96, Grand rue


Grand rue n° 96 – VII 80 (Blondel), P 759 puis section 6 parcelle 21 (cadastre)

Maître d’ouvrage, Jean Gautier Koch, taillandier (1769-1770)


Le n° 96 est la première maison
Etages des n° 96 (à droite) et 98 (à gauche)

Située dans la partie médiane de la Grand rue près de la rue des Dentelles et face à la brasserie à la Cloche, la maison à bâtiment avant et petit bâtiment arrière appartient à des artisans : le cordonnier Henri Vogt au début du XVII° siècle, le tailleur devenu commissaire priseur Tobie Roth, des chapeliers, puis (1703-1742) au musicien Jean Kræutler qui demande en 1703 l’autorisation de remplacer l’auvent au-dessus de son encorbellement ; les préposés au bâtiment consultent alors le Livre des loyers communaux de 1587 et constatent qu’aux dimensions près la maison correspond à l’ancienne description. Le même propriétaire fait surélever en 1711 d’un étage (soit dix pieds) son encorbellement. Sur le plan-relief de 1727, la maison correspond à la partie droite du bâtiment central (quatrième) : porte à gauche du rez-de-chaussée et arcade de boutique, trois étages à deux fenêtres.
Le taillandier Jean Gautier Koch achète la maison 1750 livres en 1752. Les experts l’estiment 400 livres à la mort de sa femme en 1769. Les préposés aux feux enregistrent en décembre 1769 le compte rendu, dressé par le maître maçon Jean Lingenhœlin, des transformations que projette le propriétaire. Les parties estiment le bâtiment 2 500 livres à l’inventaire des apports dressé en 1771, les experts à une valeur minimale de 1 000 livres en 1773. Les parties n’habitent pas le bâtiment estimé 400 livres par les experts. Il est alors en cours de transformation (fin 1769-début 1770) comme le montre le compte rendu dans le registre des Préposés aux feux. Le nouveau bâtiment est estimé à sa valeur réelle (2 400 livres) par les parties, à sa valeur minimale (1 000 livres) par les experts peu après. La nouvelle façade reprend la disposition de l’ancienne : porte d’entrée à gauche, arcade à droite, chacune surmontée d’un mascaron. Deux autres se trouvent au-dessus des fenêtres du premier étage, les linteaux du deuxième étage comprennent de simples moulures. Le rez-de-chaussée est parementé de grès, les étages sont séparés par des cordons (voir le Répertoire des mascarons de Brigitte Parent). La vente aux enchères suite à la faillite de l’héritier Jacques Frédéric Koch décrit en détail les bâtiments tous en pans de bois sauf la façade.



Plan-relief de 1725 (Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 135, entre la rue escarpée (repère b) et la rue des Dentelles (repère c)
Cour N (© Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la quatrième à gauche du repère (c) : arcade et porte, trois étages puis toiture à trois niveaux de lucarnes. La cour N montre l’arrière (1-2) du bâtiment sur rue, le bâtiment latéral (2-3) à l’est et le bâtiment arrière (3-4). A l’ouest, le mur 1-4 sépare la cour de celle du voisin à l’ouest.
La maison porte d’abord le n° 30 (1784-1857) puis le n° 96.


Dessins de 1896 (veuve Ott) et de 1955 (Vêtements Serfass, non réalisé), dossier de la Police du Bâtiment)

Le propriétaire fait abaisser en 1884 le plancher du rez-de-chaussée en démolissant les voûtes de la cave et transformer la façade au rez-de-chaussée en y aménageant une devanture. Divers commerces se succèdent dans le local du rez-de-chaussée. La grille à l’extérieur de la devanture est supprimée en 1997.


Grille avant sa dépose – Aménagements de 1997 (dossier de la Police du Bâtiment)

juin 2019

Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment, dossier I, dossier 2Relevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1613 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Henri Vogt, cordonnier, et (1593) Marie Betz – luthériens
1625 v Tobie Roth, tailleur puis commissaire priseur, et (1618) Catherine Kleindienst puis (1651) Ursule Rupp, auparavant (1617) femme de Luc Jelinger, employé à l’accise – luthériens
1667 v Simon Hollænder, chapelier, et (1661) Anne Madeleine Rœderer – luthériens
1871 h Jean Martin Wetzel, chapelier, et (1671) Anne Madeleine Rœderer veuve de Simon Hollænder – luthériens
1680 h Daniel Schwebel, chapelier, et (1680) Anne Madeleine Rœderer veuve de Simon Hollænder puis de Jean Martin Wetzel – luthériens
1685 v Jean Füssel, fondeur de pichets, et (1678) Apollonie Maurer – luthériens
1687* adj Léonard Maurer, boulanger, et (1643) Agnès Brantzy – luthériens
1688 v Jean Georges Birckel, tonnelier puis blanchisseur, et (1687) Anne Madeleine Lentz – luthériens
1691 v Jean Versch, cloutier, et Anne Marie Rœmer, relégué
1695 adj Jean Charles Hammerer, docteur en médecine, et (1682) Salomé Greuhm – luthériens
1703 v Jean Kræutler, musicien, et (1698) Marie Salomé Ebinger – luthériens
1742 v Jean Kipp, cocher, et (1737) Anne Marie Strohl – luthériens
1746 v René Lanier, vannier manant, et (1740) Marie Baron, veuve de Jean Louis Fouchet, puis (1758) Anne Marie Germersdorff – catholiques
1752 v Jean Gautier Koch, taillandier, et (1751) Marguerite Salomé Musculus, (1770) Marie Salomé Weiss puis (1774) Marie Salomé Hügel veuve du batelier Jean Daniel Meyer – luthériens
1809 h Jacques Frédéric Koch, taillandier, et (1786) Marie Salomé Kieffer puis (1791) Marie Dorothée Schaaff – luthériens
1821 adj Jean Frédéric Schaaff, tonnelier, et (1790) Marie Salomé Koch – luthériens
1846 h Chrétien Ott, tanneur, et (1820) Dorothée Schaaff
1900* Eugène Picard
1924* Emile Marie Leibenguth et son épouse née Henler
1937* Chrétien Stoebener

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 650 livres en 1725, 400 livres en 1769, 1000 livres en 1773

(1765, Liste Blondel) VII 80, Jean Jacques Jundt [sic]
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Koch, 2 toises, 0 pied et 1 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 759, Schaaff, Frédéric, veuve – maison, sol, cour – 1,05 are

Locations

1629 (cave) Jean Régnard Kress, brasseur
1699, André Roland, aubergiste
1729 (cave), Jean Philippe Kips, passementier
1738, Jean Michel Braun, musicien, et (1738) Marie Salomé Kræutler

Livres des communaux

Les préposés au bâtiment consultent en 1703 le Livre des loyers communaux de 1587 et constatent qu’aux dimensions près la maison correspond à l’ancienne description.

1587, Livre des loyers communaux (VII 1450) f° 20
Jenseitt dem Steinen Brücklin

Heinrich Reich der Schuster hatt vor seinem Hauß Ein Vsstoß xv schu lang, Vnd ii+ schu herauß, Oben ein Staucher auch so lang, Vnd xv Zoll herauß, Ein lehenete Kellerthüer vii+ schu lang, Vnd v schu herauß, Ein Laden vii+ schu ix Zoll lang, vndt iii+ schu heraußer, Ein steinerin Tritt iii+ schu lang, Vnd xv Zoll herauß, Item ein Bencklin vii+ schu ix Zoll lang, Vnd ix Zoll breit, Bessert für das Niessen, j lb. j ß d.
dieses Bencklin ist hinweggethan

(traduction) Le cordonnier Henri Reich a devant sa maison une avance de 15 pieds de long en saillie de 2 pieds ½, en haut un encorbellement de même longueur en saillie de 15 pouces, une porte de cave inclinée de 7 pieds ½ de long en saillie de 5 pieds, une boutique de 7 pieds ½ 9 pouces de long en saillie de 3 pieds ½, une marche en pierre de 3 pied ½ de long en saillie de 15 pouces, item un étal de 7 pieds 9 pouces de long et 9 pouces de large. Doit pour la jouissance 1 livre 1 sol
L’étal est supprimé

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1703, Préposés au bâtiment (VII 1380)
Jean Kræutler demande l’autorisation de remplacer l’auvent au-dessus de son encorbellement. Les préposés consultent le livre des communaux de 1587 et constatent que le propriétaire réglait alors 17 sols 7 deniers. Ils accordent l’autorisation à condition que le pétitionnaire règle la même somme bien que les dimensions soient moindres.

(f° 198-v) Mittwochs den 24. Octobris 1703 – Johannes Kräutler der Musicant pt° reparirung seines hauses überhang
Johannes Kräutler, der Musicant und burger alhier, welcher eine behausung in der obern Straßen, ohnfern der Spitzengaßen neben Johannes Kuglers, des Statt Kupfferschmidts behausung gelegen, Von herrn Johann Carol Hammerers, Med: Dris seel: hinterlaßener fr. Wittiben erkaufft, ersucht MGHh Ihme Zuerlauben, daß Er das über seinem Überhang befindliche dach abbrechen und ein newes dahin machen laßen möchte.
Ego berichte auß dem Allmend: buch fol: 200. de Anno 1587. daß dise behaußung welche damahlen Heinrich Reichen dem Schuster zugehörig war, einen Außstoß so 15. schuhe lang und dreÿ schuhe von hauß Herauß breit, oben darüber ein staucher auch so lang und 15. Zoll heraus, ein lehnende Kellerthür 7 ½ schuhe lang und 4 ½ schuhe herauß, Ein steineren tritt 3 ½ schuhe lang undt 15. Zoll herauß habe und jährlichen 17. ß 6 s allmendt Zinß daran bezahlt werden sollen. Die Werckmeister referiren daß Sie dieses examinirt und in allem, außgenommen den Außstoß so allein 14 schuhe 3. Zoll lang und die Kellerthür so 5 schuhe 1. Zoll lang und 5. schuhe breit ist, also befunden hetten.
Erk. Würd dem Imploranten gegen jährlicher abstattung dieser 17 ß 6 d in seinem begehren willfahrt.

1711, Préposés au bâtiment (VII 1384)
Jean Kræuter demande l’autorisation de surélever son encorbellement d’un étage (soit dix pieds). Les préposés constatent que les voisins n’ont pas d’objection mais qu’ils souhaitent que Jean Kræuter cesse de poser une planche devant son magasin pour que leur boutique soit plus visible.

(f° 167-v) Sambstags den 11. Julÿ 1711. Johann Kräutler pr° erhöhung seines überhangs
Augenschein eingenommen an Johann Kräutlers des Krempen und Spiehlmanns in der Oberen Straßen, ohnfern der Spitzengaßen liegenden behausung, an deren Er den Überhang umb ein Stockwerck erhöhen Zulaßen gesinnet ist, und umb deßen gnd permission angesucht hatt. Erk. Bedacht.

(f° 172) Montags den 27. Julÿ 1711. Johann Kräutler
Wegen des am 11 huius an Johann Kräutlers des Krempen in der Oberen Straßen gelegenen behausung eingenommenen augenscheins, Welche Er umb Zehen schuhe erhöhen, aber nichts an dem Zweÿ stock hohen überhang ändern Zulaßen gesinnet ist, wurden die beede Nachbaren befragt, ob Sie nichts darwid. einzuwenden hetten. welche als Johannes Kugler der Statt Kupferschmidt und Johann Erhard Metz der Weißbeck sich erkläret, daß Sie nichts darwider Zu Klagen hätten, bäten aber densemben dahin anzuhalten, daß er das brett, welches Er vor seinen Laden außlegte und ein gätter darauff setzte, welches Verursachte, daß mann Ihre läden nicht sehen könte, hinweg laßen möchte. Erk. Wird Johann Kräutlern erlaubt seine behausung Verlangtermaßen erhöhen Zulaßen, und Ihme darbeÿ anbefohlen das brett Vor seinem Laden Hinweg zuthun.

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

1769. Le maître maçon Linckenhœlin rapporte les transformations que Jean Gautier Koch a l’intention de faire dans sa maison. Il constate que les précautions sont prises pour éviter les incendies. Le bâtiment a trois étages. L’atelier de taillandier se trouve à droite de l’entrée.

Sambstags den 2.ten Decembris 1769. Johann Walther Koch der Bohrenmacher will in seiner in der mittlern langenstraß gelegenen behausung rechter hand am Eingang eine bohrenmachers Weckstatt mit Eß und Caminschoß setzen, das rohr am steinern gäbel hienauf von allem holtz entfernt.
Im ersten, Zweÿten und dritten stock jedes mal eine Stube gegen der straß, hinden daran eine Kuchen mit herd und Camin schoß machen, die rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt. Erk. Willfahrt. Hr. Linckenhölin.

Description de la maison

  • 1725 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un petit bâtiment arrière, un passage latéral, plusieurs poêles et chambres dont l’une est séparée par des planches, une chambre à soldats, deux vestibules dont chacun comprend un fourneau et un évier, une boutique de revendeur, une petite cave voûtée, une petite cour, un fourneau à lessive, un puits et un abreuvoir, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1300 florins
  • rapport d’experts en 1821

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Grand’rue (en partie)

nouveau N° / ancien N° : 57 / 30
Koch
Rez de chaussée et 3 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 146 case 4

Schaf Jean Frédéric Ve
Ott Chrétien (subst. p. 1848)

P 759, maison, sol,
Contenance : 1,05
Revenu total : 112,55 (112 et 0,55)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 19
fenêtres du 3° et au-dessus : 7

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 491 case 1

Ott Chrétien, rue des Bouchers 13
1900 Picard Eugen, Schlosser

P 759, maison, sol, Grand rue 96
Contenance : 1,05
Revenu total : 112,55 (112 et 0,55)
Folio de provenance :
Folio de destination :
Année d’entrée : Gb
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 19
fenêtres du 3° et au-dessus : 7

Cadastre allemand, registre 30 p. 65 case 1

Parcelle, section 6, n° 21 – autrefois P 759
Canton : Langstraße Hs N° 96 – Grand’rue
Désignation : Hf, Whs – sol, maison
Contenance : 1,06
Revenu : 1200 – 1500
Remarques :

(Propriétaire), compte 939
Picard Eugen u. Ehefr.
1924 Leibenguth Emile Marie et son épouse née Henler
1937 Stoebener Chrétien & son épouse
(3993)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 221 La Grand’Rue à gauche

30
Pr. Koch, Jean Valder, Mre Taillantier – Marechaux
loc. Schaeffer, veuve – Tonneliers
loc. Braun, Salomé, fille couturière
loc. Weyher, veuve – Miroir
loc. Neuville, Catherine, travaille en modes – Tanneurs
loc. Dupré, Jean, Domestique – Lanterne
lo. Klein, Marg. Salomé

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Langstrasse (Seite 98)

(Haus Nr.) 96
Laemle, Kurzwhdlg. 01
Laemle, Handelsmann. 1
Staedel, Dienstmann. 2
Fehr, Schreiber. 3
Knol, Schreiner. 3
Schilio, Rentnerin. 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 798 W 188)

Elise Sohn née Ott fait abaisser en 1884 le plancher de 54 centimètres en démolissant les voûtes de la cave et transformer la façade au rez-de-chaussée (devanture et volet roulant).
Divers commerces se succèdent dans le local du rez-de-chaussée. Un atelier de réparation se trouve dans le bâtiment arrière en 1947. L’agrandissement du magasin que prévoit Alfred Serfass en 1955 n’est pas réalisé.

Sommaire
  • 1884 – Les agents municipaux constatent qu’Elise Sohn née Ott (demeurant 1, rue Thiergarten) fait faire des travaux sans autorisation : abaisser le plancher du rez-de-chaussée en démolissant les voûtes de la cave – Les entrepreneurs A. Schoop et G. Mayer (39, rue des Bouchers) demandent l’autorisation d’abaisser le plancher de 54 centimètres et de transformer la façade au rez-de-chaussée (poser une porte, une devanture et un volet roulant) – Autorisation – Travaux terminés, novembre 1884 – Dessin (élévation du rez-de-chaussée, coupe, plan)
  • 1886 – Dossier ouvert après que Justine Læmlé a demandé au commissaire de police de suspendre des tabliers et des sous-vêtements. Les objets devront se trouver à au moins deux mètres du sol et ne pas faire saillie de plus de 16 centimètres sur la voie publique – Accord, droits de voirie
  • 1902 – Le maire notifie Eugène Picard (demeurant 17, rue Sainte-Hélène) de faire ravaler le 96, Grand-rue – Travaux terminés, octobre 1902
    1908 – Idem – Travaux terminés, novembre 1905
  • Commission contre les logements insalubres
    1915 – Commission des logements militaires. Remarques en six points – Travaux terminés, août 1915
  • 1921 – Le maire notifie Auguste Geldreich (demeurant 15, boulevard de Nancy) de faire ravaler la façade. Il répond qu’il est malade depuis juillet 1919 et que sa situation financière ne lui permet pas de faire faire les travaux
    1923 – Emile Leibenguth (demeurant 100, Grand-rue) demande au commissaire de police l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour repeindre la façade en gris clair – Accord
  • 1923 – Emile Leibenguth (demeurant 57, rue du Fossé des Tanneurs) a aménagé un logement dans les combles sans respecter le règlement (cloisons en bois non plâtrées) – Les cloisons sont plâtrées, le dossier classé, novembre 1923
  • 1923 (août) – Le marchand de lingerie et de bonneterie Neugewurtz et Bilfeld (anciennement 118, Grand rue) demande l’autorisation de poser une enseigne (libellé : Au Gaspilleur, 96 Lingerie Bonneterie 96, Confection, Gros Articles de travail Demi-gros) – Autorisation (saillie supérieure à 16 centimètres)
  • 1923 – Le locataire Joseph Schnee (4° étage) se plaint que son logement est humide. La Police du Bâtiment estime que la plainte est fondée. – La toiture est réparée, juillet 1923
    Le locataire Læmmel s’oppose à ce que la propriétaire fasse faire des travaux de peur que le loyer augmente. La Commission contre les logements insalubres estime qu’il n’y a pas lieu d’intervenir
  • 1938 – La Police du Bâtiment constate que Charles Kaufmann a posé sans autorisation une enseigne – L’enseigne est retirée
  • 1942 – La veuve Stœbener (15, rue de Berne) informe la Police du Bâtiment qu’elle a fait retirer la lampe. Les droits sont dus pour l’année 1941.
    1943 – La même se plaint que son locataire du premier étage Camille Fehr tient mal son logement et demande une visite des lieux. Le logement que le locataire occupe depuis 43 ans doit être rénové. Il s’agit d’une affaire locative.
  • 1947 – Emile Tassler qui exploite au fond de la cour un atelier où il répare des machines à coudre demande l’autorisation de poser deux petites vitrines (85 sur 40 centimètres) – Croquis (les vitrines se trouvent de part et d’autre de la porte d’entrée – Accord
  • 1949 – L’entrepreneur de peinture Guillaume Fischer (11, rue Finckwiller) demande l’autorisation de repeindre la devanture du magasin d’Alfred Serfass – L’architecte des Bâtiments de France demande que le revêtement en bois déjà peint et posé sans autorisation soit retiré parce qu’il est « contraire à toute esthétique ». L’entrepreneur répond que la menuiserie était déjà posée quand il l’a peinte. – Les enseignes sont retirées, août 1949
  • 1955 – Alfred Serfass (vêtements pour hommes et enfants, demeurant 7, rue des Bouchers) déclare avoir posé un écriteau pour sa vente avant transformation – Autorisation – L’enseigne est enlevée, mai 1955
    Demande de permis de construire (parcelle 21, section 6 – Dessin établi par Willy Girbig (rue Carré de Malberg au Neuhof). Le cadre de la devanture sera en chêne massif – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable
    Les locataires protestent contre les transformations de l’entrée et la construction projetée dans la cour – Le dossier est classé sans que les travaux aient eu lieu
  • 1959 – Rapport d’incendie dans une mansarde à cause d’une cheminée non conforme. L’aménagement intérieur de deux logements est brûlé ou détérioré – La Police du Bâtiment fait un rapport (croquis) – Le propriétaire Jean Ott, employé chez le notaire Offenstein, déclare que la cheminée a été remise en état par Paul Spindler. La Police du Bâtiment fait remarquer que le logement récemment aménagé et occupé par Guillaume Stahn n’est pas conforme aux prescriptions.
  • 1961 – Rapport d’incendie dans une chambre au premier étage – La Police du Bâtiment fait un rapport – Travaux terminés, avril 1961
  • 1967 – Jean Georges Ott (rue du Canal à Eckbolsheim) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique
  • 1974 – Le photographe Marcel Ehrhard (demeurant à Schiltigheim, société Tube jeune, magasin de 30 m²) demande l’autorisation de transformer la devanture – Devis du vitrier Koenig-Reiminger (route de la Wantzenau à la Robertsau), du ferronnier Willy Ehrhard (rue Jean-Jaurès au Neudorff) – Plan cadastral de situation – Dessin, photographie – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le préfet accorde le permis de construire (20 janvier 1975) – Travaux terminés conformément aux plans (avril 1975)
  • 1977 – Michel Rieger (demeurant route de Schirmeck) demande au nom de la boutique Pivoine l’autorisation de poser une enseigne, deux lanternes et un store – Dessin du store, du rez-de-chaussée – Le demandeur a quitté le magasin, juillet 1977
  • 1985 – Le magasin Gemini informatique est autorisé à vendre par liquidation pour cause de cessation de commerce
  • 1985 (mai) – Des tuiles du 96, Grand rue (propriétaire, Mohamed Chaou) tombent dans la cour du 8, Petite rue des Dentelles – La Police du Bâtiment constate que la maçonnerie est endommagée par la pluie qui s’infiltre. Il est nécessaire de réparer le mur de refend à la limite des propriétés.
    1985 (juillet) – Les travaux n’ont pas été faits mais d’autres briques sont tombées – Travaux terminés, janvier 1986
  • 1992 – La boutique Octobre est autorisée à vendre par liquidation pour cause de cessation de commerce
  • 1993 – L’entreprise Amel (rue de Mutzig) demande l’autorisation de réparer la toiture et de peindre la façade – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 1198 W 2977)

Grand’rue 96 (1997)

La grille à l’extérieur de la devanture est supprimée en 1997 lorsqu’une banque fait aménager un guichet.

Sommaire
  • 1997 – L’A.O.C. Alsace (guichet de change), représenté par Alain Poinsignon, demande l’autorisation de modifier la façade (supprimer la grille à l’extérieur de la devanture, peindre le cadre métallique en bleu) sur la propriété de Mohamed Chaou – Photographies – Plan du rez-de-chaussée, dessin du rez-de-chaussée et de l’étage – Dessin du guichet, de la rue
    L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable
    Le maire donne son accord (non opposition) aux travaux (juillet 1997) – Travaux terminés, octobre 1997

Relevé d’actes

La maison appartient au début du XVII° siècle au cordonnier Henri Vogt qui épouse en 1593 Marie Betz, originaire de Reutlingen

Mariage, Saint-Thomas (luth. reg. C f° 182 n° 539)
1593. Domin. I. Trinitatis. Heinrich Vogt der schuomacher, Vnd Maria Hans Betzen von Reitlingen nachgelaßene dochter, eingesegnet 24. Junÿ (i 196)

Georges Gudelsohn, de Bezau dans le Bregenzerwald postérieur, vend au forgeron Jacques Gesensohn ses droits provenant de Marie Betz d’après l’inventaire dressé l’année précédente par le notaire Jean Frédéric Guldin (acte cité dans le suivant)

1617 (5. Aprilis), Chancellerie, vol. 426 (Registranda Meyger) f° 170
(Inchoat. in Prot. fol: 171.) Erschien Geörg Gudelsohn vonn Betzenauw Inn hind. Bregentzer Waldt Als ein geordneter gewalthaber seiner Khind. vögt vermög desselben gewalts vnder des Landtammans Zu Andelßpurg Insigell de dato 1.ten Aprilis 1617. hatt Inn gewalthabers Als obstet (verkaufft)
Jacob Gesensohn dem schmÿdt burgern Zu Straßburg
die Verfangenschaft So Maria Betzin desselben nachgelaßene witwe Inn crafft vffgerichten codicilli ad dies vitæ Zunutz. vnd zunÿßen, Alles vermög Inventarÿ durch Notarium Johann Friderich Guldin in Anno 1616. vffgericht – für vnd vmb 1300 guldin

Les héritiers du cordonnier Henri Vogt et les ayants droit de sa femme Marie Betz vendent 650 livres la maison face à la Cloche au tailleur Tobie Roth et à sa femme Catherine Kleindienst

1625 (5. febr.), Chambre des Contrats, vol. 455 f° 8
(P. fol. 35.) Erschienen in namen weÿ: Heinrich Vogten deß schuhmachers see. Alhie Erben Jacob Gößessohn d. hufschmidt alhie vnd Anna Nägelin sein eheliche haußfrawn Alß welche besagte Erben (weil sein vogten nachgelaßene wittib alles ad dies vitæ Zunüeß. gehabt vermög deß getroffenen und beÿ H Hilario Meÿern dem Contract Not° den 5. Aprilis A° 617. vschriebenen Außkauffs) außgekaufft, So dann Maria Betzin anfangs gemelten Heinrich Vogten nachgelaßener wittib anietzo auch seeliger Erben mit namen Maria Kehrerin mit beÿstand ihres hauß würths Bastian hueters schuhmachers alhie vnd Scolastica Betzin mit beÿstand hannsen Jacoben von Mutzig ihres Eheuogts
bekannten in gegensein Tobiä Rohten deß schneiders Alhie (…) vnd Catharina Kleindienstin seiner ehefr.
Eine behausung, sampt deren hoffstat, höflin & alhie in d. Obern Straß geg. der Glocken hinüber, neben hannß Müllers deß schloßers se. Erb. etwan, an ietzo Aber Sebastian Kuglen dem Kupferschmid. 1. vnd . ist hannß waltz. weißbecken, hind. vff hannß Babel den haußbeck stoßend gelegen, dauon gehen Jahrß 4 fl. St. w. St. Margrethen Closter alhie, in haupg. mit 100. fl. w. ablös. Item j. lb d geltz dem Allmosen S. Marx welches i. lb d geltz der keüffer also und dergestalt, es seÿ gleich Boden, Erblehens, Erschätzig vnd fürbietigs Zinß, oder wie solch 1 lb d Zinß sich Künfftig in brieff befind. würth vnd sich genommen, Vnd were d. Khauff vber solche beschwd. so die Kheuffer über sich genommen, geschehen p. 550 Pfund

Originaire de Grossfahner en Thuringe, Tobie Roth épouse en 1618 Catherine Kleindienst, fille de tailleur
Mariage, cathédrale (luth. p. 65)
1618. Thobias Roth der Schneider von großen Fahnerrn in Thüringen vnd. J. Cätherina, Hans Kleindienst e. dochter Tochter (i 37)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 145) 1618. 2. Februarÿ Im Münster. Tobias Rot d. Schneid. von großen faren in Düring. J. Katharina, Hans Kleindienst Tochter (i 149)

Tobie Roth devient bourgeois un mois après son mariage
1618, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104)
Tobias Roht d schneider Von Großenfaner Im Landt Zu düringen Empfangt d. Burg. recht von Catharina hanß Cleindienst deß schneids. Alhier dochter Vnd will Zu der Schneider Zünfftig sein, den 10. Martÿ Ao 1618.

Tobie Roth hypothèque la maison au profit de Barbe Kleindienst veuve de Laurent Dorsch

1626 (ut spâ. [xvij. Aprilis]), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 291
Erschienen Thobias Roth d. schneÿd. burg. Zu Straßburg
hatt in gegensein hannß Büchners schneÿd. burgers Zu Straßburg alß Vogt Barbaræ Clein dienstin weÿland Lorentz dorsch s. witwen – schuldig seÿen 50 pfundt
vnderpfand, hauß hoffstatt vnd. höfflin mit Allen Ihr. geb. & geg. Inn d. St. St. Ane d. Ober straß. geg. d. glock einseit n. hanß Waltz. dem weÿßb. and.seit n. Bastian N. d. Kupfferschmÿd, hind. vff N. N. stoßend, welche behaußung zuuor noch verhafftet Ist vmb 300. lb Jacob Gösensohn, Mehr i. lb d gelts Zu Sant Marx vnd 2 lb geld Zu Sant* *el

Tobie Roth loue une cave au brasseur Jean Régnard Kress

1629 (23. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 464 f° 269
Erschienen hanß Reinhard Kreß der Biersieder burger Zu St.
hatt in gegensein Tobiæ Rothen deß Schneiders auch burgers Alhie bekannt,
daß er von demselben sechß Jarlang, die von Jüngst v.schinen Mariæ V.kündigungs tag an, nechst nach einander folgend, entlehnet vnd bestandt (…) Einen Keller vndt sein deß verleÿhers Behausung alhie an der obern Straß neben Bastian Kugler Kupferschmidts & neben hanß Waltzen Weißbecken gelegen für vnd vmb 4. lb d Järlichs Zinses

Le tailleur Tobie Roth sollicite auprès des Quinze le poste de messager à la chambre de manance en arguant que son père a été péager à la Grünwarth
1632, Protocole des Quinze (2 R 58)
Tobias Roth. 3.
(f° 3-v) Sambst. 14.t Januarÿ – Tobias Roth burg. Vndt Schneider allhier Erschinen, pitt per M. Eggen vmb den Schirmgerichts botten dienst, seÿ sein Vatter lang Zoller vff der grünen warhd gewesen, so Soll sich geschrieben geben

Le tailleur Tobie Roth sollicite auprès des Quinze le poste de messager à la chambre de manance en arguant qu’il est fils de Charles Roth, ancien péager au service de la ville, qu’il sait lire et écrire et parler français.
Les Conseillers et les Vingt-et-Un le nomment commissaire priseur après que les Quinze ont constaté que le juge ne pouvait pas faire exécuter les sentences parce que le poste de commissaire priseur est vacant

1633, Protocole des Quinze (2 R 59)
Tobias Roth vmb Schirmgerichts botten dienst. 10. wird ganthkäuffler. 331.
(f° 10) Mont. den 28. Januarÿ – Tobias Roth der Schneider supplicirt p. M. Eggen vmb Schirmgerichts botten dienst, bitt weilen sein vatter Carl Roth Soldner vnnd Zoller hier gewesen auch der Zeit des handwerck übersetzt, er schreibens vnnd lesens wie nicht weniger der frantzösischen sprach erfahren, ihme vor andern Zu diesem dienst zu befürdern.
Erkanndt, soll sich geschrieben geben.

(p. 331-v) Sambstag den 4. Januarÿ 1634 – Ganthkäufflers stell Zu ersetzen
Herr Stedel proponirt, die herren deputirte In der Contributions Cass hatten gestrigs tags der Stattrichter beschicken lassen, vnd Ihne befragt, warumb Er bißhero wider die Schatzungs seümige mit der Execution nicht, wie Ihme anbefohlen, verfahren ? der hatte under anderen damit sich entschuldigt, das ane des verstorbenen Ganthkäufflers stell noch kein anderer verordnet worden, dahero verabschiedet daß bißnechst künfftig Montag das geschäfft für herrn Rhät vnd XXI Zur wahl gebracht vnd daselbst einer geordnet werden solle, dieweilen nun der Außschutz in dieser stub pfleg gemacht Zu werden, Alß solle er obnicht für dießmal selbig vorzunehmen.
Erkandt, herr Stedel wird herr Schoner geordnet, die sollen ein Aufschutz machen, mögen der Schneider Rhatherren Zu sich Ziehen.
[in margine :] Ersetzt. Mont. den 6. hujus ist beÿ herren rhät und XIII thobias Roth der schneider zu einem ganthkeuffler erkosen worden.

Nomination par les Conseillers et les Vingt-et-Un
1633, Conseillers et XXI (1 R 115)
Ganth Käuffler stell, Heinrich Schmidt und Tobias Roth. 272. Hanß Schleiffenheimer. 274. Tobias Roth erwählt. 297.
(f° 272) Montags d. 25.t Novembris – Heinrich Schmidt und Tobias Roth p.th. melden sich an, umb vacirend. Ganth Käuffler dienst.
Erk. sollen sich geschrieben geben. H: von Fridoltzh. v. Bätz

(f° 274) Sambstags d. 30.t Novembris – Hanß Schleiffenheimer meldet sich an, umb vacirend. Ganth Käuffler dienst.
Erk. soll sich geschrieben geben, sollen auch Ober: vnd Rhath: auff d. Zünfft noch ein mahl deßweg. umbkunden laßen. H Grünwaldt Vnd Werner.

(f° 297) Montags d. 6. Januarÿ – Zu einem Ganth Käuffler ist nach gewohnlich. vmbfrag p. majora erwählt worden Tobias Roth

Le commissaire priseur Tobie Roth hypothèque la maison au profit de Daniel Steinbock, assesseur au Grand Sénat

1651 (12. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 510 f° 314-v
Erschienen Tobias Roth der Ganth Käuffler alhie
hatt in gegensein H. Daniel Steinbocken E.E. großen Raths Beÿsitzers alhie – schuldig seÿen 17. lib
Underpfand sein soll Eine Behaußung mit allen deren Gebäwen alhie ahne der obern Straßen gegen d. Glocken hienüber, einseit neben H. Bastian Kugler E.E Kleinen Rhats alten Beÿsitzern, and. seit neben hannß Waltz. deß Weißbecken Erben, hinden vff (-) stoßend geleg., so zuuor verhafftet vmb 100. fl. dem mehren Hospithal, Mehr 4. fl. Wehr. lößig mit 100. fl. besagte Wehr. dem Stifft St Margareth. alhie, Item 2 fl. dem Stifft St. Marx ablößig mit (-) Vnd dann Vmb 100. fl. Kauffschillingß Rest weÿl. Jacob Geßesohns seel. Kind. Und Erben

Tobie Roth et ses quatre enfants passent une convention au sujet de l’héritage de leur femme et mère respective

1651 (22. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 511 f° 644
Erschienen H Tobias Roth der älter Ganthkäuffler an einem,
So dann Tobias Roth d. Schneid. Ferners Catharina Rothin mit beÿstand hannß Jacob Erlen deß Schneiders ihres Ehevogts, Weiters Anna Maria Rothin mit beÿstand Michael Schiffers deß Streelmachers ihres Ehevogts, Mehr H M. Joh: Carl Roth SS Theol. Stud. mit beÿstand hannß Martin Sarburgers deß Schneiders seines Curatoris am andern, Und beede theil mit beÿstand H Johann Christmann Merckhlin und H M. Josephi Scherbaums beed. alß vß EE. groß. Rhats mittel hierzu insonderheit Deputirter
haben bekannt, waß maß. Sie sich über dem Mütterlich. Guth mit einand. berechnet, und Sie die Kind. sich umb den Rest der gestalt außkauffen laß. daß nemlich. deß sohns Tobiæ (…) Annæ Mariæ 25. lib. aber in den Gemachen der Vätterlich. alhier in der Oberstraß. gelegenen Behaußung biß daß hauß verkaufft wird, welch. fallß der dannzumahlig hinderstand der dochter alßbald; vom Angelt erlegt werd. woll:/
[in margine :] Erschienen Michael Schiffer der Streelmacher alß Ehevogt Annæ Mariæ Rothin hatt in gegensein Tobiæ Rothen seines Schwähers bekannt, demnach Sie die beÿde Eheleuth bißhero die Gemach der hieringedachter behaußung genutzt Undt alß ihres gehabten Außstand der 25. lb ahne der Mütterlichen Verlaßenschafft, wegen berührter Nutzung Verseßen deßwegen keine Ansprach mehr diß orts ihres Mütterlich. guths haben hette (…) Actum d. 21. Aprilis Anno 1655.

Tobie Roth se remarie en 1651 avec Ursule Rupp, veuve de Luc Jelinger, employé à l’accise
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 97)
1651. Dnca 26. Trinit. 23. Nou: Tobias Roth der Gandtmeister alhier fr. Ursula Lucæ Jelingers Ungelters hinderlaßene Widtweh, Mont. 1 Decemb. (i 98)

Fils d’interprète à la porte de Cronenbourg, l’imprimeur Luc Jelinger épouse en 1617 Ursule Rupp, fille du fournier Joël Rupp
Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 16 f° 115)
1617. den 21. Julÿ seind ehelich eingesegnet worden Lucas Jelinger der Buchtruckher, Lucæ Jelingers des burgers und dolmetschen am Cronenburger thor alhie Sohn, Vnd Jungfraw Ursula Ruobin, Jöel Ruob des haußbeckhen Vnd burgers alhie tochter (i 123)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 143) 1617. 21. Julÿ, n° 35, Zu S Claus. Lucas Jelinger der Buchtruckher, J. Ursula, Jöel Rub des hausbeck. Tochter (i 148)
Fils Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 56) 1641 Mariage, cathédrale (luth. f° 509) 1647

Ursule Rupp fait dresser l’inventaire de ses apports. L’actif s’élève à 502 livres, le passif à 114 livres
1651 (9. Dec.), Not. Schübler (Christophe, 55 Not 22) n° 13 (1091)
Inventarium undt beschreibung Aller Haab Nahrung so die viel Ehren vnd Tugendsame fraw Ursula Ruppin Zu dem Ehrengeachten vnd bescheidenen Tobia Rothen geschwornen Ganthhauß Käufflers Ihrem Jetzigen haußwürth in den Ehestand gebracht, welche der Ursachen weilen in Ihrer beeder auffgerichteten Eheberedung versehen, daß einem Jeden Ehegenächdt oder seinen Erben ein Unverändert undt vorbehaltenen gutt sein solle, vndt man sich vff alle begebende fall der erg. halben besto beßer werdt Zu reguliren weißen – Actum vnd angefangen Im fernerer gegenwertigkeit Tobiæ Rothen deß Ehevogts selbsten Ludwig Lungen des Schwartzbeckens, als ehevogts Jungfr. Annæ Mariæ Jelin vndt Johannis oswaldt Farrenschon als Ehevogts Ursulæ Jelin beed. d. fr. in erster ehe erzeugter döchtere, den 9.ten Decembris Anni 1651.
Uff der Öbersten Bühnen, Uff der Andern Bühnen, Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, Inn der Cammer C, vor der Cammer C, In der Wohnstub, Inn der Kuchen
Schulden aus der Nahrung, Item vermög Inventarÿ vber wÿland Lux Jelein der fr. ersten hauswürths seeligen Verlaßenschafft vffgerichtet (…)
Abzug Inn dißes Inventarium, Sa. des haußraths 426, Sa. Leerer Vaß 2, Sa. frucht Vnd Meels 6, Sa. vyhes 5, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 6, Sa. guldener ring 21, Sa. d. baarschafft 26, Sa. Schuld. 7, Summa summarum 502 lb – Schulden 114 lb (Nach deren Abzug) 388 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 491 lb

Tobie Roth sollicite auprès des Quinze l’autorisation de vendre des meubles hors des exécutions forcées parce que le revenu de ses fonctions est très faible. Les Quinze refusent après avoir consulté le greffier parce que la requête contrevient au règlement des commissaires priseurs.
Tobie Roth sollicite en novembre le poste de sergent des Quinze.

1652, Protocole des Quinze (2 R 70)
Tobias Roth [umb Fünff Zehen Knecht dienst]. 254. vid: plura Ganthkäuffler. Ganthkäuffler. 200. 211.
(f° 200) Sambst. den 28. Aug. – Tobias Roth d. Ganth Käuffler, pd. Supplication auch andern Leuth, mobilien feÿl haben vnd verkauffen möge.
Erkandt, H. Kipß vnd H. Pfitzer sollen die Sach bedencken.

(f° 211) Mittw. den 10.t 7.bris – H. Kipß vnd H. Pfitzer laßen per H. Frantzen, referiren, Sie hetten vff MH. Erkandtnuß supra fol: 200 zwar Von deß Ganth Käufflers Tobiæ Roth. petito gered, auch darüber H. Riehlen den Stattgerichts Actuarium Vernehmen, Wiewohlen nun nicht ahn daß deßen Verdienst anietzo sehr gering in dem Wenig executions sachen ane der Ganth verkaufft werd. so seÿe Er aber ane dem, daß d. Eine begehren Clar Wid. die Ganthordnung lauffe, vnd für daß and. Ihme Eine addition Zuschöpffen, wegen d. bößen consequetz gar nicht thunlich. V.meinen dahero Deputirte Herren daß Supplicanten beede begehren abzuleinen seÿen.
Erkandt, Würdt gefolgt, kann hingegen Zu d. ietz vaciren. Portnerstell im Spittal recommendirt werd.
[in margine :] Mont. d. 13. dito Ihme bescheid angezeigt

(f° 254-v) Sambst. den 6. 9.bris – Tobias Roth der Ganth Käuffler p. E. übergibt Supplication bitt gleiches gestalt vmb den vacirenden Fünff Zehen Knecht dienst. Erkandt, Zu bedacht gezogen.

Le commissaire priseur Tobie Roth hypothèque la maison sise en face de la brasserie à la Cloche au profit de Jean Léonard Frœreisen, assesseur au Petit Sénat

1659 (23. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 524 f° 628-v
Erschienen H Tobias Roth d. Ganth Käuffler
in gegensein H Johann Leonhard Fröreisens EE Kleinen Rhats alten Beÿsitzers – schuldig seÿen 25 Pfund
Unterpfand sein solle hauß, hoffstatt, höfflein mit allen deren Gebäwen, alhie ahne der Obern Straßen, geg. dem Bierhauß Zur Glockh. hienüber, einseit neben Ulrich Greiners dem weißbeckh, anderseit neben Sebastian Kuglern dem Kupfferschmid. hind. vff Andres Stigler den weißbeckh. stoßend gelegen davon gehend iahrs 4 fl. straßb. wehr. lößig mit 100. fl. berührter Wehr. dem Closter St. Margareth. und Agneß., Item j. lb. dem groß. gemeinen Allmosen Zu St. Marx, So seÿe solche Behaußung auch noch umb 50 lib. dem mehrern Hospital, Und umb 50. lib. H Hannß Peter Schmid. E.E. groß. Rhats alten Beÿsitzers, verhafftet

Anne Marie Roth femme du peignier Michel Schiffer vend son quart de maison à son frère Tobie Roth (le fils), commissaire priseur

1663 (20. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 528 f° 421-v
Erschienen Anna Maria, Michael Schüffers des Strählmachers Eheweib mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts
in gegensein Tobiæ Rothen deß Ganth Käufflers ihres eheleiblich. Bruders
ihren Vierten theil deroselben für ohnvertheilt gebühren ahne Hauß höfflin hoffstatt und allen übrig. deren Gebäwen, begriffen, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten alhie an der Obern Straßen gegen dem Bierhauß zur Klockhen hinden einseit neben Sebastian Kuglern dem Kupfferschmidt anderseit neben Ulrich Greiners dem Meelmann hinden uff Andres Stiglern den Weißbeckhen stoßend geleg., von welcher gantzen Behaußung gehend iährlich uff Andreæ j. lb ewigß erschätzigß Zinnß dem gemeinen allmusen Zu St Marx, Item 4. fl. straßb. wehrung uff gedachten termin lößig mit 100. fl. besagter Wehrung dem Closter St. Margarethæ und Agneßen, so seÿe solche Behaußung auch noch umb 50. lb dem Mehrern Hospital, Item umb 50. lb d H. Johann Peter Schmidten E.E. Großen Rhats alten Beÿsitzers So dann umb 17. lb der Statt Müntzen verhafftet (pro rato übernohmen) – umb 4 lb

Tobie Roth et Catherine Roth femme du tailleur Jacques Ehrlé vendent la maison au chapelier Simon Hollænder

1667 (23. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 534 f° 189-v
(Prot. fol. 10.) Erschienen Tobias Roth der Ganthmeÿster für sich selbsten, und Catharina Rothin hannß Jacob Ehrle des schneiders eheliche haußfraw, mit assistentz erstermelts ihres Ehevogts
in gegensein Simon Holländer des Huotmachers mit beÿstand H Hannß Ludwig Griesbachß des Plaÿchers seines Vettern
hauß hoff hoffstatt bronnen, mit allen deren Gebäwen begriffen Zugehörten Rechten und Gerechtigkeiten alhie ahne der Obern straßen, gegen dem bierhauß Zur Klockhen hienüber, einseit neben Sebastian Kuglern dem Kupfferschmidt, anderseit neben Ulrich Greinern dem Meelmann hinden uff Jacob Graffen den weißbeckhen stoßend gelegen, dauon gehen iahrs 4 fl. Straßburg. wehrung termino Andreä lößig mit 100. lb gemelter wehrung dem Closter St. Margarethen und Agneßen allhie 1 lb ewig. und bermög dißer Statt Constitution mit 25. lb ablößigs gelts Jährlich termino Andreæ dem großen gemeinen allmosen Zu St Marx 2 lb 10 ß Jahrs uff Annunciat. Mariæ wid.käuffig mit 50. lb dem Mehren Hospithal, 2 lb 10 ß Jährlichen vff Mariæ Verkündigung lößig mit 50. lb H Hannß Peter Schneidern E.E. Großen Rhats alten Beÿsitzern und 17 ß termino Martini lößig mit 17. lb der Statt Straßburg und dann j. lb 5 ß Jahrs uff Adolphi H Johann Leonhard Fröreißen E. Ehr. Großen Rhats Verwanthens

Fils de chapelier, Simon Hollænder épouse en 1661 Anne Madeleine Rœderer, fille de tondeur de draps
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 125-v, n° 6)
1661. Simon Holänder der hutmacher, hannß Michael Holänders burgers u. hutmachers nachgelaßener sohn, v. J. anna Magdalena H Christoph Röderers tuchscherers ehel. tochter, Copulirt d. 12. Martÿ (i 127)

Anne Madeleine Rœderer se remarie en 1671 avec le chapelier Jean Martin Wetzel
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 150-v, n° 44)
1671. Hannß Martin Wetzel der ledige hutmacher Vnndt Anna Magdalena, Simon Holänders des hutmahers hinterl. W., Mont. 6. Nov. (i 152)

Jean Martin Wetzel et Anne Madeleine hypothèquent la maison au profit d’André Brackenhoffer le jeune

1672 (13. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 474
Hannß Martin Wetzel der Huetmacher und Anna Magdalena sein Eheweib, und Zwar dieselbe mit beÿstand der Ehrenvest- fürsichtig- Weÿsen herren Clauß Conrad Schachen und Herren Jonæ Andreßen Von Veßenheim beÿder alß aus E.E. Großen Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu insonderheit deputirter
in gegensein Herren Andreæ Brackhenhoffers deß Jüngern – schuldig seÿen 100. Pfund pfenning
Unterpfand, Zweÿ häußer ein Vorders und ein hinders mit allen deren Gebäwen, begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhier ahn der Obern Straßen Gegen dem Bierhauß Zur Glockhen hinüber, einseit neben Sebastian Kugler dem Kupfferschmidt, anderseit neben Ulrich Greiner dem Mehlmann, hinden uff Jacob Graffen den Weißbeckhen stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein hannß Georg Birckels deß Kieffers alß ietzmahlig. besitzers deß hierinn Verpfändeten haußes (quittung) Act. den 14.ten Xbr. 1688

Héritier pour moitié de son père Simon Hollænder, le chapelier Georges Hollænder qui a l’intention de s’établir en Franconie cède ses droits successoraux à Jean Martin Wetzel et à sa femme, veuve dudit Simon Hollænder

1674 (20. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 672
Erschienen hannß Georg Holländer der Huetmacher, so sich Zu Wintzenheim in Franckhen burgerlich niderzulaßen gewillet
hatt in gegensein hannß Martin Wetzels deß huetmachers alß ietzig. Ehevogts Annæ Magdalenæ Rödererin, weÿl. Simon Holländers deß huetmachers nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin, mit beÿstand andres Dierbachß auch huetmachers ihr Annæ Magdalenæ geweßenen Vogts
bekannt Wiewohlen Er Hannß Georg Holländer alß ex semisse Erb gemelten Simon Holländer seines eheleiblich. bruders Vermög des durch herrn Johann Jacob Stichen dem Notarium uffgerichteten Inventarÿ fol. 39. fac. 2. detractis detrahendis 104. lb 16. ß 1 1/8 d geerbt (Außkauff)

Jean Martin Wetzel et Madeleine Rœderer hypothèquent la maison au profit d’Ulric Greiner. En marge, quittance remise au tonnelier Jean Georges Birckel, propriétaire de la maison en 1689

1677 (17. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 743-v
Martin Wetzel der Huetmacher und Magdalena Rödererin sein Eheweib und Zwar dieselbe insonderheit mit beÿstand hannß Lienhard Röderers deß Rothgerbers und hannß Christoph Dürbachs deß huetmachers, beÿder alß deroselben hierzu erbettener nechster Verwanther
in gegensein H. Ulrich Greiners – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, Zweÿ häußer ein Vorders und ein hinders mit allen deren gebäwen Rechten und Zugehördten alhier ahne der Obern Straß einseit neben H. Sebastian Kugler der Statt Kupfferschmidt, anderseit neben hannß Georg Müller dem Weißbeckh, hinden uff Jacob Graffen auch Weißbeckhen stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein hannß Georg Bürckel deß Kieffers alß ietzig. possessoris deß zu unterpfand verlegten behaußung (quittung) d. 28. febr: 1689

Madeleine Rœderer veuve de Jean Martin Wetzel se remarie en 1680 avec le chapelier Daniel Schwebel
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 186, n° 17)
1680. Eodem [14. Martÿ] Daniel Schwäbel lediger hutmacher Thomas Schwäbels burgers v. gastgebers hinterl. ehl. Sohn, Fr. Magdalena hans Martin Wetzels hinderlaßen. W. (i 187)

Daniel Schwebel vend la maison au fondeur de pichets Jean Füssel assisté de son beau père fournier Léonard Maurer

1685 (13. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 555 f° 468-v
Daniel Schwebel der huetmacher
in gegensein Johann Füeßels deß Kandtengiessers mit beÿstand lienhard Maurers deß alten haußfeurers seines Schweher Vatters
eine behaußung, hoff, hoffstatt mit allen andern deren Gebäwen, begriffen, Weithen, rechten, zugehördten und Gerechtigkeiten allhier in der langen Straßen einseit neben Johann Sebastian Kugler dem Kupfferschmidt anderseit neben Georg Müller dem Weißbecken, hinden uff lienhard Maurers deß jüngern Weißbeck hinderhauß stoßend gelegen, welche behaußung annoch dem Closter St: Margarethen und Agneßen umb 100 fl. Item (umb 50 fl, Item umb 200. fl, So dann umb 200 fl. verhafftet) – umb 300 fl.

Fils de fondeur en étain, Jean Füssel épouse en 1678 Apollonie Maurer, fille de boulanger
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 79, n° 465)
1678. Eodem [Dom. 16. et 17. Trin. den 15. v. 22. Sept] Johannes Füeßel d. ledige Zinngieser Hn Anthonÿ Füessels burgers v. Zinngiessers ehelich. Sohn, Jfr. Apollonia H Leonhardt Maurers burgers undt Schwartzbeck. allhier eheliche Tochter. Cop. St. Thomæ d. 26. sept. (i 41)

Jean Füssel hypothèque la maison au profit de son beau père Léonard Maurer

1686 (18.2.), Chambre des Contrats, vol. 556 f° 105
Johann Füßel burger und Kantengießer
in gegensein Leonhard Maurer deß ältern, burgers und hauß feurers seines Schwehervatters – schuldig seÿe, 320 fl.
unterpfand,eine behaußung, hoff, hoffstatt, mit allen andern deren Gebäuen, Begriffen, weithen, Rechten, zugehördten und Gerechtigkeiten, allhier in der langen Straßen, einseit neben Johann Sebastian Kugler dem Kupfferschmid, anderseit neben Georg Müller dem weißbecken, hinden auff Lienhard Maurers deß jüngern, welche behaußung annoch dem Closter St. Margarethæ und Agneßen umb 100 fl (…) verhafftet

La maison revient ensuite au créancier Léonard Maurer. Fils du prévôt de Meissenheim en Bade, Léonard Maurer épouse en 1643 Agnès Brantzy, fille de secrétaire

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 284-v)
1643 Eadem [Domin. I. Trinit. 4. Jun:] Leonhard Maurer Beck, Paul Maurers, Schultheÿß. Zu Meißenheimb Ehelicher Sohn, Jungfr. Agnes, Johann Oßwald Brantzÿ, Musterschreibers vnndt Burgers allhie eheliche Tochter. Eingesegnet Montag d. 12. Jun: St. Thoman (i 291)
Proclamation, cathédrale (luth. p. 466) 1643. Domin. I. Trinitatis. Leonhard Maurer der Beck, Paulus Maurers deß Schultheißen von Meißenheim ehelicher Sohn, Vnd Jungfr. Agneß, Hanß Oßwald Brantzÿ, deß Musterschreibers Vnd Burgers allhie eheliche Tochter. Eingesegnet zu St. Thomâ Mont. 12. Junÿ (i 238)

Léonard Maurer devient bourgeois quelques jours après son mariage
1643, 4° Livre de bourgeoisie p. 216
Lienhard Maurer Von Maißenheim der Beckh empfahet daß Burgerrecht Von seiner Haußfrawen Agnes Hannß Oßwalds Brantzÿ deß Musterschreibers alhie Tochter vmb 8 Goldt fl. ist ledigen stands geweßen und Würd Zu den Beckhen dienen. Jur. den 17.ten Junÿ 1643.

Léonard Maurer, assisté de son fils Léonard Maurer le jeune, vend la maison au tonnelier Georges Birckel.

1688 (9.4.), Chambre des Contrats, vol. 559 f° 242
Lienhard Maurer der ältere, haußfeurer mit beÿstand Lienhard Maurer deß jüngern seines leiblichen Sohns
in gegensein hans Georg Birckel deß Kieffers
Eine behaußung, hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, weith. Zugehördt. Recht. und Gerechtigkeiten allhier in der langen straßen, anderseit neben Johann Sebastian Kugler dem Kupfferschmid, anderseit neben Georg Müller dem Weißbecken hind. auff obged. lienhard Maurers deß jüngern weißbecken hind.hauß stoßend geleg., welche behaußung annoch umb 100 fl. (Ferner umb 50 fl, Mehr umb 200 fl, So dann umb 200 fl. Capital verhafftet), geschehen um 150 Gulden

Fils de blanchisseur, Jean Georges Birckel épouse en 1687 Anne Madeleine Lentz, fille de revendeur
Mariage, Saint-Guillaume (luth. 179, n° 18)
1687. Dom. XIII. et XIV. Tr. Hannß Georg Bürckel der ledige Kieffer, Hn Caspar Bürckels des Bleichers vndt Burgers alhier ehelicher Sohn, vndt J. Anna Magdalena, Wld. Hrn Ludwig Lentzen, deß krempen vnndt B. alhier, nachgelaßene eheliche Tochter. W. d. 3. Sept. (i 110)

Marthe Meyer veuve du garçon batelier Jacques Hassler conclut un contrat alimentaire avec le blanchisseur Jean Georges Birckel. En marge, annulation du contrat après que Jean Georges Birckel a quitté sa femme Anne Madeleine Lentz
1694 (31.7.), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 493
Martha gebohrne Meÿerin weil. Jacob Haßlers gewesenen Schiffknecht sel. nachgelaßene Wittib mit beÿstand Hn David Andres deß Schiffmanns E:E: kleinen Raths alt. beÿsitzers Ihres Vogts, wie auch Philipß Haßlern des Tabacbereiters, Ihres leiblichen Sohns, an einem
So dann hans Georg Birckel, dem bleicher, am andern theil,
haben angezeigt und bekandt, daß Sie folgendes Leibgeding aufrichtig und wolbedächtich mit einander abgeredt und beschloß. haben, Nemblich und für das Ersten So verspricht Er Birckel Sie Haßlerische wittib die noch übrige Zeit Ihres lebens beÿ sich zu behalten (…)
[in margine :] Erschienen hier inn gemelte Haßlerische Wittib, beÿständlich hierinn bemelten Hn Andres ihres Curatoris an einem, So dann Anna Magdalena gebohrne Lentzin hierinn ged. hans Georg Birckels Verlaßene haußfrau, mit beÿstand Johann Bernhard Brand des Weißgerbers, ihres geschwornen Vogts am andern theil, haben angezeigt und bekandt, demnach ged. hans Georg Birckel ausgetretten und Sie Annam Magdalenam seine bemelte haußfrau Verlaßen, auch deßen Nahrung zur Falliment gekommen, alßo das Sie Birckelische frau ihre Haußhaltung selbst quittiren, und sich anderwertlichen in diensten geben müßen und deßweg Ihro das hierinn Verschriebene leibgeding und vergleich wozu sie ohne dem nit Verbinden war, auszuhalten unmöglich gefallen, alß hatten Sie beede theil (ged. Leibgeding cassirt), den 15. Januarÿ 1697

Jean Georges Birckel et Anne Madeleine Lentz vendent la maison au cloutier Jean Versch, assesseur au Grand Sénat, et à sa femme Anne Marie Rœmer

1691 (14.4.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 348-v
hans Georg Birckel der Kieffer und Anna Magdalena gebohrne Lentzin [unterzeichnet] hanß Goerg bürckel, Anna Magdalena bürcklin
in gegensein Hn. Johannes Verschen, deß Nagelschmids, und E.E. Großen Raths beÿsitzers, und Annæ Mariæ gebohrner Römerin
Eine behaußung, hoff, hoffstatt, mit allen deren Gebäuen, begriffen, weith. Zugehördt. Rechten und Gerechtigkeit. allhier an der lang. Straß einseit neben Johann Sebastian Kugler dem Kupfferschmid, anderseit neben Georg Müller dem Weißbecken, hind. auff lienhard Mauers deß jüngern weißbecken hind.hauß stoßend geleg. welche behaußung umb 100 gulden (Item umb 100 gulden Capital, Ferner umb 50 gulden Capital, Mehr umb 200 gulden, So dann umb 150 gulden Capital verhafftet) – geschehen umb 595 gulden

Jean Versch et Anne Marie Rœmer hypothèquent la maison au profit du marchand Frédéric Spielmann pour régler le prix d’achat et les réparations

1691 (14.4.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 350
Hn. Johannes Versch, d. Nagelschmidt, und E.E. Großen Raths beÿsitzer, und Anna Maria gebohrne Römerin
Hn Friderich Spielmanns, deß handelßmanns und ged. Ers. Raths alten beÿsitzers – schuldig seÿen 350 pfund, Ihnen Zu Erkauffung und reparation hernach bemeldter behausung
unterpfand, Eine behaußung perge uß immediate vorstehend. Verschreibung

Jean Versch et Anne Marie Rœmer se lèguent mutuellement la propriété de leurs biens
1692 (13.4.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6296)
Herr Johann Versch E.E. Großen Raths alter beÿsitzer und Fraw Anna Maria Römerin
persönlich erschienen und kommen seindt der Ehrenvest fürsichtig vndt Weiße, Herr Johann Versch E. E. Großen Raths alter beÿsitzer, undt beneben Ihme die viel Ehren: undt tugendreiche fraw Anna Maria Römerin, beede Eheleuth burgere alhier Zu Straßburg durch die Gnadt Gottes des Allerhöchsten gesundt, gehendt undt stehender leiber, richtiger sinnen, guten verstandts vndt vernehmlichen Reden (…)
Über dieses vndt drittens weilen die Einsatzung der Erben eines Jeden im Rechten Gültigen Testaments undt Grundveste ist (…) als wolten beede ernants Testirendte Ehegemächt Ihre nach Gottes willen künfftig erziehlendte Kinder hiemit Zu Ihren rechtsmäßigen Erben benannt und eingesetzt, vnd solchen falls das erststerbende dem letslebendten den usumfructum omnium bonorum Zeit lebens Zugenießen verordnet undt verschafft haben, wann aber der Herr Testator vor seiner lieben ehelichen haußfrauwen ohne kinder versterben würde, so will derselbe gedachte seine liebe eheliche haußfrau über abzug gemelten Legats Zu seiner ohnzweiffelichen Erbin hiemit instituiren undt einsetzen, dagegen aber will die fraw Testireren im fall dieselbe Vor angeregten Ihren Lieben Eheherrn ohne hinterlaßung ehelicher Leibs Erben mit todt abgehen würde, daß derselbe Ihr, Ihrer gantzen Verlaßenschafft nichts davon als das gesetzte Legat außgenommen, beliebiger und angenohmer Erb seÿn und Ihme hiemit Zum Eÿgenthumb vermacht seÿn solle.
So beschehen in Straßburg, Sonntags den 13. Aprilis Anno 1693 [unterzeichnet] bekenne ich Johannes Versch Wie oben steht, ana maria römerin
Ist vorgangen nachmittag Zwischen ein undt Zweÿ Uhren in beeder Testirendter Eheleuth eÿgenthümblichen wohnbehaußung in der Mitlern Straßen Zwischen dem Bierhauß Zum Bähren und den Steinern brückel in der vordern Stuben ein gaden hoch, an gedachte Straß außsehendt.
(Protholollum secundum,1 AH 6295)

Jean Versch hypothèque la maison ainsi qu’une autre au profit le la fondation Nicolas Adolphe. Selon la mention marginale, le docteur en médecine Jean Charles Hammerer a acquis l’obligation au profit de la fondation dans la masse du débiteur relégué

1693 (5.1.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 13
H. Johann Versch der Nagelschmid, und E:E: kleinen Raths alter beÿsitzer
H. Philipß Küblers, und H. Michael Fausten beeder ged. Ers. Raths respect. würcklich und alt. beÿsitzer, alß Testamentariorum der Nicolai Adolphischen Stifftung, mit beÿstand Johannis Kitschen Not. Publ. ged. Stifftung Schaffners, schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, Erstlich Eine behaußung, hoff, hind.hauß und den hoffstätten mit allen deren Gebaüen, Rechten und Zugehördt. allhier in d. Obern Straß. einseit neben weil. H. Sebastian Kuglers, gewesenen Statt Kupfferschmidts sel. Erben, anderseit neben (-) dem weißbeck. hind. auff Lienhard Maurer den weißbeck. stoßend gelegen
So dann eine behaußung, höfflein und dero hoffstätten auch allen übrige deren gebaüen, Recht. und Zugehörd. einseit neb. hans Martin Weißmantel dem Schloßer, anderseit Sebastian Fischer dem würth zum Rebstock, hind. auff Ludwig Kuchel dem Küffer, stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein H. Johann Carl Hammerers, Med. Doctoris, angezeigt und bekandt, demnach der hierin gemeldt. debitor relegirt word. und deßen Nahrung Zum falliment gekomm., alß hätten die HH. Testamentarÿ Ihme H. d. Hammerer all der Nicoli [sic] Adolphischen Stifftung auß vorstehender Verschreibung bißher gehabte jura absq. novatione cediert – umb 25 pfund, den 20. 7.bris 1695

Jean Versch hypothèque la maison au profit du docteur en médecine Jean Charles Hammerer. En marge, cautionnement d’Anne Marie Rœmer, femme du débiteur

1693 (24. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 641-v
H. Johannes Versch, der Nagelschmid und E.E. großen Raths alter beÿsitzer
H. Johann Carl Hammerers, Med. Doct. – schuldig seÿe 250 pfund, Ihme Zu erkauffung einer Parteÿ Eisens
unterpfand, Erstlich Eine behaußung, hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, weith. Rexcht. Und Zugehördt, allhier an der langen Straß, einseit neb. Johann Sebastian Kugler dem Kupfferschmid, anderseit neben Georg Müller dem weißbeck., hind. auff lienhard Maurers deß jüngern weißbeck. hind. hauß
[in margine :] (…) deßen Zu mehreren Versicherung ist hierbeÿ persönlich Erschienen Fr. Anna Maria gebohrne Römerin, deß H. Debitoris Eheliche haußfrau, und Zwar dieselbe mit beÿstand Hn Johann Georg Bembergs und H. Friderich Wilhelm Schmucken bed. E.E. Großen Raths beÿsitzer und an statt nächster Verwanthe hierzu insond.heit deputirter – den 12. 8.bris 1693

Les Quinze refusent d’autoriser le manant André Roland, ancien soldat, à ouvrir une nouvelle auberge dans la maison qui appartenait à Jean Versch et que lui a louée Jean Charles Hammerer pour ne pas multiplier le nombre d’auberges. Le pétitionnaire pourra cependant reprendre une ancienne auberge.

1699, Protocole des Quinze (2 R 103)
André Roland pt° Weinschancks
(f° 381-v) Sambstags den 5. Decembr. 1699. André Roland pt° Weinschancks
André Roland der Schirmer per G. bittet unterth. ihme den Weinschanck in der straß Zu treiben gn. Zu erlauben. Erk. ut supra [an die Obere Ungeltssh. Gewießen]

(f° 407) Freitags den 18. Decembr. 1699. André Rouland pt° Weinschancks
Iidem [Obere Ungeltssh.] laßen per Herrn Friden Proponiren daß André Rouland der Schirmer vmb den weinschanck in einem hauß in der straß, so vorhin Johann Verschen den Nagelschmidt zugehört, angehalten undt alß man selbigen Weiters angehört, beditten daß er vormahls ein Soldat geweßen, vor 2. jahren aber congedirt worden, und anietzo im Schirm seÿe, wie deßen vorgewießener Schirm Zedul bezeügte, mit dem beÿsatz, daß H. Dr. Hammerer ihme gedachtes hauß verlehnet, vnd Er denenselben monath. 5. Rthlr Zinß daraus geben müßte, Er habe auch Zu New Breisach ein hauß gebawen, undt sich alda zu ernehren Vermeint aber nicht zu recht gekommen können.
Wobeÿ man sich errinnert, daß es jüngstens die meinung gehabt, daß man kein new würthshauß mehr auffrichten solle, vndt weilen dießes ein newes abgebe, und die gantze straß mit würthhäußern angefüllt, auch die Generalität öffters geklagt daß man iedermann den weinschanck willfahre, So hette man auf seithen der Herren Deputirten dafür Gehalten, daß Implorant mit seinem Begehren abgewießen, wan er aber ein Altes Würthshauß finden würde, alß dann willfahrt werden könte. Erk. Bedacht gefolg.

La maison revient ensuite au créancier Jean Charles Hammerer. La veuve la vend en 1707 au musicien Jean Kræutler et à sa femme Marie Salomé Ebinger

1703 (17. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 576 f° 489-v
(500) Hr. Joh: Greuhm apothecker alß Curator weÿl. p. Hn. Joh: Carl Hammerers geweßenen Medicinæ Dris u. practici Frn. wittib
hatt in gegensein Joh: Kräuttlers Musicanten u. Mariæ Salome geb. Ebingerin
eine behaußung, Hoff, Hoffstatt mit allen deren gebaüen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. gerechtigkeit. allhier in der langen straßen einseit neben Joh: Sebastian Kuglern Statt kupferschmidten anderseit neben Joh: Erhard Metzen weißbecken hinten auf Lienhard Maurers jun: weißbeckers behaußung stoßend gelegen, so gegen männiglich freÿ ledig u. eÿgen, maßen die Fr. verkäufern in specie promittiret sich mit dem Pfthrn wegen ahn solches hauß forderender Zinß abzufinden – um 500 pfund

Fils d’un censier de Duntzenheim, le musicien Jean Kræutler devient bourgeois en 1695 à condition de n’épouser qu’une fille de bourgeois
1695, 3° Livre de bourgeoisie p. 1156
Johannes Kreütler, der ledige Spielmann Von Duntzenheim, Weill: Joh: Diebold Kreütlers Gew: Meÿers daselbst hinterl. Ehl: sohn, erkaufft das Burgerrecht p. 2. gold fl. Vnd 16 ß. so bereits Auf dem Pfenningth: erlegt worden, doch mit dieser Condition daß wann Er künfftig sich Verheurathen solte, eine burgers tochter nehmen solle, vnd Wird Zu E E Zunfft der Möhrin dienen, Jur. d. 27. April 1695.

Jean Kræutler épouse en 1698 Marie Salomé Ebinger, fille d’apprêteur de tabac : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachteen Herrn Johann Kreütler dem Musicanten und burgern allhern Weÿl. Dieboldt Kreütlers gewesenen Meÿers Zu Duntzenheim mit Margaretha Sentzin seiner hinderlaßenen wittib Ehelich erziehlten Sohn, alß bräutigamb, So dann der Viel Ehren und Tugendreichen Jungfrauwen Maria Salome, deß Gegenwärtigen und Wohlvorgeachten herrn Hannß Michael Ebingers Tabackbereiters vnndt Tugendbegabten frawen Sophia Veronica Moscheroschin seiner Ehelichen Haußfraw ehelich erziehlten Tochter alß Hochzeiterin andern Theils – Zue Straßburg Mittwochs den 21. Monatstag Maÿ Nachmittag Anno 1698, Johann Jacob Grüenwaldt Not. publ. et civ. Argent.

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 88,n° 454)
1698. Mittw. d. 6. Aug. wurd. nach 2.mahl. außruffung copulirt Johannes Kräutler d. B. v. Musicant allhiern Weil. dieboldt Kräutlers, des geweß. B. v. Meiers Zu Duntz.heim Gräffl. Hanaw. hschafft nachgelaß. ehl. sohn, v. Jf. Maria Salome, Johann Michael Ebingers des B. v. tabackbereiters ehl. tochter [unterzeichnet] Johannes kreitler als hochzeiter, Maria Salome Ebingerin als hochzeiterin (i 87)

Le musicien Jean Kræutler sollicite auprès du conseil des Tonneliers le droit de servir de l’eau de vie. Il devient cotisant à cet effet.
1705, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 392)
(f° 391) Mittwochs den 23. Decembris Anno 1705 – Johannes Kräutler der Musicant erschien auf Vorgebott, wegen des brandenweins außschenckens, deme wurde beditten, weilen Er Brandenwein außschenckhet, daß Er sich allhier geld zünfftig machen muß, worzu er sich dann Verstanden, Versprach demnach die gebühr, dem H. altschaffner neml. 2 lb 1 ß 6 d und für Zunfftschreiber und büttel 2 ß 6 d

Marie Salomé Ebinger meurt en 1725 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison 650 livres. La masse propre au veuf s’élève à 17 livres, celle des héritiers à 552 livres. L’actif de la communauté s’élève à 786 livres, le passif à 718 livres.

1725 (11.8.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 92) n° 312
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und güethere, so Weÿl. die Ehren und tugendsahme Frau Maria Salome Kräutlerin geb. Ebingerin, des Ehren und Vorgeachtenn Herrn Johann Kräutlers, des Musicanten und burgers allhier zu Straßburg geweßene eheliche haußfrau nunmehr seel., als dieselbe Sambstags den 16. Junÿ dießes Lauffenden 1725.sten Jahrs dießer Welt genommenen tödlichen hintritt, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Johann Michael Kräutler, ledigen Kunst: und Silberdrähers, so Majorennis dahero ohnbevögtigt, ingleichem des Ehren: und vorgeachten herrn Johann Georg Holderers Kiefers und Weinhändlers, auch burgers allhier Zu Straßburg hier als geordnet und geschworenen Vogts Mariæ Salome und Johannis der Kräutler, alßo aller dreÿen der in Gott ruhenden Frauen seel. mit vorgedachtem Herrn hinderbliebenen Wittiber ehelich erziehlter Kinder und ab intestato Zugleichen portionen und antheilern Verlaßener Erben inventirt (…) So beschehen in Straßburg auf Sambstag den 11.ten Augustj Anno 1725.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörig. behaußung befunden worden, wie volgt
Ane Höltzen: und Schreinwerck. Auf der Bühn, In der Cammer A, In der Magd Cammer, In der Wohnstub, In der Untern Stub, Im Keller, In der Soldaten Cammer
Eigenthumb ane einer Behaußung (T.) Eine Behaußung, Hoff, Hoffstatt, mit allen deren gebaüen, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß, eins. neben herrn Johann Kugler dem ältern, Statt Kupfferschmid, anderseit neben Mr Johann Erhard Metzen dem weißbecken, hinden auf Hn Johann Daniel Berger den handelsmann stoßend, so freÿ Ledig eigen und dh. (die Werckmeistere) Laut Abschatzungs Zeduls vom 2. Augusti 1725. angeschlagen 650. lb. Darüber sagt ein teutscher perg. Kauffbrieff in allhießig. C Contract Stub gefertiget und mit deroselben anh. Ins. verwahret de dato 17.ten 9.bris 1703. Dabeÿ ferner 2. alte perg. Kauffbrieff auch in ermelter C Contract Stub auffgerichtet und mit dero anh. Ins. corroboriret de datis 13.ten 7.bris 1685. et 14.ten Aprilis 1691.
Ergäntzung der Erben ermanglenden ohnveränderten Guths. Inhalt Inventarÿ über Eingangs gedachter Beder geweßener Eheleuth einander vor ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen durch hern Notarium Johann Jacob Grünwald nunmehr seel. in Anno 1698. auffgerichtet.
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Wittibers ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 3 ß, Sa. Musicalischer Instrumenten 1, Sa. Silber geschmeids 2, Sa. baarschafft 1, Sa. ergäntzung (88, abgangen 1,Rest) 87, Summa summarum 92 lb – Schulden 75, Nach solchem abzug 17 lb
Der Erben ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 48, Sa. Silbegeschmeids 3, Sa. goldener Ring 4, Sa. baarschafft 1, Sa. Schulden 75, Sa. Ergäntzung (422, abgang 1, Rest) 420, Summa summarum 552 lb
Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 84, Sa. Musicalischen Instrumenti 1, Sa. grempen wahr 5, Sa. Lährer Vaß 6, Sa. Silbergeschmeids 8, Sa. Guldener Ring 2, Sa. baarschafft 18, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 650, Summa summarum 786 lb – Schulden 718, Nach solchem abzug 68 lb
Gantze Verlaßenschafft et Conclusio finalis Inventarÿ 638 lb
Eheberedung (…) Straßburg Mittwochs den 21. Monatstag Maÿ Nachmittag Anno 1698, Johann Jacob Grüenwaldt Not. publ. et civ. Argent.
Abschatzung d. 2.t aug. aô 1725. Auff begehren des Ehren Vesten vnd vorachtbahren H. Johannes Kreÿdler Musicantt ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in den langen straß gelegen, einseits Neben hannß Geörg Metz Kremb, anderseits Neben Johannes Kugler statt Kupffeschmid, hinden auf H Berger gartenmann stosend, welche behaußung hindergebäwlein, Nebens gängel, Stuben, Cammern, Wovon eine mit thielen Unterschlagen, Soldaten Kammer, Zweÿ hauß Ehren, jede mit herd und waßerstein, Kremben gädlein, gewölbtes Kellerlein, höffel, bauchoffen, bronnen und trenckstein sambt allen gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworene Werckhleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und umb Ein Tausend und Dreÿ Hundert gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Jean Kræutler hypothèque ses deux tiers de maison au profit de ses deux enfants mineurs

1727 (3.5.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 302
Johannes Kräuttler der Musicus
in gegensein Johann Georg holder Kieffers sein Kräuttlers mit weÿl. Fr. Maria Salome geb. Ewingerin erzeugte zweÿ Kinder Maria Salome und Johannes der Kräuttler geschwornen Vogts schuldig seÿe 150 pfund
unterpfand, zween dritte theil für ohnvertheilt ahne einer behausung und hinderhauß hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahn der obern straß, einseit neben Kugler dem Stattkupfferschmidt anderseit neben Erhard Metz den weißbecken hinten auff eben denselben – die übrige tertz aber deßelben sambtlichen dreÿ Kindern

Jean Kræutler loue la moitié de la cave au passementier Jean Philippe Kips

1729 (8.8.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 380
Johannes Kräuttler Musicus
in gegensein Johann Philipp Kipß des Paßmentirers
in seiner in der Obern straß, einseit neben Erhard Metz dem Weißbeck anderseit neben Gottfried Kugler dem kupfferschmidt gelegenen behausung, die helffte eines Kellers sambt darinn befindlichen 4 Faßen, darunter dreÿ jedes 40 Ohmen, das vierdte 30 Ohmen hält – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend von jüngst verfloßenen Joh. Baptistæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 9 gulden

Jean Kræutler hypothèque sa part de maison au profit du Corps des pensions

1730 (26.1.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 33-v
Johannes Kräuttler Musicus
in gegensein des Corporis Pensionum H. Mitpfleger S.T. H. Philipp Caspar Leitersperger, alten Ammeÿsters, Dreÿzehners und Scholarchæ – schuldig seÿe 100 pfund
unterpfand, zween dritte theil für ohnvertheilt ahne einem Vorder: und hinderhauß hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, zugehörden und Rechten an der Obern straß, einseit neben weÿl. Johannes Kugler Statt kupfferschmidts wittib und Erben anderseit neben hannß Erhard Metz dem weißbecken hinten auff eben denselben – ihme zu zwo tertzen, seinen Kindern aber zu einem tertz eigenthümlich zuständig

Jean Kræutler hypothèque sa part de maison au profit de Jean Ernest Beck, receveur de l’Université

1732 (12.2), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 65
Johannes Kräuttler Musicus
in gegensein H. Johann Ernst Beck als Schaffners der hohen Schuel – schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, zween dritte theil für ohnvertheilt ahne einer behausung bestehen in Vorder: und hinderhauß höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten in der Obern straß, einseit neben Erhard Metz dem weißbecken, anderseit neben Gottfried Kugler dem Kupfferschmidt hinten auff Johannes Groß auch Weißbecken – die übige tertz aber seinen kindern zuständig

Jean Kræutler hypothèque sa part de maison au profit de la fondation Mauricienne

1733 (17.8.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 365-v
Johannes Kräuttler Musicus
ST. H. Johann Michael Lorentz SS Theologiæ D. et Prof. Publ. auch Cap: Thomani Canonici als dermaligen rectoris Magnifici und S.T. H. Johannes Wieger JVD et Philosoph. Mor: Prof. publ: und Cap: Thom; Canonici als dermahligen Decani Facultatis Philosophiæ beeder als vorstehern der Mauritanischen Stifftung so dann in fernerer gegensein H. Philipp Jacob Oesinger des Schaffners ged. Stifftung – schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, 2/3 theil für ohnvertheilt ahne einer behausung bestehend in Vorder: und hinder: hauß höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und Rechten in der Obern: straß
es. Erhard Metz dem wittiben as. Gottfrid Kugler dem Kupfferschmidt hi. Johannes Groß auch weißbecken
ferner (die zum schwartzen Räppel genennten Gasthbehausung im dorff Schiltigheim)

Sa fille Marie Salomé Kræutler épouse en 1738 le musicien Jean Michel Braun : contrat de mariage, célébration
1738 (2.4.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 53) n° 204
Eheberedung zwischen Herrn Johann Michael Braunen dem ledigen Spielmann, weÿl. herrn Johann Michael Braunen, gewesenen Spielmann und burgers allhier seel. nachgelaßenem ehelichem Sohn, alß dem herrn hochzeitern, beÿständlich Hn Tobiæ Braunen des Musicanten und Hn Joh: Joachim Tornarius des Jüngern Kürßners beeder burgere allhie ane einem,
So dann Jungfr. Maria Salome Kräutlerin, Herrn Johann Kräutler Spielmann und burgers allhier eheleiblichn Tochter, alß der Jgfr. hochzeiterin mit beÿstand ihres Vatters Herrn Joh: Georg Holders des ältern Weinhändlers Ihres Vogts und Hn Joh: Michael Kräutler Statt drehers Ihres bruders aller burgern allhier am andern theil
Actum Straßburg auff Mittwoch den 2. Aprilis Anno 1738 [unterzeichnet] Johann Michael Braun als hochzeiter, Maria Salome Kräutlerin als hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 173)
1738. Mittw. den 4.ten Jun. seind nach ordentl außruffung Ehl. copul. u. eingesegnet worden H Johann Michael Braun Led. Musicus u. b. allhier weÿl. H. Johann Michael Braun, geweß Musici u. b. allhier nachgelaßener Ehl. Sohn, v. J. Maria Salome H. Johann Kräuttlers Musici u. b. allhier Ehl. T. [unterzeichnet] Johann Michael Braun, Maria Salome Kräutlerin als hochzeiterin (i 177)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports
1738 (13.6.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 25) n° 530
Inventarium über Herrn Johann Michael Braunen, Musicanten und Frauen Mariæ Salome gebohrner Kräutlerin beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander Vor unverändert in die Ehe zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1738. – vermög auffgerichteter Eheberedung sich Vor unverändert vorbehalten haben, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren beeder Eheleuthe in deroselben gegenwarth fleißig inventirt und ersucht (…) So beschehen in Straßburg in fernerem gegensein des Ehemanns geliebten Mutter und Joh: Joachim Tornarius des jüngen Kürßners dero Vogts und hn Frantz Heinrich Dautel Notarÿ des Ehemanns beÿstandts, ferner Hn Joh: Geörg Holderer, weinhändlers, der Ehefrauen annoch ohnentledigten Vogts, wie auch H Johann Kräutlers, Musicanten, deroselben Vatters und H. Joh: Michael Kräutlers, Stattdrehers, deroselben bruders, auff Freÿtag den 13. Junÿ A° 1738.

Jean Kræutler fils hypothèque sa part de maison au profit du musicien Philippe Jahn

1740 (16.9.), Chambre des Contrats, vol. 614 f° 461-v
Johannes Kräuttler der jüngere Musicus so majorennis zu sein versicherte mit zuziehung seines vatters Johannes Kräuttler auch Musicus
in gegensein Philipp Jahn des Musici – schuldig seÿe 100 gulden
unterpfand, seine in 500 gulden bestehende mütterlliche erbsportion so auff vorbemansten seines vatters behausung stehet, welche behausung alhier ahne der Langen straß einseit neben Hannß Erhard Metz dem weißbecken, anderseit neben Johannes Kugler dem kupfferchmidt, hinten auff N. Berger handelsmann

Marie Salomé Kræutler meurt en 1741 en délaissant une fille. L’inventaire est dressé dans la maison de son père. La masse propre au veuf présente un déficit de 22 livres, celle des héritiers s’élève à 532 livres. L’actif de la communauté s’élève à 31 livres, le passif à 97 livres.

1741 (22.4.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 31) n° 631
Inventarium über Weÿl. Frauen Mariæ Salomeæ Braunin gebohrner Kräutlerin, herrn Johann Michael Braunen, Musicanten und burgers allhier Zu Straßburg gewesener Ehegattin seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1741. – nach ihrem den 11. Martÿ dieses Jahrs genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen und begehren herrn Johann Michael Kräutler, Statt dreher und burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Margarethæ Dorotheæ, der Verstorbenen seel. mit ihrem hinterlaßenen Wittiber ehelich erzeugten Töchterleins ab intestato nachgelaßener einiger Erbin, fleißig inventirt (…) So beschehen in Straßburg auff Sambstag den 22. Aprilis Anno 1741.
Copia der Eheberedung, perge in dem Prot. Extens. fol. 405.
Copia Codicilli, So die abgeleibte Frau seel. den 6. Martÿ A° 1741. Vor mir Notario auffgerichtet

Hierauff Wird nun die Verlaßenschafft, wie sich solche in einer ane der Mittelen langen Straaß gelegenen, der Frau seel. Vatter gehörigen behaußung befunden.
Ergäntzung, des Wittibers abgegangen unveränderten Vermögens, Innhalt Concept Inventarÿ über beeder Eheleuthe zusammengebrachte Nahrungen durch mich Eingangs gemelten Notarium in A° 1738. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Wittibers unverändert Vermögen, Sa. haußraths 13, Sa. Silbers 12, Sa. Ergäntzung 26, Summa summarum 52 lb – Schulden 75 lb, Compensando 22 lb
Der Erben unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 51, Sa. Silbers 6, Sa. goldener Ring 10, Sa. baarschafft 4, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 358, Sa. Ergäntzung 27, Sa. Activ Schulden 75, Summa summarum 532 lb
Die Theilbare Verlaßenschafft betreffend, Sa. haußraths 21, Sa. Silbers 3, Sa. Activ Schulden 7, Summa summarum 31 lb – Schulden 97, In Compensatione 65 lb
Schluß Summ 444 lb

Jean Kræutler fils hypothèque sa part de maison au profit du mineur Jean Daniel Kleinschrot

1741 (19.8.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 411-v
Johannes Kräutller der jüngere Musicus, so 25 jahr alt zu seÿn declarirte, mit beÿstand seines vatters Johannes Kräutller auch musici
in gegensein H. Peter Hebeißen des barchet krämers als vogts Johann Daniel Kleinschrot des Paßmentirers Lehrjungen – schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, seine in 500 gulden bestehende Mütterliche erbs portion so auf seiner ermeldten vatters behausung stehet, welche alhier ane der langen straß einseit neben Johann Erhard Metz dem weißbecken anderseit neben Johann Kugler dem kupfferschmied hinten auff H. Berger dem handelsmann

Jean Kræutler hypothèque au nom de son père la maison au profit de Marie Madeleine Wehrbeckin, veuve du chirurgien Jean Henri Werckmeister

1742 (30.1.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 40-v
Johann Michael Kräutler der stadt: drehers als mandatarius seines vatters Johannes Kräutler des Musicanten
in gegensein Fr. Mariæ Magdalenæ geb. Wehrbeckin weÿl. H. Johann Heinrich Heinrich Werckmeisters des Chirurgi wittib mit beÿstand Johann Heinrich Heÿders des Kürßners – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, höfflein und hoffstatt cum appertinentis ane der langenstraß, einseit neben den Metzischen erben, anderseit neben denen Kuglerischen erben, hinten auff Zwicker den weißbecken

Les enfants et héritiers de Jean Kræutler vendent la maison 1300 livres au cocher Jean Kipp et à sa femme Anne Marie Strohl

1742 (29.3.), Chambre des Contrats, vol. 616 n° 131-v (129-v non signé)
Johann Michael Kräutler der Stadt: dreher und deßen bruder Johannes Kräutler der Musicus [ajout du f° 131] Johann Michael Braun ebenmäßiger musicus
in gegensein Johannes Kipp des kutschers und Annæ Mariæ geb. Strohlin
eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben übrigen gebäu, begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane der langen straß, einseit neben Erhard Metz des becken erben, anderseit neben Johannes Kuglers des Stadt kiefers erben, hinten auff Johann Georg Zwicker den weißbecken – als ein elterliches erbguth – um 100 pfund (verhafftet)
[2è acte] 100 und 50 pfund verhafftet – ihnen Kräutlerischen brüder zu acht 9. theil als ein elterliches erb, ihme Braun aber zum übrigen 9. theil als ein von seinem in erster Ehe mit Fr. Maria Salome geb. Kräutlerin erzielt und nach der mutter tod verstorbenen kind Dorothea ererbtes guth – 1300 pfund

Les acquéreurs hypothèquent aussitôt la maison au profit des enfants mineurs du marchand Paul Petsch

1742 (31.3.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 132-v
Johannes Kipp der kutscher und Anna Maria geb. Strohlin mit beÿstand Friedrich Butz des schneiders ihres oncle und Conrad Dietrich des schuhmachers ihres schwagers
in gegensein H. Johann Müßel des handelsmanns als vogts weÿl. Paul Petsch des handelsmanns zweÿer kinder Paul und Margarethæ der Petsch in fernerm gegenwart Johannes Kräutlers Musici – schuldig seÿen 1350 pfund, benantlich H. Müßel 1000 pfund und H. Kräutler 350 pfund
unterpfand, einr am heutigen tag erkaufft und aus jetzigem vorschuß bezahlte behausung, bestehend in vorder und hinderhauß, höfflein und hoffstatt cum appertinentis ane der langen straß, einseit neben den Metzischen erben, anderseit neben den Kuglerischen erben, hinten auff Johann Georg Zwicker den weißbecken

Cocher au service des comtes de Linange, originaire de Pracht en juridiction de Marbourg, Jean Kipp épouse en 1737 Anne Marie Strohl, fille de boucher : contrat de mariage, célébration
1737 (25.1.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 348) n° 41
Eheberedung – Persönlich erschienen der Ehrsam und bescheidene Johannes Kipp, lediger Kutscher, Weÿland Caspar Kipp gewesenen Ackersmanns und burgers zu Pracht Marpurger Amts mit Frauwen Anna Margaretha gebohrner Staffelin seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugter Sohn, Mit beÿstand des Hoch Edel Gestreng, Fürsichtig und Hochweißen Herrn Johann Christoph Reichard, des gehemien beständigen Regiments der Herren dreÿehen hiesiger löbl. Statt Straßburg hochansehnlichen beÿsitzers, als Hochzeither, ane einem,
So dann die Ehren: und Tugendsahme Jungfrau Anna Maria Strohlin, Weÿland Johann Georg Strohlen, gewesenen Metzgers und burgers allhier Zu Straßburg mit Frauen Anna Margaretha gebohrner Kochin seiner hinterlaßenen Wittib ehelich erziehlter Tochter, beÿständlich des Ehrengeachten Meister Johann Friderich Butzen Schneiders und burgers allhier, ihres geschwornen Vogts, als hochzeiterin, am andern Theil
So geschehen in der Königlichen Statt Straßburg inn obhochgedachten Herr, XIII.r Reichards am Gold Gießen gelegener behaußung Freÿtags den 25. Januarÿ, Anno 1737 [unterzeichnet] Johannes Kipp Als Hochzeitter, Anna Maria Strohlin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 141-v)
1737. Dominica IV et V Epiphan. proclamationi sunt, Johannes Küpp, der ledige Kutscher Von Bracht in der Land Graffschafft Heßen: Cassel Weÿl. Caspar Küpp, Geweßenen Burgers daselbsten nachgelaßener ehel. Sohn, Jgfr. Anna Maria Weÿl. Johann Georg Strohl geweßenen Metzgers und burgers allhier nachgelaßene Ehel. tochter. Copulati sunt Mittw. d. 13. Februar. [unterzeichnet] Johannes Kipp Als hochzeitter, Anna Maria Strohlin als hochzeiterin (i 146)

Jean Kipp devient bourgeois quelques jours après son mariage
1737, 4° Livre de bourgeoisie n° 1043
Johannes Kipp d: gutscher Von Praag geb. erhalt d. b:gratis will beÿ E. E. Zunfft d. Möhrin dienen, Jur. eodem die 23. feb. 1737.

Il devient tributaire à la Mauresse en mars 1737
1737 (7.3.), Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 258)
(f° 287) Donnerstags den 7.ten Martÿ A° 1737 – Neuer Leibzünfftiger Gremp ER.
Johannes Kipp, der Kutscher von Praag in Heßen gebürtig, producirt Cantzleÿ Pfenningthurn und Stallschein deren die Zweÿ erstere den 23. Februarÿ 1737. der letztere aber den 25. ejusdem datirt bittet umb ertheilung des Zunfft: und Grempen Rechts. Erkandt gegen Erlag der Gebühr willfahrt.
Erlegte Vor den Pfenningthurn j lb, Vor das Zunfft Recht 5 ß, Vor das Grempen Recht 1 lb 10 ß, Vor die Feur Eÿmerer 3 ß 4 d, und Einschreib Gebühr 2 ß, Also zusammen 3 lb d

Le revendeur Jean Kipp demande aux Quinze l’autorisation de servir de l’eau de vie au détail à ses clients venus d’outre-Rhin. L’autorisation lui est refusée parce que le pétitionnaire est cocher chez le Treize Reichard et que le débit d’eau de vie sert de subsistance à de pauvres gens. Les Quinze délivrent à la fin de l’année une expédition de leur sentence.
1737, Protocole des Quinze (2 R 146)
(p. 355) Sambstag den 14. Sept. 1737. – Johann Kipp Ca. E. E. Zunfft der Kieffer
Römer nôe Johann Kipp des Burgers und Krempen Cit. E. E. Zunfft der Kieffer Zunfft M. prod. Imploratio et Schrifft mit beÿlag Lit. A. bitt Deput. Fuchs bitt auch Deput. et Facta Realt. abweißung. ref. Exp. Römer priora. E.rk. Deput. Willfahrt

(p. 380) Sambstag d. 28. Sept. 1737. – Johann Kipp Ca. E. E. Zunfft der Kieffer
Obere Handwerck Herren laßen durch Hrn Secretarium Kleinclaus referiren, daß Johann Kipp der Burger und Kremp allhier contra E. E. Zunfft der Kieffer den 14. hujus eine Underthg. Implorations Schrifft mit beÿlag sub lit. A producirt, darinnen Vorstellend, es erhelle aus ged. beÿlag /:so ein Extract aus ged. E. Zunfft der Kieffer protocollum Vom 10. hujus, Wie er, Implorant allda mit seinem Gesuch, nemlichen denen überrheinischen Leuthen, so wahren beÿ Ihme hohlen, und Zu Zeiten maßen oder halbmaßen weiß brandenwein von Ihme begehren, Ihnen solchen geben zu dörffen, alß wieder Articul lauffend, abgewiesen worden, mit demüthiger bitt, Weil Er den brandenwein schanck Keines weges Känlein oder Gläßlein weis in seinem Lädlein außzuschencken begehre, damit weder Er, noch seine Fraw umbgehen möchten, MGHh. geruheten so Viel gnad für Ihne Zu haben, und Ihme ex Specialissima gratia gratiose Zu erlauben, daß Er nur denen Überrheinischen Leuthen, und sonsten niemand, brandenwein, und Zwahr anderst nicht als dreÿ, zweÿ, Ein und Ein halb Maaß wein Verkauffen dörffen, Worauff ged. E. Zunfft umb Deput. angesucht und gebetten. Facta Relatione den Gegner mit seinem begehren abzuweisen sambt unkosten.
Beÿ bewilligter und beseßener Deputation habe der Implorant sein petitum Wiederhohlet, Nomine der Imploranten seÿe vorgestanden Johann Georg Hamerer alß Zunfft Meister, welcher geantwortet, Gegner seÿe noch würcklich Gutscher beÿ H XIII. Reichard und treibe dabeneben das Krempenrecht, dahingegen die arme Zünfftige beÿ Ihnen nur den brandenwein schanck hätten, mit demüthiger bitt hierauff gnädig Zu reflectiren. Auff seithen der Hh. Depp. Vermeine man daß dem Imploranten das begehren abzuschlagen und selbige in die unkosten Zu condemniren seÿe. Die Genehmhaltung zu Mgh. stellend. Erkanct, bedacht beliebt.

(p. 522) Montag d. 23. Xbris 1737.
Bescheid. Sambstag d. 28. Sept. 1737. In Sachen Johann Kipp des Burgers undt Krempen allhier Imploranten, ane einem, entgegen und wieder E. E. Zunfft der Kieffer, Imploraten am andern theil, Auff producirte Unterthänige Implorations Schrifft mit beÿlag sub lit. A und angehencktem bitten dem Imploranten ex gratia Specialissima Zu erlauben, daß Er denen Überrheinischen Leuthen, und sonsten niemand, brandenwein und Zwahr anderst nicht als dreÿ, zweÿ, ein und ein halb Maaß wein Verkauffen dörffe, der Imploraten darüber gethane Verantwortung juncto petito Deput. Zu erkennen, et Facta Relatione den Gegner mit seinem begehren abzuweisen sambt unkosten. bewilligter und beseßener Deputation all übriges angehörte Vor: und anbringen, Ist der Hh. Deputirten abgelegter Relation nach mit Urthel Zu Recht Erkandt, daß dem Imploranten das begehren abzuschlagen und selbiger in die unkosten Zu condemniren seÿe. Alß wir hienmit anschlagen und condemniren.
Zu MGHh. stellend, Ob sie dießen Auffsatz gehmgehmhalten undt dabeÿ erkennen wollen, aß selbiger in dieße Formb expedirt und dem peteten Zugestellt werden soll. Erk. quod sic.

Demande de Jean Kipp au Conseil des Tonneliers dans la même affaire. Le compte rendu cite en marge la décision des Quinze
1737, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 376-v) Dienstags den 10. 7.br 1737 – Johannes Kipp der Burger und Kremp bitt ihme Zu erlauben, den überrheinischen Leuthen, so wahren beÿ ihm hohlen und Zu Zeiten maßen oder halbmaßen weiß brandenwein von ihm begehren, ihne solchen geben zu dörffen. Erkandt, wurde der implorant weilen sein begehren wid. articul mit solchem abgewißen, ref. exp
NB. ist auch vin Gn. den XV. abgewißen worden

Les Quinze donnent un avis favorable à la demande du cocher Jean Kipp d’héberger trois ou quatre domestiques au service des comtes de Linange
1742, Protocole des Quinze (2 R 151, notes 152)
(p. 311) Sambstag d. 12. Maÿ 1742. Riemer nôe Johann Kipp des burgers undt Kutschers beÿ herrn Graffen von Leiningen bitt Underth. Ihne gn. Zu erlauben dreÿ biß 4. bediente hochged. H. Graffens an den tisch nehmen Zu dörffen. Erkandt, Ober Ungelt Herren post hæc nach Ordnung willfahrt [notes du secrétaire p. 117]

Le cocher et revendeur Jean Kipp héberge des gens du recteur. Le Conseil des Fribourgeois l’invite à produire un certificat signé du recteur, ce qu’il fait quelques mois plus tard.
1743 (19.2.), Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166)
(p. 170) Dienstags den 19. Febr: A° 1743. – Johannes Kipp der Gutscher undt Gremp citiert Solle Zufolg Gerichts: Erkandtnuß vom 22.ten Nov: 1742. entweder bescheinen, daß seine Kostgänger immmatriculiert, oder aber 2. lb 14 ß d Zunfft: gebühr erlegen.
Ille præsens, Sagt, Er habe sich derhalben beÿ Herrn Professore Schertzen, dem Jetzigen Rectore Magnificus angemeldet, welcher Zwar gesagt, daß seine Kostgänger immatriculiret, aber ihme Keinen Schein geben wollen, sondern gesagt man solle Zu Ihme Kommen, so wolle Er es Zeigen daß deme alßo seÿe.
Erkandt, wirdt dem Citato Zu parition bescheidts annoch Zeit biß auff nächste Gerichtliche Versamblung semel pro semper Zugelaßen.

(p. 171) Dienstags den 7. Apr: A° 1743. – Johannes Kipp der Gutscher undt Gremp citiert, Solle Zufolg Gerichts: bescheidts vom 19. Febr: Jüngst, den andictirten Schein von dem Herr Rectore Magnifico producirren, oder sie Ihme den 22.ten Nov: 1742. angesetzte 2. lb 14 ß d Zunfft: gebühr Erlegen.
Herr Rathherrr Lurtzing der Alte Zunfftmeister producirt nomine Citati /:alß welcher nothwendiger geschäfften halben nicht Erscheinen können:/ produciret attestatum von Herrn Dr. et Prof. Johann Martin Silberrad, der Zeit Rector Magn. allhier, de dato 2.ten Martji 1743. Warauff solches Abgeleßen undt vor gut befunden, mithin Citatus von der Klage, undt angesetztem Zunfft gebühr dermahlen absolvirt worden.

Jean Kipp et Anne Marie Strohl vendent la maison 1750 livres au vannier manant René Lanier et à sa femme Marie Baron

1746 (13.12.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 980-v
Johann Kipp dem kutscher und Anna Maria geb. Strohlin
in gegensein René Lanier des schirmers und korbmachers und Marie geb. Baron /:zufolg erkanntnus H. Räth und XXI
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane der langen straß, einseit neben Erhard Metz des weißbecken erben, anderseit neben Johann Philipp Füßel dem kupffer schmidt, hinten auff Georg Zwicker den weißbecken – um 100, 50, 1000 und 350 pfund verhafftet, als ein d. 31. Martÿ 1742 erkaufftes guth, geschehen um 250 pfund

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la vente à un manant

1746, Conseillers et XXI (1 R 229)
Johann Kipp bitt umb erlaubnuß ein Hauß an René Lannier verkauff. Zu dörffen 283. erhalt solche. 286.
(p. 283) Sambstag d. 27.r Aug. – Lt Fuchß nôe Johannes Kipp des burgers und Kutschers allhier, der bitt unterthänig umb gnädige Erlaubnuß, ein Hauß in der langen Straß gelegen an René Lannier den Schirmer und Korbmacher allhier pro 3500. fl. sambt übernahm aller Unkosten Verkauffen Zu dörffen.
Lt. Christmann nôe ged. René Lannier der bitt umb gndge. Erlaubnuß gemeldtes Hauß umb besagten Preiß sambt übernahm aller unkosten Kauffen Zu dörffen.
Erkandt, Werden Zu Einnehmung des Augenscheins emeldten Haußes Herr XV. Gerber und H. Rathh. Krieger abgeordnet, damit alßdann auf deren Relation hierinn ergehen möge was Rechtens.

(p. 286) Mittwoch d. 31. Aug. – Auff Anruffen Johannes Kipp des burgers und Kutschers allhier, umb gnädige Erlaubnuß, ein in der langen Straß gelegenes Hauß an René Lannier den Schirmer und Korbmacher allhier vor 3500. fl. sambt Übernahm aller Unkosten Verkauffen und respectivé Kauffen Zu dörffen, verordnete Deputation Zu einnehmung des Augenscheins von besagter Behaußung, und Unserer Deputirten über deren Zustand abgelegte umbständliche Relation, alles wohl erwogen, Ist Erkandt, Wird denen Imploranten die beederseits gebettene Erlaubnuß mit diesem beding und Anhang Obrigkeitlichen willfahrt, daß der Kauff in allhiesiger Contract Stub in Gegenwart vorged. Unserer Deputirten, ben. H. XV. Gerbers und H. Rathh. Kriegers solle verschrieben, und von denenselben Gem. Statt dißfalls versirendes Interesse, nach Innhalt der getruckten Instruction bestens besorget werden.
Depp. iidem Zu Anzeigung des bescheids.

Ancien soldat originaire de Saint-Saturnin, René Lanier épouse en 1740 Marie Baron, originaire de Metz, veuve de Jean Louis Fouchet
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 155-v)
Anno Dni 1740 die vero 29 augusti (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt honestus Juvenis Renatus Lasnier oriundus ex Parochia sti Saturnin Diœcesis pannoleatis miles dimissus a legione Pedestri Brava* Darqui* ex cohortis Dni de saint Michel et fuit etiam licentia munitus a parentibus scripta data supra litteras testimoniales Baptismalis et maria Baron vidua Joannis Ludovici fouchet oriunda metensis a pluribus annis in nostra Parochia commorans (signé) renelanie, +

Marie Lanié meurt en 1758 en délaissant un fils soldat issu de son premier mariage avec Jean Louis Fouchet dit Saint Amour, soldat au régiment de la Vallière, et quatre enfants issus du veuf. L’inventaire est dressé dans une maison Grand rue. L’actif de la succession s’élève à 911 livres strasbourgeoises, le passif à 19 livres
1758 (16.8.), Not. Elles (6 E 41, 1342) f° 84
Inventaire De la Succession de feüe Dlle Marie Lanié née Baron vivante femme du Sr René Lanié faisseur des Panniers et Manant de cette Ville de Strasbourg, dressé l’An 1758. – apres sa mort arrivée le 18. May dernier
Fait et passé en Presence du Sieur Jean Louis Rame Licentié Ez Loix, Ancien Assesseur au Grand Sénat et Assesseur actuel aud. Petit Sénat à ce Specialement Deputé, à Strasbourg Cejourd’huy Mercredy 16° jour du Mois d’Aoust 1758.
La deffunte a delaissé pour ses Heritiers ab intestat Scavoir 1° Nicolas Fouchet agé env. de 27 ans, Soldat au Reg. de la Sarre, presentement en Canada en Amerique, procréé de Son premier Mariage avec feu Jean Louis Fouchet dit St Amour, Soldat au Regt. de la Valliere, pour et au nom duquel fut present le Sr Jean Pierre Clavel, Marchand Graissier et Bourgeois en cette dite ville son tuteur assermenté,
2° Claude Lanié agé environ de 17 ans, 3° Catherine Lanié agée de 14 ans, 4° Marie Anne Lanié agée environ de 11 ans, 5° Marguerithe Lanié agée de 9 ans. Ces 4. Enfans délaissés par la Défunte et procréé en Mariage avec ledit René Lanié le veuf, au nom desquels a été present le Sr Samuel Beaufort faiseur des Panniers et Mannancier en cette dite ville Leur Curateur assermenté. Tous cinq en Portions égales.

Copie du Codicille. Aujourd’hui 20° novembre nov. 1756 (…) est comparu Marie Baron femme de René Lanié faiseur des Panniers demeurant en cette ville, Saine d’esprit, Mémoire, Jugement et entendement, même de Corps (…) 3.tio La codicillante ayant un fils appellé Nicolas Foucher procréé de son premier Mariage (…) ce fils ne pourra pretendre d’abord après le decès de Sa mère que Sa Légitime, attendu que led. René Lanié aura aussy pendant Sa vie durante la Jouissance et l’usufruit du surplus de lad. Légitime – Humbourg notaire royal
Avertissement. Le veuf a declaré que lors de Son Mariage avec la défunte, ils n’auroient pas fait passer Contrat de mariage et que ny l’un ny l’autre possedoit alors quelque chose hormis leurs habits et hardes et que toute la présente succession auroit été gagnée et acquise ensemble pendant Leur Mariage (…)
Trouvé dans une Maison Scize dans la grande Rüe en cette ville de Strasbourg, pas appartenante en cette succession, Scavoir
Dettes passives, Prem. pour loyer de maison, 13
Series rubricarum hujus Inventarii. S’ensuit la Description de la présente succession, habits et linge qui ont servi au corps de la deffunte revenans aux héritiers 152 livres
S’ensuit la Description des Biens appartenans à la Communauté, meubles 337, Marchandises et Outils pour faire les Panniers 77, argenterie 26, bague d’or 3, argent comptant 400, Capitaux 2800, Total de toute la Masse active 3645 livres – Dettes passives 77 livres, Deduction faite 3567 livres – Somme finale 3719 livres

1758, E 5787 (b) [voir aussi Not. Elles n° 84]
Même inventaire dans la collection d’inventaire de manants contresignés par le greffier du Petit Sénat

René Lanier se remarie avec Anne Marie Germersdorff, fille d’un vigneron de Ribeauvillé : contrat de mariage, célébration
1758 (30.8.), Not. Elles (6 E 41, 1350) n° 30
Contrat de mariage – furent presens le Sieur René Lanié, faiseur de Panniers et Manant en cette ditte Ville y demeurant Grande Rüe Paroisse St Pierre le Vieu, assisté du Sr Samuel Beaufort aussy faiseur des Panniers, Manancier en cette dite Ville, d’une part
Et Dlle Anne Marie Germersdorff, fille majeure d’ans de Martin Germersdorff Bourgeois Vigneron a Ribauvillé et de feüe Dlle Christine née Roos, ses Père et mère assistée de du Sr Jean Pierre Clavel bourgeois Marchand graisser en cete ditte Ville son Beau frère d’autre part
fait, lû, passé et interpretté et expliqué en Langue allemande audit Strasbourg en l’Etude du dit notaire (…) Cejourd’huy 30° Aoust 1758 (signé) rene lanié, +

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath.)
Hodie 18 Septembris 1758 (…) renatus Lanié ciuis et cophinopæus hujus urbis viduus defunctæ mariæ Baron et anna maria germersdorff ex Rappolsweir filia Legitima martini germersdorff ciuis ibidem et defunctæ christinæ rosin in vita coniugum (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt (signé) lanié, +

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent René Lanier à se remarier avant la fin de son deuil pour que les enfants puissent être soignés.
1758, Conseillers et XXI (1 R 241)
René Lanié der schirmer und Korbmacher alhier erhaltet dispense Von übrigen trauer Zeith. 166.
(p. 166) Montag den 28. Augusti 1758. – Christmann nôe rené Lanié des schirmers und Körbmacher alhier producirt unterthäniges Memoriale und bitten mit beÿl. sub N° 1 et 2 puncto gnädige erlaubnuß sich in tempore Luctus Verheurathen Zu dörffen.
Erkandt, wird dem Imploranten mit gebettener dispensation Von übrigen trauer Zeith, /:deren bereits dreÿ monath und einige täge verfloßen:/ in gnaden willfahrt, soforth demselben erlaubet, pendente tempore Luctus Zu einer anderwärtigen Ehe, welche die von ihme Vorgebrachte umbständte des Kinderlasts /:denen der Implorant, weilen er umb seine nahrung Zu finden, seinem Handwerck abzuwerten gezwungen, die benöthigte aufferziehung ohne eine gehülffin nicht geben kan:/ ihm ohnentbehrlich machen Schreiten zu dörffen.
Depp. H. Rathh. Böhm, H. Ratt Ducré

René Lanier et Marie Baron vendent la maison 1750 livres au taillandier Jean Gautier Koch et à sa femme Marguerite Salomé Musculus.

1752 (21.8.), Chambre des Contrats, vol. 626 f° 432
René Lanier der korbmacher und Maria geb. Baron
in gegensein Johann Walter Koch der bohrenmacher und Margarethæ Salome geb. Musculuß
eine behausung bestehend in vorder: und hinderhauß, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben übrigen, begriffen, weithen, zugehör und rechten ane der obern straß, einseit neben Michael Metz dem weißbeck, anderseit neben Johann Philipp Füsel des kupfferschmidt, hinten auff Johann Georg Zwicker den weißbeck – um 50, 100, 750 und 300 pfund verhafftet – als ein am 13. Decembris 1746 erkaufftes guth – um die 1250 pfund capitalien und 400 pfund

Originaire de la Robertsau, Jean Gautier Koch épouse en 1751 Marguerite Salomé Musculus, fille de vitrier : contrat de mariage, célébration
1751 (28.8.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 833) n° 5
Eheberedung – entzwischen dem Ehrengeachten Johann Walther Koch, dem leedigen bohrenmacher des Ehrengeachten Johann Koch mit der tugendsamen frauen Annæ, gebohrner Matthißin, beeder Eheleuthe und burgere in Ruprechtsau ehelich erziehltem Sohn, als dem Brautigamb ane einem
So dann der Ehren und tugendsahmen Jungfrauen Margaretha Salome Musculusin, weÿl. des Ehrengeachten Mr Johann Musculus des geweßenen Glaßers undt burgers allhier nun seeligen, mit der tugendsamen frauen Maria Margaretha so nunmehro an Mr Johann Friderich Dürrfeld dem borhenmacher und burger allhier verheurathet ehelich erziehlter tochter, als de Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg in beÿsein hernach unterschriebenenen beederseiths hierzu in specie requirirter herren beÿständere und Saalpersohnen wie nicht weniger der Jgfr. hochzeiterin eheleibl. mutter auf Sambstag den 28.ten Augusti 1751. [unterzeichnet] Johann Walther Koch Als hochzeiter, Margaretha Saloma Muscuulußin Als hochzeiterin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 177 n° 27)
Ao. 1751, d. 20.ten octobr. Seindt (…) ehelich eingesegnet und copulirt worden, Meister Johann Walther lediger borenmacher u. burger allhie, Johann Kochen, Metzgers u. ackermanns in der Ruprechtsau auch burgers allhier, und Annæ Mathißin ehl. Sohn, Jungfrau Margaretha Salome, Weÿl. Johann Musculus geweßene Glaßers u. burgera allhier, v. Mariæ Margarethæ geb. Litschin ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Walther Koch Als hochzeiter, Margaretha Salome Musculußin als hochzeiterin (i 181)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison à la Krutenau. Les apports du mari s’élèvent à 207 livres, ceux de la femme à 559 livres.
1752 (16.6.), Not. Lobstein (6 E 41, 786) n° 15
Inventarium über und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, so der Ehrengeachte Mr Johann Walther Koch, der Bohren Macher und die Viel Ehren und tugendsame Frau Margaretha Salome gebohr. Musculusin beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand zugebracht, welche d. ursachen alldieweilen in ihr beeder Eheleuth vor mir unterschriebenen Notarium auffgerichteten Heuraths verschreibung expressé enthalten, daß eines jeden in die Ehe bringenden Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle (…) So beschehen allhier Zu Straßburg in beÿseÿn Herrn Johann Caspar Musculus des Musici und burgers allhier als der Ehefrauen noch ohnentledigten Vogts, auff Freÿtag den 16. Junÿ 1752.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstadt Krautenau gelegenen und die diese zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthum ane einem liegenden Lehenguth Ruprechtsauer banns, rührt von des Ehemanns geliebten Vaters her
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 105, Sa. Werckzeugs Zur bohrenmacher Profession gehörig 10, Sa. silbers 17, Sa. baarschafft 6, Sa. Eigenthumbs ane liegenden Lehenguth 25, Summa summarum 165 lb – Dießer Summ ist nun ferner zu addiren die (…) haussteuren, thut 41 lb, des Manns in die Ehe gebracht Vermögen in vero pretio 207 lb
Der Frauen in die Ehe gebracht Guth, Sa. hausraths 267, Sa. Silbers 23, Sa. goldenen ring 22, Sa. baarschafft 153, Sa. schulden 50, Summa summarum 517 lb – Adde die Ihro gebührige helffte ane denen verehrten haussteuren 41 lb, der Ehefrauen gesambt in die Ehe gebracht Guth in vero pretio 559 lb

Marie Salomé Musculus meurt en 1769 en délaissant cinq enfants. Les experts estiment la maison 400 livres (voir plus haut le prix d’achat, 1 750 livres). La masse propre au veuf s’élève à 1602 livres, celle des héritiers à 357 livres. L’actif de la communauté s’élève à 597 livres, le passif à 2 398 livres

1769 (21.6.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 811) n° 517
Inventarium über Weiland der Viel Ehren: und Viel tugendsahmen Frauen Salome Kochin, gebohrner Musculußin, H. Johann Walther Koch, des bohrenmachers und burgers dahier Zu Straßburg geweßener ehelicher haußfrauen, nun seeligen Verlaßenschafftn errichtet in Anno 1769. – nach ihrem Sonntags den 16.ten Aprilis dießes lauffenden 1769.sten Jahrs aus dießer Welth genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen, Erfordern und Begehren Vorgedachten des hinterbliebenen Wittibers, wie auch Mr Johann Jacob Musculus, des Schuhmachers und burgers dahier, als geordnet und geschworenen Vogts Johann Walther, Jacob Friderich, Johann Jacob, Johann Daniel und Margarethä Salome, der Kochen, der Verstorbenen Fr. Seeligen mit erstgedachtem dem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlter Fünff Kinder und ab intestato Verlaßener Erben (…) So beschehen allhier Zu Straßburg, auf Mittwoch den 21.ten Junÿ Anno 1769.

In einer alhier Zu Straßburg ane der Mittlern Langen Straß gelegenen und in diße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung befunden worden Wie folgt.
(f° 10) Eigenthumb ane einer behaußung (T.) Nembl. eine behaußung, bestehend in Vorder: und hinderhauß, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, Weithen, Zugehörden und Rechten, gelegen alhier Zu Straßburg ane der obern Straß 1s. neben H. Johann Jung dem Weißbecken 2.s neben H. Johann Jacob Christiani, dem Kupfferschmid, und hinten auf H. Johann Georg Zwicker, den Weißbecken stoßend, so gegen männiglichen freÿ, ledig eigen und durch (die Werckmeistere) laut Abschatzung Zeduls Vom 5. Junÿ 1769. gewürdiget pro 400. lb. Hierüber meldet ein in allhießiger C. C. stub gefertigten pergamentener Kauffbrieff, mit dero fürgedrucktem Insiegel versehen, vom 21.ten Augusti 1752. mit jetzigem N° 1 bezeichnet.
Ergäntzung der Erben durante hoc Matrimonio abgegangenen ohnveränderten Guths. Vermög über beeder nun Zetrennten Eheleuth einander Vor ohnverändert in den Ehestand gebrachte Nahrungen durch mich unterschriebenen Notarium in A° 1752. errichteten Inventarii
(f° 17) Series rubricarum hujus Inventarii. Copia der d. 28. Augusti A° 1751. vor mir Notario errichteter Heuraths Verschreibung
Copia der verstorbenen seel. vor mir Notario d. 14. april A° 1769. errichteten Codicilli
Des hinterbliebenen Wittibers ohnverändert Vermögen. Sa. haußraths 9, Sa. Werckzeugs Zur Borhenmacher profession 1, Sa. Silbers 3, Sa. Schulden 21, Sa. Ergäntzungs Rests 1697, Summa summarum 1733 lb – Schulden 131, Nach solchem abzug 1602 lb
Dießemnach wird auch der Erben ohnverändert Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 50, Sa. Silbers 4, Sa. goldener Ring 5, Sa. Schulden 37, Sa. Ergäntzungs Rests 259, Summa summarum 357 lb
Endlich folgt auch die beschreibung des gemein verändert und theilbaren Guths, Sa. Haußraths 15, Sa. Werckzeugs und gemachter Waar Zur bohrenmachers profession gehörig 20, Sa. Weins und lährer Faß 33, Sa. Silbers und Geschmeids 4, Sa. goldenen Rings 10 ß, Sa. baarschafft 105, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 400, Sa. activ Schulden 16, Summa summarum 597 lb – Schulden 2398 lb, In Vergleichung 1810 lb
Stall summ 289 lb – Zweiffelhaffte Schulden in des Wittibers ohnverändert Nahrung 53, Zweiffelhaffte Schulden in die Theilbarer Nahrung Zugeltend 20 lb

Le maître de la tribu des Serruriers fait grief à Jean Gautier Koch de fabriquer des vis et des rouleaux pour les bois de lit, ce que le règlement réserve aux serruriers. Il répond que tous les taillandiers font de même. Le conseil décide de convoquer le maître des taillandiers.
1770, Protocole de la tribu des Maréchaux XI 139 (1754-1770)
(f° 229) Dienstags den 18.ten Septembris Anno 1770 – Mr Anthoine Courtener, der Schloßer und Burger allhier und E. E. Meisterschafft der Schloßer dermaliger Ober Meister stehet Vor und Klagt wieder Mr Johann Walther Koch, den Bohrermacher und burger, dahier, daß er Schrauben und Rollen an bettladen verfertige, welches Schloßerarbeit ist, weilen nun solches wieder Ordnung, als bittet er, nomine quo agit, daß Ihm solches in das Künfftige möge verbotten werden.
Ille Zugegen sagt, es seÿn ihm und allen bohrermachern erlaubt, sowohl Rollen als Schrauben an bettladen zu verfertigen, er mache selbige nicht allein sondern alle bohrermacher meister, die Schloßer sollen beweißen daß Ihnen solches verbotten seÿe, bittet dahero um absolutionem.
Erkandt, solle auf Ansuchen des Beklagten E. E. Meisterschafft der Bohrermacher Ober meister beÿ erstem Gericht ad causam citiret werden idque reservatis Expensis.

Jean Gautier Koch se remarie en septembre 1770 avec Marie Salomé Weiss, fille du graveur municipal : contrat de mariage, célébration
1770 (1.9.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 316
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehren: und Wohlvorachtbahre Herr Johann Walther Koch, der bohrenmacher, Wittiber und burger dahier Zu Straßburg, als Hochzeiter ane einem,
So dann die Viel Ehren und Viel tugendgezierte Jungfer Maria Salome Weißin, weiland Herrn Johann Martin Weiß, des geweßenen Stadt Kupferstechers und burgers dahier seeligen nachgelaßene ehelich erzeugte tochter, so majorennis und ohnbevögtigt, unter assistentz herrn Johann Jacob Diemers, des Haußfeurers, wie auch E.E. Großen Raths alten wohlverdienten Beÿsitzers und burgers dahier, ihres Hn Stieffvatters, als Hochzeiterin mit consens ihrer eheleiblichen Fraun Mutter und H. Stieffvatters ehelich mit einander Versprochen hätten
Actum allhier Zu Straßburg in mein des Notarii geohnlicher Schreibstube, auf Sambstag den ersten Septembris Anno 1770. [unterzeichnet] Johann Walther Koch als hochzeiter, Maria Salome Weißin als hochzeitterin, Joh: Jacob diemer

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 212, n° 927)
Im Jahr 1770 Sonntags den 14. Septembris, sind nach zweÿmahliger ordentlicher proclamation und ausrufung Zu St. Thomæ und zu St Wilhelm auf Erlaubnus des regierenden Herrn Ammeisters, ehelich copulirt und eingesegnet worden, Johann Walter Koch der Wittwer, bohrenmacher und burger allhier und Jungfrau Maria Salome Weißin weiland Herrn Martin Weiß gewesenen Statt Kupferstechers und burgers allhier nachgelaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Walther Koch als Hochzeiter, Maria Salome Weißin als hochzeiterin (i 214)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du mari que les parties évaluent 2 400 livres. Les apports du mari s’élèvent à 1 975 livres, ceux de la femme à à 239 livres

1771 (21.5.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 814) n° 586
Inventarium über des Ehren: und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Walther Koch, des bohrenmachers und der Viel Ehren: und Viel tugendgezierten Frn Mariæ Salome Kochin geb. Weißin, beeder Eheleuthe und burgere dahier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachten Nahrungen aufgerichtet Anno 1771. – welche der Ursachen alldieweilen in ihr beeder Eheleuth den 1.ten Septembris des letztabgewichenen 1770.sten Jahrs Vor mir Notario errichteten heuraths-Verschreibung pho. 3.tio expresse enthalten, daß einem jeeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnvertheilt sein und bleiben solle – So beschehen allhier zu Straßburg in ferneren beisein Hn Johann Jacob Diemers des hauß feurers und E. E. Großen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers der Ehefrauen H. Stieffvaters und assistenten auf Dienstag den 21.ten May 1771.

In einer alhier Zu Straßburg ane der Obern Langen Straß gelegenen und in des Ehemanns in die Ehe gebrachte Nahrung gehörigen behaußung befunden worden, Wie folgt.
(f° 8) Eigenthum ane einer Behaußung (M.) Nemblichen eine Behaußung, bestehend in Vorder: und Hinderhauß, Höfflein und Hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, Weithen, Zugehörden und Rechten, gelegen alhier Zu Straßburg ane der Obern Straß einseith neben H. Johann Jung dem Weißbecken, anderseith neben H. Johann Jacob Christiani, dem Schirmbott, und hinten auf H. Joh. Georg Zwicker, den Weißbecken stoßend, so gegen männiglichen freÿ, ledig, eigen und dißorths ohnpræjudicirlich angeschlagen, pro 2500. lb. Über dieße behaußung meldet ein in allhießiger C. C. stub gefertigten pergamentiner Kaufbrieff, mit dero fürgedrucktem Insiegel versehen, vom 21. Aug. 1752. mit altem N° 1 bezeichnet.
(f° 12) Wÿdemb, So der Ehemann Von Weil. Salome Kochin geb. Musculußin seiner erstern Ehefrauen seel. theils bis zu deren Vier mit ihro erziehlten Kinder 20. jährigem alter und theils lebenslängl. Zu geniessen hat
(f° 12-v) Wÿdembs: Verfangenschaft So Fr. Maria Salome geb. Hoffseßin Hn Joh: Jacob Diemars des Schwartzbecken und E: E: Große Raths alten beisitzers auch b. dahier dermaliger Fr. Ehegattin dißorthig. Ehefrauen geliebter Mutter von weil H. Johann Martin Weißen geweßenen Statt Kupfferstecher und b. dahiner ihrem ersten Ehemann seel. lebenslängl. zugenießen hat
(f° 13) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebracht Vermögen. Sa. haußraths 209, Sa. Werckzeugs und gemachter Waar Zur bohrenmachers profession gehörig 141, Sa. Weins und lährer Faß 60, Sa. Silbers und Geschmeids 32, Sa. baarschafft 9, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 2500, Sa. activ Schulden 60, Summa summarum 3014 lb – Schulden 1067 lb, Nach solchem abzug 1946 lb, Wann nun dieser Summ annoch addiret wird die dem Ehemann gebührige helffte ane denen haussteuren 29 lb, So ergiebet sich daß des Ehemanns gesamt für ohnverändert in den Ehestand geracht Vermögen theils dem wahren und theils dem ohnpræjudicirlichen anschlag nach bestehe in 1975 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebracht guth beschrieben, Sa. haußraths 47, Sa. Silbers 36, Sa. goldener Ring 24, Sa. baarschafft 102, Summa summarum 210 lb – Dießer Summ ist annoch beÿzusetzen die der Ehefrauen Krafft der Eigenthümlich gehörig §° quarto gebührige helffte ane denen haussteuren in vero pretio antreffend 29 lb, Belauffet sich alßo der Ehefrauen völlig vor ohnverändert in die Ehe gebrach Guth dem wahren werth nach auff 239 lb
Zweiffelhaffte Schulden in des Manns in die Ehe gebrachte Nahrung 76 lb

Jean Gautier Koch hypothèque la maison au profit de Marie Salomé Knobloch veuve du capitaine Jean Daniel Œlinger

1772 (30.3.), Chambre des Contrats, vol. 646 f° 189-v
Johann Walter Koch der bohrenmacher
in gegensein H. Johann Martin Weiß des kupfferstecklers vor und innahmen Fr. Mariæ Salome Öhlingerin geb. Knoblochin weÿl. H. Johann Daniel Öhlinger gewesten capitaine unter dem löbl. regiment d’alsace wittib – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis mitten in der Langen straß, einseit neben Johann Jung dem frantzösischen becken, anderseit neben Jacob Christiani dem schirmbotten, hinten auff N. Zwicker den weißbecken

Marie Salomé Weiss meurt en 1773 en délaissant deux filles. Les experts estiment la maison 1 000 livres. La masse propre au veuf s’élève à 313 livres, celle des héritiers à 885 livres. L’actif de la communauté s’élève à 406 livres, le passif à 682 livres

1773 (5.7.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 816) n° 656
Inventarium über Weiland der Viel Ehren: und Viel tugendgezierten Frn Mariä Salome Kochin gebohrner Weißin, H. Johann Walther Koch, des bohrenmachers und burgers allhier Zu Straßburg geweßener ehelicher Hausfrauen nun seeligen Verlaßenschafft, errichtet in Anno 1773. – nach Ihrem Mittwochs den 14.ten Aprilis dießes lauffenden 1773.sten Jahrs aus dießer welth genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Vorgedachten des hinterbliebenen Wittibers, wie auch Hn Johann Martin Weiß, des Kupfferstechers und burgers dahier als geordnet und geschworenen Vogts Mariæ Salome und Margarethæ Salome, der Kochin, der Verstorbenen seel: mit Vorgedachtem Ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehter Kinder und ab intestato Verlaßener Zweÿer Erben (…) So beschehen allhier zu Straßburg auf Montag den 5.ten Julÿ 1773.
Copia der Eheberedung

In einer alhier Zu Straßburg ane der Mittlern Langen Straß gelegenen und in des hinterbliebenen Wittibers ohnveränderte Nahrung gehörigen behaußung befunden worden, Wie folgt.
(f° 8) Eigenthum ane einer Behaußung (W.) Nemb. eine behaußung, bestehend in Vorder: und Hinderhauß, Höfflein und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, Weithen, Zugehörden und Rechten, gelegen alhier Zu Straßburg ane der Obern Straß, 1. s. neben H. Johann Jung dem Weißbecken, 2.s. neben H. Johann Jacob Christiani, dem Kupfferschmid und hinten auf H. Johann Georg Zwicker, den Weißbecken stoßend, so freÿ, außer hernach eingetragenen darauf hafftenden passiv- Capital der 500. lb sonsten gegen männiglichen leedig, eigen und dh (die Werckmeistere) Vermöh Abschatzung Zeduls vom 15.ten Julii h. A. gewürdiget pro 1000. lb. Dißewegen ist vorhanden ein in allhießiger C. C. stub gefertigter pergamentiner Kaufbrieff, mit dero fürgedrucktem Insiegel verwahret, datirt d. 21. Augusti 1752. mit altem N° 1 notirt.
(f° 15-v) Wÿdembs: Verfangenschaft So der Erben ohnverändert. Es hat weil H. Jacob Diemars des haußfeurers und b. allhier von Weil. Fr. Maria Salome Diemerin geb. Hoffseßin seiner geweßenen Ehegattin als der dißorthigen Erben Fr. Groß Mutter seel. Zufolg ihrer mit einander errichteten Eheberedung §° 5.to lebenslängl. zu genießen
(f° 16) Wÿdemb, So der hinterbliebene Wittiber Von Weil. Salome Kochin geb. Musculußin seiner erstern Ehefrauen seel. theils bis zu deren Vier mit ihro erziehlten Kinder 20. jährigem alter und theils lebenslänglich Zu geniessen hat
(f° 16-v) Ergäntzung des Hinterbliebenen Wittibers während dieser Ehe abgegangenen ohnveränderten Guths, Inhalt des über beeder nun zertrennten Eheleuthe einander für ohnverändert in den Ehestand gebrachte Nahrungen durch mich unterschriebenen Notarium in A° 1771 erichteten Inventarium
(f° 20) Series rubricarum hujus Inventarii. Des Wittibers ohnverändert Guth. Sa. haußraths 72, Sa. Werckzeugs Zur bohrenmachers profession gehörig 21, Sa. lährer Faß 8, Sa. Silbers und Geschmeids 11, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1000, Sa. Schuld 21, Summa summarum 1136 lb – Schulden 1450 lb, In Vergleichung 313 lb
Der Erben ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 90, Sa. Silbers 19, Sa. goldener Ring 29, Sa. baarschafft 5, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 550, Sa. Schuld 75, Sa. Ergäntzungs Rests 132, Summa summarum 902 lb – Schulden 17, Nach solchem abzug 885 lb
Das Theilbare Guth, Sa. Haußraths 11, Sa. gemachter Waar, Eißens u. Kohlen Zur bohrenmachers profession gehörig 5, Sa. Weins 7, Sa. baarschafft 9 ß, Sa. der Schulden 382, Summa summarum 406 lb – Schulden 682 lb, Compensando 276 lb
Stall Summ 719 lb
Zweiffelhaffte Schulden in des Wittibers ohnverändert Nahrung 84 lb, Zweiffelhaffte Schulden in die Theilbahre Nahrung 5 lb

Jean Gautier Koch se remarie avec Marie Salomé Hügel veuve du batelier Jean Daniel Meyer : contrat de mariage, célébration
1774 (1.12.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 395
Eheberedung – persönlich erschienen, der Ehren: und wohlvorachtbahr herr Johann Walther Koch, der bohrenmacher, Wittiber und burger allhier Zu Straßburg, als hochzeiter ane einem
Und die Viel Ehren und tugendsahme Fr. Maria Salome Meÿerin geb. Hügelin, weil. Hn Johann Daniel Meÿer des gewesenen Schiffmanns und burgers alhier seel. hinterlaßener Wittib, beiständlich H Andreä Meÿers des Schiffmanns und burgers dahier Zu Straßburg, dero Schwagers, als hochzeiterin ane dem andern theil
Donnerstag den 1. Decembris Anno 1774 [unterzeichnet] Johann Walther Koch als Hochzeiter, Maria Salome Meÿerin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 1)
Im Jahr 1774 Mittwoch den 7. Decembris sind nach vorhergegangener erster und andere Ausrufung zugleich auf Erlaubnus des Regierenden Herrn Ammeisters Zu St. Thomæ und zu St Wilhelm in der Stifts Kirche Zu St Thomæ ehelich copulirt und eingesegnet worden, Johann Walter Koch der Wittiber, bohrenmacher und burger allhier und Frau Maria Salome Meÿerin weiland Johann Daniel Meÿer, gewesenen Schiffmanns und burgers allhier hinterlassene Wittibin [unterzeichnet] Johann Walther Koch als Hochzeiter, Maria Salome Meÿerin als hochzeiterin (i 3)

Marie Salomé Hügel fait dresser l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 153 livres
1776 (1.4.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 280) n° 1386
Designatio über Fraun Mariä Salome Kochin gebohrner Hügelin, Meister Johann Walter Kochs, des burgers und bohrenmachers dahier Zu Straßburg Ehefraun in die Ehe gebrachter und respê. dato activé besitzender Nahrung und passivé zu bezahlen habende Passiv schulden, errichtet Anno 1778. – vor einiger Zeit beÿ E. E. Kleinen Rath pro obtinendo flebili Beneficio Cessionis inventirt (…) So geschehen allhier Zu Straßburg auf Montag den 1.ten Aprilis Anno 1776.
In einer allhier Zu Straßburg ane der langenstraß gelegenen in dißorts Ehemann eigenthümlich zuständigen behausung folgender maßen sich befunden
Sa. haußraths 188, Sa. Silbers 4 ß, Sa. baarschafft 11, Summa summarum 30 lb – Schulden 183, ln Compensando 153 lb

Nouvel inventaire des apports
1807 (28.11.), Strasbourg 7 (24), Not. Stoeber n° 2210, 8159
Inventaire des apports de Marie Salomé Hugelin femme de Jean Walther Koch taillandier, suivant contrat de mariage passé devant Lobstein le 1 décembre 1774
meubles 1261 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 104 F° 51-v du 2.12.

Jean Gautier Koch meurt en 1809 en délaissant trois fils ou leur représentant issu du premier mariage et une fille du deuxième.

1809 (14.2.), Strasbourg 5 (27), Not. F. Grimmer n° 5442
Inventaire de la succession de Walter Koch taillandier décédé le 20 janvier dernier – à la requête de De Marie Salomé Hügel la veuve
Dénomination des héritiers, les enfants procréés en deux mariages savoir en premier mariage avec Marguerite Salomé Musculus 1. Jacques Frédéric Koch, 2. Jean Jacques Koch les deux taillandiers, Le fils délaissé par Jean Walter Koch nommé 3. Jean Walter Koch menuisier, la fille procréée en second mariage avec Marie Salomé Weis 4. Marie Salomé Koch épouse du Sr Jean Frédéric Schaaf bacquetier

Maison. Une maison cour avec tous ses bâtiments appartenances droits aisances et dépendances située en cette ville dans la grande rue n° 30, d’un côté le Sr Mechling, d’autre les veuve et héritiers Ihlé et derrière la maison du Sr Schaefer baquetier – occupée par Jacques Frédéric Koch taillandier pour 160 fr, Griesbach tanneur 120 fr, Florer tailleur 70 fr, appartemens du défunt 150 fr, ensemble 500 fr en revenu soit en capital 10.000 fr – Titres de propriété, acte d’achat à la Chambre des Contrats le 21 août 1752
Série des rubriques, la veuve renonce à la communauté, un enfant du premier lit est décédé en 1775 et un autre du second en 1776
Propres de la veuve, meubles 293 fr, remploy 1067 fr, total 1361 fr
Héritiers et communauté, meubles 854 fr, ustensiles de métier 90 fr, argenterie 14 fr, maison 10.000 fr, total 10.959 fr, passif (bien maternel et grand maternel des enfants du premier lit suivant inventaire dressé par Me Lobstein le 6 septembre 1786, mais le défunt ayant laissé en nature aux enfants la moitié de maison rue des chanvriers estimée 2000 fr et comprise dans la susd. somme et ayant lors de la susd. cession faite de la totalité de cette maison à son fils défunt Walter Koch même notaire le 24 janvier 1787) 699 fr, déduction faite 4459 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 110 F° 51 du 22.2.

Marie Salomé Hügel meurt en délaissant les enfants de son deuxième mari pour héritiers testamentaires

1810 (19.5.), Strasbourg 5 (31), Not. F. Grimmer n° 6294
Inventaire de la succession de Marie Salomé née Hügel veuve de Walter Koch taillandier – à la requête de 1. Jacques Frédéric Koch tailandier, 2. Jacques Koch aussi taillandier, 3. Marie Salomé Koch épouse de Jean Frédéric Schaaf baquetier – testament de la défunte devant led. notaire le 28 avril 1809, décédée le 8 dudit mois
en la ci devant demeure de la défunte rue d’Or n° 6
meubles 184 fr, créances 1000 fr, total 1184 fr, passif 733 fr, reste 450 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 114 F° 171 du 29.5.


Les enfants Koch vendent leurs part à leur cohéritier, le taillandier Jacques Frédéric Koch

1809 (23.6.), Strasbourg 5 (28), Not. F. Grimmer n° 5686
Jean Jacques Koch taillandier, Marie Salomé Koch épouse de Jean Frédéric Schaaf bacquetier, Jean Jacques Eckel mandataire de Jean Walter Koch garçon meunuisier majeur
à Jacques Frédéric Koch ausi taillandier
trois quarts par indivis /:dont le quatrième quart appartient à l’acquéreur:/ d’une maison cour avec tous ses bâtiments appartenances droits et dépendances située en cette ville grand rue n° 30, d’un côté le Sr Maechling, d’autre les veuve et héritiers Ihlé, derrière la maison du Sr Schaeffer – appartient aux parties suivant inventaire de la succession de Walter Koch, taillandier, père et grand père des comparants, dressé par le soussigné notaire le 14 février dernier – moyennant 7710 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 112 F° 70 du 1.7.

Jacques Frédéric Koch épouse en 1786 Marie Salomé Kieffer, fille de remueur de grains : contrat de mariage, célébration
1786 (19.6.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 567
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehren und Wohlvorachtbahre Hr Jacob Friderich Koch, der leedige Bohrermacher Hr Jacob Friderich Koch des auch Bohrermachers und burgers allhier ehelicher Sohn beÿständlich dieses seines geliebten Vaters als Hochzeiter ane einem
und die viel Ehren und viel tugendgezierte Jungfer Maria Salome Kieferin, weil. H. Johann Friderich Kiefers des gewesenen Kornwerffers und burgers allhier nachgelaßene tochter unter assistentz und mit Beilhilf ihres geordnet und geschworenen Vogts H. Johann Jacob Kiefers des ebenmäßig, Kornwerffers und burgers allhier als Jgf. Hochzeiterin ane dem adndern theil
Straßburg den 19. Junÿ Anno 1786, Vormittags in mein des Notarii gewohnlicher Schreibstuben [unterzeichnet] Jacob Friedrich Koch als Hochzeiter,Maria Salome Kieferin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 160 n° 320)
Im Jahr 1786 sind (…) in den Stand der heiligen Ehe eingesegnet worden Jacob Friedrich Koch der ledige Bohrenmacher und burger allhier, Herrn Johann Walter Koch des Bohrenmachers und burgers allhier, mit weiland Frau Margaretha Salome gebohrner Musculusin ehelich erzeugter Sohn und Jungfrau Maria Salome Kieferin, weiland Johann Friderich Kiefer gewesenen Kornwerffers und burgers allhier mit Frau Eva gebohrner Ottin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Jacob Friedeich Koch als hochzeiter, Maria Salome Kieferin als Hochzeiterin (i 165)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison Jœrges au Vieux-Marché-aux-Vins. Les apports du mari s’élèvent à 518 livres, ceux de la femme à 385 livres.
1788 (21.8.), Not. Stoeber (6 E 41, 1255) n° 655
Inventarium über Herrn Jacob Friedrich Koch des Bohrermachers und Fraun Mariä Salome Kochin gebohrner Kieferin beeder Eheleuthen u. brn allhier einandner in den Ehestand zugebrachte Nahrungen aufgerichtet Anno 1788 – in ihren den 9. Augst A. 1786 angetrettenen Ehestand zugebracht haben. Welche Inventur auf ihr beeder Ehegatten selbstiges Ansuchen u. begehren deswegen fürgenommen wurde, mit dieselbe in ihrer vor weil. H. Not. Johann Friedrich Lobstein den 19.ten Junÿ A. 1786 aufgerichteten Eheberedung §+ 3.tio ihres Einbringen halben ein unverändert vorbehalten Gut stipulirt haben (…)
So beschehen in einer zu Straßburg an dem alten weinmarckt gelegenen weil. H. Johann Peter Görges des gew. Waffenschmidts u. brs. allhier Erben zuständigen dißorts zum theil lehnung weise bewohnenden behausung Mittwoch den 21. Augst Anno 1788. in fenerem beÿseÿn weil. H. Joh. Heinrich Kiefer des gew. Kornwerfers u. brs alhier Wb. der Ehefraun elehelibl. Mutter, sodann H Joh: Jacob Kiefer des brs u. Kornwerfers allhier der Ehefrauen erbettenen beÿstands
Werckzeug und Waar Zur bohrermacher Profession gehörig
Norma hujus inventarii. Der Ehemanns Vermögen, Sa. hausraths 54 lb, Sa. Werckzeugs und Waar 81 lb, Sa. Silbers 19 lb, Sa. Baarschafft 300 lb, Summa summarum 455 lb – deme beizufügen die Helfte an hernach fol. (-) beschriebenen Haussteuren mit 62 lb, des Ehemanns ohnverändert Vermögen 518 lb
Der Ehefraun Vermögen, Sa. Hausraths 181 lb, Sa. Silbers 11 lb, Sa. goldenen Ring 29 lb, Sa. baarschafft 100 lb – Summa summarum 322 lb -wird nun dazu gerechnet dero helffte an hernach beschriebenen Haussteuren anlangend 62 lb, der Ehefraun unverändert Gut 385 lb

Marie Salomé Kieffer meurt en 1788, suivie par son fils quelques jours plus tard. L’inventaire est dressé dans la maison Jœrges. La masse propre au veuf s’élève à 406 livres, celle des héritiers à 327 livres. L’actif de la communauté s’élève à 597 livres, le passif à 486 livres
1788 (10. 8.bris), Not. Stoeber (6 E 41, 1255) n° 661
Inventarium über weÿl. Fraun Mariä Salome Kochin geborner Kieferin Herrn Jacob Friedrich Koch des bohrermachers u. brs. allhier gewesene Ehefrau Verlaßenschafft, Anno 1788. – nach ihrem den 26. Augst diesen Jahrs erfolgten tödlichen ableben hinterlaßen hat. Welche Succession auff gebührendes Ansuchen und begehren des hinterbliebenen Wrs. wie auch Herrn Johann Jacob Kiefer des Kornwerfers u. brs. alhier als geschwornen Vogts der abgeleibten mit ihme dem Wittiber erzeugten noch lebenden Kindts Sophiä Magdalenä Kochin so den 26. May 1787 gebohren worden u. die abgeleibte nebst einem acht tag nach ihro verstorbenen Söhnlein Jacob Friedrich, deßen Stelle der Wr. als Vater so lang er im Wittwenstand verbleiben wird, vertritt, ab intestato Zu erben verlaßen hat, inventirt und ersucht worden (…) So geschehen in einer allhier Zu Straßburg an dem alten weinmarckt gelegenen weil. H. Johann Peter Jörges des gew. Waffenschmidts u. brs. allhier Erben Zuständigen u. dißorts lehnungs weise bewohnenden behaußung Freÿtags den 10. Octobris Anno 1788.

Werckzeug und Waar Zur Bohrenmacher Profession gehörig. Diese Rubric ist durch Mr Johann Jacob Litsch den Bohrenmacher u. br. allhier nach abgelegter handtreu dem Stalltax nach angeschlagen worden wie folgt
Ergäntzung des Wittibers abgegangenen unveränderten Guths. Vermög des über beeder geweßene Eheleuth einander in die Ehe zugebrachte Nahrungen durch mich Notarium den 22. Augst 1788 aufgerichteten Inventarii
Norma hujus inventarÿ. Des Wittwers unverändert Vermögen. Sa. hausraths 18 lb, Sa. Silbern Geschmeids 5 lb, Erg. Rest 432 lb, Summa summarum 456 lb – Schulden 50 lb, Nach deren abzug 406 lb
Dießemnach wird auch des Erben unverändert Guths beschrieben u. verzeichnet, Sa. hausraths 116, Sa. Silbern Geschmeids 3, Sa. Goldener Ring 6, Sa. Activ schuld 50, Erg. Rest 150, Summa summarum 327 lb
Endlichen wird das gemeine veränderte u. theilbare Gut beschrieben, Sa. hausraths 11, Sa. Werckzeugs u Waar zur bohrenmacher profession gehörig 99, Summa summarum 111 lb – Schulden 597 lb, Passiv onus 486 lb – Stall summ 247 lb
Copia der Eheberedung (…) den 19. junÿ 1786, Johann Friedrich Lobstein, Nots. juratus

Jacques Frédéric Koch se remarie en 1791 avec Marie Dorothée Schaaff, fille de tourneur
1791 (11.7.), Not. Schaaff (6 E 41, 919) n° 55, und Enreg. N° 25
Eheberedung – persönlich erschienen Herr Jacob Friderich Koch, verwittibter burger und Bohrer Macher dahier, als hochzeiter ane einem,
So dann die Ehren und tugendsame Jungfrau Maria Dorothea Schaaffin, Mr Johann Friderich Schaaff des abwesenden Hohldrehers und burgers dahier mit weil. Fraun Maria Dorothea gebohrner Reumännin ehelich erzeugt nachgelaßene ihres Aussag nach dermalen Großjährige Tochter, beiständlich H. Georg Friderich Vierling burgers und Hohldrehers hieselbst ihres annoch ohnentledigten Vogts, als hochzeiterin am andern Theil
zu Straßburg auf Montag den 11. Julii 1791. [unterzeichnet] Jacob Friederich Koch als Hochzeiter, Maria Dorothea Schaaffin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 15, n° 16)
Im Jahr 1791 Montag den 15. Augusti sind (…) copulirt worden Jacob Friderich Koch der Bohrenmacher, Wittwer und burger allhier, 32 Jahr alt, Herrn Johann Walter Koch des Bohrenmachers und burgers allhier mit weiland Frau Maria Salome gebohrner Musculusin ehelich erzeugter Sohn und Jungfrau Maria Dorothea Schaafin, 26 Jahr alt, wei Johann Friderich Schaaf, gewesenen drehers und burgers allhier mit Frau Maria Dorothea gebohrner Reumännin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Jacob Friederich Koch als Hochzeiter, Maria Dorothea Schaaffin als Hochzeiterin (i 58)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison Jœrges. Les apports du mari s’élèvent à 1 408 livres, ceux de la femme à 460 livres.
1792 (19.3.), Strasbourg 4 (2), Not. Schaaff n° 168 & Enregistrement N° 92
Inventarium über Herrn Jacob Friedrich Koch bohrenmachers und Frauen Mariæ Dorotheä geb. Schaffin beder Eheleuthen einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, in ihrem Montags den 15. aug. 1791 angetrettenen Ehestand und sich vermög der mit einander vor mir Notario am 11. julÿ dicti Anni 1791 errichteten Eheberedung §° 2.do vorbehalten haben

So geschehen allhier zu Straßburg und einer daselbst ane dem alten Weinmarckt gelegenen: fr. Geörges Wittib eigenthümlich zuständigen: diesorts zum theil Lehnungsweise bewohnenden behaußung mit N° 99 bezeichnet, in beÿseÿn H. Johann Friedrich Schaaff des Küblers Ihr der Ehefraun Vatters, den 19. mart. 1792
Antheil an einer behaußung (Fr.) Nemlich Ein 6.ter theil Vor ohnvertheilt Von und ane einer behaußung ane der Krebs Gaß (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Ehemanns in die Ehe gebrachte Vermögens, Sa. hausraths 340, Sa. Waar u. Werckzeug zur bohrenm: Prof. geh. 1558, Sa. Silbers u. dgl. Geschm. 43, Sa. baarschafft 100, Sa. activorum 500, Summa summarum 2541 fl, Schulden 1165 fl, Nach welchem abzug 1375 fl, helffte der haussteuren 32 fl, Summa 1408 fl
der Ehefraun vor ohnverändert in den Ehestand gebracht Guth, Sa. hausraths 231, Sa. Silbers u. dgl. Geschm. 15, Sa. Goldener Ring 34, Antheil an I.r behausung &, Sa. Activorum 272, Summa summarum 553 fl, Schulden 125 fl, Nach deren Abzug 428 fl helffte der Haussteuren 32 fl, Summa 460 fl
(enregistré 19 mai)

La maison de Jacques Frédéric Koch est vendue par adjudication judiciaire au baquetier Jean Frédéric Schaaff. L’acte reprend le procès verbal d’estimation dressé par les experts

1821 (29.6.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 141, n° 61
par devant le tribunal civil de première instance, vente et adjudication par voie d’expropriation forcée d’une maison sise à Strasbourg grande rue n° 30 réellement saisie sur les conjoints Jacques Frédéric Koch tailleur – Cahier des charges, Me Lauth avoué de De Marie Salomé Koch épouse de Jean Frédéric Schaaff baquetier (…) que lesdits conjoints sont créanciers de Jacques Frédéric Koch, tailleur, et Marie Dorothée née Schaaff en vertu de deux contrats vente reçus Me Grimmer le 23 juin 1809 et obligation même notaire le 19 mai 1810, inventaire partage, cession et obligation devant ledit notaire le 19 mai 1810
à Me Bloechel – déclaration de command du 7 juin, déclare avoir enchéri pour Jean Frédéric Schaaf baquetier
Cette maison est sise à Strasbourg grand rue n° 30, d’un côté celle du Sr Grimm boulanger n° 29, d’autre celle de Valentin Ihlé frippier par devant la grande rue
(description) Elle est construite en pierres sur la façade de devant et couverte en tuiles, elle consiste en rez de chaussée et trois étages, cave et grenier en outre un bâtiment latéral contigu à la maison du devant, ce dernier bâtiment consiste également en rez de chaussée, trois étages et grenier, une petite cour se trouve au milieu et une pompe dans la cour, les bâtiments à l’exception de la façade de devant sont construits en bois de charpente et pierre, le rez de chaussée de devant consiste en une boutique, et un attelier de taillandier. L’attelier est dans la cour. La maison a son entrée dans la grande rue par deux portes, chaque étage consiste en deux pièces, l’une sur le devant et l’autre dans la cour et une cuisine, les pièces sur le devant ont vue dans la grand rue par deux croisées chacune et les autres dans la cour. Le rez de chaussée a vue dans la même rue par une croisés, le rez de chaussée dans la maison latérale forme les parles* ledit nnelaier* un bucher. Chaque étage a vue par deux croisées dans la cour et consiste en deux petites chambres, le tout d’une contenance superficielle d’environ 3 ares – fait le 24 janvier 1820
Adjudication préparatoire le 29 mars criée 10.000 francs, sans mise
Adjudication définitive le 7 juin, pour 10.000 francs

Fils de tonnelier, Jean Frédéric Schaaff épouse en 1790 Marie Salomé Koch, fille de Jean Gautier Koch (sœur du précédent propriétaire) : contrat de mariage, célébration
1790 (18.9.), Not. Schaaff (6 E 41, 919) n° 44
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehren: und Vorachtbare H. Johann Friderich Schaaff, lediger Kübler Meister, weil. des Ehren und Wohlvorgeachten H Lucas Schaaff gewesenen Kübler meisters und burgers dahier mit der Ehren und tugendbegabten Fraun Susanna Dorothea geborner Barbeneßin ehelich erzeugt nachgelaßener Großjähriger Sohn, als Hochzeiter ane Einem,
So dannn die Ehren: und Tugendsame Jungfrau Maria Salome Kochin, des Ehren: und Wohlvorgeachten Hn Johann Walther Koch, Bohrenmacher Meisters und burgers dahier mit weil. der Ehren und tugendbegabten Fraun Maria Salome geborner Weißin ehelich erziehlt annoch minderjährige Tochter beiständlichen erstgedachten ihres H. Vatters mit beÿstand H. Johann Martin Weiß Kunsterfahrenen Kupferstechers und burgers dahier, Ihres H. Vogts als Junger Hochzeiterin am andern Theil
Fünfftens, so hat des H. Hochzeiters Frau Mutter Anfangs gedachte Frau Susanna Dorothea Schaaffin geborne Barbeneßin Wittib beiständlich sie hernach gemelt Ihme Hochzeiter, dero geliebter Sohn, hiemit als ein wahren Eigenthum verstorbenrieben cedirt und überlaßen Ihre alhier Zu Straßburg ane dem Golsgiesen einseit neben H. Rimbach (…)
Straßburg auf Sambstag den 18. Septembris Anno 1790. [unterzeichnet] Johann Friderich Schaaff als Hochzeiter, Maria Salome Kochin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 10)
Im Jahr 1790 Montag den 1. Novembris sind (…) copulirt worden Herr Johann Friedrich Schaaff, der ledige Kübler und Burger allhier,32. Jahr alt weiland Herrn Johann Lucas Schaaff gewesenen Küblers und burgers allhier mit Frau Susanna Dorothea gebohrner Barbeneßin ehelich erzeugter Sohn und Jungfrau Maria Salome Kochin 19 Jahr alt Herrn Johann Walter Koch des Bohrenmachers und burgers allhier mit weiland Frau Maria Salome gebohrner Weisin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Friderich Schaaff als Hochzeiter, Maria Salome Kochin als Hochzeiterin (i 39)

Jean Frédéric Schaaff meurt en 1835

1836 (12.4.), Strasbourg, Me F. Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire de la succession de Jean Frédéric Schaaf, baquetier, décédé le 17 décembre dernier – à la requête de Marie Salomé Koch, cette dernière donataire, 2. Salomé Schaaf femme de séparée quant aux biens de Charles Stahl, marchand de bois, 3. Dorothée Schaaf épouse de Chrétien Ott, tanneur
maison à Strasbourg et terres à Westhoffen
Enregistrement de Strasbourg, acp 240 F° 25-v du 22.4.

Lors du partage des biens, la maison Grand rue renvient à Dorothée Schaaff, femme du tanneur Chrétien Ott

1846 (14.2.), Me Grimmer
Partage des successions et communauté de Jean Frédéric Schaaff Marie Salomé Koch – entre 1. Marie Salomé Schaaff femme séparée de biens de Charles Frédéric Stahl, ancien marchand de bois de construction hors la porte de l’hôpital de Strasbourg, le Sr Stahl aujourd’hui interdit suivant jugement en date du 15 juin 1845 et 2. Dorothée Schaaff épouse de Chrétien Ott, marchand tanneur à Strasbourg, les deux seuls héritières pour moitié de Jean Frédéric Schaaff propriétaire et de Marie Salomé Koch vivants conjoints à Strasbourg leurs père et mère, le Sr Schaaff décédé à Strasbourg le 17 décembre 1835 la De Schaaff née Koch le 4 août 1845

Dans la succession de la De Schaaff sont comprises diverses créances et rentes emphytéotiques, lesquelles rentes sont capitalisées au denier vingt
Attribution. Premier lot à la De Stahl – 1) Une maison à Strasbourg rue d’Or estimée 13.000 francs
2) une autre dite rue N° 6 estimée 11.000 francs
3) Une créances de 2000
4) la rente emphytéotique due par Jean Michel Pfister cultivateur à Willgottheim due suivant titre nouvel reçu Stumpff notaire à Willgottheim le 31 octobre 1845 en capital 8023
5) une autre rente due par Laurent Dossmann et Thérèse Huss conjoints à Willgottheim en vertu d’un titre nouvel reçu dudit Nre. le 11 novembre 1823, en capital 1210
6) Une autre rente due par Laurent Velten cultivateur à Schersheim due suivant titre nouvel reçu Wilhelm notaire à Truchtersheim le 23 août 1823, en capital 1210
7) une créance de 3500 francs due par Marguerite Madeleine Dessecker femme de Jean Gaspard Stamm drapier à Strasbourg en vertu d’un titre nouvel reçu Grimmer le 5 août 1841
8) 12 ares 20 ca vignes ban de Westhoffen canton Brent, 600
9) 12 ares 20 ca vignes canton dit Ablech dit ban, 600
10) 74 ares 30 ca verger dit ban canton Vitten, 600
11) 15 ares verger dit ban canton beim Pferch 300
12) 2 ha 25 ares 90 ca broussailles canton Seelenberg 3000
13) 1 ha 14 a 9 ca broussailles dit ban canton Bogelsholtz 1800, Total 47.722
Deuxième lot attribué à la De Ott 1) Une maison à Strasbourg Grande rue n° 30 évaluée à 18.000 francs
2) Une rente emphytéotique due par Jacques Wurm fils cultivateur et Hélène Wurm conjoints à Griesheim due suivant titre nouvel reçu Ritlen le 5 juillet 1833, en capital 14.444.
3) une créance de 1952 francs due par Jacques Braun cultivateur à Dingsheim suivant obligation reçue Wengler le 2 avril 1809
4) Une créance de 4500 francs due par Jacques Giess ancien maire à Oberschaffolsheim suivant acte de vente reçu Ritleng le 24 août 1837
5) un ha 50 ares de terres ban de Kutzenhausen évalué 7928, Total 46.905 francs
Immeubles restés en indivision 1) un étal de boucher à Strasbourg Grande boucherie
2) Une maison à Westhoffen rue Erhardsgass n° 27 & 28
3) 6 ares 40 ca de vignes bande Westhoffen im Ritz
4) 15 ares terres dit ban canton Wassenloch
5) 15 ares prés ban de Strasbourg im Schlutfeld
6) 7 ha 25 ares terres et prés ban d’Offenheim
7) 6 ha 50 ares de terres et prés ban de Fridolsheim
8) 3 ha 45 ares de terres et prés ban de Kienheim
acp 345 (3 Q 30 060) f° 34-v du 17.2.

Chrétien Ott épouse Dorothée Schaaff en 1820
1820 (20.6.), Strasbourg 8 (30), Me Roessel n° 7228
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Chrétien Ott, marchand de cuirs, fils majeur de Jean Jacques Ott, marchand de cuirs, et de Catherine Marguerite Boesswillwald
Dorothée Schaaff, fille majeure de Jean Frédéric Schaaff, propriétaire, et de Marie Salomé Koch
Enreg. 148 f° 7 du 21.6.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports
1820 (29.11.), Strasbourg 8 (31), Me Roessel n° 7519
Inventaire des apports de Chrétien Ott, marchand de cuirs, et de Dorothée Schaff, suivant contrat de mariage reçu Roessel le 20 juin courant
le mari 9508 fr, la femme 8338 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 150 F° 41 du 30.11.

1857 (8.8.), Me Grimmer
Consentement par Dorothée Schaaf épouse Chrétien Ott propriétaire à Strasbourg au mariage de sa fille Elise Ott avec Charles Auguste Sohn, négociant à Strasbourg
acp 462 (3 Q 30 177) f° 34-v du 10.8.

Dorothée Schaaff meurt en 1858 en délaissant six enfants

1859 (20.4.), Me Grimmer
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Chrétien Ott, propriétaire à Strasbourg, et Dorothée Schaaf sa femme et de la succession de cette dernière décédée le 4 novembre 1858, dressé à la requête I. du veuf, agissant comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Roessel père le 20 juin 1820, 2) comme père et tuteur de Marie et Valérie Ott, II. Gustave Ott, fabricant à Barr, III. Amélie Ott épouse de Charles Théodore Fuchs, pasteur à Strasbourg, IV Eugénie Ott épouse de Charles Auguste Schoop, architecte, V. Elise Ott épouse de Charles Auguste Sohn, négociant à Strasbourg

acp 478 (3 Q 30 193) f° 25 du 27.4. (succession déclarée le 3 mai 1859)
Communauté, mobilier 6185, argent 900, créances 66.175
15 ares 30 de vignes à Westhoffen
Succession. Une maison à Strasbourg Grande rue n° 30
½ d’un étal de boucher Grandes boucheries
deux maisons à Westhoffen
reprises de la défunte 56.605, reprises du veuf 9500


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.