügte noch lebenden Kindern wie hienechst fol. (-) Zusehen für Mütterlich Guth Schuldig 59 lb, Nach deren Abzug 304 lb
Der Erben Unverändertes, Haußrath 31, Schulden 1, Eÿgenthumb Eines Stuckh grundts 75, Ergäntzung (2, Abzug 8, Ist mehr bezahlt dann Zuergäntzen 6), Summa summarum 107 lb, Verbleibt 100 lb
Volget solchemnach Endlichen die Gemein, Verändert vnd Theÿlbare Substantz , Haußrath 3, Früchten vff der Casten 22, Wein im Keller 1, Blumen vff dem Veld 2, Schweinlin 4, Baarschafft 93, Schuld 6, Summa summarum 133 lb – Abzuziehen 63 lb – Nach deren Abzug 69 lb – Summa finalis 547 lb
Wÿdems Verfangenschaft, So der Wittwer wegen seiner beeden mit Margaretha Huckhin seel. erbohrene Kinder Diebold vnd Annæ Mariæ so noch ledigen Stand der Sohn Zwar Inn der Wanderschafft die dochter aber beÿ Ihme dem Vatter
Theilbar Guth, Haußrath 4, Früchten 22, Wein 1, Baarschafft 123, Schweinlin 4, Blumen auff dem Velde 2, Activ Schulden 6 lb 9 ß, Beßerung auff graaß, früchten, Weins Schweinlin und blumen auff dem velde 17, Summa summarum 164 lb – Passiv Schulden, deß Wittwers Ergäntzung 64, andere Schulden 4 (Zusammen) 67, Leÿd kleÿd 10 lb. Inventar Costen und sonst Uncosten 20 lb
Abschatzung Mittwochs den 1.t November 1676. Sebastian Schöttlers deß Sinners Zweÿer behaußungen, daß erste auff dem Roßmarckt in der Bischoffs gaß, so auch ein durchgang in die Krebsgaß hatt, welches hauß höfflein Vndt gebäw, allendthalben wohl besichtiget, Zimblich bawloß vndt schadthafft befundten, dem Jetzigen Preiß vndt wehrdt nach, sampt den darauff stehendten beschwerdten angeschlagen Vor Vndt Vmb Dreÿ hundert guldtin
Die Ander Behaußung im grienen bruch
Bezeigens Vnderschribne der Statt Straßburg geschwohrne Werckhleuth, hannß Georg Heckheler Werckmeister feß Frawen haußes, Joseph Lauttenschlager Werckmeister deß Maurhoffs, Jacob Lossi Werck Meister deß Zimmer hoffs.
Anne, épouse de Sébastien Schœttel, meurt à l’âge de 73 ans le 12 octobre 1676.
Sépulture, Sainte-Aurélie (luth. f° 15-v)
Anno 1676. Anna Baschen Schöttels fr. ætatis 73. Jahr starb Freit. 12. 8.bris vesp. med. 10 (i 17)
Le menuisier Gaspard Braun céde son quart de la maison à Sébastien Schœttel
1676 (23. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 952-v
Caspar Braun der Zimmermann
in gegensein Sebastian Schöttels deß Sinners am Gran
Einen vierdten theil denselben für ohnvertheilt gebührend ahne hauß, höfflin hoffstatt und allen deren Gebäwen, begriffen, Zugehördten rechten und Gerechtigkeiten alhier uff dem roßmarckh in der bischoffs Gaß, einseit neben hannß Blümel dem Corallen macher, anderseit neben weÿl. Paul Hartschmidts deß haffenmachers nunmehr seel. nachgelaßener Wittib, hinden hatt erwehnte behaußung einen außgang in die Krebßgaß, welcher ietzt Verkauffte Vierte theil insonderheit umb 50. fl. dem Großen Gemeinen Allmosen Zu St. Marx verhafftet, so seÿe auch die gantze behaußung umb 33. fl. dem Stifft Jungen St. Peter Verbunden – umb 20. lb
Sébastien Schœttel hypothèque la maison au profit de Jean Daniel Hess, receveur en chef de l’aumône Saint-Marc
1677 (30.4.), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 382
Sebastian Schöttel der Sinner ahm Grahn
in gegensein herrn Johann Daniel Heßen alß Oberschreibers deß Großen Gemeinen allmosens Zu St. Marx bekannt, daß Er Schöttel über die bereits Verschriebene 120. fl. ferners 80 gulden bahr nachgelühenen Geldt
unterpfand, hauß hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, und Zugehördten alhier an dem Roßmarckh in der bischoffs Gaß einseit neben Hannß Blümele dem Corallenmacher, anderseit neben Paul Hartschmidts deß Haffenmachers wittib, hinden hatt erwehnte behaußung einen Außgang in die Krebs Gaß
Sébastien Schœttel et le tuteur de ses deux enfants Thiébaut et Marie vendent la maison au tisserand Jean Georges Schœttel. En marge, quittance donnée par les autres enfants de Sébastien Schœttel, le perruquier Thiébaut Schœttel, Catherine Schœttel épouse du tailleur Jean Henri Friderich, Anne Schœttel épouse de Gaspard Diemer d’Ittenheim et Marie Schœttel femme du charretier Jean Daniel Dierstein.
1677 (4. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 678
Sebastian Schöttel der Sinner am Gran für sich selbsten, und Georg Hohe Gartner ahne Steinstraß alß Vogt diebolds und Mariæ der Schöttelischen Geschwisterd
in gegensein hannß Georg Schöttels deß Leinenwebers
hauß, höfflein, hoffstatt, mit allen deren Gebäwen, begriffen, Zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten alhier an dem Roßmarckt in der bischoffsgaß einseit neben hannß Blümle dem Corallenmacher anderseit neben weÿl. Paul Hartschmidts deß Haffenmachers nunmehr sel. nachgelaßener Wittibin, hinden hatt erwehnte behaußung einen Außgang in die Krebsgaß, davon gehend iährlichen term. Joh. Bapt: und weÿhenachten 16. lb. 8.d Erschatziges Zinnßes dem Stifft Jungen St. Peter, so seÿe solche behaußung auch noch umvb 200. fl. delm Großen Gemeinen allmosen Zu St. Marx Verhafftet – umb 150. lb
[in margine,] Erschienen Georg Hohe Gartner ahne Steinstras alß curator Diebolt Schöttels deß Paruquenmachers, ferners Johann Henrich Friderich der Schneider alß Ehevogt Catharinæ Schöttelin, Mehr Caspar Diemar Von Ittenheim alß Ehevogt Annæ Schöttelin weiters Johann Daniel Dirstein der faß zieher alß Ehevogt Mariæ Schöttelin haben in gegensein deß hierinn gedachten Käuffers bekannt, dEmnach derselbe daß Jenige so ihmen am kauffschilling uff ableiben deß. eheleiblichen Vatters erblich angefallen seÿn abgezogen, so habe Er der Käuffer den überrest seinen geschwistrig völlig erlegt (quittung) Act. 19. 9.br. 1680
Fils de Sébastien Schœttel et de sa (première) femme Eve Münch, Jean Georges Schœttel épouse en 1657 Barbe Reisseissen, fille de Philippe Reisseissen et de Marie Marthe Freundsperger : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung (…) Zwischen dem Ehrsahmen Meister Hanß Georg Schötteln dem Leinen weber es auch Ehrsamen Sebastian Schöttels des Sinners und burgers mit Eva München seel. erziehlten Sohn, mit beÿstandt gedachtes seines Vatters und Michel Schmidts des Weinstichers, seines geschwornen Vogts, alß hochzeitern an einem. So dann der tugendsahmen Jungfraw Barbara Reicheisin, Wÿland Herrn Philipp Reicheißens mit auch Weÿland Frau Maria Martha Freüdtspergerin beeden Eheleuthen seel. ehelich erziehlte tochter mit beÿstandt der Ehren Vesten Vorgeachten und Rechtsgelehrten hern Johann Jacob Redwitzen Notarÿ Ihres geschwornen Vogts und Hern Johann Daniel Reicheißens bau Policeÿ und Ehegericht schreibers Ihres Stieffbrudern als hochzeiterin am andern theil (…) So beschehen in des heÿlig Reichsfreÿen statt Straßburg den 21. Junÿ Anno 1658. Johann Jacob Redwitz Nots.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 88 n° 28)
1657. Dominica V. Trinitatis. Hans Geörg Schöttel der Leinen Weber Sebastian Schöttels burgers vnd Sinners alhier ehelicher Sohn und Jungfr Barbara H. Philipps Reicheÿsens, gewesenen burgers alhie Hinderlaßene eheliche Tochter. Copulabantur Zinst. d. 7. Junÿ Zum J. S Peter (i 99)
Jean Georges Schœttel meurt en 1701 en délaissant quatre enfants ou leurs représentants. On apprend peu de temps après que le fils établii à Leipzig n’a pas délaissé d’enfant. Les experts estiment la maison 225 livres. La masse propre aux héritiers est de 125 livres. L’actif de la communauté s’élève à 194 livres, le passif à 173 livres
1702 (2.2.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6113) n° 631
Inventarium undt beschreibung aller undt jeder Haab, Nahrung undt güther, so weÿlandt der Ehrenhaffte Hannß Georg Schöttel, gewesener Leinenweber burger alhier zu Straßburg nunmehr seelig, nach seinen d. 24. Xbris deß Jüngst abgewichenen 1701.ten Jahrs tödtlich genommenen hienscheid. hind.Ihme Verlaß. welche Verlaß.schafft auf freundliches ansuch. erford.n undt begehren dero ane nachstehendtem folio benambster deß verstorb.en seelig. hind.laß.er Erb. ab intestato vorgenommen, durch die Ehrn: undt tug.dtsame fraw Barbaram Reicheißin, die nachgelaßene wittib mit beÿstandt des wohl Ehren vest. undt rechts wohlgelehrten hern Johann Paul Tromers Notarÿ publici undt Oberschreibers des Groß. allmosens Zu St Marx auch burg.s alhier d.oselb. geordnet undt geschwornen vogts (…) welches bescheh. in Straßb. Donnerstags d. 2. febr. aô 1702.
Der verstorbene seelig hatt ab intestato Zu Erb. verlaß. wie volgt. 1. den Ehrsamen Hanß Philipp Schötteln, hohltregern burgern alhie so gegenwärtig, 3. weÿl. deß Ehrsamen Hanß Georg Schöttels, gewes. Schreiners Zu Leipzig seel. hind.laßene Kind. wan d.en annoch im leb. vorhand. man Zwar sehr daran Zweiffelt und solches auf bericht einzunehmen bestehet, d.entweg. denen Zu geg. d. wohl Ehrenveste undt weiße herr David Klein E. E. Kleinen Raths nunmahlig. beÿsitzer. als auß ged. Raths mittel deputirt. wobeÿ Zubericht. daß von d. Meisterschafft tischler od. Schreiner Handwercks ein brieff hieh. geschickt undt darinnen gemeldet word. daß Hanß Georg Schöttel Zwar Zwo töchter hind.laß. selbige alsbald nach dem vatter verstorb. also des Abgestorb.en todt nicht erlebt, 3. die Ehren: undt tug.dtsahme Catharinam Schöttelin, weÿl. des Ehrenhafft. Niclaus Geÿers gewes. Zeugmachers burg.s alhier hind,laßene wittib mit beÿstandt deß Ehrengeacht. Adam Burants leinenwebers burg.s Zu ged. Straßb. auch Sigristen Zum Jung. S. Peter, d.oselb. geordnet undt geschwornen vogts. 4. den Ehrsamen Johann Schötteln ledig. leinenweb. so majorennis, undt præsens alle deß verstorb.en seelig hind.laßene Kind. undt Zu gleich. theÿlen Erb.
Inn einer inn d. Statt Straßburg inn Bischoffsgaß geleg.en in dieße verlaßenschafft gehörig: hernach beschrieb.en behaußung hatt sich befunden
Inn der Soldat. Cammer, In der Cammer A, Inn der Cammer B, Im obern Haußöhren, In der Cammer C, Inn der wohnstub., Inn der Stub Cammer, Im mitlern Haußöhren, Inn der Kuch. Inn Bauch Küchl. Im Keller
Eÿgenthumb ane einer Behaußung. Item eine Behaußung, höfflein, hoffstatt mit allen d.en gebäwen, begriffen, Weiten, recht. Zugehörd. u. Gerechtigkeit. geleg. Alhier inn d. Statt Straßb. ane dem Roßmarck inn der Bischoffsgaß, eins. neb. Joh: Blümle dem Corallen mach. and.s neben Joh: Hartschmidt dem Nadler, hind. inn die Krebsgaß, so darin auch ein außgang gehet, davon geh. Jahres 16 ß 8 d Ehrschätzigs Zinnßes dem Stifft Zum Jung. St. Peter, So dann dem groß. gemeinen allmoß. Zu St Marx 5. lb d Jahrs auf 30. Aprilis et weÿh.acht. albösig inn hauptguth mit 100. lb. Sonsten freÿ ledig u. eÿg. und hiehero von den geschwornen Hhn Werckmeistern crafft Abschatzungs Zed. æst. pro 225. lb) Abgezog. ob.steh. beschwerd. 125. lb. restirt also annoch 100. lb. Darüber besagt ein teutsch. Perg. Kauffbrieff inn allh. Canc. Contr. stub gefertiget u. mit d.oselb. anh. Ins. verw. sub dato d. 24. 8.br. aô 1677. Dabeÿ ferner I. alt Perg. Kauffbrieff über ¼.t theil obbes. behaus. besagd.
Copia der Eheberedung (…) So beschehen in des heÿlig Reichsfreÿen statt Straßburg den 21. Junÿ Anno 1658. Johann Jacob Redwitz Nots.
Copia Codicilli. 1689 (…) auff Sonntag deß 9. Octobris zwischen dreÿ und Nahe Vier Uhren Nachmittags (…) persönlich erschienen seindt der Ehrengeachte Meister Johann Georg Schöttel der Leinen Weber und benebendt Ihme die Tugendsame Fraw Barbara Reichsißin, beede Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg, beede Von denen Gnaden Gottes gesund gehendt und stehender leiber darzu auch guter richtiger Sinnen und Vernunfftigen Gesprächs (…) Johann Paul Thromer Notarius Publicus
Volgt nun hierauff die Inventaô, undt beschreibung d. verlaßenschafft für und ahne sich selbst. Und anfänglich d. Wittib ohnveränd.t eÿg.thümblich v.mög. Sa. haußraths 16 ß, Guldener Ring 1, Pfenningzinß hauptgüter 45, Ergäntzung (124, abzuziehen 2, verbleibt) 122, Summa summarum 125 lb [sic]
Der Erben Vermögen, Ergäntzung (bawcost. in d. behaußung auf dem Stephans plan, 124, abzuziehen 2, rest) 122, Summa summarum 125 lb
Endlich wirdt nun auch d. gemein v.ändt. undt theilbahr guth beschrieb. Sa. haußraths 71, Sa. Schiff und geschirr Zum web. Handwerck gehörig 20, Silber 10 ß, Guldene Ring 1, Eÿg.thumb ane einer behaußung 100, Summa summarum 194 lb – Schulden 173, Rest 21 lb
Conclusio finalis Inventarÿ dem werth nach 244 lb, Conclusio finalis Inventarÿ der Statt Stall anschlag nach 212 lb
Abschatzung Dienstag d. 17.ten Janu. 1702. Weÿlandt deß Ehrenhafften und bescheidenen Meister Johann Georg Schöttel burger und Leinenweber seel. hinderlassene Fraw wittib und Erben behaußung alhier in der Statt Straßburg in der Krebß Gaßen, Einseitz neben herrn Johann Bliemel Ander seitz neben Johann hartschmidt dem haffenmacher hindenauff die bischoffs Gaßen tochter welche behaußung sambt werckhstatt holtz hauß hoff und einen gewölbten Keller auch übrige begriffen Zu Gehör und Gerechtih Keiten, wie solches in der besichtigung befunden und del jetzigen Preiß nach angeschlagen Vor und umb Vier hundtert Fünffzüg Gulden. Bezeügnus der Statt Straßburg geschworne Werckhleuthe. Joseph Lauttenschlager Werckmeister deß Münsters, Jacob Staudacher Werck Meister des Maurhoffs. Johann Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs
Barbe Reiseissen meurt en 1713 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison à la somme de 275 livres. L’actif de la succession s’élève à 226 livres, le passif à 1 livre
1713 (5.7.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 33) n° 1106
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so Weÿland die Ehren und tugendsahme Fraw Barbara Schöttelin gebohrne Reicheißin auch Weÿ. Meister Hanß Georg Schöttel geweßenen Leinenwebers und burgers allhier Zu Straßburg nachgelaßene Wittib nunmehr seelig, nach ihrem den 8. Junÿ instehenden 1713. Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen Ableibens Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen erfordern Vnd begehren der Verstorbenen fraw seelig hinterlaßener respective per Testamentum instituirte Erben, alle nach diesem Titulo Inventarÿ ordentlich benahmbßet – So Beschehen allhier in d. Königl. freÿen St, Str. auff Mittwoch den 5. Junÿ Anno 1713.
Die abgeleibte Fraw seelig hat per Testamentum Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. den Ehrenachtbahren Herrn Philipp Schöttel, hohlträher und burgern allhie Zu 1. Völligen Stammtheil, so auch der Inventation persönlich beÿgewohnt, 2. den Ehrsamen und bescheidenen Meister Johann Schöttel, Leinenweber und auch burger allhier, Zum andern Völligen Stammtheiln gleichfalls beÿ dem Geschäfft in persohn erschienen, 3. die Ehren: undt tugendsahme Fraw Catharinam gebohrne Schöttelin, David Heßel des Leinenwebers vnd Schirms Verwanthen allhier haußfraw, ane den 3.ten Stammtheil, Alle in Legitimam, so ebenfalls persönlich anweßend geweßen, in dem überrest solchen Stammtheils aber ermelter Catharinæ Heßelin in erster Ehe mit weÿl. Niclaus Geiger geweßenen Zeugmachers und Burgers allhier seelig erzeugte Tochter Nahmens Jgfr. Annam Salome Geigerin, welche bevögtiget mit obgedachtem H. Philipp Schötteln dero Mutter Brudern, weilen aber selbige hiebeÿ selbsten interessiret als hat in deßen nahmen Meister Johann Georg Linck d. Schneid. und Burger allhier als geordneter Theilvogt dem Geschäfft beÿgewohnt
In Einer allhier Zu Straßburg ahne der Bischoffs Gaß gelegenen vnd in dieße verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung sich Volgendermaßen befunden
In d. Obern Bühn, In der Cammer A, In der Soldaten Cammer, In dem obern Haußöhren, Inn der Cammer B, Vor dem Gemach, Im mitlern Haußöhren, In dem mittlern hindern Stüblein, Inn der Wohn Stub, Inn der Wohn Stub Cammer, In der Kuchen
Series rubricarum hujus Inventarÿ Sa. haußraths 40, Sa. Silbers 6 ß, Sa. Goldenen Ring 1, Sa. Pfenningzinß haupt Guths 30, Sa. Eÿgenthumb an i. behaußung 150, Sa. Activ Schulden 3,, Summa summarum 226 lb – Schulden (1), Nach deren Abzug 225 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 225 lb
Abschatzung den 28.ten Junÿ 1713. Weÿland der Tugendsamen Frawen Barbara Scheutlerin seel. hinderlaßene Erben ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in der bischoff Gaßen gelegen, Einseith neben herrn Philipp Blümel, Anderseith neben herrn Johannes hartschmitt, hinden auff die Krebs gaß stoßendt, Welch behaußung, Werckstatt, Gewölbter Keller, holtz heußel, hoff, hoffstatt samt aller recht. und gerechtigkeit, sich durch der Statt Straßburg Geschwohrne Werckhkeuthe in der besichtigung befunden und Jetzigem Preiß nach angeschlagen wird Vor und umb Fünff hundert und Fünffzig Gulden. Bezeichnus durch der statt Straßburg geschworene Werckhleuthe. Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs
Le fils cadet Jean Schœttel rachète de son frère et de sa soeur les parts de la maison dont il devient seul propriétaire
1713 (5.7.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 33) n° 1007
Abtheilungs Concept über Weÿlandt Frawen Barbaræ Schöttelin gebohrner Reicheißin seel. Verlaßenschafft, Anno 1713.
Abhandlung de Behaußung. Solche ist dem Jüngsten Sohn Johann Schötteln crafft eines underm 11. 7.brus A° 1713. beÿ E . E. Kleinen Raths getroffenen und confirmirten vergleichs, mit folgenden conditionen eÿgenthümblichen vberlaßen worden, 1. daß Er Johannes Schöttel die auff der Behaußung hafftenden 200. fl. Capital so dem Stifft St. Marx verzinßlich, wie auch der darauff hafftende Ehrschätzige Zinnß auff der Behaußung verblieb. vnd Er über abzug solcher onernum annoch 600 Gulden in das gemeine Erbe einzuschießen, wie auch den auff künfftig Weÿhenachtenn von obigem Cap: nach St Marx verfallenden Zinß der 10 fl. wie nicht weniger den für dießes Jahr würcklich verfallenen Ehrschätzigen Zinnß aus dem seinigen Zubezahlen schuldig sein solle, vnd so viel Zweÿtens die bezahlung des Kauffschillings betrifft (…)
Actum in præsentia herrn Philipp Schöttel des ältern Sohns, Johann Schöttel des Jüngern Sohns als Käuffers, Catharinæ Heßelin der tochter mit assistentz H Joh: Philipp Biber Maurer vnd Steinhauers und Johann Georg Lincken Schneiders beeder burgere allhier als vogt Jgfr. Anna Salome Geigerin obgedachter heßlerin tochter dißorths Enckelin, d. 7. 8.bris A° 1713.
Auß E. E. Kleinen Raths der Statt Straßburg Memoriale de A° 1713. Montag d. 11. Sept. In sachen Johann Schöttels des Leinenwebers und Burgers allhier Klägers contra Philipp Schöttel den Hohlträher undt burgern allhier et Consorten Beklagte Ist durch verwilligung Unsers Raths Deputirter herren Gerhard Von Stöckhen vnd hern Dr Johann Braun Volgender guthlich Vergleich getroffen, auch demselben getreulich nach Zugeleben abgelobt worden 1° So wollen beklagte die in die Verlaßenschafft gehörige und Gemeinschaftliche Behaußung dem Kläger Käufflich überlaßen, er Kläger auch auff nachfolgende weiß übernehmen, nemlich daß (2.do) die darauff hafftende 200 guld. Capital (…) [unterzeichnet] J B Hennenberg
Le tisserand Jean Schœttel épouse en 1711 Anne Marie, fille du pelletier Daniel Sattler
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 173-v)
1711. Domin. III. & VI post Trinit proclamirt worden Johann Schöttel der ledige Leinenweber und Burger allhier, weil. Johann Georg Schöttels, auch Leinenwebers v. burgers alhier nachgel. ehel. Sohn und Jfr. Anna Maria, weil. Daniel Sattlers, geweß. Kürschners v. Burgers allhier nachgelaßene ehel. T. Copulati sunt Mittw . d. 1. Julÿ [unterzeichnet] Johann Schöttel aks hochzeiter, Anna Maria Sattlrein als hoch zeitr (i 180)
Jean Schœttel et Anne Marie Sattler hypothèquent la maison au profit de Marguerite Dimpfelmeyer née Osterrieth
1713 (3.10.), Chambre des Contrats, vol. 586 f° 525-v
Johann Schöttel leinenweber und Anna Maria geb. Sattlerin seine hausfrau beÿständlich Daniel Sattler Kürßners und Joh: Jacob Carle schuemachers
in gegensein Margarethæ Dimpfelmeÿerin wittib geb. Osterriethin beÿständlich hanß Jacob Osterrieth schuemachers ihres Curatoris – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, ihre behaußung c. appert: in der Bischoffsgass, einseit neben Joh: Philipp Blümel anderseit neben Joh: hartschmidt hinten auff die Krebsgass 16 ß 8 d Ehrschätzigen zinß dem Stift Jungen St Peter
Jean Schœttel meurt à l’âge de 53 ans le 15 novembre 1720.
Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. reg. 1716-1782 f° 32-v)
1720. Sambst. d. 16. Novembr. abends um 6. uhr starb alhier Johannes Schöttel burg. v Leinenweber, und Wurde Mont. d. 18. Ejusd. auffd em Gottesacker S. Helenâ (allwo ich unterschriebener Pfarrer ihme auch die leichenpredigt gehalten) Christlichen gebrauch nach begraben, seines Alters 53 Jahr 3. Monath und 2 Wochen. [unterzeichnet] Joh: Ph, Schoettel Comp. u. Organisten als Hinterlaßener Bruders Sohn, Daniel Sattler al Verwadter (i 36)
Catherine Schœttel et sa fille donnent quittance au tuteur de la fille délaissée par Jean Schœttel
1732 (24.5.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 251
Fr. Catharina geb. Schöttelin weÿl. Nicolaus Heßel Leinenwebers hinterlaßene wittib und dero tochter erster Ehe Anna Salome Geÿerin, so majorennis und gleichwie auch ihre Mutter ohnbevögtigt zu seÿn versicherte, beÿständlich ihres Vettern H. Johann Philipp Schöttel des Organisten
in gegensein Johannes Schöttel Leinenwebers einigen Kindts Anna Maria Schöttelin geschwornen Vogts Daniel Sattler des Kürßners und Johannes Klett des Maurers als käuffers hiernach beschriebener behausung
als einen kauffschilling auff einer allhier an dem Roßmarckt und der Bischoffs gaß, einseit neben Johannes Blümel dem Mechanico anderseit neben Johannes Harttschmidt dem Nadler gelegenen behausung stehenden gehabt 50 fl.
La veuve et la fille mineure de Jean Schœttel vendent la maison au maçon Jean Klett et à sa femme Marie Dorothée Rœderer moyennant 345 livres
1732 (20.5.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 244-v
weÿl. Johannes Schöttel Leinenwebers mit seiner nachgelaßenen wittib Anna Maria geb. Sattlerin erzeugten einigen Kinds Anna Maria Schöttel geschworner vogt Daniel Sattler Kürßner
in gegensein Johannes Klett des Maurers und Mariæ Dorotheæ geb. Rödererin – am 15 ejusdem und obrigkeitlich confirmirte versteigerung
Eine Behausung höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten ahne dem Roßmarckt an der Bischoffsgaß, einseit neben Johannes Blümel dem Mechanico, anderseit neben Johannes Harttschmidt dem Nadler hinten auff die Krebs: gaß und einem ausgang in dieselbe habend – davon soll mann auff weÿnachten dem Stifft zum jungen St Peter 16 ß 8 ahne ewigem ehrschätzigen zinnß – um 300 pfund ausmachende capitalien beschwert, geschehen um 45 pfund
Les acquéreurs hypothèquent quelques jours plus tard la maison au profit de leur belle-sœur et sœur respective Anne Marie Rœderer
1732 (24.5.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 252
Johannes Klett der Maurer und Maria Dorothea geb. Rödererin mit beÿstand ihres geschwistrig kindts Ehemanns Zacharias Mathäus des schreiners und ihres Vettern Johann Michael Schwab des Schuemachers
in gegensein ihrer respective schwägerin und schwester Fr. Anna Maria Rödererin – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Eine Behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahne dem Roßmarckt in der Bischoffs: gaß, einseit neben Johannes Blümel dem Mechanico anderseit neben Johannes Harttschmidt dem Nadler hinten auff die Krebsgaß und einen ausgang in dieselbe habend gelegen – davon gibt man dem Stifft Jungen St Peter 16 ß 8 ahne ewigen ehrschätzigen Zinns
Fils du maçon Jean Klett de Dusslingen en juridiction de Tubingue, Jean Klett qui s’est fiancé à Marie Dorothée Rœderer fait établir un état de fortune pour devenir bourgeois
1721 (26.3.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 113) varia n° 55 (Vermögens Schein)
Daß Johannes Klett, Steinhauer und Maurergesell weÿl. Hannß Kletten geweßenen Maurers Zu Tußlingen, Tübinger Ambts hochfürstl. Würtembergischer Herrschafft hinderlaßener ehelicher Sohn, welcher sich mit Jungfrauen Maria Dorothea, Hannß Leonhardt Röderers des ältern, Rothgerbers Lederbereiters und burgers allhier Zu Straßburg ehelich erziehlter Tochter in eheliche Verlöbnus einzulaßen und dahero beÿ einem hochlöbl. Magistrat allhier, umb Gnädige Conferirung des burgerrechtes unterthänig einzukommen gesinnet, mir unterschriebenem Notario heut dato ane baarem Geldt, so ich selbsten gezehlet, sammenthafft 158 pfund vorgewießen und daß solches alles sein wahres Eigenthumb und einem andern reeders als Ihme Zuständig seÿe, beÿ der Jenigen handtreu welche obhochlöbl. ged. Magistrats hochansehnlichen Herren Deputirten er deßhalben abzudeyen haben wird, bezeuget, Ihme hiermit bescheinen. Strassburg den 26.ten Martÿ 1721.
Jean Klett épouse en 1721 Marie Dorothée Rœderer, fille du tanneur Jean Léonard Rœderer : contrat de mariage, célébration
1721 (18.4.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 104) n° 18
Eheberedung – entzwischen dem Ehrengeachten Johann Kletten, Steinhauern v. Maurern auch burg. allhier Zu Straßb. weÿl. des Ehren vnd vorgeachten Mstr. Hannß Kletten, geweßenen Maurers Zu Tußlingen Tübinger Ambts hochfürstl. Würtemberg. Herrschafft ehelich erziehltem v. nach tod hinderlaßenem Sohn, als dem Bräutigamn ane einem,
So dann der Ehren und tugendbegabten Jungfrauen Mariæ Dorotheæ Rödererin, des Ehren und Vorgeachten H. Hannß Leonhard Röderers, des ältern Rothgerbers, Lederbereiters v. Burgers allhier ehelicher Tochter als der Jungfrau hochzeiterin ane dem andern Theil
So beschehen in der Königl. freÿ Statt Straßburg in mein Not. Wohnbehausung ane dem alten weinmarckt gelegen auff Freÿtag den 18.ten Aprilis A° 1721. [unterzeichnet] Johannis Klet alls hoch Zeiter, Maria dorothea rödererin Alß hochzeirin
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 88-v)
1721. Eodem [d. 30. Aprilis] sind Ehelich eingesegnet word. Johannes Klett der ledig. Steinhauer vnd Maurer Weiland Johannis Keltten gewesenen Burgers vnd Steinhauers Zu Dußlingen in der Herrschafft Wirtenberg nachgelaßener Ehelicher Sohn vnd Jungfr. Maria Dorothea Leonhardt Röderers des Burgers und Rothgerbers auch Lederbereiters allhier Eheliche tochter [unterzeichnet] hans K, Maria dorothea röderejn Als hoch Zeitrin (i 91)
Jean Klett devient bourgeois par sa femme deux mois après son mariage
1721, 4° Livre de bourgeoisie f° 863
Johannes Klett der Steinhawer aus dem Würthenbergischen weÿl. Johann Kletten gew. Maurer und Steinhawers allda ehel. Sohn erhalt d. Burg.recht Von seiner Ehefrawen Maria Dorothea weÿl. Johann Leonhard Röderer gew. burg. und Rothgerbers hinterl. Tochter, vmb 2. Gold fm. 16 ß w. beÿ E. E. der Maurer dienen, jur. den 5.ten Julÿ 1721.
Le compagnon maçon et tailleur de pierres Jean Klett devient tributaire chez les Maçons le 22 juillet 1721
1721, Protocole de la tribu des Maçons (XI 235)
(f° 32) Dienstags den 22.ten Julÿ 1721. – E. Neuzünfftiger
Johannes Klett, Steinhauer Vnd Maurer aber nitmeister auß dem Würtenbergischen, Weÿlland Johann Kletten des geweßenen Steinhauers vnd maurers ehelicher Sohn producirt Cantzleÿ vnd Pfenningthurns schein vom 5.ten et Stallschein vom 7. Julÿ 1721. mit bitte Ihne vor einen Zünfftigen anzunehmen.
Erkandt, gegen Erlag der gebühr Willfahrt.
dt vor den Pfenningthurn 1 lb, Zunfftrecht 1 lb 5 ß Zunfftschreiber und büttel 4 ß (zusammen) 2. lb 9 ß
Jean Klett meurt en 1734 en délaissant pour héritiers son frère et sa sœur. Les experts estiment la maison à la somme de 325 livres. L’actif de la succession s’élève à 217 livres, le passif à 93 livres.
1734 (8.4.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 48) n° 432
Inventarium über Weÿl. des Ehrengeachten Johann Kletten, gewesenen Steinhauers, Maurers und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1734. – nachdeme derselbe den 17.ten Martÿ dießes lauffenden 1734. Jahrs Von dem Lieben Gott auß dießer welt seelig abgefordert worden Zeitlichen hinder sich verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freund. Ansuchen erfordern und begehren der Ehren und tugendbegabten Frauen Mariæ Dorotheæ Klettin geb. Rödererin, deß Verstorb. seel. geweßter Ehegattin und nunmalig hinderbliebener Wittib, mit beÿstand deß wohl Ehren und Kunst erfahrenen herrn Johann Blümels Mechanici und Burgers allhier, ihres ane statt eines geschwornen Vogts hierzu erbettenen Herrn Assistenten inventirt (…) So beschehen allhier Zu Straßburg auff Donnerstag den 8.ten Aprilis 1734.
Der Verstorbene seelig hat in mangel ehelich erzeugter Kinder ab intestato Zu Erben Verlaßen wie Volgt 1. Johann Georg Kletten, Steinh. v. Maurern zu Tußlingen, Tübinger Ambts, hochfsrt. Würtenbergischer herrschafft, deßen eheleiblichen bruder und 2. Frau Salome gebohrne Klettin, herrn (-) des Musicanten undt burgers Zu gedachtem Tußlingen Ehegattin deßen eheleibliche Schwester, So beede abweßend, in deren Nahmen aber der Ehrenvest, Wohlvorgeacht und weiße herr Johann Michael Creutzer, Schloßer und E. E. Kleinen raths dermaliger Beÿsitzer, als auß Ehrengeachtem Raths Mittel, Krafft Extractus Memorialis vom 7. hujus mensis Aprilis hierzu in specie abgeordneter herr, den Geschäfft Persöhn. beÿgewohnt.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Bischoffs gaß beÿ dem Roßmarckt gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebener behaußung befunden worden als Volgt
Eigenthumb ane einer Behaußung. Eine Behaußung, höfflein vnd hoffstatt mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörden v. gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane dem roßmarckt, zu beeden seithen in die Bischoffs v. Krebßgaß außsehend, in der Bischoffsgaß einseit neben eingangs wohlgedachtem herrn Joh: Blümel, anderseith neben Johann Hardtschmid dem Nadler v. in der Krebs gaß auch neben dießen beeden Nachbaren geleg. so über hernach gemeldte dar oben hafftende beschwerden eig. und ohne solche durch (die Werckmeistere) vermög deroselben ad conc. geliefferten schrifftlichen Abschatzung vom 5.ten dießes monaths Aprilis angeschlagen pro 325. lb d. Davon reicht man Jährl. dem Stifft Zum Jungen St Peter allhier 16 ß 8 d ane ewig. Ehrschätzigen Zinnß auff weinachten so zu doppeltem Capital ohnpræjudicirlich gerechnet antrifft 33. lb 6 ß 8 d. Mehr gefallen davon dem Grosen gemeinen Allmoßen Zu St. Marx allhier jährl. 4. lb d so in Capital abzuloßen mit 100 lb. Machen dieße beede Posten zusammen 133 lb 6 ß 8 d. Solche nun von Vorherigem Anschlag des haußes abgezogen, so verbleibt ane demselben dißorts annoch per rest außzuwerffen übrig 191. 13. 4. Wie der Verstorbene v. deßen nun malige wittib dieße behaußung von weÿl. Joh: Schöttels deß geweßenen Leinenwebers mit Frauen Anna Maria geb. Sattlerin seiner hinderlaßenen Wittib ehelich erzeugtem einig. Kindts Annæ Mariæ Schöttelin geschwornem Vogten Nahmens Daniel Sattler dem Kirschner allhier eigenthbl. ane sich erkauffet, weißet ein teutsch Pergam. Kauffbrieff in allhieß Cancell. Contr. stuben gefert. v. mit deros. anhang. Insiegel verwahrt, dat. den 20. Maji Anno 1732.. Dabeÿ noch ein alter teutscher Perg. Kauffbrieff in ermelter Contractstuben gefertiget und mit dero anhang. Insiegel bekräfftiget datirt den 4. oct. aô 1677.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
Volgt nun hierauff die Beschreibung der gesambten verlaßenschafft, welche in krafft hievorn einverleibter Ehepacten völlig vor theilbahr Zuhalten, vor und ane sich selbsten. Sa. haußraths 24, Sa. Silbers 10 ß, Sa. goldenen ring 1, Sa. Eigenthum ane einer behaußung 191, Summa summarum 217 lb – Schulden 93 lb, gantze restirende Verlaßenschafft, 124. lb
Abschatzung dem: 5 Aprill: 1734. Auff begehren weillandt deß bescheitenen Johannes Klötten deß geweßenen Steinhauer, seel. hinder Laßnen Frau wittib und Erben, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg, in der Krëbß gaßen gelegen, ein seits Neben Johannes Hardtschmidt dem Satler, ander seits Neben Johannes Blümell dem Steinschleiffer, hinden auff die Bischoffs gaßen Stoßent, welche behaußung Stuben Cammren Kuchen hauß Ehren soldaten Cammer gewölbtes Këllerlein und Kleines höffell, sambt aller gerechtig Keidt wie solches turch dero Statt Straßburg geschworne wërckleuthe sich in dero besichtigung befunden und Jetzigem Preÿß nach angeschlagen wirdt Vor und Umb Sechs Hundert und Vünffzig Gulden
Bezeichnuß durch der Statt Straßburg geschwornen werckleüthen [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les héritiers non bourgeois doivent régler le droit de détraction.
1734, Livres de la Taille (VII 1177) f° 320
Maurer F. N. 6252 – Weÿl. Johannes Klett gewesenen Maurer Steinhauer und Burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Lang
Concl. Fin. Inv. ist fol. 39.b 124. 1. 8. die machen 200. fl. Verstallte hiengegen 300 fl.
Ext. Stallgeltt pro 1734, 1 lb 16 ß
Gebott,2 ß
Abhandlung, 5 ß 6 d, Summa 2. lb 3. ß 6. d
Abzug. Johann Georg Klett der Maurer und Fr. Salome gebohrne Klettin von Tußlingen Tübinger Ambt Würtemberg. Jurisdiction haben Von 12 lb. 18 ß 3 d Finito usufructu anfallendem Erbe den Abzug Zuerlegen mit 1. lb 5 ß 10 s
dt. 21. Aprilis 1734.
Testament par lequel Marie Dorothée Rœderer institue pour son héritière sa sœur Anne Marie Catherine Wessinger née Rœderer.
1734 (10.10.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 58)
Testamentum nuncupativum Frauen Mariæ Dorotheæ Klettin gebohrner Rödererin Wittib Zuwißen daß auff Dienstag den 12.ten Octobris Anno 1734. Nachmittag Zwischen 4. und 5. Uhren in (…) meiner ordinari Schreibstub, die fenster auff die tächer außsehend, die Ehren und tugendsame Frau Maria Dorothea Klettin gebohrne Rödererin, weÿl. Johann Kletten geweßenen Steinhauers Maurers und burgers alhier seel. nachgelaßene wittib durch die Gnade Gottes auffrecht gesund gehendt und stehenden Leibs auffrichtiger Sinnen guter Vernunfft und verstandts
5. Zum Grund und Fundament dießes ihres Testaments setzt eingangs gedachte Frau Maria Dorothea gebohrne Rödererin die Testantin, was nach Abzug vorher verordneter Præ: und legaten an ihrer Verlaßenschafft annoch übrig und vorhanden seyn wird, Krafft dieß Zu ihren wahren und ohngezweiffelten Erben ein benantlichen Jungfer Annam Mariam gebohrne Rödererin und obgemelte Frau Mariam Catharinam Weßingerin gebohrne Rödererin wittib ihre Zwo leibliche Schwester und zwar nur Zur helffte
[unterzeichnet] Maria Dorothea Klättin
Originaire de Breitenstein en Wurtemberg, Jean Georges Wacker qui s’est fiancé avec Marie Dorothée Rœderer, veuve du maçon Jean Klett, fait dresser en juin 1735 un état de fortune pour devenir bourgeois
1735 (25.6.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 68) Designationes
persönlich kommen und erschienen ist, der Ehrbahre Johann Georg Wacker, Lediger Steinhauer und Maurer, Von Breitenstein würtenbergischer Jurisdiction gebürtig, so Verlobt an Frau Mariam Dorotheam Klettin gebohrne Rödererin weÿland Johannis Kletten geweßenen Steinhauers Maurers und burgers alhie seel. nachgelaßener wittib, hat mir Vorgewießen und baar Vorgezahlt, in Gold und silberner gangbahren Sorten die summ von 257 Pfund Straßburger, handtreulich behabend daß Er zu dießem Geld einigen heller nicht gelehnt, weniger etwas darauff schuldig, sondern vielmehr sein wahren und pures eÿgenthumb seÿe – Straßburg den 25.ten Junÿ 1735.
La maîtrise des Maçons refuse de délivrer un certificat pour que Jean Georges Wacker, originaire de Breitenstein en juridiction de Bebenhausen, puisse devenir bourgeois parce que sa demande contrevient au règlement. Jean Georges Wacker s’adresse aux Quinze qui lui accordent dispense.
1735, Protocole des Quinze (2 R 143)
(p. 332) Sambstag d. 16. Julÿ 1735. – Moss. nôe Joh: Georg Wackers ledig Maurer und Steinhawers C. E. E. Zunfft der Maurer Zfft. Meister, der Implorant ist durch mitkommend. bescheid an Mghh. verwießen, bitt Deput. et facta relatione gn. Zu erkennen daß Ihme ein Zunfftschein Zum Burgerrecht ex gratia gedeÿen möge. Erk. Deput: Willfahrt beÿ welcher der Zunfftmeister beÿ denen Maurern erscheinen solle.
NB manquent les pp. 339-386 (23 juillet-27 août)
(f° 387) bezogen haben. Auff seithen der Hh. Deputirten Vermeine man deß dem Imploranten ebenmäßig mit einem Zunfft Schein Zu erhaltung des Burgerrechts dispensando Zu Willfahren seÿe, gegen erlag der unkösten und 1. lb d. pro dispensat., die Genehmigung Zu Mghh. stellend. Erkandt, bedacht gefolgt.
(p. 392) Sambstag d. 3. Sept. 1735
Bescheid. Sambstag d. 27. Augusti 1735 – In Sachen Johann Georg Wackers des Maurers und Steinhawers Gesellen von Breitenstein Bebenheußer Ampts Würtenbergischer Herrschafft gebürtig, Implorant, ane einem entgegen und wider E. E.. Zunfft der allhießigen Maurer Imploraten, am andern theil, Auff producirten Zunfft Gerichts Bescheid Vom 14. Julÿ jüngst, laut deßen der Implorant puncto Verlangten Zunfft Scheins Zum Burgerrecht an Unß die XV. Verwisen worden, deßelben gethanes Unterthäniges ansuchen und bitten Deputation, und relatione factâ Zu erkennen, daß Ihme ein Zunfftschein Zum burger Recht gedeÿen mögen der Imploraten darüber gethane Verantwortung und angehencktem bitten den Gegner mit seinem wieder Ordnung lauffenden begehren abzuweißen, Ref. Exp. bewilligte und beseßene Depp. Ist der gn. Depp. abgelegten Relation nach Erkandt, daß dem Imploranten in seinem begehren Zu willfahren seÿe, Alß wir ein solches hiemit dispensando erkennen, mit dem anhang daß er neben denen unkösten annoch pro dispensatione 1. lb d halb der Statt und halb der Zunfft Zu erlegen schuldig sein solle.
Fils du maçon Jean Wacker de Breitenstein (près de Weil im Schönbuch, voir plus loin l’inventaire), Jean Georges Wacker épouse en 1735 Marie Dorothée Rœderer, veuve de Jean Klett : contrat de mariage, célébration
1735 (1. 8.br), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 76) n° 843
Eheberedung Zwischen dem Ehrengeachten Johann Georg Wacker ledigen Steinhauer und Maurer Von Breitenstein würtenbergischer herrschafft gebürtig alß bräuthigam ane einem,
So dann der Ehren: und Tugendsahmen Frauen Mariæ Dorotheæ Klettin gebohrner Rödererin, weÿl. Johannis Kletten geweßenen Steinhauers Maurers und burgers alhie seel. nachgelaßener wittib als Hochzeiterin am Andern theÿl
So beschehen Straßburg en 1.ten Octobris Anno 1735. [unterzeichnet] Johann Georg Wacker als hoch Zeitter, Maria Dorothea Klättin Als hoch Zietterin
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 131, n° XXXIII)
1735. Dominica XVI. et XVII Trinitat. proclamati sunt Johann Georg Wacker der ledige Maurer v Steinhauer von Breitenstein in dem Hertzogthum Würtemberg, Weÿl. Johannes Wacker gewesenen Maurers v. Steinhauers daselbsten nachgelaßener ehel. Sohn, v. Fr. Maria Dorothea geb. Rödererin Weÿl. Johannis Klett geweßenen Maurers v. Steinhauers auch burgers alhier hinterlaßener Wittib. copulati sunt Mittw. den 5. Octobr. [unterzeichnet] Johann Georg Wacker als hoch Zeitter, Maria dorothea klättin als hoch Zeittrin (i 135)
Jean Georges Wacker devient bourgeois par sa femme cinq semaines après son mariage
1735, 4° Livre de bourgeoisie p. 1026
Johann Geörg Wacker Maurer und Steinhauer im Würtenbergisch. erhalt d. b. von seiner ehefr. Dorothea Klettin umb d: alt. b. will beÿ E. E. Zunfft d: Maurer dienen. Jur. eodem [14.ten 9.b 1735]
Jean Georges Wacker devient tributaire chez les Maçons le 15 décembre 1735.
1735 (15. Xbr), Protocole de la tribu des Maçons (XI 236)
(f° 191) Donnerstags den 15. Decembris 1735 E. Neu Zünfftiger
Johann Geörg Wacker, Maurer vnd Steinhauer Von Breitenstein im würtenbergischen gebürtig, producirt Cantzleÿ, Pfenningthurn vnd Stallschein vom 14. et 18.t Novembris 1735. Krafft dessen Er Von Dorothea, weÿlland Johann Kletten geweßenen burgers, maurers und Steinhauers, auch dießorths Zünfftigen hinderlaßene Wittib seine Ehefrau das burgerrecht umb den alten burger schilling erhalten, auch den Fewreÿler bezahlt, vnd sich mit bitte denselben vor einen Zünfftigen anzunehmen.
Erkannt Willfahrt. dt. vor den Pfenningthurn 1. lb,vor das Zunfftrecht in ansehung seine Ehefrau eines Zünfftigen Tochter 5 ß, Vnd Einschreibgebühr 4 ß (zusammen) 1. lb 9 ß
Jean Georges Wacker sollicite la permission de faire son chef d’œuvre bien qu’il soit marié. Il déclare qu’il ne peut pas bien gagner sa vie en étant compagnon. Il présente un certificat d’après lequel il a travaillé pendant trois ans à construire l’hôtel de Hanau. La maîtrise des Maçons déclare que la même dispense a été récemment refusée à Jean Georges Widmann. Les Quinze refusent d’accorder une dispense et délivent une expédition de leur décision.
1741, Protocole des Quinze (2 R 150)
Joh: Georg Wacker Ca. E. E. Handwerck der Maurer
(p. 513) Sambstag d. 9. Sept. 1741. – Fuchß nôe. Joh: Georg Wacker des burgers und verheurathete, Maurers Gesellen Cit. E. E. Handw. der Maurer Ober M. pt° admissionis Zuù Mstest. prod. Underth. Mem. sambt beÿlagen Sub N. 1. 2. et 3. nomine comparente bitt des botten relation. Ille dem Ober Meister in Mund. Erkandt, Solle beÿ Geldstraff gebetten Werden.
(p. 524) Sambstag d. 16. Sept. 1741. – Fuchß nôe. Joh: Georg Wacker Cit. beÿ straff E. E. Handwerck der Maurer Ober M. erholt petit. vom 9. Maÿ. Römer bitt Cop. und ad prox. Fuchß laßt Copeÿ Zu, bitt Deput. Römer ut modo. Erk. Wird Copeÿ und Dep. ad prox. Willfahrt.
(p. 543) Sambstag d. 23. Sept. 1741. – Fuchß nôe. Joh: Georg Wacker Cit. E. E. Handwerck der Maurer erholt prod. und Recess vom 9. und 16. huj. Römer prod. Except. Fuchß berufft sich auff prod. bitt Deput et facta relatione Zu erkennen wie darinn gebetten worden. Römer wie auch Dep. und Wie im producto. Erk. Deput. Willfahrt.
(p. 696) Sambstag d. 30. Xbris 1741. – Joh: Georg Wacker Ca. E. E. Handwerck der Maurer
Ober Handwerck Herren laßen durch Hrn Secretarium Kleinclaus referiren, den 9. Sept. jüngst habe Johann Georg Wackher der verheurathete burger und Maurers Gesell allhier contra E. E. Handwerck der Maurer ein Vnderth. Memoriale mit beÿlagen Sub N. 1. 2. et 3. producirt, und darinnen vnderth. gebetten Ihme, alß einem hießigen burger in gnaden Zu erlauben daß er in Verheuratheten stand das Meisterstück machen dörffe. Nun seÿ er laut beÿlag N° 1 derentwegen Von E.E. Handwerck abgewiesen worden, habe eines Burgers wittib geheurathet, müße die burgerliche onera tragen, die nöthige Nahrung Verdienen, Kopff und Stallgeld bezahlen, Welches alles er alß Gesell nicht auffbringen Könne, Habe sein Handwerck ordnungs mäßig erlernt, und sich darauff wohl Verhalten wie aus denen beÿlagen /:deren die einte sub N° 2 ein attestat von H Widemann Vom 31. Aug. 1741. daß Er, Wacker beÿ dem Heßen Hanawischen Lichtenberg. Hoffbaw allhier 3. Jahr alß Gesell und dreÿ Jahr als Balier in arbeit gestanden, und sich wohl und so verhalten daß Ihme nichts anders alß alles ruhm würdige nachgesaget werden Könne:/ Zu ersehen.
Den 23. Ejusdem habe ged. Handwerck Exceptiones producirt und darinnen vnderth. gebetten, den Imploranten mit seinem Wider ordnung lauffendem Begehr Ref. Expensis abzuweißen, maßen das meisterstück nach Inhalt Articuls in den ledigen stand Zu verfertigen daher auch geschehen daß erst in dießem Jahrdas nemliche Begehren dem Joh: Georg Widemann Von Mgh. abgeschlagen worden, und wann alle die sich, wie Gegner in gleichem Casu befinden, Zum Meisterstück gelaßen werden solten, wurden mehr Maurermeister als Baw herren hier sein.
Beÿ gebettener, bewilligter und beseßener Depp. Habe der Implorant sein petitum wiederhohler. Nahmens E. E. Meisterschafft seÿen vorgestanden Johann Martin Gruber, Jacob Seemann undt Johann Carl Hißkÿ, welche geantwortet, Sie bäthen den Gegner, alß der Verheurathet mit seinem begehren abzuweißen und die Meisterschafft beÿ Ihren articuln gn. Zu manuteniren. Auff seithen der Hh. Deputirten Vermeine man daß der Implorant mit seinem begehren abzuweißen, und in die unkosten Zu condemniren, die Genehmhaltung Zu Mghh. stellend. Ist per Majora Erkant, bedacht gefolgt.
Protocole des Quinze (2 R 151)
(p. 26) Sambstag d. 13. Januarÿ 1742
Bescheid – Sambstag d. 30. Xbris 1741. In Sachen Johann Georg Wacker des verheuratheten burgers und Maurers Gesellen, Imploranten, ane einem, entgegen undt Wieder E. E. Handwerck der Maurer, Imploraten, am andern theil, Auff producirtes vnderth.ges Memoriale vnd beÿlagen Sub N. 1. 2. et 3. und angehencktem Bitten, dem Imploranten alß einem hießigen burger in gnaden Zu erlauben, daß Er in Verheuratheten stand das Meisterstück machen möge. Exceptiones, juncto petito den Imploranten mit seinem Wider ordnung lauffendem Begehren Ref. Expensis abzuweißen. Gebettene, bewilligte und beseßene Deputation, und all übriges angehörte Vor: und Anbringen, Ist der Herren Deputirten abgelegten Relation nach Erkandt, daß der Implorant mit seinem begehren abzuweißen, und in die unkosten Zu condemniren.
Jean Georges Wacker meurt en 1748 en délaissant un frère et une sœur. La valeur de la maison est reprise du précédent inventaire. La masse propre à la veuve est de 214 livres, celle propre aux héritiers de 1 livre. L’actif de la communauté s’élève à 33 livres, le passif à 12 livres.
1749 (4.2.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 482) n° 409
Inventarium über Weÿl. des Ehrengeachten Johann Georg Wacker gewes. Maurers v. Steinhauers, auch B: allh. Zu Strb: nunmehr seel. Verlt. auffgerichtet Anno 1749. – nach seinem Montags den 30.ten Decembris, des nächsthin gelegt: 1748.ten Jahrs beschehenen töd. Ableib: hie Zeitl. Verl: Welche Verl: auf freundl. Ans: v. begehr: d. Ehren v. Tugend. Fr: Mariä Dorotheä geb. Röderein der hinterbl. Wit. invent: v. ers. dh. ebenderselbige beÿständl. H Anton Hilpert des Consigne v. burgers allhier (…) So geschehen in d. Königl. St. Strb. auff Dienstag den 4.ten des Mon: febr: A° 1749.
Der Verstorbene seel. Hat ab intestato Zu Erben verlaßen als folgt. 1° Peter Wacker, der Maurer zu Breitenstein in dem Schwabenland wohnhaft, 2.do Solte Er auch ine Schwester nach todt hinterlaßenen haben, deren Nahmen aber noch Zur Zeit unbekandt. Weilen nun solche Erben alh. frembd b. ohnverburgert als ist zufolg Extractus Memorialis Es En Kl. Raths allh. vom 1. hujus S. T. H. Joh: Friderich Ströhlin vornehmen Apothecker v. ged. Ehrsamen Raths jetzmahl: wohlverdient. beÿsitzer Zu dießem Geschäfft abgeordnet worden, welcher auch dabeÿ in Persohn erschienen
In einer allhier Zu Straßburg ane der Bischoffsgaß, beÿ dem Roßmarckt gelegenen, hiehero Eigenthüml. gehörigen v. hernach beschrb. behaußung ist befunden worden als folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung. (W.) Neml. eine Behaus. höfflein v. hoffstatt m. allen deren Gebäuen, begrif. Weiten, Rechten, Zugehörd: v. Gerechtigkeit, gel: allh. Zu Strb. ane dem Roßmarckt, Zu beeden seiten in die Bischoffs v. Krebßgaß aussehend, in d: Bischoffsgaß 1. seit neben H. Joh: Blümel Mechanico v. b: allh: 2. seith neben Joh: Hardtschmidt dem Nadler, v. in der Krebsgaß auch neben dießen beed. Nachbaren geleg. so über hernach gemeldte darauff hafftende beschwerden eigen v. dh. (die Werckmeistere) Vermög deroselb. in Hn Joh: Daniel Lang: Notii Academici et pract. Schreibst. befindl: zu weÿl. Joh: Kletten gewes. Steinhauer, Maurers v. b. allh. seel. als der hinterbl. Wit: ersteren Ehemanns Verl. Invent. Conc: geliefert. schrifftl. Abschatz: vom 5.ten Aprilis A° 1734 angeschlag. pro 325. lb. Beÿ welchen Anschlag weilen seithero darinnen, keine haubt Melioration geschehen die Wohlverordnete Hh. Dreÿ d. St: Str: Stall es großgünstig Zu laßen beliebet haben. Davon reicht man Jährl. dem Stifft Zum Jungen St Peter allh. 16 ß 8 d. ane ewigen ehrschätzigen Zinnß auff Weÿhenachten, so zu doppelt: Cap: ohnpræjudicirlich gerechnet, antrifft 33. lb 6 ß 8 d. So dann ist solche behaus. auch noch mit einem Cap: beschwehr. welches hernach unter denen Passivis befindl. Vorstehende beschwerde nun von vorherigem Anschag des haußes abgezogen, So verbleibt daran annoch per rest Auszuwerffen übrig 291. 13. 4. Wie die hinterblieb. Wit: ersterer Ehemann sell. vorged: nebst ihro diese behaus. v. weÿl. Joh: Schöttels des gewes. Leinenweb: m: Fr: Anna Maria geb. Sattlerin, seiner hinderlas:Wit: ehelich erzeugtem einig. Kindts Annä Mariä Schöttelin geschwornem Vogt, Nahmens Daniel Sattler, dem Kirschner allh: eigenthumbl. an sich erkaufft, weißet ein teutscher perg: Kbr: in allh: C. C. stb. gefertiget, m. d° anh. Ins: verw: datirt den 20. May A° 1732.. Dabeÿ noch ein alter teutscher perg: Kbr: in erm: Contr: stb: gef: v. mit dero anhang. Ins: bekräfft: dat: den 4. Octobr. A° 1617. Welche aber dermahlen nicht vorgewies. word.
Copia der Eheberedung (…) den 1. Octobris Ann) 1735. Christoph Michael Hoffmann
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Bericht über gegenwärtige Verlaßenschafft. Es berichtete die hinterbliebene Wittib und obschon darinen abgeredet, daß bald nach geschehener Cop: beed: seits in die Ehe gebrachtes Vermögen inventirt werden solle, so seÿe solches noch nicht geschehen (…)
Der Wittib eigenthuml: Vermögen, Sa. haußraths 10, Sa. Silbers 8 ß, Sa. gold. o. 1, Sa. Eigenthum ane einer Behauß. 291, Sa. Schulden 60, Summa summarum 364 lb – Schulden 150 lb, Compensando 214 lb
Dießemnach wird auch der Erben Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 1 ß, Sa. baarschafft 58, Summa summarum 58 lb – Schulden 60 lb: Conferendo 1 lb
Endlichen wird auch das gemein und theilbar Guth beschrieben, Sa. haußraths 30, Sa. Silbers 2, Summa summarum 33 lb – Schulden 12, In Vergleichung 21 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 234 lb
(Joint) Weÿl im Schönbuch. Der Verstorbene Johann Geörg Wacker geweßter burger und Steinhauer zu Straßburg, hat folgende Geschwistrige hinterlaßen. 1. Johann Peter Wackern, burger und Steinhauer Zu Braittenstein und 2. Barbara, weÿl. Johannes Maurers, gleichfalls burgers daselbsten, Nachgelaßene Wittib. Der Bruder Johann Peter Wacker wird sich selbsten in Straßburg præsentiren, die Schwester Barbara aber het ihr interesse beÿ ihres seel: bruders theÿlung Zu besorgen (…) Actum d. 18.d 9.br 1749 T. Amtmann Zu Weÿl im Schönbuch, Georg Christoph Heller
Marie Dorothée Rœderer hypothèque la maison au profit de Marie Salomé Rœderer, veuve du cordonnier Jacques Ensel
1751 (16.4.), Chambre des Contrats, vol. 625 f° 186
Fr. Maria Dorothea geb. Rödererin weÿl. Johann Georg Wacker des maurers und steinhauers wittib mit beÿstand Daniel Röderer des schuhmachers
in gegensein Fr. Mariæ Salome geb. Rödererin weÿl. Jacob Enßel des schuhmachers wittib mit beÿstand ihres bruders H. Exsenatoris Johann Röderer præceptoris superioris gymnasÿ – schuldig seÿe 150 lb [unterzeichnet] Entzlerin
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt ane dem Roßmarckt in der Bischoffgaß, einseit neben Johann Blümel dem mechanico, anderseit neben H. Hartschmidt dem nadler, hinten auff die Krebsgaß – davon gibt man dem stifft jungen St Peter 16 ß 8 d ane ewigen ehrschätzigen zinß
Décomptes entre Marie Dorothée Rœderer et Marie Catherine Rœderer
1753, Not. Thenn (Répertoire 6 E 41, 664-5) n° 21
Frauen Mariä Dorotheä Wackerin gebohrner Rödererin und Frauen Mariä Catharinä Weißin gebohrner Rödererin Abrechnung
1756, Not. Thenn (Répertoire 6 E 41, 664-5) n° 56
Fraun Mariä Dorotheä Wackerin gebohrner Rödererin und Frauen Mariä Catharina Weißingerin gebohrner Rödererin Abrechnung
Marie Dorothée Rœderer hypothèque la maison au profit du courtier Jean Michel Fügner
1759 (11.1.), Chambre des Contrats, vol. 633 n° 6
Fr. Maria Dorothea geb. Rödererin weÿl. Hanß Georg Wacker des maurers steinhauers wittib beiständlich Johann Georg Füchtner des courtier
in gegensein Johann Michael Fügner des glaßers – schuldig seÿe 50 lb
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt ane dem Roßmarckt, einseit neben Maria Salome Blümelin, anderseit neben Hardtschmidts erben, hinten auff die Krebsgaß – davon gibt man dem Stifft jungen St Peter 6 ß 8 d ane ewigen ehrschätzigen Zinß
Marie Dorothée Rœderer veuve de Jean Georges Wacker vend la maison au remueur de grains Jean Georges Fendrich et à sa femme Catherine Riehl
1760 (23.8.), Chambre des Contrats, vol. 634 f° 253-v
Fr. Maria Dorothea geb. Rödererin weÿl. Johann Georg Wacker des steinhauers wittib
in gegensein Johann Georg Fänderich des kornwerffers und Catharinæ geb. Riehlin
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, zugehörden und rechten ane dem Roßmarckt in der Bischoffsgaß, einseit neben weÿl. Johann Blümel des mechanici erben, anderseit neben Johann Harttschmidt des nadlers wittib und erben, hinten auff die Krebsgaß – davon gibt man auf weyhnachten dem Stifft Jungen St Peter 1 fl. 6 ß 8 d ane ewigen ehrschätzigen zinß – als ein theils den 20. maÿ 1732 erkaufftes theils von ihrem Ehemann erster Ehe ererbt theils von deßen erben ihro cedirtes guth – um 100 und 150 lb capitalien verhafftet, geschehen um 350 pfund
Jean Georges Fendrich épouse la nouvelle convertie Catherine Riehl originaire de Pfulgriesheim.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 26)
Hodie 27.a Maÿ Anni 1732. Duabus proclamationibus in Ecclesia parochiali in Pfettisheim et Pfaulgriesheim Diœcesis Argentinensis (…) sacro Matrimonÿ vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Honesti adolescentes Joannes Georgius Fendrich et Catharina RIelin oriunda Ex pfaulgriesheim neoconversa (signé) hans Georg Fendrich, + signum sponsæ (i 16)
Catherine Riehl figure dans le répertoire des convertis tenu par les Jésuites
Conversions par les Jésuites (1 AST 305, p. 289) Catharina Rielin 1732 Maÿ 19
Joseph Fendrich est le frère de Jean Georges comme le mentionne l’acte ci-dessous et ceux où il est l’oncle d’Anne Marie Fendrich. Il est le fils de Martin Fendrich et de Barbe Strobler, de Neidlingen à son mariage en 1739 avec Anne Marie Mast.
Mariage, Saint-Laurent (cath. f° 226-v)
Hodie 8. junÿ anni 1739 (…) sacro matrimonÿ vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt honestus Josephus Fenderich, filius legitimus defuncti Martini Fenderich et Barbaræ Stroblerin, oriundus ex parochia neidinganâ prope densen* diœcesis Constantiensis in famulatu in hac urbe existens parochianis noster et pudica puella Maria Anna Mastin, filia legitima defunctorum Michaelis Mast et Annæ Mariæ Keplerin, oriunda ex parochiâ [ger]oltzeck trans Rhenum hujus diœcesis, parochiana etiam nostra, Testes adfuerunt (…) Joannes Georgius Fenderich sponsi frater (signé) Joseph fendtricjh + signum sponsæ, hans Georg fendrich (i 232)
Le portefaix manant Jean Georges Fendrich et sa femme Catherine Riehl, dite originaire de Strasbourg, deviennent bourgeois à l’ancien tarif en 1744. Leurs cinq enfants suivent la coutume, c’est-à-dire qu’ils ne deviennent pas bourgeois.
1744, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) f° 158
Johann Georg Fehndrich der Sackträger und Schirmer und deßen Ehefrau Catharina gebohrene Riehlin Von hier gebürtig erhalten das burgerrecht jedes um den alten burger schilling ihre 5. Kinder aber Werden beÿ ordnung gelaßen und wollen dienen beÿ E. E. Zunfft Zur Lucern, juravit et promisit d. 7. martÿ 1744.
Jean Georges Fendrich obtient une promesse d’admission comme remueur de grains à la tribu de la Lanterne en février 1744
1744, Protocole de la tribu de la Lanterne (XI 211)
(f° 171-v) Heut dato den 18.ten feb. 1744 – Joh: Geörg Fendrich der Sackträger allhier Erscheint und bittet Ihme schein Zu Ertheÿllen daß Er nach Erhaltenem burgerrecht möge dießer orths undter denen Kornwerffern leibzünfftig werden, Worauff Erkandt seÿe dem Imploranten *te Zu Ertheÿllen daß derselbe nach von E. hohen obrigeit allhier Erhaltenen Burgerrecht möge dießorths under denen Kornwerffern leibzünfftig auff und ahngenohmen werden.
Il devient tributaire le 27 mars après avoir acquis le droit de bourgeoisie
(f° 172-v) Kauffgericht Gehalten den 27. Martÿ 1744 – Johann Geörg Fendrich der geweste Sackträger allhier producirt statt Straßb. stall und Pfenningthurn schein Crafft deßen Er von Unsern Gnädigen herren daß burger recht Erhalten, bittet Ihme dießes orths under denen Kornwerffern alß leibzünfftig Zu recipiren und Ihnen H. Andreas Rawer dem geschwornen Kornwerffer Vor Zweÿ Jahr in die Lehr Einzuschreiben umb daß Meßrecht Erhalten Zu Können.
Erkandt gegen Erlag der gebühr Willfahret.
Jean Georges Fendrich et Catherine Riehl hypothèquent la maison au profit de Jean Baptiste Kleber et des enfants mineurs de Jean Martin
1767 (23.3.), Chambre des Contrats, vol. 641 /1 f° 185-v
Johann Georg Fähndrich der kornwerffer und Catharina geb. Riehlin mit beÿstand Georg Fähndrich jun. des kornwerffers und Johann Michael Laugel des leinenwebers beeden ihrer nächsten
in gegensein Lorentz Herold des Fischkauffers innahmen weÿl. Nicolaus Kleber gewesten einspennigers sohns Johann Baptist Kleber und H. Not. Philipp Jacob Greiß innahmen Johann Michael Kieffer des kieffers als vogt weÿl. Johann Martin des zimmerwerkmeisters zweyen kinder letster Ehe Anna Catharina und Franz Xaveri – schuldig seÿen 50 pfund und 75 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Bischoffsgaß, einseit neben den Blümelischen erben, anderseit neben den Hardschmidtischen erben, hinten auff die Krebsgaß
Anne Marie Riehl meurt en 1783 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison 450 livres. La masse propre aux héritiers est de 9 livres. L’actif de la communauté s’élève à 547 livres et le passif à 463 livres.
1784 (3.3.), Not. Schaaff (6 E 41, 915) n° 5
Inventarium über Weiland der Ehr: und Tugendsamen Fraun Annä Mariä Fähndrichin geb. Riehlin, Johann Georg Fähndrich, burgers und Kornwerfers dahier Zu Straßburg geweßene Ehefraun Verlaßenschaft, auffgerichtet Anno 1784 – nach ihrem Sonntags den 28.ten Decembris letzt Verfloßenen 1783.sten Jahrs aus dieser Welt genommenen tödlichen hintritt hier Zeitlichen verlaßen (…) So geschehen allhier in der Königl. freien Stadt Straßburg und einer daselbst auf dem Rosßmarckt an der Bischoffsgaß gelegenen in diese Verlaßenschafft gehörigen dannenhero hienach beschriebenen Sterbbehausung, Mittwochs den 3.ten Martÿ 1784.
Die Verstorbene hat ab intestato Zu Beneficial Erben verlassen, wie folgt 1° Jgfr. Mariam Barbaram Fähndrichin, welche großjährig zu seÿn declarirte, dahero ohnbevögtigt jedoch unter Verbeiständung Joseph Fähndrich, des Chaisenträgers und Schirmers dahier, ihres oncle, diesem geschäfft persönlich beigewohlt, 2° Fr. Annam Mariam Braunin geb. Fähndrichin, Jacob Braun, des Kornwerfers bei E. Ehrwürdigen Collegiat Stifft Jungen St Peter und Burgers dahier Ehefrau, welche unter assistentz desselben dieser Inventur in Person abgewartet und 3° Jacob Fähndrich, den Schulmeister und Schirmer in Hagenau, welcher diesem Geschäfft persönlich beigewohnt. Alle 3. der entseelten mit Eingangs gemeltem dero hinterbliebenen Wber ehelich erziehlte 2. töchtere und Sohn, als ab intestato zu dreien gleichen Portionen u. haupttheilen verlaßene Erben
Eigenthum ane einer Behausung. (T.) Neml. 1. behausg. höflein u. hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, allhier Zu Straßburg ane dem Roßmarckt in der Bischoffsgaß 1.s. neben Hn. Michael Theurkauf, d. Kürßner 2.s. neben Joh. Hartschmids des Nadlers Wb. und Erben, hinten auf die Krebsgaß stoßend und einen Ausgang in dieselbe habend gelegen, davon man jährlich auf Weihenachten dem Stifft Jungen St Peter dah. 16 ß 8 d. ane Ewigem ehrschätzigem Zinß Zu reichen schuldig, sonste aber den nunmaligen Vingtieme und hernach eingetragenen darauf hafftenden Passiv Capitalien ledig eigen und durch hies. Löbl. Stadt geschwornen Werckmeistere ausweislich deren Zu mein Notarii Concept geliefferten Abschatzung Zeduls vom 5. hujus dem jetzigen wahren Werth nach angeschlagen von 900 fl. Abgezogen obiges Real onus der 16 ß 8 d. ewig Ehrschatz Zinß in doppeltem Capital anlangend 66 fl 6 ß 8 d, verbleiben also auszuwerfen 833 fl. 3 ß 4 d od. 413 lb 13 ß. Hierüber ist vorh. i. teutsch. perg. in allhies. C. C. Stb. gef. u. mit deri anhang. Ins. verw. Kaufbr. de dato 23. Aug. 1760.
Bericht gegenwärtiger Verlaßenschafft. Auf das gleich anfangs in gegenwärtiger Inventur ane den hinterbliebenen Wber durch mich Notum geschehene Anfragen ob er mit der Verstorbenen eine Eheberedung errichtet, wie auch ob bei antritt der Ehe ihr beederseitigen Zusammengebrachtes Vermögen ordnungsmäßig inventirt geschetzt und beschrieben worden seÿe, und ob weder er nach deßen nun Verstorbene gewesene Ehefrau wehrender Ehe nichts ererbt haben, so antwortete derselbe mir Not° hierauf und versicherte deswegen, bei seiner abgelegten handtreu, daß Zwischen ihnen keine Eheberedung errichtet worden, auch keines von ihnen beeden auser ihr wenige Kleidung und weise Gezeug sonsten gar nichts in die Ehe gebracht haben (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der kinder und Beneficial erben unverändert G, Welches einih und allein bestetet In der verstorbenen hinterlaßenen um und ane dem Leib gehörigen Kleidung und weisen Gezeug 9 lb
Diesemnach wrd obgem Bericht Zufolg alles übrig und vorhanden unter einem Titul als gemein verändert und theilbar beschrieben. Sa. hausraths 82, Sa. Schiff und Geschirrs 10, Sa. Eigenthum ane I. behßg. 416, Sa. Activorum 38, Summa summarum 547 lb -Sa. Schulden 463 lb, Nach solchem abzug 84 lb – Stall summa 59 lb
Abschatzung vom 5.en.t Mertz 1784. Auf begeren Herr johann Georg fendrich dem Kornwerffer ist eine behausung alhie in der statt strasburg auf dem Roßmarckt in der Bischoff gaß gelegen, Ein seÿts neben Herr Thirkauff, anderser seÿts neben Frau Hartschmitin Wittib, und hinten auf die Grebsgaß stoßend gelegen, solche behausung bestehet in Vier stuben Vier Kuchen und Etlichen Kammeren darüber ist der dachstuhl mit breidzigel belegt, hat auch Ein gewölbter Keller und gleiner hoff, Von uns unterschriebenen der statt strasburg geschwohrenen Baujnspector und Werckmeister und Vorhero geschehene besichtigung mit aller ihrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und um Neun Hundert gulden [unterzeichnet] Boudhors architecte Kaltner WMstr
Jean Georges Fendrich meurt en 1786. Le défunt a réduit par testament son fils à la légitime. La maison est estimée à la même valeur qu’à l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 539 livres, le passif à 437 livres.
1786 (24.5.), Not. Schaaff (6 E 41, 915) n° 44
Inventarium über Weiland des Ehrbarn Johann Georg Fähndrich gewesenen Burgers und Kornwerffers dahier Zu Straßburg Verlassenschafft, aufgerichtet Abbo 1786. (…) nach seinem Sonntags den 30.ten Aprilis jüngst aus dieser Welt genommenen tödlichen Hienscheiden, Zeitlichen verlaßen. Welche Verlaßenschafft auf geziemendes Ansuchen, Erfordern und Begehren des Verstorbenen sowohl ab intestato verlassener: als auch vermög des hienach abschrifftich einverleibten Testamenti nuncupativi instituirter drei Erben (…) ersucht (…) wie auch Joseph Fähndrich, dem hiesigen Schirmers und Chaisenträger und Ursulä Walterin der ledig dah. so sich im hauß bei dem verstorbenen aufgehalten (geäugt und gezeigt)
So geschehen alhier in der Königlichen freien Stadt Straßburg und derer daselbst auf auf dem Roßmarckt ane der Bischoffsgaß gelegenen in dieser Verlassenschafft gehörigen: und hiernach beschriebenen Sterbbehausung: auf Mittwoch den 24.ten May 1786.
Der Verstorbene hat sowohl ab intestato als vermög seines am 24.ten 8.bris 1785. coram H. Not° Regio Laquiante und 7. Gezeugen errichteter: und hienach abschrifftich einverleibten Testamenti nuncupativi zu seinen wahren Erben eingesetzt und Verlaßen, wie folgt, 1° Jgfr. Mariam Barbaram Fähndrichin, so Großjährig und ohnbevögtiget dahero unter Verbeÿstandung Johann Michael Bandli, des Burgers und Seiler Meisters hieselbst, diessem Geschäfft in Persohn abgewartet, für vier neunte theil, 2° Frau Annam Mariam Braunin geborne Fähndrichin des Ehrbaren Jacob Braun, Kornwerfers bei E. Ehrwürdigen Collegiats Stiffts Jungen St. Peter und Burgers dahier Ehefrau, welche unter assistentz ged. Ihres Mariti dieser Inventur persönlich beigewohnt, auch für vier neunte Theil und 3° Jacob Fähndrich, den Schulmeister und Schirmer in Hagenau, so hier bei diesem Geschäfft persönlich Zugegen ware, für den noch übrigen und Letzten einen neunten theil, so dessen legitimam ausmacht als wohin derelbe reducirt worden. Alle dreÿ aber des Verstorbenen mit auch weil. Fr. Annä Mariä geborner Riehlin ehelich erzeugte nach Tod hinterlassene Kindern und per Testamentum zu ungleichen Portionen und Antheilen verlassene Erben.
Eigenthum ane einer Behausung, Neml. 1. Behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, Begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, alhier zu Straßburg auf dem Roßmarckt ane der Bischoffsgaß, 1. seit neben H. Michael Theurkauff dem Kürßner, 2. seit neben Joh. Hartschmids, des Nadlers Wittib und Erben, hinten auff die Krebs Gaß stosend und in dieselbe einen Ausgang habend gelegen, davon man jährlichen auf Weihnachten d. Stifft jungen St. Peter hieselbst 16. ß. 8. d. ane ewigen Ehrschätzigen Zinß Zu reichen schuldig, sonsten über den nunmaligen vingtième und hernach eingetragene darauff hafftende Passiv Capitalia, ledig eigen dh. die hies. geschworne H. Werckmeistere ausweislich deren zu dem über weil. Annä Mariä Fähndrichin geborner Riehlin, der disorts gewesenen Ehefrau und respe. Mutter Verl. durch mich unterschriebenen Notarium am 3.ten Martÿ 1784. errichteten Inventarii Concept geliefferten schrifftlich. Abschatzung vom 5. dicti Mensis et Anni dem billigen Werth nach angeschlagen, als bei welcher Æstimation man es auch disorts auf erhaltene grosgünstige Erlaubnus derer wolverordneten Hh. Drei Löbl. Stadt Stalls wieder bewenden lassen pro 900 fl, Abgezogen obiges real onus der 16. ß. 8. d. ewigen Ehrschatz. Zinß in doppeltem Capital anlangend 66. fl. 6. ß. 8. d, Restirt also auszuwerfen 833 fl. 3. ß. 4. d. oder 416 lb. 13. 4. Hierüber ist vorhanden 1. teutsch. perg: in allhies: C.C. stub gefert. und mit dero anhangendem Insiegel verwahrter Kaufbrief de dato 23.ten Aug. 1760.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 98, Sa. Silbers und dgl. Geschmeids 1, Sa. Baarschafft 5, Sa. Eigenthums an 1. behaus. 416, Sa. Activorum 17, Summa summarum 539 lb – Schulden 437 lb, nach solchem abzug 102 lb
Stall Summ 68 lb
Abschrifft des Testaments, Cejourd’hui 24 octobre 1785 à trois heures de relevée (…) est Comparu en personne George Fendrich, Bourgeois Grenetier dud. Strasbourg, y demeurant (…)
Anne Marie Fendrich femme du remueur de grains Jacques Braun rachète les parts de la maison dont elle devient seule propriétaire
1786 (29.5.), Not. Schaaff (6 E 41, 915) Joint au n° 44 du 24.5.1786
zu weÿland H. Johann Georg Fähndrich des Kornwerffers verlassenschafft Inventation erschienen Jfr. Maria Barbara Fähndrichin die ledige so großjährig beiständlich Johann Michael Bandli des Seilermeisters und H. Jacob Fähndrich der Schulmeister und schirmer in Hagenau beede als Testaments erben
Fr. Annæ Mariæ geb. Fähndrichin des ehrbaren Jacob Braun des Kornwerffers beim Ehrwürdigen Collegiats Stiffts Jungen St Peter Ehefrau und miterbin, ihrer schwester
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, allhier Zu Straßburg ane dem Roßmarckt in der Bischoffsgaß 1.s. neben Hn. Michael Theurkauf, dem Kürßner 2.s. neben Joh. Hartschmids des Nadlers Wb. und Erben, hinten auf die Krebsgaß stoßend und alldahin einen Ausgang in dieselbe habend gelegen, davon man jährlich auf Weihenachten dem Stifft Jungen St Peter – zusammen 350 pfund capitalien, geschehen um 300 pfund
Fils du cultivateur Sébastien Braun de Dingsheim, Jacques Braun épouse Anne Marie Fendrich en 1760
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 164)
Hodie 7. Januarÿ Anno 1760. (…) Sacro Matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ Conjuncti fuerunt Jacobus Braun ex Dingsheim oriundus, ibidem Commorans, filius Sebastiani Braun Civis et Agricolæ, et Catharinæ quirin ejus uxoris legitimæ, Et Anna Maria Fendrichin argentinensis, filia Johannis Georgii Fendrich Civis argentinensisis et ventilatoris, Et Catharinæ Riehlin ejus uxoris legitimæ parochiana Nostra. Testes adfuerunt F. Johann Georgius Fendrich pater sponsæ, Josephus Fendrich Sponsæ patruus (signé) Jacob Braun, Anna Maria fendrichin (i 87)
Jean Jacques Braun meurt en 1800 en délaissant deux filles. La succession dont l’actif s’élève à 29 703 francs et le passif à 1 020 francs comprend trois maisons.
1800 (22 brumaire 9), Strasbourg 14 (12), Not. Lex n° 796
Inventarium, Abtheil, Verlooß, Ausweiß und Erörterung über weÿlabd des bürgers Johann Jacob Braun, Kornwerfers so den 2.t messidor 7. jahrs verschieden hinterlassene Vermögenschafft – auf ansuchen bürgerin Anna Maria geb. Fenderich Johann Jacob Braun Wittib unter beÿständung bürgers Johann Georg Schuster, so auch durch sie mit dem Verstorbenen erzeugten dreÿer majorenner Kinder Nahmentlich 1. der bürgerin Maria Magdalena Barbara Braun der ledigen unter verbeÿstandung des bürgers Joseph Sundheim des Zimmermanns, 2. des burgers Joseph Braun auch leedig, 3. der bürgerin Maria Francisca geb. Braun des bürgers Johann Adam, Gastgebers Ehegattin
in einer allhier in der Schildts Gaß nächst dem Roßmarckt mit N° 17 bezeichneten behausung allwo der erblaßer verstorben – Keine Eheberedung
hausrath und fahernde haab 2622 fr
Eigenthum an einer behausung. Nemlich Eine behausung höflein und hoffstatt mit allen deren begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten zu Straßburg nächst dem Roßmarckt an der Schildts oder Schiltigheimer Gaß, einseit neben bürger Brüstel dem Consigne, anderseit neben Andreas Detschler dem Weeber, hinten auff hiernach beschriebene behausung Zum theil und auf bürger Eder stoßend, vornen auf gedachte Schiltigheimer gaß mit N° 17 bezeichnet, davon gab man in den vormaligen Gürtlerhoff 6 schilling ane bodenzinß, in anschlag gebracht um 4000 fr, über solche behausung sind vorhanden einen Kauffbrieff in der C.C. Stuben unterm 20. Augusti 1722 und einen andern datirt den 15. Decembris 1763
Nemlich nägst dem Roßmarckt an der St Clara Gaß, Einseit neben burger Sattler dem Zimmermann, anderseit neben bürger Eder dem vormaligen kammerdiener hinten auf vorher beschriebene behausung zum theil und zum theil bürger Brüstel vornen auf die Clarä Gaß mit N° 11 bezeichnet, in anschlag gebracht für eine summ von 3000, über solche behausung besagt einen Kaufbrieff in der C.C. Stub unterm 16. maÿ 1784
Nemlich eine behausung höflein und hoffstatt mit allen deren Begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten nächst dem Roßmarckt an der bischoffs gaß einseit neben bürger Retzloff dem Paßmentirer anderseit neben weÿl. bürgers Storck des Musici und Instrumenten händlers hinterbliebenen Wittib und erbin hinten auff die krebsgaß mit N° 10 bezeichnet, davon gibt man auf Weÿhnachten dem Stift Jungen St Peter 8 pfund an Ewigen Ehrschätzigen zinnß, in Anschlag gebracht um 2600 fr, über solche behausung besagen zween Kaufbrieffe von 23. Augusti 1769 und 20. Laÿ 1786
Summa behausungen 9600 fr, fallende hauß zinnse 932 fr, liegende güther Holtzheimer banns 5200 fr, Dingsheimer banns 5600 fr, Summa 10.800 fr, fallende gülten 1065 fr, capitalien 2800 fr, fallende Capitalien zinße 140 fr, activ schulden 3833 fr, Summa summarum 29.703 fr – Passiv schulden 1020 fr, Nach deren Abzug 28.683 fr
Enregistrement, acp 76 F° 40 du 27 brumaire 9
Anne Marie Fendrich meurt en 1818 en délaissant sa fille aînée et les enfants de sa fille cadette.
1818 (2.5.), Strasbourg 11 (25), Not. Thurmann n° 3958
Inventaire de la succession d’Anne Marie Fendrich veuve de Jean Jacques Braun, blattier – à la requête de Marie Barbe Braun veuve de Thadée Thirion, ancien employé des hôpitaux militaires, chevalier de St Louis, décédé à Dresde icelle demeurant à Strasbourg rue de l’Eveque n° 10, Jean Baptiste Adam, propriétaire demeurant rue Brulée n° 2 mandataire de son fils majeur Jean Jacques Félix Adam, avocat présentement à Paris par représentation de sa mère de la veuve Braun que comme tuteur ses autres enfants mineurs nommés Eugène Alexandre, Jules Amand Théodore & François Hypolite Edmond issus ainsi que leur ainé Jean Jacques Félix Adam de son mariage avec feu Françoise née Braun, héritiers collectivement pour moitié de la succession, la Ve Thirion habile à appréhender l’autre moitié – en présence de Pierre Chastaing employé à la manufacture d’armes de Mutzig mandataire de Jean Jacques Felix Adam comme subrogé tuteur de ses trois frères mineurs (procuration J. J. F. Adam à Paris rue de Grenelle St Honoré n° 33) – Testament olographe du 16 juin 1811 déposé au rang des minutes de M° Thurmann le 21 février dernier
décédée rue de Schiltigheim n° 17 – mobilier estimé 1756 fr
Enregistrement, acp 138 f° 186-v du 9.5
Lors du partage, la maison revient à la fille aînée Barbe Braun veuve de Thaddée Thirion
1830 (29. 7.bre), Enregistrement de Strasbourg, ssp 59 F° 80, ssp du 25.9. courant, Partage
Barbe Braun veuve Thirion agissant en son nom et comme héritière par moitié de Jacques Braun son mari blattier et Anne Marie Fendrich sa veuve,
et d’autre part Jean Jacques Felix Adam, substitut du procureur du roi à Strasbourg, Eugène Adam, cafetier, Théodore Adam, médecin, Edmond Adam licencié en droit en leur qualité de cohéritiers tant en leur nom qu’au chef de leur mère. Partage définitif de la succession de Jacques Braun et Marie Anne Fendrich
il a été convenu que Mde Thirion garderoit pour sa part les deux maisons ci dessus désignées
il ne reste plus qu’à partager les immeubles savoir, 1. une maison autrefois divisée en deux donnant d’une part dans la rue de Schiltigheim et d’autre part de la rue Ste Claire acquise par contrats reçus dans la Chambre des Contrats les 15 Xbr.1763 et 16 mars 1784. Lesquelles deux maisons converties en une seule, les parties sont convenues d’évaluer à la somme de 7000 francs
2. une maison sise rue de l’Evêque et donnant d’une part dans la rue de l’Ecrevisse acquise à ladite Chambre des Contrats le 23 août 1760, évaluée à la somme de 4500 francs
Marie Barbe Braun épouse le juriste Thaddée Thirion en 1803.
1803 (14 nivôse 11), Strasbourg 14 (19), Not. Lex n° 2584
Eheberedung – burger Baptistus Theobald Simon und Judas Thirion, gebürtig von Thann oberrheinischen départements, homme de Lettres alhier wohnhaft, weÿl. Joseph Thirion, gewesten Rechtsgelehrten zu Thann, mit weÿl. Francisca geb. Recht Sohn, mehrjährigen alters
die bürgerin Maria Magdalena Barbara Braun, die ledige mehrjährigen alters, weÿl. Jakob Braun, Eigenthümer alhier mit Maria Fendrich erzeugte tochter
(signé) Thadée Thirion, Maria braun
Enregistrement, acp 86 F° 141-v du 23 niv. 11
Marie Barbe Braun meurt en 1837 en délaissant pour héritier son neveu juge de paix Jean Jacques Felix Adam, après que les autres héritiers ont renoncé à la succession.
1837 (28.11.), Strasbourg 11 (30), Me Keller n° 114
Inventaire de la succession de Marie Barbe Braun, décédée sans postérité le 23 mai 1837 femme de Thiébaut Simon Isidore Thadée Thirion, ancien employé à l’Administration des vivres, Chevalier de St Louis – à la requête de Jean Jacques Felix Adam, juge de paix, son neveu habile à se porter héritier de sa tante suite à la renonciation à la succession par Hector Alexandre Eugène Adam, limonadier, François Hypolite Edmond Adam, avocat, Jules Armand Théodore Adam docteur en médecine à Wasselonne
immeubles, 1. une maison et dépendances sise à Strasbourg rue de Schilitigheim n° 17 & rue de la Fonderie n° 11 entre Sr Priers & Guy,
2. une maison & dépendances même ville rue de l’Evêque n° 10 & rue de l’Ecrevisse n° 8 entre la veuve Scherb et le Sr Hickel
Enregistrement, acp 255 f° 3-v du 2.12.
L’avocat Jean Jacques Félix Adam épouse Marie Madeleine Chastaing en 1822
1822 (13.10.), Strasbourg, M° Thurmann (minutes en déficit)
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Jean Jacques Félix Adam, avocat fils majeur de Jean Baptiste Adam, propriétaire, et de Françoise Braun
Marie Madeleine Chastaing, fille mineure de Pierre Chastaing, rentier, et de Madeleine Zitterlin
Enregistrement, acp 159 F° 134 du 14.10.
Jean Jacques Félix Adam meurt en 1864 en délaissant trois enfants
1864 (19.5.), Strasbourg 11 (60), Not. Charles Keller n° 8451
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Jean Jacques Félix Adam, vice président du tribunal civil, et Marie Madeleine Chastaing
L’an 1864 le jeudi 19 mai à neuf heures du matin au domicile mortuaire ci-après indiqué, à la requête 1° de Mad° Marie Madeleine Chastaing veuve de M. Jean Jacques Félix Adam, de son vivant vice-président du tribunal civil de Strasbourg, chevalier de la Légion d’Honneur, lad° dame propriétaire demeurant en cette ville, agissant en son nom personnenel 1° à cause de la communauté d’acquêts ayant subsisté entre elle et feu son mari aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Thurmann alors notaire à Strasbourg et son collègue le 13 octobre 1822, 2° à cause des donations et autres avantages lui résultant du même contrat notamment de la donation en usufruit de la moitié des biens composant la succession de mond. Sr Adam avec dispense de caution, mais à charge de faire inventaire,
2° M. Auguste Adam, Procureur impérial près le tribunal de Belfort demeurant audit lieu et étant ce jour à Strasbourg, 3° de Mad° Léontine née Adam épouse assistée et autorisée de M. Auguste Arnold precepteur des contributions directes demeurant ensemble à Strasbourg, 4° Et de Mad° Marie Esther Adam, épouse assistée et autorisée de M. Marie Nicolas Souhaut, docteur en médecine, médecin major de première classe au deuxième régiment de grenadiers de la garde impériale, chevalier de la Légion d’Honneur et de Saint Grégoire le grand demeurant à Paris et étant momentanément à Strasbourg
Etant lesd. M. Auguste Adam, Mad. Arnold et Mad. Souhaut habiles à se dire et porter seuls héritiers chacun pour un tiers de M. Jean Jacques Félix Adam leur père décédé à Strasbourg le 11 mai 1864. (…) en la maison mortuaire sise rue Brulée N° 2
Suit la description de effets mobiliers dépendant de la communauté. Cabinet du défunt, Cabinet de toilette, Bibliothèque, Salle à manger, Salon, Chambre à coucher, Chambre à coucher du petit fils, Antichambre, Chambre de domestique, Office, Cuisine, au troisième étage, Chambre de la cuisinière, Mansarde, Cave
Immeubles propres au défunt. Il appartient à la succession à titre de propre. 1. Une grande et vaste maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue Brulée N° 2 (…)
acp 533 (3 Q 30 248) f° 10 du 23.5. (succession déclarée le 7 9.bre 1864) Communauté, mobilier estimé 6064. Six actions de la manufacture d’armes de Mutzig, Une action de la compagnie de la fabrication de quincaillerie à Mutzig, créances 1000, arrérage du traitement et des loyers 1100
Succession, Une maison rue brulée N° 2
5 ha 63 a 15 c terres et pré à Dingsheim
acp 533 (3 Q 30 248) f°76-v du 17.6. (vacation du 15 juin) Mobilier se trouvant à la campagne de Mutzig 426
Suit la description des papiers
Liquidation correspondante
1864 (17.6.), Strasbourg 11 (60), Not. Charles Keller n° 8479
Liquidation et partage de la communauté de biens qui a existé entre entre Jean Jacques Félix Adam vice président du tribunal civil de Strasbourg et Marie Madeleine Chastaing sa femme
Ont comparu 1° Madame Marie Madeleine Chastaing veuve de M. Jean Jacques Félix Adam, de son vivant vice-président du tribunal civil de Strasbourg, chevalier de la Légion d’Honneur, lad° dame propriétaire demeurant en cette ville, agissant en son nom personnenel 1° à cause de la communauté d’acquêts ayant subsisté entre elle et feu son mari aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Thurmann alors notaire à Strasbourg et son collègue le 13 octobre 1822, 2° comme donataire en usufruit avec dispense de caution, de la moitié des biens composant la succession de mond. Sr Adam et d’une somme de 15.000 francs en toute propriété d’une part
2° M. Auguste Adam, Procureur impérial près le tribunal de Belfort demeurant audit lieu et étant ce jour à Strasbourg, 3° Mad° Anne Françoise Léontine née Adam épouse assistée et autorisée de M. Auguste Arnold precepteur des contributions directes demeurant ensemble à Strasbourg, 4° Mad° Marie Esther Adam, épouse assistée et autorisée de M. Marie Nicolas Souhaut, docteur en médecine, médecin major de première classe au deuxième régiment de grenadiers de la garde impériale, chevalier de la Légion d’Honneur et de Saint Grégoire le grand demeurant à Paris et étant momentanément à Strasbourg
Lesdits M. Auguste Adam, D° Arnold et D° Souhaut agissant en qualité de seuls héritiers chacun pour un tiers, de M. Jean Jacques Félix Aam leur père décédé à Strasbourg le 11 mai 1864, ainsi que cette qualité résulté de l’intitulé de l’inventaire dresse par M° Keller l’un des soussignés notaires qui en a la minute et so, collègue le 19 du même mois
acp 534 (3 Q 30 249) f° 7-v du 27.6. Communauté. Mobilier 6064, mobilier à Mutzig 426, argent 1100, créances 1000, arrérages de traitement 105, loyers 1359, fermages 160, intérêts des actions de Mutzig 3000, intérêts des actions de Molsheim 1700, récompenses dues par le défunt 105.688, Total 120.604
Masse passive, elle est de 14.799, reprises de la veuve 103.463, intérêts des dots constituées 2204, Total 120.470, Reste 133
Succession. Masse active. Une maison à Strasbourg rue Brullée N° 3 estimée 210.000, 5 ha 63. 15 terres à Dinsheim estimés 10.000, garde robe 303, bénéfices de la communauté 66, trois actions de la société de Mutzig 30.000 Total 250.369
Masse passive 15.34. – Reste 235.026
Cession par Mde veuve Adam à ses enfants d’une action de la manufacture d’armes de Mutzig moyennant 10.000
Abandonnements (…)
Marie Madeleine Chastaing meurt en 1873 à à Achern en Bade
1876 (22.2.), Strasbourg 1 (203), Not. Alfred Ritleng aîné n° 9513
Notorietäts Akt (bilingue) (…) avoir parfaitement connu Madame Marie Anne Madeleine Chastaing veuve de Monsieur Jean Jacques Félix Adam en son vivant vice-président du Tribunal de première instance séant à Strasbourg et savoir
1° que ladite Dame Adam née Chastaing est décédée à Achern, grand duché de Bade le 30 janvier 1873,
2° que la défunte n’avait fait aucunes dispositions testamentaires
3° et qu’elle a laissé pour seuls et uniques héritiers chacun pour un tiers ses trois enfants ci après dénommée, nés de son mariage avec feu Monsieur Jean Jacques Félix Adam savoir A. Madame Anne Françoise Léontine Adam épouse de M. Auguste Arnold, percepteur des contributions directes demeurant à Saint-Nazaire, B. Monsieur Pierre Jean Baptiste Edouard Auguste Adam, juge d’instruction près le tribunal de la Seine demeurant à Paris rue de Rome N° 69, C. Madame Marie Esther Adam, épouse de Monsieur Marie Nicolas Souhaut, docteur en médecine, officier de la légion d’honneur demeurant ) Verdun sur Meuse rue d’Islt N° 1
acp 648 (3 Q 30 363) f° 32 du 24.2.
Jean Jacques Felix Adam et Marie Madeleine Chastaing vendent la maison au tisserand Jean Daniel Gœnner et à sa femme Sophie Caroline Stephan
1843 (21.2.), Strasbourg 10 (100), Me Zimmer n° 4659
21 février 1843. Vente – Ont comparu M. Jean Jacques Felix Adam, juge au tribunal civil séant à Strasbourg & Dme Marie Madeleine Chastaing, son épouse de lui dûment autorisée demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels ont vendu
à M. Jean Daniel Goenner, tisserand, et Dme Sophie Caroline Stephan, sa femme de lui dûment autorisée, les deux demeurant également à Strasbourg ci présens et acceptant
Une maison à rez de chaussée et deux étages, maison de derrière, cour, droit à un puits communal et autres appartenances et dépendances le tout sis à Strasbourg, rue de Bischheim, improprement appelée quelquefois rue de l’évêque, portant le N° 10, entre la propriété de M. Scherb, potier de terre et celle des héritiers Hickel, donnant par derrière sur la rue de l’Ecrevisse où elle a une sortie à simple porte sous le n° 8.
Cet immeuble est vendu dans m’état où il se trouve (…) Cependant les vendeurs déclarent se réserver un poêle avec ses tuyaux se trouvant placé en ce moment au rez de chaussée de ladite maison ainsi que les chassis, planches et autres objets mobiliers se trouvant également dans ladite maison et n’ayant pas nature immobilière.
M. Adam comparant déclare qu’il a recueilli la maison présentement vendue dans la succession de sa tante Marie Barbe Braun veuve de Mr Thaddée Thirion par suite de la renonciation à la succession de Mme veuve Thirion faite par les cohéritiers dudit M. Adam suivant leur déclaration au greffe du tribunal civil de Strasbourg en date du 28 novembre 1837. Mde veuve Thirion avait elle-même acquis ladite maison pour l’avoir recueillie partie dans les successions de feu son père M. Jean Jacques Braun vivant blatier à Strasbourg et de sa mère Dame Anne Marie Fendrich dont elle était héritière partiaire et encore dans la succession de son frère Joseph Braun décédé ab intestat, dont Mme Thirion et Mme Adam mère du comparant étaient les seules héritières et dont la partie indivise dans ladite maison fut attribuée à Mme Thirion ainsi que le tout résulte d’un acte de partage fait sous seing privé entre ladite Dme Thirion & les héritiers de Mme Adam en date du 25 septembre 1830 portant la mention enregistré à Strasbourg le 29 septembre 1830 (…) Les conjoints Braun sont eux-mêmes devenus propriétaires de la même maison suivant contrat passé à la ci devant Chambre des contrats de Strasbourg le 29 mai 1786 et le 23 août 1760. Les vendeurs déclarent que cette maison était anciennement grevée d’une rente laudémiale due à la fondation de St Pierre le jeune, laquelle rente a été rachetée. – La présente vente a été consentie pour la somme de 6000 francs
acp 307 (3 Q 30 022) f° 33
Jean Daniel Gœnner épouse Sophie Caroline Stephan en 1836
1836 (5.5.), Strasbourg 2 (79), Me Weigel n° 9244
Contrat de mariage – Jean Daniel Goenner, tisserand, fils de Daniel Goenner, tisserand, et deChristine Madeleine Lutz
Sophie Caroline Stephan, majeure de Jean Pierre Stephan, farinier, et de Marguerite Duringer
Enregistrement, acp 240 F° 66-v du 7.5. – communauté réduite aux acquets
Jean Daniel Gœnner meurt en 1845 en délaissant un fils
1845 (15. 7.br), Strasbourg 10 (105), Me Zimmer n° 5843
Inventaire de la succession de M. Jean Daniel Goenner, en son vivant fabricant de siamoise à Strasbourg décédé en cette ville le 16 juillet de la présente année et de la communauté de biens qui a existé entre entre lui & Dame Sophie Caroline Stephan sa veuve survivante
L’an 1845 le lundi 15 septembre à neuf heures du matin, à la requête de Madame Sophie Caroline Stephan, demeurant et domiciliée à Strasbourg veuve de Jean Daniel Goenner, agissant 1) à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié qui a existé entre entre elle et son dit mari ainsi qu’il résulte de leur contrat de mariage reçu par M° Weigel alors notaire à Strasbourg le 5 mai 1836, 2) à cause des reprises qu’elle peut avoir à exercer sur ladite communauté ainsi que des avantages matrimoniaux, 3) comme usufruitière de la moitié de la succession dudit son mari, 4) comme usufruitière légale des biens de son enfant mineur ci après nommé jusqu’à l’âge de 18 ans ou son émancipation, 5) et comme mère et tutrice légale de Jean Daniel Goenner, mineur sans état né le 9 septembre 1840 du légitime mariage de la requérante avec le défunt son mari dont il est habile à se dire et porter seul et unique héritier. En présence de M. Frédéric Edouard Ensfelder, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en qualité du subrogé tuteur dudit mineur
Le loyer du logement occupé par elle et son mari dans la maison mortuaire
Le loyer d’une petite boutique sous les grandes arcades de cette ville
Immeuble. Une maison à rez de chaussée et deux étages, maison de derrière, cour, droit à un puits communal é autres appartenances et dépendances le tout sis à Strasbourg, rue de Bischheim, improprement appelée quelquefois rue de l’évêque, portant le N° 10, entre M. Scherb & les héritiers Hickel, donnant par derrière sur la rue de l’écrevisse où elle a une sortie à simple porte sous le n° 8. Ladite maison avec ses dépendances a été acquise pendant la communauté des conjoints Goenner de M. Jean Jacques Felix Adam, juge au tribunal civil séant à Strasbourg & Dame Marie Madeleine Chastaing, conjoints demeurant en cette ville suivant contrat pasé devant M° Zimmer soussigné le 21 février 1843 transcrit aux hypothèques de Strasbourg le 13 mars suivant vol. 399 n° 3 inscrit d’office volume 383 N° 240. L’établissement de propriété antérieure se trouve relaté dans ledit contrat.
Relevé des titres et papiers. Cote B. L’expédition du contrat de vente passé par les conjoints Adam au profit des conjoints Goenner devant M° Zimmer le 21 février 1843, un certificat hypothécaire (…) et une copie d’un contrat reçu à la Chambre des contrats de la ville de Strasbourg le 23 août 1760, toutes ces pièces sont relatives à la maison rue de Bischheim ci devant inventoriée
Fait lu, passé et interprété en langue allemande à Strasbourg en la maison mortuaire rue du jardin des roses N° 4
acp 340 (3 Q 30 055) f° 3 (déclaration de succession du 16 janvier 1856 n° 201) Ladite succession se compose 1° d’un mobilier de communauté évalué à 703, 2° marchandises 4753, 3° argent comptant 900, 4° créances 302, 5° autres objets mobiliers 149, 6° Une maison sise à Strasbourg rue de Bischheim N° 10 évaluée à 9000 francs, Total 15.722
Reprises de la succession 295 – Garde robe du défunt 491
Reprises dues à l’héritier 8240
Reprises et remploi de la veuve 4000
Passif de la communauté 16.321 – Passif de la masse propre au défunt 614 – Droits de l’héritier montant à 8402
La marchande de toiles Sophie Caroline Stephan meurt en 1869. Son fils hérite de ses biens : acte de notoriété, déclaration tenant lieu d’inventaire
1874 (13.2.), Strasbourg 24 (6), Not. Joseph Allonas n° 701
Notorietät – (welche) bezeugen die Frau Sophia Carolina Stephan lebend Wittwe des zu Straßburg verstorbenen Webers Johann Daniel Goenner, zu Straßburg wohnhaft, genau gekannt zu haben, und zu wißen daß sie daselbst am 23. Juli 1869 gestorben ist, daß nach ihrem Tode kein Erbverzeichnis aufgenommen worden ist, und daß sie als einzigen Erben ihren in der Ehe mit ihrem Ehemann erzeugten Sohn Herrn Johann Daniel Goenner Schreinermeister wohnhaft zu Straßburg hinterlassen hat.
acp 625 (3 Q 30 340) f° 17-v du 17.2.
1870 (20.1.), Strasbourg 9 (131), Not. Becker (Geoffroi) n° 12.129
Du 20 janvier 1870. Etat de fortune – A comparu M. Jean Daniel Goenner, ébéniste demeurant à Strasbourg, agissant comme seul et unique héritier de D° Sophie Caroline Stephan marchande de toiles veuve de M. Jean Daniel Goenner en son vivant fabricant de siamoises à Strasbourg où ladite Dale demeurait et est décédée le 28 juillet 1869, lequel comparant, voulant faire constater par un acte authentique la fortune délaissée par feu ladite Dame Goenner, a requis ledit M° Becker de dresser sur sa déclaration l’état de l’actif et du passif de la succession de ladite défunte de la manière suivante
Masse active. Article premier. Les habillements (…) 470 francs. Article deux. Les marchandisees ci après détaillées composant le fonds de commerce que Madame veuve Goenner exploitait (…) 1472 francs. Article trois, La sommede 250 francs(…) Article 4. La somme principale (…) 2041 francs
Article 5. La moitié indivise d’une maison avec dépendances sise à Strasbourg impasse de Bischheim n° 12 autrefois N° 10 entre la propriété du Sr Lux et celle du Sr Mathis et donnant par derrière sur la rue de l’écrevisse où elle a une sortie à simple porte avec le N° 16 que le comparant estime à raison d’un revenu annuel de 325 francs à 6500 francs. Au sujet de cet immeuble M. Goenner comparant fait les déclarations que voici. L’autre moitié dudit immeuble lui appartenait déjà au moment du décès de Mad. veuve Goenner comme l’ayant recueillie dans la succession de M. Jean Daniel Goenne son père dont il étaut seul et unique héritier ainsi qu’il résulte de l’intitulé de l’inventaire dressé après le décès de ce dernier par M° Zimmer notaire à Strasbourg le 15 septembre 1845.
Les époux Goenner ont acquis durant leur mariage ladite maison du Sr Jean Jacques Félix Adam, juge au tribunal civil de Strasbourg et de D° Marie Madeleine Chastaing son épouse demeurant ensemble à Strasbourg suivant contrat passé devant ledit M° Zimmer le 21 février 1843 moyennant le prix de 6000 francs (…) Par suie du décès de M. Jean Daniel Goenner, son père arrivé à Strasbourg le16 juillet 1845, la moitié du dit immeuble appartenait en pleine propriété à Mad. veuve Goennner comme commune en biens avec sondit mari aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Weigel notaire à Strasbourg le 5 mai 1836. Un quart du même immeuble appartenant à la même en usufruit sa vie durant comme usufruitière de pareille quotité de la succession de feu sondit mari aux termes du contrat de mariage susrelaté
Article 6. La somme de 32 francs, total 10.665 francs
Masse passive
acp 589 (3 Q 30 304) f° 74 du 21.1.
Le menuisier Jean Daniel Gœnner épouse en 1866 la couturière Louise Caroline Bauer, originaire de Wibolsheim : contrat de mariage, célébration
1866 (29.3.), M° Becker (Geoffroi, minutes en déficit)
Contrat de mariage – 1) Jean Daniel Goenner, ébéniste à Strasbourg, fils de feu Jean Daniel Goenner et Sophie Caroline Stephan sa veuve à Strasbourg d’une part
2) Louise Caroline Bauer, couturière à Strasbourg, d’autre part
acp 553 (3 Q 30 268) f° 31 du 3.4. stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur époux consistent en une valeur de 4742 francs que sa mère lui a payée en déduction des valeurs lui revenant dans la succession de son père décédé le 16 juillet 1845 dont il est seul héritier, la mère non présente
Une part indivise d’une maison à Strasbourg impasse de Bischheim N° 12
Les apports de la future épouse consistent en meubles et créances 1831
Donation réciproque par les futur époux au survivant d’eux de l’usufruit viager de toute la succession, réductible à moitié en cas d’enfants
Mariage, Strasbourg (n° 124)
Du 31° mars 1866 à dix heures du matin. Acte de mariage de Jean Daniel Goenner, majeur d’ans, né en légitime mariage le 9 septembre 1840 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, ébéniste, fils de feu Jean Daniel Goenner, tisserand décédé à Strasbourg le 16 juillet 1845 et de Sophie Caroline Stephan, mercière domiciliée à Strasbourg ci présente et consentante, Et Louise Caroline Bauer, majeure d’ans, née en légitime mariage le 14 septembre 1836 à Wiebolsheim commune d’Eschau (Bas-Rhin) domiciliée à Strasbourg, couturière, fille de feu Guillaume Bauer, préposé des douanes décédé à Strasbourg le 6 novembre 1860 et d’Anne Marie Boehler sans profession domiciliés à Strasbourg, ci présente et consentante (…) il a été passé le 29 de ce mois un contrat de mariage devant M° Geoffroi Becker notaire à Strasbourg (i 30)
Jean Daniel Gœnner et Louise Caroline Bauer hypothèquent la maison au profit du juriste Frédéric Auguste Adolphe Silberzahn
1870 (30.4.), Strasbourg 9 (131), Not. Becker (Geoffroi) n° 12.237
Obligation du 30 avril 1870 – Ont comparu M. Jean Daniel Goenner, menuisier et dame Louise Caroline Bauer, couturière en robes, son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes, demeurant ensemble à Strasbourg, lesquels comparants ont par les présentes reconnu devoir bien et légitimement
à M Frédéric Auguste Adolphe Silberzahn, licencié en droit, clerc de notaire demeurant à Strasbourg, la somme de 2000 francs pour prêt de pareille somme
hypothèque, Une maison avec dépendances, sise à Strasbourg impasse de Bischheim n° 12 autrefois N° 10 entre la propriété de M. Lux et celle de M. Mathis & donnant par derrière sur la rue de l’écrevisse où elle a une sortie à simple porte avec le n° 16 autrefois le n° 8.
Au sujet de l’origine de la propriété de l’immeuble ci-dessus hypothéqué, les débiteurs ont fait les déclarations suivantes. Le sieur Goenner a recueilli la moitié indivise dudit immeuble dans la succession de M. Jean Daniel Goenner, son père, dont il était seul & unique ainsi qu’il résulte de l’inventaire dressé après le décès de ce dernier par M° Zimmer, notaire à Strasbourg le 15 septembre 1845 & l’autre moitié dans la succession de sa mère D° Sophie Caroline Stephan, marchande de toiles veuve dudit Sr Jean Daniel Goenner sont il était également seul et unique héritier ainsi qu’il résulte d’un état de fortune dressé par M° Becker l’un des notaires soussignés le 20 janvier dernier. Les époux Goenner avaient acquis durant leur mariage ladite maison de M. Jean Jacques Félix Adam, juge au tribunal civil de Strasbourg & de D° Marie Madeleine Chastaing son épouse demeurant ensemble à Strasbourg suivant contrat passé devant ledit M° Zimmer le 21 février 1843 moyennant le prix de 6000 francs
M. Adam l’avait recueilli dans la succession de sa tante Marie Barbe Braun veuve de M. Thaddée Thirion vivant officier de laquelle il était seul et unique héritier par suite de la renonciation à la succession de Mde veuve Thirion faite par les cohéritiers dudit Sr Adam, suivant leur déclaration au greffe du tribunal civil de Strasbourg en date du 28 novembre 1837. Mde veuve Thirion était elle-même devenue propriétaire de ladite maison pour l’avoir recueillie partie dans les successions de son père M. Jean Jacques Braun, vivant blatier à Strasbourg & de sa mère Dame Anne Marie Fendrich dont elle était héritière partiaire et encore dans la succession de son frère, M. Joseph Braun décédé ab intestat, dont Mme Thirion et Mme Adam sus nommée étaient les seules héritières & dont la partie indivise dans ladite maison fut attribuée à Mde Thirion ainsi qu’il résulte d’un acte de partage fait sous seing privé entre cette dernière & les héritiers de Mad° Adam en date du 25 septembre 1830 portant la mention enregistré à Strasbourg le 29 septembre 1830 (…). Les conjoints Braun sont eux-mêmes devenus propriétaires de la même maison suivant contrat passé à la ci devant Chambre des contrats de Strasbourg le 29 mai 1786 et le 23 août 1760.
Les débiteurs déclarent (…) qu’ils sont mariés sous le régime de la communauté réduite aux acquêts aux termes de leur contrat de mariage passé devant ledit M° Becker le 29 mars 1836.
Jean Daniel Gœnner et Louise Caroline Bauer hypothèquent la maison au profit du boulanger Frédéric Edouard Ensfelder
1871 (27.11.), Strasbourg 10 (167), Not. Kœrttgé (Jean Théodore) n° 2314
Obligation. 27 novembre 1871 – Ont comparu Mr Jean Daniel Goenner, menuisier et dame Louise Caroline Bauer son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes, demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg dans la maison ci-après désignée, lesquels reconnaissent par les présentes devoir bien et légitimement
à Mr Frédéric Edouard Ensfelder, ancien boulanger demeurant et domicilié à Strasbourg, la somme principale de 1500 francs pour prêt de pareille somme
hypothèque, une maison avec droits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg impasse de Bischheim n° 12 et rue de l’écrevisse N° 16, entre la veuve Mathis et la veuve Lux.
Cet immeuble appartient à Mr Goenner comparant pour l’avoir recueilli dans les successions de ses père et mère feu Mr Jean Daniel Goenner vivant tisserand et feue dame Sophie Caroline Stephan, vivant conjoints à Strasbourg, dont il est le seul héritier ainsi qu’il le déclare, en s’obligeant d’en justifier à la première réquisition de Mr Ensfelder. Les débiteurs certifient qu’ils sont mariés en premières noces sous le régime de la communauté (…) et que le même immeuble leur appartient encore en toute propriété et qu’il n’est grevé d’aucune dette, rente privilège ni hypothèque, à l’exception d’une somme principale de 4000 francs due à Mr Ensfelder comparant vertu d’une obligation avec subrogation reçue par M° Louis Frédéric Zimmer alors notaire à Strasbourg le 29 juin 1843
Jean Daniel Gœnner et Louise Caroline Bauer hypothèquent la maison au profit de la société anonyme du crédit foncier et communal en Alsce-Lorraine
1874 (16.2.), Strasbourg 24 (6), Not. Joseph Allonas n° 702
Obligation – sind erschienen Herr Johann Daniel Goenner, Schreinermeister und deßen von ihrm ermähtigte Ehefrau Luise Caroline Bauer, beide wohnhaft zu Straßburg, Krebsgaße N° 16
dieselbe erkennent hiemit der Aktien Gesellschaft für Boden und Kommunal Kredit in Elsaß Lothringen mit dem Sitze zu Straßburg Brandgasse N° 10, für welche Herr Johann North ihr Direktor und Doktor der Rechte gegenwärtig ist, stipulirt und annimmt, H. North wohnhaft zu Straßburg, die Summe von 10.000 Franken
Unterpfand (…) Beschreibung. Ein zu Straßburg Krebsgasse N° 16, über Keller erbautes, mit Erdgeschoß, drei Stockwerke und Speicher gelegenes Wohnhaus einseit neben an Frau Wittwe Methet, anderseits an Frau Wittwe Lux stoßend vornen die Krebsgaße hinten das Bischheimergäßchen wo das Haus die Nummer 12 trägt
Eigenthumsnachweis. Das verunterpfändete Haus hat Herr Goenner aus der Nachlasss seiner am 16. Julÿ 1845 zu Straßburg verstorbenen Vaters Herrn Johann Daniel Goenner im Leben Weber zu Straßburg und seiner am 23. Juli 1869 zu Straßburg verstorbenen Mutter Sophia Carolina Stephan, Wittwe des genannten Herrn Goenner derer einzige Erbe wat, in Eigenthum ererbt, wie letziges aus dem Eingangs des nach dem Tode des Herrn Goenner durch Notar Zimmer Zu Straßburg am 15. Septembrer 1845 einregistrirten Erbverzeichnises, und aus einem durch Notar Allonas errichteten Offenkundigkeitsakt in Ermanglung eines Inventars bekundet ist. Die Eheleute Goenner hatten daßelbe Haus von herrn Johann Jacob Felix Adam, Richter am Landgerichte zu Straßburg und deßen Ehefrau Maria Magdalena Chastaing beide daselbst wohnhaft erworben, Zufolge Urkunde vor Notar Ludwig Friderich Zimmer zu Straßburg am 21. Hornung 1843.. Diese Erwerbung hatte statt um die Summa von 6000 Francken. (…)
Erklaerung. Herr und Frau Goenner erklären 1° daß sie beide in erster Ehe unter der Errungenschaft Gemeinschafft verheurathet sind zufolge Ehevertrag vor Notar Becker zu Straßburg vom 29. März 1866
Jean Daniel Gœnner meurt en 1877 en délaissant deux enfants
1878 (14.1.), M° Holtzapffel
Erbverzeichnis errichtet über den Nachlass des zu Straßburg am 10. November 1877 verlebten Johann Daniel Goenner, Schreinermeister, auf Anstehen von 1. Louisa Carolina Bauer zu Straßburg wohnhaft Wittwe des genannten verlebten H. Goenner handelnd a) der Errungenschafft Gütergemeinschaft wegen wie dieselbe bestanden hat, laut Ehevertrag vor Notar Becker den 29. März 1866, b) als Schenknehmerin des Genusses an der Hälfte des Nachlasses ihres Ehemanns zufolge angeführten Ehevertrag, v) als gesetzliche Vormünderin ihrer zwei minderjährigen Kinder nämlich 1° Emil Daniel, 2° Marie Louise Goenner, II.von Emil Ensfelder, Bäckermeister in Straßburg als Nebenvormund der beiden Minderjährigen
acp 674 (3 Q 30 389) f° 85-v du 17.1. (Sterbefall erklärt Bd. 126 N° 187) Gütergemeinschaft, Mobilien geschätzt 1155
Garde robe des Verlebten 82
acp 678 (3 Q 30 393) f° 66-v du 10.5. (vacation du 19 mai) A. Ersatzforderungen des Verlebten für eingebrachte ncht mehr vorhandenen Mobilien 3793.
B. Ersatzforderungen der Wittwe für das nicht mehr vorhandene Einbringen 1466, Die Schuld mit M. 226 mit welcher ihr Einbringen belastet war ist heute noch geschuldet.
Während der hete hat nach Erklärung der Wittwe ihr verlebter Ehemann die Verlaßenschafft seiner Mutter geerbt, worüber jedoch kein Erbverzeichnis errichtet wurde. Sie erklärt daß diese Nachlass bestand 1° In einer Haushaltung im Werthe vom Fr. 300, 2° in einer Summe von 2000. 3° in ihrem unvertheilten Antheil (die Hälfte) vom dem Wohnhause gelegen in Strassburg Bischheimergäßchen N° 12. Diese Verlaßenschafft war belastet mit einer Schuld von Fr. 4000 laut Quittung mit Einsetzung vor Notar Zimmer zu Straßburg vom 29 Junÿ 1843 an F. Ed. Ensfelder Für Leichenkosten und Sterbefallgebühren wurden voraushabt ungefähr 300 Franken. Ferner hat der Verlebte von seiner Tante Ww Schwenck eine Summe von 1000 Fr. während der Ehe geerbet
Nachlass des verlebten Goenner. Ein Wohnhaus gelegen su Straßburg Krebsgass N° 16 und Bischheimergäßchen N° 12, dieses aus wurde an Stelle eines Andern welches dem Verstorbenen in den Verlaßenschafften seiner Eltern zugefallen ist, erbaut
Ersatzforderungen durch den Nachlass an die Gütergemeinschaft 1° für Aufbauen des Hauses des Nachlasses wehrend der Ehe, Fr. 11.698, 2° es wurde ferner während der Ehe die Forderung des Endfelder anbetragen wie oben schon bezeichnet mit 4000, (zusammen) Fr. 15.698 = M. 12.558
Die Wittwe har seit dem Absterben ihres Ehemanns eingenommen verschiedene Ausstände im Betrag vom 62. Ausständig sind noch 416, Sa. M. 478.
Passiv. Seit dem Absterben hat die Wittwe bezahlt 262, die noch geschuldeten Summen betragen 8759. Unterhalt der Wittwe 390, Kosten des Erbverzeichnis p.m., Sa. 9412
La maison est inscrite au nom de Daniel Emile Gœnner à partir de 1906 dans le cadastre. Fils des précédents, le boucher luthérien Daniel Emile Gœnner épouse en 1896 la couturière catholique Marie Madeleine Noth, originaire de Schiltigheim
Mariage, Strasbourg (n° 101)
Strassburg am 11. Februar 1896. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Metzger Daniel Emil Goenner, evangelischer Religion, geboren den 11. Juni des Jahres 1866 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg, Sohn des verstorbenen Schreiners Johann Daniel Goenner, wohnhaft zuletzt zu Straßburg und dessen Ehefrau Luise Caroline geb. Bauer wohnhaft zu Straßburg 2. die Näherin Maria Magdalena Noth, katholischer Religion, geboren den 23. Mai des Jahres 1876 zu Straßburg wohnhaft zu Schiltigheim (Unter Elsaß), Tochter des Schlossers Lorenz Noth, wohnhaft zu Schiltigheim und dessen verstorbenen Ehefrau Maria Magdalena geb. Streicher, zuletzt wohnhaft zu Straßburg (i 101)
La maison est inscrite au nom de Georges Riff à partir de 1911 dans le cadastre. Originaire d’Ingenheim, l’aubergiste Georges Riff épouse Marie Uhl et habite rue du Roitelet à la naissance de son fils. Il meurt en 1933, sa veuve Marie Uhl en 1945. La maison revient (1934) à leur fils ferbantier Albert Riff qui épouse en 1913 Elisabeth Gasser, originaire de Cosswiller.
Mariage, Strasbourg (n° 629)
Strassburg am 14. Juni 1913. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Klempner Albert Riff, evangelischer Religion, geboren am 8. Dezember des Jahres 1888 zu Straßburg, wohnhaft in Straßburg Krebsgasse 11, Sohn des Gastwirts Georg Riff und seiner Ehefrau Maria, gebornen Uhl, wohnhaft zu Strassburg, 2. die Elisabeth Gasser, ohne Beruf, evangelischer Religion, geboren am 8. März des Jahres 1889 zu Kossweiler /:Unter-Elsass:/ wohnhaft zu Straßburg Krebsgasse 11, Tochter des verstorbenen Ackerers Mathias Gasser, zuletzt wohnhaft in Kossweiler und seiner Ehefrau Sophie geborner Roth, wohnhaft zu Kossweiler
Décès, Strasbourg (n° 622)
Le 21 février 1933 à 23 heures 55 minutea est décédé en son domicile 16, rue de l’Ecrevisse Georges Riff, né à Ingenheim (Bas-Rhin) le 17 décembre 1859, sans profession, fils de Georges Riff et de Marguerite Jacob, époux décédés, époux de Marie Uhl, sans profession. Dressé le 22 février 1933 à 16 heures 30 minutes sur la déclaration d’Albert Riff, 44 ans, fils du défunt, ferblantier domicilié en cette commune 16 rue de l’Ecrevisse (i 159)
Décès, Strasbourg Marie Uhl épouse Riff 25 décembre 1945, n° 3984
Naissance, Strasbourg (n° 3548)
Strassburg am 13. Dezember 1888. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Bierbrauer Georg Riff, wohnhaft zu Strassburg Zaunköniggässchen 3, evangelischer Religion, und zeigte an, daß von seiner Gattin Maria Uhl evangelischer Religion wohnhaft bei ihm, in seiner Wohnung am 8. Dezember des Jahres 1888 vormittag um drei Uhr ein Kind männlichen Geschlechts geboren worden sei, welches den Vornamen Albert erhalten habe
[in margine,] Décédé à Schiltigheim le 27 décembre 1970, le 27 juin 1972, le greffier