50, rue du Vieux-Marché-aux-vins


Rue du Vieux-Marché-aux-vins n° 50 – III 137 (Blondel), P 463 (cadastre)

Maison démolie en 1959, sur l’ancien îlot place de l’Homme de fer

50-22 Vieux Marché aux vins (1896, b)50-22 Vieux Marché aux vins (1896, a)
Le n° 50 (partie droite) et 52 (partie gauche) du Vieux-Marché-aux-Vins avant et après transformation en 1896
(dossier de la Police du Bâtiment
)

D’après la description donnée par le Livre des communaux de 1587, la maison a un encorbellement long de 22 pieds qui correspond sans doute à la longueur de la façade. Le communal est en outre occupé par six marches et une porte de cave. Au siècle suivant, la maison est imposée au nom de Robert Andres pour une communication avec la maison voisine (celle de Jean Adolphe Eck). La rente devient caduque quand l’ouverture est murée en 1684. Une nouvelle rente foncière d’une livre est assise sur la maison quand Jean Georges Roth demande à avancer en 1709 le rez-de-chaussée à l’aplomb de l’encorbellement en occupant ainsi 95 pieds carrés de terrain communal. La maison est localisée en se référant à la maison au Hibou (à l’arrière et à côté de celle-ci, III 134 sur le plan Blondel et au Thomanloch, souvent sous la forme « sise au Vieux marché aux vins derrière le Hibou face au Thomanloch ». La référence au Vieux marché aux vins est parfois remplacée par celle à la Petite boucherie. Le billet d’estimation rédigé en 1735 par les experts de la ville pour établir la valeur des maisons lors des successions indique que le rez-de-chaussée est surmonté de deux étages. La petite cour étroite, commune avec la maison voisine III 134, qu’ils mentionnent est dite « clôturée » à partir de 1736. Une autre estimation en 1787 est moins précise mais apprend que la cave est solivée et non voûtée.

La maison appartient à plusieurs reprises à des catholiques au XVIII° siècle  : la femme Weinacht (1710-1713), Norbert Braun puis François Urbain Collé (1721-1737) et Mathieu Schuster (1739-1766). On y exploite en 1708 l’enseigne au Pigeon blanc (zur weissen Tauben) que els préposés à l’accise font fermer parce qu’elle a des communications avec les maisons voisines. Norbert Braun ferme ces ouvertures en 1721 et obtient le droit d’exploiter l’auberge au Bœuf d’or. !un de ses successeurs, Jean Melchior Koehler, ne l’exploite pas lui-même l’auberge mais loue au Loup devant la porte des Bouchers. Plus tard, Marie Salomé Riebel, veuve du batelier Jean Jacques Busch l’acquiert mais la revendra une fois que son nouveau mari aura acquis l’auberge l’Hommelet rouge sur le quai des Bateliers près du Corbeau. L’auberge au Bœuf d’or dont les bâtiments sont assez exigus ne semble pas avoir de réputation notable. La maison redeviendra une auberge quand Valentin Kœhler l’acquiert dans les années 1860 et la réunit aux parcelles voisines (III 133 et 134 du plan Blondel). On ne trouve plus qu’une seule parcelle au nouveau cadastre établi à la fin des années 1890, quoiqu’on distingue trois sous-parcelles (section 57 n° 40 a, b et c). L’architecte Marcel Eissen transforme en 1896 pour Alfred Kœhler les bâtiments Vieux Marché aux vins 50, 52 et rue du Jeu des Enfants 51. La maison est endommagée lors du bombardement aérien du 25 septembre 1944. Elle est démolie dans le cadre d’un projet d’urbanisme en 1959.


Développement de l’îlot n° 47, dessiné pour le plan-relief de 1830 (© Musée des Plans-relief)

La maison au Bœuf d’or est la deuxième en partant de la droite sur le Développement de l’îlot n° 47 (vers 1830) : elle est un peu plus basse que les voisines, notamment la maison d’angle (repère « a »). Comme le mentionnent les estimations du siècle précédent, elle a un rez-de-chaussée surmonté de deux étages et de combles. Elle partage la cour « C » avec la maison voisine sur la gauche. La façade arrière de la maison au Bœuf d’or est celle qui suit immédiatement le repère (3), la suivante avant le repère (4) est celle du bâtiment arrière de la maison au Hibou. La clôture dont il est question à partir de 1736 dans la cour sépare les deux propriétés, le Bœuf d’or et le Hibou.

Ilot n° 47, cour C

novembre 2010

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1680 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Jacques Tripp, tisserand, et (1653) Jeanne Schreck veuve du menuisier Georges Hübner – luthériens
1664 v Robert Andres, passementier, et (1629) Véronique Ott, (1662) Eve Weber veuve de Georges Deck puis (1671) Susanne Fillibing – luthériens
1682* h Jean Georges Andres, passementier, et (1658) Anne Marie Zorn puis Marguerite Catherine – luthériens
1708 v Jean Georges Roth, boucher, et (1684) Anne Eve Bechtold femme en premières noces (1671) du boucher Jean Jacques Leitel – luthériens
1710 v Marie Salomé Œrtel femme (1703) de Henri Weynacht – luthérienne convertie et catholique
1713 v Jean Pierre Sponheimer et (1706) Susanne Dorothée Dolhopff – luthériens
v. 1718 adj Benjamin Frantz, marchand de futaine
1721 v Norbert Braun, aubergiste, et Esther Kœrner, puis (1695) Catherine Betz, et (1718) Marie Anne Frey – catholiques
1736 v François Urbain Collé, boulanger français, et (1714) Anne Beyer veuve de Damien Launois – catholiques
1737 v Jean Melchior Kœhler, aubergiste, et (1736) Anne Catherine Clady – luthériens
1739 v Mathieu Schuster, aubergiste, et (1726) Marie Elisabeth Gabriel – catholiques, le mari luthérien converti
1766 v Marie Salomé Riebel, veuve de Jean Jacques Busch, batelier, remariée (1767) avec Jean Rœthel, aubergiste – luthériens
1771 v Jean Samuel Rapp, aubergiste mari (1765) séparé de Catherine Salomé Lauth – luthériens
1779 v Jean Daniel Nonnenmann, aubergiste, et (1776) Marguerite Salomé Ott – luthériens
1787 v Jean Daniel Diss, aubergiste, et (1787) Amélie Jund – luthériens
1794 v Michel Schott et (1794) Madeleine Weber veuve de Michel Kleinpeter aubergiste
1804 h Madeleine Weber la veuve
1808 h Barbe Weber femme de Jacques Kœgler, héritière testamentaire de la précédente
1809 h Jacques Kœgler, cabaretier, veuf et héritier testamentaire
1810 h Marie Salomé Weltz femme d’André Speckel, drapier, héritière de François Jacques Kœgler, cabaretier, son fils naturel
1810 h David Speckel, pâtissier, et (1811) Catherine Madeleine Gries
1815 v Jean Adam Rundwasser, cabaretier, veuf de Madeleine Nagel, et (1815) Madeleine Birckel veuve de Jean Pfrimmer, aubergiste
1821 v Joseph Sittler, ébéniste, et (1815) Catherine Gœtz
1857 v Frédéric Théodore Lobstein, marchand de vins
1868 Valentin Kœhler, aubergiste
1894 Alfred Kœhler, restaurateur, et Jeanne Kœgler
1920 Charles Albert Meyer, retraité, et Anne Berthe Mathilde Kœhler
1947 Paul Meyer, ancien banquier
1948 Roger Trens, pharmacien et son épouse née Meyer

(1765, Liste Blondel) III 137 Mathias Schuster cabaretier
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Rapp, 3 toises, 0 pied et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 463, Sittler, Joseph, menuisier – maison, sol, cour – 0,75 are

Locations

1723, Ambroise Jaeger (d’après la maison voisine)
1688, Daniel Corvisier, chapelier, et Anne Salomé Graff
1703, Antoine Gabriel, aubergiste, et Catherine Schœnenberger
1737, Nicolas Toussaint, cuisinier, et Madeleine Thron (manants)
1738, Jean Daniel Gross, aubergiste (manant)

Registre des communaux

En 1587, la maison a six marches sur le communal et sur la façade un encorbellement de 22 pieds qui avance de 3 pieds. La porte de la cave occupe elle aussi le communal. Au siècle suivant, la maison a un passage vers la maison voisine vers l’ouest. La rente qui est due à ce titre s’éteint quand le passage est muré en 1684. A partir de 1710, la maison est affectée d’une nouvelle rente pour occuper l’aplomb de l’encorbellement sur une surface de 95 pieds carrés.

Livre des Communaux, 1587 (VII 1450), f° 293-v

Uff der seitten Unden vom Wassergraben herauff gegen dem Tannenfelß
Wolff Graßmann der ferber hatt an seinem Hauß ein Vsstoß xxij schu lang, iij schu herauß, Ein Ingemaurte Steg mit 6. stafflen x schu breit, vj schu herauß, Ein Lehenende Kellerthüer vij schu breit, iiij schu herauß, Bessert für das Niessen, ix ß viij d

D’un côté, à partir du fossé en remontant vers le Rocher au sapin
Loup Grassmann, teinturier – sa maison a un encorbellement long de 22 pieds en saillie de 3 pieds, un escalier muré à 6 marches larges de 10 pieds en saillie de 6 pieds, à sa cave une porte inclinée large de 7 pieds en saillie de 4 pieds, Doit pour la jouissance 9 schillings 8 deniers

Livre des loyers communaux (années 1652-1672, cote VII 1461), f° 135

Ruprecht Andreß der Paßmenter, Zuuohr Hanß Adolph Eck, Soll gemeiner Statt, Vom durchbruch ahn seiner behaußung beÿ der Eülen, Jahrs vf Valentini 1 lb
Man. fol. 211
New fol. 115
(Quittungen 1652-1671)

Le passementier Robert Andres, auparavant Jean Adolphe Eck, doit chaque année 1 livre à la Ville pour le passage pratiqué à sa maison proche le Hibou
Inscription, folio 211
Nouveau registre, folio 115 – (quittances 1652-1671)

Livre des loyers communaux (années 1673-1741, cote VII 1465), f° 115

Ruprecht Andreß der Paßmentmacher, soll vom durchbruch an sein hauß beÿ der Eülen, vff Valentini, 1 lb
St. Zinnßb. p. 135
Hannß Georg Andreß
(Quittungen 1673-1684)
dieser durchbruch ist wid. Zugemauret worden

Le passementier Robert Andres doit chaque année à la Saint-Valentin 1 livre à la Ville pour le passage pratiqué à sa maison proche le Hibou
Ancien registre page 135
(ensuite) Jean Georges Andres
(quittances, 1673-1684)
ce passage est de nouveau muré

Livre des loyers communaux (années 1673-1741, cote VII 1466), f° 671-v

Johann Georg Roth ([corrigé en] Johann Roth) der bratwürstmacher, soll von dem untermaurten überhang an seiner auf dem Alten Weinmarckt gegen dem Thomanloch über gelegenen behaußung, welcher 20 schuh lang, anseithen herrn Christian Friderich Eulers behaußung 3½ schuh und auf der andern seithen 6. schuh breit alwo in allem 95. quadrat schuh groß ist, l. Prot: de 1709. fol: 183. Jahrs vf Joh: Baptæ und A° 1710. I.mo, 1 lb
Jetzt Johann Peter Spanheimer
Jetzt Benjamin Frantz (V. 138. 448)
jetzt H. Norbertus Braun
jetzt Joh: Melchior Kähler
jetzt Mathias Schuster

(1710-1741)
Neuzb fol 178-b

Jean Georges Roth (puis Jean Roth), saucissier – d’après le registre de 1709 folio 183 doit 1 livre à payer à la saint Jean Baptiste pour la première fois en 1710 pour avoir construit sous l’encorbellement de sa maison sise au vieux marché au vin vers le Thomanloch, cet encorbellement a 20 pieds de large vers la maison du sieur Chrétien Frédéric Euler et 6 pieds de l’autre côté, en tout 95 pieds carrés
maintenant Jean Pierre Spanheimer
maintenant Benjamin Frantz (v. 138. 448)
maintenant le Sr Norbert Braun
maintenant Jean Melchior Kaehler
maintenant Mathias Schuster
(quittances 1710-1741) – Nouveau registre folio 178 v°

Livre des loyers communaux (années 1741-1802, cote VII 1470) f° 178-b

alzb. 671-b
Mathias Schuster, Soll von dem untermaurten überhang an seiner auf dem alten Weinmarck gegen dem Thoman Loch über gelegenen behaußung, welcher 20 schuh lang, an seithen herrn Christian Friderich Eulers behaußung 3 ½ schuh und auf der andern seithen 6. schuh breit also in allem 95. q. schuh groß ist, Jahrs auf Joh: Bapt. (id est 24. Junii – 6. Messidor), 1 lb
jetzt H. Johannes Röthel der würth
modo Johann Samuel Rapp der Würth
modo Johann Daniel Nonnenmann
modo Daniel Diß der öchselwirth
Michael Schott, Gastgeber zum Guldenen Ochsen

(quittances) 1741-an 10
C. 133

Préposés aux affaires foncières

1668, Préposés aux affaires foncières (VII 1360)
Robert Andres demande l’autorisation de réparer cinq marches et un établi devant sa maison, pour lesquels il ne paie pas de loyer. Les préposés estiment qu’on peut autoriser les réparations puisque les objets se trouvent au-dessous du chenal et qu’ils ne gènent pas le passage. La décision finale est ajournée.

(f° 172) Dienstags den 17. Martÿ. Augenschein eingenommen vff Ansuchen Ruprecht Andreßen, wegen an deßen hauß bei der trencks gegen dem Thomanloch befindlichen 5. steinern stafflen und Pritschleins Zum eingang ind. hauß, so gantz bawloß vnd Zu repariren nötig, Weilen ein angeregtes Pritschlein vnd steinere tritt vnder dem dachtrauff deß haußes Wavon er keinen Allmend zinß gegeben, befunden, auch durch die reparation d. Allmend nit Weiter beschweret würd, Alß ist Erkannt Wie hienach fol – Zusehen

1703, Préposés aux affaires foncières (VII 1380)
Jean Georges Andres demande en août 1703 l’autorisation de réparer son encorbellement dont un élément est tombé. Il présente une nouvelle demande en septembre : le pan de bois de son encorbellement devrait être mainten par des crampons, la porte de cave pourrie ne ferme plus. Les préposés consultent le livre des communaux de 1587 et donnent leur accord à la réparation de la porte de cave. Ils ajournent l’autorisation pour l’encorbellement que l’aubergiste au Pigeon blanc a demandé de réparer. j& Georges Andres est finalement autorisé construire un mur à l’aplomb de l’encorbellement moyennant un loyer supplémentaire au profit de la Ville

(f° 172-v) Dienstags den 21. Aug: 1703. Johann Georg Andreß – Johann Georg Andreß der Paßmentirer und burger alhier Zeigt an, daß ein spiegel an seinem ohnfern dem Beckenhauß Zur Eulen gelegenen Hauß habenden überhang eingefallen, welchen der Mawrer ohne erlaubnuß MGHh. nicht repariren will, mit bitt demselben die gn. erlaubnus Zuertheilen, daß Er selbigen machen dörffe. Erk., Soll der augenschein davon eingenommen werd.
(f° 182) Mittwochs den 12. 7.bris 1703, Joh: Georg Andreß pt° reparirung seines Haußes Überhangs – Augenschein eingenommen, Vor Johann Georg Andreßen des Paßmentirers auff dem Alten Wein: Marckt gegen dem Thoman loch über gelegenen behausung an welcher der überhang dergestalten bawfällig, daß die Rigelwand herauß fallen will und mit eisernen Clammeren erhalten würd, auch bereits ein gantzer Spiegel daran herauß gefallen ist, ingleichem die Lehnende Keller thür und sonderlich das hülzere gestell daran Verfault und gebrochen daß mann selbige nicht mehr beschließen kann. Erk., bedacht
(f° 184) Dienstags den 18. 7.bris 1703, Johann Georg Andreß pt° reparirung seines Haußes Überhangs – Wegen des am 12. huius an Johann Georg Andreßen, des Paßmentirers, auff dem Alten Wein: Marckt geg. dem Thoman loch über gelegenen behausung eingenommenen augenschein, zeige sich an daß ich in dem alten Allmend buch de Anno 1587. fol: 293 gefunden, daß diese behausung jährlichen 9. ß.8 d. allmend zinnß thue und dazumahlen Wolff Graßmann, dem ferber Zugehört habe, nemblichen Von dem überhang, welcher 22. schuhe lang 3. schuhe heraus breit, Von einer eingemaurten Steegen mit 6. staffelen so 10. schuhe lang 5 ½ schuhe heraus breit, Vnd von einer lehenenden Kellerthür welche 6 ½ schuhe lang od. hoch und 4. schuhe heraus breit, die Werckmeister referiren Sie hätten dieses alles in dem abmeßen also beschaffen befunden, all dieweilen um sowohl Anders, alß der darinnen Wohnenden Würth Zur Weißen Tauben, auff die erlaubnus den überhang und die Kellerthür repariren Zulaßen, eifferig getrungen, alß ist Erk., Wann Andreß die 9. ß 8. d. Allmend Zinnß übernehmen und solche pro Michaelis 1703. bezahlen würde, soll die reparirung der Keller thür willfahrt werden, und ist die reparation des Überhangs zu fernerem bedacht außgestellt worden.
(f° 187-v) Dienstags den 25. 7.bris 1703, Johann Georg Andres pt° seines Überhangs – Wegen des am 12. huius eingenommenen augenscheins Vor Johann Georg Andreßen, des Paßmentirers, behausung auff dem Alten Wein: Marckt, so anietzo ein Würths hauß ist und Zur Weißen Tauben genant ist, neben dem Beckenhauß Zur Eulen, gelegen, hatt mann gar bedencklich gefunden, demselben Zuerlauben, daß Er die gantze Rigelwandt an seinem Überhang abbrechen, und eine newe an deren stelle setzen laßen möchte, sondern Erk., daß demselben Vergönnet werden solte, den Überhang Zuuntermauren und eine newe rigelwand auff die maur Zu setzen, doch daß Er jährlichen ane statt der bißherigen 9 ß 8. d künfftighin 1 lb. boden Zinß davon bezahlen, und auff suchenden moderation, es beÿ 15 ß d gelaßen auch der darneben Wohnenden Weißbeck ein gleichmäßiges mit seinem hauß Vor Zunehmen angefrischt werden solle.

1709, Préposés aux affaires foncières (VII 1383)
Le charcutier Jean Georges Roth demande l’autorisation de construire à l’aplomb de l’encorbellement à la maison qu’il vient d’acquérir face au Thomanloch. Les chefs de chantier mesurent le terrain qui a 20 pieds de long sur 3 pieds et demi vers la maison de Chrétien Frédéric Euler et 6 pieds de l’autre côté, soit 95 pieds carrés. Les préposés accèdent à la demande moyennant un loyer annuel d’une livre dix sous. Le pétitionnaire demande une réduction, les préposés fixent la somme d’une livre qu’il accepte

(f° 182-v) Montags den 15. Aprilis 1709. Johann Georg Roht pt° eines Uberhangs – Johann Georg Roht, der Bratwürstmacher, ersucht MGHh: underthänig, Ihme gnd: Zuerlauben, daß Er den an seinem auff dem Alten Wein Marck gegen dem Thoman loch über gelegener jüngst erkaufften behausung befindlichen Überhang untermauren laßen dörffe. der Statt Werckmeister referiren, daß Sie das allmend unter dem Überhang abgemeßen, und befunden, daß daßelbe 20. schuhe lang und ane seithen Herrn Christian Friderich Eulers, des Specereÿhändlers behausung 3 ½. schuhe und auff der andern seithen 6. schuhe breit, also in allem 95. quadrat schuhe groß seÿe. Erkt: Willfahrt, wann Er jährlichen 1. lb. 10. ß d allmendt Zinnß davon abzurichten sich erklären Werde. Ille bittet umb moderation, ferner Erkt: Würdt der allmendt Zinnß auff 1. lb d moderirt, Welches Er angenommen hatt.

1741, Préposés aux affaires foncières (VII 1399)
Mathias Schuster demande aux directeurs fonciers l’autorisation de faire faire des combles devant la maison du sieur Germain (maison III 145) pendant quatre semaines. L’autorisation est accordée moyennant 15 schillings

(f° 117-v) den 2. Maÿ 1741 – H. Mathis Schuster – H. Mathis Schuster der Würth Zum goldenen ochßen Oberhalb der Kleinen Metzig bittet umb erlaubnus einen dachstuhl gegen über im Thomenloch an Mons. Germains hauß auf 4. Wochen Lang Zimmeren Zulaßen, Erkannt gegen 15 ß. Zinß Willfahrt. dt. Eodem.

1778, Préposés aux affaires foncières (VII 1418)
Samuel Rapp demande et obtient l’autorisation de réparer et de peindre sa maison appelée au Bœuf d’or près la Petite boucherie

(f° 135) den 1. Septembris 1778. Samuel Rapp Würth – Mr Anthoni Klotz der Maurer noe. Samuel Rapp des Würths bittet zu erlauben deßen behausung ane der kleinen Metzig gelegen zum goldenen ochsen genanndt repariren und anstreichen zu laßen, Erkannt : Willfahrt

Le maçon Klotz demande au nom de Samuel Rapp, aubergiste au Bœuf d’or, l’autorisation de remplacer l’encadrement de porte en bois par un nouveau en pierre. Les directeurs fonciers ajournent la décision jusqu’à ce que l’Inspecteur ait dressé le plan de la rangée de maisons

(f° 156) den 6. Octobris 1778. Samuel Rapp Wirth – Mr Klotz der Maurer noe. Samuel Rapp des Wirths zum goldenen Ochsen bittet zu erlauben an der Gastbehausung beÿ der kleinen Metzig gelegen statt des höltzern thüren Gestells eines von gehauenen Steinen machen zu laßen, Erkannt : Bedacht Seÿe anvorderist durch H. BauInspector ein Plan über dasiger Alignement zu machen

Samuel Rapp demande et obtient l’autorisation de modifier la porte d’entrée et les marches à son auberge au Bœuf d’or près la Petite boucherie

(f° 176), den 17. Novembris 1778. Samuel Rapp Wirth – Mr Klotz der Maurer noe. Samuel Rapp des Wirths zum goldenen Ochsen bittet zu erlauben an deßen Gastbehausung beÿ der kleinen Metzig die hausthür und Staflen zu verändern, Erkannt : Willfahrt

Protocole des Quinze

1721, Protocole des quinze (2 R 125)
Norbert Braun, ancien aubergiste à l’Etoile au Finckwiller, demande le 8 mars 1721 le droit de pendre l’enseigne à l’Ange à une maison qu’il vient de louer du sieur La Motte au Fosé des Tailleurs et qui portait jusqu’alors l’enseigne au Globe. Les préposés de l’accise donnent un avis favorable le 15 mars puisque la maison n’a pas de communication avec les voisines.
Norbert Braun demande le 24 mai je droit se pendre l’enseigne au Bœuf blanc à la maison qu’il vient d’acheter en bas des Petites Boucheries et qui portait autrefois l’enseigne au Pigeon blanc (aux Trois pigeons). Les voisins déposent le 14 juin un mémoire dans lequel ils prétendent que la nouvelle auberge présenterait un risque d’incendie. Les préposés aux feux qui ont visité les lieux rendent le 12 juillet leur avis. Ils estiment que la requête des plaignants est sans objet. Les préposés de l’accise rendent à leur tour leur avis le 9 août. Ils constatent que le pétitionnaire est un aubergiste expérimenté et que le droit d’auberge a été refusé en 1908 à un nommé Gebhard parce que la maison a des communications avec les voisines. Le pétitionnaire déclare que les ouvertures sont de simples tolérance qu’il est en droit de murer. Les préposés acceptent que Norbert Braun exploite l’auberge prévue à condition de supprimer les communications. Ils demandent cependant de ne pas choisir l’enseigne au Pigeon blanc qui a autrefois servi à une auberge qu’ils ont fait fermer pour mauvaises mœurs. Nobert Braun déclare choisir l’enseigne au Chasseur vert. Les préposés constatent que les ouvertures ont disparu lors de leur contrôle le 13 septembre

(p. 103) Sambstags d. 8. Marty 1721. pt° Weinschancks – Gug noe.
(p. 103) Sambstags d. 8. Marty 1721. pt° Weinschancks – Gug noe. Noriberti Braun, burgers und bißhero geweßten Gastgebers Zum Sternen in dem Finckweiler, weilen er seine Gastherberg Verkaufft, und nunmehr die Vor diesem genante Gastherberg Zur Welt Kugel auff dem Schneider graben beziehen will, alß bitt umb den weinschanck allda, undt umb gn. permission einen Schild Zum Engel allda auff zuhencken. Erk. Ober Ungelt Herrn.
(p. 118) Sambstags d. 15. Martÿ 1721. Noribertus Braun pt° Weinschancks – Ober Ungelt Herrn laßen per Eundem [durch herrn Secret. Kleinclaus] referiren, Es habe Noribertus Braun der burger und Gastgeber in einem gehaltenem Recess berichtet er wolle die Gastherberg so Vor diesem dem Schild Zur Welt Kugel gehabt auff dem Schneider graben beziehen, mit Underthg. bitt Ihme den Weinschanck daselbst, undt Zugleich einen Schild Zum Engel auff Zuhencken gnädig Zu erlauben. Auff geschehene Remission habe er ferner beÿgebracht, daß er dieses Würths hauß Von H. La Motte dem handelsmann entlehnt habe, gegen bezahlung 120. fl. jährlichen Zinßes. Auff seithen der Hh. Depp. habe man dießes hauß visitiren laßen, da besag proces verbal Vom 14. huj. sich gefund. daß selibiges Zwischen Zweÿen Mauren stehe, Keine Communication mit denen benachbarten häußern haben und Zu einem Würths hauß tauglich. Welchem nach Sie die Hh. Depp. davor gehalten, daß dem Supplicanten in seinem begehren gegen Vorweißung eines Scheins aus der Einquartirung stub Zu willfahren seÿe Erk. beliebt.
(p. 226) Sambstags d. 24. May 1721. pt° Weinschancks – Gug noe. Noriberti Braun, burgers und Gastgebers allhier Welcher die Underhalb der kleinen Metzig gelegene Gastherberg sonsten zu den dreÿen Tauben genant, gekaufft butt Vndthg. umb den weinschanck daselbst, undt den Schild zum Weißen Ochßen allda außhenckhen G. Zu erlauben. Erk. Ober Ungelt herrn.
(p. 257) Sambstags d. 14. Juny 1721. Noribertus Braun pt° Fewers: gefahr – Moss. noe. der Nachbarschafft des geweßenen Würths häußleins Zur Weißen tauben gegen dem Thomanloch über Ca. Noribertus Braun prod. Undthg. Memoriale undt bitten pt° abwendung des Fewers Gefahr. Gug Obwohl Weder ein noch der andere Von denen prætendirten Klägern Zugegen so bitt dennoch Copiam et Deputationem. Moss. laßt beedes Zu Erk. beedes willfahrt.
(p. 286) Sambstags d. 12. July 1721. Noribertus Braun Ca. die Nachbarschafft beÿ der Kleinen Metzig – Obere Fewrherren laßen per me Referiren, Es habe Noribertus Braun der burger undt würth allhier Vor einiger Zeit per recessum berichtet daß Er bißhero dem Weinschanck Zum Goldenen Sternen in dem Finckweiler alhier getrieben, anjetzo aber eine behaußung ohnfern der Kleinen metzig auff dem Weinmarck allhier erkaufft undt gebetten Ihme den Weinschanck allda zue erlauben, und Zu Vergönnen daß Er den Schildt Zum Weißen Ochßen allda außhencke, Mghh. hätten diese Sach ad examinandum an die hoch verordnete Ober Vngelt herren Verwießen, jn zwischen hatte die Nachbarschafft dieser behausung, allwo Vor dießem der Schild Zur Weißen Tauben auffgehenckt geweßen beÿ Mgh. per Memoriale ansuchung gethan, daß in ansehung vor ohngefehr Zehen Jahr wegen allerhand Verdachts auch Fewersgefahr der Schild Von dießer behaußung abgethan worden, es Mghh. dabeÿ laßen undt nicht erlauben möchten daß Wiederumb ein Schild alda auffgehenckt, und die Würtschafft in dießer behaußung getrieben werde. Auff dieses hätten Mghh. denen hochverordneten Ober Fewr herren Commission auffgetragen, die Situation der behaußung quæstionis wie auch deren Fewr Rechter Zu examiniren, Worauff Sie, die Ober Fewr Herren den augenschein eingenommen undt gefunden, daß was die situation betrifft das hauß nicht in einem Gäßlein liege, sondern vornen einen breithen platz habe, hinten stoße solches auff Sr Millot den Chirurgum deßen hauß gegen dießer behaußung einen steinerern göbel habe, linckher seits habe es 3. stockh hoch steinerne göbel rechter seits aber gegen Niclaus Schwartzen behaußung befindet sich aber so ruinirt undt ungemein bawfällig daß selbige ehiß werde müßen abgebrochen werd. da dem Krafft hiesiger Fewr Ordnung Er Schwartz, so ferner derselbe anderst wieder dahien bawen will, dieselbe Zwischen Zweÿ steinerer Göbel setzen Zu laßen gehalten seÿe. Es seÿ Zwahr Kein bronnen in ged. behaußung, es befinden sich aber ein Allmend bronnen nicht weit davor gerad gegen über undt seÿe auch der Graben nächst daran. Beÿ dießen Umbständ. finde man nicht daß wegen Fewrs gefart dem Imploranten etwas umb den weeg Zu legen, werde alßo Zu Mghh. stehen ob sie die Opponenten mit deren unbefugten opposition abweißen, wegen der hauptsach aber der hochverordneten Ober Vmbgelt Herren relation erwarten wollen. Erkannt also beliebt.
(p. 326) Sambstags d. 9. Augusti 1721. Noribertus Braun pt° Weinschancks und Schildts – Obere Vngelt Herren laßen per eundem Referiren, Es habe Noribertus Braun der burger undt würth allhier per recessum berichtet daß er eine behaußung ohnfern der Kleinen Metzig gelegen, allwo ehedeßen schon Würtheÿ getrieben worden und der Schild Zu denen dreÿen tauben auffgehenckt geweßen, gekaufft, undt den weinschanck allda zu treiben gesinnet, mit bitt es Ihme zu erlauben, undt daß er den Schildt Zum Weißen Ochßen allda außhencke. Welches petitum Mgh. an sie, die Ober Ungelt hrn Zue examination Vorwießen, bald hernach aber hatten sich die Nachbarschafft von ged. behaußung per memoriale angemelt, undt sich dem begehren des Imploranten wegen augenscheinlicher Fewrsgefahr opponirt, Welchen Umbstand die hochverordnete Ober Fewr Herrn auff an sie geschehene Remission examinirt, und jüngst Mgh. wieder referirt, daß dißfalls dem Imploranten nichts werde in weeg gelegt Werde Können, weßwegen auch ged opponenten abgewießen worden. Hierauff habe man den Imploranten auch mündlich gehört, da dann wegen deßen persohn, weil er ein alter würth der geringste anstand sich nicht hervor gethan, Was aber des Haus quæst. anbelange so habe es mit der hinten auff selbiges stoßende Sr Millot dem Chirurgo gehörigen behaußung in Verschiedenen weeg Communication, maßen eine fromliche thür in ged. Millot hauß so in das höfflein des haußes quæstionis gehet, und dann verschiedene Fenstern auch auff dieses höfflein, es berichte aber Braun daß dieses nur eine Vergönstigung, undt er befugt ged. thier Zu mauren Zu laßen. Inzwischen seÿe schon A° 1708. einen nahmens Gebhard wegen sothaner Communication der Weinschanck in ged. hauß Zu treiben abgeschlagen, undt damahl befohlen worden daß der Schild solle Von dar weg gethan werden. Weil nun daß hauß annoch in sothanem stand, undt die communication noch wie vor sich befinde, so solle man Zu Mghh. was sie deßfalls, Wie auch wegen des Schildts zu dem weißen Ochßen, alß welcher Vor diesem schon ohnfern der Elenden Herberg auffgehenckt geweßen, aber wegen ärgerlichen Lebens so in dießem hauß gesichert worden abgethan werden müßen, Zu erkennen sich gn: gefallen laßen werden. Erk. wann die thür quæst. Völlig wird Zugemaurt, und die Fenster wohl Vergrermbßt so solle dem Imploranten mit dem weinschanck in dießem hauß willfahrt sein jedoch daß er einen andern Schild auß Zum weißen Ochßen allda auffhencke.
Na. der Implorant hat beÿ anzeigung dießes bescheid declarirt daß er den Schild Zum goldenen Jäger erwehlet habe.
(p. 365) Sambstags d. 13. Sept. 1721. Noribertus Braun pt° Weinschancks – Iidem laßen ferner per eundem proponiren, Es werde Mgh. erinnerlich sein daß jüngsthien Noribertus Braun der Würth Zwahr die Erlaubnuß erhalten den Weinschanck in einer Von ihme erkaufften Oberhalb der Kleinen Metzig gelegenen behaußung Zu treiben, jedoch mit dem expressen anhang daß alle Comm: mit denen benachbarten häußern völlig sollen abgethan Werd. Gestrigen tages seÿ selbige durch H. Junckher den dreÿer in dem Umbgeld visitirt und examinirt worden in Welchem stand selbige sich nun befinde, da dann laut deßen eingeliefferte proces verbal selbige ohne einige Comm. stehet, Welches Mgh. damit selbiges dem protocoll inserirt werde, hat sollen hinterbracht werd. Erk. Inseratus protocollo.

(traduction) Samedi 8 mars 1721. Droit de débiter le vin – Gug expose au nom de Norbert Braun, bourgeois jusqu’à présent aubergiste à l’Etoile au Finckwiller, qu’il a vendu son auberge et souhaite s’installer au Fossé des Tailleurs dans l’auberge autrefois appelée au Globe. Il demande l’autorisation d’y pendre l’enseigne à l’Ange. Décision, renvoi aux préposés de l’accise.
Samedi 15 mars 1721. Droit de débiter le vin – Les préposés de l’accise ont chargé le même [le secrétaire Kleinclaus] de rapporter que Norbert Braun, bourgeois et aubergiste, a exposé dans un mémoire qu’il souhaite s’installer au Fossé des Tailleurs dans l’auberge autrefois appelée au Globe et demande à y bénéficier du droit de débiter le vin et y pendre l’enseigne à l’Ange. Après avoir été interrogé, il a ajouté que le marchand sieur La Motte lui a loué cette auberge moyennant un loyer annuel de 120 florins. Les députés ont fait visiter la maison, le procès verbal du 14 courant établit que cette maison peut servir d’auberge puisqu’elle est délimitée par deux murs sans avoir de communication avec les voisines. Les députés estiment que la demande du pétitionnaire doit être accueillie favorablement s’il produit un certificat de la Chambre des logements militaires. Décision, accord.
Samedi 24 mai 1721. Droit de débiter le vin – Gug rapporte au nom de Norbert Braun, bourgeois et aubergiste en cette ville, qu’il a acheté l’auberge autrefois appelée aux Trois Pigeons en bas des Petites Boucheries, il demande le droit d’y débiter le vin et d’y pendre l’enseigne au Bœuf blanc. Décision, renvoi aux préposés de l’accise.
Samedi 14 juin 1721. Norbert Braun, risque d’incendie – Moss. expose que les voisins de l’ancienne petite auberge au Pigeon blanc face au Thomanloch ont déposé contre Norbert Braun un mémoire dans lequel ils demandent de remédier au risque d’incendie. Bien qu’aucun des soi-disant plaignants n’ait comparu, Gug demande qu’on établisse une copie et qu’on nomme des députés. Moss. donne son approbation sur les deux sujets. Décision, accord.
Samedi 12 juillet 1721. Norbert Braun contre le voisinage des Petites Boucheries – Les préposés aux feux m’ont chargé de rapporter que Norbert Braun, bourgeois et aubergiste, a exposé il y a quelque temps dans un mémoire qu’il exploitait jusqu’à présent l’auberge à l’Etoile d’or au Finckwiller et qu’il a acheté une maison au Vieux-Marché-aux-Vins près des Petites Boucheries. Il a demandé le droit d’y débiter le vin et la permission d’y pendre l enseigne au Bœuf blanc. Le Magistrat a renvoyé l’affaire pour examen aux préposées de l’accise. Sur ces entrefaites, les voisins de cette maison où était autrefois pendue l’enseigne au Pigeon blanc ont remis au Magistrat un mémoire dans lequel ils exposent que l’enseigne de cette maison a été supprimée il y a une dizaine d’années pour toutes sortes d’irrégularités et pour risque d’incendie, en demandant qu’il plaise au Magistrat de s’en tenir là et de ne pas permettre qu’une enseigne y soit à nouveau pendue ni qu’une auberge soit exploitée dans cette maison. Le Magistrat a alors chargé les préposés au feux d’examiner les environs de la maison en question et ses droits de feu. Lesdits préposés aux feux se sont alors rendus sur place et ont constaté ce qui suit. Pour ce qui est des environs, la maison le se trouve pas dans une ruelle mais un grand espace d’étend au-devant, à l’arrière elle touche à la maison du chirurgien Millot dont la maison a un pignon en pierre vers cette maison, à droite il y a un pignon en pierre de trois étages, mais à gauche vers la maison de Nicolas Schwartz le pignon est en si mauvais état et si délabré qu’il faudrait le démolir puisque si ledit Schwartz souhaitait reconstruire différemment sa maison les règlements des feux l’obligeraient à la délimiter par deux pignons en pierre. S’il est vrai qu’il n’y a aucun puits dans ladite maison, il y a cependant un puits communal juste en face et le fossé n’est pas loin. Dans ces conditions, on ne saurait opposer au pétitionnaires des arguments qui relèvent du risque d’incendie. Il revient au Magistrat de débouter les plaignants de leur plainte non fondée. Sur le fond ce sont les préposés à l’accise qui devront émettre leur avis. Décision, la proposition est approuvée.
Samedi 9 août 1721. Norbert Braun, droit de débiter le vin et enseigne – Les préposés à l’accise ont chargé le même de rapporter que Norbert Braun, bourgeois et aubergiste, a exposé dans un mémoire qu’il a acheté près des Petites Boucheries une maison dans laquelle une auberge a déjà été exploitée à l’enseigne des Trois pigeons et qu’il a l’intention d’y débiter du vin. Il demande l’autorisation d’y pendre l’enseigne au Bœuf blanc. Le Magistrat a transmis pour examen la requête aux préposés de l’accise. Peu après, les voisins de ladite maison ont déposé un mémoire par lequel ils s’opposaient à la requête du pétitionnaire en alléguant le risque d’incendie. Les préposés aux feux qui ont examiné l’affaire à leur demande ont rapporté au Magistrat qu’il n’y avait pas lieu d’opposer au pétitionnaire des arguments à ce sujet, les plaignants ont par conséquent été déboutés de leur plainte. On a ensuite entendu le pétitionnaire sur la personne duquel il n’y a rien à redire étant donné qu’il est un aubergiste expérimenté. Quant à la maison en question, elle comporte à l’arrière plusieurs communications avec la maison du chirurgien Millot, il y a en effet une porte qui donne de la maison dudit Millot dans la petite cour de la maison en question ainsi que plusieurs fenêtres qui donnent aussi dans cette petite cour. Braun déclare qu’il s’agit d’une simple tolérance et qu’il est en droit de faire murer ladite porte. Il appert qu’en 1708 on a déjà refusé à un nommé Gebhard d’exploiter un débit de vin dans ladite maison à cause de ces communications en lui ordonnant d’y supprimer l’enseigne. Comme la maison est toujours dans le même état et que les communications sont les mêmes qu’alors, l’affaire est renvoyée au Magistrat et à sa décision tant à ce sujet qu’à celui de l’enseigne au Bœuf blanc qui existait déjà autrefois près de l’auberge des Pauvres passants mais qui a dû être supprimée à cause de mauvaises mœurs qui y étaient pratiquées. Décision, le pétitionnaire est autorisé à exploiter le débit de vin dans cette maison à condition que la porte en question soit entièrement murée et que les fenêtres soient bien grillagées, mais il devra pendre une autre enseigne que celle au Bœuf blanc.
Remarque. Après qu’on lui a communiqué cette décision, le pétitionnaire a déclaré choisir l’enseigne au Chasseur d’or.
Samedi 13 septembre 1721. Norbert Braun, droit de débiter le vin – Les mêmes ont chargé le même de rappeler au Magistrat que l’aubergiste Norbert Braun a obtenu dernièrement l’autorisation de débiter le vin dans une maison qu’il a acquise au-dessous des Petites Boucheries mais à la condition expresse de supprimer entièrement les communications avec les maisons voisines. Juncker, l’un des Trois de l’accise, s’est rendu hier sur les lieux pour constater leur état, il appert de son procès verbal qu’il n’y subsiste aucune communication, ledit procès verbal a été transmis au Magistrat pour l’insérer dans le protocole. Décision, insertion dans le protocole.

Atlas des alignements

1829 (1197 W 37) 1° arrondissement ou Canton ouest – Rue du vieux marché aux Vins
nouveau N° / ancien N° : 5 / 35
Speckel
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages mauvais en bois

Description de la maison

  • 1721 Description de la maison et de ses communications avec les voisines quand Nobert Braun demande l’autorisation d’y exploiter un débit de vin (protocole des Quinze)
  • 1735 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée la salle d’auberge, par derrière la cuisine et une petite cour très étroite et un vestibule, à l’étage plusieurs chambres à coucher, un vestibule et une cheminée, au troisième étage trois chambres dont la chambre des soldats et deux greniers, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 500 florins
  • 1787 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée une salle d’auberge, aussi trois poëles, une cuisine et plusieurs chambres, par-dessus les combles couverts de tuiles doubles, a aussi une cave solivée et une petite courette, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 500 florins

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 232 case 3

Sittler Joseph Menuisier
1857. Lobstein, Frédéric, Théodore, Veuve, Mde. de Vins

parcelle P 463, Maison, cour, sol, Vieux Marché aux Vins 35
Contenance : 0.75 are
Revenu total : 99 (maison), 0.39 (sol), 99.39 (total)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 13 (10)
fenêtres du 3° et au-dessus : 2 (2)

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 759 case 2

Lobstein Frédéric Théodor, veuve, Place des Grandes Boucheries 3
1868 Koehler Valentin, aubergiste

94/95 (1268) Köhler Alfred (Restaurateur und Ehefrau Johanna geb. Koegler in Gtg.)

P 463, Maison, sol, cour, Rue du vieux marché aux vins 50
Contenance : 0.75 are
Revenu total : 99 (maison), 0.39 (sol), 99.39 (total)
Folio de provenance : (232)
Folio de destination : Gb [Livre foncier]
portes et fenêtres ordinaires : 13 (10)
fenêtres du 3° et au-dessus : 2 (2)

Cadastre allemand, registre 31 p. 580

Parcelle, section 57, n° 40.a – autrefois P 463, 463-p
Canton : Alter Weinmarckt, Hs. N° 50-52, Kinderspielgasse 51 – Rue du Vieux Marché aux Vins 52 et Rue du Jeu des Enfants 51 / 53 – Am Alten Weinmarckt, Kinderspielgasse – Rue du Vieux Marché aux Vins
Désignation : Hf, Whs e. n. a. T.
Contenance : 2.89 – 1.16 – 1.89
Revenu : 18 500, 6500
Remarques : 1913 Zug. S. 5

(Propriétaire), compte 4310
Meyer Karl Albert Rentner und Ehefr. Anna Bertha Mathilde geb. Koehler
1947 Meyer Paul, ancien banquier
1948 Trens Roger, pharmacien son épouse née Meyer
(4064)

Parcelle, section 57, n° 40.b – autrefois P 463-p
Canton : Alter Weinmarckt, Hs. N° 50-52
Désignation : Hf, Whs e. n. a. T.
Contenance : 0.73
Revenu :
Remarques : 1913 ab S. 4

(Propriétaire), compte 2688
Koehler Louis Alfred
1913 clos

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton III, Rue 56 au Jeu des Enfants, a côté de la petite Boucherie
(maison n°) 35

Pr. – Diss, Jean Daniel – Fribourg

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Alter Weinmarck

(Haus Nr.)52-52
Restauration Valentin. Koehler, Restaurat. E

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 233 MW 2292)

L’architecte Marcel Eissen transforme en 1896 les maisons Kœhler (50-52, Vieux Marché aux vins et 51, rue du Jeu des Enfants). Des modifications intérieures ont lieu en 1920 (un mur entre deux pièces est abattu). Le bâtiment est légèrement endommagé par le bombardement aérien du 25 septembre 1944. Les locaux servent de restaurant jusqu’à la démolition du bâtiment en 1959 quand un projet d’urbanisme supprime l’îlot qui occupait le centre de la place de l’Homme de Fer.

Sommaire
  • 1876 – Le Directeur de l’usine à gaz demande au nom de M. Esclony & Heidel l’autorisation de faire une prise de gaz pour dix becs devant la maison Vieux Marché aux vins 50
  • 1885 – Installation d’un conduit de ventilation dans les toilettes et accord entre les voisins Valentin Kœhler et Joseph Speisser – Décision de la mairie
  • 1892 – L’entrepreneur Nussbaum est autorisé à peindre les façades Vieux Marché aux vins 50 et 52
  • 1896 – Dossier sur la transformation de la maison Vieux Marché aux vins 50 et rue du Jeu des Enfants 51
    Exposé de l’architecte Marcel Eissen. Le bâtiment Vieux Marché aux vins 50 provient de la succession paternelle, le bâtiment Vieux Marché aux vins 52 et rue du Jeu des Enfants 51 d’achat le 13 avril 1896. Le bâtiment rue du Jeu des Enfants 51 sera peu transformé. Les nouveaux bâtiments sur le Vieux Marché aux vins serviront au propriétaire de domicile et de local professionnel. La véranda prévue dans la cour doublera l’espace entre les bâtiments. La nouvelle façade sur le Vieux Marché aux vins 50 embellira la rue. Les bâtiments seront raccordés aux canalisations. Le escaliers intérieurs seront conformes aux prescriptions – Plans
  • 1897 – Dossier sur la transformation de la maison A. Koehler, Vieux Marché aux vins 50 – Autorisation de transformer le bâtiments Vieux Marché aux vins 50, 52 et rue du Jeu des Enfants 51 après que le propriétaire s’est engagé à détruire la véranda sur la cour à la première réquisition de la municipalité – Plans
  • 1897 – Occupation de la voie publique devant le nouveau bâtiment Valentin Kœhler Vieux Marché aux vins – Autorisation accordée à l’entrepreneur Raphaël Cahn, 20 avril – Prolongation, 10 août
    La Police du Bâtiment remarque que l’échafaudage n’est pas réglementaire
  • 1898 – Dossier concernant deux lanternes à poser sur le bâtiment Vieux Marché aux vins 50
  • 1904 – Le fabricant de chaussures Conrad Tack à propos de dommages causés par A. Kœhler
  • 1904 – L’entrepreneur de peinture Griesbach demande l’autorisation de poser un échafaudage – Autorisation de poser un échafaudage au Vieux Marché aux vins 50 et 52
  • 1904 – Dossier sur un feu de cheminée. Plainte de voisins sur la suie qui sort des cheminée Kœhler
  • 1905 – Le fabricant de chaussures est autorisé après coup à installer un volet roulant au Vieux Marché aux vins 50
  • 1909 – L’entrepreneur de peinture Griesbach destiné à de poser un échafaudage Vieux Marché aux vins 50 et 52 – Autorisation
  • 1911 – Apport sur un feu de cheminée
  • 1917 – La Commission visite la maison Vieux Marché aux vins 50, 52 : rien à signaler
  • 1920 – Projet de bar Vieux Marché aux vins 50, architecte L. J. Lambert à Paris et entrepreneur Th. et Ed. Wagner – Autorisation de percer un gros mur entre deux pièces – Plan
  • 1919 – L’entrepreneur Sigel frères demande l’autorisation de poser un échafaudage Vieux Marché aux vins 50
  • 1919 – Dossier : MM. Eug. Gautereau et Marcel Gerst demandent l’autorisation de continuer à exploiter le restaurant Valentin Vieux Marché aux vins 50
  • 1923 – L’entrepreneur Sigel frères demande l’autorisation de poser un échafaudage pour ravaler la façade Vieux Marché aux vins 50
  • 1940 – La Division V demande de retirer deux grandes enseignes qui appartiennent à M. Sorg au 52 Vieux Marché aux vins – Demande de délai
  • 1941 – Le propriétaire demande l’autorisation d’abattre un mur
  • 1946 – Certificat de sinistré accordé à Paul Meyer 52 Vieux Marché aux vins, immeuble partiellement lors du bombardement aérien du 25 septembre 1944
  • 1952 – Victor Kraemer est autorisé à occuper la voie publique devant le 52 Vieux Marché aux vins (propriétaire, Valentin Sorg)
  • 1947 – Extrait d’affiches : le fonds de commerce Restaurant Valentin Sorg est acheté par Gabrielle Sorg, 50 Vieux Marché aux vins – La Police du Bâtiment inspecte les locaux qui sont conformes
  • 1959 – Autorisation de démolir le 50 Vieux Marché aux vins accordée à Valentin Sorg, 6 place de l’Homme de fer

Relevé d’actes

Au milieu du XVII° siècle, la maison appartient au tisserand Jacques Tripp. Il se remarie en 1653 avec Jeanne Schreck veuve du menuisier Georges Hübner , contrat de mariage, célébration

1653 (16. 9.br.), Chambre des Contrats, vol. 514 f° 599
(Prot. fol. 159. – Eheberedung) Erschienen Jacob Tripp der leinenweber und Burg. Zu Straßburg alß hochzeiter, mit beÿstand H Martin Michaelß deß leinenwebers an einem,
So dann Johanna Weÿl. hannß Georg Hüebners deß Schreiners und Burgers Zu Straßburg nunmehr seel. nachgelaßene wittib alß hochzeiterin mit beÿstand Bastian Mittelß deß huetmachers ihres Vogts, und H Christoph Bopp deß Schneiders am andern theil

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 64)
1654. n° 4 Eâdem dominicâ (Septuagenima) Jacob Tripp der Leinen Weber Vnndt Burger allhie, Vndt Johanna hannß Georg Hüebners gewesenen burgers Undt Schreiners alhie hinderlaßene Wittib. Copulabantue d. 30.t Januarÿ Zum J.S. Peter (i 75)

Jean Georges Hübner épouse en 1635 Jeanne Schreck originaire de la jurisdiction de Beckenheim
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 191)

1635. Eadem (Dom Quasimo) Hannß Georg Hübner der schreiner Georg Hübners deß schreiners v. burgers nachgelaßener sohn undt J. Johanna Steffen Schrecken gewesenen burgers Zu Orning. Im Beckentheimer Ampt nachgelaßene Tochter. Cop. 13. April. Zu J. St. Peter (i 97)

Jeanne, veuve du tisserand Jacques Tripp, hypothèque la maison au profit des enfants du receveur Jean Frédéric Kauffmann et d’Anne Madeleine Süss. Une mention marginale porte quittance délivrée en 1665 au nouveau propriétaire, Robert Andres

1663 (30. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 528 f° 626-v
Erschienen Johanna, weÿl. Jacob Trippen, deß Leinenwebers nunmehr seel. nachgelaßene wittib, mit assistentz Herrn Martin Michaelß deß Leinenwebers ihres Curatoris
in gegensein Sigmund Dietrichß deß Barbierers alß Vogts H. Johann Friderich Kauffmanns deß Schaffners mit weÿl. Anna Magdalena Suesin ehelich erzeihlter Zweÿer Kinder – schuldig seÿen 100 Pfund pfenning
Unterpfand sein solle, hauß, hoffstatt, Gemeinschafft deß höfflins, mit allen deren Gebäwen, begriffen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten alhie beÿ der herberg Zur Eulen, gegen dem Thoman Loch, einseit neben hannß Philipß Schwartzen dem Weißbeckhen, anderseit neben Johann Zittele dem Schneidern, hinden uff Ruprencht Andreßen den Posamentmachern stoßend gelegen, davon gehend iährlich 1. fl. wehrung lößig mit 20. fl. gedachter Wehrung dem Waÿsenhauß alhier
Und deßen Zur noch mehrern Versicherung, so ist hiebeÿ persönlich erschienen, Hannß Niclauß Rinckh der Küeffer und Susanna sein Eheweib, der Debitricis resp. dochtermann und Eheleibliche dochter, und Zwar sie Susanna mit assistentz Herrn Johann Christmann Merckhlins und H. Andres Fischers beeder alß auß E.E. Großen Rhats mittel ahne statt ihrer nechster Verwanther, hierzu insonderheit Deputirter, die haben sich für obige Schuld (…) Zue selbst Schuldner und selbst Zahlern ohnverschaidentlich dargestellt
[in margine :] (…) in gegensein Ruprecht Andreßen deß Posamentierers alß ietzigen Possessoris hierinn gedachter Behaußung (quittung) Actum den 13.ten Julÿ A° 1665

Jeanne, veuve de Jacques Tripp, et sa fille Susanne, femme du tonnelier Jean Nicolas Rinck, vendent la maison 140 livres au passementier Robert Andres

1664 (letzten Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 529 f° 219-v
(Prot. fol. 15.) Erschienen Johanna, weÿl. Jacob Trippen deß Leinenwebers nunmehr seel. nachgelaßene Wittib, mit assistentz H. Martin Michaelß deß Leinenwebers ihres Curatoris, hannß Niclauß Rinckhen deß Kueffers und Susannä beÿder Eheleuth ihres resp. dochtermanns und eheleiblichen dochter
in gegensein Ruprecht Andreßen deß Posamentmachers mit beÿstand Michael Wÿdenmanns deß Posamentmachers
Hauß hoffstatt die Gemeinschafft deß höfflins mit allen deren Gebäwen, begriffen weithen Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten alhie hinder der Eulen gegen dem Thomanloch einseit neben Hannß Philipß Schwartzen dem Weißbeckhen, anderseit neben Johann Zittele dem Schneidern, hinden uff den Käuffern selbsten stoßend gelegen, davon gehend iährlichen 1. fl. wehrung lößig mit 20. fl. gedachter wehrung dem Waÿsenhauß alhie, so seÿe solche behaußung auch noch umb 100. lb H. Johann Friderich Kauffmanns deß Schaffners mit weÿl. Anna Magdalena Süesin ehelich erziehlten Zweÿen Kindern Verhafftet, sonsten gegen männiglichen freÿ ledig und eÿgen (übernohmen) – umb 40 Pfund

Robert Andres, originaire de Freiberg en Livonie, épouse en 1629 Véronique Ott
4° Livre de bourgeoisie p. 102
Rubrecht Andreß, Von Freÿberg Im Leüfflandt der Paßmentierer Empfangt d. Burgerrecht Von Veronica Weÿl. Hannß Eberhardt holßmeisters deß Kuchnermeisters Auff d. Ammster stuben see: dochter Wull Zum spiegel dienen den 22. Aprilis A° 1629.

Robert Andres épouse en secondes noces 1662 Eve Weber veuve de Georges Deck
Procl. de mariage, Saint-Thomas (luth., f° 49), 1662, H. Ruprecht Andreas Possamentmacher und Handelsmann auch Burger allhier, Eva H. Geörg Decken Possamentmacher Und Handelsmann auch Burger allhier nachgelassene Wittib, Copulirt d. 8. Sept. zu St. Wilhelm
Mariage, Saint-Guillaume (luth., p. 54), 1662, Herr Ruprecht Andreß, Possamentmacher, Handelsmann vndt B. alhier, Vndt Fr. Eva H. Geörg Decken geweßen Possamentmacher Ebenmäßig Handelsmann v. B. allhier relicta vidua, Cop. 8. 7.br

Eve Weber meurt en 1670 en délaissant trois filles de son premier mari Georges Deck. L’inventaire est dressé dans la maison propre à la défunte au Froneck (rue du Bain-aux-Roses). La maison face au Thomanloch acquise pendant la communauté est estimée 115 livres. La masse propre au veuf s’élève à 1 192 livres, celle des héritiers à 2 189 livres. L’actif de la succession est de 3 802 livres, le passif de 2 142 livres

1670 (18.7.), Me Oesinger (David, 37 Not 21) n° 16
Inventarium V. Beschreibung aller V. Jeder Haab, Nahrung V. güethere, Ligender v. Vahrendter So Weÿlandt die Ehren v. tugendsame Fr. Eva Weberin deß Ehrengeachten v. Vornemmen H Ruprecht Andreßen Paßmentirers und burgers alhie Zu St: gewesene haußfr. sel. nach dem dieselbe d. 15.t Jüngst verwichenen Monats Junÿ Gottes gnädig v. vätterlich. willen nach diße welt gesegnet hind. Ihro Verlaßen, Welches auff beschehenes fleißig v. freundliches begehren deroselben hinderlaßene dreÿer töchter wie auch H. Ehe v geschwornen Vögte hernach benandt fleißig Ersucht – So beschehen Montag d. 18.ten Jullÿ Anno 1670.
Die verstorbene Fraw Eva Weberin sel. hat Zu Erben ab intestato hin.laßen, Ihre dreÿ töchter benantlich. Fr. Annam Deckhin, deß Ehren geacht. v. vornemmen H Johann Christoph Nagels buchbinder v. burgers alhie Eheliche haußfr., Jfr. Evam und Mariam Deckhin, deren geschworner Vogt der Ehrenhaffte H Michael Wÿdenmann Paßmentirer v. burger alhie

In Einer In der St: Str: zum Froneckh genant. behaußg. So in diese Verlassenschafft gehörig. v. hernach beschriebenen Würdt, H ist befund. word. wie volgt.
Auff d. Obern Bienen, Auff dritten Bienen, In d. Kammer A, In d. Kammer B, In d. Kammer C, In d. Kammer D, Vor dießer Kammer, In d. Werckhstub. In d. Kammer E, In d. Kammer F, Im obern Hauß Ehren, In d. Erckher stub., In d. stub Kammer, Im Nebenst stübl. Im Mittelsten hauß Ehr., Im Understen hauß Ehren, In d. Kuchen, Im Gadt., In d. Bauch Kuchen, Im Keller
Ergäntz. d. Erben unverändert. Guth, Inhalt Einer Über der Verstorbenen fr. sel. Zugebracht in den Ehestand Nahr. durch H. Johann Tomen tromern in A° 1662. d. 25. 7.bris V. 9.ten Octobris auffgerichteten Inventarÿ
Eigenthumb ane Einer behauß: d. Erben Unverändert. It. hauß undt hoffstatt
ob. am Froneckh auch Zum Froneckh genandt (…)
Eigenthumb ane Einer behauß. des H. Wittwers unverändert. It. ein hauß hoffstatt undt Nebens haüßlein sampt d. gädlein, Vndt gemeinschafft deß höffl., mit allen andern Ihren gebäwen, begriffen, weith., Zugehörden, recht. und gerechtigkeit. gelegen in der St. St. Zue d. Eül. genandt Einseith neb. hannß Philipp Schwartz dem Weißbeckh. V. die anderseith neb. Paul Prion deß Schuemachers alhie sel. Wittib undt Erben hind. auff hienach beschriebene theilbahre behaußung. Davon gehend Jährlich. i. lb.d gemeiner St. St. weg. eines durchbruchs. Sonst allerdings freÿ ledig v. eig., v. ist dieße behaußung Über Jetzt beschwerdten hiehero angeschl. für v. Vmb 350. lb. Darüber sagt ein Pergm. Kauff v.schr: vndter der St: St: Cancelleÿ Insiegel de dato d. 17.ten Maÿ A° 1649. Inhaltend wie der Wittwer solche behaußung von Hanß Adolph Eckh. dem geweß. Kürßner v. burgern alhie an sich erkhaufft hat, bezeichnet mit alt. N° 1. v. darb. gelaß. Darbeÿ noch 4 Und.sch: Pergamentene Kauffbrieff, so alle auch mit N° 1 notirt
Eigenthumb Ane häußern So Theilbahr. Erstl. ein hauß hoffstatt v. höfflin im Jungfr. Gaß. (…)
It. ein hauß v. hoffstatt sampt d. gemeinschafft eines höffleins mit allen deren gebäwen begriffen weith. Zugehördt. recht. v. Gerechtigkeiten hindter d. Eülen, geg. dem Thummen Loch geleg. einseith neben hannß Philipps Schwartz. d. Weißbeckh. Anders. neben Johann Zittelin d. Schneider hindt. auff hievornen deß h. Witt. Unveränderten behaußung stoßendt, davon gehendt Jähr. I. fl. Straßb: Wehr: Lößig mit 20. fl. hauptguth gedachter Wehrung dem Weiß.hauß alhie, So Über Jetz erwehnte beschwerdten freÿ ledig vndt eig., v. hiehero gewürdiget, vndt angeschlag. für v. Vmb 115. lb. Darüber sagt j. teutscher Pergament. Kauffbrieff, so mit mehr erwehnt. St: Str: anhangend. Cantzelleÿ Contract Insiegel becräfftiget datirt d. Letzt. Martÿ Anno 1664. bemercket mit N° 4. Darbeÿ noch 8 vndtersch: Pergamentene abgelößte Kauff v. Zinßbrieff, so auch Zusammen gebund. v. Jetzt mit N° 4 bemerckt
Abzug In dießes Inventarium gehörig. Sa. des Wittwers haußraths 33, Sa. Werckzeugs 8, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 14, Sa. guldenen Ring 5, Sa. der behaußg. 350, Sa. Ergäntzung (1437, Abzug 655, bleibt) 781, Summa summarum 1192 lb
Sa. der Erben v.verändert. haußraths 151, Sa. Werckzeug 35, Sa. silber geschirr und Geschmeids 27, Sa. Guldenen Ring 15, Sa. behaußung 600, Sa. Ergäntzung (2189, Abgang 828, per Rest übrig) 1360, Summa summarum 2189 lb
Sa. Theilbahren hausraths 70, Sa. der Frucht 45, Sa. weins v. Lähren faß 35, Sa. wahren 260, Sa. silber geschirr und Geschmeids 4, Sa. baarschafft 241, Sa. häußer 215, Sa. Schulden 581, Summa summarum 3802 lb – Schulden 2142 lb, Verbleibt 1659 lb
Summa finalis 503 lb

Registre de partage de la succession d’Anne Weber. La maison face au Thomanloch n’est pas attribuée

1670 (2.8.), Me Oesinger (David, 37 Not 22)
General Theilbuch Über Weÿl. Fr. Evæ Weberin H Ruprecht Andreaßen burgers und Paßmenmachers alhie Zu Straßburg Entseelten haußfr. seel. Verlassenschafft
Zuwißen demnacg uff todliches ableiben Weÿl. der Ehren und tugendsamen Fr. Evæ Weberin deß Ehrengeachten v. Vornehmen H. Ruprecht Andreßen Paßmentirers v. burgers alhie Zu Str: gewesene haußfr. selige den 5. Junÿ nechstverwichenen Monats des Allerhöchsten gnädig willen nach zeitlich. todts Verfahren v. deroselben hinderlaßene Haab, Nahrung v. güettere (…) dißer St. Str. üblich. gebrauch v. herkhommen nach ordentlich Inventirt, æstimirt v. gewürdiget (…) Bescheh. v. angefangen Zinstag den 2. Augusti A° 1675.
(f° 8) Vergleichung der Häußer. Belangend die 2. theilbare Häußer So findet sich hievornen fo. f. das die Erben das neben der Jfr. an St. Stephans Plan gelegene hauß angenommen haben für und umb 100. lib
deßweg. haben mehrberührter Fr. Annæ Ehevogt H. Nagel v. der beed. töchter Vogt sich mit einander Verglich. daß Sie solches Wie auch Ihr Unverändert Zum Fron Eckh beÿ d. H bischoffs hoff gelegen hauß noch Zur Zeit nicht Vertheillen, sondern biß auf anderwertliche Vergleich. noch ferners behalten wollen
Die darüber Lauttende Kauffverschreibung v. andere darzu gehörige v. befundene brieffliche Documenta s. offerwehnter H. Nageln in v.wahrung

Robert Andres épouse en troisièmes noces Susanne Füllbing. Le pasteur note que le mari est sexagénaire et que sa nouvelle épouse a une treinaine d’années : contrat de mariage tel qu’il est transcrit à l’inventaire après décès, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten, Und Vornemmen herrn Ruprecht Andreas, dem Paßmentierer und burgern alhie Zu Straßburg, alß Bräutigamb en Einem, So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrawen Susannæ Philippin, Weÿland Johann Philippin geweßenen Waffenschmidt undt burgers alhie seeligen nachgelaßenen dochter alß hochzeiterin – So beschehen in mehrbesagter Statt Straßburg Zinstag den 6. Decembris Im Jahr deß Herrn Alß mann Zahlte 1670

Mariage, Saint-Guillaume (luth., p. 87, n° 3)
1671, Herr Ruprecht Andreß, Paßmentmacher und Handelsmann, B. alhier v. Jgfr. Susanna Johann Philippings geweßenen Messer Schmidts v. B. alhier nachgelassene Eheliche tochter, * beÿ St. * Ist beÿ 30. Sponsus über 60. Jahr, Cop. d. 13. Febr.
Proclamation, Saint-Nicolas (luth., f° 285 v°), 1671, (Domin. 5. Epiph. den 5. febr) Eodem Dom: i vice Herr Ruprecht Andreß der Possamentmacher und Handelsmann und Jungfr. Susanna, weÿl. Johannis Filippings deß Messer Schmidts v. Burger alhie hinterlassene Eheliche Tochter, Copulirt Zu. St. Willhelm

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Y figure la maison à côté du Hibou et celle située à l’arrière face au Thomanloch

1671 (23.2.), Me Oesinger (David, 37 Not 22) n° 5
Inventarium Undt beschreibg; Aller Undt Jeder Haab v. Nahrung, So die tugendsame fr. Susanna Philippin Zu den Ehrengeacht. v. Vornehmen Herrn Ruprecht Andreas burgern undt Paßmentirern alhie Zue Straßburg Ihrem Ehemann in d. Ehestandt gebracht – So bescheh. Donnerstag d. 23.ten Februarÿ A° 1671
Abzug In dießes Inventarium, Sa. haußraths 189, Sa. frucht 2, Sa. Weins undt Lähren faßen 4, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 20, Sa. Guldenen ring 26, Sa. Baarschafft 87, Summa summarum 331 lib
Inventarium und Beschreibung aller undt Jeder Haab Nahrung Undt Güethere, Ligendter Undt Vahrendter, So der Ehrengeachte H. Ruprecht Andreas burger und Paßmentmacher alhie Zu Straßburg Zue der Ehren vndt tugendsahmen Fr. Susannæ Philippin seiner haußfrauen in den Ehestandt gebracht – So beschehen Montags den 8. Maÿ Anno 1671

In Einer In d. St: Str: zum Froneckh genant, vndt H: Georg Deckhen sel: Erben Eigenthümlich zuständigen behaußung ist befund. word. wie volgt.
Auff d. undern bien, In d. Kam: A, In d. Kammer C, In d. obern stub, In d. Kammer E, In d. Mittlern stuben, Im hauß Ehren, In d. Kuchen, In d. Nebens Kammer, Im undern Hauß Ehren, In d. Kuchen, Im Keller
Eigenthumb ane Häußern. Erstlich ein hauß hoffstatt undt Nebens haüßlein sampt dem Gädlein, Vnd Gemeinschafft deß höfflins, mit Allen Andern Ihren gebäwen, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten gelegen in der Statt Straßburg Zu der Eülen genandt, Einseith neben hannß Philipp Schwartz dem Weißbeckhen Vndt die Anderseith neben Paul Prion deß Schuemachers alhie seeligen Wittib undt Erben, hinden auff hienach beschriebene behaußung stoßendt. Davon gehend Jährlichen i. lb.d gemeiner Statt Straßburg wegen eines durchbruchs sonst allerdings freÿ ledig und eigen, vndt ist dieße behaußung Über ietzt gedachte beschwerd hiehero angeschlagen für vndt Vmb 350. lb. Darüber sagt ein Pergamentene Khauff verschreibung, vndter der Cancelleÿ der Statt Straßburg Insiegel verwahrt, de dato den 17. Maÿ Anno 1649. Inhaltend wie der herr solche behaußung von Hanß Adolph Eckhen dem gewesenen Kürßner undt burgern alhie an sich erkhaufft, bezeichnet mit alten N° 1. Darbeÿ noch vier underschiedliche Pergamentene Zünßbrieff, so alle mit N° 1 Notirt
Item ein hauß und hoffstatt sampt der Gemeinschafft eines höffleins mit allen deren gebäwen begriffen, Weithen, Zugehördten, rechten undt Gerechtigkeiten hindter der Eulen, gegen dem Thumenloch gelegen, Einseit neben vorbemeldten hannß Philipps Schwartzen dem Weißbecken, Anderseith neben Johann Zittelin dem Schneider hindten auff hievornen deß herrn Vorgeb. beschriebene behaußung stoßendt, Davon gehend Jährlichen Einen gulden Straßburger Wehrung lößig mit 20. fl. hauptguth gedachter Wehrung dem Waÿßenhaus alhie, so über Jetzg erwehnte beschwerdten freÿ ledig undt eigen, vdt hieher gewürdiget, vndt angeschlagen für vndt Vmb 115. lb. Darüber sagt ein Teutscher Pergamentener Khauffbrieff, so mit mehrerwehnten Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insiegel bekräfftiget datirt den letzten Martÿ Anno 1664. bemercket mit altem N° 4. Darbeÿ noch Acht undterschiedliche Pergamentene Abgelößte Khauff und Zünßbrieff, so auch Zusammen gebund. undt alle mit alten N° 1 und Jetzt mit Nis. 4 signirt
Sa. der Schulden 464, Wann nun hievorstehendte Schulden von d. Nahrung abgezogen word. alß verbleibt deroselb. noch In allen vbrig Nemblichen 3431 lb
Sa. der ungewißen undt Zweiffelhaffte Schulden 210 lb

Robert Andres meurt en 1680 en délaissant son fils en premières noces et sa fille adoptive (fille de la demi-sœur de son fils). La succession comprend la maison au Fronhoff et les deux maisons proches du Hibou au Vieux-Marché-aux-Vins. Les experts estiment 250 livres la maison face au Thomanloch. La masse propre à la veuve s’élève à 298 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 2730 livres, le passif à 998 livres

1680 (14.7.), Me Winckler (Elie, 61 Not 1) n° 10
Inventarium über Weÿland deß Ehrenhafft. und Achtbahren Herrn Ruprecht Andreßen gewesenen Paßmentierers Seidenhdlrs. und burgers alhie Zu Straßburg seel. Verlassenschafft
Inventarium und beschreibung aller Haab Nahrung und Güttern, ligender und vahrender Verändert und unveränderter, So weÿland der Ehrenhafft und Achtbare Herr Ruprecht Andres, gewesener Paßmentierer Seidenhändler und burgers alh. Zu Straßburg nach seinem Sambstags den 26. Junÿ Jüngst aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt hinderlaßen (…) ersucht durch die Ehren und tugendsame fraw Susannam Völpingin die wittib mit beÿstand deß Ehrenhafft und vorgeachten herrn Johann Dürnings Tuchscherers und Burgers alhie Zu Straßburg Ihres geschwornenn vogts – Actum Straßburg Mittwochs den 14. Julÿ Anno 1680.
Der abgeleibte Herr Ruprecht Andres hat sowohl ab intestato als per Testamentum Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. Johann Georg Andreßen Paßmentierern und gewesenen Sergianten in hiesiger Quarnison, seinem mit weÿl. frawen Veronicæ Ottin seiner Ersten haußfr. seel. erzeugten eheleiblichen Sohn, für einen Stammtheil, welcher mit beÿstand deß wohl Ehrenvest, fürsichtig und weisen herrn Matthæj Schmidts EE Kleinen Raths beÿsitzern und aus deßn Mittel Zu dißem geschäft Insonderheit Deputirten herren gegenwärtige Inventation beÿgewohnt,
2. Jungfrawen Susannam Claußin deß verstorbenen sel. adoptirter dochter Annæ Mariæ Holtzmännin mit auch weÿl. H Andrea Claußen gewesenen Keuffler und burger alhie seel. erzeugt und nach tod verlaßene dochter, für den Andern Stammtheÿl deren geschworner Vogt d. wohl Ehrenvest fürsichtig und wohlweise Hr. Niclaus Claus EE großen Raths alten beÿsitzer, welcher aber seiner unpäßlichkeit halben nicht zugegen sein können umb deß willen in seinem Nahmen Constituirt den Ehrsam und bescheidenen Meister hannß Martin Prachten, Schuhmachern und burgern alhie Ihro instituirte Erbin Schwagern, welcher dann der Inventation persönlich beÿ gewohnt

Copia der Eheberedung (…) Zinstag den 6. Decembris Im Jahr deß Herrn Alß mann Zahlte 1670
Copia Testamenti nuncupativi – Im Jahr 1674 (…) auff Sonntags den 20. Decembris Nachmittags Zwischen dreÿ und vier Uhren (…) persönlich erschienen ist der Ehren und vorgeachte Herr Ruprecht Andres burger, Paßmentirer und handelßmann alhier – Beÿ dem Vierten Verschafft erwehnter herr Testirer Frawen Susannä Philippin seiner haußfrawen, über den in der Eheberedung bestimbter Wÿdumb, seine ane dem Alten weinmarck alhie neben Philipps Schwartzen deß Weißbeckhen hinderhauß gelegener behaußung, die selbe die Zeit Ihres lebens, rechten wÿdums weiße ohngehundert seiner Erben und sonsten Männiglichen Zu geießen – David Ösinger senior, Notarius juratus
Copia Nach disposition – ist hiemit mein fernerer will meinung und befelch daß meiner haußfrawen Susanna Philippin der dritte theil ahne der eckh behaußung Zum Frohn Eckh genant, welchen Ich von Herrn Peter Dieterlin dem Kunstmahler und Frawen Eva Deckhin beede Ehegemächten, meiner dochter und dochtermann vermög der ane 20. 9.bris Jüngst auffgerichteten Contract Verschreibung an mich erkaufft Zu dem vorigen bestimten Wÿdembs weiß ohnwiderrufflich gelaßen werden solle – So beschehen in der Statt Straßburg den 22. 9.bris Anno 1676
Copia deß Verstorbenen Letstern Nachdisposition, von weÿland herrn David Ösingern dem ältern Notario seel. (verfertiget) – So geschehen in Straßburg auf Donnerstags den 3. Monathstag Junÿ Anno 1680
Bericht und erklärung der Wüttib weg. der Theilbaren Verlassenschafft (…)
Hültzenwerckh. In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der obern Stuben, In der Cammer D, Vor dießer Cammer, Inn der Müttlern Stuben, In der stub Cammer, In der Nebens Cammer, Im Mittlern hauß öhr, In der obern Küchen, Im Undern haußöhr, (perge)
Eigenthumb ane Häußern. (der wüttib wÿdemb) Item ein drittenth. für unvertheÿlt von und ane hauß, hoffstatt beÿm fronhoff (…)
(E.) Item ein hauß, hoffstatt und nebens haüßlein sampt dem gädlein und Gemeinschafft deß höfflins, mit allen andern deren gebäwen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten gelegen in d. Statt Straßburg , Zu der Eülen genant, einseith neben hannß Philipps Schwartz dem weißbeckhen und anderseith neben Paul Prion deß Schuemachers alhie seel. wütib und Erben etwan ietzt, -, hinden auf hernach beschriebene behaußung stoßend gelegen. Daran gehnd Jährlich j. lb.d gemeiner Statt Straßburg, weg. eines durchbruchs sonst allerdings freÿ ledig und eig. und ist dieße behaußg. über ietzt gemelte beschwerd durch hieisger statt geschwornen Werckmeister æstimirt und angeschlag. worden für und umb 280. lb. Darüber sagt ein Pergamentine Kauffverschreibung mit d. Statt Straßburg anhangenden Cancelleÿ Contract Insigel verwahrt, de dato den 17. Maÿ Anno 1649. inhaltend wie d. verstorbene seel solche behaußung von H Adolph Ecken dem gewesenen Kürßner und burger alhie seel. an sich erkauft, bezeichnet mit alten N° 1. Darbeÿ vier underschiedliche Pergamentine Zinßbrieff, so ebenmäßig mit N° 1 Notirt und nach beschehener Vorlegung darbeÿ gelaßen
(E. der wüttib wÿdemb) Item ein hauß und hoffstatt sampt der Gemeinschafft eines höffleins mit allen deren gebäwen begriffen, weith, rechten und Gerechtigkeiten hinder d. Eulen, gegen dem Thomanloch gelegen, einseit neben vorbemeldten hannß Philipps Schwartzen dem Weißbecken, Anderseit neben Johann Züttelin dem Schneider hinden auf nächst beschriebene behaußung stoßend, Darvon gehnd Jährlichen ein gulden Straßburger Wehrung dem weisenhaus alhie ablößig m. Zwantzig guld. berührte wehrung, so über ietzgemelte beschwerd, durch erwehnte Werckmeister für freÿ ledig und eig. angeschlagen für und umb 114. lb. Darüber sagt ein Teutscher Pergamentiner Kauffbrieff mit erwehnter Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ contract Insigel bekräfftiget datirt d. letzten martÿ a° 1664. signirt mit altem N° 4. Darbeÿ noch Acht underschiedlich Pergamentene Abgelößte Kauff und Zinßbrieff, so auch samptlichen fernern schrifftliche brief Zusammen gebund. und alles signirt mit alt. Nis 1 et 4 auch noch beschehene Vorleg. darb. gelaß.
der wittib unverändert, Sa. haußrath 45, Sa. Wein und lehren Vaß 1, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 40, Sa. guldiner Ring 25, Sa. Baarschafft 26, Sa. activ schulden 27, Summa summarum 298 lb
der Erben unverändert wie auch theÿlbahren hausrath 156, Sa. Früchten 18, Sa. Wein und lehren Vaß 50, Sa. Werckzeug Zulm Paßmentirer handwerck 9, Sa. Wahren 1538 lb, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 60, Sa. guldiner Ring 5, Sa. Baarschafft 160, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 25, Sa. Eÿgenthum ane häußern 682 lb, Sa. Reben Zu Wangen 20, Sa. activ schulden 22, Summa summarum 2730 lb – Schulden 998 lb, Nach deren Abzug 1731
Conclusio finalis Inventarÿ 2430 lb – Conclusio finalis Inventarÿ der Stall tax nach 2304 lb
Ergäntzung der wittib unverändert gutts durch H David ösinger, 112
Wÿdemb So der Abgeleibte von Weÿl. Fr. Veronicæ Ottin seiner Ersten hßfr. ad dies vitæ genoßen, daß Eÿgenthumb aber Jungfr. Susannæ Claußin der Zum halben theÿl instituirten erbin gehörig – 200 lb
Anderer Wÿdemb, So der Abgeleibte seel. von weÿl. Frawen Evæ Weberin seiner Zweÿten oder Mittlern haußfrawen seel. ad dies vitæ geboßen, daß Eÿgenthumb aber der in Ihrer Ersten ehe erzeugten Fraw. döchtern gehörig (…) nunmahlen aber Frawen Annæ Deckin H hannß Christoph Nagels deß buchhändlers und fr.. Evæ Deckin H. Peter Dieterlins deß Kunstmahlers haußfrawen, Item mit weÿl. H Georg Decken geweßenen Paßmentirern und burgern Zu Straßburg seel. in Erster Ehe Erzeugt und noch lebenden Zween döchtern
– Abschatzung Montags den 12 Julÿ 1680. Weÿlandt deß Ehrsamen Undt bescheidenen herrn Ruoprecht Andresen gewesenen burgers Undt basamentmachers nunmehr See: hinderlaßener Erben behausungen, die eine beÿ dem thier garthen gegen deß Bischoffs hoff Über, Zum Froneckh genandt, welche behausung allenthalben wohl besichtiget, Undt nach in guotem befundten, ist solche behausung vff der herren Stall angeschlagen Vor Vnd Vmb Ein Thausendt Achthundert guldten
die andere Behausung beÿ der Eulen gegen dem holoischen hoff Über, welche behausung eben mesig wohl besichtiget, aber zimlich alt schlecht Undt bawfällig befundten, ist solches hauß nebens undt hindergebäw Zusahmen angeschlagen Vor Vnd Vmb Acht hundert Undr fünffzig guldten ([in margine :] 600 fl. Vorderhauß, 250. fl. hinderhauß) Bezeugens Underschribene der Statt Straßburg geschworne Werckhleüth, [unterzeichnet] hannß Georg Heckheler Werckmeister beÿ dem Münster, Jacob Loßii Werckmeister deß Zimer hoffs, Andres Schmidt Werckmeister des Maur hoffs

Registre des biens attribués à Susanne Claus, fille adpotive de Robert Andres. La maison face au Thomanloch reste indivise

1680 (14.8.), Me Winckler (Elie, 61 Not 2)
Theÿlregister darinnen Was Jungfrawen Susannæ Claußin in weÿl. herrn Ruprecht Andreßen, gewesenen Paßmentirers, Seidenhändlers und burgers alhie Zu Straßburg für einen halben theÿl Erblichen Zugefallen auch in andere wege verhandelt worden zubefünden
(…) Angefangen in deß heÿl. Reichs freÿen Statt straßburg Sambstags den 14. Augusti Anno 1680 geendigt aber in de Königl. freÿ Statt Straßburg sa&&s den 26. Novembris Ann) 1681.
Abhandlung der Häußer. Von denen im Inventario à fol – bis ad folium – beschriebenen häußern, hat Fr. Susanna Völpingin die Wütib ad dies vitæ Zu genießen wie volgt
Ertlichen den dritten theÿl ane der beÿm Fronhoff im Roßbaum gaß gelegen und Zum Froneck genannt Behaußung
Ferner die hinder der Eulen gegen dem Thomanloch über gelegene behaußung
Dieße beede behaußungen hat die wütib nach der statt Straßburg Wÿdumbs Recht und gewohnheit geordneter maßen ad dies vitæ Zugenießen eingeraumbt und biß nach endigung deß wÿdumbs unvertheÿlt gelaßen worder
Ist also für dißmahlen Abzuhandlen allein nich übrig geweßen
Item in hauß hoffstatt und neben häußlein, Zu der Eulen genant (…)

La maison revient à Jean Georges Andres, file de Robert Andres. Il épouse en 1658 Anne Marie Zorn, fille de marchand.

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 33) 1658. Dnicâ Reminiscere d. 7. Marti Johann Georg Andreas der Passmentmacher H. Ruprecht Andreæ Passmentmacher v. burger allhie ehelicher Sohn, Jfr Anna Maria , H. Johann Carol Zornen des Handelsmanns Eheliche Tochter. Copulirt d. 15. Martii Zu St Thoman (i 36)

Anne Marie Zorn meurt en 1672 en délaissant une fille. L’inventaire est dressé dans une maison de location rue des Veaux. L’actif de la succession s’élève à 221 livres, le passif à 15 livres
1672 (7.6.), Me Oesinger (David, 37 Not 23) n° 11
Inventarium undt Beschreibung aller und Jeder Haab v. Nahrung, So weÿland die Ehren v. Tugendsame fr. Anna Maria Zornin, hannß Georg Andreas des Pasmentmachers verstorbene haußfr. sel. nach dem diselbe d. 18.ten Aprilis Jüngsthien Gottes vätterlich will. nach diße welt gesegnet hinder Ihro Verlaß. welches auff beschehenes fleißig und freundliches erford. vnd begehren deß Ehrenvest fürsichtig und weiß. H Johann Caspar Dietzels Wohlbestellt. Statt Richter v. E.E. Statt gerichts alhie Zu Straßburg, alß geschwornen Vogts Mariæ Elisabethæ der v.storbenen seel. hind.laß. töchterlins alß rechtsmäßig. einigen instituirt. und ab intestato Erbin, Inn beÿsein und Persönlich gegenwärtigkeit der Ehrenvesten undt vorgeachten H Ruprecht Andreßen deß Paßmentirers und Joh: Carl Zornen deß Handelsmanns beederseiths väter – so beschehen in Straßb. d. 7. Junÿ 1672
In Einer in der St. Str. in der Kalbsgas in H. XV. Geÿgers eigenthümlich. hauß befunden word. wie volgt
In der Kammer A, In der Kammer B, Im hauß Ehr, In der stub Kammer
Abzug In dießes Inventarium. Sa. haußraths 56, Sa. Silber geschirr und Geschmeid 5, Sa. Werckzeugs 10, Sa. Schuld 150, Summa summarum 221 lb – Schulden 15 lb

L’inventaire après décès de Jean Georges Andres figure dans les registres des préposés de la Taille. La minute de l’inventaire dressé par le notaire Redwitz n’est pas conservée. La conclusion finale de l’inventaire s’élevait à 134 livres. L’héritière non bourgeoise, Anne Justine Andres, femme du cocher Tobie Gerhard, doit régler le droit de détraction.
1709, VII 1174 – Livres de la Taille f° 96-v
(Spiegel, F., N. 224) Weÿl. H. Hannß Geörg Andreß geweßenen Paßmentirers und burgers alhier Verlassenschafft inventirt H. Not. Redwitz.
Concl. fin. Inv. ist fol. 37, 134. lb 1 ß 2 ½ d, die machen 200. R, derselbe verstallte hiengegen 500 R
Extat das Stallgeltt pro 1707. 1708. et 1709 à 2 lb 2 ß d, 6 lb 6 ß
Gebott 3 ß 4 d&
Abhadlung 5 ß 6 d, Summa 6. lb 14 ß 10 d
Abzug. Frau Anna Justina, weÿl. Tobiæ Gerhart geweßenen Schirmers und Gutschers alhier hinderlaßen Wittib, hat von vätterl. Erbe der 29. lb. 17. ß. 4 d. ane Abzug zu erlegen 2. lb. 19. ß. 9. d
dt. omnia den 11° Junÿ 1709.

Jean Georges Andres et sa femme Marguerite Catherine hypothèquent leur part des maisons près du Hibou

1681 (31. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 550 f° 562
Hannß Georg Andres der Posomentirer undt Margaretha Catharina beÿdte Eheleuth derern nahrung gemein und theÿlbahr seÿe
in gegensein Herrn Johann Saltzmanns V.J. Ddj und E.E. Kleinen Rhats beÿsitzers alß Vogts Jgfr. Mariæ Dorotheæ Leopardtin – schuldig seÿen 100 lb
unterpfand, Ein dritter theÿl Ihnen den Schuldbekennenden Eheleuthen für ohnvertheÿlt gebührendt, ahne einer alhier ane Fronhoff gelegener behausung undt Zum Frohn Eckh genannt, ist ein seiten Eckh, anderseit neben – d. Schneider, hinden uff ein allmend gäßlein stoßend
So dann die helffte ahne einer behausung mit allen deren gebawen undt Zugehördten alhier gegen dem Thummenloch hinder der Eulen, einseit neben Hannß Philipp Schwartzen, anderseit neben Johann Zittelin dem Schneider, hinden uff die Schuldbekennende Eheleuth selbsten stoßend gelegen, Von welcher gantzen behaußung gehendt Jährlichen 2. fl. lößig mit 20. fl. dem Weÿßenhauß alhier

Jean Georges Andres loue la maison au chapelier Daniel Corvisier et à sa femme Anne Salomé Graff

1688 (10. 7.bris), Chambre des Contrats, vol. 559 f° 525
H. hans Georg Andres, der Paßmentierer [unterzeichnet] Johann Georg andreß
in gegensein Daniel Corvisier deß huthmachers und Schirms Verwanthen allhier, und Annæ Salome gebohrner Gräffin deß. ehelicher haußfrauen [unterzeichnet] daniel Coruisier
entlehnt, hinder seiner Zur Eulen gemandt. wohn behaußung d. gantze hind.hauß geg. dem Thomanloch außgehend, einseit neb. hans Niclaus Schwartzen dem weißbecken, anderseit neben Rudolph Gimpel dem Schneider, auff ein Jahr lang von Michaelis dieß jahrs an zu rechnen, umb 13 pfund pfenning
[in margine :] (…) uff ein Jahr lang weiter prolongirt und den Zinnß zu 30 fl. gesetzt – den 26. 7.bris 1689

Susanne Filpping, veuve du passementier Robert Andres, vend la moitié de la maison, sise derrière le Hibou face au Thomanloch, au marchand Georges Jacques Sachs pour 100 livres. Elle s’en réserve la jouissance sa ve durant. L’acte est enregistré à la Chambre des Contrats après la mort de l’acheteur

1703 (20.2.), Chambre des Contrats, vol. 576 f° 78
Susana geb. Vulbingin weÿl. Ruprecht andreßen geweßenen paßmentirers wittib mit beÿstand Hn. Joh: Dürningers alten Dreÿers der Statt Stalls
in gegensein Hn. Joh: Heupels Schafners im waÿßenhauß wie auch Francisci Reißeißens Ddi. u. Hn. Georg Jacob Sachßen, handelsmanns aller alß resp: Ehenachkomm. u. Vögten weÿl. Hn. Joh: frid: Sachßen geweßenen Comitis Palatini u. Schafners deß waÿßenhauß KK. erster u. letzter ehe
angezeigt u. bekant, daß Sie andreßin ihn Hn. Sachßen bereiths beÿ seinem lebzeithen verkauft die helfte eines haußes allhier für unvertheilt u. hoffstatt samt der Gemeinschafft eines höffleins, auch allen deren gebäuen, begriffen, weithen, rechten u. gerechtigkeit hinter der Eulen gegen dem Thomanloch, einseit neben hanß Philipp Schwartz weißbeckeren anderseit neben Joh: Zienler* schneider vornen auf d. hauß zuer Eulen stoßend gelegen – umb 50 pfund Capital (50) – Worbeÿ zu wißen daß der lebtägige genueß sothanen haußes ihro der verk. verbleiben solle

Jean Georges Andres loue la maison à l’aubergiste Antoine Gabriel

1703 (15.3.), Chambre des Contrats, vol. 576 f° 126-v
Johann Georg Andres Paßmentirer
in gegensein anthoni Gabriels würths [unterzeichnet] +
entehnt, d. hintere hauß der gastherberg zuer Eilen allhier beÿ der kleinen metzig einseit neben Niclaus Schwar(tzen) weißbecken anderseit neben – hinten stoßend gelegen, auf fünf jahr lang anfangend auf A. Mariæ 1703 – um einen jährlichen Zinß nemlich 20 pfund

Antoine Gabriel meurt en 1707 en délaissant trois enfants issus de sa veuve Catherine Schœnenberger

1707 (26. 8.bris), Me Kolb (Jean Pierre, 23 Not 5) f° 178
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so Weÿl. der Ehrenhaffte H. Anthoni Gabriel gewester würth und Gastgeber auch burger zu Straßb. nach seinem Montags d. 22. Aug. dießen laufend. 1707.ten Jahrs genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen deß wohl Ehren Vesten und weißen herrn Conrad Meralds gastgebers und E.E. Kl. Raths Jetzmahligen beÿsitzers alß geschwornen Vogts Johann Jacob, Conrad und Elisabethæ gebohrner Gabrielen sein deß verstorbenenn mit seiner hinderbliebenen wittibin ehelich erzeugten hinderlaßene ab intestato Erbin und Kinder inventirt und ersucht durch die tugendsame fr. Catharinam Gabrielin gebohrne Schönenbergerin die hinder bliebene wittib beÿständlich S.T. herrn Johann Michel Schadens wohlverordneten Statt und Nachtfuriers deeo geschwornenn Hn Vogts – Actum in der Königl. freÿ. Statt straßb. auff Mittwoch den 26. 8.bris Anno 1707.

In einer alhier in der Statt Straßb. auf dem Alten wein Marck, gegen dem thoman loch über gelegenen, und herrn Johann Georg Andreßen Paßmentirern auch burgern alhier ([biffé] sonst sogenannten) zuständig. hinderhß. zur Wießen tauben genant hat sich befund. wie volgt
vff der bühnen, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Gaststuben, In der Kuchen, Im Keller
Norma hujus inventarÿ. Bericht ane Statt der Eheberedung. Die Weilen gleich beÿ Eingang dießer Inventation vorhergedacht wittib auf gethanes befragen bericht erstattet, daß Sie mit dero verstorbenen Ehemann seel. beÿ antritt ihrer Ehe Keine Eheberedung aufgerichtet, auch wehrender Ehe weder testament noch lester will od. disposition gemacht worden, Alß hat man löblich. statutis gemaß und herkommens (…)
der Wittib unverändertes Vermögen, Sa. Silber 13 ß, Sa. gold. Rings 16 ß, Summa summarum 1 lb
hierauff wird auch die gemeine verändert und theilbare Verlassenschafft beschrueben, Sa. haußraths 70, Sa. leeren Vaßen und Wein 20, Sa. Silbers 2, Sa. Schulden 26, Summa summarum 119 lb – Schulden 90, Nach solchem abzug 28 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 30 lb

L’héritier Andres et les héritiers Sachs (Apollonie Meyer, à présent femme de Jean Heupel, receveur à l’Orphelinat, et les tuteurs des enfants issus de deux mariages) vendent la maison, sise derrière le Hibou face au Thomanloch, au boucher Jean Georges Roth et à Anne Eve Bechtold pour 371 livres

1708 (9.6.) Chambre des Contrats, vol. 581 f° 381-v
Johann Georg Andreß Paßmentirer, Ferner Fr. Apollonia geb. Meÿerin weÿl. hrn Johann Friedrich Sachßen geweßenen Waÿsenschaffners wittib anjezo hrn Joh: Heupels ietzmahligen Waisenschaffner Hausfrau, Item herr franciscus Reißeißen U.J. Ddus et Cancellariæ Contractuum Actuarius, So dann H. Georg Jacob Sachß der handelßmann beede alß Vögt obged. hrn Schaffners Sachsen seel. Kinder erster und anderer Ehe
in gegensein Johann Georg Roth deß Metzgers und Annæ Evæ geb. Bechtoldin, daß obgedacht. andres zuer helffte bemelte Wittib und vögt aber zur anderen helffte
Hauß und hoffstatt samt der gemeinschafft eines Höffleins auch allen deren gebäuen, begriffen, weithen, rechten und Gerechtigkeiten allhier hinter der Eülen gegen dem Thomanloch, einseit neben Hanns Philipp Schwartzen Weißbecken as. neben Johann Friedrich Euler Specirer hinten auff das Hauß zur Eulen stoßend gelegen – (371) 20 gold. fl. Capital und 350 pfund

Susanne Filpping, veuve du passementier Robert Andres, cède son droit viager sur la maison, sise au Vieux marché aux vins derrière le Hibou face au Thomanloch, à son acheteur Jean Georges Andres contre une rente viagère

1708 (9.6.) Chambre des Contrats, vol. 581 f° 381
Susanna Andreßin wittib geb. Vulbingin so ohnbevögtigt beÿständlich hrn Johann Heüpels Schaffners deß Waisenhaußes einßen und andern theils Johann Georg Andreß Paßmentirer
demnach immediate infra verschriebene behaußung am alten weinmarckt hind. d. Eulen geg. dem Thomanloch über gelegen Ihro mit lebtägigen Wÿdem Verfangen, welcher wÿdems zinß auf 15 gulden jährlich Verglichen word. alß wolle sie sothane behausung des Widems erlaßen und gäntzlichen freÿsprech., Hingegen hat Er Andres angelobet und Versprochen ahne sothaner 15 fl. jährlichen die Helfte so lang Sie im leben sein wird
versichert auff seine Vorderes allhier an ged. alten Weinmarckt beÿ der Eülen einseit neben Niclaus Schwartzen weißbecken anderseit neben – hinten auff ged. hinderes Hauß stoßend gelegenes Hauß

Inventaire après le décès de Jean Georges Roth, dressé dans une autre maison du même îlot (III 136). Ses héritiers sont les enfants issus du premier mariage de sa femme Anne Eve Bechtold qu’il a épousée en 1684. Il est originaire de Worms et a acquis le droit de bourgeoisie juste après son mariage. Anne Eve Bechtold avait épousé Jacques Leitel en 1671.

1720 (25. 9.bris) Me Lobstein (Jean, 31 Not 5) n° 127
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und güethere, so weÿland der Ehren: und Wohl Vorgeachte Hr. Johann Georg Roth, geweß. Metzger u. burger allhier nunmehr seeliger, nach seinem den 25.t 7.bris dießes zu end eilenden 1720.sten jahrs aus dießer Welth genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen, Welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Abgeleibten seeligen per Testamentum Verlaßener Erben (inventirt) durch die Ehren: u. tugendsahme Frau Annam Evam Rothin geb. Bechtoldin, die hinterbliebene Wittib, mit beÿstand des Ehren: und Wohlvorgeachten Hn Simon holenders des huthmachers und burgers allhier dero geschwornen Hn Curatoris, geäugt u. gezeigt
Der Abgeleibte seeliger hat zu seinen Erben /S.is ubiq. T.is/ verlaßen wie Volgt 1.mo Weÿl. Mr hannß Peter Leÿtels, des geweßten Schuhmachers u. burgers allhier mit Frauen Maria Salome geb. Schöffelholtzin ehelich erzielht Kinder, nahmentlich Annam Evam, Mariam Salome, Johann Georg, Susannam Margaretham u. dann Mariam Barbaram die Leÿtel, deren geschw. Vogt hr. Lorentz Leÿtel der Kupfferschmid u. burger allhier, allweilen aber derselbe selbsten mit Interessirt als ist Zu einem theil vogt erbetten worden hr Jacob Tillÿ, der Statt Spengler u. burger allhier, 2.do Herrn Johann Jacob Leÿteln, Med. Doctorem so dißmahlen Zu London in Engelland Wohnhaft, in deßen Nahmen aus E:E: Kleinen raths Mittel S:T: Hr. Andreas Greum, Vornehmer Apothecker auch ehrenged. E. Kleinen raths jetzig Wohlmeritirter beÿsitzer, Und dann 3.tio Herrn Lorentz Leÿtel, den Kupfferschmid und burgern allhier, Vorgedacht, Alßo alle dreÿ des Abgeleibten seeligen adoptirte Kinder u. per Testamentum zu gleichlingen Antheilen Verlaßene Erben
Copia der Eheberedung – Copia Testamenti nuncupativi

In einer allhier ane dem Alten Weinmarck nahe beÿ der Kleinen Metzig gelegenen und in dieße Verlassenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinerwerck, In dem Obern Vordern Stüblein, Im Obern hindern Stüblein, Im Obern haußöhren, In der Wohnstub, Im haußöhren, In der Kuchen, In der Cammer B, In der Cammer C (…)
Eigenthumb ane einer behaußung (T.) Eine behaußung, hoff, hoffstatt mit allen den gebäuen begriffen, zugehörd u. gerechtigkeiten gelegen allhier am alten Weinmarckt gegen dem hauß zum dannenfelß über, einseith ist ein Eck am Gerbergraben, anderseit neben Niclaus Schwartzen dem Weißbecken hinten auff Hn Lorentz Fisch. den Gastgeber Zum blauen bauren stoßend gelegen, Von alters hero Zum Zinnenen thurn genand, so freÿ, ledig, eigen und HHn. Michael Erlacher WerckMr. des Münsters u. Hn Johann Jacob Biermeÿer WerckMr. des Zimmerhoffs laut Abschatzungs Zeduls Vom 17. 8.bris 1720. angeschlagen pro 700 lb, Darüber sag. 2. teutsche perg. Kffbrieff mit d. Statt Straßb. ang. CContract Insiegel Verwahret datirt den 6.ten 8.bris 1687 et 16. julÿ 1691
Abschatzung: d. 17.t 8.bris ano: 1720. weÿlandt, deß Ehrenhafften Vnd bescheÿtenen H: hanß Görg Roth. Metzger, Seel: hinder Laßenen, fraw: wittib, Und Erben, ist Eine behaußung Alhier in der Statt Straßburg, beÿ der Kleinen Metzig: gelegen, Ein Eckh, an dem gerber graben, drenckh gelegen, Ander seith Neben, Nicolauß schwartz. weiß beckh, hinden Auff den gerber graben, stoßendt, welche behaußung, hoff statt, Stuben, Kammeren, Küchen, hauß Ehren Ein gebälckten Keller, Neben gebeÿ, Mit Kammeren, Küchell, Hoff, Vnd. brunen, Sampt aller Ihrer gerechtig keith, Wie solches durch der Statt Straßburg, geschworenen Werckh Leüthen in der besichtigung befundten, Und dem Jetzigem preiß Nach an geschlagen wirdt Vor, und, Umb 1400 Gulten, bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschworenen Werckh Leüthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Ergäntzung der Wittib ohnveränderten Guths, Inhalt Inventarÿ über der Wittib in die Ehe gebrachte Nahrung dh. H. Andream Schmidt Not. publicum in Anno 1684. aufgerichtet
Ane Häußern, It. hat die wittib angezeigt, daß Sie Ihre dreÿ häußlein, welche Sie im Marbach gäßlein ligen gehabt und von d. Mutter seel. geerbt worden, nicht un d. zugebracht. Nahrung Inventario enthalten, wehrender dieße Ehe verkaufft und nach abzug d. darauff gestandenen beschwärden darauff erlöst haben so zuergäntz. 75 lb
Abzug gegenwärtig Inventarium, der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 33, Sa. Silbers 1, Sa. Goldener Ring 3, Sa. Guths Ergäntzung (151, abgang 1, rest) 149, Summa summarum 187 lb
der Erben ohnveränderte Nahrung, hausraths 19 lb
das theilbahr Guth, Sa. hausraths 94, Sa. Lährer Vaß 8, Sa. Silbergeschirr und geschmeids 12, Sa. Goldener Ring 9, Sa. baarschafft 22, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 700 lb Summa summarum 846 lb, Sa. Schulden 177 lb Nach solchem abzug 668 lb – Stall Summ 818 lb

Mariage de Jean Jacques Leitel, garçon boucher, et Anne Eve Bechtold. Une note indique qu’ils ont été emprisonnés pour concubinage
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth., p. 149) 1671, n° 18, hans Jacob Leitel der ledige Metzger Knecht
Anna Eva, diebold Bechtolts des geweßenen Metzgers hinterl: Ehel. Tochter, 23. Maÿ, Illkirch
N.B. Seind in Un Ehen Zusammen Komm. B. beede im thurn geleg.

Mariage de Jean Georges Roth, boucher, et Anne Eve Bechtold veuve de Jean Jacques Leuthel
Mariage, Saint-Nicolas (luth., f° 27 v°) 1684 n° 22. Hans Georg Roth der ledige Metzger Von Worms Hans Adam* Rothen deß Burgers Und Metzgers Zu Worms ehelicher Sohn Undt
Anna Eva, weÿland Hans Jacob Leuthels deß Burgers Und Metzgers alhier nachgelaßene Wittib, Copul. zu St. Niclaus 15/25. 7.bris

1684, 4° Livre de bourgeoisie f° 505
Hanns Georg Roth der Metzger von wormbs empfangt das burgerrecht von seiner haußfr. Anna Eva, weÿl. hanns Jacob Leitels des Metzgers seel. Wittib pro 8. goldR. so beÿ d. Cancelleÿ erlegt, Jur. 12. 8.br

Jean Georges Roth et Anne Eve Bechtold vendent la maison, sise derrière le Hibou face au Thomanloch, à Marie Salomé Oertel femme de Henri Weynacht, assistée du marchand de futaine Benjamin Frantz, pour 625 livres

1710 (22.10.) Chambre des Contrats, vol. 583 f° 635
Joh: Georg Roth metzger und Anna Eva geb. Bechtoldtin
in gegensein Mariæ Salome Weinachtin geb. örtelin beÿständlich Benjamin Frantz barchetkrämers
hauß und hoffstatt sambt der Gemeinschaft eines hoffleins auch allen deren mit allen gebäuden, begriffen, weithen, rechten und Gerechtigkeiten allhier hinter der Eulen gegen dem Thomanloch einseit neben hanß Philipp Schwartz weißb. anderseit neben Kolb Speceriren hinten auf d. hauß zuer Eulen stoßend – (625) 20 Goldgulden und 175 lb capital und 429 pfund

Marie Salomé Oertel femme Weinacht, assistée du marchand de futaine Benjamin Frantz, vend la maison, sise derrière le Hibou face au Thomanloch, à Jean Pierre Sponheimer et à Susanne Dorothée Dolhopff pour 675 livres

1713 (24.3.) Chambre des Contrats, vol. 586 f° 188
Maria Salome Weÿhenachtin geb. Örtelin beÿständlich Benjamin Frantz parchethändlers weilen unbevögtigt
in gegensein H. Joh: Peter Sponheimer und Susannæ Dorotheæ geb. Dolhofin (si go. Johann Peter Sponemer)
hauß und hoffstatt sambt der Gemeinschafft eines höffleins auch allen deren gebäuen, begriffen, weithen, rechten und Gerechtigkeiten allhier unter der Eulen gegen dem Thomanloch, einseit neben hanß Philipp Schwartz weißbecken anderseit neben Kalb speciereren hinten auf d. hauß zuer Eulen, darvon gehet jährlichen 1 lb bodenzinß – (675) 20 Goldgulden capital, 175 und 275 capitalien und 204 pfund

Jean Pierre Sponheimer et Susanne Dorothée Dolhopff hypothèquent la maison au profit du receveur Jean Philippe Bœckler

1716 (26.6.) Chambre des Contrats, vol. 589 f° 359
hr. Joh: Peter Sponemer und Susanna Dorothea geb. Dolchopfin
in gegensein H. Joh: Philipp Böckler rentmeisters, 25 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert: allhier hinter der Eulen gegen dem Thomanloch, einseit neben hanß Philipp Schwartz weißbecken anderseit neben Kolb speciereren hinten auff das hauß zuer Eulen, (reicht mann) jährlichen 1 lb ane bodenzinß

Inventaire de la masse active et passive du juriste Jean Pierre Spohnemer et de Susanne Dorothée Dolhopff. La maison y est localisée au Vieux marché aux vins. L’inventaire joint leur contrat de mariage passé aux forges du val de Leiningen en Palatinat. Ils viennent ensuite s’établir à Strasbourg, le mari acquiert en 1711 le droit de bourgeoisie de sa femme.

1717 (22. Xbris) Me Oelinger (J. Frédéric, 36 Not 3) n° 78
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen haab Vndt Nahrung, so der Ehren und Vorachtbahre herr Johann Peter Spohnemer ([biffé] Jurium Practicus) und Fraw Susanna Dorothea gebohrne Dollhopffin beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg derzeit würcklichen Activé besitzen undt hiergegen Wieder passive zu bezahlen haben

In einer allhier zu Straßburg ahne dem Alten Wein Marckh gelegenen Vndt in dieße Nahrung gehörigen behaußung sich volgender maßen befunden
Ane Höltzen und Schreinerwerck, In der Cammer A, In der Wohn Stuben, In der Stub Cammer, Im Keller
Eigenthumb ahne Einer behaußung. It. ein hauß, hoff hoffstatt sambt all übriger Weiten Rechten undt gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg ane dem alten Wein Marckh eins. neben herrn Kolben Krempen, as. neben hr. Schwartzen, hindten vff hr. Milio barbier stoßend, Davon gehen Jahrs allhiesigem Pfenningthurn Vff Johann Baptistæ 1 lb d bod.zinß thut in Capital ohnvergreifflich 20 lb, It. 1 lb 1 ß d Zinnß vff Assumptionis Mariæ dem allhiesigen Weÿßenhauß so ablösig in Capital, ohngefähr 21 lb, It. 8. lb 15 ß d Zinnß Jahrs vff d. 8. Junÿ hr. Joh: haüpel d. Wäyßen Schaffner, so widerlößig in Capital mit 175 lb, It. 12. lb 7 ß b.zinnß Jahes vff – H. Benjamin Frantzen barchetkrämer, so wid. käuffig in hauptgut 275 lb, It. 1 lb 5. ß Jahrs vff Joh: Bapt. hr Joh: Philipp böckler rent Meisters lößig in Cap. mit 25 lb, Und ist solche behaußung nach abzug obiger beschwerde annoch æstimirt word. jedoch allerseits ohnpræjudicirlich pro 84 lb. Darüber besagt ein auß allhießiger Cantzl. Stub gefertigter pergamentener Kauffbrieff, so aber weilen solcher nebst andern beÿ E.E. Kleinen Rath Verwahrlich lieget, beÿ geg. warthiger Inventation ô können producirt werd.
Ehepacten – zwischen dem wohl Edtlen und gelehrten H. Johann Peter Sponemers Mstr. Johannes Sponemers des Burgers und Bildtwebers Zu Naßau Weilburg Ehelichern Sohn, mit Beÿstandt und erbettener gezeugen des Wohl Ehrwürdigen und hochgelehrten H. Johannes Wendten, treifleißig. Pfarrers der gemeidten wattenh. V. Hochspeÿer wie auch H. Tobiæ Kaÿßers, Innwohners, und Gastgebers des dorffs Wattenh., Anderer seithen Jgfr. Susanna Dorothea Dollhopffin des wohl Edtel und Vorachtbahren Herrn Georg Andreas Dollhopffs E.E. großen Raths der Statt Straßburg alten beÿsitzers und Inspectoren des umbgeldts allda, mitt Beÿstandt des Hochachtbahren Herrn Johann Allbrechts dollhopffens Factoren der Eißenschmeltz im alten leininger thahl V. H. Johann Philipp Schreiners, hochgräfflichen Leiningen Westerburgischen wohlverordneten Schultheißen der Gemeindt Wattenh. – geschehen auff der Eißenschmeltz im Alten Leinninger Thahl den 10. Meÿ 1706
Ergäntzung der frauen ohnveränderten Guths – Nach besag Extractus über weÿland Herrn Geörg Andres Dollhopffen geweßenen Inspectoris im Umbgelt und E.E. großen Raths beÿsitzers seel. Verlassenschafft abtheilung durch H. Jacob Christoph Pantrion Not. den 9.t Xbr. 1717 aufgerichtet, hat man fr. Susannæ Dorotheæ Sponheimerin geb. Dolhopfin herrn Johann Peter Sponheimers damahligen Schaffners zu Türckheim Ehefrau sowohl ane Vätter: als Mütterlichen restienden Guth zu ergäntzen wie folgt

1711, 4° Livre de bourgeoisie f° 786
Johann Peter Sponehmer der scribent Von Naßaw Johann Sponehmer des Leinen Webers daselbst sohn, empfangt das burgerrecht Von seiner Fr: Susanna Dorothea dollhoffin p. 2. goldR. 16. ß bringt 1. Kind mit so beÿ ordnung geblieben wird Zur Steltz dienen. Jur. 19. Dito 1711

Le marchand de futaine Benjamin Frantz, vend la maison à Norbert Braun, aubergiste, et à Marie Anne Frey pour 650 livres. Le vendeur doit avoir acquis la maison à la Chambre des subhastations lors de la vente des biens Sponheimer

1721 (14.6.) Chambre des Contrats, vol. 595 f° 301-v
Benjamin Frantz Barchethändler
(in gegensein) Norbertus Braunen Gastgebers und Mariæ Annæ geb. Freÿin
Eine behausung hoffstatt und gemeinschaftliches höffel mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ohnfern der kleinen Metzig und alten weinmarckts hinter dem hauß zur Eulen genannt, einseit neben Philipp Schwartzen dem weißbecken anderseit neben Johann Barthelme Kolben dem Courtier hinten auff N. Miliau dem Chirurgum, davon mann allhiesiger Pfenningthurn jährlich 11 lb ane bodenzinß zu entrichten schuldig – (650) um 30 und 175 pfund capitalien verhafftet, geschehen um 445 pfund

Norbert Braun, aubergiste, et Marie Anne Frey hypothèquent la maison au profit de la confrérie catholique Sainte-Marguerite, dite du Rosaire

1724 (26.6.) Chambre des Contrats, vol. 598 f° 298-v
Norbertus Braun der Gastgeber und Anna Maria geb. Freÿin beÿständlich H. dresch und H. gaul beeder EE. kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein H. Frantz Joseph Kratzmeÿer domb Capitulischen Schaffners als Secretarÿ der Catholischen bruderschafft zu St Margarethæ allhier zum Roßencrantz genannt 50 pfund
unterpfand, Eine Behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahm alten weinmarckt, einseit neben Schwartz dem Eulenbecken anderseit neben Bartholomaeus Kolb dem Kaufhauß bedienten hinten auff Millot dem Chirurgi – (reicht mann) hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb ane bodenzinß

Norbert Braun, aubergiste au Bœuf d’or, et Marie Anne Frey hypothèquent la maison au profit de Jean Paul Gulden, marchand de vins

1734 (27.9.) Chambre des Contrats, vol. 608 f° 364-v
Norbertus Braun gastgeber zu guldenen Ochßen und Maria Anna geb. Freÿin mit beÿstand H. Juncker und H. Dürr beede EE. kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein Johann Paul Gulden des weinhändlers, 50 pfund
unterpfand, Eine zum guldenen Ochßen genannte gastbehausung, höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ohnfern der kleinen Metzig und dem alten Weinmarcht hinder dem hauß zur Eulen, einseit neben weÿl. Johann Philipp Schwartz dem wittiben erben anderseit neben Johann Bartholomäus Kolb Beambten in hiesigem Kauffhauß hinten auff H. Millau Chirurgi – (reicht mann) hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb ane bodenzinß

Anne Marie Frey meurt en 1735 après avoir institué pour son héritier son mari et ses ayants droit. L’inventaire est dressé dans leur auberge au Bœuf d’or. Les experts estiment la maison 750 livres.

Norbert Braun, aubergiste au Bœuf d’or, vend l’auberge au Bœuf d’or, sise près de la Petite boucherie derrière le Hibou face au Thomanloch, à François Urbain Collé, boulanger français, et à Anne Beyer (vente provisoire établie devant notaire avant la vente définitive à la Chambre des Contrats)

1736 (8. Martÿ.) Me Kolb (Abraham, 22 Not 5) Interimskauff, Joint au n° 104 du 18.8.1736
Pro Copia – Vor mir unterschriebenem Notario jurato seindt persönlich erschienen herr Norbertus braun der gastgeber undt burger allhier ane Einem:
So dann herr Frantz Urban Collé der frantzösische Weißbeck auch burger allhier undt mit ihme seine Ehefraw fr. Anna gebohrne Baÿerin andern theils anzeigendte, daß Sie folgenden Kauff und Verkauff mit: undt gegen Einandter getroffen und beschloßen alß
sein N. Norbert braunen zuständige Gastbehaußung zum goldenen ochßen genant, mit allen deren gebäwen, begriffen, weithen zugehörten, Rechten undt Gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg beÿ der Kleinen Metzig gegen den Thomanloch über, Einseith neben weÿl. Nicolai Schwartzen, deß gewesten Weißbecken seel. Erben, anderseits N. Bayoll, dem frantzösischen Sattler, hinden auff Jean Millot den frantzösischen Chirurgum Vornen auffs allmendt, davon gibt mann Jahrs gemeiner Statt Pfenningthurn 1 lb bodenzinß, Item dem Stifft Waÿßenhauß auff d. 15.ten aug: Jährl. 1 lb 1 ß so mit 20 gold gulden abzuelößen und allhero ohnpræjudicirlich zur 30. lb Capital gerechnet, Item ist die quæstionirte behaußung auch annoch umb 175 Capital weÿl. Hn Johann Friderich Sachßen des geweßten Waÿßen Schaffers allh. seel. Erben verhafftet, so Jährl. auff den 8. Junÿ, à 5. pro ct° mit 8. lb 15 ß verzinnßlich, Item dem großen allmoßen zu St. Marx allhier umb 195 lb die man Jahres auf den 15.t 9.bs. zu 4 ½ pro ct° zu verzinßen, So dann der bruderschafft deß heÿl. Rooßen Crantzes beÿ St: Margarethæ termino Michaelis 2. lb d zinß zu 4 pro ct° hat ablößig mit, Ist demnach sothaner Kauff und verkauff über obige beschwerde, welche die Käuffere über Sich nehmen (…) beschehen vor und umb 1200 gulden – Actum Straßburg auff donnerstag den 8. Martÿ A° 1736, Abraham Kolb, Notarius juratus

Norbert Braun, aubergiste au Bœuf d’or, vend l’auberge au Bœuf d’or, sise en haut de la Petite boucherie face au Thomanloch, à François Urbain Collé, boulanger, et à Anne Beyer pour 1050 livres. C’est la première fois que la petite cour est dite « clôturée » (unterschlagen)

1736 (5.5.) Chambre des Contrats, vol. 610 f° 456
Norbertus Braun der gastgeber zu goldenen Ochßen
in gegensein H. Frantz Urban Collé des weißbecken und Annæ geb. Beÿerin
Eine zum guldenen Ochßen genannte Behausung, unterschlagenes höfflein und hoffstatt mit allen derselben übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten oberhalb der kleinen Metzig gegen dem Thoman: loch über, einseit neben weÿl. Nicolaus Schwartz wittib erben anderseit neben René Bailleul dem frantzösischen sattler hinten auff H. Jean Milhau Chirurgi – (davon reicht man) hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lt 20 goldgulden d. weÿßenhaus – als ein währender seiner ehe am 14. junÿ 1721 erkaufftes guth, ihme zu zwo terzten und seiner verstorbenen ehefrau weÿl. Anna Maria geb. Freÿin erben so sein Braunen künfftigen erben sein werden zum übrigen dritten theil der ihme mit lebenslangem wÿdums genuß verfangen eigenthümlich zuständig – um 500 pfund ausmachende capitalien und 550 pfund

François Urbain Collé, boulanger, et Anne Beyer assistée de son fils le boulanger Annette Launoy hypothèquent la maison, appelée au Bœuf d’or sise en haut de la Petite boucherie face au Thomanloch, à partir du banquier Jean Daniel Staedel

1736 (30.6.) Chambre des Contrats, vol. 610 f° 634
H. Frantz Urban Collé der weißbeck und Annæ geb. Beÿerin mit beÿstand ihres sohns erster ehe Annette Launoy weißbecken und ihres vettern H. Rathh. Benedict Villard des huetmachers
in gegensein H. Johann Daniel Städel Banquier 800 pfund zu abführung der auff hiernach beschriebener behausung bißher gehaffteter capitalien
unterpfand, Eine zum goldenen ochßen genannte Behausung, unterschlagenes höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten oberhalb der kleinen Metzig gegen dem Thomanloch über, einseit neben weÿl. Nicolaus Schwartz weißbecken Erben anderseit neben René Bailleul frantzösischen Sattler hinten auff. H. Jean Milhau den Chirurgum, (devon recht man) hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lt ane bodenzinß, als ein am 5. maÿ jüngst erkaufftes guth

Inventaire après le décès de François Urbain Collé, boulanger français, qui délaisse trois enfants issus de la veuve Anne Beyer. La maison y est estimée d’après le prix d’achat. L’inventaire joint la copie du contrat de mariage passé en 1714 avec Anne Beyer veuve de Damien Launois. François Urbain Collé, boulanger catholique originaire de Kaysersberg en Haute-Alsace, acquiert le droit de bourgeoisie peu après son mariage.

1736 (18.8.) Me Kolb (Abraham, 22 Not 5) n° 104
Inventarium über Weÿl. Herrn Frantz Urban Collé geweßten Frantzösischen Weißbecken undt burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. Verlassenschafft – nach seinem den 22.sten Julÿ dieses Lauffenden 1736.sten Jahrs genommenen Tödlich ableiben Zeitlichen verlaßen, Welches Verlassenschafft auf ansuchen erfordern undt begehren herrn Adam Sebastians deß weißbecken und jetzigen Meelmanns auch burgers allhier alß geschwornen vogts deß abgelebten seel. mit nachgemelter seiner hinterlaßener wittib Ehelich erzielter undt nach todt verlassener dreÿer Kindter daßen ab intestato Erben mit Nahmen Johannes Adamus Urbanus so 17. Jahr, Mariam Elisabetha so 14. Jahr undt Catharina othilia welche 12. Jahr alt (…) inventirt, durch die tugendbegabte fr. Annam Collé gebohrne beÿerin beÿständlich Annette L’aunois auch Weißbeckens und burgers allhier ihres Sohns Voriger Ehe (…) geäugt und gezeigt

In Einer allhier zur Straßburg beÿ der Kleinen metzig gelegener zum goldenen ochßen genanter undt hernach beschriebener behausung hat sich befunden alß Volgt
Eigenthumb ane Einer behaußung so Theilbar (T.) Eine zum goldenen ochßen genante behaußung unter schlagenes höfflein undt hoffstatt, mit allen derselben gebäuden, begriffen, weiten, Zugehördten Recht: undt gerechtig Keiten allhier zu Straßb. oberhalb der Kleinen Metzig geg. dem thomen loch über gelegen 1.s Neben weÿl. Nicolaÿ Schwartzen, gewesten weißbecken Erben, 2.s Neben René Bailleul dem frantzösischen Sattler, hinden auff Jean Milhau den Chirurgum stoßendt, davon gibt mann Jahrs den allhießigen Pfenning Thurn ane bodenzinß sonsten seÿe dieselbe freÿ, ledig undt Eigen undt von Eingangs berührten Eheleuthen nach inhalt deß darüber besagendten perg. Kbr. auß allhießiger Canceleÿ contract stub vom 5. Maÿ letzthien über obig. übernommen 1 lb bodenzß. Erkaufft wordten umb 2100 fl. Macht 1050 lb
Ergäntzung der Wittib Ermangelnden unveränderten guths, Vermög deß über beeder gewesten Eheleuthen zugebrachten Nahrungs Inventarÿ durch nun mehr weÿl. H. Notm. Johann Ludwig Scherern seel. in a. 1715. auffgerichtet undt verfertiget
Norma hujus inventarii, der Wittib ohnveränderter haußrath, Sa. haußraths 47, Sa. leeren faß 1, Sa. Silber posten 18 ß, Sa. Goldener Ring 1, Sa. Schuldt 75, Sa. guths Ergäntzung (520, Abzug 487, Rest) 32, Summa summarum 159 lb,
der Kindter undt Erben ohnveränderte Nahrung, Sa. hausraths posten 23 Sa. Silbers 2, Sa. guths Ergäntzung 291, Summa summarum 317 lb, Schuldt 75 lb, Nach deren Abzug 242 lb,
die beschreibung deß gemein theilbaren guths, Sa. hausraths 30, Sa. leeren faß 2, Sa. Silber post 3, Sa. Goldener Ring 4 ß, Sa. behaußung 1050, Sa. Schulden 30, Summa summarum 1116 lb, Schulden 1182, Übertreffen also die theilbahre passiva die theilbare activ Nahrung dem Stall anschlag nach umb 66 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 336 lb
(Copia testamenti) in dem Jahr 1726 den 16. februarÿ, die tugendtsambe Catharina Kohlin, Weÿlandt Vrban Kohles seeligen gewesten burgers allhier zue Kaÿsersperg Eheliche dochter Majorenn Vndt ihres rechtens mich den Stattschreibern dasiger Statt Kaÿsersperg durch H Frantz Pantaleon burger vnnd Zundfftmaisters allda auff dem Marckh gelegene behaußung berueffen laßen, Undt requiriret ihre zueröffnen vorhabende Disposition zu beßerer gedächtnus auff das Papier zuebringen (…)
(Copia testamenti) Ich Frantz Urban Collé frantzösischer Weißbeck und Ich Anna gebohrne Baÿerin wir beede eheleuthe undt burgere allhier zue Straßburg, beschehen auff donnerstag den 16. septembris Anno 1728 – Abraham Kolb, notarius
(Copia Eheberedung) François Vrbain Kohlé garçon Boulanger fils de feu Vrbain Kohlé vivant Vigneron et Bourgeois a Keysersberg et – ses père et mère assisté de de Toussaint Preuost Marchand fripier etably en cette ville d’une part, Et Anne Peyrine Veuve de feu Damien Launois Viuant Boulanger et Bourgeois de cette ville assistée du Sieur Emanuel Wener Bourgeois et Boulanger de cette ville Son Curateur d’autre part (promettent de se prendre en face de Notre Mere La Ste Eglise Catholique), passé à Strasbourg ce 25 de May 1714 en présence des Sieurs Jean Linder Bourgeois de cette ville Et tuteur du dit annet Launois, Enfant du premier Lict de la future Espouse, Humbourg, No.re royal

1714, 4° Livre de bourgeoisie f° 804
Frantz Urban Kohle der Weißbeck Von Keÿsersperg W. Vrban Kohle gew. Reebmanns sohn, emp: das burgerrecht Von seiner Fr: Anna Beÿerin pro 2. goldR. 16. ß. Wird beÿ den becken dienen. Juravit d. 2. Julÿ 1714.

Les héritiers de François Urbain Collé louent pour un an la maison au Bœuf d’or au cuisinier Nicolas Toussaint et à Madeleine Thron, manants. Ils se réservent la chambre au deuxième étage.

1737 (14.3.) Chambre des Contrats, vol. 611 f° 188-v
weÿl. H. Frantz Urban Collé weißbecken wittib Anna geb. Beÿerin so ohnbevögtigt zu sein versichert mit beÿstand ihres sohns erster ehe Annette Launoy (si. Annet Launois) des weißbecken und ihrem bemeldtem Collé erzeugte dreÿer kinder Johann Adam, Maria Elisabetha und Catharina Ottilia der Collé geschwornen vogt Adam Sebastian der Meelmann
in gegensein Nicolas Toussaint des Kochs und Schirmsverwanthen und Magdalenæ geb. Thronin
entlehnt, Eine zum guldenen ochßen genannte Behausung, unterschlagenes höfflein und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, zugehörden und gerechtigkeiten oberhalb der kleinen metzig gegen dem Thomanloch über, einseit neben weÿl. Nicolaus Schwartz weißbecken erben anderseit neben René Bailleul dem frantzösischen Sattler hinten auff H. Jean Milhau den Chirurgum, nichts davon als eine zwo stiegen hoch befindliche kammer so die verlehner sich zu ihrem gebrauch vorbehalten ausgenommen – auff 1 jahr lang anfangend auff nächstkommenden Annunciationis Mariæ umb einen jährlichen Zinß nemlich 39 pfund

Les héritiers de François Urbain Collé vendent la maison au Bœuf d’or, sise en haut de la Petite boucherie derrière le Hibou face au Thomanloch, à Jean Melchior Kœhler, aubergiste

1737 (8.7.) Chambre des Contrats, vol. 611 f° 451
weÿl. Frantz Urban Collé des weißbecken hinterlassenen wittib Anna geb. Beÿerin beÿständlich ihres Sohns erster ehe Annette Launoy weißbecken maßen sie ohnbevögtigt und deren dreÿer Kinder letzter ehe Adam Urban, Elisabetha und Catharina der Collet geordneter vogt Johann Adam Sebastian der Meelmann
in gegensein Johann Melchior Köhler des gastgebers – obrigkeitlich confirmirte versteigerung
Eine zum goldenen Ochßen genannte Behausung unterschlagenes höfflein mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten oberhalb der kleinen Metzig gegen dem Thomanloch über einseit neben weÿl. Nicolaus Schwartz weißbecken Erben anderseit neben René Bailleul dem Sattler hinten auff H. Jean Milhau den Chirurgum – (soll mann) hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb ane bodenzinß – als ein am 5. maÿ 1736 erkaufftes guth – um 800 capital verhafftet geschehen um 120 pfund

Jean Melchior Kœhler, aubergiste, loue pour neuf ans l’auberge au Bœuf d’or, sise en bas de la Petite boucherie au Vieux marché aux vins, à Jean Daniel Gross, aubergiste et manant

1738 (6.3.) Chambre des Contrats, vol. 612 f° 147-v
Johann Melchior Köhler der gastgeber
in gegensein Johann Daniel Groß des gastgebers und hiesigen schirmers
verlühen, Eine ihm dem verlehner eigenthümlich zuständig zum guldenen Ochßen genannte allhier unterhalb der kleinen Metzig am alten weinmarckt einseit neben weÿl. Nicolaus Schwartz weißbecken erben anderseit neben René Bailleul dem sattler hinten auff H. Jean Milhau den Chirurgum gegen dem Thomanloch überliegende gastbehausung unterschlageges höfflein und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, zugehörden, und gerechtigkeiten – auff 9 nacheinander kommende jahr anfangend auff nächst bevorstehenden Annunciationis Mariæ – um 42 pfund jährlichen zinß

Inventaire de la masse active et passive de Jean Melchior Kœhler, aubergiste au Loup devant la porte des Bouchers, et de sa femme Anne Catherine Cladé. Contient copie du contrat de mariage entre Jean Melchior Kœhler, tailleur d’habits originaire d’Altenburg en Saxe et Anne Catherine Cladé fille d’un revendeur bourgeois de Strasbourg. Les conjoints exploitent l’auberge au Loup (zum Wolff) qu’ils tiennent à bail des héritiers André Wolff. La femme a hérité de ses parents le tiers d’une maison à la Krutenau – Melchior Kœhler natif d’Iéna acquiert le droit de bourgeoisie peu après son mariage

1739 (2.8.) Me Marbach Ph. Jac. (33 Not 14) n° 216-b
Inventarium über Joh: Melchior Köhler des Ehemaligen Würths zum Wolff vor dem Metzger: Thor und Frauen Annæ Catharinæ geb. Cladein dermahlen besitzend Activ und Passiv Nahrungen
Bericht, Weilen die in den Ehestand gebrachte Nahrung beederseits nicht inventirt worden die ehefrau aber in A° 1736 nur etlichen Monat vor angetrettenem Ehestandt Fr. Anam Evam Cladein geb. Singerin dero Mutter seel. Geerbet, den 16. Maji dicti anni von H. Not. Pantrion gefertigten Designation
Copia der Eheberedung den 1. maÿ 1736 vor Not. Jacob Christoph Pantrion auffgerichteten Heuraths Verschreibung, der Ehrsame und bescheidene Johann Melchior Köhler der ledige Schneider von Altenburg auß Sachßen gebürtig weÿl. Johann Heinrich Köhlers Schneiders und burgers daselbst So dann die tugendsame Jungfrau Anna Catharina Cladein weÿl. Johann Clade geweßenen Grempen und burgers allhier seel. tochter

In einer vor allhiesiger Stadt Straßburg Metzger Thor gelegen, das würthshauß zum wolffen genandt in dieße Nahrung nicht sondern weÿl. H. Andreæ Wolffen geweßenen Gastgeber zum guldenen apffel seel Nachgelaßenen erben eÿgenthümlich zuständigen behaußung
Ane Höltzen und Schreinerwerck, In der obern Gast: Stuben, In der Stub Cammer, Inn der Küchen, Inn der untern Gast Stuben, In der obern Cammer, Inn der obern Wohnstube
Eÿgenthumb ahne einer behaußung und einem gremp Gädl. so der Ehefr: vor ohnv: zuständig, Nemlichen 1/3 theil vor ohnvertheilt von und ahne einer behaußung und hoffstatt mit allen deren überigen begriffen, Rechten und Gerechtigkeiten ahne der Vorstatt Krauthenau in dem so genandten Hellgäßlein Ein und ander Seith auff Johann Martin Hoschen des gewesenen Nagelschmidts Nachgelaßenen Wittib hi. auf ein Allmendgäßlein stoßend, ohnpræjudicirlich æstimirt Mithin zum 3.t theil mit 116 lb, Hierüber Nemblich die völlige behaußung Kaufbrieff datirt den 15. junÿ 1722 Auß welchem Ersichtlich welcher gestalten der Ehefr. Eltern solche beh: von H. Friedrich Grüber dem handelsmann pro 400 pf ahn sich Erk:, Weiter i. älterer dito datirt den 5. sept. 1720
Und dann 1/3 theil von und ahne einem Grempen Gädlein mil allen deßen zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten so gelegen allhier ahne der Krautenau über Sanct Stephans bruckhen gegen der Kirch zu St Wilhelm über Einseit neben dem Corps de Gardes anderseit und hinten auff das Allmendt stoßend und zum Schweffel Stockh genant, von welchem völligen Gadlein man der Stat Straßburg Pfth: jährlich 2 lb ahne bodenzinß zu reichen schuldig, d. dritten theil ohnpræjudicirlich pro 75 lb, Über vorbeschriebenes völligen Gädlein meldet Verschreibung datirt den 2. maÿ 1721 Woraus zu Ersehen wie daß der Ehefrauen verstorbenen Eltern solches Gädl. von Joh: Jacob Pfeiffer dem gew. Grempen per 300 ahne sich erkaufft, vorherbeschriebenen 3.t theil hauses und grempen gädleins hat die Ehefrau von deren Eltern seel. Ererbet, die überige 2/3.te theile sind d. Jgfr. Maria Agnes und Johann Daniel deren Cladein ihrer beed. Geschwisterden zugehörig
Norma hujus inventarii, der Ehefrauen ohnverändertes Vermögen, hausrath 53 lb, silbers und Geschmeids 11 lb, Gold. fl. 2 lb, behaußung und Gädl. 191 lb, schulden 50 lb, Ergäntzung 80 lb, summa summarum 389 lb, schulden 15 lb, Rest 374 lb,
deß Ehemanns ohnv: und das Theilbahre Vermögen /:weilen die Ehefr: auf das letztere tam active quam passive renunciret/: hausrath 85 lb, silbers 2 lb, schulden 66 lb, faß 1 lb, summa summarum 156 lb, schulden 892 lb, Passiv onus 35 lb – Ungewiß zweiffelhaffte und verlohrne Schulden in deß manns nahrung 54 lb
Melchior und Anna Catharina der dießorts beedten Kindter Pfötter und Göttel geldt
(Documenta) Copulations Schein, Mittwoch den 1. aug. 1736 in der Evangel. PfarrKirch zu St. Nicl. in den Ehestandt eingesegnet word. Johann Melchior Köhler der ledige Schneider und burger alhier von Jena gebürtig weÿl. Joh: Heinrich Köhlers geweßten Schmidts und burgers in Jrßen Sohn u. Jgfr. Anna Catharina weÿl. Johannes Cladi gew. Krempen und burgers allhier hinterlaßenen ehel. Tochter

1736, 4° Livre de bourgeoisie f° 1037
Melchior Köhler d. Kremp Von Jena in sachßen geb: erhalt d: br. Von sein: ehefr. Anna Catharina cladin umb d: alten b: will beÿ E.E. Zunfft d: Möhren dienen, Jur. eodem [3. Sept. 1736]

Jean Melchior Kœhler, aubergiste, et Anne Catherine Cladé vendent la maison au Bœuf d’or, sise en haut de la Petite boucherie face au Thomanloch, à Mathieu Schuster, aubergiste et à Marie Elisabeth Gabriel pour 980 livres

1739 (23.2.) Chambre des Contrats, vol. 613 f° 98
Johann Melchior Köhler der gastgeber und Anna Catharina geb. Cladÿn
in gegensein Mathæus Schuester des gastgebers und musici und Mariæ Elisabethæ geb. Gabrielin
Eine zum guldenen ochßen genannte Behausung, unterchlagenes höfflein und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäu, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten oberhalb der kleinen metzig gegen dem Thomanloch über, einseit neben weÿl. Nicolaus Schwartz des weißbecken erben anderseit neben Rene Bailleul dem Sattler hinten auff H. Jean Milhau den Chirurgum – (soll man) hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lt ane bodenzinß – als ein am 8. julÿ 1737 erkaufftes guth (um 40 und 800 pfund capitalien verhafftet), geschehen um 137 pfund

Mathieu Schuster, aubergiste et Marie Elisabeth Gabriel hypothèquent la maison au Bœuf d’or, sise en haut de la Petite boucherie face au Thomanloch, au profit du passementier Jean Schwartz

1741 11.12.) Chambre des Contrats, vol. 615 f° 606
Matheus Schuster der gastgeber und Elisabetha geb. Gabrielin beÿständlich H. Rathh. Richßhoffers und H. Zeÿß beede EE. kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein Jacob Schwartz des Paßmentirers, 100 pfund
unterpfand, eine zum goldenen Ochßen genannte behausung unterschlagenes höfflein und hoffstatt cum appertinentis oberhalb der Kleinen metzig gegen dem Thomanloch über, einseit neben den Schwartzischen erben anderseit neben René Bailleul dem Sattler hinten auff Johannes Milhau den Chirurgum – (davon gibt man) hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lt ane bodenzinß – als ein am 23. feb. 1739 erkaufftes guth

Mathias Schuster, aubergiste, et Elisabeth Gabriel hypothèquent la maison au Bœuf d’or, sise près la Petite boucherie, au profit de Jean Daniel Engelhard, tuteur des filles Schœttel

1754 (7.3.) Chambre des Contrats, vol. 628 f°133
H. Mathias Schuster der gastgeber und Elisabetha geb. Gabrielin mit beÿstand ihres tochtermanns und Johann Michael Kieffer des kieffers
in gegensein H. Johann Daniel Engelhard des handelsmanns als vogt Salome und Mariæ Barbaræ Schöttel, 300 pfund
unterpfand, eine zum guldenen Ochßen genante gastbehausung beÿ der kleinen metzig, einseit neben den Schwartzischen erben anderseit neben Martin Bailleul dem mahler hinten auff H. Dr Muhlau – (davon gibt man) hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lt ane bodenzinß

Mathieu Schuster, aubergiste, et Elisabeth Gabriel hypothèquent la maison au Bœuf d’or, sise au Vieux marché aux vins près la Petite boucherie, au profit de Jean Jacques Oelinger

1756 (27.1.) Chambre des Contrats, vol. 630 f° 24-v
H. Mathäus Schuster des gastgebers und Elisabetha geb. Gabrielin mit beÿstand Johann Michael Kieffer des kieffers und Johann Georg Arnold des schneiders
in gegensein H. Not. Johann Jacob Oelinger, 300 pfund
unterpfand, das wirthshauß zum goldenen Ochßen genannt cum appertinentis auf dem alten Weinmarckt beÿ der kleinen Metzig, einseit neben den Schwartzischen erben anderseit neben N Bailleul dem mahler hinten auff H. Dr Mullau – (davon gibt man) hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lt ane bodenzinß

Mathieu ou Mathias Schuster, marchand graissier originaire de Küttlitz ou Glossen en Saxe se convertit, épouse Marie Elisabeth Gabriel et devient bourgeois
Mariage, Saint-Etienne (cath., f° 217), Hodie 14. die July Anni 1726 sacro matrimonii vinculo Coniuncti fuerunt Mathias Schuster ex Küttliz in Saxonia neo conversus et Maria Elisabetha Gabriel filia defuncti Antonii Gabriel cauponis et civis argentinensis ambo actu in hac parochia commorantes (signé) Mathäus Schuster, +

Conversions par les Jésuites (AST 305 p. 319) Math. Schuster, 1726. Juny 6

1726, 4° Livre de bourgeoisie f° 930
Mathæus schuster fastenspeis händler Von gloßen in sachßen geb. erhalt das b: Von seiner ehefr. Maria Elisabetha weÿl. Anton Gabriels geweßenen würths und b. allhier hint: dochter umb die tertz d: alt. b. will beÿ E.E. Zunfft Zur Möhren dienen Jur d: 31.ten Aug. 1726

Mathieu Schuster, aubergiste, et Elisabeth Gabriel vendent pour 3 600 florins (1 800 livres) la maison au Bœuf d’or sise près la Petite boucherie et différents meubles, à Marie Salomé Riebel veuve de Jean Jacques Busch, batelier et pilote (vente provisoire devant notaire)

1766 (26. 9.br) Me Dinckel (J. Rodolphe, 6 E 41, 409) Interimskauff, Joint au n° 1134
Vor mir unterschriebenem geschwornen Notario persönlich erschienen Herr Matthäus Schuster der Gastgeber und Frau Elisabeth Schusterin gebohrne Gabrielin, beede Eheleuthe und burgere allhier
in gegensein Frauen Mariä Salome Buschin gebohrner Riebelin, Weÿland herrn Johann Jacob Busch des geweßenen Schiff: und Steurmanns auch burgers allhier nunmehr seeligen nachgelaßener Wittiben
Eine Gastbehausung zum goldenen Ochßen genand, samt höfflein, hoffstatt, und allen deren gebaüen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg beÿ der Kleinen Metzig, einseit neben herrn Greiner, dem Weißbecken, anderseit neben herrn Wild dem Kieffer, hinden auf herrn Doctorem Milhau E.E. großen Raths jetzigen beÿsitzern, stoßend, so annoch Löbl. Statt Pfenningthurn umb 1 lb. d. jährlichen bodenzinßes verhafftet, Sonsten aber gegen Männiglich freÿ Ledig und eigen – umb 3600 Gulden – In dießem Kauff ist mit angedingt und der Käufferin ohne weiter Entgeld überlaßen Worden, der bauch Kößel, der bräter und Spiß samt zugehörd in der Kuchen, die Schreibtaffel in der gaststub, Vier tisch und Vier bänck, So dann die Liegerling im Keller, darbeÿ Wurde daferner abgeredtet, daß die Verschreibung in der Contractstub ohnfelbar gleich nach dem Neuen Jahr oder in Anfang des Monaths Januarÿ Künfftigen Jahrs beschehen – So beschehen in Straßburg in beÿsein herrn Johann Röthels, Ledigen Gastgebers, der Käufferin hierzu erbettenen beÿstands, den 26. Novembris Anno 1766, Johann Rudolph Dinckel, Notarius publicus requisitus

Mathieu Schuster, aubergiste, et Marie Elisabeth Gabriel vendent pour 1 800 livres la maison au Bœuf d’or, sise en haut de la Petite boucherie face au Thomanloch, à Marie Salomé Riebel veuve de Jean Jacques Busch, batelier et pilote

in gegensein Fr. Mariæ Salome geb. Riebelin weÿl. Johann Jacob Busch des schiffmanns wittib
eine zum goldenen Ochßen genanndte gastbehaußung unterschlagenes höflein und hoffstatt mit allen gebäu, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten oberhalb der kleinen Metzig gegen dem Thomasloch, einseit neben Greiner des weißbecken anderseit neben – hinten auff H. Dr. Milhaud. (davon gibt man) löbl: Stadt Pfenning Thurn 1 lt – als ein d. 23 feb. 1739 erkaufftes guth – um 1800 pfund

Marie Salomé Riebel a été la deuxième femme de Jean Jacques Busch, batelier et pilote domicilié quai des Pêcheurs, qu’elle a épousé en 1757 – Extrait de l’Inventaire après le décès de Jean Jacques Busch

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 213 n° 25), Ao. 1757 d. 30. Novembr. Seind in der Kirch zu St Wilhelm (…) zur Ehe eingesegnet Worden Johann Jacob Busch, Wittwer und burger allhier, und Jungfrau Maria Salome, weÿl. Johann Philipp Riebels geweßenen Schiffzimmermanns u. burgers allhier und Maria Salome Riehmin nachgelaßene ehl. tochter ( si go. Johann Jacob Busch als Hochzeiter, Maria Salomea Rüblerin als hochzeiterin)

1766 (10.4.) Me Dinckel (J. Rodolphe, 6 E 41, 408) n° 1102
Inventarium über Weÿland des Ehren: und Wohlvorachtbahren herrn Johann Jacob Busch, des geweßenen Schiff: und Steurmanns auch burgers allhier nunmehr seeligen Verlassenschafft – nachdeme derselbe Sambstags den ersten februarÿ dießes laufenden 1766.ten Jahrs durch einen seeligen tod Von dießer Welt abgefordert worden, nach solch seinem aus dießer Welt genommenen tödlichen hintritt zeitlichen hinter sich verlaßen, Welche Verlassenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren der Viel Ehren und tugendbegabten Frauen Mariä Salome Buschin gebohrner Riebelin der hinterbliebenen Wittib mit Assistentz des Wohledlen und Rechtsgelehrten Herrn Johann Daniel Langheinrich Notarÿ jurati publici und berühmbten Practici Ihres erbettenen herrn beÿstands wie auch des seelig Verstorbenen in zwo Ehen ehelich erziehlter fünff Kinder und ab intestato nachgelaßenen rechtsmäßigen Erben geordneter Vögte (ersucht)
der seelig Verstorbenen hat zu seinen erben ab intestato Verlaßen Wie folgt, 1.mo, Jungfer Annam Mariam Buschin, des Defuncti in erster Ehe mit auch Weÿland Frauen Anna Maria gebohrner Kerckerin seeligen ehelich erziehlte Tochter deren geschworne Vogt ist herr Johann Daniel Kercker, der Schneider und burger allhier,
2.do Johann Daniel Busch, 3.tio Johann Jacob Busch, 4.to Susannam Magdalenam Buschin, So dann Philipp Jacob Busch, dieße Vier des Abgelebten seeligen in zweÿter Ehe mit Eingangs gedachter Frauen Maria Salome gebohrner Riebelin, seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlte Kinder, deren geschworner vogt ist her Johannes Busch, der Schiffmann und burger allhier
Alle Fünff des Defuncti zu fünff gleichen portionen und Stammtheilern Verlaßene Rechtsmäßige Erben
In einer allhier zu Straßburg ane der Vorstadt Krautenau am Fischerstaden im Stimmen gäßlein gelegenen in dieße Verlassenschafft gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden als folgt (…)
Ergäntzung der Wittib obgegangenen ohnveränderten Guths, Vermögen Inventarÿ beeder geweßener Eheleuthe einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, durch mich Notarium in Anno 1758. aufgerichtet

Inventaire des apports en mariage de Jean Rœthel, aubergiste et fils d’un farinier, et de Marie Salomé Riebel veuve du pilote Jean Jacques Busch. Les immeubles décrits appartiennent à la femme : l’auberge au Bœuf d’Or et une part de maison provenant de son premier mari. A cet acte sont annexés les achats provisoires de l’auberge au bœuf d’or par Marie Salomé Riebel en 1766 et de l’auberge à l’Hommelet rouge par Jean Rœthel en 1771. Les conjoints ne conserveront que la deuxième et revendront la première.

1767 (3.6.) Me Dinckel (J. Rodolphe, 6 E 41, 409) n° 1134
Inventarium über des Ehrenvest: und Wohlvorachtbahren herrn Johann Röthels, des Gastgebers und der Viel Ehren: und tugendgezierten Frauen Mariä Salome Röthelin geb. Riebelin beeder Eheleuthe und burgere allhier einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen – welche der ursachen alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander aufgerichteten heuraths Verschreibung expresse enthalten, daß eines Jeden in die Ehe gebrachte Nahrung einem Jeden theil und respectivé deßen erben reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle

In einer allhier beÿ der Kleinen Metzig gelegenen Zum goldenen Öchßel genandten der Ehefrauen eigenthümlich zuständigen und hernach eingetragenen behaußung befunden worden als folgt
(f° 6) Eigenthumb ane häußern. (F.) Erstl. eine Gastbehausung zum goldenen Ochßen genand, samt einem unterschlagenen höfflein und hoffstatt, mit allen deren gebaüen, begriffen, Weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg Oberhalb der Kleinen Metzig gegen dem thomansloch hinüber, einseit neben herrn Greiner dem Weißbecken, anderseit neben herrn Wild dem Kieffer hinden auff herrn Johann Ludwig Milhaut, Medicinæ Doctorem und E.E. großen Raths Jetzigen beÿsitzern, stoßend, davon gibt mann Jährlichen Löbl. Statt Straßburg Pfenningthurn 1 lb. d. ane bodenzinß, sonsten wird dieselbe vor freÿ Ledig und eigen dißorths ohnpræjudicirlich außgeworffen wie selbige erkaufft Worden pro 1800. Darüber ist Vorhanden ein Teutsche papÿrene Kauffverschreibung in allhießiger Cancelleÿ Contract stub gefertiget de dato 7.ten Januarÿ Anno 1767
(F.) It. ein drittertheil für ohnvertheilt Von und ane einer behaußung und hoffstatt, mit allen deren gebaüen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen allhier ane der Vorstatt Krautenau am Fischerstaden, in dem Finsternuß oder Stimmengäßlein, einseit ist ein Eck, anderseit neben herrn Johann Friderich Heupel, des Löbl. Stiffts Waÿßenhaußes Schaffnern, hinden auf das Würths hauß Zum Cärpel genand, Weÿland Johann Georg Gerold, des Caminfegers Wittib gehörig, stoßend, so vor freÿ Ledig und eigen hier ohnpræjudicirlich außzuwerffen ane 350 lb d. Vor 116. Hieran seind die übrige Zween dritte theil der Ehefrauen Vier Kindern Von erster Ehe und deroselben halb Schwester Jungfrauen Annä Mariä Buschin, als Ihres erstern Ehemanns, Weÿland herrn Johann Jacob Busch, geweßenen Schiff und Steurmanns auch burgers allhier seeligen nachgelaßenen Erben für ohnvertheilt eigenthümlichen zuständig. Dieße behaußung hat gedachter herr Johann Jacob Busch seeliger in Anno 1765 von herrn Johann Philipp Burand Diacono Seniore beÿ der Evangelischen Kirch Zu St. Wilhelm allhier, als Universal Erben Weÿland Frauen Annä Margarethä Spindlerin gebohrner Burandin, seiner Schwester seeligen erkaufft, Worüber aber die Kauffverschreibung, so in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub aufgerichtet, nicht expedirt worden
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Ehemanns unveränderte Nahrung, Sa. hausraths 69, Sa. Weins 75, Sa. Silber Geschmeids 66, Sa. Schuld 50, Summa summarum 261 lb, an denen haussteuren gebührige helffte 30 lb, des Ehemanns in die Ehe gebrachte Nahrung 292 lb
der Ehefrauen unveränderte Nahrung, Sa. hausraths 232, Sa. Silbergeschmeids 62, Sa. Goldener Ring 21, Sa. baarschafft 199, Sa. Eigenthum ane häußern 1916, Summa summarum 2432 lb, Schulden aus der Nahrung zu bezahlend 1857 lb, Nach deren Abzug 574 lb, denen haussteuren gebührige helffte 30 lb, der Ehefrau in die Ehe gebrachte Nahrung 605 lb – Conclusio finalis 897 lb

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 21 v°, n° 7)
Im Jahr 1767 (…) den 18. Februarii copulirt worden Johannes Rödel lediger Gastgeber weiland Johannes Rödel, geweßenen Meelmanns und burgers allhier mit auch weiland Fr. Maria Elisabetha gebohrner Fritschin ehelicher Sohn, Und Fr: Maria Salome gebohrne Rübelin weiland Johann Jacob Busch, gewesenen Steurmanns und burgers allhier hinterlaßene Wittib (si go. Johannes Röthel als hochzeiter, Maria Salome Buschin Als hochzeitherin)

Jean Rœthel vend au nom de sa femme Marie Salomé Riebel l’auberge au Bœuf d’or, sise en haut de la Petite boucherie face au Thomanloch, à Jean Samuel Rapp, aubergiste pour 1 500 livres. La petite cour est clôturée par un mur à pans de bois.

1771 (9.9.) Chambre des Contrats, vol. 645 f° 405
H. Johann Röthel der gastgeber innahmen Fr. Maria Salome geb. Riebelin
in gegensein H. Johann Samuel Rapp des gastgebers
eine zum goldenen Ochßen genannte gastbehausung samt dem mit einen riegelwandt unterschlagenen höflein und hoffstatt mit allen denen übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten oberhalb der kleinen metzig gegen dem Thomans loch über, einseit neben N. Greiner dem weißbecken anderseit neben N. Wild dem kieffer hinten auff H. Dr. Milhaut – (davon gibt man) d. löbl: Stadt Pfenning Thurn 1 pfund ane bodenzinß – als ein von Mathäus Schuster dem gastgeber und Maria Elisabetha geb. Gabrielin in A° 1767 den 7. jan. erkaufftes guth – 1000 pfund und 500 pfund capitalien

Inventaire de la masse active et passive de Jean Samuel Rapp, aubergiste au Bœuf d’Or, et Catherine Salomé Lauth veuve d’Abraham Hansmetzger. Le mari est fils de pasteur et possède l’auberge au Bœuf d’or, la femme fille de meunier, veuve du boucher Abraham Hansmetzger possède un étal de boucher et la communauté de biens l’auberge au Cheval d’or devant les portes des Juifs et des Pêcheurs

1772 (2.5.) Me Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 731) n° 843
Inventarium über Johann Samuel Rapp Gastgebers zum Goldenen Ochßen und frauen Catharinæ Salome Rappin geb. Lauthin beeder Eheleuthe und burgere allhier dermahlen besitzende activ und passiv Nahrungen – auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren erstgedachter fr: Rappin der Ehefrauen beÿständlich S.T. H. Johann Philipp Graffenauers J.V. Lti Adv: et Prac: vicarÿ und burgers allhier Ihres geordnetes Hn Curatoris ad Lites, Weilen Sie Willens beÿ allhießigen Ehrs. Kleinen Rath um das Beneficium Passivis unterthänigst einzu Kommen
Angefangen freÿtags den 10.ten Aprilis und geendet den 23. Monats Maÿ A° 1772

In einer allhier ane der Kleinen Metzig Zum gold. Ochß genanter und in einer Vor dem Juden und Fischer Thor nahe beim Schieß Rhein gelegener Zum goldenen Pferdt benambßter und in dieße Nahrung gehöriger Zweÿen Gast behausungen befunden Worden Wie folgt
Ane Höltzen und Schreinerwerck, Im goldenen Ochßen, Auff der Bühn, In der obersten Kammer, In der obersten Nebens Kammer, Im Haußehren, In der zweiten obersten Nebens Kammer, In dem Stübel auff dem zweiten Stock, In der Stub Kammer und Zimmer darneben, Im Haußehren, In der großen Stub auff dem Ersten Stock, In der Kuchen, In der Gaststub, (Continuatio, f° 9-v) Im haußehren auf dem Ersten Stock, In der Magd Kammer, Im Keller
Im goldnen Pferdt, In der untern Gast Stub, Im Zimmer N° 1, Im Zimmer N° 2, Im Zimmer N° 3, Im Zimmer N° 4 & N° 5, Im Zimmer N° 6, Im Zimmer N° 9, Im großen Sahl, Unter dem großen Saal, In der Kuchen, Im haußehren vor der untern Gast Stub, Ins Kellers Kammer, Unten im Hauß
(f° 17) Eigenthum ane Haußern und einem Gartten. Erstl. eine behaußung die Gast behaußung Zum goldenen Pferd außer halb der Statt Straßburg Zwischen dem Juden und fischerthor (…)
It. eine behaußung Höfflein und hoffstatt mit allen übrigen deren rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg beÿ der Kleinen Metzig die Gastherberg Zum goldenen Ochßen genand, eins. neben N. Wild dem Kiefer, anders. neben H. Johannes Greiner dem Weißbecken hinten auff H. Dr. Milhau stoßend, davon gibt man Jährl. löbl. Statt Pfenningthurn 1 lb d ane bodenzinß sonsten außer hernach beschriebenen darauf hafftenden Kauffschillings Capital freÿ leedig eigen und laut Vorgemelter Abschatzung durch der Statt Straßburg geschworne Hn Bau Inspectorem und Werck Meister angeschlagen Vor 2000 lb, Davon abgezogen obgemelten darauff hafftenden bodenzinß so zu doppeltem Capital gerechnet antrifft 40 lb, Restiret alßo ane dem Anschlag solcher behaußung 1960 lb. Über dieße behaußung ist nichts schriffl. Vorhanden es hat aber der Ehemann solches Von H. Johannes Rödel dem jetzmahligen Rothmännel würth zu End Vorigen Jahrs erkaufft
Ergäntzung der Ehefrauen wehrender Ehr abgegangenen unveränderten Guths, Zufolg Inventarÿ über Weiland herrn Abraham Hannßmetzgers geweßenen Metzgers und burgers allh. als der dißorthigen Ehefrauen geweßenen erstern Ehemanns seel. Verlassenschafft in Anno 1764 den 31.sten Januarÿ durch mich unterschriebenen Notarium auffgerichtet
Wÿdumb Welchen die Ehefrau Von Weÿl. Hn Abraham Hannßmetzger dem geweßenen Metzger und burger allhier Ihrem erstern Ehemann seel lebtägig zugenießen – es besteht aber solcher nach außweiß des durch mich Ntm. den 12. 7.bris 1764 über derselben Verlassenschafft errichteten Summarischen Calculi allein in dem Eigenthum Eines Metzigbancks samt allen Zugehörden Rechten Und Gerechtigkeit gelegen allhier zu Straßburg unter der großen Metzig beÿ dem Eingang gegen dem Spithal gäßlein der dritte Linckerhand, eins. neben weÿl. Joh: Jacob Cammerer gewesenen Kauffhauß bedienten nachgelaßener Wittib, anders. neben Daniel Winter dem Metzger und hinten auff die Maur stoßend, wovon man Jährl. löblicher Statt Pfenningthurn 10 ß ane bodenzinß zu reichen pflichtig sonst Leedig und eigen und ist solcher Metzigbanck an dem über gedachten Hn. Hanß Metzgers seel. Verlassenschafft errichteten Inventario über gedachten bodenzinß angeschlagen Vor 880 lb
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der frauen unverändertes Vermögen Sa. hausraths 369, Sa. Lähren faßes 13, Sa. Silbers 28, Sa. Goldener Ring 24, Erg. Rest 7627, Summa summarum 8063 lb
des Manns unverändert und theilbahr Vermögen unter einem Titul beschrieben, maßen die Ehefrau auf die theilbare Nahrung renunciret und solche dem Ehemann tam active quam passive allein überläßt, Sa. hausraths 507, Sa. Wein und lährer faß 208, Sa. blumen, Zwieblen, Bäum und Saamen im Garthen 35, Sa. Silbers 149, Sa. Goldengeschmeids 12, Sa. baarschafft 22, Sa. Eigenthum ane haußern und Garthen 5353 lb, Summa summarum 6289 lb, Sa. Schulden 10 681 lb, Compensabdo 4391 lb
Copia der Eheberedung, den 18. maÿ 1765, Frantz Heinrich Dautel Not.

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 39 v°, n° 17)
1765, Mittwoch den 12. brachmonat, sind (…) eingesegnet worden, Johann Samuel Rapp der ledige Gastgeber und burger alhier, weÿland herrn Johann Philipp Rapp, gewesenen pfarrers der Evangelischen Gemeinde zu Gertweiler, und weÿland Frauen Maria Ursula gebohrner Städlerin hinterlassener ehelicher Sohn, Und Frau Catharina Salome weÿland Abraham Hannß Metzgers gewesten Metzgers und burgers alhier hinterlaßene Wittib, deren Eltern sind Johann Philipp Lauth, Müller und burger zu Wolvisheim, und weÿland Frau Maria Anna gebohrne Straßin deßen gewesenen Ehefrau

Déclaration tenant lieu d’inventaire des biens de Jean Samuel Rapp, exploitant de l’auberge à la Gerbe près de l’Esplanade, à la demande de ses neveux et héritiers
1786 (12.10.) Me Rœssel (Jean Georges, 6 E 41, 930) n° 171
Declaratio loco Inventarÿ Weil. Joh: Samuel Rapp Wittibers, Würths und burgers alhier, Verlassenschafft betreffend
Anno 1786, donnerstag den 12:ten oct. auf Ansuchen weÿl. Joh: Philipp Rapp, gewesten Sattlers und burgers alhier hinterlassenen Majorennen Sohns H. Joh: Philipp Ropp ledig. Gastgebers und burg. hieselbst und Jgfr. Margaretha Salome Roppin, so in das 22.ste Jahr ihres alters gehet, und dann dero leiblichen Mutter fraun Cathar. Barb. geb. Reibel, verfügt ich mich der unterschriebenen Inventir Notarius in die Gast behaußung zur Garb, allwo dieselbe bei meinem erscheinen declarirte, daß ihr oncle u. respe. Schwager Joh: Samuel Rapp, Wittiber, Gastgeb. u. b. alh: d. 10. Juny jüngst verstorben seÿe und ab intestato Zu Erben verlaßen habe in den ersten Stammtheil Vorgedachten H. Rapp u. Elisab. geb.r Rapp mit Georg Seÿderer Wurstmach. u. br. alh. erzielte großjährige tochter Jgfr. Elisab. Seÿdererin, so dann inden dritten Stammtheil weÿl. Maria Susanna geb. Rappin mit auch weÿl. Joh: Riehl, buchbind. u. b.rn alh. erzeugte und nachgelaßene 2. KK. Jgfr. Maria Dorothea majorennis u. Joh: Jacob 23 Jahr alt
Da der ordnung nach und auf begehren löbl. Stadt Stallls ein Inventm. über des Def. Verl. Sam. Rapp errichtet u. prod. werden solte, so haben Roppischer Sohn, tocht. u. Mutter auf vorher mit Not° abgelegte handtreu an eÿdestatt, keine Gefährde zu gebrauchen, declarirt wie folgt
1°) bestünde des def. gesamte activ Verlassenschafft : in (Kleidung) welch alles declaranten zu bestreitung einiger des def. leich- u. beerdigungs Kosten verkauft hätten pro 10 lb
dahingegen hätten declaranten ausgelegt u. bezahlt (zusammen) 26 lb
Also facta compensatione noch Zuerfordern 16 lb
2.do) declariren Comparenten auf allen falligen Einwurf: Defunctus habe ja die Würthschaft in der Garb getrieben, folgsam hausgeräth müse gehabt habe, daß er eine notorische Sache ist, daß samtlicher hausrath, Schiff und geschirr zur Würtheÿ gehörig des def. auch längst verstorbenener Ehefr. gehörig war, welche ihr gantzes Vermögen der mit declarirende fr. Cathr. Barb. Rapp geb. Reibel und ihrem nun verstorb. Ehemann durch Leibgedings-acte, Vermacht u. überlaßen hatte, so daß die declarantin ihrem nunmehr verstorbenen Schwager Sam. Rapp nur die Benutzung ihrer Mobilien und. hausgeräth vergünstiget hatte (…)

Jean Samuel Rapp, aubergiste, vend l’auberge au Bœuf d’or, sise en haut de la Petite boucherie face au Thomanloch, à Jean Daniel Nonnenmann, aubergiste, et à Marguerite Salomé Ott pour 2 000 livres

1779 (28.9.) Chambre des Contrats, vol. 653 f° 371-v
H. Johann Samuel Rapp der gastgeber
in gegensein H. Johann Daniel Nonnenmann des gastgebers und Margarethæ Salome geb. Ottin unter assistentz H. Johann Heinrich von Zabern des schiffmanns und Johann Friedrich Birckicht des schwartz und schönfärbers
eine zum goldenen ochßen geschildete gastgbehaußung samt dem mit einer riegelwand unterschlagenen höfflein und hoffstatt mit allen denen übrigen gebäu, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten oberhalb der kleinen metzig gegen dem Thomas loch über, einseit neben H. Greiner dem weißbecken anderseit neben H. Wild dem kieffer hinten auff H. Dr. Milhaut – d. löbl: Stadt Pfenning Thurn 1 pf – als ein von Johannes Röthel dem gastgeber und Maria Salome Georges Rübelin unterm 9. 7.br. 1771 erkaufftes haus bereits übernommen – um 2000 R, 2000 beladen, bereits übernommen die 4000 gulden

Inventaire après le décès de Jean Daniel Nonnenmann, aubergiste au Bœuf d’Or, qui laisse sa mère pour héritière. La succession est grevée de passif. Jean Daniel Nonnenmann, aubergiste à la Couronne et fils de boulanger à la Krutenau, et Marguerite Salomé Ott, fille de tanneurs, se sont mariés en 1776 et ont fait dresser un inventaire de leurs apports.

1787 (30.7.) Me Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 638) n° 266
Inventarium über Weiland Herrn Johann Daniel Nonnenmann gewesenen Gastgebers Zum goldenen Ochßen und burgers alhier nunmehr seeligen Verlassenschafft – nach seinem den 20.ten gegenwärtigen Monaths July aus dießer Welt genommenen tödlichen Hintritt hie zeitlichen verlaßen hat, Welche Vermögens Nachlassenschafft auf Ansuchen und begehren sowohl der hinterbliebenen Wittib Fraun Margaretha Salome gebohrner Ottin mit Mstr. Johann Jacob Ott dem Schwartzbecken und hiesigem burger verbeistandet als auch des Defuncti Mutter und ab intestato hinterlaßer Erbin fraun Maria gebohrner Brösamle längst Weiland Mstr. Johannes Nonnenmann gewesenen Schwartzbecken und burgers hieselbst hinterbliebener Wittib, und ersucht durch die Wittib wie auch Frau Margaretha Salome gebohrne Brandhofferin dero Mutter und Eva Reumännin von Mertzweiler gebürtig die dienstmagd

In der allhier ane der kleinen Metzig gelegenen Zum Goldenen Ochßen geschildeten in diese Verlassenschafft gehörigen behaußung ist befunden worden
Eigenthum ane einer Gastbehaußung so theilbar. Nemlich die Zum Goldenen Ochßen geschildete Gastbehaußung samt dem mit einer Riegelwand unterschlagenen Höfflein und hoffstatt, mit allen deren übrigen Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier zu Straßburg oberhalb der kleinen Metzig gegen dem thoman loch über, einseith neben Mstr. Greiner dem Weißbecken, anderseit neben Johannes Wild dem Kiefermeister, hinten auf H. Dr Milhaut stoßend gelegen, davon gibt man jährl. auf Joh: Baptæ 1 lb d von dem untermaurten Überhang, welcher 20. Schuh lang an seithen Greinerischer behßg. 3 ½ schuh und auf der andern Seithen 6 schuh breit also in allem 95. quadrat Schuh groß ist, sonsten außer denen darauf haftenden hernach eingetragegen Passiv-Capitalien, auch denen Vingtieme und anderen Abgaben freÿ, ledig und eigen, Solche ist durch löbl. Stadt Herr bau-Inspectorem und geschworne Werckmeister besag dero zu dieses Invent. Concept gelieferten Abschatzungsscheins ded. 28. July 1787. dem jetzigen wahren Werth nach gewürdiget worden vor 1500 R, davon gehet ab obiger bodenzinß zu doppeltem Capital gerechnet anlangend 80 R, restiren noch auszuwerfen 1420 fl. oder 710 lb
Darüber besagt ein deutscher pergamentener aus hiesiger CCstub gefertigter den 28.t. Sept. 1779 datirter Kauffbrief, belerend wie beede hierseitige Eheleuthe solche Gastbehßg. von weil. Johann Samuel Rapp dem geweßenen hiesigen burgers und Wirth käufflich an sich gebracht haben
Ergäntzung der Wittib werender Ehe abgegangenen unveränderten Vermögens, Nach Anleitung des über beeder nun zetrennter Ehegatten einander vor unverändert zugebrachtes Vermögen unterm 25. May 1776 durch mich Notarium errichteten Inventariums
– Abschatzung vom 28.t jullÿ 1787. Auf begeren Weÿland Herr johann Danjel Nunnenmann dem geweßenen gastgeber Zum Goldenen ochsen, ist Eine behausung alhier in der statt strasburg auf dem alten wein Marck gelegen, Ein seÿts neben Meister Wild dem Kieffer, anderseÿts neben herr Griner dem beck und Hinten auf Herr Doctor Milliau stoßend gelegen, solche behausung bestehet in Einer gaststube ferner in dreÿ stuben Einer Küchen und Etliche Kammeren, darüber ist der dachstuhl mit breidzigel belegt, hat auch Ein getrembter Keller und glein Höfflein. Von uns den unterschriebenen der statt straßburg geschwornen Baujnspector und Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtig Keit dem jetzigem wahren werth nach Estimirt und angeschlagen Vor und um, 1500 Gulden [unterzeichnet] Boudhors architecte, Kaltner WMstr.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Abschrift der Heuraths Abred, Copia Codicilli – Der hinterbliebenen Wittib unverändertes Vermögen, Sa. hausraths 24, Sa. Silbers 5, Sa. Gold. Ringen 12, Sa. baarschafft 1, Sa. Schulden 37, Sa. Ergäntzung 263, Summa summarum 344 lb,
der Erbin unveränderten guths, Sa. hausraths 69, Sa. leeren faßen 32, Sa. Sibers 11, Sa. Goldener Rings 2, Sa. Ergäntzung 617, Summa summarum 735 lb, Schulden 137 lb, Nach deren Abzug 596 lb,
die gemein verändert und Theilbare Vermögenschaft, Sa. hausraths 81, Sa. Wein und Fäßer 303, Sa. Silbers 15, Sa. Eigenthums ane einer Wirths behaußung 710, Summa summarum 1248 lb, Schulden 3101 lb, Theilbar Pass. onus 1817 lb – Endlich Passiv onus anstatt Beschluß summa 877 lb
Aufnahme der Weine und Faß so in der Inventur Weÿl. Johann Daniel Nunnemann geweßener Ehe, burgers und Gastgebers zum goldenen ochsen sich befunden

Inventaire des apports, 1776 (25.5.) Me Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 629) n° 59
Inventarium über Herrn Johann Daniel Nonnenmann Gastgebers zur Kron in der Krautenau und Frauen Margaretha Salome geb. Ottin beede Eheleuthe und burgere alhier einander vor ohnverändert in den Ehestand gebrachtes Vermögen, in ihrem den – jüngst verfloßenen Monaths aprilis angetrettenen Ehestand einander Zugebracht haben Welche beederseith Vermögenschaften, angesehen beede Ehegatten in der vor mir Notario unterm 4. Martÿ letzthin errichteten Heurathsabrede Paragrapho 5.to die Versohnung gethan, daß solche ein ohnverändert eigen und vorbehalten Guth seÿe und bleibe

In einer alhier ane der Vorstadt Krautenau gelegenen Zur Kron genannten Gast behaußung so dißorts Lehnungsweiß bewohnet wird, hat sich befunden alß
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Des Manns in die ehe gerbrachten Guths, Sa. hausraths 178, Sa. Wein und faßen 499, Sa. Sibers 52, Sa. Goldenen Rings 7, Sa. baarschafft 80, Sa. Activorum 34, Summa summarum 852 lb – Schuld 100 lb, Nach deren Abgang 752 lb – Haussteuren 33 lb, des Manns gesamtes guth 786 lb
der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. hausraths 136, Sa. Silbers 27, Sa. Goldener Ring 20, Sa. baarschafft 209, Summa summarum 392 lb, Haussteuren 33 lb, der frauen völlig. Guth 426 lb – Beschluß summ 1212 lb

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 124 v°)
Im Jahr Christi 1776, dienstags den 16. Aprilis (…) ehelich copuliert und eingesegnet worden, H. Johann Daniel Nonnenmann, lediger Gastgeber und burger allhier, weÿl. Johannes Nonnenmanns, gewesenen Weißbecken und burgers allhier, und Frau Anna Maria, gebohrner Presamle ehelich erzeugter Sohn, und Jungfer Margaretha Salome Ottin, weÿl. Johann Georg Ott, gewesenen Rothgerbers und burgers allhier, und Frau Margaretha Salome gebohrner Brandhofferin, ehelich erzeugte Tochter (si go. go)

Contrat de mariage, 1776 (4.3.) Me Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 643) n° 32
herr Johann Daniel Nonnenmann der leedige Gastgeber Weiland Hn Johannes Nonnenmanns gewesenen Schwartzbecken und burgers allhier mit Frauen Maria gebohrner Brösamle ehelich erzeugter Sohn, so majorennis
so dann die tugendbegabte Jungfrau Margaretha Salomea Ottin weiland Herrn Johann Georg Ott gewesenen Rothgerbers und burgers dahier mit frauen Margaretha Salome gebohrner brandhofferin erzeugt nach tod hinterlassene tochter, so ebenfalls volljährigen Alters, beÿständlich H. Johann Jacob Ott Schwartzbecken und burgers hieselbst ihres bruders (si go. go)

Les héritiers de Jean Daniel Nonnenmann vendent l’auberge au Bœuf d’Or, sise en haut de la Petite boucherie face au Thomanloch, à Jean Daniel Diss, aubergiste, et à sa fiancée Amélie Jund pour 2 800 livres

1787 (27.8.) Chambre des Contrats, vol. 661 f° 353-v
Fr. Margaretha Salome geb. Ottin weÿl. Johann Daniel Nonnenmann gewesten Gastgebers wittib beÿständlich br. Johann Jacob Ott des Schwartz becks, mehr Fraun Anna Maria Nonnenmännin geb. Brößamle weil. Johannes Nonnenmann gewes. Schwartzbecks wittib beÿständlich br. Johann Friedrich Binder des Caffesieders
in gegensein bs. Johann Daniel Diß des ledigen aber großjährigen Würths und Jungfraun Ameliæ Jundin der ledigen aber großjährigen burgers tochter beÿständlich bs. Johann Georg Kolb des gastgebers
eine zum goldenen öchßel geschildete Würths behausung samt dem mit einer Riegelwand unterschlagenen Höfflein und Hoffstatt mit allen deren übrigen Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten oberhalb der kleinen Metzig gegen dem Thomans loch über, einseit neben N. Greiner dem Weißbecken anderseit neben Mr Wild dem kieffer hinten auff H. Milhaut Med. Doctorem – (davon soll man) unserem Stadt Pfenning Thurn 1 pfund d. ane bodenzins – um 2000 fl. und 2000 fl. verpfändet, geschehen um 5600 gulden

Inventaire des apports de Jean Daniel Diss, aubergiste et fils de cordonnier, et d’Amélie Jund, fille de boulanger français, tous deux enfants de bourgeois

1787 (27.10.) Me Greis (J. Fréd. 6 E 41, 889) n° 377
Inventarium über Herrn Johann Daniel Diß des Gastgebers und Fraun Amalia geb. Jundin einander vor ohnverändert in den Ehestand zugebracht Nahrungen, in ihrem vor mir Notario d. 29. aug. hujus anni stipulirt haben
(Joint) Eheberedung Herr Johann Daniel Diß lediger Gastgeber Johann Jacob Diß des Schuhmachers Sohn, So dann Jungfer Amalia Jundin weiland Herrn Johann Heinrich Jund gew. frantzösischen Becken tochter so majorennis, den 29. aug. 1787
in hernach inventirten an der kleinen Metzig gelegenen zum goldenen Ochsen geschildeten Gastbehausung (ohne Series rubricarum hujus Inventarÿ)

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 144)
1787, Dienstag den 18. Septembris, sind (…) eingesegnet worden : H. Johann Daniel Diß der ledige Gastgeber u. burger alhier, Johann Jacob Diß, Schuhmachers und burgers alhier mit weÿl. Fr. Maria Barbara gebohrner Huggin ehel. erzeugter Sohn, und Jgfr. Amalia Jundtin weÿl. H. Johann Heinrich Jundt, geweßenen frantzösischen beckers u. burgers allh. mit Fr. Anna Maria gebohrner Biqueron ehl. erzeugte tochter (si go. go)

Jean Daniel Diss, aubergiste, et Amélie Jund hypothèquent la maison n° 35 près la Petite boucherie au profit des marchands de tabac Ignace Faessler et François Antoine Wurm

1793 (13.8.) Chambre des Contrats, vol. 670 n° 764 enreg. 16.8. F°
bu. Johann Daniel Diß der gastgeber und Amalia geb. Jundin beiständlich bu. Frantz Xaverius Burger maurers und Johann Gottfried Bach des weinhändlers
in gegensein bu. Ignatius Fäßler und Frantz Antoni Wurm beede tabackhändler, 8000 livres
unterpfand, eine beÿ der kleinen metzig gelegen mit N° 35 bezeichnete behausung, einseit neben bu. Greiner dem becker anderseit neben bu. Wald

Jean Daniel Diss, aubergiste à la Pomme d’or, et Amélie Jund vendent la maison rue Victoire à l’Enseigne du Bœuf d’or à Michel Schott et à Madeleine Weber pour 14 000 livres

1794 (17 fruct. 2 ou 3 sept.) Strasbourg 6 (9), Me Laquiante n° 5
Cit. Jean Daniel Diss Aubergiste présentement à la Pomme d’or et Amalie née Jundt
au Cit. Michel Schott et Cit. Madeleine Weber
une maison scize rue Victoire à l’Enseigne du Bœuf d’or, d’un côté C. Wild tonnelier d’autre Cit. Greiner boulanger derrière Cit. Millaud pardevant lad. rue avec appartenances et dépendances – 14 000 livres

Contrat de mariage entre le cultivateur Michel Schott d’Oberhausbergen, veuf d’Anne Scheer, et Marie Madeleine Weber veuve de l’aubergiste Michel Kleinpeter
1794 (22 frimaire 2), Strasbourg 7 (27), Me Stoeber n° 473
(Eheberedung) Michael Schott lediger Gastgeber des Johannes Schott burgers und ackersmanns in Oberhausbergen in erster ehe mit weÿl. Anna geb. Scheerin ehelich erzeugter Sohn
Maria Magdalena geb. Weberin weÿl. Michael Kleinpeter des gastgebers Wittib

Mariage (p. 616)
Ce jourdhuy 26 frimaire de l’an second de la Republique françoise (…) sont comparus afin de contracter Mariage d’une part, Michel Schott, agé de 35 ans, aubergiste, domicilié en cette ville depuis onze ans, natif d’Oberhausbergen Département du Bas-Rhin, fils légitime de Jean Schott Cultivateur & de feue Anne Scheer, de l’autre part Catherine Madeleine Weeber Agée de 38 ans, née et Domiciliée en cette ville fille légitime de feu Conrad Weber Garde a la Douane et de feu Catherine Gravier, Veuve de Michel Kleinpeter, Auguste (…) 1° l’acte de Naissance de Michel Schott portant qu’il est né à Oberhausbergen le 14 fevrier 1758, 2° de l’acte de Naissance de Catherine Madeleine Weeber portant qu’elle est née en cette ville le 9 Juillet 1755, 3° de l’acte de Décès de Michel Kleinpeter portant qu’il est Mort en cette ville l’onze octobre dernier (si go. Michael Schott, +)

Inventaire après le décès de Jean Michel Schott, aubergiste, qui laisse pour héritiers ses frères et sœurs et sa veuve Madeleine Weber. Le défunt est natif d’Oberhausbergen et a épousé en 1794 Madeleine Weber veuve de l’aubergiste Michel Kleinpeter

1803 (4 vendémiaire 12) Strasbourg 7 (18), Me Stœber n° 1892, 4878
Inventarium über weÿl. burgers Johann Michael Schott Gastgebers und Inwohners Verlassenschafft, gestorben den 5. compl. 11. Jahr und hat zu seinen gesetzmäßigen erben verlassen 1. bürgerin Anna geb. Schott burgers Andreas Roth Ackersmanns in Oberhausbergen Ehefrau, 2. burger Johannes Schott Karchzieher und Innwohner allhier diese beede sind des verstorbenen vollbändigen Geschwisterde, 3. burgerin Catharina Schott bürgers diebold Lobstein ackersmann in Oberhausbergen Ehefrau diese letstere ist des verstorbenen halbbändige Schwester wie auch der burgerin Maria Magdalena geb. Weeber mit beÿstand burgers Philipp Andreas Woog homme de Loix der Wittib

in dem beÿ der kleinen metzig gelegen zum goldenen Ochsen geschildeten und mit N° 35 bezeichenten und in diese Verlassenschafft gehörigen behausung
(f° 8) Eigenthum an einer behausung, Nemlich eine behausung und hoffstatt mit allen dero zugehörden und rechten gelegen zu Straßburg beÿ der kleinen Metzig zum goldenen Ochsen geschildet mit N° 35 bezeichnet es. Greinerischen Erben as. Johannes Wildt Kiefer vornen auf die Straß und hi. auf burger Schneider, der Commune 4 fr, darüber besagt eine vor Not. Laquiante den 17. fru. 2.ten Jahrs Kauffverschreibung
Reebstück zu Oberhausbergen
Berechnung, theilbare Mass rest deßen so der wittib schuldig 1110 fr, behausung 6000 fr, zusammen 7110 fr, abzuziehen 5149 fr, Restiren 1961 francs

Les héritiers de Jean Michel Schott cèdent l’auberge au Bœuf d’or, sise n° 35 près la Petite boucherie, à la veuve Madeleine Weber pour 2 500 francs

1804 (11 nivose 12) Strasbourg 7 (18), Me Stoeber, Joint au n° 1892, 4878 du 4 vend. 12
(f° 26) Erschienen weÿl. Johann Michael Schott gewesten Gastgebers Erben bürgerin Anna geb. Schott burgers Andreas Roth Ackersmanns in Oberhausbergen Ehefrau, burger Johannes Schott Karchzieher allhier und burgerin Catharina Schott bürgers diebold Lobstein ackersmann in Oberhausbergen Ehefrau
Fr. Maria Magdalena geb. Weeber der Wittib
die ererbte helffte einer behausung und hoffstatt mit allen dero zugehörden und rechten gelegen zu Straßburg beÿ der kleinen Metzig zum goldenen Ochsen geschildet mit N° 35 bezeichnet, einseit neben den Greinerischen Erben anderseit neben Johannes Wildt Kiefer hinten auf burger Schneider, der Commune 4 fr ane allmend zinß erlängt – um 2500 francs

Inventaire après le décès de Madeleine Weber successivement veuve Michel Kleinpeter aubergiste au Faisan d’or et de Jean Michel Schott, aubergiste au Bœuf d’or. Elle laisse Barbe Weber femme de Jacques Kœgler comme héritière testamentaire. La maison au bœuf d’or n° 35 se trouve vieux marché aux vins

1808 (5.5.) Strasbourg 4 (36), Me Stoeber n° 576
Inventaire de la succession de Madeleine Weber veuve de Michel Schott cabaretier épouse en premières noces de Michel Kleinpeter aubergiste au faisan d’or, décédée le 29 mars dernier – à la requête de Barbe Weber femme de Jacques Koegler héritière universelle par testament nuncupatif soussigné le 23 mars courant, Frédéric Boersch mandataire de Georges Kleinpeter pecheur, Vendelin Kleinpeter tisserand, Antoine Kleinpeter pecheur, Georges Frédérich cordonnier poursuivant les droits de Catherine Kleinpeter les quatre demeurant à la Wantzenau héritiers ab intestat de Michel Kleinpeter époux en premières noces de la veuve Schott leur frère dont la succession se trouve confondue avec celle de la veuve Schott

dans la maison dite au bœuf d’or rue vieux marché au vin
meubles : dans la principale chambre au Premier Etage donnant sur la rue, au vestibule, au second étage dans une chambre donnant sur la rue, dans une chambre a côté, dans une chambre donnant sur la cour, aux mansardes, dans la chambre a côté dans la chambre sur le derrière, dans la cuisine, dans la cave
or 72 francs, numéraire 600 francs, dettes douteuses 400 francs, total 2799 francs, passif 2183 francs
Papiers, extrait baptistaire, que le 5 oct. 1747 a été baptisé a la Wantzenau un fils légitime de Jean Georges Kleinpeter et Catherine Woelfflin appelé Jean Michel
Maison, Une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg vieux marché au vins dite le bœuf d’or n° 35, d’un côté les héritiers Greiner d’autre Jean Wild tonnelier aboutissant sur le Sr Schneider, dont on paie a la ville une rente communale de 4 francs, estimée 6000 francs

Inventaire après le décès de Barbe Weber femme de Jacques Kœgler, aubergiste au bœuf d’or n° 35 vieux marché aux vins. Elle avait épousé en 1797 François Jacques Kœgler, maître de danse, fils naturel de père et mère luthériens de Gerstheim et donc baptisé dans la paroisse catholique. Onze ans après avoir donné le jour à son fils naturel, la mère de François Jacques Kœgler se marie avec un tisserand luthérien de Barr, André Speckel.

1809 (16.11.) Strasbourg 4 (37), Me Stoeber n° 855
Inventaire de la succession de Barbe Weber femme de Jacques Koegler cabaretier décédée le 28 sept. dernier, à la requête du veuf seul et unique héritier de son épouse, testament Me Stoeber fils le 8 sept. dernier
dans une maison vieux marché aux vins n° 35 – meubles 873 francs
maison, Une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg vieux marché aux vins dite au bœuf d’or n° 35 d’un côté les héritiers Greiner d’autre le Sr Labadon graissier aboutissant sur le Sr Schneider – chargée de 4 francs envers la ville évaluée à 6000 francs
passif 1900 francs

Mariage, Strasbourg (n° 458) Cejourd’hui 25 Prairial l’an cinq de la République française (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part François Jacques Koegler agé de 32 ans, maître de danse domicilié en cette commune depuis 18 mois, natif de Gerstheim canton d’Erstein fils de feû Jean Jacques Koegler cultivateur audit lieu et de Marie Salomée Weltz, de l’autre part Marie Barbe Weber agée de 35 ans, née et domiciliée en cette commune, fille de feû Conrad Weber, garde à la douane, et de feue Catherine Gravière (…), 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né à Gerstheim le 16 mai 1765 du légitime mariage entre Jean Jacques Koegler et Marie Salomée Weltz, 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née en cette commune le 2 oct. 1761 du légitime mariage entre Conrad Weber et Catherine Gravière (signé) François Jacques Koegler, +

Baptême (Gerstheim, cath., p. 1) Hodie 16 May anni 1765 Baptizatus est franciscus Jacobus filius (…) ex declaratione matris sibi in partûs doloribus facta joannis Jacobi Köegler Lutherani civis et agricolæ hujatis et Mariæ Salome Weltz pariter lutheranæ filiæ Joannis Jacobi Weltz civis et Cauponis hujatis et Mariæ Elisabethæ Marck Conjugum in hac parochia commorantium, natus eodem die, Patrinus fuit Joannes Martinus Kauffer Prætor hujas, Matrinæ Prænobilis Domina Francisca Ludovica de Dettlingen nata Zorn de Bulach Vidua relicta Prænobilis fransicici Jacobi de Dettlingen

Mariage (Gerstheim, luth., f° 186, n° 62) Dienstags den 5. November 1776 Jahres (wurden) eingesegnet Andreas Speckel, Wittwer Wollenweber und burger zu Barr Straßburger Herrschafft und Maria Salome Welzin weiland Johann Jacob Welz geweßten Gastgebers und burgers alhie mit weiland Frauen Elisabeth gebohrner Marckin ehelich erzeugte nachgelaßene Tochter (si go)

Marie Salomé Weltz femme d’André Speckel, drapier, héritière de son fils naturel François Jacques Kœgler, vend la maison rue des petites boucheries n° 35 à son fils David Speckel pour 5 925 francs

1810 (23.1.) Strasbourg 3 (56), Me Übersaal n° 2540, 5227
Marie Salomé Weltz femme d’André Speckel drapier demeurant en cette ville fauxbourg de la Krautenau ruelle de hamm n° 60
à David Speckel garçon de boutique chez les Frères Müssel marchands parfumeurs
la maison appartenante à ladite femme Speckel née Weltz comme lui étant avenue à titre d’hérédité de François Jacques Koegler cabaretier son fils naturel, avec tous droit, appartenances et dépendances située en cette ville rue des petites boucheries n° 35, d’un côté celle de la De Lauth née Beyer d’autre celle du Sr Labatti derrière propriété du Sr Schneider – 5925 francs ou 6000 livres

David Speckel, commissionnaire, se marie avec Catherine Madeleine Gries. Les conjoints font dresser l’inventaire de leurs apports. Chacun des conjoints apporte une maison

1811 (19.9.) Strasbourg 8 (2), Me Roessel n° 352, Contrat de mariage
David Speckel commissionnaire fils majeur d’André Speckel drapier et de feu Marie Salomé Waltz
Catherine Madeleine Gries fille majeure de Jean Michel Gries tailleur d’habits et de feu Marie Salomée Antoni

Inventaire des apports
1811 (5.12.) Strasbourg 8 (2), Me Roessel n° 444
Inventaire des apports de David Speckel commissionnaire et de Catherine Madeleine Gries, Contrat de mariage souss. 29 sept. courant
dans une maison ruelle de l’hôpital n° 18 appartenant à la femme
le mari : meubles 503 fr, numéraire 220 fr, créances 200 fr
propriété d’une maison. Savoir une maison avec tous droits, appartenances & dépendances sise en cette ville rue des petites boucheries n° 35 attenant à la De Lauth née Beyer d’autre Sr Labatti derrière propriété du Sr Schneider, estimée à 10 000 francs, acquise de Marie Salomé Weltz sa mère femme d’André Spaeth drapier devant Me Übersaal le 23 jan. 1810 trans. vol. 49/52 à laquelle cet immeuble est échu de la succession de François Jacques Koegler cabaretier son fils naturel
total 10 923 fr, déduire 6593 fr, reste 4330 fr
la femme : meubles 1110 fr, livres 3 fr, argenterie 116 fr, numéraire 100 fr, créances 410 fr
Propriété d’une maison. Savoir une maison avec appartenances et dépendances sise en cette ville ruelle de l’hôpital n° 18 attenant à François Antoine Seiler ferblantier d’autre Jacques Moebs boulanger derrière fossé communal -chargée annuellement d’une rente de 40 c. estimée 3000 fr – avenue à la femme seule et unique héritière de Marie Salomé Antoni femme de Jean Michel Gries tailleur d’habits sa mère à laquelle elle a été cédée par ses cohéritiers de la succession de Jean Jacques Antoni boutonnier en soie, liquidée en 1774 par Me Lobstein, inventaire des apports des conjoints Me Gries 1 mars 1775, Propriété constatée Chambre des Contrats 9. 1695, 20 oct. 1699
total des apports 4766 francs

David Speckel, patissier, et Catherine Madeleine Gries, vendent la maison rue des petites Boucheries n° 35 à Jean Adam Rundwasser, cabaretier, et Madeleine Birckel, pour 6 000 francs. Ils ont d’abord exposé la maison aux enchères. Les nouveaux propriétaires, chacun veuf, se sont mariés quelques mois auparavant.

1815 (15.2.) Strasbourg 8 (11), Me Roessel n° 2327
Cahier des charges – David Speckel ci devant cabaretier, que par acte devant Me Übersaal le 23 jan. 1810 trans. vol. 49/52 il avoit acquis de Marie Salomé Weltz femme d’André Speckel drapier la maison avec appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue des petites Boucheries n° 35, d’un côté celle de la De Lauth née Beyer d’autre celle du Sr Labatti aboutissant sur la propriété du Sr Schneider musicien
1815 (10.11.) Strasbourg 8 (12), Me Roessel n° 2772
David Speckel patissier et Catherine Madeleine Gries
à Jean Adam Rundwasser cabaretier et Madeleine Birckel
une maison avec aisances appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des petites Boucheries n° 35, d’un côté la maison de la De Lauth née Beer d’autre celle du Sr Labatti derrière le Sr Schneider – acquis de Marie Salomé Weltz femme d’André Speckel drapier en cette ville ci dessus relaté (Me Übersaal 23 jan. 1810 trans. vol. 49/52), pour 6000 francs

Contrat de mariage
1815 (15.3.) Strasbourg 7 (54), Me Stoeber jeune n° 1273,
Jean Adam Rondwasser cocher veuf de Madeleine Nagel
Marie Madeleine née Bürckel veuve de Jean Pfrimmer aubergiste
en la demeure de la future rue des Bouchers n° 47

Jean Adam Rondwasser, cabaretier, et Madeleine Birckel vendent la maison rue des Petites Boucheries n° 35 à Joseph Sittler, ébéniste, pour 7 000 francs. Le nouveau propriétaire se marie quelques mois après avec Catherine Gœtz de Saverne

1821 (15.2.) Strasbourg 7 (63), Me Stoeber jeune n° 5749
Jean Adam Rondwasser, cabaretier, et Madeleine Birckel
à Joseph Sittler, ébéniste
une maison avec aisances, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Petites Boucheries n° 35, d’un côté celle de la De Lauth née Beyer d’autre celle du Sr Labatty derrière la propriété du Sr Schneider – avec les chantiers, acquise de David Speckel, patissier, et Catherine Madeleine Gries devant Me Roessel le 10 nov. 1815, le Sr Speckel l’a acquis de Marie Salomé Weltz femme d’André Speckel drapier devant Me Übersaal le 23 jan. 1810 – pour 7000 francs

Contrat de mariage communauté d’acquets partageable par moitié
1821 (29.11.) Strasbourg 7 (64), Me Stoeber jeune n° 6219,
Joseph Sittler, ébéniste, fils d’André Sittler le jeune laboureur à Eschau et de feu Anne Marie Hanns
Catherine Goetz fille majeure de Joseph Goetz, tonnelier, et Catherine Herterich à Saverne

Joseph Sittler loue la maison à Philippe Odoin et à Béatrice Frey

1821 (18.7.) Enregistrement de Strasbourg, ssp 47 – ssp du 14 juin dernier
Bail – Joseph Sittler propriétaire
rue du Roi N° 35
à Philippe Odoin et à Béatrice Frey

Joseph Sittler, ébéniste, et Catherine Gœtz hypothèquent la maison rue des Petites boucheries au profit de l’architecte Jean Jacques Stotz

1841 (6.12.) Strasbourg 9 (87, nv. cote), Me Becker n° 1430
Obligation – M. Joseph Sittler, ébéniste, et De Catherine Goetz
reconnu devoir à M. Jean Jacques Stotz, architecte, demeurant à Strasbourg, la somme de 2900 francs pour prêt de pareille somme
hypothèque, Une maison avec aisances, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg, rue des petites boucheries numéro 35, tenant d’un côté à la propriété de la Dame Lauth, née Beyer, de l’autre à celle du Sieur Labatty, et par derrière à celle de M. Speisser. Le Sieur Sittler a acquis cette maison de Jean Adam Rondwasser, cabaretier, et Marie Reine Birckel conjoints demeurant à Strasbourg, suivant contrat de vente passé devant Me Stoeber le 15 fev. 1821 transcrit le 1 mars suivant Volume 37 N° 106


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.