Philippe Kieffer, maître maçon, et (1732) Anne Salomé Bœgner – luthériens


Fils de remueur de grains, Philippe Kieffer fait son apprentissage auprès de Jean Georges Kieffer de 1720 à 1725. Il souhaite faire son chef d’œuvre et obtient en janvier 1731 une dispense pour n’avoir pas entièrement terminé son tour de compagnon. Jean Philippe Kieffer présente fin mars son chef d’œuvre que les examinateurs lui demandent de corriger. Il est reçu maître à la restriction de ne pouvoir former d’apprenti pendant les quatre premières années. Il devient tributaire fin avril 1731.
Jean Philippe Kieffer épouse en juillet 1732 Anne Salomé Bœgner, fille d’un emballeur à la halle. Les nouveaux mariés habitent une maison au Marais Vert en 1732.
Philippe Jacques Zell se plaint en 1732 que Jean Philippe Kieffer ait travaillé chez ses clients sans son autorisation. Deux clients insatisfaits portent une réclamation devant le conseil des maçons : le tailleur Frédéric Gerhard en 1735 et l’huilier Jean Georges Dætter en 1739.
Anne Salomé Bœgner meurt en septembre 1739 sans enfant et Jean Philippe Kieffer en janvier 1740.

Maison en propriété
1734, rue Saint Jean (I 286, actuel 5, quai Charles Altorffer)


Fils de remueur de grains, Philippe Kieffer fait son apprentissage auprès de Jean Georges Kieffer de 1720 à 1725

1720, Protocole des Maçons (XI 235) f° 4-v
Mittwochs den 10.ten Aprilis 1720. (f° 7) Eingeschriebener Steinhauer Jung (dt. 13. ß – außgethan den 12. Xbris 1724) – Mr Johann Geörg Küeffer stellt Vor Philipp Kueffer, Johann Küeffers des Kornwerffers Und burgers allhier alß seines bruders ehelichen Sohn, beÿständlich deßelben, bittet Inscriptionem gehet die Lehrzeit an den 20. Decembris 1719. Und endet sich auff solche Zeit 1724. Verspricht der meister den Jungen alle Jahr ein Neu paar schuh, und die Zur wochentlichen arbeit benöthigte Kleÿung auff sein des meisters Costen anzuschaffen.
Erkandt, gegen Erlag der gebühr Willfahrth.

Le Conseil prononce la fin de l’apprentissage avec huit jours d’avance étant donné qu’il ne se réunira plus avant un certain temps, à condition que l’apprenti reste chez son maître jusqu’à la date prévue

1724, Protocole des Maçons (XI 235) f° 133
Dienstag den 12.ten Decembris 1724. (f° 133-v) Außgethaner Steinhauer Jung, dt. 15. ß – Mr Johann Geörg Küeffer stellt Vor Philipp Küeffer, Johann Küeffers des Kornwerffers vnd burgers allhier ehelichen Sohn seinen Lehrjungen mit bitten, weilen seine Lehrzeit auff den 20.ten huius zu end gehet, vnd der Jung noch so lang beÿ Ihme in arbeit Verbleibt, mithin seine Lehjahr völlig außhält, vnd aber E. E. Gericht so bald nicht mehr Zusammen Kombt, denselben dermahlen außthun.
Erkandt, auff obangeregte weiße daß der Jung biß auff den 20. huius Vollendts beÿm Meister Verbleiben solle, und umb gedachter ursachen willen, auch weilen meister und Jung wohl mit einander Zufrieden denselben in seinem begehren willfahrt seÿn solle.

Philippe Kieffer obtient fin janvier le sujet de son chef d’œuvre qu’il présente fin mars. Les examinateurs lui demandent de corriger des défauts. Il leur soumet à nouveau son travail trois semaines plus tard. Il est reçu maître à la restriction de ne pouvoir former d’apprenti pendant les quatre premières années

1731, Protocole des Maçons (XI 246, chefs d’œuvre)
Philipp Küeffer 46.b, 47.a et b
(f° 46-v) Sambstags den 27.ten Januarÿ 1731. convenerunt die Vier pro dieses Jahr geordnete Meisterstück schauere
Philipp Küffer der Leedige Steinhauer und Maurer Gesell Von hier gebürtig, stehet Vor und bittet, weilen er das meisterstück auffzunehmen und Zuverfertigen gesinnet, Ihme das Maaß dazu Zugeben.
Erkandt, daß demselben in seinem begehren willfahrt und behöriges Maaß gegeben werden solle, so auch gleichbalden geschehen.

(f° 47) Sambstags den 24. Martÿ 1731. Legte Philipp Küffer, der Leedige Steinhauer und Maurer Gesell Von hier gebürtig, sein Ihme Vorgegebenes Probstück in præsentia S. T. Herrn Daniel Richshoffers, XV.er und Obmanns, wie auch Herrn Michael Erlachers, Werckmeisters des Münsters und Steinmetzen, herrn Johann Quirini Berga, Steinhauers, Herrn Samuel Zangers, Steinmetzen und Meister Johann Georg Pfandselt, Steinhauers, aller Vier Vor dieses Jahr geordneter Meisterstück schauere, Vor in deßen examinirung sich befunden
1. Daß die Vier Grundriß ohntüchtig, indeme selbige Keine rechte außtheilung haben, auch Keine Camin Rohr angezeigt, deßgleichen in denen beeden Gängen Kein fallen das liecht Zu finden, so Kan man auch in den Keller nicht auffrecht hinuner gehen, weilen die Steeg unter dem schnecken Zu Niedrig, Mehr ist in denen s.v. Cloacen Kein trechter angeditten, Ferner ist im Creutz Gewölb die Maur schrecks gesetzt, so gar nicht nöthig wäre, so dann ist in dem großen Gebäu Kein Platz eine Gutsch Zu stellen, angezeigt und bemerckt.
2. Manglen dreÿ Zoll in der höhe des Kellers, nach dem auffgegebenen Meß.
3. Ist der Mittlere stock um 2. Zoll Zu niedrig.
4. Fehlen im dritten stock 3. Zoll in der höhe.
5. Seind die bögen in der Frantzösischen steeg nicht auff dem Grund gesetzt und dero halben nicht im stand, selbige Zutragen.
6. Seind im Kellerhalß die stein im Grad nicht angezeigt, auch die Verbürste brettungen nicht gemacht.
Weßhalben dann Erkandt, daß derselbe soch seine begangene fehler innerhalb Vier Wochen Von dato angerechnet, Verbeßern und so dann ferner ergehen solle, was recht ist.

(f° 47-v) Dienstags den 10.ten Aprilis 1731. Legte Philipp Küeffer, der ledige Steinhauer und Maurer allhier, sein Verbeßertes Meisterstück, in præsentia S. T. Herrn XV Richshoffers, des H. Obmanns, denen Vier geschwornen Herren Schauern Vor, welches durch dieselbe besichtiget und folgender gestalt befunden Worden
1. Ist der außere Groth des Kellerhalßes im Gewölb nicht gemacht undt scheinet, daß der Stuck Meister denselben auch nicht recht machen Kan.
2. Seind auch die fugen des Kellerbogens nach dem Kellerhalß nicht accurate gezogen.
3. Ist Im obern stock der Frantzösischen Steeg eine thür angezeigt, so aber nicht dahin gehörig, indeme der Schnecken biß hinauff offen seÿn solle und wann man dieße thür hinauß gehen solte, man herab fallen mußte.
4. Hat er in der Frantzösischen Steeg einen tritt Zuviel.
Weßhalben Erkandt, daß derselbe Zwar Vor einen tüchtigen Meister auff und angenommen werden, Ihme auch mit Sechs Gesellen, gleich andern Meistern Zuarbeiten erlaubt sein, wegen solch begangener fehler aber, derselbe Vier Jahr lang Keinen jungen Zulehren, macht haben, nach deren Verfließung aber Ihme das vollkomene Meister recht angedeÿen solle.

(traduction)
Le samedi 27 janvier 1731 se sont reunis les quatre examinateurs des chefs d’œuvre pour l’année en cours.
Le compagnon maçon et équarrisseur Philippe Kieffer, natif de cette ville, se lève en demandant qu’on lui donne les dimensions du chef d’œuvre qu’il souhaite être admis à réaliser.
Décision, la demande est accueillie favorablement, les dimensions lui seront fournies, ce qu’on a aussitôt fait.

Le samedi 24 mars 1731, en présence de l’honorable prévôt le Quinze Daniel Richshoffer, les quatre examinateurs des chefs d’œuvre pour l’année en cours, à savoir l’équarrisseur Michel Erlacher, chef du chantier de l’Œuvre Notre Dame, l’équarrisseur Jean Quirin Berga, le tailleur de pierres Samuel Zanger et l’équarrisseur Jean Georges Pfandselt, ont examiné le chef d’œuvre qu’a réalisé le compagnon maçon et équarrisseur Philippe Kieffer natif de cette ville et ont constaté ce qui suit.
1. Les quatre dessins sont mal faits puisque la répartition des pièces n’est pas correcte, qu’aucun conduit de cheminée n’y est porté et que les deux couloirs sont privés de lumière, il n’est pas possible de descendre à la cave puisque l’escalier sous la vis est trop bas, les fosses d’aisances ne comportent pas d’entonnoir, le mur est incliné dans la voûte ce qui n’est pas du tout nécessaire, aucun endroit n’est prévu dans le bâtiment principal pour y placer une voiture.
2. Il manque trois pouces à la hauteur de la cave par rapport aux dimensions fournies.
3. Il manque deux pouces à la hauteur de l’étage intermédiaire.
4. Il manque trois pouces à la hauteur du troisième étage.
5. Les arcs de l’escalier à la française ne reposent pas sur le sol, ils ne peuvent donc pas en supporter le poids.
6. Les pierres des marches ne sont pas dessinées dans la decente de cave, les planches de jonction ne sont pas faites.
Pour ces motifs il a été décidé de demander au candidat de remédier aux défauts relevés dans un délai de quatre semaines, suite à quoi adviendra ce que de droit.

Le mardi 10 avril 1731, en présence du prévôt le Quinze Richshoffer, les quatre examinateurs pour l’année en cours ont examiné le chef d’œuvre qu’a réalisé le maçon et équarrisseur célibataire Philippe Kieffer et ont constaté ce qui suit.
1. La marche extérieure de la descente de cave manque dans la voûte, il semble que le candidat n’ait pas les compétences en la matière.
2. La jonction de l’arc de la cave vers la descente de cave n’est pas correctement indiquée.
3. Il y a en haut de l’escalier à la française une porte qui n’a pas lieu d’être puisque l’escalier doit être libre jusqu’en haut et qu’on tomberait si on passait par cette porte.
4. Il y a une marche de trop à l’escalier à la française.
Pour ces motifs il a été décidé de recevoir le candidat maître et de lui permettre d’employer six compagnons comme tous les maîtres mais il ne pourra avoir d’apprenti les quatre premières années à cause des susdits défauts, ce délai passé il jouira de toutes les prérogatives d’un maître.

1731, Protocole du corps des maçons
Table (XI 241) Küeffer, Philipp, 148.a, 149.a, 153.b
(XI 242) Küeffer, Philipp, 14.b, 17.a, 28.a, 36.b, 39.a, 47.a, 50.a, 52.b, 66.b, 72.a, 76.b, 78.a, 81.b, 87.a
Jean Philippe Kieffer qui souhaite faire son chef d’œuvre demande une dispense pour n’avoir pas entièrement terminé son tour de compagnon

(148.a) Anno 1731. Donnerstags den 25. Januarÿ – Philipp Küeffer der gesell stehet Vor, Vndt halt umb Verfertigung des meisterstücks an, bitt nach Umbfrag seines Verhaltens.
Mstr Abraham Küeffer gefragt, sagt, seÿe demselben Zwar in etwas Verwandt, könne Ihme aber Kein andere Zeugnus geben, alß daß derselbe seine Jahr nicht Völlig Verwandert.
Mstr Johann Georg Schrödter sagt gleichfahls.
Obgedachter gesell sagt, seÿe Anno 1719 eingeschrieben, gabe das handwerck Ehrlich und redlich außgeben Vnd auch seine wanderjahr außgehalten.
Erkandt, soll die sach der meisterstück schauern zu Examiniren überlaßen, und die Articul darüber besagend abgeleßen worden
dedit vor das handwerck 15 schilling und 3 schilling vor die stub Zu wärmen.
(im handwercks gebühr dt. 18 ß – ist in dem gesellen büchel eingeschrieben den 11.t Martÿ 1725. beÿ Mr hanß Georg Küeffer

Il présente à nouveau sa requête. Il manque deux mois à son tour de trois ans. La dispense lui est accordée après qu’il a prêté serment

(149.a) Sambstags den 27. Januarÿ – Philipp Küeffer repetirte sein anbringen vom Letzten handwerck Ihme des handwercks Meisterstück auffzugeben, auff befragen wie lang derselb gewandert, meldete Zweÿ monath weniger dreÿ Jahr, seÿe einer dießer Zeit einmahl Von Basel herabgefahren, aber nicht in die Statt gekommen, sondern seinen schwager Vor das Thor Laßen hinaus Kommen, seÿe den 11. Martÿ 1725. alß gesell hie eingeschrieben worden, vnd noch zweÿ jahr alß gesell hier Verblieben, auff ostern 1727. seÿe er in die frembde, und vor dreÿ Viertel Jahren wieder anhero gekommen.
Erkandt, wann er eÿdlich angeloben Kan, nur zweÿ monath weniger alß dreÿ Jahr gewandert zu seÿn, vnd inner dieße Zeit nicht hier geweßen zu seÿn, soll Ihme in seinem begehren willfahret seÿn.
Wobeÿ Zugleich Verabschiedet, daß derselbe Vnd alle andere, so künfftig das meisterstück auffnehmen. Jedem Stückschauer beÿ der auffnahm 15 ß so offts dieselbe auff pitschiren, Jedem 2 R. Vor seine Vesaumnus Vnd mühe Zu erlegen schuldig seÿn solle.

Jean Philippe Kieffer règle le droit d’assister à son premier conseil

(153.b) Donnerstags den 28. Junÿ 1731. Mstr Philipp Küeffer des Letzthin Vor einen Vollkommemen meister angenommen Steinhauer und maurer præsentirte sich dato Zum erstenmahl beÿ der Meisterschafft, vnd offerirte Vor seinen Einstand 1 lb 10 ß, so er auch gleichbalden erlegt.

Jean Philippe Kieffer demande à Philippe Wœhrlen de lui prêter un apprenti. La demande dégénère en querelle qui est portée devant le Conseil des maçons

(52.b) Donnerstags den 4.ten Julÿ 1737. Mstr Philipp Küeffer stehet Vor und bittet weilen er Vor ohngefehr dreÿ monathen als er in gegenwart verschiedener seiner mitmeister beÿ einem augenschein mstr. Philipp Wöhrlen umb einen seiner gesellen welche so viel als Zween andere gesellen Zu arbeiten sich im stand befändten, Zu lehnen, weilen er deren höchstens benöthigt, Warauff Ihme Mstr Wöhrlen Zur antworth ertheilet, ob er dieses in ernst oder in vexation rede, so habe er beditten, das es sein rechter ernst wäre, hierauff habe er Mstr Wöhrlen geantwortet daß er den Zeugen für eine s. h schelmen nenne, welcher Ihle mit dergleichen stühel reden angezogen Käme, vndt weil ers geredet, Ihne für ein solchen haltte, warauff er mstr. Küeffer Ihn mstr Wöhrlen wegen außgestoßenen schelt worth und antastung seiner Ehre für ein Löblich Policeÿ gericht Citiren Laßen, hernachmahls aber habe mstr Wöhrlen durch mstr Caspar Göbel beÿ Ihme anbringen Laßen, daß wan ers mit Ihme beÿ E. E. handwerck und ohne des Policeÿ Gerichts Recess aus machen wolte, seÿe ers wohl zufrieden, warauff Er dann biß dato biß E. E. Handwerck gehalten worden, auffgehoben, nunmehro aber habe er solches anbringen und eine gutliche Vergleichung bitten wollen.
Mstr Philipp Wöhrlen zugegen sagt, er seÿe es geständig, die alß gescholten Zuhaben, allein er habe Ihme hier zu genugsame Ursach gegeben, dan er Ihme mit genug stimpffichen wortten gefraget, ob er nicht einen gesell Ihme Lehnen Könte, welcher mehr alß Zweÿ Anders laßen Könte, welches Ihne dergestalten piquirt, daß er in solche wortt außgesprochen.
Warauff mann beede besprochen, ob Sie solches einen Ehrsamen handwerck übergeben wolte, haben Sie beedte samt und sonders solches mit Ja bestättiget.
Da dann in gehaltener Vmbfrag Erkandt worden, daß mstr Wöhrlen wegen außgestoßener scheltwortt 15. ß und mstr Küeffer 5. ß wegen der zu gegebener Ursach Straff erlegen, Und einander die händte, daß Sie wider einander nichts wisen geben sollen, übrigens seÿe mstr Küeffer für ein ehrlicher meister Erkannt.

La fonction de mesureur de chaux n’a pas permis à Jean Philippe Kieffer d’assister à tous les conseils. Il demande dispense de l’amende pour n’avoir pas participé aux conseils

(66.b) Donnerstags den 29. Maÿ 1738. Weiter proponirte Mstr Philipp Küeffer, daß Zu der Zeit, alß Er das Kalckmeßer ambt Versehen müßen, vndt dahero deren handwerckern nicht allwegen beÿwohnen Können, Er dannoch auffgeschrieben, Und Ihm das absensgeld angerechnet worden, deßhalben auch nunmehro 8. ß absensgeld gefordert worden, umb deren nachlaß derselben hiermit gebetten haben wolle.
Erkandt, auß oballegirten Motiven willfahrt, und demselben die quæstionirte 8. ß nachgelaßen.

Jean Philippe Kieffer et Philippe Jacques Zell sont nommés représentants du Corps des maçons auprès des compagnons

(72.a) Anno 1739. Mittwochs den 28.ten Januarÿ – Zu beÿsitz meistern beÿ der gesellen gebott, Mstr Philipp Jacob Zell und Mstr Philipp Küeffer, per majora erwehlet worden

Jean Philippe Kieffer est reçu tributaire en avril 1731

1731, Protocole des Maçons (XI 236)
Mittwochs den 11. aprilis 1731 (f° 134) E. Neu Zünfftiger – Philipp Kueffer der Maurer vnd Steinhauer, Johannes Küeffers gewesenen Kornwerffers und burgers allhier ehelicher Sohn, so gestrigen tages Vor einem meister angenommen worden, producirte Stattschein Vom heutigen dato, Kraffr derselbe sich auff Löbl. Statt angemeldet, Vnd beÿ dießeitiger Ersamen Zunfft dienen will, bittet Ihme Vor einem Zünfftiger anzunehmen.
Erkandt, solle gegen erlag der gebühr angenommen werden, so da ist, weilen er eines hiesigen burgers Kind vor das Zunfftrecht. Zunfftrecht 1 ln 5 ß, einschreibgeld 4 ß, dt. 1. lb 9 ß


Jean Philippe Kieffer épouse en juillet 1732 Anne Salomé Bœgner, fille d’un emballeur à la halle : contrat de mariage, célébration

1732 (27.5.), Me Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 104) n° 106
(Eheberedung) zwischen dem Ehren und vorgeachten meister Philipp Küffern, maurer und Steinhauern auch burgern allhier weÿland des Ehrengeachten Mr Johann Küeffers gewesenen Kornwerffers und burgern alhier seel. mit frauen Maria gebohrner Debußin seiner nachgelaßenen wittib ehelich erziehltem Sohn als ddem räutigamb ane einem,
So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrauen Annæ Salome Bögnerin, des Ehren und vorgeachten Joh: Jacob Bögners, senioris Packers und burgers alhier mit weÿl. frauen Annæ Barbaræ gebohrner Heckin deßelben geweßeter Ehefrauen nun seel. ehelich erzeugter tochter als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil – So beschehen in Straßburg in Mein Notarÿ wohn behaußung am alten weinmarckt gelegen den 27. Maÿ anno 1732. [unterzeichnet] meister Philippes Küeffer hochzeiter, Anna Salome bögnerin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 5-v, n° 12)
1732. Mittwoch den 18. Julÿ seind nach zweÿmal geschehener proclamation (…) in den Ehestand eingesegnet worden Philipp Kiefer, der ledige Maurer, Steinhauer u. burger allhier, weil. Johann Kiefers geweßt. Kornwerffers und burg.s allhier hinterlassener ehl. Sohn u. Jgfr. Anna Salome Johann Jacob Bögners deß Packers und burgers allhier ehel. Tochter [unterzeichnet] Püllippes Küeffer alls hochzeiter, Anna Salome bögnerin als braut (i 7)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison qu’ils louent au Marais Vert

1732 (16. 8.br), Me Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 41) n° 376
Inventarium über des Ehren und Vorgeachten Mr Philipp Kieffers, Maurers und Steinhauers und der Ehren und tugendsamen Fr. Annä Salome Kiefferin geb. Bögnerin, beeder Eheleuthe und burgere allhier in Straßburg einander vor ohnverändert in d. Ehestand zugebrachter Nahrungen auffgerichtet Anno 1732. – in ihren ohnlängst mit einander angetrettenen Ehestand vor ohnverändert gebracht, welche der ursachen weilen in Ihrer den 27. Maÿ dießes lauffenden 1732.ten Jahrs mit einander auffgerichteten Eheberedung außdrucklichen Versehen, daß einem jeeden derselben seine in die Ehe bringende und wehrender Ehe ererbende Nahrung ein freÿ, eigen und ohnverändert Guth seÿn und bleiben – So beschehen Zu Straßburg auff Mittwoch den 15. Octobris 1732.

In einer allhier Zu Straßburg und der Vorstatt bruch gelegenen von beeden Eheleuthen bewohnenden behaußung als volgt befunden
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachte Mittel. Sa. haußraths 37, Sa. Werckzeugs Zum Maurer und Steinhauer handwerck gehörig 18, Sa. Silbers 3, Sa. baarschafft 60, Summa summarum 119 lb – Schuld 14 lb, Nach deren Abgang 105, Wann nun hierzu gerechnet wird die (heffte ane denen) haußseuren 21. lb, Des Ehemanns gantzes in die Ehe gebrachtes Guth 126 lb
Dießem nach wird auch der Ehefrau Vor ohnverändert in die Ehe gebrachten Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 94, Sa. Silbers 7, Sa. goldener Ring 8, Sa. baarschafft 46, Summa summarum 156 lb – deme beÿzufügen die ane gleich hernach beschriebene haussteuren in Krafft der Eheberedung §° 6.to Ihro gebührige helffte 21. lb. Der Ehefrau gantze in die Ehe gebrachte Nahrung 126. lb

Philippe Jacques Zell se plaint que Jean Philippe Kieffer ait travaillé chez ses clients sans son autorisation : dans une petite maison du fils de l’ammeistre Reiss, chez la veuve Schaller et chez le jardinier Jacques Hirth

1733, Protocole des Maçons (XI 236) f° 132
Donnerstags den 9.ten Julÿ 1733 – (f° 133) Mr Philipp Jacob Zeller Contra Mr Johann Philipp Kueffer, daß er Ihme beÿ dreÿ Kunden gearbeitet, aber Ihne nicht darumb gefragt habe, Erstlichen beÿ Hn Ammeister Reißen Sohn dem alten dreÿer der Statt Stalls in deßen häußel beÿ der hechtenbruck, Zweÿtens beÿ frau Schallerin, drittens beÿ einem Garthner Jacob Hirth.
Beklagter, Mad. Schallerin habe nach Ihme geschickt, und umb arbeit angesprochen die Ihne auff befragen, wer Ihr voriger Maurer geweßen Zur antwort ertheilet, Mr hanß Georg Küeffer, der aber gestorben, dahero er deßen wittib befraget, vndt dieße Ihme in antworth ertheillet, daß sie nichts mehr zu erfordern habe, vnd Er daselbsten arbeiten könne, habe auch nicht gewußt, daß er Mr Zeller deroselben gearbeitet habe, gleiche beschaffenheit habe es auch mit Jacob Hirthen, als von dem er wußte, daß Johann Georg Küeffer sein Lehrmeister Ihme gearbeitet, deßen wittib er ebenmäßig darumb befraget habe, vnd seÿe bereits anderthalb Jahr lang. Anlangend H Reÿßen, so habe dieser Ihr selbsten in daß häußel geführt, vndt auff befragen Ihme geantwortet, daß er seinen gewesten Maurer nicht kenne, noch Zu nennen wißen warüber er Küeffer noch Zur bethutsamkeit sie in solchen häusel wohnende Leuthe befraget, die Ihme H. Berga angegeben, welchen er auch umb die arbeit befragt, derselbe aber nicht anheimisch geweßt.
Erkannt, Solle Mr Küeffer beÿ nechstem gericht seine Verantwortung erweißlich machen, nemblich solchen bericht den er Vorgibt, Von seinen bauleuthen empfangen, vndt die vorige meister darüber befragt zu haben, und wie lang es seÿe, daß er dießer orthen gearbeitet habe, alß dann ferner ergehen solle was recht ist.

Le tailleur Frédéric Gerhard n’est pas satisfait du travail qu’a réalisé Jean Philippe Kieffer dans sa maison

1735, Protocole des Maçons (XI 236)
(f° 184), Mittwochs den 27. Julÿ 1735. – Friderich Gebhardt der Schneider Klagt Contra Mr Johann Philipp Küeffer, daß Er Ihme so geringe vnd schlechte arbeit gemacht, einen steinern nach gemacht, selbigen aber nicht verkuttet, daß das waßer im Keller Lauffe, 2. die Ziegel mit schindlen nicht genugsam Versehen, und zu weith gelattet, daß es Zum dach einregne, vnd auch würcklichen etliche herabgefallen, mithin keine habung habe, 3. auch das gemaur an den riegelwänden würcklich Vom holtz stehe, daß man dadurch sehen könne.
Beklagter habe Ihme alles gemacht, was im accord stehe, den nach habe er nicht verkuttet weillen er sehr darauff pressirt, vnd nicht drucken war, das dach seÿe rechtgemacht, und noch Kein Ziegel herab gefallen, das holtz an den riegelwändten aber seÿe gantz grün geweßen und nachgehends eingetrocknet, hiernechst habe er Ihme noch dreÿ Cammeren mit riegelwänden versehen, welche Zuvor new mit dielen zugeschlagen und auch mithin dem accord begriffen waren, wie wolle er Ihme nicht bezahlen.
Kläger sagt, dieser dreÿ Cammeren seÿen in dem accord begriffen geweßen, sonsten Er dieselbe nicht hette machen Laßen, habe dem beklagten expressé gesagt daß wan er sie nicht un den accord mache, er Ihm nicht davorgebe.
Beklagter, nachdeme Kläger Ihme den accord bezahlt, vnd die arbeit würcklichen fertig ware, habe er Kläger Zue Ihme gesagt, er gebe ihme nichts davor.
Philipp Ohler Steinhauer und maurergesell beÿ beklagten hierüber befragt, meldete, daß er Von nichts wiße, als daß Mr Küeffer Ihne Zur Verfertigung dießer arbeit geschickt, der Kläger aber und seine frau nichts Zu Ihme gesagt habe.
Johannes Jäg des Klägers gesell sagt, daß sein meisterin gesagt habe, er Zahle sie Ihme nicht, und beklagter darüber geantwortet, wan der Zimmermann die riegelwand ihme in den accord mache, so wolle ers Ihme auch machen.
Mr Göbel und Hißkÿ die beede deputato Vom herren Oberherrn produciren ihren augenschein schrifftlich.
Erkandt, Weillen die dreÿ Cammeren Vor dem accord gemacht worden, es auch scheinet, es habe die beklagte solche arbeit wieder willen des bauherren gemacht, mithin beeder gefehlet, alß solle Jeder ane solcher arbeit die helffte leÿden, im übrigen aber der beklagte den steineren nach auff zu heben, durch die Lufft auß zu trocknen, und so dann zu Verkutten zu Verschneidten, vnd mit einem geisenfuß Zu Versehen, das dach wo es im schuhweit gelattet ist, auff zu heben, ab zu decken, und nur 10. Zoll weit Zu latten, auch wan die riegelwandt nicht durch des klopffen des Schlosers und schreiners loschworden, selbige auff sein des beklagten Costen wieder Zuzumauren schuldig seÿn, die riegelwand in deren dreÿ Cammern seind taxirt das Claffter à 3 R. seÿnd Sechs Claffter 8 schuh, thut 18. R. 6 ß 8 d die helffte 9 R 3 ß 4 d welche Kläger dem beklagten Zahlen solle.

L’huilier Jean Georges Dætter se plaint du travail qu’a réalisé Jean Philippe Kieffer

1739, Protocole des Maçons (XI 237, 237)
Klag – Johann Georg Dätter der ohlmann Contra Mr Johann Philipp Kueffer,

Anne Salomé Bœgner meurt en 1739 sans enfant, ses héritiers sont ses frères et sœurs. Les experts estiment la maison 350 livres. La masse propre au veuf s’élève à 74 livres, celle des héritiers à 150 livres. L’actif de la communauté s’élève à 477 livres, le passif à 371 livres. Un des héritiers, Jean Jacques Bœgner, cède sa part de maison dans un acte de cession joint

1739 (21. 7.br), Me Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 68) n° 605
Inventarium über Weÿl. der Ehren: und tugendsamen Frauen Annä Salome Küefferin gebohrner Bögnerin, des Ehren und Vorgeachten, Mstr. Philipp Küeffers, Steinhauers, Maurers und burgers allhier gew. Ehegattin nunmehr seel. Verlassenschafft auffgerichtet Anno 1739 – nachdeme dieselbe den 4.ten hujus Mensis et Anni von dem lieben Gott aus dießer welt seelig abgefordert worden, Zeitl. hinter sich verlaßen – So beschehen Zu Straßburg auf Montag den 21. Sept: A° 1739.
Die abgeleibte seelige hat per Testamentum Zu Ihren Erben eingesetzt und nach tod Verlaßen. 1.mo Weÿl. Joh: Jacob Bögner, geweßenen Packers beÿ dem Kauffhauß und burgers allhier, Ihres Verstorbenen bruders seel. in Zween Ehen erzeugte und nach todt verlaßene 3. Kinder mit nahme, 1) Mariam Salome Bögnerin, 2) Jgfr. Mariam Magdalenam Bögnerin, so beede majorennes und dahero ohnbevögtiget, mit Zuziehung Mstr Joh: Barbo des Schuhmachers und burgers allhier, Ihres erbetenen beÿstandes, dem Geschäfft persönlich abgewartet und 3° Joh: Jacob Bögner den ledigen Knöpffmacher Gesellen, so in der frembde begriffen, deßen geschworner Vogt Mstr Joh: Georg Kreßel der Pflästerer und burger allhier, allweilen aber derselbe beÿ dießem Geschäfft selbsten ehevögtlicher Weiß mit interessiret, als ist Ihme Johann Jacob Bögner Zu einem theilvogt constituiret worden, Mstr Joh: Georg Bimler, Schneider und burger allhier, Welcher vor und im nahmen seiner Curandin dem geschäfft persönlich beÿgewohnt, dieße dreÿ ins gemein, mit außschließung Ihrer beeder übriger geschwüsterde Mariä Barbarä und Philipp Jacobs der Bögner in den ersten Stammtheil
2.do Jungfr. Dorotheam Bögnerin dero noch lebende ältere Schwester, welche als majorennisis ohnbevögtigt mit beÿhülff Mstr. Joh: Friderich Hubmeÿers Schneiders und burgers allhie, Ihres hierzu erbettenen Assistenten persönlich zugegen, geweßenen in den Zweÿten Stammtheil.
3.tio Frau Catharinam Burgerin gebohrne Bögnerin, Mstr Joh: Friderich burgers des Küeffers und burgers allhier Ehegattin, dero noch lebenden mittlete Schwester, ohneins älter, so mit zuzeihung solch Ihres Ehevogts dem beschäfft persönlich abgewartet, in den dritten Stammtheil
4.to Frau Annam Barbaram Freÿin gebohrne Bögnerin Mstr Joh: Freÿin, des Sandführers und burgers allhier Ehewürthin dero noch lebende ohneins jüngere Schwester, so mit beÿstand dießes Ihres Ehemanns, in persohn Zugegen ware, in den Vierten Stammtheil, und dann
5.to Frau Mariam Catharinam Preßelin gebohrne Bögnerin, Mstr. Joh: Georg Preßels des Plästerers und burgers allhier Ehefrau, dero noch lebende Jüngere Schwester, welche mit assistentz solch ihres Ehemanns beÿ dem Geschäfft persönlich erschienen, in den fübfften Stammtheil, Alßo alle der seelig Verstorbenen noch lebende Geschwisterde und dreÿ von dero Verstorbenenn bruders seel. hinterlaßene Kinder und per Testamentum eingesetzte Erben.

In einer allhier Zu Straßburg ane St. Johannis Gaß in der Vorstatt Weißenthurn gelegen, in dieße Verlassenschafft gehörigen und hernach beschriebenen behausung befund. word. wie volgt.
Eigenthumb ane einer behausung (T.) Eine Ehrenhafft hoffstatt und höfflein mit allen übrigen deroselben Gebäuen, begriffen, weithen, rechten, Zugehördten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg ane der Vorstatt Weißenthurn in der Johannis gaßen, ein: und anderseit neben häußern denen geistl. Hh. zu St. Johann Zugehörig, vornen auff die Allmend und hinten wieder auf eine erstgedachten H. zu St. Johann Zuständige behausung, stoßend, so freÿ, ledig und eigen und dh. (die Werckmeistere) laut dero selben übergebener schrifftlicher Abschatzung Vom 19.ten hujus Mensis angeschlagen vor: und umb den Preÿß der 700 gulden oder 350. lb. Darüber besagt ein teutscher pergam. Kauffbrieff in der Statt Straß. Canc. Contr. stub gefert. v. mit deroselben anhangendem Insigel verwahrt, datirt den 14. Aug. A° 1734
Ergäntzung des Wittibers abgegangenen ohnveränderten Guths. Vermög Inventarÿ über beeder geweßter Ehe Persohnen einander in die Ehe gebrachte Nahrung durchmich Notm. Langen in Anno 1732. gefertiget
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung, Copia Testamenti nuncupativi
Des Wittibers ohnverändertes Guth, Sa. silbers 1, Sa. Ergäntzung (101, Angang 16, Rest) 84, Summa summarum 86 lb – Schulden 12, des Wittibers restirend ohnverändert Guth 74
Dießem nach wird auch der abgeleibten frauen seel. hinderlaßen ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 28, Sa. silbers 1, Sa. Goldenen Ring 2, Sa. schulden 12, Ergäntzung (107, abgan 15 ß, rest) 106, Summa summarum 150 lb
Endlichen wird auch das gemein verändert und theilbar Guth gesetzet, Sa. haußraths 22, Sa. Werckzeug und materialien Zum Steinhauer und Maurer handwerck gehörig 25, Sa. Silbers 2, Sa. baarschafft 77, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 350, Summa summarum 477 lb – Schulden 371 lb, Restirende theilbare Errungenschafft 106 lb
Gantze Verlassenschafft et Conclusio finalis Inventarÿ 331 lb
(f° 22) Cession Über Johann Jacob Bögners des leidigen Knöpffmacher gesellen Hauß Antheil.
– Zuwißen seÿe hiermit, daß Vor mir unterschriebenenem, als zu Weÿl. Fr. Annæ Salome Küeffer, gebohrner Bögner, auch weÿl. Mr Philipp Kieffers allhier Ehegattin beed. nun seel. Verlassenschafft Inventation et Separation adhibirtem Notario persönlich erschienen Mstr. Johann Bimmler, Schneider und burger allhier als Constituirter theilvogt Johann Jacob Bögners des ledigen in der Frembde sich auffhaltend Knöpffmacher Gesellen, der hat in gegensein Jungfr. Mariä Salome und Mariä Magdalenä Bögnerin seiner beed. Schwestern, angezeigt und bekandt, wie daß Er Bimler Vogts weise den, ane einer behaußung, Hoffstatt und Höfflein mit allen übrig. derselben Gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehördten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg ane der Vorstatt Weißenthurn in der Johannis gaßen, neben häußern denen Geistl. Hh. zu St. Johann gehörig, vornen auff die Allmend und hinten wieder auf eine erstgedachten H. zu St. Johann Zuständige behausung, stoßend, so freÿ, ledig und eigen, seinem Curando Vor einem fünfften theil ane der tertz Zuständigen dritten theil das ist ane der gantzen behaußung gebührigen fünff und Viertzigen theil obgedachten seinen beed. Schwestern Jungfr. Mariä Salome und Mariä Magdalenä Bögnerin ins gemein, eigenthümlich Cedirt (um) 16. lb
Worbeÿ Zugleich erschienen Fr. Maria Dorothea Bögnerin gebohrne Otterißin weÿl. Johann Jacob Bögners geweßten Packers beÿ dem Kauffhauß und burgers allhier seel. hinterbliebenee Wittib sein Joh: Jacob Bögners des in der Frembde sich befindl. Cedenten eheleiblich. Mutter, mit beÿstand Mstr. Jacob Bernhard Steinmetzen Schloßers und beÿsitzers alhier ihres hierzu adhibirten Assistenten (wohl zufrieden) – So geschehen Zu Straßburg den 1. Martÿ 1740

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 300 florins (150 livres). Les préposés dispensent les héritiers de régler l’amende suite à une supplique

1739, VII 1178 – Livres de la Taille f° 407-v
Maurer F. N° 7996 – Weÿl. Fr. Annæ Salome gebohrner Bögnerin Philipp Kieffer Steinhauer Maurer und burgers alhier Ehel. haußfrauen Verlassenschafft inventirt H. Not. Lang.
Concl. Fin. Inv. ist gol 104.b 331. lb, die machen 600 R. Verstallte allein 300. R. Zu wenig 300. R.
Nachtrag auff Sechs Jahr in duplo à 18 ß, 5 lb. 8 ß
Und Vier Jahr in simplo à 9 ß, 1 lb 16 ß
Extat kein Stallgeltt
Gebott, 2 ß
Abhandlung 10 ß 6 b, Summa 7 lb 16 ß 6 s
Straff wegen Zugeringer Verstallung 5 lb.
Auf suppliciren wieder erlaßen
dt. 31. Octobris 1739

Jean Philippe Kieffer meurt à son tour en janvier 1740

Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. reg. D f° 41, n° 3)
1740. Donnerstag den 7. Jan: abends Zwischen 4. und 5 vhr starb an verzehrender Kranckheit Philipp Kieffer gewesener Maurer und Steinhauer allhie, seines alters 34. Jahr 7. Monath weniger 8 Tag und wurde Sambstags darauff auff den Gottes Acker St Galli beÿ gehaltener Leichpredigt mit Christl. ceremonien begraben [unterzeichnet] Friderich burger als Schwager, Johannes Freÿ als Schwager (i 45)


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