7, petite rue d’Austerlitz


Petite rue d’Austerlitz n° 3 – IX 90 (Blondel), O 758 puis section 17 parcelle 83 (cadastre)

Maître d’ouvrage, Jacques Klein, fabricant de cadres (1860)

Austerlitz (Petite rue d’) 3 (février 2015)
Le numéro 3 est la maison à crépi blanc (février 2015)

Proche de l’auberge à l’Ours Noir qui forme le coin de la rue devant la porte des Bouchers, la maison qui comprend un jardin a son entrée face au rempart de la Ville. Sauf entre 1676 et 1686, elle appartient à des bouchers (1654-1745) puis à un farinier qui devient par la suite cocher. D’après sa description en 1767, la maison comprend un bâtiment arrière où se trouve une écurie et une remise. Jean Frédéric Birckicht l’achète en 1770 et y établit sa teinturerie (six chaudrons et une calandre en 1806). Les héritiers cèdent en 1816 un terrain au propriétaire du 15, rue d’Austerlitz puis revendent la maison en 1839 à un tanneur, Charles Guillaume Kœnig.

210 Elevations (a-f)
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 210

L’Atlas des alignements signale en 1829 un bâtiment à rez-de-chaussée et un étage en maçonnerie surmonté d’un deuxième étage médiocre en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue se trouve de part et d’autre du repère (b) et se termine au repère (c). La porte cochère signalée par le cadastre s’ouvre sous le bâtiment de gauche, le bâtiment de droite comprend deux portes ordinaires. La cour (U’) montre entre (1) et (16) l’arrière du bâtiment à porte cochère, entre (13) et (14) l’arrière du bâtiment de droite. Les bâtiments de la propriété voisine occupent le côté gauche de la cour (1-3), un mur en forme l’arrière (3-4). Le côté droit est bordé de plusieurs bâtiments qui forment saillie, l’édicule (5-8), la maison (9-12) prolongée par le bâtiment (12-13). La remise (14-16) est adossé contre la maison de droite. Le cadastre signale dès son ouverture (1840) quatre fenêtres au troisième étage.

210 Cour U'
Cour (U’)
Plan des cours (U’) et (T’) – Plan joint à la cession du terrain teinté de rose (1860, dossier de la Police du Bâtiment

210 Plan (cours TU) 1836Plan 1860 (644 W 3)

Jacques Klein qui vient d’acquérir la maison la fait démolir en juin 1860 et en reconstruit une nouvelle après avoir acquis de la Ville une bande de terrain en arrière de l’alignement légal. La parcelle est ensuite modifiée après le percement de la rue Klein qui passe sur une partie du terrain originel.

mars 2015

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1643 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

1654 v Melchior Kamm, boucher, et (1649) Barbe von der Bruck – luthériens
1676 v Jean Jacques Frantz, aubergiste au Cerf, et (1673) Anne Madeleine Kœrner – luthériens
1685 v Michel Fruth, boucher, et (1677) Barbe Hellberger femme (1669) puis veuve de Jean Henri Pfeffinger – luthériens
1710* h Jean Frédéric Pfeffinger, boucher, et (1694) Susanne Fruth – luthériens
1745 v Jean Nonnenmann, farinier puis cocher, et (1743) Anne Marie Prœsamlé, d’abord mari (1730) d’Anne Marguerite Reichard – luthériens
1770 v Jean Frédéric Birckicht et (1767) Marie Salomé Presamlé puis (1806) Madeleine Dillinger – luthériens
1824 h Louis Liernur, coiffeur, et (1796) Marie Marguerite Birckicht
1839 v Charles Guillaume Koenig, mégissier, et (1814) Joséphine Simon
1861* v Jacques Klein, fabricant de cadres
1894* v Société Immobilière de Strasbourg, société anonyme

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 900 livres strasbourgeoises en 1731 et en 1767

(1765, Liste Blondel) IX, 90, Jean Nonnemann
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Bürkig, 11 toises, 3 pieds et 1 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 758, Lierner, Louis, veuve place des Orphelins 14, maison, sol – 6,75 ares (puis Koenig Charles Guillaume)

Locations

1683, Jean Georges Bühl, boucher
1736, Jean Frédéric Pfeffinger, boucher, et Susanne Dorothée Beck
1768, Chrétien Gintzroth, sellier
1773, Abraham Mœrdel, chandelier
1781, Jean Christophe Meyer, messager
1785, Jean Frédéric Acker, pasteur luthérien de Bischwiller
1790, (remise) Simon Zollickoffer le jeune, marchand
1806, Jean Charles Birckicht, teinturier
1809, Jean Geoffroi Birckicht, teinturier
Voir aussi l’état des locataires aux inventaire après décès de 1814 et 1820

Localisation sur le plan Blondel (1765)

Directeurs fonciers (Bauherren)

1691 Directeurs fonciers (VII 1374)
Michel Fruth demande l’autorisation de faire passer sous la rue un égout qui raccorderait sa maison au fossé des Orphelins. Comme les préposés exigent qu’il verse un loyer en compensation, il renonce à son projet.

(f° 36) Mittwoch den 13. Junÿ. Michel Fruth – Ferner auff anhaltten Michel Fruthen des Metzgers augenschein eingenommen hinder den Mauren, Zwischen dem Metzgerthor und dem Uthenthörlein, allwo er auß seinem stall einen tholen under der gassen hinauß wölben laßen, und inn den Alten stattgraben richten woltte, ist 36. schu lang. Erk. bedacht.
(f° 37) Dienstags den 19. ejusdem [Junÿ] Michel Fruth – Inngleichem ist Michel Fruthen mit dem begehrten dohlen Willfahrt worden, soll Jährlich 1 lb d. darvon geben.
(f° 39-v) Dienstags den 3. Julÿ. Michel Fruth -Michel Fruthen dem Metzger, ist die den 19. Junÿ jüngsthin ergangene Erkanntnus angezeigt worden, daß ihme erlaubt seÿe seinen dohlen durch die Stattmaur Zumachen, dauor er Jährlich 1. lb. bodenzinß geben sille. Er aber wollte sich Zu nichts verstehen, und erclärte sich den dohlen lieber nicht Zumachen.

Description de la maison

  • 1767 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres et cuisines, le comble est couvert de tuiles plates, il y a en outre une cave solivée, un puits et un bâtiment arrière qui comprend une écurie, une remise, un fenil et un comble aussi couvert de tuiles plates. Le tout est estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 800 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Rue du fossé des Orphelins

nouveau N° / ancien N° : 1 / 14
Birckigt
Rez de chaussée et 1° étage en maçonnerie le 2° étage en bois médiocre
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 244 case 3

Koenig Charles Guillaume, place des orphelins N° 14

O 758, maison, sol, place des orphelins 14
Contenance : 6,75
Revenu total : 201,51 (198 et 3,51)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 58 / 46
fenêtres du 3° et au-dessus : 4 / 3

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 982 case 1

Koenig Charles Guillaume
1861 Klein Jacques, Fabricant de Cadres, rue militaire de l’hopital 6
94/95 Strassburger Immobilien Gesellschaft

O 758, maison, sol, Petite rue d’Austerlitz 3
Contenance : 6,75
Revenu total : 201,51 (198 et 3,51)
Folio de provenance : (244)
Folio de destination : Démolition en juin 1860
Année d’entrée :
Année de sortie : 1861
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 58
fenêtres du 3° et au-dessus : 4

O 758, sol
Contenance : 6,75
Revenu total : 201,51 (198 et 3,51)
Folio de provenance : (244)
Folio de destination : 982-I & z. d. Wegen
Année d’entrée :
Année de sortie : 1882

O 758, maison, Petite rue d’Austerlitz 3
Revenu total : 1074 (841,77)
Folio de provenance : 982 aug. de Con
Folio de destination : 982-I, 983-II
Année d’entrée : 1865
Année de sortie : 1875
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 100
fenêtres du 3° et au-dessus : 57

Diminutions, 1861 – Koenig Charles f° 982, O 758, Maison, revenu 198, Démolition en Juin 1860, supp.en 1861
Augmentations, 1861 – Klein Jacques f° 982, O 758, Maison, revenu 860, C.on N.lle, achevée en 1860, imposable en 1863, imposée en 1863

O 758.p, maison, Kleine Metzgergasse
Revenu total : 838 (842,39)
Folio de provenance : Rest
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1875
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 81 / 65
fenêtres du 3° et au-dessus : 46 / 37

(après détachement du terrain au-delà de la rue Klein)
O 758, sol
Contenance : 6,39
Revenu total : 3,32
Folio de provenance : 982
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1882
Année de sortie :

Cadastre allemand, registre 29 p. 203 case 3

Parcelle, section 17, n° 83 – autrefois O 737.p, O 758.p
Canton : Kleingasse u. Kleine Metzgergasse Hs. N° 8 bz. 3 – Rue Klein 8 et Petite rue d’Austerlitz 3
Désignation : Hf, Whs u. N.G.
zu Kleingasse N° 6, Skizze 24, Whs e.n.a. T., zu Parz. 82, 81 (498)
Contenance : 7,01
Revenu : 7000 – 8500
Remarques :

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1936), compte 95
Strassburger Immob. Gesellschaft
1927 Société Immobilière société anonyme
1936 clos

(Propriétaire à partir de l’exercice 1936), compte 3613
Vincent Adelheid
1920 Ulrich Kurt Rentner Ehefrau geb. Vincent
1922 Société Immobilière de Strasbourg société anonyme
Strassburger Immobiliengesellschaft / Société Immobilière de Strasbourg
(481)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IX, Rue Derrière le Murs, près la place Dauphine (p. 474)
(maison n°) 14

Pr. Bürckicht, Jean Frédéric, Teinturier – Drapiers
loc. Metz, Michel – Manant
loc. Vouillarmet, Claude André, Bourlier – Tanneurs
loc. Mulse, Odile
loc. Duval, Antoine – Manant
loc. Baltz, veuve 4 enfant – bouchers
loc. Rummel, André, menuisier – Charpentiers
loc. Danner, Jean Michel, bouchers
loc. Judenhutt, Louis – Tailleurs
loc. Klein, Daniel – bouchers
loc. Prosé, Daniel, Manant

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Kl. Metzgerstraße (S. 114)

(Haus Nr) 3
Bernhard, Tuchhändler. 0
Kiefer, Metzger. 0
Wilde, Wwe. 0
Bordisser, Kaufmann. 1
Walther, Werkführer. 1
Schnitzler, Rentnerin. 2
Surber, Wwe. 2
Woynke, Lehrerin. 2
Baum, Schutzmann. 3
Grossmann, Laz.-Insp. 3
Anstett, Rentner. 3
Grötz, Steueramts-Assist. 3
Paul, Wwe. 3
Senge, Buchhalter. 3
Dussler, Metzger. H 0

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 644 W 3)

Petite rue d’Austerlitz 3 et 8 rue Klein
Le propriétaire renconstruit en 1860 la maison en acquérant de la Ville une bande de terrain en arrière de l’alignement légal. Le dossier ne signale qu’une activité professionnelle, celle du maître tailleur Meier en 1886. Le dossier est par ailleurs constitué des pièces habituelles (demandes de ravalement, rapports de la Commission contre les logements insalubres). Les vingt-et-une familles de locataires, inquiètes des projets d’achat de l’immeuble par un cabinet immobilier en 1986, adressent un courrier au Maire. Le cabinet revend la maison quelques années plus tard.

Sommaire
  • 1860 – Le maître maçon Oberholtz demande au nom du propriétaire, le sieur Klein, l’autorisation de reconstruire le bâtiment dans l’alignement selon le dessin joint [manque], d’établir une clôture provisoire sur la voie publique et de raccorder les canalisations à celles de la Ville.
    Rapport de l’agent-voyer. La demande du Sr Oberholtz est régult. établie. La façade de la maison actuelle est en retrait de l’alignement, celui à suivre pour la reconstruction est indiqué par une ligne rouge AB, approuvé par arrêté préfectoral en date du 26 mai 1860, en suite de la demande de modification d’alignement demandé pour le pétitionnaire.
    Par suite de ce tracé le Sr Klein aurait à acquérir de la Ville le terrain teinté en rose, renfermé entre les lettres BCDE, d’une superficie de 13,10 mètres carrés que j’estime à 12,00 fr. le mètre carré (prix admis jusqu’à ce jour pour terrains acquis ou cédés dans les rues de cette importance), ce qui fait la somme de 157,20 fr. que le Sr Klein aurait à payer à la Ville.
    La largeur de la voie publique vis à vis de cette maison est fixée à 8 m 60.
    Le projet présenté offre les garanties voulues de sûreté et de salubrité et la hauteur totale de la nouvelle façade n’atteint pas celle réglementaire. Il y a un égout communal dans cette rue mais point de trottoirs devant les maisons. En raison de la largeur de la voie publique, il y a lieu de permettre au pétitionnaire d’établir une clôture provisoire, fesant saillie de 1 mètre à partir du nû du mur de la façade. Strasbourg le 9 Juin 1860 (signé) Komler
    Il y a lieu d’arrêter les dispositions suivantes.
    Considérant que par arrêté préfectoral en date du 26 Mai 1860 l’alignement de cette rue a été modifié.
    Qu’en suite de cette modification le Sr Klein aura à acquérir de la Ville une surface de terrain de 13,10 mètres carrés dont l’aliénation a été autorisée par arrêté préfectoral en date du 9 Juin courant au prix de 157,20 fr.
    Arrêté. La demande du Sr Klein est accueillie sous les conditions de l’arrêté N° 1587, avec les modifications suivantes
    § 2. La nouvelle façade sera placée dans l’alignement partant des extrémités des maisons N° 1 et 3. Cet alignement sera tracé sur place par l’Agent voyer de la Ville.
    § 3. La hauteur sera de 15,25 m.
    § 5. Les saillies seront celles fixées pour les rues de plus de 8,00 m de largeur.
    Clôture provisoire. Arrêté N° 504 en fixant la largeur à 1,00 m de la façade & la durée à 3 semaines.
    L’ingénieur municipal ((signé) Lornier
    (Pièce jointe) Plan annexé au rapport de l’Agent-voyer de la Ville sur la pétition du Sieur Oberholtz au nom du Sieur Klein demandant la modification de l’Alignement de la petite rue d’Austerlitz. Strasbourg le 8 Mars 1860.
  • 1886 – La Police du Bâtiment constate que le maître tailleur Meier a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire. Demande (libellé, Civiel u. Meliter Schneider) – Autorisation
  • 1894 – La Police du Bâtiment demande au propriétaire, Jacques Klein (domicilié 9, rue Fritz), de faire ravaler la façade. La Ville constate que le propriétaire est la société immobilière Société générale, présidée par Jacques Klein.
    1895 – Autre lettre, adressée à la société immobilière – Travaux terminés, novembre 1895
  • 1909 – Rapport sur un incendie qui s’est déclaré dans une pièce au rez-de-chaussée
  • 1912 – La Police du Bâtiment demande à la Société immobilière de Strasbourg (Strassburger Immobilien-Gesellschaft, 9, rue du Dôme) de faire ravaler la façade. La Société répond que les murs sont en bon état mais qu’elle est disposée à faire repeindre les volets. La Police du Bâtiment demande que le soubassement soit remis en état. – Travaux terminés, octobre 1913
    1913 – Autorisation de réparer le soubassement, accordée à titre de régularisation une fois les travaux terminés
  • Commission contre les logements insalubres – 1905. Les cabinets d’aisance sont en bon état
    Commission des logements militaires, remarques en trois points
    1920. Les orphelins signalés dans une liste ne sont plus en pension chez les personnes indiquées. Une locataire de 30 ans meurt de tuberculose.
  • 1916 – Un locataire (J. Scholving) se plaint de l’obscurité de sa cuisine. Après s’être rendue sur place, la Police du Bâtiment estime que la plainte n’est pas fondée.
  • 1936 – La Police du Bâtiment constate que O. Weiss a posé sans autorisation une antenne radio entre les 2 et 3 petite rue d’Austerlitz. Novembre, l’antenne ne traverse plus la rue mais court le long de la corniche. Dossier classé.
  • 1964 – La Fédération des locataires du Bas-Rhin, agissant au nom du locataire Emile Muller, signale une cheminée fissurée. Le propriétaire est Robert Hærtel, domicilié chez Taglang à Sélestat. La Police du Bâtiment ne constate aucune anomalie apparente mais recommande au propriétaire de faire vérifier la cheminée par une entreprise spécialisée
    1965 – L’entreprise Alchemine certifie avoir chemisé la cheminée
  • 1966 – Robert Hærtel, domicilié à Sélestat, est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique (travaux de crépissage)
  • 1972 – Un locataire se plaint qu’un plafond menace de s’effondrer (propriétaire, Hærtel, 120, rue des Moines à Paris XVII°). La Police du Bâtiment se rend sur place, le locataire se chargera de la réfection
  • 1986 – Le notaire Paul Philippe Heinrich (place Broglie à Strasbourg) demande des renseignements d’urbanisme concernant la parcelle 83 de la section 17 (3, petite rue d’Austerlitz et 8, rue Klein) – Extrait du plan cadastral
    1986 – Les 21 familles de locataires, rassemblées dans l’association U.LO.K.AU, qui constituent une sorte de village s’inquiètent des travaux que projette le futur propriétaire, le Cabinet France Immobilier. La Division II fait remarquer que la Ville ne peut plus intervenir puisqu’elle a renoncé à son droit de préemption, elle signale une affaire comparable au 13, rue Sainte-Hélène.
    1987 – Le notaire Paul Philippe Heinrich fait une nouvelle demande, le propriétaire étant le Cabinet France Immobilier
    1990 (février puis avril) – Le notaire Paul Philippe Heinrich fait une nouvelle demande, le propriétaire étant la S.N.C. du Centre
  • 1990 – Le propriétaire d’un appartement demande une visite de sécurité. La visite des lieux constate que les échelles des sapeurs-pompiers ne peuvent pas atteindre certains logements aménagés dans les combles suite à la réhabilitation. Le rapport recommande de faire certains travaux.

Relevé d’actes

Les enfants de Christophe Friess, habitant à Emmerich en Rhénanie, et la femme de Jacques Müller de Kehl vendent 550 livres la maison au boucher Melchior Kamm et à sa femme Barbe von der Bruck

1654 (29. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 516 f° 457
(Prot. fol. 68.) Erschienen H Hannß Wörner, alß auß E.E. Kleinen Rhats mittel, ahne statt weÿl. Christoph Frießen deß leutenants in Niderland, nunmehr seel. nachgelaßener Zu Emmerich vffhaltende döchter, insonderheit Deputirt, mit beÿstand Georg Seÿlers deß Meelmanns, alß Gewalthabers Sebastian Stigenbockhß Burgers Zu besagtem Emmerich seines Schwagers, alß der auff ihr dero Frießisch. Schwestern Antheil nachgemelter Behaußung angewieß. word. seÿe (…), Ferners Catharina, Jacob Müllers Zu Keel Eheweib, mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts, und hannß Christoph Müllers ihres eheleiblich. Sohns
in gegensein Melchior Kammen deß Metzgers und Barbaræ seiner ehelich. haußfr., mit beÿstand hannß Friderichs von der Bruckh deß Thuchscherers ihres eheleiblich. Vatters
hauß, hoff, hoffstatt, Stallung, Gärtlin, Bronnen, mit allen deren Gebäwen & alhie am Metzigthor, hinder der Mauren einseit theilß neben David Kammen theilß neben hannß Kammen beede Metzger, anderseit neben H Caspar Rüsters alten Kleinen Rhats Verwanthen, hind. vff hannß Müllern alten groß. Rhats verwanthenn und theilß vff hannß Pantheln stoßend gelegen, so verhafftet ist umb 125. lib H Joh: Rudolph Saltzmann sem ältern, Med. Doctori & Professori, statt Physico, senioris, und der Stifft St. Thoman Decano (übernohmen) – umb 425. lb
[in margine :] Erschienen H. Johann Wohl, Medicinæ Doctor Zu König. d. Edlen Thumb von Newburg gehörig, alß in Krafft eines sub dato König. am Neckar den 22.tius nechstien mit Ihr der Edlen Thumben, vffgetruckhten adelich. Insigel gefertigten, hiebeÿ producirren, bonâ fide recognoscirten und nachgemeldten beÿd. Eheleuth überlüfferten Gewaltscheins, hierzu gevoallmächtigter Befelchhaber Fr. Ursulæ Rieckherin, wittibin, seiner Fr. Schwig. Vnd Catharina, Jacob Müllers von Keel Eheweib, mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogt, haben in gegensein hierinngemelt. kauffend. Eheleuth bekannt (…) act. 28. maÿ a° 1660.

Melchior Kamm, fils de boucher, épouse en 1649 Barbe von der Bruck, fille de tondeur de drap
Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 9)
1649. Dominica XV. post Trinit. Melchior Kamm der Mezger und burger allhie Herrn Peter Kamm des Mezgers ehelicher Son, und Jungfr. Barbara, Johann Friderich von der Bruckh des thuchscherers und burgers allhier eheliche Tochter. Mont. Clauß (i 255)

Melchior Kamm et son cousin et voisin Jean Kamm passent un accord d’après lequel la gouttière de Jean Kamm aura son écoulement sur le terrain de Melchior Kamm tant que celui-ci sera propriétaire de la maison

1656 (17. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 518 f° 191-v
Erschienen Melchior Kamm der Metzger,
in gegensein H Hannß Kammen deß Metzgers seines Vettern und Nachbahren
bekannt, daß Er Melchior Kamm, ihme H Hannß Kammen vff sein Ansuch. und Begehren, die Gerechtigkeit bewilligt und übergeben habe, den tachtrauff von sein hannß Kammen dach deßelben in der großen Viehegaßen beÿm Metzgerhor gelegener und Zum schwartzen Bären genannter Behaußung, in den hoff sein Melchior Kammen darneben und hinder der Mauren gelegener Behaußung so lang alß Er Melchior Kamm leben und erstermelte Behaußung behalten wird, fallen Zu laßen, Mit dißem satten Anhang und Erläuterung, daß solcher Tachtrauff, Zwar so lang besagter Melchior Kamm leben und erwehnte Behaußung behalten wirt, eine Gerechtigkeit der hannß Kammisch: und eine Dienstbarkeit der Melchior Kammischen Behaußung sein, vnd derowegen gedachter Melchior Kamm dießelbe in mittelst zu leid. schuldig, und vff Zu Künden nicht befugt. So bald Er aber entwed. diße Welt gesegnet, od. noch beÿ lebendigem leib, die offterwehnte Behaußung quittirt haben wirt, alß dann dißer Tachtrauff auß einer Gerechtigkeit in eine bloße nachbarliche Gönnung verwandelt sein, Vnd demnach in des demzumahligen Besitzers und deßelben Nachkommen freÿem belieben wann und Zu welcher Zeit Er solche Gönnung auff: und abkünden wolle, stehen, Auch, strackhß nach beschehener Abkündung, der demzumahlige Innhaber der, ietzo, hannß Kammisch. Behaußung den obgemelten Tachtrauff abschaffen solle

Melchior Kamm hypothèque la maison au profit de son beau père Jean Frédéric von der Bruck

1657 (9. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 522 f° 180
Erschienen Melchior Kamm der Metzger
in gegensein Hannß Friderich Von der Bruckhen deß Thuchscherers seines Schwäher Vatters – schuldig seÿen 300 Pfund
Unterpfand sein soll eine Behaußung mit allen deren Gebäwen & alhie am Metzgerthor hinder der Mauren, einseit theils neben David Kammen Vnd theils neben Hannß Kammen beeden Metzgern, anderseit neben H Caspar Rießern E.E Großen Rhats Beÿsitzern Undt hinden vff weÿl. H. Hannß Müllers geweßenen großen Rhats Verwanthens Vnd auch Weÿl. Hannß Pantels beeder nunmehr seel: hinderlaßene Erben stoßend gelegen, Welche behaußung Zuvor noch umb 125. lb Weÿl. H Johann Rudolph Saltzmanns M. D. et profess. seel. hinderbliebenen Erben, Und dann Vmb 225. lb Kauffschillings Rest Sebastian Stiegenbockhen Von Elmerich und Consort. Verhafftet
dabeÿ gewesen Barbara deß Schuldners haußfr.

Les enfants et héritiers de Melchior Kamm vendent la maison 550 livres à Jean Jacques Frantz, aubergiste au Cerf

1676 (17. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 740
Anna Margaretha Kammin, Wolffgang Güttermanns deß Carthunenmachers Eheweib, mit beÿstand erstgedachts ihres Ehevogts und herrn Philipp Kröner der Metzger, alß vogt hannß Friderich Kammen so selbsten zugegen war, wie auch hannß Jacob Kammen und hannß Peter Kammen, weÿl. Melchior Kammen deß Metzgers nunmehr seel. nachgelaßener Kinder
in gegensein Joh: Jacob Frantzen deß Gastgeben Zum Hirschen
hauß, hoff, hoffstatt, Stallung, gärtlin, bronnen mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten allhier am Metzgerthor hinder der Mauren, einseit neben Lorentz Bilger dem Bähren würth, anderseit neben herrn Caspar Riesers geweßenen Großen Rhats Verwanthens, nunmehr seel. nachgelaßenen Kindern und Erben hinden Zum theil uff Hannß Adam Gollen den Rabben würth und theils uff Christmann Mercklins deß ferbers nunmehr seel. nachgelaßene Erben, stoßend gelegen, dann obwohlen erwehnte behaußung annoch umb 125. lb Straßburger herrn Johann Rudolph Saltzmann Med. Doct et Phÿsices Profess. Verhafftet, so haben Jedoch die Verkäuffere respe. für sich selbsten und Vögtlicher weiße den Verkäufferen derentwegen ohnansprüchig zumachen und schadloß zuhalten – umb 1100 fl.

Fils du précédent aubergiste au Cerf, Jean Jacques Frantz épouse en 1673 Anne Madeleine Kœrner, fille de l’aubergiste à la Couronne de Kehl
Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 25)

1673. Dom. 20. Tr: Hanß Jacob Fr: der Ledige Burg. weÿl. hrn Johann Jacobs Frantzen deß gewesenen wirts zum Hirsch. hinterlaß. ehelich. Sohn und Jfr. Anna Mag: weÿl: hrn David Körners deß gewesenen gast halter in Keÿl Zue Chrohn hind.laßene Eheliche Tochter. Cop. ad St. N., 23. Oct: (i 311)

Anne Madeleine Kœrner devient bourgeoise deux mois après son mariage
1673, 4° Livre de bourgeoisie p. 409
Anna Magdalena Körnerin Von Kaÿl empfangt das burgerrecht Von ihrem Ehemann hannß Jacob Frantzen dem würth, pro 8. goltR welche Er bereits beÿ der Cancelleÿ erlebt hatt, ist Zuvor ledigen standts geweßen. Signat. ut supra [den 11. 10.bris 1673]

Jean Jacques Frantz loue la maison au boucher Jean Georges Bühl

1683 (11. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 553 f° 404-v
Hannß Jacob Frantz der Würth Zum hirsch
in gegensein hannß Georg Bühlen deß Metzgers
entlehnt, Eine behaußung, Garten, Ställ mit allen deren Gebäwen, begriffen, und zugehördten alhier hinder der Statt maur beÿ dem Metzgerthor einseit neben Johann Lobstein dem Metzger, anderseit neben Michael Bilger dem bährenwürth hinden uff daß Merckhlinische Ferbhauß stoßend gelegen uff Nun Jahr lang Von nechstkommend Weÿhenachten angerechnet, umb einen jährlichen Zinß benandtlichen 50 fl.

Jean Jacques Frantz meurt en 1712 en délaissant sept enfants. Certains d’entre eux sont réduits à la part légitime par son testament. Il est propriétaire de l’auberge au Cerf rue des Cordiers. La somme taillable s’élève à 6 419 livres
1712 (9.4.), Me Lang (Jean Régnard, 29 Not 92) n° 843
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so Weÿland der Ehren Vest und Wohlvorgeachte Herr Johann Jacob Frantz der ältere geweßener Gastgeber Zum Kleinen Hirtzen und burg. allhier nunmehr seel., welcher den 5.ten dießes Monats Aprilis tödlich Verblichen, nach solch seinem tödliches hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des abgeleibt. Herrn seel. eheleiblicher Herren Söhne, Frauen und Jungfrauen Töchtere, auch per Testamentum Verlaßene und gleich nach dem Eingang dießes Inventarÿ benambster Erben Inventirt, durch die Erben selbsten wie auch Annam Ursulam Heÿin von Hatten gebürtig des verstorbenen seel. geweßener Dienstmagd (geäugt und gezeigt) – So beschehen den 9.ten Aprilis Anno 1712.
Der Abgeleibte Hr. Frantz seel. hat Zu seinen per Testamentum Salv. ubiq. Tit. verlaß. wie volgt. 1.mo H Johann David Frantzen, noch ledig. standts, welch. in d. frembde begriff,n, deß. geschworner Hr. Vogt H. Johann Friderich Bahl, Gastgeber Zum Thiergarth. auch E. E. Kleinen Rath allhier alt. beÿsitzer, welch. dem Geschäfft im nahmen dieses seines Curand. in Person abgewartet, und Zwar deißen allein in die Legitimam seines Vätterlich. Erbguths,
In alles übrige aber 2.do Frau Catharinam Lurtzingin geb. Frantzin, Hn Christoph Andres Lurtzings Gastgebers Zum Kleinen Hirtzen u. burg. alhie Fru Eheliebstin, mit beÿstand deßelb. Zugegen war, in d. ersten sechsten Stammtheil, 3.tio Hn Johann Jacob Frantzen, Gastgebern auf dem Schießen Rhein und burg.n allhier so für ich selbsten in Person erschienen in dem 2. sechsten Stammtheil, 4.to Frau Annam Magdalenam Lentzin gebohrner Frantzin, Hn Daniel Lentzen Gastgebers Zum Grünen Reiff u. burg. alhier Ehegattin, welche beneb. dem selben sich beÿ dem Geschäfft einfande, in d. dritten sechsten Stammtheil, 5.to Frau Annam Mariam Fautelin geb. Frantzin Hn Johann Jacob Fautels des Sattlers und burg. alhier eheliche haußfrau, so nunmehro in d. Kindbett begriffen, dah. in ihrem Nahmen Er H Fautel mit dero belieben dem Geschäfft abwartete, in dem Viert. sechsten Stammtheil, 6. Wegen des fünfften sechsten Stammtheil, aber so H Johann Carl Frantzen dem bierbrauern und burg. in des Heÿlig. Reichs Statt Wormbß zu kommen solte, ist Er H Johann Carl Frantz, in deß. Nahmen H David Stamm, E. E. Kl. Raths beÿsitzer (hier beÿwohnte), allein in Legitimam, das übrige solch. fünfften sechsten Stammtheil, ab. Vorerwehnte fr. Anna Maria Fautelin geb. Frantzin Zu Erbin gesetzt, und dann 7.mo Jungfrau Mariam Salome Frantzin noch ledig. standts den geordneter Vogt obehrenhedachter hr. Johann Friedrich Bahl E. E. Kleinen Raths alter beÿsitzer so deßen Geschäfft mit und beneben seier Jgfr. Vogts Tochter abwartete in d. letzten 6.ten Stammtheil. Alßo alle sieb. des v.storbenen H. seel. mit weÿl. fr. Anna Magdalena Frantzin geb. Körnerin seiner gewesenen Frawen Eheliebst. seel. ehel. erziehlte Hhen Söhne auch Fr. und Jgfr. Töchter u. Vorherwehnter maß. zu ohngleich. antheilern per Testamentum eingesetzte Erb.

In einer in der Statt Straßburg ane der Gastherberg Zum kleinen Hirschen im Saÿlergäßlein Ligenden und in dieße Verlassenschafft gehörig. behaußung befund. word. wie volgt
Ane Höltzen und Scheinwerck. In d. Cammer A, In d. Cammer B, In des Officiers Stub, In d. Cammer C, In d. Cammer D, Vor dießem Gemach, In der Wohnstub, In d. Cammer E, In dem mittleren Haußöhren, Im Laden, Im undn. haußöhren, Im hirtzen Würthshauß, In d. Sauer bronnen Cammer
Eigenthumn ane Häußern. Erstl. die Gastherberg Zum hirsch. geleg. allhier zwisch. dem Seÿlergäßlein und St. Urbans gaß (…)
It. j.r behausung, gath. und hoffstatt im Seÿler Gäßlein (…)
Abzug in gegenwärtiges Inventarium gehörig, Sa. haußraths 671, Sa. Weins und lährer Vaß 352, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 333, Sa. Guldener Ring 82, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 763, Sa. Eigenthumbs ane liegenden güthern 197, Sa. Eigenthumbs ane häußern 3150, Sa. Schulden 1771, Summa summarum 7323 lb – Schulden 903, Nach deren Abzug 6419 lb
Copia Testamenti solennis in scriptis – Straßburg den 28. Januarÿ Anno 1712. Johann Philipp Braun Nots. jur. (…)
Wÿdemb, Welch. d. Verstorbene herr Seeliger wegen Jn Johann David Frantz eines noch ledig. Sohns und Jungfrawen Mariæ Salome Frantzin seiner noch ledig. Tochter biß an sein seeliges Ende genoß. Vermög des den 9. 7.bris A° 1694. von Weÿland herrn Johann Philipp Schüblern Notario jurato und burgern allhier seelig über des abgeleibt. herrn auch seel. mit weÿland Frauen Annæ Magdalenæ Frantzin gebohrner Körnerin seines geweßenen Frawen Eheliebsten ehelich erziehlter herren Söhne und Jgf. töchter ererbet Mütterliche Nahrung
Puncten Welche wegen d. beeden häußer Ehe mann Zu deren Vertheilung oder überlaßin geschritten Verglich. worden den 25. jn° Anno 1713 (…)

Jean Jacques Frantz vend la maison 675 livres au boucher Michel Fruth er à sa femme Barbe

1685 (15.5.), Chambre des Contrats, vol. 555 f° 284
Herr Johann Jacob Frantz der Würth Zum Hirsch
in gegensein Michael Fruothen deß Metzgers und Barbaræ, beÿder Eheleuthe
hauß, hoff, hoffstatt, Stallung, Gärtlein, Bronnen mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten alhie am Metzgerthor, hinder der Mauren, einseit neben Michel Bilger dem Würth zum Bähren, anderseit neben Johann Lobstein dem Metzger, hinden zum theil uff Johann Adam Gollen den Würth im Sauerbronnen und theils uff die Merckhelische farb behaußung stoßend gelegen – darinnen auch die im Keller ligende faß zusammen 230. Ohmen haltend mitgbegriffen:/ – umb 1350. fl.

Michel Fruth se marie en 1677 avec Barbe Hellberger veuve de Jean Henri Pfeffinger qu’elle a épousé en 1669
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 177)

1676. Donnerst. den 7.10.bris Michael Fruth der Metzger, Friderich Fruthen des metzgers Sohn v. Barbara, hans Henrich Pfeffinger des Metzgers nachgel. wittib (i 91)
Proclamation, Saint-Nicolas (luth. n° 49, f° 299) 1676. Eodem Domin: [27. Tr.] Michael Fruht der ledige Metzger weÿl. Friderich Fruht daß gewesen. Metzger Und burger alhie hind.laßener ehelicher soh, und. Frau Barbara weÿl. Johann Heinrich Pfeffinger, deß geweßenen Metzgers und burgers alhie hind. laßene Wittib. cop: ad S. Auerli 7 Decembr. (i 319)

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 160)
1669. Donnerst. den 22.t April: St: Aurel: Hannß Henrich Pfeffinger der Metzger. H. hanns Friderich Pfeffingers des Schaffners im mehrern Spitthal Ehel. Sohn, Jfr. Barbara, herrn hanns Helbergers des Schwartzbecken Eheliche Tochter (i 83)

Michel Fruth et Barbe Hellberger hypothèquent la maison au profit de la veuve de Jean Georges de Zedlitz

1687 (8. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 695-v
Michael Fruth, der Metzger, und Barbara, gebohrne Hellbergerin, deßen Eheliche haußfrau, und Zwar dieselbe mit beÿstand H. Johann Hellbergers, deß haußfeurers und E.E. großen Raths beÿsitzers ihres leiblich. Vatters, wie auch Georg Eckard, deß Weißbecken Ihres Schwagers
in gegensein /:salv. tit:/ Hn Philipp Henrich von Wickersheim, alten Stättmeisters und XIII.ers alß Vormunds /:salv. tit:/ Fr. Mariä Ester gebohrner von Müllenheim, weÿl. /:salv. tit:/ Herrn Johann Georg von Zettlitz, auch gewesenen alt. Stättmeisters und XIII.ers sel. hinderlaßener Fr. Wittib, mit beÿstand H. Henrich Amlung stud. Theol. Ihres domestici – schuldig seÿen 400 gute Reichsguldner wie solche nach jüngster devaluation Zu 37 sols gesetzt word.
unterpfand, Eine behaußung, sambt dem hoff, hoffstatt, Stallung, Gärttlein, bronnen, und allen deren Gebäuen, Rechten und Zugehördten, allhier am Metzger thor hind. der Mauren, einseit neben Michael Bilg. dem würth Zum Bähren, anderseit neben Johann Lobstein dem Metzger, hinden auff d. würthshauß zum Raben Zum theil, und theilß auff die Mercklinische Farb behaußung stoßend gelegen

Jean Frédéric Pfeffinger hérite de la maison de son demi-frère Jean Michel Fruth. Il épouse en 1694 Susanne Fruth, fille de boucher

Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 6, f° 29-v)
Heute Mittwochs den 21. Aprilis st. n. 1694 seind (…) copulirt und eingesegnet word. Johann Friderich Pfeffinger, d. leedige Metzger und burger alhie weyl. H. Heinrich Pfeffingerß geweßenen Metzgerß und burgers alhie nachgelaßener ehelicher Sohn, und Jungfer Susanna, H. Friderich Fruthen deß Metzgers und burgers alhie eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Friderich Pfeffinger Als Hochzeiter, Susanna Fruthin der hoch zeiterin (i 33)

Jean Frédéric Pfeffinger meurt en 1731 dans sa maison derrière Saint-Nicolas en délaissant deux filles et un fils. Les experts estiment 900 livres la maison derrière les Murs. La masse propre à la veuve est de 1 641 livres, celle des héritiers à 2 537 livres. L’actif de la communauté s’élève à 6 312 livres, le passif à 3 089 livres, sommes assez considérables.

1731 (16.7.), Me Courtz (6 E 41, 460)
Inventarium über Weÿland des Edlen Wohl Ehrenvest Großachtbar und Wohlweißen Herrn Johann Friderich Pfeffingers, E. E. großen Raths geweßenen Alten Beÿsitzers, Vornehmen burgers und Metzgers allhier nunmehr seel. Verlassenschafft auffgerichtet A° 1731. – nach seinem den 23.ten maji dieses lauffenden 1731.ten Jahrs erfolgten seeligen Hienscheiden alß dieser zergänglichen Welt verlaßen, Wie solches auf freundliches ansuchen erfordern v. begehren der viel Ehr: und Tugendreichen Frauen Susannä Pfeffingerin gebohrner Fruthin der hinterbliebenen Wittib, Welche mit Herrn Claudi Hanßmetzger dem burger v. Metzger allhier bevögtiget (…)
Denominatio hæredum. Weÿl. H Rathh. Johann Friderich Pfeffinger hat in seinem Leben mt Frauen Susanna Pfeffingerin, gebohrner Fruthin, als jetzmahliger Fr. Wittib Ehel: erziehler v. zu Erben hinterlaßen 1. Jungfer Mariam Dorotheam Pfeffingerin in Welcher Nahmen H. Joh: Friderich Pfeffinger sen. burger v. Metzger allhier, diesem Inventations geschäfft als geschworner Vogt beÿgewohnet, 2. Herrn Johann Friderich Pfeffinger Jun.em burger v. Metzger allhier, persönlich zugegen, 3. Frau Susannam Barbaram gebohrne Pfeffingerin Herrn Johann Georg Feigler, des burgers v. handelßmanns allhier Frau Eheliebste, welche beede diesem Geschäfft beÿgewohnt, 4. Herrn Johann Daniel Pfeffinger, burger v. Metzgern allhier, als Welcher ebenmäßig dieser Inventation beÿgewohnet.

In einer allhier zu Straßburg Hinder St: Niclaus Kirch gelegenen hiehero Eigenthümlich gehörigen behaußung ist befunden worden als folgt.
Ane Höltzen v. Schreinwerck. Auf d. Cast, In d. Schwartzgethüch Cammer, In d. Neb. Cammer, im Obern Hauß Ehren, In d. Knecht Cammer, Im Neb. Cämmerlein, In d. Mittlerin Stub, In d. Stub Cammer, Im Hauß Ehren, In der Magd Cammer, In d. obern Kuchen, Auff dem Gang, In des officiers Cammer, In d. wohnstub, Im Comptoir, In d. Stub Cammer, Im Hauß Ehren, In d. Kuchen, Im Untern hauß Ehren, Im Keller – In d. Ruprechtsau
Eigenthum ane Häußern (W. 1/6, T. 3/6) Erstl. eine behaußung hinter St. Niclaus Kirch ohnfern dem Mehrern Hospital (…)
(E.) It. ein Hauß, Hoff, Hoffstatt, Stallung, v. gärtlein mit allen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden v. Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg am Metzgerthor, hintern deren Mauren, eins. neben denen Lobsteinisch. Erben, 2.s. neben Joh: Georg König dem Metzger hinten auff H. Joh: Wilhelm Reichardt den färber stoßend, so freÿ leedig v. eigen v. laut obged. Abschatzung hiehero angeschlagen umb 1800. fl. oder 900. Diese behaußung hat der verstorbene H Rathh. seel. von Weÿl. H Joh: Michael Fruthen dem Metzger v. burger alllhier seinem halbbändigen bruder erbl. erhalten. Darüber besagt ein teut. perg. Kbr. in allhies. C. C. stuben gefertiget v. m. dem anhangendem Iniegel verwahret de dato 15.ten Maji 1685. mit Lit. A. notirt. Ferner dreÿ daselbst gefertigte Kauffbrieff auch mit Lit. A. v. einer davon auch mit N. 2 bezeichnet, alles mit n. N° 1. not.
(W.) It. ein Sechster Theil Vor unvertheilt von v. ane hauß
in der Vorstatt Crautenau hinter dem Ballhauß, im sogannndten Schwabenländlein (…)
(W. 1/6, T. 5/6) t. die helffte ane einer Wohnung v. Stall auff der Schäffereÿ beÿ f. hohen Warth vor dem Spittalthor an dem Grimmerich (…)
Eigenthum ane Metzigbäncken (…)
(f° 23-v) Eigenthum ane einem Meÿerhoff v. gülthen in der Ruprechtsau (…)
Ergäntzung der Wittib wehrender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. (…) Vermög Inventarii über beeder durch den zeit. Tod. getrennter Eheleuth einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen durch Weÿl. H. Andream Schmidt Notm. publ. in A° 1694. gefertiget
(f° 38) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung. Copia Testamentum nuncupativi Copia des Nach Disposition.
Der Fr. W. Eigenthümlich Guth. Sa. Silbers 20, Sa. Eigenthum ane Häußern 585, Eigenthum ane einem Metzigbanck 180, Eigenthum ane Matten 49, Schulden 146, Ergäntzung (1834, Abzug 175, Rest) 1658., Summa summarum 1641. lb
Der Erben Eigenthümliche Nahrung, Sa. hausraths 60, Sa. Eigenthum ane einer behaußung 900, Eigenthum ane Metzig bäncken 722, Ergäntzung (1994, Abzug 1070, Rest) 924, Summa summarum 2607 lb – Schuld 70, Detrahendo verbleibt 2537 lb
Das Theilbare Guth, Sa. haußraths 514, Früchten 22, Wein v. Lährer Faß 377, saamen auff dem Feld 61, Vieh 478, dürre häuth 72, Schiff und geschirr zu Ackerbau gehörig 13, häu v. Ohmath 9, Silber 312, Goldene Ring 117, baarschafft 107, Pfenningzinß hauptgüter 775, Eigenthum ane häußern 631, Eigenthum ane Matten 317, Eigenthum ane einem Meÿerhoff 1253, Eigenthum ane Lieg. güthern 100, Activa 1148, Summa summarum 6312 lb – Schulden 3089, Rest theilbaren Guths 3213 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 8402 lb

Jean Frédéric Pfeffinger fils donne pouvoir d’assister à l’inventaire de son père
1731 (13.7.), Me Brackenhoffer (Jean, 4 Not 35) Varia n° 120
Eu wißen seÿe hiemit daß auf Ansuchen und begehren weÿl. H. Johann Friderich Pfeffingers, E E. großen Raths gewes. beÿsitzers und Metzgers alhier seel. hinterl. frau wittib und Erben (…) mich Zu deßen ältern Sohns H. Johann Friderich Pfeffinger, den jüngern, auch Metzgern und burgern alhier in deßen behaußung hinter den Mauren, Zwischen der Vieh: und Uttergaß gelegen, Verfüget und demeselben angezeigt, daß sein Vatters seel. Verl. Inventation auf nächst Künftigen Montag d. 16.ten Huj. bereits angestellet seÿe, derenthalben Er sich declariren solle, ob er solches beÿwohnen und dabeÿ auch erschienen wollen, Wann nun derselbe mit hierauf Zur Antwortt ertheilt, daß er nicht wißen Kan, ob er derzeit habe, oder nicht, er hette schon 7. wochen lang auf Sie gewearttet könten sie also nun anhero auch auf ihne wartten, so habe ihme auch diese seine declaration ferners eröffnet, daß man mit E. Inventation geschäfft Jedannoch fortfahren, und vor seine person einen deputirten auf seinen Costen ausbitten

Le fils Jean Frédéric Pfeffinger meurt en 1736 dans la maison qu’il loue de sa mère. Il délaisse quatre enfants. La masse propre à la veuve est de 87 livres, celle des héritiers à 105 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 654 livres, le passif à 1 001 livres

1736 (13. Xbr), Me Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 60) n° 531
Inventarium über Weÿland des Wohl Ehren und Vorachtbaren Herrn Johann Friderich Pfeffingers, geweßenen Metzgers und burgers allhier zu Straßburg, nunmehr seeligen Verlassenschafft, auffgerichtet Anno 1736. – nach seinem den 10.ten Julÿ dießes Zu End gehenden 1736.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt, Zeitlichen hinter sich verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des wohl Ehren und Vorachtbaren Herrn Johann Gecklers Metzgers und burgers allhier alß geordnet und geschworenen Vogts Johann Friderichs, Mariæ Elisabethæ, Mariæ Salome und Mariæ Magdalenæ der Pfeffinger, aller Vier des abgeleibten seel. mit der Viel Ehr und tugendreichen frauen Susannæ Dorotheæ Pfeffingerin gebohrner Beckin, deßelben gewesener frauen Eheliebstin und nunmahliger Wittib, ehelich erzeugter Kinder und ab intestato verlaßener Erben, inventirt, durch Sie die erstgedachte Frau Wittib mit zuziehung des Wohl Ehren und Vorachtbaren Herrn Johann Schneeganßen, Metzgers und burgers allhier, deroselben geschwornen Curatoris, wie auch Israel Breuning den Banck knecht, Johann Heinrich Geÿer und Jacob Bernhard Sattler, die beede anderer Dienst Knecht, nicht weniger Agnes Adamin der Dienstmagd im hauß (geäugt und gezeigt) – So beschehen in Löblicher Statt Straßburg auff Donnerstag den 13.t Xbris et Seqq. Anno 1736.

In einer allhier Zu Straßburg hinter denen Mauren Zwischen dem Metzgerthor v. Uttengaß gelegenen Von dem Verstorbenen seel. Lehnungsweiße bewohnten behaußung befunden worden wie folgt.
Ahn Bett und Federwerck. In der Knechts Cammer, In des Sohns Cammer, In einer Cammer des mittleren Stocks, In der Wohnstub, In der Wohnstub Cammer, Im Cabinette (…)
Schulden aus dem Erb zu bezahlend. It. Frau Susanna, weÿl. H. Joh: Friderich Pfeffingers, des ältern geweßenen Metzgers und alten Großen Raths Verwanthen seel. hinderbl. wittib des abgeleibten seel. eheleibliche frau Mutter fordert, Vermög eines Zu dießer Inventation überschickten Von Ihro und H. Cladi Hanßmetzgern, deroselben Vogten unterschriebenen Zeduls de dato 14. Dec: 1736. so mit Lit. G. bezeichnet worden, Hauß und Banck Zinnß für 2. Jahr, nemblich Von Joh. Bapt: 1729. biß wiederumb dahin 1731. 200. fl.
Volgt nun hierauff die beschreibung der gesambten Verlaßenschafft vor und ane sich selbst. Anfänglichen aber der Frau Wittib ohnveränderte Von Ihro angegebenen Naturalposten, Sa. haußraths 37, Sa. Silbers 19, Sa. goldenen Ring 24, Sa. baarschafft 6, Summa summarum 87 lb
Dießem nach werden auch der Erben ohnveränderte Natural posten und unter diesen auch die Kleÿdung und weißer gezeug, Sa. hausraths 100, Sa. Silber 3, Sa. Goldenen Rings 1, Summa summarum 105 lb
Endlichen wird auch das Gemein Verändert und theilbar Guth gesetzt, Sa. hausraths 364, Sa. Schiff und geschirrs Zum Metzger handwerck 10, Sa. Pferdt und Rindviehs 465, Sa. Haws Strohe und beßerung 37, Sa. dürren Häut 63, Sa. Weins und Vaß 30, Sa. Silbers 16, Sa. goldener Ring 21, Sa. baarschafft 801, Sa. Schulden 843, Summa summarum 2654 lb – Schulden 1001 lb, Detrahendo verbleibt 2553 lb
Copia Codicilly reciproci, so der abgeleibte seel. mit und beneben deßen hinderbliebener Frau Wittib den 28.ten Junÿ Anno 1736. vor mir Notario und anweßend. geweßten Gezeugen aufgerichtet. (…) der Ehemann zwar krancken und schwachen leibes auff einem bette liegend, dannoch aber vermittelst Göttlicher Gnaden, guter richtiger Sinnen, Vernunfft und Verstandts, Sie die Ehefrau aber auffrechten gesunden gehend und stehenden leibs (…)

Les héritiers de Jean Frédéric Pfeffinger père vendent la maison 950 livres au farinier Jean Nonnenmann et à sa femme Anne Marie Prœsamlé

1745 (3.12.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 874-v
weÿl. H. Johann Friedrich Pfeffinger des metzgers und E.E. großen Raths alten beÿsitzers erben Fr. Susanna geb. Pfeffingerin H. Johann Georg Feigler handelsmann eheliebstin, Johann Daniel Pfeffinger der metzger, mehr Johann Friedrich Pfeffinger auch metzger als vogt Jfr. Maria Dorothea Pfeffingerin, so dann Johann Gäckler der metzger als vogt weÿl. H. Johann Friedrich Pfeffinger des metzgers mit Fr. Susanna Dorothea geb. Beckin seiner hinterlassenen wittib erzeugter vier kinder Johann Friedrich, Maria Elisabetha, Maria Salome und Anna Maria der Pfeffingerin
in gegensein Johannes Nonnenmann des meelmanns und Annæ Mariæ geb. Brösamle – Versteigerung
eine behausung, hoff, stallung, gärtlein und hoffstatt samt übrigen deroselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und rechten hinder denen Mauren zwischen der Vieh und Uttengaß, einseit neben der gastherberg zum Bären, anderseit neben Valentin Schneeganß dem metzger, hinten auff die gastherberg zum Raaben – als ein respe. groß und vätterliches erbguth – 1905 pfund

Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit de Marie Salomé Wagenmann veuve du pharmacien Philippe Jacques Brackenhoffer

1745 (3.12.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 878
Johannes Nonnenmann der meelmann und Anna Maria geb. Brösamle mit beÿstand ihres vatters Johannes Brösamle des küblers und ihres bruders Johannes Brösamle des ledigen küblers
in gegensein Fr. Mariæ Salome geb. Wagenmännin weÿl. H. Rathh. Philipp Jacob Brackenhoffer des Apotheckers – zu bezalung des kauffschillings hiernach beschriebener behausung schuldig seÿen 1500 pfund
unterpfand, eine behausung, hoff, gärtlein, stallung und hoffstatt cum appertinentis hinder der Mauer zwischen der Vieh und Uttengaß, einseit neben der gastherberg zum Bären, anderseit neben Valentin Schneeganß dem metzger, hinten auff die gastherberg zum Raaben

Jean Nonnenmann termine son apprentissage auprès de son père huilier en 1719
1719, Protocole des Boulangers (XI 9)

(f° 301-v) Montags den 10. Julÿ. Siegelgeltt – Hannß Georg Nonnenmann der Ohlmann ist auch erschienen mit seinem Sohn Johannes Nonnenmann welcher Er im Handwerck underwiesen, und deßen Lehrzeit Zu Endt, bittet gleichfalls Leedig sprechung, hierüber ward Erkanth, seÿe wie vorigem gegen Erstattung 8 ß d Zur Gebühr auch willfahrt (Siegelgeltt 5 ß, dt.)

Jean Nonnenmann termine son apprentissage de boulanger auprès de Thiébaut Hummel en 1721
1721, Protocole des Boulangers (XI 9)

(f° 364) Mittwochs den 29. Octobris 1721. Siegelgeltt – Diebold Hummel der Weißbeckh undt burger allhier erscheint mit Johannes Nonnenmann, hannß Georg Nonnenmann des ohlmanns undt burgers alhier Ehelichem Sohn, so auch præsens war, bittet weillen seine Lehrjahr von der Zeit als Er eingestandt. verfloß. Undt sie samtlich mit einand. zu frieden denselben gerichtlich ledig Zu sprechen so ihren auch geg. der gebühr willfahrt worden. (Siegelgeltt 5 ß, dt.)

Jean Nonnenmann épouse en juillet 1730 Anne Marguerite Reichard, fille de tailleur : contrat de mariage, célébration à Schiltigheim où habite la mère de la mariée
1730 (14.7.), Me Mader (6 E 41, 694)
(Eheberedung) zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Johann Nonnenmann dem ledigen Weißbecken und burgern allhier Zu Straßburg, alß dem braütigam ane Einem
So dann der Tugendsamen Jungfer Annä Margarethä Reichartin, Weÿland des Ehrengeachten Johann Heinrich Reichardt gewesenen Schneiders und geschwornen Käufflers auch burgers zu Straßburg seel. nachgelaßener Tochter alß der Jungfer Hochzeiterin ane dem andern theil – So beschehen in Straßburg auff Freÿtag den 14. Julÿ Anno 1730 [unterzeichnet] Johannes nonnemann alß Hochzeiter, Anna Margaretha Reichardtin als hochzeiterin

Mariage, Schiltigheim (luth. p. 492)
A° 1730. den 1. Aug. seind auff ertheilte Erlaubnuß des Herren Amtmanns sub dato 21. Jul. und Zweÿmaliger ordentlicher Außruffung ehl. copulirt und eingesegnet worden Johannes Nonnenmann, der ledige bürger und Weißbeck in Straßburg, Joh: Georg Nonnenmanns, bürgers und Weißbecken in Straßburg ehl. Sohn & Jgfrau Anna Margaretha Reichardtin, weil. Herrn Joh: Heinrich Reichardts, gewesenen bürgers und geschwornen Inventir: Käufflers in Strßbrg nachgelaßene ehl. Tochter [unterzeichnet] Johannes Nonnenmann als hochzeiter, Anna Margaretha Reichardtin; Johann Jacob Nonnenmann des hochzeiters bruder, Johann Philip Kirschläger der hochzeiterin stieff Vatter (i 251)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison au Faubourg Blanc qui appartient pour partie au mari
1730 (30.8.), Me Mader (6 E 41, 686) n° 681
Inventarium über des Ehrsam: und bescheidenen Mstr. Johannes Nonnenmann, Weißbecken und der Ehren und tugendsahmen frauen Annæ Margarethä gebohrner Reichardin beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in den Ehestandt zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1730. – in ihren ohnlängst angetrettenen Ehestandt zugegracht, und Vermög auffgerichteter Eheberedung vor ohnverändert vorbehlten haben – So beschehen in der Königl. St. Str. In fernerem gegensein H Johann Georg Nonnenmanns Weißbecken des Ehemanns Leiblichen Vatters, So dann H Johann Philipp Kirschlägers Gastgebers zu Schiltigheim und frauen Annä Margarethä gebohrner Sontagin der Ehefrauen Stieffvatter b. Leiblichen mutter auff Mittwoch d. 30.t. Aug. Anno 1730.

In Einer allhier Zu Straßburg ane der Weißenthurnstraßen gelegen in diese Nahrung Zum theil gehörigen behausung ist befunden worden wie folget
Eÿgenthumb ane Einer behausung (M.) Die helffte vor ohnvertheilt von und ane einer behaußung ane der Weißenthurnstraßen (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns Eÿgenthümblich Guth, Sa. haußraths 173, Sa. Weins und lährer faßen 39, Sa. Werckzeugs Zum becken handwerck gehörig 41, Sa. Frucht und meels 78, Sa. der Schwein 24, Sa. Silbers 7, Sa. der baarschafft 64, Sa. der Schulden in die nahr. zu bezahlend 75, Summa summarum 504 lb – Sa. der Schulden 487 lb, Nach deren Abzug 15, Hierzu aber ist wiederzulegen die helffte ane denen Haussteuren 37 lb. Des Ehemanns sampt. Eÿgenthümblich Vermögen 52 lb
Des Frauen Eÿgenthümbliches Vermögen, Sa. haußraths 119, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 11, Sa. Goldener Ringen 14, Sa. der baarschafft 160, Summa summarum 306 lb – Darzu ist annoch zu gelen die helffte ane denen hernach beschriebenen Haussteuren thut 37 lb, Der Ehefrauen samptlich Eÿgenthümblich Vermögen 344 lb

Jean Nonnenmann obtient le droit de farinier
1730, Protocole des Quinze (2 R 136)
(f° 43x) Decembris. pt° Wannenrecht – Mos. nôe Joh. Nonnenmann burgers und Weißbecken prod. Schein von beed. Z. Zünfften Zur Lucern undt der Beckh. pt° erbettenen Wannenrechts, bitt umb gn. Confirmation. Erkandt, confirmirt.

Anne Marguerite Reichard meurt en 1742 dans une maison de location rue du Fort en délaissant cinq enfants. La masse propre au veuf s’élève à 1 034 livres, celle des héritiers à 280 livres. L’actif de la communauté s’élève à 126 livres, le passif à 1 268 livres
1743 (1.4.), Me Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 53) n° 1789
Inventarium über Weÿland Frauen Annæ Margarethæ Nonmännin gebohrner Reichardin des Ehrengeachten Hn Johannis Nonnenmanns des Meelmanns und burgers alhie zu Straßburg geweß. Ehel. Haußfrau nunmehro seel. Verlassenschafft auffgerichtet in Anno 1743. – nach ihrem Freÿtags den 30.ten Novembris des nächst abgelegten 1742.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt hie Zeitlichen verlaßen, wie solche verlassenschafft auf freundfleißiges ansuchen Erfordern und begehren Hn Johannis Brsammle, des Küblers und burgers alhier, als geordnet und geschworenen Curatoris Johann Georg, Annæ Margarethæ, Mariæ Barbaræ, Mariæ Dorotheæ u. Mariæ Salome aller fünff gebohrne Nonnenmännin so die abgeleibte seel. mit vorgemelten ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich Erzielt und ab intestato Zu gleichen portionen und antheilern Zu Erben Verlaßen – So beschehen Straßburg den 1.ten Aprilis Anno 1743.

In einer alhier Zu Straßburg ane der burggaß am Thor gelegenen nicht hieher gehörigen behausung befunden worden wie folgt
Ergäntzung, Inhalt Inventarÿ durch weÿland Hn Philipp Jacob Mader geweßenen Notarium publicum juratum und burgern allhier seel. in Anno 1730. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Wittibers ohnverändert Vermögen, Sa. Haußraths 22, Sa. Schiff und geschirrs Zum Meelhandel gehörig 19 ß Sa. Silbers 1, Ergäntzungs rest 1046, Summa summarum 1072 lb – Schuld 37, Nach deren Abzug 1034 lb
Dießemnach wird auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. hausraths 36, Sa. Silbers 3, Sa. goldener Ringe 2, Sa. Schulden 27, Ergäntzungs rest 200 – Summa summarum 280 lb
Endlichen wird nun auch das Gemein verändert und Theÿlbar Guth beschrieben, Sa. haußrath 40, Sa. Vaß und Wein 20, Sa. Schiff und geschirrs Zum Meelhandel gehörig 28 lb, Sa. Silbers 1, Sa. Baarschafft 36 lb – Summa summarum 126 lb – Schulden 1268 lb, In Vergleichung, theilbares passiv onus 1142 lb – Stall Summ 175 lb
Copia der Heÿraths Verschreibung (…) den 14. Julÿ Anno 1730, Philipp Jacob Mader
Copia Codicilli

Le farinier Jean Nonnenmann se remarie en 1743 avec Marie Prœsamlé : contrat de mariage, célébration à Schiltigheim
1743 (31.5.), Me Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 5) n° 83
(Eheberedung) zwischen dem Ehrengeachten H. Johann Nonnenmann Meelmann und burgern alhier als Hochzeiter ane einem
so dann der Ehren und tugendsahmen Mariæ Bresamlein des Ehren und Vorgeachte, H. Johann Nonnenmann Küblers und burgers alhie Zu Straßburg eheleiblicher Tochter amß Hochzeiterin anm andern theil – beschehen und verhandelt in dießer Königlichen Statt Straßburg den 31. Maÿ Anno 1743

Mariage, Schiltigheim (luth. p. 67)
A° 1743. den 5. Junÿ seind auff ertheilte Erlaubnuß Ihro Gnd. des Regirend. Herren Ammeisters sub dato (-) Maji und Zu Straßburg geschehene Außruffung, alhier ehelich copulirt und eingesegnet word. Johannes Nonnenmann, burger und Meelmann in Straßburg Und Anna Maria Brosamle, Mstr. Johannes Brosamle burgers und Küblers in Straßburg eheliche tochter [unterzeichnet] Johannes Nonnenmann als hochzeiter, Anna Maria Brösamle als hochzeiterin (i 327)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports
1743 (19. 8.bris), Me Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 53) n° 1812-b
Inventarium über des Ehrengeachten Hn. Johann Nonnenmann des Meelmanns und der Ehren und tugendsahmen Frauen Mariæ Nonnenmännin gebohrner Bresamlein, beeder Eheleuthe und bürgere alhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zusammen gebrachte Nahrungen, auffgerichtet in Anno 1743. – in ihren vor geraumer Zeit in Gott angetrettenen Ehestand einander für ohnverändert (…) welche Nahrung der Ursachen halben, damit mann sich Künfftiger Zeit der in beeder Eheleuthe vor mir hernach unterschriebenem Notario auffgerichteten Eheberedung stipulirten Ergäntzung wegen darnach zu reguliren haben mochte – So beschehen in fernerem beÿseÿn auff seithen des Ehem: frauen Annä Margarethä Kirschlägerin geb. Sontagin H Johann Philipp Kirschlägers des Wirths und burgers Zu Schiltigheim Ehefrauen als ein ihres Ehemanns Ersterer haußfrau seel. leibl. Mutter, Ane der Ehefrauen seithen aber meister Johannes Bresamle deß Küblers und burgers allhier und deßen Ehefrau als ihrer leibl. Eltern Strassburg Sambstags den 19. Octobris Anno 1743.

In einer alhier Zu Straßburg, ane der Burggas am Thor gelegenen, nicht hieher gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Ehemanns ohnverändert Guth, Sa. haußraths 308, Sa. Schiff und geschirr auch frucht Meel und Gekorns Zum Meelhandel gehörig 281, Sa. Vaß und Wein 194, Sa. Silbers 29, Sa. baarschafft 282, Sa. Schein und Schaaff 7, Sa. Schulden 528, Summa summarum 1597. lb – Schulden 502, Nach deren Abzug 1095 lb
Demnach wird auch der Ehefrauen in den Ehestand gebrachte Haab und Nahrung beschrieben, Sa. Haußraths 271, Sa. Silbers 34, Sa. Goldener Ring 11, Sa. der baarschafft 202, Summa summarum 520. lb
Der Fünff Kinder Erster Ehe Pfetter, Göttel und Geschenckt geld, Joh: Georg gehörig, Anna Marg: gebührig, Mar: Barb. Zuständig, Maria Doroth. Zuständig, Mar: Salome gebührig
Wÿdemb Welchen der Ehemann ais erster Ehe lebtägig Zu genießen berechtiget ist. Nembl. in das von nun weÿland Frauen Annnæ Margarethæ Nommenmännin Gebohrner Reichardin, des Ehemanns geweßener erseren Ehefrauen seel. Vor mir Notario errichtete Codicill §°. 2.do lehret, hat Sie Ihme Ihre Völlige Verlassenschafft Salva Legitima zu einem lebtägigen Wÿdem Verschrieben

Registre de vente de meubles appartenant à Anne Marguerite Reichard épouse défunte du cocher Jean Nonnenmann
1757 (2.11.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 390) n° 744
Verkauff und Erlöß Register Über Weÿland Frauen Annä Margarethä Nonnenmännin gebohrner Reichardin seeligen hinterlaßener mit herrn Johann Nonnenmann, dem Kutscher und burgern allhier zu Straßburg ehelich erziehlter Vier Kinder Großmütterlich ererbte offentlich versteigerte und verkauffte Mobilia
(…) Nahmentlich Jungfrauen Annä Margarethä, Jungfrauen Mariä Barbarä, Jungfrauen Mariä Dorotheä und Johann Georg denen Nonnenmannen, davon die dreÿ Jungfrauen töchtere mit herrn Johann Philipp Späth dem Gastgeber zu denen dreÿen Caminen und burgern allhier, der Sohn aber mit herrn Sebastian Moderleÿer dem Weißbecken und burger, allhier bevögtiget seind, beÿ Abtheilung Weÿland Frauen Annä Margarethä Kirschlägherin gebohrner Sontagin, auch Weÿland herrn Johann Philipp Kirschlägers geweßenen ehemahligen ochßen Würths und burgers zu Schiltigheim seeligen hinterbliebener Wittib als Ihrer eheleiblichen Groß Mutter

Le cocher Jean Nonnenmann et Anne Marie Prœsamlé hypothèquent la maison au profit des enfants issus du premier mariage du mari

1758 (11.2.), Chambre des Contrats, vol. 632 f° 54-v
Johann Nonnenmann der lehnkuscher und Anna Maria geb. Brösamle mit beÿstand ihrer brüder Johann und Jacob der Brösamle
in gegensein Johann Philipp Späth des gastgebers als vogt sein Nonnenmann kinder erster ehe Margarethæ, Barbaræ und Dorotheæ der Nonnenmann – schuldig seÿen 445 lb
unterpfand, eine behausung cum appertinentis am Metzgerthor hinter den mauren, einseit neben H. Rathh. Schneeganß, anderseit neben H. Rathh. Roggenbach dem gastgeber, hinten auff Fr. Lurtzingin

Le cocher Jean Nonnenmann meurt en 1767. Il délaisse cinq enfants de son premier mariage et trois du deuxième. Les experts estiment la maison 900 livres. La masse propre à la veuve est de 557 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 1 403 livres, le passif de 3 841 livres

1767 (9.11.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 409) n° 1143
Inventarium über Weÿland des Ehren: und Wohlvorachtbahren herrn Johann Nonnenmann, des geweßenen Kutschers und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen Verlassenschafft, auffgerichtet Anno 1767. – nach deme derselbe Freÿtags den 9. Octobris dießes lauffenden 1767. Jahrs dießes Zeilich mit dem Ewigen verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Viel Ehren und tugendbegabten Frawen Annä Mariä Nonnenmännin gebohrner Prösamlein der hinterbliebeneer Wittib mit assistentz des Wohl Edlen und hochgelehrten Herrn Johann Friderich Seilers beÿ Ihro Gnaden des regirednem herrn Ammeisters Audientz wohlbestellten Procuratoris Ordinarÿ Ihres erbettenen herrn beÿstandts – So beschehen in Straßburg auf Montag den 9. Novembris Anno 1767.
Der Abgeleibte seeliger hat Zu seinen Erben ab intestato verlaßen wie folgt. 1. Johann Georg Nonnenmann, welcher abwesend und seit Anno 1752. keine Nachricht von Ihme ob Er annoch lebend oder todt seÿe, oder wo Er sich auffhalten möchte, eingelauffen, deßen geschworener Vogt ist herr Johann Friderich Modelmeÿer der Frantzösische beck burger allhier, welcher im Nahmen seines Curandi diesem Geschäfft persönlich beÿgewohnt, 2. Frau Annam Margaretham Wincklerin gebohrner Nonnenmännin, herrn Johann Conrad Winckler, des hohldrehers und burgers allhie Ehegattin, welche mit beÿhilff deßelben in Persohn zugegen ware, 3° Frau Mariam Barbara Fischerin gebohrne Nonnenmännin, herrn Conrad Fischer Stadt Musici Zu Germersheim Chur Pfältzischer Jurisdiction Ehefrau, welche ebenmäßig mit und beneben demselben beÿ diesem Geschäfft sich eingefunden, dieweilen sie aber allhier ohnverburgert als ist in Ihrem Nahmen aus E. E. Kleinen Raths Mittel krafft Extractus Memorialis vom 5.ten hujus Mensis et Anni in specie hierzu deputiret worden S. T. herr Christian Ludwig Boeckler J. V. Ltis und E. E. großen Rath alter auch vor Ehrengedachten kleinen Raths jetzig. wohlverordneter beÿsitzer, welcher ebenmäßig præsens ware, 4. Frau Mariam Dorotheam Weberin gebohrne Nonnenmännin herrn Johann Jacob Weber des frippiers und burgers allhier Ehefrau welche gleicherweiße mit Zuziehung deßelbe hierzu erschienen.
Vorherbenambßt dreÿ Frauen töchtere haben ferner zu einem Assistenten erbetten S. T. Herrn Johann Daniel Schweigheusser Notarium juratum publicum und berühmbten Practicum welche mit und neben Ihnen zugegen ware. Dieße Vier des seelig. Verstorbenen, in Erster Ehe mit auch Weÿl. Fraun Anna Margaretha gebohrner Reichardin seeligen ehelich erziehlte Sohn und Töchtere.
5° Jungfer Annam Mariam Nonnenmännin welche Majorennis und ohnbevögtiget, dahero miy Beÿhilff herrn Johann Leonhard Hirschel des Knöpffmachers Seidenhändlers und burgers allhier dießelbe sich in Persohn beÿ dem Geschäfft eingefunden, 6° herrn Johannem Nonnenmann Medicinæ Studiosum welcher ebenmäßig Majorennis und ohnbevögtigt mithin in selbst eigener Persohn dem Geschäfft abwartete, So dann 7° Johann Daniel Nonnenmann ledigen Keller, deßen geschworner Vogt ist vorgedachter Herr Johann Leonhard Hitschel des Knöpffmachers Seidenhändlers und burgers allhier, welcher seines Curandi Interesse hiebeÿ persönlich beobachtet, Dieße letztere dreÿ des Abgeleibten seeligen in Zweÿter Ehe mit Eingangs gedachter Frauen Anna Maria gebohrner Prösamlerin seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlte Söhnen und tochter. Alle Sieben des Verstorbenen seeligen ab intestato Zu Sieben gleichen portionen und antheilern Verlaßene Rechtmäßige Erben

In einer allhier Zu Straßburg hinter der Stadt Maur Zwischen der Viehegaß und Magdalenengaß gelegenen, in dieße Verlassenschafft gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden als folgt.
Eigenthumb ane einer behausung (E.) Neml. i. behaußung samt hoff, hoffstatt, Stallung und bronnen mit allen übrigen deren Gebäwen, begriffen, Weithen Rechten Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßb. hinter der inneren Stadtmaur Zwischen der Magdalenen oder Utten und Viehefaß 1.s. neben der Gast behaußung Zum Bären Weÿl. H. Georg Friderich Roggenbach E. E. grißen Raths amten beÿsitzers Erben gehörig 2.s. neben Hn Joh: Valentin Schneeganß dem ältesten Metzgers und E. E. großen Rath altem assessore hinden auf die Gastherberg Zum Raaben stoßend, so er freÿ ledig und eigen dh. die (Werckmeistere) vermög überschickter schrifftlicher Abschatzung vom 23.ten 9.bris Anno 1767. angeschlagen vor 900 lb. Darüber ist vorhanden i. teutscher perg. Kffb. in allhies. C. C. Stub aufgerichtet und mit dero anhang. Isnig. corroborort dedato 3.ten Xbris A. 1745. Dabeÿ 4 alte auch alda gefertigte Kffb. de datis 23. 9.bris 1618., 29. Aug. 1654, 17. Aug. 1676. & 15. Maji 1685.
– Abschatzung Vom 23.t 9.ber 1767. Auff begehren Weil. Johannes Nunenman ist eine behausung alhie in der Statt Strasburg hiender der mauren am Metzer thorr gelegen Einseits Neben Frau Rogebach an der seits Neben H. Rath her Schnegans und hienden auff den raben stosent Gelegen solche behausung besteht in Ettliche Stuben Kamern Und Kichen dar jber ist der dach Stuhl mit breidt ziglein belegt hat auch ein getrembter Keller hoff und brunen Ferner befiendet sich ein hiender Gebeÿ warinnen Stallung remmies und haübinen War jber der dach stuhl Ebenfals mit breit ziglein belegt. Von uns Unterschriebnen der Statt Strasburg Geschwornen Werckmeister Nach Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer Gerechtig Keit Dem Jetzigen wahren werth Nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und Umb Ein Thausent Acht hundert gulden. [unterzeichnet] Werner, Hueber
Ergäntzung der Wittib abgeganenen ohnveränderten Guths. Inhalt Inventarÿ (…) durch Weÿland herrn Notarium Christoph Michael hoffmann nun seeligen in Anno 1743 aufgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 20, Sa. silbers 10, Sa. Schuld 37, Erg. Rest 588, Summa summarum 657 lb – Schulden 100 lb Nach deren Abzug 557 lb
Dießem nach Wird nun auch der Erben ohnverändert und theilbar Nahrung und Zwar Weilen Keine Errungenschafft ausfält, unter einer Masse beschrieben. Sa. haußraths 220, Sa. Kutschen 93, Sa. heus und Strohs 6, Sa. Lährer Faß 25, Sa. Silbers 5, Sa. Goldenen Rings 2, Sa. Eigenthum ane einer behaußung 900, Sa. Erb Lehenguth 15, Sa. Schulden 134, Summa summarum 1403 lb – Schulden 3841, In Vergleichung 2438 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 809 lb
Wÿdemb Welchen der Abgeleibte seelige Von Weÿland Frauen Anna Margaretha Nonnenmännin gebohrner Reichardin seiner geweßenen Erstern Ehegattin seeligen Lebtägin genoßen hat. Inhalyt Summarischen Calculi durch mich Notarium unterm 30. Decembris 1752. gefertiget
Zweiffelhaffte und verlohrne Schulden in das Erbe Zugeltend 543 lb
Copia Codicilli (…)
Copia der Eheberedung (…) Straßburg den 31. Maÿ Anno 1743

Anne Marie Prœsamlé hypothèque la maison au profit de Samuel Silberrad, secrétaire des Treize

1767 (17.12.), Chambre des Contrats, vol. 641 /2 n° 673
Fr. Anna Maria geb. Breßamle weÿl. Johann Nonnemann gewesten kutschers witib beÿständlich H. Johann Friedrich Seiler des Cantzleÿverwandten
in gegensein H. Lt. Samuel Silberrad XIII. Sercretarÿ – schuldig seÿen 600 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis hinter der inneren stadtmaur zwischen der Magdalenä oder Uttengaß und Viehgaß, einseit neben der gastherherg zum Schwartzen bäaren, anderseit neben H. Rathh. Joh. Valentin Schneeganß, hinten auff die gastherberg zu Raaben

Marie Prœsamlé veuve de Jean Nonnenmann loue une partie de la maison au sellier Chrétien Gintzroth

1768 (14.5.), Me Humbourg (6 E 41, 130)
Bail de 6 années entières et consecutives qui commencent a la S. Jean Baptiste prochaine – Marie Bresamlé veuve de Jean Nonnenmann cocher assistée de Jean Conrad Winckler tourneur
à Chrétien Gintz Rodt Bourgeois Mr Sellier de cette ville
Sçavoir La Remise et les deux Ecuries l’une grande et l’autre petite dans la cour de la maison de la Bailleuse derrière les murs entre les rue Ste Madeleine et des Bestiaux le magazin et le grenier au dessus de ladite remise et un Emplacement Couvert a l’entrée de la Porte cochere pour y placer un carosse et un autre emplacement dans la cour a côté et a gauche en entrant dans la remise aussi pour pouvoir y placer une voiture, lequel emplacement dans la cour le preneur fera couvrir a ses frais et pourra à l’expiration du Bail emporter cette couverture – moyennant un loyer annuel de 120 lit

Anne Marie Prœsamlé vend la maison au teinturier Jean Frédéric Birckicht et à sa femme Marie Salomé Prœsamlé

1770 (1.3.), Chambre des Contrats, vol. 644 f° 27-v
Anna Maria geb. Bresamle weÿl. Johann Nonnenmann gewesten lehnkutschers wittib beÿständlich H. Johann Daniel Kuf des courtier
Johann Friedrich Birckicht des färbers und Mariæ Salome geb. Bresamle mit beÿstand H. Ludwig Jacob Stromeÿer exsenatoris und Johann Daniel Würtz des goldarbeiters
eine behausung, hoff, stallung und hoffstatt mit allen gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten hiinter denen mauren zwischen der Vieh- und der Uttengaß, einseit neben weÿl. H. Rathh. Roggenbach wittib und erben, anderseit neben H. Rathh. Schneeganß dem metzger, hinten auff Friedrich Teutsch den Postmeister – als ein in ihren gedachten Ehemanns mass entschlagen worden befindlichens guth – um 600 und 600 pfund verhafftet, geschehen um 1900 pfund

Les acquéreurs hypothèquent la maison au profit de Jean Jacques Kuhn, boulanger à la fondation Saint-Marc

1770 (24.4.), Chambre des Contrats, vol. 644 f° 218-v
Johann Friedrich Birckicht der färber und Maria Salome geb. Brösamle mit beÿstand Johann Brösamle des küblers und Johann Nonnenmann med. studiosi beede ihren nächsten
in gegensein Johann Jacob Kuhn des pfisters löbl. Stiffts St. Marx – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis zwischen der Dauphine und Uttengaß, einseit neben N. Rogenbach dem gastgeber, anderseit neben H. Rathh. Schneegans dem metzger, hinten auff H. Teusch den postmeister

Jean Frédéric Birckicht loue la maison au chandelier Abraham Mœrdel

1773 (27.11.), Chambre des Contrats, vol. 647 f° 452
H. Johann Friedrich Birckicht der färber
in gegensein Abraham Mördel des lichtermachers
entlehnt, eine behausung zu Straßburg à la place dauphine einseit neben H. Rathh. Schneegannß, anderseit neben H. Roggenbach dem gastgeber zum schwartzen bären, den unteren stock oder rez de chaussée bestehend in einer stub, stubcammer und kuchen samt keller unter sothaner küche wie auch bauchküche wovon der entlehner jedannoch in waschzeit sich den freÿen gebrauch bestens vorbehaltet, ferner im ersten stock zwo kammern so dann im 3t stock annock eine kammer ; auff 6 nacheinander folgenden jahren auff innstehenden weÿhnachten anfangend – um einen jährlichen Zinß nemlich 50 gulden

Jean Frédéric Birckicht et Marie Salomé Prœsamlé hypothèquent la maison au profit du maître de poste Jean Frédéric Teutsch

1775 (10.6.), Chambre des Contrats, vol. 649 f° 264-v
H. Johann Friedrich Birckicht der färber und Maria Salome geb. Bresamle unter assistentz Johann Bresamle des küblers ihres leiblichen bruders und Johann Conrad Winckler des hohldrehers
in gegensein H. Johann Friedrich Teutsch des postmeisters – schuldig seÿen 400 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden ane der Vieh nunmehro Dauphine gaß, einseit neben H. Rathh. Schneegans, anderseit neben H. Roggenbach dem gastgeber, hinten auff H. Creditor

Jean Frédéric Birckicht loue une partie de sa maison au messager Jean Christophe Meyer

1781 (26.5.), Chambre des Contrats, vol. 655 f° 242-v
H. Johann Friedrich Birckicht der schwartz und schönfärber
in gegensein H. Johann Christoph Meÿer des Rathsbotten
lehnungsweiß, in des verlehners ane dem Dauphine platz gegen der zur Statt Wien geschildete wirths behausung gelegenen hauß eine vollständige wohnung bestehend in einer großen und einer kleinen stub nebst einer stub kammer und küche im zweÿten stock, ferners einer anderen kammer etwas höher darüber so dann einen unterschlagenen keller nebst platz zum holtz zu legen – auff 6 nacheinander folgenden jahren auff instehenden Johannis Baptistæ tag – um einen jährlichen Zinß nemlich 38 gulden

Inventaire après décès d’un locataire, Jean Frédéric Acker pasteur luthérien de Bischwiller (beau-frère de Jean Frédéric Birckicht par sa première femme)

1785 (26.4.), Me Lederlin (6 E 41, 907) f° 294
Inventarium über weÿl. des wohl Ehrwürdigen und hochgelehrten H. Johann Friedrich Ackers des treueifrigen Oberpfarrers und Seelsorgers der evangelischen gemeinde in Bischweiler hochfürstl. Zweÿbruckischer Jurisdiction und burger dahier in Straßburg verlassenschafft – nach seinem d. 4. Februarÿ in Bischweiler genommenen tödlichen hintritt – auff ansuchen Jfr. Margaretha Ackerin des defuncti seel. per testamentum inscriptus solemne clausum eingesetzten einigen erbin beÿständlich H. Johann Friedrich Birckig des schwartz: und schönfärbers ihres schwagers
in einer hinter den mauren beÿ der Dauphine gaß gelegen H. Johann Friedrich Birkigt des schwartz und schönfärber zuständigen behausung
hausrath 55 lt, silbers 3 lt, gold 16 lt, baarschafft 250 lt, activ schulden 250 lt, bibliotheca 115 lt, Summa 690 lt – Zweiffelhaffte schulden 1050 lt
Testament, meiner schwester Margaretha Ackerin, meinem neveu Friedrich Birckig d. 1. Februarÿ 1785, Actus depositionis 1. Februarÿ 1785, Elias Stöber greffier adjoint

Jean Frédéric Birckicht loue une remise au marchand Simon Zollickoffer le jeune

1790 (19.1.), Chambre des Contrats, vol. 664 f° 25
H. Johann Friedrich Birckicht der schwartz und schönfärber
in gegensein H. Simon Zollickoffer des jungen handelsmanns
lehnungsweiße, die dem verlehner eigenthümlich zuständig hinter denen mauren gelegenen behausung die futer remise – auff 6 nacheinander folgenden jahren von verwichenen weÿhnachten anzufangen 96 lib

Jean Frédéric Birckicht et Marie Salomé Prœsamlé hypothèquent la maison au profit du marchand Georges Frédéric Rosa

1791 (10.1.), Chambre des Contrats, vol. 664 f° 7
Johann Friedrich Birckicht der schwartz und schönfärber und Maria Salome geb. Bresamle beÿständlich Johann Bresamle des kübler meisters und Johann Christian Storck des schneider meisters
in gegensein H. Georg Friedrich Roßa des handelsmanns – schuldig seÿen 200 R
unterpfand, eine behausung samt zugehörden mit N° 14 bezeichnet ane dem Dauphine platz gelegen

Marie Salomé Prœsamlé meurt en 1796 en délaissant quatre enfants. La masse propre au veuf s’élève à 739 livres, celle des héritiers à 1140 livres tournois. L’actif de la communauté s’élève à 9 305 livres, le passif à 16 914 livres tournois

1797 (11 thermidor 5), Strasbourg 5 (8), Me Grimmer n° 385 – Enregistrement de Strasbourg, acp 53 F° 140-v du 20 ther. 5
Inventarium über Weil der bürgerin Maria Salome Birckicht geb. Prösamle des bürgers Johann Friedrich Birckicht des färbers Ehefrau Verlassenschafft, nach ihrem den 24. fruct. des 4 Jahrs erfolgten Absterben
Benennung der Erben. die Verstorbene hat zu ihren wahren und rechtsmäßigen Erben hinterlassen mit dem Wittiber erzeugte Kinder namentlich 1. Johann Carl lediger färber so großjährig und seine Rechten genießend, 2. Maria Margaretha des bürgers Ludwig August Liernor hiesigen Peruckenmachers Ehefrau, 3. Anna Maria so ebenfals großjährig, beiständlich des burgers Johann Joseph Bitschnau homme de loy, 4. Johann Gottfried so ohngefehr 13 Jahr alt in deßen Namen bürger Bitschnau deßen beeidigten Streitvogt

in der hernach gemelten hiehero gehörigen behaußung
Eigenthum ane einer behaußung. (T.) Neml. eine behaußung hof hoffstatt und Stallung mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten hinter der Mauren zwischen der Vieh: und Uttengaß, einseit neben Johann Friedrich Roggenbach anderseit neben Joh: Daniel Weiler mezger und hinten auf Anton Wehrli den Postmeister stoßend, ohnpræjudicirlich angeschlagen worden pro 8000 livres, darüber ist vorhanden eine in der C. C. Stuben aufgerichtete Kauffverschreibung d. d. 1. mart. 1770
liegende güther (2 stück Straßburger banns)
Ergäntzung, Not. Rud. Dinckel in Anno 1767 gefertigten Invii.
Manuductio et Series rubricarum hujus Inventarÿ der Erben ohnverändert, hausrath 293 lb, Silbergeschmeid 5 lb, gold. Rings 9 lb, Ergäntzung 632 lb, schulden 200 lb, summa summarum 1140 lb
des Wittibers ohnverändert Guths, hausrath 79 lb, Schiff und geschirr 127 lb, ergäntzung 733 lb, summa summarum 939 lb, schulden 200 lb, Nach deren Abzug 739 lb
beschreibung des teilbaren Guths, hausrath 577 lb, Schiff und geschirr zur färber profession gehörig 114 lb, verfertigten Waar 111 lb, Ackerbaugeschirr 42 lb, Kuh 60 lb, silbers 48 lb, behaußung 8000 lb, liegende güther 350 lb, summa summarum 9305 lb – Schulden 16 914 lb, In Vergleichung passiv onus 7609 lb
Eheberedung (…), den 13. feb. 1767, Not. Joh. Rud. Dinckel, coll. Grimmer

Jean Frédéric Birckicht loue une partie de la maison à son fils teinturier Jean Charles

1806 (30.8.), Strasbourg 5 (24), Me F. Grimmer n° 4091 – Enregistrement de Strasbourg, acp 100 F° 150 du 9.9.
Bail de 9 années qui ont commencé à la St Jean dernier – Sr Jean Frédéric Birckicht teinturier
à son fils Jean Charles Birckicht aussi teinturier
le poel la chambre y attenant Boutique et cuisine se trouvant le tout au Rez de chaussée de la maison sise a Strasbourg place des Canoniers derrière les murs, d’un côté le Sr Roggenbach d’autre Jean Daniel Weiler derrière la propriété du Sr Antoine Werly,
Plus la boutique de teinturier avec six chaudrons de cuivre rouge et tous les ustensiles du metier sans aucune exception,
Plus la Calandre et l’emplacement a ce niveau, deux greniers sur le bâtiment par le devant et un grenier sur icelui dans la cour deux écuries et la fosse du fumier et Jardin se trouvant dans la cour ainsi que ladite boutique le logement – moyennant un loyer annuel de 264 francs

Jean Frédéric Birckicht loue une partie se la maison à son fils teinturier Jean Geoffroi

1809 (22.11.), Strasbourg 7 (48), Me Stoeber n° 817, 9346 – Enregistrement de Strasbourg, acp 113 F° 136-v du 24.11.
Bail de 6 années qui commencent a courir le 25 décembre prochain – Jean Frédéric Birckicht teinturier
à Jean Geofroi Birckicht garçon teinturier
Le logement au rez de chaussée de sa maison de devant sise audit lieu derrière les murs n° 14 consistant en un poël, une chambre joignant le poële, chambre servant a la boutique, cuisine, place dans la cave, chambre pour les domestiques dans la cour, conjointement avec le bailleur, la jouissance de la cour et du puits, les emplacements pour sécher le fil, la jouissance des greniers de la maison de derrière de plus les chaudrons et la calande servant a la teinture – moyennant un loyer annuel de 400 francs

Jean Frédéric Birckicht cède sa moitié de maison à ses deux filles, Anne Marie femme de l’aubergiste Pierre Jund et Marguerite veuve du coiffeur Louis Liernur

1813 (3.9.), Strasbourg 7 (50), Me Stoeber jeune n° 194 – Enregistrement de Strasbourg, acp 123 F° 77 du 4.9.
Jean Frédéric Birckicht père ancien teinturier
à Pierre Jund aubergiste et Anne Marie Birkicht, Marguerite Birckicht veuve de Louis Lirnur coeffeur, les conjoints Jund pour moitié, la veuve Linur pour moitié
la moitié par indivis d’une maison située en cette ville derrière les murs n° 14 consistante en bâtiment de devant et de derrière, cour, pompe, écurie, jardin, appartenances et dépendances, d’un côté la succession Weyler d’autre le Sr Rockebach propriétaire brasseur, derrière le Sr Maechling sur l’auberge de l’ours et sur celle au corbeau – acquis conjointement avec sa femme Marie Salomé née Broesamlé d’Anne Marie Broesamle veuve de Jean Nonnenmann loueur de carosses par acte passé à la Chambre des Contrats le 1 mars 1770, l’autre moitié appartient aux De Jund et Linur conjointement avec leurs frères Jean Charles et Jean Geofroi les Birckicht, tous deux teinturiers, échu dans la succession de leur mère, suivant liquidation devant Me Grimmer le 12 thermidor 5 – moyennant 11 839 francs dont pour les objets mobiliers 2639 francs

Originaire d’Annweiler en Palatinat, le perruquier Louis (Louis Frédéric Charles André) Liernur épouse Marie Marguerite Birckicht en 1796
1796 (22 fructidor 4), Strasbourg 5 (7), Me Grimmer n° 331 – Enregistrement de Strasbourg, acp 42 F° 127 du 1 compl. 4
der bürger Ludwig Friedrich Carl Andreas Liernor, der Peruckenmacher, weiland des bürgers Carl Tillemann Liernor des Vogts und Amtmanns von Anweiler mit der bürgerin Louisa geb. Hopfenblatt großjähriger Sohn [unterzeichnet] Louis Liernur
Jungfrau Maria Margaretha Birckicht des bürgers Johann Friedrich Birckicht des Schwartz und schönfärbers mit der burgerin Maria Salome geb. Prosamle ehelich erzeugte tochter
(enregistrement, revenu industriel 300 livres)

Le boulanger Jean Pierre Jund épouse Anne Marie Birckicht en 1798
1798 (6 vend. 7), Strasbourg 9 (26 n.c.), Me Bossenius n° 62 – Enregistrement de Strasbourg, acp 63 F° 93-v du 12 vend. 7
(Eheberedung) sind erschienen bürger Johann Peter Jundt, hiesiger bäcker, weiland bürgers Johann Heinrich Jundt, geweßten bäckers allhier mit bürgerin Anna Maria gebohrnee Bickeron deßen nunmaliger Wittib ehelich erzeugter großjähriger Sohn alß hochzeiter an einem,
Und Jungfer Anna Maria Birckigt, bürgers Johann Friderich Brickigt, färbers allhier, mit weiland bürgerin Maria Salome gebohrner Prösamle ehelich erziehlte tochter als Braut, beiständlich sieses ihres Vaters, am andern theil- Straßburg am 12. Vendemiaire siebenden Jahrs der fränckischen ohntheilbaren Republique [unterzeichnet] Johann Peter Jundt, Anna Maria Birckicht

Anne Marie Birckicht meurt en 1814 dans la maison Derrière les murs dont elle est propriétaire partiaire en délaissant sept enfants
1814 (24.2.), Strasbourg 7 (51), Me Stoeber jeune n° 376, vacation du 10.3. (acp 124 F° 85 du 21.3.) – Enregistrement de Strasbourg, acp 124 F° 78-v du 7.3.
Inventaire de la succession d’Anne Marie née Birckicht femme de Jean Pierre Jundt cabaretier décédée le 24 janvier dernier, ce dernier usufruitier par contrat de mariage passé devant Me Bossenius le 12 vendemiaire 7, ensemble 1) Amélie 14 ans, 2) Sophie 12 ans, 3) Geofroi Théodore 10 ans, 4) Henri Gustave 6 ans, 5) Julie 5 ans, 6) Théophile Edouard 2 ans et 7) Caroline 6 mois, en présence de Jean Charles Birckicht teinturier tuteur subrogé

dans la demeure du veuf derrière les murs n° 14
propres, garde robe 157 fr, meubles 265 fr, remploi 348 fr, remploi du au veuf 1209 fr
Partie de maison propre aux héritiers. Le quart par indivis de la moitié indivise d’une maison sise en cette ville derrière les murs n° 14 consistant en bâtiment de devant et de derrière, cour, pompe, écurie, jardin, appartenances et dépendances, d’un côté la
succession Weiler, d’autre le Sr Rockenbach propriétaire brasseur, derrière le Sr Maechling sur l’auberge a l’ours et sur celle au corbeau, la totalité acquise par Jean Frédéric Birckicht, teinturier, père de la défunte et Marie Salomé née Proesamlé d’Anne Marie Proesamlé veuve de Jean Nonnenmann, loueur de carosses, suivant acte passé à la Chambre des Contrats le 1 mars 1770. Le susdit quart par indivis de la moitié indivise de maison échu au défunt de la succession de sa mère, suivant liquidation reçue Me Grimmer le 12 thermidor 5, en vertu du même titre un autre un 8° appartient à Jean Charles Birckicht tuteur subrogé, un 8° à Geofroi Birckicht soldat, un 8° à Marguerite Birckicht veuve de Louis Liernur coeffeur, la moitié restante acquise conjointement avec la veuve Liernur pour moitié et pour moitié par les conjoints Jundt suivant acte Me Stoeber le 3 septembre 1813
produit locatif, le rez de chaussée de la maison de devant à Charles Birckicht ce rez de chaussée est en même temps occupé par le veuf estimé 200 fr, le premier étage de la maison de devant occupé par le Sr Birckicht père susdit Sr Schultz ouvrier en tabac 154 fr, le second de la maison de devant occupé par le Sr Follherbst cordonnier, la veuve Liernur ci dessus qualifiée et le Sr Jung cordonnier pour 180 francs, le troisième de la maison de devant occupée par la femme Roser laveuse moyennant 50 fr, la maison de derrière occupée savoir le rez de chaussée par le Sr Hammer cordonnier pour 50 fr, le Sr Laederich tisserand pour 72 fr, le premier occupé par le Sr Sturm cordier, Erb cocher, Schuell menuisier pour 184 francs, total 900 fr, de revenu en capital 18 000 fr, la part 2275 fr
ensemble 3045 fr, passif du défunt 2300 fr, reste 745 fr
communauté, mobilier 325 fr, dettes actives 1390 fr, numéraire 48 fr
la moitié par indivis de la moitié indivise de la maison ci dessus désignée Me Stoeber 3.9. dernier 4500 fr, ensemble 6263 fr, passif 6366 fr et remploi 348 et 1309 fr, total des dettes 7923 fr, déficit 1660 francs

Marguerite Birckicht et les héritiers d’Anne Marie Birckicht cèdent en 1816 une partie de leur terrain à leurs voisins Jean Daniel Pfæhler et Charles Auguste Pfæhler, voir 15, rue d’Austerlitz

Jean Pierre Jundt, pour lors journalier, meurt en 1820 dans la maison Derrière les murs

1820 (20.6.), Strasbourg 7 (62), Me Stoeber jeune n° 5409 – enreg. 148 manquant F° 9 du 21.6.
Inventaire de la succession de Jean Pierre Jundt journalier décédé le 11 mars dernier, à la requête de 1. Jean Jacques Fritz, cordonnier hors la porte Dauphine canton dit Musau près la tuilerie du Rhin, comme poursuivant les droits de sa femme Amélie Jundt, 2. Jean Daniel Jundt, boulanger tuteur à (1) Sophie 18 ans, (2) Geofroi Théodore 16 ans, (3) Henri Gustave 12, (4) Julie 11 ans, (5) Théophile Edouard 8 ans, (6) Caroline 6 ans et demi conjointement avec la De Fritz héritiers de Jean Pierre Jundt procréés avec feu Anne Marie Birckicht, en présence de Jean Charles Birckicht tuteur subrogé teinturier

dans la maison mortuaire derrière les murs n° 14
meubles 240 fr
part de maison. Le 8° par indivis d’une maison, cour, petit jardin, teinturerie, écurie, appartenances et dépendances sise à Strasbourg derrière les murs près la place Dauphine marquée du n° 14, d’un côté la succession Weiler, d’autre le Sr Rockenbach propriétaire, derrière la brasserie du Sr Maechling – acquis de son beau père Jean Frédéric Birckicht, teinturier, par acte devant le soussigné le 3 septembre 1813. C’est en vertu du même acte que feu son épouse a acquis pareille quotité de ladite maison de Marguerite Birckicht veuve de Louis Liernur coëffeur, 2/8 du même immeuble. Ces parts de maison forment ensemble la moitié vendue par ledit Jean Frédéric Birckicht. L’autre moitié dépendant de la femme de ce dernier Marie Salomé Broesamlé est encore indivise entre les héritiers Jundt du chef de leur mère, ladite veuve Liernur, le susdit Charles Birckicht et Jean Geofroi Birckicht teinturier, les héritier Jund 3/8 veuve Liernur 3/8 Charles Birckicht 1/8 Geofroi 1/8. Les conjoints Birckicht ont acquis ledit immeuble d’Anne Marie Broesamlé veuve de Jean Nonnenmann loueur de carosses par acte à la Chambre des Contrats le 1 mars 1770, liquidation de la succession de M. Birckicht devant Me Grimmer le 12 thermidor 5. L’autre moitié appartenant au père Birckicht a été vendue aux conjoints Jundt et à la veuve Liernur ainsi qu’il est dit ci dessus. La maison est occupée : savoir la maison de devant, au rez de chaussée par le Sr Brandner menuisier pour 100 fr, Charles Birckicht susdit pour 200 fr, au premier étage Schatz journalier pour 72 fr, Jung employé pour 72 fr, Kalbsfuss cordier pour 48 fr, le défunt pour 48 fr, au second étage Goepfer jardinier pour 100 fr, veuve Liernur pour 36 fr, au troisième étage Stahl crocheteur pour 40 fr, veuve Karcher pour 30 francs
la maison de derrière occupée par Ledrich tisserand pour 60 fr, Hammerer cordonnier pour 40 fr, Barthel palfrénier pour 40 fr, total 886 fr capitalisé au denier vingt, 17 720, francs, le huitième 2215 fr
dettes actives 700 fr, passif 2812 fr
Dépouillement garde robe 240 fr, mobilier 2215 fr, créances 700 fr, ensemble 3155 fr, passif 2812 fr, reste 343 francs

Jean Geoffroi Birckicht cède à sa sœur Marguerite la part de maison qui lui provient de sa mère

1823 (31.7.), Strasbourg 14 (76), Me Lex n° 1068 – Enregistrement de Strasbourg, acp 164 F° 49 du 6.8.
Jean Geoffroi Birckicht, débitant de tabacs, et Susanne Madeleine Heimlich
à Marie Marguerite Birckicht veuve de Louis Lierner, coeffeur
un huitième de la maison, cour, écurie, appartenances & dépendances sise en cette ville de Strasbourg derrière les murs n° 14, d’un côté le Sr Rockenbach rentier, de l’autre la veuve Weiler, devant la rue, derrière en partie le Sr Pfaehler en partie l’auberge au Corbeau & en partie auberge à l’Ours noir – échu dans la succession de sa mère Marie Salomé Braesamlé femme de Jean Frédéric Birckicht peintre – moyennant 1375 francs

Marguerite Birckicht veuve de François Lierner acquiert par licitation de ses cohéritiers les parts de la maison

1824 (26.5.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 168, n° 67
Par devant Louis Joseph Marchal, Chevalier de l’Ordre Royal et militaire de St Louis, Juge du Tribunal Civil de de Première Instance du Bas Rhin, commissaire en cette partie – Adjudication par voie de licitation d’une maison à Strasbourg derrière les murs de la ville près la Place Dauphine marquée n° 14 sur le Cahier des Charges
Cahier des Charges, Me Theis, avoué près le Tribunal Civil occupant pour Amélie Jundt épouse de Jean Jacques Fritz, militaire pensionné à Strasbourg, déclare que sa cliente étant propriétaire par indivis d’une maison et dépendances, elle a formé une demande en partage ou en licitation de l’immeuble dont s’agit contre Dlle Joséphine Jundt, fille majeure, 2. Jean Daniel Jundt, boulanger en qualité de tuteur nommé par la justice à Geoffroi Théodore Jundt, Pierre Gustave Jundt, Julie Jundt, Théophile Jundt, & Catherine Jundt tous lesdits Jundt en qualité d’héritiers de Pierre Jundt, journalier, et Anne Marie Birckicht sa femme leurs père et mère, 3. Marguerite Birckicht veuve de Louis Lerner, cafetier, 4. Jean Geoffroid Birckicht, teinturier, 5. Charles Birckicht, teinturier, tous copropriétaires, pour lesquels occupe M. Valentin avoué près le même Tribunal Civil – Jugement du 5 novembre dernier, expertise du 8 décembre et jugement du 31 décembre 1823
le 23 avril 1824, vendu primitivement le 9 avril à M Dietrich, avoué qui a fait déclaration de command pour Philippe Jacques Herrenberg, architecte à Strasbourg pour 12 410 francs – surenchéri de 1/10 par Marguerite Birckicht veuve de François Lierner, cafetier, assistée de Me Valentin, le 17 avril courant pour 14 500 francs
Désignation de l’immeuble, une maison située à Strasbourg derrière les murs de la ville près la Place Dauphine marquée marquée du n° 14, consistant en un bâtiment principal sur la rue, cour avec pompe, bâtiment en aile, bâtiment de fond, arrière cour avec petit bâtiment en aile d’un côté Weiler, d’autre les Sr Rockenbach et Weber, derrière Jachler et Schuster – Titre de propriété, appartenant aux licitants savoir 1. Amélie Jundt, Sophie Jundt, Geoffroi Théodore, Pierre Gustave, Julie, Théophile & Catherine les Jundt pour avoir hérité les 3/8 leur appartenant de Pierre Jundt et Anne Marie Birckicht leurs père et mère qui avait acquis 2/8 de Jean Frédéric Birckicht, teinturier, par acte Me Stoeber le 3 septembre 1813, l’autre 8è échu à Anne Marie Birckicht dans la succession de Marie Salomé Praesamlé décédée femme Birckicht sa mère, 2. Marguerite Birckicht veuve Lirner 3/8 lui appartenant pour avoir acquis 2/8 de Jean Frédéric Birckicht devant Me Stoeber par acte dont il vient d’être fait mention et héritière pour 1/8 de Marie Salomé Prasamlé sa mère, la veuve Lierner a acquis 1/8 de Jean Geoffroid Birckicht par acte Me Lex le 31 juillet 1823, d’où il résulte que la veuve Lierner est propriétaire pour moitié, 3. Jean Geoffroi Birckicht et Charles Birckicht chacun pour 1/8 héritier dans la succession de la même Marie Salomé Prasamlé décédée femme de Jean Frédéric Birckicht teinturier – mise à prix 9500 fr, fait le 22 janvier 1824

Marguerite Birckicht accorde en 1835 une servitude à son voisin Jean Daniel Pfæhler

Marie Marguerite Birckicht meurt en 1843 dans la maison qu’elle a acquise rue du Renard Prêchant
1843 (6.5.), Strasbourg 10 (101), Me Zimmer n° 4765
Inventaire de la succession de Mme Marie Marguerite Birckigt décédée à Strasbourg le 10 avril 1843 veuve de M. Louis Liernur en son vivant coeffeur – à la requête de Mr Aimé Pierre Lefèvre, conducteur d’omnibus demeurant à Strasbourg, agissant comme père et tuteur légal de sa fille mineure Dlle Madeleine Amélie Lefèvre, née à Strasbourg le 6 avril 1832, 2. comme usufruitier légal des biens de son enfant jusqu’à sa 18° année ou son émncipation. En présence de M. Jean Geoffroi Birckigt propriétaire demeurant à Strasbourg, agissant au nom et comme subrogé tuteur de ladite mineure Lefèvre, (…) habile à se porter seule et unique héritière de Mme Marguerite Birckigt décédée veuve de M Louis Liernut en son vivant coeffeur par représentation de sa mère Mme Amélie Liernur décédée épouse dudi St Lefèvre, et fille unique de ladite De veuve Liernur
en la maison mortuaire sise en cette ville rue du renard prechant N° 2
Immeuble. Une maison avec petite cour, maison de derrière sise à Strasbourg rue du renard prechant N° 2 (…)
Total de la masse 6299 francs – Passif 3896 francs, reste un reliquat actif de 2413 francs

Marie Marguerite Birkicht veuve de Louis Liernur vend la maison au mégissier Charles Guillaume Kœnig et à sa femme Joséphine Simon

1839 (9.2.), Strasbourg 2 (82), Me Tinchant n° 980 – Enregistrement de Strasbourg, acp 266 F° 5 du 12.2.
Marie Marguerite Birkicht veuve de Louis Lierner, coiffeur
à Charles Guillaume Koenig, mégissier, et Joséphine Simon
une maison avec cour, écurie, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue dite derrière les murs près la Place des Orphelins marquée du n° 14, d’un côté le Sr Rockenbach rentier, de l’autre la veuve Weiler, devant la rue derrière en partie Sr Pfaehler en partie hôtel au Corbeau en partie hôtel à l’Ours Noir – sont compris 14 fourneaux dont onze en fonte et trois en fayence ainsi qu’autres outils et ustensiles dépendant du métier de teinturier et qui se trouvent dans la maison sus désignée
Origine de la propriété, Jean Frédéric Birkicht, teinturier, et Marie Salomé Bresamlé ont acquis ledit immeuble sur Jean Nonnenmann, loueur de carosse, par acte à la ci devant Chambre des Contrats le 1 mars 1770, par Liquidation et partage après le décès de la De Birkicht devant Me Grimmer le 12 thermidor 5, la moitié de l’immeuble avenu De Lierner à la De Anne Marie Bierkicht épouse de Pierre Jundt, aubergiste et Sr Jean Charles et Jean Geoffroi Birkicht tous pour 1/8, par acte reçu Me Stoeber le 3 septembre 1813 Jean Frédéric Birkicht a vendu la moitié à lui appartenante 1 aux susdits conjoints Jundt, 2 De Lierner, par acte devant Me Lex Jean Geoffroi et De Susanne Madeleine Heimlich ont vendu à la De Lierner le huitième

Charles Guillaume Kœnig épouse Marie Joseph Simon en 1814
1814 (31.12.), Strasbourg 6 (41), Me Meyer n° 948 – enreg. manquant F° 184 du 5.1.
Contrat de mariage – Charles Guillaume Koenig, tanneur fils majeur de Charles Jean Koenig, sellier, et de défunte Madeleine Christ
Marie Joseph Simon, fille majeure de François Xavier Simon, employé dans les domaines, et de Marie Anne née Lottringer
apports de la future épouse 657 francs


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.