1, rue Saint-Guillaume
Rue Saint-Guillaume n° 1 – X 373 (Blondel), O 1011 puis section 29 parcelle 21 (cadastre)
Maison à l’Epée (zum Schwert)
Les bâtiments en septembre 2015
Le bâtiment sans pignon rue Saint-Guillaume (avril 2015)
La maison et son enseigne Au Diable bleu (novembre 2010)
La maison qui porte actuellement le n° 1 de la rue Saint-Guillaume comprend deux parties. Le bâtiment à l’angle du quai dont le pignon donne sur la rue Saint-Guillaume (bâtiment a) et celui qui le prolonge sans pignon dans la rue Saint-Guillaume (bâtiment b). La maison d’angle qui était anciennement appelée A l’Epée (zum Schwert) appartient dans la première moitié du XVII° siècle au barbier Jacques Kopp. Le marchand épicier Christophe Goldbach l’acquiert en 1668 et y établit son commerce. Il est autorisé l’année suivante à établir un auvent sur sa façade rue Saint-Guillaume où se trouvait une treille et quelques mois plus tard un auvent semblable couvert de tuiles face à la rivière. Ses héritiers vendent en 1695 la maison au marchand épicier Jean Evrard Euth qui en était jusqu’alors locataire et qui était déjà propriétaire du bâtiment (b).
La maison (b) appartenait au début du XVII° siècle au maçon Jean Michel Golbach, puis à son fils sergent-major Sébastien Goldbach et enfin au fils de ce dernier, le receveur de familles nobles Sébastien Goldbach dont la veuve la vend en 1691 à Jean Evrard Euth. La propriété réunie par Jean Evrard Euth comprend en outre deux maisonnettes qui donnent dans la ruelle du Loup (partie c) et une autre maison dans la rue Saint-Guillaume, acquise par Jean Christophe Goldbach en 1674 et aliénée par les héritiers Euth en 1722 (actuel 3, rue Saint-Guillaume), voir le plan-relief.
La maison appartient à des marchands épiciers pendant tout le XVIII° siècle. A Jean Evrard Euth succède son gendre Jean Georges Zisich (1722) puis le deuxième mari de sa veuve, Jean Georges Fuchs (1766) qui supprime les auvents établis en 1669 après avoir été autorisé à reconstruire sa façade rue Saint-Guillaume. C’est de cette époque que remontent les fenêtres à linteau arqués de la maison d’angle et la porte du bâtiment rue Saint-Guillaume. Le préfet refuse en 1817 au propriétaire l’autorisation de percer une croisée au rez-de-chaussée étant donné que la maison a un encorbellement.
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 231
L’Atlas des alignements (années 1820) signale un rez-de-chaussée en maçonnerie, deux étages en bois et une avance pour le bâtiment vers le quai, un rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois rue Saint-Guillaume. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur le quai est celle à gauche du repère (c’) : boutique à arcade au rez-de-chaussée, deux étages à deux fenêtres et deux niveaux de combles. Le pignon vers la rue Saint-Guillaume se trouve entre les repères (c’) et (d’). Le bâtiment sans pignon est à droite du repère (d’) ; il semble que le dessin réunisse en une seule les deux fenêtres rapprochées de gauche.
Les bâtiments portent d’abord le n° 92 quai des Pêcheurs et le n° 1 rue Saint-Guillaume (1784-1857) puis tous deux le n° 1 rue Saint-Guillaume.
Elévations rue Saint-Guillaume
Elévations du bâtiment d’angle, rue Saint-Guillaume et quai des Pêcheurs
(1986, dossier de la Police du Bâtiment)
Le débit de boissons porte avant la Première guerre mondiale l’enseigne à la Ville de Cologne et ensuite celle Au Diable bleu. La Grande Brasserie du Salvator (ultérieurement Brasserie Météor) fait transformer en 1924 l’auberge dans la maison qu’elle vient d’acquérir. Le propriétaire fait aménager courant 1989 des logements dans les combles en posant deux lucarnes vers le quai.
juin 2017
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1625 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
Partie (a), bâtiment à l’angle du quai et de la rue Saint-Guillaume
Jacques Kopp, barbier, et (1595) Marguerite Roser veuve du tailleur Jean Merg – luthériens | ||
Jean Philippe Heus | ||
1668 | v | Christophe Goldbach, marchand épicier, et (1656) Dorothée Seupel puis (1666) Apollonie Goll – luthériens puis les héritiers, Dorothée Goldbach et (1687) Thierry Kopp, barbier Christophe Goldbach |
1691 | v | Jean Evrard Euth, marchand épicier, et (1676) Aurélie Eyerer puis (1686) Anne Salomé Saladin – luthériens |
1722 | h | Jean Georges Zisich, marchand épicier, et (1719) Marie Madeleine Euth puis (1757) Marie Madeleine Gullmann – luthériens |
1765 | h | Jean Georges Fuchs, marchand épicier, et (1766) Marie Madeleine Gullmann veuve de Jean Georges Zisich – luthériens |
1796* | h | Jean Georges Fuchs, marchand, et (1796) Marie Elisabeth Zabern |
1801 | v | Marguerite Madeleine Schwartz, femme (1761) du fondeur d’étain Jean Jacques Isenheim – luthériens |
1811 | h | enfants de Jean Georges Fuchs et d’Elisabeth Zabern, 1) Marie Elisabeth épouse (1815) de David Grœtzinger, commis négociant, 2) Caroline épouse (1826) de Michel Théodore Hoff, ferblantier, 3) Charles Théodore, étudiant en théologie |
1829 | v | Aloyse Charles Singer, maître tailleur, et (v. 1830) Elisabeth Bur |
1831 | v | André Eberlen, marchand de vins, et (1826) Marguerite Frédérique Lix |
1846 | v | Laurent Reyss, marchand de vins, et (1846) Louise Falck |
1874* | André Valentin Eugène Füllhart | |
1883* | André Eugène Füllhart | |
1887* | Jean Rethoret, employé à la manufacture des tabacs | |
1902* | h | Jean Jacques Rethoret, employé à la manufacture des tabacs |
1908* | Emile Knoll | |
1926* | v | L. Haag-Metzger et Compagnie, Grande Brasserie du Salvator / Brasserie Météor, société en nom collectif |
Partie (b), bâtiment sans pignon rue Saint-Guillaume
Sébastien Goldbach, maçon, et (1596) Jacqueline Hirschmann puis (1610) Chrétienne Weinmann – luthériens puis les enfants 1) Sébastien, ci-dessous 2) Chrétienne épouse (1636) de Jacques Stœr, boutonnier, vend son tiers (1636) à l’apprêteur de chapeaux Jean Balthasar Spiess 3) Jean Michel, maçon, vend sont tiers (1648) à son frère Sébastien |
||
1648 | h | Sébastien Goldbach, sergent-major, et (1647) Catherine Exter – luthériens |
v. 1674 | h | Sébastien Goldbach, receveur de familles nobles, et (1674) Anne Marguerite Kamm, remariée (1691) au receveur de familles nobles Christophe Bach – luthériens |
Jean Evrard Euth, voir partie (a) |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1 000 livres en 1703, 825 livres en 1713, 750 livres en 1755.
(1765, Liste Blondel) X 373 Jean George Zisig
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 1011, Eberlen, André, cabaretier quai des Pêcheurs 92 – maison, sol – 1,1 are
Locations
1685, Jean Evrard Euth, marchand
1716, Georges Guillaume Weiss, marchand épicier, et Anne Salomé Euth, cohéritiers
1830 (cave) Louis Schattenmann, marchand de vin
Livres des communaux
Livre des loyers communaux, VII 1462 (1652-1672) f° 676
Les deux auvents que les préposés aux affaires foncières ont autorisés sont inscrits au Livre des loyers communaux. Le poste est biffé en 1768 après que les auvents ont été supprimés
Christoph Goldtbach Soll gemeiner Statt vom Wetterdach ahn seinem Hauß ahn St. Wilhelms gaßen A° 1670 . primô vf Annunt. Mariæ vermög Protocoll de 2. Martÿ 1669. et 3° Julÿ fol. 20 & 61, 15 ß
New fol. 425
(Quittungen 1670-1672)
Livre des loyers communaux, VII 1466 (1673-1741) f° 425
Christoph Goldbach(s Erben), Soll vom Wetterdach an seim Hauß an St: Wilhelms gaßen vff Annunc. Mariæ, 15 ß
St. Zinßb. 676
jetzt Herr Johann Eberhard Euthen W.
H. Joh: Georg Zisich der tochterm.
(Quittungen 1673-1741)
Neuzb fol 767
Livre des loyers communaux, VII 1472 (1741-1802) f° 767
alzb. 425
Joh: Georg Zisich solle vom Wetterdach an seinem hauß an St. Wilhelms gaßen Jahrs auf ann. Mariæ, 15 ß
(Quittungen 1741-1768)
Ist in A° 1768. hinweggemacht worden
Préposés aux affaires foncières (Bauherren)
1669, Préposés aux affaires foncières (VII 1361)
Christophe Goldbach qui vient d’acquérir la maison sollicite le 24 février 1669 l’autorisation d’établir face à l’église Saint-Guillaume un auvent de 19 pieds et demi de long et de six pieds de large en arguant que les corbeaux existent déjà. Les préposés demandent un délai de réflexion après avoir constaté que les corbeaux servent à soutenir une treille. Il obtient le 10 mars l’autorisation moyennant un cens annuel de 10 sols. Il obtient le 6 juillet l’autorisation d’établir aussi un auvent couvert de tuiles sur la façade face à la rivière moyennant un cens annuel de 5 sols.
(f° 18) Mittwochß den 24. Ejusdem [Febr. 1669] – Goltbach, Wetterdach
H. Christoff Goltbach der Wurtzkremer berichtet d. er entschlossen weren an deßen erkauften Eckhauß an der Wilhelmer gassen gegen S. Wilhelm vber geleg. ein Wetterdach 6. Werckschue herauß vnd 19 ½ werckschue lang bawen Zulaßen, mit bitten weilen daß hauß schon von altem eingelegte Kepffer hatt Ihme damit Zu Willfahren. Weilen sich nun in dem dato eingenommenen augenschein befunden d. gesuchtes Wetterdach Niemanden hinderlich, die allegirte Kepffer aber Zu einer Rebhelten dienlich vnd nicht Zum Wetterdacht, als ist Erkandt Bedacht.
(f° 20-v) Dinstags den 2° Martÿ 1669. Goltbach, Wetterdach, Almend Zinß
In sachen Christoff Goltbachs p° gesuchten Wetterdachs, an deßen erkaufften hauß bei S. Wilhelm ist vff referirten Augenschein Erkandt, Würd Ihme in seinem begehren Willfahrt, doch daß er Jährlichen Vff annunc. Mariæ vnd Anno 1670. primô 10. ß d davon Zinßen solle.
(f° 61) Dinstags den 6. Eiusdem [Julÿ 1669] Goltbach, Wetterdach, Almend Zinß
Christoff Goltbach der Wurtzkremer bedanck sich Jüngster willfahr p° Wetterdachs, vnd bittet Ihme Zuerlauben, daß er vff der andern seiten deß haußes gegen dem Waßer gleichmeßig ein Wetterdach in deß haußes breite Von Zieglen gedeckt, damit der Wind den Reegen nicht in den gaden treiben mög, verfertigen laßen dörffe. Erkand, gegen erlag 5. ß Zinßes Willfahrt.
1768, Préposés aux affaires foncières (VII 1413)
Jean Georges Fuchs demande le 17 mai 1768 l’alignement à suivre pour reconstruire sa maison rue Saint-Guillaume. Il établit contre les règlements de nouveaux volets au rez-de-chaussée ; les préposés lui infligent une amende de 7 livres 10 sols et lui ordonnent de supprimer les objets litigieux
(f° 21 bis) Dienstags den 17.ten Maÿ 1768 – Johann Georg Fuchs
H. Johann Georg Fuchs der Specirer bittet umb anweißung der flucht nach welcher er sein hauß in der wilhelmergaß bawen solle.
Erkannt solle H. Werner außstecken und d. einzuziehende Allmend außmeßen.
(f° 45) Dienstags den 27. 7.bris 1768. H Joh: Georg Fuchs (remittirt)
H. Johann Georg Fuchs der handelsmann welcher wieder Mghh. verbott Neue läden an seinem hauß in der wilhelmer gaß au Rez de chaussée hat anschlagen laßen wird in 7 lb 10 ß. d straff fällig erkannt und jhm anbefohlen d. beschlag wieder abzubrechen.
1817, Police (283 MW 357)
Le préfet refuse d’autoriser le propriétaire Grœtzinger à percer une croisée au rez-de-chaussée étant donné que la maison a un encorbellement
Préfecture du Bas Rhin, Extrait du registre des Arrêtés du Prefet du Département du Bas-Rhin du 6 mai 1817
Vu la demande du Sr Groetzinger propriétaire de la Maison sise à Strasbourg rue de St Guillaume N° 1 aux fins d’obtenir la permission de faire percer une croisée au rez de chaussée de la Maison, Vu L’estimation de l’architecte de la ville et l’avis de M. le Maire des 24 et 25. avril dernier
Considérant que la Maison dont il s’agit formant l’Angle de la rue St Guillaume avec le quai des pêcheurs est alignée au Rez de chaussée sur les deux façades mais que la façade sur le quai des pêcheurs a une avance, Vu le réglement du 8 thermidor XII qui proscrit toutes réparations ou changement aux Maisons non alignées, Arretons que la demande du Sr Groetzinger n’est point accueillie
Description de la maison
- 1755 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, deux cuisines et plusieurs cabinets, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, il y a en outre une boutique dans laquelle se trouve un comptoir, le tout est estimé avec le puits, les appartenances et dépendances à la somme de 1 500 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
4° arrondissement ou Canton est – Quai des Pêcheurs
nouveau N° / ancien N° : 6 / 92
Fuchs
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages médiocres en bois et avance
(Légende)
4° arrondissement ou Canton est – Rue St. Guillaume
nouveau N° / ancien N° : 1 / 1
porte de derrière du N° 92 quai des pêcheurs
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages médiocres en bois
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre xx case
Eberlen, André, aubergiste, quai des pêcheurs N° 92
O 1011, maison, sol, quai des pêcheurs 92
Contenance : 1,10
Revenu total : 180,57 (180 et 0,57)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 33 / 26
fenêtres du 3° et au-dessus : 6 / 5
Cadastre napoléonien, registre 27 f° 1170 case 1
Eberlen, André, aubergiste
1859 Reyss, Laurent, marchand de vins
1874 Füllhart Andreas Valentin Eugen
1883 Füllhart Andreas Eugen, minderjährig
1887/88 Rethoret Johann, Fabrikangestellter an der Tabaks-Manufaktur
1902 Rethoret Johann Jakob, Tabakmanufaktur-Angestellter in Straßburg
O 1011, maison, sol, Rue St Guillaume 1
Contenance : 1,10
Revenu total : 180,57 (180 et 0,57)
Folio de provenance : (352)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires :
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre allemand, registre 30 p. 375 case 3
Parcelle, section 29, n° 21 – autrefois O 1011
Canton : Wilhelmergasse Hs. N° 1 – Rue St Guillaume
Désignation : Whs. u. NG e. T. (Skizze 46)
Contenance : 1,15
Revenu : 2300 – 3100
Remarques :
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1926), compte 978
Rethoret Johann Jakob
1908 Knoll Emil u. Ehefr.
rayé 1926
(Propriétaire à partir de l’exercice 1926), compte 826
Mayer Wolfff, Kaufm.
1906 Wurmser Ludwig u. Ehefr
1907 Firma Metzger u. Haaag
1922 L. Haag-Metzger Cie Grande, Brasserie / Brasserie Météor, société en nom collectif
(232)
Cadastre allemand, registre 30 p. 375 case 4
Parcelle, section 29, n° 21
Canton :
Désignation : Whs e. n. a. T. (Skizze 57) – Zu Pz. 23
Contenance :
Revenu :
Remarques :
(Propriétaire), compte 1154
Seng Robert u. Ehefr
1908 Beinert Oskar u. Ehefr.
1926 Beinert Oscar Théophile la veuve née Neschel*
1938 Beinert Oscar Eugène son épouse et cohéritiers
(745)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton X, Rue 368 et Quai des Pêcheurs (p. 530)
92
pr. Fuchs, J. George – Miroir
loc. Berenell, f. séparée
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
St. Wilhelmergasse (Seite 197)
(Haus Nr.) 1
Knoll, Wirt z. Stadt Köln. 01
Ziegler, Schneiderwrkst. 1
Kaag, Maurerpolier. 2
Hengen Näherin. 3
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 735 W 142)
Rue St. Guillaume 1, Wilhelmergasse 1 au coin du Quai des Pêcheurs, dossier I (1885-1989)
La maison est raccordée aux canalisations en 1896. Le voisin du 3, rue Saint-Guillaume se plaint à plusieurs reprises entre 1894 et 1903 que la fosse d’aisances déborde. Un débit de boissons est autorisé en 1895. Il porte d’abord l’enseigne à la Ville de Cologne puis après la Première guerre mondiale Au Diable bleu, sauf entre 1941 et 1945 (Zur Wilhelmerstub, Au Saint-Guillaume).
L’architecte Haudenschild transforme en 1924 l’auberge Au Diable bleu qui appartient à la Grande Brasserie du Salvator (Metzger, Haag et Compagnie à Hochfelden). La Police du Bâtiment répond en 1971 à la Brasserie Météor (Haag-Metzger et Compagnie) qui demande un certificat d’urbanisme que le bâtiment doit être conservé. Les locaux annexes du restaurant sont réaménagés en 1985. La Brasserie Météor fait aménager courant 1989 des logements dans les combles en posant deux lucarnes dans la toiture qui donne sur le quai.
Le tailleur Antoine Ziegler y transfère en 1917 son atelier du 10, rue des Pêcheurs
Les aubergistes ou restaurateurs sont Emile Knorr (1908), Oscar Heim (1920), Paul Weber (1923), Albert Freyermuth (1946), Pétronille Freyermuth née Schors (1964), Willy Schweigh (1971), Jean-Charles Cappellacci (1973), Ernestine Frey née Kirrmann (1976), Marlène Schmitt née Reybel (1979), Marie-Jeanne Morbe née Droux (1985), André Bieger (1989).
Sommaire
- 1885 (mai) – Le maire notifie la veuve Eberlen, demeurant sur place, de faire ravaler la façade du 4, quai des Pêcheurs – Th. Burgahrd répond que la maison a été entièrement ravalée en 1879. Le maire répond qu’il s’agit d’une erreur, la maison à ravaler faisant l’angle de la rue Saint-Guillaume
1885 (juin) – Le maire notifie la veuve Füllhardt, demeurant sur place, de faire ravaler la façade du 1, rue Saint-Guillaume. Elle répond que le dernier ravalement date de 1877. La Police du Bâtiment accorde un an de délai – Travaux terminés, réalisés par Petiti-Klotz, juillet 1886
1886 (janvier) –
1896 (juin) – L’entrepreneur Petiti-Klotz (17, place Saint-Etienne) demande l’autorisation de raccorder la maison aux canalisations – Autorisation – Travaux terminés, juillet – Dessin (plan et coupe) - 1894 – A. Zabern (3, rue Saint-Guillaume) se plaint que la fosse d’aisances de son voisin Jean Réthoré, portier à la manufacture des tabacs fuit – La Police du Bâtiment se rend sur place puis écrit au propriétaire Réthoré qui répond en français que la fosse a été vidée. La Police du Bâtiment demande que la fosse soit étanche
1895 (juillet) – La Police du Bâtiment rappelle sa demande après qu’on a constaté de nouvelles fuites. Jean Réthoré répond que le locataire de l’estaminet a oublié de faire vider la fosse - 1895 (avril) – Le maire notifie Jean Réthoré (demeurant 7, rue Saint-Guillaume) de faire ravaler la façade du 1, rue Saint-Guillaume
1895 (juillet) – L’entrepreneur A. Metzger (3, rue du Brochet) demande l’autorisation de ravaler la façade Réthoré 1, rue Saint-Guillaume – Autorisation – Travaux terminés, juillet - 1895 – Le maire demande au propriétaire Réthoré de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 et de supprimer les sept volets de fenêtres et les deux volets de soupiraux qui s’ouvrent vers la voie publique – La Police du Bâtiment accorde un an de délai
1898 – Rappel. Les volets ont été modifiés aux fenêtres mais pas aux soupiraux, juin 1899
1900, 1901 – Rappels. Croquis (les volets sont fixés à chacun des montants verticaux). Le propriétaire répond qu’il attend la fin du bail
1901 – Nouvelle demande adressée à la brasserie Adelshoffen qui répond sur papier à lettres que l’immeuble appartient à Eusèbe Réthoré, portier à la manufacture des tabacs - 1895 (mai) – Dossier ouvert suite à un courrier de la préfecture concernant la hauteur des pièces. La Police du Bâtiment répond qu’elles ont 2,50 mètres au premier étage, 2,30 mètres au deuxième étage et 2,40 mètres au quatrième étage, de sorte qu’elles sont conformes aux prescriptions du 26 janvier 1857
1896 (février) – Idem, les pièces sont décrites dans la réponse - 1898 – La Police du Bâtiment constate que le maître tailleur Antoine Ziegler a posé une enseigne sans autorisation – Demande – Autorisation. L’enseigne est posée sur l’encorbellement en saillie de 85 centimètres à l’angle des rues, croquis
- 1901 – Barbe Seng se plaint des fuites de la fosse d’aisances au 1, rue Saint-Guillaume (auberge à la Ville de Cologne). La Police du Bâtiment se rend sur place et constate que la fosse a été revêtue de ciment l’été précédent – Dossier classé, la fosse est vidée tous les quinze jours
1902 – Dossier ouvert suite à un courrier de la préfecture concernant des suintements qui proviennent de la fosse d’aisances – L’aubergiste promet de faire vider régulièrement la fosse – Courrier à la brasserie Adelshoffen
1903 – Nouvelle plainte de Robert Seng (33, route de Colmar au Neudorf) – La Police du Bâtiment constate que la fosse n’est pas étanche. Travaux terminés, décembre 1903 - 1908 – Le maire notifie Emile Knorr, demeurant sur place, de faire ravaler la façade du 1, rue Saint-Guillaume
1908 (août) L’entrepreneur E. Bieth (19, quai des Pêcheurs) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Autorisation – Travaux terminés, août - 1909 (septembre) – La Police du Bâtiment constate que l’aubergiste Emile Knorr a posé sans autorisation une enseigne au 4, quai des Pêcheurs [sic] – Autorisation de poser une enseigne plate sur verre (octobre 1909)
1909 (novembre) – La Police du Bâtiment constate que la brasserie de la Cathédrale (Strassburger Münsterbräu, société anonyme qui réunit les brasserie Hahn et Adelshoffen) a posé sans autorisation une enseigne sur verre à l’encorbellement au deuxième étage – Autorisation - 1913 – La Police du Bâtiment constate que le tailleur Antoine Ziegler a posé sans autorisation deux enseignes sur l’encorbellement du premier étage – Demande – Autorisation
- Commission des logements militaires, 1915. Propriétaire Knoll, domicilié sur place. Liste en trois points de travaux à faire
- 1917 – Le tailleur Antoine Ziegler (société A. Væth et J. Münch) déclare transférer son atelier du 10, rue des Pêcheurs au 1, rue Saint-Guillaume (premier étage) et employer entre 10 et 12 couturières qui travaillent sur des machines à pédale – Autorisation d’aménager un atelier au premier étage. Conditions que l’inspection de travail demande de respecter – Plan de l’atelier – L’aubergiste Knoll autorise les couturières à se servir de ses cabinets d’aisance
1919 – Les enseignes plates n’ont pas été démontées - 1921 – Le peintre en bâtiment Erwin Notz (9, boulevard de la Victoire) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour ravaler la façade au 4, quai des Pêcheurs
1921 – Le peintre Charles Thomann (8, quai des Pêcheurs) demande au commissaire de police l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour ravaler la façade de l’aubergiste Heim à l’angle de la rue Saint-Guillaume – Le commissaire transmet la demande au maire - 1921 – J. Bruckmann (3, quai de l’Abattoir) demande l’autorisation de poser des inscriptions à la maison d’angle. Le service d’architecture (Division VI) demande d’atténuer la teinte bleue et de supprimer le trait sous le mot Adelshoffen.
- 1920 – Dossier ouvert suite au courrier de la Division II. Oscar Heim demande l’autorisation de continuer à exploiter le débit de boissons sis 1, rue Saint-Guillaume. La Police du Bâtiment se rend sur place et constate que les locaux correspondent aux prescriptions ministérielles du 24 mars 1890, sauf la salle de débit qui a une hauteur de 2,73 mètres au lieu de 3,50. Liste de travaux à faire. La Police du Bâtiment adresse une réponse au préfet
1922 – L’aubergiste Emile Knoll demande de prolonger le délai accordé pour transformer le tuyau de poêle. Les travaux déjà faits sont jugés suffisants - 1923 – Dossier ouvert suite au courrier de la préfecture. Paul Weber demande l’autorisation de continuer à exploiter le débit de boissons sis 1, rue Saint-Guillaume. La Police du Bâtiment se rend sur place et fait le même constat qu’en 1920.
- 1924 – L’architecte Haudenschild (22, boulevard de Nancy) communique à la Police du Bâtiment les plans des transformations prévues dans l’auberge Au Diable bleu qui appartient à la Grande Brasserie du Salvator (Metzger, Haag et Compagnie à Hochfelden). La Police du Bâtiment constate que les poutres en bois entre la cave et le rez-de-chaussée sont pourries. Les travaux de l’entrepreneur Bendler (5, quai Freppel) commencent le 26 juin – Autorisation de transformer le débit de boissons Au Diable bleu sis au rez-de-chaussée – Calcul statique
1924 (août) – L’architecte sollicite la réception finale qui a lieu le 11 septembre
1924 (mars) – La Grande Brasserie du Salvator est autorisée à poser un store au 4, quai des Pêcheurs [sic] - 1927 – L’entrepreneur Charles Ehrmann (8, quai des Pêcheurs) est autorisé à occuper la voie publique
- 1929 – La Brasserie demande l’autorisation de poser un panneau en zinc Picon à la façade du café Au Diable bleu – Accord
- 1939 – L’entrepreneur A. Fistarol (15, rue de Mulhouse au Neudorf) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique pour crépir la façade du restaurant Au Diable bleu – Prolongation
1939- L’entrepreneur Ehstand et Batt (2, allée Zæpffel à la Robertsau) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique devant le restaurant Au Diable bleu pour transformer la façade - 1941 – L’entrepreneur en bâtiment Eugène Schuster demande au nom de la brasserie Météor à Hochfelden de poser une enseigne en bois portant l’inscription brun foncé Zur Wilhelmerstub (Au Saint-Guillaume). – Maquette – Accord
1943 – L’aubergiste Albert Lang informe la Police du Bâtiment qu’il a supprimé le store et les lampes - 1946 – Albert Freyermuth (domicilié 6, rue Edel) sollicite auprès du préfet l’autorisation d’exploiter le restaurant Au Diable bleu. La Police du Bâtiment n’a pas d’objection. Les locaux comprennent une salle de débit (hauteur 2,95 au lieu des 3,50 réglementaires), une cuisine, des toilettes
- 1946 – Le peintre en bâtiment Eugène Schuster (7, rue de Geispolsheim au Neudorf) demande l’autorisation de peindre une inscription Au Diable bleu, Bières Météor (et une étoile)
- 1956 – Le préfet transmet au maire une plainte concernant la cheminée. Le locataire Sternberger ne peut plus se chauffer. La Police du Bâtiment estime que la pièce qui sert d’habitation au grenier doit être tenue pour inhabitable – Le maire répond au préfet qu’il a saisi le service du logement pour reloger la famille (nouveau logement, 5, rue des Pierres)
La Brasserie Météor (Haag-Metzger et Compagnie) répond que le locataire principal Albert Freyermuth doit avoir sous-loué la pièce à la famille et qu’on peut considérer que l’affaire est close puisque la famille a quitté les lieux
Le service d’hygiène constate que le locataire principal a fait faire des travaux dans la pièce en question qui est à présent occupée par le monteur de chauffage central célibataire Henri Meyer - 1959 – Rapport d’incendie dû à un tuyau de fumée mal installé. La Police du Bâtiment écrit au propriétaire qui transmet en juin un certificat du ramoneur Emile Brandl après réparation
- 1961 – La Brasserie Météor (Haag-Metzger et Compagnie) envisage de repeindre en blanc la façade du restaurant Au Diable bleu – Autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – L’entreprise Hembach est chargée des travaux qui sont terminés en juillet
- 1964 – Pétronille Freyermuth née Schors sollicite l’autorisation de continuer à exploiter le débit de boissons Au Diable bleu – La Police du Bâtiment remet son rapport (le restaurant a une surface de 110 m²) au préfet qui accorde l’autorisation. La requérante a passé un bail avec la Brasserie Météor le 26 août 1963
- 1965 – L’entreprise Kaiser et Compagnie (118-a route de Schirmeck à la Montagne Verte) est autorisée à occuper la voie publique côté rue Saint-Guillaume pour réparer la toiture
- 1965 – La locataire Bauer signale qu’une cheminée est défectueuse. La Police du Bâtiment constate que la cheminée est réglementaire.
- 1970 – Rapport de feu de cheminée
- 1971 – Willy Schweigh (demeurant nouvelle cité n° 6 à Lingolsheim) sollicite l’autorisation de continuer à exploiter le débit de boissons de quatrième catégorie Au Diable bleu – La Police du Bâtiment remet son rapport au préfet qui accorde l’autorisation
- 1971 – La Brasserie Météor (Haag-Metzger et Compagnie) demande un certificat d’urbanisme – Extrait du plan cadastral, section 29 parcelle 21 – Le bâtiment doit être conservé
- 1973 – Jean-Charles Cappellacci (demeurant 21, rue des Bonnes-Gens) sollicite l’autorisation de continuer à exploiter le débit de boissons de quatrième catégorie Au Diable bleu – La Police du Bâtiment remet son rapport au préfet qui accorde l’autorisation. Les travaux de réfection sont terminés, novembre 1973
- 1973 – La Brasserie Météor soulève des objections contre différents droits d’enseigne
1973 – La Brasserie Météor expose son projet de rénovation. la façade sera blanche, les soubassements gris, les huisseries peintes en brun – Dessin des enseignes, côté rue Saint-Guillaume et côté quai des Pêcheurs – Autorisation de poser des enseignes lumineuses en lettres détachées
1974 (février) – Le peintre en bâtiment Gilbert Reinbold (2, rue des Marguerites à Lingolsheim) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique - 1976 – Ernestine Frey née Kirrmann (demeurant 5, rue Kuhn) sollicite l’autorisation de continuer à exploiter le débit de boissons de quatrième catégorie Au Diable bleu – La Police du Bâtiment remet son rapport (la salle de restaurant a environ 56 m²) au préfet qui accorde l’autorisation. Les travaux de réfection sont terminés, novembre 1973
- 1979 – Marlène Schmitt née Reybel (demeurant 1, rue des Forgerons à Soultz-les-Bains) sollicite l’autorisation de continuer à exploiter le débit de boissons de quatrième catégorie Au Diable bleu – Le Service de sécurité procède à un contrôle. Le préfet accorde l’autorisation.
- 1985 – Marie-Jeanne Morbe née Droux (demeurant 18, rue du Reitenfeld au Neuhof) sollicite l’autorisation de continuer à exploiter le débit de boissons de quatrième catégorie Au Diable bleu – Le Service de sécurité procède à un contrôle.
La société CETI (Coordination, Etudes, Travaux Immobiliers et industriels, 13, rue Mélanie à la Robertsau) transmet un dossier pour aménager les locaux annexes (propriétaire, brasserie Météor à Hochfelden) – Plan
La Police du Bâtiment admet les observations d’après lesquelles la courette est depuis longtemps couverte et pourvue de deux cabinets d’aisance, de sorte qu’aucun permis de construire n’est nécessaire.
Le préfet accorde l’autorisation à Marie-Jeanne Morbe.
Rapport de la commission de sécurité - 1989 – André Bieger (demeurant 18, rue du Reitenfeld au Neuhof) sollicite l’autorisation de continuer à exploiter le débit de boissons de quatrième catégorie Au Diable bleu – Le Service de sécurité procède à un contrôle.
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 735 W 143)
Rue Saint Guillaume 1, dossier II (1986-1990)
La Brasserie Météor projette en 1986 d’aménager des logements dans les combles en posant deux lucarnes dans la toiture qui donne sur le quai. Les travaux ont lieu courant 1989.
Sommaire
- 1986 – La Brasserie Météor demande l’autorisation d’aménager des logements en posant deux lucarnes dans la toiture vers le quai – Plan cadastral de situation – Le maire transmet le dosser au préfet avec avis favorable
1986 (juillet) – La Police du Bâtiment constate qu’il manque le panneau qui annonce le chantier
Suivi des travaux – Pas de travaux (juillet 1986 – septembre 1987). Le permis est prorogé en mai 1988. Les travaux sont en cours, janvier 1989, sont terminés, janvier 1990
Dessins, élévation rue Saint-Guillaume, élévation quai des Pêcheurs, lucarne
Relevé d’actes
Maison d’angle puis (1695) parties a et b réunies
Les tenants et aboutissants indiquent que la maison appartient dans les années 1630 aux héritiers du barbier Jacques Kopp et de sa femme Marguerite Roser.
Marguerite Roser épouse le tailleur Jean Merg en 1595 puis le barbier Jacques Kopp en 1597
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 95-v, n° 43)
1597. Jacob Kapp ein scherer gesel Jacob Kapp des scherers alhie Son vnd Margareta hans Merg. des schneiders selig. witwe. Confirmatione facta 8. Nouemb. (i 486)
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 38-v) 1595. Dominica 8. Trinitatis, 10. Augusti. Hanß Merg d. schneÿd. Vndt Margerta Cl(aus) roser des * tochter, Eingesegnet Zinstag den 26. Augusti (i 41)
La maison revient à Jean Philippe Heus dont les tuteurs la vendent 600 livres au marchand épicier Christophe Goldbach
1668 (30. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 535 f° 572-v
(Prot. fol. 35.) Erschienen H. Tobias Städel der handelßmann alß ober: und H. Johann Philippß Schmidt E.E. Großen Rhats Beÿsitzer, alß Undervogt Johann Philipß Heüßen
in gegensein H. Christoph Goltbachß des Specereÿ händlers bekannt, daß Sie beede heüßische Vögte und Zwahr vff Wohlgedachts E. E. hochweÿsen großen Rhats gestigen tags obrigkeitlich interponirte Decretum alienandi
hauß, hoffstatt höfflin mit allen deren Gebäwen, Begriffen, zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten, alhie in Vorstatt Krautenaw ienseit St: Stephans Bruckhen am Eckh gegen der Kirchen St: Wilhelm, einseit neben H. Johann Theobald Raÿßern Schaffner, Zum Jungen St: Peter, anderseit neben wie auch hinden uff Sebastian Goltbachen den wacht Maÿstern stoßend gelegen, von welcher behaußung gehen iahrs fünff Zehen schilling Zehen pfenning termino Johannis et Christi, dem Stifft Jungen St: Peter alhie – Vnd were solcher Verkauff /:über erstberührte Beschwärdt, daran der Käuffer gewießen worden ist, welcher Er auch in der Jenigen qualität, wie des Stiffts darüber sagende Documenta außweißen werden, übernommen und derowegen obgemeldten heußen ohnansprüchig Zu machen und schadlos Zu halten angelont hatt:/ geschehen umb 600 Gulden
Fils du commissaire priseur Christophe Goldbach, le marchand épicier Christophe Goldbach épouse en 1656 Dorothée Seupel, fille de marchand
Mariage, cathédrale (luth. f° 44)
1656. Mehr zum 2. mal Sonnt. 70. d. 3. feb. Christoph Goldbach, der Jüngere, Wurtz Krämer vnd Burger allhier, H Christoph Goldbach, des Burgers vnd Käüfflers allhir, ehelicher Sohn, Vnd J. Dorothea Weilandt Herrn Johann Seupels des Burgers Vnd Handelßmanns auch E. E. Großen Raths Beÿsitzers allhier hinterlaßene Eheliche Tochter. Mont. 11. Febr. Freÿburg. Münster, hh Stub (i45)
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. f° 29, n° 4) 1656. Dnciis iidem (II. et III. p. Epiph. 20 / 27 Januarÿ) Christoph Goldbach junior, der Wurtzkrämer, Christoph Goldbach senioris gewesenen Kaüffler vnd B. alhie nachgel Sohn, Vnd Jgfr. Dorothea Herrn Johann Seüppels des Handelßmanns und E. Ehrs. Großen Raths geweßenen Beÿsitzers nachgel. Eheliche tochter, aderat sponsæ Tutor h. Daniel Dietrich aurifaber. Cop. Mont. d. 11. Febr h. A. (M.) i 31
Il se remarie en 1666 avec Apollonie Goll, fille de marchand
Mariage, cathédrale (luth. f° 82, n° 48)
1666. Dom : 22. post Trin. Sim 2 mahl, hr Christoph Goldbach Wurtz Krämer Vnd Burger alhier, undt Jfr. Appolonia hr Theophili Gollen geweßenen Saltz Verwalters alhier nachgelaßene T. Donnerstag dn 22.tenn 9.bris, Münster (i 84)
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. f° 69, n° 19) 1666. Dnciis XXII et XXIII p. Trinit 11 / 18 9.br. Herr Christoph Goldbach Wurtzkrämer Vnd burger alhier, Vnd Jgfr. Appolonia Wld. herrn Theophili Gollen geweßenen Saltzverwalters v. b alhier (M.) i 52
Le secrétaire de la Noblesse de Basse Alsace Thiébaut Wildermuth rend compte de la tutelle des biens qui appartiennent aux deux enfants de feu le marchand épicier Christophe Goldbach et d’Apollonie Goll, Dorothée et Jean Christophe. L’inventaire a été dressé en novembre 1674 par feu le notaire Jean Georges Redslob. La maison rue Saint-Guillaume est louée au marchand Jean Evrard Euth
1685 (Ann: Mar.), Me Lang (Jean Régnard, 29 Not 11) n° 125
Rechnung Mein Johann Theobald Wildermuths, Königlichen auch E: Löbl: Ritterschafft des undern Elsaßes geordneter Secretarÿ und burgers alhier zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Jungfr. Dorotheæ und Johann Christophs, weÿl. des Ehrenvest und Wohl vorgeachten herrn Christoph Goldbachs, Specereÿhändlers und der auch weÿl. Viel Ehren: und Tugendreichen Frawen Apolloniæ Goldbachin gebohrner Gollin beeder Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg nunmehr seel. hinderbliebener dochter und Söhnleins, inhaltend alles das jenige, was Ich vom 4.ten Febr: A° 1676 da meiner Vogts Personen Vatter seel: gestorben biß Annunciationis Mariæ A° 1685. in ein und andere weege ihrenthalben vögtlicher weiße eingenommen und außgegeben auch sonsten verhandelt habe.
Bericht gegenwärtiger Rechnung. Es ist alllvorerist Zuwißen, daß nach tödlichem hintritt weÿl. Frawen Apolloniæ Goldtbachin gebohrner Gollin meiner Vogts Personen Mutter seel. welches den 21/31. Maÿ A° 1674. beschehen, Herr Johann Georg Leÿtersperger, wohlverordneter Saltz Verwalther v. burger alhier Zu Straßburg, dero beeden mit herrn Christoph Goldbach Specereÿhändlern und auch burgern alhie ihrem damahlig. hinterbliebenen herrn Wittibern ehelich erzeugten Kindern, Zu einem Tutore geordnet, auch darauffhin die Mütterlich Verlaßenschafft in beÿsein darzu gehörige Personen den 5. 9.bris dicti Anni gebühren inventirt Zumahlen durch H. Johann Georg Redsloben Notarium nun seel. ein formblich Inventarium darüber auffgerichtet und außgefertigt worden, Alß aber bald nach außfertigung erstgedachten Inventarÿ vorerwehner herr Leÿtersperger auch Zeitlichen Todes verblich., so bin darauffhin und Zwahr auff des beÿ herrn Schöffen und E. E. Gericht der Möhrin Zunfft von Herrn Christoph Goldbachen dießer beeden Kindern Vatternim Junio 1° 1675. beschehene ansuchen und vorbring. (…)
Mütterliche Nahrung belangend
Vätterliche Nahrung betreffend. Hausrath, Wahren Zur Specereÿ handlung gehörig, Schiff und geschirr Zur Specereÿ handlung gehörig, Früchten, Wein, Eßig und Lähre Vaß, Siber geschirr und Geschmeidt, Guldene Ring und dergleichen Geschmeidt, Baarschafft, Pfenningzinß hauptgüeth,
Eigenthumb ane Häußern. Meiner Curanden beeder eÿgenthümbliche häußern in d. Vorstatt Krautenaw ane d. Wilhelmer Gaß. geleg. à fol. 93. fac. i.ma usq. ad fol. 95. fac j.mam Inventarÿ specificirt seind Herrn Johann Eberhard Eÿd dem Specereÿhändlern von mir dem Vogt auf 9. Jahr lang von Annunciationis Mariæ A° 1676. angerechnet sammenthafft umb 100. R. jährlich auff gedacht Mariæ Verkündigung und A° 1677. Zum erst. mahkl zurechnt. habend. Zinßes verlüh.
Gülth von liegenden güthern, Schulden auß dem Erben Zubezahlend, Legat, Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüter haubtgüeth, Ungiebige Gültten von eÿgenthümblich. güttern gefallend, Zweiffelhaffte und Verloheren Schulden in das Erbe zugeltend
Großmütterliche Nahrung concernierend (…) Eÿgenthumb ane einer behaußung (…)
Etat des meubles que l’ancien tuteur Jean Thiébaut Wildermuth remet au nouveau tuteur Samuel Goldbach, frère du défunt. Les titres de propriété font partie des objets inventoriés. Ils comprennent deux rentes foncières acquittées ainsi que le contrat d’achat de la maison d’angle et de celle entre Sébastien Goldbach et le boulanger Braun (actuel n° 3)
1686 (30.4.) Me Lang (Jean Régnard, 29 Not 13) n° 158
Designation der Jenigen Haußrathß Posten, Früchten, Lähren Vaß, Silbers, Guldenen Ringen und Geschmeids baarschafft, wie auch briefflichen Documenten, so der Edle und hochachtbare Herr Johann Theobald Wildermuth königlicher wie auch Einer Löblichen freÿen Ritterschafft des undern Elsaßes wohlverordnete Secretarius und burger alhier zu Straßburg, als geweßener Curator Jungfrawen Dorothe und Johann Christoph der Goldbach beed. weÿland des Ehrenvest und Vorgeachten herrn Christoph Goldbachs, geweßenen Specerereÿ händlers und burgers alhier nunmehr seel. hinderlaßener dochter und Sohns, dem Ehren und Wohlgeachtet herrn Samuel Goldbachen, Metzgern und burgern alhier, erstbesagten herrn Christoph Goldbachs, seel. eheleiblichen brudern und vorbeditten deßen hinterlaßene beeder Kinder jetzmahlig geschwornen Vogten würcklich Zu handen gelüffert (…) den 30. Aprilis A° 1686
Documenta über die Heüßer meldend.
i. teutscher pergam: Kauffbrieff mit der Statt straßb. anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel v.wahrt de dato d. 30. 8.bris A° 1668. über die Goldbachische behausung in der Vorstatt Krautenaw, jenseith St. Stephans bruck geleg. besagend, mit altem N° 5 signirt.
i. teutscher pergam: abgelößt. Zinßbrieff über 30. lb cap. so mann dem Stifft St. Marx auß erstvorherig. behaußung schuldig gewesen, aber wid. abgelößt word. meldend, de dato d. 28. Maÿ A° 1580.
i. teutscher pergam: abgelößt. Zinßbr. mit d. Statt Straßb. Contract Insigel bekräfftiget, datit d. 11. Aug. A° 1589. über 400. R. Cap. Straßb. wehrung, so auff solch. behaußung gestand. besagend, auch mit N° 5. notirt.
i. teutscher pergam: Kauffbrieff mit der Statt Straßb. anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel v.wahrt, deß. datum d. 25° Julÿ A° 1674. über ein hauß und höfflein alhie in d. Vorstatt Krautenaw geleg. an hievor gedachte behaußung stoßend, meldend, mit alten N° 6. bemerckt.
Compte que rend Jean Thiébaut Wildermuth de sa gestion de l’Annonciation 1685 à la mi juin 1686
1686 (13.7.), Me Lang (Jean Régnard, 29 Not 14) n° 166
Stuck Rechnung Mein Johann Theobald Wildermuths Königlichen auch einer löbl. Ritterschafft des Undern Elsaßes geordneten Secretarÿ und burger alhier Zu Straßb. als geordnet v. geschworenen Vogts Jungfr. Dorothe undt Johann Christophs, weÿland des Ehrenvest Vnd wohlvorgeachten herrn Christoph Goldbachs, Specereÿ händlers und auch weÿland der Viel Ehren: und tugendreichen Fr. Apolloniæ Goldbachin gebohrner Gollin, beed. Eheleuthe Vnd burgere alhier Zu Straßb. nunmehr seel. hinderlaßener Tochter und Söhnleins, inhaltend alles d. Jenige Was ich Von Annunciationis Mariæ Anno 1685. als dem beschluß meiner erstern Rechnung, biß den 13. Julÿ Anno 1686. in ein und andere weege, Ihrenthalben Vögtl. weiße ferner eingenommen und außgeben auch sonsten verhandelt habe.
Compte que rend Samuel Goldbach de sa gestion des biens de Jean Christophe et de Dorothée Goldbach qui a épousé le barbier Thierry Goll. La maison rue Saint-Guillaume est toujours louée à Jean Evrard Euth
Compte 1687 (19. 7.br), Me Lang (Jean Régnard, 29 Not 21) n° 198
Zuwißen und Kund seÿ hiemit demnach Zwar auf tödtliches ableiben weÿl. deß Ehrenvest und Vorgeachten H. Christoph Goldbachs, gewesenen Specereÿhändlers v. burgers alhier, vnd der Viel Ehren und Tugendbegabten Fr. Apollonia Goldbachin gebohrner Gollin, deßelben geweßener haußfr. beeder nunmehr seel., aller deroselben Verlaßene Haab, Nahrung vnd Güettere, in beÿsein darzue gehöriger vnd dem Inventario benambßter Persohnen, den 5. 9.bris A° 1674. durch weÿl. H. Joh: Georg Redslob Notarium nun seel. ordentlich inventirt vnd beschrieben, auch darüb. ein formbich Inventarium auffgerichtet und außgefertigt, aber vntter deroselben Zu Erben verlaßene beede Kinder, nahmentlich Dorothea und Johann Christoph, damahlen nicht vertheilt sondern H. Johann Theobald Wildermuth Einer Königlichen Freÿ Ritterschafft deß Undern Elsaßes Wohlverordnete Secretario, als dero Erstmahligen H. Curatori, deßen Verwaltung (und nachegehends von wohlehrenberührtem herrn Secretario Wildermuth herrn Samuel Goldtbach Metzgern und burgers alhier des Successori in solch vogteÿ) gelieffert worden, daß darauffhin bevorab Frauw Dorothe die Tochter sich inmittelst ahn H. Johann Dietrich Koppen Chyrurgum vnd burgern allhier verheurathet, vnd dahero die Zwischen Ihnen beeden Geschwistrig. biß anhero ohnvertheilt gewesene von Ihren geliebten Eltern seel. ererbte Nahrung, abgetheilt Zu laßen, verlanget, erscheint zu end stehendem dato Frau Dorothe Koppin gebohrne Goldtbachin beÿständlich oberwehnt Ihres nunmahligen Hn Ehevogts an einem, Sodann vorehrenbemeldter H. Christoph Goldtbach d. Metzger vnd burger alhier alß geordnet und geschworenen Vogts voragezogenen Johann Christoph Goldtbachs seines vetten am andern theil – d. 19. 7.bris A° 1687.
Eigenthumb ane Häußern. Die in der Vorstatt Krautenaw alhier ane d. Wilhelmer Gaßen gelegene vnd in herrn Samuel Goldtbachs des ietzigen vogt ersteren vogteÿ Rech. fol. 25. fac. 2.da erwehnt. hauß so H. Johann Eberhard Eÿd d. Specereÿhändler pro 45. lb Jährlich. Zinßes bewohnet, seind gleichfalls annoch beed. Geschwistrig. ins Gemein
Autre compte. Les revenus de la maison que les enfants ont héritée de leur grand-mère près du Temple-Neuf ne figurent pas au compte parce qu’elle fait l’objet d’un procès devant le Grand Sénat
1688 (1.3.), Me Lang (Jean Régnard, 29 Not 22) n° 209
Rechnung Mein Samuel Goldbachs des Metzgers und burgers zu Straßburg in sich begreiffend alles das Jenige so Ich als geordnet und geschworener Vogt Dorothe und Johann Christophs, beeder weÿl. Herrn Christoph Goldbachs geweßenen Specereÿhändlers und burgers alhie, meines geliebten bruders mit auch weÿl. Frauen Apollonia Goldbachin gebohrner Gollin seiner haußfr. beeden nunmehr seel. hinderlaßener Töcht. und Söhnleins vom 1.ten Aprilis Anno 1686 biß den 1.ten Martÿ Anno 1688 in ein und andere weege eingenommen, auß gegeben auch sonsten verhandelt habe. Erste Rechnung dieß. Vogteÿ.
Bericht gegenwärtiger Rechnung. Zu anfang dießer Rechnung Ist Zuberichten, demnach herr Johann Theobald Wildermuth, Einer Königlich. freÿ Ritterschafft der undern Elsaßes wohlverordneter Secretarius, meiner Curanden gewesenen voriger Herr Vogt Ihnen meiner Vogts Personen seiner gethanen administration Einnahm und Außgab halb. die erstere rechnung A° 1685 abgelegt (…) daß darauffhin derselbe, weilen es, seines tragenden officÿ halben mit dieser vogteÿ ferner belästiget Zusein Ihme zuschwehr gefallen (…)
Eÿgenthumb ane häußern belangend. Selbige seind herrn Eberhard Eÿden dem Handelsmann noch immerhin umb 90. R. jährlich auff Annunciationis Mariæ Zu reich. habenden Zinßes, wie in des vorig. herrn Vogts stuck rechnung fol. 10. Zuseh. v.lüh
Corpus des hauß Zinßes. 45. Pfund pfenning Zinses gibt Herr Johann Eberhard Eÿd s. Specereÿ händler (…)
NB. Alldieweilen mit herrn Johann Adam Gollen J. U. D. und E: E: Großen Rahts Advocato et Procuratore meiner Curanden Mutter seeligen herrn Brudern, wegen bewohnend. Großmütterlicher, ohnfern des Prediger Collegÿ behausung, Zum Landspurger genandt, waran denen Curandis ein vierder theil Zuständig, die sach des Zinßes halben beÿ E. E: Großen Raht in lite begriffen und noch ohnerörtert, einfolgig (…)
La maison revient pour moitié à Dorothée Goldbach qui épouse le barbier Thierry Kopp en 1687.
Elle vend sa moitié de maison 615 livres au marchand épicier Jean Evrard Euth (locataire des lieux, voir les comptes ci-dessus)
1691 (9. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 848-v
Dorothea gebohrne Goldbachin, H Joh: Dietrich Koppen, deß Barbierers und Wundartzts haußfrau
in gegensein Hn Johann Eberhard Eÿden, deß Specereÿ händlers [unterzeichnet] Johanes Eberhard Euth
die helffte für ohnvertheilt an hauß hoffstatt und höfflein, auch hind.haußlein, mit allen deren Gebäuen, Begriffen, weithen, zugehördten und Gerechtigkeiten, allhier ane dem Fischer Staden, geg. St. Stephans Bruck über, einseit ist Ein Eck an der Wilhelmergaß, geg. der Kirch zu St Wilhelm über, anderseit neben H. Friderich Wolffen dem Kornwerffer, hind. zum theil auff dem Kaüffer selbsten, zum theil nemblich d. hind. haüßel auffs Wolffgäßel darin es einen außgang hat, stoßend geleg., und von alters zum Schwerd genandt, von solcher gantz. behaußung gehend jährlich termino Johannis Baptistæ und Evangelistæ iedes mahls die helffte dem Stifft Zum Jungen St. Peter 15 ß 10 d ewigen erschätzigen Zinßes, So dann 15 ß d Allmend zinß weg. eines dächleins Gemeiner Statt Pfenningthurn – geschehen umb 615 Pfund
Le commis négociant Jean Christophe Goldbach vend l’autre moitié de maison 665 livres au même Jean Evrard Euth
1695 (20. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 621
H. Johann Christoph Goldbach, der Handelsdiener so majorennis und ohnbevögtigt
in gegensein H. Johann Eberhard Euthen, deß Specereÿhändlers
die helffte für ohnvertheilt an hauß, hoffstatt und höfflein, auch hinderhaüßlein, mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, zugehördten und Gerechtigkeiten, allhier am Fischer staden gegen St. Stephans bruck über, einseit ist Ein Eck an der Wilhelmer gaß, gegen der Kirch Zu St. Wilhelm über, anderseit neben Friderich Wolffen den Kornwerffer modo hans Martin Lauterbach, dem becken, hinden zum theil auff den Kaüffer selbsten, zum theil nunmehr d. hind. haüßlein auffs wolffsgäßel, darin es einen Außgang hat, stoßend gelegen, und vor alters Zum Schwerd genandt, daran die übrige helffte dem Kaüffer vorhien gehörig, Von welcher gantzen behaußung gehend 15 ß 10 s jährlich termino Johannis Bapristæ et Evangelistæ, iedes mahls die helffte dem Stifft Jungen St. Peter ewigen erschätzig. Zinß, So dann 15 schilling Allmend Zinß, wegen eines Tächleins gemeiner Statt Pfenningthurn – umb 665 pfund
Originaire de Darmstatt, Jean Evrard Euth devient bourgeois en février 1676 par sa fiancée Aurélie Eyerer en s’inscrivant à la tribu du Miroir
1676, 4° Livre de bourgeoisie p. 426
H. Johann Eberhard Eÿden der Specereÿhändler Von darmstatt empfangt das burger recht von seiner Brautt Jfr. Aurelia, weÿl. H. Daniel Eÿerers des Würthß Zum Spanbeth seel. ehelich. dochter pro 8. golt R. welche Er beÿ der Cantzleÿ erlegt hatt, ist ledigen standts, vnd wird Zum Spiegel dienen. Jur. 21. febr. 1676.
Le marchand épicier Jean Evrard Euth épouse Aurélie Eyerer, fille de l’aubergiste à la Couchette
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 296-v n° 12)
1676 Auff gemelt Sontag [auf Ostern und Quasimodo geniti] Johann Eberhard Eÿd, Specereÿ händler, weÿl. M. Adam Eÿden gewesenen C(-)toris Zu darmstatt ehelicher Sohn, vnd Jfr. Aurelia Danielis Eÿrerern Würth Zum Spanbett Tochter, Cop. S. Nicol : 6. Apr (i 317)
Jean Evrard Euth se remarie en 1686 avec Anne Salomé Saladin, fille de pharmacien : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedung (…) Zwischen dem Ehrenvest undt wohlvorgeachtn herrn Johann Ehrhardt Euthen Sprcereÿ Händlern und burgern allhier Zu Straßburg als dem bräutigam ane Einem, So dann der Edel, Viel Ehren vndt tugendreichen Jungfrauwen Annæ Salomeæ, weÿlandt deß Wohl Edel, vest, fromm, fürsichtig vndt Wohlweÿsen herrn Johann Carl Salatins, deß beständigen Regiments der Herren XV.en geweßenen höchstmeritirten beÿsitzers Seelig hinderlaßener Ehelicher dochter, als der hochzeiterin andern Theil – geschehen in der Statt Straßburg den 26. Februarÿ Anno 1686 [unterzeichnet] Johann Eberhzrd Eüth alß hoch Zeitter, – Johann Philipp Schübler, Not. Publ.
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. p. 174 n° 4) 1686. Dom. Invocavit et Reminiscere. H. Johann Eberhardt Euth der Specereÿhändler v. B. allhier vnd J. Anna Salome (Tit:) Hn Johann Carlen Saladins fünffzeheners, Apoteckers vndt B. alhier hinterlaßene ehel. T. (i 107)
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 139)
1686. Dom. Invocavit. Zum 2. mahl Hr Johann Eberhard Euth, Specerirer v. Burger alhier Jfr. Anna Salome des Weiland Wohl Edlen Fromm fürsichtig Wohlweisen herrn Joh. Carl Saladins des beständigen Regiments der Herren XV. geweßenen fürnehmen Mitglieds nachgel. eheliche T.. Mittw den 14. Martÿ. N Kirch (140)
Jean Evrard Euth meurt en 1703 en délaissant de son premier mariage le médecin Jean Daniel Euth et trois enfants de son deuxième mariage. L’inventaire donne les titres des différents bâtiments. Les experts estiment la maison principale 1 000 livres. La masse propre à la veuve est de 2 135 livres, celle des héritiers de 595 livres. L’actif de la communauté est de 3 520 livres, le passif de 3 671 livres.
1703 (14. 9.bris), Me Winckler (Elie, 61 Not 25) n° 29
Inventarium über Weÿland des Ehrenvest und Wohl vornehmen Herrn Johann Eberhard Euhten, geweßenen Specerirers, handelsmanns und burgers zu Straßburg seel. Verlassenschafft, auffgerichtet Anno 1703.
Inventarium und Beschreibung aller haab: Nahrung und Güttere, Keinerleÿ außgenommen, So weÿland der Ehrenvest vnd wohlvornehmen Herr Johann Eberhard Euht, Specerirer, handelsmann und burger zu Straßburg, nach seinem Donnerstag den 13. Monats Septembris Jüngst aus dießem mühesamen traur: und Kümmervollen leben genommenen tödlichen hintritt hinderlaßen (…) durch die hoch Ehren und tugendreiche fraw Annam Salomeam Eühtin gebohrne Salatinin, die Wittib beÿständlich deß hoch Ehrenvest großachtbar und Wohlverordneten herrn Friderich Ströhlin Apoteckers und vornehmen burgers alhie Zu gedachtem Straßburg Ihres geschwornen Herrn Vormundts – Actum Straßburg Mittwoch den 14. Monats tag Novembris Anno 1703.
Der in Gott ruhende Herr Johann Eberhard Euht hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie folgt, Aus Erster Ehe 1. Herr Johann Daniel Eühten, Medicinæ Cultorem, welchen der seelige herr mit auch weÿland frawen Aureliæ Eühtin gebohrne Aÿrerein weiner Ersten Ehwürthin seel. erzeüget, welche beneben herrn Johann Caspar Geÿgern hoßenstrickern und burgers alhie seinem geschwornen vogt wie auch dem Edel Ehrenvest: und hochgelehrten herrn Johann Andreæ Keufflin J. U. Practico und burgern alhie, deßen erbettenen Assitenten, der Inventation beÿgewohnet
Aus Anderer Ehe. 2. Jungfrau Annam Salomeam, 3. Mariam Magdalenam und 4. Ludwig Philippum, welche dreÿ der verstorbene herr seel. mit eingangs Ehrengedachter seiner hinterbliebenen frau Wittib Erzielt, deren geschworner Vogt der Ehrenvest und wohlvernehme herr Martin Jacob Eüht handelsmann und burger allhier der Inventation uin Persohn abgewartet. Alle vier deß abgeleibten herrn seem aus Erster und anderer Ehe erzeugte Kinder und ab intestato nächste Erben.
In einer in der Statt Straßburg vorstatt ane Krautenaw gelegen in gegenwärtige Verlaßenschafft gehöriger behausung befunden worden wie folgt
Ane Höltzen und Schreinerwerck. Auff der Obern bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, Vor dießen gemachen, In der Obern Stuben, In der Obern Kuchen, Im Obern haÉtats-Unisöhren, In der undern Stub Cammer, In den undern Stuben, Im hindern hauß, vor dießer Stuben, Auff der bühn, In der Cammer, Vor dießer Cammern Im undern haußöhr, In H. Bechtold hauß, In H. Martin Jacob Eühten hauß
(f° 19) Eÿgenthumb ane Haüßern (T.) Item hauß, hoffstatt, höfflin und hinderhaüßel mit allen deren gebäwen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten gelegen in der Statt Straßburg vorstatt in Krautenaw ane dem so genannten fischerstaden einseith ist ein Eck ane der Wilhelmer gaß gegen der Kirch Zu St. Wilhelm über, anderseith Dionysio Garant dem weißbecken hinden zum theÿl aufs Wolffsgäßel darein es einen Außgang hat, und Zum theÿl neben Samuel Braunen den haußfeürer stoßend, so von Alters her Zum Schwerd genant worden, darvon gehnd Jährlichen auf Johannis Baptistæ et Johannis Evangelistæ iedesmahl Zur helffte 15 Schilling 10 pfenning Ewig. Ehrschätzigen Zinßes dem Stifft Jungen S. Peter alhier, ferner 15. Schilling pfenning Allmend Zinß Jahrs auf (-) Gemeiner Statt Pfenningthurn sonsten freÿ ledig eigen, und durch der Statt Straßburg geschworene Werckmeister, inhalt der beÿm Concept gegenwärtigen Inventarÿ befindlicher Abschatzung, sub dato den 4. Decembris A° 1703. für freÿ ledig und Eigen æstimirt per 2000 Gulden, thut über Abzug obgedacht und für doppelt Capital geachten beschwerden also auß zu werffen 938 lb
Über einen halten theÿl solcher behaußung besagt ein Perg: Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Contract Insigel verwahret datirt d. 9. Novembris Anno 1691. Über den andern halben theÿl ist vorhanden ein ferner Perg: Kauffbrieff mit erwehntem Insigel sub dato 26. Octobris Anno 1695. Über die gantze behausung aber sagte ein Pergamenen Kauffbrieff mit besagtem Contract Insiegel bekräftiget, datirt d. 30. Octobris Anno 1668. mit alten N° 5 signirt
Ferner ein Pergamenin Kauffverschreibung über die hindere behaußung in specie besagend, mit mehrgedachtem Contract Insigel verwahret datirt d. 25. Julÿ Anno 1674. mit altem N° 6 notirt.
Item ein fernerer Pergamenten Kauffbrieff über besagt. hindere behaußung mit offtgerührtem Contract Insiegel bekräfftigt datirt den 6. Februarÿ Anno & 1691. Item über einen drittetheÿl ane solche hindern behausung ist vorhanden ein Pergamenen Kauffbrieff under besagten Insiegel datirt d. 23. Decembris Anno 1689. Und dann Zwoen abgelößte Pergamentin Zinßbrieff, alles mit N° 1. bemerckt
(T.) Item Zweÿ häußel neben einander under einem dach in der statt Straßburg Vorstatt ane Krautenaw underhalb s. Stephans bruck jenseith der Breüsch im Wolffsgäßel, einseit neben denen Störischen Erben modo herrn Georg Friderich Fettich, Anderseith neben Samuel Braunen dem haußfeürer, hinden auch verkäuffer daselben (-) stoßend gelegen, so freÿ ledig und eigen und inhalt obgedachter Abschatzung durch der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistere æstimirt und angeschlagen für 150 gulden oder 75 lb. Vermög ein pergament Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangenden Contract Contract Insiegel bekräfftigt, datirt d. 30. Augusti Anno 1698. und dann ein fernerer Pergamenen Kauffbrieff mit gerührtem Contract Insiegel verwahrt datirt d. 19. Augusti et 2. Septembris Anno 1675. mit alten N° 2. wie auch beeder mit ietzigem N° 2 signirt.
– Abschatzung den 4. Xbris ao: 1703. Weÿlandt des Ehren Vesten und Vorachtbahren herrn Johann Eberhardt Eüthen gewesenen Würtz Krämer seel. hinder laßene fr. Wittib und Erben, ist eine behausung alhie in der Statt Straßburg, ein Eck an der Wilhelmer gaßen, einseits neben Mons. Gernié Weißbeck, anderseits neben herrn Friderich Reÿmann, hinden auch auff gemelten H. Reÿmann stosendt, Welche behausung Neben, hinder gebäu, höfflein und bronnen sambt aller gerechtigkeit wie solche durch der Statt Straßburg geschworene Werckleüthe sich in der besichtigung befunden und jetzigem Preiß nach angeschlagen wirdt Vor und Umb Zweÿ tausendt gulden.
Die andere behausung auch alhie in der Statt Straßburg im Wolffgäßlein gelegen einseits neben herrn Reÿmann Schwartzbeck, anderseits neben herren Fettig, hinden auch auff vorgedachten H. Reÿmann stosendt, Welche behausung sambt aller gerechtigkeit wie solche durch der Statt Straßburg geschworene Werckleüthe sich in der besichtigung befunden und jetzigem Preiß nach angeschlagen wirdt Vor und Umb Ein hundert und fünffzig gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg geschworne Werckhleuth, [unterzeichnet] Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Johann Jacob Osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs.
(f° 31) Ergäntzung der Fraw Wittib unveränderten guths. Aus dem über deroselben in die Ehe gerachte Vermögen den 6. Novembris Anno 1686 durch herrn Johann Philipp Schüblern den Notarium auffgerichteten Inventario
(f° 35) Ergäntzung der Erben unverändert Guth. Aus dem über deß Verstorbenen Herrn seel. für unverändert in die Ehe gebracht Vermögen den 25. Februarÿ Anno 1687. durch herrn Johann Philipp Schübler den Notarium sel. auffgerichteten Inventario
(f° 48) Wÿdemb, Wie der abgeleibte herr seel biß an sein Ableiben von weÿl. frauen Aurelia geborene Aÿrerin daß Eÿgenthumb aber nunmahlen eingangs ernantem herrn Johann Daniel Euhten dem älten Sohn und mit Erben angefallen
(f° 50) Der Fraw Wittib unverändert Vermögen, Sa. haußraths 95, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 112, Sa. guldener Ring 83, Sa. Baarschafft 22, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 223, Sa. frucht gült 67, Sa. Schulden 118, Sa. Ergäntzung (1432, Sa. Abgangs 71, Rest) 1361, Summa summarum 2135 lb
Der Erben unverändert Nahrung, Sa. haußraths 133, Sa. Silbergeschirr und geschmeidt 53, Sa. Gudlener Ring 33, Sa. frucht gült 21, Sa. Eigenthumb ane liegende güther 10, Sa. Ergäntzung (1402, abgang 212, Rest) 1189, Summa summarum 1443 lb – Schulden 847, Nach deren Abzug 595 lb
Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 92, Sa. der Früchte auf den Kasten 286, Sa. Wein, Faß und Eßig 409, Sa.Haüs 1, Sa. Chasise 13, Sa. Wahren 689, Sa. Schiff und geschirrs Zum Specereÿ handel gehörig 22, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 49, Sa. Guldener Ring 6, Sa. baarschafft 364, Sa. Eigenthum ane haüßern 1013, Sa. Eigenthum ane liegende güther 18, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 40, Sa. Schulden 414, Summa summarum 3520 lb – Schulden 3671, Theilbare Passiv Schulden übertreffen Solch gut umb 151 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 3234 lb
Eheberedung (…) Straßburg den 26. Februarÿ Anno 1686 – Johann Philipp Schübler, Not. Publ.
Copia testamenti (…) 1695. (…) in einer in der Statt Straßburg in der Thucher stubgaß gelegener behaußung die Thucher Stub genandt und Zwat dero Newen habenden Schöffen stuben dero fenster in dem hoff daselbsten außsehend (…) persönlich erschienen seind, der Wohl Ehrenvest: und Großachtbare herr Johann Eberhard Euth Specieren und beneben Ihne die Viel Ehren und Tugendreiche Fraw Anna Salome Eüthin gebohrne Salatinin, beede Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg, beeder gesunden gehend: und stehender Leiben, Sie die fraw aber, anbeÿ hoch Schwanger und gesegneten Leibs (…) Johann Philipp Schübler Notarius publicus juratus
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 000 florins (500 livres) sur un total de 5 400 florins
1704, Livres de la Taille (VII 1173) f° 217
(Spiegel, F., N° 971) Weÿl: H: Johann Eberhard Eüthen, deß geweßenen Specierers und burgers allhier Verlassenes Vermögen, jnventirt Herr Nots. Winckler.
die Beschluß Summa deß Inventarÿ thut wie fol: 186.a Zuesehen 3234. lb. 15 ß 1. d., die machen 6400. R., derselbe verstallte hingegen 5400. R. und also 1000 R. Zu wenig.
Von welchen nun als unverändertem guth, der Nachtrag gesetzt wird auf Acht jahr in duplo, macht à 3. lb. d., 24. lb
Und auf Sieben jahr in Simplo, trifft à 1. lb 10. ß ß d, 10. lb 10 ß
darzu wird gerechnet daß Stall gelt pro 1704, 9 lb 10 ß
Item so ist vor gebott 2 ß 4 d
So dann vor die Unkosten, 4 lb 10 ß 6 d, Summa 48. lb. 12 ß 10 d
dd. 11. Junÿ 1704.
Anne Salomé Saladin meurt en novembre 1712. Les experts estiment la maison 825 livres. L’actif de la succession s’élève à 3 399 livres, le passif à 518 livres.
1713 (21.2.), Me Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 29)
Inventarium und Beschreibung aller Haab und Nahrung, so Weÿl. die Viel Ehren und tugendreiche Fraw Anna Salome Euthin gebohrne Saladinin, auch weÿland des Wohl Ehren Vesten vnd Vorachtbahren H. Johann Eberhard Euthen geweßenen Handelßmanns vnd burgers alhier Hinderlaßene Fraw Wittib nunmehr seel. nach ihrem den 22° 9.bris Jüngsthin aus dießem mühesamen leben genommenen tödlichen Ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren, des Wohl Ehrenvesten vnd Großachtbaren Herrn Martin Jacob Eüthen alß geordnet und geschworenen Vogts Jgf. Annæ Salome, Jfr. Mariæ Magdalenæ und H. Ludwig Philipp Eüthen noch ledigen handels bedienten so abweßend, der in Gott ruhenden Fraun seel. mit obernandtem ihrem Zu erst verstorbenen hauß würth ehelich erzeugter Jungfrawen döchter vnd Sohns, vnd ab intestato verlaßene Erben inventirt – Actum Straßburg in fernerm Gegenwarth des Wohl Edel: Vest: Fürsichtig Vnd Weißen Herrn Friderich Strelins, Vornehmen Apoteckers vnd E. E. Großen Raths Jetzigen hochmeritirten Assessoris, der fraw seel. gewesenen Herrn Vogts, und hierzu in specie erbettenen beÿstandts, Straßburg den 21. Febr. 1713.
In einer alhie Zu Straßburg In der Crautenaw gelegenen vnd in diese Verlaßenschafft gehöriger behaußung ist befunden word. wie volgt.
Hültzenwerckh. Vff der bühnen, In der Cammer A, In der Cammer B, In d. Wohnstuben, Im Haußöhren, In d. Kuchen, Im laden Stübel, In f. Hind. Stub, In Hind. hauß und Cammer G, Im hindern Stübel, Vor diesen gemach, Im Keller
Eigenthumb ane Haüßern. Item Hauß, hoffstatt vnd hinderhaüßlein, mit allen deren gebaüen, begriffen, Weiten, Rechten, Zugehörd. vnd gerechtigkeiten, gelegen in der Statt Straßburg vorstatt Krautenaw, ane dem so genandten Fischer Staden, enseit ist ein Eck ane der Wilhelmer gaßen, gegen der Kirch Zu St. Wilhelm über, anderseit neben Martin Lauterbachen dem Weißbecken, hinden zum theil aufs Wolffsgäßel, darein es einen Außgang hat, vndt Zum theil Friderich Rewman den haußfeürer stoßend, so von Alters hero Zum Schwerd genandt word., davon gehen Jährlichen auf Joh. Bapt. et Joh. Evangelistæ Jedesmahl die helffte 15 ß 10 d Ewig. Ehrschätzig. Zinß dem Stifft Jung. St. Peter alhier. Ferners 15. ß d. Allmend Zinß Jahrs auf Martini Gemeiner Statt Pfenningthurn, Sonsten freÿ ledig vnd eig., durch der Statt Straßburg geschworene Werckmeistere laut eines Zu mein des Notarÿ Concept geliefferten Schatz Zeduls vom 4.ten Martÿ 1713. über obige beschwerd æstimirt pro 793. lb 10 ß
Darüber besagen 2: Absonderliche Perg: Kauffbrieff, ieder über ein halben theil Von Vorstehendem hauß mit der St. Straßb. anh: Contract Insigel verwahret datirt den 9.ten 9.bris 1691. und 20. 8.bris 1695. Ferner ein alt. Perg: Kauffbrieff mit besagtem Insigel vom 30. 8.bris 1668.
Weiters 3. Perg: Kauffbrieff mit mehrermelter Statt Straßburg Anhang. Cancelleÿ Contract Insigel besagendt datirt den 25. Julÿ Anno 1674. 6. febr. 1691. vnd 23. 10.bris Anno 1689. Vnd dann 2. alt. abgelößte Perg. Zinßbrieff mit N° 1. signirt vnd darbeÿ gelaßen.
Item Zweÿ häußer neben einand. under einem dach, auch in der statt Straßburg Vorstatt Crautenaw vnderhalb St. Stephans brucken Jenseith der Preüsch, im Wolffsgäßel, einseit neben denen Störischen Erbens Erben etwann modo H. Georg Friderich Fettichs Erben, anderseit neben obgemelten Friderich Rewmann dem haußfeürer, hinden auch vff demselben stoßend, so freÿ ledig vnd eÿgen durch obgedachte Herren Werckmeistere taxirt pro 175. lb. Vermög eines Perg. Kauffbrieffs mit der Statt Straßburg anhang. Cancelleÿ Contract Contract Ins: datirt d. 30. Aug. 1698. vnd dann ein alt: dito mit dito de dato 19. Aug. et 2. 7.bris 1675.
– Abschatzung den 4. Martÿ 1713. Weilandt tugentsame fraw Anna Salome Eüthin wurtz gremerin seelige hinder laßene Erben ist eine behaußung alhie in der Statt Straßburg in der Wilhelmer gaßen gelegen, Ein Eckh an der wülhelmer gaßen, andter seith Neben Friderich Reüman teüter seiths Neben hanß Martin lauther dem weißbeckhen stosent, Welche behaußung sampt aller ihrer Recht und gerechtig Keit durch der Statt Straßburg durch die geschworene werck leüth Jetzigen breiß nach ane geschlagen wirdt Vor und Vmb Ein Tausendt Sechs Hundert und fünfftzig gulden.
Der ander begriff ist auch alhier in der Statt Straßburg in dem wolff Gäßel gelegen ein seith Neben die Erben selbsten ander seith neben herr Kauff Man hinden auf gemetdten reüman Stoßent, welche behaußung sambt aller Ihrer recht und gerechtig Keit Jetzigem breuß nach an geschlagen worden Vor und Vmb Zweÿ hundert Gulden.
Ein tritte begriff ist auch alhier in dem wolff gäßel Ein seith neben gemelten Reüman ander seiths auch auf die bemelte Erben hinden auch auf due gemelte Erben würdt an geschlagen Vor und Vmb Ein hundert und Fünffzig Gulten. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg durch die Geschwohrene werckh Leüthen [unterzeichnet] Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Andtres waffenschmidt Zimer Man auf dem Zimmer Hoff
Series. Sa. haußraths 305, Sa. der Früchten 9, Sa. der leeren Vaß 9, Sa.Wahren Zum Specereÿ handel gehörig 250., Sa. Schiff und geschirrs Zur Specereÿ handlung gehörig 25, Sa. Silbergeschirrs und Geschmeids 137, Sa. Guldenen Ring und Geschmeids 95, Sa. baarschafft 764, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 216, Sa. des Eigenthumbs ane einer behaußung 968, Sa. Eigenthumbs ane einem Rebstück 8, Sa. Schulden 609, Summa summarum 3399 lb – Schulden 518, Nach solchem abzug 2881 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 3251 lb
Wÿdemb So die abgeleibte Fraw seelige ad dies vitæ Zu genießen gehabt. Wie hievornen fol. (-) Vmbständlich erhället, so befindet sich daß die In Gott ruhende fraw seelige wegen herrn Johann Daniel Eüthen Medicinæ Doctoris et Practici alhier Ihres Herrn Stieffsohns vätterlichen Verlaßenschafft ad dies vitæ wÿdemb weiße Genoßen, so anietzo nach deren Absterben demselben eigenthümlichen anheim fället
Ungiebige Gülten von eigenen Güthern 17, Vngewiß: und zweiffelhaffter Capital 116, Vngewißen und Zweiffelhaffte Schulden 206
Eigenthums ane einer behaußung belangend. Solche bleibt vnder den Gesambten Erben noch Zur Zeit Ins gemein vnd ohnvertheilt, vnd ist denen beeden döchtern weilen Sie das Gewerb vnd den Specereÿ handel gemeinschaftlichen Zue continuiren vnd in dem hauß zu bleiben sich erklärt (…)
Abtheilungs Concept
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 700 florins (850 livres) sur un total le 6 500 florins. Les préposés acceptent de réduire l’arriéré à payer
1713, Livres de la Taille (VII 1175) f° 22-v
(Spiegel, F. N° 1039) Weÿl. Fr. Annæ Salome gebohrner Saladinin, auch Weÿl. Hn Johann Eberhard Eÿden geweßenen Handelßmann und burgers alhier hinderlaßener Wittib Verlassenschafft inventirt H. Not. Pantrion.
Concl. fin. Inv. ist fol. 84-b, 3251. lb, 19 ß 5 d, die machen 6500 R, Verstallte nur 4800 R. also Zu wenig 1700. R.
Wovon der Nachtrag gereichet wird auff acht Jahr in duplo macht à 5 lb 2 ß, 40 lb 16 ß
und auff Sechs Jahr in simplo trifft à 2 lb 11 ß d, 15 ß 6 ß
Extat das Stalgeltt pro 1713. 7 lb 4 ß
Gebott 1 ß 4 d
Abhandlung 3. ß 7 ß 6 d, Summa 66. lb 14 ß 10 d
Auff bitten der Herren Vögte und in Consideration der eingewandten motiven haben die Herren dreÿ nachgelaßen zweÿ jahr in duplo und zweÿ jahr in simplo, th. 15. lb 6. ß
remanet 51. lb 6. ß 10.d
dt. 11° Septembr. 1713.
Le marchand épicier Georges Guillaume Weiss et Anne Salomé Euth prennent à bail la maison de commerce au tuteur des autres enfants Euth
1716 (11.7.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 383-v
Georg Willhelm Weiß specierer und Anna Salome geb. Eÿdin beÿständlich herrn Frantz Heinrich Städel Exs: und H. Simon Knoll einßen
und andern theils Martin Jacob Euth handelsmann alß vogt Euthischer KK
so enlehnen sie Weißische Eheleuth d. Euthische handlungs hauß allhier an der Willhelmer gass auf zweÿ jahr lang, anfangend auff Annunciat: Mariæ jüngst umb einen jährlichen zinß von 75 lb, darbeÿ ist bedungen worden, daß die eck Cammer, welche der bruder biß anhero inngehabt, ihm ohn entgeldt reserviret seÿn und bleiben solle, was aber die neu erbaute wohnung betrift, so soll selbige ins gemein bleiben
2.do die waaren betreffendt, so nehmen obige Weißische Eheleuth dießelbe ahn verglichener maßen samblich um 225 lb
Les ayants-droit Euth cèdent leurs parts de maison à leur frère Louis Philippe et Marie Madeleine Euth
1718 (17.8.), Me Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 29)
Joint à l’inventaire du 21 février 1712
Zuwißen seÿe Hiemit daß Ane Zu endt Gemeltem dato Weÿl. Fr. Annæ Salome Euthin Gebohrner Saladinin mit auch weÿl. herrn Johann Eberhard Euthen geweßenen Handelßmanns Vndt burgern alhier Ehelich erzeugte Vnd Nach todt Verlaßene Kinder Vnd Erben Nahmentlichen Fraw Anna Salome Weißin mit beÿstand herrn Wilhelm Weißen Ihres Ehevogts v. herrn Johann Jacob Schneibers Notarÿ Ihres Curatoris ad Lites, Ferners Jungfrau Maria Magdalena vndt Herr Ludwig Philipp Eüth Mit beÿstand herrn Martin Jacob Euthen des Handelßmanns Ihres Vogts, in præsentia S. T. Herrn Friderich Ströhlings Vornehmen Apoteckers V. E. E. Großen Raths alten beÿsitzers Ihres albereits hochgehrten herrn Vettern Vndt Mein Vnterschriebenen Notarÿ Zusammen Kommen Vndt erschienen, der Guten Intention V. Vorhabens die Noch Vnder sich biß anhero ins Gemein Gehabte häußer, Nemblichen Hauß, hoffstatt, Nebens Vndt hinder haüßlein, Mit allen deren Gebäwen, begriffen, Weiten, Rechten, Zugehörd. vnd Gerechtigkeiten allhier Zu Straßb. In der Vorstatt Crautenaw ane dem Fischerstaden Geleg., Einseith ist ein Eck ane der Wilhelmer Gaßen gegen der Kirch Zu St. Wilhelm, anderseit Neben Martin Lauterbachen dem becken, so von Alters hero Zum Schwerd genandt Worden, Vnd in Obgemelter der Comparenten Mutter seel. Verlaßenschaffts Inventario fol. 71. Weitläuffig beschrieben, Vndt davon Jährlichen auff Johannis Baptistæ et Evangelistæ Jedes Mahl die helffte Mit 15 ß 10 d Ewig Vndt Ehrschätzigen Zinß dem Stifft Jungen St. Peter Zu reichen, Vnd dann Ferners 15. ß d. Allmend Zinß Jahrs Vff Martini Gemeiner Statt Pfenningthurn, Sonsten freÿ ledig Vndt Eigen, mit einander Zuverglichen und Abzutheilen, Weilen es Ihre Gelegenheit nicht seÿen Will /:alle Verdrießliche process Vndt Streitigkeiten, die Sich dann Vndt wann biß anhero Vnder Ihnen gezeiget, abzuschneiden:/ Solche Länger in Gemeinschafft Zu haben deroweg. Sie dann auch Gleichbalden mit Einander Gut Vnd freündlichen Verglichen besagte häußer Cum appertinentÿs et dependentÿs Vmb 4950. R. anzuschlagen, darumb Zu Looßen Vnd welchem Theil Solches Im Looß Zu fallen würdt (…)
daß obig häußer Cum appertinentiis denen beeden Jüngsten Eüthischen Kindern Jungfr. Mariæ Magdalenä Vndt herrn Ludwig Philipp Eüthen Vmb Obigen Preÿß Eigenthümlich Zugefallen – So beschehen in Strassburg Mittwochs den 17.ten Aug. 1718
Le marchand épicier célibataire Louis Philippe Euth hypothèque sa moitié de maison au profit du marchand Georges Albert Storck et de l’huilier Jean Georges Decker
1718 (17.10.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 515
Ludwig Philipp Euth der ledige Specirer 24 jahr alt beÿständlich Martin Jacob Euthen seines Curatoris
in gegensein Georg Albrecht Storck handelsmanns und Joh. Georg decker ohlmanns – schuldig seÿe 500 pfund und 300 pfund
unterpfand, seine helfte ahn hauß hoffstatt nebens und hinterhauß c. appert: allhier in der Krautenau ahne dem Fischer staden, einseit ist ein eck ahn der willhelmer gass gegen der Kirchen zu St Willhelm, anderseit neben Martin Lauterbach, zum schwerdt genant, davon gibt man von dem gantzen hauß 15 ß ewig und ehrschätigen Zinß dem Stifft Jungen St Peter, Item 15 ß ane allmend zinß
Worbeÿ erschienen Jgfr: Maria Magd. Euthin 26 jahr alt ihrer aussag nach beÿständlich Martin Jacob Euth handelsmanns ihres Curatoris die hat sich verbürget
Louis Philippe Euth cède sa part à son beau frère Jean Georges Zisich et à sa sœur Marie Madeleine Euth qui deviennent ainsi seuls propriétaires de la maison. Ils vendent aussitôt la maison à l’extrémité sud que Christophe Goldbach a acquise en 1674 à Jean Wassermann
1722 (7.11.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 647
(1600 fr) Ludwig Philipp Euth lediger Specirer so über 25 jahr alt und ohnbevögtigt ist
in gegensein Johann Georg Ziesich Specierers und Fr. Mariæ Magdalenæ geb. Euthin seinen schwager und schwester
Zween dritte theil für ohnvertheilt ahne einer Behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahm Fischer Staden gegen St Willhelms Kirch, einseit ist ein Eck ahne der willhelmer gaß anderseit neben Martin Lauterbach dem Weißbecken hinten auff Friedrich Reumann den haußfeurer, daran die übrige tertz der Mitkäufferin zuvorhin eigenthümlich zuständig, Von sothaner gantzen behausung gibt man dem Stifft Jungen St Peter 15 ß 10 ane bodenzinß, Ferner hiesiger Stadt Pfenning Thurn ane allmend zinß wegen eines wetterdächleins 15 ß – um 850 pfund verhafftet, geschehen um 750 pfund
Fils de marchand, le marchand épicier Jean Georges Zisich épouse en 1719 Marie Madeleine Euth : contrat de mariage, célébration
1719 (26.1.), 94 Z 53 ([Jean Jacques Oelinger] Grosses de contrats de mariage)
Eheberedung – zwischen dem Ehrenvesten und Wohl Achtbahren Herrn Johann Georg Zißig, Ledigem Handelßmann, Weÿland deß Ehrenvesten und Wohl Achtbahren herrn Johann Georg Zißigs, auch geweßenen Handelßmanns und Burgers allhier, mit weÿland der Viel Ehren und tugendreichen frawen Susanna Margaretha gebohrner Härlinin erzeigten hindelaßeem ehelichem Sohne, als Hochzeitern ahne Einem,
So dann der Viel Ehren und tugendreichen Jungfrawen Mariä Magdalenä gebohrner Euthin, Weÿlandt deß Wohl Ehren Veste und Wohl Vorachtbahren herrn Johann Eberhardt Euthen, geweßenen handelßmanns, und burgers allhier mit auch Weÿl. der Viel Ehren und tugendreichen frawen Anna Salomea gebohrner Saladinin, ehelich erzeugter und nachgelaßenen tochter, als der Jungfraw hochzeitherin, ane andern Theil
So beschehen in der Königlichen Statt Straßburg, Donnerstags den 26. Januarÿ Anno 1719 [unterzeichnet] Johann Georg Zisich Als Hochzeiter, Maria Magdalena Euthin alß hochzeiterin
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 207-v)
Mittwoch den 8. febr. 1719. seind nach geschehener 2 maliger außruffung Dominica 3. et 4. Epiph. in der Kirch Zu S. Wilhelm ehelich eingesegnet worden, H. Joh: Georg Ziesig der ledige Specierer v. burger weiland H. Joh: Georg Zießigs auch Specierers v. burgers b. Susannæ Margar. Härlinin ehelicher Sohn v. Jfr. Maria Magdalena Weilandt H. Joh: Eberhard Euthen Specierers v. burgers b. Annæ Salome Saladinin eheliche dochter [unterzeichnet] Johann Georg Zisich als hochzeitern Maria Magdalena Euthin als hochzeiterin (i 215)
Jean Georges Zisich devient tributaire au Miroir le 24 avril 1716
1731, Registres annuels de la Taille (VII 122) f° 38-v
Spiegel – Johann Georg Zÿßig, ins. 26. Apr. 1716
Jean Georges Zisich devient cotisant à la tribu des Tonneliers
1719, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 393)
(f° 411) Dienstags den 28. Martÿ Anno 1719 – Joh: Georg Zießich der Specierer und burger allhier stehet Vor bittet ihme das Zunfftrecht als einen Zu diener mit geldt wegen des brandenwein und Eßig Schancks gedeÿen zu laßen.
Erkandt willfahrt dt. gebühr 2 lb 10 ß 6 d vnd pro Zunfftschreiber und büttel 2 ß 6 d
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 330 livres, ceux de la femme à 893 livres. La maison rue Saint-Guillaume figure à l’inventaire mais n’est pas portée au compte final
1719 (25.4.), Me Oelinger (J. Jacques, 35 Not 36) n° 1090 (682)
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab, Nahrung und Güthere, liegender und vahrender, so der Wohl Ehrenthaffte und Achtbahre Herr Johann Georg Zießig Specierer und die Viel Ehren und tugendbegabte fr. Maria Magdalena gebohrne Euthin beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander In Ihren ohnlängst mit einander angetrettenen Ehestandt zugebracht, und sich deren jeedes Vermög der durch mich unterschriebenen Notarium auffgerichteten Eheberedung für ohnverändert vorbehalten hatt – Actum in der Königlichen Statt Straßburg In beÿsein und Persönlicher gegenwarth der Viel Ehren und Wohl tugendbegabten frawen Mariæ Magdalenæ Bechtoldin gebohrner Saladinin, S. T. H. Joh: Bechtoldts deß Stifft Carthaußes und Claus in undis wohlbestellten Schaffners alhier Fr. Eheliebstinen, Vnd S. T. H. Joh: Ströhligs sen: vornehmen apotheckers v. E. E. großen raths allh. alten beÿsitzers, alß der diß Orths beeder nächsten Anverwanthen, Dienstags den 25. Aprilis 1719., durch mich den Unterschriebenenn Notariatum aber Complirt in annis 1731. 1732. 1737. et 1738.
In einer allhier in der Statt Straßburg ane der Steinstraß gelegenen diß Orths Ehemann Vätterlich. Verlaßenschafft Eigenthümb. zuständiger behausung ist befunden worden wie Volgt.
Eÿgenthumb ahe einer behaußung. (F.) Item der dritte theil Vor unvertheilt ane hauß, hoffstatt, höflein Und Hinterhäußeln mit allen deren gebäwen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen In der Statt Straßburg Vorstatt Crautenau, ane dem so genannten Fischerstaaden, enseit ists ein Eck ane der Wilhelmergaß gegen der Kirch Zu St. Wilhelm über, ands. neben Martin Lautenbach dem Weißbecken, hinden Zum theil aufs Wolffsgäßel, darein es einen Außgang hat, vnd Zum theil neben (-) dem haußfeurer stoßend, so von Alters her Zum Schwerd genandt worden, davon und Zwahr von der gantzen behaußung gehen Jährlich. auf Joh. Bapt. et Joh. Evangelistæ Jeedesmahl Zur helffte 15 ß 10 d Ewig. Ehrschätzigen Zinßes dem Stifft Jung. St. Peter allhier. ferner 15. ß d. allmend Zinß Jahrs auf den (-) Gemeiner Statt Pfenningthurn, sonsten freÿ leedig und Eigen, Und hat man solchen Antheil haußes dermahlen ohn angeschlagen Laßen wollen. Über Einen halben theil solcher behaußung besagt ein pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Contract Insigel verwahret datirt d. 9.ten 9.bris 1691. Uber den andern halben theil ist vorhanden ein ferner pergamentener Kauffbrieff mit erwehntem Insigel sub dato 20. 8.br. 1695. Über die gantze behausung aber sagt ein Pergamentener Kauffbrieff mit besagtem Contract Insiegel becräftiget, datirt d. 30. 8.br 1669. mit altem N° 5 signirt. Ferner ein Pergamentener Kauffbrieff Uber die hintere behaußung in specie besagend, mit mehrged. Contract Insigel Verwarth datirt d. 25. Julÿ 1674. mit altem N° 6 notirt.
Wÿdemb Welchen Fr. Susanna Maria Zÿsigin gebohrne Leiterspergerin weÿland H. Johann Georg Zÿsigs des geweßenen Specierers vnd burgers allhier Zu Straßburg seel. hinterbliebene Wittib Von demselben lebtägig Zu genießen haben solte (…)
(f° 17) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn Nahrung. Sa. hausraths 69, Sa. der In das gewerb gehörigen Waaren benebst Wein und Leeren Vaßen 127, Sa. Silber geschmeids 5, Sa. Goldenen Rings 2, Sa. der baarschafft 206., Summa summarum 412 lb – Schulden 121 lb, Nach deren Abzug 290 lb, darzu Ist Zu legen die Ihme den hernach beschriebenen haussteuren gebührige helffte 40 lb, Des Eheherrn Vermögen 330 lb
der Ehefrauen Vermögen, Sa. haußraths 318, Sa. Schiff und geschirr In die Handlung gehörig o, Sa. Leerer Vaß 8, Sa. Silbers 95, Sa. goldener Ring 148, Sa. der baarschafft 217, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 64 lb, Sa. Eÿgenthumb ane eoer behaußung o, Summa summarum 852 lb – Adde die Ihro a,e de, hernach specificirten haußsteuren Zugebrachte helffte mit 40 lb, Der Ehefrauen gantz Nahrung 893 lb
Jean Georges Zisich et les préposés de l’accise portent devant les Quinze l’affaire de l’amende que la tribu des Fribourgeois a infligée à Jean Georges Zisich pour avoir hébergé des hôtes sans autorisation. Les Fribourgeois se sont prononcés sur le droit d’hébergement et non sur le paiement de l’accise. La commission propose d’accorder à Jean Georges Zisich le droit de loger deux officiers à condition qu’il règle les droits d’accise pour le vin qui sera servi. Les Quinze ratifient la proposition
1723, Protocole des Quinze (2 R 128)
Joh: Georg Ziesich Ca. E. E. Zunfft der Freÿburger pt° mulctæ und Erlaubnuß Kostgänger zu halten
(p. 74) Sambstag d. 6. Martÿ 1723 – Obere Vmbgelt herren laßen durch herrn Secret. Kleinclaus referiren, Es habe Johann Georg Ziesich der burger undt handelßmann allhier contra E. E. Zunfft der Freÿburger wegen angesetzter Straaf ein Vndthges Memoriale eingelegt. Ille ließ solches ab: und beÿ denen Acten.
Beÿ beseßener Deputation habe ich den Implorant auff den jnnhalt seines Memorialis bezogen, Nahmens gedachter Zunfft habe H. Joh: Jacob Kamm Exsenator geantwortet, daß wenn denen burgern Zugelaßen werden solte, dergleichen Leuthen Kost Zu halten, diie Würth alle Verdorben müßten, Vndtg. bittend die Zunfft beÿ Articulen gnädig Zue mainteniren, der Implorant seÿe beÿ gedachter Zunfft der ursachen umb dreÿ guld. getraffet worden, weilen er wieder ordnung ohne Erlaubnuß Kostgänger gehalten und ohnlängst habe er auff das newe wider einen Major angenommen, Trompeter ins hauß Kommen laßen, Welche biß mitternacht allda geblaßen hätten.
Worauff der Implorant replicirt, er habe dem H. Major Hänel ein Stub Verlehnt, gebe Ihme aber Keine Kost, die Trompeter habe sein lediger Schwager, so beÿ Ihme wohne ins hauß gebracht, seÿe ihme Leid daß solches geschehen. Sie, die wohlverordnete Ober Vngelt herren, hätten diesen Imploranten den 11. febr. jüngst mit Zweÿ pfund straaf angesehen, Weilen er schon über ein Jahr ohne Erlaubnuß officier in Kost gehalten, und Ihme dabeÿ anbefohlen, des Vmbgeldt Von dem Ihnen bißhero gegebenen weinen Gemeiner Statt à 3 ß Vom ohmen nachzutragen, maßen die officier wann Sie Ihr ordinaire machen, undt Ihren eigenen wein halten, auch so Viel Vom Ohmen laut Tarifs bezahlen müßten, die Zunfft aber habe Ihm nicht wegen des Vmbgelts, sondern wegen gethanem Eingriff in die Würtschafft laut Articuls abgestrafft. Undt stelleten die Hh. Depp. Zu Mghh. ob die Ihme pro futuro die Verlangte Erlaubnuß geben, auff Welchem fall, aber er von jedem ohmen wein er einlegt 3 ß bezahlen müßte, die Straff betreffend, so werde Ihme die helffte derjenig. so die Wohlverordnete Ober Vngelt herren demselben angesetzt nachzulaßen sein jedoch daß er die Zunfft schuldige straaff der 3. R. erlege. Erkandt bedacht gefolgt, und wird dem Imploranten erlaubt die Zweÿ officier in Kost Zu behalten jedoch daß er Von allen Weinen, so er anlegen wird, dreÿ schilling von dem ohmen erlege.
Le marchand épicier Jean Georges Zisich et Marie Madeleine Euth hypothèquent la maison au profit du pharmacien Frédéric Strœhlin
1727 (25.1.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 59
H. Johann Georg Ziesich Specirer und Fr. Maria Magdalena geb. Euthin mit beÿstand ihrer geschwistrigkinder H. Georg Friedrich Ströhlin Apotheckers und E. E. kleinen Raths alten beÿsitzers und H. Philipp Jacob Ströhlin ledigen Apotheckers beeder gebrüdern
in gegensein H. Friedrich Ströhlin Apotheckers E.E. großen Raths alten beÿsitzers – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, Eine Behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahm Fischer Staden gegen der Kirch zu St Willhelm, einseit ein eck ahne der willhelmer gaß, anderseit neben Martin Lauterbach dem weißbecken hinten auff Friedrich Reumann den haußfeurer – daon gibt mann dem Stifft zum Jungen St Peter 15 ß 10 ane bodenzinß, ferner hiesiger Stadt Pfenning Thurn ahne allmend zinß wegen eines wetterdächleins 15 ß
Jean Georges Zisich est autorisé à loger plusieurs musiciens du régiment italien
1741, Protocole des Quinze (2 R 150)
(p. 544) Sambstag d. 23. Sept. 1741. Römer nôe H. Joh: Georg Ziesich burgers und Specirers der bitt Vnderth. Ihme g. Zu erlauben, daß er dreÿ und mehr von denen Musicanten von dem Regiment Italien an seinem tisch nehmen dörffe.
Erk. wird dem Imploranten nach Ordnung willfahrt.
Marie Madeleine Euth meurt sans enfant après avoir institué Susanne Marie Zisich, veuve du marchand Jean Matthieu Knauer pour sa légataire universelle. Comme une des maisons a été vendue pendant la communauté à Jean Wagenmann, les immeubles qui devraient être partageables par un et deux tiers sont considérés comme partageables pour moitié. Les experts estiment la maison 750 livres. La masse propre au veuf s’élève à 279 livres, celle de l’héritière à 908 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 989 livres, le passif à 839 livres.
1755 (26.11.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 384) n° 638
Inventarium über Weÿland der Wohl Ehren: und Tugendbegabten Frauen Mariä Magdalenä Zÿsichin gebohrner Euthin, des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Johann Georg Zÿsich, vornehmen handelsmanns und burgers allhier Zu Straßburg geweßten Frauen Eheliebstin nunmehr seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1755 – nachdeme dieselbe Freÿtags den 26.ten Septembris dießes Zu End lauffenden 1755.sten Jahrs durch einem seeligen tod aus dießer Welth abgefordert worden, nach solch Ihrem seeligen Absterben Zeitlichen hinter sich verlaßen, welche Verlaßenschafft auf gebührendes Ansuchen, Erfordern und Begehren Vor Ehrengedachten herr Johann Georg Zÿsich des hinterbliebenen herrn Wittiber wie auch der Wohl Ehren und tugendbegabten Frauen Susannä Mariä Knauerin gebohrne Zÿsichin, Weÿland des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Johann Matthäi Knauers geweßenen Vornehmen handelsmanns und burgers allhier seeligen nachgelaßener Frau Wittib, der Abgeleibten Frauen seeligen per Testamentum Verlaßener Erbin (…) ersucht und inventirt durch Ihne den herrn Wittiber Wie auch die Frau beneficial Erbin selbsten, ingleichem Jungfer Mariam Magdalenam Güllmännin Von Collmar und Junger Mariam Dorotheam Schöllhammerin Von hier gebürtig, doe beede dienstmägd (geäugt und gezeigt) – So beschehen in Straßburg auf Mittwoch den 26. Novembris et sequenti Anno 1755.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Fischerstaden und der Wilhelmergaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden als volgt
Antheil ane einer behaußung (E.) der halbe theil für Ohnvertheilt von und ane einer behaußung, Höfflein, Hoffstatt und bronnen mit allen deroselben Gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Fischerstaden gegen St: Wilhelms Kirch eins. ist 1. Eck ane der Wilhelmergaß anderseit neben Mstr Joh: Philipp Reumann dem Weißbecken, hinden auf Weÿl. Mstr. Joh: Wagenmanns des hohlträhers seel. Erben stoßend, von dießer gantzen behaußung gibt mann Jährl. dem Stifft Jungen St. Peter allhier 15 ß 10 d ane Ewigem zinnß, ferner der Statt Straßburg Pfenningthurn wegen eines Wetterdächleins 15 ß ane Allmend zinnß sonsten gegen Männiglichen freÿ Ledig eigen und über dieße beschwehrde dh. (die Werckmeistere) vermög überschickter Schrifftl. Abschatzung vom 20. 9.bris 1755. angeschlagen pro 688. lb 6 ß 8 d. Macht daran der hiehero gehörige haben theil 344.
Und ist der übrige halbe theil wie hernacher fol: (-) fac: (-) eingetragen Zusehen, in die theilbare Nahrung gehörig, maßen ane dießer: und einer darneben Liegenden, anjetzo weÿl. Mstr Johann Wagenmanns des hohlträhers seel. Erben gehörigen behaußung, welche Letztere den drittentheil Von beeden Häußern außmacht, die seelig verstorbene einen dritten theil in die Ehe gebracht, die übrige Zween drittentheil aber laut hernach allegirten Kauffbrieffs in wehrender Ehe von herrn Ludwig Philipp Euth, dem Ledigen Specirer erkaufft Worden, und weilen die vorgedachte Nebens behaußung oder der drittetheil Von beeden häußern wieder Verkaufft worden, als ist nur noch ein drittetheil davon, das ist Von der annoch hiehero gehörigen behaußung der halbetheil in die theilbahre Nahrung der andere halbetheil aber dißorts der Erbin ane statt der Defunctæ in die Ehe gebrachte tertz von beeden häußern für ohnverändert gehörig. über dieße behaußung besagen Vier alte teutsche pergamentene Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub auffgerichtet und mit dero anhangenden Insiegel corroboriret de datis 25.ten Julÿ 1674. 30.ten 8.bris 1668. 9.ten 9.bris 1691. et 20.ten 8.bris 1695.
(T.) It. der halbetheil für ohnvertheilt Von und ane der hieoben fol: -(-) fac: (-) et sequentibus beschriebenen behaußung, höfflein, hoffstatt und bronnen, mit übrigen deren zugehörden allhier Zu Straßburg ane dem Fischerstaden und Wilhelmergaß gegen der Kirch Zu St: Wilhelm hienüber gelegenen, so über 15 ß 10. dem Stifft Jungen St: Peter allhier und 15. ß d Von einem Wetterdächlein der Statt Straßburg Pfenningthurn von der gantzen behaußung Jährlich abzurichten habenden respectivé Ewigen und Allmend Zinß sonsten gegen Männiglichen freÿ Ledig eigen und über solche beschwehrden Laut hieoben allegirten Abschatzungs Zeduls durch der Stat Straßburg Herrn Lohner und geschwornen Werckmeistere augenschein Vor 688. lb 6 ß 8 , Thut hiehero Zur helffte 344. 3. 4.. Über Zween dritte theil ane dießer und noch einer daran gehörig geweßenen nebens behaußung davon aber die gedachte Nebens behaußung oder ein drittertheil wieder Verkaufft worden ist Vorhanden ein teutscher pergamentener Kauffbr: in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insiegel bekräfftiget datirt den 7.ten Novembris Anno 1722.
Ergäntzung des Herrn Wittibers abgegangenen ohnveränderten Guths. Inhalt Inventarÿ über beeder geweßener Ehepersonen einander vor unverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in Anno 1719. angefangen und in Anno 1738. durch herrn Notariul Johann Jacob Ölinger geendigt und expedirt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
Copia Testamenti Solennis in Scriptis – Copia fernerer Disposition
Des herrn Wittibers ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths1, Sa. Silbers 14 ß, Sa. goldenen Rins 16, Erg. Rest 260, Summa summarum 279 lb
Dießemnach Wird auch der Frau Erbin ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 82, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 24, Sa. Goldener Ring Ketten und dergleichen Geschmeids 30, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 64, Sa. Antheils ane einer behaußung 344, Erg. Rest 361, Summa summarum 908 lb
Endlichen Wird nun auch das Gemein Verändert und Theilbar Guth beschrieben, Sa. haußraths 133, Sa. Schiff und geschirrs zur handlung gehörig 17, Sa. Gewerbs wahren 229, Sa. Wein, Eßig, Brandenweins und lährer Faß 135, Sa. Silber geschmeids 26, Sa. Goldener Ring Ketten und dergleichen Geschmeids 35, Sa. baarschafft 275, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 450, Sa. Antheils ane einer behaußung 344, Sa. Schulden 341, Summa summarum 1989 lb – Schulden 839 lb, Nach deren Abzug 1149 lb – Stall Summ 2241 lb
Ungewiß und Zweiffelhaffte Schulden in das Erbe zugeltend 238 lb
Abschatzung Von 20.t 9.bris 1755. Auff begehren H Johann Georg Ziesig des Specierers ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg beÿ der wilhelmer Kirch gelegen einseit neben Philipp Reumann dem weißbecken, anderseit ein Eck auf die wilhelmer gaß machend und hinten auf Johannes Grentler dem hohldreher stoßend, Solche behausung bestehet in etlichen stuben, Zweÿ Küchen und etlichen hauß Kammern, darüber ist der dachstuhl mit breit Zieglen belegt, hat auch einen gedrehmten Keller, höffel und bronnen, ferner befindet sich ein laden mit einem Contor Von uns unterschriebenen der Statt Straßburg geschwohrnen werckmeistern nach vorhero geschehener besichtigung mit aller ihrer Gerechtigkeit dem ietzigen werth nach æstimirt und angeschlagen Vor und umb Ein tausend fünff hundert gulden [unterzeichnet] Jacob Biermeÿer stadt Lohner, Michael Ehrlacher Werckmeister deß Meinsters, Werner Werckmeister
Liquidation de la succession
1758 (13. 9.br), Me Nenter (Georges Fréd. 6 E 41, 972) n° 36
Summarische Berechnung Über Weÿl. der Wohl Ehren : und Tugendbegabten Fr. Mariä Magdalenä Zÿsichin gebohrner Euthin, H. Joh: Georg Zÿsich, des Handelsmanns und burgers allhier Zu Straßburg, gewesener Fr. Eheliebstin nunmehr seel. Verlassenschafft, und zwar nach Anleitung des über gedachte Verlassensch. durch S.T. H. Joh: Rudolph Dünckel Not. publ. et pract. allhier in Anno 1755 gefertigten Inventarii wie auch in A° 1756 in ansehung mehrbedittener Verlassenschafft errichteten Verkauff: und Erlöß: Registers durch mich unterschriebenenen Notarium ohnpræjudicirlichen gefertiget
Jean Georges Zisich se remarie avec Marie Madeleine Gullmann, fille d’un fermier de Colmar, qui figurait comme servante à l’inventaire ci-dessus : contrat de mariage, célébration
1757 (2.6.), Me Stoeber l’aîné (6 E 41, 1224) n° 575
Eheberedung zwischen dem Ehrenvesten und Vorachtbaren Herrn Johann Georg Zißig, handelßmann, Wr. und burgern allhier Zu Straßburg, alß hochzeitern an einem
So dann der Ehren und Tugendsamen Jgfr. Mariä Magdalenä Gullmännin weiland Johann Michael Gullmann, geweßten burgers und Meÿers Zu Colmar und auch weÿl. Fr. Catharinä geb. Buhlin nun beeder seel. ehelich erzeugter tochtern alß der Jgfr. braut unter assistentz Mr Heinrich Schöllhammer deß ältern Seilers und burgers allhier am andern theil geflogen
So beschehen Straßburg Donnerstags den 2. Junÿ Anno 1757. [unterzeichnet] Johann Georg Zißich alß hoch Zeiter, maria magdalena gulmänin als hoch Zeiteri
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 210, n° 14)
Aô 1575 d. 22.ten Junÿ Seind in der Kirch Zu S. Wilhelm nach zweÿmahliger ausruffung, so daselbsten und in der Kirche Zum J. S. Peter am ersten und andern Sonntag nach Trinitatis geschehen Zur Ehe eingesegnet Worden, H. Johann Georg Zisig, Handelßmann, Wittwer und burger allhier, und Jungfrau Maria Magdalena, Weÿl. Johann Michael Gulmann, geweßenen Meyers und burgers Zu Colmar nachgelaßene ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Georg Zißich als hochzeiter, maria magdalena gulmänin (i 215)
Les Conseillers et les Vingt-et-Un élisent Jean Georges Zisich fabricien de l’église Saint-Guillaume
1760, Conseillers et XXI (1 R 243)
H. Johann Georg Zisich der Specierer wird Zu einem Pfleger der Evangel. Kirchen Zu St. Wilhelm in der qualitæt eines burgers erwehlt. 21.
(f° 20-v) Sambstags den 26. Januarÿ 1760. H. Ammeister Faber, alß Ober Kirchen Pfleger beÿ der Evangelischen Gemeinde Zu St. Wilhelm alhier trug vor, daß nach deme durch Absterben weÿl. H. Johann Ulrich Klein des geweßten Metzgers die stelle eines Kirchen Pflegers bÿ daßiger Kirch vacirend worden, daß alldaßige Presbyterium umb sothane stelle wieder Zuersetzen, sich vorgestrigen tag versammlet und Zu solcher würde H. Johann Georg Zisich den Specierer, H. Joh: Jacob Ulrich dem ältesten schiffmann und Joh: Jacob Röderer den Rothgerber außerstehen haben und in außschutz vorgeschlagen wollen. E. G. anheim stellend, welchem auß denen dreÿen Hochdieselbe sothanes auffzutragen geruhen wolten.
Dießemnach wurde nach gehaltener Umbfrag auff hohen zuff hohen anspruch des H. Prætoris Regii de Regemorte und des auff dem Obern banck vorstehenden H. Ammeister Richshoffers H. Johann Georg Zisich der Specierer Zu einem Pfleger Zu einem Pfleger der Kirch Zu St. Wilhelm in der qualitæt eines burgers unanimiter erwehlt.
Marie Madeleine Gullmann demande dispense de dresser un inventaire des biens de feu son mari. Les Quinze refusent et la renvoient au règlement
1765, Protocole des Quinze (2 R 177)
Johann Georg Ziesich wittib Mariæ Magdalenæ gebohrner Kullmännin pt° befreÿung Inventarii
(p. 38) Sambstags d. 26. Januarii 1765. – Claus nôe H. Johann Georg Ziesich geweßten burgers und Specirers allhier hinterl. wittib Mariæ Magdalenæ gebohrner Kullmännin assistenten H. Schaffner Johann Friderich Heupels prod. unterth. Memoriale und bitten pro dispensatione à confectône Inventarii, bitt ablesung und wie darinnen; factâ prælectione Erkandt, Wird die Implorantin mit ihrem, als wieder ordnunglauffenden begehren, simpliciter ab: und an die ordnung verwießen.
Jean Georges Zisich meurt en décembre 1765 après avoir institué sa veuve légataire universelle. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire de 1755. L’actif de la succession s’élève à 1 628 livres, le passif à 1 120 livres.
1765 (31.1.), Me Euth (Jean, 6 E 41, 529) n° 209
Inventarium über Weÿland des Wohl Ehrenvest und Wohl achtbaren herrn Johann Georg Zißich, geweßenen Handelsmanns und burgers allhier Zu Straßburg auch hochverdienten Kirchenpflegers der Evangelischen Kirch zu St Wilhelm nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1765. – nach seinem den 13.ten Decembris des abgewichenen 1764.sten Jahrs beschehenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Verstorbenen H. Zießichs seel. hinterlaßener Frau Wb. und respectivé per Testamentum eingesetzter Universal Erbin Frauen Mariæ Magdalenæ Zißichin gebohrner Gullmännin beÿständlichen S: T: Herrn Johann Friderich Heupel, Wohlverdienten Schaffners Löbl. Stiffts Weÿßenhauses – Actum und angefangen Straßburg auf Donnerstag den 31. Januarÿ Anno 1765.
Copia der Eheberedung – Copia Testamenti clausi, Perge unter meinen Notariat Acten Suv N° 88
In einer allhier Zu Straßburg ane der Wilhelmer: Gaß gelegenen Zum theil in dieße Verlaßenschafft gehörigen Sterb: behaußung befunden worden, wie folgt
Bericht dieße Verlaßenschafft betreffend. Ob zwar wohlen der Verstorbene herr Ziesich seel. mit seiner hinterlaßenen fr: Wb. den 2. Junÿ 1757. Vor H. Notario Johann Daniel Stöber eine Eheberedung sambt einem Anhang vom 6. Junÿ ejusdem Anni errichtet, worinnen berührte fr. Wb. mit verschiedenen Vortheilen bedacht worden, die auch auf mein Notarÿ begehren nach Ordnung dem Inventario eingetragen werden sollen, So hat dieselbe jedoch mit beÿhülff S. T. H; Schafners Heupel ihres H. Assitenten erinnert und den bericht gethan, weilen Sie nach ihres Ehemanns seel. Vorher eingetragenem Testament nach abzug derer Passiv Schulden und Legaten die einige Universal Erbin auch solche Erbschafft pure et simpliciter anzunhemen gesonnen seÿe, daß demnach die copeÿliche Eintragung berührter Eheberedung überflüßig wäre, folglich also die gantze vorhandene Nahrung ohne weitere Untersuchung woher sie komme unter einer Mass beschrieben werden möge (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 54, Sa. Wein, brandenwein und Leeren Faß 45, ß Schiff und geschirr Zur handlung gehörig 9, Sa. Gewerbs wahren 64, Sa. Silber und dgl. geschmeids 8, Sa. Goldener Ring und gdl Geschmeids 15, Sa. baarschafft 500
Antheil ane einer behausung. Ein dritter theil für ohnvertheilt von und ane einer behaußung, Höfflein, Hoffstatt und bronnen mit allen deroselben Gebäuden, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Fischer Staden gegen St: Wilhelms Kirch, einseit ist ein Eck ane der Wilhelmer Gaß, anderseit neben Johann Philipp Reumann, dem Weisbecken, hinten auf Johann Eberhard Krentzler, den hohl dräher stoßend. Von dießer gantzen behaußung gibt mann jährlichen dem Stifft Jungen St. Peter allhier 15 ß 10 d ane ewigem zinnß, ferner der Statt Straßburg Pfenningthurn wegen eines Wetterdächleins 15 ß ane Allmend zinnß, sonsten gegen Männiglichen freÿ leedig und eigen. Und ist die gantz behaußung, laut fr: Mariæ Magdalenæ Zisichin gebohrner Euthin des H. Zisichs seel. ersterer Fr. Eheliebstin seel. in Aô 1755. durch H Notarium Johann Rudolph Dinckel auffgerichteten Verl. Inv. fol: 103.b über vorherige beschwehrden, angeschlagen worden, dabeÿ es auch die hoch und Wohlverordnete Hh. dreÿ der Statt Stall beÿ dießortiger Inventur Zu laßen geruhet haben, benantlichen vor 688 lb 6ß 8 d, Macht alßo der in dießer Succession gehörige dritte theil 229. Die übrige Zwo tertzen, so der Verstorbene seel. lebens länglich Zu genießen hatte, werden infra fol (-) dem Wÿdumb gehöriger maßen einverleibt worden. Über die ganze behaußung besagen 4. alte teutsche pergamentene Kaufbrief in allhießiger C. Contract Stub auffgerichtet, mit dero anhangenden Insieglen corroboriret de datis 25. Jul. 1674. 30. Oct. 1668. 23. Jun. 1674, 9. Novemb. 1691 und 20 Octob. 1695. Ferner soll darüber melden ein in hießiger C C Stub gefertigter Pergamentener Kauf brief Vom 7.ten Nov. 1722 welcher sich aber beÿ gegenwärtiger Inventation nicht hervorgethan hat.
Sa. Antheils ane einer behaußung 119, Sa. Schulden 250, Summa summarum 1628 lb – Schulden 1120 lb, Nach deren Abzug 508 lb – Legata 100 lb, Conclusio finalis Inventarÿ 2713, Stall Summ 2623 lb – Zweiffelhaffte Schuld 131 lb
Wÿdumb Welchen weÿl. Herr Johann Zißich der geweßene hiesige handelsmann von auch Weÿl. Fr. Maria Magdalena Zißichin gebohrner Euthin seiner geweßenen erstern Fr. Eheliebstin seel laut deroselben Verschloßenen Testaments vom 21. aug. 1755. Lebenslänglich Zu genießen berechtiget geweßen (…) Darunter ist folgendes enthalten, so die Fr. Wÿdumbs Erbin in natura beziehet, und also deroselben in Anweißung gegeben wird. Erstl. Zween dritte theil vor ohnvertheilt von und ane einer behaußung, Höfflein, Hoffstatt und bronnen mit allen deroselben Gebäuden, Zugehörden, Rechten, u. Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Fischer Staden (…)
Susanne Marie Zisich veuve de Jean Matthieu Knauer cède sa part de maison à Marie Madeleine Gullmann qui en devient ainsi seule propriétaire
1765 (19.3.), Me Euth (Jean, 6 E 41, 529) Joint au n° 209 du 31 janvier 1765
Zuwißen seÿe hiemit, daß vor mir unterschriebenen Zu Weÿl. Herrn Johann Georg Zißich, geweßenen handelsmanns und burgers allhier zu Straßburg, auch hochverdienten Kirchenpflegers der Evangelischen Kirch zu St: Wilhelm, seel. Verlaßenschaffts: Inventation adhibirtem Notario (…) persönlich kommen und erschienen seÿe Frau Susanna Maria Knauerin, gebohrner Zißichin weÿl. H. Johann Matthäi Knauer, geweßenen hießigen burgers und handelsmanns hinterlaßene wittib, als Universal Erbin Weÿl. Frauen Mariæ Magdalenæ Zisichin gebohrner Euthin obgedachten H. Zißichs ersterer Frau Eheliebstin, laut deroßelb, Verschlossenen testaments Vom 21. Augusti 1755. so beÿ H. Notario Johann Rudolph Dinckel deponirt lieget, dieße hat unter assistentz Herrn Philipp Jacob Krieg, handelßmanns und burgers hießelbsten
und in fernerer Gegenwart Frauen Mariæ Magdalenæ Zißichin gebohrener Gullmännin obberührten H. Johann Georg Zißich nachgelaßener Wittib als Universal erbin gedachten H. Zißichs seel Verlaßenschafft, Vermög deßelben auffgerichteten testamenti Clausi Vom 26. Augusti 1758. darüber ich der Notarius den 30. daraufhien den Depositions Actum dressirt, freÿ offentliche angezeicht und bekandt
demnach eine allhier Zu Straßburg ane dem Fischer Staden gegen Sanct Wilhelms Kirch gelegene behaußung, höfflein, hoffstatt und bronnen mit allen deroselben Gebäuden, Begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten einseit ist ein Eck ane der Wilhelmer Gaß, anderseit neben Johann Philipp Reumann dem Weisbecken, hinten auf Johann Eberhard Krentzler, den hohl dräher stoßend. davon man jährl. dem Stifft Jungen St. Peter allhier 15 ß 10 d ane ewigem zinnß, und der Statt Straßburg Pfenningthurn wegen eines Wetterdächleins 15 ß ane Allmend Zinnß Zu geben pflichtig, sonsten gegen Männiglichen freÿ leedig und eigen Zwischen Ihro Frau Knauerin zu zwo tertzen und bemelter Zißichischen Frau Wittib Zu einem dritten theil annoch ohnvertheilt ist, denen Interessenten aber fernerhien in solcher Gemeinschafft zu verbleiben nicht beliebet, als will sie Frau Knauerin für sich, Ihre Erben und Nachkommen dero daran habende zwen dritte theil Ihro Frauen Mariæ Magdalenæ Zißichin gebohrener Gullmännin deroßelb Erben und Erbsnemern Vor und umb die Summ der 2600 gulden, die gantze behaußung zu 3900 gulden gerechnet (…) Actum Straßburg auf Freÿtag den 29. Martÿ Anno 1765.
Marie Madeleine Gullmann se remarie en 1766 avec le marchand Jean Georges Fuchs, originaire de Francfort : contrat de mariage, célébration.
1766 (20.2.), Me Euth (Jean, 6 E 41, 540) n° 73
(Eheberedung) Zwischen Tit. Herrn Johann Georg Fuchs, leedigem Handelsmann aus der Kaÿßerlichen Freÿen Reichs Stadt Franckfurth am Maÿn gebürtig, Weÿl. Tit. Herrn Johann Valentin Fuchs, auch geweßenen Handelsmanns daselbst, mit auch Weÿland Tit. Frauen Annæ Mariæ gebohrner Neuburgerin, seiner geweßenen Frau Eheliebstin, beeder nunmehr seeligen, ehelich erzeugtem Sohn, ams deù herrn bräutigamb ane einem,
So dann Tit. Frauen Maria Magdalena Zissichin gebohrner Gullmännin, Weÿland Tit. Herrn Johann Georg Zißich, geweßenen hießigen burgers und handelsmanns nachgelaßenen Wittib, als der Frau hochzeiterin ane dem andern Theil – auf Donnerstag den 20. Februarÿ Anno 1766 [unterzeichnet] Johann Georg Fuchs als Hochzeiter, Maria Magdalena Zÿßichin, Als Hochzeiterin
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 32-v) n° 10)
In dem Jahr 1766 den 2. und 9. Martii (…) wurden auf besonderer Obrigkeitliche Dispensation unterm Ersten Martii zweÿmal ausgerufen in den Kirchen Zu St. Niclaus und St. Wilhelm und Mittwoch den 12. ejusdem in letztgenannter Kirche Zur Ehe eingesegnet Herr Johann Georg Fuchs, der ledige Handelsmann und burger allhier, weiland Herrn Johann Valentin Fuchs gewesenen Handelsmanns und burgers in Franckfort mit auch weiland fraun Anna Maria gebohrne Neuburgerin in franckfort ehelich erzeugter und nachgelaßener Sohn, und Frau Maria Magdalena gebohrne Gullmännin, weiland Herrn Johann Georg Ziesich gewesenen Handelsmanns und burgers allhier, auch dieser Kirche Zu St Wilhelm geweßenen wohlverdienten Herrn Pflegers nachgelaßene frau Wittwe, [unterzeichnet] Johann Georg Fuchs als Hochzeiter, maria magdalena Zissichin Als hochzeiterin (i 36)
La tribu du Miroir remet le 25 février 1766 une promesse d’admission à Jean Georges Fuchs qui a appris le métier à Strasbourg chez Matthias Goll de 1741 à 1745
1766, Protocole de la tribu du Miroir (XI 278)
(f° 223-v) Dienstags den 25. februarii 1766 – Vertröstung
Hr Johann Georg Fuchs, der ledige Handelsdiener und weil. H. Joh: Valentin Fuchs, des gewesenen Eisenhändlers zu Franckfurt am Maÿn, hinterlaßener ehl. Sohn, stehet vor und meldet, daß er die Handlung bei nun weil. H. Matthias Goll allhier gelernet habe, mit bitte, ihm Schein an E. E. grosen Raht zu ertheilen, daß man ihn nach gnädig. erlangtem burgerrecht dißorts leibzünfftig als Handelsmann annehmen wolle. Nach genommener Einsicht unsers Lehrjung: protocolli de Annis 1741 &1745. Erkannt, willfahrt.
Jean Georges Fuchs devient bourgeois le 30 avril
1766, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) f° 91
Joh: Georg Fuchs, der handelsmann von ffurt. gebürtig verheurathet mit fr. Maria Magdal. weÿl. Joh: Georg Zisig gewesenen handelsmanns u. burgers allhier hinterl. wittib ex speciali gratia gratis. Will dienen beÿ EE Zunfft zum Spiegel, Jur. eod. [30. april. 1766]
Jean Georges Fuchs devient tributaire au Miroir le 10 juin
1766, Protocole de la tribu du Miroir (XI 278)
(f° 228-v) Dienstags den 10. Junii 1766 – E. Leibzünfftiger
Hr Johann Georg Fuchs ist auf vorgewiesene Kanzlei und Stallschein vom 30. April jüngsthin gegen Erlag drei Pfund Zehen Schilling leibzünftig als Handelsmann angenommen worden, prom. obed. und declarirt, die Specereÿhandung führen Zu wollen, weßwegen er Vor gg. Hh. die XV. verwiesen word. (dt. 3 lb 10. ß, 17 ß Findl)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports où figure la maison de l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 1 148 florins, ceux de la femme à 8 086 florins.
1766 (16.4.), Me Euth (Jean, 6 E 41, 530) n° 219
Inventarium über Tit: Herrn Johann Georg Fuchs, Handelsmanns, und Tit: Frauen Mariæ Magdalenæ Fuchsin, gebohrner Gullmännin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1766. – der Ursachen beschrieben worden, alldieweilen beede Ehe Persohnen in der, Vor mir Notario den 20. Februarÿ dießes 1766.sten Jahrs auffgerichteten Heuraths: Verschreibung und dem darinn Vergriffenen Zweÿten paragrapho, solches expressé Stipulirt und abgeredet haben – Actum Straßburg in fernerer Gegenwart S. T. Herrn Johann Friderich Heupel, des Stiffts Waÿßenhaußes wohlverdienten Schaffners der Ehefrauen hierzu erbettenen H. assistenten, auf Mittwoch den 16. Aprilis 1766.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Wilhelmer: Gaß gelegene, der dießorts Ehefrauen eigenthümlich zuständigen behaußung befunden worden, wie folgt
(f° 11) Eigenthumb ane einer behausung. (F.) Nemblichen eine Behaußung, Höfflein, Hoffstatt und bronnen mit allen deroselben Gebäuden, Begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Fischer Staden gegen St: Wilhelms Kirch, einseit ist ein Eck ane der Wilhelmer Gaß, anderseit neben Johann Philipp Reumann dem Weisbecken, hinten auf Johann Eberhard Krentzler, den hohl dräher stoßend. Davon man jährl. dem Stifft Jungen St. Peter allhier 1 R. 5. ß 10 d ane ewigem Zinß, und der Statt Straßburg Pfenning Thurn, wegen eines Wetter: dächleins 1 R. 5 ß ane Allmend Zinnß Zu geben pflichtih, sonsten gegen männiglichen freÿ, ledig und eigen. Und ist dieße behaußung auf den Fuß, wie die diesortige Ehefrau, beÿ ihres erstern Eheherrn seel. Verlaßenschafft, Zwo tertzen daran Von Fr: Susanna Maria Knauerin gebohrner Zißichin, käuflich übernommen, dermahlen ohnpræjudicirlich anzuschlagen beliebet worden Vor 3900. R. Ane dießer behaußung hat die Ehefrau eine Tertz, Von ihrem erstern Eheherrn Weÿl. H. Johann Georg Zißich geweßenen Hießigen Handelsmann seel. als deßen per Testamentum Vom 26. Aug. 1758. eingesetzte Universal Erbin, ererbet. Die übrige Zween dritte theil aber, so obberührter Hr: Zißich, Von seiner längst Verstorbenen erstern fr. Eheliebstin Weÿl. Frauen Maria Magdalena Zißichin gebohrner Euthin, seel. Lebenslängl. Zu genießen hatte seind, Ihro Von Fr. Susanna Maria Knauerin geb. Zißichin, Weÿl. H. Johann Mathäi Knauer, geweßenen hießigen handelsmanns nachgelaßener Wittib, als Wÿdumbs: Erbin, nach inhalt einer Vor mir Notario den 29. Martÿ 1765. passirten Cession, Vor 2600. R. eigenthümlich überlaßen worden. Über vorbeschriebene behausung besagen 4. teutsche pergamentene Kaufbrief in allhießiger C. Contract Stub aufgerichtet, mit dero anhangenden Insieglen corroboriret de datis 30. Oct. 1668. 25. Jul. 1674. 9. Novemb. 1691 und 20 Oct. 1695. Ferner soll darüber melden, ein, in hießiger Contract Stub gefertigter Pergamentener Kaufbrief Vom 7. Nov. 1722. welcher sich aber beÿ gegenwärtiger Inventur nicht hervorgethan hat.
(f° 17) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn in die Ehe gebrachtes Vermögen, Silber und dergl. Geschmeid 121 R, Goldener Ring 60, Baarschafft 708, Schuld 126, Summa summarum 1016 R. Und wann die Ihme gebührige helffte ane denen haussteuren darzu addirt wird, antreffend 131 R, Des Eheherrn gesamt eingebracht Guth 1148 R.
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in den Ehestand gebrachte Nahrung beschrieben., Sa. haußraths 1229, Sa. Wein, brandenwein und leeren Faß 375, Schiff und geschirr zur handlung gehörig 62, Gewerbs Waaren 1066, Silber 220, Goldene Ring 470, baarschafft 462, Eigenthumb ane einer behaußung 3900, Schulden 368, Summa summarum 8154 R. – Schuld 200 R, Nach solchem abzug 7954 R. deme beÿzusetzen, die helffte ane denen hernach gemelten haussteuren, ertragend 131. R, der Ehefrau völlig in die Ehe gebrachte Nahrung 8086 R
Jean Georges Fuchs devient cotisant chez les Tonneliers
1767, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 225-v) Dienstags den 10. Februarÿ 1767. N. Geld zünfftiger
Herr Johann Georg Fuchs der Specierer producirt Schein von Er En Zunfft dem Spiegel, bittet Ihme als einen neuen Geldzünfftigen Anzunehmen.
Erkannt Willfahrt, Zahlt pro receptione 3 lb 15 ß, Prot. 3 ß, Findl. 6 ß
Leur fils et unique héritier Jean Georges Fuchs épouse en 1796 Marie Elisabeth Zabern, fille d’un charpentier en bateaux.
1796 (20 prairial 4), Strasbourg 3 (38), Me Übersaal n° 203
Eheberedung – erschienen der burger Johann Georg Fuchs lediger Handelsmann alhier, des weiland burgers Johann Georg Fuchs, auch gewesenen handelßmanns dahier mit der auch weiland burgerin Maria Magdalena gebohrner Gullmännin ehelich erzeugt und hinterlaßener großjähriger Sohn, als bräutigam an einem
Und Jungfrau Maria Elisabetha Zabern, des weiland burgers Johann Georg Zabern gewesenen Schiffzimmermanns alhier mit der burgerin Susanna Maria gebohrner Schwartz ehelich erzeugte tochter, beiständlich des burgers Johann Gottfried Bammes, hutmachers hieselbst, ihres Curatoris, als braut
So geschehen Zu Straßburg (…) den 20. Prairial Nachmittag in dem vierten Jahr der einer und unzertrennlichen Francen Republik [unterzeichnet] JG Fucgs als bräutigam, Maria Elisabeth Zabern als Braut
(enregistrement, revenu industriel 187
Enregistrement de Strasbourg, acp 40 F° 165-v du 22 pr. 4
Jean Georges Fuchs et Marie Elisabeth Zabern vendent le maison à Marguerite Madeleine Schwartz, veuve du fondeur d’étain Jean Jacques Isenheim
1801 (29 frimaire 10), Strasbourg 7 (36), Me Stoeber n° 2787, 1800
br. Johann Georg Fuchs der handelsmann und Maria Elisabetha geb. Zabern
b.in Margarethæ Magdalenæ Isenheim geb. Schwartz weÿl. bs. Johann Jacob Isenheim des Zinngiesers Wittib beÿständlich bs. Johannes Schönlaub handelsmanns
Eine behausung höflein und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden und rechten zu Straßburg am fischerstaden gegen der Wilhelmerkirch, einseit ist ein Eck an der Wilhelmergaß N° 1, 2. seit neben br. Joh. Wöhrlen beck am fischerstaden N° 92, hinten auf br. helzel treher, davon man vormahls dem Stift zum Jungen St Peter 3 fr 17 s 2/3 ane bodenzinß entrichtet – von seinen Eltern ererbt – um 10 000 francken
Enregistrement de Strasbourg, acp 83 F° 29 du 3 nivose 10
Fille de chaudronnier, Marguerite Madeleine Schwartz épouse Jean Jacques Isenheim en 1761 : contrat de mariage dans lequel le père du marié fait donation de sa maison à son fils, célébration
1761 (23.4.), Me Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 833) n° 146
(Eheberedung) persönlich erschienen der Ehren: und wohlvorachtbahre Herr Johann Jacob Ißenheim, der leedige Zinngießer, herrn Johann David Ißenheim, des Zinngießers und burgers dahier ehelicher Sohn, unter authorisation deßelben, alß hochzeiter ane einem,
Und die Viel Ehren und tugendsamen Jungfer Margaretha Magdalena Schwartzin, weil. H. Joh: Michael Schwartzen, des geweßenen Kupferschmids und burgers dahier nun seeligen nachgelaßene tochter, mit beÿhülff herrn Johann Baldners, des handelßmanns und burgers dahier, dero geordnet und geschworenen Vogts als hochzeiterin ane dem andern theil
Siebendens hat der hr. Johann David Ißenheim, der Zinngießer und burger alhier, der Jungfer hochzeiterin H. Schwähr und des Hn Hochzeiters Vatters hiemit liebriech erklährt, die in seine ohnveränderte und theilbahre Nahrung gehörige behaußung, höfflein, hintergebäu, bronnen und hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehördten, Recht: und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg am Untern fischmarck (…)
auf Donnerstag den 23.ten Aprilis 1761. [unterzeichnet] Johann Jacob Isenheim als Hochzeiter, Margaretha Magdalena Schwartzin Als hochzeiterin
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 233-v, n° 17)
Anno 1761. d. 20. Maj. Seind in der Kirche Zu St. Wilhelm nach zweÿmahliger ausruffung So dominiciis Pentecostes et Trinitatis geschehen Zur Ehe eingesegnet Worden, Johann Jacob Isenheim, lediger Zinn Gießer und burger allhie, herrn Johann David Isenheim, Zinngießers u. burgers allhier und weÿl. Mariæ Salome Kammererin, ehl. Rechter Sohn, Jungfr. Margaretha Magdalens, Weÿl. Johann Michael Schwartzen, geweßenen Kupferschmidts u. burgers allhie u. Anna Margaretha Soderin nachgelaßene ehl. Tochtern [unterzeichnet] Johann Jacob Isenheim Als breidigam, Margaretha Magdalena Schwartzin als hocheiterin (i 240)
Marie Elisabeth Zabern meurt en août 1810 dans la maison vendue à Madeleine Schwartz en délaissant trois enfants
1811 (9.2.), Strasbourg 12 (36), Me Wengler n° 5523
Inventaire de la succession de Marie Elisabeth Zabern, épouse de Jean Georges Fuchs marchand épicier, décédée le 15 août 1810 – à la requête du veuf, tuteur naturel de Marguerite Elisabeth 13 ans, Caroline 10 ans, Charles Théodor 3 ans 5 mois – en présence de Jean Jacques Meyer épinglier subrogé tuteur
dans la maison mortuaire quai des Pêcheurs n° 92
Contrat de mariage reçu Me Übersaal le 20 prairial 4 (joint)
masse active 5912 fr, passif 5095 fr, reste 817 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 116 f° 112-v du 12.2.
Madeleine Schwartz rédige un testament par lequel elle lègue la maison aux enfants de Jean Georges Fuchs et d’Elisabeth Zabern
1811 (5.10.), Strasbourg 4 (39), Me Stoeber n° 1355
Testament – Madeleine née Schwartz veuve de Jean Jacques Isenheim potier d’étain
1. aux enfants de Jean Georges Fuchs procréés du mariage avec Elisabeth née Zabern deviennent conjointement et à portions égales les propriétaires
d’une maison moi appartenant sise en cette ville fauxbourg de la Krautenau quai des pêcheurs n° 92 faisant le coin de la rue St Guillaume, d’un côté le Sr Wehrlen boulanger, d’autre le Sr Hoeltzel tourneur, aboutissant sur les mêmes
Enregistrement de Strasbourg, F° 57 du 2.10.
Marguerite Madeleine Schwartz meurt en octobre 1811. Elle est propriétaire de la maison mortuaire et d’une autre au Vieux-Marché-aux-Poissons
1812 (8.2.), Strasbourg 12 (42), Me Wengler n° 6417
Inventaire de la succession de Marguerite Madeleine Schwartz, veuve de Jean Jacques Isenheim potier d’étain, décédée le 13 octobre 1811 – à la requête de Susanne Marie Schwartz veuve de Jean Georges Zabern charpentier en bateaux, seul et unique héritière ab intestat de sa sœur
dans la maison mortuaire quai des pêcheurs n° 92
meubles, créances
Immeuble. Une maison à rez de chaussée et deux étages, cour et tréfonds sise à Strasbourg quai des pêcheurs n° 92 avec toutes ses autres appartenances, droits et dépendances, d’un côté le Sr Wehrlen boulanger, d’autre le Sr Hoeltzel tourneur, derrière le Sr Holetzel – grevée envers la Fondation de St Pierre le Jeune d’une rente foncière de 3,17 fr et 2/3 – rapportant en loyer le rez de chaussée occupé par le Sr Leroi 200 francs, le premier étage par le Sr Fischer ci devant négociant 100 fr, le second étage par le Sr Collasse capitaine d’habillement 100 fr, ensemble 400 fr de revenu, en capital 8000 francs – acquis de Jean Georges Fuchs, négociant, et de Marie Elisabeth Zabern suivant acte reçu Me Stoeber le 29 frimaire 10 transcrit au bureau des hypothèques volume 5 n° 132, laquelle maison léguée aux trois enfants desdits conjoints Fuchs par acte de dernière volonté reçu Me Stoeber fils le 5 octobre 1811
plus une petite maison étroite à rez de chaussée et trois étages avec toutes ses autres appartenances et dépendances, droits actifs et passifs sise à Strasbourg au marché aux poissons n° 119, d’un côté la veuve Krauss, d’autre la veuve Redslob, derrière le Sr Picard négociant – rapporte en loyer le rez de chaussée et premier étage occupés par les conjoints Bergmann ci néant attendu que la défunt leur a fait donation de l’usufruit et jouissance viager gratuit dudit logement en leur contrat de mariage reçu Me Zimmer le 3 vendémiaire 9, le second étage par l’héritière 18 fr et le troisième par ledit Sr Bergmann 15 fr, faisant 33 fr de revenu en capital 660 fr – avenue dans la succession de Jean Jacques Isenheim, potier d’étain, dont elle était seule et unique héritière, suivant testament mystique du 21 novembre 1782 déposé en l’étude de Me Lobstein le même jour, ouvert par Me Stoeber le 19 floréal 5, Sr Isenheim a hérité la maison de Jean David Isenheim son père potier d’étain, lequel dernier en a fait acquision d’Anne Catherine Ehewaldt veuve de Jean Philippe Heckmann marchand de tabac, par acte passé à la Chambre des Contrats le 10 octobre 1732
terres à Brumath et Rottelsheim 40 ares, corps de biens de 1 ha 26 a 66 à Brumath, corps de biens à Brumath 1 ha 20, plus 1 ha 70 à Fessenheim, 35 ares et 40 ares à Oberhausbergen, total 85 050 fr, passif 20 905 fr
Marie Elisabeth Fuchs épouse en 1815 le commis négociant David Grœtzinger
1815 (21.9.) Strasbourg 12 (61), Me Wengler n° 9176
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – David Groetzinger commis négociant fils majeur de Jean Henri Groetzinger, tripier, et d’Anne Marie Keiser
Marie Elisabeth Fuchs, fille mineure de Jean Georges Fuchs, négociant, et feue Marie Elisabeth Zabern
(joints extraits de naissance de Marie Elisabeth Fuchs le 25 messidor 5, de David Frédéric Groetzinger le 3 février 1793)
enreg. f° 171 du 26.9.
Le tiers de la maison figure à l’inventaire de leurs apports
1817 (14.4.), Strasbourg 12 (67), Me Wengler n° 10 137
Inventaire des apports de David Frédéric Groetzinger, commis négociant et de Marguerite Elisabeth Fuchs, suivant contrat de mariage reçu par le notaire soussigné le 21 septembre 1815
le mari 1736 fr
la femme 1848 francs
le tiers par indivis d’une maison & dépendances sise en cette ville quai des Pêcheurs n° 92, d’un côté le Sr Wehrlen boulanger et le Sr Hetzel tourneur – laquelle maison lui a été léguée pour un tiers et à sa sœur et à son frère pour les deux autres tiers par Marguerite Salomé Schwartz veuve de Jean Jacques Isenheim par testament reçu Me Stoeber le 5 octobre 1811, estimée 3000 fr
total 4848 fr, passif 100 fr, reste 4748 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 133 f° 150 du 16.4.
Caroline Fuchs épouse en 1826 le ferblantier Michel Théodore Hoff en apportant en mariage un tiers de la maison
1826 (13.1.), Strasbourg 12 (98), Me Wengler n° 14 110
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Michel Théodore Hoff, ferblantier, fils de feu Jean Jacques Hoff, marchand de futaine, et de Marie Madeleine Rothhans
Caroline Fuchs fille majeure de Jean Georges Fuchs, négociant, et de feu Marie Elisabeth Zabern
[Joint] Inventaire et état estimatif de tous les biens apportée en mariage par Caroline Fuchs, savoir 1. Immeubles, le tiers d’une maison & dépendances sise à Strasbourg quai des Pêcheurs n° 92 entre Frédéric Wehrlen boulanger et Sr Jacques Hetzel tourneur, laquelle maison a été léguée à ladite Dlle Fuchs pour un tiers et à sa sœur et à son frère pour deux autres tiers par feu Marguerite Madeleine Schwartz veuve de Jean Jacques Isenheim potier d’étain par testament public reçu Me Stoeber le 5 octobre 1811, estimée 5000 fr
art. 5, le tiers d’une maison sise à Strasbourg rue St Guillaume n° 1 constaté par l’état annexé
Enregistrement de Strasbourg, acp 176 F° 140 du 19.1.
Les trois enfants Fuchs vendent la maison par enchère au tailleur Aloyse Charles Singer
1829 (14.3.), Strasbourg 12 (110), Me Noetinger n° 1185
Adjudication définitive – adjudication préparatoire du 19 février n° 1132, cahier des charges n° 1093 du 28 janvier – 1. Marguerite Elisabeth Fuchs épouse de David Frédéric Groetzinger, commis négociant, 2. Caroline Fuchs épouse de Michel Théodore Hoff, ferblantier, 3. Charles Théodore Fuchs, majeur étudiant en théologie
à Aloyse Charles Singer, maître tailleur au deuxième régiment d’artillerie à pied en garnison à Strasbourg
Désignation de l’immeuble, une maison à cour et deux étages, cour appartenances et dépendances sise à Strasbourg quai des Pêcheurs n° 92 d’un côté Frédéric Wehrlé boulanger, d’autre le Sr Hoeltzel tourneur, derrière les Sr Hoeltzel et Wehrlé. Origine de la propriété, léguée par Marguerite Madeleine Schwartz veuve de Jean Jacques Isenheim, pat testament public reçu Me Stoeber le 5 octobre 1811, veuve Issenheim acquis de Jean Georges Fuchs, négociant, et de Marie Elisabeth Zabern par acte de vente passé devant Me Stoeber le 29 frimaire 10 transcrit au bureau des hypothèques volume 5 n°132 – mise à prix 11 000 francs – adjugée 14 050 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 193 f° 193 du 23.3.
Le propriétaire loue une cave au marchand de vins Louis Schattenmann
1830 (24.5.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 60 F° 27 ssp du 20 courant
Bail pour une année à dater de ce jour – Singer mre tailleur demeurant à Strasbourg
à Louis Schattenmann, marchand de vin
la localité de la partie de la cave donnant sur le devant dans sa maison quai des Pêcheurs n° 92 lequel local est séparé par des lattes et planches des caves des autres locataires, moyennant un loyer de 15 francs par trimestre
Aloise Jacques Singer et Barbe Bur vendent la maison au marchand de vins André Eberlen et à Marguerite Frédérique Lix
1831 (7.10.), Strasbourg, Me F. Grimmer (minutes en déficit) – Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 249, n° 25 du 21.10.
Aloise Jacques Singer, tailleur d’habits, et Barbe Bur
à André Eberlen, marchand de vin, et Marguerite Frédérique Lix
une maison à rez de chaussée et deux étages, cour, appartenances et dépendances sise à Strasbourg quai des Pêcheurs n° 92, d’un côté Frédéric Wehrlé boulanger, d’autre le Sr Hoeltzel tourneur, derrière les Sr Hoeltzel et Wehrlé, avec notamment la propriété des lieux d’aisances qui sont pratiqués dans la maison dudit Sr Hoeltzel et qui constitue une servitude active au profit de la maison ci dessus vendue – acquis de Marguerite Elisabeth Fuchs épouse de David Frédéric Groetzinger, commis négociant, Caroline Fuchs épouse de Michel Théodore Hoff, ferblantier et Charles Théodore Fuchs, étudiant en théologie, suivant adjudication définitive reçue Me Noetinger le 14 mars 1829 transcrit au bureau des hypothèques volume 221 n° 107, laquelle maison a été léguée aux conjoints Fuchs par Marguerite Madeleine Schwartz veuve de Jean Jacques Isenheim, potier d’étain, suivant testament reçu Me Stoeber le 15 octobre 1811 enreg. 22 du même mois, la veuve Isenheim l’avait acquis de Jean Georges Fuchs, négociant, et Elisabeth Zabern par acte passé devant Me Stoeber le 22 frimaire 10 – 15 000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 206 F° 6 du 13.10.
Fils de boulanger, André Eberlen épouse en 1826 Marguerite Frédérique Lix, fille de tailleur
1826 (12.1.), Strasbourg, Me F. Grimmer (minutes en déficit)
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – André Eberlen, cafetier à Strasbourg, fils de Jacques Frédéric Eberlen, boulanger, et de Marie Madeleine Altmann
Marguerite Frédérique Lix, fille majeure de Jean Jacques Lix, tailleur d’habits, et de feu Marie Salomé Haas assitée de son père et Marie Elisabeth Koels sa femme en secondes noces
Enregistrement de Strasbourg, acp 176 F° 137-v du 18.1.
André Eberlen et Marguerite Frédérique Lix vendent la maison au marchand de vins Laurent Reyss et à Louise Falck
1846 (2 mai), Strasbourg 10 (106), Me Zimmer n° 6141
Ont comparu M. André Eberlen, ancien marchand de vins, et Dame Marguerite Frédérique Lix, son épouse qu’il autorise, demeurant et domiciliés à Strasbourg (avoir vendu)
au Sieur Laurent Reyss, marchand de vins et à Dame Louise Falck épouse de ce dernier dûment assistée et autorisée, demeurant et domiciliés tous deux à Strasbourg
Une maison avec cour, aisances et dépendances, sise à Strasbourg, quai des Pêcheurs n° 92, entre les vendeurs d’une part et le sieur Heltzel d’autre part, donnant par derrière sur ledit sieur heltzel et les vendeurs, et par devant sur le quai.
Etablissement de la propriété. Les conjoints Eberlen sont devenus propriétaires de cet immeuble pour en avoir fait l’acquisition sur Aloyse Jacques Singer, tailleur d’habits et Dame Barbe Bur, conjoints à Strasbourg, moyennant le prix de 15 000 francs ainsi qu’il résulte d’un acte de vente reçu Me Grimmer notaire à Strasbourg le 7 octobre 1831 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 21 du même mois volume 249 numéro 25. (…) Les époux Singer étaient devenus propriétaires du dit immeuble pour l’avoir acquis de De Marguerite Elisabeth Fuchs épouse du sieur David Friedrich Groetzinger, commis négociant, de Caroline Fuchs épouse du sieur Michel Théodore Hoff, ferblantier, et Charles Théodore Fuchs étudiant en théologie, tous de Strasbourg suivant procès verbal d’adjudication définitive dressé par Me Noetinger notaire à Strasbourg le 14 mars 1829. L’immeuble susdésigné a été légué auxdits consors Fuchs par De Marguerite Madeleine Schwartz, veuve de Jean Jacques Isenheim, vivant potier d’étain à Strasbourg, suivant testament public reçu de Me Stoeber aîné, ancien notaire en ladite ville le 15 octobre 1811. La veuve Isenheim l’avait acquis ladite maison de feu le sieur Jean Georges Fuchs, négociant, et De Elisabeth Zabern, vivants sujet à Strasbourg suivant contrat de vente reçu du dit Me Stoeber le 22 frimaire an 10 – Cette vente est faite moyennant la somme de 27 000 francs
Natif de Scharrachbergheim Laurent Reyss, épouse en 1846 Louise Falck de Westhoffen
1846 (4.2.), Strasbourg 10 (106), Me Zimmer n° 6063
Contrat de mariage – Le sieur Laurent Reyss marchand de vins demeurant et domicilié à Strasbourg, fils légitime de feu Frédéric Reyss et de feu Dame Catherine Dievold, sa veuve, demeurant à Scharrachbergheim
Dlle Louise Falck, fille majeure, sans état, demeurant et domiciliée à Strasbourg, fille légitime de feu Jacques Falck, tourneur, et de Louise Hummel, son épouses, décédés tous deux à Westhoffen
Laurent Reyss et Louise Falck hypothèquent la maison au profit de l’archiviste Louis Spach
1853 (23.3.), Strasbourg 10 (124), Me Zimmer n° 9983
Obligation – Ont comparu Mr Laurent Reyss, ancien marchand de vins, et Dame Louise Falck son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg (devoir)
à Mr Louis Spach, archiviste de la Préfecture du Bas Rhin, Chevalier de la Légion d’Honneur, demeurant et domicilié à Strasbourg, la somme principale de 4000 francs
hypothèquent, une maison avec cour, aisances et dépendances, sise à Strasbourg et formant le coin du quai des Pêcheurs et de la rue St Guillaume où elle porte le n° 1, d’un côté M. Eberlen, de l’autre le sieur Hetzel par derrière les mêmes. Cet immeuble a été acquis par les conjoints Reyss de M. André Eberlen, ancien marchand de vins, et Dame Marguerite Frédérique Lix, conjoints à Strasbourg, aux termes d’un contrat de vente reçu par Me Zimmer soussigné le 2 mai 1846, transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 7 du même mois volume 449 n& 100. Cette acquisition a eu lieu moyennant la somme de 27 000 francs dont 7000 ont été payés des propres deniers des acquéreurs (…)
Laurent Reyss et Louise Falck hypothèquent la maison au profit de l’employé Jean Frédéric Fromm
1853 (31.10.), Strasbourg 10 (125), Me Zimmer
Obligation – Ont comparu Mr Laurent Reyss, ancien marchand de vins, et Dame Louise Falck son qu’il autorise à l’effet des présentes, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg (devoir)
à Mr Jean Frédéric Fromm, employé au bureau de bienfisance de Strasbourg, la somme principale de 1600 francs
hypothèque, une maison avec cour, aisances et dépendances, sise à Strasbourg et formant le coin du quai des pêcheurs et de la rue St Guillaume ou elle porte le n° 1, d’un côté Me Eberlin, de l’autre M. Heltzel d’autre part, par derrière sur les mêmes. Cet immeuble a été acquis par mes conjoints Reyss de Mr André Eberlen, ancien marchand de vins, et dame Marguerite Frédérique Lix, conjoints à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente reçu par Me Zimmer soussigné le 2 mai 1846, transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 7 du même mois volume 449 N° 100
(…) que ledit immeuble n’est grevé d’aucune dette, rente, privilège ni hypothèque à l’exception 1° de la somme de 15 000 francs due aux conjoints Eberlen, 2) d’une somme de 4000 francs due à Mr Louis Spach archiviste de la Profit du Bas Rhin en vertu d’une obligation reçue par Me Zimmer soussigné le 23 mars dernier
Bâtiment rue Saint-Guillaume
La maison porte de 1784 à 1857 le n° 1 de la rue Saint-Guillaume alors que la maison donnant sur le quai porte le 92 du quai des Pêcheurs. Les deux bâtiments portent ensuite un seul numéro, le 1, rue Saint-Guillaume
La maison appartient en 1645 aux héritiers du maçon Sébastien Goldbach qui épouse en 1596 Jacqueline Hirschmann, fille de revendeur et se remarie en 1610 avec Chrétienne Weinmann, fille d’un charpentier en bateaux
Mariage, cathédrale (luth. p. 9)
1596. dm 22. Trinitatis. Sebastianus Goldtbach der maurer, Jacobe david Hirschman deß Grempen nachgelaßene tochter (i 7)
Mariage, cathédrale (luth. p. 250)
1610. dm 18 Trinitatis. Sebastianus Goldtbach der maurer, vnd Christina, diebold Weinman* des schöff zimmermann nachgelaßene tochter (i 128)
Ses trois héritiers vendent une maison ruelle de la Bière en 1645 : Sébastien est caporal au régiment du capitaine Haas, Chrétienne est mariée à Jacques Stœr, Jean Michel qui est maçon fait son compagnonnage en Suède. Tous trois sont issus du deuxième mariage de Sébastien Golbach, Sébastien est né en 1614, Chrétienne en 1617 et Jean Michel en 1624 (registres du Temple Neuf)
1645 (20. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 494 n° 371-v
(Prot. fol. 166.) Erschienen Sebastian Goldbach Corporal und. H. Capitain hasen alhie für sich selbst. Jacob Stör alß Ehevogt Christinæ Goltbachin, und hannß Caspar Vesch d. Kachler alß noch ohnentledigter Vogt hannß Michael Goldbach deß Maurers so anietzo in Schwed. vff d. wanderschafft ist, alle treÿ weÿl. H Sebastian Goldbachß groß. Rhath Verwanthens seel. Kind. und Erben
haben in gegensein Christoph Goldbachß deß Käufflers
Eine Behaußung mit allen deren Gebäwe, alhie beÿm Bruderhoff im Biergäßlein neben weÿl. hannß Zittelin deß Käufflers seel. Erben ein. und anderseit neben weÿl. (-) hirten zu Niderhaußberg. seel. Erben. hind. vff H (-) Badern Fleckhensteiniß. Amptmann stoßend gelegen, davon gehnd iahrs 1 ß 6 s vff Mathæi Evangelistæ bodenzinß dem Bruderhoff – umb 230 Pfund
Le boutonnier Jacques Stœr épouse Chrétienne Goldbach en septembre 1636
Mariage, cathédrale (luth. p. 382)
1636. Dona. 14. Trin: 18 7.bris. Jacob Stör der Knöpfmacher Jacob Stör des pasment macher e. sohn, v. J. Christina H. Bascha [Goldbach] alten grosen Rath verwanthen e. tochter, eingesegnet montag 26. 7.bris (i 196, ° TN 1617)
Chrétienne Goldbach vend en novembre 1636 à l’apprêteur de chapeaux Jean Balthasar Spiess son tiers indivis de la maison dont les deux autres tiers appartiennent à ses deux frères Michel et Sébastien
1636 (ut spâ. [7. Novemb.]), Chambre des Contrats, vol. 475 f° 894
Erschienen Christina Goldbächin, mit beÿstand Jacob Stören deß Knöpfmachers bürgers alhie ihres haußwürths hanß hänleins, deß Leinenwebers ihres noch ohnentledigten vogts und hieronimi Kornhauffen deß Kürschners
hatt in gegensein hanß Balthasar Spieß. huetstaffierers (verkaufft)
Einen dritentheil ihro für ungetheilt gebürend An hauß und hoffstat, auch allen and.en ihren gebäwen & alhie in Krautenaw geg. S. Wilhelm Kürchen vber, neben Jacob Koppen deß Scherers see. wittib und Erben & neben Jacob Grubers Erben, hind. vff ernts. Scherers see. wittib und Erben, daran die vberige zwen dritetheil ihr Verkäufferin Zweÿen brüdern hanß Michel und Bastian Goldbachen Zustendig Und were dieser Kauff für freÿ ledig eigen gescheh. p. 50. lb
Le maçon Jean Michel Goldbach assisté de son ancien tuteur le potier Jean Gaspard Vess vend son tiers indivis de la maison à son frère Sébastien Goldbach, sergent-major du capitaine Rüpffel
1648 (28. Sept.), Chambre des Contrats, vol. 501 f° 541
Erschienen Hannß Michael Goldbach der Maurer mit beÿstand Hannß Caspar Vesen deß Kachlers seines geweßenen Vnd nunmehr entledigten Vogts
hatt in gegensein H Sebastian Goldbachß Wachtmeÿsters Vnd H. Capitain Leütenant Rüpffel alhie seines eheleiblich. Bruders mit beÿstand Hannß Heinrich Vollmars deß Küeffers allhier
Einen tritten theil ihme für ohnvertheilt gebührend ahne einer Behaußung vnd Hoffstatt mit allen deren Gebäwen alhie in der Krautenaw in der Willhelmer gaß. neben Andreß Von Zabern Schiff Zimmermann ein: und anderseit neben weÿl. Georg Koppen deß Barbierers seel. Erben vnd hinden Vff gemelte Koppische Erben stoßend gelegen, daran ein tritter theil Ihme dem Käuffern zu Vor Vnd der übrige tritte theil weÿl. hannß Balthasar Spießen deß huetstaffierers seel. Erben Zuständig – umb 25. lb
Fils du maçon Sébastien Goldbach, assesseur au Grand Sénat, le sergent-major Sébastien Goldbach épouse en 1647 Catherine Exter, fille du maître queux au service du prince de Deux-Ponts
Mariage, cathédrale (luth. p. 505)
1647. In Festo Paschatis. Sebastian Goldbach der Wachtmeister allhie, H. Sebastian Goldbach, geweßenen Maurers auch E. E. Großen Raths alter Beÿsitzers ehelicher Sohn V. J. Catharina, Herrn Philipp Exters geweßenen fürstlichen Pfaltz Zweÿ Brückischen Kuchenmeisters nachgelaßene eheliche Tochter. Im Münster, Dienst. 27. Apr. (i 257)
Fils de Sébastien Goldbach alors lieutenant de compagnie à Kehl, le receveur de familles nobles Sébastien Goldbach épouse en 1674 Anne Marguerite Kamm, fille de Jean Jacques Kamm, procureur au Petit Sénat. Les deux tiers de la maison lui reviennent par héritage
Mariage, cathédrale (luth. f° 178, n° 22) 1674. Zum 2. mahl, Hr. Sebastian Goldbach adelicher Schaffner, Hr. Sebastian Goldbachs, Leutenants bei der Compagnie Zu Kaÿl ehel: Sohn, Jfr. Anna Margaretha, Weiland hr Johann Jacob Kammen gewesenen Procuratoris bei EE Kleinen Rath nachgelaßene ehel. T. Donnerstag, den 14.ten Maji, Münster (i 180, ° TN 1653)
Sébastien Goldbach le jeune devient tributaire chez les Maçons en 1674 en reprenant la place de son père
1674, Protocole de la tribu des Maçons (XI 230)
(f° 133-v) Montags den 11.ten Maÿ Anno 1674
H. Sebastian Goldbach der Jünger producirt Stall Zedul sub dato den 4.ten Maÿ Anno 1674 vndt will beÿ dießer Zunfft Zünfftig werden, Zahlt wegen seines Vatters recht 5 ß. d.
Erkand, willfahrt, vndt ist Zum Zünfftigen angenommen worden
Jean Charles Spiess vend un tiers indivis de la maison (voir la vente passée en 1636) au receveur Sébastien Goldbach qui devient ainsi propriétaire de la totalité
1689 (23. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 633-v
Johann Carl Spieß der Ammeister knecht
in gegensein H. Sebastian Goldbachs adelich. Schaffners
Einen dritten theÿl für unvertheilt an einer behaußung und hoffstatt, mit allen deren Gebäuen Recht. und zugehörden allhier in der Vorstatt Krautenau in der Wilhelmer Gaß, einseit neben weÿl. Christoph Goldbachs deß Specirierers sel. hind. Erb. anderseit neben Friderich Wolffen dem Kornwerffer, hind. auff ged. Goldbachische Erben stoßend gelegen – Zumahlen die übrige Zwo tertz Ihme Kaüffern zu vorhin gehörig seÿe – umb 37 pfund
Anne Marguerite Kamm vend la maison 150 livres au marchand épicier Jean Evrard Euth, locataire de la maison d’angle qui appartient aux héritiers de Christophe Goldbach (et qu’il acquerra, voir la première partie)
1691 (6.2.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 96-v
Anna Margaretha gebohrne Kammin, weÿl. H. Sebastian Goldbachs gewesenen Adelichen Schaffners sel. hind.laßene Wittib mit beÿstand Hn Leopold Männicken deß Fastenspeishändlers ihres Vogts
in gegensein Hn Johann Eberhard Euth, deß Specereÿ händlers
Eine behaußung und hoffstatt mit allen deren gebäuen, Rechten und Zugehördten allhier in der Vorstatt Krautenau in der Wilhelmergaß, einseit neben weil. H. Christoph Goldbachs gewesenen Specirers sel. Erben bewohnt d. Kaüffer selbst, and. seit neben H. Friderich wolffen dem Kornwerffer, hind. auff ged. Goldbachische Erben, stoßend gelegen – umb 150 pfund
Anne Marguerite Kamm se remarie en 1691 avec le receveur de famille nobles Christophe Bach. Le mariage est célébré à domicile
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 28-v, n° 174)
1691. Mittw. d. 28. 9.br sindt im Hauß eingesegnet worden, H. Christoph Bach, der Scribent v. adelicher Schaffner mit fr. Anna Margaretha gebohrner Kammin, weil. Hn Sebastian Goldbachs auch gewes. Adel. Schaffners Wittwe [unterzeichnet] Christoph Bach als Hochzeiter, anna Margaretha alls hoh Zeiterin (i 29)
Fils du pasteur de Bretzingen dans le margraviat de Bade, Christophe Bach devient bourgeois par sa femme le 12 décembre 1691 et s’inscrit à la tribu des Maçons
1691, 4° Livre de bourgeoisie f° 605
H. Christoph Bach, Adel. schaffner Von Bretzingen in der Margraffschafft baden durlach gelegen, gebürtig, H. Ernst Ludwig bachen des Pfarrers daselbst Ehel: Sohn, empfangt das burgerrecht Von Anna Margaretha gebohrner Kammin, weÿl. H. Sebastian Goldbachs hinterl. wittib, seiner jetzmahlig. haußfr. p. 2. gold R. 16 ß so er bereit beÿ der Cantzleÿ erlegt, war Zu vor ledigen standten Vnd wird Zu E. E. Zunfft der Maurer dienen. Jur. d. 12. Xbris 1691.
Christophe Bach s’inscrit à la tribu des Maçons le 17 janvier 1692
1692, Protocole de la tribu des Maçons (XI 232)
(f° 223) Donnerst. 17.ten januarÿ 1692 – New Zünfftiger
H. Christoph Bach adel. Schaffner von Bretzing. durlach. jurisdiction, so an Fr. Annam Margaretham weÿl. H. Sebastian Goldtbachs seel. hinterlaßene Wittib Vheürathet ist auff producirte gewohnl. documenta und erlegte Zunfftgebühr, alß mit 2. R auff den Pfthurn und 9 ß E. E. Zunft deren Zschrbrn et büttel 4 ß Zu kombt, Zu einem Mit Zünfftigen angenommen worden.
La veuve de Christophe Bach conteste devant les Quinze l’amende dont les préposés de la Taille ont chargé la succession pour paiement insuffisant de la Taille. La commission estime que les arguments avancés par la requérante sont faibles et que s’il est exact que la communauté n’a pas fait de bénéfice, une partie de la fortune de son premier mari doit avoir été dissimulée lors de l’inventaire. La commission propose non seulement de maintenir la décision du bureau de la Taille mais d’infliger une nouvelle amende pour dissimulation. Les Quinze ratifient la proposition. Le notaire Grünwald, tuteur de la veuve, sollicite une réduction de l’amende après avoir versé 25 livres. Les Quinze décident que la veuve devra encore verser 15 livres.
1696, Protocole des Quinze (2 R 100)
H. Christoph Bachen W. pt° mulctæ
(f° 60) Sambstags den 24. Martÿ. pt° Mulctæ
(-) Noîe Frauen Anna Margaretha, Weÿl. Hn Christoph Bachen, adel. Schaffners hinderlaßen Wittib Vogt, ersch. Hr Notarius Johann Jacob Grünwald, per Künast, prod. Undth. Supplication Und Bitten, Erk. Vor Obern Stall Herren gewießen.
(f° 68) Mittw. den 30. Martÿ – Stall Ca. Christoph Bachen
Obere Stall Herren laßen per me proponiren, daß nach absterben H. Christoph Bachen, geweßenen Adel. Schaffners, deßen Verlaßenschafft inventirt worden weÿe, so inn 1900. R. bestehe, Hingegen habe er allein 1100 R. verstallt, also Zu Wenig 800. R. Wie gegenwärtiger Stallbericht, so abgeleßen worden, Außweiße, deßegen die herren dreÿ daselbsten die geschafft herauff gewießen, ehe mann aber davor geredt, seÿe die Wittib mit einem Memorial eingekommen, darinnen sie berichtet, daß sie mit gutem gewißen behaupten Könne, daß sie nicht anderst gewußt, als daß ihr Mann eben das Stallgeld, v. ihr erster Mann bezahlt, abgerichtet habe, 2. sie nicht Wißen auß weßen geheiß was abgeschrieben worden, 3. inn der letztern Ehe sich kein gewinn Finden werde, 4. viel starcke posten jnn dem Inventario stehen, so dubios seÿen, 5. Zu besagen seÿe, daß noch mehr passiva sich herfür thun würden, 6. sie an dem Fehler Unschuldig, und Kein Vorsatz dabeÿ geweßen seÿe, mit bitt es beÿ dem nachtrag gn. Zulaßen,
Allein Finde mann dieße rationes Zimlich schwach, sonderlich dieße, daß jnn der 2.ten Ehe Nichts gewonnen werden seÿe, daraus mann schließen Könne, daß beÿ der ersten Inventation ein Und Anders müße Verschwiegen worden seÿn, deßwegen mann mit Mghh. ratification dafür halte, daß neben dem Nachtrag, so sambt Zweÿ Stall geldern und Uncosten sich auff 23. lb. 19 ß 2 d belaufft, d. Wittib ein Straff Von 50. lb. d. angestzt werden Könte. Erk. Beliebt.
(f° 82) Freÿt. den 7. Aprilis. H. Christoph Bachen W. pt° mulctæ
Weÿl. Hn Christoph Bachen Adel. Schaffners hinderlaßene Wittib Vogt, per Künast, Vom 31. Marttÿ jüngst deponirten pt° Wenig Verstallens angesetzter Straff 25. lb, mit Undth. bitt, Weilen seinen p.lin eine betrübte, und dürfftige Wittib ist, ihro umb der jnn dem iüngst producirten Memorial enthaltenen Motiven das residuum in gn. nachzulaßen. Erk. Vor Obern Stall Hh. gewieß.
(f° 90-v) Donnerst. den 13. Aprilis. H. Christoph Bachen W. pt° mulctæ
Obere Stall Herren laßen per me reassumiren d, was supra fol. (-) jnn sachen Weÿ. H. Christoph Bachen Wittib pt° mulctæ Wegen Zu wenig Verstallens erkandt worden, und anbeÿ berichten, daß dero Vogt H. Notarius Grünwald seith dem jnn ihrem Nahmen eingekommen, 25. lb d auff abschlag erlegt, und umb Nachlaß des residui gebetten, Anbeÿ ihren betrübten Wittwenstand allegirt, welche mann Zwar stehen damahlen Nicht sonderlich erheblich gefunden, jedoch, weilen mann biß dato Nicht de rigore Verfahren, so stündte Zu Mghh. Ob ihro Noch 10. lb od. 5. lb abgefordert, Und d. übrige nachgelaßen werden solte ? Soll noch 15. lb erlegen und d. übrige als dann nachgelaßen seÿn.
Anne Marguerite Kamm meurt en février 1716 en délaissant cinq enfants ou leurs représentants : les deux fils de son fils aîné notaire, les deux enfants de sa fille mariée à Jean Paul Murrihardt au service du comte de Lœwenstein, l’orfèvre Jean Frédéric en voyage de compagnon, Marie Salomé et le domestique Georges Daniel absent. L’actif de la succession s’élève à 103 livres, le passif à 134 livres
1716 (21.3.), Me Lobstein (Jean, 31 Not 1) n° 22 [numéro dans la partie abîmée par l’humidité]
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab Nahrung und Güthere, so weÿland die Viel Ehr und Tugendsame Frau Anna Margaretha Bachin gebohrne Kammin, auch Weÿl. des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Christoph Bachen, geweßenen hoch Adelischen Schaffners und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. hinterbliebene frau Wittib nun auch seel. nachdeme dieselbe Montag den 2.ten Februarÿ dieses 1716.ten jahrs seel. Verschieden, nach solch ihrem tödlichen Hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren d. abgeleibten Frauen so mit herrn Sebastian Goldbach auch weÿl. dem Wohl Ehrenvest und Großachtbahren ebenmäßig hochadelichem Schaffner und burgern allhier ihrem Verstorbenen haußwürth in erster Ehe auch seel. ehelich erziehlten Söhn Töchter und Enckel, als dere ab intestato Verlaßener beneficial Erben – So beschehen in fernerem beÿsein des Wohl Ehrenvest , Großachtlich und Wohlweißen auch Ehren und Wohlvorgeachten H. Johann Philipp Kammen des Mittlern und E. E. Großen Raths alten beÿsitzers der abgeleibt. frauen seel. eheleiblich. bruders und herrn Johann Philipp Lobstein, des Paßmentirers d. in Gott seel entschlaffenen frauen geweßenen Vogts, in d. Königlich. freÿen Statt Straßburg auff Sambstag d. 21. Martÿ Anno 1716.
Die Abge[leibte hat zu ihren rechtsmäßigen] Erben Verlaßen wie Volgt. 1.mo Weÿl. herrn Sebastian Goldbachs, geweßenen Notarÿ publicj und burgers allhier, des ältisten Sohns in zwoen Ehen als mit auch Weÿl. frauen Anna Margaretha Goldbachin gebohrner Langin in erster und dann mit Frauen Anna Salome Goldbachin gebohrner Strintzin in Zweÿter Ehe ehelich erziehlte beder Kinder, nahmens Johann Heinrich und Frantz Daniel die Goldbach, des in erster ehe erzeugten Söhnleins geschworner Vogt Herr Heinrich Lang Senior, Notarius Publicus und berühmter Practicus, des in letzterer Ehe erziehlten Söhnleins Tutor aber herr Theobald Hummel der Weißbeck, beeder burgere allhier, so beneb. Vorgedacht. frauen Anna Salome Goldbachin geb. Strintzin des in letzrerer Ehe erziehlen Söhnlein Mutter, so dem Geschäfft Persönlich beÿwohnet, in einem Fünfften Sstammtheil,
2.do. Weÿl. frauen Annæ Margarethæ Murrihartin gebohrner Goldbachin, mit Johann Paul Murrjhardt dem bedienten beÿ Ihro Gnad. Herrn Graffen Von Löbenstein ehelich erziehlte Kinder nahmens Jacob und Johann Paul die Murrjhardt, In deren Nahmen solte Zwar beÿ dem geschäfft, weilen dieselbe frembd und ohnverburgert, aus E. E. Kleinen Rath d. Statt Straßburg Mittel ein Deputirter herr Zugeg. sein, allweilen aber die Nahrung gering, als ist auf eingezogenen Rath selbigs vor ohnnöthig befund. worden, es ist aber hiebeÿ Zugegen geweßenen herr Jacob Gerber Controlleur in allhießigen Umbgeldt und burger allhier, in einem fünfften Stammtheil.
3.tio Jacob Friderich so die Goldarbeiter Kunst gelernt und in der frembden begriffen, 4.to Jungfer Mariam Salome undt 5.to Georg Daniel d. ledig hauß Knecht, so in d. frembde sich auffhält, die Goldbachen, dießer dreÿer geschworner Vogt hr. Bernhard Großmann d. Paßmentirer und burger allhier, so beneben seiner Vogts Tochter dem geschäfft in Persohn sich eingefunden, jedes in einem fünfften Stammtheil.
In einer [-] und in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung, befunden worden, wie Volgt
Wÿdemb, Welchen die abgeleibte frau seelige wegen Jacob Friderichs, Jungfrau Maria Salome und Georg Daniels Ihrer dreÿen Jüngsten Kinder, biß auff ihr tödlich. hintritt genoßen, Nach besag einer in allhießiger Cancelleÿ Contract stuben auffgerichteten Verschreibung Vom 18. Januarÿ et 31. Decembris 1708. haben vorbesagte dreÿ Geschwüsterde, auff dern der frauen seel. gehörig geweßener aber an Martin Johann Leonhard Hoffseß dem Kieffer und burgern allhier verkaufften behaußung in d. Kalbsgaß gelegen Vor Vätterlich guth zu ohngleich portionen steh., so die Verstorbene seel. biß auff d° Absterben genoßen
Abzug in gegenwärtig Inventarium. Sa. haußraths 68, Sa. Silbers 3, Sa. goldener Ring 5, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 30, Sa. Schuld 1, Summa summarum 108 lb – Schulden 134 lb, In Vergleichung 25 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 275 lb
Le passementier Jean Bernard Grossmann rend compte de la gestion des biens qui appartiennent à Georges Daniel Goldbach, domestique absent
1730 (1.6.), Me Lobstein (Jean, 31 Not 28) n° 630
Rechnung Mein Johann Bernhard Großmanns, Paßmentirers und burgers allhier Zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Georg Daniel Goldbachs, des Ledigen haußknechts, Welcher in der frembde begriffen, Weÿl. Hn Sebastian Goldbachs geweßenen hochadel. Schaffners und burgers allhier seel. mit auch weÿl. frauen Anna Margaretha geb. Kammin seiner haußfrauen ebenmäßig seel. in Erster Ehe erzeugten Sohns, Inhaltend alles dasjenige was Ich vom 1. Junÿ Anno 1720 als den Beschluß meiner Erstern Rechnung, biß gemelten Termin Anno 1730 ferner berührten meines Curandi halben Eingenommen und Hingegen wieder Außgegeben habe – Zweÿte Rechnung dieße Vogteÿ
Les préposés de la Taille inscrivent la succession de Georges Daniel Goldbach déclaré mort dans leur registre puisque les héritiers Morihard qui ne sont pas bourgeois doivent un droit de détraction
1733, Livres de la Taille (VII 1177) f° 218-v
(Spiegel. F. N° 5833) Weÿl. Georg Daniel Goldbach des Verschollenen Hauß Knechts Verlassenschafft betreffend producirt Vogteÿ Rechnung Crafft deren das Corpus fol. 5.b 75 lb, und Recess fol. 11.b, 25 lb 14 ß 4 ½, Summa 100. ln 14 ß 4 ½
die machen 200. R. Verstallte auch so Viel
Extat kein Stallg.
Gebott 2 ß
Abhandlung 5 ß 6 d, Summa 7 ß 6 d
Abzug. Paul Morinhard des Stäblers im Münster Zweÿ Söhne so ohnverburgert haben Von 33 lb 11 ß 2 ½ d. den Abzug Zu ertragen mit 3. lb 7 ß 2 d
Vorstehender Abzug ist den 2° Mart. moderirt worden auff 1. lb
Stallgelt pro 1733. 6 ß
dt. 28.° Septembr. 1733.
Maisonnettes ruelle du Loup
Samuel Braun vend à Jean Evrard Euth deux maisonnettes ruelle du Loup qui’il a acquises en 1675 en conservant sa boulangerie
1698 (30.8.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 550-v
Samuel Braun, der Haußfeurer
Hn Johann Eberhard Euthen, des Handelßmanns
Zweÿ Haüßlein neben einander, Under einem dach jenseit der Preusch, Underhalb St. Stephans brucken im Wolffsgäßlein einseit neben denen Störischen Erben anderseit neben des Verkäufers Becken behaußung, so Er bewohnt, hind. auff Johann Füchsel, den orgelmacher, stoßend gelegen – umb 100 pfund