40, rue du Faubourg de Saverne


Rue du Faubourg de Saverne n° 40 – II 228 (Blondel), N 23 puis N 16, section 53 parcelle 16 (cadastre)

Faubourg de Saverne 34-40 (juillet 2014)Faubourg de Saverne 40-42, vers 1942 (AMS, cote 1003 W 2 n° 690)
Sur la gauche, le n° 40 suivi des n° 38, 36 et 34, en juillet 2014
Photographie prise vers 1942. A droite, l’auberge à l’enseigne de l’Ours Noir (Gasthaus zum schwartzen Bären), AMS, cote 1003 W 2 n° 690

La maison paie une rente communale pour un auvent depuis 1608. Elle appartient de 1674 à 1805 à un maréchal ferrant qui est autorisé à placer un travail devant sa façade en 1676. Les deux loyers communaux s’éteignent en 1768 lorsque l’auvent et le travail sont supprimés. Le propriétaire conserve sa maison après le grand incendie de 1693 qui consume l’alignement oriental de la rue. Il l’agrandit d’un terrain vers le Marais vert sur lequel se trouvait une maison et le transforme en jardin, comme on peut le constater sur les plans de 1765, 1830 et 1838. Ce n’est qu’en 1883 qu’un bâtiment sera construit vers le Marais Vert (31, rue du Marais Vert). Le mur de séparation avec la maison voisine à l’est devient mitoyen en 1721. Le billet d’estimation de 1727 décrit la maison dont l’aspect correspond aux dessins de 1830 : atelier au rez-de-chaussée, habitation aux étages, trois niveaux de greniers. La suppression de l’auvent en 1768 témoigne de travaux sur lesquels on n’est pas autrement renseigné.

18 Elévations a et suite
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 18, vers le Faubourg de Saverne

On retrouve sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 la maison à rez-de-chaussée et deux étages bons en maçonnerie que signale l’Atlas des alignements. La façade vers le Faubourg de Saverne est la quatrième à droite de la grande maison centrale. La porte flanquée de deux petites fenêtres se trouve au milieu de la maison. Chacun des deux étages a quatre fenêtres. La toiture abrite trois niveaux de greniers. La cour L permet de voir l’arrière du bâtiment sur rue (3-4), deux bâtiments accessoires à l’ouest de la cour (4-1), le bâtiment qui s’ouvre au fond de la cour (1-2) et le mur de séparation avec la maison voisine à l’est (2-3). La cour Z est formée par les jardins communs à plusieurs maisons. La partie qui dépend du futur n° 40 est occupée par deux bâtiments à gauche du repère (8). Une deuxième cour s’étend entre ces deux bâtiments jusqu’à la palissade (1-2) commune à plusieurs maisons. C’est cette palissade qu’on retrouve vers le Marais Vert, à gauche de la grande maison centrale.

18 Cour L18 Cour Z18 Elévations (c)-d-e
Cours L et Z, élévations vers le Marais Vert

Le propriétaire agrandit ensuite la maison à deux reprises en 1862 et en 1867 (le revenu passe de 140 francs à 177 puis à 200 francs). Comme toutes les maisons des quartiers nord, elle est endommagée lors du siège de 1870, son revenu revient à 176 francs pour retrouver celui de 200 francs en 1875. De nouveaux bâtiments à trois étages sont terminés en 1883, à la fois vers le Faubourg de Saverne (revenu de 246 francs) et vers le Marais Vert (revenu de 105 francs). Le rez-de-chaussée de chacune des maisons sert d’auberge (1900). Celle vers le Faubourg de Saverne porte l’enseigne de la Rose (1921) puis de l’Ours Noir (1933 à 1959). Le cabaret Le Papillon remplace le restaurant en 1959.

Faubourg de Saverne 40 (789 W 250, en 1921)
Transformations non réalisées, 1921 (Police du Bâtiment)

juillet 2014

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1650 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Jean Krafft, tailleur, et (1634) Barbe Hochmann – luthériens
1675 h Jean Georges Stumpff, maréchal ferrant, et (1673) Dorothée Krafft – luthériens
1692 h Jean Georges Werner, maréchal ferrant, et (1687) Dorothée Krafft, veuve du précédent, puis (1692) Marguerite Pfitzer veuve du jardinier Georges Rinck – luthériens
1719 h Jean Jacques Werner, maréchal ferrant, et (1719) Catherine Marguerite Frantz puis (1737) Anne Marie Cuntz – luthériens
1775 h Jean Georges Werner, maréchal ferrant, et (1775) Anne Marie Maul – luthériens
1805 v Jean Jacques Rasp, charron, et (1778) Marie Madeleine Lix – luthériens
1821 h François Henri Rasp, charron, et (1815) Caroline Frédérique Bosé
1857* Charles Frédéric Werner, pasteur à Wasselonne
1863* Pierre François Robert, receveur de l’octroi
1868* Pierre François Robert, la veuve, et Auguste Magnien
1880* Sébastien Werner, aubergiste
1901* Jean Philippe Kieffer et Marie Graff à Eckbolsheim
1903* Armand Blum, marchand de biens, et Berthilde Levy
1935* Alfred Sieffert, directeur général
1949* Joseph Boehly à Boulogne sur Seine

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 500 florins en 1675, 3 000 florins en 1727, 1 600 florins en 1765

(1765, Liste Blondel) II 228, Jean Jacques Werner
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Joh: Georg Werner, 8 toises, 5 pieds et 8 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 23, Rasp, François Henri – maison, sol, jardin – 3,95 are

Livres des communaux

1562, Livre des loyers communaux, VII 1446 (Zinßbuch D), f° 237
Un cens perpétuel pour un auvent de 30 pied de long et 8 pied de large est établi en 1608 au compte du maréchal ferrant Laurent Guthgesell. Il est au nom de Jean Nicolas Hamm lors de la révision de 1627

Item v ß d Soll geben Lorentz guttgesell der huoffschmidt von eim Wetter dach an seim hauß beÿ Cronenburg an der Newen Zÿl. In lenge 30 schuh, vnnd herauß 8 schuh vff Martini 1609 Zum erstenmal. Actum 16.t 9.bris 1608.
(rub.) Joh: Niclauß hahmen d. Schreiner 12 ß den 9. 8.br 1627
Neü 308.

1652, Livre des loyers communaux, VII 1461 (1652-1672), f° 308-v
Le même cens est porté au compte du tailleur Jean Krafft dans le premier registre où sont enregistrés les quittances annuelles

Hanß Krafft der Schneider, Soll gemeiner Statt, Vom wetterdach ahm hauß beÿm Crohnenburg ahn der newen Zeülen (in Länge 30 sch. undt herauß 8 sch.), Jahrs vf Martini 12 ß d
Alt. d. f. 237
New fol 263
(Quittungen, 1652-1672)

1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741), f° 263-v
Même poste dans le registre suivant. Le compte de Jean Krafft passe ensuite à Jean Georges Stumpff puis à Jean Georges Werner et à Jacques Werner. Au loyer dû pour l’auvent s’ajoute celui dû pour le travail (voir la décision des directeurs fonciers). Le loyer n’est pas perçu en 1694 à cause de l’incendie de l’année précédente

Hannß Krafft der Schneider, soll vom Wetterdach am Hauß beÿm Cronenburg an der newen Zeilen vff Martini, 12 ß
St. Zinßb. p. 308
ietzt Hannß Georg Stumpff
ietzt Hanß Georg ([corrigé en] Jacob) Werner

(Quittungen 1673-1677)
Ferners soll Er von einem Nothstall vor obigem hauß Jahrs auff Mariæ Verkündigung und 1677. primo, 10 ß
Prot: 1676 p. 144
[in margine :] ist weg gethan worden a° 1729

(Quittungen 1679-1695
der Zinnß p. 1694 ist weilen das Hauß abgebrandt nachgelaßen word.

(Quittungen 1697-1741
Neuzb fol 42

1741, Livre des loyers communaux, VII 1470 (1741-1802) f° 42
Même poste dans le registre suivant. Le loyer dû pour l’auvent est réduit après que l’objet a été en partie coupé. Les deux loyers s’éteignent en 1768 après la suppression des objets imposés

alzb. 263-b
Johann Jacob Werner, Soll vom Wetterdach am Hauß beÿm Cronenburg an der neuen Zeilen auff Martini 11 ß
[in margine :] ist um die tertz abgeschnitten also nur noch 8

(Quittungen 1741-1744)
Ferner Von einem 6 schuhe 9 Zoll Lang und 4 schuhe 2 Zoll breiten Nothstall Vor Obbesagtem seinem Hauß jahrs auf Annunc: Mariæ und Laut Prot. de A° 1744. fol: 5 A° 1745. I.mo, 1 lb

(Quittungen 1745-1755)
dt. d. 28. 7.br 1769 p. 1756. 57. et 1758. 4 lb 4 ß d
dt d. 9. 8.br. 1768 p. 1759 biß 1768 incl. vom ersten postn für 10 Jahr 4 lb d Rest nachgelaßen

Ist beedes in A° 1768. abgebrochen worden

Directeurs fonciers (Bauherren)

1676, Directeurs fonciers (VII 1364)
Le maréchal ferrant Jean Georges Stumpff est autorisé à placer un travail (7 pieds ½ de long sur 3 pied ½ de large) devant la maison. Le loyer initial de 12 sous est réduit à 10 sous à la demande du propriétaire

(f° 144-v) Dienstags den 7. Martÿ. Hannß Georg Stumpff – Hannß Georg Stumpff der huffschmidt haltet an Umb einen Noth stall vor deßen Behaußung in der Cronenburger Straßen Zu vergönnen. Erk. soll augenschein eingenommen werd.
(f° 146) Mitwochs den 8. Martÿ. Hannß Georg Stumpff – Augenschein eingenommen Hannß Georg Stumpff des huffschmidts behaußung in der Cronenburger Straß, alwo gedachter Stumpff angehalten Ihme Zuerlauben daß er dörffe einen Nothstall vffs allmend, vor seiner behaußung, Vff 7 ½ schuh lang, Vnd 3 ½ schuh breit auff richten, allermaßen andere Schmidt selbigen gegendt auch ihre gelegenheit vor ihren häußern haben. Erk. Bedacht.
(f° 148) Dienstags den 14. Martÿ 1676. Hannß Georg Stumpff – p° Hannß Georg Stumpffen eingenommenen Augenscheins ist Stumpffen willfahrt einen Nothstall 7 ½ schuh lang, Vnd 3 ½ schuh breit vor deßen Behaußung auff zu richten gegen Jährlicher entrichrung 12. ß Zinnßes solchen vf Mariæ Verk. Vnd 1677 primo Zuentrichten.
(f° 154) Dienstags den 4. Aprilis 1676. Hannß Georg Stumpff. – Hannß Georg Stumpff, huffschmidt haltet an Umb moderation der 12. ß Zinnß so hme wegen auffrichtung eines Nothstalls gefordert worden. Erk. ist Vff 10. ß moderirt worden.

1744, Directeurs fonciers (VII 1401)
Jean Jacques Werner qui a supprimé le travail devant la maison quand la rue a été pavée demande l’autorisation d’en placer un nouveau (6 pied 9 pouces sur 2 pouces). Il y est autorisé moyennant un cens annuel d’une livre à condition qu’il soit aligné avec les deux autres de la rue

(f° 5-v) Donnerstags den 27. Ejusdem [Februarÿ 1744], seÿnd folgenden augenschein eingenommen. Hanß Jacob Werner – Vor Hanß Jacob Werners des Hueffschmidts, in dem Statt Zinnßbuch fol: 42. beschriebenen Hauß an der Cronenburger Straß, Vor welchem er Laut alten statt Zinnßbuch fol. 263.b Hiebevor einen Nothstall gehabt und mit 10 ß Verzinß, den er aber, als die Gaß gepflästert worden abgehen Laßen derselbe bittet anietz um erlaubnus wieder einen 6. schuhe 9. zoll Lang, und 4. schuhe 2. Zoll breiten Notstall dahin machen Zulaßen. Erkannt gegen 1. lb Zinß des Jahrs willfahrt und solle er den Nothstall in der Flucht deren allda befindlichen Zweÿen anderen Nothställen setzen und nicht weite auf die gaß Herauß fahren.

Description de la maison

La description de 1727 est la plus précise mais décrit les différents niveaux dans un ordre inhabituel, en commençant par les différents greniers pour terminer par l’atelier (rez-de-chaussée).

  • 1687 (billet d’estimation traduit) La maison avec la petite cour et le puits commun est estimée 500 florins
  • 1727 (billet d’estimation traduit) la maison a un bon comble à double couverture de tuiles plates, le premier niveau n’est pas dallé mais le deuxième et le troisième sous le toit le sont, on y trouve trois chambres séparées en pans de bois, le quatrième niveau comprend un poêle, une chambre, une cuisine, un vestibule et une dépense, le cinquième niveau un poêle, deux chambres, une cuisine, un vestibule et une dépense, le sixième niveau un atelier à deux foyers, un petit poêle, une cave solivée, le bâtiment latéral à demi toit comprend une petite chambre, une remise à charbons, une étable, une porcherie, une petite cour, un puits commun, un abreuvoir, un mur commun récemment construit, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 3000 florins
  • 1765 (billet d’estimation traduit) la maison comprend un atelier de maréchal, en outre trois poêles, deux cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le puits commun, en outre une étable dont le comble est couvert de tuies plates, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1600 florins
  • 1804 (an XII) (billet d’estimation) la maison, la cour, le sol, le puits commun, l’étable et le jardin sont estimés avec leurs appartenances et dépendances à la somme de 8000 francs

Atlas des alignements

1° arrondissement ou Canton ouest – Rue du Faubourg de Saverne

nouveau N° / ancien N° : 48 / 36
Rasp
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie

(Légende)

Ponts et Chaussées

Route départementale n° 1 de Saverne à Strasbourg (785 W 6)
N° 36. Toute en pierres encore en assez bon état, 2 étages

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 4 case 4

Rasp François Henry, faubourg de Saverne 36
Werner Charles Frédéric, ministre du St Evangile à Wasselonne (Sub.on 1857)

N 23, maison, sol et jardin, faubourg de Saverne 36
Contenance : 3,95
Revenu total : 142,05 (140 et 2,05)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 29 / 23
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 211 case 2

Werner Charles Frédéric, ministre du St evangile à wasselonne
1863 Robert Pierre François receveur de l’octroi
1868 Robert Pierre François veuve et Magnien Auguste

N 23, maison, sol, Faubourg de Saverne 40
Contenance : 3,95
Revenu total : 142,05 (140 et 2,05)
Folio de provenance : (4)
Folio de destination : 211
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 29 / 23
fenêtres du 3° et au-dessus :

maison
Revenu total : 179,05 (177 et 2,05)
Folio de provenance : 211 add.on
Folio de destination : 211 agrand.
Année d’entrée : 1865
Année de sortie : 1870
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 45 / 36
fenêtres du 3° et au-dessus :
1865, Augmentations – Robert Pierre F.çois f° 211, N 23, maison, revenu 177, addition de construction, achevée en 1862, imposable en 1865, imposée en 1865
Diminutions – Robert Pierre François f° 211, N 23, maison, revenu 142, addition de construction en 1862, supp. en 1865, voir les augmentations

maison
Revenu total : 202,05 (200 et 2,05)
Folio de provenance : 211, agt.
Folio de destination : theilw. zerst. Berichtigung
Année d’entrée : 1870
Année de sortie : 1871
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 39 / 37
fenêtres du 3° et au-dessus :
Année 1870, Augmentations – Robert Pierre François veuve et Magnier Auguste f° 211, N 23, maison, revenu 200, addition de construction, achevée en 1867, imposable en 1870, imposée en 1870
Diminutions, 1867, Robert Pierre François Veuve et Magnier Auguste f° 211, N 23, Maison, revenu 177, addition de construction en 1867, supp. en 1870

Haus
Revenu total : 178,05 (176 et 2,05)
Folio de provenance : 211
Folio de destination : theiw. zerst.
Année d’entrée : 1871
Année de sortie : 1875
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 39 / 37
fenêtres du 3° et au-dessus :
Diminutions, Robert Pierre f° 211, N 23, revenu 200

maison,
Revenu total : 202,05 (200 et 2,05)
Folio de provenance : Retf.
Année d’entrée : 1875
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 47 / 39
fenêtres du 3° et au-dessus :
Jahrgang 1875, Zugang – Robert Peter Franz f° 211-II, N 23, maison, revenu 200, rectification

Cadastre napoléonien, registre 24 f° 239 case 1

Robert Peter Franz Wittwe & Magnien August
1880 Werner Sebastian, Gastwirt
1901 Kieffer Johann Philipp in Eckbolsheim und Ehefrau Maria geb. Graff in Gütergemeinschaft
1903 Blum Armand Güterhändler u. Ehefr. Berthilde geb. Levy in G.G.

N 16, Hofraum, Haus, Kronenburgerstrasse 40
Contenance : 3,95
Revenu total : 204,05 (200 et 2,05)
Folio de provenance :
Folio de destination : Vergröß.
Année d’entrée : 86/87
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 59 / 47
fenêtres du 3° et au-dessus :
Jahrgang 1886/87, Zugang – Wernert Sebastian f° 239-I, N 16, Vorderhaus &&, Reinertrag 245, Vergrößerung, vollendet 1883/84, steuerbar 1886/87
d°, N 16, Hinterhaus, Reinertrag 105, Vergrößerung, vollendet 1883/84, steuerbar Abgang – Wernert Sebastian f° 239-I, N 16, Haus, Reinertrag 200, Vergrößerung, 1886/87

Vorderhaus
Revenu : 246
Folio de provenance :
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 50 / 46
fenêtres du 3° et au-dessus : 8 / 6

Hinterhaus
Revenu : 105 (total 352,05)
Folio de provenance :
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 30 / 16
fenêtres du 3° et au-dessus : 10 / 8

Cadastre allemand, registre 31 p. 222 case 1

Parcelle, section 53, n° 16 – autrefois N 16
Canton : Kronenburger Strasse Hs. Nr 40, Grünbruchstrasse 31 – Rue du Faubourg de Saverne, rue du Marais Vert
Désignation : Hf, 2. Whs. N.G. – sol de maison
Contenance : 3,77 / 2,42
Revenu : 3600, 6000, 5500, 5200
Remarques : 1910 Berufung
1913 Minder.
1949 dim à p. 288 c. 4

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1935), compte 1866
Blum Armand und Ehefrau
1937 Buehné Frédéric et son épouse
(977)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1935), compte 5663
Sieffert Alfred Louis Léon Emile Joseph directeur Général
1949 Boehly Joseph son épouse à Boulogne sur Seine
(890)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton II, Rue Faubourg de Saverne f° 43
(maison n°) 36

Pro. Wernert, Marie Veuve – Marechaux
lo. Wernert, Jacob, Marechal

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Kronenburgerstrasse (S. 89)

(Haus N°) 40
Matter, Wirt. 01
Flach, Oktroibeamter. 2
Schneider, Schutzm. 2
Uetz, Lagerist. 2
Debes, Motorführer. 3
Lux. Wwe. 3
Beck, Tagnerin. H 0
Blumer, Tagner. H 1
Brossard, Wwe. H 2

Dossier de la Police du Bâtiment, Rue du Fbg. de Saverne 40 (I), voir aussi rue du Marais Vert 31 (cote 789 W 250)

Une auberge est exploitée par Jean Philippe Kieffer (1900) puis Joseph Matter (1904, 1906). Ses locaux donnent à la fois sur le Faubourg de Saverne et la rue du Marais Vert. L’aubergiste est ensuite E. Paulus (1919) puis Eugène Thuet (restaurant de la Rose, 1921). La Police du Bâtiment refuse en 1921 des transformations contraires au règlement à l’étage supérieur. Le cabaretier est successivement Sieffer (1923) puis Helbling (1925 ). Le restaurant, agrandi en 1932, a pour enseigne l’Ours Noir (1933, jusqu’en 1959), il est exploité par Bignet (1936), Alfred Haas (1941) puis Charles Breidt (1946).
Le restaurant à l’Ours noir devient en 1959 le cabaret Le Papillon, exploité par Georgette Garcia (1959) puis Colette Luttenbacher (1975), qui est ouvert jusqu’à quatre heures du matin à partir de 1980. Il est repris en 1986 par Josette Napolitano.

Sommaire
  • 1896 – La Police du Bâtiment notifie Sébastien Wernert, domicilié sur place, de ravaler la façade – Le dossier de l’entrepreneur en bâtiment Artelli est transmis à la préfecture. Réparation du crépi à la maison Wernert, 40, rue de Cronenbourg – Accord
  • 1900 – Le peintre en bâtiment Schmoele (14, Grande rue de la Grange) demande l’autorisation de poser un échafaudage devant le 40, rue de Cronenbourg et le 31, rue du Marais Vert – Autorisation – Travaux terminés, juillet 1900
  • 1900 (juin) – Dossier concernant l’exploitation d’une auberge par le sieur Kieffer. Rapport d’expertise: les cabinets d’aisances sont raccordés à l’égout communal, ceux destinés à l’auberge devront être installés au rez-de-chaussée
  • 1904 – Dossier : non-lieu concernant des sommes que l’aubergiste Jean Philippe Kieffer en état de faillite doit à la Ville pour droit de lanterne. Les créances ont été reprises par le marchand de biens Armand Blum (22, rue du Faubourg de Pierre). La brasserie Ehrhard de Schiltigheim a loué le local d’auberge au retraité Joseph Matter
  • 1902 – La Brasserie du Pêcheur (J. Ehrhard) demande l’autorisation de poser un volet roulant – Autorisation – Travaux terminés, juin
  • 1904 – Extrait du courrier à la préfecture: une fosse dans l’étable de Joseph Matter n’est pas couverte. Rappel (propriétaire, Armand Blum), travaux terminés, août 1905
  • 1907 – Rapport de feu de chambre au deuxième étage – La Police du Bâtiment n’a pas d’observation à formuler
  • 1911 – L’entrepreneur en bâtiment Xavier Matter (9, rue des Lentilles) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour crépir la maison – Autorisation par la préfecture – Autorisation par la Police du Bâtiment – Travaux terminés, avril
  • 1916 – La Commission des logements militaires objecte que les tuyaux de poêle traversent le plancher dans l’auberge Matter et l’appartement Blanpert – Rapport de visite – Courrier à Joseph Matter – Travaux terminés
  • 1916 – Rapport de la Commission des logements militaires sur le 40, rue de Cronenbourg et le 31, rue du Marais Vert (trois pages)
    40, rue de Cronenbourg – Auberge Matter, appartements du premier étage (Matter, Lampert), du deuxième étage (Matter, Wraminkel), des mansardes, appartements du bâtiment latéral droit, du bâtiment latéral gauche (Elsner au 1° étage, Blümer au 2° étage)
    31, rue du Marais Vert – Auberge Matter, appartements du premier étage, du deuxième étage (Fessler, Marx)
    Note, au mois de juin 1923, Marx Auguste agé de 31 ans est + de la tuberculose
  • 1919 – Dossier à la préfecture. E. Paulus demande l’autorisation de continuer à exploiter l’auberge au 40, faubourg de Saverne. Rapport de visite : Vers le Faubourg de Saverne le local n’a pas la hauteur réglementaire (2,55 au lieu de 3,50 m), la porte d’entrée s’ouvre vers l’intérieur et non vers l’extérieur, le toit vitré doit être nettoyé. Vers le Marais Vert, il faut ravaler la façade, supprimer une trappe et faire différentes améliorations. Hormis la hauteur, les locaux sont conformes à l’arrêté ministériel du 24 mars 1890
  • 1921 (janvier) – Eugène Thuet (restaurant de la Rose) demande à la Police du Bâtiment de visiter les lieux après que le commissariat lui a demandé de supprimer la trappe et de réparer le siège des cabinets d’aisance. – Travaux terminés, décembre 1921
  • 1921 (octobre) – Armand Blum, propriétaire, demande l’autorisation de transformer le quatrième étage, à la fois au 40, rue de Cronenbourg et au 31, rue du Marais Vert. La Police du Bâtiment refuse, le projet contrevient au règlement puisque l’étage en question est construit en pan de bois et que le nouveau logement dépasserait l’entrait supérieur. En janvier 1923, la Police du Bâtiment informe le nouveau propriétaire, le sieur Ipona, que l’autorisation d’exhausser la maison ne sera pas accordée. – Plans
  • 1923 – Suite à une plainte concernant les cabinets d’aisance, la Police du Bâtiment invite le cabaretier Sieffert à remettre les lieux en état – Travaux terminés, décembre 1923
  • 1923 – L’entrepreneur demande à la préfecture l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour ravaler la façade. Autorisations de la préfecture et de la Police du Bâtiment
  • 1925 – Dossier à la préfecture. Le sieur Helbling demande l’autorisation de continuer à exploiter le débit de boissons. Les locaux sont conformes à l’arrêté ministériel du 24 mars 1890.
  • 1926 – La Police du Bâtiment constate que Baruch Perkal a fait poser une enseigne plate sans autorisation. Demande, autorisation
  • 1928 – Le locataire Dondeville se plaint que l’évier et les cabinets d’aisance sont bouchés (propriétaire, Sieffert, chef de bureau, domicilié 9, rue des Arquebusiers, locataire principal, Irrmann au deuxième étage)
  • 1933 – La Brasserie du Pêcheur demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse au faubourg de Saverne (auberge à l’Ours Noir) – Dessin Autorisation
  • 1932 – Alfred Siffert (3, rue du Général Rapp) demande l’autorisation de faire des travaux – Autorisation de transformer les locaux pour agrandir le restaurant au rez-de-chaussée du 40, rue du Faubourg de Saverne et 31, rue du Marais Vert, entrepreneur Urban et compagnie (1 rue Schertz à la Plaine des Bouchers) – Avenant après modification des plans – Dessins – Lors du suivi des travaux, la Police du Bâtiment constate que le pilier de fer placé au rez-de-chaussée sous la sous-poutre n’est pas revêtu de matériaux incombustibles – La Police du Bâtiment fait dresser un procès verbal de contravention (mai 1933). Le restaurant est ouvert sans que la réception ait pu avoir lieu – Octobre 1933, toutes les prescriptions ont été appliquées, la Police du Bâtiment délivre le certificat de réception
    1933 (avril) – La Police du Bâtiment notifie Alfred Sieffert de faire ravaler la façade du 40, rue du Faubourg de Saverne – Travaux terminés, avril
  • 1936 – Le locataire et restaurateur à l’Ours Noir, le sieur Bignet, en liquidation judiciaire se plaint de la cheminée. La Police du Bâtiment estime que la plainte n’est pas fondée.
  • 1941 – La Police du Bâtiment constate que l’aubergiste à l’Ours Noir Alfred Haas a posé une lampe sans autorisation – Demande – Autorisation
  • 1946 – La Brasserie du Pêcheur informe la Police du Bâtiment que son locataire, M. Breidt, a retiré les trois lampes
  • 1948 – Dossier de la préfecture. Charles Breidt demande l’autorisation de continuer à exploiter le débit de boissons. Les locaux sont conformes aux règlements sauf la hauteur des locaux (2,50 au lieu de 3,50 mètres)
    2960 – Robert Hickel (enseignes, 109, avenue Jean-Jaurès au Neudorf) demande l’autorisation de poser une enseigne pour le compte de Fernand Meyer (réfection de couvre-pieds, 40-42 Faubourg de Saverne) – Autorisation
  • 1949 – Le maître mécanicien Herberich qui va acquérir le 40-42 Faubourg de Saverne demande l’autorisation de démolir une annexe qui menace de s’effondrer et où habite une vieille femme – La Police du Bâtiment ne peut visiter les lieux, la locataire étant absente, mais ne constate aucun signe de vétusté
  • 1950 – L’architecte Ernest Andres transmet à la Police du Bâtiment la demande de la Brasserie du Pêcheur (7, rue de Bischwiller à Schiltigheim), locataire principal de la maison, qui souhaite poser une enseigne – Dessin – Autorisation
  • 1959 – Mme Georgette Garcia née Gontero demande l’autorisation de continuer à exploiter le débit de boissons Le Papillon, anciennement à l’Ours Noir. Le locaux en cours de réfection sont conformes aux prescriptions. Arrêté du préfet qui mentionne que M. Seltensperger a cédé son fonds à la requérante le 3 avril 1959
    1959 – Georgette Garcia est autorisée à poser une enseigne
    1959 – La Police du Bâtiment constate que la Brasserie du Pêcheur a fait poser sans autorisation une enseigne sur lambrequin – Autorisation
    1960 – Georgette Garcia (Papillon Bar) est autorisée à poser une enseigne lumineuse plate (Cabaret, attractions)
  • 1968 – M. Tresch (82, route des Romains à Kœnisgshoffen) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique
  • 1970 – Les brasseries du Pêcheur font remarquer qu’elles n’ont plus d’enseigne au 40, rue du Faubourg de Saverne
  • 1975 – Colette Luttenbacher née Georgin est autorisée à exploiter le débit de boissons de quatrième catégorie Le Papillon. Lors de la visite des lieux, la Police du Bâtiment constate que les locaux comprennent une salle de spectacle (109 m²), une cuisine, quatre cabinets d’aisance, deux loges d’artiste, le tout au rez-de-chaussée – Rapport de la commission de sécurité
  • 1976 – Rapport du commissaire de police au contrôleur général après des visites inopinées dans différents établissements recevant du public
  • 1980 – L’arrêté préfectoral du 4 mars 1980 qui autorise Armand Luttenbacher à ouvrir jusqu’à quatre heures du matin le débit de boissons Papillon bar est reconduit
  • 1991 – Les notaires associés Krantz et Grieneisen (à la Wantzenau) demandent une fiche de mutation sans modification d’état – Extrait du plan cadastral (dossier Lucien Tresch)
  • 1986 – Josette Napolitano est autorisée à exploiter le débit de boissons de quatrième catégorie Le Papillon et à le laisser ouvert jusqu’à quatre heures du matin

Relevé d’actes

Propriétaire de la maison au milieu du XVII° siècle, le tailleur Jean Krafft a épousé en 1634 Barbe Hochmann, fille de menuisier

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 22-v)
1634. Hanß Krafft d. Schneid. Vnnd Burg. alhie, J. Barbara Niclaus Hochmurs* deß Schreiners alhie nachgelaßene tochter 22. Apr: (i 24)

Après la mort de Jean Krafft, la maison est attribuée à sa fille Dorothée par un acte de partage passé en 1675 mais non conservé (voir les titres de la maison à l’inventaire de 1676). Dorothée Krafft épouse le maréchal ferrant Jean Georges Stumpff en 1673 : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration

Copia der Eheberedung – Zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Meister Hannß Georg Stumpffen dem ledig. huffschmidt u. burger alhie Zu Straßburg ams bräutigamb an einem, So dann d. Ehren und Tugendsamen Jungfrauen Dorotheæ, des auch Ehrs; und bescheidenen Meister Hannß Crafften burg. vndt Wächters auff hiesigen Münster eheliche tochter als hochzeiterin am and. theil – So beschehen und Verhandelt inn Straßburg Montags d. 22. Aprilis im Jahr des herrn als man Zahlte 1672, David Ösing. Junior notarius Cæsareus public.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 152-v, n° 18)
1672. Hannß Georg Stumpf der ledige Huffschmidt und J. Dorothea Hannß Krafften des Burgers und Schneiders allhie Ehl. Tochter, Donnerst. 9. Maÿ (i 154)

Jean Georges Stumpff hypothèque la maison au profit du jardinier Abraham von Fridolsheim

1680 (19.1.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 46-v
Hannß Georg Stumpff der Hueffschmidt
in gegensein Abrahams Von Fridolßheim Abrahams Sohns gartner Vnderwagner – schuldig seÿe 50. lb
unterpfand, hauß hoffstatt mit allen deren Gebäwen alhier in der Cronenburger Straß in der newen Zeilen, einseit neben Andres Lixen Gartners Vnderwagner, anderseit neben Samuel Schübler dem Sattler, hinden uff Martin Vixen stoßend gelegen

Jean Georges Stumpff meurt en 1686 en délaissant une fille. La maison est estimée 500 florins par les experts de la Ville ; elle doit deux loyers à la Ville, l’un de 12 sous pour un auvent et l’autre de 10 sous pour un travail. Les titres comprennent le partage des biens de Jean Krafft, père de l’épouse (1675). La masse propre à la veuve s’élève à 63 livres. Les biens des héritiers sont estimés 232 livres. L’actif de la communauté s’élève à 510 livres, le passif à 130 livres

1686 (16. Xbr), Not.Kitsch (Jean, 1 AH 6106) n° 150
Inventarium undt beschreibung aller und Jeder, Verändert undt Unveränderter haab und Nahrung, so weÿl. d. Ehrenhaffte Meister Hannß Georg Stumpff Gewes. huffschmidt burger alhier Zu Straßburg, nach seinem den 6. Septembr: Jüngsthien genommenen tödtlichen Hinscheid. Hinder Ihne Verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches ansuch. erfordern u. begehren des Ehrenhafften Meister Hannß Prülingers hueffschmidts burgers alhier [zu gedac]hten Straßb. als geordnet und geschworenen Vogts Barbaræ des Verstorbenen seel. mit der hinderbliebenen wittib ehelich erzeügt. döchterleins und ab intestato nachgelaß: eintzig. Erbin, durch ged. wittib die Ehren und tug.sahme fr. Dorotheam Crafftin, mit beÿstand des Ehrenvesten vorgeachten H hannß Conrad Wörners hueffschmidts burgers alda Ihres geschwornenn Vogts – Welchen besch. in mehrged. Statt Straßb. Montags den 16. Xbriis. 1686.

In einer in d. statt Straßburg inn d. Cronenburg. straß od. Newen Zeilen geleg. in dieße Verlaß.schafft gehörig. behaußung hatt sich befund. wie volgt
Hultzenwerck. auf d. obern bühn A, In der Cammer C, Im obern stübel, In d. obern stub Cammer, In d. Cammer D, Vor dieser Cammer, In d. Wohnstuben, In d. Kuchen, Im haußöhren, Im hoff, Im Keller
Eÿgenthumb ane Einer behaußung, so theilbar. Ein hauß u. hoffstatt mit sampt einem höfflein biß uf 4 Schuh Von dem Euch pfohl dar zu einem gemeinen brunen auch allen and. Ihren gebäwen, begriffen, weiten, recht. u. Zugehördt. geleg. alhie in d. Statt Straßburg vorstatt und. wagnern in d. Cronenburg. Straß einseit neben Samuel Scheübler dem Sattler and. seit Hn Andres Luxen dem Gartner Und. wagner u. E.E. kl: Raths beÿsitzern, hind. uff Martin Vixen stoßend gelegen, davon gehnd Jahrs 6 ß 3 d Zinß dem Stifft Jung. St: Peter So dann 12. ß Jährlich Zinß Von einem wetter dach gemeiner Statt Straßb. Pfenningthurn Jahrs auff Martini, wie auch 10. ß d gedacht. Statt Pfenningthurn vor die gerechtigkeit eines noth pferdtstalls auff gemeinen Allmend so d. nothpferdtstall Zwar ohnerachtet d. dar zu gehörige holttz schon gezimmert u. vorhand. annoch nicht auffgerichtet, gleichwohlen man ab. gebührend. Zinß bis dato erstattet und Zuerstatt. u. erbietig, sonst. Ist diese behaußung Catharinæ Rauch hanß Georg Rauch. des verzogenen küefers mit weÿl. fr. Maria Crafft. seel: ehelich erzeugt. Tochtlein, annoch umb 31. lb 13 ß 4 d kauffschillings rest so Jahrs auf Adolphi mit 1 lib 5 ß d zuverzinnß. verhafftet und ist diese behaußung ohne die darauff stehend beschwerdten durch die Geschworne Werckmeister crafft der beÿ mein Notarÿ Concept habend. Abschatzung æstimirt word. 250 lb. die darauff stehende beschwerten Zu capital gerechnet thun 74 lb 10 d, Restirt also dahier 175 lb 19 ß 2 d
([biffé]) Pro nota weg. erst vorstehend. Schmidt behaußung hat man Von Gn.r obrigkeit die Erlaubnus gehabt ein Nothpferdt stall Zu bawen, so mann dann derentweg. Jahrs 10 ß d erlegen müßen, Es ist aber biß dato keiner auffgerichtet word.
Uber vor beschriebene behaußung meldet ein in alhiesig. Cancellleÿ Contract stuben auffgerichtete Kauffverschreibung, mit dero anhangenden Insigel verwahrt signirt mit N° 1. datirt d. 26. tag. Febr: 1610. Wie diese behaußung d. Verstorb. seel. undt die hin. bliebene wittib an sich gebracht meldet einen theil Register über weÿl. hanß Crafft. des Schneid.s u. burg. alhie seel. Verlassenschafft Anno 1675 p. H. Philipp Heinrich Theum Notarium publ. auffgericht.
– Abschatzung Mitwochs d. 19. feb: 1687. Weillandt deß Ehrenhafften Vnd bescheidenen Meister Johann Georg Stumpff burger und huoffschmidt der; hinderlaßene fraw Wittib Und Erben, behaußung, alhie in der Cronnen burger straß, Ein seitzes Neben Jacob federle dem gartner, anderseit neben Meister Samuell Schibler dem satler hinden auff Martin fix dem gartner stoßent Welche behaußung Sampt höfflein und einen gemeinen bronnen auch allen dero begriffen recht Und gerechtig Keit Wie solches durch die geordnete Werckleieite befunden Und dem Jetzigen preiß Und Werth Nach angeschlagen Vor Vnd Vmb Vinff hundart Gulden, Bezeigens der Statt Straßburg geschworne Werckhleite, Joseph Lauttenschlager alter Werckmeister, Johannes Feÿlotter Werck Meister deß Zimmer hoffs, Johannes Berga Werck Meister des Maurhoffs.
Norma hujus inventarÿ. Copia der Eheberedung
d. Wittib ohnveränd.t eÿgenthümblich. v.mög. Sa. haußraths 10, Sa. Silbers 2, Ergäntzung, auß einem theilregister üb. weÿl. hannß Crafften gewes. Schnei. undt burgers auch wächters auf dem Münst. u. Barbara hohmännin beed. Eheleuth d. wittib geliebt. Eltern beed seel. Verlaßenschafft, durch Hn Philipp Heinrich Theum Notm. publ. d. 23. et 26. Aug. 1675 (49 lb, Sa. abgangs 1 lb, über abzug) 48, Summa summarum 63 lb
Auff solches volgt die beschreibung des döchteleins und eintzig. Erb. ohnverändert eÿgenthümbliche nahrung, Sa. haußraths 41 Sa. Ergäntzung, Auß einen Extract Special Theilregisters Concept so der verstorbene seel. beÿ weÿland Meister Jacob Stumpff gewes. huefschmidts seines Vatters seel. verlassenschafft. abtheÿlung durchs loos bekommen u. weÿl. Herr David Ösing. gewes, Junior Notarius seel. in aô 1672 auff gezeichnet (Sa. 193, abzuziehen 17 ß, bezahlt 1, Gegeneinander Vergleich) 191, Summa summarum 232 lb
Endlich wirt auch d. gemein, v.ändt. undt theilbahr guth beschrieben, Sa. haußraths 38, Sa. werckzeugs wie auch gemechte undt ohngemach arbeit Zum Schmidt handwerck gehörig 53, Sa. frucht 7, Sa. Weins und lehrer Vaß 6, Sa.Silbes 6 ß, Sa. theilbazre baarschafft 37, Sa. Eÿgenthumb ane einer behausung 175, Sa. Schulden 191, Summa summarum 510 lb – Schulden 130
Conclusio finalis Inventarÿ 426. lb – Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüter so theilbar 100 lib
Copia der Eheberedung -(…) Straßburg Montags d. 22. Aprilis im Jahr des herrn als man Zahlte 1672, David Ösing. Junior notarius Cæsareus public.

Dorothée Krafft se remarie en 1687 avec le maréchal ferrant Jean Georges Werner : contrat de mariage lors duquel l’épouse assure l’usufruit de la maison à son mari (original et copie dans le registre), célébration

1687 (18.6.), Not.Kitsch (Jean, 1 AH 5972)
Eheberedung – zwischen dem Ehrenhafften Hannß Georg Wörnern, ledigem Huffschmidt, weÿl. des Ehrengeacht. Herrn Hannß Georg Wörners gewesenen Hueffschmidts undt burgers alhier Zu Straß. seel. ehelich erzeugten hinderlaßen Sohn, alß Hochzeiter an einem,
So dann der Ehren und tugendsahmen Frawen Dorothea Crafftin weÿl. Hannß Georg Stumpffen auch geweßenen Huffschmidts und eb.mäßigen burgers alhier seel. nachgelas. wittib als der Hochzeiterin am andern theil

darnach und vor das And. will die fraw hochzeiterin Ihrem geliebten Hochzeith. Ihre inn Cronenburg. Straß gelegen. Von Ihrem döchterlein Jüngst angenommene Ihro nun mahls eÿg.thumblich. gehörige behaußung Zu einem lebtägig. wÿdems Zu genieß. Vermacht haben, doch daß selbiger die darauff stehende Jährliche beschwerdt abrichte und solche inn gebührenden bawerhalts auch deß dieß. wÿdemb nach des. todt auff d.selben Erben rückfällig seÿn solle – Welches beschehen undt verhandelt inn Straßburg Mittwochs den 18. Junÿ A° 1687

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 208, n° 32)
1687. Hannß Georg Werner led. Huffschmitt Hans georg Werners Huffschmits und burgers alhie hinterl. ehl. Sohn, fr. Dorothea hans Georg Stumpffen huffschmits und burgers allhie hintel. wittib (i 209)

1687 (18.6.), Not.Kitsch (Jean, 1 AH 5891, Protocole) f° 223
Eheberedung Hannß Georg Wörners Ledigen Hueffschmidts undt Frawen Dorotheæ Crafftin, Weÿlandt Hannß Georg Stumpffen auch geweßenen Hueffschmidts seel. hinterlaßenen wittib

Dorothée Krafft meurt en 1692 en délaissant une fille de son premier mariage et deux du deuxième. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire de 1686. La masse propre à la veuve s’élève à 1 770 livres, celle des héritiers à 990 livres. L’actif de la communauté s’élève à 214 livres, le passif à 499 livres.

1692 (19.8.), Not.Kitsch (Jean, 1 AH 6259) n° 363
Inventarium und Beschreibung aller undt Jed. Haab undt Nahrung, so weÿl. die Ehren undt tugendsahme fraw Dorothea Crafftin, deß Ehrsamen undt bescheidenen Meister Hannß Georg Werners, hueffschmidts burgers alhier Zu Straßb. gewes. eheliche haußfrau nunmehr seelige, nach Ihrem d. 13. Maÿ Jüngsthien tödlich. genommenen hienscheid. hind. Ihro Verlaß., welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehrenhafften Hannß Jacob Bäst. Waffenschmidts burgers Zu gerührten Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Jungfr. Barbaræ Stumpffin undt deß Ehrengeacht. Hannß Ulrich Dürrenbergers, wagners burgers alhier als geordnet und geschworenen Vogts Dorotheæ, Evæ und Hannß Georgen der Wörner aller Vier der verstorb.en seelig in Zwoen Ehen mit weÿland dem Ehrsamen hannß Georg Stumpffen gewes hueffschmidt undt burgern alhier und dem hind.laß.en wittib. ehelich erzeugter Kind. undt ab intestato nachgelaßener Erben – beschehen Straßburg Dienstags den 19. Aug. ao. 1692.

In einer inn der newen Zeilen od. Cronenburg. straß gelegenen in dieße Verlaß.schafft gehörig. undt hernacher beschrieb.en behaußung hatt sich befund. wie volgt
Hultzen: und Schreinerwerck. Auf d. obern bühn, In d. Cammer A, In d. Cammer B, In d. Cammer C, vor dieß. Cammern, Im obern Stüblein, Inn d. Stub Cammer, In d. Cammer D, In d. Soldat. Cammer, Im Nebensstüblein, Vor dem Obern Stüblein im haußöhren, Inn d. Undern stuben, In d. Kuchen, Im haußöhren, Im Keller
Eÿgenthumb ane einer Behaußung (E.) It. hauß undt hoffstatt, mit sampt einem höfflein biß auf 4 Schuh Von dem Eÿchpfohl, darzu einem gemeinen bronnen, auch allen and.en Ihren gebäwen, begriff., weit., recht. u. Zugehördt. geleg. alhier inn d. Statt Straßb. vorstatt und. wagnern in d. Cronenburg. Straß, eins. neben Samuel Scheübler, dem Sattler, and.s. Jacob Fed.le Gartnern, hind. auff Martin Vixen stoßend geleg., davon gehnd Jahrs 6 ß 3 d bod. Zinß dem Stifft Jung. St: Peter. Ferner 12. ß Jährl. Zinß Von einem wetterdach gemeiner Statt Pfenningthurn Jahrs auff Martini. Wie auch 10. ß d gedachter Statt Pfenningthurn vor die Gerechtigkeit eines noth pferdtstalls auf d. gemeinen Allmendt Jahrs Auff Annunciationis Mariæ. So dann Catharinæ Rauchin hanß Georg Rauch. des verzogenen Küefers mit weÿl. fr. Maria Crafftin seel: ehelich erzeugtem Tochterlein Jahrs auff Adolphi 1 lb 5 ß lößig mit 31. lb 13 ß 4 d Kauffschillings Rest Und ist diese behaußung ohne die darauff stehendte beschwerdt. durch die geschworne Werckmeister in aô 1686 als d. wittib erst. Ehe Mann verstorben æstimirt p. 250. lb. die darauff stehendte beschwerdt. Zu capital gerechnet thun 74 lb 10 d, Restirt also annoch außzuwerff. 175 lb 19 ß d
Uber vorbeschriebene behaußung meldet ein in alhiesiger Cancellleÿ Contractstub auffgerichtete verschreibung, mit d.o anhang.dem Insigel verwahrt, signirt mit N° 1. datirt d. 26. Febr: 1610. Wie diese behaußung hannß Georg Stumpff u. die Verstorb. seel. ane sich gebract meldet einen theil Register üb. weÿl. hanß Crafft. des Schneid.s u. burg. alhie seel. Verlaß. de aô 1675. durch H. Philipp Heinrich Theum Not.m publ. auffgerichtet
Copia der Eheberedung (…) Welches beschehen und verhandelt in Straßburg Mittwochs den 18. Junii Anno 1687.
Sa. Zweiffelhaffte Schulden 87 lb
deß wittibers ohnverändert Vermög. Sa. haußraths 29, Werckzeug Zum Schmidt handwerck gehörig 2, silb. 5 ß, Guldener Ring 15 ß,
Ergäntzung, auß dem Theilregister üb. weÿl. Fr. Evæ Wickherin auch weÿl. herrn hannß Georg Werners gewes. hueffschmidts burg. alhie Zu Straßburg seelig. hind.laß.er wittib des wittibers Mutter auch seel. Verlaß.schafft durch Hn Andream Schmidt. d. Not. in aô 1688 d. 23. Jan: aufgerichtet. Vor diß berichtete der wittiber daß Er beÿ seiner angetrett.er von seiner Mutter seelig 100. rthlr. empfang., welches auch sein Schwag. H. Sebast. Vetter hueffschmidt auch also gemeldet (…), Summa 267 lb, Ist wieder abzuzieh. 5, Zu ergäntz. 262 lb, Summa summarum 295 lb
Auff solches volgt auch d. Erben ohnverändert. eÿgenthümbliche Nahrung, der haußrath 67, Werckzeug zum Schmidt handwerck gehörig 15, Silber 2, Gulden. Ring 4, Eÿgenthumb ane einer behaußung 175 lb, Schulden 9,
Ergäntzung, auß dem Inventario über weÿl. hannß Georg Stumpff. gewes. hueffschmidts burg.s alhier Zu Straßb. d. v.storb. seel. vorig. und erstern haußwürths seel. v.laß.schafft in Anno 1686. den 16. Xbr durch mich vor: und nachgemelt Notm auffgerichtet 284 lb, abzuziehen 166 lb, Solchem nach 118 lb – Summa summarum 393 lb – Schulden 284 lb, restiret 108 lb
Solchem nach undt endlich wird nun auch d. gemein, verändert und theilbar guth beschrieb. haußrath 33, Werckzeug zum Schmidt handwerck gehörig 36, Frücht. 1, Silber 6 ß, Guld. ring 15 ß, Baarschafft 56, Schuld. 85 lb, Summa summarum 214 lb – Schulden 499 lb, theilbare Schulden üb.treffen die theilbar v.laß.schafft umb 295 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 422. lb

Jean Georges Werner se remarie en 1692 avec Marguerite Pfitzer veuve du jardinier Georges Rinck
Copia der Eheberedung – Zwischen dem Ehrengeachten Hanß Georg Werner dem Huoffschmid und Burgern Zu Straßburg als dem Bräutigamb ahne einem, So dann der Ehren und Tugendsamen Frauwen Margaretha Rinckin gebohrner Pfitzerin, Weÿland deß Ehrengeachten Georg Rincken geweßenen Garttners Vnderwagnern und Burgers alda hinderbliebener Wittibin, als der Hochzeiterin andern theÿls
Uber daß und Zum Vierdten hat der hochzeither seiner geliebten fraw Hochzeiterin dafern Er vor derselben versterben solte, Zu einem lebtägigen Wÿdumb bestimbt und verordnet seine in der Statt Straßburg Vorstatt außerhalb des Speÿerthors ahne der Neuwen Zeilen gelegene Schmidts behaußung, sampt dem Verlaßenden Werckhzeug Zum Schmidt Handwerckh gehörig – so beschehen In wohlermelter Königlichen freÿen Statt Straßburg Mittwochs den 19. Novembris Newen Calenders Anno 1692. – Johann Friderich Marbach Notarius publ. juratus

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 40)
den 3. d.cembris A. 1692 seind Copulirt Worden Hannß Georg Werner huffschmid Und Burger alhie Und Fraw Margaretha Georg Rincken gartners V. burgers alhie hinterlassene Wittib [unterzeichnet] Hanß görg Werner, m dises hat Hochzeiterin hieher gesetzt (i 41)

Les héritiers de Dorothée Krafft cèdent leurs parts de la maison au veuf, Jean Georges Werner

1692 (13. 8.bris), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 659-v
[in margine, de l’acte barré :] Pro Nota dieße Verschreibung ist ohngeachtet deß X striches wid. gültig
weÿl. Dorotheæ Krafftin, mit auch weil. hans Georg Stumpffen, gewesenen huffschmidt in erster ehe erzeugt. töchterleins Barbaræ Vogt, hans Jacob Bästen des Waffenschmid und Schleiffers, So dann derselb. mit hans Georg Werner dem huffschmid in anderer Ehe erzeugten Zweÿ lebend. töchterlein Dorotheæ und Evæ Vogt hans Ulrich Dannenbergers der wagner
vorged. hans Georg Werners, Ihrer beed. Vogts Kinder respect. Stieff und leiblich. Vatters
dreÿ Vierdte theil für ohnvertheilt an hauß und hoffstatt mit allen deren gebäuen, recht. und zugehördt. allhier in der Vorstatt und* alßo genandt d. Cronenburgerstraß einseit neben Samuel Schübler den Sattler, and. seit neben Jacob Federle den Garttner, hind. auff Martin Vixen den Garttner stoßend gelegen, von welcher gantzen behaußung gehend Jahrs 6 ß 3 d bodenzinß dem Stifft jung. St. Peter, Ferner 12 ß jährlichs Zinß von einem wetterdach gemeiner Statt Pfenningthurn, mehr 10 ß d. ged. Pfenningth. wegen der Gerechtigkeit eines Pferd Nothstalls auff d. Gemein Allmend, so seÿe dieselbe auch umb 31 lb (verhafftet) Zumahl dem Kaüffer d. übrige Vierdte theil vorhin eigenthümlich gehörig und die gantze behaußung Ihme Kaüffer von obged. seiner haußfrauen ad dies vitæ widembs weiß zu genüß. vermacht – umb 225 pfund

Suite au grand incendie qui a détruit la plupart des maisons à l’est de la rue, le jardinier Martin Vix vend à Jean Georges Werner le terrain et les vestiges des constructions qui donnent sur le Marais Vert. Jean Georges Wernert devient ainsi propriétaire d’un terrain qui s’étend du faubourg de Cronenbourg au Marais Vert

1695 (8.1.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 18
Martin Vix, Garttner Und Wagner
in gegensein Hans Georg Werners, deß hueffschmids
Ein abgebrandt hoffreüth, davon d. hauß und Scheur, sambt allderen Gebäuen so darauff gestand. beÿ der in A° 1693. entstandenen großen Feuersbrunst neben vielen andern auch verbrandt in der Vorstatt Cronenburg hind. an d. Neuen Zeilen im Grünenbruch, einseit neben Jacob Federle Garttnern Und. wagnern, anderseit neben Jacob Roßer den hueffschmidt hind. auff dem Käuffer selbst. stoßend gelegen, darvon gehend jährlich 6 ß 3 d bodenzinß dem Stifft Jung. St. Peter – umb 60 pfund

Fils de Jean Georges Werner, le maréchal ferrant Jean Jacques Werner épouse en 1719 Catherine Marguerite Frantz. La père cède à son fils la maison en s’en réservant la jouissance lors du contrat de mariage.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 78-v)
1719. d. 19. Aprilis sind Ehelich eingesegnet Word. Johann Jacob Werner der ledige Huffschmidt Und Burger alhie H Johann Georg Werners des Burgers Undt Huffschmidts alhie Ehelicher Sohn und Jungfr. Catharina Margaretha, Weiland Hn Johann Philipp Frantzen gewesenen handelsmanns Und Burger alhier nachgelaßenee Eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Werner Als hochzeiter, Catharina Margaretha Frantzin als hochzeiterin (i 81)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports

1719 (13.5.), Not.Brieff (Jean Philippe, 6 Not 6) n° 132
Inventarium und beschreibung aller der jenigen haab, Nahrung und güthere, Liegender und fahrender, überall nichts davon ausgenommen, so der Ehrengeachte Meister Johann Jacob Werner, burger und hueffschmidt, und die viel Ehren und tugendgezierte fraw Catharina Margaretha Frantzin beede neuangehende Eheleuthe einander in die Ehe zugebracht, welche Nahrungen umb der in dero mit einander auffgerichteten Eheberedung stipulirten künfftigen Ergäntzung willen – So geschehen Straßburg in fernerem beÿsen des Ehrengeachten herrn Johann Georg Werners deß huffschmidts, des Manns Vattern und H. Samuel Zangers burgers und Steinhauers der Fr. Stieffvatters den 13. May 1719.

Haußrath, welche in einer in der Cronenburger straß gelegenen und Herrn Wernern annoch Eÿgenthümblichen beeden Eheleuthen aber in der Eheberedung verschriebenben behaußung sich befunden
Deß Mannes ohnverändert guth, haußrath 123, Silber 3, Goldener Ring 5, baarschafft 114, Summa summarum 245 – Schulden 9, Nach Abzug restirt 236 lb
Der Fraw ohnverändert guth, haußrath 499, silbergeschirr 96, Goldener Ring 67, baarschafft 653, Summa 1217 lb
Haussteuren 139 lb

Jean Georges Werner cède la mitoyenneté du mur au tonnelier Georges Samuel Mosseder, son voisin vers l’est (actuel n° 38)

1721 (20.9.), Chambre des Contrats, vol. 595 f° 450
(33) hannß Georg Werner hueffschmidt
in gegensein Georg Samuel Moßeders Kieffers
die helffte eines steinernen die dicke eines gantzen steins haben den gäbels so Viel davon dies käuffers hauß beschließt, nemlich 36 schuh in der höhe und 30 schuh in der breite zwischen der beÿde contrahenten in der Cronenburger straß gelegen hinder auff die Cazernes oder Reuter ställ stoßenden behausungen – um 33 pfund

Jean Georges Werner meurt en 1726 en délaissant deux filles de son premier mariage et un fils de sa veuve. La masse propre à la veuve s’élève à 2254 livres. L’actif des héritiers et de la communauté est de 1 700 livres, le passif de 1 912 ivres. L’inventaire est dressé dans une maison qui n’appartient pas à la succession.

1726 (1. 9.br), Not.Lobstein (Jean, 31 Not 17) n° 374
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und güethere, so Weÿland der Ehren und Wohlvorgeachte Meister Johann Georg Wörner der geweßene Hueffschmid und burger allhier zu Straßburg nunmehr seel. als derselbe Sambstags den 14.ten Septembris dießes Zu end Lauffenden 1726.sten Jahrs dießes Zeitlichen in das Ewige Verwechßlt, nach solch seinem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, (…) durch die Ehren und tugendsahme Frau Margaretham Wörnerin gebohrne Pfitzerin, die hinterbliebene Wittib mit assistentz des Ehrenvesten David Riehlen, des ältern, Garthner Undterwagnern und burger allhier zu Straßburg, Ihres geschwornen Curatoris (…) geäugt und gezeigt – Beschehen in Straßburg auf Freÿtag den 1.ten Novembris et seq. Anno 1726.
Der Verstorbene seeliger hat zu seinen Erben ab intestato Verlaßen wie volgt. 1. Frau Dorotheam Dietzin gebohrne Wörnerin, Meister Johann Dietzen des Schneiders und burgers allhier Zu Straßburg eheliche haußfrau, Welche mit beÿhilff gedachten Ihres haußwürths dem Geschäfft in Persohn abgewartete, wie auch H. Joh: Caspar Mühlbergers der Schenckbecherischen Stifftung Verordneten Schaffners und E.E. großen Raths alten Assessoris Ihres erbettenen herren Assistenten, 2. Frau Evam Merckelin gebohrne Wörnerin, Meister Philipp Jacob Merckels des Kieffers und Weinhändlers auch burgers allhier Ehefrau, so sich gleichergestalten mit und beneben Ihres Haußwürth in Persohn beÿ dem Geschäfft eingefunden, Dieße beede des Verstorbenenn seel. in Erster Ehe mit auch Weÿl. Frauen Dorothea geb. Crafftin seel. ehelich erziehlte töchtere
Und dann 3. Meister Johann Jacob Wörnern den ältern, Huffschmid und burgern allhier der abgeleibten seel. in Letzter Ehe mit eingangs anheregter Frauen Margaretha geb. Pfitzerin seiner hinterbliebenen wittib ehelich erzeugten Sohn, Welcher ebenmäßig in Persohn Zugegen geweßen,
Alßo alle dreÿ des in Gott seelig entschlaffenen in Zwoen Ehen ehelich erziehlten Sohn und Frau Töchtere, auch ab intestato Zi gleichlingen portionen und antheilern Verlaßene Erben, welche aber diße Verlassenschafft anderer gestalt nicht als cum beneficio Legis et Inventarÿ anzutretten sich heirbeÿ außtrucklichen ercläret.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Cronenburger Straß gelegenen und in dieße Verlassenschafft nicht gehörigen Behausung befunden worden wie volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Cammer A, Vor dießem Gemach, In der Wohnstub, In der Wohnstub Cammer, In der Magd Cammer, Im Haußöhren Vor der Wohnstub, In der Cammer B, In der Kuchen, In der Soldaten Cammer, Im Keller
Wÿdemb Welchen die Wittib Von Weÿland Georg Rincken dem geweßenen garthner Underwagnern und burgern allhier Zu Straßburg Ihrem Erstern haußwürth seel. inhalt aufgerichteter Eheberedung ad dies vitæ Zu usufruiren hat
Ergäntzung der Wittib angegangenen ohnverändertn Guths, Inhaltt Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuth einander Vor unverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in Anno 1693. durch Hn Johann Friderich Marbach Not. nun seel. aufgerichtet hat
Abzug Zu gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 50, Sa. Silbergeschmeids 6, Sa. Goldener Ring 6, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 50, Sa. Eigenthumbs ane liegenden güthern 345, Sa. Lehen güthere 3, Sa. Ergäntzung (1813, Abgangs 21, In Vergleichung) 1792, Summa summarum 2254 lb
Der Erben ohnverändert und theilbahre Nahrung, Sa. hausraths 92, Sa. frucht 10, Sa. Gartenwahr 10 ß, Sa. Tabacks 10, Sa. Saamens auf dem veld 6, Sa. Lehrer Vaß 13, Sa. Silbergeschmeids 5, Sa. Goldenen Rings 1, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1550, Sa. Schulden 10, Summa summarum 1700 lb – Schulden 1912 lb, Passiv onus 211 lb
Gantze Verlassenschafft et Conclusio finalis Inventarÿ 2496 lb – Stall Summa 2284 lb
Wÿdemb Welchen der abgeleibte seeliger Von auch Weÿl. frauen Dorothea Wernerin geb. Crafftin seiner Erstern hausfrauen seel. ad dies vitæ genoßen hat
Copia der Eheberedung – (…) Straßburg Mittwochs den 19. Novembris Newen Calenders Anno 1692. – Johann Friderich Marbach Notarius publ. juratus
Copia Testamenti – Im Jahr 1726 (…) auf Dienstag den 20. Monathstag Augusti Morgens Zwischen Neun und Zehen Uhren in einer allhier Zu Straßburg ane der Cronenburger straß gelegener und beeden hernachgemelten codicillirenden Eheleuthen eigenthümlich zuständigen behausung, deren Mittlern Stuben mit den Fenstern auf die Gaß außsehend (…) persönlich erschienen der Ehren und Wohlvorgeachte Herrn Johann Georg Wörner der hueffschmid und beneben Ihme die Viel Ehren und tugendsahme Frau Margaretha Wörnerin gebohrne Pfitzerin beede Eheleuth und burgere allhier zu Straßburg, so Viel den Mann betrifft, Krancken und schwachen Leibes auf einem bette liegend, Sie die Frau aber Gesunden gehenden und stehenden Leibes (…) – Johannes Lobstein Notarius publ. juratus

Catherine Marguerite Frantz meurt en 1728 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison 1 500 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 943 livres. L’actif du veuf et de la communauté s’élève à 1 665 livres, le passif à 2 452 livres

1728 (3.4.), Not.Lobstein (Jean, 31 Not 20) n° 470
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab Nahrung und güethere, liegend: und Vahrender, Verändert und ohnveränderter, überall nichts davon außgenommen, so weÿl. die Viel Ehren: und tugendsahme frau Catharina Margaretha Wörnerin gebohrne Frantzin des Ehren und Wohlvorgeachten Meister Johann Jacob Wörners des ältern hueffschmids und burgers allhier zu Straßburg geweßene Eheliche haußfrau nunmehr seel. nach ihrem Donnerstags den 22.ten Januarÿ dießes lauffenden 1728.sten Jahrs aus dießer welt genommenen töd.n hintritt zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren, des Ehrenvest und wohlvorgeachten herrn Samuel Zangers Maurers vnd Steinhauer auch burgers allhier Zu Straßb. als geordnet und geschworenen Vogts Samuelis, Catharinæ Salomeæ und Mariæ Margarethæ der Wörnerin alle dreÿ der abgeleibten frauen seel. mit Vor: und nachgemeltem Ihrem hinterbliebeneen wittiber ehelich erziehlter Kinder und ab intestato verlaßener Erben mit Assistentz des wohl Ehrenvest, großachtbahr und Rechtsgelehrten herrn Johann Adam Ößingers Notarÿ publicj und berümbten practici auch burgers allhier Zu Straßburg inventirt – so beschehen in Straßburg auff Sambstag den 3.ten Aprilis Anno 1728.

in einer allhier Zu Straßburg ane der Crohnenburg Str. gelegenen und in dieße Verlassenschafft gehörign behaußung befunden worden wie volgt.
Ane Höltzen: und Schreinwerck, In des Knechts Cammer, In der Cammer A, Im obern haußöhren, In der Magd Cammer, In der obern Stub, In dero Stub Cammer, In der untern Wohnstub, In der Kuchen, Im Keller
Eigenthumb ane Einer behaußung (W. et T.) Eine behaußung hoff, hoffstatt und garthen mit allen andern dero gebäuen, begriffen, weithen, rechten zugehörden und gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg in der Cronenburger Straß, 1.seith neben Mr Samuel Moßeder dem Kieffer 2 seith neben Mr Christoph Kießel den Sattler hinten auf die straß gegen der Reuther Ställ stoßend davon gibt mann Jährl. 12. ß d vom Wetterdach v. 10. ß d vom nothstall der Statt Straßburg Pfenningthurn, So dann 12 ß 6 d dem Stifft Jungen S Peter vom hauß Platz zu Zinnß, sonsten freÿ leedig eigen und durch (die Werckleuth) lauth Abschatzungs Zeduls vom 11.ten Martÿ 1727. angeschlagen das hauß po 1731., das gärthlein aber pro 10. lb, Werffen also vorstehende beede Posten sammenthafft aus 1441. lb Darüber sagt I.n alter teutscher Pergamentener Kbrieff mit der Statt Straßburg anh: Cantzleÿ Contract Insiegel Verwahrt datirt den 8. Jan. A° 1695. Diese behaußung ist beeden gewesenen Eheleuthen Von deß wittibers geliebten Eltern, crafft der, mit einander auffgerichteten heuraths verschreibung paragrapho 4.to sambt dem werckzeug Zum hueffschmid handwerck gehörig, nach Abzug des bodenzinßes, pro 1500. lb eigenthümblichen überlaßen worden
Abschatzung d. 11.ten Martÿ aô 1727. Auf begehren Weÿland des Ehrenvesten und Vorachtbahren H. hannß Geörg Werner gewesenen huffschmidts sel. hinterlaßene Fr. Wittib und Erben, ist eine behausung allhie in der Statt Straßburg in der Kronenburger Straß gelegen, einseits Neben Samuel Moßeder Küffer, anderseits Neben Christoph Kißel Sattler hinden auf die Straß gegen die reiter ställ stosend, welche behaußung bestehet in einem guten dachstuhl, doppelt mit breitzieglen gedeckt der Erste boden ist nicht besetzt, aber der Zweÿte und dritte unter dem dach, worauf sich 3. Kammern befinden, so mit Riegelwändten auß gemaurt, auf dem 4.t boden befindet sich eine Stube, Eine Kammern eine Kuche, hauß Ehr und Nebens Kämmerlein, auf dem 5.ten boden befindet sich eine stube, Zweÿ Kammern, Küche, hauß Ehren und Nebens Cämmelein, auf dem 6.ten boden befindet sich eine Werckstatt mit einer doppelten schmidt Eßen, Stübel, und ein gebalckte Keller, Ferner befindet sich ein Nebens gebäy mit einem halben dach, worunter ein Kämmerlein Kohl Kämmerlein, stall, /.s.h./ schweinstall, höfflein, gemeiner bonnen sambt tränckstein und eine Neue gemeinschafftliche Nebens Maur sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen Werkhleuthe sich ind er besichtigung befunden und Jetzigem preiß angeschlagen Wirdt Vor und Umb Dreÿ Tausend gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauerhoffs
Ergäntzung der Erben ermanglenden ohnverändertn guths. Vermög, Inventarÿ über beeder Eheleuth einander vor ohnverändert in die Ehe gebrachte Nahrungen in Anno 1719 durch herrn Notarium Johann Martin Brieffen gefertigt
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Erben ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 126, Sa. silbers 42, Sa. goldener Ring 37, Sa. baarschafft 22, Sa. der Activ Schuld 75, Erg. (647, abgang 8, Rest) 639 Summa summarum 943 lb
Des Wittibers ohnverändert und theilbahre Nahrung, Sa. haußraths 61, Sa. Werckzeug und gemachter Arbeit Zum hueffschmid handwerck gehörig 43, Sa. Pferds 10, Sa. Weins und Lährer Vaß 13, Sa. Silbergeschmeids 3, Sa. Goldenen tings 1, Sa. Eigenthumb ane einer behaußung 1441, Sa. Schulden 92, Summa summarum 1665 lb – Schulden 2452 lb, Übretreffen alßo des Wittibers ohnverändert und theilbare zubezahln habende Passiva deßelben Völligen Vorhandene Activ Massam 787 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 943 lb, stall Summ 155 lb
Ungewiß Zweiffelhaffte und Verlohrene Schulden 112 lb

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 200 florins (100 livres)

1728, Livres de la Taille (VII 1176) f° 209
Schmidt. A, N° 4478 – Weÿl. Fr. Catharinæ Margarethæ Frantzin Johann Jacob Wörner sen. Hueffschmidt und burgers alhier geweßener Ehel. Haußfrau Verlassenschafft inventirt H. Not. Lobstein.
Concl. Fin. Inv: ist fol. 114, 155 lb 15 ß 6 d, die machen 300 fl, Verstallte nur 100 fl. alßo zu wenig 200. fl.
Warvon der Nachtrag gerechnet wird auf acht Jahr in duplo à 12 ß d macht, 4 lb 16 ß
Und auf Sechs Jahr in simplo à 6 ß, 1 lb 16 ß
Extat stallgeltt pro 1728 mit 1 lb 10 ß
Gebott 2 ß 4 d
Abhandlung 7 ß 6 d, Summa 8 lb 11 ß 1 d
Es seind Zwahr auch wegen geringer Verstallung 2 lb d Straff angesetzet, aber auf suppliciren und in ansehung des Kindts wieder nachgelaßen worden.
dt. 26° May 1728.

Registre de vente de meubles qui appartiennent à Jean Jacques Werner
1737 (17.3.), Not.Marbach (Jean, 34 Not 5) n° 194
Verkauff: Register Inhaltend Was abe verschiedenen: H. Joh: Jacob Wörnern dem ältern Huffschmid und burgern allhier zuständig geweßenen: und verkaufften Mobilien erlößt worden

Jean Jacques Werner se remarie en 1737 avec Anne Marie Cuntz : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration à la Robertsau
(Copia der Eheberedung) zwischen dem Ehren wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Werner dem jüngern huffschmidt, wittwern und burgern allhier Zu Straßburg alß hochzeitern ahne einem, So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrauen Annä Mariä Cuntzin deß Ehrsamen Johann Friderich Cuntzen deß Sttlers undt burgers allhier Ehelichen tochter, alß der Hochzeiterin am andern theil – beschehen in der königlichen Statt Straßburg Dienstags den 5. deß Monaths Novembris Anno domini 1737, Philipp Jacob Marbach, Notarius publ. juratus

Mariage, Robertsau (luth. f° 143-v, n° 185) Sonnt. den 10.t 9.br 1737. seind auff Obrigkeit. Erlaubnus, nach contrahirter Proclamation Ehelich einesgnet worden Mstr Joh: Jacob Werner der wittwer Huff: Schmiedt und Burger Zu Straßburg, Und Jgfr. Anna Maria Mstr Friderich Kuntzen deß Burgers und Sattlers daselbst Ehl. Tochter, hochzeiter Johann Jacob Werner alß hochzeiter, anamaria Kuntzin Als hoch Zeitri (i 141)

Jean Jacques Werner et Anne Marie Kuntz hypothèquent la maison au profit de Jean Christophe Spielmann

1745 (27.7.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 501
Johann Jacob Wörner der huffschmitt und Anna Maria geb. Kuntzin mit beÿstand Johann Daniel und Philipp Friedrich der Kuntz jenes sattlers dieses schuhmachers beede ihrer brüder
in gegensein H. Johann Christoph Spielmann – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, eine behausung, garten und hoffstatt cum appertinentis in der Vorstatt Cronenburger straß, einseit neben Tobias Gundelwein dem gastgeber, anderseit neben Josias Kießel dem sattler hinten gegen denen Reuterställen – als ein elterliches erbguth

Marie Marguerite Werner, fille en premières noces de Jean Jacques Werner, meurt après avoir institué pour héritiers son père réduit à la légitime et ses deux frère et sœur. L’inventaire est dressé dans la maison de son tuteur Jean Adam Giessbrecht au Vieux-Marché-aux-Vins. La masse comprend une maison rue des Moulins, l’actif s’élève à 2 845 livres, le passif à 192 livres.

1747 (10.7.), Not.Stoeber l’aîné (6 E 41, 1142) n° 516
Inventarium über Weÿland der Ehren und Tugendsahmen Jungfrauen Mariä Margarethä Wernerin, des Ehren und vorachtbahren herrn Johann Jacob Werner hueffschmids und burgers allhier zu Straßburg in erster Ehe mit weÿl. der Ehren und tugendsahmen Frauen Catharina Margaretha gebohrner Frantzin seeligen erziehlten Jungfrauen tochter seeligen Verlassenschafft – nach Ihrem Mittwochs den 17. Maÿ instehenden 1747.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen (…) durch die Viel Ehren und tugendsame Frau Mariam Elisabetham Gießbrechtin gebohrner Frantzin weÿland des Ehrenachtbahren herrn Johann Adam Gießbrecht des geweßenen Schreiners und burgers allhier seeligen hinterbliebene frau Wb. indeme dero Ehemann seeliger biß ane seinen todt der Jungfrauen Wernerin seeligen Vogt ware und dero Vermögen Verwaltet – So beschehen Straßburg Montags den 10.ten Julÿ 1747.
Die abgeleibte seelig hat par Testamentum Zu Erben Verlaßen, wie folgt. 1° den Ehren und Vorachtbahren herrn Johann Jacob Werner den hueffschmid und burgern allhier Ihrem eheleiblichen Vatter und zwar in Legitimam, das ist den dritten theil Ihrer eigenthümlichen Verlassenschafft, 2° den Ehrenvesten und vorachtbahren Herrn Samuel Werner, den Steinmetz und Maurer Meister auch burgern allhier, So dann 3° die Viel Ehren und tugendsame Frau Catharinam Salome Mühlbergerin gebohrne Wernerin des Wohl Ehrwürdigen und Wohlgelehrten herrn Johann Daniel Mühlbergers p: t: treueÿffrigen Pfarrers der Evangelischen Lutherischen Gemeinde Zu Scharrachbergheim und burgers allhier frau Eheliebstin beÿständlichen deßelben, beede letztere der Verstorbenen seeligen Vollbändige Geschwüsterde und in die übrige zwo tertzen dero Verlassenschafft instituirte Erben

In einer allhier zu Straßburg ane dem alten Weinmarckt gelegenen Gießbrechticher Frau Wittib eigenthümlich zuständigen behaußung, befinden worden wie folgt
(f° 6) Eigenthum ane einer behaußung. Nembl. Eine behaußung und hoffstatt, jenseith St. Martins bruckh Zwischen denen Waßern auf dem plähnel (…)
Abzug gegenwärtigen Invÿ. Sa. haußraths 107, Sa. Silbers 43, Sa. Goldener Ring 21, Sa. der baarschafft 24, Sa. Eigenthums ane I.e behaußung 648, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1750, Sa. Activ Schulden 250, Summa summarum 2845 lb – Schulden 192 lb, Nach deren Abzug 2653 lb – Stall Summ 1942 lb
Copia gestiffteten Test: Nunc:. Im Jahr 1745 (…) auf Sambstag den 25.ten Junÿ die Ehren und tugendsahme Jungfrau Maria Margaretha Wernerin herrn Johann Jacob Werner des huoffschmids und burgers allhier in erster Ehe mit weÿland fr: Catharina Margaretha gebohrne Frantzin seeligen ehelich erzeugte Jgfr. tochter (…) in eine allhier zu Straßburg ane dem Altenweinmarckt gelegene Herrn Johann Adam Gießbrecht dem Schreiner und burgern allhier Ihrem H. Vogt eigenthümlich gehörige behaußung beruffen (…) in dem Von Ihro in besitz habenden Eckkämmerlein mit denen fenstern auf die gaß aussehend, zwar Krancken und schwachen dannenhero zu bette liegenden Leibs – Johann Daniel Stöber Notarius

Compte que la veuve du tuteur rend de sa gestion des biens de Marie Marguerite Werner
1747, Not.Stoeber l’aîné (6 E 41, 1233)
Rechnung Inhaltend Was Weÿl. H. Johann Adam Gießbrecht der geweßene Schreiner undt burger allhier zu Straßburg nunmehr seel. und nach todt deselben hinterbliebene Fr. Wb. wegen seiner geweßten Curandæ nun auch weÿl. Jgfr. Mariæ Margarethæ Wörnerin weÿl. fr. Catharinä Margarethä Wörnerin gebohrner Frantzin seel. mit Hn. Johann Jacob Wörner, dem huffschmid und burgern allhier Ihrem hinterbliebenen Wb. ehelich erzeugten: und den 17. Maÿ A° 1747 Verstorbenen jüngern tochter seel. Vom 29. 8.bris A° 1743 alß dem beschluß der wegen Ihro und Ihren beeden Vollbändigen Geschwüsterden abgelegten zweÿten Vogteÿ Rechnung biß den – A° 1747 ferner eingenommen und außgegeben haben – Dritte und Letzte Rechnung dießer Vogteÿ
Zuwißen seÿe hiermit demnach es dem lieben Gott gefallen hat Weÿl. Hn Johann Adam Gießbrecht den geweßenen Schreiner und burgern allhier den 17.ten Martÿ 1747. Von seinem langwierigen Krancken tagen Vermittelst seines seeligen todts gnädiglichen zu befreÿen und damit ihme seine deßfalls gehabte Vogteÿbürde abzunehmen, daß deßwegen seine hinterbliebenee fr. Wb. und Erbin nahmens Maria Elisabetha Gießbrechtin gebohrne Frantzin wegen der hinterlassenen Jgfr. Vogtstochter Jgr. Mariæ Margarethæ Wörnerin (…)

Jean Jacques Werner hypothèque la maison au profit du cordonnier Philippe Frédéric Kuntz

1750 (15.10.), Chambre des Contrats, vol. 624 f° 518-v
Johann Jacob Werner der huffschmitt
in gegensein Philipp Friedrich Kuntz des schuhmachers – schuldig seÿe 150 pfund
unterpfand, eine behausung, hoff, garten und hoffstatt in der Vorstadt Cronenburger straß, einseit neben H. Tobias Gundelwein dem gastgeber, anderseit neben Josias Kiesel dem sattler, hinten gegen denen Reuter: cazernen

Jean Jacques Werner et Anne Marie Kuntz hypothèquent la maison au profit du pasteur de Blæsheim Jean Daniel Büttner

1752 (21.11.), Chambre des Contrats, vol. 626 f° 560
Johann Jacob Werner der huffschmidt und Anna Maria geb. Kuntzin beÿständlich Philipp Friedrich Kuntz des schuhmachers und Johann Daniel Kuntz des sattlers
in gegensein H. Johann Friedrich Büttner des goldarbeiters als mandatarii seines bruders H. M. Johann Daniel Büttners, pfarrers zu Bläßheim – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, eine behausung, hoff, garten und hoffstatt in der Vorstatt Cronenenburger straß, einseit neben H. Tobias Gundelwein dem gastgeber, anderseit neben Josias Kiesel dem sattler, hinten gegen denen reuter:cazernen

Jean Jacques Werner et Anne Marie Kuntz hypothèquent la maison au profit d’Ursule Gnilius née Schmitt

1760 (10.4.), Chambre des Contrats, vol. 634 f° 119-v
Johann Jacob Werner der huffschmitt und Anna Maria geb. Kuntzin mit beÿstand Johann Christian Albrecht Sene des kieffers und Philipp Friedrich Kuntz des schuhmachers
in gegensein H. Johann Heinrich Gnilius phil: stud: als gewalthaber seiner mutter Fr. Ursulä gebohrner Schmidtin – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Cronenburger straß, einseit neben H. Lt. Jacob Sebastian Gambs dem archivario, anderseit neben Jonas Kießel dem sattler, hinten gegen denen cazernen

Jean Jacques Werner meurt en 1765 en délaissant deux enfants (ou leurs représentants) de son premier mariage et trois fils issus de sa veuve. Les experts estiment la maison 800 livres. La masse propre à la veuve s’élève à 141 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 818 livres, le passif à 1 082 livres.

1765 (11.10.), Not.Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 407) n° 1084
Inventarium über Weÿland des Ehren und Wohlvorachtbahren herrn Johann Jacob Werners des geweßenen hueffschmids und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen Verlassenschafft – nach deme derselbe Mittwochs den 22. Maji dießes lauffenden 1765 dießer Welt abgefordert worden, nach solch seinen aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen hinter sich, Welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Viel Ehren und tugendsamen Frauen Annæ Mariæ Wernerin gebohrner Kuntzin der hinterbliebenen Frau Wittib mit Assistentz des Ehren und Wohlvorachbahren herrn Johann Daniel Vogt des Kieffers und Weinhändlers auch burgers allhier Ihres hierzu erbettenen beÿstands – So beschehen in Straßburg auf Freÿtag den 11. Octobris Anno 1765.
Der seelig Verstorbenen hat Zu seinen Erben ab intestato Verlaßen Wie folgt. 1.mo S.T. Herrn Samuel Werner hießiger Statt wohlbestellten Bau Inspectorem und Werck Meistern des Maurhoffs, auch burgern allhier in deßen Nahmen S.T. Herrn Johann Daniel Schweigheüßer Notarius juratus publicus und berühmter Practicus deßen Mündlich constituirter Mandatarius beÿ dießem geschäfft erschienen. 2.do Weÿland S.T. Frauen Catharinæ Salome Mühlbergerin gebohrner Wernerin seeligen hinterlassene mit S.T. Herrn Johann Daniel Mühlberger, Wohlverdientem Pfarrer der Evangelischen Gemeinde Zu St. Niclaus und Canonico des hochlöbl. Collegiat Stifft Zu St. Thomæ auch burgern allhier ehelich erziehlten herrn Sohn und Jungfer Tochter Nahmentlich 1.mo Herrn Christian Mühlberger, Jurium Cultorem Welcher Majorennis und in selbst eigener Persohn dem geschäfft beÿgewohnt und 2.do Jungfer Susannam Margaretham Mühlbergerin deren geschworner Vogt ist Vorwohlernannter Herr Bau Inspector Werner, in deßen Nahmen Weilen Er vor sich selbsten interessirt, Herr Johann Theobald Vogt der Holtzhändler und burger allhier beÿ dießem geschäfft sich eingefunden (…) dieße des Abgeleibten seeligen in erster Ehe mit Weÿland Frauen Catharina Margaretha gebohrner Frantzin längst seeligen ehelich erzeihlten Herrn Sohn und Enckel,
3.tio Johann Georg Werner, 4.to Abraham Werner, beede Leedige Schmid Knecht, So dann 5.to Johann Jacob Werner, dieße dreÿ des seelig Verstorbenen in Zweÿter Ehe mit eingangs gedachter Frauen Anna Maria gebohrner Kuntzin seiner hinterbliebenen wittib ehelich erzehlte Söhne, deren geschworner Vogt ist herr Johann Friderich Osterrieth, der Zimmermann und burger alhier (…), Alle Fünff des in Gott seelig entschlaffenen ab intestato Zu fünff gleichen portionen und Stammtheilern verlaßene Rechtsmäßigen Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstadt Cronenburger straß gelegenen in dieße Verlassenschafft gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden als volgt
Eigenthumb ane einer behaußung (E.) Neml. eine behaußung, hoff, hoffstatt und Gemeinschafft eines bronnens, samt einem kleinen Gärtlein und Stallung, mit allen übrigen deren Gebäuen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane der Vorstadt Cronenburgerstraß in der neuen Zeil, 1.seit neben Johann Kißel dem Sattlern 2. seit neben Johann Philipp Laut dem Sandführer hinten auf das Allmend gegen denen Reuter Cazernen hienüber stosend, davon gibt man Jährl. d. St. Str. Pfgth. auf Annunc. M. von dem Nothstall 1 lb und jahrs auf Martini von dem Wetterdach 12 ß ane bodenzinß, So dann dem Stift Jungen St. Peter allhier Jahrs auf Martini 12 ß 6 d ewigen Zinnßes sonsten vor freÿ ledig und eigen, durch (die Werckmeister) Vermög überliefferter Schrifftlicher Abschatzung Vom 31. Octobris 1765. über Vor allegirte beschwerden angeschlagen Vor 711. Über die abgebrande hoffreüth Worauff dieße behaußung wiederum erbauet Worden, ist vorhanden ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub aufgerichtet und mit deri anhangendem Insiegel corroborirt de dato 8. Januarÿ 1695. Dabeÿ ein alter auch alda gefertigter Kauffbrieff de dato 26. Februarÿ 1610.
Abschatzung Vom 31.ten Octer. 1765. Auff Begehren Weil. H: Joh: Jacob Wernert Des Gewesener Huffschmiedt Seel hiender Lasener Fr: witib und Erben ist eine behausung alhier in Der Statt Strasburg in der Crunenburger Stras Geleg.en Einseits Neben Filib Ludt Des sand Fierers ander seits Neben Johannes Ciesell und hienden auff Das allmendt Stosent Gelegen solche behausung besteht in einer Huffschmidt werck statt Ferner in Dreÿ stuben Zweÿ Kichen Und Ettliichen haus Kamern dar jber ist der Dach stuhl mit breidt Ziglein belegt hat auch ein Getrembten Keller hoff und Gemeinschafftliche brunen Ferner befiendtet sich eine Stallung Warien Der dach Stuhl mit breidt Ziglein belegt. Von uns Unterschriebenen der Statt Strasburg Geschwornen Werck Meister Nach Vorhero geschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen wahren werth Nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und Umb Ein Thausent Sechs hundert gulden. [unterzeichnet] Sebastian Huber
Series rubricarum hujus Inventarÿ – Copia der Heuraths Verschreibung – Copia Codicilli siuve Dispositionis inter Liberos
Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 4, Sa. Silbers 2 ß, Sa. Schulden 125, Erg. 11, Summa summarum 141 lb
Dießemnach wird nun auch der Erben ohnverändert und theilbahre Nahrung, Sa. haußraths 79, Sa. Werckzeugs Zum Huffschmid handwerck gehörig 25, Sa. Schaaff 15 ß, Sa. Silbers 17 ß, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 711, Summa summarum 818 lb – Schulden 1082 lb, Passiv onus 264 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 141 lb – Mehr Schulden als Nahrung dem Stalltax nach 122. lb
Copia der Eheberedung – (…) Straßburg Dienstags den 5. deß Monaths Novembris Anno domini 1737, Philipp Jacob Marbach, Notarius publ. juratus

Les héritiers cèdent leurs parts de la maison à la veuve en remplacement de ses apports

1767 (4. dec.), Not.Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 407), Joint au n° 1084 du 11. oct. 1765
Vor mir unterschriebenenen Zu Weÿland Herrn Johann Jacob Werners, des geweßenen hueffschmids und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen Verlassenschafft Inventation und Abtheilung in Specie requirirtem Notario seind ane zu end gemeltem dato persönlich erschienen deßelben ab intestato nachgelaßene samtliche Erben Nahmentlich 1.mo vor und im Nahmen S.T. Herrn Samuel Werners hießiger Statt wohlbestellten Bau Inspectoris und Werck Meisters des Maurhoffs, S.T. Herr Johann Daniel Schweigheüßer Notarius juratus publicus und berühmter Practicus alß deßen (…) constituirter Mandatarius, 2.do Weÿland S.T. Frauen Catharinä Salome Mühlbergerin gebohrner Wernerin seeligen hinterlassene, mit S.T. Herrn Johann Daniel Mühlberger Wohlverdientem Pfarrer der Evangelischen Gemeind Zu St. Niclaus und Canonico des hochlöbl. Collegiat Stifft Zu St. Thomæ ehelich erziehlter herr Sohn Herr Christian Mühlberger, Jurius Utr. L.atus, Welcher Majorennis zu seÿn declarirte und der noch minorennen tochter Jungfrauen Susannä Margarethä Mühlbergerin geschworner Theilvogt Herr Johann Theobald Vogt, der Holtzhändler und burger allhier, 3.tio Johann Georg Werner, Lediger huffschmid, Majorennis und ohnbevögtiget, So dann 4.to Abraham Werners und 5.to Johann Jacob Werners ordinari Vogt herr Johann Friderich Osterrieth, der Zimmermann und burger alhier mit assistentz S.T. Herrn Johann Carl Hüttel, Notarÿ jurati publici und breühmten Practici seines hierzu erbettenen Herrn beÿstands, Zeigent samt und sonders
in beÿsein der hinterbliebenen Wittib Frauen Annä Mariä Wernerin gebohrner Kuntzin (…) in außweißung Ihrer Zufordern habenden Morgengaab, hochzeit Kleÿdungs gelds, Ergäntzung und übriger Forderuing eigenthümlich Käufflichen cedirt und überlaßen haben, Welche auch mit assistentz Herrn Johann Daniel Kuntz des Sattlers und burgers allhier Ihres bruders und hierzu erbettenen beÿstands
die in gegenwärtige Succession gehörige behaußung, hoff, hoffstatt und Gemeinschafft eines bronnens, samt einem kleinen Gärtlein und Stallung, auch allen übrigen deren gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Cronenburgerstraß in der neuen Zeil, einseit neben Johann Kißel dem Sattler, anderseit neben Johann Philipp Lauth, dem Sandführer, hinden auf das Allmend gegen denen Reuter Cazernen hienüber stoßend, so annoch Löblicher Statt Pfenningthurn umb Ein Pfund pfenning Von dem Nothstall und acht Schilling von dem Wetterdach beede Jährlich abzurichten habende Bodenzinß, Wie auch dem Stift Jungen St. Peter allhier umb 12 schilling 6 pfenning Zwigen Zinnßes, Ferner herrn Daniel Andreæ Unselt dem Säckler umb 250 Pfund, Mehr herrn Johann Jacob Kuntz dem Perruquenmacher umb 262 Pfund, Weiter Weÿland herrn Andreæ Gnilii SStæ Theologiæ Doctoris et Professoris publici Frau wittib umb 75 Pfund pfenning alles ane Capitalien, So dann Vorgedachtem Herrn Johann Jacob Kuntz umb 94 Pfund und 10 ß (…) verfallene Interesse verhafftet (übernohmen) – Straßburg den 4. Decembris Anno 1767.

Anne Marie Kuntz, veuve de Jean Jacques Werner, meurt en 1789 en délaissant trois fils
1789 (25.11.), Not.Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 892) n° 473
Inventarium über weÿl. Fr. Annæ Mariæ gebohrner Kuntzin auch weÿl. H. Johann Jacob Werners des hufschmidts Wittib verlassenschafft – nach ihrem den 11. hujus mensis & anni erfolgten absterben
Der defunctæ ab intestato verlassenen erben sind 1. weÿl. H. Johann Georg Werners gewesten hufschmidt verlaßene dreÿ kinder namentlich Johann Georg, Friedrich Tobias und Maria Magdalena, deren geordneter und geschworener vogt ist nachbenamster H. Abraham Werner der hufschmidt, weilen aber selbiger bei diesem geschäft selbst interessirt ist zum Theilvogt ernannt worden H. Johann Jacob Lung Not. publ. & Practicus, 2. H. Abraham Werner der hufschmidt, 3. H. Johann Jacob Werner, der ledige hufschmidt, alle mit eingangs benamsten ihrem verstorbenen Ehemann erzeugte kinder

in einer ane der Kronenburgerstras gelegen hiehero nicht gehörigen behausung
hausrath 52, pfenningzinß hauptgüter 772 lt, schulden 46 lt, summa summarum 870 lt, schulden 346 lt, nach solchem abzug 523 lt
der Wittib ohnverändert vermögen, hausrath 41 lt, leere faß 4 lt, silber und dgl. geschmeids 3 lt, goldenen ring 7 lt, schulden 75 lt, ergäntzung 1114 lt, summa summarum 1246 lt
der erben ohnverändert guth, hausrath 33 lt, ergäntzung (339 lt) [interrompu]
[Joints] Eheberedung zwischen Johann Georg Werner und Anna Maria Maulin, den 6. julÿ 1775, Not. Johann Heinrich Thenn

Le fils Jean Georges Werner épouse en 1775 Anne Marie Maul fille de boulanger. La mère cède la maison à son fils lors du contrat de mariage. L’acte de donation est enregistré à la Chambre des Contrats

1775 (6.7.), Not.J. Henri Thenn (6 E 41, 748) n° 114
(Eheberedung) persönlich erschienen der Ehren: und wohlvorgeachte H. Johann Georg Werner leediger hueffschmid, Weÿland H. Johann Jacob Werners geweßenen hueffschmidts und burgers allhier seelig in zweÿter Ehe mit der Ehren und tugendsamen Frauen Anna Maria gebohrner Kuntzin, seiner hinterbliebeneen Wittib erziehlter Sohn, alß hochzeiter beÿständlichen H. Johann Theobald Vogt des Holtzhändlers und burgers dahier seines H Vettern ane einem,
So dann die Ehren und tugendbegabte Jungfrau Anna Maria Maulin weÿland H Samuel Maul geweßenen Schwartzbecken und burgers allhier mit auch weÿland frauen Maria gebohrner Heÿdelin beeder seelig ehelich erzeugte nachgelaßene tochter beeder seelig ehelich erzeugte nachgelaßene tochter alß hochzeiterin unter assistentz H Joh: Philipp Meÿers des Schuhmachers und burgers allhier ihres geschwornen Vogts und H Johann Jacob Maul des Kieffer meisters und weinhändlers auch burgers daher ihres eheleiblichen bruders ane dem andern theil

Zum Siebenden, verschreibt des H. Bräutigambs Eingangs gemelte geliebte Frau Mutter dießem ihrem Sohn und will ihme hiemit Käufflichen cedirt und überlaßen haben, ihre eigethümliche Schmids behausung, Hoff, Hoffstatt und Stallung und auch dabeÿ befindliches gärthlein mit allen übrigen denen gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der Cronenburger Straß, einseith neben H Johann Philipp Lauth dem ohlmüller und dermahligen Sandführer, anderseith neben H. Johannes Küßel dem Sattler hinten mit dem gärthlein auf das bruch oder Allmend stoßend gelegen, davon man Jährlichen dem Stifft Jungen St: Peter allhier Zwölff Schilling boden Zinnß zu lieffern schuldig, nebst ihrem samtlichen zur huffschmid profession gehörigen werckzeug, Vor und umb 3300 gulden hießig. courrenten gelds dergestalten daß Er der Sohn nebst übernahm besagten boden Zinnßes von zwölff schilling die auf solcher behaußung hafftend 1150 gulden anlangende passiv Capitalien abzurichten (…) Wie nicht weniger der Mutter so lang dießelbe am leben seÿn wird die in solcher behausung befindliche Mittlere wohnung bestehend in einer Stub, Stub Kammer, Kuchen und einem Kleinen Kämmerlein samt dem Kleinen nebens Kellerlein nebst dem gärthlein umb solches alles von Ihro Zu nutzen und bewohnen Zu können Zinnß freÿ zu überlaßen schuldig seÿn solle – Straßburg Donnerstags den 6. Julÿ Anno 1775 [unterzeichnet] Johann Georg Werner als hochzeiter, Anna Maria Maulin als Hochzeitterin

Enregistrement à la Chambre des Contrats
1777 (17.9.), Chambre des Contrats, vol. 651
315, Not. Johann Heinrich Thenn, 6.7.1775
auff ansuchen Mr Johann Georg Werner des huffschmitts, Extractus aus der zwischen H. Johann Georg Werner dem huffschmitt und damaliger Jfr Anna Maria Maulin weÿl. Samuel Maul gewesten schwartzenbecken tochter vor nun auch weÿl. H. Not. Johann Heinrich Thenn d. 6. julÿ 1775 errichteten Eheberedung (…)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 8)
Im Jahr 1775 seind Dominica 12. und 13 post Trinitatis proclamirt und folgenden 13. Septembris copulirt worden Johann Georg Werner lediger Hufschmidt weil. H Johann Jacob Werners gewesenen Hufschlmids und burgers alhie und fr. Annä Mariä gebohrne Kuntzin ehelicher Sohn und Jgfr. Anna Maria weÿl. Ht Samuel Maul gewesenen beckers und burgers allhie und auch weil. fr. Annä Mariä gebohrner Heidelin hinterlassene eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Georg Werner Als hochzeiter, Anna Maria Maulin als Hochzeitterin (i 11)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports

1775 (29.12.), Not.J. Henri Thenn (6 E 41, 747) n° 241
Inventarium über des Ehrengeachten H. Johann Georg Werners, hueffschmids und der Ehren und tugendsahmen Frauen Annä Mariä Wernerin, gebohrner Maulin beeder Eheleuthen und burgern allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen – der ursachen alldieweilen in ihrer Vor mir Notario den 6.to Julÿ dießes Zu end eilenden 1775.ten auffgerichteten Eheberedung §° 4.to expresse enthalten, daß einem jeeden sein in die Ehe bringendes Vermögen vor ohnverändert Verbleiben solle – So beschehen in fernerem beÿseÿn H Johann Theobald Vogt des Holtzhändlers und burgers allhier des Ehemanns Vettern und erbettenen beÿstandts wie auch H Johann Philipp Meÿers des Schuhmachers und burgers dahier der Ehefrauen geschwornen und noch ohnentledigten Vogts, Straßburg Freÿtags den 29.ten Decembris Anno 1775.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Cronenburger straß gelegenen dem Ehemann eigenthümlich zuständigen Schmid behaußung befunden worden, wie folgt
Eigenthumb ane einer behaußung (M.) Nemlichen eine Schmids behausung, Hoff, Hoffstatt und Gemeinschafft eines bronnens und Stallung, samt einem kleinen darbeÿ befindlichen Gärtlein mit allen mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der Cronenburger Straß, einseith neben H. Johann Philipp Lauth dem ohlmüller und nunmahligen Sandführer anderseit neben H. Johannes Küßel dem Sattler hinten mit dem gärtlein auff das allmend gegen denen Reuter Cazernen hinüber stoßend gelegen, davon Jährlichen dem Stift Jungen St Peter allhier 12 ß Ewigen Zu lieffern schuldig, sonsten über hernach eingetragene passiv Capitalien gegen männiglichen freÿ ledig und eigen, darüber nichts schriftliches vorhanden.
Es hat aber des Ehemanns eheleibliche Mutter ihme solche behaußung und gärthlein nebst ihren samtlichen zur Hueffschmid profession gehörigen Werckzeug in deßen erricheter Eheberedung §° 7.mo Käufflichen cedirt und überlaßen. Wie aber, Sie die Mutter solche behaußung und Gärtlein auß sein des Ehemanns Vaters seelig Succession an sich gebracht besagt eine Von H Notario Johann Rudolph Dinckel errichtete Cession de dato 4.t Decembris Anno 1767
Ordnung dieses Inventarii. Des Ehemanns eingebrachtes Vermögen, Sa. Haußraths Posten 7, Sa. Werckzeug zur Huffschmid Profession 124, Sa. des Silbers und Geschmeids 14, Sa. der goldenen Uhr 25, Eigenthum an einer behausung o, Summa summarum 170 lb, helffte der haussteuren 92 lb, So treffe des Manns völlige in die Ehe gebrachte fahrende Haab 262 ln – Schulden 1664 lb, Compensando, des Manns Schulden Nachstand 1401 lb
Diesemnach werden auch der Fraun in den Ehestand gebrachte Mittel verzeichnet, Sa. des haußraths 159, Sa. der leeren Fäßer 8, Sa. des Silbers und dergl. Geschmeids 33, Sa. der goldenen Ringe 27 Sa. der baarschafft 269, Summa summarum 498 lb – helffte der haussteuren 92 lb, der Ehefrauen Mittel 590 lb
(Jointe, quittance du prix de la maison à Anne Marie Kuntz veuve de Jean Jacques Werner)

Anne Marie Maul hypothèque la maison au profit du charron Jean Jacques Rasp

1790 (22.4.), Chambre des Contrats, vol. 664 f° 113
Fr. Anna Maria Wernertin geb. Maulin weÿl. Johann Georg Wernert des huffschmidts wittib beÿständlich H. Johann Philipp Meÿer des schuhmachers
in gegensein H. Johann Jacob Rasp des wagner meisters – schuldig seÿen 1200 gulden
unterpfand, eine behausung nebst garten und übrigen begriffen mit N° 36 bezeichnet ane der Cronenburger straß, einseit neben Fr. Dürr, anderseit neben Johann Philipp Lauth dem sandführer, hinten auff das grünen Bruch

Nouvelle hypothèque entre les mêmes

1792 (24.9.), Chambre des Contrats, vol. 667, n° 579 enreg. 29.9. F°
Fr. Anna Maria geb. Maulin weil. H. Johann Georg Werner des hufschmidts wittib beiständlich H. Johann Jacob Maul des kiefers ihres H. bruders
in gegensein H. Johann Jacob Rasp des wagners – schuldig seÿen 1400 gulden
unterpfand, eine ane der Cronenburger straß, gelegen mit N° 36 bezeichnete behausung, einseit neben H. Philipp Lauth dem sandführer, anderseit neben Fr. Dürrin wittib

Anne Marie Maul veuve de Jean Georges Werner et ses enfants vendent la maison 8 050 francs au charron Jean Jacques Rasp

1805 (27 vent. 13), Strasbourg 7 (38), M° Stoeber n° 2569, 6345 – Enregistrement de Strasbourg, acp 96 F° 40-v du 7 ger. 13
Cahier des charges du 23 pluviose13 – vente n° 2582, 6419 – Anne Marie née Maul veuve de Jean Georges Werner marechal tutrice naturelle de ses enfants mineurs ([vente] de Frédéric Tobie Werner et Marie Madeleine Werner enfants), et Abraham Werner maréchal ferrant subrogé tuteur
à Jacques Rasp charron
une maison Cour écuries petit Jardin communauté du puits appartenances et dépendances situés au fauxbourg de Saverne N° 36, d’un côté le Sr Lauth voiturier, de l’autre le Sr Bosé Cordier, aboutissant avec le petit jardin sur le communal vers les Cazernes Militaires pour la cavalerie – dont on paie une redevance annuelle et perpetuelle autrefois au chapitre de St Pierre le jeune aujourd’hui le trésor public de 2,50 francs – criée 8000 francs – moyennant 8050 francs
(Joint) Abschatzung, die in gedachte Wernerische Verlassenschafft gehörige Schmidt behausung gelegen alhier zu Straßburg an der Kronenburger Straße mit N° 36 bezeichnet einseit neben dem burger Lauth dem Sandführer anderseit neben dem burger Boser dem Seÿler hinten auf die Reuterställen und fornen auf die Straße ziehend, solche behausung nur nebst hof hoffstatt Gemeinschaft des bronnens und Stallung samt einen kleinen dabeÿ befindlichem Gärtlein und alle übrigen Gebäuden, begriffen, Rechten und gerechtigkeiten sich in ihrem Mehrern Wert abgeschätzt für und um die summa von 8000 francs, den 24 floreal 12, [unterzeichnet] Osterrieth

Trois des enfants Rasp vendent leurs parts indivises à leur cohéritier François Henri Rasp

1821 (7.2.), Strasbourg, M° F. Grimmer, Consulté Enregistrement de Strasbourg, acp 151 F° 50-v du 8.2.
Philippe Jacques Rasp, charron, Salomé Rasp femme de Georges Rasp, charron, Marie Madeleine Rasp majeure
à François Henri Rasp, propriétaire
¾ d’une maison avec cour écurie et petit jardin à Strasbourg Faubourg de Saverne n° 36 indivis avec l’acquéreur – moyennant 4500 fr

Le charron François Henri Rasp épouse en 1815 Caroline Frédérique Bosé
1815 (9.11.), Strasbourg 8 (12), M° Roessel n° 2768 – enreg. manquant F° 15 du 10.11.
Contrat de mariage – François Henri Rasp, charron, fils de Jean Jacques Rasp, charon, et de Marie Madeleine Lix
Caroline Frédérique Bosé, fille mineure de Georges Frédéric Bosé, cordier, et de Caroline Frédérique Flashoff

La part de maison figure à l’inventaire de leurs apports
1816 (19.1.), Strasbourg 8 (13), M° Roessel n° 2946 – enreg. manquant F° 102 du 22.1.
Inventaire des apports de François Henri Rasp charron et de Caroline Frédérique Rosé – Contrat de mariage passé devant nous le 9 novembre dernier
le mari, meubles, numéraire 1200 fr, immeubles (terres en cinq pièces et prés deux pièces)
maison, le quart indivis d’une maison avec cour, écurie, petit jardin, communauté de puits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg au fauxbourg de Saverne n° 36, entre le Sr Lauth voiturier et le Sr Bosé cordier, aboutissant sur le communal vers les casernes, grevé d’une rente foncière de 2 fr 50 – les trois autres quarts appartiennent aux frères et sœurs Philippe Jacques, Salomé et Marie Madeleine comme ayant acquis ensemble d’Anne Marie Maul veuve de Jean Georges Werner maréchal ferrant par devant M° Stoeber le 27 ventose 13, transcrit au bureau des hypothèques volume 24 n° 7, le quart estimé 5000 francs
total 26 232 francs
l’épouse, meubles numéraire 2175 fr, créances total 31 286 francs


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.