6 (a), quai Finkmatt


Quai Finkmatt n° 6 (ancien n° 7) – II 343 (Blondel), N 304, partie de N 208 (1874) puis section 79 parcelle 10 (cadastre)

Deuxième étage, 1768 (Frédéric Beatschi) – Détruite lors du siège de 1870


L’ancien n° 7 correspond à la partie gauche du bâtiment actuel (mai 2019)

Le précepteur Jean Thierry Albrinck acquiert en 1705 plusieurs maisons contiguës. Il revend l’année suivante 700 livres celle qui forme le coin du Fossé des Treize et de la rue des Cerceaux au fabricant de chausses Jean Thiébaut Bruckert qui revend à son tour 100 livres une petite maison rue des Cerceaux à Marie Catherine Diebold, fille du bailli de Barr. Le bâtiment revient à l’avocat Jean Daniel Frid qui en fait une maison de rapport. Les experts estiment à sa mort en 1764 à 75 livres la maison comprenant un poêle, une cuisine et une chambre, c’est-à-dire un bâtiment à un seul étage. Ses héritiers la vendent en 1765 au compagnon maçon Frédéric Beatschi qui transforme l’année suivante le rez-de-chaussée puis ajoute en 1768 un deuxième étage comme en témoignent les comptes rendus des préposés aux feux.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 6 (© Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade est la deuxième à gauche du repère (k) : fenêtre et porte d’entrée au rez-de-chaussée, deux étages à deux fenêtres chacun, toiture à un niveau de lucarnes.
La maison change à plusieurs reprises de propriétaires parmi lesquels la veuve d’un garde d’artillerie originaire de Styrie.
La maison porte le n° 7 de la rue des Cerceaux qui devient le quai de la Finckmatt. La numérotation ne change pas en 1857 puisqu’il s’agit d’un quai dont les numéros sont continus. Rachetée en 1854 par le voisin le marchand de charbons Jean Hahn, elle est réunie au n° 6 qui devient une auberge (A la Finkmatt, 1905).

juin 2019

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1706 à 1952, voir auparavant rue du Fossé des Treize. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Jean Thierry Albrinck, précepteur, et (1702) Marie Salomé Spach – luthériens
1706 v Jean Thiébaut Bruckert, fabricant de chausses , et (1694) Susanne Reine Kirchner – luthériens
1707 v Marie Catherine Diebold († 1714) – luthérienne
1730* adj Jean Daniel Frid, avocat, et (1715) Elisabeth Schell, veuve du capitaine de batellerie Gaspard Meyer, puis (v. 1726) Anne Catherine Koch – luthériens
1765 v Frédéric Beatschi, compagnon maçon, et (1762) Rosine Hock, auparavant (1755) femme de l’aubergiste Jean Lobstein – luthériens
1794 h André Eichkorn, domestique, et (1794) Barbe Beatschi
1835 v Appoline Schahl (ensuite, 1845, femme de Philippe Bambis)
1840 v Marie Stocker veuve du garde d’artillerie Pierre Bernon
1850 v Antoine Brouillon, garçon tanneur puis aubergiste, et (1846) Elisabeth Haffen
1851 v Philippe Bernhard, boulanger, veuf de Frédérique Oster et (1839) Eve Meylænder
1854 v Jean Hahn, imprimeur en papiers peints puis marchand de charbons, et (1820) Marie Madeleine Kessler puis (1853) Marie Anne Cleman, veuve du compagnon meunier Louis Rung
1864 h François Wurtz, serrurier puis aubergiste, et (1853) Florentine Hahn auparavant (1851) femme de l’imprimeur lithographe Frédéric Martin Oster
1898* v Gustave Wurtz, sellier puis aubergiste, et (1890) Emma Steinmetz puis (1904) Marie Hugo
1940* v Marcel Friedel

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 75 livres en 1759
Valeur vénale : 100 livres en 1707, 137 livres en 1765

(1765, Liste Blondel) II 343, M. Fridt XIII
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Bratsche Wittib, 3 toises, 1 pied et 5 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 304, Betsch, Antoine, veuve – maison, sol – 0,95 are (puis Stocker Marie veuve Bernot)

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

Le maître maçon Michel Hatzung rend compte des transformations que le compagnon maçon Jean Frédéric Beatschi fait faire dans sa maison rue des Cerceaux où il aménage un poêle à droite de l’entrée, un fourneau dont le tuyau donne dans une vieille cheminée, le tout à distance de pièces de bois.

Joh: Friedrich Beatschi 97. 176
(f° 97) Freÿtags d. 4.ten Aprilis 1766 – Johann Friedrich Beatschi der Maurergesell und schirmer will in seiner auf der Reiffgaß gelegenen behaußung gerad gegen dem Eingang rechter hand eine stube gegen der gaß, darneben ein heerdlein mit einem Caminschooß machen, das rohr in ein altes darüber befindliches Caminrohr hinein führen, Von allem holtz entfernt. Erkannt Willfahrt. Mr Hatzung.

Le maître maçon André Stahl rend compte des transformations que le compagnon maçon Frédéric Beatschi fait faire dans sa maison où il aménage un poêle au deuxième étage vers la rue, à côté une cuisine comportant un fourneau dont le tuyau longe le mur coupe-feu, le tout à distance de pièces de bois.

(f° 176-v) Mittwoch den 21. Decembris 1768. – Friedrich Beatschi der Maurergesell will in seiner in der Reiffgaß gelegenen behaußung im Zweÿten stock eine Stube gegen der gaß, dabeneben eine Kuchen mit heerd und Caminschoß machen, das rohr der Feurmaur hinauf von allem holtz entfernt. Erkannt Willfahrt. Mr Stahl.

Description de la maison

  • 1767 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un poêle, une cuisine et une chambre, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé à 150 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

1° arrondissement ou Canton ouest – Rue des Cerceaux

nouveau N° / ancien N° : 13 / 7
veuve Brotschin
Rez de chaussée et 2 étages mauvais en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 90 case 2

Stocker Marie veuve Bernon à Strasbourg
Stocker Marie veuve Bernon à Strasbourg (1845)
Bernhard Philippe boulanger à Strasbourg (1852)
(1855) Hahn, Jean, rue de la Soupe à l’eau N° 2 et rue des Cerceaux

N 304, maison, sol, rue des Cerceaux 7
Contenance : 0,95
Revenu total : 27,50 (27 et 0,50)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 8 / 6
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 347 case 2

Hahn, Jean
1866 Wurtz, François, mécanicien au chemin de fer

N 304, maison, sol, quai de la Finckmatt n° 7
Contenance : 0,95
Revenu total : 27,50 (27 et 0,50)
Folio de provenance : (90)
Folio de destination : zerstört
Année d’entrée :
Année de sortie : 1871
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 8 / 6
fenêtres du 3° et au-dessus :
1871, Diminutions – Maisons détruites pendant le blocus, Wurtz François f° 347, N 304, revenu 21

Cadastre napoléonien, registre 24 f° 390 case 2

Wurtz, Franz
98/99 Wurtz Gustav, Würth

N 208, Hofraum, Haus, Finkmattstaden 6
Contenance : 2,89
Revenu total : 327,50 (326 et 1,50)
Folio de provenance :
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 42
fenêtres du 3° et au-dessus : 19

Cadastre allemand, registre 33 p. 737 case 1

Parcelle, section 79, n° 10 – autrefois N 208.p
Canton : Dreizehnergraben Hs. N° 1 u. Finkmattstaden Hs. N° 6 / Rue du Fossé des Treize, Quai Finkmatt
Désignation : Hf, Whs / sol, maison
Contenance : 1,67
Revenu : 2500 – 4600 – 4000
Remarques : 1910, Minderung

(Propriétaire), compte 3778
Wurtz Gustav
1929 Wurtz Gustave aubergiste veuve Jeanne Caroline née (-)
1940 Friedel Marcel sa veuve
(1489)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton II, Rue 46 des Cerceaux (p. 80)

9
Pro. Bartin, Barbe, Veuve
lo. Strohhauer, Eve, Veuve – Marechaux
lo. Eger, Marie, Cordonniers
lo. Stierling, Barbe

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Finkmattstaden (Seite 34)

(Haus Nr.) 6
Wurtz, Wirt zur Finkmatt. E 01
Bibert, Gerichtsvollziehergehülfe. 1
Klauditz, Modistin. 1
Baer, Damen schneiderin. 2
Bieber, Gerichtsvollzieherkandidat. 2
Mehn, Steurgehülfe. 2
Lengauer, Schieferdecker. 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote)


Relevé d’actes

Voir auparavant le bâtiment au coin de la rue de ls Soupe-à-l’Eau.
Le précepteur Jean Thierry Albrinck et Marie Salomé Spach vendent 700 livres leur maison à Jean Thiébaut Bruckert et à sa femme Susanne Reine Kirchner

1706 (14.9.), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 673
(700) Joh. Dietrich allbrinck præceptor privatus u. Maria Salome geb. Spachin [unterzeichnet] Johann dietrich Albring
hatt in gegensein Joh. Theobald Bruckerts u. Susannæ Reginæ geb. Kirchnerin
ihre behaußung, Hoff, Hoffstatt u. Garthen daran mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. Gerechtigkeit allhier, einseit ahn der Reiffgass neben Clemens garthen anderseit neben Adam Braun Kübler hinten auf den vixischen Garthen stoßendt – um 400 verhafftet, geschehen um 300 pfund

Le fabricant de chausses Jean Thiébaut Bruckert épouse en 1694 Susanne Reine Kirchner, fille du pasteur de Lichtenau en Bade
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 48-v)
1694. Eodem [Dom. XIII. post Trinit.] seÿns erstlich außgeruffen worden Johann Theobald Bruckker der jüngere lediger Hoßenstricker, Johann Theobald Bruckkers deß ältern, auch Hoßenstrickers und burgers ehelicher Sohn, und Fr. Salome Regina weil M. Adam Kirchners geweßenen Pfarrers Zu Lichtenau Gräffl. Hanauischer Greffschafft nachgel eheliche tochter. Seÿnd copulirt worden den 15. 7.br. [unterzeichnet] Hannß Theobaldus bruckert Hochzeiter, + der Hochzeiterin Zeichen (i 48)

Susanne Reine Kirchner devient bourgeoise en 1699 en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
1699, 4° Livre de bourgeoisie p. 708
Susanna Regina Kircknerin, Von Lichtenaw, Weÿl. H. Adam Kirchners gew: Pfarrers daselbst hinterl. tochter, empfangt das burgerrecht gratis Von Joh: Diebold Brucker dem Hosenstricker ihrem Ehemann Vnd Wird beÿ E. E. Zunfft Zur Mörin dienen. Promis. d. 11. Martÿ 1699.

Le revendeur Jean Thiébaut Bruckert fait partie de ceux qui ont vendu de l’eau de vie sans autorisation
1699, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 392)
(f° 148-v) Dienstags den 14. Julÿ Anno 1699
Ist Volgende Persohnen Welche, schon Nemlich Vor das gericht gebotten worden wegen deß Ihnen ohnerlaubten Brand Wein auß schenckens der Articul der Ihnen solches beÿ 5 lb Verbiethet Vorgeleßen worden
(Folgende Persohnen haben Vorgegeben, daß Sie von nach gesetzten Jahren das Gremppen werck getrieben)
6. Monath Johann Theobald Brucker Gremp

Jean Thiébaut Bruckert et Susanne Reine Kirchner revendent 100 livres la partie de la maison qui donne dans la rue des Cerceaux à Marie Catherine Diebold – qui achète onze petites maisons entre 1697 et 1701.

1707 (30.9.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 616-v
(100) Joh. Theobald Bruckert u. Susanna Regina geb. Kürchnerin
in gegensein Jgfren Mariæ Cath: Dieboldin so unbevögtigt beÿständlich H. Joh. Philipp Heckers E.E. G. R. beÿsitzers
eine kleine behaußung hoffstatt mit allen begriffen & allhier auf der Reiffgass, einseit neben denen verk: anderseit neben dem Clemensischen Garten hinten auf Sie verk. stoßend – um 100 pfund

Six de ces maisons sont vendues en 1714 par Marie Dorothée Diebold veuve de Jean Frédéric Fleischmann, héritière de Marie Catherine Diebold, fille du bailli de Barr. Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que Marie Dorothée Diebold doit le droit de détraction.
1714, Livres de la Taille (VII 1175) f° 75-v
(Blum, F. N° 1244) Weÿl. Jungfr. Mariæ Catharinæ auch Weÿl. H. Anthoni Diebolts geweßten Ambtmann Zu Barr und burgers alhier hinderlaßener dochter Verlaßenschafft inventirt H. Johann Bernhard Hennenberg E. E. Kleinen Rahts Actuarius.
Concl. fin. Inv. ist fol. 82, 3278. lb 12 ß 2 ½ d, die machen 6500 fl., dieselbe verstallte hiengegen 7200 fl.
Extant die Stallgeltter pro 1709 biß 1714. incl. à 10 ß 16 ß, macht 64 lb 16 ß
Gebott, 5 ß 8 d
Abhandlung, 4 lb 2 ß 6 s – Summa 69. lb 4 ß 2 d
Abzug. Frau Maria Dorothea gebohrne Dieboltin Hn Johann Friderich Fleischmanns hochgräffl. Hanauischen Beamptens Zu Honau Ehel. Haußfrau soll von angefallenem Erbe der 3166. lb. 5. ß alß alhier frembd und ohnverburgert den Abzug erlegen mit 316. lb 12 ß 6 d
dt. omnia d. 26. Maÿ 1714.

Le docteur en médecine François Antoine Fleischmann sollicite au nom de sa mère auprès des Quinze d’être exempté des droits de détraction en arguant que les sujets du comte de Hanau en sont exemptés et que Liechtenau est assimilable au comté puisqu’il est gouverné par les comtes et que par ailleurs son père a été employé à Bouxwiller avant d’aller à Lichtenau. Le préteur royal est d’avis de refuser l’assimilation. Les Quinze se rangent à son avis.
1714, Protocole des Quinze (2 R 118)
Maria Dorothea Fleischmännin geb. Dieboldin pt° Abzugs Mariæ Catharinæ Dieboldin Verlaßenschafft
(p. 126-v) Sambstags den 5.ten Maÿ 1714. – Kun. noîe Fr. Maria Dorothea Dieboldin weÿl. H Johann Gottfried Fleischmanns hochgräffl. hanauisch. beambten hinderlaßener Wittib, Ersch. derselben Sohn H. Frantz Anthoni Fleischmann Medicinæ Dr. prod. Stalschein à 316. lb 12 ß 6 d sambt dem über Jungfer Mariæ Catharinæ Dieboldin Verlaßenschafft auffgerichteten Inventario underth. bittend, weilen die graffschafft hanaw bißher deß abzugs befreÿt gewesen, ihro solches auch gnädig Zulaßen. Erk. ahne die Obere Stallherren gewießen.

(f° 135) Sambstags den 12.ten Maÿ 1714. – Obere Stallherren laßen durch herrn Secretarium Friden referiren, daß noîe Fr. Mariæ Dorotheæ Fleischmännin gebohrner Dieboldin, deren Sohn herr Frantz Anthoni Fleischmann Medicinæ Doctor umb nachlaß deß abgeforderten abzugs der 316. lb 12 ß 6 d angesucht hette, vnd alß mann ihne ferner gehört, dieses beÿgesetzt hette 1) daß in denen Stallbuch stünde, daß die graffschafft hanaw deß abzugs befreÿt were, 2) daß die bede gräffschafften Lichtenberg vndt Müntzenbrg anietzo einem herren gehörte, 3) sein Vatter sel. H.. Johann Friderich Fleischmann allzeit in hanawischen diensten alß secretarius In Buchßweyler biß ad anum 1683 sich gehalten hette, nachgehends aber nach honaw berufen worden were, allwo Er auch alß hanawischer bedienter gestorben, 4. von dießen H. Graff Hannß Sigmundt von Hanaw die beede graffschafften auch beÿsahmen gehabt hette vnd vermuthlich beÿde der Freÿheit des abzugs genoßen hetten, alß man hierauff die ordnung aufgeschlagen, so habe sich hierinn folgends gefunden
1. Von solchem abzug seind befreÿt die hießige burger,
2. die Vereinständ im vndern Elsaß alß nemlich des bistumbs, die graffschafft hanaw, das vnder Elsaßische Ritterstand.
Zu Mghh, was Sie hierauff erkennen wollen.
Herr Prætor Regius sagt, es suche der Implorant wegen seiner Mutter, die abzugs freÿheit, allein gienge die Ordnung klar dahien, daß allein der Vereinständ solches genießen solle, vnd weilen Hanaw Müntzenberg kein Vereinstandt seÿen, so halte Er davor, daß ob die ordnung steiff Zuhalten vnd das begehren abzulehnen sein werden auff des jenige, so Implorant seines Vatters dienst Zu Bußweÿler allegirt, were auch zu reflectiren, in dem es von Keiner erheblichkeit were, Zumahlen Er schon eine geraume Zeit selbige quittirt, vnd sich nach Hanaw begeben hette. Erkannt, herrn Prætori Regio gefolgt.

La maison revient à l’avocat Jean Daniel Fried, après 1725 puisqu’elle ne figure pas à l’inventaire dressé en 1725. Le titre allégué par la suite est celui de 1707.
Fils d’avocat, Jean Daniel Frid épouse en 1715 Elisabeth Schell, veuve du capitaine de batellerie Gaspard Meyer : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration

Eheberedung – zwischen dem Wohl Edlen, Vesten, und hochgelehrten herrn Daniel Frieden J. U. Licentiato deß Hoch Edel Gestreng und hochgelehrten herren Johann Jacob Friden hochberühmbten Juris Consulti und der Statt Straßburg hochansehnlichen Rath und Advocati, auch vornehmen burgers daselbsten mit weÿland der hoh Edlen hoch Ehr: und tugendbegabten frawen Margaretha gebohrner Richshofferin nunmehr seelig Ehelich erzeugtem Sohn, als dem herrn bräutigamb ane einem, So dann der hoch Edelen: hoch Ehr und tugendreichen Frawen Annæ Mariæ Meÿerin gebohrner Schellin, weÿland deß hoch Edel Vest und Mannhafften herrn Johann Caspar Meÿer gewesenen Von Ihro Königlichen Maÿestäth in Franckhreich Wohlverordneten Capitains über einer freÿen Compagnie de Fusiliers Bateliers nunmehr seelig hinterbliebenen Fraw Wittib als der Fraw Hochzeitherin am andern Theil – Geschehen in der Statt Straßburg Dienstags de, 27. Augusti in dem Jahr als mann nach unßers Einigen Erlößers und Allein Seeligmachers Jesu Christi gnadenreichen Geburth und Menschwerdung Zahlte 1715. [unterzeichnet] Daniel Fries, alß hochzeiter, Anna Maria Meÿerin als hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 278, n° 1194)
1715. Donnerstag den 29.ten Aug. seind auff Erlaubnuß Ihro Gnaden des Regierenden Herrn Ammeisters im Hauß auff den Abend copulirt worden H. Daniel Fried U. J. Licent. S. T. H. Johann Jacob Friden Reipubl. Advocati und Kirchenpflegers Zu St. Thomæ ehl. Sohn Und Fr. Anna Maria weÿl. Herrn Caspar Meÿers gewesenen Königl. Capitalins, über die freÿe Schiff Compagnie am Rhein hinterl. Wittib [unterzeichnet] Daniel Fried, alß hochzeiter, Anna Maria Meÿerin als hochzeiterin (i 277)

Anne Marie Schell devient bourgeoise l’année suivante en s’inscrivant à la tribu des Cordonniers
1716, 4° Livre de bourgeoisie p. 822
Fr: Anna Maria Fridin gebohrne Schellin, emp. das burgerrecht Von Ihrem H. Daniel Frid Licent. Jur. gratis, wird beÿ E E Zunfft derer Schumacher dienen. Promis. d. 27. Dito [Junÿ] 1716.

Daniel Frid fait dresser l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 4 178 livres
1720 (14.2.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 42)
Inventarium über des Wohl Edel, vest und Hochgelehrten auch Fürsichtig und wohlweißen Herrn Daniel Friden J.U. Ddi und E. E: großen Raths Löbl. Statt Straßburg wohlmeritirten alten Assessoris zu der wohl Edeln viel Ehren und tugendbegabten Frauen Annæ Mariæ gebohrner Schellin Seiner Frawen Eheliebstin in den Ehestand zugebrachte Nahrung, auffgerichtet in Anno 1720. – crafft der Zwischen ihnen auffgerichteter Pactorum Dotalium als ein unverändert Guth würcklichen in den Ehestandt Zugebracht, welche auff deßen freündliches Ansuchen, erfordern vnd begehren, in beÿsein vnd Persönlicher Gegenwarth Wohl Ehrengedachter Seiner Fraw Ehegemahlin auß denen Jenigen Designationen über die Ihme von Ihro Excellenz herrn Johann Jacob Frieden löbl. Statt Straßburg hochverdientem Advocato deßen hochgeehrten Vattern, wegen restirenden respe. Mütterlichen, Großvätter: vnd großmütterlichen Guths in Außweißung Gegebene Posten, den 2. vnd 30. 9.bris 1715. auffgerichtet, fideliter ersucht (…), So beschehen in Straßburg Mittwochs den 14. Februarÿ 1720.
Series rubricarum, Sa. Silberin und guldenen Geschmeids 129, Sa. baarschafft 548, Sa. Pfenningzinß haubtgüter 2851, Sa. Rind, Viehes, Hew, Strohe und Ruben 250, Summa summarum 4178 lb.

Daniel Frid est nommé échevin en 1717, il est élu au collège des Conseillers et des Vingt-et-Un en 1732, il devient prévôt de la tribu des pelletiers et l’un des Treize en 1736, fabricien en chef de la paroisse Saint-Pierre-le-Vieux en 1737, administrateur de Saint-Guillaume en 1743 et membre de la Chambre des logements militaires en 1744.
1717 Conseillers et XXI (1 R 200)
H. Daniel Frid würdt Schöff. 117.
1732 Conseillers et XXI (1 R 215)
Zu einem Ein und Zwantziger Wird H. Lt. Daniel Frid erwöhlt. 464.
1736 Conseillers et XXI (1 R 219)
H. XXI. Daniel Frid Wird Zu einem Ober Herren beÿ E. E. Zunfft der Kürschner erwöhlt. 50.
H. XV. Daniel Frid Wird zu einem dreÿ Zehner erwöhlt. 683
1736 XV (2 R 145)
introducirt, Herr Daniel Frid XV., 22
1737 Conseillers et XXI (1 R 220)
H. XIII. Daniel Frid Wird Zu einem Ober Kirchenpfleger Zum Alten St. Peter erwöhlt. 391.
H. XIII.r Daniel Frid Wird Zu einem Pfleger des Pensionum Corporis. 523.
1743 Conseillers et XXI (1 R 226)
H. Daniel Frid XIII. Wird Zu einem Pfleger zu St Wilhelm erwöhlt. 250.
1744 Conseillers et XXI (1 R 227)
Zu einem Einquartirungs Herrn Wird H. XIII. Daniel Frid erwöhlt. 317.

Anne Marie Schell meurt en 1725 en délaissant pour héritiers ses cinq petits-enfants issus de sa fille Marie Elisabeth Meyer femme du marchand Jean Jacques Saur. L’inventaire est dressé dans leur maison au Rheineckel (quai Saint-Thomas). La masse propre au veuf s’élève à 5 127 livres, celle des héritiers à 916 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 995 livres, le passif à 3 474 livres
1725 (26. 7.br), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 51)
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, liegend: und fahrender, Verändert und unveränderter, Keinerleÿ ausgenommen, so Weÿland die Wohl Edle Viel Ehren und Tugendbegabte Frau Anna Maria Fridin gebohrne Schellin, des Wohl Edel Vest, Hochgelehrt, Fürsichtig und Weißen Herrn Daniel Friden J. U. Lti. und E. E. Großen Raths löbl. Statt Straßburg alten Wohlverdienten beÿsitzers, geweßene Frau Eheliebste nunmehr seel. nach ihrem den 31. Augusti jüngsthin aus dießem Mühesahmen leben genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehrenhafften und Vorachtbahren H. Johann Schellen, Sattlers und burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Johann Jacob, Annæ Mariæ, Johann Daniel, Mariæ Margarethæ und Mariæ Elisabethæ Saurin gebohrner Meÿerin der Verstorbenen Fr. seeligen Frau Tochter mit S. T. Herrn Johann Jacob Sauren Vornehmen handelsmann allhier ehelich erzeugter hinterlaßene Kinder als der abgeleibten Frauen seel. Enckel und sowohlen ab intestato als per Testamentum verlaßene Erben mit assistentz des Wohl Edel Vest Hochgelehrten Herrn Frantz Rudolph Mollingers J. U. Lti und Löbl. Statt Straßburg höchst meritirten Lohnherr als Crafft Testamenti instituirten Inspectoris (…)
So beschehen in der Königl. Statt Straßburg Mittwochs den 26. Septembris Anno 1725.
Eheberedungs Copeÿ – Copia Testamenti Clausi

In einer allhier Zu Straßburg auff dem Rheineckel gelegenes und in dieße Verlaßenschafft gehöriger Behausung ist befunden worden, Wie folgt.
Höltzen und Schreinwerck. Auff der Obern bühnen, In H. Sauren Schlaff Zimmmer, Im Mittlern hauß Ehren, Vor der Wohnstub, In der Kuchen, In der Magd Cammer, In der Wohnstub, In der Schlaff Cammer, In der Neüen Cammer, Im Kleinen Stübel, Vor dem hintern Stübel, In der Schwartz tuch Cammer, Im untern Saal, In der untern Saal Cammer, In dem Nebens Cammerlein, Im gartenstübel, Im untern Contoir auff der lincken Seit, Im Contoir rechter Steithen, In der Knechts Cammer, In der Bauch Kuchen
Im Gartenhauß am Neßelsteeg. Im esteten Zimmer auff das Wasser, In dem ersten Camin Cammer gegen dem Thor, Im Vorgemach, In der Kuchen
Im Gartenhauß beÿm Wickhäußel. Unten in des Gartenmanns Gemachen
(f° 30) Eigenthumb ane Häußern und Gärthen. (E.) Erstl. eine behaußung am Rheineckel (…)
(E.) It. I. Garten in gemein Statt burgbann außerhalb des Fischerthors Zwischen den Waßern am Neßelsteeg gegen der Lohmühlen (…)
(E.) It. I. Garten 9. Acker groß so theils mit i. lebendigen haag, theils einer dielen wand umbgeben oberhalb der Auen bruck beÿ der Schiffmann (…)
(W.) It: I Garthen ohngefehr 4. Acker Groß so ein Erblehen gelegen außerhalb der Statt Straßb. Vor dem Spithal thor ohnfern der alten Lazareth beÿ dem Wickhäußel (…)
(W.) It: 5. Acker Matten an einander ohnfern dem Wickhäußel neben und hinten dem Vorgenandten Lazareth und obgeschriebenen Garten gelegen (…)
(W.) It: 12. Acker Felds Vor dem Spithal thor beÿ dem alten Lazareth (…)
(T.) It. i. Gartenhauß außerhalb der Statt Straßb. Vor dem Spithal thor beÿ dem alten Lazareth ohnfern dem Wickhäußel (…)
(f° 32=) (T.) It. I. Vorder u. I. hinterhauß mit dero hoffstätten auff dem gerber graben (…)
Bergwerck, So Theilbar. Item fünff Kuxen oder portionen ane einem bergwerck a la Croix aupres de Ste Marie aux mines en Lorraine
(f° 36) Ergäntzung des Herrn Wittwers unveränderten Guths. Nach Anleitung einer über deßen in dieße Ehe Zugebrachte Nahrung den 14. Februarÿ 1720. durch mich unterschriebenen Notarium auffgerichteten und von der Abgeleibten Frauen seel. in concepto eigenhändig unterschriebenen Designation
Ordo Series rubricarum. Des Herrn Wittwers unverändert Guth. Sa. haußraths 17, Sa. Rindviehes 25, Sa. Gartengewächß 3, Sa. Silbers 18, Sa. Guldenen Ring 216, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 398, Sa. Gülth von liegenden güthern 60, Sa. liegenden Guths 950, Sa. Schulden 2500, Sa. Ergäntzung 937, Summa summarum 5127 lb
Dießemnach würd auch den Erben unverändert Nahrung beschrieben, Sa. Hausraths 1018, Sa. Gutsch und Chaise 16, Sa. Läre vaß 20, Sa. Silbers 588, Sa. Goldenen Ring 312, Sa. Anschlag der häußer und Gärten 4835, Sa. Activ-Schuld 8750, Sa. Ergäntzung 2077, Summa summarum 17.618 lb – Schulden 16.701 lb, Nach deren Abzug 916 lb
Endlichen würd auch das Gemein Verändert und theilbar guth beschrieben, Sa. haußraths 152, Sa. Frucht 15, Sa. Wein und Vaß 52, Sa. Schiff und geschirr 2, Sa. Pferd 15, Sa. garten gewächß 15, Sa. Silbers 29, Sa. guldenen Ring 106, Sa. bergwercks 250, Sa. Eigenthumbs ane heüßern 975, Sa. Schulden 382, Summa summarum 1995 lb – Schulden 3474 lb, Übertreffen also die Theilbare Passiva die Theilbare Verlaßenschafft vmb 1479 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 18.766 lb
Eheberedung (…) Geschehen in der Statt Straßburg Dienstags de, 27. Augusti in dem Jahr als mann nach unßers Einigen Erlößers und Allein Seeligmachers Jesu Christi gnadenreichen Geburth und Menschwerdung Zahlte 1715.
Testament – Ich Anna Maria Friedin gebohrne Schellin, bekhenne und thue Kund Jedermänniglichen hiemit (…) Beschehen und Verhandelt in Straßburg den 16. Februarÿ Anno 1725. [unterzeichnet] Anna Maria fridtin gebohrne schellin

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 20 800 florins (10 400 livres) sur un total de 45 800 florins. La somme à régler est ramenée de 507 à 333 livres
1726, Livres de la Taille (VII 1176) f° 39
Schuhmacher F., N. 3867 – Fr. Annæ Mariæ gebohrner Schellin H. Daniel Friden J.V. Lti und E. E. Großen Rahts beÿsitzers gewesener Ehel. Haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Pantrion.
Concl. Fin. Inv. ist Fol. 191, 18.766. lb 6 ß 4 d darzu gelegt umb wie Viel die behaußung an dem Rheineckel und beede Gärten vor dem Fischerthor gelegen Von der Verstorbenen Frauen in anno 1715. beÿ ersuchung der Legitimæ und aufrichtung des Wÿdembs hoher angenommen alß selbige dermahlen æstimirt worden 5332. lb 4 ß 8 d, Summa 24.098 lb 22 ß
Abgezogen der samtliche Hausrat 1188 lb 17 ß 9 d, restirt 22.909 lb 13 ß 3 d
die machen 45.800 fl. Verstallte hingegen 25.000 fl. alßo Zuwenig 20.800. fl.
Warvon der Nachtrag gerechnet wird auf 8 Jahr in duplo à 62. lb 8 ß, 499. lb 4 ß
Und auf Sechs Jahr in simplo à 31. lb 4 ß, 187. lb 4 ß
Extat Stallgeltt pro 1723. biß 1726. incl. à 38 lb 17 ß, 155 lb 8 ß
Gebott, 2 ß 4 d
Abhandlung, 24 lb 7 ß 6 d – Summa 866 lb 5 ß 10 d
Solte es aber beÿ dem dermahligen anschlag der Werckmeister und Schätzer sein Verbleiben haben, so wäre das Geschäfft folgendergestalt Zu tractiren. Die Beschluß summa Inv. ist nach Abzug des haußraths 17.577 lb 8 ß 7 d
die machen 35.100 fl. Verstallte 25.000 fl. also Zuwenig 10.000. fl.
Nachtrag 8 Jahr in duplo à 30 lb 6 ß, 242 lb 8 ß
6 Jahr in simlo 90 lb 18 ß
Außständig Stallgeltt, 155 lb 8 ß
Gebott 2 ß 4 d
Abhandlung 18 lb 17 ß 6 d – summa 507 lb 13 ß 10 d
Zufolg Erkandnus gn. Herren der XV. vom 30. Martÿ 1726. ist der Nachtrag auf 333. lb 6 ß gesetzt H. Rathh. Frid aber Von Weiterer Straff absolvirt worden.
dt 18. Aug. 1727.

Liquidation provisoire de la succession dressée par deux notaires
1727 (8.4.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 17) f° 165
Summarischer Calculus Über Weÿland S.T. Frauen Annæ Mariæ Fridin gebohrner Schellin S. T. Herrn Daniel Friden, J.U. Lti und E. E. großen Raths Summarischer Calculus Über Weÿland S. T. Frauen Annä Mariä Friedin geb. Schellin S. T. Herrn Daniel Frieden J. V. Lti und E.E. großen Raths allhier Zu Straßburg, jetzigen Wohlmeritirten Assessoris, geweßener Frauen Eheliebstin nunmehr seel. Verlaßenschafft, durch uns endes unterschriebene, beede hierzu in specie erbettene Notarios zufolg E. E. großen Raths Erkandnus vom 7. Decembris Anno 1726. nach Vorherabgelegtem Juramento ersucht und gefertigt

Même liquidation dressée par Jean Lobstein
1727 (7.12.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 90)
Summarischer Calculus Über Weÿland S.T. Frauen Annæ Mariæ Fridin gebohrner Schellin S. T. Herrn Daniel Friden, J.U. Lti und E. E. großen Raths allhier Zu Straßburg jetzigen Wohlmeritirten Assessoris geweßener Frauen Eheliebstin nunmehr seel. Verlaßenschafft durch uns Endts unterschriebene beede hierzu in specie erbettene Notarios zuvolg E. E. großen Raths Erkandnus vom 7. Decembris Anno 1726. nach Vorherabgelegtem Juramento ersucht und gefertigt

Daniel Frid se remarie avec Anne Catherine Koch qui devient bourgeoise le 20 mars 1727
1727, 3° Livre de bourgeoisie p. 1365
Fr. Anna Catharina Kochin H. Rathh. Daniel Frieden eheliebst erhalt das burger recht gratis, will beÿ E E Zunfft d. schumach. dienen. Prom d. 20.ten Martÿ 1727.

Partage des biens d’Anne Marie Schell
1741 (3.3.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 12) n° 565
Abtheilungs Register über die in weÿl. Frauen Annä Mariä gebohrner Schellin, S.T. H: Daniel Frieden J: U: Lti und E. E. großen Rathß Löbl. Statt Straßburg wohlmeritirten beÿsitzers gew: fr: Eheliebstin nunmehr seel. Verl. gehörig geweßte, und vermög Verkauffreg. de A° 1726 ohnverkaufft übrig gebliebene auch davon dermahlen noch in natura sich vorhanden befundene hausräthl. posten, auch Silbergeschirr, und geschmeid, wie auch gold: Ring und dergl: geschmeid, auffgerichtet in A° 1741.
seind deßweg. daro Zu end stehend S. T. H. Joh: Jacob Saur J. U. Lt:, Jfr. Anna Maria Saurin mit beÿstand S. T. H. Lt. Jacob Friedrich Mollingers vnd H. Joh: Daniel Saur J: Stud: mit assistentz H. Joh: Heinrich Jahreißen oberschreib. des Stiffts Fr. haußes vor ihne v. übrige seine geschwist: constit: Cur: ad lites vnd dann erstged. H. Jahreiß noch ferners auch benebens H. Joh: Schellen dem Sattler v. b. alhier alß noch ohnentledigten Vogt Jfr. Mar: Elisab. vndt Jfr Mariæ Margarethæ Saurin in der Meÿerisch. oder Großvätterl. behauß. alhier Zue Straßburg auf dem Rein Eckel gelegen
Straßb. d. 3. Martÿ et seqq. Anno 1744.

Daniel Frid meurt en 1763 après avoir institué sa femme pour sa seule et unique héritière. Les experts estiment 75 livres la maison rue des Cerceaux. L’actif de la succession s’élève à 6 605 livres, le passif à 600 livres.

1764 (11.5.), Not. Zimmer (6 E 41, 1405) n° 74
Inventarium über Weÿland des Hoch Edelbegohrnen Gestreng, Fürsichtig, Hochgelehrt Hochweißen H. Daniel Frid, gewesenen vortrefflichen Jure Consulti, des beständigen geheimen Regiments derer Herren dreÿzehen allhießiger Löblicher Stadt Straßburg hochansehlichen Mitglieds, E. E. Zunfft der Kürßner Hochverdienten Oberherrns, wie auch der Evangel. Gemeinde zum alten St. Peter Hochverdienten Oberkirchenpflegers nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1764. – nach seinem d. 13.ten Novembris des letzt abgewichenen 1763. Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt genommenen tödlichen Hientritt, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren des Hoch Edel: Hoch tugendgezierten Fr. Annæ Catharinæ Fridin gebohrner Kochin, der dißortigen Fr. Wittib als nach maßgab des hernach copialiter eingetragenen Testamenti nuncupativi §° 5.to von dem H. XIII. seel. eingesetzten Universal Erbin, inventirt (…). Si geschehen alhier Zu Straßburg auf Freÿtag d. 11. Maji Anno 1764. in persönlicher Gegenwart Sis Tis H. Joh: Friedrich Frid, P. P. Ord: u. vornehmen Burgers alhier der Fr. Wittib u. respe. universal Erbin hierzu insonderheit erbettenen H. Assistenten
Bericht und respective Daclaration wegen gegenwärtiger Verlaßenschafft. Nemlichen es declarirte Eingangs Hoch Edelgedachte Fr. Wittib und respe. Universal Erbin daß Zur Zeit Ihrer Verheurathung eine Eheberedung mit dem nun seel. H. dreÿ Zehner seÿe errichtet worden, Sie wiße aber nicht wo sich solche dermalen befinde, und seÿe auch Ihro der Inhalt völlig unbekannt, deshalben wurde auf deroselben Begehren dermahlen Sie auch die einige Universal Erbin ist, sowohl Ihr der Frauen dreÿzehnerin als auch des seel. Herrn dreÿzehners Vermögen nicht separatim, sondern ohne Unterschied unter einer Massa beschrieben.

In einer alhier Zu Straßburg ane dem alten Weinmarckt gelegenen und in diese Verlaßenschafft gehörigen Behaußung befunden worden wie folgt.
(f° 10-v) Eigenthum ane Häußern. Erst. I. Behaußung ane dem alten Weinmarckt (…)
Item eine kleine behaußung ane dem dreÿ Zehen Graben oder sogenannten Waßersupp gaß (…)
Item eine behaußung am Thomansloch (…)
Item eine Behaußung ane dem Gerbergraben (…)
(f° 11-v) Item eine Behaußung und Hoffstatt, mit alen dero Gebäuden, begriffen, Zugehörden und Rechten, ebenmäßig alhier Zu Straßburgn ane der Reiffgaß, Ein und anderseit wie auch hinten auf Clementz Reiff stoßend gelegen, so freÿ ledig und eigen auch durch vielberührte H. Werner und Huber abgeschätzet worden vor 150. fl. oder 75 lb. Darüber is vorhanden ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in alhießiger C. C. Stub gefertiget d. d. 30. 7.bris 1707. mit deroselben anhangeden größern Insiegel bekräftiget.
(f° 12-v) Eigenthum ane einem Garten, Gartenhauß u liegenden Gütheren vor dem Metzgerthor (…)
(f° 15) Series rubricarum hujus Inventarii. Copia des seelig. verstorbenen Herrn Dreÿzehner vor weÿland H. Not° Joh: Daniel Lang seelig und sieben Gezeug d. 27. Junii 1753. auffgerichteten Testamenti nuncupativi.
Sa. Haußraths 301, Sa. Bibliotheck 60, Sa. Gartenwaar 6, Sa. Wein und leerer Faß 188, Sa. Silbers 275, Sa. goldener Ring 30, Sa. baarschafft 1650, Sa. Eigenthums ane Häußern 3243, Sa. Eigenthums ane einem Garten 790, Sa. Gülth von liegenden güthern 57, Summa summarum 6605 lb – Schulden 600 lb, Nach deren Abzug 6004 lb
Summa Legata 325 lb – Conclusio finalis Inventarÿ, Stall Summa 6004 lb
(f° 16-v) Copia Testamenti nuncupativi. (…)
Abschatzung Vom 6. aug. 1764. Auff Begehren Weil. S: T: H. Daniel Friett Eines Hoch be*slichen Colegio Der H. XIII. Alter beÿsitzer ist eine behausung (…)
Der Finffte Begriff jst auch alhier in der Statt Strasburg auff der Raiff Gas Gelegen an solcher begriff ist Einseits ander seits und hienden auff Clements Räiff Stosent gelegen solcher begrieff besteht in einer Stuben eine Kichen und eine Kamer Dar Iber ist der dach Stull mit breidt Ziglein belegt hat auch ein Getrembten Keller Vor und Umb Ein hundert Finffzig gulden
Von uns Unterschriebenen der Statt Strasburg Geschwornen Werckmeister Nach Vorhero geschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit Dem Jetzigen Wahren Werth Nach æstimirt Vnd angeschlagen worden Vor und Umb Finff Hundert Gulden, Werner, Sebastian Huber

L’inventaire est soumis à révision après la mort de sa veuve quelques mois plus tard. L’inventaire précédent a omis de décrire deux immeubles que la veuve n’a pas signalés. L’actif de la succession s’élève à 7 829 livres, le passif à 600 livres.

1764 (16. 9.bris), Not. Zimmer (6 E 41, 1405) n° 89-b
Revisio Inventarii Über Weÿland des Hoch Edelbegohrnen Gestreng, Fürsichtig, Hochgelehrt Hochweißen H. Daniel Frid, gewesenen vortrefflichen Jure Consulti, des beständigen geheimen Regiments derer Hn dreÿzehen allhießiger Löblicher Stadt Straßburg Hochansehlichen Mitglieds, E: E: Zunfft der Kürßner Hochverdienten Oberherrns, wie auch der Evangelischen Gemeinde Zum alten St. Peter Hochverdienten Oberkirchenpflegers seel. Verlaßenschafft, durch Notarium Zimmer in gegenwärtigem 1764.ten Jahr, auf begehren vorgenommen und angefangen d. 16. 9.bris Anno 1764.
Ann 1764, den 16. Novembris erschienen vor mir dem unterschriebenen Notario 1° Herr Daniel Gottlieb Ziegenhagen, der Chirurgus und burger alhier, als Vogt Jungfrauen Charlottæ und Louisæ Kochin, Ferner Herr Carl Christian Koch der ledige Chirurgus alhier, so über 20 Jahr alt, diese dreÿ weÿland H. Johann Peter Koch, gewesenenen Truchseß Zu Enkirchen in der Graffschafft Sponheim, mit Frauen Christiana gebohrner Waltzin ehelich erzeugte Sohn und Töchtere,
2.do H. Philipp Conrad Krufft, Oberweÿßenvogt und Regierungs Advocat zu Trarbach tam uxorio quam mand: noîe und Zwar uxor: noîe Fr. Carolinæ gebohrner Martiußin, mand: noîe aber H. Carl Martius, des Secretarii beÿ der Regierung Zu Trarbach, beede weÿl. Fr. Mariä Margarethä gebohrner Kochin, mit weÿland Herrn Carl Martius, gewesenen Secretario beÿ der Regierung Zu Trarbach hinterlaßener Sohn und Fr. Tochter und Fr. Charlottæ Sophiæ gebohrner Kochin, erstgemelter verstorbenen H. Martius hinterlaßener Fr. Wittib, als hierzu insonderheit beneben hernachgemeltem H. Christian Koch bevollmächtiget,
3.tio Fr. Anna Elisabetha gebohrne Kochin weÿl. H. Joh. Jacob Heißner, gewesenen Rentmeisters zu Bittlingen Zum Hertzogthum *ingen gehörig nachgelaßene Fr. Wittib beÿständlich H. Joh: Heinrich Faust J. U. Lti und E. E. kleinen Raths alhier Procuratoris und Advocati ordinarii,
4.to H. Christian Carl Koch, Kellner beÿ dem Herrschafftlich Sponheimischen Hoff zu gedachtem Enkirchen, Alle samt und sonders anzeigend, daß nach Absterben weÿl. Sis Tis H. XIII. Daniel Frid, durch mich Notarium über deßen Verlaßenschafft ein Inventarium Zwar seÿe errichtet, aber auf Löbl. Statt Stall noch nicht abgehandelt worden, daß der seel. Hr dreÿzehner, Fr. Annam Catharinam gebohrne Kochin, deßen Ehegattin per Testamentum Zur universal Erbin instituirt, daher auch die samtlichen von Ihme dem H. Dreÿzehner seel. hinterlaßene Haab, Nahrung und Güter in berührtem Inventario nur unter einer Maß und ohne Untersuchung woher solche rühren, seÿen beschrieben worden.
Weilen nun erstgedachte des seel. H. dreÿ Zehners hinterbliebene Fr. Wittib und Universal Erbin auch den 22.ten Octobris jüngst das Zeitliche mit dem Ewigen verwechselt und vorhergemelte deroselben Geschwüsterde und der beeden verstorbenen Geschwisterden Kinder Zu Erben ab intestato verlaßen, als wurde ich der End unterschriebene Notario durch erwehnte der Fr. Dreÿzehnerin seel. Erben respectivé Herrn Vogt und Mandatarium requirirt, die Revision des erst kürzlich über des seel. H. XIII. Verlaßenschafft errichteten Inventarii vorzunehmen

Recapitulatio. Sa. Haußraths dem wahren werth nach 765, Sa. Wein und leeren Faß 340, Sa. Silbers 695, Sa. goldenen Ring 267, Sa. baarschafft 1098, Sa. Eigenthums ane Häußern 3243, Sa. Eigenthums ane einem Garten 790, Sa. Gülth von liegenden güthern 500, Sa. Schulden 129, Summa summarum 7829 lb – Schulden 600 lb, Nach deren Abzug 7228 lb- Der Fr. Dreÿzehnerin seelig restirend Verlaßenschafft 7008 lb
Eigenthum ane einer kleinen behaußung ane dem dreÿ Zehen Graben oder sogenannten Waßersupp gaß (…)
Eigenthum ane liegendn Güthern. Nemblichen ein acker gebauener Grund in dem Lazarethfeld (…)
(Welche immobilia) in weÿl. Fr. XIII. Annä Catharinä Fridin geb. Kochin seel: Verl. würde gehörig wären, Sie Fr. XIII. Fridin aber Zu der Zeit als sein S. T. H. XIII. Daniel Frid ihres Eheherrn seel. Verlaßenschafft durch mich Notarium inventirt worden, welches nicht müßen gewußt haben, daher berührte Immobilia in dem über sein H. XIII. seel. Verl. errichteten Inv° sich nich inserirt befindeten (…)
(f° 17) Cessio und Übergab Einer Behausung ane dem alten Weinmarckt, ferner einer behausung am thomanloch, so dann eines Gartens, Gartenhaußen und liegender Güther vor dem Metzgerthor dieser Statt Straßburg gelegen (…)

Les héritiers exposent infructueusement la maison rue des Cerceaux aux enchères

1765 (21.6.), Not. Zimmer (6 E 41, 1449) n° 100
auf Ansuchen herrn Daniel Gottlieb Ziegenhagen des Chirurgi als Von weÿl. herrn Johann Peter Koch gewesenen truchseß zu Enkirchen hinterlassenen dreÿer Kinder und herrn Johannes Sonntag des Practici als Mandatarius Frauen Annä Elisabethä Heußnerin geb. Kochin weÿl. H Johann Jacob Heißner gew. Rentmeisters zu Bittlingen hinterlassener Fr. Wittib und burgerin allhier zu Straßburg
zu einer freiwilligen und offentlichen Versteigerung einer behaußung und hoffstatt samt allen dero Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten ane dem dreÿzehen: Graben oder sogenannten Waßersuppgaß gelegen, einseit neben Jacob Schott dem Gartner ane Steintraß anderseit neben weÿl. H. N. Osterrieth des gewesenen Zimmermeisters Verlaßenschafft und hinten auf N. Trienbach des Gartners ane Steinstraß Garthen stosend, so außer 14 ß 1 d ehrschätzigen zinnß welche jährlichen auf Martini in das Lerchenfeldische Lehen zu entrichten seÿen, ausgeruffen vor 1000 fl – kein Gebott
den 21. Junÿ – zu einer freiwilligen und offentlichen Versteigerung einer kleinen behaußung und hoffstatt samt allen deroselben Gebäuden, begriffen, Zugehörden und Rechten an der Reiffgaß ein: und anderseit wie auch hinten auf Clementz Reiff stoßend gelegen, ausgeruffen 200 fl, kein Gebott
den 21. Junÿ, die behausung an der Waßersuppgaß ausgeruffen pro 300 fl, kein Gebott (Affiche)

La cohéritière Anne Elisabeth Koch veuve du trésorier Jean Jacques Heissner acquiert les parts de plusieurs maisons dont celle rue des Cerceaux

1765 (27.4.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 324-v, Not Zimmer, 26. Febr. 1765
auf ansuchen Fr. Anna Elisabetha Heißerin geb. Kochin, nachstehende Erbscession
Extractus aus dem über weÿl. des hochedel und hoch tugendzierten Fr. Annæ Catharinæ Fridin geb. Kochin auch weÿl. S.T. H. Johann Daniel Frid vortrefflichen juris consulti des bestängigen Regiments des H. dreÿzehen (…) mitglied, E. E. Zunfft der Kürßner hochverdienten Oberherrn wie auch der evangelsichen gemeinde zum Alten St Peter wohlverdienten Oberkirchpfleger seel. Fr. wittib und universal erbin, den 4. Decembris et sequentibus 1764 (errichteten) Vergleich und abtheilung concepto (f° 21 et sequenti)
persönlich erschienen, Primo Herr Philipp Conrad Krufft, wohlbestellter Oberweÿßenvogt und Regierungs: Advocat zu Trarbach in der Graffaschafft Sponheim, und Zwar uxorio nomine Frauen Carolinä gebohrner Martiußin, seiner Frauen Eheliebstin, mandatario nomine aber Herrn Carl Martius, des Secretarii beÿ der Regierung Zu erwehntem Trarbach und Frauen Charlottæ Sophiæ gebohrner Kochin, weÿland Herrn Carl Martius gewesenen Secretarii beÿ schongedachter Regierung zu Trarbach Frauen Wittib, und Secundo Herr Christian Carl Koch, Kellner beÿ dem Herrschafftlich Sponheimischen Hoff zu Enkirchen, alle weÿland Frauen Annä Catharinä Fridin, gebohrner Kochin, auch weÿland Sis Tis Herrn Daniel Frid, gewesenen vorftrefflichen Jure Consulti und des beständigen geheimen Regiments derer Herren Dreÿ Zehen alhier zu Straßburg hochansehnlichen Mitglieds && seeliger nachgelaßener Frauen Wittib, nun auch seeligen ab intestato vor dreÿ Fünffte Stammtheil hinterbliebene Erben und deroselben respective Herr Mandatarius, samt und sonders anzeigend, wie daß Sie in unvertheiltem Erb eigenthümlichen cedirt, abgetretten und überlaßen hätten
Frauen Annä Elisabethæ Heißerin, gebohrner Kochin, weÿland Herrn Johann Jacob Heißner, gewesenen Rentmeisters in Bittlingen hinterlaßener Frauen Wittib und burgerin alhier zu Straßburg, welche auch beÿständlichen Herrn Johann Heinrich Faust J. U. Lti. und E: E: kleinen Raths Advocati und Procuratoris ordinarii für sich und Ihre Erben angenommen Zuhaben bekannte
dreÿ fünfte theil vor unvertheilt von und ane einer kleinen Behausung und Hoffstatt, samt allen deroselben Gebäuen, Begriffen, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen alhier zu Straßburg ane dem Dreÿzehen Graben oder sogenannten Waßersuppgaß, einseit neben der Gastbehausung Zum weißen Rößlein, anderseit neben der Cazerne und hinten ebenmäßig auf die Cazerne stoßend, so außer 14 ß 1 d. welche man jährlichen in das Lerchenfeldische Lehen Zu entrichten hat, freÿ, ledig und eigen ([in margine :] Statt der gegenstehenden 14. ß 1 d wird nur 7 ß 6 d jährlichen auf Martini der Statt Straßburg Pfenningthurn ane Bodenzinß gereicht)
Ferners dreÿ Fünffte Theil vor unvertheilt von und ane einer Behausung und Hoffstatt, mit allen dero Gebäuden, Begriffen, Zugehörden und Rechten, allhier Zu Straßburg ane der Reiffgaß, ein: und anderseit wie auch hinten auf Clemens Reiff stoßend, so freÿ, ledig und eigen
So dann dreÿ fünfte theil vor unvertheilt von und ane einer Behausung und Hoffstatt samt allen deroselben Gebäuen, Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten alhier Zu Straßburg ane dem Dreÿzehn Graben oder sogenannten Waßersuppgaß gelegen, einseith neben Jacob Schott, dem gartner ane Steinstraß, anderseit neben Weÿland N. Osterrieth, des gewesenen Zimmermeisters Verlaßenschafft und hinten auf N. Trienbach des Gartners ane Steinstraß garten stoßend ([in margine :] Nota Von dieser gantzen behaußung gibt man jährlichen auf Martini in das Lerchenfeldische Lehen 14 ß 1 s Zu Zinß), so freÿ, ledig und eigen
Ane welchen vorbeschriebenen dreÿen Behausungen Sie die Frau Cessionnaria, als Mit Erbin, einen fünfften theil participiret und der übrige fünffte theil Herrn Carl Christian Koch, dem ledigen Chirurgo alhier, Jungfrauen Charlottæ und Louisæ Kochin, alle dreÿ weÿland Herrn Johann Peter Koch, gewesenen Truchseß zu schogemeltem Enkirchen und Frauen Christiana, gebohrner Waltzin, seiner hinterbliebenen Frauen Wittib ehelich erzeugter Herr Sohn und Jungfrau Töchtere, alß dißeitigen Mit Erben eigenthümlich gehörig ist – umb 366 Pfund Pfenning Straßburger, das ist alle dreÿ behausungen Zusammen Zu 600 Pfund Pfenning Straßburger gerechnet – Straßburg den 26. Februarÿ 1765
Extrait original du notaire Zimmer, cote 94 Z 18

L’acquéreuse et les enfants de Jean Pierre Koch revendent cinq mois plus tard la maison au manant et compagnon maçon Frédéric Beatschi et à sa femme Rosine Hock

1765 (28.9.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 650-v
H. Johannes Sontag der practicus als mandatarius Fr. Maria Elisabetha geb. Kochin weÿl. H. Johann Jacob Heißner des rentmeisters zu Bittlingen wittib, H. Daniel Gottlieb Ziegenhagen der chirurgus als vogt weÿl. H. Johann Peter Koch gew: truckseß zu Enkirchen 3 kinder
in gegensein Friedrich Beatschi des schirmers und maurer gesellen und Rosinæ geb. Hockin [unterzeichnet] +
eine behausung und hoffstatt mit allen gebäu, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Reiffgaß, einseit, anderseit und hinten Clemens Reiff des holtzhändlers erben – um 137 pfund

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la vente d’une petite maison au manant Frédéric Beatschi avec dispense de faire dresser un rapport d’experts

1765, Conseillers et XXI (1 R 248)
Friderich Bratschi der schirmer und maurergesell erhält erlaubnus Von Mar. Elisab. Heisnerin geb. Kochin und weil. H. Joh: Peter Kochen Kinder Vogt H. Ziegenhagen einen an der Reiffgaß gelegenes häußlein dispens. vom augenschein umb 275. fl. und übernahm der Kösten Kauffen, jenen aber also Verkauffen Zu dörffen. 243.
(p. 243) Montags den 23.sten Septembris 1765. Osterrieth Nê Fr. Mariæ Elisabeth Heißnerin geb. Kochin der hießigen burgerin mandatarii H. Johann Sonntag Juris practici und burgers allhier und weil. H. Joh: Peter Koch hinterlaßener dreÿer Kinder Vogten H. Daniel Gottlieb Ziegenhagen des burgers und Chirurgi allhier dieße haben ein Kleines Haüßlein ane der Reiffgaß gelegen, davon jenen 4/5 dießem aber 1/5. dicto quo eigen war an Friderich Beatschi den schirmer und Maurers gesellen allhier umb die summ von 275 fl. nebst übernahm der Kösten Verkauffen Zu dörffen, wie auch ob modicitatem pretii umb gnädige dispensation vom augenschein.
Froereis nê des Kaüffers berichtet daß deme also und bitt unterth. auff Vorstehende arth Kauffen Zu dörfen et ob modicitatem objecti similiter umb gnädige dispensation vom augenschein.
Nach angehörtem voto des H. Syndici Regii in welchem hochderselbe sub clausulis consuetis auff die gebettene wilfahrung angetragen.
Wurde auff hohem anspruch Excellentissimi Domini Prætoris Regii von Gayot das auff dem obern banck vorsitzenden H. Stättmeisters von Gail Vermittelst gehaltener Umbfrag unanimiter Erkandt, wird Implorirenden Parthen mit gebettener erlaubnus ein auff der Reiffgaß gelegenes Hüßlein umb 275. fl. nebst übernahm der Kösten dispensando vom augenschein Kauffen, jedoch mit dem anhang wilfahrt, daß der Kauf und Verkauf in Mgh. Hhren Cantzleÿ Contractstub in gegenwarth H. Rathh. Schäffer und H. Rathh. Oeringers als hiezu insonderheit ernannter Deputatorum ordnungs mäßig verschrieben und dabeÿ Gemeiner Statt versierendes inetresse, besonders wegen abrichtung des réal schirmgelts bestermaßen observirt werden solle.
Deppi. H. Rathh. Schäffer und H. Rathh. Oeringer

Frédéric Beatschi et Rosine Hock hypothèquent le même jour la maison au profit du maître maçon Georges Michel Müller pour en régler le prix d’achat

1765 (28.9.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 653
Friedrich Bratschi der schirmer und maurer gesell und Rosina geb. Hockin mit beÿstand Johann Georg Pfotzer des schuhmachers und Johann Georg Marckquart des säcklers
in gegensein H. Rathh. Georg Michael Müller des Maurer meisters, zu bezahlung des kauffschillings hiernach beschriebener behausung – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Reiffgaß einseit anderseit und hinten auf Clemens Reiff des holtzhändlers erben

Rosine Huck est veuve de l’aubergiste Jean Lobstein qui apprend le métier auprès de Jean Rosset, aubergiste à la Carpe bridée. Les parties souhaitent terminer l’apprentissage de trois ans au bout de deux ans mais reviennent sur leur décision quand le Conseil leur réclame un droit de 10 livres 10 sols.
1741, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166, 167)
Fribourgeois (XI 166) Dienstags den 18.ten Apr: A° 1741 – H. Johann Rossett, der Würth undt Gastgeber Zum Gerden fisch, stehet vor undt bittet Johann Friderich Lobstein, den Zu Ihme ad 3 Jahr in die Lehre Eingeschriebenen Lehrjungen, außthun Zu laßen so laße es ahne der stipulirten Lehrzeit würcklichen 2. Jahr vollbracht undt Er Ihme alß seinen Enckhel die restirende Lehr Zeit Nach zu laßen Erbiethg. Warauff ist Erkandt, Weilen ahne der Lehrzeit beÿ einen Jahr Fehlet, daß Zwar gebettener maßen Zu willfahren Jedoch daß pro Dispensatione 1 lb 10 ß d Erleget werden solle.
Alß aber der Bescheid dem Lehrherrn angesaget worden, So hat sich derselbe hierauff vernehmen Laßen, daß Er die angesetzte 10 lb 10 ß d pro dispensat. nicht Erlegen, ehender aber von seinem petito desistiren mithin den Lehrjungen die stipulirte Lehrzeit über, vollendt behalten wollen.

Jean Lobstein produit son certificat de baptême du 6 mars 1725, son certificat d’apprentissage du 28 juin 1741 et son certificat de la Taille du 20 février 1754. Locataire de l’auberge aux Six chevaux noirs, il est reçu à la tribu des Fribourgeois pour exercer le métier d’aubergiste.
1754, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 167)
(f° 194-v) Donnerstags den 7.ten deß Monaths Martji in Anno 1754
Neuzünfftiger – Johann Friderich Lobstein, der Ledige Würth Johannes Lobstein, burgers und Metzgers allhier ehelicher Sohn, Erscheinet und prod. Thauffschein vom 6. Martÿ 1725. Lehrbrieff de dato 28. Junÿ 1741. Und Statt Stall Schein unterm 20. febr: 1754. Ertheilet Und bittet weilen Er in dem würthshauß Zu denen 6. Rappen, so er in Lehnung bestandten, würthschafft Zu treiben gesonnen, Ihme das Zunfft: und Würths: Recht diesorths Zu Conferiren, Zu dem Ende den benöthigten Zunfft Schein Ertheilen Zu Laßen, damit Er von Gn. Hhn. denen XV.rn den Weinschanck Erlangen möge.
Hierauff Erkandt Worden, daß dem Imploranten In seinen Petitis weilen Er alle nöthige præstanda præstirt gegen Erlag der ordinarj Gebühr der 6 lb 14 ß vnd 6 ß d Stubengeld pro hoc anno, Zu willfahren, dedit et jur: auff die Ordnung eodem.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Jean Lobstein à se marier à domicile comme l’a autorisé le consul malgré l’opposition d’Anne Marie Bronner de Schiltigheim
1755, Conseillers et XXI (1 R 238)
die Von Anna Maria Bronnerin eingelegten opposition ohngeachtet erhalten Jedoch Joh: Friderich Lobstein und rosina Barbara Hockin deßen Sponsa die erlaubnuß sich mit einander Verehelichen zu dörffen, und dispensation Von Zweÿterer proclamation. 175.
(p. 175) Montag den 11.ten Augusti 1755 – Freund nôe Johann Friderich Lobstein des burgers und sechs rappen Würths alhier et Sponsæ rosinæ Barbaræ Hockin, so des burgerrechts Verröstet worden, producirt unterth. Memoriale und bitten mit beÿlag Sub Lit. A. handelt Innhalts,
Erkandt, wird unterthänig eingegenenes Memoriale Johann Friderich Lobstein des burgers und sechs rappen Würths alhier et Sponsæ rosinæ Barbaræ Hockin /:dahin gehend Mhhen geruheten, gnädig zu erkennen, daß in conformitæt des am 4.ten hujus Von E: E: großen rath ertheilten bescheidts und darauff des regierenden H. Ammeisters erfolgter erlaubnuß, Krafft welcher denen Imploranten im hauß Copulirt Zu werden gestattet worden, mit der Copulation derer Verlobten, ohngeachtet des denenselben auff anlangen annä mariä bronnerin Von Schiltigheim den 9.ten hujus significirten acte d’appel fortgefahren, und, weilen bereits die Einladung der Verwandten und überige nöthige auffwendungen geschehenn solche so gleich nach erhaltenem M.er Hhen bescheidt cum dispensatione fernerer proclamation im hauß vorgenommen werden möchte:/ beeden Implorirenden Verlobten in ihrem petito durchaus willfahrt, mithin verordnet, daß des Von der opponenten unter obgemeldten dato significirten acte ohngeachtet Zur begehrten copulation geschritten werden solle.
Depp.H. Rathh. Ducré, H. Rathh. Kamm.

Fils de boucher, Jean Frédéric Lobstein épouse en 1755 Rosine Barbe Hock, fille d’un meunier à « Burg Oberroth » près de Francfort : contrat de mariage, célébration
1755 (18.4.), Not. J. Henri Thenn (6 E 41, 748) n° 17
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Johann Friderich Lobstein, ledigen gastgebers H. Johann Lobstein des Metzgers und burgers allhier mit weÿl. frauen Annä Mariä gebohrner Brellin seines geweßenen haußfrauen ehelich erzeiehltem Sohn als hochzeiterin beÿständlich H. Johann Erhard Schwing des Sattlers und burgers allhier ane einem,
So dann der Ehren und tugendsamen Jgfr. Rosina Barbara Hockin weÿl. H. Johann Adolph Hock geweßenen Müllers zu Burg Oberroth beÿ Franckforth mit auch weÿl. frauen Anna Catharina gebohrner Dählerin nun beeder seeligen ehelich erziehlter tochter alß der Jgfr. hochzeiterin mit assistentz H. Johann Friderich Fichter des bedienten in allhießigem umbgeld und burgers allhier ae dem andern theil
Straßburg Freÿtags den 18. Aprilis Anno 1755. [unterzeichnet] Joh: fried. Lobstein Als Hochzeiter, x der Hochzeiterin Handzeichen

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 132, n° 11)
1755. Montag den II. Aug. Seind nach einmahliger Außruffung geschehen den IX. Sonntag nach Trinitatis d. 27. Julii mit dispensirung der andern außruffung durch Hohe Erkanntnuß unserer Gnädiger Herren derer Dreÿ Zehen auch Schrifftlicher Erlaubnus von wegen H. Ammeister Zu Hauß in den Stand der Heil. Ehe eingesegnet worden Johann Friderich Lobstein Gastgeber und burger allhier Herrn Johann Lobsteins Metzgers und burgers allhier Ehelicher Sohn, Jf. Anna Rosina Hockin von Berg ober Roth, weÿl. Johann Adolph Hock geweßten Müllers v. burgers daselbst Eheliche tochter, Johann friederich Lobstein als hochzeiter, + der Hochzeiterin Handz. (i 134)

Rosine Barbe Hock fait dresser un état de sa fortune pour devenir bourgeoise (le registre de bourgeoisie manque pour cette période)
1755 (3.7.), Not. J. Henri Thenn (6 E 41, 747)
Verzeichnus Desjenigen Vermögens so Jgfr. Roßina Barbara Hockin weÿl. H. Johann Adolph Hock geweßenen müllers zu burg oberroth beÿ Franckforth seel. nachgelaßene eheliche tochter, so ane H. Johann Friederich Lobstein den leedigen gastgeber und burgern allhier ehelichen versprochen und umb gnädige auffnahm in das allhießige burgerrecht unterthänig einzukommen Vorhabens, dermahlen eigenthümlich besitzet
Haußraths 234, und Silber 18 (Summa) 252 lb
Sigl. Straßburg den 3.t Julÿ Anno 1755

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dont la minute n’est pas conservée
1755, Not. Thenn (Répertoire 6 E 41, 664-5) n° 34
H. Johann Friderich Lobstein Gastgebers und Frauen Rosinä Barbaræ gebohrner Hockin, beeder Eheleute und burgere alhier Illata

Jean Frédéric Lobstein et Rosine Barbe Hock font dresser un inventaire de faillite
1756, Not. Thenn (Répertoire 6 E 41, 664-5) n° 52
H. Johann Friderich Lobstein, Gastgebers und Frauen Rosinä Barbarä gebohrner Hockin beeder Eheleute und burgere alhier Activ et Passiv Nahrungen

Fils d’un maçon de Gundelsheim en margraviat de Bade Durlach, Frédéric Marc Beatschi épouse en 1762 Rosine Barbe Huck veuve de Jean Frédéric Lobstein : contrat de mariage, célébration
1762 (26.2.), Not. J. Henri Thenn (6 E 41, 748) n° 58
Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen und bescheidenen Friderich Marco Blatschig dem seeligen Maurer Von Gundolßheim Marggräfflich Baden durlachischer Herrschafft gebürtig, weÿland Heinrich Bratschig geweßenen Maurers zu gedachtem Gundolßheim mit auch weÿland frauen Susanna gebohrner Gellerichin beeder seelig ehelich erziehltem Sohn alß dem Hochzeither beÿständlichen H Johann Friderich Gesell des Schneiders und burgers allhier ane einem,
So dann der Ehren und tugendsahmen Frauen Rosinä Barbarä Lobsteinin gebohrner Hockin, weÿland H. Johann Friedrich Lobstein geweßenen gastgebers und burgers allhier seelig nachgelaßene Wittib aiß der hochzeiterin unter assistentz H. Johann Georg Marquart des Secklers und burgers dahier ane dem andern theil
Straßburg Freÿtags den 26. Februarÿ Anno 1762. [unterzeichnet] x des hochzeiters selbstgemachtes Handzeichen, x der Hochzeiterin selbstgemachtes Handzeichen

Mariage, Robertsau (luth. p. 329 n° 797)
Dienstag d. 9. Martÿ 1762 sind auf Obrigkeitliche Erlaubnus nach gewohnlicher Außruffung ehelich eingesegnet worden Friederich Beatschich der ledige Maurer von Gundolsheim durlachischer Herrschafft, weÿl. Johann Heinrich Beatschich, gew. Schirmers und Maurers daselbsten nachgelaßener ehelicher Sohn Und Fr. Rosina Barbara geb. Hoppin, weÿl. Joh: Friederich Lobstein gewesenen Würths und Burgers Zu Straßburg nachgelaßene Wittib [unterzeichnet] + + (i 174)
Proclamation, Saint-Nicolas (luth. n° 9) 1762. Dienstag d. 9. Mart. wurden nach zweÿmahliger Außruffung in der Ruprechtsawer Kirch ehelich eingesegnet Friderich Beatschich Lediger Maurer von Gundelsheim durlachischer Herrschafft, weÿl. Johann Heinrich Beatschich gew. Maurers in gedachtem Gundelsheim v. Schirmers daselbst, hinterl. ehl. Sohn, v. Fr. Anna Barbara geb. Hoppin, weÿl. Johann Friedrich Lobstein gew. Wirths und burgers allhier Hinterlaßene Wittib (i 186)

La tribu des Maçons accorde un subside à Frédéric Beatschi qui s’est cassé deux fois le bras
1769, Protocole de la tribu des Maçons (XI 239)
(f° 239) Mittwochs den 11. octobris 1769. –
(Allmoßen) – Friderich Beatschi der maurergesell stehet Vor Vnd bittet umb ein allmoßen von E. E. Zunfft gericht, angesehen Ein großes Unglück wegen Zweÿmahlen gebrochenen arm gehabt.
Erkandt, solle H. Zunfftmeister demselben 1. lb 10 ß Zur milden beÿstewr geben, so Ihme als bald gereicht worden.

Frédéric Marc Beatschi meurt en 1774 en délaissant une fille. Le prix d’achat sert de valeur d’estimation de la maison. La masse propre à la veuve est de 122 livres, celle des héritiers de 18 sols. L’actif de la communauté s’élève à 139 livres et le passif à 339 livres

1774 (2.4.), Not. J. Henri Thenn (6 E 41, 747) n° 245
Inventarium über Weÿland Friderich Marci Beatschig, geweßenen Maurers gesellen und Schirmers allhier zu Straßburg nunmehr seelig Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1774. – nach seinem Sambstags den 29.ten Januarÿ instehenden 1774.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf gebührendes ansuchen, Erfordern und begehren Frauen Rosinæ Barbaræ gebohrner Hockin der hinterbliebenen Wittib beÿständlichen H. Johann Jacob Vix des Schneider Meisters und burgerers allhier de, Sie ane Vogts statt zu ihrem Assistenten hierzu angesprochen, wie auch Johann Jacob Stoltz des taglöhners und schürmers allhier alß geordnet und geschworenen Vogts Barbaræ Beatschigin so 7. Jahr alt des Verstorbenen seelig. mit Vor: und hernachgemelter seiner hinterbliebenen Wittib erziehlten töchterlins und ab intestato Verlaßener universal Erbin, inventirt und ersucht durch obige Frau Rosinam Barbaram gebohrner Hockin die hinterbliebene Wittib (…) So beschehen, Straßburg Dienstag den 26.ten Aprilis Anno 1774.

Bericht gegenwärtigen Inventarÿ. Nach deme die Hinterbliebene Wittib gleich anfangs dieser Inventation beÿ gebender Handtreu von mir dem Inventir Schreiber befragt worden, ob Sie und der Verstorbene seelig die einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrung ordnungsmäßig inventiren laßen, hat dieselbe zur antwort ertheilet, daß solches zwar nicht geschehen es seÿe aber des abgeleibten seelig eingebrachtes Vermögen in nichts anders als seiner wenigen Kleidung und weißgezeug ihr der wittib zugebrachtes guth hingegen nebst ihrer Kleidung und weißen gezeug in Haußräthlichen Mobilien, so annoch in natura Vorhanden und 12. fl. baar geld bestanden, übrigens habe die wittib währender deßen Ehe auß weÿland H Johann Lobstein des geweßenen metzger und burgers allhier ihres erstern Ehemanns Vaters seelig Verlaßenschafft wegen ihrem ane dero erstern Ehemann seelig Zu erfordern gehabten ohnverändertn guth 211. fl.baar erhalten, dahero man nach Ihr der Wittib eintzig das jenige so annoch in natura vorhanden dann so solches gebührig vermög der Eheberedung dermahlen wieder vor ohnverändert zugeschrieben und was abgegangen in Ergäntzung gebracht, hiehero zum Bericht.
Copia der Eheberedung
In einer allhier zu Straßburg ane der Reiffgaß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt.
Eigenthumb ane einer Behaußung (T.) Nembl. eine Behaußung und Hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weiten, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der Reiffgaß beederseiths neben weÿland H Clemens Reiffen geweßenen Holtzhändlers und burgers allhier seelig hinterlaßenen Erben, hinten auch auff gedachte Clemenßische Erben stoßend gelegen, so über hernach eingetragenen passiv: Capitalien gegen männiglichen freÿ leedig eigen und dermahlen umb den preiß wie solche erkaufft worden hier außzuwerffen, nemblichen vor 137. lb 10. ß. Darüber besagt ein teutsche papiere Kauffverschreibung in allhießiger C. C. Stub errichtet und mit dero auffgetrucktem Pittschafft verwahret, datirt den 28.ten Septembris Anno 1765. Dabeÿ ferners ein älterer teutsches pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg C. C. Stub anhangendem Insiegel Versehen, Sub dato 30.ten Septembris 1707.
Ergäntzung der Wittib abgegangenen ohnveränderten guths
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Wittib ohnverändert guth. Sa. Haußraths 10, Sa. activ schuld 12, Erg. 111, Summa summarum 134 lb – Schulden 12, Nach deren Abzug 122 lb
Dießemnach wied auch der Erbin ohnverändert guth beschrieben, Sa. Kleidung 1, Sa. activ schud 12, Summa summarum 13 lb – Schuld 12, Nach deren Abzug 18 ß
Endlichen folgt auch das gemein Verändert und theilbahr guth, Sa. haußraths 2, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 137, Summa summarum 139 lb – Schulden 339 lb, In Vergleichung 199 lb
Mehr Schulden dann guth 76 lb
Copia der Eheberedung (…)

La maison revient à Barbe Beatschi qui épouse en 1794 André Eichkorn originaire de Barr

1794 (19 Thermidor), Strasbourg 3 (11), Not. Ensfelder n° 191
Contrat de mariage – sont comparus le Citoyen Andres Eichkorn natif de Barr département du Bas Rhin garçon majeur et jouissant de ses droits, demeurant audit Strasbourg d’une part
et la Citoyenne Barbe Beatschÿ fille légitime de feû Frédéric Béatschy en son vivant Maçon en cette Commune procréé en légitime mariage avec Rosine née Buck assistée de du Citoyen Jean Daniel Spiegelberg Perruquier en cette Commmune d’autre part
le 19 Thermidor l’an II de la République française une et indivisible (signé) Andreas Eich korn, Anna Barbara Beatschin
(enregistré acp 25 f° 65 du 19 ther. 2 – revenu 60 livres)

Anne Barbe Beatschi veuve du domestique André Eichkorn vend la maison à Appoline Schahl

1835 (11.2.), Strasbourg 9 (anc. cote 68), Me Hickel n° 4972
Anne Barbe Beatschi veuve d’André Eichkorn, domestique à Strasbourg
à Appoline Schahl, majeure
une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Cerceaux n° 7, des deux côtés et derrière le Sr Meyer, devant la rue des Cerceaux – la venderesse a recueilli ledit immeuble dans la succession de ses père et mère Frédéric Beatschi, garçon maçon, et Rosine Hock dont elle était seule et unique héritière, les conjoints Beatschi du mandataire de Marie Elisabeth Koch veuve de Jean Jacques Heissner, receveur des finances à Bittlingen tuteur des enfants de Jean Pierre Koch, propriétaire à Enkirchen, par acte passé à la Chambre des Contrats le 28 septembre 1765 – louée par baux verbaux – moyennant 1600 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 230 F° 57 du 17.2.

Appoline Schahl doit être la même que celle qui épouse en 1845 Philippe Bambis
Mariage, Strasbourg (n° 176)
Du 24° jour du mois d’avril 1845. Acte de mariage de Philippe Bambis, majeur d’ans, né en légitime mariage le 8 ventôse an VIII à Wolfisheim (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg, tonnelier, veuf d’Adélaïde Victoire Loriné, décédée en cette ville le 16 octobre 1844, fils de feu Jean Bambis, Menuisier décédé à Wolfisheim le 19 décembre 1825 et de feu Catherine Bartel décédée au même lieu le 28 décembre 1812
et d’Apolline Schahl, majeure d’ans, née en légitime mariage le 9 février 1807 à Marmoutier (Bas Rhin) domiciliée à Strasbourg fille de feu Laurent Schahl, journalier décédé à Strasbourg le 15 mai 1837 et de Catherine Heymann domiciliée à Strasbourg ci présente et consentante (signé) P Bambis, A Schahl (i 51)

Appoline Schahl vend la maison 2 850 francs à Marie Stocker veuve du garde d’artillerie Pierre Bernon

1840 (2.5.), Strasbourg 8 (62), Me Zeyssolff n° 328
Appoline Schahl, majeure
à Marie Stocker veuve de Pierre Bernon, garde d’artillerie, Chevalier de la Légion d’Honneur
une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Cerceaux n° 7 des deux côtés et derrière la propriété Mayer, devant la rue des Cerceaux – acquise d’Anne Barbe Bratschi veuve d’André Eichkorn, domestique, par acte reçu Me Hickel le 11 février 1835 transcrit au bureau des hypothèques volume 291 n° 18, la veuve Eichkorn l’avait recueilli dans la succession de ses père et mère Frédéric Bratschi, garçon maçon, et Rosine Hock dont elle était seule et unique héritière, suivant acte de notoriété de Me Hickel le 16 février même année, les conjoints Bratschi l’avaient acquis sur Marie Elisabeth Koch veuve de Jean Jacques Heismer, receveur des finances à Bertlingen et le tuteur des enfants Jean Pierre Koch, propriétaire à Entkirchen, par acte passé à la Chambre des Contrats le 28 septembre 1765 – moyennant 2850 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 277 F° 88-v du 4.5.

Née en 1787 en Styrie, Marie Stocker habite Strasbourg depuis 1835. Son mari lui a fait donation de ses biens en 1825 à Perpignan (voir l’inventaire)
600 MW 180 (f° 28) Rue des Cerceaux n° 7 (i 25)
Ve Bernon née Stocker, Marie, 3. 7.bre 1787 née à Ponigtt en Styrie, Pre de l’Etat, veuve, (à Strasbourg depuis) 21 juillet 1835, (auparavant) grand rue 111, (entrée) le 10 mars 45, (sortie) le 11 juin 1850, décédée

Décès, Strasbourg (n° 1138)
Acte de décès. Le 12 juin 1850 (…) ont déclaré que Marie Stoker, âgé de 62 ans, née à Graetz, Autriche, pensionnaire de l’Etat, veuve de Pierre Bernon garde d’artillerie retraité, Chevalier de la Légion d’Honneur, domiciliée à Strasbourg, fille de feu N.N. et de feu N.N. est décédée le 11 juin 1850 à une heure de relevée en la maison rue des Cerceaux N° 7 (i 74)

Marie Stocker meurt en 1850 sans délaisser d’héritier connu.

1850 (4. 9.br), Strasbourg 2 (96), Not. Roessel n° 3919
Inventaire de la succession de Madame Marie Stocker, veuve de M. Pierre Bernon en son vivant garde d’artillerie en retraite, chevalier de la Légion d’Honneur demeurant à Strasbourg
L’an 1850, Lundi le 4 novembre à deux heures de relevée à la requête de M. Victor Zabern, greffier à la justice de paix du canton Ouest de la Ville de Strasbourg y demeurant, agissant en qualité de curateur à la succession réputée vacante de Madame née Marie Stocker, veuve de Monsieur Pierre Bernon, en son vivant garde d’artillerie en retraite, chevalier de la Légion d’Honneur à Collioure, elle demeurant et domiciliée à Strasbourg
dans une maison dépendant de la présente succession sise en cette ville rue des Cerceaux N° 7 où elle est décédée le 11 juin 1850

Au rez de chaussée, au premier étage, au deuxième étage
Titres et papiers. Cote deux. Maison sise à Strasbourg rue ou quai des Cerceaux N° 7. Pièces qui sont. Ma première. Une pièce d’un Contrat de vente reçue par Me Zeyssolff notaire à Strasbourg le 2 mai 1840, dûment enregistré transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 12 mai 1840 volume 358 N° 78 contenant vente par Appolline Schahl majeure demeurante à Strasbourg à Mad. Bernon née Stocker d’une Maison avec appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue des Cerceaux N° 7 tenant des deux côtés & par derrière à la propriété du sieur Meyer par devant à la rue des Cerceaux. Le prix de cette acquisition était de 2850 francs pour lesquels ledit contrat contient quittance.
La seconde pièce est la grosse d’un contrat passé devant Me Hickel notaire à Strasbourg le 11 février 1835 contenant vente par Anne Barbe Beatschi veuve du sieur André Eichkorn en son vivant domestique à Strasbourg à Appolonie Schahl majeure demeurant à Strasbourg, de la maison en question. Laquelle Maison la venderesse déclare avoir recueilli dans les successions de ses père & mère Frédéric Beatschi, vivant garçon Maçon à Strasbourg & Rosine Hock sa femme défunte, dont elle était seule et unique héritière
La troisième pièce est un acte de notoriété en brevet reçu par le même notaire Hickel constatant cette qualité.
Les quatrième et cinquième pièces sont des Certificats de radiation définitive
La sixième & dernière pièce est une expédition sur papier libre d’un Contrat reçu à la ci devant chambre des contrats de la ville de Strasbourg le 28 septembre 1765en vertu duquel les époux Beatschi sont devenus propriétaires dudit immeuble.
Cote 4. Pièces de famille. La première est une expédition d’un contrat reçu par Me Boluix notaire à Perpignan le 21 avril 1825 par lequel le Sr Bernon a institué pour sa légataire universelle Mad. Bernon son épouse.
Les huit pièces suivantes sont des expéditions d’actes notariés concernant la famille du Sr Bernon.
acp 396 (3 Q 30 111) f° 28 (succession déclarée le 11 Xbre 1850)
Il dépend de ladite succession un mobilier estimé à 358 francs
(vacation du 5 novembre) Description des papiers
Déclarations passives 415 francs

Le curateur à la succession réputée vacante expose la maison au enchères. L’aubergiste Antoine Brouillon s’en rend propriétaire

1850 (21. 9.br), Strasbourg 2 (96), Not. Roessel n° 3967
Cahier des charges. L’an 1850 le jeudi 21 novembre est comparu Monsieur Victor Zabern, greffier à la justice de paix du canton Ouest de la Ville de Strasbourg y demeurant, agissant en qualité de curateur à la succession réputée vacante de Dame née Marie Stocker, veuve de Monsieur Pierre Bernon en son vivant garde d’artillerie en retraite, chevalier de la Légion d’Honneur à Collioure, elle demeurant et domiciliée à Strasbourg où elle est décédée le 11 juin 1850 (…)
Enonciation du jugement qui a ordonné la vente. Par requête présentée au tribunal civil séant à Strasbourg par M. Zabern en qualité qu’il agit ayant pour avoué M. Roser, ledit tribunal par son jugement en date du 19 du courant a ordonné que devant ledit M Roessel l’ainé il serait procédé à la vente judiciaire de la maison plus amplement ci après désignée (…)
Désignation de l’immeuble à vendre. Une maison avec appartenances et dépendances, sise à Strasbourg rue ou quai des cerceaux N° 7, tenant d’un côté à la propriété du sieur Meyer, pardevant à la rue des Cerceaux, de l’autre côté et par derrière le sieur Hahn
Mise à prix. Ledit immeuble a été mis à prix par le jugement précité à la somme de 1000 francs.
Origine de la propriété. La maison avec toutes ses appartenances et dépendances était la propriété de Madame veuve Bernon née Stocker moyennant l’acquisition qu’elle en a faite de Appoline Schahl, majeure, demeurant à Strasbourg, en vertu d’un contrat de vente passé devant Me Zeyssolff notaire à Strasbourg le 2 mai 1840 dont une expédition a été transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 12 mai 1840 volume 358 numéro 78, cette acquisition eut lieu pour le prix de 2850 francs pour lesquels ledit contrat contient quittance. La demoiselle Schahl etait elle-même devenue propriétaire de la maison prédésignée pour l’avoir acquise de Anne Barbe Beatschi veuve du sieur André Eichkorn en son vivant domestique à Strasbourg, aux termes d’un contrat de vente passé devant Me Hickel notaire à Strasbourg le 11 février 1835 dont une expédition a été transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 21 février 1835 volume 291 n° 18 (…). Cette vente eut lieu pour le prix de 1600 francs (…). La veuve Eichkorn a elle-même recueilli ladite maison dans les successions de ses père et mère Frédéric Beatschi, en son vivant garçon maçon à Strasbourg où il avait son domicile, et dame Rosine Hock sa femme défunte, domiciliée en la même ville, ainsi que cela se trouve constaté par un acte de notoriété reçu par ledit Me Hickel et son collègue notaires à Strasbourg le 16 février 1835. Enfin les époux Beatschi sont devenus propriétaires du même immeuble en vertu d’un contrat passé à la ci devant chambre des contrats de la ville de Strasbourg le 28 septembre 1765.
Charges, clauses et conditions (…)
N° 3972 du 9 décembre 1850. Adjudication définitive – mise à prix 1000 francs
Une bougie a été allumée d’une durée d’une minute pendant le feu de laquelle une mise a élevé le prix de ladite maison à 2525 francs. Cette mise a été faite par M. Antoine Brouillon aubergiste demeurant à Strasbourg rue de la soupe à l’eau N° 12. Deux nouvelles bougies ayant été allumées de même durée que les précédentes et s’étant éteintes sans qu’il y ait de nouvelle mise, ladite maison a été adjugée définitivement à M. Brouillon
acp 396 (3 Q 30 111) f° 67 – acp 397 (3 Q 30 112) f° 30

Originaire d’Oberhergheim en Haute-Alsace, le garçon tanneur Antoine Brouillon épouse en 1846 Elisabeth Haffen, fille de cordonnier
Mariage, Strasbourg (n° 107)
Du 24° jour du mois de février 1846, Acte de mariage d’Antoine Brouillon, majeur d’ans, né en légitime mariage le 6 décembre 1822 à Oberhergheim (haut Rhin) domicilié à Strasbourg, ouvrier tanneur, fils de feu Jean Baptiste Broullon, Lieutenant des douanes décédé à Ebersheim (Bas-Rhin) le 14 juin 1827 et de Marie Catherine Wichers épouse actuelle de François Desolme, tailleur domicilié en cette ville ci présente et consentante
et de Anne Marie Elisabeth Haffen, majeure d’ans, née en légitime mariage le 13 août 1822 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de feu Chrétien Louis Haffen, Cordonnier, décédé en cette ville le 22 mars 1833 et de Madeleine Reine Schütz, domiciliée en cette ville, ci présente et consentante (…) Et aussitôt les dits époux ont déclaré reconnaître et légitimer Elisabeth Antoinette Brouillon née d’eux en cette ville le 13 janvier 1846 (signé) Brouillon, Haffen (i 54)

600 MW 180 (f° 28) Rue des Cerceaux n° 7 (i 25)
Brouillon, Antoine, 6 Xbre 1822 à Oberbergheim, haut Rhin, Cabaretier, mari, (auparavant) r. Soupe à l’eau 12, (entrée) 14 mars 1851, (sortie) 24 8.bre 51, (ensuite) rue derrière les jardins 16
idem née Haffen, Anne Marie Elisabeth, 1 août 1822 à Strasbourg Bas Rhin, épouse
id. Antoine, 18 Xbre 1847 à Strasbourg, fils

Antoine Brouillon et Elisabeth Haffen vendent la maison 2 500 francs au boulanger Philippe Bernhard

1851 (19.6.), Me Roessel ainé
sont comparus le sieur Antoine Brouillon aubergiste et dame née Elisabeth Haffen son épouse qu’il autorise à l’effet de ce qui suit demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg (ont vendu)
au sieur Philippe Bernhard boulanger demeurant et domicilié à Strasbourg
Désignation de l’immeuble vendu. Une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue ou quai des cerceaux N° 7 tenant d’un côté à la propriété du sieur Meyer pardevant à la rue des Cerceaux, de l’autre côté et par derrière le sieur Hahn
Origine de la propriété. Les conjoints Brouillon sont devenus propriétaires de l’immeuble prédésigné moyennant l’acquisition qu’ils en ont faite de la succession vacante de dame Marie Stocker veuve de Pierre Bernon en son vivant garde d’artillerie en retraite demeurant et domicilié à Strasbourg où elle est décédée le 11 juin 1850, aux termes d’un procès verbal d’adjudication définitive dressé par M° Roessel ainé l’un des soussignés notaires le 9 décembre 1850 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 20 décembre même année volume 514 n° 37. Cette acquisition eut lieu pour et moyennant le prix de 2525 francs (…). La veuve Bernon née Stocker était elle-même devenue propriétaire de l’immeuble prédésigné moyennant l’acquisition qu’elle en a faite d’Appoline Schahl majeure demeurant à Strasbourg en vertu d’un contrat de vente passé devant Me Zeyssolff notaire à Strasbourg le 2 mai 1840 dont une expédition a été transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 12 du même mois volume 358 numéro 78, cette acquisition eut lieu pour le prix de 2850 francs pour lesquels ledit contrat contient quittance. La demoiselle Schahl etait elle-même devenue propriétaire de la maison vendue pour l’avoir acquise d’Anne Barbe Beatschi veuve d’André Eichkorn en son vivant domestique à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente passé devant Me Hickel notaire à Strasbourg le 11 février 1835 dont une expédition a été transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 21 février 1835 vol. 291 n° 18 (…). Cette vente eut lieu pour le prix de 800 francs (…). La veuve Eichkorn a elle-même recueilli ladite maison dans les successions de ses père et mère Frédéric Beatschi en son vivant garçon maçon à Strasbourg où il avait son domicile et dame Rosine Hock sa femme défunte domiciliée en la même ville ainsi que cela se trouve constaté par un acte de notoriété reçu par ledit Me Hickel et son collègue notaires à Strasbourg le 16 février 1835. Enfin les époux Beatschi sont eux mêmes devenus propriétaires du même immeuble en vertu d’un contrat passé à la ci devant Chambre des Contrats de la ville de Strasbourg le 28 septembre 1765. (…) Prix. 2500 francs
Etat civil des vendeurs. Déclarent les époux Brouillon qu’ils sont mariés en premières noces sous le régime de la communauté de biens légale faute d’avoir fait faire de contrat de mariage (…)
acp 401 (3 Q 30 116) f° 30 du 20.6.
Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 531 (2756) n° 69 le 21 juin 1851

Natif de Breuschwickersheim, Philippe Bernhard veuf de Frédérique Oster épouse en 1839 Eve Meylænder native de Hangenbiethen
Mariage, Strasbourg (n° 79)
Du 5° jour du mois de l’an mars 1839. Acte de mariage de Philippe Jacques Bernhard, majeur d’ans, né en légitime mariage le 6 avril 1813 à Breuschwickersheim (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg, boulanger, veuf de Frédérique Oster décédée en cette ville le 16 juillet 1838 fils de feu Michel Bernhard, cultivateur décédé à Breuschwickersheim le 26 mars 1836 et de feu Anne Bilger décédée à Breuschwickersheim le 3 janvier 1819 et de Eve Meylaender, majeure d’ans, née en légitime mariage le 16 novembre 1815 à Hangenbiethen (Bas Rhin) domiciliée à Hangenbiethen, fille de Martin Meylaender, cultivateur et de Christinee Bilger conjoints domiciliés à Hangenbiethen (signé) Bernhard, Meÿländer (i 2)

Philippe Bernhard et Eve Meylænder vendent la maison à leur voisin Jean Hahn et à sa femme Marie Anne Cleman

1854 (13.5.), Me Grimmer
sont comparus le sieur Philippe Bernhard boulanger et dame Eve Maylaender son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg (ont vendu)
au sieur Jean Hahn aubergiste et marchand de charbons et Marie Anne Cleman sa femme par lui duement autorisée à l’effet des présentes demeurant ensemble audit Strasbourg acquéreurs
une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg autrefois Rue des Cerceaux aujourd’hui quai de la Finckmatt N° 7, tenant d’un côté à la propriété du sieur Meyer pardevant à ladite rue des Cerceaux, de l’autre côté et par derrière à l’acquéreur. Les époux Bernhard sont propriétaires de la maison susdésignée pour le Sr Bernhard l’avoir acquise du sieur Antoine Brouillon aubergiste et de dame Elisabeth Haffen son épouse demeurant ensemble à Strasbourg suivant contrat de vente passé le 19 juin 1851 devant Me Roessel ainé et son collegue notaires à Strasbourg pour la somme de 2500 francs quittancés dans ledit acte de vente et dont une expédition fut transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 21 juin de la même année volume 531 N° 69, audit acte il est dit que les conjoints Brouillon sont eux mêmes devenus propriétaires dit immeuble prédésigné moyennant l’acquisition qu’ils en ont faite de la succession vacante de dame Marie Stocker veuve de Pierre Bernon en son vivant garde d’artillerie en retraite demeurant et domicilié à Strasbourg où elle est décédée le 11 juin 1850 aux termes d’un procès verbal d’adjudication définitive dressé par M° Roessel ainé le 9 décembre 1850 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 20 décembre même année volume 514 n° 37, cette acquisition eut lieu pour et moyennant le prix de 2525 francs (…), la veuve Bernon née Stocker était elle-même devenue propriétaire de l’immeuble prédésigné moyennant l’acquisition qu’elle en a faite d’Appoline Schahl majeure demeurant à Strasbourg en vertu d’un contrat de vente passé devant Me Zeyssolff notaire à Strasbourg le 2 mai 1840 dont une expédition a été transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 12 du même mois volume 358 numéro 78, cette acquisition eut lieu pour le prix de 2850 francs pour lesquels ledit contrat contient quittance, la demoiselle Schahl etait elle-même devenue propriétaire de la maison vendue pour l’avoir acquise d’Anne Barbe Beatschi veuve d’André Eichkorn en son vivant domestique à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente passé devant Me Hickel notaire à Strasbourg le 11 février 1835 dont une expédition a été transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 21 février 1835 vol. 291 n° 18 (…), cette vente eut lieu pour le prix de 800 francs (…), la veuve Eichkorn a elle-même recueilli ladite maison dans la succession de ses père et mère Frédéric Beatschi en son vivant garçon maçon à Strasbourg où il avoit son domicile et dame Rosine Hock sa femme défunte domiciliée en la même ville ainsi que cela se trouve constaté par un acte de notoriété reçu par ledit Me Hickel et son collègue notaires à Strasbourg le 16 février 1835. Enfin les époux Beatschi sont eux mêmes devenus propriétaires du même immeuble en vertu d’un contrat passé à la ci devant Chambre des Contrats de la ville de Strasbourg le 28 septembre 1765. La présente vente a eu lieu (…) pour la somme de 2000 francs
acp 430 (3 Q 30 145) f° 14 du 20.5.
Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 588 (2243) n° 38 le 30 mai 1854

Fils de marchand fruitier, Jean Hahn épouse en 1820 Marie Madeleine Kessler
Mariage, Strasbourg (n° 264)
Acte de mariage célébré le 2 octobre 1820. Jean Hahn, mineur d’ans, né en légitime mariage à Strasbourg le 6 Brumaine an VII, domicilié de droit à Strasbourg, imprimeur en papiers peints, fils de feu Jean Hahn, fruitier, décédé en cette ville le 29 décembre 1813 et de feu Marie Klein décédée en cette ville le 16 mars 1818,
et Marie Madeleine Kessler, mineure d’ans, née en légitime mariage le 4 Nivôse an VIII à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de Dominique Kessler, cordonnier en cette ville et de Madeleine Eibel ci présens et consentants (signé) Johannes Han, Kösler (i 31)

Le marchand de charbon Jean Hahn se remarie en 1853 avec Marie Anne Cleman, veuve du compagnon meunier Louis Rung : contrat de mariage, célébration
1853 (6.12.), Not. Grimmer (Georges Louis Frédéric)
Contrat de mariage – Jean Hahn, Md. de Charbon et aubergiste, veuf avec cinq enfants de Marie Madeleine Koessler à Strasbourg
Marie Anne Cleman, veuve sans enfants de Louis Rung, compagnon meunier à Strasbourg
stipulation de communauté réduite aux acquêts, réserve d’apports et héritages
Les apports du futur consistent 1° en la moitié d’une maison sise à Strasbourg rue de la Soupe à l’eau n° 2
2° d’un mobilier estimé à 1309, 3° argent comptant 100
Les apports de la future consistent 1° en une rente 4 ½ de 29 francs, 2° Une autre 4 ½ de 40 francs, 3° créances 1450, 4° argent comptant 100, 5° meubles 1111, total 2661.
Donation par les futurs en cas de prédécès d’une part d’enfant en toute propriété et par la future au futur de l’usufruit de toute sa succession
acp 425 (3 Q 30 140) f° 25-v du 6.12. (minutes en déficit)

Mariage, Strasbourg (n° 547)
Du 8° jour du mois de décembre 1853. Acte de mariage de Jean Hahn, majeur d’ans, né en légitime mariage à Strasbourg le 6 Brumaire an VII, domicilié à Strasbourg, marchand de charbons, veuf de Marie Madeleine Kessler décédée en cette ville le 12 mars 1852, fils de feu Jean Hahn, fruitier, décédé en cette ville le 29 décembre 1813 et de feu Marie Klein décédée en cette ville le 16 mars 1818,
et de Marie Claire Cléman, majeure d’ans, née en légitime mariage le 11 Pluviôse an XIII à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg veuve de Louis Rang garçon Meunier décédé en cette ville le 29 décembre 1852 fille de feu François Cléman, Menuisier décédé en cette ville le 7 avril 1832 et de feu Marie Madeleine Fried, décédée en cette ville le 26 décembre 1821 – il a été passé un contrat de mariage devant Me Grimmer notaire en cette ville le 7 décembre (signé) Hahn, Cleman Marie (i 31)

Jean Hahn meurt en 1864 en délaissant cinq enfants

1864 (16.9.), Me Grimmer
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Jean Hahn, marchand de charbons, et Marie Anne Cleman sa veuve en secondes noces et de la succession dudit Sr Hahn, décédé le 6 août 1864, dressé à la requête de 1) la veuve agissant comme commune en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Grimmer le 6 décembre 1853, 2) Jean Hahn, marchand de charbons, 3) Madeleine Hahn épouse de Geoffroi Fries, batelier à Strasbourg, 4) Florentine Hahn épouse de François Wurtz, mécanicien au chemin de fer de l’Est, 5) Louis Hahn, lithographe, 6) le mandataire d’Adolphe Hahn, caporal au 55° de ligne, tous à Strasbourg

acp 536 (3 Q 30 251) f° 12-v du 19.9. (succession déclarée le 24 Xbr 1864)
Communauté, mobilier 96, argent 160
Succession, maison 48
(vacation du 10 octobre) Communauté, créances 93
Une maison quai de la Finckmatt n° 7
Succession 1) moitié d’une maison quai Finckmatt n° 8
reprises de la veuve 4205, reprises du défunt 1409
dettes de la communauté 2175, dettes de la succession 4140
acp 536 (3 Q 30 251) f° 96 du 18.10.

1864 (28.10.), Me Grimmer
Notoriété constatant que Madeleine Koesler épouse de Jean Hahn marchand de charbons à Strasbourg est décédée le 11 mars 1852, laissant pour héritiers ses six enfants
acp 537 (3 Q 30 252) f° 26 du 2.11.

Les héritiers exposent sans succès les deux maisons aux enchères

1864 (29.10.), Me Me Grimmer
Cahier des charges du 29 octobre – pour parvenir à la vente de deux maisons sises à Strasbourg quai Finckmatt n° 7 et 8, à la requête d’Anne Clement veuve de Jean Hahn à Strasbourg
acp 537 (3 Q 30 252) f° 42 du 3.11.
le 28 novembre – Retrait d’enchère d’une maison sise quai Finckmatt n° 8
acp 538 (3 Q 30 253) f° 44 du 5.12.
le 12 décembre – Retrait d’enchère de deux maisons sises quai Finckmatt n° 7 et 8
acp 538 (3 Q 30 253) f° 72-v du 15.12.

Lors de la liquidation, les deux maisons contiguës reviennent à Florentine Hahn femme du mécanicien François Wurtz

1865 (25.2.), Me Grimmer
Liquidation et partage des successions délaissées par Jean Hahn, marchand de charbons, et Madeleine Koessler, sa femme en premières noces. Le Sr Hahn est décédé le 6 août 1864 et sa femme en premières noces le 11 mars 1852
Entre 1) Jean Hahn, marchand de charbons à Strasbourg, 2) Madeleine Hahn épouse de Geoffroi Fries, batelier à Strasbourg, 3) Florentine Hahn épouse de François Wurtz, mécanicien au chemin de fer de l’Est à Strasbourg, 4) Louis Hahn, imprimeur lithographe à Strasbourg, 5) Louis Koessler, cordonnier à Strasbourg, mandataire d’Adolphe Hahn, caporal au 55° de ligne à Tlemcen, 6) Marie Anne Clémann veuve en secondes noces du Sr Hahn défunt agissant à cause des reprises qu’elle a à exercer contre son mari en vertu de son contrat de mariage reçu Grimmer le 6 décembre 1853
Suivant déclaration faite au greffe du tribunal civil de Strasbourg le 21 8.bre 1864, ladite De Hahn a renoncé à la communauté et aux termes d’un acte reçu Grimmer le 23 décembre 1864 elle a également renoncé à la donation de la part d’enfant en toute propriété lui résultant de son contrat de mariage

Masse active 1) Une maison à Strasbourg quai de la Finckmatt n° 8, Une maison à Strasbourg même rue n° 7, ces deux maisons estimées 17.000
2) Loyers 400, 3) produit de la vente mobilière 189, 4) argent 160, total 17.749
Masse passive 1) 6000 dus à Jean Jacques Stotz, ancien architecte à Strasbourg suivant deux obligations reçues Ritleng le 26 mars 1845 et Rencker le 25 novembre 1845
2) 2000 francs dus à Philippe Bernhard boulanger à Strasbourg suivant acte reçu Grimmer le 13 mai 1855, intérêts 250
Reprises à exercer par la veuve 4205
Passif payé par le De Fries 363
Pension de Louis Hahn du au Sr Koessler susdénommé 960
Contributions et assurance 66, Frais d’actes 602, Total 14.529, Excédent d’actif 3549
Abandonnements. I. Florentine Hahn femme Wurtz reçoit les deux maisons
acp 540 (3 Q 30 255) f° 93 du 1.3.

Florentine Hahn épouse l’imprimeur lithographe Frédéric Martin Oster en 1851
Mariage, Strasbourg (n° 156)
du 21° jour du mois d’avril l’an 1851. Acte de mariage de Frédéric Martin Oster, majeur d’ans, né en légitime mariage le 9 novembre 1826 à Strasbourg domicilié à Strasbourg, imprimeur lithographe, fils de Jean Oster, boulanger, et de Salomé Baumert, conjoints domiciliés en cette ville ci présents et consentants, et de Florentine Hahn, majeure d’ans, née en légitime mariage le 9 avril 1832 à Strasbourg domiciliée à Strasbourg, fille de Jean Hahn, Marchand de Charbons, et de Marie Madeleine Koessler, conjoints domiciliés en cette ville ci présents et consentants (signé) Frederic Oser, Florentine Hahn (i 46)

Veuve, elle se remarie en 1853 avec le serrurier François Joseph Wurtz
Mariage, Strasbourg (n° 341)
Du 11° jour du mois d’août l’an 1853. Acte de mariage de François Joseph Wurtz, majeur d’ans, né en légitime mariage le 24 mai 1832 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, serrurier, fils de feu François Joseph Wurtz, cultivateur décédé en cette ville le 28 août 1851 et de feu Anne Lobstein décédée en cette ville le 5. avril 1842, et de Florentine Hahn, majeure d’ans, née en légitime mariage le 9 avril 1832 à Strasbourg domiciliée à Strasbourg veuve de Frédéric Martin Oster, imprimeur lithographe décédé en cette ville le 31 juillet 1852, fille de Jean Hahn, Marchand de Charbons domicilié en cette ville ci présent et consentant, et de feu Marie Madeleine Koessler, décédée en cette ville le 11 mars 1852. (signé) Würtz, Hahn (i 38)

Le sellier catholique Gustave Wurtz épouse la servante luthérienne Emma Barbe Steinmetz en 1890
Mariage, Strasbourg (n° 83)
Strassburg am 11. Februar 1890. (erschienen) der Sattler Gustav Wurtz, katholischer Religion, geboren den 25. Juli des Jahres 1867 zu Strassburg, wohnhaft zu Strassburg, Sohn des verstorbenen Wirthes Frantz Joseph Wurtz wohnhaft zuletzt zu Strassburg und der Florentine Hahn, ohne Beruf wohnhaft zu Strassburg, die Putzmacherin Emma Barbara Steinmetz, evangelischer Religion, geboren den 9. Januar des Jahres 1869 zu Strassburg, wohnhaft zu Strassburg, eheliche Tochter des Friseurs Prosper Steinmetz wohnhaft zu Strassburg und der verstorbenen Marie Magdalena Mittelhoelzer, zuletzt wohnhaft zu Strassburg (i 83)

L’aubergiste Gustave Wurtz se remarie en 1904 avec Marie Hugo fille d’un maître d’école d’Arzheim en Palatinat
Mariage, Strasbourg (n° 1239)
Strassburg am 3. November 1904 (erschienen) der Gastwirt Gustav Wurtz, Witwer von Emma Steinmetz, katholischer Religion, geboren am 25. Juli des Jahres 1867 zu Strassburg, wohnhaft zu Strassburg Finkmattstaden 6, Sohn des verstorbenen Gastwirts Franz Joseph Wurtz und seiner verstorbenen Ehefrau Florentine Hahn, beide zuletzt wohnhaft in Strassburg, die Maria Hugo, ohne Beruf, katholischer Religion, geboren am 31. Januar des Jahres 1880 zu Arzheim Pfalz, wohnhaft in Strassburg wie oben, Tochter des verstorbenen Lehrers Nikolaus Hugo und seiner verstorbenen Ehefrau Lina Margarita gebornen Breitling zuletzt wohnhaft in Arzheim (i 40)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.