52, rue du Vieux-Marché-aux-Vins


Rue du Vieux-Marché-aux-vins n° 52 – III 134 (Blondel) P 580 (cadastre)

Autre adresse, rue du Jeu des Enfants n° 51

Maison détruite, sur l’ancien îlot place de l’Homme de fer

La maison qui abrite une boulangerie porte le nom du Hibou (zur Eul). Le Livre des Communaux de 1587 permet de conclure que la façade principale (au sud) de la maison vers le Fossé des tanneurs a 19 pieds de long et la façade arrière (au nord) vers le Thomanloch 20 pieds (18 d’après la mesure de 1723). Sur la façade avant, une boutique de boulanger, deux marches, un siège muré et une porte de cave empiètent sur le communal. La façade arrière a aussi des marches, une porte de cave, un siège muré et une étable à porcs sur le communal.

En 1722, la maison arrière vers le Thomanloch menace ruine. Les Préposés au bâtiment notifient le propriétaire de reconstruire sa maison, ce qu’il fait en 1724 en suivant l’alignement que propose le directeur des travaux, c’est-à-dire en avançant son bâtiment sur le communal pour régulariser l’alignement. C’est le propriétaire suivant qui reconstruit la façade principale vers le Fossé des tanneurs au sud en 1762. Il est autorisé à conserver et même à agrandir son auvent pour abriter de la pluie sa boutique de boulangerie. L’Atlas des alignements (1829) porte que la maison a un rez-de-chaussée et trois étages médiocres en maçonnerie. Le cadastre indique que la maison a été agrandie lors de l’exercice 1865.

Réunie par l’aubergiste Koehler à la maison voisine n° 50 (anciennement au Bœuf d’or) dans les années 1890, suite à cette page.

Développement de l’îlot n° 47, dessin préparatoire au plan-relief de 1830

La maison au Hibou troisième vers la droite en partant du repère « c » c’est-à-dire la maison d’angle, elle est surmontée de la lettre « g » qui indique a couleurs des murs (gris). La façade arrière en face de la rue du Noyer est la troisième vers la droite en partant du repère « a » à l’extrême droite, elle est aussi surmontée de la lettre « g ». Chacune des façades a deux étages et combles sur le rez-de-chaussée. Elle partage la cour « C » avec la maison voisine au Bœuf d’or. La façade arrière de la maison au Hibou (bâtiment avant vers l’Homme de Fer) est celle qui suit immédiatement le repère « 1 » et (bâtiment arrière) celle qui précède immédiatement le repère « 4 ».

Ilot n° 47, cour C

décembre 2010

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1602 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jean Philippe Schwartz – luthérien
h Jean Nicolas Schwartz, boulanger, et (1680) Marguerite Krauss – luthériens
1759 h Marie Salomé Schwartz femme d’Henri Guillaume Wunschold, marchand, et Marie Salomé Schwartz, femme de Daniel Théophile Ziegenhagen, chirurgien, filles de Jean Philippe Schwartz, seules héritières de leurs grand-parents – luthériens
1760 v Jean Greiner, boulanger, et (1754) Marie Salomé Beyer puis (1780) Marie Salomé Buck – luthériens
1787 h Jean Greiner, boulanger, et (1787) Marie Salomé Beyer qui se remarie (1804) avec Chrétien Guillaume Lauth, boulanger – luthériens
h Chrétien Guillaume Lauth, boulanger, et (1804) Marie Salomé Beyer
1849* h Marie Salomé Greiner femme de Louis Chrétien Stahl, marchand de bois
Louis Berry, boulanger
1894 v Louis Alphonse Koehler / Alfred Koehler

voir ensuite Vieux-Marché-aux-Vins n° 50

Locations

1797, 1801, Martin Jung, boulanger

Liste Blondel (1765) : Jean Greüner boulanger
Cadastre (1843) : P 580, Lauth, Chrétien, propriétaire, maison, sol, cour, 0,50 are

Atlas des alignements

1829 (1197 W 37) 1° arrondissement ou Canton ouest – Rue du vieux marché aux Vins
nouveau N° / ancien N° : 3 / 34
porte de derrière du N° 64 rue du jeu des enfants
Rez de chaussée et 3 étages médiocres en maçonnerie

Atlas des alignements, 1° arrondissement ou Canton ouest – Rue du Jeu des Enfants
nouveau N° / ancien N° : 4 / 64
Lauth
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie

Registres de population

(1789) Etat des habitants (registre 5 R 26 – légende : numéro de maison, mention de propriétaire ou locataire, nom et prénom, tribu)

Canton III, Rue 56 au Jeu des Enfants, a côté de la petite Boucherie
n° 64
Pr. – Greiner, Jean Pere – boulanger
lo. – Greiner Jean fils – boulanger

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 233 MW 2292)

Sommaire des documents particuliers au n° 51 rue du Jeu des Enfants
  • 1862 – L’entrepreneur Daubenberger demande au nom du Sr Birry l’autorisation de rehausser la maison d’un troisième étage en pierre – Accord
  • 1873 – Louis Birry demande l’autorisation de ravaler la façade après que la Police du Bâtiment a envoyé une injonction
  • 1885 – L’entrepreneur Matter demande l’autorisation de raccorder la maison Byrri aux canalisations – Autorisation – Schéma
  • 1897 – Dossier : sur la voie publique que le propriétaire Koehler prévoit d’occuper pour sa nouvelle construction
  • 1897 – Dossier : sur l’étai posé sous l’avance de la maison 51 après la démolition du n° 49
  • 1901 – Sur l’humidité du mur mitoyen entre Kœhler et Speisser
  • 1904 – L’entrepreneur Ed. Wagner demande l’autorisation de ravaler la façade Jeu des Enfants 51 – Autorisation
  • 1905 – Sur la fumée et la suie
Sommaire des documents particuliers au n° 52 Vieux-Marché-aux-Vins
  • 1872 – Le Directeur de l’usine à gaz demande au nom de M. Kron (locataire, propriétaire Berry) l’autorisation de faire une prise de gaz pour 10 becs devant la maison Vieux Marché aux vins 52
  • 1887 – Dossier : l’entrepreneur Hug installe une devanture à la maison de Valentin Koehler Vieux Marché aux vins 52
  • 1907 – Sur le ramonage de la cheminée du restaurant Valentin gérant Guillaume Haas, Vieux Marché aux vins 52
  • 1923 – L’entrepreneur Labasque demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse au restaurant Valentin-Sorg au Vieux Marché aux vins 52 – Objections de la Police du Bâtiment

Relevé d’actes

Livre des Communaux, 1587 (VII 1450), f° 293-v

Uff der seitten Unden vom Wassergraben herauff gegen dem Tannenfelß
Das Haüs Zur Eulen Ist Jonas Hewers deß Weißbecken seligen wittwe vnd Erben Zustendig, vnd hatt vff diser seÿten gegen dem Tannenfelß oder Thomann Loch ein Vsstoß xx schu lang, iij schu herauß, Ein lenende Kellerthüer vj schu breit, iiij schu herauß, Item ein Staucher xiij schu lang ix zoll Herauß, Sechs steinerin Tritt, sampt einem Ingemaurten Siz vij schu breit, vj schu herauß, dar zwischen ein Schweinstall v schu ix Zoll breit, iiij schu herauß, Bessert für das Niessen, x ß ij d

La maison au Hibou, appartenant à la veuve et aux héritiers du boulanger Jonas Heuer, a vers le Rocher du Sapin ou le Thomanloch un encorbellement long de 20 pieds en saillie de 3 pieds, une porte de cave inclinée large de 6 pieds en saillie de 4 pieds, aussi un poutrage long de 13 pieds en saillie de 9 pouces, six marches en pierre ainsi qu’un siège muré large de 7 pieds en saillie de 6 pieds, entre les deux une étable à porcs large de 5 pieds 9 pouces en saillie de 4 pieds, Doit pour la jouissance 10 sols 2 deniers

Idem, f° 294-v

Uff der seitten Unden vom Wassergraben herauff gegen dem Tannenfelß
Das Haüs Zur Eulen Jonas Hewers deß Weißbeck. seeligen Wittwen vnd Erben Zustendig, hatt vff der seÿtten gegen dem Gerbergraben Vornen ein Wettertach xix schu lang, vij schu herauß, Item ein Becken Laden xiiij schu lang, mit Zween vffrechten Mauren, Vnd einem gemaurten Siz, iiij schu breÿt, darund. ein offne Kellerthüer v schu weÿt, vj schu herauß, Zwen steinene Tritt iiij schu ix zoll lang, ij schu iij Zoll herauß &, Bessert &, xv ß viij d

La maison au Hibou, appartenant à la veuve et aux héritiers du boulanger Jonas Heuer, a vers le Fossé des tanneurs un auvent long de 19 pieds en saillie de 7 pieds, une boutique de boulanger longue de 14 pieds à deux murs verticaux et un siège muré large de 4 pieds, au-dessous une porte de cave ouverte large de 5 pieds en saillie de 6 pieds, deux marches en pierre larges de 4 pieds 9 pouces en saillie de 2 pieds 3 pouces, Doit & 15 sols 8 deniers

Cession de créances assises sur la maison : accord entre Jean Philippe Schwartz, aubergiste au Paon, et son frère Jean Nicolas Schwartz, boulanger au Hibou

1696 (24.7.br) Chambre des Contrats, vol. 568 f° 485-v
Johann Philipß Schwartz, der haußfeurer Zum Pfauen
Johann Niclaus Schwartzen, deß Weißbecken Zur Eulen seines leiblich. Bruders,
angezeigt und bekandt, demnach Er Johann Niclaus beÿ Vertheilung Vätterlicher Verlassenschafft, die becken behaußung Zur Eulen bereits in A° 1680. Kaüfflich übernommen und beÿ solcher annahm Ihme Johann Philipß erstlich 105 lb (Sodann 135 lb, alßo in summa 241 lb schuldig) H. Johann Wilhelm Reichard E.E. großen Raths Beÿsitzer cedirt

Jean Nicolas Schwartz, boulanger au Hibou, et Marguerite Kreiss hypothèquent la maison au Hibou à André Nuss, fournier

1700 (22.3.) Chambre des Contrats, vol. 573 f° 188
Johann Niclaus Schwartz der Weißbeck und Margaretha geb. Kreißen und zwar dieselbe mit beÿstand Lorentz trösters deß haußfeurers und hans Martin Strahlen, deß Küffers, ihrer Schwägere
Andreä Nußen, deß Haußfeurers, 200 pfund
unterpfand, Eine Beckenbehaußung mit allen deren Gebaüen recht und zugehördt. allhier beÿ der Eulen, einseit neben Weÿl. Hn Johann Georg Neubauren gewesenen handelsmanns sel. Erben anderseit neben Johann Georg Andreßen dem Paßmentirern, hinten einen außgang gegen dem thomenloch haben

La maison arrière est en si mauvais état qu’elle menace de s’écrouler. Le propriétaire demande demande conseil après que son voisin Ambroise Jæger a lui-même bâti.

1722 (15.8.br) VII 1390 Bauherren f° 99
Joh: Niclaus Schwartz – Johann Niclaus Schwartz, der Weißbeck beÿ der Eulen wurde beschickt und Ihme vorgehalten, war umb Er Sein altes hinterhauß Geg. dem Thomanloch, so einfallen will, nicht erkantermaßen gebawen ? Ille zugegen sagt, Er seÿe gesinnt biß Zum Künfftigen Sommer solches Von Steinen aufführen Zulaßen, Er wiße aber nicht wie, in deme seithero Ambrosius Jäger der Würth, gebawen, und erwarte also nur außweißung, wie Er sich hierin Zu Verhalten. Erk. Solle mit nechstem ein Augenschein deßwegen eingenommen werden
(f° 161) Dienstag den 13. Aprilis 1723. Hanß Niclaus Schwartz – Von dar seind Mghhn. zu hannß Niclaus Schwartz des becken beÿ der Eulen habenden hinterhauß gegen dem Thomanloch über gelegen, und selbiges so bawfällig gefunden, daß Zu besorgen ist es möchte durch einstürtzung deßelben noch ein groß unglück geschehen. Erk. ut ante [bedacht]

(le 18 octobre 1722) Le boulanger au Hibou Jean Nicolas Schwartz a été convoqué et on lui a demandé pourquoi il n’a pas rebâti comme prévu sa vieille maison arrière vers le Thomanloch qui menace ruine. Il a répondu qu’il a l’intention de la faire construire en pierre d’ici l’été suivant mais il ne voit pas comment puisque l’aubergiste Ambroise Jaeger a construit ; il attend qu’on lui indique ce qu’il peut faire. Décision, visite des lieux.
(le 13 avril 1723) Jean Nicolas Schwartz –Messieurs du Magistrat sont ensuite allé voir la maison arrière du boulanger au Hibou Jean Nicolas Schwartz. Ils ont constaté qu’elle est en si mauvais état que son écroulement pourrait causer un grand malheur. Décision, comme ci-dessus (ajournement).

Inventaire après le décès de Marguerite Krauss femme de Jean Nicolas Schwartz, boulanger au Hibou. Elle a épousé Jean Nicolas Schwartz en 1680 et délaisse huit enfants. L’acte d’achat de la maison remonte à 1643, ce qui est sans doute la date à laquelle elle entre dans la famille. La succession se monte à 328 livres.

1722 (9.3.) Me Rohr (Daniel, 46 Not 53) n° 1704
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung so weÿl. die Viel Ehren und tugendsahme Frau Margaretha Schwartzin gebohrne Kraußin des Ehrengeachten H. Joh: Niclaus Schwartzen Weißbecken und burgers allhier geweßene Ehegattin nunmehr seel. nach Ihrem den 10.ten Decembris des hingelegten 1720.ten Jahrs aus dieser Welt genommenen tödlichen Ableiben, Zeitlichen verlaßen
Die Verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt, 1. Joh: Georg Schwartzen, leedigen Weißbecken, 2. Joh: Niclaus Schwartzen, auch ledigen Weißbecken, 3. Tit. H. M. Joh: Philipp Schwartzen, derzeit treueufrigen und Wohlverordneten Pfarrern Zu Hürtigheim, annoch leedigen standts, 4. Joh: Adam Schwartzen, ebenfalls leedigen weißbecken, 5. Joh: Jacob Schwartzen, leedigen Paßmentireren, des wegen Welche fünff bereits alle Majorennes ohnbevögtigt und persönlich dem Geschäfft beÿgewohnt, 6. Jungfer Margaretham Schwartzin, 7. Jungfer Martham Schwartzin So dann 8. Mariam Salome Schwartzin, Welche dreÿ letztere bevögtiget mit H. Joh: Michael Fancken Paßment: und burgern allhier, welcher auch beneben Seinen dreÿen Curanden beÿ dem Geschäfft præsens geweßt
Copia der Eheberedung, zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Joh: Niclaus Schwartzen Weißbecken u. burgern allhier weÿl. des Ehrengeachten H. Hannß Philipp Schwartzen auch geweßenen weißbeckens u. burgers allhier nachgelaßenem ehelichem Sohn, So dann d. Ehren und tugendsame Jungfr. Margaretha Kraußinn des Ehrenvest Vorgeachten und weißen herr Johann Georg Kraußen, Metzgers und burgers allhier ehe leiblich dochter – den 13. Tag des Monaths octobris Anno 1680 – Philipß Heinrich Teus, Notarius

In einer allhier ohnfern dem Gerbergraben gelegenen und zur Eul genanten behaußung folgender maßen befunden worden
Ane Höltzen und Schreinerwerck, Auff der bühn, Im obern haußöhren, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Wohnstub, In der Stub Cammer, Im obern haußöhren
Eigenthumb ane einer behaußung. Item ein hauß, hoffstatt, höfflein und hinderhauß Zur Eulen genant samt allen andern deren gebaüen, Gegrüffen, weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen in hießiger St. Strßb. ane dem alten weinmarck beym steinern brückel einseit neben H. Lorentz Fischer dem Würth zum blohen bauren anderseit neben N. Mouillon dem Frantzös. barbierer hinten mit dem daselbst habenden außgang auff die Tränck stoßend, davon gehen Jahrs auff Joh: Baptistæ und Weÿhenachten jedes mahl 5. ß d. und alßo das Jahrs 10 ß dem Wäÿßenhauß allhier 12 lb 10 ß, weiter 2. lb. 2. ß Jährlichen auff Nicolai widerkäuffig mit 50. lb, Wie auch ferner auff selbige zeit 1. lb. d. Zinnß wid.lößig in Capital 20. lb, Und Zwahr nechstgemelte beede Posten dem Stifft St. Marx allhier. Item 7. lb. 10. ß d. Zinnß jährl. auff den ii. 9.bris gibt mann herrn Johann Bernhard Hennenberg Wohlverordnetem Secretario beÿ gnäd. Herren den XV. allhier, ablößig in Cap. mit 150. lb It. haben auch die beeden Söhn undt mit Erben Nahmentlich Johann Georg und Johann Jacob Schwartz auff dieße behaußung Zuerfordern, wegen Zweÿer Capitalien so auff dießer behaußung vormahls gestanden undt dießelbe, auß Ihren Zusammen gespahrten eÿgenen Mittlen bezahlt undt abgestoßen haben sammenthafft 450 lb, wavon dem ältern Sohn Johann Georg 250 lb s. und dem Jüngern Sohn Joh: Jacob 200 lb gehörig Undt haben Sie sich dato declarirt davon Künfftig wie bißanhero Keinen Zinß Zu erfordern. Sonsten gegen männiglich freÿ leedig und egen. Und ist solche behaußung durch die allhießig geschworne Werckmeistern Vermög schrifftlicher Abschatzung de dato 2.ten Martÿ 1722. æstimirt worden pro 675 lb, Hiengegen thun die auff der behaußung stehende onera zus. gerechneter maßen 682. lb, Conferendo ergibt sich d. das hauß mehr onerirt als æstimirt worden ist, so hie unten beÿ den Passivis in abzug gebracht zu befinden umb 7 lb
Darüber besagt ein teutsche pergamentene Kauffverschreibung m. der St. Straßb. anhangenden Contract Inns. verw. datirt den 24. Julÿ 1643, Darbeÿ noch in alte teutsche pergamentene Kauffverschreibung de Anno 1695. Item ein teutscher papÿrener Extractus auß allhießiger C.C. Stub de dato 23.t Aug. A° 1728, So dann ein E.E. Zunfft der Fischer allhier abgelöster alter pergamentener Zinnßbrieff
– Abschatzung d. 2.t Martzÿ an°: 1722 Auff begehren, deß Ehrenhafften, Vnd bescheÿtenen H: Joh: Nicolauß schwartz, weÿßbeckh: ist Eine behaußung in der Statt Straßburg, an dem Steineren brückell, an dem Gerber graben beÿ der Eÿllen genandt, Ein seith Neben H: Lorentz Fischer, Wirt Zu dem blauen bauren, Ander seÿth, Neben, Mesi Million, hinden auff Gegen dem thoman Loh, stoßendt, Welche: behauß. Ehren, Gebälckh der Keller, Ein Aldt schleht hinder gebeÿ. Mitt Einer bachstuben, bachoffen So Gewölbt ist, Und Ein Gebälckh das Kellerlein, Wie solches durch der Statt Straßburg geschworene Werckh Leüthen in der besichtigung befundten Vnd dem Jetzigen preiß Nach an geschlagen wirt, Vor undt umb 1350 Gulten, bezeichnüß durch der Statt Straßburg Geschworen Werckh Leüthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
(partie qui décrit la maison) la maison comprend un vestibule, une cave voûtée, un vieux bâtiment arrière en mauvais état, un fournil, un four voûté, une petite cave voûtée

Series rubricarum hujus Inventarÿ, 1. Summa hausraths 131, 2. Schiff u. geschirr etc. 10, 3. Frucht u. Meels 66, 4. Schwein 10, 5. Weins u. Leerer Vaß 78, 6. Silbers 3, 7. Goldener Ring 10, 8. baarschafft 25, 9. Hauß nihil, Summa summarum 335 lb – Schulden 7 lb, Nach deren Abzug 328 – Conclusio finalis Inventarÿ 328 lb
– Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth., p. 188 n° 47) Hans Niclauß Schwartz d. ledig. weißbeck v. hans Philips Schwartzen weißbeckens v. burgers alhier hinterlaß. ehelicher Sohn, Margaretha H. Georg Graußen burgers und Metzgers alhier ehl. tochter

Les Préposés au bâtiment indiquent à Jean Nicolas Schwartz l’alignement à suivre à partir de la nouvelle construction d’Ambroise Jaeger et l’endroit où il pourra entreposer les matériaux de construction. Les travaux devront commencer de suite.

1723 (3.8.) VII 1390 Bauherren f° 190
Joh: Niclaus Schwartz pt° bauens – Meister Johann Niclaus Schwartzen des Weißbecken beÿ der Eulen ältisten Sohn, wurde wegen Ihres gegen dem Thomanloch sehr bawfällig befindlichen, und 18. schuh breiten hinderhaußes, auf des herren Statt Lohners deßwegen abgestattete relation, angezeigt, daß weilen Ambrosÿ Jägers, des würths, daneben liegende wohnung, an dem obern eckh, umb 3. schuh 2. Zoll breit weiter auf das allmend gehe, Er Schwartz selbsten auch vor diesem hinderhauß einen S.V. 5. schuh 3. Zoll lang, und 8. Schuh 3. Zoll breiten Schweinstall hatt, alß solle Er solchen wegbrechen laßen, dagegen von Ambrosÿ Jägers eckh an, umb 2 schuh 6. Zoll breit in gleicher flucht herauß fahren und biß an die vf der andern seithen an der tränckh liegende wohnung also continuiren, mit solchem newen baw auch, beÿ 10 lb d. Straff innerhalb vierzehen tagen, durch herbeÿ schaffung der benötigten Materialien den anfang machen, und dahien trachten daß Er noch in diesem Jahr möge Vollendet werden.
(f° 208) Dienstags den 26.ten Octobris 1723. Joh: Niclaus Schwartz pt° bauens – Meister Johann Niclaus Schwartz, der Weißbeckh, ersucht Mghhn. unterth. Ihme einen platz anzuweisen, wo Er das erkauffte, und zu dem anbefohlenen baw Seines hinderhaußes benöthigte holtz hienlegen Könte, damit es als dann daselbst auch Könte gezimmert werden, deßgleichen die Moillons und den Sand, so Er inmittelst anzuschaffen vorhabens ist, Erk. Solle das bawholtz auf Mr Gottfried Webers, des Zimmermanns gelühenen allmend platz, die Moillons aber vor Seine wohnung legen laßen.
(f° 215 v°) Dienstags den 9.ten Nov. 1723. Mr. Joh: Niclaus Schwartz pt° bauens – Meister Johann Niclaus Schwartzen, dem Weißbeckhen, ist auf Sein unterth. ansuchen erlaubt worden, das Zu Seinem Vorhabenden baw erkauffte bawholtz, von dem Pfenningthurn an die Maur beÿ dem höltzern brücklein Zulegen, doch dergestalten, daß es nicht höher als die maur ist, auch nicht soweit auf das Allmend gelegt werden daß es den weeg versperre, ingleichem, wann Er Seine Materialia werde beÿsammen haben, selbiges auch alda Zimmern zu laßen.

(le 3 août) Sur le rapport fait par le Directeur des travaux, on a indiqué à Jean Nicolas Schwartz, boulanger au Hibou, dont le bâtiment arrière face du Thomanloch, large de 18 pieds, est en très mauvais état, qu’il devait démolir son étable à porcs (longue de 5 pieds 3 pouces et large de 8 pieds 3 pouces) devant ce bâtiment parce que l’aubergiste Ambroise Jæger a empiété de 3 pieds 2 pouces sur le communal en construisant l’extrémité du haut de sa maison voisine. Il pourra par contre construire sa nouvelle maison en suivant l’alignement à partir de l’extrémité d’Ambroise Jæger en empiétant le communal sur une largeur de 2 pieds 6 pouces jusqu’à la maison qui se trouve de l’autre côté vers l’abreuvoir. Il devra commencer les travaux dans les quinze jours en apportant les matériaux nécessaires sous peine d’une amende de 10 livres et faire en sorte que la maison soit terminée avant la fin de l’année.
(le 26 octobre) Le boulanger Jean Nicolas Schwartz demande humblement au Magistrat de lui indiquer un endroit où poser le bois dont il a besoin pour reconstruire sa maison arrière comme on le lui a ordonné, de manière à pouvoir le travailler au mieux, de même pour les moellons et le sable qu’il a l’intention de faire apporter incessamment. Décision, il pourra mettre le bois de construction sur l’emplacement communal loué par le charpentier Geofroi Weber et les moellons devant sa propre maison.
(le 9 novembre) Sur son humble demande, on a autorisé le boulanger Jean Nicolas Schwartz à poser contre le mur du Petit pont en bois le bois de construction pour sa future maison près de la Tour aux deniers de telle manière qu’il ne soit pas plus haut que le mur et qu’il ne gène pas le passage sur le communal et à y faire travailler les matériaux lorsqu’il les aura réunis.

Le Directeur des travaux propose de modifier l’alignement précédent en faisant observer que l’aspect sera plus régulier si le propriétaire empiète sur le communal sur toute la longueur de la maison. Le Magistrat approuve et rappelle à Jean Nicolas Schwartz qu’il doit commencer les travaux aussitôt sous peine que la Ville les fasse faire à ses frais.

1724 (18.1.) VII 1391 Bauherren f° 4
Johann Niclaus Schwartzen Wohnung gegen dem Thomanloch gelegen betr. – Ferner berichtet Er [der Herr Statt Lohner] Mghhn. daß wann Mr Johann Niclaus Schwartz, der beck beÿ der Eulen, mit dem baw Seines hinter Haußes solte von Ambrosÿ Jägers, des würths, behaußung an, umb 2 sch. 6. Zoll auf das Allmend herauß fahren, es ein großen übelstand abgehen dörffe, angesehen an Jägers behaußung Obere Stockwerck weiter als das untere herauß gehet, findete also beßer, daß Er umb 3. schuh, 3. Zoll an Jäger hauß herauß fahre, auch an dem andern end gegen dem waßer zu, beÿ 2 schuh 3. Zoll Herauß Verbleibe, welches auch also beliebet, und Schwartzen, daß Er solchem richtig nach Kommen anzuzeigen befohlen worden.
(f° 8) Dienstags den 25. Jan. 1724. Joh: Niclaus Schwartz pt° bauens – Johann Niclaus Schwartz, der beckh, ersucht Mghhn. umb erlaubnus, von Seiner gegen dem Thomanloch liegender hinter behaußung, welche new auf bawen laßen muß, Vier Steinere Stafflen, deren jede Ein Schuh breit und Fünff Schuh lang werden solle, legen Zulaßen, Erk. wird Ihme gegen der gewonhlichen Verzinßung damit willfahrt, im übrigen aber nochmahlen alles ernstes ermahnet, innerhalb vierzehen tagen mit legung des fundamenten den anfang zumachen, wiedrigen fall alles vf Seinen Costen durch der Statt Werckleüthe geschehen solle

(18 janvier) Considérant que l’étage d’Ambroise Jaeger avance plus que le rez-de-chaussée, le Directeur des travaux communique au Magistrat que l’aspect risquerait d’être irrégulier lorsque le boulanger au Hibou Jean Nicolas Schwartz empiètera sur le communal de 2 pieds 6 pouces à partir de la maison de l’aubergiste Ambroise Jæger en construisant sa maison arrière, il trouverait donc mieux qu’il empiète de 3 pieds 3 pouces du côté Jaeger et que l’empiètement continue sur 2 pieds 3 pouces à l’autre extrémité vers le fossé. On approuve la remarque, de même de demander à Schwartz de suivre exactement cet amendement.
(25 janvier) Le boulanger Jean Nicolas Schwartz demande au Magistrat l’autorisation de poser quatre marches en pierres, chacune large d’un pied et longue de 5 pieds, devant sa maison arrière qu’il doit faire rebâtir à neuf vers le Thomanloch. Décision, autorisation moyennant la rente foncière habituelle, on lui redemande instamment de commencer à poser les fondations dans les quinze jours, dans le cas contraire le travail sera fait à ses frais par les ouvriers de la Ville.

Jean Jacques Schwartz, copropriétaire de la maison, règle le capital d’une rente assise sur la maison au profit de l’Aumône de Saint-Marc d’après des titres de 1440 et 1457

1732 (29.4.) Chambre des Contrats, vol. 606 f° 201
des Allmoßens zu St Marx allhier Schaffner H. Johannes Spielmann zugleich als mandatarius daßiger H. Pflegern
Johann Jacob Schwartz des Paßmentirers, als Miteigenthumbs besitzers des zur Eulen genannten allhier ahn dem steinernen brückel beÿm Rindshäutergraben einseit neben Johann Jacob Fischer dem gastgeber zum Blauen Bauren anderseit neben H. Millot dem Chirurgo hinten auff dem alten Weinmarckt stoßend und einen ausgang dahin habend gelegenen weißbecken haußes demnach gedachtes Allmoßen vermög am 12. dec. 1538 vor dem Bischofflichen hoff auffgericheten zinnßkauffbrieffs auff ged. hauß 150 gulden Straßburger währung stehen gehabt, woran aber 50 gulden A° 1541 abgelößt worden mithin annoch 100 R daran restiren, Ebendaselbe auch lauth ein dergleichen zinnßkauffbrieff de dato 6 Nonas Julÿ 1440 und 6 Kalend. aug. 1457 auff bemeldtem hauß in zweÿen posten 20 pfund zu fordern gehabt (…) bezahlt

Inventaire après le décès de Jean Georges Schwartz, boulanger célibataire. Il a ordonné par testament que ses deux frères jouiront de ses biens tant qu’ils seront célibataires. Ses biens se montent à mille livres.

1752 (15. 7.bris) Me Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 48) f° 1013
Inventarium über Weÿland Herrn Johann Georg Schwartz, gewesenen Weißbeck und burgers allhier nunmehr seel. Verlassenschafft – nach seinem den 12. Junÿ dieses Jahrs genommenen tödlichen hinntritt zeitlichen verlaßen
der abgestorbene seel. hat per Testamentum zu Erben Verlaßen wie folgt, 1. Weÿl. herrn M. Johann Philipp Schwartzen, gewesenen treüeÿfferigen Diaconi zu St. Thomä und burgers allhier nachgelaßene zwo töchter, nahmentl. Frau Mariam Salome Wunscholdin gebohrne Schwartzin, Herrn Heinrich Wilhelm Wunschold, handelßmanns und burgers allhier Frau Eheliebsten, und Frau Mariam Margaretham Ziegenhagin gebohrne Schwartzin Herrn Daniel Gottlieb Ziegenhagen, Kunsterfahrenen Chirurgi und burgers allhier Frau Eheliebstin,
2. Johann Adam Schwartz, Lediger weißbeck,
3. Johann Jacob Schwartz, lediger Paßmentirer,
4. Frau Mariam Salome Rauscherin gebohrne Schwartzin, Johann Carl Rauscher des außgetrettenen Nestlers und burgers allhier Verlaßene Ehegattin,
alle des Verstorbenen seel. geschwüstrige und respective des abgeleibten bruders nachgelaßene Zweÿ Töchter, Zu Vier gleichen Stamm Theilen, welche Erbschafft aber denen annoch lebenden beeden brüdern, so lang Sie ohn verheurathet Verbleiben, krafft hernach gemelder Testamentliche Verordnung in wÿdums genuß gelaßen werden wolle
Copia Testamenti nuncupativi in Anno 1732 Vor mit aufgerichtet, perge in dem Protocolli Extens. fol: 289-a

Eigenthum ane einer behaußung. Nemlichen eine behaußung, hoffstatt und höfflein Zur Eulen genannt, samt allen anderen deren Gebäuen, begriffen, weithen, Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten gelegen in allhiesiger Statt nahe beÿ dem alten weinmarckt und steinern brückel, vornen ein seith neben herrn Lorentz Fischer, des Gastgebers zum blauen bauren wittib und Erben, ander seith neben herrn Miliau dem frantzösischen barbirer, hinden gegen dem Thomanloch ein Seith neben dem Wirthshauß zum goldenen ochßen ander Seit neben hoffmann dem seiffensieder, welche behaußung als freÿ ledig und eigen durch die allhiesig geschwornene herren Werckmeister vermög deren außgestellten schrifftlichen Abschatzung de dato 13. spet. 1752 æstimirt worden Vor 1100 lb, daran dem Verstorbenen seel. ein Vierder theill gehörig war, thut 275 lb
darüber besagt ein E.E. Zunfft der Fischer allhier abgelöster alter pergam: Zinnßbrief, It. ein papÿr. Extractus auß allhies. CC Stub de dato 23. Aug. A° 1628, It. ein teut. perg. Kauffbrieff mit der Statt Straßb. anhang. Contract Inns. Verw. datirt den 24. Julÿ 1643, So dann ein dergleichen Kauffbrieff de A° 1695
– Abschatzung Vom 13.ten 7bris 1752. Auff begehren Weÿland Johann Georg Schwartzen deß geweßenen Weißbecken seel. hinterlassener Erben, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg beÿ der Eulen am Steinernbrückel genant, einseit neben Herrn Miliau anderseit auf Weÿlandt herrn Lorentz Fischers Hinterlaßene Wittib und hinten auff den alten wein Marckt stosend gelegen, Neben dem Eingang ist eine Stuben hinten daran die Küchen In dem Ersten stock ist eine Stube, Kammer und hauß öhren, in dem Zweÿten stock seind zwo Kammern, darüber ist der tachstuhl mit breit Ziegeln doppelt belegt, hat auch einen geträhmten Keller, hoff, und bronnen, ferner befindet sich ein hinter gebäu, worinnen eine Stuben etliche Kammeren, ein Küchen, der bachoffen und die bachstube, darüber ist eine Mançard, Von uns den unterschriebenen der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistern nach vorhero beschehener besichtigung, mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen werth nach æstimirt und angeschlagen Worden Vor und umb 2200 Gulden [unterzeichnet] Biermeÿer Lohner, Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, werner Werckmeister
(partie qui décrit la maison) la maison comprend à côté de l’entrée un poële, par-derrière la cuisine, au premier étage un poële, une chambre et un vestibule, au deuxième étage deux chambres, par-dessus les combles couverts de tuiles doubles, aussi une cave solivée, une cour et un puits, il y a aussi un bâtiment arrière comprenant un poële, quelques chambres, une cuisine, le four et le fournil, au-dessus une mansarde

Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 37, Sa. Wein und leerer Faß 13, Sa. silbers 1, Sa. baarschafft 400, Sa. Eigenthums an einer behaußung 275, Sa. der Schulden in die Nahrung zugeltend 278, Summa summarum 1005 lb
Weilen nun der Verstorbene seelig in obinserirtem testament verordnet, daß seine Verlassenschafft seinen brüdern so lang Sie ohn Verheurathet Verbleiben, in Wÿdums genuß gelaßen werden soll, als wäre Von dieser Verlassenschafft Jedem Von deren noch lebenden brüdern Johann Adam und Johann Jacob Schwartz die helffte zu verstallen zuzuschreiben thut 502 lb

Inventaire après le décès de Marie Salomé Schwartz deuxième femme de l’aiguilletier Jean Charles Rauscher qu’elle a épousé en 1728. Elle laisse pour héritières ses deux nièces filles du pasteur Jean Philippe Schwartz, ses autres frères et sœurs étant morts célibataires sans postérité. Elle est propriétaire de la maison au Bœuf et d’un jardin hors la porte des Pêcheurs. Ses biens se montent à 4 000 livres.

1759 (4.10.) Me Dinckel (J. Rodolphe, 6 E 41, 395) n° 821
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren: und Tugendsahmen Frauen Mariä Salome Rauscherin gebohrner Schwartzin, auch weÿland des Ehren: und Wohl vorachtbahren Herrn Johann Carl Rauschen, des Nestlers und burgers allhier nunmehr seeligen hinterlaßener Wittib nun ebenmäßig seeligen Verlassenschafft – nachdeme dieselbe donnerstags den 23. Augusti dießes lauffenden 1759. Jahrs dießes zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt, zeitlichen hinter sich verlaßen So beschehen auf Donnerstag den 4. Octobris 1759.
Die Abgeleibte Frau seelige hat Zu Ihren Erben ab intestato Verlaßen als folgt, 1.mo Frau Mariam Salome Wunscholdin gebohrne Schwartzin, Herrn Heinrich Wilhelm Wunschold, des handelßmanns und burgers allhier Ehegattin, So dann 2.do Frau Mariam Margaretham Ziegenhagin gebohrne Schwartzin, Herrn Daniel Gottlieb Ziegenhagen, des Chirurgi und burgers allhier Frau Eheliebstin, beede Weÿland herrn Mag: Johann Philipp Schwartz, geweßenen Wohlverdienten Diaconi beÿ der Evangelischen Kirch zu St. Thomæ und burgers allhier, der seelig verstorbenen eheleibllichen Herrn bruders ebenmäßig seeligen erziehlte Frauen töchtere und ab intestato Zu Zweÿen gleichen portionen und Stamm theilen Verlaßene Rechtmäßige Erben

In einer allhier zu Straßburg ohnfern dem alten Weinmarck gegen dem Gerbergraben hinüber gelegenen, zur Eulen genanden in diese Verlassenschafft gehörigen und hernach eingetragenen behaußung befunden Worden wie folgt
Eigenthum ane einer behaußung und Garthenhauß. Erstl. eine behaußung, höfflein und hoffstatt mit allen anderen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten Zur Eulen genannd gelegen allhier zu Straßburg nahe beÿ dem Alten Weinmarck und steineren brückel vornen ein seit neben Weÿland herrn Lorentz Fischers, des Gastgebers zum blauen bauren Wittib und Erben, ander seit neben herrn Milhaut, dem frantzösischen barbirer, hinden gegen dem Thomans loch einseit neben dem Würthshauß zum goldenen Ochßen, anderseit neben Christoph Hoffmann des Seÿffensieders Wittib, so gegen Männiglichen freÿ, ledig und eigen, und ist in dem über Weÿland Herrn Johann Georg Schwartz, des geweßenen Weißbecken und burgers allhier, der Defunctæ eheleiblichen bruders seel. Verlassenschafft durch Weÿl. H. Notarium Johann Philipp Lichtenberger seel. in Anno 1752 aufgerichteten Inventario fol. 24. fac. i.ma durch der Statt Straßburg herren Werckmeistere angeschlagen pro 1100 lb, darüber besagen zween teutsche pergamentene Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract In siegel verwahret de datis 24. Julÿ 1643 et 19. Maÿ 1594, darbeÿ ein abgelößter pergamentener Zinnßbrieff und ein papÿrener Extractus in allhiesiger Cancelleÿ Contract Stub de dato 23. Augusti Anno 1628
Ir. ein kleines Gärthlein, ohngefehr ein halb Viertzahl Grund haltend samt einem darinn stehenden Zweÿstöckigten Gartenhäußlein, Schweinstall und hoffstatt mit allen deßen Gebäuen, begriffen, Weithen, rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen außerhalb der Statt Straßburg, vor dem fischerthor zwischen den dreÿen brucken im beckenwäldlein, einseit neben der Gastherberg zum goldenen Rößel anderseit neben H. Johann Jacob Hitscher, dem Weißbecken, oben auf das Allmend und unden auf den Pulvergießen stoßend, davon gibt man Jährlich zu verschiedenen Terminen der Statt Straßburg Pfenningthurn 3 lb 15 ß d ane Allmend zinß sonsten gegen Männiglichen freÿ, ledig und eigen und über dieße beschwerde (laut) Abschatzung Vom 21. Septembris 1759 æstimirt Vor 100, Darüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhiesiger Cancelleÿ Contract Stub de dato 26. Novembris Anno 1733
– Abschatzung Vom 21.en 7bris 1759. Auff begehren Fraun Salome Reuscherin ist Ein Gardenhauß vor dem Judenthor jm becken Wäldlein gelegen (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 147, Sa. Wein und Lährer Faß 142, Sa. Silbergeschmeids 43, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 2450, Sa. Eigenthums ane einer behaußung und einem Gärthein 1200, Sa. Schuldig 30, Summa summarum 4014 lb – Schulden aus der Verlassenschafft zubezahlend 75 lb, Detrahendo Verbeleibt 3939 lb – Stall Summa 3456 lb
Unter dießer Summ nun ist nicht allein der seelig Verstorbenen Frauen Rauscherin Eigenthümlich Verlaßenes Vermögen begriffen, Sondern es finden sich auch darunter Ihre Verstorbenen geschwüsterde Verlassenschafften, so dieselbe annoch in genuß gehabt, Nemlich Weÿland herrn Johann Jacob Schwartzen geweßenen Ledigen Paßmentirers nunmehr seel. Verlaßenes Vermögen, Ferner Weÿland herrn Johann Adam Schwartzen geweßenen Ledigen Weißbecken nunmehr seeligen Verlassenschafft, So dann Weÿland Marthä Schwartzin auch weÿland Herrn Nicolai Schwartzen geweßenen Weißbecken und burgers allhier seeligen hinterlassener ehelich erziehler tochter nun ebenmäßig seeligen hinterlaßenes Vermögen

Mariage, Temple-Neuf (luth., f° 78, n° 43) 1728, d. 23. 9.br. sind eingesegnet worden : Joh: Carl Rauscher der burger, Nestler v. Wittber alhier v. Jgfr. Maria Anna Salome, weÿl. Joh: Niclauß Schwartzen geweßenen b. v. Weinhändleren Nachgel. ehl. Tochter (si go)

Marie Salomé Schwartz femme d’Henri Guillaume Wunschold, marchand, et Marie Salomé Schwartz, femme de Daniel Théophile Ziegenhagen, chirurgien, seules héritières de leurs grand-parents, vendent à Jean Greiner, boulanger, et à Marie Salomé Beyer la maison au Hibou et celle près au Beckenwældel hors la porte des Pêcheurs

1760 23.2.) Chambre des Contrats, vol. 634 f° 66-v
H. Heinrich Wilhelm Wunschold der handelsmann als ehevogt Fr. Maria Salome geb. Schwartzin und H. Daniel Gottlieb Ziegenhagen des chirurgi auch als ehevogt Fr. Maria Margaretha geb. Schwartzin
H. Johann Greiner des weißbecken und Maria Salome geb. Beÿerin
eine becken behausung, höfflein und hoffstatt zur Eul genannt bestehend in vorder und hinterhauß mit allen deren begriffen, rechten und gerechtigkeiten am Rindheutergraben, einseit neben H. Dr Mulhau, einseit neben Fr. Frischein, oben Mathias Schuster den wirth und einen ausgang gegen den Thomanloch, einseit neben ged. Schuster, anderseit neben Hoffmännische wittib
ferner eine behausung und schweinställe nebst garten zwischen dem Juden und dem Fischerthor im Beckenwälden, einseit neben Flachischen erben, anderseit neben -, oben auf das waßer, davon (gibt man) hiesigen Stadt Pfenning Thurn 3 lb 2 ß ane bodenzinß – als ein von weÿl. Fr. Maria Salome Rauscherin geb. Schwartzin ererbtes guth – um 3200 pfund

Jean Greiner qui construit une nouvelle façade demande l’autorisation de remplacer son auvent au-dessus de sa boutique de boulanger vers le Fossé des tanneurs par un balcon. Comme les conditions ne lui conviennent pas, il demande à remettre un auvent. Il demande ensuite l’autorisation que l’auvent soit plus large pour que son pain soit au sec.

1762 (1.4.) VII 1410 Bauherren f° 14
Johannes Greiner – An Johannes Greiner des Eulenbecken hauß an der Steinern bruck gegen dem Gerbergraben, welcher willens eine neue façade zu bauen und umb erlaubnus gebetten an statt des wetterdachs über seinem beckenladen ein 4 sch: breiten Balcon Zu machen. Erkannt, willfahrt mit condition daß er den Blacon nur 3 sch: breit machen und Von beeden Nachbarn auch 3 sch: zurück bleiben solle, so er aber nicht angenommen und gebetten jhme Lieber Zu erlauben wieder ein wetterdach Zu machen. Ferner Erkannt, willfahrt, soll daßelbe aber nicht breiter als 4 sch: machen laßen.
(f° 17) Dienstag den 20. Aprilis 1762. Johannes Greiner – Johannes Greiner der Eulenbeck bittet nochmahlen unterthänig jhme an statt jüngst vergönnter 4. sch: sein wetterdach über seinem beckenladen 5. schuh breit Zu machen, weilen sonsten sein brod nicht in das trockene Kommen würde. Erkannt, willfahrt mit condition jedoch daß er Keinen naach an das dach machen solle.

Inventaire après le décès de Marie Salomé Beyer femme de Jean Greiner, boulanger. Fille de pasteur, elle a épousé Jean Greiner en 1754. Elle laisse deux fils. La masse de la communauté est déficitaire de 2309 livres.

1779 (20. 9.br) Me Lauth (6 E 41, 647) n° 79
Inventarium über Weÿl. der viel: Ehr: und tugendreichen Fraun Maria Salome Greinerin geb. beÿerin Hn Johann Greiner des Weißbecken E.E. beständigen Gerichts der becken wohlverdienten beisitzers Eheliebstin Verlassenschafft, nach ihrem den 9. 8.bris dieses zu End laufenden 1779.sten jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt ; auff ansuchen des Wittibers als auch H.n Joh. Georg beÿer des biersieders theils als Mandatarii und theils als geordnet: u: geschwornen Vogts von hernach benamßten Söhnen, Christoph Friedrich Eberle der Oberknecht von Schweigern, Conrad Riff der Mittel: Knecht von bischheim am Saum, Theobald brand der Unterknechts von Vendenheim, Jgfr: M. Sal: Steinbachin die Laden: Magd von Ensisheim gebürtig
die Verstorbene seelige hat ab intestato zu ihren Erben verlaßen wie folgt 1. H. Johann Philipp Greiner den ledigen Schreiber in der Amtschaffneÿ zu buchsweiler so dermalen 22 Jahr alt Und 2. H. Johannes Greiner den 19 ½ jährigen ledigen becker welcher nunmehro auf seiner Wanderschafft und Dato zu Amsterdamm in Arbeit stehet; obged. beede Söhne seind von der Verstorbenen Fraun Mutter mit ihrem Marito erzeugt worden
Copia der vor H. Not° Joh. Daniel Schweighäußer den 7. 7.br 1754 aufgerichteten Eheberedung, zwischen dem Ehren und Vorgeachten herren Johannes Greiner leedigen becken weÿl. herrn Johann Michael Greiners Kiefers Weinstichers und burgers zu hunnenweiher mit Frauen Margaretha Barbara geb. binderin (sohn) So dann der Viel Ehren und tugendbegabten Jungfrau Maria Salome beÿerin weÿl. herrn M Johann Jacob treueiffrigen Pfarrers zu Ensisheim und burgers zu Straßburg mit Fraun Anna Catharina geb. lauthin demalen herrn Abraham deustchen berühmten Gastgeber alhier eheliebstin tochter
Copia des vor mir den 19. junÿ 1776 errichteten Codicilli nuncupativi

In einer gegen dem Gerber Graben gelegenen und in diesortige theilbare Massam gehörigen becken behausung zur Eul genannt
Eigenthum an einer behausung, Nemlichen eine becken behausung zur Eul genannt samt Höflein und hoffstatt bestehend in vorder: und hinterhaus mit allen deren begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten und zwar vornen am Rindshäuter: Graben es. Hn Dr. Joh. Ludwig Milhau as. N. bauer dem Gimpler hi. N. Nunnenmann dem Gastgeber und einen Ausgang gegen dem Thomäloch über habend es. gedachtem Herrn Nunnenmann und as. neben Mr. N Klotz dem Maurer sub dato 23. Xbr A° 1779 Abschatzung angeschlagen vor 5800 R oder 2900 lb, Über vorherbesagte behausung sowol als auch annoch über eine anderwärtigen von Schwartzisch: Erben als Fr. Wundscholdin und Fr. Ziegenhagin miterkaufte allein unter deßen wieder gemeinschafftlich verkaufte behausung u: Schweinställe nebst Garten vor allhiesiger Stadt zwischen dem Juden: u. Fischerthor im beckenwäldel gelegen vorhanden i. Kaufbrieff C.C.St: gefertiget de dato 23. feb. 1760
– Abschatzung vom 23.t Decembre 1779, Auff begeren herr johannes Griner dem Weißbeck ist Eine behausung allhir in der statt straßburg zur Eull genannt beim Rindsheuter brückel gelegen Ein seÿts neben herr Doctor Millio anderer seÿts neben herr baur und hinten gegen dem thommen loch gelegen, solche behausung bestehet in forder und hinter gebäu worinnen Eine bachstube und bach Küchen, welche gewölbt, ferner in Vier stuben zweÿ Küchen, Etlichen Kammern und becken laden, darüber seÿn die dachstühl mit breitzigel belegt, hat auch zweÿ Keller theils gewölbt theils getremt hoff und brunnen, vor und umb 1800 gu, [unterzeichnet] Hueber, Kaltner W:Mst
(partie qui décrit la maison) la maison comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière où se trouve le fournil et la boulangerie, par-dessus les combles couverts de tuiles doubles, aussi deux caves partie voûtées partie solivées, une cour et un puits

Ergäntzung, Not. Johann Daniel Schweighäußer in A° 1754 d. 27. 9.bris errichteten Nahrungs Inventarii
des H. Wittibers unveränderten vermögens, hausrath 8 lb, silbernen geschmeids 13 ß, Ergäntzungs rests 621 lb, summa summarum 630 lb, schulden 150 lb, Facta Deductione 480 fr
der Verstorbenen modo dero nachgelaßener 2. Söhn u: E: unveränderten vermögen beschrieben, hausrath 71 lb, silber 12 lb, goldene ringe 12 lb, ergäntzung 1102 lb, schulden 150 lb, Summa summarum 1348 lb
das gemein verändert und theilbar Gut, hausrath 158 lb, Schiff und Geschirr zur beckerei gehörig 209 lb, holtzes 6 lb, butters 4 lb, ein und leerer Faß 61 lb, silber 16 lb, baarschafft 24 lb, behausung 2900 lb, schulden 99 lb, summa summarum 3489 lb, schulden 5799 lb, In Gegeneinanderhaltung 2309 lb – Endliches Passiv Onus loco Stall Summæ

Mariage, Saint-Thomas (luth., f° 87 v°, n° 539) Anno 1754 Mitwoch den 13. Nov. seind copulirt worden Hr. Johannes Greiner Lediger Weißbeck, Weÿl. Hn Joh: Michael Greiner gewesenen Gastgebers und Weinstichers u. Anna Weÿher hinterlassener ehel. Sohn und Jungfr. Maria Salome Beÿerin Weÿl. Hn M. Johann Jacob Beÿer gewesenen treueiffrig. Pfarrers der Evang. Gemeind zu Ensisheim hinterlassene ehel. tochter (si go)

Contrat de mariage entre Jean Greiner le fils et Marie Salomé Beyer. Le père Jean Greiner cède la maison aux conjoints en se réservant une habitation dans la maison arrière
1787 (18. 7.bris) Me Schweighaeuser (6 E 41, 567) n° 249

(Eheberedung) Herr Johannes Greiner, leediger beck, herrn Johannes Greiner, des Weißbecken und burgers llhier zu Straßburg mit weiland fraaun Maria Salome gebohrner Beÿerin ehelich erzeugter Sohn
und Jungfrau Maria Salome Beÿerin herrn Johann Georg Beÿer des bierbrauers und E:E: kleinen Raths dahier dermaligen wohlverdienten beÿsitzer mit auch weiland fraun Maria Salome gebohrner Miliußin ehelich erzeugte tochter

Vor das Achte cedirt und überläßt des herrn hochzeithers eingangs-benannter herr Vatter ihrer beider hochzeitlichen Personen zu einem wahren und ohn wiederruflichen Eigenthum, und Zwar Jeedem Zur hälfte Seine allhier zu Straßburg ohnfern dem baarfüßerplatz gegen dem Gerbergraben über gelegene ihm eigenthümlichen zuständige Zur Eulen genante becken behaußung, mit allen deren Gebäuden, begriffen, weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten, Vor und um die summam von 11 000 Gulden, Welche Cession und Übergab besagte hochzeith-Persohnen auch also acceptiren und sich dargegen anheischig und Verbindlich machen, I.mo des herrn hochzeiterers herrn Vater solang derselbe im Leben sein wird, die im zweiten Stock des hintern Haußes befindliche Wohnung Zinnsfrei geniesen zu laßen, 2.do die auf gedachter behaußung in Capital Versichert haftene 5000 Gulden abschlägig des Cessions schillings derer 11 000 fl. zu übernehmen (…)
Neuntens Verbindet sich des H. Hochzeithers herrn Vatern diesem seinem Sohn und deßen künftiger Ehegattin das Zur becken: Profession gehörige Schif und Geschirr wie auch die Ihen nöthige und zu Meublirung derer Garnirt Zimmer erforderliche haußräthliche Effecten (…) zu übergeben

Inventaire des apports en mariage de Jean Greiner le fils, boulanger et de Marie Salomé Beyer sa cousine germaine. Jean Greiner le père a cédé sa boulangerie à son fils lors du contrat de mariage

1787 (20.12.) Me Schweighæuser (6 E 41, 562) n° 451
Inventarium über Herrn Johannes Greiner des jüngern Weißbecken und fraun Maria Salome geb. beÿerin einander für ohnverändert in die Ehe zugebrachten Guths, in ihrem den 20. nov. jüngst angetrettenen Ehestand und sich in dem den 18. sept. laufenden Jahrs vor unterschriebenen Notario aufgerichteten Ehe-Contract (vorbehalten haben)

in einer ane der Kinderspielgaß gegen dem Gerbergraben über gelegenen zur Eulen genannten denen Ehepersohnen von des Ehemanns hernach benannten Vater in ihrer Eheberedung § 8 eigenthümlichen cedirt und von ihnen wircklich bewohnenden behausung in beisein herrn Johannes Greiner des ältern Weißbecken und herrn Johann Georg Beÿer des bierbrauers der Ehepersohnen leiblicher Väter
Eigenthum ane einer behausung so herr Johannes Greiner der ältere seinem sohn und Sohnsfrauen disortigen beder Ehepersohnen in ihrem Ehe contract § 8 zu gleichen Antheilen eigenthümlich cedirt hat, Nemlichen eine becken: behausung höflein und hoffstatt zur Eulen genannt bestehend in Vorder: und hinter haus mit allen deren begriffen, Weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten am Rindsheuter: Graben einseit neben herrn Dr Milliaut anderseit neben herrn Schweighäuser dem Glaßer hinten auff N. diß den Gastgeber zum goldenen ochsen stoßend und einen ausgang gegen dem thomäloch neben N. Klotz dem maurermeister habend, gelegenn, überlaßen vor 5500 lb, Worüber vorhanden C.C.Stub Kaufbrieff de dato 23. feb. 1760 Ferner zween dergleichen Kauf: Briefe d. 29. maÿ 1594 und 24. julÿ 1643
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Ehemanns eigenthümliche Guth, silbergeschmeids 6 lb, gold. Rings 31 lb, baarschafft 779 lb, Pfenningzinß hauptgüter 152 lb, summa summarum 969 lb, haussteur 149 lb, des Ehemanns Vermögen 1118 lb
der ehefraun in die Ehe gebrachtes Guth, hausrath 271 lb, silber 22 lb, goldenen ring 80 lb, baarschafft 1535 lb, summa summarum 1908 lb, Mit deren beirechnung 2058 lb

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 148, n° 29), 1787, Dienstag den 20. Novembris sind (…) eingesegnet word. Johannes Greiner der ledige Weißbeck u. burger allh. H. Johannes Greiner des Weißbecken und burgers allh. mit Weil. Fr. Maria Salome gebohrner Beÿerin ehel. erzeugter Sohn u. Jgfd. Maria Salome Beÿerin H. Johann Georg Beÿer des bierbrauers und burgers allh. mit weil. Fr. Maria Salome gebohrner Mÿlius ehel. erzeugte tochter (si go. Johannes Greiner als brautigam, Maria Salome beÿerin als braut)

La maison est uniquement habitée par Jean Greiner père et par son fils

1789 (5 R 26, Etat des habitants) f° 147 – Canton III, Rue 56 au Jeu des Enfants
n° 64
Pr. – Greiner, Jean Pere – boulanger
lo. – Greiner Jean fils – boulanger

Inventaire après le décès de Jean Greiner le fils, boulanger, qui délaisse deux enfants. La masse de la communauté est bénéficiaire (8600 livres) bien qu’elle soit obérée de dettes (28 700 livres). La maison représente 22 000 livres, elle est localisée « ohnfern dem Waffen: Platz am Rindshäuter Graben », au Fossé des tanneurs près la Place d’armes

1797 (13 frimaire 6) Strasbourg 3 (2), Me Schweighaeuser n° 571
Inventarium und beschreibung all deßjenigen sowohl liegend als fahrenden Vermögens so weÿl. der burger Johannes Greiner der jüngere geweßener beck allhier, nach seinem den 10. brumaire jüngst jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt hier zeitlichen hinterlassen hat, auf Ansuchen der hinterbliebenen Wittib frau Maria Salome geb. Beÿerin hierzu mit ihrem bruder dem burger Georg Friedrich Beÿer hiesigem Gastgeber verbeÿstandet wie auch des burgers und hiesigen handelsmannanns Joh: Michael Greiner als Vogts des Defuncti mit der Wittib erzeugter zweÿer Kinder und ab intestato hinterlassenen Erben
der Verstorbene hat ab intestato zu Erben hinterlassen Seine mit der Wittib erzeugte Kinder Nahmentlichen 1. Sophia Salome geb. den 16. jan. 1790, 2. Johannes geb. den 2. Ergäntz. Tag V (18. sept. 1797)
Copia der Eheberedung, perge unter meinen Notar: acten sub rubr: Eheberedungen N° 249

in einer zu Straßburg ohnfern dem Waffen: Platz am Rindshäuter Graben gelegenen mit N° 64 bezeichnet in diese Verlassenschafft gehörigen beckenbehaußung, den 8. frimaire et seqq.
Wittems-Verfangenschafft wovon das Eigenthum dißortigen Erben für unverändert Laut eines über weÿl. fr. Maria Salome Greinerin geb. Beÿerin des Defuncti verstorbenen Mutter Verlassenschafft durch Not. Joh: Daniel Lauth den 17. maÿ 1780 aufgerichteten Summarischen Calculi
Ane Höltzen und Schreinerwerck, Auf der bühn In der Knechts Kammer, Im zweiten Stock auf die Gaß aussehend, In der magds Kammer, In der Kinds Stube, Soldaten kammer, Im ersten Stock auf die Gaß aussehend, Auf dem boden, In der Kuchen, Im Keller, In der backstube
Ergäntzung laut Inventarium illatorum de Anno 1787 durch mich Not.
(f° 12) Eigenthum ane einer behaußung. Nämlichen eine becken behaußung Höfflein hoffstatt und bronnen zur Eule genannt mit N° 64 bezeichnet bestehend in Vorder und Hinter Hauß mit allen deren begriffen, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten allhier zu Straßburg ohnfern dem Waffenpatz am Rinds-häuter Graben es. neben dem Medico Milhaut as. neben Michael Schweighäusser dem Glasßer hi. einen ausgang gegen dem thomanloch habend es. neben Michael Schott dem Gastgeber zum goldenen Ochßen und as. neben N. Kuhnz dem Lichtermacher, hier ohnpræjudicirlich æstimirt um den Preiß wie solch hauß denen Ehepersohnen in ihrem Ehe Contract vor br. Johannes Greiner dem Vater eigenthümlich Cedirt worden pro 22 000 li, Worüber vorhanden C.C. Stub Kaufbrieff vom 23. feb. 1760, Ferner zween dergl. Kaufbrieff der eine vom 29. maÿ 1594 und der andere vom 24. julÿ 1643
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der Wittib eigenthümlichen und unverändert Guth, hausrath 653 li, silbers 56 li, gold. ring 149 li, baarschafft 106 li, Ergäntzung 8990 li, schulden 600 li, summa summarum 10 555 livres
derer Kinder und Erben anerstorben unverändert Vätterlich guth, hausrath 373 li, Silbers 34 li, goldene ringe 65 li, Pfenningzinß hauptgüter 600 li, Ergäntzung 3721 li, summa summarum 494 li, schulden 600 li, Nach abzug derern 4194 livres
die übrige Verlassenschafft theilbar beschrieben, hausrath 3379 li, silbers 97 li, goldene ringe 14 li, baarschafft 427 li, behaußung 22 000 li, liegende güther 10 600 li, schulden 782 li, summa summarum 37 300 li, schulden 28 712 li, Detrahendo 8588 livres – zweiffelhaffte schulden in die theilbare Verl. 48 livres
N° 572, Mobilien Verkauf, auf Ansuchen der bürgerin Maria Salome Greinerin geb. Beÿerin weÿl. des bürgers Johann Greiners gew. becken Wittib – vor ihrer behaußung ohnfern dem Waffenplatz am Rindshäuter Graben gelegen mit N° 64 bezeichnet – Suma Looßung 891 und 1185 pf

Marie Salomé Beyer veuve de Jean Greiner loue la maison au boulanger Martin Jung

1797 (3 frimaire 6) Strasbourg 3 (5), Me Schweighaeuser n° 317
die bürgerin Maria Salome Greinerin geb. Beÿerin weÿl. des burgers und becks Johannes Greiners hinterbliebenen Wittib mit beÿstand und Genehmigung ihrer Kinder geschworner Vogts des burgers Johann Michael Greiner des Handels-Manns
dem burger und hiesigen becks Martin Jung /:ist anbeÿ erschienen der burger Johannes Wehrlen hiesiger beck des Entlehners Schwieger Vater, welcher sich freÿwillig vor denselben Verbürgt:/
In dem beckenhauß zur Eul genannt allhier gegen dem Gerbergraben über gelegen mit N° 64 bezeichnet auf dem boden den Laden, die Ladenstub und Küchen, das bachhauß, den holtzkeller unter der bachstub und den kleinen Keller unter dem vordern hauß wie auch die gemeinschaft des bronnens, Ferner im ersten Stock des Hintern Haußes die Meel-Kammer und die zweÿ zimmer darneben in deren einen ein runder gegoßener Offen steht, der Soldaten Zimmer im Vordern Hauß in den Hoff aus-sehend (…), noch ferner die bühn des hinterhaußes nebst der Magd-Kammer und oben darüber eine beschlüßige Kammer zum schwartzen Getüch, so dann die Knechts-Kammer in der Mansart des Vordern Haußes gelegen, vor dreÿ nacheinander folgende Jahre den Nach kommenden 4. Nivose angehend – um 15 livres silber-geld wochenlichen zinß

Inventaire après le décès de Marie Salomé Buck, femme en secondes noces de Jean Greiner père. Elle laisse pour héritiers ses deux sœurs et possède par héritage un tiers de deux maisons et d’un étal de boucher. Ses biens se montent à 8467 livres.

1798 (19 ni 6) Strasbourg 3 (2), Me Schweighaeuser n° 574
Inventarium und beschreibung all deßjenigen Vermögens so weÿl. Maria Salome Greinerin geb. Buckin des burgers Johannes Greiners sen: ehemaligen beckers Ehefrau, nach ihrem den 14. brumaire jüngst jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt hier zeitlichen verlaßen hat
die verstorbene hat ab intestato zu Erben hinterlassen Ihro zwo vollbändigen Schwesteren zu gleichen antheilen Nahmentlichen 1. Frau Maria Dorothea Städelin geb. Buckin des burgers und Weinhändlers Johann Jacob Städels Ehefraun und 2. die burgerin Maria Margaretha Riehlin geb. Buckin weÿl. des br. Philipp Jacob Riehl geweßenen Gastgebers Wittib
Eheberedung, Not. Lauth den 4. julÿ 1780
Codicill Not. Grauel (coll. Übersaal als besitzer Grauelischen Notariat-Acten, den 3. maÿ 1786)

in einer am Rindshäuter Graben gelegen zur Eulen genannten beckenbehausung, angefangen den 22. frimaire
(f° 5) Eigenthum ane Häußern. Erstlich Ein dritter theil für unvertheilt von und an einer behaußung bestehend in Vorder: und Hinter: Hauß Hoff und hoffstatt mit allen deren gebäuen, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten an dem Obern Staaden jenseith der thomas bruck 1.s neben br Schneider des hiesigen Medici Ehefrauen, 2.s neben b. Lorentz hinten auf besagten burger Schneider Ehefrau stosend und mit N° 14 bezeichnet, in Anno 1781 beÿ Vätterlicher Verlassenschafft Erörterung æstimirt pro 9000 livres, Macht zu dißortiger tertz 3000 livres, die übrige zwo tertzen sind denen hieseitigen Erben Vor Vätterlich guth zuständig, Über diese behaußung besagen zween in der ehemaligen C. Stub Kaufbrieffe der eine vom 13. feb. 1627 und der andere vom 21. jan. 1676
Item Ein dritter theil für unvertheilt von und an einer behausung Höfflein Stallung und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten im Finckweiler hinter dem Hauß zur Muck mit N° 34 bezeichnet einseit neben dem dieterlinischer Hauß 2.s neben Waltherischen Wittib hinten auff das gedachte Dieterlinische hauß stoßend und beÿ der defunctæ Vätterlichen Verlassenschafft Erörterung de Anno 1781 æstimirt pro 2400, Wovon der dritte theil anglangt 800 livres, die übrige zween dritte theil sind denen dißortigen Erben vor vätterlich guth zuständig, Hierüber meldet ein in der C.C. Stub gefertigten Kaufbrieff de dato 15. 9.br 1759 und 12. julÿ 1688
Eigenthümlicher Antheil ane einem Metzigbanck, Nämlich der dritte theil für ohnvertheilt von und ane einem Metzigbanck allhier unter der kleinen Metzig gelegen mit N° 106 bezeichnet wovon die übrige zween dritte theile dißortiger Erben zuständig 1.s neben b. detterer dem Metzger 2.s neben NN de Metzger hi auf den Rindshäutergraben stoßend, wovon mann jährlich der hiesigen commune 2 li 15 ß ane bodenzinß zu reichen hat, der dritte theil ohnpræjudicirlich æstimirt pro 100 li, darüber besagt C.C. Stub Kaufbrieff de dato 24. jan. 1684
Ergäntzung durch Joh: Michael Grauel in anno 1781
(f° 9) Series rubricarum hujus Inventarÿ, derer erbinnen unverändert Guth, hausrath 914 li, leerer Faß und eiserner Reiff 22 li, silbers 219 li, goldene ringe 74 li, Eigenthum an zweÿen Häußern 3800 li, Metzigbanck 100 li, Ergäntzung 3336 li, Summa summarum 8467 livres – wurde nach der Codicillarischen Verordnung ausgelüffert 1137 livres, überrest 7330 livres

Marie Salomé Beyer, veuve de Jean Greiner fils et ses enfants louent la maison à Martin Jung, boulanger

1801 (11 plu 9) Strasbourg 10 (41), Me Zimmer n° 863, 676, Lehnung auff 3 nacheinander folgenden jahren welche von verwichenen 4. nivose angefangen
Fr. Maria Salome geb. beÿer weÿl. des bürger Johannes Greiner beckers hinterbliebenen wittib mit beÿstand des bürgers Johann Michael Greiner handelsmanns als geordnet und geschworenen vogts ihrer mit gemelten Verstorbenen ihrem gewesten Ehemann erzeugten Kinder
dem bürger Martin Jung becker
benandtlich In der alhier zu Straßburg gegen dem Gerbegraben über unten mit N° 64 gelegenen: zur Eul genannten beckenbehausung auf dem boden den laden, die Ladenstub und Kuchen, das bachhauß, den holtzkeller unter der bachstuben und den kleinen Keller unter dem Vorderhauß, wie auch den gemeinschaftlichen Gebrauch des bronnens Im ersten Stock des hinterhauses, die Meelkammer und die zweÿ Zimmer darneben in deren einem ein runder gegoßenen eisernen Ofen Stehet, das Soldatenzimmer im Vordernhauß in den hof aussehend, die bühn des hintern hauses nebst der Magdkammer und oben darüber eine beschlüßige Schwarzgetüchkammer, so dann die Knechts kammer in der Mansarde des Vordernhaußes, monatlich 65 francken – um 784 francs

Inventaire après le décès de Jean Greiner père, domicilié dans la maison de son fils défunt.

1802 (15 bru 11) Strasbourg 3 (25), Me Übersaal n° 737, 1613
Inventarium über des weÿl. bürgers Johann Greiner ältern beckens verlassenschafft, nach seinem den 7. brumair XI erfoglten Asbterben – der Verstorbene hat mit weÿl. Fr. Maria Salome geb. beÿer seiner den 9. oct. 1779 verstorbenen ersten ehegattin ehelich erzeuget und ab intestato zu Erben hinterlassen I. den bürger Johann Philipp Greiner Chef de bureau à la Direction des Contributions in der stad Mainz desselben mandatarius ist br. Johannes Greiner wittib zufolg Procuration, II. des weÿl. br.s Johann Greiner jüngern beckers welcher den 10. brumaire VI gestorben mit seiner Fr. Wittib Maria Salome geb. beÿer erzeugt beÿde Kinder 1) Sophiam Salome so geb. den 16. jan. 1790, 2) Johannes geb. den 2. Ergäntzungstag V, als vogt br. Johann Michael Greiner handelsmann dahier

in einer an dem Gerbergraben gelegen des weÿl. gesagten b.s Johann Greiner jüngern wittib und Kindern zuständigen becker behausung N° 64
Widum von weÿl. Fr. Maria Salome geb. buck
Erbschaft 11 809 fr

Inventaire des apports en mariage de Chrétien Guillaume Lauth et de Marie Salomé Beyer, veuve de Jean Greiner. L’épouse apporte en mariage sa part de la maison. Un de ses deux enfants est mort après son père.

1804 (2 vent. 12) Strasbourg 3 (27), Me Übersaal n° 812, 2321
Inventarium über des bürgers Christian Wilhelm Lauth Beckers und Fr. Maria Salome geb. Beÿer einander für unveränderte in den ehestand zugebracht in ihrem den 23. ni 12 angetrettenen ehestand, vor mir den 15 fri 12 aufgerichteten Eheberedung

in einer an der Kinderspielgaße gelegen der Ehegattin und ihren Kindern erster ehe zuständigen behausung N° 64
des Ehemanns vermögen, hausrath 132 fr, silbers 644 fr, baarschafft 2600 fr, activ schulden 2200 fr, summa summarum 5576 fr, haussteur 341 fr, des Ehemanns vermögen 5917 fr, Wittums verfangeschafft des ehemanns Vaters Succession durch Notarium Stöber den 15. sept. 1790 gepflogen hat Fr Anna Catharina geb. treiß gesagtem verstorbenen zwote Ehegattin zu genießen 2200 fr
der Ehegattin in den Ehestand gebrachtes Gut, hausrath 2904 fr, Frucht 915 fr, angelegte Capitalia 14 600 fr
Eigenthümlicher Anteil an einer Behausung, Nämlich die hälfte für ohnvertheilt von und ane einer beckenbehausung samt höflein hoffstatt bronnen zubehörden und Rechten zur Eule genannt mit N° 64 bezeichnet bestehend in Vorder: und hinter: haus gelegen alhier zu Straßburg ohnfern dem Waffenplatz an der Kinderspielgaße es. dem burger Schneider Musico as. dem burger Michael Schweighäuser Glaser hi. hat diese behausung einen ausgang gegen dem Thomanloch es. neben dem burger Michael Schott Gastgeber zum goldenen Ochsen as. burger Kuntz Lichtermacher, dieie disortige Ehegattin und ihrem verstorbenen erstern Ehemann dem weÿl. burger Johann Greiner jüngern gewesten becker durch dieses leztern Vater den auch weÿl. burger Johann Greiner ältern in ihrem vor weÿl. Notario Schweighäuser den 18. sept. 1787 aufgerichteten Ehecontract §° 8vo eigenthümlich cedirt daher die eine hälfte dene Kindern aber die übrige hälfte als unverändert Vätterlichen Gut gehörig ist, hierüber lautet ein deutsche pergamentenen in der ehemaligen C.C.Stb Kfbrf. vom 23. feb. 1806 und zween ältere Kfbrf. vom 29. maÿ 1594 und 24. julÿ 1643, 22 000 die helffte 11 000 fr
liegende güther Littenheim und Luppstein 11 300 fr, die hälfte 5650 fr, summa summarum 35 279 fr, passiva 17 693 fr, Nach deren Abzug 17 927 fr
[Joint] Extrait des registres de décès Strasbourg Jean Greiner 7 ans 1 mois 8 jours fils de feu Jean Greiner boulanger et Marie Salomé Beyer 5 brumaire 13

Sophie Salomé Greiner femme de Louis Chrétien Stahl, seule héritiere de son père depuis que son frère est mort, vend sa part de maison à son beau-père Chrétien Guillaume Lauth, boulanger

1816 (11.1.) Strasbourg 10 (60), Me Zimmer n° 4309
Louis Chrétien Stahl propriétaire et Sophie Salomé Greiner demeurant au Marais Verd n° 18
Chrétien Guillaume Lauth, boulanger demeurant rue du Jeu des enfants n° 64 en face du fossé des Tanneurs
7/16 par indivis appartenant à ladite De Stahl née Greiner dans une maison-boulangerie avec petite cour, pompe, appartenances et dépendances dite au hibou scise à Strasbourg rue du jeu des enfants n° 64 près le fossé des Tanneurs, à côté du Sr Schneider musicien et du Sr Schweighaeuser vitrier, derrière la rue des Petites Boucheries entre Sr Kuhn fabricant de chandelles et le Sr Speckel patissier – des 7/16 indivis 4/16 échus à titre de bien paternel, Inventaire de la succession de Jean Greiner le cadet Me Schweighaeuser 15 frimaire 6 ou 5 dec. 1797 et les autres 3/16 avenus de la succession de son frère germain Jean Greiner décédé en bas âge le 4 brumaire 13 (26 oct. 1804) dont elle fut héritière pour ¾ aux termes du Code Civil. Les autres 9/16 appartiennent à Marie Salomé Beyer veuve en premières noces de Jean Greiner cadet père de ladite De Stahl et épouse en secondes noces du Sr Lauth acquéreur savoir 8/16 acquis conjointement par moitié avec son premier mary au Contrat de mariage dressé par Me Schweighaeuser le 18 sept. 1787 et 1/16 comme héritière pour un quart de Jean Greiner son fils – pour 9506 francs

Cadastre

Registre 28 f° 230-1

Lauth Chrétien boulanger
Greiner Marie Salomé femme de Louis Chrétien Stahl, md. de bois (subst. pr. 1849)
Berrÿ, Louis, Boulanger, Vieux Marché aux Vins 34

P 580, rue du jeu des enfants 64
maison, sol, 0.50 are
Revenu total : 108.26
Folio de provenance :
Folio de destination :
Année de sortie :
Année d’entrée :
Ouvertures, portes et fenêtres ordinaires : 25 (14), fenêtres du 3° et du-dessus : 2 – puis 11- 2

Registre 22 f° 803-1

Berry Louis boulanger
1894/95 Köhler Ludwig Alfons [corrigé en] Alfred, ohne Gewerbe (2702)

P 580, Rue du Jeu des enfants 51
maison, sol, 0.50 are
Revenu total : 108.26
Folio de provenance : 230
Folio de destination : 551
Année d’entrée : 1865
Année de sortie : Gb
Ouvertures, portes et fenêtres ordinaires : 14, fenêtres du 3° et du-dessus : 2

maison
Revenu : 236.00
Folio de provenance : 551, add.on
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1865
Ouvertures, portes et fenêtres ordinaires : 16, fenêtres du 3° et du-dessus : 9 – puis 13- 7


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.