5, rue du Bain-Finkwiller


Rue du Bain-Finkwiller n° 5 – VIII 206 (Blondel), P 1262 puis section 8 parcelle 13 (cadastre)

Maître d’ouvrage, Sigebert Kopf (années 1820)
Nouvelle maison accolée construite en 1888, 2, place du Moulin Zorn, maître d’ouvrage Henri Kayser
Bâtiment actuel, maître d’ouvrage Société civile immobilière Bain-Finkwiller, architecte André Pfrimmer (1972)


Vue vers 1891, à l’extrême gauche le bâtiment construit en 1888 puis le n° 5 (inscriptions en allemand) et le n° 7 (Imprimerie, en français), publiée par les D.N.A. le 28 novembre 2015
Le même endroit, vers 1970 (AMS, cote 1 Fi 149)

La maison à côté de laquelle se trouve un petit jardin appartient dans les années 1620 au tailleur Fabien Stoltz qui en transmet la propriété à son fils Jonas. Son petit-fils Jean Georges Stoltz séjourne à plusieurs reprises à l’hôpital comme « maniaque ». Le transporteur de sable Jean Meyer qui acquiert la maison en 1712 est autorisé l’année suivante à agrandir un dépôt de sable au devant. Le paveur Jean Nicolas Korn doit avoir fait d’importants travaux dans sa maison qu’il achète 370 livres et qui est revendue 675 livres en 1720 après sa mort. Le ferblantier Jean Frédéric Froschhammer, propriétaire depuis 1738, fait sans doute de nouvelles améliorations dans la maison à un étage, ce qui en porte la valeur minimale à 500 livres en 1748 (au lieu de 325 en 1720). Il a sans doute construit un nouveau bâtiment à l’emplacement du dépôt de sable qui n’était pas encore surbâti en 1728 (plan-relief). Le charcutier Matthieu Schletz fait réparer les fondations le long de la rivière en 1773, remplacer le mur du rez-de-chaussée en galandure par un nouveau en maçonnerie en 1778 puis établir une risberme en 1784. Le boucher Chrétien Leyer achète en 1784 la maison qui reste dans sa famille pendant un siècle.

114 Elévations
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 114 (© Musée des Plans-relief)

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée et un étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue se trouve à droite du repère (a) : cinq fenêtres et une porte au rez-de-chaussée, deux étages à six fenêtres régulièrement réparties, toiture à un niveau de lucarnes. Le pignon (f-a) a deux fenêtres à chaque étage, la face arrière commence en (f-e) et continue au-delà par quatre ouvertures à chaque étage. La partie (f-e) succède à l’escalier qui mène à la rivière (voir le plan de l’îlot 117). Comme la maison a un étage de plus que dans l’Atlas des alignements, on conclut que le menuisier Sigebert Kopf l’a ajouté dans les années 1820.
La maison porte d’abord le n° 91 du quartier Finckwiller (1784-1857) puis le n° 5 de la rue du Bain-Finckwiller.

Bains-Finckwiller 9 (1 Fi 149, 133-1)
Vue arrière, le n° 5 et la maison accolée se trouvent dans la moitié droite de l’image (AMS, cote 1 Fi 149, n° 133-1)
Aspect actuel (photographie Archi-wiki)

Le typographe Henri Kayser achète en 1868 le n° 7 voisin puis le n° 5 au début des années 1880. Il y établit l’imprimerie de son journal les Dernières Nouvelles. Il fait construire en 1888 à côté du n° 5 un bâtiment d’une hauteur maximale de six mètres sur un terrain sis 3, place du Moulin que la Ville vient de lui céder. Chrétien Bechtold ajoute en 1892 un deuxième étage par dérogation à la hauteur maximale fixée en 1888. Le rez-de-chaussée sert d’atelier au nickeleur Jacques Hoffmann (1901), au polisseur de marbre Charles Mages (1909) et à l’ébéniste Joseph Maps (1923). La société Aschenbrenner établit ses ateliers dans le bâtiment place du Moulin (1969) jusqu’à sa démolition en 1971.
La société civile immobilière Bain-Finkwiller fait construire en 1971 à la place des anciens n° 5 et 7 sous la direction de l’architecte André Pfrimmer un nouveau bâtiment à sept étages selon les mêmes principes que le n° 9 voisin. Les travaux commencés en décembre 1971 se terminent fin 1972.


Bâtiment construit en 1888 (3, place du Moulin-Zorn), élévation, croquis qui représente l’avance sur le rivière (dossier de la Police du Bâtiment)


Dessin du bâtiment actuel par André Pfrimmer : façade vers la rue, vers la rivière, pignon

janvier 2019

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1615 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Fabien Stoltz, tailleur, et Marthe – luthériens
1651 h Jonas Stoltz, tailleur, et (1644) Anne Marie Schmidt puis (1657) Jacqueline Bergmüller – luthériens
1694 h Georges Stoltz, tailleur, et (1686) Marie Salomé Walther puis (1699) Anne Catherine Herrmann – luthériens
1710 v Jean Meyer, batelier, et (1700) Marie Salomé Weber – luthériens
1718 v Jean Nicolas Korn, paveur, et (1708) Catherine Murr – luthériens
1720 adj Orphelinat
1738 v Jean Frédéric Froschhammer, ferblantier, et (1720) Anne Elisabeth Rhein – luthériens
1748 v Matthieu Schletz, charcutier, et (1746) Catherine Marguerite Berger puis (1747) Marie Marguerite Klughertz – luthériens
1784 v Chrétien Leyer, boucher, et (1782) Eve Barbe Knoll puis (1806) Ursule Ritter – luthériens
1817 h Sigebert Kopf, menuisier, et (1810) Marie Barbe Leyer puis (1836) Lutgarde Moog
1860 h Jean Théophile Kieffer, mécanicien et (1840) Sophie Leyer
1884 v Henri Kayser, typographe, et (1868) Madeleine Kempf
1891* Imprimerie et éditions des Dernières nouvelles, société anonyme
1893* v Chrétien Bechtold, menuisier et Marie Salomé Berstecher
1943* h Alfred Chrétien Bechtold

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 325 livres en 1720, 500 livres en 1748

(1765, Liste Blondel) VIII 206, Mathieu Schletz
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61), Schletz, 6 toises, 3 pieds et 2 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1259 (erreur pour 1262), Kopf, Sigisbert, menuisier – maison, sol – 1,9 are

Locations

1702, Jean Raoul Mohr, cordonnier

Livres des communaux

Livre des loyers communaux, VII 1461 (1652-1672) f° 301-v
Le registre porte le cens assis sur la maison sans indiquer la date de création ni renvoyer au registre précédent

Jonas Stoltz, Soll gemeiner Statt, bodenzinß vom hauß beÿ des Siebenhorns mühlen, neben des dafners hültzern gelächt, Jahrs vf Annunt: Mariæ 1 lb 10 ß d
New fol. 258

(Quittungen, 1652-1656)
1659 von hanß Görg thewrkauf empf.
1661 von Jona Stoltzen empf.
(Quittungen, 1662-1672)

Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 258-v
Même article dans le registre suivant. Un nouveau loyer s’ajoute en 1712 pour la jouissance d’un nouvel emplacement (voir le registre des Préposés aux affaires foncières)

Jonas Stoltz(en W), Soll bodenzinnß vom Hauß beÿ des Sÿbenhorns ([corrigé en] der Zornen) Mühlen vff Annunciat. Mariæ 1 lb 10 ß
St. Zinßb. p. 301
Jetzt Hannß Georg Stoltz
Jetzt Johannes Meÿer Jun:
Jetzt Joh: Niclaus Korn 1719. I.mo
das Allhießige Waÿsenhauß 1720. I.mo
jetzt Johann Friderich Froschhammer der Spengler 2 lb 5 ß

(Quittungen, 1673-1711)
Ferner von einem eingezogenen allmend platz vor obiger behausung jahrs auff An: Mariæ 1712 i°, 15 ß
[in margine :] laut Prot: de 1711. fol: 128 soll Er die Maur daran, welche in einen guth. stand gesetzt worden ist erhalten

(Quittungen,1713-1741)
Neuzb fol 677

Livre des loyers communaux, VII 1472 (1741-1802) f° 677
Les deux loyers reportés dans le registre suivant subsistent jusqu’à sa clôture en 1802

alzb. 258-b
Joh: Frid: Froschhammer solle bodenzinnß vom Hauß beÿ den Mühlen auf Ann. Mariæ (id est 25. Martii) 1 lb 10 ß
Ferner von einem eingezogenen allmend platz vor obiger behausung Jahrs auff Ann: Mariæ (id est 25. Martii) 15 ß
(Quittungen 1741 – an 10) 5. Germinal

Mathæus Schletz (v. 454.b)
modo Christian Leÿhr der bratwursmacher lait C. C. Verschreibung vom 12. Octobris 1784)

Préposés aux affaires foncières (Bauherren)

1711, Préposés aux affaires foncières (VII 1384)
Le transporteur de sable Jean Meyer est autorisé à ajouter une surface de 171 pieds carrés à un dépôt de sable de 216 pieds carrés moyennant un loyer annuel de 15 sols à verser à partir de 1712

(f° 128) Montags den 9. Martÿ 1711. – Johann Meÿer pt° eines Sandplatzes
Augenschein eingenommen Vor Johann Meÿer des Sandführers beÿ der Edlen Zornen Mühlen gelegenen behausung, alwo Er den Allmend platz Zu einem Sandplatz zu richten Zu laßen gesinnet ist, und deßwegen umb erlaubnus angesucht hatt.
Erk. Soll der alte bereits eingezäunte Allmend platz sampt dem newen biß an die tränck abgemeßen werden.

(f° 128) Dienstags den 10. Martÿ – Johann Meÿers Sandplatz
Der Statt Werckmeister referiren, Sie hätten Johann Meÿers des jüngern, alten Allmend: platz, den Er vor seiner ohnfern der Edlen Zornen Mühlen, selbst eingezäunet hatt, sampt dem newen abgemeßen und befunden, daß der alte an der einen seithen 25 ½ schuhe an der andern seithen aber 22 ½ schuhe lang und 9. schuhe breit seÿe, also daß derselbe in allem 216. quadrat schuhe hielte, der newe aber auff der seithen gegen der gaßen hätten Sie 22 ½ schuhe auff der seithen gegen dem Waßer aber 20 ½ schuhe lang, und auff der seithen gegen der Gaßen 9. schuhe gegen dem Waßer aber 7. schuhe breit, und in allem 171. quadrat schuhe groß befunden.
Erk. Soll die Mawr Zu beeden seithen dießes gantzen platzes biß an Johann Meÿers behaußung in der Statt costen in einen guten standt gesetzt, alßdann dieser platz mit der condition, daß er diselbe in solchem stand in seinen costen halten, und den gantzen allmend platz jährlichen mit 15. ß d Verzinnßen und auß Annunciationis Mariæ Anno 1712. mit reichung des ersten Zinnßes den anfang machen solle Verlüen werden.

1773, Préposés aux affaires foncières (VII 1415)
Le charcutier Schletz est autorisé à réparer les fondations le long de la rivière mais pas à établir une petite risberme

(f° 182) Dienstags den 20. Aprilis 1773 – N Schletz Bratwurstmacher
Mr. Haas nôe. N. Schletz des Bratwurst Mrs bittet zu erlauben an seinem beÿ der Zornen Mühl gelegenem Haus das fundament gegen dem Wasser zu repariren und vor daselbe ein klein Landvest zu schlagen. Erkannt, Augenschein.

(f° 189) Montags den 26. Aprilis 1773, wurden folgende Augenschein eingenommen – N Schletz Bratwurstmacher
Im Finckweiler an N. Schletz, des Bratwurstmachers Behausung, welcher gebetten ihme zu erlauben das fundament seines Hauses gegen dem Wasser zu repariren und ein Landvest vor daselbe zu machen.
Erkannt, die Reparation des fundaments Willfahrt, In ansehung des Landvests aber abgewiesen.

1778, Préposés aux affaires foncières (VII 1418)
Le maçon Georges Frédéric Walter est autorisé au nom du boucher Matthieu Schletz à remplacer le mur du rez-de-chaussée en galandure par un nouveau en maçonnerie

(f° 85) Dienstags den 19. Maji 1778 – Matthäus Schletz metzger
Mr Georg Friedrich Walter, der Maurer, nôe. Matthäus Schletz, des Metzgers bittet zu erlauben an seiner behausung gegen der Zornen Mühl über gelegen au Rez de chaussée statt der daran befindlichen Riegelwand die selbe mit einer Maur aufzuführen.
Erkannt, Willfahrt.

1783, Préposés aux affaires foncières, (VII 1420)
Le maçon Lingenhœlin est autorisé au nom du charcutier Matthieu Schletz à poser une digue pour refaire le mur vers la rivière à condition de ne pas porter préjudice au moulin.

(f° 381) Dienstags den 18. Novembris 1783. – Matthias Schletz, Bratwurstmacher
Idem [Herr Lingenhölin, der Maurer] nôe Matthias Schletz, des Bratwurstmachers, bittet zu erlauben an deßen Behausung unten bei der Zornen Mühl gelegen, die Waßer Maur machen, und Zu deren Vollführung den nöthigen damm machen Zu laßen.
Erkannt, Willfahrt, doch dem damm so ein Zu richten daß den Mühlen dadurch kein Nachtheil Zu wachse.

1784, Préposés aux affaires foncières (VII 1421)
Le maçon Lingenhœlin demande au nom du charcutier Matthieu Schletz l’autorisation de refaire le mur le long de la rivière en même temps que le muret qui appartient à la Ville pour pouvoir le fixer. Il est par ailleurs autorisé à établir une risberme sur des pieux comme son voisin

(f° 185) Dienstags den 26. Octobris 1784. – Matthias Schletz, Wurstmacher
Hr. Lingenhölin, der Maurer nôe. Matthias Schletz, des Wurstmachers, stellte vor, daß da nunmehro an deßen Behausung bei der Zornen Mühl die Waßer Maur aufgeführt werden solle, an diese Maur aber ein schrages stoßt, so löbliche Stadt zu unterhalten, welche sehr schadhaft, als wolte er gebetten haben, solche beede Reparationen sogleich mit machen Zu laßen, weilen sonsten deßen Waßer Maur nicht wol bevestiget Werden könne. Ferner bittet deselbe zu erlauben vor erstbesagte Wasser Maur ein zwei Schu breites Landvest schlagen zu laßen. Erkannt, Augenschein.

(f° 188) Mittwochs den 27. Octobris 1784. wurden folgende Augenschein eingenommen – Matthis Schletz, Bratwurstmacher, Maur bei der Zornen Mühl
An Matthis Schletz, des Wurstmachers bei der Zornen Mühl gelegenen Behausung, welcher gebetten, da er im Begriff an solcher seiner Behaußung eine neue Waßer Maur aufzuführen, Zugleich auch das daran stoßende Eck nebst der alda befindlichen Steeg, so löbliche Stadt zu unterhalten machen Zu laßen, Weilen er sonsten seine Maur nicht bevestigen Könte.
Erkannt, Seie durch Herrn Werck Meister Kaltner einen Etat Estimatif über diese Arbeit zu Verfertigen, und die Sach Gnädigen Herren der drei Geheimen Stuben und dermalen tempore feriarum in Hoch dero Namen SS. TT. dem Regierenden Herrn Ammeister geziemenst vor zu tragen
Ferner begehrte derselbe ihme Zu erlauben vor erstgedachte seine Aufbauende Wasser Maur ein Land Vest mit Pfälen machen zu laßen.
Erkannt, In nemlicher Höhe und Breite wie vor des Nachbaren Hauß, Willfahrt.

1788, Préposés aux affaires foncières (VII 1423)
Le maçon Walther est autorisé au nom du charcutier Chrétien Leyer à réparer le crépi et à repeindre la maison

(f° 79-v) Dienstags den 3. Junii 1788. – Christian Leÿer, Wurstmacher
Mr Walther, der Maurer, nôe. Christian Leÿer, des Wurstmachers bittet zu erlauben deßen Behausung im Finckweiler bei der Zornen Mühl gelegen N° 91 verwerfen und anstreichen zu laßen.
Erkannt, Willfahrt.

Description de la maison

  • 1720 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, petites cuisines, vestibule, écuries à côté, petite cave sous solives, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 650 florins.
  • 1748 (billet d’estimation traduit) La petite maison comprend au rez-de-chaussée un vestibule, un petit poêle et petite cuisine, au premier étage un vestibule et petite chambre, à l’étage sous la toiture une chambre à soldats, le comble a une couverture simple en tuiles, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1000 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Place du Moulin

nouveau N° / ancien N° : 10 / 91
Leyer
Rez de chaussée et 1° étage mauvais en bois
(Légende)

Cadastre

La parcelle porte d’abord un numéro erroné, corrigé par la suite
Cadastre napoléonien, registre 28 f° 314 case 1

Kopff Sigismond (corrigé en) Sigisbert, Menuisier

P 1252 [erreur de numéro corrigée ci-dessous], maison, sol, Petite place du Finckwiller 91
Contenance : 1, 90
Revenu total : 126,99 (126 et 0,99)
Folio de provenance : (314, I° case) rectif. d’erreur matérielle, contenance et n° de plans transposés à rétablir
Folio de destination :
Année d’entrée :
Année de sortie : 1857
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 38
fenêtres du 3° et au-dessus :

P 1262, maison, sol, Petite place du Finckwiller 91
Contenance : 1, 18
Revenu total : 126,61 (126 et 0,61)
Folio de provenance :
Folio de destination :
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires :
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 627 case 1
Après la création de la nouvelle parcelle 1590, la parcelle 1262 devient par erreur 1562

Kopff Sigisbert, menuisier
1862, Kieffer Théophile, mécanicien
1884, Kayser Heinrich, Buchdruckereibesitzer
1891/92 Druckerei & Verlag der Strassburger Neuesten Nachrichten, Aktiengesellschaft
93/94, Bechtold Christian, Schreinermeister und Ehefrau Maria Salome geb. Berstecher in Gütergemeinschaft

P 1262, maison, sol, Rue des bains du finckwiller 5
Contenance : 1,18
Revenu total : 126,61 (126 et 0,61)
Folio de provenance : (314)
Folio de destination : 627, Vergrößerung 88
Année d’entrée :
Année de sortie : 91/92
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 36 / 19
fenêtres du 3° et au-dessus :

P 1590, sol, Finkweilerbadgasse 5
Revenu total : 1,90 (0,72 et 1,18)
Folio de provenance : Weg
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 89/90

P 1262, maison, Finkweilerbadgasse 5
Revenu total : 379,98 (379 et 0,98)
Folio de provenance : 627
Folio de destination : theilw. Abbruch
Année d’entrée : 91/92
Année de sortie : 93/94
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 49 / 39
fenêtres du 3° et au-dessus : 4 / 3
Jahrgang 1891-92, Zugang – Druckerei Verlag der Neusten Nachrichten f° 627-I, P 1262, Maison, Reinertrag 379, Vergrößerung, vollendet 1888, steuerbar 1891, besteuert 1891/92
Abgang – Kayser Heinrich f° 627, P 1262, Maison, Reinertrag 126, Vergrößerung, Zeit 1888, d°

P 1562 [erreur pour P 1262], maison
Revenu total : 190,98 (190 et 0,98)
Folio de provenance : 627
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 93/94
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 49 / 39
fenêtres du 3° et au-dessus : 4 / 3
Jahrgang 1893/94, Zugang – Bechtold Christian f° 627, P 1562, Maison, Reinertrag 190, theilw. Abbruch, vollendet 1891

Cadastre allemand, registre 29 p. 98 case 2

Parcelle, section 8, n° 13 – autrefois P 1262, 1590
Canton : Finkweilerbadgasse Hs Nr. 5
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,96
Revenu : 1500 – 2100
Remarques :

(Propriétaire), compte 155
Bechtold Christian u. Ehefr. in Gg.
1943 Bechtold Alfred Christian u. Ehefrau
(715)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VIII, Rue 279 Des Moulins (p. 425)

91
prop. Baier, Chrétien Charcutier – Bouchers
loc. Würz, Antoine, Journalier – Manant
loc. Bauer, Magdeleine, Couturiere – Manante

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Finkweilerbadgasse (Seite 34)

(Haus Nr.) 5
Hoffmann J., Galvaniseur. 0
Waltern Wwe. 0
Bechtold, Schreinerm. E 1
Rhein, Metzger. 1
Feist, Schneidermstr. 2
Jäger, Holzbildhauer.. 2
Ostermann, Diener. 2

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 644 W 88)

5, rue du Bain-Finkwiller (puis 5-7, 1862-1973)

L’imprimeur Kayser est autorisé à construire en 1888 à côté du n° 5 un bâtiment d’une hauteur maximale de 6 mètres sur un terrain sis 3, place du Moulin que la Ville vient de lui céder. Chrétien Bechtold fait construire un deuxième étage en 1892 par dérogation à la hauteur maximale fixée en 1888.
Jacques Hoffmann installe en 1901 des machines dans son atelier de nickelage. Le polisseur de marbre Charles Mages installe des machines en 1909. L’ébéniste Joseph Maps fait poser des machines dans son atelier en 1923. L’avocat André Meyer est autorisé à désaffecter le logement du rez-de-chaussée en 1966. La société Aschenbrenner établit ses ateliers dans le bâtiment place du Moulin (1969) jusqu’à sa démolition (1971)
La société civile immobilière Bain-Finkwiller fait construire en 1971 à la place des anciens n° 5 et 7 sous la direction de l’architecte André Pfrimmer un nouveau bâtiment à sept étages (5 duplex, 8 logements et 40 studios). Le bâtiment empiète de 82 m² sur le domaine public fluvial. Le maire accorde dérogation au règlement municipal quant aux dimensions des façades, aux étages en retrait et aux surfaces bâties. Les travaux commencés en décembre 1971 se terminent fin 1972.

Sommaire
  • 1862 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier Rhein soit autorisé au nom du sieur Loos, locataire de M. Kieffer, de faire une prise pour environ deux becs au 5, rue des Bains du Finckwiller – L’architecte de la Ville fait son rapport
  • 1885 – L’entrepreneur Petiti-Klotz (17, place Saint-Etienne) demande au nom de l’imprimeur Kayser l’autorisation de remplacer une cheminée à trois conduits par une nouvelle à un seul conduit – Autorisation (5-7, rue du Bain-Finkwiller) – Dessin
  • 1887 – L’entrepreneur Petiti-Klotz demande au nom de l’imprimeur Kayser l’autorisation d’agrandir la fosse d’aisances au 5, rue du Bain-Finkwiller – Autorisation – Travaux terminés, juillet 1887
  • 1888 – L’entrepreneur Petiti-Klotz demande au nom de l’imprimeur Kayser l’autorisation d’élever un bâtiment sis 3, place des Moulins sur un terrain cédé par la Ville d’après décision du Conseil municipal en date du 27 juin 1888, à la condition que le bâtiment ne dépassera pas 6 mètres de haut. Autorisation de construire un bâtiment à un étage – Dessin
    Suivi des travaux. Les fondations sont terminées, les murs arrivent à la hauteur des appuis de fenêtre (juillet 1888). Le gros œuvre est terminé. L’architecte de la ville constate que la façade sur la rivière comprend au rez-de-chaussée une avance en pans de bois (croquis joint, août 1888). Les travaux sont terminés (septembre 1888)
    Droits que l’entrepreneur doit régler pour avoir occupé sans autorisation la voie publique
  • 1892 – L’entrepreneur Emile Widmann (1, rue Saint-Louis) demande au nom du sieur Bechtold, propriétaire du 5, rue du Bain-Finkwiller, l’autorisation de surélever la maison d’un deuxième étage qui servira de remise à bois. Le maire répond que l’autorisation ne peut être accordée puisque le rez-de-chaussée est en pans de bois et que le bâtiment a déjà atteint sa hauteur maximale.
    L’autorisation est accordée en avril 1892 après que le Conseil municipal a relevé le 23 mars 1892 le pétitionnaire des obligations portées dans l’autorisation du 7 juillet 1888 (l’adresse 5, rue du Bain-Finkwiller est biffée, remplacée par 3, place des Moulins) – Dessin
    Suivi des travaux. La toiture est démontée (mai 1892), les travaux sont terminés (fin mai), le plâtre sera posé plus tard à l’intérieur
  • 1889 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du sieur Kayser de faire une prise pour environ cinq becs au 5-7, rue du Bain-Finkwiller – Autorisation – Travaux terminés, novembre 1891
  • 1892 – L’entrepreneur Emile Widmann demande au nom du propriétaire Bechtold l’autorisation de ravaler les façades au 5, rue du Bain-Finkwiller, – Autorisation – Travaux terminés août 1892
    1893 – Le maire notifie Chrétien Bechtold de faire ravaler sa maison sise 5, rue du Bain-Finkwiller. Il accorde un an de délai au propriétaire qui déclare avoir engagé des sommes importantes pour construire sa maison l’année précédente. Le crépi est réparé, la peinture reste à faire (septembre 1894). La façade vers la rivière n’est pas ravalée (mai 1895)
  • 1901 – Dossier. Jacques Hoffmann demande l’autorisation d’installer des machines dans son atelier de nickelage (Strassburger Vernickelungsanstalt) – Autorisation – Dessin
    Les machines et la cloison sont montées (février 1902)
  • 1901 – Le maire demande au propriétaire Bechtold de poser un garde-corps autour de la trappe au rez-de-chaussée – Travaux terminés, juin 1902
  • 1904 – Le maire notifie Chrétien Bechtold de faire ravaler sa maison sise 5, rue du Bain-Finkwiller. Il accorde un délai d’un an après que le propriétaire a déclaré que son locataire le quittera sans doute et que les inscriptions seront supprimées – Rappel, mai 1905. Nouveau délai pour les mêmes raisons et des travaux projetés à l’intérieur du bâtiment
    1906 – Le maître maçon Louis Adé (37, rue du Finckwiller) demande l’autorisation de ravaler la façade au 5, rue du Bain-Finkwiller – Autorisation – Travaux terminés, juillet
    Le même demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Accord du commissaire de police – Autorisation
  • 1906 – Le service d’architecture rédige une note d’après laquelle Chrétien Bechtold prévoit d’aménager un cabinet d’aisance au deuxième étage de sa maison sise 5, rue du Bain-Finkwiller à l’angle de la place des Moulins – Le dossier est classé sans qu’il y ait eu de travaux
  • 1909 – Rapport des pompiers après un incendie dans l’atelier. Dossier classé, septembre
  • 1909 – L’entrepreneur Eugène Ziss (24, rue Brûlée) demande l’autorisation d’installer des machines chez le polisseur de marbre Charles Mages. Les machines posées sont en activité sans avoir été préalablement autorisées, septembre
    Eugène Ziss transmet la description des machines électriques – L’inspection du travail donne son accord (23 septembre). Liste des conditions à respecter – Autorisation, décembre 1909 – Dessins (plan de situation, plan de l’atelier, machines)
  • Commission contre les logements insalubres, 5, rue du Bain-Finkwiller. 1901. Propriétaire, le maître menuisier Bechtold, demeurant sur place. La chambre sous les combles ne doit plus servir de chambre à coucher. La trappe devra avoir un garde-corps
    1905, remarques en deux points, le logement au deuxième étage exige une réfection, les cabinets d’aisance sont primitifs
    1915, Commission des logements militaires, rien à signaler
  • 1923 – L’ébéniste Joseph Maps informe la Police du Bâtiment qu’il a fait poser des machines dans son atelier. La Police du Bâtiment lui demande un plan qu’il fournit
  • 1933 – Le commissaire de police autorise l’entrepreneur Joseph Hoffer (19, rue Déserte) à occuper la voie publique devant le 5, rue du Bain-Finkwiller
  • 1934 – La Police du Bâtiment constate que Christophe Wosylus a posé sans autorisation une antenne entre le 5, rue du Bain-Finkwiller et le 1, ruelle du Moulin Zorn – Demande – Accord
    1937 – La Police du Bâtiment constate que Henri Wolff a posé sans autorisation une antenne entre les 3 et 5, rue du Bain-Finkwiller – Accord
  • 1942 – Un locataire se plaint de la cheminée. La Police du Bâtiment demande au propriétaire (Mme Bechtold, fabrique de papier à Schiltigheim route de Brumath) de faire vérifier la cheminée par le ramoneur agréé Guillaume Waltzinger qui établit que le tirage est faible parce que la cheminée a seulement deux mètres
  • 1966 – Propriétaire de la maison, l’avocat André Meyer (5, place Kleber) a fait évacuer le logement du rez-de-chaussée. Comme ce logement n’est pas conforme au règlement sanitaire, il a l’intention de le mettre à disposition du menuisier qui occupe les lieux et demande au service du logement d’en autoriser la désaffection. La Police du Bâtiment émet un avis favorable après avoir visité les lieux (une cuisine sans aération directe et deux pièces dont aucune n’a les neuf mètres carrés)
  • 1970 – Rapport de feu de cheminée
  • 1969 – La Police du Bâtiment constate que la société Aschenbrenner (radio et télévision, 18, rue Sainte-Hélène) a fait poser sans autorisation une enseigne lumineuse 1, place du Moulin (5, rue du Bain-Finkwiller) – La société répond qu’elle s’est limitée à monter des lettres sur une enseigne déjà en place qui n’est pas nécessaire puisque les locaux servent d’atelier. Elle demande l’autorisation de poser quatre lettres – Autorisation
    1971 – La société Aschenbrenner n’occupe plus les locaux qui ont été démolis
  • 1972 – L’entreprise Nonnenmacher (24, route de Strasbourg à Brumath) est autorisée à occuper la voie publique de septembre à décembre. L’autorisation est prorogée pour le mois de janvier 1973. Les droits sont dus pour 17 semaines et non pour 12 comme le demande l’entrepreneur.
  • 1971 – La société civile immobilière Bain-Finkwiller (1, place de Lattre de Tassigny) demande l’autorisation de construire un nouveau bâtiment aux 5-7, rue du Bain-Finkwiller sur un terrain de 301 m² occupé en totalité (5 duplex, 8 logements et 40 studios) – Plan de situation – Plans par l’architecte André Pfrimmer, datés de mars 1970 (sous-sol, rez-de-chaussée, premier, 2°, 3°, 4°, 5°, 6° et 7° étages, coupes, élévations)
    Description (Agence Architecte et urbanisme, Gérard Ecklé et André Pfrimmer, place Henri-Dunant) Le bâtiment à construire comprend six niveaux sur sous-sol servant de stationnement, de locaux techniques et de caves. Le rez-de-chaussée comprendra un commerce. La description insiste sur la qualité des matériaux et de la conception. – Estimation du prix
    1971 (octobre) – Le Service d’hygiène émet un avis favorable pour aménager un débit de boissons au rez-de-chaussée. L’inspecteur de travail émet un avis favorable
    Conférence de la Police du Bâtiment. Le rez-de-chaussée est en retrait de l’alignement légal qui pourra être modifié. Le nombre de places de stationnement est très insuffisant. Le service d’urbanisme émet un avis favorable « cependant M. Villaume est de plus en plus réservé quant au style ».
    1971 (novembre) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable
    Les architectes fournissent un nouveau plan du rez-de-chaussée où figurent les installations sanitaires et le vestiaire dépendant du restaurant (plan daté de septembre 1971)
    Le Service de navigation ne s’oppose pas au projet. Îl adressera directement à la société civile immobilière son arrêté qui l’autorise à empiéter de 82 m² sur le domaine public fluvial
    Le maire accorde dérogation au règlement municipal quant aux dimensions des façades, aux étages en retrait et aux surfaces bâties puis accorde le permis de construire
    Calculs relatifs aux logements
  • 1971 (décembre) – La société civile immobilière transmet la déclaration d’ouverture de chantier pour le bâtiment Finkwiller 2
    1972 (août) – Le rez-de-chaussée est converti en appartements et en cabinet de dentiste. Maximilien Mayerl, gérant de la société civile immobilière, dépose une demande d’avenant (section 8 n° 12 et 13) – Plan de situation, nouveau jeu de plans, signées d’André Pfrimmer en décembre 1971
    1972 (septembre) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable
    1972 (novembre) Le maire délivre l’avenant au permis de construire
    Suivi des travaux. L’entreprise Jockers réalise le gros œuvre (fondations en béton armé, murs) qui arrive au cinquième étage (juillet 1972). L’aménagement intérieur est en cours. Les façades et la distribution intérieure ne correspondent pas entièrement aux plans.
    1972 (décembre) – Déclaration d’achèvement des travaux

Relevé d’actes

Originaire de Tetschen en Bohême (aujourd’hui Děčín), le tailleur Fabien Stoltz devient bourgeois en 1627

1627, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 837
Fabian Stoltzer Von Detschen Auß Böhmen seines Handtwerckhs ein schneider Erkhaufft d. Burgerrecht vmb 20 goldtguld. Well Zu dem Schneidern dienen Jurauit den 8. Augusti 1627.

Fabien Stoltz conclut avec le culottier Georges Esslinger un contrat d’antichrèse par lequel il lui cède la jouissance de sa maison proche le moulin de Jacques Siebenhorn au Finckwiller. En marge, quittance acordée à Marthe, veuve de Fabien Stoltz en 1643

1629 (12. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 464 f° 357
Erschienen Georg Eßlinger der hosenstricker burger Zu St. an einem
So dann Fabian Stoltze der Schneider auch burger alhie Am andern theil,
Zeigten an und bekannten gegen einander, daß sie beede Parten sich mit einander einer antichrisin und gegennutzung volgender dergestalt verglichen, Nemlichen hat er Eßlinger ihme Stoltzen an parem gelt vorgesetzt und gelühen 50 Pfund pfenning St.
hingegen er Stoltze ihme Eßlinger in seiner beÿ Jacob Sÿbenhorns deß Müllers Mühlen im finckweiler gelegenen behausung nach specificirte gemache Verlühen, Alß den Mittlern stock, sampt allen dem darinn befindenden gemachen und die obere Büen, Also daß dise gegen nutzung Zehen Jahr lang die nechsten von schierist kommend. Michaelis an nach einander volgend. wehren, vnd da er Eßlinger Jemand Zu sich nemen wurde, welches ihme dan erlaubte Er Alß dann ihme Stoltzen Jährlich noch Vier pfundt d Zu zinß hinaußgeben, da aber mehrgedacht Eßlinger niemand Zu ihme vffnemmen wurde, alßdann ihme Stoltz entweder die eine vnder den Zwoen ietzverlühenen Camern od. die obere Büen Zu seinem gebrauch wider einraumen (…)
[in margine :] Erschienen Martha weÿ: Fabian Stoltze deß Schneiders nachgelaßene wittib mit beÿstand Christoph Lutzen deß Körbmachers, hatt in gegensein Mariæ Weÿl. Georg Eßlingers deß hosenstrickers hinterbliebener Wittibin (…) d. 21. febr. a° 1643
[in margine :] erschienen Samuel Helbeck der Kürßner alß vogt hanß Melchior vnd hanß Friderichen weÿ: hanß Georg Doni deß Kürßners see: Kindern vnd hanß Georg doni der hosenstricker beed. Vogt söhnen Brüd. für sich selbsten alß weÿl. Georg Eßlingers seel. Testaments Erben, hab. in gegensein Vorgedachten Jonæ Stoltzen vnd Anna deß. Schwest. – Actum d. 18. Jan. 1644

Anne, fille de Fabien Stoltz, est citée à comparaître à Stuttgart par le comte Evrard de Wurtemberg pour avoir rompu une promesse de mariage avec le fauconnier Jean Adam Wagner
1639, Conseillers et XXI (1 R 122)
Anna, Fabian Stoltzen tochter. 130.
(f° 130-v) Sambstags den 19. octobris – Hertzog Eberhard Zu Würtenberg citirt Annam, Fabian Stoltz. tochter. auff d. 7. Nov: für seine Eherichter, weilen sie hanß Adam Wagnern, d. falckhner, weg. eines Ehev.spruchs v.schrait. Erk. d. interessantin Zu ihrer erclerung Zustellen. H. Stör v. Steinbockh

1640, Conseillers et XXI (1 R 123)
Anna Fabian Stoltzen tochter. 3. 6.
(f° 3-v) Mittwochs den 15. Januarÿ – Eberhard, Hertzog Zu Würtenberg, üb. schickt die 3. citat: p.ompt: i sach hanß Adam Wagners, Ca Annam, Fabian Stoltz. tochter. Erk. communiciren, p. H. Kipsen v. Hellbeckh
d. falckhner, weg. eines Ehev.spruchs v.schrait. Erk. d. interessantin Zu ihrer erclerung Zustellen. H. Stör v. Steinbockh.

(f° 6-v) Sambstags den 25. Januarÿ – Anna, Fabian Stoltz. tochter Ca. Hanß Adam Wagner pd; p. b. geg. antwort bitt selbige nacher Stuttgardt zu schick. Erk. man soll sie in d. Cantzleÿ noch ein mahl durchgeh. H. XV. Kipsen v. Müeg.

Anne Stoltz épouse en 1948 le pelletier Melchior Doni
1648 (22 9.br), Chambre des Contrats, vol. 501 f° 686-v
(Eheberedung) Erschienen hannß Melchior Doni der Kürschner und Burg. Zu Straßburg alß hochzeiter, mit beÿstand Samuel Hellbeckhß deß Kürschners seines noch ohnentledigten. Vogts, an einem,
So dann Jungfr. Anna, weÿl. Fabian Stoltzen deß Schneiders und Burgers Zu Straßburg nunmehr seel. nachgelaßene eheliche dochter alß hochzeiterin, mit beÿstand Andreß Bickhelß deß Einspännigers ihres noch ohnentledigten Vogts und Jonæ Stoltzen deß Schneiders ihres Bruders beed. Burg. alhie, am andern theil

Anne Stoltz femme de Melchior Doni vend la moitié de la maison et du jardin 50 livres à son frère Jonas Stoltz et à sa femme Anne Marie Schmidt

1651 (16. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 511 f° 561-v
(Protocoll. fol. 107. fac. 2. et seq.) Erschienen Marx Ludin der schwartzbeckh, Rudolph Nagel der Leinenweber und Henrich Butzwinckhen der Gartenmann alle treÿ alß ihrer Anzeig nach mündlicher Befelchhaber Annæ Stoltzin hannß Melchior Doni deß Kürßners eheliche haußfrawen, mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts
hatt in gegensein Jonæ Stoltzen deß Schneiders und Annæ Mariæ Schmidin beÿd. Eheleuth.
ihr Annæ helffte ahne hauß hoffstatt höfflin und Gärtlin mit allen deren Gebäwen alhie im Finckhweiler nahe beÿ der Edlen Zornen Mühl, einseit neb. Christoph Lutz. dem Körbmacher, anderseit ist ein Eckh geg. ermeldter Mühl. vornen vffs Allmend, hind. vffs waßer stoßend gelegen, von welch. gantz. Behaußung gehnd iährlich. vff Mariæ Verkündigung j. lb 10. ß bodenzinß gemeiner Statt – umb 50. lib

Jonas Stoltz et Anne Marie Schmidt hypothèquent le même jour la maison au profit d’Ursule Heus veuve du greffier Jean Ulric Frid pour pouvoir en régler le prix. En marge, quittance accordée à Jean Georges Stoltz, fils dudit Jonas

1651 (16. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 511 f° 562
Erschienen Jonas Stoltz d. Schneid. und Anna Maria Schmidin beÿde Eheleuth. deren Nahrung, ihrer Anzeig nach verändert gemein und theilbar seÿe
in gegensein H. Johann Georg Brimmers dero Rechten Doctorandi & Advocati im nahmen Fr. Ursulæ Heußin weÿl. H Johann Ulrich Friden dißer Statt wohlverdiente. Stattschreibers seel. wittibin seiner Schwig. Mutter – schuldig seÿen 75. lib ihnen Zu dem Ende bahr gelühenen Gelts daß Sie damit die helffte nachgeschriebener Behaußung erkauffen und daß hauß repariren mög.
dafür in spê. Underpfand sein hauß, hoffstatt, höfflin, Gärtlin, mit allen deren Gebäwen alhie im Finckhweiler nahe beÿ der Edlen Zornen Mühl, einseit neb. Christoph Lutzen dem Körbmacher, anderseit ist ein Eckh geg. ermeldter Mühl. vornen vffs Allmend, hind. vffs waßer stoßend geleg., von welch. Behaußung gehnd iährlich. vff Mariæ Verkündigung j. lb 10. ß bodenzinß gemeiner Statt
[in margine :] (…) in gegensein hannß Georg stoltzen, deß Schneiders, deß hierin gemeldten Jonæ Stoltzen deß debitoris nun seel. nachgelaßenen leiblich. Sohns (quittung) Act. d. 16.ten Jul. 1697

Le tailleur Jonas Stoltz épouse Anne Marie, fille du paveur Arbogast Schmidt
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 228, n° 2)
Anno 1644. Dominica III post Epiphan. zum 1. mal 2. auß geruff. worden Jonas Stoltz der Schneider vnd burger allhier, undt Jungfr: Anna Maria Arbogast Schmid des Statt pflesterers allhie hinderlaßene eheliche tochter. eingesegnet zu St: Claus, Zinstag post Epips IV (i 246)
Proclamation, cathédrale (luth. p. 471) 1644. Domin: 3. Epiphanias. Jonas Stoltz der Schneider, Fabian Stoltzen deß geweßenen Schmidts Vndt Burgers allhie ehelicher Sohn, Vndt J: Anna Maria Arbogast Schmidts deß geweßenen Stattpflasterers allhie eheliche tochter. Eingesegnet zu St: Claus, Zinst. 30. Januarÿ (i 340)

Jonas Stoltz se remarie en 1657 avec Jacqueline Bergmüller, fille de boulanger : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – Zwischen dem Ehrsamen vndt bescheÿdenen Meister Jonæ Stoltzen, dem Schneider undt burgern alhie alß bräuttigamb, ahne einem, So dann der Tugentsamen Jungfrawen Jacobea, deß Ehrenhafften H. Georg Bergmüllers Wurtzstößers und burgers alhier ehelichen dochter alß hochzeiterin ane andern theil – Beschehen Vndt Verhandelt seind dieße ding Inn Straßburg vff Donnerstag den 24. Septembris Anno 1657, Johann Christoph Werbeck, Notarius Cæsareus

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 89, n° 35)
1657. Dominicâ XIX Trinitatis. Jonas Stoltz der Schneider und burger allhier, und Jungfr. Jacobe Georg Berckmüllers des Weißbeck. undt Burgers alhie eheliche Tochter (i 101)
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 32) 1657. Dncâ XIX Trinitatis d. 4. Octobris. Jonas Stoltz der Schneider Vnd Burger allhier Vnd J. Jacobe Geörg Bergmüllers des Weißbecken und Burgers alhier Eheliche Tochter, Copulirt d. 12. Octobris Zum Jungen S Peter (i 35)

Jonas Stoltz meurt en avril 1678 en délaissant trois enfants issus de sa veuve Jacqueline Bergmüller. Les experts estiment la maison 500 livres. La masse propre à la veuve s’élève à 45 livres, celle des héritiers à 36 livres. L’actif de la communauté s’élève à 32 livres, le passif à 40 livres. L’inventaire est dressé dans la maison au Finckwiller

1678 (30.5.), Not. Stoeffel (Jean Christophe, 57 Not 1) n° 10
Inventarium undt Beschreibung aller Haab undt Nahrung, Keinerleÿ außgenommen, so weÿland der Ehren: vndt Mannhafft Mr Jonas Stoltz, Schneider und Constabel burger Zu Straßburg seel. nach seinem Mittwochs den 3.ten Aprilis jüngsthin aus dießem Mühesamen Leben genommenen tödtlichen hintritt hinderlaßen, welches alles auf freundliches ansuchen erfordern vnd begehren deß Ehren vorgeachte vnd wohlachtbahren H. hannß Georg Theür Kauffs Kürschners und E. E. Siebner gerichts alhie beÿsitzer alß Jonæ, Georgÿ vnd Mariæ Cleophe aller dreÿ geschwüsterd deß ietz abgeleibten seel mit hernach benandter seiner hinderbliebenen Wittib ehelich gezeugter Kinder vnd ab intestato hinderlaßenen Wittib ehelich erzeugter Kinder vnd Vogts, ersucht durch die Ehren: vnd tugendsame Fraw Jacobe Bergmüllerin die Wittib mit assistentz deß Ehren vorgeachten und Wohlachtbahrn H. Johann Funcken Schneiders und burgers alhie Zu erwehntem Straßburg ihres geschwornen Curatoris (…). Actum in deß heÿl. Reichs freÿen Statt Straßburg auff donnerstag den 30.ten Maÿ anno 1678.

Inn einer alhie inn der Statt Straßburg im finckweiller ohnfern der Adelichen Zornen Mühlen gelegener behaußung, so auch inn dieße Verlaßenschafft gehörig, hernach beschrieben, ist befunden worden, wie volgt.
Auff der Oben bühnen, Inn der Obern Stuben, Inn der Stub Cammer, Im obern haußöhrn, Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, Inn der Undern Stuben, Inn dießer Stub Cammer, Im vndern Haußöhren, Inn der Cammer C, Inn der Kuchen, Im Keller
Eigenthumb vnd besserung ane einer behaußung. (E.) Item hauß hoffstatt höfflin vnd Gärttlein mit allen d. gebäwen, begriffen, Weith, rechten, zugehörden v. gerechtigkeit. gelegen alhie inn d. Statt Straßb. im finckhweiler nahe beÿ der Adel. Zornen Mühlen, einseit neben hanß Adam Meÿern Schuemachern v. burgern alhier, 2.s. ein Eckh geg. ermelter Mühlen, vornen vffs Allmendt, hinden vffs wasser stoßend. Davon gehen Jährlich vff Mariæ verkündung j lb 10 ß d bodenzinß Gemeiner Statt inn hauptgutt gerechnet 30. lb, Ferner 2 lb Jährl. vff d. 16. febr. weÿl. H. Frantz Christoph Caroli seel. hinderlaßener fraw Wittwen inn hauptguth lößig mit 50. lb, Sonsten vber dieße beschwerden freÿ ledig vnd eigen, angeschlagen p. 45. lb
Darüber sagt i. t. Perg. Kauffbr. mit d. St. Straßb. anhang. Cancelleÿ Contract Insigel verwahret de dato 16. Julÿ A° 1651. Inhallts welchergestalt d. verstorb. seel. seiner Schwester Annæ Stoltzin hannß Melchior Donui deß kürschners haußfr. ihren halben theil d. behausung ane sich erkaufft, signirt mit N° 1.
Ergäntzung der Wittib Unverändert Gueth, Auß dem Theil Register waß der Wittwen inn Weÿl. frawen Jacobeæ Stollenmeÿerin ihrer leibl Mutter seel. Verlaßenschafft abtheilung A° 1662. Erblichen Zugefallen
Der Wittib unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 11, Sa. Silbers 2, Sa. Guldener Ring 2, Sa. d. Schuldt 15, Sa. d. Ergäntzung 13, Summa summarum 45 lb
Der Erben unverändert Guet, Sa. Werckzeugs Zum Schneid. handwerck gehörig 1, Sa. Eigenthums und beßerung an einer behaußung 45, Sa. haußraths 5, Summa summarum 51 lb – Schulden 15, Nach deren Abzug 36 lb
die Theilbahre verlaßenschafft, Sa. haußraths 24, Sa. Guldinen Ring 1, Sa. bahrschafft 6, Summa summarum 32 lb – Schulden 40 lb, Übertreffen also die Schulden auß der theilbaren Verlaßenschafft Zu bezehlendt die theilbahre Nahrung vmb 7 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 74 lb
Copia der Eheberedung (…) Donnerstag den 24. Septembris Anno 1657, Johann Christoph Werbeck, Notarius Cæsareus

Jonas Stoltz hypothèque le tiers de la maison au profit de son frère le tailleur Georges Stoltz. La mention marginale porte que l’hypothèque est annulée par la vente consentie en 1694

1688 (18. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 559 f° 567
Jonas Stoltz der Schneider
in gegensein Georg stoltzen auch Schneiders, seines leiblichen bruders – schuldig seÿe 25 pfund
unterpfand, deß debitoris dritter theil für ohnvertheilt ane Einer behaußung allhier im Finckweiler nahe beÿ d. adel. Zornisch. Mühl einseit neben hans Ulrich Dürren dem Fischer, and.seit ist ein Eck geg. ged. Mühl, hind. auff die Breusch stoßend geleg., an welcher behaußung Ihme Creditori und sein Schwester Mariæ Cleophe die übrige Zween dritte theil Eigenthums, Fr. Jacobe Stoltzin Wittib deren leiblich. Mutter aber ein lebtägig widembsgenuß darauff gebühre, So gieng auch von d. gantz. behaußung jährlich 1 lb 10 ß bodenzinß d. Statt Pfenningthurn
Pro Nota. dieße verschreibung ist durch den am 15. Jan. 1694. in d. contractstub. verschriebenen Kauff cassirt, und die herinn gemeldte summ per compensationem auffgehob. word. Vid. ibid.

Jonas Stoltz vend à son frère le tailleur Georges Stoltz le tiers de la maison dont une partie est grevée d’usufruit au profit de leur mère

1694 (15.1.), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 34
Jonas Stoltz der Schneid.
Georg Stoltzen auch Schneiders seines leiblich. bruders
einen dritten theil für ohnvertheilt ane hauß, höfflein, gärttlein, sambt allen übrig. deren Gebäuen Recht. und zugehördt. allhier im Finckweiler nahe beÿ der adel. Zornisch. Mühl, einseit neben hans Ulrich Dürren dem Fischer, and. seit ist ein Eck geg. ged. Mühl, hind. auff die Breusch stoßend gelegen, Von welcher gantzen behaußung geh. jährlich 1 lb 10 ß bodenzinß der Statt Pfenningthurn, so seÿe dieselbe auch noch umb 50 lb Capital (verhafftet), der jetzt verkauffte dritte theil aber umb 25 lb Capital dem käuffer selbsten verhafftet, auch habe deren Mutter die obere helffte deß haußes Zeit lebens widembs weiß zu genießen, So gehöre dem Käuffer an den Eÿgenthum zuvorhin ein dritter theil, der übrige dritte theil aber Mariæ Cleophe Ihrer noch ledig. Schwester – umb 60 pfund

Le tailleur Georges Stoltz épouse en 1686 Marie Salomé Walther, fille d’un assesseur au Grand Sénat : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrenthafft Meister Geörg Stoltzen dem ledigen Schneider Weÿland herrn Jonæ Stoltzens geweßenen Schneiders und burgers alhie seligen nachgelaßenem Sohn, alß bräutigamb an einem, So dann der Ehren und Tugendsamen Jungfrauen Mariæ Salome, des Wohl Ehren Vesten fürsichtig und wohlweißen herrn Johann Georg Walthers senioris E. E. Großen Raths Alten beÿsitzers alhier Zu Straßburg ehelichen geliebten dochter, alß der Jungfrau hochzeiterin am andern theil – Beschehen und verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg den 24. Februarÿ anno 1686, Andreas Schmidt Not. publ. jur. ac Civis Argent.

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 139-v, n° II)
1686. Zum 2. mahl Hanß Georg Stoltz der Schneider, weiland Jonas Stoltzen gewesenen Schneiders u. Burgers allhier nachgelaß. ehel. S., Jfr. Maria Salome Hr Hanß Georg Walthers, E E grossen Raths beÿsitzers allhier und Schneiders eheliche Tochter. Mittw. den 24. Aprilis in der N Kirch (i 141)
Proclamation, Saint-Thomas (luth. p. 122, n° 716) 1686. Festo Pasch. Dom. Quasimod. d. 14 & 21. Apr. Johann Georg Stoltz der ledige Schneider, weÿl. Jonæ Stoltzen gewesenen burgers und Schneiders allhier hinterlaßener ehelicher Sohn, Jfg. Maria Salome H. Johann Georg Walthers, Schneiders und E E grossen Raths beÿsitzers allhier eheliche Tochter. Cop. Prediger Kirch (i 63)

Marie Salomé Walther meurt en 1699 en délaissant quatre enfants. L’inventaire est dressé dans la maison au Finckwiller dont le mari est propriétaire des deux tiers, le derniers tiers appartenant à sa sœur célibataire Marie Cléophée. La masse propre au veuf s’élève à 45 livres, celle des héritiers à 85 livres. L’actif de la communauté s’élève à 151 livres, le passif à 45 livres

1699 (13.8.), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 2)
Inventarium und beschreib. aller der Jenigen Haab und Nahrung so Weÿland die Ehren und tugendsame Fr. Maria Salome gebohrne Waltherin deß Ehrengeachten Meister Hannß Georg Stoltzen Schneiders und burgers alhie eheliche haußfrau, nach ihrem dienstag den 15.ten Maÿ jüngsthin dießes lauffenden 1699. jahrs tödlichen genommenen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehrengeachten und achtbahren herrn hannß Geörg Walthers Schneiders und burgers alhier als geschwornen und geordneten Vogts Mariæ Salome, Susannä, Barbaræ, hannß Geörg und Christinæ aller vier der Verstorbenen seel. mit hernach gemeldtem ihrem hinterbliebenen Wittibern ehelich erzeugten nachgelaßene Kinder und ab intestato Erben inventirt und ersucht (…) Actum in der Königl. freÿen Statt Straßb. in fernerem beÿsein Meister Jonas Stoltzen Schneiders und burgers alhie deß wittibers leiblichen bruders auff donnerstag den 13.ten aug. A° 1699.

Inn einer alhier in der Statt Straßb. im Finckweiler beÿ der Adel. Zornen Mühl gelegener undt Zum theil in dieße Verlaßenschafft gehörige hernach beschriebene behausung ist befunden worden wie folgt
vff der bühn, In der obern Stuben, In der vndern Wohnstuben, In der Stub Cammer
Ergäntzung der Erben Unveränderten Gutts. Vermög deß über Weÿland der Verstorbenen Frawen seel. in die Ehe gebrachte Nahrung durch H. Notarium Andream Schmiden d. 11. 9.bris in A° 1686. auffgerichtet und gefertigten Inventarÿ
Eigenth. ane einer Behauß. so des Wittibers unverändert vnd ohnvertheilt. It. 2/3.thetheil Von vnd ane Einer behauß. hoffstatt, höflein vnd gärtlein sambt allen übrig. deren gebewen Rechten undt Zugehörden alhier im Finckweiler nahe beÿ der Adel. Zornischen mühlen eins. neben hannß Ulrich Dürren dem Fischer, 2.s ist ein Eck geg. ged. Mühl hind. auf die breusch stoßend gelegen. vnd zwar von d. gantzen behauß. gehen Jährl. vf Mariæ Verkündung. i. lb 10 ß d bod. Zinß gemeiner Statt In haubtgutt gerechnet p. 30. lb. Thut vor 2/3. theil hiehero 22 lb 10 ß. Sonsten seind berührte 2/3 theil über erst angeregte beschwerde freÿ ledig eigen vnd hat fr. Jacobe Stoltzin deß Wittibers Mutter die obere helffte deß gantzen haußes Zeit lebens widembs weiß Zu genießen, wie hernach fol (-) annectirte widembs Verfangenschaft außweißet, des wittibes 1/3.theil aber so Er von deß. bruder Jonas Stoltzen Schneiders v burgers alhie in A° 1694. als unvertheilt an sich erkaufft thut dem Kauff nach so alhero in auswurf Zubring. 65 lb. Über d. erster sagt ein Teutscher Pergamentener Kbr. mit der Statt Straßburg anhangenden Cancelleÿ Contract Insiegel verwahrt de dato d .15. Jan A° 1694., der übrige 1/3. theil ane dergl. Behauß. ist Jfr. Mariæ Cleophe Stoltzin deß wittibers noch ledigen schwester vor ohnvertheilt gehörig. Über die völlige behauß. aber ist vorhand. ein Perg. Kbr. mit der Statt Straßb. Cancelleÿ Contract Stuben anhanendem Insiegel verwahrt de dato d. 16. Julÿ A° 1651. mit N° 1 signirt und dabeÿ gelaßen.
Wÿdembs Verfangenschaft, Vermög weÿl. Mstr. Jonæ Stoltzen geweßenen Schneiders und Constablers auch burgers alhier zu Straßburg see. auffgerichtet: und in Anno 1678. durch weÿl. herrn Joh: Christoph Stöfel Notarium alhier see. gefertigt Verlaßenschaffts Inventarÿ vnd darin einverleibten codicilli §° Zum andern hat fr. Jacobe Stoltzin gebohrne Bergmüllerin deß Wittibers leibliche Mutter den halben theil ane vorbeschriebener deß Wittibers zum theÿl unveränderten behauß. lebtägig widembs weiß Zu genießen
Norma hujus inventarÿ. deß wittibers unveränderte Nahr. Sa. haußraths 2, Sa. Eigenthum ane einer behaußung 65, Sa. Silbers 11 ß, Sa. Schuld 10, Summa summarum 84 lb – Schulden 130, Übertreffen also die Schulden deßelben unverändert. Vermögen umb 45 lb
Hierauf wird auch der Erben Unverändert Nahr. beschrieben, Sa. hausraths 21, Sa. Silbers 10 ß, Sa. der Schulden 20, Sa. der Erben Ergäntzung 43, Summa summarum 85 lb
Endlichen wird auch die Theilbare Nahr. beschreben, Sa. haußraths 21, Sa. Werckzeugs Zum Schneider handwerck gehörig 2, Sa. Silbers 10, Sa. guldenen Ring 5, Sa. Schulden 115, Summa summarum 151 lb – Schulden 45, Nach deren Abzug 107 lb
Copia der Eheberedung (…) den 24. Februarÿ anno 1686, Andreas Schmidt Not. publ. jur. ac Civis Argent.

Jean Georges Stoltz se remarie avec Anne Catherine Herrmann, fille de cordonnier : contrat de mariage, célébration. La veuve renonce en 1710 à l’usufruit de sa maison que son mari lui a accordé
1699 (2. 7.bris), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 14)
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten H. Johann Geörg Stoltzen Schneidern und burgers alhie als dem Hochzeiter ane Einem,
So dann der Ehren: und tugendsamen Jfr. Annæ Catharinæ gebohrner Härmannin weÿl. deß Ehrenhafften und bescheidenen Jacob Hermanns geweßenen Schuhmachers und Musquetierers in der alhießiger Statt garnison ehelich erzeugter hinderlaßener dochter, der Jfr. hochzeiterin andern Theils
So beschehen und verhandelt in der königl. freÿen Statt Straßb. auf Mittwoch den 2. 7.bris A° 1699. [unterzeichnet] hans Görg stoltz Als hochzeiter, + der hochzeiterin handzeichen

Renunciatio widembs nuß, Fr. Annæ Catharinæ Hermännin d. 24. 8.bris 1710
Persönlich erschienen Fr. Anna Catharina gebohrne Herrmännin, Mstr Geörg Stoltzen deß Schneiders vnd burgers eheliche hfr. und mir zu verhenmen gegeben, welcher gestalten gedachter Ihr Ehemann Georg Stoltz, Ihro in dem Vormals und Zwar in A° 1699. vnderm 4. 8.bris mit einander vfgerichtem Testamento reciproco Nuncupativi, auß guter Neigung seine im finckweiler gelegene Eigenthümlich. behaußung Zum halben theil Zu einem gemein rückfällig. lebtägig. widembs Nuß verschafft und verschrieben, welchen halben theil haußes Sie auch vonn dero Ehemann Vor Ihro güttlichem willen nach versterben soltte mit recht zu genieß. hette, Nun wolle Sie aber auß bewegenden Ursachen und zwar guth freÿ vngezwung. auff solchen widembs Nuß dießes halben theil haußes gäntzlich und wohlbedächtlich renuncire und verzug gethan haben – Actum Straß. Freÿtag d 24. 8.bris Anno 1710., x Fr. Annæ Catharinæ stoltzin geb. Herrmännin eig. handzeichen

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 73 n° 398)
den 7. Octobris 1699. sindt nach ordentlicher außruffung eingesegnet word. Johann Georg Stoltz der burger undt schneider allhier, und Jungfr. Anna Catharina weÿl. Jacob Herrmanns des gewesenen Soldat. allhier, nachgelaßene Eheliche tochter, [unterzeichnet] hans Görg stoltz, x der hochzeiterin handzeichen (i 76)

Les nouveaux mariés font chacun dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari. Les apports du mari s’élèvent à 63 livres, ceux de la femme à 243 livres.

1699 (3. 9.br), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 2)
Inventarium und beschreib. aller der Jenigen Haab und Nahr. so Mstr. Georg Stoltz der Schneider und Fr. Anna Catharina gebohrne Hermännin beede Eheleuthe und burgere alhier einander zusammen in den Ehestand gebracht und denenselben als unverändert eigenthümlichen Zuständig (…) Actum in der Königl. freÿen Statt Straßb. in fernerem beÿsein deß Ehrenvesten vnd vorgeachten herrn Christoph Paul Platzen vornehmen handelsmann auch burgers alhie als erbettenen herrn beÿsitzer auf Seiten der frauwen und herrn hannß Geörg Walthers Schneiders als deß Manns Kinder erster Ehe vogten, auff dinstag den 3.ten 9.bris Anno 1699.
Inn einer alhier in der Statt Straßb. ohnfern der hochadel. Zornen Mühl gelegener undt Zum theil hernach beschriebene behausung ist befunden worden wie folgt

1700 (3.5.), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 2) n° 53
Inventarium und Beschreibung aller und Jeder Haab und Nahr. so Geörg Stoltzen dem Schneider und Frn. Annæ Catharinæ Stoltzin gebohrne Herrmännin beeden Eheleüthen unndt burgeren alhier gehörig, vnd Er Geörg Stoltz dargegen Schuldig,welche Nahrung durch obgedachte Fr. und Zwar mit beÿstand Mstr Jonas Stoltzen deß Schneiders und burgers alhier ihres Schwagers und anietzo geordneten Vogts (…). Actum in der königl. freÿen Statt Straßb. in fernerem beÿsein Mstr. Hannß Geörg Walthers Schneiders und burgers alhie sein deß Man Erster Ehe Kinder geschwornen Vogts, Auf Montag d. 3. Maÿ A° 1700.

Inn einer alhier in der Statt Straßb. ohnfern der hochadel. Zornen Mühl gelegener und Zum theil hernach beschriebene behaußung ist befunden worden wie folgt
An holtz werckt. vff der bühn, In der ober Stuben, In der under Cammer, In der Stuben, In der Stub Cammer
Eigenth. ane einer Behauß. so des Mans unverändert. It. 2 drittetheil vor unvertheilt Von v. ane Einer behaußung hoffstatt, höflein v. gertlein daran, sambt allen übrig. deren gebewen Rechten v. Zugehörd. alhier im finckweiler ohnfern der Adel. Zornen Mühlen einseit neben hanß Ulrich Dürren dem Fischer, and. seit ist ein Eckh geg. gemelter Mühlen, hind. auf die breusch stoßend gelegen. Davon v. zwar von der gantz. behaußung gehen jährlichen auf Mariæ Verkündigung. i. lb 10 ß d boden Zinß gemeiner Statt In haubtgutt gerechnet, 30. lb. Thut vor 2 dritte theil hiehero 20 ß. Sonsten seind berührte zween dritte theil über erst angeregte beschwerd freÿ ledig eig. v. hat fr. Jacobe Stoltzin deß Mans Mutter die obere helffte deß gantz. hauß Zeit lebens widembs weiß Zu genießen, wie hernach fol. (-) die annectirte widembs Verfangenschaft außweißet, v. wider jüngsthin 1. dritter theil in A° 1694. von Mstr Jonas Stoltzen deß Mans brudern vor 130. fl. erkaufft worden, als werden von 2. dritten theil alheri eigenth. gehörig über obige beschwerd. in außwurff gebracht 130. lb. Der übrige ein dritte theil ane der Behauß. ist Jfr. Mariæ Cleophe Stoltzin deß Manns noch ledig. schwester vor vnvertheilt gehörig. Über den erst erkaufften ein dritten theil sagt ein Teütscher pergamentener brief mit der Statt Straßb. anhangenden Cancelleÿ Contract Insiegel verwahrt de dato d .15. Jan A° 1694, mit N° 1. Über die gantze behauß. aber ist vorhand. ein pergament. Kbr. mit der Statt Straßb. Contract stuben anhangendem Insiegel verwahrt datirt den 16. Julÿ A° 1651. mit N° 1 signirt und dabeÿ gelaßen.
Norma hujus inventarÿ. Copia der Eheberedung
der frawen unverändertes Vermögen, Sa. haußraths 117, Sa. Silbers 3, Sa. goldener Ring 11, Sa. baarschafft 50, Sa. Ergäntz. rests 61, Summa summarum 243 lb
Solchem nach würd auch deß Manns unverändert Zusampt der theilbarer Nahr. vnder einer Massa beschrieben, Sa. haußraths 120, Sa. Werckzeugs Zum Schneider handwerck gehörig 1, Sa. Silbers 29, Sa. guldenen Ringen 6, Sa. Weins 34, Sa. Eigenth. ane einer behaußung 130, Sa. Schuld 16, Summa summarum 339 lb – Schulden 275, Nach deren Abzug 63 lb

Pensionnaire à l’hôpital pour aliénation mentale, Georges Stoltz et le tuteur de ses enfants demandent que les quatre enfants issus du premier mariage soient admis à l’orphelinat. Les Conseillers et les Vingt-et-Un renvoient l’affaire avec avis favorable aux préposés de l’orphelinat
1700, Conseillers et XXI (1 R 183)
Georg Stoltz vmb auffnahm seiner 4. Kinder in das Waÿßenhauß. 117.
Saltzm. Ersch. Georg Stoltzen deß Schneiders 4 Kinder mit beÿstand ihres Vogts Joh: Georg Walthers auch schneiders weilen der Vatter im Spittahl gantz ohnrichtig vnd die Kinder auß dem Mütterlich. guth welches sich vermög der in erster Ehe Zugebrachter nahrung vnd darüber auffgerichteten Inventarÿ auff 118. lb 10 ß 2 d wie auß fol. 3. fac. b. Zuersehen, belaufft nicht erhalten werd. können, alß b. der vogt gantz vnderth. dieselbe in das allhießige Weÿßenhauß auff: vnd anzunehmen. Erk. Wird das begehren an die Hh. Pfleger deß Waÿßenhaußes Zue auffnahm der Kinder sambt ihren guth recommendirt
H. XXI König vnd H. Kägelin.

Marie Cléophée Stoltz vend son tiers de maison à son frère Georges Stoltz et à sa belle-sœur Anne Catherine Herrmann

1702 (3.1.), Chambre des Contrats, vol. 575 f° 3
(65) Maria Cleophe Stoltzin annoch ledigen stands u. 30 jahr alt mit beÿstand u. Consens Niclaus Kleinen schneiders ihres Curatoris
in gegensein Georg Stoltzen schneiders ihres lieblichen bruders u. Annæ Cath: geb. Herrmännin
einen dritten theil für unvertheilt ahn Hauß, Höfflein, gärthlein, samt übrigen deren gebäuen, rechten u. zugehörden, allhier im finckweiler nach beÿ der adelichen Zornischen mühl, einseit neben Hanß Ulrich Dürren dem fischer anderseit ist ein Eck gegen gedachter mühl, hinten auf die Breusch stoßend gelegen, in welcher gantzen behaußung der Parthen mutter die obere helfte Zeith lebens wÿdembs weiß zu genießen habe, u. gehören dem mit Kaüfer die übrige Zweÿ dritte theil zu vorhien, auch gehen von solchem gantzen hauß 1 lb 10 ß bodenzinß der Statt Pfenningthurn – um 65 pfund

Georges Stoltz loue une partie de sa maison au cordonnier Jean Raoul Mohr

1702 (28.3.), Chambre des Contrats, vol. 575 f° 152
Joh: Georg Stoltz schneider
in gegensein Joh: Rudolph mohren schuemachern
entlehnt, in seinem im finckweÿler beÿ der Zornen mühlen gelegenen hauß d. gantze untere thun, bestehend in stueb, stuebkammer, Kuchen, einer gesind Cammer, ingleichem einem Haußehren, die helfte deß Kellers u. der bühn, alles solang deß Verleihers mutter alß wÿdembsnießerin deß oberen thuns besagten haußes im leben seÿn wird – um einen jährlichen Zinß nemlich 9 lb

Le Conseil des Tailleurs cite Georges Stoltz à comparaître pour avoir employé un compagnon sans en aviser la tribu. Georges Stoltz déclare que le compagnon a été à son service peu de temps. Il est exempté d’amende à cause de sa faiblesse d’esprit
1708, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 343 (1701-1710)
(f° 303) 3° Maÿ 1708 – Hannß Georg Stoltz vorgebotten, daß er einen Gesell gehalten, der beÿ Ihme gearbeitet, welcher weder vff der Herrberg besprochen noch beÿ herrn Zunfftmeister eingeschrieben worden.
Reus antowrtet, daß er ihne länger nicht als von dienstag biß die andere woche vff den mittwoch behalten und ihme arbeit gegeben, maßen seiner fraw kranckheit dazu hinterlich geweßen. Er beklager hätte aber gleichbalden vff deß Herrn Zunfftmeisters befehl und beÿ 5. lb d. verbott den Kerl vff der herrberg besprochen.
Erkandt, auß condideration seiner Schwäche deß hirns ihme vor dießes mahl nachgesehen, soll sich aber ins Künfftig hüthen.

Georges Stoltz et sa femme font dresser un état de leurs biens où figure la maison au Finckwiller dans la maison qui appartient à l’auberge des Pauvres passants rue Thomann. La masse propre à la femme est de 254 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 301 livres, le passif à 346 livres.

1710 (5.8.), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 6) n° 253
Inventarium und Respective Revision aller der Jenigen Haab und Nahrung, so Mstr. Hannß Geörg Stoltzen dem Schneider und Fr. Annæ Catharinæ Stoltzin gebohrner Hermännin beeder Eheleuthen und burgern alhier Eigenthümlichen gehörig undt Er Hannß Georg Stoltz dargegen Schuldig, welche nahrung activé et passivé auf begehren beed. Eheleuth absoderlich aber durch bemelte fraw undt Zwar mit beÿstand Msr. Jonas Stoltzen deß Schneiders undt burgers allhier ihres schwagers und Vogten, in beÿsein mstr. Hannß Geörg Walters auch schneiders undt burgers zu besagtem Straßb. des Manns Kinder erster Ehe Vogten (…) Actum inn der Königl. freÿen Statt Straßburg auff Dienstag d. 5. aug. ao : 1710.

In einer alhier in der Statt Straßb. im thomenloch gelegenen und in der Elenden Herberg Zuständigen behaußung ist befunden worden als volgt
Werckzeug Zu dem Schneider Handwerck gehörig
Ergäntzung der Fr. unveränderten Guths, Vermög deroselben revisions zugebrachten Nahr. Inventarÿ durch mich in Anno 1706. d. 26. febr.
Eigenthumb ahne einer Behauß. So des Mans unverändert. (M.) It. I. behauß. hoffstatt, höflein und gärtlein daran, sambt allen übrig. deren gebäwen Rechten v. Zugehörd. alhier im finckweiler ohnfern der adel. Zornen Mühlen, i. s. neben hanß Ulrich Dürren dem Fischer, 2. s. ist ein Eck geg. ermelter Mühl, hind. vf die Preusch stoßend gelegen. Und ist diße behauß. für freÿ ledig eig. ohne nachtheil dißmal angeschlagen wie dieselbe erkaufft worden 195 lb. Davon gehet ab i. lb 10 ß d bodenzinß gemeiner Statt Pf. thurn jahrs vf Mariæ Verkündig. thut In hptg. gerechnet, 30. lb.Ist also über dieße beschwerd noch in außwurff zubring. 165. Über ein dritten theil haußes, solle ein perg. Kbr. Vorhand. sein in allhießiger Contract stuben gefertigt de dato (-), Ferner ist über die gantze behauß. i. perg. Kbr. mit der Statt Straßb. anhangendem Contract Insiegel d. 16. Julÿ A° 1651. mit N° 1 vorhanden.
Norma hujus inventarÿ. Eheberedungs Copia
der fr. unverändertes Vermögen, Sa. haußraths 65, Sa. Silbers 8, Sa. goldener Ring 10, Sa. baarschafft 1, Sa. Ergäntz. 167, Summa summarum 254 lb
Nun wird auch des Manns unverändert und die theilb. Nahrung under einer Massa beschrieben, Sa. haußraths 107, Sa. Lehrer Vaß 54, Sa. Silbers 20, Sa. baarschafft 16 ß,, Sa. Werckzeugs Zum Schneider handwerck gehörig 1, Sa. Eigenthums. ane einer behauß. 165, Summa summarum 301 lb – Schulden aus deß Manns unverändert und der theilbaren Nahr. zu bezahlen 346, Übertreffen also die passiva die Activ: Nahrung umb 45 lb
(Joint, grosse de l’inventaire des apports dressé en 1700, en 1706 – Grosse du registre de vente, 1710)

La femme et les enfants demandent aux Conseillers et aux Vingt-et-Un que Jean Georges Stoltz soit admis à l’hôpital comme « maniaque »
1710, Conseillers et XXI (1 R 193)
Johann Georg Stoltz fraw vnd kinder vmb ihren Ehemann als Maniacum in den Spittahl auffzunehmen. 72.
(p. 72) Montags den 23.ten Junÿ 1710. – Ersch. nôe Johann Geörg Stoltzen burgers Vnd Schneiders allhier haußfrawen vndt Kindter Jonas Stoltz auch burger vndt schneider allhier prod. unterthäniges Memoriale Vndt bitten, daß Er als ein Maniacus Zu verhütung großen Unglücks in allhießigen hospital auff vnd angenommen werden möchte.
Erk. wird das geschäfft zu genauwer untersuchung vndt beÿ Mgherren darüber Zu referiren ahn die Hhn pfleger des mehren hospitals gewiß.
H. Rathh. Vix vnd H. Rathh. Breuw

Anne Catherine Herrmann meurt en 1713 après avoir institué son mari pour unique héritier. Le testament de 1708 est cassé au profit de celui de 1699 dans lequel elle instituait plusieurs héritiers. Dressé dans une maison qui appartient à l’auberge des Pauvres passants rue Thomann, l’inventaire est dressé à partir de celui de 1710, date à laquelle Jean Georges Stoltz a été à nouveau admis à l’hôpital. L’actif de la succession s’élève à 101 livres, le passif à 35 livres.
1713 (6.3.), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 9) n° 335
Inventarium und Beschreibung aller Haab und Nahrung, so weÿl. die tugendsame fr. Anna Catharina Stoltzin gebohrne Hermännin Mstr Geörg Stoltzen Schneiders und burgers alhier haußfrau seel. nach ihrem Mittwoch den 15.ten febr. dießes lauffenden 1713. Jahrs genommenen töd ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Sein Mstr. Geörg Stoltzen, obgedachten als per Testamentum instituirten und accomodement eingesetzt einig. Erben inventirt und ersucht (…). Actum in der königl. freÿ. Statt Straßburg in fernerem beÿsein Mstr Jonas Stoltzen Schneiders und burgers alhier des wittibers bruders und beÿstandts auff Montag den 6.ten Martÿ anno 1713.

Vertrag und respê Erbs Vergleich Zwischen Mstr Geörg Stoltzen Schneidern und burgern alhier Einsen vnd andern theils weÿl. Fr. Annæ Catharinæ Stoltzin gebohrner hermännin angemaßten Testaments Erben getroffen. (…) Sodann Mstr Johann Georg Walters auch Schneiders deßelben Kinder erster Ehe Vogts, ferner Fr. Euphrosinæ Kellerin gebohrner Reeberin weÿl. Mstr Matthes Kellers geweßenten Mauerer vnd burgers alhier sel. nachgelaßener Wittib als ein gesetzten mit* Erbin, mit beÿstand S. T. Herrn Jacob böhmen Stein Metzen und E. E. groß. Raths alten beÿsitzers ihres geschwornenn Vogts, Mehr Joh: Philipps Schwartzen gartenmanns und Schirms Verwanth. alhie beneben Jfr Annæ Rosinæ Schwartzin deßen Schwester und in Nahmen Simon Schwartzen deßelben bruder noch ledigen stands weÿl. fr. Rosinæ Schwartzin gebohrner Reeblerin mit auch weÿl. Heinrich Schwartzen Schiffknechts und Schirms Verwanth. alhier seel. ehelich erzeugter hinder laßener Kinder als andern Stamm theils mit beÿstand Hn Johann Adam Cromern tabachädlers und burgers alhier beÿ sein abgelesten und publicirten auch darüber deren Jedes resolution und Erklärung eingezogen und gefordert worden betr. (…) vereinbaret und gütlich Verglich. daß Sie Vermeinte beede Stamm erben erstlich erwehnte ihrer halb schwester und baaßen seel. Vfgerichtes Test: Nunc. de Anno 1699 Vor dem Kirchgang mit dero hinterbliebenen Wittiben vor gantz Kräfftig und in allen puncten gültig erklären und passiren Zulaßen und hiemit vf das Jenige Test: Nunc. de A° 1708. vor Hn Notario Lang Vfgerichtet gäntzlich cassirt und mithin vf deren vermachten Erbtheil in gedachten testament gäntzlich Vertzug thun und renunciren (…) Actum Strßb. den 2.ten Martÿ Anno 1713.
In einer allhier in der Statt Straßburg im Thomenloch Zum theil gelegen: und der Elenden herberg zuständigen behaußung ist befunden worden wie Volgt
Bericht wegen eingangs Eheleuthen beederseits Eheberedung zugebrachten Nahrungen und dero Ergäntzung betr. Dieweilen wie bekand eingangs gedachter Wittiber beÿ zu gestandene seiner letztern Kranckheit in A° 1710. als derselbe in alhießig. hospitthal wider vf: und angenommen worden, seine Verstorbenen haußfr. seel. vermög deren mit einander vfgerichten Eheberedung sowohlen alls Ergäntzung ihres unveränderten guts und ane dem noch außgefallenen theilbaren guth Völlige lüfferung gethan, wie daß darüber vfgerichte Inventarium in A° 1706. und geführte Calculus clärlich. maaß gibet dahero dißmahlen Keine weitere Ersuch. nöthig geachtet word. welches Zum bericht annectiren wollen.
Sa. haußraths 37, Sa. Silbers 2, Sa. guldenen ringen 3, Sa. pfenningzinß hauptgüter 57, Summa summarum 101 lb – Schulden 35, Nach solchem abzug 66 lb
Sa. vorherbeschriebenen Legaten 44, Verbleibt 24 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 66 lb
Copia Testamenti – 1708 (…) auf Dienstag den 29. Maÿ nachmittags zwischen dreÿ undt vier uhren die Ehren: und Tugendsamen Frau Anna Catharina gebohrne Hermännin des Ehren: und vorgeachten herrn Johann Georg Stoltzen des Schneiders und burgers allhier zu Straßburg eheliche haußfrau (…) Johann Reinhardt Lang
Copia Testamenti – persönlich kommen und erschienen die Ehren und tugendsahme Anna Catharina gebohrne Hermännin des Ehren: und vorgeachten herrn Johann Georg Stoltzen des Schneiders undt burgers allhier Zu Straßburg eheliche haußfraw durch die gnade Gottes gesunden gehenden und stehenden Leibes (…)

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les trois enfants non bourgeois du garçon batelier Henri Schwartz doivent régler le droit de détraction.
1713, Livres de la Taille (VII 1175) f° 16-v
(Schneider, F. N° 1007) Weÿl. Frauen Annæ Catharinæ gebohrner Herrmännin, Hannß Geörg Stoltzen Schneiders und burgers alhier geweßener Haußfr. Verlaßenschafft inventirt H. Not. J.P. Kolb.
Concl. fin. Inv. ist fol. 49-b, 66. lb 8 d
Abzug. Weÿl. Heinrich Schwartzen gewesten Schiff Knechts und Schirmers alhier hinderlaßene dreÿ Kinder sollen von angefallenen 23. lb. 8. ß d. den Abzug erlegen mit 2. lb 6 ß 9 ½ d
dt. 30° Junÿ 1714.

Jonas Stoltz au nom de Jean Georges Stoltz pensionnaire à l’hôpital et Catherine Herrmann vendent la maison 350 livres au batelier Jean Meyer et à sa femme Marie Salomé Weber

1710 (ut supra [8. Nov.]), Chambre des Contrats, vol. 583 f° 672
(350) Jonas Stoltz schneider nahmens Joh: Georg Stoltz auch Schneiders so im Spithal, Item Cath: geb. Herrmännin seine haußfrau beÿständlich obigen Jonas ihres vogts
in gegensein Joh: Meÿer sandschiffmanns und Mariæ Salome geb. Weberin
Hauß Höfflein Gärtlein sambt übrigen deren gebäuen, rechten und zugehörden allhier im finckweiler nahe beÿ der adelischen zornischen mühl, einseit neben hanß ulrich Dürr fischern anderseit ist ein eck gegen gedachter mühl, hinten auf die Breusch stoßend – darvon gibt mann jährlichen 1 lb 10 ß b dem Pfthrn – um 125 pfund (verhafftet, beschehen um) 225 pfund

Fils de batelier, Jean Meyer épouse en 1700 Marie Salomé Weber, fille de tamisier : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia Eheberedung – zwischen dem ehrsahmen undt bescheidenen Johann Meÿern Jun: ledigen Sandt Schiffmanns deß auch Ehrengeachten und bescheidenen H. Johann Meÿer deß ältern Sandt Schiffmanns vnd Burgers alhier Zu Straßburg eheleiblicher Sohn alß dem Hochzeiter ahne Einem, So dann der Viel Ehren und Tugendbegabten Jungfrauwen Maria Salome Weberin deß Ehrengeachten undt achtbahren H. Simon Webers deß Süppmachers auch burgers alhier Eheliche Jungfraw Tochter als der Jgfr. hochzeiterin andern theils – So beschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Dienstag den 16. tag deß Monats Februarÿ Neuwen Caldeners Anno Christi 1700. Christoph Eberhardt Bär Nots. publ. Juratus

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 107-v)
1700. Mittw. d. 12 Maj wurd. nach ordentl. außruff. copulirt Johannes Meier d. ledige Schiff Knecht v. B. allhier, Johann Meiers des schiffmanns v. B. allhier ehl. sohn, V. J. Maria Salome Simon Webers, des Sippmachers v. B. allhier ehel. Tochter [unterzeichnet] Johannes meÿeer, + istd er hochzeiterin Zeich. (i 107)
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 76 n° 410) den 2. und 9 Maÿ sindt auch Zu S Thomæ außgeruffen, vndt den 12 Maÿ 1700 in der Newen Kirch Copulirt worden Johann Meÿer der ledige schiffknecht, Johann Meÿers des burgers undt schiffmanns ehelicher Sohn, mit Jfr. Maria Salome, Simon Webers burgers undt Sipmachers eheliche Tochter (i 78)

Jean Meyer et Marie Salomé Weber hypothèquent la maison au profit de François Reisseissen, greffier de la Chambre des Contrats

1714 (16.3.), Chambre des Contrats, vol. 572 (Protocoles) f° 14
Johann Meÿer Sand Schiffmann Und Maria Salome geb. Weberin mit beÿstand Simon Webers Sippmachers Ihres leiblichen bruders Und Georg Friderich Seidenbinders Handelß Manns Ihres Vettern
in gegensein herrn francisci Reiseisens U.J. Ddj et Cancellariæ Contractuum Actuarÿ – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, Hauß, Höfflein; Sandplatz mit allen gebäuen, Rechten Und Gerechtigkeiten allhier im Finckweiler nahe beÿ d. adel. Zornischen Mühl einseit neben Hannß Ulrich dürr Fischer anderseit neben ein Eck geg. ged. Müihl hinten auf die Preusch stoßend, darvon gibt mann Jährlich 2 lb 5 ß bod. zinnß dem Pfenningthurn

Jean Meyer et Marie Salomé Weber font dresser un état de leurs biens pour cause de dettes
1723 (22.3.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 17) n° 551-b
Inventarium über Johann Meÿern Jun: des Sandführers und Frauen Mariæ Salomeæ gebohrner Weberin beeder Eheleüth und bürgern allhier Zu Straßburg der Zeit besitzende Nahrung auch passiva auffgerichtet Anno 1723. – welches alles auf erfordern und begehren der Ehefrauen geschwornen Curatoris des Ehrenhafften Johann Michael Dürren fastenspeishändlers und burgers allhier vorgenommen (…). Actum Straßburg den 22. Martÿ Anno 1723.
In einer allhier Zu Straßburg jenseith der Thomass Kirch gegen St Ludwig gelegenen lehnungsweis besitzenden behaußung folgender maßen befunden
(f° 5) Schulden auß vorstehender Concurs Nahrung zugeltendt, Item Hn Isaac Kapler dem Schloßer soll man vor ein Jahr verseßenen haußzinnß, 10 lb
Copia Eheberedung (…) Dienstag den 16. tag deß Monats Februarÿ Neuwen Caldeners Anno Christi 1700. Christoph Eberhardt Bär Nots. publ. Juratus

Jean Meyer et Marie Salomé Weber vendent la maison 370 livres au paveur Jean Nicolas Korn et à sa femme Catherine Murr

1718 (28. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 591 n° 632
(370) Johann Meÿer sandtschiffmann und Maria Salome geb. Weberin*
in gegensein Joh: Niclaus Korn pflästerers und Cath: geb. Morrin
hauß höfflen samt einem platz übrigen deren gebäuden, rechten und zugehörden im Finckweiler nahe beÿ der Adelischen Zornischen Mühl, einseit neben hanß Ulrich dürren wittib anderseit ist ein eck gegen gedachter mühl hinten auff die Breusch – davon gibt man 2 lb 5 ß ane bodenzinß dem Pfenningthurn – um 133 und 150 pfund verhafftet, geschehen um 86 pfund

Fils de journalier, Jean Nicolas Korn fait son apprentissage auprès du paveur André Sigfried de 1704 à 1707. L’apprenti recevra 15 sols par semaine qu’il travaille ou non mais se charge de sa nourriture et devra être à tout moment disponible
1704, Protocole de la tribu des Maçons (XI 234)
(f° 7) Dienstags den 9.ten Septembris 1704 – Pflästerer Lehrjungen Inscription
Andreß Sÿfrid der Pflesterer und anjetzo E. E. Gerichts beÿsitzern stellet Zum Lehrjungen Vor Johann Niclaus Korn, Philipß Kornen, deß taglöhners ehelichen Sohn, so beneben seinem Vatter præs. War, verspricht denselben deß Pflästererr handw. auf dreÿ Jahr Zulernen, Vnd solle die Lehrz: auf gemelter termin 1707 sich wider endigen, Darbeÿ verglichen d. der Mstr. Jhme Jungen wochentlich 15 ß d Wochenlohn, es habe gleich so Mstr. Zu arbeiten oder nicht zugeben solle hingegen solle der Jung nicht allein verbunden sein sich zu vercösten, sondern auch wann der Meister zu arbeiten hat, jederzeit ohnaußgesetzt Zuarbeiten, bitten inscription, gegen erlag d. gebühr willfahrt.
(dt. 13. ß – d .27 Maÿ 1707 ledig gesprochen)

(f° 55-v) Freÿtags den 27.ten Maÿ A° 1707 – Außgethaner Pflästerer Jung
Andreß Sÿfrid der Pflesterer erschienen beneben Johann Niclaus Korn seinem geweßenen Jung., Philipß Kornen, deß taglöhners ehelichem Sohn, so auch gegenwärtig und ersuchet E. E. gericht, weilen derselbe bereits den 1.ten Maÿ außgelernt, denselben außzuthun und sein Lehrjahr Zuerlaßen.
Erk. weilen dieselbe allerseits mit einander Zufriden, vnd gegen erlag der gebühr willfahrt (dt. 13 ß d)

Jean Nicolas Korn originaire de Strasbourg et Catherine Murr native de Riquewihr, deviennent bourgeois en mars 1708
1708, 4° Livre de bourgeoisie p. 769
Joh: Niclaus Korn d. Pflästerer V. hier V. s. Fr: Catharina Morr V. Reichenweÿer, empfangen d. Burgerrecht gratis, wird beÿ E. E. Zunfft d. Maurer dienen, Jur.d. 28. Dito [Martÿ] 1708.

Jean Nicolas Korn épouse en avril 1708 Catherine Murr, fille d’un vigneron de Riquewihr
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 115 n° 659)
Anno 1708 den 25. Aprilis sind nach geschehener ordentlicher Ausruffung eingesegnet worden in der Kirch Zu St Thomæ Hannß Niclaus Korn der ledige Pflästerer und burger allhier Philipp Kornen des Schirms Verwandten und taglöhners alhie ehelicher Sohn, und Jungfr. Catharina Murrin weÿl. David Murrn gewesenen bürgers und Rebmans Zu Reichenweÿher Ehel. tochter [unterzeichnet] + der hochzeiter hannß Niclaus Korn konte nicht schreiben machte vorstehendes Zeuch. die Jgf hochzeiterin konte auch nicht schreiben machte vorstehendes Zeichen (i 118)

Jean Nicolas Korn devient tributaire chez les Maçons en septembre 1708
1704, Protocole de la tribu des Maçons (XI 234)
(f° 70-v) Dienstags den 4.ten 7.bris A° 1708 – Neu Zünfftiger
Hannß Niclaus Korn, der Pflesterer erscheind und prod. Canelleÿ und stallschein auch von H. Rent Mstr Böckler unterschrieben, datirt d. 28. Martÿ 1708, bittet Ihne als ein Zünfftig anzunehmen.
Erk. Vnd gegen erlag der gebühr willfarth
(dt. Pfth. 1. lb, Zunfft 1 lb 5 ß, Zfftschrb 4 ß, zusammen 2 lb 9 ß)

Catherine Murr meurt en 1720 en délaissant trois enfants. Le veuf déclare qu’il n’y a eu aucun contrat de mariage ni inventaire d’apports. Les experts estiment la maison 325 livres. La masse propre au veuf s’élève à 10 livres, celle des héritiers à 7 livres. L’actif de la communauté s’élève à 17 livres, le passif à 234 livres

1720 (11.6.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 1) f° 18
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güthere, so weÿl. die Ehren und tugendsame frau Catharina Kornin gebohrner Murrin, des Ehrengeachten Meister Niclaus Kornen, Pflästerers und burgers allhier geweßene eheliche Haußwürthin nun seel. nach Ihrem den 2.ten Monathstag Februarÿ dießen lauffenden 1720.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen hinter sich verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehrengeachten Meister Joh: Christoph Nunnenmanns Küblers und burgers allhier alß geschwornen Vogt Johann Frantz, Johann Daniel und Margarethæ Salome der Kornin, aller dreÿen der Verstorbenen seel. mit Vorernannten Ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlter Kinder und ab intestato Zu gleichen Antheilen Verlaßener Erben (…). So beschehen in Straßburg auff Dienstag den 11.ten Junÿ Anno 1720.

Bericht wegen dießer Verlaßenschafft. Zuwißen seÿe hiemit, daß weilen eingangs gedachte beede geweßene Eheleuth Zur Zeit dero getroffenen heuraths, des Wittibers hiebeÿ ertheiltem bericht nach, Keine Eheberedung mit einander auffgerichtet, mann dannen hero was Von eines Jeeden Ehegemächdts in die Ehe gebraht und wehrender Ehe ererbten Posten annoch in natura vorhanden nach allhießigem löblichem Gebrauch undt herkommenen Zumahlen der Wittiber die seinige Von der theilbaren Nahrung expresse separirt haben, demselben und respectivé deßen Erben wiederumb vor ohnverändert Zuschreiben, übriges alles aber vor theilbar inventiren wollen.
In einer allhier Zu Straßburg und deren so genandtem finckweiler, ohnfern der Zornenmühl gelegenen, in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebenen behaußung befunden worden wie Volgt
Eigenthumn ane einer behaußung (T.) Eine behaußung, höffell höffein und nebens stallung mit allen dero Zugehörden, begriffen und gerechtigkeiten gelegen alhie Zu Straßburg im finckweiler, nahe beÿ der Adelich Zornischen Mühl, einseit neben Ulrich Geÿer, anderseith ist ein Eck gegen gedachter Mühl, hinden auff den Mühlgießen stoßend, so durch (die Werckmeistere) Vermög Abschatzung Zeduls Vom 13. Junÿ 1720. angeschlagen worden pro 325. lb. Davon aber seind abzuziehen nach folgende auff dießer behaußung hafftende beschwerden als
Erstlichen der Statt Straßburg Pfenningthurn hat man Jährlichen ane bodenzinß 2 lb 5 ß d Zelieffern, thut Zu Capital ohnvergreifflich gerechnet 90 lb, Item dem hochwohlgebornen Herrn Samson von Rathsamhaußen Zu Ehenweÿher, solle mann ane haubtguth Jeweilen auff den (-) mit 10 lb verinteressirlich 200 lb, Item solle mann Löbl. Capitul Zu St. Thoman in Capital Jahrs auf den (-) mit 6 lb d verpensionirlich 150. lb Machen Vorherige dreÿ Posten Zusammen 440 lb. Daß also auf solchen hauß vor ehr Capitalia und onera stünden als der anschlag deßelben sich belauffet 115. lb, Dahero dann dießer behaußung halben nicht in außwurff zubringen. Über siche behaußung nun ist vorhanden j. teutscher pergam. Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhang. Cancelleÿ Cont. Insigel verwahret datirt d. 28. Xbr 1718.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Wittibers Vermögen, Sa. haußraths 7, Sa. Schiff und geschirrs Zum Pflasterer handwerck gehörig 1, Sa. Silbergeschmeids 7 ß, Sa. Goldenen rings 18 ß, Summa summarum 10 lb
Dießem nach wird auch der Erben ohnverändert Vermögen gesetzt, Sa. hausraths 6, Sa. Silbergeschirrs 5 ß, Sa. goldenen rings 14 ß, Summa summarum 7 lb
Endlichen wird auch das gemein, Verändert und theilbar Guth beschrieben, Sa. haußraths 14, Sa. Silbergeschmeids 2 ß, Sa. Goldener Ring 3, Sa. baarschafft 10 ß, Summa summarum 17 lb – Schulden 234 lb, Mehr Schulden als theilbahr guth 216 lb
Endlich restirendes Schulden last 198 lb
Abschatzung : d. 13. Junÿ: anô 1720: Auff begehren, deß Ehrenhafften Vnd bescheydenen Meister Nicklauß Kornen, Pfloesterer, ist eine behausung Alhier in der Statt Straßburg beÿ der Zornen Müll Vber, ist Ein Eck hauß, Anderseith Neben Ulrich Geÿr, hinden auf den Zornen Müll gießen stoßend, Welche behaußung, hoffstatt, Stuben, Kammeren, Küchlein, hauß Ehren, Nebens stallung, gebälcktes Kellerlein, Vnd höffelln Sampt Aller Ihrer gerechtigkeit, Wie solches, durch der Statt geschwornen Werckheüthen in der besichtigung, Vnd dem Jetzigen preiß Nach, An geschlagen Wirt, Vor vndt umb Sechs Hundtert Vndt Fünffzüg Gulten. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg geschworene Werckleüthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Catherine Murr meurt le 2 février 1720 à l’âge de 41 ans, son mari le 9 juillet à l’âge de 39 ans
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. du pasteur, 1712-1741, f° 63, n° 393)
Anno 1720 den 2 febr. Abends umb halb 7 Uhr ist gestorben Catharina Kornin gebohrne Murrerin, hanß Niclaus Korn des burger und Pflästerers alhie, gew. Ehefrau ihres alters 41 Jahr, dero eltern waren David Murre der burger und Rebmann Zu Reichenweÿher und Anna seine Eheliche haußfr. ist darauff den 4. ejusdem auf dem Gottes Acker St. Helenæ begraben [unterzeichnet] x Hannß Niclaus Korn des Witwers konte nicht schreiben (i 65)

Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. du pasteur, 1712-1741, f° 67, n° 417)
Anno 1720 den 9 Julÿ Abends umb halb 9 Uhr ist gestorben Johann Niclaus Korn der burger und Pflästerer alhie seines alters 39 Jahr 7 monat, deß. Eltern waren Philipp Korn und ene Muter Maria Magdalena Imbergerin, War verehelicher mit Catharina geb. Murrin, die vor ihm gestorben ist den 11. darauf auf dem Gottes Acker St. Helenæ begraben [unterzeichnet] Phillibß Kornen alss gewester vatter (i 70)

Les syndics à la masse de feu Nicolas Korn vendent la maison 675 livres à l’Orphelinat pour lequel accepte son receveur Jean Heupel

1720 (19.9.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 455
(675) hr. Caspar Christian Busch und Hr. Joh: niclaus Hüel beeder E. E. kleinen Raths beÿsitzer zu weÿl. Niclaus Kornen credit geschäft in specie zu verkaufung infra stehender behausung deputirt
in gegensein H. Joh. Heupel Schafners deß Waÿßenhaußes
eine behausung hoffstatt höfflein und nebens stallung mit allen dero Zugehörden und Gerechtigkeiten im finckweiler nahe beÿ der adelischen Zornischen mühl, einseit neben Ulrich Geÿer anderseit ist ein Eck hinten auf den mühlgießen – um 675 pfund

Jean Frédéric Heupel vend au nom de l’Orphelinat la maison par adjudication au ferblantier Jean Frédéric Froschhammer

1738 (7.10.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 568-v
hiesigen weÿßenhaußes Schaffner H. Johann Friedrich Heupel
in gegensein Johann Friedrich Froschhammer des Spenglers und Annæ Elisabethæ geb. Reinin – am 17. julÿ vorgenommen am 2. ged. Monaths Augusti obrigkeitlich confirmirten versteigerung
Eine Behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und rechten im Finckweiler nahe beÿ dem adelischen Zornischer Mühl einseit neben Ulrich Geÿer modo Hannß Jacob Dürr dem Fischer, anderseit ist ein eck ane der tränck, hinten auff den Mühlgießen – davon gibt mann hiesiger Stadt Pfenning Thurn 2 pfund 5 ß ane bodenzinß – als ein am 19. sept. 1720 erkaufftes guth – um 525 pfund

Fils de marchand de fruits et légumes, Jean Frédéric Froschhammer épouse en 1720 Anne Elisabeth Rhein, fille de cordonnier ; contrat de mariage abîmé (voir la copie jointe à l’inventaire après décès), célébration
1720 (12.3.), Not. Marbach (Jean 34 Not 8)
Eheberedung – zwischen Meister Johann Friderich Froschhammer dem ledigen (Spengler) des auch ersammen Johann – Froschhammer des Fastenspeishändlers – ers vnd burgers alhier mit weÿl. – a Maria gebohrner – Ehelich erziehlten Sohn als (hochzeiter) ane einem
So dann Jungfrau Anna Elisabetha Reinin -en Meister Johannis Reinen geweßenen burgers und Schuhmachers allhier mit auch Weÿl. Frauen Christina Elisabetha gebohrner Griesbächin Ehelich erziehlt – verlaßene Tochter als der Jungfer Hochzeiterin ane (andern) Theil
So beschehen und verhandelt Seind dieße ding in der Königlichen Stadt Straßburg (…) Dienstags den 12. Martÿ A° 1720

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 169 n° 972)
Anno 1720. den 22. Maji seind, nach geschehener ordentlicher ausruffung in der Kirch Zu St/ Thomas ehelich eingesegnet worden Johann Friderich Froschhammer der ledige Spengler, Johann Daniel Froschhammer des burgers und Krämers allhier ehel. Sohn und Jungfr. Anna Elisabetha, weiland Johann Reinen deß gewes. Schuhmachers und burgers alhie hinderlaßene ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Friederich Froschhammer als hochzeiter, Anna Elisabeda reinin hoch Zeirin (173)

Jean Frédéric Froschhammer devient tributaire chez les Maréchaux
1724, Registres annuels de la Taille (VII 1217) f° 281-v
Johann Fried Froschhammer, ins. 16. Ap. 1720 (1 lb 16 ß)

Anne Elisabeth Rein fait dresser un état de ses biens pour devenir bourgeoise
1720 (10.4.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 67)
Designation und Verzeichnus Was Jgfr. Anna Elisabetha, Weÿl. Johann Rhein, gewesten Schuhmachers und burgers alhier seel. in das burgerrecht Zugebrachte und hinterlaßene ehel. tochter, so verlobt an Johann Friderich Froschhammer den ledigen Spengler und burgern alhie würcklich in Vermögen, wie Sie solches heut dato mir dem Notario respectivé Vorgewießen und angeben
Sa. haußraths 24, baarschafft 70
Ein 4.ten Theÿl ane einer behaußung im finckweiller gelegen Ohnfern der Schauffneÿ St. Marx wird hiehero æstimirt 87, Summa summarum 181 lb
Sigl. Straßburg den 10.ten Aprilis Anno 1720.

Anne Elisabeth Rein femme de Jean Frédéric Froschhammer devient bourgeoise à titre gratuit en juillet 1720
1720, 4° Livre de bourgeoisie p. 853
Anna Elisabetha Reinin Von hier geb. Weÿl. Johann Reinen gew. Schuhmachers hinterl. ehel. tochter, erh. d. burg. Recht gratis, ist Joh: frid. Froschhammer des Spengler Vnd burgers allhier Ehefraw,w. beÿ E: E: Zunfft d. schmidt dienen, prom. d. 15. Julÿ 1720.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 41 livres, ceux de la femme à 131 livres.
1720 (27.5.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 8) n° 372
Inventarium über Johann Friderich Froschhammer des Spenglers und frauen Annæ Elisabethæ gebohrner Rheinin beeder Eheleüthe und burgere alhier einander für unverändert in den Ehestand zusammen gebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1720. – in ihrer Vor kurzter Zeit mit Gott engetrettenen Ehestand würcklich zusammengebracht, und crafft der mit einander auffgerichteten Eheberedung ihnen und uhren Erben ein freÿ unverändert und vorbehalten Guth, mithin die Ergäntzung des Künfftigen Abgangs expresse reservirt und bedungen (…) So beschehen alhier zu Straßb. in fernerem beÿseÿn auff seithen des Ehemanns Johann Daniel Froschhammers des Krempen seines Leibl. vatters, ane seiten d. Ehefrauen aber Joh: Georg Reinen, auch Krempen, ihres bruders, aller burgere alhier, Dienstag den 26.ten Maÿ Anno 1720.
(f° 5) Werckzeug, Schiff und geschirr wie auch gemacht u. ohngemachte wahren zum Spengler handwerck gehörig
(des Manns) Sa. Kleÿdung und Mobilien 23, Sa. Werckzeugs 37, Summa summarum 60 lb – Schulden 18, Nach deren Abzug 41 lb
(der Frauen) Sa. Haußraths 113, Sa. Silbers 6, Sa. Goldener Ringe 12, Summa summarum 131 lb

Jean Frédéric Froschhammer s’adresse aux Quinze après que les places de marché ont été redistribuées aux frais des bénéficiaires. Il obtient gain de cause, la tribu devra régler les frais de procédure. Les Quinze délivrent une expédition de leur jugement.
1728, Protocole des Quinze (registre 2 R 134, notes du greffier 2 R 133)
Joh: Friderich Froschhammer Ca. E. E. Meisterschafft der Spengler
(p. 75) Sambstag den 28. Febr. 1728. (notes, p. 40)
Gug nôe Johann Frid. Froschhammers burgers und Spenglers Cit. E. E. Meisterschafft der Spengler Ober Mr Heinrich Schneider prod. Extract aus der Meisterschafft handwercks protocoll, welchem selbige Meisterschafft nicht pariren will, bitt Deput. et facta relat. der selben parition 3. tag beÿ straff anzusetzen.
Fuchs bitt auch Deputation. Gug priora. Erk. Ober Handwerck Hh.

(p. 99) Sambstag d. 13. Martÿ 1728. Joh: Friderich Froschhammer Ca. E. E. Meisterschafft der Spengler (notes p. 47, 51 et 130)
Iidem [Obere Handwercks Herren] laßen ferner per Eundem [Secretarium] referiren, daß Johann Friderich Froschhammer der burger und Spengler contra E. E. Meisterschafft der Spengler Ober Meister Heinrich Schneider den 28. feb. jüngst einen Extractum aus E. E. Handwerck der Spengler protocoll vom febr. jüngst, besag welches erkandt, daß novo vmb die Märck Wieder in beÿsein des Zunfftschreibers gelooßt Worden, die unkosten aber weg. sothanem Handwerck jeder theil Zur helffte erlegen sollen producirt und berichtet habe, daß gedachte Meisterschafft demselben nicht pariren wolle, mit bitt deputationem Zu willfahren, et fata relatione ged. Meisterschafft dreÿ tags zur parition beÿ empfindlicher Straaff anzusetzen, ref. Exp.
Warauff Bek. auch umb Deputation gebetten, Welche willfahrt, und jüngsthien beseßen worden, da der Kläger sein petitum widerhohlet, nahmens der Beklagten hätten Heinrich Schneider alß Ober Meister und Ulrich Heltzen alß unter Meister geantwortet, sie hätten Von dem bescheid appelliren wollen, seÿen auch derentwegen beÿ H. Procurator Mosseder geweßen, aber damit auffgehalten worden, in dem übrigen so wolten sie nicht wieder auff ein newes looßen.
Auff seithen der H. Depp. finde man, daß der Von Klägern producirten Handwercks bescheid in rem judicatam erwachßen, folglich in deme nicht davon appellirt worden, Zu confirmiren, mithin die Beklagte demselben innerhalb 8. tagen beÿ 10. lb d straaff parition Zu laisten undt dem Kläger die auffgeloffene unkosten salva taxa zu refundiren schuldig sein solle, die genehmhaltung Zu Mgh. stellend. Erk. Bedacht gefolgt.

(notes p. 60) Sambst. den 27. Marty – G. Joh: Frid: Froschhammers b. uth. umb gn. coôn deß Ca. E. E. M.schafft der Spengler ergangenen bescheidts. Erk. Willfahrt.

(notes p. 64) Sambst. den 3. Aprilis – Lect. 2. bescheidt in s. Joh: Frid: Froschhammers Ca. Spengler und in s. Joh: Frid. Jeckhle Ca. Maurer. Erk. sollen beede expedirt und extradirt werden.

Compte que rendent les héritiers du coutelier Jean Daniel Froschhammer, tuteur de Jean Froschhammer, fils de Jean Frédéric et d’Anne Elisabeth Rein
1750 (14.5.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 69) n° 1533
Rechnung Inhaltend Was Weÿland Meister Johann Daniel Froschhammer, der geweßene Kurtz Meßerschmidt und burger allhier Zu Straßburg nunmehro seel. als geweßenen Vogt Johann Froschhammer welcher das Spengler handwerck soll Lernen auch weÿl. Mr Johann Friderich Froschhammers, des geweßenen Spenglers und burgers allhier mit auch weÿl. frauen Anna Elisabetha, gebohrner Reinin seel. ehelich erziehlten Sohns, inhaltend alles das jenige was Er vom 2. Novembris 1747. als da Er Zu dießer Vogteÿ gekommen biß den 22. Januarÿ 1750. da Er der Vogt das Zeitliche gesegnet und nach deßen tod deßen hinterlaßene Wittib biß den 14. Maÿ 1750. berührten Curandi halben Eingenommen und hiengegen wieder außgegeben auch sonsten Vögtlicher weiße verrichtet und verhandelt haben. Erste und Letzte Rechnung dießer Vogteÿ.

Jean Frédéric Froschhammer meurt en 1747 en délaissant deux enfants. Les experts estiment la maison 500 livres. La masse propre à la veuve s’élève à 68 livres, celle des héritiers à 13 deniers. L’actif de la communauté s’élève à 469 livres, le passif à 397 livres.

1748 (15.2.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 8) n° 170
Inventarium über Weÿl. Johann Friderich Froschhammer deß geweßten Spenglers undt burgers dahier zu Straßburg seel. Verlaßenschafft auffgerichtet anno 1748. – nach seinem den 17.t Septembris in anno 1747. genommenen tödlichen ableiben zeitlichen verlaßen, welches Verlaßenschafft auf Ansuchen und begehren H. Johann Daniel Froschhammers deß Kurtz Meßerschmidts auch burgers dahier alß geschwornen vogts Johann Froschhammers deß abgelebten Sohnleins und auf begehren Jfr. Mariæ Magdalenæ Froschhammerin die beÿ 22. Jahr alt undt ohnbevögtigt beÿständlich Johann Daniel Dürr deß fischers dahier deß verstorbenen seel. hinderlaßener beeder Kindter und ab intestato Erben inventirt durch die hinterbliebene Wittib Nahmens De. Annam Elisabetham gebohrne Rheinin mit assistentz Johann Philipp Rheins deß Schuhmachers auch burgers dahier ihres bruders. (…) So beschehen Straßburg auff Donnerstag den 15. Februarÿ 1748.

Inn Einer dahier Zue Straßburg im finckweiler ohnfern der adel. Zornenmühl gelegener undt hernach beschriebener behausung hat sich befunden wie folgt.
Eigenthumb ane Einer behaußung so Theilbar (T.) Eiine behaußung vndt hoffstatt mit allen deren begriffen, weiyhen, zugehörren Rechten undt gerechtigkeiten gegelg. dahier Zu Straßburg im finckweiler ohnfern der hochadel. Zornen Mühl über, 1.s weÿl. Ulrich Dürren deß geweßenen fischers Erben, 2. s. dem Allmend undt hinden auf das waßer der Zornen mühl gießen stoßend so durch der Statt Straßb. geschwornen herren Werckmeistere d. 21. febr. 1748. vor ledig Eigen angeschlagen worden umb 500 lb. Davon gehen ab 2 lb 5 ß so mann Jahrs löbl. Statt Pfenningthurn ane boden oder allmendt Zinß zu entrichten beträgt Zu doppeltem Capital gerechnet 45 lb. Nach abzug deren Verbleiben ane obigem anschlag noch in außwurff zubringen 455. lb. Auch ist sothane behaußung ([biffé] herrn Joh: Friderich Heupell) dem Stiffts weÿsenhauß dahier annoch umb 425. lb ane Capital oder Kauffschillings rest verpfändet so hernacher fol: (-) passivé eingetragen Zu befinden. Über sothane behaußung meldet ein teutscher perg. Kbr. auff allhießiger Cancelleÿ Contact Stub vom 7. 8.br. 1738. mit dero ahangedem Innsiegell. It. I. dito mit d° de dato den 19.t 7.btr 1720.
Ergäntzung deß Verstorbenen seel. Erben Ermangeldnen Unveränderten guthh, Nach besag deß über Einagange bemelter beeder geweßenen Eheleuthen durch nunmehro weÿl. H. Notm: Hoffmann seel. d. 20. maÿ in aô 1720. auffgerichteten undt Verfertigten Zugebrachten Nahrungs Inventarÿ
Norma hujus invent. Der Wittib noch vorhandenen Natural Posten, Sa. haußraths 2, Sa. Silbers 19 ß, Sa. goldenen Rings 12 ß, Sa. activi 25, Sa. Ergäntz. 38, Summa summarum 68 lb
Hierauff folget auch die beschreibung der beeden KK. u. Erben ohnveränderter Nahrung, Sa. haußraths 5, Sa. Werckzeug Zum Spengler hannß gehörig 4, Sa. Ergäntzung (34, Abzug 18, Rest) 15, Summa summarum 25 lb – Abzuziehen 25, Nach Abzug deren 13 ß
Endlichen Wirdt auch das gemein theilbar guth beschrieben, Sa. haußraths 13, Sa. der wahren u. gemachter arbeith 1, Sa. Eigenthum ane Einer behaußung 455, Summa summarum 469 lb – Passiva 497, Compensando 28 lb
Stall Summa 40 lb
Abschatzung den 21. Februarÿ 1748. Auff begehren Weÿland deß Ehrsamen und bescheidenen Johann Friderich Froschhammers deß geweßenen Spenglers und burgers allhier seel. hinterlaßener Fraw Wittib und Erben ist eine behaußung abgeschätzt worden, Welche gelegen allhier in der Statt Straßburg, in dem Finckweiler gegen dem Würths hauß Zum Sternen hienüber, einseith neben hannß Jacob dürren dem Fischer anderseit neben dem Allmend hinten auff das Waßer stosend, solche behaußung hat unten in dem Eingang Ein hauß öhren ein Stübel und küchel, auff dem Ersten stock ein hauß öhren und ein Kämmerlein, auff dem Obernstock unter dem Tach Ein Soldaten Kammer darüber ein Tachstuhl ein fach mit Ziegeln gedeckt, hat auch ein Klein höfflein, Solches häußlein ist sambt aller deßelben Gerechtigkeiten uns unterschriebenen der Statt Straßburg geschwohrnen Werckleuthen dem Jetzigen Preiß nach æstimirt und angeschlagen worden Vor und umb Ein tausend Gulden [unterzeichnet] Johann Jacob Biermeÿer statlohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen und beschedenen Meister Johann Heinrich Froschhammer dem ledigen Spenglern, des auch Ehrsammen Johann Daniel Froschhammers des Grempen und burgers allhier mit weÿland Frauen Susanna Maria gebohrner Wenigguthin Ehelich erziehlten Sohn als dem Hochzeiter ane Einem, So dann der Ehr: und Tugendsahmen Jungfer Anna Elisabetha Reinin Weÿland des auch Ehrsamen Meister Johannes Reinen geweßenen burgers und Schumachers allhier zu Straßburg mit auch Weÿland Frauen Christina Elisabetha gebohrner Griesbächin ehelich erziehlt und nach Tod verlaßener Tochter als der Jungfer Hochzeiterin ane andern Theil – So beschehen und verhandelt Seind dieße ding in der Königlichen Stadt Straßburg (…) Dienstags den 12. Martÿ A° 1720, Johann Marbach Notarius publicus juratus

Le tuteur des enfants Froschhammer vend la maison au charcutier Matthieu Schletz et à sa femme Marie Marguerite Klugshertz. Le procès verbal d’adjudication correspondant à la vente est conservé dans un fonds de pièces annexes.

1748 (25.6.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 494-v
Johann Daniel Froschhammer des meßerschmidts als vogt seines bruders weÿl. Johann Friedrich Froschhammers des spenglers zweÿer kinder Johannes und Maria Magdalena der Froschhammer
in gegensein Matheus Schletz des bratwurstmachers und Mariæ Margarethæ geb. Klugshertzin, versteigerung
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, weithen, zugehör und rechten im Finckweiler nahe beÿ der adelischen Zornischen mühl, einseit neben Johann Jacob Dürr dem fischer, anderseit ist ein Eck ane der tränck, hinten auff den Mühlgießen – davon soll mann hiesiger Stadt Pfenning Thurn 2 lb 5 ß ane bodenzinß – als ein elterliches erbguth – um 425 pfund (verhafftet, geschehen um) 110 pfund

94 Z 3 (Pièces produites à la Chambre des Contrats)
Auß Erkandtnuß E. E. Großen Raths der Statt Straßburg vom 12. junii 1748. Ist die weÿl. Johann Friderich Froschhammers geweßenen speglers hinterlaßenen Erben Zuständig Allhier im Finckweiler ohnfern der hochadelichen Zornen Mühl über gelegene Behaußung sambt allen Ihren Zugehördten Mathæo schletz dem Burger und Bratwurstmacher alß meist biethendem umb 1070 gulden mit übernahm aller unkosten wie auch 2. lb 5 ß Jahrs Löbl. Statt Pfenningthurn ane boden oder Allmend Zunß Zu entrichten seind, obrig Keitlich adjudiciret, anbeÿ Verordnet worden, daß der Kauff und Verlauff in acht tagen in der Contact Stub solle Verschrieben werden, publ. eodem. [unterzeichnet] Kien Rathschrb (decret. alienandi ertheilt d. 30.ten Martii 1748.)

Originaire de Redwitz (Marktredwitz en Franconie), Matthieu Schletz épouse Catherine Marguerite Berger, fille de vitrier : contrat de mariage dont la minute n’est pas conservée, célébration
1745, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 12) n° 1071
Eheberedung – Matthiä Schletz, ledigen Metzgers
und Jungfrauen Catharinä Margarethä Bergerin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 76 n° 5)
1746. eod. Die [Mittw. den 16. febr.] seÿnd nach zweÿmahl vorhergehener Proclamation in den Stand der H. Ehe eingesegnet worden Matthæus Schletz der Ledige Metzger u. burger allhier, Veit Schletz des Metzgers zu Redwitz ehel Sohn, und Jungfr. Catharina Margaretha weÿl. Heinrich Berger geweßten Glasers und burgers allhie hinderl ehel. Tochter [unterzeichnet] Matthäus Schletz als hochzieder, + der Jungfr. Hochzeiterin Handzeich. (i 78)

Boucher originaire de Redwitz en juridiction de Bayreuth, Matthieu Schletz devient bourgeois par sa femme le 5 mars 1746
1746, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 249
Mathäus Schletz der Metzger Von Redwitz im bareitischen geb.erhält das burgerrecht Von seiner Ehefraun Catharina Margaretha weÿl. Joh: Georg Bergers gewesenen burgers und Glaßers hinterl. ehel. tochter um den alten burger schilling und will dienen beÿ E. E. Zunfft Zur Blum, Jur. d. 5. Martÿ 1746.

Matthieu Schletz devient tributaire à la Fleur le 5 mars 1746
1750, Registres annuels de la Taille (VII 1243) f° 75-v
Mathäus Schletz jur. 5. Marty 1746 (2 lb 2 ß)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue des Bouchers. Les apports du mari s’élèvent à 250 livres, ceux de la femme à 108 livres.
1746 (23.6.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 365) n° 227
Inventarium über des Ehren: und Vorachtbahren herrn Matthäi Schletz, des Metzger und der Ehren: und Tugendsahmen Frauen Catharinä Margarethä Schletzin gebohrner Bergerin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1746. – der ursachen alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteten heuraths verschreibung expressé enthalten, daß seines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle (…). So beschehen on Straßburg in fernerem beÿsein der Ehren: und tugendsamen Frauen Elisabethæ Bergerin gebohrner Frantzin Weÿland des Ehren: und Vorachtbahren herrn Johann Heinrich Bergers, des geweßenen Glaßers und burgers allhier seel. nachgelaßener Wittib der Ehefrauen eheleiblicher Mutter ingleichem der Ehren und vorachtbahren herrn Johann Philipp Rögners Paßmentirern und burgers allhier Ihres erbettenen beÿstandts auff Donnerstag den 23. Junÿ Anno 1746.

In einer allhier zu Straßburg ane dem Metzgergießen gelegenen in dieße zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behausungn befunden worden wie volgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 32, Sa. Silbers 8, Sa. baarschafft 192, Summa summarum 232 lb – Dazu gelegt die Ihme gebührige helffte ane denen haussteuren 18 lb Des Ehemanns völlige in die Ehe gebracht Guth, 250 lb
Dießmnach wird nun auch der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 82, Sa. Silbers 5, Sa. goldenen Rings 3, Summa summarum 90 lb – Hierzu Kombt ferner der halbe theil ane denen Verehrten hausteuren 18 lb der Frauen völlig in die Ehe gebracht Vermögen 108 lb

Matthieu Schletz se remarie l’année suivante avec Marie Marguerite Klughertz, fille de puisatier : contrat de mariage, célébration
1747 (11.8.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 31) n° 812
Eheberedung- zwischen dem ehrsahmen Matheus Schletz dem bradwürstmacher burger und Wittiber alhier alß hochzeither ane einem,
so dann Jfr. Maria Margaretha Klughertzin weÿl. Joh. Klughertz geweß. bronnen schöpffers vnd burgers alhier ehelich erzeugten hinterlaßenen dochter alß hochzeiterin andern theilß
Straßb den 11. augusti 1747. [unterzeichnet] Matthäus Schletz als Hoch Zieder, Mareta klughertzin Als hochzütin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 89 n° 21)
1747. Mittw. den 11. Octobr. seÿnd nach zweÿmahl vorhergehener Proclamation in der Evangelischen Kirche Zu St. Nicolai in den Stand der H. Ehe eingesegnet worden Matthæus Schletz, Metzger und burger allhie, Wittwer und Jungfr. Maria Margaretha Klughertzin Weÿl. Johann Klughertz geweßten Brunnen schöpffers und burgers allhie hinterlassene eheliche Tochter [unterzeichnet] Matthäus Schletz hochzieder, Marfedat klughtzin hoch zieterin (i 91)

Marie Marguerite Klughertz fait son testament
1749 (28.8.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 31) n° 888
Codicill – persönlich kommen und erschienen ist die viel Ehren und tugendsahme frau Maria Margaretha Schletzin gebohrne Klughertzin, deß Ehrsahmen vnd bescheidenen Matheus Schletzen bratwurstmachers vnd burgers allhier eheliche Haußfrau, durch die gande gottes aufrecht gesunden gehend Vnd stehenden leibs (…)
Donnerstagß d. 28. augusti Anno 1749. nachmittags zwisch. 1. vnd 2. uhren [unterzeichnet] Margerta schletzin

Matthieu Schletz et Marie Marguerite Klughertz font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qu’ils ont achetée. Les apports du mari s’élèvent à 209 livres, ceux de la femme à 115 livres.

1749 (13.7.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 23) n° 849
Inventarium über des Ehrsahmen vnd bescheidenen Matheus Schletzen deß bradwurstmachers, vndt frawen Mariæ Margarethæ Klughertzin beeder eheleuthe vnd burgere alhier einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1749. – in ansehung Sie sich solches alß ein ohnveränderten guth, auch die Ergäntzung derer wehrender Ehe davon abgehender Posten reservirt vnd vorbehalten (…). Actum Straßburg in fernerem beÿseÿn H. Abraham datten Metzgers und burgers allhier Von der Ehefrauen erbettenen beÿstandts Straßb. d. 23. julÿ 1749.

In einer alhier Zu Straßburg im finckhweiler ohnfern der Zornen Mühl gelegenen, von beeden Eheleuthen wehrender Ehe erkaufften behaußung sich befunden hat alß volget.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußrath 26. Sa. Silber 7, Sa. Baarschafft 175, Summa summarum 209. lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen zugebrachte ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußrath 59, Sa. Silber 3, Sa. Goldene Ring 2, Sa. Baarschafft 50, Summa summarum 115 lb
Haussteuren 27, davon Jedem Ehegatten Crafft der Eheberedung die helffte gebühret mit 13. lb

Matthieu Schletz fait son testament
1749 (23.7.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 31) n° 884
Codicill – persönlich kommen und erschienen ist der Ehrsahme und bescheidene Matheus Schletz bratwurstmacher vnd burgers allhier, durch die gande gottes aufrecht gesunden gehend Vnd stehenden leibs (…)
Mittwochß d. 23. julÿ 1749. abends zwisch. vier vnd fünff uhre [unterzeichnet] Matthäus Schletz

Le conseil des Fribourgeois cite Matthieu Schletz à comparaître pour avoir préparé des cervelas et autres charcuteries. Matthieu Schletz nie en avoir fait et vendu. Le conseil se limite à lui enjoindre de respecter le règlement
1765 (19.1.), Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 168)
Mathias Schlätz der Bratwürstmacher
(f° 261) 1.te Gericht de 1765. Sambstag den 19. deß Monaths Januarÿ
Mathias Schlätz der Bratwürstmacher inn dem Finckhweiler allhier wohnhaft, citiret daß derselbe Cervelats vndt andere würste, so Ihme nicht Erlaubt, verfertiget undt Verkauffet, so wieder Ordnung vnd ortt: Zumahlen den von gn. Hh. denen XV. den 2. Maji 1761. ergangenen bescheid Handelt.
Citatus præsens, Sagt er habe keine Cervelats noch andere erbottene würste Verfertiget, Verlange auch niemahlen Kene dergleichen Zu machen noch feÿl Zu haben, bittet dahero absolutionem.
Erkanndt, pro nunc absolvirt, anbeÿ aber ahne die genaue observance der Ordnung Künfftig hin verwießen.

Matthieu Schletz devient cotisant ches les Fribourgeois pour pouvoir préparer et vendre des cervelas et d’autres charcuteries françaises
(f° 414) 1.te Gericht de 1771. Montag den 18.den Marty 1771 – Neu Geld Zfft.
Mathias Schletz der hiesige burger und Bratwürstmacher in dem Finckweiler gegen dem Wirthshauß Zum Goldenen Sternen hinüber wohnhaft, erscheinet dato vor Einem Ehrs. Gericht und bittet, Ihme gleich anderen hiesigen Bratwürstmachern Cervelats und andere dergleichen frantzösische Würste verfertigen und verkaufen zu dörffen, gerichtlichen Zu erlauben, mit dem Erbieten, daß Er sich beÿ dieser Ehrs. Zunfft pro Recognitione Geld Zünfftig machen auch derhalben jährlich 6 ß ane Stuben geld entrichten wolle.
Hierauff ist dato Erkant worden, seÿe demselben in seinem Gesuch Zu willfahren, Ihme aber nichts anders als Cervelats und dergleichen frantzösische Würste zu appretiren und zu verkauffen, beÿ Straf der Ordnung als Zu welcher genauen observantz Er hiemit verwiesen wird, verbotten seÿn solle
(Recept 2. lb 4 ß, Stubend. 6 ß, zusammen 2 lb 10 ß))

Marie Marguerite Klughertz fait son testament dans sa maison alors qu’elle est malade
1770 (14.8.), Not. Haering (6 E 41, 1378) n° 548
Testament – Zu wißen seÿe hiemitn daß Frau Maria Margaretha Schletzin geb. Klugshertzin H. Matthäus Schletz bratwurstmachers und burgers allhier Zu Straßburg Ehefrau (…) zu sich in deren am Finckweiler nechst der Zornen Mühl gegen dem Würths hauß Zum Sternen über gelegenen Behaußung beruffen Kommen und erbetten laßen, welche wir auff unser Erscheinen Zwar Krancken und schwachen Leibs in der Stube des ersten Stocks in einem Seßel sitzend angetroffen und Jedoch beÿ gutem Verstand, aufrichtigen Sinnen anzeigend (…)
auf Dienstag den 14. Augusti im Jahr der Gnaden 1776 Zwischen 8 und 9 uhr beÿ Zweÿ hellbrennenden Liechtern [unterzeichnet] Marg schletzin

Matthieu Schletz fait vendre des effets mobiliers dans une maison au Finckwiller
1784 (20.10.), Not. Lung (6 E 41, 1525) n° 88
Verkauf: und Erlös: Register über Herrn Mathäus Schletz, dem Brathwurstmacher und burger alhier Zuständige haußräthliche Mobilien und Effecten.
Anno 1784, Mittwoch den 20. Octobris, seind auf Ansuchen H. Mathäus Schletz, des Brathwurstmachers und burgers alhier, folgende Ihme Zuständige haußräthliche Mobilien und Effecten in eine ane dem Finckweiler gelegenen behaußung (…)ane dem letzt und Meistbietenden überlaßen worden als (…)
Summa vorherbeschriebener Völligen Markt; tags Loosung 277 fl., Hieraus wurde alsobalden bezahlt 12 fl, Nach deren Abgang, 265 fl.

Matthieu Schletz et Marie Marguerite Klughertz vendent la maison 350 florins au boucher Chrétien Leyer et à sa femme Marie Barbe Knoll

1784 (12.10.), Chambre des Contrats, vol. 658 f° 375-v
Matheus Schletz der bratwurstmacher und Maria Margaretha geb. Klugshertzin
in gegensein Christian Leÿer des metzgers und bratwurstmachers und Mariæ Barbaræ geb. Knollin unter assistentz Johann Carl Guckler des metzgers und Philipp Jacob Breu des perruquenmachers
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deßen begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten im Finckweiler nächst der zornen mühl einseit neben Mr Gänßhirt dem seiler, anderseit ist ein Eck ane der tränck, hinten auff den Mühlgießen – davon gibt mann löbl: Stadt Pfenning Thurn 5 lb 5 ß jährlich – mit den lichter formen samt schleiffstein wie auch der bratwurstmacher tisch und hau – um 700 gulden

Fils d’un vigneron de Schnaidt dans le grand bailliage de Schorndorf en Wurtemberg, Chrétien Leyer épouse en 1782 Eve Barbe Knoll native de Weissenburg am Sand en Bavière : contrat de mariage, célébration
1782 (22.1.), Not. Nenter (Georges Fréd. 6 E 41, 969) n° 205
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen der Ehrsame und bescheidene Christian Laÿhr, der leedige Metzger, Weÿland Jacob Laÿhr, des Weingärtners und Burgers Zu Schnaidt Schorndörffer Oberambts Würtenbergischer Jurisdiction ehelich erzeugter Sohn, beÿständlich H. Johann Stephan Schoor, des Metzgers und Burgers allhier, als Hochzeiter, ane einem,
so dann die Ehren: und Tugendsame Jgfr. Eva Barbara Knollin, Weÿl. Georg Michael Knoll, des geweßenen Ackersmanns und burgers zu Weißenburg am Sand ehelich erzeugte Tochter, beÿständlichen H. Johann Adam Fettinger des Metzgers und Burgers allhier, als hochzeiterin ane dem andern Theil
Actum Straßburg den 22. Januarii Anno 1782. [unterzeichnet] Christian Loÿhr als hochzeiter, + der Hochzeiterin selbst gemachtes handzeichen

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 81-v)
Im Jahr Christi 1782, Montags den 22. Aprilis, abends umb Fünff uhr, sind nach vorhergegangenen gewohnlichen Proclamationen (…) offentlich copulirt und ehelich eingesegnet worden, Christian Laÿer, lediger Metzger und burger allhier, von Schnaith, Schondorfer Oberamts, im Würtembergischen gebürtig, weÿl. Johann Jacob Maÿers gewesenen Weingärtners und burgers daselbst und auch weÿl. Frau Barbara geb. Birckenmeÿerin nachgelaßener ehl. Sohn, und Jgfr. Eva Barbara Knollin von Langen altheim, Hochfürtsl. Bischöffl. Eichstättischer Herrschafft gebürtig, weÿl. Johann Georg Knolls gewesenen Kübler Mstrs und burgers daselbst und Frau Maria Margaretha gebohrner Rößelin nachgelaßene ehl. Tochter [unterzeichnet] Christian Loÿr als hochzeitter, m Eva Barbara Knollin der hochzeiterin handzeichen (i 83)

Tous deux deviennent bourgeois l’année de leur mariage
1782, VI 370, 12 (Nouveaux bourgeois, 1781-1783) [p. 16]
Christian Lair et uxor

Chrétien Leyer devient tributaire à le Fleur le 27 avril 1782
1786, Registres annuels de la Taille (VII 1279) f° 83
Leÿer Christian jur. 27. Apr. 1782 (2 lb 17 ß)

Chrétien Leyer et Marie Barbe Knoll hypothèquent leur maison au profit du boucher Jean Charles Gæckler

1785 (25.1.), Chambre des Contrats, vol. 659 f° 31-v
Christian Leÿer der Metzger Bratwurstmacher und Maria Barbara geb. Knollin unter assistentz Philipp Jacob Braun des perruquenmachers und Johannes Reeb des fastenspeishändlers [unterzeichnet] Loÿer
in gegensein Fr. Barbaræ Gäckerin geb. Heÿdelin in dero nahmen ihr Sohn Johann Carl Gäckler des metzgers – zum bau hiernach beschriebener behausung, 400 gulden
unterpfand, anfangs gedachte behausung samt zugehörden im Finckweiler nächst der Zornen mühl, einseit neben Mr Gänßhirt dem seiler, anderseit ist ein Eck ane der tränck, hinten auff den Mühlgießen

Barbe Knoll meurt en 1804 en délaissant cinq enfants. L’inventaire est dressé dans la maison évaluée à 1 000 francs de capital

1805 (26 frimaire 14), Strasbourg 13 (23), Not. Bremsinger n° 2879
Inventaire de la succession de Barbe Knoll épouse de Chrétien Layhr saucissier. La défunte a délaissé cinq enfants 1. Abraham âgé de 23 ans, boucher, 2. Marie Barbe âgée de 21 ans, majeure assitée du Sr Grüninger, 3. Jacques âgé de 18 ans, 4. Elisabeth âge de 13 ans, 5. Salomée âgé de 10 ans, dont le tuteur subrogé est Jean Frédéric Grüninger saucissier (signé) laÿer
Contrat de mariage, Me Nenter le 22 janvier 1782 [extrait copié], pas d’inventaire des apports

dans la maison ci après détaillée
Propriété d’une maison appartenante à la communauté. Savoir une Maison petite cour avec toutes ses autres appartenances et dépendances le tout situé en cette ville de Strasbourg au finckweiler sous le N° 91 près du Moulin Zorn, d’un côté la De Kuntz veuve aux Bains dudit Finckwiller, d’autre formant le coin du côté de l’abreuvoir, derrière le Mühlgiesen faisant partie de la Rivière de la Bruche – chargé de 9 francs à la recette de la ville – la propriété est établie par actes passés à la Chambre des contrats le 12 octobre 1784, 25 juin 1748, 7 octobre 1738, 19 septembre 1720 – loué sans bail le premier étage au Sr François Goetz boulanger moyennant 20 fr, le reste occupé par le veuf et héritiers 21 fr – chargée d’une rente foncière 9 fr, total 50 fr de revenu en capital 1000 fr
propres des héritiers, meubles argenterie 159 fr, bague 2 fr, dettes actives 100 fr, remploi 340 fr, total 599 fr
propres du veuf 5 fr, remploi 763 fr, total 768 fr, don matutinal 100 fr, reste 668 fr
communauté : meubles, argenterie 629 fr, maison 1000 fr, dettes actives 3400 fr, total 5029 fr – passif 1413 fr, reste 3615 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 98 F° 50-v du 27 frim.

Chrétien Leyer passe un contrat de mariage avec Marguerite Salomé Stiegelmann, fille d’un boucher de Wasselonne. Le contrat est résilié quelques mois plus tard
1806 (13.2.), Strasbourg 13 (23), Not. Bremsinger n° 2942
Contrat de mariage – Chrétien Layer saucissier demeurant au Finckweiler sous n° 91 veuf d’Eve Barbe née Knoll
Marguerite Salomé Stiegelmann majeure domiciliée Place d’armes N° 1 fille de feu Pierre Stiegelmann, boucher à Wasselonne, et de feue Marguerite Ursule née Blessig
résiliation, 15 octobre 1806
Enregistrement de Strasbourg, acp 98 F° 158-v du 14.2.

Chrétien Leyer se remarie avec Ursule Ritter, originaire de Wibolsheim
1806 (17.12.), Strasbourg 13 (25), Not. Bremsinger n° 3445
Contrat de mariage – Chrétien Layer saucissier demeurant au Fiinckweiler n° 91 veuf d’Eve Barbe née Knoll sa première épouse
Ursule Ritter domiciliée en cette ville dans la susdite maison fille de feu Jean Ritter, cultivateur à Wibolsheim, et de Marguerite née Schaefer
Enregistrement de Strasbourg, acp 101 F° 111-v du 20.12.

Chrétien Layer vend à Sigebert Kopff et à Marie Barbe Layer une partie de sa maison (voir l’inventaire dressé en 1829)

1817 (28.8.), Strasbourg, Not. Lex
Chrétien Layer, saucissier ensemble trois enfants majeurs du premier lit et Ursule Reiter sa femme en secondes noces
à Sigebert Kopff, menuisier, et Marie Barbe Layer
une maison jardin aisances dépendances au Finckwiller n° 91, chargée d’une rente foncière annuelle de 10 fr – moyennant 800 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 135 F° 113-v du 28.8.

Chrétien Leyer meurt en 1817 en délaissant quatre enfants de son premier mariage et un du deuxième. Les héritiers cèdent la maison à Marie Barbe Leyer femme du menuisier Sigebert Kopf, la veuve se réservant la jouissance viagère d’une chambre

1817 (5.12.), Strasbourg 5 (44), Not. F. Grimmer n° 10.177
Inventaire de la succession de Chrétien Layr, ci devant saucissier décédé le 2 octobre dernier, à la requête d’Ursule née Ritter la veuve et des enfants et héritiers savoir 1. Marie Barbe née Layr épouse de Sigebert Kopf menuisier demeurant dans ladite maison, 2. Elisabeth née Layr épouse de Georges Caspar Lindemann faiseur d’instruments demeurant rue du Jeu des enfants n° 4, 3. Jacques Layr saucissier majeur non marié demeurant Faubourg de Pierre n° 9, 4. Salomé Layr majeure non mariée demeurant en la maison mortuaire, les quatre enfants procréés du premier mariage avec Eve Barbe née Knoll,
5. la veuve tutrice naturelle et Jean Léonard Müller charcutier demeurant au Finckwiller n° 92 tuteur subrogé de Caroline 8 ans, unique enfant du second mariage – contrat de mariage reçu Me Bremsinger le 17 décembre 1806, il n’a pas été dressé d’inventaire des apports

(vacation du 31 mars, acp 138 F° 93 du 1.4.)
Propriété d’une maison et dépendances, savoir 21/40 par indivis d’une maison et petite cour avec toutes ses autres appartenances, droits et dépendances le tout situé en cette ville au Finckwiler n° 91 près du moulin Zorn, d’un côté les époux Kopf, d’autre présentement Sr Müller, derrière le Mühlgiesen faisant partie de la rivière de la Bruche – propriété constatée par quatre actes d’achat allégués au f° 5 de l’inventaire maternel des héritiers et dont la petite maison, jadinet et moitié de la cour ont été vendus auxdits époux Kopf par acte reçu Me Lex le 22 août dernier. Laquelle propriété occupée par les veuve et héritier estimée à 50 fr de revenu en capital 1000 fr, la partie 525 fr. Dans ladite propriété les intéressés participent savoir pour bien maternel suivant susdit inventaire 20/200, pour bien fraternel de la succession d’Abraham Layr décédé à Tolède en Espagne le 17 novembre 1810 pour 3/200, plus pour bien paternel 21/200 ensemble ladite De Kopf 44/200 et chacun des cohéritiers du premier lit 11/50 ladite héritière du second lit 33/50 pour bien paternel pour bien fraternel 6/50
Enregistrement de Strasbourg, acp 136 F° 174-v du 6.12.
le 24 décembre (acp 137 F° 39 du 2.1.) Lesdits héritiers ne voulant rester en communauté, cèdent aux époux Kopf les 39/50 dans ladite propriété de maison pour 780 francs, Mais attendu que suivant l’art. 4 du contrat de mariage la veuve a la jouissance viagère de la moitié de la succession, il a été convenu que ladite veuve aura et conservera tant et si longtemps qu’elle restera dans le veuvage la jouissance viagère et gratuite d’une chambre aux mansardes bien fermée et garnie d’un fourneau aux frais desdits acquéreurs
total des meubles 3203 fr, dont communauté 1370 fr, aux héritiers 744 fr, total général de l’héritage paternel 1269 fr

Originaire de Schœnberg près de Gengenbach en Bade, Sigebert Kopf épouse en 1810 Marie Barbe Leyer
1810 (23.6.), Strasbourg 5 (31), Not. F. Grimmer n° 6360
Contrat de mariage – Sigebert Kopf, menuisier, fils majeur de Jean Kopf, journalier à Schoenberg Pays de Geroldseck et de feu Susanne née Füs
Marie Barbe Layer, fille majeure de Chrétien Layer, saucissier et de Eve Barbe née Knoll
Enregistrement de Strasbourg, acp 115 F° 7-v du 23.6.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison Leyer

1810 (16.10.), Strasbourg 5 (32), Not. F. Grimmer n° 6561
Inventaire des apports Siegebert Kopff menuisier et de Marie Barbe née Layer, contrat de mariage passé le 23 juin 1810
domiciliés quartier du finckwiler n° 91
la femme 511 fr, le mari 300 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 115 F° 153-v du 16.10.

Marie Barbe Leyer meurt en 1828 en délaissant une fille. L’inventaire est dressé dans la maison acquise par deux contrats passés en 1817

1828 (7.5.), Strasbourg 8 (nouv. cote 45), Me G. Grimmer n° 2199
Inventaire de la succession de Marie Barbe Leyer femme de Sigisbert Kopf, menuisier à Strasbourg décédée le 16 novembre dernier – à la requête de 1. ce dernier tuteur de Sophie sa fille âgée de 8 ans et demi, 2. Georges Lindemann, luthier subrogé tuteur – Contrat de mariage reçu Me Grimmer le 23 juin 1810
Immeubles. Inventaire de la succession de Chrétien Leyer, saucissier père de la femme Kopf, dressé par Me Grimmer le 5 décembre 1817, recueilli dans la succession et dans celle d’Eve Barbe Leyer née Knoll sa mère et Abraham Leyer décédé à Tolède son frère 11/50 par indivis dans une maison au Finckwiller n° 91 plus amplement décrite ci après, revenu de 50 fr, capital de 7000 faisant pour les 11/50, 220 fr
Communauté, immeubles. Inventaire de la succession de Chrétien Leyer ses enfants du premier lit nommés Elisabeth femme du Sr Lindemann, Jacques Leyer majeur Salomé et Ursule Ritter veuve en secondes noces se portant fort Salomé enfant du second lit, vendirent aux conjoints Kopff les 39/50 par indivis dans une maison sise au Finckwiller n° 91 près du moulin Zorn, d’un côté les époux Kopf, d’autre le Sr Müller, par derrière le Mühlgiessen dont la défunte possédait aussi 11/50, estimée 780 fr
par contrat reçu Me Lex le 22 août 1817 Chrétien Leyer, père de la défunte sous l’autorisation d’Ursule Ritter, Elisabeth et Salomé Leyer ses enfants du premier lit vendirent aux mariés Kopf une une maison sise à Strasbourg au n° 91 Finckwiller, un jardinet, la jouissance de la moitié de la cour attenante par devant au Finckwiller, derrière à la rivière, d’un côté la maison dont il vient d’être parlé d’autre Jean Léonard Müller pour 800 francs
cet immeuble qui ne forme aujourd’hui qu’un seul bâtiment avec la maison d’autre part désignée est grevé d’une rente foncière de 10 fr envers la ville de Strasbourg
Par acte reçu Grimmer soussigné notaire le 12 décembre 1826 les conjoints Kopf ont acquis de Françoise Thiebold veuve d’Antoine Knoepfler cordonnier à Lauterbourg une maison à rez de chaussée et un étage consistant en bâtiment de devant et autre de derrière avec cour, puits, aisances et dépendances sise à Strasbourg au quartier dit Finckwiller sous n° 75 et 81 entre le Sr Diemert et la veuve Bonnet, vis à vis l’auberge à la Mouche, derrière partie le Sr Diemert partie sur le cabaret à l’étoile, estimée 5800 francs
total 367 fr – garde robe 47 fr
Communauté mobilier 477 fr, ensemble de l’actif 7857 fr, passif de la communauté 11.748 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 189 F° 102-v du 16.5.

Sigisbert Kopf se remarie avec Lutgarde Moog, originaire de Reichenbach en Bade en apportant deux maisons sises au Finckwiller
1836 (30.12.), Strasbourg 7 (91), Me Stoeber n° 17 148
Contrat de mariage, communauté réduite aux acquets – Sigisbert Kopf, menuisier, veuf en premières noces avec un enfant de Barbe Leyer
Ludgarde Moog, majeure, fille de Georges Moog, journalier à Reichenbach (Grand Duché de Bade) et de Thérèse Kopf

5. le futur époux apporte en mariage, 3. une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg l’une place des Moulins n° 91 d’un côté Sr Wagner d’autre un coin, la moitié de cette maison appartient à l’enfant issu du premier lit comme étant aux droits de sa mère, estimée 6000 fr
4. une autre maison avec cour, appartenances & dépendances sise aussi à Strasbourg place des Moulins n° 81 d’un côté Sr Kuhn d’autre les Sr Koehr & Fritz, cette maison ainsi que la précédente a été acquise par le futur époux durant la communauté avec sa première épouse, estimée 4000 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 246 F° 61-v du 2.1.

Sigisbert Kopf et Lutgarde Moog hypothèquent leurs quatre maisons non loin les unes des autres au Finckwiller

1843 (30.12.), Strasbourg 8 (66), Me Zeyssolff n° 2002
Obligation et subrogation – Ont comparu Mr Sigisbert Kopf, menuisier, & De Ludgarde Moog, sa femme, De Sophie Kopf, épouse du Sr Théophile Kieffer mécanicien, présent, les Dames dûment assistées & autorisées de leurs maris respectifs, tous demeurant & domiciliés à Strasbourg (devoir)
à Mr Jean Jacques Stotz, propriétaire demeurant & domicilié à Strasbourg, la somme principale de 18.000 francs
hypothèquent les immeubles ci-après désignés, situés à Strasbourg au quartier finckwiller savoir
1° Une maison autrefois auberge avec enseigne à l’étoile d’or place des moulins N° 80, d’un côté vers le moulin, la place des moulins, de l’autre le Sr Hellbringer, pardevant la rue, par derrière communal & le dit Sr Hellbringer
2° Une maison avec cour, pompe, remise & dépendances, même place & numéro, d’un côté la maison ciaprès désignée sous l’article trois, de l’autre le Sr Bill, par devant communal & le sieur Hellbringer, par derrière le Sr Fritz.
3° Une maison consistant en bâtiment de devant & un autre de derrière, cour, puits, aisances & dépendances, même place N° 75 & 81, d’un côté le Sr Kuhn, de l’autre en partie le Sr Fritz & en partie la propriété décrite sous l’article deux donnant par devant sur la rue vis à vis l’auberge à la Mouche & parderrière la rue
4° Une maison à rez de chaussée, deux étages, combles & mansardes, aisances & dépendances, même place N° 91, d’un côté le Sr Ebel, farinier, de l’autre communal, par devant la rue par derrière la rivière d’Ill.
Les débiteurs déclarent que les immeubles prédésignés leur appartiennent en toute propriété aux titres suivants savoir les articles 1 & 2 ont été acquis par les époux Kopf durant la communauté qui subsiste entre eux suivant procès verbal d’adjudication définitive dressé par Me Noetinger & son collègue notaires à Strasbourg le 22 février 1840 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 30 mars suivant volume 362 N° 38
L’article 3 a été acquis durant la communauté qui a subsisté entre le Sr Kopf et feue De Barbe Leyer son épouse en premières noces don Mme Kieffer est seule et unique héritière aux termes d’un contrat passé devant Me Guillaume Grimmer lors notaire à Strasbourg & son collègue le deux octobre 1826 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 24 du même mois volume 185 N° 21
Et l’article quatre appartient en partie au Sr Kopf et en partie à sa fille Mme Kieffer ainsi qu’il résulte de l’inventaire de la succession de Mde Kopf née Leyen dressé par Me Guillaume Grimmer lors notaire à Strasbourg susnommé le 7 mai 1828 enregistré

Lors de la liquidation, la maison sise 5, rue du Bain-Finckwiller revient à Sophie Leyer

1860 (2.3.), Me Noetinger
Liquidation et partage I. de la communauté de biens qui a existé entre Sigisbert Kopff, menuisier, et Marie Barbe Leyer sa femme à Strasbourg
II. de la succession de la De Kopff née Leyer décédée le 16 novembre 1837
III. de la communauté qui a existé entre ledit Sr Kopff et Lutgarde Moog sa femme en secondes noces
IV. de la succession dusit Sr Kopff décédé le 16 septembre 1859,
dressé entre I. Lutgarde Moog, veuve en secondes noces du défunt, agissant 1) comme commune en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Stoeber J. le 30 décembre 1836, 2) comme créancière de ladite communauté, 3) comme donataire d’un quart en propriété de la succession de son mari
II. Sophie Kopf épouse de Théophile Kieffer, mécanicien à Strasbourg, seul enfant issu du premier mariage

I. Communauté Kopf-Leyer. Mase active. Celle mobiliere a déjà été liquidée par acte reçu Boersch le 5 juin 1840
Masse immobilière, 1) Une maison à Strasbourg rue des bains finckwiller N° 5 d’un revenu de 700 francs mais estimé ci 15.000
2) Une maison rue esbns du finckwiller N° 6 d’un evenu de 900 francs mais estimée ci à 16.000, total 31.000
Masse passive 22.997, reste un actif de 8003, moitié 4001
Succession de la De Kopf née Leyer, garde robe 47, reprises 1211 (total) 1258
Communauté, mobilier estimé 477, passif, reprises de la défunte 1258 reprises du veuf 200, frais d’inventaire 36 (total) 1017, (moitié) 508, droits de succession 52, (total) 561 – Reste 696
Masse immobilière, bonification à faire 280, moitié de la communauté 4001 (total) 4281
2° Communauté Kopf-Moog. Masse active, maison 590, rapport de la De Kieffer 1200
Une maison rue du Bain finckwiller N° 20, Une autre même rue N° 8, réunies en une seule, estimée à 16.000
Récompense dues par la veuve à la communauté pour frais de construction 4717 (total) 22.507
Passif, Il est dû remploi aux époux 1) à la succession d’après le contrat de mariage 2700 mais a compte de cette comme on a payé es dettrs qui la grevoit 1000, Il revient à la succession 1600, 2) à la veuve, son apport en mariage 1600, héritage constaté 262 (total) 1862, dette hypothécaire 7000 (total) 10.462, l’actif étant de 22.507 reste 12.044
Succession de M. Kopf. Masse active, moitié du bénéfice de la 1° communauté 1001, moitié du bénéfice de la 2° communauté 6022, reprises 1600, garde robe 167, total 111.790 – déduire frais de maladie 696, reste 11.094
dont ¼ à la veuve 2773, ¾ à la fille 8320
Droits des parties en abandonnements. Il revient à la veuve 1) les reprises, 2) moitié des bénéfices de la 2° communauté 6022, 3) ¼ de la succession de son mari 2773, total 10.658
Pour la remplir elle reçoit 1) la maison rue des bains finckwiller N° 6 (…)
Mme Kieffer a droit 1) à l’actif de la succession de sa mère 4281, 2) dans la succession de son père 8320 (total) 12.602
Pour la remplir elle reçoit 1) la maison rue du bain finckwiller n° 5
2) la maison dite rue N° 10
acp 486 (3 Q 30 201) f° 26 du 9.3. (succession déclarée le 9 mars 1860 n° 90) Corrections des droits en marge

Sophie Leyer épouse en 1840 le mécanicien Jean Théophile Kieffer, originaire de Knielingen en Bade, près de Karlsruhe
Mariage, Strasbourg (n° 303)
Du 28° jour du mois de juillet l’an 1840. Acte de mariage de Jean Théophile Kiefer, majeur d’ans, né en légitime mariage le 15 avril 1808 à Knielingen, grand Duché de Bade, domicilié à Strasbourg, Mécanicien, fils de Conrad Kiefer, cultivateur, et de Christine Barbe Kiefer, conjoints domiciliés à Knielingen, et de Marie Sophie Kopf, majeure d’ans, née en légitime mariage le 27 mars 1819 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de Sigisbert Kopf, Menuisier, domicilié en cette ville ci présent et consentant, et de feu Marie Barbe Layer, décédée en cette ville le 16 novembre 1827 (signé) Johann Gottlie Kiefer, Maria Sophia Kopf (i 20)

Le typographe Jean Henri Louis Kayser acquiert en 1868 la maison voisine (n° 7) puis en 1883* le n° 5. Originaire de Bruchmachtersen, aujourd’hui partie de la ville de Salzgitter en Basse-Saxe, Jean Henri Louis Kayser épouse en 1868 Madeleine Kempf, native de Soultz-sous-Forêts

Mariage, Strasbourg (n° 175)
Du 4° jour du mois d’avril 1868. Acte de mariage de Jean Henri Louis Kaiser, majeur d’ans, né en légitime mariage le 20 mars 1833 à Bruchmachtersen, duché de Brunswick, domicilié à Strasbourg, typographe, fils de Henri Jules Chrétien Kaiser, bordier, et de Ilsé Dorothée Henriette Hagemann, conjoints domiciliés à Bruchmachtersen, et de Madeleine Kempf, majeure d’ans, née en légitime mariage le 14 décembre 1832 à Soultz sous Forêts (Bas Rhin) domiciliée à Strasbourg sans profession, fille de Jacques Kempf, cocher domicilié à Strasbourg ci présent et consentant, et de feu Madeleine Dietz décédée à Soultz sous Forêts le 19 août 1840 (signé) H. Kayser, M. Kempf (i 24)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.