25, rue Sainte-Hélène
Rue Sainte-Hélène n° 25 – IV 236 (Blondel), N 834 puis section 59 parcelle 48 (cadastre)
Charles Louis Arnold, maître d’ouvrage, vers 1832 – Démolie en 1970
Le n° 25 au premier plan (1966, dossier de la Police du Bâtiment))
Même endroit en août 2014
Le tailleur Melchior Weber acquiert la maison en 1629 suite à une enchère judiciaire. Elle appartient ensuite à des artisans, le cordonnier Jean Hemmler, le passementier Georges Christophe Neumann (1691-1700) puis le tailleur Jean Metzger (1700-1742) et son gendre boutonnier Jean Joseph Fimbel (1742-1753) qui supprime en 1743 l’encorbellement du deuxième étage. La maison en 1745 a trois logements, au rez-de-chaussée et à chacun des deux étages, ainsi qu’un étage mansardé à trois pièces. Le notaire Jean Frédéric Lobstein en est propriétaire pendant dix ans avant de la revendre au perruquier Denis Hensel. Les artisans s’y succèdent (le farinier David Braun, le cloutier Jean Moda), elle devient une maison de rapport quand elle appartient au tanneur Jean Jacques Haderer (1799-1810) puis au farinier Jean Georges Riedinger (1819) et à son petit-fils par alliance l’architecte Charles Louis Arnold.
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 198
L’Atlas des alignements (années 1820) signale un rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois en encorbellement. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue est la deuxième à droite du repère (g) : porte suivie de deux fenêtres au rez-de-chaussée, deux étages à trois fenêtres chacun, toiture à deux fenêtres. La cour C’ représente la construction à un étage adossée au bâtiment avant (1-4, façade sud, et 1-2, façade ouest), un petit bâtiment en forme de remise au nord (2-3) et le mur du voisin à l’est (3-4).
La maison porte d’abord le n° 15 (1784-1857) puis le n° 25.
Comme le cadastre ne signale aucune augmentation à partir de son ouverture en 1840, on conclut que le bâtiment sans encorbellement à trois étages date des années 1830 et qu’il a été construit par l’architecte Charles Louis Arnold, mari de Caroline Christmann à qui l’immeuble a été attribué en 1831. Le propriétaire fait agrandir en 1901 une fenêtre et convertir une fenêtre en porte pour aménager un local commercial à droite de la porte d’entrée.
La maison fait partie d’un ensemble de huit immeubles rue Sainte-Barbe et rue Sainte-Hélène enclavés dans la propriété des Grands magasins Magmod qui souhaitent agrandir leurs locaux en 1966. Le n° 25, le seul à ne pas figurer dans le dossier de démolition, est détruit en même temps que les autres maisons en janvier 1970.
Plan lors de l’aménagement du magasin (1901, dossier de la Police du Bâtiment)
Plan des immeubles enclavés dans la propriété des Grands magasins Magmod (1966)
mars 2017
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1627 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
Michel Kuntz, pelletier, et (1616) Catherine Lindauer puis (1625) Ursule Fidel – luthériens | ||
1629 | v | Melchior Weber, tailleur, et (1614) Catherine Weiss, remariée avec Sébastien Rumpler, meunier à la Wantzenau – luthériens |
1657 | v | Jean Hemmler, chef de la grue, et (1649) Marguerite Voltz – luthériens |
h | Jean Hemmler, cordonnier puis aubergiste, et (1684) Marie Barbe Meyer remariée (1705) avec François von Gachnant, réformé – luthériens | |
1691 | v | Georges Christophe Neumann, passementier, et (1670) Anne Catherine Ettlinger – luthériens |
Jean Metzger, tailleur, et (1695) Anne Marguerite Dürr – luthériens | ||
1742* | h | Marie Marguerite Metzger, femme (1725) du tailleur Michel Gsell puis (1742) du boutonnier Jean Joseph Fimbel veuf de Catherine Marguerite Sattler – luthériens |
1753 | v | Jean Frédéric Lobstein, notaire, et (1752) Catherine Salomé Büchel – luthériens |
1763 | v | Denis Hensel, perruquier, et (1759) Marie Barbe Giffard – catholiques |
1778 | v | David Braun, boulanger et farinier, et (1743) Marguerite Dorothée Gretzinger puis (1760) Catherine Marguerite Seiler – luthériens |
1782 | h | Matthias Klingler, meunier, et (1782) Catherine Marguerite Seiler veuve de David Braun – luthériens |
1799 | v | Jean Jacques Haderer, tanneur, et (1781) Marie Marguerite Kælber – luthériens |
1810 | v | Jean Moda, cloutier, et (1797) Marie Anne Imbs puis Elisabeth Meyer |
1819 | adj | Jean Georges Riedinger, farinier, et (1772) Marie Salomé Metz – luthériens |
1831 | h | Charles Louis Arnold, architecte, et (1816) Caroline Christmann |
1873* | v | Jacques Louis Bietz, armurier, et (1844) Caroline Ostermann |
1895* | h | Frédéric Emile Lutz et Emma Bietz |
1926* | h | Emile Lutz, pharmacien, et Elisabeth Kayser épouse divorcée de Georges Lutz |
1937* | h | Emile Lutz et Eveline Lutz |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 750 livres en 1745, 500 livres en 1752, 600 livres en 1782
(1765, Liste Blondel) IV 236, Denis Häussel
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Heußel, 2 toises, 5 pieds et 4 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 834, Arnold, Charles Louis – sol, maison, 0,38 are
Locations
1753, Jean Georges Quant, marchand de légumes (rez-de-chaussée), Steegmann, cordonnier (premier étage), Jean Gretzinger, boutonnier (deuxième étage)
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1743, Préposés au bâtiment (VII 1400)
Les préposés examinent la maison du boutonnier Jean Joseph Fimpel qui souhaite supprimer l’encorbellement du deuxième étage qui a 18 pieds de longueur et une saillie de 2 pieds 6 pouces et conserver celui du premier étage en saillie de 3 pieds 3 pouces en construisant un nouveau mur comportant trois croisées à chaque étage. Il est autorisé à construire à l’aplomb de l’encorbellement inférieur
(f° 93) Mittwoch den 27. Martÿ 1743 – Joh: Joseph Fimpel
An Johann Joseph Fimpels des Knopffmachers Hauß in der Höllengaß, welches in dem Ersten und Zweÿten Stock Überhäng hat, worvon er den Obern, so 2. schuhe 6. Zoll im balcken tieff, und 18. schuhe lang ist, Völlig Hinweg Zuthun, den Untern aber, so 3. schuhe 3. Zoll tieff, Zubehalten, und allein ein Neüe Wand, und in jeden Stock dreÿ Creützstöck machen zulaßen Willens, Erkannt Willfahrt, und solle die Wand Von den Balcken des Untern Überhangs senckelrecht aufführen.
Protocole de tribus
1774, Protocole de la tribu des Maçons (XI 240)
Denis Hensel estime que la facture présentée par le maître maçon Louis Müller est trop élevée. Le conseil des Maçons nomme des experts
(p. 211) Dienstags den 2.ten Augusti – Experten Ernennung
Dionisius Henßel, der Peruquenmacher und burger allhier ließ citiren Meister Louis Müller, den Steinhauer und Maurer, klagt wider denselben daß er die beede vor gefertigte Maurer Arbeit ihme übergebene Conto allzuhoch angesetzt, weßwegen er um deren Taxam gebetten haben will.
Citatus ist ohngeachtet fruchtbar angelegter Citation nicht erschienen.
Erkandt, werden herr Michael Hatzung und Meister Paul Joseph Schroeder, beede Steinhauer und Maurer Meister Zu Examinir und Taxirung gemelter beeder Conto in specie ernannt und deputirt.
Description de la maison
- 1743 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un petit poêle, une petite cuisine, un vestibule, la cave est solivée, le chaudron à lessive se trouve dans la cour, les deux étages comprennent un poêle, une chambre, une cuisine, un vestibule et un petit cabinet, il y a trois chambres sous le toit, le comble à greniers dallés est couvert de tuiles plates. Le tout et estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 500 florins
- 1752 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un poêle, une cuisine, au premier étage un poêle, une cuisine et un vestibule, le deuxième étage est semblable au premier, l’étage mansardé couvert de tuiles plates comprend plusieurs chambres, la cave est solivée. Le tout et estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 000 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
2° arrondissement ou Canton Nord – Rue Ste Hélène
Moda
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages en bois mauvais et avance
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 22 f° 237 case 4
Arnold Charles Louis, maître charpentier à Strasbourg R. neuve quai des bateliers 10
N 834, maison, sol, Rue Ste Hélène 16
Contenance : 0,38
Revenu total : 99,20 (99 et 0,20)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 18 / 16
fenêtres du 3° et au-dessus : 6 / 6
Cadastre napoléonien, registre 23 f° 978 case 2
Arnold Charles Louis, Rue des bateliers 16
1873 Bietz Jakob Ludwig Waffenschmied
1895/96 Lutz Friedrich Emil Wittwe Emma geb. Bietz
(ancien f° 726)
N 834, maison, sol, Rue Ste Hélène 25
Contenance : 0,38
Revenu total : 99,20 (99 et 0,20)
Folio de provenance : (237)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 16
fenêtres du 3° et au-dessus : 6
Cadastre allemand, registre 33 p. 364 case 3
Parcelle, section 59, n° 48 – autrefois N 834
Canton : St. Helenengasse Hs. Nr 25 – sol, maison
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,69
Revenu : 700 – 900
Remarques :
(Propriétaire), compte 2863
Lutz Friedrich Emil Wwe
1926 Lutz Emile pharmacien & Lutz Elisabeth née Kayser épouse divorcée de Georges Lutz
1937 Lutz Emile & Lutz Eveline
(2753)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IV, Rue 104 Rue de Ste Helène (p. 180)
15
Pr. – Klingler, Mathias, farinier – Lanterne
loc. – Kaehler, s. m. emp. du Roi en H. A.
loc. – Hugard, Jeanne, fille étrangère
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Helenengasse (Seite 60)
(Haus Nr.) 25
Dillmann, Milchhdlg. 0
Bebber, Schutzmann. 1
Lacan, Wwe. 2
Fettig. Dienstmann. 3
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 233 MW 2012)
Rue Sainte-Hélène 25 (1889-19)
Le maire notifie en 1895 le propriétaire de se conformer au nouveau règlement et de modifier les fenêtres pour que les ne s’ouvrent plus vers la voie publique. L’entrepreneur Louis Widmann agrandit en 1901 une fenêtre et convertit une fenêtre en porte.
Le voisin du n° 23 se plaint en 1905 que les eaux usées du n° 25 qui passent devant sa maison pénètrent dans sa cave. La maison est raccordée aux canalisations la même année. La maison est occupée en 1889 par le peintre Eckert et en 1923 par le bijoutier Georges Leh.
Le dossier comprend les différentes pièces par lesquelles l’architecte Pierre Hugues demande en 1966 au nom de la société anonyme des Grands magasins Magmod l’autorisation de démolir les 4 et 8, rue Sainte-Barbe, 31, 29 et 27, rue Sainte-Hélène pour agrandir les entrepôts à la place de ces bâtiments ainsi que des 6 et 10 rue Saint-Barbe frappés d’un arrêté de péril depuis 1963. Le 25, rue Saint-Hélène, seul bâtiment enclavé dans la propriété de la requérante à n’être jamais évoqué dans les différentes demandes, fait cependant partie des bâtiments démolis en janvier 1970. Le maire donne un avis favorable aux démolitions des maisons mal entretenues en 1966. Le préfet demande une compensation à la suppression de logements. L’affaire est retardée par un procès intenté par un des locataires.
Sommaire
- 1889 – La veuve du peintre Eckert informe le maire qu’elle a transféré son atelier et son enseigne du 13, rue Sainte-Barbe pour s’établir au 25, rue Sainte-Hélène – Autorisation de poser une enseigne
- 1892 – Les voisins écrivent au maire qu’une cheminée est au mauvais état au 25, rue Sainte-Hélène. Le service de voirie constate que les deux cheminées de la maison sont moins hautes que le pignon voisin et que les fumées peuvent incommoder les habitants (croquis). Le maire écrit au propriétaire, la veuve Lutz domiciliée 8, place Kleber – Travaux terminés, novembre 1892
- 1895 – Le maire notifie la veuve Lutz de se conformer au nouveau règlement et de modifier les fenêtres et les deux soupiraux pour que les volets ne s’ouvrent plus vers la voie publique. – Travaux terminés, décembre 1896
- 1901 – L’entrepreneur Louis Widmann (1, rue Saint-Louis) demande au nom de la veuve Lutz l’autorisation d’agrandir une fenêtre et de convertir une fenêtre en porte au 23, rue Sainte-Hélène –Autorisation (25, rue Sainte-Hélène) – Dessin – Travaux terminés, mai
- 1905 – Le voisin du n° 23 se plaint que les eaux usées du n° 25, occupé par le marchand de lait, se répandent dans sa cave. La Police du Bâtiment constate que les eaux qui passent devant le n° 25 pénètrent dans la cave en abîmant les marchandises qui y sont entreposées – La maison n° 25 est raccordée aux canalisations, octobre 1905
- 1905 – Le maire notifie la veuve Lutz de faire ravaler la façade. Elle demande d’attendre que le raccord aux canalisations soit terminé – Travaux terminés, juin 1906
- Commission contre les logements insalubres – Rapport de juin 1899. Propriétaire, veuve Lutz, 8, place Kleber. Bon état général, 2 cabinets d’aisance pour 4 logements. La commission demande une rénovation du logement Braunschweig au rez-de-chaussée
Autres rapports les années suivantes, les travaux sont régulièrement exécutés
Commission des logements militaires, 1915. Remarques en six points
Plainte du locataire Fettich concernant le mur mitoyen - 1918 – Le service d’hygiène des fortifications qui a reçu une plainte d’un locataire concernant la couverture du mur mitoyen dans la cour établit qu’elle est en mauvais état et en informe la Police du Bâtiment – Rapport de la Police du Bâtiment qui écrit à la veuve Lutz, domiciliée 4, boulevard de Saverne (ensuite boulevard Poincaré) puis au nouveau propriétaire, le cordonnier Hage (10, rue Sainte-Barbe) – Travaux terminés, octobre 1919
- 1923 – Le bijoutier Georges Leh demande l’autorisation de poser une enseigne – Autorisation
- 1945 – Certificats de sinistré suite au bombardement aérien du 11 août 1945 qui détruit entièrement la maison. Thérèse Hurst, 3° étage [le numéro de maison doit être faux]
- 1955 – M. Guth (40, rue des Francs-Bourgeois) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique devant le 25, rue Sainte-Hélène – Le ravalement (crépissage) est terminé, mars
- 1966 – L’architecte Pierre Hugues (16, rue d’Orbey au Neudorf) demande au nom des grands magasins Magmod l’autorisation de démolir les 4 et 8, rue Sainte-Barbe, 31, 29 et 27, rue Sainte-Hélène. Comme les 6 et 10 rue Saint-Barbe sont frappés d’un arrêté de péril, respectivement du 13 août 1963 et 13 mai 1963, une démolition générale éviterait les frais d’étaiement provisoire – Plan cadastral
La société anonyme des Grands magasins Magmod (34, rue du Vingt-deux-novembre) remplit le questionnaire préalable que le maire transmet le 11 août 1966 au préfet avec avis favorable
L’immeuble n° 27, rue Ste-Hélène comporte un rez-de-chaussée avec un logement et un salon de coiffure et 3 logements occupés par une personne au 1° étage respectivement au 2° étage et 2 personnes au 3° étage. La construction, sans être vétuste, n’est pas bien entretenue.
L’immeuble n° 29, rue Ste-Hélène se compose d’un rez-de-chaussée qui comporte un logement et un magasin de vente et 3 étages occupés par 5 personnes, soit 5 personnes au 1° étage, 3 personnes au 2° étage et une personne au 3° étage. Le bâtiment est assez vétuste et mal entretenu.
Le n° 31, rue Ste-Hélène est un immeuble à rez-de-chaussée et 3 étages. Le rez-de-chaussée comporte un logement et une cordonnerie. Le 1° étage est sous-loué, les 2° et 3° étages sont occupés chacun par 2 personnes. La construction, sans être vétuste, présente des signes de mauvais entretien.
En conclusion et compte tenu du fait que la S. A. des Magasins Magmod soumettront à l’administration très prochainement un projet d’agrandissement, un avis favorable peut être donné à la demande de démolition des 3 immeubles précités qui ne menacent pas ruine, à condition que les locataires soient relogés par les soins de la requérante.
Annexes, superficie (le n° 27 rue Sainte-Hélène a une contenance de 72 m², le n° 29 de 117 m² et le n° 31 de 122 m²), liste des locataires, photographie
Rapport de la Police du Bâtiment – L’immeuble situé au n° 27 rue Ste-Hélène ne présente rien de particulier au point de vue architectural et sa démolition peut être envisagée à condition évidemment que la S.A. des Grands magasins Magmod fasse le nécessaire pour reloger les habitants de cet immeuble et indemnise la boutique qui a comme enseigne Coiffure Margot.
L’immeuble situé au n° 29 rue Ste-Hélène est un R + 3 qui comporte un magasin de vente de jupes qui a comme enseigne Juptar. Cet immeuble est une demeure du XVIII° et comporte des encadrements de fenêtres fort intéressants. Elle est assez vétuste et manque comme toutes ces maisons d’entretien. Elle est habitée par de nombreuses personnes (…).
Le n° 31 rue Ste-Hélène est un immeuble dont le pignon comportant une cordonnerie au rez-de-chaussée ne présente pas un intérêt de conservation. Cet immeuble est également un R+ 3 et est habité par des locataires (…).
En conclusion, nous pensons que rien ne s’oppose à la démolition de ces trois immeubles, à condition toutefois que les locataires soient relogés par les soins des grands magasins Magmod et que le projet d’agrandissement présenté par Monsieur Hugues, architecte, soit accepté et soit conforme à la réglementation en vigueur. Strasbourg le 2 août 1966, (signé) Hugues Meyer, Arch. Ass.
1966 (octobre) – Le préfet demande une compensation à la suppression des logements
1967 (septembre) – L’architecte Hugues Meyer confirme son précédent rapport
1968 (décembre) – Note. Le bâtiment 29, rue Sainte-Hélène ne menace pas ruine, il est cependant frappé d’alignement et le préfet a autorisé sa démolition le 13 octobre 1966
1968 (novembre) – Le président de la troisième Chambre civile de la cour d’appel de Colmar demande au maire un avis concernant la menace d’effondrement dans l’affaire qui oppose Onofrio Queranta, locataire du 29, rue Sainte-Hélène, et les Grands Magasins Magmod – Le maire répond que le bâtiment ne menace pas ruine et que le préfet a autorisé sa démolition
1969 (janvier) – Le directeur technique des Grands Magasins Magmod n’envisage aucune démolition tant que l’affaire portée devant les tribunaux ne sera pas réglée – Idem, décembre
1970 (janvier) – Extrait de presse annonçant les démolitions (illustré d’une photographie du n° 31) - 1970 (janvier) – Mme Saint-Pé, propriétaire du 18, rue Sainte-Hélène, se plaint de l’entreprise de démolition Knecht (à Adamswiller) qui souille sa façade. La Police du Bâtiment constate non seulement les faits mais aussi que la sécurité des passants n’est plus assurée. – Constat concernant la démolition des 25, 27, 29 et 31 rue Sainte-Hélène
1970 (février) – Les anciens bâtiments sont démolis.
Relevé d’actes
Après que le pelletier André Baumgartner a acquis la maison par adjudication judiciaire dirigée contre Michel Kuntz, elle est vendue au tailleur Melchior Weber originaire de Sulzbach. La maison est grevée d’un capital dû aux deux enfants du vendeur, issus de sa première femme Catherine Lindauer. La rue est encore appelée du nom du couvent Sainte-Barbe
1629 (5. octobris), Chambre des Contrats, vol. 465 f° 615
Erschienen herr Bernhard Betz und H Jacob Isenheim beede alß von eines Ers. groß. Rhats mitel hierzu insonderheit abgeordnet und beneben ihnen Michel Kuntz der Kürschner burger Zu St.
haben in gegensein Melchior Webers von Sultzbach schneiders vnd burgers Zu St. bekannt, demnach Andreß Baumgartner der Kürschner hernach specificirte behausung nit allein mit ordentlichem Ganthrechten an sich gebracht vnd erganthet, sondern auch albereit beÿ einem Ers. groß. Rhat vmb die expulsion angehalten, daß darauff er Michel Kuntz mit beÿstand obehrengedachter beeder verordneter groß. Rhats Verwanthen, auch mit gutem wissen vnd willen vorgedachts Baumgartners, so anietzo auch zugeg. (verkaufft) obgedachtem Melchior Weber
hauß, hoffstat vnd höfflin mit allen alhie in S. Barbara gaß neben der Samblung Zur driten Regul & Philipp Herber dem Schneider hind. vff H M. Georg Würmblin zum theil und zum theil vff H Jacob Sÿbenhorn stoßend gelegen, dauon gehen Jährlich vff Johannis Bapt. gld gelts a 15. bz. der Samblung Zur 3. Regul im hauptg. mit 50. lb, Item ii+ gld. St. w. Jährlich vff Galli H D. Mathei Mueg see. Erben mit 50. fl. wer. abzulösen, so ist diß hauß auch noch verhafftet umb 40. lb. d sein deß Verkäuffers zweien in erster Ehe mit Catharina Lindawerin s. erzielten Kindern für ihr Müeterlich gut (…) und dann mit 261. fl. wer. per rest obgemeltem Andreß Baumgartner (…) sonst eÿg., Vnd ist diser Kauff vber die beschwd., so der Käuffer auf sich genommen, geschehen per 256. R
[in margine :] Erschienen Anna Ursula Georg Kriechers des Schuhmachers Eheweib mit beÿstand erstermelt ihres Ehevogts und H Niclaus Reben Notarÿ hatt in gegensein H hannß hämlers E. groß. Rhats Beÿsitz. alß ietzig. Possessoris hierin beschriebener Behaußung, bekannt, demnach Sie Anna Ursula, hanß Michaels und Annæ Catharinæ der Kuontzisch. ihrer Geschwisterd. Verlaßenschafft Freit. den 22. Junÿ Jüngsthien beÿ E. E. Kleinen Rhat außgbürgt (…) Act. 5. Julÿ a° 1661.
[in margine :] Erschienen Hannß Jacob Rummerlsperg der Jug alß Ehevogt Margreth hieneben gnt. Baumgartners see. tochter bekant in gegensein deß keüfers (…) den 26. Xbr 1632.
Le vendeur Michel Kuntz, pelletier originaire de Zülch (Züllichau) en Silésie devient bourgeois en 1616 par sa femme Catherine, fille du pelletier Mathias Lindauer
1616, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 997
Michael Kuntz d. Kürßner Von Zülch d. Schleßien bürttig Empfahet daß Burgerrecht Von Jungfr. Catharina Mathis Lündawer deß Kürßners Alhier ehelicher docht. und wüll Zu den Kürßnern dienen. Actum den 2. May A° 1616.
Michel Kuntz épouse Catherine Lindauer en 1616 puis en 1625 Ursule Fidel, fille de tonnelier et marchand de vins
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 274, n° 27)
1616. Michel Cuntz von Zilchen aus d. schleseÿ ein kürsner, Catharina, Matthes Lindawers des Kürsners tochter. Eingesegnet Mont. den 22. April (i 142)
Mariage, Temple-Neuf (luth. p. 205)
1625. Michael Kuntz der Kürsner vnd J. Ursula Philips Fidel des weinhändlers e. Tochter. Eingesegnet Zinstag den 6. decembris (i 107)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 52) 1625. Eod. 27. IX.bris. Michel Cuntz d. Kürschner v. burger alhie v. J. Ursula Philipß Fidels des Kieffers v. burgers nachgelaßene Tochter. Copulat. 6. Xbris im Münster (i 28)
Originaire de Sulzbach, le tailleur Melchior Weber épouse en 1614 Catherine Weiss, fille de commissaire priseur : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration. Il devient bourgeois quelques jours plus tard
Eheberedung – zwischen dem Ehrsam und bescheidene Melchior Weberen Schneidern Von Sultzbach in der vndern Churfürstlichen Pfaltz ane einem, vnd der Tugendsamen Jungfrawen Catharina des Ehrenhafften Balthasar Weißen geschwornen der Statt Straßburg Keufflern vnd burgers daselbsten dochter An andern theil, durch vnder handlung auch in beÿsein vnd Persönlicher gegenwärtigkeit der Ehrenuest Wolgelehrten Ehrenhafften vnd Ehrsamen Hanß Kellers waißen Vatters vnd Sebastian Waltzen schuemachers, Vff sein der Hochzeitters, so dan vff der Jungfrawen Hoch Zeitterin seitthen Balthasar Weißen vorgemelt Vndt herrn Magistri Georgÿ Würmelß præceptoris decimæ classis aller burger Zu Straßburg ihrer beÿder respectiué Vatters Schwehers erbettener günstiger herren Vndt freündt – Donnerstags den 20. tag des Monas Octobris Im Jahr als man nach vnsters herren einig. Erlößers vndt Seeligmachers geburth Zalte 1614. [unterzeichnet] Johann Georg Meÿer Notarius
Mariage, cathédrale (luth. p. 22)
1614. Melchior Weber der Schneider von Sultzbach aus der Pfaltz vnd J. Catharina Balthasar Weissen des Keuflers tochter. eingesegnet Zinsstag den 1. 9.bris (i 16)
1614, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 982
Melchior Weber d. Schneider Von Sultzbach Auß d. Vnd. pfaltz Empfahet d. Burgerrecht Von Catharina Balthasar Weißen deß Keüfflers dochter vnd wüll Zu den schneidern dienen. Actum den 17. 9.bris 1614
Melchior Weber meurt en délaissant une fille, l’inventaire de ses biens est dressé en septembre 1636. L’actif de la succession s’élève à 422 livres, le passif à 8 livres. Un des créanciers donne quittance en 1641 à la veuve alors qu’elle est remariée avec Sébastien Rumpler, meunier à la Wantzenau
1636 (21. 9.br), Me Ursinus (Jérémie, 60 Not 6) n° 37
Inventarium undt beschreibung aller haab vndt Nahrung, so weÿlandt der Ehrenhaffte Melchior Weber Schneider vndt burger alhie Zue Straßburg, nach seinem aus dießer welt genommenen tödlichen hinscheiden hinder Ihme verlaßen, welche die ehrn: vndt tugendsame fraw Catharina Weißen, sein hinderlaßene wittib mit beÿstandt deß Ehrenvesten fürgeachten vndt weißen herrn Balthasar Wilderlöhrs altten großen Raths bewanthen, Ihres erbettenen vndt geschwornenn Vogts, vff freundliches ansuchen erfordern vndt begehren deß Ehrenhafften hannß Conradt Kagers hohlträhers burgers alhie Zu Straßburg als geschwornen vogts Catharinæ, deß verstorbenen seel. mit letzt ernandter seiner hinderlaßenen wittwen ehelich Erziehltes töchterlein Vnd ab intestato einige Erbin, geeügt vndt gezeigt – So beschehen Vff Montag den 21.t 9.bris A° 1636.
In hernach geschriebener in dieße Erbschafft gehöriger Behaußung ist befuden worden wie volgt
Vff der Obern Bühnen, Vff der undern Bühnen, Inn d. Cam. Lit. An Inn d. Cammer B, In d. Stuben, Im Haußöhr, Im Keller
Eigenthumb vndt Beßerung einer Behaußung. Item hauß hoffstatt vndt höfflin mit allen anderen Ihren gebeüwen, begriffen, weithen, rechten Zugehörden Vndt gerechtigkeiten gelegen alhie in d. Statt Straßburg in s. Barbaren gassen, anderseit neben der Samblung Zur dritten Regul, 2. s neben Philips Herbern dem Schneider, hinden vff weÿl. H. M. Andreæ Freÿen geweßenen Pfarrers Zu Waßlenh. seel. wittib vndt erben, Zum theil vndt Zum theil Vff weÿl. H. M. Georgÿ Wurmelÿ Præceptoris Classico seel. Erben stoßend, dauon gehen Jahrs vff Johis Baptistæ 2 lib. 12. ß 6 d. Zinnß der Samblung Zur dritten Regul Schaffnern, H Johann Böllern, ablösig in hauptguth mit 52 lib 10. ß d, Item j lib 6 ß d. zinnß H Dr Mathæi Müegen seel. Erben Jährlich vff Gallj tag, widerlößig mit 26. lib. d. hauptgutt, So dann 2. lib. 3 ß 3 d Zinß Christoph wolle dem Kürschner als Vogt weÿl. Michael Kuntzen deß Kürschners burgers alhie sel. Kindn. vndt Erben Jahrs Johannis Baptstæ ablößig in hauptgutt mit 43. lib. 5 ß. Sonsten vber diße beschwehrden ihrem ohngeuorlichen wehrt noch hiehero angeschlagen für vndt vmb 250. lib. Der brieff wie d. verstorbene seel. dieße Behaußung in A° 1629. von H. Andrea Baumgarttner dem Kürschnern burgern alhier seel. an sich erkaufft Ist in der Contractstuben außzuferttigen. Sonsten aber ist v.handen j. alt P. Kauffbr. Inhaltts, wie andres Franckh, d. Kürschner dieße behaußung von den herren Pflegern berührter Samblung Zur dritten Regul an sich erkaufft, deßen dat. Vf den 6. febr. A° 1580. mit N° j notirt, darbeÿ ein altter abgelößter Zinnßbrieff.
Werckzeug Zuem Schneider handwerckh gehörig
Sa. haußraths 90, Sa. Werckzeugs Zuem Schneider handwerckh gehörig 1, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 50, Sa. Eigenthumbs ane Einer behaußung 250, Sa. der Schulden 30, Summa summarum 422 lb – Schulden 8 lb, Conclusio finalis Inventarÿ 414 lb
Eheberedung (…) Donnerstags den 20. tag des Monas Octobris Im Jahr als man nach vnsters herren einig. Erlößers vndt Seeligmachers geburth Zalte 1614. [unterzeichnet] Johann Georg Meÿer Notarius
– Ich Endts unterschriebener, alß Hannß Michael Cuntzen, deß Kürschners, weÿland Michael Cuntzen, auch geweßenen Kürschners burgers alhie Zue Straßburg seel. hinderlaßenen Sohns geschworner Vnd noch ohnentledigter Vogt, vrkundte vndt bekenne hiemitt, daß Catharina Weÿßin, weÿland Melchior Webers geweßenen Schneiders burgers alhie seeligen hinderlaßene Wittib vnd ietzmahlen Sebastian Rümplers, Müllers in der Wantzenauw eheliche haußfraw berührtem Hannß Michael Cuntzen meinem Vogtsohn die Jenige viertzig dreÿ gulden Zween schilling 6 pfenning Capital so er noch vff ihrer in S. Barbaren gassen gelegenen behaußung Zu seinem halben theil stehen gehabt, bezahlt (…) so beschehen vff den 25.t Febr. A° 1641.
Catherine veuve de Melchior Weber hypothèque la maison au profit de Daniel Steinbock, ancien assesseur au Petit Sénat
1637 (ut supra [23. Januarÿ]), Chambre des Contrats, vol. 477 f° 64-v
Erschienen Catharina Weÿ: Melchior Webers deß schneiders Von Sultzbach und burger alhie witib, mit beÿstandt HH Balthasar Wildermeers alten groß. Rhats Verwanthen ihres Vogts, So dann Hannß Conrad Koger der Treher alß Vogt sein Webers seel. noch lebenden Kindts
haben in gegensein H Daniel Steinbocken, Alten Kleinen Rhats Verwanthen alhie – schuldig seÿen 50. lb
dafür Vnderpfand sein soll Hauß und Hoffstat alhie in St. Barbara gaß, neben der Samblung Zur driten Regul & Philipps Herber den schneider, hind. vff H Johann Wencker XV. und besagte Samblung stoßend so Zuuor verhafftet vmb 100 R mehr bemelter Samblung und dan vmb 80. fl. H. Ammeister Müegen Schwester s. Erben
Georges Durban de Freistett en Bade vend la maison à Jean Hemmler, assesseur du Grand Sénat
1657 (17. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 522 f° 184-v
(Prot. fol. 34.) Erschienen Georg Durban, Burger Zu Frewstett
hatt in gegensein H. Hannß Hämlers E: E: großen Rhats Beÿsitzers
seine helffte, ahne hauß, hoffstatt und Höfflin, mit allen deren Gebäwen & alhie in St Barbaræ Gaßen, einseit neben der Samblung Zur tritten Regul, anderseit neben einem hauß dem Stifft St. Wilhelm gehörig, Vnd hinden vff mehrgedachte Samblung stoßend gelegen, Von welcher gantzen Behaußung gehend Jahrs vff Johannis Bapt. 5. fl. wehr. lößig mit 100. fl. besagter Weh. der obgemelten Samblung Zur tritten Regul, weiters seÿe solche Behaußung noch verhafftet umb 25. lb. Jungfr. Johannæ Margarethæ Haußmännin, Item Umb 50. lib H Daniel Steinbockh alten großen Rhats Verwanthen, Vnd dann Vmb 10. lb (-) dem Kürßnern (zur helffte übernohmen) – umb 7 lb 4 ß
Le préposé de chef de la grue Jean Hemmler épouse en 1649 Marguerite Voltz
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 124, n° 9)
1649 Johann Hemmler d. Granmeister, J. Margreth, Lorentz Voltzen s. tochter. 17. April (i 65)
La maison revient ensuite à son fils cordonnier Jean Hemmler qui épouse en 1684 Marie Barbe Meyer, fille de chapelier : contrat de mariage, célébration
1684 (2.7.), Me Gross (Benoît, 14 not 1)
(Eheberedung) zwischen dem Ehrsamen und bescheidenen Martin Johann Hemler, ledigem Schuhmacher undt burger alhier als dem hochzeiter ane einem,
So dann der Tugendsamen Jungfrawen Maria Barbara des Ehrsamen undt bescheidenen Georg Meÿers deß hutmachers undt burgers alhier ehelichen tochter, als der Jfr. hochzeiterin andern theils – Actum Straßb. Sontag den 2.ten Julÿ Anno Christi 1684. [unterzeichnet] Johannes hamler als hochzeither, Georg Meÿer Vater
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 125)
1684. Zum 2. mahl Johann Hemler der Schuemacher Weiland hr H. hemlers alt. großen Raths Beisitzers nachgelaß: ehel: S. Jgfr. Maria Barbara Georg Meiers hutmachers u. Burgers alhie ehel: T. Donnerst. den 24.ten Aug: Predigeren (i 126)
Jean Hemmler meurt en 1702 après être devenu aubergiste, dans sa maison qui porte l’enseigne du Petit Canard rue Sainte Madeleine. La masse propre à la veuve est de 117 livres, celle des héritiers de 628 livres. L’actif de la communauté s’élève à 218 livres, le passif à 632 livres.
1702 (21. 9.br), Me Kolb (Jean Pierre, 23 Not 3) n° 78
Inventarium über deß Ehrenhafften Johannis Hemmler geweßenen burgers v. würths alhier seel. Verlassenschafft auffgerichtet in Anno 1702 – Inventarium und besch[reibung aller] der Jenigen Haab und Nahrung, so der Ehrsam und bescheidene Joh[annes] Hemmler der geweßene würth Zu guldenen En[dtel und bur]ger allhier Zu Straßburg, nach seinem Donn[erstag den] 7. Septembris dießes lauffenden 1702. Jahrs genommenen tödlichen Hintritt Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehrenthafften hannß Georg Hemmlers gartner und. wagners auch burgers alhier als geschwornen Vogts Margarethæ, Johannes und hannß Jacob Hemmler deß Verstorbenen seel. mit der hinderbliebenen wittib ehelich erziehlten hinderlaßenen Kindern und ab intestato nechste Erben inventirt und ersucht durch die Ehren und tugendsame Fr. Mariam Barbaram Hemlerin gebohrne Meÿerin die hinderbliebene wittib mit beÿstand deß Ehrengeachten Mstr hannß Heinrich Bürckels haußfeurers auch burgers Zu Straßb. ihres geordneten vogts – Actum in der Königl. freÿen Statt Straßburg auff dinstag den 21. 9.bris Anno 1702
Inn einer allhier in der [Statt Straßburg] in der Utten gaßen gelegenen [in dieße] Verlaßenschafft gehöriger her[nach beschrie]bene behaußung ist befunden worden ls Volgt
Auff der bühnen, In der Soldaten Cammer, In der Wohnstuben
Eigenthumb ane einer behaußung. It. hauß und hoffstatt, in der Uttengaß (…)
Ergäntzung der Wittib Unveränderten guth. Obwohlen beede eingangs gemelte Eheleüthe ihre beederseits zugebrachte Nahrung in die Ehe nicht inventiren laßen, so hat man solche Vermög ihren mit einander Vfgerichteten Ehepacta darinnen Sie sich die Ergätz. expressé reservirt v. vorbehalten so viel möglich war aus glaubhafften documenten v. was dier wittib bekandlich (…)
Norma hujus inventarii. Copia der Eigenthümlich gehörig, Copia Testamenti nuncupativi
Der wittib unveränderte Nahr. Sa. haußraths 6, Sa. silbers 1, Sa. guldenen ring 3,Sa. Sa. 25, Sa. Ergäntzung 81, Summa summarum 117 lb
Hierauff wird auch der Erben unveränderte Nahr. beschrieben, Sa. haußraths 9, Sa. Eigenthums ane liegende Veld ackern 120, Sa. Ergäntzung 524, Summa summarum 653 lb – Schulden 25, Nach deren Abzug 628 lb
Endlichen wird auch die Theilbare Nahr. beschrieben, Sa. haußraths 13, Sa. wein und leeren vaßen 22, Sa. Eigenthumb ane einer behaußung 175, Summa summarum 218 lb – Schulden 632 lb, die theilbare passiva übertreffen die Theilbare Nahr. 414. lb
La veuve Catherine Meyer se remarie avec François von Gachnant, éperonnier réformé originaire de Bâle
1705 (27.1.), Me Kolb (Jean Pierre, 23 Not 14)
(Eheberedung) zwischen dem Ehrengeachten Hn Frantz Von Gachnant ledigen Spohrern Hn Jacob von Gachnant Schuhmachers und burgers Zu Basel ehelichen Sohn, dem brautigamb ane Einem,
So dann der Ehren und tugendsamen fr. Mariæ Barbaræ gebohrner Meÿerin, weÿl. Hn Johannes Hemmlers geweßten würths und gastgebers auch burgers Zu Straßb. ehelich hinderlaßener wittib der fr. hochzeiterin am andern theil – Actum und verhandelt seind dieße ding in der Königl. freÿ. Statt Straßb. auf Montag den 27. Januarÿ Anno 1705 [unterzeichnet] Frantz Von Gachnant, m b m dießes ist fr. Mariæ Barbaræ Meÿerin der hochzeiterin eigen Nahmens Zeichen
Mariage (Strasbourg-Wolfisheim, réformés, f° 121-v)
1705. den 28.ten dito [Januarÿ] seind eingesegnet worden Frantz von Gachnant, Meister Jacob von Gachnant Burgers und Schuhmachers in Baßel ehel. Sohn, Fr. Maria Barbara Meÿerin weÿl. Johannes Hemmlers geweßenen burgers und würths zum Guldenen Entlin in Straßburg nachgel. wittib (i 132)
Le cordonnier Jean Hemmler est autorisé à devenir aubergiste à l’essai pendant quatre mois. Il donne une réponse évasive quand les préposés lui demandent un mois plus tard s’il a l’intention de continuer sa nouvelle activité
1691, Protocole des Quinze (2 R 95)
Johannes Hemler der schuemacher pt° Weinschancks
(f° 45) Donnerst. den 31. Martÿ – Johannes Hemler, der schuemacher per Künast, bitt undth. Umb deb Weinschanck, mit erbiethen, die Gewohnliche Vierteljährige gebühr Vor dem schild jnn das Umbgeld Zu lüferen, Und es eine Zeitlang zu probiren, als dann Nach befundung d. handwerck Zu quittiren Und beÿ den Würthen leibzünfftig Zu werden Und setzts. Erk. Vor Obere Umbgelthsherren gewießen.
(f° 55-v) Freÿt. den 20. April – Iidem [Obere Umbgelthsherren] per Herrn Schragen, daß Johannes Hemler, d. schuemacher, ebenmäßig Umb die permission, die Würtschafft auff die prob Zutreiben, angehalten, Und, als mann ihn gestrigen tags darüber gehört, beditten habe, daß er den schanck länger nicht als auf ein Vierdel jahr Verlangte, den Schild Zur goldenen ent nennen, d. Umbgeld gleich richtig machen, Und Vor ged. schild quartaliter einen halben thaler Zahlen, Auch wann daß weinschanck ihre Zuschlägt, er beÿ E. E. Zunfft d Freiburger sich leibzünfftig machen wolte, Welches mann so argsehen, daß mann ihme sein begehren nicht wohl werden erschwehren Können, Und wann d. gemeldte Viertel jahr Vorbeÿ, so werde als dann Ferners Ihn d. sach Zureden seÿn, Zu Mghh. stelled. Erk. Beliebt.
Le cordonnier Jean Hemmler vend 300 livres la maison au passementier Georges Christophe Neumann. La rue Sainte-Barbe où se trouve la maison est désormais appelée Höllengass, soit rue Sainte-Hélène ou rue de l’Enfer.
1691 (17.2.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 130-v
Johann Hämler, der Schuhmacher
in gegensein Georg Christoph Neumanns deß Paßmentierers
hauß, hoffstatt, höfflein mit allen deren Gebaüen, Begriffen, recht und Zugehördten, allhier in St. Barbara gaßen so ietz die Höllengaß genandt, einseit neben der Samlung Zur dritten Regul modo Hn Johann Jacob Dannbach Diacon. Zum alt. S. Peter, anderseit neben einem hauß dem Stifft St Wilhelm, modo weil. H. Johann Möegelin Med. Doct. sel. witt. und Erben, stoßend gelegen, darvon gieng. jährlich 55 modo 4 R Straßb. wehr. obged. Samblung modo dem Corpori der Pensionen, ablösig mit 100 R besagter wehr. – geschehen umb 500 gulden
L’acquéreur hypothèque aussitôt la maison au profit de Madeleine Willich, veuve du préposé au sel Jean Gross. En marge, quittance remise à la veuve de l’acquéreur, Anne Catherine Ettlinger.
1691 (17.2.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 131-v
Georg Christoph Neumann der Paßmentierer
in gegensein Fr. Magdalenæ gebohrner Willichin, weÿl. H. Johannis Großen, gewesenen Saltzverwalthers und dreÿers deß Umbgelds sel. nachgelaßener Wittib mit beÿstand Johann Heinrich Kaüffers, deß Schreiners, Ihres Vogts – schuldig seÿe 150 pfund, zu Erkauffung nach beschriebener hypothecirter behaußung
unterpfand, hauß, hoffstatt & perge auß immediate vorstehend. verschr.
[in margine :] (…) in gegensein Annæ Catharinæ gebohrner Ettlingerin, deß debitoris hinterlaßene wittib mit beÿstand Christoph Spanners, deß Einspännigers, ihres Vogts (quittung), den 1. aug. 1698
Le passementier Georges Christophe Neumann acquiert le droit de bourgeoisie en juin 1669 à titre gratuit et se marie l’année suivante avec Anne Catherine Ettlinger.
1669, 3° Livre de bourgeoisie p. 979
Georg Christoph Neumann der Paßmentmacher, empfangt daß burgerrecht gratis und Will auf E. E. Zunfft Zum Spiegel dienen. Jurav. den 19. Junÿ A° 1669.
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 126-v, n° 18)
1670 – Zur 2 mahl Georg Christoph Neuman der Paßmentmacher u. Burger alhier, Jfr. Anna Catharina, Weiland Hr Johann David Edlings gewesenen Scribenten* nachgelaßene ehel. T., Donnerstags den 21.ten Aprilis Münster
Georges Christophe Neumann quitte la ville. Un inventaire de ses biens est dressé pour cause de dettes. La masse propre à la femme est de 285 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 555 livres, le passif à 1 046 livres.
1695 (3.5.), Me Oesinger (Jean Adam, 39 Not 1) n° 8
Inventarium undt beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Gütter, Liegender und Vahrender Veränderter und Unveränderter so Georg Christoph Newmann der außgewichene Paßmentirer und burger alhier zu Straßburg hinder sich gelaßen, Welche der Vrsachen Weilen sich verschiedene schuldtforderung hervorgethan, auf Ansuchen deß Von hernach bemelter seiner hinderlaßenen Ehefrauen beÿ E. E. Kleinen Rath alhie gethanes ansuch. und darauffhien erhaltene erlaubnuß (…) ersucht durch fraw Anna Catharina gebohrene Etlingerin obgemelden Newmanns Verlaßene Ehefrau mit beÿstandt deß Ehrenvesten und Vorachtbahren herrn Georg Speckerts specerirers und burgers alhie ihres geschwornen Curatoris Inventirt und ersucht – Actum und angefangen in der Königlichen freÿen Statt Straßb. dienstag den 3.ten Maÿ A° 1695.
In einer in der Statt Straßburg in der Höllengaß gelegenen in die Nahrung gehörigen behaußung befunden Worden alß Volgt
Im Laden Unden der Kürschner stub – Im Hauß, Auff der obern bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, In der Wohnstub, Im Hauß öhren, In d. Kuchen, Im Keller
Eigenthumb ane einer behaußung. Hauß Hoffstatt und Höfflin mit allen Begriffen, Weithen, Rechten, Zugehördten und gerechtigkeiten gelegen alhie in St. Barbaræ gaßen so jetzt die Hellengaß genannt Wird, einseit neben H. Hn Johann Jacob Dannbach Diaconi Zum alten St Peter anderseit weÿl. H Tobiæ Garings geweßenen Statt Kachlers alhie seelig. Erben hinden auf Herr Joh: Jacob Heinricj Medicinæ Doct. stoßend dauon gehen Jahrs auf Joh. Bapt: 4. fl. Zinß Straßb. Wehrung dem Corpori der pensionen alhie welche in bemelder Wehrung Wiederlößig mit 50. lb. Item 6 lb gelts a 4 pro Cento Jährlichen auf den 17. Februarÿ weÿl. H Joh: Groß. gewesenen bedienten in hießigem Saltzhauß seel. ehel. wittib ablößig mit 150. lb, Sonsten freÿ ledig und eigen und über dieße beschwehrten jedoch niemanden Zur præjuditz wie sie erkaufft worden alhie annoch in außwurff gebarcht p. 100. lb. Darüber sagt i. teutscher Pergamentener Kauffbrieff in alhießiger Cantzleÿ Contractstub gefertiget mit deren anhang. Insigel Verwahrt, datirt deb 17. Februarÿ Anno 1691. mit N° 1 notirt.
Ergäntzung der frawen in den Ehestand gebrachten Unveränderten Vermögens. Crafft deß über Georg Christoph Neumanns Paßmentirers und Fr Catharina Ettlingerin durch weÿl. Johann Georg Jäger Notarium publicum seeligen in A° 1670. einand. in den Ehestand Zugebracht
Abzug in dießem Inventario gebürtig. Der Frawen Gueth, Sa. haußraths 7, Sa. Silber geschmeids und Guldener Ring 13, Sa. Pfenningthurn 52, Sa. Schulden 92, Sa. Gülth von liegenden güthern 5, Sa. Ergäntzungs rest 115, Summa summarum 285 lb
Des Manns Theilbare Nahrung Under eine Massam, Sa. Haußraths 130, Schiffmann auch gemachter arbeith Zum Paßmentmacher handwerckh gehörig 1268, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 11, Sa. Guldener Ring 5, Sa. der baarschafft 2, Sa. Eigenthumbs ane einer behausung 100, Sa. Schulden 36, Summa summarum 1555 lb – Passiva 1046 lb, Nach deren Abzug 508 lb
N° 10. Verkauff und Erlöß Registerlein, innhaltend alles dasjenige so abe Meister Georg Christoph Newmanns deß Paßmentmachers und burgers alhier (…) – Actum in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Mittwoch den 6.ten Julÿ Anno 1695
Le passementier célibataire Elie Neumann et Anne Dorothée Neumann, veuve du boutonnier Jean Michel Braun, vendent la maison 400 livres au tailleur Jean Metzger et à sa femme Anne Marguerite Dürr
1700 (16.7.), Chambre des Contrats, vol. 573 f° 404
Elias Neumann, der Paßmentmacher, so majorennis, mit beÿstand H. Cladi Wilhelm, deß sattlers, seines noch ohnentledigten Vogts, So dann Anna Dorothe geb. Neumännin, weÿl. Johann Michael Braunen gewesten Knöpffmachers sel. nachgelaßene wittib mit beÿstand H. Christoph Pfanners, deß Einspännigers ihres Vogts
in gegensein Johannis Metzgers, deß Schneiders und Annæ Margarethæ geb. dürrin mit beÿstand Hn Heinrich Reichard, deß Schneiders, Ihres Vettern, daß Sie beede Neumännische Geschwistrige (verkaufft haben)
hauß, hoffstatt, höfflein mit allen Ihren Gebaüen, Recht. Und Zugehördt. allhier in der Höllengaßen, eins. neben Johann Daniel Müller den Küffer and. seit neben weÿl. tobias Garinin gewes. Statt Kachlers sel Erb. hind. auff H. Joh: Jacob Henrici Medic. Doctoren stoßend gelegen, darvon gehend jährlich 4. gulden ablößig mit Ein hundert gulden, umb 300 pfund
[in margine, f° 405 :] in gegensein Vorged. Johann Metzgers des Kaüffers Und besitzers des hie Vorgemeldten in d. Hellengaß liegend. Haußes (Quittung), den 24. sept. 1715
Tailleur originaire de Kirrwiller dans le comté de Hanau, Jean Metzger épouse en 1695 Anne Marguerite Dürr, fille de pêcheur et devient bourgeois un mois plus tard
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 49-v, n° 264)
Heut den 24 augusti A° 1695. ist von mir (…) nach geschehenen ordentlich. Proclamation Copulirt worden Johannes Metzger der ledige Schneider von Kehrweÿler hochfürstlich- Hauauischer Herrschafft, Abraham Metzgers des burgers und Rebmanns daselbst ehelicher sohn, mit Jfr. Anna Margaretha, weÿl. Johann Michael Dürren, des gewesenen burgers undt fischers allhier nachgelaßene eheliche tochter – (si go. Johanes Metzger als hochzeiter, hochzeiterin zeich. +)
1695, 4° Livre de bourgeoisie p. 660
Johannes Metzger, der schneider Von Kirrweÿler Hanaw: Herrschafft, Abraham Metzgers Reebmanns allda Eh: sohn, empfangt das burgerrecht Von Margaretha, weÿl. Joh: Michael Dürren gewes. burgers und fischers allhie, hint. Eh. tochter p. 2. goldR. 16. ß, so bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt worden, Vnd wird zu E.E. Zunfft der schneider dienen. Juravit d 8. 8.bris 1695.
Jean Metzger et Anne Marguerite Dürr hypothèquent la maison au profit du pasteur Jean Jacques Hirschel
1725 (19.1.), Chambre des Contrats, vol. 599 f° 26
Johannes Metzger der Schneider und Anna Margaretha geb. dürrin beiständlich ihrer beeden geschwistrigkinder Johann Daniel und Johann Jacob der dürren fischern
in gegensein H. M. Johann Jacob Hirschel Pfarrers der evangelischen gemeind zum Jungen St Peter – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Eine Behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahne der höllen gaß, einseit neben Samuel rouffier dem Tabackhändler anderseit neben hannß Michael Fügner dem Glaßer hinten auff weÿl. H. D.di Joh: Friedrich Wieger gewesten wolhlverdienten Contractum Actuarÿ seel. Fr: wittib und Erben
Jean Metzger et Anne Marguerite Dürr hypothèquent la maison au profit de la Chartreuse
1731 (25.10.), Chambre des Contrats, vol. 605 f° 435-v
Johannes Metzger Schneider und Anna Margaretha geb. dürrin beiständlich ihrer geschwistrigkinder Johann Heinrich Berger glaßers und Friedrich Fleichbein Schuemachers
in gegensein allhiesigen Stiffts Carthauß Schaffners H. Mr Johann Jacob Dorßner – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, Eine Behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ahne der höllen gaß, einseit neben Samuel Rouffier dem tabackhändler anderseit neben hannß Michael Fügner dem Glaßer hinten auff weÿl. H. Ddi Johann Friderich Wieger gewesten C. Contractuum actuarÿ Fr. Wittib
Jean Metzger et Anne Marguerite Dürr hypothèquent la maison au profit de (leur fille) Marie Marguerite Metzger, femme abandonnée du tailleur Michel Gsell
1735 (9.8.), Chambre des Contrats, vol. 609 f° 546-v
Johannes Metzger der schneider und Anna Margaretha geb. Dürrin mit beÿstand ihres geschwistrigkindts Johann Friedrich Fleischmann des schuhmachers und ihres geschwistrigkindts ehemanns Balthasar Mützel des schneider
hatt in gegensein Fr. Mariæ Margarethæ geb. Metzgerin Michael Gsell des ausgetrettenen Schneiders verlassene Ehefrau – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, Ein höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und rechten in der höllengaß einseit neben Samuel Ruffier dem tabackhändler anderseit neben Johann Jacob Fügner dem glaßer hinten auff weÿl. H. Johann Friedrich Wieger J.V.Lti. und Canc: Contr: Actuarÿ seel. Fr. wittib – als ein am 16. julÿ 1700 erkaufftes guth
Jean Metzger et Anne Marguerite Dürr hypothèquent une nouvelle fois la maison au profit du pasteur Jean Jacques Hirschel
1741 (23.2.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 82-v
Johann Metzger schneider und Anna Margaretha geb. Dürrin beÿständlich Johann Friedrich Fleischbein des schuhmachers ihres geschwistrig Kinds und Georg Friedrich Fleischbein des schuhmachers erstgelten Fleischbein sohns
hatt in gegensein Christian Häffners des schneiders als mandatarius H. Mag. Johann Jacob Hirschels Pfarrers zum jungen St Peter – schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, ein hauß, hoffstatt, höfflein cum appertinentis in der Höllengaß, einseit neben H. Ruffier dem handelsmann anderseit neben Fügner dem glaßer hinten auff H. Cammerrat Greuhm
L’inventaire non conservé de Jean Metzger et d’Anne Marguerite Dürr est dressé en 1741. La maison revient à leur fille Marie Marguerite
1741, Me Stoeber l’aîné (répert. 6 E 41, 1127-1) n° 99
Inventarium über Weil. Mstr. Joh: Metzger Schneiders und Fraun Anna Margaretha geb. Dürrin beeder Eheleuthe Verlassenschafft
Marie Marguerite Metzger épouse en 1725 Michel Gsell, tailleur originaire d’Ittenheim : contrat de mariage, célébration
1725 (17.9.), Me Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 52) n° 5
Eheberedung zwischen Michael Gesellen, Ledigen Schneidern, Simon Gesellen burgers Zu Ittenheim Straßburgischer Herrschafft ehelig erzeugtem Sohn, alß dem bräutigam, beÿständlich H. Diebold Gesellen burgers und Schuhmachers allhier seines Vettern ane Einem,
So dann Jgfr. Mariæ Margarethæ H Johann Metzgers burgers und Schneiders allhier ehelich erzeugter Tochter mit assistentz gedachten Ihres Vatters andern theils – Actum Straßburg Montags den 17. Septembris Anno 1725 [unterzeichnet] Michael gesell als hochzeiter, Maria Margaretha metzgerin als hochzeiterin
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 197, n° 1119)
Anno 1726 den 8. Maji seind nach geschehener ordentlicher ausruffung in der Kirch Zu St. Thomas ehelich eingesegnet worden Michael Gesell der ledige Schneider von Ittenheim, Simon Gesell des burgers und Schneiders daselbste cit.er Sohn, und Jungfr. Maria Margaretha Johannes Metzgers, deß burgers und Schneiders alhier ehel. tochter [unterzeichnet] Michael gesell als hochzeiter, Maria Margaräta Metzgerin als hochzeitrin
Le boutonnier Jean Joseph Fimbel qui deviendra le deuxième mari de Marie Marguerite Metzger épouse en premières noces Catherine Marguerite Sattler en 1730 : contrat de mariage, célébration
1730 (24.7.), Me Lobstein (Jean, 31 Not 77) n° 230
(Eheberedung) zwischen dem Ehrenvest und Wohl Vorgeachten Herrn Johann Joseph Fimbel, Ledigen Knöpffmacher, weÿland des Ehren und Wohlgeachten herrn Johann Philipp Fimbels, des gewesenen haußfeurers und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen nachgelaßenem Sohn, als dem herrn bräutigamb, ane einem,
So dann der Viel Ehren: und Tugendgezierten Jungfrauen Catharina Margaretha Sattlerin, weÿland des Wohl Ehrenvest Und Großachtbahren herrn Johann Balthasar Sattlers geweßenen Weißlein wadhändlers und vornehmen burgers allhier Zu Straßburg, längst seeligen hinterlassener ehelich erzeugter tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem anderen theil – So beschehen und Verhandelt in Löbl. Statt Straßburg, auf Montag den 24. Tag des Monaths Julÿ im Jahr 1730
Exemplaire du contrat de mariage sous la cote 94 Z 53
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 216-v, n° 1230)
Anno 1730. den 23 augusti seind nach geschehener ordentl. ausruffung in der Kirch zu St. Thomas ehelich eingesegnet worden H Johann Joseph Fimbel der ledige Knopffmacher, weiland H Johann Philipp Fimbel deß gew. burgers und becken alhie hinderlaßener sohn und Jungfr. Catharina Margaretha weiland H Johann Balthasar Sattler des gew. burgers und handelsmanns alhie hinderlaßen ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Joseph Fimpel als hochzeiter, Cathrina Margeta Sattlerin als hochzderin)
Jean Joseph Fimbel et Catherine Marguerite Sattler font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison de location au Vieux-Marché-aux-Grains. Les biens du mari ont une valeur de 87 livres, ceux de la femme de 2 123 livres.
1730 (20. 7.bris), Me Lobstein (Jean, 31 Not 29) n° 651
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so der Ehren und Wohlvorgeachte Herr Johann Joseph Fimbel der Knöpffmacher und die Viel Ehren: und tugendsahme Frau Catharina Margaretha Fimbelin gebohrne Sattlerin, beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander Vor ohnverändert in den Ehestand zugebracht, welche der ursachen, allweilen in Ihr beeder Eheleuth mit einander auffgerichteten Heuraths verschreibung expressé enthalten, daß eines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert sein und bleiben solle – So beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein des Wohl Ehren Vest und Großachtbahren herrn Johann Balthasar Hummels des Pastetenbecken und burgers allhier der Ehefrauen noch ohnentledigten Curatoris, auf Mittwoch den 20.ten Septembris Anno 1730.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Korn Marckt gelegenen und in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Manns in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 54, Sa. Werckzeugs und Wahr Zum Knöpffmacher handwerck gehörig 39, Sa. Silbergeschmeids 6, Sa. Eigenthumb ane Reeben 50, Summa summarum 149 lb – Schulden 91 lb, Detrahendo Verbleibt 58, dazu gelegt ene denen Verherten haußsteuren die Ihme gebührige helffte 29 lb, des Ehemanns Völligen Guth 87 lb
Der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 305, Sa. Lährer Vaß 7, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 61, Sa. Goldener Ring 45, Sa. baarschafft 430, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1224, Sa. Schulden in die Nahrung zugeltend 19, Summa summarum 2094 lb – dazu kombt ferner der halbe theil ane denen haussteuren 29 lb, der Frauen völligen in die Ehe gebracht Vermögen 2123. lb
Jean Joseph Fimbel épouse en 1742 Marie Marguerite Metzger, veuve de Michel Gsell : contrat de mariage, célébration à Illkirch
1742 (6. 8.bris), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 425) n° 46
(Eheberedung) zwischen dem Ehren: und Wohlvorgeachten Herrn Johann Joseph Fimbel, dem Knöpffmacher und Seidenhändler auch burger allhier zu Straßburg, Wittibern, als dem herrn bräutigamb ane einem,
So dann der Ehren und tugendsahmen Frauen Maria Margaretha gebohrner Metzgerin, Weÿland des Ehrengeachten Meister Michael Gsell, geweßenen Schneiders und burgers allhier nachgelaßener Wittib als der Frauen hochzeiterin an dem andern theil – So beschehen in Straßburg (…) auf Sambstag den 6. octobris Anno 1742 [unterzeichnet] Johann Joseph Fimpel als Hochzeiter, maria margareth gsellin als hochzeiterin
Mariage, Illkirch (luth. f° 14-v)
1742 – M DCC CLII, d. 7. 8.bris sind auf permission schein Hoch Adel. Obrigkeit alhier zum I. und 2 mal zu gleich aus geruffen und den 8* ejusdem ehl. copulirt und eingesegnet worden Johann Joseph Fimbel der burg. und Knöpffmach. zu Strasb. jetzig. Zeit wittiber, Und frau Maria Margaretha Metzgerin weÿl. Michael Gesellen des gewesenen burg. und schneiders zu Strasb. hinterlaßene wittib [unterzeichnet] Johann Joseph fimpel als hochzeiter, maria margreda metzgerin als Hochzeiterin (i 165)
Jean Joseph Fimpel et Anne Marguerite Metzger hypothèquent la maison au profit de Marie Madeleine Bressler, femme du marchand Nicolas Henri Schreider
1743 (14.3.), Chambre des Contrats, vol. 617 n° 102
H. Johann Joseph Fimpel der knopffmacher und Fr. Anna Margaretha geb. Metzgerin mit beÿstand H. Lt Schublers und H. Zeÿß beede EE. kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein Fr. Mariæ Magdalenæ geb. Breßlein H. Nicolaus Heinrich Schreider des handelsmanns Ehliebstin beÿständlich deßelben mit fernern assistentz ihres curatoris ad lites Johann Rudolph Dickel Not. publ. und Practici – schuldig seÿe 300 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt cum appertinentis ane der Höllengaß einseit neben H. Ruffier dem tabachändler anderseit neben Johann Jacob Fügner dem glaßer hinten auff weÿl. H. Cammer: Rath Greuhm wittib und erben – ihro Fr. Fimpelin als ein elterliches erbguth
Jean Joseph Fimpel meurt en 1745 en délaissant un fils issu de son deuxième mariage. Les experts estiment la maison 750 livres. La masse propre à la veuve présente un déficit de 44 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 309 livres, le passif à 1 441 livres.
1745 (22.4.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 364) n° 191
Inventarium über Weÿland des Ehren: und Wohlvorachtbahren herrn Johann Joseph Fimbels des geweßenen Knöpffmachers und Seidenhändlers auch burgers allhier nunmehr seel. Verlassenschafft, auffgerichtet Anno 1745 – als derselbe Mittwochs den 10.ten Martÿ dießes Lauffenden 1745.sten Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt, nach solch seinem aus dießer Welth genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen hinter sich verlaßen, auf freundliches ansuchen, erfordern und begehren des Ehren und Wohlvorgeachten herrn Johann Friderich Butz des Schneiders und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Johann Fimbels des seelig Verstorbenen mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen wittib ehelich erzeugten Söhnleins und ab intestato Verlaßenen Universal Erben ersucht und inventirt durch die Viel Ehren und tugendsahme Frau Mariam Margaretham Fimbelin gebohrne Metzgerin die hinterbliebene Wittib mit assistentz des Ehren und Wohl vorachtbahren Herrn Johann Samuel Bruders, des Knöpffmachers und Seidenhändlers auch burgers allhier Ihres ane Vogststatt erbettenen herrn beÿstands – So beschehen in Straßburg auf Donnerstag deb 22.ten Aprilis Anno 1745.
In einer allhier zu Straßburg ane der Höllengaß Liegenden, in dieße Verlassenschafft gehörigen und hieunden eingetragenen behausung, befunden Worden, Wie folgt
Eigenthumb ane einer behaußung. (W.) Eine behaußung, höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuen begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeit gelegen allhier zu Straßburg ane der höllengaß einseit neben Hn Samuel Ruffier dem tabachändler anderseit neben Joh: Jacob Füegner dem glaßer hinten auff weÿl. herrn Johann Heinrich Greuhmen J.U. Lti. und hochgräffl. Leiningischen Cammer Raths auch E: E: großen Raths alhier alten beÿsitzers seel. Frau wittib und Erben stoßend, so vor freÿ Ledig und eigen durch (die Werckmeister) Laut überschickter Schrifftlicher Abschatzung vom 5.ten Maji 1745. angeschlagen pro 750 lb. Darüber besagt ein alter teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract stub gefertiget und mit deri anhangendem Insiegel Verwahret de dato 17.ten februarÿ Anno 1691. mit altem N° 1 signirt und dabeÿ elaßen ([in margine :]) i. d° 16. Julÿ 1700.
– Abschatzung dem: 5. May: 1745. Auff begehren Weillandt deß Wohll achtbahren und bescheitenen Meister Joseph Viempell deß geweßenen Knöpf Machers seel. hinderlaßenen frau wittib und Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der höllen gaßen gëlegen, so ein seitß Neben H: Sammuell ruffier dem Dobach Macher, ander seitß Ane Meister finer, hindten auff H: raht Greimen stoßendt, wëlche behausung unden ein gangß ein stubel Kuchell hauß Ehren getrëmbter Keller der hoff darinn der bauch Këßel, oben zweÿ Stock über ein ander eine stube, Cammer Kuchen hauß Ehren, ein Klein Nebenß Cammërlein, under dem tach 3: Cammren, War über der tachstull mit einer besetzten bienen daß tach mit breidt Ziglen belegt sambt aller gerechtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen werck: Meisteren sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach an geschlagen wierdt Vor und Umb 1500 Gulten, Bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen Wërck Meistern [unterzeichnet] Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Wÿdem, Welchen der Abgeleibte seeliger von auch weÿland Frauen Catharina Margaretha Fimbelin gebohrner Sattlerin seiner geweßenen Ersten Ehegattin ebenmäßig seel. ad dies vitæ genoßen, das Eigenthum aber dero geschwüsterden und respectivé deren tochter nunmehro anheim fällig. – in ihrem den 24.ten Martÿ Anno 1740. vor mir Notario aufgerichteten Testamento nuncupativo §° 3.tio Ihren Fünff noch Lebenden ehe leiblichen geschwüster nachlegalßener tochter alßo allen Sechßen ins gemein diejenige 1159 Gulden so dieselbe auf ihre Zweÿen ältesten Herren brüdern Herrn Johann Balthasar und herrn Georg Friderich Sattler in zweÿen Capitalien stehen hatte legirt (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Heuraths Verschreibung. der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 20, Sa. Silbergeschmeids 2, Sa. Goldener Ring 7, Sa. Eigenthum ene einer behaußung 750, Summa summarum 780 lb – Schulden 825 lb, Passiv onus 44 lb
Demnach Wird nun auch des Erben ohnverändert und theilbare Nahrung zufolg hieoben eingetragenen berichts unter einer Massa beschrieben, Sa. hausraths 43, Sa. Werckzeugs zum Knöpffmacher Handwerck gehörig 2, Sa. Wahr zur Knöpffmacher Profession gehörig 5, Sa. Silbergeschmeids 3, Sa. baarschafft 45, Sa. Schulden 209, Summa summarum 309 lb – Schulden 1441 lb, Passiv onus 1132 lb
Conclusio finalis Inventarÿ dem Stall tax nach 485 lb, Warvon aber Wieder wegzurechnen der Wittib ohnveränderter Passiv-onus 44, Detrahendo verbleibt, Stall Summ 441 lb
Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden in das Erbe zugeltend 24 lb
Copia der Heuraths Verschreibung
Sépulture, Saint-Thomas (luth. Reg. du pasteur, f° 25, n° 150)
Anno 1745. Mitwoch den 10. Martii morgens zwischen 7. u. 8. ist gestorben und den 12. ejusd. zu St. Gallli begraben worden Hr. Johann Joseph Fimpel Knopffmacher und burger allhie seines alters 44: Jahr u. 25. tag. Seine Eltern waren weÿl. Wolffgang Philipp Fimpel gewesener weißbeck u. burger allhie und seine gewesene Ehefr. Anna Catharina Zängelin, Er ward verheurathet zum ersten mahl mit weÿl. fr: Maria Margaretha gebohrner Sattlerin, zum andern mahl aber mit fr. Maria Margaretha gebohrne Metzgerin, die er auch alß wittib zuverlaßen – [unterzeichnet] M. Johann Philipp Marheinicken Diac. Wilhelm. alß Schwager
Le gainier Daniel Baldner, héritier de sa femme Marie Madeleine Metzger, vend ses droits sur la maison à sa belle-soeur Marie Marguerite Metzger veuve de Joseph Fimpel
1748 (27.7.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 549
Daniel Baldner der Futralmacher als universal erb seiner ehefrau weÿl. Maria Magdalena geb. Metzgerin
seiner schwägerin Fr. Mariæ Margarethæ geb. Metzgerin weÿl. Joseph Fimpel des knopff machers wittib mit beÿstand Johann Friedrich Butz des schneiders
zufolg eines vor H. Not. Johann Daniel Stöber attestati auff einer ihre Fimpelische wittib eigenthümlich gehörig ane der Höllengaß einseit neben weÿl. Samuel Ruffier des tabac händlers erben anderseit neben Johann Jacob Fügner dem glaßer hinten auff weÿl. H. Cammer Rath Grimmer Fr wittib erben stoßend gelegene behausung ane elterlichen guth eine hauptsumm von 300 pfund
Marie Marguerite Metzger veuve de Joseph Fimpel meurt en 1752 en délaissant un fils de son deuxième mariage. Les experts estiment la maison 500 livres. L’actif de la succession s’élève à 573 livres, le passif à 641 livres.
1752 (25.2.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 375) n° 474
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren und Tugendsahmen Frauen Mariä Margarethä Fimbelin gebohrner Metzgerin auch Weÿland des Ehren: und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Joseph Fimbels des geweßenn Knöpffmachers und Seidenhändlers auch burgers allhier nunmehr seeligen hinterlaßener Wittib nun ebenmäßigen Verlassenschafft – als dieselbe Donnerstags den 17.ten dießen Monats Februarÿ dießes Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt, nach solch Jhrem aus dießer Welth genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen hinter sich verlaßen, auf freundliches ansuchen, erfordern und begehren des Ehren: und Wohlvorgeachten herrn Johann Friderich Butz, des ältern, Schneiders und burgers allhier als geordnet: und geschworenen Vogts Johann Fimbels der seelig Verstorbenen mit Vorernanntem Ihrem geweßenen Ehemann ebenmäßig seeligen ehelich erzeugten Söhnleins und ab intestato Verlaßenen Universal Erben, so acht Jahr alt ersucht und inventirt durch vorgedachten Herrn Johann Friderich Butz den ältern des Söhnleins Und Erben geschwornen Vogten, wie auch Jungfer Mariam Rosinam Irmelin Von Markirch gebürtig, der Abgeleibten seeligen geweßener Warterin (geäugt und gezeigt) – So beschehen in Straßburg auf Freÿtag den 25.ten Februarÿ Anno 1752.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Höllengaß Liegenden, in dieße Verlassenschafft gehörigen und hieunden eingetragenen behausung, befunden Worden, wie folgt
Eigenthumb ane einer behaußung. Eine behaußung, höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg ane der höllengaß, einseit neben Herrn Anthonj Ruffier dem handelsmann und E.E. großen Raths altem beÿsitzern, anderseit neben weÿland Johann Jacob Füegners des geweßenen Glaßers nachgelaßener Wittib und Erben, hinden auff Weÿland herrn Johann Heinrich Greuhmen J.U. Lti. und hochgräffl. Leiningischen Cammer Raths, auch E: E: großen Raths alhier alten beÿsitzers seel. Frau Wittib und Erben stoßend, so vor freÿ Ledig und eigen durch (die Werckmeister) Vermög überschickter Schrifftlicher Abschatzung Vom 1.ten Martÿ Anno 1752. angeschlagen Vor 500 lb. Hierüber ist vorhanden ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub aufgerichtet und mit dero anhangendem Insiegel bekräfftiget de dato 16. Julÿ Anno 1700. Dabeÿ ain alter auf allda gefertigter pergamentener Kauffbrieff de dato 17.ten februarÿ Anno 1691. mi altem N° 1 signirt und debeÿ gelaßen.
– Abschatzung Vom 1. Martÿ 1752. Auff begehren Weÿland frawen Mariä Margarethä Fimplerin gebohrner Metzgerin seel. hinterlaßener Erben, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in der höllengaß einseits neben Maria Dorothea Fügnerin Wittib, anderseits neben Herrn rathhern Ruffier und hinten auff Herrn Rathherr Greumen wittib stosend, gelegen auff dem boden ist eine Stuben und Küchen, In dem ersten stock ist eine Stuben Küchen Kammer und Hauß öhren, der zweÿte stock ist dem Ersteren gantz gleich, darüber ist eine Mançard mit breit Ziegeln belegt, Worunter etliche Kammern, hat auch ein höffel undt geträhmten Keller, Von uns den unterschriebenen der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistern nach Vorhero beschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigem Werth nach æstimirt und angeschlagen Worden, Vor und Umb, Ein Taußend Gulden [unterzeichnet] Jacob Biermeÿer Lohner, Ehrlacher Werck Meister deß Münsters, Werner Werckmeister
Wÿdem, Welchen die Abgeleibte seelige Wegen Johann Fimbels Ihren mit eingangs gedachtel Herrn Johann Joseph Fimbel Ihrem Verstorbenen Letztern Ehemann auch seeligen ehelich erzeugten Söhnleins gegen deßen Education und Alimentation biß Ihr seeliges Ende genoßen hat (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 64, Sa. Silbergeschmeids 5, Sa. Goldener Ring 4, Sa. Eigenthum ane einer behaußung 500, Summa summarum 573 lb – Schulden 641 lb, Passiv onus 67 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 172 lb, Wann man aber hievon weggerechnet wird deroselben eigenthümliches Passiv-onus nechst Vorher dem Stalltax nach anlangens 67, Verbleibt, Stall Summ 105 lb
Copia Codicilli
Le tailleur Jean Frédéric Butz rend compte de la tutelle des biens qui appartenaient à feu Jean Fimbel, fils de Jean Joseph Fimbel et de Marie Marguerite Metzger. Le locataire du rez-de-chaussée est le marchand de légumes Jean Georges Quant, celui du premier étage le cordonnier Steegmann, celui de l’étage supérieur le boutonnier Jean Gretzinger, Marie Rosine Irmelin loue en outre une chambre
1753 (25.4.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 377) n° 521
Rechnung Mein Johann Friderich Butz des ältern, Schneiders und burgers allhier als geordnet: und geschworenen vogts nunmehro weÿland Johann Fimbels, auch weÿland herrn Johann Joseph Fimbels geweßenen Knöpffmachers und Seidenhändlers auch burgers allhier mit ebenmäßig weÿland Frauen Maria Margaretha gebohrner Metzgerin beeder nunmehr seeligen ehelich erziehlten Söhnleins nun ebenmäßig seeligen inhaltend alles dasjenige was Ich von Anno 1745. als da Ich zu dießer Vogteÿ gekommen, biß den 25. Aprilis Anno 1753. ermelten meines Curandi halben Eingenommen und hingegen wieder Außgegeben, auch sinsten Vögtlicher weiße Verrichtet und Verhandelt habe. – Erste und Letste Rechnung dießer Vogteÿ
Corpus des Curandi Jährlich zugewarten habendes Hauß zinnß, Aus des Vogts sohns eigenthümlicher ane der höllengaß allhier Liegender behaußung gefallen Jährlichen ane Hauß zinnßen und Zwar aus der Undern Wohnung von Johann Georg Quant dem Fastenspeishändler, 12 lb
It. aus der Mittlern Wohnung Von einem Schumacher modo herrn Steegmann dem buchtrucker, 15 lb
It. aus der obern Wohnung Von Johann Gretzinger, dem Knöpffmacher vorhien, modo Herrn Alexander N. dem Musicanten, 14 lb
It. aus einem kleinen Stüblein von Jungfrauen Maria Rosina Irmelinin 3, summa 44 lb
Les héritiers de Jean Fimbel vendent la maison au notaire Jean Frédéric Lobstein
1753 (23.7.), Chambre des Contrats, vol. 627 f° 340
Johann Heinrich Füßel der kupfferschmidt, Fr. Catharina Margaretha geb. Fimpelin H. Johann Carl Klein des metzgers Ehefrau, mehr Fr. Maria Elisabetha geb. Wittichin Johann Jacob Böhm des kammachers Ehegattin, so dann Johann Philipp Füsel der kupfferschmidt als gewalthaber Jfr. Anna Margaretha Nonnenmännin und dero bruders Johann Peter Nonnenmann des becken
in gegensein H. Johann Friedrich Lobstein, Notarii publici jurati ac practici
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehör und rechten ane der Höllengaß, einseit neben H. Antoine Ruffier dem handelsmann und E. E. Großen Raths beÿsitzer anderseit neben H. Jacob Fügner des glasers wittib und erben hinten auff H. Cammer: Rath Greuhmen Fr. wittib und erben – denen Verkäufferen als Erben Johannes Fimpel – um 325 lb capital verhafftet, geschehen um 775 pfund
Jean Frédéric Lobstein qui vient d’acquérir une maison rue Sainte-Barbe vend celle qu’il possède rue Sainte-Hélène au perruquier Denis Hensel
1763 (2.5.), Chambre des Contrats, vol. 637 f° 217-v
H. Not. Johann Friedrich Lobstein
in gegensein Dyonisius Hänsel des peruckenmachers [unterzeichnet] hensel
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit begriffen, rechten und gerechtigkeiten ane der Höllengaß, einseit neben H. Rathh. Antoine Ruffier dem handelsmann, anderseit neben weÿl. Jacob Fügner des glaßers wittib underben, hinten auff Greuhmin geb. Fridericiin – als ein am 23. Julÿ 1753 erkaufftes guth – um 1425 pfund
Denis Hensel adresse une requête aux Quinze en 1758 pour une raison inconnue
1755, Protocole des Quinze (2 R 166)
Dionisius Häntzel Ca Perruquiers 54 [page fragmentaire]
Denis Hensel s’adresse en avril 1748 aux Quinze pour devenir tributaire selon l’ancien règlement. Le corps des perruquiers répond qu’il a décidé de ne plus recevoir que deux nouveaux perruquiers par an. La commission estime qu’il faut donner au pétitionnaire la même réponse qu’à la décision précédente et qu’il sera reçu l’année suivante à condition de rembourser les frais. En décembre, il demande une réduction de son droit d’admission. Le corps des perruquiers refuse.
1758, Protocole des Quinze (2 R 169, rapiarium 170)
Denis Henßele Ctra E. Löbl. Corps des Peruquiers
(p. 85) Sambstags d. 25. Martÿ – Christmann nôe Denis Henßele des Perruckenmachers Von hier, Ctra. E. löbl. Corps der Perruquiers producirt unt. bitten ut supra [widrigen handwerck bescheid Von Welchem Er an mghh. appellirt]. Erkannt similiter Verzeichnus
(p. 95) Sambstags den 8. Aprilis – Christmann nôe Denis Henßele des ledigen Perruckenmachers und burgers allhier Ctra. E. löbl. Corps der Perruquiers Hrn geschwohrene, producirt unterthäniges memoriale und bitten puncto meister rechts. Faust die geschwohrene bitten wegen wichtigen ursachen im Cop. et term. Ord. Christmann läßt Cop. Zu, bitt aber um Deputation, Faust priora. Erk. Cop. et Deputation
(p. 153) Sambstags d. 6. Maÿ – Iidem [Obere Handwercks Herren] laßen per Eundem [Secretarium Stædel] referiren es habe Denis Henßele der ledige Perruckenmacher und burger allhier den 8.ten Aprilis jüngst Ctra. E. löbl. Corps der Perruquiers Hrn geschwohrene in ein unterthäniges memoriale und bitten producirt und seine Conclusiones dahin eingereichet mghh geruhen Wollten in Rechten Zu erkennen und auszusprechen, daß unterthäniger Implorant auff den alten Fuß, weilen der neue artickel die erlag der 300 Livres betreffend erst lang und mehrere Jahr, als der Implorant ausgelernet und gereißet ertheilet worden und da Vor ungefehr Vier monath N Roßenbaum der perruquier eine gleiche gnade erhalten, gegen Erlag der alten gebühr so in fünffzig thaler bestehet, dispensando, in das meister recht auff: und angenommen werden solle, den (-) habe Imploratisches Corps unterthänige Exceptiones produciret und dahin Concludirt mghh geruheten dießeitiges Corps beÿ dem artickel daß nicht mehr jährlichen als zweÿ zum Meister recht gelangen sollen, gnädig zu manuteniren, mithin dem Imploranten noch zur zeit abzuweisen refusis expensis. Auff geschehene remission habe der implorant den jnnhalt seines petiti wiederhohlt und noch mahlen deßen gnädige Willfahr gebetten.
Die Vorige beede geschworne hätten sich auff ihre Exceptiones bezogen.
Weilen das begehren des Imploranten aber das nehmliche wie des Vorigen, als hätten die Hrn Deputirte auch hierinn Keiner anderen meinung seÿn können, als das dißer Implorant gegen ersetzung der unkosten und erlag der in denen articklen verordneten receptions gebühr Zu anfang Künfftigen jahrs zum meister recht der perruquiers zu admittiren seÿe. Erkandt bedacht gefolgt.
(p. 167) Sambstags d. 27.t Maÿ. Folgende bescheid sind Von denen Parthen begehret worden
Bescheid. Sambstags d. 6. Maÿ – In sachen Denis Hänßele des ledigen Perrucken machers und burgers allhier Imploranten an Einem, Entgegen und wieder E. E. Corps der Perruquiers geschwohrne Imploraten am andern theil, auff producirten unterthäniges memoriale Juncto petito, Wir geruhen Wollten in Rechten Zu erkennen und auszusprechen, daß der Implorant auff den alten Fuß gegen erlag der alten gebühr so in 50 thaler bestehet, dispensando, in das meister recht auff: und angenommen werden solle, übgegebene Exceptiones samt beÿgefügtem bitten, Wir geruheten die Imploraten beÿ dem articul zu manuteniren, mithin dem Imploranten noch zur zeit abzuweisen ref. exp. Gebettene, bewilligte und beseßene Deputation, auch all übrige derer Parthen angehörtes Vor und anbringen, ist derer Hhn Deputirten abgelegter relation nach Erkandt, daß der Implorant gegen ersetzung der unkosten und erlag der in denen articklen verordneten receptions gebühr Zu anfang Künfftigen Jahrs Zum meister Recht der Perruquiers zu admittiren seÿe.
(p. 396) Sambstags den 9. Decembris 1758. – Christmann nôe Denis Henßele des burgers und Perruckenmachers producirt unterthäniges memoriale und bitten sambt beÿlag sub N° 1 pt° gnädiger nachlaß an der Neuen receptions gebühr, ist Erkandt daß denen geschwohrenen zu dießem petito Zu Verkünden seÿe.
(p. 415) Sambstags den 16. Decembris 1758. – Christmann nôe Denis Henßele, Ctra E. löbl. Corps des Perruquiers geschwohrne erhohlt productum Vom 9.ten Hujus pt° einer gnädigen nachlaß der receptions gebühr. Faust bitt Cop. et ad proximam, obtinuit.
(p. 430) Sambstags den 23. Decembris 1758. – Christmann nôe Denis Henßele in actis Ctra E. löbl. Corps des Perruquiers Hrn geschwohrne auch in actis erhohlt productum Vom 9.ten Hujus, pples sagen, das Corps seÿe zu folg des artickels Von Gegnern würcklich befriediget worden, dahero Keines wegs gesinnet etwas heraus zugeben, umso weniger als die Rechnung auff dem Pfenningthurn abgelegt und das gelt dahin gelieffert worden, bitt demnach den Gegner mit seinem begehren abzuweißen. Christmann bitt ableßung producti und setzt. Erkant daß der Implorant mit seinem begehren abzuweißen.
Fils de blanchisseur, Denis Hensel épouse en 1759 Marie Barbe Giffard, fille de doreur : contrat de mariage, célébration
1758 (6.11.), Me Koch (6 E 41, 499) n° 247
Contrat de mariage – furent presens le Sr Denis Haensel, Me Perruquier fils majeur d’ans usant et jouissant de des droits, fils de feu le Sr Willibrode Haensel en son vivant blanchisseur bourgeois de cette d° ville et de Dlle Elisabeth Burin sa veuve, assisté du Sr Louis Christnacht Boulanger et bourgeois de Strasbourg d’une part,
Et Delle Marie Barbe Giffard, fille du Sr Antoine Giffard Doreur sur bois et bourgeois de cette ville et de feu Delle Marie Barbe Detrée ses Père et mère, assistée de son pere et du Sr Jean Giffard pareillement Doreur sur bois son Oncle, d’autre part – Fait lû et passé et interpretté en langue allemande audit Strasbourg le 6° novembre l’an de Grâce 1758 (signé) Denis Hensel, Marie Barbe Giffard
Mariage, Saint-Louis (cath. p. 87)
Hodie 14 mensis novembris anni 1758 unâ tantum proclamatione, accedente legitima cum dispensatione duarum in ecclesiâ nobis parochiali ad stum Ludovicum et unâ in ecclesiâ parochiali ad stum Petrum juniorem intra hanc urbem publice factâ (…) sacro matrinmonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Dionÿsius Hensel ex Ruprechtsau oriundus civis et tonsor argentinensis filius defuncti willibrodi Hensel olim vivus et lab* in Ruprechtsau et elisabethæ bürin superstitis ejus uxoris legitimæ et maria barbara giffard argentinensis filia antonii giffard civis et aurarii et defunctæ mariæ Barbaræ detrés Conjugum (signé) Denis hense, Marie Barbe giffard
La mère de Denis Hensel, Elisabeth Bur veuve de Willibrod Hensel, meurt dans la maison de son fils unique
1764 (30. 8.br), Me Haering (6 E 41, 1364) n° 259
Inventarium über Weÿland Frau Elisabethä geb. Burin längst weiland Willibrod Hänßel geweßenen bleichers und burgers allhier selig. hinterbl. Wb. auch seel. Verl. auffgerichtet Anno 1764 – nach ihrem den 6.ten hujus aus dießer Welt genommenen tödtl. Von Hinnen Scheiden, hie zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf gebührendes Ansuchen H. Dionisÿ Hänßel Perruquenmachers und hießig. burgers, als der Verstorbenen seel. nach tod Verlaßenen einigen Sohns und ab intestato Erben inventirt
So beschehen in einer alh. Zu Straßburg an St: Helenen Gaß gelegenen, dem Erben eigenthümlich zuständig. behaußung darinnen dieselbe wohnt, auf Dienstag den 30.ten 8.bris 1764.
Kleÿdung 19 lb, Schuld, Nemlich so zeigt der Verstorbenen seel. einiger Sohn und Erb, daß ihme seine Mutter Zu Erkauffung seiner behaußung baar Vorgeschoßen 4000 livres oder 1000 lb, Summa summarum und Stall summ 1019 lb
Denis Hensel et Marie Barbe Giffard hypothèquent la maison au profit de Joseph Gross
1768 (1.3.), Chambre des Contrats, vol. 642 f° 161
Dionis Hänßel der perruckenmacher und Maria Barbara geb. Giffard mit beÿstand Antoni Genard des aubergisten und Antoni Giffard des vergulders beede ihren nächsten
in gegensein H. Joseph Groß des saltzers – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane St. Helenä gaß, einseit neben H. Vonderruhr dem handelsmann anderseit neben denen Fügnerischen erben hinten auff H. Cammerrath Greum
Denis Hensel et Marie Barbe Giffard font dresser un inventaire de leurs biens pour cause de dettes. Les biens propres de la femme s’élèvent à 460 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 1 511 livres, le passif de 1 790 livres
1774 (12.12.), Me Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 877) n° 1 [partie au centre droit abîmé par l’humidité]
Inventarium über Dionisius Hänßel des Perruquenmachers und Fr. Mariæ Barbaræ gebohrner Giffard, beeder Eheleuthe und burgere dahier Zu Straßburg dermalen besitzende Activ: und Passiv Nahrung, auffgerichtet Anno 1774. – welches beÿderseitige Vermögen ad requisitionem gdachter Hänßelischer Ehefrauen, angesehen dero Mariti Massa mit Zimlichen Passivis behafftet, dahero dieselbe Zu Salvirung ihres unveränderten eigenthümlichen Guths beÿ E. E. Kleinen Rath um das Beneficium Cessionis in unterthänigkeit bereits eingekommen ist, inventirt und ersucht durch Sie die Ehefrau in beÿseÿn ihres Mariti – Actum allhier Zu Straßburg in einer an der St. Helenä Gaß gele[gen und] dißeitigen Mariti ohnverändert [theil]bahre Massam gehörigen und h[iernach ein]getragenen behaußung, in fernerem beisein H. Joh: Friderich Röderer, J. V. Lto und E. E. Kleinen Raths dermaligen beÿsitzersn als der Hänßelischen Ehefrauen ad hoc angesprochenen beÿstandt, angefangen Montags den 12. Decembris Anno 1774.
Eigenthum ane einer behaußung, (M.T.) Nemlich eine behaußung, Höflein und Hofstatt, mit allen deren begriffen, Rechten und Gerechtig Keiten, gelegen allhier zu Straßburg ane der St. Helenen Gaß, 1.s neben H. Joh: Georg Pick, dem silberarbeiter, anders. neben weil. Jacob Fügners, des geweßenen Glaßers Erben und hinten auf H. Cammerrath Friderich Carl Greum stoßend, so wuäer denen darauff hafftenden und hernach passivé eingetragenen Capitalien gegen männiglich freÿ leedig und eigen, Welche behaußung durch hiesiger Statt Werckmstr. vermög deren Zum Concept dieses Invÿ. gelüffert. Abschatzung Zeduls vom 11. Januarÿ 1775 dem jetzigen wahren Werth nach angeschlagen worden vor und umb 2300 fl. oder 1150 lb (barré, ohnpræjudicirlich angeschlagen wird, wie der Maritus selbige d. 2.ten Maÿ 1763 von H. Not. Joh .Friderich Lobstein allhier erkauft hat). Hierüber besagt ein in allh. C. C. Stub auf Pergament ausgefertigter und mit deroselben anhangendem Insiegel bekräfftigter Kaufbrieff de dato 2. Maÿ 1763.
Ergäntzung der Ehefrauen manglenden ohnveränderten Guths. Nach Anleitung eines dißorthiger beeder Eheleuthe mit einander errichteter Eheberedung annectirten Etat über der Ehefrauen Vor ohnverändert in die Ehe gebrachtes Vermögen
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Ehefrau unverändert Guth, Sa. hausraths 122 lb, Sa. Silbers 8 lb, Sa. goldenen Rings 2 lb, Sa. der Schuld 100 lb, Sa. der Ergäntzung 226 lb, Summa summarum 460 lb
Dießemnach wird auch des Ehemanns unverändert und theilbahr Guth und Zwar ohnversondert unter eunem Titul beschrieben, Sa. hausrath 276 lb, Sa. Silbers 13 lb, Sa. des goldenen Rings 7 lb, Sa. des Eigenthums ane einer Behaußung 1150 lb, Sa. der Schulden 64 lb, Summa summarum 1511 lb – Schulden 1790 lb, Compensando 278 lb, Sa. der zweiffelhaffte und verlohrene Schulden 65 lb
Copia der Eheberedung – furent presens le Sieur Denis Haensel, Maître Perruquier fils majeur d’ans usant et jouissant de des droits, fils de feu le Sr Willibrode haensel en son vivant Blanchisseur bourgeois de cette ville et de Dlle Elisabeth Burin sa veuve, assisté du Sieur Louis Christnacht Boulanger et bourgeois de Strasbourg d’une part, Et Delle Marie Barbe Giffard fille du Sr Antoine Giffard Doreur sur bois et bourgeois de cette ville et de feu Delle Marie Barbe Detrée ses Père et mère, assistée de son pere et du Sr Jean Giffard pareillement Doreur sur bois son Oncle, d’autre part – Fait lû et passé et interpretté en langue allemande audit Strasbourg le 6° novembre l’an de Grâce 1758, collationné Jean Richard Haering Notaire
Le Grand Sénat a attribué la maison à Barbe Giffard par décision du 4 mars 1776. Elle la vend 1 312 livres en 1778 au farinier David Braun et à sa femme Catherine Marguerite Seiler
1778 (14.8.), Chambre des Contrats, vol. 652 f° 260
Fr. Barbara geb. Giffard Denis Hensel des perruquenmachers zu guth geschiedene ehefrau unter assistentz Johann Ferdinand Berger
in gegensein H. David Braun des meelhändlers und Catharinæ Margarethæ geb. Seilerin unter assistentz Johann Geiß und Albrecht Magerer beede metzger
eine behausung, höfflein, gumpbronnen und höfflein mit allen denen gebäu, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Helenegaß, einseit neben Mr Fugner dem glaßer, anderseit neben H. Johann Georg Pick dem alten silberarbeiter, hinten auff H. Rathh. Greuhm – als ein in abschlag inhrer in die Ehe gebrachtes guth vermög bescheid E. E. Großen raths vom 4. Märtz 1776 gerichtlich entschlagenes guth – mit tapeten, eingemaurten bauchkößel, dreÿ gegoßen eißern ronde öfen samt den thürlein rohren und steinen begriffen – um 2624 gulden
Barbe Giffard expose la maison aux enchère publiques. David Braun se porte acquéreur, le notaire dresse une vente provisoire
1778 (12.8.), Me Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 898) n° 22, Interims kauff
Fraun Barbara geb. Giffard Denis Hensel des Peruckenmachers ehefrau unter assistentz Johann Ferdinand Berger
in gegensein H. David Braun dem meelhändler
die beÿ der vorbenamsten Ehemanns Creditmass geschäfts Erörterung zufolg E. E. grosen Raths Erkandnus derselben in solutum ihre forderungen eigenthümlich entschagene behaußung und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten an der höllengaß einseit neben Mr Fugner dem glaßer anderseit neben H. Rathh. Johann Georg Pick dem silberarbeiter hinten auff H Lt. Friedrich Carl Greuhm Exsenatorem – um 2624 gulden
(n° 21 vom 24 Aprilis) auf Ansuchen herrn Lt. Johann Friedrich Röderers als mandatarii Fraun Barbara geb. Giffard Dionisius Henßel des perruquenmachers Ehefraun, auff E.E. Zunft der Gerber begeben um daselbsten die in gedachtem henßels unverändert und theilbare Massam gehörig geweßene vorbenahmster deßen Ehefrauen aber auf Abschlag ihres mangelnden unveränderten Guths Ergäntzung und anderer an sothane Massam gehabter Anforderungen in solutum gerichtilich entschagene behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, rechten und gerechtigkeiten an der St: Helenä Gaß, einseit neben herrn Rathherrn Johann Georg Pick dem Silberarbeiter anderseit neben weÿl. Mr Jacob Fügners gew. glasers erben und hinten auf herrn Cammerrath Friedrich Carl Greuhm, um 2425 capital (versetzt) – kein Gebott – den 24. maÿ, kein gebott
Marie Barbe Giffard demande aux Quinze de l’exempter de payer la taille. Les Quinze refusent sur le rapport de la commission qui constate que les impôts ont déjà été réduits lorsque la maison lui a été attribuée et que le prix de vente de la maison suffit à payer les créanciers.
1780, Protocole des Quinze (2 R 190)
Maria Barbara geb. Chiffard, Dionisÿ Hänßel Perruckenmachers Ehefrau pt° Stallgebühren
(p. 191) Sambstags den 6. Aprilis 1780. Idem [Claus] nomine Mariä Barbarä gebohrner Chiffard, Dionisÿ Hänßel des hiesigen Perruckenmachers ehefrau producirt unterthäniges memoriale und bitten samt beÿlag N° 1 & 2 pt° nachlaß der Stallgebühren. Erkandt, Obere stallherren.
(p. 207) Sambstags den 13. Aprilis 1780. Iidem [Obere Stallherren] lassen ferner per me referiren, es habe Maria Barbara gebohrne Giffard, Dionisius Hänßel des burgers und Perruckenmachers allhier ehefrau beÿständlich Ihres Ehemanns den 6.ten dieses ein unterthäniges memoriale mit beÿlagen N° 1 & 2 übergeben und darinn gebetten MGHh. geruheten Zu erkennen daß Ihro unter dem oblato das vor vier Jahr mit 10. lb d schuldige Stallgeld Zu berichtigen jene Rückständige 25. lb 17 ß gäntzlichen nachzulaßen seÿen.
Beÿ besessener Deputation hat die Implorantin Leediglich Contenta memorialis et petiti widerholet. Die H. Deputirte Haben in untersuchung der sache Zweÿ umbstände wahrgenommen, welche der Implorantin Zuwider nemblich daß ihro ihres ehemanns Vermögen sub Conditione die vorgehende Creditores mithin auch Löbl. Stadt Stall Zu befriedigen entschlagen worden, Zweitens daß derselben in anno 1778. schon die Helffte der schuldigen Stallgebühren mit 72. R 5 ß Von MGhh. erlaßen worden, auch beÿ verkaufung der behaußung löbl. Statt Stall würde befriediget worden sein maßen der steig schilling hinlänglich ware den hypothecarios und provilegiatos aus Zuweißen dahero die H. Deputirte keiner andern meinung seÿn können alß daß Implorantin mit ihrem begehren abzuweißen seÿe. Erkandt, Bedacht Confirmirt.
Fils de fournier, le fournier David Braun épouse en 1743 Marguerite Dorothée Gretzinger, fille de serrurier : contrat de mariage, célébration
1743 (22.4.), Me Stoeber l’aîné (6 E 41, 1223) n° 118
Eheberedung zwischen dem Ehrengeachten David Braun, dem ledigen haußfeurer, Weÿl. Jacob Braun geweßten haußfeurers und bs allhier mit auch weÿl. Fr. Elisabetha geb. Beßererin nun beeder seel. ehelich erzeugtem Sohn alß dem hochzeiter, beÿständl. H. Johann Caspar Ober deß ältern weißbecken und burgers allhier seines erbettenen beÿstands ane einem,
So dann der Ehren und tugendsahmen Jgfr. Margarethæ Dorotheæ Gretzingerin, weÿl. Mr Johann Jacob Gretzinger deß geweßenen Schloßers und burgers allhier mit auch Weÿl. Fr. Maria Salome gebohrner Baderin nunmehr beeder seeel. eheliche ehelich erzeugter Tochter, alß der Hochzeiterin beÿständlich Mr Johannes Caspar Wischmeÿer des Schloßers und b. dahier ihres Schwagers und geschwornen Vogts ane dem ander theil gepflogen – Actum Straßb. Montags den 22. Aprilis A° 1743 [unterzeichnet] david braun als hochzeiter, Margda dorodes Gretzingerin
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 60, n° 9)
1743. Eodem [Mittwoch d. 15. Maÿ] sind nach zweÿmahl geschehener proclamationen in der Evangelischen Pfarrkirch u St. Nicl. in den Ehestand eingesegnet Worden Johann David Braun der ledige Schwartzbecker und Burger allhier, Weil. Johann Jacob Braunen geweßt. Schwartzbeckers u. Burgers allhier hinterlaßener ehl. Sohn, u. Jgfr Margaretha Dorothea Weil. Johann Jacob Grätzing.s geweßten Schloßers u. Burgers allhier hinterlaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Dauid Braun als hoch Ziedern Margreda dorodea Gretzingerin als braut ( 62)
Marguerite Dorothée Gretzinger fait dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison de location quai des Bateliers. L’actif s’élève à 220 livres et le passif de 283 livres
1744 (24.7.), Me Stoeber l’aîné (6 E 41, 1137) n° 279
Inventarium über der Ehren und tugendsahmen Frauen Margarethä Dorotheä Braunin gebohrner Gretzingerin zu dem Ehrengeachten David Braun dem haußfeurer und burgern allhier Zu Straßburg ihrem Ehemann in den Ehestand gebrachte Nahrung auffgerichtet in Anno 1744 – der ursachen alldieweilen in ihr beeder Eheleuthe vor mir Notario den 22. Aprilis 1743. auffgerichteten Eheberedung §° 3.tio expresse enthalten, daß einem jeeden sein in die Ehe bringendes Vermögen vor ohnverändert verbleiben solle – So beschehen in beÿsein vorgedachten David Braun des Ehemanns und Meister Johann Caspar Wischmeÿer des schloßers und burgers allhier dero Schwagers und noch ohnentledigten Vogts, Straßburg Freÿtags den 24. Junÿ Anno 1744.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Schiffleuth Staaden gelegenen dißorts Lehnungs weiß bewohnenden schwartzbecken behaußung befunden worden wie folgt
Antheil ane einer behaußung. Nembl. das dritte theil Vor ohnvertheilt Von und ane einer behaußung ane dem Metzger gießen (…)
Abzug gegenwärtigen Invÿ. Sa. haußraths 50, Sa. Silbers 11, Sa. Goldener Ring 2, Sa. der Baarschafft 101, Antheil ane 1.r behausung, Sa. der Schulden 54, Summa summarum 220. lb – Schulden 283 lb
Marguerite Dorothée Gretzinger meurt en 1759 dans la maison de l’huilier Jean Frédéric Kesselmeyer quai des Bateliers en délaissant trois enfants. La masse propre aux héritiers s’élève à 175 livres. L’actif du veuf et de la communauté s’élève à 123 livres, le passif à 351 livres.
1759 (15.9.), Me Stoeber l’aîné (6 E 41, 1178) n° 1154-b
Inventarium über Weÿl. der Ehren und tugendsamen Fraun Margarethä Dorotheä Braunin geb. Gretzingerin des Ehrsam und bescheidenen David Braun Schwatzbecken und burgers allhier Zu Straßburg geweßter Ehefraun nunmehr seel. Verlassenschafft auffgerichtet in A° 1759. – nach ihrem dienstags den 28.ten Augusti dießes Zu end gehenden 1759.ten jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren sein Mr David Braun deß hinterbliebenen Ws wie auch des Ehrsam und bescheidenen Johann Gretzinger Schloßers und burgers alhier der abgeleibten seel. eheleiblichen bruders als geordnet und geschworenen Vogts Johann Jacob, Margarethæ Salome und Susannæ Dorotheæ der Braunen, derselben mit ihme dem Wr ehelich erzeugter Kkr. undab intestato Verlaßene Erben – So beschehen Straßburg Sambstags den 15.ten Septembris Anno 1759.
In einer allhier Zu Straßburg oben am Schffleuthstaden gelegenen in weil. H. Joh: Friderich Keßelmeÿers gew Ohlmüllers und brs. allhier seel. Verlaßenschafft gehörigen und diesorts Zum theil Lehnung weiße bewohnenden behausung befunden worden wie folgt.
Antheil ane einer behaußung. (E.) Nembl. der dritte theil Vor ohnvertheilt Von und ane einer behaußung ane dem Metzger gießen (…)
Ergäntzung der Kinder und Erben abgegangenen ohnveränderten guth. Nach anleÿtung des über der Verstorbenen seel. ihrel Ehemann und nunmmahligen Ws in den Ehestand zugebrachte Nahrung durch mich Notarium den 24. Julÿ A° 1744. auffgerichtet
Abzug gegenwärtigen Inventarÿ. Der KKr und Erben ohnverändert Vermögen betr. Sa. haußraths 56, Sa. Silbergeschmeids 1, Sa. Antheils ane j.r behaußung 170, Sa. Activorum 109, Sa. Erg. 190, Summa summarum 527 lb – Schuld 351 lb, Nach deren Abzug 175 lb
Dießemnach wird alles übrig Vorhandene in deme der Kkr und Erben Vogt auf die theilbar Verlaßenschafft tam active quam passive renunciert, unter einem Titul alß in des Wb. Nahrung gehörig beschrieben, Sa. haußraths 49, Sa. Frucht und Meels 44, Sa. Silbergeschmeids 9, Sa. goldener Ring 1, Sa. baarschafft 5, Sa. Activorum 14, Summa summarum 123 lb – Schulden 351 lb, des Wrs passiv onus 227 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen allhier Zu Straßburg Montags den 22. Aprilis A° 1743, Johann Daniel Stöber Notarius
Copia geordneten Codicilli – die Ehren und tugendsahme Frau Margaretha Dorothea Braunin gebohrne Gretzingerin, Meister David Braun des becken und burgers allhier Ehefrau mich (Notarium) zu sich in die allhier zu Straßburg jenseit der neuen bruck oben am Schiffleuth Staden gelegenen Ohlbehaußung berufen, kommen und erbeten laßen, welche wir auf unser erscheinen in der über der Ohlmühl befindlichen Stub, mit den Fenstern in den Hoff aus sehende, unpäßlich auf einem Seßel sitzenden Leibs (…) Straßburg Dienstags den 12. Junÿ Anno 1759, Johann Daniel Stöber
Le farinier David Braun se remarie en 1760 avec Catherine Marguerite Seiler, fille d’un cordier d’Ehingen dans la juridiction de Hohenlohe : contrat de mariage, célébration
1760 (19.8.), Me Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 833) n° 132
Eheberedung – der Ehren: und Wohlvorachtbahre Herr David Braun, der Meelmann Wittiber und burger alhier
Und die Viel Ehren und tugendsahme Jungfer Catharina Margaretha Seilerin weil. Johann Balthasar Seiler des geweßenen Seilers und burgers zu Ehingen hochgräfflich hohenlohischer herrschafft nun seel. nachgelaßene tochter beiständlich Hn Cornelius Rödelmeÿers, des Schneiders und burgers alhier – auf dienstag den 19.ten Augusti Anno 1760
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 162, n° 30)
1760. Mittwoch d. I. Oct. wurden nach zweÿmahliger Außruffung in der Evangelischen Pfarr Kirche zu St. Nicolai ehelich eingesegnet, Johann David Braun, haußfeurern burger und Wittwer allhier, v. Jfr. Catharina Margaretha Seilerin von Oehringen hohenloischer Herrschafft weÿl. Johann Balthasar Seilers gew. Metzgers v. burgers daselbst hinterl. ehl. Tochter [unterzeichnet] Johan David braun als hochzeiter, Catharina Mrgrta Seÿern als loß
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Les biens du mari présentent un déficit de 80 livres, ceux de la femme s’élèvent à 168 livres.
1760 (11.11.), Me Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 797) f° 221
Inventarium über des Ehren: und Wohlachbahren Herrn David Braun, des Meelmanns und der Viel Ehren: und tugendsahmen Frauen Catharinä Margarethä Braunin gebohrner Seilerin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet in Anno 1760 – welche der ursachen alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe d. 19. augenscheii h. A. vor mir Notario errichteten Heuraths: Verschreibung enthalten, daß eines jeeden in die Ehe bringenden Nahrung Ihme ohnverändert seÿn und bleiben solle – So beschehen allhier Zu Straßburg in fernern beÿsein H. Joh: Jacob Starcken, des Schneiders des Ehemanns erbettenen beÿstands wie auch H. Johann Grötzingers, des Schloßers und b. dah. der Kinder erster Ehe geordnet: u. geschworenen Vogts, So dann H. Cornelÿ Ridelmeÿers des Schneiders u. b. dah. der Ehefrauen erbettenen Assistenten, auff Dienstag den 11. Novembris A° 1760.
In einer alhier zu Straßburg ane dem Schiffleuthstaden gelegenen und in diese zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden als folgt
der dreÿen Kinder Erster Ehe Pfetter Göttel und geschenckt geld, Johann Jacob gehörig, Margaretha Salome zuständig, Susanna Dorothea gebührig
Berechnung Worinnen Mr David Braun, des Meelmanns und burgers dahier Kinder erster Ehe Mütterlich Guth bestehet. Vermög Extractus aus dem über weiland Fraun Margarethä Dorotheä Braunin gebohrner Grötzingerin, des Mariti erstern Ehefraun seel. Verlassenschafft durch H. Notarium Johann Daniel Stöber d. 17. 7.br. et sequentibus a° 1759 vergriffenen Verkauff und Erlöß register
(f° 9-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ. des Ehemanns vor ohnverändert in den Ehestand Zugebracht Vermögen, Sa. hausraths 47, Sa. Silbers 8, Sa. Frucht Meel und Kleÿen 87, Sa. baarschafft 26, Sa. Schuld 4, Summa summarum 174 lb – Schulden 276 lb, In Compensatione 102 lb, Wann sazu abgezogen wird die Helffte ane denen Haussteuren antreffend 21 lb, des Ehemanns ohnverändert Passiva 80 lb
Dießemnach wird nun auch der Ehefraun vor ohnverändert in den Ehestand zugebracht Vermögen beschrieben, Sa. hausraths 47, Sa. Silbers 11, Sa. goldenen Rings 2, Sa. baarschafft 39, Sa. Schulden 48, Summa summarum 147 lb – Dazu gelegt die Helffte ane denen haussteuren 21 lb, der Ehefrauen völlige in den Ehestand gebracht guth 168 lb – (Beschluß summa) 87 lb
– Weil. Fr. Margaretha Dorothea Braunin geb. Gretzingerin Mr David Braun des Schwartzbecken haußfrauen nun seel. hinterlassener 3. Kinder völlig ererbt Mütterl. Guth so Er Mr David Braun biß zu ihrem Verehelichung oder 24. Jährigem Alter zu genießen berechtiget ist bestehet nach maaßgaab einer durch H. Notarium Joh: Daniel Stöber den 19. 7.br 1759 Vorgenommenen und allseiths approbirt und unterschriebenen berechnent außer den 3.ten theil Vor ohnvertheilt Von und ane einer behaußung höfflein, Hoffstatt und Stall auch allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier ane dem Metzgergießen 1.s neben Mr Brößamle des Küblers Wittib und Erben 2.s neben Mr Fre*ß dem Sattler uxorio në. hinten auf weil. H. Joseph Pasquay des geweßenen handelsmanns fr. Wittib und Erben stoßend und von welcher völligen behaußung man jährl. wegen des an selbigen befindlichen Erckers der stadt Straßburg Pfenningthurn 1 lb allmend zinß reicht
Le boulanger Jean David Braun demande à la tribu de la Lanterne à bénéficier du droit de vannage qui appartenait à Michel Morr. Elle refuse provisoirement
1761, Protocole de la tribu de la Lanterne (XI 211)
(f° 287-v) Kauffgericht Gehalten den 6. Junÿ 1761
Johann David Braun der beck bittet ihme Michael Morren wannenrecht Zu Conferiren.
Erkandt, seÿe der Implorant noch Zur gedult Zu verweisen
David Braun meurt en janvier 1782 en délaissant trois enfants issus de son premier mariage. Les experts estiment la maison 600 livres. La masse propre à la veuve est de 176 livres, celle des héritiers de 191 livres. L’actif de la communauté s’élève à 824 livres, le passif à 1 567 livres.
1782 (5.3.), Me Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 829) n° 932
Inventarium über Weiland Mr David Braun, des geweßenen Meelhändlers und burgers dahier zu Straßburg nun seeligen Verlassenschafft, auffgerichtet in Anno 1782 – nach seinem Mittwochs den 30.ten Januarÿ dieses lauffenden 1782.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlassenschafft inventirt word. auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren Frn. Catharinæ Margarethæ Braunin geb. Sailerin beistand. Mr Christian Ludwig Weiß des drehers und burgers allhier, wie auch des Verstorbenen seel. in erster Ehe mit längst weil. Frauen Margarethæ Dorotheæ geb. Gretzingerin seiner Erstern Ehefrauen seel. ehel. erziehlen dreÿer Kinder und ab intestato zu dreÿen gleichlingen portionen und Antheilern Verlaßene beneficial Erben – So beschehen alhier Zu Straßburg auf Dienstag den 5.ten Martÿ 1782.
Der Verstorbene seel. ab intestato Verlaßene Beneficial Erben seind. 1.mo Johann Jacob Braun, der leedige Schuemacher, so schon Viel Jahr in der frembde sich auf hält und von deßen Aufenthalt dermalen nichts wißen, deßen geordnet und geschworener Vogt ist Mr Johann Jacob Stock der Schneider und burger alhier, welcher Nahmens deselben bei dießerm Verlaßenschafft Inventario erschienen, In den Ersten dritten Stammtheil, 2.do Jgfr. Margaretha Salome Braunin, so majorennis und ohnbevögtigt, welche mit beÿhülff vorgedachten Mr Johann Jacob Stock, des Schneiders und burgers allhier bei gegenwärtigem Verlaßenschafft Geschäfft Zugegen warn In den Zweÿten dritten Stammtheil, und dann 3.tio Jgfr. Susanna Dorothea Braunin, so beÿ 24. Jahr alt und mit erstgedachtem Mr Johann Jacob Stock, dem Schneider und burger alier annoch bevögtiget ist, welcher beneben deroselben dießel Verlaßenschafft Geschäfft abwartete, In den dritten und letzten stammtheil. Alle dreÿ seind des Verstorbenen mit weÿl. Frn. Margaretha Dorothea Braunin geb. Gretzingerin seiner gewesenen Ersten Ehefraun seel. ehelich erziehlte Kinder und ab intestato verlaßene erben
In einer alhier zu Straßburg ane der Helenægaß gelegenen und in dieße Theilbahre Verlassenschafft gehörigen behaußung, befunden worden als folgt
(f° 6) Eigenthumb ane einer behausung (T.) Nemblichen eine behaußung, höfflein, Gumpbronnen und hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg ane der Helenä Gaß 1.s neben N. Fügner dem Glaßer, 2.s neben Johann Georg Pick dem Silberarbeiter, hinten auf Hn Rath. Greumen behaußung stoßend, so außer denen hernach gemelten darauf hafftenden Passiv: Capitalien, sonsten gegen männiglichen freÿ leedig eigen und durch löbl. Statt Straßburg geschworene Werckeluthe vermög Abschatzung Zeduls vom 7.ten Martÿ 1782. gewürdiget pro 600. Dießenwegen ist vorhanden ein in allhießiger CC. stub gefertigter teutscher pergamentener Kauffbrieff vom 14.ten Augusti 1778
Ergäntzung der hinterbliebenen Wittib wehrender Ehe abgegangenen ohnveränderten Guths, Vermög Inventarii über beeder Zertrennter Eheleuthe einander für ohnverändert durch mich Not. in A° 1760 gefertigt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung, den 19. aug. 1760 vor mir unterschriebenen Notario errichteter heuraths Verschreibung
der hinterbliebenen Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 14, Sa. Silbers 2, Sa. Goldener Rings 12 ß, Sa. Schuld 50, Sa. Ergäntzungs Rest 108, Summa summarum 176 lb
Dießemnach wird auch der Beneficial Erben ohnverändert Guth beschrieben, Sa. hausraths 20,Sa. Silbers 3, Summa summarum 23 lb – Schulden 214, In Compensatione 191 lb
Endlich wird auch das gemein, verändert und theilbahr Vermögen bemeldt, Sa. hausraths 12, Sa. Frucht, Meels und Kleÿen 30, Sa. Silbers 3, Sa. baarschafft 7, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 600, Sa. Schulden 169, Summa summarum 824 lb – Schulden 1567 lb, In Vergleichung 743 lb
Mehr Schulden als Nahrung dem Stalltax nach 758 lb
La veuve se remarie avec le meunier Matthias Klingler originaire de Blæsheim : contrat de mariage, célébration. Il devient bourgeois en mars 1783.
1782 (16. 7.br), Me Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 512
(Eheberedung) persönlich erschienen Matthias Klingler, der leedige Müller Von Bläßheim gebürtig Mathiä Klinglers, des geweßenen burgers und ackersmanns daeslbsten nachgelaßener Sohn, so längstens majorennis und ohnbevögtigt, als hochzeiter ane einem,
vnd Katharina Margaretha geb. Seilerin, weil. Mr David Braun, des geweßenen Meelhändlers und burgers allhier nachgelaßenee Wittib, beiständlich Mr Johann Jacob Starck des Schneiders und b. allhier als hochzeiterin
[unterzeichnet] Matthias Klingler Als hochtzeiter, Cathlen mrthga braun
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 63, n° 30)
1782. Dienstag den 10 Decembris sind, nach dem sie auf Erlaubnus des regirenden H. Ammeisters Sontags Vorher zum ersten und andernmahl zug. ausgeruffen worden in der Kirche zu St. Nicolai ehel. eingesegnet worden, Matthias Klinger ledige Mehlhändl. von Bläsheim gebürtig, weil. Matthias Klingler geweßenen Ackersmanns und burger allda mit weil. Fr. Salome gebohrne Goßin ehel. nachgelaßener Sohn, und Fr. Catharina Margaretha gebohrne Seilerin weil. Johann David Braun gewesenen Mehlhändl. und burgers allh. nachgelaßene wittib [unterzeichnet] Mattias Klingler als hochzeiter, Cathrina margretha breuin
1783, Livre de bourgeoisie 1783-1787 (VII 1559) f° 8-v
Mathias Klingler der Müller von blässheim gebürtig weÿland Mathias Klinglers gewesten ackersmans allda mit weÿland Salome gebohrner goßin ehl. erzeugt hinterlaßenen sohn, Verheurathet mit weÿland Joh: Daniel Braun gewesten burgers Vnnd Mehlmanns wittib gebohrner seÿlerin, erhaltet das burgerrecht vmb d alten burgerschilling, will dienen zu E.E. Zunfft Zur lucern juravit d. 20.ten Marty 1783.
Tributaire à la Lanterne, Matthias Klingler obtient de la tribu des boulangers le droit de farine et de semoule
1784, Protocole de la tribu des Boulangers (VII 1295)
(f° 20) Quartal Gericht – Donnerstags den 18. Martii – Geldzünfftiger
Matthias Klingler, der gelernte Müller und burger allhier stehet vor und producirt attestat von Einer Ehrsamen Zunft der Lucern, Zufolg deßen derselbe den 24. März 1783. daselbst leibzünfftig worden, Bittet darauff man möchte ihne diesorts gegen erlag geordneter Gebühr als Geldzünfftigen, nebst Abgedeÿhung Meel: und Gries Rechts recipiren. Erkandt, Willfahrt
Catherine Marguerite Seiler femme du meunier Matthias Klingler meurt en 1800
1799 (14 floreal 7), Strasbourg 3 (21), Me Übersaal (enr. 15 flo. 7 f° 49) n° 582
Inventarium über weÿl. bürgerin Catharina Margaretha Klingler geb. Seiler des bürgers Matthias Klingler Mahlmüllers Ehefrau Verlassenschafft, angefangen den 29 Nivose VIII, nach ihrem den 25 Nivose VIII erfolgten Absterben hinterlassenen hat
in einer an der helenengaß gelegenen in diese Verlassenschafft gehörigen und hernach eingetragenen behaußung N° 15
der beneficial Erbs: unverändertes Vermoegen Kleidung 107 fr
Eigenthum an einer behaußung so dem Beneficial: Erb unverändert. Nämlich eine behaußung höflein, Gumpbronnen und hoffstatt mit N° 15 bezeichnet samt allen zugehörden und Rechten zu Straßburg an der helenengaß einseit neben des weÿl. bs Joh: Michael Fügner Glasers Wittib und Erben anderseit neben dem br. Pick Silberarbeiter hinten auff den br Greuhm Rechtsgelehrten, diese behaußung erträgt des Wittwers declaration nach dermalen an jährlichen zinns, der br Samuel Isaac handelsmann hat der ersten und zweÿten Stock und Lehnung 204 und der br Klingler Wittwer besitzt den Rez de chaussée 72, macht zusammen 276 fr, und in Capital mit 18 multiplicirt 4968 fr, darüber besagen Kaufbrieff in der C. C. Stb. gefertiget vom 14. Augusti 1778 welche sich dermalen nicht vorgefunden hat, diese behaußung ist der Verstorbene von des weÿl. brs david braun gewesenen Meelhändlers ihres erstern Ehemanns hinterlassenen erben eigenthümlich abgetretten und überlassen worden zufolg summarischen Calculi und respective Cession über besagten Braun Verlassenschafft vor Not. Lobstein den 29. apr. 1782 aufgerichtet und d. 11. maÿ 1782 neu dem ehemalige großen Rath confirmirt worden
Recapitulatio des Beneficial Erbs unveränderten vermögen, Kleidung 107 fr, hauß Anschlag 4968 fr, summa 5078 fr, passiva 5949 fr, passiv onus 873 fr
des Wittwers unverändert und das theilbare Gut unter einer Masse verzeichnet, hausrath 264 lb, silbers Geschmeid 5 lb, activ schulden 1138 fr, summa summarum 1407 fr, schulden 5122 fr, Passiv onus 3715 fr
Copia der Eheberedung (…) den 16. sept. 1782, Not. Lobstein coll. Lobstein
Le commissaire priseur Jean Geiss, neveu et légataire de Catherine Marguerite Seiler, vend la maison au tanneur Jean Jacques Haderer
1799 (4 floreal 7), Strasbourg 3 (45), Me Übersaal n° 454
den 11 germinal 7, auf Ansuchen 1. Johann Geiß Inventirschätzer in der Qualitæt als Neffe und Collateral und Intestat: Erb der weÿl. bürgerin Catharina Margaretha Klingler geb. Seiler des brs Mathias Klingler Mahlmüllers den 25. Nivos VIII verstorbenen Ehefrau seiner Tante und 2. gedachten Mathias Klingler als hinterbliebenen Wittwers gedachter br Geiß jedoch anders nicht als in der Qualitæt als Beneficial: Erb
den 4 floreal, Johann Jakob Hadterer Rothgerber
zur ersten freiwilligen Versteigerung der in gedachter brin Klingler geb. Seiler Verlassenschafft gehörigen behaußung höfleins, Gumpbronnens und der hoffstatt mit N° 15 bezeichnet samt allen zugehörden und Rechten zu Straßburg an der helenengaß, anderseit neben des weÿl. bs Joh: Michael Fügner Glasers Wittib und Erben anderseit neben dem br. Pick Silberarbeiter hinten auff den br Greuhm Rechtsgelehrten, (schulden), C. C. Stb. vom 14. aug. 1778 – den 8 germinal, kein Gebott – den 3. floreal um 5025 an Abraham Isaac in der barbarageß N° 7 wohnhaft, um 5500 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 68 F° 21 du 4 flor. 7
Fils de tanneur Jean Jacques Haderer devient tributaire chez les Tanneurs en décembre 1776
1776, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 359)
(f° 176-v) Dienstags den 31.ten Decembris 1776 – Zunfftrecht
Joh: Jacob Haderer der leedige Rothgerber meister ein ehel. Sohn des Johannes Haderers, auch Rothgerbers u. bs. allhier legte einen von löbl. Statt Stall unterm 16.ten 8.bris jüngst ertheilten Schein vor, und machte in Folge deßen Ansuchung Ihm das Zunftrecht angedeÿen Zu laßen.
Erkannt, Um Erlag der Gebühr willfahrt (dt. 1. lb 17. ß, 3 ß)
Jean Jacques Haderer se marie en 1781 avec Marie Marguerite Kælber, fille de boulanger : contrat de mariage, célébration
1781 (12.2.), Me Übersaal (6 E 41, 661) n° 13
(Eheberedung) persönlich erschienen sein, der wol Ehren und Vorachtbare Herr Johann Jacob Haderer, lediger Rothgerber lederbereter und burger alhier Zu Straßburg, weil. H. Johannes Haderer, des gewesenen ebenmäßigen Rothgerbers, Lederbereiters und burgers hieselbst, mit Frauen Eva gebohrner Schmittin ehelich erzeugt und hinterlaßener Sohn, alß bräutigam, an einem,
Wie auch die Viel Ehren und Tugendbegabte Jungfrau Maria Margaretha Kälberin, des wol Ehren und Vorachtbahren H. Joh: Christoph Kälber, Schwartzbeckers und hiesigen burgers mit Frauen Maria Magdalena gebohrner Körbstin ehelich erzielte tochter, als braut an dem andern theil
So geschehen alhier zu Straßburg (…) auf Montag den 12. Februarii Anno 1781. [unterzeichnet] Johann Jacob Hadterer als Brautigam, Maria Margaretha Kälberin als braut
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 43, n° 17)
Im Jahr christi 1781, Mittwoch den 21. Martii Nachmittags um Vier Uhr sind (…) nach gewohnlichen Proclamation im offentlicher Kirch ehelich eingesegnet worden Johann Jacob Haderer lediger Rothgerber und burger allhier Weÿl. Johann Haderer geweßten Rothgerbers und burgers allhier mit Frau Eva gebohrner Schmidtin ehelich erzeugter Sohn, Und Jungfer Maria Margaretha Kälbererin, Johann Christoph Kälberers Schwartzbecken und burgers alhier mit frauen Anna Magdalena geb. Kerbsterin ehelich erzeugte tochter (si go. Johan Jacob Hadterer als hochzeiter, Maria Margaretha Kälberin als hochzeiterin)
Marie Marguerite Kælber meurt en 1806 en délaissant une fille
1806 (2.7.), Strasbourg 3 (30-1), Me Übersaal n° 949, 3301
Inventaire de la succession de Marie Marguerite Kaelber épouse de Jean Jacques Haderer tanneur – à la requête du veuf, Marie Madeleine Haderer épouse de Jean Daniel Vogt charpentier seule et unique héritière, Contrat de mariage soussigné le 12 fév. 1781 et acte supplémentaire du 29 frimaire 8
dans une maison située rue des drapiers n° 17 appartenant au Sr Haderer
propres du veuf, savoir une maison avec appartenances et dépendances située a Strasbourg rue des drapiers n° 17, d’un côté le petit pont sur le fossé des tanneurs d’autre la veuve Fischbach derrière led. fossé, estimée 6000 fr – propriété constatée par actes à la Chambre des Contrats 19 fev. 1675, 15 oct. 1705, 11 jan. 1745
remploi 15 151 fr, déduire passif 11 858 fr, reste 3262 fr, total des propres du veuf 9262 fr, don matutinal 400 fr, reste 8862 fr
propres de l’héritière, garde robe 176 fr, dettes actives, don matutinal 400 fr, remploi 3757 fr, total général 4333 fr
communauté, mobilier 1121 fr, marchandises 15 290 fr
immeubles. Premièrement une maison située a Strasbourg rue Ste Hélène n° 15 avec petite cour pompe appartenances et dépendances d’un côté les veuve et héritiers Jean Michel Fügner vitrier d’autre Sr Pick orfèvre derrière maison du Sr Greuhm Jurisconsulte – propriété, procès verbal d’adjudication du 4 floreal 7, la veuve Gara paye du rez de chaussée 60 fr, N Dornier du premier étage 90 fr, Borich Colporteur du second étage 60 fr, ensemble 210 fr, en principal 4200 fr
Plus une maison avec puits appartenances et dépendances située à Strasbourg ruelle des Cheveux n° 16, d’un côté le Sr Schott amidonnier d’autre & derrière l’écluse et le fossé des tanneurs, rapporte annuellement du Sr Schmidt tailleur du logement au premier étage 84 fr, Riehl tisserand en laine aussi d’un logement au premier étage 72 fr, Sohn marchand de cuir d’un logement au second étage 60 fr, Brück journalier aussi d’un logement au second étage 60 fr, ensemble 276 fr, en principal 5520 fr
Plus 8 ares 39 ca de jardin a gauche du chemin de la montagne verte banlieue de Strasbourg hors de la porte blanche, d’un côté le chemin d’autre Sr Popp caffetier en haut et en bas chemin, provenant de la ville adjugés au Sr Haderer le 16 frimaire 14 ratifié par le Préfet, évalué 120 fr
total des immeubles 9840 fr, total de la communauté 26 251 fr, déduire 12 131 fr, reste 14 120 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 100 F° 38 du 2.7.
Jean Jacques Haderer vend la maison au cloutier Jean Moda et à sa femme Marie Anne Imbs
1810 (7.6.), Strasbourg 3 (57), Me Übersaal n° 2643, 5409
Jean Jacques Hadterer tanneur
à Jean Moda cloutier demeurant rue du bétail n° 19 et Marie Anne Imbs
la maison a lui appartenante avec petite cour, pompe, droits, appartenances et dépendances située en cette ville rue Ste Hélène n° 15, attenant d’un côté celle du Sr Pick orfèvre d’autre celle du Cit. Schnell cordonnier derrière propriété du Sr Greuhm jurisconsulte – laquelle maison provienet de Catherine Marguerite Seiler femme de Mathias Klingler meunier, adjugée au Sr Hadterer souss. 4 floréal 7 – pour 7900 francs ou 8000 livres tournois
Enregistrement de Strasbourg, acp 114 F° 181-v du 7.6.
Originaire d’Ergersheim, Jean Moda épouse en 1797 Marie Anne Imbs, native de Dahlenheim
Mariage, Strasbourg (n° 473)
Cejourd’hui 1 Messidor l’an cinq de la République française, une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage (…) Jean Moda agé de 30 ans, Cloutier domicilié en cette Commune depuis huit mois, natif d’Ergersheim canton de Molsheim département du Bas Rhin fils de Jean Moda, Laboureur au dit lieu et de Marie Acher, de l’autre part Marie Anne Imbs, agée de 31 ans, servante, domiciliée en cette Commune depuis dix ans, native de Dahlenheim canton et département susdits, fille de Mathias Imbs, vigneron au dit lieu et de feu Marie Wiand (…) l’acte de naissance du futur époux portant qu’il est né le 22 mars 1767, l’acte de naissance de la future épouse portant qu’elle est née le 11 juillet 1766 (signé) Johanes Moda, Maria Anna Ibß (i 42)
Anne Marie Imbs meurt en 1816 en délaissant trois enfants
1816 (13.11.), Strasbourg 13 (32), Me Bremsinger n° 84
Inventaire de la succession d’Anne Marie Imbs femme de Jean Moda, cloutier décédée le 1 août 1816 – à la requête de Jean Moda cloutier comme tuteur naturel de 1. Jean Joseph 17 ans, 2. Anne Marie 13 ans, 3. Louis Martin 10 ans – en présence d’André Metz tonnelier à Dahlenheim tuteur subrogé – mariés à Strasbourg le 1 messidor 5 sans contrat de mariage
Titres et papiers, Me Ubersaal 7 juin 1810 Jean Jacques Hadterer tanneur, une maison sise à Strasbourg rue Ste Hélène n° 15, d’un côté le Sr Pick orfèvre d’autre le Sr Schuck cordonnier derrière la propriété du Sr Greumen, estimée 7900 fr, Me Ubersaal cahier des charges des 11 et 18 germinal 3, 4 floreal 7, Hadterer propriétaire de la maison susdésignée acquise des héritiers de Catherine Marguerite Glingler née Seiler Inventaire de la succession Glingler ledit not. 14 floreal 7
biens immeubles, communauté, une maison avec cour, pompe, aisances et dépendances sise à Strasbourg rue Ste Hélène marquée du n° 15, d’un côté le Sr Pick orfèvre d’autre Sr Schnell cordonnier derrière propriété du Sr Grieben jurisconsulte – acquis par titres cote I, occupé par le requérant estimée 6000 fr
actif 6155 fr, passif 6132 fr
dans la maison mortuaire rue Ste Hélène n° 15 en une chambre au premier étage ; garde robe 26 fr, remplois 172 fr, meubles dans un poele au premier étage ayant vue sur la rue, dans la cuisine, dans une chambre éclairée sur une petite cour, dans le corridor 155, 77 fr, total 276 fr ; apports du défunt outils 82 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 132 F° 12-v du 16.11.
Jean Moda meurt en 1821 après s’être remarié avec Elisabeth Meyer
1821 (13.4.), Strasbourg 13 (36), Me Bremsinger n° 1977
Inventaire de la succession de Jean Moda, cloutier, décédé le 16 mars dernier, à la requête d’Elisabeth Meyer veuve en premières noces de François Xavier Ruhlmann en secondes noces de Jean Moda, Mathis Acher, cultivateur à Ergersheim tuteur d’Anne Marie Moda 18 ans et Louis Martin Moda 15 ans – en présence d’André Matz tonnelier à Dahlenheim tuteur subrogé
en sa demeure rue Ste Hélène n° 15
Contrat de mariage souss. le 18 nov. 1816
succession garde robe 37 fr, outils 82 fr, meubles 150 fr, ensemble 269 fr, propres de la veuve 700 fr, passif 1023 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 152 F° 65 du 21.4.
La maison est vendue par enchère judiciaire devant le tribunal civil le 26 août 1819 (voir l’inventaire de 1822, acte non transcrit aux hypothèques) à Jean Georges Riedinger.
Fils de farinier, le farinier Jean Georges Riedinger épouse en 1772 Marie Salomé Metz, fille de boulanger : contrat de mariage, célébration
1771 (11.9.), Me Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 873) n° 62
(Eheberedung) persönlich erschienen der Ehrsam und Vorachtbahre H. Johann Georg Riedinger, Meelhändler und burger alhier des Wohl Ehren und Großachtbahren Hn Joh: Jacob Riedinger, ebenmäßigen Meelhändlers und burgers alhier mit der Viel Ehren und Tugendbegabten Fraun Maria Elisabetha gebohrner Beÿlin ehelich erzeugter Sohn, unter beÿstand erstgemelten seines Hn Vaters, als Hochzeitern ane einem,
so dann die Ehren und tugendsahme Jungfrau Maria Salome Metzin, Weil. Hn Joh: Michael Metz des gewesenen Weißbecken und burgers alhier, mit auch Weil. Frauen Maria Elisabetha gebohrner Kleinin ehelich erzeugt nach tod Verlaßene Tochter mit beÿstand des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Hn Joh: Martin Schwind angesehenen Küefers, Weinhändlers und burgers alhier ihres Stief: Großvatters – Mittwoch den 11. Septembris 1771 [unterzeichnet] Johann Georg Riedinger als hochtzeiter, Maria Salome Metzin als hochtzeiderin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 215)
Im Jahr Christ 1772, Mittwochs den 22. Januarii morgens umb Acht uhr (…) ehelich mit einander copuliert und eingesegnet, Johann Georg Riedinger lediger Meelhändler, von hier, Johann Jacob Riedingers Meelhändlers und burgers allhier, und deßen Ehefrau Elisabetha gb. Vögelin ehelich erzeugter Sohn, und Jungfrau Maria Salome Metzin, weÿl. Johann Michael Metz geweßenen Weißbecken und burgers allhier mit weÿl. Fr. Maria Elisabetha gb. Kleinin ehelich erzeugte Tochter
La tribu de la Lanterne demande au garçon boulanger Jean Georges Riedinger d’obtenir auprès de la tribu des boulangers le droit de farine et de semoule avant de devenir tributaire. La tribu des Boulangers refuse en décembre 1771 si le pétitionnaire ne devient pas tributaire. Les Boulangers accèdent à sa requête en mars 1773 suite à la décision des Quinze
1771, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 13)
(f° 42-v) Quartal Gericht Donnerstags den 17. Decembris 1771 – Bitt um das Meel v. Grieß recht
Joh: Georg Riedinger der leedige gelertne becker knecht, Mstr. Joh: Jacob Riedinger, vormahligen becken Mstrs. v. nunmehr Meelmanns beÿ dieser Ehrs. Zunfft Leibzünfftig. ehelicher Sohn, bringt vor Wie daß Er Zu Vermeintl. leichterer Erlangung des sogenanndten Wannen Rechts, sich beÿ E. E. Zunfft der Lucern Leibzünfftig Zu machen verleÿdet worden, producirt ein Attestat von einer E. Lucerner Zunfft Von gestrigem dato, worinn Er bereits als Meelhändler qualificirt, bittet Ihme Von dißseitiger Zunfft, das Meel und Grießrecht v. was denen anhängig, großgünstig angedeÿen Zu laßen.
Worauf nach ersehenem Lucerner Attestat v. nach gehaltener Umbfrag, unanimiter Von dißeithig Hochgebietendem Herrn Oberherr H. Rathh. Hh. Schöffen V. Gerichts Leuthen Erk. worden, seÿe Implorant mit seinem Wider Ordnung lauffenden begehren abzuweißen biß derselbe Vorhien, als ein gelernter Beck v. dißortig Zünfftigen Becker meisters Sohn, beÿ dieser Ehrs. Zunfft sich Leibzünfftig gemacht v. sonsten præstanda præstirt haben wird.
(f° 59) Quartal Gericht Donnerstags den 18. Martii 1773 – Geld Zünfftiger
Johann Georg Riedinger der ledige Becken Knecht Johann Jacob Riedingers, des Vormaligen Becken meisters und nunmahligen Meelmanns so beÿ dieser Ehrsamen Zunft Leibzünfftig, ehelicher Sohn, bitt weilen er, Zufolg des den 17.ten Decembris 1771. beÿ dieser Ehrsamen Zunt gehaltenem Quartal Gericht producirten Attestats von Er En Zunft Zur Lucern de dato 16.ten erstged. Monats und Jahrs, auf gedachter Zunft Leibzünfftig worden, ihme beÿ dieser Ehrsamen Zunft als Geldzünftiger auf: und anzunehmen, auch ihme anbeÿ das Meel: und Grießrecht angedeÿhen Zu laßen.
Erkandt, Seÿe Implorant Zufolg der beÿ Gnädigen Hh. den XV.en gegebenen und dem Articul buch einverleibten Erkanntnus de dato 23. Januarÿ 1773. als Geldzünftiger auf: und angeommen und zwar gegen erlag der Ordinari Gebühr, wie auch das anbeÿ begehrte Meel: und Grießrecht Zu willfahren.
Jean Georges Riedinger porte l’affaire devant les Quinze en décembre 1771. La décision du 23 janvier 1773 se trouve dans une partie non conservée du registre
1771-1772, Protocole des Quinze (2 R 182) 1771 et (2 R 183)
Johann Georg Riedinger Ca. E. E. Zunfft der Becken
(p. 657) Montags den 23. Decembris 1771.
Idem [Osterrieth] nôe Johann Georg Riedinger des ledigen, und Johann Jacob Riedinger des Meelhändlers und burgers allhier eheligen Sohns Ca. E. E. Zunfft der Becken H. Zunfftmr. prod. wiedrigen Gerichts bescheid Vom 17. hujus, Wovon principalis hiemit an En Gn. appellirt vnd appellationis Verzeichnus gebetten haben will. Erkandt, Verzeichnus
(p. 20) Sambstags den 25. Januarii 1772. Idem [Osterrieth] nôe Johann Georg Riedinger in aîs Ca. E. E. Zunfft der Becker H. Zunfftmeister auch in aîs producirt uth. appellations Klag juncto petito. Claus bitt copiam et Term. Ord. Obt.
(p. 48) Sambstags den 8. febuarii 1772. Osterrieth nôe Johann Georg Riedinger in aîs Ca. E. E. Zunfft der Becken H. Zunfftmr auch in aîs erholt appellations Klag vom 25. Januarÿ jüngst und bitt Deput. Claus producirt unth. Exceptione juncto petito, bitt similiter Deputationem. Erkanndt, noch Zur Zeit in suspenso gelaßen.
(p. 103) Sambstags den 29. febuarii 1772. In appellations Sachen Johann Georg Riedinger Ca. E. E. Zunfft der Becken H. Zunfftmr Wilhelm nôe E. E. Zunfft Zur Lucern H. Zunfftmr.Ca. E. E. Zunfft der Becken H. Zfftmr producirt Interventiones Klag juncta oppositione et petitis samt beÿl. Sub N° 1, bitt Deput. Claus nôe E. E. Zunfft der Becken H. Zunfftmr bitt Copiam producti et T. O. Obt.
(p. 144) Sambstags den 14. martii 1772. Idem [Wilhelm] In Sachen Johann Georg Riedinger Ca. E. E. Zunfft der Becken H. Zunfftmr, nôe E. E. Zunfft Zur Lucern H. Zunfftmr.Ca. E. E. Zunfft der Becken H. Zunfftmeister erholt productum vom 29. febr. j. und bitt Deputation. Claus producirt unth. Exceptione juncto petito samt beÿl. Lit. A et B, bitt similiter Deput. Erkanndt, Deputation
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison sise aux Grandes Arcades et au Marché neuf. Les biens du mari ont une valeur de 602 livres, ceux de la femme de 2 333 livres.
1772 (29.4.), Me Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 861) n° 93
Inventarium über Herrn Johann Georg Riedinger des Meelhändlers und der Ehren und tugendsamen Fraun Mariæ Salome gebohrner Metzin, beeder Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg einander in den Ehestand vor unverändert zugebrachte Vermögenschaften, aufgerichtet in Anno 1772. – in ihrer am 29.ten Januarÿ dieses laufenden 1772.sten Jahrs angetrettenen Ehestand vor unverändert Zu und eingebracht haben (…) zu beleb und Erfüllung des 4.ten Punctens ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung nach Ordnung ersucht und inventirt worden.
So beschehen alhier zu Straßburg in fernerem beÿsein H. Johann Jacob Riedinger, des Meelhändlers und burgers alhier, des Ehemanns leiblichen Vaters, Wie auch H. Johann Martin Schwind des Kiefers, Weinhändlers und burgers alhier der Ehefraun Stief Großvatters und geschwornen Vogts, und H. Theobald Roser des frantzösischen Becken und burgers alhier, denselben geordneten ordinari Vogts, in einer ane der großen Gewerbslaub, und dem neuen Marckt oder Thumbropst hoff gelegener, dißorts Zum theil Lehnungsweiße bewohnenden behaußung auf Mittwoch den 20. Aprilis Anno Christi 1772.
(f° 10) Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. hausraths 49, Sa. Frucht, Meel und Gekorns wie auch Schiff und geschirrs Zum Meelhandel gehörig 259, Sa. Silbers 34, Sa. baarschafft 221, Summa summarum 564 lb – Wird auch dazu gerechnet die ihme gebührige helfte ane denen haussteuren 38 lb, des Ehemanns gesamtes Vermögen 602. lb
Dießemnach so wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Vermögenschaft beschrieben, Sa. haußraths 153, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 34, Sa. goldener Ring. und dergleichen Geschmeids 49, Sa. baarschafft 24, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 2318, Sa. Schulden 58, Summa summarum 2639 lb – Schulden 344 lb, Nach deren Abzug 2295 lb, Wird nun auch darzu gerechnet die ihre gleichfalls gehörige helfte ane denen haussteuren 38 ln, der Ehefraun völlige Vermögenschaft 2333 lb
Jean Georges Riedinger meurt en 1822 en délaissant quatre filles issues de sa fille Marguerite Salomé Riedinger.
1822 (22.6.), Strasbourg 4 (52), Me Hatt n° 433
Inventaire par déclaration de Jean Georges Riedinger, marchand farinier décédé le 20 mars dernier – à la requête de 1. Marie Salomé née Mertz, 2. Catherine Salomé Christmann épouse de Jean Georges Fleischhhauer, brasseur, 3. Sophie Christmann épouse de Henri David Broistedt, négociant, 4. Caroline Christmann épouse de Charles Louis Arnold, architecte, 5. Wilhelmine Christmann épouse de Charles Grün, marchand farinier son mari et grand père, par représentation de Marguerite Salomé Riedinger femme de Jean Christmann, propriétaire – Contrat de mariage Me Schaeff le 11 sept. 1771
garde robe 546 fr, communauté mobilier 1266 fr, créances 35.000 fr
1. une maison située à Strasbourg rue de la Lie n° 7 estimée 3000 fr
2. une autre maison située en la même ville rue Ste Hélène n° 15 estimée 3000 fr. La maison rue de la Lie acquise de Catherine Salomé Voltz veuve Mann par acte Me Stoeber le 16 juil. 1810, celle rue Ste Hélène par adjudication à la barre du Tribunal Civil par expropriation forcée sur Jean Moda cloutier, Adjudication définitive et déclaration de command du 26 août 1819
passif 1660 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 158 F° 45 du 27.6.
Marie Salomé Metz meurt à son tour en 1830
1830 (16.12.),Strasbourg 4 (72), Me Hatt n° 5749
Inventaire par déclaration Marie Salomé Metz veuve de Jean Georges Riedinger, propriétaire – à la requête de Sophie Christmann épouse de Henri Broistett, négociant, Catherine Salomé Christmann veuve de Jean Georges Fleischhauer, brasseur, Caroline Christmann épouse de Charles Louis Arnold architecte, Wilhelmine Christmann épouse de Charles Grün, fariner, héritiers pour un quart de Marie Salomé Mertz leur aïeule maternelle décédée le 22 oct. 1830 par représentation de leur mère Marguerite Salomé Riedinger femme de Jean Christmann, propriétaire, Inventaire par déclaration du Sr Riedinger Me Hatt le 22 juin 1822
immeubles, 1. une maison située à Strasbourg rue de la Lie de Vin n° 7, estimée 4000 fr, acquise des conjoints Riedinger par acte Me Stoeber le 16 juil. 1810
2 une autre maison située en la même ville rue Ste Hélène estimée 4000 fr, acquise à la barre du Tribunal civil par adjudication et déclaration de command le 26 août 1819
mobilier 1513 fr, numéraire 5600 fr, créances actives 22 765 fr, totalité 37 878 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 202 F° 36-v du 24.12.
Lors du partage de ses biens, la maison rue Sainte-Hélène revient à Caroline Christmann femme de l’architecte Charles Louis Arnold
1831 (24.1.), Strasbourg 4 (73), Me Hatt n° 5828
Liquidation et partage – 1. Catherine Salomé Christmann veuve de Jean Georges Fleischhauer, brasseur, 2. Sophie Christmann épouse de Henri Broistett, négociant, 3. Caroline Christmann épouse de Charles Louis Arnold architecte, 4. Wilhelmine Christmann épouse de Charles Grun, fariner, héritiers pour un quart par représentation de leur mère Marguerite Salomé Riedinger épouse de Jean Christmann, propriétaire, de Jean Georges Riedinger, propriétaire, décédé le 20 mart. 1822 et Marie Salomé Metz décédée le 22. oct. dernier, Inventaire par déclaration souss. le 26 juin 1822 et 16 dec. 1830
De Arnold
immeubles, 1. une maison située à Strasbourg rue de la Lie n° 7 avec aisances et dépendances, estimée 5500 fr, acquise par acte Me Stoeber le 16 juillet 1810
2. une autre maison située à Strasbourg rue Ste Hélène n° 15 avec aisances et dépendances estimée 5500 fr, acquise à la barre du Tribunal civil par Adjudication définitive et Déclaration de command le 26 août 1819
Consulté Enregistrement de Strasbourg, acp 202 F° 140-v du 29.1.
Charles Louis Arnold épouse Caroline Christmann en 1816
1816 (22.5.), Strasbourg 10 (33), Me Zimmer n° 563, 7284
Contrat de mariage – Charles Louis Arnold, architecte, fils majeur de Jacques Frédéric Arnold, ancien architecte, et de Catherine Marguerite Schlenacker son épouse divorcée, né le 4 jan. 1788
Caroline Christmann fille mineure née le 3 ventose 4 ou 22 février 1796 de Jean Christmann, marchand farinier, et de Marguerite Salomé Riedinger
(extrait de baptême du mari paroisse St Guillaume)
enreg. f° 96 du 24.5.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports.
1816 (24.9.), Strasbourg 10 (23), Zimmer n° 611, 7399
Inventaire des apports de Charles Louis Arnold, architecte, et de Caroline Christmann, selon le contrat de mariage reçu Me Zimmer le 22 mai 1816, mariés le 21 août suivant
le mari, mobilier 1015 fr, argenterie 577 fr, bois de construction 2400 fr, outils de charpentier 800 fr, créances 4081 fr, ensemble 8883 fr
la femme, mobilier 2555 fr, argenterie 451 fr, numéraire 6143 fr, ensemble 9159 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 131 f° 106-v du 27.9.
Charles Louis Arnold meurt en 1853 en délaissant pour héritiers un neveu et une nièce. L’inventaire mentionne pour mémoire la maison rue Sainte-Hélène parmi les propres de la veuve.
1853 (12.4.), Strasbourg 10 (124), Me Zimmer n° 10 016
Inventaire de la succession de Mr Charles Louis Arnold, propriétaire ancien architecte, domicilié à Strasbourg décédé en cette ville le 24 janvier 1853 (et de la communauté de biens qui a existé entre le défunt et Caroline Christmann sa veuve)
L’an 1853 le 12 avril à la requête de
1° la veuve agissant comme commune en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Zimmer père le 22 mai 1816
2° Jean Frédéric Arnold, artiste peintre à Strasbourg
3° Chrétien Auguste Arnold, architecte à Strasbourg, agissant comme mandataire de de Marguerite Madeleine Charlotte Arnold épouse de Philippe Finck médecin à Carlsruhe (grand duché de Bade), lesdits Jean Frédéric Arnold et Med. Finck habiles à se dire seuls héritiers chacun pour moitié dudit Mr Charles Louis Arnold leur oncle
De tout quoi a été dressé le présent procès verbal à Strasbourg en la maison mortuaire rue neuve quaides bateliers N° 10
Communauté, meubles et créances 68 504
Meubles se trouvant à Beuren (Bade) 2815
Argenterie se trouvant à Strasbourg 492
Une Maison à Strasbourg quai des pêcheurs n° 68 & 69 d’un revenu de 1600 en capital 32 000
Une Maison à Beuren (Bade) évaluée à 20 000
Garde robe du défunt 561
Mobilier dépendant de la succession du défunt 3448
Mobilier propre à la veuve 2534
Reprises du défunt 40 189, reprises de la veuve 28 197
Masse passive 121 494
Succession du défunt 124 014, masse passive 2702
(Inventaire) Mad. Arnold a apporté en mariage (…), Enfin Mad. Arnold a aussi recueilli durant son mariage 1° dans la succession de M. Jean Christmann en son vivant propriétaire à Strasbourg son père dont elle était héritière pour un quart aux termes d’un acte de partage dressé par Le Zimmer soussigné le 29 décembre 1843, une maison sise à Strasbourg rue de la Madeleine N°5, dont il n’est fait mention que pour mémoire, cet immeuble existant encore en nature
2° dans la succession du Sr Jean Georges Riedinger & Dame Marie Salomé Metz en leur vivant conjoints à Strasbourg ses grands père et mère dont elle était héritière pour un quart ainsi qu’il résulte du partage de leurs successions dressé par Me Hatt alors notaire à Strasbourg le 24 janvier 1831 savoir b) Une maison sise à Strasbourg rue sainte Hélène N° 15 qui existe encore en nature dont mention pour mémoire
c) Et une maison sise en ma même ville rue de la Lie de vin N° 7 qui a été vendue au Sr Jean Théophile Ehrenfeuchter marchand de vins à Strasbourg suivant contrat par devant Me Louis Léopold Guillaume Grimmer le 3 octobre 1835
3) Et dans la succession de De Catherine Salomé Christmann décédée veuve de Charles Simon en son vivant tailleur d’habits à Strasbourg, san tante dont elle était héritière pour un 16° ainsi que cette qualité se trouve constatée par un acte contenant quittance subrogatoire par devant Me Zeysolff notaire à Strasbourg le 29 juin 1848
acp 418 (3 Q 30 133) f° 61-v du 18.4.
Le propriétaire suivant, l’armurier Jacques Louis Bietz originaire de Deux-Ponts épouse en 1844 Caroline Ostermann fille de boulanger
Mariage, Strasbourg (n° 487) du 26 octobre 1844
Acte de mariage de Jacques Louis Bietz, armurier, majeur d’ans né en légitime mariage le 2 février 1814 à Deux ponts (Bavière rhénane) domicilié à Strasbourg, armurier, fils de Frédéric Bietz, armurier, et de Louise Bouchon conjoints domiciliés à Deux ponts, et de Caroline Ostermann, majeure d’ans, née le 13 décembre 1819 à Strasbourg, fille de Jean David Ostermann, anncien boulanger domicilié à Nordheim (Bas Rhin) ci présent et consentant, et de feu Dorothée Madeleine Pfitzenmeyer décédée à Strasbourg le 4 juin 1838 (signé) J L Bietz, C Ostermann (i 55)