2, rue du Parchemin
Rue du Parchemin n° 2 – VI 17 (Blondel), O 360 puis section 25 parcelle 65 (cadastre)
Maison dite au Coin doré (zum guldenen Eck), démolie en 1903, sol réuni à la rue
Nouvelle maison sur le sol de l’ancien 14, rue des Pucelles (section 25 parcelle 104 / 64)
La maison vers 1900, même endroit vers 1992 (publiées dans Strasbourg, Passé et présent sous le même angle, voir bibliographie)
Eléments repris au lycée des Pontonniers (août 2017)
Sise à l’extrémité de la rue des Juifs face à la cour de Hennenberg, la maison dite au Coin doré (zum guldenen Eck) portait d’après Adolphe Seyboth le millésime 1589 sur un pan de bois sculpté entre deux fenêtres au premier étage. Elle appartient dans les années 1620 à Martin Ebinger puis à son gendre Michel Keck, tous deux tonneliers. Elle revient par héritage à la femme du notaire Jean Adam Œsinger qui y tient son étude (1700-1728). Le propriétaire déplace une marche posée sur le communal d’une porte à une autre en 1731. Il remplace en 1733 l’escalier à vis par un escalier à la française. Le marchand verrier Alexandre Aval originaire de Paris acquiert la maison en 1737 puis la loue à un aubergiste qui y tient l’enseigne Au bois de Boulogne. Locataire depuis 1753, l’imprimeur Jean Robert Christmann est autorisé en 1756 à agrandir son imprimerie en ouvrant une porte de communication vers la maison voisine rue du Parchemin. Gendre du précédent, l’imprimeur François Levrault acquiert la maison en 1772 après s’être rendu propriétaire de la voisine en 1770. Le maçon André Müller est autorisé en 1777 à réparer l’encadrement de la porte bien que la maison ait un encorbellement. Les préposés autorisent en 1785 le maçon Marc Sporer à étayer le mur dans lequel une console s’est fendue. Ils autorisent l’année suivante le maître maçon Müller à fixer une barre de fer pour remplacer la console fendue et accordent au propriétaire un délai de quatre ans pour reconstruire la façade.
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 78
Plan-relief de 1725 (© Musée historique), cliché Thierry Hatt
L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée, deux étages en bois et un encorbellement sur les deux faces. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade se trouve de part et d’autre du repère (d). A gauche la façade rue du Parchemin (six ouvertures au rez-de-chaussée dont une porte, six au premier et sept au deuxième étage, trois étages de lucarnes dont une grande garnie de fenêtres), à droite façade à deux travées face à la rue des Juifs (une porte et une fenêtre au rez-de-chaussée, deux fenêtres à chacun des étages).
La maison porte d’abord le n° 26 bis, rue du Parchemin ou 26, rue des Juifs (1784-1857) puis le n° 2 de la rue du Parchemin. La Ville acquiert la maison en 1898 pour rectifier la rue du Parchemin. La démolition a lieu en juillet 1903, le sol est réuni à la voie publique.
Plan de situation, ancien et nouveau tracé de la rue, en rose bâtiments de la face sud construits par Wieger (décembre 1902, dossier de la Police du Bâtiment)
Vue en août 2017 – Détail des boiseries (lycée des Pontonniers)
Les entrepreneurs Wieger et Graff sont autorisés en 1902 à construire sur le terrain de l’ancien 14, rue des Pucelles et une partie de l’ancien 4, rue du Parchemin le nouveau numéro 2, bâtiment sans cour de quatre étages. Le gros œuvre est terminé en décembre 1903, la réception finale a lieu en août 1905. Le local commercial au rez-de-chaussée est occupé par un marchand de fromages, une chaîne de magasins d’alimentation (1965-1986) puis un épicier (1986 à 1994).
Elévations et plan du rez-de-chaussée (1902, dossier de la Police du Bâtiment)
août 2017
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1625 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
Martin Ebinger, tonnelier, et (1601) Madeleine Deck, puis (v. 1620) Marguerite Linder, veuve du tisserand en laine Wiegand Barthel, (1636) Susanne Heinrich, veuve du péager Simon Krieg – luthériens | ||
1642 | h | Michel Keck, tonnelier, et (1634) Anne Ebinger puis (1638) Judith Zittelin – luthériens |
1672 | h | Jean Keck, tonnelier, et (1672) Anne Marie Heydel – luthériens |
v. 1705 | h | Jean Adam Œsinger, notaire, et (1695) Anne Marguerite Keck – luthériens |
1729 | h | Jean David Œsinger, tisserand en laine, et (1732) Susanne Marguerite Formier – luthériens |
1737 | v | Alexandre Aval, marchand verrier, et (1698) Marie Gonzé – catholiques |
1746 | h | François Dubois, revendeur, et (1731) Marie Geneviève Aval puis (1751) Eve Catherine Schüssler – catholiques |
1772 | v | François Levrault, typographe puis imprimeur, et (1761) Anne Marie Eléonore Christmann – catholiques |
1793 | v | Abraham Jost, tonnelier, et (1788) Anne Marie Guthmann – luthériens |
1796 | v | Jean Georges Kolla, vitrier, et (1794) Reine Thérèse Müller |
1840 | v | (Emanuel) Auguste Beauvais, commis, et Stephanie Kappler |
1850 | v | Sébastien Ehrhardt, tailleur d’habits, et (1833) Françoise Elisabeth Hærtelmeyer |
1867 | v | Louis Charles Werling, directeur d’usine à Coblence, et (1862) Anne Julie Antoinette Ehrhardt |
1901* | v | Ville de Strasbourg |
Nouveau bâtiment, 1903
1902* | v | Charles Albert Wieger, architecte, et Marie* Burger |
Charles Frédéric Hœchstetter |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 350 livres en 1694, 800 livres en 1721, 1 100 livres en 1745, 1 000 livres en 1750, 1 500 livres en 1765
(1765, Liste Blondel) VI 17, M. Dubois
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 360, Kolla, Marie Thérèse, veuve rue du Parchemin 25 – maison, sol – 0,9 are / Kolla Georges
Locations
1733, Charlotte Elisabeth de Bernold née Rathsamhausen à la Pierre
1746, Jean Poulain, aubergiste Au bois de Boulogne, auparavant le tailleur Guérand
1748, Claude Le Riche, chirurgien militaire
1748 (sous-bail), Claude Villeman, manant et marchand de soie
1753, Jean Robert Christmann
1764, Jean Robert Christmann et François Georges Levrault, imprimeurs
1785, Joachim Berard, compagnon imprimeur, et Catherine Dalmer
1793, Jean Frédéric Ulrich, tonnelier et marchand de vins
1850, Auguste Alexandre Meneguin, marchand épicier
Préposés aux affaires foncières (Bauherren)
1731, Préposés aux affaires foncières (VII 1394)
Le tuteur des enfants du notaire Jean Adam Œsinger est autorisé à placer une marche devant une autre porte. Il retire sa demande de faire s’écouler sur le communal le tuyau d’un évier
H. Johann Adam Ösingers Erben, in der Judengaß gegen der dohrendechaneÿ hinüber
(f° 139) Dienstags den 24. Ejusdem [Aprilis 1731] H. Johann Adam Ösingers Erben
H. Johann Gottfried Plarr als Vogt Hn. Johann Adam Ösingers des geweßenen Notarÿ Erben, berichtet Mghh. daß dieselbe An jhrem Eckhauß in der Judengaß gegen der dohmdechaneÿ hinüber einen Waßerstein Nach auf das Allmendt Zumachen, und eine steinere staffel Von einer thür die Sie nicht Viel brauchen, hinweg zuthun, und Vor eine Andere Zulegen willens, daßwegen er umb erlaubnus bittet. Erkant augenschein
(f° 140-v) Mittwochs den 2. May 1731. seÿnd folgende Augenschein eingenommen word. H. Johann Adam Ösingers Erben
Ane Herrn Not. Johann Adam Ösingers Erben Hauß in der Judengaß Gegen der dombdechaneÿ oder Genannte Hennenberger hoff, An welchem Sie eine steinere staffel Von einer thür hinwegthun, und Vor die Andere Legen, den Waßerstein Nach aber, welchen Sie auf das Allmendt Zurichten willens weren, jnwendig im Haus machen wollen.
(f° 142) Dienstags den 8. May 1731. H. Johann Adam Ösingers Erben
H. Johann Adam Ösingers Erben begehren eine steinere staffel Von einer thür jhres haußes an die andere Zu Legen, ist Willfahrt.
1756, Préposés aux affaires foncières (VII 1407)
Le locataire Jean Robert Christmann est autorisé à agrandir son imprimerie en ouvrant une porte de communication vers la maison voisine qui appartient à l’aubergiste Jacques Jung
(f° 31-v) Sambstags den 31. Julÿ 1756. H. Lit. Johann Ruprecht Christmann
In Hn Lit. Johann Ruprecht Christmann des procuratoris beÿ E. E. Großen Rath hauß am eck der Jungfrauen gaß gegen der Judengaß, welcher umb erlaubnus gebetten eine 3. schuhe breit und 7. schuhe Hohe Communications thür in Jacob Jung des Krebswürths Hauß darneben Zumachen um mehrern Platz Zu einer Buchdruckereÿ Zuhaben, und dießes nur so lang, als er allda wohnen wird. Erkannt Willfahrt, Gegen 10. ß Zinß des Jahrs.
1775, Préposés aux affaires foncières (VII 1416)
La Ville fait poser un gradin devant la cave Levrault après avoir fait surélever le pavage
(f° 222) Dienstags den 4. Junii 1775) Hr Levrault
Da in der Judengaß das Pflaster erhöhet worden, als solle am Herrn Levraut behausung ein Kellerbanck gelegt werden
1777, Préposés aux affaires foncières (VII 1417)
Le maçon André Müller qui agit au nom de l’imprimeur Levrault n’est pas autorisé le 1 septembre 1777 à réparer l’encadrement de la porte parce que la maison a un encorbellement. Il est cependant autorisé à le réparer parce qu’il est abîmé le mois suivant à condition de ne pas faire d’autres travaux
(f° 245-v) Montags den 1. Septembris 1777 – Hr Levrault Buchdrucker
Idem [Mr Andreas Müller der Jünger, Maurer] nôe Hrn Levrault, des Buchdruckers, bittet zu erlauben an deßen behausung beÿ dem Rosenkranz gelegen die Thier Gewänd repariren zu laßen. Erkant, Weilen solche behausung einen Überhang hat, als seÿ der Implorant nomine quo abzuweisen.
(f° 260-v) Montags den 13. Octobris 1777 – Sr Levrault Buchdrucker
Idem [Mr Andreas Müller der Maurer] nôe Sr Levrault, des Buchdruckers, bittet zu erlauben an deßen behausung beÿm Rosenkranz gelegen das hausthur Gestell wieder Vest zu machen. Erkant, Willfahrt, auser diesem aber nichts weiters zu repariren.
1778, Préposés aux affaires foncières (VII 1418)
L’imprimeur Levrault est autorisé à reprendre le mur du rez-de-chaussée vers la rue des Pucelles et à modifier les gradins devant les soupiaux parce que le pavé a été rehaussé, à condition de ne pas faire d’autres travaux.
(f° 19-v) Dienstags den 10. Februarii 1778. – Hr. Levrault Buchdrucker
Hr. Levrault, der Buchdrucker bittet ihme zu erlauben an seiner behausung am Eck der Jungfrauen Gaß gelegen, auf Seiten der Jungfrauen Gaß unten die Maur zu unterfangen und wegen beschehener Erhöhung des Pflasters die bänck an den kellerlöchern zu verändern. Erkannt, mit dem ausdrucklichen anhang, daß sonsten nicht das mindeste gemacht werde, Willfahrt.
1785, Préposés aux affaires foncières (VII 1421)
Le maçon Sporer demande au nom de l’imprimeur François Levrault aux préposés de se rendre sur place pour être autorisé à remplacer une console dans le pignon en encorbellement dans le bâtiment à l’angle des rues. Ils constatent que la console est sortie de son appui suite à des travaux et qu’elle s’est fendue. Ils permettent de poser un étai pour éviter que le pignon ne s’écroule et donnent au propriétaire un délai pour renconstruire sa façade
(f° 271) Dienstags den 3. Maÿ 1785 – Sr François Levrault Buchdrucker
Mr Sporer der Maurer, nôe Herrn François Levrault, des Buchdruckers, bittet um einen Augenschein an seiner Behausung am Eck der Jungfrauen Gaß gelegen, wegen Einsetzung eines neuen tragsteins in seinen ausladenden Giebel. Erkannt, Augenschein.
(f° 276) Dienstags den 3. Maÿ 1785 – Sr François Levrault Buchdrucker
Weiter Wurde Augenschein eingenommen an Herrn François Levrault, des Buchdruckers Behausung am Eck der Jungfrauen Gaß gelegen, da sich befunden, daß ein steinerner Köpfer unter dem Überhang Versprungen, wodurch die innerhalb in der Giebel Maur dieses Gebäus gemachte Arbeiten die Tragstein des Überhangs aus dem Ruh Puncten gekommen, als sind dieselbe durch den Last, der darauf sitzende Giebel Maur und Überhang abgesprungen, dadurch der Überhang in Gefahr ein zu stürtzen gesetzt wird, Um nun Unglück Zu verhüten, wurde Erkannt, Seie sogleich durch Herrn Levrault der Last abspriesen Zu lassen, anbei demselben Zur Aufbauung einer neuen façade bis auf künftiges Früh Jahr Zeit an zu beraumen.
1786, Préposés aux affaires foncières (VII 1422)
Le maître maçon Müller demande au nom de l’imprimeur François Levrault l’autorisation de réparer le pignon entre ses deux maisons. Les préposés qui se rendent sur place constatent que le propriétaire souhaite fixer une barre de fer pour remplacer la console fendue jusqu’à ce qu’il puisse supprimer l’encorbellement. Ils autorisent le propriétaire à faire les réparations sous le contrôle de l’inspecteur Boudhors et accordent un délai de quatre ans pour reconstruire la façade.
François Levrault Buchdrucker am Eck der Jungfrauen Gaß
(f° 132) Dienstags den 8. Augusti 1786 – Hr François Levrault Buchdrucker
Mr Müller der Maurer, nôe Hrn François Levrault, des Buchdruckers, bittet zu erlauben an seiner am Eck der Jungfrauen Gaß gelegenen Behausung die Giebel Maur, so Zwischen seinen Zwei Häusern sich befindet, dem Überhang Zugleich au Rez de chaussée ausbeßern Zu laßen. Erkannt, Augenschein.
(f° 145) Dienstags den 26. Augusti 1786 – Sr Levrault Buchdrucker
An der Jungfrauen Gaß an Sr Levrault Behausung, woselbsten der Tragstein an der Giebel Maur unter dem Überhang abgesprungen und daher Zu Verhütung bevorstehenden Unglücks unterstützt worden, dermalen aber Herr Levrault besagten tragstein herausnehmen und die Giebel Maur Vermittelst einer eisern Stang in Sicherheit bringen möchte, bis Er gelegenheitlich den Überhang abschneiden laßen kan. Erkannt, Seÿe das Petitum annoch zu bedacht Zu bedacht gezogen.
(f° 165-v) Dienstags den 26. Septembris 1786 – Sr Levrault Buchdrucker
Sr Levrault, der Buchdrucker, bittet nochmalen ihme Zu erlauben, den versprungenen Tragstein unter der Giebel Maur ane dem Überhang seiner An der Jungfrauen Gaß gelegenen behausung herausnehmen und besagte Maur auf eine andere Art bevestigen zu laßen, Übergibt anbei schriftliche Soumission die Überhäng an besagter seiner Behausung in einer Von Meinen Gnädigen Herren beliebigst an zu setzenden Zeit wegmachen zu laßen.
Erkannt, Seÿe dem Herrn Imploranten Zu erlauben den versprungenen Tragstein an der Giebel Maur nach Herrn Bau Inspector Boudhors Vorschrift bevestigen Zu laßen. Anbei wird dem Herren Imploranten Zu abschneidung der Übergäng von dato an Vier Jahren Zeit anberaumt.
Description de la maison
- 1745 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un vestibule où se trouve la chaudière à lessive, la boutique et le comptoir à séparation en lattes, les deux étages renferment un poêle, une chambre à cheminée, la cuisine, le vestibule et une dépense, le vieux comble a deux greniers dallés, la cave est voûtée, le tout estimé à la somme de 2200 florins
- 1760 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un grand poêle, deux autres poêles, deux cuisines, deux chambres à cheminée à la française, deux dépenses, le comble a deux greniers dallés, la cave est voûtée, le tout estimé à la somme de 3000 florins
- 1840, rapport d’experts Cet immeuble consiste en un seul corps de bâtiment à rez de chaussée en maçonnerie et deux étages en galandure avec comble et trois greniers à couverture en tuiles doubles et dessus cave voûtée. Le rez de chaussée renferme un magasin avec arrière boutique, un corridor, une cuisine, un escalier et un magasin servant de bucher. Le premier étage renferme trois chambres dont deux avec armoires et une alcove et deux cabinets de décharge une cuisine, le corridor et l’escalier. Le second étage se compose de deux chambres dont une à alcove avec cabinet de toilette. Le corridor avec escalier et une cuisine. Le premier des greniers renferme deux chambres et six galetas ainsi que les lieux d’aisances.
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
4° arrondissement ou Canton Est – Rue du Parchemin (en partie)
nouveau N° / ancien N° : 40 / 26 bis
Kolla
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages médiocres en bois et avance sur 2 faces
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 25 f° 129 case 1
Kolla Georges veuve rue du parchemin N° 26.bis
Beauvais rue du parchemin N° 26.bis (subst. p. 1845)
O 360, maison, sol, R. du Parchemin 26
Contenance : 0,90
Revenu total : 153,47 (153 et 0,47)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 24 / 19
fenêtres du 3° et au-dessus : 2 / 2
Cadastre napoléonien, registre 26 f° 142 case 1
Ehrhard, Sébastien
1869 Werling, Louis Charles à Coblentz
1901 Strassburg die Gemeinde
O 360, maison, sol, Rue du Parchemin 9
Contenance : 0,90
Revenu total : 153,47 (153 et 0,47)
Folio de provenance : (129)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 24 / 19
fenêtres du 3° et au-dessus : 2 / 2
Cadastre allemand, registre 30 p. 331 case 2
Parcelle, section 25, n° 65 – autrefois O 360
Canton : Pergament-gasse Hs N° 2
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,96
Revenu : 1700
Remarques : ab 1904, Seite 334
1903, Abbruch
(Propriétaire), compte 35
Cadastre allemand, registre 30 p. 334 case 6
Parcelle, section 25, n° 102 / 65
Canton : Pergament-gasse
Désignation : Ortsweg
Contenance : 2,15
Revenu :
Remarques : zu Strasb. I (1905)
(Propriétaire), compte 1386
Strassburg d. Gemeind. f. ihre öffentl. Wege u. Gewässer
1909 Stadt Strassburg für ihre öffentl. Wege u. Gewässer
1952 Ville de Strasbourg pour ses chemins, places publ. et cours d’eau
(32)
Le sol de l’ancien n° 2 (parcelle 65, 0,96 are) est réuni à la voie publique (parcelle 102 / 65). Le nouveau n° 2 est construit sur le terrain de l’ancien 14, rue des Pucelles et une partie de l’ancien 4, rue du Parchemin.
Cadastre allemand, registre 30 p. 334 case 8
Parcelle, section 25, n° 104 / 64
Canton : Pergament-gasse N° 2 – Rue du Parchemin
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,99
Revenu : 2500 – 3100
Remarques : 1906 Neubau
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1916), compte 1419
Wieger Albert et son épouse et Graff Georges et son ép.
clos 1925
(Propriétaire à partir de l’exercice 1916), compte 3734
Wieger Karl Albert und Ehefr. geb. Burger
1921 Wieger Charles Albert architecte veuve Marie * Burger et descendants
(Propriétaire à partir de l’exercice 1935), compte 5898
Hoechstetter Charles Frédéric & son épouse
(2030)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton VI, Rue des Parcheminiers au bas de celle des Juifs (p. 278)
16
Pro. Levrault, François, Imprimeur – Echasses
loc. Levrault, Avocat General – Pelletiers
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Pergamentergasse (Seite 130)
(Haus Nr.) 2
Lehmann, Schneiderin. 1
Riff, Rentn. 2
Bohnert, Schneiderin. 3
Kleinlogel, Zuschneider. 4
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 949 W 38)
Rue du Parchemin 2 (1887-1994)
Le dossier concerne l’ancien n° 2 puis le nouveau à partir de sa construction (1902)
Le maire demande en 1895 au propriétaire de se conformer au nouveau règlement et de supprimer les volets qui s’ouvrent vers la voie publique au rez-de-chaussée. La Ville acquiert la maison en 1898 pour réaliser le projet d’élargir la rue et démolira le bâtiment, de sorte que les modifications ne sont pas nécessaires.
Les entrepreneurs Wieger et Graff sont autorisés en 1902 à construire un bâtiment de quatre étages à usage de commerce et d’habitation à l’angle de la rue du Parchemin et de la rue des Pucelles, en étant dispensés de prévoir une cour à cause de l’exiguïté du terrain. Ils démolissent l’ancienne maison en juillet 1903. Le gros œuvre du nouveau bâtiment est terminé en décembre 1903. La réception finale a lieu en août 1905.
Le local commercial au rez-de-chaussée est occupé par le marchand de fromages Charles Wolf puis (1939) son sucesseur Anatole Orth qui cède son fonds à la société SADAL en 1965. L’enseigne devient Corso en 1975. L’épicerie Remaitre occupe les lieux de 1986 à 1994.
Sommaire
- 1887 – L’agent de police Johannsen rapporte que les fosses d’aisances des maisons n° 2 et 6 rue du Parchemin débordent dans la cave Riedinger au n° 4 quand elles sont pleines – Les agents de la ville se rendent sur place et constatent que la fosse du n° 2 longe la cave du n° 4. Le maire écrit au propriétaire, Eugène Werling, domicilié 28, rue Finckwiller, qui fait vider la fosse.
- 1888 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du locataire Schmitt l’autorisation de faire une prise pour environ 8 becs au 2, rue du Parchemin – Autorisation
- 1890 – Le maire notifie Joseph Werling de faire ravaler la façade au 2, rue du Parchemin. Le maire refuse d’accorder le délai demandé. L’entrepreneur Emile Widmann (1, rue Saint-Louis) demande l’autorisation de réparer le crépi – Autorisation – Travaux terminés, novembre
- 1895 – Le maire demande au propriétaire de se conformer au nouveau règlement et de supprimer les volets qui s’ouvrent vers la voie publique au rez-de-chaussée (7 volets) et au sous sol (4 volets). Le propriétaire répond qu’on lui a fait des offres d’achat pour élargir la rue du Parchemin. La Police du Bâtiment accorde un an de délai. Rappel, 1898. En note, la Ville a acquis la maison pour le projet d’élargir la rue, elle entrera en jouissance en 1900 et démolira le bâtiment, de sorte que les modifications ne sont pas nécessaires.
- 1902 – Nouvelle construction sur le terrain 2, rue du Parchemin par Wieger et Graff. La voie publique n’est pas encore occupée, décembre 1902. Le bâtiment en construction ne donne pas lieu à occupation de la voie publique, février 1904.
1902 (décembre) – L’entrepreneur E. Wieger (30, rue du faubourg de Pierre) demande l’autorisation de construire un nouveau bâtiment à l’angle de la rue des Pucelles et de la rue du Parchemin
Les entrepreneurs Wieger et Graff sont autorisés à construire un bâtiment de quatre étages à usage de commerce et d’habitation à l’angle de la rue du Parchemin et de la rue des Pucelles. Comme le terrain a une largeur de 15,20 mètres, une surface inférieure de 100 mètres carrés et que les pièces d’habitation recevront toute la lumière de la rue, le bâtiment est exempté de cour. – Dessins (plan de situation, élévations et coupe, plan des différents niveaux)
En marge, suivi des travaux. Pas de travaux, janvier 1903. Le bâtiment est en cours de démolition, juillet et août. Les fondations sont commencées, début septembre. La maçonnerie atteint le niveau du sol, fin septembre. La construction suit l’alignement légal. Les travaux en sont au deuxième étage, octobre, le quatrième étage est terminé, novembre. La réception du gros œuvre a lieu le 22 décembre, la Police du Bâtiment ne relève pas de défaut.
1904 (mai) – L’échafaudage n’est pas fixé de façon réglementaire lors du crépissage – Les menuisiers travaillent en avril puis les peintres en juillet. Les travaux intérieurs restent à faire au rez-de-chaussée. L’entrepreneur demande en septembre 1904 la réception qui a lieu le 28 septembre. La réception finale a lieu en août 1905. - 1905 – Le tailleur d’uniformes Scheidweiler demande l’autorisation de poser une enseigne sur verre – L’enseigne est posée, novembre
- 1927 – Julien Dol (réparations de voitures, 12, rue des Pucelles) demande l’autorisation de poser une enseigne au 2, rue du Parchemin – Autorisation
- 1915 – Commission des logements militaires. Rien à signaler
- 1931 – Alfred Kieffer demande l’autorisation de poser une antenne de T.S.F. entre le 2 et le 7, rue du Parchemin – Croquis – Autorisation
- 1939 – Successeur de Charles Wolf, le marchand de fromages Anatole Orth demande l’autorisation de poser un store – Autorisation
1949 – Le même demande l’autorisation de fixer une inscription sur lambrequin (Moutarde Amora de Dijon) – Autorisation - 1955 – Anatole Orth est autorisé à occuper la voie publique pour repeindre la devanture
- 1963 – La brasserie de l’Espérance (société anonyme dont le siège se trouve à Schiltigheim) est autorisée à poser une enseigne lumineuse à double face à la fromagerie Orth – L’enseigne n’est pas posée.
- 1965 – Anatole Orth informe la Police du Bâtiment qu’il a cédé son fonds à la société SADAL à compter du 30 août
1965 – La Société d’Alimentation D’Alsace et de Lorraine (102, route des Romains à Kœnigshoffen) transfère son magasin du 26, rue des Juifs au 2, rue du Parchemin et demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse – Autorisation – Deux stores sont posés - 1975 – La Police du Bâtiment constate que le magasin Corso a posé sans autorisation une enseigne lumineuse à double face – La société SADAL (20, rue des Champs à Eckbolsheim) dépose une demande pour deux enseignes (enseigne lumineue et enseigne drapeau). Photographie – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable à l’enseigne drapeau – Autorisation pour l’enseigne lumineuse – La société SADAL dépose l’enseigne non autorisée
- 1980 – Le maire demande au propriétaire Claude Fricker, de Riedisheim, de faire ravaler les façades. L’architecte Boursin transmet un dossier en vue d’obtenir une subvention de la Ville (devis de crépissage et de peinture, photographies) – L’architecte des Bâtiments de France puis la Police du Bâtiment autorisent l’entreprise Bernar (route de Colmar) à poser un échafaudage. – L’entreprise Jacques Pariente (72, avenue des Vosges) est autorisée à crépir et à peindre la façade – La Ville accorde une subvention (décembre 1981)
1981 – Le propriétaire Fricker qui fait ravaler la façade demande à la Police du Bâtiment d’intervenir pour faire rouvrir une devanture condamnée par le locataire. La Police du Bâtiment déclare que l’affaire ressortit du droit privé - 1986 – L’épicerie Remaitre demande l’autorisation de poser un store – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation – Le store est posé
1989 – La même demande l’autorisation de poser une inscription sur lambrequin (Epicerie fine Remaitre) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation – Le lambrequin est posé
1990 – La même demande l’autorisation de poser deux lanternes – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation – Les lanternes sont posées
1994 – Le liquidateur de l’affaire informe la police du bâtiment que les créanciers chirographaires ne percevront pas de dividende
Relevé d’actes
Propriétaire de la maison dans les années 1620, le tonnelier Martin Ebinger originaire d’Altenriet en Wurtemberg près de Tübingen épouse en 1601 Madeleine Deck, fille du maître de la Grue. Il devient bourgeois quelques jours plus tard.
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 90, n° 28)
1601. Dominica 10. Trinit. Martin Ebing. ein Kiefer Bastian Ebing. eines baursmanns selig Zu Alten Riedner wirten berg landt beÿ Tübing. nachgelaßener Sohn, vnd J. Magdalena M. görgen Decken des Küefers vnd Kranmeisters alhie tochter. Confirmatio facta die 25 Mensis Augusti (i 97)
1601, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 800
Martin Ebinger vonn Alttenrieth Inn Baÿern der Küeffer empfahet d. Burg: Von Magdalen Deckin Georg Decken deß Granmeisters dochter seiner haußfr. will Zun Küeffern dienen vnd. sein nahrung für 100 f. angeben. Act. 3. Sept. [1601]
Il se remarie avec Marguerite Linder, veuve du tisserand en laine Wiegand Barthel qu’elle a épousé en 1605
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 96-v, n° 25)
1605. Hans Wigand Bartel der Wullenweber vnd J Margritta Wendling Linder des Wullenwebers tochter.14 Martÿ (i 99)
Martin Ebinger passe au nom de sa femme Marguerite Linder, héritière de sa fille Elisabeth Barthel décédée femme du boulanger Daniel Deuss le jeune, un accord avec Daniel Deuss le vieux agissant pour son fils Daniel Deuss le jeune qui a quitté la Ville
1629 (17. Decemb:), Chambre des Contrats, vol. 465 f° 794
Erschienen weÿ: Elisabeth Bärtlerin Daniel Deüßen deß Jüngern weißbecken alhie haußfrawen see: nachgelaßener Erbin vnd Mutter Margreth Linderin ietziger Eheuogt Martin Ebinger der Küeffer Auch burger Zu St. An einem,
So dann Daniel deüß der Elter vnd burg. alhie in namen vnd von wegen seines ietzmahlen in die frembde verzogenen sohns Danielen obgedacht, Am 2. theil
Zeigten an, demnach in ihr Bärtlerin see: durch Daniel Strintzen den eltern Notm. den 29. Julÿ nechstin vffgerichtem Inventario sich befunden, daß die Theilbare schulden Auß dem Erb Zugeltend die Theilbare Narung vmb 326. lb 8 ß 10 d vbertroffen, vnd sie beede parten wegen einsen Vnueränderten guths Ergäntzung vor einem Ers. Kleinen Rhat in etwaß streit gerathen, Alß heten sie sich in beÿsen und durch gepflogene Verhandlung der Ehrenvesten fürsichtig. vnd weißen herrn Daniel Wÿden vnd herrn Steffan Gaßners alß vß vorehrengedachts Kleinen Rhats mitel hierzu insonderheit erbetener herren mit einander güetlichen dahin verglichen (…)
Martin Ebinger se remarie avec Susanne Heinrich, veuve du péager Simon Krieg qu’elle a épousé en 1612
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 84)
1636 Dominica Quasi Modo geniti et Misericord. D. Martin Ebinger der Khieffer v. burg. alhie vnd fraw Susanna, W. herrn Simon Kriegen deß Wasserzollers nachgel. Eheliche Witwe. Cop. Montags d. 2. May zu S W. (i 286)
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 155-v, n° 43)
1612. Dominica XXIIII. Trinit. 22. Nouemb. Simon Krieg der Jüng ein Schifknecht J. Susanna, Hanß Heinrich genant Jung Hanß des Schiffmanns selig nachgelaßene tochter. Eingesegnet (i 160)
Martin Ebinger le vieux passe un accord avec Anne Bissigner, héritière testamentaire de l’assesseur au Grand Sénat Pierre Heyd, au sujet de sommes garanties sur sa maison dite au Coin doré (zum guldenen Eck) sise rue des Juifs face à la cour de Hennenberg
1637 (28. Septembris), Chambre des Contrats, vol. 478 f° 748
Erschienen Martin Ebinger d. Elter Küeffer und burger Zu St. An einem,
So dann weÿ: Annæ Bissingerin see. Testamentarius Peter Heÿd, großen Rhats v.wanter Am 2. theil, Zeigten an,
demnach Ebinger die 55. lb d so noch an 75. lb hauptgut vßgestand. und Er solche vermög eines und. hanß Caspar Hecker Schöffen Zue hagenaw Insigel den 7. Januarÿ Anno 1597. vfgerichteten brieff, Jährlich vff Trium Regum, von, vff vnd abe seinem hauß alhie iin d. Judengaß. gegen dem Hennenberger hoff vber gelegen, und Zum guldinen Eck gnt. v.zinßt den 8. Augusti Anno 1622. mit damaligen hohen gelt erlegt und Abgestoss., Alß heten sie sich, nach maß alhieiger vber die Nachträg v.faßten instruction mit einand. dahin v.glich daß Er Ebinger besagter Bißingerin Erben An guten ietziger Zeit gäng und gibige gelt 27. lb. nachzutragen
Sébastien Ebinger, fils de feu Martin Ebinger, hypothèque sa moitié de maison dite au Coin doré (zum guldenen Eck) sise rue des Juifs face à la cour de Hennenberg au profit de Raoul Würtz, assesseur au Grand Sénat
1638 (22. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 480 f° 882
Erschienen Bastian Ebinger der Kannengüeßer, weÿ: Martin Ebingers deß Küeffers burgers Zu Str. nachgelaßener Sohn, mit beÿstandt hanß Caspar Decken deß Paßmentmachers alhie seines noch ohnentledigten Vogts
hat in gegenwärtigkeit herrn Rudolff Würtzen Alten großen Rhats Verwanthen alhie bekannt – schuldig seÿen 100. lb
dafür in specie Vnderpfand sein soll der halbe theil, ihme Bekenner für vngetheilt gebürend Ane hauß und hoffstatt auch allen and.en ihren gebäwen & gelegen in der Statt Str. oben an der Jungfrawen gaßen, ist einseit ein Eck (.und würdt auch Zum Guldin Eck genannt.) gegen dem Hennenberger hoff, anderseit neben deß Chors hoher Stifft Straßb. Behaußung, hinden vff herrn Frantz Camelen den Schaffner im Bruderhoff stoßend gelegen, daran der Vberig halb theil Michel Kecken deß Küeffers mit Anna Ebingerin see. erzeugtem Söhnlein Zuständig, welches hauß Zuuor verhafftet vmb 50. fl. Nachtrag N.N
Les deux héritiers de Martin Ebinger, à savoir son fils Sébastien fondeur d’étain et son petit-fils Michel Keck fils du tonnelier Michel Keck et d’Anne Ebinger, passent un accord avec Susanne Heinrich, veuve de Martin Ebinger, en garantissant la somme sur leur maison rue des Juifs face à la cour de Hennenberg
1640 (13. febr.), Chambre des Contrats, vol. 485 f° 119-v
Erschienen weÿ: Martin Ebingers deß eltern Küeffers see: Erben, mit namen Sebastian Ebinger der Kannengüeßer für sich selbsten vnd Michel Keck der Küeffer innamen seines mit Anna Ebingerin see: ehelich erzeügten Söhnleins Michels, Alß deß verstorbenen Sohns vnd Enckels
habe in gegensein Susanna Heinrichin mehrgemelten v.storbenen Ebings see: witiben mit beÿstand Andreß Henrichen groß. Rhats Verwanthen ihres Brudern und vogts bekannt, daß Sie derselben An den 500. lb so mit ihr sie die Erben vermög deß in vlert.en Ebingers see. durch Caspar Medler den Notm. den 9. Julÿ A° 1638. vffgerichtetem Inuentario fol. 7. einuerbeibten v.trags verglich. worden (…)
dafür in spê. Und.pfand sein soll hauß und hoffstatt mit allen and.en ihren gebäwen & alhie und. gegen der Jud. gaß. ist j.seit ein Eck gegen dem hennenberger hoff vber, 2.seit neben ein hauß im Bruderhoff gehörig, hind. vff H. Heinrich Kehrlens gewesenen Würths s: zum Gertenfisch Kindern stoßend, so zuuor v.hafftet vmb 27. lb Peter Heidt dem Kürschner sonst eig.
Sébastien Ebinger cède sa moitié de maison au tonnelier Michel Keck [son beau frère moyennant 250 livres]
1642 (20. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 489 f° 628-v
(Prot. fol. 217) Erschienen Bastian Ebing. der Kantengießer
Michael Keckhen dem Kieffern
den halben theil Ihme Verkäuffern für ohnfetheilt gebühren ahne hauß, hoffstatt mit allen deren gebäwen Zum theil in der Jungfrawen und Zum theil in d. Pergamenten Gaß gegen dem Hennenberg. hoff, ist ein Eckh ahn der besagten beed. Gaß. gegen der Judengaß. und hennenberg. hoff neben weÿl. hannß Henrich Kährlin deß Würthß Zum Gertenfisch seel. Erben, ein und and. seit neb. einem hoff hauß in den Bruderhoff gehörig, hind. vff diße beede häußer stoßend gelegen – umb 250 Pfund
Originaire de Bodersweier (près de Kehl), Michel Keck épouse Anne Ebinger en février 1634 et devient bourgeois un mois plus tard
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 51)
1634. Michel Keck ein Kieffer, Lorentz Kecken burgers Von Bottersweiher ehelicher Sohn, Vnd J. Anna H Martin Ebingers Kieffers vnd burgers alhie eheliche Tochter Copulata It. 24. Februarÿ Zu S. Wilhelm (i 270)
1634, 4° Livre de bourgeoisie p. 137
Michael Keck der Kueffer von Gottesweÿher Empfangt d. Burgerrecht Von seiner frawen Martin Ebingers deß Küeffers Eheliche Tochter Will Zu den Kuffern dienen den 24. Martÿ A° 1634.
Michel Keck se remarie en 1638 avec Judith Zittelin, fille de tonnelier
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 124) 1638. Michel Keck der Khieffer vndt burg. Alhie vndt Jungfraw Judith weÿlandt Hannß Zittels deß Kieffers vndt Burgers Alhie nachgelaßene eheliche Tochter (i 346)
Michel Keck meurt en 1672 en délaissant un fils de son premier mariage avec Anne Ebinger et deux fils issus de sa veuve Judith Zittelin. Les experts estiment 400 livres la maison dont le défunt a acquis la moitié de son beau frère en 1642 et l’autre moitié dans la liquidation des biens du grand-père de son fils aîné en 1662. La masse propre à la veuve est de 126 livres, celle des héritiers de 97 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2714 livres, le passif à 47 livres.
1672 (14.2.), Me Boeller (Jean Jacques, 3 Not 5) n° 239
Inventarium undt Beschreibung Aller d. Jenig. Haab Nahrung undt güeth. liegend. undt Vahrend. v.ändert undt. Unverändert, keinerleÿ außgenommen, so weÿl. d. Ehrenveste vndt wohlvorgeachte Herr Michael Keckh Küeffer und burg. alhier, auch E: E: Stattgericht gewesener Alter Assessor, beÿ seinem d. 14.ten tag nechsthin gewichenen Monats Januarÿ beschehenen seel. Ableÿben, Zeitlichen v.laß., so vff erfordern v. begehren der Ehrenhafften undt bescheÿdenen Michael Keckhen Küeffers undt burgers alhier deß Verstorbenen seel. in erster Ehe mit Frawen Annæ Ebingerin ehelich erzeugt. Sohns, Mehr Johannes und Lorentz Kecken deß abgeleibt. mit hernach gemeldt. seiner hinterbliebenen Fr. Wittib ehelich erziehlten Zweÿ. Söhn, deren geschwornene Vogt der Wohl Ehrenveste Fürsichtig und weiße herr Johannes Andreas v. Veßenh. E. E. Groß. Raths beÿsitzern Aller dreÿ sein deß v.storbenen herrn seel. ab intestato hind. laßener Erben jnventirt, durch die Viel Ehren und Tugendreiche Fr. Judith Zittelinin deß Verstorbenenn seel. hind.bliebene wittib – Actum v. angefang. den 14.ten Febr. Anno 1672.
In einer in d. Statt Straßb. geg. dem Hennenberg. hoff gelegenen vndt hernach beschriebenen Behausung hat sich befund. wie volgt.
Ane haußrath Vff der ohneins öbersten Bühnen, Vff d. dritten Bühnen, In der Cammer A, In d. Obern Stuben, In d. Ob.en stub Cammer, In d. Vndern Wohnstuben, In d. Wohnstub Cammer, In der Cammer B, Im Nebens Cämmerl., Vor der Cammer B, In d. Kuch., Im Conthörl.
Eÿgenthumb ane häußern (T) Erstl. eine behaußung sampt Ihren Zugehörig. Recht. und Gerechtigkeit, alhie in d. St. Straßb. beÿ d. Jfr. Gaß. geg. dem henneberg. hoff hinüb. geleg. von Alters her Zum Guldenen Eck genandt, Vnd ist ein Eck, theils ane besagter Jfr. gaß, theils an d. Pergament. gaß. einseit neben einer behaußung in deß brud. hoffs Stifft gehörig, and. seit neb. Hanß Joachim Kammen dem Gerb. v. Led. breith. et Consorten, hind. vff erstbesagt. Kammen et Consorten Ziehend, ist freÿ, ledig und eÿg. und sampt 8. ungleich. alt. Vaß so in d. Keller gemacht undt beÿ dem hauß v.bleiben sollen æstimirt per 400. lb. Darüb. besagt j. pergam. brieff außweißend, welch. gestaldt. f. v.storbene seel. d. halb. Theil dießer Behausung v. Sebastian Ebingern dem Zinngießer Zu eÿg. erkaufft mit d. St. Straßb. Contr. Insigel v.wahrt datirt d. 20. Aug. 1642. den übrig. halb. theil dießes haußes hat Er d. Agbeleibte seel. v. Michel Kecken seinem Sohn Erster Ehe beÿ Außweißung deßelben Groß Vätterlich. Guths in A° 1662. d. 13. Martÿ ane sich eÿg. erkaufft.
(T) It. hauß, hoffstatt, höfflin mit seinen begriffen, Recht. v. Zugehörd. alhier im Creützgäßel (…)
Eigenthumb ane einer Brennhütt. (T) It. j. Brennhütt mit d. Gebäwen v. Zugehörig. Recht. geleg. nahe beÿ d. Spitahl mühl (…)
Eÿgenthumb ane Einer behauß. d. Fr. wittib unverändert (W) Hauß, hoffstatt sampt seinen Zugehörig. rechten v. gerechtigkeit gelegen vnden ane Bruderhoff gaßen (…)
Abzug in dis. Inventarium Erstlich d. Fr. wittib Unverändert guett. Sa. haußraths 49, Silbers 6, Guldener Ring 11, baarschafft 11, Eÿgenth. eines haußes 25, Erg. der Unverändten guets 22, Summa summarum 126 lb
Der Erben Guett, Sa. haußraths 9, Sa. Eÿgenthumb ane liegend. güethern 62, Erg. 25, Summa summarum 97 lb
Theÿlbar Guett, Sa. haußraths 96, Sa. Früchten 39, Sa. Weinß, Eßigs v. brandtenweins, wahren gemacht v. vngemacht arbeit, auch werckzeug Zum Kieffer handwerck gehörig 133, Silber geschirr und geschmeids 36, baarschafft 1087, Pfenningzinß hauptg. 166, Eÿgenthumb ane häußer v. j. brennhütt 585, Schulden 31, Summa summarum 2714 lb – Schulden 47, Nach deren Abzug 2657 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 2890 lb
Lors du partage de la succession, la maison face à la cour de Hennenberg revient à Jean Keck
1672 (21.2.), Me Boeller (Jean Jacques, 3 Not 5) n° 240
Zuwißen, demnach uff seeliger Ableÿben weÿl. deß Ehrenvesten vndt wohlvorgeachten Herrn Michael Keckh, gewesene Küeffer vnd burgers alhier (…) Actum vndt angefang. Vff Mittwoch den 21.ten Febr. A° 1672.
Vergleichung d. Häuß. Erstlichen So ist d. hauß gegen dem Henneberg. hoff in Straßb. hinüb. geleg. mit sampt Vaß. so im Keller gemacht, Item einem trägstuel mit seiner Zugehördt, mehr Einen Kieffer Karch. Ein langen Trüchelrohr, wie auch etlichen nußbäumen diehlen v. flaßreÿffen, so sich im hauß im Crützgäßel befind. beÿ des V. d. fr. wittib, wie auch den überig Erb. V. dero herrn Vögten, Johanni Kecken dem einen Sohn käufflich cedirt worden p. 400. lb
Jean Keck épouse en 1672 Anne Marie Heydel, fille de jardinier
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 230-v, n° 28)
1672. Dom. Trinit. 16.Iunÿ. Johannes Keck den Küeffer weÿl. Hn Michael Kecken deß Küeffers vndt Burgers allhie nachgelas. ehelichen Sohn Vndt Jfr. Anna Maria hn. Paul Heÿdel des Gartners Vndt Burgers allhie eheliche Tochter. Copulavi Mittw. 27. Junÿ (i 243)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports où figure la maison dite au Coin doré (zum guldenen Eck) sise rue des Juifs face à la cour de Hennenberg. Les apports du mari s’élèvent à 1 066 livres, ceux de la femme à 309 livres.
1672 (31.7.), Me Boeller (Jean Jacques, 3 Not 5) n° 254
Inventarium vndt Beschreÿbung Aller der Jenig. Haab, Nahrung und Güetherz, so d. Ehren und Vorgeachte H. Johann Keck, Küeffer, undt die Ehren und Tugendsame Fraw Anna Maria Heÿdelin, beede Eheleuthe undt burgere alhier Zu Straßburg, einand. in den Ehestand Zugebracht, welche der Ursach. halben, allweilen in deroselben Ehepactis expresse versehen, daß einem jeeden das Seinige Vor unverändert reservirt und was vff d. fall alienirt sein würde, widerumb restituirt und ergäntzt werd. solle – Actum in præsentia Frawen Judith Keckin, sein deß Manns: undt H Paul Heÿdels des Garttners Hfr. Jr der Frauen Mutter, Vff Mittwoch den 31. Julÿ Anno 1672.
Bericht ane statt d. Passivorum. (M.) Heüt dato beÿ dieß. Inventation hat H. Johann Keck seiner Fraw Mutter ane schuldig. 150. lb j. ß j. d weg. Käufflich angenommenen haußes baar Zakt 100. ß (…)
Eÿg.thumb ane einer Behaußung (M.) It. j. behaußung sampt Ihren Zugehörig. Recht. und Gerechtig Keit, geleg. allhier in d. St. Straßb. beÿ d. Jfren. Gaß. geg. dem hennenberg. hoff hinüb. v. Alters her Zum Guldenen Eck genandt, Vndt ist ein Eck, theils ane besagter Jungfr. gaß, theils an der Pergament. gaß. 1. s. neb. einer behaußung in deß brud. hoffs Stifft gehörig, anderseith neb. Hanß Joachim Kammen dem Gerb. v. Led. breith. et Consorten, hind. vff erstbesagt. Kammen et Consorten Ziehend, ist freÿ, ledig und eÿg. undt sampt 8. ungleich. alt. Vaß so in d. Keller gemacht æstimirt p. 400. lb. Darüb. besagt j. pergam. brieff außweißend, welch. gestalt. H. Michael Keck sein H. Joh: Keckh vatter seel. d. halb. Theil dießer Behausung v. Sebastian Ebing.n dem Zinngießer Zu eÿg. erkaufft, mit d. St. Str. Contract Insigel v.wahrt datirt d. 20. Aug. 1642. den übrig. halb. theil dießes haußes hat Er H. Michael Keck seel. v. Michel Kecken seinem Sohn Erster Ehe beÿ Außweißung deßelben Groß Vätterlich. Guths in A° 1662. d. 13. Martÿ ane sich eÿg. erkaufft. Vndt hat Er herr Johann Keck solche behaußung beÿ mehrgedachten H. Michael Kecken seines Vatters seel. Verlaßenschafft Abtheÿllung in obigem pretio seiner Fr. Mutt. v. beeden Gebrüedern käufflichen acceptirt v. angenommen
Summarische Berechnung gegenwärtig. Inventarÿ. Des Manns Zugebracht gueth. Sa. Haußraths 106, Frucht 21, Wein, Eßig vnd Branthenweins 243, Vaß, holtz und Taug, auch werckzeugs zum Küeffer handwerck gehörig 109, Silber geschirr und Geschmeids 13, Baarschafft 101, Pfenningzinß hauptgüter 37, Eÿgenthumbs ane einer behaußung 400, Eÿgenthumbs ane liegenden güthern 31, Schulden 3, Summa summarum 1066 lb
Der Frawen Nahrung, Sa. haußraths 106, Seilbers 19, Guldener Ring 11, Baarschafft 122, Pfenningzinß hauptgüter 50, Summa summarum 309 lb
Jean Keck meurt en 1694 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison au Coin doré 350 livres. La masse propre à la veuve s’élève à 4 506 livres, celle des héritiers à 2 653 livres. L’actif de la communauté s’élève à 5 167 livres, le passif à 3 057 livres.
1694 (17. 7.br), Me Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 20) n° 30
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güttere, so Weÿl. der Ehrenvest vnd Hochachtbare Herr Johannes Keckh, geweßener Küffer und E. Löbl. Policeÿ Gerichts wohl ansehnlicher beÿsitzer nunmehr seel. nach seinem den dritten Junÿ Jüngsthien aus dießer Welt genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehrenvest, Fürsichtig und wohlweißen herrn Michael Keckhen E. E. Großen Raths alten beÿsitzers burgers alhier, als geordnet und geschwornen Vogts Jungfrawen Margarethæ, Annæ Mariæ Vnd Johannis der Keckhen dreÿer Geschwüsterd, deß Jetz abgeleibten hern seel. mit hernach gemelter seiner hinderbliebenen Wittib Ehelich erzeügter Kinder und zu dreÿen portionen und antheilern ab intestato nachgelaßener Rechtsmäßigen Erben, Vorgenommen, ersucht und inventirt durch die Viel Ehren und Tugendreichen Frau Annam Mariam Keckin gebohrne Heÿdelin die hinderpliebene Wittib mit assistentz deß Ehrenvest und Vorgeachten herrn Abraham Heÿdels deß ältern Garttners Vnderwagner und burgers allhie, ihres ein bruders und Geschwornen Vogts – Actum Freÿtags den 17.ten Septembr. 1694
Copia Heuraths Verschreibung, p.ge in Prot. C. fol (-)
In einer allhier Zu Straßburg ane der Judengaß ohnfern dem Rooßenkrantz, gelegener v. in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie Volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der Mittlern Bühn, Auff der Undern bühn, In der obern Stuben, In der Stub Cammer, In der Soldaten Cammer, Vor dießer Cammer, In der mittlern stub, Im Conthor, In der Stub Cammer, In der Haußcammer, Im Haußöhren, In der Kuchen, In der undernstub, In der Küchen, In der behaußung Im Creütz Gäßlein, Im Gartten häußlein
Eÿg.thumb ane Häußern. So durch der Statt Straßburg geschwornen Werckleuth Vermög überreichter schrifftlicher Abschatzung, volgender gestalt æstimirt worden.
(W.) Item Hauß, hoff, hoffstatt v. bronnen, mit allen anderen Ihrne gebäwen, begriffenn Weiten, rechten, Zugehörden vnd Gerechtigkeiten, Gelegen alhierin der Statt Straßburg, beÿ dem Roßmarckh in der Krebßgaß. (…)
Item der halbe theil für ungetheilt an einem hauß Vnd hoffstatt in der Vorstatt Straßburg im Grünen bruch, beim hundtshoff in einem nicht durchgehenden Gäßlein (…)
Item Eine behaußung hoff und hoffstatt in Gedachter Vorstatt Straßburg im Grünen bruch (…)
(E.) Item Eine behaußung vnd hoffstatt mit allen dero Zugehörden, Rechten v. Gerechtigkeiten gelegen alhier in der Statt Straßburg beÿ d. Jungfrauen Gaß. Gegen dem hennenberger hoff hinüber, von Alters her Zum Guldenen Eckh Genandt, Vnd ist einseit ein Eck ane der Pergamenter Gaß. anderseith neben einer behaußung d. Stifft deß bruderhoffs gehörig, hinden vff Maximilian Kicken den Küeffer stoßend, so freÿ, ledig, eigen, angeschlagen per 350. Darüber sagt j. perg. brieff außweißend, welcher gestalten H. Michael Keckh des verstorbenen Vatter seel. den halben theil dießer Behausung von Sebastian Ebingern dem Zinngießer Zu eigen erkaufft, mit d. St. Str. anh. Contract Insigel verw. datirt d. 20. Aug. 1642. den übrig. halben theil hat derselbe von seinem Sohn Erster Ehe beÿ Außweißung deßelben Groß Vätterlich. Guttes in A° 1662. d. 13. Martÿ ane sich Zu eig. erhandelt, Worüber noch 3. vnd. schiedlene Perg. Kauff v. Zinßbrieff vorhanden.
(E.) Item hauß vnden ane der Bruderhoffs gaßen (…)
(E.) Item hauß, hoffstatt, höfflein in dem Creütz Gäßlein gel. (…)
(T.) Item Ein Leere hoffstatt, so nunmehr Zu einem Gartten Gemacht worden im Grünen Bruch (…)
(T.) Item dreÿ Vierte theil für Vngetheilt von v. ane hauß v. hoffstatt sampt allen dero Zugehörigen Rechten Vnden ane der Bruderhoffs Gaßen (…)
Ergäntzung der Erben ermanglend. Unveränderten Gutts. Vermög deß über beÿd. Geweßener Eheleuth un dieße Ehe Gebrachte unveränderte Nahrung, durch H. Johann Jacob Böllern Notm. vnd Jetzmahligen Großen Raths beÿsitzern den 31. Julÿ A° 1672. auffgerichteten Inventarÿ
Vermög eines über Weÿl. Frawen Mariæ Heÿdelin gebohrner Burgerin, Hn Paul Heÿdels geweßenen Ehelicher haußfr. alß der Fr. Wittib lieben mutter seelig Verlaßenschafft durch H. Johann Thoman Tromers den Notarium in A° 1675. auffgerichteten Theil Registers ist ferner Zu ergäntzen wie volgt (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Fraw wittib unverändert Vermögen betr. Sa. haußraths 188, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 110, Sa. Guldener Ring 63, Sa. baarschafft 83, Sa. Eigenthums ane häusern v. Gartten 900, Sa. Liegende güther 620, Sa. beßerung ane lehengüthern 8, Sa. Gülth von liegenden güthern 6, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 733, Ergäntzung (1890, Abzug 97, remanet) 1793, Summa summarum 4506 lb
Der Erben unveränderte Nahr. Anlang. Sa. haußraths 117, Sa. Werckzeugs Zum Küffer handwerck gehörig 30, Sa. leeren Vaß 14, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 30, Sa. Guldenen Ring 8, Sa. baarschafft 446, Sa. Eigenthums ane häußern 581, Sa. Eigenthums ane liegende güthern 30, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 129, Ergäntzung 1263, Summa summarum 2653 lb
Das Theilbahr Gutt betr. Sa. haußraths 135, Sa. Reÿff vnd band zum Küeffer handwerck gehörig 38, Sa. Frucht 63, Sa. Wein, Eßig, brandewein,v. Leerer Vaß 396, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 69, Sa. Guldenen Ring 8, Sa. baarschafft 1476, Sa. Eigenthumbs ane häußern 145, Sa. Pfenningzinß hauptgütter 1833, Sa. Schulden 1002, Summa summarum 5167 lb – Schulden 3057 lb, Nach deren Abzug 2110 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 8828 lb
Wÿdemb Welchen Fr. Ursula gebohrne von Simbßheim weÿl. Hn Paul Heÿdels Geweßenen Garttners ane Steinstraß seel. hinderlaßene wittib als der Fr. Wittib Stieffmutter, von gedachtem H. Heÿdel ad dies vitæ genüeßtn davon aber das Eigenthumb der fraw wittib für unverändert Zuständig v. verfangen (…) und in deßen Verlaßenschafft Inventario de A° 1692. fol: 206. et 207. weitläuffig beschrieben
Ungewiße Pfenningzinß hauptgüter So der Fr. Wittib unverändert 192, Zweiffelhaffte Schulden in das Erbe zugeltend 35, Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüter hauptgütter 346, Ungewiße und Zum theil für verlohren geachte Schulden in das Erb zugeltend 303 lb
Abschatzung dienstags d. 24.ten Augusti 1694. (Judengaß) Weillandt deß Ehren haften Vnd beschaidennen herrn Johannes Keckh burger Vnd Kieffers Se: hinderlaßene fraw Wittib Vnd Erben behausungen alhier in der Statt Straßburg Vnd Erstlich die Wohn behaußung Vnder Ein Eckh ane der Juden gaßen gegen dem hänenberger hoff über, Ein seitzes Neben Maximillian N dem Kieffer ander seitzes einer behaußung del thom Capitell Zu gehörig, welche behausung Sampt Werckstatt auch aller dero begriff recht Vnd gerechtigkeit wie solches in der besichtigung durch die geordnete Werckh leithe befunden und dem Jetzigen preiß Vnd Wahrt Nach angeschlagen Vor Vnd Vmb Siben hundert Gulden
Bezeigens der Statt Straßburg geschwohrne Werckhleithe, Joseph Lauttenschlager Werckh Meister deß frawenwerckhs, Johannes Feÿlotter Werck Meister deß Zimmerhoffs, Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs.
Propriétaire de la maison, le notaire Jean Adam Œsinger demande le 20 mars 1696 à conserver le droit qu’avait sa belle-mère Anne Marie Keck de servir de l’eau-de-vie et du vinaigre. Il quitte la tribu des Maréchaux pour s’incrire à celle des Tonneliers le 17 avril suivant
1696, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 392)
(f° 3-v) Dienstags den 20. Martÿ Anno 1696 – H. Johann Adam Ösinger Nots. erschienen meldete wie Er willens Seiner Schwiger Mutter, Frauen Annæ Mariæ Keckin seel. hauß beÿ dem Recht, welches er biß dato genoßen, nämblichen der Brandwein und Eßig Schanckh treiben Zue dörffen, Zu erhalten, deßwegen Er beÿ E. E. Zunfft der Schmid. abzuheischen willens und Sich biß auff künfftiges Gericht umb das Recht beÿ E. E. Zunfft d. Kieffer leibzünfftig Zue werden, soll angemeldet haben.
(f° 35-v) Dienstags den 17. aprilis Anno 1696 – H. Johann Adam Ösinger Nots. Publicus erscheinet und bittet Ihme das Recht Eines Leibzünfftigen aus ursachen wie beÿm Jüngsten Gericht gemeldet worden, beÿ dieser Ehrsamen Zunfft angedeÿen Zu laßen.
Erkannt, Auff Erlag der Gebühr so beÿ E. E. Zunfft 2. lb 10. ß 6 d auch auff Vorgewießenen den 20.ten Martÿ 1696. datirten von denen herren dreÿern der Stadt Stall unterschriebene Stall Schein, daß Er beÿ E. E. Zunfft der Schmid. erlaßen und Ihme hiehero Zue dienen erlaubt seÿen willfarth.
Jean Adam Œsinger rend compte de la tutelle de sa belle-seour Anne Marie, mariée depuis mars 1703 avec le joailler Jean Paul Reisseissen, et de feu son beau frère Jean Keck
1703 (Mich., Me Oesinger (Jean Adam, 39 Not 6) n° 130
N° 130. Rechnung Mein Johann Adam Ösingers Notarÿ publici und burgers alhier Zu Straßburg, alß geordneter und anoch ohnentledigter Vogt Jungfrawen Annæ Mariæ, so nunmehro seithero dem 4. Julÿ 1703. ane S.T. H. Johann Paul Reißeißen Jubilirern und Goldarbeitehern Verehelichet ist, und Weÿland Johannis Kecken, auch Weÿl. Herrn Johann Kecken geweßenen Kieffers und weinhändlers und eines Löblichen Policeÿ Gerichts Assessoris und auch weÿland frawen Annæ Mariæ gebohrner Heÿdelin beeder Eheleuthe und burgere alhier nunmehr seeligen Hinderlaßene beeder jüngern Kindern, inhaltend alles dasjenige was ich Vom 25.ten Septemb. Anno 1698 da ich dieße Vogteÿ übernommen biß Michaelis Anno 1703. erwehnter beeder Vogts persohnen wegen Eingenommen undt außgegeben auch sonsten auf allerhandt Weiß Verhandelt und Verrrichtet habe. Erste und Letzte Rechnung dießer Vogteÿ
N° 138. Stuckh Rechnung Mein Johann Adam Ösingers Notarÿ publici alß zur Zeit ohnentledigtener Vogts Frawen Annæ Mariæ Reißeißin gebohrner Keckin, S:T: Herrn Johann Paul Reißeißen Goldarbeiteher und Jubilierers allhuer fr. Eheliebstin und Weÿland Johannis Kecken seeligen alß Weÿl. H. Johann Kecken geweßenen Kieffers und Weinhändlers auch eines Löbl: Policeÿ Gerichts Assessoris mit auch weÿl. frawen Annæ Mariæ gebohrner Heÿdelin seeligen ehelich erzeugt und Hinderlaßener beeder Jüngern Kinder, In sich begreiffent, was ich Von Michaelis Anno 1703 biß auf Martini bemelten Jahrs wegen gedachter beeder geschwistrigen ferner eingenommen undt außgegeben auch sonsten Vögtlicher Weiß Verhandelt und Verrrichtet habe.
Les experts estiment la maison 800 livres lors de l’inventaire dressé en 1721 après la mort d’Anne Marguerite Keck femme du notaire Jean Adam Œsinger. La maison est attribuée à son fils tisserand en laine Jean David Œsinger au partage des biens de Jean Adam Œsinger
Le secrétaire (Adam Frédéric) Œsinger demande au nom de Geoffroi Plarr, tuteur de son frère Jean David Œsinger à passer avec le corps des tisserands en laine un accord au sujet des années de compagnonnage et d’épreuve.
1732, Tribu des Drapiers (XI 85, Protocole des tisserands en laine). Le conseil le renvoie au conseil de la tribu (dont les registres en sont pas conservés)
Johann David Ösinger 45, 46, 47, 49, 57, 78
(f° 45) Montags den 14. Januarÿ 1732. Herr Ösinger Scribent nomine Herr Gottfrid Blarren, als Vogts Johann David Ösingers, seines bruders, bittet gedachten seinen bruders zu dem Meisterstück zu admittiren, offerirt sich wegen der Muthjahr und Wanderzeit mit dem handwerck abzufinden.
Nach genommenen Abtritt ist Erkandt, daß er wegen seinem begehren Vor E. E. Gericht Verwießen werde.
La même affaire est portée devant les Quinze. Les préposés aux affaires des métiers rapportent que Jean David Œsinger qui a des difficultés d’élocution demande à être dispensé des années d’épreuve et de compagnonnage. Adam Frédéric Œsinger rapporte que l’infirmité de son frère provient d’une attaque de paralysie dont il a été atteint trois semaines pendant ses jeunes années. Les représentants des tisserands déclarent qu’ils ne veulent pas faire de difficultés au pétitionnaire pourvu que la décision ne soit pas préjudiciable au règlement. Les Quinze accordent la dispense moyenant paiement d’une indemnité dont la moitié revient à la Ville et la moitié au corps de métier
1732, Protocole des Quinze (2 R 138)
(p. 197) Sambstags d. 3. May 1732. Johann David, Oesinger Ca. E. E. Handwerck der Wollenweber,
Iidem [Obere Handwerck herren] laßen ferner per Eundem [Secretarium Kleinclaus] Referiren, daß Johann David Oesinger der ledige burger vnd Wollenweber allhier den 26. febr. jüngst beÿ E. E. Zunfft gericht der Tucher Vorgestand. und angehalten, weilen er die Muth: und Wanderjahr Zu Vollbringen, seines Leibs Constitution oder schlechten sprach halben, nicht im stand seÿe Ihme dispensando Zu erlauben, das Meisterstück Zu machen, worauff die Erkantnuß dahien ergangen, vnd Implorant wegen seines Gesuchs an Hn. Herren der Fünffzehen Verwießen, Welchen bescheid er, Ösinger d. 26. Aprilis jüngst beÿ Mghh. C. E. E. Handwerck der allhiesigen Wollenweber Vorgelegt, vmb Deputation gebetten, et Facta relatione Ihne ex gratiâ dispensando Zu Verfertigung des Meisterstück gn. Zu admittiren, worauff ged. Handwerck gebetten den Implorant abzuweißen refusis Expensis.
Auff geschehene Remission seÿen neben dem Imploranten vorgestanden deßen Bruder Adam Friderich Ösinger Adelicher Schaffner, welcher beÿgesetzt, dieser sein bruder habe in seiner Jugend dreÿ wochen lang die Gichter so hefftig gehabt, daß er dardurch sehr übel Zugerichtet, und der sprach halben in einen elenden stand gesetzt worden, also Zu wandern nicht im stand seÿe. Nahmens des Handwercks seÿen Vorgestanden Niclaus Ducland, und Johann Friderich Reeb, welche geantwortet, daß nach Articul ein hiesiger wie der Implorant seÿe, dreÿ Jahr wandern, und ein jahr hernach hier Vermuthen solle, weilen aber der Implorant mit der Sprach nicht fortkommen Könne, alß wolten sie Ihme nicht Zu wider sein, wann es nur nicht Ihren Articulen præjudicire.
Auff seithen der Hh. Deputirten Vermeine man daß der Implorant aus beÿgebrachten ursachen Von denen Wander und Muthzeiten Zu dispensiren, mithien Zu Verfertigung des Meisterstücks Zu admittiren seÿe, jedoch mit dem anhang deß er neben denen unkosten annoch pro Dispensatione annoch 3. lb halb der Statt und halb dem handwerck zu erlegen schuldig sein solle. Die Genehmigung Zu Mgh. stellend. Erkandt, bedacht gefolgt.
Jean David Œsinger est admis à faire son chef d’œuvre sous la direction de Laurent Specht le 6 mai. Il présente son travail le 9 juin. Les examinateurs en sont satisfaits bien qu’il comporte des défauts mineurs et le reçoivent maître à part entière.
1732, Tribu des Drapiers (XI 85, Protocole des tisserands en laine)
(f° 46) Dienstags den 6. Maÿ 1732. Nicolas Ducland proponirt, was gestalten Johann David Ößinger, beÿ gnädig gebietenden herren den XV. einen bescheid erhalten, vermög deßen er wegen der muth und Wander Jahr absolvirt worden, auch deßhalben willens das Meisterstück anzufahren, will also beÿ E. E. handwerck umb Ein Werckstatt angehalten haben, hierauf wurde nach gehaltener Vmbfahrt Erkandt, daß er sein zu machen Vorhabendes Meisterstück beÿ Meister Lorentz Spechten Verfertigen und solches Von heut über 8 tag anfangen könne.
(f° 47-v) Montags den 9. Junÿ 1732. in præsentia herrn XV. Von Stöcken als Obmanns und herrn Nicolas Ducland auch H. Richard Härings hat Johann David Ößinger, der Ledige Wollenweber Gesell, weÿland herrn Notarÿ ößingers nach tod Verlaßener Sohn, sein nach denen Articuln gefertigter meisterstück Vorgelegt und so wohl umb deßen besichtigung, als auch daß er nach diesem Vor einem Mitmeister erkandt, und angenommen werden möchte gebetten, daraufhin dann solches besichtiget, und verschiedene Kleinen, doch Keine Haupfehler befunden, derentwegen ihme 1 lb 10. ß Straff angesetzet, doch aber derselbe Vor ein Vollkommener Meister recipirt worden, doch daß er angeloben sollen, daß er solches ohne Verbottener hülffe gemacht, so er auch gethan.
Jean David Œsinger épouse Susanne Marguerite Formier, fille de tanneur : contrat de mariage, célébration
1732 (19.8.), Me Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 52) n° 80
Eheberedung Zwischen Johann David Ösinger, dem Ledigen Wollenweber, Weÿl. herrn Johann Adam Ösingers, geweßenen berühmten Notarÿ publici und burgers alhier nachgelaßenen ehelichen Sohn, als hochzeitern, mit beÿstand herrn Tobiæ Gundelwein Gastgebers auff E E. Zunfft der Gerbern und H. Joh: Daniel Bruders Lederhändlers, beeder burgere allhier, und von dem hochzeiter in ansehung so wohl niemand Von deßen Verwanthen, alß auch hr. Gottfried Plarr, der wollenfärber allhier, deßen geschworner Vogt, ohnerachtet hiebeÿ zuerscheinen unterm 14. hujus ordentlich durch H. Obeliane den Huissier schrifftlich sommirt worden, sich beÿ diesem geschäfft nicht einfinden wollen, erbettener beÿständere Ane einem,
So dann Jgfr. Susannæ Margarethæ Formierin, hrn Benjamin Formier Rothgerbers lederbereiters und burgers allhier ehelichen Tochter, alß der Jungfr. hochzeiterin, mit beÿstand gedachten Ihres Vatters und hrn Johann Friderich Sachßen Apotheckers Zu Kaÿl deßen Schwagers an andern theil
Actum Straßburg auff Dienstag den 19. Augusti vormittag um 9 Uhr Anno 1732 [unterzeichnet] Johann David Ösinger alß hochzeiter, Susanna Margaretha formierin hochzeiterin
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 225-v, n° 1284)
Anno 1732. den 17. Sept. seind nach geschehener ordentlicher außruffung in der Kirch Zu St Thomas ehelich eingesegnet worden Johann David Oesinger der ledige wollenweber und burger alhie weÿl. H. Johann Adam Oesinger des gewesenen Notarÿ und burgers alhier hinderlaßener ehel. Sohn und Jungfr. Susanna Margaretha H. Benjamin Formier burgers, gerbers und lederbereiters alh. ehel. tochter [unterzeichnet] Johann David Ösinger alß Hochzeiter, Susanna Margretha formierin als hochzeiterin (i 230)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 1 800 livres, ceux de la femme à 282 livres. La maison lui est échue par tirage au sort dans la succession de son père
1733 (3.8.), Me Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 13) n° 280
Inventarium über Herrn Johann David Ösingers, Wollenwebers und Frauen Susannæ Margarethæ gebohrner Formierin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1733. – und Crafft der Eheberedung sich alß unverändert reservirt – So beschehen in Straßburg in fernerem Gegenseÿn H. Johann David Bruders Lederhändlers und burgers alhier des Ehemanns beÿstandts und der Ehefrauen Eltern auff Montag de 3. Augusti Anno 1733.
Eigenthumb ane einer Behaußung (M.) Nemlichen eine behaußung und hoffstatt mit allen deren begriffen, Weithen, Rechten Zugehörden und Gerechtig Keiten, allhier in der St. Straßburg unden ane der Judengaß gegen dem Herrenberger Hoff gelegen Zum goldenen Eck genannt, 1. seith ist ein Eck an der Pergamenter Gaß, 2. seith neben i. behaußung dem Stifft Zum bruderhoff gehörig, hinten auff fr. H. Johann Christoph Fingado den Ritterschafftlichen Huissier stoßend, so über die hernach passivé eigetragene Passiv Capitalia freÿ, ledig und eigen, Und allhier außer Anschlag Zu laßen Verglichen worden. Darüber vorhanden ein perg. Kbr. mit der Statt Straßburg anhang. C. Contract Innsiegel Verw. datirt den 20. Augusti Anno 1642. außweißend wie dißorts Ehemann H. Groß Vatter den halben theil der behausung von Sebastian Ewinger erkaufft Und ist dieße behaußung dißorts Ehemann beÿ abtheilung weÿl. H. Johann Adam Ößinger geweßenen Notarÿ publico Allhier seel. Verlaßenschafft per sortem Zukommen
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemann Vermögen betreffend, Sa. haußraths 77, Sa. Werckzeugs 21, Sa. Weins 250, Sa. Silbers 12. Sa. goldener Ring. 2., Sa. baarschafft 596, Sa. Capitalien 1315, Sa. Anschlags der behaußung Nihil, Sa. Activorum 274, Summa summarum 2550 lb – Schulden 750 lb, Nach deren Abzug 1800 lb
Der Ehefrauen Nahrung belangend, Sa. haußraths 158, Sa. Silbers 18, Sa. Goldener Ring 31, Sa. baarschafft 77, Summa summarum 282 lb
Jean David Œsinger assisté de son curateur Jean Daniel Bruder loue la maison à Charlotte Elisabeth de Bernold née Rathsamhausen à la Pierre en promettant de faire remplacer un escalier à vis par un escalier à la française
1733 (26.6.), E 766
Johann David Oesinger Tuchmacher mit assistentz H. Johann Daniel Bruders des lederhändlers seines verordnenen Curatoris ad lites ahne einen
und der freÿhochwohlgebornen Fraw Charlotta Elisabetha von Bernold geb. von Rathsamhaußen zum Stein mit beÿstand des freÿhochwohlgebornen H. Frantz Ernst Reichen von Platz beÿ E. löbl. freÿ ohnmittelbahen Ritter Directorio im Untern Ellsaß hochen Rath und Außschuß auch jetzmahligen Directoris
in rechter lehnungsweiße und zwar auff einem Jahr, welches von erstverwichenen Johann Baptistæ anfangen, benantlichen seine eigenthümliche theils ane der Jungfrawen Gaß theils ane der Pergamenter Gaß gelegene Eckbehausung einseit neben weÿl. Johann Christoph Fingato gewesten Ritterschafftlichen Einspännigers seel. Erben anderseit neben einem dem hohen Chor alhier zuständigen Wohnhauß, mit allen deren Zugehörden, als stuben Cammern, Kuchen, Keller und frucht Kasten nichts davon aus genommen – daß der locator sich obligirt und verbindlich gemacht hat ane statt der alten Schneckensteg eine newe gebrochene frantzösischen steeg machen und was nöthig ist hin und her im hauß außbeßern zu laßen – dahingegen 80 gulden jährlichen Zinßes
Susanne Marguerite Formier meurt en janvier 1735 en laissant pour seuls héritiers ses parents
1735 (4.3.), Me Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 17) n° 356
Demnach Frau Susanna Margaretha Ösingerin gebohrne Formierin, Herrn Johann David Ösingers Wollenwebers und burgers allhier Ehegattin den 3. Januarÿ instehenden 1735.ten Jahrs dieses Zeitliche gesegnet, und die wohlverordnete Herren dreÿere der Statt Stall den Wittiber von deren Verlassenschafft Inventation dispensando erlaßen, alß seind ane Zuend stehendem dato persönlich beÿsammen erschienen Herr Adam Friderich Ösinger, Practicus und burger allhier, des wittibers bruder, alß von Ihme dem wittiber hierzu bevollmächtiget, ferner herr Benjamin Formier, Rothgerber und Frau Anna Catharina gebohrne Hetzelin, beede Eheleuthe und burgere allhier, alß der Frau seel. eheleibliche Eltern und ab intestato nachgelaßene Erben, um die außlüfferung der Frau seel. zugebrachten unveränderten Vermögens vorzunehmen, weilen die Eltern auff das theilbare tam active quam passive renuncirt – geschehen in Straßburg den 4. Martÿ 1735.
Ergäntzung der Frau seel. Zugehörden unveränderten Guths, Nach besag über beder Eheleuth einander zugebrachten Vermögens in A° 1733 durch mich Notarium auffgerichteten Inventarÿ
Jean David Œsinger hypothèque sa maison en garantie du prix de sa pension à l’hôpital pour le reste de sa vie en septembre 1735
1735 (12.9.), Chambre des Contrats, vol. 609 n° 606-v
S.T. H. XV Johannes Sainctlo als Mit Pfleger des hiesigen Mehrern Hospitals und H. Lt. Johann Friedrich Faust Schaffner allda
in gegensein Johann David Oeßinger des verwittibten wollenwebers beÿständlich seines bruders H. Adam Friedrich Oesinger adelischen Schaffners
von stund an in ged. hospital auffzunehmen allda so lang er im leben sein wird zu beherbergen um 750 pfund (…)
unterpfand, auff seine eigenthümlichen unten an der Juden: gaß einseit ist ein Eck an der Pergamener gaß anderseit neben einer dem gürttler hoff gehörigen Præbend Behausung samt zugehörden
Jean David Œsinger meurt en 1737 après avoir institié ses héritiers par testament. L’inventaire est dressé dans la maison de son frère courtier place des Cordeliers. A sa requête, la maison est estimée au prix porté à l’inventaire de son père en 1729. L’actif de la succession s’élève à 953 livres, le passif à 1 034 livres
1737 (27.5.), Me Oelinger (J. Jacques, 35 Not 33) n° 1033 (986)
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab: vnd Nahrung so weÿlandt Herr Johann David Ößinger geweßene wollenweber vndt burger allhier Zue Straßburg nunmehr seeligen, nach seinem den 4.ten Martÿ Jüngsthien aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren fraun Christinæ Dorotheæ Poppin gebohrner Ößingerin, Herrn Ernst Ludwig Poppen des Schwerdtfegers vnd burgers allhier Zue Straßburg Ehefrauen beÿständlich deßelben, So dann H. Adam Friderich Ößinger geschwornen Courtiers allhier, welcher H. Philipp Daniel Ößinger den Leedigen Pastetenbeckhen seinem bruder, hiebeÿ repræsentirt, weilen Er Ihme Crafft einer vor mir dem Notario vnd Gezeugen den 1. Februarÿ Hujus anni errichteten Donation Inter vivos, seine Ihme dießeitig anfallendes Erb geschenckt, beede des abgeleibten seel. per Testamentum Resp. Instituirte vnd per donationem inter vivos repræsentirende Erben – Actum Straßburg Monntags den 27.ten Maÿ A° 1737.
Copia Testamenti nuncupativi
In einer allhier ane dem baarfüßerplatz gelegenen vnd Von Hn Adam Friderich Ößingern dem Courtier Lehnungsweiß bewohnenden behaußung sich befunden als volgt
Eÿgenthumb ane einer Behaußung. Nemblichen eine behausung vnd hofstatt, mit allen Zugehörden und Gerechtig Keiten gelegen allhier Zue Straßburg beÿ der Jungfrauen gaß gegen dem Ehemalig genanter Hennenbergerhoff vnd Jetzigen thomb dechaneÿ, einseith ist es ein Eckh Zum goldenen Eck genannt, anders. neben einer behaußung neben dem Stifft Zum bruderhoff gehörig, hinten auf weÿlandt H. Christoph Vingato des Ritterschafftlichen Huissier seel. Erben stoßend, gelegen, so vber die hernach nter der passivis enthaltene Capitalia freÿ, leedig und Eigen, Und hatt mann es dießorts beÿ dem Jenigen anschlag wie daßelbe beÿ weÿl. S. T. herrn Johann Adam Ößingers geweßenen berümbten Notarÿ Jurati publ. Und burgers allhier Zue Straßburg des Verstorbenen Vatters seel. Verlaßenschaffts Inventation in anno 1729. durch die Hh. Werckmeister æstimirt worden, Ohnpræjudicirlich laßen wollen, so macht 800.
Nota, obzwar mahlen Ich der Notarius erst beschriebener behaußung mit dem quæst. anschlag nicht außwerffen wolte, maßen es de novo Vermittelst der ordnung hätte angeschlagen werden sollen, so hat dennoch die Erben, besonders der H. Adam Friderich Ößinger mich den Notar. Versichert, wann Ich Je dieser sach halben gefahr haben solte, Er Hr Ößinger mich deßwegen schadloß halten zu haben Verspricht, angesehen die Quæst. behaußung In Zwischen Vielmehr ab: vnd zugenommen, Vnd er deßwegen bereit seÿe den Hoch geehrten und hoch ansehnlichen herrn dreÿ der Statt Stall allezeit deßwegen behörige Satisfaction Zugeben ([unterzeichnet]) Adam Friderich Ößinger.
Darüber besagt ein teutscher Perg. Kbrieff. außweißend, wie daß H. Keck deß Verstorbenenn seel. H. Groß Vatter den halben theil von Sebastian Ewinger Zu Eÿgen erkaufft, m. der St. St. anhangenden Innsiegel Versehen datirt d. 16. aug. 1642. Es ist aber diese behaußung dem verblichenen beÿ ged. Vätterlich. Verlaßenschaffts Abtheilung Im looß Zugefallen.
Series rubricarum. Sa. haußraths 16, Sa. Silbers 2. Sa. Goldener Rings 1, Sa. pfenningzinß hauptgüter 61, Sa. Eigenth. ane einer behaußung 800, Sa. Activorum 72, Summa summarum 953 lb – Schulden 1034 lb, Mehr Schulden alß Nahrung 80 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 109 lb – Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüter 161 lb
(Joint, cession par Philipp Jacques Œinger)
Les préposés de la Taille autorisent de porter la maison au prix de se dernière estimation puisqu’elle n’a pas fait l’objet de réparations
1737 (3.6.), VII 1178 – Livres de la Taille f° 214-v
Mont. den 3° Junÿ – auf Ansuchen weÿl. Johann David Ößinger gewesenen tuchmachers hinderlaßener Erben, wurde accordirt daß die Vorhandene behaußung beÿ dem Letztern anschlag gelaßen werden möge weilen seithero keine reparation darinnen Vorgenommen worden.
Les héritiers testamentaires de Jean David Œsinger vendent la maison au marchand de porcelaine Alexandre Aval et à sa femme Marie Gonzé.
1737 (6.7.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 447-v
H. Adam Friedrich Oesinger geschwornen Courtier als gewalthaber seines mehrjährig und ohnbevögtigten bruders Philipp Daniel Oesinger des ledigen sich in hiesigem Weÿßenhauß auffhaltenden Pastetenbeckers, Ferner Fr. Christina Dorothea geb. Oesingerin Ernst Ludwig Popp des Schwerdtfegers ehefrau
in gegensein H. Alexander Aval des Porcellanhändtlers und Fr. Mariæ geb. Gonzé
Eine Behausung und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten unterst ahne der Juden: gaß, einseit ist ein eck ahne der Pergamener gaß gegen dem Hostel du Grand Doyen über, anderseit neben einem dem hohen Chor gehörigen Præbend: hauß, hinten auff weÿl. Johann Christoph Fingado Ritterschfftl. Einspännigers erben zum theil und ged. Præbend: hauß – als Testaments erben ihres bruders seel. weÿl. Johann Daniel Oesinger des wollenwebers, die er in seinem am 22. jan. jüngst vor H. Not. Mathias Koch errichteten Testamento nuncupativo instituirt hat jedem zum halbscheidt – um 1275 pfund
Originaire de Paris, le marchand verrier Alexandre Jules Aval épouse à Paris en 1698 Marie Gonzé originaire de la Flèche : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire après décès
Copie du contrat de mariage – Furent presens Alexandre Jules Aval marchand verrier faÿancier a Paris demeurant rue St antoine paroisse St Paul assisté d’Alexandre Aval aussy marchand verrier fayancier a Paris Et de Marie Poquet sa femme qu’il autorise a ce presens et comparans ses père et mère d’une part Et Marie Gouné Joüissante de ses droits demeurante rue St Antoine au Coin de la rue des Barres fille de deffuns Jean Gonné bourgeois de la ville de la Flesche en Anjou et de Madeleine Gouffier sa femme, assistée de Mre François Lasniere des brosses, prêtre missionnaire a Paris demeurant susd. Rue St Antoine pré St Gervais acceptant et contractans d’autre – Fait & passé a Paris (…) L’an 1698 le 20° Mars – Aveline
Originaire de Paris, le marchand de verre Alexandre Aval devient bourgeois en mars 1709 en s’inscrivant à la tribu de l’Echasse
1709, 3° Livre de bourgeoisie p. 1273
Alexandre Avalle der Glaßhändler Von Paris, erkaufft d. burgerrecht p. 6.goldf. V. 16. ß Wird Zur Steltz dienen, Jur. d. 6. Dito. (Martÿ) 1709.
Alexandre Aval s’adresse aux Quinze pour pouvoir s’inscrire à la tribu de l’Echasse et au corps des vitriers. Les représentants de la tribu exigent qu’il régle au préalable l’amende qui lui a été infligée pour avoir fait commerce illicite de verre. Les vitriers déclarent avoir porté le règlement à la connaissance du contrevenant qui pour sa part nie qu’on l’ait averti. Les Quize décident le 19 avril qu’Alexandre Aval devra payer son amende avant de s’inscrire.
Les vitriers déclarent le 27 avril qu’Alexandre Aval a de nouveau enfreint le règlement en faisant du porte à porte. Le contrevenant se justifie le 4 mai en disant que le règlement ne le concerne pas puisqu’il ne fait pas commerce de vitres mais de verre et de porcelaine. Les Quinze décident le 18 mai que le contrevenant devra se conformer comme les autres vitriers au règlement sous peine de confiscation.
Le 15 juin Alexandre Aval qui ne s’est toujours pas conformé aux précédentes décisions demande un mois de délai. Le 21 juin, les vitriers déclarent que non seulement Alexandre Aval n’a pas donné suite aux sentences mais qu’il s’est montré insolent envers le conseiller Ducloux ; les Quinze menacent le contrevenant de faire fermer sa boutique. Le corps des vitriers obtient le 12 août communication officielle des décisions prises par les Quinze.
1709, Protocole des Quinze (2 R 113)
E E Zunfft Zur Steltz in specie deß Glaßers Johann Martin von Molßheim gtra Alexander Aval den frantzösischen glaßer
(f° 76) Sambstags den 23. Martÿ. Alexander Avale Ca E. E. Zunfft Zur Steltz
H. nôe Alexander Avale burgers vnd glaßhändlers alhie von Paris gebürtig Cit. per sched. E. E. Zunfft Zur Steltzen Zunfftmr, dieß wollen Imploranten Zu einem Zünfftigen nicht admittiren, bis Er die Ihme angesetzte straff völlig erlegt habe, welche aber P.plis nicht schuldig Zu seÿn Vermeint, bittet deßwegen Deputationem & relaôe facta Absolutionem & admissionem. S. Citatus præsens Zur Deputaô, bittet aber es beÿ dem bescheid Zulaßen, refus exp. Erk. wie vor [Ob. Handwerck hh.]
(f° 82-v) Freÿtags den 19. Aprilis 1709. Obere Handwerck herren laßen durch herren Secretarium Friden referiren, daß Alexander Avale der burger vnd glaßhändler alhie wider E. E. Zunfft Zur Steltz geklagt, daß sie ihm nicht alß einem Zünfftigen admittiren wollen, bis Er die Ihme angesetzte straff erlegt haben werden, mit bitt ihne davon zu absolviren, vnd habe Zugleich vmb Deputation gebetten, welche ihme auch willfahrt worden, alß man nun selbige beseßen, habe Kläger gemeldet, daß Er alß schirmer das glaßhandel allhier getrieben habe, vnd ohnerachtet Er nicht gewußt daß es verbotten, Er auch nicht advertirt viel weniger ihme Zeit deßen müßen Zugehen angesetzt werden were, demnach die Zunfft ihne vmb 20 livres gestrafft hette,
warauff herr Fajard alß Zunfftmeister geantwortet, daß E. E. Meisterschafft der glaßer beÿ E. E. gericht Zur Steltz geklagt, daß Er ihnen großen eintrag thut vnd wider allen verbiethen nicht davon abstehen wolte, deßwegen Sie ihne nach innhalt deß articuls getrafft vmb 5 lb sonderlich weilen nicht ein abred sein können, ged. glaßhandel getrieben zu haben, alß man Kläger gefragt, ob dann nicht die glaßer ihme solches verbotten hetten, habe Er mit nein geantwotet, daßwegen man gemüßiget worden, den Obermeister beÿ den Glaßern vor sich kommen Zulaßen der versichert, daß das gebott Zum öfftern dem Klägern geschehen were, vnd derselbe Sie nur außgelacht hette, beÿ welcher beschaffenheit man davor gehalten, daß Er Kläger fürderlichst beÿ E. E. Zunfft d. Steltz sich leibzünfftig machen vnd den articulen, so denen glaßhändlern vorgeschrieben sich wie andere submittiren, Zuvor aber ahne der angesetzten straff er 5 lb d die helffte mit 2 lb10 ß erlegen solte, die genehmhaltung Zu Mghh. stellend, Erk. beliebt.
(f° 104) Sambstags de, 27. Aprilis 1709. Saltzm. noê E E Zunfft Zur Steltz in specie deß Glaßers Johann Martin von Molßheim gtra Alexander Aval den frantzösischen glaßer ohnerachtet Citato ererst vergangenen Mittwoch gerad* widerfahren vnd der Ordnung nach Zugeleben ihme auch eingezeigt worden, hat Er doch gleich Nachmittag darauff mit hausirung seine wahren sich betretten laßen setz. solches Zu Obrigkeitlicher andung vnd bittet die parition dem Citato subarition einzubefehlen, d bott referirt, Er habe Citato in mund verkündet. Saltz. s. Erk. Solle Citatus nach ordnung beÿ gelt verkündet werden.
(f° 105) Sambstags den 4.ten Maÿ. Saltzm. noê E E Meisterschafft der Glaßer gtra Andreß Aval den frantzösischen glaßer, welchem beÿ 10 ß gebotten worden, erhohlt recess vom 27. April jüngst vnd bittet wie dermahlen Zuerkennen, daß Citatus deß Hausirens müßig gehen solle.
H. Citatus berichtet daß nicht als ein glaßer, sondern Glaß vnd Porcelan händler auff der Statt Stall vnd Pfenningthurn eingeschrieben, vnd deßweg. sich ahne der Gegner articul nicht Zu binden habe, b. absolutionem ref. expensis.
Saltzm. sagt darwider pura Grlia. weilen citatus sich deß Hausirens vermög Ewer Gnaden bescheids gäntzlich enthalten soll. H. bittet Deputation. Erk. ahne die vorige herren gewießen [Ob. Handwerck hh.]
(f° 118) Sambstags den 18.t Maÿ 1709. – E E Meisterschafft der Glaßer gtra Andreß Avale
Iidem [Obere Handwerck herren] per H. Friden, es habe E E Zunfft Zur Steltz in specie E. E. Meisterschafft d. Glaßer Ca. Andreß Avale geklagt, daß Er wider articul mit gläsern haußirt habe, anbeÿ gebetten ihme solches Zu Verbiethen. Auff beschehener remisson habe man die Parthen ferner angehört, da dann Johann Martin von Molßheim vndt Gerhard Walther jun. beditten, daß beklagter als er Zu einem Zünfftigen angenommen worden, gleich den andern tag mit glaß Hausirt habe, so derselbe auch gestanden vndt sich damit entschuldigt, daß er andere Glaser auch gethan hetten, undt wann Sie es bleiben laßen werden, Er dem articul auch gehorsamlich nachgeleben wolle.
Auff seithen der Herren Deputirten habe mann davor gehalten, daß sowohl dem Avale als andern glasern das hausiren beÿ straff der Confiscation des glaßes verbotten werden könte, iedoch daß dann einer beÿ einem Meister glaß bestellt, Er es demselben, heim Zu tragen od. Zuschicken macht haben solte. Erk. bedacht Gefolgt.
(f° 142) Sambstags den 15.t Juny 1709. – E E Meisterschafft der Glaßer Ca Andreß Avale
S. noîe E E Meisterschafft der Glaßer erscheint Johann Martin von Molßheim als Obermr. Cit. per sched. Alexandre Avale glaßhändler prod. Extract. aus E. E. Zunfft gerichts Zur Steltz Memoriali vom 29. Martÿ vndt 1. Julÿ jüngst vndt weilen Citatus demselben keine parition leisten will, alß bitten Sie, es beÿ der angesetzten straff Zu laßen vndt Ihne des glaßhandels müßig Zu gehen bis er parirt hab. werde, beÿ nahmhaffter straff Anzubefehlen. K. Citatus præs. berichtet daß Er das Zunfft recht Zu Kauffen, noch nicht im stand seÿe, bittet Ihme noch einen Monat Zeit zu geben. S. sagt darwid. generalia vnd s.
Erk. an die Oberen Handwerckshh. gewießen.
(f° 158) Freÿtags den 21.t Junÿ 1709. – E. E. Zunfft Zur Steltz vnd E E Meisterschafft der Glaßer Ca. Alexandre Avale
Iidem [Obere Handwerck herren] per H. Friden, es habe E E Zunfft Zur Steltz in specie E. E. Meisterschafft d. Glaßer einen Extractum aus dero gerichts Prothocollo don 29. Martÿ vnd j. Junÿ jüngst, Ca. Alexandre Avale den frantzösischen Glaßhandler producirt, vndt geklagt, daß Er die Ihme den 29. Xbr. 1708. Angesetzte 5 lb nachgehends aber auff 5 fl. moderirte wie auch die am 1. Hujus ihme de novo wegen außgestoßener trotzig. wortten vndt unbescheidenheit andictirte 3 lb straff nicht erleg. wolle, anbeÿ gebotten, weilen Er nicht pariren nnch d. Zunfftrecht suchen wolle, ihme den glaßhandel biß Zur parition niderzulegen. Was nun dießen Avale betreffe, seÿe erinnerlich, daß Mghh. die ihme beÿ der Zunfft angesetzte 5 lb auff 5 fl. moderirt hetten, welcher derselbe aber nicht erlegen wolle sondern noch schimpffliche reden außgestoßen vndt H. Rathh. du Cloux unhöfflich tractirt habe, deßwegen man davor gehalten deß ged. Avale innerhalb 4. tagen vndt Zwar beÿ 5. lb straff nach pariren, oder Ihme der laden Zugeschloßen werden, dabeneben den Hh. Rathh. du Cloux eine Abbitt thun, die 3. lb straff aber so ihm vom Gericht Zur Steltz den 1. hujus angesetzt worden nachgelaßen werden könten.
Herr Prætor Regius folgte den Bedacht mit dem anhang daß wann Avale nicht parire, Ihme der Laden zugeschloßen werden solte.
Erkandt, Hern Prætori Regio gefolgt.
(f° 162) Sambstags den 13. Julÿ 1709
S. noîe E E Meisterschafft der Glaßer in specie E. E. Meisterschafft der Glaßer, die bitten unterth. umb gnd. communication des in Causâ Ca. Alexandre Avale den frantzösch. glaßhändlers, ohnlängsy ergangenen bescheids. Erkannt Willfahrt.
(f° 172) Montags den 12.ten Aug. 1709. Obere Handwerck hhn Laßen per Herrn Friden den bescheid ablesen, welcher jüngsthin in Sachen E E Zunfft Zur Steltz in specie E. E. Meisterschafft d. Glaßer Ca. Alexandre Avale den Glaßhandler ergangen, umb welchen ged. Zunfft gebetten, so auch willfart worden.
Bescheid. Freÿt. den 21.t Jun. In Sachen E. E. Zunfft Zur Steltz in specie E. E. Meisterschafft der Glaßer alhie, Klägern an einem, entgegen vndt wid. Alexandre Avale, den frantzösischen Glaßhandler, beklagten am andern theil, Ist pt° mulctæ Erkandt, Soll beklagter den, den 29. Xbris 1708. ergangenen bescheidt parition leisten, mithin die auff 2. lb 10 ß moderirte straff innerhalbt 14. tagen erlegen, vndt wegen der beÿ E. E. Gericht zur Steltz auß gestoßene schimpffliche, vndt umhöfflichen reden, Hh Rathh. du Cloux eine abbitt thun, Hingegen Ihne die jenige 3. lb d straff, so gnd. Ers. Gericht ihme allererst den 1.ten dießes deßwegen angesetzt, nachgelaßen seÿe, vndt dafern Er nicht parirt, alß dann Ihme der Laden geschloßen werden. Die confirmaôn Zu Mghherrn stellend. Erk. Confirmirt.
Marie Gonzé fait dresser un état de fortune pour accéder à la bourgeoisie. Originaire de la Flèche, elle est inscrite au registre le 18 décembre 1718, son fils ne devient pas bourgeois suivant la coutume
1718 (26. 8.br), Me Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 66)
(Designation) Frau Maria Aval gebohrne Gonzé, H Alexandre Aval des Porcellinhändlers und burgers allhie Ehefrau, hat Volgendes alß Ihr wahres und pures Eÿgenthumb Zu seÿn nach angelegter handtrew angeben und Vorgewießen Zumahlen Von dem H. Zigler dem Käuffler nach dem billichen werth angeschlagen worden
(summa) 187 lb
1718, 4° Livre de bourgeoisie p. 835
Marie Gonzé Von La fleche, weÿl. Jean Gonzé gew: burgers daselbst Tochter emp: das burgerrecht Von ihrem Mann Alexander Avalle p. 2. Gold fl. 16 ß Jhr sohn ist beÿ ordnung gebliben, Wird Zur Steltz dienen. P. d. 5. Dito [Xbr.] 1718.
Alexandre Aval et Marie Gonzé font dresser un inventaire de leur actif et de leur passif
1719, Me Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Inv. über Alexand. juli Avals Handelsmann u. Fr: Maria geb. Gousse beede Ehel. habende Nahrung alh. u. Passiv Schulden
Alexandre Aval et Marie Gonzé passent un contrat de société avec Alexandre Morin et Marguerite Colinquat pour faire commerce de faïencerie et de cristal de roche
1727 (8 août), Me Lhanneur de Chantelon (6 E 41, 982)
Société – furent presens les sieurs Alexandre Aval marchand Bourgeois de cette ville y demeurant rüe des Jesuites, et demlle Marie Gouzé son Epouse de Luy dument autorisée à l’effet des presentes D’une part
Et Le sieur Alexandre Morin, aussi marchand et demlle Marguerite Colinquat son Epouse de Luy dument autorisée à l’effet cy après (…)
lesquelles parties Comparantes ont fait et accordé Ensemble de bonne foy les traittés, convention, associations et promesses qui Ensuivent, C’est a Sçavoir que lesd. Sieur et demlle Aval desirant procurer l’Avencement desd. Sr et Demlle Morin, jls se sont associez et associent Ensemble et les uns avec les autres au fait, negoce et traffic de la Marchandise de fayancerie cristal de roche et autres dont le dit sieur Aval se mesle et dont Luy et son Epouse pourroient se mesler dans la suite, tous lequels commerce lesd. Sr et delle Aval, sieur et dlle Morin Exerceront a perte et a gain pour le tems et Espace de Dix années consécutives a Commencer le Jour de la St Jean Baptiste derniere et finissant a pareil jour de l’année que l’on Comptera 1738 (…)
Alexandre Aval et Marie Gonzé hypothèquent la maison au profit de la fabrique Saint-Nicolas
1739 (15.9.), Chambre des Contrats, vol. 613 n° 418
Alexander Aval der Porcellanhändler und Maria geb. Gouzé mit beÿstand H. Braun und H. Hammerer
in gegensein der Fabric der evangelischen Kirch zu St Nicolaus Pflegers H. Jacob Mähn des weißbecken – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehör und gerechtigkeiten ahne der Juden gaß, einseit ist ein Eck ane der Pergamener gaß gegen dem Hostel du Grand Doyen über, anderseit neben einem hiesigem hohen Chor gehörigen Præbend hauß, hinten auff w. Johann Christoph Fingado des Ritterschafflichen Einspännigers Erben zum theil, zum theil erst ged. Præbend hauß – als ein am 6. Julÿ 1737 erkaufftes guth
Alexandre Aval et Marie Gonzé hypothèquent la maison au profit de Marie Barbe Hummel
1741 (20.7.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 367
H. Alexander Aval der Porcellan händler und Marie geb. Goussé mit beÿstand H. Rathh. Richßhoffers und H. Zeiß EE. kleinen Raths alten beÿsitzers [unterzeichnet] Avals, goussé
in gegensein Jfr Mariæ Barbaræ Hummelin beÿständlich H. Johann Balthasar Hummel des Pastetenbecks – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, eine behausung, hoff und hoffstatt cum appertinentis ane der Judengaß, einseit ist ein Eck ane der Pergamentergaß, anderseit neben einem dem hohen Chor gehörigen Præbend hauß, hinten theils wieder auf daßelbe theils auf die Fingadoische erben – als ein am 6. Julÿ 1737 erkaufftes guth
Jules Alexandre Avale meurt en décembre 1744 et Marie Gonzé en janvier 1745. Les experts estiment la maison 1 100 livres. L’actif de la succession s’élève à 2 123 livres, le passif à 2 119 livres. Les défunts ont passé en 1728 un testament par lequel ils déshéritent leur fils Alexandre et instituent leur fille Marie Genevière seule héritière en exposant que leur fils leur a volé des marchandises, a contracté des dettes, s’est par deux fois engagé dans les troupes, qu’il injurie et frappe ses parents ; quand le père s’est rendu en 1723 à Besançon, il a fait mettre son fils à la maison de force pour éviter un malheur
1745 (7.1.), Me Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 316) n° 360
Inventarium über Weÿl. H. Jules Alexandre Avale, geweßenen Glaß: und Porcellanhändlers, und auch weÿl. Fr. Marie gebohrner Gonzé beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlassenschafft, auffgerichtet Anno 1745. – nach deme dieselbe und Zwar Er der Ehemann den 3.ten Decembris des nechsthien gelegten 1744.sten, Sie die Ehefrau aber den 1.ten Januarÿ dießen angefangenen 1745.sten Jahrs von dem lieben Gott aus dießer Welt abgefordert worden, hie zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Frauen Marie Genevieve Dubois gebohrner Avale, der Abgeleibten beeden Eheleuth seel. ehelich erzeugter tochter und per Testamentum eingesetzt: und nach tod Verlaßener einiger Erbin (…) durch Sie die Erbin selbsten, mit beÿstand Hn François Dubois des frippier und burgers allhier, Ihres Ehemanns und Hn François Maury, Advocat au Conseil souverain d’Alsace à Colmar und burgers allhier (…) geäugt und gezeigt – So beschehen in der Königl. Statt Straßburg auf Donnerstag den 7.den Januarÿ et seqq. Anno 1745.
In einer allhier Zu Straßburg ohnfern dem Rosen Crantz ane der Pergamentergaß gelegener, in dieße Verlaßenschafft gehöriger und hernach beschriebener behausung befunden worden, wie folgt.
Eigenthumb ane einer behaußung. Eine behaußung und hoffstatt, mit allen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhier Zu Straßburg unterst ane der Judengaß einseith ist ein Eck ane der Pergametergaß, gegen dem Hostel du Grand Doyen über anderseit neben einem dem hohen Chor allhier gehörigen Præbendhauß hinten auff weÿl. Johann Christoph Findado gewesenen Ritterschafftl. Einspennigers Erben Zum theil und theils auf ged. Præbendhauß stoßend gelegen, so über hernach eingetragene darauf hafftende passiv Capitalia freÿ ledig und eigen, und durch (die Werckmeistere) vermög deroselben ad Conceptum geliefferter schrifftlicher Abschatzung Vom 11. Jan: 1745. angeschlagen pro 1100. lb. Wie beede Verstorbene Avalische Eheleuth dieße behausung ane sich erkaufft weißet ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhieß. C. C. Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insigel verwahrt datirt den 6. Julÿ Anno 1737.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia beeder verstorbenene Eheleuthe auffgerichteten Testamenti nuncupativum, Par devant moy Notaire &
Sa. haußraths 146, Sa. Waaren 838, Sa. Silbers 9, Sa. Goldenen Rings 21, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 1100, Sa. Schulden 18, Summa summarum 2123 lb – Schulden 2093 lb und 26 lb – Nach deren Abzug, Conclusio finalis Inventarÿ 19 lb und 4 lb
Zweiffelhaffte Schulden in das Erbe Zugeltend 68. lb
Warbeÿ Zuberichten, daß Vermög beeder Ehe Persohnen den 20. Martÿ 1698. Zu Paris mit einander auffgerichteter Eheberedung von denen jenigenn 3000. lib so der Defunctæ Tante Marie Marguerithe Goufflere Ihro Zur Ehesteuhr mitgegeben 1000. lb abgeredeter maßen in gemeine theilbare Verlaßenschafft fließen, die übrige 2000. lb aber wleche Sie sich alls ohnverändert reserviret, deroselben oder nunmehro dero Erben Zuergäntzen, wie dann auch dasjenige, was dieselbe ais denen von weÿl. Hn François Lasniere Desbrosses, gewesenen Pfarrer der Kirchen Sti Gervasÿ und Protasÿ Zu Paris, Ihrem Hn Vettern ererbten Meubles erlöset (…)
Copie du testament – furent Presens Sieur Jules Alexandre Avale Marchand fayencier Bourgeois de Strasbourg, Et Damois. Marie Gonzé son Epouse, Domiciliez en cette ditte Ville de Strasbourg Rüe des faisans paroisse de Saint Estienne Jouissans par la Grace de Dieu d’une parfaitte Santé de Corps et d’Esprit, Mémoire et Entendement, allant et venant à leurs affaires Et Estant venus Expres En mon Estude (…) Les Testateur et Testatrice Prennent dieu a temoins qu’ils ont Caché jusqu’à présent autant qu’il leur a esté possible les outrages Sanglans qu’ils ont receus d‘Alexandre Avale Leur fils, Les Excès ou il S’est porté et les vices les plus jndignes et punissables ou jl s’est plongé, Et garderoient encore, sur le tout un profond silence, si pour la validité du présent et de leur derniere volonte jls n’Estoient forcés d’en declarer une partie, Supplians les Témoins à ce présent d’en tenir le Secret jusqu’à ce qui’il soit nécessaire de rendre bon et fidele Temoignage du présent testament, jls declarent donc les Larmes aux yeux que ledit Alexandre Avale leur fils à Causé presque leur Ruine Totalle par differens vols qu’il leur a souvent fait de vins et de Marchandises, par les dettes qu’il a Contractées pour ses debauches Continuelles, par deux Congés des trouppes ou jl S’estoit engagé et dont jls ont esté obligé de le retirer de Crainte de desertion, Comme il Les en menaçoit, Et par une Infinité d’autres depenses faites pour des differens Etablissemns, Nonobstant Touttes Lesquelles depenses et bontés dud. Testateur et Testatrice, Led. Alexandre Aval leur fils les à toujours traitté avec la derniere Infamie tantot en leur disant des Injures les plus atroces, tantot En prenant une Canne ou un baston qu’il Levoit sur Eux pour les fraper, meme ayant plusieurs fois pris et Chargé un pistolet (…) que pour Eviter un pareil malheur le Testateur voulant faire un voyage à Besançon au mois de juillet 1723 il fut Obligé d’obtenir une permission du Magistrat et de Monsieur de Montlingrail lieutenant de Roy de cette place pour le faire prendre et Conduire à la Maison de force de cette ville ou Led. Avale fils resta six Mois jusqu’au retour de son Pere lequel par les promesses de changer de vie faites par sondt. fils et à la sollicitation des amis du Testateur fit sortir son fils de la Maison de force, Mais à peine le fils dénaturé fuit il Huict jours en liberté qu’il prit une Grosse bûsche, La Leva Sur la teste de sa mere Et L’en Eut assommée si le coup N’eut esté paré et détourné par Le nommé Sans Chagrin Soldat au Regiment de Tallard (…) Lesd. Testateur et Testatrice déclarent de leur propre bouche qu’ils D Esheritent absolument Led. Alexandre Avale de leurs successions futures (…), instituent pour leur heritiere universelle Marie genevieve Avale leur fille unique – Leû et Relû dans mon Estyden Estant au premier Estage rüe dite Lunggaß à Strasbourg prenant jour par une fenetre sur ladite rüe, L’an 1728 le quatrième novembre – L’hanneur notaire royal, Collationné, le 59 7.bre 1744. Laquiante
Copie du contrat de mariage (…) Fait & passé a Paris (…) L’an 1698 le 20° Mars – Aveline
Abschatzung den 11. Januarÿ 1745. auff begehren weillandt deß wohll achtbaren und bescheitenen H. schüll allexander aball deß geweßenen Porslinhändlerß seel. hinderlaßenen Erben, ist eine behaußung allher in der statt Straßburg in der Pergamënter gaßen gelegen, einseits ein Eck gegen der Juten Gaß, anderseits an die frau Lichtenbergerin hinden auff H ritter dem Prëpantie stoßendt welche behausung unden ein gangß deß hauß Ehren darinn der bauch offen gewölbter Keller der Lahten und contor mit diellen underschlagen, oben 2. stock hoch über ein andter ein Stuben Camin Camer Kuchen hauß Ehren Nebenß Cammer war über ein alter tach stull mit Zweÿ besetzter bienen, sambt aller gerëchtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen wërckh Meister sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach an geschlagen wierdt Vor und Umb Zweÿ Tausent und Zweÿ hundert Gulten. bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërckmeistere, [unterzeichnet] Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Alexandre Aval cède sa part de maison et différent effets mobiliers qui s’y trouvent à sa sœur Marie Geneviève Aval
1746 (6.4.), Me Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 316) Joint au n° 360 du 7 janv. 1745
Eigenthumb ane einer behaußung berührend. Die in dem Inventario fol: (-) et seqq: beschriebene bißhero Zwischen dem Sohn und der tochter ins gemein und ohnvertheilt ausgesetzte behaußung und Hoffstatt cum appertinentÿs et Dependentÿs gelegen alhier Zu Straßburg unterst ane der Judengaß, so einseith ist ein Eck ane der Pergametergaß, gegen dem Hôtel du Grand Doyen über, anderseit neben einem dem hohen Chor allhier gehörigen Præbendhauß, hinten auff weÿl. Johann Christoph Findado, geweßten Ritterschafftlichen Einspennigers Erben Zum theil und theils auf gedachtes Præbendhauß stoßend, so über hernach gemeldter darauff stehender Capitalien freÿ ledig und eigen, mit sambt denen in solcher behausung sich befindlichen annoch dißorths gemeine Erbschafft gehörigen Faßen, Liegerlingen, alten Fenster, Schäfften, holtz und allem was darinnen Maur: Wand: Band: und Nagelfest ist, nicht das geringste als die in erwehnter behausung annoch sich befindliche Bouteillen, so H. Aval dem sohn allein überlaßen worden, und Bouteiilen Zapffen /:welche Zwischen dem Sohn und der tochter annoch Zuvertheilen:/ davon ausgenommen, Von Herrn Alexandre Aval, dem sohn,
seiner Schwester und Mit Erbin Frauen Marie Genevieve Dubois gebohrner Aval in ohnvertheiltem Erbe eigenthümlichen cedirt und überlaßen (…) umb 3500 Gulden oder 1750. lb – So beschehen Zu Straßburg Dienstags den 6.ten Aprilis Anno 1746. [unterzeichnet] Alexandre Avale, + Frauen Mariæ Genevieve Dubois der Cessionariæ handzeichen, François Dubois
Marie Geneviève Aval passe en 1729 une promesse de mariage avec le soldat Louis Devineau dit Saint Louis puis épouse en 1731 le soldat réformé François Dubois, originaire de Saint-Cornier dans le diocèse de Bayeux, juridiction de Mortagne : contrat de mariage, célébration
1729 (3. 9.bre), Me Lhanneur de Chantelon (6 E 41, 984)
Promesse de mariage – Sr Louis Devineau dit S Louis soldat de la compagnie de M Deviné Capitaine au régiment de picardie en garnison en cette ville fils de deffunt Louis Me Perruquier et Bourgeois de Bourges et Dlle Marie Beaujetton
Sr Alexandre Avale marchand fayancier et Dlle Marie Gonsé au nom de dlle Marie Genevieve Avale leur fille mineure
1731 (5.6.), Me Lhanneur de Chantelon (6 E 41, 986)
Contrat de mariage communauté partageable par moitié – Sr François Dubois cy devant soldat de la Compagnie de M d’Alary capitaine au premier bataillon du Régiment de Champagne demeurant en cette ville de Strasbourg rue du faisan Paroisse de St Etienne fils majeur de deffunts Sr Etienne marchand de fer audit lieu et paroisse de St Cornier diocese de Bayeux jurisdiction de Mortagne en la Basse Normandie et Dlle Madeleine Niobé
Sr Alexandre Auale marchand fayancier bourgeois de cette ville et Marie Gonzé demeurant susd. rue et paroisse stipulant pour Delle Marie Genevieve Auale leur fille mineure native de la Citadelle (promettent de se prendre devant l’église catholique)
Mariage, Saint-Etienne (cath. p. 80)
Hodie 24 Junÿ Anni 1731 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt franciscus dubois oriundus ex parochia vulgo St. Cornier in normannia diœcesis Bajacensis Miles dimissus a legione dicta de champagne, et Genoveva Aval filia Alexandri aval civis Argentinensis ambo parochiani nostri (signé) + nota sponsi, Maiaa ieuvlauale (i 44)
Le revendeur François Dubois devient bourgeois en mars 1732 en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
1732, 4° Livre de bourgeoisie p. 983
François du Bois d: Krämer Von St Corneille en Normandie geb. erhalt d: b: Von sein: ehefr. Marie genevieve alexandre aval b. und porcelanhändlers alhier ehelich. tochter umb die tertz d. alt. b. will beÿ EE Zufft d. Möhrin dienen. Jur. d: 22.ten Martÿ 1732.
Le fripier François Dubois loue la maison à l’aubergiste Jean Poulain ; le locataire précédent est le tailleur Guérand
1746 (18.3.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 210-v
François Dubois der frippier
in gegensein Jean Poulain des wirths
entlehnt, eine alhier am end der Judengaß gegen der Domb dechaneÿ über gelegene behausung nichts davon ausgenommen – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend auff nächst künfftigen Johannis Baptistä – um einen jährlichen Zinß nemlich 500 livres tournois
das falls der jetzige haupt entlehner gedachten haußes N. Guerand der schneider annoch vor Joh. Baptistä auszöge, jetzige lehnung vom tag seiner ausräumung angehen solle
Jean Poulain demande l’autorisation de tenir auberge aux Quinze qui renvoient l’affaire aux préposés généraux de la Taille. Il ressort que Jean Poulin a l’intention d’être aubergiste à part entière et non seulement de débiter du vin. Il a obtenu une promesse d’admission chez les Fribourgeois pour devenir trtributaire dès qu’il sera bourgeois. Sur l’avis de la commission, les Quinze autorisent Jean Poulin à tenir auberge à condition de se soumettre aux règles des aubergistes et à poser l’enseigne Au bois de Boulogne
(p. 617) Sambstag d. 30. Octob. 1745. Jean Poulin pt° Weinsch.
Obere Vmbgelt herren laßen per me referiren daß den 2. huj. beÿ Mghh. Jean Poulin aubergiste eingekommen, und berichtet, er habe das Avalische Hauß in der Juden gaß gelehnt, und anbeÿ einen Schein von E. E. Zunfft der Freÿburger Vom 21. Sept. jüngst, besag welches er der Auffahm beÿ dieser E. Zunfft auff erhaltenes burger recht, und erlangt permission beÿ Mgh. Vertröstet, producirt und anbeÿ gebetten Ihnen in ged: behaußung gn. Zu erlauben, Auberge Zu halten, allerhand Wein Zu Verkaufen, und eine Taffel außzuhencken zu dörffen. Auff geschehener Weisung habe der Implorant dieses sein petitum wiederhohlet.
Auff seithen der Hh. Deputirten habe man aus dem Vortrag wahrgenommen daß der Implorant Keine Simple auberge halte, sondern eine Völlige Wirtschafft halten wolle, dahero davor gehalten daß Ihme Zwahr mit dem Weinsch. in gemelte behaußung Zu willfahren, jedoch mit dem anhang daß Er Wie andere Würth Von allen einlegenden wannen das Würths Umbgeld Zu bezahlen vnd von der außhangeden Taffel des Wurths Vmbgeld Zu bezahlen, und Von der Außhangenden Taffael au bois de Boulogne die quartal Schillings gebühr zu erlegen schuldig sein solle. Zumahlen der Implorant auch seinen burgerschein Vorgelegt. Erkandt bedacht gefolgt.
Le fripier François Dubois loue la maison au chirurgien militaire Claude Le Riche
1748 (5.4.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 331
François Dubois der fripier
in gegensein H. Claude Le Riche chirurgien aide major des königl. hospitals
entlehnt, eine behausung samt deren zugehörden und rechten, am ende der Judengaß am eck gegen der dechaneÿ über, nichts davon ausgenommeen – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend auff auff nächst künfftigen Johann Baptistæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 400 livres
Claude Le Riche sous-loue une partie de la maison à Claude Villeman, manant et marchand de soie
1748 (28.5.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 445
H. Claude Le Riche chirurgien aide major der königl. hospitals
in gegensein Claude Villeman des schirmers und seÿdenhändlers
affterlenhnungs weiß, in eine am ende der Judengaß am eck gegen der domb: dechaneÿ gelegenen behausung, die gantze unterste wohnung, zweÿ kleine keller auff der ersten bühn platz zu einem cabinet, so dann den gemeinschaftlichen gebrauch der dritten buhn – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend auff instehenden Johannis Baptistä – um einen jährlichen Zinß nemlich 130 livres
Marie Geneviève Dubois meurt en 1750 en délaissant cinq enfants. L’inventaire est dressé dans la maison à l’angle de la rue du Miroir. Les experts estiment la maison rue des Juifs 1 000 livres. La masse propre au veuf s’élève à 25 livres, celle des héritiers à 266 livres. L’actif de la communauté s’élève à 3 681 livres, le passif à 948 livres
1751 (3.2.), Me Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 326) n° 596
Inventarium über Weÿland Frauen Mariæ Genevieve Dubois gebohrner Aval, Hn. François Dubois des frippier und burgers allhier gewesener Ehefrauen nunmehro seel. Verlassenschafft, auffgerichtet Anno 1751 – nach ihrem Montags den 30.sten Novembris des nächst Zurückgelegten 1750.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt hie Zeitlichen verlaßen, Welche Verlassenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren Hn Guillain Willame, des Lederhändlers und burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Hn Josephs, Philosophiæ studiosi, so 17. Jahr alt, Jungfrauen Marguerithe, so 15. Jahr alt, Alexandre, so 13. Jahr alt, Simon, so 9 ½ Jahr alt und François Antoine, so 10. Wochen alt, derer Dubois, allesamt der Abgeleibten seeligen mit vorgedachtem ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeugter Kinder und ab intestato Zu fünff gleichen Portionen und Antheilern Verlaßener Erben, inventirt – So beschehen in der Königlichen Stadt Straßburg, auf Mittwoch den 3.ten februarÿ Anno 1751.
In einer allhier zu Straßburg ane der langen Staß neben dem Spiegel Gäßlein gelegener, in die dißortige theilbahrer Nahrung gehöriger und hernach eingetragener behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthum ane Häußern. (E.) Nehmlichen eine behausung und hoffstatt, mit allen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg unterst an der Judengaß, einseith ist ein Eck an der Pergamenter Gaß gegen dem hôtel du grand Doyen über, anderseith neben einem dem hohen Chor allhier gehörigen Præbend hauß, hinten auf N. Jung dem Gastgeber Zum Krebs zum theil und theils auf gedachtes Præbend hauß stoßend. Welche behausung gegen männiglichen freÿ, leedig und eigen, und durch die (Werckmeistere) vermög deroselben den 16.ten Decembris 1750. unter ihrer eigenhändigen Concept befindlichen Abschatzungs Scheins, æstimirt und angeschlagen worden vor und um 2000 fl. oder 1000. lb. Und besagt über sothane behaußung, welche die Verstorbene frau Erblaßerin seel. aus weÿl. Herrn Jules Alexandre Aval, gewesenen Glaß und Porcellan händlers und weÿl. Frauen Marie geb. Gonzé, beeder gewesener Eheleuthe und bb. alhier Zu Straßburg, dero geliebter Eltern seel. Verlaßenschafft vermög hernach beÿ der Ergäntzung allegirtes durch mich Notarium gefertigter Designation A° 1745. in ohnvertheilten Erbe cessions weise erlangt hat, ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießig. C. C. Stub gefertiget und mit deren anhangendem Insiegel verwahrt datirt den 6. Julÿ anno 1737.
(T.) Eine behaußung Laden und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, alhier zu Straßburg in der Langenstraß einseit ist ein Eck am Spiegelgäßlein, anderseith neben S.T. Herrn Francisco Oesinger J.U. Cto. und hochgräflich Leiningisch. Rath hinten auf die Zunfft Stub zum Spiegel stoßend gelegen, davon gibt man jahrl. auf d. 1.ten May wegen des über das allmend gebauten Erckers löbl. Statt Pfenningthurn 2. lb Allmend Zinnß, so dann seÿe der jeweilige eigenthumbs besitzer dieser behaußung auch pflichtig, den steinern Nach, so zwischen derselben und der Oesingerischen behaußung, auf denen beede häuser scheidenden Mauren liegt, auf seine Cösten ausbutzen, raumen, Verkütten und ausbeßern zu laßen, sonsten aber ist solche behaußung gegen männiglichen freÿ, leedig und eigen und durch vorher schon benamste löbl. Statt geschwornen Lohner und Herren Werckmeister ihrem auch schon allegirten Abschatzungs Scheins zufolge, taxirt und gewürdiget worden ad 2400 fl. oder 1200 lb. Davon aber hier abzuziehen, obermelter bodenzinß im gerechnetem doppeltem Capital anlangend 80 lb. und demnach außzuwerffen annoch übrig verbleibt 1120 lb. Darüber meldet und ist vorhanden ein teutscher pergamentener in allhiesiger C.C. Stub gefertigter u. mit dero anhangenden größern Insiegel verwahrter Kauffbrieff de dato 22.ten Decembr. 1735. außweisend wie dißorthige im leben gewesenen Ehepersonen so beschriebene behaußung von denen Wannerischen Erben kaüfflichen an sich gebracht haben.
Norma hujus Inventarii, des hinterbliebenen Wittibers ohnveränderten Guths, Sa. Ergäntzung 100 lb – Schuld 75 lb, verbleibt 25 lb
Diesemnach so wird auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. hausraths 132, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1000, Sa. Schuld 75, Ergäntzung, Summa summarum 1207 lb – Schuld 940 lb, Nach solchem abzug 266 lb
Endlichen so wird auch die gemein und Theilbare Verlassenschafft beschrieben, Sa. hausraths 121, Sa. der Waaran zur frippier Profession gehörig 172, Sa. Silbers 63, Sa. Goldener Ring 14, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1120, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1250, Sa. Schuld 940, Summa summarum 3681 lb – Schulden 948 lb, Nach deren Abzug 2733 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 3025 lb
Zweiffelhaffte Schulden in die theilbare Verlassenschafft zu geltend 57 lb
Copia der Eheberedung
François Dubois se remarie avec Eve Catherine Schüssler après avoir pasé un contrat de mariage à Landau. Originaire de Spire, elle devient bourgeoise par son mari et tributaire à la Mauresse
1752, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 501
frau eva Catharina gebohrne schießlerin Von Speÿr gebürthig erhaltet das burgerrecht von Jhrem Ehemann François dubois dem burger und fripier allhier um den alten burgerschilling und will dienen beÿ EE. Zunfft Zur mörin, promis. eodem [28. Aug. 1752]
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 4 321 livres, ceux de la femme à 597 livres. Le mari est propriétaire de 3/5 des deux maisons en partie à cause de la communauté avec sa première femme et en partie en tant qu’héritier d’un de ses enfants
1753 (8.5.), Me Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 328) n° 643
Inventarium über H. François Dubois, des frippier und Frauen Evæ Catharinæ, gebohrner Schüßlerin beeder Ehepersonen und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1753 – in ihren den 5.ten Julÿ A° 1751. angetrettenen Ehestand, Kraft deroselben den 3.ten besagten Monats und Jahrs von H. Streicher Königlichem Notario zu Landau aufgerichteter Eheberedung Vor ohnverändert zugebracht – So geschehen in der Königlichen Stadt Straßburg In fernerer Gegenwarth H. Johann Carl Ficke Notarii publici et Practici allhier der Ehefrauen hierzu erbettenen H. Beÿstandts den 8.ten und 10.ten Maji Anno 1753.
In einer allhier zu Straßburg ane der langen Staß neben dem Spiegelgäßlein gelegener: in dem Ehemann und seinen Kindern erster ehe eigenthümlich zuständiger und hernach eingetragener behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthum ane Häußern. (M.) Erstl. dreÿ fünffte theil für ohnvertheilt von und ane einer behaußung, Laden und hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen Zugehörden Rechten und Gerechtig Keiten, alhier zu Straßburg ane der langen Straß einseith ist ein Eck am Spiegelgäßlein, anderseith neben S.T. Herrn Francisco Oesinger, J. Cto. und Hochgräflich Leiningischem Regierungs Rath, hinten auf die Zunfft Stub zum Spiegel stosend gelegen, davon gibt man jahrlich auf den 1.ten May wegen des über das allmend gebauten Erckers löbl. Statt Pfenning thurn 2. lb. d. Allmend Zinnß, so dann seÿe der jeweilige Eigenthumbs besitzer dieser behaußung auch pflichtig, den steinern Nach, so zwischen derselben und der Oesingerischen behaußung, auf denen, beede häuser scheidenden Mauren liegt, auf seine Cösten ausbutzen, raumen, Verkütten und ausbeßern zu laßen, sonsten aber ist solche behaußung gegen männiglichen freÿ, leedig und eigen, und werden die hieher gehörige dreÿ fünfte theil dißorts ohnpræjudicirlichen angeschlagen, die gantze behaußung über abzug der darauf haftenden beschwerden zu 1500. lb d gerechnet pro 900 lb. Diese behaußung hat der Ehemann in erster, mit weiland Frauen Genevieve gebohrner Aval, geführten Ehe erkaufet und ist mithin in dero beeder seithige theilbare Nahrung gehörig, woran ihme als Participanten derselben die helfte, und ane der andern seiner Ehefrauen samtliche hinterlassenen mit einander erzeugten Fünf Kindern zuständigen helfte wegen Jgfr. Margareth Dubois, der einen nach der Mutter Verstorbenen und von ihme dem Vater und dißortigen Ehemann geerbten tochter, ein fünfter theil gebührig, welche beede antheiler dann 3/5.te theil ane der Völligen behaußung ausmmachen. Die restirende 2/5.te Theil dieser behausung sind des Ehemanns noch lebenden 4. Kindern erster Ehe für mütterlich Guth gehörig, und werden hieunten fol. (-) ihren übrigen mütterlichen guth beÿgeschrieben. Über die völlige behaußung besagt ein teutscher pergamentener in allhiesiger Cantzleÿ Contract Stuben gefertigter und mit dero anhangenden grösern Insiegel verwahrter Kauffbrief de dato 22.ten Decembris A° 1735
(M.) It. ein fünffter theil für ohnvertheilt von und ane einer behausung und hoffstatt, mit allen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg zu unterst an der Judengaß, einseith ist ein Eck an der Pergamenter Gaß, gegen dem hôtel du grand Doyen über, anderseith neben einem dem hohen Chor allhier gehörigen Præbend hauß, hinten auf N. Jung dem Gastgeber Zum Krebs zum theil und theils auf gedachtes Præbend hauß stoßend. so gegen männiglich freÿ, leedig und eigen, und dißorts ohnpræjudicirlichen angeschlagen wird, die gantze behaußung Zu 1500. lb. gerechnet für 300. lb. Diesen fünfften theil hat der Ehemann von Vorgemeldter Margaretha Dubois seiner Verstorbenen tochter erster Ehe ererbt. Und die übrige 4/5. theil daran seind deßen noch lebenden 4. Kindern erster Ehe als mütterlich Guth zuständig, so hernacher fol. (-) ihrem übrigen mütterlichen Guth beÿgesetzt zu ersehen. Und hat mehrgedachter des Ehemanns verstorbenen erstere Ehefrau sothane völlige behaußung von weiland H. Jules alexandre Aval, dem gewesenen Porcellan und Chrÿstall händler und auch weiland Frauen Marie gebohrner Gonzé, beeden gewesenen Ehe Personen und burgern alhier ihren Eltern seel. A° 1745 erbl. erhalten, wie die durch mich Notarium über erwehnte Erbschafft außgefertigter Designation außweißet. Sonsten besagt noch hierüber ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießig. Cantzleÿ Contract Stuben gefertiget und mit deren anhangendem Insiegel verwahrt datirt den 6. Julÿ anno 1737.
Wÿdum, Welchen der Ehemann, wegen Joseph, Alexandre, Simon und Frantz Anthon derer Dubois, seiner in erster Ehe mit weiland Frauen Maria Genoveva gebohrner Aval, erzeugter noch leb: 4 Kinder, so mit Hn Guillain Villame dem Chamoisseur und burgern allhier bevögtiget, theils lebtägig, theils aber und zwar so viel die Legitimam betrifft, gegen ihrer Education und Alimentation biß zu dero erlangender Majorennitæt oder bestehendem Etablissement zugeniesen berechtiget. Vermög oben allegirten zwischen dem Ehemann und Vogt Vor mir Notario den 4.ten augusti Anno 1753. aufgerichteten und von E.m löbl. Vogteÿ Gericht den 26.ten Junÿ A° 1754. als passirlich unterschriebenen Summmarischen Calculi über sein des Ehemanns ersterer Ehefrauen seel. Verlassenschafft, bestehet ernandter deßen noch lebender Vier Kinder solcher Ehe mütterlich Erbguth in folgenden Posten.
Erstl. zween fünffte theil für ohnvertheilt von und ane der hieoben fol: (-) et seqq. beschriebenen behaußung alhier zu Straßburg ane der langen Straß ane dem Eck des Spiegel Gäßleins gelegen, cum appertinentiis thun dem in angezogenem Calculo gemachtem Anschlag nach die gantze behaußung zu 6000. Livres oder 1500. lb. gerechnet, 600 lb.
It. 4/5.te Theil für ohnvertheilt von und ane einer behausung und hofstatt, mit allen deren Zugehörigen Gebäuen, Rechten und Gerechtig Keiten alhier Zu unterst ane der Judengaß gelegen, das Eckhauß der gedachten Juden gaß und der pergamenter Gaß ausmachend, welche hieoben fol. (-) et seqq, umständl. beschrieben und für 1500 lb d. æstimirt worden, machen also dißortige 4/5.te theil solchem Preiß nach 1200
die übrige antheiler dieser beeden behausungen sind dem Ehemann und Vater zuständig und Vorhero dictis foliis mit und benebst denen darüber besagenden Documenten unter deßen übriger in die ehe gebrachter Nahrung eingetragen worden
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. hausraths 756, Sa. Waaren zum frippier handel gehörig 669, Sa. Silbers 222, Sa. Goldener Ring 6, Sa. baarschafft 250, Sa. Eigenthumb ane Häußern 1200, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1400, Sa. Schulden 57, Summa summarum 4560 lb – Sa. Schulden 239 lb, Nach deren Abzug 4321 lb
der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Mittel, Sa. hausraths 177, Sa. Silbers 31, Sa. Goldener Ring 126, Sa. baarschafft 12, Sa. Schuld 250, Summa summarum 597 lb
Zweiffelhaffte Schulden in des Ehemanns zugebrachte Nahrung zugeltend 24 lb
François Dubois loue la maison à Jean Robert Christmann
1753 (27.9.), Chambre des Contrats, vol. 627 f° 407
François Dubois der frippier
in gegensein H. Dr Johann Ruprecht Christmann E. E. Großen Raths procuratoris und advocati ordinarii
verlühen, eine behausung samt deren zugehörden und rechten am end der Judengaß am eck gegen der Dombdechaneÿ über, nichts davon ausgenommen – auff 9 nacheinander folgenden jahren auff innstehenden Michaelis, um einen jährlichen Zinß nemlich 450 livres
François Dubois loue la maison aux imprimeurs Jean Robert Christmann et François Georges Levrault
1764 (23.2.), Chambre des Contrats, vol. 638 f° 123-v
François Dubois der frippier
in gegensein H. Frantz Ruprecht Adrian Christmann und H. Frantz Georg Levrault beede buchdrucker
entlehnt, eine behausung samt deren zugehörden und rechten gegen der Domb dechaneÿ, nichts davon ausgenomen, einseit ist ein Eck ane der Jungfrauengaß, anderseit ein Eck ane der Pergamenergaß – auff 9 nacheinander folgenden jahren auf instehenden Annunc. Mariæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 400 livres
François Dubois meurt en 1765 en délaissant trois enfants de son premier mariage et quatre du deuxième. Les experts estiment la maison 1 500 livres. La masse propre à la veuve est de 139 livres, celle des héritiers de 5 091 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 346 livres, le passif à 5 759 livres.
1765 (19.4.), Me Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 338) n° 901
Inventarium über Weiland Sieur François Dubois, des geweßenen frippier und burgers alhier zu Straßburg nunmehr sel. Verlassenschaft, aufgerichtet Anno 1765. – nach seinem Samstags d. 16. Martÿ dieses laufenden 1765.sten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödl. hientritt hie zeitl. verlaßen. Welche Verlt. auf Ansuchen hernach benannter dißortiger herren Vögte u. ersucht durch Claudine Ifangerin die Schirmerin alh. u. dißortige haushälterin, wie auch Frantz Anton Dubois den dißortigen jüngern Sohn – So geschehen alhier zu Straßburg in fernerer gegenwarth Hn Joseph Straub, des Schneiders und hießigen burgers, als geordnet und geschwornen Vogts Frauen Evæ Catharinæ Dubois geb. Schießlerin der dißeitigen Wb. welche dermalen mente capta und derentwegen in alhießigem teutschen hospital sich befindet, auf Freitag den 19. Aprilis et seqq. Anno 1765.
Der verstorbene Herr Dubois sel. hat sowohl per Testamentum als ab intestato zu Erben verlaßen wie folgt. 1° Alexandre François Dubois, welcher schon vor verschiedenen Jahren als Koch in die frembde gegangen, ob aber derselbe annoch bei leben oder wo er sich dermalen aufhält ist dißorts ohnbekandt, so geboren worden den 7. 9.br 1737, 2° François Simon Dubois, ledigen Peruquenmacher u. dermalen friseur an dem Marggräfl. Rastattischen hof, geboren den 3. Julÿ 1741, 3° François Antoine Dubois, welcher anjetzo bei H. Stahl dem goldarbeiter alh. in der Lehr stehet, geboren den 28. 9.br 1750, diese 3. des Def. in erster Ehe mit auch weil. fr. Maria Genevieve Dubois geborner Aval erzeugte und nach tod verlaßene Kinder, deren geordnet und geschworener Vogt Hr Guillain Willame der Lederhändler und burg. alh. beiständl. Herrn Joseph Bähr, Procuratoris vicarii dießem Verl. Geschäfft beigewohnt hat.
4° Marie Therese Dubois geboren d. 23. January 1753, 5° Louise Marguerithe Dubois so geboren den 2 martÿ 1754 ([in margine] NB ist gestorben d. 29 May 1765), 6° Marie Victoire Dubois, geboren den 1. Martÿ 1759 und 7° Jean Louis Dubois geboren d. 14. 8.bris 1760, nechst vorher benannte 4. jüngere KK. hat Hr Dubois sel. mit eingangs gedachter seiner hinterbl. nich lebenden Wb. in 2.ter und letzter Ehe erzeugt. In deren Namen Hr. Frantz Joseph Erhard der frippier und burger alh. als deroselben nominirter vogt bei dießem Geschäft sich persönl. eingefunden
In einer alhier zu Straßburg an der langen Straas gegen der Schildsgaß gelegener und in diese Verlaßenschafft gehöriger behaußung, ist befunden worden wie folgt
auf der bühn, auf dem Gang, In der hintern Stub Kammer, In der hintern Stub, In der vordern Wohnstub, In der finstern Cammer, Im Kellern Im holtz haus, In der Kuchen
Eigenthum ane Häußern (E.) Erstl.2/5 theil für ohnvertheilt von und ane einer behausung und hofstatt, mit allen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg zu unterst an der Judengaß, eins. ist ein Eck an der Pergamenter Gaß, gegen dem hôtel du grand Doyen über, anders. neben einem dem hohen Chor allhier gehörigen Præbend hauß, hinten auf weil. N. Jung des gew. Gastgebers Zum Krebs hinterl. Wittib und Erben Zum theil und theils auf ged. Præbend hauß stoßend. so gegen männiglich freÿ, leedig und eigen, und durch (die Werckmeistere) vermög deroselben ad Concept. gel. schriftl. Abschatzung dedato 26. Junii 1765. angeschlag. worden pro 3000. fl. thut hiehero 2/5. theil 600. lb. Sothane 2/5. theil hat der Def. seel. von weil. Joseph Dubois und Jgfr. Margar. Dubois seinen verstorbenen beeden Kindern erster Ehe ererbt, die übrige 3/5. theil aber seind deßen noch lebenden 3. Kindern erster Ehe als ohnverändert Mütterl. Guth zuständig. Diese behaußung hat Weil. frau Marie genevieve Dubois geb. Aval des Def. geweßte erstere Ehefrau seel. von ihren Eltern ererbt, wie die durch mich Not. über besagt dero Elterl. Verl. in Anno 1745. außgefertigter Designation außweißet. Sonsten besagt noch hierüber ein teutscher Pergamentener Kauffbrief in alh. C. C. stuben gefertiget und mit deren anhangend. Insiegel verwahrt datirt d. 6. Julÿ anno 1737.
( (T. Item eine behausung ane der Langen Straß (…)
Ergäntzung des disortigen Wittib wärender Ehe abgegangen ohnveränderten Guths. Nach besag des durch mich unterschriebenen Notario in A° 1753 errichteten Inventarÿ
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia des Verstorbenenn sel vor H. Humbourg dem königl. Notario en 24. Martii A° 1759. auffgerichteten Testamenti nuncupativi
Der hinterbliebenen Wittib gesambten unveränderten Vermögens, Sa. hausraths 92, Sa. Silbers 11, Sa. Goldener Ring 24, Sa. Ergäntzungsrests 12, Summa summarum 139 lb
Dießemnach wird auch der Kinder und Erben unveränderte Nahrung, Sa. hausraths 118, Sa. silbers 2, Sa. Goldener Ring 1, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 175, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 600, Sa. activ Schuld 2, Sa. Ergäntzungsrests 4954, Summa summarum 5854 lb – Schulden 762 lb, Nach deren Abzug 5091 lb
Endl. wird auch die Gemein und theilbar verlassenschafft, Sa. hausraths 139, Sa. Silbers 8, Sa. Goldener Ring 1, Sa. baarschafft 30, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1250, Sa. Eigenth. an i. behaußung 900, Sa. activorum 16, Summa summarum 2346 lb – Schulden 5759 lb, Compensando ist ersichtlich daß die theilbare Passiva die theilbare activ Nahrung dem Stall tax nach übertreffen um 3412 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 3541 lb – Stall summ 2618 lb
Widum, Welchen der Verstorbene seel. von auch Weil. frauen Maria Genoveva Dubois gebohr. Aval seiner gewesenen erstern Ehefr. sel. krafft dero vor längst weil. H. Lhanneur not. royal alhier den 5. Junÿ 1731 mit einander errichteten Eheberedung theils lebtägig theils aber und zwar so viel die Legitima betrifft, gegen der Kinder Education und Alimentation biß zu dero erlangender Majorennitæt oder bestehendem Etablissement zugeniesen gehabt und auch biß an sein absterben also genoßen. Vermög des über weil. obged. Fr. Maria Genoveva gebr. Aval seel. Verl. durch mich Not. den 4.ten aug. A° 1753. aufgerichteten und von E. Löbl. Vogteÿ Gericht den 26. Junÿ A° 1754. als passirlich unterschriebenen Summmarischen Calculi, derer Vier Kinder solcher Ehe Völlig mütterlich Erbguth in folgend. Posten als, Erstl. 2/5. theil für ohnverth. von und ane einer behaußung, Laden und hoffstatt mit allen deren zugehörd. Rechten und gerechtigt. alh. zu Straßburg ane der Langenstraß an dem Eck des Spiegelgäßleins gelegen, welche 2/5. theil in angezogenem Calculo angesch. worden pro 600 lb. Es ist aber sothane behaußg. durch den verstorbenen H. Dubois sel. und sothaner Kinder und Widumbs Erben vogt Eingangs gemeldt, den 26. febr. 1760. an Hn Johann Michael Stahl den Langmeßerschmidt und burgeren alhier verkauft worden pro 2000 lb, thut hiehero für 2/5. theil an 800 lb,
It. 4/5.te Theil für ohnvertheilt von und ane einer behausung und hoffstatt, mit allen deren Zugehörigen Gebäuen, Rechten und Gerechtigk. alhier Zu unterst ane der Judengaß gelegen, das Eckhauß der ged. Juden gaß und der Pergementegaß ausmachend, welche hieoben fol. (-) umständl. beschrieben und in erwehntem Calculo auch æstimirt worden pro 1500. lb, machen also dißortige 4/5.te theil 1200 lb
Copia der Eheberedung – Pardevant le Notaire Royal immatriculé au Conseil souverain d’Alsace residant a Landau soubsigné furent presens le Sieur François Dubois Marchand frippier demeurant à Strasbourg veuf En premieres Noces de deffunte Demoiselle Genevieve Aval d’une part, et Demoiselle Catherine Schüsslerine fille majeure de feu Jean Schüssler vivant bourgeois a Spire et de Marie Marguerithe Jacquemin ses pere et mere demeurante en cette ville de Landau d’autre part, Lesquelles parties assistées (…) de celle de lad. dlle Catherine Schüsslerine se sad. mere et des Sieurs Paul Wittmer bourgeois marchand et Thomas Lohr bourgeois Chaudronnier aud. Landau ses beau freres – ce 3 Juillet 1751 en presence du sieur René le feure beau frere de la future épouse – Streicher Notaire
Copia des Verstorbenen sel. Vor H. Humbourg dem Königl. Notario alh. den 24. Martii A° 1759 aufgerichteten Testamenti nuncupativi – le S. François Dubois Marchand fripier Bourgeois de cette ville y demeurant Grand rue paroisse St Louis, infirme de Corps mais sain d’esprit (…)
– Abschatzung Vom 26.ten Junÿ 1760. Auff Begehren Weil. N: De bois des gewesenen Fribeier seel. hiender Lasener Fr. witib Und Erben ist eine behausung alhier in Der Statt Strasburg in der Lange Stras Gelegen (…)
Der Zweÿte Begriff ist Auch alhier in Der Statt Strasburg am Rosen Krantz gelegen Ein Seits Neben Fr. Junge witib anderseits ein Eck auff dem allmendt Machent, und hienden auf eine behausung in den Giertler Hoff geherig Stosent, Gelegen, solcher begrieff besteht in einer Grose stube, Ferner in Zweÿ Stuben Zweÿ Kichen Zweÿ Frantzesch Camin Camern Vnd Zweÿ Hauß Kamern dar jber ist der Dach Stuhl mit breidt ziglein belegt hat auch ein Getrembten Keller. Von uns Underschriebenen Der Statt Strasburg Geschwornen Werckmeister Nach Vorhero Geschehener besichtigung mit Aller Ihrer Gerechtigkeit Dem Jetzigen wahren werth Nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und Vmb Dreÿ Thausent gulden [unterzeichnet] Werbern Sebastian Huber
La tribu de la Mauresse propose des tuteurs à la demande de la Chambre des tutelles
1765, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 262)
(f° 525-v) 1231 Montags den 15. Aprilis 1765 – Vogteÿ Ausschuß
Weilen von denen Zu Bevögtigung Weiland Sieur François Dubois, des gewesenen Frippier und burgers alhier hinterlaßener Kinder zweiter Ehe, auf begehren Löbl. Vogteÿ Gerichts disorts in Ausschuß gegebene dreÿen Subjectis einer, Nahmens Frantz Antoni Collein, wegen einem vorgeschützten Schaden am bein losgesprochen worden, als wurde auf ferneres schriftlichen Vogteÿ Gerichts de dato 27. Martÿ 1765. zu obgedachten zweÿen übrigen und hiemit nochmalen gerichtlich bestätigten Subjectis annoch in Ausschuß zu bringen Erkandt, Frantz Joseph Erhard, frippier, C. fl.
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 2 800 florins (1 400 livres)
1766, Livres de la Taille (cote VII 1180) f° 33
Mörin N° 1719 – Weÿl. François Dubois frippier und auch Weÿl. Fr. Evæ Catharinæ geb. Schüßlerin beeder gew. Eheleuthen und burgere allhier Verlaßenschafften jnv. H. Not. Lichtenberger.
Concl. final Invent Ist fol. 209., 3639 lb 2 d, davon gehet aber ab wegen den a 4 pro Cento angelegten Capitalien 15 lb 6 ß 8 d, Verbleibt 3480. lb 13 ß 6 d, die machen 6900. fl. Verstallte 4100 fl. Zu wenig 2800. fl.
Wovon Nachtrag Vor 5 Jahr in duplo als der Verstorbene sich 2500. fl. abschreiben laßen thut a 8 lb 8 ß, 42 lb
und 3. Jahr in simplo, 12 lb 12 ß
geb. 2 ß 10 d
Ext. Stallgeld 1765. et 1633, 15 lb
Abhandlung 5 ln 17 ß 6, (Summa) 75 lb 12 ß 4 d
der Nachtrag auff die helfte moderirt restiret 48 lb 6 ß 4 d
dt. 6. 7.bris 1766.
Compte de tutelle que rend le marchand de cuir Guillain Willame aux enfants issus du premier mariage. La maison rue des Juifs est louée à l’imprimeur du Roi Christmann
1767 (31.7.), Me Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 338), Joint au n° 901 du 19 avril 1765
Rechnung mein Guillain Willame Lederhändlers und burgers alhier zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts weiland Sieur François Dubois gewesten frippier und burgers alhier, mit auch weil. Fraun Marie Genevieve gebohrner Aval ehelich erzeugt hinterlaßener Kinder Nahmentl. Alexandre François des Kochs, François Simon, Peruquenmachers und François Antoine so in Erlernung der Peruquenmacher Profession begriffen, der Dubois, inhaltend alles dasjenige was ich seit dem 18. Martÿ 1765. bis den 31. Julÿ 1767. Namens meiner Curanden eingenommen und hingegen wieder ausgegeben habe. Erste Rechnung dieser vogteÿ
Rechnung mein Guillain Willame Lederhändlers und burgers alhier zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts weiland Sieur François Dubois gewesten frippier und burgers alhier, mit auch weil. Fraun Marie Genevieve geborner Aval ehelich erzeugt hinterlaßener dreÿer Kinder Nahmentl. Alexandre François des Kochs, François Simon, Peruquenmachers und François Antoine so in Erlernung der Peruquenmacher Profession begriffen, der Dubois, inhaltend alles das jenige was ich seit dem 18. Martÿ 1765. bis den 31. Julÿ 1767. Namens meiner Curanden eingenommen und hingegen wieder ausgegeben habe. Erste Rechnung dieser Vogteÿ
deroselben Mütterl. Vermögen nun bestehet nach besag des über oballegirte Mütterl. Verlaßenschafft den 4. Augusti 1753. durch Notarium Joh: Friderich Lichtenberger nach Anleitung des darüber Verfertigten Inventarÿ aufgerichteten und Von Einem Löbl. Vogteÿ Gericht den 26. junÿ 1754. als passirlich unterschriebenen Summmarischen Calculi in folgend. Posten als (…)
Einnahm – Item ane eingenommenen Haus zinsen.
Von der behausung in der langen Stras – Nemlich Von Hn Baur dem Peruquenmacher für das quartal Von Weihenachten 1764. bis annunc. Mariæ 1765. gerechnet, 7 lb 10 ß
It. von H. Divoux dem Sprach Meister für das neml. quartal 2 lb 15 ß
Von der behausung in der Juden Gaß. Von H. Christmann dem Königl. buchdrucker Von Weihnachten 1764. biß Joh. Bapt: 1767. gerechnet für Zweÿ und ein halb Jahr 250. lb
François Antoine Dubois élève des contestations au compte que lui rend le tuteur
1771 (4.7.), Me Anrich (6 E 41, 1520) n° 15
Beschwernüße über die von Hrn Guillain Willame dem leederhändler und burger allhier zu Straßburg als geordnet: und geschworenem Vogt weiland Sieur François Dubois geweßenen frippier und burgers hieselbsten in erster Ehe mit auch weiland fraun Maria Genevieve geborner Aval erzeugter dreÿer Kinder, sowohl dießen tutorio nomine als auch dererselben halb bändigen geschwüsterten administratorio nomine gegebene Vom 18.t Martÿ 1765 an biß den 20. junÿ 1771 gehende Rechnung, wie auch über die in sothaner Rechnung fol: 4-a angeführte Vor Hr Notario Liechtenberger gefertigte fernerweite Summarische berechnung der elterlichen Verlassenschafften de dato 4. Julÿ 1771.
Welche Beschwernüße unterschriebener François Antoine Dubois der jüngere sohn erster Ehe nur in so weit, als selbige ihn persönlich angehen, und Er sich dadurch Verkürtzt befindet, beÿ löblichem Vogteÿ Gericht unterthänigst ein zu geben sich gemüßiget siehet
Conventions relatives aux biens de François Alexandre Dubois, disparu sans domicile connu depuis trente ans
1779 (17.5.), Me Lederlin (6 E 41, 901) n° 72
Berechnung über Frantz Alexander Dubois, Weiland Herrn Frantz Dubois geweßten fippier und auch Weiland Fraun Mariä Genovevä gebohrner Aval beeder geweßter Eheleute und burgere dahier Zu Straßburg ehelich erzielten Sohns, welcher gegebenen bericht nach, schon beÿ 30. Jahr von hier abweßend, und deßen aufenthalt auch nicht zu erfahren ist, besitzendes vermögen errichtet.
Solches Vermögen bestehet vermög der mir Notario producirten Herrn Lt. Joseph Bitschnau des verschollenen Dubois geordneten Curatore gestellten und beÿ E. Löblichen Vogteÿ Gericht d. 4. febr. Anno 1779. abgehandelten Rechnung in folgenden Articulen als und geschworenen Vogts
(…) hieran komt Fr. Maria Theresia geb. Dubois H. Pierre Horace de Bonafont des mechanici beÿ Ihro durchlaucht H. Margraff von Baaden durlach eheliebstin des verschollenen halbschwester für 1/5 theil
1781 (1.5.), Me Lederlin (6 E 41, 903) n° 136
Berechnung über Frantz Alexander Dubois,Weiland Frantz Dubois geweßten Frippier und auch Weil. Fraun Mariæ Genovevæ gebohrener Aval beeder geweßener Eheleuthe und burgere alhier in Straßburg ehelich erziehlten nach tod Verlaßenen Sohns, so schon in die 32. Jahr von hier abweßend und von deßen Leben tod oder aufenthalt währender Zeit nichts in Erfahrung hat gebracht werden können zuständigen Activ Vermögen errichtet.
Solches Guth bestunde nach anleitung des durch mich unterzogenen geschwornen Notarium den 17.ten Maÿ anno 1779. beÿ gelegenheit als Dame Marie Thérèse de Bonnafond gebohrne Dubois dißorts halb schwester dießen ihren bruder (…) 906 lb
François Antoine Dubois cède ses droits successifs au négociant Louis Tyran
1779 (24.9.), Chambre des Contrats, vol. 653 n° 364
auff ansuchen Sr Louis Tÿran des handelsmann, nachstehender kauff cessions acte
Cejourd’huy 30 May 1778 (…) fut présent le Sieur François Antoine Dubois natif de Strasbourg Garçon perruquier établi à Bretten dans le palatinat se trouvant présentement aud. Strasbourg Majeur usant et jouissant de ses droits (céder et abandonner)
au Sr Louis Tyran, bourgeois négociant de cette ville
les droits quelconques qui peuvent competer au Sr cédant Sur la succession eventuelle de de François Alexandre Dubois son frere absent depuis passé 25 ans et dont l’on a plus du depuis recu aucunes nouvelles malgré toutes les perquisitions que l’on a faites pour le découvrir, de laquele Cession le St Tyran se contente. La Cession est faite pour et moyennant la sommede 500 livres tournois – Lacombe
Lacombe
24. Septembris 1778 T. Hammerer act.
(Copie collationnée Hammerer 94 Z 51)
Le négociant Charles Antoine Simon Grodval rend compte de la gestion des biens appartenant aux enfants issus du deuxième mariage
1773 (24.3.), Comptes, (6 E 41, 448)
Rechnung Mein Charles Antoine Simon Grodval handelsmanns u. b. allh. Inhaltend was ich als Vogt der Duboisischen dreÿ Kinder 2.ter Ehe ane zwischen ihren und deroselben halbbändigen 2.en Geschwistrigen auch H. Levrault dem buchdrucker, als Cessionario H. François Simon Dubois des ohneins ältesten Sohne 1.er Ehe, zu ungleichen theilen gemeinschafftl. haus: u. Capital zinßen vom 22. Decemb. 1771 bis 24. Martÿ 1773 eingenommen und hingegen wieder außgegeben habe.
Eiinahm. erstl. erhielte von gemeldtem H. Levrault den haus: zins für 5 quartal von Weÿhenachten 1771 bis Annunc. Mariæ A° 1773 gerechnet a 25. lb
François Simon Dubois, au service du margrave de Bade, cède sa part de maison à l’imprimeur François Levrault
1772 (10.6.), Chambre des Contrats, vol. 646 f° 305-v
H. Franz Simon Dubois officier de la chambre du défunt SAS Mgr le margraff de Baaden dermahlen allhier wohnhafft so annoch leedigen standts aber großjährig
in gegensein H. Franz Levrault des buchdruckers der königlichen Intendance
neun 35.te theil vor unvertheilt von und ane einer behausung und hoffstatt mit allen denen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Judengaß, einseit ist ein Eck ane der Pergamentengaß gegen dem Hotel du Grand Doyen über, anders. neben einem dem hohen Chor gehörigen Præbend haus, hinten auff weÿl. H. Jung gewesten gastgebers zum Krebs hinterl. wittib und erben zum theil und theils ged. praebend haus – um ein 6.t von 2000 gulden capital (verhafftet), alß von seinem vatter seel. weÿl. H. Franz Dubois gewesten frippier ererbten kinds theil – die gznte behausung auf dem fuß von 3000 gulden gerechnet
Le perruquier François Antoine Dubois cède sa part de maison au même François Levrault qui est devenu propriétaire de la maison voisine rue du Parchemin
1776 (21.3.), Chambre des Contrats, vol. 650 f° 114
Franz Antoni Dubois ledig aber großjähriger perruquenmacher
in gegensein H. Franz Levrault des buchdruckers der königlichen Intendance
9/35 theil vor unvertheilt von und ane einer behausung und hoffstatt mit allen denen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Judengaß, einseit ist ein Eck ane der Pergamentengaß gegen dem hôtel du Grand doyen über, anderseit neben einem dem hohen Chor gehörigen Præbendhaus, hinten zum theil H. käuffer theils Christmännischen erben – um 400 livres beladen, geschehen um 1014 livres
Les enfants issus du deuxième mariage cèdent leur part au même François Levrault qui devient ainsi seul propriétaire de la maison
1777 (4.9.), Chambre des Contrats, vol. 651 f° 297
H. Charles Antoine Simon Grodval der handelsmann und kartenmacher alß geordnet und geschworener vogt weÿl. François Dubois gewesten frippier dreÿ kinder zweÿter Ehe, benantlich Maria Theresia, Maria Victoria und Johann Ludwig Dubois, H. Lt. Johann Joseph Bitschnau procurator vicarii E. E. Großen Raths als bestellter procurator Franz Alexandre Dubois erstgedachten weÿl. François Dubois Sohns erster Ehe
in gegensein H. Franz Levrault des buchdruckers der königlichen Intendance, ersteigert
17 35.te theil vor unvertheilt von und ane einer behausung und hoffstatt mit allen denen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Judengaß, einseit ist ein Eck ane der Pergamentergaß gegen dem hôtel du Grand Doyen über, anders. neben einem dem hohen Chor gehöriges Præbend haus, hinten zum theil auff dem H. käuffer selbsten theils auff Christmännischen erben modo weÿl. H. Johann Jung des handelsmanns wittib und erben, zum theil gedachten Præbends haus – den kindern 2. Ehe zum 18.te 35. theil und dem sohn erster Ehe 9. 35.te theim woran der übrige Antheil dem H. käuffer bereits zuständig – um 1228 gulden
Originaire d’Ogéviller près de Lunéville dans le diocèse de Toul, le typographe François Levrault épouse en 1761 Anne Marie Eléonore Christmann, fille de Jean Robert Christmann
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 255)
Hodie 20 octobris anni 1761 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt dnus Franciscus Levraut typographus, ex ogéviller diocesis Tullensis oriundus, filius defunctorum Dni Francisci Nicolai Levraut procuratoris olim in dicti Loco et Dnæ Annæ Dupuy conjugum, et Dlla Anna Maria Eleonora Christmann, filia defuncti Joannis Huberti Christmann supremi olim Magistratûs procuratoris et advocati et Dnæ Catharinæ Schmuck superstitis eius uxoris legitimæ, ambo in hâc parochia commorantes (signé) Levrault, Marie éléonore chrtistmann (i 260)
Inventaire après décès d’un locataire, le compagnon imprimeur Joachim Berard
1785 (7.2.), Me Knobloch (6 E 41, 445) n° 2
Inventarium und beschreibung weÿl. Joachim Berard buchdruckers gesellen wie auch Catharina Dalmer deßen hinterlassenen Wittib samtlichen vermögens active und passive schulden, nach Einer langwirig: ausgestandene Kranckheit aus zeitlichen mühesammen und jammer Vollen welt weßen zweiffelsohne zu sich in die Ewige freud und glückseeligkeit den (-) dec. letztverfloßenen jahres zu berufen auf requisition Catherine Dalmer der Wittib mit Sebastian Dalmer Kornkäufern ihrem bruder verbeÿstandet
in anno Anno 1768 angetrettenen Ehe, Keine Eheberedung errichten noch was ie in die Ehe grbarcht inventiren lassen
Denominatio haeredis, der Verstorbene hat zufolg Testamenti zu seiner universal Erbin eingesetzt und verlaßen Catharina Dalmer des verstorbenen Ehefrau
in der Sterbbehausung (maison du Sr Levrault rue du Chapelet)
hausrath, kleidung, silber und goldgeschmeidt 99 lb, Passives Schulden 120 lb, die passive schulden das active vermögen übersteigen 20 lb
Not. Lacombe sub dato 26. 9.br letztverwichenen Jahrs errichteten Testamentum nuncuaptivum den 26. nov. 1784 Joachim Berard buchdrucker in H. Levrault an dem Rossenkrantz gelegenen behausung im ditten Stock im bette liegend
(copie jointe : Joachim Berard imprimeur en cette ville gisant dans un lit dans un appartement au troisième étage de la maison du Sr Levrault rue du Chapelet)
Marie Eléonore Christmann meurt en 1788 en délaissant quatre fils.
1788 (22.4.), Me Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 890) n° 408
Inventarium über Fraun Mariä Eleonorä, gebohrne Christmann, Herrn Frantz Geörg Levrault, des Königlichen buchdruckers und burgers allhier Zu Straßburg geweßener Ehegattin seel. Verlaßenschafft, errichtet Anno 1788. errichtet Anno 1788 – nach ihrem den 30.ten Januarÿ dießes laufenden 1788. Jahrs erfolgten Absterben hinterlassen hat – Geschehen allhier Zu Straßburg in hernach inventirter am Eck der Jungfrauengaß gelegener behausung, Dienstags den 22. Aprilis Anno 1788.
Der Fraun Defunctæ ab intestato Verlassene Erben sind 1° Herr Franciscus Laurentius Xaverius Levrault, J.V. Ltus und Advocatus beÿ Em. Hohen Königlichen Rath zu Colmar, auch burger alhier so majorennis und in selbst eigener Person dieser Verlaßenschafft Inventur beÿwohnete, in den Ersten Vierten Stammtheil, 2° Herr Ludwig Carl Levrault, J.V. Ltus und Advocatus beÿ dem Hohen Königlichen Parlement zu Paris, so beÿ nahem 24. Jahr alt und ohnbevögtigt istn dahero in selbst eigener Persohn diesem Verlaßenschafft Geschäfft abwartete, in den Zweÿten Vierten Stammtheil, 3° Herr Nicolaus Peter Levrault abbé in dem hiesigen Catholischen Seminario, so 20. Jahr alt zurückgelegt hat, in den dritten vierten Stammtheil, So dann 4° Franciscus Xaverius Levrault, so 16 Jahr alt ist, in den letzten vierten Stammtheil, dieser beeden jüngeren Söhne geordnet und geschworener Vogt ist Vorgedachter Herr Lt. Franciscus Laurentius Xaverius Levrault dero älteren bruder, weilen aber derselbe beÿ diesem Verlaßenschafft geschäfft proprio nomine interessirt istn als waren für gedachte beede jüngere Söhne hiebeÿ Zugegen dero geordnet und geschworener Theilvogt Herr Laurentius Doublot, der hiesige burger und handelsmann, Welcher dieser seiner Curanden Nutzen besorgt. Alle Vier sund der Fraun Defunctæ mit Vorbenambsten ihrem hinterbliebenen H. Wittiber ehelich erzeugte Söhne und ab intestato zu gleichlingen Antheilern Verlaßene Erben.
[sans sommes]
L’imprimeur de l’intendance d’Alsace François Georges Levrault garantit sur la maison la rente viagère à servir à son frère Nicolas Pierre Levrault qui va entrer dans les ordres
1788 (19. 9.bre), Me Laquiante (6 E 41, 1111) n° 40
Titre clérical – Mons. François Georges Levrault imprimeur de l’intendance d’Alsace et bourgeois de cette ville
lequel voulant favoriser le saint desir qu’a M. Nicolas Pierre Levrault clerc tonsuré du diocese de Strasbourg son fils de se faire promouvoir aux ordres sacrés titre clérical une pension annuelle et viagere de 150 livres tournois
hypothèque, une maison appartenante aud. Sr Levrault faisant le coin de la Rue des pucelles et du Parchemin aboutissant d’un côté une maison appartenante au grand Chapitre d’autre maison appartenante d’autre St Levrault lui même par devant ladite rue
François Georges Levrault et Louis Charles Levrault vendent les maisons contiguës au tonnelier Jean Abraham Jost et au brasseur Emanuel Dalmar
1793 (25.2.), Strasbourg 6 (4), Me Laquiante n° 53
Cit. François Georges Levrault Imprimeur du Département du bas Rhin et le Cit. Louis Charles Levrault fils aussy imprimeur
à Jean Abraham Jost Me tonnelier et Emanuel Dahlmer brasseur
les deux maisons a eux appartenantes scises en cette ville rue des Juifs N° 26 et 26 bis aboutissant d’un côté dans la rue des Pucelles a une maison cidevant prebendale d’autre a la maison du cit. fremicourt parderrière a la maison de la Ve Löb et par devant sur ladite rue – moyennant 20 000 livres tournois
enreg. le 26
Jean Abraham Jost et Emanuel Dalmar louent la maison n° 26 et un atelier dans la maison d’angle n° 26.bis au tonnelier et marchand de vins Jean Frédéric Ulrich
1793 (7.2.), Strasbourg 7 (46), Me Stoeber n° 273
persönlich erschienen der bürger Emanuel Dalmer bierbrauer und Abraham Jost Kiefer und Weinhändler
welche in gegensein des bürgers Johann Friderich Ulrich Kiefers und Weinhändlers auf sechs nach einander folgende Jahr welche auf Johannis Baptistæ 1793 ihren anfang nehmen und auf Johannis Baptistæ 1799. sich endigen sollen
die der Verlehnern eigenthümliche behaußung an der Pergamentengaß und Jungfrauengaß N° 26 nichts ausgenommen und in den verlehnern Zuständigen behausung darneben, so allein in der Pergamentergaß gehet auch mit N° 26.bis bezeichnet, die Werckstätt auf dem beeden gemeinschaftlicher Gebrauch des höfleins undbauchküchen – um einen jährlichen Zinß nemlich der 700 livres
Abraham Dalmar cède sa part aux deux maisons à Jean Abraham Jost
1793 (27.5.), Strasbourg 7 (31), Me Stoeber n° 210
persönlich erschienen der bürger Emanuel Dallmer bierbrauer welcher
in gegensein des bürgers Joh: Abraham Jost des Kiefers und Weinhändlers (verkaufen wolle)
die helfte für ohnvertheilt an zweien behaußungen gelegen alh. zu Straßburg an der Juden und Pergamentergaß N° 26 und 26.bis bezeichnet und allen deren zugehörden und Rechten, 1. neben einem National hauß in der Judengaß, 2.s neben deù bürger fremicourt hinten auff Frau Löwin Wittib ziehend, so ledig eigen woran ihme dem Verkäufer besagte helfte vermög der vor Not° Laquiante den 25. Februarÿ 1793. passirten und enregistrirten Kauffverschreibung von dem bürger Frantz Georg Levrault und deßen Söhnen käuflich zugekommen, die übrige helfte aber den Käufern selcbst nach jener Kauffverschreibung eigenthümlich besitzet – um 8000 livres
enregistré le 17 mai 1793 l’an 2 de la République
Fils de tonnelier, Abraham Jost épouse en 1788 Anne Marie Guthmann, fille de tonnelier : contrat de mariage, célébration
1788 (25. 8.br), Me Lederlin (6 E 41, 911) n° 123
(Eheberedung) persönlich kommen und erschienen Herr Johann Abraham Jost, der leedige Kieffer meister, Herrn Johann Antoni Joost des Kiefers meisters Weinhändlers und burgers dahier mit Fraun Mariä Dorothea gebohrner Teutschin seiner Ehegattin ehelich erzeugter Sohn, beÿständlich obgedachtem seines H. Vatters als Hochzeiter ane Einem
So dann Jungfrau Anna Maria Guthmann Herrn Johann Daniel Guthmann des Kieffermeisters und Weinhändlers und Fraun Mariæ Magdalenæ gebohrner Schellin beeder Eheleuth und burgere dahier ehelich erziehlte Tochter unter assistentz erstgedachten ihres H. Vatters als Hochzeiterin ane dem andern theil
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 6-v)
Im Jahr 1788 Dienstag den 25. Novembris nachmittag um vier Uhr (…) wurde un der Kirche Zu St. Wilhelm copulirt und ehelich eingesegnet Johann Abraham Jost, der ledige Kiefer und burger allhier, Herrn Johann Antonius Jost des Kiefers und burgers allhier mit Frau Maria Dorothea gebohrner teutschin ehelich erzeugter Sohn seines alters 24 Jahr und Jungfrau Anna Maria Gutmännin, Herrn Johann Daniel Gutmanns des Kiefers und burgers allhier und Frau Maria Magdalena gebohrner Schöllin ehelich erzeugte tochter, ihres alters 18 Jahr [unterzeichnet] Johann Abraham Jost als hochzeitern Anna Maria Gutmann als hochzeiterin (i 8)
Jean Abraham Jost meurt en 1805 dans son auberge au Faubourg Blanc en délaissant une fille
1805 (25 brumaire 14), Strasbourg 7 (21), Me Stoeber n° 2073, 6787
Inventaire de la succession de Jean Abraham Jost brasseur décédé le 8 vendemiaire dernier – à la requête d’Anne Marie Guthmann la veuve tutrice d’Anne Marie née le 9 germinal 7, seule et unique héritière du défunt
dans la maison mortuaire au fauxbourg blanc n° 5
propres de la veuve, meubles 462 fr, argenterie 61 fr, dettes actives 300 fr, remplacement suivant inventaire des apports dressé par Me Lederlin le 9 décembre 1788, 1537 fr
propres du défunt, meubles 436 fr, garde robe 185 fr, argenterie 33 fr, remplacement 9321 fr, total 9977 fr, déduire don matutinal 300 fr, reste 9677 fr
communauté, meubles 872 fr, argenterie 183 fr, outils 9757 fr, dettes actives 400 fr
Maison. La Brasserie a l’Enseigne du Tigre avec tous les bâtiments cour jardin appartenances et dépendances sise a Strasbourg au fauxbourg blanc n° 5, d’un côté le Sr Gros Savonnier d’autre le Sr Holderer aboutissant sur Hamm Maibaum et Staehling -évaluée 6000 fr, acquise de Michel Müller architecte devant nous le 28 nivose 4, Plus contrat en notre Etude du 2 nivose 4
total de la masse 17 213 fr, passif 24 396 fr, déficit 7183 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 98 F° 15-v du 5 frimaire
Abraham Jost cède par échange les deux maisons au maître maçon Michel Müller
1796 (28 nivose 4), Strasbourg 7 (33), Me Stoeber n° 675
bürgers Michael Müller der jungere architecte und b. Abraham Jost leinenweber
cedirt überläßt burger Müller ihme bürger Jost dasjenige Gebäude in der Vorstadt Weißenthurn mit N° 5 bezeichnet so vormals der Commenthureÿ des hiesigen Maltheser Ordens zum Keller Speicher und Remise diente, nebst dem darzu gehörigen Hoff Garten auch allen übrigen begriffen, Weithen, zugehörden und Rechten 1.s neben der Vormaligen Gartnerstub 2.s neben b. Klein Schmidt Vornen auf der Weißenthurn stras hinten auf vorbesagte Vormalige Gartner stub ziehend, dem cedenten krafft der den 2. nivose letzhin vor mir Notario passirten Kauffverschreibung gehörig, alles übrige nach dem unter ihnen den Parthen bestimmenden plan auf seine eigenen Kosten zu vollenden und fertig machen zu laßen nebst allen schiff und geschirr zur breuereÿ gehörig, so neben Müller durch besondere Cession von ihme Jost bereits erhalten hatte und sich in eine behaußung an der Renngaß sonst beckengäßlein genannt befindet nichts ausgenommen
hingegen cedirt überläßt burger Jost ihme bürger Müller die ihme eigenthümlich zuständige behaußung gelegen an der Juden und pergamenter gaß N° 26 und 26 bis bezeichnet 1.s neben einen national hauß 2.s neben b. fremicourt hinten auf Löwische Wittib ziehend, ihme Cedent vermög der vor Not. Laquiante den 25. Februarÿ 1793 und vor mir Not. den 27. Maÿ solchen jahrs passirten Kauffverschreibungen zuständig,
So dann eine remise samt allen zugehörden allhier an dem Wall ohnfern den vormaligen Eisgruben gelegen 1.s auf Allmend 2.s neben Keßhammer Schreiner hinten auf brand Metzger und vornen auf die Seilerbahn gegen dem Rempart stoßend so ihme Jost kraft der vor Not. Faller den 21. thermidor lezthin passirte Cession zuständig
daß kein theil dem andern nichts heraus zugeben und nachzutragen solle
Enregistrement de Strasbourg, acp 38 F° 200-v du 2 plu 4
Michel Müller vend les deux maisons au notaire François Antoine Lacombe (vente résolue, voir la suivante)
1796 (9 pluviose 4), Strasbourg 11 (3), Me Anrich n° 305
Michel Müller maçon de cette ville
au C. François Antoine Lacombe Notaire public à Strasbourg
les deux maisons qui luy appartiennent en cette ville rue des Juifs N° 26 et 26 bis d’un côté une maison du cydevant prebendier d’autre le C. fremicourt derrière la veuve loeb par devant lad. rue avec toutes ses appartenances et dépendances, lesd. maisons sont venues aud. Müller vendeur par contrat d’échange passé entre luy et le C. Jost brasseur reçu par Stoeber le 8 nivos dernier – moyennant 10 800 livres
Enregistrement de Strasbourg, acp 39 F° 27 du 9 pluv. 4
Michel Müller vend la maison d’angle au vitrier Jean Georges Kolla
1796 (28 floréal 4), Strasbourg 2 (8), Me Knobloch
bürger Michael Müller der jüngere Baumeister
dem bürgern Johann Georg Kolla Glasser
Eine behaußung samt recht und gerechtigkeiten an der Juden und Pergamenter gaß mit N° 26 bezeichnet, einseit neben ein National hauß, anderseit neben dem Verkäuferen selbsten gehörigen behaußung hinten auf die verwittibte Frau Löwin vornen auf obbesagte gaßen
ferner wurde bedungen, daß Käuffer verbunden seÿn solle einen dritten theil ane dem S.V. privets Säuberung, ausführung und Etwaigen bau reparations Kösten zu bezahlen und verkäuffer 2 dritten in betracht seines neben haußes S.V. privets so in das nemliche gewölb gehet daran beÿ zu tragen – um 6000 livres
Enregistrement de Strasbourg, acp 40 F° 110-v du 4 prai 4
Fils de vitrier, Jean Georges Mathieu Kolla épouse en 1794 Reine Thérèse Müller, fille de feu Michel Müller
1794 (23 fruct. 2), Strasbourg 11 (5), Me Anrich n° 285
(Contrat de mariage) fut présent le Citoyen Jean Georges Matthieu Kolla vitrier en cette ommune de Strasbourg fils majeur d’ans du Citoyen Jean Georges Kolla aussi vitrier de cette commune y demeurant et de feue la Citoyenne Anne Marie née Beret ses pere et mere faisant stipulant et agissant pour lui et en son nom d’une part,
Et la Citoyenne Reine Thérèse Müller fille latéral et majeure de feu le Citoyen Jean Michel Müller vivant Maçon et cette commune et de Catherine Thérèse née Cannisié ses pere et mere aussi faisante stipulante et agissante pour elle et en son nom sous l’autorité et assistance du Citoyen Joseph Schneller également Maçon en cette même Commune son beau père d’autre part – Fait lû et passé à Strasbourg le 23 fructidor lan 2 de la République française
(enregistrement, revenu industriel 200)
Enregistrement de Strasbourg, acp 28 F° 45 du 28 fru 2
Les mêmes modifient les conventions passées dans leur contrat de mariage
1799 (7 germinal 7), Strasbourg 14 (9), Me Lex n° 64
cit. Jean Georges Mathieu Kolla marchand vitrier en cette commune et
Reine Thérèse Müller son épouse, qu’ils ont fait passer le 23 fructidor 2 leur contrat de mariage devant le cit. Anrich
Enregistrement de Strasbourg, acp 67 F° 51 du 15 ger 7
Reine Thérèse Müller veuve du vitrier Mathias Kolla meurt en délaissant pour héritiers testamentaires ses neveux Lidoine
1840 (22.1.), Strasbourg 2 (83), Me Tinchant n° 1435 – Continuation du 21.1. (enreg. F° 18 du 26.2.)
Inventaire de la succession de Régine Thérèse Müller veuve de Mathias Kolla, vitrier, demeurant à à Strasbourg rue des Juifs n° 26 – à la requête de 1. Charles Noetinger, notaire, exécuteur testamentaire de la veuve Kolla, selon son testament mystique du 6 novembre 1836 déposé Me Noetinger, 2. Antoine Ritleng, notaire, tuteur spécial de 1) Thérèse Elisabeth Lidoine 13 ans, 2) Alexandre Lidoine 11 ans, 3) Léon Lidoine 9 ans, 4) Alfred Lidoine 7 ans, tous quatre petits neveux de la défunte, enfants de Claude Joseph Lidoine, propriétaire, et de Marie Thérèse Elisabeth Muller, légataires universels. 2. Claude Joseph Lidoine, susnommé, mandataire de Marie Elisabeth Muller, usufruitière
1. une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Juifs n° 26 formant le coin avec la rue du Parchemin devant le rue des Juifs derrière la maison ci après – les époux Kolla acquis sur Michel Müller le jeune, architecte, par acte reçu Me Knobloch le 28 floréal 4, M. Müller l’a acquise sur Jean Abraham Jost, tonnelier et marchand de vins, par contrat d’échange passé devant Me Stoeber le 28 nivose 4, le Sr Jost l’a acquis conjointement avec Emanuel Dallmer, brasseur, chacun pour moitié de MM. François Georges Levrault, imprimeur, et ses fils, Me Laquiante le 25 février 1793. Par acte reçu Me Stoeber le 27 mai 1793, le Sr Jost a acquis du Sr Dallmer la seconde moitié
2. une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du Parchemin n° 26, d’un côté la propriété de la succession Molle, d’autre la maison prédédente – le défunt l’a acquis de l’Administration des Hospices Civils de Strasbourg pour 14 000 fr devant Me Lacombe les 12 et 26 novembre 1829. Les Hospices civils en étaient propriétaires pour avoir été légué par Marie Barbe Schneider veuve d’Amand Herrmann Willig, trompette de la ville, suivant testament reçu Me Lacombe le 20 janvier 1827, la De Willig l’a acquis sur Philippe Jacques Saltzmann, négociant, par acte dressé par Me Lacombe le 25 vend. 6. 3. une maison avec petite cour, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Charpentiers n° 20, d’un côté le Sr Clooss patissier, d’autre la veuve Wayda, devant ladite rue, derrière la Delle Cappaun. M. Kolla acquis sur David Huber, maître de pension pour 11 600 francs suivant adjudication définitive au tribunal civil le 9 juillet 1812.
4. une maison avec jardin, appartenances et dépendances sise à la Robertsau n° 122 canton dit in der Niederau in der Neuen Zeil, d’un côté Joseph Baumert tisserand, d’autre la veuve Scheer, devant le chemin, derrière le jardin dit Stephansgarten, acquis par acte reçu Me Lex de Jean Jacques Jünger, jardinier, et de Catherine Dorothée Nessmann à la Robertsau. Les conjoints Jünger l’ont acquis sur Marie Barbe Unsinger veuve de Georges Frédéric Lutzing et Jean Pierre, Jean Michel, Jean Jacques et Catherine Marguerite Unsinger à la Robertsau par vente passée à la Chambre des Contrats le 6 thermidor 2. chargé d’une rente foncière envers la ville de Strasbourg de 1,65 franc
Enregistrement de Strasbourg, acp 275 F° 36 du 30.1.
1841 (15.4.), Strasbourg 2 (85), Me Tinchant
Dépôt – (…) légataires de Régine Thérèse Müller leur grand tante veuve de M Georges Mathias Kolla
Compte rendu par M. Charles Noetinger Notaire à Strasbourg de toutes les recettes et dépenses par lui faites en qualité d’exécuteur testamentaire de feu Reine Thérèse Müller veuve du sieur Mathias Georges Kolla propriétaire elle décédée à Strasbourg le 13 janvier 1840
Les héritiers testamentaires, enfants de Claude Lidoine, propriétaire, et de Marie Thérèse Elisabeth Müller, vendent 10 100 francs la maison au commis Emanuel Auguste Beauvais. Le rapport d’experts est joint à la vente
1840 (15.12.), Strasbourg 12 (153), Me Noetinger
Adjudication définitive – Cahier des Charges n° 12 840 du 17 octobre – Me Antoine Ritleng, notaire à Strasbourg, tuteur spécial des quatre mineurs 1. Thérèse Elisabeth Lidoine, 2. Alexandre Lidoine, 3. Léon Lidoine, 4. Alfred Lidoine, enfants mineurs de Claude Lidoine, propriétaire, et de Marie Thérèse Elisabeth Müller, 2. Claude Joseph Lidoine, propriétaire, mandataire de Marie Thérèse Elisabeth Müller sa femme, Claude Joseph Lidoine, subrogé tuteur des mineurs
à Emanuel Auguste Bauvais, commis chez M. Wenger grand rue de l’Eglise n° 3 moyennant 10 100 francs
Description de l’immeuble à vendre. Une maison à rez de chaussée & deux étages avec belle cave voûtée appartenances & dépendances le tout situé à Strasbourg vis à vis de la rue des Juifs n° 26 bis, faisant le coin de la rue du Parchemin, d’un côté M Klotz, d’autre la rue du Parchemin dont elle forme le coin, devant la rue des Juifs, derrière la maison réservée à la succession Kolla.
Titres de propriété. Ledit immeuble provient de la succession de Régine Thérèse Mülle, décédée veuve de Georges Mathias Kolla, vitrier, laquelle a légué l’usufruit viager à Mde Lidoine et nue propriété aux enfants mineurs par testament mystique du 6 novembre 1836 déposé au rang des actes de Me Noetinger. Les époux Kolla ont acquis ledit immeuble sur Michel Müller le jeune, architecte, par acte reçu Me Knobloch le 20 floréal 4. Mde veuve Kolla est propriétaire de la totalité de ladite maison en sa qualité de légataire universelle de son mari suivant testament public de ce dernier reçu par Me Wengler notaire à Strasbourg le 7 janvier 1808. Ledit sieur Müller était devenu propriétaire dudit immeuble pour l’avoir acquis du sieur Jean Abraham Jost, tonnelier à Strasbourg suivant contrat d’échange passé devant Me Stoeber alors notaire à Strasbourg le 28 nivose an IV. Le sieur Jost en était devenu propriétaire pour l’avoir acquis conjointement avec le sieur Emanuel Dalmer brasseur en cette ville de M. François Georges Levrault, imprimeur, par acte reçu Me Laquiante le 25 février 1793 et par acte reçu Me Stoeber le 27 mai même année le Sr Jost a acquis du sieur Dalmer la part de ce dernier dans ladite maison.
Adjudication préparatoire n° 12 912 du 1 décembre, mise à prix 8500 francs
Rapport d’experts 11 & 26. 7.bre 1840. Jean Jacques Stotz, Jean André Weyher, Chrétien Auguste Arnold tous trois architectes (…) la maison rue des Charpentiers n° 20 d’un côté Sr Close, d’autre Sr Frantz, devant la rue, est composée de trois bâtiments au milieu desquels se trouve une cour dallée. Le premier de ces bâtiments donne sur la rue est à rez de chaussée et deux étages dessous cave sous solives dessus comble à deux greniers avec couverture en tuiles doubles. Le rez de chaussée construit en maçonnerie renferme l’allée formant passage de la rue à la cour, deux chambres et une cuisine. Les deux étages construits en galandure renferment chacun un corridor, trois chambres et une cuisine et le second en outre l’escalier de grenier. Le premier grenier renferme cinq galetas et un escalier. Le second et sans subdivision. Derrière ce bâtiment y adossé et à gauche de la cour se trouve un bâtiment en aile construit en galandure à rez de chaussée et deux étages renfermant la cage d’escalier jusqu’au second étage et en outre au rez de chaussée quatre buchers et une chambre et au deuxième étage, dans chacun deux chambres et une galerie extérieure servant de communication entre les trois bâtiments, dessus grenier à demi toit avec couverture double en tuiles. Au fond de la cour, bâtiment en galandure adjacent au précédent à rez de chaussée et deux étages. Le rez de chaussée renferme un bucher, la buanderie et les lieux d’aisances et chaucun deux étages supérieurs avec cuisine. Au dessus comble à un grenier avec couverture en tuiles doubles.
De cette maison nous nous sommes rendus dans celle située rue du Parchemin n° 26. Cet immeuble se compose de trois bâtiments renfermant une petite cour dallée, il est borné par la succession Kolla, la propriété Schaub, le Sr Boyer et la rue. Le bâtiment principal donne sur cette dernière est à rez de chaussée et trois étages. Le rez de chaussée construit en maçonnerie renferme l’allée d’entrée, deux chambres, un galetas, un bucher et une cuisine. Le premier et le second étage renferment quatre chambres et un corridor et vers la cour une galerie et les lieux d’aisances. Le troisième étage renferme trois chambres dont une à alcove, une cuisine et un corridor au dessus comble à deux greniers dont le premier renferme trois galetas et un escalier. La couverture du comble est double en tuiles. Derrière ce bâtiment et au dessus de l’entrée se trouve un bâtiment latéral construit en galandure renfermant la cage d’escalier du bâtiment principal au rez de chaussée la buanderie et quatre buchers, un premier et au second étage une cuisine et au deuxième et une chambre. Au dernier comble à couverture en tuiles doubles renfermant un galetas. Dessous les deux bâtiments ci dessus se trouvent deux caves voûtées. Au fond de la cour bâtiment à rez de chaussée en maçonnerie couvert en dalles en forme de terrasse. Le bâtiment ne renferme que deux chambres.
Maison sise rue des Juifs n° 26. Cet immeuble consiste un un seul corps de bâtiment à rez de chaussée en maçonnerie et deux étages en galandure avec comble et trois greniers à couverture en tuiles doubles et dessus cave voûtée. Le rez de chaussée renferme un magasin avec arrière boutique, un corridor, une cuisine, un escalier et un magasin servant de bucher. Le premier étage renferme trois chambres dont deux avec armoires et une alcove et deux cabinets de décharge une cuisine, le corridor et l’escalier. Le second étage se compose de deux chambres dont à alcove avec cabinet de toilette. Le corridor avec escalier et une cuisine. Le premier des greniers renferme deux chambres et six galetas ainsi que les lieux d’aisances.
(…) que le dernier immeuble rue des Juifs n° 26 est celui qui réclame le plus de réparations, il conviendra donc de commencer la vente par ledit immeuble. La seconde rue du Parchemin n° 26 est celle dont la vente s’il y eut nécessité devra avoir lieu après la maison rue des Juifs, elle nous paraît former une propriété plus avantageuse que la précédente, enfin la maison rue des Charpentiers n° 20 devra avoir lieu la dernière étant absolument indépendante des deux autres et dans un état qui réclame le moins de dépenses (…) avons estimé la maison rue des Juifs n° 26 à 8500 francs, celle rue du Parchemin à 9000 francs, celle rue des Charpentiers à 8000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 283 f° 95 du 23.12.
Emanuel Auguste Beauvais et Stephanie Kappler hypothèquent la maison au profit de l’entrepreneur des fortifications Marie Philippe Joseph Wenger
1848 (7.4.), Strasbourg 15 (83), Me Lacombe n° 6092
Obligation – Ont comparu Mr Emanuel Auguste Beauvais, propriétaire et De Stephanie Kappler son épouse, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg (devoir)
à M. Marie Philippe Joseph Wenger, entrepreneur des fortifications demeurant et domicilié à Strasbourg, la somme principale de 5400 francs
(hypothèque) Une maison à rez de chaussée et deux étages avec cave voûtée appartenances et dépendances, le tout situé à Strasbourg vis à vis de la rue des Juifs où elle porte le n° 26 bis et tenant d’un côté à M Klotz, de l’autre à la rue du Parchemin dont elle forme le coin, par devant à la rue des Juifs et par derrière à la maison appartenant aux héritiers Lidoine. M. et Mme Beauvais déclarent 1° Qu’ils sont légitimes propriétaires de l’immeuble décrit pour l’avoir acquis sur les héritiers de Dame Régine Thérèse Müller décédée veuve du Sr Georges Mathias Kolla, vivant vitrier à Strasbourg suivant procès verbal d’adjudication dressé par Me Charles Noetinger (…) le 15 décembre 1840 enregistré transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 15 janvier suivant volume 367 n° 28
Auguste Beauvais loue une partie de la maison au marchand épicier Auguste Alexandre Meneguin
1850, Enregistrement de Strasbourg, ssp 109 (3 Q 31 608)
103-v du 30.7. ssp du 23.12.1849
Bail immobilier – Entre nous soussignés M. Auguste Beauvais propriétaire demeurant à Strasbourg d’une part
et M Auguste Alexandre Meneguin, marchand épicier demeurant à Strasbourg d’autre part, il a été convenu ce qui suit, savoir
M. Beauvais loue à titre de bail au Sr Meneguin un logement dépendant de sa maison sise rue du Parchemin N° 26.bis pour la durée de trois années à partir du 24. Xbre 1847 et devra finir au 24 Xbre 1852. Le logement est composé ainsi qu’il suit, 1° un magasin ayant vue sur la rue des Juifs, 2° une chambre contiguë ayant vue dans la rue du parchemin, 3° une cuisine ayant vue dans le corridor du rez de chaussée, 4° une petite chambre détachée du logement ci-dessus spécifié, ayant vue dans la rue du parchemin, le logement ci-dessus énoncé se trouve le tout au rez de chaussée, 5. une cave la principale de la maison située à droite de la descente des escaliers qui y conduisent, 6° une chambre au grenier destinée à retirer le linge sale.
Il est bien entendu que le dit Meneguin aura droit de participer au grenier pour le service d’usage, Mr Meneguin s’engage de son côté à payer à M Bauvais pour rétribution dudit logement la somme de 350 francs par trimestre
Emanuel Auguste Beauvais et Stephanie Kappler vendent 14 000 francs la maison à Sébastien Ehrhardt
1850 (3.8.), Strasbourg 15 (86), Me Lacombe n° 7281
Ont comparu M. Emanuel Auguste Beauvais, propriétaire et Dame Stephanie Kappler, son épouse de lui dûment autorisée, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg (vendre)
à M. Sébastien Ehrhardt, propriétaire, demeurant et domicilié à Strasbourg
Une maison à rez de chaussée et deux étages avec cave voûtée, appartenances et dépendances, le tout situé à Strasbourg vis à vis la rue des Juifs où elle porte le n° 26 bis tenant d’un côté aux héritiers Klotz, de l’autre à la rue du Parchemin dont elle forme le coin, pardevant à la rue des Juifs et par derrière la maison appartenant aux héritiers Kolla, sont compris dans la vente les cinq poêles avec leurs tuyaux et pierres qui se trouvent dans la maison, les doubles fenêtres du premier et du second étage ainsi que les persiennes.
Etablissement de la propriété. Les conjoints Beauvais déclarent être propriétaires et tranquilles possesseurs de l’immeuble vendu pour en avoir fait l’acquisition suivant procès verbal d’adjudication sur licitation dressé par Me Noetinger et son collègue notaires à Strasbourg le 15 décembre 1840, enregistré transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 15 janvier 1841 volume 367 n° 28 (…). Cet immeuble dépendait de la succession de De Régine Thérèse Müller décédée veuve du Sr Georges Mathias Kolla, vivant vitrier à Strasbourg, laquelle par son testament mystique en date du 6 novembre 1836 déposé en l’étude dudit Me Noetinger (…) en a légué l’usufruit viager à De Marie Thérèse Elisabeth Müller épouse de M. Claude Joseph Lidoine, propriétaire demeurant à Strasbourg, et nue propriété aux quatre enfants mineurs de la dame nommés Thérèse Elisabeth Lidoine, Alexandre Lidoine, Léon Lidoine et Alfred Lidoine qui furent représentés en ladite adjudication par Me Antoine Ritleng, notaire demeurant à Strasbourg, leur tuteur spécial (…). Les époux Kolla sont devenus propriétaires de ladite maison pour l’avoir acquise du Sieur Michel Müller le jeune, architecte en cette ville, suivant contrat de vente passé devant Me Knobloch alors notaire à Strasbourg le 20 floréal 4 (…) Mde veuve Kolla est propriétaire de la totalité de ladite maison en sa qualité de légataire universelle de son mari suivant testament public de ce dernier reçu par Me Wengler notaire à Strasbourg le 7 janvier 1808. Ledit sieur Müller était devenu propriétaire dudit immeuble pour l’avoir acquis du sieur Jean Abraham Jost, tonnelier à Strasbourg suivant contrat d’échange passé devant Me Stoeber alors notaire à Strasbourg le 28 nivose an IV. Le sieur Jost en était devenu propriétaire pour l’avoir acquis conjointement avec le sieur Emanuel Dalmer brasseur en cette ville, de M. François Georges Levrault, imprimeur à Strasbourg et consorts, suivant contrat passé devant Me Stoeber le 25 février 1793 et suivant acte passé devant le même notaire le 27 mai même année, le Sr Jost a acquis du sieur Dalmer la part de ce dernier dans ladite maison. Cet établissement de propriété est ainsi constaté au procès verbal d’enchère devant Me Noetinger sus relaté. – Prix de vente 14 000 francs
Le tailleur d’habits Sébastien Ehrhardt épouse en 1833 Françoise Elisabeth Hærtelmeyer, fille de maçon
1833 (18.1.), Strasbourg 15 (53), Me Lacombe n° 9868
Contrat de mariage, communauté légale sauf apports – Sébastien Ehrhardt, tailleur d’habits, fils de Sébastien Ehrhardt et de Marie Françoise Gyr
Françoise Elisabeth Haertelmeyer, blanchisseuse de linge fille de Jean Philippe Haertelmeyer, maçon, et de Dorothée Elisabeth Jung
apports de la future épouse, une maison à elle appartenante sise à Strasbourg rue des Frères faisant le coin du Marché Gayot laquelle lui est avenue dans la succession de ses père et mère dont elle est seule et unique héritière
Enregistrement de Strasbourg, acp 215 F° 47 du 22.1.
Françoise Elisabeth Hærtelmeyer meurt en 1852 en délaissant deux filles
1852 (25.2.), Strasbourg 15 (88), Me Lacombe (Charles) n° 8048
Inventaire de la communauté Sébastien Ehrhardt et Françoise Elisabeth Haertelmeyer – Cejourd’hui Mercredi 25 février 1852 en la demeure de M. Ehrhardt à Strasbourg rue du tonnelet rouge n° 2 – A la requête de Mr Sébastien Ehrhardt, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant 1° en son nom personnel à raison de la communauté de biens qui a existé entre lui et sa défunte épouse Dame Françoise Elisabeth Haertelmeyer et comme donataire en usufruit pendant sa vie, sans être tenu de fournir caution ni de faire remploi, de la moitié de tous les biens meubles et immeubles sans exception dépendant de la succession de sa dite épouse aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Lacombe le 18 janvier 1833,
2° en qualité de tuteur légal de ses deux enfants mineurs Françoise Elisa Eugénie Ehrhardt agée de 15 ans et Anne Julie Antoinette Ehrhardt agée de 13 ans, issues de son mariage avec feue Françoise Elisabeth Haertelmeyer sa défunte épouse
En présence de M Auguste Melsheim Marchand de cuirs demeurant et domicilié à Strasbourg, subrogé tuteur des deux enfants mineurs Ehrhardt (…) habiles à de dire et porter seules et uniques héritières (…) de Françoise Elisabeth Haertelmeyer décédée à Strasbourg le 19 octobre 1851
Titres et papiers. Analyse du contrat de mariage (…)
Immeubles de la communauté. 1° Une Maison sise à Strasbourg rue du tonnelet rouge N° 4 tenant d’un côté la propriété de M. Mühl, de l’autre à celle du Sr Klein par derrière à celle de Madame Veuve Levrault et du Sr Siegel. Cet immeuble a été acquis par Mr Ehrhardt et feu son épouse de Madame Philippine Bandilion, veuve du sieur Gaspard-Beda Ruhstaller, en son vivant platrier à Strasbourg, aux termes d’un contrat passé devant M° Noetinger et son Collègue, notaires à la résidence de Strasbourg, le 17 juin 1843, enregistré. (…) Un écrit sous signature privée portant vente par Charles Frédéric Sigel vitrier et peintre et D° Caroline Elisabeth Stüttgé sa femme, demeurant à Strasbourg, au profit de M. Sébastien Erhardt, de trois mètres cubes et 35 centimètres de mur mitoyen et un mètre treize centimètres de terrain sur lequel ce mur est construit, entre la cour et les maisons des Srs Sigel et Ehrhardt, moyennant le prix de 89 francs 44 centimes quittancé audit écrit daté du 28 février 1845, portant la mention suivante, enregistré à Strasbourg le 8 mars 1845 folio 46 (…)
2° Une Maison sise à Strasbourg rue des Juifs N° 26.bis tenant d’un côté à la propriété de la famille Klotz, de l’autre à celle des héritiers Kolla. M. Ehrhardt a acquis cet immeuble pendant la communauté de biens qui a existé entre lui et sa défunte épouse sur Anne Marie Auguste Beauvais, propriétaire et Dame Stéphanie Joséphine Kappler son épouse demeurant à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente passé devant Me Lacombe le 3 août 1850 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques le 8 août volume 508 n° 48
Immeuble propre à la défunte. Une Maison sise à Strasbourg rue des frères N° 32 donnant par devant sur la rue des frères, par derrière sur le marché Gayot
$ 2682
acp 407 (3 Q 30 122) f° 74-v du 3.3. Lacombe 25.2. – Succession déclarée le 3 mars 1852 n° 881
Communauté, mobilier estimé 1566, créances 1200, Une maison sise à Strasbourg rue du Tonnelet rouge n° 4, Une maison rue des Juifs N° 26.bis
Succession. Une maison rue des frères n° 32, garde robe 143, reprises de la De Ehrhardt 200, reprises du veuf 4600
Acte de notoriété dressé après la mort de Sébastien Ehrhard le 31 juillet 1867
1867 (6.9.), Strasbourg 15 (119), Not. Momy (Hippolyte) n° 12.230
Notoriété du 6 7.bre 1867 – (…) comme étant de notoriété publique 1) que Mr Sébastien Ehrhard, propriétaire demeurant à Strasbourg est décédé à Strasbourg le 31 juillet 1867, 2) qu’après son décès il n’a point été dressé d’inventaire, 3) & qu’il a délaissé pour seules & uniques héritières, chacune pour moitié ses deux filles ci après nommées issues de son mariage avec D° Françoise Elisabeth Haertelmeyer son épouse décédée à Strasbourg le 19 octobre 1851, savoir
I. D° Françoise Elisa Eugénie Ehrhardt, épouse de Mr Joseph Loyson, maître-boulanger, domiciliés ensemble à Strasbourg II. D° Anne Julie Antoinette Ehrhardt, épouse de Mr Charles Louis Werling, Directeur de l’Usine à Gaz de Coblence (Prusse Rhénane) demeurant en ladite ville.
acp 565 (3 Q 30 280) f° 53 du 7.9.
Lors du partage des successions de Sébastien Ehrhardt et de Françoise Elisabeth Hærtelmeyer, la maison rue au Parchemin revient à Anne Julie Antoinette Ehrhardt, femme de Louis Charles Werling, et celle rue du Tonnelet Rouge à Françoise Elisa Eugénie Ehrhardt, femme de Joseph Loyson
1867 (26.8.), Strasbourg 15 (119), Not. Momy (Hippolyte) n° 12.208
Du 26 août 1867. Partage des successions de Sébastien Ehrhardt et de Françoise Elisabeth Haertelmeyer
Ont comparu Madame Françoise Elisa Eugénie Ehrhardt épouse de Mr Joseph Loyson, Maître-boulanger, domiciliés ensemble à Strasbourg
& Madame Anne Julie Antoinette Ehrhardt, épouse de Mr Louis Charles Werling, Directeur de l’Usine à Gaz de Coblence (Prusse Rhénane) demeurant en ladite ville, Lesdites Dames assistées et autorisées par leurs maris, lequelles ont déclaré qu’en leur qualité de seules et uniques héritières & représentantes de D° Françoise Elisabeth Haertelmeyer, leur mère, épouse de Mr Sébastien Ehrhardt, propriétaire à Strasbourg, décédée en cette ville le 19 octobre 1851 & de Mr Sébastien Ehrhardt leur père aussi décédé en cette ville le 31 juillet dernier, elles sont propriétaires indivisément chacune pour moitié de divers immeubles situés dans la Ville de Strasbourg & de valeurs mobilières consistant en une somme placée à la Caisse d’épargne de la Ville de Strasbourg & trois rentes trois pour cent inscrites au nom de feu Mr Ehrhardt sur le grand livre de la dette publique de France aussi une somme en argent comptant. Les Dames Comparantres voulant sortir de l’indivision (…)
I. Immeuble. 1° Une Maison avec appartenances & dépendances faisant partie de la communauté de biens qui a existé entre entre les époux Ehrhardt, située à Strasbourg formant le Coin de la rue du parchemin où elle porte le N° 2 & de la rue des pucelles où elle porte le N° 6, d’un côté le Sr Dische, de l’autre dans la rue du parchemin (-). Estimée à un revenu de 1260 francs & en valeur vénale à la somme de 25.200
2° Une Maison avec appartenances & dépendances faisant partie de la communauté, située à Strasbourg rue du tonnelet rouge marquée du N° 4 ancien aujourd’hui N° 8, tenant d’un côté à Monsieur Klein, de l’autre à Mr Mühl, Estimée à un revenu de 1580 francs & en valeur vénale à la somme de 31.600
3° Une Maison avec appartenances & dépendances faisant partie de la succession délaissée par feue D° Ehrhardt, située à Strasbourg rue des frères portant le Numéro 14 nouveau d’un côté formant le Coin d’un des accès de la rue du Marché-Gayot, de l’autre le Sr End, Estimée à un revenu de 535 francs & en valeur vénale à la somme de 10.700. (…)
Premier Lot. Le premier lot se compose 1° de la maison sise à Strasbourg rue du tonnelet rouge au prix d’estimation de 31.600 francs (…)
Second Lot. Le second lot se compose 1° de la maison sise à Strasbourg rue du parchemin où elle porte le N° 2 au prix d’estimation de 25.200 francs
2° de la maison située en la même ville rue des frères au prix d’estimation de 10.700 francs (…)
Tirage des Lots. (…) Ces deux billets ayant été pliés uniformément & agités dans un chapeau, Madame Werling Comme étant la cadette a tiré la première un des billets sur lequel s’est trouvé écrit Second lot & l’autre billet portant écrit Premier lot est resté à Mad. Loyson. (…) Charges & Conditions (…)
Etablissement de propriété des immeubles entrés en masse. I.. Maison rue des Frères (…)
II. Maison rue du tonnelet rouge. La maison rue du tonnelet rouge a été acquise par les époux Ehrhardt sur Dame Philippine Bandilion, veuve du Sr Gaspard Beda Ruhstaller, vivant platrier à Strasbourg, suivant contrat de vente passé devant M° Noetinger & l’un de ses Collègues, notaires en cette ville le 17 juin 1843, enregistré. Dans cette vente est établie l’origine antérieure de la propriété. Suivant écrit sous signature privée en date à Strasbourg le 8 mars 1845 (…) les époux Ehrhardt ont acquis de Monsieur Charles Frédéric Sigel vitrier domicilié à Strasbourg & de Dame Caroline Elisabeth Koerttgé sa femme trois mètres cubes et 35 centimètres de mur mitoyen & un mètre treize centimètres de terrain sur lequel ce mur est construit, entre la cour & les maisons des Srs Sigel & Ehrhardt. Et par un Contrat sous signature privée en date à Strasbourg du 7 août 1862 (…) Mr Ehrhardt défunt ainsi que le Sr Sigel susnommé se sont fait diverses Concessions de voisinage.
III. Maison rue du parchemin & rue des pucelles. La maison formant le coin de la rue du parchemin & de la rue des pucelles a été acquise pat Mr Ehrhardt pendant la communauté de biens qui a existé entre entre lui et son épouse sur Emanuel Auguste Beauvais, propriétaire & D° Stephanie Kappler son épouse ayant demeuré à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Charles Lacombe, lors notaire à Strasbourg, prédécesseur immédiat de M° Momy l’un des notaires soussignés le 3 juillet 1850 enregistré & transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 8 août même année Vol. 508 n° 48 & inscrit d’office Vol. 530. N° 173.
acp 566 (3 Q 30 281) f° 28-v du 2.9.