12, rue des Dentelles (ancien n° 5)


Rue des Dentelles n° 12 (ancien n° 5) – VII 65 (Blondel), P 961 (cadastre)

Reconstuite par Jean Chrétien Rœderer, 1746

Dentelles 12 (août 2015)Dentelles 12, Ill (juillet 2015)
Façade rue des Dentelles (août 2015). L’ancien n° 5 est le premier bâtiment
Façades sur l’Ill (septembre 2007). L’ancien n° 5 est le premier bâtiment à gauche.

La maison qui est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom du maître de cuisine Etienne Scherer. comprend notamment un auvent long de trente pieds vers la rue et vers la rivière une galerie en bois et une risberme dans laquelle se trouve un escalier. Le marchand Auguste Goll achète la maison en 1600, il acquiert en 1624 de son voisin une bande de terrain le long de son bâtiment avant. Une sentence que rendent le 19 mars 1629 les préposés aux Communaux confirme que deux éviers font partie de la vente. La maison appartient à des tanneurs depuis 1658 : Jacques Mænnel puis son fils Jean, Jean Charles Haderer (1714), le réformé Benjamin Büry qui fait refaire en pierre la risberme écroulée. Jean Chrétien Rœderer achète en 1745 la maison qu’il fait reconstruire l’année suivante. Il aménage en 1749 la risberme en y construisant un encorbellement et une buanderie et la ruelle en y posant un égout souterrain. Il est autorisé en 1751 à 1779 à fermer la ruelle par une porte. Il fait enfoncer en 1755 deux pieux dans la rivière pour y amarrer ses bateaux et éviter qu’ils ne gênent ceux qui passent l’écluse. Il se plaint en 1783 puis en 1789 que le courant qui provient de la décharge du moulin Dinsenmühle abîme les fondations de sa maison. Il fait refermer sans autorisation la ruelle qu’il doit rouvrir en 1789.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 129 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la première à gauche du repère (i) : porte suivie de six soupiraux, trois étages à sept fenêtres chacun, toiture à un étage de lucarnes et deux niveaux de séchoirs. On voit en (i-a) les deux bâtiments qui longent la ruelle. La façade (a-b) vers la rivière comprend deux portes au rez-de-chaussée, trois étages à six ouvertures chacun, la toiture a trois niveaux de séchoirs. La cour A représente l’arrière (1-2) du bâtiment sur rue, le bâtiment latéral est (2-3) à rez-de-chaussée et deux étages, l’arrière (3-4) du bâtiment sur la rivière et l’arrière (4-1) du bâtiment central vers la ruelle.
La maison porte d’abord le n° 5 (1784-1857) puis le n° 12.


Cour A
Bâtiment vers la rivière et ruelle (années 1950, AMS cote 1 Fi 148 n° 69

Déjà propriétaire de la voisine, le tanneur Jean Henri Knoderer achète la maison en 1827 et la réunit à une plus grande propriété (voir ensuite l’ancien n° 4).


Entrée de la venelle, rue des Dentelles (septembre 2017)

mai 2022

Sommaire
CadastreRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1600 à 1827 (réunion à la voisine). La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Etienne Scherer, maître de cuisine, et (1576) Apollonie, veuve de l’aubergiste Grégoire Hügel puis (1582) Salomé Thoni, d’abord (1587) femme de l’aubergiste Albert Wanner – luthériens
1600 v Auguste Goll, marchand, et (1611) Dorothée Steurnagel – luthériens
1658 v Jacques Mænnel, tanneur, et (1645) Susanne Gassner – luthériens
1695 h (copropriétaires) Jean Mænnel, tanneur, et (1677) Anne Catherine Griesbach, d’abord (1674) femme du tanneur Jean Joachim Rau – luthériens
Georges Mænnel, tanneur, et (1698) Marie Cléophée von Türckheim – luthériens
1714 v Jean Charles Haderer, tanneur, et (v. 1700) et Marthe Leib, veuve du tanneur Jean Papelier – luthériens
1715 v Benjamin Büry, tanneur et aubergiste à Wasselonne, et (1690) Anne Schumacher – réformés
1745 v Jean Chrétien Rœderer, tanneur, et (1732) Marie Susanne Ottmann puis (1745) Dorothée Karcher – luthériens
1804 h Jean Frédéric Charles Rœderer, teinturier, et (1769) Marie Madeleine Rœderer – luthériens
1824 h François Charles Rœderer et Marie Madeleine Rœderer
1827 v Jean Henri Knoderer, tanneur, et (1818) Marie Salomé Eckert

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 525 livres en 1690, 1600 livres en 1735

(1765, Liste Blondel) VII 65, Jean Chretien Röderer
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Reterer, 6 toises, 7 pieds et 4 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 961, Knoderer, Henri, tanneur – maison, sol, cour, tannerie – 5 ares

Locations

1712, Henri Flachs et Elisabeth Stahl
1716, Georges Samuel Mosseder
1719, Luc Heyer, fabricant de chausses, et Daniel Schopffer, apprêteur de tabac
1794, Jean Henri Knoderer l’aîné, tanneur
1807, Georges Frédéric Roggenbach, aubergiste
1808, Joseph Magaty, capitaine retiré
1810, Philippe Jacques Biskamm, sergeant de patrouille

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 215-v
Le maître de cuisine Etienne Scherer règle 3 livres 3 sols 8 deniers pour sa maison face à la rue Escarpée, à savoir un auvent (30 pieds de long en saillie de 1 pied ½ et 3 pouces), vers la rivière une risberme dans laquelle se trouve un escalier (44 pieds de long, 5 pieds ½ de saillie), deux latrines contiguës maçonnées (6 pieds de large, 2 pieds de saillie), une galerie en bois reposant sur des lattes et des pieux (31 pieds de long, 5 pieds ½ de saillie), en haut de la maison un caisson de jardin en pierre sur six corbeaux en pierre (19 pièces de long, 6 pieds ½ de saillie), en bas vers la rivière. un plateau (5 pieds ½ de long, 6 pieds ½ de saillie).

Anderseits Spitzengaß
Steffan Scherer Der Kuchenmeister hatt vor seinem Hauß vornen gegen dem Geÿgäßlin Oben ein Wettertechlin xxx schu lang, vnd i+ schu iij zoll herauß, hatt auch hinden vff d. Wasser ein Landvestin, darinnen ein Stegen xliiij schu lang, vnd v+ schu herauß, Darauff Zweÿ vffgemaurte Profeÿ aneinand. vj schu breÿt, ij schu heraus, Ein Gang von holtzwerckh mitt Latten vnd Pfaëlen vfschlagen xxxj schu lang vnd v+ schu herausser, Oben am Hauß ein steinerin Garten Casten vf vj steinerin Kaëpffern xix schu lang, ij schu herauß, Vnden vf dem Wasser ein prütschen v+ schu lang, vi+ schu herauß, Bessert &, iij lb. iij ß. viij d.

1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 246-v
Inscription du cens établi par les Préposés au bâtiment en 1715

Herr Benjamin Büri der rothgerber und Stuben würt zu Waßlenheim, soll von einer steinern Landvest, welche Er A° 1715. 44. schuh Lang: und 10 schuh breit an Seiner in der Spitzengaß gelegenen behaußung hatt machen laßen, Jährlichen auff Johannis Baptæ Und A° 1716. i.mo, 12 ß
Prot: 1716. fol. 24.*
(Quittungen 1727-1741)
Neuzb fol 618

1741, Livre des loyers communaux, VII 1472 (1741-1802) f° 618
Report du même cens et inscription de deux autres. Celui établi en 1751 pour la porte qui ferme la ruelle est supprimé en 1779.

alzb. 246-b
Benjamin Bury der Rothgerber und Stuben würth zu Waßlenheim, solle von einer Steinern Landvest, welche Er Anno 1715. 44. sch. lang: und 10 sch. breit an seiner in der spitzengaß gelegenen behaußung hatt machen laßen, Jahrs auf Joh. Baptæ (id est 24 Junii), 12 ß
(Quittungen 1741-1751)
[in margine :] 6. Messidor – 8. Vendem.

Röderer solle ferner Von einem 32 schuhe Lang, und 3. schuh Vom Hauß Herauß gehenden dohlen Zum S: V: Secret an Obiger behaußung, jahrs auf Michaelis, und Laut Prot. de A° 1749. fol.. 122. A° 1750. I.mo (id est 29. Sept) 7 ß 6 d
[in margine :] dieser dohlen ist nicht mehr vorhanden
Er solle ferner für die erlaubnus das gäßlein neben seinem Hauß mit einem gatter Zubeschließen Jahrs auf Weÿhenachten Jahrs Laut Prot. de A° 1751. fol. 135. A° 1753. I.mo, 14 ß 6 d
[in margine :] Laut Erk..Gn. Oberbauherren vom 9. febr. 1779. fol. 213. Zu streichen
(quittungen 1752-an 10)
C 265

Joh: Christmann Röderer
David Bury von Waßlenheim
Joh: Jacob Ott der mittler laut verschr, vom 2 Therm. 5 J.

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1627, Préposés au bâtiment (VII 1342)
Auguste Goll et ses frères et sœurs sont autorisés à remplacer le plateau fixé à des pieux par un plateau flottant (18 pieds de long sur 6 pieds de large) qui peut être attaché selon le niveau de l’eau. Les préposés aux communaaux devront établir un loyer.

(f° 59)-v Sambstag 28. Aprilis – Pritsch vff der Preüsch
Augusto Gollen Ist von den dreÿ. deß Pfenningthurns Vergunt hinder sein vnd seiner mitgeschistrig Hauß in Spitzengaß, ahn statt der bißher vff Pfäll außgelegten Pritschen vff die Preusch ein schwebende Pritsch 18 sch. lang vnd 6 sch breyt also Zu mach. vnd anzuhencken, dieße an dieselbe beÿ Kleinem seichem waßer, so viel die notturfft erfordert hienauß rucken möge. Ist Ein Zinß daruff Zuschlag. den Allmendt herren Vorbehalten.

1715, Préposés au bâtiment (VII 1386)
Le tanneur Jean Büri demande l’autorisation de refaire en pierre la risberme écroulée (44 pieds de long, 10 pieds de large). Les préposés se rendent sur place, donnent leur accord en taxant à 12 sols le terrain enclos

(f° 173) Dienstags den 4. Junÿ 1715 – Benjamin Buri p° einer Landfest
Augenschein eingenommen in Benjamin Buri des Rohtgerbers in der Spitzengaßen gelegenen behausung, an deren Er die verfallene Land fest so 44. schuhe lang und 10. schuhe breit gewesen, Von steinen machen Zulaßen gesinnet ist, und deßwegen umb erlaubnus angesucht hatt. Erk. Bedacht.

(f° 183) Dienstags den 9. Julÿ 1715 – Benjamin Buri
Wegen des an selbigem tag an Benjamin Buri des Rohtgerbers, in der Spitzengaßen gelegenen behausung eingenommenen augenschein pt° der Landfest ist Erk. ut ante [ist demselben in seinem begehren Willfahrt, und soll das allmend das Er einzäunen will, abgemeßen und wann daßelbe eingezäunt sein Würdt, der allmend Zinß, den Er Jährlich davon Zu bezahlen haben würdt, regulirt werden]

1716, Préposés au bâtiment (VII 1387)
(f° 24-v) Dienstags den 24. Martÿ 1716 – Benjamin Buri Landvest
Ingleichem ist Herrn Benjamin Buri verfertigte steinere Landt fest, so 44 schuhe lang und 10. schuhe breidt auff 12 ß d taxirt worden.

1746, Préposés au bâtiment (VII 1402)
Chrétien Rœderer le jeune est autorisé à poser sur la place Saint-Thomas le bois destiné à la nouvelle maison qu’il fait construire rue des Dentelles et de l’y faire charpenter. Iil déclare s’être déjà entendu avec les préposés de l’église.

(f° 76-v) Dienstags den 18. Ejusdem [Octobris 1746] – Joh: Christmann Röderer
Christmann Röderer Jun. der Gerber Bittet um erlaubnus, das Holtz Zu seinem Bauenden Neüen Hauß in der Spitzengaß, auf dreÿ Monat Lang auf St. Thomas plan Zulegen und Zu Zimmern, mit Vermelden, er Habe schon mit dem Vorgesetzten beÿ dasiger Kirch deßhalben geredet, die jhme solches nicht schwehr machen. Erkannt gegen erlag 3. lb s Zinß Willfahrt. dt. 3. lb

1747, Préposés au bâtiment (VII 1402)
Jean Chrétien Rœderer demande un extrait du procès verbal daté du 19 mars 1629 qui pour terminer le procès avec un voisin concernant la venelle entre leurs maisons

(f° 162-v) Dienstag den 19. Ejusdem [Septembris] – Joh: Christmann Röderer
H. Johann Christmann Röderer der Rothgerber bittet um einen Extractum Protocolli Vom 19. Martÿ 1629 dardurch Zuerweißen, daß der Schlupff an seinem Hauß in der Spitzengaß, wegen welchem er mit seinem Nachbarn in process Verwickelet, Zu seinem Hauß gehöre, Erkannt, Willfahrt.

1749, Préposés au bâtiment (VII 1403)
Jean Chrétien Rœderer demande l’autorisation (1) de construire un encorbellement sur l’eau au-dessus de sa risberme (44 pieds de long, 9 pieds de profondeur d’un côté, se terminant en pointe de l’autre côté), (2) de construire une buanderie sur la même risberme (9 pieds de long, 12 pieds de profondeur), (3) d’établir un égout souterrain jusqu’à la rivière dans la ruelle à côté de sa maison (32 pieds de long, à 3 pieds de la maison). Les préposés donnent leur accord contre un cens annuel de 7 sols 6 deniers

(f° 122-v) Mittwoch den 27. Augusti 1749. – Joh: Christmann Röderer Jun.
An Johann Christmann Röderer Jun. Hauß an der Spitzengaß, welcher um erlaubnus gebetten 1.mo Hinden an sein Hauß gegen dem Waßer, über seine Landfest /:wovon er Laut Statt Zinßbuch fol: 618. 12 ß Zinß Zahlt:/ einen 44 schuhe lang, Oben 9. schuhe tieff, und Unden Am Andern ende des Haußes sich außspitzend, oder auff lauffenden Überhang, 2.do auf erstgedachte Landfest ein dem Waßer nach 9. schuhe Lang, und 12. schuhe tieffe Bauchkuchen, und 3.tio in dem allmendtgäßel neben seinem hauß, einen biß an das Waßer 32 schuhe Lang und 3 schuhe Vom Hauß Heraußgehenden dohlen, alles beditt unter der Erd machen Zulaßen. Erkandt in allem Willfahrt, solle allein wegen des dohlens 7 ß 6 d Zinß des Jahrs bezahlen, so er acceptirt.

La veuve du tanneur Jean Hemmet se plaint de la descente de latrines en bois que Jean Chrétien Rœderer a été autorisé un mois auparavant à mener dans l’égout à l’extérieur de la maison. Les préposés ordonnent de déplacer la descente à l’intérieur de son mur.

(f° 131) Mittwochs den 1. Octobris 1749. – Joh: Christmann Röderer Jun.
An Johann Christmann Röderer Jun. des Rothgerbers Hauß an der Spitzengaß, welcher Zu dem jenigen S: V: Secret warzu jhme am 27. Augusti Letzthin ein dohlen erlaubt worden, einen Höltzen Trichter außerhalb an seinem Hauß hinabmachen laßen, worwieder sich Frau Maria Susanna, weÿl. Johannes Hemmet des Rothgerbers Wittib, welche ihre Wohnstub gerad gegen über hat, wegen übles aspects und geruchs sich Höchstlich beschwehrt. Erkannt, solle Röderer den Trichter wieder Hinwegthun und das Secret jnnerhalb der Maur Richten.

1751, Préposés au bâtiment (VII 1404)
Jean Chrétien Rœderer est autorisé à mettre une porte à l’entrée de la ruelle qui mène à la Bruche pour éviter que les chiens ne dévorent les peaux, se protéger des voleurs et éviter que des soldats ne s’y battent après avoir affirmé que ses voisins Jean Jacques Buschard et Daniel Dürr ont donné leur accord. La porte sera fermée à clé la nuit, les voisins devront en avoir une clé.

(f° 135-v) Sambstags den 18. Decembris 1751. – Joh: Christmann Röderer Jun. Stdtzßb. f. 618.b
An dem Von der Spitzengaß gegen der Breüsch Hinab gehenden Gäßel neben Johann Christmann Röderer Jun. des Rothgerbers Hauß, welcher um erlaubnus gebetten Oben an dießes Gäßlein ein beschließigen Gatter Zumachen, solchen beÿ Nacht Zeit Zuzuschließen, um theils seine Häute im Waßer Vor denen Hunden, die jhme öffters davon freßen, und Vor denen dieben Zubeschützen, und theils Zuverhindern, daß die Soldaten nicht mehr, wie gar Offt geschehen, darinn Duelliren Können, deßen Johann Jacob Buschar der Rothgerber, und Daniel Dürr der fischer Beÿde in dießem Gäßel wohnende Nachbaren auch Zufrieden, und selbsten darum gebetten.
Erkannt, gegen 4 ß 6 d Zinß, des Jahrs Willfahrt, jedoch nur so lang, als es Mhh. belieben wird, mit dem anhang daß er jedem deren Nachbaren einen schlüßel geben den gatter auch in feuers: Nöthen alsobald eröffnen solle, so er alles bewilligt.

1755, Préposés au bâtiment (VII 1406)
Jean Chrétien Rœderer est autorisé à enfoncer deux pieux dans la rivière pour amarrer ses bateaux et éviter qu’ils ne gênent ceux qui passent l’écluse.

(f° 66-v) Mittwochs den 19. Martÿ 1755 – seÿnd folgende Augenschein eingenommen worden – Joh: Christmann Röderer
Hinder Johann Christmann Röderer des Rothgerbers Hauß an der Spitzengaß, welcher um erlaubnus gebetten Zweÿ Pfähl in die Preüsch Zuschlagen, sein schiff an Beÿden enden daran anzunähern, damit es nicht in dem Wasser Herumtreiben, und denen durch die schleüß gehenden schiffen hinderlich seÿn möge, Erlaubt Unterhalb daßiger Pritsch und in derselben flucht Willfahrt.

1777, Préposés au bâtiment (VII 1417)
Le maître maçon Michel Meyer est autorisé à ravaler la maison de Jean Chrétien Rœderer.

(f° 200-v) Dienstags den 29. Aprilis 1777. – Hr Rathh. Christmann Röderer, Gerber
Mr. Michael Meÿer, der Maurer nôe Herrn Exsenatoris Christmann Röderer, des Gerbers, bittet ihme zu erlauben an deßen Behausung ane der Spitzengaß gelegen den Bestich Zu repariren. Erkannt, Willfahrt.

1779, Préposés au bâtiment (VII 1418)
Jean Chrétien Rœderer supprime la porte qui ferme la ruelle. La taxe correspondante est supprimée.

(f° 213) Dienstags den 9. Februarÿ 1779. – H. Rathh. Johann Christmann Röderer (Stzb. fol. 618.a) – H. Exsenator Joh: Christmann Röderer, der Rothgerber bittet, da das thor an dem Gäßel neben seiner Behausung der Spitzengaß wieder weg ist, ihme die davon in Gefolg Erkanntnus vom 18. Decembris 1751. seithero gerichtete 4. ß. 6. d jährlichen Zinses wieder zu streichen. Erkannt, Willfahrt.

1783, Préposés au bâtiment (VII 1420)
Jean Chrétien Rœderer se plaint que le courant qui provient de la décharge du moulin Dinsenmühle abîme les fondations des maisons le long de la rivière. Les préposés ordonnent à l’inspecteur Boudhors de faire une enquête.

(f° 282-v) Freÿtags, den 16. Maji 1783 – H. Rathh. Christmann Röderer, Rothgerber
In der Spitzengaß, da Herr Rathh. Christmann Röderer, der Rothgerber geklagt, daß die Häuser alda gegen dem Wasser grosen Schaden leiden wann der Ablaß der Dinsen Mühl aufgezogen ist, da nun eben damalen der Ablaß solcher Mühl aufgezogen war, so hat man gar deutlich wahrgenommen, daß der gantze Strohm auf die Häuser schieset, wodurch sonder Zweifel die Fundamenter Noth leiden. Erkandt, Seie durch Herrn Bau Inspector Boudhors Zu untersuchen, wie diesen Schaden abgeholfen werden könne.

1786, Préposés au bâtiment (VII 1422)
Jean Chrétien Rœderer demande l’autorisation de remettre une porte à la ruelle.

(f° 149) Dienstags den 12. Septembris 1786. – H. Exsen. Joh: Christmann Röderer, Rothgerber
Herr Exsenator Joh: Christmann Röderer, der Rothgerber, bittet ihme zu erlauben an das Gäßel neben seiner Behaußung an der Spitzen Gaß wie ehedeßen war, eine Gatterthür machen Zu laßen. Erkannt, Augenschein

1787, Préposés au bâtiment (VII 1422)
Les préposés refusent en mars 1787 de donner l’autorisation puisque deux maisons ont une sortie dans la ruelle. Ils proposent que la Ville pose une chicane pour éviter les accidents. Ils ordonnent à l’inspecteur Boudhors de se rendre sur place quand Jean Chrétien Rœderer demande en avril l’autorisation de poser des pieux le long de son égout.

(f° 252) Mittwochs den 14. Martii 1787. – Hr Exsenat. Johann Christmann Röderer, Rothgerber
In der Spitzen Gaß, alwo Herr Exsenat. Johann Christmann Röderer, der Rothgerber, an das neben seinem dasigen Haus auf das Wasser gehende Gäßel eine verschloßene Gatterthür möchte machen laßen, da sich aber befunden, daß die gegen über stehende Häuser Ausgäng in besagtes Gäßel haben, als wurde Erkannt, Seÿe drer Herr Implorant mit seinem Begehren abzuweisen. Jedoch seÿe an besagtes Gäßel, um Unglück zu verhüten, auf Kösten Gemeiner Stadt wieder ein geschrenckter Barriere zu machen.

(f° 269-v) Dienstags den 17. Aprilis 1787 – Hr Exsenat. Johann Christmann Röderer, Rothgerber
Herr Exsenat. Johann Christmann Röderer, der Rothgerber, bittet ihme zu erlauben den dohlen, so durch das neben seiner Behausung In der Spitzen Gaß befindliche Gäßel Ziehet, mit Pfähl einfaßen zu laßen. Erkannt, Seÿe die Verhältnis dieses Petiti durch Herrn Bau Inspector Boudhors zu examiniren

1789, Préposés au bâtiment (VII 1423)
Jean Chrétien Rœderer demande que la Ville prenne des mesures pour éviter que l’eau provenant de la décharge du moulin n’abîme les fondations de sa maison. Selon lui, le courant serait supprimé en orientant autrement la décharge. Les inspecteurs estiment qu’il n’y a pas lieu de prendre des mesures supplémentaires ; contrairement à ce que le plaignant affirme, la décharge a la même direction qu’avant les travaux.

(f° 204) Dienstags den 3. Februarii 1789. – H. Exsen. Christmann Röderer, Gerber
Herr Exsenator Christmann Röderer, der Rothgerber, præsentirt unterthäniges Memoriale Vortragend, daß als in vergangener Woch der Ablaß von der Spitz Mühl eröfnet worden, das Wasser von dieser Mühl auf das Haupt Eck seiner in der Spitzengaß gelegenen Behausung so gewaltig losgestürmet, daß es ein Wunder war, daß solche nicht eingestürzet, die Haupt Ursach davon seÿe daß die Mahlgäng und der auserordentliche Ablaß dato ganz schräg gesetzet word. da doch diese Gäng und Ablaß nicht schräg sondern grad gestanden, so daß das Wasser seinen graden und nicht schrägen Fortgang wie anjetzo genommen hatte, Weilen Er nun nicht gehalten seÿn könne solchen Schaden auf sich zu leiden, als wolte er gebetten haben, den Herrn Bau Inspector und übrige Herren Werckmeister abzuordnen, um die Sach zu untersuchen, damit nicht annoch ein gröseres Unglück daraus entstehen möge, anbei dem Müller auf der Spitz mühl an zu befehlen daß Er den Ablaß nicht eher wieder aufziehe, bis sein Hauß auser Gefahr gesetzt seÿn wird.
Erkannt, Seÿe die Sach durch Herrn Bau Inspector Boudhors und Herrn Werckmeister Kaltner genau Zu untersuchen, und über das Befinden und Verhalten einen Processum verbalem Zu errichten, worauf als daß das weitere verordnet werden solle.

(f° 211) Dienstags den 10. Februarii 1789. – H. Exsen. Christmann Röderer, Gerber
In Sachen Herrn Exsenator Christmann Röderer, des Rothgerbers, puncto vogebrachter beschwerden, daß seiner Behausung von dem Ausfluß des Wassers aus der Spitz Mühl und besonder dem Ablaß groser Schaden zu gefügt werde, Übergabe Herr Bau Inspector Einen über die Von Ihme und Herrn Werckmeister Kaltner in Gefolg dißortiger Erkantnus vom 3. hujus gemachter Untersuchung errichteten Processum verbalem Ausweis deßen Sie nach gemachter Examination auf was Art das Landvest an gesagten Herrn Exsenator Röderer behausung gegen dem Strohm des Wassers des Ablaßes der Spitz Mühl beschirmt werden Könte, befunden, daß das Wasser an gemeldtem Landvest würcklich noch eine Tiefe Von Zehen Schuh hat, und würcklich nichts Zur beschirmung deßelben vorgenommen werden könne als den Ablaß der Spitz Mühl soviel möglich Zu zulaßen.
Wobei anbemerket worden, daß Herr Exsenator Röderer in seinem Memoriali irrig vorgetragen, als entstünde dieser Stoß des Wassers auf sein Landvest, weilen die Bäderich und der Ablaß der Spitz Mühl bei Aufbauung derselben schreg geführt wurden, da selbige vorhin grad giengen in dem der neue Wasserbau nach der nemlichen Richtung wie der alte aufgeführt, davon ein Beweis ist, daß das alte Fundament auf der Seiten der alten Müntz Mühl benutzt worden, mithin ist die Flucht der Bäderich und des Ablaßes nach der alten Paralele angelegt.

1789, Préposés au bâtiment (VII 1423)
Deux brasseurs se plaignent que Jean Chrétien Rœderer refuse d’ouvrir la ruelle dont il détient la clé, ce qui les empêche de décharger leur bois. Les préposés ordonnent à Jean Chrétien Rœderer d’ouvrir la ruelle le jour, sans quoi il devra rendre les clés de la barrière. Il répond que le déchargement abîme le pavé et l’égout. Les brasseurs demandent que la ruelle soit rouverte au public et font remarquer que Jean Chrétien Rœderer a posé une traverse qui empêche l’accès depuis la rivière. Les préposés ordonnent à Jean Chrétien Rœderer de rouvrir la ruelle qu’il ferme sans autorisation et de retirer à la demande la traverse que les bateliers estiment utile à la navigation.

(f° 261) Dienstags den 12. Maji 1789.- Gatterthür an H. Röderers behausung soll des tags offen bleiben
H. Johann Christian Pick der Biersieder im Bähren und H Frantz Heinrich Lauth der Biersieder im Grenadier klagen wider H. Exsenatorem Christmann Röderer den gerber, daß er seit ein gatter neben seinem hauß in dem gäßlein gegen dem waßer sich befindet, wozu er den schlüßel hat, er denselben beständig Zu geschloßen hält, und auf keinerleÿ begehren öffnen will, wodurch sie, da sie ihr holtz daselbst nicht ausladen können, auch das publicum in ansehung der waschen, sehr gehindert werden.
Erkannt, Seÿ H Exsenatori Röderer Zu bedeuten, die an seiner behaußung in dem Gäßlein befindliche Gatter thüre in tags Zeit Zum gebrauch des Publici offen Zu laßen und niemanden den Zugang Zum waßer zu erschwehren, ansonsten ihme die schlüßen Zu solcher Gatterthüre abgenommen werden sollen.

(f° 267-v) Dienstags den 19. Maji 1789.- H. Exsenator Röderer opponirt sich, daß der Gatter in dem gäßlein neben seinem Haus nicht offen gelaßen werden möge
H. Exsenator Johann Christmann Röderer auf erhaltenes Decret, daß derselbe den an seinem hauß in dem gäßlein befindlichen Gatter beÿ tages Zeit Zum behuf des Publici eröffnet werden solle, producirt unterthäniges Memoriale, mit anzeige daß sich niemand als H Pick und H Lauth dießes gäßleins Zum ausladen ihres holtzes bedienen, wodurch nicht allein das pflaster sondern auch seine behaußung und in dem gäßlein habender Dohlen ruinirt werden, daß auch dadurch, wann dieße Bierbrauer holtz bekommen, durch die in dem gäßlein stehende holtzschiffe die schiffart erschwehren und gefährten, auch mit angehängter Bitte, entweder ein solches Zu Verbieten, oder Zum wenigsten dieße bierbrauer zu ersetzung des von ihnen verursachten schadens anzuhalten. Erkannt Seÿe dießes memoriale Herrn Pick und Lauth Zu ihrer vernehmlaßung zu communiciren.

(f° 283-v) Dienstags den 9. Junii 1789.- H. Exsenator Röderers Ca. H. Christian Pick und consorten pt° Allmend Gäßlein
H. Johann Christian Pick der Bierbrauer und consorten auf von H. Exsenatori Johann Christmann Röderer des gerbers den 19. Maji jüngst übergebenes Memoriale produciren unterthänige Exceptiones mit bitten, da das Allmend gäßlein gewesen, und dadurch, daß Herr Rathh. Röderer einen Dohlen vergünstigungs weiße darinnen habe, ihme kein eigenthums recht demselben Zu wachsen könne, meine gnädige Herren geruhen möchten, des gegners einreden ohngeachtet, in welche derselbe Zum theil ohne qualitæt Zum theil als ohngegründet Zu erklären, Zu erkennen, daß das in frag befangene Allmend gäßlein, als solches zum Holtz ausladen und anderem bisher üblichen nothwendigen und bequemen gebrauch der benachbarten Biersieder und das dasigen gesamten Publici freÿ Verbleiben solle, einfolglichen dem gegner beÿ Straffe rechtens Zu Verbieten dieselben in diesem gebrauch Zu stöhren, sofort denselben anzuhalten das von ihme ohnbefugter und eigenmächtigter weise auswendig am waßer angebrachte Zwerchholtz, wodurch der Zugang von dorther versperret wird, ohnverzüglich auf seine Kösten wieder weg zu schaffen. Erkannt, Ehe und bevor in der sache zu sprechen Augenschein.

(f° 288) Dienstags den 16. Junii 1789.- H. Rath. Christmann Röderers Ca. Pick und consorten pt° Allmend Gäßlein
In dem beÿ H Exsenatori Christmann Röderer des gerbers Behausung befindlichen allmend gäßlein, wo derselbe prætendirt, daß Hn Pick und Lauth denen Bierbrauern sowie samtlichen um die Spitzengaß befindlichen anwohnern verbotten seÿn solle dießes gäßleins Zu gebrauchen, Ist nach eingenommenem Augenschein und auf Imploranten übergebenem memoriali und von denen imploranten eingelegten Exceptionen, auch befund, daß gedachter H Exsenator Röderer eigenmächtiger weiße, um den Zugang Zu dem gäßlein quæstionis Zu erschwehren an einen von der Zeit der erbauung der Spitzmühle in dem waßer geschlagenen und stehen gebliebenen pfals einen seine an dem selben befindliche pritsche überstehendes bauholtz in das waßer vestgemacht, die hodierna die von gedachtem H. Röderer mündlich gehaltene replic sich auf seine Klage berufend, so wie auf die von Jacob von Zabern und Georg Kieffer der beiden hießigen Schiffleute in instanti gethane anzeige daß das von H. Röderer an den pfal bevestigte querholtz der Schiffahrt sehr nützlich, in deme derselbe verhindert, daß die das waßer hinab führene Schiffe von deßen pritsch abgeleitet werden, auch befunden worden, daß an gedachten Herrn Röderers behaußung den größesten wust verursachen.
Erkannt, Seÿe das beÿ Herr Exsenatori Röderers behaußung befindliche Allmend gäßlein ein solches anzuerkennen, mithin jedermann erlaubt von solchem gebrauch zu machen, derselbe also mit seinem so wiederrechtlichen als ohnerwießenen gesucht abzuweißen, hingegen dahin anzuhalten, das von ihme in das waßer gelegte quer holtz auf jedesmaliges begehren hinweg zu thun, ansonsten der pfal an welchem solches vestgemacht hinweg gethan und selbigem dießes holtz zu haben verbotten werden solle, so wie hiemit ihme anbefohlen wird seine in das gäßlein quæstionis gehende ausschuß nääche bis auf den boden herunter zu führen.

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue des Dentelles

nouveau N° / ancien N° : 9 / 5
Roederer
Rez de chaussée et 3 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 270 case 3

Knoderer, Jean Henri, Négociant
1856, Knoderer, Chrétien Charles

P 961, maison, sol, cour, tannerie, Rue des Dentelles P 961
Contenance : 5
Revenu total : 722,60 (722 et 0,60)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 116 / 93
fenêtres du 3° et au-dessus : 15 / 12

P 960, sol,
Contenance : 8,50, total 13,50
Revenu total : 727,02 (720 – 2,60 et 4,42

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 231 Rue des Dentelles p. 374

5
Pr. Roederer, J. Christmann, Tanneur – Tanneurs
loc. Faust, Samuel, Ltus – Tonneliers
loc. Geiger, Catherine, bourgeoise
loc. Popp, Geor. Charl. Fréd. Ferd., Greffer Crimin. – Pêcheurs
loc. Sadoul, J. Louis, bourg. non Tribut. – Privilégié
loc. (-) empl. dans les magas. du Roi chés M Sadoul, journalier
loc. Lionnois, J. Bapt. Secrét à l’intend. – Privilégié
loc. Lionnois, fils Ltié – Drapiers


Relevé d’actes

La maison est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom du maître de cuisine Etienne Scherer.
Originaire d’Œhringen en Wurtemberg, Etienne Scherer achète le droit de bourgeoisie en février 1579.

1579, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 314
Steffen Scherer Von Öhringen Jetzig. Kuchen meister vff des herren Ammeister Stuben hatt d. Burg. Recht Kaufft vnd will mitt d. Freÿburg.en dienen, Actum d. 14.ten Februarÿ 1° 79

Il se marie en 1576 avec Apollonie, veuve de l’aubergiste Grégoire Hügel
Mariage, cathédrale (luth. p. 268)
1576. Sonntag den 22. Junÿ. Steffan Scherer von Oringen, Apolonia Gregorius Hugels wirt Zum Spanbet hint. witwe, Eingesegnet Montag 30 Julÿ hora 10 (i 137)

Il se remarie en 1582 avec Salomé Thoni, fille de Jean Thoni, qui a épousé en 1567 l’aubergiste Albert Wanner
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 90, n° 10)
1567, den 25 Augusti sind Ehelich eingesegnet worden Albrecht Wanner von Straßburgk vnd Salome Thoni Hans Thoni nachgelaßene tochter (i 104)

Mariage, cathédrale (luth. p. 57)
1582. Dnicâ LXX. 11 Februarÿ. Stephan Schärer gewesener Kuchenmeister vnd Salome Albrecht Wanners des Wurts Zur alten Pfaltz nachgelaßene wittib, Montags 19.t Februarÿ (i 31)

Mentions d’Etienne Scherer dans les registres des Quinze et ceux des Conseillers et Vingt-et-Un
1584 Conseillers et XXI (1 R 59) Steffan Scherer contra Andres Rudloff Kochen metzger vffs Herren Ammeisters stub und zum Spiegel. 306.
1588 VII 1302 Bauherren, Steffan Scherer der Kuchenmeister vff deß herrn Ammeisters stuben. 161.
1599 XV (2 R 28) Steffan Scherer Würt Zum Thiergarthen. 100.
1600 XV (2 R 29) Steffan Scherrer Würt Zum Thiergarthen. 110. 135. 147. 154.
1601 XV (2 R 30) Steffan Scherer Würt Zum Thiergarthen. 81. 86. 179. 187.

Les Quinze ordonnent d’examiner l’inventaire dressé après la mort d’Etienne Scherer
1605, Protocole des Quinze (2 R 33)
(p. 105) Mittwoch den XV. Maÿ – Steffan Scherer
Weg. Steffan Scherers Inventarÿ thut H Schatz ettwas bericht, wie es darmitt beschaffen, vnd das er neben dem Jung. Meÿer Zu Testamentarien geordnet geweßen vnd was sÿ verrichtet
Erkandt herrn ordnen, die Inventaria Zubesichtig. vnd bericht von dem Statt einzunehmen geordnet. J. Prechter H. Mörschel.

Aubergiste à la Ménagerie, Etienne Scherer vend la maison à Auguste Goll, assisté de son cousin Georges Fettig. Marie Fettig veuve de Michel Goll se porte garante de l’acquéreur

1600 (Letzt. Julÿ), Chancellerie, vol. 327 (Registranda Meyger) f° 229
(P. fol: 242.) Erschienen Herr Steffan Scherer disser Zeit gasthalter Zum Thier gartten Alhie burger Zu Straßburg Hatt (verkaufft)
Augustus Gollen, burger Zu Straßburg, so Zugeg. mit beÿstandt herrn Jörg Fettig seines herrn vetern
hauß, hoffestatt, höfflin vnnd hind. hauß, geleg. Inn d. Statt Straßburg Inn S. Spitzen gassen, ein sit ein Eck hauß Am gäßlin, so vff die Breüsch gehet, And.sit nebent Mathÿß Schollen dem ferber, hinden vff die Breüsch stoßend, Dauon gond Zwölff guldin elts Ablösig mit 300 guldin vff Oßwaldi vnnd Catharinæ fallend, dem Closter Zu Sant Marx Jährlich. wie man sagt Vnd Alles Recht & Also & Ist disser Khouff Zugang. vnd bescheh. für vnd vmb 1500 gudlin Zu 15 batzen gerechnet
Und dessen Zu mehrer sicherheit (…) So ist p.sönlich erschienen frauw Maria Fettingin, wÿland Hn Michell Gollen selig. wittwe, mit beÿstandt & obmmelts hn Jörg Fettig Ihres geschwornen Vogts hat sich für sich & für Zinß vnd hauptgut, Zu Recht. bürgin, mit: und selbst schuldnerin gesetzt vnd gemacht

Le teinturier en soie Auguste Goll hypothèque la maison au profit des héritiers du marchand Frédéric Dorville, de Frankenthal

1603 (4. tag Aprilis), Chancellerie, vol. 346 (Registranda Meyger) f° 122
(Inchoat. in proth. fol: 9..) Erschienen H Augustus Goll der Seydenferber Burger Zu St.
Haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit H Johann von der Bruck Handelßmanns, Burgers Zu St. so Zugeg. Inn Nammen wÿland h Friderich Doruile des Handelßmanns Zu Franckenthal selig. Erben – schuldig sige 115 guldin p. xv. batzen Wexell geltt Vonn einem Ballen syden Herrührendt
Zum vnderpfand ÿngesetzt, hauß, hoffestatt, höfflin vnd hinderhauß Mit Allen Iren gebeuwen & Inn der St. Straßburg, Inn Spitzen gaß einsit Ein Eckhauß ane einem gasslin, so vff die Breüsch hinab geth, Andersit neben Mathys Schollen dem Ferbern, hinden vff die Breüsch stoßend, Dauon gend xij guldin gds Ablosig mit iij C guld. der hauß Zu St Marx alhie, So dann sind sie noch hafft vnd vnderpfandt für ein schuld 1000 guldin, Zu zilen Zubezalend Hn Steffan Scheeren, Alt gasthalttern Zum thier gartten, sunst ledig v eÿg.
[in margine :] Erschienen Peter Doruile Vonn Franckenthal, so Auch zugeg. sein selbst vnd seiner mit Erben, hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit Augusti Gollen des schuldners hierin benant (…) Act. den 8 Julÿ Anno 1603.

Le marchand Auguste Goll épouse en 1611 Dorothée, fille de Matthieu Steurnagel de Wissembourg
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 313, n° 927)
1611. Sonntag den 21. Julÿ. Augustus Goll der handelß Mann vndt Dorothea H. Mathei Steurnagel Burgers Zu Weÿßenburg tochter. Eingesegnet Zinstag 6. Augusti (i 322)

Propriétaire de la maison voisine (ensuite n° 4), le tisserand Mathias Scholl vend à Auguste Goll une bande de terrain de quatre pieds de large sur vingt-neuf pieds le long du bâtiment avant de l’acquéreur. Deux éviers qui s’écoulent vers la rue font partie de la vente, ce qui est confirmé par une sentence rendue le 19 mars 1629 par les préposés aux Communaux

1624 (15. 7.bris), Chancellerie, vol. 454 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 108
Kauffverschreibung H Augusti Gollen vber einem Platz beÿ einem Hauß
Erschienen Mathiß Scholl der Sergenweber alhie bekannte
in gegensein H Augusti Gollen deß handelßmanns Alhie, daß er für sich vnd alle seine erben vnd nachkommen ihme H Gollen (…) verkaufft habe
einen blatz, so zwischen Ihr beeder heüser gelegen, vnd vff 4 schuh breit, auch vff vngefehr vff 29 schuh lang welcher platz dann so lang, alß sein deß verkeüffers vordern behausung ist, vnd vff sein deß Verkeuffers höfflin stosst, So ist auch ietzverkauffter blatz vornen mit einer Mauren gantz Zugemacht vnd v.schloßen, Vnd were diser kauff für ledig vnd eÿgen beschehen p. 25 pfund d.
dabeÿ abgeredt nach dem der verkeuffer zwen wasserstein an seiner Behausung bißh. gehabt vnd das wasser von denselben durch den verkaufften platz auf die Gaß gelauffen, das er der verkeuffer dieselben von diesem verkaufften Platz ab und auf sich selbst nehmen soll vnd er der verkauffer bekant das er obgemelte 25 lb von dem Kauffern heuth dato bahr empfangen vnd Ine den Keuffern deßwegen bester form quittiert Geschehen auff Donnerstag den 23. Xbr A° 1624.
[in margine :] Erschienen hannß Andres der Paßmentmacher, Alß Jetziger Inhaber des hieneben gedachten blatz hatt in gegensein H Augustin Gollen bekandt d. den von den Almendherren den 19. Martÿ 629. datirten bescheid Zu v*, Er Andreß nuhn mehr Zufriden vnd Ihme H Gollen alß ein rechtmeßig Ihme gebührend. sach, den gekl(ag)ten Wasserstein vnd deßen Außlauff, Zu gerechtigkeit vnd beständig nießung Ihme verschrieben haben wolle
(-) Februarÿ A° 1631 hatt H Augustus Goll bekandt *ill hierin geschribener Platz Ihme Lauth eines von den Almendhh. vnd. davon 19. Martÿ 1629. ergangenen bescheids Zuerkandt worden, d. alß Er hirmit diß Kauff daß Auch In disem Kauff vorbehaltenen Zugangs bester form mit vnd. leedig gezalt haben wolle

Les Quinze traitent une affaire dans laquelle Auguste Goll s’est montré arrogant et injurieux envers les employés de la halle commerciale. Il cherche motif à querelle à chaque visite, prétend que les étrangers sont mieux traités que les Strasbourgeois. Un interrogatoire en dix questions a lieu. Auguste Goll présente des excuses. La commission estime nécessaire de lui infliger une amende de 200 rixdales. Le greffier de la halle Fuchs se montre par ailleurs souvent peu conciliant. Les Quinze décident d’infliger l’amende de 200 rixdales. Elle est ramenée à 150 rixdales si elle est réglée sous trois jours, ce qui a lieu.
1627, Protocole des Quinze (2 R 55)
(f° 135) Zinstag 5.ten Junÿ – Augustus Goll
Würd referirt, welcher gestalt Augustus Goll der handelßmann allhier, bereits Zu mehrmahlen In dem Kaufhauß mit hartten wortten vßgebrochen, vnderstehet M H. ordtnungen Zu taxiren vndt Zureformiren, gebe vor, waß die officianten daselbsten M. Herren vorschreiben, daß wdt. eingewilligt, seÿ bereits offt vndt trawhertzig von solchen reden abzustehen v.warnet worden, laß es aber nit beÿ Ihme fruchten, Sintemahlen er gahr beÿ kurtz v.ruckter Zeit, sich abermahlß im Kauffhauß mit solchen wortten hören laßen, daß wo man darzu stillschweigen, M. Herren schimpff davon haben würden & wie dann beede Ober Kaufhauß H. ein mehrers Zureferiren wüßen w.den & H. Ingoldt gehört sagt, möchte leiden daß Goll ein bescheidenere Zung führte, halt dafür daß die beampte Im Kauffhauß Zu vorderist deßweg. beÿ Ihren dienstpflichtig Zuhören, allß dann ferner von der Sach Zutractiren & H. Städell auch vernommen & seÿ wegen der v.hör gleicher meinung, besagter Goll hab ein unbescheiden maul, die Inq.sition w.dt bring. waß Er für reden vßgestoßen & H XV Meist. melt, Ihme seÿ referirt, Er seÿ Bericht, deß Goll die formalia geredt, Er wöll die handtlung vß der Statt bringen helffen, Item helffen v.schaffen, daß cä dießer Statt ein dorff gemacht wdt.
Erkandt die Officianten im Kauffhauß sollen deßwegen beÿ Ihren Pflichten v.nommen werd. Nach dießer Erkandtnuß bringt H Schilling vff die bahn, daß die Gollen, vf Ihren wahren Einen stempfel, anderst alß gewohnlich führen weiß es aber anderst nit, allß wie er von etlichen hießigen Kaufleüthen solches verstanden hab.

(f° 151-v) Donnerst. 14. Junÿ – Augustus Goll
H. XV. Meister hatt befohlen vß den Saagbuch abzulesen, waß sich wegen Augusti Gollen, In gehaltener Inquisition befunden, gehet dahin, daß besagter Goll, so offt Er In daß Kaufhauß komme, In beÿsein Jedtwederens, so darvnden Im Kaufhauß vß oder Ingehet, mit den beampten querelle vndt Zanck erweckh. balt die wag bald die Ordtnung disputire, offentlich sag, waß Sie die beampten M. Hn vorsagen, daß geschehe, durch daß starcke anhalten vndt 2 p. Ct° wdt. man die handtlungen hie vertreiben, vß der Statt ein dörff nach & Nach der Meß wollen Er Goll vndt andere Kaufleüth am rechten ortt, Nemblich beÿ herren Räth vndt XXI. Ihr beschwerten einbringen, Man thu dem frembden mehr Vortheil, Allß dem Haÿmischen & vndt waß der gleich mehr reden, wie solche alle in angeregyem Saagbuch Zubefünden &
Goll seÿ darüber gehört, der gestehet vilen reden wendet Ein, hab Sie In dem v.standt, wie Sie ihme wollen vßgedütten wden, nit will geredt haben, pit unterthänig vmb v.ziehung, Es gebe Fuchß der Kaufhaußschreiber vrsach daß vß vngedult mit der gleichen reden vßgebrochen würdt daß der frembd vortheil vor dem heÿmischen hab, Seÿ Er allein In dißem fall der Meinung, weÿlen Er Goll von seinen wahren die Er hie bereiten laß, vndt In andere Meßen v.führ, die 2 p Ct° geben muß, da doch die herren Fölsen von St. Gallen vndt Andere mehr, auch solche wahren allhier beim Mang Meÿster bereiten nachgondts wider wegführen laßen, vndt mehr nit allß den durchgehenden Zoll davon abrichten & mehren Inhalts angeregt Saalbuchß & waß Er Goll sonsten wegen der Zeichen, so Er an sein wahren wider ordtnung hencken soll, beschuldigt worden, fündt sich Nitt, hab v.mög Artl. der vf der Spiegler Zunfft Ist, macht, seiner wahren Zu Zieren wann allein Keiner Statt oder Eines andn Ziehen angehengt würdt & H XV Meister vndt H. Städell welche der v.hor beÿgewohnt, gehört, seÿ abgelesener maßen &
Erkandt, Soll bericht beÿ den Kaufhauß beampten, vber sein Gollen, beim 10. fragstuckh gethane v.antwortung, eingezogen, Alßdan J Herrn XV. Meister vndt Oberkaufhauß H. waß Gollen wegen seiner vßgestoßenen reden die Er vber v.antworttet, Zuv Ehren, ein bedacht gefaßt vndt für M. H. gebracht w.den.

(f° 153-v) Sambstags den 16. Junÿ – Augustus Goll – Hannß Carlen Fuchß, Kauffhaußschreibern
H. XV. Meister vndt Ober Kauffhaußherren laßen In Sachen Augusti Gollen, per me ablesen, waß die beampte Im Kauffhauß, vff Gollen, beim 10. Fragstuck, gethane verantwortung, daß Er Noch der Meinung, daß deponierter maßen, der frembde weg. der wahren so hie bereitet werden, der 2 pro Ct° halb, vor Ihnen Gollen ein Vortheil hab & für Ein gegenbericht gethan würdt darin Gollen Meinung gahr vßfürlich wid.legt, wie dann solcher bericht, in dem saagbuch, beÿ den, vf Gollen gestelte Interrogatorÿs, Zubefünd. daß Allß In dießem p° daß geschäfft sein erledigung & referiren demnach weiters, daß er sich deßen, weßen Er der Zeichen wegen beschuldigt, genugsam purgirt, derentwegen von solcher Clag Zu absolviren & waß aber betreffen die im Kaufhauß, durch Ihne vßgestoßene Reden /:deren Er Zum theil bekandtlich, Sich anderst nit weiß Zuentschuldigen, Allß daß Er kein so bose Meinung dabeÿ geführt, wie mans Ihme vfnimpt, werdt von den beampten, sonderlich Fuchßen, auch Zur ungeduldt bewegt, vndt dann Zum drittenmahl underthanig vmb v.ziehhung gebetten & So kann man nit vorüber, sondern befünden daß Er mit Einer straff andern auch Zum Exempell anzusehen, dann volgende Puncten deren Er in seiner v.hor Zum Zweitenmahl geständig gewesen, genugsme Fundamente Zur Abstrafung seÿen, Erstlich daß Er ohnschön im Kaufhauß gesagt, die Beampten Im Kaufhauß berichten M. H. Anderst, Allß Es seÿ & Item waß dieselben M. H. für ordtnungen verschreiben vndt an die handt geben, daß gelt vndt gehe durch & Item man ands abermahlß mit Ihnen & Man nicht wider Ein Newen Zoll* vff & Item Er müß abermahlß gelt hergeben & Er vndt Nitt nur noch Ein halb tutzet Kaufleüth, wollen nach der Meß an daß recht ortt, Nemblich für H Räth vnd xxi gehen vndt daselbsten clagen & Allß wann beÿ M. H. den XV. kein recht were & Zu dem Komme auch daß die Zeügen unanimiter vßgesagt, so offt Goll In daß Kauffhauß gerathe, so offt müeß Er gehadert haben, disputier vndt redt ahn vnd.laß wider M. H. ordtnung vndt die 2. p. Ct° & Die Wag Irr Ihne auch, beruff sich vff die Seinige, die Er Im hauß hab & vmb dißer vndt anderer getribenen vndt vber verantwortten reden nun, solten Ihme Zur straff vferlegt w.den, 200 R.thaler, der gestalt wann Er Kommen, Sich submittieren vndt vmb genadt piten würdt, daß Ihme 100. thaler Nachgelaßen w.den solten & stellens Jedoch Zu M. H.
In der vmbfrag, würdt gedacht, daß Sich viel Kaufleüth ab Fuchßen beschweren, Oberkauffhaußh. entschuldigen Ihne, daß Ihm Zuviel geschehe, geben Ihme daß Zeügnus, daß beÿ ordtnung steif halt, kein Ansehen der Persohn Im Abrechnen hab, dahero Angefeindt w.dt., Es Fuchß muß Ir*, gegen denen, die nach Ihrem gefällen vndt nit v.mög ordtnung abrechnen wollen, daß oppositum halten & besagter Fuchß, pit vmb Gottes, man wöll Alle vbrig Kaufhauß beampten, seines verhaltnuß, beÿ Ihren Aÿden höhren, oder Ihne nit Einem Andern dienst Zubedancken, damit Er, Allß In der Kauffleuth Augen Ein dorn* & von dißer stell wegkomme & H. Schilling hatt v.wandtschafft halben in Gollen Sach nit gesproch. & H Glaßer Ist wie vorgestern auch abgetretten.
Erkandt, der Herren bedancken dergestaltt gevolgt, daß die 200. Rthalen Gollen sollen abgefordert, wo Er sich demütigen vndt vmb Gnadt piten würdt, Allß dann die begnadigung beÿ M. H. stehen. Fuchsen seÿ pillich die handt Zubeithen, geschehen die Anlagen vß affecten.

(f° 158-v) Montag 18. Junÿ – Augustus Goll
E. Ob Augusto Goll sein bescheidt In pleno od. per deputatus angezeigt w.den soll, Erkandt beede Herren XV Meister mögen Ihme den bescheidt ansagen, v.richtens, referiren, hab sich geschlacht erzeigt, gemelt, wüße Nit Wie Er In daß Vnglück komm, Ist Ihme angedütten word. wann Er gnad beger, mög Er solche beÿ M.H. suchen &.

(f° 162) Zinstag 26. Junÿ – Augustus Goll Erschienen Vberreicht per Dr. Knaf. Vnderthänig Supplicat., So v.lesen, Pit darin Ihme die Jüngst vferlegte Straff der 200 R.thaler vß gnaden nachzulaßen, wo Nitt völlig, Jedoch Zu moderiren, hab die vßgegoßene Reden, wüß Gott, nit In dem v.stand geführt, wie Sie wollen, vßgedütten w.den &
Erkandt, Wo Er in dreÿ tagen 150. Reichßthl. erlegen würdt, Er dabeÿ gelaßen w.den, wo nit, Es beÿ den 200 Rthalern v.pleiben soll, Ihme dabeÿ anzeigen sein Maul Zu moderieren
[in margine :] Erlegt 27.t diß, seindt Samst. den 7. Julÿ 627. durch mich vff den Pfenningthurn in specie gelüffert word.

La veuve d’Auguste Goll restitue une lettre d’Augsbourg concernant une affaire avec les quatre enfants de son frère
1644 Conseillers et XXI (1 R 127)
(f° 38 Mittwoch d. 27. Martÿ – Augusti Gollen Wittib
Augusti Gollen hinderlaßene Wittib restituirt schreib. Von der Statt Augspurg an Mh. abgangen Vndt vbergibt darauff Ihren gegenbericht waß sie beÿ Ihres Bruderß seel. Vier Kindern Zu Ihrer Beßern Vortbringen Zu thun gemeindt Mitt bitt Mgh. woll. d.selbig. gedachter Statt Zuschicken. Erk. Ist Willfahrt word.

Affaire entre Marguerite Bogenreiter de Wissembourg et la veuve d’Auguste Goll
1656, Conseillers et XXI (1 R 139)
(f° 48) Sambstag d. 15. Martÿ. – Weißenburg In Sach Margaredta Bogenreiterin Ca. Augusti Gollen Erben
Weißenburg In Sachen Margarethæ Bogenreiterin Ca. Augusti Gollen seel. Wittib vnnd Erben, Bitt Mh. wollen sie dahien anhalt. d. sie Ihr dero eigenthümliche Brieff vnd Document. zukommen laßen sollen. Erk. Ist vor Rath gewieß. word.

Dorothée Steurnagel veuve d’Auguste Goll meurt en 1664 en délaissant quatre enfants ou leurs représentants. L’inventaire est dressé dans sa maison rue de l’Ecurie. L’actif de la succession s’élève à 6 225 livres, le passif à 4 723 livres.
1665 (2. 7.bris), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 35) n° 18
Inventarium vndt Beschreibung Aller Haab vndt Nahrung so weÿl. Ehren: vndt viel tugendreiche Fraw Dorothea Steÿrnagellin, weÿl. deß Ehrenvesten vndt fürgeachten herrn Augusti Gollen, geweßenen handelßmanns vndt Burgers alhie hinderlaßene fr. wittwe, nunmehr beede seel. welche donnerstags Ipsa Laurentÿ den 10.t Augusti Jüngsthin Göttlichen willen nach Zeitlichen todts verblichen, nach Ihrem aus dießer weldt tödlichen hinscheiden hinter Ihro verlaßen (…) So angefangen auff Sambstag den 2.ten 7.bris A° 1665.
Fraw Dorothea Gebohrne Steurnagellin die ietzt abgeleibte fraw seel. hat ab intestato Zu erben verlaßen, wie volgt. 1. Fr. Mariam Dorotheam Gollin, H Johann Trähers, Handelßmanns vndt Burgers alhier hfr. vndt Georgium Gollen, so noch ledigen standts deßen geschworner vogt H Christmann Merckel Ferber vndt Burger alhie, so d. Inventation beede beÿgewohnt, dieße beede weÿl. Hn Mathæi Gollen, geweßenen Handelßmanns vndt Burgers alhie seel. mit frau Maria Salome Castin seiner hind.laßene Wittwe, ietz H Johann Georg Flecken, Handelßmanns v. burg.s alhier Hfren. ehelich erzeugte dochter vnd Sohn vor ¼.ten theil
2. Johannem, Augustum, Dorotheam, Mathæum vndt Mariam die Gollen, alle 5. geschwüsterdt vndt weÿl. H. Johann Gollen geweßenen handelßmanns vndt Burgers Zu Baßel seel. mit Fren. Maria Burgerin seiner hind.plibenen wittwen ehelich erzeugte Kind. deren geschworner vogt ist Johann Birr Burger Zu Colmar, vor den andern 4.ten theil, Inn deßen abweßenheit H Johann Waltter E. Ehrs. Großen Raths alhie alter Beÿsitzer v. ietzig ; Constoffler E. Ehrs. Kleinen Raths auß wohlgemeldts Kleinen Raths mittel hierzu freundl. deputirt v. erbetten
3. Fraw Mariam Cleophe Gollin, Herrn Johann Casimir Hermans Müntzmeisters vndt Burgers alhie eheliche hfr. vor den dritten 4.ten theil vndt dann
4. Fraw Foelicital Gollin, H. Philips Hammerers handelßmanns vnd E. Ehrs. Großen Raths alhie ehelich geliebte hfr. vor den vberigen 4.ten theil, welche d. Inventation alle selbsten beÿgewohnt

Inn einer alhie in der Statt Straßburg Inn der Stallgaßen gelegener Eck behaußung so auch in dieße Verlaßenschafft gehörig, vnd hernach beschrieben ist befund. wie volgt
Auff der obern Bühnen, Auff der andern Bühnen, Auff der Truckeneÿ, Im hindern obern Stübel, Inn dießer Stub Cammer, vor dießer Stuben, Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, Inn der Cammer C, Inn der Cammer D, Inn dem vndern hindern Stübel, Inn dießer Stub Cammer, Inn der wohnstueben, Inn der Stub Cammer, Im Obern haußöhren, Inn der Kuchen, Vor dießer Stuben Im vndersten haußöhren, Inn der bauch Kuchen, Im Keller
Eigenthumb vndt Beßerung ane einer Behaußung. Item eine Eckbehausung, sampt hoff, hoffstatt an der Stallgaßen (…)
Sa. Haußraths 732, Sa. Wein vndt vaß 48, Sa. deß Zum handel gehörigen Schiff und geschirrs 37, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 236, Sa. Guldinen Ring vndt Geschmeids 93, Sa. der baarschafft 367, Sa. Wahren 1284, Sa. Eigenthumbs vnd beßerung ane einer Behaußung 598, Sa. Schulden 2925, Summa summarum 6225 lb – Schulden 4723 lb, Nach deren Abzug 1801 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 2235 lb
Wÿdem, So die ietzabgeleibte Fraw seel. von der Erben vätterlich. Nahrung ad dies vitæ Zugenießen gehabt, der Erben Nahrung 897 lb, Die Theilbahre Verlaßenschafft betreffend 8808 lb, Abzuziehen 4369, Nach solchem abzug 4439

Dorothée, veuve d’Auguste Goll, assistée de son fils Jean et de son gendre Philippe Hammerer, vend la maison au tanneur et corroyeur Jacques Mænnel moyennant 950 livres. Une première version de l’acte n’est pas ratifiée en janvier, l’acte définitif est passé en mars. Une mention marginale confirme que le terrain acquis sur le voisin en 1624 fait partie de la vente.

1658 (s.d. [16. Jan.]), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 15-v
Erschienen H Jeremias Ursinus, Notarius und E.E. Kleinen Rhats alter Beÿsitzer alß vogt fr. Dorothea, Weÿl. H Augusti Gollen deß handelßmanns nunmehr seel. hinderlaßene Wittibin mit beÿstand Johann Gollen ihres eheleiblichen Sohns und H Philipß Hammerers ihres dochtermanns
in gegensein Jacob Männels des Gerbers und Lederberaÿters mit beÿstand H. Hannß Samuel Nagels, Statt Küeffers
hauß Hoff Hoffstatt Gärtlin mit allen deren Gebäwen alhier in der Spitzengaßen, einseit neben Martin Bratfischen dem Gerber und Lederberaÿter anderseit ist ein Eckh an einem Allmend Gäßlin, hind. uff die Breusch stoßend gelegen, dann ob wohlen solche Behaußung den großen gemeinen Allmosen Zu St Marx umb 225. fl. Straßburger wehrung Vnd 225 lb verhafftet seÿe (…) die verkauffte behausung deren allerdingß ledig zu machen – umb 500 pfund

1658 (20. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 108
(Protocoll. fol. 23.) Erschienen Fr. Dorothea, weÿl. H. Augusti Gollen deß Handelßmanns nunmehr seel. hinderlaßener Wittib mit beÿstand H. Jeremiæ Ursini Notarÿ und E.E. Kleinen Rhats alten Beÿsitzers ihres Vogts, Johann Gollen ihres eheleiblichen Sohns und H Philipß Hammerers ihres dochtermanns
in gegensein Jacob Männels des Gerbers und Lederbereiters mit beÿstand H Hannß Samuel Nagels Statt küeffers
hauß, hoff, hoffstatt, Gärtlin, mit allen deren Gebäwen, Rechten und Zugehördten alhie in der Spitzengaßen, einseit neben Martin Bratfischen dem Gerbern und Lederberaitern anderseit neben ist Ein Eckh an einem Allmend Gäßlin, hinden uff die Breusch stoßend gelegen, für freÿ ledig und eigen, davon obwohlen solche Behaußung dem Großen Gemeinen allmoßen Zu St Marx umb 225. fl. Straßburger wahrung und 225. lb Verhafftet seÿn, hatt Jedoch die fr. Verkäufferin (…) die verkauffte behaußung deren allerdings ledig zu machen (…) versprochen – umb 500 pfund
[in margine :] Vnd Zeigten beÿde Parten darauff an, daß in Vorstehendem Verkauff undt Kauff auch der jenige Platz, welcher weÿl. H. Augustus Goll der fr. Verkäufferin ehelicher Haußwürth nunmehr seel. von weÿl. Mathis Schollen dem Sergenwebern auch seel. Vermög der am 15. Septemb. a° 1624. in der Cancelleÿ der Statt Straßburg uffgerichteter Verschreibung ahne sich erkaufft, und Zu der Vorstehender Kauffverschreibung specificiten behausung gehört, begriffen seÿe. Act. den 12. Martÿ A° 1658. in ædibus venditricis

Fils du tisserand Jean Mænnel de Bouquenom (Sarre-Union), Jacques Mænnel épouse en 1645 Susanne, fille de l’aubergiste à la Ménagerie Daniel Gassner
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 25)
1645 Eadem [Dominica II Epiphanias 19. Januarÿ] Jacob Mennel der Lederbereiter von Saar Bockenheim, hanß Mennel deß Wollenwebers v. Burgers daselbsten nachgel. sohn v. Jfr. Susanna Hr Daniel Gaßners deß gastgebers Zum Thiergartten Vnd E. E. großen Rahts alten beÿsitzers nachg. Eheliche Tochter. Copulirt Mont. 27. Jan J S Peter (i 33)

Jacques Mænnel devient bourgeois quelques jours après son mariage. A noter qu’il est dit originaire de Sarrebruck et non de Bouquenom (Saar Bockenheim)
1644, 4° Livre de bourgeoisie, p. 224
Jacob Mennel der Lederbereiter Von Sarbrückh empfahet d. burgerrecht von seiner haußfr. Susanna Weil. Daniel Gaßner deß Würths Zum Thiergarten seel. dochter vmb 8 Gold fl. ist ledigen stands geweßen Würd Zu den Gerbern dienen Jur. den 8. Febr. 1648.

Jacques Mænnel hypothèque la maison au profit du tonnelier municipal Jean Samuel Nagel pour régler le prix de la maison

1659 (12. martÿ), Chambre des Contrats, vol. 524 f° 209
Erschienen Jacob Männel, der Gerber und Lederberaiter
in gegensein H. Hannß Samuel Nagels deß Statt Küeffers alhie – schuldig seÿen 400 Pfund, daß Er Männel damit fr. Dorotheam Weÿl. H. Augusti Gollen deß Handelßmanns seel. nachgelaßener Wittib (…) befriedigen
zum Special Unterpfand verbleibt, Hauß, hoff, hoffstatt, Gärtlin mit allen deren Gebäwen, alhie in der Spitzen Gaßen, einseit neben Martin Bratfischen dem Gerber und Lederberaitern anderseit ist ein Eckh an einem Allmend Gäßlin, hinden vff die preüsch stoßend geleg. so ohnvehafftet

Jacques Mænnel hypothèque la maison au profit de Jean Georges Widmann agissant par son tuteur Jean Samuel Nagel

1661 (24. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 526 f° 447
Erschienen Jacob männel der Gerber und lederberaÿter
in gegensein H Hannß Samuel Nagels deß statt Küeffers alß Vogts hannß Georg Wÿdmanns – schuldig seÿen 200 Pfund
Unterpfand sein soll hauß, hoff hoffstatt Gärtlein, Gäßlin, mit all. deren Gebäwen, Begriffen, zugehördten und Gerechtigkeiten, alhie in der Spitzengaßen, einseit neben Martin Bratfisch, anderseit ist ein Eckh am Allmendgäßlin, hind. vff die Peusch stoßend gelegen

Jacques Mænnel hypothèque la maison au profit de l’aumône Sain-Marc

1666 (12. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 532 f° 390
Erschienen Jacob Männel, Gerber und lederberaÿter
in gegensein Georg Rhemen alß Schaffners deß großen gemeinen Allmosens zu St. Marx – schuldig seÿe 100 Reichßthaler
Unterpfand sein soll Eine Behaußung mit allen deren Gebäwen in der Spizengaß. einseit neben H Martin Bratfisch dem Gerber, anderseit ist ein Eckh, hind. vffs waßer stoßend gelegen, welche Behaußung Zuvor umb 200. lib. hannß Georg Widmanns deß schwartzbeckhen Kind.

Jacques Mænnel meurt le 29 août 1695 en délaissant trois fils et une fille. Le prix d’estimation de la maison (252 livres) est repris d’un précédent inventaire, dressé en 1691. La succession s’élève à 1 326 livres.

1695 (26. 7.br), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 2) f° 83
Inventarium vndt Beschreibung aller derjenigen Haab vndt Nahrung, so Weÿl. der Ehren vest vndt Vorgeachte Herr Jacob Männel der älter geweßener Rothgerber vndt Lederbereiter Burger allhier Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 29. Augusti dießes lauffenden 1695.sten Jahrs beschehenem rödtlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren, deßen gleich nach dießem Eingang benambsten ab intestato hinderlaßenen Erben (…) Actum Montags den 26. 7.br Anno 1695.
Der Verstorbene Herr seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen 1. H. Jacob Männel jun: Gerber vndt Lederbereiter burger alhier, 2. H Johann Männel auch Gerber vndt Lederbereÿter burger alhier, 3. H. Geörg Männeln ebenfalls Gerber vndt Lederbereÿter burgern alhier, 4. Fr. Susannam H Johann Michel Kürschners gleichfalls Gerbers vndt Lederbereÿters Burgers allhier eheliche Haußfraw, Alls Vier Zu gleichen portionen vnd Antheilern

Höltzen und Schreinwerck, In der Cammer A, In dem Stübel
(f° 8) Eÿgenthumb ane einer Behaußung. Nemblichen Hauß, hoffstatt sampt einem hinderhauß auch allen andern Zugehörigen Rechten Vndy gerechtigkeiten gelegen alhier in der Statt Straßburg ahne d. Spitzengaßen, einseith ein eck n einem Almend gäßel anderseith neben Johann Friderich Grießbach dem Rothgerber vnd Bitteln beÿ E E Zunfft d. Gerbern allhier, hinden uffs Breüsch waser Ziehend, Ist ledig eÿgen Vnd durch allhießig geschwohrne Werckleüthe den 30. Martÿ Anno 1691. laut vber gebener Abschatzung geschätzt, Wabeÿ mann es dißmahls wider verbleiben läßt, weilen seithero nichts darin verbawen worden Nemlichen für vnd vmb 1050 fl. 525 lb. Darüber sagt ein Pergament Kauffbrieff mit der Statt Straßburg Contract Insigel Verwahrt datirt den 20. Martÿ Anno 1658.
Series rubricarum hujus Inventarÿ Sa. haußraths 103, Sa. Wahren v. Werckzeugs 232, Sa. Wein v. Lehrer Vaß 14, Sa. Silbers 3, Sa. d. baarschafft 303, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 144, Sa. Eÿgenth. ane einer behaußung 525, Summa summarum 1326 lb

Acte de sépulture qui donne le nom des parents du défunt (Jean Mænnel et Bénigne Eiffler). L’acte est signé par ses fils Jacques et Jean.
Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. 1687-1700-II, f° 105)
1695. Mont. d. 29. Augusti Starb Jacob Männel der Rothgerber V. Lederbereitter v. burger alhier ætat: 79 iahr, 10* Monat v. 8. tag, war gebohrenn Zu Sarbockenheim hochgräffl. Nassauischer herrschafft, Sein Vatter war Weÿl. Johann Männel wollenwäber V. burger Zu Sarbockenheim die Mutter weÿl. Benigna Eyfflerin Aô 1644 Hatt Er sich hier Verheurathet ahn Weÿl. Jfr. Susanna gaßnerin Nach dme solche aô 1690. mitt tod abgangen ist er im Wittwenstandt geblieb. biß an sein Endt. wurde Donnerst. d. 1. 7.bris begraben nach S. Gallen, Nach dem ihm Zuvor in d Kirch Zum alt. S. Peter parentiret worden von mir Joh: Heupelio Past. Neopetr. [unterzeichnet] Jacob Mennel alß son, Johannes Männell Als sohn (i 112)

Susanne Mænnel femme du tanneur Jean Michel Kirschner vend son quart de la maison à son frère tanneur Jean Mænnel

1696 (22. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 588-v
Susanna geb. Männelin, Johann Michael Kirschner deß Gerbers und Lederbereiters haußfrau
in gegensein Johannis Männels auch Gerbers und Lederbereiters Ihres leiblich. Bruders
Einen Vierdt. theil für ohnvertheilt an Hauß, hoff, hoffstatt, Gärttlein, mit allen deren gebäuen, Begriffen, recht. und Zugehördt. alhier in der Spitzengaß, einseit neben Friderich Grießbach dem Gerber und Lederbereiter anderseit ist ein Eck an einem Allmendgäßlein, hind. auff die Preusch stoßend gelegen – umb 250 pfund
[in margine :] (…) von Benjamin Bury Gerbern als jetzigen possessore hievorbeml. völlig. Haußes ahne der Spitzengaß, den 1. oct. 1715

Jacques Mænnel vend son quart à son frère, déjà propriétaire de deux autres quarts. Le vendeur meurt peu après, comme l’indique la quittance portée en marge de l’acte

1698 (23.1.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 53
Erschienen Jacob Männel der Gerber und Lederbereiter
in gegensein Johannis Männels deß Gerbers und lederbereiters seines Leiblich. bruders
Einen Vierdt. theil für ohnvertheilt an hauß, hoff, hoffstatt, Gärttlein, mit allen deren Gebaüen, Begriffen, Rechten und Zugehördt. allhier in der Spitzengaßen, einseit neben Friderich Grießbach dem Gerber und Lederbereiter, anderseit ist ein Eck an einem Allmend gäßlein, hind. auff die Preusch stoßend gelegen – zumahlen zween Vierdte theil dem Kaüffern vorhin gehörig seÿn – umb 275 pfund
[in margine :] Erschienen Georg Männel der Gerber und Lederbereiter, So dann Susanna geb. Männelin Johann Michael Kirßners des Gerbers und lederbereiters Haußfrau, in gegensein hierin ged. Johannis Männels des Kauffers ihres leiblichen Bruders, demnach ged. Johannes Männel dem Verkäuffer Jacob Männel noch beÿ seinem Lebzeiten die hierinn auff Johannis Baptistæ zu bezahlen versprochenen 75 lb richtig bezahlt und eingehändigt, Er Jacob Männel aber bald darauff gestorben, Und Sie ged. 3. Männelische geschwistrige denselben als ihren leiblichen Bruder ab intestato geerbet (…) den 14. junÿ 1700

Jean Mænnel épouse Anne Catherine Griesbach, veuve du tanneur Jean Joachim Rau : contrat de mariage, célébration
1677 (29.1.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 14) n° 68
Eheberedung – entzwischen dem Ehrenhafften v. bescheÿdenen Johann Männeln dem ledigen Gerber v. Lederbereÿter, daß Ehren v wohlvorgeachten H. Jacob Mennels auch gerbers v. Lederbereithers burgers alhier Zue Straßburg ehelich gezeügtem Sohn, alß em Hochzeiter, ane Einem,
So dann d. viem ehren v. tugendsamen Frauen Annæ Catharinæ Grießbachin, weÿland deß Ehrengeachten hanß Joachim Rawen ebenfalls geweßenen Gerbers v. Lederbereiters auch burgers alhier seel. hinderlaßener Wittibin alß hochzeiterin, andern theils
Welches dann beschehen V. Zugang. (…) vff Montag den 29. Januarÿ A° 1677 [unterzeichnet] Johannes Mennel Als hocht Zeiter, Caspar grießbach Als vatter, daniell grießbach Alß groß vatter

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 173-v, n° 14)
1677. 8. Martÿ Joh: Männel ledig. gerber Jacob Männels gerbers seel. S. v. Fr. Anna Catharina weil. Joachim Rawen geweßenen gerbers hinterl. W. (i 175, procl. Saint-Pierre-le-Jeune f° 268)

Fils du prévôt d’Ichenheim en Bade, Jean Joachim Rau épouse en 1674 Anne Catherine, fille du tanneur Gaspard Griesbach : contrat de mariage, célébration
1674 (11. Jan:), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 14) f° 50
Ehepacta Zwisch. Hannß Joachim Rauhen und Jfr. Anna Catharina Grießbachin
entzwischen dem Ehrenhafften vndt bescheÿdenen Hannß Joachim Rawen dem ledigen Gerber vnd Lederbereÿter, weÿlandt deß Ehren: vndt wohlvorgeachten H Hannß Rawen gewesenen Schulthheißen Zu Ichenheim, ehelich gezeugtem hinderlaßenen Sohn, alß dem hochzeiter, ane einem,
So dann der Viel ehren vndt tugendsamen Jungfrawen Annæ Catharinæ deß auch Ehren vndt vorgeachten H Caspar Grießbachs, Gerbers vndt lederbereiters burgers Zu Straßburg ehelich erzeugten dochter, alß der Jungfr. hochzeiterin, andern theÿls
So beschehen in Straßburg uff Sonntag den 11.ten Jan: Anno 1674. [unterzeichnet] Hannß Joachimus Rauh als Hochzeider, Caspar grießbach der hochzeitterin vatter, daniell grießbach Alß groß vatter, Hanß Jacob Ruoff Als vogt der Jungfrauw Hochzeitterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 158-v, n° 19)
1674 Johann Joachim Rauch der ledige Gerber und Läderbereiter von Ichenheim, weÿland Hrn Johann Rauchen des Schultzens Zu Ichenheim hint. Ehel. Sohn, undt J. Anna Catharina Hn Caspar Grießbachs des Gerbers undt Läderbereiters Ehel. tochter. Donnerst. 19. Martÿ (i 160)

Jean Joachim Rau devient bourgeois une dizaine de jours après son mariage
1674, 4° Livre de bourgeoisie p. 411
Hannß Joachim Raw der Gerber vnd Lederbereÿter von Ichenheim, empfangt das burger Recht von seiner haußfr. Anna Cath. Grießbächin p. 8. gold fl. welche Er bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt hat, ist Zuvor ledigen standts geweßen vnd will auff E E Zunfft der gerber dienen, Jur. 2. april 1674.

Anne Catherine Griesbach fait dresser l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 651 livres
1674 (24.6.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 6) n° 306
Inventarium und Beschreÿbung der Jenig. Nahrung vnd güetern, So die Viel Ehren v. tugendsahme Fraw Anna Catharina Grießbachin, Zu ihrem haußwürth den Ehren und vorgeachten herrn hannß Joachim Rawen, Gerber und Lederbereÿtern, burgern allhier Zue Straßb. in den Ehestandt Zugebracht, welche der Ursach. halben, allweÿken in ihren vffgerichteten Ehepactis expresse v.abschiedet, daß jedem theil das jenige in die Ehe Zubringendt: auch wehrender Ehe uff seiner linien hero ererbendes vermög. ein unverändertes guth verpleiben solle (…) Actum v. bescheh. in gegenwarth H hannß Joachim Rawen ihres Haußwürths, So dann in fernerm beÿsein deß Ehrenvest. fürsichtig v. weiß H hanß Jacob Rueffen, E: E: Groß Raths beÿsitzers, dero noch ohnentledigt. Vogts v. H. Caspar Grießbach, Gerber v. Lederbereiters burg. allhier ihres geliebt. Vettern, vff Mitwoch d. 24. Junÿ 1674.

Zu Allerforderist So Volgt die Vergleichung welche Zwischen Hrnerrn Caspar Grießnach. vnd seiner Kind. Erster Ehe Vogt. Herren Hanß Jacob Ruffen getroffen (…) H. Caspar Grießbach. v. deß. 3. Kind. Erster Ehe dero Mütterlichen Guths halb. – So bescheh. in Straßb. vff. d. tag Joh. Bapt: Im Jahr Christi gezalt 1674.
Eÿgenthumb ane einer behauß. belangend ane dem müllergäßel gelegen (…)
Summarischer Calculus und respectibé Wÿdembs Verfangenschaft, Alles deßen So Fr. Annæ Mariæ Grießbachin gebohrner Rohren Erben ane Mütterlich. unveränderten Nahrung Erblich Zugefallen, vnd waß herr Caspar Grieäbach den Vatter davon ad dies vitæ Zu usufuiren
Abzug inn dieß Invent. Sa. haußraths 146, Sa. Silbers 13, Sa. guldiner Ring. 23, Sa. baarschafft 210, Sa. Activorum 241, Sa. haußraths 11 ß, Sa. Capitalien 16, Summa summarum 651 lb

Jean Joachim Rau meurt dans sa maison en délaissant deux enfants. La masse propre à la veuve est de 520 livres, celle propre aux héritiers de 14 livres. L’actif de la communauté s’élève à 348 livres, le passif à 953 livres.
1676 (17.6.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 9) n° 372
Inventarium vndt Beschreibung Aller der Jenigen Haab, Nahrung vndt güther, Liegend vndt Vahrend. Verändert vndt unveränderten, Keinerleÿ außgenommen, so weÿl. der Ehren: vndt vorgeachte Hannß Joachim Raw, Gerber vndt Lederbereith. Burger allhier, beÿ seinem den 12.ten Maÿ auß gottes sonderlichen direction ohnverhofft beschehenen traurig. todesfall, Zeitlichen verlaßen, So vff erford. vndt begehren deß Ehrenvest. vndt wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Schneider, Zinngießers vndt jetzmahlig. deß allhießig. Umbgeltd Collegÿ assessoris als geordnetenVogts Johanniß, deß Verstorbenen seelig. mit nachgemelter seiner hinterpliebenen Wittiben ehelich gezeügt. Söhnlins, vndt deß höchs. gottes will. nach annoch hoffend. Posthumi /:welch posthmus annoch vor beschluß v. außfertigung diß Inventarÿ Zur wedt gebohren v. hanß Daniel genennet word.:/, inventirt, durch die Viel ehren vndt tugendsamen fr. Anna Catharina Grießbahin die hinderpiebene Wittib, mit beÿstandt deß Ehren vndt vorgeachte hanß Georg Ehrlins, Schuhmachers v. E: E: Zunfft d. schuhmach. allhier v.ordtnet. hauptkantens ihres geschwornen Vogts
Actum in præsentia der auch Ehrenvest. undt wohlvorgeacht, H. Daniel Grießbach v. Caspar Grießbach. Vorherged. Wittibin Vatters vndt großvatters, vff Sambstags den 17. Junÿ Anno 1676.

Inn einer in der Statt Straßb. ane Spitz.gaß. gelegenen vndt In diße verlaßenschafft gehörig. hernach geschriebenen behauß. befund. word. Wie volgt
Vff d. ohneins öbersten bühn, In d. Cammer A, In d. Wohnstub, In d. Stub Cammer, Im haußöhren, In d. Kuch., Im Keller
Eÿgenthumb ane Einer behauß. (T.) Item ein behaußung, hoff, hoffstatt v. höffl. geleg. in d. Statt Straßb. in d. Spitz.gaß (…)
Bericht wegen d. Erben unveränd.ten gueths Ergäntzung
Wÿdembs V.fangenschaft. Vermög eines vff den tag Joh. Bapt: 1674. üb: Fr. Annæ Mariæ Grießbachin gebohrner Rohrin d. Fr. wittiben mutter seel. verlaßenschafft vffgerichtet (…)
Abzug in dis Inventarium, d. Wittib guett, Sa. haußraths 27, Silber geschirr und Geschmeÿdts 13, Guldiner Ringen 12, baarschafft 2, Pfenningzinß hauptgüter 1, Schulden 2, Ergäntzung 446, Summa summarum 520 lb
d. Erben Guett, Sa. haußraths 12, Silbergeschirr v: geschmeidts 2, Summa summarum 14 lb
Theilbar Guett, Sa. haußraths 62, wahren v. werckzeugs 58, Lährer Vaß. 17 ß, Silbers 2, Hauß Anschlags 200, Activa 24, Summa summarum 348 lb – Schulden 953 lb, die theilbarr passiva üb.treffen d. theilbare guett 605 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 437 lb

Jean Mænnel hypothèque la maison au profit du jardinier Daniel von Fridolsheim

1712 (ut ante [3. Junÿ]), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 407
Joh: Männel gerber und lederbereither
in gegensein H. Daniel von fridolsheim G.U. – schuldig 200 lb
unterpfand, sein hauß c. appert: allhier in der Spitzengass, einseit neben Friedrich Grießbach anderseit ein Schlupf hinten aufs wasser

Longtemps propriétaire d’un quart de la maison Georges Mænnel épouse en 1698 Marie Cléophée von Türckheim, fille du marchand Jean Georges von Türckheim
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 13)
1698. Domin: I et II Adventus seindt proclamiret vndt außgeruffen word. Georg Männel der gerber v. lederbereitter alhier hrn Jacob Männels deß gerbers v. lederbereitters auch burgers alhier ehl. Sohn, Vndt Jfr. Maria Cleophe, Weÿl. hrn Joh: Georg von Türckheim geweßenen handelßmanns v. burgers alhier nachgel. ehl. tochter, copulati sunt . Mittw. d. 8. 10.bris [unterzeichnet] Geörg Männell als hoch Zeiter, Maria Cleopha Türckin als hochzeiterin (i 14)

Georges Mænnel meurt en 1718 en délaissant trois enfants et une veuve qui n’a plus sa raison. L’inventaire est dressé dans sa maison rue du Coin Brûlé. La masse propre à la veuve est de 773 livres, celle propre aux héritiers de 1 489 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 282 livres, le passif à 2 066 livres.
1718 (9.3.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 43) n° 1415, 1417
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab Undt Nahrung so Weÿl. der Ehrengeachte Georg Männel geweßene Rothgerber, Lederbereiter und burger allhier zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 7. Januarÿ dießes ohnlängst angefangenen 1718.ren Jahrs beschehenem tödlichem Ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen erfordern und begehren des Ehren und Wohlvorgeachten herrn Samuel Hetzel ebenmäßigen Rothgerber und Lederbereitern burgers allhier alß geordnet und geschworenen Vogts Jgfr. Annæ Mariæ, Mariæ Elisabethæ und Johann Geörg, aller dreÿ des abgeleibten seel. mit der Ehren und tugendsamen frawen Maria Cleophe gebohrner von Türckheim der hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugter Kinder und ab intestato nachgelaßenen Erben, fleißig inventirt und ersucht theils durch den Ehrenvest und Vorachtbahren Herrn Johann Philipp Schellen Silberarbeither und burger allhier der wittib geordneten herrn Vogt, theils den Ehrengeachten Johann Michael Kürßner auch Rothgerber und burgern allhier des abgeleibten seel. Schwagern und theils obgedachte Jgf. Annam Mariam die ältere Tochter, weilen die Witti Verrückter Sinn und mit dero nicht Wohl Zu handeln – So beschehen in Löbl. Statt Straßburg Mittwochs den 9. Martÿ Anno 1718.
Copia der Eheberedung

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Brenden end gelegenen und in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung sich folgender maßen befunden
Ane Höltzen und Schreinerwerck, In der Cammer A, In der Cammer C, In dr obern Wohn Stub, In der Wohn Stub Cammer, In der Nebens Cammer, Im haußöhren, In dem Soldaten Stübel
Eÿgenthumb ahne Einer Behaußung. (T.) It. hauß, hoffstatt mit allen deren gebäwen in der Kleinen Stadelgaßen (…)
Ergäntzung der Wittib abgegangenen unveränderten Vermögens, Vermög Inventarÿ über deroselben und des verstorbenen seel. einander in die Ehe zugebrachte Nahrungen durch weÿl. H Notarium Johann Philipp Schüblern seel. in Anno 1689. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 9, Sa. Silbers 2, Sa. Goldener Ring 10, Sa. pfenningzinß hauptguths 85, Sa. Ergäntzungs rest 615, Sa. Activ Schulden 50, Summa summarum 773 lb
Solchemnach Würt nun der Erben unveränderte Vätterliche Nahrung consignirt und beschrieben, Sa. haußraths 62, Sa.Leeren Vaß 12 ß, Sa. Silbers 19, Sa. Goldener Ring 4, Sa. baarschafft 10 ß, Sa. Ergäntzunga reste 1451 lb, Summa summarum 1539 lb – Schuld 50, Nach deren Abzug 1489 lb
Endlichen Kombt auch die beschreibung der gemein und theilbahren verlaßenschafft, Sa. haußraths 34, Sa. Wahren, u. werckzeugs Zum Rothgerber handwerck gehörig 129, Sa. früchten 2, Sa. Silbers 3, Sa. goldener Ring 1, Sa. baarschafft 2, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 450, Sa. Eÿgenthumbs ane i. behaußung 500, Sa. der Activ Schulden 159, Summa summarum 1282 lb – Schulden 2066, In Compensatione 783 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 1479 lb
Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden in die theilbahre Nahrung zugeltend 140 lb
Abschatzung $ 704
1417, Verkauff: Looß und respectivé General Theilregisterlein

Le tanneur Georges Mænnel vend son quart de la maison au tanneur Benjamin Büry

1712 (ut ante [30.7.]), Chambre des Contrats, vol. 585 n° 531
(400) Georg Männel gerber u. lederb:
in gegensein Benjamin Bürÿ rothgerbers
seinen ¼.ten theil für unvertheilt ahn hauß hof hoffstatt hinterhauß mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier in der Spitzengass, einseit ist ein eck ahm drenckgässel anderseit neben Friedrich Grießbach hinten aufs wasser – um 400 pfund

Jean Mænnel loue une partie de la maison à Henri Flachs et à Elisabeth Stahl

1713 (16.1.), Chambre des Contrats, vol. 586 f° 17-v
Johann Männel gerber und lederbereiter
in gegensein Heinrich Flachs und Elisabethæ geb. Stahlin
in seinem hauß allhier in der Spitzengass einseit neben frid: Grießbach einseit neben dem Schlupff gelegen, eine stueb und Kuchen und vor Cammer und eine bühn zum tuch aufzuhencken, Item ein Keller und ein Kessel zuem tuch zu bauchen (um) eine bederseiths erlaubt vierteljährige aufkundigung – um einen jährlichen Zinß nemlich 25 pfund

Jean Mænnel vend au tanneur Jean Charles Haderer les trois quarts de maison qui lui appartiennent

1714 (13.10.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 740-v
(1500) Joh: Männel gerber und lederb:
in gegensein Joh: Carl Haderers gerber und lederb: und Marthæ geb. Leibin
seine dreÿ vierte theil für unvertheilt ahn hauß hoff hoffstatt hinterhauß mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier in der Spitzengass, einseit ist ein eck ahn dem drenckgässel anderseit neben Friedrich Grießbach hinten aufs wasser – um 450 pfund verhafftet, geschehen um 1050 pfund

Jean Charles Haderer et Marthe Leib font dresser un état de leur fortune pour devenir bourgeois
1714 (13.7.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 66) Verzeichnus
Johann Carl Haderer Rothgerber und Martha gebohrne Leibin beede Eheleuth Von Hunenweÿer, haben Ihrer handtrewlichen Außsag nach neben and.en mehr in specie Volgende Stuckh eÿgenthümbl. in Vermögen alß
Ein Ar. Reeben in dem Rückholder Rappoltzweÿler banns æstimirt ad minimum 150 lb
Item ein Viertzek Reeben in der Genß gemelten Bann 75 lb
Ein halb Acker Reeben im Mühlforst Hunnenweÿer Banns pro 150, summa 375 lb
Sig. Straßburg den 13.ten Julÿ Anno 1714.

Fils du tanneur strasbourgeois Sébastien Haderer, Jean Charles Haderer et sa femme Marthe Leib, native de Hunawihr, achètent le droit de bourgeoisie le 3 août 1714 en apportant sept enfants
1714, 3° Livre de bourgeoisie p. 1294
Joh: Carl Haderer, der Gerber V. hier weÿl. Sebastian Haderern auch gew. Gerbers hind. Sohn, Vnd sein Fr. Martha Leibin V. Honnenweÿer, erkauffen das Burgerrecht p. 6. gold. fl. bringen 7 Kinder mit, so beÿ ordnung gelaßen worden, Wird beÿ den Gerbern dienen. Jur. d. 3. dito [Aug. 1714.]

Jean Charles Haderer devient tributaire chez les Tanneurs le 27 septembre suivant
1714, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 358)
(f° 86-v) Donnerstag den 27. Septembris A° 1714 – Johann Carl Haderer der Rothgerber vnd Lederbereiter Burger allhier Weÿland Hannß Sebastian Haderer auch geweßenen Rothgerber vnd Lederbereiter burgers allhier seel. ehelicher Sohn, producirt Stallschein vom 13. Augusti Anno 1714. bat als eines Zünfftigen Sohn vmb das Zunfftrecht.. Erkand gegen abstattung gewohnlicher gebühr Willfahrt, erlegte davor 5 ß, vor die befreÿung der feÿr Eÿmer 1 lb 5 ß, Zur furspritz 6 ß vnd Spendirte 6 ß
dt. 14 d Vffleggelt, 2 ß Scrib. 1 ß bittel

La minute de l’inventaire dressé après la mort de Marthe Leib n’est pas conservée
1726, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 725
Inventarium über weÿland Frawen Marthæ Hadererin gebohrner Leibin Hn Johann Carl Haderer des Rothgerbers Lederbereiters und burgers allhier geweßener ehel. haußfrawen seel. Verlassenschafft

Fille du prévôt de Hunawihr Mathias Leib, Marthe Leib naît le 20 mai 1663. Elle épouse en premières noces Jean Papelier, tanneur à Ribeauvillé dont elle a sept enfants, et en secondes noces Jean Charles Haderer dont elle a six enfants. Elle meurt à l’âge de 62 ans. Son mari et son fils Jean David Papelier signent l’acte
Sépulture, Saint-Thomas (luth. diac. sen. 1687-1733, f° 118, n° 17)
1725. Montag d. 29. 8.bris Mittags zwischen 12. v. 1 vhr starb fr. Martha gebohrne Leibin gebürtig von hunnerweyher H Mathis Leiben geweßenen Schultheißen daselbst eheliche tochter, so verheurathet war 1.er H Johann Papelier geweßenen Rothgerber Vnd rathsverwandten Zu Rappolsweÿher mit dem sie 12* Jahr im ehestand gelebet Vnd 7 Kind. erzeiget, Nach deßen todt aber Zu 2 mahl in den Ehestand sich begeben mit H. Joh: Carl haderer den burger v. lederbereiter Zu Straßb. v. mit denselben 6 Kinder gezeugt, war geboren d. 20. Maÿ 1663. v. alt 62 Jahr 5. Monat Ward Mittwoch darauff Zu S Gallen begraben vnd Von mir Martino Silberrad diac. Thom. daselbst auff den Gottesacker die lechpredigt gehalten dießer bezeugen [unterzeichnet] Johann Carlen hadterer, Johann Davidt Papelier alß sohn (i 121)

Jean Charles Haderer et Marthe Leib vendent leurs trois quarts de maison à Benjamin Büry qui devient ainsi seul propriétaire de la maison

1715 (20.4.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 325
(1423) Joh: Carl Haderer gerber und lederber: und Martha geb. Leibin
in gegensein Benjamin Bury würts zu Waßlenheim und Annæ geb. Schuhmacherin
ihre dreÿ vierdte theil für unvertheilt ahn hauß hoff hoffstatt hinterhauß mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten in der Spitzengass, einseit ist en eck ahm drenckgässel anderseit neben Friedrich Grießbach hinten aufs wasser
die verkäufere bleiben in dem hauß von Joh. Bapt. 1715 ahn ein jahr lang und genießen die hintere stueb sambt der Kuchen, so daran gemacht werden solle, die Cammer über dießer stueb die vorwerths im hoff darneben die im hoff unten neben dem gruben platz sambt platz im gerbhauß zu trücklen ohn einigen zinß – um 450 und 875 pfund verhafftet, geschehen um 107 pfund

Aubergiste à la Couronne à Wasselonne, Benjamin Büry loue une partie de la maison à Georges Samuel Mosseder

1716 (19.9.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 523
Benjamin Büri würt zuer Cronen zu waßlenheim
in gegensein Georg Samuel Moßeders
die stueb und Kuchen im hoff 2. Kammeren oben darüber die erste bühn, den vorderen gewölben keller, platz im Stall für ein ross, gerechtigkeit im gerbhauß und ans wasser mit andern hauß leuthen ins gemein, eine Kammer im hoff in seiner behausung allhier in der Spitzengass auf eine beeden theilen erlaubte vierteljährige aufkündigung – um einen jährlichen Zinß nemlich 25 lb

Benjamin Büry loue des parties de la maison au fabricant de chausses Luc Heyer et à l’apprêteur de tabac Daniel Schopffer

1719 (14.10.), Chambre des Contrats, vol. 593 f° 508
Benjamin Büri
in gegensein Lucas Heÿer hoßenstrickers wie auch Daniel Schopfer tabacm:
in seinem hauß allher in der Spitzengaß einseit ist d. tränckgässl: anderseit neben Grießbach dem büttel gelegen, benantlichen ihme Heÿer eine stueb stueb Cammer Kuchen und Cammer darneben, einen keller und eine bühn auf eine beden theilen erlaubte vierteljährige aufk: anfangend auf Mich. jüngst, um einen jährlichen Zinß nemlich 14 lb
ihme Schopfer aber eine Stub Kuchen Cammer darneben die bühn darüber platz im gerbhauß und ahn d. wasser auf eine beden theilen erlaubte vierteljährige aufk: anfangend auf Mich. jüngst, um einen jährlichen Zinß nemlich 11 lb

Benjamin Büry hypothèque la maison pour servir de garantie à Ferdinand Mougeot, receveur au magasin à sel

1727 (21.3.), Not. Lhanneur de Chantelou (6 E 41, 982)
Bail de M° Pierre Carlier – Acte de Cautionnement du 21 mars 1727
furent presens Sieur Benjamin Bury marchand Bourgeois de Strasbourg y demeurant pres L’hotel de l’Intendance, et Demoiselle Marie Cleophe Papellier Epouse du Sieur Ferdinand Mougeot Receveur au Magazin du Sel du Roy a Strasbourg, de luy pour le present duemt. autorisée, domicilié En la dite ville
(…) à cause de la recette que ledit Sieur Ferdinand Mougeot En sadite qualité de Receveur au Magazin du Sel du Roy En Cette ville
lesd. sieur Bury et Dlle Mougeot Caution ont sous la même solidité obligé & hypotequé tous leurs biens, meubles & immeubles (…) & spécialement une maison scize a Strasbourg rue dite spitzgass par devant ladite rue, par derrière La Rivier d’Isle, d’un Coté la ruelle de L’abbreuvoir et d’autre une autre maison du Sr Bury, Laquelle maison actuellement hypotequée a Eté acquise par led. Sr Bury par Contrat passé En la Chambre des Contrats de cette ville En l’an 1712 pour le prix de 12.000 livres, Icelle maison franche et Libre de toute charge et hypoteque

La maison est estimée à la somme de 1 600 livres lors de l’inventaire dressé en 1735 après la mort de Benjamin Büry. Ses enfants et héritiers vendent la maison au tanneur Jean Chrétien Rœderer le jeune (Jean Christmann Rœderer)

1745 (2.12.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 867-v
H. Joseph Pasquay der handelsmann als Ehevogt und mandatarius Fr. Annæ Mariæ geb. Burÿn als fernerer mandarius deroselben geschwornen H. Johann Burÿ burgers und handelsmann zu Waßlenheim, Benjamin Burÿ der rothgerber daselbst und Fr. Annæ Margarethæ geb. Burÿ, Johann Sigfrid Burÿ ebenmäßigen Rothgerbers Ehefrau
in gegensein H Johann Christmann Röderer des jüngeren rothgerbers
eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß nebens gebäuden, hoff, bronnen und hoffstatt mit allen deren übrigen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane der Spitzengaß, einseit ane dem Gäh:gäßlein, anderseit neben Johann Steitz dem Maurer, hinten auff die Preusch – davon gibt man jährlich hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen der Landvest 12 ß ane bodenzinß – ihnen Burÿschen geschwisterden als ein von ihrem bruder weÿl. David Burÿ dem rothgerber ererbtes guth – um 2000 pfund

Fils de Jean Chrétien Rœderer l’aîné et d’Anne Marie Pfähler, Jean Chrétien Rœderer le jeune épouse en 1732 Marie Susanne Ottmann, fille du meunier Nicolas Ottmann ; contrat de mariage sous seing privé tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen Johann Christmann Röderer dem Jüngern, ledigen Rothgerber und Lederbereitern deß Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Christmann Röderers deß Ältern ebenmäßigen Rothgerbers und Lederbereiters auch Burgers allhier mit Frauen Anna Maria, Gebohrner Pfählerin ehelich erzeugtem Sohn, als Bräuttigamb ane einem, So dann der Viel Ehren und Tugendreichen Frawen Mariä Susannä Ottmännin, deß auch Ehren Vesten und Wohlachtbahren Herrn Niclaus Ottmanns Müllers auff der sogenanten Spitzmühl und Burgers alhier mit Frawen Anna Maria, gebohrner Graffin ehelich erziehlter Tochter als Hochzeiterin am andern theil – So beschehen vnd verhandelt in der Königlichen Statt Straßburg auff Dienstag den Ersten Tag deß Monats Julÿ Anno 1732. [unterzeichnet] Johann Christmann Röderer Jünger Als Hoch Zeiter, Maria Salome Ottmännin als Hochzeitterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 144, n° 15)
1732. Domin. VI et VIII. Trinnit. seind außgeruffen undt Mittwochs daruff als de, 30. Julÿ Ehelich eingesegnet worden Johann Christmann Rederer d. Jünger lediger Rothgerber lederbereyter vndt Burger allhier H. Joh: Christmann Rederers des altern burgers Rothgerbers vndt lederbereÿters alhier Ehel. Sohn vnd Jungfrau Maria Salome Ottmännin H Niclaus Ottman burgers vnd Spitzmüllers allhier Ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Christmann Röderer Als hochzeiter, Maria Salome Ottmännin als Hochzeiterin (i 146)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 716 livres, ceux de la femme à 925 livres.
1732 (22. 9.bris), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 10) n° 240
Inventarium über Herrn Johann Christmann Röderers des Jüngern Rothgerbers, Lederbereiters, und Frauen Mariæ Salome gebohrner Ottmännin beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand vor unverändert zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1732. (…) Vermög auffgerichteter Eheberedung sich Vor unverändert vorbehalten haben – So beschehen in Straßburg in fernerem gegenseÿn der Eheleuthe beiderseitiger geleibter Eltern auff Sambstag den 22 Novembris Anno 1732.
Series rubricarum hujus Inventarÿ Des Manns Vermögen betr. Sa. haußraths 172, Sa. Silbers 18, Sa. baarschafft 522, Sa. Weins 3, Summa summarum 716 lb
Der Frauen nahrung belangend, Sa. haußraths 290, Sa. Meel 5, Sa. Silbers 48, Sa. Goldener Ring 48, Sa. Baarschafft 532, Summa summarum 925 lb

Marie Salomé Ottmann meurt en février 1745 en délaissant trois filles. La masse propre au veuf est de 617 livres, celle propre aux héritiers de 1 274 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 483 livres, le passif à 2 736 livres.
1745 (14.4.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 38) n° 786
Inventarium über Weÿland Frauen Mariæ Salome Rödererin gebohrner Ottmännin, Herrn Johann Christmann Röderer des Jüngern Rothgerbers und lederbereiters auch burgers allhier Zu Straßburg gewesener leibwerthen Ehegattin nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1745 – nach ihrem den 12. Februarÿ dieses Jahrs beschehen tödlichem Ableiben Zeitlichen verlaßen, welhe Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen und begehren herrn Johann Niclaus Ottmann, öhlhändlers und burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Annæ Mariæ, Mariæ Salome und Catharinæ Margarethæ, der Verstorbenen seel. mit dem hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeugter und ab intestato Zu Erben velaßener dreÿer Töchterlein – So beschehen in Straßburg in beÿsein Frauen Catharinæ Ottin gebohrner Guthmännin der Frau seel. einbändigen Schwester auf Mittwoch den 14. Aprilis Anno 1745.
Copia des Von der abgeleibten Frau seel. den 2. Februarÿ Anno 1745. Vor mir Notario auffgerichteten Codicilli

Ergäntzung des Wittibers abgegangenen unveränderten Vermögens, Innhalt Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuthe einander für unverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen in Anno 1732 durch mich Eingangs gemelten Notariul auffgerichtet
Lohmühl Antheilere (…)
Series rubricarum hujus Inventarii. des Wittibers unverändert Vermögen, Sa. haußraths 21, Sa. Silbers 3, Sa. baarschafft 1, Sa. Ergäntzung 666, Summa summarum 591 – Schuld 75, Nach deren Abzug 617 lb
Der Erben unverändert Guth, Sa. haußraths 133, Sa. Silbers 17, Sa. goldener Ring 18, Sa. baarschafft 9, Sa. Ergäntzung 1020, Sa. Schulden 73, Summa summarum 1274 lb
die theilbare Nahrung belangend, Sa. haußraths 80, Sa. Wahren und Werckzeug 1860, Sa. Wein und leerer Faß 44, Sa. Silbers 10, Sa. goldener Ring 1, Sa. baarschafft 31, Sa. Lohmühl antheiler 100, Sa. Schulden 354, Summa summarum 2483 lb – Schulden 2736 lb, In Compensatione 282 lb – Schluß Summ 1639 lb
Copia der Eheberedung – So beschehen vnd verhandelt in der Königlichen Statt Straßburg auff Dienstag den Ersten Tag deß Monats Julÿ Anno 1732.

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 600 florins (360 livres) sur un total de 3 200 florins
1745, Livres de la Taille (VII 1179) f° 342
Gerber F. N. 9445 – Weÿl. Fr. Mariæ Salome gebohrner Ottmännin H. Johann Christmann Röderer jun. Rohtgerber Lederbereiter und burgers alhier Ehel. haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Lichtenberger sen.
Concl. Fin. Inv. ist fol. 113. 1639. 17. 8., die machen 3200 fl. Verstallte 2600 fl. Zu wenig 600 fl.
Nachtrag Acht Jahr in duplo à 1. lb 16 ß – 14 lb 8 ß
Und Sechs Jahr in simplo à 18 ß – 5 lb 8 ß
Ext. Stallgelt 1745 – 5 lb 5 ß
Gebott – 2 ß 6 d
Abhandlung – 2 lb 2 ß 6 d – Summa 27. l 6 ß
Auf bitten Von denen Herren Dreÿern nachgelaßen 5 lb 8 ß – Rest 21 lb 18 ß
dt. 16. Junÿ 1745.

Jean Chrétien Rœderer se remarie en 1745 avec Dorothée Karcher, fille du boucher et marchand de bestiaux Jean Nicolas Karcher de Westhoffen : contrat de mariage par lequel le mari assure à sa fiancée l’habitation viagère dans sa maison, célébration
1745 (15 Nov.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 54) n° 347.b
(grosse) Eheberedung – zwischen dem Ehren und Wohlachtbaren herrn Johann Christmann Röderer, dem Jüngern Rothgerber und Lederbereiter, auch wittiber und Burgern allhier Zu Straßburg, als dem Bräutigam ane einem,
So dann der Ehren und Tugendsamen Jungfrauen Dorotheæ Karcherin, weÿland herrn Johann Niclauß Karcher, geweßenen Metzger und Viehehändlers auch Burgers Zu Westhoffen, mit auch weÿland Frauen Barbara gebohrner Knodererin ehelich erzielten und nach Todt hinterlaßenen Tochter als der Jungfrau Hochzeiterin ane dem andern Theil

Siebendens, ist von dem Herrn Bräutigam bewilligt worden, daß deßen geliebte Jungfrau hochzeiterin wann Sie Ihne überleben Würde, entweder alles deßjenige was beede Verlobte und Künfftige Eheleuthe in des herrn hochzeiters eigenthümlichen Behaußung auf den sich Zutragenden Todesfall Zur wohnung innaben und besitzen werden, samt Werckstatt oder Gerbhauß die übrige Zeit ihres Lebens ohne Zinß Wÿdums weiße Zu genießen oder nach der Jungfrau hochzeiterin belieben ane deßen stat wie auch auff den fall Sie Vorbesagte Wohnung nicht selbsten bewohnen Wolte 1500 Gulden à 15 batzen gerechnet von des herrn Bräutigams Verlaßenschafft lebtägig wÿdums weiße Zu genießen berechtiget seÿn solle.
und seind diese Ehe pacta abgehandelt worden in der Königlichen Statt Straßburg auf Montag den 15. Novembris in dem Jahr als man nach unsers heÿland Jesu Christi gnadenreichen Geburt und Menschwerdung Zahlte 1745 [unterzeichnet] Johann Christmann Röderer der Jünger Als Hochzeiter, Dorothe Karcherin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 19, n° 37)
1745. Mittwoch den 15. Decembr: sind nach vorhergegangener Zweÿmahliger Proclamation ehelich copulirt vnd eingesegnet worden H Joh: Christmann Röderer Jun: Wittwer Gerber Lederbereiter vnd burger allhier und Jfr. Dorothea weÿl. H Niclauß Karchers gewesenen burgers und Metzgers zu Westhoffen hinterl. ehel. Tochter. Deos adsit. [unterzeichnet] Johann Christmann Röderer des Jünnger, Als hochzeiter, Dorothea Karcherin Als hochzeiterin (i 13)

Jean Chrétien Rœderer hypothèque au profit de sa belle-mère Anne Marie Graff veuve de Jean Nicolas Ottmann la maison qu’il vient d’acheter

1745 (2.12.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 869-v
H Johann Chrismann Röderer der jüngere rothgerber
in gegensein seines schwagers H. Johann Jacob Ottmann des Spitzmüllers als mandatarÿ seiner Mutter Fr. Annæ Mariæ geb. Graffin weÿl. H. Johann Nicolaus Ottmann des Spitzmüllers zu bezalung des kauffschillings hiernach beschriebener behausung – schuldig seÿe 1250 pfund
unterpfand, eine anheute erkauffte behausung samt denen zugehörden und rechten ane der Spitzengaß ane dem Gäh:gäßlein, einseit neben ein gäßlein, anderseit neben Johann Steitz dem Maurer, hinten auff die Preusch – davon soll man 12 ß ane bodenzinß

Dorothée Karcher devient bourgeoise un mois après son mariage
1746, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 245
fr. Dorothea Karcherin Von Westhoff. geb. erhalt das burger Recht Von ihrem Ehemann Johann Christmann Roedererdem burger und Rothgerber um den alten burger schilling und will dienen beÿ E. E. Zunfft der Gerber, promisit d. 24.ten Jan: 1746.

Jean Chrétien Rœderer et Dorothée Karcher font dresser l’inventaire de leurs apports dans lequel la maison est portée à la somme de 2 000 livres. Ceux du mari s’élèvent à 4 345 livres, ceux de la femme à 2 768 livres.

1746 (27.4.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 39) n° 813
Inventarium über Herrn Johann Christmann Röderer des Jüngern Rothgerbers und lederbereiters und Frauen Dorotheæ gebohrner Karcherin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander Vor unverändert in die Ehe zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1746. (…) einander in ihrem den 15. Christmonat 1745. angetrettenen Ehestand Zugebracht und den 4. Puncts der den 15. Nov. 1745 vor mir Notarii auffgerichteter Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten haben – So geschehen in Straßburg in einer an der Spitzengaß gelegenen, weiland H Samuel Hetzeln des gewesenen hiesigen Burgers und Rothgerbers, hinterlassener Wittib und Erben, eigenthümlich zuständigen, dißorts Lehnungsweis bewohnenden Behausung in fernerem beÿsein H Johann Conrad Karchers, Metzgers und burgers Zu Westhoffen, des Ehefrauen bruders, auff Mittwoch den 27. Aprilis A° 1746.

(f° 14) Eigenthum ane einer behaußung (M.) Nemlichen ein behaußung, bestehend in Vorder und hinderhauß, Nebens Gebäu, hoff, bronnen und hoffstatt mit allen übrigen derselben begriffen, weithen, Zugehörden und Rechten, in allhiesiger Statt ane der Spitzengaß ein Seith neben der tränck beÿ dem Gähgäßlein, ander Seith neben Johann Steitzen des maurers wittib und Erben gelegen hinden auf die Preusch stoßend, davon gibt man Jährlich allhiesigem Pfenningthurn wegen der land Vest 12 ß bodenzinß, sonsten ist siede behaußung freÿ, ledig und eigen und hiernach dem verkauff ohnpræjudicirlich Zu æstimirt beliebt worden vor 2000 lb. Darüber besagt ein teutscher pergament Kauffbr. mit allhiesiger Cantzleÿ contract Stub anhangendem Innsiegel verwahrt de dato 2. Decembris Anno 1745.
(M.) Lohmühl Antheilere (…)
(f° 24) Widum, welchen der Ehemann von Weiland Frau Maria Salome gebohrner Ottmännin seiner gewesenen ersten Eheliebste, Krafft des Zweiten Puncts ihres den 2. Februarÿ A° 1745. vor obangeregtem H Notario Lichtenberger und fünff Zeugen gestiffteten Codicills Zu genießen hat
(f° 27-v) Series rubricarum hujus Inventarii. Des Manns in die Ehe gebrachtes Gut, Sa. haußraths 633, Sa. Schiff und geschirrs Zur Gerberei gehörig 33, Sa. Waaren 4547, Sa. Wein 151, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 53, Sa. baarschafft 39, Sa. Eigenthums ab einer behaußung 2100, Sa. Schulden 391, Summa summarum 7950 lb – Schulden 3643, Nach deren Abzug 4307 – Dazu gelegt die ihm gebührige Hälffte von hernach angetragenen Haussteuren 37, Mit deren Beirechnung 4345 lb
Diesemnach Wird auch der Ehefrau Beibringen beschrieben, Sa. haußraths 362, Sa. Wein 303, Sa. Silbers u dgl. Geschmeids 52, Sa. goldener Ring, Sa. baarschafft 1584, Sa. Reebstücklein 3, Sa. Schulden 360, Summa summarum 2730 lb – Dazugerechnet den ihr zuständigen halben theil von hernach folgenden Haußsteuren 37 lb, der Ehefrau Beibringen 2768 lb

Jean Chrétien Rœderer s’adresse aux Quinze pour être relevé de l’amende que lui a infligée la tribu des Cordonniers pour n’avoir pas fait inspecter des peaux avant de les vendre. Il argue que personne n’a eu motif à se plaindre et que les contrôleurs ne sont pas venus à temps. La commision d’enquête estime que le règlement a été enfreint mais réduit de moitié l’amende en exigeant que les contrôleurs inspectent les peaux dès qu’on le leur demande. Les Quinze délivrent une expédition de leur sentence.
1762, Protocole des Quinze (2 R 174)
(p. 42) Sambstags den 30. Januarÿ 1762. – Schuhmacher ctra Christmann Röderer
Froereisen nôe E. E. Zunfft der schuhmacher Hr Zunfftmeister Contra Hn Christmann Röderer den burger und rothgerber, weilen Gegner von seinem Zunfft bescheid de dato den 16. 7.bris 1760. an mghhrn appellirt, dieße appellation aber biß dato nicht eingeführt bitt solche pro deserta Zu declariren, ref, noviter factis Exp.
Faust der appellation ist dicta die nach ordnung geschehen, und die appellation Klag laut mitgehenden Concept schon über Jahr und tag Verfertiget werden aber der gegner bißhero still gelegen, als bitt nunmehr Zur abschrifft ad proximam, Frœreisen priora. Erkanndt, Zeit ad proximam.

(p. 46) Sambstags d. 6. Februarÿ 1762 – Röderer ctra eosdem [die schuhmacher]
Iidem [Faust] nôe Hn Christmann Röderer in actis ctra Eundem [E. E Meisterschafft der Zunfft der schuhmacher Hr Zunfftmeister] producirt unterthänig appellatios Clag Juncto petite. Frœreisen bitt Cop. et term. ord. obtinuit.

(p. 194) Sambstags d. 8. Maÿ 1762 – Röderer ctra Schumacher
Faust nôe Christmann Roederer in aîs C. Eundem erhalt appellations Klag vom 6. Februarii j bitt unterth. Deputationem Froereisen nôe citati prod. unterth. Exceptiones juncto petito bitt simiiter Deputaôe. Erk. Deputatio.

(p. 249) Sambstags den 15. May 1762 – Röderer ctra Schumacher Zunfft
Iidem [Obere Handwercks Herren] laßen per Eundem [H Secretarius Stædel] referiren, Es habe H Christmann Roederer der Rothgerber und burger allhier den 27. 7.bris 176. beÿ Mghh. ein wider ihn d. 19. ejusd. ergangen widrigen Bescheid E. E. Zunfft der Schuhmacher producirt, vermög deßen er wegen begangegem fehler nach inhalt des artickels in 3. lb d straf von jeder Sohl haut, lst sammenthafft 15 lb halb dem Pfenningthurn die übrige helffte beeden Ehrsamen Zünfften der Gerber und Schumacher nebst 1 lb 13 ß d Gerichts Cösten condemniret word. Von diesem Beschid habe Er in Tempore legali an MGhh, appellirt, appellationis Verzeichnus gebetten und erhalten, sofort den 6.ten Februarii jüngst sein unterthänige appellation schrifft übergeben und gebetten Hochdieselbe geruheten gnädig zu Erkennen, daß die Sententia a quâ Zu cassiren, und der appellant von angesetzter Straf refusis ubique expensis Zu absolviren seÿe, Euer Gnade in tiefen respect anheimstellend wie gegen der hinterstelligkeit im Schauen, wodurch die Gerber sowohl der viele waar hat als der Schuhmacher, der seine Arbeit fördern muß, theils die Strafe, theils den Verlust seiner Kundschafft zu gewärtigen Zum besten der burgerschafft, gnädig remedirt werden mögte.
Hiengegen habe appellatischer Zunfft der Schumacher H. Zunfftmeister d. 8. hujus seine unterth. Exceptions schrifft eingelegt, juncto petito Mghh geruheten in Rechten Zu erkennen und auszusprechen, daß in prima instantia wohl gesprochen, übel davon appellirt, einfolglich den von appellatischem Gericht Sub dato 19. 7.bris 1760. ertheilten bescheid in Totum Zu confirmiren und solchen ad judicem à quo ad exequendum Zu remittiren, wie auch die in demselben befindlichen final clausul zu erkennen, idq. refusis appellationis expensis.
auf geschehene Weißung habe der appellant præsens sich auf den inhalt seiner appellations Klag bezogen, beÿsetzend, daß Zu allen Zeiten erlaubt gewesen, wann der Käuffer und Verkäuffer mit der waar Zufrieden geweßen, die Schau vorzunehmen ohnnötig befunden worden, und beruffe er sich deßwegen auf alle diejenige so ehmalen lederschauer geweßen, da nun in dem heutigen fall die jenige Schuhmacher, welche leder im größen nothfall von dem appellanten genommen, nicht das mindeste zu Klagen gehabt, so glaube Er umb soweniger Straffällig Zu seÿn, als es seine schuld nicht geweßen, daß die Lederschauer nicht zu rechter Zeit Zu ihme gekommen und die häute gestempfelt haben.
Nôe appellatischer Zunfft seÿen erschienen H Rthh. Andreas Degermann, H Joh: Michael Saltzmann und H Lorentz Müller, alle 3. Schöffen, welche sich auf ihre Exceptiones und den artikel bezogen, So seÿen auch vorgestanden Ulrich Lipp der schuhmacher und in aô 1760. geweßte Lederschauer welcher seine in erster instatz gethane declaration nochmalen affirmirt.
Die Hh. Depp. hätten nach einsehung des d. 18.ten Augusti 1642. ertheilten artickels die Lederschau betreffend, vor hochnöthig zu seÿn erachtet, daß derselbe in allen seinen Kräfften verbleibe, indeme dadurch dem publico großer nutzen verschafft, auf seiten der Gerber und Lederhändler aber aller schädliche betrug verhindert werde, da nun der appellant theils schrfftl. theils mündl. eingestehen müßen, daß er besagtem artickel Zu wider ohngeschaute heüte verkaufft, die schuld aber widerrechtlicher weiß auf die Lederschauer werffen wollen, so habe er sich dadurch selbst der im artickel enthaltenen Straf unterwürffig gemacht, weilen aber dieselbe nach proportion des verkaufften Leders etwas zu starck geschienen, so hätten die Hh. Depp. dafür gehalten, daß MGhh. Erkantnus dahin zu ertheilen wäre, daß in erster Instanz zwar wohl gesprochen und übel appellirt worden, jedannoch ex speciali gratia die angesetzte straf auf die helffte Zu reduciren seÿe, idque refusis expensis, mit dem anhang, daß die jeweilige geschworne Lederschauer beÿ hoher Obrigkeitlicher ahndung dahin anzuweißen seÿen, auf jedesmalen an Sie gethanes begehren sich ohnverzüglich zu schauung des leders an die ihnen angezeigte ort und Ende zu begeben, und durch Keine vorzuwendende ursach solches aufzuschieben.
Die Confirmation MGhh anheim stellend. Erk. bedacht befolgt.

(p. 271) Sambstags den 15.ten Maÿ 1762. – Bescheid.
In sachen Hn. Christmann Roederer des Rothgerbers und burgers allhier appellanten ane Einem, entgegen und wider E. E. Zunfft der Schumacher H. Zunfftmeister appellaten am andern theil, Auf prod. Zunfft Gerichts bescheid, vermög welches der appellant, weilen er fünff ohngeschaute Sohlhäute verkaufft, nach inhalt des artickels in 3. lb d Straff vor jede Sohlhaut, alßo sammenthafft in 15 lb d halb dem Pfenningthurn, die übrige helffte beeden Ehrsamen Zünfften der Gerber und Schumacher nheimfällig, so dann in 1 lb 13 ß d Gerichts Cösten condemniret worden, Interponirte und verzeichnete appellation, übergebene unterthänige appellationsschrifft juncto petito, Wir geruheten gnädig zu Erkennen, daß die Sententia a quâ Zu cassiren, und der appellant von angesetzter Straff refusis ubiq. expensis Zu absolviren seÿe, an uns anheil stellend, Wie gegen der hinterstelligkeit im Schauen, wodurch die Gerber sowohl der viele waar hat, als der Schumacher, der seine Arbeit fördern muß, theils die straffe, theils den Verlust seiner Kundschafft zu gewärtigen, Zum besten der Burgerschafft remedirt werden mögte.
Vorgelegte unterthänige Exceptiones samt beÿgefügtem bitten in Rechten Zu erkennen und auszusprechen, daß in primâ instantiâ wohl gesprochen übel davon appellirt, einfolglich die sententia à quâ in Totum Zu confirmiren, und ad judicem à quo ad exequendum Zu remittiren, Wie auch die darin befindlichen final clausul zu erkennen, idq. refusis expensis.
Gebettene, bewilligte und beseßene Deputation, auch all übrig der Parthen angehörtes vor: und anbringen, ist derer Herren Deputirten abgelegten relation nach erkandt, daß in erster Instanz Zwar wohl gesprochen und übel appellirt worden, jedannoch ex speciali gratia die angesetzte Straf auf die helffte Zu reduciren seÿe, Als Wir hiemit erkennen und den appellanten in die aufgeloffene Gerichts Cösten salvâ taxâ fällig erachten, anbeÿ verordnen, daß die jeweilig geschworne Lederschauer beÿ hoher Obrigkeitlicher ahndung dahin anzuweißen seÿen, auf jedesmalen an Sie gethanes begehren, sich ohnverzüglich zu Schauung des Leders an die ihnen angezeigte ort und ende zu begeben, und durch Keine vorzuwendende ursach solches aufzuschieben.

Jean Chrétien Rœderer contracte un abonnement à la Taille pour une somme de 22 600 florins au lieu de 16 900 florins qui étaient jusqu’à présent imposés
1785, Livres de la Taille (VII 1181), f° 7
d. 16. Februarii 1785. – Erkandtnus derer Hoch: und Wohlverordneten Herren Ober Stallherren vom 3.ten Novembris 1784.
Herr Exsenator Johann Christmann Röderer stehet vor und bitt ihme mit einem Abonnement auf Löbl. Statt Stall dergestalt Zu willfahrten, daß er statt bißhero verstallte 16.900 Gulden bis ad annum 1790. inclusive eine Summ von 22.600 Gulden Zuverstallen habe.
Erkandt, wird H. Imploranten mit begehrtem abonnement auf Löbl Statt Stall, auf den Fuß von 22.600 Gulden, bis ad annum 1790. inclusive unter folgenden Bedingungen willfahrt, daß er das angesetzte quantum über Abzug der bis dahin verstallten Summ sogleich bar erlege, und wann ihme etwas Erbs: legats; donations: oder Wÿdums weise während dieser Zeit Zufallen solte, deßen Betrag auf Löbl. Statt Stall angegeben, und das Stallgeld davon obig fixirter Summ beÿgesetzt werden wie nicht weniger, daß auf des H. Imploranten während dieser Zeit erfolgendes Absterben deßen Verlaßenschaft ordnungsmäsig inventirt, und das Zu errichtende Inventarium jedoch ohne Zubeförchtende recherche oder Nachtrag denen Herren Dreÿ Löbl. Statt Stall überlieffert werde. Unterschriebenen Zæpffel XV. Secretarium mit handzug.

Jean Chrétien Rœderer loue une partie de sa maison au tanneur Jean Henri Knoderer l’aîné

1794 (18 ventose 2), Strasbourg 10 (8), Not. Heus n° 62
bürger Johann Christmann Röderer der vormalige Rothgerber und Lederbereiter
bürger Johann Heinrich Knoderer des ältern Rothgerber und Lederbereiters für seinen Sohn Johann Heinrich Knoderer den Jüngern auch rothgerber und lederbereiter
in der dem verlehner Eigenthümlich zuständigen ane der Spitzengaß gelegenen mit N° 5 bezeichneten behaußung und zwar Erstlich das Gerbhauß mit Gruben und Farben nebst denen zwo Gruben auf der Landvest wie alles dato beschaffen ist, Ferner diz Wasch: Pritsch so derselbe zum butzen zum häären und häute in das Wasser zu hencken benöthigt ist, sothane Wasch: Pritsch jederzeit mit guten brettern auf seine alleinige Kösten zu versehen, deßgleichen auch die häärung der häute auserhalb auf der Landveste oder Pritsch soviel immer möglich es die witterung erlaubt zu häären gehalten seÿe, Weither die Lohkammer so anjetzo bodenlos ist, der Entlehner aber auf seine alleinige kösten und ohne Entgeld mit einem ganz neuen boden belegen zulaßen schuldig, Item die Leder stube in dem hof solle der Entlehner auch zu geniesen haben, Item den Keller so zu nachbemelter Wohnung gehörig ist, und weilen derselbe nicht gros als verspricht der Verlehner dem Entlehner ein Leerer Faß von ohngefähr 40 ohmen in seinem Keller einzuraumen um wein darin legen zu können und davon nach gebrauch in seinem Keller zu füllen, Ferner die wohnung im zweÿten stock des hintern Gebäudes wie auch solche dato befindet mit dem expressen beding aber keinen theil davon an andere personen zu verlehnen sonderen nur für seinen eigenen gebrauch zu bewohnen, Item die Leder: bühnen über sothaner Wohnung nebst der daran gelegenen trückel: stube worauf das Sohl: Leder eigentlich getrückelt wird, unter der expressen bedingung aber, das keinerlei Leder worein Fett kommt, es seÿe Fischtron, agra oder unschlitt, da getrückelt werden soll noch darf, Weiters die zweite bühn die wasch bühne genannt, welche aber vor alle in des verlehners behaußung sich befinliche Locataires, wie auch deßen tochter, Frau Baurin, die gewöhnlich des Jahrs vier Waschen und zwar zwo im Früh: und zwo im Späth: jahr machen läßt, zu tröcknung ihrer alljährlich zu machen habender Waschen eingeräumt werden muß, benebst der leder bühne dazu benöthigten falls, weßwegen aber dieselbe den Entlehner jedesmal zuvor zu benachrichtigen gehalten seÿn sollen, Item das Gerüst zum Lohkäß trücknen auf der besagten Wasch bühne wie es dato ist, solle dem Entlehner zu der Lohkäß stallung zugebrauchen erlaubt seÿn, belangend die zwo darüber befindliche bühnen, sollen solche dem Entlehner auch zu Genießen frei stehen, wo aber auf der ohneins obersten bühne keine Latten auf dem Gerüste sind, kan derselbe sich Latten auf seine Kösten anschaffen, solche aber zu End der Lehnung auch wieder wegnehmen, Item das Gerüst zum Leder tröcknen worauf die Stangen gelegt werden betreffend, hat der Entlehner daßelbe auf seine eigene kösten zu machen aber zu End der Lehnung auch wider weg zu nehmen, weiter das Lohkäß gerüst keine Meel Kasten, wo die Latten auf den balcken liegen hat der Entlehner auch zu benutzen, Item auf der Manzard eine Kammer auf die Gaß aussehend, Ferner die zwo bühnen über den Manzards im vorder hauß hat der Entlehner die Gerüster zum Lohkäß tröcknen ebenfalls zu benutzen mit dem beding keine nasse Lohkäß auf die böden zu stürtzen, ausgenommen der öbersten im vorder: und hinter: hauß, weiter solle dem Entlehner erlaubt seÿn auf die Leder: bühn ohngefähr drei fuder brennholtz statt eines Holtzhaußes zu legen, Jedoch solle dem Entlehner austrucklich verboten seÿn altes Loh auf vobesagter Landvest hinter an denen zwo gruben zu schütten, deßgleichen auch aus keinen farben oder sonst gar keinen Leder: Äscher zu machen wie auch die Schwitz bei der Gerbereÿ irgends anderswo als in einer von denen beeden Gruben auf der Landvest vor zunehmen, anbei solle der Entlehner besonders besorgt seÿn daß dem bronnen in dem Hof, kein schaden zugefügt wird – Und ist diese Lehnung auf 4 nacheinander folgenden jahren vestgesetzt geschlossen und getroffen worden vo nach instehendem ersten Monat tag Germinal dieses laufenden Jahrs-um einen jährlichen Zinß nemlich 600 Livres
acp 21 f° 88 du 19 vent. 2

Jean Chrétien Rœderer meurt en 1794 en délaissant trois filles issues de son premier mariage ou leurs représentants et deux filles du deuxième. La succession comprend deux maisons à l’intérieur de la ville. La masse propre à la veuve est de 10 566 livres tournois, celle des héritiers de 29 285 livres. L’actif de la communauté s’élève à 105 329 livres et le passif à 15 417 livres.

1795 (17 frimaire 4), Strasbourg 10 (3), Not. Heus n° 241
Inventarium über Weiland des bürgers Johann Christmann Röderer gewesenen Rothgerbers und lederbereiters Verlaßenschafft, nach seinem den 28. messidor jüngst aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt hie zeitlich verlassen, auf Ansuchen Fraun Dorotheæ geb. Karcher der hinterbliebenen wittib unter assistentz des burgers Johann Philipp Graffenauer homme de lettres wie auch derer Kinder und Erben
Der verstorbene hat ab intestato zu Erben verlaßen wie folgt als 1. weiland Fraun Anna Maria geb. Röderer mit bürger Philipp Jacob Kammerer dem Seiler hinterlassenen 6 Kinder und dißorts Enckel Namentlich 1) Frau Susanna Maria geb. Kammerer des bürgers Isaac Jund Gastgebers Ehefrau, 2) bürger Philipp Jacob Kammerer dermaliger Rittmeister unter dem 8. Regiment Hussards so abwesend, 3) Fr. Margaretha Salome geb. Kammerer des bürgers Johann Philipp Schuler Vöghändlers Ehefrau, 4) bürger Christmann Heinrich Kammerer Kiefer, 5) Frau Maria Dorothea geb. Kammerer des bürgers Johannes Greiner Kiefers und Weinhändlers Ehefrau und 6) bürger Johann Daniel Kammerer Seiler
2. die bürgerin Mariam Salome Holderer geb. Röderer weÿl. burgers Johann Georg Holderer Wittib, 3. Frau Catharinam Margaretham Schäffer geb. Röderer des bürgers Johann Gottfried Schäffer Knopffmachers Seidenhändlers Ehefrau, diese 3 als des defuncti in erster Ehe mit weiland Fr. Maria Salome geb. Ottmann erzeugte Kinder und resp. Enckel,
4. Frau Maria Magdalena Röderer geb. Röderer des bürgers Johann Friedrich Carl Röderer Kunst Färbers Ehegattin, so dann 5. Fraun Margaretham Dorotheam Bauer geb. Röderer des bürgers Johannes Bauer handelsmannas Eheliebstin beede letzterer Frauen töchter als des defuncti zwoter und letzter Ehe mit seiner Wittib erzeugte Kinder
So dann hat der Verstorbene zufolg vor mir Notario den 7. Nivose jüngst errichteten Letzten willens seinen vorbemelten beeden töchtern letzter Ehe erzeugten samtlichen Kindern als seinen Enckern den 10. theil und zwar jedem theil besonders die hälfte davon als den 20. theil von seinem gesamten hinterlassenden Vermögen Legats weise vermacht als Fraun Maria Magdalena geb. Röderer mit bürger Johann Friedrich Carl Röderer erzeugte 4 Kindern Namentlich 1. Johann Friedrich Carl Röderer lediger Handelsmann, 2. Jungfer Maria Magdalena Röderer, 3. Jungfer Friderica Carolina Röderer, alle dreÿ Großjährig, und 4. Johann Leonhard Röderer so 19 Jahr alt und Fraun Margaretha Dorothea geb. Röderer mit weÿl. bürger Johann Daniel Baldner handelsmanns in erster ehe und mit bürger Johannes Bauer auch handelsmann in zweÿter ehe erzeugten Kindern Nahmentlich 1. Johann Daniel Baldner so 19 Jahr alt, 2. Margaretha Dorothea Bauer so 15 Jahr alt, 3. Johannes Bauer so 14 Jahr alt, 4. Johann Christmann Bauer so 11 Jahr alt und 4. Johanna Christina Bauer so 9 Jahr alt

in einer ane der Spitzengaß gelegenen mit N° 5 bezeichneten und in diese Verlaßenschafft gehörigen behaußung, den 4. fructidor 3
der hinterbliebenen Wittib ohnverändert Vermögens, hausrath 366 li, silbers und Golden: geschmeids 183 li, Ergäntzung durch Not. Johann Philipp Lichtenberger den 27. April 1746 aufgerichteten Inventarii 9417 li, schulden 600 li, summa summarum 10.566 li,
der Erben ohnverändert Nahrung, hausrath 1127 li, Faß 30 li, silbers 126 li,
Eigenthum ane einer behaußung und einer Lohmühl so der Erben ohnverändert
Erstlichen eine behaußung bestehend in Vorder: und hinter: Haus nebens: Gebäu Hof bronnen und hoffstatt mit allen übrigen deroselben begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ane der Spitzenngaß gelegen so mit N° 5 bezeichnet einseit neben der tranck bei dem Gähgäßlein, anderseit neben Michael Peter dem Amlungmacher und hinten auf die Preusch stosend, davon gibt man Jährlich der hiesigen Gemeinde wegen der Landvest 2 livres 8 sols und von dem thulen des S: V: cloacs so in das nebens Gäßlein gehet 1 Livre 10 sols auf Martini ane boden zinns, hiehero ohnpræjudicirlich æstimirt worden vor 32.000 livres, darüber besagt ein Kaufbrieff in der C.C. Stub de dato 2. Decembris 1742
Item 11/60. theil vor unvertheilt ane einer Lohmühl auserhalb hiesiger Stadt zwischen dem Juden und Fischer: thor unten an dem teich: Kopf zwischen denen Wassern nahe beÿ dem Neßelsteeg und habermühl einseit neben Andreas Cossa des handelsmanns Erben gehörigen Tabackmühl anderseit neben einen gemeiner Stadt gehörige Acker grund gelegen vornen auf den Allmend weeg hinten auf das Wasser stoßend samt dem dazu gehörigen, Wohnhäußlein Schöpfen Rindenscheur Höflein hoffstatt und Wasserbau auch an dem dabeÿ befindlichen laufenden Geschirr deßgleichen allen übrigen derselben Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten von welcher vorbesagten rinderscheur aber nur zween 15.de theil hiehero gehörig, so auser 2 livres so man Jährlich hiesiger Gemeinde von der Rindenscheur ane bodenzinß zu reichen pflichtig sonst frei ledig und eigen und hiehero ohnpræjudicirlich gewürdiget worden vor 100, Hierüber wie auch über 2/15 nicht hiehero gehörigen antheilere melden 4 Verschiedene in allhies. C.C. Stub passirten Kauffverschreibungen sub datis 11. oct. 1718, 11. sept. 1719, 23. mart. 1735, 3. oct. 1743 und dann eine über 1/30 von denen böhringer’schen Erben erkauften theil besagende aber nicht vorbefundene Kaufbrieff
summa behausung und Lohmühl 32.100 li, Ergäntzung 3440 li, Summa summarum 33.384 livres – Schulden 4099 li, Deducendo 29.285 li,
die Beschreibung des Gemein verändert und theibaren Guths, hausrath 3140 li, Wein und Lehre Faß 1690 li, Schulden 205 li, Golden Geschmeids 1050 li, baarschafft 9195 li, Pfenningzinß hauptgüter 57.038 li,
Eigenthum ane einer behaußung so theilbar, Nemlichen Eine becken behaußung bestehend in Vorder und Hinterhaus Hof bronnen und hoffstatt mit allen deren übrigen Gebäuden, weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten ane der obern Langen Straß gelegen mit N° 111 bezeichnet einseit neben burger Pfod dem Spengler anderseit neben der bierbehausung zur Mühl und hi. auf eben dieselbe stosend, so demalen und hiehero ohnpræjudicirlich gewürdiget worden pro 6400 li, darüber besagt ein Kaufbrieff in der C.C. Stub de dato 11. apr. 1771
behausung 6400 li, schulden 26.609 li, summa summarum 105.329 livres – Schulden 15.417 li, Deducendo 89.912 livres
Eheberedung, den 15. nov. 1745, Not. Johann Philipp Lichtenberger
Copia des Letzten willens
(Documenta) General Abrechnung
– Rechnung die Von Notario Heus wegen weiland bürgers Johann Christmann Röderer geweßten Rothgerbers Verlassenschafft seit den 22. Prairial 5 als dem Schluß meiner abgelegten Ersten Rechnung bis den – Jahrs gethanen Einnahm und Ausgab
Einnahm Gelds Ane Haußzinnßen in die theilbare Mass gehörig
Item den 20. junÿ 1797 zalte Hipolitus Schmid der beck den pro quartali Mariä Verkündigung 1797 verfallenen lezten zins mit 32
Item Bozon den von Quartali Joh. Bapt: 1797 verfallenen Hauszins per rest 63
Item Bloy den von sothanes quartal schuldigen lezten Hauszins mit 50
Item Einnahm Gelds ane Hauszinsen seit Joh. Bapt: 1797 bis dahien 1798 woran der dißorts Wittib als Wittumsnieserin die eine hälfte und denen Erben die andere hälfte gehörig
Erstlichen den 20. sept. 1797 zalte die Wittib Froÿdevaux den pro quartali Michaelis 1797 verfallenen ersten Hauszins 57
Item den 28 dito bürger Sadoul den vor sothanen quartali verfallenen ersten Hauszins mit 75
Item burger Knoderer deßgleichen mit 150
Item den 26. dec. zalte die Wittib Froÿdevaux pro quartali Weihnachten 9 verfallenen Hauszins 75
Item bürger Sadoul deßgleichen mit 75
Item bürger Knoderer ebenfalls mit 150
Item den 26. mart. 1798 zalte die Wittib Froÿdevaux den pro quartali MV 98 verfallenen Hauszins mit 5
Item bürger Sadoul deßgleichen mit 75
Item bürger Knoderer ebenfalls mit 150
Item de 15. junÿ zalte bürger Sadoul den pro quartali Joh. Bapt: 1798 verfallenen Hauszins mit 86
Item die Wittib Froidevaux deßgleichen mit 75
– Rechnung die Von Notario Heus wegen weiland bürgers Johann Christmann Röderer geweßten Rothgerbers Verlassenschafft seit den 25 fructidor 3 bis den 22. Prairial 5 gethanen Einnahm und Ausgab – Einnahm in klingendem Geld
Erstlich den 30. sept. 1795 zahlte Johannes Schnäbel ane Hauszins pro quartali Michaelis 1795, 18
Item Frau Meÿerin Wittib auch derhalben 15
Item Dattler Maurer auch der ursachen ane restienden 7
Item Pflaumen der Schneider ebenfalls derwegen verglichenermaßen 4
Item bringe hier von hipolitus Schmidt dem beck pro quartali Michaelis 24
Alle 5 Locataires in dem beckenhaus in der Langstras
Item den 8. nov. zalte Frau Claus wittib ane Hauszins zum voraus mit 65
Item den 28. dec. zalte Bloy den pro quartali Weihnachten 95 stipulirten Hauszins mit 50
Item zahlte Johannes Schnäbel pro quartali Weihnachten 94 den Hauszins mit 18
Item Dattler der Maurer auch derhalb 12
Item Pflaul der Schneider den rest mit 7 Ii
Fr Meÿer wittib as dieserwegen 15
Item Hipolitus Schmidt der beck auch pro quartali convenirtenaßen à 5 die woche für 13 wochen
Item den 29. mart. Fr. Claus Wittib den pro quartali Annunciationis Mariæ 1796 verfallenen Hauszins mit 65 (usw.)
(Joint Expédition sur parchemin de l’acte à la Chambre des Contrats 1771 f° 188-a)
Enregistrement, acp 38 F° 66 du 18 fri 4

Transaction relative au paiement de la maison adjugée devant le juge de paix au profit de la veuve Dorothée Karcher

1798 (14 prairial 6), Strasbourg 10 (8), Not. Heus n° 183
die bürgerin Dorothea geb. Karcher weiland bürgers Johann Christmann Röderer geweßten Rothgerbers hinterbliebene Wittib, unter assistentz des bürgers Johannes Bauer handelsmann ihres Tochtermanns, anzeigend wie das ihro die in ihres Ehemanns Verlaßenschaffts gehörige und deßen hinterlaßenen Kindern und Erben als ohnverändert zuständige Gerbbehausung samt Zugehörden allhier in der Spitzen Gaß gelegen mit N° 5 bezeichnet in offentlicher freiwilliger Versteigerung zufolg des von dem Friedens richter hiesiger Gemeine dritten Gerichts bezircks unterm 23. Ventose jüngst darüber dressirten und den 16. Germinal daraufhin bei alhiesigem Civil-Gericht confirmirten steigerungs procès verbals für die summ von 30.300 Livres eigenthümlich adjudicirt und überlaßen worden seÿe, unter der stipulirten bedingung Ihro sothane behausung innerhalb zwei Monaten von der lezten handlung angerechnet Vor mir Notario ordnungs mäßig zuschreiben zu laßen, deme zufolg habe sie Comparentin auch die samtliche Erbs-Intersesenten auf heutigen tag anhero berufen umb bemelter bedingung genüge zu leisten und denen selben die ihnen dermalen von besagtem steigschilling zukommende unverfangene hälfte der 15.150 Livres und dem Kammer’schen und Schäffer’schen Stämm auch die an der mit widum Verfangenen hälfte participirend 5454 Livres, so Sie Craft des den 25. prairial 5. getroffenen vertrags an diesen beeden Stämmen besonders zugesagt, zu bezahlen, die Ihro Comparenten mit lebenlänglichen widum verfangene übrige hälfte hiengegen an den Jolderer’schen, Carl Röderer’schen und Bauer’schen Stammtheilen wie auch der Legatarien als erste Hÿpotheck auf sothane behausung unterpfandlich stehen zu laßen offeriret, Angesehen aber einige mit Erben als Frau Maria Salome geb. Röderer weiland Johann Georg Holderer geweßten Inwohners allhier Wittib, ferner Frau Maria Magdalena geb. Röderer Johann Friedrich Carl Röderer Kunstfärbers Ehefrau und bürger Frantz Heinrich Mürdel Metzger daselbst Mandatario nomine erstgedachter Röderer’schen Eheleuthe erziehlter Kinder berührte zalung refusirt, als sähe sie Comparentin sich genöthiget die denen selben pro rata davon zukommende summen zusammen anlangend 6211 Livres zu ziel und End rechnet zu deponiren
enregistré 15 pr. 6

Les enchères sont transcrites au bureau des hypothèques

1798 (16 germinal 6), Tribunal Civil et Juge de paix du I° arr. (dans Strasbourg 10 (8), Not. Heus)
Le Tribunal Civil du Département du Bas Rhin a rendu le Jugement suivant, Cejourd’hui 14 pluviose 6 année, en exécution du jugement rendu par le Tribunal Civil du Département du Bas Rhin le 27 nivose dernier, Nous Jean Michel Remond juge de paix du troisième arrondissement de la commune de Strasbourg allions procéder à la première enchère
de la maison dépendante de la succession de de feu Jean Christmann Roederer tanneur à Strasbourg sis rüe des dentelles N° 5 dont la vente est ordonnée par ledit jugement (…) Sur quoi le Citoien Jean Frédéric Charles Roederer a fait la mise de 24.000
Cejourd’hui 21 pluviose 6, deuxième enchère, 25.000 au cit. Jean Godefroy Schæffer
Cejourd’hui 28 pluviose 6, troisième enchère, 25.100 Cit. Jean henry Knoderer junior
Cejourd’hui 1. ventose 6, surmise de 26.000 Livres Cit Jean Frédéric Charles Roederer
Cejourd’hui 8. ventose 6, quatrième enchère, 30.000 Livres Cit Jean Frédéric Charles Roederer
Cejourd’hui 23. ventose 6, cinquième enchère, 30.300 Livres Cit Jean Georges Starck
Cejourd’hui 13. germinal 6, adjugée à sa commandante Cit. Dorothée veuve Roederer née Karcher
le Tribunal a confirmé les dittes enchères, le 16 germinal 6

Acte qui confirme l’adjudication passée devant le juge de paix au profit de la veuve Dorothée Karcher

1799 (7 ventose 7), Strasbourg 10 (8), Not. Heus n° 224, 12
Philipp Jacob Kammerer Senior Seiler Mandatario nomine Philipp Jacob Kammerer Rittmeisters unter dem achten Regiment Hussard, Ferner Frau Susanna Maria geb. Kammerer weiland bürgers Abraham Jund geweßten Gastgebers dahier hinterbliebene Wittib unter assistentz erstgedacht ihres Vaters, weiter Frau Margaretha Salome geb. Kammerer Johann Philipp Schuler des Vöchhändlers Ehefrau, Item Christmann Heinrich Kammerer Caffésieder, Item Frau Maria Dorothea geb. Kammerer Johannes Greiner Kiefers und Weinhändlers Ehefrau, ferner Johann Daniel Kammerer Seiler, weiter Frau Maria Salome geb. Röderer weiland Johann Georg Holderer geweßten Inwohners allhier hinterlassene Wittib unter assistentz Johann Gottfried Schäffer ihres Schwagers, Item Frau Catharina Margaretha geb. Röderer Johann Gottfried Schäffer Seidenhändlers Ehefrau, Item Frau Maria Magdalena geb. Röderer Johann Friedrich Carl Röderer Kunstfärbers Ehefrau, Item Frau Margaretha Dorothea geb. Röderer Johannes Bauer Handelsmanns Ehefrau, weiter Frantz Heinrich Mürdel Metzger Curatorio nomine Johann Friedrich Carl Röderer leedigen Handelsmanns, Jungfer Maria Magdalena Röderer und Jungfer Friderica Carolina Röderer, So dann Johann Friedrich Clady zuckerbecker curatorio nomine Johann Daniel Baldner, Jungfer Margaretha Dorothea Bauer, Johannes Bauer, Johann Christmann Bauer und Johanna Christina Bauer, samtliche bürger allhier zu Straßburg, in der Eigenschaft als Erben weiland bürgers Johann Christmann Röderer Rothgerbers ihres geweßten respectivé Vater und großvaters Verlaßenschafft, zufolg des Haußverkauf bei alhiesigem Civil: Gericht unterm 27. nivose 6 ergangenen Urtels
der bürgerin Dorothea geb. Karcher weiland obbemelten bürgers Johann Christmann Röderer geweßten Rothgerbers hinterbliebenen wittib, daß von dem durch gedachten civil: Gericht dazu inspecie ernannten Friedensrichter hiesiger Gemeinde dritten Gerichts bezircks, Crafft seines unterm 23. Ventose 6 darüber dressirten und den 16. ejusdem confirmirten Steigerungs Procès verbals
Eine behausung bestehend in Vorder: und hinter: Hauß, nebens gebäu, Hof, Bronnen und Hoffstatt mit allen übrigen deroselben begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten allhier ane der Spitzengaß gelegen mit N° 5 bezeichnet, einseit neben der tränck bei dem Gähgäßlein anderseit neben Michael Peter dem Amlungmacher und hinten auf die Preusch stosend, davon gibt man Jährlich hiesiger Gemeinde wegen der Landvest 2 Livres 8 sols und vom thulen des s.v. Cloacs so in das nebens Gäßlein gehet einen Livre 10 sols ane bodenzinß – als ein ererbtes vätter enregistré 16 ventose 7

Dorothée Karcher meurt en 1800 en délaissant deux filles. L’actif de la succession s’élève à 22 125 francs, le passif à 21 239 francs.

1800 (22 frimaire 9), Strasbourg 10 (15), Not. Zimmer n° 189, 618
Inventarium über weÿl. bürgerin Dorothea Röderer geb. Karcher auch weÿl. bürgers Johann Christmann Röderer gewesten Rothgerers hinterbliebenen Wittib Verlaßenschafft, nach ihrem den 9. frimaire jüngst aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt
die Verstorbene hat mit eingangs gemelt ihrem Ehemann erzeugt und ab intestato zu ihren Erben Verlassen wie folgt als 1. Frau Maria Magdalena Röderer geb. Röderer des burgers Johann Frantz Carl Röderer vormaligen Kunstfärbers Ehegattin und 2. Frau Margaretham Dorotheam Bauer geb. Röderer des bürgers Johann Bauer handelsmanns Ehegattin

in der ane der Spitzengaß gelegen mit N° 5 bezeichneten Sterbbehausung
Eigenthum ane einer behausung. Nemlichen eine behausung bestehend in Vorder und hinter: hauß nebens: Gebäu hoff bronnen und hoffstatt mit allen übrigen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Spitzengaß gelegen mit N° 5 bezeichnet einseit neben der tränck beÿ dem Gähgäßlein anderseit neben Michael Peter den Amlungmacher und hinten auf die Preusch, davon gibt man Jährlich der hiesigen Gemeinde wegen der Landvest 2 fr 40 c und von dem thulen des S.V. Cloacs so in das Nebens gäßlein gehet 1 Frk. 50 cent. auf den 20 brumaire an ane bodenzinß – gewürdiget vor 17.000 francken, darüber besagt ein vor Notarium Heus errichteter Kaufbrieff de dato 7 vent 7. Jahrs und ein Kaufbrieff in der C.C. Stub de dato 2. dec. 1745
hausrath 780 fr, Gold und Silbergeschirr 484 fr, Pfenningzinß hauptgüter 2100 fr, behausung 17.000 fr, Schulden 1759 fr, Summa summarum 22.125 fr – Schulden 21.239 fr, Deducendo 886 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 76 f° 98 du 23 frimaire 9

Marie Madeleine Rœderer femme de Jean Frédéric Charles Rœderer rachète les parts de la maison et en devient seule propriétaire

1804 (21 messidor 12), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 20, n° 105
Justice de Paix du troisième arrondissement, le 19 vend. 10
Extrait des registres de la Justice de Paix du troisième arrondissement de la ville de Strasbourg.Ce jour 8 thermidor an 9 Par devant nous Jean Michel Stibeck assesseur faisant les fonctions de juge de paix du troisième arrondissement ledit juge de paix nommé en cette partie par le jugement rendu par le Tribunal Civil le 7 messidor dernier, sont comparus Cit. Jean Bauer comme poursuivant les droits de Marguerite Dorothée Roederer son épouse et le Cit. Jean Frédéric Charles Roederer comme poursuivant les droits de Marie Madeleine Roederer celles héritières chacune pour moitié de feue la veuve Roederer leur mère
à Frédéric Charles Roederer et son épouse Marie Madeleine Roederer
adjudication de la maison sise en cette ville rue de la dentelles N° 5, d’un côté le Cit. Peter amidonnier d’autre une petite ruelle conduisant à la riviere – le 18 thermidor 9, le 2 thermidor criée 4000 francs – le 8 fructidor, 17 fructidor, 27 fructidor, 19 vendémiaire 10 – pour 31.000 francs

Inventaire dressé après la mort du locataire Georges Frédéric Roggenbach

1807 (22.6.), Strasbourg 9 (anc. cote 16), Not. Bossenius n° 352, 3303
Inventaire de la succession de Georges Frédéric Roggenbach Père ci devant aubergiste a l’enseigne de l’ours noir, décédé le 16 courant – à la requête de Georges Frédéric Roggenbach Propriétaire héritier unique et universel de son père veuf de Marie Pfeiler
dans une maison rue des dentelles N° 5 appartenante aux héritiers du Sr Roederer tanneur dernier domicile du défunt dont il habitoit une partie du troisième étage
mobilier 513, 242, 340 fr, numéraire 79 fr
Enregistrement, acp 103 F° 4 du 23.6.

Inventaire dressé après la mort du locataire Joseph Magaty

1808 (17.9.), Strasbourg 14 (38), Not. Lex n° 2819
Inventaire de la succession de Joseph Magaty, capitaine retiré décédé le 11 courant – à la requête de 1. Pierre Magaty domicilié à Lucarno en Suisse négociant, 2. M Chrétien Geofroi Bossenius notaire impérial pour représenter Jean Marie Magaty lieutenant au premier regiment suisse absent, héritiers de leur père
dans la demeure du Sr Flaxland rue des Dentelles n° 5
mobilier 643 fr, passif 664 fr
Enregistrement, acp 108 F° 26 du 24.9.

Inventaire dressé après la mort du locataire Philippe Jacques Biskamm

1810 (20.3.), Strasbourg 5 (30), Not. F. Grimmer n° 6187
Inventaire de la succession de Philippe Jacques Biskamm, sergeant de patrouille décédé le 22 janvier dernier – à la requête de 1. Catherine Marguerite Gros veuve de Georges Frédéric Groh passementier, 2. Marie Barbe Gros veuve de Jean Frédéric Mangel Gautier, 3. Jean Georges Gros farinier, ces trois enfants de Jean Jacques Gros et Catherine Marguerite Bollenbach, frère de la mère du défunt, 4. Chrétien Gros crieur et 5. Frédérique Gros femme de Jean Philippe Kress marchand d’amadou les deux derniers enfants de Jean Daniel Gros aussi frère de la mère du défunt

dans une chambre au premier étage donnant sur la rivière dans une maison n° 5 rue des Dentelles en cette ville appartenant aux héritiers Roederer
meubles 445 fr, numéraire 69 fr, créances 700 fr, total 1466 fr, passif 154 fr, déduction faite 1312 fr
(Joint à la vente des meubles n° 6198 du 24 mars) ce jourd’hui 4 février 1808 a été convenu entre Sr Jean André Barthel Imprimeur et De Catherine Wilhelmine Barthel veuve Giesmann demeurant à la rue des dentelles n° 5 d une part et
Philippe Jacques Biskamm sergent de patrouille en cette ville scavoir
1. louent au Sr Biskamm une chambre avec une alcove garnie d’un rideau vert faisant partie du logement qu’ils occupent en la maison rue des Dentelles n° 5 au premier étage donnant sur la rivière pour 60 fr, 2. il ne pourra être fait de dénonciation au Sr Biskamm aussi longtemps que le Sr Barthel et la veuve Giesmann resteront locataires de leur logement actuel (non enregistré)
Extrait des registres des actes de decès de la commune d’Erstroff département de la Moselle arrondissement de Sarrguemines canton de Grostenquin – Elisabeth Biskam épouse de défunt Gaspard Zouter est mort hier 16 thermidor 5 à l’âge de 51 ans
Le 22 mai 1793 a comparu Elisabeth Bisskamm veuve de Jean Gaspard Soutter que Jean Gaspard Soutter est mort aujourd’hui agé de 75 ans
Extrait des registres de bapteme d’Erstroff, Marie Gerdrude fille de Jean Gaspard Souttre officier retiré Chevalier de St Louis et Catherine Elisabeth Biskamer le 9 septembre 1782
certifie qu’il existe un seul enfant de Jean Gaspard Soutter et Elisabeth Bisskamm, Marie Gerdude Soutter actuellement en mariage avec Nicolas Houpert cultivateur à Erstroff, le 24 juin 1810
Extrait, St Marcum Urbis Argent. 9 Septembris 1771 Maria Elisabetha illegitima heri nata Johannis Caspari Sutter ex ansbach in superiori alsatia oriundi magistri vigiliarum legionis equestris Royal allemand nuncupatæ et Catharina Elisabetha Bisskamin argentin. soluta [in margine :] décédée le 2 septembre 1786 a Erstroff en Lorraine allemande
Vorweiser in deßen Junfger Catharina Elisabetha Bißkamin weÿl. Johann Jacob Bißkams gewesten hänfers und burgers alhier und auch weÿl. Catharina Margaretha geb. Großin hinterlassenen eheliche tochter ist der evangelischer religion (…) hat sich in der Evangelischen Kirch zu denen Predigeren beÿ dem offentlichen Gottesdienst (…) eingefunden, Straßburg d. 1 Juni 1776
Enregistrement, acp 114 F° 90-v du 28.3.

Marie Madeleine Rœderer meurt en 1823. Deux de ses enfants rachètent les parts de la maison.

1824 (12.8.), Strasbourg 13 (40), Me Bremsinger n° 3228
Cahier des charges n° 3170 – Adjudication définitive – 1. Marie Madeleine Roederer, fille majeure, 2. Frédéric Charles Roederer, propriétaire, 3. Frédérique Caroline Roederer épouse de Philippe Louis Flaxland, négociant, 4. Jean Léonard Roederer, fabricant de tiges de bottes à Wasselonne, de la succession de Madeleine Roederer leur mère veuve de Jean Frédéric Charles Roederer teinturier royal du haut grand et bon teint – suivant jugement du Tribunal civil du 28 avril dernier, procéder à la licitation amiable
à Frédéric Charles Roederer l’un d’eux pour moitié tant pour lui que pour sa sœur Marie Madeleine Roederer – 25.000 francs
Désignation de l’immeuble, une maison composée de bâtiment de devant et de derrière, bâtiments latéraux avec une cour, un puits, une buanderie, aisances, appartenances et dépendances situé à Strasbourg rue des Dentelles marquée du n° 5, d’un côté ci devant Michel Peter fabricant d’amadou modo Henri Knoderer tanneur, de l’autre l’ abreuvoir ou une petite ruelle, derrière la rivière d’Ill – Etablissement de la propriété, suivant inventaire dressé par M° Bremsinger le 15 décembre 1823 la veuve Roederer a acquis par licitation et déclaration de command par devant le juge au troisième arrondissement de la ville de Strasbourg au commencement du 8 thermidor 9 (27 juillet 1801) clos le 18 vendemiaire 10 (11 octobre) suivant transcrit au bureau des hypothèques volume 20 n° 105 provenait de la succession de Dorothée Karcher veuve de Jean Christmann Roederer, tanneur – Marie Madeleine Roederer et Marie Dorothée Roederer femme Bauer étaient seules et uniques héritières suivant inventaire dressé par M° Zimmer le 22 frimaire 9, adjugé par procès verbal de licitation précité pour 31.000 frands
n° 3197 du 15 juillet exposé à 18.000 frands
Enregistrement, acp 169 F° 124 du 20.8.

François Charles Rœderer et Marie Madeleine Rœderer vendent par adjudication la maison à Jean Henri Knoderer, propriétaire de la maison voisine

1827 (18.9.), Strasbourg 13 (43), Me Bremsinger n° 4434
Adjudication définitive et Déclaration de command n° 4435 du 19 septembre – Cahier des charges du 24 mars n° 4224 – Marie Madeleine Roederer, célibataire majeure sans profession, et François Charles Roederer, propriétaire
à Jean Jacques Stotz, architecte, pour Jean Henri Knoderer, fabricant de cuirs
Désignation de l’immeuble, une maison composée de bâtiment de devant, de derrière et latéraux avec cour, puits, buanderie, aisances, appartenances et dépendances située à Strasbourg rue des Dentelles marquée du n° 5, d’un côté Henri Knoderer tanneur, d’autre une ruelle servant d’abreuvoir, derrière la rivière de l’Ill – Etablissement de la propriété, de la succession de Marie Madeleine Roederer décédée veuve de Jean Frédéric Charles Roederer, teinturier, échut à Marie Madeleine Roederer, François Charles Roederer et Frédérique Caroline Roederer femme de Philippe Louis Flaxland, négociant, et Jean Léonard Roederer, tanneur à Wasselonne, seuls et uniques héritiers suivant inventaire dressé par M° Bremsinger le 15 décembre 1823, et licitation par jugement du tribunal civil de première instance le 28 avril 1824 aux susdits Marie Madeleine et François Charles, procès verbal dressé par M° Bremsinger le 10 juin 1824 – à la veuve Roederer née Roederer par procès verbal de licitation et déclaration de command devant le juge de paix du troisième arrondissement en date au commencement du 8 thermidor 11 (27 juillet 1801) clos le 19 vendémiaire 10 (11 octobre 1801) transcrit au bureau des hypothèques volume 20 n° 105, provenait de la succession de Dorothée Karcher veuve de Jean Christmann Roederer, tanneur, dont la défunte Marie Madeleine Roederer veuve Roederer et Marie Dorothée Roederer veuve Bauer étaient seuls et uniques héritiers suivant inventaire dressé par M° Zimmer le 22 frimaire 9, Dorothée Karcher veuve Roederer avait acquis l’immeuble précité par acte reçu Heuss notaire en cette ville le 7 ventose 7 (25 février 1799)
adjudication préparatoire du 20 juin n° 4326. les comparants ont choisi et nommé pour expert Jean Chrétien Arnold, n° 4531 du 17.7., estimé la maison à 18.000 fr
adjudication du 16 août n° 4387 (Frédéric Charles Roederer pour 8050 fr) – 24.400 fr
Enregistrement, acp 185 F° 130 du 19.9.


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.